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1 (1886) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 2. Leçons sur les maladies du système nerveux
re que la majorité des cas, désignés en clinique sous le nom atrophie musculaire progressive, se rapporte à une altération occupan
s longtemps constituée chez cette femme, lorsque survint une atrophie musculaire , laquelle progressa sous nos yeux assez rapidemen
'ataxie locomotrice, considérées da?is leurs rapports avec l'atrophie musculaire . {Archives de physiologie, 1872, p. 590.) aire
tains cas d'altérations de la sub-stance grise déterminant l'atrophie musculaire progressive 1 S. "Weir Mitchel. — Injuries of N
chercher ailleurs. Par analogie avec ce qui a lieu dans l'atrophie musculaire et dans la paralysie infantile où la lésion troph
phie musculaire et dans la paralysie infantile où la lésion trophique musculaire est évidemment liée à une altération des cornes a
MM. Pierret et Gombault. J'ajoute-rai qu'un certain degré d'atrophie musculaire dans le mem-bre affecté s'observe fréquemment, co
s'était traduite, du vivant du malade, par une parésie avec atrophie musculaire des membres supérieurs. La dilatation, dans ces c
r du renflement cervical de la moelle. Le dernier phénomène, atrophie musculaire , se comprend aisément, puisque, en se développant
es, mais encore ils peuvent amener un affaiblissement de la puissance musculaire dans les membres auxquels ils se rendent, affaibl
uloureux ; anesthésie cutanée circonscrite ; atrophie et. contracture musculaires partielles. — Déformation de la colonne vertébral
agner 1 et dans un autre cas rapporté par M. Michaud 2, ou l'atrophie musculaire 1 E. Wagner. — Ârchiv. der Hdlkunde, 4 heft. 18
orte d'impotence qui ne relève point d'un amoindrissement de la force musculaire , car, au lit, dans le temps où les douleurs ne so
(anesthe-sia dolorosa), Vatrophie plus ou moins prononcée des masses musculaires , et enfin la contracture survenant dans un certai
bsolue, avec flaccidité des membres, en d'autres termes sans rigidité musculaire . Ce phénomène, en rapport avec l'interruption d
it pas néanmoins chercher dans cette rigidité temporaire des masses musculaires , autant de sym-ptômes qui relèvent encore de la l
sacrées, d'une modification de la contractilité électrique des masses musculaires qui, peu à peu, présentèrent une atrophie remarqu
offriraient, en plus, une atrophie plus ou moins prononcée des masses musculaires . Enfin, vraisemblablement en rapport avec l'altér
une atrophie plus ou moins marquée et plus ou moins rapide des masses musculaires , avec diminu-tion de la réaction faradique. Les a
alysie spinale infantile; — Paralysie spinale de l'adulte; — Atrophie musculaire progressive spinale ; — Sclérose latérale amyotro
de période ou ré-gression des symptômes avec localisation des lésions musculaires (Atrophie musculaire, arrêt de développement du s
ion des symptômes avec localisation des lésions musculaires (Atrophie musculaire , arrêt de développement du système osseux, refroi
ractère cli-nique le plus saillant. D'un autre côté, les affections musculaires dont il s'agit paraissent devoir être rattachées
ts qui appartiennent à la première et non aux secondes. L'affection musculaire est, dans celles-ci, bornée aux mus- cles de la
es myopathies spinales. En somme, Messieurs, les lésions du système musculaire de la vie animale, se traduisant par une impuissa
ur, étaient restés mé-connus 1 On peut ramener toutes les atrophies musculaires développées sous l'in-fluence d'une lésion spinal
pinière qui peuvent entraîner le développement rapide d'une atro-phie musculaire , sont nombreuses. Nous citerons, à titre d'exempl
aire avec le degré ou avec l'étendue de la paralysie et de l'atrophie musculaires . Ainsi, suivant une remarque de Duchenne (de Bo
t aller jusqu'à S ou 6 centi-mètres, bien que, dans ce cas, la lésion musculaire soit restée localisée dans un ou deux muscles à p
nion la plus répandue, le même ca-ractère se retrouve dans l'atrophie musculaire progressive de cause spinale. Les lésions dont
t parfaitement reconnu M. Laborde 2, le volume et la forme des masses musculaires peuvent être, jusqu'à un cer-tain point, conservé
pporté en 1869 par MM. L. Clarke et Z. Johnson sous le nom d'atrophie musculaire , doit être, croyons-nous, rapproché du précédent;
t l'atrophie profonde rapidement survenue que présentaient les masses musculaires dans les membres paralysés, phénomènes contrastan
lutté par l'application de divers appareils. En avril, la puissance musculaire a tellement progressé, dans les membres inférieur
ré d'intensité et provo-quer, à la périphérie, les lésions trophiques musculaires les Fiq, 10. — Cellules nerveuses des cornes an
ésion de la névroglie, dans certaines formes, par exemple, d'atrophie musculaire progressive, ou de paralysie bulbaire (Fig. 10, C
portant sur les parties centrales de la moelle, détermine des lésions musculaires fort semblables à celles qui s'observent dans la
dent. La paralysie motrice, marquée par la suppression de la tonicité musculaire et des autres mo-des de l'activité réflexe, peut
nte de la contractilité faradique, ainsi que l'atrophie des-faisceaux musculaires , surviendraient en conséquence. Il ne faut pas ou
1. ONZIÈME LEÇON Des amyotrophies spinales chroniques. — Atrophie musculaire progressive spinale protopathique (Type Duchenne-
as désignés sous le nom d'atrophie muscu laire progressive (atrophies musculaires progressives spinales). — Unifor-mité dans ces ca
r les cornes antérieures de la substance grise. Étude de l'atrophie musculaire progressive spinale protopathique comme type du g
clérose en plaques ; — sclérose laté-rale symétrique. De l'atrophie musculaire progressive spinale protopathique en particu-lier
er dans les cas qui portent en clinique cette dénomination d'atrophie musculaire progressive sont très variées. Elles ont toutefoi
athique. La constitution de cette forme protopathique de l'atrophie musculaire spinale, qui reproduit en quelque sorte, je le re
orcerons de dégager, autant que possible, la description de Yatrophie musculaire protopathique de tous les éléments étrangers qui
premier trait à faire ressortir dans la symptomatologie de l'atrophie musculaire progressive, après le début insidieux, sans prodr
e, progressent paral-lèlement ; autrement dit, moins il y a de fibres musculaires dans un muscle ou plus il y a de fibres atrophiée
ion du nombre ou de l'atrophie plus ou moins pro-noncée des faisceaux musculaires . Ce fait contraste avec ce que l'on sait des pa
s fines, qui se dessinent dans la direction des principaux fais-ceaux musculaires . Quelquefois tout à fait partielles et locali-sée
ue. J'ajouterai, en outre, qu'elles se voient en dehors de l'atrophie musculaire progressive, chez des sujets sains. Elles constit
s qu'à mon sens on a compris à tort dans la description de l'atrophie musculaire vulgaire. Les douleurs spontanées, continues et n
la pression qui traduisent une exaltation delà sensibilité des masses musculaires . f) Enfin, je dois consigner dans la symptomato
s du mode de progression et de répartition que présentent les lésions musculaires dans leur envahissement successif. Dans cet ordre
fois, dans cet hospice, des sujets atteints de longue date d'atrophie musculaire protopathique, dont les membres supérieurs étaien
s de ces membres. Cette atrophie, si profonde qu'elle fût, des masses musculaires , ne s'opposait pas d'une façon absolue à la stati
inité ou sur Y hérédité, en tant qu'élément étiologique de l'atrophie musculaire progressive, me paraît, d'après la critique des t
upe delà moelle épinière à la région cervicale dans un cas d'atrophie musculaire protopathique. — A, Corne antérieure gauche. ('Le
près la considération des caractères anatomiques, la forme d'atrophie musculaire progressive, dont il s'agit, pour-rait être désig
ndiqué d'une façon explicite. 3 Hayem. — Note sur un cas d'atrophie musculaire progressive, lésions de la moelle. (Archives de p
tout le gauche, sont pendants, inertes, sans contractures. Les masses musculaires y sont atrophiées à peu près uniformément partout
ines antérieures comme le caractère anatomique de la forme d'atrophie musculaire dont il a contri-bué à élucider l'histoire et qu'
juli 1869 et Cen-tralblatt, octobre n° 46, 1869) deux cas d'atrophie musculaire progressive dans lesquels l'autopsie, faite par M
us une même rubri-que, ne méritent en rien la dénomination d'atrophie musculaire progressive, c( nom étant employé, même dans son
ubissent les mêmes altérations qu'un nerf sec-tionné. Dans l'atrophie musculaire , il n'est qu'un petit nom-bre de nerfs qui éprouv
suivant lequel, dans l'amyotrophie progressive, s'effectue la lésion musculaire en conséquence de la lésion spinale ? .le ne vois
er. — Biqletin di VAcadémie de médecine, 1833. — Id. Sur la paralysie musculaire atrophique, 5° série, t. VII, janvier 1857. à p
e des racines nerveuses et des nerfs centrifuges, jusqu'aux faisceaux musculaires qui, sous cette influence, subissent la lésion tr
este, en dernier lieu, à vous exposer en quoi con-sistent ces lésions musculaires qui surviennent ainsi en consé-quence des lésions
r ce point, car nombreuses sont les analogies qui relient les lésions musculaires de l'amyotrophie spinale protopathique à celles d
ctériser la maladie anato-miquement en lui imposant le nom à'atrophie musculaire graisseuse progressive. M. le professeur Robin
, que la graisse ne prend pas naissance seulement au sein du faisceau musculaire , mais qu'elle envahit aussi parfois le tissu conj
otéique, de même que la dégénération granulo-graisseuse des faisceaux musculaires n'est qu'un phénomène accessoire. C'est ce que pr
Le fait capital, dans l'espèce, c'est une atrophie simple du faisceau musculaire avec conservation delastriation en travers. Celle
ments cellulaires du sar-colemme. Dans un certain nombre de faisceaux musculaires , la multiplication peut être poussée assez loin p
ne du sarcolemme de manière à la distendre et à refouler la substance musculaire . Celle-ci se segmente alors et prend l'apparence
ur évolution et tendent à s'atrophier, en même temps que la substance musculaire fragmentée se divise de plus en plus et quelquefo
l de prolifération qui constitue une sorte d'es-quisse de la cirrhose musculaire . À son tour, la Upomalose interstitielle peut int
la la vie, rendre méconnaissable l'existence de l'atrophie des masses musculaires et masquer ainsi le principal symptôme de la mala
pal symptôme de la maladie. Telles sont, Messieurs, les altérations musculaires dans l'amyotrophie progressive protopathique. Nou
mus-cles. Messieurs, Nous en avons fini avec la forme d'atrophie musculaire pro-gressive qui relève d'une lésion limitée syst
d'essentiel de celles que nous avons étudiées à propos de Y atrophie musculaire spinale pro-topathique. C'est déclarer qu'elles s
s de mettre en relief dans l'exposé clinique, à savoir que l'atrophie musculaire , dans la forme nosographique qui nous occupe, por
s. Je ne puis que ré-péter ici ce que j'ai dit au sujet de l'atrophie musculaire spi-nale pçotopathique. Les tubes nerveux tout à
faire ressortir lorsque nous traiterons de la pa-thogénie des lésions musculaires consécutives. nière, de même que celles des fai
éparent cliniquement la sclérose latérale amyotrophique de l'atrophie musculaire spinale protopathique. Symptômes communs aux de
e la sclérose latérale amyotrophique et les autres formes (X atrophie musculaire spinale, deutéropathique. Je dois tout d'abord
llent mémoire publié en 1867 par M. Duménil (de Rouen) sur l'atrophie musculaire progres-sive dans la Gazette hebdomadaire. Puis,
pu-bliées, comme des exemples de paralysie bulbaire avec amyotrophie musculaire progressive, dans les Archives de psychiatrie, di
que de la Faculté. la sclérose latérale amyotrophique de l'atrophie musculaire spinale primitive, c'est la rapidité relative de
out d'un an, par exemple, tandis que les malades, atteints d'atrophie musculaire progressive spinale protopathique, peu-vent vivre
rminent la mort. Cela contraste avec ce que nous savons de l'atrophie musculaire progressive vulgaire puisque dans celle-ci, suiva
érale ; ce sont: a) l'a-trophie progressive, envahissante, des masses musculaires ; — b) les contractions fibrillaires qui se montre
'impuissance motrice relève en grande partie de l'atrophie des masses musculaires , tandis que, dans la sclérose latérale, la paraly
ssi des douleurs provoquées par la pression ou la traction des masses musculaires . J'insiste sur ce dernier phénomène que je n'ai p
dividuelle des muscles que nous avons rele-vée à propos de l'alrophie musculaire vulgaire, c'est, au contraire, une sorte d'émacia
onnaître qu'il ne s'agit pas, en pareille circonstance, de l'atrophie musculaire spinale primitive. Je ne dois pas oublier de me
De même que dans l'amyotrophie progressive ordinaire, l'émacialion musculaire est quelquefois masquée, dans la sclérose amyotro
acialion est déjà parvenue à un degré qui ne se voit, dans l'atrophie musculaire protopathique, qu'à une période avan-cée, éloigné
qu'elle n'enlraîne pas nécessairement, comme la première, l'atrophie musculaire . Les muscles, au contraire, peuvent conserver jus
orme, au bout de peu de temps, en un symptôme per-manent. La rigidité musculaire persiste alors sans cesse et sans trêve, dans les
nfin, dans la sclérose primitive des faisceaux latéraux sans atrophie musculaire . 2° La parésie et la contracture précèdent l'at
onsécutive à l'ataxie locomotrice. — Forme particulière de l'atrophie musculaire en pareil cas. — Pathogénie. ~ Amyotroptiie consé
écèdent. Cette tâche accomplie, j'aborderai l'é- tude des atrophies musculaires qui relèvent des lésions du bulbe rachidien. I.
nt une diminution notable de la con-tractilité électrique. L'atrophie musculaire progressa rapide-ment et, simultanément, la peau
points avec la précédente. J'eslime encore que certaines atrophies musculaires plus ou moins rapides, qui se produisent dans les
équent, de commencer l'exposition de quelques autres formes ^atrophie musculaire spinale deuté- 1 Leçons sur les maladies du sys
on des cornes grises et conséquem-ment sans accompagnement d'atrophie musculaire . C'est ce dont té uoignent, entre autres, plusieu
; mais, comme elle ne s'observe pas dans les autres formes d'atrophie musculaire spinale, elle n'en fournit pas moins un élément i
rs, dans la pachyméningite, ne paraît se compliquer d'aucune atrophie musculaire . Il ne me semble pas difficile de fournir la ra
ysie et de comprendre, à ce double point de vue, l'absence d'atrophie musculaire et l'exis-tence, pour ainsi dire obligatoire, de
res. 11 résulte de ces observations que, cliniquement, cette atrophie musculaire des ataxiques se distingue par quelques caractère
s disséminées sur les parties du corps les plus diverses, les lésions musculaires restent d'autres fois limitées à des régions très
érieur d'un même côlé (Fig. 26). Ce mode de répartition des lésions musculaires est déjà 1 Duménil (de Rouen). — Union médicale
les symptômes tabétiques. B. Je ne ferai que mentionner l'atrophie musculaire qui se surajoute quelquefois aux symptômes ordina
cette forme d'amyotrophie, presque toujours confondue avec l'atrophie musculaire progressive, n'a-t-elle pas été l'occasion d'erre
nctif qu'il importe d'op-poser aux symptômes classiques de l'atrophie musculaire progressive, — les muscles, ceux même qui n'ont p
chenne (de Boulogne) l'a reproduite dans son mémoire sur la paralysie musculaire pseudo-hypertrophique (Archi-ves générales df méd
eron, montre le relief exagéré que présentaient la plupart des masses musculaires chez l'enfant en question, et fait particulièreme
rophie par substitution graisseuse. Si donc, dans ce cas, les lésions musculaires avaient été bées à des lé ions spinales, celles-c
lement parfaitement saines. Après avoir reconnu que les altérations musculaires dans ce cas ne rele-vaient point de l'altération
ient pu être le point de départ des altérations prononcées du système musculaire . Une observation, publiée il y a trois ans dans
divers, les caractères de la substitution graisseuse. Les faisceaux musculaires offraient : les uns, les altérations de l'atrophi
cellules nerveuses des cornes antérieures. Sans doute, les lésions musculaires décrites dans le cas de M. 0. Barth, rappellent,
elle s'applique n'avait pas été méconnu : C'est qu'aucune des lésions musculaires dont il s'agit n'appariient absolument en propre
hie du tissu conjonctif interstitiel, avec atrophie simple des fibres musculaires , peut se retrouver, par exemple, à la suite des l
thol. Anat. der lîuckenmarks. Leipzig. 1870. Obs. n). dans l'atrophie musculaire progressive, dans la para-lysie spinale de l'adul
ymptômes observés pendant la vie. Voici, concernant les altérations musculaires dans la para-lysie pseudo-hyperlrophique, quelque
isium internum — qui, à l'état normal, séparent à peine les faisceaux musculaires primitifs et les laissent presque en contact réci
dont le petit diamètre égale sur certains points celui des faisceaux musculaires , et même le dépasse (Fig. 27). Ces travées, ainsi
lamineuses, dirigées surtout parallèlement au grand axe des faisceaux musculaires , sont entremêlées souvent avec des cellules embry
sus). — I, I, Ilots de tissu conjonctif. — M, M, Coupes des faisceaux musculaires . — G, G, Cellules adipeuses. montre la majeure
uës et que la pression réciproque a ren-dues polyédriques.— Faisceaux musculaires isolés, dépouillés de leur enveloppe fibril-laire
rapport immédiat avec les cellules du tissu adipeux. — Les faisceaux musculaires , même les plus grêles, ont conservé la striation
adipeux, on rencontre soit des îlots composés de plusieurs faisceaux musculaires primitifs (de 2 à 8, 10, 12 au plus), enveloppés
Ciiarcot. Œuvres complètes, t. h. 19 laires isolés, sans faisceaux musculaires ; soit enfin, — et ce dernier cas est le plus rar
es ; soit enfin, — et ce dernier cas est le plus rare,— des faisceaux musculaires isolés, dépouillés de leur enveloppe fibrillaire
, le tissu fibrillaire de formation nouvelle, ainsi que les faisceaux musculaires , tendent à disparaître *. Pour ce qui est de ce
ée sur les résultats plusieurs fois obtenus par l'examen de parcelles musculaires extraites, pendant la vie, à l'aide de Y emporte-
est que l'hyperplasie du tissu conjonctif et l'atrophie des faisceaux musculaires marchent pour ainsi dire du même pas ; celle-ci s
étendue des vides laissés par l'atrophie ou la disparition des fibres musculaires . Il est possible toutefois que l'hyperplasie conj
l'accroissement de volume, souvent énorme, que présentent les masses musculaires à une certaine époque de la maladie, et je suis p
u'elle ren-ferme ne présentent d'altération, et, quant à la substance musculaire , on n'y observe aucune trace de la dégénérescence
générale-ment sous le nom de cirrhose. Or, les lésions de la sclérose musculaire se voient dans des conditions très variées et ell
très intéres-sante, récemment publiée par M. C. Weslphal3. L'atrophie musculaire saturnine semble donc faite, d'après cela, sur le
s que des ganglions, ont été plusieurs fois observées dans l'atrophie musculaire progressive ; mais je ne sache pas que, dans aucu
l n'y a pas de tendance à la formation des escarres et que les masses musculaires des membres inférieurs qui, chez les ataxiques, s
du rectum, des paralysies des muscles moteurs oculaires, des lésions musculaires trophiques, etc., se mon-trent associés à la cont
chatouille la plante des pieds, il se produit en outre, des secousses musculaires déterminées par action réflexe, les divers phénom
nsi dire dès le commencement, par l'alrophie que subissent les masses musculaires sur les membres affectés, par l'évolution plus ra
à la fracture. Peu après survint une paralysie complète avec atrophie musculaire , dans le membre supérieur, du même côté 4. Dans
araplégie, et enfin une paralysie des membres supé-rieurs. L'atrophie musculaire , avec diminution de la contrac-tilité électrique,
ale. En effet, dans la plupart de ces cas, l'anesthésie et l'atrophie musculaire des membres paraly-sés semblent indiquer qu'il s'
us ou moins vive. Jamais il n'y a d'embarras de la parole, de spasmes musculaires , soit dans la face, soit dans les membres; jamais
s affectés d'hémichorée post-hémiplé-gique. — Caractères des troubles musculaires au repos et dans les mouve-ments. Lésions organ
pathologique, année 1871-1872, p. 93)'. Note sur un cas d'atrophie musculaire progressive spinale protopathique ( type Duchenne
es cliniques qui per-mettent de reconnaître pendant la vie l'atrophie musculaire protopathique, réunis dans l'observation qu'on va
ut admise à la Salpêtrière le 19 mars. Elle était atteinte d'atrophie musculaire progressive, dont elle avait éprouvé les premiers
négatifs : aucun des membres de sa famille n'a été atteint d'atrophie musculaire ; elle-même n'a jamais eu d'au-tre maladie que le
11 s'agit de véritables accès de douleurs s'accompagnant de secousses musculaires violentes. Ces accès survenaient de préférence pe
assistaient aux cours de la Salpêtrière, comme un exemple d'atro-phie musculaire spinale protopathique. Ce diagnostic était fondé
malgré la réduction de volume considérable qu'avaient subi les masses musculaires aux membres supérieurs, ceux-ci n'étaient pas att
ement normaux. La langue a son volume normal, ses différentes couches musculaires sont rouges ; il n'y a pas trace de substitution
moyenne, elle est dans certains points évidemment altérée. Les fibres musculaires deviennent granuleuses et un certain nombre ont d
se produit d'ordinaire au-cune pigmentation dans le nombre des noyaux musculaires pro-prement dits. On rencontre cependant quelqu
bres sont remplies d'un contenu granuleuxet surd'autres, la substance musculaire est interrompue de distance en distance, par des
conjonctif. C'est à peine si, de loin en loin, on retrouve une fibre musculaire , et, chose singu-lière, cette fibre unique restée
a-nime, l'altération est bien loin d'y être aussi avancée. Les fibres musculaires y sont encore nombreuses; elles ont conservé leur
principaux caractères cliniques que nous avons assignés à l'atrophie musculaire spinale protopathique : longue durée, évolution l
boration de M. Gombault pour la seconde \ Orservation I. Atrophie musculaire progressive, marquée surtout aux membres su-périe
, présentant déjà à un degré très marqué les symptômes d'une atrophie musculaire progres-sive, dont le début remontait, alors, à n
ormations qui tiennent à l'atro-phie prédominante de certains groupes musculaires . Les pieds sont un peu rigides, dans une demi-ext
maigrissement était considérable, mais sans signe évident d'atro-phie musculaire . Les muscles respiratoires fonctionnaient norma-l
ner un appui à cette opinion. B, Examen microscopique. — lo Système musculaire . — Nous commencerons l'exposé de l'examen microsc
ons l'exposé de l'examen microscopique que nous avons fait du système musculaire par la description des altéra-tions des muscles d
ob-servé dans l'opposant du pouce droit. En dilacérant la substance musculaire avec les aiguilles sur le verre à préparation, on
elle rappelle celle du tissu conjonctif. Dansla plupart des faisceaux musculaires , il existe de fines granulations foncées, devenan
Ces granulations varient beaucoup en nombre et en volume, d'une fibre musculaire à l'autre. Les stries transver-sales et longitudi
La striation a entièrement disparu dans un certain nombre de fibres musculaires qui apparaissent sous l'aspect d'un cylindre remp
lles des fibres qui ont conservé la striation. Le volume des fibres musculaires semble normal pour un cer-tain nombre d'entre ell
ne diminution parfois considérable. C'est ainsi qu'à côté d'une fibre musculaire de dimension normale, on en voit d'autres dont le
rès nette et sont à peine ou même pas granuleuses. Parmi les fibres musculaires les plus altérées, un petit nombre seulement nous
seulement nous ont présenté la division en fragments de la sub-stance musculaire . Dans les fibres où nous avons observé cette di-v
fibres où nous avons observé cette di-vision, les blocs de substance musculaire étaient pressés les uns contre les autres. Très r
ous avons réussi plusieurs fois à voir très nettement de petits nerfs musculaires . Nous n'avons pas, dans ces cas, remarqué qu'ils
mes. En outre des altérations précédentes, la plupart des faisceaux musculaires présentaient un aspect fendillé, très remarquable
avons observé ce qui suit : Io une diminution de volume dans la masse musculaire ; 2° une coloration jaune pâle des muscles ; 3°un
ccen-tuée pour d'autres ; o° la division en fragments de la substance musculaire ; 0° l'atrophie de certaines fibres musculaires,
gments de la substance musculaire ; 0° l'atrophie de certaines fibres musculaires , simple et indépendante de toute dégénérescence g
vait rencontrer toutes ces alté-rations à la fois. A coté d'une fibre musculaire entièrement saine ou à peine granuleuse, on en ob
degrés. Quelques-unes offraient la division en blocs de la substance musculaire . Dans l'intervalle de ces fibres, on aper-cevait
équence et leur in-tensité. Les préparations faites avec la substance musculaire du sterno-cléido-mastoïdien gauche n'ont, à notre
ez abondantes pour mas-quer la striation transversale. Les éléments musculaires , aux membres inférieurs, ne renferment pas ou à p
trophie des cellules des cor-nes antérieures de la moelle. — Atrophie musculaire progressive. — Paralysie glosso-laryngée. Elisa
ion, le coude demi fléchi résiste quand on veut re-tendre. Les masses musculaires sont atrophiées et agitées de mou-vements fibrill
, paraît très sensible à l'excitation électrique. Mais la contraction musculaire ne se produit pas partout avec ses caractères nor
gatif. Du moins jamais n'a-t-on trouvé cet état granuleux de la fibre musculaire , vu cette prolifération nucléaire abondante, qui
caillots noirs. Il n'existe au-cune lésion des valvules ; les parois musculaires du ventricule gauche sont peut-être un peu pâles,
auche de la partie cervicale de ce muscle. En ce point, les faisceaux musculaires sont très pâles, très friables et séparés par de
gique. — ?.. Mucles. — Vers la pointe de la lan-gue, là où les fibres musculaires étaient le plus pâles, la moitié peut-être des fa
no-yaux du sarcolemme à un degré plus ou moins prononcé. Les fibres musculaires de coloration jaune, provenant de la partie antér
tention se porte sur les lésions trophiques que présentait le système musculaire de la vie de relation, on sera frappé du mode sin
pûtconstater une atrophie partielle quelque peu prononcée des masses musculaires . La langue surtout, cela est dit très expli-citem
nt fourni par l'amaigrissement partiel de l'épaule gauche, l'atrophie musculaire progressive généralisée qui, dans notre observati
andus sur presque tous les points du corps. Rapprochant les lésions musculaires , dont il vient d'être question des altérations qu
intime et faut-iï croire que, dans ce cas, les altérations du système musculaire ont pro-cédé, parla voie des nerfs bulbaires et r
ù nous avons fait procéder déjà l'altération nutri-tive des faisceaux musculaires , et il est difficile de comprendre par quel mécan
t d'expliquer, cette fois, non pas la présence des lésions trophiques musculaires qui trouvent leur raison d'être dans l'altération
tion du noyau de l'hy-poglosse, mais bien l'existence d'une paralysie musculaire en partie au moins indépendante de l'atrophie *
culté sérieuse, que nous avons rencontrée déjà à propos de l'atrophie musculaire progressive et de la paralysie infantile spinale
explicitement mentionnée dans notre observation. 2 Dans l'atrophie musculaire progressive, la paralysie musculaire sans atrophi
observation. 2 Dans l'atrophie musculaire progressive, la paralysie musculaire sans atrophie et l'atrophie sans paralysie se tro
stem of medicine. t. II, p. 171 ; 1867 ; — Duménil de Rouen (Atrophie musculaire graisseuse progressive, pp. 93 et 108, Rouen, 186
rtain nombre de faisceaux primitifs sont alors les seules altérations musculaires que l'examen his-tologique permette de constater.
henne (de Boulogne) l'a repro-duite dans son mémoire sur la paralysie musculaire pseudo-hypertrophique 2. Une bonne photographie,
eron, montre le relief exagéré que présentaient la plupart des masses musculaires chez l'enfant dont il s'agit, et fait parfaitemen
es nerfs sciatiques, médians et ra-diaux ; 4° un fragment de la paroi musculaire du ventricule gauche. II. En premier lieu, je
, à un mo-ment donné, s'était emparée de la majeure partie des masses musculaires ; on peut en dire autant des psoas qui, à l'autop
siitm internum), qui, à l'état normal, séparent à peine les faisceaux musculaires primitifs, et les laissent presque en contact réc
s dont le petit diamètreégale sur certains points celui des faisceaux musculaires ou même le dépasse. Ces travées, ainsi qu'on peut
lamineuses, dirigées surtout parallèlement au grand axe des faisceaux musculaires , sont entremêlées avec des noyaux embryoplastique
adipeux, on rencontre, soit des îlots composés de plusieurs faisceaux musculaires primitifs (de 2 à 8,10, 12 au plus), enve-loppés
laires; soit enfin, et ce dernier cas est le plus rare, des faisceaux musculaires isolés, dépouillés de leur enveloppe fîbrillaire
Les îlots com-posés de tissu conjonctif fîbril-laire et de faisceaux musculaires primitifs ne se voient que çà et là, de loin en l
ës et que la pression réci-proque a rendues polyédriques. — Faisceaux musculaires isolés, dépouillés de leur enveloppe fibril-laire
êles, ont conservé la striation en travers. ainsi que les faisceaux musculaires tendent à disparaître. Il convient de rechercher
tuellement suivant quel mode s'o-père cette disparition des faisceaux musculaires : elle s'accuse déjà dès la première période, alo
se. Ainsi, dans le psoas, sur les coupes transversales, les faisceaux musculaires , entourés de tous cô-tés par les travées considér
tion complètent ces renseignements : la ma-jeure partie des faisceaux musculaires , ceux-là mêmes qui ont subi une atrophie très pro
qu'elle renferme ne présentent d'altération, et, quant à la substance musculaire , on n'y observe aucune trace de la dé-générescenc
la gaîne du sarcolemme. Mais, en somme, il est rare que les faisceaux musculaires , en voie de destruction, présentent l'un quelconq
sistance delà slriation en travers. Dans le deltoïde, les faisceaux musculaires se retrouvent avec les mêmes apparences : seuleme
ec dégénérescence granulo-graisseuse, la segmentation de la substance musculaire avec multiplication des noyaux du sar-colemme, so
dans ce qu'il a de plus général, le mode d'évolution de l'altéra-tion musculaire propre à la paralysie pseudo-hypertrophique. A l'
asie connective et l'atrophie simple d'un certain nombre de faisceaux musculaires sont les lésions qu'on observe. A cette époque, o
e sur les résultats plusieurs fois obtenus par l'exa-men de parcelles musculaires extraites pendant la vie, à l'aide de Vemporte pi
tendue des vides laissés par l'atrophie ou la dis-parition des fibres musculaires . 11 est possible toutefois que l'hyperplasie conj
s l'ac-croissement de volume souvent énorme que présentent les masses musculaires à une certaine époque de la maladie, et je suis p
do-hypertrophique, qui, à quelques égards, se rapproche des atrophies musculaires progressives, reconnaît, elle aussi, une origine
rophie par substitution graisseuse. Si donc, dans ce cas, les lésions musculaires avaient été liées à des lésions spinales, celles-
divers, les caractè-res de la substitution graisseuse, Les faisceaux musculaires offrirent les uns, les altérations de l'atrophie
es cellules nerveuses des cornes antérieures1 Sans doute, les lésions musculaires décrites dans le cas de M. 0. Barlh rappellent à
blait pas avoir été quelquefois méconnu : c'est qu'aucune des lésions musculaires dont il s'agit n'appartient en propre à la paraly
hie du tissu con-jonctif interstitiel avec atrophie simple des fibres musculaires 1 Deux cas d'atrophie musculaire progressive av
l avec atrophie simple des fibres musculaires 1 Deux cas d'atrophie musculaire progressive avec lésion de la substance grise et
ion éventuelle, encore dans la paralysie infantile 3, dans l'atrophie musculaire progressive *, dans la paralysie spinale de l'adu
en démontrer l'ina-nité. — Après avoir reconnu que les altérations musculaires dans la paralysie pseudo-hypertrophique ne relève
n terminant, je signalerai comme un fait digne d'intérêt que la paroi musculaire du ventricule gauche du cœur ne par-ticipait null
.uvkks Complètes, Ôïïlk , ? \padAyluy~l___ PLANCHE VII ATROPHIE MUSCULAIRE PROTOPATH1QUE Fig. 1. — Coupe transversale de l
A. Karman ski Ivth Ñ' Kg. 7. Fi î. 4. PLANCHE VIII ATROPHIE MUSCULAIRE PROTOPATHIQUE Fig. 1. — Coupe transversale du n
ces conjonctifs, b, sont élargis par le fait de l'atrophie des fibres musculaires . Document numérisé par la Bibliothèque universi
ouloureux : anesthésie cutanée circonscrite; atrophie et contrac-ture musculaires partielles. — Déformations de la colonne vertébra
nde période ou régression des symptômes avec localisation des lésions musculaires (Atro-phie musculaire, arrêt de développement du
on des symptômes avec localisation des lésions musculaires (Atro-phie musculaire , arrêt de développement du système osseux, refroi
88 ONZIÈME LEÇON des amyotrophies spinales chroniques. — atrophie musculaire progressive spinale protopathique. (type duchenne
as désignés sous le nom d'atrophie muscu-laire progressive (atrophies musculaires progressives spinales). — Unifor-mité dans ces ca
r les cornes antérieures de la substance grise. Étude de l'atrophie musculaire progressive spinale protopathique comme type du g
clérose en plaques ; — sclérose laté-rale symétrique. De l'atrophie musculaire progressive spinale protopathique en particu-lier
éparent cliniquement la sclérose latérale amyotrophique de l'atrophie musculaire spinale protopathique. Symptômes communs aux de
onsécutive à l'ataxie locomotrice. — Forme particulière de l'atrophie musculaire en pareil cas. — Pathogénie. Amyotrophie conséc
s affectés d'hémichorée post-hémi-plégique. — Caractères des troubles musculaires au repos et dans les mouvements. Lésions organi
cas de myélite.................. 41 IV. Note sur un cas d'atrophie musculaire progressive protopathique (type Duchenne-Aran)...
Résumé des symptômes, 304. (Voir Anesthésie, Arthropathies, Atrophie musculaire , Crises 6astriques, Douleurs fulguran-tes, Tabes
-tes, Tabes dorsal spasmodique, Vertige). Athétose, 490. Atrophie musculaire progressive pro-topathique, 9, 74, 217, 218. — A.
(Tu-méfaction des) dans les myélites, 414 ; — 164, 245. (V. Atrophie musculaire , Bulbe, Cornes, Moelle.) Centre génito-spinal,
es amyotrophies saturnines et rhu-matismales, 29 '. — Dans Y atrophie musculaire protopathique, 220. Dans la myélite aiguë central
9, 204, note. — Après amputations anciennes, 205. — Dans l'atrophie musculaire proto-pathique, 226. (V. Arthropathies, Ataxie, A
e musculaire proto-pathique, 226. (V. Arthropathies, Ataxie, Atrophie musculaire .) — Postérieures (Lésions des), 16. Crises gast
2 (1899) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 12]
nifestations pénibles ou inquié- tantes, aboutissant à une atrophie musculaire plus ou moins prononcée, à des rétractions tend
, au tronc et à la face. La moindre pression, exercée sur une masse musculaire quel- conque, lui occasionnait des souffrances
moment de son entrée à l'hôpital, il ne présentait l pas d'atrophie musculaire bien nette, si ce n'est aux mains. D'après les
erficielle; au contraire la moindre pression exercée sur les masses musculaires développait des douleurs très vives. Le moindre t
ntes; l'avant-bras était aplati, mais sans qu'il y eut d'atro- phie musculaire circonscrite dans le sens propre du mot. D'ailleu
on, on note au creux poplité, un point très douloureux ; les masses musculaires sont très sensibles à la pression, surtout à dr
pas de souffrances spontanées, mais partout la pression des masses musculaires provoquait des douleurs extrêmement vives ; de
eu de la physio- nomie. Elle ne se compliquait pas d'une atrophie musculaire bien nette ; c'est tout au plus si on constatai
uscles dans lesquels la paralysie s'établit à de- meure. L'atrophie musculaire , qu'on voit survenir dans ces conditions, est g
ez qu'à un moment donné, la moindre pression exercée sur les masses musculaires du malade, le moindre tiraillement auquel on ex
ce d'une polynévrite. J'en dirai autant de l'absence d'une atrophie musculaire frappant, avec une prépondérance très nette, ce
es parties dans lesquelles se cantonnent la paralysie et l'atrophie musculaire . Enfin, il n'est pas jusqu'à l'état des réactio
l'entier usage de ses muscles, sans conserver ni résidu d'atrophie musculaire , ni rétractions tendineuses ? Là-dessus, je me
guérison, à toutes les ressources capables de tonifier les systèmes musculaire et nerveux : massage, hydrothérapie, exercice en
d'un chirurgien. MALADIE DE THOMSEN A» FORME FRUSTE AVEC ATROPHIE MUSCULAIRE PAR Et E. NOGUÈS J. SIROL Médecin directeur
T. XII. PI. III MALADIE DE THOMSEN Forme fruste, avec atrophie musculaire . (1 : . Vuu ct J. Sirul) MASSON & Cre, Ed
uelle, l'autre familiale, devaient englober tous les cas d'atrophie musculaire progressive. II n'eu est rien. En même temps qu
ts devient plus attentive et plus précise, l'histoire de l'atrophie musculaire progressive paraît se compliquer de plus en plus
ladie « procède d'une manière élec- tive, frappant certains groupes musculaires il l'exclusion d'autres groupes. Elle ne s'acco
Nous ne trouons pas en effet, comme dans celle-ci, d'hypertrophie musculaire , il existe au contraire de l'atrophie très manife
ette dernière affection. Quelques symptômes tels que : l'atrophie musculaire et la diminution de l'excitabilité électrique,
ne présen- conformation. Le adroite : 3 ? tent pas d'anoma- tonus musculaire à gauche : z,,5. lies. est normal. Le pied Les
libres et . se heurtent à une ' certaine résistance. . Le tonus musculaire est normal,de même 30 G. ROSS0L1M0 Olga S.
sert plus de la main gauche que de la droite. Aucun autre groupe musculaire n'est intéressé que ceux indiqués; il existe du
ée tant pour le courant de la moelle aux nerfs que pour 1 e nerveux musculaire ou musculaire direct, en tenant compte toujours
e courant de la moelle aux nerfs que pour 1 e nerveux musculaire ou musculaire direct, en tenant compte toujours de la grande
u musculaire direct, en tenant compte toujours de la grande tension musculaire qui empêche l'interprétation complète des mouve
e pulmonaire à marche rapide; il est de plus atteint d'une atrophie musculaire qui a débuté insidieusement à l'âge de 20 ans p
s ascendants ni dans les collatéraux on ne relève de cas d'atrophie musculaire non plus que chez ses deux frères dont l'un était
r actuellement âgée de 39 ans. Antécédents personnels. L'atrophie musculaire a débuté il l'âge de 20 ans ; G... était alors
pierre il Lyon ; il était très bien con- formé et doué d'une force musculaire moyenne. Nourri au sein par sa mère il a commen
ue les autres muscles étaient intacts. Il fut réformé pour atrophié musculaire du bras droit. Il était droitier,mais il travai
e, nacré, résistant, sur lequel s'implantent encore quelques fibres musculaires décolorées, couleur chair de poisson. Le brachial
razès ET brengues entre eux on trome ça et là des segments de fibre musculaire striée très rarement intacts, généralement inég
ents atteints de nécrose de coagulation. Dans ces segments de fibre musculaire les noyaux du sarcoplasme se sont multipliés. A
ile qui subit lui-même in situ l'évolution sclé- reuse. Les nerfs musculaires se retrouvent jusque dans l'intérieur des mus-
terminaison nerveuse en bouton à l'intérieur des reliquats de fibre musculaire plus ou moins altérés qui ont encore échappé à
breux et perméables. A u voisinage et dans l'interstice des fibres musculaires dégénérées, l'irrigation est moindre, les vaiss
de l'avant-bras, radial (au poignet), tibia) antérieur, les filets musculaires du petit pectoral et du biceps sont en grande p
s. Les monstruosités, celles du tégument comme celles de l'appareil musculaire , relèvent d'un trouble FIA'. 15. - Sujet amyéle
ge. LABORATOIRE DES CLINIQUES DE LA FACULTE DE BORDEAUX. ATROPHIE MUSCULAIRE ET OSSEUSE DU MEMBRE SUPÉRIEUR DROIT CONSÉCUT
amaigrissement du membre ne fait par contre que s'accuser. atrophie musculaire ET OSSEUSE 109 A 17 ans, nouvelle chute sur le
articulation scapulo-humérale est relâchée au maximum ; l'enveloppe musculaire qui double la capsule ligamenteuse ayant perdu sa
Nouv. Iconographie UI la SAII'ÉrRIEHE. T. XII. PI. XVII ATROPHIE MUSCULAIRE ET OSSEUSE DU MEMBRE SUPÉRIEUR DROIT (S,ibi-izè
DROIT (S,ibi-izès et Marty) rP71 ? 1r/,>i ? </ ? ATROPHIE MUSCULAIRE ET OSSEUSE 111 Celui-ci tire en haut la base et
Nouv. Iconographie DE la Salpètrière. T. XII. PI. XVIII ATROPHIE MUSCULAIRE ET OSSEUSE DU MEMBRE SUPÉRIEUR DROIT (S.tL,razc
ai.fêikickk.. r. XII. Pl. XIX ph't'tyl'te n, rmsnn Paris ATROPHIE MUSCULAIRE ET OSSEUSE DU MEMBRE SUPERIEUR DROIT (S.IlW,IZ0
1rty) Radiographie du coude MASSON & cle, Editeurs ATROPHIE MUSCULAIRE ET OSSEUSE 113 La clavicule ne parait pas offri
surmontées de toutes leurs apophyses. - Les capsules articulaires ( musculaires et ligamenteuses) sont faibles, d'où le relâche
NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÈTRIÈRE. T. XII. PL. XX. ATROPHIE MUSCULAIRE ET OSSEUSE DU MEMBRE SUPÉRIEUR DROIT (Sabrazès
. Main DROITI : (coté atrophié). Masson et Cio, Éditeurs ATROPHIE MUSCULAIRE ET OSSEUSE 115 La flexion volontaire de l'avant
. Les objets mis dans la main sont parfaitement reconnus. Le sens musculaire et la notion de position sont conservés. Le mal
eçoit la sensi- bilité cutanée du plexus cervical. L'hyperalgésie musculaire recherchée par le pincement profond, prolongé,
Igésique il peu près au même degré que le long supinateur. ATROPHIE MUSCULAIRE ET OSSEUSE 1 117 i Le pincement des muscles de
ttière de torsion de l'humérus, et au niveau du point où la branche musculaire s'en- gage dans le court supinateur et aussi da
upporter du côté droit.' Eu résumé, la sensibilité tactile, le sens musculaire sont normaux. Mais la sensibilité à la douleur
exe, du nerf musculo-cutané, du radial ; les hyper31gésies cutanée, musculaire , osseuse sont superposables dans les territoires
acile, ainsi que la z marche à reculons les yeux fermés. ATROPHIE MUSCULAIRE ET OSSEUSE 119 La sensibilité au contact est bi
Son écriture est rendue difficile de la main droite par l'atrophie musculaire qui empêche d'appuyer ; mais cette écriture n'est
priapisme. Hyperesthésie excessive des bourses. La près- . ATROPHIE MUSCULAIRE ET OSSEUSE 121 sion même légère des testicules
de l'enfance ou de la paralysie spinale aiguë de l'adulte (atrophie musculaire , atrophie osseuse, épaississement des téguments
es cas où la tête humérale viendrait le comprimer directe- ATROPHIE MUSCULAIRE ET OSSEUSE 123 ment contre la paroi thoracique.
te pour les nerfs médian, radial et cubital ; (1) Fieux. ATROPHIE MUSCULAIRE ET OSSEUSE 125 4° Réaction d'Erb complète pour
ure compliquée de rupture du périoste et de déchirure des faisceaux musculaires sous-jacents. on n'ob- serve pas de lésions ner
ourd'hui lors de cette fracture. Néanmoins, le choc du ma- ATROPHIE MUSCULAIRE ET OSSEUSE 127 drier qui est tombé sur la clavi
la ceinture scapulaire. Nous sommes donc en présence d'une atrophie musculaire et osseuse extrêmement marquée, limitée à un me
sseur. On est donc en droit de con- clure que l'atrophie osseuse et musculaire s'est produite au sur et M mesure que les traum
e- modification de la sensibilité autre qu'une hyperalgésie cutanée musculaire et osseuse correspondant aux territoires où les
ar suite du traumatisme direct des racines et de la con- - ATROPHIE MUSCULAIRE ET OSSEUSE 129 tusion indirecte de la totalité
d'atrophie localisée des centres nerveux en rapport avec l'atrophie musculaire et osseuse de cause articulaire ne laissent auc
es neurones sensitifs ganglion- naires et médullaires. L'atrophie musculaire et osseuse de notre malade est donc sous la dé-
sitives, lésions qui se traduisent par une hy- peresthésie cutanée, musculaire , osseuse et nerveuse du membre malade. Déplus l
communément, en clinique, avec le problématique et mal défini sens musculaire . On dit par exemple que tel ataxique a perdu le s
ens musculaire. On dit par exemple que tel ataxique a perdu le sens musculaire parce qu'il oscille dans l'attitude debout, les y
il n'en connaît plus que les écarts assez sensibles, et l'exercice musculaire qu'il destine à son maintien subit les fluctuat
é le mouvement à l'agent moteur, la variation d'attitude à l'action musculaire qui la réalisait, la conscience de la variation
ment actif, il était assez naturel que l'on pensât plutôt à un sens musculaire qu'au sens des attitudes. Mais revenons à celui
. L'attitude étant passive, il n'y entre aucune notion d'ac- tivité musculaire , et le sens musculaire des auteurs n'a ahsolument
ive, il n'y entre aucune notion d'ac- tivité musculaire, et le sens musculaire des auteurs n'a ahsolument rien à y voir. Qua
r. Quand les attitudes et leurs variations sont actives, l'activité musculaire entre en jeu. Nous avons conscience qu'il se pa
n'ai pas à refaire ici l'historique déjà long des théories du sens musculaire , ni à en faire la critique; je procéderai uniqu
sivement ou activement avec interven- tion de notre propre activité musculaire , l'image d'attitude, l'image de mouvement seron
sensation d'activité. Est-ce spécialement la sensa- tion d'activité musculaire qu'il faut dire ? Non, je sens que mon mouve- m
ens que mon mouve- ment est actif et voulu, mais je ne sens rien de musculaire dans cette acti- vité. J'ai à l'intérieur des s
é ; mais quelque chose ne me donne nullement la sensation d'un état musculaire ; c'est une variation de LE TABES LABYRINTHIQUE
mouvement,ou plutôt une sensation d'activité, mais pas plus de sens musculaire que de sens articulaire, aponévrotique, ligamen-
ou de tiraille- ment. Ces sensations sont plus extramusculaires que musculaires à propre- ment parler. Au niveau du segment o
ent ni subjectivement d'attribuer cette acti- vité à la contraction musculaire , si je ne l'ai appris autrement. Les ima- ges d
des modifications produites au niveau du segment actif par l'effort musculaire , sensation qui n'est pas plus musculaire qu'art
segment actif par l'effort musculaire, sensation qui n'est pas plus musculaire qu'articulaire ou cutanée ; mais j'ai d'autre par
ons l'activité de notre écorce cérébrale. Il n'y a donc pas de sens musculaire spécial. Nous sentons notre vo- lonté, au point
érence des fonctions d'attitudes. En admettant qu'il existe un sens musculaire , il ne pourrait naître que de la sensation du m
ion incompatible avec l'attitude d'équili- bre, commande l'exercice musculaire destiné au maintien de l'attitude, et ce ne peu
é au maintien de l'attitude, et ce ne peut être que de cet exercice musculaire que naîtraient les sensations d'activité muscul
de cet exercice musculaire que naîtraient les sensations d'activité musculaire dont on a cherché à faire un sens spécial. Il y
hé à faire un sens spécial. Il y a plus; on comprend l'idée de sens musculaire à propos d'un ma- 148 PIERRE BONNIER lade qui
és, et à qui on prescrit la passivité la plus grande, la résolution musculaire la plus complète, ignore l'atti- tude que l'on
l segment de ses membres, que vient faire, dans ce cas d'inactivité musculaire , ce qu'on appelle le sens musculaire dans les o
aire, dans ce cas d'inactivité musculaire, ce qu'on appelle le sens musculaire dans les observations cliniques ? Comment, on c
niques ? Comment, on cherche à placer le malade dans une abstention musculaire telle que le sens de l'activité musculaire, s'il
lade dans une abstention musculaire telle que le sens de l'activité musculaire , s'il existe, doit rester silencieux, et l'on c
motrices que le sens des représentations d'attitudes n'est un sens musculaire , de ces circonvolutions centrales est partie un
titudes. Chaque attitude répond à un certain groupement d'activités musculaires ; chaque mouve- ment, chaque variation d'attitud
de répond à une variation dans le tableau d'emploi de ces activités musculaires , et, ce qui est conscient dans la mo- tricité,
par expérience acquise. De même que je rejette toute idée de sens musculaire , de même je suis forcé de ne voir dans l'ataxie
sens exact du mot. L'ataxi- que coordonne parfaitement ses efforts musculaires sous une appropriation motrice qui est fautive.
etc.) qui compromet l'appropriation et la coordination de l'effort musculaire destiné à ramener le centre de gra- vité et la
une diminution totale de la sensibilité, une perte absolue du sens musculaire , un affaiblissement consi- dérable du goût, un
lé, -une affection complexe dans laquelle un ou plusieurs faisceaux musculaires se trouvent ou atrophiés ou paralysés ou contract
uteur sonl fort complexes : la plu- part ressortissent à l'atrophie musculaire d'origine myopathique ou myé- lopathique. Môme
nt de vue étiologique, se décom- posent ainsi : Effort ou fatigue musculaire .......... cas Froid et humidité ..............
és, sans autre explication d'ailleurs, à un effort ou à une fatigue musculaire . Dans le cas de Wiesner (1) il s'agit d'un char
ENTELÉ 185 Voyons tout d'abord les cas qui ressortissent à l'effort musculaire . Les deux faits de Buchmùller et de Barreïro so
uelquefois même, le tronc du nerf lui- même traverserait les fibres musculaires . On concevrait ainsi qu'il fût faci- lement tir
de Wiesner, de Woodmann et de Bernhardt, il ne s'agit plus d'effort musculaire brusque et violent, mais bien de fatigue, de sur-
musculaire brusque et violent, mais bien de fatigue, de sur- menage musculaire . Il nous semble nécessaire de souligner ici la
elé, consécu- tive à un effort brusque et violent ou à un surmenage musculaire propre- ment dit, le mécanisme intime nous para
ifformité appréciable dans l'attitude de l'épaule, pendant le repos musculaire et lorsque les bras tombent sur les côtés du tr
ent impos- si)))ede soupçonner l'existence de celle grave affection musculaire chez les sujets représentés dans les figures'18
venir des particularités individuelles d'anatomie et de physiologie musculaire , on pourrait peut- être invoquer soit l'existen
n de la portion moyenne du trapèze. Pour que cette dernière portion musculaire produise, en effet, avec le deltoïde, et sans l
se du bras, de la cuisse et de la jambe du côté droit, l'atrophie musculaire est surtout marquée au niveau des taches. A ce ni
886, Charcot et Marie ont décrit la « forme particulière d'atrophie musculaire progressive souvent familiale, débutant par les p
lumineux que ceux de la main gauche; il diagnos- tiqua une atrophie musculaire progressive. H... resta deux mois à l'hôpi- tal
ndouzy. L'atrophie, après avoir envahi un certain nombre de groupes musculaires , resta stationnaire. Le malade put conti- nuer
lui-ci paraît peu atteint. Cependant un certain nombre de faisceaux musculaires sont atrophiés, ces fibres en voie d'atrophie s
tion du tissu conjonctif, il y de la périartérite. Les nerfs intra- musculaires ne montrent d'autres lésions qu'une légère hypert
ru, le plus grand nombre paraît normal. 1 La striation des fibres musculaires est conservée, il n'y a pas d'altéra- tions des
s, sur des coupes transversales on aperçoit de très rares faisceaux musculaires noyés au milieu d'un tissu scléreux très ancien;
culaires noyés au milieu d'un tissu scléreux très ancien; ces ilots musculaires se colorent mal par le picro-carmin. Au milieu du
sente peu de lésions des faisceaux : atrophie de certains faisceaux musculaires , conservation du plus grand nombre. Il y a surt
ésions se montrent à un degré plus accentué; le nombre de faisceaux musculaires intacts est encore grand proportionnellement à
y avoir peu d'altération des fibres. Muscles jumeaux. - Les fibres musculaires intactes sont en très petit nombre : sur une co
t de grands espaces dans les- quels il n'existe plus trace du tissu musculaire et qui sont occupés par du tissu adipeux, au mi
es vaisseaux. Dans le segment où se trouvent encore quelques fibres musculaires , celles-ci sont diminuées de volume, mais elles s
troncs nerveux, tels que le sciatique, sont normaux. : 3° Des lésions musculaires consistant en : atrophie des fibres muscu- lair
uit la déchéance thy- roïdienne, en est au contraire le contre-coup musculaire et articulaire. Le myxoedémateux vit dans un hi
ien préexiste à la ménorrhagie, comme il est antérieur aux douleurs musculaires et articulaires que nous avons indiquées plus hau
ers externe. La voix est traî- nante. Mme G... éprouve des douleurs musculaires et articulaires très intenses, attribuées au rh
ées par le tartre. ' Cette malheureuse souffre beaucoup de douleurs musculaires des membres et attribue tous ses maux au rhumat
s'améliore, comme la céphalalgie, vers le soir, lorsque l'exercice musculaire et l'alimentation ont déterminé l'ascension de la
ercher avec la plus grande atten- tion les douleurs articulaires et musculaires quand il y a soupçon d'hy- pothyroïdie, et ne p
elle est imperceptible, ne se révélant qu'à l'occasion d'un effort musculaire ou en gravissant un escalier. D'autres fois elle
larent au bout de deux ou trois grossesses, alors que la résistance musculaire du ventre a fortement fléchi et que l'utérus pe
de la construction dn joujou, mais par simple agitation et athétose musculaire . Il faut rechercher attentivement chez eux les tr
céphalalgie, la douleur du dos à la région des reins, les douleurs musculaires et articulaires, l'oppression et les palpitatio
Dans les muscles on constatait une diminution de volume des fibres musculaires avec développement exagéré de tissu conjonctif
à un degré plus accentué une disparition presque complète du tissu musculaire remplacé par des éléments conjonctifs et adipeu
heilkunde, 1891. (3) DU811EUIIIL, Etude sur quelques cas d'atrophie musculaire limitée aux extrémités et dépendant d'altératio
fibres minces où il est impossible de distinguer un Fig. 2. - Coupe musculaire . véritable cylindre-axe, et enfin des fibres qu
ble magma grais- seux, au milieu duquel on n'aperçoit plus de chair musculaire . 322 PAUL SAINTON - Au membre supérieur, les
ux périfasciculaires. 2" A une seconde période le nombre des fibres musculaires saines est moins considérable, mais celles qui
mencent à apparaître en certains endroits et à remplacer les libres musculaires . 3° A un degré plus avancé le muscle est rempla
ant, limitant des champs considérables jadis occupés par les fibres musculaires , et qui ne sont plus constitués que par du tissu
e sont plus constitués que par du tissu adipeux. Quelques faisceaux musculaires , dont on ne reconnaît plus la striation, sont l
oyons point. Elles se retrouvent dans la plupart des cas d'atrophie musculaire qui relèvent d'une affection nerveuse. I,6wentl
use. I,6wentlial qui a fait une étude très complète des altérations musculaires dans les atrophies, conclut qu'il est impossibl
bien développé, entre l'aspect des cuisses et des bras aux saillies musculaires accusées et la gra- cilité subite que présenten
ar suite de l'amaigrissement et de l'affaiblissement de ces groupes musculaires le pied prend des attitudes variables ; à un prem
euse. ' II n'est pas rare d'observer chez les malades des secousses musculaires NOIi ? ICONOGPAPHIL DC LA SAIF'F'CRIENF. TOME X
peut y avoir des troubles, des sensibilités profondes, viscérales, musculaires , articulaires, osseuseset même des troncs nerveux
épidation spinale. L'amaigrissement n'est pas accompagné d'atrophie musculaire . L'examen électrique ne donne en aucun point la
lieu en flexion, il n'y a pas de trépi- dation spinale. La force musculaire est partout conservée ; au dynamomètre elle amène
mbe, aucun trou- ble de la sensibilité tactile ou de la sensibilité musculaire . Le diagnostic de contracture hystérique doit d
s sont libres, les réflexes sont normaux. La sensibilité tactile et musculaire est intacte. Tout au plus peut-on observer que le
E NANCY CLINIQUE DE 111. LE PROFESSEUR .S7/7\W. SUR LES ATROPHIES MUSCULAIRES PROGRESSIVES D'ORIGINE MYÉLOPATHIQUE PAR .
dance, il y a quelques années, à détruire le groupe des atro- phies musculaires progressives d'origine myélopathique, à le dissoc
enus lui rendre son individualité. Je rapporte six cas d'atrophie musculaire progressive d'origine myélo- pathique, bien car
ir de famille que tous présentent. D'une façon générale, l'atrophie musculaire progressive myélopathique, poliomyélite antérie
Nouv. Iconographie DE la SALPÈTRIÉRK. T. XII. l'l. LiI ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE MYÉLOPATHIQUE (G. Etienne). MASSO
Nouv. Iconographie DE la Salpêtrière. T. XII. Pl. LXII ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE MYELOPATHIQUE (G. Élieuu). MASSON
YELOPATHIQUE (G. Élieuu). MASSON & cle, Editeurs. ATROPHIES MUSCULAIRES PROGRESSIVES D'ORIGINE MYÉLOPATHIQUE 359 1. Rap
le début des premières manifestations. Observation I. ' A trophie musculaire progressive , d'origine myélopathique, type Aran-
supérieurs est resté ce qu'il était à l'entrée du malade. La force musculaire presque nulle n'a pas varié. Le malade sort.
et les mains se sont successivement atrophiées. Cet état atrophies musculaires PROGRESSIVES D'ORIGINE myélopathique 361 a duré
stagmus ni de diplopie, pas do vertiges. Janvier 1895. L'atrophie musculaire des muscles de la main gauche est totale, plus
peut pas se lever, mais l'atrophie n'est pas apparente. atrophies musculaires PROGRESSIVES D'ORIGINE MYÉLOPATHIQUE 363 Les mu
ette grande rapidité d'évolution, il s'agit bien ici d'une atrophie musculaire myélopathique. Il ne peut être question d'une par
Duchenne, puisque l'impotence fut toujours fonction de l'atro- phie musculaire , sans paralysie proprement dite, dominant netteme
vation IL Paralysie infantile du membre inférieur droit. - Atrophie musculaire , type - Aral2-Dacc12e212e. Pravel... Just...,
entre à la clinique le 22 juin 1891 (PI. LXI, fig. C). ATROPHIES MUSCULAIRES PROGRESSIVES D'ORIGINE MYÉLOPATHIQUE 365 A l'âg
ysie infantile qui laissa comme déformation une atrophie des masses musculaire du membre inférieur droit, et une luxation de l
s mouvements difficiles. A partir d ce moment com- mença l'atrophie musculaire , lentement progressive ; dès lors, il ne ressenti
scles sont mous à la pression. Aux éminences hypothénar, l'atrophie musculaire a aussi déterminé les méplats. Les interosseu
en fuseaux. Les bras ne paraissent pas atrophiés. Pas d'atrophie musculaire dans les autres régions. Les autres appareils s
oût 1891. Signalons encore dans ce cas la coïncidence de l'atrophie musculaire progressive avec la paralysie infantile ; nous
- Modes DE début. Dans la très grande majorité des cas, l'atrophie musculaire débute par les petits muscles de la main, surto
escapuio- huméral décrit par Vulpian. Observation III. Atrophie musculaire progressive, d'origine myélopathique ; début scap
s eu la syphilis. Pas d'antécédents alcooliques. , Son atrophie musculaire ne remonterait qu'à 3 ans. Il y a 7 ans, il porta
res. - Les creux du sus-claviculaire absolument déprimés. ATROPHIES MUSCULAIRES PROGRESSIVES D'ORIGINE MYÉLOPATHIQUE 367 Le gra
de l'abdomen se contractent bien. Membres inférieurs : les saillies musculaires existent comme normalement chez les personnes m
la cuisse et du tronc, une série d'ondulations et de frémissements musculaires . La contraction idio-musculaire se manifeste nett
résiée. Quelques difficultés pour souffler et pour siffler. Système musculaire . - L'insertion occipitale du trapèze est en parti
ent t à droite ; ces deux fosses sont creusées en bateau ; atrophie musculaire marquée dans les fosses sous-épineuses ; méplat
ectoral des deux côtés n'est plus constitué que par quelques fibres musculaires à peine perceptibles sous la peau. Relief très co
tre 20 1/2, à droite 19. A l'avant-bras gauche, 16, 5 ; à ATROPHIES MUSCULAIRES PROGRESSIVES D'ORIGINE MYÉLOPATHIQUE 369 droite
; atrophie en masse du triceps; la peau est trop ample. Atrophie musculaire également marquée de tous les muscles de l'avant-
rillaires, que l'on ne constate pas actuellement. Face : atrophie musculaire . . Abolition des réflexes. Le malade quitte l
née à porter sur les épaules des sacs de 100 kilos ; ce surme- nage musculaire évident est la cause déterminante de la localisat
en maintenant les brides de son cheval . C'est encore la fatigue musculaire qui intervient dans l'observation sui- vante :
ans l'observation sui- vante : un fossoyeur voit débuter l'atrophie musculaire par les muscles extenseurs de l'avant-bras droi
dessus bord la terre enlevée du fond. Observation IV. Atrophie musculaire progressive d'origine myélopathique. - Paralysie
s il ressentit une sorte de gêne dans les deux épaules. ATROPHIES MUSCULAIRES PROGRESSIVES D'ORIGINE MYÉLOPATHIQUE 371 Depuis
lgus. Pied droit normal ; applatissement des mollets et des régions musculaires antéro-internes des deux jambes. Circonférenc
st très exceptionnellement signalé dans les observations d'atrophie musculaire progréssive myélo- pathique ; on sait que l'hér
ontraire fréquente dans les myopathies. Observation V. Atrophie musculaire progressive, d'origine myélopathique, Antécédents
vait plus que difficilement se servir de cette main. Cette faiblesse musculaire aurait été en s'exagérant et,se serait communiq
Nouv. Iconographie de la SALI'G1HIIi1·. T. XII. PI. LX ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE (TYPE ARAN-DUCHESNE) - (G. Etienne)
) - (G. Etienne). On,. V MASSON & C ? Editeurs. ATROPHIES MUSCULAIRES PROGRESSIVES D'ORIGINE MYÉLOPATHIQUE 373 servan
cle, l'excitabilité faradique est diminuée. L'excitabilité galvano- musculaire qui a passé par un maximum décroît ; les secousse
4 millia. Ka SF : 3 millia. Biceps An SF : 12 millia. ATROPHIES MUSCULAIRES PROGRESSIVES D'ORIGINE MYÉLOPATHIQUE 375 Deltoï
osé à une pression un peu prolongée (1). Observation VI. Atrophie musculaire progressive d'origine myélopathique ; début class
rophiques osseux et articulaires chez un hom- me atteint d'atrophie musculaire myélopat/ ! lqlle,l pr mémoire, Revue de médecine
. ICUSOGHAPHIE DE LA SAlPÊTRII : KI ? T. XII. 1'1. LXIII ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE (G. Etienne) Arthropathies de l'é
Etienne) Arthropathies de l'épaule droite. Ostéophyte d'insertions musculaires et rupture spontanée de la capsule distendue. A
musculaires et rupture spontanée de la capsule distendue. ATROPHIES MUSCULAIRES PROGRESSIVES D'ORIGINE MYÉLOPATHIQUE 377 Pas de
te une dépression considérable, où il ne semble rester aucune fibre musculaire . Atro- phie notable des muscles de l'avant-bras
ns des genoux. La face amaigrie n'est pas intéressée par l'atrophie musculaire . Réaction de dégénérescence dans tous les muscl
., PFC = 4 m. a. A gauche, NFC = 8 m. a., PFC = 4 m. a. ATROPHIES MUSCULAIRES PROGRESSIVES D'ORIGINE MYÉLOPATHIQUE 379 Deltoï
re. Le malade absolument impotent, rentre à la clinique. L'atrophie musculaire est au maximum, état squelettique. Cachexie pro-
ourrelet pseudo-oedématéux de l'aisselle droite persiste. ATROPHIES MUSCULAIRES PROGRESSIVES D'ORIGINE MYÉLOPATHIQUE 381' Ulcér
geur sur 12 de longueur, est très profonde; en raison de l'atrophie musculaire , le plan du muscle a pour ainsi dire totalement
phytes siégeant au niveau des tendons péri-articulaires d'insertion musculaire . Io A l'insertion supérieure du deltoïde est un
que complètement obstrué par un amas de (1) Etudiant ici l'atrophie musculaire myélopathique au point de vue clinique, je renv
sant ces lésions, Revue de médecine, 1899, p. 557 et seq. ATROPHIES MUSCULAIRES PROGRESSIVES D'ORIGINE MYÉLOPATHIQUE 383 cellul
nt pas d'altérations notables. Nerfs périphériques. - Petits filets musculaires de l'éminence thénar. - Dis- parition très marq
rononcées que dans les petits filets terminaux. Muscles. - Atrophie musculaire extraordinaire surtout du côté droit. De ce côt
ussi n'avons-nous pas hésité à maintenir le diagnostic d'atro- phie musculaire progressive, myélopathique, vérifié d'ailleurs ul
cot, et après lui MM. Grasset et Rauzier, ont attribué à l'atrophie musculaire progressive les faits d'arthropathie rap- porté
humaloïde. Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière, 1898. ATROPHIES MUSCULAIRES PROGRESSIVES D'ORIGINE MYÉLOPATHIQUE 385 ment c
tégumentaires ne modifie pas l'évolution des troubles de trophicité musculaire ; etc. Toules ces observations, malgré leurs var
rvations I et VI) ; dans les- quels le rôleétiologique du surmenage musculaire apparaît nettement dans la détermination de la
fs d'une maladie bien in- dépendante, bien caractérisée, l'atrophie musculaire progressive d'origine myélopathique, poliomyéli
ressive. Il existe donc une série morbide constituée par l'atrophie musculaire myélopathique progressive, la para- lysie Iabio
ILLAIN Interne à la Salpêtrière. Si les 'observations d'atrophies musculaires survenant à la suite d'une lésion articulaire s
reux ceux qui après leur accident voient se développer une atrophie musculaire et ils sont très rares ceux qui, à l'occasion d
phie scapulo-humérale bila- térale. En présence de telles atrophies musculaires , il est d'une importance capitale de faire un d
es fosses sus et sous-épineuses témoignant de l'atrophie des masses musculaires . L'omoplate est un peu élevée à droite. mais son
et à gauche, ses muscles faciaux sont normaux eux aussi. L'atrophie musculaire , quoique bilatérale, est un peu plus marquée à
ique; la notion de position des membres est bien conservée, le sens musculaire est intact, et la perception stéréognostique se
ion de l'action polaire en aucun point. En dehors de cetle atrophie musculaire à type scapulo-liuméral le ma- lade ne présente
avec une atrophie nette du type scapulo-huméral. C'est une atrophie musculaire s'étant dévelop- pée progressivement sans troub
ineux. La question se posait de savoir de quelle variété d'atrophie musculaire il s'agissait chez cet homme ? Quelle était la ca
ent le diagnostic et de faire la séméiologie des diverses atrophies musculaires du type sca- pulo-huméral. Il ne s'agit pas che
n puisse songer à une myopathie scapulo-humérale de Erb. L'atrophie musculaire que nous constatons n'a aucun des caractères de
de névrites infectieuses ou toxiques. Il ne s'agit pas d' atrophie musculaire progressive du type.c1l'an-Duchenne qui dé- but
t pas une sclérose latérale amyotrophique. Au contraire, l'atrophie musculaire présentée par le malade par ce fait qu'elle est
es sont très exagérés, répond bien à la descrip- tion des atrophies musculaires d'origine articulaire et abarticulaires dites r
, il s'agissait d'un (1) CHARCOT, loc. cit. (2) Raymond, Atrophie musculaire d'origine réflexe. Bulletin médical, 28 mars 189'
ne réflexe. Bulletin médical, 28 mars 189'7 . RAYMOI : OE, Atrophie musculaire réflexe. Journal de médecine et de chirurgie prat
eu près.complète bien qu'il sub- sistât un degré notable d'atrophie musculaire ainsi qu'une certaine exagé- ration des réflexe
its bien connus et au- jourd'hui classiques. .. x Les atrophies musculaires d'origine abarticulaire sont à rapprocher des a
musculaires d'origine abarticulaire sont à rapprocher des atrophies musculaires d'origine articulaire et cela de par l'évolution
de par l'absence de la réaction de dégénéres- cence. AuX'atrophiés musculaires d'origine articulaire et celles d'origine abart
ries proposées pour expliquer cette variété particulière d'atrophie musculaire . Nous rappellerons briè- vement certaines de ce
. Que l'inacti- vité fonctionnelle ait une influence sur l'atrophie musculaire consécutive à un séjour au lit de plusieurs- se
on bras normaux après son accident. Donc la théorie de l'inactivité musculaire est insuffisante. 2° On a invoqué une névrite d
'articulation se propagerait à l'enveloppe fibreuse des fais- ceaux musculaires et de là au névrilème des dernières ramifications
oit de l'essence de térébenthine, a amené la production d'atrophies musculaires ayant des caractères cliniques (1) VALTAT, De l
usculaires ayant des caractères cliniques (1) VALTAT, De l'atrophie musculaire consécutive aux maladies des articulations. Th.
s des articulations. Th. Paris, 1877. (2) Sabourin, De l'atrophie musculaire rhumatismale. Th. Paris, 1873. (3) Descosse, Tr
x l'impotence fonctionnelle, l'exagération des réflexes, l'atrophie musculaire . Dans aucune de ses expériences M. Raymond n'a
de l'hyperesthésie cuta- née. M. Raymond a fait voir que l'atrophie musculaire ne se produit pas si les racines postérieures d
que l'hémisection de la moelle accé- lèrent la marche de l'atrophie musculaire dans le membre correspondant dont une articulat
atière proloplasmique. En somme, dit M. Raymond, pour les atrophies musculaires traumati- ques la diminution du volume du muscl
edevable de son élasticité. Aussi l'on peut conclure que l'atrophie musculaire consécutive (t) IIo'FA, Congrès des chirurgiens
Duplay et Cazin. (3) Moussous, Contribution à l'étude des atrophies musculaires succédant aux lésions articulaires, Th. Bordeau
e lésions, ils arrivent eux aussi à cette conclusion que l'atrophie musculaire ne peut s'expliquer que par une action dynamiqu
elle, des nerfs périphé- riques, des muscles dans un cas d'atrophie musculaire consécutive à une lésion articulaire observée c
. .. * Si l'on envisage le mécanisme le plus intime de l'atrophie musculaire au point de vue de la pathologie générale, peut
l'atrophie des muscles une résultante clel'ac- tion des phagocytes musculaires , desmyophages de Podwyssotsky(4). On peut se de
se demander si, dans le cas des atrophies dites réflexes, la fibre musculaire altérée quant à sa trophicité, recevant une excit
agocytaires une loi de biologie générale. Somme toute ces atrophies musculaires consécutives à des lésions arti- claires où à d
omique, novembre 1881 et janvier 1888. (3) Metcunikoff, Phagocytose musculaire . Atrophie des muscles pendant la trans- format
hologie générale, 1891. (5) SOUDAKEWITCII, Modifications des fibres musculaires dans la trichinose. Annales de l'Institut Paste
rophies d'origine articulaire. Puisque ces deux variétés d'atrophie musculaire évoluent cliniquement avec des phé- nomènes ide
r rapidement la nature et la symptomatologie clinique des atrophies musculaires réflexes. Chez un ma- lade tel que celui que no
l que celui que nous avons observé, se présentant avec une atrophie musculaire bilatérale scapulo-humérale avec une grande exagé
it loin d'être aussi sombre que le pronostic habituel des atrophies musculaires scapulo- humérales, qui le plus souvent ne sont
s maintenant à l'examen des membres, nous constatons que les masses musculaires assez peu développées sont flasques et se con-
plantaire est en flexion, il n'y a pas de clonus. Pas d'atrophie musculaire , la force est partout conservée, le dynamomètre
nt lieu en flexion. Il n'y a pas de trépidation spinale. La force musculaire est conservée; le dynamomètre marque 36 kilogr. à
eu en flexion ; pas de trépidation spinale. Il n'y a pas d'atrophie musculaire ; la force est conservée dans tous les seg- men
à droite, il est douteux à gauche. La malade présente de l'atrophie musculaire à un degré assez accentué. L'état électrique ét
atioa VIII. TROUBLES DES SENSIBILITÉS DANS LE TABES 415 La force musculaire est un peu diminuée au bras droit; le dynamomètre
tre les doigts ni la faire glisser au-dessus des masses osseuses ou musculaires ; ce n'est que très difficilement qu'on peut y im
es osseuses de l'autre; les amyotrophies et les pseudohvpertrophies musculaires . Ano- malies par excès et anomalies par défaut
tif est capable de dystrophie aussi bien que les systèmes osseux ou musculaire . . Les excès de croissance, - comme d'ailleurs
n peut faire pour la myopathie primitive, anomalie du développement musculaire , seraient applicables au tropllaedè- me, anomal
au tropllaedè- me, anomalie du développement conjonctif. Dystrophie musculaire et dystrophie conjonctive semblent régies par d
si du tropltaedéme. 1 1 Sans doute, les variétés de la dystrophie musculaire sont innombrables et l'on a même du renoncer à
e inférieur tout entier, ou les deux à la fois. Enfin la dystrophie musculaire frappe souvent plusieurs sujets de la même fami
mmandée par une altération congénitale des centres de la trophicité musculaire , on pourra également considérer le trophoedème
saute, qu'il danse, ou se livre à des mouvements exigeant un effort musculaire , le spasme s'arrête presque complètement, mais
COLIS MENTAL 487 comme puissance faisant équilibre à la contraction musculaire . Enfin, si le malade, en appliquant son doigt c
tté la région. Début à 18 ans : paralysie progressive avec atrophie musculaire des mem- bres supérieurs. Antécédents hérédit
tempéries; ni syphilis, ni alcoolisme, ni traumatisme. L'atrophie musculaire frappe d'abord le membre supérieur gauche et inté
cculentes cyanosées et refroidies, avec atrophie des divers groupes musculaires ; dissociation des troubles de la sensibilité ave
er les doigts. Il se développa ensuite progressivement une atrophie musculaire du mem- bre supérieur gauche, puis, 7 ou 8 ans
myétique ; 5 centimètres : sujets normaux. Aux avant-bras, atrophie musculaire intéressant surtout les extenseurs ; les autres
(Trois cas dans la même famille),par G. ROS80LIMO, 22. Atrophie musculaire et osseuse du mem- bre supérieur, par J. Sabraz
mem- bre supérieur, par J. Sabrazès et L. MARTY, 107. Atrophies musculaires progressives d'ori- gine myélopathique, par Eti
t P. JAXET, 353. Thomsen (Maladie de) (forme fruste avec atrophie musculaire ), 15. Torticolis mental (un cas de), par NOGUÈS
éréditaire de la moelle (2 phot.), 95. Etienne. Sur les atrophies musculaires pro- gressives d'origine myélopathique (12 ph
uÈs E. et J. SIROL. Maladie de Thomsen à forme fruste avec atrophie musculaire . (3 phot.l, 15. z RAVAUT P. Incontinence noct
hasie amnésique (Trénel), LXXVI, LXXVII, LXXVIII, LXXIX. Atrophie musculaire progressive d'origine myélopathique (G. Etienne
gine myélopathique (G. Etienne), LX, LXI, LXfI, LXIII. Atrophie musculaire et osseuse du mem- bre supérieur droit (Sabrazè
3 (1911) La pratique neurologique
es principaux points de l'Anatomie et de la Physiologie nerveuse et musculaire , etc., etc., ont été exposés par M. Guillain d'
rande utilité. ' 3° Diplopie. Quand, par suite d'une insuffisance musculaire , il existe une déviation même très légère d'un
uble, de la diplopie. ' , . Dans les cas très légers d'insuffisance musculaire , alors que tous les autres symptômes de parésie
ffisance musculaire, alors que tous les autres symptômes de parésie musculaire sont absents, la diplopie . existe; elle est la
uminurie, paralysie glosso-labio-laryngée) ou médullaires (atrophie musculaire progressive). C'est encore à ce groupe qu'il fa
les sans l'existence de centres encéphaliques combinant les actions musculaires , réglant les mouvements associés (fig. 81). D
(une fois), dans quelques cas de syringo- Inyélic, dans l'atrophie musculaire par névrite interstitielle hypertrophique. Réfl
s encore aussi bien connu. Il est cependant démontré que l'appareil musculaire chargé de l'accom- modation reçoit son innervat
tion avec t'age n'est nullement le résultat d'un trouble nerveux ou musculaire , niais provient du durcissement pro- gressif du
la vue, de résolution TROUBLES DE LA MOTILITÉ DES PAUPIÈRES. 105 musculaire et d'un ptosis plus ou moins complet. Elle marche
r le muscle lui- même, comme cela se voit dans certaines, atrophies musculaires pro- agressives. Elle se rencontre encore dans,
11 n'est pas nécessaire d'invoquer un trouble nerveux. Paralysies musculaires . Se voient quelquefois. Paralysie de la con- ve
par la réunion d'un très grand nombre de sensations. Les sensations musculaires ,. les sensations ostéo-articulaires et cutanées
ec une égale fréquence et une égale intensité; les troubles du sens musculaire , des sensations ostéo-articulaires et cutanées, i
rononcée que nous avons moins, par le contrôle de la vue ou du sens musculaire , la notion de la rapidité avec laquelle nous tour
, en pédalant, de contribuer, par une assez grosse dépense de force musculaire , à la vitesse de sa rotation. Ce vertige rotatif
ou moins prolongés, soit de santé parfaite, soit d'affaiblissement musculaire plus ou moins pro- nonce. pendant tout le cours
es semblent, être des excitations visuelles vives, des contractions musculaires violentes ou répétées, la fatigue, les excès de t
pas. 11 demeure pâle, froid, les extrémités cyanosées. Le système, musculaire n'est jamais en état de résolution complète; il e
et de contractions librillaires des muscles atteints. L'athrophie musculaire et les contractions fibrillaires font défaut dans
pour ce qu'il renferme. Dans les troubles bulbaires, le territoire musculaire atteint est généralement fort étendu, et l'on obs
s membres et l'exagération des réflexes persistant malgré une fonte musculaire déjà intense. Le facial supérieur est toujours
DE LA PAROLE. Dans les dysarthries d'origine cérébrale, l'atrophie musculaire fait à peu près complètement défaut le plus sou
ans la maladie des lies. Le discours est coupé par les contractions musculaires qui secouent le malade. La parole se précipite
sensibilité. Sensihilité à la douleur; sen- sibilité tactile; sens musculaire ; sens stéréognostique. La recherche des trouble
07). = Cette apraxie intéresse les actes compliqués au point de vue musculaire (et non plus intellectuel). Le malade qui pourr
bulbaire. Pour hülliker les cordons postérieurs conduisent le sens musculaire seulement; la sensibilité cutanée suit la subst
cité des sensations tactiles, douloureuses, ther- miques et du sens musculaire , et par conséquent la multiplicité des organes
e que les, sensations dites tactiles, douloureuses, ther- miques et musculaires , constituent autant de fonctions distinctes et qu
profondes comprennent : la sensibilité articulaire, la 'sensibilité musculaire , celle des troncs ner- veux, des os, des ligame
ut, comme résultante de ces différentes sensations, étudier le sens musculaire et le sens stéréognostique. ' 1 ' . TECHNIQUE
utres perceptions de ce mouvement se déterminant par la sensibilité musculaire . Pour certains auteurs, la per- ception conscie
ent de la notion des altitudes que nous retrou- verons avec le sens musculaire . C) Sensibilité des troubles nerveux. La pressi
2 SENSIBILITÉ. 1 complexes, dans lesquels, à côté de la sensibilité musculaire et des tissus profonds, les auteurs classiques
e chargent de ce rôle. La sensibilité à la pression, connue le sens musculaire et la sensibilité vibratoire, est donc une modali
euvent exister et s'asso- cient en général à l'altération du sens musculaire et du sens stéréo- gnostique. On les observe en
Habituellement l'anesthésie vibratoire accompagne la perte du sens musculaire et la perte de la sensation de pression. L'an
e côté corres- pondant à la paralysie motrice (Dejerine). F) Sens musculaire . - tc tenne de-sens musculaire est employé depu
aralysie motrice (Dejerine). F) Sens musculaire. - tc tenne de-sens musculaire est employé depuis Ch. Bell pour désigner la so
pro- posé d'autres, termes pour le désigner : sensation d'activité musculaire , sensations kinesthésiques , sens des ccttztzcd
sthésiques , sens des ccttztzcdes senieiztccines; le terme de sens, musculaire reste le plus communément employé en -clinique, e
ispensables : '1 il faut obtenir de la part du sujet un relâchement musculaire complet, car la moindre contraction musculaire
sujet un relâchement musculaire complet, car la moindre contraction musculaire fait entrer en ligne de compte les éléments de
ion mentale. La sensation périphérique subjective de la contraction musculaire et de la tension ligamenteuse nous renseignent su
rencontre presque toujours dans les cas d'atteinte marquée du sens musculaire . IAabolition du sens musculaire, dans ses diffé
es cas d'atteinte marquée du sens musculaire. IAabolition du sens musculaire , dans ses différents éléments compo- sants, que
c les troubles de la sensibilité profonde et en particulier du sens musculaire ; ce qui justilie l'opinion qui fait dépendre l'at
ou les lésions cérébrales en foyer. Séméiologie. La perte du sens musculaire accompagne en clinique la perte des sensibilité
agne en clinique la perte des sensibilités profondes (articulaires, musculaires , dépression, vibratoires). On peut donc l'obser
a été établi pour la première fois par Hoffmann. Comme pour le sens musculaire , il ne s'agit pas d'un sens spécial, inné, mais
modalités : tact, douleur, température, sensibilité profonde (sens musculaire , sens sté- réognostique) et cela de façon très
ig 15. Hémianesthésie gauche superficielle et profonde. Perte du sens musculaire et du sens stéréognostique à gauche. Ataxie lég
sont plus atteintes que les sensibilités superficielles; le sens musculaire et le sens stéréo- gnostique sont totalement et
ôté opposé (Oppenheim). alors que la sensibilité tactile et le sens musculaire sont intacts de ce côté, on a voulu localiser d
uses et thermiques d'une part, de la sensibilité tactile et du sens musculaire d'autre part. r Ces faits attendent encore de n
zone hyperesthésique surmontant la précédente; d) la perte du sens musculaire , la diminution ou l'abolition de la sen- sibili
OBJECTIVE.. 517 b) de l'intégrité des sensibilités profondes (sens musculaire , sensi- bilité ossense) ; .. c) une bande étr
lier à la sensibilité osseuse, au sens sté- réognostiquc et au sens musculaire . Valeur séméiologique des troubles sensitifs à
oujours avec ceux de la sensibilité superficielle. La perte du sens musculaire , du sens stéréognostique., des sensibilités oss
e, 1900). Troubles delà sensibilité objective..551 (perte du,sens musculaire et du sens stéréognostique), qu'on rencontre ha
cervicales (sphère de distribution des nerfs circonflexe, radial et musculaire cutané), sous la l'orme d'une bande partant de
s mo- dalités de paresthésie. Les sensibi- lités profondes : sens musculaire , sensibilité osseuse, sens stéréo- gnostique
ar l'ef- fleurement de la peau, par la pression profonde des masses musculaires , des'troncs nerveux (dans les névrites), ou des
sses articulai ions (épaule, coude, hanche, genou) et leurs groupes musculaires respectifs. Elles ne sont pas conti- nues habit
ou non à des altérations de la sensibilité objective profonde (sens musculaire , sensibi- lité viscérale), comme dans le tabes
ès Beaunis,. peuvent être divisés en : besoins d'activité (activité musculaire , psychique et sensorielle); besoins de nutritio
s, on constate parfois des tremblements tibrillaires, des secousses musculaires . . La durée des accès douloureux varie d'un qua
ne faudra pas con- fondre avec elles : les myalgies, le rhumatisme musculaire , les arthropa- thics, les ostéites, les douleur
eondyliens et à la tète du radius, par une diminution dans la force musculaire de l'avant-bras. L'épicondylalgiepcut être déterm
iège, dépendent-elles de lésions locales osseuses, ligamenteuses ou musculaires . Les douleurs de la coccygodvnie sont augmentée
ieure de la malléole externe. A la jambe la pression sur les masses musculaires du mollet réveilln les douteurs. Parfois la sci
ie ou hypothermie locales, altérations du système pileux, atrophies musculaires . On a signalé dans la sciatique la polyurie, l'
ciatique-névrite, ou observerait, outre les douleurs, de l'atrophie musculaire , des troubles de la sensibilité de la peau, le
du triceps surral : il consiste dans la contraction de cette masse musculaire et a pour résultat un mouvement d'extension du
s ces détails montrent qu'il faut chercher à obtenir une résolution musculaire complète. Avant de percuter le tendon d'Achille,
omme pour la recherche des autres réflexes, d'assurer la résolution musculaire complète de l'avant-bras. Dans ce but on peut,
lâchement. . Le marteau percutera successivement chacun des groupes musculaires . Clonus de la main. Bouchard (1866) a montré qu
terminale appa- raît et lorsqu'elle entraîne le coma, la résolution musculaire et la paralysie. Il en est de même de la méni
caractérisées par les mêmes syndromes : apoplexie, coma, résolution musculaire . On observe également l'abolition ou l'affaibli
rale ou spasmodique : il y a alors raideur spasmodique, contracture musculaire , exagération des réflexes, trépidation épilepto
elle même contraction en serrant violemment avec la main les masses musculaires de la face interne de la cuisse au-dessus du ge
en 1875. et, en 1 ti71;, Golgi a pu constater l'existence d'organes musculaires ten- dineux connus sous le nom de corpuscules d
toute la surface du tendon à laquelle viennent s'insérer les libres musculaires . Ces corpuscules de Golgi sont constitués par d
e grise médullaire, comme dans la paralysie infantile ou par lésion musculaire comme dans les myopathies. Cependant cette co
t également subi une diminution plus ou moins notable de leur force musculaire . Dans un orand nombre de cas, les troubles mote
ertain que leur existence dans l'hémiplégie. Les troubles du sens musculaire sont, comme ceux de la sensibilité cutanée, plu
, dans l'hémiplégie névropathique, on ne constate pas l'/fi/o/onïc' musculaire , caractérisée notamment chez les hémiplé- gique
g; nous pouvons donc en conclure que ce signe est une contrac- ture musculaire qui se produit le plus souvent dans des cas patho
rieurs. Elle peut être d'origine cérébrale, médullaire, névritique, musculaire ou fonctionnelle. Les quatre membres peuvent êt
res, l'examen des mouvements actifs ou passifs, l'étude de la force musculaire permet- tront d'apprécier l'état de flaccidité
n s'efforcera de préciser l'intensité, la répartition des atrophies musculaires et des troubles des réactions électriques au ni
rtement atteints, on sera surpris de constater parfois que la force musculaire est mieux conservée qu'on ne tout cru tout d'ab
dureté, par l'exagération de ses reliefs et la saillie de ses corps musculaires . Les réflexes cuta- nés peuvent être normaux ou
scia plus utile à propos de chaque maladie présentée. L'atrophie musculaire diffère selon les cas, et sera mieux exposée au
e. Sur tout le membre d'ailleurs, il y a abolition des sensibilités musculaire et osseuse. On rencontre parfois de la dissocia
reuse en paraplégies d'origine cérébrale, médullaire, né- vritique, musculaire et fonctionnelle n'aurait aucun intérêt au point
aplégies de l'adulte les flasques sont plutôt d'origine névritique, musculaire ou fonctionnelle, les spasmodiques d'origine mé
ement ne s'adapte pas au but. Enfin, chez de tels malades, la force musculaire est a peu près normale (a moins qu'il n'y ait a
t sont responsables il la fois l'ataxie, la paralysie et l'atrophie musculaire . Les états vertigineux ne peuvent guère prêter
ux contractures, se placent les troubles déterminés par la rigidité musculaire . Il en est ainsi dans la paralysie agitrlllie o
araplégies avec exagération des réflexes sans contracture; atrophie musculaire constante. Le diagnostic des maladies rentrant
diverses accompagnées de contracture. Dans ces cas, la contracture musculaire cède devant l'atrophie, mais l'exagération des
réalité, celle-ci existe et même à un degré notable, mais la force musculaire est atteinte seulement au niveau des 1'accou1'c
tion fébrile, frappant d'une façon brusque et massive un territoire musculaire très étendu. Plus tard, la paralysie ré- trocèd
ubles des sphincters ni troubles de la sensibilité. Puis l'atrophie musculaire aidant, les membres atteints présentent des tro
s poliomyélites, parallélisme entre cette disparition et l'atrophie musculaire . I. (In uhscrvc (huis la rnqr un syndrome analo
us haut point dans les poly- névrites. Elle frappe certains groupes musculaires de préférence. : on connaît la démarche du step
en général. Il existe un degré variable mais nécessaire d'atrophie musculaire . Les malades peuvent marcher encore pendant longt
sante pour em- pêcher la marche. Dans ces différents cas, la lésion musculaire se com- plique souvent de rétractions tendineus
e com- plique souvent de rétractions tendineuses. Dans l'atrophie musculaire du type ChaTcot-Ma1'ie, l'atrophie des muscles
il une paraplégie flasque avec impossibilité de marcher. L'atrophie musculaire est néan- moins suffisamment prononcée pour que
ral ni d'escarres, ni d'incontinence ou de rétention, ni d'atrophie musculaire , ni de troubles accusés des réflexes [extension
e la paralysie infantile de l'abolition des réflexes, de l'atrophie musculaire intense avec jambe de polichinelle, de l'aholit
les femmes, PARAPLÉGIE.- j Il I peut se rencontrer une paraplégie musculaire avec sclérose et. raideur, véritable myopathie
nsi que des articulations, atrophie et dégéné- rescence de la fibre musculaire . Les malades, fort âgés, présentent une limitat
s passifs. Il existe une amyotrophie diffuse avec dureté des cordes musculaires tendues et rétractées. Il n'existe ni troubles
'encéphale, les altérations vasculaires de la moelle, la sclé- rose musculaire essentielle chez le vieillard,- le mal de Pott, l
lité électrique, caractère familial et héréditaire. ' PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE SÉMÉIOLOGIE DES PARALYSIES ISOLÉES DE CHAQUE
A chaque instant il doit se rappeler l'ana- tomie et la physiologie musculaire normales pour interpréter les phé- nomènes path
Bouchard et Brissaud. : J'ai mentionné de préférence les insertions musculaires décrites par M. Testut. [G GUILLAIN.] 1 522 P
sculaires décrites par M. Testut. [G GUILLAIN.] 1 522 PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE . bord externe de l'acromion; 5" sur la lèvre in
ns les larges gouttières qui les [G. GUILLAIN ] 524 ' PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE . séparent : 5° sur la lèvre antérieure du bord
nt. Quand les trois fléchisseurs de [G. GUILLAIN] 526 PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE . l'avant-bras (biceps, brachial antérieur, long
11;.\TI(11'I : \F : UItIIL. soi [G. GUILLAIN ] 550 PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE . ainsi la main en pronation. Le rôle pronateur
que l'extenseur commun envoie au [G. GUILLAIN.] 552 . PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE . petit doigt et se termine sur les deux dernièr
eur commun envoie il ce doigt. [G. GUILLAIN.] fÍ;¡4 . PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE . : , Innervation. Nerf radial. Physiologie. L
llement) du quatrième métacarpien, [G. GUILLAIN.] 133 PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE . sur la face cubitale (en totalité) du troisièm
s sont abducteurs. Étant donnée , [G GUILLAIN ] : ih0 PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE . la prédominance des fibres antérieures, la con
les genoux l'un de l'autre. [G. GUILLAIN.] a43 ' . PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE . MUSCLES DE LA CUISSE . * Région antéro-ext
on de cet os peut se produire. [G. GUILLAIN.] 3H Il . PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE . Région postéro-interne. , Droit interne. Ins
ur le bassin. Pratique MO ! ...5 fC. GUILLAIN,] 546 PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE . Le biceps détermine la rotation de la jambe en
lange unguéale du gros orteil. [G. GUILLAIN,] ] 548 PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE . " Innervation. Nerf tibial antérieur. Physio
rameau issu du tibial postérieur. [G. GUILLAIN.] 550 PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE . Physiologie. - Le triceps sural produit l'exte
Insertions. Le jambier postérieur [G. GUILLAIN.] 55'2 PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE . s'insère en haut sur la ligne oblique et sur l
xième orteil. Le troisième interos- [G GUILLAIN.] 550 PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE . seux dorsal s'insère sur la face interne (part
nsi un rôle dans la déglutition. [G. GUILLAIN.] : ni0 PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE . Génio-hyoïdien. Insertions. - Le génio-hyoïdie
pense qu'ils jouent le rôle de [G. GUILLAIN..] 5ü} i PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE . simples parois élastiques, ils n'entreraient e
ibres charnues du diaphragme pour [G. GUILLAIN] : .00 PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE élever les côtes leur était fourni par les conn
l. Les faisceaux les plus posté- [G. GUILLAIN.] ? (;8 PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE . rieurs, ceux qui proviennent de l'aponévrose l
ïde et du trapèze, les mouvements [G. GUILLAIN.] ? 72 PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE . d'abaissement du bras ne se produisent plus qu
utifs du muscle se portent en haut [G. GUILLAIN. ;.Í1 PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE . vers l'occipital et s'insèrent sur l'empreinte
s par des digitations distinctes qui se fusionnent en un seul corps musculaire , celui-ci s'insère, par de nouvelles digitalions,
sertions. Dans les gouttières vertébrales existent trois formations musculaires qui s'étendent du sacrum à la région cervicale
nsère sur la crête iliaque, sur la [G GUILLAIN.] 5711 PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE . tubérosité iliaque, sur la partie externe de l
n'en décrit que onze. Hughes a signalé l'existence de ces faisceaux musculaires sur toute la hauteur de la colonne vertébrale d
ant pas de mouvements de. rotation, il en résulte que ces faisceaux musculaires ne sont véritable- ment rotateurs qu à la régio
tom- PRATIQUE NEUROI,. ' 57 [G. GUILLAIN,] 1 '78 , PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE . bant des apophyses épineuses passe il une cert
essous. Les Intertransversaires internes sont de petites languettes musculaires s'étcn- dant verticalement d'un tubercule mamil
sont les muscles de la mimique. [G. GUILLAIN] ;')80 PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE . Le muscle peaucier du cou est la reproduction
e quelques animaux, tel le cheval; ce pannicule charnu est une lame musculaire , entourant la nuque, le cou et presque tout le
ieur et l'auriculaire postérieur; . [G GUILLAIN,] 582 PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE . l'auriculaire antérieur semble échapper complè
travaux minutieux, dans l'acte de [G. GUILLAIN.] ;)84 PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE . viser. L'occlusion de l'oeil se constate, ains
es nuances depuis le plus simple [G. GUILLAIN.] 58G ' PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE . sourire jusqu'au rire le plus fou (Charpy). La
tandis que le masque comique est caractérisé surtout par l'agilité musculaire de. la lèvre supérieure et du nez (Charpy). . C
upérieur dans la partie de ce bord [G. GUILLAW. : 588 PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE . ' qui correspond aux trois grosses molaires, s
terne, est constituée par lepro- [G. GUILLAIN.] 590 . PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE . ' longuement des muscles radiés, l'autre, l'or
elques observations personnelles, admet que les aires périphériques musculaires correspondant aux aires corticales motrices sont
n a discuté et l'on discute encore sur la topographie dés atrophies musculaires dans le cas de lésions des cornes antérieures.
otrice segmentaire, on devrait observer en cli- nique des atrophies musculaires myélopathiques limitées uniquement à un segment
re jamais en clinique une atrophie , TOPOGRAPHIE RADICULAIRE. 599 musculaire aussi rigoureusement circonscrite. Au contraire,
i; elle n'est réglée que par la distribution respective des groupes musculaires . Chaque racine commande une région donnée; elle
e sont pas paralysés, les troubles sont limités il certains groupes musculaires . Les mouvements des doigts se font avec facilit
s est moindre que du côté sain, car c'est une loi de la physiologie musculaire qu'un muscle ne possède toute sa puissance d'ac
Erb, par la pression des troncs nerveux, par la pression des masses musculaires . Ces phénomènes le plus souvent régressent vite e
e subsistera rapidement qu'une paralysie limitée à certains groupes musculaires . Souvent aussi, quand- on peut examiner le malade
it la dissociation syringomyeliqnc. La sensibilité osseuse, le sens musculaire , le sens des attitudes peuvent être altérés. ·
laire, aussi les troubles trophiques -sont fréquents, les atrophies musculaires rapides. Duchenne, Guillemot, Comby, Broca ont
l existe une anes- thésic il type spécial superposée a la paralysie musculaire , enfin l'examen du malade permettra de reconnaî
s, les réflexes olécrànion, po- riostique sont exagérés. L'atrophie musculaire est toujours peu accen- tuée comparativement à
les de la sensibilité; la paralysie se localise il certains groupes musculaires qui s'atrophient en masse. C'est par des caractèr
s et l'on s'oppose il ce mouvement., on ne sent plus alors le corps musculaire contracté au niveau du bord externe de l'avant-
nt du pouce et de l'index pour la préhension des objets. L'atrophie musculaire , qui est la conséquence de la paralysie du cubi
horée du larynx, toux spé- ciale avec accompagnement de convulsions musculaires dans les muscles de la face et des membres ress
mbre désagréable. Elle correspond (le., troubles de l'accommodation musculaire , d'ailleurs variables même d'un instant à l'aut
ait guérissable par des exercices de gymnastique vocale.. ATROPHIES MUSCULAIRES par le Dr André LI~RI L'atrophie musculaire e
vocale.. ATROPHIES MUSCULAIRES par le Dr André LI~RI L'atrophie musculaire est la diminution de volume et. de nombre des f
avons constaté, à l'autopsie d'un homme qui présentait une atrophie musculaire progressive, une amyotrophie généralisée de tou
amyotrophiques dont nous avons pu examiner les organes. L'atrophie musculaire , dans la totalité ou au moins la grande majorité
it d'un véritable processus inflammatoire, d'une myosite : la fibre musculaire prolifère et se subdivise avant de disparaître.
ement de pseudo-hypertrophie, et une forme topographique d'atrophie musculaire I- LÚn. Rcv. 1/1'111'01., '15 mai 1902. Id....
herche à apprécier le degré d'une amyotrophie. SIGNES DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE Le plus souvent c'est par la simple inspection
uvent c'est par la simple inspection que l'on constate une atrophie musculaire , la forme du membre ou de la portion de membre es
e du membre ou de la portion de membre est t modifiée, les saillies musculaires normales sont remplacées par des mé- plats, des
males apparaissent là où d'ordinaire l'os est masqué par une couche musculaire . L'atrophie commençante est parfois très diffic
faire au malade un mouvement qui contracte le muscle ou le groupe musculaire examiné; on fera contracter les muscles au maximu
portion seulement de la longueur du muscle : il se formera un noeud musculaire (atrophie longitudinale de Roth), Ces deux aspe
. 1. P. MAillE et GuiNoi. Rev. méd., 1885. ' SIGNES DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE . ( ! 59 La palpation ne donne des renseignement
est déjà assez avancée : la mollesse et la dépressibilité du tissu musculaire sont surtout nettes quand on peut les comparer
ion, est un signe d'atrophie bien plus ( [il. LEM.] 660 ATROPHIES MUSCULAIRES . constant et plus sûr que la petitesse ou la mo
contraction. La puissance fonctionnelle d'un muscle ou d'un groupe musculaire pourra être- mesurée et exprimée avec exactitud
ble de soulever en exécutant le mouvement où ce muscle ou ce groupe musculaire entre seul en contraction. Un appareil très sim
yens d'investiga- tion, la biopsie qui, en ramenant quelques libres musculaires , permet- trait dans les cas douteux de faire le
s les cas douteux de faire le diagnostic histologique de l'atrophie musculaire ; divers instruments, des harpons, l'emporte-pièce
DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL. ' 661 DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL L'atrophie musculaire se distingue de l'amaigrissement par sa loca- l
atrophie est localisée à un certain nombre de muscles ou de groupes musculaires ; quand elle envahit une grande partie de l;mus-
nt, en atteignant l'un après l'autre chaque muscle ou chaque groupe musculaire ; l'amai- bruissement, au contraire, frappe en m
s les mêmes proportions. De plus, l'atrophie est localisée au tissu musculaire , alors que l'amaigrissement l'ait disparaitre a
rtant, en général, l'amaigrissement entraine précocement l'atrophie musculaire , et les cachectiques amaigris sont de grands am
elles le tissu cellulo-graisseux prédomine de beaucoup sur le tissu musculaire , comme les seins, la paroi abdominale, sont les p
amyotrophie devient une para- lysie le jour où le nombre des fibres musculaires conservées est insuffi- sant pour assurer le fo
de Boulogne est précisément d'avoir montré, en 1849, que l'atrophie musculaire n'est pas toujours un effet de la para- lysie m
a- lysie motrice, mais qu'elle en peut être une cause. L'atrophie musculaire est facile à distinguer de la paralysie dans les
s muscles sont moins atteints et l'on lait le diagnostic d'atrophie musculaire en reconnaissant dans le mode d'évolution la de
isseuse. Mémoires Amri. Sciences, 1849. [A. LÉRI. 662 ATROPHIES MUSCULAIRES . Mais le diagnostic devient plus délicat, soit
gnes d'affection nerveuse. Dans le premier cas, l'affaiblisse- ment musculaire est tout et la gène fonctionnelle est le seul sym
'origine spinale. FORMES CLINIQUES. - CLASSIFICATION - L'atrophie musculaire est un trouble trophique. Ce trouble trophique
doute dans ce cas l'altéra- tion pyramidale ne provoque l'atrophie musculaire que par l'intermé- diaire d'une modification pa
es. FORMES CLINIQUES. CLASSIFICATION'. 665 Les diverses atrophies musculaires présentent des différences et des ensembles cli
de base à une classification bien plus légitime. ' Les atrophies musculaires peuvent être secondaires et localisées, elles p
sont des suites ou des complications d'une maladie. Les atrophies musculaires progressives constituent, au contraire, le symp
x soit central, soit périphérique, il n'y en a pas de primitivement musculaire . L'amyotrophie progressive de l'adulte peut êtr
on nerveuse que ses autres signes permettent de classer. L'atrophie musculaire progressive dite Aran-Duchenne, forme sous laqu
re aujourd'hui qu'il existe un seul cas bien démon- tré (l'atrophie musculaire progressive vraie, par poliomyélite antérieure
térieure chronique systématique. Bien plus fréquemment l'atrophie musculaire progressive se présente sous la forme d'une mal
et Brissaud, 2" édit., t. 1\, 1904. IA. LÉRI.] ] 664 Il ATROPHIES MUSCULAIRES . cence, caractère héréditaire ou familial, autr
n découvrait une lésion nerveuse qui nous échappe encore, la lésion musculaire serait si prédominante qu'elle justifierait la
amyotrophies d'après la classi- fication suivante : I. Atrophies musculaires dites primitives, progressives, géné- ralisées
e névrites ? ; poliomyélite antérieure chronique ? ' ? IL Atrophies musculaires secondaires : A) Consécutives à une lésion loca
pidité de leur dévelop- pement. Soc. de biologie, 1888. ATROPHIES MUSCULAIRES PRIMITIVES PROGRESSIVES. 665 B) Consécutives à
ieuses ? ). d) D'origine fonctionnelle : hystérie. LI"- ATROPHIES MUSCULAIRES PRIMITIVES PROGRESSIVES Toutes les atrophies mu
ATROPHIES MUSCULAIRES PRIMITIVES PROGRESSIVES Toutes les atrophies musculaires progressives peuvent aboutir à la dis- parition
remière importance pour le diagnostic. Il [A. LÉRL 0''6 ATROPHIES MUSCULAIRES . semble môme y avoir une relation étroite entre
. f. Nervenheilk. 1801. 2. Sainton". Th. Paris, 18'Jil. ATROPHIES MUSCULAIRES PRIMITIVES PROGRESSIVES. G 157 7 Dejerine, car
ues » (Revue 11811- rologique, 1902). MYOPATHIES. sao Symptômes musculaires . Les caractères ordinaires de l'atrophie myopat
ou partielle. L'hypertrophie totale, avec augmentation de la force musculaire , a été admise par Erb,; elle serait transitoire
t ? m. Ret. nctcrnl., a0 ,juin 1 ! 101. , [A. LÉRL] 670 ATROPHIES MUSCULAIRES . dans la myopathie, et cela non seulement au po
e tissu cellulo-graisseux peut non seulement se substituer au tissu musculaire , mais encore en dépasser de beaucoup la quantité
varus-équins par rétractions filJI'o-lendineuses. 1172 ATROPHIES MUSCULAIRES . une diminution de l'excitabilité proportionnel
ps consi- dérée comme signe caractéristique de l'atrophie d'origine musculaire ; or les observations se multiplient aujourd'hui
erfs sont dégénérés, mais qu'elle est la réaction propre aux fibres musculaires se contractant d'une manière indé- pendante, so
2`>. , ... . PHATIQUE NEl'I\OL. 43 [A. LÉRI. ] 674 ATROPHIES MUSCULAIRES . des exceptions : tel le cas, suivi d'autopsie,
ail'(, q1 ! i.Ji-a.p'aSJJo ! ! J... unÙ¡uemf¿JIl SlOE ? le .lyslème musculaire , Nous étudie- rons d'abord ces symptômes access
volution de l'atrophie dans les diffé- rents types. Symptômes non musculaires . (Signes accessoires de dégénérescence.) ' Le
tainement pas sous la dépendance, du moins exclusive, des atrophies musculaires . Guinon et Souques ont, les premiers, signalé u
avec a thorax en taille de guêpe ». (Pierre Marie.) 670 ATROPHIES MUSCULAIRES . la moitié seulement du diamètre transversal. L
('), de P. Marie e), de Scherb (5) ; il est possible que l'atrophie musculaire ait une certaine action sur la production de ce
iques que chez des lapins sur lesquels on a pratiqué des sec- tions musculaires ; deux éléments importants au moins doivent se su
ux éléments importants au moins doivent se sur- ajouter aux lésions musculaires pour produire les altérations révélées par les
ès prononcée avec grosse asymé- trie - du thorax.. (ii8 ATROPHIES MUSCULAIRES . montée par places, ou violacée et froide, cela
ui ri trouvé dans la même maladie des lésions manifestes des fibres musculaires du coeur, de Mme Sacara qui a remarqué dans la
té plusieurs fois des lésions importantes des artères et des veines musculaires de plusieurs myopathiques, lésions plus ou moin
s semblables à celles queMarinesco(3) a décrites dans les atrophies musculaires plus ou moins localisées qu'il a dénommées « an
1590. 'Il. Th. illontpelliei-, 189(l. [A. LÉRI,] 680 ATROPHIES MUSCULAIRES . Pennato, Moussous, Minor, Léonard, Guthrie, Ba
02, l'association si fréquente des troubles psychiques aux troubles musculaires , et en particulier aux altérations myopathiques
. Marinesco(") a observé des phénomènes de myasthénie, d'épuisement musculaire ; les tracés ergographiques récents de Gilbert B
n Philippe (") mon- treraient au contraire que l'absence d'asthénie musculaire peut être d'ordinaire un signe différenciant la
rée en concomitance avec la myopathie porte comme elle sur le tissu musculaire ; c'est la myotonie congénitale ou maladie de Tho
être plus étendue encore et s'accompagner il la fois de la raideur musculaire tétanique produite par la contraction et de la ré
ne sont que des formes d'une seule et .même maladie, la dystrophie musculaire primitive de Erb, la myopathie primitive de Cha
pathie, parce qu'ils montrent qu'elle n'est pas une simple atrophie musculaire , mais une maladie portant plus ou moins sur le
(Marinesco '), (Foggie 2). L'affaiblissement progressif des masses musculaires , avec atrophie ou pseudo-hypertrophie, prédomin
nte pour que Erb en ait rait un élément [A. LÉRI.] 681; ATROPHIES MUSCULAIRES . caractéristique de cette variété, mais elle es
cette ligure la saillie des omoplates ailées. 688 .. , -ATROPHIES MUSCULAIRES .. , * z et les parents ne s'en aperçoivent géné
ate d'une part, doublée en avant et en arrière d'une épaisse couche musculaire , le thorax et le bras d'autre part, réduits pre
deltihia, (100, PIIATIQUE veuum.. 44 [R. L;6M.] «90 ATROPHIES MUSCULAIRES . sont grosses, la lèvre inférieure tombante, la
o- humerait-. /lire en travers, faciès inintelligent. ATROPHIES MUSCULAIRES l'13UGItIastlES 111'I : I,UI'ATllt(lUl;s. 691 l
en moins l'atrophie non clas- sique de tel ou tel muscle ou groupe musculaire , des cas où les variétés empiètent, pour ainsi
lésion du système nerveux ou du système circulatoire. B.-A ? 1PHIES MUSCULAIRES PROGRESSIVES MYÉLOPATHIQUES DE L'ENFANCE ET DE
s d'atrophie W erdnig-lIol1mann. ) L'absence de pseudo-hypertrophie musculaire . Cette absence est à peu près constante ; dans
. Centmtlit. iiiiiei-e Mal., 189Ô. . [A.LÉRL] fi'1'2 12 ATROPHIES MUSCULAIRES . Gordon (') ont signalé une adipose limitée et
nt signalé une adipose limitée et sans doute plus sous- cutanée que musculaire ;1'erdni et Hoffmann ont signalé dans la plupart
ies d'altérations trophiques de tous les tissus autres que le tissu musculaire . Dans le type Charcot-Marie l'atrophie des os, si
cuisses en jarretière, atrophie modérée des mains. 694 ATROPHIES MUSCULAIRES . L'atrophie est facile à reconnaître par l'exam
2. 5. liA : 'i EJ. , Th. J¡il1a, 1890. [A. LÉRI.] 09G ATROPHIES MUSCULAIRES . même régresserait-elle plutôt légèrement (P. M
de Bruns qui se sont prolongés jusqu'à 12 et 15 ans. C. ATROPHIE MUSCULAIRE MYÉLO-NÉVRITIQUE . DE L'ENFANCE ET DE L'ADOLESC
ses, myélopathiques.) 1 ATROPHIES A TYPE DUCHENNE-ARAN L'atrophie musculaire progressive de l'adulte est presque toujours mye-
avait décrite et représentée comme caractéris- tique de l'atrophie musculaire progressive. Les muscles de l'avant-bras se pre
in que Duchenne considérait comme caractéristique de son atrophie musculaire progressive et qui est sans doute une main de s
et qui est sans doute une main de syringumyctique. 700 ATROPHIES MUSCULAIRES . en avant, des sus et sous-épineux en arrière,
ivement le thorax, déjà privé en avant et en arrière de la doublure musculaire , se creuse de gouttières transversales par l'atro
scle suivant la période de l'atrophie, et même pour chaque faisceau musculaire , car les t. II. Meunieii. Rev. oaeurol.. ](HJ2,
thénar d'un côté et le deltoïde du côté [il. LÉRI. 702 ATROPHIES MUSCULAIRES . opposé, mais dans ce cas la seconde main ne ta
ulier du coeur : nous avons, en effet, trouvé une fois une atrophie musculaire presque complète de tous les organes musculo-memb
gauche présentait deux hernies de l'endo- carde à travers la paroi musculaire ('). Variétés OSOLOGIQUES du syndrome DUCIIG\\I
léiiiii qa-myél7te sy- philitique ayant évolué comme une atrophie musculaire pro- gressive. Atrophie des' mains,du type Ar
., Juin 1905. Pratique \EUII()f.. ! 5 [A. léri.-] 706 ATROPHIES MUSCULAIRES . syphilitique serait l'origine du tabès par sa
inge et le cordon postérieurs (P. Marie et Guillain), de l'atrophie musculaire par sa localisation sur les cornes antérieures,
opinion que nous exprimons ici : ce malade, présentant une atrophie musculaire presque généralisée, ayant débuté par les mains c
. 2. NO"m : . D.ZlscAr., f. NervenH., 1891, |>. 157. ATROPHIES MUSCULAIRES SECONDAIRES. 707 prouver; mais, dans presque to
pas encore être acceptée sans quelques réserves. Il. - ATROPHIES MUSCULAIRES SECONDAIRES L'un des caractères les plus consta
e des extrémités. Marinesco (') en particulier a étudié les lésions musculaires dégénéra- 1. Maiusesco. Semaine médic., 15 févr
. Semaine médic., 15 février 1890. t. . [A. LERI] 708 ATROPHIES MUSCULAIRES . tives dans ces cas d' « angiomyopathie » ; Rén
ns abarticulaires. a) Atrophies d'origine articulaire. Une atrophie musculaire peut apparaître au cours ou à la suite d'une lé
humatisme polyarti- culaire, par exemple, peut simuler une atrophie musculaire progressive. L'atrophie est ordinairement peu p
contrer dans les atro- phies que l'on considère comme primitivement musculaires , les atro- phies myopathiques entre autres. Les
e(i. médic de Normamlic, 1 (JO;), p. 425. [A. LÉRI. 710 ATROPHIES MUSCULAIRES . L'atrophie de cause articulaire s'accompagne o
e fonctionnelle est excessive si on la compare au nombre des fibres musculaires disparues; la preuve en est que généra- lement
musculaires disparues; la preuve en est que généra- lement la force musculaire revient au bout de peu de temps, mais que le mu
res- pectés. (3) Atrophies d'origine abarticulaire. Des atrophies musculaires peuvent succéder à une lésion quelconque, et en
ion, plaie plus ou moins profonde, déchirure à la suite d'un ellort musculaire (von Lücke), rupture d'une veine intra-musculai
t d'ordinaire proportionnelle à la diminution du nombre des. fibres musculaires . Aussi est-ce l'amyotrophie qui prend dans la s
usculature, nous avons cru devoir compter au nombre des atro- phies musculaires progressives, primitives, d'origine myélopathique
localisation de l'amyotrophie syrin- . [A. LÉRI.] 712 - ATROPHIES MUSCULAIRES . gomyélique suivant le type scàpulo-huméral (ce
localisée. L'atrophie se montre exclusivement au niveau des groupes musculaires restés paralysés, très souvent au niveau des mu
en proche. Pourtant on a cité un certain nom- bre de cas d'atrophie musculaire progressive survenant très tardive- ment, parfo
nt friable et vulnérable du foetus et du nouveau-né ('). L'atrophie musculaire peut affecter chez l'adulte les mêmes caractères
des compressions de la moelle, on peut voir survenir des atrophies musculaires parfois très étendues, généralement remarquables
uin 1904. z. Séné. Thèse Paris, 1884. ' ZA. LÉRI] 714 ATROPHIES MUSCULAIRES . ' ' dés membres paralysés; dans, tous ces cas
SCULAIRES. ' ' dés membres paralysés; dans, tous ces cas l'atrophie musculaire n'est qu'un des éléments du trouble du développ
Dans la paraplégie cérébrale infantile, le trouble du développement musculaire et osseux est d'ordinaire minime. Dans l'hémiplég
, et à peu près dans une proportion égale les. différents groupes musculaires de chaque membre; les muscles du tronc et la
u tronc et la cage thoracique ne sont pas respectés. L'atrophie musculaire et os- seuse des hémiplégies cérébrales infan
mérique » de Jiuppel) ly. Dans l'hémiplégie de l'adulte, l'atrophie musculaire est loin d'être exceptionnelle, mais sa pathogé
st exceptionnelle dans les hémiplégies acquises. 716 si ATROPHIES MUSCULAIRES . de 2 ou 5 centimètres, rarement de 6 ou 7. Il
erfs moteurs ou mixtes provoquent des paralysies suivies d'atrophie musculaire : ces lésions sont traumatiques (sections, plai
ésies totales ou disso- ciées, troubles des sensibilités profondes, musculaire , articulaire, etc.) sont presque aussi fréquent
a sensibilité par les nerfs voisins; le tronc nerveux et les masses musculaires ne sont pas sensibles à la pression; les douleu
AHCOT et MEIGE. Pl'ogl'èsmédic., 1891. ' [A. LÉRI.] 718 ATROPHIES MUSCULAIRES . La symptomatologie peut être celle d'une paral
tour subit les mêmes modifications. Puis, après la main, l'atrophie musculaire gagne souvent l'avant-bras, le bras même, mais
la pression des troncs nerveux aug- mentés de volume et des niasses musculaires . Les arthrites, les rétractions fibro-nnisculai
et Rapport au Congrès de Rennes, 1905. [A. LÉRI. 720 ATROPHIES MUSCULAIRES . durée des douleurs conduisent souvent à des in
nt prédominer sur les troubles moteurs ou inver- sement. L'atrophie musculaire présente les caractères ordinaires de l'atrophi
. de Paris, z1597. 1'11%'UIQUF veuno. 46 [A. LÉRI 722 ATROPHIES MUSCULAIRES . hallante du pied et la marche en steppant; les
sensitifs objectifs et réaction de dégénérescence, mais l'atrophie musculaire est rare. La guérison rapide ATROPHIES CONSÉCUT
stent surtout en paralysies douloureuses circonscrites ; l'atrophie musculaire peut être considérable, elle est généralement p
ntes ou térébrantes, les pares- thésies, l'hyperesthésie cutanée et musculaire précèdent toujours la paralysie ; la paralysie
nt des troubles soit sensitifs, soit f [A. LÉRI.] 724 ATROPHIES MUSCULAIRES . trophiques, soit moteurs ; mais tous ces troub
ées sensitives, motrices et trophiques. La question des atrophies musculaires névritiques du tabes n'est pas encore résolue.
jectifs, de douleurs à la pression des troncs nerveux ou des masses musculaires , très exceptionnellement de réaction de dégénér
lassique des membres inférieurs. Il est possible que cette atrophie musculaire des tabétiques reconnaisse pour cause tantôt une
1. Lém. Icon. Salpêtlr., 1904, p. 425. [A. LÉRI. 726 ATROPHIES MUSCULAIRES . Achard ('), par Lorenz, Oppenheim, Dutil et La
es consécutives à une paralysie d'origine fonctionnelle. - Atrophie musculaire hystérique. La réalité de l'atrophie musculaire
onnelle. - Atrophie musculaire hystérique. La réalité de l'atrophie musculaire hystérique a été démontrée par Charcot et Ba- b
1902. 4. M ? AvDAKoFF. Th. Paris, 1905. TRAITEMENT DES ATROPHIES MUSCULAIRES . 727 anesthésie, anesthésie en manchon, anesthé
que par exclusion et avec hésitation. 1 TRAITEMENT DES ATROPHIES MUSCULAIRES Pour prévenir ou retarder l'évolution des atrop
IES MUSCULAIRES Pour prévenir ou retarder l'évolution des atrophies musculaires progressives de l'enfance, il n'y pas plus à fa
idée nullement démontrée que la myopathie- peut être une dystrophie musculaire par insuffisance de telle ou telle sécrétion gl
e thé1'ap, infant., 25 sept. 1897. ' . [A. LÉRI.] 728 ATROPHIES MUSCULAIRES . retarder quelque peu l'atrophie de certains mu
05 et Traité Charcol-Bonchard, IX, p. t¡5, TRAITEMENT DES ATROPHIES MUSCULAIRES . 729 Lannois) (') était en réalité la cause ord
. 5. Lannois. Congrès de Rennes, 1905. [A. LÉRI.] 750 ATROPHIES MUSCULAIRES . massage sera encore des plus utiles, doux d'ab
7.ERMEYi : It. D. médic Wochenschr., 1898. TRAITEMENT DES ATROPHIES MUSCULAIRES . 751 galvanique peu intense, presque exclusivem
LÉRI.] TABLEAU DES CARACTÈRES ET VARIÉTÉS CLINIQUES DES ATROPHIES MUSCULAIRES I. ATROPHIES MUSCULAIRES PRIMITIVES, PROGRES-
ÈRES ET VARIÉTÉS CLINIQUES DES ATROPHIES MUSCULAIRES I. ATROPHIES MUSCULAIRES PRIMITIVES, PROGRES- SIVES (lentement progressi
réditaire ou familial. a) Myopathie : 1. Caractères de l'atrophie musculaire : Absence de contractions fibrillaires; pseudo-
e la pression artérielle, troubles cardiaques; système nerveux et musculaire : troubles psychiques, dégénérescence mentale;
s. Poliomyélite antérieure chronique ? [A. LÉRI.] 734 ATROPHIES MUSCULAIRES . II. ATROPHIES MUSCULAIRES SECONDAIRES (Atrophi
chronique ? [A. LÉRI.] 734 ATROPHIES MUSCULAIRES. II. ATROPHIES MUSCULAIRES SECONDAIRES (Atrophies d'emblée, stationnaires
. HYPERTROPHIES MUSCULAIRES par le Dr André LERI L'hypertrophie musculaire est l'augmentation de volume d'un ou de plusieu
dimension des libres contractiles. . CARACTÈRES DE L'HYPERTROPHIE MUSCULAIRE Le muscle hypertrophié est gros, et son accrois
s tissus superficiels. Enfin nous avons dit, à propos des atrophies musculaires , que le volume d'un muscle n'est rien, que sa p
nctionnelle est tout : le fait est toujours vrai pour les atrophies musculaires , il l'est souvent pour les hypertrophies, mais
is la puissance contractile n'est pas exagérée quand l'hypertrophie musculaire est l'un des symptômes mêmes d'une maladie du mus
ctions suivantes sont affaiblies. Tous ces signes de l'hypertrophie musculaire apparaissent surtout nettement quand elle est u
l'hypertrophie muscu- laire vraie d'un certain nombre d'altérations musculaires qui la simulent. En parlant des atrophies muscu
d'altérations musculaires qui la simulent. En parlant des atrophies musculaires , nous avons signalé la fréquence des pseudo-hyp
es dues à l'infiltration et à la dégénérescence graisseuse du tissu musculaire , et, en comparant cette fréquence à la rareté d
ire, et, en comparant cette fréquence à la rareté de l'hypertrophie musculaire vraie, nous avons pu dire que l'aug- mentation
Un oedème interstitiel détermine parfois une pseudo-hypertrophie musculaire limitée; mais l'oedème est rarement exclusivement
tension progressive, la diminution considérable de la contractilité musculaire . VARIÉTÉS CLINIQUES L'hypertrophie musculaire
de la contractilité musculaire. VARIÉTÉS CLINIQUES L'hypertrophie musculaire vraie est aussi rare au niveau des muscles de l
tion, au niveau des muscles des membres et du tronc, que l'atrophie musculaire y est fréquente. Il en est tout autrement au ni
? 7 1. - - HYPERTROPHIES MUSCULAIRES VISCÉRALES Les hypertrophies musculaires viscérales rentrent presque toutes dans la caté
cérales rentrent presque toutes dans la catégorie des hypertrophies musculaires dites compensatrices. Elles occupent avec une p
hologique extrinsèque : c'est ainsi qu'on observe des hypertrophies musculaires de l'intestin en amont des obstructions, des ré
obstructions, des rétrécissements ou des cancers, des hypertrophies musculaires de l'estomac en amont des sténoses du pylore d'
e cicatricielle. nee- plastique ou péritonitique, des hypertrophies musculaires de la vessie en amont des calculs ou des rétréc
ements de l'urètre, etc. Au voisinage immédiat de ces hypertrophies musculaires viscérales pathologiques, il faut rappeler l'hy
ue et numérique, an cours de la gestation. Toutes ces hypertrophies musculaires dites compensatrices se rappro- chent par leur
. Il. - HYPERTROPHIES MUSCULAIRES PÉRIPHÉRIQUES Les hypertrophies musculaires périphériques, infiniment plus rares, sont beau
, le muscle lui-même n'est pas malade. l2° Gboupk. L hypertrophie musculaire marque le début d'une 1'mrL'E srmoi,. ! 7 ï [
RI ] 7.ÏN Illl'I : li'l'ISlll'lllla llll : l;1..111s1;s. atrophie musculaire : le stade d'hypertrophie indique déjà que. le
parition des libres contractiles. ;ï" Croupi : . -1,'hylcrtrophie musculaire est un des éléments essentiels de la maladie de
tre déterminées par des modifications toutes différentes des fibres musculaires . Les hypertrophies patholo- giques des trois de
mple, si répétés qu'ils soient, n'ont jamais produit d'hypertrophie musculaire . L'hypertrophie la plus nettement physiologique
ertrophie n'est pas uniquement un phénomène d'adaptation des fibres musculaires il un tra- vail exagéré. D'une part, en effet,
aurait plus rien de fonctionnel. On s'explique mal une hypertrophie musculaire ainsi localisée et isolée, et ces faits, encore
us-cutané. Enfin, on a signalé des cas exceptionnels d'hypertrophie musculaire congénitale généralisée (Friedreich, Van Duyse,
se clinique- ment hypertrophié : aussi, en clinique, l'hypertTophie musculaire préa- trophique est caractéristique des atrophi
ie, s'explique par le fait que l'hypertrophie est pour chaque fibre musculaire un état transitoire, c'esi, la première phase d
phie préatrophique est donc déjà un signe de la maladie de la fibre musculaire : on comprend qu'avant de s'atrophier les fibres
a fibre musculaire : on comprend qu'avant de s'atrophier les fibres musculaires s'hypertrophient généralement, puisque nous avons
PHIES MYOTONIQUES - - Maladie de Thomsen. Parmi les hypertrophies musculaires vraies, totales, plus ou moins généralisées, le
de beaucoup sont celles de la maladie de Thomsen.. L'hypertrophie musculaire est en effet un des caractères essentiels de ce
membres des proportions vraiment athlétiques. La saillie des masses musculaires est souvent telle sous la peau qu'elle permet vér
la force, Hercule. On trouve sur les statues d'Hercule les saillies musculaires des bras et des jambes, surtout des biceps et des
rophique peut s'accom- pagner de myotonie et que dans les atrophies musculaires les muscles atrophiés eux-mêmes peuvent présent
ologie semble confirmer ces conclusions, car les lésions des fibres musculaires sont très semblables dans les deux affections, 'f
absorbées peu à peu par le sarcoplasme. L'hypertrophie de la fibre musculaire a donc pour résultat non pas l'accroissement, mai
re ou nerveuse, etc. In petit nombre d'observations d'hypertrophies musculaires vraies ont été publiées qui ne rentraient dans
a cru pouvoir réunir ces différents cas sous le non) de dystrophie musculaire hyperptastique ou de myopathie hyper- trophiant
façon acromélique ou rhizomélique, d'autres enfin à un seul groupe musculaire ou à quelques muscles plus ou moins distants; che
des altérations manifestes. Certaines étaient limitées à un groupe musculaire (muscles de l'épaule, Benedict), la plu- part é
génique de la lésion vasculaire sur la production de l'hypertrophie musculaire : il s'agit d'hypertrophies d'origine vasculair
24 ans par Brissaud et Hallion, il ne présentait pas d'hypertrophie musculaire ; celle-ci semble s'être développée, précisément d
dans quelques rares cas il semble bien s'agir d'une hypertrophie musculaire indépendante de tout excès soit de fonctionneme
a constaté des lésions mani- [A. LÉRI. ] Fig-. 19 ? Hypertrophie musculaire vraie chez un sujet qui nC11l'éseu- lait pas
névrite. D'autre part, le malade de Bruch, atteint d'hypertro- phie musculaire étendue (lombes, langue, extrémités), était un id
cérébrales étaient altérées. ' . Quoiqu'il en soit, que la lésion musculaire ait été réellement primi- tive ou secondaire à
e nature entre la maladie de Thomsen et certaines des hypertrophies musculaires plus ou moins diffuses que nous venons de signa
e tenter, dans ..le chaos confus de toutes les autres hypertrophies musculaires qui constituent le 4c groupe, une clas- sificat
s myotoniques : Maladie de Thomsen : Syndrome : 1° Hypertrophie musculaire diffuse, plus ou moins généralisée. 3° Contract
semble 1'.\TIIUGI.\1E DES tCOOiiU)\AT)0 ? \S. 7 M de contractions musculaires . Il doit être assuré aussi dans l'intervalle de
équilibre « statique » ; celui-ci peut être dû it la seule tonicité musculaire , plus ordinairement il nécessite aussi une cont
té debout prolongée; et quelle pénible tcnsion à la fois moniale et musculaire est indispensable; le dicton bien connu : « L'imm
roubles de la sensibilité profonde, articulaire, osseuse et surtout musculaire , qui paraissent avoir dans la genèse de l'incoo
ent pour une part dans la genèse de l'ataxie tabétique. L hypotonie musculaire , dont Frenkel et, après lui, Sureau, élève de P
-être souvent la conséquence directe des troubles de la sensibilité musculaire . La diminution ou la perle de l'excitabilité ré
On peut se demander quel rôle l'incoordination ou la perte du sens musculaire jouent dans cet acci- dent si subit et si momen
ntinence des sphincters, abolition des réflexes tendineux, atrophie musculaire ; il n'y a pas de signe d'Argyll- Robertson ni g
stralgiques, frigidité et impuissance, troubles oculaires, atrophie musculaire , maux perforants, chute des ongles et des dents
dents, hyperesthésies, paresthé- sies et anesthésies, perte du sens musculaire , enfin incoordination, démarche mal assurée et
ue. Elle se manifeste par une sensation de fatigue, une fai- blesse musculaire progressive, des troubles de l'équilibre, de l'at
iscéraux, la douleur à la pression des troncs nerveux et des masses musculaires , la fréquence et souvent l'intensité de l'atrop
cum a observé une tumeur du bulbe qui a débuté par la perte du sens musculaire et stéréognostique et l'ataxie du membre supéri
iplégie, tout spécialement quand la sensibi- lité profonde, le sens musculaire , la notion des attitudes et le sens stéréo- gno
nthe, les modifications de la sensibilité et en particulier du sens musculaire n'intervenant que de façon tout à fait accessoire
e de chaque muscle pris isolément et sans trouble de la sensibilité musculaire ; les vomissements, etc. INCOORDINATION CÉRÉBE
ais il est bien vraisemblable que les altéra lions de la synergie musculaire et de la diadococinésie sont l'élément pertur
ou nasonnée, mais ni bégayée, ni véritablement scandée. L'hypotonie musculaire existe toujours chez ces malades (Sureau), mais
ait défaut. Les troubles de la sensibilité superficielle et du sens musculaire font défaut ou sont peu accentués. Des (roubles
t sans doute dus à un mélange de paralysie, d'hypotonie, d'atrophie musculaire et de contracture plus qu'à une altération de l
iels qui sont parfois saillants sous la peau IP. Marie), l'atrophie musculaire manifeste des membres inférieurs et supérieurs
ensibilité superficielle ou surtout profonde; Fréquents : hypotonie musculaire ; diminution ou abolition, des réflexes ten- din
lus ou moins, avec la sensibilité cutanée, la sensibilité profonde, musculaire , articulaire et osseuse; s'il exécute plus mal
e n'est nullement parce que chacun de ses muscles ou de ses groupes musculaires n'a pas la force d'accomplir le mouvement : au
sensi- bilité, pour ainsi dire, répond à telle ou telle contraction musculaire ; naturellement moindre qu'à l'état normal pour
s'est habitué à éprouver une sensation donnée pour une contraction musculaire d'une intensité donnée, aura besoin d'une nouve
ou violents et les mouvements excessifs : les fortes contrac- tions musculaires vont à l'encontre du but qu'on se propose, qui es
ts utiles, on choisira ceux qui nécessitent le mini- mum de travail musculaire et le maximum d'action coordinatrice ; on n'oub
bliera pas que les mouvements qui exigent la plus forte contraction musculaire sont les plus faciles, les malades compensant l'i
faciles, les malades compensant l'insuffisance de leur sensibilité musculaire par des contractions plus fortes, mais qu'ils n
ni de troubles trophiques, ni de troubles électriques : l'atrophie musculaire et la réaction de dégénérescence font toujours
lexus symptomatique bulbaire ; plus tard se décèleront une atrophie musculaire notahle et des troubles des réactions électriques
La myasthénie est la difficulté ou même l'impossibilité de l'effort musculaire , surtout prolongé. Elle se rencontre à titre de s
seu- lement le retentissement marqué sur la force et la résistance musculaires des désordres ou maladies de l'abdomen. ptôses,
elligence est intacte. Il est exceptionnel d'observer de l'atrophie musculaire , mais les tremblements fibrillaires ne,sont~pas
semblent être des variétés d'une ma- ladie congénitale de la fibre musculaire . Klippel et Villaret, Raymond ont insisté sur l
s de la myasthénie est simple. Dans les myopathies, il y a atrophie musculaire , et l'impotence est au prorata de la fonte du m
ls que l'orbiculairecles paupières (blépharospasme), ou de systèmes musculaires mixtes, striés et lisses (spasme du sphincter a
dont voici les princi- paux. Les contractures sont des contractions musculaires toniques, il est vrai, mais permanentes et non
els oucrampes, n'apparaissent passagèrement qu'à l'occasion d actes musculaires , toujours les mêmes (crampe des écrivains, etc.).
nnent à l'occasion de mouvements volontaires, sont des contractions musculaires de très faible étendue et de remarquable régula-
muscle lui-même ne peut être cause de convulsions : aucune maladie musculaire , myopathie, myo- site, ne s'accompagne de ce ph
i. L'expérimenta- tion, en réalisant toutes les formes du mouvement musculaire , depuis la contraction simple jusqu'à la convul
'une seule excitation très courte : nous aurons une simple secousse musculaire , analogue il la contraction musculaire volontai
s aurons une simple secousse musculaire, analogue il la contraction musculaire volontaire normale avec, sur le cylindre enregist
is on note quelques troubles moteurs, de l'agitation, des secousses musculaires qui annon- cent la décharge prochaine (éclampsi
anos. Ici, même brusquerie du début : mais, au lieu de contractions musculaires nombreuses et irrégulières, une raideur per- ma
d'ailleurs aller quelquefois jus- qu'à amener des ruptures du tissu musculaire ou, si les muscles résis- tent, des subluxation
dons nerveux qui les avoisinent. Peut-être aussi l'excès de travail musculaire , avec ses conséquences sur la nutri- tion de la
musculaire, avec ses conséquences sur la nutri- tion de la cellule musculaire , n'est-il pas étranger il ces douleurs ! ' Ces
que les convulsions se limitent à un seul muscle ou il \111 groupe musculaire . Le plus souvent elles s'étendent il tout un cô
ontentons- nous de signaler ici, dans l'ordre moteur, les secousses musculaires , les tremblements, les spasmes qui remontent de
spasme qui accompagne la névralgie du trijumeau. Les contractions musculaires du spasme occupent un territoire nerveux défini,
es individus, il se produit dans deux circonstances : dans l'effort musculaire intense et dans la recherche d'une position d'é
e néanmoins quand les sujets sont dans un mini- mum de contractions musculaires , il est d'un rythme lent comme le trem- blement
abcès ou phegmons diffus d'affections secondaires variées. La force musculaire est en général un peu affaiblie, quelquefois très
involontaires sont beaucoup plus lents et s'accompagnent de raideur musculaire . On compare avec assez d'exactitude ces mouvement
iculier, le paramyoclonus multiplex cônsis- tent dans des secousses musculaires courtes, cloniques, involontaires ayant la rapi
édominance alternante. Presque toujours il y aurait affaiblissement musculaire du côté où les mouvements choréiques sont prépo
eurs. Nous avons déjà vu qu'il y a rarement inté- grité de la force musculaire dans la chorée, mais ce qu'il y a de spécial da
ades sont souvent pris il cause de cela pour des ivrognes. La force musculaire est en général diminuée, les réactions électriq
m l'indique, sont limitées il quelques faisceaux ou à des fibrilles musculaires . Tels sont les caractères généraux des myocloni
rvé également dans la sclérose en plaques ou au cours de l'atrophie musculaire (Fiarges Priécracini et Tamburini). Enfin, on a p
scle, alors que les s autres myoclonies s'accompagnent de secousses musculaires totales. MYOCLONIES ÉPILEPTIQUES Les myocloni
ers 10 ou 15 ans, cèdent peu à peu pour faire place à des secousses musculaires des membres, du tronc, secousses qui sont très
lsions épileptiformes persistent, elles sont précédées de secousses musculaires fortes et- fréquentes ; il arrive tardivement que
e le plus souvent un certain degré de contracture avec des raideurs musculaires qui entraînent des attitudes permanentes des me
e l'athétose; d'une part, la chorée ne s'accompagne pas de raideurs musculaires cependant il est des cas où les mouvements peuv
state également au niveau de la jambe et delà cuisse. 2. Rigidité musculaire . La rigidité apparaît surtout au niveau des mem
n des réflexes, mais elle est peu apparente en raison de la raideur musculaire . 5. Troubles intellectuels. Souvent, ces malade
DIAGNOSTIC ET DESCRIPTION DES VARIÉTÉS D'ATHÉTOSE. 87. La raideur musculaire que. nous avons trouvée dans l'athétose double,
ntre quelquefois dans l'héllli- 1>1(ic, il y a de l'hypertrophie musculaire . Quelquefois enfin on peut observer associés au
Le tic est un mot- vement-convulsi-1, c'est-à-dire une contraction musculaire pervertie; elle peut être pervertie par sa brus
ant les moments. Dans chacun de ces accès la série des contractions musculaires successives est essentiellement arythmique; des
nt la distribution d'un nerf quelconque : ce sont des grou- pements musculaires fonctionnels, physiologiques, qui sont mis en c
tiqueurs, une, tendance à prolon- ger inutilement les contractions musculaires et à conserver les positions qu'on donne il leu
attitude que dans la tendance à maintenir à l'excès une contraction musculaire . Si les atti- tudes catatoniques vraies s'obser
entrent dans un groupe naturel étendu de mala- dies ou les (roubles musculaires (moteurs ou trophiques) et les troubles mentaux
n simultanés, non synchrones; la volonté n'a pas d'action; la force musculaire est diminuée, les douleurs fréquentes, Ics réfl
es peuvent atteindre les muscles entiers ou seulement des faisceaux musculaires isolés : souvent elles ne provoquent pas de dép
s'efforcer de maîtriser les réactions motrices et les contractions musculaires excessives, qui se produisent chez les tiqueurs
illeur agent de psychothérapie ; c'est en s'adressant au territoire musculaire convulsé, il la région objectivement malade, qu
posée à propos d u torticolis commis if contre lequel des sections musculaires et nerveuses diverses ont été maintes fois pra-
le de cette affection, mais sans phénomène spasmodique ni faiblesse musculaire ; on peut dire qu'il s'agissait d'une véritable
acte fonctionnel déterminé, leur localisation dans les groupements musculaires physiologiques destinés à l'accomplissement de
e, si nombreux qu'ils soient, elles atteignent d'autres groupements musculaires encore, ceux du cou par exemple; certaines ne f
mpe (certaines névrites d'après Remak, des rétractions et atrophies musculaires d'origine fonctionnelle d'après Brissaud (1), etc
ier est caractérisé par une excitabilité réflexe intense du système musculaire . Tout contact détermine une contraction spasmodiq
toniques intéressant les extenseurs à. l'égal de tout autre groupe musculaire . Ajoutons que presque tous les états catatoniqu
ogra- phismé intense. HYPOTONIE par le Dr CROUZON L'hypotonie musculaire est un état spécial de flaccidité des muscles, (l
se permet la position du grand po. CROUZON.1 rig. 1. - Ilypotonie musculaire chez nu tabétique. fit. 2. Hypotonie musculai
. 1. - Ilypotonie musculaire chez nu tabétique. fit. 2. Hypotonie musculaire 0 chez un tabétique-. 910 -HYPOTONIE. ' éca
bre extraor- dinaire d'altérations trophiques, soit que l'atrophie, musculaire simple réalise la déformation dite main de sing
ormation dite main de singe ou main de cadavre, soit que l'atrophie musculaire , la contracture et les rétractions tendineuses as
té; rappelons seulement la lipomatose qui masque parfois l'atrophie musculaire , et les déformations rachidiennes, les scolioses,
s intermittences des contractions vésicales que des autres systèmes musculaires . La réten- tion due à la contraction du sphinct
l n'a pas de raison d'être pour les formes d'excitation ou d'atonie musculaire , et, dans la 1'01'1111' psychopatillue, c'est l
e maladie à évolution progressive et rapide. Il existe une atrophie musculaire précoce et considérable au niveau des quatre memb
é du visage, crises atrocement douloureuses, accompagnées de chorée musculaire et de sialorrhée. Quelquefois les crises de siitt
ntôt de troubles sécrétoires, tantôt d'anesthésies ou de paralysies musculaires . Diarrhées paroxystiques. Elles sont des plus f
blent dues à un dévelop- pement exagéré du système osseux, du tissu musculaire et surtout de l'appareil vasculaire ; elles s'a
véritables, d'ankyloses, de rétractions tendineuses et d'atrophies musculaires . Quand il y a des tophus ou des déformations de
ts fonctionnels, sans attitude vicieuse par atropine ou contracture musculaire , sans signes d'arthrite, rougeur, chaleur ou do
erre Marie et llarinesco (fig. 11 ), est due à la fois à l'atrophie musculaire et à des troubles trophiques de la peau et du t
é, on pourrait l'observer dans des cas divers, hémiplégie, atrophie musculaire Aran-Duchenne, myopathie, etc. Dans le myxoed
main s'associent il un degré variable suivant les cas des atrophies musculaires , des para- lysies, des contractures, secondaire
titude vicieuse, ou même parfois si ce n'est pas une altération non musculaire , une lésion osseuse ou fibreuse ; une déformation
s'accompagne souvent . , . ATTITUDES VICIEUSES. '1055 d'atrophie musculaire , de troubles vaso-moteurs et trophiques, elle est
ies progressives, à une : période également tardive dès atrophies musculaires progressives myélo- pathiques, quand, à la para
riffe médiane ; chacune d'elles est totale ou partielle. Le domaine musculaire de plu- sieurs nerfs moteurs peut être atteint
nes lésions médullaires ou méningées, paralysie infantile, atrophie musculaire pro- gressive au début, pachyméningite cervical
eur méningée, un mal de 1. Nous avons dit il l'article ce Atropines musculaires » que, à noire sens comme à celui de Pierre Mar
bilatéraux et non accompagnés de paralysie, sejoint une rigidité musculaire générale, des altérations prononcées de Va paro
urtout au pouce, et flexion des autres phalanges. Dans l'atrophie musculaire Charcot-Marie, qui est aussi une myélo- névrite
e amyotrophique), on constate rarement et tardivement des atrophies musculaires assez .accusées des membres inférieurs pour pro
sujet reste couché depuis longtemps; exceptionnellement la rigidité musculaire est assez prononcée pour déterminer un pied-cre
TRIE CLINIQUE. 1075 gucur, les proportions des formes et des masses musculaires qui entou- rent la charpente osseuse. Dans ces
là où, l'avant-bras étant fléchi niais le muscle au repos, la masse musculaire est le plus saillante. Le malade ne doit pas fa
ouffies encadrent un double menton. Le corps est gras, sans reliefs musculaires . La figure est molle, sans expression, l'esprit
strat, et celui-ci peut être fort maigre s'il peine à un dur labeur musculaire . D'un autre côté, les eunuques ne sont pas a prio
aînent corrélative- ment des modifications thoraciques. Anomalies musculaires : la plus banale est l'absence du grand pectoral.
c absence de méplats et des surfaces et persistance d'un fin réseau musculaire . D'autre part, des stigmates iriens, déformatio
ade ne devra pas sentir la ponction. L'aiguille traversera la masse musculaire et arrivera au ligament jaune qui présentera un
araître les vomissements, l'exophtalmic, le nvstagmus et l'asthénie musculaire . Une autre ponction fil. sortir le malade de lé
ymptômes intermittents, la fonte du panniculc adipeux et des masses musculaires , la sécheresse et la pigmentation de la peau ne c
cence comme reconnaissant pour cause une dystrophie primitivement musculaire . Pourtant c'est en se basant sur l'élude radiog
térales des corps vertébraux peuvent jouer un rôle comme l'atrophie musculaire : ici encore la radiologie peut à la fois préci
s il la dégénérescence diffuse qui atteint essentiellement le tissu musculaire . Pierre Marie et Crouzon (') et d'autres auteurs
lade put porter un verre d'eau a sa bouche et même écrire; la force musculaire augmenta, la marche s'améliora, mais dune façon m
rants galvaniques, même faibles, M. Weiss a constaté que les fibres musculaires étaient profondément altérées et qu'ensuite ell
u côté des nerfs et des muscles et se traduire par des contractions musculaires plus ou moins soutenues. En somme, dans ce genr
able, on peut remarquer, en inscrivant la courbe de la contraction, musculaire , que la contraction ne commence pas au moment m
s sont renouvelées. On voit que, dans ces conditions, les secousses musculaires se rapprochent, elles tendent à se fusionner d'
B' de rnèmr sens que. le courant inducteur.- rcc. 32. Contraction musculaire . 31 Courbe du myographe ; S Temps en 'l/l00e de s
salée P3LTIQUE NEUROL. 7 ? ^ [E. li UET. J Fie. 35. - Secousses musculaires . M Myographe ; 'E Excita- tions électriques : S
'E Excita- tions électriques : S Temps en secondes; I. Secousses musculaires espacées; II. Secousses musculaires plus rap- p
Temps en secondes; I. Secousses musculaires espacées; II. Secousses musculaires plus rap- prochées, tétanos incomplet; III. Fus
ques en exci- tant le nerf ou le muscle produisent des contractions musculaires avec une énergie modérée. On laisse alors passe
ique produisant, lorsque l'énergie est suffisante, des contractions musculaires avec tétanisation plus ou moins complète suivant
mme nous l'avons vu pour les périodes initiales. Dans les atrophies musculaires qu'on observe parfois dans les hémi- plégies cé
ormale ou elle se ni on Ire simplement diminuée. Dans les atrophies musculaires qui dépendent de lésions des cornes anté- rieur
lenteur du processus d'atrophie, les libres nerveuses et les fibres musculaires se trouvent détruites lentement et séparément,
rer dans cer- laines formes de myopathie, alors que les altérations musculaires sem- 1)1(,iit déjà assez accentuées; il en est
actions rnucalo-teudineuses très pro- noncées. Dans les atrophies musculaires par simple impotence fonctionnelle et dans les
usculaires par simple impotence fonctionnelle et dans les atrophies musculaires réflexes articulaires ou aharticulaires, W HUET
de deux ordres portant, d'une part, sur la forme de la contraction musculaire , et, d'autre part, sur la formule polaire de l'
xcitabilité galvanique se montrent moins ' nettes, les contractions musculaires produites étant devenues très faibles leur lent
s par libres; de là il résulte qu'au début les réactions des fibres musculaires altérées qui devraient manifester de la DR se t
s'observe 1. Dans certains cas de tabes on rencontre des atrophies musculaires plus ou moins localisées, accompagnées de DR ;
ulièrement sur certains territoires nerveux ou sur certains groupes musculaires , faisant défaut ou ne se manifestant que sous u
Landouzy-Dejerine, myopathie scapulo-humérale du type Erb, atrophie musculaire du type Leyden-Mobius, etc. Dans ces diverses m
a formule polaire de l'excitation. Dans les paralysies et atrophies musculaires réflexes d'origine articu- laire ou on n'observ
DR fait défaut. Dans les quelques cas de paralysies ou d'atrophies musculaires observées chez des hystériques où la DR a été s
rants tétanisants (courants à intermittences fréquentes) le tétanos musculaire ne persiste pas au delà de l'excitation, lorsqu
ez peu fréquentes qui, dans l'état normal, provoquent des secousses musculaires rapprochées mais distinctes les unes des autres
ées dans le voisinage de l'électrode excitatrice, sur les faisceaux musculaires exposés à la plus forte densité du courant. La
ables, d'intensité assez élevée, peuvent provoquer des contractions musculaires rythmiques et ondulatoires, surtout lorsque les
suivant l'état des muscles, elles restent localisées aux faisceaux musculaires percutés ou s'étendent il la totalité du muscle.
une origine 111y'01)at11111r1C et dépendre d'altérations des fibres musculaires . Elles constituent des signes objectifs importa
vie et aussi par leur curabilité. Dans des troubles de l'appareil musculaire décrits par Schllltzc sous le RÉACTION MYASTHÉN
z un malade présentant des troubles des mouvements et de l'atrophie musculaire probablement d'ori- gine myélopathique.) RÉAC
olongeant convenablement cette excitation, on voit la contrac- tion musculaire s'affaiblir rapidement et graduellement et dispar
C. l'excitation; avec la répétition des excitations la tétanisation musculaire s'affaiblit de plus en plus et peut même dispar
tuellement d'une façon appréciable l'épuisement de la contractilité musculaire . ·1. Il ne faudrait pas prendre pour de la réac
rve parfois dans certaines conditions, notamment dans des atrophies musculaires plus ou moins prononcées, suites de poliomyélites
r. Il ne s'agit pas en pareil cas d'uu épuisement de la contraction musculaire comme dans la réaction myasthé- nique, mais d'u
avec l'anode; cet épuisement n'était pas complet, la contractilité musculaire s'affaiblissait assez rapidement et graduelleme
Lorsqu'elle est très déve- loppée l'épuisement de la contractilité musculaire avec les excitations faradiques suffisamment pr
être complet ; d'autres fois il est moins complet, les contractions musculaires s'affaiblissent plus ou moins vite et diminuent
la résistance finale et la résistance initiale. Dans les atrophies musculaires la résistance est augmentée (Frey et Windscheid
le seuil de l'excitation. Sur chaque muscle, ou sur un même groupe musculaire , l'électrisation ne sera pas prolongée au delà
ode en forme de rouleau lentement et dou- cement sur divers groupes musculaires , de préférence sur ceux les moins menacés par l
variant de une demi-minute il 2 ou 5 minutes sur chacun des groupes musculaires choisis. Les excitations des nerfs et des muscl
les cas on la fait porter davantage sur certains muscles ou groupes musculaires . Les excitations par courants galvaniques avec
sieurs nerfs ; puis des affections à processus chronique (atrophies musculaires myélopathiques, etc) ; et enfin des myopathies
res myélopathiques, etc) ; et enfin des myopathies et des atrophies musculaires réflexes et par inaction. Poliomyélite antérieu
iffus et se montrent pré- dominants sur certains muscles ou groupes musculaires , au lieu du bain électrode, il est souvent préf
ès avoir ramené lc courant à zéro, l'électrode sur d'autres groupes musculaires soit sur le même membre, soit sur l'autre membr
es remplaçant par des séances uniquement consacrées aux excitations musculaires . 1 ce moment il y a généralement indication de
vent pas non plus être trop prolongées; sur chaque muscle ou groupe musculaire soumis, à ce traitement on limitera l'élec- tri
ombre de. muscles sont atteints ; avec, quelques muscles ou groupes musculaires profondément altérés on observe parfois, sous l'i
rée, et prolongées de 1. à 2 ou minutes sur chaque muscle ou groupe musculaire soumis à l'électrisation. Les séances de traite
les neurones moteurs périphériques. Les paralysies et les atrophies musculaires qui résul- tent de lésions des neurones moteurs
ype principal de ces affections nous pouvons considérer \' atrophie musculaire mclopalhiqlce l'almur-Duclrelne. Les modes de t
ux ans, parfois cependant d'une façon plus lente. Dans l'atrophie musculaire du type i.hc( ? COt,-1%(XY'2G, le traitement él
ètement atrophiées. La syringomyélie entraîne souvent des atrophies musculaires par extension des lésions aux cornes antérieure
vent déjà profondément lésées. Myopathies primitives (Dystrophies musculaires progressives). Les diverses formes de la myopat
e Landouzy- Dejerine, atrophie scapulo-humérale (l'I'.r'h, atrophie musculaire du type Leyden-Mobius, paraissent dépendre d'un
de. lésions des neurones moteurs périphériques comme les atrophiées musculaires mvétopathiques. MYOPATHIES. [ : il i L'électr
genres de traitement, tels que massage, gymnastique, etc. Atrophies musculaires réflexes d'origine articulaire. A la suite de l
ritations articulaires, on voit souvent se développer des atrophies musculaires parfois très prononcées. En général ces afro- p
e' habituellement très efficace dans le traitement de ces ATROPHIES MUSCULAIRES RÉFLEXES. 1510 atrophies musculaires. Lorsque t
traitement de ces ATROPHIES MUSCULAIRES RÉFLEXES. 1510 atrophies musculaires . Lorsque toute irritation articulaire n'a pas enc
ni. A. Lefort et Yaltat ont traité avec succès ce genre d'atrophies musculaires , en soumettant les muscles à une électrisation
s résultats fournis par le traitement électrique dans les atrophies musculaires réflexes d'origine articulaire sont généralement
s et galvaniques. Le même traitement est applicable aux atrophies musculaires réflexes il' origine abarliculaire ; il est app
pendant longtemps, que sur la sensibilité péri- phérique, cutanée, musculaire et profonde. Pour cela, on peut utiliser soit l
uent pas de crises de douleurs fulgurantes. Dans le cas d'hypotonie musculaire il peut v avoir utilité à pratiquer la faradi-
s'ajoutent des paralysies plus ou moins localisées, avec atrophies musculaires et présence de la DIS indiquant l'atteinte des
ment de la consti- pation chez les hystériques. Contre l'asthénie musculaire on emploiera soit l'éleclrisation statique avec
prend, aussitôt que possible après la mort, les nerfs cutanés et « musculaires dans les régions où on veut les étudier. II est p
aladie de -); existe-t-eUe ? 706. Main, 1059. - \'oy. : itroplrie musculaire 111yélopathiqltp., Griffé. Arborisations périce
rés. Nanisme, 109-5. Arsenic. Intoxication, névrites et atrophie' musculaire , 723. Artériosclérose. Atrophie musculaire, 7
névrites et atrophie' musculaire, 723. Artériosclérose. Atrophie musculaire , 707. - cérébrale, vertiges, 170. Arthropathi
les tics, 895. double, 872. Mouvements involontaires, rigi- dité musculaire , troubles intellectuels, 875. Mouvements de la
u névraxe, technique de mensuration, 1.-174. - - hystérique, 726. musculaire dans les paraplé- gies, 480,494. - musculaire C
- hystérique, 726. musculaire dans les paraplé- gies, 480,494. - musculaire Charcol- Marie, Voy. Afnyotrophie. optique da
Afnyotrophie. optique dans les tumeurs cérébrales, 122. Atrophies musculaires . Définition, 657. Signes, 658. Diagnostic diffé
6-lui. Tableau des caractères et variétés cliniques des atrophies musculaires , 752. Traitement des atrophies de l'en- fance
ns l'en- fance, 665. Myopathies, 668. myope- thies, G91. Atrophie musculaire myé- lo-névritique, névrite interstitielle hype
vritique, névrite interstitielle hyper- trophique, 696. Atrophies musculaires progressives de l'adulte, atrophies myélopathiq
ulaires, 75. Bergeron. Voy. Chorée électrique. Béribéri. Atrophie musculaire , 722. Besoins, sensations internes, cénesthésie
142. Compas de Weber, 285. Compressions de la moelle, atrophies musculaires , 713. Radiothérapie, 1187. des nerfs, atrophies
e, 464. INDEX ALPHABÉTIQUE. lu83 -Diabète. Névrites et atrophie musculaire , 723. Ataxie, 761. Diamètres céphaliques. Ant
des narines. Innervation phy- o ! ogie, 585. Diphtérie. Atrophie musculaire , 722. Diplégies cérébrales infantiles, 509. a
musculaire, 722. Diplégies cérébrales infantiles, 509. atrophies musculaires , 714. pied bol, U 052. Diplopie, recherche, 2
ysiologie, 559. Dubini Yoy. Chorée électrique. Duchenne (Atrophie musculaire pseudo- hypertrophique de -) 682 Syndrome cér
à type ), ), 688, 698. (Maladie de existence), 706. Voy. Atrophie musculaire , Griffe. Dysarthries, 196, 198, 211.-d'origine
chronique, 656. Dyspnée, 940. Dyspneumie, 198. ' Dystrophies musculaires progressives, traitement. électrique, 1510. E
liomyélite, 1296. Polynévrites, '1501. Névrites, z1505. Atrophies musculaires , z1310. Affections des neurones sensilifs, Névr
s, 955, ! IaG.-Irslé7'Iq7cc, inexistence, 958. typhoïde, atrophie musculaire , 725. Fixation des centres nerveux. Liquide de
bles de la sensibilité à topographie radiculaire, 552. atro- phie musculaire , 715. Hématoxyline à l'alun, '135l\. 1 586
lectricité, 1288. infantile, 475. - pil'(1 bot, 1052. - atrophies musculaires , 714. - corticale du larynx, 645. bulbaire du
trichose, 927. Hypertrophie congénitale des membres, 1010, '10l ? musculaire . Carac- tères, 755. Diagnostic différentiel.
sensibilité. Anesthésies, JJ2. - Hypereslhésies, 556. - Atrophie musculaire , 726. - Incoordination, 781. - Crises convul-
baire thérapeutique, 1141. Méningo-myélite syphilitique. Atrophie musculaire , type Aran-Duchennc, 704. Mensuration du tronc
e dégénérescence, 1259. - physiologie. Séméiologie des paralysies musculaires isolées, 521, de l'avant-bras, para- lysies,
ytique. - spastique, 84. pltysio, logique, 88. Myélites, atrophie musculaire , 715. transverses chroniques, 501. Myélopathi
, 84. - physiologique, 89. . Myotonie congénitale, hypertrophie musculaire , 758. - particularités cli- niques, 742. Myot
paralysie de la branche motrice, 627 f Nerfs, lésions, atrophies musculaires con- sécutives, 716, 719. - brachiaux, né- vr
ic, 1171. P Pachyméningite cervicale hypertrophi- que, atrophie musculaire type Duchenne- Aran, 702. Cytodiagnostic, 1157.
. Voy. Pseudo-bul- baire. - spinale aiguë de l'adulte, atrophie musculaire , 715. - spinale infantile, atrophies musculaire
'adulte, atrophie musculaire, 715. - spinale infantile, atrophies musculaires , 712. - Défor- mation des pieds, 1055. - Cytodi
gnos- tic, 1156. - Paralysies d'origine médullaire, atro- phies musculaires secondaires, 711. d'origine cérébrale, atrophie
diques, avec exagération des réflexes sans contracture, atrophie musculaire constante, 494. - avec contracture^ 495. - d'
sénile, ataxie, 7G3. en plaques, lésions de l'oreille, z Atrophie musculaire typeAran-Duchenne, 705. - Tremblement, 858. - C
, 1137. - Radiothérapie, 1187. - latérale amyotrophique, atrophie musculaire type Duchenne-Aran, 702. - Traite-- ment élec
ternes, cénesthésie, 578. Sens des attitudes segmentaires, 299. - musculaire , 297. - séméiologie, 301.- . Jo. sléréognostiqu
mie et physiologie des voies sensitives. Yoy. Voies seusilioes. - musculaire , 290. objective, troubles. Technique de leur
de la sensibilité à topographie radiculaire, 550, 32. - Atrophie musculaire type Aran-Du- chenne, 705. - Chiromégalie, 1019
- Amyotrophie de type Aran-Duchenne, 705. - Névrites et atrophie musculaire , 724. - Ataxie tabétique, 7a ! ). - Hypotonie,
lésions, hémiinesthésie, 511. Thomsen (Maladie de), hypertrophie musculaire , 758. - particularités cli- niques, 742. - Réac
on lombaire thérapeutique, 1141. V Vaisseaux. Lésions, atrophie musculaire consécutive, 707. Ventricules cérébraux. Synd
4 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 9. Hémorragie et ramollissement du cerveau, métallothérapie et hypnotisme, électrothérapie
ce, ainsi que de la gaîne lymphatique et par l'atrophie de la tunique musculaire . Les fibres musculaires font constamment défaut s
ne lymphatique et par l'atrophie de la tunique musculaire. Les fibres musculaires font constamment défaut sur les parties dilatées
points, leur disparition complète. Cette atrophie simple des éléments musculaires neparait pas être primitive ; elle semble au cont
e la musculeuse ; on voit de plus que dans les points ou les éléments musculaires manquent en plus grand nombre ou l'ont même compl
une façon ampullaire au niveau des points ou l'atrophie de la tunique musculaire est notable. C'est là l'origine des anévrysmes mi
attaques caractérisées par une perte de connaissance, avec résolution musculaire et rougeur de la face. Ces accidents disparaissai
térieur, une diminution et presque partout une disparition des fibres musculaires avec prolifération nucléaire très-abondante sur
végétations verruqueuses, mais sans lésions de canalisation. Le tissu musculaire du cœur n'était pas hypertrophié, mais présentait
avait conservé une hémiplégie gauche incomplète avec légère rigidité musculaire ; elle était de plus devenue sujette à des accès
s optiques et de la protubérance. Coloration feuille morte du tissu musculaire du cœur ; végétations sur les valvules sigmoïdes
ragments. Le liquide abondant qui baignait de toutes parts les fibres musculaires , paraissait sous le microscope assez fortement co
nvulsions toniques et les convulsions cloniques (1). La contraction musculaire étant considérée comme une source de chaleur, il
rechercher si, dans les maladies qui. s'accompagnent de contractions musculaires exagérées, la température du corps est modifiée.
nt trop complexes pour qu'on puisse décider si c'est à la contraction musculaire seule qu'est due l'augmentation de la chaleur du
ez des chiens, MM. Leyden (2) et Fick (3)ont produit des contractions musculaires toniques générales, et ils ont observé dans leurs
ons, tétanos, convulsions épileptiques, choléra, etc., la contraction musculaire se rapporte à un type spécial : la convulsion ton
convulsions cIoniques, c'est-à-dire dans les cas où les contractions musculaires produisent des mouvements alternatifs plus ou moi
les sont intenses, comme s'aceompagnant d'une grande dépense de force musculaire . Or, les recherches multipliées que nous avons fa
vaisseaux assez larges, la tunique à noyaux transversaux, ou tunique musculaire , était continue et formée d'éléments de configura
ans notre observation, — sont très minces et n'offrent pas d'éléments musculaires . Quant au tissu propre de la néo-membrane, quel q
enté de symptômes qu'on puisse rattacher au rhumatisme articulaire ou musculaire , aigu ou chronique. Vers l'âge de 48 ans, les r
erai, par exemple, l'atrophie rapide que subissent parfois les masses musculaires des membres inférieurs dans des cas ou l'incoordi
ers jours de la vie. A celte époque, il n'a jamais existé de rigidité musculaire ; les membres étaient flasques, tout à fait inert
d'une synovite subaiguë avec végétation, multiplication des éléments musculaires et fibroïdes qui constituent la séreuse articulai
cet exposé; mais ce qui est dit doit s'entendre également de la force musculaire , de la température, de la tonicité des petits vai
elles, autrefois, ramenait temporairement la sensibilité et la force musculaire , ces malades s'engourdissent, s'endorment et rede
épileptoïde, sont dans la résolution la plus complète. Un phénomène musculaire fort, remarquable se développe immédiatement, c'e
ent, c'est ce que M. Charcot désigne sous le nom d'hyper'excitabilité musculaire : il suffit d'exciter mécaniquement un muscle au
peu près avec autant de précision que dans l'état de veille. Le sens musculaire , suivant la remarque de M. Azam, semble ici rempl
endant cette seconde phase de la somniation provoquée, les phénomènes musculaires de la première phase persistent au même degré (hy
ires de la première phase persistent au même degré (hyperexcitabilité musculaire , frémissement des paupières, etc). Pour faire s
conserver la situation qu'on leur imprime ; peu ou point de rigidité musculaire ; impossibilité de faire contracter le muscle par
oit sont dans la résolution et jouissent seuls de l'hyperexcitabilité musculaire caractéristique de la léthargie, pendant que les
nous venons d'indiquer, est sous le coup d'un état spécial du système musculaire , que l'on pourrait appeler la diathèse de contrac
rticulier, nous constatons qu'il existe chez elle une surexcitabilité musculaire très vive ; je touche à peine, avec une petite ba
mbres conservent la position que je leur ai donnée. L'hyperesthésie musculaire a dès lors disparu. La catalep sie est donc un
il n'y a plus cette excitabilité si vive et si remarquable du système musculaire . Si nous réveillons notre cataleptique (en lui
, immédiatement, elle tombe dans ce singulier état. L'hyperesthésie musculaire existe : je fais une excitation légère des extens
che est dans l'hypnotisme ; il présente les phénomènes d'excitabilité musculaire et nerveuse que vous connaissez ; je puis provoqu
ais certains sens conservent, du moins en partie, leur activité (sens musculaire , vision, audition). — Cette persistance de l'acti
une rigidité qui diifôre de la contracture liée à l'hyperexcitabilité musculaire en ce qu'elle ne se résout pas comme celle-ci par
t remarquable de certains modes de la sensibilité de la peau, du sens musculaire et de quelques-uns des sens spéciaux (vue, ouïe,
mulation. C. — Phénomènes de suggestion par l'intermédiaire du sens musculaire . — Durant l'état cataleptique, la physionomie, d'
éthargique, de mettre à profit la réapparition de l'hyperexcitabilité musculaire pour agir sur les antagonistes. Malheureusement,
ement en relief, on arrive bientôt à se convaincre que la contracture musculaire n'est pas due seulement à l'excitation mécanique
sculaire n'est pas due seulement à l'excitation mécanique de la fibre musculaire elle-même, mais qu'elle se montre également bien,
ibres tendineuses qui sont en rapport de continuité avec la substance musculaire , ou sur les rameaux nerveux moteurs dont les fibr
qui font de l'exaltation des réflexes tendineux et de la contracture musculaire des faits de même ordre, on ne sera pas surpris d
ne un ébranlement soudain de toute la masse du muscle. La contraction musculaire réflexe ne peut être produite par aucune excitati
nsion, diffusion de l'action réflexe ; — b) modifications de l'action musculaire qui en est la conséquence : a) La contraction e
tendineux tend à se généraliser, il arrive souvent que la contraction musculaire à laquelle il donne lieu subit elle-même quelques
ire, offre d'une façon très nette ces modifications de la contraction musculaire réflexe sans tendance à la généralisation. Les no
e tracé I (Fig. 2) a été obtenu pendant l'état de veille. La secousse musculaire réflexe n'est pas unique, comme il arrive souvent
us a servi clans l'expérience précédente, aussi le tracé de la courbe musculaire présente-t-il plus d'amplitude. Dans cette expé
s supérieur de la face antérieure de l'avant-bras au niveau du relief musculaire des fléchisseurs, et la percussion porte à quelqu
'il existe très développé dans le reste du corps. b) La contraction musculaire qui est la conséquence du choc sur le tendon prés
l'hyperexci-tabilité neuro-musculaire, c'est-à-dire de la contracture musculaire obtenue à l'aide d'une simple excitation mécaniqu
ue le choc répété des tendons ne produisait qu'une série de secousses musculaires , sans tendance manifeste vers la contracture, la
intenu dans cette situation par une contracture permanente des fibres musculaires qui font suite aux fibres tendineuses. Pour les t
trouve ainsi son explication dans les lois connues de la physiologie musculaire . La flexion de la main sur l'avant-bras est due
derniers doigts, annulaire et petit doigt, est le résultat d'actions musculaires plus complexes. Les muscles innervés par le nerf
fléchisseur propre du pouce. Ce dernier muscle, en raison de sa masse musculaire , paraît même devoir l'emporter. En résumé, l'ex
xpérience a montré que la malaxation ou la simple pression des masses musculaires amenait la contracture des muscles excités. Mais,
Excitation des muscles. quence de l'excitation directe de la fibre musculaire elle-même, ou bien suit-elle l'excitation des pet
le mouvement de rotation prévu d'après les données de la physiologie musculaire , et l'immobilisant au terme de son mouvement dans
ation directe. Nous reviendrons plus loin sur ces faits de synergie musculaire , mais il était nécessaire de les signaler dès mai
ser exactement l'action électrique sur un muscle ou sur un faisceau musculaire . 11 put ainsi démontrer clairement l'action parti
qu'ils correspondent aux points d'immergence ou d'émergence des nerfs musculaires ; et Duchenne n'ignorait point cette relation. Mai
t de l'excitabilité spéciale des fibres tendineuses et de la synergie musculaire . Mais, ces circonstances, une fois connues et p
uscle lui-même ou sur le rameau nerveux qui l'innerve, met les fibres musculaires en action, mais, la contraction ainsi provoquée n
et parfois sur quelques muscles éloignés. Dans ce cas, la contraction musculaire est fugace et peu accusée, c'est un simple frém
musculaire est fugace et peu accusée, c'est un simple frémissement musculaire , ou bien une série de petites convulsions cloniqu
contre souvent un ou deux filets moteurs qui se rendent à un faisceau musculaire voisin, lorsqu'il est un peu intense ou qu'il exi
xcitation ait été unilatérale. C'est un nouvel exemple de la synergie musculaire des muscles pairs de la face, dont nous avons déj
up de points également, l'excitateur rencontrera à la fois des fibres musculaires appartenant à plusieurs muscles soif superposés,
ntraction était obtenue par l'excitation mécanique des points moteurs musculaires . La malade a été ainsi rendue cataleptique, sans
de l'excitation d'un muscle, directement, en agissant sur les fibres musculaires elles-mêmes, ou, indirectement, par l'intermédiai
ion, si ce n'est que, dans ce cas, nous excitons directement la fibre musculaire dans la zone située au-dessus de l'oreille, tandi
ÉE DANS L'ÉTAT DTIYPEREXCITABILITË NEURO-MUSCULAIRE. La contracture musculaire provoquée par l'excitation mécanique pendant la l
toucher afin d'éviter les complications que de nouvelles excitations musculaires , même fortuites, ne manqueraient pas de susciter.
demeurent étendus. Bientôt, le transfert s'est opéré, la contracture musculaire a cédé à droite pour envahir le côté gauche, mais
e la même région et qu'elle s'est exactement localisée au même groupe musculaire , à celui qui reçoit les rameaux du nerf cubital.
t retombé peu à peu et a repris l'attitude normale du relâche-chement musculaire . La pression sur la masse des muscles de la rég
ontracture localisée due à l'excitation mécanique du nerf ou du corps musculaire lui-même. Il en est de même lorsque la contractur
de la griffe cubitale est manifeste et maintenue par une contracture musculaire intense. Comme dans les expériences précédentes
itation des tendons qui réussit d'abord, puis l'excitation des masses musculaires ; en dernier lieu l'excitation des troncs nerveux.
estement exagérés. Nous recherchons alors si la malaxation des masses musculaires de l'avant-bras peut être suivie de contracture,
s venons de rapporter, l'on puisse admettre clans l'hyperexcitabilité musculaire , les trois degrés suivants : 1er degré : simple
se; —3e degré : contracture réflexe par excitation directe des masses musculaires . Dans une seconde expérience faite le lendemain
e, contracture facile par l'excitation des tendons, par la malaxation musculaire et par l'excitation des nerfs. La pression du ner
te malade. Sur le bras droit l'excitation des tendons et des masses musculaires nous donne des résultats semblables, mais nous co
re demande pour se produire une malaxation assez énergique des masses musculaires . 2° Elle se montre avec plus de facilité à la s
us avons vu plusieurs fois dans le cours de nos expériences, cet état musculaire spécial disparaître tout d'un coup pour faire pla
abilité neuro-musculaire avait entièrement disparu, cette disposition musculaire spéciale a pu être rappelée dans un seul membre :
. Les réflexes tendineux n'en sont pas moins conservés. La résolution musculaire est parfaite. La catalepsie n'est plus possible p
ar la percussion répétée des tendons, ni par la malaxation des masses musculaires . La sensibilité persiste, et le pincement ainsi
s se ferment d'elles-mêmes. Pendant que les yeux sont ouverts, l'état musculaire ne change pas ; pas de catalepsie possible, même
car elle sortit de l'hospice le lendemain même. Ici, des phénomènes musculaires qui servent à caractériser l'hypnotisme, un seul
t ouverts, aucune tendance à l'état cataleptique. Enfin la résolution musculaire s'est montrée là à un degré peu ordinaire, et la
x se ferment, la tête se renverse, elle est endormie. La résolution musculaire est complète. Les réflexes tendineux ont subi une
notable. Le mouvement réflexe est étendu. La malaxation des masses musculaires ne détermine aucune contracture. Il en est de mêm
sujets pendant fort longtemps et le massage ou la friction des masses musculaires ne les modifient pas. Enfin cet état cataleptique
t caractérisé par un délire spontané ou provoqué. Il s'y joint l'état musculaire spécial sur lequel nous insistons ici. H..., hy
chez elle des hallucinations variées. Pendant tout ce temps l'état musculaire est intéressant à noter c'est sur lui que nous ap
en extension, suivant les tendons excités. La malaxation des masses musculaires de l'avant-bras produit également la contracture;
et la friction amène toujours la détente du membre, et la résolution musculaire complète. En soulevant les paupières de la malade
ientôt de lui-même ; e) Enfin la friction et le massage des ?nasses musculaires amènent toujours la résolution du membre qui reto
neux sont exaltés. 4° Que les yeux soient ouverts ou fermés, l'état musculaire reste le même, présentant toujours ce double cara
xcitation mécanique soit des tendons, soit des nerfs, soit des masses musculaires . L'hyperexcitabilité neuro-musculaire n'est pas
contracture localisée peut être obtenue par la malaxa-tion des masses musculaires , et la pression des nerfs. D'ailleurs les résulta
elle qui, pendant la veille, n'offre aucune tendance à la contracture musculaire , peut n'en présenter pas moins, pendant l'état de
ous suffira de les rappeler ici. a) La production d'une contracture musculaire consécutive à une excitation mécanique portée à l
urd'hui bien établie, qui fait d'une certaine forme de la contracture musculaire une exaltation du tonus physiologique, vient à l'
ifférents groupes de cellules nerveuses qui correspondent aux groupes musculaires antagonistes, fléchisseurs et extenseurs, par exe
e. L'opinion de M. Westphal, qui persiste à considérer la contraction musculaire consécutive au choc du tendon comme directement p
don comme directement produite par l'excitation mécanique de la fibre musculaire en continuité avec la fibre tendineuse, ne paraît
e reste pas toujours exactement localisée dans le muscle ou le groupe musculaire sur lequel porte l'excitation. Cette propagation
istent dans la moelle entre les différents foyers d'origine des nerfs musculaires . e) Le transfert par l'aimant et autres agents
e. Ce qui nous paraît indiquer que ces divers troubles de la fonction musculaire ont leur raison en dehors d'une modification de l
n musculaire ont leur raison en dehors d'une modification de la fibre musculaire elle-même, dans une modification spéciale du syst
uscles des nerfs centripètes qui jouent un rôle spécial dans le tonus musculaire et dans le fonctionnement de tout l'appareil musc
dans le tonus musculaire et dans le fonctionnement de tout l'appareil musculaire . Il nous semble rationnel d'admettre que, dans no
ont alors les nerfs sensitifs de l'aponévrose d'enveloppe ou du corps musculaire lui-même, s'il en existe. Et en troisième lieu, l
turait avec force sous l'action de ces mômes manœuvres, la flaccidité musculaire n'est aucunement modifiée, le membre reste inerte
es plus légères; dans ce cas, la pression ou la malaxation des masses musculaires , des nerfs ou des tendons, demeurent inefficaces.
s, tandis que l'état somnambulique, en outre des faits de contracture musculaire , offre la plupart des phénomènes attribués au som
erexcitabilité neuromusculaire, aurait pour chemin l'arc diastaltique musculaire , ainsi que nous avons essayé de le prouver plus h
des côtés du cr/îne, provoque, sans réveiller le sujet, des secousses musculaires , souvent très énergiques, du côté opposé du corps
eptique de l'hypnotisme sous l'influence de la suggestion par le sens musculaire . Mais auparavant il est nécessaire d'exposer somm
leptique de l'hypnotisme chez les hystériques. Suggestion par le sens musculaire (1). loppement le plus parfait et sont doués de
; mais certains sens, la vision,, l'audition en particulier, le sens musculaire môme, conservent du moins en partie leur activité
s de cette catégorie, uniquement éveillés par l'intermédiaire du sens musculaire , que nous nous proposons d'insister dans un insta
. Dans la deuxième phase, celle qui correspond aux indices de fatigue musculaire notés sur le tracé du membre, on peut observer l'
eux côtés à la fois : 1° par le tracé du membre qui accuse la fatigue musculaire et 2° par le tracé de la respiration qui traduit
er à présent, la suggestion a été obtenue par l'intermédiaire du sens musculaire . Les exemples que nous rapporterons en premier
luence de l'excitation portée aux centres nerveux par la voie du sens musculaire sont jusqu'à un certain point susceptibles d'éduc
e de pouvoir provoquer, chez les sujets hystériques, des contractures musculaires plus ou moins durables sous l'influence de manœuv
rses dénominations : Contracture latente (Brissaud) (3), excitabilité musculaire (Ch. Ri-chet) (4), état d'opportunité de contract
de contracture (Ballet et Delanef) (5), Brunet (6), hyperexcitabilité musculaire hors l'état d'hypnotisme, contractures passagères
l'hypnotisme (état léthargique et état somnambulique) la contracture musculaire peut être obtenue, mais par des procédés différen
écaniques profondes portées soit sur les tendons, soit sur les masses musculaires , soit sur les nerfs, tandis que, pendant le somna
e. La contracture succède au choc répété des tendons, à la malaxation musculaire , au froissement des troncs nerveux. On peut égale
s segments suffisent parfois pour provoquer la contracture. Un effort musculaire violent de la maladie elle-même conduit au môme
usqu'à ce que les frictions répétées fissent cesser le spasme tonique musculaire et ramenassent les traits de la physionomie à leu
C'est là un exemple des affinités secrètes qui relient ces deux états musculaires si opposés en apparence la contracture et la para
ique du côté de la contracture préexistante. XV. Sur un phénomène musculaire observé chez les hystériques et analogue à la con
musculaire observé chez les hystériques et analogue à la contraction musculaire paradoxale (1). M. Westphal (2) a décrit le pre
ale (1). M. Westphal (2) a décrit le premier, en 1878, un phénomène musculaire intéressant auquel il a donné le nom de « contrac
mène musculaire intéressant auquel il a donné le nom de « contraction musculaire paradoxale », et qui peut se formuler ainsi : un
ive qu'il ne se produit plus, ce que l'on peut attribuer à la fatigue musculaire . Ce phénomène de la « contraction musculaire pa
attribuer à la fatigue musculaire. Ce phénomène de la « contraction musculaire paradoxale » peut être la conséquence de la farad
bial antérieur, l'excitation réside dans la tension passive du groupe musculaire antagoniste, c'est-à-dire des jumeaux et du soléa
n'y a donc alors plus rien de paradoxal ; il s'agit dans le phénomène musculaire , décrit par Westphal, d'une contracture réflexe d
e consiste en une perte de l'équilibre du tonus dans certains groupes musculaires et dans leurs antagonistes. Nous n'avons pas en
s une communication récente à la Société de Biologie (2), sur un état musculaire spécial qui se rencontre chez les hystériques et
est point maintenue en vertu de l'action persistante d'un seul groupe musculaire , mais qu'elle est en quelque sorte la résultante
laire, mais qu'elle est en quelque sorte la résultante de deux forces musculaires antagonistes. Dans le phénomène du pied par exe
sens des muscles directement intéressés; ou autrement dit les groupes musculaires antagonistes sont également intéressés par une ex
ns un sens ou dans l'autre, D'après les lois connues de la synergie musculaire les choses peuvent s'expliquer ainsi : La contr
fférents groupes de cellules nerveuses, qui correspondent aux groupes musculaires antagonistes sont admises par les physiologistes.
, il nous suffit alors d'admettre que l'excitation partie d'un groupe musculaire retentit toujours sur le groupe musculaire antago
itation partie d'un groupe musculaire retentit toujours sur le groupe musculaire antagoniste dont l'action, qui d'ordinairejoue le
s expériences consécutives : A, B et C. —X, ligne de niveau. courbe musculaire offre les mêmes particularités : ascension plus o
étraction fibro-tendineuse ; aussi, après la cessation de la rigidité musculaire , le rétablissement des mouvements et de la forme
la dernière leçon et où, après guérison de la contracture spasmodique musculaire , reste la complication de rétractions fibro-tendi
ntracture, la tendance à la production de ces rigidités spas-modiques musculaires , souvent énormes, invincibles, durables, permanen
reuve à l'appui de cette vue, c'est que la répétition des excitations musculaires chez un sujet disposé a pour effet de rendre la c
ès facile si on n'attend pas longtemps. Mais si on laisse la rigidité musculaire persister pendant des heures, alors c'est beaucou
rence, de paradoxal dans le phénomène contracture. — Voilà une action musculaire intense, exagérée, qui persiste sans cesse et san
ndant un paradigme physiologique de la contracture, c'est la tonicité musculaire qui persiste telle quelle d'une façon permanente,
leur altitude moyenne. Or, on sait expérimentalement que la tonicité musculaire est un phénomène d'origine centrale, le résultat
rmanente et ne cédant que lorsque la moelle est détruite ou les nerfs musculaires sectionnés. La contracture serait donc, d'après
és. La contracture serait donc, d'après cela, une sorte de tonicité musculaire portée au plus haut degré possible et c'est, par
même très facile de pratiquer au moyen de l'étincelle l'électrisation musculaire localisée, et, à ce propos, je citerai un fait qu
éristique qui est déterminée par la distribution spéciale des rameaux musculaires du nerf excité. Si, par exemple, on presse dans l
ébut, présente dans la phase qui correspond aux indices de la fatigue musculaire notés sur le tracé du membre, un rythme irrégulie
e léthargique peut nécessiter au commencement une pression des masses musculaires énergique et prolongée pendant quelque temps, tan
énumérées plus haut, est encore plus probant que l'hyperexcitabilité musculaire . On sait que si l'on presse mécaniquement sur un
du ignorant les premières notions de l'anato-mie et de la physiologie musculaire serait incapable de deviner quand on excite un po
1. — Lésions de la périartérite diffuse. A, Artère dont les fibres musculaires sont raréfiées sans substitution graisseuse B,
ANCHE II. Fig. 1. — Périartérite où Ton voit disparaître les libres musculaires , en même temps que les noyaux de l'adventice se m
es en lesquelles se divise le nerf médian avant de former les rameaux musculaires et cutanés de la main, ont été. par erreur, et co
rents moyens de mettre en relief l'hyperexcitabilité neuro- Pagos musculaire ................................................ 3
aleptique de l'hypnotisme chez les hystériques. Suggestion parle sens musculaire ................................ 434 XIV. Diathè
ture chez les hystériques................. 447 XV. Sur un phénomène musculaire observé chez les hystériques et analogue à la con
musculaire observé chez les hystériques et analogue à la contraction musculaire paradoxale.................. 453 XVI. L'hypnoti
ie, p. 435; — simulée, p. 438. Gataleptiporme(Etat), p. 393; — état musculaire pendant 1'—, p. 401; — caractères de V—,p. 403;—-
ertrophie du—), cause d'hé-morrhag'ie cérébrale, p. 71. Contraction musculaire , modification de la — pendant l'hypnotisme après
; — température centrale dans I' —, p, 91. Hyperexcitabilité neuro - musculaire , p. 256, 258, 303,305,311, 421, 507 : — procédés
certaines régions de l'encéphale, p. 427. Hyperexcitabilité neuro - musculaire , p. 511. Hyperesthésie, p. 2S1. Hypnotisme, p
5;j. Spasme pharyngien, p. 258. Suggestion, p.255 ; — par le sens musculaire , p. 806; — guérison d'une contracture hystérique
5 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 3. Leçons sur les maladies du système nerveux
-pathologie française. Sans doute, son admirable étude des mouvements musculaires , faite à l'aide de l'électrisation localisée, pou
e de sa création des grands types morbides qui s'appellent l'atrophie musculaire progressive, la paralysie infantile, la paralysie
rigidité, exagération des réflexes tendineux, conservation du relief musculaire ). Or cette ressemblance, qui désespère parfois le
levier deuxième phase, celle qui correspond aux indices de fatigue musculaire notés sur le tracé du membre, irrégularité dans l
eux côtés à la fois : l°par le tracé du- membre qui accuse la fatigue musculaire , et 2° par le tracé de la respiration qui tradu
e j'ai l'honneur d'appartenir. DEUXIÈME LEÇON «» Sur l'atrophie musculaire qui succède à certaines lésions articulaires. S
aires. Sommaire. — Traumatisme articulaire. — Paralysie et atrophie musculaire consécutives. — Modifications de la contractilité
tincelle électrique. — Exagération des réflexes tendineux. — Atrophie musculaire simple. — Pas de relation nécessaire entre l'inte
'articulation sont affectés d'une manière prédominante. — Les lésions musculaires sont sous la dépendance d'une affection spinale d
modification qualitative, ce qui distingue absolument ces altérations musculaires de l'atrophie dégénérative. Par le redressement
. Richelot, Paris, 1859, t. I, p. 581. — A. Ollivier, Des atrophies musculaires . Thèse d'agrég., 1869. — Le Fort, Soc. de chir.,
rég., 1869. — Le Fort, Soc. de chir., 1872. — Sabourin, De l'atrophie musculaire rhumatismale. Thèse de 1873. — J. Paget, Leçons d
clinique chirurgicale. Trad. Petit, 1877. — E. Valtat, De Vatrophie musculaire consécutive aux maladies articulaires (étude clin
ons articulaires, Thèse de 1877. — Guyon et Féré, Note sur l'atrophie musculaire consécutive à quelques traumatismes de la hanche,
s. Eh bien, cet ordre de causes et cette relation entre l'affection musculaire et l'affection de la jointure peuvent-ils être in
ie prédomine, bien qu'elle puisse comprendre plusieurs autres groupes musculaires du membre. Remarquez qu'aucune autre des théori
t possible que, dans certains cas, l'affection spinale et l'affection musculaire consécutive soient plus profondes. Il ne faut p
ites encore plusieurs fois. Ch. F. QUATRIÈME LEÇON Sur l'atrophie musculaire consécutive au rhumatisme articulaire chronique.
nsécutive au rhumatisme articulaire chronique. Sommaire. — Atrophie musculaire dans les arthropathies aiguës, sub-aiguës, ou chr
le siège de l'affection articulaire et la localisation de l'atrophie musculaire est même assez régulière pour pouvoir être utilis
e un indice très significatif. Bien longtemps avant que les atrophies musculaires d'origine articulaire ne fussent connues, Adams 1
doit surtout porter notre attention c'est l'amaigrissement des masses musculaires . Il ne s'agit pas là d'une émaciation généralisée
microscope les muscles d'un rhumatisant chronique atteint d'atrophie musculaire , et il a noté des caractères qui permettent de ra
autres cas, par suite de la diffusion de la lésion spinale, le spasme musculaire peut tendre à se généraliser, et s'étendre, par e
ez. tenues dans une position vicieuse, par le fait de la rétraction musculaire spasmodique, ont conservé aux mains leurs attitud
ion des déformations, qu'un rôle tout à fait effacé. La contraction musculaire , par action réflexe, force aveugle et qui n'a rie
et ordre de faits encore, la déviation se produit par la seule action musculaire , les articulations ne sont nullement affectées.
ion des propriétés des cellules nerveuses, d'où dérive la contracture musculaire ; tantôt, au contraire, une dépression de ces mêm
ue je vous ai présentées, les conditions qui préparent la contracture musculaire et y prédisposent, à savoir l'exaltation des réfl
ue la déviation se produit exclusivement sous l'influence de l'action musculaire ; Il est atteint de paralysie générale progressi
et sur les troncs nerveux, la faradisation détermine des contractions musculaires qui ne cessent pas après l'excitation, mais s'éta
contre l'indicateur. Il est facile de se convaincre que la rigidité musculaire est la seule cause de cette déformation, et que l
circonférence que du côté opposé ; il ne s'agit pas là d'une atrophie musculaire véritable, mais d'un amaigrissement dû au repos p
correspondant aux oscillations des membres qui indiquent une fatigue musculaire , on observe une irrégularité dans le rhythme et l
ve, est à la fois trahi par le tracé du membre qui indique la fatigue musculaire , et par le tracé de 1. Voir p. 38. la respira
s, douleurs intermittentes. — Impuissance motrice précoce. — Atrophie musculaire .— Troubles de la miction, de la défécation, des f
nefin et Lan-douzy, d'une atrophie plus ou moins prononcée des masses musculaires du membre. Une atrophie de ce genre existait très
tre assertion est fondée. L'impuissance fonctionnelle et l'atrophie musculaire concomitante, dans la sciatique vulgaire, ne peut
isé. La théorie généralement acceptée pour expliquer cette dystrophie musculaire , dans la sciatique vulgaire, est, vous ne l'ignor
iatique spontanée vulgaire, l'impuissance f^ictionnelle et l'atrophie musculaire qui l'accompagnent ne survivent pas lo%temps à la
action se révèle quand il s'agit de mouvements qui exigent une action musculaire énergique, comme dans l'acte de monter sur une ch
, ou peu s'en faut, sont profondément affectés. Une telle impuissance musculaire pourrait à la rigueur s'expliquer, en admettant u
spondant à une modification profonde, à une dégénération de l'élément musculaire ? Vous comprenez que le pronostic est lié, jusqu'
ous n'ignorez pas que, dans les conditions normales, les contractions musculaires se produisent seulement soit, à la fermeture (S.
i obtenue correspond à une altération plus ou moins profonde du tissu musculaire . Nous allons appliquer dans un instant ces noti
es membres supérieurs. La paraplégie cervicale s'accompagne datrophie musculaire , atrophie simple pour certains muscles, atrophi
venus aussi bien à l'avant-bras qu'au bras et à l'épaule ; les masses musculaires se sont développées, la griffe s'est effacée peu
lèlement; l'exagération des réflexes tendineux a disparu, la rigidité musculaire ou, aufrement dit, la contracture s'est effacée,
de la sensibilité tactile, pas d'analgésie, pas d'altération du sens musculaire ; il apprécie bien les poids, la température. A
écutés par la main, dans l'acte d'écrire. C'est évidemment là le sens musculaire qui est en jeu, et ce sont les notions qu'il four
langues. Cependant, les notions appartenant à la catégorie du sens musculaire , fournies parles mouvements de la main, dans l'ac
eux éléments moteurs, c'est-à-dire appartenant à la catégorie du sens musculaire , à savoir: 1'imagemotrice 1 d'articulation et l'i
ts très divers sous lesquels peut s'offrir à l'observateur Y atrophie musculaire de fonne progressive. Je me propose d'utiliser ce
ts relativement à cette question de l'atrophie ou mieux des atrophies musculaires progressives. C'est qu'en effet cette question
seignement d'il y a 10 ans. La dénomination toute clinique d'atrophie musculaire progressive comprend, disions-nous alors, des aff
nstituée dans son entier, nous avons l'aspect ordinaire de l'atrophie musculaire progressive à laquelle se serait surajouté l'élém
nous avons proposé de la désigner cliniquement sous le nom d'atrophie musculaire progressive du type Duchenne-Aran. La lésion des
ique Duchenne-Aran. Il existe en effet réellement un genre d'atrophie musculaire progressive caractérisée anatomiquement par la lé
ondante, selon toute probabilité, au degré d'altération des faisceaux musculaires . A côté de cette hypertrophie, vous pouvez voir,
nctes l'une de l'autre. Il existe encore une autre forme d'atrophie musculaire sans neuropathie qui atteint les jeunes gens ou l
e dans ces derniers temps sous le nom de forme juvénile de V atrophie musculaire progressive et qu'il considère avec raison comme
la forme juvénile. Mais celle-ci se distingue cependant de l'atrophie musculaire progressive de cause spinale par un certain nombr
Il ne répugne point à l'esprit d'admettre que l'altération des fibres musculaires , cause première de la faiblesse, puisse se produi
ordinaire chez ce genre de malades. Après cela, regardez les masses musculaires ; nulle part vous ne constaterez soit l'atrophie,
t pas tout; je vais encore vous montrer deux autres formes d'atrophie musculaire , qui faisaient autrefois partie du cadre trop lar
. le professeur Leyden, sous le nom de forme héréditaire de latrophie musculaire progressive, et dont un des caractères serait de
ne) a décrite comme représentant simplement une variété de l'atrophie musculaire progressive et à laquelle il a donné le nom de fo
sive et à laquelle il a donné le nom de forme infantile de l'atrophie musculaire progressive. Elle semble être rare, car elle n'es
n mémoire de MM. Charcot et Marie : Sur une forme spéciale d'atrophie musculaire progressive débutant par les jambes et distincte
r à l'Académie des Sciences, l'histoire de cas typiques de l'atrophie musculaire progressive in- fantile de Duchenne, et dans un
, l'atrophie est apparue bientôt et ici la description de l'affection musculaire rentre absolument dans celle de la forme juvénile
un des symptômes bulbaires qui existent quelquefois dans l'atrophie musculaire progressive de cause spinale. Voilà, Messieurs,
itre d'espèces: 1° la sclérose latérale amyotrophique ; 2° l'atrophie musculaire progressive du type Duchenne-Aran, mais celle-ci
a paralysie vscudo-hypertrophique; 2° la forme juvénile de l'atrophie musculaire progressive du PT Erb ; 3° ï atrophie musculaire
vénile de l'atrophie musculaire progressive du PT Erb ; 3° ï atrophie musculaire progressive de F enfance de Duchenne {de Boulogne
e transition, telles que je vous en ai montré un cas, où la faiblesse musculaire est le fait dominant et où on ne trouve, en somme
scles thénar. trophie ; enfin, 5° la forme héréditaire de latrophie musculaire progressive de Leyden, à début par les membres in
oit, manœuvre qui fait cesser le tremblement pour un instant. Le sens musculaire est parfaitement conservé dans toute l'étendue du
race d'un mouvement volontaire ; pas trace de contracture. Les masses musculaires ont conservé leur volume et leur relief normal ;
e le moins du monde. La perle des diverses notions rattachées au sens musculaire est également complète ; le malade est dans l'imp
ce; l'absence d'exaltation marquée des réflexes tendineux, d'atrophie musculaire et de toute modification des réactions électrique
degré sur ce membre et la perte totale des notions relatives au sens musculaire ; tous ces phénomènes, lorsqu'ils se trouvent réu
oncs nerveux, alors qu'elle provoque cependant de fortes contractions musculaires , n'est pas sentie. Les mouvements de torsion, d
ons qui se rattachent à ce qu'on est convenu d'appeler du nom de sens musculaire . Pour se rendre compte de ce fait, il suffit de f
ules articulaires, etc. ; perte absolue des notions relatives au sens musculaire , dans toutes les parties qui correspondent à la p
également annihilée en même temps que font défaut les notions du sens musculaire . Mais, pour ne parler que de l'anesthésie cutanée
ce qui concerne la paralysie motrice et les troubles trophiques, tant musculaires que cutanés, les symptômes de la rupture de toute
du plexus brachial, nous relevons d'ailleurs des troubles trophiques, musculaires et cutanés et quelques autres phénomènes encore q
1. Voir, à la page 23 de ce volume, la seconde leçon, Sur l'atrophie musculaire qui succède à certaines lésions articulaires. q
olis. Enfin, toute trace d'anesthésie cutanée ou de paralysie du sens musculaire ferait défaut. Il est vrai qu'une lésion concomit
alisées à l'un des centres moteurs, la sensibilité cutanée et le sens musculaire peuvent être, vous le savez, absolument intacts.
s tous ses modes (sensibilité tactile, sensibilité à la douleur, sens musculaire , etc.). Mais il paraît établi, néanmoins, par ces
angement marqué du côté des réflexes tendineux; puis la perte du sens musculaire portée au plus haut point et telle qu'on ne l'obs
cine du membre (voir les fig. 54 et 55, 60 et 61). La perte du sens musculaire est également portée au plus haut point dans tout
sions entrer en relation avec l'hypnotisée, est la mise enjeu du sens musculaire . Seuls le geste, l'attitude que nous imprimons au
e nous l'avons fait voir, M. Richer et moi1. Or, c'est encore au sens musculaire qu'il faut rapporter les phénomènes qui se produi
çon dont chaque impression ainsi éveillée par l'intermédiaire du sens musculaire , reste en pareil cas limitée à elle-même, sans di
dire, pendant un temps qui n'a de borne que la durée même de l'action musculaire qui maintient les membres dans l'altitude express
n outre, très notablement affaiblis. Enfin, pour ce qui est du sens musculaire , dont j'ai eu soin de vous faire reconnaître l'ex
ndrissement des réflexes tendineux et, enfin, la perte totale du sens musculaire . Or, Messieurs, ces caractères cliniques, vous le
e sensation ; j'ajouterai que toutes les notions fournies par le sens musculaire relatives aux mouvements passifs, imprimés à cett
ent, il y a anesthésie cutanée et profonde, perte des notions du sens musculaire , tandis que les doigts qui ont conservé leurs mou
est accompagnée d'anesthésie cutanée et profonde, de la perte du sens musculaire , enfin de la diminution ou de l'abo-ition des réf
complètes, t. ra, Système nerveux. 23 abolition des notions du sens musculaire . Le syndrome est, dans les deux cas, le même abso
ir à la fois et la contracture par la pression exercée sur les masses musculaires , les tendons ou les troncs nerveux (contracture d
grandes articulations, l'impuissance reste la même quand les groupes musculaires qui meuvent ces jointures sont sollicités à agir
férieur du côté affecté paraît raccourci, par suite de la contracture musculaire qui élève le bassin du côté correspondant. 2° L
t immédiatement communiqué au bassin ; là encore c'est la contracture musculaire qui est en jeu. Comme vous le savez, Messieurs,
aines jointures (pieds, mains, poignets, épaules) les notions du sens musculaire ont disparu, tandis que pour d'autres, le coude,
ture ; l'amaigrissement du membre lui-même ne répond pas à l'atrophie musculaire , avec flaccidité qu'on trouve dans les coxalgies
absolument saines. Enfin, toutes les notions de la catégorie du sens musculaire sont complètement abolies. De telle sorte, Messie
paralysie motrice transitoire complète du membre, avec perte du sens musculaire . C'est là, en somme, un nouvel argument en faveur
ficielle et profonde, avec impuissance motrice absolue, sans rigidité musculaire et que, par conséquent, ils ont été en tout compa
nc nerveux aurait pu, à la rigueur, produire la paralysie d'un groupe musculaire , des extenseurs, par exemple, et, en conséquence,
oagulation de la myosine 1 se produirait ici, dans ceux des faisceaux musculaires qui se sont trouvés soumis au plus haut degré de
umis au plus haut degré de l'ischémie ; tandis que dans les faisceaux musculaires moins profondément intéressés surviendrait un tra
aînant d'abord la résorption de la myosine coagulée, puis la sclérose musculaire et au dernier terme le raccourcissement définitif
as, en effet, la rigidité spasmodique porte à la fois sur les groupes musculaires antagonistes, extenseurs et fléchisseurs, par exe
rofondes et s'accompagnant de la perte plus ou moins complète du sens musculaire , lorsqu'il s'agit de l'hystérie. Or, ces caractèr
je vous fais reconnaître sur ce membre d'un certain degré d'atrophie musculaire et de refroidissement des téguments ; car ici l'o
cal1, puis dans un mémoire qui fait par- 1. Babinski, De L'atrophie musculaire dans les paralysies hystériques (Progrès médical,
régulièrement marquées par l'existence d'un certain degré d'atrophie musculaire ; que celle-ci même, à la vérité toujours sans acc
s muscles ; pression modérée cependant, car il s'agit ici d'un spasme musculaire et nullement, je vous l'ai démontré, de cette alt
fracture ait pu, chez notre ma lade Dum..., déterminer la contracture musculaire durable que nous avons sous les yeux. Ce dévelo
nne la sensation d'un corps chaud. La sensibilité profonde et le sens musculaire sont normaux. Partout ailleurs, la sensibilité gé
vient d'être décrite. Evidemment, il ne s'agit plus là de contraction musculaire spasmodique. (J.M. G.) VINGT-SIXIÈME LEÇON Ga
jusqu'aux parties profondes, que toutes les notions relatives au sens musculaire sont abolies et que l'impuissance motrice se mont
rs segments du membre ne sont pas même perçus; 3° les notions du sens musculaire sont complètement abolies ; le malade ne sait pas
1. Voir les Leçons XX, XXI, XXII. 2. Voir J. Babinski De l'atrophie musculaire dans les paralysies hystériques. (Arch. de Neurol
al, 1886, n° 6 et I'Appendice IV, p. 478. II. Les notions du sens musculaire et le mouvement volontaire. (Voir la Leçon XXII
centrale. Les notions fournies par ce qu'on nomme proprement le sens musculaire » (S. Kinesthétique de Bastian) consisteraient, a
s particulièrement sans perte aucune des notions fournies par le sens musculaire . Mais souvent, comme nous l'avons fait remarquer,
de la sensibilité dans tous ses modes, y compris les notions du sens musculaire . On pourrait dire que, dans ce dernier cas, la pa
ux faire que de supposer que la sensibilité concomitante du mouvement musculaire coïncide avec le courant centrifuge de la force n
l'idée de Bain, Wundt et autres, que notre « conscience de l'activité musculaire » est en grande partie initiale, centrale et réal
es moteurs corticaux) que sont emmagasinés les résidus des sensations musculaires dont nous lirons nos intuitions motrices... » « L
siège... de la conception du degré et de la qualité de l'innervation musculaire , c'est-à-dire de ce qu'on a appelé Inductions mus
'innervation musculaire, c'est-à-dire de ce qu'on a appelé Inductions musculaires . — Yoici enfin comment, sur ce même sujet, s'expr
non plus, de point ovarien bien caractérisé. Reste l'examen du sens musculaire : nous allons dire à la malade de saisir de sa ma
itée au bras du même côté que la paralysie, et avec abolition du sens musculaire ; enfin, tous ces accidents sont survenus chez une
lité et la motilité furent absolument normales. IV. De l'atrophie musculaire dans les paralysies hystériques *. (Voir la Leç
r ; dans l'autre, prédominance dans le membre inférieur. L'atrophie musculaire hystérique se présente sous l'aspect suivant : 1°
actilité électrique est diminuée en proportion du degré de l'atrophie musculaire , mais il n'y a pas de réaction de dégénérescence
jà augmenté de 1 centimètre. Quelle est la nature de cette atrophie musculaire ? Nous avons déjà dit plus haut qu'à l'examen élec
on serait erronée. On sait, en effet, que l'amaigrissement des masses musculaires qui résulte de la suppression simple de la foncti
ris de la moelle et les nerfs périphériques sont normaux ; l'atrophie musculaire est, comme dans l'hystérie, une atrophie simple.
môme plus y avoir de contestation au sujet de l'origine de l'atrophie musculaire , comme dans l'amyotrophie articulaire où l'autops
un fait important et incontestable s'en dégage, c'est que l'atrophie musculaire peut relever directement, contrairement à l'opini
MM. Liouville et Debove semblent rapporter le mutisme à une paralysie musculaire : « D'autres fois, disent-ils, elle (la paralysie
es fois, disent-ils, elle (la paralysie) intéresse certains appareils musculaires , tels que celui du larynx et alors, selon son deg
................................ t DEUXIÈME LEÇON. sur l'atrophie musculaire qui succède a certaines lésions articulaires. S
aires. Sommaire. — Traumatisme articulaire. — Paralysie et atrophie musculaire consécutives. — Modifications de la contractilité
tincelle électrique. — Exagération des réflexes tendineux. — Atrophie musculaire simple. — Pas de relation nécessaire entre l'inte
'articulation sont aflectés d'une manière prédominante. — Les lésions musculaires sont sous la dépendance d'une affection spinale d
tion.......................... 37 QUATRIÈME LEÇON. sur l'atrophie musculaire consécutive au rhumatisme articulaire chronique.
nsécutive au rhumatisme articulaire chronique. Sommaire. — Atrophie musculaire dans les arthropathies aiguës, subaiguës ou chron
s, douleurs intermittentes. — Impuissance motrice précoce. — Atrophie musculaire . — Troubles de la miction, de la défécation, des
..................................... 441 II. — Les notions du sens musculaire et le mouvement volontaire..... 464 FIN DE LA T
ar M. P. Marie............................. 471 IV. — De l'atrophie musculaire dans les paralysies hystériques, d'après les leço
res (Traumatismes), 28. Asyllabie, i68. Athétose, 2j£l Atrophie musculaire à la suite des lésions articulaires, 24; — conséc
104, 415. E Electriques (Réactions — des muscles dans les atrophies musculaires d'origine articulaire), 33; — Réactions — dans le
culaires d'origine articulaire), 33; — Réactions — dans les atrophies musculaires du rhumatisme chronique, 56; — Réactions — dans l
usculaires du rhumatisme chronique, 56; — Réactions — dans l'atrophie musculaire consécutive à une contusion du sciatique, 135; —
— dans les paralysies hystéro-trauniatiques, 305 ; — dans l'atrophie musculaire relevant de l'hystérie, 407. Ei.ectrisation sta
') dans le traitement de l'hystérie, 240. Hyperexcitabilité neuro - musculaire , 103. Hypnotisme (Coxalgie provoquée dans 1') ;
otilité, 303 ; — État de la sensibilité, 303, 319 ; — Perte du sens musculaire . 304; — Pas de modification des réactions électri
uscles, 197 ; — forme de Leyden, 200; — forme infantile de l'atrophie musculaire progressive de lhtehenne, 200 ; — n'est pas une a
ilway spine, 250, 355. Réflexes (Exagération des) — dans l'atrophie musculaire consécutive aux traumatismes articulaires), 33; —
stéro-trauma-tique, 4 0. Rhumatisme articulaire chronique (Atrophie musculaire consécutive au —), 51 ; — Différents types du —,
rganisation de la —) aupointde vue de l'enseignement, 3. Sclérose musculaire , 409. Sciatique (Contusion du nerf), 124; — dou
dans le développement de l'hystérie, 229. Steppage dans l'atrophie musculaire progressive, 199. Stigmates hystériques chez l'
6 (1858) Leçons cliniques sur les maladies chroniques de l'appareil locomoteur : professées à l'Hôpital des enfants malades pendant les années 1855, 1856, 1857
raité pratique sur les principales difformités des systèmes osseux et musculaire . Il n'y manque qu'un autre ordre; mais j'ai, cru
e l'appareil locomoteur, c'est-à-dire du système nerveux , du système musculaire , du système osseux (y compris ses annexes, ligame
u système nerveux locomoteur fait sentir ses effets dans les systèmes musculaire et osseux. Tout état morbide des muscles exerce u
e osseux qui dérivent des lésions des muscles, une série d'affections musculaires et osseuses dont la source est dans le système ne
peut être affecté en lui-même, indépendamment des systèmes nerveux et musculaire , de même que les muscles peuvent l'être indépenda
ment du système nerveux. De là une autre série de lésions osseuses et musculaires , les lésions qu'on peut appeler indépendantes, qu
s. Les propriétés, toutefois beaucoup moins développées, du système musculaire sont en rapport avec celles du système nerveux. L
cet âge; pourquoi les convulsions, les contractures, tous les spasmes musculaires , la paralysie, éclatent alors si soudainement, s
corps produit ce résultat; mais une autre cause réside dans l'action musculaire . Il y a, en effet, des sensations douloureuses qu
erve d'abord des changements de direction; ils sont dus à la réaction musculaire . Les muscles agissent alors pour soutenir la tête
, avant qu'il soit détaché de terre, il crie, il y a des contractions musculaires énergiques, peu ou pas de souplesse dans le tronc
térieure est produite par le relâchement des parties ligamenteuses et musculaires ; c'est le cas le plus commun. Vous verrez des enf
Hall et Millier s'en sont occupés. Il y a deux sortes de mouvements musculaires produits par les centres nerveux : Io les mouveme
ctures involontaires. Tous le? mouvements qui exigent quelque énergie musculaire , tels que 1 saut, la course, sont à peu près impo
lation avant de croire à la perte de la sensibilité. L'irritabilité musculaire , qui persiste le plus souvent, peut également êtr
iment étant seul aboli ; il est également possible que l'irritabilité musculaire persiste, alors que le mouvement réflexe est perd
publié un cas dans lequel il y avait perte complète de l'irritabilité musculaire ; mais il ne dit rien de l'état réflexe. On obse
la lésion de la moelle est grave s'il y a abolition de l'irritabilité musculaire . Nous ne possédons encore sur ce point que des co
à l'étude ; on ne s'occupe que depuis peu de temps de l'irritabilité musculaire , du mouvement réflexe et autres phénomènes physio
encore on n'observera plus les phénomènes réflexes, et l'irritabilité musculaire pourra être plus ou moins altérée. La forme la
uparavant la courbure des tibias ; il n'y a ici qu'un affaiblissement musculaire rachitique. Il ne faut pas non plus confondre l
ffecte qu'un seul côté, il existe souvent un torticolis dû à l'action musculaire , provoquée elle-même par un mouvement réflexe de
es traits de ressemblance avec celui que produit une simple affection musculaire ; nous verrons comment le diagnostic peut être éta
des subluxations et dont la cause réside principalement dans l'action musculaire . Je reviens aux luxations; on en observe parfoi
s ; mais vous avez vu que d'autres causes dérivant de la seule action musculaire peuvent également suffire à produire des inclinai
général, à l'appréhension de la douleur, qu'à une véritable faiblesse musculaire . Le malade a été pris de rougeole, puis de pneumo
courci. J'ai pris ce torticolis, je vous l'avoue, pour une rétraction musculaire essentielle. Je fus frappé cependant de la rigidi
ue forme un pli considérable, au fond duquel on aperçoit deux reliefs musculaires dus aux trapèzes qui se contractent fortement. Il
rtain. Les vives douleurs ressenties par la malade, cette contraction musculaire énergique, l'attitude vicieuse exagérée et perman
nes secondaires des arthrites chroniques, et notamment la contracture musculaire , que l'on a voulu présenter comme le dernier term
lu présenter comme le dernier terme de la paralysie. Outre l'action musculaire , il est une autre cause des attitudes pathologiqu
des lésions de l'appareil locomoteur est aigu ou chronique, osseux ou musculaire ; celui-ci, à son tour, est continu ou intermitte
ls vont nous servir pour distinguer l'affection osseuse du torticolis musculaire continu. Ce que je vous dirai de l'affection des
es os s'applique également à la synovite unilatérale. Le torticolis musculaire présente une attitude fixe, des formes spéciale
l'inclinaison; cette coïncidence ne se voit jamais dans le torticolis musculaire . Les symptômes propres de l'affection osseuse v
contracté d'une manière permanente, lorsque l'affection est purement musculaire ; dans le torticolis osseux, au contraire, les mus
miner, en raison du voisinage des deux organes : cependant la douleur musculaire existe dans le corps même du muscle, et non à ses
e redressement de la tête. Ces efforts produisent, dans le torticolis musculaire , une tension extrême du muscle, et une tension mo
, on peut reconnaître ces deux origines. Dans le torticolis d'origine musculaire , la rigidité existe dans un seul sens; elle est é
ons sous-occipitales. Rien de semblable ne se voit dans le torticolis musculaire ; on trouve seulement un muscle tendu et raccourci
isent après la naissance : le fœtus peut être atteint d'une affection musculaire , d'un mal sous-occipital; il peut naître avec les
et du cou. Nous avons vu cet état être la conséquence des torticolis musculaire et osseux. Ce qui, dans un cas, est effet, peut d
minent professeur et publiée par M. Séguin comme un cas de torticolis musculaire , me paraît un exemple de synovite sous-occipitale
ne faut pas agir toutefois avec la même force que dans le torticolis musculaire . II. Traitement de l'affection osseuse. — La lé
luxations traumatiques de l'adulte. b. Elle est causée par l'action musculaire ; ce mécanisme diffère de ce qui a lieu après la
tiques de luxation de la hanche, volontairement produite par l'action musculaire , avec réduction opérée de la même manière. On cit
du fémur de la cavité cotyloïde. 2° La luxation est due à l'action musculaire . — Cette opinion, émise par Chaussier, a été déve
nstatée à une époque où les muscles étaient à peine formés ; l'action musculaire ne produit de déplacements, après la naissance, q
utres fois d'une influence mécanique, combinée .avec des contractions musculaires anormales , etc. (1) Nous avons vu que la capsu
t , le tronc tend à tomber en avant ; mais il est retenu par l'action musculaire . La flexion souvent considérable du bassin, chez
arfois une laxité trop grande. Celle-ci peut dépendre de la faiblesse musculaire , qu'on devra traiter par l'exercice modéré, les e
mur pouvait être portée dans plusieurs directions par la seule action musculaire . Cet homme était bateleur, et utilisait sur les p
ue encore l'usage des fortifiants qui conviennent contre la faiblesse musculaire . Le repos de l'articulation, soit par le seul eff
r de vous sans avoir au moins abordé l'histoire clinique des maladies musculaires , sans vous avoir au moins présenté un spécimen de
ons. Un fait capital se remarque dans le mode d'activité du système musculaire : c'est le phénomène physiologique de coordinatio
s pathologiques consistant dans un vice de coordination de l'action musculaire , dans des contractions désharmoniques substituées
se retrouve comme un abrégé complet de toutes les formes de maladies musculaires . Cette affection est le strabisme. ARTICLE IV
ion est importante au point de vue de l'élude des lésions de l'action musculaire ; on la retrouve dans les autres muscles du squele
celui qu'on peut appeler égal ou uniforme. II. Nature de la lésion musculaire . — Quelle est la lésion musculaire à laquelle se
niforme. II. Nature de la lésion musculaire. — Quelle est la lésion musculaire à laquelle se lie la déviation des yeux ? Elle es
yeux ? Elle est de deux sortes : il y a un strabisme par contraction musculaire , et un strabisme par rétraction. 1° Strabisme p
ons, maladies cérébrales, etc. Je ne parle pas des cas de paralysie musculaire partielle, donnant lieu au strabisme parce que l'
L'anatomie pathologique confirme ce que je viens de dire de la lésion musculaire ; j'ai fait plusieurs autopsies, et j'ai trouvé le
s raccourcis dans quelques cas, non dans d'autres. Outre l'appareil musculaire de l'œil, il est un organe qui joue un rôle impor
rer de (1) Quinzième leçon, 24 août 1855. l'étal des contractions musculaires dans l'œil affecté. On n'oubliera pas non plus de
dont la médecine fait habituellement usage. L'électricité cutanée ou musculaire a donné quelques suc ces. On doit y recourir av
elques cas rares, on a réussi de cette manière à rétablir l'équilibre musculaire . Ces moyens échouent, en général, chez l'adulte
à savoir, la téno-tomie pratiquée dans les autres parties du système musculaire , est en partie vicieux, et a conduit naturellemen
ts et introduit de haut en bas, ou de bas en haut, sous la bandelette musculaire . Troisième temps. — Lorsque le muscle est saisi
les supérieur et inférieur, et voir s'il ne reste pas quelque portion musculaire non divisée, qu'on incisera à petits coups. S'il
médiat, et par le seul défaut d'équilibration consécutive de l'action musculaire ; aussi doit-on se faire une règle de ne pas opére
ointures et dans l'articulation tibio-astragalienne. Les puissances musculaires qui produisent ces divers mouve- (1) L. Delâtre
e de talus que je place sous vos yeux. h° Le pied bot primitivement musculaire est de beaucoup le plus commun. Ce pied bot, de m
difformités du squelette; je veux parler de la rupture de l'équilibre musculaire par des causes pathologiques. Dès que cet équilib
systèmes, que presque toutes les difformités osseuses ont une origine musculaire . Nous verrons, en effet, qu'un grand nombre de ce
autre partie du corps, a besoin d'un parfait équilibre des puissances musculaires qui l'entourent. Vacillantes par elles-mêmes, ses
r les muscles. Or, une foule de causes peuvent détruire cet équilibre musculaire . Si vous maintenez longtemps les muscles d'un mem
bre raccourcis ou allongés, l'équilibre est rompu dans les puissances musculaires , et il surviendra des déviations dans le sens des
dans la station continuelle, surtout avec port de fardeaux et efforts musculaires , suffit quelquefois chez les jeunes apprentis de
mps le pied dans la même direction, peut finir par rompre l'équilibre musculaire et par produire un pied bot. C'est ce qui arrive
ections ont pour conséquence immédiate l'excitation de la contraction musculaire , ou l'affaiblissement, l'abolition de cette contr
plus forts. Notons enfin, parmi les causes de la perte d'équilibre musculaire , l'atrophie graisseuse progressive. M. Broca(l) a
ent rétracté. C'est en quelque sorte un premier degré de cette lésion musculaire . Chez le second, le triceps sural résiste davanta
entel, il dépend de l'allongement des ligaments, de l'affaiblissement musculaire , surtout de la diminution d'action du long péroni
e que vous avez sous les yeux, par la seule influence d'une faiblesse musculaire générale sans paralysie. Chez presque tous ces
enfant naît avec un spina bifida, qui entrave plus ou moins l'action musculaire de la moitié inférieure du corps; plus tard, la c
que la difformité a été dans les deux cas la conséquence de l'action musculaire pervertie par le trouble de l'action nerveuse?
nfant né pied bot porte en outre des marques d'une lésion nerveuse ou musculaire , analogue à celles qui produisent cette difformit
à la naissance, sans traces de lésion primitive du système nerveux ou musculaire . Gomment déterminer alors la cause de cette diffo
eproduite plus tard en France sous le nom de théorie de ta rétraction musculaire convulsive. Mais d'autres causes que les convulsi
entraîner, avant comme après la naissance, la rupture de l'équilibre musculaire et l'inclinaison du tarse qui constituent les pie
r lieu à des inclinaisons permanentes des os, à des raccourcissements musculaires consécutifs. L'enroulement du cordon ombilical
our de la jambe a été aussi invoqué comme produisant des contractions musculaires irrégulières , et par suite la torsion du pied. C
mécaniques ou pathologiques pour rompre l'équilibre du développement musculaire . Une force inconnue dans sa nature, mais démontré
oit en résulter. La main n'est pas déformée, parce que la faiblesse musculaire a été égale dans tous les muscles. IIIe cas. —
s. Il ne faut pas oublier qu'il y a deux sortes.de raccourcissement musculaire dans le pied bot. On a longtemps discuté pour s
ns le pied bot. On a longtemps discuté pour savoir si la rétraction musculaire existait avant ou après l'inclinaison osseuse dan
ed bot. Les uns ont soutenu , d'après Duverney (1), que la rétraction musculaire , étant le fait primitif, précédait toute altérati
ut s'expliquer sur ce qu'on entend par rétraction ou raccourcissement musculaire . Il y a en effet, dès l'origine, une contraction
tains pieds bols paralytiques ne présentent presque que la réiraction musculaire . Vous devinez les conséquences qui résultent de t
enneté du pied bot, outre qu'elle augmente l'étendue de la rétraction musculaire , accroît encore le nombre des muscles rétractés.
irconstances modifient plus puissamment encore l'exercice de l'action musculaire dans le varus. D'abord la cause môme de la diff
même n'a plus lieu; toute propriété motrice est éteinte dans la fibre musculaire . Ces deux étals ont été décrits par M. Duchenne (
l-Hall. Mais, de quelque façon que s'exerce dans l'origine l'action musculaire , elle s'affaiblit peu à pou, d'abord dans les mus
scles allongés, puis dans les muscles raccourcis. Cet affaiblissement musculaire est produit par des circonstances variées, qui to
duction, dans l'exécution des mouvements physiologiques. Les agents musculaires de cette déviation des pieds en dehors sont les a
ension offre divers degrés dépendant de l'étendue du raccourcissement musculaire . J'en distinguerai trois principaux : 1° Dans u
plégie gauche, la main ne conserve aujourd'hui qu'un peu de faiblesse musculaire ; mais le pied offre un léger équinisme. Il est su
telligence en partie détruite. Il y a chez elle plusieurs rétractions musculaires . Ainsi les fléchisseurs des genoux l'emportent su
s. Ce fait dépose évidemment en faveur de la théorie de la rétraction musculaire convulsive, antérieure à la naissance, théorie do
sse, de ne représenter que grossièrement les effets de la contraction musculaire , et il s'est efforcé de reproduire ces effets en
xpliquait en disant que la section du tendon faisait cesser le spasme musculaire , qui ne s'opposait plus dès lors à l'allongement
te, au contraire , dans beaucoup de cas, par la rétraction des fibres musculaires . Quant au bout inférieur, il descend et s'éloigne
ns de développement des éléments de la difformité. Tant que l'élément musculaire prédomine, la ténotomie peut réussir ; si c'est l
elle observation de pied bot où l'on a pratiqué dix ou douze sections musculaires ou ligamenteuses sur des enfants de neuf ans, de
ver la circulation et la nutrition du membre ; tels sont : l'exercice musculaire , le massage, la percussion, la flagellation, les
ions, et qui est presque toujours consécutive à une lésion du système musculaire . (1) Onzième leçon, 1er août 1856. L'autre es
t tenir à l'habitude de coucher les enfants sur le côté ou à l'action musculaire . Assez rare ou peu prononcé dans le rachitisme pu
de M. Lacroix. Il n'est pas facile de trouver dans la seule action musculaire la cause de cette courbure de l'humérus. La flexi
ici l'influence du poids du corps, des courbures naturelles, l'action musculaire , et l'effet produit par le poids du pied quand le
oduire à la fois les premières lésions et la seconde. F. Le système musculaire des enfants rachitiques offre deux genres d'altér
t de configuration des os. C'est surtout aux membres que le système musculaire est ainsi profondément modifié. Le temps a fait j
de la concavité. Mais, dans ces modifications qu'éprouve le système musculaire , il faut distinguer les muscles profonds et les s
considérablement entravée chez les enfants rachitiques. La faiblesse musculaire , le ramollissement et la direction vicieuse des o
plus qu'à toute autre. C. Le mouvement favorisera le développement musculaire et la formation du tissu osseux; malheureusement,
es par la seule action mécanique de la pesanteur et de la contraction musculaire . Xe cas. — Je termine en plaçant sous vos yeux,
ar la sensation du poids des parties et par la perception de l'action musculaire , apprend à l'enfant lui-même à leur donner cette
e des vertèbres dorsales et des ligaments intervertébraux. L'action musculaire courbe la région cervicale dans le même sens que
oins qu'elles ne soient maintenues ou reproduites par la seule action musculaire . Mais, à la longue, ces courbures deviennent perm
eviennent permanentes; les pressions constantes exercées par l'action musculaire au cou et aux lombes, par la pesanteur au dos, mo
bit encore dans la station l'influence de la pesanteur et de l'action musculaire , qui ajoutent un surcroît de courbure par flexion
tous ces cas, la déformation est favorisée par un manque de tonicité musculaire , et causée par le poids du corps. D'autres fois,
s. D'autres fois, la déformation est active et dépend de contractions musculaires . Ceux qui ont la vue courte baissent la tête pour
rmation particulière du squelette, ou par un mode spécial de l'action musculaire , développe la cyphose juvénile. Une souffrance
ation est dé fortifier la constitution , et en particulier le système musculaire , au moyen des bains stimulants, des douches, des
yphose sénileest une suite nécessaire de l'affaiblissement du système musculaire . Le rachis, mal soutenu par ses extenseurs, retom
ompte. Le rhumatisme est une cause importante de la cyphose; il est musculaire ou articulaire : dans le premier cas, il agit tan
du poids des parties supérieures, en faisant cesser les contractions musculaires nécessitées par les besoins de l'équilibre , elle
r les muscles abdominaux dans certains cas de cyphose avec rétraction musculaire . Ce moyen ne serait indiqué que si la contraction
C'est assurément une chose merveilleuse que de voir la ^eule action musculaire renverser ainsi la courbure naturelle du racbis,
ues des membres inférieurs, les abcès par congestion, les rétractions musculaires , etc., siégeant d'un seul côté ou des deux ; la l
rce que le système nerveux tend à coordonner instinctivement l'action musculaire suivant l'habitude qu'il a contractée. Rompre c
un côté fort, d'un côté faible; les seconds d'un inégal développement musculaire , d'hypertrophie, d'atrophie, de muscles plus sail
lle de volume la différence qui en résulte dans la saillie des masses musculaires à droite et à gauche. On ne reconnaît, pendant
mécanisme de la rotation physiologique produite par les contractions musculaires . La rotation partielle n'est qu'un effet de la dé
marques de la pression verticale exercée par la pesanteur et l'action musculaire . Mais comment l'excès de pression sur un côté d
s apophyses articulaires, soit par Delpech, qui croyait à des efforts musculaires instinctifs de nature à tordre le tronc (3). C'
i qu'aux points principaux. Ici, comme partout ailleurs, les fibres musculaires , en vertu de leur tonicité, tendent à parcourir,
ensibilité naturelle, comme on l'observe dans la véritable rétraction musculaire , telle que celle des pieds bots et du torticolis
étraction musculaire, telle que celle des pieds bots et du torticolis musculaire ancien, etc. : c'est là un fait que j'ai constaté
iologiques qui se produisent pendant la vie. L'absence de contraction musculaire , dans ce cas, donne lieu à une véritable dia-stas
rée, on ne produit, même dans cette expérience, qu'une légère tension musculaire ne mettant point obstacle à l'écartement des os,
courbures. On rencontre exceptionnellement une véritable rétraction musculaire qui concourt à l'inflexion latérale des vertèbres
ints, moindre du côté de la convexité des courbures, et les faisceaux musculaires correspondants sont plus courts que du côté de la
xtension directe, soit l'inclinaison latérale du tronc. Les faisceaux musculaires de la concavité deviennent d'autant plus inutiles
nte, comme ces dessins en offrent de nombreux exemples (5). De nature musculaire , il se raccourcit à proportion comme un muscle d
as, vers la cavité pelvienne, et en avant, où ils distendent la paroi musculaire de l'abdomen. Suivant le volume proportionnel des
des torsions physiologiques semblables à celles que produit l'action musculaire . Fleischmann (2) cite un cas de courbure double,
ncomitante est sans doute un motif de penser qu'il y a eu contracture musculaire primitive, lorsque d'ailleurs on trouve les muscl
dernier exemple, des influences mécaniques indépendantes de l'action musculaire pourraient courber le rachis de certains monstres
r affaissement latéral. Puis est venue la doctrine de la rétraction musculaire . Reprenant les idées de Méry et de Morgagni, elle
y et de Morgagni, elle appliqua la théorie du pied bot, du torticolis musculaire ancien au plus grand nombre (1) Loc. cit., p. 5
cipale répond aux vertèbres les plus ramollies, à celles que l'action musculaire incline davantage, ou, suivant la remarque de Lev
oussure du côté droit du dos, à la hauteur de l'omoplate , la saillie musculaire de la gouttière vertébrale correspondante, sont a
posés à chacune de ces saillies sont déprimés, aplatis, leurs reliefs musculaires effacés. • Les épaules proéminent inégalement,
er de ces données fournies par l'observation. b. Effets de l'action musculaire . — Le mode et l'influence de l'action musculaire,
. Effets de l'action musculaire. — Le mode et l'influence de l'action musculaire , dans la courbure latérale de l'épine, nous arrêt
arrêteront quelques instants. Dès le début de la scoliose, l'action musculaire tend à se coordonner de manière à produire des at
é ce thème en plaçant le siège de la rétraction dans divers faisceaux musculaires , et même dans les deux muscles parallèles des côt
, soulevez le milieu du tronc pour qu'on ne dise pas que les attaches musculaires sont plus rapprochées que dans la station, il vou
ort avec celle du squelette. L'influence évidente de la contraction musculaire sur les courbures latérales de l'épine, — tant qu
autre augmente. L'inclinaison des lombes sur le sacrum par l'action musculaire peut, comme dans l'état naturel, se produire en s
ement réuni, dans certaines circonstances, l'influence des mouvements musculaires et celle des mouvements passifs communiqués à la
pension par les bras, par exemple, position qui joint à un exercice musculaire actif les effets de la suspension passive du corp
ns l'état de repos. Mais au moindre mouvement actif, dans tout effort musculaire un peu prolongé, dans une marche rapide , dans la
rmation de la région dorso-lombaire était le produit de la rétraction musculaire , comme on le voit au cou dans la rétraction du st
teur simule, à s'y méprendre, tous les actes qui dépendent du système musculaire ; le même fait peut se présenter dans la vie réell
Art. Réforme du Dict. de mèd. ctdechir. pratiques, t, XIV, p. 159. musculaire ou autre, aussi bien que d'une feinte et d'une si
d'une moitié du corps, n'est pas borné à une région comme la saillie musculaire de la scoliose; il s'étend à toute la longueur de
r de l'épine et, de plus, il est commun à toute une moitié du système musculaire . f. La situation de l'épaule peut s'éloigner de
imaux. Les appticata, les gesta, ou les vêtements et les mouvements musculaires , exercent une action plus directe sur le rachis.
gler l'emploi à ce point de vue spécial. La nécessité de mouvements musculaires fréquents et inulti- bottvikr. 30 plies, dans
on intellectuelle ont fini par réduire considérablement les exercices musculaires de la jeunesse. Cela peut être sans inconvénients
ncore tous les mouvements capables d'exercer régulièrement le système musculaire . La marche, la course, les mouvements spontanés d
ose, on y aura recours avec avantage dans les cas de grande faiblesse musculaire ou de grande laxité des articulations du rachis.
ême ligne que ces médications la gymnastique, c'est-à-dire l'exercice musculaire en général, pratiqué dans la mesure convenable po
est qu'elle doit guérir par les toniques et par le retour des forces musculaires . Delpech lui-même a très-bien montré le peu de fo
et de leurs ligaments. Ils comprennent : Io la position; 2° l'action musculaire ; 3° les appareils mécaniques ou les bandages et m
par nuire à l'exercice régulier des fonctions; il débilite le système musculaire , peut amener le relâchement des articulations, di
levés pendant un nombre d'heures suffisant pour l'activité du système musculaire et pour l'exercice normal des fonctions, on leur
s ou des appareils spéciaux retiennent le haut du tronc. bb. Action musculaire . — Au lieu de soustraire les vertèbres à l'action
hidique, qui joindrait aux effets généraux, dynamiques, de l'exercice musculaire , aux effets particuliers propres à corriger les a
t que la gymnastique guérisse la scoliose en rétablissant l'équilibre musculaire , et spécialement l'action des muscles inertes. Vo
tes. Vous avez vu que la vraie scoliose n'est nullement une affection musculaire , et même en admettant que la con« traction des mu
his et de. sa déformation, même au début de la difformité, on appelle musculaires toutes les déviations encore peu prononcées; on c
On a cherché à provoquer, d'une manière plus constante, une action musculaire propre à redresser les courbures lombaires, en pl
nconvénients attachés à la position déclive de la tête et à l'inertie musculaire ; ils jouissent, au contraire, des propriétés dyna
e remplacée par une légère distension, à la convexité. La contraction musculaire peut bien neutraliser en partie ces effets; mais
s avant-bras ou les coudes. L'un et l'autre exigent de grands efforts musculaires pour rendre les articulations rigides, inflexible
s par l'attitude et par les efforts qui les accompagnent. JL'aciion musculaire , dont je viens d'examiner les principaux modes or
ps. Enfin d'autres variations résultent des mouvements et des efforts musculaires , qui tendent à rapprocher la tête et le bassin et
his par l'intermédiaire des côtes, des épaules, du bassin, des masses musculaires des lombes, et même des viscères mous de l'abdome
dans des cas rares de courbures dépendant d'une véritable rétraction musculaire sans déformation primitive du rachis ; et il n'ex
u'une diminution immédiate des courbures a suivi de près les sections musculaires ; mais on ne dit pas quelle diminution ces courbur
ariétés du strabisme................... 1*8 II. Nature de la lésion musculaire ............... 144 1° Strabisme par contraction
nteur et des pressions extérieures. . . . 441 b. Effets de l'action musculaire ............. 443 C. Influence de la scoliose su
............ 471 aa. Position..................... ib. bb. Action musculaire ................. 474 1° Exercices avec station
7 (1902) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 15]
D ( z CONTRIBUTION CLINIQUE A L'ÉTUDE TOPOGRAPHIE DES ATROPHIES MUSCULAIRES MYÉLOPATHIQUES par MM. K. UNSIAN ancien c
n endroit donné, la neuvième, et les cin- TOPOGRAPHIE DES ATROPHIES MUSCULAIRES MYÉLOPATHIQUES 3 duiéme et sixième métamères se
es termes : Les troubles moteurs des membres, paralysie ou atrophie musculaire , produits par une lésion localisée de la corne
rologie de décembre 1901 et janvier 1902, TOPOGRAPHIE DES ATROPHIES MUSCULAIRES MYÉLOPATUIQUES 5 MM. Parhon et Goldstein ont pu
rticula- tions, car toute désarticulation lèse forcément le segment musculaire plus haut situé puisqu'elle s'accompagne de la
rveux) la clinique n'a jamais montré chez l'homme un cas d'atrophie musculaire myélopathique à disposition segmentaire; la topo-
ndispensable pour établir exactement la topographie des altérations musculaires ; enfin, à leur période initiale, les altération
nt aussi bien les muscles atteints que le rapport entre les lésions musculaires et les lésions médullaires. L'extrême rareté de
aires. L'extrême rareté de la poliomyélite chronique, de l'atrophie musculaire du type Aran-Ducllenne, ne permet pas d'espérer q
syringomyélie et la paralysie infantile. TOPOGRAPHIE DES ATROPHIES MUSCULAIRES MYÉLOPATHIQUES 7 Nous ne voulons pas aborder ic
vancée une disposition radiculaire de l'atrophie 8 CESTAN ET üUGT musculaire , nous serons en droit de mettre cette disposition
thésie à la piqûre, au froid et au chaud. TOPOGRAPHIE DES ATROPHIES MUSCULAIRES MYÉLOPATHIQUES 11 Les troubles sensitifs occupe
moyenne et réagissent à la lumière et à l'accommodation. Les masses musculaires et les nerfs ne sont ni hypertrophiés ni doulou
rs destructifs déterminent des paralysies définitives avec atrophie musculaire accompagnée de troubles des réactions électri-
d'établir le rapport qui dans cette affection unit les altérations musculaires aux altérations médullaires. Malheureusement le
à élucider qu'un seul point, l'origine médullaire de cette atrophie musculaire infantile. Cependant il est intéressant de sign
aphie DE la S.1LYÉCRIF`RE. r. XV. PI. III TOPOGRAPHIE DES ATROPHIES MUSCULAIRES MYELOPATHIQUES (Ces/an et flrml). Paralysie i
vation des bras horizontalement en croix. TOPOGRAPHIE DES ATROPHIES MUSCULAIRES MYÉLOPATUIQUES 13 ce fait essentiel, que la par
faut reconnaître que si l'atrophie prédomine souvent sur un groupe musculaire et revêt ainsi une topographie radiculaire, très
nde. Il en est de même aussi des radiaux. TOPOGRAPHIE DES ATROPHIES MUSCULAIRES MYÉLOPATHIQUES 15 Au contraire les autres muscl
raissent les premières contrac- tions.) TOPOGRAPHIE DES ATROPHIES MUSCULAIRES MYÉLOPATUIQUES 17 18 CESTAN ET HUET TOPOGRAPH
RES MYÉLOPATUIQUES 17 18 CESTAN ET HUET TOPOGRAPHIE DES ATROPHIES MUSCULAIRES MYÉLOPATniQUES 19 l'avant-bras (notamment dans
prises ont donné les résultats suivants : TOPOGRAPHIE DES ATROPHIES MUSCULAIRES MYÉLOPATHIQUES 21 Or cette distribution se supe
d'une manière générale, est atrophié chez notre ma- lade le groupe musculaire innervé par les racines inférieures du plexus b
et plus faibles qu'à droite ; leurs réac- TOPOGRAPHIE DES ATROPHIES MUSCULAIRES MYÉLOPATHIQUES 23 tions électriques ne présente
ions radi- culaires, correspondant à la topographie des altérations musculaires cons- tatées chez notre petit malade auraient v
la partie supérieure du plexus brachial, TOPOGRAPHIE DES ATROPHIES MUSCULAIRES MYÉLOPATHIQUES 25 cependant d'une part les musc
dégage de ces faits cliniques : la seule topographie des atrophies musculaires ne peut servir de base au diagnostic de siège m
ment accentués, et, après un repos au lit de quinze jours, la force musculaire avait diminué au point que l'enfant ne pouvait
muscles ont subi une altération particulière permettant à la fibre musculaire de répondre encore normalement aux excitations
nsité de 50 à 60 M. A. Sous l'in- fluence de ce traitement la force musculaire parait augmenter. Nous nous proposons de représ
te quelque intérêt par la topographie un peu spéciale de l'atrophie musculaire . Pour les motifs que nous exposerons plus loin,
HIQUE PROGRESSIVE 33 Louise D., âgée de 23 ans, atteinte d'atrophie musculaire progressive est admise à l'hospice de Pinchat (
s, nés de ces trois lits, seule notre malade présente de l'atrophie musculaire , les autres n'ont pas de tare spéciale. Antécéd
ge, etc. Son état général s'améliora visiblement, mais la faiblesse musculaire alla en augmentant et des essais de marche prol
ame- nait également des douleurs dans les poignets. La faiblesse musculaire augmente progressivement de 1894 à 1896, et à p
presque absolue dont elle est atteinte et par l'atrophie du système musculaire . Elle reste étendue dans son lit ; elle soulève s
, absolument impossible. L'examen détaillé des fonctions du système musculaire donne les résultats suivants : Les muscles de
ienne et des membres inférieurs. Les dé- gâts causés par l'atrophie musculaire sont bien plus considérables qu'à la cein- ture
arrivés à un degré très avancé d'atrophie; les faibles contractions musculaires qu'ils peu- vent encore donner sont insuffisant
ied ni les orteils ; le pied reste en varus équin. Etat des niasses musculaires . L'état atrophique est suffisamment indiqué par
nnent des sensations aussi nettes que chez un sujet normal. Le sens musculaire et la no- tion de position sont conservés. Se
des troubles qui ne paraissent pas être en relation avec l'atrophie musculaire ; c'est de la pho- tophobie avec clignotement d
e et qui étaient du reste ma- nifestement le résultat de l'exercice musculaire prolongé. L'examen clinique du coeur, des reins
aible résistance du sujet. Observation résumée. Début de l'atrophie musculaire , il l'âge de quinze ans environ, par les muscle
tères géné- raux de la myopathie atrophique progressive ou atrophie musculaire pro- topathique. L'évolution lente et régulière
x de la maladie permettent de diagnostiquer la nature de l'atrophie musculaire - protopathique ou deutéropathique, il importe pe
des diverses formes de myopathies en une entité morbide, l'atrophie musculaire myopathique en opposition il l'atrophie muscula
bide, l'atrophie musculaire myopathique en opposition il l'atrophie musculaire myélopathique, on signalait successivement l'exis
on signalait successivement l'existence possi- ble des rétractions musculaires dans toutes les variétés de myopathies ; ce son
io-scapulo-humérale. Enfin très exceptionnellement, les rétractions musculaires peuvent être assez intenses et généralisées pou
hérédité (1). Antécédents héréditaires. Il n'existe pas d'atrophie musculaire ni dans la ligne paternelle ni dans la ligne ma
ement obligé de se traîner pour avancer. D'ailleurs les rétractions musculaires s'exa- gèrent lentement ; les jambes se fixent
mouvements. La gêne est exclusivement provoquée par les rétractions musculaires . Le mouve- ment actif d'extension a perdu une g
sous-cutanée, sans trouble trophique. Elle laisse voir les reliefs musculaires assez bien accusés et saillir les insertions ten-
t pas d'arthrites ; la limitation des mouvements est bien d'origine musculaire . Les réflexes osseux et tendineux sont très faibl
acine des membres, les caractères si particuliers de cette atrophie musculaire modifiant au prorata les réflexes, ne s'accompagn
la nature myopa- thique de ces pseudo-contractures par rétractions musculaires . Au surplus, les rétractions musculaires passée
ntractures par rétractions musculaires. Au surplus, les rétractions musculaires passées un instant sous silence, cette myopathi
ire. Les réflexes tendineux sont affaiblis au prorata de l'atrophie musculaire ; les réflexes cutanés sont normaux; le système
version polaire ou l'égalité polaire fait défaut, mais la secousse musculaire est brève, sans cette lenteur spécifique en que
ant un "gros intérêt qui réside et dans l'intensité des rétractions musculaires et dans le caractère familial de cette tendance
nt d'observer au cours de la myopathie un léger degré de rétraction musculaire , quelle que soit d'ailleurs le type clinique de l
ONS FAMILIALES 49 des membres avec conservation relative de la joue musculaire à l'extrémité des membres. Souvent le myopathiq
s du bassin et de la cuisse. Mais notre malade a conservé une force musculaire assez considérable de ses extrémités et au surp
assez considérable de ses extrémités et au surplus les rétractions musculaires ont eu pour lui l'avantage d'une part de rappro
e à quel point a été pour lui utile l'apparition de ses rétractions musculaires . Tout enfant, il marche avec peine, se lève ave
obilisé sur sa chaise plusieurs années durant, mais les rétractions musculaires viennent fixer ses cuisses sur son bassin, ses ja
re à chaque instant compromisses autres sur le rôle des rétractions musculaires . Dans l'espèce, il ne saurait exister une règle
s facteurs et chez notre malade elle dépend surtout des rétractions musculaires . Ces rétractions présentées par nos deux malade
ibilité d'extension de la jambe gauche sur la cuisse par rétraction musculaire . OBs. VI. M... Georges, frère du précédent. Typ
ut, alors que le myopathique a encore con- servé une certaine force musculaire ; Gowers est l'auteur qui a le mieux distingué
YOPATHIE AVEC RÉTRACTIONS FAMILIALES 51 la conservation d'une force musculaire assez énergique à tel point que notre jeune mal
ocalisée (3e édit., p. 509) Duchenne estime que dans toute atrophie musculaire (la distinction n'était pas encore faite entre
ue la main en griffe, sont dues à l'action prédomi- nante du groupe musculaire antagoniste des muscles atrophiés. « En con- sé
édominante,c'est-à-dire de l'action propre du muscle ou du faisceau musculaire . » Cette théorie a été géné- ralement acceptée
tée par tous les auteurs et appliquée aux déformations par atrophie musculaire , quelle qu'en soit la variété, Aran-Duchenne, scl
ompagne tou- jours d'une sclérose du tissu conjonctif des faisceaux musculaires , il était permis de supposer que les déformatio
me chez nos deux malades ? Certes, chez eux la palpation des masses musculaires donne une sensation fibreuse, surtout très mar-
séparer l'atrophie myopalhique pseudo- hypertrophique de l'atrophie musculaire atrophique, car ce caractère de pseudo-hypertro
hie que caractériseraient la généralisation précoce des rétractions musculaires , leur intensité malgré la conservation a peu pr
utieux ne permet pas de constater aucun phénomène d'ataxie. Le sens musculaire est conservé. Les membres supérieurs sont intac
hez elle, cela n'est ni question de force ni question de résistance musculaire . Dans cette circonstance nous avons mieux que cet
malade, obéit il des causes bien étrangères à la simple résistance musculaire : ainsi, si je commandais à ma malade de rester
tre accompagnée dans quelques cas de l'atrophie de certains groupes musculaires . On comprend que la connaissance du fait que le
manifestent, en certaines circonstances, une tendance à l'atrophie musculaire progressive, est d'une grande importance pour écl
e de Thomsen peuvent rendre grand service à l'étude des atro- phies musculaires progressives, ayant à leur tour grand besoin de n
res. Le rapport mutuel des fibres et leur disposition dans la masse musculaire , rappelle le tableau caractéristique pour un musc
en désordre sous le sarcolemme, en donnant à la surface de la fibre musculaire un aspect d'une peau de léopard (c, fig. 5) ; t
ation mécanique plus forte évoque, facilement, outre un bourre- let musculaire saillant, un état tétanique prolongé de tous les
tableau commencent et se surajouter des pheno- mènes de l'atrophie musculaire progressive, y compris le visage myopathique av
récédents, se distingue beaucoup de la localisation des dystrophies musculaires pures, quoiqu'elle ait beaucoup de com- mun ave
, caractérisé au microscope par l'augmentation de volume des fibres musculaires , manifeste en d'autres cas une tendance à la di
Nous sommes, bien entendu, loin de compter l'atrophie des grou- pes musculaires classiques pour le résultat nécessaire de la mala
anatomiques et fonctionnels, exceptionnels et prolongés du système musculaire , présente beaucoup de commun avec la dystrophie
culaire, présente beaucoup de commun avec la dystrophie progressive musculaire ; il paraît plus juste d'attribuer l'une et l'a
ystème nerveux. On était surtout d'un avis pareil sur la dystrophie musculaire ; mais ces derniers temps on a fait beaucoup de r
es réflexes tendineux, on a noté dans la même famille la dystrophie musculaire et des maladies graves du système ner- veux (da
la symptomatologie si compliquée à une capacité douteuse du système musculaire seul, ne peut être expli- 76 ROSSOLIMO quée a
ROSSOLIMO quée après l'éloignement de son domaine de la dystrophie musculaire fré- quente avec ses formes si différentes. E
génériques contient encore en qualité de premier ordre une atrophie musculaire très originale, mais en même temps, sans doute, p
myotonie, mais d'un autre côté il est aussi évident que l'atrophie musculaire qui l'accom- pagne, est une atrophie myotonique
e, quoique progressive, ayant beaucoup de commun avec la dystrophie musculaire progressive présente aussi quel- ques symptômes
yopathiques. En s'approchant de ce côté encore plus delà dystrophie musculaire , l'atro- phie myotonique est en même temps le l
ême temps le lien qui relie la maladie de Thom- sen avec l'atrophie musculaire progressive, non seulement d'après leur manifes
qu'une seule explication de l'affection, d'après laquelle le tissu musculaire (ce qu'on voit par l'atrophie et l'hypertrophie
sculaire (ce qu'on voit par l'atrophie et l'hypertrophie des fibres musculaires ), ainsi que certaines régions du système nerveu
de Thomsen. Il est connu que le tabes s'accompagne d'une hypotonie musculaire plus ou moins accusée, surtout aux membres infé
égers mou- vements de flexion des cuisses sur le bassin. Les masses musculaires de ces membres étaient flasques. De douleurs, D
ouloureux à la pression ; ils avaient perdu leurcontraclilité idio- musculaire . Les signes de la R. D. ont été constatés à l'exp
re le pincement de la peau et même le sim- ple pincement des fibres musculaires superficielles ne l'étaient pas. Le soulèvement
chare profonde, à la région sacro-lombaire, sans compter l'atrophie musculaire diffuse des membres inférieurs, déjà signalée ;
trice et de l'anesthésie, la précocité et l'intensité de l'atrophie musculaire et des mo- difications qualitatives des réactio
ptômes, l'apparition tar- dive et le caractère diffus de l'atrophie musculaire progressive, l'absence de modifications qualita
limi- tante interne, une tunique moyenne surtout composée de libres musculaires lisses et de fibres conjonctives et enfin une t
portent alors principalement sur la tunique dans laquelle l'élément musculaire tend de plus en plus il disparaître et il être re
quantité de fibres conjonctives développées au détriment des fibres musculaires ; elle arrive donc à prendre de plus en plus d'
appliqué sur ces espaces (2° et 3e) ne per- çoit aucune contracture musculaire . Par contre, dans l'inspiration forcée, on sent
lectrique, pratiqué par M. le Dr Huet, a montré que les fais- ceaux musculaires du grand pectoral n'ont pas entièrement disparu.
elle, il semble que l'on sente au-dessous de la peau un faible plan musculaire , vestige du grand pectoral ; lorsque le malade co
r une membrane tendue, fibreuse, dépourvue électriquement de libres musculaires . En considérant sa direction, on se- rait tenté
t chirurgical consiste essentiellement en sections tendineu- ses et musculaires de toutes les parties contracturées suivies d'un
que légère ; exagération des réflexes patel- laires. Pas d'atrophie musculaire , pas de troubles sensitifs ou vésicaux. Enfin,
sente la placidité souvent observée par suite du manque de tonicité musculaire . Une fille de 13 ans (PI.111, G et II), venue à
tion d'attitude, plus que l'attitude elle-même, et le terme de sens musculaire , mal défini, d'une compréhension exagérée et illé
lation scienti- fique des termes aussi malheureux que celui de sens musculaire , ou que le terme de sens de l'espace, ou que ce
beaucoup sans rien démontrer (p. 262). (1) J. Cherechewsky, Le sens musculaire et le sens des attitudes, thèse de Paris, 1897.
c'est aux mouvements segmentaires que correspondent les groupements musculaires et leurs centres de coordination. Nous concev
ymptomatologique. Verger (4) dit : (1) A propos du soi-disa.nl sens musculaire . Rev. Neurol., 1897. (21 Du sens musculaire, Ge
pos du soi-disa.nl sens musculaire. Rev. Neurol., 1897. (21 Du sens musculaire , Genève, 1897. (3) Avons-nous des sensat. spéci
des « obtuses et sans contenu intéressant ? Il le dit dans son Sens musculaire , p. 35. Son exposé même me dispense d'une réfut
et non vers tel autre point. § 5 - Le sens des attitudes et le sens musculaire . « Le terme sens musculaire, dit M. V. Henri (4
§ 5 - Le sens des attitudes et le sens musculaire. « Le terme sens musculaire , dit M. V. Henri (4)..... est très mauvais ; en
, des tendons, des articula- tions et peut-être aussi des membranes musculaires . Ce que nous nous propo- sons d'étudier ici, c'
cet ensemble de sensations que nous appe- lons par le terme « sens musculaire », c'est là un terme qui nous a paru meil- leur
qui ont été proposés jusqu'ici. » Ainsi, pour M. V. Henri, le sens musculaire n'est plus que le sens qui nous renseigne sur l
ce prix on garde le mot. Et néanmoins les auteurs partisans du sens musculaire s'écartent hien peu de la conception de Landry.
uérons l'idée précise de la quantité de contraction de chaque masse musculaire , de chaque muscle et même de chaque faisceau ;
l a fallu que cette conception fut tenace, pour que dans son « Sens musculaire » M. Claparède, en 1897, conclût encore : « 1°
aire » M. Claparède, en 1897, conclût encore : « 1° le terme « sens musculaire est vague et peu rigoureux. Son emploi, consacr
u la posi- tion, en un mot sur l'être de nos membres ; - 2° le sens musculaire est en réalité un cornplexns des impressions su
icielles, des tissus profonds, (1) V. Hesm, Rev. génér. sur le sens musculaire , Année Psychologique, 1899. LE SENS DES ATTITUD
le monde n'a pas l'esprit ainsi fait qu'il trouve commode d'appeler musculaire ce qui est osseux, ligamenteux, cutané. Mais comm
beaucoup de physiologistes n'ont pas eu cette patience, et le sens musculaire a été vivement discuté, et souvent rejeté. Mais j
je me suis fixé. M. Claparède me joue à propos de ce terme de sens musculaire , le petit tour de dénaturer ma pensée (1) : «
out mon éminent contradicteur, c'est qu'on ait donné le nom de sens musculaire à un ensemble de sensations qui ne nous font null
e contractent... ? Nullement. » Donc, il ne faut pas parler de sens musculaire . » Comme ce terme est affecté à la connaissance
de la quantité de contractions de chaque masse, de chaque faisceau musculaire , par Landry, et encore de l'état de nos organes
is trouver que, au moins dans l'esprit de certains auteurs, le sens musculaire avait pour objet de sa connaissance le muscle,
ître, par le muscle, l'être de nos membres, c'est deux. Que le sens musculaire nous révèle la contraction de nos muscles, ou mêm
ance. Je comprendrais le sens locomoteur beaucoup mieux que le sens musculaire ; mais moins que le terme de sens des attitudes.
assivement ou activement avec intervention de notre propre activité musculaire , l'image d'attitude, l'image de mouvement seront
a sensation d'activité. Est-ce spécialement la sensation d'activité musculaire qu'il faut dire ? Non, je sens que mon mouvemen
sens que mon mouvement est actif et voulu, mais je ne sens rien de musculaire dans cette activité. J'ai à l'intérieur des segme
mais ce quelque chose ne me donne nullement la sensation d'un état musculaire ; c'est une variation de force, de résistance e
ouvement, ou plutôt une sensation d'activité, mais pas plus de sens musculaire que de sens articulaire, aponévrotique, ligamente
ou de tiraillement. Ces sensations sont plus ex- tramusculaires que musculaires à proprement parler. « Au niveau du segment ou
ent ni subjectivement d'attribuer cette activité à la con- traction musculaire , si je ne l'ai appris autrement. Les images d'att
gment actif par l'effort mus- cnlaire, sensation qui n'est pas plus musculaire qu'articulaire ou cutanée ; mais j'ai d'autre p
l'activité de notre écorce cérébrale. « Il n'y a donc pas de sens musculaire spécial. Nons sentons notre volonté au point de
ologie. NOTE A, PROPOS DELA TOPOGRAPHIE RADICULAIRE DES ATROPHIES MUSCULAIRES MYÉLOPATHIQUES, PAR R. CESTAN etE. HUET. A
E. HUET. A propos de notre article sur la topographie des atrophies musculaires myélopatliiques paru dans le dernier numéro de
ux), la clinique n'a jamais montré chez l'homme un cas d'a- trophie musculaire myélopathique à disposition segmentaire; la topo-
taire; la topo- graphie est au contraire radiculaire. » ATROPHIES MUSCULAIRES MYÉLOPATHIQUES 183 Notre but était principaleme
d'apporter une contribution clinique à la topographie des atrophies musculaires myélopatlaiques, dont la disposition radiculair
faut reconnaître que si l'atrophie prédomine souvent sur un groupe musculaire et revêt ainsi une topographie radiculaire, trè
a clinique a montré à M. Dejerine et à nous-mêmes que des atrophies musculaires . paraissant bien réellement de nature myélopath
ements correspondant à des muscles déterminés ou à certains groupes musculaires . Dans ce sens la méthode expérimentale semble a
tait de ceux de M. Dejerine, que la seule topographie des atrophies musculaires ne peut servir de base au diagnostic de siège m
u de la paupière inférieure gauche. 12. -Coma complet. Résolution musculaire absolue. La pupille droite est plus dilatée que
ucune parésie nette des mem- bres supérieur et inférieur : la force musculaire est égale des deux côtés, mais est peut-être di
élimitée, au point de vue des fonctions circulatoire, respiratoire, musculaire , sen- sorielle et autres, etc. Un fait analogue
-Chen (sujet droit) est plus vigoureux, au point de vue de la force musculaire ; il est plus grand de taille, et toutes les mesur
qu'à gauche. Il en est de même de la sensibilité thermique. Le sens musculaire est parfaitement conservé, jusqu'aux orteils. I
nheim et Siemerling, Nonne, Joffroy et Achard) ; les nerfs cutanés, musculaires , articulaires; le sympathique (Roux), etc...
gressive est impossible depuis 4 ans. Etat actuel (1899) : Atrophie musculaire généralisée très accusée. Incoordination extrêm
possibilité de se tenir debout, émaciation très prononcée. Atrophie musculaire aux membres inférieurs. Cyphoscoliose à convexi
incoordination extrêmement accentuée aux membres inférieurs, force musculaire normale. Incoordina- tion légère des membres su
ns très nettes de la sensibilité superficielle et profonde, du sens musculaire , de la notion de position, etc. Examen anatom
ieurs. Abolition des réflexes lumineux. Exophtalmie. Pas d'atrophie musculaire . La malade était alcoolique et a eu plusieurs f
s la transmission des impressions douloureuses. Altérations du sens musculaire . Aux membres supérieurs, ni incoordination ni atr
émarche caractéristique. Réflexe patellaire aboli. Pas d'a- trophie musculaire . Sensibilité superficielle altérée sur les membre
inte rose pâle par le car- min, et ressemblant vaguement à du tissu musculaire . Les éléments nucléés y sont rares ; les vaisse
s en pareil cas et dont la coupe rappelle celle de petits faisceaux musculaires tassés et agglomérés. La gaine piale forme à la
ques sous forme de convulsions toni- ques ou cloniques, de raideurs musculaires , d'états cataleptoïdes : puis le mutisme, le re
est-il beaucoup moins important et moins constant que les raideurs musculaires . Les phénomènes principaux que l'on désigne d'o
l ne répond pas, lorsqu'elles ont trait sa maladie. La résis- tance musculaire persiste, mais considérablement affaiblie. 10 a
p- tômes de la période précédente. Altitude stéréotypée, raideurs musculaires , mutisme absolu, refus d'aliment. Il est de nou
ndrome catatonique très accentué ; immobilité, négativisme, raideur musculaire , mutisme absolu, refus d'aliments, gâtisme ; Sc
Il mange ; mais il continue à garder un mutisme absolu. La raideur musculaire et les attitudes cataleptiformes ont fait place à
mouvements provoqués, passifs,on ne rencontre une certaine raideur musculaire que dans les jambes, encore cette raideur est-ell
ant longtemps, dans une immobilité presque complète, sans secousses musculaires , sans effort apparent, la position indiquée par
se traduit par l'opposition, la résistance constante, les raideurs musculaires , l'immobi- lité de l'attitude. Tantôt il n'at
ne voyait dans les phénomènes catato. niques que de simples spasmes musculaires , Kroepelin a fait ressortir leur origine psychi
se seraient produits en 1894 les troubles paraly- tiques, la force musculaire est notablement diminuée, mais la démarche est no
diminuée, mais la démarche est nor- male ; il n'y a pas d'atrophie musculaire , ni de signe de Babinski. Les réflexes tendineu
nt complètement, sans laisser à sa suite ni contracture ni atrophie musculaire , semble bien avoir été d'origine dynamique. 3
A TENDANCE SUPPUPATIVE 357 côtés, nous n'avons constaté ni atrophie musculaire , ni scoliose, etsurtout parce que l'anesthésie,
te d'hyoscine, qui diminuent, pendant quel- ques heures, la raideur musculaire , atténuent momentanément les dévia- tions ; plu
iverse- ment entre elles) apparaissant en même temps que la raideur musculaire , et, croyons-nous, sous son influence. LE SYN
'incoordination,ni de titubation,ni de signe de Romberg. La force musculaire est conservée. Il se produit spontanément mais
rée par M. Raymond (2j, dans ses scléroses de la moelle. La force musculaire mesurée par la résistance à la flexion et il l'ex
chycardie, la dyspnée et les vertiges ; La conservation de la force musculaire . Il est vrai que les réflexes sont exagérés, ta
arait explicable que par une modification survenue dans la tonicité musculaire , qui échappe à l'oeil de l'observateur. 1 L'exc
ide des mouvements supprimait la gêne et régula- risait la synergie musculaire (1). Cette particularité existe encore chez not
ne des mem- bres. La force est conservée, il n'y a pas d'atrophie musculaire appréciable, (1) Il en est de même dans la mala
s la suite. Tenez-vous dans l'expectative. « Pourpen que la force musculaire diminue et que les muscles affectés se mettent
895. ' xv 21 410 DESTAKAC ble du tonus, à un défaut d'équilibre musculaire , ne se manifestant que dans des circonstances p
ion de certains mouvements complexes, avec conservation de la force musculaire . Au repos et dans les mouvements simples, le tr
a intégrité relative des mouvements isolés des membres. La force musculaire est conservée aux membres supérieurs et infé- r
qui présideà la coordination des contrac- tions et des relâchements musculaires nécessaires pour obtenir etmainte- nir chaque p
e la dégénérescence a été rencontrée chez l'homme dans l'a- trophie musculaire protopathique, dans la sclérose latérale amyotrop
rtie des lésions nerveuses du tabès (altérations des nerfs cutanés, musculaires , etc.), alors qu'une conception pathogénique do
cutanés qui sont.malades, mais - encore assez fréquemment les nerfs musculaires et les filets sympathiques (Roux) (1). Pour ces
cellules des cornes antérieures restent saines alors que les nerfs musculaires sont très dégénérés et l'origine cellulairede l'a
ulaires sont très dégénérés et l'origine cellulairede l'atro-- phie musculaire des tabétiques est passible aussi des mêmes objec
revue, le Professeur Soca (de Montevideo) publie un cas d'atrophie musculaire limitée aux membres inférieurs chez une femme d
he terminale du plexus sacré, doublée d'un certain degré d'atrophie musculaire , accompagnée de modifications quantitatives et, p
gauche est allée en s'accentuant. Elle s'est doublée d'une atrophie musculaire diffuse. En même temps, l'examen du malade a fa
re inférieur gauche est fortement amaigri. Il s'agit d'une atrophie musculaire massive ; elle est prononcée surtout dans la lo
rophie musculaire massive ; elle est prononcée surtout dans la loge musculaire postérieure de la cuisse et au mollet. La fesse g
l'extrémité à la racine du membre, et qui se double d'une atrophie musculaire massive, prédo- minante aux muscles de la face
t émoussée des deux côtés d'une ma- nière à peu près égale; le sens musculaire est normal à gauche et à droite ; une piqûre pr
isséquant, en dehors de l'élastique interne, dans l'épaisseur de la musculaire désorganisée (fig. 5). Dans les derniers moment
as, il existait en ou- tre, du côté de la lésion, une perte du sens musculaire que l'auteur met sur le compte de la lésion du
l'observation de Hun, il est vrai, l'auteur a noté la perte du sens musculaire et l'exagération de l' « ataxie » par l'occlusi
altération ait contribué à provoquer la perturbation de la synergie musculaire , mais ce n'est qu'une hypothèse. En somme, si n
de sensations, dans les fonctions de l'équilibre et de la synergie musculaire . EXPLICATION DES PLANCHES - HÉMIASYNERGIE, LA
NOIS ET PAVIOT Observation 1 Syndrome cérébelleux' avec asynergie musculaire du tronc et des membres. - At1'ophie du cervele
mbent sur le plan du lit et le tronc devient t vertical. La force musculaire est conservée. Pas de troubles trophiques. Sensib
aire peu épais immédiatement appliqué en dehors de la double couche musculaire lisse de l'artériole. Nous eûmes alors l'idée
ement assez bien proportionnés. Si l'on excepte une légère atrophie musculaire du membre inférieur gauche tenant au moindre fo
marquable, con- serve encore aujourd'hui un assez bon développement musculaire ; mais ses forces ont considérablement diminué.
e toux. Elle souffrit très peu durant sa maladie, mais sa faiblesse musculaire était si grande que, plusieurs semaines avant s
maux. Sensibilité à tous les modes intacte. Réflexes normaux. Force musculaire au dynamomètre un peu diminuée. La marche, comm
les que les diaphyses; leurs vaisseaux sont plus larges. Insertions musculaires très saillantes, notamment celle du biceps sur le
M. Paul Richer, « est d'un modelé rond qui ne trahit point la force musculaire . Sa grande barbe et son nez en pied de marmite
otocollogi-.), par F. Ray- mond et Pierre JANI : T, 241. Atrophie musculaire m ! }élopathique (Noie à propos de la topograph
(E). Note à propos de la topographie radiculaire des atro- phies musculaires myélopathiques, 182. Czarnieck et SOUKHANOFF. L
n (R.). Note à propos de la topographie radiculaire des atrophies musculaires myélopathiques, 182. INFROIT et HRITZ. Un cas d
génitale des muscles pec ! o- raux (Souques), XVI, XVII. Atrophie musculaire myélopathique (Ces- TAX et HuET). III, IV. Cé
8 (1887) Archives de neurologie [Tome 14, n° 40-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
leurs assez vives au niveau de l'apophyse mastoïde. Contrac- tilité musculaire , normale. Guérison complète en vingt jours. Obs
la pression, de la température et du son, et de 1/17 pour l'effort musculaire . Après les différences de quantité, celles de q
bservations, établissent une congestion. REVUE CRITIQUE LE SENS MUSCULAIRE ; Par PAUL SOLLIER. I. L'existence de sensatio
pinus d'Arezzo, qu'il faudrait faire remonter l'hypothèse d'un sens musculaire spécial. Ils auraient établi, à l'insu l'un de
lequel certains au- teurs ont voulu voir la « sensation d'activité musculaire ». (Bel- lion. Recherches historiques sur la pa
assif, et avaient donné au toucher actif le nom de muskelsinn, sens musculaire . Cette distinction avait d'ail- leurs été faite
tout chez les philosophes, quelques aperçus sur la no- tion du sens musculaire , mais c'est à Charles Bell (Physio- logische un
nées des muscles, auxquelles il donna définitivement le nom de sens musculaire . Cette opinion fut ensuite développée par E.-H.
olles et Becquerel, Sandras con- naissait la paralysie du sentiment musculaire et on faisait mention dans ses leçons. La premi
propre dans son Trailé de l'électrisation publié en 1854. Le sens musculaire reçoit encore de ces deux auteurs de nouvelles
lles dénominations. Pour Landry, c'est le sentiment de l'activité musculaire ; pour Duchenne c'est la « conscience muscu- la
vec soin entre ce qu'il appelle la faculté lo- comotrice et le sens musculaire . C'est donc à tort que cer- tains auteurs pense
donc à tort que cer- tains auteurs pensent qu'il a désigné le sens musculaire sous le nom de «faculté locomotrice «.Parmi les
de «faculté locomotrice «.Parmi les auteurs qui ont surtout LE SENS MUSCULAIRE . 83 étudié cette question, il faut placer Ludwi
age « The senses and the intellect, en 1855 où il ap- pelle le sens musculaire « sens du mouvement ». Landry dans ses mémoires
dans ses Cliniques sur l'ataxie locomotrice, émettent sur le sens musculaire des opinions à peu près semblables que nous exa
rapports des illusions des mouvements chez eux et la notion du sens musculaire . Ch. Bastian y est revenu à plusieurs reprises,
es- thétiques. ' Comme on le voit, c'est à l'étranger que le sens musculaire a été surtout étudié dans les vingt-cinq derniè
an (art. Moelle du Dict. encyclop.) n'admet pas l'existence du sens musculaire , - opinion qu'il partage avec Bernstein. (Uzter
cipaux travaux auxquels on peut se reporter pour l'étude du sens musculaire , nous réservant de citer dans le cours de cette
accord existe entre les auteurs sur ce qu'on doit entendre par sens musculaire , et comment il faut l'interpréter, les uns conf
ements en général, les autres au con- traire, ne désignant~par sens musculaire que certaines de ces impressions. Pour les uns,
musculaire que certaines de ces impressions. Pour les uns, le sens musculaire nous donne l'appréciation de la contraction de
rtout la notion de position des membres qui constituerait le sens musculaire . Pour certains, il proviendrait seulement de la
culaire. Pour certains, il proviendrait seulement de la sensibilité musculaire , tandis que pour d'autres les sensations proven
s kinesthétiques qu'il propose de substituer au terme vague de sens musculaire , opinion à laquelle se rattache M. Charcot. Pou
u. E.-H. Weber, qui étudia le premier après chez Ch. Bell le sens musculaire , sous le nom de a sens de la force », se basa s
a sensibilité qui se manifeste par les différences de poids LE SENS MUSCULAIRE . 85 pour le distinguer du sens tactile. Par la
sition de nos membres. Nous y reviendrons à propos du siège du sens musculaire dans le cerveau. Peu après Weber, Millier, à pr
sensations dont les conditions sont, d'une part, le. nisus ou repos musculaire , et, d'autre part le corps résistant ou pressan
s- cles, et appartiennent à ce qu'on a quelquefois appelé le sens musculaire . Les dernières, c'est-à-dire les sensations déter
et en partie dans la chair, auquel cas elles appartiennent au sens musculaire . Ces im- pressions sont de simples modification
buent aux muscles et à la peau. » Pour Millier et Hamilton, le sens musculaire dérive donc à la fois d'une faculté d'origine c
ations dépression delà peau; 2° ils ont voulu y voir des sensations musculaires spécifiques, qui, dépendant des appareils sensi
es en quelque sorte comme les sensations d'un sixième sens, le sens musculaire ; 3° enfin, selon une autre supposition, ce sont
e. On voit aisément que chacune de ces trois hypothèses sur le sens musculaire est insuffi- sante, mais chacune contient, évid
compli par le muscle. Mais ce n'est point là le cas, car la LE SENS MUSCULAIRE . 87 force de la sensation dépend seulement de l
ques qui peuvent encore sentir qu'ils accomplissent un grand effort musculaire , bien qu'ils remuent à peine leur membre. D'apr
, la conscience de l'effort serait indé- pendante de la contraction musculaire elle-même. Ferrier répond à cela que « nous tro
e en différant légèrement. Pour lui aussi les impres- sions du sens musculaire dérivent des muscles par les nerfs moteurs et s
son siège est du côté moteur, et la conscience de nos contractions musculaires est indépendante des impres- sions centripètes
uscles sont surtout des nerfs moteurs grâce auxquels les mouvements musculaires sont excités par le cerveau et les centres nerv
e certitude, c'est que la sensibilité qui accompagne les mouvements musculaires coïncide avec le courant centrifuge de l'énergi
fs centripètes ou sensitifs. » Selon lui, les impres- sions du sens musculaire seraient appréciées par un « sens d'énergie dép
nerfs moteurs seraient donc à la fois les agents de la contraction musculaire et de la conscience de l'effort musculaire. A l
agents de la contraction musculaire et de la conscience de l'effort musculaire . A l'appui de cette hypothèse on invoque les ex
ier ouvrage (Physiology of Common Life, 1860) admettait que le sens musculaire dérivait de courants centripètes ou impressions
dées de Wundt et de Bain, pour qui notre conscience de l'activité musculaire est en grande partie centrale, initiale et réalis
Ferrier rapporte aussi aux centres moteurs les impressions du sens musculaire . A côté de ces théories absolues se placent des
side dans une sensibilité particulière aux muscles, ou dans LE SENS MUSCULAIRE . 89 une sensation d'origine centrale, accompagn
ion volontaire des muscles. Bernhardt penche à considérer le sens musculaire comme une fonction du cerveau, aidée seu- lemen
ue les mouvements d'élévation. La contraction muscu- laire, le sens musculaire , joue donc un rôle important et nous fournit bi
nous voulons faire agir, nous sont fournies par les contractions musculaires et les changements de position réellement exécuté
e là des renseignements complémentaires sur l'eaé- cution des actes musculaires . » Duchenne (de Boulogne) peut être également r
oulogne) peut être également rangé parmi ceux qui regardent le sens musculaire comme ayant il la fois une origine centrale et
ine centrale et une origine périphérique. 11 subdivise même le sens musculaire en sensibilité musculaire et cons- cience muscu
e périphérique. 11 subdivise même le sens musculaire en sensibilité musculaire et cons- cience musculaire. « 11 ne faut pas
même le sens musculaire en sensibilité musculaire et cons- cience musculaire . « 11 ne faut pas confondre la conscience muscu
cons- cience musculaire. « 11 ne faut pas confondre la conscience musculaire , dit-il, qui, dans l'acte des mouvements volont
de la pesanteur, de la résistance, etc., et qui a été appelée sons musculaire par Ch. Bell, et sensation d'activité musculaire
a été appelée sons musculaire par Ch. Bell, et sensation d'activité musculaire par Gerdy. Cette dernière sensation est le résu
dernière sensation est le résultat ou le prodnit de la contraction musculaire ; l'observation clinique m'a démontré que cette
dépend plutôt de la sen- sibilité articulaire que de la sensibilité musculaire . La conscience musculaire peut exister indépend
ibilité articulaire que de la sensibilité musculaire. La conscience musculaire peut exister indépendamment de la sensation d'act
culaire peut exister indépendamment de la sensation d'acti- LE SENS MUSCULAIRE . 91 t vité musculaire. Elle est nécessaire a la
épendamment de la sensation d'acti- LE SENS MUSCULAIRE. 91 t vité musculaire . Elle est nécessaire a la contraction musculaire
CULAIRE. 91 t vité musculaire. Elle est nécessaire a la contraction musculaire volontaire et à la cessation de cette contracti
et à la cessation de cette contraction.» » Pour lui la sensibilité musculaire n'est qu'un phénomène de sensibilité générale q
ns. Nous en arrivons maintenant à l'opinion qui considère le sens musculaire comme étant d'ordre essentiellement sen- sitif.
Trousseau no reconnaissent pas, en réalité, l'exis- tence d'un sens musculaire , car, pour eux, les impressions qui nous fourni
oins, on voit que les impressions qui constituent pour nous le sens musculaire ont une origine périphérique et une voie centri
Med. Journal, 1869), il se rattache à l'opinion de Landry. Le sens musculaire ne dépend pas de nos notions de la quantité de
rôle prépondérant. Dès lors, admettant que les impressions du sens musculaire sont pour la plupart inconscientes, il n'y a pa
upart inconscientes, il n'y a pas de faculté digne du nom de « sens musculaire ». Ces impressions qu'il désigne sous le nom d'
mouvements déjà commencés. III. Quel est maintenant le rôle du sens musculaire ? Pour que la volonté puisse exécuter un mouvem
muscles sont en train de faire, pour que l'énergie des contractions musculaires ne dépasse pas ou ne reste pas au-dessous du bu
ne reste pas au-dessous du but proposé. Ces notions, c'est le sens musculaire qui les donne. « Toute discussion psychologique
scussion psychologique, dit Maudsley (Physiol, de l'Esprit) LE SENS MUSCULAIRE . 93 sur la valeur du sens musculaire, comme gui
hysiol, de l'Esprit) LE SENS MUSCULAIRE. 93 sur la valeur du sens musculaire , comme guide du mouve- ment est superflue, vu l
absent. » Plus loin Maudsley se demande quel est le rapport du sens musculaire à l'intuition motrice. Ce rapport lui semble êt
une sensation d'un sens spécial avec l'idée correspondante. Le sens musculaire jouerait le même rôle que les autres sens récep
aussi l'opinion de Landry quand il dit : « La sensation d'activité musculaire qui fournit l'idée de résis- tance sert à déter
s avons vu d'après la façon dont Wundt interprète la nature du sens musculaire , que pour lui la sensation du mouvement est lié
vent ; ces renseignements sont des impressions fournies par le sens musculaire . Dès qu'un mouvement, quelque complexe qu'il so
es qualités du mouvement cesse de se faire par la vue, et le sens musculaire intervient. C'est le seul , dit Jaccoud, qui soit
impor- tante prise par le rappel des sensations de la contraction musculaire dans l'accomplissement des mouvements volon- ta
es mouvements volon- taires ou distinctifs. Il soutient que le sens musculaire est une condition indispensable pour la directi
et que sans notre pouvoir de rappeler, de raviver les impres- sions musculaires à notre esprit, nous ne pourrions jamais appren
passer à l'acte. James Mill a soutenu que les impressions du sens musculaire interviennent et prennent part à l'opération, L
l du mouvement volontaire. Si on remplace les impres- sions du sens musculaire par le terme impressions kinesthé- tiques, nous
ement, grâce au rappel des impressions du sens 96 REVUE CRITIQUE. musculaire , sont ravivées dans les centres sensoriels, et le
trale. Les notions fournies par ce qu'on nomme proprement le sens musculaire (s. kinesthétique de Bastian) consisteraient au
e du mode par lequel nous pouvons apprécier les impressions du sens musculaire , les différents auteurs se divisent en trois gr
férents auteurs se divisent en trois groupes. Pour les uns, ie sens musculaire est d'origine motrice centrale : telle est l'o-
uion de Wundt, deMeynert, de Bain, d'Huglings Jackson, etc. LE SENS MUSCULAIRE . 97 Pour d'autres, le sens musculaire est d'ori
lings Jackson, etc. LE SENS MUSCULAIRE. 97 Pour d'autres, le sens musculaire est d'origine à la fois motrice et sensorielle,
s'il n'existait pas dans l'écorce un centre spé- cial pour le sens musculaire . Nothnagel pense que l'affection de la motilité
à la destruction des centres moteurs est due à la paralysie du sens musculaire . Le fait de la restauration du mouvement au bou
emps, chez le chien, prouverait, d'après lui, que le centre du sens musculaire n'est pas lui-même dé- truit, mais que la destr
'après ses expériences avec Fritsch, que le centre lui-même du sens musculaire est détruit dans ces cas. Il croyait qu'il rest
Archiv. 1870, 1873, 1874.) Plus tard, il évite l'expression de sens musculaire , et dit dans ses derniers travaux que la destru
uction des centres corticaux a pour effet la perte de la conscience musculaire . Schiff (Archiv. sur Experim. Pathologie und. P
voir si la sensation est excitée avant que se produise le mouvement musculaire , est un pro- blème qui ne peut être résolu chez
à aucune sensation autre que celle qui accompagne les contractions musculaires violentes. Mais la preuve la plus Archives, t.
tat qui peut, avec vérité, être décrit sous le nom de perte du sens musculaire ou de conscience musculaire dépend de la lésion
tre décrit sous le nom de perte du sens musculaire ou de conscience musculaire dépend de la lésion d'une région entièrement di
nces qu'il a faites avec Lauder Brunton montrent que l'appréciation musculaire de poids est indépendante de l'acte volitionnel
par l'élec- tricité. En somme, Ferrier admet, pour centre du sens musculaire , les circonvolutions de l'hippocampe, siège du
des impressions centripètes sur lesquelles s'appuie le discernement musculaire . La destrnction des centres centripètes abolit
t musculaire. La destrnction des centres centripètes abolit le sens musculaire , ou conscience musculaire, bien que la faculté
des centres centripètes abolit le sens musculaire, ou conscience musculaire , bien que la faculté du mouvement subsiste. La
vements volontaires et empêche par suite l'exercice du discernement musculaire , mais la transmission et la percep- tion d'impr
moteurs corticaux que « sont emmagasinés les résidus des sensations musculaires dont nous tirons nos intuitions motrices... Les
e siège de la conception du degré et de la qualité de l'innervation musculaire , c'est-à-dire, de ce qu'on a appelé inductions
nervation musculaire, c'est-à-dire, de ce qu'on a appelé inductions musculaires . » Bastian a combattu avec le plus de persistan
Bastian a combattu avec le plus de persistance les idées LE SENS MUSCULAIRE . - 99 de Ferrier. « Des contres moteurs, où qu'
azire, de Trous- seau, dans lesquels il y avait disparition du sens musculaire , alors que les centres volitionnels, moteurs sp
itte les centres kinesthé- tiques jusqu'à celui où les contractions musculaires arrivent, nous avons seulement affaire à une sé
ffaire à une série de processus physio- 100 REVUE CRITIQUE. LE SENS MUSCULAIRE . logiques se passant dans les différents centre
fondie des cas pathologiques où on observe la dispari- tion du sens musculaire , en particulier dans l'hystérie 2, ' Voir la tr
e s'étend en haut jusqu'à la moitié du bord libre du trapèze. -Sens musculaire aboli. Si on ferme les yeux de la ma- lade, ell
7 ses divers modes (tact, douleur, température), la perte du sens musculaire sont aussi des caractères que l'on note fréquem-
ta de la céphalalgie, des vertiges, de l'insomnie avec des douleurs musculaires dans la région dorsale, sans aucune cause appar
xes tendineux et une ataxie très marquée sans grande perte de force musculaire ; ces cas sont connus sous le nom de pseudo-tab
mpossible seulement dans les cas où il y a une trop grande atrophie musculaire . Les anatomo-pathologistes divisent la névrite
dépend de la gravité du cas et sur- tout de l'étendue de l'atrophie musculaire . Pour le traitement, il y a d'abord peu de chos
, y compris ceux de l'épaule. Il n'y a ni con- tracture, ni roideur musculaire , ni crampes, ni dou- leurs spontanées : l'inert
ler pour manger : le long supinateur est épargné. Pas de rigidité musculaire sous l'influence des mou- vements passifs ; réf
sifs ; réflexes tendineux normaux, réflexes cutanés abolis ; sens musculaire perdu. La sensibilité sous toutes ses formes es
suit le pubis et le pli de l'aine jusqu'au coccyx en arrière. Sens musculaire et sensibilité articulaire abolis ; le malade
ianesthésie au tact, à la douleur et à la tempéra- ture ; le sens musculaire est aboli. (1% 'g. 14.) On applique le jour d
pas le chaud du froid. La sensibilité profonde est abolie; le sens musculaire est perdu en ce qui concerne les doigts et le p
disparu ont de nouveau reparu. 30 avril. Même état. Mais le sens musculaire a reparu au poignet et aux doigts. Dans les t
générale qui avaient amené un notable degré d'anémie, cette fatigue musculaire locale s'accrut considérablement, et il devint
même que les mouvements provoqués, s'exécutent sans aucune roideur musculaire . Il en est de même des mouvements des doigts qu
rcice. Les symptômes les plus saillants sont la perte de la force musculaire , et les troubles de la sensibilité. La diminution
Ainsi, la sensibilité électrique est émoussée mais la contrac- tion musculaire reste intacte, fait très important qui prouve l
ste intacte, fait très important qui prouve l'intégrité de la fibre musculaire . Les courants continus ne provoquent aucune réa
erruption 'du courant la malade éprouve la sensation de la secousse musculaire , mais tout se passe comme à l'état normal et l'
scence. Il semble cependant qu'il y ait un léger degré d'atrophie musculaire au niveau des muscles de l'éminence thénar, par-
ypochondrie et. atteint d'une paralysie fonctionnelle sans atrophie musculaire et sans lésions évidentes de la moelle. Il y a
e, qui garda les mêmes caractères que le premier jour. La faiblesse musculaire était toujours aussi considérable et la malade
état d'hypéresthésie mus- culaire ait succédé à l'abolition du sens musculaire , car les téguments de l'avant-bras et de la mai
ement de la normale. A la fin du mois de mai, cette hypéresthésie musculaire a presque complètement disparu à son tour. Il n
a conservation de la contractilité électrique et à la perte du sens musculaire : l'anesthésie absolue, portant sur toutes les
s jours sous l'influence du traitement par les aimants : la force musculaire qui était nulle revient graduelle- ment par la
a région, et qu'elle s'accompagne d'ordinaire de la perte du sens musculaire et de la sensibilité articulaire. Enfin, la con
bolie que sur les autres points, mais elle est atteinte. La force musculaire est très diminuée, il y a un certain degré d'im
sensibilité très' prononcés, coïncidant avecune anesthésie du sens musculaire . La seule différence tient à la présence de que
ent la conséquence de la pachyménin- gite est d'amener une atrophie musculaire bilatérale avec réaction de dégénérescençe et f
esthésie à la jambe droite, parésie motrice à gauche, puis atrophie musculaire et troubles vési- 204 PATHOLOGIE NERVEUSE. DES
l. Les artères de la base de l'encéphale, les nerfs, les tubercules musculaires , etc., ne pré- sentent rien d'anormal. Encéph
use qui accompagne ses troubles se traduit : 1° par de l'incapacité musculaire , se manifestant dans l'action de jouer du piano
; 3° par de la douleur ou une fatigue rapide pendant la contraction musculaire ; 4° une sen- sation de faiblesse du membre, sur
de la sensibilité tactile, thermique, douloureuse ainsi que du sens musculaire ; conservation de la sensibilité à la pression
mouvement 302 BIBLIOGRAPHIE, du protoplasma des tissus nerveux et musculaire . Pour l'auteur.- les phénomènes psychiques ne p
iques ne peuvent avoir lieu dans le tissu nerveux sans que le tissu musculaire y prenne part en même temps. XXIX. M. STEINBE
. Après avoir rappelé que l'honneur de la découverte d'une atrophie musculaire spéciale revient à M. Charcot qui l'a séparée d
à M. Charcot qui l'a séparée du groupe confus encore des atrophies musculaires , les observations publiées par M. Joffroy en 18
'est ainsi que l'un des symptômes fondamentaux, paralysie, atrophie musculaire , contracture, pourra faire défaut. La contractu
l'exécuter; il y a, en effet, alors chez elle perte absolue du sens musculaire : si on lui dit : « Donnez la main », elle croi
e diffé- renciant notre cas, l'absence d'hyperexcitabilité neuro- musculaire (nous reviendrons plus loin sur ce ca- ractère)
nservation de l'ouïe et de l'intelligence et perte de la conscience musculaire . En dehors de ces attaques, que nous appelleron
ut pas remuer, mais croit le faire, et a perdu complètement le sens musculaire . La seule dif- férence (insignifiante du reste)
mpos- sibilité absolue de déplacer les membres; la vue et le sens musculaire sont abolis; enfin il est impossible de dévelop
ns notre cas de contractures généralisées au lieu de réso- lution musculaire ; ses membres sont dans un état précisément oppo
nt nombreuses : il y a des contractures fixes au lieu de résolution musculaire , il n'y a rien des contractures déterminées par
le corps et qui ne rappellent ni la catalep- sie, ni la résolution musculaire , ni les contractures provoquées. Pour l'état me
enté à la Société des Médecins russes, un malade atteint d'atrophie musculaire pro- gressive de la main, et d'anesthésie parti
cen- tuée fut perçue dans toute la région anesthésiée, et le sens musculaire n'avait pas souffert. L'anesthésie s'étendait p
e d'Eu]), dans ses études de la réaction électrique dans l'atrophie musculaire « typique », ad- met qu'un cas de cette ~ malad
, qui était en outre le siège de troubles locomoteurs, d'atrophie musculaire , de troubles trophiques de la peau et d'altérat
insigni- fiant. Enfin Freud décrivit en 1885 un cas « d'atrophie musculaire avec des troubles de sensibilité étendus », lim
du tissu cellulaire sous- cutané, de la faiblesse et de l'atrophie musculaire dans les extrémités. Toutes ces observations
nons en considération, que les troubles locomoteurs, l'atro- phie musculaire , les altérations de la peau, etc., peu- vent fa
', l3eard 2, Leloir '\ etc., l'attention est attirée sur l'atrophie musculaire compliquée de rares symptômes d'anesthésie part
ATHOLOGIE NERVEUSE. Observation I Troubles trophiques et atrophie musculaire du côté droit. -Scoliose. - Ilémianesthésie the
ête et à la nuque, il a souffert au même degré qu'à gauche. Le sens musculaire (la conscience de la position des membres, l'ap
dans le tronc même dans la position assise d'origine ap- paremment musculaire . Dans le membre supérieur droit il y a eu des c
ndant tout son séjour, la sen- sation de constriction et de tension musculaire a considérable- ment diminué : la scoliose s'es
éguliers (20), soulevant t les joues. Pupilles égales, contractions musculaires faibles, mais pas de paralysie. T. 38°,2. Le ma
e si on lui fait porter l'un ou l'autre index sur son nez. La force musculaire n'est nullement affaiblie. Il parvient à fléchir
'extension, même avec une certaine force, à cause de la contracture musculaire . Les mouvements, même communiqués, sont impossi
ou provoqué, et de tendre à se généraliser, quel que soit le groupe musculaire mis en jeu. Lem.... avance assez bien son chari
axie héréditaire. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE XI. Cas d'atrophie musculaire PROGRESSIVE DU A une HYDROMYÉLir; par M. le Dr
ra que sur la plupart des points des parties atrophiées, les fibres musculaires avaient perdu leurs stries transversales et se
Cette incoordination tient à la déséquilibration de l'antago- nisme musculaire . L'équilibre est rompu à peu près toujours z pa
algie reconnaissent une cause générale constante : la contraction musculaire réflexe. Désireux de vérifier cette théorie M. Du
isés : on ne la peut confondre ni avec la flaccidité et la mollesse musculaires propres au tabes, ni avec l'a- maigrissement pr
nor- male du tabes, et en rapport avec l'apparition de l'atrophie musculaire . D'autre part, les faits dans lesquels ou a ren
ièvre typhoïde), par Couturier, 409. Sénat, 136, 307, 421. Sens musculaire , par Paul Sollier, 81. Société médico-psychol
9 (1918) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 28] : iconographie médicale et artistique
omme normal, penché en avant (PI. XIII). On constate que les masses musculaires lombaires en forte contraction for- ment une sa
supérieure. Par contre, la palpation et la pression sur les masses musculaires lom- baires sont nettement douloureuses, elles
une raideur passagère au niveau des hanches, due à une contraction musculaire . Les réflexes tendineux et cutanés sont normaux
ontanément au bout d'un an. Chez une personne normale, l'immobilité musculaire môme prolongée a peu de chance de créer des att
t, étant donné que le redressement se fait même avant la résolution musculaire . Il est utile de combiner ce traitement avec un
(Isserlin, /7a ? OHcAr ! /t, 1910). 38 WOERKOM En général, l'acte musculaire simple, provoqué par une seule impul- sion de l
ainsi : " Quand l'individu concentre toute son attention sur l'acte musculaire , le mouvement est accompli vivement,1 le» temps
rth (Le mouvement, Paris, 1903) fut le premier qui étudia les actes musculaires où l'amplitude du mouvement se trouvait limitée p
tention par le fait de son- intervention continue'dans les rapports musculaires , le but est atteint lentement. Dans cette phase
raient pas un;des types classiques.de la nosologie ; par la raideur musculaire , par les spasmes irréguliers, se manifestant surt
dans un même cas, des types contraires (de flaccidité et-de raideur musculaire ) sont' réalisés pendant dés périodes différente
solement, les grands mouvëments'avaient'fdrt diminué'. Flacci- dité musculaire très prononcée. Les'lésions organiques dahs'un ca
striés et des régions sous-thalamiques (1). 4° Deux cas de raideur musculaire très prononcée se rapprochant plus ou moins de
psy- choses (mélancolie, manie), l'étal mental influence les actes musculaires au plus haut degré. Dans les cas où le malade n
, le malade se mettait à la recherche de la formule d'innerva- tion musculaire , de sorte qu'à la fin une ébauche du mouvement de
on qui nous sont habituels en détournant l'attention de la fonction musculaire même. Par exemple, après avoir constaté le trou
sse un mouvement d'opposition du pouce. La faute de l'innervation musculaire se manifeste sous des formes très différentes.
vements dans un autre segment du membre, ou intéressant des groupes musculaires plus éloignés, homo-hétérolaté- raux. Souvent m
i durent quelque temps. Même dans les cas de chorée avec flaccidité musculaire très prononcée, il y a une différence bien appr
et certaines contractions toniques qui surgissent pendant l'effort musculaire . Parfois cette action vicieuse des muscles est
out- à coup quelques moments après. L'attention fixée1 sur 'l 'acte musculaire est Un' facteur 'favo1'isant le développement d
es cas seuls où les mouve- ments passifs se heurtent à' des spasmes musculaires , je l'ai noté égale- ment dans des cas de flacc
es musculaires, je l'ai noté égale- ment dans des cas de flaccidité musculaire prononcée : en voulant avec forcé étendre les b
és'musclesont une dureté extraordinaire; on assiste à une bataille musculaire bù tantôt les agonistes, tantôt les anta- gonis
ion et erf flexion. 1 1 . ? -i z ' Mais la faute de l'innervation musculaire peut se manifester, sans que les attitudes vici
re temps tout de suite après nôtre ordre. Parfois une même fonction musculaire , rudimentaire, comme acte isolé^est'accomplie d
lémentaires,' dispa- raissant ou diminuant' dans'd'autrès fonctions musculaires . Les muscles inté1'essés 'ne sont pas paralytiq
ntracture des muscles. Dans d'autres cas, ce n'est pas t'hypertonie musculaire qui doit être accusée : les muscles paraissent te
emier cas au der- nier se montre non seulement par les contractions musculaires associées à caractère tonique, provoquées par l
, l'influence défavorable de l'attention concentrée sur la fonction musculaire même. Répétons qu'en clinique tous ces cas form
sait tout neurologiste ayant étudié cette matière, est la dystonie musculaire , l'atonie dans les uns, l'hypertonie dans les aut
est le rôle de la tonicité dans l'or- ganisation de la contraction musculaire simple. C'est Sherrington (Quar- terly Journal
u membre pendant le mouvement. Pendant l'effort, les autres groupes musculaires conservent leur équilibre tonique. 1 , »1 ! i ,
brusquerie ou par la lenteur et par l'irrégula- rité de la fonction musculaire ., . . Souvent ces malades sont, bien capables d
s malades que la perturbation de l'élément tonique de l'innervation musculaire communique son cachet particulier à toutes les
musculaire communique son cachet particulier à toutes les fonctions musculaires et que ce trouble peut se manifester sous les f
on des parties décrites seules est en état de perturber la fonction musculaire et que ia lésion des autres systèmes du (li Cet
idity, est retrouvé dans certains cas de parkinsonisme avec raideur musculaire . - (2) En effet, beaucoup de ces malades montre
. - (2) En effet, beaucoup de ces malades montrent des contractions musculaires à Caractère tonique qui nous rappellent les pos
es nerveux : La lésion des racines postérieures provoque une atonie musculaire communiquant son cachet aux fonctions musculair
rovoque une atonie musculaire communiquant son cachet aux fonctions musculaires des tabétiques. Il y a cependant, une différenc
centripètes, le tabétique est fort bien capable de commencer l'acte musculaire que nous ordonnons. L'attention concentrée sur
sculaire que nous ordonnons. L'attention concentrée sur la fonction musculaire est un facteur favorable dans l'accomplisse- me
uand il veut exécuter un mouve- ment. Pendant l'exécution d'un acte musculaire , l'équilibre tonique des autres groupes muscula
cution d'un acte musculaire, l'équilibre tonique des autres groupes musculaires ne participant pas à son accomplissement n'est
se manifester soit déjà en repos, soit sous l'influence de l'effort musculaire ; mais en- opposition au type pyramidal, ces fon
'élection étudié par Wernicke, c'est-à-dire que ce sont les groupes musculaires contractures qui sont le plus accessibles à l'i
de la volonté; mais chez eux nous ne rencontrons pas cette bataille musculaire , ce trouble profond de la formule d'innervation
e acte volontaire. L'influence de l'attention concentrée sur l'acte musculaire est constatée également chez les cérébelleux, m
raction tonique en extension des membres inférieurs malgré l'atonie musculaire . Revenons cependant au substratum anatomique. L
ces temps derniers surtout Boeke (2), nous ont montré que la fibre musculaire reçoit deux sortes de fibres nerveuses : les fi
e semble que la signification du système autonome pour la tonicité* musculaire est désormais un fait acquis. Est-ce que le subst
es, j'ai rassemblé certains cas dont le lien commun est la dystonie musculaire . Malgré un aspect extérieur fort di- vers se ca
r les mouvements athétosiques, tantôt par les spasmes et la raideur musculaire , leur parenté se trahit surtout par le rôle que
n acte volontaire simple. Souvent l'attention concentrée sur l'acte musculaire est un facteur défavorable empêchant son accomp
ces parties exercent une influence considérable sur la contraction musculaire , en premier lieu sur l'élément tonique qu'elle
lsion, mais seulement d'un relâche- ment complet de tout le système musculaire et d'une chute immédiate de la tête sur les épa
tombante », le blessé recourt à des manoeu- vres, à des suppléances musculaires . . , - Il peut ainsi employer son bras blessé p
pouce de l'index (pl. XXII, fig. B). Par suite de cette atrophie musculaire , les tendons des fléchisseurs font saillie à la
ublime, il faille incriminer quelqu'élément surajouté : contracture musculaire , rétraction tendineuse, modification des surfac
se, modification des surfaces articulaires des phalan- ges, lésions musculaires ou vasculaires, non appréciables directement. P
re du cubital où la peau est plus brune et plus sèche. L'atrophie musculaire est moins marquée que dans les paralysies com-
a maladie de Volkmann, déformation due, comme on sait, à une lésion musculaire par ischémie, à la suite de la compression ou de
aideurs ou contractures, séquelles de lésions osté4-articulaires ou musculaires . La première description d'ensemble fût-donnée
la blessure et l'anesthésie de la main, mais n'a pas de conséquence musculaire . III. La lésion du cubital est réelle. Elle a d
ouve à un niveau inférieur; ! a celui de l'émergence de ses rameaux musculaires , il y a eu hypotonie du radial, hypertonie du m
ps; XIII, chute de la main sur le poignet après blessure des masses musculaires internes de l'avant-bras). ' 2° L'apparence est
ux bien défini (IV, membre d'échassier après perforation des masses musculaires postérieures de l'avant-bras; II, main du faiseur
V, hypertonie du premier interosseux dorsal après plaie des masses musculaires de l'extrémité supérieure du premier méta- carp
tantôt il s'agit d'irritations directes des extrémités nerveuses ou musculaires par un corps étranger comme dans les cas de pou
uisque l'on voit fréquemment des perforations complètes d'une masse musculaire guérir sans laisser de trouble fonctionnel ; ma
près les études d'Alquier (1), être le point de jonction des fibres musculaires et de leurs lendons. Et précisément, d'après no
neuroloniquement; 2° Constater en coïncidence avec des inactivités musculaires plus ou moins élonnanles des signes physiques d
aussi des sujets qui, physiologiquement, présentent une hypo- tonie musculaire qui leur permet de laisser tomber la main tout au
acquise, joue sans doute un bien plus grand rôle que la flaccidité musculaire . C'est pour illustrer ces quelques affirmations
LA XV- RÉGION COUDE FLOTTANT APRÈS RÉSECTION ÉTENDUE. RÉÉDUCATION MUSCULAIRE EXCEPTIONNELLE 1 PAR J. A. SICA RD et H. ROGE
lations diverses. Quelques mois après le début de cette rééducation musculaire , on 'note l'existence d'un réseau veineux des plu
t écrire aussi rapidement que par le passé. Le maximum de puissance musculaire a été atteint dix ans après la résec- tion du c
à 39°. Céphalée vive. Symptômes à l'entrée. - Douleur des masses musculaires sans gonflement des articulations. T. : 36°9. L
sensibilité superficielle au toucher abolie. Sensibilités profondes musculaire et osseuse conservées. La piqûre, même péné- tr
te, ne provoque aucune douleur. Sensibilité thermique normale. Sens musculaire conservé. L'élévation des bras se fait normalem
e de s'asseoir. Dans la posi- tion assise, douleurs dans les masses musculaires des deux cuisses. Pas de douleur à la palpation
culaires des deux cuisses. Pas de douleur à la palpation des masses musculaires . Abolition des réflexes. ' XXVIII 14 202 ÉT
e la sensibilité à la piqûre ; dans les autres régions, sensibilité musculaire conservée. Pas de douleurs à la pression des mu
ire conservée. Pas de douleurs à la pression des muscles ; atrophie musculaire ; pas de contractions fasciculaires. Respirat
1/2, respiration à 26, facile. Ne se plaint de rien, sauf douleurs musculaires dans les mollets. Lagophtal- mos. On constate l
e, impossibles au côté droit. Contraction idio-musculaire. La force musculaire des membres supérieurs paraît intacte. Le réfle
tives. Montée de T. : 37°5. Les douleurs à la pression des masses musculaires sont moins vives. La douleur du tibia existe to
sque indéfinie à gauche. Le malade urine spontanément. La force musculaire paraît intacte dans les membres supérieurs. 18.
les pieds en équinisme. Aucune douleur à la palpation des masses musculaires . Seule, la percussion des tibias éveille de la
ppétence, un peu de diarrhée. Les jambes sont amaigries, les masses musculaires des mollets sont amollies. Pas de douleurs à la
andinant, cherchant un appui. Les jambes sont en contracture. Force musculaire amoindrie. Pas d'asté- réognosie ; pas de troub
trée. Douleurs dans les zones articulaires, surtout dans les masses musculaires . Etat saburral des voies digestives. Submatité
d. - Violentes douleurs spontanées dans le tibia et dans les masses musculaires , assez vives pour rendre presque insupportable
de douleurs à la pression dans les mollets. Mollets mous ; atrophie musculaire . Réflexes rotuliens vifs. La maladie paraît avo
s tibias. Pas dégonflement. Hyperesthésie à la palpation des masses musculaires et à la percussion des os. Exagération marquée
à droite. Pas de clonus du pied. Sensibilités normales. Sensibilité musculaire normale. Marche pénible, hésitante avec flottem
dans les muscles des jambes, du genou, au bas de la jambe; atrophie musculaire rapide; faiblesse persistante. Diarrhée pendant
es jambes et dans les cuisses. Douleurs à la pression dans la masse musculaire . Céphalée vive. Raideur douloureuse des lombes
laint de douleurs lancinantes dans les membres inférieurs. Masses musculaires très douloureuses. Douleurs musculaires dans la r
membres inférieurs. Masses musculaires très douloureuses. Douleurs musculaires dans la région fessière. , En raison de ces d
Céphalée moindre. Le malade se trouve un peu mieux et' les douleurs musculaires semblent moins aiguës. Langue toujours chargée.
ue les douleurs des jambes. Constipation. , 19. - Dans les masses musculaires des membres inférieurs, les douleurs sont bien
. DEUX ÉPIDÉMIES MILITAIRES 219 au 34e jour. Un état de contracture musculaire permanente a été noté dans l'observation IV.
qui ont brusquement déterminé la mort. Un certain degré d'atrophie musculaire des muscles paralysés ou paré- siés a existé ch
t au Se jour, avec des douleurs encore persistantes dans les masses musculaires . Les sensibilités tactiles et à la piqûre sont ab
et à la piqûre sont abolies, alors que les sensibilités profondes ( musculaires , osseuses) sont conservées. Pas d'astréognosie.
parfois des membres supérieurs et inférieurs (obs. XII) ; douleurs musculaires sur- tout (obs. II, III, VI, VII, VIII, XI) ; s
s draps du lit. Douleurs osseuses, seules ou combinées aux douleurs musculaires , notamment localisées au tibia (obs. IV, V, VI,
de l'élément névrite combiné dans la détermination de ces douleurs musculaires et osseuses. Le groupement des symptômes peut r
Wochenschrift, 1910, p. 767. DOCUMENTS POUR L'ÉTUDE DES ATROPHIES MUSCULAIRES I. - ATROPHIE musculaire PURE sans paralysie pa
DOCUMENTS POUR L'ÉTUDE DES ATROPHIES MUSCULAIRES I. - ATROPHIE musculaire PURE sans paralysie par. tiraillement du - PLEX
paralysie par. tiraillement du - PLEXUS BRACHIAL. - IL - Atrophie musculaire PURE, sans paralysie, dans LE domaine DU PLEXUS
après UNE fracture méconnue DE la clavicule. ' ' III. - ATROPHIE musculaire syphilitique A type péronikr, simulant l'amyotr
l'amyotrophie CHARCOT-IIÎARIE. PAR André LÉRI. , 1 Atrophie musculaire pure sans paralysie par tiraillement DU PLEXUS
ytiqué u. Telle est règle. Elle souffre des exceptions ; l'atrophie musculaire peut survenir sans aucune paralysie préalable e
LU Iconographie DU. f,A Salpêtrière. T. XXVIII. PL. XLVI ATROPHIE MUSCULAIRE PURE SANS PARALYSIE PAR TIRAILLEMENT DU PLEXUS
son & Cie, Editeurs IMP CATALA fRERES,PAR15 ÉTUDE DES ATROPHIES MUSCULAIRES 253 malade. Il nie toute contagion syphilitique
mouvements de l'épaule s'exécutent très bien. ÉTUDE DES ATROPHIES MUSCULAIRES ` ? rrJc' fléchisseur, mais cette absence peut
est peu connue et passerait faci- lement inaperçue. II Atrophie musculaire PURE, sans paralysie, dans LE domaine DU plexus
ns rapporté l'observation d'un malade chez qui survint une atrophie musculaire pure, sans paralysie préalable, à la suite d'un t
me furent une véritable révélation radiographique ; 2° L'atrophie musculaire fut une conséquence extraordinairement tar- div
raphie dl la S.4LP) : 'l'RII : R);. T. XXVIII. Pal. XLVI ATROPHIE MUSCULAIRE SANS PARALYSIE DANS LE DOMAINE DU PLEXUS SUPÉRI
E FRACTURE DE LA CLAVICULE (A. Léri.) - - " ÉTUDE DES ATROPHIES MUSCULAIRES 257 \ mais non au niveau de l'articulation même
ration donne les chiffres suivants : 258 LÉRI ÉTUDE DES ATROPHIES MUSCULAIRES 259 d'Erb, c'est-à-dire aux muscles dépendant d
affirmé depuis 1903 (1) que la causera plus fréquente de l'atrophie musculaire progressive Aran-Duchenne est' la syphilis. La
ause du tabès et de la paralysie générale. (1) A. Léri, Atrophies musculaires progressives spinales et syphilis. Congrès, de
es et syphilis. Congrès, de neurologie, Bruxelles, 't9(M ; Atrophie musculaire progressive spinale (type Duchenne- Aran), in T
e- Aran), in Traité de médecine Charcot-Bouchard, t. IX ; Atrophies musculaires , in Pratique neurologique de P. Marie ; A. Léri
ratique neurologique de P. Marie ; A. Léri et LEIIOUGB, Les atrophies musculaires progressives syphilitiques. La myélite syphilit
ophique. Gazelle des hôpitaux, 17 mai 1913 ; A. Lébi, Les atrophies musculaires spinales d'origine sypitili- tique [le syndrome
onographie I)1 L.1$.\LPL'IRIl : RE. T. XXVHI. PL. XLV111 atrophie musculaire SYPHYLITIQUE A type PÉRONIER simulant l'amyotro
ot-marie (A. Léri.) Masson et Cie, Éditeurs ÉTUDE DES ATROPHIES MUSCULAIRES 261 La même infection peut aussi être plus exce
en constatant que chez les amyotrophiques Aran- Duchenne l'atrophie musculaire avait gagné les membres inférieurs, mais tardiv
é la flexion presque à angle droit des deuxième ÉTUDE DES ATROPHIES MUSCULAIRES 263 « et troisième phalanges, l'avant-pied dé
t aucun mouvement à droite, à peine une ébauche ÉTUDE DES ATROPHIES MUSCULAIRES 265 d'extension du pied à gauche ; l'excitabili
e Charcot-Marie. Tooth a bien rapporté, sous le nom d' « atro- phie musculaire à type péronier », des observations probables d'a
Robertson, pas de leucoplasie, pas d'aortite, - ÉTUDE DES ATROPHIES MUSCULAIRES 267 etc.), reconnut qu'une dizaine d'années aup
pparence, et certaines observations publiées sous le nom d'atrophie musculaire type Charcot- Marie mériteraient-elles d'être r
teint dans l'âge adulte d'une amyo- 268 LÉRI. ' ÉTUDE DES ATROPHIES MUSCULAIRES signe d'Argyll-Robertson, dont Babinski a montr
baires, des muscles du bassin et des membres inférieurs. L'atrophie musculaire a donc atteint les parties moyenne et inférieure
es, la branche gauche plus que la droite. L'intégrité des fonctions musculaires est dans ce territoire plus grande au niveau du p
à quinze ans, peut-être à bien davantage. Depuis lors, deux groupes musculaires ont pris une DIPLEGIE FACIALE 279 importance
r. C'est malgré tout un infirme. En dépit de toutes les adaptations musculaires , il se trouve notoirement dans l'impossibilité ab
aucun résultat. Si D... était moins bien adapté, si les suppléances musculaires ou ner- veuses ne s'étaient pas si bien établie
du derme dans la langue normale où on remonte bientôt sur la couche musculaire . La symptomatologie de ces cas est trop précise
rice. Au commencement, la malade éprouvait une sensation de fatigue musculaire assez marquée qui a augmenté de jour en jour au p
positions segmentaires, bonne. Signal de Romberg, négatif. Tonus musculaire , normal. Force dynamométrique : main droite, 22
opposition à l'hypermyosthénie qui est l'exagéra- tion de la force musculaire , consiste dans la diminution de cette force, da
ouvenirs et des idées. L'effort cérébral est pénible comme l'effort musculaire ; si le malade recherche le 'repos du corps, il
t flasque, tandis que le bras gauche présenta une certaine rigidité musculaire . La patiente est morte deux heures après l'entrée
raordi- naire devait être arrivé. Le début rapide après les efforts musculaires (danse) fait croire à une hémorragie cérébrale.
er a trouvé le système des vaisseaux étonnamment pauvre en éléments musculaires . Il est évi- dent quitte telle hypoplasie des é
musculaires. Il est évi- dent quitte telle hypoplasie des éléments musculaires des parois des vaisseaux doit prédisposer aux r
éphalalgie intense, quelques heures après et à la suite d'un effort musculaire il a eu une attaque avec des convulsions et un co
sé près des racines du plexus. Cliniquement on observe des troubles musculaires et des troubles tro- phiques du membre supérieu
es et des troubles tro- phiques du membre supérieur. Les troubles musculaires du membre supérieur sont quelquefois géné- rali
ne distribution et des aspects variés. Indépendamment des atrophies musculaires , on constate des altérations de la peau, des os
Froment. On y est d'autant plus porté que les atrophies et parésies musculaires sont habituellement. importantes, qu'elles préd
drome d'irritation léger du plexus brachial dans des cas d'atrophie musculaire , de parésies et de troubles trophiques du membr
s syndromes d'irritation. C'est, en plus petit, les mêmes atrophies musculaires , les mêmes troubles trophiques cutanés, osseux
l'exagération des réflexes, leur diffusibilité, l'hyperexcitabilité musculaire à la percussion. Nos observa- tions ont une exp
s atténuée. Ce qui domine, ce sont la parésie et surtout l'atrophie musculaire , les troubles trophiques cutanés et ostéo-artic
de l'avant-bras et de la main, prédominant à l'épaule. Une atrophie musculaire nette complique celle parésie. Elle est surtout m
és à la main et sont surtout d'ordre trophique'. En effet, la force musculaire du bras droit n'est que légè- rement diminuée;
n seul frère mort à 30 ans d'embolie sans avoir présenté d'atrophie musculaire , de paralysie, ni de tremblement. Lui-même marc
tion de la force s'accentua progressivemenl de pair avec l'atrophie musculaire qui creusait des sillons entre les métacarpiens,
creusait des sillons entre les métacarpiens, tandis que les masses musculaires de la paume fondaient. Mobilisé dès le début de
tion pour éviter un tremblement spontané qui le gêne. A. L'atrophie musculaire apparaît dès qu'on regarde les mains : elle aff
ée nettement dans le sens de la R. D. qu'à une époque où l'atrophie musculaire est telle que la réaction perd beaucoup de la v
e, nous devons retenir le syndrome caractérisé par : 1° L' atrophie musculaire à localisation distale, lentement progressive,
eau, des taches de pigmentation spéciale ; d'autre part, l'atrophie musculaire n'affecte jamais la topographie que nous observ
g (2) (de Genève) en a rapporté un en 1906 sous le nom . d'atrophie musculaire type Aran-Duchenne par névrite interstitielle h
rtébrale n'est pas déviée et est indolore à la pression. Les masses musculaires sont également indolores. 424 SOUQUES ET MÉGEVA
gions cervicale et lombaire. Au contraire, la percussion des masses musculaires sacro-lombaires n'est pas douloureuse. L'exte
nstate un pli transversal très apparent. La percussion des masses musculaires n'est pas douloureuse, mais celle de la colonne
iée ni déformée. La percussion est indolore. Par contre, les masses musculaires sacro-lombaires sont douloureuses à la pression
percussion au niveau des 1 le et 12" vertèbres dorsales. La masse musculaire sacro-lombaire est également douloureuse à la pre
ne détermine aucune douleur ni sur les vertèbres, ni sur les masses musculaires sacro-lombaires. Les mouvements actifs et passi
en. Il n'y a aucune déformation du rachis. La percussion des masses musculaires sacro-lombaires n'est pas douloureuse, mais la
JE 435 douleur dans la région lombaire et sacrée : de même la masse musculaire sacro- lombaire est douloureuse à la pression,
onne vertébrale n'est pas douloureuse ; par contre celle des masses musculaires sacro-lombaires révèle des douleurs des deux côté
ercussion n'est pas douloureuse ni sur le rachis, ni sur les masses musculaires lombaires. Il n'a pas de troubles organiques mote
ie méthodique de Sauvages, par BENON et LEINBERGER, 297. Atrophie musculaire pure, sans paralysie, par tiraillement du plexu
inaskis, 52. Coude flottant après résection étendue ; rééducation musculaire exceptionnelle, par SICARD et RORFR, 164. Déf
ar LAIGNEL-L.1VA5'CINE et P. COURBON, 81. Plexus brachial (Atrophie musculaire pure par tiraillement du -), par Léri et DAGN
r tiraillement du -), par Léri et DAGNAN-BOUYERET, 252. (Atrophie musculaire pure, dans le do- maine du - supérieur, quatorz
a poly- névrile - ou mercurielle), par Petren, 226. ' (Atrophie musculaire - à type péro. nier), par Léri, 260. - (Rhuma
hyper- trophique, 377. DAGNAN-BouVERET (Jean) et Léri. Atrophie musculaire pure par tiraillement du plexus brachial,' 252.
es mains et des pieds chez les blessés ner- veux, 121. Atrophie musculaire pure quatorze ans après une fracture méconnue d
après une fracture méconnue de la cla- vicule, 256. - Atrophie musculaire syphilitique à type péronier, simulant l'amyotr
44. et ROGER. Coude flottant après résection étendue. Rééducation musculaire excep- tionnelle, 164. SouQUSS (A.), iilÉGEVA
alaogettiennes (Rimbaud et RE1'1ULT D'ALLONGES), XXXIX. Atrophies musculaires (LÉH'), XLVI à XLVIII. Camptocormie, considér
déviation conjugée) (Moniz), fig. 1-2. Coude flottant ; rééducation musculaire ex- ceptionnelle (Sicard et ROGER),XL etXLl.
10 (1891) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 04] : clinique des maladies du système nerveux
névralgies, anesthésie, hyperesthésie, fourmillement, perte du sens musculaire , etc., appartiennent à la fois à l'hystérie et
complète quoique très diminuée dans le reste du coté droit. Le sens musculaire et articulaire est aboli à la main, à l'avant-b
e typique du côté droit, qu'il a perdu le réflexe pharyngé, le sens musculaire et articulaire; qu'il pré- sente deux zones hys
mpêchent de fixer un objet sous peine d'avoir une attaque. Les sens musculaire et arti- culaire sont totalement abolis dans la
e la sensibilité. Hémianesthésie droite complète et totale. Le sens musculaire est conservé. Anesthésie pharyngée. Deux zones
champ visuel rétréci à 00 environ; 1 anesthésie pharyngée. Le sens musculaire et articulaire est conservé mais très affaibli
es. Les pieds sont en varus équin. Aux membres supérieurs, la force musculaire est diminuée surtout à droite. Réflexes pupilla
1889. L'anesthésie est toujours totale, avec perte complète du sens musculaire et articulaire. Anesthésie des muqueuses. Perte d
tre : main droite, il; main gauche, G. Il y a aussi affaiblissement musculaire dans les muscles de la tête et du tronc. Les mu
emor ». Il y avait aussi une amélioration notable dans la puissance musculaire des membres inférieurs, quoiqu'elle ne pût enco
s, on constata des troubles pharyngés et laryn- gés, delà faiblesse musculaire , un ptosis complet à gauche, incomplet à droite
cruciantes,.les crises gastriques ou abdominales, la perte du sens musculaire , les crampes spontanées et les spasmes subits qui
-mêmes, s'accentuait alors et s'étendait bientôt aux autres régions musculaires , au tronc, aux membres supérieurs et à la nuque
l anesthésiée presque en totalité, sauf sur laface interne. Le sens musculaire subsiste pourtant dans cette région, car une pr
nd il veut marcher, les jambes sont comme soudées et l'affaissement musculaire est incontestable. Pas de troubles de la sensibil
plus marqué à gauche qu'à droite; il s'accompagne d'affaiblissement musculaire , mais la sensibilité est partout intacte. La pa
RNE COMBINÉE A LA PARALYSIE GLOSSO-LABIO-LARYNGÉE ET A L'ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE LESION SYSTÉMATIQUE DES NOYAUX MOTE
a légère. rougeur congestive.de. la muqueuse des cordes. L'atrophie musculaire est considérable au niveau du cou, du thorax et
HOTOCOLLOARAPHIR Chêne ET Longue* POLIOENCÉPHALOMYÉLITE. - ATROPHIE MUSCULAIRE DU COU ET DES MEMBRES SUPÉRIEURS LECROSNIER &
ntact, ni à la douleur, ni à la température. Le sens articulaire et musculaire est partout conservé. Le malade n'a jamais épro
PHOTOCOLLOGRAPHIE Chêne et Longuet POLIOENCÉPHALOMYÉLITE. -ATROPHIE MUSCULAIRE GÉNÉRALISÉE LECROSNIER & BASÉ DE L'OPUTHA
ir les détails du squelette à travers le deltoïde réduit à une lame musculaire insignifiante. L'atrophie des membres inférieur
te, insuffisamment maintenue par un appareil ligamenteux et surtout musculaire trop faible. L'atrophie des muscles du mollet e
il y a diminution quantitative et non qualitative de l'excitabilité musculaire ; l'inversion de formule fait complètement défau
côté du front, des joues, des lèvres, de la langue, au point de vue musculaire . Signalons seulement. que par instants il exist
tribution à l'élude des troubles trophiques dans l'hystérie, atrophie musculaire el oedème (Nouvelle Iconographie, n° 6, t. II,
é de son état. ,Motilité. Moyennement musclé. Pas d'autres troubles musculaires que FiG. 6. Fig. 7. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE
si l'atten- tion monoculaire est soutenue un certain temps. Sens musculaire conservé.. Description de la main malade (fig.
ontraire, dans laquelle on connaît l'influence suggestive du. sens- musculaire , les excitations sensorielles sont perçues et pro
saltimbanque de profession, entré à Bicêtre pour une légère rupture musculaire d'un des adduc- teurs de la cuisse. Dans ses an
moments de calme absolu, dans certaines altitudes où la résolution musculaire est complète; la plus légère émotion, le fait s
, la sensibilité thermique, sont complè- tement supprimées. Le sens musculaire est également aboli dans les divers segments du
aryngien n'a pu être examiné, tant étaient prononcées les secousses musculaires de la bouche, de la langue et des mâchoires. Le
maladies organiques spinales : tabes, sclérose en plaques, atrophie musculaire , maladie de Friedreich, mal de Pott, etc. La fr
Cette anesthésie est complète, superficielle et profonde. Les sens musculaire et articulaire sont abolis; la sensibilité élec
e et à gauche par une ligne courbe à convexité supérieure). Le sens musculaire elle sens arlirrrlaire sont abolis dans les diver
us fréquente dans la catégorie des altérations spinales. L'atrophie musculaire considérable est la règle dans celle-ci ; elle
a lésion spinale, on aura : 1° Des signes de présomption : atrophie musculaire , incontinence d'urine, élévation de la températ
NE COMBINÉE A LA PARALYSIE GLOSSO-LAB10-LARYL\GÉE ET A L'ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE LÉSION SYSTÉMATIQUE DES NOYAUX MOTE
tique. La combinaison de l'ophthalmoplégie externe et de l'atrophie musculaire ne permet pas le doute un seul instant.. z Vo
tée à Rosenthal. Ces. XXIX. Ophthalmoplégie nucléaire avec atrophie musculaire progressive (Rosenthal 1). Sujet de trente-hu
s de complication de la paralysie nucléaire des yeux par l'atrophie musculaire progressive. La lésion descendante, après avoir
éfaut. La perte des réflexes à gauche, sans atrophie, sans réaction musculaire anormale, prouve que la moitié gauche de la moell
is. - ? ? -' ...-- ? Ons. XXXI. Ophthalmoplégie externe et atrophie musculaire (John Bristowe'). 1 John M., cuisinier, âgé d
en musclée, bien portante. Par contre, il existe un affaiblissement musculaire des extré- mités. Les mains serrent faiblement
ainte- Anne, fait la plupart des courses de son père, etc. Sa force musculaire est 174 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DELA SALPÊTRIÈRE.
les diverses pièces de monnaie qu'on place dans ses mains. Le sens musculaire est partout intact. Les autres sens spéciaux, l
n plus au tremblement dont elle est le siège qu'à l'affaiblissement musculaire révélé par le diagnostic. Tremblement. La main
eut marcher sans s'appuyer au bras d'un aide. Cet affaiblissement musculaire existe aussi aux membres supérieurs. Les mouvem
En dehors de cette gingivite, les muqueuses sont saines. Les plans musculaires profonds, le tissu osseux n'offrent rien d'anorma
es, dans leurs fonctions respiratoires diminuées, dans leur système musculaire affaibli. » A. Souques et J.-B. Charcot, inte
thermique et le sens 192 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. musculaire . Par contre, la.sensibilité tactile n'est que dim
à la fois la sensibilité générale et les organes des sens. Le sens musculaire est aboli à droite; 2° une hyperesthésie cutané
(examen de M. Vigoureux). Malgré cette parésie et cette atrophie musculaire , le malade se sert sans difficulté de sa main e
r avec ce membre les actes qui nécessitent un déploiement d'énergie musculaire un peu considérable. Ce sont surtout les mouvem
igner, à boutonner sa robe; il va sans dire que cet affaiblissement musculaire n'est pas seul en cause dans l'incapacité fonct
chaude, froide, bien conservée et égale à droite et à gauche. Sens musculaire partout conservé. ` ? 0 NOUVELLE ICONOGRAPHIE D
RNE COMBINÉE A LA PARALYSIE GLOSSO-LABIO-LARYNGÉE ET A L'ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE LÉSION SYSTÉMATIQUE DES NOYAUX MOTE
BS. XXXII. Polio encéphalite supérieure et inférieure avec atrophie musculaire (Eichhorsl 2). .11 s'agit d'une jeune fille de
ral décrit par Vulpian. Début par l'amyotrophie. Parfois l'atrophie musculaire est le premier phénomène en date et précède les
t paraître. On sait qu'il est de règle de constater dans l'atrophie musculaire d'origine myélo- pathique l'existence de la réa
iomyélite antérieure chronique, dans la syringomyélie avec atrophie musculaire , là où l'atrophie est évidemment de cause spina
ns le cas actuel. « Nous admettrons plutôt que, parmi ces atrophies musculaires d'origine spinale, les unes, sui- vant des circ
- tanément les membres inférieurs et supérieurs. Tous les groupes musculaires ne sont pas pris d'une façon égale. Chez Peyn...,
pression plus ou moins considérable due à la disparition des masses musculaires . Les bras sont inertes, pendant le long du corp
e myopathique où la contractilité persisle tant qu'il y a une fibre musculaire saine. Donc l'assimilation absolue entre les deux
és en masse, sans prédominance de l'atrophie dans tel ou tel groupe musculaire et sans troubles de la sensibilité. La con- tra
l'étiologie de la paralysie glosso-Iabio-laryngée et de l'atrophie musculaire progressive; on n'est pas plus éclairé en ce qu
t reparu; les signes d'intoxication font défaut; enfin son atrophie musculaire n'offre pas les caractères de l'amyotrophie satur
est pas faite pour rendre plus favorable le pronostic de l'atrophie musculaire progressive et inverse- ment ; dans un cas comm
la similitude de ces lésionsavec celles qui déterminent l'atrophie musculaire progressive. Il s'appuie notamment sur ce que che
'ac- commodation et le resserrement des pupilles. Atonie du système musculaire ; mouvements sans énergie, impossibilité de se t
é : De l'intervention chirurgicale- dans certains cas de rétraction musculaire succédant à la contracture spasmodique. Dans
malades atteintes d'attitudes vicieuses des membres par rétraction musculaire ", j'étais arrivé à plusieurs con- clusions inté
maladie, les mouvements sont gênés non seulement par la rétraction musculaire qui entretient l'attitude vicieuse et contre la
te transverse avec contracture des muscles de la cuisse. Rétraction musculaire consécutive avec flexion des deux cuisses sur l
eurs étaient très-amincis. On ne pouvait remédier à ces rétractions musculaires cause évidente de tous ces accidents que par de
notomes assez gros, je coupai profondément et largement les paquets musculaires qui s'insèrent à l'épine iliaque antéro-supéric
, il emploi de l'électricité sur les muscles de la cuisse, l'action musculaire s'est améliorée rapidement. La guérison est don
erçoivent avec la plus grande netteté. Le sens de pression, le sens musculaire , sont aussi conservés. Mais il en est autrement
s, sinon plus fortes, qu'en employant, comme à l'ordinaire, un pôle musculaire . Il faut encore signaler que l'électricité, et su
acé au point de vue tro- phique, sous un régime spécial. Les sens musculaire et articulaire sont normaux. Les sens spéciaux ne
RNE COMBINÉE A LA PARALYSIE GLOSSO-LABIO-LARYNGÉE ET A L'ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE LÉSION SYSTÉMATIQUE DES NOYAUX MOTE
(poliencéphalite ' inférieure) vient parfois compliquer l'atrophie musculaire du type , Duchenne-Aran (poliomyélite antérieur
eu presque indifféremment par l'ophthal- moplégie ou par l'atrophie musculaire . t 8° C'est une affection des plus graves qui e
Membres supérieurs. - Bras et avant-bras normaux; pas d'atrophie musculaire . (1) C'est déjà pour la troisième fois que nous
ux membres, de même qu'aux déformations des orteils (pas d'atrophie musculaire , réflexes normaux, sensibilité idem). Il y a de
le pavillon est consti- tuée par le lobule, sorte de masse charnue, musculaire , sensible, ayant la forme d'un ovoïde aplati la
la flexion également. Les mouvements passifs sont raides. La force musculaire est diminuée; il résiste assez bien aux mou- ve
ousses, mais pas de trépidation épi- leptoïde nette. Pas d'atrophie musculaire . La mensuration au niveau des jambes et des cui
s accusé, cette saillie normale qu'a signalée M. P. Richer. Le sens musculaire et articulaire est ÉTUDE DES SYNDROMES HYSTÉRIQ
thésie forme autour de ces régions un manchon très allongé. Le sens musculaire est conservé. Anes- thésie pharyngée totale. Le
ur toutes les sensations un retard de une à trois secondes. Le sens musculaire est moins atteint, elle sait assez exactement la
ilité profonde des membres dont la torsion est douloureuse. Le sens musculaire est peut-cire légèrement affaibli dans la posit
éreuses et les tubercules. En second lieu, les signes de l'atrophie musculaire sont indiscutables. Si l'on doit deviner celle
une parties tubercules ou les ulcérations, et de l'autre l'atrophie musculaire . J.-M. Charcot et PAUL Richer. Le gérant .'EMIL
voiture, etc.). Dans la plupart des fractures du ster- num (efforts musculaires , etc.) le fragment inférieur est porté en avant.
Malad. du syst. neru" Paris, 1889). Chez un malade atteint d'atrophie musculaire généralisée d'origine articulaire. M. Déjerille
M. Déjerine émet l'hypothèse qu'il s'agit, dans ce cas, d'atrophie musculaire d'origine articulaire et comme dans la myopathie
myopathie progressive, d'une déforma- tion consécutive a l'atrophie musculaire (Soc. de Biologie, 27 juin 1891). UNE MALFORMAT
sains, mais chez l'hystérique on observe parfois que la contraction musculaire ne reste pas localisée aux muscles directement
rs, il ne s'agit pas là de contracture permanente, car toute action musculaire disparait aussitôt que cesse l'excitation. b. S
sont lentes (trois par seconde), elles donnent lieu à des secousses musculaires qui, d'abord nettement distinctes, em- piètent
faradisation à interruptions rapides. B. Déformation de la secousse musculaire . - a. Les expériences d'inscription graphique d
ulaire. - a. Les expériences d'inscription graphique de la secousse musculaire montrent que chez les sujets prédisposés à la c
ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. mation de la descente de la courbe musculaire caractérisée dans son ensemble par un allongeme
procédés les plus variés, parmi lesquels je citerai : a. Le massage musculaire profond, auquel il faut ajouter la con- stricti
es qui lui ont donné naissance. Quel que soit le procédé, mas- sage musculaire profond ou excitation cutanée superficielle, le r
ns vu dans certains cas l'excitation mécanique portée sur un groupe musculaire retentir avec plus d'intensité sur le groupe anta
tion à la Société de biologie du 15 déc. 1883. 2. Si»' un phénomène musculaire observé chez les hystériques el analogues à la co
condition toutefois qu'elle intéressât .exactement le même domaine musculaire . La contracture produite par un procédé peut cé
ue celui qui l'a produite. Par exemple, une contracture par massage musculaire ne sera réduite que par le massage des muscles
z sujets. Alors que nous ne connaissions pas ce procédé, le massage musculaire nous avait semblé le procédé le plus efficace dan
re se déve- lopper sous nos yeux ; après la contracture par massage musculaire est survenue la contracture par froissement des
nt la diathèse de con- tracture il l'amyosthénie. L'affaiblissement musculaire peut être plus considérable et atteindre presqu
ait anesthésique profondément avec perte du sens du tact et du sens musculaire : la contracture pouvait être provoquée par tous
provoquée par tous les procédés en usage aussi bien par le massage musculaire , le choc des tendons, que par le souffle et l'e
faits ne sont pas plus singuliers que ceux dans lesquels le massage musculaire produit la contracture sur un membre qui a perd
r un membre qui a perdu toute trace de sensibilité et jusqu'au sens musculaire . Dans l'un comme dans l'autre cas, la con- DIAT
odorat seul est sensiblement diminué dans la narine droite. Le sens musculaire est normal. Aphonie. Toux. Râles au som- met dr
d'attendre, pour nous prononcer, ce que deviendra la contractilité musculaire . » OBs. LU (résumée) (F. Iluchard, in Thèse de
es trophiques, tels que esclaccres, ulcérations profondes, atrophie musculaire , plaident plutôt pour l'origine médullaire orga-
ident plutôt pour l'origine médullaire orga- nique. Mais l'atrophie musculaire n'est pas rare dans l'hystérie. Le décubitus av
Boulogne ! avait longuement étudié l'ataxie due à la perte du sens musculaire et l'influence de l'obscurité sur sa production.
e normale contraste avec l'intégrité de la sensibilité, de la force musculaire et de la coordination des autres mouvements des m
bles de la sensibilité : hyperesthésies, anesthésies, perte du sens musculaire , etc. ; qu'enfin les troubles vésicaux (réten-
, sans phénomènes d'aura, douleur déchi- rante et horrible. Le sens musculaire et articulaire est complètement aboli dans les
compagnées de vomisse- ments ; dérobement des jambes, perte du sens musculaire , paresse- vésicale, diplopie, etc. Le diagnosti
microméga- lopsie, les troubles oculaires, la perte totale du sens musculaire et ar- ticulaire, le prouvent clairement. . D
e rend compte aussi du dérobement des jambes et de la perte du sens musculaire ainsi que du léger degré de parésie vésicale. Il
es douleurs persistent mais sous une forme très tolérable. La force musculaire dans les membres inférieurs est diminuée. Lorsqu'
lexe pharyngé est aboli. Sensation de tapis sous les pieds. Le sens musculaire est complètement aboli; il ne sait pas, les yeu
st pas entièrement éteinte. Lorsqu'on comprime fortement les masses musculaires de la cuisse, il accuse une sensation de contact.
émianesthésie sensitivo-sensorielle complète, perte absolue du sens musculaire , rétrécissement du champ visuel... ; de l'autre
péciale ; elle est représentée par une zone douloureuse, cutanée ou musculaire plutôt qu'osseuse occupant souvent deux points
t de tout autre stigmate, pour faire éviter l'erreur. (d) Le sens musculaire peut être altéré dans le tabes, la notion de po
notion de position des membres faire défaut. Mais la perte du sens musculaire , accompagnée souvent de celle du sens articulai
i, il côté de la forme primitive, une nouvelle variété d'atro- phie musculaire hystérique, caractérisée électriquement par la ré
'opinion à laquelle il s'était jûsquc-là rattaché, que l'atro- phie musculaire peut être une des manifestations de l'hystérie.
pitaux, deux hommes hystériques avec 1. 1,;tljitibhi, De l'atrophie musculaire dans les paralysies hystériques (Progr. méd., 1
6), ÉTUDE DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES « SIMULATEURS ». Ail atrophie musculaire , mais, sur la foi des idées encore régnantes, n
e thèse inspirée par Seelig- muller, signalé incidemment l'atrophie musculaire sur un membre frappé de contracture hystérique.
Il n'y a pas de secousses si brillaires; « 3° L'excitabilité idio- musculaire paraît normale; « 4° La contractilité électriqu
tilité électrique est diminuée en proportion du degré de l'atrophie musculaire , mais il n'y a pas de réaction de dégéné- resce
86. 3. Leroux, De l'hystérie chez l'homme, monoplégie avec atrophie musculaire (Journ. des connaiss. méd., 188(i, t. VIII, p.
Brissaud, Hémiplégie probablement d'origine hystérique avec atrophie musculaire (Archiv. de phI/s" 1887, p. 338). 5. Blocq, D
., t. I, p. 28, 1888). 6. Ballet, Coxalgie hystérique avec atrophie musculaire (Soc. )met. II6p., 28 juin 1886). 7. Debove, Hé
I6p., 28 juin 1886). 7. Debove, Hémiplégie hystérique avec atrophie musculaire survenue ri la suite d'une diprlrllaérie (Soc.
nées et eu ont tiré les conclu- sions suivantes : ' 1° L'atrophie musculaire d'origine hystérique peut quelquefois envahir d
. Ils pensent qu'il y a probablement plusieurs variétés d'atrophies musculaires hystériques, mais qu'il serait certainement encor
s réac- tions électro-musculaires identiques à celles des atrophies musculaires spinales. La barrière qu'on avait élevée entre
e la lésion dynamique des cornes antérieures qui produit l'atrophie musculaire ne puisse amener, du côté des nerfs, des troubl
es il est vrai, n'étant pas en rapport avec l'intensité des lésions musculaires , l'auteur ne les considère-t-il pas comme des tro
t, ils n'ont jamais constaté chez l'animal en expérience d'atrophie musculaire autour de la jointure. Au contraire, du côté op
s'accompagnaient pas 1. Moussons, Conlrib. ri l'élude des atrophies musculaires succédant an affections arli- culaires. Thèse d
réserves. L'amyotrophie hystérique frappe en masse un territoire musculaire . Or, dans un cas d'atrophie musculaire rapporté p
rappe en masse un territoire musculaire. Or, dans un cas d'atrophie musculaire rapporté par M. Michaut, il s'agit d'atrophie d
ncore ce malade avant d'affirmer la nature hystérique de l'atrophie musculaire . Mais si, comme le pense M. Féréol, cette atrop
ophie (Soc. méd. IfÕp, , 9 mai 1890). 2. Féréol, Un Cas el'atrophie musculaire chez une hystérique... (Soc. méd. IIo1)., 1890).
CHAPITRE XIII 1\lYOTROPIIIE HYSTÉRIQUE SIMULATRICE DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE SPINALE OBS. LXVIII (inédite). Amyotrophie hyst
OBS. LXVIII (inédite). Amyotrophie hystérique simulant l'atrophie musculaire progressive (Type Aran-Duchenne). Ernestine Bé...
uche, l'autre dans la fosse sus- épineuse du côté droil. Atrophie musculaire . - Elle est localisée aux mains (Pl. XL). Main
ttaque, elle se fractura le péroné. Au mois de novembre, l'atrophie musculaire fit son apparition. Un soir, elle s'était couch
s ses attaques convulsives; elle présentait toujours celte atrophie musculaire de la main droite avec des secousses fibrillaires
uberculose au début ( ? ). Les autres viscères sont sains. Atrophie musculaire (Planche lII, fig. B). L'atrophie, qui a été au-
stérique; c'est de l'hystérie et d'elle seule que relève l'atrophie musculaire . Ous. LXX (résumée) (Gilles de la Tourelle et D
s, l'amyotrophie a été précédée par une contracture des territoires musculaires des- 424 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈR
toire. Or, ce malade présentait tou- jours le même degré d'atrophie musculaire sans secousses fibrillaires, sans réaction de d
es de la sensibilité), superficielle et profonde. Abolition du sens musculaire et obnubilation très marquée du sens articulaire.
utre , il y a des secousses dans l'orbiculaire des lèvres. Atrophie musculaire . 1° Membre supérieur droit, (a) L'ayant-bras et
flexes rotuliens sont assez forls, égaux de chaque côté. Les masses musculaires de la cuisse et du mollet sont fermes et dures. L
usculaires de la cuisse et du mollet sont fermes et dures. La force musculaire est il peu près normale du côté des extenseurs, u
rofesseur Proust). Amyotrophie hystérique simulatrice de l'atrophie musculaire spinale : hémiplégie infantile du côté gauche a
culaire spinale : hémiplégie infantile du côté gauche avec atrophie musculaire spinale; hémiplégie hystérique du côté droit av
est faible- ment conservée. L'atrophie a fait disparaître l'action musculaire , et de ce cote on ne peut faire de mensuration
exion forcée était à peu près égale des deux côtés, mais l'atrophie musculaire esl en appa- rence beaucoup moins marquée qu'à
alade ne peut pas relever les bords du pied. Au mollet, les reliefs musculaires sont peu accusés et marqués par un cer- tain de
n de la jambe sur la cuisse sont plus aisés qu'à gauche; l'atrophie musculaire y est en effet moins prononcée de beaucoup. Les
malade est debout. (b) Membre supérieur droit. - A droite, l'action musculaire n'a point complètement disparu; les mesures dyn
HAPITRE XLIV DIAGNOSTIC DE LA SIMULATION Démontrer que l'atrophie musculaire relève de l'hystérie, et de l'hys- térie seule,
DE LA SALPÊTRIÈRE. 1° La réaction de dégénérescence dans les masses musculaires en voie d'atrophie est un signe commun aux amyo
granderapidité; en quelques semaines on assiste la fonte des masses musculaires , puis le processus s'arrête et la rétrocession
rd'hui de se prononcer défiuiti.. vement sur la durée de l'atrophie musculaire hystérique. Mais il reste établi qu'elle se dév
région anesthésique ou hypel'esthésiquc que se développe l'atrophie musculaire . Et même lorsqu'elle esl symétrique, comme dans
es deux affections ont encore d'autres traits communs. L'atro- phie musculaire dans l'hystérie peut se présenter avec des caract
ste un des deux caractères primordiaux de la yliomatose, l'atrophie musculaire , fait ici complètement défaut. La dissociation
vons trouvé maint exemple au cours de cette étude. La perte du sens musculaire , la parésie, la prédominance des troubles sensi
s symptômes intrinsèques : dissociation de la sensibilité, atrophie musculaire , et par des phénomènes extrinsèques tels que oe
voir la valeur diagnostique que leur attribue Roth. 2° L'atrophie musculaire des hystériques ne présente plus, après ce que
lée un membre entier, un segment de membre, un ou plusieurs groupes musculaires , puis elle rétrocède ou semble s'arrêter dans u
'oedèllle hystérique. Thèse de Paris, 1830. NOTE SUR UNE ANOMALIE MUSCULAIRE UNILATÉRALE , CHEZ UN ÉPILEPTIQUE DONT LES CO
t encore inaperçues faute de dissections suffisantes. Les anomalies musculaires sont de celles qui sontle moins accessibles. Da
dant donner le portrait d'un épileptique, sur lequel une ano- malie musculaire , l'absence de grand pectoral du côté gauche, se
Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière, 1889, p. 91. UNE ANOMALIE MUSCULAIRE UNILATÉRALE. 157 Grand'mère maternelle morte d'
au réveil. 11 affirme qu'un jour il lui est arrivé de UNE ANOMALIE MUSCULAIRE UNILATÉRALE. 159 courir sur le parapet de la
orax (nous. Icon. de la, Salpêtrière, 1880, p. 305). UNE ANOMALIE MUSCULAIRE UNILATÉRALE. 461 sont lents et indécis, il a un
IG, 78. - Dissection du grand pectoral des deux côtés. UNE ANOMALIE MUSCULAIRE UNILATÉRALE. 4fi3 présente en effet des altérat
l'- combinée à la paralysie labio-glosso-laryngée et à l'atrophie musculaire progressive), par G. Guinon et Parmontier, 53,
ot et P. Richer, 246. , Rétractions (Traitement chirurgical des musculaires ), par 'l'errillon, 249. Rhumatisme chronique (U
1. Dentaires (Anomalies multiples), 61, 02- Epileptique (Anomalie musculaire chez un-), ), 18, 79; champ v isucl chez un -,
inière (Distribution de l'anesthésie dans une plaie de la -), 46. Musculaires (Schémas do secousses -), G3, 61,65. Myélite
,1, 34, 35, 3G, 37, 38, 39, -i0, il, 42, 13, 4-1, 45. Rétractions musculaires . 51. Respiratoires (Tracés -),°1 ? 23, 24, 25.
11 (1894) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 07] : clinique des maladies du système nerveux
moteurs. Cette transmission « en masse » détermine une modification musculaire toni- que. Au contraire, l'état de veille, l'ex
servi comme mesure de l'action de la suggestion, c'est l'altération musculaire , l'évolution ou la dissolution d'une contractur
on ou la dissolution d'une contracture, et puisque celte altération musculaire est un phénomène réflexe, et par suite facile à p
ctive lorsqu'elle nécessite, en ou- tre, l'intervention de la force musculaire . En général, les attitudes de station les plus
os et ligaments, y prennent une part prépondérante et que l'action musculaire , cause de dépenses phy- siologiques et par suit
ogistes en plusieurs camps. La plus ancienne théorie est la théorie musculaire émise par Fabrice d'Aquapendante et qui a encore
ne peut être maintenu que par la contraction incessante de groupes musculaires antagonistes et en particulier des extenseurs. Un
ion de ces deux articles serait maintenue en dehors de toute action musculaire par la seule force de la pesanteur agissant en
ace la distension des ligaments par la tonicité de certains groupes musculaires . Il nous semble qu'aucune de ces théories n'est
x il la fois. Et d'abord, il est facile de démontrer que la théorie musculaire est inad- missible dans son ensemble et dans sa
extension de certains articles peut être maintenue sans contraction musculaire et de façon toute mécanique, il n'en est pas mo
nique, il n'en est pas moins vrai que le concours de la contraction musculaire reste nécessaire pour produire cette extension
ppui même, l'équilibre s'éta- blisse sans le secours d'aucune force musculaire . Il résulte de ce qui précède que si dans la st
vons que tout autour de ces articulations sont de puissantes masses musculaires , et les partisans de la théorie musculaire y fo
nt de puissantes masses musculaires, et les partisans de la théorie musculaire y font appel pour le maintien de l'équilibre qu
ervenir également dans une certaine mesure la distension des masses musculaires des jumeaux. Ces muscles dont les fibres charnu
ouvements soit en avant, soit en arrière. en ré- sulte que l'action musculaire seule peut, dans la station droite, fixer celle
er celle articulation. En quoi consiste et où réside cette action musculaire ? La ligne de gravité du corps ainsi que je l'a
nt distendu ? La distension d'un tissu con- tractile comme le tissu musculaire n'est en rien comparable à la distension 78 N O
la limite est quel- quefois difficile à établir entre la distension musculaire et l'existence de la contraction (1). Néanmoi
ai (1) Nous savons en effet qu'une des conséquences de l'élasticité musculaire est l'allon- gement possible d'un muscle contra
DE LA STATION 89 dilations. Celte flexion est maintenue sans effort musculaire el est une des conséquences de l'inclinaison du
ité du bassin n'exige pour être maintenue que peu ou point d'effort musculaire . Son mécanisme rappelle celui de l'extension de l
phologique de la station sur un pied se trouve au niveau des masses musculaires , qui entourent le bassin. En premier lieu, le m
e dessine avec son obliquité naturelle. A la surface, les faisceaux musculaires secondaires apparaissent quelque- fois. Le cont
syphilis et une forme de méningite spinale accompagnée d'atrophies musculaires , qui présente la plus grande similitude avec la
diennes cervicales, irradiées dans les membres supérieurs. Atrophie musculaire considérable dans les membres supé- rieurs (sur
ques, guérison de la paralysie oculaire. Persistance des atrophies musculaires . Ald... Fernand, 39 ans, artiste lyrique, entré
ue les .membres supérieurs maigrissaient énormément. z L'atrophie musculaire envahit rapidement les avant-bras et les mains, s
1892. État DU malade A l'entrée. Il se présente avec une atrophie musculaire très accentuée, occupant le thorax et les membr
le malade éprouve. Bras amaigris dans leur ensemble, sans atrophie musculaire localisée. Tous les muscles fonctionnent, sans
tout. Enfin la diplopie Il' complètement disparu. Mais l'atrophie musculaire a persisté à peu près telle qu'elle était au dé
IE DE LA SALPÊTRIÈRE. traitement, malgré un commencement d'atrophie musculaire aux membres supérieurs. (De la méningo-myélite
ormal con- cernant soit la sensibilité, soit la motilité. Le sens musculaire est conservé dans les deux membres pelviens. Le
tuliens sont exagérés, surtout à gauche (deux ou trois contractions musculaires pour un seul choc du tendon). Le redressement d
dans la paralysie pseudo-hypertrophique. Néanmoins, si les reliefs musculaires semblent il peu près conservés, la faiblesse es
lequel plusieurs théories ont élé proposées (Fig. 40). La théorie musculaire qui remonte il Fabrice d'Aquapendente et adopté
a dis- tension ligamenteuse, par la résistance due il la tonicité musculaire . ' On a vu la part qui revient il chacune de ce
sculaire. ' On a vu la part qui revient il chacune de ces actions musculaires ou ligamenteuses dans l'é- quilihre des différe
du tronc sur les cuisses. Nous avons vu que les puissantes masses musculaires qui entourent l'articulation de la hanche ne so
iculation du cou-de-pied et c'est ta le point délicat. Ici l'action musculaire paraît absolument nécessaire à la fixation en é
ades. Je veux parler du raccourcissement du muscle. Les rétractions musculaires sont fréquentes chez les myopathiques, elles ont
d, nos malades, au lieu d'être placés par suite de leur dé- chéance musculaire , dans des conditions d'infériorité vis-à-vis de l
ment favorisés. Ainsi donc pour nous résumer, inutilité de l'action musculaire pour la station dû tronc sur les cuisses et des
let en un véritable ligament qui supplée avan- tageusement l'action musculaire , telles sont les raisons qui nous expli- quent
soient les déformations du tronc dépendant soit de la ré- traction musculaire , soit d'une atrophie spécialement localisée, l'at
une stabilité plus grande, d'autant plus nécessaire que les forces musculaires inutilisées chez l'homme normal, mais toujours
, les complète au point de vue particulier de l'analyse de l'action musculaire . Je ne veux pas entrer ici dans tous les détail
omènes ? Elle réside tout entière dans l'affaiblissement des masses musculaires du bassin et en particulier des moyens fessiers
sivement modifiées, quant aux causes et à la na- ture des atrophies musculaires . L'atrophie musculaire progressive (type Aran-D
aux causes et à la na- ture des atrophies musculaires. L'atrophie musculaire progressive (type Aran-Duchenne) conserve son i
ient laisser subsister aucun doute sur l'exis- tence d'une atrophie musculaire consécutive aux lésions des cornes anté- rieure
ne de Boulogne avait d'ailleurs décrit plusieurs for- mes (atrophie musculaire progressive de l'enfance, paralysie pseudo-hyper-
en-Moebius). l'eu à peu, on s'est aperçu que la variété des groupes musculaires pri- mitivement atteints par l'atrophie était i
quelques années plus tard en Allemagne sous le nom de Dysti,ol)hie musculaire progressive. Dans une monographie très complète
arties du corps, principalement des mollets et d'autres territoires musculaires . S'agit-il de vraie ou fausse hypertrophie, il pe
ent cependant la plus grosse partie du grand groupe des dystrophies musculaires . (1) Ciiaucot. Révision nosographique des atrop
ies musculaires. (1) Ciiaucot. Révision nosographique des atrophies musculaires (leçons recueillies par P. i\lariect G. Guinon.
ptômes cliniques essentiels ». Il en est de même des cas d'atrophie musculaire dite infantile, c'est-à- dire de la forme avec
cles du dos et* des-jambes/ la con- servation apparente des reliefs musculaires de ces dernières, l'attitude de la malade, sa.
embres supérieurs, et de la face, le peu d'accroissement des masses musculaires des mollets et des cuisses, en un mot t,coiisei,-
e.pseio/type ? oamMeoare. Mitano, 1883. -* . (3) Hoffmann. Atrophie musculaire chronique spinale héréditaire dans l'enfance. D
tact, à la douleur et à la température est bien conservée. Le sens musculaire est intact aussi. Troubles trop/tiques. Les mem
donner l'impression d'une hypertrophie vraie ou fausse des reliefs musculaires , ou bien (comme ici aux jambes) combler les mép
vue morphologique et physiologique, du raccourcissement des masses musculaires qui est la conséquence de leur envahissement par
-pathologiques de W. Roth (3). Cet auteur a constaté que les fibres musculaires subissaient l'atrophie par leurs extré- mités (
use qui le remplace. Au point de contact de l'extrémité de la fibre musculaire en voie d'atrophie et de la portion fibro-tendi
nt actif. En même temps existe une atrophie transversale des fibres musculaires . Et dans le voisinage des points où on la const
issu conjonctif interstitiel. En outre, un certain nombre de libres musculaires subissent la trans- formation fibro-tenclinense
natomie compa- rée montrent bien cette transformation des appareils musculaires en or- ganes fibreux. C'est vraisemblablement
est assurément là la raison de la grande dureté de certains reliefs musculaires pseudo-hypertrophiés, du- (1) Voir PAUL Richer,
Salp., 1894, ne 3. (3) W. ROTfI, Sur la palhogénie de l'atrophie musculaire progressive. Ziegler's Bei- trâge zur Pathol. A
observation réside principale- ment dans ce fait que la dystrophie musculaire a envahi rapidement tous les muscles du corps;
ne présente ni hypertrophie ni atrophie, bien que l'affaiblissement musculaire soit considérable et occupe un grand nombre dém
y Meige, une diminution simplement quantitative de la contractilité musculaire , proportionnnée dans une certaine mesure à l'at
ux et fonc- tionnent régulièrement. Tout' se borne à une atrophie musculaire et à des déformations considérables. La descrip
spenseront de longs commentai- res. Quant aux détails de l'atrophie musculaire , on les trouvera dans la note très soignée qui
vue clinique, ce cas correspond à la « forme infantile de paralysie musculaire progressive » décrite par Duchenne de Boulogne (2
té donné d'observer. j Si l'on définit l'amyotrophie : une atrophie musculaire qu'accompagne une paralysie proportionnelle, la
s myopathies primitives, où la lésion porte uniquement sur la libre musculaire , tantôt diminuée, tantôt accrue dans son volume.
ux seulement recouvrent dans la suite leurs propriétés. 2° Atrophie musculaire progressive (type Ductienne-Aran). Paralysie es
type Ductienne-Aran). Paralysie essentielle des adultes. Atrophie musculaire spinale chronique. Po/<o)Mye7/<e antérieu
. La paralysie l'emporte ici souvent sur l'atrophie. 4" Atrophies musculaires liées à des poliomyélites antérieures secondai-
enre dans la myélite transverse et la syringomyélie. 5° Atrophies musculaires d'origine articulaire décrites par Charcot, (2).
les par la répartition de l'atrophie au début dans certains groupes musculaires ; mais qui tendent avec le temps à se généralise
nfance ou l'adolescence, et sont en général héréditaires : Atrophie musculaire infantile progressive de Duchenne (1) qui débute
tile progressive de Duchenne (1) qui débute par la face. Atrophie musculaire progressive d'Erb (2) commençant par la ceinture
ressive d'Erb (2) commençant par la ceinture scapulaire. Atrophie musculaire progressive de Leyrlen (3) débutant par les jambe
s. L. HATTA1LLE ET c11 ? w ? UN CAS D'AMYOTROPHIE PRIMITIVE 187 musculaires ou des difformités. Pas d'attaques, pas de paraly
des attaques d'é- pilepsie « causées par une peur ». Pas d'atrophie musculaire , ni de dif- formités. 8° Une fille de 11 ans
deux pieds sont très congestionnés. Ii, ides. Squelette et système musculaire . La principale difformité consiste en une lordo
ges costaux inférieurs, plus accentuée à droite. Bras. Les masses musculaires des deltoïdes semblent totalement absentes, et
extrémités supérieures, surtout à gauche. En outre, la contraction musculaire est très faible; mais elle ne paraît pas retard
après la face et la parole ont été altérées. A 10 ans, la faiblesse musculaire générale est assez prononcée pour attirer l'atten
nt tous les muscles volontaires du corps. L'atrophie et l'impotence musculaire prédominaient d'une façon notable « l'âge de 18
i intense que l'on ne peut sentir par la palpation la moindre masse musculaire dans le triceps crural ni dans le deltoïde. Nul
part il n'y a eu d'augmentation de volume des muscles. 3° La force musculaire a diminuée peu et peu au 'fur et à mesure que l
demandé au Dr Kilner de vouloir bien vérifier l'état des réactions musculaires aujour- d'hui. Cet examen a été fait obligeamme
le premier décrit ce faciès dans la maladie qu'il appelait atrophie musculaire progressive de l'enfance (2), et qu'il considér
enfance (2), et qu'il considérait comme une forme de celle atrophie musculaire progres- sive de l'adulte qui porte aujourd'hui
l'atrophie des muscles faciaux, prélude ou compagne d'une atrophie musculaire diffusante et progres- sive ». (1) LANDOUZY E
eu nombreux dans les couvres d'art, les représentations d'atrophies musculaires des membres sont mieux connues. , Dans les Mala
diale; mais on n'y remarque au- cune trace d'atrophie. L'atrophie musculaire fait partie des symptômes de la lèpre. M. P. Ma-
. Centralbl., 1885. CHARCOT. - Revision Nosographique des atrophies musculaires progressives, Progrès Médical, mars 1885. WES
myopathie atrophique, type Lazdouy-Déje- rine, et un cas d'atrophie musculaire , type Aran Duchenne, dans la même fa- mille, Lo
6. ROTI ! . - Contribution à l'allatomie pathologique de l'atrophie musculaire progres- sive, Comptes rendus de la Soc. de Bio
r., 1886. CHARCOT ET MARIE. - Sur une forme particulière d'atrophie musculaire progres- sive, Revue de Méd., 1886. Toonx. -
rch. de Méd. exp. et anat. pathol., 1891, no 6. JOURNÉE. - Atrophie Musculaire progressive, Progrès Médical, 1892, n° 9. Talma
et 3). Rovicm ET LEVI. - Contribzczione allô studio della dislrofia musculaire lJ1'ogl'es- siva. - Rivista expérimentale di fr
and. Ment. Discases, Avril 1893, n° 4, p. 252. F. Raymond. Atrophie musculaire à marche progress., chez des syphilitiques. Soc
medica, 1893. J.-E. EDGREN. - De la forme névritique de l'atrophie musculaire progressive. Hygiea, 1893, p. 591. M. BERHARD
e méde- cine, 10 juillet 1893, n° 7, p. 635. CHARCOT. - Atrophies musculaires d'origines diverses. Journ. de Méd. et Chir. pr
s ataxiquos (rapportés par Duchenne de Boulogne, à la perle du sens musculaire ), étaient la raison d'être de ces traumatisâtes
pouvait résulter de la contraction brusque et désordonnée du groupe musculaire antérieur qui distend ;'1 l'excès les ligaments p
l- ques-uns doivent être rapportés à des troubles de la sensibilité musculaire , aucune autre forme de sensibilité n'est compro
s'il faut rattacher l'incoordination tabétique il la perte du sens musculaire , notre malade a de bonnes raisons pour n'avoir pa
prolifération de tous les éléments conjonctifs dans les interstices musculaires . Par la seulement nous pouvons concevoir celte
traités avec soin. A cet âge, notre malade était d'une grande force musculaire et exerçait d'ailleurs le dur métier de coltine
ctuel. Le malade est un homme de haute stature ; d'une grande force musculaire autrefois, ses muscles sont actuellement très éma
ci, comme dans les membres inférieurs, conservation absolue du sens musculaire . n'y a pas d'incoordination motrice apparente dan
érable, la cuisse est cylin- drique, toutes saillies ou dépressions musculaires sont effacées ; sa circonfé- rence, à 31 cm. de
l'hypertro- phie du membre. Il se pourrait que les tissus osseux et musculaires n'y fussent pas absolument étrangers. Enfin,
rale (Kroenig) (2). Roth, au contraire, pense qu'elle est d'origine musculaire , et causée par l'atrophie des muscles lransversai
ière fois le malade les signes polio-myélites antérieurs atro- phie musculaire et postérieurs dissociation de la sensibilité ne
ariable du processus morbide. Si la triade symptomatique : atropine musculaire , dissociation de la sensibilité et troubles tro
éliques et présente un intérêt particulier par l'absence d'atrophie musculaire manifeste. Résumé de l'observation. Monoplégie
ale sur les autres faces ainsi que sur tout le reste du corps. Sens musculaire Il se rend mal compte delà position de ses doigts
mètres ; la peau n'est pas tendue ; pas d'oedème, ni d'infiltration musculaire ; l'axe antéro-prostéieur est augmenté. Au moment
bilité électrique et le tremblement fibrillaire de certains groupes musculaires de l'avant-bras. Rossolimo et Kojevnikotr (1) o
indolence et la facilité de réduction et enfin l'absence d'atrophie musculaire notable. Puis les lésions nerveuses à la suite
l'affection, la dissociation de la sensibilité excluent l'atrophie musculaire progressive et la sclérose latérale amyotrophique
localisation de la lésion médullaire, nous avons vu que les lésions musculaires sont peu prononcées, le processus morbide est don
liquer ces déviations peuvent être ramenées à deux (4) : 1° Théorie musculaire (paralysies, contractures) ; 2° Théorie trophiq
a contracture est en cause. Nous avons vu, en outre, que le système musculaire en général est peu touché dans notre cas. D'a
transformations dégénératives dans les muscles privés de leur sens musculaire , dans l'estomac si le malade a éprouvé des cris
définition est dif- ficile et je ne m'y risquerai pas. Impuissance musculaire , gêne pénible, faiblesse douloureuse, dira-t-on
s vous expliquerez mieux cette aberration morbide de la sensibilité musculaire . Retenez seulement que la fatigue est une sensa
e. Retenez seulement que la fatigue est une sensation de provenance musculaire . Du reste, Mosso l'a dit en excellents termes :
ddison, sont destinées à détruire les substances toxiques d'origine musculaire . Les expérien- ces d'Albanese (1) ont bien mis
sont de même nature que les poisons élaborés au cours d'un travail musculaire exagéré.... Ainsi s'expliquent cette asthénie,
ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE qui nous avertit de la tétanisation musculaire commençante, est le phénomène conscient, grâce
ans la sensation de fatigue préalable. Les fibres de la sensibilité musculaire , chargées de donner l'éveil, n'ont pas fonctionné
rdre reçu, se charge de diriger, en les coordonnant, tous les actes musculaires que cette progression automatique exige. Les ce
acia- les qui font suite à la névralgie du trijumeau, les atrophies musculaires qui résultent des arthrites douloureuses, les é
nier, réduit de volume dans sa totalité, n'a presque plus de relief musculaire ; la peau elle-même est comme parcheminée, et les
» dans la substance cérébrale pour entretenir la fonction trophique musculaire , alors même que l'arc réllexe direct qui va de
es puissants quand bien même il a perdu complètement la sensibilité musculaire proprement dite. Un malade atteint de tabes sen
le ne sont-ils jamais primitifs. Il ne s'en suit pas que l'atrophie musculaire soit chose rare chez les tabétiques ; c'est, an c
trophie ARTHROPATHIES NERVEUSES ET TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ 285 musculaire des tabétiques, on peut d'autant mieux concevoir
phie de la cavité articulaire. Il n'est pas fréquent que l'atrophie musculaire soit superposée il l'ar- thropathie. Cependant
symptômes n'excluaient pas le tabès. Enfin ou découvrit l'atrophie musculaire et la dissociation de la sensibilité (Fig. 79).
et en particulier à celle encore si défec- tueusement posée du sens musculaire et de la psychomotricité. Les données les plus
du reste du corps, tronc et membres, que l'on a souvent appelé sens musculaire , bien que peu de nos organes soient aussi profo
de la sensibilité. Au membre supérieur, il y a une légère atrophie musculaire en masse. Le périmètre donne les chiffres suiva
tion (1868), Duchenne donnait à celle affection le nom de paralysie musculaire progressive de la langue, du voile dit, palais
s un certain nombre d'affections médullaires, telles que l'atrophie musculaire progressive, la sclérose latérale amyotrophique,
12 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
de la perte de la sensibilité et spé'- cialement de la sensibilité musculaire . Mais vous verrez que chez notre malade, le sig
re chez les mêmes ma- lades quand il existe de l'anesthésie du sens musculaire (ataxie hystérique de Lasègue). J) Voilà la q
a conséquence de la perte de la sensibilité et spécialement du sens musculaire chez les ataxiques ? Je crois que le malade de
fférente, et a pu déter- miner assez souvent leur nature. Le sens musculaire n'offre pas d'altération appréciable. Voici un
- tation est de beaucoup postérieure à l'apparition des secousses musculaires . En regard de cette observation, il convient de
s, le tic est tout à fait localisé; il est limité à quelques fibres musculaires ; il occupe le même côté de la face et siège su
oisinant le globe oculaire; dans les deux cas encore, les faisceaux musculaires en rapport immédiat avec les cicatrices ne part
re l'arcade dentaire inférieure, qui termine la série des secousses musculaires de la face. Pour le membre supérieur droit, la
ond. Il en est de même avec la fatigue ou à la suite de tout effort musculaire . En dehors de ces états, on note simplement tro
les mouvements convulsifs, on se rend compte que le dé- clenchement musculaire se fait sur la syllabe Par du terme pardi. A ce
ans les moments de calme, on peut faire apparaître les contractions musculaires par la projection du bras droit sur l'abdomen o
rticulées; enfin, elles sont prononcées en dehors de toute secousse musculaire . Pareille remarque mérite d'être faite pour l'é
d'un organe ramené à sa posi- tion première, en vertu de la détente musculaire , mais, en outre, qu'il est porté légèrement en
droite; il en est de même des divers modes de la sensibilité. Sens musculaire légèrement obtus de ce côté ; la main apprécie
orme des objets. Réflexes pharyngien et conjonctival abolis; -force musculaire conservée à gauche, très diminuée à droite. D
ion (position du tailleur assis sur son établi), et chaque secousse musculaire détermine le soulèvement et la projection dn tr
fluence de l'émotion ou de la fatigue, on notera 10, 12 secousses musculaires généralisées par minute ; par contre, si l'attent
pour les contractions qui inaugurent la sériation des divers actes musculaires composant un mouvement généralisé. Bien que trè
notamment pour le bras droit qui reste agité de légères se- cousses musculaires ; enfin, ils durent depuis six ans sans qu'ils aie
huma- big. 4. La contraction n'offre pas la rapidité de la secousse musculaire ; elle s'accomplit cependant dans un temps relat
La contraction, au début et à la fin, est l'analogue de la secousse musculaire , mais les lignes d'ascension et de descente sont
aphiques, il ressort que dans les spasmes hystériques les secousses musculaires présentent une amplitude uniforme, se reproduis
36 PATHOLOGIE NERVEUSE. sur les stigmates hystériques ; la force musculaire est rede- venue à peu près égale des deux côtés
à la suite d'une vive émotion. Dans le prin- cipe, les contractions musculaires ont occupé le bras droit, la face, puis se sont
; à haute voix, les paroles gros- sières accompagnent les secousses musculaires ; à voix basse, ellez sont émises en dehors d'el
e partielle. (Archiv. de Neu- )-ologie, 1884.) Babinsky. L'atrophie musculaire dans l'hystérie. Progrès médical 1886. (Obs. I.
ou 3 fois, est très fatigué et obligé de s'asseoir. - Le système musculaire est très bien développé. Pas d'atrophie, pas de
développé. Pas d'atrophie, pas de secousse fibrillaires. Les masses musculaires sont également développées des deux côtés, seul
dité. Tous les mouvements actifs intéressant les différents groupes musculaires sont bien conservés, mais extrême- ment faibles
ic d'hystérie. Elle peut dépendre, ou d'une parésie, ou d'un spasme musculaire ; la chose pourrait être vérifiée avec précision
lant avec cette façon de marcher un peu celle des steppeurs. Force musculaire . Elle est presque complètement abolie dans les
opposer au mouve- ment passif qu'on imprime aux différents groupes musculaires de ses membres est presque nulle. Pour ce qui e
torsion dans tous les sens sans provoquer de dou- leurs. Le sens musculaire est complètement absent dans les deux membres g
ie métallique du marteau à percussion et sa partie en bois. Le sens musculaire , tant dans le membre inférieur que dans le supé
.. avec une très grande précision et rapidité. Motilité. La force musculaire s'est améliorée dans les deux membres. L'on peu
nt pour le moment de l'indiquer sommairement. A lâsuite d'un effort musculaire , vingt-quatre heures après, B... eut de vio- le
r Tood; au contraire le membre, en examinant ses différents groupes musculaires , dans la partion assise décelait une force comp
'hémianesthésie totale du côté gauche, avec perte abso- lue du sens musculaire , lequel dans l'hémianesthésie d'origine capsula
t;Mco/ : <Me Ay<e') ? Me). JVouM//e tconorap/tt'e de a a<- musculaire (yphoscoliose hystérique). Nouvelle iconographie
e l'épaule, assumant la forme caractéristique en man- chon. Le sens musculaire est réapparu dans les deux membres . 2° Le memb
. soulève de terre un malade et il le couche sur le lit; cet effort musculaire ne donne lieu pour le moment à aucun phénomène
ession, tandis que celle-ci ne provoque pas de douleur sur la masse musculaire sacro-lombaire, ni à côté de la colonne ver- té
Eh bien, il est péremptoirement démontré aujourd'hui que l'atrophie musculaire accompagne assez souvent la paralysie ou la con
embre né reprendra sa force et son volume que lorsque les faisceaux musculaires se seront régénérés, et cette régéné- ration, à
o- phie n'a pu échapper à la loi physiologique de la régénération musculaire . De tout cela, je ne parle point sans pouvoir i
Contribution A L'ÉTUDE DE l'épilepsie jacksonienne ET DB l'atrophie musculaire D'ORIGINE cérébrale ; par L. KR.1MER. (Jahrbùch
onsidérable donnent lieu à une hyperesthésie, une hyperexcitabilité musculaire et auditive et à un état de convulsi- bilité qu
aigus en question et ces altérations. P. K. XXI. DE la conscience musculaire DE DUCHENNE; par A. Pica. (Neurolog. Centralbl.
du premier malade a permis de découvrir, en outre, des altérations musculaires , une atrophie très prononcée des fibres nerveus
pliquer la pathogénèse au moins de certaines formes des atro- phies musculaires , surtout de l'atrophie musculaire progressive n
certaines formes des atro- phies musculaires, surtout de l'atrophie musculaire progressive neurotique (type péronéal). Discu
manesthésie et faible hypoesthésie des poignets; diminution du sens musculaire des deux derniers doigts; enfin les traces d'un
malade, atteint de syringomyélie. Il présente une forte atrophie musculaire et un anesthésie typique d'un membre, le symptôme
rophie diffuse générale des membres gauches. Diminution de la force musculaire de la main droite, du membre inférieur et du tr
ser au rôle des voies d'association; 3° les modi- fications du sens musculaire dépendent, d'après l'auteur, des fibres d'assoc
as plus graves, où il y a combinaison de pied plat avec contracture musculaire . L'état de la malade s'améliora de beaucoup apr
e parcourir, qui a trait aux altérations des terminaisons des nerfs musculaires a été rédigé par MM. Babès et Marinesco. Fidèle
es excitations internes ou externes, un état particulier de tension musculaire préralable, qui constitue la condition physiolo
un certain nombre d'affections qui intéressent également le système musculaire , y produi- sent des amyotrophies et des impuiss
e-Aran. Cette question du diagnostic différentiel des atro- phies musculaires progressives se confond presque avec la suivant
t certes pas à dédaigner : qu'est devenu l'an- cien groupe atrophie musculaire progressive, tel que ce grand observateur le co
reproduire assez fidèlement les caractères cliniques de l'atrophie musculaire progressive. M. Ray- mond en rapportait récemme
spinale, qui toutes figuraient dans l'ancien groupe de l'atrophie musculaire progressive. Elles n'y prenaient pas toute la p
hie pri- mitive était englobée dans le grand groupe de l'atrophie musculaire progressive de Duchenne. Nous en avons la preuv
étendu. . En 1884, M. Erb décrit une forme juvénile d'atro- phie musculaire progressive, qu'il considère comme analogue, ou
et Déjerine ont repris l'étude de la forme infantile de l'atrophie musculaire progressive, d'après Duchenne. Ces auteurs ont
du malade, on peut se rendre compte que l'énergie des contractions musculaires est un peu moindre du côté lésé. Les réaction
ce que l'absence d'une impuissance motrice dans un cas d'atrophie musculaire aussi avancée. Eh bien ! le malade est un névro
blica- tions de ces dernières années certains exemples d'atrophie musculaire hystérique dans lesquels l'exis- tence des cont
car il n'a pas été démontré du moins jusqu'à ce jour que l'atrophie musculaire hystérique peut donner lieu à des réactions de
nanoff vous l'a montré. Mais tout l'effort se concentre sur le sens musculaire qui semble être la clef de la discussion, sa di
Romberg, dit Vanlair 1 dépend uniquement de l'anesthésie tactile et musculaire » . Et Pierre Marie 2 : « Dans cet état, la vue
r rectifier les écarts de position dont les altérations de son sens musculaire l'em- pêchent d'être averti ; d'où la difficult
: « Le symptôme de Brach-Romberg est lié à la perversion du sens musculaire dans la majorité des cas. Ce dernier dit, comme
femme de la salle Bichat, qui possède une perte complète du sens musculaire , et pour laquelle la théorie classique pourrait ê
d pas compte de ces différences. Ainsi on prétend que quand le sens musculaire est aboli, la vue est nécessaire, non en soi, m
exacte, le signe de Romberg ne devrait pas exister lorsque le sens musculaire n'est pas altéré. Notre homme, et c'est là réel
d'ataxie locomotrice avec « intégrité parfaite de la sensibilité musculaire , articulaire et cutanée » ; ccpendantle malade ét
ance complète des troubles de la loco- motion dus à l'insensibilité musculaire d'avec les troubles fonc- tionnels de l'ataxie
it démontre, comme le nôtre, l'indépendance de la paralysie du sens musculaire et du signe de Romberg. Axenfeld * constate que
r et le plus léger symptôme d'une diminution de cette sensibilité musculaire qu'aucune autre manifestation ne décèle. Mais il
berg existe parfois, vous l'avez vu, sans perte de la sensi- bilité musculaire . Nous allons établir maintenant qu'il peut manq
ous allons établir maintenant qu'il peut manquer, alors que le sens musculaire est profondément altéré. Ce sont surtout les hy
ire l'homme le mieux portant. » Dans d'autres cas, la perte du sens musculaire trouble les mouvements (et je ne nie nullement
phéno- mènes chez les hystériques. La malade ayant perdu son sens musculaire ne peut plus bouger quand elle a les yeux fermés;
se retrouve en rien dans les troubles qu'entraîne la perte du sens musculaire chez les hys- tériques, tandis qu'on le rencont
le faire sortir du groupe des désordres fonctionnels tenant au sens musculaire où tout le monde le met; et le ranger dans celu
ndouzy et Déjerine. On sait, en effet, que cette variété d'atrophie musculaire fut décrite, en premier lieu, par Duchenne (de
pas moins intéressants. Tout d'abord, en ce qui concerne l'atrophie musculaire , elle ne cessa pas de progresser lentement, aug
régions prises primitivement, envahissant ensuite des départements musculaires , qui lors des premiers examens avaient paru pre
du tissu adipeux au milieu duquel on voit persister'de rares unités musculaires . Ces tractus sont eux-même formés par du tissu
nt du tissu adipeux et sur la cou- leur rouge-brun foncé des fibres musculaires . Celles-ci se montrent sous des aspects très va
points une double réfringence qui les fait ressembler à des fibres musculaires . Si l'on examine attentivement le tissu adipeux
te, sur leur impor- tance et leur signification. Quant aux fibres musculaires , elles diffèrent par leurs formes et par leurs
aisir, sur le fait, en certains endroits, la métaplasie de la fibre musculaire : on voit, en effet, comment la striation dispa-
de l'élément qui permet de voir qu'il s'agit d'une fibre auparavant musculaire . On voit aussi le tissu adipeux prendre la plac
usculaire. On voit aussi le tissu adipeux prendre la place du tissu musculaire en voie de disparition. Les faisceaux neuro-mus
-musculaires sont tout il fait indemnes, il enesL de même des nerfs musculaires dont les plus fines ramification.') paraissent
uant au degré de l'atrophie. Ici ou peut presque compter les unités musculaires qui persistent dans le champ du microscope. Les
un réseau plus épais et plus régulier. Les altérations des fibres musculaires sont analogues aux précédentes. Même intégrité de
usculaires sont analogues aux précédentes. Même intégrité des nerfs musculaires . . Bulbe, Moelle épinière. Nerfs périphériques.
r Erb n'ont pas une valeur absolue. On ne saurait dénier au système musculaire une 'autonomie rela- tive, qu'il tient pour le
euse. Nous en dirons autant du mode de distribution de l'atrophie musculaire , que les recherches de Babinski et Onanoff 2, nou
alisations nerveuses spinales. Quant à la coïncidence de l'atrophie musculaire avec divers troubles nerveux, elle s'explique a
ive semble rentrer dans cette catégorie il est ' Brb. - Dystropliie musculaire progressive. (De2ctsclae Zeilschrifl für Neraez
- nes, n'avons pu constater aucune lésion des petits nerfs intra- musculaires . B. Théories périphériques. - Si l'origine de l
erstitiel dont le développement en arriverait à étouffer les fibres musculaires , car outre qu'elle ne s'accorde pas avec les ré
'a pas conservé de défenseurs. C'est en dernière analyse la fibre musculaire elle-même cirrhose parenchymateuse de Landouzy-
érimentale, muscles pseudo-hypertrophiés). Il rappelle que la fibre musculaire striée résulte d'une associa- tion cellulaire,
e. S'il intervient alors des pro- cessus régressifs, le protoplasma musculaire perdant ses qua- lités de différenciation, revi
vue scientifique. D'après M. l\Ietchnikofi' 2, dans les faisceaux musculaires , ce seraient les cellules musculaires qui jouer
nikofi' 2, dans les faisceaux musculaires, ce seraient les cellules musculaires qui joueraient le rôle de pha- gocytes. Dans le
el s'empare d'elles et les dévore. C'est à l'aide de ces phagocytes musculaires que s'opère l'atrophie des muscles des tétards
ervé dans les muscles atteints de pseudo-hypertrophie et d'atrophie musculaire pro- gressive par M. Lewin 1. Cet auteur a cons
nous, sur le mode histochimique de l'altération de certaines unités musculaires , que nous avons pu constater, ainsi que sur les
lymphatique cloison- née, dans laquelle sont plongés les faisceaux musculaires , de telle façon que c'est dans la lymphe qui le
u- trition plus grande que le protoplasma différencié de la fibre musculaire , prennent le dessus. Ils prolifèrent progressivem
on apparition dans l'enfance provient de l'activité de la nutrition musculaire à cet âge, sa localisation sur certains groupes
utrition musculaire à cet âge, sa localisation sur certains groupes musculaires particuliers est, comme l'ont montré MM. Babins
ges nutritifs en général. Aussi bien, ne provient-il ni de la fibre musculaire ni des fibres conjonctives, mais résulte-t-il d
Nous pouvons ajouter que le mécanisme de la disparition de la fibre musculaire n'est pas uniforme au point de vue chimique. Ce
r comme attention rationnelle. Lorsqu'une association de mouvements musculaires a été une fois définitivement établie d'une faç
ux myélites chroniques graves, comme la myélite diffuse, l'atrophie musculaire progressive et la sclérose en plaques disséminé
r, entre autres conditions indispensables, une certaine contraction musculaire plus marquée que l'état de tonicité ordinaire.
ec rétrécis- sement congénital de l'artère pulmonaire et dystrophie musculaire progressive infantile. Le volume des phalangett
git les nerfs sensibles de la peau. M. J. HOFFMANN. De l'atrophie musculaire spinale progressive dans une même famille. Il s
avant-bras, des mains. Atrophie dégénérative progressive du système musculaire , avec réaction dégénérative ; en aucun cas il n
et des réflexes cutanés; les nerfs ne sont, pas plus que des masses musculaires , sensibles à la pression. Intégrité constante des
éfend l'opinion que la contracture n'est qu'une forme de l'activité musculaire , et n'est qu'une exagération du tonus musculair
orme de l'activité musculaire, et n'est qu'une exagération du tonus musculaire . Quant aux preuves du siège cérébral de quelque
sbasies trophiques se distinguent de même en atrophiques (atrophies musculaires ), para- trophiques (dystrophies musculaires, ar
atrophiques (atrophies musculaires), para- trophiques (dystrophies musculaires , arthropathies, paralysie agi- tante), et hyper
ements d'extension de la tête et dans l'élévation de l'épaule. Sens musculaire . Tout à fait intact. Le malade sait indiquer pa
e gauche toutes les positions imprimées au membre droit. Atrophie musculaire . Elle est incontestable quoique peu accen- tuée
de la peau est conservée dans tous ses modes, mais aussi le sens musculaire est resté intact. Cette monoplégie ressemble, à
is, la réaction de dégénérescence manque totalement et l'atrophie musculaire est très peu prononcée. Une lésion organique de
Troubles trophiques. - Nous avons noté dans neuf cas l'atro- phie musculaire du membre paralysé, dont deux cas en même temps
neurologie, 1887, t. XIV, p. 177). 14-16. B,1BINSIiI. De l'atrophie musculaire dans les paralysies hys- tériques. (Archives de
est au contraire à faire entièrement pour les diverses atrophies musculaires progressives familiales. « Les myopathiques at-
ale que Duchenne a décrite comme consé- quence de ces insuffisances musculaires . Chez eux, pas de sco- liose, ou scoliose insig
rères ou sceurs. D'aboril, un de ses frères a présenté une atrophie musculaire progressive, qui débuta à l'âge de trois ou qua
ntes de la maladie. Il a déjà vu mourir un de ses frères d'atrophie musculaire . Celle-ci, d'après les renseignements que les p
s mouvements coïncide avec une diminution considé- rable des masses musculaires entourant l'épaule. Nous le voyons pour la prem
se- ment considérable que montrent les quatre membres; les masses musculaires ne masquent plus les saillies des os. La face seu
ne atrophie SCOLIOSE DANS UNE MYOPATHIE PRIMITIVE ATROPHIQUE. 363 musculaire progressive familiale. Et afin de spécifier un pe
des troubles fonctionnels identiques, et dans la suite, l'atrophie musculaire , progressant de plus en plus, a entraîné la mor
Il s'agit surtout de savoir, à notre avis, si c'est à l'altération musculaire , ou bien à un trouble trophique des vertèbres,
ue cette déviation mérite d'être attribuée. A vrai dire, la théorie musculaire possède quelques arguments en sa faveur. On con
chez notre malade; elle était au contraire très légère. La théorie musculaire n'est donc pas à même d'expliquer complètement
raîné, ou bien mérite d'être rapprochée comme origine de l'atrophie musculaire . Depuis bien longtemps, c'est une notion couran
un rapport étroit comme cause entre cette déformation et l'atrophie musculaire . En traçant l'histoire héréditaire de notre pat
'agissait d'un enfant de treize ans et demi, atteint d'une atrophie musculaire , à peu près générale, et qui présentait au nive
une altération atrophique analogue à celle qui envahit le système musculaire et semblant se produire vers la phase ul- time.
91, n" 11.) UN CAS SINGULIER DE L'HYSTÉRIE MALE. 367 Î d'atrophie musculaire progressive familiale comme des affec- tions né
s héréditaires névropathiques et arthri- tiques ; 2° Une atrophie musculaire familiale ayant déjà frappé des membres dans tr
o- phique des vertèbres de même nature probablement que la lésion musculaire . RECUEIL DE FAITS UN CAS SINGULIER DE L'HYSTÉ
à 10 et la gauche jusqu'à 3. Une diminution évi- dente de la force musculaire peut être aussi observée sur les mouve- ments d
toutes ses conséquences; - hésitation et difficulté des mouvements musculaires et des actes, qui ne peuvent, plus s'exécuter ave
e par l'incoordination des mouvements avec conservation de la force musculaire , par le nystagmus, l'em- barras de la parole, l
ations, que quelques auteurs ont placées sous la dépendance du sens musculaire . Leur persistance quand la tête est soutenue (q
is il faut faire ici une réserve, car nous ne savons pas si le sens musculaire n'est pas lui-même indépendant de l'action musc
as si le sens musculaire n'est pas lui-même indépendant de l'action musculaire . R. M.-C. LX. Observations DE chorée héréditair
apparaître l'exagération du réflexe rotulien et l'affaiblisse- ment musculaire généralisé; puis la sclérose générale aboutit gén
brillant; mou- vements brusques, désordonnés, incessants; la force musculaire parait accrue : en tout cas, jamais la fatigue
de la conscience, 1892. 7 A. Pick. Ueber die soqenanule «conscience musculaire » (Duchenne). (Zeitsclwi{l fii, psych. und phys
sence de tissu adipeux, musculature normalement t développée. Force musculaire sensiblement diminuée; à droite, l'aiguille du
stérie et à la paralysie agitante, si l'on en excepte la rigi- dité musculaire , sont loin d'offrir entre eux des caractères bien
la névralgie vient en seconde ligne, puis la diminution du pouvoir musculaire . Plusieurs formes d'aliénation mentale se sont
qui peuvent éventuellement se manifester sous forme de contraction musculaire . R. M.-C. LXXX. Un cas DE cocaïnisme; par PERCY
ux central. Après avoir présenté deux malades atteints d'atrophies' musculaires arthropathiques et offrant des symptômes spinau
lade affecté de paralysie progressive avec complications d'atrophie musculaire spinale 1l1'ooressive. 11 pré- sente ensuite un
surtout avec rigidité, des rigidités spasmodiques avec parésies. musculaires , des mouvements choréiques ou athétosiques, en so
Attention, rôle de l'- dans l'hyp- nose, par Page, 256. Atrophie musculaire spinale fami- liale, par Hoffmann, 281. Autom
29. Mort snbite et hérédité névropa- thique, par Cullerre, 100. Musculaire (conscience), de Du- ! chenne, par Pick, 115. M
\Vaner, 450, cas anormaux de , par Bonville, 460; avec atrophie musculaire spinale pro- gressive, par Neisser, 479. Para
13 (1912) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 25] : iconographie médicale et artistique
tatons : Le malade est de constitution faible, le tisssu adipeux et musculaire peu développé. Il porte continuellement sa main
a complètement disparu, de même que la paralysie, pourtant la force musculaire du côté droit est moindre que celle du côté gau
nstate : Le malade est de constitution robuste. Le tissu adipeux et musculaire est assez développé pour son âge. Son faciès es
ment la sensation que les objets fuient devant ses yeux. La force musculaire a beaucoup diminué. Il se fatigue promptement. Il
tion, c'est l'instabilité motrice : sauf quand il est en résolution musculaire , le malade est animé d'un mouvement con- tinuel
t un peu creux, sans équinisme vrai. On constate un état de raideur musculaire appréciable surtout aux membres supérieurs : l'
nt la la disparition de la graisse qu'à un certain degré d'atrophie musculaire ; de ce fait, la force est très diminuée ; l'éc
uve chez ce malade : un état 1)al·éto-SpaSnlOdlqllf·, avec atrophie musculaire , de l'instabilité chol'éi forme, une attitude ébr
e l'exagération des réflexes, l'intégrité des sensibilités, du sens musculaire , des sphincters, l'absence d'ataxie tabétique e
nce d'ataxie tabétique et de déformation squeletti- que. La raideur musculaire , les phénomènes spasmodiques et un certain degr
ctifs, aussi bien entre les tubes glandulaires qu'entre les travées musculaires , apport qui a moins les caractères d'un exsudat
out dans la musculeuse; ensuite l'hyperplasie particulière du tissu musculaire lisse, avec, par endroits, aspect véritablement m
ssl les groupes de cel- lules ganglionnaires essaimés dans la paroi musculaire ; aucune altération notable ne nous a frappés.
démontre que l'estomac peut ne présenter aucune lésion mu- queuse, musculaire , périlouéale,.interslilielle, au cours des crises
bre supérieur ». 13...présenleunecerlaineparésie de tout l'appareil musculaire mimique; il parle lentement, presque sans modul
ont normaux. Le fond de l'oeil ne présente rien d'anormal. La force musculaire est minime et le malade se plaint souvent de la
d'un volume et d'une consistance au-dessus de la normale. La force musculaire de Khéroufa est considérable : elle est capable
rmations angulaires juxta-épiphysaires, les saillies des insertions musculaires , l'élargissement des épiphyses, l'élévation de
me, ils ne sont pas douloureux, il n'y a pas de troubles trophiques musculaires ou osseux, pas de douleurs. Mais ces différente
ue lorsque l'excitation ne donne jamais ni mouvement ni contraction musculaire . Dans un certain nombre de cas, l'absence du ré
ptionnels, il estime qu'une cause morbide locale est en jeu (lésion musculaire , varices, etc.). C'est avec cette technique que C
s se sont contenté de décrire l'état des clavicules, des insertions musculaires de la région, l'étal du crâne, celui i du cerve
ions, ni de phénomènes d'irritation motrice, stéréotypies, rigidité musculaire , grimaces, ' etc. ; mais, par contre, une certa
questions : « Fait beau aujour- d'hui » ; il présentait une atonie musculaire généralisée et une anesthésie complète pour les
rnant l'amnésie. A cause de l'absence d'hallucinations, de rigidité musculaire et d'un certain nombre d'autres symptômes, Gadé
CIÉTÉ DE NEUROLOGIE DE PARIS SÉA1\CE DU 25 JANVIER 1912. ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE TYPE ARAN- DUCHENNE DE NATURE NÉVRI
82 LONG n'existe pas d'autres phénomènes morbides que de l'atrophie musculaire et des troubles de la motilité. Membre supéri
a sortie de l'hôpital, il a eu presque constamment des contractions musculaires brusques dans le bras et l'avant-bras gauche. D
e pendant ce deuxième séjour à l'Hôpital cantonal note : L'atrophie musculaire est très marquée à la main gauche, à l'avant-bras
éciable à la vue sur les muscles du bras et de l'épaule. atrophie musculaire PROGRESSIVE TYPE ARAN-DUCHENNE 283 Mesures circ
ntimètres ; à droite, 44 centimètres. b On constate des secousses musculaires dans les muscles du membre supé- rieur gauche,
igts ont aussi une force inférieure à la normale. Au bras, la force musculaire est conservée. Aux membres inférieurs, celle-ci
cancer de l'estomac. Dans les huit dernière : années, l'atrophie musculaire a.subi une aggrava- tion lente : Le bras gauche
r volumineuse, adhérente au foie. Décès le J9 août 1910. ATROPHIE MUSCULAIRE PR0GRUSS1VE TYPE AISAN-DUCHENNE 285 Autopsie pr
ELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALYLTRILRC. T. XXV. Pl. XXXV111 ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE (Type Aran-Duchenne) de nature né
Type Aran-Duchenne) de nature névritique. , (E. Long). ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE TYPE ARAN-DUCHENNE 287 Les fibres n
LLE Iconographie DE la SALPLTRIÈRE. T. XXV. l'1. XXXIX X ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE (Type Aran-Duchenne) de nature né
ale est des- tinée, comme la racine C 8, à une région où l'atrophie musculaire a débuté et a atteint le plus de gravité. De
ent répartie. Dans le même fragment, il est des zones où les fibres musculaires , de volume normal, sont régulière- ment groupée
Nouvelle Iconographie DE la SALPLTRILRr. T. XXV. Pl. XL ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE (Type Aran-Duchenne) de nature né
PROGRESSIVE (Type Aran-Duchenne) de nature névritique. ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE TYPJ : ftCRENNE zvi volume des fibr
sur d'autres segments de la coupe, il ne reste plus que des fibres musculaires rares, très atrophiées, au milieu d'une gangue
t anormalement t développé, indépendamment de l'atrophie des fibres musculaires ; cette myosite interstitielle est accompagnée
examinés. Résumé DE l'observation clinique. - Début de l'atrophie musculaire à l'âge de 53 ans, par les muscles de la main g
rs degrés des fibres striées myosite interstitielle. Cette atrophie musculaire progressive débutant par les extrémités des mem
ann (1890 et 1891) ont fixé définitivement la notion d'une atrophie musculaire à marche lente, débutant par les extrémités des
inale.- . Hoffmann (1) fait rentrer ces trois cas dans son atrophie musculaire neurotique et les rapproche de ses observations
(2) l'histoire clinique d'une famille présentant 22 cas d'atrophie musculaire , répartis sur quatre générations, et chez tous,
avec les documents anatomiques, ont établi que la forme d'atrophie musculaire progressive, que l'on dénomme amyolrophie type
e type Charcot-Marie ou encore type péronier de Tooth., ou atrophie musculaire progressive neurotique (ou neurale) de Hoffmann
h, l'attachées plus tard par Hoffmann à la discussion des atrophies musculaires neurotiques, et une observation deNoune qui, à
ignements cliniques que ceux du caractère héréditaire de l'atrophie musculaire progressive et de son évolution : début à l'âge d
ues dépourvues d'examen histologique. La topographie d'une atrophie musculaire n'a plus la valeur indiscutahle qu'on lui attribu
utopsie : lésions myopathiques et intégrite de la moelle et des nerfs musculaires . (2) Ein Fall vonprogressiver Muskelatrophie. V
trophie. Virchow's Archiv, vol. VIII, oct. 1855, p. 537. ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE TYPE ARAN-DUCHENNE 295 espaces dénu
ndant pas été rattachés par leur auteur à la question des atrophies musculaires progressives, mais à celle des névrites périphéri
es périphériques. Dans sa première observation, bien que l'atrophie musculaire fut progressive z et accompagnée de contraction
e théorie qui n'a pas été admise : 1 unité anatomique des atrophiés musculaires progressives, dont le point de départ serait une
chidiennes et même la moelle. (2) Elude sur quelques cas d'atrophie musculaire , limitée aux extrémités et dépen- dant d'altéra
nique », mais qui rentre aussi bien dans la catégorie des atrophies musculaires neurotiques ou spinales-névritiques. Il s'agit
es publiés sous le titre d'amyotrophie Charcot- Marie ou d'atrophie musculaire neurotique de Hoffmann. Observation de Marinesc
, Arch. de méd. expérim. et d'anat. path., 1891, p. 921. ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE TYPE ARAN-DUCHENNE 297 motrices rar
des fibres et épaississement de quelques vaisseaux ; dégénérescence musculaire très avancée. Observation de SAINTON (2). - Déb
ophie type Charcol-A9aree. Thèse de Paris, 1899, p. 81. (3) Atrofia musculaire dipendellte da alterazioni dei nervi, Il Morgagni
ion DE DESUCr et DEBOUBAIX (2). Hérédité mentale chargée.Atro- phie musculaire datant de l'enfance, prédominant aux extrémités e
tion des fibres sans prolifération des noyaux (1) Un cas d'atrophie musculaire type Charcot-Marie, suivi d'autopsie. Revue Neu-
vue Neu- rologique, 1903, p. 1198. (2) Note sur un cas d'atrophie musculaire progressive. Journal de Neurologie, 1906, p. 16
ulaire progressive. Journal de Neurologie, 1906, p. 161. ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE TYPE ARAN-DUCHENNE 299 de Schwann ;
rvation, les auteurs défendent la conception unitaire de l'atrophie musculaire progressive et considèrent les lésions comme le
as (3). - Début vers 39 ans, par les mus- cles des jambes. Atrophie musculaire , refroidissement, cyanose ; les mains et les av
nchymateuses et interstitielles se retrouvent dans les nerfs intra- musculaires , et à un plus faible degré dans les nerfs de la q
ressive de l'enfance. Société de biologie, 18 mars 1893. ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE TYPE ARAN-DUCHENNE 301 mas (1) conc
ierre Marie). Semaine médicale, 1910, p. 145. 302 LONG Atrophie musculaire familiale prédominant aux membres inférieurs, pie
séquilibre mental habituel. A l'âge de 44 ans, début d'une atrophie musculaire progressive au niveau de la main gauche, type A
, et au niveau des racines rachidiennes dont les anté- (1) Atrophie musculaire progressive des membres supérieurs (type A.'ali-D
hypertrophique. Iconographie de la Salpêtrière, 1907, n 1. ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE TYPE ARAN-DUCHENNE 303 rieures seul
vec le cas actuel (Brandi) la plus grande extension de l'atro- phie musculaire , qui a gagné les membres inférieurs et l'existenc
conclure à une formule anatomique unique pour un groupe d'atrophies musculaires progressives,qui comprendrait à la fois l'amyot
ffmann et de ceux qui, après lui, ont décrit et délimité l'atrophie musculaire neuro- tique. Mais on cherchait alors à créer u
rstitiels. Il y a là une analogie évidente avec certaines atrophies musculaires de nature myopathique, dans lesquelles une augmen
e des tissus interstitiels accompagne la dégénérescence de la fibre musculaire . Les rapports entre l'atrophie des fibres nerve
der Neurologie (Le- wandowski), 1911, t. Il, p. 321-445. ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE TYPE-ABAN' DUCHENNE oua en indiquen
'un résidu fibreux, souvent à peine appréciable. Dans les atrophies musculaires progressives de nature névritique, il semble au
l est intéressant de relever dans plusieurs observations d'atrophie musculaire névritique, analysées plus haut (cas de Siemerlin
hénomènes douloureux rentrent dans la symptomatologie des atrophies musculaires progressives de nature névritique, alors que les
chez ce malade,varie dans l'ensemble des obser- vations d'atrophie musculaire progressive névritique, souvent atténué, parfoi
ment à ce que la symptomatologie permettait d'imaginer. L'atrophie musculaire localisée aux territoires des deux nerfs sciati
n de Goll gauche est du reste plus petit que le droit. DYSTROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE HÉMILA TÉRALE (TYPE h'AClO-SCAPUL
r la littérature qui porte sur les différentes formes de dystrophie musculaire progressive, il ne m'a été donné de trouver, pa
le Iconographie DE la S.11.P1 : TRIRE. T. XXV. PI. XLV DYSTROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE HÉMILATÉRALE Type facio-scapulo-hum
LLI. Iconographie de la SALPtTRrlRE. T. XXV. Pl. XL VI DYSTROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE HÉMILATÉRALE Type facio-scapulo-hum
ATÉRALE Type facio-scapulo-huméral. - (Mil1gazilli). DYSTROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE HÉMILATÉRALE 321 moins de force dan
du thorax est moins déve- loppée que celle de gauche : nYSTROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE HIÎMILATISRLLE 828 vemeut d'une man
vres sont à peine rapprochées. Si l'on veut avoir une idée du tonus musculaire , en es- sayant de séparer les lèvres unies, on
ion sur la première. Il est de toute évidence que toutes les masses musculaires de ce membre supérieur droit sont atrophiées, m
ps brachial et le triceps brachial sont mieux conservés. Les masses musculaires qui s'in- sèrent à l'épitrochlée et à l'épicond
ut d'ailleurs le constater par les mesures suivantes : DYSTROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE HÉVIILATÉRALE 'l'ype ficio-scapulo-
l'ype ficio-scapulo-liuméral. ? - - - fMiuufl71lli)- - ? DYSTROPHIE MUSCULAIRE PRO GRES SlVg-lfeM4LÂq'ËTMLE 23 se produit norm
t moins développée que celle de gauche. Les proéminences des masses musculaires des fléchisseurs de la jambe et aussi celles du
xtensor sont moins développées qu'à gauche (PI. XLVI). Les masses musculaires de la cuisse droite sont atrophiées, comme on le
hémilatéral de la variété facio-scapulo-humérale des dystro- phies musculaires progressives. C'est en ce seus que parlent la trè
xv 22 330 M1NGAZZINI surtout dans les formes mixtes de dystrophie musculaire progressive (cas de Erb, Abadie, K. Mendel, etc
pe facio-sca- pulo-huméral. Gowers (1) raconte un cas de dystrophie musculaire , type Landouzy-Dejerine, et dans lequel la face
hypertrophique. C'est ainsi que, dans un cas de pseudo-hypertrophie musculaire , Schultze trouva une atrophie du fémur, et Lloy
s. Traité de médec.Brouardel-Gilbcrt t. X,Paris, 1902. DYSTROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE HÉMJLATÉRALE 331 manière dont se co
xe des muscles et la conservation de leur volume dans la dystrophie musculaire , on puisse faire appel à l'intervention du systèm
ujet, je ne suis pas arrivé à y découvrir un seul cas de dystrophie musculaire aussi nettement unilatérale. Landouzy et Dejeri
unilatérale. Landouzy et Dejerine parlent d'un cas de dystro- phie musculaire , appartenant à la variété qui porte leur nom, et
efore the other », mais, chez mon sujet, il s'agit d'une dystrophie musculaire progressive, dont est affectée exclusivement la
u'au lieu d'être symétrique et bilatérale cette forme de dystrophie musculaire est au contraire remarquablement unilatérale, de-
que la monolatéralilé de l'atrophie des muscles dans la dystrophie musculaire progressive, même si elle dure longtemps, n'est
ose, due à Metchnikoff, d'après lequel le sarcoplasme des faisceaux musculaires se (1) 111AncvLSCO, loc. cil. 332 MINGAZZINl
une théorie spéciale pour expliquer la pathogenèse des dystrophies musculaires progressives. D'après eux, par suite d'une véri
ces éléments devenus surabondants, et prendrait la place des fibres musculaires . Comme on le voit, cette théorie s'appuie sur plu
aucoup plus rationnel de comprendre la pathogenèse de la dystrophie musculaire progressive, suivant l'idée soutenue par Ray- m
suivant l'idée soutenue par Ray- mond (2). D'après lui, l'atrophie musculaire progressive se présente comme une affection pri
la racine motrice (pyramidale), représentée par les neurones spino- musculaires , qui s'étendent des cellules trophomotrices des c
ction commence pendant t'age mûr. Or, dans le cas d'hémi-dystrophie musculaire que je viens de décrire, il suffit d'ad- mettre
parai, bulb. unil. Ria. di patol. nern. 1896. Vol. I. DYSTROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE HÉMILATÉRALE 333 même étudié, dans
l'on a signalé, des deux côtés, dans plusieurs formes de dystrophie musculaire progressive. Je rapporterai, à ce propos, les o
ue. C'est là un autre argument qui amène à penser que la dystrophie musculaire pro- gressive est une maladie du téléneurone de
PREMIÈRE PARTIE Lorsque Duchenne (de Boulogne) décrivit l'atrophie musculaire qui porte son nom, il la considéra comme une ma
se latérale s'approprièrent les cas les plus typiques de l'atrophie musculaire progressive. La main d'Aran-Duchenne leur apparti
droit, ce qui cadre d'ailleurs avec la topographie de l'atro- phie musculaire . Les racines sont saines tant à droite qu'à gau
Dccwrrc. SYRINGOMYÉLIE, HYPERPLASIE DU TISSU CONJONCTIF, FIBRES MUSCULAIRES STRIÉES DANS LA MOELLE. PAR si ANDRÉ-THOMAS e
V. PI. LII SYRINGOMYÉLIE. HYPERPLASIE DU TISSU CONJONCTIF. FIBRES MUSCULAIRES DANS LA MOELLE (A. Thomas et Quercy) . NOUVEL
v. Pl. LUI SYRINGOMYÉLIE. HYPERPLASIE DU TISSU CONJONCTIF. FIBRES MUSCULAIRES DANS LA MOELLE (A. Thomas et Quercy). SYRINGO
. Pl. LI\' SYRINGOMYÉLIE. HYPERPLASIE DU TISSU CONJONCTIF. FIBRES MUSCULAIRES DANS LA MOELLE (A. Thomas et Quercy). SYRI\GO
larité'est bien mise en lumière sur la planche LIV, Il. 1. Fibres musculaires striées. -- Sur toute la bailleur de la moelle
que. Le sarcolemme contient de rares noyaux. On trouve les fibres musculaires dans la cavité, entre les membranes conjonctive
avité centrale, celle-ci se dilate autour d'un petit amas de fibres musculaires striées ac- compagnées de tissu cellulo-graisse
e et sert d'inser- tion aux mailles du tissu cellulaire. Les fibres musculaires sont nettement striées ; à leur voisinage on vo
. LV L , SYRINGOMYÉLIE. HYPERPLASIE DU TISSU CONJONCTIF. FIBRES MUSCULAIRES DANS LA MOELLE (A. Thomas et Quercy). - SYRIN
pie-mère reparaît, très épaissie et adhérente. Il existe des fibres musculaires striées dans l'épais- seur de la pie-mère, dans
périphérie. Le centre de la cavité est encore occupé par des fibres musculaires striées, du tissu cellulo-graisseux et un petit b
qui forme la paroi du diverticule. Au lieu d'être occupé par l'amas musculaire et cellulo-graisseux, le centre de la cavité es
e bord postéro-interne de ce peloton il existe une très belle fibre musculaire striée (PI. LV, K).La membrane papillaire a dis
niveau des extrémités des diverticules la téraux. ' 4° Des fibres musculaires striées et du tissu conjonctif cellulo-graisseux.
conjonctif ; 380 ANDHÉ-THOMAS ET QUERCY 2° La présence des fibres musculaires striées dans la moelle; c'est la première fois,
des amas de fibres nerveuses dans la cavité. La présence de fibres musculaires striées peut être interprétée de deux manières
ogique ? On peut objecter à la première hypothèse que si les fibres musculaires striées se trouvent presque constamment situées
de connaissance antérieure au niveau du Dvl. La présence de fibres musculaires striées est encore plus une curiosité qu'un arg
t une réelle curiosité de trouver dans une moelle adulte des fibres musculaires , dont quelques- unes sont clans un état de cons
aire du même côté en légère extension. Ebauche de Romberg. La force musculaire est conservée, mais paraît plus accentuée du cô
tate cependant un certain affaiblissement des mouvements. Tension musculaire insensiblement augmentée. Les réflexes patellaire
, mais aussi à portée faible et inégale dans les différents groupes musculaires . Rétention d'urine ; incontinence des matières
lité du pharynx est également diminuée à droite. Les sensibilités musculaire , tendineuse, osseuse, articulaire, sont normales.
égatif. Rythme cardiaque. - Normal. 90 pulsations par minute. Force musculaire diminuée à droite. Je l'ai examiné de nouveau
avail, montré quels étaient l'intérêt et la fréquence des atrophies musculaires isolées non progressi- ves des petits muscles d
du pont de Varole et de l'hémisphère cérébelleux gauche. Atrophie musculaire non progressive de la main droite avec main d'Ara
tain degré d'atrophie des membres interosseux. Pas d'autre atrophie musculaire . La main gauche paraît normale. Les ré- flexes
urs complètement sain d'un côté et de l'autre, pas d'autre atrophie musculaire . Le réflexe radial est extrême- ment faible des
21 mai. Mort dans le marasme,température 0°7. En résumé : Atrophie musculaire isolée des petits muscles de la main. Cette atr
angement. Examen. - L'attention est attirée d'emblée sur l'atrophie musculaire qui reproduit assez exactement le type Aran-Duc
ite taille. La main gauche n'a jamais rien eu. A l'examen, la force musculaire du bras et de l'avant-bras est bonne et égale l
ion d'engourdisse- ment et de faiblesse dans le pouce. L'atrophie musculaire fut remarquée par son médecin. Elle est très stri
st directement sous la peau. Du côté gau- che au contraire la masse musculaire est bien conservée. Les mouvements d'ab- ductio
on : la lenteur et l'absence de progression vers les autres groupes musculaires . Nous ajouterons enfin les troubles de réaction
Dejerine dans son travail de la Revue de Médecine sur les atrophies musculaires des tabétiques. Dans ce travail qui comporte 9
e de tout le membre supérieur. Il s'agit donc en réalité d'atrophie musculaire diffuse symétrique, bilatérale et progressive p
tés, type en effet essentiellement névritique et non pas d'atrophie musculaire isolée des petits muscles de la main. L'atrop
nerfs médian et cubital. Le deuxième groupe concerne des atrophies musculaires plus ou moins progressives chez des malades att
ours de l'énumération succincte d'un grand nombre de cas d'atrophie musculaire se rapprochant plus ou moins de l'atrophie musc
as d'atrophie musculaire se rapprochant plus ou moins de l'atrophie musculaire progressive, des cas d'atrophie professionnelle
11yvtrophie des tabétiques. Thèse de Paris, 1887. Dansa. - Atrophie musculaire progressive (sur l'). Journal of nervous and ment
ental diseases, vol. 33. février 1906. Dejerine. - Sur l'atrophie musculaire des tabéliques. Revue de Médecine, 1889. DE MAS
iv sur Psychiatrie, 1905, Bd XL, p. 602 et 752. . LBIU. -Atrophie musculaire progressive el menin,qo-lIt ! 1elite syphilitique
- In traité Charcot-Bouchard-Brissaud, t. IX. Lherjiitte. Atrophie musculaire chez les tabéliques. Semaine Médicale, 23 décembr
es tabéliques. Semaine Médicale, 23 décembre 1908. LONG. Atrophie musculaire progressive type Aran-Duchenne de nature névritiq
lée non progressive DES petits muscles 153 3 Merle (P.). - Atrophie musculaire progressive spmale syphilitique. -Revue Neurologi
09, p. 817. - Même sujet, 1910, p. 1429. Mosnv et Carat. Atrophie musculaire progressive spinale syphilitique (un cas d'). Rev
cale des Hôpitaux, 3 féviier 1893. RAYMOND et HuET. /< ? o/) ? e musculaire progressive d'oiigine syphilitique. C. lt. Soc.
bre 1906, in Revue Neurologique. «AyONDPtRENnu. Tabès avec atrophie musculaire des deux membres supérieurs. Re- vue Neurologiq
. Revue Neurologique, 1902, p. 1196. Rose et RENDU. - Les atrophies musculaires syphilitiques chroniques et le tabes. Se- maine
ologique, 1S96, p. 91. SCII ! JSTER. Paralysie générale et atrophie musculaire progressive . Neurologisclies Centralblatt, 189
XXXIV, p. 469. SOUQUES. - Sclérose combinée tabétique avec atrophie musculaire progressive du type Aran-Duchenne (Sclerose com
. Le Névraxe, 1907. Vigouroux et LAIGNEL-LA v AS l'11OE. Atrophie musculaire au cours de la paralysie géné- rale. Soc. anato
ée dans le service on nota que le tissu cellulo-adipeux et le tissu musculaire étaient « relativement développés ». On signala
et des membres plus développé qu'â l'état normal couvre les reliefs musculaires et donne aux membres des formes arrondies, rapp
Rien à signaler du côté des systèmes pileux et dentaire. La force musculaire est conservée. La raie vaso-motrice de Vulpian
embres résistent à la fatigue. Aux membres supérieurs, les masses musculaires sont atrophiées, mais la force est relativement
rfs ; pas de réaction de dégénérescence. A la face, pas de troubles musculaires ni de paralysie. Pas de troubles sen- sitifs. L
érieurs, d'autre part l'atrophie de ce même tissu et aussi du tissu musculaire au niveau de la face, du thorax et des membres
u genre de celles que nous avons décrites reconnaissent une origine musculaire . Cette hypothèse, aujourd'hui abandonnée d'aill
pl.), par JoHANSSON et FROEDERSTMM, 105. Aran-Duchenne (Atrophie musculaire type - de nature névritique) (2 pl.), par LONG,
évrite radiculaire pl., 9 fig.), par Marie et Foix, 353 et 427. - musculaire progressive de type Aran-Du- chenne de nature n
o-crtlnienne (3 pl.), par Mal- DARESCO et Parhon, 251. Dystrophie musculaire progressive hémilaté- rale, type facio scapulo-
que. Inversion sexuelle, -) (4 pl.), par GnL- lais, 124. Fibres musculaires striées dans la moelle dans un cas de syringomy
3. S.yrin,t7onziléli'e, hyperplasie du tissu conjonc- tif. Fibres musculaires striées dans la moelle (4 pl.), par André-Thoma
et Quercy. Syringomyélie. Hyperplasie du tissu conjonctif. Vibres musculaires striées dans la moelle (4 pl. 14 fig.), 364.
raumatisme et slndrome de Paget (4 pl.), 334. Long (E.). Atrophie musculaire progressive type Aran-Duchenne de nature névrit
ultramicroscope (4 pl., 22 fig.), 193. Mingazzini (G.).Dystrophie musculaire pro- gressive hémilatérale (type facio-scapulo-
-crfinienne (11.1LDAnE5c0 et PAIIIION), XXXII à XXXIV. Dystrophie musculaire progressive hémi- latérale (J¡NGAZZINI ? XLV il
aux con- sécutifs à un traumatisme crânien (Petit), LVI. Fibres musculaire dans la moelle dans la syringomyélie (André-Tho
O), LIX. Syringomyélie, hyperplasie du tissu con- jonctif, fibres musculaires dans la moelle (ANDRÉ-TiIO31AS et QUEl\CY), LII
14 (1897) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 10]
i1U1111TIQUE DE LA MOELLE 3 émoussement de la sensibilité profonde, musculaire , qui peut aller jusqu'à l'abolition complète, e
la motilité fait constater qu'au membre inférieur droit t la force musculaire est intacte et puissante. Elle est notablement af
mant l'extrémité supérieure de l'humérus, pourvue de ses insertions musculaires . (Fig. 9). 4. JosE Parada Y S : 1\TIN, 1881. Ga
membre manque totalement et n'est remplacé que par un large moignon musculaire ,mammiforme, portant à son sommet une sorte de m
segments articulés, qui sont fléchis et appliqués contre le moignon musculaire pelvien; cet appendice digitiforme se ter- mine
èle : clavicule et omoplate ; T. G : tête glénoïde. Fig. 12. Masses musculaires : D, deltoïde; G P, grand pectoral; C B, coraco-b
les trophiques vaso-moteurs particuliers qui, associés à l'atrophie musculaire qu'on rencontre souvent dans cette affection, a
sie, tandis que le memhre supérieur gauche pré- sente de l'atrophie musculaire . Les extrémités des membres supérieurs sont lib
ures ni la face ne présentent la moindre trace d'oedème. L'atrophie musculaire de la main gauche affectait particulièrement le p
cle et l'excitation électrique on se rend compte que cette atrophie musculaire n'est pas très considérable. A la partie supéri
tes. Méthode de Du- chenne), en vue de la topographie de l'atrophie musculaire , a donné le résultat suivant : Membre supérie
lte pas seu- lement de l'attitude imprimée à la main par l'atrophie musculaire et l'action tonique de certains muscles, mais d
nces thénar sont non seulement aplaties mais excavées. L'atrophie musculaire est distribuée d'une manière inégale aux membres
de froid et par de l'affaiblissement dans la main gauche ; la force musculaire de cette main diminua progressivement, ce qui fai
es avant-bras sont bien conformés et ne présentent pas d'a- trophie musculaire très marquée si ce n'est une légère réduction de
atrophiés, surtout l'ab- ducteur ; cette atrophie des deux saillies musculaires donne à la main l'aspect simien. Il existe en o
e une conforma- tion toute particulière qui, associée il l'atrophie musculaire de la face palmaire, contribue il donner il cet
ar sont atro- phiés. La main révèle l'aspect simien. Cette atrophie musculaire peut aller jusqu'à l'aplatissement des éminence
dorsale de la main il laquelle s'associe d'autre part une atrophie musculaire du type Aran-Duchenne. C'est une main amyotroph
le clinicien en présence d'un cas d'oedème hystérique avec atrophie musculaire . Même alors si la main suc- culente présente l'
nt localisés principale- ment à la main et chez Corr..., l'atrophie musculaire est cantonnée au domaine de la main. Or, il rés
st de règle, dans les contractures hystériques, de voir les groupes musculaires antagonistes également pris. Il nous a paru int
z les sujets qui ont des douleurs, de l'anesthésie, de la faiblesse musculaire , des troubles vésicaux. Vorotensky (2) arrive de
ouvements de ce membre étaient incoordonnés et sans force ; le sens musculaire était t émoussé; en outre il y avait de l'hyper
membre inférieur et un peu d'hyperesthésie, la conservation du sens musculaire était intacte et une large zone d'anesthésie au
une étroite bande d'hy- peresthésie. De ce même côté gauche le sens musculaire était émoussé. Dès le second jour s'est dessiné
ice, de l'exagération des réflexes tendineux, l'a- bolition du sens musculaire et une suractivité de la sudorification. A droi
sie incomplète des membres et dans un émoussement de la sensibilité musculaire , du côté gauche, le tout juxtaposé à une anesth
de l'hyperesthésie superficielle et un émoussement delà sensibilité musculaire . À droite, on constatait une anesthésie qui rem
té des explications patho- géniques. ' Parmi celles-ci la théorie musculaire et par conséquent nerveuse con- vient heureusem
it pour les déformations du rhumatisme chronique des « contractions musculaires spasmodiques et pour ainsi dire convulsives . E
difformités congénitales produites sur le foetus par la contraction musculaire : les veaux nialas. Paris, 1885. (2) Revue Neur
vent » la moindre explication physiologique. En effet aucun groupe musculaire ne saurait, par sa contraction, déterminer cette
s forces de flexion restant prédominantes pour commander le système musculaire . Peu à peu leur passivité elle-même se lasse, car
s microscopiques de l'os sec. MAIN « SUCCULENTE » - ET ATROPHIE MUSCULAIRE DANS LES SYRINGOMYÉLIES PAR G. MARINESCO (s
ulte qu'on peut s'attendre à observer autant, de types d'a- trophie musculaire progressive qu'il y a de types dans la compositio
es paralysés dans la paralysie infantile et dans d'autres atrophies musculaires est en concordance avec les résultats expérimen
rn et Allen Starr. Je commence par don- MAIN SUCCULENTE ET ATROPHIE MUSCULAIRE DANS LES SYRINGOMYÉLIES 203 ner celui de Thorbu
m- bre supérieur : 204 G. MARINESCO MAIN SUCCULENTE ET ATROPHIE MUSCULAIRE DANS LES SYRINGOMYÉLIES 205 l'orientation de ce
INGOMYÉLIES 205 l'orientation de ce processus que dépend l'atrophie musculaire de la syringomyélie. Il n'y a plus de doute a
vant qu'elle aura une' marche ascendante ou descendante, l'atrophie musculaire dans le mem- bre supérieur sera plus ou moins p
faut. Si dans la plupart des cas de maladie de Mor- van, l'atrophie musculaire est très atténuée ou manque complètement, c'est
pte jusqu'à un certain point de vue de la répartition de l'atrophie musculaire dans la sy- ringomyélie. En effet, si nous supp
roite, en est la preuve la plus démonstrative. En effet, l'atrophie musculaire est localisée ici presque exclusivement aux pet
t-hras gauche de Corr... On pour- rait donc affirmer que l'atrophie musculaire dans la syringomyélie est, seg- mentaire, c'est
ensibilité dans lasyringomyélieestapplicable également à l'atrophie musculaire dans cette maladie. On sait combien est étroite l
clinique médicale. Paris, 1897, p. 404. MAIN SUCCULENTE ET ATROPHIE MUSCULAIRE DANS LES SYRINGOMYÉLIES 201 fonctionnent synerg
u point de vue des déformations du membre supérieur, par l'atrophie musculaire , trois types principaux. Voici du reste com- me
achyméningite. J'arrive maintenant à l'étude clinique de l'atrophie musculaire telle qu'elle résulte d'observa lions personnel
rieure, il est facile de comprendre qu'il en résultera une atrophie musculaire localisée principalement aux petits muscles de
u petit doigt qui semble être atteint en première ligne, d'atrophie musculaire . En tout cas, et cela est très net chez Corr...,
90°. La même particularité s'observe à la main droite où l'atrophie musculaire est encore moins accentuée. Ceci prouve, il mon
pas accordé assez d'importance à la marche ultérieure de l'atrophie musculaire : tout au moins on ne trouve pas de détails ass
ffirmer que dans un bon nombre de cas de syringo- myélie l'atrophie musculaire se propage des petits muscles de la face pal- m
quand ces derniers sont pris, ils sont MAIN SUCCULENTE ET ATROPHIE MUSCULAIRE DANS LES SYRINGOMYÉLIES 209 relativement beauco
qui a sa signification au point de vue de la topographie des noyaux musculaires dans la moelle a été ob- servée au plusieurs re
n, car il existe des cas et j'en ai observé moi-même, où l'atrophie musculaire affecte d'une façon très notable les extenseurs
ont moins. En opposition avec cette marche ascendante de l'atrophie musculaire il existe des cas où celle-ci suit une marche i
ans ces trois formes ascendante, descendante et diffuse, l'atrophie musculaire tout en étant bilatérale est .presque toujours
aient un type de main de prédicateur. MAIN SUCCULENTE ET ATROPHIE MUSCULAIRE DANS LES SYRINGOMYÉLIES 2H 1888, elle présentai
mais comme elle ne s'observe pas dans les autres formes d'atrophie musculaire , elle n'en fournit pas moins un élé- ment intér
ères. Et tout d'abord, est-ce que cette forme spé- ciale d'atrophie musculaire que réalise la main en question dépend bien de
cropsie d'un malade qui avait présenté pendant sa vie des atrophies musculaires avec troubles de la sensibilité ; le diagnostic
cas déjà connus. Aussi se croit-on obligé d'admettre que l'atrophie musculaire qui a produit le geste de prédicateur relève de
's Beitraege La. path. An., 1893, XIII. MAIN SUCCULENTE ET ATROPHIE MUSCULAIRE DANS LES SYRINGOMYÉLIES 213 déformation spécial
n propre à la syringomyélie qui réalise les con- ditions d'atrophie musculaire capable de produire la main de prédicateur. Act
altérations du système nerveux. En effet, il s'agit d'une atrophie musculaire segmentaire, tout au moins quand elle dé- bute
autre raison qui me fait admettre qu'on pourrait appeler l'atrophie musculaire dans ces cas de syringomyélie, atrophie segment
uscles de la main est plus pré- cise. MAIN SUCCULENTE ET ATROPHIE MUSCULAIRE DANS LES SYRINGOMYÉLIES 215 ne présentent pas l
VI. L'affection des neurones moteurs donne naissance à l'atrophie musculaire . Or comme dans la syringomyélie, la lésion débute
dirige vers les régions supérieures, il s'ensuit que cette atrophie musculaire présente une topo- graphie commandée par la mar
e localisation médullaire. VII. Le type le plus fréquent d'atrophie musculaire qu'on rencon- tre dans la syringomyélie, tout a
torticolis par cicatrice vicieu- se^ 4) torticolis par contraction musculaire passagère ou permanente. Point n'est besoin de
ssen (2) : « la spontanéité du passage des contractions d'un groupe musculaire il un autre, l'inépuisable activité des muscles
n et de coordination : il associe toujours les mêmes contrac- tions musculaires , et ce sont des contractions musculaires que phys
s les mêmes contrac- tions musculaires, et ce sont des contractions musculaires que physiologi- quement on associe dans certain
s les caractères du tic nerveux « c'est-à- dire un ensemble d'actes musculaires qui relèvent de l'excitation de cen- tres conne
) a étudié avec soin ce groupe sous le nom de « spasme et impotence musculaire fonctionnels ». Les troubles pathologiques sont
côté opposé. Il combat, à cause de cela, la théorie de l'origine musculaire par atro- phie de certains muscles, adopte la t
aisseur enveloppant tout le corps et masquant les reliefs osseux et musculaires . « Organes génitaux rudimentaires. « Absence
es congénitales (nanisme, gigantisme, rachitisme, obésité, atrophie musculaire ). La plus fréquente de ces asso- ciations est l
Briidi. M ! i)pes neurofibromes des nerfs périphériques cutanés et musculaires associés au fibrome molluscum. Monatschr. f. pr
ASSON & Cie, Editeurs PATHOGÉNIE ET PROPHYLAXIE DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE ET DES DOULEURS DES HÉMIPLÉGIQUES PAR GILLE
la TOURETTE, Professeur agrégé, médecin des hôpitaux. L'atrophie musculaire des hémiplégiques a, depuis longtemps, attiré l
emps, le caractère spasmodique, s'accompagne constamment d'atrophie musculaire . Par atrophie, nous entendons une diminution très
embre inférieur. Dans le troisième, comprenant 3 sujets, l'atrophie musculaire n'existait pas. Examinons les 10 malades du p
ique et aphasie depuis 1893. Demi-ankylose et craque- DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE ET DES DOULEURS DES HÉMIPLÉGIQUES 289 ments de
chiale droite : ankylose, arthrite végétante de l'épaule ; atrophie musculaire . Pic..., soixante-dix ans, homme, hôpital Hérol
. Hé- miplégie droite spasmodique datant de 1893, aphasie. Atrophie musculaire marquée au niveau du deltoïde, adipose locale.
férieur ; marche. HÉMIPLÉGIE GAUCHE. ARTHRITE DE L'EPAULE, ATROPHIE MUSCULAIRE MASSON & lt, 1-utcUe. DE L'ATROPHIE MUSCU
AULE, ATROPHIE MUSCULAIRE MASSON & lt, 1-utcUe. DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE ET DES DOULEURS DES HÉMIPLÉGIQUES 291 Oss. IX.
gauche. Arthrite avec ankylose de l'épaule et du poignet. Atrophie musculaire (PI. XXX). Cho..., homme, soixante-deux ans, hô
érés. Membre inférieur gauche. Réflexe rotulien exagéré. Flaccidité musculaire sans atrophie ni arthrite concomitante. Le mala
Ankylose de toutes les articulations du membre supérieur. Atrophie musculaire ; adipose. Luc..., homme, soixante et onze ans,
du poignet avec subluxation des articulations des doigts. Atrophie musculaire très marquée dans les trois segments du membre
lexes rotu- liens très forts sans trépidation. Un peu de flaccidité musculaire sans atrophie vraie. Chez sept des sujets du
ent à dépasser les limites du territoire atro- phié, car l'atrophie musculaire des hémiplégiques est, nous y insistons, une at
à notre avis, éclaire d'un jour nouveau la pathogénie de l'atrophie musculaire des hémiplégi- ques, chez nos sept malades, l'a
cou sont creusés d'effrayants méplats que brident de maigres cordes musculaires . Cette anatomie est d'une sincérité bien douteu
tement par l'électricité. Le 18 août de la même année, l'atrophie musculaire du membre infé- rieur droit s'était dissipée. L
it une aggravation dans l'état du malade, en ce sens que l'atrophie musculaire s'était reproduite; à droite, le pourtour de la
'une fibre nerveuse motrice ; ce pro- longement aboutit à une fibre musculaire . - Un coup d'oeil jeté sur la figure ci-jointe
ecte, de l'hémi-anesthésie croisée et de l'a- nesthésie profonde, musculaire , siégeant du côté de la lésion dans les cas d
raplégique remontant it l'cïe de deux ans. Poussée aiguë d'atrophie musculaire généralisée en 1892. Bannielle Emile, âgé de
de neurasthénie, avec troubles psychi- ques et physiques, asthénie musculaire , courbature généralisée, difficulté plus grande
droite qu'à gauche, à la jambe gauche qu'à la droite. L'atrophie musculaire très marquée se traduit par les mensurations su
phiés. C'est sur cette atrophie osseuse, concomitante de l'atrophie musculaire , que nous allons revenir. Remarquons d'abord l'
égard. Il a, d'autre part, perdu une plus grande quantité de masses musculaires que Rog... On relève, il est vrai, dans ses ant
ontractions fibrillaires se produisant* au niveau de divers groupes musculaires et en traînant des mouvements particuliers des
U DES ACCÈS ET VERTIGES PATHOGÉNIE ET PROPHYLAXIE . DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE ET DES DOULEURS DES HÉMIPLÉGIQUES PAR GILLE
L Hémiplégie gauche. Ankylose de l'épaule et de la hanche, atrophie musculaire et adipose. Marg. BI..., femme, cinquante-deux
gauche ; mollet droit, 30 centimètres ; gauche, 29. DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE ET DES DOULEURS DES HÉMIPLÉGIQUES 341 Oj3s. XI1
arthrite de toutes les articulations du membre supérieur; atrophie musculaire . Séjour au lit. Arthrite de la han- che et du
aquements du genou. OEdème généralisé du membre masquant l'atrophie musculaire . Circon- férence, 15 centimètres au-dessus de l
de la rotule, 20 cent. 1/2 ; gauche, 24 centimètres. DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE ET DES DOULEURS DES HÉMIPLÉGIQUES 343 Chez les
Mobilisation DU MEMBRE paralysé. Absence d'arthrites ET D'ATROPHIE MUSCULAIRE . 3 MALADES. OBs. XVIII. Hémiplégie gauche spasm
inférieur ; ankylose de l'articulation coxo- fémorale avec atrophie musculaire par coxalgie fistuleuse d'ancienne date. 344 GI
êmes en arrière. de l'articulation scapulo-humérale. Pas d'atrophie musculaire appréciable, sauf une légère diminution de volu
d'une hémiplégie légère d'origine syphilitique : l'amaigris- sement musculaire généralisé est apparu sans atrophie. Mais ce mala
és du bloc d'observations recueillies d'un seul coup, DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE ET DES DOULEURS DES HÉMIPLÉGIQUES 345 corrobore
singulièrement ce que nous avons dit de la pathogénie de l'atrophie musculaire des hémiplégiques dont les caractères sont les su
nie, dans son sens le plus large, la fatigue physique, la faiblesse musculaire malgré l'absence d'atrophie, la diminution de l
st relativement intacte : il n'yajamais d'attitudevicieuse de cause musculaire ; par contre il y a anesthésie articulaire, ce qu
urs : il s'agissait de paralytiques généraux tabétiques. L'atrophie musculaire myélopathique, mise en cause par Charcot lui- m
ienne, nous a paru l'uni- que arthropathie nerveuse dans l'atrophie musculaire myélopathique. Ce n'est donc jusqu'à présent qu
des déformations articulaires, résultat des troubles trophi- ques, musculaires et autres,qui ne sont des arthropathies qu'indire
es arthropathies secondaires par arrêt de développement et atrophie musculaire , les pieds-bots de la maladie de rriedreicla, de
p. 300, un cas (observé dans le service de M.SPILUIANN) d'atrophie musculaire myélopathique com- pliquée de troubles trophiqu
lite aigué n'a trait qu'aune déformation ar- ticulaire par atrophie musculaire et rétraction consécutive. DE L'ARTHROPATHIE NE
arthropathies névritiques s'accompagnent le plus souvent d'atrophie musculaire , puis de rétraction qui amène l'immobilisation en
ibue une grande partie des douleurs et presquo toutes les atrophies musculaires des hémiplégiques. L'immobi- lité, résultant de
erveux c'est la contracture, l'exagération des réflexes, l'atrophie musculaire et la névrite, ces deux derniers phénomènes éta
t indépendants pour les uns, connexes pour les autres. L'atrophie musculaire s'explique suffisamment dans certains cas par une
re à l'arthropathie. Descosses a montré que la marche de l'atrophie musculaire répondait à la distribution d'une névrite ascen
infirme pas encore la théorie de l'unité. v 396 PAUL LONDE phie musculaire , névrite. L'existence de la névrite explique pour
stion ici avec intention de la naladie de Brodie, où la contraction musculaire est le fait essentiel. CLINIQUE DES MALADIES DU
er l'état nerveux du malade sont nuls ou très effacés. 1 La cause musculaire de l'attitude en torticolis est le spasme tonico-
pasme tonico-clo- nique des muscles rotateurs de la tête. Secousses musculaires brusques et contractions durables diversement e
préparé, une cause déprimante récente, un pré- texte à contractions musculaires répétées. La tare héréditaire est quelque- fois
hie de la Salpêtrière, 1897, p. 217. « UN JOB MODERNE. » ATROPHIE MUSCULAIRE DU TYPE ARAN-DUCHENNE CHEZ UN CHEMINEAU. PAR
présente pas un très grand intérêt scientifique bien que l'atrophie musculaire spinale, type Aran-Duchenne, soit devenue assez
métier pénible d'ouvrier agricole qu'il continua Fig. 1. Atrophie musculaire et déformation en griffe des mains (Type Aran-Duc
ne peut plus écrire mais il enfile encore une aiguille. Atrophie musculaire des jambes (PI.XLVIII). Les cuisses ont conservé
e un solide point d'appui sur la cuisse ; UN JOB MODERNE Atrophie musculaire chez un cI1Cl111n.ll1. MASSON & C'c, Editeu
sse rétablir l'histoire de ce malade, il s'agit bien d'une atrophie musculaire type Aran-Duchenne. Nous voyons, en effet, la m
29 Fig. 2. Chaussures portées par un chemineau atteint d'Atrophie musculaire progressive. LA LÈPRE DANS L'ART PAR . HENR
GE phoneurotiques siégeant sur la peau, vient se joindre l'atrophie musculaire avec l'impotence fonctionnelle el les déformati
la ceinture scapulaire peuvent être atteints, comme dans l'Atrophie Musculaire Progressive ou dans la Syringomyélie, qui affec
lités pour qu'il s'agisse d'une figuration de Lépreux. L'atrophie musculaire et les déformations qui l'accompagnent sont un
ion qu'elles sont inertes. Mais l'on distingue nettement l'atrophie musculaire qui réduit l'une d'elles à l'état de squelette re
et le poignet soient entourés de quelques tours débande, l'atrophie musculaire est clairement indiquée, à l'extrémité du membr
des macules ou des tubercules caractéristiques. Ici, pas d'atrophie musculaire , pas dégriffés, pas de mutilations ; la maladie
a rétraction du tendon d'Achille, conséquence obligée de l'atrophie musculaire des muscles du mollet, a mis le pied en équinis
y découvre de la façon la plus évidente les marques de l'a- trophie musculaire . On sait que l'atrophie musculaire chez certains
ente les marques de l'a- trophie musculaire. On sait que l'atrophie musculaire chez certains lépreux est exactement semblable,
ien de notre époque, Duchenne (de Boulogne), sous le nom d'atrophie musculaire progressive. « Il a défini et classé cette étra
bre supérieur droit profondément atteint. Il est inerte et la fibre musculaire est bien près d'avoir complète- ment disparu, s
se, en l'année 1513, les caractères morphologiques d'une altération musculaire qu'un savantne devait régulièrement décrire que
PRE DANS L'AltT 453 cules. En second lieu, les signes de l'atrophie musculaire sont indiscuta- bles. Si l'on doit deviner cell
un assez bon exemple de ces paralysies avec contracture et atrophie musculaire que la Lèpre sait réaliser. MATTHIAS GuUNEWALD
admet qu'il s4agit d'un Lépreux. Ces pertes de substance osseuse et musculaire , que l'artiste a figurées avec une si scrupuleuse
ches rougeâtres, macules ou pustules ; les clavicules et les cordes musculaires des slerno-masloïdiens font une saillie exagérée.
e s'agit pas encore ici d'une figuration de Lépreux. - L'atrophie musculaire qui prédomine aux extrémités des membres, les c
on bras vers l'évêque. Ce bras ne présente pas de traces d'atrophie musculaire ; mais la main semble inerte, flasque, etc. défor
tte attitude répond bien à ce qu'on observe dans les cas d'atrophie musculaire portant sur les muscles trapèze etgrand dentelé
cependant des figurations très réalistes de paralysies, d'atrophies musculaires , de griffes, de contractures. Mais ces personna
articulaires d'apparence rhumatoide, par PAUL LONDE, 38. Atrophie musculaire et douleurs des hé- miplégiques (pathogénie et
,par Gilles DE la TOURETTE (2 pho- totypies), 287, 3'10. Atrophie musculaire du type Aran-Du- chenne chez un chemineau (un J
Gilles DE la TOURETTE. Pathogénie et pro- phylaxie de l'atrophie musculaire et des douleurs des hémiplégiques (2 phototy-
les du tronc (1 planche), 109. TARGOWLA. Un Job moderne. Atrophie musculaire du type Aran-Duchenne chez un chemineau (2 phot
hilitique, IV. Hémiplégie gauche; arthrite de l'épaule ; atrophie musculaire , XXX. Hémisectiou traumatique de la moelle :
dius et index de la main gauche, XLIV, XLV. Job moderne. Atrophie musculaire chez un chemineau, XLVII, XLVIII. Lèpre dans
15 (1905) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 18] : recueil consacré à l'iconographie médicale et artistique
position de ses jambes qui ne se perdent pas dans son lit. La force musculaire est diminuée dans les membres inférieurs, en ra
marquée de la cuisse et de la jambe. Notez enfin que ni les masses musculaires , ni les nerfs ne sont douloureux, que la sensib
en somme une sorte de paraplégie ataxi- que, flasque, sans atrophie musculaire , et où l'incoordination motrice domine avec une
nservée, hypotonicité très nette des divers muscles, pas d'atrophie musculaire , réflexes osseux et tendineux abolis. Un trembl
eurs, et j'ai pris soin de le noter, elle ne présente ni l'atrophie musculaire , ni l'hypertrophie douloureuse des troncs nerve
flexion, d'extension, d'adduction, d'abduction, ainsi que la force musculaire sont conservées à droite, mais à gauche, la para-
Les réflexes cutanés sont nuls ou indécis. Il n'y a pas d'atrophie musculaire , pas de mouvements fibrillaires. Pas de lésions
segment comprendrait la corne antérieure gauche (absence d'atrophie musculaire ) et toute la demi-moelle droite(corne postérieure
en particulier l'intégrité des membres supérieurs, de la nutrition musculaire , cutanée, de la forme du rachis, etc. L'absence
0,05 de calomel dans un gramme de vaseline liquide dans les masses musculaires sacro- lombaires, injections bien supportées, q
che spasmodique. Aucun trouble sphinctérien. Diminution de la force musculaire . Tels sont résumés les traits sous lesquels se
ue de l'équilibre et de la mécanique qu'au point de vue de l'action musculaire . Cette dernière partie est du domaine des artiste
u'en- traine leur contraction. L'inscription directe des mouvements musculaires à l'aide de tambours appliqués à la surface des
le vivant, peut s'accuser encore très nettement à travers la couche musculaire mince et étalée que représente le grand dorsal.
tractions musculai- res des membres inférieurs : « D'autres actions musculaires se montrent sur le reste du corps. Je signalera
on soudaine et violente, qui fait saillir à ce moment les faisceaux musculaires sous la peau, à la façon d'une corde qui se ten-
s. En faisant cette exploration à nu, on peut sentir la contraction musculaire au niveau des gouttières vertébrales, jus- qu'à
n des muscles grands droits de l'abdomen. Configuration des reliefs musculaires du dos dans la station droite et pendant la mar
ndant la marche. - Il est évident que la configuration des saillies musculaires du dos ne peut nous renseigner d'une façon com-
ALE CHEZ L'HOMME 55 sacro-lombaire se traduit, du côté des saillies musculaires du dos, par un changement de forme de notre los
ntanées du pas, juger, d'a- près la seule configuration des reliefs musculaires du dos, quel est le côté oscillant, quel est le
e parait péremptoire pour démontrer que le phénomène de contraction musculaire que j'étudie ici ne se rapporte ni aux mouve- m
ctive, la tête in- clinée en avant. Ici la dissociation de l'action musculaire est beaucoup plus (1) PIIILIPI'SON, Contributio
des muscles de la région. Mais il semble bien que les contractions musculaires aient pour effet de relever la tôle à chaque pa
à la pression des os, d'altérations des extrémités, de contractures musculaires , d'hyperos- toses. Nous avons jusqu'ici décri
romes : déformations liées aux rhu- matismes ou à l'affaiblissement musculaire par exemple. Nous avons pu établir ces comparai
sans hérédité ni traumatis- me et semblant dépendre « d'une action musculaire autant que de lésions arti- culaires » (2) et l
mble être une attitude habituelle, et des cas où un affaiblissement musculaire sénile parait jouer le principal rôle, en- fin
ix, etc Nous considérons ces cyphoses comme le résultat d'habitudes musculaires et ligamentaires parce qu'elles surviennent che
xième groupe, nous rangeons les cyphoses dues à l'affaiblisse- ment musculaire portant surtout sur les muscles extenseurs du tro
biner aux cyphoses pro- fessionnelles qui sont avant tout d'origine musculaire et ligamentaire et qui i surviennent chez des i
fractures multiples,excitabilité nerveuse particulière, contractures musculaires douloureuses, affaiblissement progressif, diarr
» en recouvra l'usage ; une pauvre femme « atteinte de contractures musculaires et abandonnée de son mari », retrouva, du même
déformation aucune ; il n'y a pas trace, dans le membre, d'atrophie musculaire . Aux membres supérieurs, on ne constale pas de
pour ceux du poignet. Comme aux' membres inférieurs, pas d'atrophie musculaire , pas de diminution de la force segmentaire, pas
ebout très com- promise. Pas de déformation du pied. Pas d'atrophie musculaire . La. force segmen- taire est diminuée dans tous
absolue de sa sensibilité objective à tous ses modes, sans atrophie musculaire appréciable. La force segmentaire conservée à d
é d'un lien de transition entre les deux grandes espèces d'atrophie musculaire progressive, l'atrophie myélopathique et l'atroph
e primitive du seul proto-neurone moteur ou de son annexe, la fibre musculaire . Allons plus loin, Messieurs. Si les différence
es cellules des cornes antérieures et d'un certain degré d'atrophie musculaire au cours de la maladie de Friedreich peut faire
eich peut faire pressentir des formes de liaison avec les atrophies musculaires familiales. Dans des cas récents publiés dans l
e tabac en bour- rant sa pipe ; lorsqu'il écrivait, des soubresauts musculaires le faisaient dévier de la ligne. La marche, de
paire que dans la région des noyaux et des racines. L'hypertension musculaire est due à la compression des pyramides ; bien que
e hémiplégie motrice carac- térisée par un léger défaut de la force musculaire , tandis que l'examen de la motilité volontaire
s'exagère beaucoup dans les mouvements exécutés. A gauche la force musculaire et les mouvements volontaires sont normaux. Il
faoe et langue comprise, jusqu'à la ligne médiane. Perte du sens musculaire et du sens stéréognostique de ce côté. Le malade
oquée par l'existence de l'incoordination motrice et de l'asynergie musculaire , que par une véritable paralysie. A l'examen
e la sensibilité thermique et par la perte du sens stéréognostique, musculaire et ar- ticulaire. Le malade se plaint eu outr
PÉDONCULAIRE 165 13 février. Répétition des spasmes et des crampes musculaires , 14-hui; Le malade est dans un état semi-comate
es des mouvements volontaires, de la coordination et de la synergie musculaire , superposés à l'altération de la sensibilité, mai
derniers jours de la vie du malade, à un véritable accès de crampes musculaires dissociées dans le domaine du bras et de la jambe
ncore la démarche ébrieuse, l'incoordination motrice, l'asy- nergie musculaire , sans lésion aucune du noyau rouge ou des pédoncu
atrophié. Au microscope on constate une atrophie simple des fibres musculaires avec réaction du tissu conjonctif en rapport av
ieurs points de vue. Après avoir comparé les lésions squelettiques, musculaires , nerveuses et viscérales que nous avons rencont
n'y avait aucune trace d'une reviviscence médullaire. Des lésions musculaires spéciales ont été signalées par Martinotti (1),
lésion du tissu con- jônctif. Il s'agissait en somme d'hypertrophie musculaire vraie. Marti- notti se demande s'il n'existerai
il n'existerait pas dans l'acromégalie une période d'hy- pertrophie musculaire qui précéderait l'atrophie. L'atrophie est parfoi
es muscles un épaississement léger du tissu conjonctif ; les noyaux musculaires étaient proliférés. Nous avons dans notre cas c
s étaient proliférés. Nous avons dans notre cas constaté l'atrophie musculaire . Il nous pa- raît plus simple de rapprocher cet
ackomégalie 187 elle répond en effet à la description de l'atrophie musculaire des hémi- plégiques (1). L'examen du système
professionnelle aux troubles locaux ou 216 KOUINDJY aux troubles musculaires . D'après cet auteur, le spasme fonctionnel attein
muscles, le tremblement localisé, une altération de l'irritabilité musculaire ou une douleur locale pour provoquer le spasme
itabilité musculaire ou une douleur locale pour provoquer le spasme musculaire et créer la crampe professionnelle. Pour Benedi
ampe spasmodique des écrivains. Au sur et à mesure, que la tonicité musculaire des muscles atteints augmente, nous procédons à l
es professions, modifications occasionnées par les troubles locaux, musculaires , et autres. Ce centre peut se trouver ou dans l
tion de tonicité des extenseurs avec perte considérable de la force musculaire des fléchisseurs. Ceci expliquerait pourquoi le
si que pour Poor, l'affection dépendrait des altérations des fibres musculaires des muscles de l'avant-bras et de la main intér
ur combattre le spasme fonctionnel, ont été exécutées sur ce groupe musculaire , la ténotomie de fléchisseurs. Pour mettre en é
gique du massage, consistant à activer la contractilité de la fibre musculaire , montre que, lors- qu'un muscle est en contract
ire, montre que, lors- qu'un muscle est en contracture, sa tonicité musculaire est au-dessus de l'état normal et, par conséque
tat normal et, par conséquent, une augmentation de sa contractilité musculaire augmentera sa contracture. Par contre, dans un
résulte, que pour obtenir une aug- mentation totale de la tonicité musculaire d'un groupe musculaire, il faut tenir z 224 KOU
nir une aug- mentation totale de la tonicité musculaire d'un groupe musculaire , il faut tenir z 224 KOUINDJY en balance la t
ut tenir z 224 KOUINDJY en balance la tonicité exagérée du groupe musculaire antagoniste. L'expérience nous a montré qu'en m
actures, nous avons toujours obtenu une augmentation de la tonicité musculaire des muscles en hypotonie et, consécuti- vement,
muscles en hypotonie et, consécuti- vement, l'équilibre de la force musculaire de deux groupes antagonistes. Dans le cas prése
entre leurs points d'insertion. Pour mettre eu évidence la tonicité musculaire acquise par les manoeuvres massothérapiques pré
s manoeuvres massothérapiques précédentes et pour activer la force, musculaire des exten- seurs nous faisons suivre le massage
oit est un peu plus vif que le gauche. Mais il n'y a pas d'atrophie musculaire . Voilà pour la sciatique. Quant à la déformat
lié, le malade ne se tient pas en station han- 7 chée : les reliefs musculaires des membres inférieurs et des fesses restent 's
uite par la contracture des muscles du côté malade... « Le spasme musculaire peut être assimilé à celui de certaines autres
ouloureux, il faut tenir grand compte du rôle que joue la vigilance musculaire dans toutes les affections dou- loureuses. 1
le de causes relevant à la fois de névrites avec leurs conséquences musculaires , et des altitudes provoquées par des actes de d
ieurs; B... peut saisir une épingle après avoir « plané ». La force musculaire est normale. La sensibilité cutanée paraît peu
teils jusqu'au mollet. 24. Perte abolue de connaissance, résolution musculaire . Mort à huit heures du soir dans le coma. Aut
Aucun renseignement héréditaire ni personnel. Son état de faiblesse musculaire et son ataxie étaient telles qu'il fut toujours
ns, pas de trouble de la sen- sibilité, signe de Romberg, faiblesse musculaire peut-être plus accusée à gauche. L'état menta
ensibilité à la douleur est, semble-t-il, un peu diminuée. La force musculaire est diminuée surtout à gauche. Tremblement généra
de Romberg, pas de troubles des sphincters. A cause de sa faiblesse musculaire le malade reste alité et progressivement s'acce
aiblesse très accentuée, rendant la marche difficile et tout exercice musculaire très pénible. Aucune douleur, aucun autre phéno
rès vives pendant plus d'un an. A l'entrée, on note une faiblesse musculaire extrême : la malade ne peut que difficilement s
puisement semble donc très rapide. Cette faiblesse de contraction musculaire , absolument généralisée, donne lieu à des modif
miné un fragment de muscle provenant du thyro-hyoïdien : les fibres musculaires ont conservé leurs dimensions, leur forme, leurs
re histolo- gique très dissemblable ; et, d'autre part, des lésions musculaires . Les tu- meurs observées ont été soit un kyste
(Laquer-Weigert, Hansermann, Hun-Bloomer et Streeter). Les lésions musculaires enregistrées dans les cas de Goldflam, de Laquer-
r. Caractérisées par des infiltrations cellulaires entre les fibres musculaires , ces lésions ont été interprétées comme des métas
es métastases de la tumeur constatée dans ces cas. Mais ces lésions musculaires ne sont pas constantes et Goldflam, en particul
ous n'avons constaté l'existence d'aucune néoplasie dans le système musculaire , il nous parait impossible d'établir une relation
st accompagné par des altérations de la sensibilité et du trophisme musculaire ; mais on peut l'observer isolé, et dans le mem-
ation ne se fait pas bien à cause de l'impotence motrice [atrophies musculaires progr. (blirallaé), myélites (Weil' Mits- chell
o-médullaire. L'association des oedèmes en question avec l'atrophie musculaire [Schlesinger (888), Kolbe (143)], ou bien avec le
. La plupart des auteurs se sont préocupés de l'état des insertions musculaires aux rudiments claviculaires ; la dissection de Sc
parmi ces anomalies dues à l'ly-- peractivité de certains faisceaux musculaires qu'il faut ranger nos trois cas de saillie exag
quide séro-sanguin comprimé, comme nous le verrons, par les actions musculaires ; sous cette poussée, il s'est produit une hernie
xagère après la répétition des mouvements. Conservation de la force musculaire . Pas d'ataxie. Raideur musculaire des jambes et
ments. Conservation de la force musculaire. Pas d'ataxie. Raideur musculaire des jambes et de la nuque. Les réflexes tendine
équin. Impression de raideur générale. Membres inférieurs. Force musculaire conservée tant dans les mouve- ments spontanés
ticule, indépendants de la respiration. , Membres supérieurs. Force musculaire bien conservée, sauf dans l'acte de serrer les
ottant les talons par terre. Les mouvements des membres et la force musculaire sont conservés. Il existe un léger degré de con
re marcher le malade, et nous l'attribuerons soit à l'hypertonicité musculaire , soit plutôt à la fatigue (Kojevnikoff). Avan
mplexes comme celui de Mlle Pesker. Enfin la défaillance du système musculaire créerait la myopathie, et ainsi s'expliqueraien
attribue à ce mot ; il est évident, en effet, que toute contraction musculaire modifie dans une certaine mesure la forme de la
jà dit ceci : « Et l'on voit aussi des associations de contractions musculaires qui correspondent très exactement aux muscles i
peut voir, dans la paralysie faciale péri- phérique, à la paralysie musculaire succéder un état spasmodique ayant - de grandes
ce de M. le professeur Ma- rinesco, deux frères atteints d'atrophie musculaire et d'impotence fonc- tionnelle des quatre membr
; progressive familiale. La myopathie avait commencé par l'atrophie musculaire des membres inférieurs sans passer par le stade
é chez un de ses malades des douleurs à la pression dans les masses musculaires . Dans une observation publiée par Paul Londe et
ez pro- noncé. La face est symétrique, on n'observe aucune atrophie musculaire . Les oreilles sont normalement conformées, le l
La face postérieure est si atrophiée, qu'on ne voit plus aucun relief musculaire , la peau couvre directement les os cubitus et r
une ligne concave. Les bras ne présentent plus qu'une légère masse musculaire entourant l'humérus ; ils sont réduits à la for
ilement, n'existant pas de rétractions tendineuses. La résistance musculaire est nulle aux mains, aux poignets et aux coudes,
acée par une surface plane. Nous trouvons le même état d'atrophie musculaire aux muscles de la cuisse, les fléchisseurs et l
uisse sur le bassin, dépassant la position verticale. La résistance musculaire aux membres inférieurs est abolie, ou presque, au
ts des membres supérieurs se font avec facilité, mais la résistance musculaire est nulle, sauf à l'épaule, où elle est seuleme
complè- tement par suite des rétractions tendineuses. La résistance musculaire est dis- parue entièrement, il y a seulement un
douleur), thermique, pro- fonde (vibratoire, à la pression et sens musculaire ) est normale sur tout le corps. Le malade sen
supérieurs ne se produisent plus non plus, par suite de l'atrophie musculaire . Si on excite la plante des pieds, on voit seul
des membres inférieurs, excités, ne provoquent plus de contractions musculaires . Courants galvaniques. Méthode polaire. Les mêm
oumer, jusqu'à hauteur du bras. Nerf médian, 10 m. A., contractions musculaires faibles. Nerf radial, 12 m. A., contractions mu
ntractions musculaires faibles. Nerf radial, 12 m. A., contractions musculaires faibles. DEUX FRÈRES ATTEINTS DE MYOPATHIE PRIM
chez l'enfant, et dans les cas que nous connaissons, un seul groupe musculaire fut atteint. Quelle que soit cette localisation
en contracture ? Le trauma a-t-il déterminé des lésions, des fibres musculaires ont-elles été rompues, y a-t-il des rétractions
du à cette question en niant toute altération organique de la fibre musculaire . Et ce fait vient corroborer la notion d'étiologi
uve tous ses mouve- ments sans qu'on ait à lutter contre les masses musculaires redevenues souples. Cette disparition est souve
elles, souvent même sont incompréhensibles, relèvent d'associations musculaires paradoxales. Nous avons observé le fait, en par
e quelconque, et surtout tuberculeuse, est une cause de contracture musculaire , et que si presque toujours on observe une périod
iation brusque; dans l'état local, un peu d'adénopathie, d'atrophie musculaire , et surtout une douleur fixe, à la pression local
nous trouvons en présence d'une attitude vicieuse par con- tracture musculaire à début brusque, qu'aucune lésion antérieure ne p
l'appareil est en- levé, la tête est absolument droite, les masses musculaires sont souples, l'en- fant ne ressent plus la moi
nt douloureuse et semble augmenter encore la contracture des masses musculaires . Les mouvements de flexion exagérée sont possib
Etait-ce donc que le trauma, quoique léger, avait causé une rupture musculaire interstitielle, ou tout au moins une contusion, u
s atteints. Ici, au contraire, pas de douleur au niveau des membres musculaires , seule une contracture immobilisant la tête dans
alisée, deux fois au sterno-mastoïdien, une fois dans un groupement musculaire insolite, paradoxal ; aucune lésion nerveuse cent
ne montre aucune différence à droite et il gauche. Aucune atrophie musculaire au niveau du quadriceps, au- cun ganglion dans
e cas actuel, aucun signe de sciatique. L'absence de toute atrophie musculaire empêchait de penser soit à une paralysie infant
te donnée générale que l'attitude vicieuse était d'origine purement musculaire . Cela étant, nous ne pouvions guère songer qu'à
rétablit dès que l'enfant est couché, où d'autre part, aucune masse musculaire n'est sentie contrac- turée du côté concave. Ce
nche, ce qui de ce côté lui permet de se reposer, avec peu d'effort musculaire , sur l'aponévrose dite fascia lata, dont Maissi
le, en doses impossibles à déterminer, de contracture et de parésie musculaires : et c'est également à quoi nous pensons pour la
-à-dire être partielles et périphériques, flas- ques, avec atrophie musculaire et abolition des réflexes. De plus, l'enfant ét
énique, ressort un fait capital : à savoir que les manifesta- tions musculaires de l'hystérie sont loin de former une entité morb
tats que nos observations sont incontes- tables, ces manifestations musculaire de l'hystérie, et* les déformations qu'elles en
l'absence de tout signe physique dans le genou, de toute atro- phie musculaire , de toute douleur à la pression. Au milieu de l'i
a saillie exagérée des muscles de la ré- gion externe. Le système musculaire des achondroplases est généralement, en effet, pl
us marquée encore, chez le malade devenu adulte auquel les saillies musculaires donnent un aspect athlétique et qui peut effecti-
laisse de plus en plus en évidence les saillies exagérées de masses musculaires . Les dents apparaissent à leur terme normal, ce
es d'insertion exagérées dues au développement précoce des saillies musculaires . Le tibia est, en général, plus raccourci que l
tôt épaissie avec exagération de ses cour- bures et de ses saillies musculaires . L'omoplate est souvent aussi épaissie, boursou
à leur brièveté. Il y a exagération des tubérosités et des saillies musculaires séparées par de larges et profondes gouttières.
este, en rapport direct avec le dévelop- pement excessif du système musculaire de ces malades qui possèdent, effecti- vement,
u développement-, par suite de pressions anormales, de contractions musculaires , on plus probablement d'un accroissement inégal a
ais que l'humérus du squelette rachitique. Exagération des saillies musculaires . Cou- dures des radius. Thorax et colonne verté
nt un peu d'asymétrie du bassin. Cela tient probablement à la force musculaire très développée des achondroplasi- ques, qui s'
ses et qu'elles répondent, peut-être, particulièrement aux saillies musculaires si marquées dans le squelette de ces individus.
state la brièveté des os des membres qui sont épais et à insertions musculaires très marquées ; le raccourcissement est du type
uxta-épiphysaires au lieu de courbures, les saillies des insertions musculaires , l'absence de courbures il grand angle et de fr
eptibles d'entraîner des altérations osseuses comme des altérations musculaires , quoique plus exceptionnellement. La paralysie
d'une affection systématisée il un tissu, à une espèce de cellules ( musculaire dans un cas, osseuse dans l'autre). Dans l'une
de, les altérations bistologiques constatées (ostéoporose, atrophie musculaire ) sont identiques à celles qui parfois se développ
chez les uns sur le système ner- veux, chez d'autres sur le système musculaire . Il y a hérédité de l'affection fondamentale, m
e héréditairement transmissible au même titre que la prédisposition musculaire , nerveuse, cardiaque ou hépatique dans d'autres f
malade qui a, lui aussi, l'aspect d'un petit athlète d'une vigueur musculaire insolite. Les membres ont en outre un aspect no
es épiphyses des os longs avec accentuation des crêtes d'insertions musculaires . On peut ajouter à ces caractères un autre symp
différencient pour former les par- ties du squelette et les parties musculaires , les doigts sont les derniers à se former : et
asion de lui en exprimer les plus vifs remer- ciements. ATROPHIE, MUSCULAIRE DU TYPE ARAN-DUCHENNE D'ORIGINE SYPHILITIQUE
e Lyon. Le rôle joué par la syphilis dans l'étiologie de l'atrophie musculaire pro- gressive spinale (type Aran-Duchenne) est
e la syphilis comme pouvant être quelquefois la cause de l'atrophie musculaire et il rapporte le cas d'un malade ayant une atro-
r mon interne, M. Lévy (2), un malade qui pré- sentait une atrophie musculaire ayant tous les caractères du type Aran- Duchenn
cubital gauche et nous vîmes évoluer assez rapidement une atrophie musculaire à début périphérique. En même temps et comme sy
he était conservé. Nous continuons à voir ce malade dont l'atrophie musculaire a augmenté, qui a des troubles vaso- moteurs ma
ement. (4) A. Léri, Congrès de Bruxelles, 1903 et Article, Atrophie musculaire progressive spinale (Type Duchenne-Aran), in Tr
lle ICONOGRAPIIIE DE la SALPCTRIHE. T. XVIII. 1'1. LXIII ATROPHIE MUSCULAIRE DU TYPE ARAN-DUCHENNE D'ORIGINE SYPHILITIQUE
ORIGINE SYPHILITIQUE (Lannois). Masson et C·, Editeurs ATROPHIE MUSCULAIRE DU TYPE ARAN-DUCHENNE D'ORIGINE SYPHILITIQUE 595
qu'il m'a été donné d'observer récemment. Observation. Atrophie musculaire du type Aran-Duchenne d'origine syphilitique. (
de la conjonctivite et des suppurations des oreilles. L'atrophie musculaire , affection pour laquelle il vient consulter, a dé
VELLE Iconographie DE la SALPÊTRIÈRE T. XVIII. Pl. LXI\' ATROPHIE MUSCULAIRE DU TYPE ARAN-DUCHENNE d'origine SYPHILITIQUE
Masson & Cu, Éditeurs . Phototypie Ucrthaud, Pans ATROPHIE MUSCULAIRE DU TYPE ARAN-DUCHENNE D'ORIGINE SYPHILITIQUE 597
ur, les radiaux et le court supinateur, c'est-à-dire toute la masse musculaire antéro-externe, sont conservés dans leur tiers
on est un peu étonné que le malade ait conservé une certaine force musculaire , qui lui permet encore [quelques tra- vaux. Lor
e façon insignifiante à la lumière et à l'accommodation* ATROPHIE MUSCULAIRE DU TYPE ARAN-DUCHENNE D'ORIGINE SYPHILITIQUE 599
yphilis sérieuse, vit apparaître les premiers signes d'une atrophie musculaire progressive dont l'évolution se continue 16 ans
tuellement. Une question se pose aussi dès le début : l'atrophie musculaire ne pour- rait-elle pas être simplement sous la
es lésions qu'on voit sur les tibias n'ont pas déterminé d'atrophie musculaire appréciable. Il nous parait donc plus logique d'a
r : ils démontrent avec évidence que le type clinique de l'atrophie musculaire myélopathique Aran-Duchenne est un syndrome et
taine d'observations : il n'est pas douteux que ce chiffre ATROPHIE MUSCULAIRE DU TYPE ARAN-DUCHENNE D'OHIGINE SYPHILITIQUE 601
les faits à la sy- philis : j'ai parcouru ma collection d'atrophies musculaires sans y trouver d'autres cas où cette étiologie
yélie. Mais cette notion étiologique de la syphilis dans l'atrophie musculaire a une certaine importance thérapeutique. J'ai d
dues moins solides. L'envahissement inflammatoire et la contraction musculaire suffisent à cette besogne. Pour ce qui est des
la dégé- nérescence graisseuse a été signalée pour certains groupes musculaires (1). Cette dégénérescence n'est, évidemment, qu
rsale. Cette flexion cervicale dérive immédiatementdes contractions musculaires de la nuque. Les masses musculaires, s'insérant
e immédiatementdes contractions musculaires de la nuque. Les masses musculaires , s'insérant d'une part sur divers points du squ
L'ANENCÉPHALIE 607 b) Hémicéphalie. Exorbitisme. Si la contraction musculaire suffit pour expliquer la raideur permanente de
toires interviennent bien encore, mais pour donner aux contractions musculaires tout leur effort utile. Sur le crâne, l'observa
attaches qui les maintenaient en place. Dès lors, les contractions musculaires qui tendent à rapprocher la tête du tronc attiren
ymétriques conservent assez de solidité pour résister aux tractions musculaires . Si l'on se souvient que la méningite débute pa
, tandis que dès son apparition, elle a pro- voqué les contractions musculaires qui ont violemment tiré sur les cartilages occi
fois la cyphose ou la lor- dose constituées, les points d'attaches musculaires se trouvent très rapprochés les uns des autres,
ment dans la mesure que nécessite le relâchement complet des fibres musculaires . Désormais les contractions n'au- ront d'autre
des contractions va diminuant au sur et à mesure que les insertions musculaires se rapprochent. Pendant tout ce temps, sans dou
fication est déjà assez avancée. Dans ces conditions, les tractions musculaires ne s'exer- cent plus seulement sur des cartilag
tébrale n'est pas encore in- fléchie, de sorte que les contractions musculaires déploient toute leur puissance. Cela étant, la
nous rentrons dans le cas précédent ; ou bien, pris entre l'action musculaire et la résistance opposée par l'encéphale, le cr
te contre l'occipital, ajoutant son effort à celui des contractions musculaires . Dès lors, la voûte crânienne éclate suivant ce
sant intervenir, ici encore, l'action morphogénique de contractions musculaires violentes et répétées. Sous cette action, les a
diverses. En outre de ces modifications résultant des contractions musculaires et qui donnent à certains cas de pseudencéphalie
e purement extérieure et survenant post-mortem qu'à une contraction musculaire . Il n'échappera à personne qu'une déviation par t
ion dont elle résulte. Au surplus, le pied est soumis à des actions musculaires antagonistes et l'on ne voit pas de raison, a pri
sa partie motrice tout au moins. En définitive, les contractions musculaires jouent un rôle évident dans la morphogenèse de
difformités congénitales produites sur le foetus par la contraction musculaire (Les veaux à tête de chien, ou niatas) (Thèse d
ont en entier le mérite d'avoir com- pris l'importance les actions musculaires violentes et répétées dans la genèse dé certain
des renseignements négatifs : la musculature est normale, la force musculaire moyenne; les ré- flexes tendineux sont partout
s de rachitisme, pas de stigmates de syphilis héréditaire. Systèmes musculaires et osseux normaux. Rien de spécial du côté du s
ou spéciale. Les parents de M.... présentent tous un développement musculaire remarquable, à l'exception de l'aîné de ses frè
courses, football,... et acquiert à ces exercices variés une force musculaire et une souplesse peu communes. Cependanl,vers
effets du surmenage de l'année. mais il a conservé intacte sa force musculaire qu'il verra même s'accroître après quelques moi
n croix. Elles accusent par leur relief et leur netteté, des formes musculaires puissantes et harmonieuses ; elles permettent,
ne du rachis. Il en est de même du grand dentelé. Enfin" la force musculaire est très grande. A l'épreuve dynamométrique, le
ut considérer l'excitabilité galvanique comme normale. » TROUBLES musculaires . Il n'existe aucun trouble musculaire dans les
ue comme normale. » TROUBLES musculaires. Il n'existe aucun trouble musculaire dans les muscles examinés : pas de contractions
sie partielle, ni atrophie ou hyper- trophie ou pseudo-hypertrophie musculaires , sphincters intacts. Sensibilité générale ET sp
e douleur viscé- rale. Sensibilités tactile, thermique, électrique, musculaire intactes. Pas d'hyperesthésie, d'anesthésie ou
nique, ou seulement d'une portion de muscle ? Ou encore une absence musculaire congénitale ? Ou enfin une anomalie fonctionnel
ie fonctionnelle pure et simple, indé- pendante de toute altération musculaire et qu'on pourrait désigner du nom de « scapulm
miné des prévôts d'armes et des gymnastes soumis aux mêmes fatigues musculaires et aux mêmes exercices que M.... ; aucun n'a pr
Enfin, dans ces dernières variétés de myopathies, l'affaiblissement musculaire a (1) Fig. 9 de Brouardel et Gilbert, t. 10, éd
ortance que le volume des muscles, chez le brigadier M.... la force musculaire est entièrement conservée, et l'épreuve dynamo-
sultats identiques. Nous parlons pour mémoire seulement de troubles musculaires précoces au voisinage des foyers tuberculeux ;
on de dégéné- rescence sont des signes constants dans les atrophies musculaires myélo- pathiques ; ils n'existent pas chez le b
du trapèze ? Rien n'est plus fréquent, en effet, que ces anomalies musculaires découvertes à l'amphithéâtre, ou ces amyotrophi
esse. Ce sont, si l'on veut, des formes très frustes de dystrophies musculaires soit congénitales, soit acquises. Et on connaît
Et on connaît, en particulier, un certain nombre de cas d'atrophie musculaire limitée au trapèze ou à une seule portion de ce
nde importance à la recherche de tous les cas frustes de dystrophie musculaire ; les descriptions nosographiques qui sont consacr
ent comparables aux types décrits. La nosogra- phie des dystrophies musculaires semble devoir être considérée jusqu'à nouvel or
'observation permet d'éliminer sans discussion l'idée d'une absence musculaire congénitale ; elle prouve, en effet, l'existence
de des ligaments de l'articulation scapulo-humérale, au relâchement musculaire , enfin à un développement plus considérable des m
semble-t-elle rationnelle, et, toutes les altérations ou anomalies musculaires étant écartées, tout porte à croire que les omo
NUTRITION GÉNÉRALE, Les déformations produites par les contractions musculaires sont un contre- coup mécanique de la méningite
e. Ces contrac- tions, en effet, représentent de la part du système musculaire un travail consi- dérable et par suite une abon
on surrénale. Il n'est pas absurde de croire que l'excès de travail musculaire engendre un excès de sécrétion surrénale et que
tout aux contractions spasmodiques violentes et répétées du système musculaire . Intervenant sur un squelette encore peu résist
parties squelettiques de se consolider et de résister aux tractions musculaires . Dans l'ensemble, ces distinctions reposent sur
aneux, respectant le crâne cartilagineux ; d'autre part aux actions musculaires qui tirent en dehors les cartilages libérés par
dernier cas, la voûte membraneuse résiste davantage et les actions musculaires tendent à exclure le cerveau de la boîte crânie
602, 675. Aphasie amnésique (3 pl.), par HALl PRÉ, 36. Atrophie musculaire du type Aran-Du- chêne d'origine syphilitique (
paralysie faciale périphéri- que (1 pl.), 424. LA1'NOIS. Atrophie musculaire du type Aran-Duchenne d'origine syphilitique
lGE), XXXII. Aphasie amnésique (ILaLrrnr : ), V â VII. Atrophie musculaire du type Aran-Du- chenne d'origine syphilitique
16 (1891) Archives de neurologie [Tome 21, n° 61-63] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nts. La volonté ne saurait réfréner le tumulte des con- tractions musculaires : elle ne réussit pas mieux à maî- triser une i
des résidus d'images 40 PHYSIOLOGIE. motrices. La faible énergie musculaire que déploient encore ces malades est inconscien
z ces malades ; que la fusion des éner- gies dirigées sur un groupe musculaire fait défaut; que la force psycho-motrice se dif
s; les efforts, assez intenses, sont sums (l'une prompte résolution musculaire . LES FONCTIONS DU CERVEAU. 41 sommet des cour
ffusion des impulsions vo- lontaires sur un grand nombre de groupes musculaires , souvent fort éloignés, le défaut de fusion et
nnées. Bianchi rapproche de la faiblesse dynamométrique du groupe musculaire sur lequel un courant nerveux est primitive- me
« moteur » : 1° le réveil des images de sensibilité tac- tile et musculaire qui accompagnent le mouvement considéré, et don
ou pathologique, c'est le réveil des images sensitives, tactiles et musculaires , qui ac- compagnent la phase centrifuge d'une i
mouvement des parties absentes ou frappées d'anesthésie tactile et musculaire : l'éveil des images motrices et la projection
vail psychique doit être, autant que possible, assimilé au travail musculaire ; l'équation est la même pour le muscle que pour
er à ce que' fait l'homme de peine. » La pensée, comme le mouvement musculaire , sont des effets de l'action chimique. La pensé
'est là que j'en veux venir, pour montrer 1 A. Herzen. - L'activité musculaire et l'équivalence des forces. Rev. scientif., 19
[aux mouve- mentsdeflexion etd'extension. Du côté gauche, la force musculaire est un peu diminuée. Le tronc étant adossé au f
de l'excitation de l'écorce ne sont pas seulement des contractions musculaires , mais des mouvements synergiques coordonnés pou
fesseur Yeo et moi-même 1, les mêmes muscles ou les mêmes groupes musculaires entrent dans la composition des différents mouvem
es des plexus brachial et crural, de telle sorte que le même groupe musculaire peut avoir une représentation multiplie dans le
, la plaie était entièrement guérie. Résultat. - Aucune paralysie musculaire . L'animal semble avoir un trouble de la conscie
al, quoique en toute possession de tous ses sens et de sa puissance musculaire et d'autre part bien portant, était de toute év
ouctivaux conservés, la sensibilité était intacte partout, la force musculaire conservée, mais pendant quatre jours enfin l'anim
ersistance normale de tous les modes de la sensibilité, de la force musculaire , de l'excitabilité électrique, des fonctions sp
vulsive le muscle en déterminant la persistance de la contraction musculaire par t'excitation directe de ce dernier, le résult
sphère légère. Il faut croire dans l'espèce ou bien que l'activité musculaire intervenant provoque une estimation inconscient
ordres de symptômes psychiques et somatiques, on voit les troubles musculaires disparaître pour ne plus revenir et la maladie
gurantes et spontanées, mais presque toujours localisées aux masses musculaires , particulièrement aux mollets ; intéressant d'u
mouvement soit impossible, enfin compliquées de troubles trophiques musculaires , fibreux, tendi- neux, cutanés, etc., et de tro
aîne sa jambe, il a, comme il le suppose avec raison, une impotence musculaire complète, une vraie paralysie flaccide ; son me
on ensemble, a diminué de volume. Il est cependant certains groupes musculaires où l'atrophie est très prononcée, tandis que d'
ation. Vous apercevez, au-dessus de la rotule gauche, une saillie musculaire allongée, oblique en bas et eh dedans et proémi-
euve, puisque nous nous de- mandons ce que peut bien être ce relief musculaire situé au- dessus de la rotule. M. Richer, qui a
'une dis- position anatomique' n. Il apparaît dans le relâchement musculaire , et il est d'autant plus accusé que le relâchem
and, car il est, au même titre que le relief, dù à la contraction musculaire , mais dans un sens opposé, un signe révélateur
is longtemps, évidente. Si nous considérons le territoire cutané et musculaire où les symptômes de névrite se sont affirmés dè
aucoup plus haut qu'il ne ferait s'il était indemne de tout trouble musculaire ; il regarde avec attention où il marche, sa ja
mes fondamentaux consistent, comme vous le savez, dans une atrophie musculaire , liée ou non à divers troubles de la sensibi- l
espondant assez exacte- ment aux origines nerveuses des territoires musculaires para- lysés. A côté de ces faits, il est just
e premier, un cas de névrite alcoolique limitée aux seules branches musculaires du cubital. N'est-il pas vraisemblable que les
vez tous lu, je suppose, les leçons de M. Charcot sur les atrophies musculaires des hystériques, et vous savez que l'hystérie e
. Le symptôme capital de la téphromyélite antérieure est l'atrophie musculaire ; c'est même, si l'on peut dire, un symptôme obl
e chez les hémiplégiques, on voit se produire parfois des atrophies musculaires circons- crites, et l'autopsie démontre, dans u
our abréger, ne nous occupons, si vous le voulez, que de l'atrophie musculaire des hémiplégiques. Celle-ci appa- raît à une pé
je- rine, a publié des observations fort intéressantes d'atrophie musculaire , chez des hémiplégiques à l'autopsie desquels la
nerveuses repré- sentées à la périphériepar les branches et rameaux musculaires issus de la moelle. Pour s'expliquer l'influenc
aladies du système nerveux, t. II, p. 536. 'F. Raymond. - Atrophies musculaire et maladies amyotrophiques' p. 381, et Déroche.
vrite dégénérative. Cette opinion, pour ce qui a trait à l'atrophie musculaire saturnine, me paraît pouvoir s'appliquer, non s
et. Cela expliquerait les faits encore plus singuliers d'atro- phie musculaire constatée chez des hémiplégiques, en dehors mêm
e, existant depuis des années, peut ne pas se compliquer d'atrophie musculaire , tandis que telle hémiplégie de cause cérébrale
ure sont beaucoup moins prononcées, se compli- quera d'une atrophie musculaire marche relativement rapide. Il est enfin un der
éjà en L883 2, le sujet couché a con- servé l'intégrité de la force musculaire et la précision des mouvements des membres. La
chorée rythmée on observe la cadence et la régularité des secousses musculaires . La con- vulsion réflexe saltatoire de Bamberge
it établi que, en outre du phénomène résultant de toute contraction musculaire , c'est-à-dire de la production de chaleur, un p
rs une quantité de chaleur supérieure à celle de la contrac- tion musculaire dynamique, c'est-à-dire accompagnée d'effets mé
. Béclard en tirait dès lors cette conclusion, que « la contraction musculaire n'est pas une source de chaleur à la manière do
iologistes le pensent, mais qu'il n'y a que la partie de la force musculaire non .utilisée comme travail mécanique qui appar
que extérieur, correspond à l'effet mécani- que produit. La chaleur musculaire n'est que compté. mentaire du travail mécanique
lard. De lu chaleur produite pendant le travail de la con- traction musculaire . C. R. de l'Acad. des sciences, 1860, I, 471. Cf.
Béclard l'avait constaté dès 1860. Si l'on appliquait à l'activité musculaire le raisonnement que A. Gautier applique à l'act
on sait déjà que, dans la « phase dynamique » de la con- traction musculaire , dans la phase du travail positif, le muscle se
23 Dans leurs observations thermo-galvanométriques sur l'activité musculaire , Solger, Mayerstein, Thiry, Mosso, sont va, au
tôt le dégagement d'un excès de chaleur. Ainsi, toute contraction musculaire manifeste deux phénomènes de 1 Rev. scientif.,
e la température dans le muscle actif; il avait établi que la fibre musculaire , séparée de ses connexions nerveuses et circula
égative de la température qui accompagne le début de la contraction musculaire . C'est ce qu'a très bien écrit Tanzi lui-même d
classiques de Brown-Séquard que, à l'exception peut» z être du sens musculaire , le trajet de toutes les autres formes de sensi
l'hypothèse que la colonne postérieure médiane est la voie du sens musculaire du même côté. Car la conduite de cetanimal indi-
ation d'animaux infé- rieurs, qu'il avait entièrement perdu le sens musculaire du mem- bre opposé; car s'il était capable de m
écouvrir le plus léger trouble de la sensibilité tactile ni du sens musculaire . Il courait sans le moindre signe d'ataxie, il
cervicale chez les chiens ne produit aucune perle de la sensibilité musculaire et tactile, quoique certains désordres de l'équ
r tous les physiologistes et les pathologistes, que la voie du sens musculaire ne se croise pas avec les autres tractus sensitif
une demi- section ou une maladie unilatérale de la moelle, le sens musculaire est atteint ou aboli du même côté que la lésion
rown-Séquard, j'ai trouvé que l'évidence de la conservation du sens musculaire dans le membre d'autre part anesthésique, et so
dans vingt- quatre seulement il est fait mention de l'état du sens musculaire dans les mémoires originaux. Dans six, la seule
ginaux. Dans six, la seule preuve donnée de la conservation du sens musculaire , était la possibilité de percevoir une forte pr
on ne dit pas la méthode employée. Dans un cas, on dit que le sens musculaire paraît être normal des deux côtés, sans autres
avait conservation de la sensibilité tactile. Dans un cas3, le sens musculaire paraissait perdu dans la jambe paralysée, mais
e. Dans un, il semblerait qu'on n'ait fait aucune recherche du sens musculaire , , La plupart de ces cas ont été rapportés par
es autres formes de la sensibilité. Des autres cas, dans un le sens musculaire était perdu dans le côté anesthésié on ne parle
les conditions varient avec les progrès de la maladie, mais le sens musculaire fut toujours intact sur le membre anesthésié au
on clinique donne un appui absolu à la théorie qui veut que le sens musculaire reste intact quand les autres formes de la sens
ité tactile était également bonne des deux côtés, ainsi que le sens musculaire . A mon avis, l'évidence, d'après tous les nombr
r commun des doigts, de l'exten- seur propre du pouce avec atrophie musculaire consécutive, avec intégrité du muscle tibial an
ente des mouvements choréiques intenses dans les différents groupes musculaires . La marche en est rendue difficile. Cependant,
1° d'une anesthésie complète; 2° d'une abolition ab- solue du sens musculaire ; et 3° d'une paralysie des muscles exten- seurs
lité paraissait elle-même être la conséquence de la perte du sens musculaire ou de la sensibilité interne du tronc : ce qui se
ts l'auteur les étudie. Ils lui ser- vent à diviser les convulsions musculaires idiopathiques en trois grands groupes. 1" Les
chronique des fibres des nerfs périphériques avec dégé- nérescence musculaire au début (comme dans les cas de Oppenheim et Si
E DE la réaction IDIOMUSCULAIRE EN bourrelet ou contraction IDIO- musculaire DE SCHIFF; par G. Rudolpuson. (Arch. f. Psychiat.
ois épaissies, irrégulières, en zigzags. P. K. XXX. De l'atrophie musculaire névritique PROGRESSIVE; par J. IIOFFMANN. (Arch
PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 283 nom de forme parlicullèl d'atrophie musculaire . Quatre obser- vations, dont une personnelle (a
nclut : qu'il s'agit d'une névrite chronique ascendante (altération musculaire correspondante) due à la dégénérescence primiti
P. K. XXXIII. Examen HISTOLOGIQUE D'UN cas DE pseudo-hypertrophie musculaire ; par H. PREISZ. (Archiv f. Psychiat., XX, 2.) F
- toxyline et safranine). Atrophie généralement simple des fibres musculaires ; quelques fibres variqueuses contiennent, au nive
l'hyperplasie des éléments primitifs. Névrite interstitielle intra- musculaire , névrite des gros troncs nerveux et des racines s
nclusion. Atrophie névrotique constituant une variété de l'atrophie musculaire spinale de l'enfance. P. K. XXXIV. L'EXCRÉTIO
nt les sensa- tions. L'écorce motrice arrête le centre des réflexes musculaires dont dépend le phénomène tendineux, et c'est le
ate une atrophie la plus classique. En résumé, à côté de l'atrophie musculaire consécutive à une lésion cérébrale, cette obser
oire de M. Charcot par M. Babinski1 , on admet- tait que l'atrophie musculaire , dans les scléroses descendantes, était toujour
fication exclusive depuis que M. Babinski a démontré que l'atrophie musculaire de cause cérébrale est possible avec des cornes
contractures et un développement relativement tardif de l'atrophie musculaire ; tantôt cette dernière se développe rapidement da
fonda- mentale. Il parait donc établi actuellement que l'atrophie musculaire peut se développer consécutivement à des lésion
st inconnue et encore moins la localisation du 1 Babinski. Atrophie musculaire d'origine cérébrale, (Comptes rendus de la Soci
es semblent faibles et insuffisantes pour interpréter les atrophies musculaires d'origine cérébrale; les auteurs pensent qu'au
ans le côté droit du corps est redevenue normale ainsi que la force musculaire ; les réflexes sont normaux et égaux des deux cô
; les réflexes sont normaux et égaux des deux côtés. Pas d'atrophie musculaire . La sensibilité générale est abolie dans tout l
principaux du bégayement ainsi que l'état choréique de l'appareil musculaire qui concourt à l'articulation des mots. C'est la
ATHOLOGIE NERVEUSE. nastique respiratoire d'abord, puis gymnastique musculaire ; or, la gymnastique est un des traitements les
n toute la région, en rapport avec la sensibilé commune, tactile et musculaire du côlé opposé du corps. 1 J'ai repris plus t
une et tactile, comprenant la sensibilité cutanée, muco- cutanée et musculaire peuvent être profondément atteintes ou abolis,
ils, ainsi obtenue nous n'avons obtenu seule- ment qu'une paralysie musculaire , incomplète comme résultat de l'opération : mai
ar le cautère n'eut pour effet qu'un état plus complet de paralysie musculaire , mais la sensibilité du côté opposé reste toujo
rs s'accompagne au dépend de troubles de la sensibilité géné- rale, musculaire ou tactile ou des trois ensemble dans les mem-
e et ne s'accom- ' pagne d'aucun désordre delà sensibilité tactile, musculaire ou géné- rale.J'ai moi-même observé plusieurs c
observé un certain degré d'altération de la sensibilité tactile ou musculaire généralisée ou localisée. Et plusieurs auteurs,
ne anesthésie tactile de tout le côté gauche avec une perte du sens musculaire dans le bras gauche. Dans ce cas, les cordons s
a persisté. Et quand, en plus, nous considérons que la sensibilité musculaire et tactile peut être abolie en l'absence de par
paralysie motrice à aucune altération de la sensibilité tactile ou musculaire . La pro- duction de légère altération de la sen
. La pro- duction de légère altération de la sensibilité tactile ou musculaire , plus particulièrement dans les doigts qui a ét
teinte il y aurait sans doute eu perte de la sensibilité tactile et musculaire de tout le côté opposé du corps. Ce cas a une c
quelques auteurs, Nothnagel' entre autres, que les centres du sens musculaire sont sités dans le lobe pariétal. L'altéra- tio
roduire sans aucun trouble du sens muscu- laire et la perte du sens musculaire sans aucune paralysie. Je suis d'accord avec Ba
elles et les impressions comprises généralement sous le nom de sens musculaire . - Pour apprendre un mouvement, la vue est notr
ce mouvement particulier une série distincte d'impressions du sens musculaire . - Le réveil de ces impressions, séparément ou co
'idée du mouvement et ce qui nous permet de produire la combinaison musculaire appropriée est l'acte volon- taire luit-même. -
prétends que les centres des sensations qui accompagnent l'ac- tion musculaire et qui forment en partie la base de nos idées de
les du côté atteint, avec une parésie des membres affectés, le sens musculaire a été presque toujours intact ». Sur cette ques
ant seulement les téguments superficiels et sans comprendre le sens musculaire , mais l'obnubilisation ou la disparition complè
usculaire, mais l'obnubilisation ou la disparition complète du sens musculaire -en particulier la perte du sens de la position
ai pas rencontré d'altération sérieuse, strictement limitée au sens musculaire dans l'hystérie sans hémianesthésie cutanée. Il
sans hémianesthésie cutanée. Il semble donc que l'abolition du sens musculaire repré- sente le plus haut dégré de l'échelle hé
ns de telles conditions les mouve- ments des membres privés de sens musculaire sont incertains et hésitants ». Ces faits et
ccomplir un mouvement. La vision peut entièrement remplacer le sens musculaire , quoique, comme on doit s'y attendre, les mou-
le de compenser presque entièrement ou entièrement la perte du sens musculaire . On peut admettre que cela n'arrive pas dans to
ipalement occupée à diriger les mouvements et l'étendue de l'action musculaire et de l'adaptation musculaire seraient infinime
mouvements et l'étendue de l'action musculaire et de l'adaptation musculaire seraient infiniment moindres que si elles étaient
aussi par les sensations nées des mouvements eux-mêmes. Par le sens musculaire nous pouvons concevoir et exécuter des mouvemen
nsations de mouvements sont l'accompagnement invariable de l'action musculaire et sont répétées aussi souvent que l'action elle-
nt qu'en plus des impressions conscientes qui accompagnent l'action musculaire qu'il localise principalement au moins dans le
aux qui les unit. Je ne puis, avec Bastian, comprendre dans le sens musculaire qui est si essentiellement un'acte de discernem
es centres moteurs de la moelle correspond à celui des combinaisons musculaires synergiques purement réflexes des différents se
nt pas les centres de la sensibilité tactile ou générale ni du sens musculaire , soit qu'on le regarde comme venant d'impressio
presque exclusive des troubles sensoriels (hallucinations des sens musculaires et surtout du sens de l'organisme) : c'est la m
chondriaque se traduit par des lésions de la sensibilité somatique ( musculaire et viscérale). La mélancolie religieuse, intell
s troubles dans la marche, l'écriture, et la contractilité électro- musculaire est moindre que chez les individus sains et se mo
oscou) a fait une communication sur la « pathogé- nie des atrophies musculaires ». Les atrophies musculaires se déve- loppent s
on sur la « pathogé- nie des atrophies musculaires ». Les atrophies musculaires se déve- loppent sous l'influence de l'action s
ivantes : insuffisance innée de l'énergie nutritive dans les fibres musculaires , modification des conditions de leur nutrition
eur nutrition qualitative ou quantitative, trouble de l'innervation musculaire , arrêt dans le fonctionnement des muscles, trou
dans les condi- tions mécaniques normales de l'existence des fibres musculaires . Chaque espèce d'atrophie musculaire a son tabl
les de l'existence des fibres musculaires. Chaque espèce d'atrophie musculaire a son tableau clinique et son substratum anatom
onditions d'origine des amyotrophies. La pathogénie des atro- phies musculaires reste inexpliquée dans beaucoup de cas, ce qui
CIIEVITSCH (de Moscou) a fait une communication sur « les atrophies musculaires dans les arthropathies ». L'auteur distin- gue
s les arthropathies ». L'auteur distin- gue deux formes d'atrophies musculaires qui diffèrent aussi bien au point de vue cliniq
les nerfs périphériques. Pour expliquer la pathogénie des atrophies musculaires dans les affections articulai- res, on a propos
TOFF (de Moscou) a lu son travail a sur la pathogénie des atrophies musculaires dans les affections cérébrales ». Voici les con
rice de l'écorce cérébrale. Au point de vue clinique, les atrophies musculaires d'origine cérébrale peuvent être divisées en de
a fait une seconde communication sur la « pathogénie de l'atrophie musculaire progressive ». Les modifications fondamen- tale
culaire progressive ». Les modifications fondamen- tales des fibles musculaires dans cette affection consistent en leur atrophi
atrophie longitudinale et transversale. L'hypertrophie des fibres musculaires constitue un phénomène de compensation et quin'ap
processus morbide. La dénomination introduite par Erb la dystrophie musculaire - n'est pas justifiée par l'étude comparée des
progressives. L'analyse des particularités cliniques de l'atrophie musculaire progressive jointes aux modifications anatomiqu
lule embryonnaire qui servent de source de développement du système musculaire de l'individu malade. M. le professeur KojEWM
vaso-moteurs et sécrétoires, troubles du tissu cellulaire, atrophie musculaire . On pourrait critiquer cette division à divers
IIOTILtI'i : , trouble de la - chez les aliénés, par Binder, 118. Musculaire , pseudo-hypertrophie examen histologique, par
TEURS ET DES COLLABORATEURS 479 z maladie d'Addison, -et atrophie musculaire , par Schulz, 273. Sclérose, début de la - en pl
17 (1906) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 19] : iconographie médicale et artistique
apport constant avec l'état des réflexes. Enfin apparaît l'atrophie musculaire . Fickler fait observer que la longue intégrité
n : les paralysies flasques avec aboli- tion des réflexes, atrophie musculaire et anesthésie à topographie radicu- laire accom
6 mois de repos ont amené une guérison complète, même de l'atrophie musculaire . Voici le résumé d'une observation de Berbez (S
complète, flasque, avec abolition des réflexes tendineux, atrophie musculaire , anesthésie remon- tant jusqu'au pli de l'aine,
de M. Brissaud montrent la possibilité d'une 12 ALQUIER atrophie musculaire avec exagération des réflexes et la première obse
ur les cuisses. On ne trouve d'ailleurs aucune atrophie des groupes musculaires préférés par la myopathie (Muscles scapulo-thorac
ec abolition des réflexes tendineux et cutané plantaire. L'atrophie musculaire remontait jusqu'aux fes- (1) Gazette des Hôpita
flexion à gauche ; crémastériens faibles. Peut-être légère atrophie musculaire diffuse aux membres inférieurs. Lenteur et diff
abi- tude. ' Puis, apparaît une paraplégie flasque, avec atrophie musculaire . Lors- qu'il s'y ajoute une anesthésie à topogr
ts délicats, avec troubles du sens sté- réognostique, sans atrophie musculaire ni altération des sensibilités superfi- cielles
ostic qui est seulement probable, il y avait du côté droit atrophie musculaire et douleurs dans le mem- bre supérieur, hémiatr
ilité d'une paralysie flasque des membres supérieurs, avec atrophie musculaire . Il est exceptionnel de ne constater (1) Dupré,
de semblable. Par 'moments, inégalité pupillaire.» La contracture musculaire , la douleur à la pression sur la partie latérale
r lieu cette variété, surtout lorsqu'elle s'ac- compagne d'atrophie musculaire des membres supérieurs et de troubles . de la s
Broca : douleurs radiculaires, puis paralysie flasque avec atrophie musculaire et troubles sensitifs aux membres supérieurs, s
flasque ; tôt ou lard, elle se double d'un certain degré d'atrophie musculaire , quand la compression s'exerce sur la moelle, il
termine aux membres supérieurs une paralysie flasque, avec alrophie musculaire , et l'exagération des réflexes des membres infé
uatre aspects suivants : 1° Paralysie flasque avec ou sans atrophie musculaire ; 20 Paralysie spasmodique des membres inférieu
onner lieu aux erreurs de diagnostic suivantes : a) Si l'atrophie musculaire est peu marquée, la constatation d'une pa- raly
s : l'absence de douleurs réveillées par le ballottement des masses musculaires ; enfin, l'existence de douleurs dans le dos ou l
e névrite. Les troubles objec- tifs de la sensibilité et l'atrophie musculaire , souvent diffus, sans limites nettes, présenten
mbres supérieurs . - Lorsque cette dernière s'accompagne d'atrophie musculaire à topographie radiculaire (muscles du groupe Duch
1), étude publiée sous le titre de cyphose d'origine articulaire ou musculaire . Depuis deux ans, les altérations vertébrales s
E. BRISSAUD et H. GRE1VBT, Un cas de cyphose d'origine articulaire ou musculaire Nouvelle Iconographie, 1904, no 2, 3 pl. NOUV
en d'impossible à ce qu'avec le temps un trouble d'abord pure- ment musculaire s'adjoigne des lésions d'autres tissus. La suppre
e gigantisme, l'acroméga- lie, le rachitisme, l'obésité, l'atrophie musculaire , le myxoedème (d'après M. Brissaud cette associ
graisse dans le tissu sous-cutané, qui masque les reliefs osseux et musculaires . Il y a cependant dans le tableau de l'infantil
es congénitales (nanisme, gigantisme, rachitisme, obésité, atrophie musculaire ). La plus fréquente de ces associations est le my
s se montra toujours de plus en plus, sur- . tout après des efforts musculaires , et les mains et les pieds grandissaient-telle-
l a des paresthésies dans le bout des doigts et des pieds. La force musculaire a beaucoup diminué dans les derniers mois et qu
inute), petit, mou, et devient très fréquent (120) lors d'un effort musculaire .,Sans vouloir prétendre que no- tre F ? a le co
on des glandes sudoripares est augmentée anormalement. La faiblesse musculaire considérable appartient au tableau clinique de
et les signes d'une action du coeur insuffisante après des efforts musculaires , car nous n'avons pas pu trouver de défaut des
e Basedow, la sclérodermie, le gigantisme, le nanis- me, l'atrophie musculaire , des exostoses multiples, et de l'infantilisme co
ran- dissement acromégalique d'une extrémité, combiné avec atrophie musculaire , épaississement de la peau ou résidus de panari
dans une position accroupie : les genoux au menton. Pas d'atrophie musculaire marquée ni de déviations osseuses. Les réflexes
ysiques de dégénérescence, micro ce plia lie, atrophies osseuses et musculaires . - Aux pieds, infiltration élastique du derme à
, 40; chlo- rures, 13 ; phosphates 2. 59 par 24 heures. Atrophies musculaires diffuses, sans caractères spéciaux, localisés aux
s inférieurs ; l'autre, une microcéphale avec atrophies osseuses et musculaires , luxa- tion des doigts, pieds-bots. Dans leur a
enfoncé plus profondément dans l'orbite, ce qui dépend de la couche musculaire , qui chez l'homme est en effet plus développée. M
d'étendue restreinte au degré du défaut de longueur. La contraction musculaire , les réflexes, la contractilité électrique n'offr
développée (voir radiographie, PI. XXIV). Avant-bras : diminution musculaire marquée, surtout du côté gauche, néan- moins la
els. Les douleurs accidentelles ont diminué, mais toutes les masses musculaires et osseuses sont encore douloureuses à la press
eu. Les troubles de la motilité consistent en diminution des masses musculaires indiquée plus haut, marche hésitante et faibles
ouvements, j'ai pu reconnaître l'existence du moindre développement musculaire et par là XIX 10 146. KLIPPEL d'une moindre
res inférieurs et un dandinement assez marqué des hanches. La force musculaire n'est pas très grande, mais sou système musculair
anches. La force musculaire n'est pas très grande, mais sou système musculaire est d'ailleurs peu développé. * A part des do
4. HYPOTROPHIE D'ORIGINE BACILLAIRE 149 il en est de même du sens musculaire , de la perception stéréognostique, etc. Il exis
OGRESSIVE 155 Les sensations thermiques n'ont pas changé. Le sens musculaire , les champs de Weber et le sens stéréognostique s
phériques des membres, la prédo- minance aujourd'hui des paralysies musculaires aux extrémités plus qu'aux racines des membres,
sociation syringomyélique. Le sens stéréo- gnostique bien ; le sens musculaire , de même. Tous ces phénomènes sensitifs, si rem
e signe de Babinski et des secousses spas- modiques dans les masses musculaires de la cuisse et du'mollet : aphasie sen- soriel
Charcot (3) ), accompagné parfois d'un certain degré d'éma- ciation musculaire . Dans ces cas, l'examen anatomique des muscles pe
es muscles permet de constater une atrophie volumétrique des fibres musculaires , une proli- fération assez marquée des noyaux d
ielle. Diminution individuelle, pourrait-on dire, de cha- que fibre musculaire ; prolifération des noyaux du sarcoplasma et du t
t le siège d'aucun phénomène dégénératif, enfin entre les faisceaux musculaires n'existent que de très rares vésicules adipeuse
, que l'irrégularité de taille est presque de règle dans les fibres musculaires des sujets ayant dépassé 70 ans. Quant aux autr
quée par une maladie chronique et cachec- tisante ; les altérations musculaires relèvent dans ce cas non plus de la sénilité, m
us de la sénilité, mais de la cachexie dont l'action sur le système musculaire strié est si prépondérante, ainsi que l'ont mon
ez ces sujets les troubles ressortissant aux altérations du système musculaire strié ; chez certains la faiblesse musculaire va
ltérations du système musculaire strié ; chez certains la faiblesse musculaire va jusqu'à l'impotence; confinés au lit, ces ma
quée par des modi- fications plus ou moins grossières de l'appareil musculaire la cause, l'évo- lution de cette affection seco
comme dans les paraplégies des cachectiques, localisées au système musculaire strié.C'est à M.Empis (2) que nous devons la pr
- (1) KLIPPEL, Thèse Paris, 1889. (2) Empis, De l'affaiblissement musculaire progressif, Archives générales de lI1éde- cine.
fini sous le terme, trop compréhensif maintenant, d'affaiblissement musculaire progressif chez les vieillards. Quoique, à prop
apports de la paraplégie par rétractions avec les autres affections musculaires du vieillard. Au début de son travail, Empis fa
début de son travail, Empis fait remarquer que cet affaiblissement musculaire n'est pas l'apanage exclusif de la vieillesse, qu
s signes fondamentaux du syndrome sont constitués par une faiblesse musculaire extrême, la marche est gravement compromise, les
CHEZ LES VIEILLARDS 259 cles des sujets atteints d'affaiblissement musculaire étaient le siège d'alté- rations manifestes don
s aucune altération. Il s'agit donc bien là d'une affection à siège musculaire , sous la dépen- dance d'une perturbation de l'é
affections, l'émaciation du sujet évolue avec rapidité, les masses musculaires fondent chaque jour en même temps que se manife
tal, essentiel, est l'affaiblissement joint à l'atrophie du système musculaire strié, on est en droit de rapprocher, sinon d'ide
re à allure traînante, essentiellement chronique, l'affaiblissement musculaire pro- gressif d'Empis (3). Les paraplégies don
, elles nous sem- blent mériter une place à part dans les alrophies musculaires du vieillard. L'auteur qui, à notre connaissanc
ouvements passifs. Dans ces circonstances, ajoute-t-il, les lésions musculaires ne sont pas douteuses et c'est vraisemblablement
il s'agit bien d'une maladie très spéciale déterminant une atrophie musculaire très prononcée; atrophie qui, fait important, s'a
noncée; atrophie qui, fait important, s'accom- pagne de rétractions musculaires . Les faits que nous rapportons sont tout à fait
fection des cen- tres nerveux, mais essentiellement aux altérations musculaires secondaires à la démence ou à la cachexie. Il
é faite, mais nul doute qu'on aurait trouvé dans ce cas des lésions musculaires , car nous croyons qu'il est im- possible d'expl
ofesseur Hayem ont eu l'occasion d'observer les exemples d'atrophie musculaire suivie de rétraction dont nous avons parlé. C
as de démence sénile s'accompagnant de rétractions et d'a- trophies musculaires sont rares, d'autre part,un grand nombre de cache
pes au point de vue étiolo- gique, l'un dans lequel les altérations musculaires accompagneraient un état démentiel ou cachectiq
le' traumatisme local doit être mis hors de cause, les altérations musculaires se sont pro- duites avec une égale rapidité tan
dès cette période peut être mis en évidence c'est l'affaiblissement musculaire prédominant sur les membres inférieurs. Tous le
se. Dans plusieurs observations nous avons remarqué que la rigidité musculaire était proportionnellement plus développée sur le
reliefs osseux deviennent très apparents, au con- traire les loges musculaires s'affaissent et se creusent. Les articulations
arait être le quadriceps fémoral. Immobilisés par leurs rétractions musculaires les malades n'en sont pas moins capables d'exéc
lement la limite d'élasticité de leurs muscles sclérosés. La force musculaire affaiblie mais jamais abolie complètement est a
ervé la liberté de leurs mouvements, mais toutefois déjà les masses musculaires ont perdu leurs reliefs, l'amyotrophie tend à s
ont on percute le tendon ainsi que de la rapidité de la contraction musculaire . L'excitabilité mécanique des muscles atrophiés
rogressive, la maladie ne tarde pas à attein- dre toutes les masses musculaires ; atrophiés de partout, ces malades xix 18 26
s la myosite chronique. Nous ne pouvons insister sur les affections musculaires du vieillard, ce seraitnous exposer à des redit
oléairc. Adipose interstitielle considérable. Atrophie j des libres musculaires , prolifération du tissu conjonctif et de l'advent
stamment dans les autres myopathies séniles. Quant aux affections musculaires de l'adulte, il suffit de les citer car tout di
e à cause des larges brides fibreuses qui cloisonnent les faisceaux musculaires ; leur couleur tire sur le gris pâle ou le jaun
exemple ne recouvre la face antérieure du fémur que par une écharpe musculaire de 5 à 6 milli- mètres d'épaisseur, dont les fi
u conjonctif, des vaisseaux, puis celles plus délicates de la fibre musculaire elle-même. - Sur une coupe transversale intéres
rées de vésicules adipeuses en traînées. Pour ce qui est des fibres musculaires , celles-ci sont réparties inéga- lement dans de
enfer- mant peu de noyaux allongés entoure des paquets de faisceaux musculaires et envoie des expansions qui se perdent sur les
s sarcolemmatiques épaissies. En de certains endroits, chaque fibre musculaire paraît isolée, entourée qu'elle est par une lam
tre elles sont isolées et noyées dans du tissu adipeux. Les artères musculaires plongées au sein de cette gangue conjonctive semb
noyaux. Toutefois, nous devons ajouter que dans un cas les artères musculaires enveloppées par le tissu conjonctif proliféré a
unique interne presque normale. Quant aux altérations de la fibre musculaire elle-même, celles-ci sont variables dans leur n
gitudinales. Lorsqu'on peut suivre sur une grande étendue une fibre musculaire aux environs d'un îlot fibreux, on voit qu'aprè
bles par l'orange, représentant probablement les débris de la fibre musculaire fragmentée. La prolifération nucléaire n'est pa
re pas, elle nous semble résul- ter d'une désagrégation de la fibre musculaire ; elle existait très nettement, quoique moins a
sée du muscle. Tout d'abord, ici comme dans toutes les altérations musculaires , on doit faire le départ de ce qui revient à la
ar du tissu conjonctif. La question du rôle que jouent les cellules musculaires dans l'édifica- tion du tissu conjonctif nouvel
s éléments du muscle ; à la suite de leur exfoliation, les cellules musculaires revenues à l'état embryon- naire se chargent de
'il doit probablement s'agir d'une altération primitive de la fibre musculaire dont les éléments revenus à l'état indif- - fér
e cause pathogène, soit secondairement il la destruction des fibres musculaires le tissu conjonctif interfasciculaire est irrité
l'intensité de la cause patho- gène. Atrophie simple de la fibre musculaire (division, prolifération nucléaire, régression
e les deux termes histologiques caractéristiques de cette affection musculaire . L'alté- ration des vaisseaux est également con
fait remarquer que le tissu fibreux et les modifications des fibres musculaires étaient plus développés autour des artères que nu
tous les éléments à la fois (vaisseaux, tissu con- jonctif, fibres musculaires ) avec une prédominance au début pour l'élé- men
différencié, par conséquent le plus fragile, dans l'espèce la fibre musculaire . L'affection dont nous avons entrepris ici l'ét
ent absolu au lit; les lésions, exclusivement limitées à l'appareil musculaire strié sans que le système nerveux présente d'autr
imension qu'à gauche (6 cent. de largeur). Il y a un peu d'atrophie musculaire de la cuisse (38 à droite, 40 à gauche à la rég
oordination quel que soit le mouvement exécuté. Persistance du sens musculaire sous toutes ses formes. Les réflexes rotuliens
e l' acuité auditive et de Vacuité visuelle du côté droit. La force musculaire est également diminuée du même côté : le malade
une façon relative. Son côté droit pèche non seulement par la force musculaire , mai en- core par la sensibilité générale, par
pas de fibres en dégénérescence. Il en est de- même dans les filets musculaires . Les troncs des nerfs intercostaux parais- sent
ur les neurones sympa- thiques, alors que l'influence sur les nerfs musculaires apparaît comme beau- coup moins constante. +
ssive de la jambe droite, des troubles de la sensibilité et du sens musculaire , une certaine faiblesse des sphincters. Dans le
és quoique très gênés par le tremblement intentionnel et leur force musculaire est très diminuée. Les mouvements de la tête rest
as de trouble de la sensibilité ni du sens stéréognostique. Le sens musculaire est conservé. Il pleure facilement. Incontinenc
ise en un centre fonc- tionnel ; les images motrices des mouvements musculaires nécessaires pour siffler, constituent un subcen
compagne jamais, comme l'arthrite, de contrac- tures ou d'atrophies musculaires ; 5° La dystrophie est nettement plus rare chez
soriel (en particulier pas d'hémianopsie bitemporale). La nutrition musculaire est en rapport avec l'âge du sujet, les faculté
ne externe, on dirait même qu'elles pénètrent parfois dans la gaine musculaire ( ? ). Ces fibres de nouvelle formation présen-
ève, ils retombent sans aucune résistance, ils ont perdu tout tonus musculaire . Si ou examine la poitrine de l'enfant, en étud
e à celle du mixoe- dème,mais qui résulte de ce fait que les masses musculaires sont difficilement perçues; aux mollets, par ex
rotiques est beaucoup moins dégénérée, mais à ce niveau, les fibres musculaires ne présentent plus l'aspect grenu et fibrillaire,
tion des noyaux. Hoffmann a publié, en 1893, sous le nom d'atrophie musculaire chro- nique de l'enfance d'origine spinale et d
l'autopsie, qui put cependant être faite, on constata une atrophie musculaire très marquée, et en prélevant la moelle, une atro
au point de vue des lésions anatomiques, insiste sur : l'alro- phie musculaire progressive sans pseudo-hypertrophie ni adipose m
ait les bras et la nuque, l'évolution fut progres- sive, l'atrophie musculaire était marquée, et s'accompagnait de contrac- ti
aucune lésion nerveuse à l'au- topsie et concluent à une affection musculaire primitive. Tous ces cas concernent d'ailleurs d
ui présente depuis sa naissance une paralysie flasque avec atrophie musculaire affectant les quatre membres et tous les muscles
e et dont M. Comby a récemment rapporté un cas sous le nom d'atonie musculaire congénitale et à propos duquel il fait une revu
nique, lès réflexes rotuliens sont abolis ou diminués. Cette alonie musculaire généralisée serait susceptible de guérison ; aprè
t par nous observé, montre du moins que cette affection, l'atrophie musculaire chronique d'origine spinale de l'enfance, peut
ie spinale diffuse des nouveau-nés. /f;tf7., septembre 1900. Atonie musculaire congénitale, avec analyse des travaux ci- desso
, les autres appareils fonctionnent normalement. Motilité. La force musculaire paraît assez bien conservée dans les différents
veau du pied droit. Amyotrophie. Aux membres supérieurs, l'atrophie musculaire porte surtout sur les éminences thénar et hypot
amyotrophie des muscles de la jambe avec une diminution de la force musculaire dans le pied droit. Aucune amyotrophie au nivea
e ce segment t de membre droit, on ne sent que fort peu de saillies musculaires . La main droite est nettement dirigée en dedans
gts (annulaire, médius et index) sont grêles, dépourvus de saillies musculaires . Ils présentent une ankylosé partielle de leurs a
ation, respiration ou digestion. Pas d'anomalie des réflexes, force musculaire au-dessous de la moyenne à la pression des main
période assez avancée de son évolution, mais associé à une atrophie musculaire généralisée, une cyphoscoliose et un état hyper
qu'une variante d'une autre maladie également familiale, l'Atrophie musculaire type Charcot-Marie. Ainsi que nous le montreron
deux affections. OBSERVATION Homme de trente-quatre ans. Atrophie musculaire avec troubles de la sensibilité et douleurs ful
formation très prononcée des deux pieds et des mains, avec atrophie musculaire , le membre inférieur droit (frac- ture ancienne
eu développés ; sur la cuisse droite (ancienne fracture) les masses musculaires sont plus diminuées qu'à gauche. La station deb
rd externe par suite d'un léger degré de varus. <; 'J La force musculaire des cuisses et des jambes est assez développée. L
ques pas. Signe de Romberg très accusé. Membres supérieurs Atrophie musculaire , type Aran-Duchenne, égale et symétrique des de
tellaire et olécranien, ainsi que du réflexe cutané plantaire. Sens musculaire normal. Etat de la motilité. La démarche été dé
écriture est altérée, heurtée, quoique encore très lisible. Le sens musculaire est intact dans les quatre membres; le malade,
t un peu déformée, allongée dans le sens vertical. . z L'atrophie musculaire n'a que très peu progressé depuis cette époque, e
nérale- ment à terre. La cypho-scoliose a un peu augmenté. Sens musculaire . Si le malade peut, les yeux fermés, reproduire a
Son état resta sensiblement le même au point de vue de l'atro- phie musculaire des membres, l'incoordination motrice augmenta lé
de l'éminence thénar, on trouve à peine quelques vestiges de fibres musculaires : la plupart ont disparu et sur celles qui persis
me si la substance nucléaire s'était intimement mélangée à la fibre musculaire . Entre la fibre simplement atrophiée et cette f
ion que les noyaux contribuent à achever la dislocation de la fibre musculaire . Sur les muscles traités par la méthode de Marc
a porté sur les petits filets intra-musculaires ; comme les fibres musculaires , ils ont été colorés par l'éosine et l'hématoxy
II (résumée). Femme de 45 ans, soeur du malade précédent. Atrophie musculaire et troubles de la sensibilité chez une femme de q
aucoup le degré d'incoordination de ces derniers mouvements. Sens musculaire . Lorsque, la malade ayant les yeux préalablement
bras, elle la reproduit exactement. Il semblerait donc que le sens musculaire fût conservé chez elle, et cepen- dant la notio
an- vier 1892. Oas. III (Résumée). Ataxie locomotrice et atrophie musculaire chez un jeune homme de vingt ans. Début de l'af
tion entre sept et huit ans par des troubles de la marche. Atrophie musculaire des quatre membres diminuant de la périphérie v
ed-bot équin varus avec pied creux. Aux membres supérieurs atrophie musculaire type Aran-Duchenne. Mains simiennes sans griffe
ilité dans la névrite interstitielle hyper- trophique. L'atrophie musculaire quoique toujours très accusée chez ces malades
op- sie de sa soeur (obs. II) en 1893. Elles sont de trois ordres : musculaires , nerveuses et médullaires. Les lésions muscul
trois ordres : musculaires, nerveuses et médullaires. Les lésions musculaires consistent en un processus d'atrophie dont la c
e graisseuse et aboutissant souvent à la désintégration de la libre musculaire , après prolifération des noyaux du sarcolemme; ma
fois par Hayem sur les racines postérieures dans un cas d'atrophie musculaire deutéropathique (IInrw, Atrophie musculaire pro
dans un cas d'atrophie musculaire deutéropathique (IInrw, Atrophie musculaire progressive, Dic.,encsclop. des Se. médic" 2° s
l'enfance et l'affection désignée en France sous le nom d'atrophie musculaire type Charcot-Marie (en Angle- terre du type pér
type Charcot-Marie (en Angle- terre du type péronier de l'atrophie musculaire progressive [ Tooth }, en Allemagne d'atrophie
'atrophie musculaire progressive [ Tooth }, en Allemagne d'atrophie musculaire progressive névritique , fut discutée (3). (1
soutenu que la névrite interstitielle hypertrophique et l'atrophie musculaire type Charcot-Marie ne seraient qu'une seule et
us rappellerons cependant que dans aucune observation de l'atrophie musculaire type Charcot-Marie, il n'est fait mention d'incoo
ité, la difficulté de la marche et de la station debout, l'atrophie musculaire et enfin l'hyper- trophie considérable des tron
uver une différence entre ses malades et les nôtres dans l'atrophie musculaire , qui dans ces cas n'atteindrait que les muscles p
opres du pied et de la jambe, tandis que dans les nôtres l'atrophie musculaire serait généralisée. Or, s'il est vrai que l'atr
hie musculaire serait généralisée. Or, s'il est vrai que l'atrophie musculaire est excessive aux membres inférieurs chez les mal
conséquent, à l'encontre de l'opinion de Pierre Marie, l'atro- phie musculaire observée chez ses malades les rapproche encore de
appuyant sur ces observations que Hoffmann (5) considère l'atrophie musculaire type Charcot-Marie comme une névrite in- tersti
sco et de lui-même, il s'agit dans le cas de Du- breuilh d'atrophie musculaire type Charcot-Marie ou d'un syndrome plus ou moi
(2), les lésions consta- tées furent une atrophie simple des nerfs musculaires , l'intégrité des nerfs cutanés, des racines ant
u dans les détails. Sainton reconnaît que les lésions de l'atrophie musculaire type Charcot- Marie ne sont pas les mêmes que c
phique; d'ailleurs (1) Dubreuilh, Etude sur quelques cas d'atrophie musculaire limitée aux extrémités et dépendant d'altératio
e 111éd., 1890. (2) J. DEJEMKE et Armand-Delille, Un cas d'atrophie musculaire , type Charcot-Ma- rie, suivi d'autopsie. Sociét
elille, la malade est morte trente ans après le début de l'atrophie musculaire et sur aucun nerf il n'a été pos- sible de cons
o- sition notable entre l'état des nerfs cutanés et celui des nerfs musculaires : ,. les premiers sont intacts ou relativement
miers sont intacts ou relativement peu touchés, alors que les nerfs musculaires sont profondément dégénérés. Dans la névrite hype
est donc une maladie autonome, distincte du tabes et de l'atrophie musculaire type Charcot-Marie, elle doit occuper une place
r quelques particu- larités cliniques. Chez notre malade l'atrophie musculaire avait gagné les muscles de la face et du larynx
. Exagé- ration des réflexes rotuliens ; orteil indifférent. Masses musculaires légèrement douloureuses à la pression : signe d
liens,signe de Babinski bilatéral, amaigrissement diffus des masses musculaires , surtout prononcé aux jambes ; 520 ALQU1EU à
patho- génie des troubles moteurs des membres supérieurs (atrophie musculaire , dans l'observation IX, réaction de dégénéresce
paraissent saines. Comment expliquer la réaction de dégénérescence musculaire observée cliniquement ? Quant aux racines posté
gauche, avec abolition des réflexes. Babinski douteux, soubresauts musculaires à droite; hypoesthésie pour toutes les sensibil
es muscles, pratiqué par Rossi, lui a montré des lésions d'atrophie musculaire dans plusieurs des muscles innervés par le plex
ans d'hémiasynergiecé- rébelleuse droite sans tremblement. La force musculaire était diminuée à droite. La station debout n'
e, et sur la face interne, aussi bien que sur l'externe, les masses musculaires ont totalement disparu : on peut toucher direct
ment celui de la maladie de Dupuylren ? La présence des atrophies musculaires pourrait faire croire à une dif- S6 JARDIN fo
cerne les amyotrophies et l'état lacunaire de la moelle. L'atrophie musculaire dont l'origine est artério-scléreuse et qui n'est
r l'idée d'une origine péri- phérique ou radiculaire. Les atrophies musculaires myélopathiques d'ori- gine toxique, dégénérativ
18 (1904) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 17]
attement profond ; elle souffre enfin de fré- quentes « impatiences musculaires », pour employer l'heureuse expression de mon c
lement, que cette attitude est due à la prédominance de la rigidité musculaire dans les muscles fléchisseurs; vous voyez les 4
re dans les muscles fléchisseurs; vous voyez les 4 RAYMOND masses musculaires , très réduites de volume, se dessiner sous la pea
tendons détermine de LA MALADIE DE PARKINSON 5 vives contractions musculaires , malgré l'atrophie musculaire, pourtant si pron
IE DE PARKINSON 5 vives contractions musculaires, malgré l'atrophie musculaire , pourtant si prononcée. Remarquez, enfin, que
'a souffert; il n'a ressenti aucune de ces douleurs, de ces crampes musculaires qu'on ob- serve si souvent dès le début et au c
t son corps que de tourner simplement la tête. Par contre, la force musculaire est remarquablement bien conservée. dans tous l
gments des quatre membres ; nous ne trouvons pas trace d'atro- phie musculaire . Remarquez, Messieurs, son attitude ; ne vous r
des douleurs erratiques dans les membres, avec des tressaute- ments musculaires , surtout dans les membres inférieurs. Il nie tout
it. Au palper, nous trouvons une notable différence dans les masses musculaires , d'un côté à l'autre : à gauche, dureté non éla
che, dureté non élastique ; à droite, consistance normale. La force musculaire est un peu moins grande à gauche qu'à droite; l
te, dans les membres du côté gauche, un tremblement, de la rigidité musculaire , avec exagération des réflexes, et diminution l
bles de la sensibilité et de l'équilibre. Nous arrivons aux lésions musculaires . En 1881, Pierret et Vesselle (Th. de Lyon), av
et et Vesselle (Th. de Lyon), avaient décrit une véritable cirrhose musculaire avec transformation fibreuse ; mais, la théorie
itiels allon- gés, sans cellules rondes, et sans lésions des fibres musculaires , des ter- minaisons nerveuses ou des vaisseaux
s vaisseaux sanguins. Schwenn n'hésita pas à faire, de cette lésion musculaire , le substratum anatomique de la maladie. Malheu
quelques malades, et, parfois, plus efficace. Contre la rigidité musculaire , on a employé, avec un succès relatif in- conte
bres infé- rieurs, pupilles irrégulières. Troubles urinaires. Force musculaire diminuée dans le membre inférieur droit. Troubl
deux modes de ce dispositif, soit qu'on enregistre les contractions musculaires au moyen de myogra- phes directs, soit qu'on se
aire. Pour le premier mode, enregistrement direct de la contraction musculaire , il existe deux difficultés qui restreignent son
ation respectivement avec trois tambours récepteurs. La contraction musculaire enregistrée par les myographes se traduira simp
I. Nous avons recherché en premier lieu quelle était la réaction musculaire apparaissant la première dans le membre inférieur
les sinuosités traduisantvrai- semblablement plusieurs contractions musculaires successives. Le réflexe planti-digital fournit
segmentaires du membre inférieur et non par telle ou telle réaction musculaire à l'exclusion des autres. La décomposition du r
itation minima efficace de la plante du pied provoque des réactions musculaires simultanées dans les divers segments de mem- br
oduites plus rapidement encore par des modifications de la tonicité musculaire . C'est le long péronier latéral qui joue le pri
ments de la courbure de la plante. La fatigue diminue la tonicité musculaire et aplatit notablement le pied. Cet effet de l'
té musculaire et aplatit notablement le pied. Cet effet de l'atonie musculaire est général : la taille s'allonge dans le décub
s permanents avec difformité. C'est par le mécanisme de l'hypotonie musculaire que la neurasthénie peut dé- terminer la scolio
escence, th. 19U0. 1 (5) Cn. Féré et P. Lance. Note sur l'hypotonie musculaire chez les paralytiques généraux (C. R. de la Soc
ed ne renseigne que très imparfaitement sur le degré de l'hypotonie musculaire . Un bon nombre de paralytiques généraux présent
atre fois chez les 28 paralytiques sur 62 présentant de l'hypotonie musculaire ; chez les quatre l'hypotonie était généralisée
M. LE. P' BRISSAUD UN CAS 1 DE CYPHOSE D'ORIGINE ARTICULAIRE OU MUSCULAIRE PAR E. BRISSAUD, et H. GRENET, Professeur à
la SALPÊTRIÈRE. T. XVII. PI. XI CYPHOSE D'ORIGINE ARTICULAIRE OU MUSCULAIRE (Brisstlud et Grenet) NOUVELLE Iconographie D
la Salpêtrière. t. XVII. Pl. XII CYPHOSE D'ORIGINE ARTICULAIRE OU MUSCULAIRE (BrisSI1/1¡/ ct Grouel) NOUVELLE Iconographie
S Brissaud et Grenel) UN CAS DE CYPHOSE D'ONIGINI; ARTICULAIRE OU MUSCULAIRE 87 très diminuée; mais il n'y a pas de réaction
ité est diminuée. Peut-être la cyphose dépend-elle ici d'une action musculaire autant que des lésions articulai- res : l'absen
méningite spinale amenant, par suite de la douleur, la contracture musculaire et l'immobili- sation du rachis et secondaireme
période pseudo-névral- gique et la cyphose d'origine articulaire ou musculaire observée par le professeur Brissaud et M. II. G
se demandent s'il ne s'agit pas dans leur cas de cyphose d'origine musculaire . La ressemblance de ce cas avec ceux que j'ai c
euse prolongée fort longtemps ; déformation vertébrale avec raideur musculaire mais non pas rigidité par ankylose, d'où possib
Neurologie, séance de mars 1904 : Cyphose d'origine articulaire ou musculaire . (Voy. ci-dessus le travail en question. DÉFORM
scillations et on est obligé de venir en aide à la malade. La force musculaire est notablement diminuée surtout à droite. Pas d'
culaire est notablement diminuée surtout à droite. Pas d'atro- phie musculaire . On note un tremblement continuel et généralisé
altération de l'hémisphère cérébelleux gauche expliquait la parésie musculaire , la déviation du corps et de la tête à droite, le
, quand il veut saisir un objet, il plane avant de le saisir. Force musculaire assez bien conservée au bras et à l'avant-bras, d
gers mouvements à ses jambes. Pas de contracture, un peu de raideur musculaire , pas de trépidation épileptoide,ni d'exagération
flexe crémas- térien nul. Pas de troubles trophiques pas d'atrophie musculaire . La pointe du coeur bat dans le 5B espace, est
mbres inférieurs, impotence complète. Aux membres supérieurs, force musculaire plus diminuée à gauche qu'à droite. MALADIE DE
lques cellules rondes et un grand nombre de débris, reste de fibres musculaires en voie de disparition. Disparition complète de
sont liées pres- que toujours à une certaine impotence physique et musculaire . Soit du fait de la fièvre, des infections, du
utres organes, surtout de ceux de la vie végétative et des systèmes musculaires , sont encore le plus souvent, valides et conser
i- dité de la nutrition, de la digestion, de lapuissance des masses musculaires , en somme de l'état physique général. Cette p
140 BIANCHINI la thérapeutique des psychoses au moyen du travail musculaire et de la suggestion mentale. Qu'on me passe le
s formes mixtes, ltébéphrénico-catatoniques où l'état de catalepsie musculaire n'est pas per- manent, mais peut être artificie
e, mais inaccessible au travail, puisque le plus absolu négativisme musculaire en constitue l'es- sence morbide. Chez les dé
ées sur une loi élémentaire de la psychologie humaine. Tout travail musculaire et intellectuel doit être dirigé vers une finalit
et le travail physique est possible grâce à l'intégrité des masses musculaires et de leur innervation. ' Le traitement des ali
développement qui portent sur les systèmes osseux, conjonc- tif et musculaire . On le trouve associé au nanisme, au gigantisme,
ouve associé au nanisme, au gigantisme, à l'obé- sité, à l'atrophie musculaire » (2). Et comme exemple d'association de l'infa
e bourrelet sous-maxillaire. Le cou est très court, sans saillies musculaires , les épaules sont tombantes, le relief des clav
s. Les membres supérieurs et inférieurs sont arrondis,sans saillies musculaires visibles, sans qu'il y ait-cependant adiposité
lation du sang et de la lymphe causé par l'importance de l'atrophie musculaire . Enfin M. P. Marie a rapporté dans l'article «
PBOEDÈME 191 jambe est plus grosse à la fin de la journée. La force musculaire : est conservée, les pieds sont froids, cyanosé
xe plantaire conservé. Réflexe rotulien conservé. Hyperexcitabilité musculaire \ facilement mise en évidence par le pincement
la face. Hypo- tonie considérable aux membres inférieurs ; atrophie musculaire assez mar- quée aux membres inférieurs et supér
des membres inférieurs. Réflexe patel- laire aboli. Pas d'atrophie musculaire . Sensibilité superficielle altérée sur les memb
ution à l'étude des troubles trophiques dans l'hysté- rie (atrophie musculaire et oedeme), en collaboration avec Pllfll. L'h
moelle^épinière . En 1897, Pallzogénie et prophylaxie de l'atrophie musculaire chez les hémiplégiques . ' Traitement de l'al
muscles inspirateurs. Dans les périodes d'amélioration des parésies musculaires , ces crises dyspnée z ques ne se présentent poi
La forme spinale, de la neurasthénie spécialemenl, et de l'atrophie musculaire d'Aran-Duchenne. Migraine ophtalmoplégique ou p
orme bulbaire, par son évolution continue et la présence d'atrophie musculaire et la réaction de dégénéralion, oulre que la pa
es des mains, présente des contractions fibrillaires, des atrophies musculaires , des modifications électriques et des déformati
aiguilles rougies au feu, enfoncées profon- dément dans les masses musculaires . Il présente en effet sur la face postérieure d
nservé le jeu complet de leurs nouvements et que, bien que la force musculaire y soit diminuée, l'aptitude fonctionnelle n'est
pace de deux mois, capable de mouvements étendus et d'une puissance musculaire aussi considérable que celle qu'il développait
oncerne le membre supérieur gauche, la pseu- darthrose, l'impotence musculaire n'ont que momentanément et partielle- ment comp
es abolis. Un léger degré de pied-bot varus. Il existe une atrophie musculaire des extrémités, plus forte à droite et concerna
roubles trophiques sous forme d'une chute des ongles. Des atrophies musculaires au cours de la maladie de Friedreich furent con
2), on en trouve au moins six dans lesquels il y avait une atrophie musculaire due certainement à des lésions médullaires. Hunte
linique et dans les autopsies de l'ataxie héréditaire, ces troubles musculaires et ces lésions des cellules ganglionnaires nous
; le nerf spinal pour le sterno-cleïdo- mastoïdien. Le groupement musculaire mis en jeu n'est pas celui d'une fonction physi
s avons publié, jusqu'en décembre 1903. L'amaigrissement des masses musculaires s'est seulement un peu pro- noncé, particulière
s crural ^coupe Transversale). nemacuxymuc C<l11111l1. a) Fibres musculaires de volume normal avec sclérose non adipeuse - Fib
ibres musculaires de volume normal avec sclérose non adipeuse - Fibre musculaire hyper- trophiée avec multiplication des noyau'\
ong supinateur (coupe longitudinale). Hématoxyline carmin. a) Fibre musculaire en voie d atrophie avec noyaux en chapelet b) Fib
Fibre musculaire en voie d atrophie avec noyaux en chapelet b) Fibre musculaire donnant 1 aspect d'une cuntmute avec une travée
ertains paraissent à première vue à peu près- normaux, leurs fibres musculaires ayant conservé approximativement leurs dimensio
les vaisseaux et les nerfs intra-musculaires. 1 Lésions des fibres musculaires . - Les fibres musculaires présentent e4 certain
s intra-musculaires. 1 Lésions des fibres musculaires. - Les fibres musculaires présentent e4 certains points une hypertrophie
ainsi assister au pro- cessus de division longitudinale de la fibre musculaire qui n'est certes pas ni un artifice de préparat
éparation, ni un aspect trompeur fourni par le microscope. La fibre musculaire présente d'autres lésions parenchymateuses' Un ca
sversale, on peut compter parfois jusqu'à 12 ou 15 noyaux par fibre musculaire , et sur des coupes longitudinales les noyaux pa
yaux contournés ou en croissant. 346 CESTAN ET LEJONNE Les fibres musculaires elles-mêmes, qu'elles soient atteintes d'atrophie
n longitudi- nale et aspect en pinceau en quelque sorte de la fibre musculaire . Sur les coupes traitées par la méthode de Marc
uses situées dans les différentes parties du sarcoplasma ; la fibre musculaire , aussi bien sous le sarcolemme que dans son int
-musculaires. Nulle part on ne trouve d'état vacuolaire de la fibre musculaire . Dans certaines fibres des muscles les plus mal
inguer d'une manière certaine des capillaires qui côtoient la fibre musculaire . Notons qu'au point de vue topographique l'atro
semble bien débuter au niveau de l'insertion tendineuse de la libre musculaire pour remonter ensuite dans l'épaisseur du muscl
out cas, c'est au niveau des insertions tendineuses que les lésions musculaires sont à leur maximum. Lésions du tissu conjonc
vement augmenté ; il paraît en certains points enserrer les fibres musculaires , c'est du moins l'aspect que fournissent les co
fournissent les coupes transversales où l'on voit certaines fibres musculaires comme cravatées par des bandes conjonctives. Sur
re ; on voit une série de bandes conjonctives parallèles aux fibres musculaires , certaines même parais- sant comme se substitue
S DE MYOPATHIE AVEC RÉTRACTIONS 347 temps en temps, de fines fibres musculaires et séparées par des lits de tissu cellulo-adipe
nt, assez riche en noyaux, formé de fins tractus enserrant la fibre musculaire . Dans d'autres endroits, il est au contraire beau
uses sont d'ailleurs parfaitement distinctes et isolées de la fibre musculaire . Nous n'avons pas vu d'infiltration graisseuse
sculaire. Nous n'avons pas vu d'infiltration graisseuse d'une fibre musculaire parfaitement individualisée ; nous n'avons pas
arfaitement individualisée ; nous n'avons pas vu non plus une fibre musculaire se charger de boules de graisse de façon à form
-graisseuse, ils sont en tout cas bien moins malades que les fibres musculaires qui les avoisinent. Les vaisseaux et les capill
dans tous les muscles examinés ; ici donc on va trouver les fibres musculaires hypertrophiées et l'adipose interstitielle très m
ui a em- porté notre malade et n'ont rien à voir avec ses atrophies musculaires . La moelle a été examinée par la méthode de Nis
jouer, on peut le dire, aucun rôle dans la production de l'atrophie musculaire . Du côté des nerfs, les lésions un peu plus imp
pécial et ca- ractérisé avant tout par l'importance des rétractions musculaires qu'il présentait. On sait que dans les myopathi
puissants, avaient conservé intactes le plus grand nombre de fibres musculaires , en même temps que le tissu de sclérose y était
cles antagonistes, au contraire, offraient beaucoup moins de fibres musculaires saines et étaient particulièrement infiltrés de t
issu adipeux et avait perdu un bien plus grand nombre de ses fibres musculaires . Par conséquent, nous pouvons affirmer que les
souvent constaté au cours de notre examen l'hypertrophie de fibres musculaires ; il est bien entendu que nous voulons ici parl
mble pas que l'on puisse soutenir que cette hypertrophie des fibres musculaires soit une phase prémonitoire précédant leur atro
st celui de l'origine du tissu interstitiel qui remplace les fibres musculaires disparues. On sait que deux théories sont en pr
sing en particulier, ce tissu interstitiel proviendrait de la fibre musculaire elle-même. Il nous est bien difficile de prendr
on ne trouve de figure pouvant faire supposer au niveau des fibres musculaires une ré- gression aboutissant à la transformatio
des fibreuses FlG. 1. Lésions parenchymateuses diverses de libres musculaires coupées longnuainaiemem. a) Division longitudin
ires coupées longnuainaiemem. a) Division longitudinale d'une fibre musculaire . b) Fibrillation d'une fibre musculaire ; retou
n longitudinale d'une fibre musculaire. b) Fibrillation d'une fibre musculaire ; retour à l'état embryonnaire et peut-être trans
e et peut-être trans- formation fibreuse. c) Atrophie d'une fibre musculaire avec amas de blocs réfringents dans la partie ter
ries linéaires et rappelant ainsi les noyaux multipliés de la fibre musculaire , d'autre part, continuent la direction de fibres
. Dans la zone de transition entre les bandes fibreuses et la fibre musculaire relativement saine ayant conservé sa striation tr
ayant conservé sa striation transversale, on peut voir cette fibre musculaire se diviser en fibrilles primitives (fig. 1) ave
rante) comme type 352 CESTAN ET LEJONNE de régression de la fibre musculaire (voir fig. 4, b). Nous devons toute- fois signa
'un tissu d'apparence fibreuse, formé par la régression de la libre musculaire . Toutefois, à notre avis, nous le répétons, le ti
ssu fibreux. Nous devons nous demander quel est le sort de la fibre musculaire . Plusieurs processus semblent pouvoir se produi
se produire : 1° nous venons de voir et d'analyser comment la fibre musculaire peut évoluer vers la forme fibroïde; 2° ce proc
n'est pas le plus fréquent et l'on voit le plus sou- vent la fibre musculaire diminuer de volume, devenir" extrêmement grêle
ion des noyaux, en un mot comme une manière de mourir de la cellule musculaire (voir fig. 4, c). Nous avons signalé chemin fai
nt différents ; le tissu graisseux est toujours de formation extra- musculaire et c'est bien dans le tissu interstitiel que se f
gts et la paume de la main. Il ne semble pas qu'il y ait d'atrophie musculaire . Au membre supérieur gauche, les mouvements son
mouvements spontanés a gauche ; mais rien à droite. Pas d'atrophie musculaire . Aux membres supérieurs, les mouvements spontan
tout à droite. Les deux mains restent contracturées. Pas d'atrophie musculaire . Du côté de la face on note un peu de diminutio
jours en flexion forcée. Abolition des réflexes tendineux. Atrophie musculaire peu marquée. Fig.. l'et]i2. HISTOLOGIE PATHOL
réflexes, phénomènes qu'explique l'état des FPC. Le peu d'atrophie musculaire se justifie par l'intégrité relative des cornes
la face et de la langue très accusé, une véritable danse des fibres musculaires . Ces secousses fibrillaires sont dues en grande p
nt dues en grande par- ' tie à l'altération dégénérative des fibres musculaires ; celles-ci désormais se contractent de façon m
ues sont la conséquence d'un fonctionne- ment défectueux du système musculaire . Lorsque nous avons reconnu qu'un paralytique g
n conjonctive interfasciculaire, les muscles de myosite, d'atrophie musculaire et de dégénérescence adipeuse. Mais ces lésions n
est accoutumé à rencontrer chez l'enfant. MYOTONIE AVEC .ATROPHIE MUSCULAIRE PAR le Dr M. LANNOIS, Agrégé, médecin des h
ssive avec hypertonie que Maladie de Thomsen fruste avec atro- phie musculaire . Les faits de ce genre me paraissent mériter d'êt
pathique de cette dernière. Voici d'abord l'observation. Atrophie musculaire à forme segmenlaire occupant les avant-bras et su
tous ces troubles se trouve-t-elle tout simplement dans l'atrophie musculaire des deux jambes. Celle-ci est très accusée, surto
surtout l'extension du pièd, mais se font avec lenteur. L'atrophie musculaire est aussi évidente, mais cependant moins marquée
s petit qu'il ne devrait être, mais sans localisation sur un groupe musculaire déterminé. Le malade se plaint de la faiblesse de
is été gaucher. On trouve : 432 LANNOIS côté de celle atiopliie musculaire , le pliéiioinène le plus saillant est la myoton
le plus saillant est la myotonie, la lenteur de la déconl1'llclion musculaire , qui accompagne un certain nombre de mouvements
ns les cuisses et les mem- bre supérieurs une sorte de frémissement musculaire , allant parfois jusqu'à la crampe douloureuse.
nce fibreuse, hyaline, rose, d'autant plus abondante que les fibres musculaires sont plus altérées. Il est difficile de dire si l
mbre, car on ne peut les différencier des noyaux restant des fibres musculaires disparues. Çà et là, îlots de vésicules adipeus
s. Les artères et artérioles offrent de l'hyperplasie de la tunique musculaire et de l'endartérite oblitérante. « Pour les fib
nique musculaire et de l'endartérite oblitérante. « Pour les fibres musculaires , leurs altérations sont typiques : il y a de très
es, mais aussi dans le sein même des fibres. « Quand la substance musculaire diminue, quand la libre s'atrophie, ces noyaux
mp microscopique. Ajoutons, en terminant que quelquefois les noyaux musculaires isolés et encore entourés de substance musculai
efois les noyaux musculaires isolés et encore entourés de substance musculaire sont très volumineux. » L'histoire de ce malade
sen, mais plus limités. Aggravation lente des symptômes et asthénie musculaire progressive malgré la conservation ap- parente
facile de se convaincre qu'il s'agit seulement d'un frémisse- ment musculaire allant jusqu'à la crampe. On sait d'ailleurs que
mann (2), dans un cas de myotonie congénitale, a signalé l'atrophie musculaire de la main et de l'avant-bras alors que la muscul
érieurs et même des mastica- leurs. Dans chacun de ces départements musculaires , les spasmes myoto- niques firent régulièrement
lade chez lequel existait à la fois de la myotonie et de l'atrophie musculaire . Chez un malade de Dana (cité par Kornhold), la
maladie de Thomsen survint quatre ans après le début de l'atrophie musculaire . A cette énumération il convient d'ajouter enco
n de Bernhardt : un jeune homme de 19 ans présentait de la rigidité musculaire datant de l'enfance et se mani- festant surtout
nfluence du froid; il existait en même temps chez lui de la parésie musculaire des avant-bras, aussi bien des fléchisseurs que
ussi bien des fléchisseurs que des extenseurs, avec légère atrophie musculaire . Il faut encore citer le cas intéressant publié
férieurs avec prédominance au bras. Plus tard apparaît une atrophie musculaire qui envahit surtout les mus- cles ayant présent
(5) Noeuds et Sirol, Maladie de Thomsen à forme fruste avec atrophie musculaire (Nouv. Icon. de la Salpêtrière, 1899). (6) Ro
e douzaine d'ob- servations dans lesquelles coexistaient l'atrophie musculaire et les phéno- mènes myotoniques et cela suffitp
tions tendineuses et dans lesquels l'hypertonie de certains groupes musculaires n'est peut-être pas sans jouer un rôle important.
se faire des contractures localisées sur la longueur d'un faisceau musculaire , aux membres inférieurs surtout : pour ne citer q
es éruptions pemphigoïdes, les ecchymoses spontanées, les atrophies musculaires , les chutes d'ongles, etc. dont Vulpian, Féréol,
l., 1 fig.), par CESTaN et LE- joNNE, 343. Myotonie avec atrophie musculaire (2 pl.), par LAN\OIS, 450. b9yxoedème fruste,
86. Brissaud et GMNFT. Un cas de cyphose d'origine articulaire ou musculaire (2 planches), 85. Brissaud et Henry NEIGE. Ty
5. GRHNHT et BnissAuD. Un cas de cyphose d'origine articulaire ou musculaire (2 planches), 85. Féré. L'aplatissement hypot
ations osseuses (A. Cange), XL, XLI, XLII. Myotonie avec atrophie musculaire (LA- nos), LXI, LXII. Myxoedème fruste, crois
19 (1909) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 22] : iconographie médicale et artistique
de ce genre. Archives générales de médecine, octobre 1891. Atrophie musculaire suite d'arthrite du genou. Examen histologique de
les jambes, celles-ci sont très faibles et fléchissent. Hypotonie musculaire très accentuée aux membres inférieurs. Tendance a
en examinant la malade de voir aux membres inférieurs une atropliie musculaire très marquée, plus mar- quée que celle qui résu
la cause : il s'agit toujours de fracture par simple contrac- tion musculaire . Or les chirurgiens considèrent les fractures de
chirurgiens considèrent les fractures de la rotule par contraction musculaire comme exceptionnelles la rotule normale présent
ce qui reste du faisceau cléido-occipital du trapèze. L'atrophie musculaire s'étend encore à tous les muscles de la gouttière
'aperçoit qu'elle est réduite au prorata de la remarquable atrophie musculaire . Notre femme marche en maintenant sa tête un pe
des membres supérieurs sont affaiblis. L'exploration de la tonicité musculaire nous a relevé l'absence de toute trace de rétra
istance des points moteurs. Les modifications de la contractilité musculaire au faradique sont parallèles au degré de l'atro
. Selon Dejerine on peut poser en règle générale que toute atrophie musculaire progressive qui débute par le bulbe est une mal
mentnormalepartout,y compris la sensibilité endo-laryngée. Le tonus musculaire , les sphincters, les réflexes tendi- neux et cu
e par un état d'équilibre statique sans le concours de l'ac- tivité musculaire . Dans cette position la tête est rejetée un peu
ue de la co- lonne cervicale ne tiennent pas seulement à l'atrophie musculaire qui en réalité était cantonnée à la région cerv
action douloureuse, involontaire et passagère de certains faisceaux musculaires striés ». Ce mot de crampe professionnelle est
mplexes qui, d'ordinaire, ne rappellent de la crampe ni la rigidité musculaire , ni la douleur spéciale, ni la rapide transition
t d'impotence évoque, en général, l'idée de paralysie ou d'atrophie musculaire ; or, celles-ci sont l'exception. Ce terme n'est
avec tous les caractères d'un manque d'équilibre entre les groupes musculaires antagonistes. Mais le véritable mouvement ataxi
muscle, vis-à- vis du stimulus mental. Ces lésions sont la parésie musculaire et un ex- cès d'irritabilité. Lorsque la paraly
cité ou épuisé par l'exercice souvent répété de certaines fonctions musculaires , tantôt ferait une démarche nerveuse trop consi-
t cela seulement pendant l'accomplis- sement de ces mêmes fonctions musculaires ? J'avoue que je ne suis pas actuellement en me
ue peut être à l'origine des ciampes professionnelles : artérielle, musculaire , névriti- que ; mais elle ne sera que l'épine i
des cas où le spasme artériel peut être au même titre que le spasme musculaire rapporté à une origine centrale. Brissaud, Hall
hé- rique et les spasmes fonctionnels, névroses pures. 2° Origine musculaire . Haupt (71), dès 1860, avait spécifié que, dans
RAMPES PROFESSIONNELLES 83 ténosite. On conçoit que ces altérations musculaires soient peu connues, en raison du peu de vérific
ous les cas, de même que les altérations vasculaires -, les lésions musculaires ou tendineuses, si elles existent, ne peuvent êtr
amènera plus rapidement la sédation des troubles. De ces lésions musculaires ou tendineuses on peut rapprocher les lésions d
iste du côté des memhres su- périeurs aucune altération vasculaire, musculaire ou nerveuse appréciable. Mais, en mettant la ma
ore (109), J. Millier ont constaté de l'abolition de la sensibilité musculaire dans des cas semblables. Charcot (35) a noté de
nn, Seiffer, Schultz), etc., peuvent P être l'occasion de surmenage musculaire ou de compressions nerveuses. Mais ce qui diffé
les nerveux, presque uniquement d'ordre paralytique, soit faiblesse musculaire diffuse, soit monoplégies ou paraplégies : dans u
ne déviation de l'ensemble des traits vers la gauche : les saillies musculaires sont moins nettes, la bouche descend obliquemen
minution peu marquée 120 VIRES ET ANGLADA du reste de la tonicité musculaire et du volume des muscles du côté qui es paralys
s un certain degré de contrac- ture du côté hémiplégie, les reliefs musculaires s'affirment plus nettement, la commissure bucca
comme il le désire avec cependant une certaine difficulté. La force musculaire est très diminuée. Il n'y a pas de tremblements
uve une forte émotion. En même temps se produisent des contractions musculaires dans toute la face et le cou; elles s'étendent mê
la voix du malade, sans phénomènes respiratoires. Les groupements musculaires mis en jeu sont sous la dépendance de nerfs dif
s diffère des précédents par une extension plus grande des troubles musculaires , par une allure clinique plus délicate à interp
ou le sommeil, il y a simplement un très léger degré de contracture musculaire (Phot. n° 1) qui ne se manifeste naturellement
ogres- sive, quant à son intensité et à sa répartition géographique musculaire . La voix est enrouée, la parole pénible comme t
pour pousser un cri perçant. Mais ce qui caractérise cette attitude musculaire , c'est qu'elle est invo- lontaire ; elle est su
scène ne se produit jamais pendant le sommeil, que la distribution musculaire s'étend en somme à la musculature qui intervien
a photographie ; la prise progressi- ve et envahissante des régions musculaires . Avec Brissaud, Meige, Babinski, Fraenkel, Mour
trace d'adi- posité. Pas de tuméfactions glandulaires. Le système musculaire est extrêmement développé, athlétique. La nuque
et de l'imparfaite adaptation des surfaces articulaires. Les masses musculaires et les troncs nerveux sont indolents à la pressio
la brièveté des diaphyses, la saillie très évidente des insertions musculaires . Dans notre cas, la tubérosité bicipitale du radi
me presque tous les achondroplases, un petit athlète ; ses apparats musculaires sont richement fournis et il ne s'agitpas chez lu
par ces contractions intempestives. Selon Burckhardt, trois groupes musculaires jouent un rôle important dans l'acte d'écrire, so
n soit, « si l'on songe, écrit Zuber, à la multiplicité des organes musculaires et nerveux mis enjeu par l'acte d'écrire, à la ré
en du deltoïde, et si l'on venait à exciter faradiquement ce groupe musculaire , on voyait disparaître cette impo- tence passag
ercher ensuite s'il n'existe pas de lésion périphérique artérielle, musculaire , ou nerveuse, qui puisse expliquer dans une cer
ervenir simultanément les deux mains, et nécessite des contractions musculaires fort différentes de celles qu'emploie l'écritur
que fois qu'il soulevait son marteau, et seulement pendant cet acte musculaire . Le docteur de Ranse a bien voulu nous faire pa
embres supérieurs. Toutes les professions qui imposent un surmenage musculaire local, et demandent un effort intellectuel sout
essante que subissent les mains sur la roue directrice, des efforts musculaires que doivent souvent accomplir les bras, et surtou
eint : on recherchera s'il n'exisle point localement une altération musculaire , tendineuse, vasculaire ou nerveuse qui puisse
ndance au pied-but varus équin, malgré la conser- vation des masses musculaires des jambes. La main gauche est très atrophiée,
st atteint, et caractéristique. Notons encore la présence de masses musculaires en boules, au niveau du bras, en arrière. (1)
s muscles du bras se contractent, on observe la formation de boules musculaires dans le triceps. Les membres inférieurs sont an
résentait dans le milieu de la masse du triceps des épaississements musculaires en forme de boules de la grosseur d'une petite
ne de nuance ; absence complète des saillies osseuses d'inser- tion musculaire . Le même genre de modifications se rencontre chez
bres du deltoïde; c'est aussi la région où l'épaisseur de la couche musculaire autour de l'os est le plus faible. Cette diaphy
able que celle du radius et du cubitus, comme d'ailleurs l'atrophie musculaire est plus marquée pour le bras que pour l'avant-br
açon tout à fait nette la superposition des altérations osseuses et musculaires . De plus chez notre myopathique dont les mastic
s qu'il s'agit bien d'une altération osseuse parallèle l'atro- phie musculaire et non pas d'une modification due à l'inaction. C
ous avons notées prédominent dans les segments où domine l'atrophie musculaire et peuvent se préciser de la manière suivante :
s diaphyses, du moins, dans les épiphyses, au niveau des insertions musculaires , et surtout dans la rotule, elles sont constant
l'atténuation de tous les reliefs osseux et apophyses d'inserlions musculaires . Les contours des épiphyses sont arrondis, émou
ence, dans d'autres, elles tirent leur origine, comme la dystrophie musculaire , de troubles trophiques. » L'examen du maxillai
es, ou à une lésion d'involution osseuse parallèle à l'involu- tion musculaire , c'est une question que nos recherches ne peuvent
montrent seulement la coexistence des deux altérations : osseuse et musculaire au cours de la myopathie, ou, pour parler plus
essier, déterminant latéralement un pli cutané profond. Le rideau musculaire du dos est très amaigri. Les omoplates ne sont po
is se fait lentement ; l'opposition du pouce est possible. La force musculaire de pression ou de traction mesurée au dynamomèt
paisseur très mo- dérée. Il semble qu'il y ait aussi sous le rideau musculaire une exostose de la partie supérieure du radius.
s jambes. Dans le lit il peut simplement mobiliser certains groupes musculaires , et cela de façon très rudimentaire. Les quel
hermie manifeste : pas d'oedème. On retrouve ici encore des régions musculaires soit atrophiées soit hyper- trophiées. L'attent
du triceps, à la partie tout inféro-externe de la cuisse. Les régions musculaires frappées ont une consistance tantôt dure, tantô
nc chez ce malade une amplitude qui tend à occuper tous les groupes musculaires . Le coeur lui-même est un peu tou- ché.La paral
t au prorata des altérations osseuses et articulaires. - Le tonus musculaire est peut-être un peu diminué, toutefois il n'exis
d'une blessure par arme à feu du nerf cubital droit avec l'atrophie musculaire de la main droite et la contracture de trois de
uoi il s'agit dans tous les cas donnés. Par exemple, la contracture musculaire peut être d'ori- gine cérébrale et d'origine mé
eçons d'écriture, empêchera dans une certaine mesure le sur- menage musculaire ; l'écriture grosse, ronde et droite - préconisée
'une pince de bois. » S'il s'agit de myosite chronique, de sclérose musculaire (Vigouroux), ou de synovite, on utilisera avec
1° immobiliser les doigts et donner à la main une nouvelle synergie musculaire ; 2° la nouvelle position de l'écriture, la ten
nergie musculaire ; 2° la nouvelle position de l'écriture, la tenue musculaire de la main sont tout autres ». On pourra donc,
ur quelles raisons sa méthode est fondée '- « Lorsqu'un des groupes musculaires , dit-il (Congrès français de mé- decine, 96 ses
ofondes et les percussions, a pour fonction d'augmenter la tonicité musculaire . Supposons que nous massons en même temps les d
la tonicité est diamétralement opposée, nous augmenterons la force musculaire des, deux antagonistes : les muscles en hypotonie
ACÉ DE LÉPINAY étaient les premiers à disparaître; les contractions musculaires étaient plus rebelles au traitement. Celui-ci c
ux, l'hypnotisme ; d'une manière générale, la rééducation à la fois musculaire et mentale, c'est-à-dire la discipline psycho-m
itement (Brissaud et Meige). Le médecin devra donc, à des exercices musculaires méthodiques, comme ceux que nous avons précédem
par un spasme, un tremblement, ou une paralysie, dans le territoire musculaire correspondant. Peut-être le cervelet, qui semble
ière venue. Mais en réalité toute profession qui exige un surmenage musculaire local et demande une contention exagérée de l'e
é névropathique, l'exercice de professions qui exigent un surmenage musculaire et mental. Il con- viendra d'éviter avec soin t
physionomie humaine, 1876, Paris. - Spasme fonctionnel et paralysie musculaire fonctionnelle. Bull. de thérap., 1860. De l'éle
t de mâchon- nement. Puis, surviennent par moments des contractions musculaires ininter- rompues, du côté gauche, alternant ave
es réflexes sont exagérés. Il existe, en outre, une légère atrophie musculaire . Le membre inférieur est plus tlasque, le quadr
leur cireuse. La pression de la région iliaque gauche et des masses musculaires des deux membres inférieurs provoque de vives d
minurie accompagnée de paralysie des membres inférieurs, d'atrophie musculaire rapide, de douleurs intenses à ce niveau, et d'
r droit ; au bout de deux mois la malade meurt, sans que l'atrophie musculaire n'ait rétrocédé ni que la motricité ne se soit
ée de vives douleurs à la pression des troncs nerveux et des masses musculaires . Dans la paraplégie myélopathique,les troubles
ait augmentée, ainsi que leur résistance sous le scalpel. . Système musculaire . - D'une manière générale toute la musculature ét
achexie de la malade. Toutefois aux membres inférieurs l'atrophie musculaire était pour ainsi dire totale. A l'examen nécrop
la striation longitudinale. Multiplication considérable des noyaux musculaires et des noyaux interstitiels. Enfin ces muscle
égénérescence de l'ancienne arhorisation terminale. ' Les lésions musculaires sont identiques à celles que l'on observe chez
'on observe chez l'animal après section d'un nerf moteur : atrophie musculaire , effacement des striations transversale puis lo
filets moteurs des nerfs, frappés à mort, donnent lieu à l'atrophie musculaire ; les filets sensitifs restant au stade d'irrit
ion se fait par un mécanisme analogue à la réparation des atrophies musculaires après section d'un nerf moteur : de (1) Edingei
périphérique et viennent à nouveau prendre contact avec les plaques musculaires . Ce court travail ne constitue, nous le répéton
la lésion anatomique d'être bien limitée, mais complète, l'atrophie musculaire et la paralysie sont complètes pour les muscles
éjà, l'intention de nous en occuper. Le développement de l'atrophie musculaire et l'état des réflexes tendi- neux sont traités
e parésie partielle du membre inférieur gauche, combinée d'atrophie musculaire . Par ailleurs aucun signe de maladie. Nous l'
ssée à la clinique. Au commencement de janvier 1908, l'incompétence musculaire du membre inférieur a augmenté pendant quelque
e peut marcher, mais boite un peu à droite. Il n'y a pas d'atrophie musculaire nette. . Il) Observations sans symptômes de mén
douleurs quand on presse sur la colonne vertébrale. L'incompétence musculaire est limitée surtout à la flexion dorsale du pie
nts de ce membre il p a aussi une certaine diminu- tion de la force musculaire . Les muscles abdominaux sont normaux. La malade
veloppée à gauche ; à droite on peut également sentir des faisceaux musculaires contractés, mais la masse du muscle en cet endr
n, il ne pouvait plus s'appuyer sur ses jambes et leur incompétence musculaire a augmenté dans le cours de la journée. Etat le
s deux membres gauches a également commencé. Depuis, l'incompétence musculaire a continué à augmenter pendant quelques jours,
- tion jusqu'au niveau des seins. La sensibilité tactile et le sens musculaire sont tout à fait normaux ; la sensibilité tacti
cotou aussi fin que possible (d'après la mélhode de Head) ; le sens musculaire est examiné en étudiant le pouvoir qu'a la mala
LINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 399 troubles très petits du seus musculaire . Elle est couramment employée à notre clinique
sie se trouve aussi dans le membre supérieur gauche, mais la force musculaire est ici moins diminuée qu'à droite. Les réflexe
normale. Il y a aussi maintenant des troubles très marqués du sens musculaire dans les membres inférieurs. Pendant les jours
apparue une anesthésie de toute la sensi- bilité cutanée et du sens musculaire . Pour conclure sur la localisation de la lésion
t que la sensibilité tactile ne peut être troublée sans que le sens musculaire et les sensibilités à la douleur et à la tempér
alors que les autres sensibilités superficielles (mais pas le sens musculaire ) sont seules atteintes, parce que la sensibilit
ncore une voie par le cordon postérieur. Par conséquent, si le sens musculaire seul est affecté, et si la sensibilité tactile
anesthésie, mais sans troubles de la sensibilité tactile ou du sens musculaire ; mais, par la suite, les troubles du sens muscul
le ou du sens musculaire ; mais, par la suite, les troubles du sens musculaire et de la sensibilité tactile ont apparu en même
inique (c'est-à-dire l'appari- tion des troubles nouveaux : du sens musculaire et de la sensibilité tactile) est dû à une lési
d'abord d'une hématomyélie, il faut expliquer les troubles du sens musculaire etde la sensibilité tactile, qui sont survenus pl
cas qui nous occupe, le fait que la sensibilité tactile et le sens musculaire étaient au début tout à fait normaux nous indiq
u gauche. La motilité des bras est normale. Il y a une incompétence musculaire du tronc : il ne peut s'asseoir dans le lit ni
aître, M. le professeur Gil- bert Ballet et dans lequel les lésions musculaires nous paraissent parti- culièrement remarquables
de diffi- cultés étendre et fléchir ses jambes ; mais la résistance musculaire aux mouve- ments passifs est considérablement d
amas de cellules analogues sur quelques coupes au milieu des fibres musculaires . Les fibres elles-mêmes ont presque toutes leur
Durante a décrites sous le nom de métamorphose fibreuse de la fibre musculaire . Nous n'avons pas pu trouver, sur des coupes tr
és dans les mus- cles précédents (PI. XLIV). Au milieu des libres musculaires (fig. 1), ces cellules- apparaissent moins sous
nucléoles. On retrouve les mêmes cellules au milieu même des fibres musculaires où elles sont, en raison du peu d'espace qui ex
ossi- ble d'étudier les lésions depuis la muqueuse jusqu'aux fibres musculaires les plus profondes, nous avons pu constater, qu
ines de la muqueuse que dans les parties plus profondes. Les libres musculaires sont normales en dehors des points où existe l'in
net- tement à un fort grossissement, à l'intérieur même des fibres musculaires , aux points où la striation a disparu, de fines
GRAVE d'eRB-GOLDFLAM 441 grand intérêt. Les altérations de la fibre musculaire avaient déjà été décrites dans la myasthénie, s
ids du corps est en rapport avec le faible développement du système musculaire : il est seulement de 86 kilogr. L'aspect génér
la membrane pupillaire de Wagendorff et eCl¡'o'- pium uv ? Asthénie musculaire ; psychisme infantile ; impuissance sexuelle. O
malheureux. Il n'eut même jamais la prérogative d'une grande force musculaire , car au contraire il se seutit toujours faible
alléolaire où l'épaisseur des parties molles est énorme. Les masses musculaires sont apparemment bien développées, mais sont au
supérieur, évasé à la base. Les épaules sont tombantes. Les masses musculaires qui le couvrent sont peu développées et atoniques
ît plus développée et plus convexe que la moitié gauche. Les masses musculaires du tronc sont légèrement hypotoniques. Tous les
hypotoni- ques, peu développés, très fournis de graisse. La force musculaire est minime ; le dynamomètre donne 45 à droite, 40
ntrent une hypertrophie évidente et traces de dystrophie. Hypotonie musculaire très accentuée. L'énergie musculaire est très réd
races de dystrophie. Hypotonie musculaire très accentuée. L'énergie musculaire est très réduite. La mobilité est normale. Le
actère in- fantile de sa mentalité, par l'état général de faiblesse musculaire , et par sa débilité génitale qui est arrivée pe
ours plaint d'un état douloureux, d'asthénie générale. Les masses musculaires , très volumineuses, sont flasques et hypoto- ni
thode de Flora) a donné un résultat négatif.- Malgré cela, la force musculaire développée par le patient dans tout mou- vement
mme normal du même âge. A celte imposante hyposthénieet hypotonie musculaire se joint un cer- tain degré d'hypotonie articul
uelques travaux. Marie et Astier (1897) n'ont pas trouvé d'atrophie musculaire ni de modifications de la sensibilité chez un m
dans la partie supérieure du corps, aux bras et au cou. Sensibilité musculaire sans modifications. Sens musculaire normal. Pup
aux bras et au cou. Sensibilité musculaire sans modifications. Sens musculaire normal. Pupille gauche deux fois plus large que
ns intervertébraux et des faisceaux de Collet deBurdach. Les fibres musculaires présentaient une dégénéres- cence atrophique. O
anque l'atrophie des muscles dorsaux. N'ayant pas trouvé d'atrophie musculaire chez son malade, Troschine pense que la cause p
A COLONNE VERTÉBRALE ET DES CÔTES 505 Chez notre malade, l'atrophie musculaire n'était pas suffisamment pro- noncée pour qu'on
ification aussi étendue était un phénomène secondaire de l'atrophie musculaire ; il faut plutôt considérer l'ossification comm
s ce même membre inférieur gauche, se rendait évidente une atrophie musculaire massive. En plus la fonction sexuelle s'était déj
rmettait, en outre, de relever une différence notable dans la masse musculaire des deux membres (au niveau du tiers moyen de la
, non plus, devoir discuter l'association éventuelle d'une atrophie musculaire progressive avec le tabes, dont furent publiés pl
iminution elle-même est en rap- port avec la diminution de la masse musculaire . L'hypothèse d'une atrophie d'origine médullair
pas d'atrophie notable, que dans le gauche où l'on voit l'atrophie musculaire dont nous avons parlé. On aurait en bloc un syn
u cervelet et aussi elles augmenteraient et conserveraient le tonus musculaire . De cette façon on expliquerait encore pourquoi
sement progressif spécialement des membres inférieurs avec atrophie musculaire et depuis lors le malade boita de plus en plus à
sont pâles ; la graisse sous- cutanée est assez réduite, les masses musculaires médiocres et flasques. La stature est de 1 m. 5
vement d'extension de l'avant-bras ; il n'existe pas de rétractions musculaires ni d'altérations capsulaires, ni aucun signe d'in
ale, ne présente pas d'altérations dignes d'être notées. Les masses musculaires des deux membres supérieurs sont atrophiées. Ce
- rales ; elles sont facilement accessibles en raison de l'atrophie musculaire . Le fémur gauche présente la diaphyse recourbée
réaction dégénérative et avec une conservation médiocre de la force musculaire . SUR UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE 531 La démar
paississements d'os ou de portions d'os. Je passe sur l'hypotrophie musculaire par inactivité et sur les examens du sang et de
te de côté, mais ne peut la lever, évidemment à cause d'une parésie musculaire ; car on peut lui faire faire ce mouvement. L'
t deux lutteurs, l'un cravatant l'au- tre.S...,dont la constitution musculaire était très robuste, s'exhiba à un moment donné
sions tuberculeuses ou syphilitiques. L'absence de dégénérescence musculaire intense rendait improbable le dia- gnostic de p
t les mouvements passifs, un léger dégré de contracture. La force musculaire est assez bien conservée dans tous les segments d
es autres articulations on ne constate rien d'anormal. Résistance musculaire .-Aux membres inférieurs la force des muscles exte
aucune résistance dans les différentes articulations. La résistance musculaire semble être assez bien conservée. Réflexes. Les
formes de développement précoce, met l'obésité et l'hypertro- phie musculaire en rapport avec les tumeurs de la substance corti
UNIVERSITÉ ROYALE DE ROME (Dir.Prof.G.MiNaAzzmi). 1 LES ATROPHIES MUSCULAIRES TARDIVES CONSÉCUTIVES A LA PARALYSIE SPINALE IN
ntribuer à la solution du problème de la patho- génie des atrophies musculaires tardives, je rapporte l'histoire d'un cas clini
NOUVELLE IcONOCKAPmE DE LA SALPÈ1RILRE T.XXtI.Pt.LXIX ATROPHIES MUSCULAIRES TARTIVES CONSÉCUTIVES A LA PARALYSIE INFANTILE
ANTILE 4 (isilessandrini) Masson et Cie. Editeurs LES ATROPHIES MUSCULAIRES TARDIVES 651 qui lui disaient qu'il marchait co
mouvements du tronc sont normaux. Membres supérieurs. Les masses musculaires des membres'supérieurs ne sont pas très dévelop
x plus délicats, sont pos- sibles dans toute leur étendue. La force musculaire est faible (Dynamomètre D : 22 à G : 27). Mem
e cuisse se forment deux ou trois saillies dures au-dessous du plan musculaire . Dans le pied gauche sont possibles l'abduction
pied pour la chaleur et le froid. Pas de trouble de la sensibilité musculaire , du sens de vibration et stéréognostique. Visio
oit, un travers de doigt au-dessous du gauche. Excur- LES ATROPHIES MUSCULAIRES TARDIVES 653 sions pulmonaires normales aux bas
du pouce au petit doigt est très difficile et incomplète. La force musculaire est très réduite. Les masses musculaires beauco
ile et incomplète. La force musculaire est très réduite. Les masses musculaires beaucoup plus flasques qu'à gauche et remarquable
au moment de l'examen). II y a une notable atrophie dans les masses musculaires du mollet et de la cuisse, qui sont d'une consi
le extension dorsale). Il ne peut pas mouvoir les orteils. La force musculaire que le patient peut développer dans les mouvement
citabilité faradique. (Appareil de Uubois-Raymond). LES ATROPHIES MUSCULAIRES TARDIVES 655 les autres muscles, dans lesquels
xcitabilité électrique. Nous sommes donc en présence d'une atrophie musculaire spinale du type Aran Duchenne. En effet, en fav
d'elle sont les caractères suivants : le commencement de l'atrophie musculaire aux extrémités des membres inférieurs; le carac
r la parfaite intégrité des muscles faciaux, Contre la dystrophie musculaire du type Wei-diiing-Hoffmann parlent le jeune âg
er de l'excitabilité électrique. On peut exclure aussi une atrophie musculaire progressive du type Charcot-Marie par l'absence d
es, comme aussi parce que dans cette maladie manquent les atrophies musculaires . Contre la sclérose en plaques est surtout l'év
sclérose en plaques est surtout l'évolution et la notable atrophie musculaire , l'absence de quelques-uns des symptômes les plus
iguë (lombaire) s'est produite après environ seize ans une atrophie musculaire progressive du type spinal. Or une demande se p
erne,Langer Rossi, Crouzon. La synthèse de ces études LES ATROPHIES MUSCULAIRES TARDIVES 657 est la suivante; il semble que l
e de l'attaque de poliomyélite. On a cependant décrit des atrophies musculaires qui ont suivi la paralysie infantile à une dist
Landouzy et Dejerine). Le processus commence par un affaiblissement musculaire , qui est suivi par une atrophie musculaire ; ce
e par un affaiblissement musculaire, qui est suivi par une atrophie musculaire ; celle-ci prend une marche progressive et, pet
n grand nombre de muscles, de manière à paraître comme une atrophie musculaire généralisée, ordinairement du type Aran Duchenn
enne. Dans notre cas l'atrophie successive des différents grou- pes musculaires s'est développée de cette façon. Un fait intére
taient voisins des paralysés (les muscles des jambes). L'atrophie musculaire peut encore atteindre ou la partie symétrique o
myélite chronique comme une entité morbide différente de l'atrophie musculaire à type Aran Duchenne (Oppenheim, Strumpell, etc
tout cas la parenté entre les formes de poliomyélite et l'atrophie musculaire spinale est démontrée par les atrophies consécu
, dans notre cas et dans les cas analogues, nous avons une atrophie musculaire du type Aran Duchenne qui représente presque l'
encore davantage la résistance, à un virus donné, des LES ATROPHIES MUSCULAIRES TARDIVES 659 cellules nerveuses situées près du
mond de Metz, c'est-à- dire que le procès commence dans les groupes musculaires au centre desquels le procès de poliomyélite s'
ir sans doute contribué non seulement au commencement de l'atrophie musculaire , mais à son développement rela- tivement rapide
sa diffusion. BIBLIOGRAPHIE RAYMOND Paralysie infantile. Atrophie musculaire , C. R. de la Soc. de biolog., 21 avril 1815.
OUDOIN. Etude clinique de la paralysie spinale aiguë et de l'atrophie musculaire progressive chez le même individu. Thèse de Par
paralysie infantile sur le développement ulté- rieur de l'atrophie musculaire progressive . Gazette médicale de Paris, 1881, p.
e aiguë. Thèse de Paris, 1888. Rémond. - Une observation d'atrophie musculaire myélopathique à type scapulo- huméral. Progrès
infantile avec la paralysie spinale aiguë de l'adulte et l'atrophie musculaire progressive spinale. Thèse de Nancy, 1891. DERN
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maladies nerveuses (deuxième série), Masson, Paris, 1899. Atrophies musculaires tardives consécutives à la paralysie infantile. Q
abdominaux sont vifs. Pendant les jours suivants, l'incompétence musculaire a augmenté, mais sans entraîner de paralysie co
tubes d'eau à 6 et à 30° mais il la fait partout ailleurs. Le sens musculaire est normal. Pendant les deux premières semaines
douleur et la sensibilité thermique sont partout normales. Le sens musculaire est diminué pour les orteils ; car le malade ne
er des bras. Le 11 janvier, on trouve une diminution légère du sens musculaire aux doigts (examen par la même méthode que ci-d
riphériques des membres supérieurs a augmenté. Les troubles du sens musculaire aux orteils et de la sensibilité tactile aux pi
r des épiphyses, par la saillie exagérée des empreintes d'insertion musculaire . Mais ces caractères sont le résultat même de l
Th. MI... jouit constamment d'une santé parfaite, douée d'une force musculaire assez considérable ; elle exerça depuis l'âge d
1 ; elle est d'une constitution assez solide, et possède un système musculaire suffisamment développé. Le crâne appartient au
t pas d'altérations visibles. La men- suration du volume des masses musculaires à des niveaux symétriques donne les résultats s
croissement démesuré des saillies osseuses destinées aux insertions musculaires . Le radius est beaucoup plus court que nor- mal
ent l'un à l'autre. Les tubérosités osseuses servant aux insertions musculaires également ici sont le siège d'un épaississement
outes de même espèce ; nous avons notamment les cellules nerveuses, musculaires , glandulaires différentes d'aspect et de foncti
res se gonflent et se raccourcissent, lorsqu'on les excite (cellule musculaire ), etc. Comme ces propriétés sont l'expression d
de celles-ci devient facilement appréciable à nos sens. Les fibres musculaires qui, individuellement, ne peuvent fournir qu'un
du cervelet (5 pl.), par Lejonne et LIIEII)IITTE, 605. Atrophies musculaires tardives consécutives à la paralysie infantile
infantile, par Petren et EIIIIEN- DERG, 372, 546, 661. atrophies musculaires tardives (1 pl.), par Alessandrini, 650. Paro
ar ROASENDA, 509. TABLE DES AUTEURS ALESS\¡';DR1XI, Les atrophies musculaires tardives consécutives à la paralysie spi- nal
ro-cérébelleuse (LEJONnE et Lhermitte), LXIII à LXVIII. Alrophies musculaires tardives consécuti- ves à la paralysie infantil
20 (1934) Oeuvre scientifique
fluence psychique, car la volonté n'a aucune action sur la tonicité musculaire et qu'elle est incapable de dissocier les mouveme
plégie organique de l'hémiplégie hystérique; ce sont l'hypotonicité musculaire , le mouvement combiné de flexion de la cuisse et
ue la réaction de dégénérescence est pathognomo- nique d'une lésion musculaire consécutive à une altération primitive ou secon
embres inférieurs au niveau des articulations et surtout des masses musculaires . Il y a bien des chances pour que le dernier de
ssion d'un tendon, d'un os, et qui se manifeste par une contraction musculaire involontaire, brusque, de courte durée. METHODE
le la justesse du choc, en diffuse les effets et masque la secousse musculaire ; or, celle-ci est parfois la seule manifestati
détourner son attention, ou encore faire accomplir une contraction musculaire énergique dans une partie du corps diffé- rente
lorsqu'il est couché. Par la palpation on se rend compte de l'état musculaire , et au besoin on attend avec patience le moment
re regrettable parce qu'elle détermine géné- ralement des réactions musculaires entravant l'observation de la contrac- tion réf
d'une expérience à l'autre ; de plus, l'intensité de la contraction musculaire subit aussi de notables variations dans plusieurs
on, s'égare et atteint le muscle, on provoque une contraction idio- musculaire qui peut en imposer pour un mouvement réflexe. Se
us longue que le mouvement tendino-réflexe ; il envahit des groupes musculaires autres que ceux qui constituent le domaine du r
uisement » les percussions successives donnant lieu à des réactions musculaires de plus en plus faibles on n'hésitera pas à rec
n dont l'amyotrophie peut être le premier signe objectif. Un groupe musculaire est parfois très atrophié sans que ses réflexes
. Mais ce qui nous intéresse ici spécialement, ce sont les maladies musculaires placées sur les confins des maladies nerveuses^
imitive, par J. Babinski et J. Jarkowski. ' 58 SÉMIOLOGIE trophie musculaire progressive et de la myasthénie. Pendant la crise
ment ses muscles, l'excitation d'un tendon détermine dans le groupe musculaire correspondant une série de contractions réflexes
ée peut coexister avec conservation à peu près complète de la force musculaire . Examinons d'abord le type morbide décrit par E
t plus frappante qu'elle s'associe le plus sou- vent à une atrophie musculaire . Bien plus, l'amyotrophie sans réaction de dégé
tée à son degré le plus élevé ('). Dans certains cas la contraction musculaire se maintient 10, 15 secondes, davantage même, s
ts de para- plégie avec contracture intense, chez lesquels la force musculaire parais- sant entièrement conservée, l'impotence
, dont l'impotence était principalement subordonnée à la rigi- dité musculaire , ont été rendus capables de marcher. Mais il faut
une rigidité pathologique stable, liée à quelque mode de l'activité musculaire ». Le mot « stable » n'implique pas que la raideu
bilité. Cette stabilité contraste avec l'instabilité de la raideur musculaire qu'on observe dans diverses affections auxquell
n dans un esprit non prévu. Sans doute les deux modes de l'activité musculaire que j'aie en vue peuvent s'asso- cier ; il n'en
'ai déjà eu à m'occuper, on peut observer deux variétés de rigidité musculaire . L'une ressemble complè- tement à la contractur
ppelons, se caractérise par les phéno- mènes suivants : a) rigidité musculaire en extension, stable, b) simple parésie, c'est-
les caractères de la paraplégie que nous avons en vue : a) rigidité musculaire en flexion, qui au début cède par moments d'une
gie spasmodique organique avec contracture en flexion et contractions musculaires invo- lontaires, par J. Babinski (Société de ne
recueillies jusqu'à ce jour. Je reviens à la clinique. La rigidité musculaire de cette forme de para- plégie constitue bien u
ure ; elle est, en effet, pathologique, due à un mode de l'activité musculaire , et elle est stable, au moins à une période de
ents spontanés expriment de la manière la plus éclatante l'activité musculaire , ils n'en sont pas la seule manifestation; cett
oscillations à la manière d'un pendule. A l'état normal l'activité musculaire trouble presque toujours les mouvements passifs
s des entraves qui leur sont mises à l'état normal par l'acti- vité musculaire . En résumé, dans la paralysie organique, l'abol
si l'on se repré- sente au préalable les divers modes de l'activité musculaire à l'état normal, la tonicité, la contractilité
leur imprimer des mouvements passifs pour constater le relâchement musculaire . Si l'on s'en rapportait aux traités classiques
des mouvements passifs, on constate ici une absence de relâchement musculaire et on reconnait, soit que l'abaisse- (1) Charco
commissure opposée, soit qu'il est dû à une contraction des fibres musculaires qui abaissent la lèvre et que, par suite, loin
alysie organique d'une diminution ou d'une abolition de la tonicité musculaire . L'absence de toute perturbation de ce mode d'a
émiplégie organique étaient dus à un affaiblissement de la tonicité musculaire . Cette perturbation dans l'hémiplégie organique n
nsi fort .bien que la paralysie hystérique n'atteint ni la tonicité musculaire , ni les mouvements réflexes, soit tendineux, soit
miplégie organique. Ce sont là, en effet, des modes de l'acti- vité musculaire sur lesquels la volonté, l'imagination n'ont pas
puisse être reproduit d'une manière rigoureuse par une contraction musculaire volontaire. Il est encore facile de saisir la
s et que la volonté ne peut que difficilement réaliser des troubles musculaires unilatéraux dans le domaine de la face. Je vo
alysie. 5° Il y a, principalement au début, de 1 /tyno/o/nct<e musculaire , qui peut se tra- duire à la face par de l'abai
iale on peut reconnaître qu'elle est due, non à de l'hypotonicité musculaire , mais à du spasme; le signe de la flexion exagé
apidité, leur amplitude et dans l'étendue du territoire des groupes musculaires qui entrent en jeu pour les constituer. RÉFLE
diés au début, mais un examen minutieux montre que d'autres groupes musculaires peuvent entrer en jeu, comme cela résulte des r
es faibles ou nuls, et inversement. Dans la paraplégie avec raideur musculaire , ce défaut de parallélisme est parfois éclatant
tique spinale, on constate, comme l'a indiqué Erb, outre la raideur musculaire déterminant une attitude en extension, une simple
e de faire une subdivision et de distinguer deux formes de rigidité musculaire qui souvent, il est vrai, s'associent l'une à l
lenteur son attitude primitive ; dans certains cas, la contraction musculaire dure 10, 15 secondes, davantage même, surtout s
organique spasmo- dique avec contracture en flexion et contractions musculaires involontaires, et il mérite pour plusieurs moti
diés au début, mais un examen minutieux montre que d'autres groupes musculaires peuvent entrer en jeu, comme cela résulte des r
e 3SA,2 alors qu'elle était de 37°,4, au début. Quant à la rigidité musculaire , elle a complètement disparu. En présence de ce
rappelons, se caractérise par les phénomènes suivants : a) rigidité musculaire , en extension, stable ; b) simple parésie, c'est-
les caractères de la paraplégie que nous avons en vue : a) rigidité musculaire en flexion, qui au début cesse par moments d'un
ecueillies jusqu'à ce jour. « Je reviens à la clinique. La rigidité musculaire de cette forme de para- plégie constitue bien u
ure ; elle est, en effet, pathologique, due à un mode de l'activité musculaire , et elle est stable, au moins à une période de
nt pour titre : « Sur les mouvements, les réflexes et les réactions musculaires du foetus humain de 2 à 3 mois et leurs relatio
jà supposé pour les réflexes de défense ('), que les divers groupes musculaires dont la contraction provoque un mouvement conju
détermine la contracture. Enfin, il faut tenir compte de la parésie musculaire qui conduit le malade, cherchant à effectuer un
érieur gauche, les troubles parétiques atteignent les mêmes groupes musculaires , mais sont beaucoup moins prononcés. Les membre
duisent par des mouvements relativement lents et que la contraction musculaire persiste généralement quelque temps avant de s'
erturbation de la faculté d'association des mouvements, la synergie musculaire ; cette perturbarion peut, en raison de son origi
ynergie entre ces deux ordres de mouvements. ' Chez H. M., la force musculaire étant normale, c'est à une perturbation dans la
Lewandowsky pour qui l'hypermétrie relèverait d'un trouble du sens musculaire ; car la sensibilité sous toutes ses formes, expl
étude des phénomènes dans leur forme type. Le malade, dont la force musculaire est normale et la sensibilité intacte, est inca
idal. On doit s'assurer par avance que le sujet dispose d'une force musculaire normale, ou en tout cas suffisante pour lui per
dans la marche impriment au tronc une propulsion, puisque la force musculaire est conservée et que les mouvements élémentaire
Or, chez le cérébelleux, voici ce que l'on peut constater. Sa force musculaire est intacte ; il exécute aussi rapidement qu'un i
nsibilité la provoquent et tout spécia- lement des troubles du sens musculaire . Ces conclusions s'étendent à l'homme. Les clin
t la réunion est exceptionnelle. L'association d'un affaiblissement musculaire à la perturbation cérébelleuse, par exemple, es
ut reconnaître que sa forme diffère notablement des autres réflexes musculaires , des réflexes tendineux, ainsi que des réflexes c
période où, le bout périphérique du nerf étant dégénéré, les fibres musculaires ne pré- sentent que des altérations morphologiq
Des névrites », page 181. ELECTIIOLOGIE 221 t que sur les fibres musculaires , ce qui revient à dire que la réaction dite de
ce ne serait, en partie au moins, que la réaction propre des fibres musculaires sans aucune intervention des nerfs. Si cette idée
d'autant plus grande qu'ils sont d'un ordre plus élevé, les fibres musculaires conser- vent encore leur excitabilité électriqu
et sur la branche moyenne au niveau de l'os malaire. La contraction musculaire est pour tous les muscles brève, en éclair; il n'
cularité qu'il a observée chez quelques malades atteints d'atrophie musculaire progres- sive, de poliomyélite antérieure aiguë
alysie saturnine des exten- R LECTROLO CI E 225 seurs, d'atrophie musculaire ab-articulaire ('). D'après Huet, ce fait s'ob-
tations électriques d'autant moins rap- prochées que les secouss.es musculaires sont de plus longue durée. Si ce phénomène a ét
a méthode gra- phique ; elle a montré que la lenteur de la secousse musculaire provoquée par la percussion peut être tout auss
as de paralysie avec réaction de dégénérescence. La surexcitabilité musculaire et la lenteur de la secousse sont proportionnée
'excitabilité mécanique des muscles est exagérée et que la secousse musculaire est lente. Ils ont indiqué les modifications qu
et nous notons l'intensité nécessaire pour obtenir des contractions musculaires . Dans une deuxième expérience, nous faisons agi
ue; par contre, il est toujours impossible d'obtenir de contraction musculaire par. l'excitation du nerf sciatique poplité ext
mettre que l'excitabilité faradique latente dénote une perturbation musculaire moins profonde que l'inexci- tabilité totale. C
st classique de produire dans un but thérapeutique des contractions musculaires à l'aide du galvanique toutes les fois que l'élec
stic nous montre que le faradique est impuissant à exciter la fibre musculaire . Un certain nombre de ces muscles inexcitables
galvaniques, suivant la méthode habituelle, de bonnes contractions musculaires : on les provoque bien plus aisément en employa
ne cèdent que pendant le sommeil. Il y a une diminution de la force musculaire du côté gauche. Pas de troubles de la contracti
observés chez 1). sont de même origine, qu'en particulier le spasme musculaire dépend de la même cause que le trouble dans le
perturbation de ce genre qu'il faut attribuer dans ce cas le spasme musculaire . Si maintenant on considère que les caractères
t également. Cette attitude n'est pas permanente : les contractions musculaires diminuent ou augmentent sous des influences div
r, après section des fibres nerveuses motrices, des dégéné- rations musculaires suivies de régénération et on signale dans la pat
par se traduire par les caractères suivants : aspect figé, raideur musculaire , lenteur des mouve- ments, démarche à petits pa
é (Examen pratiqué, le malade étant assis sur une chaise). La force musculaire des membres est à peu près normale, ce dont on pe
stater, en s'efforçant de soulever le talon, que la con- traction musculaire est approxi- mativement aussi forte qu'à l'état
res et dans le tronc d'une force mus- culaire normale, que son sens musculaire est conservé et que, néanmoins, il est dans l'i
de cire, cataleptique ('), qui n'est trou- blée par aucune secousse musculaire , contrairement à ce qui se voit chez les sujets
sans intérêt non plus, puisqu'il n'y avait pas d'affai- blissement musculaire ; les altérations de la voie sensitive qui n'étai
ait émoussée des deux côtés d'une manière il peu près égale ; le sens musculaire est normal à gauche et à droite ; un piqûre pro
ensation moins désagréable à droite, mais la compression des masses musculaires semble plus douloureuse de ce côté qu'à gauche.
si du faisceau de Gowers ; il est à remarquer toutefois que le sens musculaire n'était pas troublé. La diminution de la sensibi-
e la lésion du faisceau pyramidal. La perturbation dans l'asynergie musculaire , phénomène sur lequel l'un de nous a attiré l'a
sans m'occuper spécialement de ces points, sur l'hyperexcitabilité musculaire et sur l'état cataleptoïde des membres supérieu
le ; les réflexes sont toujours normaux, l'hémiparésie avec raideur musculaire persiste et la marche, très difficile, est pourta
SPASMODIQUE ORGANIQUE AVEC CONTRACTURE EN FLEXION ET CONTRACTIONS MUSCULAIRES INVOLONTAIRES [J. BABINSKI.] Publié dans le B
epuis les premières inhalations jusqu'à la période de relâche- ment musculaire complet ; j'ai pu simplement obtenir, d'un côté,
uites, puisque nous ne constatons chez cette malade aucune atrophie musculaire , et qu'il existe une inté- grité parfaite de to
d'autre de raideurs provenant d'un mode pathologique de l'activité musculaire , différentes il est vrai dans leur forme, mais
rche fortement' spasmodique ; bien qu'il ait de volumineuses masses musculaires , il ne peut effectuer qu'avec peine et grande r
Aux membres inférieurs, il existe une parésie spasmodique (raideur musculaire , démarche spasmodique, exagération des réflexes
e spasmodique organique avec contracture en flexion et contractions musculaires involontaires, par J. Babinski (Société de Neurol
neuses des VII", \'III°, IX° et X° dorsales ; rapidement les masses musculaires des gouttières vertébrales sont détachées de ch
émostase est facilement obtenue par l'application, sur les tranches musculaires , de compresses maintenues par de larges écarteu
suturée hermétiquement par un surjet au fil de lin fin ; les masses musculaires sont rapprochées par un surjet de catgut et la pe
ger tremblement à l'occasion des mouvements intentionnels. La force musculaire est assez bien conservée. Il n'y a ni hypotonie n
culaire est assez bien conservée. Il n'y a ni hypotonie ni atrophie musculaire . Les réflexes tendineux des membres supérieurs
urines et il existe de profondes escarres; il n'y a pas d'atrophie musculaire . Les membres supérieurs sont allongés le long d
sensibilité objective était presque intacte et que dans les groupes musculaires atrophiés il n'y avait ni abolition complète de
qu'une hypoesthésie relativement légère. La sensibilité profonde, musculaire et osseuse est complètement abolie aux membres
perçue au-dessus du pli de l'aine. La sensibilité articulaire et musculaire est encore nulle aux pieds et aux orteils, très
- dique, elle est très légèrement incoordonnée à droite. La force musculaire des membres infé- rieurs se montre presque norm
eindre un degré élevé, n'entraîne pas nécessairement une hypertonie musculaire troublant la fonction motrice. D'ailleurs, l'inté
la paralysie siège à l'avant-bras et se manifeste par une impotence musculaire ne s'accompagnant pas de dou- leurs, dans celle
u repos complet. A tout instant on voit apparaître des contractions musculaires qui, d'abord limitées soit au menton, soit à l'
attribue à ce mot ; il est évident, en effet, que toute contraction musculaire modifie dans une certaine mesure la forme de la
jà dit ceci : « Et l'on voit aussi des associations de contractions musculaires qui correspondent très exactement aux muscles inn
peut voir, dans la para- lysie faciale périphérique, à la paralysie musculaire succéder un état spas- modique ayant une grande
une importance de plus en plus grande, dans JL laquelle l'atrophie musculaire est indépendante de toute lésion des centres ne
ection dans telle ou telle région, dans tel ou tel muscle ou groupe musculaire . Mais auparavant, nous rappellerons que, dans c
(pseudo-hypertrophie), et que, dans d'autres, le volume des masses musculaires est normal ou très diminué. Cette différence es
précédente. Dans une autre forme, la forme infantile de l'atrophie musculaire progres- sive de Duchenne, dont la nature myopa
est le muscle dont le développement est le plus avancé. Les fibres musculaires sont très rapprochées les unes des autres, la s
ôt dans une autre ? Il est possible que le développement du système musculaire soit plus rapide parfois dans tel segment du co
hie tient à ce que chez certains sujets le développement du système musculaire en général est plus rapide que chez les autres. M
s montrent ainsi qu'il existe, dans cer- tains cas, pour le système musculaire , comme pour le système nerveux central, un lien
yopathie progressive primitive les divers O modes de l'excitabilité musculaire s'affaiblissent en général ? simultanément et que
té idio-musculaire est subordonné au nombre et au volume des fibres musculaires . Cependant, il a déjà été noté (Landouzy et Dej
es observations faites sur plusieurs malades atteints de dystrophie musculaire progressive nous permettent de fournir sur ces qu
tendineux dépend dans l'espèce d'une altération propre de la fibre musculaire ; cela nous paraît d'autant plus probable qu'il n
eux et de l'excitabilité idio-musculaire s'observe dans des groupes musculaires qui ont conservé l'excitabilité volitionnelle e
re qu'il y a là une dissociation des divers modes de l'excitabilité musculaire . NEUVIÈME PARTIE HYSTERIE-PITHIATISME I. HY
tteindre ; il ne sera pas en son pouvoir de réaliser l'hypotonicité musculaire d'où dérive la déformation caractéristique de l
faut ajouter à ces trou- bles l'épithète de secondaires. L'atrophie musculaire dans l'hystérie (') est le type du genre : elle
la conséquence et elle ne tarde pas à disparaître quand la fonction musculaire est redevenue nor- male. Ce sont là les caractè
t l'objet de discussions, j'es- (') Voir à ce sujet : De l'atrophie musculaire dans les paralysies hystériques, par J. Babinski.
liée à la para- lysie hystérique, malgré l'apparition de l'atrophie musculaire très peu de temps après le début de la paralysi
conséquence et elle ne tarde pas à disparaître quand la fonc- tion musculaire est redevenue normale ; il est donc permis de rat
autosuggestion. Mais vous auriez (1) Voir ce sujet : De l'atrophie musculaire dans les paralysies hystériques, par J. Babinski
ations hvstéro-organiques étant chose très commune. Si l'atrophie musculaire simple, sans D. R. peut dépendre de l'hystérie
flexion du tronc et du bassin, le signe du peaucier, l'hypotonicité musculaire , le phénomène de la pronation qui conduisent au
particularités dans l'état des réflexes tendineux et de la tonicité musculaire permettant d'affirmer que pour le moins l'hysté
éflexes, par contre un réflexe peut être masqué par une contraciion musculaire volontaire ; cela est vrai pour les réflexes cu
ence due à la contracture hystérique, capable, comme la contracture musculaire volontaire, de masquer les mouvements réflexes
embre, on constate, lorsque le syndrome est complet : de l'atrophie musculaire ; de l'exagé- ration des réflexes tendineux; des
a surexcitabilité mécanique des muscles avec lenteur de la secousse musculaire ; des modifications quantitatives de l'excitabi
lement parmi ceux-ci le mémoire où Gosselin (') décrivit l'atrophie musculaire consécutive aux fractures des os longs ; la thèse
ongs ; la thèse d'agrégation d'Ollivier (') consacrée aux atrophies musculaires ; les communications de Le Fort à la Société de
te hebdomadaire, 185g, nos g et t i. (2) A. Ollivier, Des atrophies musculaires , Thèse d'agrégation, 1869. (3) Valtat, De l'atr
es musculaires, Thèse d'agrégation, 1869. (3) Valtat, De l'atrophie musculaire consécutive aux maladies des articulations (Etude
, faites à la Salpêtrière, t. III, 1885. (ô) Vulpian, Des atrophies musculaires dites réllexes, in Maladies du système nerveux (m
es qui se forment accidentellement sur le membre atteint d'atrophie musculaire peuvent ne se cicatriser qu'avec une extrême le
ts fondamentaux du syndrome clinique que nous étudions : l'atrophie musculaire avec l'absence de R. D., la parésie et la contr
ns cliniques sur l'hystérie à propos d'un malade atteint d'atrophie musculaire consécutive à un traumatisme. « Ces mots d'atro
se. On décrit aujourd'hui sous ce nom un certain nombre d'atrophies musculaires qui succèdent à des trau- matismes. Mais on app
comme elle l'est souvent, ne pouvait être confondue avec l'atrophie musculaire hystérique qui est discrète et légère, mais ell
uées avec rotation du pied en dehors. Nous constatons de l'atrophie musculaire de la cuisse, sans trouble appréciable des réac
il y avait lieu de se demander si l'attitude vicieuse et la raideur musculaire n'étaient pas liées à de simples rétractions te
endance d'une contracture. De plus, en pleine phase de résolution musculaire , après extinction de tous les autres réflexes t
on précise des modifications de la réflecti- vité et de la tonicité musculaire , aux différentes périodes de la narcose chlorof
l existait un peu d'atrophie diffuse et non systématisée des masses musculaires de la main, de l'avant-bras et du bras, sans réac
muscles de la main et de l'avant-bras, avec lenteur de la secousse musculaire ; et enfin de la surexcitabilité électrique des m
troubles de l'excitabilité mécanique des muscles : surexcitabilité musculaire et lenteur de la secousse musculaire. Ces derni
des muscles : surexcitabilité musculaire et lenteur de la secousse musculaire . Ces dernières modifications furent de notre pa
. (3) J. Babinski, Hallion et J. Froment, La lenteur de la secousse musculaire obtenue par percussion et sa signification clin
ABILITÉ MÉCANIQUE ET ÉLECTRIQUE DES MUSCLES. LENTEUR DE LA secousse musculaire . Un des premiers caractères qui nous a frappés au
-bras et dans le quadriceps. La percussion, même légère, des masses musculaires détermine un mouvement de grande amplitude qui
d'un mouvement réflexe ; elle se produit lorsqu'on percute le corps musculaire et n'a pas lieu quand la percussion porte sur l
e sur les tendons ou les surfaces osseuses. L'expression de réflexe musculaire , qui a parfois été employée, prête à ambiguïté
ostic. Il est à remarquer que les modifications de la contractilité musculaire produites par refroidissement sont en tous poin
embre malade dans l'eau chaude, ou après diathermie, la contraction musculaire déterminée par la percussion change de carac- t
éciable. Il est à remarquer que cette atténuation de l'excitabilité musculaire ne correspond qu'aux élévations de température
essif peut provoquer une exa- gération de l'excitabilité des masses musculaires qui répondent alors aux excitations mécaniques
investigations cliniques, elle montre que la lenteur de la secousse musculaire provoquée par la percussion peut être tout aussi
xcitabilité méca- nique des muscles est exagérée et que la secousse musculaire est lente. A la surexcitabilité mécanique des m
(') .1. Babinski, Ilallion et J. Froment, La lenteur de la secousse musculaire obtenue par per- cussion et sa signification cl
surexcitabilité mécanique des nerfs, tout comme la surexcitabilité musculaire , paraît assez étroitement liée aux troubles vaso-
ît, transitoirement, sous l'influence du réchauffement. Hypotonie musculaire . L'hypotonie est quelquefois très prononcée, au
t assez limité. Elle peut être très mar- quée dans certains groupes musculaires du membre malade et faire complètement défaut d
s chiffres qui montrent le degré de diminution de volume des masses musculaires : à la jambe du côté malade le périmètre est pa
nous avons déjà signalée et qui concerne les qualités de la raideur musculaire . Toutefois, même dans les contractures réflexes
cool à 95" dans le tissu cellulaire sous- cutané ou dans les masses musculaires , voire même une intervention opératoire sans au
rs un certain degré de rétractions fibreuses, fibre- tendineuses ou musculaires déterminées par des mécanismes divers. Suivant
és, un état de méiopragie caractérisé par une réduction de la force musculaire et par l'impossibilité de prolonger les efforts
bations dans les fonctions du membre blessé résultant d'altérations musculaires , tendineuses, osseuses, vas- culaires, des lési
motrice ». Retrouve-t-on ces trois facteurs dans les cas d'atrophie musculaire , dite réflexe ? L'excitation produite par la lé
on des propriétés des cellules nerveuses d'où dérive la contracture musculaire , tantôt au contraire une dépression de ces même
e vous ai présen- tées, les conditions qui préparent la contracture musculaire et y prédis- posent, à savoir l'exagération des
de l'activité cir- culato ? 're sur le fonctionnement de l'appareil musculaire . L'étude clinique nous a montré que les perturb
sont fournies par la physiologie ? Marey a montré que la secousse musculaire diminue de longueur et augmente d'amplitude sou
ns les faits cliniques étudiés par nous, l'amplitude de la secousse musculaire n'est pas physiologiquement paradoxale. Seules,
employer l'expression de Ch. Richet, les troubles de l'excitabilité musculaire (1) Les faits expérimentaux rapportés récemment
vaso-constricüves, est susceptible de reproduire les mêmes troubles musculaires mécaniques et surtout électriques d'byperexcitabi
blie, tantôt exagérée, des trou- bles vaso-moteurs et de l'atrophie musculaire . Ces analogies entre les contractures dites réf
et thermiques accentués et tena- ces modifications de la tonicité. musculaire (hypotonie, hypertonie, association d'hypertoni
tives de l'excitabilité électrique des muscles sans D. R. atrophies musculaires troubles trophiques ostéo-articulaires et parfois
limite de ces réflexes ne dépasse guère le pli de l'aine ; raideur musculaire peu prononcée. La sensibilité à la température
assifs sont un peu plus étendus, mais il est à remarquer que la force musculaire est encore assez grande, car le malade peut, en
t cette attitude, en raison de l'intensité habituelle de la raideur musculaire . Par l'électrisation fara- dique des membres in
lérose en plaques (Thèse, Paris, 1885, chez Masson). 14. Atrophie musculaire d'origine cérébrale avec intégrité des cornes ant
s moteurs (Société de Biologie, 20 février 1886). ib. De l'atrophie musculaire dans les paralysies hystériques (Archives de Neur
d'un système spécial consti- tué par des groupes de petites fibres musculaires entourées d'une gaine lamel- leuse (Société de
diverses autres affections (Id., 11 novembre 1892). 3. Des crampes musculaires dans le choléra et dans d'autres états pathologiq
de Médecine. Bulletin médical, 17 janvier 1910). 166. Hypotonicité musculaire et réaction de dégénérescence (Société de Neurolo
e spasmodique organique avec contracture en flexion et contractions musculaires involontaires (Société de Neurologie, 12 janvier
gie (Revue neurologique, juillet igi6). z4o. Lenteur de la secousse musculaire obtenue par percussion et sa signification cli-
n avec Jarkowski. Sociélé de Neurologie, 4 aoùt 1920). 260. Raideur musculaire dans un cas de syndrome parkinsonien consécutif à
e spasmodique organique avec contracture en flexion et contractions musculaires involontaires 332 V. Hémisyndrome sympathique e
21 (1898) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 11]
a été atteint. Cette paralysie de la langue s'accompagna d'atrophie musculaire , ce qui se comprend aussi très aisément, puisqu
e bout périphé- rique une dégénérescence Wallérienne, avec atrophie musculaire . Il en serait de même au lieu de la section du
noyau bulbaire de l'hypoglosse; tandis qu'au . contraire l'atrophie musculaire aurait fait défaut ou du moins n'aurait été que
s convulsisset et donne des indications sur la localisation du sens musculaire . DE l'épilepsie symptomatique DES NÉOPLASIES co
e DES NÉOPLASIES corticales 21 Observation Aura de la sensibilité musculaire dans la jambe gauche. Convulsions épileptiques
de la position dans laquelle je la mettais : il avait perdu le sens musculaire dans cette jambe. Notre malade a eu une série d
la détermination des centres corticaux de la sensibilité cutanée et musculaire de l'homme. La localisation capsulaire 'delà se
la topographie des centres corticaux de la sensibilité générale et musculaire . Quelques phy- siologistes, comme IIitzig, Schi
dent et associent les ima- ges provenant des sensations cutanées et musculaires , et qui mettent en action les centres moteurs p
troubles, soit de la sensibilité générale, soit de la cons- cience musculaire . Luciani, s'appuyant sur les résultats de ses b
ement la motilité volontaire, mais encore la sensibilité cutanée et musculaire , donnent lieu à des paralysies sensitivo- motri
e. Mais, vouloir attribuer ces paralysies à t'anesthésie cutanée ou musculaire , c'est en donner une explication vraiment nuisi
apprend encoreque les per- turbations de la sensibilité générale et musculaire peuvent apparaître in- dépendamment des trouble
ale occuperait les cellules les plus superficielles, la sensibilité musculaire les cellules des' couches moyennes, et la motil
sont point accompagnées de troubles de la sensibilité gé- nérale et musculaire , nient la superposition de la surface sensitive à
it d'une part la paralysie motrice, d'autre part le trouble du sens musculaire , occupent évidemment des territoires proches l'
e moteur cortical du membre inférieur, est plutôt le centre du sens musculaire de ce membre. (1) Brain, vol. ier, p. G7. 30
me semble, que l'explosion se fasse dans le centre cortical du sens musculaire du membre inférieur. En somme : aussi bien l'
e lobe pariétal est surtout en connexion avec les faisceaux du sens musculaire » (1). Notre observation est muette en ce qui co
artie antérieure du lobule pariétal supérieur est le centre du sens musculaire de la jambe, conclusion à laquelle nous fûmes a
décharge épileptique dansle centre de transformation des sensations musculaires du membre inférieur en perceptions et en images m
giques du cortex lésé. EN résumé : I. Le centre de la sensibilité musculaire du membre inférieur semble être placé dans la p
sens stéréognostique seul, toutes les autres sensibilités cutanée, musculaire , articulaire étant conser- vées. Evidemment la
STÉRÉOGNOSTIQUE ET CENTRES D'ASSOCIATION 47 Nous étudions la force musculaire , elfe parait conservée dans tous les seg-" ment
ements volontaires est également accusée par le malade (sensibilité musculaire con- servée). Le sens stéréognostique est par
es sensations restent persistantes. La sen- sibilité articulaire et musculaire est très bien conservée, de même que la notion
ensations complexes que les auteurs ont réunies sous le nom de sens musculaire , et la notion d'une contraction des muscles et
ression, douleur, température, sensibilité articulaire, sensibilité musculaire ,l'esprit élabore une sensation plus complexe, i
a mis dans leur main ; joignez à cela que souvent leur sensibilité musculaire n'est pas intacte, et que, surtout pour les petit
hémiplégiques : ceux-ci doivent à leur lésion la perte de leur sens musculaire et les troubles de la motilité ne sont qu'une c
la nature des diverses sensibilités. En particulier le mot de sens musculaire , synonyme pour certains de sens stéréognostique
aie SENS STÉItÉOGNOS1'IQC ET CENTRES D'ASSOCIATION 51 sensibilité musculaire . Mais on l'a employé aussi pour désigner la force
. Aba admet que ces six facteurs réunis concourent à former le sens musculaire ; aussi dans les 2 observations où il noie les
ire ; aussi dans les 2 observations où il noie les troubles du sens musculaire et du sens stéréognostique comme existant à l'e
ité, nous savons que la sensibilité articulaire, que la sensibilité musculaire étaient altérées ; que, par contre, elles étaient
actérisées pour lui par l'absence de troubles stéréo- gnostiques et musculaires malgré la présence des troubles de la sensibi-
du sens stéréognostique des trou- bles de la sensibilité tactile et musculaire , et il est seulement en droit de dire que la de
es, douloureuses et thermiques de la peau et même de la sensibilité musculaire proprement dite, uniquement mise en éveil par l
'I'bott'h'pi, J.-B. Cbil -01 'Pb"I ? IJ, 'B,'llb,II,,1 ATROPHIE MUSCULAIRE CONSECUTIVE A LA VARIOLE Chez un Fcll.th. (1.
itions dignes d'être relevées et dues à des différences de l'action musculaire . La plus saillante de ces oppositions peut se c
que dans la marche ordinaire. Il en est de même des contractions musculaires qui ne diffèrent que par.une plus grande ac-
0 PAUL RICIIER verticales, elle entraine nécessairement une dépense musculaire plus con- sidérabie. C. Marche EN poussant OU
ande. Dans ce but, non seulement l'homme use de toute son énergie musculaire , mais il cherche à mettre à profit autant que
nt et lors dupas antérieur seulement. Au point de vue de l'action musculaire , elle se révèle avec énergie tout particulièrem
T DE LA COURSE 11 1 plus énergique. Lors du pas antérieur, l'action musculaire se déplace et passe au triceps sural qui soulèv
la marche ordinaire, ne so redresse jamais complètement. L'effort musculaire le plus violent existe au quadriceps de la jambe
e se redresse qu'après le moment de la verticale (Fig. 9). L'effort musculaire se voit surtout à la cuisse du membre portant p
er l'action du grand fes- sier. Lors du pas antérieur, l'effort musculaire se déplace et, se produit sur le même membre au m
istance à vaincre, ascension à opérer, charges à porter, le travail musculaire est plus considérable dans la marche en flexion q
s ce mécanisme, une des conditions les plus favorables a un travail musculaire longtemps prolongé, et qui consiste dans des alte
nre démarche, fait-il jus- tement remarquer, occasionne une dépense musculaire moindre, mais parce que, dans les conditions où
point que les auteurs ont négligé, c'est l'étude de la contraction musculaire ; or il est facile de démontrer, ainsi que nous
. Comte et Regnault, elle est plus prolongée. De plus, le travail musculaire ne se mesure pas seulement par le tra- vail méc
cune sorte : il s'agit d'une sorte d'atrophie simple. Une branche musculaire du tibial postérieur a montré au contraire les al
r, quand on l'examine, tandis que le côté droit reste sec. La force musculaire de la main gauche, mesurée par le dynamomètre Mat
Mathieu, se montre sensiblement diminuée en comparaison de la force musculaire de la main droite; ainsi, pour la main gauche,
nerveux du malade on a trouvé les altérations suivantes : la force musculaire de la main gauche sensiblement diminuée en comp
ons nombreuses, celles-ci principalement marquées dans le.sys- tème musculaire ; et, se basant sur une série de traits typiques
i dans le système osseux. Nous le décrirons surtout dans le système musculaire , parce que c'est là qu'il a- été le mieux étudi
e), le microscope ne fait constater la moindre lésion dans le.tissu musculaire même, mais une lésion très intense et tout à fa
librillaire est secondairement détruite. Au milieu de la por- tion musculaire envahie, on voit çà et là quelques faisceaux rest
t la consistance du fibrome; sa surface est couverte par une couche musculaire plus ou moins épaisse suivant que le néoplasme
asme a envahi une partie plus ou moins grande du muscle. Les fibres musculaires qui subsistent se montrent, dans la masse clair
finalement il se résout en fines ramifications entre les faisceaux musculaires devenus, eux, de plus en-plus épais. Les portio
transitoire, un périmysium externe élargi aux dépens des faisceaux musculaires ; les fibres musculaires elles- mêmes sont alté
um externe élargi aux dépens des faisceaux musculaires ; les fibres musculaires elles- mêmes sont altérées, elles sont atrophié
cellu- ]eux et plus large avec des lésions concomitantes des fibres musculaires consistant dans la perte de la striation transv
vent entourées d'amas leucocytiques, et la prolifération des noyaux musculaires forment, çà et là, de pareils amas de cellules
sarcolemme se serrent contre la substance contractile. Les fibres musculaires sont-elles complètement détruites, il se forme
e forme de petites brèches ou des fentes, alors même que les noyaux musculaires , encore visibles par place, s'atrophient avec l
s contre les autres. Une coupe longitudinale au point où les fibres musculaires s'insèrent sur le tendon fait voir comment le t
épaisse de tissu fibreux dense, qui s'infiltre dans les interstices musculaires , particulièrement dans le sens de la longueur des
fibres ; ce dernier est souvent traversé, par des travées de fibres musculaires , quel- ques-unes indemnes, d'autres altérées, f
ns son épaisseur ; le périoste n'existe pas en réalité. Les lésions musculaires , la dégénérescence graisseuse, l'atrophie et la
'avons vu plus haut, elles sont dues à l'étranglement des faisceaux musculaires par le tissu con- jonctif rétractile, à un trou
fié, enlevé au biceps, on pouvait voir au mieux la série des tissus musculaire , conjonctif, cartila- gineux,étagés de la périp
a myosite ossifiante progressive s'attaque de préférence au système musculaire , mais on le voit envahir également les aponévrose
airement. Si une tumeur s'insère sur l'os au niveau d'une insertion musculaire et si elle s'étend loin dans le muscle, il est
ile de faire la part de l'exostose périostique et de l'ossification musculaire proprement dite (ossi- fication des extenseurs
les cas où les ossi- fications se montrent surtout dans le système musculaire : observations de Tesielin et Dambressi, Wilkin
mptômes locaux très peu marqués. Il se forme en un point du système musculaire une tumeur indolore, de consistance pâ- teuse d
d'ordinaire, l'oe- dème perd en tension et en- étendue et la tumeur musculaire proprement dite offre des contours plus nets ;
de Kohts. Souvent,on remarque qu'une partie seulement du territoire musculaire envahi,est atteint par l'ossification, le centr
état du muscle; en. effet la contraction 132 A. WEIL ET J. NISSIM musculaire est d'autant moins énergique que le muscle se tro
3, p. 208). (5) Cil. In : ni : , Note sur l'influence de l'exercice musculaire sur l'énergie, la rapidité el l'habileté des mo
(ossifications qui suivent presque tou- jours le trajet des fibres musculaires , et marquent la place des muscles malades), l'o
s points; sa tendance il envahir presque toujours les mêmes groupes musculaires , alors qu'elle respecte constamment certains au
t cela toujours dans l'appareil locomoteur; la symétrie des groupes musculaires atteints dans bien des cas ; l'existence fréquent
ctuantes du coude et du poignet disparurent, mais les ossifications musculaires , elles-mêmes, relrocidèrent manifestement. » Ha
ses des vertèbres et ayant en- vahi en partie les puissants paquets musculaires de cette région. Les régions antérieures du cou
en passant pour les autres par- ties du corps également; les plans musculaires antérieurs des membres supé- rieurs, du tronc,
té partout à peine touchés pir l'oîsificition, tandis que les plans musculaires postérieurs ont été violemment atteints. xi 12
se confondent bientôt avec les grands trochanters et les insertions musculaires qui vont jusqu'à la bifurcation de la ligne âpre.
. Si l'on frappe sur un point, on voit se contracter tout un groupe musculaire siégeant dans le voisinage et montrer des contr
endus sur les transformations survenues dans les systèmes osseux et musculaires , nous serons beaucoup plus brefs sur les autres
nde bailleur au-dessus du lit. Autant qu'on peut en juger, la force musculaire paraît conservée. Du côté des membres supérieur
ard dans les perceptions, les localisations sont exactes. Le sens musculaire est un peu diminué, le sens articulaire conservé.
ste. Les fibres à myéline sont en très petit nombre. Dans un nerf musculaire , le nerf du biceps crural, les fibres saines sont
, Sur une forme particulière de maladie de Friedreich avec atrophie musculaire et troubles de la sensibilité. Soc. de biologie,
même nature devaient être les fibres fines trouvées dans les nerfs musculaires . Il en vient la conclusion que, dans ce cas act
s une atrophie systématique des fibres sensitives tant cutanées que musculaires . » Le dernier point à considérer, c'est l'état
e crois devoir insister sur l'absence de vomissements. - La force musculaire des membres, explorée tandis que la malade était
dans un autre. Enfin elle coïncide avec un certain degré d'asthénie musculaire . Or un pareil désordre de la marche et de l'équ
l'influence du traitement spéci- fique, mais qui a détruit la paroi musculaire , ce qui permet, en refoulant la peau, de pénétr
Saint-Louis. ATROPHIE DES CENTRES NERVEUX, DANS UN CAS D'ATROPHIE MUSCULAIRE ET OSSEUSE D'ORIGINE ARTICULAIRE PAR CH. AC
s de lésions périphériques. Il s'agit alors, en général, d'atrophie musculaire . Mais il est possible d'observer aussi l'aplasi
uleur au niveau du membre inférieur. Pas d'hyperesthésie des masses musculaires à la pression. Le membre est constamment froid.
e du côté opposé. Il n'existe pas d'adipose luxuriante. Les groupes musculaires , plus maigres que du côté opposé, sont pâles, e
NOUV, ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. T XI. PL, XXXIII ATROPHIE MUSCULAIRE ET OSSEUSE D'ORIGINE ARTICULAIRE (Radiographies
tes après séjour de 24 heures dans l'acide osmique, sur une branche musculaire du nerf tibial postérieur, sur une branche cuta-
D30POLD-LÉVI On ne constate pas de lésion manifeste sur la branche musculaire ou sensi- tive du côté atrophié ; au contraire,
ltérations (fragmenta- tion de la myéline en boules) sur la branche musculaire du côté sain. Il est à noter que l'oedème était
volume des cylindres primitifs il est assez variable. Les colonnes musculaires semblent en général diminuées de volume. Sur
on voit des traînées embryonnaires dirigées dans le sens des fibres musculaires . La striation des libres est très nette, surtou
ne la constatation d'altérations médullaires au cours des atrophies musculaires ou osseuses d'origine périphérique, deux ob- se
être discutées. Dans un cas d'arthrite du genou, suivie d'atrophie musculaire , cet auteur étudia la moelle. Il constata une a
e la lésion, il est difficile d'établir un rapport entre l'atrophie musculaire unilatérale et les altérations médullaires diff
muscles, une diminution de nombre plutôt que de volume, des fibres musculaires et des nerfs et pro- posa pour cette atrophie l
centimètres environ du membre inférieur droit. Il existe une atrophie musculaire très accentuée et une atrophie osseuse portant
tte atrophie médullaire ? On sait que, pour expliquer les atrophies musculaires , suite d'affections articulaires, la théorie ré
s du coude et du poignet disparurent, mais encore les ossifications musculaires , elles-mêmes, rétrocédèrent manifestement; fina
dans cette observation, il est vrai, il n'est question d'affection musculaire . Mais si nous tenons compte du siège des tumeur
aux. Le processus semblait s'être confiné entièrement dans le tissu musculaire ; les organes thoraciques et abdominaux étaient
e ; elles sont sans symétrie et ne correspondent à aucune direction musculaire (ri. 1). Ossification des deux grands dorsaux
ande partie du visage, oedème du tissu 292 .1. WEILL ET J. N1SSIM musculaire du plancher buccal ; la tuméfaction indurée s'éte
s. Byers constata sur le malade une ossification étendue du système musculaire qui a continué à progresser jusqu'à sa mort. A l'
on de l'os . 294 A. WEILL ET J. NISSIM sification dans le système musculaire ; le thorax est entouré par une carapace osseus
électriques. - Contractions faradiques normales dans les por- tions musculaires non ossifiées ; l'excitation galvanique donne une
deuxième côte, vont au bras; elles croisent la direction des fibres musculaires . Au-dessous, le bord inférieur du grand pectora
nt faradique faible donne une contrac- tion dans toutes les parties musculaires , aussi bien dans les muscles respectés que dans
i nous légitimait à croire à une altération marquée de la substance musculaire . DE LA MYOSITE OSSIFIANTE PROGRESSIVE 315 Pne
se voit une exostose de 2 centimètres qui suit le trajet des fibres musculaires . Epaississement probable du maxillaire inférieur.
a plus grosse des quatre, est douloureuse à la pression. Atrophie musculaire . Vitiligo. Avec les déformations du squelette coe
ell'orce de tenter la flexion ou la rotation de la tête. L'atrophie musculaire accentue les déformations du côté du </<0)'
neux et sous-épineux sont normaux. Membres supérieurs. - La force musculaire , est bien conservée dans les membres supérieurs
assin, l'immobilité des côtes pendant la respiralion, des atrophies musculaires . Nous n'avons pas trouvé chez Duf...,l'aplatiss
lement aplati, le sternum décrit une courbe anormale, les atrophies musculaires sont bien marquées, et il existe un autre troub
n dorsale de la pièce du musée Dupuytren. Patiiogénie de l'atrophie musculaire . Chez notre malade, l'atrophie musculaire de qu
Patiiogénie de l'atrophie musculaire. Chez notre malade, l'atrophie musculaire de quelques muscles est bien évidente. La dimin
ontracture DES MUSCLES DE la paroi abdominale. A côté de l'atrophie musculaire nous avons mentionné chez Duf... la forme globu
peux et conjonctif dissocient et étreignent de ci de là les fibres musculaires qui ne prennent qu'une faible part à l'hypertro
malade ni éruptions ni pigmentation anormale de la peau. Le système musculaire est modérément développé. Il n'y a pas d'in- co
rsal, dont trois fixés aux côtes, paraissent occuper les insertions musculaires qui en partent. A droite de la colonne, dans la
ifférentes formes, beau- coup plus rarement on rencontre des fibres musculaires striées, très modifiées. Au bout de huit jours,
l'électrisation de cette zone excitable pro- voque des contractions musculaires , suivant un ordre déterminé, Charcot reprit la
çait par conséquent un métier pénible, nécessitant une grande force musculaire , aussi ce malade est-il très vigoureusement muscl
rachis au bord spinal du sca- pulum, vestiges de quelques faisceaux musculaires trapéziens (PI.XL VIII,E. F.), A noter égalemen
acé. Au niveau du cou la déformation est plus accusée, les saillies musculaires et la déviation de la face plus prononcées que
l'aisselle présente la déformation décrite. Au cou, mêmes re- liefs musculaires que précédemment. -/) Bras en élévation en deho
ion respective de ces deux sources dans le muscle : leur territoire musculaire n'est pas anatomiquement délimité de façon exacte
traction violente et brusque de ces deux muscles. Cette contraction musculaire a pu produire un tiraillement, une distension s
rriverait même parfois que le tronc du nerf traverserait ces fibres musculaires . Cette dis- position favorise-t-elle le traumat
n favorise-t-elle le traumatisme du nerf au cours de la contraction musculaire ? Il est simplement permis de le supposer. On a
simplement permis de le supposer. On a vu en effet des contractions musculaires violentes et brusques tirailler, comprimer les
doit ètre beaucoup plus fréquente qu'on ne pense. % Plus l'effort musculaire est brusque, plus le tiraillement et la rupture
as besoin d'être commentées, étant donné la pathogé- nie par effort musculaire que nous venons d'exposer. En résumé : synergie
ousser devant soi un corps très lourd outrés résistant; contraction musculaire simultanée, violente et brusque, produisant un
niveau. La paroi latérale du thorax, ainsi privée de son enveloppe musculaire , apparaît sous la morphologie générale du squelet
ieur gauche ne présente pas d'atrophie en longueur, mais les masses musculaires sont flasques et la mensuration circonféren- ti
deur apparenle et tous les mouvements sont possibles, mais la force musculaire y est considérablement diminuée. On note en eff
lité est complètement abolie quant à la douleur et au tact, le sens musculaire fait également défaut; la sensibilité à la pres-
ation (éosine, hé- matoxyline). Pas la moindre lésion dans le tissu musculaire même, mais lésion très intense et tout à fait r
a partie moyenne du deltoïde gauche, tumeur sur laquelle les fibres musculaires se contractent en levant le bras, légèrement mo
e ; on en enlève une portion. 10 jours après, on enlève le faisceau musculaire très douloureux du grand dorsal gauche, correspon
arthropathies, une os- téomalacie généralisée et des ossifications musculaires ; il pèse 32 kilogr. seu- lement. L'ostéomala
baire gauche, qu'il faut admettre qu'elles se rattachent aux masses musculaires . Ailleurs les ossifications se sont réunies secon
ent les muscles et peuvent être considérées comme des ossifications musculaires . Ossifications libres dans le couturier,le rhom
cale il en résulte un torticolis gauche qui n'est pas 3xclusivement musculaire comme celui dû à la contracture du sterno-mastoï-
e presque impossibles ; l'empêchement ne tient pas à la contracture musculaire , mais à des synostoses du squelette cervical.
sation d'une tumeur périostique réunie plus tard à une ossification musculaire . Partie du grand trochanter, la tumeur suit en
cellules s'allongent sous forme de lamelles char- gées de fibrilles musculaires ; les lamelles musculaires se segmentent, elles-
orme de lamelles char- gées de fibrilles musculaires ; les lamelles musculaires se segmentent, elles- mêmes, plus tard, pour fo
méd., 1896, p. 196. BULIInK. - Ossification des tissus tendineux et musculaire . Thèse de Dorpat, 1860. Buncenu.toT. Thèse de L
DIIAAR. Thèse de Bâle, 1885. ROGERS. Un cas d'ossification du tissu musculaire . Am. J. of med. se. Philad., 1833, XIII, 386-38
SALMAN. - Thèse de Berlin, 1893. ScHULTZE et Erb. - Cas d'ahopleie musculaire progrès. Arch. f. Psych. u. Nervenkr., 1879, IX
fig.), 34. Atrophie des cent/'es nerveux, dans un cas d'atrophie musculaire el osseuse d'origine articulaire, par Achard et
opold Lévi. Atrophie des cen- tres nerveux dans un cas d'atrophie musculaire et osseuse d'origine articu- laire (2 fig. et 3
vi et Achard. Atrophie des centres nerveux dans un cas d'atrophie musculaire et osseuse d'origine articu- laire (2 fig. et 3
digitales (A. Londe et Il. MeiGE), III, IV, V, VI, VII. Atrophie musculaire consécutive il la va- riole (.L-B. Charcot), VI
es centres nerveux (Achard et Lsoron Lévi), XXXIV, XXXV. Atrophie musculaire et osseuse d'origine articulaire (Achard et Léo
22 (1913) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 26] : iconographie médicale et artistique
ir le malade dans l'attitude verticale, quoi- qu'il ait de la force musculaire dans les membres inférieurs et dans le tronc. L
marche, appuyé à une autre personne, il manifeste 'son asy- nergie musculaire d'une façon très nette. Pendant le mouvement il p
ns sur la face extérieure des cuisses peuvent se provoquer. Force musculaire dans ses membres inférieurs bien conssrvée. Le ma
r tremblement à l'occasion des mouvements intentionnels. La force musculaire est assez bien conservée. Il n'y a ni hypotonie n
laire est assez bien conservée. Il n'y a ni hypotonie ni atro- phie musculaire . Les réflexes tendineux des membres supérieurs
ines et il existe de profondes es- carres ; il n'y a pas d'atrophie musculaire . Les membres' supérieurs sont allongés le long
sensibilité objective était presque intacte et que dans les groupes musculaires atrophiés il n'y avait ni abolition com- plète
cale (schéma de Flatau) jusqu'aux pieds inclusivement ; sensibilité musculaire des orteils amoindrie ; pas de trou- bles sphin
ativement suffisante. Sensibilité tactile et à la douleur ; le sens musculaire revient à l'état normal ; seule la chaleur se f
s pieds et les orteils (d'abord à droite). Les réflexes, la tension musculaire augmentent ; phénomène de Babinski bilatéral, l
ureuse, tactile et thermique disparurent; par contre la sensibilité musculaire dans les orteils continuait à être affaiblie. L
-28 août. Le malade fait ses premiers pas avec aide. La sensibilité musculaire dans les orteils n'est plus que légèrement attein
e, en général, à l'endroit traité. 28 septembre-'^ octobre. Le sens musculaire dans les orteils revient à son état normal ; la
usqu'à la moitié des mollets ; disparition presque complète du sens musculaire pour les mouvements des orteils et des pieds ; pr
és inférieures la sensibilité à la chaleur, à la douleur et le sens musculaire (pieds et orteils) disparaît complètement. Le
crée ; rétention complète de l'urine et des fèces ; absence du sens musculaire dans les orteils, les pieds et les genoux ; réten
. Tonicité des muscles sans augmentation, sensibilité tactile, sens musculaires normaux. 52 ROTSTADT 17 mars 1911. Douleurs l
gmates de rachitisme et d'ostéomalacie. Les mem- bres, sans reliefs musculaires accusés et sans adipose, ont le galbe des membr
- 1. Etat fonctionnel des muscles. - Parfait pour le développement musculaire . Station debout et marche correctes. Aucun trou
es, développement des seins chez celle-ci, accentuation des reliefs musculaires dans l'un et l'autre sexe, modification du lary
iplégie devient très utile pour reconnaître avec détail les groupes musculaires pris de pré- férence au membre inférieur dans l
de Lisbonne. Les myoclonies sont caractérisées par des contractions musculaires spon- tanées, brusques, rapides, illogiques, in
ons mettre d'autres descriptions dans les- quelles les contractions musculaires ne sont également que des symptômes. Ainsi Valo
classification des myoclonies. Les descriptions des contractions musculaires de la maladie de Dubini et celles des contracti
de de Friedreich, un homme de HO ans, présentait des contrac- tions musculaires , symétriques, mais indépendantes, qui se produisa
té simultanée de plusieurs mus- cles. A chaque contraction la masse musculaire devenaitsaillante et dure, mais très rarement s
nt où le malade s'endormait. Les émotions, le froid, le relâchement musculaire les exagéraient. Elles disparaissaient complè
yoclonies, demandait si on devait, étant donné que les contractions musculaires de sa malade pro- duisaient des effets locomote
bliés. On ne peut même pas faire de distinction entre les secousses musculaires qui donnent de petits déplacements et celles qu
ins dans leurs lignes générales, en prenant pour base les secousses musculaires produites dans les conditions et avec les carac
similitude dans l'expression symptomatique dominante : la secousse musculaire . Et ainsi, dans le sens des contractions sans d
la dite chorée fibrillaire de Morvan. Dans le sens des contractions musculaires avec déplacements, nous devons mettre en confro
scriptions on trouve les contractions fibrillaires dans des groupes musculaires mais les douleurs et les perturbations vaso- mo
même, écrivait en 1890 « que le caractère fibrillaire des secousses musculaires ne peut suffire, à lui seul, à établir un type di
étaient comme produits par des « courants induits ». Les secousses musculaires siégeaient sur divers segments : tête, jambes,
sa mère. L'émotion réveille l'aggravation de son mal, les secousses musculaires deviennent plus fortes et produisent des mouvem
ise ou couchée. Ces mouvements sont déterminés par des contractions musculaires involontaires, très brusques et rapides, qui se r
exceptions près, quels sont les plus fréquents. Les contractions musculaires qui déterminent les mouvements d'élévation de l
a flexion des bras, etc., sont des formes diverses des contractions musculaires de la malade. D'autres fois les contractions so
s dit dans leur définition, sont caractérisées par des contractions musculaires spontanées, brusques, rapi- des, illogiques, in
ôté de cette brusquerie on doit noter la rapidité. Les contractions musculaires ne se maintiennent pas. Elles se succèdent, parfo
Nous avons déjà dit que chez une de nos malades les contrac- tions musculaires avec déplacements ontpu avoir lieu en un cinquièm
lonus, a étudié graphiquement, par le myographe, les contrac- tions musculaires de son malade. Dans certains cas il a vu se produ
toujours une base psychique. Primitivement ce sont des contractions musculaires orientées vers une fin déterminée. Ensuite elle
teurs onl observé une certaine symétrie dans les muscles ou groupes musculaires atteints. On l'a même considérée comme un carac-
i. Chez notre première malade il y a symé- trie de certains groupes musculaires , par exemple, les muscles des épaules et des br
éprouvent est de ne pas pouvoir dominer leurs secousses. La force musculaire n'est pas altérée. Les réflexes sont généraleme
secousses myocloniques commencent à se développer. Les contractions musculaires sont surtout accentuées aux membres et au tronc
qui puisse l'expliquer) d'autres symptômes, notamment les secousses musculaires , fibrillaires ou fasciculaires, qui attaquent un
brillaires ou fasciculaires, qui attaquent un mus- cle ou un groupe musculaire . Il y a habituellement, chez ces malades, des a
l y a des périodes de quiétude qui séparent les crises de secousses musculaires . On peut encore rappeler que la marche des chor
l vous suffira d'observer notre malade pour noter que les secousses musculaires qui l'agitent n'ont rien de figuré : elles sont
e pathogénique, surtout en ce qui concerne l'origine de la rigidité musculaire et du trem- blement. 4. La thyroïde présente
des efforts et à des tensions des ligaments mêmes. Le développement musculaire est parfait ; on peut dire même que les sujets
s des courbures et le développement, exagéré des crêtes d'insertion musculaire en rapport avec la relative hypertrophie des mu
sé, une lordose lombaire marquée, le grand développement des masses musculaires , ne laissaient aucun doute sur la nature de leu
oppement marqué des éminences osseuses correspondant aux insertions musculaires . Quant au squelette du pied gauche on peut note
iculièrement remarquable, et spécialement le fait de l'insuffisance musculaire augmentée pendant le travail, de sorte que celle-
le travail, de sorte que celle- ci estl'effet d'une facile fatigue musculaire , plutôt qu'une vraie paraly- sie.Le contraire p
'a pu conslaler aucun des symptômes observés dans le cas d'atrophie musculaire quelle qu'elle soit. Les auteurs expliquent ce
. l'existence, dans sa famille, d'un cas de paralysie ou d'atrophie musculaire , ou d'une difformité quelconque. Les parents so
emarque pas facilement ce défaut, car la substitu- tion de la masse musculaire peut être complète. Ni l'idée de la forme juvén
ral sans hypertrophie Landouzy- Dejerine, ni la pseudo-hypertrophie musculaire n'ont pu soutenir la cri- tique. , Nous n'avo
usion en faveur de l'un ou l'autre état morbide, soit nerveux, soit musculaire . Il est plus que probable que cette asymétrie p
peul être considérée que comme un symptôme provoqué par les efforts musculaires . C'est un signe de constitution que l'on désign
les différents états pathologiques,qu'il s'agit ici d'une dextérité musculaire spéciale, per- mettant au sujet de modifier le
ue est la preuve d'une dispari- tion à peu près complète des fibres musculaires : on peut admettre que, dans le cas actuel, les
ompte-rendu montrent qu'il n'est pas impossible que quelques fibres musculaires excitables restent au sein du muscle, alors que
s'est-elle localisée ainsi ? Ils font une grande place à la fatigue musculaire : « le rôle du surmenage est hors de doute » ;
rs des articulations des doigts ou du poignet, elle trouble du sens musculaire , la diminution, perle ou perversion dé Fig. i.
ts capsulaires, assez lâche et intra-articulaire, enfin l'hypotonie musculaire habituelle aux tabétiques. De là les luxations, s
sent aussi le tissu sous-cutané, et parfois sont adhérentes au plan musculaire . Il n'y a pas d'ectasies vasculaires arborisées a
ar et hypothénar sont aplaties ; il y a un certain degré d'atrophie musculaire . La paume des mains est toujours humide et moit
on, à cause de la rétraction des tissus, est anguleux. L'atrophie musculaire , très accusée -aux mollets, diminue à la racine d
la maladie de Raynaud. Cette femme présentait encore des atrophies musculaires localisées. Dans'certains endroits les muscles on
ts, au contraire (cou, épaules, ceinture pelvienne), cette atrophie musculaire n'est pas accompagnée d'une induration scléreus
mie, nous avons ob- servé encore dans notre observation des lésions musculaires et articulai- res assez graves. Le processus at
ndroit recouvert par une peau presque nor- male. Ces déformations musculaires ,en se produisant aux extrémités supérieu- res,
ptômes généraux graves concomitants, caractérisés par de l'atrophie musculaire , des troubles vaso-moteurs, tro- phiques et des
asant sur la coexis- tence des taches, des tumeurs et de l'atrophie musculaire , on avait cru pouvoir conclure à une variété de
ans, était maigre, à teint pâle ; la peau est pigmentée, le système musculaire est atrophié, les articulations sont raides, la p
de certains muscles est calcifiée (tendon d'lcliille) ; l'atrophie musculaire dans certains endroits atteint un degré extrême
rvation de Lexa (3) est analogue : le malade est émacié, les masses musculaires sont atrophiées, le facies est adénoïdien, il y a
es dont la tunique moyenne est nettement myoma- teuse. Les cellules musculaires lisses de cette tunique paraissaient se multiplie
cette idée, on a enfoncé l'extrémité nerveuse dans une boutonnière musculaire et on l'y a fixée par un point de suture. Cette
ns- taté, pas plus que la trépidation rotulienne. A gauche la force musculaire est conservée ; le réflexe olécranien est exagé
rs surtout qu'on remarque le développement sculptural de l'appareil musculaire des membres inférieurs ainsi que la délicatesse
eu différente des deux précédentes, en ce sens que les contractions musculaires , au lieu de se présenter sous la forme de secou
dans l'exploration directe de la motilité de ce muscle. Secousses musculaires de l'hémiface gauche. Pendant l'examen de l'hém
sans les ressentir. En recherchant les caractères de ces secousses musculaires , on constate le fait suivant : ces contractions
ent des paupières. On remarque d'abord facilement que les secousses musculaires ne se montrent que lorsque les paupières exécut
les paupières abaissées avec le doigt, on ne constate de secousses musculaires que lorsque le doigt sent une contraction de l'
le par exemple, on provoque du même coup l'apparition des secousses musculaires . Le clignement d'une paupière entraînant toujours
er, faire la moue, ne déterminent pas l'apparition de ces secousses musculaires , sauf dans le cas où ces excitations, ces impress
cissement des fentes palpébrales), ou voit apparaître les secousses musculaires précédentes, sans clignement apparent cependant
même, dans l'occlusion très énergique des paupières, les secousses musculaires apparaissent très fortes et très nombreuses. En
gauches amène le même résultat. Il semble donc que ces secousses musculaires sont liées à l'action de l'orbi- culaire des pa
eur fonctionnement parfait. En particulier, le système ner- veux et musculaire est par ailleurs absolument normal. Exploration
ulaire des paupières) entraînent aussi l'apparition des secous- ses musculaires mentionnées plus haut. , Il est à'noter qu'à ce
terne de la joue du même côté n'ont jamais provoqué de contractions musculaires ou de secousses dans les muscles de la face du
e transmettent en aucune façon au voile du palais. 4° Des secousses musculaires dans l' hémiface gauche, caractérisées par des
la malade précédente. Comme dans le tic convul- sif, les secousses musculaires observées chez elle étaient brusques, rapides,
à un caractère essen- tiel. Le tic n'est pas seulement une secousse musculaire brusque et inter- mittente ; il est encore une
se spontanée. Si cette secousse est liée à un phénomène sensitif ou musculaire antécédent, il ne s'agit pas d'un tic, mais d'u
nouvelles recherches pour nous occuper exclusivement des secousses musculaires que l'on observait dans t'hémiface paralysée et
partie antérieure ne se contracte dans cette manoeuvre. Secousses musculaires de l'hémiface gauche. - A l'état de repos de la f
une manière très légère ne détermine pas la production de secousses musculaires dans l'hémiface gauche. Mais, si on fait exéc
, on voit apparaître dans l'hémiface gauche de légères contractions musculaires en plusieurs points à la fois. Ces contractions
le cligne- ment volontaire ou provoqué est fort, plus les secousses musculaires sont nom- breuses et'appareates. En examinant c
nom- breuses et'appareates. En examinant chaque groupe de secousses musculaires , on est amené à constater ce qui suit : aux poi
er ce qui suit : aux points 1 et 2, on constate des tiraille- ments musculaires dirigés respectivement au premier point directeme
xaminant la motilité de ce muscle. Aux points 5 et 6, les secousses musculaires , quand elles y apparaissent, sont constituées par
ion un peu violente de l'orbiculaire provoquent les mêmes secousses musculaires : il en est de même de la contraction volon- ta
taire et soutenue de l'orbiculaire. Il n'existe jamais de secousses musculaires analogues sur les autres parties de l'hémiface
du palais, la luette, les piliers ne présentent aucune contraction musculaire synchrone au clignement des paupières, ni d'un cô
terne ne provoquent pas de contractions volontaires ou de secousses musculaires des muscles de l'héiniface gauche. En poursuiva
ts de paralysie faciale. On constate de nouveau les mêmes secousses musculaires synchrones au clignement des pau- pières. Il es
traits vers la gau- che est toujours très apparente. Les secousses musculaires de l'hémiface gauche provoquées par le cligneme
gnement des paupières fait toujours apparaître quelques secous- ses musculaires dans 1'liémiface gauche ; mais ces secousses sont
de mouvements associés dans l'hémiface gauche. L'action d'un groupe musculaire du côté gauche n'entraîne pas la moindre action
côté gauche n'entraîne pas la moindre action synergique de groupes musculaires du même côté ou du côté opposé. 4" Une absence
ulaires du même côté ou du côté opposé. 4" Une absence de secousses musculaires dans l'hémiface gauche à l'état de repos ou dan
ments habituels de la mimique faciale. 5° L'apparition de secousses musculaires dans l'hémiface gauche sous l'influence du clig
vue des mouvements convulsifs que présente sa figure. Ces secousses musculaires siègent dans la moitié droite de la face ; on n'o
ié gauche, et plus générale- ment le malade n'a jamais de secousses musculaires convulsives ailleurs, à la tète, au cou, au tro
tat de repos apparent. Elles se présentent sous la forme de secousses musculaires à fleur de peau, brèves, rapidement effacées, d
t-à-dire au niveau de la commissure labiale, existent des secousses musculaires de l'orbiculaire des lèvres, synchrones aux secou
eau du menton, au-devant de l'oreille, il n'existe pas de secousses musculaires analogues. Pas plus d'ailleurs qu'au niveau du pe
imique ou volontairement exécutés, n'exagèrent pas les contractions musculaires précédentes. Au contraire même, quand le malade
lexe ou volontaire. Ce rapport se démontre ainsi : i° les secousses musculaires de l'hémiface droite apparaissent au moment du cl
ngle par exemple, on fait apparaître à chaque contact les secousses musculaires du côté droit, qui sont d'autant plus intenses
on de l'orbiculaire est incapable de faire apparaître les secousses musculaires ; 7° enfin, dans le sommeil naturel, les paupière
cles de la face, en particulier du côté droit. Jamais les secousses musculaires précédentes n'ont amené d'occlu- sion complète
ion pleurétique. Pendant toute la durée de son séjour les secousses musculaires de l'hémi- face droite ont toujours présenté le
l. du front. Ils ne se localisent pas en général sur tout un groupe musculaire à la fois et ne réalisent pas un mouvement de l
du- lations très localisés. Ils sont intimement liés à l'activité musculaire des paupières du côté attouchement à la conjonc
'observent dans la face à l'étal normal. Il s'agit d'une syncinésie musculaire qui devient d'autant plus facile et plus étendu
nts du corps (fesses et ventre). Au niveau des mem- bres les masses musculaires sont peu saillantes, et la graisse assez abondant
Un trouble du développement portant sur le squelelte et le système musculaire , les organes génitaux, le système pileux, peut-êt
té d'Anatomie humaine. ... ' ? S YXIX -3 SUIt UN CAS D'ATROPHIE MUSCULAIRE CHEZ UN [NÈGRE PAR R A. AUSTREGÉSILO, Profe
de Rio de Janeiro. Dans nos services de clinique les cas d'atrophie musculaire ne sont pas rares. Cependant, nous n'avions jam
re ne sont pas rares. Cependant, nous n'avions jamais vu l'atrophie musculaire progres- sive dans la race noire où nos collègu
seigner sur ses antécédents de famille. Examen du malade. - Système musculaire el nerveux. A l'inspection on voit la dispropor
ction on voit la disproportion du développement de certains groupes musculaires . Le malade a le facies myopathique ; la bouche
uvei.le Iconographie DE la Salpêtrière. T. XXVI. Pl. LXI ATROPHIE MUSCULAIRE CHEZ UN NÈGRE (Auslrcgesito) Mnsson & C^,
E (Auslrcgesito) Mnsson & C^, Ehteurs SUR UN CAS D'ATROPHIE MUSCULAIRE CHEZ UN NÈGRE 431 rieur, le malade ayant le tho
is (Séance du 12 janvier 1911). Il s'agit, en effet, d'une atrophie musculaire progressive.. L'atrophie est nette dans plusi
trophie ; comme l'ont montré P. Marie et Guinon en 1885, l'atrophie musculaire n'a rien a voir avec le volume du muscle. Il s'
nt l'atrophie par la mollesse et la dépressibihté des autres masses musculaires et par l'absence des modifications il la contract
che, etc. La séparation qu'on faisait autrefois entre les atrophies musculaires par lésion de nutrition primitive et isolée de
musculaires par lésion de nutrition primitive et isolée de la fibre musculaire (prolo- spathiques) et les atrophies par lésion
olution lente sont des signes qui viennent à l'appui d'une atrophie musculaire dite primitive progressive, myopathique. La l
Fie 5. - Un vaisseau de la pie-mère. Stroma reticulaire de la couche musculaire . L. lumen. FiG. 6. -- A la partie supérieure,
(pli. LXIII, fig. 5) en formant un stroma reticulaire de la couche musculaire des gros vaisseaux et une 440 SNESSAREFF memb
une attaque de convulsions. Pendant l'attaque par les contractions musculaires , il se produit des conditions favorables pour l
rg très net. L'examen de la motilité démontre encore de l'hypotonie musculaire , surtout des muscles de la partie postérieure d
aractères dont les prin- cipaux sont constitués par des rétractions musculaires et aponévrotiques sans spasmodicité, parla flex
de l'articulation tibio-tarsienne, par l'intensité des rétractions musculaires et aponévrotiques, par la bila- téralité des lé
ur - jusqu'au mois de septembre 1910, mais pendant ce mois la force musculaire des jambes faiblit tellement qu'il dut recourir a
peut le mette en extension qu'en se servant de ses mains. Atrophie musculaire à la jambe et aux cuisses. - La motilité acti
jusqu'à la plante du pied. Avec le progrès de la maladie, la force musculaire de la jambe gauche a fai- bli, et le malade n'a
ne se produit pas. Les réflexes crémastériens sont abolis. Atrophie musculaire massive dans la cuisse et les jambes. Sensibili
'état général va empirant. Le malade a heaucoup maigri, vraie fonte musculaire , cachexie intense, alimentation très réduite. Inc
res supérieurs et inférieurs, pas de défor- formations ou atrophies musculaires . L'expression de la figure présente un cer- tai
complète impotence fonctionnelle des membres inférieurs et atrophie musculaire massive (le 3e de nos cas). On a noté des parap
ques, avec exagération des réflexes, signe de Babinski, contracture musculaire (Babinski, Sicard et Descomps, Blanchetière et
endant que l'autre avail les réflexes abolis et complète résolution musculaire . Les signes de localisation de la lésion manque
douleurs extrêmement violentes, la paralysie flasque avec atrophie musculaire , la modification des réac- tions électriques. C
de 1 épaule chez un tabé/ ! que), par Goi- 31L,s, 242. Atrophie musculaire chez un nègre, par AUSTEIEGESILO, 430. Base d
1. AUSTIOEGE'ILO (A.) (de Itio-de-Janeirol. Sur un cas d'atropine musculaire chez un nègre, 430. Babinski (,J.). JU.\OE ?
e Broca, cerveau (Déjeiune et ANDR6; THOaIS), XLIX à LI. Atrophie musculaire chez un nègre (Aus- THEGÉSILO). LXI. Basedcw
23 (1913) Exposé des travaux scientifiques
x constitués par des gaines lamelleuses contenant de petites fibres musculaires et des tubes ner- veux. Trois ans plus tard,
délimité par chacune de ces gaines, on voit un groupe de 3 à fibres musculaires striées, d'un diamètre plus ou moins considérable
le, et présentant généralement un plus grand FIG. i. Faisceau nouro musculaire . a,a. Fibres musculaires qui a-voisinent le fai
ment un plus grand FIG. i. Faisceau nouro musculaire. a,a. Fibres musculaires qui a-voisinent le faisceau neuro-muscu- l,iier
'espace délimi- tée par cette gaine on voit : c. Les petites fibres musculaires ; nombre de noyaux que ces dernières. Ces peti
aires; nombre de noyaux que ces dernières. Ces peti- tes fibres musculaires sont séparées les unes des au très par des fi
es. Dans certains de ces îlots on trouve aussi entre les fibres musculaires quelques tubes nerveux (voir fig. i). Dans d'
secondaires, dont la principale est occu- pée par de petites fibres musculaires ; dans une des zones accessoires se trouve un t
ariante de la précédente : le tronc nerveux et le groupe des fibres musculaires , au lieu d'être logés dans une gaine unique clois
X \IEURO-MUSCULAIHES il « Ces figures correspondent à des faisceaux musculaires , bien dis- tincts des faisceaux voisins par la
u sciatique, chez le lapin, une disposition particulière des fibres musculaires altérées, qui me paraît propre à faire comprend
'on peut y trouver, à tous leurs degrés, les altérations des fibres musculaires . Pour voir la disposition que je vais indiquer, i
le picro-carmin, soit par l'hématoxyline. Sur la plupart des fibres musculaires dépendant du nerf sciatique sectionné, les cham
ion du protoplasma non différencié. Sur un ccrlain nombre de fibres musculaires , il existe toute une couche protoplasmique par-
res sont tout à fait comparables à celles que présentent les fibres musculaires en voie de développement. On voit donc que l'at
lo- plasmique en voie de développement « Si l'on compare la fibre musculaire altérée à la fibre musculaire normale, voici co
eloppement « Si l'on compare la fibre musculaire altérée à la fibre musculaire normale, voici comment on peut comprendre le pr
comprendre le processus patholo- gique : à l'état normal, la fibre musculaire est un élément très diffé- rencié, dont la diff
u'ils écrivent à ce sujet : « Le caractère dominant de toute lésion musculaire a été exprimé par Durante. Tandis qu'à l'état s
sarcoplasme et noyaux) est subordonnée à la partie fonctionnelle ou musculaire différenciée en fibrilles, à l'état pathologiqu
TOLOGIE NORMALE ET PHYSIOLOGIE. PATHOLOGIE EXPÉRIMENTALE « La fibre musculaire , : 1 la suite de ces troubles d'innervation ou de
de physiologie, que chez les animaux à sang chaud la contractilité musculaire disparaît très vite après la mort, que l'irrita
période où, le bout périphérique du nerf étant dégénéré, les fibres musculaires ne présentent que des altérations morphologique
nerveux et que l'excitation électrique ne porte que sur les libres musculaires ; en d'autres termes, la réaction dite de dégé-
ce ne serait, en partie au moins, que la réaction propre des fibres musculaires . On pourrait donc expliquer la réaction de dégé-
duc à la persistance de l'excitabilité électrique propre des fibres musculaires à une période où celle des filets nerveux inlra
exagérés ; la percussion des tendons, comme aussi celle des masses musculaires , provoque une véritable trépidation, qui se pro
l'avant-bras étant immobilisé ne peut s'étendre et que la secousse musculaire seule est susceptible d'être observée. On obt
ment ses muscles, l'excitation d'un tendon détermine dans le groupe musculaire correspondant une série de contractions réflexe
« en monopolaire ou en bipolaire», on n'obtient pas de contraction musculaire . Or parfois, l'excitabilité faradique n'est abo
ale, que l'exci- tabilité faradique latente dénote une perturbation musculaire moins profonde que l'abolition de l'excitabilit
acture orga- nique et qu'elle peut être assimilée à une contraction musculaire voli- tionnelle. B. J'ai montré que, dans le
e faire une sub- division, et de distinguer deux formes de rigidité musculaire , qui souvent, il est vrai, s'associent l'une à
conduisit à penser que dans cette forme de contiacture la rigidité musculaire pourrait être supprimée par une opération sur l
ints de paraplégie avec contracture intense chez lesquels, la force musculaire paraissant absolument conservée, l'impotence ét
lait quelques observations nouvelles sur le phénomène de la crampe musculaire ( : 3 ? J'ai montré que dans certains états mor
p. 58), soit associé à une hémiplégie, une paraplégie, une atrophie musculaire progressive, une atrophie papil- laire ayant l'
de leur développement ; elles montrent qu'il existe pour le système musculaire , comme pour le système nerveux central. un lien
endineux dépend, dans l'espèce, d'une altération propre de la fibre musculaire . De plus. nous avons fait remarquer que l'aboli
de l'excitabilité idio-musculaire peut s'observer dans des groupes musculaires qui ont conservé l'excitabilité volitionnelle et
qu'il y a là une dis- sociation des divers modes de l'excitabilité musculaire (181). III. - AFFECTIONS DES NERFS NÉVRITES
la paralysie siège à l'avant-bras et se manifeste par une impotence musculaire ne s'accompagnant pas de douleurs, dans celle-l
tribue à ce mot ; il est évident, en effet, que toute con- traction musculaire modifie, dans une certaine mesure, la forme de la
ir, dans la paralysie faciale périphérique, succéder à la paralysie musculaire un état spasmodique ayant de grandes ana- logie
que spi- nale, on constate, comme l'a indiqué Erb, outre la raideur musculaire déterminant une attitude en extension, une simp
à des affections telles que le torticolis dit mental où la raideur musculaire est instable. Le qualificatif « spas- modique »
nsibilité objective était presque normale, et que, dans les groupes musculaires atrophiés, il n'y avait ni abolition complète d
ysie il est essentiel d'envisager les diverses formes de l'activité musculaire , les diverses modalités du mouvement et de rech
ésions pyramidales, paraissent ne pas le mo- difier. Hypotonicité musculaire . L'hypotonicité musculaire était un phénomène c
t ne pas le mo- difier. Hypotonicité musculaire. L'hypotonicité musculaire était un phénomène connu. J'ai mon- tré qu'elle
a déceler dans l'hémiplégie organique. a) A la face, l'hypotonicité musculaire qui provoque un abaissement de la commissure la
tonicité de celle qui dépend d'une contracture ou d'une contraction musculaire . b) Voici un moyen de mettre en évidence l'hypo
PLÉGIE ORGANIQUE 127 ration descendante peut provoquer une atrophie musculaire très pro- noncée et ayant les caractères histol
ayant les caractères histologiques que l'on assigne à l'atro- phie musculaire consécutive à la section des nerfs ou à la destru
risée par des lésions plus ou moins accentuées de l'appareil neuro- musculaire et appréciables, soit dans la totalité de cet app
erturbation centrale. Mes obser- vations ont montré qu'une atrophie musculaire peut résulter d'une modification dans l'état dy
tribution à l'étude de l'atro- 128 AFFECTIONS DE L'ENCÉPHALE phie musculaire chez les hémiplégiques» (Arch. de Dléd. exp. 1er
, c'est-à-dire provoqués ou non par l'activité de l'appareil neuro- musculaire . Les mouvements de la première catégorie sont q
manifes- tent dans ce qu'elle a de plus caractéristique l'activité musculaire , celle- ci entre encore en jeu dans les mouveme
long du corps, sans avoir oscillé, je puis affirmer que l'activité musculaire BA81\SKI. 9 130 AFFECTIONS DE L'ENCEPHALE e
oscillations à la manière d'un pendule. A l'état normal l'activité musculaire trouble presque toujours les mouvements passifs
ifs des entraves qui leur sont mises à l'état normal par l'activité musculaire . En résumé, dans laparalysic organique, l'aboli
du entre l'incita- tion volitionnelle et le début de la contraction musculaire . Je rappelle à ce propos que les divers trouble
Or, chez le cérébelleux, voici ce que l'on peut constater. Sa force musculaire est intacte; il exécute aussi promptement qu'un i
dire que les lésions cérébelleuses peuvent, sans diminuer l'énergie musculaire , provoquer en quelque sorte de l'inertie que tr
pable de marcher sans soutien et qui d'ailleurs possède une vigueur musculaire normale et n'a pas de troubles de sensibilité. Ap
e, du même trouble dans la coopération de deux ou plusieurs groupes musculaires entrant en action à l'occasion d'un mouvement c
ixité de cire, de mannequin, qui n'est troublée par aucune secousse musculaire , contrairement à ce qui se voit chez les 154 AF
illations du pied, celui du milieu est l'inscription des vibrations musculaires , celui d'en bas est le graphique du temps. me
t la réunion est exceptionnelle. L'association d'un affaiblissement musculaire à la per- turbation cérébelleuse, par exemple,
et intéressant la sensibilité au tact et à la température. Le sens musculaire est normal à droite et SYNDROMES BULBAIRES 159
nir ainsi, il est vrai, une déviation faciale due à une contraction musculaire ou à une contracture, un spasme glosso-labié, mai
passager, une légère douleur, un petit traumatisme, un froissement musculaire qui, rencontrant un terrain favorable, sera le po
érose en plaques (Thèse, Paris, )885, chez Masson). Il¡. Atrophie musculaire d'origine cérébrale avec intégrité des cornes ant
e, 20 février issu). 220 INDEX RIRLIOGRAPIIIQUE r5. De l'atrophie musculaire dans les paralysies hystériques (Archives de Neu-
me d'un système spécial constitué par des groupes de petites fibres musculaires entourées d'une gaine lamelleuse (Société de Bi
diverses autres affections (Id., r novembre 1892). 37. Des crampes musculaires dans le choléra et dans d'autres états pathologi-
de Médecine. Bulletin médical, 17 janvier igio). 166. Hypotonicité musculaire et réaction de dégénérescence (Société de Neuro-
spasmodique organique avec contracture en flexion et contrac- tions musculaires involontaires (Société de Neurologie, 12 janvier
des réflexes tendineux mi Phénomène des orteils 117 Hypotonicité musculaire 117 Signe du peaucier II\) kj Mouvement combi
24 (1892) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 1
ades l'ignorent et qu'elle se présente chez eux sous forme d'atrophie musculaire , en particulier des mains. Voici quelles sont l
ont des douleurs névralgi-formes. Puis vient la parésie avec atrophie musculaire plus ou moins accentuée, occupant la main et l'av
e.Celle-ci est caractérisée tout d'abord par des symptômes d'atrophie musculaire , notablement plus accentués que celle qu'on peut
cliniquement, d'une façon beaucoup plus nette, le type de l'atrophie musculaire de Duchenne-Aran. Il y existe aussi, il est vrai,
eau de blaireau), la piqûre, le chaud et le froid, avec perte du sens musculaire au niveau de la main. L'examen des yeux, pratiq
a, en aucun point du corps, de traces visibles à l'oeil nu d'atrophie musculaire . Les avant-bras donnent des résultats identiques
e ce doigt n'a pas été notée, ni celle à la chaleur. « La puissance musculaire est très diminuée dans la main qui ne peut serrer
paraît seulement un peu inférieure à celle du côté sain. Les reliefs musculaires sont normaux. Pas d'atrophie. « Pas d'anesthési
abolie dans toute l'étendue de la main (V. Fig. 10 et 11). Le sens musculaire est perdu dans la main, l'avant-bras. Si je lui f
c quelle douceur je remue la main malade. C'est qu'en effet le sens musculaire n'est aboli que dans la main et l'avant-bras. Il
iquer quelque mouvement à cette épaule, au niveau de laquelle le sens musculaire n'est point aboli et qui le guide dans la percept
faute de précautions, nous pourrions croire à une persistance du sens musculaire clans les segments du membre paralysé, ce qui n'e
pas de douleur. En aucun point du membre vous ne constatez d'atrophie musculaire , ni de troubles trophiques. La main présente ce
le terrain clinique, vous trouvez dans la syringomyélie les atrophies musculaires , souvent un élément spasmodique révélé par un cer
agnostic entre les deux maladies ne soit pas difficile. Les atrophies musculaires font, nous le savons aujourd'hui, partie du table
us ses modes, ce qui est hystérique au premier chef. De plus, le sens musculaire est perdu d'une façon assez grossière pour la mai
. Il en est de même de la chaleur et du froid. Légère perte du sens musculaire . La contracture des doigts de la main est exact
te (1). Cette distinction, qu'il appuyait sur l'absence de l'atrophie musculaire dans le premier cas, et sur sa présence et son ap
e point, ou du moins le fait n'a pas été noté, dans tel ou tel groupe musculaire sous la dépendance d'une même branche nerveuse.
sion du nerf scia- (1) Landouzy. — De la sciatique et de l'atrophie musculaire qui peut la compliquer. (Arch. gén. de mèd., 1875
sivement aux muscles du mollet, sans qu'il y eût pour cela d'atrophie musculaire bien manifeste. Il s'agissait d'un homme de vingt
éronier, et incomplète de l'extenseur propre du gros orteil. Atrophie musculaire manifeste à la région antéro-externe de la jambe
e petit bassin, se compliquer d'accidents graves, paralysie, atrophie musculaire , localisés exclusivement dans le domaine du nerf
éronier. Il n'existe pas non plus de douleur à la pression des masses musculaires du mollet. Une pression profonde assez énergique
rrain manifestement arthritique comme l'attestent les douleurs vagues musculaires et l'eczéma dont le malade a été atteint pendant
Dans I'Observation VII, nous avons vu l'anesthésie et la paralysie musculaire prendre à peu de chose près le même développement
s troubles de la sensibilité sont notablement moindres et les lésions musculaires prédominent, bien qu'on n'ait pas constaté dans l
es. Observation X (personnelle). — Sciatique ancienne avec atrophie musculaire et troubles de la sensibilité. Marie B..., âgée
s fibrillaires fréquentes et contraction isolée de quelques faisceaux musculaires . —• Sens musculaire affaibli des deux côtés. — Le
ntes et contraction isolée de quelques faisceaux musculaires. —• Sens musculaire affaibli des deux côtés. — Les réflexes patellair
oubles moteurs et sensitifs portant sur le territoire de distribution musculaire et cutanée de ce tronc nerveux; 2° Cette compli
ment, on est arrêté par une résistance qui n'est point une résistance musculaire , élastique. Il s'agirait donc d'un pied bot équin
, 28°,4 30», électrique, on obtienne le retour des contractions musculaires , le pied n'en restera pas moins fixé en équin, et
de cet ensemble symptomatique, démarche de stepper, douleur, atrophie musculaire , pied violacé et œdémateux, fut qu'il s'agissait
vions douter de sa sincérité. Mais voilà que la pression des masses musculaires ne semblait occasionner qu'une douleur insignifia
réflexes patellaires, l'absence des douleurs à la pression des masses musculaires . J'ajoute que, s'il n'est pas impossible que l'al
mbres inférieurs ; elle est partielle et incomplète, certains groupes musculaires sont paralysés ou seulement affaiblis, alors que
ives ? 2° Ces sciatiques peuvent-elles amener des troubles trophiques musculaires et cutanés aussi graves que ceux que nous avons s
bes et ophthalmoplegic externe. Ophthalmoplegie externe et atrophie musculaire généralisée constituant un syndrome à part (polio
legie nucléaire comme on l'appelle encore, coïncidant avec l'atrophie musculaire plus ou moins généralisée des membres, atrophie q
ement comme dans la paralysie faciale a frigore l'extrémité des nerfs musculaires extérieurs, tandis que les branches oculo- motr
cornes antérieures de la substance grise de la moelle dans l'atrophie musculaire progressive du type Duchenne-Aran ou dans la sclé
espectés, tout comme lorsqu'il s'agit de la moelle, dans l'atrophie musculaire du type Duchenne-Aran, où l'altération porte excl
clinique, il faut toujours compter, lorsqu'il survient de l'atrophie musculaire dans le tabès, qu'elle soit bulbaire ou spinale,
lieu de rappeler la combinaison qui se fait quelquefois de l'atrophie musculaire du type Du-chenne-Aran (poliomyélite antérieure c
ans lesquels il y a ophthal-moplégie, ataxie locomotrice et atrophies musculaires tabétiques. Parmi les observations de ce genre,
'un d'eux l'ophthalmoplégie externe se trouve combinée à une atrophie musculaire généralisée à marche lente et progressive, reprod
te leçon. (G. G). affection connexe, la syringomyélie avec atrophie musculaire , là où l'atrophie est évidemment de cause spinale
dans le cas actuel. Nous admettrons plutôt que parmi les atrophies musculaires d'origine spinale, les unes, suivant des circonst
he, à l'histoire du type Duchenne-Aran, c'est une sorte de rétraction musculaire ou tendineuse peut-être, qui est très remarquable
mplète de l'avant-bras, Il s'agit bien là de rétraction tendineuse ou musculaire et non de contraction spasmodique. Il suffît, en
labio-glosso laryngée (paralysie bulbaire totale), soit à l'atrophie musculaire généralisée (polioencéphalomyélite). — Diagnostic
ui résulte de la lésion similaire du bulbe inférieur, ou à l'atrophie musculaire progressive due à l'altération portant sur le sys
externe combinée à la paralysie labio-glosso-laryngée et à l'atrophie musculaire progressive ; lésion systématique des noyaux mote
r extrême, due plutôt à de l'amaigrissement simple qu'à de l'atrophie musculaire véri- (1) Cette malade a été observée à la cons
la moelle lombaire. L'ophthalmoplégie externe s'associe à l'atrophie musculaire progressive le plus souvent et de la façon la plu
ux fois et toujours à un degré beaucoup moins prononcé que l'atrophie musculaire et les symptômes de paralysie bulbaire supérieure
mplète de l'avant-bras. Il s'agit bien là de rétraction tendineuse ou musculaire et non de contracture spasmodique, puisque les ré
la légère rougeur congestive de la muqueuse des cordes. L'atrophie musculaire est considérable au niveau du cou, du thorax et d
contact, ni à la douleur, ni à la température. Le sens articulaire et musculaire est partout conservé. Le malade n'a jamais éprouv
toujours à peu près dans le même état, en ce qui concerne l'atrophie musculaire des membres supérieurs. Le mal s'est un peu aggra
ent le fémur à travers les muscles atrophiés. Enfin toutes les masses musculaires de la jambe et de la cuisse présentent une molles
é leur puissance normale, il n'y a pour ainsi dire pas un seul groupe musculaire qui soit indemne. Elle est manifeste au niveau de
voir les détails du squelette à travers le deltoïde réduit à une lame musculaire insignifiante. L'atrophie des membres inférieur
ante, insuffisamment maintenue par un appareil ligamenteux et surtout musculaire trop faible. L'atrophie des muscles du mollet est
l y a diminution quan- titative et non qualitative de Vexcitabilité musculaire ; Vin-version de formule fait complètement défaut.
modes (frôlement, chatouillement, piqûre, froid, chaleur). Le sens musculaire n'est pas altéré, non plus que la sensibilité art
u côté du front, des joues, des lèvres, de la langue, au point de vue musculaire . Signalons seulement que par instants il existe u
istique. La combinaison de l'ophthalmoplégie externe et de l'atrophie musculaire ne permet pas le doute un seul instant. Les lig
ution. La polioencéphalite avec ophthalmoplégie externe et atrophie musculaire pourrait être confondue avec un certain nombre
dépression plus ou moins considérable due à la disparition des masses musculaires . Les bras sont inertes, pendant le long du corps,
ions, proportionnelle à la diminution supposable du nombre des fibres musculaires saines. Chez nos malades on trouve une diminution
hie myopathique où la contractilité persiste tant qu'il y a une fibre musculaire saine. Donc l'assimilation absolue entre les deux
hiés en masse, sans prédominance de l'atrophie dans tel ou tel groupe musculaire et sans troubles de la sensibilité. La contractil
nsèques (poliomyéliques antérieurs, postérieurs et médians). Atrophie musculaire , troubles de la sensibilité, troubles tro-phiques
ns, par l'histoire de la paralysie spinale infantile et des atrophies musculaires progressives spi-~ nales, qu'ils consistent en de
culaires progressives spi-~ nales, qu'ils consistent en de l'atrophie musculaire . Pour ce qui concerne les symptômes poliomyéliq
tière. 1° Symptômes parétiques amyotrophiques. Il s'agit d'atrophie musculaire analogue à celle du type Du-chenne-Aran, avec sec
exemple dans l'hystérie et dans la lèpre; mais, combiné à l'atrophie musculaire progressive généralisée dans de certaines conditi
bilité sont distribués par segments, et ils ne portent ni sur le sens musculaire ni sur les appareils sensoriels. La syringomyél
che de stepper; paralysie double des extenseurs du pied avec atrophie musculaire dégénérative. — Glycosurie considérable. Analog
nom de démarche de stepper et qui paraît tenir à ce que la paralysie musculaire dans les membres inférieurs prédomine sur les ext
la démarche de stepper, dû vraisemblablement surtout à une paralysie musculaire portant principalement sur les extenseurs du pied
ale droites, moins à gauche. Rien dans les poumons. Trouble du sens musculaire (doigt mis sur le bout du nez) plus accentué les
d est véritablement tombant. On ne constate cependant aucune atrophie musculaire nette aux membres inférieurs. Il y a un amaigriss
nférieurs. Il y a un amaigrissement très notable de toutes les masses musculaires mais surtout du tissu cellulaire sous-cutané. L
ron à trois ans, et qu'il n'y a nulle trace de spasme ni de secousses musculaires . Voilà donc une paralysie faciale bien constaté
e, l'extension possible au domaine du facial supérieur, les secousses musculaires qui l'accompagnent, etc., etc. Tout récemment,
dans le côté droit du corps est redevenue normale ainsi que la force musculaire ; les réflexes sont normaux et égaux des deux côté
re; les réflexes sont normaux et égaux des deux côtés. Pas d'atrophie musculaire . La sensibilité générale est abolie dans tout l
u membre supérieur droit existent à la fois des troubles sensitifs et musculaires diversement répartis. Les premiers occupent la fa
-bras, les extenseurs. La physionomie des lésions rappelle l'atrophie musculaire du type Duchenne-Aran. Ajoutons que la peau, non
le toucher ne dénotent rien dans le canal rachidien. Suture des plans musculaires au catgut ; suture de la peau au crin de Florence
ien relevé M. Déjerine, que l'on a fort souvent rapporté à l'atrophie musculaire du type Aran-Duchenne des cas où seule la syringo
rononcée, se montrait combinée aux symptômes classiques de l'atrophie musculaire progressive (2). » Mais la confusion de la syri
essive (2). » Mais la confusion de la syringomyélie avec l'atrophie musculaire n'est pas bien certainement la seule erreur de di
parfaitement sain. Ni à gauche, ni à droite, il n'existe d'atrophie musculaire proprement dite, mais les muscles du côté gauche
caractériser la syringomyélie. En somme, à part l'absence d'atrophie musculaire , rien ne manque au tableau. Et même, si l'on voul
ique et compliquée d'exagération des réflexes tendineux et d'atrophie musculaire en masse. Cette atrophie très notable — les chiff
r des îlots scléreux, et cette destruction peut produire une atrophie musculaire avec secousses fîbril-laires et, au dernier terme
énergiques, elle avait tout le corps secoué par une véritable folie musculaire .....La nuit se passa dans une agitation convuls
sibilité est intacte sur tout le corps, dan s tous ses modes. Le sens musculaire est parfaitement conservé. La malade n'a jamais
chez Mme X... une hémianesthésie gauche incomplète avec perte du sens musculaire de ce côté, sensation de pesanteur des membres ga
s. Goût aboli à droite. Ouïe très légèrement diminuée adroite. Sens musculaire intact. Obs. V. — La nommée Marguerite Mon...,
bès et ophthalmoplégie externe. Ophthalmoplégie externe et atrophie musculaire généralisée constituant un syndrome à part (polio
labio-glosso-laryngée (paralysie bulbaire totale^, soit à l'atrophie musculaire généralisée (polioencéphalomyélite). —Diagnostic.
nsèques (poliomyéliques antérieurs, postérieurs et médians). Atrophie musculaire , troubles de la sensibilité, troubles tro-phiques
che de stepper; paralysie double des extenseurs du pied avec atrophie musculaire dégénérative. — Glycosurie considérable. Analog
ue cérébrale, 373, 386. Arthritisme et névropathie, 368. Atrophie musculaire progressive de Duchenne Aran (diagnostic avec la
ysie générale et l'ataxie locomotrice, 177; — combiné avec l'atrophie musculaire généralisée (polioenoéphalomyélite), 187, 201, 20
25 (1907) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 20] : iconographie médicale et artistique
anifestations de négativisme (contradiction et opposition, raideurs musculaires ,.....), de suggestibilité (états calaleptiforme
rs, qui brusquement fait place à une phase de stupeur avec raideurs musculaires , constriction des mâchoires, refus d'aliments,
stupeur complète : mutisme, mêmes attitudes stéréotypées, raideurs musculaires . - Il passe la plus grande partie de ses journé
scours, l'opposition dans les actes, et les résistances ou raideurs musculaires . Ces trois aspects ob- jectifs du négativisme s
slin (arcs. de Neur., 1888) nous avons signalé deux cas de raideurs musculaires catatoniques chez des paralytiques gé- nérales.
e s'assurer qu'il n'y a pas de contracture réelle et que la raideur musculaire n'est qu'une réaction de défense, d'opposition
exes rotuliens, appréciables aujourd'hui, sont normaux'; les masses musculaires sont flasques et paraissent amoindries ; les ja
l que nous venons de décrire. Notons enfin l'intégrité des masses musculaires et des diverses articulations autres que celles
T BABONNEIX mais, en tout cas, elles respectent absolument le tissu musculaire , et, même au niveau de la colonne vertébrale, o
CANTONAL DE GENÈVE LABORATOIRE DE M. LE PROFESSEUR BARD. ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE DES MEMRRES SUPÉRIEURS TYPE ARAN-DU
ion) (1) PAR E. LONG (de Genève). Le classement des atrophies musculaires progressives semble pouvoir être tenté bientôt
I. V A. Photographie de la malade en 1892. (Depuis lors, l'atrophie musculaire n'a pas fait de progrès notables). B. Nerf mé
s). B. Nerf médian. Coupe transversale. (Pal et Carmin). ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE DES MEMBRES SUPERIEURS TYPE ARAN-DU
DUCHENNE, PAR NEVRITE INTERSTITIELLE HYPERTROPHIQUE. LONG. ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE DES MEMBRES SUPÉRIEURS si pendaison
atons que les membres supérieurs seuls sont atteints par l'atrophie musculaire ; le tronc et les membres inférieurs sont indemne
plus accusée à gauche. La répartition et l'intensité de l'atrophie musculaire concordent bien avec la des- cription faite en
ux). En somme, le diagnostic le plus probable est donc : atro- phie musculaire progressive de nature myélopathique à distributio
plasme des voies biliaires. Pour vérifier le diagnostic d'atrophie musculaire de nature myélopathique on enlève la moelle et
Neif médian, coupe longitudinale. ([>,11 et Carmin). ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE DES MEMBRES SUPERIEURS TYPE ARAN-DU
EVRITE INTERSTITIELLE HYPERTROPHIQUE. (Long, de Genève.) ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE DES MEMBRES SUPÉRIEURS 49 pelle les
mer FiG. 3. - Nerf médian. Pal et carmin. Oc. 1, obj. 3. ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE DES MEMBRES SUPÉRIEURS 51 un feutra
fibre du nerf médian. Pal et carmin. Oc. III, obj. 6. ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE DES MEMBRES SUPÉRIEURS 53 Nombre de
e antérieure C VIII. Hématoxyline-éosine. Oc. III, obj. 6. atrophie musculaire PROGRESSIVE DES MEMBRES SUPÉRIEURS 55 est notab
ier et dans le fragment pris sur le muscle biceps toutes les fibres musculaires ont disparu. Les fibres musculaires que l'on vo
muscle biceps toutes les fibres musculaires ont disparu. Les fibres musculaires que l'on voit sur les coupes du deltoïde sont de
séquilibre mental habituel. A l'âge de 44 ans, début d'une atrophie musculaire progressive au niveau de la main gauche, type Ara
la malade ce cas a été considéré à tort comme un exemple d'atrophie musculaire progressive de nature myélopathique (poliomyélite
la moelle le sont également (poliomyélite antérieure chro- atrophie musculaire PROGRESSIVE DES membres SUPÉRIEURS 57 nique, sy
istance et leur localisation aux régions attein- tes par l'atrophie musculaire . Il y a là un fait important qui doit permettre
t établies ni où elles avaient \ leur maximum. Quant à l'atrophie musculaire il est bien évident que dans ce cas elle est du
difficilement des fibres. Friedreich danssonouvragesur «L'atrophie musculaire progressive »(3) donne deux observations anatom
mportantes pour le sujet qui nous occupe. L'observation I (atrophie musculaire progressive de la main droite et des membres in
e névrite chronique interstitielle. Dans l'observation II (atrophie musculaire progressive des membres supérieurs et inférieur
und ùber wahl'e und faslehe Mus- kelhypcrtrophie, 1813. atrophie musculaire PROGRESSIVE DES membres SUPÉRIEURS 59 res et de
lème et du tissu interfasciculaire des troncs nerveux et des filets musculaires . Les filets sensitifs de la peau sont' intacts.
ir l'existence d'une forme dite neurotique ou neurale de l'atrophie musculaire progressive dans laquelle il faisait rentrer en
elle est normale. Dans l'observation II de Dubreuilh où l'atrophie' musculaire progressive est nettement familiale, la diminutio
lésions souvent juxtaposées d'hypertrophie et d'atrophie des fibres musculaires . La moelle (1) HOFFMANN, Uber neurotische progr
ie, 1889, p. 661. (2) DUBREMLH, Etude sur quelques cas d'atrophie musculaire , etc. Revue de méde- cine, 1890, p. 441. 1 60
phique avec les diverses formes cataloguées en Allemagne atro- phie musculaire progressive neurotique et en France amyotrophie t
reuves de la nature périphérique des lésions causales de l'atrophie musculaire (atrophie (1) Marinesco, Contribution à l'étude
y a quelques années encore. Actuellement la question des atrophies musculaires pro- gressives a évolué vers une conception gén
x, fibres périphériques motrices,sensitives ou sympathiques, fibres musculaires ). On ne peut les interpréter que comme des phénom
en importance les lésions atrophiques des éléments nerveux ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE DES MEMBRES SUPÉRIEURS 63 ou muscul
veux ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE DES MEMBRES SUPÉRIEURS 63 ou musculaires . A proprement parler ce n'est pas une hypertrophi
atologie. Ces lésions d'atrophie régressive des éléments nerveux ou musculaires avec ou sans hypergenèse des éléments interstit
vons des variantes nombreuses. Dans le cas de Virchow où l'atrophie musculaire avait atteint les mem- bres inférieurs puis les
forme répond à l'étendue des lésions ; en même temps que l'atrophie musculaire prédominant aux extrémités il y a des troubles
ogiques et ne pas les limiter à l'examen des appa- reils nerveux et musculaires . Quant à l'observation que nous publions ici, e
ique. On y trouve en effet sur les coupes transversales et ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE DES MEMBRES SUPÉRIEURS 65 longitudi
tives. Cliniquement, ces lésions se sont traduites par une atrophie musculaire progressive, limitée aux membres supérieurs ave
e n'est pas influencée par l'occlusion des yeux (PI. VII). La force musculaire est conservée d'une façon à peu près égale dans ,
e et un peu aussi de l'ataxique. Pas de Romberg (PI. VII). La force musculaire est très bien conservée dans tous les segments de
des mouvements. Pas de latéropnlsion. Signe de Romberg. La force musculaire est bien conservée dans tous les segments des mem
y a encore chez les trois malades quelques troubles de la synergie musculaire , dont la valeur diagnostique dans les affections
plutôt du tremblement intentionnel que de l'ataxie vraie. La force musculaire est à peu près également conservée dans tous les
ée par les lésions du cervelet. De même les troubles de la synergie musculaire , le tremblement particulier dans les extrémités s
n debout les yeux fermés, le signe de Romberg est ébauché. La force musculaire est difficile à apprécier, car tous les membres s
l'amaigrissement général très accusé. Il n'existe pas d'atrophie musculaire localisée et l'examen électrique ne mon- tre au
cela contrarier quelque peu la nature. Les rapporls, les fonctions musculaires , on en parlait assurément en quelques mots ; ma
corps humain. Enfin, certainement, il faut enseigner les insertions musculaires , exiger qu'elles soient bien sues. C'est l'A. B
sous forme de bourrelets qui métamorphosent les contours osseux ou musculaires sous-jacents. Témoin la région du flanc avec le
les modifications morphologiques qui résultent des différents états musculaires : contraction, relâchement, distension, au cour
ANATOMIQUE 111 saines la recherche des saillies osseuses, des bords musculaires , des ten- dons, des artères. Connaissant ces él
terne combinée à la paralysie glosso-labio-laryngée et à l'atrophie musculaire progressive (Nouv. Iconographie de la Salpêtriè
n'y a pas de rigidité dans les mouvements passifs ; pas d'atrophie musculaire . Le membre inférieur droit présente d'une façon
antérn-externe ; le biceps sural est le moins atteint. Les reliefs musculaires des deux tiers supérieurs de la cuisse sont trè
CÉRÉBRALE INFANTILE ET PARALYSIE SPINALE INFANTILE 125 de la force musculaire dans les divers segments du membre ; le pied est
rticulation de la hanche et du genou. Pour ce qui est de la force musculaire , on peut dire qu'il existe dans tous les segmen
paralysé, en état de flaccidité complète et présentant une atrophie musculaire totale très accusée. La présence du signe de Ba
tosiques, exagération des réflexes tendineux, peu ou pas d'atrophie musculaire ),; à droite, une paralysie flaccide du membre i
à droite, une paralysie flaccide du membre inférieur (avec atrophie musculaire , abolition des réflexes tendineux et de la R. D
antes, atténuation de la paralysie qui se limita à certains groupes musculaires . L'examen fait par Negro 5 mois plus tard révèl
n, dimi- nution légère du réflexe cutané plantaire ; pas d'atrophie musculaire , exci- tabilité électrique partout intacte. .
infantile de la jambe droite, avec raccourcissement, forte atrophie musculaire , abolition des réflexes tendineux, pied équin ;
rose qui par sa face profonde envoie une travée séparant deux loges musculaires . Cette aponévrose est épaissie et la travée inter
égion a été débité en coupes pa- rallèles à la direction des fibres musculaires et on voit ces dernières l'état de dissociation
vons parlé dans un article précédent (1). ? (1) E. Long, Atrophie musculaire progressive des membres supérieurs type Aran- D
fférents systèmes, la coexistence des trou- bles trophiques osseux, musculaires et conjonctifs à la suite de lésions des cornes
eut observer isolément des troubles tro- phiques du système osseux, musculaire et conjonctif autorise à admettre l'existence d
hoedè- me familial et les dystrophies également familiales du tissu musculaire . De nouvelles recherches sont assurément nécess
hyroïde qu'on a plusieurs fois trouvé atrophié, ni celle des masses musculaires profondes. Le dos, la poitrine et l'abdomen pré
peau et de graisse, mais ne correspondent nulle- ment à des reliefs musculaires . En résumé, « c'est là une oeuvre d'art pleine
mis à leur faire distinguer sous la peau du modèle ces divers états musculaires qui sont la manifestation de la vie, et aussi d
sie seule persista. Le .début apoplectiforme à la suite d'un effort musculaire , le manque de toute autre cause étiologique (su
lités de la sensibi lité, comme les sensibilités profondes, le sens musculaire , le sens stéréognostic. Et cela d'autant plus,
tendineux, douleurs à la pression des troncs nerveux et des masses musculaires , hypoesthésie tactile et douloureuse, douteuse
bdominales ; douleur à la pression des troncs nerveux et des masses musculaires , pression très pénible à la partie antérieure et
extrémités ou que l'on comprimait les troncs nerveux et les masses musculaires ; cela me démontra clairement l'existence d'inten
ie, 123 battements, sans fièvre ; douleurs intenses à la pres- sion musculaire , quand en le meut ou qu'on change sa position, ce
ovoquées par les changements déposition, par la pression des masses musculaires et des troncs nerveux, sont un in- dice d'une g
ong supinateur gauche qui est peut-être un peu volumineux. La force musculaire est fortement diminuée et cette diminution ne se
-bras. Mais il na s'agit là que d'une diminution légère de la force musculaire . Au contraire, l'extension de l'avant-bras, l'add
aillante comme on le voit rare- ment chez les garçons. ' La force musculaire est diminuée dans la flexion dorsale du pied, con
circulation sont nor- maux. La sensibilité est normale ; la force musculaire est peu développée ; les réflexes patellaires s
sont positifs, tant à droite qu'à gauche. Il n'y a pas d'atrophie musculaire appréciable. L'examen électrique prati- qué par
anière abso- lue. Il ne paraît guère, toutefois, exister d'atrophie musculaire et l'examen électrique ne montre aucune modific
ire qui est contracturée particulièrement M gauche, et une atrophie musculaire diffuse, prédominant sur les muscles de l'omoplat
arthropathie de l'épaule et chiromégalie du côté droit, atrophie J musculaire diffuse), et les troubles vasomoteurs (rougeur et
ue du bras), mais peu profondément puisqu'il n'y a guère d'atrophie musculaire ni de trou- bles des réactions électriques..
rtain nombre de muscles de l'omoplate et du dos ; mais ces troubles musculaires sont en général bilatéraux, ils ne sont pas trè
PHÉNOMÈNES BULBAIRES 273 puisse invoquer chez ce malade la théorie musculaire (théorie de Roth) pour expliquer la production
is aussi anomalies multiples, portant en particulier sur le système musculaire . Après avoir décrit notre dissection en tous se
Ce muscle est innervé par un rameau du mé- dian. Cette formation musculaire (k) représente la partie superficielle du pronato
-dire la couche superficielle élimi- née, on constate que la couche musculaire profonde est très réduite et très inti- , Fig
ère radiale ; j, Artère cubitale ; k, Rond pronateur ; l, Formation musculaire anormale; m, Portion ten- dineuse du rond prona
ce antérieure, assez étroite, du corps du radius ; l'autre faisceau musculaire (c), fort mince, mais étalé, part de la partie
eur ; j, Muscle anormal ; k, Son tendon inférieur ; l, m, Faisceaux musculaires anormaux représentant la couche profonde. HÉM
dont nous avons parlé ; le nerf cubital innerve les deux faisceaux musculaires internes profonds ; dès la partie moyenne de la f
ortion supérieure du triceps est assez développée, et les faisceaux musculaires , très courts, s'insèrent sur le fragment osseux
terne. Ces muscles circons- crivent une espèce de pyramide à parois musculaires , dans l'intérieur de la- quelle on ne sent qu'u
nt dans la peau du moignon. Le tubercule cutané ne reçoit ni fibres musculaires ni filet nerveux apparent. Moelle épinière. Apr
de façon à converger immédia- tement l'un vers l'autre.. Le système musculaire du bras était complet ; mais les muscles, notam
uer ; 2° Plus en dedans et sur le même plan, il y a une autre masse musculaire qui représenterait pour nous le faisceau corono
erait pour nous le faisceau coronoïdien du fléchisseur. Cette masse musculaire , plus grêle, se fixe à la partie inférieure de l'
dducteur du pouce; à l'éminence hypothénar, il y a une petite masse musculaire peu développée où on croit constater l'adducteur
tre cependant y a-t-il un pédieux représenté par quelques faisceaux musculaires qui partent des couches aponévrotiques recouvrant
ici le moins développé et il reçoit du demi-membraneux un faisceau musculaire effilé qui part de la partie moyenne de la cuis
le tendon d'Achille. Plus profondément, on voit par- tir des fibres musculaires qui représentent le soléaire et le poplité réunis
il donne un rameau palmaire cutané ; à la main, il donne un rameau musculaire à l'é- minence thénar et quatre autres pour les
le, qui arrive à l'éminence thénar, à laquelle il donne des rameaux musculaires , et se termine en deux rameaux pour la main. La
res radiale et cubitale et allant se perdre dans les petites masses musculaires épitrochléenne et épicondylienne. Le nerf média
ès avoir côtoyé le bord interne de l'olécrâne, plonge dans la masse musculaire de la région interne du moignon et disparaît au c
dius, pour se perdre dans le court espace interosseux. Les masses musculaires épitrochléennes et épicondyliennes sont respectiv
ans le tiers supérieur. Le cubital, lorsqu'il a fourni ses branches musculaires s'épuise au voisinage du tiers inférieur ; le m
rtion du biceps ; la courte portion est à peine indiquée ; le corps musculaire n'existe pas différencié. Le vaste externe est
postérieure du bras, il est impossible de différencier un faisceau musculaire ; à la partie inférieure seulement un tendon assez
malement le collatéral externe du Se. La distribution artérielle et musculaire a suivi la même division, les tendons des doigts
bilatérale. La motilité est normale, la marche régulière, la force musculaire très grande. Ainsi au dynamomètre on obtient 46
te. Si- gne de Babinski unilatéral (côté droit). A droite le sens musculaire est diminué ainsi que le sens stéréognostique.
s, se faisaient cependant avec une force suffisante. Pas d'atrophie musculaire . Il ne semble pas y avoir des troubles grossiers
paralysés, sans atrophie, avec conservation suffisante de la force musculaire : la voie motrice est, dans la moelle, à peine
ée ou non d'inflammation, des éléments anatomiques. Les atro- phies musculaires en constituent un des exemples les plus nets et l
cas, tellement accentuée qu'elle empêche de constater l'atro- phie musculaire ainsi que l'a observé Macfarlane (4). Dans ces
me porte aussi bien sur la longueur que sur la largeur ; l'atrophie musculaire est généra- lement prononcée dans la syringomyé
tteint d'une poussée de névrite des deux sciatiques avec atro- phie musculaire très marquée ; et les cas de purpura accompagnant
les sont beaucoup plus marqués, nous pouvons répartir les anomalies musculaires en trois groupes : 9 Muscles reconnaissables, m
éalité seulement confondus et compris dans de plus complexes masses musculaires , apparaissent à la fin de la sixième semaine, o
n Harmon LEwis). Après la troisième semaine : Formation de cellules musculaires sur la partie centrale du myotome. Après la q
contraste par sa position et la direction de ses fibres. Les fibres musculaires du groupe des extenseurs ne s'étendent pas aussi
vés, dès le début de leur apparition, mais sont, tant à leur partie musculaire qu'à leur partie distale, fibreuse, séparés des
s élé- ments. Ainsi, dans les muscles les plus petits, les fibres musculaires ont le même volume que celle du muscle correspo
e M. Follin). . LE DOUBLE (A.-F.). Traité des variations du système musculaire de l'homme, 1897, '2 vol. LETULLE (M.) et Mar
méd. 1889. PRENANT. - Contribution à la connaissance des anomalies musculaires . RABAUD (Et ? 1898. - Thèse doctorat ès-scienc
nne, Auxerre, 4870, XI, 10-12, 2 pl. ' TESTUT. Traité des anomalies musculaires . Tiedmann. - Zeitschrift sur Physiologie, 1829.
l'apathie, de la peur d'espaces, ainsi que de légères contractions musculaires involontaires (tremblement fasciculaire) et la se
tuel. - La malade, de taille moyenne,présente le système osseux et - musculaire bien développé. Visage un peu pâle. Maxillaire in
,un manque d'énergie, de I apathie, des fourmillements, des spasmes musculaires , un affaiblissement de l'attention, la sensatio
mois environ son maximum. Mais dès ce moment cette violente action musculaire est corri- gée par une réaction légère : l'appo
correction, mais il ne peut obtenir qu'avec peine le relâche- ment musculaire complet. Le phénomène de la chute des bras se con
demande de le laisser retomber inerte le long du corps, la détente musculaire im- médiate et absolue ne peut pas être obtenue
ou à l'extension, qui s'oppose à la production du réflexe. Le tonus musculaire est donc anormal, et cette anomalie se traduit
i une sorte d'hésita- tion, de vigilance inopportune dans les actes musculaires , chaque mus- cle ébauchant une contraction qui
ui paraît bien'témoigner d'un certain trouble du contrôle des actes musculaires volontaires. Un examen électrique a été pratiqu
combinés des différents segments du corps. Exercices de relâchement musculaire . 3° Exercices de lecture, d'écriture surveillée
u bâillement. Taurone doit faire aussi des exercices de relâchement musculaire . Ceux- ci semblent lui avoir rendu un grand ser
de courtes immobilisations, et surtout des exercices de relâchement musculaire . 3° L'effet correcteur et reposant du miroir pe
ins malades semblent bien être la conséquence de leurs contractions musculaires exagérées. Elles ne précè- dent pas les phénomè
ation des doigts s'observe parfois dans les cas où les contractions musculaires sont très violentes. , 3° Il n'est pas rare d
l, sans pouvoir trouver une position favorable, et les contractions musculaires persis- 480 . HENRY MEIGE taient; enfin le so
piratoires ont parfois un effet sédatif, en favorisant les détentes musculaires , surtout à la fin de l'expiration. , 3° Il est
mporte de noter ici les contractions limitées à de petits faisceaux musculaires que le malade qualifie de «pulsations». Cette com
ajouter pour être complet, que mon état général d'hyperexcitabilité musculaire est le même ; je m'en rends compte au soubresau
ns ceux-ci le courant d'énergie destiné à produire les contractions musculaires ou le supprime, qui est altéré ou faussé. La ré
le premier cas. On s'était exercé à décontracter certains faisceaux musculaires , d'autres sont arrivés à la res- cousse ; on tâ
nuque, s'exécute maintenant d'une façon complète ; quelque faisceau musculaire a cédé pendant que d'autres sont entrés en cont
ans un cas de trophoedème congénital (t pt.), 155. Long. Atrophie musculaire progressive des membres supérieurs, type Aran-D
rché mort et l'écorché en vie, par Henry MEIGE, 97, 174. Atrophie musculaire progressive des mem- bres supérieurs, type Aran
26 (1892) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 1. Leçons sur les maladies du système nerveux
traumalique, pemphigus. — Glossy Skin des auteurs anglais. — Lésions musculaires : atrophie. — Lésions ar-ticulaires ; lésions oss
n, etc. Eruptions cutanées diverses (zona, pemphigus, etc.), atrophie musculaire , arthropathies, qui, en pareil cas, se développen
la manière des tubes nerveux qui viennent s'appliquer sur les fibres musculaires . La cause du mouvement de nutrition est dans les
eu, àmon tour, l'oc-casion de l'observer plusieurs fois, l'altération musculaire se dé-veloppe très rapidement ; quelques jours à
a-tion, elle est déjà très prononcée. Bientôt l'émaciation des masses musculaires devient appréciable etelleprogresse ensuite très
périphéri-ques, outre une atrophie plus ou moins prononcée des masses musculaires , des éruptions cutanées diverses, mais se rappro-
inférieure de la région cervicale. L'érythème, le zona, l'atrophie musculaire , certaines arthro-pathies, eniin, ont pu être rat
adulte, paralysie générale spinale ('Duehenne, de Boulogne), atrophie musculaire progressive, etc. —Rôle prédomminanl des lésions
sions delà substance grise dans la production des troubles trophiques musculaires . — La proposition de M. Brown-Séquard s'applique
t, entièrement abolie quatre jours après leur section, l'irritabilité musculaire , lorsqu'i l s'agit du nerf facial, persiste dans
logistes en sont, si je ne me trompe, à se demander si l'irritabilité musculaire disparaît jamais complè-tement à la suite de la s
maigrissement. Il est vraisemblable qu'un certain nombre de faisceaux musculaires s'atrophient et disparaissent ; dans la plupart d
ues ; toutefois, suivant lui, la dégénérescence graisseuse des libres musculaires ferait souvent défaut d'une manière absolue (3).
er lieu, le physiologiste pratique la section ou l'excision des nerfs musculaires ; en second lieu, il a recours à l'excitation éle
point de vue de leur action sur la fibre nerveuse ou sur le fais-ceau musculaire , entre l'excitation obtenue à l'aide des cou-rant
emme. En même temps que ces altérations se développent, les faisceaux musculaires subis-sent une diminution très prononcée dans leu
part, leur striation.La dégénération granulo-graisseuse des faisceaux musculaires se rencontre rarement en pareil cas et paraît êtr
omatique du côté gauche Il est clair que si, dans le cas d'atrophie musculaire que les physiologistes obtiennent à la longue, pa
tissu eonjonclif nouvellement formé, interposées entre les faisceaux musculaire ? primitifs. Ces derniers ont subi une réduction d
re. La striation transversale est conservée sur la plupart des fibres musculaires atrophiées : sur d'autres elle est à peine distin
t le fait observé par MM. Vulpian et Mantegazza — que les altérations musculaires qui se produisent à la suite des lésion» passives
ous, de différencier encore, malgré tant d'analogies, les altérations musculaires liées à l'inertie fonctionnelle de celles qui suc
le galvanisme a le pouvoir de provoquer fréquemment des contrac-tions musculaires là môme où la faradisation semble accuser une per
odification de lacon-tractilité électrique, bientôt suivie d'atrophie musculaire , sont assimilables, sans réserves, ainsi que quel
f. De fait, il n'est pas rare, dans les cas de cegenre,que l'atrophie musculaire à marche ra-pide, foudroyante en quelque sorte, a
muscle (2). 11 importe de remar-quer, d'ailleurs, que la sensibilité musculaire et cutanée se maintient souvent à un degré voisin
'affaiblisse-ment rapide de la contractilité électrique et l'atrophie musculaire consécutive sont portées très loin ; c'est un fai
bientôt d'une atro-phie plus ou moinsprononcée des muscles. Les nerfs musculaires ont été plusieurs fois examinés en pareil cas à l
ionnées, quant àleur éten-due et quant à leur intensité, aux troubles musculaires . Nous reviendrons ultérieurement sur ce fait impo
ras, l'avant-bras et la main, j'ai vu le malade accuser une sensation musculaire assez notable, alors même que ces muscles ne se c
. La sensibilité cutanée esl encore moins affectée que la sensibilité musculaire , dans ces mômes lésions nerveuses. Duchcnne de Bo
tractile, sous rinfluence de l'irritation transmise jusqu'au vaisseau musculaire primitif, par la voie des dernières ramifications
des nerfs vaso-moteurs concomitante de la paralysie des nerfs moteurs musculaires . Parmi les arguments qu'on peut faire valoir cont
e aussi, dans les premiers jours, un affaiblissement des contractions musculaires ; mais, à partir de la fin de la seconde semaine,
t à son tour quand la faradisation redevient puissante. Les lésions musculaires qui correspondent à ces modifications de la contr
sparaissent et font place à du tissu conjonctif ondulé. Les faisceaux musculaires ne commencent à présenter d'alté- 1. Voir la no
le,, sous l'influence d'une lésion irritative, de réagir sur la fibre musculaire et d'y déterminerdes troubles trophiques. Il y a
nière et du cerveau. Nous traiterons en premier lieu des affections musculaires , puisque l'étude que nous venons de terminer nous
t jamais pour résultat, de produire directement l'altération du tissu musculaire . C'est même là, nous le reconnaîtrons en temps et
rons en temps et lieu, un fait de la plus haute importance. Lésions musculaires consécutives aux affections de la moelle épinière
il en est qui déterminent très rapidement tous les modes d'altération musculaire , fonctionnels ou organiques, que nous avons appri
s leur nutrition (1). 1. Charcot et .Toffroy. — Deux cas d'atrophie musculaire avec lésion de la substance grise et des faisceau
Vataxie locomotrice, considérées dans leurs rapports avec l'atrophie musculaire qui com-plique quelquefois celte affection. In Ar
es faisceaux radi-culaires internes du côté correspondant. L'atrophie musculaire consécutive ôtail exactement limitée aux membres
rale peut, en s'étendant à la substance grise, déter-miner l'atrophie musculaire . Une femme, âgée d'environ 70 ans, avait été fr
nt à diminuer de volume, deux mois à peine après l'attaque L'atrophie musculaire était uniformément répandue sur toutes les partie
ntérieures de la substance grise se trouvent intéressées, les lésions musculaires qui sont la conséquence de cette participation de
arties du renfle-ment cervical ou du renflement lombaire. Les lésions musculaires qui pourraient survenir consécutivement à l'envah
ité électrique, et d'une atrophie à dévelop-pement rapide de la fibre musculaire . — Je citerai, en premier lieu, la myélite aiguë
e le développement des phénomènes corrélatifs : l'atrophie des masses musculaires s'accuse bientôt ; les lésions histologïques des
lésion histologique des faisceaux primitifs et l'atrophie des masses musculaires qui ne manqueraient sans doute pas de se produire
cellules nerveuses, dites motrices, dans la pathogénie de l'atrophie musculaire nombreuses recherches dontles lésions spinales
la brusque invasion des premiers symptômes. L'émacia-tion des masses musculaires marche d'ailleurs avec rapidité et devient bientô
vers les périodes ultimes de la maladie. Le développement des lésions musculaires répond à ce mode d'évolution des lésions spinales
. cit. 2. Voir sur l'atrophie des cellules motrices dans l'atrophie musculaire progres-sive : Luys, Société de Biologie, 1860. —
. Rouen, 1867. —Nouveaux faits relatifs à la pathologie de l'atrophie musculaire progressive, in Gazette hehdom., Paris 1867. — L.
ntraire, la paralysie générale spinale et larapprochent de l'atrophie musculaire pro-gressive avec laquelle elle est quelquefois c
au moins partiellement, leur volume et leurs fonctions (1). Lésions musculaires consécutives aux affections du bulbe. — C'est là
laire des lèvres, etc., une atrophie plus ou moins accusée des fibres musculaires (2). 1. Duehenne (de Boulogne). — De V électris
rveuses antérieures jouent dans la production des troubles trophiques musculaires consécutifs aux altérations de la moelle épinière
é-rieures de la substance grise dans le développement des affec-tions musculaires dont il s'agit, est un fait qui s'appuie désor-ma
rose postérieure (ataxie locomotrice) et dans certains cas d'atrophie musculaire progressive. Messieurs, Lorsque j'ai traité d
e décubitus aigu sont aussi celles qui donnent naissance à l'atrophie musculaire rapide et aux autres troubles du même ordre. Le d
itus aigu. Chose remarquable, tandis que l'arthropathie et l'atrophie musculaire siègent sur le membre du côté où la moelle est lé
il en résulte que, dans la clinique, le décubitus aigu et l'atrophie musculaire aiguë, tantôt se montreront isolés, tantôt au con
mation rapide et, lorsqu'il s'agit de la' moelle épinière, l'atrophie musculaire aiguë des membres paralysés, la cystite, la néphr
tes osseuses. J'ai noté plusieurs fois une atrophie rapide des masses musculaires sur les membres où siège l'affection articulaire.
(2), et tout récemment M. Rosen-thal (3) ont observé dans Y atrophie musculaire progressive des arthropathies, qui, par leurs car
es cas qu'on désigne d'habitude, en clinique, sous le nom d'artrophie musculaire progressive. Je m'arrête ici, pour aujourd'hui,
embres sur lesquels se développent les troubles trophiques — atrophie musculaire rapide,éruptions huileuses, eschares,—accusentune
, il en est de même dans les cas à évolution, lente comme l'a-trophie musculaire progressive, par exemple (4). Vous voyez, d'après
cornes antérieures, seront transmises quelquefois jusqu'aux faisceaux musculaires , par la voie des filets nerveux qui transmettent
r aux parties leur atf i Lucie naturelles^ 1 ). Ici, les contractions musculaires , au lieu de se développer comme dans les conditio
e qui, suivant M. Gubler, pourrait être désigné sous le nom à'astasie musculaire , se sépare nettement de l'état dans lequel ce ne
phénomène s'ajoute tôt ou tard une diminution apppa-rente de la force musculaire . Les mouvements sont lents et paraissent faibles,
sont affectés les premiers et toujours au plus haut degré. La raideur musculaire , devenue permanente, impose à ces malades, dans b
ssieurs, il est des cas, rares à la vérité, dans lesquels la rigidité musculaire est un symptôme des premiers temps de la maladie,
aladie de Parkinson exceptionnels. Le plus communément, la rigidité musculaire ne se montre ou ne s'accuse profondément que dans
ent des mouvements, qui ne dépend ni du tremblement ni delà rigi-dité musculaire , et un examen quelque peu attentif vous per-mettr
cas où la maladie n'est pas parvenue aux dernières limites, la force musculaire est remarquablement conservée. A à la suite d'u
tum). Vous ne serez pas étonnés, Messieurs, devoir des contractions musculaires aussi énergiques et aussi générales que le sont c
ation de cha-leur des parties centrales. Il s'agit là de contractions musculaires dynamiques. Or, vous le savez, les contractions m
tractions musculaires dynamiques. Or, vous le savez, les contractions musculaires statiques seules, ainsi que l'a fait remarquer M.
delirium tremens, affections dans lesquelles il y aune grande dépense musculaire , les urines pré-sentent, dans leur constitution c
t à fait le lit. Alors la nutrition souffre, surtout celle du système musculaire . Il peut survenir, et je l'ai constaté deux fois,
— Immixtion de symptômes insolites : symptômes tabétiques ; atrophie musculaire . — Contracture permanente. —Epilepsie-spinale.
ncertaine, embarrassée, titubante, en raison composée de la faiblesse musculaire et du tremblement qui, tôt ou tard,ne manquent pa
s devons l'aire ressortir l'absence habituelle de troubles trophiques musculaires dans la paraplégie liée à la sclérose multilocula
lant, tant par son siège que par son mode d'envahissement, l'atrophie musculaire à marche progressive. 11 m'a été donné de reconna
poglosse était remplacé par un îlot de tissu sclérosé : 2° les libres musculaires de la partie antérieure de la langue avaient subi
scence graisseuse : la lésion avait envahi quelques-uns des faisceaux musculaires de la base de l'organe. — Chez une malade nommée
ensibilité, d'aucun trouble appré-ciable dans la nutrition des masses musculaires ; de plus, il ne s'y lie d'ordinaire aucun désord
le siège de douleurs. 1867. Nystagmus, diplopie. Intégrité des masses musculaires . Perte de la no-ion de position des membres inf
enez sans doute, démontrer comment bon nombre d'affections du système musculaire , jusque-là rattachées à une cause périphérique, s
gions bien déterminées de l'axe gris spinal. Ce groupe d'affections musculaires , que j'ai proposé d'appeler myopathies spinales o
dire, delà douleur iliaque, M. Briquet n'y voit qu'une simple douleur musculaire , une myodyniehystérique. Suivant lui : 1° la dou-
on et tout à fait rigides. De même que chez Etch..., la contractilité musculaire n'est pas amoindrie. Les membres sont amaigris, m
lors, je ne sens plus ma jambe, dit la malade. » 1873. La faiblesse musculaire a diminué progressivement. Aujourd'hui (8 juil-le
l'autre; l'hémianesthésie un certain degré d'émaciation des masses musculaires , un peu d'amoindrissement dans l'énergie de la co
ctions fibrillaires, analogues à celles qu'on observe dans l'atrophie musculaire progressive ou un affaiblissement très notable de
clusi-vementàla répétition non plus qu'à l'intensité des contractions musculaires toniques, car les convulsions peuvent cesser com-
tude, malgré l'alimentation insuffisante et l'énorme dépense de force musculaire qui a dû se faire. La situation mentale, d'un a
; larges taches cadavériques aux endroits dé-clives ; pas de rigidité musculaire . Le crâne et ses viscères gorgés de sang; cir-con
tout, le siège d'une rigi- Fig. 29. — Dessiné par P. Richer. dite musculaire , qui rappelle la contracture hystérique. Mais cet
sont devenus, les menbres inférieurs surtout, le siège d'une rigidité musculaire considérable, de tous points compa-rable à la con
paralysie à une affection dans laquelle, pendant longtemps, la force musculaire est con-servée. Le mot « paralysie », outre qu'il
II. — Rhumatisme articulaire aigu. —Malaises. — Douleurs et raideurs musculaires . — Bave. — Attitude générale. — Lenteur de la mar
rd, à une anesthésie plus ou moins absolue; cependant, la contracture musculaire persiste encore, néanmoins, au même degré que par
traumatique, pemphigus. — Glossy Skin des auteurs anglais. — Lésions musculaires : atrophie. — Lésions ar-ticulaires; lésions osse
n, etc. Éruptions cutanées diverses (zona, pemphigus, etc.), atrophie musculaire , arthropathies, qui, en pareil cas, se développen
'adulte, paralysie générale spinale (Duchenne, de Boulogne), atrophie musculaire progressive, etc. —Rôle prédomminant des lésions
sions delà substance grise dans la production des troubles trophiques musculaires . — La proposition de M. Brown-Séquard s'applique
rose postérieure (ataxie locomotrice) et dans certains cas d'atrophie musculaire progressive.................... 75 QUATRIÈME LE
— Immixtion de symptômes insolites : symptômes tabétiques ; atrophie musculaire . — Contracture permanente. — Epilepsie spinale...
clérose en plaques, 233. Amyotrophie protopathique ( V . Atrophie musculaire ). — symptoma-tique : dans la contracture hystéri-
ltération des cellules des cornes antérieures, 122 ; — dans Vatrophie musculaire progressive, 124. — de cause cérébrale et spi-nal
rose en plaques, 230 ; — dans la sclérose en plaques, 242. Atrophie musculaire , 5. — consé-cutive à la section du nerf sciati-ti
forme aiguë (pa-ralysie infantile), 68 ; — forme chronique (atrophie musculaire progressive, 69. — Rôie des — dans la production
e traumatique, 100. — Arthro|athies dans 1' —, 103, 106. — Atrophie musculaire dans 1' —, 105. — Altérations des urines dans 1'
, 88. Intoxication putride, suite du décu-bitus, 88. Irritabilité musculaire , 41. Irritation (Rôle de 1') des nerfs au point
), 36 ; — dans la paralysie infantile, 68. (V. Amyotrophies, Atrophie musculaire , Myopathies, Sclé-rose en plaques.) Myélite aig
seudo-hypertrophique. 46. — rhumatismale (Etat de la contrac-tilité musculaire dans la), 39. Paraplégie traumatique (Altératio
inférieurs, 239. — Symptô-mes insolites, 241. — Ataxie, 212. Atrophie musculaire , 241. — Con-tracture des membres, 245. — Epi-leps
27 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
. N" 34. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE DE L'ATROPHIÉ MUSCULAIRE DANS LES PARALYSIES HYSTERIQUES ' 1 Par le Dr
t au '-moins une des* variétés -des troübles trophiques, l'atrophie musculaire , peut être sous la dépendance de l'hystérie et
supérieur gauche, avec anesthésie absolue. Cette pa- de l'atrophie musculaire . 3 ralysie persiste plus de deux mois avec des
de fréquentes attaques; celles-ci n'ont .as toujours DE ¡,'ATROPHIE MUSCULAIRE . Ô eu les mêmes caractères; les médecins ont di
tenir principalement sinon exclusi- vement à l'atrophie des masses musculaires et celle-ci s'ob- serve dans tous les segments
ns suivent a été pratiqué par le Dr Vigouroux, direc- DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE . 7 La sensibilité est abolie dans le membre sup
s. Il semble au malade qu'il n'a pas de bras ni d'épaule. Le sens musculaire fait aussi complètement défaut dans ce membre.
vivement de son obligeance. 8 CLINIQUE NERVEUSE. DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE . t0 CLINIQUE NERVEUSE. mord son bras; la jamb
Mais la paralysie et l'anesthésie du membre supérieur DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE . 1 t ne se sont pas encore modifiées, c'est-à-d
uatre heures du soir. La motilité persiste.. Le ..ma- DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE . 13 3 lade a dans la soirée, une attaque épilep
le tremblement a diminué; mais l'anesthésie est complète ; le sens musculaire est aboli. On renouvelle la flagellation et, co
de bas en haut ; la sensibilité reparaît en même temps que le sens musculaire . La sensibilité ne persiste pas plus de deux he
sie spinale ainsi que la rigidité observées ultérieu- DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE . 15 j rement seront attribuées à la dégénératio
rement seront attribuées à la dégénération descendante; l'atrophie musculaire se comprend très bien puisque cette complicatio
la sensibilité superficielle, de la sensibilité profonde et du sens musculaire ; or, si dans les paralysies corticales il peut
st presque calquée sur celle qui a été notée dans les DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE . 17 deux cas de monoplégie hystérique rapportés
ite d'une attaque, il aurait eu une paralysie du côté DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE . 19 .gauche qui aurait duré deux ans. Mère très
renant des mensurations les différences suivantes : DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE . 21 La région antérieure du thorax est un peu d
r gauche (sensibilité au tact, à la douleur, à la température, sens musculaire ); dans le reste du côté gauche la sensibilité n
flagellations sont faites par 2 CLINIQUE NERVEUSE. DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE . 23 '»4 le CLINIQUE NERVEUSE. M. Gautiez sur
er montrent les différences suivantes : 23 février. DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE . 25 l'esprit, quand on réfléchit aux conditions
ent des réflexes tendineux 26 CLINIQUE ! OERYEUSE, - DE l/ ATROPHIE MUSCULAIRE . et la flaccidité des membres paralysés ? Ne de
ésions combinées des cordons postérieurs et laté- raux, la rigidité musculaire et la contracture spastique ne surviennent pas
ou- vement (Obs. II); tantôt de stupidité avec ou sans phénomènes musculaires cataleptoïdes ou létanoïdes (catatonie), stupidit
s), l'action du mouvement des muscles sur la conscience (l'activité musculaire provoquerait souvent ou augmen- terait l'excita
lectricité redonne de la vigueur à ce qui reste encore des éléments musculaires et nerveux, et imprime un coup de fouet à la co
j'aurai le droit d'affirmer que l'influence exercée sur l'activité musculaire , après l'inhalation d'amylnitrite était réelle-
du pied, de la surface correspondant au tendon rotulien. Raideur musculaire extrême, exagération excessive du phénomène du
té du fond de l'oeil ; photophobie et flammes devant les yeux. Sens musculaire atteint, mais il est en- core impossible de net
u voile du palais, des cons- tricteurs pharyngiens, de la charpente musculaire du larynx, troubles de la sensibilité, parfois
- trique montre que les adducteurs l'emportent en tant que groupe musculaire le plus puissant. M. Oppenheim. Contribution à
um. Au microscope, il existe une névrite dégénérative, une atrophie musculaire , portant sur un grand nombre de nerfs des membr
nérescence des nerfs crural, sciatique. surtout dans leurs branches musculaires . Multiplication extrêmement nette des noyaux de
einte des organes des sens. Au début même, et passagèrement le sens musculaire et la perception des couleurs étaient affectés.
s est une névralgie des plexus lombaire et sacré et non une rupture musculaire . L'origine de l'affection serait le pincement e
ne fait défaut. (A suivre.) Archives, t. XII. 1 1 DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE DANS LES PARALYSIES HYSTÉRIQUES'; (suite et fin
ie fictive de Port-Breton. 1 Voir tome XII, page 1. DE l'atrophie musculaire . 155 Le récit que le malade fait de l'histoire
aspect et se développant dans les mêmes conditions : DE l'atrophie musculaire . 157 le malade est adonné à la morphine ; toute
nférieur gauche est notablement plus grêle que le droit; les masses musculaires sont manifestement atrophiées à gauche et l'amy
res qu'on obtient en faisant des mensura- tions : . DE l'atrophie musculaire . 15j 160 CLINIQUE NERVEUSE. de l'atrophie mus
E l'atrophie musculaire. 15j 160 CLINIQUE NERVEUSE. de l'atrophie musculaire . 161 t ses modes (tact, douleur, température, s
ophie musculaire. 161 t ses modes (tact, douleur, température, sens musculaire ). Dans la région occipitale gauche existe une z
et d'aggravation, l'intégrité de la face, la prédomi- DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE . 163 nance de la paralysie dans le membre infér
paralysie est le plus marquée , et les caractères de cette atrophie musculaire sont exacte- ment semblables à ceux que nous av
janvier 1884 dans le service de M. Bucquoy, à Cochin. DE l'atrophie musculaire . 163 Antécédents héréditaires. - D'après ce que
La sensibilité, au tact, à la température, à la douleur, et le sens musculaire sont absolument abolis au membre supérieur gauc
main sur l'avant-bras et l'avant-bras sur le bras, , DE l'atrophie musculaire . 167 10. - La raideur s'est accentuée; le membr
ire. Mais alors, où localiser la lésion ? Il faudrait DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE . 169 évidemment la placer flans l'hémisphère dr
rielle ; un rétrécissement du champ visuel. Le malade DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE . 171 est sujet à des attaques de dyspnée, de na
taire, sait à peine lire et écrire. Il a un peu d'am- DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE . 173 nésie : il ne peut pas dire ni le jour ni
le bras. Il en est de même de la sensibilité pro- fonde et du sens musculaire . Le coude, le poignet, l'épaule peuvent être im
cule et à l'omoplate. 1711. 1· CLINIQUE NERVEUSE. DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE . 175 176 CLINIQUE NERVEUSE. Les divers segmen
rs segments du membre sont manifestement atrophiés. DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE . 177 Il revient le 18 juin. Son état, depuis sa
utres fonctions s'effectuent d'une façon nor- male. DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE . 181 On soumet le malade à l'électrisation. mai
lie, dans les limites indi- quées sur les figures 13 et 14. Le sens musculaire est aboli. Les réflexes tendineux sont affaibli
us avons déjà parlé. Nous ne 182 CLINIQUE NERVEUSE. DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE . 183 18 \ CLINIQUE NERVEUSE. discuterons même
qu'il s'agissait bien là de paralysies hystériques, que l'atrophie musculaire dépendait étroitement de ces paralysies, et que
examen des divers cas que nous avons observés montre que l'atrophie musculaire présente à ce point de vue d'assez grandes diff
s mensurations que nous avons faites. Observation 1 DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE . 185 Observation II l 186, . CI,INIQUE NERVEU
l 186, . CI,INIQUE NERVEUSE. 1, , si on la compare aux atrophies musculaires que l'on observe dans la maladie d'Aran-Duchenn
, 1 t . t J fui tères de cette amyotrophie. , . \, de l'atrophie musculaire . 187 On ne constate pas de secousses fibrillair
a contractilité électrique est diminuée en proportion de l'atrophie musculaire , mais il n'y a pas de réaction de dégénérescenc
s'il s'agit d'une amyotrophie hystérique ou bien d'une amyotrophie musculaire due soit à une lésion spinale, soit à une lésio
e particulièrement dans tel ou tel muscle, dans tel ou tel groupe musculaire ? Si uous passons en revue nos obser- vations e
ERVEUSE. semble pas porter particulièrement sur tel ou tel groupe musculaire . Dans les autres observations, on ne relève pas
ment, cette atrophie semble envahir uniformément tous les groupes musculaires ; ce n'est, en effet, que dans l'Observation II
phie diffère donc essentielle- ment de celui de certaines atrophies musculaires , de l'atrophie Aran-Duchenne, par exemple, dans
aussi rapide. La rétrocession de l'atrophie semble DE l'atrophie musculaire . i 89 pouvoir être rapide comme son développeme
le à constater. Malgré la rapidité du développement de l'atrophie musculaire , celle-ci, comme nous l'avons dit plus haut, ne
où il s'agit d'une monoplégie brachiale droite absolue, l'atrophie musculaire , malgré la persistance de la paralysie, ne s'es
assage. Or, trois ans après la guérison de la paralysie, l'atrophie musculaire était encore notable. En plus, et ce caractère
numéro du 21 mai 1886 de la Gazette hebdomadaire. . DE l'atrophie musculaire . 191 I Quelle est la nature de cette amyotrophi
rronée." . " , On sait, en effet, que l'amaigrissement des masses musculaires qui résulte de la suppression simple de la fonc
de très grandes probabilités. Or, il s'agit là d'une DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE . 193 altération purement dynamique du système n
is de la moelle et les nerfs périphériques sont normaux, l'atrophie musculaire est, comme dans l'hystérie, une atrophie simple
IQUE NERVEUSE. blir, au moyen de ces observations, que l'atrophie musculaire peut relever directement, contrairement à l'opi
vertu duquel un phénomène qui avait échappé jusque , DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE . 195 là à l'observation vient à être perçu, lie
rendus de Birgtre, 1880-1885. 196 CLINIQUE NERVEUSE. DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE . Nos malades étaient atteints de paralysie hyst
u reste conservée dans tous ses modes; il n'existait pas d'atrophie musculaire . Les autres membres, le tronc et la face ne pré
et des doigts, rien d'anormal à constater, pas d'altération du sens musculaire ; un examen électrique des différents muscles et
e complète des cordons et faisceaux postérieurs et la perle du sens musculaire avec la conservation de la sensibilité cutanée.
ire pour exécuter un ensemble donné, ou s'étend à plusieurs groupes musculaires antagonistes, voire d'un domaine étendu. Les fo
territoire de nerfs déterminés et s'accompagnent bientôt d'atrophie musculaire : les nerfs dorso-lombaires sont eux-mêmes mala
UN second cas DE CO-ATTEINTE DES muscles DE la face dans l'atrophie musculaire juvénile ; par F. MOSSDORF. (Neurol. Cen- t¡'al
ne myopathie ; d'autre part, la parésie faciale émane de l'atrophie musculaire et non d'une lésion des noyaux des nerfs bulbai
ans les mollets et diminution douteuse, tout à fait minime, du sens musculaire . L'ensemble symptomatique ne permet de songer n
s longtemps de sorte qu'en l'excitant, on provoque des contractions musculaires alors même que l'excitation de la couche cortic
ites crises constituées par une augmentation de tension des groupes musculaires , augmen- tation de tension se transformant en c
ondulant ; en un mot, modification dans la forme de la contraction musculaire (paresse, ralentissement du temps perdu, persis
idérables, ont rétrocédé graduellement en même temps que l'atrophie musculaire dégénérative des extrémités, après une durée d'
complète; tout cela est d'ordre périphérique comme dans l'atrophie musculaire héréditaire : genèse myopa- thique, puisque le
té de la sensibilité, sauf une légère anesthésie; intégrité du sens musculaire ; douleurs dans les bras et les jambes; gros tr
la débilité mentale et physique, de l'amaigrissement, de la fatigue musculaire , et même parfois l'exagération des convulsions.
sque disparu, et celle du toucher est moins déran- gée ; l'atrophie musculaire n'existe pas; on constate une ten- QUELQUES CAS
male; dans les jambes, on observe des tiraillements et une rigidité musculaire considérable; pas d'amaigrissement musculaire;
ments et une rigidité musculaire considérable; pas d'amaigrissement musculaire ; la contractilité faradique des muscles et des
ure n'existe plus ni dans l'un ni dans l'autre bras; la sensibilité musculaire persiste dans le côté droit. Les réflexes tendi
marque l'absence complète de la sensibilité tactile, douloureuse et musculaire ; la gauche n'a perdu que la sensation de la dou
gue pas une différence de 5°; pas de paralysies et de con- tracture musculaire ; mais les réflexes tendineux sont exagérés. Le
ie des muqueuses sur tout le corps, avec un trouble de la sensation musculaire , de même que le 9 janvier. Le 18 janvier, il ne
a sensibilité cutanée de toute espèce n'existe plus; les sensations musculaires sont en désordre, comme dans le cas précédent :
ps, suivie de l'abolition de toute espèce de sensibilité cutanée et musculaire , de l'anesthésie des'muqueuses et de l'affaibli
, le péricarde, un météorisme intestinal en rapport avec l'atonie musculaire des fibres lisses de l'intestin et des fibres s
musculaire des fibres lisses de l'intestin et des fibres striées musculaires de la paroi abdominale. Le tissu adipeux sous-c
pect large et déformé, cet élargissement semble dû à l'hypertrophie musculaire et non à un excès de graisse. Les muscles de la
e; les mouvements étaient lents, lourds; la sensibilité et la force musculaire étaient diminuée ? la parole était lente, indis
de la langue également normale : pas d'hypertrophie des fibrilles musculaires ; tissu adipeux interstitiel abondant. - 4° La pea
ici un exemple net de la perte de la sensibilité tactile et du sens musculaire , accompagnée de paralysie motrice, due à une lé
é gauche, intact à droite, et il y avait une perte complète du sens musculaire dans le membre supérieur gauche, au-dessous de
aralysie temporaire motrice corticale et peut-être la perte du sens musculaire survient après la liga- ture des vaisseaux qui
rtie contracturée ou rigide, fait supposer que probablement le sens musculaire est représenté dans le centre excito-moteur.
is muscles d'un garçon ayant été atteint d'une pseudohypertrophie musculaire infantile (dystrophie musculaire progressive de E
é atteint d'une pseudohypertrophie musculaire infantile (dystrophie musculaire progressive de Erb) ; on trouve dans le gastroc
noyaux du tissu con- jonctif, multiplication des noyaux des fibres musculaires ; le sous-épineux présente surtout de l'atrophie
ar la prolifé- ration du tissu graisseux, mais par une hypertrophie musculaire véritable, accompagnée d'atrophie de nombreuses
vues analytiques. 408 SOCIÉTÉS SAVANTES. tées à un cas d'atrophie musculaire généralisée ; il pense que dans l'affection dés
rophie on n'a jusqu'ici pu constater que l'hypertrophie d'une fibre musculaire en ait toujours précédé l'atrophie. Il montre e
de la surface du cerveau qui commandent à la motilité et au sens musculaire sont chez l'homme, tout près l'un de l'autre, mai
dans la poliomyélite, mais elle s'accompagnait d'une légère tension musculaire . Persistance des réflexes tendineux parfois mêm
és. Jamais d'altéra- tions fondamentales de la sensibilité, du sens musculaire , de la réaction électrique. Intégrité du facial
n Espa- gne, 62. 1 Ataxiespinale (théorie del ? t 1 5. Atrophie musculaire juvénile, 214. Atrophie musculaire dans les
héorie del ? t 1 5. Atrophie musculaire juvénile, 214. Atrophie musculaire dans les paralysies des hystériques, par Babi
28 (1862) Mécanisme de la physionomie humaine : ou analyse électro-physiologique de l'expression des passions
physionomie humaine peuvent être recherchées par l'étude de l'action musculaire . C'est un problème dont je cherche la solution
à la nature pour la faire parler. » Cette étude attentive de l'action musculaire partielle m'a révélé la raison d'être des lignes,
es générales de médecine. L'un de ces mémoires traitait de l'atrophie musculaire avec transformation graisseuse et des paralysies
illet 1852). Étude comparée des lésions anatomiques dans l'atrophie musculaire graisseuse progressive et dans la paralysie génér
la valeur de l'électrisation localisée comme traitement de l'atrophie musculaire progressive (Bull. gén. de thérap., 1853, p. 295,
itude motrice indépendante de la vue, appelée par l'auteur conscience musculaire . Mémoire adressé à l'Académie des sciences et à l
téral. Mémoire adressé à la Société de chirurgie en 1860. Paralysie musculaire progressive de la langue, du voile du palais et d
sciences (Arch. gén. de méd., septembre et octobre 1860). Prothèse musculaire physiologique des membres inférieurs (Bull, de Ih
e, 2e édition, Paris, 1861, in-8. Sous presse : Electro-physiologie musculaire , 1 vol. in-8. MÉCANISME de la PHYSIONOMIE H
la PHYSIONOMIE HUMAINE REVUE DES TRAVAUX ANTÉRIEURS SUR L'ACTION MUSCULAIRE DANS LE JEU DE LA PHYSIONOMIE EN MOUVEMENT. Je
ssairement couper à angles droits le cours ou la direction des fibres musculaires . » C'est le premier auteur qui ait fait cette r
in-foi., 20 pl. color., London, !82l). (2) Physiohijis do l'action musculaire ai'pUq'iie aux arts d'imitation. II. CONSIDÉR
ium que je vais indiquer, à la véritable pierre de touche de l'action musculaire . » Étant donnée la notion qu'un muscle se racco
taient pas encore publiées. II a reconnu plus tard que la physiologie musculaire laissait beaucoup à désirer. — Les notions phys
des muscles voisins; S0 cette véritable pierre de touche de l'action musculaire , qui consiste à rapprocher les deux extrémités d'
'exciser, de concentrer son action dans un muscle ou dans un faisceau musculaire , dans un tronc ou dans un filet nerveux. C'est
allant du simple au composé, j'ai essayé de combiner ces contractions musculaires partielles, en les variant autant que possible, c
essortir, pour tout le monde, que la localisation de l'électrisa-tion musculaire n'était pas réalisable à la face. Je n'attendai
. CONTRACTIONS COMBINÉES DES MUSCLES DE LA FACE. Les combinaisons musculaires de la face s'obtiennent en excitant simultanément
tions combinées expressives. L'étude expérimentale des contractions musculaires partielles de la face m'a révélé, ainsi que cela
intement avec les muscles incomplètement expressifs. Ces combinaisons musculaires m'ont fait connaître les muscles complémentaires
s, avec simplicité. Il est rare, en effet, que, dans ces combinaisons musculaires expressives, il m'ait fallu mettre plus de deux m
ou-nue sous le nom de tic indolent de la face. IH. DE LA SYNERGIE MUSCULAIRE DES MOUVEMENTS EXPRESSIFS DE LA FACE. Les faits
emarque qui, sans doute, n'échappe à personne : c'est que la synergie musculaire qui produit les mouvements physiologiques des mem
ction, parce que nous n'avons pas la conscience d'autres contractions musculaires . Il n'en est cependant pas ainsi; car, si l'on fa
par toute excitation périphérique, de telle sorte que l'électrisation musculaire localisée ne serait qu'une illusion. Il n'est p
conditions dans lesquelles se produit le phénomène appelé contraction musculaire réflexe. Lorsqu'on pique une des extrémités d'u
es dont il vient d'être question, et non le produit d'une contraction musculaire partielle ? Je compris que cette objection jetait
e, dans mes expériences faites sur des sujets sains, l'éleclrisa-tion musculaire localisée ne provoque pas de contractions réflexe
rovoque pas de contractions réflexes qui viennent compliquer l'action musculaire partielle. CHAPITRE IV. UTILITÉ DE CES RECHER
visage. On I. voit, dans ces préparations, que toutes les libres musculaires semblent se continuer les unes dans les autres, à
liquer ce mouvement : elle va même jusqu'à nier l'existence de fibres musculaires dans l'aile du nez (1). J'espère pouvoir montrer
AU POINT DE VUE DE L'APPLICATION A LA PSYCHOLOGIE, La physiologie musculaire de la face humaine est intimement liée à la psych
oire inférieure, à un degré modéré de contraction. Même combinaison musculaire et abaisscurs de la mâchoire inférieure, à un plu
e inférieure, à un plus haut degré de contraction. Même combinaison musculaire , au maximum de contraction. Muscles de l'étonne
dont la supérieure recouvre une partie de l'iris. Même combinaison musculaire que dans le délire lubrique, mais sans transverse
d'autres termes, devait être placé sous la dépendance de contractions musculaires toujours identiques. Ce que le raisonnement seu
e Créateur a placé la physionomie sous la dépendance des contractions musculaires instinctives ou réflexes. On sait avec quelle r
assion est toujours dessinée sur la figure par les mômes contractions musculaires , sans (pie ni la mode ni le caprice puissent les
stinction des traits. c. — Physionomie nu repos. Pendant le repos musculaire , c'est-à-dire dans l'intervalle des mouvements dé
tablement utile, bien qu'elle aide à comprendre la raison des reliefs musculaires des membres et du tronc, il ressort des considéra
ouvement, non-seulement est en raison directe du degré de contraction musculaire (ce qui signifie : selon le degré de la passion q
... I CHAPITRE PREMIER. — Revue des travaux antérieurs sur l'action musculaire dans le jeu de la physionomie..... 1 I. -- Coup
binées expressives discordantes........... 29 III. — De la synergie musculaire des mouvements expressifs de la face,..........
t avec un rameau nerveux qui anime plusieurs muscles, l'clectrisation musculaire do la face ne produit qu'une grimace. Électrisa
: 1° Dans la vieillesse, on voit, sous l'influence des contractions musculaires , se dessiner toutes les lignes expressives de la
n élat do cordonnier fj'ai décrit celte maladie sons le nom de spasme musculaire jone-Wmnel). .le l'en ai guéri par l'éleelrisalio
er ici les principes, en résumé, pour ce qui a trait à Félectrisation musculaire eie la face (2). (1) Cet appareil de précision,
s l'espace intersourcilier, dont la surface cutanée, pendant le repos musculaire , est unie, comme on l'observe à un âge moins avan
s de le démontrer, peint la réflexion calme, parce que la contraction musculaire est modérée. — Dans l'autre (fig. 13), on reconna
é au niveau de la tête du sourcil, sous l'influence de la contraction musculaire électrique. — Ce sillon n'existe pas dans la figu
n'ont produit aucun mouvement, en d'autres termes, aucune contraction musculaire ; c'est une nouvelle preuve que ce point neutre ma
tites rides qui vont obliquement de l'une à l'autre. Pendant le repos musculaire , le front, chez cette femme, est sillonné dans to
te enfant décrivent habituellement une belle courbe, pendant le repos musculaire , à peu près comme du côté gauche de la figure 10,
sourcil, on observe que l'expression en est nulle ou marque le repos musculaire de la physionomie, et qu'il n'existe point de dif
mersion du filet moteur du grand zygomatique, afin que la contraction musculaire soit égale de chaque côté. Il m'est arrivé quel
contre souvent un ou deux filets moteurs qui se rendent à un faisceau musculaire voisin, lors qu'il est un peu trop intense ou q
ce produite par la contraction des sourciliers. La même combinaison musculaire , représentée dans la figure /|5, exprime à la foi
eure avec la contraction électrique du frontal. La même combinaison musculaire au maximum de contraction peint, dans la figure 5
es paupières sont rapprochées, chez le même sujet. Même combinaison musculaire que dans les figures 61 et 62, et de plus abaisse
urs de la mâchoire inférieure et des frontaux; mais cette combinaison musculaire qui produit des mouvements, des lignes et des rel
ie de l'artiste Àgésandre ; il est impossible, car aucune contraction musculaire , partielle ou combinée, ne saurait le produire. L
res à ces expressions. — Ayant étudié et connaissant les combinaisons musculaires ou les mouvements qui conviennent à chaque expres
'étude, soit de la proportionnalité du corps humain, soit des reliefs musculaires produits par les mouvements et par les attitudes.
traité précédemment de ce genre d'expression composé de contractions musculaires contraires. C'est ici qu'il convient de rappele
29 (1888) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 01] : clinique des maladies du système nerveux
nt. La face ne participe en rien à la paralysie. 1. Dz l'atrophie musculaire dans las paralysies hystériques. Archives de Neur
leur, au froid, à la chaleur, perle des réflexes cutanés et du sens musculaire dans tout le membre inférieur droit (fi ? 4 et
edispositionnous paraît en rapport avec le développement des masses musculaires sacro-lombaires; elle explique facilement les sai
pour les articulations du membre similaire du côté gauche. Le sens musculaire est très diminué à droite : le malade hésite à di
goriquement que possible les rétractions fibreuses des contractures musculaires , est sans doute le motif pour lequel on n'a pas
n'a pas su distinguer les rétractions tendi- neuses des rétractions musculaires , et que l'extrême rareté de celles-ci a fait éc
anéantie (il faut un temps bien plus considérable pour que la fibre musculaire ne réponde plus aux exci- tants), mais déjà ces
r même à, son pied quelques mouvements, mais très limités. La force musculaire est. conservée et l'on s'en assure aisément en
ésie et 31 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. perte du sens musculaire qui manifestement doit être rattaché à l'hystérie
alade en 1874, reproduit l'attitude ca- ractéristique. « La roideur musculaire , devenue permanente, dit M. Charcot, impose à c
y découvre, de la façon la plus évidente, les marques de l'atrophie musculaire . On sait que l'atrophie musculaire qui se montre
dente, les marques de l'atrophie musculaire. On sait que l'atrophie musculaire qui se montre chez cer- tains lépreux est exact
cien de notre époque, Duchenne, de Boulogne, sous le nom d'atrophie musculaire progressive. Il a défini et classé cette étrang
bre supérieur droit profondément atteint. Il est inerte et la fibre musculaire est bien près d'avoir complètement disparu, si
lade au lit, dans le décubitus dorsal et au repos, les contractions musculaires involontaires, que nous avons constatées dans la
rie de festons de droite à gauche ou de gauche à droite. La force musculaire est bien conservée dans les divers groupes de mus
ant fléchie on cherche à l'étendre. Aux membres supérieurs la force musculaire est également bien conservée et il peut opposer u
est normale dans ses divers modes, douleur et température. Les sens musculaire et articulaire sont également bien conservés; le
persistent également. Il n'y a aucune contracture, pas de rigidité musculaire , pas de phénomène du pied. - Le malade n'a ja
nt exécuter différents mouvements passifs, on constate que la force musculaire est conservée entièrement. Il n'existe aucune d
sont fermés, la justesse du mouvement devient impossible Le sens musculaire est du reste fortement perverti ; c'est ainsi que
et la défécation se sont toujours accomplies normalement. La force musculaire est suffisante et en rapport avec la petite taill
verses sensibilités, toutes réserves faites au point de vue du sens musculaire . Les fonctions rectales et vésicales sont norma
araît augmenté par l'occlusion des yeux. La sensibilité et la force musculaire des membres sont conservées; ainsi. on ne parvi
nsibilité. - Pas de douleurs. Tous les modes de sensibilité et sens musculaire indemnes. Réflexes. - Les réflexes rotuliens so
enus aussi bien à l'avant-bras qu'au bras et à l'épaule, les masses musculaires se sont développées et la griffe de droite s'es
lement, l'exagération des réflexes tendineux a disparu. La rigidité musculaire , ou autrement dit la contracture, s'est effacée,
it disparaître le spasme LES RÉTRACTIONS FIBP0-TEiil)IiNEUSES. 07 musculaire ; par suite, on pourra attribuer les déformations
eut, j'ai dit comment, constater clinique- ment l'absence du spasme musculaire , et se rendre compte du siège des lésions fibre
ertitude si la cause de la déforma- tion réside dans la contracture musculaire , ou dans la rétraction fibro- tendineuse. Nou
ur la' figure 34, qui représente cette expérience, qu'aux secousses musculaires correspond une expiration en escalier très ^car
e du péroné sont de trois ordres : · 1° Arrachement par contraction musculaire . - Ce mécanisme est 1 décrit dans l'observation
admettre un mécanisme hybride, mélange de [fracture par contraction musculaire et de fracture par traumatisme direct. Quant au
Eleclrotherapie. Ber- 1 lin, 1881, p. 480. FiG. 35. Distribution musculaire du nerf sciatiquo poplité externo. 1. Nerf sciati
i maintenait indéfiniment les attitudes vicieuses. Cette rétraction musculaire s'accompagne souvent de lésions dans le tissu f
hypertrophique, etc., peuvent également occasionner des troubles musculaires avec contractures, et' laisser à' leur suite une
e rigidité spéciale. Cependant, phénomène curieux, la contractilité musculaire est in- tacte et l'exploration électrique ne la
erai pas longuement quelle est l'origine intime de cette rétraction musculaire qui succède à certaines contractures. Cependant
ns une transfor- mation fibreuse se localisant au point où la fibre musculaire se continue avec le tendon qui lui fait suite.
su fibreux qui s'est substitué sur une certaine longueur à la fibre musculaire subirait une rétraction spéciale qui aurait pou
n de longueur et, d'autre part, la conservation de la contractilité musculaire dans une certaine étendue du muscle resté intac
, admettre une autre opinion. .Pour lui, le phénomène de rétraction musculaire ne serait qu'appa- rent, et le raccourcissement
stacle au mouvement ne réside pas seule- ment dans cette rétraction musculaire . Quand on examine attentivement f les malades a
ns de ce côté. Peut- être est-elle sous la dépendance des atrophies musculaires partielles notées par M. Joffroy dans son obser
ULS DANS LE PAROXYSME ÉPILEPTIQUE, ET SUR L'INFLUENCE DE L'EFFORT MUSCULAIRE LOCALISÉ SUR LA FORME DU TRACÉ SPIITGlI0GR : 11
ute la durée de l'accès rendent compte du.trouble que la convulsion musculaire jette dans l'étude des changements du pouls. On
épilepsie. J'ai noté, en effet, que, sous l'influence de l'exercice musculaire , on peut voir se reproduire la même exagération
ées à la forme du tracé sphygmograhique du pouls par l'exer- cice musculaire ne diffèrent pas des modifi- cations apportées
t-bras seul découvert paraît bien musclé; ici, pas-trace d'atrophie musculaire . Mais on remarque une flexion du poignet absolu
souffrir les malades et d'augmenter secon- dairement la contracture musculaire . En effet, les réflexes tendineux sont exagérés
it la contracture spasmodique disparaître; tandis que la rétraction musculaire empêche tout mouvement. Ce procédé, indiqué par
mes six malades répondent il trois groupes distincts, la rétraction musculaire indélébile précédée ou non par la contracture é
a résistance des parties périphériques, et surtout de la rétraction musculaire . En présence de ces obstacles multipliés qui s'
endineuse des muscles posté- rieurs de la jambe. -- La rétraction musculaire avec déformation des pieds avait pour caractère
és par le premier cas. Ces. I. Double pied-bot équin par rétraction musculaire succédant ri une contracture hystérique. - Sect
raccourcis a suffi pour per- mettre la fonction de tous les groupes musculaires dont la vitalité de la contractilité était rest
t disparu rapidement. Cas. II. Double pied-bot équin par rétraction musculaire succédant à une contracture hystérique. Section
s leur disparition, des lésions perma- nentes dans certains groupes musculaires et dans les tissus périarticu- laires. Ces lési
a position vicieuse qui existait pendant la con- tracture. La fibre musculaire affaiblie reste cependant intacte et peut retro
pourra obtenir cette notion par l'étude méthodique des mouve- ments musculaires , mais il sera préférable de les examiner sous l'i
; ongles normaux, ouvertures des orifices naturels normales, masses musculaires médiocrement développées, assez résistantes, unif
les pieds, à ces balancements s'ajoutent de véritables se- cousses musculaires , brusques, tantôt d'un côté et tantôt de l'autre,
complexes, et d'une coordination compliquée et délicate. La force musculaire est diminuée à peu près partout chez notre malade
xtenseurs des doigts ; 9° fléchisseurs de l'avant- bras. Les masses musculaires ne sont nulle part atrophiées : elles présentent
5 pieds 11 pouces. Le malade était d'une bonne santé et d'une force musculaire assez remar- quable, il était soldat, avait fai
as plus du reste qu'aux membres inférieurs, on ne trouve d'atrophie musculaire , mais les chairs sont en général assez flasques
réduite : V= 1o pour les deux yeux; pas de troubles pour l'appareil musculaire et les pupilles. Mais, à l'ophthalmoscope, on c
essions, notamment des impres- sions douloureuses. La sensibilité musculaire au courant faradique est manifestement diminuée.
minutieuses que j'ai faites à ce sujet, m'ont convaincu que le sens musculaire est relativement diminué aux membres supérieurs e
je veux d'abord appeler l'attention sur la di- minution de la force musculaire chez mon malade, réelle, pourtant, quoique inég
qu'en réalité, il est excessivement difficile de juger de la force musculaire quand celle-ci est simplement diminuée et d'une m
ce pied bot spécial qui tient certainement à une déséquilibration musculaire , et qui est un phénomène banal, ordinaire de cett
for- mation osseuse, la gibbosité est le résultai d'une contracture musculaire . Nous devons nous demander maintenant quels son
e les yeux; il vacille et tomberait, s'il n'était soutenu. La force musculaire est conservée. La sensibilité est diminuée part
sions articulaires sont nulles ou insignifiantes; c'est un pied bot musculaire . Dans le tabes, en effet, les muscles ont perdu
re. Dans le tabes, en effet, les muscles ont perdu leur sensibilité musculaire ou du moins leur réflectivité. Le tonus muscula
leur sensibilité musculaire ou du moins leur réflectivité. Le tonus musculaire est affaibli ou nul, et les ten- dons ne sont p
fixés dans l'altitude que nous' venons d'indiquer par une rigidité musculaire généralisée qui est la cause de l'immobilité qu
sensible au contraire à une pression exercée fortement sur la masse musculaire : quelques picotements, pas de véritable douleu
e, mal loca- lisée, dans le membre inférieur du même côté. La force musculaire de ce membre baissa beaucoup. Le malade vint
ère augmenta- tion de, volume du plan osseux sous-jacent à la masse musculaire sacro- lombaire. Pas de douleur à la pression.
ce ne paraît pas prédominer notablement sur un ou plusieurs groupes musculaires . - , La marche s'accompagne d'une claudication
es parois abdominales, ne présentent t aucune paralysie ni atrophie musculaire . Enfin l'examen de l'oeil montra les pupilles p
é- nomène douloureux. La marche était devenue plus facile, la force musculaire du membre inférieur droit avait notablement aug
et par un mécanisme presque identiques, la paralysie et l'atrophie musculaire prédominantes dans le membre inférieur gauche.
férieurs plus accentuée à gauche. Anesthésie incomplète. - Atrophie musculaire à gauche. zig..., âge de cinquante-deux ans, es
iguille traversant le mollet ne provoquait aucune douleur. Atrophie musculaire très prononcée du membre inférieur gauche (beau
laire donne un centimètre de moins à gauche qu'à droite. Les masses musculaires de la cuisse et du mollet gauches sont aussi pl
bilité cutanée et quelques douleurs, enfin troubles de la nutrition musculaire plus accentués, sinon exclusivement localisés d
la'suite de cette fracture, un affaiblissement notable de la force musculaire dans les deux membres inférieurs, surtout à dro
seuls sont saillants. Nulle part on ne sent d'exostose. Les masses musculaires des mollets ont considérablement diminué de vol
lever les mains et surtout les pieds; y a-t-il de l'affaiblissement musculaire ou est-ce le poids des extrémités qui rend les
xtré- mités. Seule celle de la nuque est massive et ferme. La force musculaire est très abaissée. L'atrophie des muscles est s
30 (1892) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 05] : clinique des maladies du système nerveux
la musculature volon- taire(apparence hypertrophique), lapuissance musculaire restant cependant relativement faible; la sensi
men du malade (Pl. I, II) c'est le développement exagéré du système musculaire , prin- cipalement aux membres inférieurs. Les c
olés d'ouverture, même forts, produisent seulement des contractions musculaires rapides et sans persistance. Il en est de même
ns sont conservés, mais toutefois notable- ment diminués. Le sens musculaire ne parait pas troublé. La sensibilité cutanée est
vait tendance à se tétaniser. Ces modifications de la contractilité musculaire sont constatables sur plusieurs des tracés que no
nous avons obtenus par l'en- registrement direct de la contraction musculaire . Les tracés que nous reproduisons plus loin (vo
olongées, on peut constater un autre phénomène : « des contractions musculaires avec fort gonflement et avec oscillations ; tou
re cause de distension non moins importante. On sait que l'activité musculaire joue un grand rôle dans la circulation. La cont
é musculaire joue un grand rôle dans la circulation. La contraction musculaire chasse le sang des artères et quand cette contrac
petites fossettes correspondant aux endroits où les petites fibres musculaires s'y attachent. On peut aisément produire ces pe
hysiques et morales, et la fièvre peut apparaître après un exercice musculaire très prolongé, une fatigue intellectuelle, un acc
respondantes à celles que parait dénoter le jeu de certains groupes musculaires , car ces mouvements sont très passagers Des exp
marqué que la face présente souvent des rides au niveau des régions musculaires agitées par les mouvements anormaux sans cesse
que Charcot et son école font précisément jouer un rôle à l'action musculaire dans les dé- formations du rhumatisme noueux.
s au cours de cette dernière. Massalongo déclare que l'hypertrophie musculaire , localisée à certains groupes de muscles, est f
veloppant à peu près régulière- ment des convulsions et dos spasmes musculaires plus marqués. Dans ces faits et surtout dans le
nos malades peuvent écrire. Dans la plupart des cas, les secousses musculaires sont telles qu'il est matériellement impossible
s vu qu'on observe des contractions partout, tantôt clans un groupe musculaire , tantôt dans l'autre, contractions qui tor- den
e force de courant, sur un autre malade du service, dont le système musculaire était normal, le tétanos presque complet des musc
logues, mais donnent, en même temps que l'inscription des secousses musculaires , celle des inter- ruptions du courant enregistr
tion, A 2° ; il n'y a plus de spasme myotonique et les contractions musculaires sont normales. Au bout de I 2 secondes cessatio
tion pendant 14 se- condes, absence de spasme myotonique, secousses musculaires normales, el, au moment où cesse l'excitation,
représente le tracé recueilli sur un autre malade, dont le système musculaire était normal. Les inter- mittences sont un peu
première excitation, -bientôt après le retour graduel des secousses musculaires , isochrones aux mouvements de l'inter- rupteur
sure et qu'il faut un temps très appréciable pour que le gonflement musculaire atteigne son maximum. Quoique les abaissements
ater dans l'observation III le phénomène snivant : des contractions musculaires for tement houleuses et ondulantes, pendant les
e de début du. de répartition des troubles trophiques ou parétiques musculaires . Nous avons, dépouillé, dans cette intention, 2
scoliotique dorsale était il convexité droite, 3 fois les troubles musculaires avaient 'débute par )e'côté,,droit, 2 fois par
tial des troubles 140 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALP1 ? rItIRE. musculaires , des observations où fût neltement indiquée une p
ans cette observation, l'auteur attribue la scoliose a l'a- trophie musculaire des muscles spinaux. L'atrophie a envahi successi
le premier et demeuré le plus profondément atteint par les troubles musculaires , con- trairement à ce qui parait être le cas le
onserver que l'impression de la traction exercée sur les fils (sens musculaire ). En 1885. il dut abandonner son métier. Sur le
e extension absolument complète, ni une flexion normale. L'atrophie musculaire est peu appréciable ; il existe toutefois une d
he : la sensibilité est partout normale dans tous ses modes. Sens musculaire affaibli au niveau du coude droit et au-dessous,
d le malade s'est fatigué a rester debout, une sorte de palpitation musculaire dans le triceps crural du môme côté. Scoliose
le premier atteint par les symptômes syringomyéliques sensitifs et musculaires . Pathogénie. Both, ayant remarqué que les muscl
nt souvent une atrophie précoce, attribue a la scoliose une origine musculaire . Après avoir reproduit celle opinion, après avo
bles dits trophiques : elle est favorisée sans doute par l'atrophie musculaire et peut-être par la contracture, à laquelle on a
nant » ; le poids du corps fait ployer le rachis : les contractures musculaires constituent une cause adjuvante. Un traitement
upposons, ce qui est très vraisemblable, certain même, que l'action musculaire soit insuffisante, la déviation alors serait exce
eurs dans les jambes, surtout à gau- che, avec sensation de raideur musculaire . Ensuite, surtout' partir de l'an- née 1868, pa
sco- liose qui a fait conclure t l'existence de cet affaiblissement musculaire . Il est probable que celui-ci n'a pas été const
que Valenliner inv oquait, pour expliquer la scoliose, une parésie musculaire unilatérale des extenseurs du rachis. MM. Bourn
A l'énumération faite précédemment il faudrait joindre l'a- trophie musculaire progressive, qne Jasinski (1) aurait vue s'accomp
antéro- postérieures : cyphose ou lordose. Au contraire des lésions musculaires unilatérales, asymétriques, entraînent des scol
e mode habituel des accidenls hystéro-traumatiques, une contracture musculaire qui infléchit le rachis. Nous dirons tout à l'h
IATIONS VERTÉBRALES NÉVROPATIIIQUES. 165 dues uniquement à l'action musculaire », tant que les vertèbres ne sont pas déformées.
muscles spinaux lombaires et dorsaux du même côté. Ces deux groupes musculaires , bien qu'anatomiquement comparables, sonl en ef
un « corset pro- thétique de l'ahdomen » suppléera à l'insuffisance musculaire . Dans la lor- dose paralytique des muscles spin
Elles se produisent dans la direction Irans- versale quand l'action musculaire s'exerce d'une manière asymétrique. La guérison
igure les lignes a', b', c', représentent la suite de l'inscription musculaire a, b, c, que le format de la Nouvelle Iconographi
ous a obligé à retrancher à la droite des tracés ; les inscriptions musculaires se conti- nuent ensuite régulièrement sur les t
comme effet, croyons-nous, de provoquer la fatigue ou l'épuisement musculaire . On les voit, en effet, apparaître lorsqu'on em-
es spasmes répétés qui puissent être le point de départ de douleurs musculaires habi- tuellement légères et passagères (Audry,
ois observations paraissent établir nettement l'inté- grité du sens musculaire (Huet et Simpson). Sensibilités spéciales. Visi
s malades de ce genre. .... Lange paraît avoir atténué la lassitude musculaire dans le cas de Mlle L... '^par le massage et l'
un détour, un grand mouvement excentrique, en un mot c'est la folie musculaire des auteurs.. 'ÉTUDE CLINIQUE SUR L'ATHÉTOSE DO
QUE SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE. 193 Aux membres inférieurs l'instabilité musculaire est encore plus mar- quée qu'aux membres supéri
hétose double. Les déformations, les subluxations, l'hypertro- phie musculaire manquent toujours dans la chorée chronique. La
geron se sépare toute seule de l'athétose double, par ses secousses musculaires brusques qui n'ont rien du caractère des mouvem
mouvements involontaires lents, coordon- nés, exagérés par l'action musculaire intentionnelle, qui sont l'essence de l'athétos
t grandement différents de ceux de l'athétose double, les secousses musculaires sont brusques, comme les contractions provoquée
u, percussion des muscles, etc., souvent il existe des contractions musculaires incomplètes, fibrillaires ou fasciculaires, qui s
être considérée comme un signe carac- téristique et que les spasmes musculaires peuvent produire le déplacement des membres att
erse prouve- rait à coup sûr une lésion surajoutée à la contraction musculaire , el le pronostic se trouverait modifié. Quoi
uleur en portant le poids du corps sur la jambe saine. La vigilance musculaire qui maintient celle attitude devient à la longu
e plexus, et qui, pour se rendre à la peau, traversent les mas- ses musculaires , pouvaient rendre douloureuse la contraction des
nt comme répartition que comme intensité et comme mode des troubles musculaires et tropbiques. Chez aucune de ces malades, nous n
vec quelques légères variantes la forme décrite par Erb. L'atrophie musculaire était à peu près générale; toutefois elle respe
ale que Duchenne a décrite comme consé- quence de ces insuffisances musculaires . Chez eux, pas de scoliose, ou sco- liose insig
ions d'un genre particulier. 2° Les déviations vertébrales de cause musculaire . Les faits où la cause musculaire est absolumen
s déviations vertébrales de cause musculaire. Les faits où la cause musculaire est absolument indéniable se divisent en deux gro
s'opèrent dans le sens transversal quand il s'agit d'al- térations musculaires unilatérales, ou nettement prédominantes d'un côt
est habituel, doivent être attribuées en tous cas à une contraction musculaire prolongée des fléchisseurs latéraux lombaires.
paralysie d'un membre inférieur. Elles résultent d'une contraction musculaire semblable à celle qui se manifeste dans la sciati
de ces déviations parait être solidaire de la marche des trou- bles musculaires qui les engendrent. Elles guérissent complètement
Théorie trophique (osseuse, articulaire, ligamenteuse) ; 2° Théorie musculaire (paralysies, contractures). Il serait superflu
être question d'un trouble bilatéral égal et symétrique de l'action musculaire , puisque la déviation s'est faite dans le sens
s où la contracture est en cause. Pour toutes ces raisons, l'action musculaire nous paraît insuffisante pour expliquer la scol
rps envahi le premier et le plus fortement atteint par les troubles musculaires syringomyéliques. Peut-être, au moment où le rach
s adolescents ; elle ruine complètement, sui- vant nous, la théorie musculaire pure adoptée par certains auteurs. On a invoqué
t il existe une attitude vicieuse persistante, liée à l'im- potence musculaire d'un côté du corps, mais de plus, pour expliquer
dit : la scoliose des adolescents frappe des sujets dont le système musculaire est faiblement développé ; les muscles situés de
insoutenable. En effet l'examen des déviations d'origine nettement musculaire démontre qu'une faiblesse générale des muscles
des déviations très accentuées, n'est pas justiciable d'une théorie musculaire pure. Comme Bouvier, comme Kirmisson et comme l
rouble portant sur le squelette du rachis et non sur son appa- reil musculaire . III. Scoliose des adolescents associée aux név
Déléage lui ont montré, que, d'une façon générale, les contractions musculaires du triceps, par excitation mécani- que de son t
des divers autres troncs nerveux, ne déterminait pas de contraction musculaire . L'excitabilité faradiqueneprésentait pas de mo
me qu'elles étaient fortes, produisaient seulement des contractions musculaires rapides et sans durée consécutive. Il en était
nfin presque toujours NOC se produisait après NFTe. Les secousses musculaires obtenues par l'excitation des nerfs étaient brè-
nt brè- ves, rapides, instantanées ; même après NFTe la contraction musculaire ne persistait pas ; on voyait seulement la cont
cita- tion directe des muscles. C'est, en effet, par l'excitation musculaire directe, mécanique ou élec- trique que se produ
u doigt, suffisent pour produire la contraction tonique du faisceau musculaire tou- ché, se traduisant par la formation plus o
TUDE DE L'EXCITABILITÉ ÉLECTRIQUE DES MUSCLES. 245 et des secousses musculaires isochrones aux mouvements de l'interrupteur réa
idement que les courants à interruptions semi-fréquentes la fatigue musculaire , et que par suite ils font apparaître facilemen
té (1/4, 1/2, 1 et 2 milliampères) provoquent déjà des contractions musculaires , mais aussi par le fait qu'en excitant tel ou t
avec des cou- rants plus forts. Ces modifications de la contraction musculaire se recon- naissent facilement à la lenteur avec
iques, c'est-à-dire que les caractères myotoniques des contractions musculaires provoquées s'atténuent t progressivement sous l
ondulatoires avec les courants faradiques, c'est- à-dire la fatigue musculaire . Aussi, ces mouvements ondulatoires, qu'ils soi
toires, d'autant plus facilement, croyons-nous, que les altérations musculaires , constituant la maladie de Thomson, sont plus acc
des atteints d'affections diverses du système nerveux ou du système musculaire (myopalhies primitives diverses, myopathies secon
lité hormale. - Nous avons observé ces troubles de la contractilité musculaire sur un ma- lade de la Clinique de la Salpètrièr
nces physiologiques assez avancées, pour admettre que cette dépense musculaire et respiratoire exa- gérée soit un moyen insidi
e, les pupilles sont égales, le réflexe cor- néen conservé. Le sens musculaire et articulaire est aboli à gauche. Enfin le mal
complè- tement. Tout mouvement des orteils est impossible. La force musculaire est à peine diminuée dans les jambes ; elle est
es supérieurs, il n'y a ni parésie ni paralysie notables ; la force musculaire y est normale à droite et à gauche. 1 1 . J l'
80° du périmètre). Dans les régions anesthésiques, la sensibilité musculaire et articulaire est abolie. Troubles trophique
coup la préhension et la marche du côté droit. Cependant, la force musculaire était conservée ou peu diminuée, puisque l'enfa
vec les deux membres que l'impossibilité de les mouvoir. La force musculaire paraît d'ailleurs peu modifiée à droite ; mais, d
eur instabilité. Les réflexes sont normaux du côté gauche, la force musculaire intacte. II. Troubles DE la sensibilité. - Sens
utes les impressions de tact, de douleur, de température. Le sens musculaire , en tant que notion de la position des membres, n
elle est très vive au contraire du côté gauche. La contractilité musculaire est intacte des deux côtés. On peut par l'applica
ts faibles et de les augmenter jusqu'à l'apparition de contractions musculaires très modérées. La môme expérience démontre enco
vétéré. On voit alors le retour de la fonction de tel ou tel groupe musculaire dont le malade était privé. Il y a enfin des ca
it enfin dans la contracture tardive des manifestations d'une force musculaire très considérable nullement expli- cables par l
t être égale. Cette hypothèse explique bien ces fortes contractions musculaires spasmodiques qu'on observe dans l'hé- miplégie
HI È HE qu'il n'y a que de la pseudo-paralysie de tel ou tel groupe musculaire . Dans les cas plus graves la contracture peut d
s résultats satisfaisants après une série de séances. ,' L'atrophie musculaire décrite par Duchenne est une affection dans le
45; (Tremblement -), 43. Maladie de Thomsen (Tracés de secousses musculaires dans la -), 1, 5, 6, 7, 8, 9, 10, il, 12, 13, 1
31 (1881) Études cliniques sur l'hystéro-épilepsie, ou Grande hystérie
e peut lui traverser les chairs sans qu'elle s'en aperçoive. La force musculaire est affaiblie, principalement à droite. La pressi
disparaissant avec elle. Mais à l'approche des attaques, la faiblesse musculaire augmente; sou-vent la malade ne peut se servir du
vraie. La secousse con-siste en une tétanisation brusque d'un groupe musculaire , de peu de durée et cessant aussi subitement qu'e
. Le tambour explorateur a été appliqué le plus sou-vent sur la masse musculaire antérieure de l'avant-bras. Notre appareil a en
appareil a enregistré les modifications survenues dans la contraction musculaire pendant les mouvements convulsifs du bras. Et com
a perte de connaissance, l'arrêt de la respiration et la tétanisation musculaire . Quand au contraire l'attaque hystéro-épileptiq
décrirons en temps et lieu. § 2. — PHASE TONIQUE La tétanisation musculaire n'arrive pas d'emblée à son maxi-mum. Elle débute
dont la courbe générale s'élève au-dessus du niveau de la résolution musculaire pour se rapprocher de p]us en plus du plateau de
oniques, la malade se trouve bientôt im-mobilisée par la tétanisation musculaire portée à son comble. Ce moment est marqué sur nos
dont nous parlerons plus loin, si l'on ne remarquait qu'au tétanisme musculaire s'ajoutent ici deux phénomènes épileptoïdes impor
la base ou point de départ est au niveau de la ligne de la résolution musculaire . Les mouvements cloniques sont généralisés (fig
secousses s'éloignent de plus en plus pour faire place au relâchement musculaire complet qui constitue la troisième phase de la pé
oisième phase de la période épileptoïde. § i. — PHASE DE RÉSOLUTION MUSCULAIRE . • Cette phase n'est pas représentée sur nos
ance d'un phénomène qui régulièrement lui est étranger. La résolution musculaire peut être incomplète, et un certain degré de cont
e y demeure fort peu de temps ei retombe aussitôt dans un relâchement musculaire complet. riy. -2\j.— Traces PRIS SUR Gl.... Tam
s deviennent plus étendus, ils perdent de leur vitesse. La résolution musculaire s'opère peu à peu, et les convulsions cloniques d
ait entendre comme deux sanglots entre-coupés. Bientôt le relâchement musculaire est complet et les membres sont encore animés de
e l'ai déjà dit, la résolution est souvent incomplète, la contraction musculaire persistant d'une façon générale, ou sur un point
cipe et n'avoir qu'un seul but, celui d'une dépense exagérée de force musculaire . C'est, si l'on veut me passer une expression un
donné le nom pittoresque de clonisme, rappelant par là les exercices musculaires auxquels se livrent les acrobates. En effet, ce
énuant peu à peu pour faire place aux secousses, puis à la résolution musculaire . La première période est complète et bien terminé
racture, et une des conditions de leur produc-tion est le relâchement musculaire complet. Fig. 48. — Grands mouvements. Ces mo
ifficile; lorsque cependant on ar-rive à la pratiquer, le relâchement musculaire se produit peu à peu et la contracture peut cesse
iques sont sans effet sur ces contractures. Cet état de contraction musculaire sfénéralisée donne à la ma-lade des attitudes var
tantôt sur un point, tantôt sur un autre; c'est un phénomène purement musculaire , et le sensorium com-mune n'est point atteint.
xemples quelques observations dans lesquelles ces différents troubles musculaires ont été observés: Ler..., 14 février 1878. — Gr
deux temps!. » Il n'est pas rare de voir au contraire des troubles musculaires , contractures ou paralysies, qui existaient parfo
ais elle est loin d'éprouver une fatigue en rapport avec la dépense musculaire énorme qui s'est produite. La plupart même sont e
-même ses chevaux. Elle déploie une très grande activité et une force musculaire peu commune à son sexe. Je n'ai rien voulu retr
elle retombe cou-chée sur le dos et respire largement. La résolution musculaire est com-plète. A cet entr'acte succède une scèn
tanisme, dure environ cinq minutes. Puis il se produit un relâchement musculaire incomplet, car le côté gauche demeure toujours co
mes soins. Je la trouve quelquefois sous le coup d'une tétanisation musculaire géné-ralisée avec contracture des quatre membres.
enne produit deux effets différents : tantôt elle amène la résolution musculaire et un sommeil apparent. La respiration de-venant
Le zinc, insen-sible à gauche, détermina à droite quelques secousses musculaires et une légère tendance au sommeil. Les effets de
es pan-diculations, du malaise, de l'irascibilité, quelques secousses musculaires , et finalement une tendance invincible au sommeil
me électrisé, rentre dans le calme ; il y a graduel-lement résolution musculaire , et ces deux phases n'ont duré qu'environ deux mi
éloignées, elles font place à une période de calme et de relâchement musculaire . Dans cette phase de résolution musculaire, la
calme et de relâchement musculaire. Dans cette phase de résolution musculaire , la tête s'est affaissée, appuyée sur l'épaule ga
ou d'une partie du corps, c'est le clonisme. De repos, de résolution musculaire , il n'y en a point. Ajoutez a cela des bruits p
système lymphatique semble dominer, jouissant malgré cela d'une force musculaire très considérable, commença à être réglée à 14 an
, le pouls était plus fréquent, petit et irrégulier. Les contractions musculaires étaient si fortes, qu'à peine trois ou quatre per
auche, la tête se tourne aussi de ce côté. Puis survient un collapsus musculaire complet et une respiration ster- 1. Trattato dé
nds mouvements de flexion et d'extension qui dénotent une suractivité musculaire plutôt qu'un état morbide variable. » Mais chez
tude, malgré l'alimentation insuffisante et l'énorme dépense de force musculaire qui a dû se faire. La situation men-tale, d'unaut
es. Tous les membres sont en résolution. Celte phase de relâchement musculaire a une diu'ée égale à la phase pré-cédente. Quelqu
oup au vertige épileptique qui s'ac-compagne de quelques contractions musculaires rapides et locali-sées à certains groupes de musc
s certains malades tombent presque toujours... » ... La contraction musculaire subite,généralisée ou partielle, avec ses suite
comme après l'accès. Et, pendant la période de stertor, la résolution musculaire ne se pro-duit pas. — Cette persistance de la con
CONTORSION OU ATTAQUE DÉMONIAQUE. De la description des phénomènes musculaires de la deuxième période, grands mouvements et cont
s inspirations ronflantes représentent le stertor, mais la résolution musculaire ne survient pas, les membres demeurent con-tractu
que ses membres sont diversement iin- mobilisés par la cootraction musculaire . Mais cette phase est courte eo général et manque
Alonier, âgée de dix-sept ans, taille élevée, cheveux noirs, sys-tème musculaire développé ; intelligence précoce. A l'âge de tr
elles peuvent, dans les convulsions, arrivera un maximum de puissance musculaire . » Il ne nous sera pas difficile de montrer, pa
lées par le médecin, mouvements, danses, distractions, repos, efforts musculaires , étaient inutiles; l'atlaque arrivait et se termi
qui prouve à l'évidence, que la sensibilité cutanée et la sensibilité musculaire sont tout à fait anéanties. « 1 h. 50 m., pouls
t le plus souvent dans la résolution la plus complète. Un phénomène musculaire fort remarquable se développe im-médiatement, c'e
peu près avec autant de précision que dans l'état de veille. Le sens musculaire , suivantla remarque dcM. Azam, semble remplacer l
ndant cette seconde phase de la somniation provoquée, les phé-nomènes musculaires de la première phase persistent au môme de-gré (h
res de la première phase persistent au môme de-gré (hyperexcitabilité musculaire , frémissement des paupières, etc.). Pour faire
st fort difdcilo de compter le nombre des mouvements respiratoires. musculaire ; impossibilité de faire contracter le muscle par
l'on dit correspondre à l'entrée des nerfs moteurs dans la substance musculaire . Les effets obtenus par l'électrisation faradiq
citation des muscles. — L'avant-bras est très riche en points moteurs musculaires , dont l'action spéciale et bien limitée a été dé-
de nombreuses causes d'erreur. Dans certains cas, l'hyperexcitabdité musculaire est telle qu'il sufllt de plus léger attouchement
it sont dans la ré-solution, et jouissent seuls del'hyperexcitabilité musculaire caracté-ristique de la léthargie, pendant que les
nous venons d'indiquer, est sous le coup d'un état spécial du système musculaire , que l'on pourrait ap-peler la diathèse de contra
rendre complètement cataleptique et faire cesser l'hyperexcita-bilité musculaire . Les deux états, léthargie et catalepsie, n'en so
elle, elle n'occupe pas tout le corps; il y a de l'hyper-excitabilité musculaire . Dans le second la catalepsie est parfaite et gén
atalepsie est parfaite et générale; il n'y a plus d'hyperexcitabilité musculaire . Cette observation nous a conduit à rechercher
st dans l'état que nous avons appelé léthargie avec hyperexcitabilité musculaire . Si alors on vient à exercer une pression sur le
ossible alors de provoquer la contracture, en pressant sur les masses musculaires . L'hyperexcitabilité mus-culaire n'existe plus. E
isme existe plus parfait que dans la léthargie avec hyperexcitabilité musculaire . En effet, la malade se lève avec plus de vivacit
pharyngien se fait entendre, et il y a retour de l'hyperexcitabilité musculaire . La malade est de nouveau dans le premier sommeil
est venu con-firmer la différence que nous avons signalée dans fétat musculaire , et qui nous a servi à caractériser età admettre
de lé-thargie hystérique. Dans la léthargie avec hyperexcitabilité musculaire , fexcitation faradique portée sur un membre produ
cture permanente du muscle; dans la léthargie sans hyperex-citabilité musculaire , l'excitation faradique, quelque forte qu'elle so
re et Marie Curie - UPMC - Cote : WM 173 RIC 4" L'hyperexcitabilité musculaire telle que nous l'avons décrite et observée dans l
e massage, la pression laissent le muscle inerte; mais la contracture musculaire peut être provoquée par d'autres procédés plus dé
petit signe épileptoïde. On examine alors l'état de la contractililé musculaire , les muscles ne répondent pas à l'excitation méca
u'une nouvelle excitation sensorielle vienne l'en tirer. B. Le sens musculaire apporte au centre nerveux la notion de la positio
le bras re-tombe inerte, les muscles sont en état d'hyperexcitabililé musculaire , mais l'autre main cherche à continuer seule une
ne certaine forme dans l'état de somnambulisme sans hyperexcitabilité musculaire (voy. pag. 407), n'existe pas ici. Abandonnée à
s, et, suivant la règle, le trouble psychique alterne avec le trouble musculaire , l'hallucination avec l'état cataleptique. Certai
ion sur le sommet de la tête, à faire disparaître l'hyperexcitabilité musculaire . A ce moment la malade éprouve un tressaillement,
iffère beaucoup du précédent. Nous l'avons dit, l'hyperexcitabilité musculaire n'existe plus. L'anestliésie totale à la douleur
ion sur le sommet de la tête on fait disparaître lliyperexcita-bilité musculaire , et le nouvel état nerveux ainsi produit se révèl
netteté. Bar... dans l'état de somnambulisme sans hyperexcitabilité musculaire présente une sorte d'attraction pour l'observateu
t de léthargie proprement dite, ou léthargie avec hyper-rexcitabilité musculaire ; 4" État de léthargie sans hyperexcitabilité m
citabilité musculaire ; 4" État de léthargie sans hyperexcitabilité musculaire , ou état de somnambulisme. § 1. — CATALEPSIE HY
il y avait perte de la voix et de la parole, et les autres symptômes musculaires caracté-ristiques de la catalepsie existaient san
les positions les plus étranges qu'on lui communique. La ré-solution musculaire peut être complète et les membres conservent une
égèreté extrême. Mais il peut exister un degré variable de rigidité musculaire , qui a fait comparer par les auteurs la sensation
a-logies avec l'observation qu'on vient de hre. L'hyperexcitabilité musculaire , qui est également un des signes de la léthargie
'" série) amène la production de la léthargie avec hyperexci-tabilité musculaire \ 1. L'état cataleptique est signalé par Azam c
usion d'un seul œil occasionne l'hémiléthargie avec hyperexcitabilité musculaire dans le côté du corps correspondant ^ 1. Les co
siste, ce qui ne veut pas dire que le sommeil sans hyper-excitabilité musculaire soit toujours susceptible d'hallucitations provoq
5° Frémissement constant des paupières supérieures. 6" Résolution musculaire le plus souvent. Quelquefois légère rai-deur des
e à la friction (état cataleptiforme). T Toujours hyperexcitabilité musculaire (Obs. I, 1'" série). Pos-sibilité par l'excitatio
léthargie hys-térique provorjuée, s'accompagnant d"hyperexcitabilité musculaire . Je fais de l'hyperexcitabilité musculaire un s
nant d"hyperexcitabilité musculaire. Je fais de l'hyperexcitabilité musculaire un signe obligé de cette variété de sommeil, pour
meil où l'hyperexcitabilité ne se rencontre pas L'hyperexcitabilité musculaire , sans être expressément signalée, a été entrevue
rs la malade ne consiste pas seulementdaiis cciii- seule modification musculaire , d'autres signes y sont également, comme on peut
t au phénomène que nous avons décrit sous le nom d'hyperexci-tabilité musculaire : « Un soufffe d'air, une friction, font cesser
péciale du muscle que nous désignons sous le nom d'hyperexcita-bilité musculaire , ou, pour mieux dire, il en est, en quelque sorte
, on éprouve une certaine résistance, évidemment due à la contracture musculaire . Nous atons dit que la léthargie s'accompagnait
le sommeil, et, bien qu'il ne soit pas question d'hyper-excitabilité musculaire , ce sommeil ne saurait être autre chose que la lé
IQUE PROVOQUÉE NE S ' A G G 0 m P A G N a N T PAS D'HYPEREXCITABILITÉ musculaire OU SOMNAMBULISME IIVSTÉ-,KIQUE. A. Mode de prod
sion sur le vertex pendant l'état de léthargie avec hyperexcitabilité musculaire . Nous avons vu quelquefois cette variété de lét
de la vue, mais surtout sur le sens de la température et sur le sens musculaire , dont elle démontre l'existence d'une manière irr
dans lequel les influences morales n'ont rien à voir. 6" Résolution musculaire . — 11 existe parfois, au début, de la rigidité mu
Résolution musculaire. — 11 existe parfois, au début, de la rigidité musculaire qui disparaît facilement par le massage ou les fr
facilement par le massage ou les frictions. 7" L'hyperexcitabilité musculaire n'existe pas. Il est impossible de provoquer la c
; il semble plus parfait que dans la léthargie avec hyperexcitabilité musculaire . La malade répond mieux aux questions \ accomplit
gles, elle dort toujours. Le décubitus est indifférent, la résolution musculaire est complète; quand on la soulève, Del... retombe
t parfois elle change de position spontanément, L'hyperexcitabilité musculaire que nous avons décrite plus haut (p. 365). n'exis
longée dans un sommeil profond avec anesthésie générale et résolution musculaire . Voyant durer cet état qui ressemblait (n'était l
mes mouvements convulsifs. Pendant l'état léthargique la résolution musculaire était com- 1. Landouzy, Prog. méd. 25 janv. 187
u de sommeil, convulsions générales, sans écume à la bouche; la force musculaire était augmentée d'une manière étonnante : cinq ou
s lachorée, la catalepsie et un véritable tétanos, avec forte raideur musculaire , trismus et impossibilité de la déglutition; aprè
hénomènes qui caractérisent l'état léthargique avec hyperexcitabilité musculaire ^ tel qu'il a été décrit, se sura-joutent des cont
se ré-solvent par le massage ou la friction. de l'hyperexcitabilité musculaire , mais obtenu un peu plus difficilement que dans l
e d'un délire ou d'une rêvasserie, l'existence de l'hyperexcitabilité musculaire , la durée de l'accès, son retour périodique, sont
se rapproche des faits que je viens de rapporter. L'hyperexcitabilité musculaire présentait ceci de particulier qu'elle n'existait
re que l'on parlait de simu-ktion. La présence de l'hyperexcitabilité musculaire pendant le sommeil ainsi provoqué vint lever tous
frémissent légèrement. Nous recherchons alors si l'hyperexcitabilité musculaire existe, comme dans les expériences de léthargie h
oduit pas d'action bien nette. Tous ces efl'ets d'hyperexcitabilité musculaire sont produits par la simple excitation mécanique
sie est souvent partielle. Enfin, les frictions amènent la résolution musculaire . Tous ces signes éloignent l'idée de véritable
racture d'un ou de plusieurs membres, tantôt étendus atout le système musculaire , et en quelque sorte concentriques ou tétaniques.
ques nous paraîtun bel exemple de léthargie dans laquelle la rigidité musculaire suivait la loi de l'hyperexcitabilité. Nous voy
ade revenait à elle et recou-vrait son intelligence, les contractions musculaires persistaient encore pen-dant quelque temps. Pue
ix en dix minutes autour du cou, qui amènent également la réso-lution musculaire , quoique d'une façon plus lente. Madame D. fini
e étaient évidemment sous la dépen-dance d'un état d'hyperexcitabihté musculaire . Les analogies avec ce que nous avons décrit sous
ortante, elle n'avait pas eu de nouvelle crise. Chez elle, le système musculaire était très différemment impressionné selon le pou
mement pénibles. L'ef-fet magnétique pouvait se localiser à un groupe musculaire , ou même à un seul muscle, si on réduisait le con
e, les phénomènes magnétiques après avoir déterminé de la contracture musculaire , et avoir catalepsie le membre touché, augmentaie
contact devenaient eux-mêmes les agents excitateurs d'autres groupes musculaires ; l'action au lieu de s'épuiser augmentait. Il e
r la position qu'on lui avait artificiellement imposée : la passivité musculaire était remplacée par des contractions tétaniques,
ture qui durait autant que le déplacement du membre; aussi les masses musculaires au lieu d'être molles, étaient-elles dures ; le
u à peu d'étendue pour se terminer par des secousses. La résolution musculaire arrive, il n'y a pas à proprement parler de ster-
approche le flacon d'ammoniaque de ses narines. L'hyperexcitabilité musculaire existe. — On contracture par la pression les musc
des cataleptiques ne varient pas. Il n'y a pas ú'hyper excitabilité musculaire , c'est-à-dire que l'excitation mécanique n'amène
élaboration mentale pénible, hallucinations, commen-cement de roideur musculaire ; éréthisme extrême, abolition des sens, de l'inte
un violent accès d'hystérie pendant lequel l'énergie des mouve-ments musculaires avait été telle que le corps plié en arc reposait
u corps une anesthésie très profonde, allant jusqu'à la perte du sens musculaire . La vue du même côté était affaiblie, les accès é
vant le mode d'inva-sion de l'accès. Était-il spontané, la résolution musculaire n'a jamais été obtenue, avec quelque soin que les
bles à ceux qui sont consignés dans le passage suivant : Le système musculaire s'est toujours montré tel que l'avaient décrit Ie
e, voici qui paraît avoir quelques analogies avec f hyperexcitabilité musculaire . Les membres, même dans leur état morbide (l'ét
époque nous avons constaté l'action de l'électricité sur le système musculaire .....Comme moyens mécaniques, nous avons vu souven
ouvent qu'un choc brusque produit en un point quelconque du système musculaire , sans produire, il est vrai, des mouvements étend
ie profonde de la peau, perte de la sensibilité tactile, thermique et musculaire , anesthésie complète de l'odorat et du gotit. V
ons, assez semblable à celui de l'alcoolisme, s'ajoutent des troubles musculaires plus accusés, con-sistant en des secousses muscul
t des troubles musculaires plus accusés, con-sistant en des secousses musculaires et des accidents convulsifs généralisés, qui prés
on remarque quelques secousses très légères, ou plutôt un tremblement musculaire , aux oreilles, à la nuque. Il manifeste une grand
ue l'expérimentation a révélé chez les animaux : vertiges, se-cousses musculaires , accès épileptiformes, délire, hallucinations...
s'accompagne toujours d'un affai-blissement assez marqué de la force musculaire du même côté; ce dont il est facile de se rendre
u moyen d'un dyna-momètre très commode de son invention, que la force musculaire a reçu un accroissement notable, et qu'au lieu de
ression de la main indique une force en rapport avec le développement musculaire de la malade. L'aug-mentation peut être et est so
xpériences directes. Les organes des sens, la température et la force musculaire sont intéressés en même temps que la sensibilité
l'anesthésie et se traduit par un affaiblissement marqué de la force musculaire des membres anesthésiés (amyosthénie de Burq). Ce
me propose d'insister. Ils relient la paralysie hystérique à un état musculaire tout opposé dont ils sont en quelque sorte les pr
système nerveux. Chez nos hystériques, l'étude de la contractilité musculaire nous a montré que les membres atteints, à un degr
à un degré variable, de parésie présentent, en outre d'une faiblesse musculaire constatée par le dy-namonètre, une disposition pa
plus souvent, ainsi que nous l'avons déjà vu plus haut, la faiblesse musculaire intéresse tout un côté du corps et précisé-ment l
s phénomènes s'observent aussi bien dans les cas où l'aflaiblissement musculaire affecte la forme paraplégique ou lorsqu'il est gé
pê-trière sur cette variété de la contracture provoquée K Un effort musculaire un peu violent des malades elles-mêmes conduit au
eaucoup moindre. L'anesthésie cutanée est complète et totale. Le sens musculaire est aboli dans le membre paralysé; les yeux fermé
les applications ai-mantées amenaient infailliblement la contracture musculaire , lorsqu'elles portaient sur le membre paralysé qu
précèdent le traumatisme a pu provoquer et entretenir la contracture musculaire chez des sujets qui n'y étaient en aucune façon p
égè-rement. Si l'on cherche à l'étendre on constate un peu de roideur musculaire . En même temps la contracture du bras droit paraî
peut-on donner de ce phénomène, éminem-ment paradoxal, d'une activité musculaire qui, sans aucun repos appréciable, persiste souve
ologie un fait qui est le paradigme de la contracture, c'est le tonus musculaire . Les muscles môme au repos sont dans un certain é
les ; or on a vu dans les cas de paralysie spasmodique la contracture musculaire succéder à son emploi. c) Nous avons vu une far
e conclure que la contracture n'est qu'une exagération de la tonicité musculaire , et par suite doit trouver sa cause immédiate et
matoire, celles-ci sont altérées dans leur struc-ture, la contracture musculaire cesse, pour être remplacée par l'atrophie muscula
, la contracture musculaire cesse, pour être remplacée par l'atrophie musculaire , conséquence inévitable de leur destruction. «
torisent à les ranger à côté des troubles variés de la con-tractilité musculaire (paralysies, contractures) qui se rencontrent fré
s paupières, se transforme en état léthargique avec hyperexcitabilité musculaire , l'existence simultanée, possible chez un même su
e lassitude insignifiant, nulle-ment en rapport avec l'énorme dépense musculaire qui s'est faite. La durée de l'affection peut êtr
urs adaptés à l'électrisalion de l'oreille, de l'œil, à l'exci-tation musculaire , etc. On peut lire la description de cet arsenal
n trans-fert. L'hémianesthésie change de côté, de même que la parésie musculaire et les autres modifications accessoires de circul
t de cette immobiïité momen-tanée, elimprimaient à leurs contractions musculaires un degré d'énergie tel que les assistants ne parv
intellectuelles et affectives, les actes de déraison, les phénomènes musculaires s'observaient surtout pendant et au moment de la
nt immobdes ^. » Dans d'autres accès d'assoupissement la résolution musculaire est expres-sément signalée. « Putifar répondit
mme pour la mettre debout, on constate un état général de relâchement musculaire , et elle re-tombe sur le siège, aussitôt qu'on ne
..................................... 57 § 4. — Phase de résolution musculaire ............................. 59 § 5. — Durée de
ue par la pression sur le vertex. — Léthargie sans hyperex-citabilité musculaire ou somnambulisme.................,........ 381
e quelques autres caractères du somnam-bulisme sans hyperexcitabilité musculaire ........................ 406 DESCIUI'TION DES DI
— Léthargie hystérique provoquée s'accompagnant d'hyperexcitabilité musculaire ..................................................
argie hystérique provoquée ne s'accompagnant pas d'hyper-excitabilité musculaire ou somnandjulisme hystéricpie................ 423
32 (1889) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 02] : clinique des maladies du système nerveux
ires. 11 n'existe pas d'autres troubles tro- phiques que l'atrophie musculaire . . Ons. II. Paul S..., emballeur, âgé de quaran
.elle; est 'abolie pour la piqûre..et. pour la température. Le sens, musculaire est conservé. Ilasensilililé. articulaire est;a
e de confondre avec les espèces nosologiques connues. Ni l'atrophie musculaire progressive mopatlique ou myélopathique, ni la
ompagne l'arrêt de la res- piration qui semble être, avec le spasme musculaire généralisé, un de ses principaux facteurs. En
stase sanguine occasionnée elle- même par le spasme respiratoire et musculaire . L'arrêt de la respira- tion supprime l'appel d
olonne cervicale mobile. En outre de la part qui revient aux masses musculaires de la nuque dont l'état de contraction ou de ra
ions correspondantes de la cuisse droite. Il n'y a pas d'atrophie musculaire , ou du moins, si les muscles se sont atrophiés,
sister indéfiniment. Il est pro- bable que, tenant à la contracture musculaire , elles tendront, comme cette dernière, à dispar
crum remontant à cinq ans. Paralysie. z Crampes. Douleurs. Atrophie musculaire . Troubles tro- phiques cutanés. Engelures.. Ces
out d'un certain temps que la malade ne peut préciser, une atrophie musculaire des deux membres inférieurs. Pas de troubles tr
rs suivants. Ainsi donc, paraplégie, anesthésie, douleurs, atrophie musculaire , troubles trophiques des extrémités inférieures
grand et petit sciatiques. Il est à noter également que l'atrophie musculaire s'est manifestée, elle aussi, exclusivement dan
la motilité. - Dans tous les cas, il avait subsisté de la paralysie musculaire , variable comme intensité et comme siège. ' Dan
t manqué dans aucun cas. Le plus souvent, il existait de l'atrophie musculaire , généralement asymétrique. ' . Comme troubles
rs il y a prédominance de certains symptômes- : paralysie, atrophie musculaire , troubles trophiques cutanés, surun côté du corps
-ci plus tardive- ment. Très souvent la disparition de la paralysie musculaire est an- noncée par des secousses volontaires, t
epsie, chez un grand nombre de malades du moins, un affaiblissement musculaire qui prédomine du côté où les convulsions ont ét
er les rapports qui existent entre 1. Les modifications de la force musculaire et le tremblement consécutif aux attaques déter
ellules motrices s'éloignent et s'af- faiblissent, les contractions musculaires qui en résultent s'affaiblissent et s'éloignent
e la main est de 2 pouces i/2 ; i aucun affaiblissement de la force musculaire , la malade se sert de ses mains aussi bien qu'a
onne ce qu'elle a fait dans le Tyrol, les vols commis, etc. Le sens musculaire , la notion de position de ses doigts, la notion
rme de convulsions toniques ou cloniques, ou sous forme de raideurs musculaires , ou sous forme d'états cataleptoïdes. Il faut n
leurs accidents, leurs oscillations, décèlent à la fois la fatigue musculaire et l'effort destiné à en compenser les effets.
de clinique des maladies du système nerveux. NOTE SUR UNE ANOMALIE MUSCULAIRE CHEZ DEUX ÉPILEPTIQUES.. L'étude des anomalie
échapper à peu près fatalement sur le vivant. Quand aux ano- malies musculaires elles ne paraissent pas avoir attiré l'attention
T. II PL XIII CLICHÉ A. LONDE PHQTOTVPIf-. Bl : .R'THAUD Anomalie Musculaire chez un Épileptique Lecrosnier et BA717 . Édite
Épileptique Lecrosnier et BA717 . Éditeurs NOTE SUR UNE ANOMALIE MUSCULAIRE . "" -~â3lJl de perte de la parole, puis de pert
u côté opposé. On ne sent entre la peau et les côtes aucun faisceau musculaire : du reste l'aisselle n'est limitée en avant pa
HIE T. II PL. XIV CLICHt7 A. LONDE PHOTOTYPIE BEHTHAUD Anomalie Musculaire chez un EPILEPTIQUE L6ChOSNIFR hT HAH1. Énrllo.
EPILEPTIQUE L6ChOSNIFR hT HAH1. Énrllo.uPs NOTE SUR UNE ANOMALIE MUSCULAIRE . une moindre abondance des poils sur tout le co
3. ` Cil. Féré, Médecin de Bicêtre. 1. 'l'estut, les Anomalies musculaires chez l'homme, expliquées par l'anatomie com- pa
ouverts et présente également les phénomènes de l'hyperexcitabilité musculaire . Pendant qu'elle est hypnotisée, elle est fréquem
s souvent un petit rouleau de bandes, pour faciliter la contraction musculaire dont le but est d'acti- ver le cours du sang en
moiteur; partout ailleurs la peau est absolument sèche. Les masses musculaires des cuisses et des bras paraissent diminuées de
prises d'un léger tremblement lorsque le bras est étendu. La force musculaire paraît conservée. Les pupilles sont également e
hies des ongles signalées par M. Régis '. L'existence de l'atrophie musculaire dans la paralysie générale a été contestée, sau
aralysie générale a été contestée, sauf comme coïncidence (atrophie musculaire progres- sive, Baillarger). Pourtant l'atrophie
atrophie musculaire progres- sive, Baillarger). Pourtant l'atrophie musculaire peut se présenter sous forme épisodique, comme
bord cubital. Les genoux sont aussi légèrement fléchis. La raideur musculaire , perma- nente, impose cette attitude aux différ
occa- sion d'une émotion, d'une contrariété ou bien après un effort musculaire , puis il finit par s'installer définitivement e
mme le membre infé- rieur est maintenu en extension par la rigidité musculaire , la malade avance en balançant ses hanches et d
début insidieux, le développement lentement progressif, la raideur musculaire sans paralysie proprement dite, l'attitude du m
ol. IIémianesthésie gauche sensitivo sensorielle avec peite du sens musculaire . Rétrécissement concentrique du champ visuel, i
es sont parfois tenaces - si l'on ne com- mence pas par une section musculaire ou nerveuse, on est trop souvent porté à placer
nom, l'une de sclél'osique, l'aulre de lymphatique. Quant au tissu musculaire , tous sont d'accord pnur dire qu'il n'est pas f
ssile dans lequel il a réussi à constater une prédominance du tissu musculaire ; mais cette altération était limitée à quelques p
rnum; les deux ventricules étaient agrandis par l'atrophie du tissu musculaire ; ces faits semblaient être en rapport de causa-
ériode de ramollissement, le tissu osseux aurait cédé aux tractions musculaires . Les'têtes articulaires des os longs, et plus e
cclus) la stimulation que les spiritueux détermi- nent sur la libre musculaire et par laquelle se produisent des altérations p
e contracture. Attitude d'extension. Disparaît la nuit. Instabilité musculaire . Pas de trouble de la sensibilité. Résiste à tout
au\' : sont très manifestes. Des phénomènes analogues d'instabilité musculaire s'observent au membre inférieur droit contractu
énergique à'tout mouvement imprimé au membre malaxé, d'où équilibre musculaire rompu, sans qu'il y ait pour cela contracture :
t beaucoup plus due à l'accumulation graisseuse qu'au développement musculaire . La chose est de la dernière évidence chez la f
La chose est de la dernière évidence chez la femme dont le système musculaire est généralement peu développé et dont la région
r, en outre, que chez les individus qui présentent un développement musculaire exagéré avec un pannicule NOUVELLE ICONOGRAPHIE
de la tempe est très saillante en avant. Les surfaces d'insertions musculaires sur l'occipital sont très développées. Les apop
éjà signalées pour d'autres os surtout dans les points d'insertions musculaires , leurs dimensions sont proportionnelles à celle
che très dilatée, paroi un peu épaissie; coloration jaunâtre; fibre musculaire très granuleuse. On trouve cependant encore un
, de l'apophyse mastoïde, du rocher, toutes les rugosités et crêtes musculaires sont très marquées. Les apophyses mastoidesfont u
des deux ailes et le sommet du crochet). Les crêtes des insertions musculaires à ces apophyses ptérygoïdes sont très marquées.
la' rupture d'équilibre entre les deux moitiés de la face, le tonus musculaire droit n'étant plus contre- balancé. Mais, nous
alancé. Mais, nous y insistons, à part la mise en' oeuvre du' tonus musculaire normal, phénomène de peu 'd'importance, tout est
BUTION A L'ÉTUDE DES TROUBLES TROPHIQUES DANS L'HYSTÉRIE ATROPHIE MUSCULAIRE ET OEDÈME I Jusqu'à ces derniers temps l'opin
mémoire 1 l'existence de troubles trophiques en étudiant l'atrophie musculaire des hystériques, déjà signalée en 1884 par M. F
ale faite sous l'inspiration de M. Sceligmüller °. 1. De l'atrophie musculaire dans les paralysies hystériques. Archives de neur
uis il donne les caractères de ces troubles nutritifs. « L'atrophie musculaire se présente sous l'aspect suivant : 1° elle est p
tilité électrique est diminuée en proportion du degré de l'atrophie musculaire , mais il n'y a pas de réaction de dégénérescenc
alade de treize ans atteint de mono- plégie brachiale avec atrophie musculaire , ayant duré trois ans et s'étant terminé par la
ski, tout au moins en ce qui regarde à proprement parler l'atrophie musculaire . Dans ses Leçons cliniques du premier semestre
887, p. 4C. 2. De l'hystérie chez l'homme, monoplégie avec atrophie musculaire (Journal des con- naissances médicales, Paris,
107). 3. Hémiplégie probablement d'origine hystérique avec atrophie musculaire (Archives de physiologie, 1887, p. 338). ' "
la Salpètrière, t. I, 1888). : .J. Coxalgie hystérique avec atrophie musculaire (Société médicale des hôpitaux, 28 juin 188G).
s hôpitaux, 28 juin 188G). 0. Hémiplégie hystérique avec atrophie musculaire survenue la suite d'une diphtérie (Société médi
1889-1890, M. le professeur Charcot nous a appris que l'atrophie musculaire hystérique pouvait revêtir certaines modalités di
Cela prouve probablement qu'il y a. plusieurs variétés d'atrophies musculaires hystériques, dont toutefois il serait certainem
, absolue, pour tous les modes de la sensibilité, y compris le sens musculaire . t'ouïe, l'odorat, le goût sont abolis il droit
E T It PL. XLI Cliché A LONDE rNOTOTYPth BHHTHAUD un ATROPHIE MUSCULAIRE DE LA MAIN GAUCHE D'ORIGINE HYSTÉRIQUE Llô :
che complète à la piqûre, au froid, à la chaleur avec perte du sens musculaire . Du côté droit, sensibilité émoussée. La pres
ollet. Zone (l'hyperesthésie inguinale et fessière. Perle de sens musculaire du côté gauche. Goût et odorat intacts; ouïe di
che allait s'atro- phier en voyant apparaître ces petites secousses musculaires dont il avait appris malheureusement à connaitr
nski examinés par M. Vigoureux pré- sentaient, dans les territoires musculaires atrophiés, la réaction de l'atrophie simple. Or
- n'en doit pas moins entrer dans la symptomatologie des atrophies musculaires d'origine hystérique. En résumé, les notions
désirons attirer l'attention sont les suivantes : '1° L'atrophie musculaire d'origine hystérique peut quelquefois envahir d
té au contact est conservée, inais elle est pervertie; > Le sens musculaire est aboli, poignet et doigts. - La main et les
pendant il ne faut pas que ces mouvements exigent un certain effort musculaire , car il ne peut pas, par exemple, porter son ve
omène qui nous occupe; c'est à n'en pas douter un phénomène d'ordre musculaire , portant sur les vaisseaux et sur les' follicul
logne) qui écrivait en traçant la sym- ptomatologie de « l'atrophie musculaire de l'adulte ». « L'anesthésie est quelquefois s
is il est' incontestable que Duchenne confondit toujours l'atrophie musculaire progressive du type qui porte son nom avec la syr
ait en faveur de cette opinion que ne contredisait pas l'atro- phie musculaire qu'on observe parfois dans le cours de cette mala
e syringomyélie : début in- sidieux, à un fige peu avancé, atrophie musculaire à marche lente et progressive, abolition dans c
iné par Duchenne (de Boulogne) qui porta le diagnostic « d'atrophie musculaire progressive ». Dans l'intervalle, (vers l'âge d
es deux jours. Elles n'ont pas reparu depuis. A part cette atrophie musculaire et les autres symptômes que nous venons de décr
o- NOUVELLE ICONOGRAPHIE T. II. PL. XLVUI. SCOLIOSE ET ATROPHIE MUSCULAIRE DANS LA SYRINGOMYELIE LECR05NIHR boT 8A8b., }
du corps et hypéresthésiée au niveau des membres inférieurs. Sens musculaire : aboli : le malade perd ses jambes dans le lit.
ce et suivie de contractions cloniques violentes de tout le système musculaire . Les paupières à demi fermées laissent voir les
nt anguleuse sur la ligne répondant à l'épine. Très forte insertion musculaire à son angle infé- rieur. Angle supéro-interne a
pubienne. Gouttière sous-cotyloïdienne peu marquée. Fortes facettes musculaires à l'ischion. Gouttière sus-cotyloï- dienne remp
lysie géné- rale), 25, ` ? G, 27 ; (- dans l'hystérie) atro- phie musculaire , il, oedème, 4`3. Ventouseuse, (la) 23. TABLE
, IJ,J3, Jf·. 55, 56, 57, 58, 70,71, 77, 78. Hystérique (atrophie musculaire - de 1, main), 72, 73, 74, 75. 76; attaque - 8
les- après les attaques), par Féré, 38 ; (note'sur une ano- malie musculaire chez deux -), par Féré, 192. Eruption eczémat
e (contribution à l'étude des troubles trophiqnes dansl ? .atrophie musculaire et oedème), pal' Gilles de la Tourette et Dutil
33 (1881) Archives de neurologie [Tome 02, n° 05-06] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
en relief, on arrive bientôt à se convaincre que la con- tracture musculaire n'est pas due seulement à l'excita- tion mécani
aire n'est pas due seulement à l'excita- tion mécanique de la fibre musculaire elle-même, mais qu'elle se montre également bie
res tendineuses qui sont en rapport de continuité avec la substance musculaire , ou sur les rameaux nerv ew moteurs dont les fi
ui font de l'exaltation des réflexes tendineux et de la contracture musculaire des faits de même ordre, on ne sera pas surpris
un ébranlement soudain de toute la masse du muscle. La contraction musculaire réflexe ne peut être produite par aucune excita
, diffusion de l'action réflexe; b) modifications de la contraction musculaire qui en est la conséquence : a) La contraction e
ndineux tend à se généraliser, il arrive souvent que la contraction musculaire à la- quelle il donne lieu subit elle-même quel
acé I (h'a'g. 2) a été obtenu pendant l'état de veille. La secousse musculaire réflexe n'est pas unique, comme il arrive souve
supérieur de la face antérieure de l'avant-bras au niveau du relief musculaire des fléchisseurs, et la percussion porte, à que
existe très développé dans le reste du corps. - b) La contraction musculaire qui est la conséquence du choc sur le tendon pr
- excitabilité neuro-musculaire, c'est-à-dire de la con- tracture musculaire obtenue à l'aide d'une simple excitation mécani
le choc répété des tendons ne produisait qu'une série de secousses musculaires , sans tendance manifeste vers la contracture, l
sujets qui présentent à un haut degré l'hyperexcitabilité neuro- musculaire que la simple pression du tendon fait mer- veil
racture ÉTUDE DE ciilz LES HYSTÉRIQUES. -)9 permanente des fibres musculaires qui font suite aux fibres tendineuses. Pour les
rouve ainsi son explication dans les lois connues de la physiologie musculaire . ÉTUDE DE L'HYPNOTISME CHEZ LES HYSTÉRIQUES. 65
erniers doigts, annulaire et petit doigt, est le résultat d'actions musculaires plus complexes. Les muscles innervés par le ner
ontraire, nous pouvons dire qu'en ceci l'hyperexcitabilité neuro- musculaire s'est montrée supérieure à la faradisation loca
échisseur propre du pouce. Ce dernier muscle, en raison de sa masse musculaire paraît même devoir l'emporter. En résumé, l'exc
s limites qui peuvent être représentées par les courants nerveux et musculaire de la grenouille. M. Regnard observa d'autres f
sensibilité générale et spéciale, de la circulation, de la tonicité musculaire , etc., en un mot des phénomènes oesthésiogé- ni
tion centrale des oesthé- siogènes. Les changements dans la force musculaire parlent dans le même sens. Il faut joindre à ce
érents changements de tonicité vasculaire, de sensibilité, de force musculaire , etc., sont indépendants les uns des autres et
, et en même temps sur la circulation, la température et la force musculaire des membres anesthésiés. Il a reconnu les idiosyn
1, II, III, 1876-1880. REVUE DE PHYSIOLOGIE I. SUR la contraction musculaire paradoxale; par M. Men- DEL530HN. (SL-Pétersbnr
a consacrée à ce phénomène patholo- gique bizarre de la contraction musculaire dite paradoxale, qui consiste en un spasme perm
antérieur, l'excitation réside dans la tension passive du groupe musculaire antagoniste, c'est-à-dire des jumeaux et du soléa
ues et chez cinq alcooliques affectés de tremblement et de rigidité musculaire . L'auteur, sans se prononcer catégoriquement, e
consiste en une perte de l'équilibre du tonus dans certains groupes musculaires et dans leurs antagonistes. 11 admet aussi qu'i
. K. VIII. On MUSCULAR SPAMS KNOWN AS tendon reflex. (Des spasmes musculaires désignés sous le nom de réflexes tendi- neiix);
ntractions ; de même, on peut n'avoir à la cheville qu'une secousse musculaire en ayant soin d'abandonner le pied à son propre
mun : c'est une contraction provoquée par l'extension de la fibre musculaire et on peut affirmer que la contraction sera d'aut
rmer que la contraction sera d'autant plus forte que l'excitabilité musculaire sera plus facilement mise en jeu. M. Waller don
point éloigné du corps ; mais il faut pour cela que l'irritabilité musculaire soit au maximum ; c'est d'ail- leurs cette diff
mentent encore la difficulté de lever les orteils. Certains groupes musculaires sont hyper- esthésiés. En même temps, il existe
e l'économie et par l'augmentation de la paralysie et de l'atrophie musculaires . Le béribéri peut quelquefois offrir des formes
érience a montré que la malaxation ou la simple pression des masses musculaires amenait la contracture des muscles excités. Mai
cture est-elle la conséquence de l'excitation di- recte de la fibre musculaire elle-même, ou bien suit- elle l'excitation des
e- ment de rotation prévu d'après les données de la phy- siologie musculaire , et l'immobilisant au terme de son mouvement da
ion directe. Nous reviendrons plus loin sur ces faits de synergie musculaire , mais il était nécessaire de les signaler dès m
exac- tement l'action électrique sur un muscle ou sur un faisceau musculaire . Il put ainsi démontrer clairement l'action par
'ils correspondent aux points d'immergence ou d'émergence des nerfs musculaires ; et Duchenne n'i- gnorait point cette relation
vait été révélée dans l'hypnotisme par l'hyperexcitabilité neuro- musculaire , nous constations ensuite, pendant la veille, a
plus difficile'à obtenir, dans l'état d'hyperexcitabilité neuro- musculaire , par l'excitation mécanique, que, pendant la ve
e l'excita- tion mécanique dans l'état d'hyperexcitabilité neuro- musculaire et pour la faradisation localisée, des diffi- c
x- citabilité spéciale des fibres tendineuses et de la sy- nergie musculaire . Mais, ces circonstances, une fois connues et p
parfois sur quelques muscles éloignés. Dans ce cas, la contraction musculaire est fugace et peu ac- cusée, c'est un simple fr
usculaire est fugace et peu ac- cusée, c'est un simple frémissement musculaire , ou bien une série de petites convulsions cloni
ISME CHEZ LES HYSTÉRIQUES. 195 moteurs qui se rendent à un faisceau musculaire voi- sin, lorsqu'il est' un' peu'' intense ou q
re. » (Page 59.) Dans nos expériences 'd'hyperexcitabilité neuro- musculaire , la contraction isolée du grand zygomati- que n
tation ait été''unilatérale. C'est un nouvel exemple de la synergie musculaire des muscles pairs de la' face, dont nous avons
raction était obtenue par l'excitation mécanique des points moteurs musculaires . La malade a été ainsi fendue cataleptique, san
isparaître- instantanément toute trace d'hyperexcitabilité neuro- musculaire de ce -même côté.' Cette* expérience' est facil
i ce n'est que, dans ce cas,- nous excitons directement' la fibre musculaire dans la zone située. au : dessus- de l'o- reill
1,11''3(,ni It· 1., 1 it UIIy ,1 1, *1 '1 111, J'' . La contracture musculaire -provoquée par l'excita- tion mécanique pendant
cher afin d'éviter les complications que de nouvelles excitations musculaires , même fortuites, ne manque- raient pas de susci
même région et qu'elle s'est exactement locali- sée au même groupe musculaire , à celui qui reçoit les rameaux du nerf cubital
t retombé peu à peu et a repris l'attitude normale du relâchement musculaire . , La pression sur la masse des muscles de la r
acture localisée due à l'excitation mécani- que du nerf ou du corps musculaire lui-même. Il en est de même lorsque la contract
s dix ou douze ans, les notions que nous possédons sur. l'atrophie, musculaire sont devenues atrophie musculaire. 233 3 plus
e nous possédons sur. l'atrophie, musculaire sont devenues atrophie musculaire . 233 3 plus nombreuses etplus précises ; mais,
érébraux ne pouvaient pas exister dans quelques formes d'a- trophie musculaire , et, même, comme nous allons le montrer par un
de paralysies partielles'; crises gastriques; paraplégie ; atrophie musculaire . ^ r ; ' rt . Il n'y a aucun antécédent héréd
le tronc et les membres et une sensation très pénible de faiblesse musculaire . Il y avait aussi un certain degré d'hyperesthési
duite dans la période de repos et toujours augmentant l'impuissance musculaire . Entre deux crises, il y eut au plus une périod
de quinze jours, survint une crise (la cinquième environ) atrophie MUSCULAIRE . 235' analogue aux précédentes, mais beaucoup p
ois fois par semaine). ' ' Voici quel était alors l'état du système musculaire : les deltoïdes' sont affaiblis, mais peu atrop
lui est plus utile par sa dé- formation en griffe que par la force musculaire très affaiblie qui fait encore mouvoir les doig
x membresn inférieurs, il y a un affaiblissement général du système musculaire et, en particulier, une parésie très notable des
rgogne, chaque jour il dînait en ville et ne rentrait à la atrophie musculaire . 237 maison qu'à une heure avancée de la nuit;
rétablissement de son état général, à la réapparition des masses musculaires et des mouvements volontaires, sous l'in- fluen
idents, et surtout montrer l'association peu vulgaire de l'atrophie musculaire d'une part, des accès comateux et des crises ga
ront peut-être et permettront alors de grouper à part ces atrophies musculaires avec symptômes cérébraux et bul- baires '. RE
peut s'agir non plus ici d'une paralysie faciale ni d'une atrophie musculaire de l'enfance au début. On ne peut songer qu'à l
éflexes tendineux. C'est la perturbation apportée dans les'tensions musculaires réflexes (tonicité) "qui constitué le*corps du
tions en apparence de même, ordre; ainsi, parmi, les., contractions musculaires et les contractures , qui accompagnent, souvent
est lourd et interrompu par, de fréquents soubresauts, des spasmes musculaires . Au lever, le malade se plaint de vertige et, d
dée, ancienne, et d'ailleurs -parfaitement exacte, que l'activité ? musculaire ,,est une. source de-i vigueur, et r de. santé p
nir du délire aigulcaractérisé par l'hyperthernie, de 'l'agitation - musculaire avec incoordina- tion (folie musculaire) et. de
erthernie, de 'l'agitation -musculaire avec incoordina- tion (folie musculaire ) et. des 1 crises (de convulsions toniques et-
m par des cellules rondes. Intégrité du coeur. L'examen 'du tissu musculaire de la troisième malade put être pratiqué dé' son
'altération granuleuse 'typique ('grosses' granulations) des fibres musculaires (dy's- trophie) : un second examen pratiqué, pa
ec les exacerbation psychiques , de la réaction spéciale du système musculaire , de, la, constitution du sang, de la'tendance a
,M»- 7.^1..v,-Pr..i*;m.MJl,.ri si ? 9..t °.l.' Il Quant aux lestons musculaires qui n ont été jusqu ici rencon- trées que ' dan
absolue,,en tissus distincts,'IilJpense que les systémes nerveli ? musculaires ; etc -,ne sont autre choselque'le'résultat de pro
R moutre des préparations microscopiques concernant les altérations musculaires rencontrées par lui dans le délire aigu. M. SCH
région cer- ' vicale, la' fréquence de la miction, les tremblements musculaires 'des extrémités inférieures qui se montrent sou
, 157. Association médico-psychologique anglaise, 139. Atrophie musculaire (observations pour servir à l'histoire de l'),
par Morandon de Mon- .4 theil, 128 ? ^ 9"ni'j' ? ut ^ Contraction musculaire paradoxale, npar \lendelssohn, 149, " 'a Cord
Il r 4 Hystériques ' (hypnotisme et hype- rexcitabilité yneuro - musculaire chez )es),'par Charcot et' Richer, 32,173; (M
F ques sur les) du, cerveau, par Ragosinet 111endelssohn, 42t., i Musculaire (contraction) paradoxa- , le, par,, lllendelsso
34 (1895) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 08] : clinique des maladies du système nerveux
douleur conlusive et cons- tata, dans 'cette région, des secousses musculaires superficielles et assez violentes. La région de
de et du poignet, étaient normaux et égaux de chaque côté. La force musculaire des mains, explo- rée au dynamomètre, était par
is- ter, il existe du côté des deltoïdes, un léger degré d'atrophie musculaire . L'examen électrique, récemment pratiqué, montr
and dentelé n'occasionne aucune difformité notable pendant le repos musculaire , et ne peut être décelée que lorsque le sujet élè
a paralysie n'a été ici ni de- vancée ni accompagnée par l'atrophie musculaire , comme c'est la règle dans les faits de poliomy
dienne. Il dépend, d'une manière générale, de la nature des lésions musculaires ou neurotiques qui sont en jeu. Chez notre mala
en attendant que l'influx nerveux puisse parvenir jusqu'à la fibre musculaire . Je vous ferai remar- quer que ces courants agi
ivant, au moyen, des contractions provoquées, la circulation intra- musculaire . Il est aussi possible que, par voie réflexe, ils
e l'oedème. Peau rouge brillante. Prostra- tion profonde. Secousses musculaires . Conscience conservée, mais intelli- gence torp
e sortir qu'avec grand'peine. Il gâte. De temps en temps, secousses musculaires . Le malade répand une odeur infecte. 16 septe
sont montrées et la paralysie du bras s'est établie. Ces secousses musculaires ont duré environ 3 heures. Seules les épaules é
sont enveloppés par une épaisse couche grais- seuse, sans saillies musculaires . Les fesses sont fortes et leur pannicule adipe
, en dehors principalement, sont effilées vers le bas, sans reliefs musculaires . Au genou el au jarret, même enveloppement adip
externe. Mais cette attitude/n'est pas le lait dune contrac- ture musculaire . Voyez en effet comme ce pied se laisse mouvoir
usieurs plaques rouges (PI. XIV). Pied-gauche tombant, avec forcé musculaire diminuée. Mais la malade peut, quoique difficil
rieur innervés par des branches nerveuses détermi- nées, l'atrophie musculaire , les troubles vésico-anaux, t'eschareunitatératc.
e qui domine la scène morbide, ce sont les dou- leurs ou l'atrophie musculaire , ou les deux réunies. L'eschare au siège peut m
ns dans lesquelles vous voyez dominer des douleurs ou de l'atrophie musculaire ayant pour siège le membre inférieur et la régi
rd l'artlmite ·12cnatisnaale dorso-lombaire et le lumbago d'origine musculaire . Or, il s'agit là de maladies aiguës, fébriles,
celle-ci (douleur' sourde avec paroxysmes), la marche de l'atrophie musculaire consécutive, qui s'attaque en masse à tout le m
é externe. Or, vous vous rappelez que chez notre malade, l'atrophie musculaire prédomine précisément dans la région innervée p
des manifestations douloureuses, ou seulement' par de l'a- trophie musculaire , ou par les deux à la fois, douleurs et atrophie
ion de la réaction de dégénérescence, coexistant avec de l'atrophie musculaire , a une grande signification pro- nostique. Elle
s seraient souvent dans l'impossibi- lité de le faire, les tuniques musculaires de leur vessie étant paralysées. Et comme cette
ntensité et une grande violence, et où il n'existe pas d'atro- phie musculaire ou seulement des traces, les signes de la réactio
préoccuper des troubles trophiques, en parti- culier de l'atrophie musculaire . Messieurs, dans ce qui précède, j'ai laissé vo
ns axillaires ; phénomènes de paralysie s'accompagnant d'atro- phie musculaire ; guérison subite de la paralysie et progressive
ent frappée de paraplégie avec anesthésie s'accompagnant d'atrophie musculaire . En effet, au bout de huit mois, « ses jambes s
i par cette machine.' , Si l'on songe, d'autre part, que le système musculaire compose à lui seul la grande masse du corps, qu
fication de la forme extérieure correspon- dante, et tout mouvement musculaire correspondra extérieurement à des for- mes spéc
e son fonctionnement, le seul qui permette d'étudier la contraction musculaire physiologique, dont la connaissance n'importe p
rait pas d'entraîner. Les pressions que subissent les corps charnus musculaires , de la part de cette enveloppe et des faisceaux q
illies. Ces sillons se produi- sent d'ordinaire dans le relâchement musculaire , et ont une direction perpendi- culaire à la di
laire à la direction des fibres charnues. Par contre, les faisceaux musculaires eux-mêmes, lorsqu'ils se contractent de- vienne
se distendre en proportion. Ces sillons, indices de la contraction musculaire , sont donc, par op- position a ceux que nous ve
arnues elles-mêmes. Au gonflement caractéristique de la contraction musculaire , il faut donc ajou- ter, pour certains muscles,
lus uniforme qu'il est composé d'un moins grand nombre de faisceaux musculaires distincts. Par exemple le deltoïde est formé de
f surbaissé marqué quel- quefois de sillons dans le sens des fibres musculaires . La contraction peut survenir dans un muscle di
tion des divers plans. La contraction en rapprochant les attaches musculaires l'une de l'autre a pour effet de faire cesser l
contraction et la distension. 1° Sur l'homme vivant, le relâchement musculaire se traduit extérieurement par un relief uniform
érieure tout a fait différente de celle du relâche- ment. Le relief musculaire est moindre. Il se produit un aplatissement plus
. C'est là d'ailleurs un fait généralement admis, et la contraction musculaire est fort mal définie lorsqu'on dit qu'elle cons
nsion, mais toujours moindre que le relief dû au simple relâchement musculaire . ' La conclusion de ceci, aussi intéressante po
de l'exagérer. Pour juger sûrement de l'étal d'activité ou de repos musculaire , il faut faire intervenir un autre élément d'appr
ion qui consiste dans le modelé spécial de la région. Contraction musculaire PHYSIOLOGIQUE. D'après ce qui précède, on pourr
sance, pendant que la résistance est représentée par la contraction musculaire . Ceci peut avoir lieu pour un même système, sui
et suivant la direction des mouvements. D'autres fois, contraction musculaire et pesanteur, au lieu de se contrarier, agissen
fluence de la pesanteur, l'avant-Lras retombe de lui-même, l'action musculaire est nulle ; 2° l'extension se fait len- tement,
culaire est nulle ; 2° l'extension se fait len- tement, et l'action musculaire est nécessaire pour contrebalancer en partie 12
le influence de la pesanteur. Une nouvelle intervention de l'action musculaire est donc nécessaire, mais elle n'est plus à la
e est dans Y extenseur qui précipite le mouvement. La contraction musculaire se présente donc ici sous deux aspects. D'un côté
lus office que de modérateur. Dans le pre- mier cas, la contraction musculaire est uu véritable moteur ; dans le second, elle
formes de la con- DE LA FORME DU CORPS EN MOUVEMENT 127 traction musculaire , une petite différence que ne donne point la phot
acés obtenus avec le myogra- phe par des irrégularités de la courbe musculaire toujours plus accentuées dans la descente que d
en ce moment de savoir exactement quelle est la valeur de l'effort musculaire déployé dans ces diverses formes de la contract
oulent toutes de ce fait qu'il n'y a aucune parité entre le travail musculaire intérieur et le travail extérieur pro- duit ou
duit ou travail mécanique. On a cherché alors la mesure de l'effort musculaire dans la mesure de l'énergie qui est à son origi
vail négatif (contraction frénatrice). Dans les trois cas, l'effort musculaire est comparable, car le degré du rac- courcissem
vec travail positif > P. Dans le troisième cas', la' contraction musculaire cède à la pesanteur puis- qu'il y a extension.
antagonistes. Que se passe-t-il pendant la contraction d'un groupe musculaire , dans le groupe antagoniste ? D'après la doctri
âchement de l'autre, le ré- sultat est tout différent. Les actions- musculaires loin de se détruire, s'ajoutent l'une à l'autre
en. Dans les premiers, quel que soit le sens du mouvement, l'action musculaire est dirigée toujours du même côté, du côté de l
on de l'avant-bras sur le bras, celui-ci restant vertical, l'effort musculaire est toujours au biceps ; dans la flexion du cor
ans la flexion du corps en avant ou dans son redressement, l'action musculaire est toujours aux extenseurs spinaux et fessiers
ans l'élévation du bras en dehors ou dans son abaissement, l'action musculaire est toujours aux muscles élévateurs, del- toide
ns le plan horizontal, les choses changent complètement et l'action musculaire se produit du côté même oÙ s'effectue le mouvem
mouvements qui ne sont pas influ- encés par la pesanteur. L'action musculaire existe toujours du côté du sens du mouvement pa
isées au bistouri de chaque côté de la crête apophysaire, la couche musculaire fut, à la sonde cannelée et à la rugine, décollée
rochés, quelques sutures profondes au catgut passées dans les plans musculaires et la peau suturée au fil d'argent. Le petit ta
s à l'ancienne section du nerf cubital : toutefois les contractions musculaires , un peu Iremblées, se fai- saient par petites s
ent; l'oedème dont il était le siège a disparu ; sauf les atrophies musculaires il a repris, à très peu près, l'aspect d'un mem
ont complètement disparu. Il ne persiste somme toute que l'atrophie musculaire et l'anesthésie dues aux opérations qui avaient
IÉMATOMYÉLIE DU CONE TERMINAL 151 régularité parfaites. Les reliefs musculaires se dessinent, comme vous le voyez, très netteme
t très vigoureusement. Il n'y a, chez ce malade, ni affaiblissement musculaire , ni atrophie, ni incoordination motrice, ni si-
s .puissants. En " bas il est masqué principalement par deux masses musculaires , L'on dedans la masse des muscles spinaux, puis
onnées par la contraction exagérée et exclusive de certains groupes musculaires . Mais celle interprétation ne saurait être prise
professions les plus diverses entraînant la mise en jeu des groupes musculaires les plus variés. Il est donc impossible d'éta
ersales sont très nettes et distinctes. A la moitié gauche les fibres musculaires sont amincies. Le sarcolème est partout bien di
onc des gouttelettes graisseuses. Le tissu adipeux entre les fibres musculaires est fortement développé et évi- demment prolifé
obèses, des myopathie- ques, quand le (issu conjonctif ou le tissu musculaire sont atteints pour leur part; et toutes les var
ez épaisse enveloppe tout le corps, et masque les reliefs osseux et musculaires . , . Absence de poils au pubis et aux aisselles
de développement qui portent sur les systèmes osseux conjonctifs ou musculaires . Il est alors associé au'nanisme (Gapitan), au
Capitan, Reichlin), au rachitisme, à l'obésité (Féré), à l'atrophie musculaire , etc. Les affections osseuses inflammatoires so
se, mais sans excès, peu musclé ; nulle part on ne voit les reliefs musculaires . La figure ronde est imberbe et la peau du corp
nt au début. Une syncope complète s'accompagnera il de résolu- tion musculaire ; les mouvements volontaires cessent même avant la
ur ce qui concerne l'ophtalmoplégie, que le degré de la para- lysie musculaire varie beaucoup d'un moment à l'autre, dans le cou
gauche de l'abdomen, du thorax, du cou et de la face. Perte du sens musculaire du bras gauche. Côté droit. Simple diminution d
eux réflexes cutanés dont la malade n'a pas conscience, car le sens musculaire est aboli. - Subjectivement la malade accuse un
ement des régions de la moelle situées au- dessous d'elle. Le tonus musculaire a été aboli, les muscles paralysés sont entrés
leur, la sensation de température, la sensibilité profonde, le sens musculaire , le sens de l'ex- posé, en un mot toute la moit
rs titres il nous a paru mériter d'être publié. Résumé : Atrophie musculaire chez un homme de 44 ans avec déformation. Début
hésiomctrca 80°, ni la glace promenée sur la peau. La perte du sens musculaire aux quatre membres est complète. Les autres sen
en- , tif du.malade ne plus montrer aucune secousse dans les masses musculaires . Les réflexes rotuliens sont conservés, le gauc
du malade. Les deux avant-bras et les deux mains ont leurs saillies musculaires normales, mais on remarque qu'à droite, au repos
la colonne vertébrale. - , Membres inférieurs. -A gauche les masses musculaires sont bien conservées partout. Tous les mouvemen
s mouvements d'extension que ceux de flexion. L'atrophie des masses musculaires de la jambe semble porter autant sur les muscle
d'un individu manifestement hystérique et présen- tant une atrophie musculaire touchant très légèrement les muscles de la face
phique pro- gressive, c'est-à-dire d'une de ces variétés d'atrophie musculaire où les recherches les plus minutieuses n'ont pe
dépendance de l'hystérie associée chez notre malade à l'affec- tion musculaire : tels sont d'abord les troubles de la sensibilit
mémoratif d'attaques antérieures. Il en est de même des soubresauts musculaires qu'on aurait pu pren- dre pour des contractions
t fixés dans l'attitude que nous venons d'indiquer par une rigidité musculaire généralisée qui est la cause de l'immobilité qu
dit de flexion, qui est de beaucoup le plus fréquent. La raideur musculaire des Parkinsoniens en- traîne aussi des modifica
ymétrie du corps, et nécessite le relâchement de certains grou- pes musculaires d'un seul côté. L'état de demi-contraction perman
ogie identique où prédominent les caractères de la demi-contracture musculaire . Celle-ci est seulement rendue moins appa- rent
oindres détails, les modifications qu'imprime la maladie au système musculaire tout entier. Tous les muscles paraissent contra
Ils offrent les formes spéciales caractéristiques de la contraction musculaire (2) et la contraction est per- sistante. Nulle
ontraction est per- sistante. Nulle part n' apparaît le relâchement musculaire . Partout, aux membres, comme au torse et au cou
ul Richer, Physiologie artistique, le chapitre sur la contrac- tion musculaire physiologique. ' ÉTUDE MORPHOLOGIQUE DE LA MALA
emment dues aux contractions isolées et successives des fibril- les musculaires . · - Ces contractions fibrillaires sont indépen
ue l'on a donnée de certaines contractures en disant que les fibres musculaires se contractaient les unes après les autres, se
ar suite de la répétition fréquente et exagérée de la con- traction musculaire , la dilatation des veines superficielles. Pour
35 (1915) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 27] : iconographie médicale et artistique
normale galvano- faradique sur les nerfs et les muscles. Secousses musculaires vives ; pas d'al- tération de la formule, aucun
fréquents chez les hémiplé- giques, il arrive que les contractions musculaires se produisent dans les muscles normaux du côté
puisque nous n'avons pas le mouvement voulu, le mouvement du groupe musculaire du côté opposé intervenant à sa place (Negro).
ense que c'est justement à cause de cet entre-croisement des fibres musculaires qu'il suffit d'exciter celles d'un côté ou leur
n, mais les excitations dou- loureuses sont suivies de contractions musculaires symétriques, qui se main-; tiennent pendant que
ion latérale des doigts de la main » et « Pseudogibbus après effort musculaire » publiés dans le Casopis ceekych lékaru et Revue
e spasmodique organique avec contracture en flexion et contractions musculaires involontaires. Société de Neurologie, séance du 1
rôle du préjugé mental qui empêche la juste coordination des actes musculaires fnt expliqué au malade à l'aide de comparaisons.
l'insuffisance de leur appareil de protection. Cette insuffisance musculaire n'est généralement pas parfaitement sy- métriqu
ous ne devons pas nous étonner que les douleurs aiguës, les spasmes musculaires et même les paralysies et les aÍ1esthésies guéris
antaire du pied gauche ; paresthésies dans les jambes avec douleurs musculaires au niveau des mollets; parésie des fléchisseurs
" et Vllle paires el chez la femme lépreuse uniquement les branches musculaires des nerfs faciaux. Les troubles moteurs dans la
pulsion volontaire, en agissant pour un acte sur quelques groupes musculaires , est cause de secousses qui sont ou bien réduites
'y a point de paralysie, et que ce qui existe est purement atrophie musculaire . Les muscles altères sont pour eux susceptibles
nce de paralysie existe le plus souvent malgré le trouble trophique musculaire . Mais nous ne pouvons pas accepter que la règle
r, c'est que la paralysie, quand elle existe, est unie à l'atrophie musculaire dégé- nérative et que l'atrophie, quand elle n'
hysiologie pathologiques permettent la classification des atrophies musculaires , suivant qu'il y a ou non para- lysie, en atrop
hies musculaires, suivant qu'il y a ou non para- lysie, en atrophie musculaire paralytique et atrophie musculaire non paralyti
ou non para- lysie, en atrophie musculaire paralytique et atrophie musculaire non paralytique. Les caractères de l'atrophie
atrophie musculaire non paralytique. Les caractères de l'atrophie musculaire paralytique, dans la lèpre ner- veuse, sont les
u muscle jambier antérieur. Les signes physiques corroborent le mal musculaire dégénératif de la plus grande importance. L'exc
musculaire dégénératif de la plus grande importance. L'excitabilité musculaire est abolie. Un courant d'induction d'une assez
e parésie du droit externe gauche. » , Sans aucun doute, l'atrophie musculaire non paralytique est fréquente dans la lèpre ner
lades, ayant : des mains et des pieds en période avancée d'atrophie musculaire et même avec mutilations, peuvent continuer à s
e résultat de l'électro-diannostic confirme la nature de l'atrophie musculaire puisque le muscle jambier se contracte par le cou
rythmique. Les mains de la femme des figures 4 et i', avec atrophie musculaire , peuvent se fermer presque normalement. Il n'ar
à avaler s'échappent par le nez. Dans la syringomyélie, l'atrophie musculaire ne garde pas en général autant de symétrie que
as de syringomyélie. Nous trou\ons aussi, dans la lèpre, l'atrophie musculaire d'origine arthritique. Les muscles de la région
ffet de la contracture. Ces difformités persistent sans hyperaction musculaire et maigre que les mus- cles producteurs soient
dualisées et les plus variées. En un mot, par suite d'altéra- tions musculaires et non musculaires, mais toujours d'origine névri
us variées. En un mot, par suite d'altéra- tions musculaires et non musculaires , mais toujours d'origine névritique, on trouve
t l'irréflectivité dans la lèpre nerveuse par l'effet de l'atrophie musculaire dégénérative, et elle est fré- quente, comme je
ation quan- titative existe parfois dans ces régions dont le volume musculaire et dont l'action motrice volontaire sont en app
CH.\nCOT-IARIE (1 .PAR A. SOUQUES - Dans le cadre des atrophies musculaires , il existe un groupe d'amvo- trophies caractéri
ntité morbide, que l'un désigne actuellement sous le nom d'atrophie musculaire progressive. Dès 18'19, Duchenne attirait l'att
non encore décrite, qu'il désigna d'abord sous le nom d'atro- phie musculaire arec transformation graisseuse, et qu'il appela,
rec transformation graisseuse, et qu'il appela, plus lard, atrophie musculaire graisseuse progressive. Il empruntait celle derni
yméningite cervicale hypertrophique, la syringo- myélie, l'atrophie musculaire Charcot-Marie, la névrite hypertr'opbique, une
des espèces morbides élevées sur les ruines de l'ancienne atrophie musculaire progressive de Duchenne. C'est en 1886 que Ch
sujet un intéressant mémoire intitulé : type péuonier r d'atrophie musculaire . Trois ans plus tard, IIoffmann reprenait laques-
vice militaire et de faire campagne au Maroc. DEUX CAS D'ATROPHIE MUSCULAIRE CHA11COT-MARIE 179 9 membres supérieurs. Dans c
la description classique donnée par Charcot et Marie : « Atrophie musculaire progressive envahissant d'abord les pieds et les
frappent au premier abord : la déformation des pieds et l'atrophie musculaire portant sur les jambes et le tiers inférieur des
LE Iconographie DE la Salpêtrière. T. XXVII. PL. XXXII 1 ATROPHIE MUSCULAIRE CHARCOT-MARIE . ' ' Obs. 1 ' (A. Soiiqiies) .
LLE Iconographie DE la Salpêtrière. - T. XXVII. PL. XXXIII ATROPHIE MUSCULAIRE CHARCOT-MARIE Obs. II (A. Souques) Masson &
? IJaNVII. PL. XXXIV 0 .. , . .t< Obs. I Obs. II ATROPHIE MUSCULAIRE CHARCOT-MARIE (A. Souques) Masson & Cie,
vant-bras, d'adduction et d'abduction du bras. Chez S...', la force musculaire est diminuée au niveau des mus- clea du bras, t
gts. 182 souques En contraste avec le degré extrême de l'atrophie musculaire , il faut signaler le peu d'intensité des troubl
chevilles et sur la partie externe des jambes. DRUX cas d'atrophie musculaire CHARCOT-hlARl E 183 Partout ailleurs la sensibi
e, à la racine des membres (hanches, épaules et bras) les réaclions musculaires sont normales. Autrement dit, il y a dans les s
Il n'y a de sérieuses difficultés que dans les cas où l'a- trophie musculaire débute par les membres supérieurs et s'y maintien
des quatre memhres avec secousses fibrillaires, deux cas d'atrophie musculaire CHARCOT-MAHIE 18S une incoordination extrême de
ndolence à la pression et surtout l'absence complète de contraction musculaire , consécutivement à l'électrisation détrônes ner
ent avant tout sur les nerfs moteurs et spécialement sur les filets musculaires qui sont frappés d'atrophie simple. Les troncs
voir comment il faut comprendre la nature, la genese de l'atrophie musculaire Charcot-Marie. Faut-il, étant données les alté-
ons des nerfs périphériques, notables surtout au niveau des rameaux musculaires , voir là, avec Hoffmann, l'explication de l'amyot
la nature des atrophies spontanées du système , DEUX CAS D'ATROPHIE MUSCULAIRE CHARCOT-MARIE 187 nerveux, c'est-à-dire la genè
ces considérations qu'il existe une variété particulière d'atrophie musculaire progressive, limilée aux quatre membres, ayant
lement inactif, préside- rait d'une parla la contraction des libres musculaires lisses et d'autre part 236 CLUZET ET lévy ' c
e, dit-il, l'arrêt de l'hyperostéogénèse, la diminution de la force musculaire , la somnolence, la torpeur des fonctions cérébr
ans.. Ils relèvent d'une arthrite ancienne ankylosante. La force musculaire est un peu diminuée à gauche pour les mouvements
me. (1) JoFFRov, Deux cas de zona du membre supérieur avec atrophie musculaire . Archives de physiologie. 1882. (2) DOUCET, L
par son image cinesthésique, qui n'est que le résidu des sensations musculaires , articulaires, tactiles qui se produisent lorsq
consciente. Ce sonl les sensations cénesthésiques d'innervation et musculaires , écrit également l Luciani, qui, par leur exerc
cons- taté chez beaucoup de sujets sains, qu'après une contraction musculaire prolongée, ils sont à même d'accomplir le même
mouvements volontaires exécutés tout de suite après la contraction musculaire dans la direction même de ce mouvement, s'effectu
, qu'on constate chez nos sujets, soit due au résidu des sensations musculaires , articulaires et tendineuses qui se produisent
e l'impression acousti- que ou lumineuse, de même après les efforts musculaires reste une image cénesthésique douée d'une forte
s anesthésies hystériques s'accompagnant d'un angiospasme cutané et musculaire tel que les piqûres les plus profondes de la pe
l'idée d'un stimulus électrique entraînait un angiospasme cutané et musculaire si intense que l'application subséquente d'un s
ubséquente d'un stimulus faradique n'a déterminé aucune contraction musculaire . Moi-même, j'ai appelé l'attention sur la coïnci-
. Les troubles dans ces cas (lenteur des mouvements actifs, raideur musculaire , présence de mouvements choréo-athétosiques) ont
zeinungen, Wiener klin. Wochenschr., 1899) obtient des contractions musculaires toniques par l'excitation de parties caudales d
citation du noyau lenticulaire seul qui provoquait des contractions musculaires toniques héléro-latérales. - Ziehen (Zur Physio
trouve le noyau lenticulaire du lapin inexcitable. Les contractions musculaires , qu'on observe parfois en ce cas, seraient prov
e corps strié ne joue aucun rôle dans le mécanisme de l'innervation musculaire . Celle opinion est soutenue par l'observation d
gistes, le rôle du corps strié dans le méca- nisme de l'innervation musculaire n'est pas démontré. Une minorité fait une excep
u lenticulaire, dont la stimulation provoque- rait des contractions musculaires de caractère tonique ou clonique chez certains
t. La figure, quoique sans expression, est le siège de contractions musculaires involontaires, le front est parfois plissé, les
les extrémités inférieures prennent leur part dans cette agitation musculaire . Enfin quelques mots sont prononcés d'une voix
n. Les longs fléchisseurs des doigts prennent leur part dans ce jeu musculaire ; nous remarquons que de temps en temps les phala
éjà au repos nous constatons une grande discontinuité de l'action . musculaire , également bien appréciable en palpant les petits
la main du médecin, l'examinateur a bien la sensation d'une action musculaire irrégulière, mal soutenue ; la main est mise en
inspection nous apprend qu'au repos il y a - une certaine agitation musculaire . Nous remarquons des contractions invo- lontair
par l'action de ce muscle presque toujours en extension. L'atonie musculaire nous permet de donner des positions contre nature
alade se donne, à la recherche de là bonne formule d'inner- .vation musculaire , les extenseurs du pied sont en forte contraction
les symptômes que montre notre malade, on se sou- vient de l'atonie musculaire fort prononcée et de la variabilité extrême de
s allemands). Le processus psychique à son tour pro- voque l'action musculaire . Mais le mouvement, une fois commencé, est exéc
us lentement. Dans le cas où l'attention s'est concentrée sur Pacte musculaire même, le mouvement est commencé vivement. Quand
exécution d'un mou- vement passif ne se heurte pas à une résistance musculaire quelque peu grave. En étudiant de près l'action
ion ac- tive. Le plus souvent la diversion de l'attention de l'acte musculaire est un facteur favorable. Le malade n'est pas c
s les actes isolés où' l'attention s'est concentrée sur la fonction musculaire même. Ce sont les mêmes mouvements étudiés par
on que sur une seule articulation. Les difficultés de l'innervation musculaire expliquent suffi- samment ce symptôme. Les mo
ux côtés. Dans notre deuxième observation, les troubles de l'action musculaire se sont développés d'une manière très aiguë. C'
ble en intensité. En général l'attention concentrée sur la fonction musculaire même est un facteur défavorable. 3° Dans le d
ements actifs, il se montre un manque de coordination dans l'action musculaire , leur communiquant le caractère soit du mouveme
ouvement déme- suré. Est-ce que cette perturbation de la fonction musculaire doit être attri- buée à la lésion des corps str
1911), montrant la différence fondamentale du mécanisme de l'action musculaire sta- tique et de l'action dynamique. 296 VAN
aux peut conditionner une perturbation très spéciale de la fonction musculaire , qui par les troubles des mouvements actifs montr
SOUQUES, BAUDOUIN et LANTUÉJOUL On sait aujourd'hui que l'atrophie musculaire progressive Aran-Du- chenne est souvent d'origi
ntérieures. Nous avons eu l'occasion d'observer deux cas d'atrophie musculaire progressive Aran-Duchenne, qui répondent aux de
i répondent aux deux types cliniques pré- (1) LmouoE, Les atrophies musculaires progressives spinales d'origine syphilitique, T
. Mais un médecin consulté à cette époque diagnostique une atrophie musculaire déjà ancienne de l'épaule gauche, celle-ci étan
éciser. Les membres inférieurs sont absolument indemnes, leur force musculaire est très considérable. Il faut noter enfin que l'
bilité profonde, à tous les modes. On ne note aucun trouble du sons musculaire , ni de la stéréognosie. Le malade ne présente p
y a hypoexci- tabilité faradique et galvanique sur tout le système musculaire . L'excitabilité faradique est abolie sur les de
bes. Uix ans après le début de ce tabès, s'est montrée une atrophie musculaire progressive qui a évolué selon le type Aran-Duc
du système nerveux périphérique, le Dr Schnyder ajoute : a La force musculaire est normale pour tous les mouvements des extrémit
ppréciables dus il l'eflleura ! (e au pinceau ni à ,la piqûre. Sens musculaire intact. Les réflexes cutanés ne peuvent pas être
d'oedème. Il y a une grande laxité ligamentaire et une hypotonie musculaire telle que l'on peut rabattre les doigts sur le
s du métabolisme, mais aussi, pour une partie, par les contractions musculaires et que, par conséquent, l'intoxication n'est pa
tômes du côté des organes creux de l'organisme, ayant une influence musculaire positive, c'est-à-dire coeur, estomac, intestin
e la vie végétative. La fatigue parait non seulement dans la sphère musculaire comme aussi aux viscères, souvent les malades d
et dyslhénie pério- dique, par BENON et LEINRERGER, 415. Atrophie musculaire Charcot-Marie, par A. Souques, 1'S. Bec de li
n-Duchenne (Souques, Baudouin etL.1\rU'JOUL), XL1X à LI. Atrophie musculaire Charcot-Marie (Sou- QUES), XXXII à XXXIV. Bec
36 (1890) Archives de neurologie [Tome 19, n° 55-57] : revue des maladies nerveuses et mentales
- nique indépendante ; on ne supposera pas non plus que le spasme musculaire soit le fait de la névrite plutôt que de la név
e la déviation 12 CLINIQUE NERVEUSE. est le résultat d'une action musculaire . Ce sont les 'muscles du côté sain qui produise
u sciatique, retentissant sur la moelle pouvait produire une action musculaire , c'est une contracture qu'on observerait, et ce
de vicieuse du tronc serait la conséquence d'une simple contraction musculaire . C'est à celle-là qu'il faut s'arrêter, car ell
ement parler de la contracture, mais c'est une forme d'acti- vité musculaire qui s'en rapproche singulièrement. Les exemples
siste dans l'atrophie des muscles du côté immobilisé. L'atrophie musculaire à la suite de la sciatique, sur- tout dans les
us des influences analogues à celles qui déterminent l'atro- phie musculaire arthropathique. Tandis que les muscles du côté
e membre malade et le membre sain sont le siège d'une con- traction musculaire généralisée, mais peu intense. Les réflexes rot
eurs, la diminution du volume n'est pas plus marquée dans un groupe musculaire que dans un autre. Les tremblements tibrillaire
e n'est pas le fait d'un état parétique des muscles, car les masses musculaires , toutes endolories, ont, au moins en apparence,
beaucoup plus importants. Peu d'auteurs ont insisté sur les spasmes musculaires de la sciatique, mais presque tous les ont sign
s, etc..... Dans toutes ces localisations douloureuses, le spasme musculaire correspond d'une manière générale à la région e
mbo-sacrée que d'une névralgie sciatique proprement dite. Le spasme musculaire peut être assi- milé à celui de certaines autre
a plante du pied du côté sain. 10° Enfin, dans les cas où le spasme musculaire est limité aux muscles du membre inférieur et n
Le 23. L'appareil de Gaiffe ne peut réveiller la contractibi- lité musculaire . Les mouvements réflexes des membres inférieurs
même état ; en ce qui concerne les réflexes tendineux et l'atrophie musculaire , il. n'en est pas fait mention. L'autopsie, m
rand développement du tissu conjonctif sous-jacent et de la tunique musculaire . » 58 CLINIQUE NERVEUSE. ' Pour être complet,
oteurs se déchargent et le résultat de cette décharge est le spasme musculaire , le trait saillant de l'accès. Forme SENSORIELL
ennent à l'explosion soudaine de gaz, dans les intervalles du tissu musculaire et dans le liquide intra- articulaire, irritant
e des Hautes-Etudes. CENTRES CORTICAUX DE LA SENSIBILITÉ CUTANÉE ET MUSCULAIRE ET DES MOUVEMENTS VOLONTAIRES (Suite). Les tr
qu'à la mort, une diminution semblable de la sensibilité tactile et musculaire , du sens de la température et de la douleur, la
ésie, Masini a observé des altérations de la sensibilité tactile et musculaire , ther- mique et dolorifique, sur la muqueuse la
elet comme le centre LES FONCTIONS DU CERVEAU. 83 nerveux du sens musculaire , centre coordinateur des mouvements volontaires
Ces con- ducteurs ne contiennent pas seulement les fibres du sens musculaire ; ils renferment aussi celles du tact, de la pre
ibilité générale sont abolis dans l'ataxie spinale : mais le sens musculaire des membres et du tronc est seul atteint dans l
res, c'est-à-dire l'absence des associations normales de mouvements musculaires nécessaires à l'accomplis- sement des différent
ble de la sensibilité géné- rale, en particulier du tact et du sens musculaire . L'ataxie cérébelleuse de cette chienne ne résu
cerve- tel 1, 111e font pas plus mention d'une altération du sens musculaire que celles de Luciani, contrairement à la doctr
galvanique et faradique détermina des mouvements isolés de groupes musculaires distincts : 1° des mou- vements de l'aile du ne
bien loin de l'époque où les troubles de la sensibilité cutanée et musculaire étaient presque un signe pathognomonique servan
par- venu, jusqu'à 1870, sinon à mettre en jeu la contrac- tilité musculaire , du moins à produire des parésies ou des paraly
ons motrices, Paris (1883, p. 55. LES FONCTIONS DU CERVEAU. 91 et musculaire , en regard des fonctions de la motilité, soient
sensibilité générale sont ici comprises, outre les troubles du sens musculaire , celles de la sensibilité tactile, de la sensib
temporal, ne déterminent aucun trouble de la sensibilité cutanée et musculaire , à moins que le processus morbide ne s'étende a
le siège anatomique des perceptions et des représentations du sens musculaire ? D'après Nothnagel, ce seraient lesP, et P2. S
vée limitée au lobe pariétal. Toute conclusion sur le siège du sens musculaire dans l'écorce serait donc prématurée. « Mais, d
lobe pariétal est surtout en connexion avec les faisceaux du sens musculaire . » A l'appui de cette hypothèse, Seppilli ajout
s nombre de cas où il n'est point fait mention d'altération du sens musculaire , la lésion s'étendait uniquement à la zone motr
88, 379. LES FONCTIONS DU CERVEAU. 95 centres de la sensibilité musculaire ont un siège dis- tinct de celui de la sensibil
ibilité cutanée et le mouvement volontaire des différents groupes musculaires doivent se trouver dans un étroit rap- port. »
nsibilité cutanée, les lésions profondes, des alté- rations du sens musculaire et des paralysies motrices. Quant à la profonde
eppelli, les centres de la motilité et de la sensibilité cutanée et musculaire sont confondus ou « engrenés » dans la zone mot
t les centres supérieurs des appareils de la sensibilité cutanée et musculaire , non les centres moteurs. 1 ! icel'che sui cent
es muscles de sa jambe ne réagit pas par une évidente contraction musculaire . Si, en provoquant chez elle une myélite artifici
ou complètement l'appareil loco- moteur du centre, les convulsions musculaires et le clonisme poda- lique sont aisés à détermi
aît quand on sectionne absolu- ment le sciatique ou tout l'appareil musculaire de la jambe. C'est donc bien une manifestation
. On constata au micros- cope la dégénérescence amyloïde du système musculaire ; 1'encé- phale était demeuré intact. La moelle
leurs rien à voir avec le délire aigu mortel. Quant aux altérations musculaires elles proviennent de l'affection mentale qui no
guë. Interpellé par M. Zacher, le même orateur dit que la charpente musculaire ne présente en pareils cas autre chose qu'un tr
par compression (2 cas); il n'a rien produit dans un cas de crampes musculaires douloureuses (les troubles digestifs déterminés
es de causes diverses (maladies de la muëlle, du cerveau, atrophies musculaires , etc.). - C'est avec le même esprit de saine BI
rieurs et latéraux de la moelle, on observe encore des contractions musculaires , mouvements impliquant, selon ces auteurs, que
rents modes de la sensibilité générale et spéciale. Seule, la fibre musculaire devrait être appelée « motrice », et non pas le
bien, dans d'autres conditions, produire une sensation tactile ou musculaire . Il y a plus : une cellule nerveuse de l'écorce
ellement à l'origine de celles des sphères de l'audition ou du sens musculaire , on doit pouvoir les détruire impunément : l'an
naison des nerfs n'est pas même en continuité directe avec la fibre musculaire . 1 AlIg. Forel. Einige liirnanatomische Betrach
n'était rien de moins que celle des organes périphériques du sens musculaire . C'est au sujet de ces travaux que M. Ran- vier
des muscles, et qu'ils peuvent être les organes d'une sensibilité musculaire spéciale ou les mensurateurs (misuratori) de la
surateurs (misuratori) de la tension des muscles (organes du sens musculaire )2, » Reprise tout récemment, sur les conseils e
les essais d'interprétation de la nature et de la genèse du sens musculaire . Cattaneo commence par rappeler que, même chez
tiques, la conscience d'un effort implique toujours une contraction musculaire : si ces malades ne peuvent pas contracter leur
contracter leurs muscles paralysés, la contraction d'autres groupes musculaires , des muscles de la respiration en particulier,
cette conscience de l'effort. En outre, les modifications du tissu musculaire qui se contracte sont certainement transmises a
, ainsi que leur continuité directe avec le sarcolemme des fibres musculaires primitives; si l'on prend garde que, dans la pe
bilité générale (tactile, dolorifique, thermique, etc.), le sens musculaire excepté, sont représentés par- des organes conn
- puscules de Pacini) dans les muscles et les tendons, où le sens musculaire l'emporte bien sur les autres sensations, qui y
re que la fonction des organes de Golgi est celle de la sensibilité musculaire ? Celle-ci doit être évidemment à la fois en ra
entre les organes qui représentent la puis- « sance motrice (fibres musculaires ) et la partie sur la- « quelle cette force agit
i les corpuscules fusiformes de Golgi sont bien des organes du sens musculaire , ils devront être en connexion intime avec des
muscu- laire est conservée, tandis que la coordination et le sens musculaire sont abolis, et où la lésion intéresse le plus
es organes musculo-tendineux, s'ils sont bien des organes du sens musculaire , devraient surtout être atteints. Avec une para
nt, complète et ancienne, la sensibilité (et spécialement le sens musculaire ) étant intacte, ces organes devraient au contra
ci maintenant comment ce savant s'explique la genèse des sensations musculaires : une excitation des nerfs moteurs est transmis
des nerfs moteurs est transmise, au moyen de leurs termi- naisons musculaires , aux muscles qui se contractent ; cette contrac
ces organes occupent une position intermédiaire entre les libres musculaires et les tendons), probablement un tiraille- LES
nt centripète), alors, pour des raisons diffé- rentes, la sensation musculaire manquera. Un autre disciple éminent du professe
ré d'ataxie dans les bras, le signe de Itomberg, un trouble du sens musculaire aux quatre extrémités. Intégrité de la sensibil
périphéri- ques, les plaques terminales des muscles, et la fibrille musculaire . 11 en résulte un ralentissement de transmissio
-là, rien de certain. M. FUEftSTNER (d'Heidelberg). Des altérations musculaires dans les psychoses simples. - On sait que dans
nstaté de l'atrophie, une transformation granuleuse de la substance musculaire , la multiplication des noyaux. L'examen post mo
ypochondriaques sont loin de se compliquer toujours d'altéra- tions musculaires . La constipation opiniâtre et la fréquence des
ectaux, diaphragmatiques. - Parlons, pour terminer, des altérations musculaires chez les paralytiques. Quand cette maladie se c
n vacuoles qui témoignent de la disparition de toutes les fibrilles musculaires ; en outre les noyaux multiplient à l'infini au
l'histoire de la maladie à laquelle il a assigné le nom d'atrophie musculaire progressive névrotique par la description anato
ce grise des cornes postérieures, à l'altération. Quant aux lésions musculaires , elles ont été déjà publiées. Il en résulte qu'
e; le sujet de l'obser- vation mourut à 25 ans. Les débris du tissu musculaire se compo- saient de faisceaux de fibres arrivée
ion. Il n'y a pas lieu de dis- tinguer rigoureusement les atrophies musculaires spinales des 262 SOCIÉTÉS SAVANTES. atrophies
ion de l'origine spinale et de l'origine non spinale d'une atrophie musculaire donnée. M. ERB demande à M. Hitzig s'il a obser
. ERB demande à M. Hitzig s'il a observé la scissiparité des fibres musculaires ; M. Hitzig répond que oui. Séance du 26 mai 188
précède ou accompagne les altérations des osetexplique les parésies musculaires (paralysie notamment du psoas iliaque), et la d
é- grité de la sensibilité. Légère atrophie de toute la charpente musculaire au hras droit. Absence de phénomènes vasomo- te
et Kliitisches Jaltr¿uch, t. II. SOCIÉTÉS SAVANTES. ` ? niai l'), musculaires , etc., tous phénomènes qui s'accentuent quand le
rieurs, mais ils ne tardent pas à s'évanouir. Conservation du sens musculaire , du sens du toucher, du sens de la température.
démarche de steppe ! ' et qui paraît tenir à ce que la paralysie musculaire dans les membres inférieurs pré- domine sur les
marche de stepper, dû vraisemblablement surtout à une para- lysie musculaire portant principalement sur les exten- 318 CLINI
e droites, moins à gauche. Rien dans les poumons. Trouble du sens musculaire (doigt mis sur le bout du nez) plus accentué le
est véritablement tombant. On ne constate cependant aucune atrophie musculaire bien nette aux membres inférieurs. Il y a un am
érieurs. Il y a un amaigrissement très notable de toutes les masses musculaires mais surtout du tissu cellulaire sous-cutané. L
ans son expérience de l'excitation auditive) ; la seconde, réaction musculaire . Il définit la réaction sensorielle, une réacti
on sensorielle, une réaction volontaire, tandis que la réac- tion musculaire est un réflexe cérébral. Lange veut dire par là
ire est un réflexe cérébral. Lange veut dire par là que la réaction musculaire est un acte invo- lontaire, et, quoique l'impre
mianesthésie superficielle et profonde, avec perle complète du sens musculaire , et si on lui dit de déplacer son bras malade,
ayons employé les irritations tactiles, aussi bien pour la réaction musculaire que pour la réaction sen- sitive (cette dernièr
plusieurs branches qui rampent librement à la surface de la fibre musculaire ; elles sont, chez les reptiles, les oiseaux, et l
de filaments des plus ténus qui se terminent dans ou sur les fibres musculaires . Dans le réseau de \falpi=hi. de même que dans
du bulbe, à provo- quer des convulsions toniques de tout le système musculaire qui SOCIÉTÉS SAVANTES. 4'l7 est normalement s
la sensibilité et rapports avec 1' -), par Rumpf, 259. Atrophie musculaire progressive né- vrotique, par Hoffmann, 260.
37 (1893) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 4. Leçons sur les maladies du système nerveux
ndant au siège des points psycho-moteurs ne produisait aucun movement musculaire dans les membres correspondants, tandis que quelq
econdaires : impuissance motrice, contrac-ture permanente. — Atrophie musculaire produite par l'extension de la sclé-rose latérale
ment de divers troubles trophiques et, en particu-lier, des atrophies musculaires . Enfin, il y a quatre ans, j'essayais dans une sé
ceau pyramidal et la substance grise delà moelle épinière. — Atrophie musculaire des hémiplégiques. — Observations de MM. Gharcot,
écorce grise du cerveau jusqu'aux plaques ter-minales dans les fibres musculaires . — A, Cellules géantes des circonvo-lutions dites
nnent des cellules anté-rieure. ..-t qui se terminent dans des libres musculaires , C, G. déjà très avancé. Il n'y a donc pas cont
mmencèrent à diminuer de volume deux mois après l'attaque. L'atrophie musculaire était unifor-mément répandue sur toutes les parti
iminution très notable de la contractilité électrique. Cette atrophie musculaire progressa très rapidement, la malade vint à succo
-yen de la capsule interne du côté droit. Pendant la vie, l'atro-phie musculaire qui avait attiré l'attention, occupait le membre
les faits antérieurs, j'avais cru pouvoir annoncer que cette atrophie musculaire insolite, survenant dans le cours de l'hémiplégie
cette leçon a été faite (21 avril 1879), de nouveaux cas d'à trophie musculaire consécutive à des dégénérations secondaires de ca
la symp-tomatologié en ce qu'elle ne s'accompagne pas de contracture musculaire ». Progrès médical, 18S0. p. 147.) Voy. égaleme
us savons que la sec-tion des nerfs centrifuges est suivie d'atrophie musculaire ,tan1 dis que l'interruption des fibres antéro-lal
ivie — comme c'est le cas lorsqu'il s'agit des nerfs -de contractures musculaires ? Il est parfaitement établi aujour-d'hui, Messie
ne autre malade, il n'a paru qu'un mois après l'attaque et la raideur musculaire a commencé à paraître dans le cours du deuxième m
rigidité passive. — Expériences de Gaillard (de Poitiers). Tonicité musculaire normale. — Théorie d'Onimus. — Expériences con-fi
xpériences con-firmât! ves de Boudet de Paris et Brissaud. — Le tonus musculaire est une action réflexe permanente. Types et var
lites antérieures aiguës ou chroniques (paralysie infantile, atrophie musculaire progressive spinale protopathique, et toutes affe
de l'interprétation clinique, l'analyse graphique de ces contractions musculaires réflexes, qui, dans l'état pathologique, subissen
. Le temps perdu du réflexe est de 36 millièmes de seconde. La courbe musculaire est beaucoup plus élevée ; la contraction est plu
on des antagonistes. — Expériences de Gaillard (de Poitiers). — Tonus musculaire . Messieurs, Je relevais, en terminant la leço
s qui, normalement, opèrent la flexion dorsale du pied. La tonicité musculaire , d'une façon incessante, et les premiers efforts
s une rigidité passive. Elle répond au contraire à un état d'activité musculaire . C'est, on n'en saurait douter,un phéno-mène comp
manente des hémiplégiques. Je veux par-ler de la tonicité ou du tonus musculaire . Vous n'ignorez pas, Messieurs, que certains mu
faites tout récemment dans mon service, à la Salpêtrière^sur le bruit musculaire . A l'aide d'un appareil d'auscultation micro-phon
n micro-phonique doué d'une délicatesse exquise, l'analyse des bruits musculaires dans l'état normal et dans l'état pathologique a
se c'est son inter-mittence. Il semble donc avéré, qu'ici, les fibres musculaires entrent en activité les unes après les autres, en
ntraction légère mais permanente des mus-cles, qu'on appelle le tonus musculaire , dépend-d'une stimu-lation également permanente e
les muscles où elle produit, par la voie des nerfs moteurs, le tonus musculaire ... Cette action continue de la moelle est sans c
muscles finissent par souffrir et s'amaigrissent. Dès lors le spasme musculaire cesse d'exister; il n'y a plus à proprement parle
irritative. — Elle agit comme la strychnine. -- Exagération du tonus musculaire . — Indépendance des arcs diastaltiques réflexes.
issement par arrêt de déve-loppement du membre où siègent les lésions musculaires , alors même que ces membres remplissent une parti
sorte de poliomyélite antérieure dont la conséquence est une atrophie musculaire survenant dans les membres paralysés. 2° Mais c
ivité réflexe spinale qui, à l'état normal, entretient la contraction musculaire permanente connue en physiologie sous le nom de t
ndineux disparaissent de très bonne heure. Il en est de même du tonus musculaire . Les muscles, en conséquence, sont flasques et ce
ieur ou centri-pète de l'arc diastaltique. — M, A,M, arc diastaltique musculaire pu tendi-neux affecté dans l'ataxie. vement en
rieur ou centripète de l'arc diastaltique. — M,A.M, arc diastalti-que musculaire ou tendineux dont les propriétés sont conservées
t normal, des muscles ou de leurs apo-névroses, par la voie des nerfs musculaires centripètes, dé-terminent le phénomène d'activité
ermanente, mais très intense, re-présentant en quelque sorte le tonus musculaire poussé à sa suprême puissance : et telle serait e
membres. La contracture et, à son défaut, l'exagération des réflexes musculaires et tendineux distinguent, cliniquement, d'après m
guent, cliniquement, d'après mes observations, cette forme d'atrophie musculaire spinale de celle dans laquelle les éléments cellu
rogressivement en l'absence de tous symp-tômes autres que la rigidité musculaire qui, des membres inférieurs où elle reste fréquem
ture, une paraplégie spasmodique, etc. ; je laisse de côté l'atrophie musculaire qui s'observe également dans les cas où la substa
lleurs, les réflexes tendineux sont exaltés ; il n'y a pas d'atrophie musculaire et les muscles ont conservé leur excita-bilité no
ure subaiguë de Du-chenne (de Boulogne). — Forme chronique : atrophie musculaire pro-gressive de Duchenne et Aran. Poliomyélites
e, seulement en raison de la distribution souvent inégale des lésions musculaires trophiques, vous rencontrez en pareille circonsta
pour ainsi dire unique, exclusif, c'est, vous le comprenez la lésion musculaire trophique. Aussi ces altérations ont-elles été pa
indique que la lésion de la ré-gion spinale d'où dérive cette lésion musculaire est le fait fondamental. Au contraire, on appelle
acé le tableau clinique et à laquelle ils ont donné le nom d'atrophie musculaire progressive. Cruveil-hier avait reconnu dans cett
ion-naire entre en relation pour ainsi dire immédiate avec l'élé-ment musculaire . Avant 1840, sur la foi des travaux de Valen-tin,
n-tin, Burdach, on croyait que les extrémités périphériques des nerfs musculaires se terminaient en formes d'anses, dans l'in-terva
'extrémité terminale de ce prolongement et la subs-tance de l'élément musculaire . Il y a donc, ainsi que je l'annonçais, anatomi
olidarité intime entre la cellule motrice, le nerf moteur et la fibre musculaire ; en réalité, on peut les consi-dérer comme trois
lement par de la rigidité ou de la contracture spasmodique des masses musculaires ; tandis que d'autres sont marquées par l'absence
érer isolément, on pourrait se croire en présence d'un cas d'atrophie musculaire progressive. Il n'en est rien cependant, et, là e
pasmodique. En effet, si l'on examine de près ce qui reste des masses musculaires du bras et de l'avant-bras, on distingue, en cert
des plus instructifs. Il fait voir un mélange de certaines paralysies musculaires , en apparence flaccides, avec un ensemble de phén
en un mot, sorte dé tétanisation généralisée, associée à une atrophie musculaire progressive bien et dûment carac-térisée. C'est
s'accroître. Mais, dès lors, et à mesure que la complication atrophie musculaire s'accentuait, ils diminuèrent progres-sivement d'
dans un même groupe, la sclérose latérale amyotrophique et l'atrophie musculaire décrite parDu-chenne et Aran, peuvent être résumé
ue ; il n'existerait pas de symptômes spasmodi-ques ; 2° L'atrophie musculaire serait le symptôme dominant; et il ne s'agirait p
que contractures partielles, contractures de la totalité d'une région musculaire , soubre-sauts, trépidation spinale, etc., etc. ;
rissement de ses deux bras, qui étaient également animés de secousses musculaires fréquentes. Au mois d'avril, survint la faibles
n'étaient, d'ailleurs, prononcés à ce point, que parce que l'atrophie musculaire n'avait pas marché vite. Quoi qu'il en soit, les
peut être modifié, à un moment donné, par l'apparition de l'atrophie musculaire . L'intervention plus ou moins précoce de cet élém
myotrophique, décrite par M. Charcot, il ne s'agit que d'une atrophie musculaire primaire progressive ; l'atrophie musculaire est
'agit que d'une atrophie musculaire primaire progressive ; l'atrophie musculaire est le symptôme dominant ; et ce n'est pas à pro-
I du profes-seur de Berlin (1). « Aux membres inférieurs, les masses musculaires ne sont pas précisément atrophiées, mais flas-que
e froid, il est insensible aux pin-cements) ; perte partielle du sens musculaire (il sait, les yeux étant fermés, où l'on met sa m
econdaires : impuissance motrice, contrac-ture permanente. — Atrophie musculaire produite par l'extension de la sclé-rose latérale
ceau pyramidal et la substance grise delà moelle épinière. — Atrophie musculaire des hémiplégiques. — Observations de MM. Gharcot,
rigidité passive. — Expériences de Gaillard (de Poitiers). Tonicité musculaire normale. — Théorie d'Onimus. —Expériences con-fir
Expériences con-firmatives de Boudet de Paris et Brissaud. — Le tonus musculaire est une action réflexe permanente. Types et var
on des antagonistes. — Expériences de Gaillard (de Poitiers). — Tonus musculaire ........*.........................................
n irritutive. — Elle agit comme la strychnine. — Exagération du tonus musculaire . — Indépendance des arcs diastaltiqucs réflexes.
ure subaiguë de Dn ehenne (de Boulogne;. — Forme chronique : atrophie musculaire pro-gressive de Duchenne et Aran. Poliomyélites
t chroniques, 382 ; — pro-gressive protopathique, 383. — (V. Atrophie musculaire progres-sive); — deutéropathique, 389. Anévrysm
rhages cé-rébrale.) Arcs diastaltiques, 342. — Indé-pendance des —, musculaire et cu-tanée, 344. Artères du cerveau, 49 ; — de
268; — Réflexes dans 1' —, 337. Atrophie cérébrale, 335. Atrophie musculaire dans l'hémi-plégie, 246 ; — dans la sclérose laté
ptiques, 127; — leurs racines externes et internes, 141, 143. Bruit musculaire , 328. Bulbe rachidien. Il est le siège de lésio
anos artificiel, 318. Thalamus, 140 (V. Couche optique.) Tonicité musculaire , 327, 350. Tonus musculaire, 327 ; — Théories d
us, 140 (V. Couche optique.) Tonicité musculaire, 327, 350. Tonus musculaire , 327 ; — Théories d'Onimus, 328 ; — Irritation ph
38 (1910) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 23] : iconographie médicale et artistique
est assez bien conformé, les épaules sont carrées, mais les masses musculaires sont très peu développées et atoniques, le tissu
compensation. Les hanches sont plutôt étroites et fines, les masses musculaires des fesses sont très peu déve- loppées, le pli
ez les enfants, l'avant-bras est un peu plus lourd, mais les masses musculaires de cette région sont molles et flasques et ne p
ures sont plutôt allongées en comparaison avec le tronc. Les masses musculaires sont ici encore très peu développées et l'on peut
s cutanés plantaires aussi. Il existe pourtant un degré d'hypotonie musculaire assez prononcé. L'exa- men électrique n'a rien
s et les plus anciennement connues sont les dystrophies osseuses et musculaires ; cependant, en donnant un sens beaucoup plus ét
la notion de dystrophie. La chose est bien établie pour le système musculaire , où on a déterminé cette grande entité dystroph
é dystrophique, la myopathie primitive progressive ou la dystrophie musculaire progressive, manifestée par tant de formes ou t
de formes ou types cliniques. Entre toutes les formes de dystrophie musculaire mises en évidence jusqu'aujourd'hui, il semble
e flasque, le gauche ne tombe pas ' inerte quandon le soulève(tonus musculaire conservé). Les réflexes rotuliens , et du tendo
nt à la lumière. Les autres nerfs crâniens sont normaux. La force musculaire des membres inférieurs est bien conservée. Les ré
de l'abdomen, sous les côtes, et sur la ligne ombilicale. La force musculaire des membres supérieurs est bonne. Le gros orteil
haut que d'habitude. On remarque du premier coup d'oeil l'atropliie musculaire générale et surtout des muscles fessiers. La pr
s inférieures étaient douloureuses. Atrophie appréciable des masses musculaires fessières et diminution de leurs mouvements. Di
ied et des orteils sont tout à fait normaux. 62 FLATAU Les masses musculaires de la jambe gauche sont atrophiées et réagissent
olis. La sensibilité (tactile, douloureuse et thermique, et le sens musculaire ) est conservée excepté dans la région de l'anus
s génitaux. En dehors de cela, la sensibilité est intacte. La force musculaire du membre droit est normale. La force musculair
intacte. La force musculaire du membre droit est normale. La force musculaire de la jambe gauche est diminuée principalement
nt plus faibles que normalement, surtout du côté gauche. Hypertonie musculaire . La force musculaire aux mouve- ments actifs es
ormalement, surtout du côté gauche. Hypertonie musculaire. La force musculaire aux mouve- ments actifs est diminuée (à gauche
droite. 23. - La marche est toujours la même. La nuit, contractions musculaires aux jambes, surtout adroite. Sensation de con
que, impossible sans aide, la jambe gauche plus faible, la tonicité musculaire augmentée dans les deux jambes, les réllexes te
ce intercostal. Le froid est moins bien perçu que le chaud. Le sens musculaire troublé aux doigts des pieds et de la main droi
force redoutable. Quelquefois elles sont provo- quées par un effort musculaire (Bruns).Les douleurs siègent dans la colonne ve
baire ou cervicale, on note alors l'apparition d'herpès, d'atrophie musculaire et de contractures (Charcot). Un tableau analog
tendineux des membres inférieurs, sans affaiblissement de la force musculaire , sans troubles sensitifs ou sphincte- riens ; à
'exis- tence de la tumeur. Dans d'autres cas il y a des atrophies musculaires localisées sans réac- tion de dégénérescence (p
classique de dire que dans la lèpre '< la diminution de la force musculaire esl, d'une façon générale, proportionnelle à la d
nes. Ces paralysies ne doivent pas être confondues avec l'impotence musculaire due à l'amyotrophie hansénienne. Il est bien conn
s que nous avons observés, il s'agit de paralysie et non d'atrophie musculaire .il s'agit de sujets jeunes qui n'avaient à aucu
spécifiques. Aucun trouble dans la sphère cérébelleuse. Atrophie musculaire énorme en jarretière aux membres supérieurs et
s. - Début de l'atrophie par les extré- mités supérieures. Atrophie musculaire rigoureusement identique au type Charcol-Marie.
nements donnés par la mère, il paraît que les phénomènes d'atrophie musculaire , débutant par les extrémités des membres, soient
tout le monde. A 13 ans, les troubles paralytiques dus à l'atrophie musculaire avaient déjà atteint un degré considérable. L
is. La main de Marguerite (V. PI. XIII) atteint un degré d'atrophie musculaire extrême. Les doigts sont fléchis sur la face
tiers moyen ; en effet l'avant-bras est plus arrondi et les masses musculaires sont plus prononcées. On peut dire en conclusio
phie des troncs ner- veux. Extrémités inférieures. Ici l'atrophie musculaire commence au tiers infé- rieur des cuisses et il
actions électriques très altérées avec prévalence de la contraction musculaire à la fermeture de l'anode. Aux mains, tous le
s réflexes tendineux et exagération des réflexes osseux. Atrophie musculaire énorme des quatre extrémités, avec tous les carac
uerite, comme nous l'avons décrit, est très gourmande. L'atrophie musculaire chez Aurélie n'est pas encore arrivée au degré ex
n'y a du reste aucun signe ni de chorée, ni d'athétose. L'atrophie musculaire se manifeste chez elle avec une localisation abso
a en diminuant de la périphérie à la racine des membres. Les masses musculaires du tronc sont un peu moins développées que chez
loppées que chez sa soeur, mais on ne relève aucun signe d'atrophie musculaire dans cette région. Le cou est un peu amaigri,
ine rondeur correspondant à une nutrition plus abondante des masses musculaires . Il est très important à relever que les troubl
rs moyen de l'avant-bras ne sont pas limités seulement à l'atrophie musculaire . La peau aussi semble y participer d'une façon tr
'une façon tout à fait normale. Il n'existe aucune trace d'atrophie musculaire sous la région scapulo-humérale. Les deltoïdes, l
le. Les deltoïdes, les biceps sont assez bien conservés et la force musculaire développée daus les mouvements du moignon de l'
s. - Comme nous l'avons décrit aux membres supé- rieurs, l'atrophie musculaire aux extrémités inférieures est rigoureusement l
es à la peau, au tissu sous-cutané et à quelques traînées de fibres musculaires sclérosées et rétractées. Les pieds sont en v
e chez elle. Le bord interne du pied est incavé cause de l'atrophie musculaire et à cause aussi du varisme très prononcé. To
uès sur les mus- cles du cou,des épaules,dans ces mêmes groupements musculaires qui dévelop- paient des mouvements volontaires
triceps brachial : l'on note aussi une grande lenteur des secousses musculaires avec le courant faradique. Sur tous les muscles
des réflexes tendineux. - Exagération des réflexes osseux. Atrophie musculaire débutant par les mains. Troubles trophiques en
ie. , Chez Elisabeth, l'insuffisance fonctionnelle due à l'atrophie musculaire est encore peu prononcée en comparaison de ses
ne présente aucune-déviation de sa colonne vertébrale. 1 L'atrophie musculaire , au lieu.d'être complète, est à peine en train de
den- tique chez toutes les trois. Il s'agit en effet d'une atrophie musculaire localisée aux quatre membres avec prédominance
(V. PI. XIII) est suffisant pour faire saisir le degré de l'atrophie musculaire . Cette atrophie est plus accusée du côté radial
ophie que nous avons pu constater chez les autres. Ici les masses musculaires ne sont pas totalement disparues.Les mollets,bien
arrondie, mais l'on n'observe aucune trace de durillons. L'atrophie musculaire ne s'arrête pas aux jambes, mais elle remonte plu
arfai- tement souples et qu'il n'existe aucune trace ni de rigidité musculaire , ni de contracture. ÉTUDE CLINIQUE SUR TROIS
en de la sensibilité. L'examen de la sensibilité cutanée et du sens musculaire chez Elisabeth est bien plus aisé. Il a pu être f
e l'avant-bras, on peut décéler des réactions de la contrac- tilité musculaire profondément troublées dans leur formule avec les
communs chez eux. Seulement, dans les cas d'IIigier, cette atrophie musculaire n'est pas décrite avec les caractères de l'amyo
ent été frappés par un état spasmodique des mem- bres avec atrophie musculaire , bradylalie, mouvements athétosiques et idiotie
ÉTUDE CLINIQUE SUR TROIS CAS DE MALADIE FAMILIALE 125 L'atrophie musculaire débute généralement par les pieds et envahit ap
Marie a été Vizioli qui, en 1889, a décrit trois cas (1) d'atrophie musculaire familiale sans hérédité directe similaire ; dan
début de la maladie. Dans les cas de Vizioli nous voyons l'atrophie musculaire précéder les altérations du fond de l'oeil. D
r comment dans les formes plus avancées de celte maladie l'atrophie musculaire , au lieu de rester limitée aux membres, peut auss
me des troubles visuels, (1) DUDREUILH, Sur quelques cas d'atrophie musculaire des extrémités. Revue de méd., p. 44, 1890. (
ÉTUDE CLINIQUE SUR TROIS CAS DE MALADIE FAMILIALE 12H des atrophies musculaires , etc. ; chacun de ces symptômes domine le tableau
d à relever que dans cette maladie il n'y a ni exagération du tonus musculaire , ni exagération des réflexes tendineux ; au contr
: selon les uns, il se- rait seulement la conséquence de l'atrophie musculaire des membres infé- rieurs ou des durillons doulo
es trois observations les tremblements, les troubles de la synergie musculaire , les altérations de la parole, le nystagmus, le
ophie des extrémités s'accomplit seulement aux- dépens du sys- tème musculaire et que les os des extrémités ne présentent jamais
e qu'elle intéressait également le derme, l'hypoderme, le sys- tème musculaire et le système osseux. - Or je dois faire remarq
membre supérieur droit au-dessus de la ligne horizontale ; la force musculaire de la main droite est diminuée. Mêmes idées délir
galité pupillaire ; les réflexes pupillaires sont normaux. La force musculaire du membre supérieur droit est très diminuée ; cel
pides dès que le malade cherche à mouvoir son membre. Les secousses musculaires ont lieu en même temps dans tout le membre et dét
e est normale. Les mouvements du membre supérieur droit et la force musculaire sont normaux, Le réflexe patellaire est absenta
ans, les mouve- ments épileptoïdes se compliquèrent de contractions musculaires à la tempe droite,' à la joue et aux paupières
atteintes de paralysie en quel- quesjours. Au commencement le tonus musculaire dans le membre su- périeur gauche était exagéré
t mamillaire. Les nerfs crâniens fonctionnent normalement. La force musculaire et la sensibilité sont intactes dans tous les m
rtie rouge et en partie jaunâtre. Elle se détache nettement du fond musculaire . La partie principale de la tu- meur se trouve
urs dans l'épaule et le bras gauches et affaiblissement de la force musculaire du membre. Pendant que persis- tent les douleur
t. Les douleurs du dos et de la nuque persistent toujours. La force musculaire des membres inférieurs et du supérieur droit est
lade ne marchait plus. Douleurs du côté gauche du tronc. L'atrophie musculaire dans l'épaule, le bras, l'avant-bras et la main
de deux causes. Il y a lieu de supposer tout d'abord que l'atrophie musculaire de l'épaule gauche était causée par les nerfs p
muscles dépendant de quelques nerfs en particu- lier. Des atrophies musculaires et des troubles sensitifs diffus ou limités à l
a contraction générale des vaisseaux produite par le jeu des fibres musculaires logés dans leurs parois. La physiologie qui rec
successives, en même temps que se produisent d'autres contractions musculaires qui fléchissent la cuisse, et parfois agitent t
que des paralysies de membres, de segments de membres ou de groupes musculaires fonctionnellement associés. On ne voit jamais p
cuisse et du tronc). L'hystérique ignorant ce point de physiologie musculaire se comporte dans cette épreuve comme un sujet n
la notion pathogénique où elle prend son origine. « Les sensations musculaires sont un des éléments essentiels de la cénesthés
ut, j'ai toujours constaté une diminution très nette de la tonicité musculaire , une certaine paresse des muscles à se con- tra
une indica- tion toute spéciale à relever chez ces malades le tonus musculaire . C'est lui qui donnera aux timides ce sentiment
ainement égal ou supérieur à la normale. Ce n'est donc pas le tonus musculaire qui expliquera l'attitude vertébrale du timide.
ux centres supérieurs le siège supposé de sa paresse, qui n'est pas musculaire , mais motrice, psy- cho-motrice et en opposant
éformation visible ; les éminences thénar et hypothénar, la semelle musculaire , du pied, sont intacts. Il n'y a d'autre part, au
une forte lordose. Sur tout le thorax le tissu adipeux et le tissu musculaire sont abondants ; le système pileux rare ; les s
raccourcies et grossies à cause du fort développement de l'appareil musculaire . Ce raccourcissement se montre d'une façon part
nt un peu recourbées avec leur convexité il l'extérieur. Le système musculaire est très développé et aux régions fessières il fo
ntés de volume, et ne sont pas douloureux à la pression. La force musculaire est un peu diminuée aux membres inférieurs ; il s
sez faible. Conditions générales de la nutrition, passables. Masses musculaires et tissu adipeux suffisamment développés. Peau
Les mouvements actifs et passifs s'accomplissent normalement. Force musculaire au dynamomètre : 19; 28 épreuve : 22. Membre
tous les seg- ments du membre une résistance très apparente'. Force musculaire au dyna- momètre : 6 ; 2° épreuve : 6. On ne
centimètres. Etat nor- mal des mouvements actifs ou passifs. Force musculaire bien conservée. Membre inférieur gauche. - Trop
ni pendant les mouvements de la colonne vertébrale. Pas d'atrophies musculaires . Le malade se plaint de contractions involontai
res des jambes. Pour les mouvements passifs des genoux, la tonicité musculaire est augmentée. La sensibilité tactile est conse
a pa- ralysie des memhres inférieurs fut presque complète, le tonus musculaire un peu exagéré. Extensions involontaires des ja
ents avec facilité. La sensibilité tactile, douloureuse, thermique, musculaire et stéréognosique est normale. Les réflexes ten
sont normaux. La pression des troncs nerveux est indolore. Le tonus musculaire est normal. Membres inférieurs. Le membre gauch
résent. Trépida- tion épileptoïde bilatérale. Pas d'ataxie. Le sens musculaire est conservé. Pas d'escarres ou d'oedèmes. Les
ade le peut lever à la hauteur de quelques centimètres. La tonicité musculaire des deux membres inférieurs est exagérée, on la
plètement flasques. La sensibilité tactile (thermique, douloureuse, musculaire ) est abolie ; TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET
à la lumière. Les nerfs crâniens fonctionnent normalement. La force musculaire des membres supérieurs est bonne. Les réflexes
hes et un peu meilleur dans celles des genoux). Il y a une tonicité musculaire exagérée dans les deux membres (dans le gauche
côté gauche. Paralysie complète des membres inférieurs. La tonicité musculaire dans toutes les articulations est exagérée. Trépi
s. Les mouvements passifs rencontrent un obstacle : l'hypertonicité musculaire dans le genou, elle disparaît dans les mouvements
Etat actuel. Paraplégie presque complète de type spastique (tonus musculaire exagéré surtout dans la jambe gauche), réflexes t
suite rétention de l'urine. La paraplégie est complète. La tonicité musculaire exagérée, les membres tendus comme des cordes.
ie qui ensuite se transforma en paralysie complète, l'hypertonicité musculaire , les troubles sensitifs profonds et franchement
difficulté. Il n'avait, point de douleurs dans les jambes. La force musculaire dans les bras diminua peu à peu. Trois jours av
uvements est assez bonne. De temps en temps, courts tressaillements musculaires dans les jambes. Pas d'atrophie musculaire. Le
courts tressaillements musculaires dans les jambes. Pas d'atrophie musculaire . Le réflexe patellaire est conservé. Le plantai
ire. Le réflexe patellaire est conservé. Le plantaire faible. Tonus musculaire normal. Les membres supérieurs fléchis au coude
ces parties se propageaient jus- qu'aux doigts. Peu à peu la force musculaire des mains diminua, en- suite celle des jambes.
ait pas marcher sans aide. Soutenu il marchait en chancelant. Tonus musculaire des jambes normal. De temps en temps des secous
Tonus musculaire des jambes normal. De temps en temps des secousses musculaires . Membres supérieurs fléchis au coude et rapproc
mal de Pott avec paraplégie spasmodique, contractures et atrophies musculaires aux membres inférieurs. Durée de la paraplégie,
IIE ARAN-UUCFIENNE. 1° Tili S... Notes cliniques. 27 ans, atrophies musculaires de la ceinture scapulo-humérale et des membres
tiente est de moyenne taille ; le pannicule adi- peux et les masses musculaires sont modérément développés. Pas d'anomalies not
sont tous possibles et complets. Légère diminu- tion de la tonicité musculaire . (Les mouvements de complète flexion de la cuis
vés des deux côtés ; mais on note une légère diminution de la forcé musculaire . U\'ELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALYLTRICRE. T. X
que est partout bien conser- vée. Bien conservés aussi sont le sens musculaire , le sens des attitudes seg- mentaires, et la pe
plus court, plus étroit, moins fortement marqué par les empreintes musculaires . La cavité orbitaire droite est plus vaste, surto
s droit, épaississement des épiphyses et des saillies d'in- sertion musculaire ; à l'avant-bras gauche, le cubitus mesure 18 cent
; les épiphyses sont énormes, déformées ; les saillies d'insertion musculaire épaisses et volumineuses ; l'humérus gauche, lé
embres inférieurs, le gauche est plus faible que le droit. Tonicité musculaire augmentée. Force musculaire du tronc diminuée.
est plus faible que le droit. Tonicité musculaire augmentée. Force musculaire du tronc diminuée. Réllexes patellaires exagérés
jambe gauche provoquent des contractions spasmodiques. La tonicité musculaire dans le membre droit est normale, un peu exagér
que la douloureuse (en arrière, elle envahissait la nuque). Le sens musculaire est troublé aux membres inférieurs (à gauche il
e intercostal). Membres inférieurs complètement paralysés. Tonicité musculaire notablement exagérée. Réflexes patellaires vi
s haut (sur le cou et jusqu'au cuir chevelu et à la nuque). Le sens musculaire est aholi dans les membres inférieurs (le malad
emblement, contrac- 468 FLATAU lions) ou de leur lésion (atrophie musculaire ). Cette dernière est surtout évidente dans les
ou abolition de tous les modes de la sensibilité y compris le sens musculaire (au- dessus de la ligne de limite, la zone inse
ation de la tu- meur dans la queue de cheval. 1. Les contractions musculaires spontanées appartiennent aux troubles qui dépen
laires (les douleurs, les anesthésies segmentaires et les atrophies musculaires ), de même que les phénomènes provenant de l'int
upérieurs (douleurs de la nuque, irradiant dans les bras, atrophies musculaires , radiculaires et anes- thésies). Puis apparaît
nstater une zone anesthésique et encore plus rarement des atrophies musculaires (Oppen- heim décrit, il est vrai, des atrophies
rophies musculaires (Oppen- heim décrit, il est vrai, des atrophies musculaires dans un cas où la tu- meur siégeait au niveau d
nt l'amélioration de l'état delà vessie et du rectum, des atrophies musculaires peu prononcées, l'absence de la réaction de dégén
stérieures), assez souvent bilatéraux dès le début et les atrophies musculaires plus évidentes. Malaisé prit beaucoup de peine
type segmentaire avec dissociation de la sensibilité, les atrophies musculaires et la paralysie flasque (surtout dans les membr
sse, en collaboration avec Arthaud. 11 avait consacré aux Atrophies musculaires une série de conférences faites à la Faculté de
ouvements actifs et passifs des membres du côté droit dont la force musculaire est bien conservée. Les réllexes rotuliens sont l
c des aréoles très nettes entourées de quelques poils. Le système musculaire est à tout point de vue parfait; les muscles sont
ves ; l'érection se fait facilement et est complète. Les apparats musculaires du tronc et du bassin sont de tonicité et d'éner-
aisseuse ; le profil des muscles est très bien dessiné. La tonicité musculaire est normale ; l'énergie musculaire dans tous le
est très bien dessiné. La tonicité musculaire est normale ; l'énergie musculaire dans tous les mouvements est absolument remarqu
é du tronc études extrémités est parfaitement normale ; l'éner- gie musculaire que notre petit patient peut développer est remar
ait extrêmement prononcée et avait atteint, de' même que l'atrophie musculaire et l'hypo- tonie, les quatre membres : elle ava
ur, un déve- loppement remarquable ; la musculature (sinon la force musculaire ) est bien développée; les membres, et en partic
sur un métacarpien, la saillie exagérée des empreintes d'insertion musculaire : ces saillies sont moins angulaires, l'os est mo
éréditaire- ment transmissible, au même titre que la prédisposition musculaire , nerveuse, cardiaque ou hépatique dans d'autres
physiologique des organes génitaux, le trophisme normal des tissus musculaires , le défaut de tout symptôme de retard dans l'os
jusqu'à l'an dernier, époque à laquelle M. Richet a noté l'atrophie musculaire . L'anomalie est plus nette à droite qu'à gauche
nfant se sert très peu du pouce, surtout du pouce droit. Les masses musculaires , les thénariennes surtout, sont minces et laiss
- que de tous les muscles de la main. L'atrophie en effet n'est pas musculaire , mais porte sur tous les tissus : le pouce est
39 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
rs spéciaux elle variera de 7 à 10. REVUE CRITIQUE. Sur le sens musculaire à propos de quelques travaux récents ' ; ; Pa
cale à l'Université de Bordeaux. IL- LOCALISATION cérébrale DU sens musculaire . Le rôle physiologique des sensations musculair
cérébrale DU sens musculaire. Le rôle physiologique des sensations musculaires que nous ve- nons d'étudier est de nous faire c
s ' Voir Archives de Seul'ologie, n° 48, t. VIII, 461, 1899. SENS MUSCULAIRE 33 et quantitatifs de nos mouvements, leur éten
onscient de ces mêmes images motrices. L'étude des troubles du sens musculaire pourrait donc ainsi logiquement comprendre deux
nscientes dont nous venons de parler, troubles qui seraient au sens musculaire ce que la cécité psychique est au sens de la vi
que des voies de conduction et de la localisation corticale du sens musculaire . L'ataxie locomotrice, dont le principal symptô
volontaires, coïncidant avec la conservation intégrale de la force musculaire , est l'exemple clas- sique de troubles du sens
la force musculaire, est l'exemple clas- sique de troubles du sens musculaire par lésion des voies de con- duction centripète
tle maladie qui a permis de localiser ces voies centripètes du sens musculaire dans les cordons postérieurs. Aussi bien n'y a-
à l'heure actuelle ne permettent pas de dire si les fibres du sens musculaire ont dans le bulbe, la protubérance et le pédon-
s reproduit expérimentalement par Veyssière 2. Les troubles du sens musculaire faisaient partie intégrante du syn- drome. Char
ie dite capsulaire. (Société de biologie, °i décembre 1898.) SENS MUSCULAIRE . 35 anesthésie capsulaire du type classique Tur
us révéler le trajet exact des fibres centripètes affectées au sens musculaire . Il y a tout lieu de croire cependant que comme
couche, optique et les noyaux du corps strié, les troubles du sens musculaire sont extrêmement fréquents. Ici cependant il y
lés par Tripier en 1880 '. Redlich 2 a trouvé des troubles des sens musculaire et stéréo- gnostique dans 23 p. 100 des cas. Il
gnostique dans 23 p. 100 des cas. Il a établi que le défaut du sens musculaire était le symptôme dominant des anesthésies des hé
que bien qu'il n'y ait pas de rapport cons- tant entre l'anesthésie musculaire et l'anesthésie tactile, elles allaient raremen
ale et admet lui aussi l'indépendance relative des troubles du sens musculaire et de ceux de la sensibilité tactile. Claparè
es les divisions suivantes : 1° Anesthésie tactile et perte du sens musculaire ; 2° Anesthésie tactile sans perte du sens muscu
perte du sens musculaire; 2° Anesthésie tactile sans perte du sens musculaire ; 3° Perte du sens musculaire sans anesthésie ta
Anesthésie tactile sans perte du sens musculaire; 3° Perte du sens musculaire sans anesthésie tactile. Il ajoute du reste qu'
ie post-hémiplégique il attribue un certain rôle à la perte du sens musculaire , qu'il aurait trouvé nettement en défaut 7 fois
ur 20 observations. Il est à noter que les quatre modalités du sens musculaire ne sont pas toujours atteintes de la même façon
grande fréquence des troubles de la sensibilité générale et du sens musculaire dans les hémiplégiques nous en trouvons d'autre
ulaire sur ce que dans les lésions de celte dernière partie le sens musculaire serait intact. Aucune observation probante, il
érale 1 hoc. cil., p. 133. ! Wladimir Muratov. Localisation du sens musculaire à propos d'un cas de traumatisme cérébral. (Nel
ie cérébrale vulgaire. (Archives cliniques de Bordeaux, 1897.) SENS MUSCULAIRE . 37 existaient dans l'immense majorité des cas
Toutefois, s'il nous est permis de croire que les troubles du sens musculaire sont pour ainsi dire la règle dans la première pé
x de la racine. il se confirme également que les troubles du sens musculaire ont une importance beaucoup plus grande que ceux
des fibres sensitives, l'étude de la localisation corticale du sens musculaire est inséparable de celle de la localisation de
e de celle de la localisation de la sensibilité générale. Le sens musculaire est plus ou moins lésé chez les individus porte
sceau sensitif. Tout concorde à montrer que le siège des sensations musculaires se trouve dans la zone rolandique. Les auteur
e et Bourdicault-Dumay acceptent l'existence d'une zone sensitive musculaire conjointe à la zone sensitive tactile, et comme e
ns kinesthésiques et qui correspond comme nous l'avons vu au sens musculaire pris dans son accéplion la plus générale. En outr
t ' Chalton Bastian. The muscularsense. (Brain, avril 18S7.) SENS MUSCULAIRE . 39 toujours incomplètes et le sujet conserve l
e d'un objet est donc en dernière analyse un résidu de sensations musculaires et tactiles. Hoffmann avait établi, en se basan
nervous and mental diseuse ? ew-1-orl : , décem- bre 1891.) SENS MUSCULAIRE . 41 celles déjà produites par des objets sembla
eul aboli, toutes les autres modalités de la sensibilité tactile et musculaire étant intactes. Mais il s'agit de deux hysté- r
avons vu un malade anesthé- sique complet au tact mais dont le sens musculaire était intact, qui à la longue reconnaissait un
ue des idées exprimées par les auteurs les plus récents sur le sens musculaire il nous parait que la question est entrée dans
is de grands progrès à faire dans l'étude analytique des sensations musculaires . En revanche la question de la localisation cér
péroniers; exagération des réflexes tendineux et hyperexcitabilité musculaire ; pseudo- tabes (11 cas); amblyopie avec choroi
onnelle. Les symptômes dominants étaient les suivants : Contracture musculaire des mem- bres inférieurs, titubation, vertige,
titubation et secondairement le nystagmus et l'instabilité neuro- musculaire , base physiologique de l'émotivité. De nouveaux f
e coup plusieurs résultats distincts : 1° Tout d'abord l'exer- cice musculaire provoque une vaso-dilatation qui a pour consé-
s devient par là défec- tueuse. Les neurones qui desservent le sens musculaire le plus spécialisé et le plus récemment acquis
légie brachiale, ni hémiplégie, mais seulement une légère faiblesse musculaire à gauche, la sensibilité au tact et à la tempé-
sans grosse lésion anatomique, et se traduisant par une as- thénie musculaire , en tout semblable à celle des adissoniens ,/ C
sujets choisis avec discernement et pris parmi ceux où l'anesthénie musculaire tient la première place^ qu'on arrivera peut-êt
i, d'où vient le glucose qui fournit les trois quarts de la chaleur musculaire , en régularise la proportion dans le sang. Il en
usil dans le feu de peloton. Il suffit qu'une partie des fascicules musculaires ne donne plus son concours à une partie de l'im
HOLOGIQUES. 145 que l'ataxie est due à une altération des synergies musculaires , du concours ordonné de plusieurs muscles ou gr
isuelle petit elle-même rétrocéder. P. KERAVAL. VI. De l'atrophie musculaire dans la sclérose multiloculaire; par L. RuAUEn.
. Cenluulbl., XVII, 1898.) Observation tout entière dans l'atrophie musculaire précoce de plus en plus prononcée ultérieuremen
jambes survient bien après l'installation primordiale de l'atrophie musculaire bilatérale, non compliquée, des bras et surtout
es petits muscles des mains. On croit successivement à une atrophie musculaire progressive et à une sclérose latérale amyotrop
tincts des centres de la sensibilité tactile ou générale et du sens musculaire . Exner émet la doctrine contraire de la senso-
stian appelle kines- thésique, formée par des résidus de sensations musculaires , ten- dineuses, articulaires, etc. Les centres
lencéphale se trouve affaiblie ou suspendue, on observe la rigidité musculaire accompagnée d'une exagération considérable des
ut avoir lieu, comme dans la syringomyélie, la sensibilité tactile, musculaire , articulaire et vis- cérale peut persister, mai
ordre d'évolution qui commence par celui de la sensibilité tactile, musculaire , aponévrotique, viscérale, située sur les circo
st nor- male. Le réflexe pharyngien est très affaibli. Les masses musculaires du tronc et des membres ont un volume et une to
el, pas de trépidation épileptoïde de la rotule ou du pied. Le sens musculaire est conservé. Il n'existe ni sensations de dérobe
uche du corps (flg. 4 et b). La sensibilité osseuse, arti- culaire, musculaire n'est pas altérée. La sensibilité viscérale, en
contenu. Il n'existe donc pas plus d'hyperexcitabilité muqueuse ou musculaire que de lésions anatomiques. Les organes périphé
ce est par- faite ; pas trace de paralysie ni de parésie ; la force musculaire est bien conservée, et la résistance aux mouvem
s les modes de la sensibilité, tact, douleur, chaud, froid; le sens musculaire est très diminué, le malade n'arrive pas, ou ar
tion de boule. Pas de trouble des sphincters ; pas trace d'atrophie musculaire ; le malade est au con- traire fortement musclé.
otrice intense et prolongée ou au ralentissement exagéré du travail musculaire et peuvent être ainsi considérées comme acciden
t quelquefois éveillé en ce moment par une sensation de contraction musculaire locale et de battement. L'ap- parition ultérieu
énorme. L'intelligence était bornée. La faiblesse et le tremblement musculaire , ainsi que la cécité partielle que l'on observa
e la sensation du toucher et de la thermo-esthésie, lenteur du sens musculaire , etc. - Le malade s'amaigrit rapidement, et lui
tiques en ce qu'ils ne suggèrent pas l'idée d'une perte de l'action musculaire , mais d'une suspension ou d'une inhibition de l
troisième, quatrième dorsale avec cyphose en ligne brisée, atrophie musculaire avec contractions fibril- laires de la région c
. A ceci s'ajoute de la dissociation de la sensibilité ; l'atrophie musculaire revêt la forme syringomyélique et au début il y
és chez ce malade sont de même origine, qu'en particulier le spasme musculaire dépend de la même cause que le trouble dans le
perturbation de ce genre qu'il faut attribuer dans ce cas le spasme musculaire . Si maintenant on considère que les caractères
sensibilité des trones nerveux et des muscles et certaine atrophie musculaire . Les réflexes patellaires sont exa- gérés. La
; rapports entre la rapidité de l'écriture, la pression et l'effort musculaire ; par G. Ouici. (Riv. clz pal. nerv et ment. fa
. IV-V, 1899.) XLVIII. De l'influence de l'électricité sur la force musculaire ; par Carlcraxt. (Ann. di ne) ? fasc. 1-11, 189
s dépend du défaut d'équilibre entre la tonicité des divers groupes musculaires ; ce sont les moins frappés qui entrent en cont
ent dépendre non d'un fait simple, tel que la suppléance de groupes musculaires jusque-là inactifs, mais de la concomitance ent
actifs, mais de la concomitance entre le mouvement de ces groupes musculaires et la diminution de l'hypertonicité des fléchisse
Bethe et Apâthy pré- tendent que ces fibrilles pénètrent les fibres musculaires et les épi- théhums, dénudées, sans plus avoir
e patient agit sur un dynamomètre que quand il songe à cet effort musculaire . Conclusions. 1° Les pupilles se contractent :
es pseudo-bulbaires, les tabès spamodiques, les chorées, l'atrophie musculaire progressive avec ses phénomènes oculaires, les
ce complète de poilsàla face, aux aisselles,au pubis; développement musculaire très faible ; verge petite, testicules atrophié
out marqué à gauche. Diplopie. Face. - Pâleur. Perte de la tonicité musculaire . Parésie profonde à droite, moindre à gauche.
e atteigne le tissu glandulaire dans son entier. P. XXX. Atrophie musculaire progressive atypique ; par le Dr Pearce Bailey.
riceps des deux côtés, pour les extrémités inférieures, aux groupes musculaires tibiaux antérieurs. L'examen des yeux fait à l'
nce ; dans 10 cas, fonctions sexuelles normales. Troubles du sens musculaire : dans 38 cas sur 44 examinés. Arthropathies de
e rétablissement complet des fonctions urinaires ; mais, même CORDE MUSCULAIRE DANS LA MÉLANCOLIE. 413 ces malades avaient enc
19 mars, Kief. PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. Le phénomène de la corde musculaire dans la mélancolie ; - PAR R CH. VALLON, ET
rnational de médecine mentale tenu à Paris en 1889, p. 409. CORDE MUSCULAIRE DANS LA MÉLANCOLIE. 415 Dans un travail d'ensem
ire encyclopédique des Sciences médicales de Decliambre, t. X, art. Musculaire (Physiologie), p. Gi'J. 416 PHYSIOLOGIE PATHOLO
PATHOLOGIQUES. LXI. Contribution à la localisation de la conscience musculaire basée sur un cas de lésion traumatique de la tê
te d'hémiplégie gauche, avec épilepsie corticale et trouble du sens musculaire (1895), un fait analogue a été publié par nous
uvement. Pour organiser les idées complexes qui constituent le sens musculaire , il faut l'opération synergique de nombreuses c
processus dégénératif limité ne sont suivies ni de troubles du sens musculaire , ni d'accès d'épi- lepsie. Les fibres arciforme
ère observation de 1897, de paralysie générale avec trouble du sens musculaire à forme hémiplégique, la couche superficielle s
és droites, ainsi que de la moitié droite de la face; de l'atrophie musculaire ; un arrêt de développement du squelette ; troub
ppement du squelette ; troubles de la sensibilité ; trouble du sens musculaire ; attaques d'épilepsie hémilatérales corticales
Il y a donc un foyer dans l'écorce de l'hémisphère gauche. Le sens musculaire est le plus fortement atteint, et, comme la par
lité tactile et du sens de la douleur à forme hémiplégique, le sens musculaire demeure normal ou bien le trouble du sens muscu
gique, le sens musculaire demeure normal ou bien le trouble du sens musculaire s'accompagne d'accidents des organes sensoriels
de l'écorce qui explique qu'ils gagnent la face. Le trouble du sens musculaire est le résul- tat d'une lacune dans les phénomè
ts passifs en rapport avec la sensibilité cutanée et la sensibilité musculaire . Il en est de même pour les mouvements appris.
bres arciformes sous-corticales entraine- t-elle un trouble du sens musculaire et de l'ataxie dans les mou- REVUE D'ANATOMIE E
E PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 419 vements appris. Le trouble du sens musculaire est donc un phénomène de déficit qui peut indiq
tabes syphilitique caractérisé par de l'ataxie avec affaiblissement musculaire ; on constate en outre : des paresthésies tabéti
rmé qui, à rai- son du concours de l'ataxie et de l'affaiblissement musculaire , le fait ressembler au tabes héréditaire de l'r
n disparaît ; il est d'or- dinaire, non toujours, altéré si le sens musculaire est perdu, mais peut persister si toute autre f
ubles de sensibilité objective et subjective, faiblesse et atrophie musculaires ). Dans les trois observations de Zenner, il y a
ontraire l'impression que la manifestation primitive est un trouble musculaire . Les dou- leurs ressemblaient beaucoup à celles
laire. Les dou- leurs ressemblaient beaucoup à celles du rhumatisme musculaire , il n'y avait aucun symptôme articulaire et l'u
, pouvant ou non être « précédé, accompagné ou suivi de convulsions musculaires per- « ceptibles ou non. » On peut dire qu'il
une recherche très minutieuse. Pseuclo-myome; myalgie et rigidité musculaire . - ? II. KLIPPEL pré- sente un malade atteint d
lente mais progressive; la marche devient très difficile. La foire musculaire n'est nulle part amoindrie ; il n'y a pas d'amaig
ériode latente et le temps que demande à s'effectuer la contraction musculaire , quand on pratique l'excitation sous-corticale.
FFINI. (Bi,aii2, part. LXXIX.) Il s'agit de la question des fuseaux musculaires , des organes intra-tendineux et des corpuscules
scles volon- taires de trois manières différentes : par des fuseaux musculaires , par des organes de Pacini et au voisinage des
exactes viennent déterminer quelle est celle qui représente le sens musculaire . F. 13ossmrs. LXXIX. Le Fuseau musculaire dans
le qui représente le sens musculaire. F. 13ossmrs. LXXIX. Le Fuseau musculaire dans les conditions pathologiques ; par F. BATT
où il a pu les retrouver. Dans la paralysie infantile, les fuseaux musculaires restent tout à fait indemnes. - Dans le tabès i
male quant à leur structure. - Normaux aussi dans un cas d'atrophie musculaire progressive et dans un cas de névrite péri- phé
ns un grand nombre d'affections médullaires accompagnées d'atrophie musculaire , cette atrophie peut se localiser plus ou moins
l'absence de syphilis, l'apparition rapide, l'anémie, la faiblesse musculaire , l'absence de symptômes oculaires et de douleurs
s'exclut par le début lent, l'ataxie marquée, l'absence d'atrophie musculaire et de douleur, l'apparition de troubles du rect
être fait d'une seule pièce. Hémiparésie droite, à gauche la force musculaire conser- vée, les réflexes tendineux augmentés,
ésie hystérique de certaines zones cutanées et celui des paralysies musculaires hystériques, nous pourrons peut-être, par analo
présenté aux quatre extrémités des panaris multiples avec atrophie musculaire et mutilation de phalanges, le diagnostic avait
uvre vaine, si on ne cherchait pas à utiliser, à occuper l'activité musculaire et psy- chique que l'éducation aura provoquée.
lques symptômes inaccoutumes, par CumpheH, 338. Atrophie. De 1' musculaire dans la sclérose multicolore, par Brauer, 145
. De 1' musculaire dans la sclérose multicolore, par Brauer, 145. musculaire pro- giessive typique, par Bdiley, sa. 548
s de la médecine et de l'hygiène des -, par Sikorsky, 62. Force musculaire . Influence de l'électricité sur la-, par Capria
colie, Manie et psychose mamaco dépressive, par Gucci, 234. Corde musculaire dans la - Vallon et Wahl, 413. Mélancolique.
ns le -, par Bé- raton,350. Myalgie. Pseudo mydme, - rigi- dité musculaire , par Iüippél,4l. Myopathie primitive aveccéphos
ions avec les centres, par Doellken, 322. Sclérose. De l'atrophie musculaire TABLE DES MATIERES. 56S i dans la- - multil
n enfant, . par Raymond, 525. Semelaigne, biographie, 531. SENS musculaire . A propos de quelques travaux récents, par Ve
40 (1885) Archives de neurologie [Tome 09, n° 25-27] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ment, éveillent les sensations normales. La pression sur les masses musculaires provoque de la douleur des deux côtés. Sur le t
alade qui, jusqu'à un âge avancé, avait conservé son incoordination musculaire et prononçait malgré elle, même dans les lieux
timètre de largeur et assez profonde Jusqu'en 1880, ces secousses musculaires permirent encore au malade de copier et de rédi
parce que à chaque, instant tout son corps était agité de secousses musculaires accompa- gnées d'aboiements bruyants, tout à fa
ortent de beaucoup sur les toniques; il n'y a jamais de relâchement musculaire complet, mais on entend un peu de stertor à la
rononcée; un peu d'hyperalgésieetaussi d'anesthésie. Pas d'atrophie musculaire , ni de troubles trophiques. Mais le symp- tôme
trent en convulsions, les uns après les autres, que les territoires musculaires dont les centres sont situés, dans l'écorce cér
ans l'écorce cérébrale, les uns à côté des autres ; 4" La charpente musculaire intrinsèque de la langue, ainsi que les muscles
odique, normale, une seconde prend naissance sur le même territoire musculaire ; elle est suivie d'une troisième, puis d'une qu
parent de tous les muscles; - 1'-)- Il se peut que certains groupes musculaires par- ticipent faiblement ou ne participent pas
cerveau joue un rôle fondamental dans la production des convulsions musculaires . En extirpant certains centres moteurs isolémen
lément, on élimine du même coup du tableau cowulslf les territoires musculaires en correspondance avec eux. En cer- tains cas,
rice dans l'état domalépileptique réduit au silence les convulsions musculaires ; c'est tout au plus si l'on voit se produire a
plète, on ne trouble pas non plus la marche normale des convulsions musculaires , par conséquent l'in- citation semble se transm
empêche également chez l'homme les convulsions dans les territoires musculaires correspondants; 240 Quant à la marche des convu
Ce fait que, dans les convulsions hémilatérales, certains districts musculaires sont intéressés sur l'autre moitié du corps, n'
corps, n'a pas d'analogue en clinique. Ce n'est que pour l'appareil musculaire de la nuque que quelques remarques isolées des
de la périphérie au centre ; inversement, il délie la contraction musculaire , s'il est conduit du centte à la périphérie. L'ex
tion, on constate que le patient a reconquis une partie de son sens musculaire et de sa sensibilité, mais les réflexes patella
othèse de Tschirjew, d'api es lequel réflexes tendineux et tonicité musculaire constituent deux réflexes musculaires ayant des
réflexes tendineux et tonicité musculaire constituent deux réflexes musculaires ayant des voies de transmission identiques, et
hénomènes réside en ceci que les condi- tions génératrices du tonus musculaire sont une excitai ion de l'appareil centripète i
de l'appareil centripète intra-musculaire produite par élongation musculaire à l'aide des points de fixation anatomique, d'où
if du muscle produite par un soudain renfor- cement de l'élongation musculaire (tiraillement du tendon par un heurt), d'où con
illement du tendon par un heurt), d'où consécutivementuneconvulsiou musculaire intense brève. Les expériences de Mommsen montr
montrent que toute circons- tance qui modifie la force d'un réflexe musculaire , modifie dans le même sens celle du réflexe ten
curare, la strychnine, traction longitudinale). Quant à la tonicité musculaire , Brondgcest a prouvé qu'il existe ou peut exist
des nerfs cutanés sensitifs que cela a lieu. L'excitation des nerfs musculaires cen- tripètes qui produit le tonus peut n'être
iniques invoqués contre l'identité du réflexe tendineux et du tonus musculaire ne prouvent rien. S'il est exact qu'avec quelqu
néralement même impossible, de juger isolément de la force du tonus musculaire d'un individu vivant. L'unique modification de
sculaire d'un individu vivant. L'unique modification de la tonicité musculaire accessible à un diagnostic analytique et sûr, c
s le chloroforme. Si pendant la narcose chloroformique, la rigidité musculaire demeure partielle, c'est que 1'liypertonub mus-
de loin (contracture). Aucune des autres modalités de la tonicité musculaire ne saurait être reconnue sur le vivant; cela n'a
meut colossal de l'encéphale, du coeur, de l'ensemble de l'appareil musculaire par des vésicules de cysli- cerques. La pie-mèr
ation normale de la contractilité galvanique; 3° les con- tractions musculaires deviennent de plus en plus lentes; 41 tous les
utre part, ces réflexes se rétablirent plus vite que l'excitabilité musculaire . Faisant ensuite allusion à différentes théories
la Faculté de médecine de Lilie pour son livre intitulé : Anomalies musculaires chez l'homme expliquées par l'anatomie comparée
pression. Ce cas est, pour nous, un exemple frappant d'atro- phie musculaire progressive avec paralysie labio-glosso- laryng
la précédente, maintenant que les lésiônsmédullitirës de l'atrophie musculaire et de l'ataxie locomotrice sont bien déterminée
telligence ni de la sensibilité -générale ou spéciale. L'atrophie musculaire envahit- les ` membres ? supé- rieurs. ' ' '" "
des cornes anté- rieures. Tous ces cas appartiennent à l'atrophie musculaire . L'ataxie a aussi sa part dans les effets du tr
ale du sujet. Ces mouvements incoordon- nés ou plutôt ces secousses musculaires débutent le plus souvent par la face ou par les
e sont plus des mouvements limités comme précédemment à des groupes musculaires iso- lés ; les contractions portent le plus sou
tion, cet enfant était pris de mouvements bizarres, de contractions musculaires involontaires qui le jetaient en avant comme s'
ique assez varié, la prédo- minance des contractions dans un groupe musculaire donnant à la physionomie de chaque malade un ca
velles secousses. Il faut dire que ce sont surtout les contractions musculaires limi- tées, soit à la face, soit à un membre,-
lement, il se passe à peine quelques minutes sans qu'une secousse musculaire limitée ne se produise, les grands mouve- ments
neuse). Pendant leur durée, il est incontestable que les secousses musculaires diminuèrent debeaucoup de fré- quence et d'inte
ions I, IX, les symptômes autres que ceux fournis par les secousses musculaires , ne se montrèrent approximativement que quatre
eur venant, avons-nous dit, suppléer pendant la nuit à la dépense musculaire exagérée qui s'est faite pendant le jour. Si ce
pas toutefois qu'il existe des contractions dans certains groupes musculaires qui peuvent être fort préjudiciables. Chez le m
- riables, mais toujours au moment même ou à la fin des secousses musculaires si particulières qui le tour- mentaient. » Ce
ier ou obscène est toujours émis au moment de l'acmé d'une secousse musculaire et que jamais le geste ne souligne la significa
n intensité; nous aurions dû ajouter que, tous les trois, secousses musculaires , écholalie, coprolalie, lorsqu'ils coexistaient
ons pu en juger, très varia- bles suivant les sujets, les secousses musculaires de- viennent moins fréquentes et moins fortes,
simples tics de la face ou à des incoordinations, à des secousses musculaires partielles, si tant est qu'on puisse considé- r
caractérise par une incoordination motrice sous forme de secousses musculaires brusques, affectant divers muscles, produisant
encore ici des questions de degré ; celui qui n'a que des secousses musculaires limitées, qui répète un mot sans y ajouter de c
L'individu n'est affecté que d'incoordination motrice, de secousses musculaires ; la maladie se consti- tuera probablement dans
oor- dination motrice de la chorée ne ressemble pas aux secousses musculaires qui agitent nos malades. Alors que le choréique
sez longue, nos malades ont des secousses brusques, des décharges musculaires . Beard l'avait bien dit : « Ces manifestations
erreur, car, dans l'affection que nous avons décrite, les secousses musculaires , si elles se cantonnent parfois dans le domaine
de véritable symptôme pathognomonique. A l'occasion d'une secousse musculaire , au moment de l'acmé d'une convulsion, le malad
echerches à d'autres systèmes que le sys- tème nerveux : au système musculaire et à la nutrition géné- rale. Dans la présente
giques absolument semblables; il faut que les conditions d'activité musculaire , de sommeil, de milieu, etc., soient les mêmes
recherches fort bien faites sur l'in- lluence qu'exerce le travail musculaire sur l'élimination de l'a- cide phosphorique a d
de l'acide phosphorique, pour que, si ou fait intervenir un travail musculaire et si des modifications se produisent dans cett
l'a- cide phosphorique et l'azote. Nos recherches2 sur le travail musculaire dans ses rapports avec l'élimination de l'acide
la teneur (Obs. 1). Dès les premières années de la vie, le système musculaire devient malade; la maladie s'aggrave et progres
dégénérescence atro- phique, ou une tuméfaction vitreuse des fibres musculaires , une dégénérescence granulo-graisseuse des bran
e dégénérescence granulo-graisseuse des branches nerveuses intra- musculaires , dégénérescence qui occupe également les troncs,
'écrasement d'un nerf; atrophie graisseuse et même cireuse du tissu musculaire correspondant. P. K, XXII RECHERCHES expériment
pas lieu quand on frappe sur l'os; car, en outre, le choc du ventre musculaire même ne produit jamais, quel que soit l'état d'
pas de rapport de cause à effet entre les tensions et les raideurs musculaires qui très fréquemment accompagnent l'hyperexcita-
yeux regardent le côté opposé à la lésion; 3° les troubles du sens musculaire , assez fré- quents, mais difficiles à constater
es, dans leurs fonctions respiratoires diminuées, dans leur système musculaire affaibli; et ils vivent, et ils continuent à vivr
aire; l'atrophie ne diminue pas. Gerald Bom- ferd (1880) : Atrophie musculaire de l'extrémité supérieure; élongation des deux
tion du nerf sciatique, amélioration. Blum' : Névralgie et atrophie musculaire dans la région sciatique, chez un homme de tren
du nerf amena la guérison. Spence' (1880) : Commencement d'atrophie musculaire ; amen- dement après l'élongation du nerf sciati
correspondant ne présentait aucune apparence anormale; les saillies musculaires y avaient leur développement ordinaire, le mala
être porté très loin. Or, lorsqu'on étudie la composition du tissu musculaire , on voit que de tous les tissus mous de l'écono
e phosphorique. Par suite, 'nous devons nous demander si l'activité musculaire se modifie par l'élimination des phosphates, et
manière a lieu cette modification et sa- voir si, quand le système musculaire et le système nerveux agissent simultanément, o
cons- tate. DE LA. NUTRITION DU SYSTÈME NERVEUX. 369 , Travail musculaire et acide phosphorique. Nous serons bref sur ce
acide phosphorique. Nous serons bref sur ce qui a trait au travail musculaire dans ses rapports avec l'acide phosphorique. No
e notre ouvrage déjà cité (chap. in, p. 67 à 91) : 1 ° Le travail musculaire augmente la quantité d'azote éliminé par vingt-
quantité d'azote éliminé par vingt-quatre heures ; 2° Le travail musculaire augmente la quantité d'acide phos- phorique éli
lement le chiffre des phosphates terreux, phosphates que le travail musculaire laisse intacts ou diminue même. Le tableau suiv
mination des phostates et de l'azote. On le voit donc si le travail musculaire agit, l'élimination de l'acide phosphorique, l'
issant l'influence qu'excercent le travail intellectuel, le travail musculaire et la nutrition générale sur l'élimination de l
met en activité, et parfois d'une manière considérable, le système musculaire ; et comme nous savons que les muscles, en trav
x alcalis, il est naturel d'attribuer à la su- ractivité du système musculaire une part dans l'augmentation de l'azote et des
miné que d'azote, ainsi qu'il arrive sous l'influence du travail musculaire ; dans les périodes d'état, au contraire, alors ce
les périodes d'état, au contraire, alors cepen- dant que le système musculaire est mis en activité d'une ma- nière aussi inten
ugmentation de l'azote ne peut être évidemment rattachée au système musculaire ; son origine ne peut être recherchée que dans u
Or, les attaques d'épilepsie mettent en jeu l'activité du système musculaire dans des proportions considérables, et comme la
x alcalis, nous sommes naturelle- ment amené à rattacher au système musculaire l'augmentation de l'azote et des phosphates alc
ve à faire jouer un rôle important au système nerveux et au système musculaire dans leur production. Ces différents faits étab
rfs péroniers des deux côtés, pas d'hyperexcitabilité ner- veuse ou musculaire en général, ni dans les sphères affectées ; les
àl'aidedu pinceau, sans produire aucuneréaction. Intégrité du sens musculaire . Pas d'ataxie. Refroidissement et décoloration
lité avec la mala- die de Thomsen (rigidité, saillie des bourrelets musculaires ). Ce cas sera publié en détail '. 1 Nous l'an
eils (barres parallèles, trapèze, etc.) Dans la chorée, cette folie musculaire , le choix des procédés gymnastiques n'est pas m
: dans la période où la volonté n'a aucune prise sur les puissances musculaires , la gymnastique doit être passive et consister
e tout est de l'amener à déployer chaque jour une certaine activité musculaire . Les paralysies qui ne sont pas symptomatiques
appareil spécial destiné aux hémiplégiques. Enfin dans l'atrophie musculaire progressive, tant que la con- tractilité muscul
dans l'atrophie musculaire progressive, tant que la con- tractilité musculaire subsiste, il est indiqué de la solliciter de to
r WALLET. (Thèse de Paris, 1884.) Etude sur quelques cas d'atrophie musculaire généralisée, consécu- Mue à des tumeurs maligne
DAL. (Thèse de Paris, 1884.) Contribution à l'étude de l'atrophie musculaire survenant dans le cours de la sclérose en plaqu
41 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 21, n° 121-126] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
sion complète sur le bras, bien que la flexion soit normale. Masses musculaires atrophiées partout; réflexes normaux. Pas d'ony
s épineuses sont saillantes, à cause de l'amaigrissement des masses musculaires . Abdomen excavé, en bateau. Foie, rate, normaux
hallucinations. Pendant le sommeil, Arbentina est dansla résolution musculaire complète, avec de temps à autre des contraction
ne peut remuer du fout les pieds elles orteils, Alors que la force musculaire est nulle aux pieds, la répartition de cette fo
s. Le réflexe cutané abdominal est conservé. Il existe une atrophie musculaire dif- fuse des membres inférieurs, qui, au dire
en flexion, les mouvements ne peuvent être provoqués, les masses musculaires sont atrophiées, molles et s'écrasent sous le doi
côté-hémiplégie, la peau est sans résistance, infiltrée, les masses musculaires sont moins distinctes, leur tissu a subi la dég
vice mili- taire, il n'aurait jamais consulté un médecin. Système musculaire . Les muscles sont bien développés, mais pas out
us trouvons, en dehors des symptômes caractéristiques de la raideur musculaire , comme choses plus spéciales à noter : 1° L'a
E ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 127 cédé à l'excitation directe ( musculaire ) ou indirecte (par les troncs nerveux ou leurs
de la contraction se manifeste par l'excitation galvanique directe ( musculaire ).. (Juand le muscle n'a pas dépassé le stade (1
ve ; il correspond iL 2 ? ou 24 vibrations à la seconde. La tension musculaire , est-elle plus forte, il est plus intense ; il
uscles épais. Ce son n'a rien à faire avec le glissement des fibres musculaires sur leurs enveloppes ; il est indépendant du mo
des mouvements. Dans les paralysies flasques incomplè- tes, le son musculaire est simplement un peu plus faible que du côté s
l' à cause de la faible énergie de la contraction. On entend le son musculaire dans la paralysie agitante (un cas), dans l'ath
dégénérative partielle fourni'- sent un son pourvu qu'un mouvement musculaire soit possible. L'excitation faradique directe o
terruptions de l'appareil. Dans KaS Te venue du nerf, il y a un son musculaire comme dans la tétani- sation du mouvement volon
, non oscillante, répond par le son ordinaire, tandis que le son' musculaire est plus élevé dans l'excitation faradique iL rai
on non plus. Il doit s'agir, en ces espèces, de phénomènes intra- musculaires intimes. On n'entend rien à l'occasion des réfl
s réflexes cutanés : cela doit tenir à la brièveté de la convulsion musculaire . Les muscles raccourcis par suite d'un trouble
re hystérique toute récente du bras et de la j'amhe a fourni un son musculaire très net. La contracture tardive des muscles hé
sont devenus impotents, et, celte fois, il raison d'une rigi- dité musculaire typique relevant de la maladie de Parkinson. On
es tendineux; de l'hypotonie ; et d'autre part : II. de la rigidité musculaire ; l'immobilité du masque ; le tremblement carac
ies (sensation du brûlure;. Celte si- multanéité d'états du système musculaire diamétralement oppo- sés (ligures) est inexplic
e l'hypotonie dans le tabès n'englobe pas forcément tout le système musculaire , et que, sans naturellement nier lu rapport int
aux muscles des membres. Un sait depuis longtemps qu'une ac- tion musculaire n'est possible que si les muscles antagonistes en
il y a donc une sorte d'unité physiologique entre ces deux groupes musculaires et leurs nerfs. Mais il y a plus, l'exercice de
PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. du coude et du poignet. La distribution musculaire des paralysies cérébrales incomplètes se fait.
sculaire des paralysies cérébrales incomplètes se fait. par groupes musculaires périurlicu- laires individualisés et unifiés pa
ringomyélie, de la sclérose la- luraluamyotrophidue, de l'atrophie musculaire atypique Duchenne- Aran. de la poliomyélite ant
en 1887 par Wagner, qui la considé- rait comme une forme d'atrophie musculaire progressive; elle a été étudiée de rares fois,
s passifs sont tous possibles. Abolition ou diminution des réflexes musculaires . Peu à peu les douleurs se calmèrent, mais RE
et état n'a ni la marche de la lrichi- nose, ni celle du rhumatisme musculaire . La biopsie pratiquée après fixation il la form
, on ne sait s'il y a raccourcissement des muscles par hypertonie musculaire ou si ce raccourcissement est dû à la brièveté de
sculaire ou si ce raccourcissement est dû à la brièveté de la libre musculaire elle-même. L'état intellectuel de ralentissement
en 10 minutes. La galvanisation calme, tout en arrêtant l'atrophie musculaire , seulement le malade ne sup- porte pas plus d'u
exercices. P. KERAVAL, \\'1.-Contribution a l'étude de l'atrophie musculaire pro- gressive ; par P.A PREOBRAJENSK[.(0&f)
RAJENSK[.(0&f);r<.'ittC ysicltiatrü.,\'lll,) Type d'atrophie musculaire progressive chez un homme de 3lî ans, évoluant
oit cependant qu'il s'agit d'une forme inter- médiaire à l'atrophie musculaire progressive et à la sclérose laté- rale amyotro
let 1901. - S. : Stéréotypies d'attitude, négativisme avec raideurs musculaires , mutisme, grimaces, attitudes catalepti- formes
ure remontant à la première enfance (chute dans le feu). Le système musculaire est fortement développé au sens anato- mique. M
sculaire est fortement développé au sens anato- mique. Mailla force musculaire est notablement affaiblie par l'agitation motri
chez la plupart des'individus. A l'examen électrique, les réactions musculaires sont normales; la faradisation, bien to- lérée,
énéralisés. Quand la malade est allongée sur son lit, en résolution musculaire , elle est surprise par un mouvement involontair
nsion. La contraction toni- que semble atteindre les divers groupes musculaires du membre inférieur avec une intensité variable
lus atteinte par les mouvements cho- réiformes : tous ses appareils musculaires sont intéressés. Le masque facial est constamme
nt. Les sourcils sont attirés en haut des deux côtés par une action musculaire synergique. En même temps se creu- sent, entre
n est projetée latéralement et dépasse le but. Quand les mouvements musculaires la surprennent debout, elle est obligée de cher
oduisent sans intervalle, il se produit une sorte de tétanisa- lion musculaire généralisée très pénible pour la malade. La cau
veux est presqueahsolu. De loin en loin, quelques rares convulsions musculaires de faible intensité. L'agitation mo- trice a ce
dans la marche, elle doit être attribuée à la maladresse du système musculaire acquise GROSSESSE ET PL'13R1'1 : RALIT1 : CHE
vons constaté, il ne s'agit pas de chorée molle : cette hyposthénie musculaire se re- trouve dans toutes les chorées, et l'exa
usses chorées», est ainsi définie par P. Blocq : « Des contractions musculaires cloniques. semblables aux secousses provoquées
as dû à un point de départ central, mais à un phénomène de réaction musculaire , dépendant du tonus et des conditions toniques
S. LVI. Note d'histologie pathologique (par biopsie) sur la fibre musculaire striée dans la maladie de Parkinson; par SONNA
aissance, mais délire. Au 26o jour, hypo- thermie,-coma, résolution musculaire avec accès de raideur. Ponction de Quincke au 2
et du cou. C. C. XXV. Sur un cas de tétanie à forme de rhumatisme musculaire ; lar ll. PrrRV. (Soc. des sciences mctl. de Lyon
iculière de tétanie, carac- térisée par un élat permanent de crampe musculaire très dou- loureuse (forme de rhumatisme muscula
manent de crampe musculaire très dou- loureuse (forme de rhumatisme musculaire ) à localisation exclu- sive au niveau des membr
tion 111¡"lalIlI;lIique, l"épui;;(>IIIl'nl.l'al'idl' de la force musculaire , l'hy- p("))it',1cs[ ! '<)u)'l)'s()ula.cm'it
ques en crise, ou en contracture. Le clonus à l'état de relâchement musculaire reste un signe très probant. Syndrome de 1lor
L'aneslhésiu généralisée, l'immobilité abso- lue, les contractures musculaires , la suspension de l'alimentation et des excréti
iques : ainsi 11r entina etait dans un étal permanent du résolution musculaire aussi bien que Gésine : d'ailleurs, de loin un
énitaux, ou datant des premiers mois du la « naissance, la rigidité musculaire étant le symptôme essentiel « de toute diplégie
spasmodique..\. la 1>ilatéraliluet il la symétrie, « la rigidité musculaire joint un autre caractère, la prédominance « aux
s d'animaux, spécialement de lions et de taureaux, du trem- blement musculaire . Bientôt s'établit une euphorie à tendance méga
x exci- tables ? z P. ILERAVAL, XXXV. Trouilles de la sensibilité musculaire dans le tabes et autres états pathologiques : m
s à l'excitabilité mécanique des muscles ou aux soi-disant réflexes musculaires dans les maladies ner- veuses. (Id., Ibid). t
veuses. (Id., Ibid). t. - L'insensibilité à la pression des masses musculaires est un des symptômes constants du tabès ; elle
et les muscles présentent une sensibilité exagérée. L'insensibilité musculaire s'observe aussi dans les allée lions ou les con
ge d'une irritabilité anormale. Les modifications de la sensibilité musculaire dans leurs rap- ports avec celle de la sensibil
a pas paral- lélisme entre la diminution de la première et le sens musculaire . L'auteur a inventé un instrument qui permet de
celle du muscle. IL - L'excitation mécanique du muscle ou, réflexe musculaire , qui se traduit par la contraction de tout le v
ueur, diffère de la contrac- tion idiomusculaire (bourrelet ou onde musculaire ) qui se traduit L REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUS
rent comme les biceps entre le pouce et l'index. Quant au ré- flexe musculaire , contraction générale du muscle entier, sans bo
lermédiaire du plessimètre placé au travers de l'organe. Le réflexe musculaire , distinct du réflexe lendineùxou musCUlo- lendi
e tendineux n'ayant lieu qu'à la condition d'une cer- taine tension musculaire . Le réflexe musculaire a peu de relations avec
u qu'à la condition d'une cer- taine tension musculaire. Le réflexe musculaire a peu de relations avec le réflexe tendineux, d
exe due à son extension mécanique. Cela tient à ce que les réflexes musculaires ne sont point du tout le résultat de la simple
oint du tout le résultat de la simple excitation mécanique du tissu musculaire propre. Les mus- cles, en effet, contiennent de
onc que l'état du système ner- veux se réfléchisse sur les réflexes musculaires . Déjà, k l'état normal, les réflexes musculaire
e sur les réflexes musculaires. Déjà, k l'état normal, les réflexes musculaires ne sont pas iden- tiques ; les personnes musclé
es fortement, comme les manoeuvres, présentent souvent des réflexes musculaires moins accusés que celles à système musculaire m
souvent des réflexes musculaires moins accusés que celles à système musculaire moins développé. L'aug- menLation de la tonicit
système musculaire moins développé. L'aug- menLation de la tonicité musculaire correspond donc à la dimi- nution des réflexes
tonicité musculaire correspond donc à la dimi- nution des réflexes musculaires , la diminution de la tonicité musculaire corres
mi- nution des réflexes musculaires, la diminution de la tonicité musculaire correspond à quelque exagération des réflexes mus
s cas récents, une exagération plus ou moins marquée des ré- flexes musculaires . Ainsi dans les cas où il y a lésion du plexus
avant-bras,on observe presque constamment l'augmention des réflexes musculaires . La contraction est paresseuse ci lente ; ces d
lésion du neurone périphérique est plus ancienne, avec, l'atrophie musculaire , avec la disparition de l'excitabilité électriq
ire, avec la disparition de l'excitabilité électrique, les réflexes musculaires s'affaiblissent, la lenteur de la contraction a
nt d'habitude par une augmentation plus ou moins nette des réflexes musculaires , mais la lenteur de la contraction n'existe pas
es réflexes tendineux constatés en l'es- pèce. Dans la dystrophie musculaire progressive, les réflexes muscu- laires diminuè
les réflexes muscu- laires diminuèrent, tandis que dans l'atrophie musculaire spinale, il existe ordinairement non de la dimi
tabes dorsal, malgré l'absence des réflexes tendineux, les réflexes musculaires existent dans les extrémités inférieures et aus
émence paralytique en certains cas, il y a exagération des réflexes musculaires de la face et en partie des extrémités ; en d'a
ans changements. Dans quelques affections convulsives, les réflexes musculaires sont augmentés ainsi que des réflexes tendineux
réflexes tendineux. Dans la tétanie il y a exagération des réflexes musculaires . As- sez souvent quelques groupes de muscles, e
ainsi pour les cas de maladie de Thom- sen congénitale avec lésions musculaires telles que les a décrites Erb, et telles que le
ctive automatique dans l'innervation motrice des différents groupes musculaires . (Revue neurologique, oct. 1905.) E. B. XL1.
es fixes et de persécution du dérobemcnt des jambes de la taihlesse musculaire . 11 devient parfois violent sans rai- son ; éta
aques d'anesthésie sacrée. HÉbfIDYSESTHÉSIE gauche, affaiblissement musculaire et tremble- ments fibrillaires. - Pas de cauche
parétiqueset leur accroissement par la fatigue. Quelques groupes musculaires sont plus atteints. L'examen du sang montre de
ptômes il. un seul côté pendant deux ans et de vio- lentes douleurs musculaires exagérées par la pression ; douleurs qui passèr
cation de courants continus de : 30 à 60 mil- liamperes. Atrophie musculaire et osseuse chez des nègres. M. J3RUMPT a observ
res. M. J3RUMPT a observé chez des nègres, en outre de l'atrophie musculaire progressive, l'atrophie des phalanges. M. EGGER
ien et n'a pas l'habitude de s'engouer. ' On constate de l'atrophie musculaire en différentes régions, principalement sur la p
roite,avec raideur prédominant dans la jambe gauche. Pas d'atrophie musculaire apparente aux membres inférieurs. Le bras gauch
laire. Les réflexes irions sont normaux. Des symptômes d'atrophie musculaire existent en de nombreux points, surtout du côté
ne à se détacher du sol. L'embonpoint mas- que en partie l'atrophie musculaire , cependant elle est très nette aux membres gauc
, sur des organismes en voie d'évolution ; ce sont les contractions musculaires , en effet,qui,répétées, fixent la tête et le co
de suralimentation (Toulouse), d'aulres un stimulant de l'activité musculaire . Féré s'est livré (les e\- périences très préci
omène des orteils, dissociation des sensibilités, abolition du sens musculaire et stéréognostique, mais conservation du sens d
35 514 TABLE DES MATIERES. Contribution -le l'étude de l'- musculaire progressive, par Préol) ! 'ujenski, 148. - - lt
relatives iL l'- mécanique des muscles ou aux soi-disant réflexes musculaires dans les maladies nerveuses, par Bcchte- rew,
tions iL la na- ture du - orbitaire, par Iluclo- vernig, 324. - - musculaire , Voir Excitabilité. Repos. Le - et le travail
onel Dauriac, 339. Tétanie. Sur un cas de - à forme de rhumatisme musculaire , par Piery, 214. Tétanos. Etude du - dit médi
des mouvements des yeux, par Axenfeld, 329. de la sen- sibilité musculaire dans le ta- bès et autres états pathologi- qu
42 (1892) Archives de neurologie [Tome 23, n° 67-69] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
n que la circulation collatérale ne se fait que peu par les artères musculaires , mais qu'elle prend surtout la voie des vasa ne
ation collatérale est assurée par une triple voie : par les artères musculaires , par les artères cuta- nées, par les vasa nervo
côté des bran- ches nerveuses on voit émerger de la région sous- musculaire et contourner le bord postérieur du sterno- mas
artère iléo-lombaire. -- I, artère circonflexe iliaque.-h1, petite musculaire supéiieurc. M', grande musculaire supérieure. 1
e circonflexe iliaque.-h1, petite musculaire supéiieurc. M', grande musculaire supérieure. 10 O ANATOMIE. ils assurent l'irr
nds : plexus, tissus nerveux satellites des gros vaisseaux, nerfs musculaires . I. Les nerfs superficiels sont presque tous
t, dans les veines qui sont immédiatement soumises à l'action musculaire : il ne sera pas difficile de faire ressortir
, et que la facilité plus grande du courant sanguin vers les veines musculaires a déterminé l'atrophie des autres vaisseaux, de
nt en arrière, avec le plexus rétro-pharyngé; ce sont là des veines musculaires , à proprement parler, dont les branches origine
mogastrique et du sympathique sont toutes tributaires de veines musculaires , veines du pharynx, ou veines des muscles pré
ibial postérieur. A, artère tibiale postérieure. B, B, nffiucul musculaires . - C, C, veines ncrveuses cub taires des afflue
ul musculaires. - C, C, veines ncrveuses cub taires des affluents musculaires . - nf , J, I muscle jambier postérieur. - V, T,
nt de l'artère, et ils vont rejoindre les rameaux veineux d'origine musculaire . Et le fait se reproduit sur toute la longueur
ongueur du tronc nerveux : c'est toujours par la voie d'un affluent musculaire que les veines d'origine nerveuse se rendent à
es tibiales postérieures, c'est encore à la hauteur d'un affluent musculaire qu'elles l'abordent, et, par suite, elles bénéf
. Typa semi-schématique d'une veine névro-nausculaia·e. A, affluent musculaire . A', affluent nerveux. R, veine néno-musculaire n
té- riel reçoit lui-même, le plus souvent, l'afflux des rameaux musculaires voi- sins ; nous n'en prendrons pour exemple
rete des vasa vasorum, et lui-même n'est, en réalité, qu'une veine musculaire ; il naît, en bas, dans l'épais- seur même du va
le canal collatéral est le centre et le confluent. L'in- fluence musculaire intervient donc, ici encore, pour Fzg. Il. - Se
rouve donc, là encore, associées les veines des nerfs et les yeines musculaires . ' Nous n'insisterons pas plus longuement, et n
éseau des vasa vasorum qui entourent l'artère soit aux collatérales musculaires près de leur embouchure. Mais elles ne se rende
jamais toutes à la grosse veine, et la plupart gagnent les veines musculaires ; 3° Les veines des plexus se rendent aux canaux
s des plexus se rendent aux canaux collatéraux, qui ont une origine musculaire (plexus brachial); 4° Le mode d'émergence, de
ons ici un nouvel et frappant exemple du rôle qui est dévolu au jeu musculaire dans la marche du sang veineux. Les veines des
ire à celles qui sont directement actionnées par la contrac- tion musculaire ; les veines des nerfs profonds s'anas- tomosen
ofonds s'anas- tomosent- constamment et largement avec les veines musculaires , et, de là, naissent une série d'appareils névr
e signe de Romberg. Absence totale des réflexes rotuliens. La force musculaire générale est affaiblie; le malade se fatigue pl
de faire les courses qu'il faisait l'an dernier. Cependant la force musculaire dans les membres inférieurs est normale; il opp
tement. Et cependant il n'y a au- cune espèce de parésie ; la force musculaire est intacte et le ma- lade résiste vigoureuseme
mianes- thésie gauche sensitive et sensorielle avec perte du sens musculaire ; 2° anesthésie pharyngée à droite. Il n'y a pa
hémianesthésie gauche sensitive et sen- sorielle avec perte du sens musculaire ; champ visuel très rétréci des deux côtés. Rem
a fait tenir debout, Lamb. présente immédiatement un grand désordre musculaire . Les cuisses fléchissent brusquement sur les ja
pression des zones postérieures du tronc qui supprime les troubles musculaires relatifs à la station debout n'exerce aucune in
hoquet. Ce phénomène si singulier de la restitution de l'harmonie musculaire par la simple compression des épaules ou du tronc
e en état d'hypérexcitabilité. On pouvait penser que si des spasmes musculaires étaient provoqués par la station debout, c'est
ux autres idiots à cervelet atrophiés présentent un affaiblissement musculaire rendant la locomotion impossible. Enfin un débi
enté de l'hypertrophie du cervelet, il existait un défaut d'énergie musculaire des plus manifestes avec affaiblissement des me
péri-épendymaire procédant par poussées. · P. K. , XXI. Atrophie musculaire ET altération de l'excitabilité ÉLEC- · TRIQUE
gnée de la paralysie d'origine cérébrale, on constate de l'atrophie musculaire des membres atteints, de concert avec des anomali
elle des jambes avec' rigidité sans spasme paroxystique. La force musculaire a diminué. Aucun trouble de la sensibilité ni d
ralgésies, perversions), du sens thermique (mêmes espèces), du sens musculaire , des sensations sté- réognosiques, le malade pr
ées au début ou dans le cours de cette affection ; - 3° la rigidité musculaire indiquant un premier degré d'altération dans le
la nature intime de la maladie (névrites, myopathies, dystro- phies musculaires , phosphaturie cérébro-spinale de Chéron, phos-
musculaires, phosphaturie cérébro-spinale de Chéron, phos- phaturie musculaire de Gauthier, sclérose myélilique de Teissier),
lexes; comme troubles moteurs, une dimi- nution notable de la force musculaire et des phénomènes de rigi- dité tendineuse; com
omme troubles trophiques et vaso-moteurs, des sueurs, de l'atrophie musculaire et de l'amincissement de la peau. La coexiste
XXXIX. Remarques complémentaires relatives A l'étude DE l'atrophie musculaire ; par DOEHNH,RDT. (Neurol. Central6l., 1890.) Il
forme névropathique (spinale) et la forme myopathique de l'atrophie musculaire . Nous ne trouvons de points de repère précis ni
trouvons de points de repère précis ni dans les allures des groupes musculaires , isolés en ce qui concerne l'atrophie, ni dans
Voici, par exemple, dans une famille jusqu'alors indemne d'atrophie musculaire , un jeune homme de vingt et un ans affecté du t
exagérées, il est porteur du complexus symptomatique de l'atrophie musculaire myopathique, dans les deux cuisses; la vio- len
il d'articulation des mots, c'est-à-dire des hallucinations du sens musculaire de cet appareil. De là des conceptions irrésis-
chez lui ni parésie, ni paralysie localisée. Seulement une débilité musculaire générale et une exagération notable des réilexe
empérature et du point sur lequel s'exercent ces actions. - Le sens musculaire est moyennement développé et exact. La vue est
facilement le réflexe du genou, qui paraît normal. La coordination musculaire générale est normale. Pas d'incurvation spinale
es dernières lombaires. Etat normal des articulations et du système musculaire : mais grande sensation de fatigue, et facilité
a précocité du sens génésique, le développement exagéré de la force musculaire , certains troubles de la iiiotilité (tremblemen
ure preuve de son existence consiste dans l'absence de contractions musculaires , de résistance, de spasmes et de signes de détr
e la sensibilité, des réflexes cutanés et tendineux, de la tonicité musculaire , etc., permet d'affirmer l'intégrité fonctionne
iquide de Muller, on procéda à l'examen microscopique. Les fibres musculaires du gastrocnémien sont normales; elles 248 SOCIÉ
arente, car, si l'on compare deux volumes égaux des deux substances musculaires normales et hypertrophiées, ou des proportions
Atrophie à un haut degré et dégénérescence granuleuse des faisceaux musculaires avec prolifération des noyaux. ' L'auteur sup
ec prolifération des noyaux. ' L'auteur suppose que les altérations musculaires et nerveuses sont indépendantes les unes des au
r l'agent toxique. M. le Dr Rota. L'altération primitive du système musculaire , dans le cas rapporté, n'est pas prouvée, l'éta
es sont consacrées à l'hystérie simulatrice du tabes, de l'atrophie musculaire , et de la syringomyélie. Dans chacune de ces pa
ne part à l'arrêt du développement intellectuel ). A propos du sens musculaire , l'auteur parle des tics et des mouvements invo
ité dans les membres inférieurs, avec un certain degré de faiblesse musculaire ; Sensibilité excessive (hyperesthésie) le long
semblait, elle, ne rien sentir de cette violente dépense de forces musculaires ; toujours en mouvement, et prête à l'action, e
ariétés, sens de la douleur, de la température, du contact, le sens musculaire , le sens du goût, celui de l'odorat, l'ouïe mêm
ômes classiques. Dans ma naïveté, je m'intéressais aux contractions musculaires provo- quées par le contact de l'électrode néga
oit, ne soyons pas surpris et puisque, après tout, les contractions musculaires se produisaient bien tout à l'heure, continuons
ement embarrassante, mais il s'agissait cette fois des sen- sations musculaires et non des sensations tactiles. J'étudiais non
ntait plus nulle part aucune trace du 334 CLINIQUE NERVEUSE. sens musculaire . Comme une malade que l'on vous a présentée ici
mis de reproduire ici une expérience analogue, non plus sur le sens musculaire , mais sur le sens visuel. Il y avait dans le se
rieures : ce sont des phénomènes dus au sens tactile TT'T", au sens musculaire MM'M", au sens visuel VV'V", auditif AA'A", pou
l pourra former une perception personnelle même avec des sensations musculaires .M. Par exemple, au premier moment, il regardera
ption du son de la voix, de la vision des lettres et des mouvements musculaires . Vous voyez donc que, dans ce cas, il n'y aura
l'on entend et il néglige de percevoir les sensations tac- tiles et musculaires dont il croit pouvoir se passer. Au début, il p
deux jeunes filles que je vous ai présentées n'ont pas d'anesthésie musculaire assez pro- fonde pour que les expériences soien
avons qu'à faire venir une autre malade qui présente une anesthésie musculaire plus indiscutable. Voici Marguerite, une jeune
me contente de vous faire remarquer qu'ils démontrent l'anesthésie musculaire absolue de son bras droit. Eh bien ! je préte
Eh bien ! je prétends vous montrer qu'en réalité les sensa- tions musculaires se produisent et qu'elles laissent même des sou
enir, et ce souvenir lui-même ne montre-t-iL pas que les sensations musculaires ont existé d'une manière quelconque, bien que l
n ne peut rien dire de précis. P. KERAVAL.. XI. DEUX cas d'atrophie musculaire progressive infantile HÉRÉ- DITAIRE PRÉCOCE A F
éaction dégénérative et des symptômes bulbaires. Cette dystro- phie musculaire à évolution rapide a pour lésion (autopsie du pre
d'où elles elles rayonnent. P. KERAVAL. XIV. D'UN cas d'atrophie musculaire PRÉCOCE D'ORIGINE cérébrale ; par A. BORGÜBRINI
ème, tantôt de la quatrième, ce qui prouve l'ascension de la crampe musculaire . Intégrité des muscles pharyngo-oesophagiens su
vague et de l'accessoire. L'autopsie révèle l'intégrité du système musculaire de l'oesophage; la tumeur fibreuse dont il est
rophiques, mais ne s'accompagnent ni de modifica- tions de la force musculaire , ni d'altérations de la sensibilité géné- rale
e lésion corticale étendue de l'hémisphère droit (affaiblissement musculaire unilatéral et mouvements convulsifs du même côté)
des processus pa- chyméningitiques. R. M. C. XXII. LES MOUVEMENTS musculaires CHEZ L'HOMME ET LEUR ÉVOLUTION DANS LA PREMIÈRE
un épaississement ou une dégé- nérescence graisseuse de la tunique musculaire . La régularité avec laquelle on rencontre, chez
que, ni modification de l'excitabilité électrique ou de la réaction musculaire ; on cons- tate simplement qu'à raison de leur d
e un affaiblissement de la sensibilité, et, en particulier, du sens musculaire ; les malades localisent mal les sensations, appré
ations pathologiques dans les tractus centripètes de la sensibilité musculaire de l'appa- reil d'articulation. Voici ce qu'on
des impulsions volontaires. M. ALZIIEIMER. Sur un cas d'atrophie musculaire spinale progressive compliqué de lésion des noy
on constate : d'abord des altérations médul- laires, de l'atrophie musculaire progressive, puis une lésion des noyaux du bulb
ité- ration du toucher, est probablement due à un trouble du sens musculaire . L'hémiopie accompagne souvent la monoplégie en
ale. C'est une synovite qui peut être aiguë ou subaiguë. L'atrophie musculaire précoce qui apparaît pendant les premières dix
lectrique. Au microscope, il y a un simple amincissement des fibres musculaires , tandis que les nerfs périphériques aussi bien
es nerveuses de la, moelle sont complètement intactes. L'atrophie musculaire est causée par la localisation spéciale de la lés
our assez nouveau, srâce au rôle que les auteurs font jouer au sens musculaire dans sa production. ' Une étude également intér
par Mené),95. Athétose spasmodique, parScheiber, 100. Atrophie musculaire , dans les foyers cérébraux, par Eisenlohr, 101
PHINO,IAN'IE, traitement de la, - z par Playfair, 235. Mouvements musculaires chez l'hom- me, par Warner, 403. DIYOCLONIE,
43 (1872) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 4è année
ractère clinique le plus sail-lant. D'un autre côté, les affections musculaires dont il s'agit parais-sent devoir être rattachées
s, qui appartiennent à la première et non aux secondes. L'affection musculaire est, dans celles-ci, bornée aux muscles de la vie
es myopathies spinales. En somme, Messieurs, les lésions du système musculaire de la vie animale, se traduisant par une impuissa
les cadres classiques, la paralysie glosso labio-laryngée, Y atrophie musculaire progressive. J'espère vous démontrer que le rappr
. Celles-ci n'exis-tent presque point pour ainsi dire, car l'atrophie musculaire semble complète. A peine voit-on quelques contrac
ouvements en partie détruits, en partie conservés, suivant l'atrophie musculaire plus ou moins complète. L'action des muscles de l
de flexion, d'extension, d'abduction, d'adduction, etc.: ce désordre musculaire est surtout manifeste aux doigts et à la main ; p
vint, mais la paralysie des membres augmenta, et avec elle l'atrophie musculaire . Le sang fut examiné quatre fois aux dates suiv
ique l'adhérence delà peau, réduite à son derme, et privée de parties musculaires . A partir de cette même ligne, jusqu'au bord infé
aire avec le degré ou avec l'étendue de la paralysie et de l'atrophie musculaires . Ainsi, suivant une remarque de Duchenne (de Bo
ra aller jusqu'à 5 ou 6 centimètres, bien que, dans ce cas, la lésion musculaire soit restée localisée dans un ou deux muscles à p
généralement répandue, le même caractère se retrouve dans l'atrophie musculaire progressive de cause spinale. Les lésions dont
it parfaitement reconnu M. Laborde3, le volume et la forme des masses musculaires peuvent être jusqu'à un certain point conservés,
porté en 1869 par MM. L. Clarke et Z. Johnson, sous le nom d'atrophie musculaire , doit être, croyons-nous, rapproché du précédent;
oins sensibles que les parties environnantes. Action sur l'appareil musculaire . — Du côté du système muscu-laire, on observe des
a-resseuses. — A une dose plus élevée, on peut observer la résolution musculaire (Gairdner), des phénomènes cataleptiques (O'Sangh
é de l'utérus : cette action se traduit par la contraction des fibres musculaires utérines. On a utilisé cette propriété pour comba
— Madame X... présente un beau développe-ment des systèmes osseux et musculaire . Menstruation régulière, leucorrhée abondante ave
circulation, la respiration, la calorification, le système nerveux et musculaire . De nombreuses expériences M. Laurent conclut :
ez que le torticolis peut être primitivement osseux, ou primitivement musculaire . Ainsi, dans le cas de lésion des vertèbres, les
De l'attitude vi-cieuse du squelette résulte un trouble dans la force musculaire . Le muscle, gêné dans sa fonction, perd bientôt s
Je vous ferai remarquer ici, messieurs, que, pour moi, les dou-leurs musculaires appelées rhumaslismales sont, à n'en pas douter,
connaissez (attitudes vicieuses dans le torticolis, dans la coxalgie musculaire ), d'autre part, diminue la résistance des fibres,
e affection fébrile avec convulsions. Nous écar- tons le rhumatisme musculaire , comme beaucoup moins probable, à cause de l'âge
cause de l'âge où le mal a débuté. Car vous savez que le rhuma-tisme musculaire est infiniment moins fréquent chez les enfants qu
) Lorsqu'une déformation osseuse amène consécutive-ment la rétraction musculaire , celle-ci ne porte pas seulement sur le sterno-ma
a face et aux mains. On nota également une dimi-nution de la rigidité musculaire ; mais, les jours suivants, malgré l'administratio
s avaient complète-ment cessé, mais il existait encore de la rigidité musculaire ; le malade cependant ouvrait la bouche assez pou
oire chronique. Ainsi elle agit sur la cause ordinaire, de la valvule musculaire ; en faisant cesser l'inflammation de la muqueuse
points au réseau vasculaire du tissu osseux. III. De la contraction musculaire , par P. Dupuï. — Après plusieurs expériences prat
upuy est arrivé aux conclusions suivantes, relatives à la contraction musculaire , ques-tion non encore complètement élucidée : 1°
tres nerveux et nerfs volontaires ; — 2° paralysie de tout le système musculaire ; — 3° extinction plus prompte de la contractil
couvre de bourgeons charnus. En revanche, il existe entre les masses musculaires de la face pos-térieure de la cuisse, une fusée p
cée ; à côté de faisceaux ayant encore conservé l'apparence de fibres musculaires , on en trouve un grand nombre qui ne sont plus re
té est intacte aux membres supérieurs et intérieurs; la contractilité musculaire s'exerce bien aux avant-bras. De même aux membres
l'union du corps et du col. Au lieu d'être placés au milieu du tissu musculaire utérin ou dans sa partie profonde, ils sont le pl
nez sans doute, de montrer comment bon nombre d'affections du système musculaire , jusque-là rattachées à une cause périphérique, s
gions bien déterminées de l'axe gris spinal. Ce groupe d'affections musculaires , que j'ai proposé d'appeler myopathies spinales 1
bien voulu me montrer, on voit en effet très-manifestement des fibres musculaires en assez grand nombre, beaucoup de vaisseaux à pa
tre différente ; et l'on constate très-aisé-ment que les contractions musculaires sont plus énergiques lorsque le contact du levier
lus délicates, et surtout, lorsqu'on prend le tracé de la contraction musculaire , on remarque cependant dans le milieu de la courb
ons eu l'occasion de consta-ter que dans les altérations nerveuses ou musculaires , on ne pouvait plus obtenir cette double contract
dant lequel le courant est interrompu, c'est-à-dire que plus la fibre musculaire est fatiguée, plus il faut de temps pour qu'elle
général et s'accompagne de la dis-parition quasi complète des masses musculaires , aussi bien aux membres thoraciques qu'aux membre
cines spinales et pour le nerf sciatique du côté gauche. Les fibres musculaires , qui toutes ont conservé leur striation transvers
d'une contusion simple, d'une fracture, d'une luxation, d'une rupture musculaire , etc., lors même que les désordres primi-tifs éta
e sort pas de la gaine périostique; il ne pé-nètre pas dans les loges musculaires ; aucune insertion musculaire n'est compromise; e
que; il ne pé-nètre pas dans les loges musculaires ; aucune insertion musculaire n'est compromise; et, par la conservation du péri
tinus énergiques et temporaires dans les paralysies, les contractures musculaires et les lésions de nutrition. — dails la séance du
itschrift, 1852. — 2 Wiener Wochenblatt, 1856, tuniques muqueuse et musculaire . Parmi les particularités anato-mo-pathologiques
et c'est pour cela que le courant détermine une activité nerveuse ou musculaire au moment où il arrive, comme au moment où il ces
Bois-Reymond a établi toute une théorie dans laquelle la contraction musculaire et le fonc-tionnement du système nerveux ne serai
t faire de ces courants électriques la cause des actions nerveuses et musculaires . D'un autre côté, dès les pre-miers jours de la d
s de l'organisme, et l'on peut dire sans exagération que chaque fibre musculaire ou chaque cellule constitue une pile. On constate
l électrique spécial des poissons, ou bien un tube nerveux, une fibre musculaire , etc. Dans chacun cle ces groupes, il y a en effe
us sensible, plus excitable et partant plus apte à produire un spasme musculaire par 1 In-8°. Paris, Ad. Delahaye. action réfl
sme au début, vaginisme passager ; altération consécutive de la fibre musculaire , voilà le vaginisme permanent. » M. Yisca examine
tude, malgré l'alimentation insuffisante et l'énorme dépense de force musculaire qui a dû se faire. La situation mentale, d'un aut
; larges taches cadavériques aux endroits déclives ; pas de rigidité musculaire . Le crâne et ses viscères gorgés de sang ; circon
nerveux, ou une cachexie déterminent des paralysies ou des atrophies musculaires , ce sont toujours les muscles extenseurs des memb
l faut que le nerf moteur ait été affecté primitivement, que la fibre musculaire n'ait subi qu'une altération passive, que l'excit
orme normale de la contraction, mais bien le simple raccourcis-sement musculaire ayant lieu sous un courant plus ou moins faible.
dans les paralysies infantiles, dans certains cas hybrides d'atrophie musculaire pro-gressive, et à une certaine période de cette
actions chimiques de la nutrition. » XVI. Rôle calorifique du tissu musculaire . — Le muscle en se contractant augmente sa tempér
sement est complet. » D'une manière géné-rale, pendant la contraction musculaire , la combustion augmente. XVII. La température d
. XVII. La température du sang veineux au moment de la contrac-tion musculaire est-elle due à la combustion du tissu ou à la vei
cle. • « Les analyses les plus récentes distinguent dans le contenu musculaire du sarcolemne deux parties : les prismes musculai
t dans le contenu musculaire du sarcolemne deux parties : les prismes musculaires et le plasma. Le plasma lui-même, dans certaines
bler, donner d'un côté un caillot (myosine), et d'autre part le sérum musculaire , composé d'eau, de sels, de créatine, de créatini
profit de la créatine. » En considérant la masse énorme du système musculaire , on com-prend qu'une grande partie de la chaleur
ournit encore toute la puissance mécanique développée par le sys-tème musculaire lui-même. » XIX. Rôle calorifique du système ne
e, mais constante. La raison d'être dé ce fait réside dans le système musculaire , dont la veino-sité s'accroît en proportion même
bouche, même en le saisissant fortement avec ses deux mains. La force musculaire est moins grande, surtout à droite; la sensibilit
uche moyenne, considérablement épaisse, 0mm,l, se composait de fibres musculaires lisses, disposées transversalement, séparées par
par quelques rares fibres élastiques. Autour des noyaux des fibres musculaires on remarquait quelquefois des granulations graiss
st celui que nous avons obtenu chez une malade qui avait une atrophie musculaire généralisée à la suite d'une fièvre typhoïde suiv
M. Duchenne, consiste dans un raccourcissement permanent de la fibre musculaire pendant tout le passage d'un courant continu. On
s observé ces phénomènes. Chez une autre malade atteinte d'atrophie musculaire progres-sive, le résultat ne paraît pas bien sati
mensions d'une tête d'épingle. Au microscope, on voit les faisceaux musculaires séparés par de larges traînées de tissu conjoncti
; nous ne pouvons que ré-sumer ici ses conclusions : Pour l'élément musculaire de la tumeur linguale, il n'est pas possible d'af
mer qu'il n'y ait eu néoformation ; la largeur de cer-tains faisceaux musculaires varie, il est vrai, entre 0,18 et 0,03mm, mais ce
morbides encore mal déterminées, dit l'auteur, les différents groupes musculaires disposés autour de la jointure malade s'atrophien
le premier notre attention, et que nous allons étudier. » La lésion musculaire a pour conséquence l'amoindrissement du membre: o
M. Collette est porté à admetlre une diminution de volume des fibres musculaires primitives. Quant au tissu cellulaire sous-cutané
ont lents, lourds ; la sensibilité est très-faible ainsi que la force musculaire . Elle sait se déshabiller et s'habiller. Elle a s
hystérique, tombait immédiatement dans le collapsus et une résolution musculaire complète. 11 suffisait, pour faire cesser ces sym
vicale, les douleurs précoces dans les membres supérieurs, l'atrophie musculaire rapide qui leur succède, la paralysie avec contra
distincts, et les parois molles du thorax, formées par des faisceaux musculaires épars dans la masse connective, après avoir dénud
roite de la ligne mé-diane du gland parmi méat vertical. Le système musculaire est assez développé dans toute la portion sous-om
, nous le répétons, cette disposition n'est point constante. Le tissu musculaire constitue un des éléments les plus importants de
igitaline produisent, à doses thérapeutiques, l'excitation des fibres musculaires du cœur; à doses toxiques, l'abo-lition de l'irri
. D'après cet auteur,l'ergot agissant sur la contractilité des libres musculaires des vaisseaux, en rétrécit d'abord le calibre ; d
ion, l'extrait aqueux, font contracter les petits vaisseaux à tunique musculaire ; 2° la contraction des petites artères fait aug-m
le superficielle; liga-ture, 213. — rénale; anomalie, 182. Atrophie musculaire progressive traitée par les courants continus, 35
e, etc, par A. de Montméja, 48. Congrès de Lyon, 206. Contraction musculaire (De la), par P. Dupuy, 115. Contracture des mem
la), par P. Dupuy, 115. Contracture des membres inférieurs, 226. — musculaire , 235. — hystéri-que, traitée par l'électricité, 5
44 (1866) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Tome sixième. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Première partie
s les uns aux autres: tels sont, pour les membres, les divers groupes musculaires superposés; et, pour les grandes cavités splanchn
bo-iliaque, etc. Presque partout organes de contention et d'insertion musculaire : ex. les grandes aponévroses des membres; et parf
itonéal; aux membres, cloisons aponévrotiques d'isolement des groupes musculaires synergiques avec ceux qui leur sont antagonistes.
ulé dans notre myologie, les enveloppes cellulaires ou les synoviales musculaires ; les unes et les autres, gaines séreuses de gliss
commune à la fois à toutes les séreuses splanchniques, articulaires, musculaires et tendineuses, et aux subdivisions de ces derniè
reuse, l'aponévrose cervico-thoracique, et à sa base, par une cloison musculaire , le diaphragme, et dont la surface ou circonféren
t au pourtour des articulations et donnent implantation aux faisceaux musculaires tenseurs des aponévroses. L'autre plan de fibres
t à diverses hauteurs les ramifications qui se rendent dans les loges musculaires spéciales. Ainsi chaque loge ne reçoit que les va
e des os, est en rapport, par sa surface extérieure, avec les couches musculaires profondes; dans beaucoup de lieux il fournit, par
tes fibres aponévrotiques, de larges surfaces d'insertions aux masses musculaires : telles sont les deux fosses iliaques au bassin,
ibreux, soit aponévroses, soit enveloppes viscérales, articulaires ou musculaires , est analogue à celle de la trame, également fibr
'a dit, d'un sac pariétal, ou en d'autres termes tapissant les parois musculaires et ostéo-fibreusesde la cavité splanchnique, ctd'
rofonde, les membranes muqueuses, comme la peau, adhèrent à la couche musculaire qui leur est propre par un tissu cellulaire dit s
delà se présente comme à la peau, mais beaucoup plus mince, la couche musculaire revêtue, comme dernière enveloppe, de sa membrane
u rectum, cette membrane est molle, onctueuse, n'adhérant à la couche musculaire que par un tissu cellulaire très lâche, contenant
uant à sa portion vésicale. Elle est molle, peu adhérente à la couche musculaire , et forme, à l'état de demi-réplétion, de nombreu
été, [épi-derme. Par sa face interne la peau est séparée de la couche musculaire ou aponévrotique sous-jacente, parle tissu cellul
trition, le troisième de contention. Au-dessous se présente la couche musculaire , dont le degré de complication est en raison dire
son directe de la multiplicité des mouvemens. Dans l'homme, la couche musculaire n'est simple que dans un petit nombre de points ,
ion, point d'appui et centre de convergence des attaches fibreuses et musculaires . Cette disposition générale , commune aux diver
aponévroses et le feuillet sous-péritonéal. Enfin au crâne, la couche musculaire mince est immédiatement appliquée sur la couche o
tissu analogue sous-muqueux ; puis viennent l'une et l'autre couches musculaires revêtues de chaque côté par le feuillet correspon
rement le crâne, outre son périoste, est doublé par la mince couche musculaire de l'occipito-frontal, la couche cellulo-vasculai
edans par la racine du nez. Au devant elle est protégée par la couche musculaire et cutanée des paupières et de leurs cils. L'œil,
s nasales, protégées latéralement par les os eux-mêmes et les couches musculaires et dermiques ; elles sont isolées par des planche
olonté la soupape membraneuse du voile du palais et la langue, organe musculaire épais et très mobile contenu dans la cavité de la
e, protégée par le pavillon de l'oreille. A l'extérieur, l'appareil musculaire de la tête se divise en deux séries; les muscles
nt rachidien, environnée, latéralement et en arrière, par les couches musculaires qui s'insèrent à ses tubercules apophysaires, et
icielles, les vaisseaux lymphatiques et leurs ganglions. 3° Les loges musculaires : en général elles ne constituent que des feuille
omme faisant office de squelette les grandes aponévroses d'insertions musculaires qui, à partir des vertèbres et de leurs niasses a
rtiennentà l'appareil locomoteur; elles présentent un nombre de loges musculaires plus considérable, et dont les enveloppes sont au
guins sous-cutanés, les lymphatiques et leurs ganglions. 3° La couche musculaire est formée,dans la circonférence de l'abdomen, pa
icaux , extenseurs et fléchisseurs; pour eux-mêmes, dans leur portion musculaire , ils ne sont isolés que par un simple feuillet d'
ce; tels sont le deltoïde et le grand rond. Intérieurement, les loges musculaires de l'épaule sont liées par la fusion de leurs apo
terne et externe. Sur la face antérieure elle contient les deux loges musculaires des fléchisseurs, le biceps et le brachial antéri
eur de l'épaisseur du membre. Eu arrière, la jambe offre deux groupes musculaires ; le plus superficiel, celui des extenseurs du tal
du soléaire par une large aponévrose transversale, renferme les loges musculaires des fléchisseurs des orteils et de l'extenseur du
voûte osseuse du taise et du métatarse, interposée entre deux couches musculaires . A la face dorsale , une seule loge existe , cell
in, pour ses tendons, il faut considérer comme continuation des loges musculaires delà jambe, la série des coulisses tendineuses di
divergentes qui s'épanouissent sur la face dorsale du pied. La couche musculaire sous-plantaire est beaucoup plus complexe. Les ap
sseux, le vaste ligament calcanéo-cuboïdien et métatarsien. La couche musculaire ne se compose, à la portion tarsienne, que d'un s
l'abducteur des orteils extrêmes. A la région métatarsienne les loges musculaires forment quatre plans, par l'addition des inter-os
parfaitement protégés par le crâne et sa quadruple enveloppe cutanée, musculaire et fibreuse. Mais s'il survient une congestion, c
résistance de la cage ostéo-eartilagiiieuse, augmentée par la couche musculaire et cutanée, isole également les maladies des vi
raeiqucs. Pour [abdomen, en raison'de l'extensibilité de ses parois musculaires , les conditions anatomiques sont encore plus heur
tant de polyèdres celluleux, dans lesquels sont renfermés les groupes musculaires . Cette disposition, que l'on observe partout sur
tte ; telles sont : à l'abdomen, les grandes aponévroses d'insertions musculaires ; à la poitrine, les aponévroses ccrvico-thoraciqu
des viscères, soit par le fait de la gravitation ou des contractions musculaires des deux cavités, déterminent parfois la dilatati
ns ce cas, c'est surtout l'estomac qui s'insinue à travers les fibres musculaires clans la cavité de la poitrine, mais revêtu des d
tribuer dans les intervalles des côtes et au plan profond de la paroi musculaire , dont les vaisseaux superficiels sont fournis par
sous l'enveloppe tégumentaire par compartimens qui logent les groupes musculaires , sont réunis à l'ensemble chacun par un faisceau
petite quantité de tissu adipeux. 3° Muscles et aponévrose. La couche musculaire est formée par le peaucier occipital, joint au fr
garnie de bulbes pileux dans l'homme, fortement adhérente à la couche musculaire sous-jacente; elle présente au milieu, à la lèvre
bomius, qui versent leurs produits sur les bords lacrymaux. 3° Couche musculaire . Elle se compose de l'or-biculaire palpébral et d
deux saillies vulgairement nommées double et triple menton. 3° Couche musculaire sous-cutanée. Formée par le peaucier, dont les fi
omposée de trois feuillets : le premier cellulo - adipeux ; le second musculaire , formé par les fibres très minces du peaucier ; e
ssez lâche, et qui permet une grande mobilité aux tégumens. La couche musculaire , après le grand dentelé et le grand dorsal déjà i
'imprègne néanmoins d'une grande quantité de tissu adipeux. 3° Couche musculaire . Elle est formée seulement par les deux faisceaux
les sujets obèses, d'une quantité considérable de graisse. La couche musculaire est formée, comme à la région épigastrique, par l
augmente graduellement en descendant vers le pli inguinal, ha couche musculaire est constituée en arrière par le grand dorsal et
btenir, vu la direction inverse ou oblique des divers plans de fibres musculaires . Sous le rebord costal s'ouvrent fréquemment des
sse, à mesure qu'elle s'approche de la région ilio-costale. La couche musculaire et aponévrotique est très épaisse. On y trouve d'
xture aréolaire du fascia superficialis est plus apparente. 3° Couche musculaire . D'avant en arrière, on y trouve : (a) l'aponév
cesse à un pouce et demi au-dessous de l'ombilic ; en bas la surface musculaire n'est plus tapissée que par le feuillet cellule-f
ente graduellement d'épaisseur jusque vers le pli inguinal. 3° Couche musculaire . On y trouve d'arrière en avant : (a) l'aponévros
oblique, disposée par bandelettes concaves, qui s'étendent des fibres musculaires à la ligne blanche et aux pubis. Au-dessus du pli
arcade de passage au-dessus du canal inguinal, (c) Derrière la couche musculaire se présente le fascia transversalis, duplica-Jure
giens la possibilité d'une réduction spontanée par simple contraction musculaire , (e) Tunique fibro-celluleuse. Enveloppe spéciale
es des honteuses internes, disposées en deux couches, sous-cutanée et musculaire , séparées par l'aponévrose périnéale. Les plus im
la peau, le fascia superficialis, l'aponévrose périnéale, et le plan musculaire comprenant le double sphincter ano-rectal plus ét
aux. L'amas gan-glionaire lymphatique est compris entre les feuillets musculaires d'enveloppe, clans l'épaisseur du fascia superfic
eines inter-osseuses postérieures qui descendent entre les deux plans musculaires . Les nerfs ne sont que des filets spéciaux émanés
édiane ou creux palmaire, flanquée sur les côtés par les deux niasses musculaires des éminences thénar en dehors et hypothénar en d
eur fournit des gaines protectrices à diverses profondeurs. 3° Couche musculaire . Formée en dehors par la partie supérieure du cou
T. VI. l'extérieur, elle manifeste la saillie de ces deux masses musculaires séparées par celle du droit antérieur au milieu.
cales de renforcement fixées au pubis et à l'épine iliaque. La couche musculaire est constituée par le droit antérieur renfermé da
lan profond des vaisseaux propres des muscles ; les artères et veines musculaires antérieures pour le muscle droit; les collatérale
n des muscles biceps en dehors et demi-tendineux en dedans. La couche musculaire se compose superficiellement des deux muscles que
les muscles adducteurs, une sorte de capsule de contention. 4° Couche musculaire . Elle se compose d'un plan superficiel très mince
ielle au genou pour former le saphène interne. Les vaisseaux et nerfs musculaires sont en nombre considérable. Aux vaisseaux propre
on membraneux des muscles fessier supérieur et fascia-lata. La couche musculaire est formée uniquement par le vaste externe, remar
postérieure, accompagnée de quelques rameaux lymphatiques. 4° Couche musculaire . Elle se compose, en haut, des fléchisseurs de la
scles en tendons ; elle est partagée verticalement par trois saillies musculaires , séparées par des sillons d'insertion commune.
à toute la face postérieure de la jambe, dont elle renferme la masse musculaire principale, elle est limitée en haut par le pli d
les aponévroses du pied par le ligament annulaire du tarse. 4° Couche musculaire . Elle est constituée par deux groupes de muscles
-cutanée du tibia, elle est limitée latéralement par les deux sillons musculaires du jam-bier antérieur et des muscles postérieurs
atre autres. En second plan est le muscle pédieux formant une saillie musculaire en dehors, et dont les quatre tendons s'accolent
oppe de protection pour les parties molles sous-plantaires. 4° Couche musculaire . Elle est disposée sur quatre plans. En plan supe
ou même l'atrophie; les tissus fibreux deviennent plus secs, la fibre musculaire tourne au gras; de sorte que le membre, raide, fl
tention du malade, et prévenir ainsi, par surprise , les contractions musculaires . Réduction proprement dite. Cette opération, da
es fragmens facturés déviés de leur voie et retenus par les tractions musculaires . Ces manœuvres très variées, mais rigoureusement
ance; les tiraillemens douloureux causés par les tractions des fibres musculaires traversées par des fils : aussi a-t-on réservé le
ire^d'enveloppe; elle peut, au contraire, s'étendre à la grande gaîne musculaire voisine ou à toute la fraction du membre, qui acc
, tandis crue, la voûte de la main embrassant le membre ou les masses musculaires voisines, le pouce réagit en sens opposé ou en s'
en un seul étant réservée pour les cas extrêmes où les deux faisceaux musculaires participent à la rétraction. M. Guérin opère pa
ouvemens. Dans l'histologie, nous verrons quelle est, pour les masses musculaires en particulier, l'effet anatomique clc ces adhére
pliquées et les plus exposées aux lésions physiques dans leur texture musculaire . Ces cicatrices sont de deux genres : les unes, t
e ses fibres. Mettre à nu de chaque côté, par dissection des attaches musculaires , la surface externe de la branche de la mâchoire
en faisant contracter les muscles, de la ligne réelle des interstices musculaires sous-cutanés par lesquels on doit se frayer une v
ant les lignes déterminées par les éminences osseuses et les saillies musculaires , et, dès que l'on est parvenu à une profondeur co
oigts assemblés de la main gauche déprimer suivant la ligne du sillon musculaire superficiel, qu'il faut d'abord traverser, et, ce
un ou sur les deux côtés suivant le besoin, (c) Parvenu sur la couche musculaire , en général on dépose le bistouri et l'on écarte
t propre à chaque opération. L'indication des interstices et saillies musculaires et la présence de diverses parties, soit une apon
ncision, on néglige de procéder méthodiquement pour trouver le sillon musculaire en partant du tibia, il arrive souvent que l'on t
ure au tiers supérieur, afin de rencontrer plus sûrement l'interstice musculaire M. Lisfranc a proposé de diriger la section de la
du tibia, de manière à croiser en diagonale les lignes d'intersection musculaire ; avant d'inciser l'aponévrose en long, il commenc
u milieu de la plaie, qui permet de reconnaître aussitôt l'interstice musculaire mis à découvert en même temps que le débridement
z facile à déterminer sous la peau en déprimant en arrière les masses musculaires . Quelle que soit l'élévation dont les muscles pro
ire poplité traverse verticalement la losange inscrite par les masses musculaires des fléchisseurs de la jambe pour le triangle sup
à la partie postérieure en bas. Appliquée profondément dans le sillon musculaire , enveloppée avec la veine fémorale et un nerf-sa
naison en dehors, appliquée sur le court supinateur au fond du sillon musculaire borné en dehors par le long supinatcur et le prem
n ne peuvent être déterminées chez des sujets obèses, où les saillies musculaires s'évanouissent; il reproche en outre à l'incision
l'aponévrose antibrachiale sur la sonde cannelée. La première couche musculaire mise à nu, décoller et couper de bas en haut les
au et de l'aponévrose est traversée très obliquement par l'interstice musculaire du rond pronatcur et du grand palmaire ; séparant
umérale (pl. 4° ct 4 0 Situation. Logée profondément dans le sillon musculaire intermédiaire du coraco-brachial , du biceps et d
du bras, elle est appliquée en dedans et en arrière, sur les attaches musculaires , à l'humérus, côtoyée en dedans par la veine humé
en haut cette glande sans la léser , puis relever également la corde musculaire formée parle ventre mastoïdien du digastrique et
ralliement : cette glande repoussée en haut, reconnaître le faisceau musculaire du digastrique et du stylo-hyoïdien sous lequel e
peaucier étant divisés, inciser avec lenteur entre les deux faisceaux musculaires , puis incliner la tête vers le côté de l'opérati
e sur le vivant la difficulté de maintenir écartés les deux faisceaux musculaires ; mais on pourrait y obvier, si besoin était, en c
grand oblique, celle du petit oblique et enfin les dernières fibres musculaires du Iransvcrse; parvenu sur le bord du sterno-pu-b
, puis à petits coups les trois premières couches, aponé-vrotiques et musculaires . Entrouvrir avec précaution sur un pli le fascia
ures d'artères, écarter les espaces inter-organiques ou les faisceaux musculaires et s'y frayer un trajet suffisant en déchirant un
vert fut largement incisée. Alors il détacha avec soin les insertions musculaires qui recouvrent l'-os au voisinage du grand troc
s ne se correspondent plus du tout et soient séparés par des portions musculaires interposées entre eux. Un grand nombre de moyens
ormation successive, qui explique la déformation de l'os par l'action musculaire lorsqu'on tente trop tôt l'extraction du séquestr
de chaque côté la face postérieure de l'os sans toucher aux attaches musculaires du milieu. Il parvient ainsi à glisser dans cette
nes des vaisseaux. Les intersections fibreuses modèrent la rétraction musculaire mais facilitent l'étranglement inflammatoire et t
iers inférieur n'a qu'une influence inappréciable sur la rctractilité musculaire pendant ou après l'opération. La position de l'
mais comme, d'une part, il n'est guère possible de couper les fibres musculaires dans la meilleure position, et que, d'une autre p
lade assis et fixé par des aides, saisir avec la main gauche la masse musculaire antérieure constituée par le biceps et le coraco-
atérale externe. Les autres vaisseaux ne sont plus que des artérioles musculaires que l'on peut tordre ou mâcher avec les pinces. L
u lieu d'élection : le tibia est tout entier recouvert par un lambeau musculaire et ne saurait s'échapper à travers l'angle antéri
on de la cuisse. Anatomie. Au-dessus du lieu d'élection, les fibres musculaires , plus rares, courtes, et mêlées à de fortes aponé
les chirurgiens avaient vu, sinon apprécié, la suite de la rétraction musculaire , qu'ils cherchaient à neutraliser par l'abondance
e que cette dénudation des os dépend essentiellement de la rétraction musculaire , et cherche à la prévenir en sciant l'os plus hau
lée sur le diamètre de la plaie qu'il aura à recouvrir. La rétraction musculaire n'est prise qu'en considération secondaire. L'é
les mouvemens et la fatigue de l'opéré. Pour diminuer la rétractilité musculaire , la jambe est légèrement fléchie sur la cuisse, e
tiers inférieur on a l'artère fémorale, les perforantes, et diverses musculaires ; au tiers supérieur on trouve en plus, outre des
musculaires; au tiers supérieur on trouve en plus, outre des branches musculaires , la fémorale profonde. Trois méthodes ont été p
és. Tailler deux lambeaux, interne et externe, aux dépens des couches musculaires superficielles, les relever, et, à leur base, inc
à l'os les muscles profonds, enfin scier l'os en regard de la section musculaire . On obtient clans ce procédé, comme dans tous ceu
ticle. Du reste, à cause cle l'adhérence et de la brièveté des fibres musculaires et aponévrotiques au niveau des articulations, on
epuis le coraco-brachial jusqu'au grand rond ; faire relever la masse musculaire , couper la capsule et les tendons rotateurs, cont
nce pour l'avenir. A l'examen ce sont celles qui offrent les surfaces musculaires de section les plus considérables avec des lignes
la première côte. Tome 6 Pl. 2. ANATOMIE CHIRURGICALE. PLANS MUSCULAIRES , APONÉVROSES, VAISSEAUX ET NERFS DU PÉRINÉE.
deux couches : côté droit, aponévrose sous-cutanée; côté gauche, plan musculaire superficiel. Figure i. Même disposition des par
t veinules sous-cutanées, d. Filamens nerveux. Côté gauche. Surface musculaire des attaches pelviennes du grand fessier et des m
des deux cuisses. Tome 6. PL. 4. ANATOMIE CHIRURGICALE. LOGES MUSCULAIRES , APONÉVROSES, VAISSEAUX ET NERFS DES RÉGIONS
ont vus coupés au profil. RÉGION FESSIÈRE. Côté gauche. D. Loge musculaire du grand fessier supérieur (abducteur de la jam
évrose fascia-lata. Tome 6 Pl.5. ANATOMIE CHIRURGICALE. LOGES MUSCULAIRES , APONEVROSES, VAISSEAUX ET NERFS DU COU ET DE L
mphatiques, et rampant sur le plan du muscle mylo-hyoïdien. C. Loge musculaire du ventre maxillaire du digastrique. 2° région
ssiné d'après nature par N.H. Jacob. ANATOMIE CHIRURGICALE. LOGES MUSCULAIRES , APONÉVROSES, VAISSEAUX ET NERFS. DES RÉGIONS
a cuisse. 3. Muscle crémaster également renversé en ba, 4. Arcade musculaire du transverse et du petit oblique, légèrement a
au nerveux propre à ce muscle. 19. Rameau nerveux cutané. EL Loge musculaire du fascia-lata garnie de ses vaisseaux et de ses
ire du fascia-lata garnie de ses vaisseaux et de ses nerfs. I. Loge musculaire du droit antérieur de la cuisse , garnie de ses
e par N.H. Jacob. Lith. de Bernard ANATOMIE CHIRURGICALE. LOGES MUSCULAIRES , APONÉVROSES, VAISSEAUX ET NERFS DES RÉGIONS
eur de l'aponévrose du transverse. 8. Portion inférieure de la loge musculaire tapissée par le feuillet fibro-celluleux sus-pé
en transparence derrière le feuillet postérieur de la loge. J. Loge musculaire du premier adducteur. 23. 23. Vaisseaux de nutr
émoraux , et accompagnés d'un filament du nerf crural, et vaisseaux musculaires fournis par les collatéraux externes. On voit en
essiné d'après nature par N.H. Jacob ANATOMIE CHIRURGICALE. LOGES MUSCULAIRES , APONÉVROSES, VAISSEAUX ET NERFS DU MEMBRE TH
NATURELLE. Sur toutes les figures, les aponévroses et les feuillets musculaires séreux sont conservés en premier plan. La surface
. Jacob. Lith. de Bernard et Frey. ANATOMIE CHIRURGICALE. LOGES MUSCULAIRES , APONÉVROSES, VAISSEAUX ET NERFS DE LA CUISSE
. Jacob. Lith. de Bernard et Frey. ANATOMIE CHIRURGICALE. LOGES MUSCULAIRES , APONÉVROSES, VAISSEAUX ET NERFS DE LA JAMBE
onde. INDICATION DES LETTRES ET DES CHIFFRES. FIGURE 1. A. Loge musculaire du jambier antérieur, et des extenseurs. Ces mus-
s fournies par les vaisseaux tibiaux anté- rieurs. 5. 5. Branches musculaires fournies par les vaisseaux péroniers. C. Loge d
u gros orteil, qui ouvre dans celle du soléaire, les deux feuillets musculaires étant enlevés sur la figure. 14. Vaisseaux péro
et séreuses des muscles sont conservées en premier plan. La surface musculaire est plus profonde. INDICATION DES LETTRES ET DE
et les vaisseaux péroniers non lésés (1), mais dont quelques branches musculaires (m) ont dû être liées. R. EXTIRPATION DU CUBOÏD
scle poplité. Inférieurement (5 ') on voit la conversion des fibres musculaires en tissu fibreux, pour faire corps avec le derme.
droite armée du couteau, et occupée à achever la section des attaches musculaires à l'extrémité scapulaire de l'humérus. FIGURE 5
ité des artères dont la ligature est effectuée. 1. La fémorale, m. La musculaire antérieure, n. L'anastomotique interne, o. La mus
orale, m. La musculaire antérieure, n. L'anastomotique interne, o. La musculaire externe. p. La perforante saisie par une pince
externe. g. Lambeau interne. h. Artère fémorale liée. i. Artère musculaire antérieure, k. Artère musculaire externe. 1. Ar
h. Artère fémorale liée. i. Artère musculaire antérieure, k. Artère musculaire externe. 1. Artère perforante saisie par une pi
45 (1890) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 03] : clinique des maladies du système nerveux
u de blaireau), la piqûre, le chaud et le froid, avec perte du sens musculaire au niveau de la main (iig. il, 2). L'examen des
a en aucun point du corps de traces visibles à l'oeil nu d'atrophie musculaire ! ' Les avant-bras donnent des résultats identiqu
exes tendineux sont affaiblis mais égaux des deux côtés. Atrophie musculaire . - On constate : 1° une atrophie très pro- nonc
LLE ICONOGRAPHIE. T. 111. PL. V FACE PALMAIRE MONTRANT L'ATROPHIE MUSCULAIRE DES ÉMINENCES ' DEUX CAS DE MALADIE DE MORVAN
ibilité (tact, douleur, tem- pérature) (fig. 5, 6, 7, 8). Le sens musculaire n'est pas intéressé. Sens. -Odorat aboli à droi
divers modes de la sensibilité générale sans participation du sens musculaire . 1 Ces deux malades présentent entre eux de nom
omme desséchés, la peau est sèche et rugueuse ; il y a une atrophie musculaire considérable et un degré très prononcé de contr
près disparu; tant aux membres supérieurs qu'inférieurs, le système musculaire paraissait en voie de régénération, et les tête
ICULAIRE CHRONIQUE GENERALISE CHEZ UNE PETITE FILLE AVEC ATROPHIE MUSCULAIRE CONSIDERABLE RHUMATISME ARTICULAIRE CHRONIQUE.
généralement arrondie et l'effacement presque complet des saillies musculaires . Mais les variations que présente la couche gra
jamais dans la proportion de ce dernier. Il comble les interstices musculaires , accompagne les vaisseaux, remplit les vides au
s vaisseaux, remplit les vides autour des ligaments, des insertions musculaires , etc. Au point de vue de la forme extérieure, i
cidemment et de façon on ne peut plus som- maire : s Le tremblement musculaire , dit-il, se rencontre assez fréquemment chez le
petites èontractions fibrillaires. Aux avant-bras, ces palpitations musculaires sont quelquefois assez intenses pour déter- min
ation générale, les lèvres sont tiraillées par de petites secousses musculaires , la parole est un peu tremblée et l'habitus extér
pas toujours cette trémulation de tout le corps ni ces palpitations musculaires , et le tableau que nous venons de tracer ne rép
e il ne cesse jamais, même dans l'état de repos et de relâ- chement musculaire le plus complet. Il suffit, pour le voir, de je
re, n'était nullement en rapport avec un affaiblissement des forces musculaires . Il n'y avait chez lui parésie des membres infé
volume exagéré dont il a déjà été fait mention. » Pas d'atrophie musculaire nette au niveau des membres inférieurs. Il exis
z MmeX... une hémianesthésie gauche incom- plète avec perte du sens musculaire de ce côté, sensation de pesanteur des membres
Goût aboli il droite. Ouïe très légèrement diminuée à droite. Sens musculaire intact. , OBS. V. - La nommée Marguerite Mon...
s toniques ou cloniques, soit plus souvent sous forme de raideurs musculaires ou d'état cataleptoïdes. Ici il est nécessaire d'
IONS DE LA TECHNIQUE DE LA SUSPENSION. 131 dans ce cas une atrophie musculaire progressive, la paralysie peut donc à peine êtr
ellule ganglionnaire des cornes anté- rieures, fibre motrice, fibre musculaire ». Mais il est d'avis aussi « que l'élément dom
nt sur la motilité. Il existait une paralysie flasque avec atrophie musculaire des quatre membres. Les divers groupes musculai
que avec atrophie musculaire des quatre membres. Les divers groupes musculaires étaient inégalement atteints, mais la répartiti
tés inférieures, cette réaction intéressait seulement le territoire musculaire innervé par le nerf péronicr. Aux membres supérie
ses que celles du côté opposé. Nulle part aucune trace d'atrophie musculaire . L'examen électrique, pratiqué par M. le Dr Vig
(/lev. scienli ? 1881, p. 74). Christian, De la nature des troubles musculaires dans la paralysie générale, 1881. - Descourlis, É
COMBINÉE A LA PARALYSIE LABIO-GLOSSO-LARYNG1 : E ET A L'ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE LÉSION SYSTÉMATIQUE DES NOYAUX MOTE
teurs deux malades atteints d'ophthalmoplégie externe et d'atrophie musculaire , et rapprochait dans une vue synthé- tique l'op
légie externe de laparalysie glosso-labio-laryngée et de l'atrophie musculaire , en insistant sur le caractère systématique des
ctère systématique des lésions. Négligeant à dessein les paralysies musculaires extérieures de l'oeil par tumeurs, hémorrhagies
lus loin, à la com- binaison de l'ophthalmoplégie avec une atrophie musculaire du type Duchenne-Aran (poliomyélite antérieure
t des libres à myéline ; c, c, espaces vides laissés par les fibres musculaires ; /, faisceau neuro-musculaire ; g, ses filets
/, faisceau neuro-musculaire ; g, ses filets nerveux; h, ses libres musculaires ; /., sa gaine lamelleuse ; i, artériole. Fig. 5
clérose atrophique. Dans les parties les plus atteintes, les fibres musculaires ont diminué de nombre et de volume, de plus ell
me des différences de température assez délicates. La sensi- bilité musculaire est très affaiblie et les courants électriques so
myéline fragmentée (Planche XXXII, fig. 3, a). Les seuls ramuscules musculaires des nerfs présentent des alté- rations : c'est
de ce que le tissu conjonctif proliféré pénètre entre les faisceaux musculaires et les partage en groupes inégaux. Ceux-ci appara
tissu conjonctif. Dans chacun des groupes ainsi isolés, les fibres musculaires elles-mêmes sont séparées les unes des autres p
épaisse qu'à l'état normal (Planche XXXII, fig. 4, b). Les fibres musculaires offrent des dimensions très variables. La plupa
le formation, on distingue parfois des sortes de traînées de fibres musculaires extrêmement atrophiées, et sans trace de striat
orent fortement (Planche XXXII, fig. 4, el, d'). Les petits nerfs musculaires qui se trouvent dans le tissu conjonctif scléro
s nerveux ont disparu. Dans le territoire de ces traînées de fibres musculaires très altérées que nous avons signalées, il y a
ltération des nerfs, n'existe pas en général sur les rameaux intra- musculaires d'un certain calibre : ce sont surtout les très p
us rarement atteints. En certains endroits, cependant, leurs fibres musculaires sont atrophiées et hyalines, en d'autres, leur ga
mes lésions scléreuses : on observe aussi que la plupart des fibres musculaires ont conservé leur striation. Mais il en existe
Dans leur voisinage on voit (à un fort grossissement) que la fibre musculaire est dissociée en ses éléments primitifs par de gr
les sont le plus souvent disposées en séries parallèles. Les fibres musculaires ainsi altérées sont tra- versées par un réseau
éflexe crémastérien et abdominal. Bien qu'il n'y ait pas d'atrophie musculaire et que la puissance des membres inférieurs soit
te se traduit encore par de l'amyotro- phie généralisée. L'atrophie musculaire ne semble pas plus marquée dans'un groupe muscu
ée. L'atrophie musculaire ne semble pas plus marquée dans'un groupe musculaire que dans un autre. Elle est très visible dans l
aractères de la scoliose vraie, et croyant à une simple contracture musculaire , j'ai endormi le malade et constaté que la défo
ssibilité de l'extension complète de la jambe. En outre, l'atrophie musculaire est aussi marquée qu'aupara- vant : il y a touj
spinale aiguë. Il est certain qu'à cette époque, où toute atrophie musculaire était censée relever d'une altération de la moe
épinière ne peuvent être invoquées comme ayant déterminé l'atrophie musculaire qui, elle, a débuté vingt ans auparavant. Bien
ésions des nerfs sont tout à fait parallèles à celles des faisceaux musculaires , et ne s'étendent pour ainsi dire pas en longue
anglionnaires des cornes antérieures, fibre nerveuse motrice, fibre musculaire . Cependant l'arc neuro-musculaire, envisagé dan
des cornes antérieures, de la fibre nerveuse motrice et de la fibre musculaire , mais encore et surtout des régions corresponda
mique, que M. Babinski a observé un cas d'hémiplégie, avec atrophie musculaire , dans lequel l'absence de toute lésion des nerf
ysies psychiques de l'hystérie se compliquer fréquemment d'atrophie musculaire (Char- cot, Babinski). Le rôle de l'écorce vi
mps, par M. Raymond dans ses études sur la pathogénie des atrophies musculaires d'origine articulaire'. Cet observateur a const
s d'origine articulaire'. Cet observateur a constaté que l'atrophie musculaire qui se montre dans un membre dont une articulat
cette influence accélératrice. Il incline à croire « que l'atrophie musculaire consécutive aux arthropathies traumatiques n'es
RNE COMBINÉE A LA PARALYSIE GLOSSO-LABIO-LARYNGME ET A L'ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE LÉSION SYSTÉMATIQUE DES NOYAUX MOTE
de la main gauche, accompagné d'une diminution notable de la force musculaire . C'est quelques mois après que je vis la malade
trême, due plutôt à de l'amaigris- sement simple qu'à de l'atrophie musculaire véritable, car tous les mouve- ments, bien que
nt que l'ophtlialmoplégie puisse se trouver combinée à une atrophie musculaire plus ou moins généralisée, à marche tantôt suba
nalé lepremier lacoïncidence de l'opbthal- moplégie avec l'atrophie musculaire , indépendamment de toute autre affection du sys
- combinée à I la paralysie labio-glosso-laryngée et à l'atrophie musculaire progressive), par Guinon et I'armentier, 185, z
é, 45. Rhumatisme articulaire chronique défor- mant avec atrophie musculaire considérable, par A. Weil, 16. Sciatique (Sur
46 (1902) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1901
ticulière d'un muscle isolé, ou un groupe de muscles, ou un système musculaire comme celui de la phonation, ou cet ensemble co
é, telle équation neuro-musculaire (1). » L'importance de l'élément musculaire est telle dans l'éducation physique que nous av
es mus- cles : a) 1 contractilité, b) amaigrissement, c) atrophie musculaire . Go IIémicliorée, athétose. 7° Epilepsie spin
es mensurations de la tête. - c) Tableau des poids, taille et force musculaire (dynamomètre). -cl)Tableau de la Puberté. e Tab
Considérations anatomo-cliniques sur les rapports de l'impotence musculaire et de certains troubles osseux dans l'hémiplégi
dit quel rapport eiili-e les uaniitions osseuses et les variations musculaires ? Si le degré d'impotence nous était suffisamme
est admis que la saillie pilastrique est le résultat' de l'activité musculaire et que son degré de développe- ment est proport
outre une convexité postérieure destinée à favo- riser l'extension musculaire . Ces faits, très-accentués sur des os trapus et
sur nos os les variations pilas triques sont égale- ment d'origine musculaire . (1) Variations morphologiques du corps du fému
pti n'existe pas, ou alors très peu, suez un os sain, où le système musculaire est au contraire obligé, vu son déve- loppement
ion entre l'atrophie osseuse accompagnée d'un moindre développement musculaire et l'activité du membre sain pourvu de muscles
dre résistance, mais au niveau du maximum de largeur de l'insertion musculaire . De môme la courbure n'atteint pas également le
rale n'est nullement mécanique, mais sous la dépendance du système musculaire . Sur nos os nous retrouvons des oscillations a
alogues il celles-ci, mais beaucoup plus marquées, puisque l'état musculaire est lui-même beaucoup plus différencié. Nos rés
ccordent d'une façon absolue avec ceux qui précèdent et l'impotence musculaire suffit seule, on le voit, à expliquer la forme
encore mieux la part considérable qu'il faut faire au développement musculaire dans la production des formes pathologiques. No
la disparition du pilastre, il est nécessaire d'invoquer l'action musculaire pour comprendre la cause d'un écartement qui pe
e la ligne âpre sont d'autant plus rapprochées que le développement musculaire est plus grand relative- ment au volume de l'os
s. Qu'un fémur fournisse une large surface d'insertion il une masse musculaire relativement minime (fémur du gorille par exemp
se rapprocher. L'aspect sera celui de la figure 1. Que cette masse musculaire s'accroisse, l'os se modifiera, il s'aplatira,
upe du fémur d'un gorille, ou d'un' hémiplégique : le développement musculaire est relativement faible; Fig. 2, représentant l
e, s'en rapprochent absolument; Fig. 3, fémur il fort développement musculaire . La partie rayée représente ce qu'il faut ajout
on retrouve d'autressymp- tômesengendrés uniquement par l'impotence musculaire .; Sur unfémur normal lepiara poplilé est inclin
escend plus bas : variation en rapport encore avec le développement musculaire . Il est nécessaire de rappeler ici que toutes l
us avancé et par conséquent à un degré plus avancé de développement musculaire , les différences entre l'os observé et un os do
V 64 Squelette DES hémiplégiques. placer avant tout l'activité musculaire . Mais alors nos formes pathologiques peuvent pr
quera simplement qu'ils corres- pondaient à un faible développement musculaire . Chemin faisant nous avons rappelé que certaine
and le fémur sain d'un hémi- plégique a donné insertion à une masse musculaire peu active quoique normale, il est à son tour p
cours de la croissance et parallèlement au développement du système musculaire , son degré de transformation sera d'autant moin
phiques indépendants de ceux qui sont occasionnés par l'impotence musculaire : ils sont négligeables, et ce qui est certain,
pathologique enseigne que dans l'hémiplégie spasmodique les groupes musculaires sont inégalement frappés et que même dans un mu
caractère porte le nom de platymérie : il est engendré par l'action musculaire et lui est proportionné ; par suite de cette tr
ivement à son volume phénomène éminem- ment favorable à l'insertion musculaire . Sans insister sur (t) Le tableau A montre auss
ysiologiques qui nécessitent en ce point un plus fort développement musculaire (1), disons que cet aplatissement produit deux
seule augmentée, par ce que elle a donné insertion à un faisceau musculaire très actif tandis que sa partie adjacente (inter-
d'un même sujet. La seconde particularité est en partie d'origine musculaire , tandis que la première dépend de causes pureme
e celle de l'activité des mouvements, bien représentée par la force musculaire . LE fémur. 63 Or, les os donnent des preuves
Or, les os donnent des preuves de cette diminution de l'activité musculaire . Le chapitre précèdent et surtout l'étude purem
., autant de particularités qui indi- quent un faible développement musculaire . Les observa- tions sont lit enfin pour indique
- tions sont lit enfin pour indiquer le moindre volume des masses musculaires mesurées sur le vivant. Indépendamment de cette
ours postérieur, ainsiqu'on i'a vu tout à l'heure. Le développement musculaire supérieur est d'ail- leurs en rapport avec cett
ur. Sans analyser leur rôle, constatons que, si la force du système musculaire est amoindrie, le type normal de la marche sera
de, ou un état permettant un développement plus intense de la masse musculaire . Ce sont des conceptions purement spéculatives
s proposées pour expliquer le genu-valgum dans trois catégories : musculaire , ligamenteuse et osseuse. Evidemment, il y a de
iles exclusivement parmi les déviations appartenant, aux théories musculaires . La paralysie est vue cause impor- tante, mais
te il celle des ligaments . Si par suite des circonstances la masse musculaire est insuf- fisante (faiblesse musculaire relati
des circonstances la masse musculaire est insuf- fisante (faiblesse musculaire relativement au développe- ment osseux clans le
. Les sujets atteints de gigan- tisme sont dans ce cas : leur masse musculaire devient par ce l'ait insuffisante. Nos sujets
gens qui présentent une taille élevée avec un faible développement musculaire » et « chez ceux chez lesquels la croissance s'e
n'in- dique pas qu'il y ait eu sur le fémur sain un développement musculaire bien considérable : les diaphyses se différen-
n plus prononcée des fémurs malades dépend en partie de l'impotence musculaire favorisée par la flexibilité de l'os. Là enco
sière qni doit affleurer le point choisi. CHAPITRE V. L'impotence musculaire et son retentissement : 1° Sur l'humérus, 2° Su
u fémur. Les formes pathologigues dérivent d'une moindre activité musculaire et l'aspect nouveau ne constitue pas une forme
autant plus saillantes, d'autant plus nombreuses que les mouvements musculaires auront plus d'intensité. Les rugosités atteigne
t une courbe il convexité interne. Cette modification est d'origine musculaire , elle correspond au point où a lieu le maximum
où a lieu le maximum de l'effort 82 SQUELETTE des hémiplégiques. musculaire . C'est en ce point que nous avons déjà signalé
du muscle brachial antérieur, qui s'insère sur l'os par des fibres musculaires et tend à en modifier la surface de façon à l'a
seux. Leur rapprochement est donc en raison direct du développement musculaire Aussi voit-on un es- pace interosseux élargi su
rieure du tibia et son accentuation, tout cela est lié à l'activité musculaire de certains muscles et nos os malades présenten
ur toutes les parties du corps. l'as de retard dans les réactions musculaires se produisant à la suite de ces excitations. In
abitude, se trouve au matin, dans un état semi-comateux ; inertie musculaire complète, ancsthésie totale, température 38°, 5 l
ois il n'y a pas d'élévation de température; de plus, la résolution musculaire et l'anesthésie sont moins com- plètes. A parti
e l'idiotie. Thèse de Paris 1897. BOYER (J.). Education du sens musculaire chez l'idiot. - (Prix Belhomme à la Société Méd
ons- tances, marcha pcn, l'crs.ain ayant donné attache un système musculaire peu actif, est peu différencié de l'os malade.
Sur ce fémur malade, la plfllYl1ll'rip est incomplète. Le sys- tème musculaire n'a prodllit l'agrandissement, ((lie de la moit
V. Considérations anatomo-cliniques sur les rapports de l'impotence musculaire et de certains troubles osseux dans l'hémiplé-
47 (1889) Leçons du Mardi à la Salpêtrière. Policlinique 1888-1889
uivi ou s'accompagne de pan-diculations, c'est-à-dire de contractions musculaires presque générales. Eh bien, ce n'est pas tant p
marquée souvent par l'accompagnement de troubles trophiques de siège musculaire ou cutané et où l'affection paraît devoir être ra
peine à former à peu près les premières lettres de son nom. La force musculaire des membres inférieurs est assez prononcée ; quan
concomitante des membres supérieurs et inférieurs avec perte du sens musculaire , absence de rigidité et d'exaltation des réflexes
smusculaire; — 3° Elévation relative de la température; — 4° Atrophie musculaire plus ou moins rapide parfois avec réactions dégén
ue l'autre ; pas d'hypéresthésie cutanée, pas de modification du sens musculaire . Ces symptômes ont-ils existé autrefois? Nous n'a
é ; — 2° Réflexes tendineux normaux ; —3° Pas de modification du sens musculaire de ce côté, mais modification profonde de la sens
e d'un athlète, comme je vous le disais tout à l'heure et les reliefs musculaires déjà si accusés à l'état de repos, s'exagèrent en
un peu moins prononcée. extenseurs de la jambe. Partout les reliefs musculaires sont relativement peu accusés, alors même que le
die. J'insisterai particulièrement sur les traits suivants : atrophie musculaire d'un membre tout entier, mais manifestement prédo
d tous ces caiac-tères se trouvent réunis, l'existence d'une atrophie musculaire de cause articulaire, autrement dit d'une amyotro
urprendre, lorsque l'on songe que, dans la règle, ce genre d'atrophie musculaire ne s'accompagne pas de la réaction de dégénératio
général très diffìcile à déterminer. Ce sont, par exemple, l'atrophie musculaire avec réaction de dégénération plus ou moins prono
ruits en partie seulement. Cette inégale répartition des affections musculaires est chose vulgaire dans la paralysie infantile, t
en général, une modification organique assez prononcée des faisceaux musculaires . Notre cas donc, à n'en pas douter, n'appartient
ues notions des mouvements imprimés aux doigts ou au poignet, le sens musculaire est compiè- D G Fig. 28. tement aboli et l'
e, tous les .réflexes Spinaux, y compris celui qui détermine le tonus musculaire , et y compris aussi les réflexes tendineux, cesse
nt une période de réparation pendant laquelle les éléments nerveux et musculaires qui n'ont été que molestés, sans être décidément
iques dans la sclérose en plaques, en tant qu'il s'agit des fonctions musculaires de l'œil, c'est le nystagmus. Or, vous savez que
teur. * II y a dans les membres, au trône, au cou, un affaiblissement musculaire plus prononcé que de coutume : la tête est tomban
, bb. Anesthésie pour tous les modes de la sensibilité. Perte du sens musculaire . cas, le contraire qui existe. Les doutes ne fo
anées sont perçues normalement; pas de douleur à la pression. Le sens musculaire est parfaitement conservé ; lorsque ses yeux sont
ité superficielle et profonde de ce membre, perte des notions du sens musculaire . Même particularité pour le membre inférieur, en
elle qu'on doit s'attendre à la recontrer quand c'est une contracture musculaire spasmodique qui est en jeu. Le pied est libre dan
; l'insensibilité des parties profondes et la perte de notion du sens musculaire , tout cela le démontre surabondamment. Notre ma
onvulsions; parfois cependant la chute a été accompagnée de secousses musculaires . Dans les descriptions qui précèdent nous retro
up au vertige comitial quand il s'accompagne de quelques contractions musculaires rapides et localisées à certains groupes de muscl
ant la face, le tronc, les membres Voyez fig. 69 et 70. Perte du sens musculaire , de la notion de position, etc. Les troubles de l
e supérieur droit un certain degré de rigidité qui dépend d'un spasme musculaire . Le bras est appuyé et immobilisé sur le côté dro
ut amené je constatai également que, couché au lit ou assis, la force musculaire et la coordination des mouvements était parfaitem
t sous la dépendance immédiate de l'anesthésie et de la perte du sens musculaire et ne s'observe qu'alors que les malades sont pri
res inférieurs, des divers modes de la sensibilité, y compris le sens musculaire , des réflexes tendineux, de la nutrition des musc
ntellectuel avec excitation passagère, loquacité, insomnie, faiblesse musculaire . » Peu après l'admission à Villejuif, les dernièr
traces de l'excitation disparurent ; ce fut désormais cette faiblesse musculaire déjà remarquée à l'asile Sainte-Anne qui devait o
amaigrissement énorme et rapidement développé, qu'ont subi les masses musculaires , aux jambes particulièrement, mais aussi aux cuis
à d'une simple émaciation, mais d'une diminution de volume des masses musculaires correspondant à certains troubles trophiques révé
ic étiologique. Nous ne reviendrons pas sur les troubles trophiques musculaires déjà signalés, mais nous vous ferons remarquer qu
es muscu- 52 laires, principalement aux mollets. Ainsi les masses musculaires , elles aussi, remarquez-le bien, sont douloureuse
fulgurantes; l'absence des troubles vési-caux, la réaction des masses musculaires , les rétractions fibro-tendineuses, et enfin le m
regardait pas ». Cette parésie de la main droite, avec perte du sens musculaire , nous allons la retrouver tout à l'heure telle qu
tous les modes de la sensibilité et à peu près absolue. Perte du sens musculaire dans le membre supérieur droit. Il ne peut rendre
nsistent en une hémianalgésie gauche avec légère obnubilation du sens musculaire du même côté : fait remarquable' mais qui n'est p
'hystérie et qui ici est fort accentué. Je veux parler d'une atrophie musculaire , sans accompagnement de secousses fibrillaires, s
abinski et moi, appelé depuis longtemps l'attention sur les atrophies musculaires qui se produisent dans le cours de l'hystérie, et
e reconnaître, nous en savons encore fort peu sur ce genre d'atrophie musculaire , et avant de vouloir légiférer définitivement sur
roite, 32co — de la jambe gauche, 34 cc. 2. Babinski. De l'atrophie musculaire dans les paralysies hystériques. Arcb. de Neurolo
c'est le tour des cuisses où les fourmillements ainsi que l'atrophie musculaire se montrent également, et, en conséquence de cell
mbes par le fait de la paralysie d'enfance ; il semble que les masses musculaires aient en grande partie disparu. La peau qui les c
inué de volume. On voit, surtout le sujet étant debout,toute la masse musculaire du triceps et le couturier constamment agités par
nous permet de constater. A la face, pas le moindre signe d'atrophie musculaire : les lèvres ne paraissent pas grosses ni allongé
ement du nom d'amyotrophie progressive. Mais de quel genre d'atrophie musculaire à marche progressive s'agit-il ici ? L'affection
d'adopter dans le temps, pour classer les diverses formes d'atrophie musculaire à évolution progressive. A. Le grand groupe des
diverses autrefois confondues sous la dénomination commune d'atrophie musculaire progressive. C'est, vous le savez, l'anatomie pat
r clans les cas qui portent en clinique cette dénomination d'atrophie musculaire progressive, sont très variées. Elles ont toutefo
est naturel de songer toutes les fois qu'il se présente une atrophie musculaire à marche progressive, non accompagnée de troubles
vé avec soin chez notre malade l'absence de contractures, de rigidité musculaire et aussi d'une exagération même minime des réflex
s.Ici, je vous le rappelle, la lésion spinale d'où procède l'atrophie musculaire est systématiquement localisée dans les colonnes
ie de l'adulte. t. Voir sur le même sujet, E. Thomas. De l'atrophie musculaire progressive, consécutive à la paralysie infantile
qu'on avait trop chauffée et il ne s'en est nullement aperçu. Le sens musculaire est également affecté chez lui, mais pas d'une fa
lendemain matin. Mais il n'est pas douteux que dès l'origine, le sens musculaire , pour le moins, a été affecté, puisque suivant le
la sensibilité à la douleur et à la température. Les notions du sens musculaire sont notablement obtuses, mais non totalement sup
ut le poids du corps avec le talon de la botte, il ne sent rien. Sens musculaire complètement aboli ; il ne se rend nul compte des
ployer dans les mouvements de ses membres inférieurs une grande force musculaire et il n'existe dans ces mouvements aucune trace d
ringoymélie est signalée comme une des causes possibles de l'atrophie musculaire spinale deutéropathique. (t. II, p. 216). 66-
a paralysie infantile d'un côté et de l'autre par celle de l'atrophie musculaire progressive du type Aran-Duchenne et de la scélér
aleur, à l'exclusion de ceux qui concernent les notions dites du sens musculaire ; elles montreraient enfin, si l'on en croit certa
: a. les symptômes poliomyéliques antérieurs, à savoir : amyotrophie musculaire à marche progressive, rappelant le typeDuchenne-A
ud, au froid, sans participation de la sensibilité tactile ou du sens musculaire ; c. symptômes poliomyéliques médians, groupe jusq
vers troubles trophiques autres que ceux qui sont relatifs au système musculaire ; 2° Symptômes extrinsèques. Ils n'appartiennent
s l'exposé clinique. II Le plus souvent, les symptômes d'atrophie musculaire progressive, débutant parles éminences thénar et
lément, l'espèce morbide antérieurement connue sous le nom d'atrophie musculaire progressive du type Duchenne-Aran : ils ne valent
té à la douleur, au chaud et au froid,—lasensibilité tactile, le sens musculaire étant conservés, — et justement c'est la connaiss
es, « aie premier appelé l'attention sur la combinaison de l'atrophie musculaire , « avec des troubles particuliers de la sensibili
t reconnaître, chez lui, surtout dans les membres où siège l'atrophie musculaire , l'existence concomitante de troubles très partic
ibilité. C'est à savoir, que les notions relatives au tact et au sens musculaire étant parfaitement conservées, les impressions pr
anesthésiesyringomyéliques limitées aux parties où se voit l'atrophie musculaire : Ce cas, tant s'en faut, n'est point le plus com
péritonite suraiguë a occasionné la terminaison fatale. L'atrophie musculaire progressive du type Duchenne-Aran, la sclérose la
ien relevé M. Déjerine, que l'on a fort souvent rapporté à l'atrophie musculaire du type Àran-Duchenne des cas où seule la syringo
rononcée, se montrait combinée aux symptômes classiques de l'atrophie musculaire progressive. « Cette anesthésie », écrit-il à la
-, autrefois traité par Duchenne de Boulogne comme atteint d'atrophie musculaire avec anesthésie. Un examen attentif a montré que
t dans les cas où celle-ci s'est accompagnée, en outre, de l'atrophie musculaire à marche lente, de divers troubles trophiques, te
oduite par l'examen du malade est qu'il s'agit chez lui de l'atrophie musculaire progressive du Fig, 108 Fig, 1Q9 Sensibilité
uivre serviront mieux encore aies caractériser. Les notions du sens musculaire sont partout conservées, aussi bien que les impre
doigts étant impossibles. Par suite de la prédominance de l'atrophie musculaire dans la sphère d'innervation des nerfs cubital et
n à penser qu'il s'agissait là soit d'une forme anomale de l'atrophie musculaire progressive, du type Aran-Duchenne, soit, mieux e
s. Depuis 1882 l'évolution de la maladie semble arrêtée; l'atrophie musculaire tout au moins n'a pas progressé depuis cette époq
que l'on ne rencontrera pas dans l'hystérie, ces troubles trophiques musculaires ou autres qui sont unaccom -pagnement pour ainsi
il y a trois années; et on n'a pas relevé 1. Babinski. De Vatrophie musculaire dans les paralysies hystériques. — Arch, de Neuro
à la douleur,au chaud et au froid,totalement abolies, notions du sens musculaire conservées. Le début subit des accidents consta
tions du tact les plus délicates sont conservées. Les notions du sens musculaire au contraire paraissent notablement obnubilées da
s pour la sensibilité à la douleur, lasensibilitélhermique et le sens musculaire . Par contre.la sensibilité tactile n'est que dimi
olue pour le toucher, la douleur, la sensibilité thermique et le sens musculaire , un rétrécissement concentrique du champ visuel d
lètement disparu, et la déformation — autrefois tout entière de cause musculaire — est maintenue désormais seule-nent par les rétr
ansitoire du membre supérieur gauche avec anesthésie et perte du sens musculaire qui, manifestement, doit être rattachée à l'hysté
e nous ayons pu rien gagner. Il est donc évident par là que le spasme musculaire n'est plus ici pour rien, et toute la déformation
p. 93. De l'intervention chirurgicale dans certains cas de réfactions musculaires succèdent à la contracture spasmodique*pa.r Terri
s tirailler sans que le malade accuse la moindre douleur. , Le sens musculaire est très compromis. Le malade ne peut, les yeux f
même temps que l'ouïe avait repris son acuité normale et que la force musculaire s'était de nouveau accrue dans les membres paraly
22. Amorphinismf, (Périodes d'), 431. Amyotrophie. (Voy. Atrophie musculaire , Myopathie.) Amyotrophie de cause articulaire,
ie spinale progressive de la paralysie infantile, 144. (Voy. Atrophie musculaire .) Amyotrophique (Paralysie), 76. Analgésie sy
xie par défaut de coordination automatique. (Voy. Abasie.) Atrophie musculaire , —dans l'hystérie,403. — dans la paralysie alcool
495, 496. — Diagnostic de l'atrophie syringomyélique, 501. Atrophies musculaires progressives. — classification, 412. Atrophies
trophies musculaires progressives. — classification, 412. Atrophies musculaires spinales progressives. — dcutéropathiques, 413. —
ressives. — dcutéropathiques, 413. — Symptômes, 414, 415. Atrophi e musculaire progressive et myopathie, 413. — Diagnostic, 414.
ntagonisme entre les attaques et les accidents locaux), 7. — Atrophie musculaire , 403. — (Attaques), 7, 195. {Voy. aussi Attaques)
atiques physiologiques chez les liqueurs, 14. Müller, 54, 59, 60. Musculaire (Atrophie) de cause articulaire, 75. Mutisme hy
04. — Transverse du MaldePott, 182. Myopathies( Voy. aussi atrophie musculaire progressive). — et Atrophie musculaire progressiv
yopathies( Voy. aussi atrophie musculaire progressive). — et Atrophie musculaire progressive 413. — Diagnostic, 414. Myopathies pr
e infantile.— 38,91,140. (Amyotrophic de la),144, (Voy.aussi atrophie musculaire ).— (Début), 147, 149.— et amyotrophic spinale pro
), 147, 149.— et amyotrophic spinale progressive (Voy. aussi atrophie musculaire ),407. — et paralysie générale, 144, 145. — (E
myélie. 487. —Anat. pathologique, 489. — Arthropathies, 498. Atrophie musculaire , 495. — Causes, 499. — Cicatrices, 498. — Diagnos
— Cicatrices, 498. — Diagnostic, 500. — Diagnostic avec l'atrophie musculaire , 501, — Eruptions huileuses, 497. Syringomyélie
48 (1883) Archives de neurologie [Tome 05, n° 13-15] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
. Janvier 1883. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE SPASME MUSCULAIRE AU DÉBUT DES MOUVEMENTS VOLON- TA ! HHS (Elude
Ce trouble fonctionnel, que nous désignons sous le nom de « spasme musculaire au début des mouvements volontaires » (nous exp
encore une gêne assez prononcée des mouvements de la langue SPASME MUSCULAIRE . 3 semblant siéger surtout vers la racine de ce
ter comme un individu ordinaire. Cette ano- malie do la contraction musculaire s'observe non seulement aux membres inférieurs,
s chiffres qui représentent la circonférence des membres : SPASME MUSCULAIRE . ô bien légère, si tant est qu'elle existe ; ma
toïde sain, sans cependant présenter de réactions anormales. SPASME MUSCULAIRE . 7 En somme, les conclusions que tire M. le Dl
U1·;. Nous nous sommes préoccupés de savoir si, dans la contraction musculaire elle-même, il n'y au- rait pas quelque anomalie
'ascension reprend presque sa direction normale, et les trac- tions musculaires suivantes no présenteront plus rien despécial.
que la durée totale du phénomène, c'est-à-dire de l'état de spasme musculaire , a été de cinq secondes et demie, chiffre à rap
paru utile de rapprocher du fait que nous avons observé ; SPASME MUSCULAIRE . il quant au nom que Seeligmùller donne à cette
nôtre; il s'agit d'un homme de vingt- huit ans sujet à des raideurs musculaires depuis sa plus tendre enfance, et qui pour ce m
omme du bois ; en soufflant sur la peau on amenait des contractions musculaires toniques ; de 12 CLINIQUE NERVEUSE. môme avec
lpation. Excitabilité élec- trique normale, ne produisant de relief musculaire persistant qu'à l'extrémité inférieure du vaste
augmentés; muscles volumineux et durs comme de la pierre. SPASME MUSCULAIRE . 13 Erb, dans son article du Manuel de Ziemssen
pas augmentée; "il n'y a pas de secousses fibril- laires ; la force musculaire ne répond pas tout à fait aux apparences athlét
icularités suivantes : quelquefois le bour- relet de la contraction musculaire persiste un peu après la cessation d'une excita
rme et durable, mais on voit se produire des ondulations des masses musculaires qui se renflent dans un point pour s'aplatir bi
freniatria, 1881, t. VIII, p. 301) a publié l'observation SPASME MUSCULAIRE . 15 suivante : garçon de quinze ans, habitant l
n développés, le mollet a une circonférence de 31 cent. Un faisceau musculaire du biceps fémoral, enlevé pour l'observation mi
ral, enlevé pour l'observation microscopique, a montré des fibres musculaires parfaitement normales ; pas d'aug- mentation du
n du tissu conjonctif ni du tissu adipeux in- terstitiel des fibres musculaires ; le sarcolemme est normal. C'est encore à Pét
fait remarquer que, dans ce cas, il n'y avait pas d'hypertrophie musculaire . Nous arrivons maintenant à l'observation du Dr
s deux cadets, au contraire, éprouvèrent à un haut degré la raideur musculaire , ils étaient d'un esprit assez borné; la mère d
et psychique intacte jusqu'à Page de soixante-douze ans. .SPASME MUSCULAIRE . 17 Parmi ses treize enfants, sept furent attei
ensa- tion de contraction spasmodique du muscle, mais sans SPASME MUSCULAIRE . 19 ce caractère douloureux quelquefois très dé
ns sa lettre a Seeligmùller, il décrit le remarquable développement musculaire de ses fils et surtout de l'aîné, mais sans cep
urs été, comparativement, trouvés les plus déve- loppés. La force musculaire est d'ailleurs bien conservée, quelquefois même
tôt, comme sur le biceps de notre malade, on sent une aug- SPASME MUSCULAIRE . 21 mentation de la consistance du muscle sans
, soit de la contraction elle-même, soit de bourrelets ou d'ondes musculaires qui indiquent un état actif du muscle pen- dant
ses 22 CLINIQUE NERVEUSE. ' oncles, qui présentaient les raideurs musculaires , étaient en même temps d'un esprit très borné;
sa famille une alternance et une alliance étroite entre la raideur musculaire chez les uns et des- troubles mentaux chez les
; enfin, l'influence psychique sur la production même des spasmes musculaires n'est pas non plus sans avoir une certaine impo
s ne voyons pas qu'elle se rapproche sensiblement de notre SPASME MUSCULAIRE . 23 maladie, du moins dans le cas que nous avon
ferons le même reproche à la dénomina- tion de Bernhardt : Raideur musculaire et hypertrophie musculaire constituant un compl
dénomina- tion de Bernhardt : Raideur musculaire et hypertrophie musculaire constituant un complexus symptomatique spé- cia
de décrire le cas que nous avons observé sous le nom de : Spasme musculaire au début des mouvements volontaires; il ne préj
tion d'un mouvement. Notons que par suite de l'inactivité, la force musculaire a diminué ; évaluée au dynamomètre, elle nous-d
férieurs et la dégénération graisseuse de leurs muscles. Les masses musculaires sont diminuées de volume, pâles, décolorées et
côté des membres par de la rai- deur d'abord, et par de l'atrophie musculaire ensuite ; du côté de l'encéphale par des troubl
ie avait disparu. Le malade n'a pas eu le sentiment d'une faiblesse musculaire bien caractérisée dans le côté droit ; il a pu
s et quelques spasmes de la respiration survenait la tétanisation musculaire , et en même temps l'arrêt de la inspiration et la
ême objet, à raison du nystagmus et du strabisme divergent (lésions musculaires ) ; l'exagération excessive de tous les réflexes
t d'épilepsie spinale quand on prolonge les essais ; la contraction musculaire paradoxale du jambier antérieur, quand on fléch
e et du cou, l'exa- gération des réflexes tendineux, la contraction musculaire para- doxale, l'intégrité de tous les modes de
out nosographiquo. Ainsi la fonction sera entravée quand l'appareil musculaire ne jouera plus (paralysie faciale), quand la so
-dessus de l'articulation du pied. Sensibilité à la douleur et sens musculaire partout normaux. Le radial gauche forme en outr
on sur trois points : 1° l'accélération à la suite des contractions musculaires ; 2° leur amplitude; 3° l'accélération à la suit
en l'anesthésie quelle que soit son origine, la névrite, l'atrophie musculaire pro- gressive, l'angine de poitrine, la maladie
la température, delà respiration, de la sensibilité, ni de la force musculaire , contrairement aux assertions de M. Mag- gioran
o-postérieur que l'on trouve souvent modi- fiés dans les paralysies musculaires . Je les signalerai dans les observations sans t
onfusion dans les idées, du délire hypochondriaque, de la faiblesse musculaire , et un état cachectique. Nous ne pouvons nous p
corps. Aucun soin de propreté. Pâleur, amai- grissement, faiblesse musculaire . Les pupilles sont dilatées. A l'aus- cultation
outre la stéatose (dégé- nérescence graisseuse) de tout le système musculaire du tronc, du bassin, des extrémités inférieures
phénomènes d'irritation (convulsions ou tressaillements) des masses musculaires au début de la compression antérieure. Il attri
me, les ont conduits aux conclusions suivantes. Les modifi- cations musculaires qui caractérisent l'état léthargique, l'état ca
rmettent de faire naître ces diverses manifestations de la tonicité musculaire , on reconnaît qu'elles sont en rapport direct a
Voici en quoi consiste cette méthode : Étant données les réactions musculaires différentes obtenues par le passage du courant
s (paralysie faciale de Bell, section nerveuse ancienne, atrophie musculaire progressive). Dans toutes ces affections, les tra
les y sont conservées, mais avec des formes spéciales des secousses musculaires . Après avoir rendu compte de l'intéressant mémo
ni la santé, ni la vie de relation. Aucune diminu- tion de la force musculaire , comparativement aux gens du même âge. L'hérédi
lante du vieillard dépend seulement de l'affaiblissement nerveux et musculaire . Quant à la nature de l'affection, l'auteur, se
soubresauts tendineux. Nul trouble sensitif. Diminution de la force musculaire . Pas d'albuminurie. Pas de nystagmus, ni de tro
étique articulé; exclusivement aidé du « sens du toucher et du sens musculaire , l'infirme s'exerce aux « mouvements exigés pou
(de Strasbourg), sur les irrégula- rités de la loi des contractions musculaires chez l'homme vivant, apporte un contrôle expéri
sur quinze indi- vidus jeunes (dix hommes et cinq femmes) à système musculaire normal, la plupart épileptiques, quelques-uns m
es atrophies des membres dans les affections chirurgicales (système musculaire * et osseux); par G. Valeiice, 1882. Contribut
s le zona est précédé'ou accompagné 'de 'paralysie 'et d'atrophie musculaires , qui''sont`difficilement explicables par une' l
lesuycux, elle cliançelle aussit,oE'ét'pêrd 1 equilihr'e'"Sa iforce musculaire .'est cependant' encore' bien' corisefvod,0 'ca
li- mysculaires, et.les branclles fait, normaux. ^Diverses branches musculaires , et. les branches articulaires postérieures^iso
\Les,i,fibves\idu.'neTb articulaire .posté-- rieur gauche ,etcelles musculaire , du même(1côté pré;, sentent 'des lésions tout^
rées semble ! proportionnellement plus, considérable dans le rameau musculaire que dans le rameau articulaire ? 1 'i,1'1 1tt)
t dans le cours- de la paralysie spinale infantile ou de l'atrophie musculaire progressive, dont les, lésions initiales siègen
ypothèse,encore, comment expliquer une arthropathien'snr atrophie musculaire concomitante, quand on sait pertinemment que le
· (rll,mi 1 Ili : ' Itl II`tll ''a) La production d une contracture musculaire con- ' i .d.. , ? t ..fff«.i. - .Mit .f ? tn<
,n7Vf .rf(W `lnrl'i.·yttihfn, dune certaine forme de la contracture musculaire une 1" ? r ? · 1 .( f . r nn : r,a IIK-. /-l'-O
opinion' ! Je'M. Westphal; qui,persiste'à considérer la contraction musculaire ! consécutive/ au choc du tendon'comme'directem
ulaire'ont, leunraisoznen dehoys2d;une modification) déniai (fibre* musculaire elle-même^dans uiie-moclificâtionyspëcialeiduis
'des nerfs ceiitri pètes qui jouent un»rôle ! spécial dans le tonus musculaire et'dans le fonctionnement de tout l'appareil in
4e physio- logique ni» du phénomène,de.l'hyperescitabilité,neuro- musculaire .nous1a;paru,mériteriuneHétiide.à part : Les, de
détail, il nous faut dire quelques.mots des, modifications neuro- musculaires ? que,(li'on i observeldaiis, l'état somnambu-
légères; dans ce cas, la pression ou la malaxa- .t tion des masses musculaires , des nerfs ou des tendons ? , j ; O l ? ( Il t)
f °ilWljf 1 > i rfilf ''11"If; ^1CV 1 ? lr7tttF 1(1( 1 ? ? ! 1 , musculaire ,, offre la,plupart, des,phénomènes, attribues i
p; ? e.cc7e neuroynusculaire, aurait pour chemin l'arc diastaltique musculaire , ainsi que nous - 1-lili , ",). ,, , Il' ,i ,1,
rveuse,, détermine, la-, contraction ;,ou» la .paralysie de groupes musculaires agissant jynergiquement. rvn 'nrnq onpi .1 >
erveuses tel nerf tire son origine, il faudrait étant donné un nerf musculaire , celui du long supi- nateur par exemple, le dis
'à la paire nerveuse. Enrépé- tant cette opération pour chaque nerf musculaire , on arriverait a. s'assurer si les origines de
cile à constater, notamment sur le nerf; sciatique. Mais les filets musculaires sont-ils -isolables dans, toute leur longueur ?
es .plexus, à-<peu près, inextricables, dans lesquels les filets musculaires cutanés, arti-. culaires, s'anastomosent d'une
à fait confirmatives. des recherches de Krause. Si on suit un nerf musculaire par exemple, on voit que dès qu'il contient plu
9 ? wrr,tl 11Ji1(5v·, If 111 ? Là systématisation de l'innervation musculaire dans la moelle pourrait encore être éclairée pa
e la marche de l'hystérie. La faute en seraitauspasmède l'appareil» musculaire des 'petits vaisseaux du'centre'optiquc REVUE D
t l'importance delà découverte de cette entité morbide : atro- phie musculaire diffuse n'épargnant que la face; para- lysie di
nomène de la contraction secondaire com- mun à toutes les atrophies musculaires . La sensibilité générale est aussi profondément
et delà sensibilité, ? a;tMtKfS eerca et rigidité totale du système musculaire , dont l'excitabilité est augmentée jusqu'au tét
ychique) ; par A. Mairet. (Masson, art. Paris, 1883). De l'exercice musculaire insuffisant, son influence sur le déve- loppenz
la Société des médecins aliénistes allemands, 389. Contractions musculaires chez l'homme vivant (irrégularités de la loi
, 122. Sonde oesophagienne, 124. 430 TABLE DES MATIÈRES. Spasme musculaire au début des mouvements volontaires, par Bal-
49 (1903) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 16]
e la dysesthésie cutanée au niveau de la dernière jointure. Le sens musculaire est affaibli. Cyphose dorsale légère. Mâchoires
TROPHIANTE 11 Le malade peut exécuter les mouvements, mais la force musculaire est no- tablement diminuée aux deux membres sup
nibles ; depuis le début de la maladie, il en est ainsi. La force musculaire ne revient pas. Au dynamomètre on obtient : Mai
e peut siffler, souffler, faire la grimace. Et cependant l'atrophie musculaire est manifeste : on peut nettement la constater
uniquement la muqueuse et est bien le fait de l'atrophie des masses musculaires de la langue. La sensibilité de la langue au co
rs montré accompagné soit d'anesthésie superposée et de contracture musculaire sous-jacente,soit au moins de l'un de ces deux
rogressivement accentuée depuis la naissance. Motricité. La force musculaire au dynamomètre est la même des deux côtés (30).
r à nouveau cette théo- rie, et pour attaquer la conception du sens musculaire telle qu'elle res- sort des travaux expérimenta
là de quoi fouetter un chat ! Il s'agit de savoir si le terme sens musculaire mérite d'être conservé. Or, je crois que tout ine
tions occasion- nées par les organes moteurs : Revue sur le ...sens musculaire ! AI. Grasset lui-même, qui a fait « une place
s'expliquer certaines critiques qu'il m'adresse (3). (1) Du sens musculaire , Genève, 1897, p. 12, 36, 56. - NI. Bonnier m'acc
. - NI. Bonnier m'accuse de lui avoir, à propos de ce terme de sens musculaire , « joué le petit tour de dénaturer sa pensée »
D'ailleurs cette prétention, que M. Bonnier refuse au terme sens musculaire , d'être une appellation générale, il l'accorde be
3) Exner, Biol. Centralblatt, 1888. (4) V. HENNI, Revue sur le sens musculaire (Ann. psych., V, 455). (5) L'auteur d'une thèse
éfinissant comme une série de repos successifs... » (bourgeon, Sens musculaire , thèse de Paris 1901, p. 7). A PROPOS DU SOI-
UR BRISSAUD. SYRINGOMYÉLIE ; ARTHROPATHIE DE L'ÉPAULE; ATROPHIE MUSCULAIRE ET THERMO-ANALGÉSIE DU TYPE TRANSVERSAL PAR R
intellectuelles s'accentua ; le côté hémiplégie subit une .atrophie musculaire complète, une paraplégie incomplète spasmodique i
dité complète. En dernier lieu, la cachexie était extrême, la fonte musculaire complète aussi bien sur le tronc que dans les m
e. Depuis son entrée à l'asile, la malade a fait preuve d'une force musculaire peu commune pour une femme et, jusqu'au moment
e des lieux, ce qui subsiste des éléments tactiles, articulaires ou musculaires de nos représentations de ce genre a subi trop
rne des Hôpitaux de Lyon Les frontières élevées entre les atrophies musculaires myopathiques et les atrophies d'origine nerveus
otrophie Charcot-Marie ^atrophie neurotique de Hoff- mann) atrophie musculaire progressive familiale myélopathique de Werdnig
n dans l'enfance et le mode de propagation centrifuge de l'atrophie musculaire . Aussi Brissaud (1), Raymond (2) se sont-ils cr
erveuse des myopathies et il semble bien aujourd'hui que l'atrophie musculaire des myopathies soit sous la dépendance d'une alté
nelle du système nerveux (Brissaud) le résultat d'une trophonévrose musculaire (Erb, Raymond). Des cas nouveaux renforcenl, ch
uivre parallèlement dans leur disparition la disparition des fibres musculaires , sans modifications qualitatives. Pourtant, dan
ieurs est dû à une adipose sous-cutanée énorme qui masque défi- cit musculaire . L'atrophie musculaire, en effet, est considéra
e sous-cutanée énorme qui masque défi- cit musculaire. L'atrophie musculaire , en effet, est considérable et massive. On ne pal
uniformément molle, un manchon adipeux sans reliefs, sans saillies musculaires apparentes quand on commande au malade des mou-
t suivi dans toute sa hauteur sans qu'on n,y rencontre aucun paquet musculaire . A l'avant-bras, quelques fibres musculaires pe
rencontre aucun paquet musculaire. A l'avant-bras, quelques fibres musculaires persistent au niveau du bord radial. Au nivea
raît déjà à 50. En somme, diminution très marquée de l'excitabilité musculaire aux cou- rants faradiques en rapport avec l'atr
ausse hypertrophie des membres inférieurs. - Actuellement, atrophie musculaire étendue aux quatre membres, symétrique, totale
nes avec la doctrine muscu- laire pure, avec la théorie de la libre musculaire malade seule et prolopa- thiquement ? on se heu
observation s'ajoutera au nom- bre toujours croissant des atrophies musculaires à caractère mixte; mal- gré ses anomalies, nous
atissement latéral rendus peut-être plus nets encore par l'atrophie musculaire plus prononcée à gauche. L'extrémité inférieure
ulation tibio-tarsienne est ankylosée. A gauche, on sent des masses musculaires bien développées dans la saillie de la racine d
on était rendue des plus difficiles par le développement des masses musculaires , la radio- graphie nous montre un noyau osseux
s les muscles. Les muscles ont une structure nor- male ; les fibres musculaires ont leur striation transversale très nette comme
sculaires ont leur striation transversale très nette comme la fibre musculaire adulte. Les muscles sont bien proportionnés et nu
istribution régulière par des fibres bien proportionnées aux masses musculaires il est à peu près certain que les fibres nerveuse
de la main droite. La main a l'aspect de la main de singe. La force musculaire est nulle. La sensibilité est normale. Les musc
s, à gros noyau, et revêtue extérieurement d'une couche de cellules musculaires , lisses, et de quelques rares fibrilles conjonc
au d'une paraplégie des quatre membres, avec anesthésie et atrophie musculaire , quand dans une (1) E. Brissaud. Leçons sur les
enne). Atrophie des muscles du bras droit et de l'épaule. . Force musculaire = 0. Sensibilité normale. paraplégie cervical
t détruites (tubercule massif, par ex.) le tableau d'une atro- phie musculaire et même, si la tumeur est très diffuse, celui d'u
re d'ailleurs, de glycosurie et l'apparente conservation des masses musculaires . 11 est fait mention également dans l'observati
tronc peut encore être redressé, mais aux dépens de con- tractions musculaires qui exagèrent considérablement les douleurs éprou
éveloppée, ce qu'on ne peut pas attribuer à un lype de dystro- phie musculaire , mais à l'effet de l'exercice physique, ce garçon
ains sont grandes, mais pas de dimension disproportionnée, la force musculaire bonne, la pression de la main droite donne 13 kgr
eur ne sont nulle- ment modifiées sur aucun point du corps. Le sens musculaire , ce qui est plus étrange, est absolument conser
son, le tremblement est secondaire, il se sura- joute à une raideur musculaire toute spéciale qui se développe le plus souvent
lement, ni d'engourdissement du membre ; il a constaté que la force musculaire et la sensibilité étaient intactes. Le membre a
ation des doigts est normale malgré la flexion signalée. La force musculaire est sensiblement la même dans les deux bras, 90 k
est normale. La contractilité faradique est intacte et la secousse musculaire est identique dans les deux membres ; tous les
uelle que soit l'intensité des courants employés ; les contractions musculaires sont brèves et rapides. Le mouvement horizontal
Dans ce mou- vement comme dans le précédent, une forte contraction musculaire est néces- saire pour maintenir le membre dans
de est habituellement respecté dans la forme juvénile de l'atrophie musculaire progressive. D'ailleurs, l'atrophie musculaire es
vénile de l'atrophie musculaire progressive. D'ailleurs, l'atrophie musculaire est insignifiante, sinon tout à fait nulle, dan
s par la nature même des accidents. Ici, en effet, la con- traction musculaire qui détermine l'attitude de rotation du bras en d
contraire on voit des hypertrophies, conséquences d'hyperac- tivité musculaire dépendant uniquement de troubles fonctionnels; le
. Au lieu de se traduire par les changements de position, les actes musculaires coopèrent à la conservation d'une position » (2).
coopèrent à la conservation d'une position » (2). Les contractions musculaires sont souvent très fortes, et si les troubles mo
out du nez. Il n'y a d'ailleurs aucune paralysie ni aucune atrophie musculaire à droite. A gauche, tous les mouvements du bras e
de l'avant-bras on ne remarque aucune particularité squelettique ou musculaire . Seule l'artère radiale est pro- bablement d'un
, cet aplatissement ne traduit pas une absence complète de la masse musculaire , car tous les mouvements du doigt sont conservé
ns ultérieures qu'aurait acquises le tissu conjonctif. Les mas- ses musculaires sont constamment intéressées et il est de règle q
mateurs. Il est entendu que l'absence d'une artère ou d'un faisceau musculaire se produit à l'état isolé et l'on serait mal ve
es qui se relèvent dans la morphologie de la surface et des couches musculaires superficielles de la langue de notre pa- tient,
(fibres transverse) qui constitue la partie essentielle de la masse musculaire de la langue, et il arrive enfin et finit dans
taxiques. Pas de signe de Romberg. Pas de perte de la sensibilité musculaire . Légère atrophie musculaire dans le mollet du c
Romberg. Pas de perte de la sensibilité musculaire. Légère atrophie musculaire dans le mollet du côté malade. Appareil diges
ection, les membres supérieurs sont surtout atteints, les atrophies musculaires plus considérables, enfin souvent on trouve d'aut
la même cause des innervations irrésistibles et forcées des groupes musculaires et des organes divers. De là notre akathisie, de
nts et impulsifs. Mon premier cas est l'akathisie à l'instar du tic musculaire ou de la myo- clonie, le second représente le c
e le double de son diamètre normal (Voy. fig. A, ni). Les rameaux musculaires partant de ce tronc sont également jaunâtres, h
maintenir son état différencié. (1) Nous savons que les cellules musculaires , après régression cellulaire, sont su- sceptibl
n, du milieu de l'avant-bras jusqu'à l'ais- selle, avec ses rameaux musculaires . a, Névrome central du médian. b, Son bout péri
vue moteur par : l'opposition, la résistance constante, la raideur musculaire , l'immobilité d'attitude (stupeur catatonique),
et Beaufumé qui se distingue par la maigreur générale des masses musculaires des membres et de la face, la finesse des attache
s le tic to- nique il y a exagération de la durée de la contraction musculaire » (S) ; dans les deux variétés, il doit y avoir
étés, il doit y avoir en outre excès d'intensité des con- tractions musculaires . L'étude clinique établira à quelle catégorie d
ence clonique, mais il n'y a pas excès d'intensité des contractions musculaires ; les caractères de la contraction musculaire ne
ité des contractions musculaires ; les caractères de la contraction musculaire ne diffèrent (1) H. MEME et Feindel, loc. cit.,
ou tonique. Il représente une anomalie par excès de la contraction musculaire » (1). D'après cette définition, on ne peut dir
'un acte moteur qu'il revêt la forme clonique que si la contraction musculaire a des caractères de brus- querie et d'intensité
st pas un vrai tic, s'il n'y a pas de déformation de la contraction musculaire normale, soit en vitesse (clonisme), soit en du
cas, il doit y avoir, en outre, excès d'intensité des contractions musculaires . Sinon, on a affaire à une habitude motrice int
mais non pas en intensité puisqu'on ne remarque pas de contractions musculaires excessives de la langue. Chez les chevaux léche
angue. Chez les chevaux lécheurs les caractères de ces contractions musculaires ne dif- fèrent pas de ceux que celles-ci affect
entre la joue et la mâchoire. » Malgré sa rapidité, la contraction musculaire n'a pas l'apparence convulsive ; le geste est i
nse et de protection, « acte provoqué par une cause réelle, réponse musculaire parfaitement voulue, réfléchie, incontestable-
es cas de délire alcoo- lique continu examiné par eux, ce phénomène musculaire existait tou- jours. Considérant qu'une grande
par RICnoN, 84. Syringomyélie. Arthropathie de l'épaule. Atrophie musculaire et lheî,nio-ai2alg( ? sie du type transversal (
50 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 20, n° 115-120] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
âtres ; on conslate du dl'I'mugl'a- phisine. Le système osseux et musculaire esl bien développé ; la taille correspond à l'â
tation du bout central des conducteurs de la sensibilité et du sens musculaire à l'endroitlésé ; ce symptôme n'apparaît d'aprè
des convulsions toniques, de la paralysie, de l'anesthésie du sens musculaire seul, de l'amyotrophie. - L'éyolu- tion de l'hé
cordons latéraux. C'est, pour M. Bechterevv, à l'anesthésie du sens musculaire par lésion rigoureu- sement limitée du noyau le
oglie et les vaisseaux des centres ou des méninges, dont la tunique musculaire apparaît bleu-clair. Sont aussi distincts : les
s, in- coordination des membres supérieurs depuis deux ans, force musculaire conservée. Sensibilité tactile et à la douleur ab
brale, impressionnabilité, agoraphobie, anxiété, asthénie neuro- musculaire , troubles digestifs, vertiges, troubles de la sen
a nutrition, de stimuler le système nerveux, d'activerles fonctions musculaires et les sécrétions glan- dulaires. Le massage, l
mains (surtout pour serrer) à peu près égale des deux eûtes ; force musculaire bien conservée dans les autres segments Aucun t
mouvements plus que par une paresie véritable ; toutefois la force musculaire paraît être diminuée dans tous les seg- ments d
nsitif ailleurs : Trou- bles trophiques : Peut-être légère atrophie musculaire diffuse. Pas de troubles trophiques cutanés : R
éaires, Etat négatif du liquide cé- rébro-spinal dans la dystrophie musculaire progressif, dans la paralysie agitante ; dans l
fs et passifs des jambes sont totalement conservés et libres. Force musculaire partout normale. L'excitabilité musculaire méca
nservés et libres. Force musculaire partout normale. L'excitabilité musculaire mécanique n'est pas augmentée ; on ne constate
des voies qui servent à conduire la sensibilité tactile et le sens musculaire . 5. Voici le trajet suivi par la voie qui condu
IOLOGIE PATHOLOGIQUES. XXVIII. Contribution à la question de l'onde musculaire chez les aliénés ; par A. 1'ZARIÉGRADSICI. Cont
par A. 1'ZARIÉGRADSICI. Contribution à la valeur clinique de l'onde musculaire ; par E. X. Ivvanovv. (Obozrénié psichiatrii, V
asuistique à la contracture faciale to- / nique primitive avec onde musculaire ; par V. Vitek. Contribution à la casuistique d
laissé de côté les psychoses de l'enfance et de la jeunesse, l'onde musculaire étant à ces âges tenue pour physiologique. L'on
l'onde musculaire étant à ces âges tenue pour physiologique. L'onde musculaire apparaît tout particulièrement dans la confusio
pincé le biceps brachial, le grand pectoral, le trapèze : 1. L'onde musculaire ou contraction idiomusculaire, constitue un sig
action locale extérieure du muscle loca- lement excité ; les fibres musculaires se soulèvent au-dessus de la surface du muscle
le système nerveux entre directement en action. Il existe une* onde musculaire normale qui tient le milieu entre l'absence tot
rande majorité des gens bien portants (84 °/a) manifes- tent l'onde musculaire qui est d'ordinaire plus accentuée quand REVUE
e muscle vient de travailler ; cette exagération tient à la fatigue musculaire , à l'accumulation dans le muscle des produits de
, ainsi qu'à l'épuisement de l'influence des centres sur le système musculaire . 4. L'onde musculaire normale indique que la su
ent de l'influence des centres sur le système musculaire. 4. L'onde musculaire normale indique que la substance du muscle a so
activité va diminuer ; est- elle absente, c'est que l'excitabilité musculaire est'diminuée ou perdue temporairement ou pour t
clinique men- tale ou nerveuse enregistre ce qui suit : A. L'onde musculaire accentuée caractérise, de même que les ré- flex
xes exagérées; a) l'affaiblissement de l'activité vitale des tissus musculaire et nervew qui dépend de causes générales, l'épuis
ses membranes (proport, maxima 75 %). B. L'absence complète d'onde musculaire trahit un état patholo- gique du système nerveu
lo- gique du système nerveux en rapport : a) avec une suractivité musculaire parexcitation ou irritation du centre ou du condu
scle dépendant ou non du système nerveux, ex : myosi- tes, atrophie musculaire par inaction des ankyloses, 6° Chez le mourant
ion des ankyloses, 6° Chez le mourant il y a accentuation de l'onde musculaire au moment où la vie du tissu nerveux est presqu
rveux est presque complètement éteinte : cela prou- ve que le tissu musculaire possède son excitabilité propre, mais il y a li
'influence des centres nerveux. 7° Dans les psychoses aiguës l'onde musculaire accentuée et l'exagération des réflexes s'obser
tue une petite dépression qui fait place au renflement de la masse musculaire . Ces particularités sonten rapport avec le troubl
concerne des. contractions librillaires parcourant tout le système musculaire strié d'un homme de 41 ans ; il existe en sus d
autre symptôme. Cette affection du- re depuis deux ans.. Cette onde musculaire est pour l'auteur un symptôme de neurasthénie a
ême temps les muscles contractures sont devenus le siège d'une onde musculaire intense. Cet étal dure 3 semaines ; à la fin delà
5° lombaires et 1 rc sacrées. 132 SOCIÉTÉS SAVANTES. / Atrophie musculaire avec réactions électriques de la maladie de Tho
at-Jacob et l ? l'unoN présentent un malade afl'ecté d'une atrophie musculaire portant sur la face, la langue, la cein- ture s
une forme exception- nelle de cette affection, soit que l'atrophie musculaire ait évolué parallèlement, soit qu'elle ait succ
parallèlement, soit qu'elle ait succédé à une phase d'hypertrophie musculaire dont nous n'avons pas pu retrouver la trace dans
pour sa thèse intitulée : Revue critique et clinique des atrophies musculaires progressives. M. 13. Séance du 29 mai. - Présid
rection suffisante. Dans les paralysies, quoique la contractitité musculaire soit amoindrie, la psychothérapie est indiquée
celle du tact (procédé de la sommation du Dr Egger), celle du sens musculaire , celle de la vue (surtout dans la nyctalopie, l
rvu d'attention et ne sachant pas parler, de l'éducation du système musculaire à celle du système nerveux et des sens, de cell
urs, d abord de la force du choc de de percussion, ensuite du tonus musculaire . Il en résulte que sur un sujet qui présente un
eux abolis. Réaction de dégénérescence complète de tous les groupes musculaires atrophiés. Toutes les sensibilités sont intacte
voqué par le déplacement du tendon, qui excite les filets sensitifs musculaires . Le résultat que j'ai obtenu concorde parfaitem
tions internes ou périphériques, pour y répondre par des ac- tes musculaires excessifs ; on comprend que les tics des muscle
clinique ne révèle que l'a- maigrissement, l'émaciation des masses musculaires thoraci- ques et les troubles respiratoires que
réglées,comme celles des autres centres moteurs, par des sensations musculaires , articulaires, etc. 11 s'ensuit que les lésions
deux facteurs : 1° les troubles vaso-moteurs ; 2° la perte du tonus musculaire . Cette der- nière résulte à son tour de la supp
ttre en action des mécanismes semblables pour pro- duire l'atrophie musculaire . Note anatomo-clinique sur un cas d'hémiplégie
diaire, et à l'arrière est le siège de la mémoire qui con- ATROPHIE MUSCULAIRE DU TYPE ARAN-DUCHENNE. 213 serve les imagesdu p
ère à une étude beaucoup plus dé- veloppée que la nôtre. Atrophie musculaire du type Aran-Duchenne d'origine syphilitique.
rante-sept ans, chez lequel évolue depuis seize ans une atro- phie musculaire ayant débuté par les mains et présentant tous l
sset, 1, rue Casimir-Delavigne.) . CuLLEnnE (A.). Des rétractions musculaires et de l'amyulro- phie consécutives aux contract
Lorsque la moelle épinière existe seule, on observe des mouvements musculaires , mais les fonctions végétatives ne sont point a
. 594). h. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE I. Myotonie avec atrophie musculaire ; par Lannois. (11'o2sv. Icon. de la Salpâtrièr
exe rotulien) quien réalité reconnaissaient pour cause une atrophie musculaire à distribu- tion segmentaire occupant les avant
itpasosé rapprocher sans elles. C'est ainsi que, pour les atrophies musculaires progressives, le type Werdnig- Iloillnann est v
cence primitive du protoneurone moteur ou de son annexe, la fibre musculaire . Et il y a lieu de prévoir que l'oeuvre de synthè
nue, quoique cliniquement définie ; caractérisée par des paralysies musculaires avec asthénie sans atrophie, sans réactions éle
plus accusés et des lésions avancées de la sensibilité, l'atrophie musculaire est ex- trêmement faible. (Schlesinger, Marines
la sensibilité qu'une ano- malie à peine marquée du tact et du sens musculaire . Celle perte du sens stéréognoslique doit tenir
ie ET DE PHYSIOLOGIE pathologiques. qu'à l'extrémité. Les faisceaux musculaires sont constitués de libres plus ou moins dégénér
un tissu-interstitiel épaissi, de nature fibro-adipeuse. Les fibres musculaires sont soit normales, soit hypertrophiées ou atro
chisseurs, avaient conservé intactes le plus grand nombre de libres musculaires en même temps que le tissu de sclérose y était
Quelle est l'origine du tissu interstitiel qui remplace les libres musculaires disparues'' Les auteurs reconnaissent une part de
éories avant cours sur ce point : d'une part la sclérose des fibres musculaires (théorie de Krusing), d'au- tre part et surtout
ux qui sont occupes il l'air libre et déploient une grande activité musculaire , en sont généralement exempts. Les travaux pr
trahissent un défaut dans la commande ou l'obéissance du sys- tème musculaire . Les troubles p·cltograp11111ueJ concernent les
Ù(' ! acOI1"Ciellce. P. 1\.l : R.\YAL. rI. De l'état des réflexes musculaires et autres de la face dans la démence paralytiqu
rrêter cette grimace. L'association de l'exagération dps 1'("fJp"l' musculaires de la face u collc des réflexe- maxillaire infé
ans la forme tabétique de la paralysie générale, les 1'I',lIl'.\('5 musculaires el autres de la face sont parfois exagérés. Pal l
avant présente brusquement une paraplégie flasque a\ec relâchement musculaire et atonie complète, une exagération des réflexe
ut en relief dans ce cas, c'est, la dissociation de l'état du tonus musculaire et das oele.res tendineur. r.rnxxen histologiqu
par un il'aspect caractéristique dans la configuration des i-eliel, musculaires du Irn : la simple inspection de celle 1'1"- ;;
vite le : Pln· graves nom- plications. C. 1;. : \ \\'1. - Atrophie musculaire et bradycardie ; pal' .\1.'1. lî. Lkpine et .1.
mèd. des hôpitau.r de Lyon Hte\rierl"0.j.) Observation d'atrophie musculaire progressive nnélopalhique avec abolition des ru
par des phénomènes de déficit. e, C, \ \1'll.- Deux cas d'atrophies musculaires ; par il .M. Lt : nts E el I'romknt. (6'oc. mèd
(6'oc. mèd. des 7 ? Lijon, Ii janvier l'JO. J Deux cas d'atrophies musculaires : le premier répondant au Iype classique des l1
l1l)oçaLhies; le deuxième correspondant il celle classe d'atrophies musculaires intermédiaires entre les myo- pathies et les nn
ie de Thomsen et sont un argument cli- nique en faveur de la nature musculaire de celle dernière. (i. Carrier. .\.\ 1 X ? At
e musculaire de celle dernière. (i. Carrier. .\.\ 1 X ? Atrophies musculaires névritiques; pal' .\1.'1. LÉI'I\I : et hoao'r.
paralytiques sont plus étendus que le domaine du radial, L'atrophie musculaire est difluso tous les ligaments du bras, sans au
rural elle sciatique poplité externe; d'au- tres fois, la faiblesse musculaire est diffuse et s'accompagne, dans les cas grave
de fatigue intense. En général, les réflexes tendineux et le tonus musculaire sont di- minués, mais aussi on peut voir l'hypo
omène des orteils en extension nette des deux côtés. Pas d'atrophie musculaire . Signe d'Argill flohertson à la pupille gauche
LOGIQUE. puis état catatonique et; attitudes figées, tremblements musculaires , hébétude transitoire avec cyanose des ex- trém
microbes dans le sang des mala- ' * des qui présentent une activité musculaire extrême. ' Dans la même séance, M. Minot, répon
nerveux. Syphilis des centres nerveux. Paralysie générale. Atrophie musculaire progressive ; Atrophies musculaires en général.
. Paralysie générale. Atrophie musculaire progressive ; Atrophies musculaires en général. Myopathies. Polynévrites. Paralysies
ment, par Faure, p. 235. ' Atiiéromateux. Voir Parésie,. Atrophie musculaire . Vo;r Thomsrl1. - numérique. Voir Anomalies c
ire. Vo;r Thomsrl1. - numérique. Voir Anomalies congénitales. z musculaire du type Aran-Du- chenne d'origine syphilitique,
243. mns- ¡ABU; DES M.\ 1 Ii.RES. 303 culaire. Voir JJyotonie. musculaire et bradycardie, par Lépine et Froment, p. 399
dycardie, par Lépine et Froment, p. 399. Deux cas 1 d'atrophies musculaires , par Lépine et Froment, p. 399. - muscu- lair
Charpentier, par Kiki- tine, p. 39. Bradycardie. Voir Atrophie musculaire . Bromure. Voir Epilepsie. Bulbe. Voir Pseudom
9. Contractions. Voir Purur(sir. Contracture faciale. Voir Onde musculaire . Cit.%NIEC;TO311E. Présentation de pièces ana
terme de sejnnctiva, par Gross, p. 386. De l'état des réflexes musculaires et autres de la face dans la paralytique, par
'- habituel chez les garçons^ par de Bechte- row, p. 389. 01;1E musculaire . Contribution à la question de l'- chez les a
omènes lucotoniques, 'par Foss, 17. 122. TaoatsE.r. ltropllit : musculaire ^ avec réactions électriques de - ]amatadiedo
51 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
- clinaison est, par conséquent, due, au début, à une contraction musculaire qui doit cesser lorsque le ma- lade se met dans
normale contraste avec l'intégrité de la sensibilité, de la force musculaire , et de la coordination des autres mouvements de
définition qu'on a lue implique l'idée de para- lysie de synergies musculaires déterminées, c'est-à- dire de mouvements systém
- servatiôn de la coordination volontaire,' c'est-à-dire du sens musculaire ; en clinique elle se distingue par les résulta
Le mot astasie a été déjà employé par Gubler. Il appelait « astasie musculaire ,, une variété de tremblement saturnin précurseur
SE. cependant, le sujet couché a conservé l'intégrité de la force musculaire et la précision des mouvements des membres. On
terminer le champ des couleurs à cause de la fatigue et des spasmes musculaires . Dès le début du traitement, il y eut une améli
sultation de M. Charcot qui constata qu'au lit, cependant, la force musculaire était absolument intacte dans les membres infér
On s'assure aisément, du reste, de la conservation de la vigueur musculaire des membres inférieurs eu lui faisant étendre la
a à l'observer avec le plus grand soin. La sensibilité et l'énergie musculaire des deux membres infé- rieurs étaient normales.
près, se développe la para- plégie spéciale. Au lit, la puissance musculaire des membres inférieurs est con- sidérable, tout
urs soit impossible. Il n'y a pas de contracture, mais l'adaptation musculaire pour la marche et pour la station sont choses i
on épileptoïde. Il n'y a pas d'anesthésie, ni de diminution du sens musculaire . Couchée au lit, les membres inférieurs sont fl
bres inférieurs, on cons- tate qu'il n'y a pas d'atrophie; la force musculaire est conservée, et les mouvements sont coordonné
sensibilité cutanée est légèrement diminuée du côté gauche. Le sens musculaire est intact. Les réflexes tendineux sont pres- q
BASIE. 51 pli de l'aine (sensibilité cutanée et articulaire et sens musculaire .) Les réflexes sont normaux. La puissance muscu
ulaire et sens musculaire.) Les réflexes sont normaux. La puissance musculaire est très diminuée; la malade résiste mal aux mo
pidation qui l'envahit également. C'est à cette hyperexcita- bilité musculaire qu'il est logique d'attribuer la convulsion des
itabilité de l'appareil locomoteur ; 2° modifications de latonicité musculaire ; 3° phénomènes mo- teurs paradoxaux; 4° mouveme
oses aiguës sous la forme de semi-rigidités ou de semi- convulsions musculaires revêtant l'aspect d'accès n'ayant rien à voir a
Etat anatomique des muscles dans la forme juvénile de la dystrophie musculaire progressive. (Voy. Neurolug. Centrvlbl., 188G'.
Laquer (de Francfort). Communication sur un cas d'hy- 2ca'tropleie musculaire généralisée véritable. Il s'agit d'un véritable
des extrémités (exclusivement sur les fléchisseurs), de la raideur musculaire , une tension très in- tense et très étendue dan
intégrité de la sensibilité dans tous ses modes; intégrité du sens musculaire . Lésion avec enfoncement des deux tiers supérie
infructueux de marcher malgré l'ap- pui de deux personnes; parésie musculaire , surtout de la jambe droite; épuisement des réf
l'électrisation galvanique de la colonne vertébrale et des groupes musculaires traités indivi- duellement, amélioration lente
ur sourde, un poids, la sensation qu'on éprouve à une forte tension musculaire et peu à peu se développa la scoliose. Vers l'é
imitant par la partie supé- rieure du corps ; faiblesse et atrophie musculaire nettement accusée dans la sphère de l'anesthési
alt la djllérene de 10 ? 170 PATHOLOGIE NERVEUSE. des soubresauts musculaires , de la scoliose, des troubles subjectifs de la
e l'avant-bras gauche par de- vant 20, du droit 40 mil. , Le sens musculaire est conservé. Organes des sens. La vue, d'après
d'altérations notables des extrémités articulaires. Pas d'atrophie musculaire ni à l'épaule gauche, ni dans d'autres endroits
duits, on n'observe pas de diminution de l'excitabilité nerveuse et musculaire , comparativement au côté - 176 6 PATHOLOGIE N
s quoi elle partit pour la campagne. Tous les symptômes (atrophie musculaire , anes- Archives, t. XV. , 12 178 pathologie N
lisée. - Anesthésie limitée de la main. - Pareslliésies. Atrophie musculaire progressive de la main. Phelgmon, panaris, etc.,
LA GLIOMATOSE MÉDULLAIRE. 179 Il n'y a jamais eu de cas d'atrophie musculaire , de para- lysies, de psychoses, etc., dans sa f
s de contraction. Main droite. Il n'existe nulle part de l'atrophie musculaire , le petit doigt est fléchi dans l'articulation
aut, mais à un degré peu marqué. Point de phénomènes d'hypertonie musculaire . Les réflexes tendineux sont conservés dans la
pression entre 300 et 350 grammes sur les paumes des mains. Le sens musculaire est conservé. Le sens de la température est aff
lles par- tent de la bouche d'un ouvrier. last nos least atrophie musculaire ayant le caractère de l'atrophie musculaire pro
st nos least atrophie musculaire ayant le caractère de l'atrophie musculaire progressive protopathique spinale, pour laquell
ace considérable dans d'autres observations également. L'atrophie musculaire associée à l'anesthésie par- tielle diffuse con
ynamométrique des muscles des mêmes membres persiste, la conscience musculaire est in- demne ; enfin, le malade exécute, avec
n'avons pu faire d'observations concernant d'autres combinaisons musculaires comme la danse, la nata- tion, le patinage, etc
s lever. Le fait capital reste, en somme, l'intégrité des actes musculaires dans le décubitus, et leur non-appropria- tion
rdination motrice qui se manifeste sur des membres privés du sens musculaire et articulaire lors d'occlusion des yeux, n'est
e l'exer- cice de la fonction à l'exécution de laquelle ce groupe musculaire est préposé. DE l'astasie ET DE l'abasie. 197
l'enchevêtrement d'ordres et de contre- ordres à envoyer aux fibres musculaires . Le travail s'accomplit sous une direction comp
ement de ce double mécanisme il puisse se produire des contractions musculaires là où il faudrait un relâchement, et, dans de c
on des différents états psy- chiques en relation avec des symptômes musculaires , elle en différerait au contraire par la qualit
omplication due secondairement à la Catatonie elle-même, la raideur musculaire amenant une respiration incomplète qui permet à
ns symptômes neuro-moteurs, il se développe du mutisme sans raideur musculaire et sans changement des troubles intellectuels m
n les cas où la conscience est suffisamment anéantie, la résolution musculaire assez complète et prolongée pour que ces phénom
ue toujours une contracture de quelques muscles, si même le système musculaire n'est pas contracturé en totalité. Cette consta
us dit, dans les cas moins accentués, ceux-là même où la résolution musculaire semble complète (Obs. de Gairdner), il existe t
e complète (Obs. de Gairdner), il existe toujours un certain groupe musculaire où se localise très spécialement la contracture
e sommeil, con- vulsions générales sans écume à la bouche; la force musculaire était augmentée d'une manière étonnante; cinq o
a chorée, la catalepsie et un véritable tétanos, avec forte raideur musculaire , trismus et impossibilité de la déglu- tition ;
égie, ceux dans lesquels l'hémiplégie faisant défaut, la résolution musculaire étant plus ou moins complète, la paralysie ou l
commissure labiale s'entr'ouvre à ce moment de ce côté, la tonicité musculaire faisant défaut; du côté sain, la commissure est
u côté sain, la commissure est relevée par prédominance de l'action musculaire ; enfin, la langue est tirée du côté paralysé.
ut, on aura pour se guider la constatation de l'hyperexcitabilité musculaire spéciale à ce dernier état. Nous savons néanmoins
nts et paralysie apparente contrastant avec l'intégrité de la force musculaire , tels sont, disait-il, les caractères fondament
rant de l'année 1876, et fut constitué par des crises de courbature musculaire . Sans avoir fait de travaux pénibles Pur.. épro
ait aucun exercice exagéré, un sentiment de fatigue, de brisement musculaire tout à fait semblable à celui que j'avais ressent
s spontanément après un moment de repos. Ces crises de courbature musculaire persistèrent pendant les mois d'avril, mai, jui
ait incapable de faire une longue course. Il n'y a pas d'atrophie musculaire , ni d'adipose sous-cutanée, ni de troubles trop
rs jours, durait depuis plus d'un mois, sans que la contractilité musculaire et l'excito-motricité du nerf fussent modi- fié
425 formes ou états cataleptiformes et même les simples raideurs musculaires . En somme nous rencontrons là, isolées ou même
ossibles dans le domaine du système nerveux moteur et des fonctions musculaires (sauf pourtant les paralysies). Sans con- sidér
lté neuro-musculaire de la léthargie, l'hyperexcitahilité cutano- musculaire du somnambulisme, on peut rencontrer aussi chez
e du somnambulisme, on peut rencontrer aussi chez eux la plasticité musculaire de la catalepsie. Lasègue '' avait déjà signalé
ire et ont rapporté de nouveaux exemples de ces faits de plasticité musculaire à l'état de veille. ' Krafft-Ebing. Lelarbuch.
au tact, à la dou- leur, à la température. Pas de troubles du sens musculaire . Ce malade a la faculté singulière de conserver
ix ans. Epileptique depuis l'âge de dix-neuf ans. Petites secousses musculaires . Même propriété que l'autre malade, même plus p
eurs aucun signe d'hystérie, aucune perte de sensibilité ou du sens musculaire . Ces troubles moteurs sont encore accentués dan
ntait ces manifestations sous trois formes diffé- rentes, secousses musculaires , raideurs généralisées et aussi de l'immobilité
éflexe exagérée des muscles (tétanie), états d'exagération du tonus musculaire (catalepsie), et états de distribution anor- ma
tre dernière observation, s'expli- quer par des altérations du sens musculaire . B. - Mais à côté de ces symptômes il en est d'
ciale, la notion de position, la direction des mouvements, la force musculaire sont conservées. Il en est de même du réflexe à
AVEC IMBÉCILLITÉ. 435 particuliers. Sous l'influence des exercices musculaires , on parvient d'abord à faire tenir les malades
), les troubles 12-oplti*- ques (arthropathies, fractures, atrophie musculaire , eschares) qui compliquent si souvent l'ataxie
t plus possibles et enfin, aux périodes les plus avancées, la force musculaire s'affaiblit et les malades demeurent confinés a
ec ou sans l'atteinte con- comitante du sens chromatique et du sens musculaire . Sous le titre d'aliénés, M. Thomsen entend dés
euses ne conduisaient plus le son ; dans le cas de troubles du sens musculaire on a toujours noté l'anesthésie du même côté, l
urs pas toujours vrai. Il existe une étroite relation entre le sens musculaire et la finesse du tact à l'égard des menus objet
inférieures, troubles considérables de la sensi- bilité et du sens musculaire . Atrophie de la jambe gauche dans les régions d
ural, sciatique et radial - médian et cubital. Les petites branches musculaires sont très affectées. La lésion consiste en une
ication des noyaux dans les oculo- moteurs externes. Dégénérescence musculaire correspondante. Séance du 10 janvier 1887. - Pr
nes, a vu se développer graduellement de la paralysie avec atrophie musculaire de l'érni- nence thénar droite due certainement
années sont toujours caractérisés par la co-existence de l'atrophie musculaire et d'une paralysie partielle de la sensibilité
térieures, faible des nerfs périphériques, même dans leurs branches musculaires . M. Remak présente un malade atteint de parésie
d'un appareil d'Esmarch). Il traite enfin d'une forme de convulsion musculaire idiopathique, rappelant le tétanos, mais en dif
52 (1901) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 14]
illement de la bouche. 2° Des traces d'hémiplégie droite : la force musculaire du membre supé- rieur droit est affaiblie. Les
p visuel. 5) Quant à la sensibilité, on trouve les troubles du sens musculaire du côté droit tandis que du côté gauche ce sens
usque, l'arrêt du développement de la maladie, le manque d'atrophie musculaire , de contractions fibril- laires et de réaction
t, il est très vraisem- blable qu'il s'agit ici d'une pseudo-hernie musculaire , développée sans doute aux dépens du muscle ten
développés. En aucun point, il n'existe d'hypotonie ou de faiblesse musculaire ; pas de mobilité anormale des autres articulati
gauche. Les autres jointures (membre supérieur, etc.) et le système musculaire du reste de l'organisme paraissent absolument s
éviation chez les coxalgiques. Des trois grandes théories (osseuse, musculaire , ligamenteuse), que l'on pourrait concevoir, les
osseuse a contre elle l'absence de lésion du squelette. La théorie musculaire ne pourrait être défendue avec succès, puisqu'i
cture; on pourrait sans doute invoquer la fai- blesse et l'atrophie musculaires constatées pendant la coxalgie, en les con- sid
on (in- terprétation analogue en somme à l'hypothèse de l'hypotonie musculaire , à laquelle Faure et Frenkel rattachent la poss
sain, il n'existe sur celui-ci ni faiblesse, ni atrophie du système musculaire . On 58 1 GASNE ET COURTELLEMONT pourrait néan
xiste à la partie supérieure de la cuisse gauche une pseudo- hernie musculaire ; la rupture du tenseur du fascia lata pourrait êt
logiques qu'il faut écarter; enfin il n'existe pas trace d'atrophie musculaire , ni sur le groupe postérieur, ni sur le groupe an
varum, genu recurvatum) survenues sans lésion osseuse, sans trouble musculaire (faiblesse, hypotonie, atrophie), et en dehors de
enre constituent une objection sérieure à la théorie de l'hypotonie musculaire , émise par Fren- kel et Faure pour expliquer la
ent en effet qu'on peut observer, sans qu'il y ait tabes ou trouble musculaire quelconque, une mobilité articulaire beaucoup plu
pien, sur sa face palmaire et sur ses cô- tés, on voit des saillies musculaires bien développées qui paraissent correspon dre c
nnelles, nous comprenons tous les troubles fonctionnels, nerveux ou musculaires , survenant à la suite de l'usage excessif et ma
ns ce cas, des lésions dégénératives des nerfs moteurs de ce groupe musculaire . Il y a aussi une légère anesthésie de la partie
en effet, à l'esprit, c'est qu'il s'agit ici d'un début d'atrophie musculaire progressive, qui commence, comme on le sait, pa
nous n'avons jamais pu retrouver les autres symptômes de l'atrophie musculaire progressive ; sa main gauche, en particulier, est
ipale cause est la prolongation dans une fausse position du travail musculaire . A l'appui de cette remarque, nous publierons l
e diminution notable du côté cubital de l'avant-bras et de la masse musculaire des fléchisseurs du pouce, une grande diminutio
as -et de quelques-uns des muscles du pouce, c'est-à-dire du groupe musculaire physiologique employé pour effectuer son travail
lisés, ceux-ci tendent, à la longue, à s'étendre aux autres groupes musculaires , et à empêcher ainsi tout mouvement. Par ordre de
deur (crampe ou spasme tonique) ; B) La douleur ; c) La fai- blesse musculaire ] D) Le tremblement ; F) L'atrophie ou quelquefois
'ensuit pas que le spasme soit toujours douloureux. C. La faiblesse musculaire est due rarement à de la paralysie complète, ma
des cas, on n'ob- serve aucune altération apparente de la nutrition musculaire . Cependant la paralysie peut s'accompagner (['a
ière de ces localisations. Bien que la répétition de la contraction musculaire puisse, comme on l'a dit, produire certains des
e ces sujets fatiguent spécialement les nerfs qui président au sens musculaire (ces derniers étant, en effet, dégénérés dans l
travail prolongé 158 THOMAS D. SAVILL et répété d'un même groupe musculaire . C'est une question de moindre importance que d
S'il est possible d'inter- venir dès le début et d'obtenir le repos musculaire complet, on peut pro- duire une grande améliora
lle des autres cellules motrices. Lorsque la crampe ou la faiblesse musculaire n'apparaît uniquement qu'à l'occasion d'une seu
serré, plus librement, et de façon à ne pas exiger de contractions musculaires . Il est aussi de très bonne pratique de lui ord
et ingénieux, on peut éviter les grands efforts de certains groupes musculaires . Ainsi le malade, atteint de la crampe des écri
ble principale- ment provenir d'un défaut de synergie dans la force musculaire : certains groupes de muscles étant plus faible
clérodermique. C'est dans ces formes-là que l'on voit ces atrophies musculaires , ces mains réduites à des moignons. Sans doute,
avants belges rapprochent la phagocytose nerveuse de la phagocytose musculaire . Le tissu interstitiel nerveux est comparable a
ibilités spéciales. - I. - Sensibilité à la pression el sensibilité musculaire . - Objets employés, deux poids de 100 grammes et
rts » dit-il, et plus livides encore qu'à l'ordinaire. - La force musculaire est notablemeut diminuée à gauche, du moins pour
é à une paralysie (or ici il y a une notable diminution de la force musculaire à gauche). Mais ce n'est pas de l'oedème que pr
re; sans compter une diminution de l'acuité auditive et de la force musculaire à gauche et un léger défaut de convergence des
rones de la sensibilité tactile ; 3° des neurones de la sensibilité musculaire ; 4° des neurones de la sensibilité thermique; 5°
face externe des membres, au dos, aux fesses, etc. La sensibilité musculaire qui n'est qu'une forme de la sensibilité tac- t
ères de l'asthénopie hysté- rique. - A quoi sont dus ces troubles musculaires ? Tout d'abord je ferai remar- quer que les cyl
utres se réfléchissent immédiatement sur les muscles, d'où le tonus musculaire . (A celles-ci s'ajoutent du reste celles qui ré
raîné le non-développement ou tout au moins l'altération des fibres musculaires vaso-constrictrices dans toute la région occupée
l'action élastique des parois prédominant dès lors sur leur action musculaire . Ce dicrotisme a donc la même pathogénie que ce
acture plus prononcée à gauche. 9° Par une diminution de la force musculaire à gauche. 10° Par une exagération du réflexe de
t comme tassés sur eux-mêmes et le parfait développement des masses musculaires donne ainsi à notre malade l'aspect d'un petit
T et épais relativement à leur longueur ; les saillies d'insertions musculaires sont très marquées ; les arêtes et les angles n
nservée sous tous ses modes (contact, douleur, froid et chaud, sens musculaire ). On a constaté plusieurs fois une sensibilité,
e. Pas de phénomènes hémiplé- giques nets, conservation de la force musculaire . - Eschare superficielle sur la fesse droite ;
'achondroplasie arrive seule à réaliser. L'exagération des saillies musculaires et osseuses donne aux achondro- plasiques, malg
èrement à gauche, mais non abolis. Soubresauts des tendons, crampes musculaires , secousses fibrillaires, sens musculaire intact.
auts des tendons, crampes musculaires, secousses fibrillaires, sens musculaire intact. Pas d'anesthésie tactile, mais retard d
fond de l'oeil. Secousses fibrillaires à la langue. Pas d'atrophie musculaire . Examen de llT. P. Londe, 894. - Les réflexes r
titubante si le malade pouvait marcher seul. Mais quoique la force musculaire soit conservée, il traîne la pointe des pieds s
as été fait mention dans les examens antérieurs, c'est une atrophie musculaire des extrémités. Malheureusement il est impossib
i l'existence de mouve- ments spontanés. Les sensibilités tactiles, musculaires thermiques, la sen- sibilité à la douleur,-sais
révèle rien de particulier du côté de la force et de la résistance musculaire . La sensibilité superficielle est normale dans to
roite (PI. LIV). Les mains sont normales. Il n'y a pas d'atrophie musculaire aux différents segments et les réflexes ten- di
ns osseuses sont en grande partie sous la dépendance des insertions musculaires . On savait déjà que les muscles modelaient les
l'autopsie, et il explique suffisamment la déforma- tion d'origine musculaire qui se voit sur les os, au début du processus pa-
ie et adhérente aux organes voisins, contient par endroits du tissu musculaire et graisseux. De larges bandes de tissu fibreux,
iques est un fait avéré. On l'observe conjointement avec l'atrophie musculaire , ou avec les déformations osseuses (réfactions
dans les myopa- thies, etc.). Ainsi les dyslrophies conjonctive, musculaire et osseuse sont souvent coexistanles; cependant
t s'observer isolément. Le pro- cessus dystrophique peut n'être que musculaire ; il peut n'être que con- jonctif. r.. La dys
e musculaire ; il peut n'être que con- jonctif. r.. La dystrophie musculaire se manifeste généralement sous la forme atrophi
différents systèmes, la coexistence de troubles trophiques osseux, musculaires et conjonctifs, à la suite de lésions des corne
eut observer isolément des troubles tro- phiques du système osseux, musculaire ou conjonctif, autorise à admettre l'existence
les formes familiales surtout, demeurant parallèles à la dystrophie musculaire pro- gressive. Le trophoedème chronique, dyst
oedémateuse, offre en effet, plus d'une analogie avec la dystrophie musculaire . Nous y avons longuement insisté autrefois. L
procher des myopathies juvéniles. Enfin, comme dans la dystro- phie musculaire , aucun traitement n'est capable de modifier les p
admet, comme les faits tendent à le démontrer, que la dystro- phie musculaire est commandée par une altération des centres trop
oubles trophiques, osseux, comme dans un cas de Vidal (de Lyon), ou musculaires . D'ailleurs, le trophoedème chronique peut être
e beaucoup de cette singulière combinaison symptomatique : atrophie musculaire , poly- sarcie sous-cutanée. - Duchenne de Bou
avait coutume de faire des plis à la peau, pour dépister l'atrophie musculaire , alors que, de prime abord, elle n'apparaissait
« l'abondance du tissu adipeux sous-cutané peut masquer l'atrophie musculaire (p. 488) ». Il répète plus loin la même observa
considérable». ». - La surcharge graisseuse accompagnant l'atrophie musculaire sympto- matique d'affections de la moelle est u
ns d'adipose sous-cutanée dans la paralysie infantile avec atrophie musculaire : « Les conclusions à tirer de mes re cherches,
ullaires, aux méninao-myélites, en un mot dans toutes les atrophies musculaires qu'on décrit sous le nom d'amyolrophies deutéro
pinale ; 3° rarement (si tant est qu'elle existe) dans l'a- trophie musculaire progressive. Evidemment, conclut Vergnes, il faut
rtrophie du tissu cellulo-graisseux accom- pagne parfois l'atrophie musculaire et qu'elle posséderait même quelque droit à fig
'on la rencontre le plus souvent marchant de pair avec l'atro- phie musculaire , elle n'en est pas le corollaire obligé et peut s
lysie peut être très fugace, pas- ser même inaperçue, et l'atrophie musculaire n'en être pas moins très prononcée. Il pourra r
re et aboutissant en peu de jours à un retour complet des fonctions musculaires , être suivie cependant de lésions trophiques osse
d'un autre membre ira jusqu'à 5 ou 6 centimètres, quoique la lésion musculaire y soit restée localisée dans un ou deux muscles
t Boulloche (3), la paralysie infantile n'aboutit à aucune atrophie musculaire : les muscles ont conservé leur force et leur d
xclusion de certains autres, encore faut-il (1) Brissaud, Atrophies musculaires tardives consécutives à la paralysie infantile,
sous-cutané, est admise sans conteste en ce qui concerne l'atrophie musculaire qu'elle a suivie. A vrai dire, l'intérêt des ob
ans ce fait qu'elles pour- raient bien naître comme les altérations musculaires et cutanées dites tro- phiques, qu'elles pourra
ées, ne se trouve sous la dépendance 486 E. RAPIN de la macilence musculaire , mais bien sous la dépendance d'une lésion coex
and la malade parle, le côté droit de la face grimace. , La force musculaire est diminée droite et à gauche pour le membre.
, vers le tiers supérieur. Cependant, dès qu'on atteint les couches musculaires profondes, la malade accuse une réaction qui dé
'aboutir à une atrophie 506 H. MABILLE limitée à certains groupes musculaires , nous notons au contraire une hy- pertrophie én
comme une dystrophie conjonctive, au même titre que les dystrophies musculaires , relevant d'une altération des centres nerveux, q
t en retard pour la dentition, elle n'a que seize dents. La force musculaire est égale des deux côtes; il en est de même pour
alie, de la peau, de la sensibilité, de la température, de la force musculaire . Les ré- flexes patellaires sont égaux et non e
histologique, du moins à une constitution un peu spéciale du tissu musculaire dans les parties hypertrophiées, de sorte que,sui
cula- ture est intacte : s'il y a un certain degré d'amaigrissement musculaire , il est général et dû à la tuberculose; l'exame
nt paru sains, il n'y avait nulle part d'altération, ni de la chair musculaire , ni des tendons ; les gaines synoviales tendine
53 (1893) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 06] : clinique des maladies du système nerveux
bres inférieurs sont du reste bien conservés en tant que résistance musculaire . La démarche offre le caractère spasmodique : l
pression des masses 0 NOUVELLE 1CONOGIi.IYlll DE LA SALPÊTRIÈRE. musculaires des deux mollets fort flasques et amaigris est tr
ait : d'une part (1) Charcot. Révision nosog·aplcique des a'op/tt'M musculaires progressives (leçon re- cueillie par Pierre Mar
; il a montré l'hyper- trophie dans la forme juvénile de l'atrophie musculaire (myopathie avec prédominance de l'atrophie). Il
lumineux, surtout au niveau des pre- mières phalanges. Les masses musculaires sont très fermes au deltoïde, au trapèze, aux mus
droit. Pas d'anes- thésie pharyngée. Conservation parfaite du sens musculaire . Eu octobre 1890, le malade a eu une hydarthros
e sont en général dans les amyotrophies myé- lopatiliques (atrophie musculaire progressive de Duchenne-Aran, sclérose latérale
lrophie et non pas de la conser- vation relative de quelques masses musculaires et cela pour plusieurs rai- sons. Tout d'abor
RIÈRE. admette qu'il s'agissait là de véritable pseudo-hypertrophie musculaire . L'observation ci-dessus pourrait à la rigueur,
, lorsqu'il décrivit la forme infantile héré- ditaire de l'atrophie musculaire progressive, qu'il rattachait à tort aux amyotr
maintenir. Ce sont bien là les caractères de la pseudo-hypertrophie musculaire : un mus- cle gros et dur, mais impuissant. D
nnel d'autre part, est le signe distinctif de cette sorte de lésion musculaire . Quant à la conclusion qu'on en peut tirer, ell
membres du côté droit ne tarde pas à s'accompagner de leur atrophie musculaire ; cette atrophie, quoique généralisée, est plus m
rophie, quoique généralisée, est plus marquée pour certains groupes musculaires . Le muscle deltoïde droit est particulièrement
racture avait suivi la paralysie flasque des membres, el l'atrophie musculaire avait suivi la contracture. N'est-ce pas ta le
s dans presque tous ces cas, ce qui avait fait attribuer l'atrophie musculaire à l'hystérie, c'étaient les caractères nettement
udo-athétose, et dans l'observation II la contracture avec atrophie musculaire . Mais il existe des types moins complets d'hémi
ter limitées à une moitié du corps (hémispasme) ou à un seul groupe musculaire (monospas- me). La généralisation des convulsio
e peuvent encore devenir plus étroits, la succession des deux états musculaires n'est plus alors aussi ap- parente et ils arriv
r tous les modes de sensibilité et s'accompagne de la perte du sens musculaire . Sa distribu- tion est pathognomonique, car ell
hystériques de constater les modifications des réflexes, l'atrophie musculaire et les troubles trophiques qui sont le cortège ha
croient impossible. Les autres semblent regretter les contractions musculaires violentes de l'ataxie qui étaient accompagnées
tés suffisamment, ni le sentiment que provo- quent les contractions musculaires fortes et inattendues. Chaque sensation désagré
ter le centre vaso-dilatateur général. Pour éviter ces contractions musculaires désagréables, il faut se garder d'exciter penda
hez les personnes qui ne sont pas irritables jusqu'aux contractions musculaires évidentes; on doit les éviter chez les personne
tés ; les fléchisseurs moins faibles que les extenseurs. Les masses musculaires sont peu développées. Les réactions électriques f
ts... Les éléments nobles des tissus (cellules glandulaires, fibres musculaires ), s'atrophient secondairement sous l'influence de
de faits cliniques peuvent être utilisés pour cela. La para- lysie musculaire d'origine périphérique (branches terminales du ne
E NERVEUSE A FORME S YR I NG OM YÉL1 Q UE 127 cuisses, les saillies musculaires sont admirablement conservées; pas de contracti
ts et picotements sur les pieds pendant la marche. Troubles du sens musculaire . B..... éprouve de grandes difficultés à tenir
es inférieurs des ulcères perforants plantaires, puis de l'atrophie musculaire des extrémités. Il avait, en outre, une paré- s
st obligé de s'aider de cannes et cela est à peine suffisant. Force musculaire intacte à la jambe gauche, un peu diminuée à la j
ndre résistance au mouvement d'extension à droite. 4 Pas d'atrophie musculaire . - Aux mains le dynamomètre donne 50 à droite,
dation spinale par le redressement du pied sur la jambe. Les masses musculaires de la cuisse et de la jambe dans leur ensemble
bre est dû a une véritable hypertrophie concentrique des tu- niques musculaires et surtout adventice du vaisseau (fig. 16). Le ti
res ronds, vivement teintés par les réactifs nucléaires. La tunique musculaire est certainement beaucoup plus épaisse que dans
ciliers. Si l'on analyse la corrélation qui existe entre le système musculaire fron- tal et le système musculaire facial, on a
tion qui existe entre le système musculaire fron- tal et le système musculaire facial, on arrive tout naturellement à cette co
eur). Hormis les cas où il y a ptose, le contraste entre le système musculaire facial et le système musculaire frontal se rema
tose, le contraste entre le système musculaire facial et le système musculaire frontal se remarque assez souvent dans la démence
cons- tater la différence qui existe dans la contraction du système musculaire su- périeur et du système musculaire inférieur
dans la contraction du système musculaire su- périeur et du système musculaire inférieur de la face. Ce contraste est un fait
aire le sont beaucoup plus. Il est évident qu'une partie du système musculaire savoir : les muscles de la face, n'ont pas reçu d
état émotionnel du patient, ce qui nous prouverait que le sys- tème musculaire frontal est non seulement plus développé par la n
yramidal du nez), dans les cas où il y a affaiblissement du système musculaire inférieur de la face. L'hyperkinésie mimique
oyons sur la figure 11 où par suite de l'affaiblissement du système musculaire inférieur, tous les muscles frontaux prédominen
s muscles de la face, il est à considérer que la plupart des fibres musculaires se terminent non sous la peau, comme dans les m
de la bouchejusqu'à l'angle extérieur de l'oeil. Lorsque le système musculaire mimique est au repos, la tension tonique diminu
très lentement et très incomplètement. Aucune espèce de résistance musculaire dans les différents segments des membres in- fé
ant; et les vaso-vasorum sont oblitérés en grand nombre. La tunique musculaire paraît normale; l'élastique est comme tendue, e
u membre inférieur droit, t, sans amyotrophie. Cependant les masses musculaires sont un peu moins fermes, que celles du membre
uscles est normale ; il n'y a pas de raideur perma- nente. La force musculaire est considérable dans les différents segments des
us accentuée dans le membre inférieur gauche. Néanmoins la tonicité musculaire des membres inférieurs est normale au repos. La
nt un peu plus forts qu'à l'état normal. Il n'existe pas d'atrophie musculaire , ni le moindre trouble de sensibilité aux membr
de leur étendue normale. Membres supérieurs. Il existe une atrophie musculaire évidente dans le bras, l'avant-bras et la main
auche est insignifiante, à gauche elle est tout fait nulle. Le sens musculaire est parfait dans les membres supérieurs ; il n'y
u chaud et au froid modéré sur le pied et la jambe gauche). Le sens musculaire est parfait. Amélioration notable du côté des y
a at- teint 38°. Pas le moindre trouble trophique, pas d'atrophie musculaire aux membres inférieurs. L'excitabilité faradiqu
t disparu. Mais la paraplégie n'est pas modifiée : les contractures musculaires continuent se produire d'une façon intermittent
ogne, son rival en génie, décrit l'a- taxie locomotrice, l'atrophie musculaire sous toutes ses formes. Charcot marche avec lui
centuée : on peut constater que le malade conserve une grande force musculaire dans les différents segments des membres inféri
sauf dans quelques cas graves; que l'on n'observe pas d'a- trophie musculaire , enfin que l'excitabilité électrique des muscles
il est obligé de rentrer chez lui. Les jours suivants, l'impotence musculaire augmente encore, au point qu'il est obligé de gar
nt gênés par la raideur il droite. On constate une grande puissance musculaire dans les différents segments des membres, le mala
culation tibia- tarsienne en particulier. Pas la moindre atrophie musculaire ; les réactions électriques dos muscles sont no
r cette altitude ; mais cette dif- ficulté est due il l'impuissance musculaire relative, et non il un défaut du sens musculair
e il l'impuissance musculaire relative, et non il un défaut du sens musculaire . On ne saurait voir là rien de semblable au signe
nts des membres inférieurs sont parfai- tement libres. La puissance musculaire est conservée. Il n'y a pas d'atrophie des musc
surtout est raide, ne se fléchit pas pendant la marche. La force musculaire est conservée dans les membres inférieurs cependa
parfait de ses bras. On constate une légère diminution de la force musculaire il la pression de la main droite. De plus les mou
a raideur des muscles aux membres inférieurs. Ce matin, la tonicité musculaire est beaucoup plus modérée que lors du premier e
tels, les eschares profondes de dé- cubitus, voire même l'atrophie musculaire dans les membres paralysés, la perte de l'excit
si dans les membres, partout, dans les jointures, dans les mas- ses musculaires ; et ses douleurs qui ne cessent jamais passent d
résistance et les mouvements sont bien conservés. - Pas d'atrophie musculaire appréciable. Examen dynamométrique : Le 5 mars,
Laurc- ta2aer. Ces auteurs éminents ont produit des contractures musculaires chez différents sujets hypnotisés, (il s'agit d
La malade urine sous elle. 1er septembre. Les phénomènes de tension musculaire s'accentuent encore. 3-7. Menstrues ; léger o
ements de flexion et d'extension redeviennent possibles. La tension musculaire est considérable. 12. Les phénomènes de tensi
ension musculaire est considérable. 12. Les phénomènes de tension musculaire disparaissent, sauf dans le corrugateur du sour
e disparaissent, sauf dans le corrugateur du sourcil ; la nutrition musculaire est normale. La malade continue à garder le sil
54 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nsibilité repa- rait au niveau des parties frictionnées. 'b. Sens musculaire . 11 semble conservé, en ce sens que le ma- lade
r à de nombreux tâtonne- ments. Ce qui indique qu'à gauche, le sens musculaire est au moins alfaibli. c. Se)M<6t/e.)Mtft
le lorsque les yeux sont clos, ce qui dénote une altération du sens musculaire . Pen- dant la marche, le malade traîne la jambe
ne peut se tenir debuut sur sa jambe gauche. Diminution de la force musculaire au membre supérieur gauche qui serre moins fort
(il lui semble, dit-il, manger du coton); 3° une diminution du sens musculaire du côté gauche). Dr..., en 1865, à la suite d
s, et les muscles élévateurs de l'épaule droite. Ces con- tractions musculaires ne sont pas constantes ; elles reviennent souve
nte aucun des traits de ce tableau caractéristique : la contraction musculaire anormale qui cons- titue le symptôme est absolu
ique à lui-même ; il n'y a nul passage des contractions d'un groupe musculaire à un autre. Au lieu de voir une activité consta
scille dans les environs de 39°,5 et arrive même à 40°. La rigidité musculaire est extrême, la douleur violente, les paroxysmes
r de la face, convulsion de ses muscles. Raideur de tout le système musculaire avec secousses rythmées. Puis teinte cyanosée d
une convulsion tonique et après clonique, et ensuite une résolution musculaire complète, se manifeste sur des muscles qui se t
ation s'accélère, et il survient une légère excitation cérébrale et musculaire avec sueur et diurèse.On observe de l'hyperesth
chaque fois que le même territoire est affecté. G. D. II. ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE A TYPE ARAN-DuCHENNE ; par M. le Dr
microsco- pique de vivo. Il semble qu'il s'agisse d'une dystrophie musculaire progressive ayant atteint les trapèzes successi
anormalement les centres sous- corticaux qui commandent au système musculaire des vaisseaux de REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
et aux altérations anato- miques décrites. Une observation. Fibres musculaires épaissies, très faciles à dissocier; faisceaux
86.) Forme toute spéciale congénitale héréditaire d'idiosyncrasie musculaire parente de la maladie de Thomsen. La famille l'ap
sistante. Idem pour les ex- trémités inférieures; l'affaiblissement musculaire qui y prédomine, est précédé soit par une sensa
es quatre membres : anesthésie légère et passagère ; pas d'atrophie musculaire ; réflexes normaux; les sphincters gardent leur
subjectif. Réflexes normaux ; - pas d'anesthésie : - pas d'atrophie musculaire ; tonicité des sphincters conservée ; - pas de
al ascendant. P. KERAVAL.. XIII. Examen graphique DE la contraction musculaire CONVULSIVE dans la réaction dégénérative; par P
aniques, des excitants vaso-moteurs et trophiques, des contractions musculaires , le mouvement du pouls, l'entrée en jeu- des ce
es (de 4 à 8) qui sont probablement la conséquence des tremblements musculaires ; b) dans la seconde période, l'impulsion du ch
des membres ; tremblements fihrillaires ; émaciation ; atro- pille musculaire ; escliare au sacrum; diarrhée ; aggravation des
e aux cordons antérieurs, elle détermine la parésie et l'alro- phie musculaire , et en s'étendant aux cordons postérieurs, l'anal
pérature et la conservation de la sensibilité au contact et du sens musculaire . Ses symptômes se divisent en intrinsèques et e
3° la conservation de la sensibilité au contact et celle du sens musculaire ce sont deux symptômes négatifs importants pour l
symptômes polymyélitiques antérieurs sont : 1° l'affaiblisse- ment musculaire et l'atrophie musculaire suivant la disposition e
s antérieurs sont : 1° l'affaiblisse- ment musculaire et l'atrophie musculaire suivant la disposition et la marche des anesthé
la maladie de Morvan, la lèpre systématisée de Leloir et l'atrophie musculaire d'Aran- Duchenne. Le travail de L. Bruhl nous p
. Cette distinction, qu'il appuyait sur l'absence de l'atro- phie musculaire dans le premier cas, et sur sa présence et son
point, ou du moins le fait n'a pas été noté, dans tel ou tel groupe musculaire sous la dépendance d'une même branche nerveuse.
même branche nerveuse. 1 Landouzy. De la sciatique et de l'atrophie musculaire qui peut la compliquer. (Arc%. yén, deméd., 181
ment aux muscles du mollet, sans qu'il y eût pour cela d'atrophie musculaire bien manifeste. Il s'agissait d'un homme de vin
ier, et incom- plète de l'extenseur propre du gros orteil. Atrophie musculaire manifeste à la région antéro-externe de la jamb
tit bassin, se compliquer d'accidents graves, paralys : e, atrophie musculaire , localisés exclusivement dans le domaine du ner
onier. Il n'existe pas non plus de douleur à la pression des masses musculaires du mollet. Une pression profonde assez énergiqu
ain manifestement arthritique comme l'attestent les douleurs vagues musculaires et l'eczéma dont le malade a été atteint pendan
Dans ['Observation VII, nous avons vu l'anesthésie et la paralysie musculaire prendre à peu de chose près le même développeme
roubles- de la sensibilité sont notablement moindres et les lésions musculaires pré- dominent, bien qu'on n'ait pas constaté
s. Observation X (personnelle). -Sciatique ancienne avec atrophie musculaire et troubles de la sensibilité. Marie B..., âgée
fibrillaires fréquentes et contraction isolée de quelques faisceaux musculaires . - Sens musculaire affaibli des deux côtés. Les
tes et contraction isolée de quelques faisceaux musculaires. - Sens musculaire affaibli des deux côtés. Les Fig. 21 et 22. - E
es moteurs et sensitifs portant sur le territoire de distribution musculaire et cutanée de ce tronc nerveux ; 2° Cette compl
éfaut, apparaît au contraire dès qu'il se produit une contraction musculaire , et cela, que la contraction musculaire soit acco
se produit une contraction musculaire, et cela, que la contraction musculaire soit accom- pagnée de déplacement comme dans la
ou l'autre des trois circonstances suivantes : · 1° Dans le repos musculaire complet, la partie qui est le siège du tremblem
t se trouvant en résolution parfaite; 2" Au cours de la contraction musculaire avec déplacements; 3° Dans l'état de contractio
raction musculaire avec déplacements; 3° Dans l'état de contraction musculaire sans déplacement, autrement dit durant le tonus
blement au repos, et seulement au repos, cessant par la contraction musculaire , caractérise la paralysie agitante. Le tremblem
agitante. Le tremblement qui se manifeste pendant la contraction musculaire avec déplacement, qui ne se produit qu'alors et
het spécial. - Enfin, le tremblement provoqué par toute contraction musculaire accompagnée ou non de déplacement naissant du m
agnée ou non de déplacement naissant du même fait de la contraction musculaire et ne s'exagérant en aucune façon par les mouve
nul au repos, c'est-à-dire quand l'individu est dans la résolution musculaire , complètement étendu sur un lit la tête reposan
s'il existe. Celui-ci,- en effet, apparaît dès que la conlractilité musculaire est en jeu, soit pour maintenir une. attitude f
verses : tantôt elles se localisent à un seul muscle ou à un groupe musculaire ayant la même innervation, tantôt elles prennen
es eschares. Tantôt elles sont très profondes, atteignant les plans musculaires sous- jacents, pouvant amener l'ouverture des a
persister un certain degré d'impo- tence d'un ou plusieurs groupes musculaires . Il est im- possible de dire, d'après l'analyse
sur un membre entier (Bour- don, Hurchzeimer) ' que sur des groupes musculaires isolés. Trop souvent enfin, les observations ne
vés malades, il semble plus naturel d'admettre que les altérations musculaires ne sont que secondaires. Lésions nerveuses cent
développement des con- vulsions, leur extension aux divers groupes musculaires suit pen- dant l'accès une gradation à peu près
issent pas leur dilatation nor- male sous l'influence de l'activité musculaire (anhydrose gauche contrastant avec l'hyperhydro
allures de l'excitabilité électrique. Ce ne peut être une atrophie musculaire spinale au début, car on constate : absence de
s, représentent au plus haut point l'expression de l'excita- bilité musculaire , ce qui ne nuit en rien à la valeur clinique de l
diminuée aux membres infé- rieurs surtout aux jambes; perte du sens musculaire et articulaire pour les jambes et les pieds des
nt de voir l'influenza suivie de névralgies, convulsions et crampes musculaires , ou autres troubles du système nerveux périphér
la résistance électrique chez les mélancoliques ayant de la raideur musculaire . M. Séglas répond qu'il n'a fait que constater
lectrique de7,187 ohms, était dans un état de raideur et de spasmes musculaires . Marcel BRIAND. BIBLIOGRAPHIE. XV. Leçons du
insi, il est vrai, ure déviation faciale due, soit aune contraction musculaire , soit à une contracture, un spasme glosso-labié
ilité générale, au tact, à la douleur, à la température, et le sens musculaire sont notablement affaiblis à droite. Le pha- ry
la sensibilité au tact, à la douleur, à la tempéra- ture et du sens musculaire à droite. La malade ne peut se tenir sur le pie
recherches antérieures (sur la période latente et sur la secousse musculaire ) faites à la Salpêtrière, ainsi que par d'au- t
ception. La sensibilité profonde est con- servée, ainsi que lé sens musculaire , sauf pour les mouvements du pied et des orteil
phénomènes sont des plus évidents à gauche. Au pied droit, le sens musculaire et le sens articulaire sont également perdus mais
'exécuter des actions d'une complexité assez grande. - La puissance musculaire des membres a assez considérablement diminué, e
perte de temps entre l'application de l'excitant et la contraction musculaire qui est plus-grande pour l'écorce. Cet interval
re. Il y a aussi une différence caractéristique entre les courbes musculaires enregistrées après l'excitation corticale et aprè
LUI. UN KJNÉS1OESTHÉSIOMÈTRE avec QUELQUES remarques sur LE SENS musculaire ; par E. HITZiG. (Neurol. Centralbl., 1888.) Une
action de 100 grammes entre 900 et 1000. L'auteur considère le sens musculaire comme un sens de la force qui fait partie intég
vaso-moteurs et secrétoires, troubles du tissu cellulaire, atrophie musculaire . On pourrait cri- tiquer cette division à diver
. Assistante des enfants idiots et arriérés, 296, 449. Atrophie musculaire , progressive, par Audry, 70 ; état des muscles
musculaire, progressive, par Audry, 70 ; état des muscles dans l' musculaire juvénile, par Erh, 94 ; - de la circonvo- lut
du bras, par Sigles- worth, 98 ; - de la main, par Schultze, 118; musculaire pro- gressive, par Bourguet, 21. Bain électri
tier, 145. Sclérose EN PLAQUES, par Bruns, Berkhan, 112. SENS musculaire , par Hitzig, 133. Simulation des troubles psych
55 (1881) Archives de neurologie [Tome 01] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
avec notre collaboration 1. Il s'agissait ici d'un cas d'atrophie musculaire protopathique. Dans la figure 3, planche XXVIII
squement pour se 1 Charcot et Gombault. Arote sur un cas d'atrophie musculaire p·oto- pathique. (A,'ch. de Physiologie, 187, p
d'incoor- dination, elle était en outre très inégale d'un groupe musculaire à un autre, d'un muscle au muscle voisin. Nous
xplo1'atïon myoplwnique et l'exploration yra= phique de la secousse musculaire . Ces recherches nous' ont paru( d'autant plus i
reil de ce genre 2 qui permet d'entendre'le bruit de la contraction musculaire et le bruit des 'muscles 'à l'état de repos. Ce
per ne nous indiquait aucune variation de consistance i d'un groupe musculaire à l'autre. Cette diminution de la tonicité atte
trouvé également d'une manière constante une - diminution du bruit musculaire des extenseurs,, évidente surtout par l'auscult
et l'on obtiendrait chez tous les sujets une différence du bruit musculaire d'autant plus considérable que, toutes choses é
'aide^des, appareils enregistreurs; , 1 en¡ inscrivant la secousse, musculaire . Nous supposions que cette secousse, présentera
nt, il nous paraît ressortir que, chez' lés' tahétiquesfla tonicité musculaire est -fort va- riable d'un' groupe' musculaire'
peut' déterminer ? , , .... ? . i. u7 itI) tiUV1 l'inégale tonicité musculaire , il faut avoir présent a , . rt · '- , r 1 'W ·
et état de contraction Continué' des muscles a reçu te nom de tonus musculaire . Il paraît êtrè le ré- sultat d'un phénomène d'
0 si t"" , `ri, Il ,W ? a .,mu4 u i, t.â-' . qu'il existe un tonus musculaire , dû, à une excitation 'fit ? » 'Ih 11 ? 1111''1
onicité pql "'frflr'If4'"1 Ptj ! --tHJ4 l' t -"o ) . j " n .Á * , musculaire . Ces lésions sont fort inégales; il suffit pour
. pas la première fois qu'on invoque des troubles, de la tonicité musculaire , pour, expliquer l'incoordination. q ? tJSlft..
Ils 'doivent ' être r rapportés à' là 'suppression de' la tonicité musculaire ? Ils ne peu- vent' être' assimilés à ceux' des
système nerveux. Paris, 1879, p. 499. 8 8 *- PATHOLOGIE. tonus musculaire . Il fait jouer notamment au tonus des antagonis
t distin- gua des paralysies une affection dans laquelle la force musculaire était intacte, du moins pendant la plus grande
présenté par 14, les fibres non tonifiées par 10. Si la contraction musculaire est très énergique, comme elle ne peut dépasser
xuels pendant l'ivresse. - Hydrocéphalie congénitale. - Impo- tence musculaire . - Cécité. Gâtisme. - Parole incomplète. - Accès
droit; les plus petits mouve- ments sont impossibles; la résolution musculaire est absolue. La face est également prise : abai
e reparaissent au même degré. 8 avril. - Le mouvement et la force musculaire ont fait beaucoup de progrès, mais il reste une
toute leur acuité. - La sensibilité est parfaite ainsi que la force musculaire ; il ne reste plus, comme trace de la maladie, q
doués l'une intelligence assez élevée et d'une bonne constitution musculaire . Il a été nécessaire de faire connaître aux sujet
u-dessus du pavillon de l'oreille. M. Amidon a essayé chaque groupe musculaire , et croit être 120 'REVUE CRITIQUE. arrivé, p
traction d'un muscle isolé, à cause de l'association des puissances musculaires dont Duchenne, de Boulogne, donnait dans sa « P
les recherches de Ferrier, tandis que, pour quelques autres groupes musculaires , il y a une extension des centres corticaux sur
r, dans les observations, on ne note pas en détail chaque paralysie musculaire isolément. L'argument nous paraît assez juste :
n, qui leur apprenne à diriger l'influence nerveuse jusqu'au groupe musculaire qu'ils veulent mouvoir. C'est là le mode de tra
ette circons- tance, que dans un certain nombre de cas d'atrophie musculaire , les lésions des tubes nerveux ont paru plus pr
seux, on PATHOGÉNIE DES TREMBLEMENTS. 193 peut remplacer l'action musculaire par une traction mécanique quelconque, dont l'e
i de ce levier, de façon à ce que la contraction de chaque groupe musculaire fasse dévier en sens contraire l'extrémité du s
' 1.J nous remplaçons par une traction mécanique la contrac- tion musculaire , cause déterminante du réflexe tendineux. }-1"
ment constant (dix à onze par seconde), quelles que soient la force musculaire du sujet et l'énergie de con-. traction dévelop
tenant à nous expliquer comment se produit cette série de secousses musculaires dans les 4 1 1 14g expériences précédentes. L
maintenir avec la'main un-tambour explorateur sur' les deux groupes musculaires . -- - -- . Cette expérience est comparable à ce
taines attitudes, soit à l'augmenta- tion de consistance des masses musculaires . Dans'là cas de -tremblement léger, l'augmentat
remblement n'existe pas dans l'état de repos, parce que les groupes musculaires sont contracturés au même degré ; mais on peut
? bien que le tremblement, dans ces deux cas, occupât des groupes musculaires différents. Quant à la différence d'amplitude,
ype de paralysie agitante, indique bien l'état des divers groupes musculaires dans cette maladie. , . Observation III. - Do
s, mais comme elle est portée au même degré dans les divers groupes musculaires , 212 PATHOGÉNIE DES TREMBLEMENTS. on comprend
urs rhythmées, et de nombre à peu près, constant pour chaque groupe musculaire ;, ,"in' ""\ 4° Un muscle en état de contractur
remblement spontané, généralement limité^, un muscle ou à un groupe musculaire , indique un, état de contracture prédominante d
dique un, état de contracture prédominante du muscle^ou du groupe musculaire antagoniste. i , 1 f , -i ¡ , lr' ! I)T j, (f
y a de la moiteur, etc. '' Enfin, quatrième modification,' la force musculaire , très gé- néralement diminuée dans les membres
plus loin, attache une grande importance à l'évaluation de la force musculaire faite comparativement dans les deux moitiés . d
la peau etlatempératiiresansinfluencerla sensibi- lité, et la force musculaire , tandis que le cuivre accroit seulement la forc
a force musculaire, tandis que le cuivre accroit seulement la force musculaire et l'or la sensibilité. Ou bien encore, et il f
mptomatologie en ce sens qu'elle ne s'accompagne pas de contracture musculaire . VIII. DE LA PARALYSIE RÉFLEXE ET DE LA NÉVRITE
tération et spéciale- ment de dégénérescence atrophique de la fibre musculaire . Des solutions plus faibles (0,4 p. 1000) renou
; on a note, parmi, leSj symptômes > principaux, de la faiblesse musculaire , dansée bras droit,tune certaine, saillie de l'
omplète - , . ? [ ? - 1 1 fi' , f ? ïi ? ,li Il 4 ? avec-atrophie musculaire , saut cependant pour le biceps, qui 41.11 .. +,
. Cet enfant présentait, dès le jour de sa naissance, une paralysie musculaire de tous ses membres, jointe à la contracture. O
térine : quant aux contractures, il les explique par les paralysies musculaires , qu'on a pu constater sur le vivant ; et remarq
rt avait lieu pour les autres espèces de sensibilité, pour la force musculaire , la température, les phé- nomènes vaso-moteurs,
fait aussi très com- modément pour la température et pour la force musculaire . MÉTALLOSCOPIE, MÉTALLOTHÉRAPIE, ÆSTHÉSIOGÈNES.
rale aplatie en rend l'application très commode. Quant à la force musculaire , en faisant serrer alternative- ment par les de
elle et perception des couleurs), de l'odorat, du goût, de la force musculaire , en même temps que la pâleur des téguments et l
st-à- dire que les autres modifications, de température, de force musculaire , etc., ne s'opèrent pas en même temps que celle d
quatrième ventricule. CH. F. XXVII. SUR UNE SORTE DE CONTRACTION MUSCULAIRE paradoxale; par C. WESTPHAL. (Arch. für Psychia
WESTPHAL. (Arch. für Psychiatrie, t. X.) Sous le nom de contraction musculaire paradoxale, Westphal désigne un phénomène parti
flexion du pied s'ob- serve fréquemment aussi quand la contraction musculaire est provoquée par la faradisation,et même quand
Chez les malades qui présentent le phénomène de la contrac- tion musculaire paradoxale, la sensibilité cutanée est en par-
férieures sont, en général, frappées de parésie, mais sans rigidité musculaire . Jusqu'ici, aucune autopsie n'a été faite. Le d
tableau qu'en a tracé M. Charcot, et que, par exemple, la rigidité musculaire , le trem- blement dans les mouvements volontair
quable, la narcose chloroformique a fait disparaître la contraction musculaire paradoxale. Quant à la nature du phénomène, tou
maturée. Westphal fait remarquer en terminant que la contraction musculaire paradoxale est juste l'opposé du phénomène qu'il
ut de plusieurs heures. Immédiatement après la mort, l'excitabilité musculaire est, pendant quelques minutes, plus grande que
le entre la contrac- ture vraie qui consiste en un raccourcissement musculaire avec attitudes anormales des articulations et l
re isolé détermine la contracture généralisée de tous les grou- pes musculaires , d'un membre, l'auteur invoque la grande riches
orté sur sa jambe para- lysée. L'auteur signale encore l'atrophie musculaire des membres du côté malade, et il considère cet
santes. C'est alors que les muscles du tronc participent à la folie musculaire et que le corps va de çà, de là, soit au lit, soi
ir au repos un bras ou une jambe, c'est aux dépens d'autres groupes musculaires qui entrent alors en jeu. Le système musculaire
s d'autres groupes musculaires qui entrent alors en jeu. Le système musculaire de la face et du cou ne demeure calme que penda
te d'excitations cutanées soit consécutivement à des con- tractions musculaires ; 2° des formes particulières de tremble- ments
les paralysies bilatérales intéressant dans sa totalité l'appareil musculaire de l'organe vocal. On ne trouverait dans les
ite chronique des extré- mités articulaires, il existe une atrophie musculaire spécifique, due à la lésion ; un spasme muscula
ste une atrophie musculaire spécifique, due à la lésion ; un spasme musculaire invariable, qui persiste nuit et jour, n'est pa
ive détermine seulement l'atrophie par défaut d'usage, une rigidité musculaire variable qui disparaît pendant le sommeil natur
; enfin, 10° des maladies organiques de la moelle (ataxie, atrophie musculaire , méningite spinale), et 1 1° certaines formes d
On peut enfin supposer que, de même que la substance hépatique ou musculaire , qui est le siège d'une destruction des cellule
si la distension se produit, il en résulte une faiblesse des fibres musculaires des parois membraneuses, et cette paralysie se
aractérisé par une perte de connaissance complète et de la rigidité musculaire portant également sur les deux côtés; la paraly
abituelle. Si on peut l'obliger à un mode nouveau de coordination musculaire aussi différent que possible de celui qu'il metta
oelle et met en lumière un fait des plus intéressants, l'atro- phie musculaire consécutive à la propagation de l'inflammation
re faisant place à la flacidité dans les cas où survient l'atrophie musculaire qu'il a décrite dans la première partie de son
ssaud rappelle d'abord, pour la rejeter, la théorie delà rétraction musculaire de Follin ; un de ses arguments les plus forts
membre sa posi- tion normale ; il n'y avait donc pas de rétraction musculaire . A la suite d'une étude du tonus musculaire, M.
donc pas de rétraction musculaire. A la suite d'une étude du tonus musculaire , M. Brissaud arrive à cette conclusion que la c
pas à une contraction permanente, mais à une exagération du tonus musculaire normal; dans l'hémiplégie elle est consécutive à
elles contribuent, développant l'entrain, à féconder .es exercices musculaires , à perfectionner l'articulation orale, VARIA. 5
at normal du système conjonctif est à peu près rétabli. F. Atrophie musculaire . -Très nette dès la 2° semaine, elle n'est, pou
pte à conduire les incitations. C'est à l'atrophie des,, élé- ments musculaires qu'il rattache l'excitabilité du 1 ? stade, aut
edlânder, Lance- reaux, Gombault, Déjerine, l'altération du système musculaire REVUE D'ANATOMIE PATHOLOGIQUE. 579 rappelant
MIE PATHOLOGIQUE. 579 rappelant cependant les lésions de l'atrophie musculaire progres- sive3 La localisation des phénomènes p
ou la production secondaire de la névrite parrapport à la paralysie musculaire : à cet égard, le Dr Eisenlohr appelle à son ai
cellules, celle-ci appartenant, pour l'auteur, surtout à l'atrophie musculaire progressive et à la sclérose latérale amyotroph
E PATHOLOGIE NERVEUSE. 589 pagnées d'accès épileptiformes, atrophie musculaire très pro- noncée bientôt suivie d'hémiplégie ga
rlatine, la diph- thérie et les maladies dans lesquelles le système musculaire est particulièrement affaibli. On a aussi pensé
à voir avec les troubles delà sensibilité générale, sensorielle ou musculaire , qu'on y peut parfois noter. N'existe-t-il pas,
nt des extrémités infé- rieures, dû soit àla contracture des fibres musculaires annulaires des vaisseaux, soit à une trop faibl
; et le fait que ces malades étaient absolument privés de leur sens musculaire prouve de la façon la plus nette l'exis- tence
e sensitif est toujours associé à une sensation de grande impotence musculaire incompatible avec le mouve- ment volontaire. Ch
phénomènes, fourmillements, picotements, engourdissement, impotence musculaire passagère, sont produits par la compres- sion d
à la distance normale et qui, pour y arriver, emploient des efforts musculaires qui ne tardent pas à fatiguer l'organe visuel,
lesse d'impulsion amène de l'anémie cérébrale, de l'affaiblissement musculaire , etc. Foie.-Coloration jaune des téguments, sel
Reins.-Chas. Orton affirme que la congestion est constante. Système musculaire . -Faiblesse musculaire générale, dou- leurs lom
rme que la congestion est constante. Système musculaire. -Faiblesse musculaire générale, dou- leurs lombaires simulant la névr
vaso-motrice, jusqu'à l'incapacité presque entière pour tout effort musculaire .- Anesthésie, hyperesthésie, tremblements, modi
fier le système nerveux, de faire fonctionner la peau et le système musculaire , les bains de vapeur stimulant, toutes choses é
émianesthésie s'accom- gne fréquemment d'une diminution de la force musculaire . L'anesthésie est sujette à de nombreuses^ vari
ervice de M. Gaujot, suppléé par M. Charvot. On sait que l'atrophie musculaire consécutive 1 Archives de Neurologie, fasc. 1,
découverte de la localisation anatomique des processus d'atro- phie musculaire dans les cornes antérieures de la moelle que la
s limitées ; aux troubles de nutrition il faut rattacher l'atrophie musculaire , l'hypertrophie du tissu cellulo-adipeux sous-c
0. Congrès. En Italie, 3'.9; a Londres, 349, 646. - Contraction musculaire paradoxale, par Westphal, 435. Contracture (s
56 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 7. Maladies des vieillards : goutte et rhumatisme
trophie simple; les élé-ments cellulaires du parenchyme, les éléments musculaires et 1. Rayer. — Maladies des reins, t. I, p. 3.
e déposent, par le seul fait des progrès de l'âge, dans les faisceaux musculaires primitifs de la vie animale et cette altération p
, qu'elle détermine une paraplégie plus ou moins complète. Les fibres musculaires de la vie organique n'échappent pas à la dégénéra
s-seuse, et vous aurez souvent l'occasion de constater que les parois musculaires du cœur en sont presque toujours attein-tes chez
gard, le véritable état de choses. L'appareil génital et les forces musculaires (!) subissent dans la vieillesse un affaiblisseme
uer sur ce point. 1. Consultez Empis.— Etudes sur l'affaiblissement musculaire progressif chez les vieillards. [Ardi, de médecin
la mort. Nous allons les passer rapidement en revue. A. Les parois musculaires du cœur sont souvent affectées de dégénérescence
Les muscles ne renferment aucun dépôt d'urate de soude; mais le suc musculaire contient beaucoup d'acide urique. Le cerveau et
on voit alors se manifester des douleurs rhumatoïdes dans les masses musculaires , et les articulations qui sont le siège do prédil
ites dans l'expérience du sujet; une angine, une douleur sciatique ou musculaire , par exemple.Mais il faut aussi reconnaître que l
dont les principaux éléments sont une anémie profonde, une faiblesse musculaire extrême, surtout aux membres infé-rieurs, et une
ui domine ici la situation, c'est la dégénération graisseuse du tissu musculaire du cœur; Stokes, Quain, Gaird-ner, Garrod, se réu
nilis (Canton), chez les sujets atteints de cette altération du tissu musculaire du cœur. Les symptômes rationnels sont, eux aus
pas confondre avec une lésion de la moelle épinière cette faiblesse musculaire qui succède aux attaques intenses de goutte artic
cudamore. cours des accès, des crampes douloureuses dans les masses musculaires des membres ; il sont sujets au lumbago, et peu-v
es intempé-ries, sont obligés, en outre, de déployer une grande force musculaire . Aussi pour obtenir un meilleur rendement (vous r
ment cette manière de voir. Il a rigoureusement établi que l'activité musculaire a pour effet d'augmenter laquantité d'urée et de
nimaux qu'il avait mis en expérience, Zalesky a trouvé dans l'extrait musculaire une forte proportion d'urate de soude. On compren
e envahit aussi les grandes ; souvent elle déter-mine des rétractions musculaires et d'autres accidents. On peut en distinguer de
temps; enfin, la lésion articulaire peut coexister avec des douleurs musculaires ou des névralgies, qui occupent tantôt le sciatiq
oins grande que celle de la goutte; mais elle s'accompagne de crampes musculaires , comme dans cette dernière affection. 2° Tuméfa
s médullaires. — Lésions abarticulaires de diverse nature. — Douleurs musculaires . — Névralgies. — Troubles de la vision. — Affecti
goutte, purement fonctionnels à l'origine, se localisent sur la fibre musculaire , lorsqu'ils se transforment en lésions perma-nent
leur action sur l'endocarde et le péricarde, et n'atta-quent le tissu musculaire de l'organe que d'une manière con-sécutive. Les a
s les formes aiguës et chroniques du rhumatisme. Ainsi les douleurs musculaires de la goutte, suivies de crampes et de rétraction
jets, lorsqu'il existe des dou-leurs spasmodiques, et des rétractions musculaires très pro-noncées. Il ne s'agit point ici des défo
majorité des cas, ces déformations sont le résultat de contractions, musculaires spasmodiques, et pour ainsi dire convulsives. Ell
le de ces déviations, qui est bien en rapport avec l'idée d'un spasme musculaire : ce sont, en effet, des déviations d'ensemble, a
s pour déterminer de pareils effets sans le concours de la rétraction musculaire . Ne voyons-nous pas, dans certains cas d'hydarthr
cas, un grand nombre de jointures pri-ses à la fois. Les rétractions musculaires sont plus prononcées ; les douleurs sont très int
t môme elle fait complètement défaut. Les déviations par contractions musculaires sont moins prononcées ; au contraire, les déforma
ine, les névralgies, surtout la névralgie sciatique, et le rhumatisme musculaire . Ces manifestations peuvent alterner aussi avec l
ncu-bation, pendant laquelle les sujets n'éprouvent que des dou-leurs musculaires vagues. Souvent les manifestations articu-laires
a subi des modifications profondes, car il s'est produit une rigidité musculaire comparable à la rigidité cadavérique, et le refou
cause de cet accroissement considérable de la chaleur, la contraction musculaire , car dans les cas ordinai-res, qu'il s'agisse du
la généralisation, l'intervention presque constante de la rétraction musculaire , et, par suite, la production plus ou moins rapid
festations articulaires (17 ans). — Apparition rapide des rétractions musculaires . — Ténotomie : Amélioration. — Réapparition des r
e, exercée sur le corps des os, l'exagérait ma-nifestement. Douleur musculaire . La variété de la douleur qui paraît résider dans
ois, de tremblements dans les extrémités, et bientôt d'une rétraction musculaire , presque invincible, qui amène la flexion ou l'ex
ation dou-loureuse que nous avons essayé de dépeindre. Les douleurs musculaires sourdes, qui sont accompagnées de crampes dans le
de la plupart des dé-tails que nous venons de présenter. Rétraction musculaire . —Déviations. — Avant d'entre-prendre l'étude des
vahis symétri-quement. Suivant M. Ghomel (/oc. cit.), la rétraction musculaire s'observe assez rarement, dans le cours du rhumat
rencontre quelquefois (voir les Ons. II et III.) Du rôle de Faction musculaire dans la production des déviations. — Les détails
x; ils nous ont encore conduit à rechercher quel rôle joue le système musculaire dans la production de ces diffor-mités. Ce rôle e
s le démontrer par les considérations qui suivent. 1° La rétraction musculaire qui amène les déviations est quelquefois accompag
xtensions qui existent dans toutes les autres, si ce n'est à l'action musculaire ? S0 Un autre fait montrera que cette action pe
igides, on éprouve cette résistance élastique qui appartient au tissu musculaire , et qui devient plus mar-quée, si l'on essaye de
tradiction avec l'opinion que nous soutenons, sur le rôle de l'action musculaire . 8° Ce sont, en effet, les muscles qui, par leu
re la cause de la rétraction. Au début de la maladie, la rétraction musculaire est tou-jours active, comme dit M. J. Guérin ; el
es douleurs. On ne pourrait guère, non plus, l'attribuer à une action musculaire purement tonique, mise en jeu sous l'influence du
a maladie. Chez les malades que nous avons observées, la rétraction musculaire ne reconnaît pas pour cause, la propagation de l'
humatisme porté sur les muscles, comme une des causes des rétractions musculaires . Sauvages avait déjà remarqué que le rheuma-tismu
rs qui accompagnent la rétraction n'ont pas le caractère des douleurs musculaires rhumatismales, et les malades les en distinguent
is ce ne sont que deux hypothèses et rien de plus; les contractions musculaires spasmodiques ne seraient-elles pas l'expression d
mais enfin à une époque qu'on ne peut pas pré- ciser, la rétraction musculaire est mise en jeu ; elle agit sourdement, sans déte
e est mise en jeu ; elle agit sourdement, sans déterminer de douleurs musculaires spas-modiques, toutefois, elle n'en finit pas moi
ez grand nombre d'articulations sont affectées, lorsque la rétraction musculaire a produit des difformités, les malades ne cessent
le gauche, sont très épaissies et décoloration jaune pâle; les fibres musculaires sont altérées et en dégénération grais-seuse. Les
toutes les intempé-» ries et sollicite un giand déploiement de force musculaire . En raison de » cela, il leur est alloué une très
là un fait très intéressant et qui semble démontrer que le travail » musculaire , quelque intense qu'il soit, ne suffit pas à cont
ante), 4 cas ; nodosités des phalangettes, accompagnées de rhumatisme musculaire , 2 cas ; en tout 31 cas. Par ce qui précède, on
vulaires ; on en rencontre aussi ça et là dans l'épaisseur des parois musculaires du cœur. 6° La membrane muqueuse de Xestomac et c
'existence d'une très notable quantité d'a-cide urique dans l'extrait musculaire . 9° Constamment le cerveau et ses enveloppes ont
e rendu dans les vingt-quatre heures (p. 343). Action de l'exercice musculaire sur l'acide urique.—Beneke, par exemple (Nord See
mentation dans l'exrétion de l'acide urique, à la suite de l'exercice musculaire longtemps prolongé. Ranke (Aussch. der Harnsaure.
ercice modéré, et s'accroître, au contraire, à la suite de mouvements musculaires qui avaient déterminé un sentiment marqué de fati
uence directe de la goutte, (p. 575). Urate de soude dans l'extrait musculaire . — Peut-être ces acci-dents résultent-ils d'une a
xistence d'une assez forte proportion d'urate de soude dans l'extrait musculaire , (p. 579). Fréquence du coup de fouet dans la g
ffection de la moelle épi-nière ou de ses enveloppes, cette faiblesse musculaire déjà signalée par Scudamore, qui succède aux atta
. — Ces paroxysmes coexistent ou alternent souvent avec des dou-leurs musculaires rhumatoïdes, eten particulier avec le lumbago. —
monde. Parlant des modi-fications qui surviennent du côté du système musculaire dans la vieillesse, L. Fleury dit « que l'on obse
médullaires. — Lésions abarticulaires de diverses natures.— Douleurs musculaires . — Névralgies. — Troubles de l'appareil de la vis
ssement dans l'hyperthro-phie de la rate, 537; — action de l'exercice musculaire , 537. Albuminurie dans la goutte, 54. 83. Ale
369 ; — des articulations vertébrales, 369 ; — rôle de la rétraction musculaire dans leur production, 369; — observa-tions, 509.
ans la goutte, 76, 162, 500 ; — dans le rhumatisme aigu, 125, 500 ; — musculaire dans le rhu-matisme, 229; — dans la goutte asthén
matisme, 229; — dans la goutte asthéniqueprimitive, 355; — osseuse et musculaire dans la goutte asthé-nique, 356. Dyspepsie ; —
s la —, 101, 549; — asthme, 102; — vertige laryngé, 478; — douleurs musculaires , 107; — né-vralgies, 107; — affections cutanées,
mations, 510. Goutte abarticulaire non-viscérale, 106; — douleurs musculaires , 107; névral-gies, 107; — affections cutanées,107
ce de douleur ar-ticulaire, 356 ; — douleur osseuse 354 : — douleur musculaire , 358 , 396 ; — rougeur, 360, 396 ; — gonflement,
gonflement, 360, 396 ; — état des jointures, 361, 396 : — rétraction musculaire , 361; — déviations des jointures, 361 ; 397 ; — v
61 ; 397 ; — variétés de déviations, 362, 397 ; influence de l'action musculaire sur les dévia-tions, 369 ; — fièvre, 375 ; — sueu
49;—ana-tomie pathologique, 178 ; — rareté, 578. Mort subite, 22. Musculaires : forces — des vieil-lards, 13. Narcotiques; 27
s la goutte, 522 ; — dépôts sur la sclérotique, 548: — dans l'extrait musculaire , 548. Urée, 156, 157 ; — formation dans le rein
57 (1888) Archives de neurologie [Tome 16, n° 46-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
rveux. Il y a quatre ans qu'une atro- phie accompagnée de faiblesse musculaire de la main gauche commença à se développer. Il
chements légers sont bien sentis etjuste- ment localisés. Le sens musculaire est conservé. Les nerfs crâniens n'ont pas su
e courant de la première moitié de 1884, la faiblesse et l'atrophie musculaire des membres inférieurs a progressé; une paralys
n'existe plus maintenant dans les mem- bres inférieurs. L'atrophie musculaire des extrémi- tés inférieures a disparu. Le réfl
malade. L'écriture est devenue un peu plus jetée. Point d'atrophie musculaire dans la main droite; à la main gauche elle est
ne existence continue de la thermanesthésie isolée et de l'atrophie musculaire dans un seul membre supé- rieur, la distributio
c. Vu la restauration assez rapide des fonctions et de la nutrition musculaire dans les nerfs des membres inférieurs, nous ne
tion considé- rable, on constate une certaine faiblesse. L'atrophie musculaire de la main gauche a considérablement diminué. L
ersonnelle ; embarras de la parole ; inégalité pupillaire ; parésie musculaire . Incendie sous l'influence de sa femme. - Irrespo
ple hyperexcitabilité neuro et cutano-muscu- laire et la plasticité musculaire à l'état de veille. Or, jamais dans les observa
ombien fréquentes sont chez les hystériques les altérations du sens musculaire et il n'est pas irrationnel de supposer qu'elle
ions diverses qu'on leur imprime successivement. Troubles du sens musculaire au bras gauche. De ce côté, elle ne peut retrou
ale de l'adulte sur laquelle est venue se superposer une atrophie musculaire , n'occupant pour le moment que le membre inférieu
us d'hémisphère gauche ne présente non plus ni paralysie ni parésie musculaire , ni anesthésie. Qu'on lui serre et comprime vio
ollection de photographies de malades ayant été affectés d'atrophie musculaire progressive (formes musculaires), l'orateur déc
alades ayant été affectés d'atrophie musculaire progressive (formes musculaires ), l'orateur décrit en détail un cas de dystro-
uction et ses installations. M. Kast (de Fribourg). Des atrophies musculaires aiguës simples. Ce sont les auteurs français qu
les auteurs français qui ont mis en relief les formes de l'atrophie musculaire simple consécutive aux arthrites, fractures, et
mment hors de proportion avec la diminution de volume de l'appareil musculaire ; mais on ne retrouva pas l'exagération du réfle
nt une atrophie rapide, surtout prompte et rapide dans la contusion musculaire . Pas plus que chez les malades, il ne se produi
. Intégrité des fonctions de la vessie et du rectum. Pas d'atrophie musculaire : intrégrité des éminences thénar et hypothénar
ous l'influence des émotions; tremblement dans les pieds, faiblesse musculaire généralisée, apathie, amnésie. La peau de la fa
l'auteur a observé un cas tout à fait caractéristique. La rigidité musculaire est alors le seul signe de la paralysie agitant
musclés et l'examen farado-galvanique n'offre rien d'anormal. Sens musculaire parfaitement normal. Les fonctions de la vessie
arado-galvanique a démontré qu'ils se con- tractent très bien. Sens musculaire normal. - Pas de troubles vaso-moteurs. L'extré
ns un de ses modes, la dou- leur, et seulement à. droite. Le sens musculaire ne présente aucune altération. Pas de troubles
ité, ni de la sensibilité des membres inférieurs du malade. Le sens musculaire ne présente aucune altération appréciable; il n
examen électrique a donné un résultat complètement négatif. Le sens musculaire ne pré- sente aucune altération. Pas de troub
use- ment, a été trouvée parfaite. Pas le moindre trouble du sens musculaire . L'état trophique des membres paralysés ne lais
tous ses modes a démontré une anesthésie par plaques étendues. Sens musculaire parfaitement normal, sauf peut-être un certain
sibilité est tout à fait normale dans toutes ses modalités. Le sens musculaire est parfait. Les membres ne sont ni froids ni r
sous toutes ses modalités s'est trouvée parfaitement normale. Sens musculaire physiologique. Les membres paralytiques ne prés
minuée au membre droit, parfaitement normale au membre gauche. Sens musculaire normal. Il n'y apas trace d'atrophie musculaire
mbre gauche. Sens musculaire normal. Il n'y apas trace d'atrophie musculaire ; les muscles répondent très bien aux courants
nvulsifs, etc.; 4). Troubles trophiques et vaso- moteurs : atrophie musculaire , distrophies cutanées et celle du tissu cellula
squelles il n'existe pas de méthode complètement commode. Le sens musculaire avait été conservé chez nos ma- lades. Générale
ncs de la moelle épinière, on peut observer la perte de sensibilité musculaire . 2). Les altérations subjectives de la sensibil
ales plus favorables au déve- loppement de la maladie. L'atrophie musculaire nous présente cet intérêt, .qu'elle constitue u
présentait le tableau considéré comme caractéristique de l'atrophie musculaire spi- nale protopathique (type soi-disant Aran-D
s muscles scapulaires et ceux de l'épaule rappelle aussi l'atrophie musculaire progressive, mais idiopathique de mon type fond
us observer encore trois cas de gliomatose médullaire avec atrophie musculaire du type Aron-Duchenne liée a l'anesthésie termi
e lésion des muscles atteints), qui est observée dans les atrophies musculaires progressives protopa- thiques. L'atrophie des m
ne constituant pas, du reste, l'apanage né- cessaire de l'atrophie musculaire dans la gliomatose de la moelle épinière, pas p
à la suite se déve- '316 6 PATHOLOGIE NERVEUSE. loppe la scoliose musculaire dans les premières pé- riodes de la maladie. (O
ure atrophique des articu- lations des doigts. Au début, l'atrophie musculaire et la faiblesse se localisent dans la même régi
rigine nzyélopathique représentées par les types : .' 1° Atrophie musculaire progressive spinale protopathique (type Du- che
représentées par les formes : -. lo Forme infantile de l'atrophie musculaire progressive de Duchenne ou type facial de MM. L
u sujet; si la marche de la maladie est chronique, le type atrophie musculaire progressive spinale protopathique' (type Duchen
s'atrophient à la suite d'une inaction pro- longée; or, le système musculaire du sujet observé était absolu- ment normal. D'a
peut admettre que l'agité qui épuise promptement par ses exercices musculaires excessifs sa provision d'albumine excrète plus
s : douleurs articulaires ou arthropathies douloureuses et douleurs musculaires ou myopathies douloureuses. Les douleurs articu
stent seules (OBs. XI), et tantôt sont accompagnées de dou- leurs musculaires (OBS. III). La même chose arrive aux douleurs m
- leurs musculaires (OBS. III). La même chose arrive aux douleurs musculaires . Les arthropathies peuvent se localiser à une s
enfin celui de l'OBSERVATION IV les avait aux lombes. Les douleurs musculaires sont assez fortes, mais moins intenses que les
ance plus ou moins marquée, proportionnelle au degré de la rigidité musculaire qui existe sans que la volonté des malades s'y
tomac ou des organes respiratoires, pas de douleurs articulaires ou musculaires : par contre, il a constaté qu'il était paraplé
du malade on sent une résistance assez marquée, grâce à la rigidité musculaire . Très souvent ses membres se fléchissent et s'é
eux fermés, la marche devient impossible, il n'y a pas d'atro- phie musculaire , pas de troubles vaso-moteurs. Vessie, rectum e
, pas de symptômes res- piratoires, pas de douleurs articulaires ou musculaires . Aussitôt après la disparition du poids gastriq
les. Pas de troubles respiratoires, pas de douleurs articulaires ou musculaires , à ce moment, pas de symptômes céphaliques. Le
ques d'anesthésie à diverses régions des membres paralysés. Le sens musculaire est 380 CLINIQUE NERVEUSE. fortement troublé.
ccident. Il n'en est pas de même pour son pied gauche. La nutrition musculaire ne laisse rien à désirer. Il n'y a aucune trace
. Pas d'autres troubles sensitifs. 11 n'y a aucune trace d'atrophie musculaire , il n'y a pas de troubles vaso-moteurs, il n'y
avant après avoir décrit un demi-tour et frotté le sol. La rigidité musculaire est assez marquée ; grâce à elle, si on communi
mprime à ses membres paralytiques. Il n'y a aucune trace d'atrophie musculaire . Nous n'avons pas rencontré de troubles vaso-mo
s, maintes fois, de douleurs fulgurantes. Il n'y a pas d'atrophie musculaire , sauf une anidrose complète des pieds qui exist
ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 391 de l'ordre des douleurs musculaires ou myopathies douloureuses, comme les douleurs
thésie, puis la coïncidence fréquente au début avec une atrophie musculaire dans les mêmes régions, nous fait supposer l'al
tersti- tiel. Comment se fait-il cependant que les sens tactil et musculaire restent habituellement intacts ? On pourrait su
ter : le traumatisme, le refroidissement, l'épuisement du système musculaire , les fièvres intermittentes et d'au- tres influ
ient accompagnés de troubles de sensibilité notables et d'atrophies musculaires , nous pourrions seulement soupçonner l'existenc
lis tout à fait exclusifs et compliqués, présentant des atrophies musculaires , des paralysies et de la prédo- minance de ther
V), les douleurs locales dans les nerfs, sans parler des douleurs musculaires , ce qui s'en va de soi, n'excluent pas la local
inale avec quelques cas de lèpre anesthétique, grâce à l'atrophie musculaire , l'anesthésie thermique et l'analgésie (Ro- sen
e la sécré- tion sudorale et vaso-moteurs ; 4) dans les atrophies musculaires . L'atrophie progressive des muscles avec locali
pas ce processus. II peut également se manifester par l'atrophie musculaire seule accompagnée de phéno- mènes d'hypertonie,
435 centres inférieurs, car les convulsions cloniques d'un groupe musculaire , produites par des courants affaiblis, se calment
le tremblement, les accidents du côté de la sensibilité générale et musculaire , la fatigue, l'impotence fonc- tionnelle, la pa
ence fonc- tionnelle, la paresse ; puis se produisent des atrophies musculaires avec diminution quantitative de l'excitabilité
ntacts. Les membres inférieurs sont principalement pris. L'atrophie musculaire pro- gressant, apparaissent les troubles sensib
nvulsions cloniques de la moitié droite du corps, de la char- pente musculaire de l'abdomen et du membre supérieur du même côt
huit ans présentant toule espèce d'ano- nialies dans les mouvements musculaires , un vrai musée de mo- utilité pathologique : to
et psychiques accoutumés ; en février 188H, en sus, dégénérescence musculaire graduellement progressive. En somme, le système
nce blanche, des noyaux et des racines des nerfs, dégéné- rescences musculaires considérables (régression des fibres pro- tiféf
r M. BORNHARDT. (Arch. f. Psych., XIX, 2.) Observaiion I. Paralysie musculaire de l'aeil, unilatérale niais totale. Diagnostic
Psych., XIX, 2.) Une première observation de névrite avec atrophie musculaire 4'l4 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. inexpliqué
ues analytiques. ' Ici., t. XIV, p. 293. 4§6 SOCIÉTÉS SAVANTES. musculaire , à l'exception de la face. C'est en pleine santé
ité (troubles de la-) posthémi- I plégiques, par Grerdenberg, 70. Musculaires (atrophies aiguës simples), par Kast, 93. Rly
58 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ndolymphe dû aux vibrations du son suffit : 1° pour élever la force musculaire ; 2° pour que, grâce aux vibrations régulières
. » Il estime que l'ataxie est l'effet d'un trouble dans la tension musculaire réflexe. D'accord avec Tschirjew, il a insisté
forces diverses s'op- posent alors au déploiement de la contraction musculaire . Dans le tabes, la tension réflexe des antagoni
, il n'existe, en dépit d'une ataxie prononcée, de troubles du sens musculaire , de la sensibilité à la douleur, etc., qu'une a
berg, l'ataxie des extrémités inférieures et des troubles du sens musculaire . Or, pour que le réflexe patellaire existe, il
rès peu accusés de la sensibilité, intéressant spécialement le sens musculaire . Et voici comment, dans la théorie de Redlich,
postérieur, les fibres qui servent à la fonction consciente du sens musculaire , au sens large du mot (Wagner, Bechterew, Oberste
nettement la forme spinale de cette affection; les troubles du sens musculaire n'y sont point rares non plus. « Rappelons, dit
mple agrégat de centres sensoriels a) des sens spéciaux, 6) du sens musculaire et cutané, et c) du sens viscéro-organique. A m
as, par les mains dans l'autre cas. Elle a consisté en une atrophie musculaire progressive avec secousses fibrillaires, DR, di
topsie, nulle trace de polynévrite, mais les lésions névritiques et musculaires des atrophies myélopa- thiques. Au niveau de la
Des relations de la sclérose latérale amyotrophique avec l'atrophie musculaire pi,ogtessive; par F. Raymond et E. Ricklin (de Pa
is). L'opinion qui prétend fondre en une seule maladie l'atrophie musculaire progressive du type Aran-Duchenne et la sclérose
bien obligé d'établir une distinc- tion entre une maladie (atrophie musculaire progressive du type Ai-ttit-l)ticlteiine) dont
clteiine) dont toute la symptomatologie se résume dans une atrophie musculaire progressive flasque, accompagnée d'une impuissa
'une impuissance motrice toujours adéquate à la quantité de tissu musculaire atrophiée et une affection (sclérose latérale amy
te qu'on a vu des phénomènes spasmodiques s'associer à une atrophie musculaire progressive, dans un cas où, à l'autopsie, les
té de disjoindre la sclérose latérale amyo- trophique de l'atrophie musculaire progressive du type Aran- Duchenne nous est imp
les deux auteurs ont cité des faits qui établissent que l'atrophie musculaire progressive du type Aran-Duchenne peut évoluer
e), ' l3auc (d'Edimbourg), Contribution à l'élude de la Paralysie musculaire progressive de la forme familiale ; par Bruns (
gèrement et présentent en effet une certaine parésie, sans atrophie musculaire , des muscles anté- rieurs de la jambe. Le cas
e cubital).-tllenabreir7/'tjrie2tr gauche : dimi- nution delà force musculaire telle que la malade ne peut se tenir seule debo
ale : la réac- tion caractéristique est moins nette dans l'atrophie musculaire tabétique, dont on connait la lenteur des progr
ire tabétique, dont on connait la lenteur des progrès. L'atrophie musculaire peut être attribuée soit à des altérations anatom
nausée, le vomissement, Klippel l'attribue à une sensation d'ordre musculaire , àla vague conscience d'un mouvement du pharynx
sens inverse des mouvements normaux. Ainsi, une perversion du sens musculaire viscéral pourrait, dans le tabes, pro- voquer d
due à la malaria, dont un s'est terminé par la mort, avec atrophie musculaire , albuminurie, et oedème final. D'après l'ensemb
roubles trophiques ne manquent presque jamais, sur- tout l'atrophie musculaire . Ces symptômes n'ont pas de locali- sation spéc
prolifération graisseuse, mais d'une involution régressive du tissu musculaire qui s'était complètement transformé en tissu grai
sent isolément, troubler la perception de poids fournie par le sens musculaire , s'ajouteront et donneront une. 144 REVUE D'ANA
alade qui fait l'objet de ce travail présentait : 1° une atro- phie musculaire progressive non précédée de paralysie, ayant dé
tact et de la douleur. La seconde observation concerne une atrophie musculaire progressive avec névrite ; dans les endroits où
et tactile. Obs. XIII à XIX, concernant le tabès dorsal, l'atrophie musculaire progressive, la paralysie spinale spasmodique,
spinale infantile peut être faite par l'uniformité des altérations musculaires et par leur localisation exclusive aux divers mus
ts en projetant les lèvres'. '. PRÉSENTATION DE MALADES Atrophies musculaires ; par M. DÉJERINE. Achondroplasie. Dysostose cl
res paralysés, et ne disparait que pour faire place à de l'atrophie musculaire . Cette contracture se développe lentement, et j
ficile de la distinguer du mutisme hystérique. II. L'hypotonicité musculaire et la paralysie. 1. Déviation conjuguée des yeu
4. L'intensité relative de la paralysie des membres et des groupes musculaires d'un membre est d'habitude typique. D'où les atti
du pied Er DE la Mur<), marchent de paire avec 1'¡'ype1'- tonie musculaire . La trépidation réflexe du pied peut se montrer à
ou bien plaident plutôt en faveurd'une hémor- ragie (grands efforts musculaires , bains chauds ou froids, déféca- tion, coït, et
lvanomètre. Ce phénomène constitue la variation négative du courant musculaire SOCIÉTÉS SAVANTES. 165 ou bien le courant d'a
système nerveux. Il est probable que dans l'hystérie toute la masse musculaire d'un membre est contracturée, tandis que dans l
taque isolément les différents muscles et même différents faisceaux musculaires . De là vient la différence dans le caractère de
s abolis par le processus morbide. La tonicité de tout le système musculaire et de différents centres nerveux est sans doute t
algie scapulo-bracloale très prononcée, exagérée par la contraction musculaire et la pression), avec arlhropatbie de l'épaule.
ouvements intentionnels, les yeux étant ouverts ou fermés. La force musculaire est également con- servée aux membres inférieur
s muscu- laires des membres supérieurs sont solides. Toute la force musculaire est conservée aux membres supérieurs, le malade
ent et pendant trois ou quatre mois il ne la sentait plus. La force musculaire est absolument conservée aux membres intérieurs,
vertébrale, pas de déformations articulaires, pas de perte du sens musculaire ou articulaire, pas de mouvements intentionnels
mais fait défaut aux suivantes. Légère esquisse de Romberg. Force musculaire conservée aux membres supérieurs et égale- ment
fait exécuter de pareils mouvements aux orteils. En outre, la force musculaire est diminuée au niveau des pieds, en particulie
eur Charcot et M. Marie ont décrit, en 18863,une variété d'atrophie musculaire progressive qui peut parfois se présenter comme
était nocturne, accompagnée de prodromes (faiblesse articulaire ou musculaire , besoin d'agir, inquié- tude physique). La para
irectes). Les muscles très dév$-5 loppés n'avaient qu'une puissance musculaire atténuée. L'exa-' '' men microscopique d'un fra
un fragment de muscle excisé montra une hypertrophie des faisceaux. musculaires , avec raréfaction des fibrilles primitives et f
; ces auteurs, d'autres s'appuyant'sur. les altérations des-,fibres musculaires . biopsiées (Oppenlieim;,Goldflamtu), en.font un
nsidérer comme l'effet d'une manifesta- tion toxique sur'le système musculaire ; certaines -toxines z (asphyxie par Co, Emming
deux cas. 1 M. H. 111. Un cas d'atrophie segmentaire ou atrophie musculaire pro- gressive type Aran-Duchenne ; par van GEHU
Joui-n. de Neurologie.) , , On sait que l'existence de l'atrophie musculaire progressive type Aran-Duchenne a été contestée
parole qui se dissipèrent graduellement, puis d'une autre atrophie musculaire qui, après avoir débuté à l'extré- mité du memb
oit que les accidents présentés par un malade, y compris l'atrophie musculaire qui constitue le phénomène prédominant, doivent
tte tumeur : vers le dixième jour de la naissance quelques troubles musculaires apparurent, et la vitalité de l'enfant parut di
ignes caractéristiques des tumeurs du cerveau, notamment l'atrophie musculaire , les spasmes, les nausées et l'aphasie. On n'a
le ou protubérance) ainsi que cela ressortait de l'extrême rigidité musculaire des extrémités droites. Il faut ajouter que ce
met brusquement fin à sa vie. R. DE Musgrave CLAY. XII. L'atrophie musculaire progressive chez les jeunes sujets; par William
20 mars 1897.) L'auteur relate d'abord une observation d'atrophie musculaire progressive chez une jeune fille de treize ans.
même temps qu'ils s'atrophient, et c'est là la pseudo- hypertrophie musculaire que quelques auteurs considèrent comme une mala
oint de vue du diagnostic différen- tiel, on distinguera l'atrophie musculaire progressive delà paraly- sie infantile ou polio
eur, pares- Hiésies, pertes des réflexes profonds suivie d'atrophie musculaire avec réaction électrique de dégénérescence, le
ovoqués par la fréquente et nécessaire répéti- tion des mêmes actes musculaires . Par une analogie de symptômes et de mécanisme
affection qui se caractérise par un spasme ou une crampe des fibres musculaires de l'iris, des muscles ciliaires et des muscles
particulier sont : le spasme ou crampe; l'incoordination du groupe musculaire malade ; et des troubles vaso-moteurs et sensorie
es muscles de l'oeil, aidée parla faiblesse d'un ou de deux couples musculaires , par le surmenage nerveux, par l'épuisement du
A l'aùtopsie, on trouva une grande quantité de sang dans les tissus musculaire et connectif au niveau de la lésion : les lames
ombaire en arrière la sensibilité au toucher et la sensibilité dite musculaire étant de- meurées peu ou point modifiées. Cette
s larves de niaria diurna. Même léthargie, même adénite, même fonte musculaire progressive malgré une forte alimentation et de
e. Normale pour les sensations thermiques et tac- tiles. La force musculaire était conservée et suffisante à droite, très ne
plète ci gauche mais plus marquée au membre supérieur dont la force musculaire est nulle et qui conserve la position qu'on lui
quer un très léger mouvement de la jambe gauche. A droite, la force musculaire est beaucoup moins forte que le 30 octobre. L
le malade dans le même état coma- teur qu'hier soir; la résolution musculaire est complète; la tem- pérature est à 38°, le po
açant, la parole explosive. Il y a hypertrophie de certains groupes musculaires . Le diagnostic est difficile à établir entre cet
membres sous forme de nodules de très petites dimensions; atrophie musculaire , des- truction des branches terminales des nerf
it, bave, perte de l'intelligence, escarres, tremblement et spasmes musculaires , parésie, attaques épileptiformes, amaigrisseme
itube en marchant. Sensibilité et réflexes normaux, affaiblissement musculaire rapidement progressif, gingivite extrême, pares
s intellectuelles ; conservation des sensibilités, pas d'atro- phie musculaire , pas de convulsions. Cet état dure sept mois et s
de cette forme d'hémorragie, et l'on ne peut invoquer qu'un effort musculaire considérable, c'est-à-dire la plus rare des cau
e la sensibilité tactile, de la sensibilité à la douleur et du sens musculaire ; or la clinique est d'accord ici avec la théor
IE NERVEUSE. 445 méningo-myélite, il y a de bonne heure des spasmes musculaires , de la douleur, de la fièvre, et d'autres sympt
oliomyélite antérieure, la paralysie est-limitée à certains groupes musculaires , et dans la polioencéphalite, l'écorce et les c
re contesté, et il est en désaccord avec la théorie de la déviation musculaire (de Roth). La déviation a com- mencé à se dével
elongue et son chef de clinique le D1' de Boucaud, comme une hernie musculaire de cavalier. Toutes les fonctions organiques s'
est très bredouillée, parfois inintelligible; l'ataxie, la parésie musculaire , la trémulation linguale et labiale sont très a
générale, nettement relevées par la radiographie. Quant aux hernies musculaires de cavalier, chez mon malade, que le professeur
les attitudes vicieuses des membres persistent, par les rétractions musculaires et fibreuses, attitudes qui peuvent manquer dan
rait-il pas plutôt un phénomène de même ordre que les cra- quements musculaires ou tendineux observés chez certains névropathes,
turbation de la faculté d'association des mou- vements, la synergie musculaire et ce syndrome dépend d'une lésion cérébelleuse
s, que les impulsions volontaires ne provoquent pas de contractions musculaires et que les réflexes précis et rapides du nerf o
392. Atiiltose double cllorétforme, par Londe, 344. Atrophie musculaire progressive. Relations de la sclérose latérale
. Paralysie spinale antérieure suh- par Cestan et Philippe, 72. musculaire , progressive de lurme tziiiiiiiale, jiar Lruno,
, par Philippe et Guillain, 71. Relation de la - et de l'atrophie musculaire progressive, par Ray- mond et Rickhn, 73. Lésio
noLt.te. Pathogénie de la - par Préobrajensky, 80. -et atro- phie musculaire progressive, par de Bitch et de Mopr, 145. uni-
59 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
qu'à gauche et anévrysme de l'artère vertébrale GAUCHE 3 la force musculaire est partout conservée. L'incoordination motrice e
t possibles (mouvements actifs et passifs) et assez forts. La force musculaire est conservée dans les bras et dans les jambes
ent toujours plus profond. Jamais de convulsions, ni de secous- ses musculaires . Longue agonie. La mort arrive dans le coma, la t
dysarthrie 1'1'0- tuhérantielle ? ), et un peu de dyspnée. La force musculaire était assez bien conservée. L'ataxie cérébelleu
préciable des extrémités, ni à droite, ni à gauche, et que la force musculaire y était relativement assez bien conservée. Dè
a marche étaient en rapport non seulement avec une réelle faiblesse musculaire prédominant sur le membre inférieur gauche, mai
orax; crampes dans les membres inférieurs, douleurs dans les masses musculaires , douleurs arthralgiclues. ' NEUROFIBROMATOSE GÉ
te. % Les troncs superficiels sous-cutanés, les rameaux secondaires musculaires sont presque tous le siège de nombreux petits r
ural, nerf du demi-membraneux, nerfs du mésentère, nerfs cutanés et musculaires , grand sympathique cervical, raci- , ' et gangl
éoplasie 11. Coupe E Coupe du muscle demi-membraneux : 1, fibre musculaire normale; 2, fibre musculaire atrophiée et de fo
du muscle demi-membraneux : 1, fibre musculaire normale; 2, fibre musculaire atrophiée et de forme irrégulière; 3, tissu i
ar places et d'une façon inconstante on trouve un pinceau de fibres musculaires lisses, quelques culs-de-sac sébacés bien conserv
odules juxtaposés. L'ensemble a toujours son siège en pleine couche musculaire . La tumeur fait saillie sous la muqueuse qu'elle
ièrement distribuée des fibres muscu- laires. Dans un même faisceau musculaire on peut trouver une fibre normale a côté de fib
été naturel de chercher le substratum analomique de cette faiblesse musculaire si accentuée, si particulière à la neurofibromato
vaitbien signalé de toutpetitsneurofibromessur le tra- jet desnerfs musculaires . Ces petits neurofibromesnous les avons retrouvés
giques de divers muscles,nous avons pu étudier les lésions du tissu musculaire . A l'oeil nu les masses musculaires ne nous ava
pu étudier les lésions du tissu musculaire. A l'oeil nu les masses musculaires ne nous avaient paru modifiées ni comme forme n
men microscopique les muscles sont profondément altérés. Les fibres musculaires sont frappées d'atrophie. Cette atrophie frappe
yance en cette origine sur le siège de ces tumeurs en pleine couche musculaire et sur l'existence dans ces . noyaux fibreux de
pouvons dire c'est que ces tumeurs sont développées dans la couche musculaire et que vraisem- blablement ce sont des neurofib
ballonnement de son ventre un motif d'exemption suffisant. La force musculaire est mé- diocre. Les réflexes sont à peu près
ntensi té est exacte. Pas de zones hyperesthésiques. La sensibilité musculaire est normale aussi. Organes des sens. - Pour l
n de gaz intestinaux, ou simplement parésie momen- tanée des parois musculaires de l'intestin, avec rupture de l'équilibre qui
vité intes- tinale d'une part, et de l'autre la tension de la paroi musculaire de cette même cavité ? A cet égard de nombreuse
interpréter physiologiquement le phénomène. La paralysie des fibres musculaires lisses de l'intestin n'est pas une rareté chez'
s avec altération des vaisseaux. Sens stéréognostique intact ; sens musculaire intact. La mobilité est assez at- teinte. La ma
e ou abolition de l'intelligence et de la sensibilité, réso- lution musculaire et absence de mouvements volontaires. Trois deg
olioses de la syringomyélie, de l'ataxie héréditaire, de l'atrophie musculaire progressive, etc. Il s'aperçoit (1) -Gombault e
st très grande, même dans les mouvements les plus simples. La force musculaire est très diminuée- La station debout est pénibl
sensa- tion de fourmillements. Dysesthésie. Perte complète du sens musculaire . Hy- potonie manifeste. Signe de Romberg. * -
nt impotentes, bien plus du fait des arthropathies que par atrophie musculaire . Les sphincters ont une certaine tendance parét
ion de la paralysie des extenseurs du poignet le 14 nzai ; atrophie musculaire avec DR ; absence de troubles de la sensibilité
i signe de Lasègue, ni douleurs spontanées ou provoquées des masses musculaires du mollet, ni trouble de la sensibilité objective
constate ni douleurs le long des trajets nerveux ou dans les masses musculaires , ni troubles de la sensibi- lité, ni troubles t
le, octobre 1895 ; début de la paralysie le Il octobre ; atro- phie musculaire avec DR, absence de troubles de la sensibilité et
Du côté du système nerveux, l'attention est attirée par l'atrophie musculaire du bras et de la jambe droite, atrophie plus ma
roid au niveau de la main et du pied droit. Les nerfs et les masses musculaires ne sont pas douloureux à la pression. ' Cas. II
s muqueuses buccales et alopecie. On constate en outre une atrophie musculaire avec paralysie Ilaccide portant sur les muscles
daires Démarche et station verticale impossible, vacillante, masses musculaires des jambes douloureuses il la pression avec eng
lité des ' LA POLYNÉVRITE SYPHILITIQUE 159 nerfs et R D. Atrophie musculaire . Intégrité des sphincters. Intégrité des sens s
de calomel. Bientôt paralysie complète des 4 membres avec atrophie musculaire , douleurs la pression des troncs nerveux mais san
ère, la malade présentait une polynévrite généralisée avec atrophie musculaire , pré- dominant sur les extenseurs du pied, avec
al gau- che. Hyperesthésie intense des troncs nerveux et des masses musculaires . Pas de troubles objectifs de la sensibilité. A
ogressive de la maladie. Electrothérapie. Disparition de l'atrophie musculaire . Cependant en décembre 1899 le malade que nous
épaules avec parésie des muscles du tronc et des épaules ; atrophie musculaire de ces derniers muscles Abolition des réflexes
s réflexes rotulien et plantaire. Douleurs à la pression des masses musculaires et des nerfs des membres inférieurs. Paraplégie
s des membres inférieurs. Paraplégie flasque complète avec atrophie musculaire et chute du pied. Pas de troubles des sphincter
ie des 4 membres avec abolition des réflexes tendi- neux ; atrophie musculaire avec RD., hypoesthésie limitée aux mains et aux
. A la fin de 1891, le malade peut mouvoir bras et jambes ; le sens musculaire est intact, sans ataxie. Pas de réflexe plantai
ice subaiguëavecdou- leurs spontanées et provoquées dans les masses musculaires , engourdisse- ments des extrémités, abolition d
que. Il faut remarquer que Fordyce a constaté la DR dans les masses musculaires du mollet tandis que la DR faisait défaut chez
les extrémités, sans douleur à la pression des nerfs et des masses musculaires , avec une abolition des réflexes tendineux et une
laires, avec une abolition des réflexes tendineux et une atro- phie musculaire avec DR. La maladie a cédé au traitement iodo-mer
égie flasque subite avec paralysie précédant et dominant l'atrophie musculaire , les troubles des sphincters. Mais la question
aux, qui eux aussi peuvent s'infiltrer profondément dans les masses musculaires du cou, se distinguent par leur apparition préc
aucun trouble trophique superficiel, aucune diminution de la force musculaire , on est amené à se demander s'il faut attribuer
s. Le malade a perdu ses forces : au dynamomètre de Collin la force musculaire marque 25 alors que chez tous les adultes elle
gion, les ré- gions sus et sous-épineuses sont excavées. Les masses musculaires sont molles. Quand on fait tourner la tête les
pli interfessier plus bas et plus accusé par suite de la flaccidité musculaire . La même atrophie que nous avons signalée au me
spéciales, les tendineux paraissent le plus souvent augmentés, les musculaires sont souvent faciles à provoquer et une excita-
nuances dans la diminution des différentes sensibilités. Le sens musculaire est tantôt conservé, tantôt perverti. Quant au se
ès peu augmentés et irréguliers. En recherchant l'existence du sens musculaire on ne constate aucune nota- ble différence entr
. Au point de vue des mouvements, il n'y a pas d'altération du sens musculaire . Il n'y a pas de diminution bien sensible dans
auteur ne mentionne pas de troubles dans le développement osseux ou musculaire , il faut en conclure qu'il n'y en avait pas, ce q
plus délicat était perçu à gauche et les sensations ainsi que le sens musculaire dans un état absolument normal. Du côté droit
olonté, se rapprocher pour former le poing et avoir une puis- sance musculaire assez considérable. Ou bien le squelette de ces d
ont les mouvements sont tout à fait incoordonnés et dont les masses musculaires ont subi une notable réduction de volume. Les p
anée (à la douleur, au contact, à la pression) et de la sensibilité musculaire et périostique. Paralysie des muscles de l'oeil d
la douleur, au contact, à la pression. Diminution de la sensibilité musculaire et périostique. Paralysie des muscles de l'oeil d
eurs, quoique avec une force assez faible en raison de la déchéance musculaire : ceux des orteils de chaque côté sont accompag
grande intensité, clans la jambe gauche, avec sensation de raideur musculaire . En 1868, troubles de la sensibilité dans les m
tes dans les deux jambes, surtout à gauche, accompagnées de raideur musculaire . En 1868, apparition de paresthésies dans les j
adriceps à la percussion. Il n'existe pas de déformation des masses musculaires ou des articulations. La malade éprouve encore
ont conservés : ces derniers ne sont pas exagérés. La sensibilité musculaire est normale partout : la ;l : ¡]ad¡> ne perd p
tte cyphose ne peut nullement se corriger à volonté, par une action musculaire quelconque. La colonne vertébrale paraît soudée
ns les joues ni la face. Les membres ne sont pas amaigris. La force musculaire y est intégralement conservée. Pas de troubles
nt est notable et surtout apparent aux membres inférieurs. La force musculaire est bien conservée, mais une incoordination motri
cer. Il n'y a pas d'altération de la notion de position, ni du sens musculaire : la' main droite reproduit correctement les at
ce aux mouvements passifs est considérable. Il n'y a pas d'atrophie musculaire . La sensibilité, la notion de position, le sens
atrophie musculaire. La sensibilité, la notion de position, le sens musculaire sont intacts, tous les mou- vements exécutés au
ension pen- dant lesquels la peau est soulevée par les contractions musculaires . Ces oscil- lations augmentent encore d'amplitu
ement. Motilité des membres supérieurs. - Ni paralysie, ni atrophie musculaire . Au dynamomètre : main droite 40, main gauche 5
ite l'ait défaut; il n'y a ni paralysie, ni diminution de l'énergie musculaire .' Le signe de Romberg fait défaut de même que l
THOMAS des membres inférieurs et par la coïncidence d'une atrophie musculaire des mains; au point de vue anatomique par l'exi
phie des cellules des cornes antérieures en rapport avec l'atrophie musculaire ; mais les lésions cérébelleuses, bulbaires et
u tremblement intention- nel, l'écriture est tremblée ; la tonicité musculaire est exagérée ou la con- traction musculaire est
tremblée ; la tonicité musculaire est exagérée ou la con- traction musculaire est prolongée ; parfois aussi on observe des seco
s mouvements, pendant l'émotion et dans la station debout. La force musculaire est conservée, le sens muscu- laire intact, le
La sensibilité est partout intacte ; la notion de position et le sens musculaire ne sont pas troublés. Les sphincters fonctionne
gauche ; les pas' sont inégaux, irrégulièrement espacés. L'énergie musculaire est très diminuée et la fatigue survient vite.
que augmentent considérablement la déséquili- bration, la faiblesse musculaire est plus grande ; en outre lorsqu'on soumet le
es vaisseaux. Les artères cen- trales sont moins pourvues de fibres musculaires , elles sont plus friables ; d'autre part elles
raire établie dès le principe entre les différents types d'atrophie musculaire essentielle, n'a pu subsister devant la découvert
s la fluxion de poitrine survenue en juillet dernier ; la faiblesse musculaire est des plus marquées, surtout aux membres supé
424 ABADIE ET DENOYÉS Ce n'est pas non plus : Un cas d'atrophie musculaire progressive neurotique de Hoffmann, car il n'y
d'une santé excellente ; elle ne pro- fère aucune plainte, sa force musculaire n'a pas diminué, elle fait facilement tous les
aine des nerfs crâniens, ni dans celui des nerfs spinaux ; la force musculaire et la sensibilité sont partout conservées, les ré
ompliqués soit de la paralysie bulbaire inférieure, soit d'atrophie musculaire , soit enfin d'ataxie locomo- trice ou de paraly
nerfs du bulbe, la paralysie bulbaire inférieure ou d'une atrophie musculaire , tan- dis que dans le cas indiqué, tout le prog
de paresse vésicale : constipation légère. Diminution nette du sens musculaire , de la notion de position des mem- bres. Signe
haque instant sa colonne vertébrale par de violen- tes contractions musculaires . Le commissionnaire traîne sa charrette et fait
s et plus importan- tes, trouvent leur cause dans des perturbations musculaires , paralysie ou contracture des muscles extenseur
des symptômes. En effet la contracture ou la résolution du système musculaire n'avait pas lieu simultanément dans tout un côt
observer une expres- sion symptomatique semblable dans tout le côté musculaire ? Et si cette ex- pression symptomatique avait
toucher, plus pâles qu'à gauche, mais il y a pas de réelle atrophie musculaire . Seulement à droite les os sont plus petits la
et une flexion moindre du médius et de l'index. Motilité et force musculaires . - Le sujet porte difficilement la main droite
phasie. La langue est très légèrement déviée à droite. Les réflexes musculaires et osseux sont exagérés dans toute l'étendue de
ne laisser subsister que le souvenir de l'impression des mouvements musculaires associé au souvenir de l'impression de l'image. »
nisme fonctionnent bien, on ne trouve'pas ailleurs d'autres lésions musculaires . La sensibilité et les réflexes sont normaux. L
es malades. Il est probable cependant que les diverses para- lysies musculaires sont contemporaines. Quoi qu'il en soit, l'affe
des muscles des yeux : position reculée de l'insertion des tendons musculaires sur le globe, des droits supérieur et externe d
t être grêle, gracile, tout en con- servant les apparences du tissu musculaire , ou bien il offre un aspect et une structure fi
henkl, Becker et Heuck surtout) ont défendu avec énergie la théorie musculaire . Or, ces deux ordres de théories, aussi séduisa
n avant par les parti- sans de la théorie nerveuse et de la théorie musculaire , Kunn émet une conception qui, fondée sur le dé
sultera un trouble de la moti- lité, mais avec intégrité des fibres musculaires ; celles-ci dégénèrent au contraire, si une lési
ons des partisans exclusifs de la théorie nerveuse et de la théorie musculaire . Elle nous paraît aussi la plus ra- tionnelle e
ue, depuis sa grossesse, elle est plus apathique, a de la faiblesse musculaire et un peu de perte de la mémoire. Mais elle s'e
a dimi- nution de la sensibilité tactile. Pas de troubles du sens musculaire . Nous, ICONOGRAPIIIE DE LA SALPêTRIèRE T. XII
ymptôme spinal ; on ne peut donc lui attribuer une origine purement musculaire ; dans notre cas elle était in- dépendante d'un
60 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 17, n° 97-102] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
onation. Au niveau des membres inférieurs, on observe une fatigue musculaire rapide, qui paraît augmenter plus vite dans les
arésie et d'as-' TUMEUR CÉRÉBRALE ET RÉFLEXES TENDINEUX. 5 thénie musculaire généralisèe ; il y a bien une légère prédo- min
eds. Il faut noter aussi l'existence d'un certain degré d'hypotonie musculaire . Cette malade présente aussi des troubles sensi
'est un amaigrissement massif de tous les muscles, sans atrophies musculaires localisées. L'état intellectuel de la malade, q
lui étendre les pieds sans difficulté et sans constater de tension musculaire . Le malade prend lui-même lune ou l'autre attit
ue aussi. Nous ne pûmes p'l'5 examiner objectivement la sensibilité musculaire . En jugeant d'après les poses incommodes que pr
des que prend le malade, il faut penser qu'il a perdu la conscience musculaire . Les réflexes tendineux sont très exagérés; le
ouvements actifs ont conservé leur force. La sensibilité et le sens musculaire aussi ; si on met sur la main de la malade un p
La contracture, la dis-. cénésie, en général l'exagération du tonus musculaire , c'est une verbigération. Evidemment que ce son
ychomotrice du cerveau est indispensable. L'affaiblissement du sens musculaire peut avoir aussi à un certain degré une signifi
enlèvement de la fonction peut être considéré comme trouble du sens musculaire . Relativement à ce dernier il faut avoir vu, qu
s de catatonie, ne sont pas accompagnés de trouble stable du sens musculaire (voir notre 3e observation). Ainsi donc tout le
pourpre. Le caractère positif de la double réfraction des fibres musculaires et du tissu conjonctif leur assure, quand ils son
tabilité réflexe est extrême, ce réflexe s'étend à d'autres groupes musculaires , par exemple aux fléchisseurs des doigts. C'est
tébrale, de types divers, apparaissant en même temps que la raideur musculaire et probablement sous sa dépendance » . R. C.
leur, contrairement à ce qui a lieu pour les autres sensibilités : musculaire , tactile, visuelle, etc. Il résulte de ces recher
, peuvent induire en erreur. KEIIA VAL. P. Keraval. III. Atrophie musculaire du membre inférieur gauche ; par le Dot Glorieu
ns et demi qui est atteint depuis trois ans au moins d'une atrophie musculaire du membre inférieur gauche sans troubles de la
s, ni phénomènes de parésie. La lente évolu- tion de cette atrophie musculaire et son état pour ainsi dire sta-' tionnaire fon
iedreich et de l'hérédo-ataxie cérébelleuse : intégrité de la force musculaire avec impotence fonctionnelle, systématisée, sou
onsécutives avec signe d'Argyll Roberstson intermittent. Atrophie musculaire type Charcot-Marie. MM. DÊJEMNE et Armand DEr.L
ivre pour les analyser, et passe en revue tous les modes d'activité musculaire . Il énumère les appareils de gym- nastique univ
loppements. Les conditions économiques de l'utilisation de la force musculaire , ses applications les plus pratiques servent de
'6[<e; Dr8 DE BUCK et L. DE MooR : Morphologie de la régression musculaire ; A. VAN GEHUCHTEN : Recherches sur l'origine ré
s trésors inépuisables. Embarras extrême de la parole, tremblements musculaires généralisés, ataxie lin- guale, myosis, plus ac
appeler « les troubles secondaires de l'hypnose » comme l'atrophie musculaire est quel- quefois nn trouble secondaire de l'hy
exion com- binée de la cuisse, le signe du peaucier, l'hypotonicité musculaire comme caractères décelant une irritation organi
le a des bouffées de chaleur et des boulfées de froid glacial. Sens musculaire : sensation d'extrême fatigue, de lassitude doulo
iques et qui ont été atteintes de parésie des membres avec atrophie musculaire accompagnée de troubles intellectuels consistan
it à l'ataxie héréditaire de Friedreich, mais il n'existe ni ataxie musculaire , ni phéno- mènes choréiques, ni nystagmus, les
éflexes tendineux ne sont pas exagérés, non plus que l'excitabilité musculaire , en ce qu'il n'y a pas de paralysies locales, tan
ce de lésions organiques au pharynx, à l'oeso- phage, de paralysies musculaires de la région. La dysphagie psy- chique en rappo
compliqué par une lésion orga- nique de tout l'appareil nerveux et musculaire , qui porte le nom de polynévrite, d'après l'un
noïdes des extrémités, grimaces spasmodiques du visage, secousses musculaires irrégulières, cris avec exacerbations (p. 87 et s
ême puissance. Dans l'hémiplégie organique de l'adulte la puissance musculaire absolue de chacun des muscles oculaires est dim
omberg, ni hypotomie. Aucune altération dans l'équilibre : les sens musculaires , de position stéréognostique; les sensibilités à
ation est la suivante : Troubles trophiques muscu- laires (atrophie musculaire ); -Troubles trophiques osseux (frac- tures) ; T
as d'idées délirantes. Inconscience. Signes physiques : faiblesse musculaire accentuée ; tremblements des mains, des lèvres, d
a des attaques épileptiformes très fréquentes et un affaiblissement musculaire accentué. Gâtisme. A l'ophthalmoscope, la papille
S GÉNÉRAUX. 203 situation. Pupilles dilatées et inégales. Faiblesse musculaire du côté gauche. Examen du 15 septembre 1903.
des troubles légers de la parole. L'écriture est tremblée. La force musculaire est égale des deux côtés. Il existe 'de la cirrho
produit de rebut du métabolisme de cellules particulières, fibres musculaires ou cellules nerveuses, par exemple, - ou bien est
'ordre moteur, centrifuge, exprime une variation de l'état du tonus musculaire (rupture de l'équilibre de tonus entre antagoni
E ET; DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 243 médullaire et des atrophies musculaires , fit dévier le diagnostic. Dans le premier cas,
rose latérale amyotrophique à cause des symptômes diffus d'atrophie musculaire observés qui prédominaient aux éminences 1ênar
névrite spontanée du plexus brachial, avec atrophie et rétrac- tion musculaires du membre, hypéresthésie, réflexes normaux. La
s'exprimant, vers la période terminale, par des profondes atrophies musculaires de toutes les extrémités et du tronc; il y avai
classiques, par arrachement, vous voyez que les différents groupes musculaires placés sous la dépendance des nerfs du bras son
arrachent des plaintes à cette pauvre femme. La pression des masses musculaires et des points d'émergence des nerfs provoque d'
ons objectives, l'impotence fonctionnelle des membres, l'atrophie musculaire , les vives douleurs à la pression des nerfs et de
des productions bizarres attiraient l'attention. En pleine masse musculaire , de tous côtés, l'oeil découvrait une quantité de
Fig. 8. Fascicule nerveux au voisinage d'un nodule cancéreux intra- musculaire , dénudation des cylinll¡'axps, fragmentation de l
ériaxile. Concurremment avec ces lésions névritiques, les lésions musculaires les plus variées et les plus intéressantes se pré
ui commandent la localisa- tion, tantôt enfin il' s'agit de groupes musculaires sans rapport avec une innervation périphérique
la sensibilité ont alors à peu près dis- paru, et c'est l'atrophie musculaire qui inquiète le patient qui res- sent de plus e
nt de plus en plus de gêne dans l'exécution de son métier. La force musculaire évaluée au dynamomètre du côté droit par rap- p
ne complet, l'aspect de la main est celui du syndrome de l'atrophie musculaire progressive qu'on ren- contre dans un certain n
r peu que la durée excède une semaine; tandis que dans l'atrophie musculaire progressive, l'atrophie est le phéno- mène prim
. On relève presque toujours une légère vio- lence, une contraction musculaire de moyenne intensité. L'indo- lence complète es
yrouth une jeune femme de vingt-quatre ans, présentant une atrophie musculaire 318 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. des deux ma
n peu plus accusée à droite qu'à gauche. ' L'intégrité des masses musculaires des avant-bras et des bras et l'existence de no
ux-troubles de la sensibilité font rejeter - l'hypothèse d'atrophie musculaire progressive type Aran-Du- chenne. La sensibil
is, il existe une intégrité de la sensibilité au contact et du sens musculaire , même au niveau des parties analgésiées. Cette
ne moyenne de 29 à droite et 15 à gauche. On ne note pas de raideur musculaire pen- dant le temps de réaction, pouvant entrave
donc, dans ce cas, directement proportionnelle au degré d'atrophie, musculaire . Dans trois cas de névrite (polynévrite toxique
la diphtérie. G. Durante. Du processus histolo- gique de l'atrophie musculaire . E. Maurel. Contribution à l'étude expérimental
es de l'orbiculaire. Il peut bien arriver parfois que ces lésions musculaires se manifestent après des attaques apoplectiform
emment chez nos malades qui présentaient des parésies ou paralysies musculaires nous avons trouvé également des symptômes tabét
ession de plaisir, le torse devient plus droit, une hyper- tonicité musculaire générale se produit. X... nous dit que pendant
l en résulte un strabisme : cet état tra- duit ainsi la contracture musculaire des muscles de l'oeil qui elle-même n'est que l
mériquement la diminution pendant l'excitation sexuelle de la force musculaire et surtout de sa régularité et de son adaptatio
régularité et de son adaptation constante et synergique. La force musculaire était prise au dynamomètre Régnier, à l'état no
'une façon très manifeste, la variabilité et le défaut d'adaptation musculaire dans l'excitation génitale, qui est à relever à
amométriques. L'observation courante directe et grossière de l'état musculaire dans l'excitation génitale parle d'ailleurs dan
uelques explications, c'est l'origine et les causes de la faiblesse musculaire , qui succède à l'acte génital, ainsi que son mo
l'épuisement du muscle, comme il arrive par exemple dans le travail musculaire . Dans ce der- 3Î7 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. n
UE. nier cas, comme après une longue marche ou dans un exer- cice musculaire quelconque, c'est le muscle lui-même qui ' trav
sentations motrices, comme on l'observe à la suite d'un tra- vail musculaire prolongé, dans lequel, non seulement l'élé- men
vail musculaire prolongé, dans lequel, non seulement l'élé- ment musculaire a été épuisé, mais aussi l'image motrice qui de
strabisme traduit l'état de tonicité et d'hyperactivité du système musculaire . Il y a une véritable tension de tout le systèm
Une autre preuve consiste dans l'abattement et l'état de lassitude musculaire qui suit l'acte génital. Il semble que l'équili
réaction n'est pas due à l'excitation des filets nerveux cutanés ou musculaires . 4° La réaction idiomusculaire dans le tabès n'
ctilité, mais aboutit à une sorte de restauration de l'élasli- cité musculaire . Enfin si on sectionne le facial à sa sortie du t
t dans ce trajet sont dues à la dégénération rétrograde. L'atrophie musculaire dans les cas aigus dépend vrai- semblablement d
sifs, soit à celui qui sépare le calcul mental accom- pli de l'acte musculaire d'écrire les chiffres obtenus. Quand durant un
evés, ce sont moins les muscles individuel- lement, que les groupes musculaires destinés à des fonctions spé- ciales qui sont s
s, entre autres dans la maladie de Parkinson. Il trouva des lésions musculaires très accentuées dans tous les muscles examinés
eur. Outre une atrophie très marquée il rencon- tra des altérations musculaires des faisceaux neuro-musculaires; il décrit une
particulière, qui consiste en une division transversale de la fibre musculaire . De pareilles fibres musculaires se retrouvaient
e division transversale de la fibre musculaire. De pareilles fibres musculaires se retrouvaient aussi quelquefois indépendammen
pour que l'on obtienne la série successive des violentes décharges musculaires . Mais qu'est-ce que c'est que cette attention ?
e départ de tous les stimulus affé- rents et efférents. La décharge musculaire est un réflexe, en par- tie spinal, mais aussi
Chaque pensée, chaque sentiment, chaque émotion, a son cor- rélatif musculaire , mais peut n'avoir pas d'intensité suffisante p
oportion entre l'effort mental qui implique l'attention et la masse musculaire mise en mouvement et par conséquent les impress
te nouvelle diminution dépend du plus ou moins de durée des spasmes musculaires , et du degré de l'alcalinité dans la période in
ourmillements, de l'en- gourdissement et une diminution de la force musculaire dans la partie interne du bras droit. L'examen
. Mais ces deux derniers symptômes sont tributaires de la paralysie musculaire . Pas d'Argyll. Tous les troncs nerveux très dou
ncs nerveux très douloureux à la pression, de même que les masses musculaires . ' Poliomyélite de l'adulte et paralysie infant
lasignification générale de l'épilepsie, mais sur ce que l'activité musculaire très exagérée rend le sang plus accessible aux
d'hypertrophie du membre infé- rieur droit, par Glorieux, 67. - musculaire type Charcot-Marie, par Déjerine et A. Delille,
61 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ion tant aux membres inférieurs, qu'aux membres supérieurs; le sens musculaire , autant qu'il est possible d'en juger, semble int
t par un obstacle imprévu, c'est-à-dire par une excessive faiblesse musculaire des organes de l'articulation (langue, lèvres..
peu de développement de l'instinct de l'imitation, de la faiblesse musculaire et de l'inhabileté des organes vocaux et aussi
te. La paralysie du rectum et de la vessie s'y ajoute. L'atrophie musculaire est peu marquée; les réflexes rotuliens sont ex
-l'exercice volontaire au traitement électrique. Dans l'atrophie musculaire progressive, la syringomyélie, la sclérose laté
it d'opposer la paralysie infantile vulgaire, fiasque avec atrophie musculaire à ces formes spasmodiques; la première devait ê
lze de Gouu dans les accouchements laborieux. Mais pour la rigidité musculaire il se refuse à voir dans la sclérose isolée du
en présence d'une paralysie labio.losso- laryngée et d'une atrophie musculaire du type Aran-Duchenne asso- ciées à un éléments
qui existent entre la paralysie labio-glosso- laryngée, l'atrophie musculaire progressive spinale du type Aran- Duchenne et l
se latérale amyotrophique peut faire défaut dans les cas d'atrophie musculaire progressive. Toutefois, l'existence même des af
tée. Aux auteurs qni devant le démembrement successif de l'atrophie musculaire type Aran-Duchenne au profit de la sclérose lat
is de la pachyméningite cervicale, des formes familiales d'atrophie musculaire myopathique, de la syringomyélie et même des po
substance grise des cornes antérieures rendant compte de l'atrophie musculaire était commune aux deux affec- tions mais les ma
térale amyotrophique n'en doit pas moins être séparée de l'atrophie musculaire progressive; elle doit l'être d'abord par l'ana-
à la dégénérescence du neurone moteur inférieur, du neurone spino- musculaire seul touché et presque exclusivement dans son cor
e fait. Mais la séparation de la sclérose latérale et de l'atrophie musculaire doit être faite sur- tout par le point de vue c
les augmentaient. M. le professeur RoTH ayant examiné le système musculaire de la malade, constata, à l'aide des courbes, u
ent constatés, présentent eux aussi une manifestation de la fatigue musculaire générale; 2° l'atrophie dégénérative des muscle
ofesseur RoTH. - Un cas très rare de développement d'iinner- vation musculaire volontaire (avec démonstration). Le rappor- teu
omoplates alaires semblables à ce qu'on observe pendant l'atrophie musculaire ou pendant la paralysie du grand dentelé antéri
st aussi impossible; les tons du coeur sont absorbés par les bruits musculaires et on ne les entend même pas dans la région du
troubles psychi- ques ; 2) les mouvements impulsifs; 3) l'atrophie musculaire , et 4) le nystagmus. Le traitement est pareil à
ffaiblissement de sensibilité générale, sur- tout de la sensibilité musculaire . Démence avec délire de gran- deur. Convulsions
de l'exa- men de la sensibilité générale, surtout de la sensibilité musculaire chez des paralytiques avec démence profonde. '
bre supérieur droit avec arrêt de développement du membre, atrophie musculaire , 84 BIBLIOGRAPHIE troubles vaso-moteurs, mais
e ; les troubles de la sensibilité articulaire et de la sensibilité musculaire ont diminué proportionnellement. Dans un second c
athologie française. Ch. Muullié. II. Main succulente et atrophie musculaire ; par G. AInawESCO. Thèse de Paris, 1897. Ce
ers ; dans la deuxième l'auteur étudie la topographie de l'atrophie musculaire de la syringomyélie. Le plus intéressant des tr
re a été prise antérieurement pour une hyperosto<e. L'atrophie musculaire de la syringomyélie revêt trois types : 1° type
bras sont épargnés par l'atrophie. Cette topographie de l'atrophie musculaire permet à l'auteur de résoudre certains problème
ribution pré- cieuse à l'étude de la syringomyélie et des atrophies musculaires en général. J. Charcot. BIBLIOGRAPHIE 87 II
s haut point et crée l'ataxie locomotrice progressive, l'atrophie musculaire progressive, la paralysie atrophiquc de l'enfance
hique, p. 647 : « Les causes sont des plus obscures. » - Atrophie musculaire progressive spinale, p. 683 : « Son étiologie est
le livre de Dieulafoy, t. II, vous voyez encore : artic[0yt/)'o ? e musculaire progressive, p.31 I « « L'étiologie MALADIES DU
essus atrophique, ainsi que les pectoraux devenus de simples voiles musculaires appliqués contre les barreaux de la cage thorac
. . Voici maintenant un deuxième cas bien comparable d'atro- phie musculaire encore, mais plus pure, type Aran-Duchenne, non
rale. Oreillons. - Décembre 1893, Raymond (Lariboisière) : atrophie musculaire . Avril 1894, Lance- reaux (Hôtel-Dieu) : arthri
rthritisme.et Fournier la syphilis, comme Ray- mond voit l'atrophie musculaire et Cornil la lésion d'encé- phalomyélite... Cet
les nerfs sont atrophiés; le deltoïde est réduit à un simple voile musculaire ; on ne sent plus la boule bicipitalc dans la c
Ce cas est bien analogue au précédent, seulement ici l'atro- phie musculaire n'est pas accompagnée d'exagération des réflexe
clérose des faisceaux pyramidaux; c'est une autre espèce d'atrophie musculaire progressive. Au lieu de la sclé- rose latérale
latérale amyotrophique, c'est la forme Aran-Duchenne de l'atrophie musculaire progressive. Le tableau de la sclérose multiple
ifestation de la sclérose multiple disséminée. Dès lors, l'atrophie musculaire progressive 11 ran-Du- chenue peut, comme la sc
lle des fibres des nerfs périphériques; atrophie avancée des fibres musculaires avec multiplication des noyaux et prolifération
issent établir nettement qu'au moins, dans certains cas, l'atrophie musculaire progressive peut être associée à d'autres sclér
sant la syphilis pour seule cause. Voilà- donc, après les atrophies musculaires , un deuxième MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX. '1 1
des maladies vraies, des espèces nosologiques. Le tabes, l'atrophie musculaire progressive, la sclérose latérale, amyotrophiqu
ors que la maladie paraissait évoluer favorablement; une rigi- dité musculaire très marquée des membres et du corps en général ;
rieurs seulement. Simple hyperesthésie aux membres inférieurs. Sens musculaire conservé. Proéminence des dernières épines cer-
ative du bras droit, légère ataxie de la main et diminution du sens musculaire dans ce bras; le travail a été repris, le malad
dites, intoxications diverses, névrites périphériques, atro- phies musculaires ), retentissent sur le cordon postérieur et y dé
purement fonctionnels. Ce sont surtout des spasmes et tremblements musculaires avec paralysies. Les phénomènes paralytiques so
grés variables - tendance à la contracture - diminution de la force musculaire sans atrophie - démarche aty- pique). Les troub
out de deux ans.'Le plus habituellement il persiste de l'hypertonie musculaire . P. KERAVAL. SOCIÉTÉS SAVANTES. CONGRÈS DES A
nce est un signe sans valeur puisqu'on le rencontre dans l'atrophie musculaire purement hystérique. Séance du soir. - Présiden
la précoce apparition chez les premiers (les impotents) de raideurs musculaires , de spasmes très accentués, de contrac tures pl
anoeuvres. Pas de contractures dans les membres, pas de fai- blesse musculaire . Les réflexes du genou et du pied sont normaux,
issait échap- perles objets qu'elle avait saisis, puis la faiblesse musculaire s'était accentuée et au moment où je l'examinai
a paralysie n'était pas complète, c'était une très grande faiblesse musculaire , l'enfant se tenait debout mais difficilement,
année de sa maladie un peu d'amai- grissement, un peu de faiblesse musculaire : la face est pâle, le pouls est petit et en pl
car l'enfant était devenu maigre et indiquait un peu de fai- blesse musculaire ; puis la santé de l'enfant s'était vite amé- li
eur droit. Cette parahsie ne tarda pas à s'ac- compagner d'atrophie musculaire , mais la sensibilité resta toujours intacte; il
d'affections nerveuses de l'enfance sont accom- pagnées de rigidité musculaire plus ou moins généralisée d'exagé- ration consi
e sur le compte d'autres causes que la crise, soit le grand travail musculaire effectué pendant la crise, soit l'action diurét
nsion excessive des muscles respiratoires; puis rigidité du système musculaire entier; le corps forme un arc de cercle, avec s
lque chose. Rien ou presque rien au repos. Aucun signe de paralysie musculaire , pas d'altération élec- trique, pas de troubles
le n'avait que dix mois. Hémiplégie i latérale gauche avec atrophie musculaire et avec développement incomplet du squelette. A
r une innervation iné- gale de la face, affaiblissement de la force musculaire et raccour- cissement cubital des doigts. Pou
ien, on trouva une augmentation très prononcée du volume des fibres musculaires jusqu'à 1G0-170 p.), une prolifération des noya
s-quatrièmes et plus lard encore une thrombose des veines. La force musculaire de la main droite est affaiblie. A l'examen du
clavicule) et des mem- bres du côté droit, troubles de sensibilité musculaire du membre supérieur droit, qui en outre était e
en avis du rapporteur concernant la dépendance du trouble du sens musculaire de la destruction des fibres arciformes. Dans le
d'un oedème, plus tard survient une indura- tion de toute la masse musculaire , masse consistante à la pression, n'étant pas f
r à la rigueur, ne donna issue à aucun liquide purulent, les masses musculaires présentaient une consistance géla- tineuse, ell
équilibre serait maintenu par voie réflexe au moyen d'exci- tations musculaires continues et bilatérales. Quand l'équi- libre e
- libre est compromis, pour une cause quelconque, l'inner- vation musculaire augmenterait dans un sens ou dans l'autre pour
igrie par une continuelle déplétion, elle est pâle ayant le système musculaire osseux peu développé. Présente deux petites cic
qu'à la mort apparte- naient à la série syringomyélique; l'atrophie musculaire , extrê- mement marquée, marchait sensiblement d
. M. j\IAIXNEIt, de Prague. Le caractère familial de la paralysie musculaire hypertrophique est démontré de nouveau par l'obse
la nature de la maladie. - La question, s'il y a dans la paralysie musculaire hypertrophique des lésions anatomiques de la mo
ses mouvements, malgré l'affaiblissement de la sensibi- lité (sens musculaires ). 3 Ces exercices ne peuvent pas avoir d'heureu
subaiguës, quand la vue, les fonctions intellectuelles et la force musculaire sont suffisamment conservées ; 4° Sans parler
oint de départ d'indications spéciales dans certains cas. Atrophies musculaires . M. FRIEDEL PICK (de Prague). Dans différents c
ion nette entre les formes spinales et myopathiques des atro- phies musculaires . A une période plus avancée d'atrophie myopathi
ié ; les seins sont atrophiés et flasques; par contre, les systèmes musculaire et arti- culaire- sont normaux, ainsi que les r
LOGIE NERVEUSE. XXXI. Courte communication SUR UN cas DE dystropuie musculaire PROGRESSIVE, NOTABLEMENT AMÉLIORÉE PAR L'EMPLOI
nerfs du thorax et des extrémités avec conservation de la nutrition musculaire ; sensibilité absolument normale; rien au sensoriu
lade constate qu'elle peut remuer les pieds et les jambes; la force musculaire revient peu à peu, mais la marche n'est possibl
s se bornent il quelques muscles ou simplement à quelques faisceaux musculaires . Excepté les muscles de l'oeil, tous les mus- c
xcilabililé, voire des convulsions spasmodiques de certains groupes musculaires , et bien- tôt des attaques complètes d'épilepsi
thique cervical chez les basedowiens, ce qui tient à un phénomène musculaire , à la paralysie du muscle orbitaire interne, et n
on a absolument laissé de côté l'étude du rôle que joue le tissu musculaire dans les états physiologiques et pathologiques de
érescence. Spasme et contracture ne sont que la réaction des fibres musculaires lisses de l'appareil digestif en présence de l'
peut se produire une susceptibilité, une irrita- bilité de la fibre musculaire lisse (états moraux, fatigues, surine e nage, n
ec Eb, Lépine, Brissand, etc., l'auteur pense que les alté- rations musculaires des myopathies dites primitives sont sous la dé
postépileptique, par Féré, 322. Atrophie . Main succulente et - musculaire , par larinesco, 85.- musculaires, par Pick, 457
Atrophie . Main succulente et - musculaire, par larinesco, 85.- musculaires , par Pick, 457. AUTO-UiFEC11ON mentale, par Kor
RAGIE cérébro-spinale et ich- tytose, par Lévi, 325. ' Dystrophie musculaire progressive, par Wiener, 498. Education des e
nelle des - par Mercklin, 167. Innervation. Développement de l'- musculaire volontaire, par Roth, 76, par Egllier, 77. In
62 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
incohérentes. Le malade n'a plus ce besoin de repos, cette torpeur musculaire , que nous avons signalés comme un des symp- tôm
ement, de la verbigération incohérente, un certain degré de tension musculaire , des troubles vasomoteurs. 4. Deux cas de par
patellaire et clonus podaliques,hyperexcitabilité mécanique neuro- musculaire . Ceci ne dura que quelques jours pendant la dur
us sentir, tous les symp- tômes enfin se dissipent, sauf l'atrophie musculaire qui, elle, resle aussi prononcée qu'avant le tr
Leyden-Moebius. Mais on s'est aperçu que la variété des groupements musculaires primitivement atteints était infinie, et que ch
pathie primitive et progressive ; en Allemagne, on dit : dystrophie musculaire progressive. Cette nouvelle concep- tion synthé
ce, chez le même sujet, des atrophies avec des pseudo-hypertrophies musculaires , qui en outre a fait voir que les muscles en ps
exes rotuliens sont normaux des deux côtés, il n'y a pas d'atrophie musculaire , ni de trouble trophique, pas plus à gauche qu'
thies primitives progressives, la lésion ne porte que sur la fibre musculaire . Dans le premier groupe on trouve la paralysie
premier groupe on trouve la paralysie spinale infantile, l'atrophie musculaire progressive, les atrophies avec paralysies dues
par exemple les atrophies syringomyéliques, et enfin les atrophies musculaires articulaires. Dans le second groupe, dans les
rtébrale, déformation des pieds, altération de la parole, faiblesse musculaire très grande, lordose considérable, tous les mus
es épaisses projetées en avant, absence de rides, etc... L'atrophie musculaire est si intense que l'on ne peut sentir par la p
i intense que l'on ne peut sentir par la palpation la moindre masse musculaire au deltoïde ou au trapèze. La force musculaire
ion la moindre masse musculaire au deltoïde ou au trapèze. La force musculaire est diminuée en raison de l'atrophie. Les fléch
qui s'établit à la suite de la névralgie du triju- meau, l'atrophie musculaire des arthrites douloureuses, etc. ^Remarquons ma
des muscles volontaires dans le tabes. On sait que quand l'atrophie musculaire existe, elle est due à des complications ? Par le
La triade symptomatique de la syringomyélie comprend : l'atro- phie musculaire , la dissociation de la sensibilité et les trouble
er- mographisme. Trouble de la sécrétion sudorale. Pas d'atrophie musculaire , sauf un léger aplatissement de l'éminence thénar
cornes postérieures puis- qu'il n'y a qu'à peine un peu d'atrophie musculaire , elle doit sié- ger surtout à droite et enfin s
ux moitiés delà moelle, et surtout parce qu'il n'y a pas d'atrophie musculaire . L'hypolhèse d'une paralysie hystéro-lraumaliqu
u côté gauche, mais encore affaiblissement en masse de la puissance musculaire . L'examen des sens n'est pas moins significatif
ium est générale et qu'elle atteint partout les systèmes nerveux et musculaire . « C'est un anesthésique aussi bien des centres
endroits de développement d'un nerf. Quant aux muscles, les fibres musculaires des nouveau-nés presque absolument rondes, ou p
ensions progressent très irrégulièrement. La longueur des bourgeons musculaires de l'enfance est de 40 à 70 p. ; les fibres, co
E ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 137 î rampent tout près du germe musculaire sans encore le pénétrer. La caractéristique du
traux, surtout dans les fibres qui occupent l'intérieur du bourgeon musculaire . En tout cas leur volume est souvent très consi
x. En conséquence : La bien moindre largeur des fibres nerveuses et musculaires , l'absence d'étranglements des fibres nerveuses
liomyélite cervicale. OBs. III. Démence; accès vertigineux; raideur musculaire et attitude de la paralysie agitante; rélropuls
on réciproque des différents segments du corps. La théorie purement musculaire est la plus ancienne, puis la théorie mécanique
ticulaires, enfin la théorie de Giraud-Teulon basée sur la tonicité musculaire . Pour M. Paul Richer, la contrac- tion musculai
e sur la tonicité musculaire. Pour M. Paul Richer, la contrac- tion musculaire , la distension des ligaments et la tonicité mus-
contraction légère. C'est un levier du pre- mier genre. La théorie musculaire trouve là une confirmation complète, c'est la c
usculaire trouve là une confirmation complète, c'est la contraction musculaire qui maintientl'extension de la tête, mais elle
et fixés ainsi, et que pour réaliser cette disposition, le système musculaire n'a pas, comme on le croyait autrefois, un rôle p
s déformations du tronc dépendant d'une atrophie oud'une rétraction musculaires , l'attitude des arthropa- thiques a toujours le
tion subjective directe et le sens des attitudes segmentaires (sens musculaire ). L'orientation exige l'intégrité des conducteu
n l'aperçoit tentant de se jeter par la fenêtre, seule sa faiblesse musculaire , l'a empêchée d'accomplir ce suicide. Elle raco
des siens. Elleneprésente aucun trouble de la parole. La faiblesse musculaire est assez grande pour qu'on soit obligé de la t
Maladies antérieures : rhumatismes subaigu chronique articulaire et musculaire , dyspepsie, artères scléreuses et athéro- mateu
ès Médical. CHARCOT (J.-B.). - Contribution a l'étude de l'atrophie musculaire progressive. - (Type lMichenne-Aran.) Un volume
e tout noyau coloré dans l'épaisseur des trois tuniques. La tunique musculaire prend, par l'hématoxyline, une coloration bleu
u trouble; on y distingue encore assez bien les contours des fibres musculaires , mais c'est à peine si de loin en loin on entre
res ont disparu; mais cette lésion est très peu importante. Un nerf musculaire pris dans l'épaisseur du triceps ne présente au
vail quelconque depuis plusieurs mois déjà. Il n'y a pas d'atrophie musculaire . Les pupilles, en état de myosis, sont égales e
myélite chronique diffuse évoluant sous les allures d'une atrophie musculaire , n'était à proprement parler que l'exagération
nous venons de décrire (F. Raymond, Sur quelques cas d'atro- phie musculaire à marche progressive chez des syphilitiques, So
rite se ren- contrent chez la malade : douleur, paralysie, atrophie musculaire , troubles trophiques. La première atteinte a eu
modique des extrémi- tés avec rémission de deux ans. Pas d'atrophie musculaire ; pas de réaction dégénérative, pas de trembleme
qui existe entre la sclérose latérale amyo- trophique et l'atrophie musculaire progressive. P. S. SOCIÉTÉS SAVANTES. CONGRÈS
uteur, la neurasthénie est caractérisée par une diminution du tonus musculaire et de la sécrétion glandulaire. L'hypotonus se
souvent des attitudes athétosiques des mains et des doigts. Le sens musculaire est conservé. La sensibilité cutanée est altéré
s en 1895, et nous constatons les symptômes suivants : contractions musculaires de la face exprimant les sentiments les plus di
ui de l'hémianopsie et une anesthésie pro- fonde avec perte du sens musculaire du côté gauche. Peu après, l'anesthésie devient
RNEVILLE. BIBLIOGRAPHIE. Il. Contribution à l'étude de l'atrophie musculaire progressive (type Duchenne-Aran); par J.-B. Cha
ts. Ce n'est pas une monographie 344 bibliographie. de l'atrophie musculaire type Duchenne-Aran qu'il a voulu écrire, et de
l, Hayem, etc. Sous l'influence de ces divers travaux, l'atro- phie musculaire type Duchenne-Aran règne en maîtresse, elle rég
le professeur Charcot faisait une lumineuse revision des atrophies musculaires , la maladie Duchenne-Aran ne possédait-elle plu
B. Charcot s'inscrit en faux contre cette conception : l'atro- phie musculaire type Duchenne-Aran ne reverra certainement plus
effet jusqu'à ces dernières années on pensait que dans l'alro- phie musculaire progressive, les cellules des cornes antérieures
vait, obéi àun pieux 346 varia. devoir. La question de l'atrophie musculaire , type Duchenne-Aran, était une de celles que so
de la morphinomanie.- CUARCOT. Contribution à l'étude de l'atrophie musculaire progressive type Duchenne-Aran ? AI"ILENOfF. Al
que le chloralose, en dehors même des accidents d'hyperexcitabilité musculaire qu'il est susceptible de déterminer, surtout ch
sommeil est agité, presque convulsif; il existe une sorte de délire musculaire se rapprochant plus ou moins d'une franche attaqu
soir. De légères parésies peuvent à la suite d'un certain exercice musculaire , arriver à cons- tituer de véritables paralysie
variation fréquente des symptômes, le ptosis, l'absence d'atrophie musculaire et le dénouement fatal. L'ordre de l'apparition
même temps qu'on constate un certain degré d'irritation aussi bien musculaire que mentale; 2° à une seconde période, l'apport
à cette période correspondent la démence terminale et la parésie musculaire . Reste il déterminer la cause primitive des troub
uctrices de la moelle, l'hyperesthésie et la conductibilité du sens musculaire sont exposés avec beaucoup de sens critique. Le
A signaler particulièrement la contracture, les troubles du sens musculaire et l'ataxie qui permettent aux auteurs de dévelop
s Médical. Chajicot (J.-li.). Contribution ci l'élude de l'atrophie musculaire prollressiue. (Type 1W chenne-Aran.) - Un volum
GOGIQUE. IMBÉCILLITÉ PRONONCÉE PROBABLEMENT CONGÉNITALE ; SPASMES MUSCULAIRES ET COPROLALIE; PAR ft . ' BOURNEVILLE, et T J
ngt-huit mois; marche à seize mois ? IMBÉCILLITÉ PRONONCÉE; SPASMES MUSCULAIRES , ETC. 4SI l Propre à deux ans. Début de la paro
des jointures se produisent normale- IMBÉCILLITÉ PRONONCÉE; SPASMES MUSCULAIRES , ETC. 453 ment. Organes des sens : vue, assez b
pré- cédé d'une forte aspiration. IMBÉCILLITÉ PRONONCÉE; SPASMES MUSCULAIRES , ETC. 4te5 1894. Janvier. L'enfant se développe
les bras et la jambe gauche. Début de la coprolalie. - Les spasmes musculaires sont remplacés par la coprolalie : M.-L. pronon
n remarque qu'il y a rdterraunce entre la coprolalie et les spasmes musculaires ; lorsque la première s'atténue, les seconds red
nas- tique, etc. L'enfaut est réglée régulièrement. - Les spasmes musculaires sont de moins en moins fréquents, mais la coprola
sieurs mois, on a observé une alternance curieuse entre les spasmes musculaires et les spasmes psychiques. V. A partir du mois
o- ration croissante de l'état général de la malade : les spasmes musculaires et les spasmes psychiques s'éloignent de plus en
que la pression des mains traduit un amoindrissement de l'énergie musculaire . Point d'atrophie. Ce fait, survenu en pleine é
anément atteints (moelle épinière, bulbe, etc.) et aussi le système musculaire (polymyosite). Toutefois pour que ces agents pa
infection ou intoxication, et par la suite celui de toute atrophie musculaire . L'anatomie pathologique de la psychose polynév
. Néanmoins les altérations matérielles profondes de l'arc ueuro- musculaire appartiennent, sans ou presque sans exception, au
utanés et muqueux nuls, les tendineux faibles ou absents, les idio- musculaires énergiques. Dans les accès épileptiques ou cong
faible en apparence, est bien conservée; les réflexes tendineux et musculaires sont exagères. Dans la neurasthénie, hyperalgés
est faible, de même que les réflexes cutanés et muqueux; les idio- musculaires et les tendineux rapides. Dans les démences secon
ésie du facial, déviation de la langue à droite. A droite, atrophie musculaire et contracture des extrémités, légère obtusion
un autre cas, M. Pick a montré de semblables myomes dans les parois musculaires des artérioles médullaires d'un sujet atteint d
Il entre à l'asile cinq mois après : on ne constate pas d'atrophie musculaire . Les symptômes intellectuels consistent en une
ment, la paralysie progressive a précédé l'apparition de J'atrophie musculaire pro- gressive. M. Bonhoffer (de Breslau) veut
nnes indifférentes. Ils ont mesuré l'activité cérébrale et la force musculaire de l'individu à l'aide des méthodes si ingénieu
9. - nerveuses et troubles de la sensibilité, par Brissaud, 68. - musculaire progressive, type Aran- Duchenne, par ,T.-B. Cl
lle, 268. Imbécillité prononcée probablement congénitale, spasmes musculaires et coprolalie, par Bourneville et Boyer, 450.
63 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s, la motilité est intacte, il n'y a ni atrophie, ni incoordination musculaire , cependant les réflexes sont très diminués, La
ré de muscles puissants, et qu'en bas il est masqué par deux masses musculaires ; la masse des muscles spi- naux en dedans, cel
ction entre myopathies d'origine neurotique et myopathies d'origine musculaire n'est pas si nettement tran- chée qu'on aurait
ituent pas deux enti- tés morbides distinctes. Du reste, l'atrophie musculaire des membres supérieurs n'est pas localisée excl
les mains, afin d'éviter toule flexion du tronc. Aucune altération musculaire . Depuis quelque temps, il ne peut plus lire, sino
es de changements dans l'excitabilité élec- trique, ou nerveuse, ou musculaire ; dans ces cas l'électricité peut t aider au dia
boisine atténue aussi mais d'une façon moins prononcée, la rigidité musculaire ou les malaises qui l'ac- compagnent ; elle par
des membres, laissant la place à un coma profond avec résolution musculaire qui dure près de deux jours. Le réveil de la moti
x secours, tentatives de fuite et de défense furieuse. La faiblesse musculaire entrave heul eusemenlles violences; mais ces fa
les réflexes sont ralentis notablement des deux côtés, la faiblesse musculaire assez sensible, un peu plus marquée à droite. L
aisemblablement être attribuée à des états passagers de contracture musculaire . L'absence du réflexe du genou dans la manie ch
e, si l'on veut avoir des résultats précis, de l'étatde la tonicité musculaire au moment de l'examen. D'après les documents qu
rentrent dans trois groupes de- mouve- ments : * .. Contractions musculaires simples : flexion, extension, abduc- tion, etc.
ces exercices. Le malade doit apprendre à dominer ses contractions musculaires et par conséquent arriver à pouvoir exécuter to
rapide et qui n'est nullement en rapport avec la quantité de force musculaire dépensée. On voit même des tabétiques qui éprou
de, mais qui le lendemain de cette promenade avaient une courbature musculaire générale. Cette courbature durait généralement
la fatigue, est porté à dépenser une trop grande quantité de force musculaire sans réparer la perte par le repos. Le médeci
temps il pourra marcher ou exécuter n'im- porte quel autre travail musculaire . Beaucoup de tabétiques sont portés à des exagé
ral du malade et de sa résistance. En dehors de la dépense de force musculaire que nécessitent les exercices, il y a encore un
s qui considèrent ce symptôme comme une manifestation de la parésie musculaire (Pierret), des contractures (Ommus), de la dimi
(Pierret), des contractures (Ommus), de la diminution du to- nus musculaire (Debove) ont confondu la conséquence de l'in- c
s connaissons mieux les troubles de la sensibi- lité articulaire et musculaire dans le cours du tabes. Il est certain que dans
des hystériques qu'ils sentent sans sentir. Surtout leur anesthésie musculaire et articulaire est sujette à caution. Quant aux
ces tabétiques avec des paresthésies pénibles et de l'hyperesthésie musculaire . Con- trairement à la période ataxique pendant
ndant laquelle les malades ont souvent de l'anesthésie à la fatigue musculaire , ces préa- taxiques se sentent épuisés et courb
taxiques se sentent épuisés et courbaturés après le moindre effort musculaire , ils se sentent lourds, les jambes en plomb, il
pendant un cer- tain temps. La sensibilité profonde (articulaire musculaire ) est très troublée dans toutes les articulation
es où sa présence déterminait les troubles sensitifs, les atrophies musculaires , les ulcères trophiques des extré- mités caract
ite quatre observations de malades non hystériques, avec vibrations musculaires involontaires, per- ceptibles à l'oreille à dis
e, anis, etc.), dont l'ingestion produit des décharges spasmodiques musculaires , lesquelles se traduisent dans le .tracé sphygmog
endineux voulus ou inconscients, tout à fait comparables aux bruits musculaires signalés par M. Voisin à pro- pos des trembleme
garçon de moyenne tailla, assez bien constitué, quoique son système musculaire soit relativement peu développé pour son âge, l
. En même temps que l'action convulsivante fait entrer les masses musculaires du cou et de la poitrine dans une phase en quelqu
ouble du langage, aucune secousse con- vulsive dans les territoires musculaires , habituellement si prompts à entrer en contract
ssistait dès qu'il voulait parler au spectacle d'une incoordination musculaire généralisée. Après quelque temps de séjour sous
l'aspect extérieur du malade et en assistant aux phases d'agitation musculaire , on songe naturellement à la maladie des tics c
s et des excitations périphériques sur le plus ou moins d'agitation musculaire présente des analogies dans le mode de début qu
taires font cesser immédiate- ment les convulsions dans les groupes musculaires qui y prennent part, ce sont là autant de signe
'envahissement par le processus convulsivant des différents groupes musculaires qui nous a donné l'idée d'une analogie possible
leur genre ? ` ? A-t-il été sujet aux névralgies ? aux'trémulations musculaires ? Tremblements ? . Etait-il très excitable, d
ureuse ordinairement très incomplète et limitée à certaines régions musculaires , une anesthésie cutanée assez net- tement circo
ns morbides où se com- plaît l'hystérie : Observation. - Atrophie musculaire chez un homme de qua- rante-quatre ans avec déf
, ils sont dus à l'hystérie associée, chez le malade, à l'affection musculaire . Il en est de même pour les soubresauts muscula
e, à l'affection musculaire. Il en est de même pour les soubresauts musculaires . Il reste l'incontinence d'urine, à la vérité t
des déductions intéressantes. Vient ensuite l'examen de la rigidité musculaire , à laquelle aucun muscle de la vie de relation
lasque absolue, les deux bras ne sont pas paralysés, mais faiblesse musculaire marquée dans le bras gauche. Les muscles inters
lement, faiblesse considérable des membres supérieurs avec atrophie musculaire généralisée. En quelques semaines la malade -de
isfaisant, paralysie complète des membres et du tronc avec atrophie musculaire intense généralisée, les muscles de la tête et
t : ni paralysie, ni atrophie 304 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. , musculaire , la marche n'est pas ataxique, mais elle est moin
comme une combi- naison des trois entités nosologiques : l'atrophie musculaire spinale progressive, la paralysie labio-glosso-
li se paralyse complètement et la paralysie s'accompagne d'atrophie musculaire . En janvier 1893, nouveaux accidents : la tête
me, elle a trois pointes, une médiane et deux latérales, l'atrophie musculaire l'a rendue excessivement mince, elle reste acco
ien là d'un cas de polioencéphalo- myélite : on y trouve l'atrophie musculaire progressive, la paralysie tabto-glossa-laryngée
'une part se manifeste l'ophtalmoplégie, et d'autre part l'atrophie musculaire progressive. Nous arrivons ici à une dissertati
et indiffé- remment, soit par l'ophtalmoplégie, soit par l'atrophie musculaire progressive, mais ce n'est pas là une vérité in
ns de la sensibilité. On pense d'abord qu'il est atteint d'atrophie musculaire progressive, type Araii-Duelientie5 mais le pro
système mus- culaire, par exemple, à l'exclusion d'autres systèmes musculaires . On ne peut non plus songer à une paralysie a (
sseurItaymond : blennor- rhagie, arthrite du genou gauche, atrophie musculaire généralisée, cachexie et mort par myélite, etc.
rappelant en outre que ces apophyses donnent insertion à des masses musculaires particulièrement développées chez les criminels
Les deux jambes sont également et uniformément amaigries. La force musculaire est bonne. Un peu plus faible cependant dans la
ardée. Le chaud et le froid sont également bien sentis. Sensibilité musculaire et articulaire. < : Jambe droite. Dans cette
ormale. Cependant un certain degré d'in- sensibilité articulaire et musculaire persiste toujours dans la jambe gauche. Dans le
es muscles des bras et des jambes sont bien con- servés et la force musculaire est très bonne. Rien de particulier aux articul
Extrémités supélieures. - La sensibilité profonde (articulaire et musculaire ) est à peine troublée. Cependant les mouvements d
boit toute seule. Extrémités inférieures. - Le sens articulaire et musculaire est profondément atteint dans toutes les articu
la malade a appris a dominer assez convenablement les contractions musculaires des jambes. Elle corrige bien la position vicie
iste pendant un certain temps La sensibilité profonde (articulaire, musculaire ) présente peu d'al- térations appréciables. Les
que une douleur très vive). La sensibilité profonde (articulaire, musculaire ) est très affectée. Les yeux fermés la malade n
ons anormales sont plus accentuées du côté droit du corps. La force musculaire est intacte. Le signe de Romberg est très prono
oubles de' la sensibilité, tant cutanée, que profonde (articulaire, musculaire ). Le signe de Rom- berg reste toujours aussi pr
nférieures. - Les jambes sont uniformément mai- grès, mais la force musculaire est bonne. Rien aux articulations. Sensibilité.
de pousse des cris de douleur. La sensibilité profonde (articulaire musculaire ) est profondément t altétée. Le malade ayant le
donne à ses articulations et il n'a aucune notion des contractions musculaires . Motilité. Couche. Tout les mouvements, même le
tous les jours. Les troubles de la sensibilité cutanée et profonde ( musculaire , articulaire) sont restés sans modifications. P
mal. Les muscles des jambes sont très bien développés et la force musculaire est considérable. La sensibilité profonde (arti
musculaire est considérable. La sensibilité profonde (articulaire, musculaire ). - Les yeux fer- més le malade n'a aucune noti
pendant quelques secondes. Les jambes sont maigres, mais la force musculaire est bien con- servée. Rien d'anormal aux articu
de ce côté, le pied retombe. La sensibilité profonde (articulaire, musculaire ) est profondément troublée aux deux jambes. Si
at normale des deux côtés. La sensibilité profonde arti- culaire et musculaire est normale dans le bras et dans la main droite
e je l'ai brûlé avec un thermocautère. ' La sensibilité profonde ( musculaire articulaire) est très peu trou- blée ; excepté
x à gauche et à droite. Les muscles sont bien conservés et la force musculaire est consi- dérable. Rien d'anormal aux articula
gie mentale. 389 place à la cyclôpégie; dès le début : excitabilité musculaire sans contractures; -embarras de la parole, accè
ique le courant faradique qui détermine des convulsions des groupes musculaires correspondants. A la suite de cette opération,
miction s'accomplisse normalement, il faut, dit-il, que l'appareil musculaire entier de la vessie entre en même temps en cont
muscles fléchisseurs au contraire sont affaiblis. Légère atrophie musculaire aux membres inférieurs. Arthropathie spéciale sié
En résumé, la chorée variable, véritable « caprice de la fonction musculaire », représente un de ces désordres passagers dont
emière apparition des phénomènes de névrite, aux premières douleurs musculaires . Il donne aussi une nouvelle observation releva
s nous avaient déjà renseignés, et elle n'est d'abord, pour le sens musculaire , qu'un auxiliaire inutile; 3° La privation co
ble comme le seraient la sensibilité générale et tactile ou le sens musculaire , dont la priva- tion enti allierait des conséqu
imultanée de plusieurs muscles, ou de plusieurs faisceaux de fibres musculaires appartenant à des muscles différents, et qu'on
tion, qui indique la colère chez le chat. 6° L'intensité des effets musculaires varie selon les habitudes et instincts des anim
i conduit à admettre que, par une longue habitude de certains actes musculaires , il s'établit des conditions fonctionnelles telle
ique, la paralysie ou parésie d'une fonction, alors que les groupes musculaires qui l'exécutent normalement, restent indemnes d
64 (1896) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 09] : clinique des maladies du système nerveux
tentionnellement, on augmente celle-ci, les contours et les reliefs musculaires finiront par être traversés et seul le système os
uve, qui n'a posé qu'une heure, laisse encore voir certains reliefs musculaires . Dans la photographie d'un pigeon tué également
sidérable des membres supérieurs, compliquée bientôt d'une atrophie musculaire géné- ralisée. La paralysie et l'atrophie ont é
uscles trapèzes. Partout la paralysie se compliquait d'une atrophie musculaire considérable. L'exa- men électrique des nerfs e
alysie complète des membres et du tronc compliquée d'une atro- phie musculaire intense aux membres surtout ; les muscles du cou
olition de la sensibilité ; nous pouvons éliminer, dis-je,Patrophie musculaire du type Aran-Duchenne, la pachyméningite, les t
aire du type Aran-Duchenne, la pachyméningite, les types d'atrophie musculaire pro- gressive myopathique, la sclérose latérale
nsemble symptomatique dominé par la paralysie motrice, l'atro- phie musculaire , t'anesthésie, des troubles trophiques cutanés, i
e des changements d'attitude qu'on imprimait à ses membres. Le sens musculaire était diminué. Les réflexes étaient abolis. A l
que nous constatons chez notre malade, et qui a précédé l'atrophie musculaire ; la participation des cordons postérieurs nous
7 kilogs. On ne constate pas d'atrophie, pas de paralysie. La force musculaire est conservée intégralement. Membres inférieu
Il n'y a pas d'atrophie, pas de paralysie. Pas de perte de la force musculaire . Les réflexes patellaires sont conservés. Il
constate nulle part de secousses fibrillaires. Pas de perte du sens musculaire ni articulaire. Sensibilité. Il n'existe pas de
e début de cette petite expérience des signes manifestes de fatigue musculaire . N'ayant pas de dynauomètre, nous lui faisons f
lat au niveau du grand palmaire. Au toucher, on voit que les masses musculaires du côté droit sont moins volumineuses que du côté
erne, c'est ce que nous avons recherché avec grand soin. Troubles musculaires . Il n'y a pas eu à proprement parler de paralysie
se servir facilement de ses membres inférieurs. En plus, l'atrophie musculaire s'est établie d'emblée sans paralysie antérieure,
ure à une névrite de cause interne, nous de- vons mettre l'atrophie musculaire aux membres supérieurs, uniquement sous la dépe
olue ; aucun mouvement volontaire n'est pos- sible dans les groupés musculaires des membres inférieurs, du pelvis, de la région
que tous ces mouvements manquent d'énergie et que la fai- blesse musculaire est plus accen- tuée dans le hras gauche : il r
ère ; la peau est seulement plus rouge dans ces régions. Les masses musculaires ne paraissent pas atrophiées. ' En présence d
dont les noyaux arrondis se mêlent aux noyaux allongés des éléments musculaires ; cette mésartérite, qui, dans les coupes succe
es sont écartées, que les yeux soient ouverts ou fermés. Les masses musculaires des membres inférieurs ne sont pas atrophiées. Le
es des membres supérieurs ne sont pas atrophiés, toutefois la force musculaire y est diminuée. Les réllexes du poignet et olécrâ
déterminaient aucune douleur; il n'y avait pas non plus de raideur. musculaire ».. Rien du côté des membres inférieurs ; sphin
normale. Les membres supérieurs sont étendus,rigides,sans atrophie musculaire et présentent un tremblement plus où-moins pron
t (28 octobre 1891), la démarche est nettement spasmodi- que. Force musculaire normale. Pas d'ataxiè, mais légère incertitude de
e- ment il courrait le risque de souiller ses vêtements. La force musculaire des membres supérieurs et inférieurs est normale
e des membres supérieurs et inférieurs est normale ; pas d'atrophie musculaire ; pas de troubles de la sensibilité. , Les pupi
uations. Le membre soulevé retombe brusquement sur le lit. La force musculaire est conservée. L'occlu- sion des yeux, dans la
qué des 2 yeux. Les mouvements de la langue sont normaux. Le sens musculaire est conservé. En général, la sensibilité cutanée
DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 141 de troubles de sensibilité, ni d'atrophie musculaire des membres inférieurs. Pas de signe de Romberg
cuisse droite et il la partie externe de la cuisse gauche. Le sens musculaire . est conservé ainsi que la sensibilité profonde.
ns complètement déformées. Les anomalies qui portent sur le système musculaire se manifestent soit par des atrophies, soit par
usse). Ilexiste dans l'art d'excellentes représentations d'atrophie musculaire (2) . Cependant elles sont rarement reconnaissa
nous savons qu'un certain nombre de nains furent doués d'une force musculaire peu commune, en disproportion avec leur petite ta
es (pieds-bots, gèmt valgum, etc.). Nains atteints de dystrophies musculaires (atrophie ou hypertrophie). Le même individu po
bbosité, l'obliquité des côtes en haut, la conservation des reliefs musculaires nor- maux, sans atrophie ni pseudo-hypertrophie
lques faits de cette catégorie et sur l'hypotonie (Muskelschafl'heit) musculaire dans le tabès dorsal. (2) Nous avons constamm
rticulière a été faite, concernant les malades atteints d'atrophies musculaires , quelle qu'en fût l'origine. Voici les chiffres
uit plus tard, ou bien est beau- coup moins intense. La contraction musculaire qui doit la suivre, ou bien intervient plus tar
xpliquer : aussi l'un de nous a-t-il invoqué la diminution du tonus musculaire , clans le travail auquel nous avons fait allusi
des animaux, obtenir avec le chloroforme la dispa- rition du tonus musculaire , le danger d'une pareille expérimentation est tro
semble est le tonus. Or, ce bruit est diminué dans certains groupes musculaires , au cours du tabes dorsal. Nous sommes donc a
autorisés à supposer que la diminution ou la dispa- rition du tonus musculaire (3) amenant l'insuffisance des moyens de con- t
es, et la diminution de la sensibilité, la distension des appareils musculaires et ligamenteux et les attitudes que nous avons
ement de l'une d'entre elles : amyotropliques (perte de la tonicité musculaire avec conservation de la sensibilité), anesthési
e perte complète de la sensibilité profonde (sens articulaire, sens musculaire , etc.). Voici les chiffres qu'ils ont fournis q
l'on peut ainsi juger d'une certaine indépendance entre l'atropine musculaire et les lésions tégumentaires. Cette peau, d'un ja
u niveau des cuisses, on voit encore se dessiner quelques faisceaux musculaires ; la peau est un peu épaissie, indurée, mais enco
thésique ; les pieds sont tomhants, autant par suite du relâchement musculaire (hypotonie muscu- laire de Frenkel) que par la
de Frenkel) que par la pression prolongée des couvertures. Les sens musculaire et articulaire sont altérés. B... a éprouvé que
totale des extenseurs de la jambe droite, s'accompagnant d'atrophie musculaire ; B. Un tremblement de la langue véritablement
uis les choses se sont amendées peu à peu, et actuellement la force musculaire dans le membre inférieur est normale, et l'atro
éjerine) sur les lésions hislologiques qui produisent les atrophies musculaires de la période avan- cée du tabes. Elles sont co
lysies, quoique passagères, s'accompagnent fréquemment d'a- trophie musculaire . L'une et l'autre marchent de pair; l'évolution
veut bien nous autoriser dire rlû a cons- taté ces mêmes atrophies musculaires accompagnant la paralysie de début du tabes. DE
de l'ataxie statique mais dans un état statique où la contrac- tion musculaire entre en jeu. Celle ataxie slatique chez B... n
ice notablement infiltrée, infiltration qui atteint même la tunique musculaire . Au contraire la structure des parois de ce vai
it, jamais je n'ai constaté l'inverse d'une façon cer- taine. De la musculaire je n'ai rien à dire si ce n'est qu'elle était pre
l'avantage de pouvoir examiner, autour de l'axe spinal, des masses musculaires qui me renseignaient sur la diffusion des lésions
s se confondent à la périphérie avec les lissus voisins, la tunique musculaire est dissociée, méconnaissable, et. du côté de l
arois épaisses le ca- libre est plutôt rétréci, cependant la couche musculaire reste il peu près intacte formant sur les coupe
er. A aucun moment la paralysie ne s'est accompagnée d'une atrophie musculaire appréciable. Dès le 25 mai on notait la dispariti
autres éléments à considérer; c'est d'une part l'absence d'atrophie musculaire , et, d'autre part, la rapidité de l'évolution e
le-ci était limitée aux membres ; elle s'est accompagnée d'atrophie musculaire , de la perte des réflexes, des signes de la réa
totalement, sans laisser de résidus sous la forme de ces atrophies musculaires et de ces rétractions tendineu- ses irrémédiabl
ette pratique a pour but de donner aux arsenicophages de la vigueur musculaire et respiratoire. Quelquefois elle vise un but de
s troubles respiratoires, à de la tachy- cardie. Bientôt l'atrophie musculaire s'associe à la paralysie; atrophie dif- fuserai
'y cantonner dans certains. groupes de muscles; sauf que l'atrophie musculaire est géné- ralement moins prononcée (le cas de n
t le degré et l'extension atteints par la paralysie et l'a- trophie musculaire , le retour à l'état normal peut se faire d'une fa
et uccso ? aotezcrs, qui comprennent, indépendamment de l'atrophie musculaire (type Aran-Duchenne), des éruptions phlycténoïde,
rois, une petite gomme miliaire très nette, qui détruit les assises musculaires reconnais- sables à leurs noyaux allongés et pé
65 (1871) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 3ème année
leur hauteur. Genou gauche. Lorsque les téguments et les insertions musculaires sont détachés, on voit que la capsule articulaire
ée de chercher ses jambes et prend la gauche pour la droite. La force musculaire est conservée, un peu moins bien toutefois à gauc
long de la face postérieure du fémur, entre le périoste et la couche musculaire profonde. Les cartilages articu-laires ne présent
ue cette élévation énorme de la température soit due aux contractions musculaires , ainsi que l'établissent les expé-riences de Leyd
on) de cet accroissement considérable de la chaleur, la contraction musculaire , car, dans les cas ordinaires, qu'il s'agisse du
ide sur le développement de la maladie, les douleurs arti-culaires et musculaires , les lésions endopéricardiques concomitantes. Ces
t y déterminer une inflammation. Quant aux douleurs articulaires et musculaires , on sait qu'elles existent dans tous les mouvemen
où la cause lo-cale échappe, elle doit reconnaître quelque mouvement musculaire exagéré ou par son énergie ou par sa répétition.
rice progressive se compliquera: 1° à." arthropa-thies; 2° à'atrophie musculaire progressive. 1 Charcot, Leçons cliniques faites
aits, citons quelques communications de M. Hayem sur les hémorrhagies musculaires dans les fièvres graves, sur la stéatose aiguë de
ITE — 11. arthropathies qui s observent dans le cours ue l'atrophie musculaire progressive. Pour terminer l'histoire des arthr
r les cas suivants survenus : l'un chez une femme atteinte d'atrophie musculaire progiessive; l'autre chez un homme à la suite d'u
te d'une lésion traumatique de la mo lie. Observation V. — Atrophie musculaire progressive. — Arthropa-thie de l'épaule droite.
xiques par M. Chareot,— chez une femme de 50 ans, atteinte d'atrophie musculaire progres-sive qui avait d'abord occupé le bras gau
n n'ait pas mentionné plus souvent cette complication dans l'atrophie musculaire progressive, car il nous 1 Voy. Revue photograp
sions, un rapport entre les arthropalhies des ataxiques et l'atrophie musculaire progressive. On sait, en effet, que, dans cette d
légiques. Ou ne si- 1 Voy. Charcot. et Joffroy, Deux cas d'atrophie musculaire progressive avec lésions de la substance grise et
bles, mais pouvaient cependant être remués volontairement. Le système musculaire était en général affaibli, surtout au bras. La pe
. Les muscles de la région antérieure sont représentés par des masses musculaires qu'on peut diviser en deux groupes : l'un, superf
rne. Le long supinateur et les radiaux sont représentés par une masse musculaire qui s'étend du bord externe de l'humérus et de l'
inté-ressant seulement, soit la tunique péritonéale, soit les couches musculaires , sont plus rares.— Les bords de la déchirure étai
raco-huméral et biceps ; ce dernier même paraît envoyer une expansion musculaire au mamelon qui est for-tement rétracté quand le c
n-gourdissement dans les pieds, les mains et les mollets. Les spasmes musculaires sont plus fréquents et plus intenses. 10e jour
écation, sans effet. La soif, la sécheresse de la bouche, les spasmes musculaires sont allés en augmentant. A six heures du matin,
resthésie cutanée, le cuir chevelu et le dos ex-ceptés. Le grattement musculaire était très-pénible, sauf aux gouttières verte* br
la main, ce serre-ment devenant douloureux par la moindre contraction musculaire . Outre ces douleurs provoquées, le malade accus
sistai un jour à l'un de ces accès et je vis un véritable tremblement musculaire concomi-tant et peut-être producteur de la douleu
nstante. Quoi qu'il en soit, les douleurs spontanées, l'hyperesthésie musculaire semblent établies par ces faits. Leur nouveauté m
apparu la tumeur, on fait une première incision parallèle aux fibres musculaires du grand droit de l'abdomen, à droite de l'ombili
l'abdomen, à droite de l'ombilic, et on arrive au-dessous des fibres musculaires jusqu'à l'aponévrose si- Fig. o. — A. Colon asc
station morbide du côté des téguments. CLINIQUE MÉDICALE ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE par g. peltier, interine des hopita
eltier, interine des hopitaux de paris g I. Observation. — Atrophie musculaire progressive. — Début remon-tant à douze ans envir
et sur ses antécédents des détails assez précis. Atteint d'atrophie musculaire progressive, Bellinghen fait remon-ter le début d
urs années, il n'avait que de la faiblesse, et quelques contrac-tions musculaires involontaires; son bras conservait son volume hab
Il E VUE PHOTOGRAPHIQUE DES HOPITAUX Planche XXIII. ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE mais il a conservé sa forme et ses
urs, qui, jusqu'à présent, ont à peu près échappé, sinon à la fatigue musculaire , du moins à des déformations apparentes. I H.
r les déformations qu'avait engendrées, chez notre malade, l'atrophie musculaire progressive. Mais il est un point que nous avons
rie que, en 1866, se rattache M. Jules Simon dans son article Atrophe musculaire progressive du Dictionnaire de médecine et de chi
(moelle et nerfs) éloigne de toute idée d'une affection exclusivement musculaire . Dire comme Virchow que l'état morbide est primit
ation que les nerfs vaso-moteurs occupent tous les recoins du système musculaire . Dans les centres nerveux et les nerfs, la même i
définition, que nous ne saurions partager complètement. « L'atrophie musculaire progressive est un trouble de la nutrition por-ta
rogressive, elle se traduit par les symptômes habituels de l'atrophie musculaire progressive. — Le siège variable des alté-rations
antérieures n'ait été observée jusqu'ici que dans des cas d'atrophie musculaire progressive s'éloignant mani- festement par que
ses ; cette lé-sion est un fait général dans l'histoire de l'atrophie musculaire pro-gressive ; de plus, il y a une relation intim
plus, il y a une relation intime entre la lésion trophique des fibres musculaires et celle des cellules nerveuses ; en effet, plusi
ière devront jouer uu rôle important dans la pathogénie de l'atrophie musculaire pro-gressive. » CLINIQUE OBSTÉTRICALE NOTES E
importance infiniment moindre. Je citerai la névralgie, le rhumatisme musculaire , la phlébite, Yéry-thème noueux et papuleux, Yang
n et tout à fait rigides. De même que chez Etch..., la con-tractilité musculaire n'est pas amoindrie. Les membres sont amai-gris,
ilepsie spinale tonique), — un cer-tain degré d'émaciation des masses musculaires , — un peu d'amoin-drissement dans l'énergie de la
ctions fibrillaires analogues à celles qu'on observe dans l'atro-phie musculaire progressive et un affaiblissement très-notable de
ions ne soient pas mieux décrites et que l'état de la contractilité musculaire n'ait pas été mentionné. Quoi qu'il en soit, les
souffler, gonfler ses joues, etc., on constate l'intégrité du système musculaire de la face. (Voy. planche XXX.) C'est donc un e
uche, épais de 7 à 8 millimètres, on ne voit rien, mais dans le tissu musculaire , à 5 centimètres en-viron de la pointe, existe un
chyme déjà peu résistant par lui-môme ou d'une paralysie des éléments musculaires des parois vasculaires et des trabécules? C'est c
mologiste s'est proposé de donner un exposé des signes des paralysies musculaires de l'œil. L'ouvrage est divisé en trois parties
ns analogues de l'axe gris dans la para-lysie infantile et l'atrophie musculaire progressive. Elle s'en rap-proche d'autant plus,
rne-ville, 9 ; — des ataxiques, par le même, 9, 52; — dans l'atrophie musculaire progressive, parle même, 67 ; — suite de lésions
locomotrice (Observations d'), par Bourneville, 10, 15,59. Atrophie musculaire progressive, 67. — (Obs. et réflexions suri'), pa
66 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
constituant ainsi le premier essai de transplantation tendineuse ou musculaire dans un pareil cas. > Archives, 2" série, t.
e Nancy, elle présentait une hémiplégie gauche totale avec atrophie musculaire et contractures particulièrement accusées au me
périeur ; on constatait, en outre, des troubles de la sen- sibilité musculaire , de l'hémianesthésie gauche et des troubles vis
.) et SIHOL (J.). Maladie de Thomsen il. forme fruste avec atrophie musculaire . Brochure in-8° de 7 pages, avec une planche ho
rses reprises. 114 RECUEIL DE FAITS. par l'intégrité des masses musculaires et par l'apparence tout il l'ait normale de leu
uche de ce qu'il est il droite : cependant la masse des faisceaux musculaires est moins épaisse à gauche, la dé- pression s
l'est faiblement à gauche, de ce coté aussi la brièveté de la masse musculaire est évidente ; au contraire la longueur de la p
é- rieurs. Ne voit-on pas chez les hémiplégiques adultes la force musculaire amoindrie même dans les membres indemnes ? Il y
e, à côté de l'hypertrophie des noyaux, l'hypertrophie des fibres musculaires . Le frère du malade, Michel E..., âgé de dix-hu
s les quatre membres avec ataxie, atrophie SOCIÉTÉS SAVANTES. 147 musculaire , secousses fibrillaires (notamment dans les membr
our. Au niveau du membre atteint, on constate une légère atrophie musculaire . M. Brissaud pense qu'il s'agit d'une artérite go
l s'échapper sous forme de jets synchrones à ces mêmes contractions musculaires . Cette femme est hystérique ; elle est atteinte
e régler telle ou telle fonction, de commander à cer- tains groupes musculaires , ou d'élaborer les impressions centripètes venu
rès souvent, il y a une modification de l'état sta- tique, du tonus musculaire : tantôt un rétrécissement, tantôt un élargisse
t en hauteur de 10 centimètres. Émaciation, disparition de la force musculaire . Conservation des sensations des mouvements tot
L'aspect caractéris- tique c'est la contracture de quelques groupes musculaires des 232 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. membres infér
du syndrome de l3use ! toiu. - Brasiano (Ohm). Etude sur l'atrophie musculaire dans l'hémiplégie. Brun gruger). Contribution à
ibution à l'étude de la neurasthénie. Dubois (Henri). Des atrophies musculaires d'origine hystérique. Dupau (Georges). Du zona
tion ci l'étude du zona ophtalmique. Sureau(Edmond). De l'hypotonie musculaire dans le tabès (sa fréquence). - Szum- lanski (P
get, ayant constaté la présence dans les ligaments larges de fibres musculaires lisses, admettent une contraction périodique de
hémiatrophie faciale, la maladie de Basedow, la pseudo-hypertrophie musculaire , l'asphyxie locale. Pour bien d'autres maladies
e douleurs et accompagnée de troubles de la sensibilité, d'atrophie musculaire et de réaction de dégénérescence. Tous ces acci
les actes nou- veaux ou nouvellement appris, exigeant une synthèse musculaire qui, pour être correctement exécutée, a besoin
tériques se trouve principalement impuissante vis-à-vis des actions musculaires où se rencontre quel- que nouveauté des mouveme
es lésions manifestes dans les nerfs. A. Fenayrou. XXIV. Atrophie musculaire et osseuse du membre supérieur droit, consécuti
axie, inconscients comme ces derniers, à cause des troubles du sens musculaire . Traitement. Alimentation reconstituante. Massa
avec la contracture tardive post-hémiplégique, avec la dys- trophie musculaire progressive, avec la tétanie et la myotonie, av
progressive, avec la tétanie et la myotonie, avec les hypertrophies musculaires du surmenage des athlètes. - P. KERAVAL. XLVI
s la colonne vertébrale. En même temps, on constate de l'atrophie musculaire et de l'abaissement de l'excitabilité électrique,
relet dont l'axe long est perpendiculaire à la direction des fibres musculaires (myoïdème, idiomnsculære Wulst). B... a examiné c
c l'affection du premier neurone moteur est douteux. Le bourrelet musculaire tient plutôt à l'altération du tissu musculaire l
uteux. Le bourrelet musculaire tient plutôt à l'altération du tissu musculaire lui- même. L'existence de la démence précoce, c
t démontrée, et en tout cas la pré- sence du phénomène de bourrelet musculaire ne peut servir de preuve d'autonomie de cette a
palement dans les extrémités postérieures, accompagnées d'atrophies musculaires ; 2° chez les lapins tous ces phénomènes se fon
moins pronon- cés, mais on observe plus souvent un trouble du sens musculaire des extrémités postérieures. L'examen microsc
00 francs); M. Maupaté, mention avec 200 francs. 1899. Du système musculaire chez les idiots et de son éduca- tion : M. Boye
n des réflexes crémastérien et abdominal. Pas d'atrophie des masses musculaires . Pas de troubles vaso-moteurs sauf une conges-
ts menta- lement, nous sentons à l'état d'ébauche, des mouvements musculaires d'articulation dans la gorge, sur la langue ou !
les lèvres. Rien de singulier à ce fait. Ces sensations tactiles et musculaires ne sont que les résidus des images kines- thési
fet au cours de l'articulation des mots, les sensations tactiles et musculaires de la langue et des lèvres ne sont pas les seul
t pas les seules qui se produisent (Sérieux). « Les deux phénomènes musculaires (expiration volontaire- ment réglée et mouvemen
l'écorce cérébrale, la motilité, la sensibilité générale et le sens musculaire ont la même localisation ; 9° La multiplicité d
que le soutient M. Brissaud, il une dégénérescence des nerfs intra- musculaires . Cela posé, l'auteur réunit dans le tableau suiva
ers, on voit la lésion médullaire amener la perte de la sensibilité musculaire (compression des fibres du faisceau cérébelleux
es de déficit. L'autopsie ne révèle pas de lésions splanchniques ni musculaires , pas de névrite. Quelque congestion et quelque
e l'urine et que leurs muscles révèlent une hypertrophie des fibres musculaires devenu spisoïdes, ayant perdu leurs stries tran
jusqu'ici condamnés à l'incurabilité. REVUE CRITIQUE. SUR LE SENS MUSCULAIRE A PROPOS DE QUELQUES TRAVAUX RÉCENTS; - Par l
ef de clinique médicale à l'Unhcl'sile de Bordeaux. L'étude du sens musculaire est une de celles qui peuvent le mieux montrer
tardent d'autant sa solution définitive. Cette expression de « sens musculaire » introduite dans la science par Charles Bel, en
qui suivirent ne tardèrent pas à s'apercevoir qu'en réalité le sens musculaire était quelque chose de beaucoup plus complexe.
renseigne sur le mouvement en cours d'exécution et la « conscience musculaire » qui entre en fonction au moment d'exé- cuter
u et l'expression de sens des mouvements substituée à celle de sens musculaire ne s'appliqua plus à un sens spécial, mais à un
es auteurs contemporains 1 Pour l'historique voir Sollier. Le .sens musculaire . (Archives de Neii- l'ologie, 1887.) 462 REVU
EVUE CRITIQUE. s'accordent à admettre l'existence non pas d'un sens musculaire autonome tel que l'avait conçu Charles Bell, ma
nc qu'elle dut avoir toutes chances de supplanter celle de « sens musculaire » qui, prise dans un sens étroit, ne correspond p
tion des sensations élémentaires, dont l'ensemble constitue le sens musculaire . la détermination de leur importance respective
2, de Cher- clie«-sl : i 3, de Claparède1. I. Psychologie du sens musculaire . Après Bastian, Lamacq en 1891 ;, admettait qua
it quatre notions élé- mentaires ou quatre modalités des sensations musculaires 6. C'étaient : 1° La notion des mouvements acti
a. Elude clinique des troubles de la sensibilité générale, des sens musculaire et sléréognostiquc dans les hémiplégies de cause
. Le sens des altitudes. Thèse de Paris, 'tS7. 4 Claparède. Le sens musculaire el l'hémiulaxie pos-hémiplégique. Thèse de Ceuè
iulaxie pos-hémiplégique. Thèse de Ceuève, 1897. 5 Lamacq Le sens musculaire . Thèse de Bordeaux, 1891. ° Nous ne comprenons
Thèse de Bordeaux, 1891. ° Nous ne comprenons dans l'étude du sens musculaire ni la sensation pioduite par la pression des mu
courbature qui se produit au niveau des muscles fatigués. ' SENS MUSCULAIRE . 463 des mouvements volontaires et aussi des mo
mouvements réflexes des membres toutes les fois que la contraction musculaire est cause du mouvement ; 2" La notion des mouve
ment par une cause externe quelcon- que, et sans qu'aucune réaction musculaire intervienne; 3° La notion de position des membr
perception des mouvements passifs, la notion de position, la force musculaire , la sensation de pression avec des poids différen
notion de la différence des poids sou- pesés ressoit seule au sens musculaire tandis que la sensation de pression avec différ
fférents poids ressort à la sensibilité tactile et à la sensibilité musculaire profonde. Pour Cherchewaki il n'y aurait qu'une
ériques perçues à l'occasion des mouvements. )t ramène tout le sens musculaire à une seule notion fondamentale, celle des atti
- duisent pas. Claparède n'admet pas cette simplification du sens musculaire 464 REVUE CRITIQUE. et il s'est attaché à dét
ciellement lavant-bras de se fléchir sur le bras, malgré l'e f SENS MUSCULAIRE . 465 fort du biceps on n'a aucune sensation de
nsation de mouvement, il croit pou- voir établir que les sensations musculaires proprement dites n'in- terviennent pas dans la
ticulaires il se refuse à dénier toute participation aux sensations musculaires proprement dites. Dans la production de la no
lancé par le cerveau. Cette théo- rie de l'origine centrale du sens musculaire n'est plus guère ad- mise en tant que théorie e
é des expériences qui prétendent prouver l'origine centrale du sens musculaire . Les sensations illu- soires des amputés, ou We
il arrive alors de la périphérie un certain nombre d'impressions musculaires cutanées et articulaires, le tout se fusionne dan
ntes dans le mouvement actif et le mouvement passif; les sensations musculaires et articulaires sont plus vives dans le premier
ion en conformité avec la théorie de l'origine périphérique du sens musculaire . Elle résulte de plusieurs éléments qu'il class
un mouvement actif rencontre.une certaine résistance les sensations musculaires et articulaires qui donnent lieu à la sensation
ation kinesthésique qui a coutume d'être associée à ces impressions musculaires et à l'image qui les pré- cède est absente puis
giquement analysables, et dans la formation desquels les sensations musculaires proprement dites entrent pour une large part. L
actif ou passif sont des résultats soit de variations' quali- SENS MUSCULAIRE . 467 Î tatives de ces sensations de mouvement,
s éléments périphériques à l'exclusion d'un élément central du sens musculaire . Par de nombreux côtés son travail réalise un p
s son travail réalise un progrès sensible. Le rôle des sensations musculaires proprement dites avait en effet été trop complè
ble-t-il la perception des variations d'intensité de la contraction musculaire qu'on doit surtout considérer. Notre maître le
ts. En ce qui concerne l'origine centrale ou périphérique du sens musculaire la question nous semble parfaitement élucidée par
tte image motrice ne peut être elle-même qu'un résidu de sensations musculaires antérieurement perçues. Or, ' .1. Pitres. Leçon
hysème des bords. CO ! 111', 258 gram- mes ; petit, flasque, libres musculaires de coloration feuille morte ; surcharge graisse
des extrémités jusqu'au-dessus du genou et du coude, et sensibilité musculaire . Les mains étaient bouffies, tandis que leurs mus
ralement de plus de un centimètre; il y est recouvert par le ventre musculaire du vaste externe du triceps. A chaque contracti
perdu sa résis- tance, comme chez le buveur, et que les convulsions musculaires se succèdent dans le bras. Il faut, par exemple
stance blanche du lobule pariétal supérieur. Les troubles du sens musculaire et de la perception du relief, suivis d'hémi-an
langue. Il n'existe pas de contrac- tures. En revanche, les spasmes musculaires légers ne sont pas habituels dans la paralysie
oubles de déficit. Ils peuvent coïncider avec un défaut de tonicité musculaire , ce qu'on a appelé l'hypotonie. M. Londe se dem
basant sur la théorie qui incri- mine dans la scoliose des lésions musculaires , l'auteur se déclare partisan des procédés qui
9. Athétose. Un cas d' bilatérale, par Campbell, 510. Atrophie. Musculaire et osseuse du TABLE DES MATIERES. membre supé
67 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
re spécial, car les modifications relevées sont surtout d'origine musculaire et analogues à celles que nous avons exposées à
ropathie monstrueuse et indolente de l'épaule gauche, de l'atrophie musculaire progressive du même memhre et de la dissociatio
e la parésie et des douleurs lancinantes, évolution lente, atrophie musculaire étendue aux quatre membres, fausse bypertrohie
ouvements de l'avant-bras sur le bras sont possibles, mais la force musculaire est inférieure à la normale; n'ou- blions pas d
second symptôme attire immédiatement l'attention, c'est l'atrophie musculaire coexistant avec l'impotence, elle occupe surtou
. Les réflexes sont diminués ou abolis au prorata de l'atro- phie musculaire : les seuls qui, au niveau du poignet, ne soien
phénomènes parétiques, ceux-ci rigoureusemt adéquates à l'atrophie musculaire se manifestaient par une diminution notable de
périeurs l'aspect' clas- sique de la main simienne, en une atrophie musculaire superposable à la paralysie, en une abolition d
nts, dès l'abord, chez nos deux malades est certainement l'atrophie musculaire , si accentuée dans les deux cas, et qui mérite
ette apparence évoque immédiatement dans l'esprit l'idée d'atrophie musculaire myélopathique, d'atrophie du type Aran-Duchenne
e de porter dans les cas qui nous occupent le diagnostic d'atrophie musculaire du type Arau-Duchenne. Tout d'abord, l'atroph
rophie musculaire du type Arau-Duchenne. Tout d'abord, l'atrophie musculaire myélopathique est symétrique,, tandis que chez
phénomènes qui sont étran- gens à la symptomatologie de l'atrophie musculaire progres- sive type. Laissez-moi, Messieurs, vou
ajouter, disais-je, que les premières des- criptions de l'atrophie musculaires , dans lesquelles on notait expressément que les
ard, c'est qu'ils ont observé des cas qui n'étaient plus l'atrophie musculaire type. Je vous ferai remarquer d'ailleurs : 1° q
ubles de sensibilité un peu importants sont superposés à l'atrophie musculaire , ce n'est plus en présence de la maladie type d
ré- ' sentent aucun stigmate d'hystérie. Le diagnostic d'atrophie musculaire par poliomyélite est donc à rejeter. Mais il es
ais il est une autre affection qui se rapproche assez du l'atrophie musculaire progressive pour que, jusqu'en 1882. tout au mo
un que je veux d'abord retenir, la syringomyélie à forme d'atrophie musculaire : ici la symptomatologie se caractérise essenti
ionnés : en cas de syringomyélie en effet la symétrie de l'atrophie musculaire et des anesthésies est de règle, tandis que che
rieures. Chez elle aussi nous avons des paraly- sies, des atrophies musculaires , des troubles sensitifs, l'hy- pertrophie des c
ec résorption des phalanges, de lésions articulaires et d'atrophies musculaires . Faut-il ajouter que les deux ordres de trouble
cle ciliaire s'effectuent lentement comme il arrive pour les fibres musculaires lisses. Impossible de noter de relations consta
éflexe du muscle sous-épineux. Il faut frapper non où les faisceaux musculaires convergent vers la tête de l'humérus, mais à 2
à l'aide de la cocaïne prouvent que la voie centripète est le nerf musculaire sen- sible, que le réflexe est musculaire. Les
ie centripète est le nerf musculaire sen- sible, que le réflexe est musculaire . Les aponévroses n'y sont pour rien, Sternberg
iénés comme le rachitisme. Elle se manifeste à l'occasion d'actions musculaires ou de chocs minimes occasionnels. Des fractures p
culaires ou de chocs minimes occasionnels. Des fractures par action musculaire , combinée avec la fragilité des os, peuvent s'ob-
rs des attaques épileptiques, non plus que les fractures par action musculaire vive chez des individus normaux. Mais je n'ai p
aissent de temps en temps des contractions tétaniques des faisceaux musculaires isolés, de la durée de quelques -secondes ; dan
llement des contractions plus lentes, se pro- pageant d'un faisceau musculaire à l'autre, et envahissant tout le muscle ; asse
ans cela que les contractions variables involontaires des faisceaux musculaires ne sont pas les tiraillements « fibrillaires »,
- ques à distribution segmentaire, radiculaire, ou à localisation musculaire individuelle. Le soir, un grand banquet réuniss
complètent, au contraire. La différenciation profonde du système musculaire trouve son image dans la différenciation des no
ces groupements, on peut, enfin, reconnaître l'existence de noyaux musculaires individuels, répondant chacun à un muscle isolé
llèles à l'axe des membres ; 3° le type à distribution individuelle musculaire (Sano). Il n'en résulte pas l'existence des cen
ncipale du IIIe ventri- cule représentent les centres / individuels musculaires , et enfin, les centres supérieurs, supra-nucléa
ser à la forme catatonique de la démence pré- coce, où ces troubles musculaires s'observent avec une fréquence tout à fait cara
stématisée..... - i, 1 : : 244 SOCIÉTÉS SAVANTES. Des rétractions musculaires et de l'amyotrophie consécutives aux . contract
- sionnelles et stuporeuses, on observe couramment des phénomènes musculaires spasmodiques, raideurs, contractures, attitudes s
ophiques plus ou moins graves, rétractions tendineuses et atrophies musculaires . Quatre observations détaillées en fournissent
fournissent des exemples variés. Ces contractures et ces atrophies musculaires , chez les stupides et les déments, habituelleme
ant, dans quel- ques cas, devenirdéfinitives, rappellent l'atrophie musculaire des paralysies hystériques (Charcot, Babinski)
puis M. Schnyder (de Berne), nous entretiennent tour à tour du sens musculaire et de la suggestibilité des neurasthéniques. M.
m en thérapeuti- que nerveuse. Sur l'exploration clinique du sens musculaire . M. le Dr En. Claparède. (de Genève). L'explora
laire. M. le Dr En. Claparède. (de Genève). L'exploration du sens musculaire participe aux difficultés inhérentes à toutes les
dies,, montrent que la complexité des diverses modalités du sens musculaire est probablement encore plus grande qu'on ne l'a
les résultats fournis par les procédés usuels d'exploration du sens musculaire . Examen de la suggestibilité chez les nerveux.
entiel va à la cellule nerveuse, pour la cërébration ; à la cellule musculaire , pour la musculation ; G° La fatigue est en rai
gue est en raison de l'abaissement du potenliel par l'acte accompli musculaire , intellectuel ou émotif. La fatigue par célébra
veloppement du foetus en flexion. Cette flexion impose une « gêne » musculaire au foetus. La détente de ses articulations cons
ers Bayonne et la côte basque. Pierre Roy. 1rfyotonie avec atrophie musculaire . M. LANNOIS (de Lyon). Présentation des photogr
gressive avec hypertonie que Maladie de Thomsen ruste avec atrophie musculaire . Il s'agit d'un malade ayant, depuis quatre ans
re. Il s'agit d'un malade ayant, depuis quatre ans, de l'atrophie musculaire à forme segmentaire (avant-bras et jambes) avec p
e d'un fragment de muscle montre les lésions typiques de l'atrophie musculaire . Des faits de ce genre ont été signalés par Hof
des. La cause de l'in- fection est la stase qui résulte de l'atonie musculaire des parois abdominales, thoraciques,vésicales,
des spinaux s'accuse par un chan- gement d'aspect dans les reliefs musculaires du dos, assez carac- téristique pour qu'à la si
érimentalement pour la jambe, chez le chien, des véritables centres musculaires . Pour la cuisse, les lésions sont minimes dans
ie qui nous donnera la clef du phénomène. De par la perte du sens musculaire , le tonus est modifié, il y a hypotonicité musc
rte du sens musculaire, le tonus est modifié, il y a hypotonicité musculaire . Si on dit à la malade de raidir un bras ou une
membre fléchit ou mieux revient à son état de repos, la flaccidité musculaire est exagérée et rappelle la paralysie. Il ne se
eaucoup que le caractère de la nourriture et le degré de l'activité musculaire constituent des con- ditions propres à donner a
sion. P. KERaVAL. LVII. De l'influence de la musique sur le travail musculaire ; par I. Spirtow (Obozrénié psichialrii, VIII, 1
que des sons aux con- ditions du travail qui imprimera à l'appareil musculaire une extrême activité. Il y a même des cas dans
otilité, des troubles de la sensibilité, de l'ataxie, de l'atrophie musculaire . 1. Les troubles de la motilité sont : a, une p
sensibilité, on constate : a, avant tout des perturbations du sens musculaire et du sens stéréognostique; b. le malade ne peu
u- vements. 4. Il se produit dans la jambe parétique une atrophie musculaire précoce qui dépend du foyer cérébral. P. KERAVA
t d'un amoindrissement du squelette en ces deux organes. L'atrophie musculaire est des plus nette à la face antérieure de l'av
t la période de développe- ment du sujet. L'atrophie avec paralysie musculaire et ? 011 dégénérative de l'extrémité supérieure
des mouvements irréguliers, inopportuns, portant sur divers groupes musculaires en commun et donnant aux actes un caractère phy
, s'étendant simul- tanément à beaucoup de muscles ou à des groupes musculaires entiers, faisaient mouvoir l'extrémité correspo
s aussi. P. Keraval. LXXI V. De la genèse sous-corticale de spasmes musculaires isolés. Contribution à la clinique des tumeurs
arties de ces cen- tres, se puissent propager de groupes en groupes musculaires , voire de muscles en muscles, pour finalement s
es centres donne directement naissance aux convulsions de groupes musculaires isolés, ou si elle actionne, par mécanisme réflex
nce de tout foyer cortical, d'appliquer l'apparition de convulsions musculaires isolées au diagnostic d'un foyer sié- geant dan
ronc nerveux, se font avec le concours et la participation du tissu musculaire . G. D. LXXXII. Nouvelles recherches sur les l
la théorie de Sano d'après laquelle les localisations spinales sont musculaires . Cette théorie, d'après les auteurs, se confond
1'ea, l'état cataleptique, la suggestibilité; plus tard, la raideur musculaire , la .verbigération peut-être, si l'on peut donn
Observation de spasme facial tonique primitif avec palpita- tions musculaires ; par L. 1\'EV.IARII. (Neurolog. Centmlbl., XXII.
res supérieurs. Le membre supérieur gauche est atrophié, les masses musculaires ont presque disparu. Il est cyanose et froid, s
otons enfin l'atrophie ou mieux l'arrêt de développement du système musculaire bien mis en évidence par les mensurations et la
do-mastoïdien (8 centi- mètres au lieu de 18 centimètres). Atrophie musculaire simple du chef claviculaire. Pas d'apparence ci
ion médullaire primitive, tenant sous sa dépendance les altérations musculaires et l'hémia- trophie cranio-faciale; cette inter
modique coïncide avec le syndrome spasmodique habituel : hypertonie musculaire , contracture, exagération des réflexes rotulien
otence absolue, anesthésie totale, tactile, douloureuse, thermique, musculaire , remontant jusqu'à trois travers de doigt au-de
g. , 111 yocysmie. M. Marie désigne par ce vocable le tremblement musculaire ondulatoire vermiculaire, ressemblant à un grou
, par Lamy, 1-178. Musique. De l'influence de la - sur le travail musculaire , par Spirtow, 336 Mydriase unilatérale et cor
t Po- rot, 57. , Miosis. Voir Méningite. Myotonie avec atrophie musculaire , par Lannois, 273. MYXOEDEMATEUX. Voir Scléro
l' Man- zoni, 516 Psychose Voir l : orsalo ? - Voir Rétractions musculaires . Docu- ments figurés représentant d'an- cienn
MATIÈRES. rose tabétique, par P. Marie et Lei, 17. Rétractions musculaires . Des - et de l'amyotrophie consécutives 1 aux
soi-disant - , par Claparède, 67. Sur l'exploration clinique du musculaire , par Claparède, 245. Sensibilité. Voir Myopat
68 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
, tremblement des mains. Réflexe rotulien exagéré. Grande faiblesse musculaire . Gâtisme. Symptômes oculaires : Réflexe cornéen
e constituent le mécanisme délicat qui commande et règle l'action musculaire . Or, dans le premier cas, c'est le déve- loppem
- bles de la motilité coïncidant avec la conservation de la force musculaire , l'intégrité plus ou moins complète de la fibre
force musculaire, l'intégrité plus ou moins complète de la fibre musculaire , et la non-abolition des contractions volontaires
eu ces tentatives, et s'ils cherchaient à atteindre surtoutl'organe musculaire , leurs écrits montrent que néan- moins ils ne s
ion spéciale des éléments nerveux qui com- mandent aux contractions musculaires et en assurent l'har- monie, on peut concevoir
eaucoup'à attendre de la rééducation. Les exem- ples de suppléances musculaires sont banaux, on en observe dans tous les cas où
'une façon générale à tous les cas dans lesquels les contractions musculaires volontaires considérées isolément sont conser-
squelles non seulement les adaptations spéciales des con- tractions musculaires à une fonction donnée sont viciées, -mais où ce
men électrique, et alors la rééducation est impuissante. La fibre musculaire étant supposée intacte, on tiendra le plus grand
upposée intacte, on tiendra le plus grand compte de l'état du tonus musculaire , puisque toute ano- malie dans la répartition d
itudes et altère les mouvements; d'autre part, sachant que le tonus musculaire n'est que l'expression du tonus ner- veux et qu
que Duchenne de Bou- logne exprimait en disant : « Les contractions musculaires isolées ne sont pas dans la nature. » On a pu
s qui n'en peuvent pas béné- ficier. Non seulement lorsque la fibre musculaire elle-même est malade il n'y a rien à en attendr
il lui faut connaître exacte- ment les effets de chaque contraction musculaire , le méca- nisme de tous les mouvements, les act
oubles observés, leurs localisations, leur degré pour chaque groupe musculaire : c'est alors seulement qu'on pourra prévoir ce
précis. L'atrophie vraie, avec altération histologique de la fibre musculaire et modification des réactions élec- triques, pe
moyens deviennent insuffisants chez les ataxiques chez qui la fibre musculaire n'est pas altérée et ne saurait être rendue res
orma- tions et attitudes vicieuses. De plus, sachant que le tonus musculaire n'est que la traduction du tonus nerveux et que
mou- vements involontaires, enfin nous savons que la sensibilité musculaire est capable de suppléer la sensibilité articulair
s profondément touchée, que, sauf dans les cas graves, l'anesthésie musculaire avec ses diverses variétés est rarement absolue
ulaire avec ses diverses variétés est rarement absolue, que le sens musculaire est suscep- tible de s'améliorer par la rééduca
s ata- xiques doit être consacré à la rééducation de chaque unité musculaire ; autrement ce serait une tâche vaine que d'asso-
on, sont réalisées par la combinai- son d'un petit nombre d'efforts musculaires , l'harmonie de ces derniers semble préétablie c
plus simples, destinés à rétablir le type normal de la contraction musculaire indi- viduelle, les seconds destinés à grouper
che tient au défaut d'action d'un petit nombre seulement de groupes musculaires : quelques mouvements retrouvés suffisent alors
ordas attribuent le syndrome de Thomsenn à un défaut d'assimilation musculaire . Ils ont trouvé dans l'urine d'un sujet un prod
muscles inférieurs, amyotrophie d'origine médullaire. La secousse musculaire dans les diverses maladies du système nerveux.
résume ses recherches gra- phiques sur le caractère de la secousse musculaire réflexe dont la -courbe représente une parabole
t depuis six mois une paraplégie motrice, flasque, avec hypotonie musculaire , troubles sphinctériens, et hypoesthésie remontan
e au premier accès (Observ. IV.) Pendant la rémission, la lassitude musculaire disparaît ou décroit énormé- ment ; la réaction
le peut être très étendue (Observ. V) ; elle succède à la lassitude musculaire (Observ. I). L'épuisement par les impulsions vo
purement mental du mouvement volontaire semble intact, la paralysie musculaire sur- vient quand le malade lance à plusieurs re
ésie profonde complète et cylindrique de tout l'avant-bras. Le sens musculaire est conservé ainsi que les réflexes. Pas de dou
elle d'asthénie bulbaire ; car ehez beaucoup de malades, l'asthénie musculaire occupe non seulemet les muscles innervés par le
n motrice et respectant leur fonction trophique, puisque l'atrophie musculaire fait défaut, ou bien comme le disent Déjérine e
ipale est d'augmenter la tonicité et la contractilité de la tunique musculaire de l'estomac. G. Carrier. XXV. Syndrome de Bé
ques, le traitement que Brissaud conseille pour la guérison de tics musculaires . R. DE Musgrave-Clay. IV. De l'intervention chi
blanc, dur, douloureux, progressif et accompagné d'amai- grissement musculaire , mais sans réaction de dégénérescence ni troubl
lle de faibles excitations extérieures déterminent des contractions musculaires convulsives. Le déplacement de l'un ou l'autre
XXV. Sur la question de la valeur clinique de la contraction idio- musculaire dans les maladies mentales; par les ûrs Soukanoff
rine, a pour caractères : ataxie des qua- tre membres avec atrophie musculaire et contractions fibrillaires ; troubles de la s
pidement et aboutit rapidement à une para- lysie totale; l'atrophie musculaire fait défaut et les réactions électriques sont n
voile du palais, épuisement rapide des muscles, absence d'atrophie musculaire , résultats négatifs de l'examen électrique. A
es du larynx présentent de la dégénérescence graisseuse de la fibre musculaire . Quel que soit l'intérêt des particularités ana
ination motrice et dont le signe le. plus marqué a été une atrophie musculaire à prédominance inférieure avec évo- lution très
très nettement arrêté et qui peut se résumer comme suit : atrophie musculaire progressive et très lente débutant par le membr
ions des troncs ner- veux de l'avant-bras et de la jambe) ; lésions musculaires (atro- phie plus ou moins accentuée des fibres)
flexes tendineux et cutanés, réac- tion de dégénérescence, atrophie musculaire , etc. Il n'existait pas de troubles de la sensi
Parmi les syndromes familiaux à caractère évolutif, les troubles musculaires occupent par leur fréquence une place prépondéran
ie familiale périodique est constituée par des attaques d'impotence musculaire complète, c'est une myo- plégie : les attaques
t lui-môme constitué par la perturbation momentanée du seul élément musculaire ; myotonie ou myoplégie constituent bien cliniq
oxystiques méritant de prendre place dans la classe des dystrophies musculaires héréditaires {Revue neurologique, sept 1902). E
tion de la sensibilité à la douleur et l'exagération de la tonicité musculaire . 6. La démence progressive plus ou moins rapide
illet 1902). E. B. XVIII. Des myopsychies (association des troubles musculaires et des troubles psychiques) ; par le professeur
. SOCIÉTÉS SAVANTES. 379 III. L'abattement et l'état de lassitude musculaire , qui suit l'acte génital, semble indiquer l'épu
une même marche ascen- dante ou descendante. » 3° La sensibilité musculaire profonde, dynamique, est seule con- servée, et
t pour les membres supérieurs uniquement. Le système des sensations musculaires profondes des membres supérieurs forme la base
ctibles et que ce dernier peut devenir le principe d'un automatisme musculaire original, exclusif des images men- tales visuel
uée entre le sentiment de la direction qui coordonne la cinesthésie musculaire , et le sentiment de la position du membre, l'en
et le sentiment de la position du membre, l'ensemble des sensations musculaires cessera de donnera la cons- cience l'impression
La sensibilité dans toutes ses espèces n'est pas troublée ; le sens musculaire est, ptut-êlre, légèrement troublé dans le memb
que s'achevant par des contractions isolées très fortes des groupes musculaires isolés ; l'accès dure deux ou trois minutes. La
arquable mémoire est consacré à l'étude des rapports de l'impotence musculaire et de certains troubles osseux dans l'hémi- plé
nocturnes avec réveils angoissants, des tremblements, des secousses musculaires , des phénomènes vasculaires et congestifs (doig
IX. Contribution clinique à l'étude de la topographie des atrophies musculaires myélopathiques ; par Il. et E. llue-c (Non. Ico
ringomyélie et deux de paralysie infantile présentant des atrophies musculaires des membres supérieurs intéressant le groupe ra
u- sivement radiculaire et que la seule topographie des atrophies musculaires ne peuvent servir de base au diagnostic de siège
ntes conceptions physiologiques qui ont cours sous les noms de sens musculaire , sens de l'espace, sens kiiies- thésiqzce, sens
matiqne presque exclusi- vement sensitive, le mouvement et la force musculaire étant très peu touchés, par contre il y a anest
anesthésiés. Il y a seulement diminution consi- dérable de la force musculaire des membres du côté gauche et de la jambe du cô
d'exécution. L'impulsion motive part sur un membre privé du tonus musculaire , privé delà faculté d'une fixation statique etein
ciant chaque mouvement volontaire et augmentant, lorsque la tension musculaire est plus grande et surtout pendant l'émotion; l
légère rigidité. La sensibilité cutanée est nor- male, mais le sens musculaire dans les extrémités inférieures a souffert un p
tin, l'autre grec), mais ce trouble n'est pas hystérique. Le spasme musculaire qui accompagne certaines affections organiques
eux, l'abolition du réflexe pupillaire à la lumière, l'hypotonicité musculaire , la fièvre continuer etc., phéno- mènes qui ne
d'après laquelle il tend àadmettreque la voie conductrice du tonus musculaire et des réflexes appartient aux voies longues, s
dence l'important phénomène de la dis- sociation de l'état du tonus musculaire et des réflexes tendineux. Les muscles sont sép
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 835 LXX1X. Sclérodermie et atrophie musculaire ; par M. Vacher (Société des Sciences médicales
nstate aux deux mains, mais plus marquée à gauche : 1° une atrophie musculaire des plus nettes des muscles des éminences théna
tte observation est intéressante par l'association d'une atro- phie musculaire du type myélopathique à la sclérodermie et vient
e qui semblerait démontrer que, au cours des myélopathies, la fibre musculaire subit des altérations variées et que tandis que
), l'auteur estime que les variantes symptomatiques de l'atro- phie musculaire progressive ne méritent plus qu'on en fasse des
rajouter, comme particularités atypiques, des phénomènes d'atrophie musculaire progressive dont le degré se montre proportionn
qui fut pris en pleine santé d'un ictus auquel succéda une atrophie musculaire du type de Duchenne sans réaction de dégénéresc
muscles atrophiés. L'auteur crut pouvoir rattacher cette atrophie musculaire à une lésion d'origine musculaire des groupes cel
pouvoir rattacher cette atrophie musculaire à une lésion d'origine musculaire des groupes cellu- laires qui correspondent dan
ce des pupilles immobiles à la lumière, d'origine péri- phérique et musculaire . M. Strasburger n'accepte pas l'expression de m
e de la contraction : dans la myotonie, l'exercice des mou- vements musculaires vient à bout de la raideur, ici, la répétition
d'ailleurs, la raréfaction d'un muscle ne prouve pas une affection musculaire idiopathique. M. Saenger insiste sur la durée d
ites, de type cérébelleux; tendance à tomber du côté droit. Lenteur musculaire du côté du nerf facial droit. Les mouvements de
u tronc et des extrémités gauches. Un petit affaiblissement du sens musculaire sur l'extrémité supérieure droite. Disparition
arie, 38. Contribution cli- nique à l'étude de la topographie des musculaires nivélt)l)athi- yues, 1ar Cestau ut liurt, 457.
un cas de - combinée par Vaschide et Hous- seau, 382. Secousses musculaires . Les clans les diverses maladies du système n
69 (1884) Archives de neurologie [Tome 07, n° 19-21] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ée. Elle recouvra ensuite ses fa- cultés mentales; mais les crampes musculaires re- vinrent et durèrent plusieurs années'. Ob
le père fut atteint plus tard d'ataxie locomotrice 4. L'atrophie musculaire progressive est quelquefois une maladie de fami
, II. 1, p. Ib.) in .labdte. Lypélnflnie consecutive à une atrophie musculaire progrea- sive. (Ann. nzéd. psych., 6" série, t.
gris ; mais il ne semble pas y avoir à proprement parler d'atrophie musculaire . Pas de troubles du côté des réservoirs. Cepend
at était le suivant : 1° anesthésie plan- taire, diminution du sens musculaire , puis paralysie de la vessie; 2° contracture en
e des cordons postérieurs et latéraux, il ne sur- vient ni rigidité musculaire ni contracture, si l'affec- tion des cordons po
es convulsions clo- niques (phase clonique), apparaît la résolution musculaire , accom- pagnée de stertor et de production d'éc
r plus loin) ne donne aucun résultat. Après une phase de résolution musculaire de quelques instants, le malade se relève sur s
ïde se déroule dans toutes ses phases jusqu'à celle de réso- lution musculaire inclusivement; après deux ou trois minutes d'im
n'amènent aucun mouvement réflexe. Il n'y a pas d'hyperexcitabilité musculaire (tapotements des muscles et des avant-bras, du
e, contact de l'eau froide sur bras y produit également des spasmes musculaires . Quatrième expérience (3 mai). - Le sommeil hyp
ffets obtenus, complets en ce qui concerne la période de résolution musculaire , d'insensibilité absolue, ainsi que le démontre
presque totalité de la couche sous-muqueuse, ontdisparu. La. couche musculaire (fibres circulaires et longitudinales de l'oeso
de l'oesophage) est bien développée; on n'y re- marque aucune fibre musculaire striée au niveau du cardia; il en est de mime p
nomène de l'effort. Sous la 1'1'1'>- sion brusque des puissances musculaires , les matières contenues DU MÉRYCISME. 115 dan
ni dans son rythme, ni dans sa fréquence; l'action des puissances musculaires est souvent si peu sensible qu'elle échappe même
on, les substances re- prennent le chemin de l'estomac ; les agents musculaires in- terviennent bien comme dansle vomissement,
estations complexes, affectant un rapport intime avec la toni- cité musculaire . Leur production exige que le tonus musculaire
e avec la toni- cité musculaire. Leur production exige que le tonus musculaire soit assez vigoureux, que l'incitation exercée
nt la conductibilité tactile est troublée et ra- lentie et le tonus musculaire endommagé, de par la lésion des fibres radicula
A peine la ma- lade a-t-elle le temps de tomber dans la résolution musculaire , qu'une nouvelle attaque se produit. Cette conv
copique , on trouve de la dégénérescence graisseuse dans les fibres musculaires de la langue. Les tubes nerveux dans le nerf hy
ues surve- DES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES. 151 nant dans le domaine musculaire de l'hypoglosse, à la suite de lésions diverses
peu d'affaiblissement de la motilité du côté gauche, sans atrophie musculaire , ni troubles de la sensibilité. Rien du côté de
progressive : la con- servation des réflexes, l'absence d'atrophie musculaire et la' conservation de la contractilité électri
llaires développées chez les goutteux, signalons un fait d'atrophie musculaire progressive vu par M. Potain '. Dans trois cas
cien chef de clinique de la Faculté. L'atrophie de certains groupes musculaires n'est pas un fait absolument rare au cours de l
ur fré- quence relative et leurs caractères propres. . L'atrophie musculaire des ataxiques « ne présente pas, dit notre maît
disséminées sur les parties du corps les plus diverses, les lésions musculaires restent d'autres fois limitées à des régions tr
. DE L'HEM1A'rlWPHII, : DE LA LANGUE. 195 Observation I. Atrophie musculaire de la moitié gauche de la face el de la langue
aule, le mouvement d'élévation du bras est im- possible. Les masses musculaires de l'avant-bras ont peu souf- fert. Au contrair
eau des interos- seux. c) Membre inférieur gauche. Pas d'atrophie musculaire ; mais diminution de la sensibilité de la peau à
Ataxie locomotrice,- Antécédents nerveux , héréditaires. Atrophies musculaires multiples. - Hémia- atrophie de la langue. M.
ord l'attention chez ce ma- lade, c'est l'existence d'atro- phies musculaires multiples. 1° Atrophie des muscles des membre
anatomique, « car, dit Clarke, bien que la structure de la fibre musculaire soit fort altérée, le volume de l'or- gane ne s
labio- laryngée, par exemple, qu'on la rapprochât de l'a- trophie musculaire progressive et de la sclérose laté- rale amyotr
ur siège et à leur étendue. Elles peuvent n'intéresser qu'un groupe musculaire isolé, le sacro-lombaire (Carré), les adducteur
es lésions à l'appareil sensitif. En est-il autrementdesatrophies musculaires , qu'elles intéressent les muscles des membres o
trophie des nerfs moteurs oculaires ». Or, ces diverses atrophies musculaires qui amènent à leur suite des troubles fonctionn
é. Pour Trous- seau, elle résulte d'une hyperexcitabilitédes fibres musculaires de la vessie ; Leubuscher et Van Lair admettent
le réflexe de la miction s'opère plutôt par l'intermédiaire du sens musculaire que par celui de la sen- sibilité tactile. Quan
st généralisée, la miction se fait régulièrement, c'est que le sens musculaire persiste dans la vessie, comme il persiste dans
e, ce qui DES troubles urinaires. 235 semble indiquer que le sens musculaire est atteint plus que la motilité. La sensibil
e infantile, dans la paralysie spinale de l'adulte, dans l'atrophie musculaire progressive, dans la paralysie générale spinale
es muqueuses qui est abolie, tandis qu'il y a per- sistance du sens musculaire qui joue le principal rôle dans le besoin d'uri
rétention etd'incontinence, qui semble résulter de la perte du sens musculaire . M. Geffrier la désigne sous le nom d'ataxie vé
nvulsives au cours desquelles on put observer une hyperexcitabililé musculaire remarquable et un érythème presque généralisé.
llapsus sans délire), il admet une paralysie du coeur dont la fibre musculaire est dégénérée ou détruite. Dans les deux autres
les parai} ti- ques qu'il faut distinguer du simple affaiblissement musculaire , peut-être constant dans la chorée, peuvent se
point due à l'incohérence des mouvements, mais à l'affaiblissement musculaire ; peu à peu la paralysie toujours flasque se com
re. Pas de con- tracture ni d'épilepsie spinale. Absence d'atrophie musculaire et de troubles trophiques. Contractilité électr
er de ramollissement à gauche. iaraaique conservée; pas a atropme musculaire , tllen au cote des organes des sens, du facial
l'hôpital. Lors de son entrée, on constata chez elle, une faiblesse musculaire , accusée surtout dans les extrémités inférieures
se promenant dans son jardin. Il reconnut bientôt que le mouvement musculaire exagéré diminuait le mal, mais que la vie séden
es de l'estomac. On peut donc admettre un certain état de faiblesse musculaire de l'organe. Dans le cas suivant, la rumination
lite), offrait les mêmes manifestations du côté de la contractilité musculaire , mais à développement lent. En un cas de parapl
terruption de l'arc réflexe, mais par anéantissement de la tonicité musculaire . P. K. XXI. Trois cas DE tumeurs tuberculeuses
énomènes irritatifs, des convulsions affectant la forme de tensions musculaires passa- gères, de rotations des yeux dans leurs
yeux dans leurs orbites, nystagmus, mou- vements forcés du système musculaire de la nuque. De ce que la lésion est hémtlatéra
mois ayant présenté pendant la vie : du strabisme, des convulsions musculaires , un érythème cutané circonscrit, de la raideur
a paralysie infantile, la paralysie spinale de l'adulte, l'atrophie musculaire progressive, laparalysie-labio-glosso- laryngée
l'auteur qu'il avait affaire à la rétraction convulsive des fibres musculaires des artères examinées. Résultat nul des hautes
es séances d'une façon continue. P. K. XXXV. Observation d'atrophie musculaire , articulaire ET osseuse, névropathique, ayant p
sont devenues rigides, ankylosées, tordues de par les contractures musculaires . Signalons l'atrophie avec rigidité des sternoc
Chaque perception sollicite des sensations as- sociées, sensations musculaires , sensations émanées de l'innervation des muscle
es pathognomoniques de la maladie, constitue avec l'affaiblissement musculaire la se- conde forme dite folie paralytique. M. S
ris, 1883. Contribuzione alla patogenese della pseudo-ipertrofia musculaire ; par Giuseppe GnnnEmso, Milan, 1883. INDEX B
ltois. Thèse de Paris, 1884. Contribution a l'élude de l'atrophie musculaire progressive (1) pc Aran-Duchennej ; par Revercu
dans les entorses et en particulier des atrophies et des paralysies musculaires ; par ANTELMY. Thèse de Paris, 1884. Neglcct
24 ; - (hérédité nerveuse dans la genèse de l'), 259. Atrophie, musculaire . articulaire et osseuse, névronathique, ayant,
70 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
te plus du côté des membres droits que de la diminution de la force musculaire , mais tous les mouvements sont possibles, bien
à toutes les conditions normales ou pathologiques de l'antagonisme musculaire , » Nous ne saurions admettre cette manière de v
rap- pelle l'état de contraction dans lequel se trouve le système musculaire du mélancolique, ce tracé nous offre quelques a
es tremblements, les .5 mouvements des membres sont lents. La force musculaire est notablement diminuée. Les réflexes rotulien
5. Etat physique. Lamalade est de faible constitution, le système musculaire et osseux peu développés. Les pupilles sont inéga
ibilité générale à la douleur et à la température, normale. Le sens musculaire ainsi que les sens spéciaux ne sont pas altérés
périeurs ne présentent pas de tremblements aux extrémités. La force musculaire est diminuée. Les réflexes des fléchisseurs et de
Nous observons des légers tremblements en masse des mains. La force musculaire est diminuée. Le réflexe rotulien est normal. L
spice le 28 décembre 1895. Etat p/i ? Me.Taiile moyenne, les tissus musculaire , osseux et cellulaire sous-cutané peu développé
male. Il n'y a pas de tremblements aux membres supérieurs. La force musculaire est diminuée. La marche est normale. Le réflexe
avec un couteau. Etat physique.- Constitution faible, les systèmes musculaire os- seux et le li.-su cellulaire sous-cutané mé
constitution débile; le système osseux bien développé; le système musculaire et le tissu cellulaire sous-cutané un peu moins.
prognathe, les dents sont irrégulièrement implantées, les systèmes musculaire et osseux médiocrement développés, ne présente
ion complète de dégénérescence. , - A. FrriAYROU. IV. L'hypotonie musculaire dans le tabes ; par M. 1 ! nLru.ur., de Heiden
xique et peut servir à diagnostiquer le tabès au début. L'hypotonie musculaire n'est pas nécessairement liée à la mollesse ou
ercher dans le mouvement dit ataxique, ce qui dépend de l'hypotonie musculaire et do l'ataxie proprement dite. Lorsque l'hypot
laires, en particulier de la tachycardie. La cause de l'hypotonie musculaire est encore indéterminée. On a voulu la trouver
dès les premières périodes de la maladie, alors que la sensibilité musculaire proprement dite et la sensibilité cutanée ne pr
de avec une amélioration correspondante du jeu de la contrac- tihté musculaire disséminée. L'examen des muscles atteints par le
ssemblance avec les allures des muscles dans le cours de l'atrophie musculaire spinale progressive et de la syringomyélie, et
par des compli- cations telles que l'hypotonie de quelques groupes musculaires . Mais cette hypotonie, constante dans le tabes,
es. C'est en réagissant sur le trouble de la sensibilité du système musculaire et articulaire que le patient est ataxique. L
tiquée pour améliorer leur état consistant dans une transplantation musculaire . * Les malades, deux hommes, furent inscrits da
très minime par le traite- ment, on a pratiqué une transplantation musculaire afin d'aug- menter la motilité des paupières. L
re. Le résultat de l'opération, une transplantation tendineuse ou musculaire , prouve qu'elle est bien exécutable et mérite d'ê
rite est due simplement à l'immobilisation et entraîne une atrophie musculaire dans le territoire trophique de l'articula- tio
is les troubles trophiques : mal perforant, arthropathies, atrophie musculaire . Il insiste ensuite sur le diagnostic du tabès
s ganglions strumeux suppurés. Les téguments sont pâles, le système musculaire peu développé; tesystème osseux normal ; les ex
nne, constitution débile, les téguments pâles, le système osseux et musculaire peu développés. Présente comme stigmates de dég
de taille moyenne, de constitu- tion forte en apparence. Le système musculaire , le système osseux ainsi que le tissu cellulair
pied. Il présente aussi de légers tremblements des doigts. La force musculaire est très diminuée. L'appareil respiratoire es
nne, de bonne constitution et bien développée; le système osseux et musculaire ainsi que le tissu cellulaire sous-cutané ample
e moyenne, le tissu cel- z lulaira complètement disparu, le système musculaire médiocre, le système osseux bien conformé. La t
cher, à la douleur et à la tempé- rature conservée partout. Le sens musculaire est conservé. Le malade ne répond pas normaleme
lis ; par R. RUSSELL. (Brain, part. LXXVII et LXXV11L) La section musculaire dans le torticolis spasmodique est à aban- donn
r ce traitement, en effet, la douleur disparait ainsi que le spasme musculaire . A. V. XIII. La castration complète implique-t-
lle ne produit pas du tout de troubles de la sensibilité ni du sens musculaire . Est-il vraiment possible de consi- dérer les c
délire violent : vision de rats, de scorpions, grande excitabilité musculaire : le malade est toujours en mouvement, il s'arr
rstitielle, avec atrophie et désa- grégation partielle des éléments musculaires . Diseussio2î : M. Kojewnikow fait remarquer que
seuls entendons), il nous faut avoir aussi l'idée des mouve- ments musculaires qui doivent être exécutés au moyen des organes
t différentes. Les cellules nerveuses sont analogues à la cellule musculaire et produisent une substance conductrice, la fibre
tance conductrice, la fibre ner- veuse, absolument comme la cellule musculaire produit un élément contractile, la fibre muscul
omme la cellule musculaire produit un élément contractile, la fibre musculaire . Quant aux cellules ganglionnaires, elles sont
ires de structure compliquée, avant de se distribuer dans une fibre musculaire . L'apparente nouveauté des résultats obtenus pa
parmi les symp- tômes cliniques, la disproportion entre la fonction musculaire et le degré de la parésie musculaire est très i
isproportion entre la fonction musculaire et le degré de la parésie musculaire est très intéressante et elle semble être très
de est modifiée avec la plus grande facilité, car tout le sys- tème musculaire est dans l'état de flaccidité cireuse caractérist
ains, des crampes dans les jambes, un certain degré d'hypéresthésie musculaire . Depuis une dizaine d'an- nées elle faisait des
ents personnels et héréditaires tuberculeux. Est atteint d'atrophie musculaire parvenue à un degré extrême et ayant débuté à l
cornes anté- rieures apparaissent rapetissées, les débris de fibres musculaires 360 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. ont l'app
des globules sanguins ; les terminaisons nerveuses dans ces débris musculaires sont dépourvues de bouton. Il. Ciiaron. LXII. L
nifestations pénibles ou inquiétantes, aboutissant à une atro- phie musculaire plus ou moins prononcée, à des rétractions tendi-
VI. Myopathie primitive. Examen électrique. Amélioration par le suc musculaire ; par Félix ALLARD. Histoire clinique d'une myop
iorée par des injections de REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 365 liquide musculaire obtenu par une macération au 50. Chose remar- q
othèse souvent soutenue par M. Brissaud, à savoir que les atrophies musculaires peuvent être, comme les arrêts de développement
parésie du muscle et non paralysie. Bien entendu, il y eut atrophie musculaire ; la main se présentait sous le même aspect que
ire ; la main se présentait sous le même aspect que dans l'atrophie musculaire progressive, type Aran-Duchenue. Mm0 X... se pl
uleur provo- quée par la pression surles troncs nerveux et la masse musculaire , la réaction de dégénérescence, la paralysie, l
el (moins marqué qu'à droite) et surtout une diminution de la force musculaire avec atrophie de certains muscles; en outre, at
a persistance et la marche progressive du trem- blement, l'atrophie musculaire , le pied en équin, la diminution de l'excitabil
notamment des contractions cloniques ou toniques de divers groupes musculaires ; 3° En ce qui concerne les localisations mo- t
° Le trouble de l'équilibre tient appa- remment à la perte du tonus musculaire , insuffisamment com- pensé par le cerveau ; 3°
isamment com- pensé par le cerveau ; 3° Les phénomènes de faiblesse musculaire n'apparaissent pas immédiatement après l'opérat
gea. Encore auparavant, il éprouvait une lassitude et une faiblesse musculaire , il lui arrivait souvent de tomber et il se rele-
celui des mollets est de 43 centimètres. Malgré ce volume, la force musculaire du tronc et des jambes est insigni- fiante. L'e
lus prononcé aux endroits hypertrophiés. La coïncidence des lésions musculaires avec l'affaiblissement des facultés intellectue
Minor l'idée de l'analogie qui pourrait exister entre les atrophies musculaires et le myxoedeme, l'ostéomalacie, la maladie de
téomalacie, la maladie de Basedow, etc. Peut-être les dystro- phies musculaires reconnaissent-elles la même origine toxique que
ns. a Discussion. M. Rossolimo affirme que dans un cas d'atrophie musculaire progressive de type de Landouzy-Uéjerine, le trai
qne on trouve une dégénération graisseuse très prononcée des fibres musculaires des muscles : biceps, fléchis- seurs de l'avant
ssiers, gastrocnémiens, oblique abdominal. Les parois des vaisseaux musculaires sont épaissies. Le tissu adi- peux est peu déve
nes de dégé- nération graisseuse des organes internes et du système musculaire à la diathèse graisseuse généralisée. D'autre p
ire à la diathèse graisseuse généralisée. D'autre part l'atrophie musculaire progressive peut être due à une auto-intoxication
escence graisseuse des organes internes et l'affec- tion du système musculaire . M. Kojewnikoff invite l'auteur à donner une de
es membres, épuisement très notable de l'énergie, faiblesse du sens musculaire . Par les symptômes particuliers de l'infection
ment de tout le corps, à la trémulation générale de tout le système musculaire . Dans d'autres circonstances, l'alcoolique se v
oïde fait défaut et le réflexe rotulien droit est aboli. Les masses musculaires sont douloureuses à la pression. La température
contractions rythmiques limitées et d'une hyperesthésie cutanée et musculaire considérable. Réflexes rotuliens abolis, pupill
siques de la main gauche exagération de l'hyperesthésie cutanée et musculaire . Le 10, disparition des mouvements athétosiques,
apidement ut symétriquement, de bas en haut, et atteint les groupes musculaires dans l'ordre indiqué par Landry. Dans la soirée
rotuliens, pas de convulsions, pas de con- tracture, contractilité musculaire nette et énergique sous l'influence de courants
nsibilité à la piqûre, à la température légèrement émoussée, masses musculaires des cuisses et des jambes douloureuses à la pre
squ'on lui fait serrer les doigts des mains, on trouve que l'effort musculaire est moins marqué à gauche. L'exagération des ré
Myopathie primitive. Examen élec- trique. Amélioration par le suc musculaire , par Allard, 361. Myxoedème. Conditions patholo
rams, 152. PsEUDO-nYpr : nTnopH ! E. Présentation d'un cas de - musculaire , par Minor, 412. Un cas de mus- culuire, par
symptomatologie de la , par 111allaudow, 248. Tabès. L'hypotomie musculaire dans le , I)ai-Fi,enlel, 60. Les causes de l'
897-1898, 172. Tiiomsen. ttatadiedeàforme fruste et avec atrophie musculaire par Noguès et Sirol, 361. Thyroïdienne. Médic
71 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 10, n° 55-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
viser en plu- sieurs lamelles et comme s'effeuiller. - La tunique musculaire présente un certain degré de sclérose. Elle et
e, s'effile, se fragmente, puis disparait. On voit aussi la tunique musculaire devenir plus scléreuse, puis disparaître il son
octurnes 44 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. suivis d'affaiblissement musculaire généralisé et progressif; troubles de la parole
t d'un hommedevingt-septansatteintàplusieurs reprises de rhumatisme musculaire . Actuellement il présente des nodules sous-cuta
possibles dans les maladies des articulations, dans les rhumatismes musculaires et dans l'hystérie ; dans des cas semblables, j
onservé et le signe de Romberg fait défaut. 11 n'existe ni atrophie musculaire , ni troubles trophiques. Les mouvements volonta
tate quelques troubles sphnictériens, mais on ne relève ni atrophie musculaire des jambes ni troubles objectifs de la sensibil
ation des réflexes tendineux avec hypertonie, hypoto- nie et atonie musculaires ; par Van GEIIUCIITE;O¡. (Jouon. de Neural., 18
que l'intégrité anatomique d'une cellule com- plexe comme la fibre musculaire est intimement liée à son inté- grité fonctionn
ment, contusion du dos par chute dans une cave; un cas d'atrophie musculaire sans réaction dégénératrice (Marie); quelque dimi
s malades existe de l'anesthésie, de l'hyperesthésie, de l'atrophie musculaire , de la diminution de l'excitabilité électrique.
alades; et la colonne s'immobilise dans cette situation. La tension musculaire ne joue peut-être pas un rôle exclusif dans la
e contracture, crises convulsives à caractère jacksonnien, asthénie musculaire généralisée, nystagmus, exagération des ré- fle
égatif; l'autre, combinaison d'ophtalmoplégie interne et d'atrophie musculaire progressive Aran Duchenne. Ces leçons permetten
ble de la lésion. Faut-il, avec Marie et Gowers, rayer l'atrophie musculaire , type Aran. Duchenne, du cadre nosographique; f
tudier les rapports nosologiques des diverses va- riétés d'atrophie musculaire progressive. Deux faits d'atrophie chez les tab
x faits d'atrophie chez les tabétiques viennent ensuite. L'atrophie musculaire est tantôt symptôme, tantôt complication du tab
iation du tabes et de l'atrophie spinale Aran. Duchenne. L'atrophie musculaire Aran. Duchenne n'est pas la seule association d
rveux, ophtalmie pro- gressive, hémiatrophie de la langue, atrophie musculaire progres- sive, syringomyélie, maladie de Friedr
une parésie, qui peut même rester ignorée par suite des suppléances musculaires ; 2° Ou bien les ondes nerveuses-ne passent plu
Ainsi s'explique la coïncidence fréquente, dans un même territoire musculaire de contractions pathologiques et d'une parésie
e santé est subitement pris de fièvre intense, d'un affaiblissement musculaire et de douleurs très violentes, localisés d'abor
roit pouvoir affirmer qu'il ne s'agit dans ce cas ni d'une atrophie musculaire progressive, ni d'une syringomyélie, mais d'une
la moelle constituait la lésion anatomique principale de l'atrophie musculaire progressive. A peu d'années de distance, les rech
atologie se résume dans ces deux éléments : contracture, atro- phie musculaire , et elle a pour substratum fondamental une sclé-
ésie du côté gauche, très nette, s'accompagnait de la perte du sens musculaire , du sens articulaire, de la perception stéréogn
gérés aux membres supérieurs et inférieurs. Il n'y a pas d'atrophie musculaire . Les phénomènes paralytiques sont sujets à de g
premiers, une dégénérescence granulo-graisseuse de plusieurs fibres musculaires (méthode de Marchi). Les altérations musculaire
e plusieurs fibres musculaires (méthode de Marchi). Les altérations musculaires sont trop récentes pour pouvoir, à elles seules
sensations pénibles dans la région précordiale, diminution du tonus musculaire , sensation de fai- blesse générale. On constate
thésie et l'hyper- esthésie des régions atteintes, la contractilité musculaire , la rétraction tendineuse, la flaccidité de dif
re, la rétraction tendineuse, la flaccidité de différents groupes musculaires , etc. En un mot, pendant les premières séances
lations, distend le tissu élastique rétracté et fortifie les fibres musculaires , frappées de la parésie. Quel est le processus
que agit plutôt par son influence nutritive; il agit sur les fibres musculaires , non atteintes de l'atrophie et qui, en prolifé
é sur le petit banc), ce qui permet au malade de relâcher le groupe musculaire fléchisseur et de réagir un instant après avec
u membre supérieure.) 362 THERAPEUTIQUE. Pour aider aux groupes musculaires d'exécuter plus faci- lement la flexion et l'ex
ire pour le pied. Au sur et à mesure du développement de la force musculaire , on ajoute les poids et on augmente ainsi la forc
tre, le massage léger agit parfois utile- ment sur les contractures musculaires . Au début nous évitons de masser deux muscles l
action locale, c'est-à-dire par son action directe sur les groupes musculaires paralysés. Quelques mots du traitement interne,
même à craindre que l'électricité n'accélère pas trop l'atro- phie musculaire . Sans discuter la valeur de l'électrothérapie d
Primitivement destiné aux aliénés propre- et le massage des masses musculaires pour empêcher l'apparition de la contracture ou
resque dire leur moitié est en rapport immédiat avec les mouvements musculaires , tandis que l'autre portion n'a évidemment rien
est convenablement fixé la rupture se fait par le milieu des fibres musculaires . Des expériences sur les cobayes ont donné les
99 grammes soulevait 3.500 grammes. La hauteur du raccourcissement musculaire dépend de la forme de l'excitation et de sa loc
trique de Naples a étudié l'influence de l'électricité sur la force musculaire . Les recherches qu'il publie ont trait à l'acti
timètres de diamètre. Séances de dix minutes. Pour évaluer la force musculaire il a em- ployé l'ergographe de Mosso, les épreu
ne naissance à une augmentation considérable et durable de la force musculaire . Cette augmentation est-elle liée à l'état d'ex
istant entre la surface des circonvolutions temporales et le fascia musculaire du pied du côté opposé. En excitant le nerf aco
l a pu constater que tous les facteurs qui modifient l'irritabilité musculaire agissent sur l'in- tensilé des ondulations galv
conclut de nouveau que celles-ci sont inhérentes à la contractilité musculaire , et dépendent du degré d'excitabilité du muscle
s les cas où l'impuis- sance motrice est accompagnée d'une atrophie musculaire on observe une diminution notable (une variatio
intensité de la décharge décroît avec les progrès de celle atrophie musculaire au point qu'elle disparaît à peu près totale- m
tracture naissante accuse un certain degré de l'hvperexcita- bililé musculaire , on observe une augmentation du courant qui -ac
les phénomènes électromoteurs sont réellement dus à la contraction musculaire et que la sécrétion sudorale ne joue qu'un tôle
mènes .galvaniques et les phénomènes mécani- ques de la contraction musculaire chez l'homme il existe un paral- lélisme comple
s les paralysies simples 'sans troubles trophiques ou avec atrophie musculaire , la variation négative est toujours moindre que
ent avec ses deux phases. Dans la paralysie compliquée d'atrophie musculaire avec affai- blissement de la contraclilité et c
s phénomènes galvaniques et les phénomènes mécaniques de l'activité musculaire . On a donc tout intérêt en clinique à analyser
Il. Aubois a consacré sa thèse inaugurale à l'étude des atrophies musculaires d'origine hystérique. Il a montré par cinq observ
ne peut être considérée comme un signe apparte- nant aux atrophies musculaires d'origine hystérique. III. Electrothérapie. L
d'après l'auteur, à toutes les incontinences d'origine nerveuse ou musculaire ou d'origine centrale. S. Leduc a communiqué
qui varie de 12 à 25 volls. Les cas traités' sont' : une atrophie musculaire survenue à la suite d'un uévnome du~nerf médian
s incurvés par le nerf cubital guérit ensuite rapidement l'atrophie musculaire . Le troisième cas est une paralysie réflexe des
ONAL DE MÉDECINE. Etude clinique de la fonction kinesthésique (sens musculaire ). Mesure de la sensation d'innervation motrice
lité du membre, sans déplacement aucun, une sensation de l'activité musculaire (conscience musculaire de Duchenne, sen- timent
placement aucun, une sensation de l'activité musculaire (conscience musculaire de Duchenne, sen- timent de l'activité musculai
laire (conscience musculaire de Duchenne, sen- timent de l'activité musculaire de Gerdy et de Landry, sens de la force de Webe
e mentale motrice de Hamilton). C'est cette sensation de l'activité musculaire au repos, sans déplacement du membre, que l'on
ervé un jeune homme, qui montrait, outre une perte de la conscience musculaire du côté gauche, l'impuissance de mouvoir volont
pendantes, et en supprimant le plus possible toute contrac- tion musculaire . Disons enfin que, pour chaque malade, nous som
nerveux de la moelle séparée des centres supérieurs. 4° Le tonus musculaire a une large influence sur les réflexes ten- din
s actuelles; il est très vrai- semblable que l'abaissement du tonus musculaire est la cause ordinaire de cette abolition. 0°
aigu, cystite et pyélite septiques, troubles vasomoteurs, atrophie musculaire , etc. Donc l'abolition des réflexes rotuliens e
ort avec le tonus spinal du muscle sont sectionnées, l'excitabilité musculaire diminue trop pour qu'il réponde directement à u
culaire progressive ; suivant eux, le tabes, de même que l'atrophie musculaire , ne constituerait pas une espèce nosologique, mai
de voir. Le rapprochement qu'ils viennent de faire entre l'atrophie musculaire et le tabes ne me parait pas soutenable. En eff
laire et le tabes ne me parait pas soutenable. En effet, l'atrophie musculaire , qui peut être sous la dépendance de la scléros
dérés en rapport avec les lésions qui les produisent. a. L'atrophie musculaire progressive (type Charcot-Marie). Sclérose des
ation presque exclusivement abdominale ; atrophie légère du système musculaire au niveau des omoplates et des membres supérieu
en démence, presque incapables de mouve- ment, atteints d'atrophie musculaire , des accidents gangreneux du décubitin avec oed
s postérieurs, fait cesser l'harmonie physiologique de la l'onction musculaire . Dans le premier cas, il y a exagération de la
endineux excité. C'est pourquoi chez l'homme sain, dont la tonicité musculaire est normale, le phénomène du genou est toujours
EVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. ayant une tonicité musculaire exagérée, un coup très faible provoque un réfle
ez l'homme dont l'arc réflexe est altéré ou qui possède une tension musculaire amoindrie, un coup très fort n'engendre pas le
nsateur. Le phénomène du genou normal est dû à ce que la tonicité musculaire l'emporte sur l'action de la volonté actionnant c
volontaire, mais dans des limites normales. Supposons la tonicité musculaire affaiblie par une lésion céré- belleuse et surt
postérieurs est égale à une décroissance de tension de la tonicité musculaire égale à la grandeur de la prépondérance normale
le phénomène du genou disparait, le second composant de la fonction musculaire normale, c'est-à-dire la force de l'excitant vo
ême genre également chez une femme, qu'il ne détaille pas. L'effort musculaire (port de fardeaux) ne détermine jamais semblabl
querie de l'effort ayant lésé les nerfs correspondant à ces groupes musculaires . Paralysie infantile avec scoliose tardive. M.
parWard, 149. - cérébrale aiguë, par Din- ides', 157. Atrophie musculaire expérimen- tale, par Levaditi, 137. BLEU DE .
72 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ons oculaires et le nystagmus, l'attitude contournée, les rigidités musculaires et spasmes convulsifs, les anesthésies et modific
s une hémiparésie droite avec parti- cipation de la peau et du sens musculaire de la main droite ; ces signes disparurent aprè
el, grâce à l'association existant entre les mots et les sensations musculaires des mouvements de l'écriture, ces derniers pouv
ce minima du courant nécessaire pour obtenir une faible contraction musculaire de l'extrémité du côté opposé; on note aussi la
isant chez l'animal sain pour provoquer une très faible contraction musculaire , provoquera un accès d'épilepsie ; fréquemment
rant électrique, pour obtenir des contractions marquées des groupes musculaires du membre en question privé cependant de ses ce
ituer un. nouveau type indépendant de la polynévrite, de l'atrophie musculaire névropathique progressive, de l'atrophie muscul
, de l'atrophie musculaire névropathique progressive, de l'atrophie musculaire Duchenne-Aran, de la sclérose latérale amyotrop
phie avec la paralysie ^ gagne supra et infra, frappant des groupes musculaires s) mé- triques. Ce sont successivement : les mu
é de la sensibilité et des sphincters. L'atrophie de la substance musculaire est excessive; il y a sura- bondance de tissu a
ssu conjonctif, avec lipomatose, une faible hypertrophie des fibres musculaires . P. K. XXXI. Un cas DE tabès au début; par Al.
t sensitive du côté gauche ; quelques perturbations dans l'appareil musculaire des yeux. Plus tard, symptômes généraux de tabe
aciation. Mais si l'on s'en tient à des doses faibles, la nutrition musculaire parait s'améliorer ; la taille commence à s'acc
trait à un cas d'hémia- trophie progressive de la face. Les spasmes musculaires de la face ont tout d'abord presque .complèteme
u'on a pu l'observer, on a constaté successivement la perle du sens musculaire , l'anesthésie au toucher, l'analgésie, la perte
côté droit de la face. Au bout de cinq minutes, tous les mouvements musculaires disparaissent, et il subsiste de la parésie pen
ie au bout de huit, l'anesthésie au toucher au bout de dix, le sens musculaire au bout de treize; enfin, après un quart d'heur
n peu retardée. Le sens thermique est normal. En revanche le sens musculaire fait entièrement défaut. Le malade est de nouve
psycho-physique. Loi de Fechner. Phy- siologie des sens (sensations musculaires et organiques, le toucher, l'ouïe, la vue, audi
et paraissant beaucoup plus âgé qu'il ne l'est en réalité. La force musculaire est à peu près égale des deux côtés; mais il se
xtrêmement difficile d'établir la pathologie des altérations neuro- musculaires qui l'accompagnent. Cependant, si l'on considère
précoce : dans un des cas rapportés, notamment, où les altérations musculaires avaient manifestement et de beau- coup précédé
mesure de fournir une explication satisfaisante des lésions neuro- musculaires qu'il a observées et décrites. 'La prédominance
'expliquer par un acte voulu, dans le* prin- cipe, l'incoordination musculaire . En tout état de cause, ce qui décide du diagno
ar les voies nasales. Il n'y avait pas d'aphasie, mais les troubles musculaires ren- daient l'articulation de la parole un peu
ans l'évacua- tion de la vessie, avec conservation de la résistance musculaire , REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQU
n du réflexe du genou accompagnée d'une diminution de la résistance musculaire ou de parésie ou de paralysie évidente des extr
ptômes de nature objective, tels que la diminution de la résistance musculaire , la parésie ou la rigidité des muscles. > li
E gauche : PERTE DES réflexes superficiels ET PRO- FONDS ; ATROPHIE musculaire considérable; anesthésie marquée de -certaines
puisse légitimement baser une théorie de l'origine de l'atrophie musculaire dans l'hémiplégie. R. M. C. XIV. LE diagnostic
ment. Les paralysies générales ou locales, les troubles de l'action musculaire peuvent être des symp- tômes directs d'une hémo
rhagie qui comprime ou irrite les centres qui président au contrôle musculaire : les contractions tétaniques sont assez commun
ment de l'abolition de la conscience et de la perte de la puissance musculaire . Il est rare dans les autres variétés de lésion
odifiée. La paroi peut être épaissie par une prolifération du tissu musculaire et fibreux, ou bien encore s'infiltrer de grais
somme : 1° amélioration remarquable de l'ataxie ; 3" les exercices musculaires prudents augmentent et relèvent la force muscul
es exercices musculaires prudents augmentent et relèvent la force musculaire des extrémités malades; 3° les exercices sous le
ubilant le son dans cette région. P. Keraval. XXII. DE l'atrophie musculaire dégénérative dans la paralysie PROGRESSIVE; par
nt l'une avec autopsie, qui témoi- gnent de l'existence d'atrophies musculaires , malgré l'intégrité des cornes antérieures et d
N. F. V., 1894.) Il s'agit 1° de supprimer les relations directes ( musculaires ou sensorielles) des cellules nerveuses avec le
érescence graisseuse parvenue à un degré extrême. Au coeur la fibre musculaire est envahie par les granules graisseux dans tou
lesquels il ne reste presque plus rien des tuni- ques élastiques et musculaires . Les altérations sont surtout accen- tuées à la
és ; il est acquis que le cervelet exerce une action sur le système musculaire . Mais cette action est-elle, pour chaque hémisp
ontractions muscu- laires sont cloniques et intéressent les groupes musculaires qui ont coutume de s'associer pour exécuter un
ments convulsifs sont d'ordre clo- nique et intéressent des groupes musculaires physiologiquement associés. On note également d
t. Les auteurs ditièrent d'opinion sur la nature des contractions musculaires ; mais il s'agit là d'une différence sans importa
z profonde pour rompre le groupement des cellules, les contractions musculaires comprendront des groupes de muscles associés, e
intellectuels. Diminution considérable des forces. Pas d'atro- phie musculaire . Le malade affirme que lorsqu'il est seul et calm
2° l'ablation partielle du cervelet déter- mine un affaiblissement musculaire qui disparait presque complè- tement au bout de
déré comme centre nerveux, préside à la coordination des mouvements musculaires , laquelle a pour résultat de maintenir l'équili
dans 9, et n'est l'objet d'aucune indication dans 33. L'asthénie musculaire , souvent qualifiée à tort de paralysie ou de pa
omissements, la névrite optique, les vertiges, l'ataxie, l'asthénie musculaire , la douleur et la sensibilité de la région occi
ni chute, ni morsure de ]" langue, ni incoordination des mouvements musculaires . Sou visage s'altère durant l'accès et devient,
sphincter, il était arrêté par un spasme très énergique des fibres musculaires circulaires du rectum : la compression exercée su
THOLOGIE NERVEUSE. '279 prise sur la paroi postérieure : la tunique musculaire fut ensuite divisée jusqu'au tissu connectif. L
les autres extrémités et le tronc et s'accompagnant de contractions musculaires involontaires finissant par contracturer le bra
ace correspondante de l'avant-bras. Il y a une perpétuelle mobilité musculaire qui rappelle la neurasthénie et les tiqueurs, s
dans la transmission des impulsions centripètes de la peau, du sens musculaire , et des centres psychiques sur l'appareil moteu
es, sans lequel du reste la vie ne serait qu'un chaos de mouvements musculaires entraînant une déperdition constante d'énergie,
plus souvent le type de la paralysie spinale aiguë ou de l'atrophie musculaire progressive. Ce travail se termine par l'observ
embres supérieurs, diminution notable aux membres inférieurs. Force musculaire de 90 kilogrammes à la main droite, de 8 kilogr
.XLVII. Observation DE paralysie générale associée A une atrophie musculaire progressive; par P. SCHUSTEIt. (Neurolog. Central
dans les jambes (moindre à la parlie supérieure du corps); atrophie musculaire extrême. Il s'agit évidemment de deux maladies,
pinceau électrique, bains tièdes salins P. K. XLV111. Ondulations musculaires dans UN cas DE sciatique DILATÉ- RALE chronique
tendineux sont normaux ou exagérés; il peut survenir de la rigidité musculaire ; pas de troubles de la sensibilité ni de troubles
llules dans les cornes antérieures du renflement lombaire. Atrophie musculaire dans la région de l'éminence thénar droite. Atr
L'examen microscopique a montré que dans les trois cas, les fibres musculaires de la vessie étaient atteintes à divers degrés de
nelle à sa propre valeur. Avec le muscle considère non comme organe musculaire , mais en tant que matière vivante quelconque ex
ent de leur propre glande. Les convulsions sont suivies de parésies musculaires . Deux fois l'urine contenait de l'albumine, jam
els composés). Ils coexistent avec une aug- mentation de la tension musculaire , un affaiblissement de l'activité psychomotrice
e l'activité psychomotrice volontaire et de la sensation de fatigue musculaire . Les boudées mystiques des dégénérés en offrent
maladies du neurone précédent ; ce tableau est celui de l'atrophie musculaire progressive. Les muscles s'atrophient ; les par
i- festations des deux variétés précédentes. 11 y aura l'atrophie musculaire , ce caractère principal des dégénérescences du té
se compli- 430 0 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. quer d'un peu d'atrophie musculaire impliquant la partici- pation du neurone périph
one périphérique une lésion de propagation qui débute à l'extrémité musculaire du cylindraxe de ce dernier et qui peut rester
les vaso-moteurs sont plus accusés à gauche qu'à droite. La force musculaire est notablement plus faible à droite (côté para
nt à peu près tout à fait indemnes, à'arthropathies, de rétractions musculaires et tendineuses peu prononcées aux jointures du
roite n'offre aucune déformation'; elle est le siège de rétractions musculaires et tendineuses, qui res- treignent considérable
n gauche, ankylose et attitude vicieuse du genou droit, rétractions musculaires et tendineuses multiples. VII. Il nous reste ma
ns la moitié inférieure de la zone d'anesthésie. C. Contractilité musculaire . Exploration faradique. La con- tractilité est
e de la douleur provoquée par le passage du courant. La contraction musculaire est obtenue avec 5 milliampères. MEMBRE SUPÉRIE
n sent dans la profondeur du condyle externe de l'humérus une masse musculaire énergiquement contractée. Il en résulte que cet
utant à l'action due à l'excitation du sympathique celle des fibres musculaires lisses en rapport avec la sécrétion. Dans ces c
ux de la moelle; une observation d'ataxie locomotrice avec atrophie musculaire et ataxie du tonus, par le Dr Sacaze; une analy
e gauche, perte des ré- flexes superficiels et profonds, atrophie musculaire , etc., par Es- kridge et Peterson, 218. Héréd
134. - chez une fillette de neuf ans, parDunn 137. De l'atrophie musculaire dé- générativedans la -, par Hoche, 288. Symp
rne, par Wizel, 287. Sciatique, par Illâier, 369. Ondu- lations musculaires dans une -, par 1101l11lann, 387. Scoliose al
73 (1911) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 24] : iconographie médicale et artistique
, et qu'il ne peut pas suppor- ter une longue promenade. La force musculaire au dynamomètre donne 22 pour la main droite et 20
rotuliens, qui sont presque abolis, l'asthénie, la grande faiblesse musculaire , l'absence de puissance génésique, la tristesse
certain nombre de phénomènes généraux communs (asthénie, faiblesse musculaire , diminution de la puissance génésique chez l'homm
des lèvres. Avec un courant de 3 milliampères on obtient le tétanos musculaire qui est encore plus marqué avec un courant de 3
des îlots blanc rougeâtre qui tranchent sur la coloration du tissu musculaire . La valvule mitrale n'est pas altérée. Le ventri-
ux membres inférieurs, moins nette aux membres supérieurs. Atrophie musculaire du quadriceps, parésie des membres inférieurs.
s extrémités inférieures est un peu rigide. Il n'y a pas d'atrophie musculaire partielle. Atrophie générale de l'extrémité inf
des épaules, qui ne sont ressenties qu'aux mouvements. Les systèmes musculaire et nerveux sont dans un état normal. Observat
des extrémités inférieures ; la sensibilité, surtout la sensibilité musculaire , est alfalblie dans les membres inférieurs. Dou
du bassin. Absence d'exostose et de déformation des os. Le système musculaire est normal. 11 existe des douleurs il chaque mo
s'est toujours plaint). Amai- grissement général de tout le système musculaire ; le système nerveux est nor- mal. Après un séj
bsence d'ostéophytes et de déformation des os ainsi que d'alnjjnhïe musculaire . Dou- leurs à la région lombaire, au cou, dans
ux. Ce tissu ne présente aucun caractère spécial. Muscles. Le tissu musculaire a une constitution normale. Ovaires. - Les ovai
Les ovaires sont atteints d'une légère sclérose diffuse, la couche musculaire est très diminuée d'épaisseur. On ne trouve aucun
me et que d'autre part, l'élasticité et la contractilité des fibres musculaires exercent sur le liquide introduit une pression
isante même, sans plis, altérations qui s'accompagnent à l'atrophie musculaire et qui sont consécutives à certaines maladies n
sson et Cie, 1901. 3. G. MARINESCO. - Main succ7tlente sel alrophie musculaire dans la .<j/)'ttt<,fom)/e/te, thèse de Pa
tête figée, comme de marbre (1), le sourcil froncé. Pas de tension musculaire généralisée. Cepen- dant, il résiste à tous les
ements sont plus rapides si on le commande énergiquement. Secousses musculaires spontanées. Si on frappe sur un tendon,-le mala
s et se met souvent à rire ou à siffler. . 5 septembre. Soubresauts musculaires surtout du biceps droit. Même in- décision des
radiculaires (douleurs aiguës, anes- thésies, parésies et atrophies musculaires d'origine dégénérative) qui sont provoqués par
ée dans nos conclusions, Calcifications, pigment, graisse, FIBRES musculaires , kystes. Des concrétions ont été décrites très
rôle que les substances lipoïdes. Nous n'avons jamais vu de libres musculaires dans la glande pinéale. Nicola et Dimitrova les
eimer a décrit une tumeur de la glande pinéale contenant des fibres musculaires ; c'est pourquoi il pense (se rapportant à leure
Les réflexes rotulieus et achilléens paraissent normaux. La force musculaire au dynamomètre donne du côté gauche 65, du côté d
à la pression. On note une névralgie faciale unilatérale. La force musculaire des mains et des pieds est bien conservée. Les
t à côté, nous n'avons pas trouvé de différence marquée. La force musculaire est relativement bien conservée ; comme exemple,
muscles, autour des articulations coxo-fémorales. Ces contractions musculaires étaient et si nombreuses qu'elles provoquaient
'elles provoquaient une vraie danse désor- donnée, une vraie chorée musculaire . C'est alors que nous est venue l'idée d'attrib
illent plus facilement ; mais si les malades ont gardé leurs forces musculaires , s'ils peuvent suivre des yeux ces oscillations i
s la rue et faire même des kilomètres, à condition que leurs forces musculaires soient bien conservées et qu'ils s'appuient sur u
essé de soigner l'étal général du malade, d'en- tretenir ses forces musculaires par des exercices, massages et toniques, et il
: rien n'est plus juste que cette comparaison (1). Les contractions musculaires qui, dans la station verticale, produisent alor
l arrive en effet quelquefois, surtout au début de l'incoordination musculaire , que le malade oscille très légère- ment, sans
nous avons besoin de mettre en jeu plusieurs ordres d'associations musculaires . Ces associations, l'auteur les divise en assoc
musculaires. Ces associations, l'auteur les divise en associations musculaires impulsives et en associations muscu- laires ant
ves et en associations muscu- laires antagonistes. Par associations musculaires impulsives, Duchenne comprend les contractions
ciations musculaires impulsives, Duchenne comprend les contractions musculaires synergiques, destinées à imprimer à une partie
une situation ou une attitude quelconque. Quant aux associations musculaires antagonistes, il les subdivise en deux espèces.
ar les muscles qui peuvent s'op- poser directement aux associations musculaires impulsives, mais qui ne s'unissent à elles que
sent à elles que pour les modérer, d'où il les appelle associations musculaires modératrices; et les autres, il les nomme associa
, pendant l'exécu- tion d'un mouvement volontaire, les associations musculaires et surtout les collatérales sont troublées dans
352 NOICA On comprend très bien que le mécanisme des associations musculaires est absolument nécessaire dans l'exécution de t
observe sous la peau de la hanche et de la cuisse une vraie chorée musculaire . Il est absolument logique de conclure que les
r est remuée latérale- ment et le tronc aussi, par des contractions musculaires désordonnées. En résumé, tous les phénomènes at
sme des associations muscu- laires modératrices et des associations musculaires collatérales, tel qu'il a été formulé par Duche
re inférieur en totalité, le genou en extension, que toute la masse musculaire de la cuisse et du bassin est dure pendant qu'i
gle droit avec le plan horizontal. A quoi est due cette consislance musculaire , partout la même Nous croyons comme Duchenne de
épasser. Nous pensons qu'au début, la duielé tient à la contraction musculaire , et si celle dureté est encore exagérée, c'est
n l'air, nous sentons, en maintenant dans une de nos mains la masse musculaire des adducteurs, que dès le début les muscles ad
servateur comme Duchenne de Boulogne, le mécanisme des associations musculaires est tel qu'il a été décrit par lui, c'est-à-dir
ermant cette parenthèse,je répète que le mécanisme des associations musculaires décrit par Duchenne répond à la réalité des faits
ne faut le membre sur le bassin ; il se peut très bien que la masse musculaire des membres inférieurs soit déjà molle et fiasq
rches de Coll1lstein, rapporte cette flaccidité à la perte du tonus musculaire . Voici comment cet auteur s'exprime à ce sujet
s nerfs sensitifs. Force est par conséquent d'admettre que le tonus musculaire doit considérablement souffrir d'une maladie de
dmettre chez les ataxiques une très grande inégalité de la tonicité musculaire , et celle inégalité nous paraît être la cause d
'incoordination motrice. » Cette théorie de l'inégalité de tonicité musculaire , telle que nous ve- nons de la voir émise par D
r Frenkel, cet auteur n'a pas voulu identifier le mot Je flaccidité musculaire avec ce mot d'hypo- tonie, et il applique celui
de tout l'appareil fibro-ligamenteux des articulations et du tissu musculaire , el non pas à une perte de la tonicité musculai
tions et du tissu musculaire, el non pas à une perte de la tonicité musculaire . L'ataxie par conséquent - c'est -Ù, dire les p
ère partie de notre travail est la coitsé- rprenceclelra flaccidité musculaire , quand celle-ci coexiste avec une corser- vatio
ulaire, quand celle-ci coexiste avec une corser- vation de la force musculaire , (A suivre), CLINIQUE DES MALADIES NERVEUSES
oute la maladie une physionomie particulière ; c'est d'une atrophie musculaire qu'il va s'agir, et c'est par le deltoïde gauch
parésie du voile du palais. Du côté gauche du corps, les atrophies musculaires s'étaient développées dans la direction du cent
- moïde. Seins développés. Formes arrondies du corps. Faiblesse musculaire . Observation III (Rumpell, résumée). Homme de
els persistèrent, mais il n'y eut plus d'éja- culations. Sa vigueur musculaire diminua. Il eut à 56 ans la fièvre typhoïde. Le
es travaux de Charcot ont établi l'existence de certaines atrophies musculaires se produisant brusquement à la suite de lésions a
de se produire avec la même soudaineté. Il y a donc une alro- phie musculaire active en quelque sorte, placée sous la dépendanc
euses consécutives à des traumatismes dans lesquels aucune atrophie musculaire systématisée, aucun trouble sensitif localisé n
uit celte raréfac- tion osseuse accusent une diminution de la force musculaire et des douleurs que l'aspect généralement satis
tion variant de une division à deux divisions pour tous les groupes musculaires de l'avant-bras, du bras et de l'épaule. Deuxiè
le des articulations du poignet et des doigts, la perte de la force musculaire empêchent tout travail. La main est étendue sur
raient existé dès le début. Ils ne se sont pas modifiés. Atrophie musculaire . - Les éminences thénar et hypothénar sont un peu
lier du sens des atti- tudes, appelé aussi sens articulaire ou sens musculaire . Observation I. La première fois que nous nou
de remplacer un sens par un autre. Le sens des attitudes,ou sens musculaire , n'est pas seulement utile pour diri- ger volon
riques, comme celles du sens du toucher, de la pression et du sens musculaire ou articulaire. Nous allons passer maintenant
ce malade. A quoi peut tenir cette perte, sinon à l'absence du sens musculaire ou du sens des attitudes, comme nous l'avons vu
aux membres inférieurs, l'ataxie est très grande, quoique la force musculaire soit relativement bien conservée. Il existe un
ME DE L'ATAXIE TABETIQUE 497 avec la plus grande facilité. La force musculaire est affaiblie à droite et sur- tout du côté des
se de la flaccidité des antagonistes et à cause de la perte du sens musculaire nécessaires à la gradation du mouvement il éten
ité tactile, la sensibilité à la pression et surtout la sensibilité musculaire ou articulaire. Nous n'avons encore jamais renc
utant plus, que dans l'article suivant « Paralysie de la conscience musculaire et de l'aptitude motrice, indépendante de la vu
iège dans le muscle, qui sert à l'accomplissement de la contraction musculaire volontaire, et qui, dans l'absence de la vue, écl
ier, excité par les ordres de la volonté, provoque des contractions musculaires ». Duchenne n'a pas voulu reconnaître que ce se
nne n'a pas voulu reconnaître que ce sens, qu'il appelle conscience musculaire , ou aptitude motrice indépendante de la vue, étai
cit., p. 793. LE MÉCANISME DE L'ATAXIE TARÉTIQUE 50 1 que le sens musculaire de Charles Bell, et avec le sens profond articu-
hénomènes qu'il considère comme étant consécutifs à la dissociation musculaire . Pour la démonstration du second mécanisme, il
i on examine de nouveau les exemples qu'il donne de la dissociation musculaire , nous voyons que ce sont des mouvements r6ul- t
nsibilité cons- ciente, et surtout de la sensibilité profonde (sens musculaire ou articu- laire), et avec une mobilité volonla
74 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
utanées sont faibles. La sensibilité générale est intacte, la force musculaire est peu déve- loppée, la station debout est inc
Les mains sont animées d'un tremblement assez prononcé. La force musculaire est conservée, la démarche est normale. Les gra
té par lui en 1901 au Congrès de Limoges, sur le mécanisme du tonus musculaire , des réflexes et de la contracture. Parmi ces c
ostique une paralysie générale. A l'asile on constate une faiblesse musculaire généralisée, des troubles du lan- gage, de la c
ssive en trois formes, d'après la localisation de l'affaiblissement musculaire , est actuellement classique. Lorsque l'affaib
es excès alcooliques. R. de Musgrave-Clay. XII. Un cas d'atrophie musculaire progressive et un cas de para- lysie pseudo-hyp
he Aew-Yo ? ,Ii médical Journal, 5 juillet 1902). Cas. L Atrophie musculaire progressive juvénile, (forme d'Er6). Fillette d
énéres- cence fait totalement défaut. Ons. IL Pseudo-hypertrophie musculaire (Lipomalosis luxu- riazzs muscnluris progressiv
ces cas un type particulier que les auteurs comparent à la réaction musculaire post-mmtena. Les tics du cheval. RUDLER ET Ch
éflexes rotuliens abolis; il n'en était rien ; un état de vigilance musculaire exces- sive et une exagération du tonus s'oppos
dre aux malades à obtenir instantanément, à volonté, le relâchement musculaire . J'ai obtenu des résultats très satisfaisants p
rès un certain temps d'entraînement. · Un grand nombre d'impotences musculaires ne sont souvent que des ignorances musculaires.
nombre d'impotences musculaires ne sont souvent que des ignorances musculaires . C'est en donnant aux malades l'éduca- tion qui
ait jour : les localisations motrices médullaires sont pour les uns musculaires (Nano), pour d'autres nerveuses (Marinesco), ra
grande difficulté à les corriger. Il semble qu'ils ignorent l'acte musculaire nécessaire pour opérer cette correction. Cependan
al. Il n'y a pas de troubles de la sensibi- lité générale. La force musculaire est un peu diminuée du côté gauche. Le malade n
, 6J courants tétanisants finit par ne plus produire de contraction musculaire ; celle-ci reparait nette et vigoureuse sous l'i
plectique aiguë, ni une paralysie pseudobulbaire, ni une dystrophie musculaire , ni une polynévrite. Ce pourrait être une polio
Kne,t.XVI. H '162 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. manque l'atrophie musculaire progressive, les modifications qua- litatives e
ent une myasthénie du coeur ayant les mêmes caractères de fatigue musculaire que les phénomènes des muscles des membres, de la
l'appendi- cite en pareils cas remonte à insuffisance de l'appareil musculaire de l'intestin, héréditaire ou nerveuse. Il n'es
d'imprimerie de vinLL-quatre ans, saturnin, atteint d'une affection musculaire chronique progressive caractérisée par des cont
ctérisée par des contractions tétaniques, douloureuses, des groupes musculaires les plus différents, contractions presque conti
teurs. Membres supérieurs : asthénie portant sur tous les groupes musculaires , groupes de. flexion, d'extension, d'abduction, d
t, le réflexe de BuGiusl,i est en flexion. Il existe de V hypotonie musculaire et du gâtisme intermittent, ni albuminurie, ni
l'exagération des réflexes tendineux coïncidant avec l'hypotonie musculaire , les troubles oculaires, la céphalée, les vomisse
ient plus difficiles a guérir que celles où dominent les commotions musculaires . Il n'est aucune maladie du système nerveux qui
sont des secousses de tout un membre un segment du membre ou groupe musculaire , ce n'est donc pas de la myoclonie. Ce terme dé
leçons, sur trente-neuf, sont consacrées à l'histoire des atrophies musculaires progressives, en- visagée à un point de vue ess
On avait multiplié, comme à plaisir, les formes ou types d'atrophie musculaire progressive. Le meilleur moyen de familiariser
ait eu la prétention d'ériger un certain nombre de types d'atrophie musculaire progressive en véritables espèces morbides auto
ur qui leur fait défaut. Elle a démontré que ces types d'atrophie musculaire , érigés en espèces morbides autonomes, étaient
énérale, il existe une maladie de dégénérescence qui e,t T'atrophie musculaire progressive, celle- ci comportant des types nom
it revivre, étape par étape, l'histoire si suggestive des atrophies musculaires progressives, depuis les travaux deDuchenne (de
re cette tendance à multiplier indéfiniment les variétés d'atrophie musculaire progressive; il propose de les ramener à deux g
s : une forme spinale qu'on dési- gna encore sous le nom d'atrophie musculaire progressive du type Aran-Duchenue; une forme my
démarcation absolue entre les formes spinale myopathique d'atrophie musculaire progressive, entre les formes familiale et non
non familiale. Nous connaissons au- jourd'hui une forme d'atrophie musculaire progressive (type We)'</M.'y-/7oyM&n ? !
inédites. La question des rapports de cette maladie avec l'atrophie musculaire progressive de Duchenne est discutée à fond. L'
tenir dans les cas de tumeur cérébrale, le traitement des atrophies musculaires pro- gressives. Aussi n'hésitons-nous pas à déc
ution, cauchemars, tentative de suicide. Etourdissements, faiblesse musculaire , habitudes alcooliques anciennes ». Dr Ma- gnan
rs fréquentes dans la tête et dans les membres inférieurs. La force musculaire est diminuée. La démar- che est difficile, sans
urs mois. S.... incapable de s'occuper tant à cause de sa faiblesse musculaire qu'à cause de son état démentiel relatif, se pl
ement inertes, par leur propre poids. Normalement, le relâchement musculaire s'obtient aussitôt : on peut déjà s'en rendre c
plus ou moins long s'écoule avant que se pro- duise le relâchement musculaire ; puis lés bras s'abaissent, tantôt avec une le
on active des muscles abaisseurs. Dans les deux cas, le relâchement musculaire n'est pas complet, les membres ne tombent pas s
trouble de la fonction motrice. Et cette inaptitude au relâchement musculaire semble bien la conséquence d'interventions cort
u sarcoplasme dans les atrophies et les dégénérescences de la fibre musculaire . Il ne semble pas que l'histologie puisse, à l'he
nt reconnaitre l'absurdité de ses phobies. Sur la mesure du tonus musculaire . Mf. G. Coustensoux et A. Zimuern. La question
usculaire. Mf. G. Coustensoux et A. Zimuern. La question du tonus musculaire a été dans ces dernières années l'objet de nombre
vons entrepris d'enregistrer par la méthode graphique les secousses musculaires fournies par des muscles sains sous l'influence
des excitations à la seconde, nécessaires pour provoquer le tétanos musculaire . Ici au contraire nous avons constaté des diffé-
ue le nombre des excitations nécessaires pour provoquer, le tétanos musculaire peut suivant les cas présenter des écarts et qu
encore que nous disposions d'un moyen rigoureux de mesure du tonus musculaire , cette relation nous a néanmoins paru mériter d
trace d'épuisement (dont le niveau général, à cause de l'atrophie musculaire , est moins élevé, cela se conçoit, que le niveau
héniques au moment de s'endormir ou dans le sommeil, par la détente musculaire qui se produit alors et dont il résulte un relâ
que les centres repren- nent brusquement leur pouvoir sur le tonus musculaire , pouvoir qu'ils étaient sur le point de perdre,
e) a pro- posé, en 1872, d'isoler des multiples variétés d'atrophie musculaire 332 SOCIÉTÉS SAVANTES. qui peuvent survenir c
montré qu'il existe incontestablement dans chaque cellule ou fibre musculaire deux 'substances contractiles : la substance fi
ui se trouve plus ou moins abondamment dans chaque cellule ou fibre musculaire . Le sarcoplasme possède des caractères d'excita
s aux progrès de la neurologie. Le rôle du noyau dans la régression musculaire . MM. DE BucE et DE Moos (Gand). Les auteurs adm
E Moos (Gand). Les auteurs admettent avec Durante que la régression musculaire s'opère par le double pro- cessus de la régress
à la disparition complète de l'élément diffé- rencié. La régression musculaire constitue donc un processus d'au- tophagocytose
nant aucun compte du nucléoplasme. La grande variabilité du noyau musculaire n'a pas permis jusqu'ici de saisir les modifica-
giques qui correspondent à son activité sarcolyti- que. Atrophies musculaires progressives spinales et syphilis, (Note prélim
trente ans plus tard présentait la plupart des symptômes : Atrophie musculaire localisée aux membres supérieurs, attitude dite
l n'y avait pas d'altérations des méninges rachidiennes ; atrophies musculaires marquées ; la masse des fléchisseurs de l'avant
en temps les mesures comparatives des membres et explorer la force musculaire car, ptesque toujours, en pareil cas, il y a un
écrit dans la myokymie. Mais, dans le spasme facial. la contraction musculaire est très variable dans sa vitesse et dans son i
foetus du sexe masculin, avant cf ié, avalé, produit des mouvements musculaires et réflexes normaux. Région faciale du ei,^trie
spinale héréditaire, la paralysie bullaire progressive, l'atrophie musculaire progressive, laissent supposer que des organes en
le contact de la cornée détermine simultanément d'autres mouvements musculaires incoercibles. Chez ceux qui sont à cet égard pl
nférieurs en adduction : douleurs dans les jambes dues à la tension musculaire . Du 25 au 28. le malade reste au lit étendu sur
tivité aboutit à la protec- tion du rythme normal et de la tonicité musculaire de la rate. 16° Le retour de l'organe à la norm
mouvements stéréo- typés et autres troubles fonctionnels du système musculaire qui sont si fréquents chez les idiots et conclu
nt sur le système nerveux, mais sur les muscles striés. La réaction musculaire est alors altérée à des degrés variables suivant
s prononcés, cette invitation suffit à engendrer de l'hypertonicité musculaire et dans les muscles qui doivent accomplir le mo
vais. C'est cependant une apathique des plus prononcées. Le système musculaire n'obéit pas à sa volonté. On aurait donc gran
ensitives, l'accord est moins parfait. Il semble que celles du sens musculaire ne se croisent pas, niais les expériences clini
donc ne pas suivre les mêmes voies dans la moelle. Quant au sens musculaire , il était, lui aussi, revenu en partie, car la
ilité. Nous n'avons point à insister sur les troubles trophiques, musculaires ou cutanés, qui s'expliquent suffisamment par l
ention impossible à fixer. Instabilité mentale complète et mobilité musculaire extraordinaire. Pourtant il n'est pas très ar-
se montre très affectueux et il n'a aucune manifestation de chorée musculaire , car il prend très facilement et très régulière-
cacité du traitement qu'on peut diriger contre lui : une discipline musculaire progressive, par un véritable traitement mécani
tention rend très difficile cette régulari- sation des contractions musculaires . Aussi a-t-on essayé d'appli- quer a ces cas la
ran, 283. - Voir Sommeil. inoy iu. Le iûledu dans In îégres- sion musculaire , par de Buch et Demoor. 3++. Topographie des -
Voit- YéVI-08C. Paralysie trseudo-hypertrophique. Voir Atrophie musculaire . as- sociée des globes oculaires pou" la fath
hom me et la théorie de neurone, par Du- rante, 313. Régression musculaire . Voir Noyau. Roentgen. L'examen, d l'aide des
gine hyaté- 1 iq[io), pm ItOI)IIIS011, 511. Sl'IlILIS. 11)-ol)hie musculaire E ? citdih-ii et néptvssion mélanco- Ilyne. D
75 (1882) Archives de neurologie [Tome 03, n° 07-09] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e où l'oedème est peu marqué. D'ailleurs il n'existe pas d'atrophie musculaire . Ce fait de la diminution de la contractilité f
lle est toujours triste; les stimu- lants l'engourdissent. La force musculaire se montre plus considérable en été; enfin il ex
face, à l'extrémité de la langue, aux bras et aux jambes. La force musculaire était affaiblie, la marche chancelante, la préh
sies passagères, de l'atrophie progressive de l'ensemble du système musculaire débutant par les membres supérieurs et ne sauta
du tronc); même remarque au sujet de la rigidité de la char- pente musculaire qui passe à l'état de permanence durant le dern
cutions, hallucinations de la vue et de l'ouïe. Il y avait rigidité musculaire et contracture marquée, la tète était inclinée
mples. A. Des différents degrés de l'lzJperexcitabilité 2zaîii-o- musculaire chez une même malade. Influence de la répétitio
ion des tendons qui réussit d'abord, puis l'excitation des masses musculaires , en dernier lieu l'excitation des 132 ^ PHYSIOL
tement exagérés. Nous recherchons alors si la malaxation des masses musculaires de l'avant-bras peut être suivie de contracture
enons de rap- porter, l'on puisse admettre dans l'hyperexcitabilité musculaire , les trois degrés suivants : 1er degré : simp
contracture facile par l'excitation des tendons, par la malaxation musculaire et par l'excitation des nerfs. La pression du n
malade. Sur le bras droit, l'excitation des tendons et des masses musculaires nous donne des résultats semblables, mais nous
demande pour se produire une malaxation assez énergique des masses musculaires . 2° Elle se montre avec plus do facilité à la s
vons vu plusieurs fois dans le cours de nos expériences, cet état musculaire spécial disparaître tout d'un coup pour faire p
moins. Tout le côté gauche a conservé l'hyperexcitabilité neuro- musculaire comme auparavant. Si l'on soulève les paupières,
ité neuro-musculaire avait entièrement disparu, cette disposition musculaire spéciale a pu être rappelée dans un seul membre
s réflexes tendineux n'en sont pas moins conservés. La résolution musculaire est parfaite. La catalepsie n'est plus possible p
ro-musculaire. D'une malade à l'autre, l'hyperexcitabilité neuro- musculaire peut présenter de grandes différences au double
r la percussion répétée des tendons, ni parla malaxation des masses musculaires . La sensibilité persiste, et le pincement ainsi
car elle sortit de l'hospice le lendemain même. Ici, des phénomènes musculaires qui servent à ca- ractériser l'hypnotisme, un s
verts, aucune tendance à l'état ca- taleptique. Enfin la résolution musculaire s'est mon- trée là à un degré peu ordinaire, et
se ferment, la tête se renverse, elle est endormie. La résolution musculaire est complète. Les réflexes tendineux ont subi u
e. Le mouvement réflexe est plus étendu. La malaxation des masses musculaires ne détermine aucune contracture. Il en est de m
ué, à l'exception des pieds. On n'y voit aucune trace d'in- sertion musculaire et il existe un défaut de proportion très manif
ènes peuvent coexister d'ailleurs avec une diminu- tion de la force musculaire et de l'excitabilité galva- nique des muscles.
d, mais elle sent la pression sur les parties profondes, et le sens musculaire est conservé. L'anesthésie cutanée n'est d'aill
la piqûre, ni le froid, ni le chaud, mais elle a conservé le sens musculaire , elle se tient très bien debout les yeux fermés.
re ne verra pas sans une inquiétude toujours croissante la rigidité musculaire envahir de jour en jour davantage ses membres i
ites. Dans les trois cas, il y a eu simultanément affaiblissement musculaire et affaiblissement intellectuel. Pendant la vie,
ule, pieds, aponévrose crânienne). Enfin complication de l'atrophie musculaire qui fixe les mains dans l'abduction, permet à p
tion nerveuse directe, ni d'une réflexe, mais bien d'une excitation musculaire . Même observation dans la paralysie faciale alo
bilité électrique du nerf ayant totalement disparu , l'excitabilité musculaire est encore conservée. Du Paramyoklonus multip
de rubéfaction, saillie des veines fronto-temporales, tremblements musculaires , claquement des dents, trismus, incessants en d
2° conser- vation parfaite des mouvements volontaires et du sens musculaire ; 3° zone peu étendue d'hyperesthésie à un faib
qûres, le chatouillement ne déterminent que de faibles contractions musculaires . La trépidation du pied ne peut être provoquée;
qui persistent quoique extrêmement affaiblies. A gauche, le sens musculaire est diminué, et le malade ne peut rapporter ave
le est dans l'extension complète. A droite, au con- traire, le sens musculaire est entièrement conservé. Il n'existe pas de re
é aux températures commence à renaître. La perte incomplète du sens musculaire dans le membre gauche persiste encore et se rec
gluti- tion, la mastication, mais surtout dans les grands efforts musculaires (R. Vigoureux)' qui S'accoiii- pagnent de dilat
latation de la pupille, comme celle qui se produit dans tout effort musculaire , est tout à fait in- dépendante de la volonté,
es dans le cerveau par l'inspiration profonde et la con- traction musculaire énergique, déterminent une para- lysie du centr
entre dilatateur, tandis que, dans les cas d'effort respiratoire et musculaire , l'anoxémie s'y surajoute, amenant une paralysi
ti forme. Il est des cas dans lesquels l'hyperexcitabilité neuro- musculaire donne naissance à une sorte de catalepsie qu'il
ts pendant fort longtemps et le massage ou la fric- tion des masses musculaires ne les modifient pas. En- fin cet état catalept
ractérisé par un délire spontané ou provoqué. Il s'y joint l'état musculaire spécial sur lequel nous insistons ici. 1 En rés
hez elle des hallucinations variées. Pendant tout ce temps l'état musculaire est intéressant à noter et c'est sur lui que no
extension, suivant les tendons excités. La malaxation des masses musculaires de l'avant-bras pro- duit également la contract
la friction amène toujours la détente du membre, et la résolu- tion musculaire complète. En soulevant les paupières de la mala
itation mécanique soit des tendons, soit des nerfs, soit des masses musculaires . L'hyperexcitabilité neuro-musculaire n'est pas
rac- ture localisée peut être obtenue parla malaxation des masses musculaires , et la pression des nerfs. D'ailleurs les résul
le qui, pendant la veille, n'offre aucune tendance à la contracture musculaire , peut n'en présenter pas moins, pendant l'état
t qu'il était venu au monde avec cette infirmité. Toutes les masses musculaires du membre inférieur gauche étaient plus grêles
que temps avant son entrée à l'hôpital, F... s'aperçut que sa force musculaire diminuait notablement du côté droit. Depuis hui
membre supérieur sont encore possibles, mais très limités. La force musculaire est considérable- ment diminuée; mesurée au dyn
toujours une sensation de fourmille- ments. Du côté droit, la force musculaire ne s'est point accrue, mais les mouvements volo
ion et d'élévation du bras droit se font très facilement ; la force musculaire donne au dynamomètre vingt-cinq divisions pour
'empâtement du cou diminue. ^'novembre. L'exploration de la force musculaire donne quarante-trois divisions à droite et quar
able à la palpation, sans empalement des parties molles. La force musculaire était peut-être un peu moins prononcée à la mai
s reliefs du bassin, des ischions; les membres montrent les reliefs musculaires et les fosses iscliio-rectales sont comme évi-
exagérés dans tous les cas où l'on observe une certaine rigidité musculaire (scléroses du faisceau pyramidal primitives ou co
'un réflexe et pense que la moelle n'agit qu'en maintenant le tonus musculaire qui est néces- saire à la production du phénomè
x; thèse 1881. t. Essai sur la diminution de l'urée dans l'atrophie musculaire progres- sive ; conséquences qu'on peut en dédu
76 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
t sain. R. DE MUSGRAVE-CLAY. ' ' R. de Musgrave-Clay. VI. Le sens musculaire ; par John RFID. (Tite Journal of'mental Science
of'mental Science, juillet 1901.) ' On a soutenu à propos du sens musculaire que la contraction du muscle et la force dépens
stimées comme des poids plus ou moins volumineux, bien que le tissu musculaire n'existe pas dans'les points où sont localisées
n'est pas la sensation de poids qui existe, c'est celle de rigidité musculaire . Quelle que soit la cause de cette rigi- dité,
malades, enflammés, etc., ne fournissent jamais d'exemples de sens musculaire proprement dit ; 3° des muscles mis en état de
sent pas d'exemple de ce que l'on entend par les sensations du sens musculaire . R. de 111USGriAVe-CLl. f VIL' Pointe osseuse
e fibrilles sclérotiques et des cellules ressemblant à des cellules musculaires striées, comme on les trouve dans le rhabdomyoma
M. DFJERINP et Thomas. Les symptômes ont été : ataxie avec atrophie musculaire et scoliose. La moelle épinière avait conservé
gne d'Argyll sans syphilis. M. Meunier communique un cas d'atrophie musculaire progres- sive, avec contractures transitoires d
ospa- smodique ; 4° le syndrome des cornes antérieures : atrophie musculaire ; 5° le syndrome associé des cordons latéraux et d
e associé des cordons latéraux et des cornes antérieures : atrophie musculaire spasmodique ; 6° le syn- drome de la substance
ro-postérieure (syndrome de l'entière substance grise) ; atro- phie musculaire , dissociation dite syringomyélique des sensibi-
ère) Des théories imaginées pour expliquer l'exagération du tonus musculaire et l'apparition de la contracture spasmo- dique
du noyau rouge gauche accompagnée cependant d'exagération du tonus musculaire . > Certes, les destructions du noyau rouge,
Il n'existe pas à proprement parler une paralysie motrice. La force musculaire est bien conservée à droite et à.'gauche..Les d
l'état du tonus muscu- laire. D'après une théorie récente, le tonus musculaire subi- rait deux influences adverses, l'une exci
a lésion de la voie pyramidale doit entraîner une lape·lo21- cité musculaire puisque l'action excitatrice n'est plus con- tr
tion modératrice et que la lésion des centres d'excitation du tonus musculaire , en parti- culier du noyau rouge, doit détermin
ditions de la deuxième supposition. Quel était donc l'état du tonus musculaire chez lui ? Nous l'avons trouvé exagéré des deux
comme l'a indiqué M. Grasset, le maintien et l'exagération du tonus musculaire sont le résultat d'un méca- nisme très complexe
amais eu d'indisposition. Son aspect est des meilleurs : les masses musculaires sont fermes. Elle ne présente pas d'éruption su
e tube digestif, fonctionnent bien. Elle ne présente pas d'atrophie musculaire , pas de déviation de la colonne verté- brale, p
a des mouvements incoordonnés, qu'il bouge constamment, la force musculaire est conservée dans son intégrité. Au dynamomètre
rché à expliquer le tremblement soit par des altérations des fibres musculaires , soit par des troubles nutritifs des muscles ré
certain, dit M. Achard, que l'hypothèse d'un trouble primitivement musculaire ne saurait être admise dans la plu- part des ca
surtout chez les idiots. Ce qui caractérise les troubles du système musculaire dits cata- tomques si fréquents dans la démence
que le malade exerçant la profession d'homme de lettres, l'appareil musculaire innervé par ce nerf réalisait chez lui un locus
vements sont maladroits, la langue et les mains tremblent. La force musculaire des mains est affaiblie.- Les réflexes patellai
remblement de la langue et des mains, l'affaiblissement de la force musculaire , des pupilles étroites avec réaction faible et un
re sans motif; est encore un peu obnubilée et se plaint de douleurs musculaires généralisées résultant de son accès de la veill
nerfs de la peau et des mu- queuses, se produisent dans les masses musculaires et dans 24O L HYSTERIE DE SAINTE THÉRÈSE les
id aux cheveux, d'horripilation, l'asthénie motrice, le tremblement musculaire , l'incoordination des' mouvements volontaires,
physiques et morales. Lutte des anciens, pour favoriser le réflexe musculaire ; moyen intellectuel qui con- siste à nous habit
l'état mental (traitement subjectif). 1° Le traitement objectif ou musculaire comporte plusieurs ordres de médications : ec).
: il a un torticolis. et nous nous demanderons si ce torticolis est musculaire ou non musculaire (cicatriciel, névritique, oss
. et nous nous demanderons si ce torticolis est musculaire ou non musculaire (cicatriciel, névritique, osseux, etc.) ou mental
bdominal dont il est la cause, l'aptitude de l'animal et l'activité musculaire ; il est très intéressant parce qu'il est contag
ontaire et intempestive, leur limitation à un muscle ou à un groupe musculaire déterminé. Quand je vois un malade atteint de m
e ou des autres muscles de la région je dis : Voilà un torti- colis musculaire , et je m'efforce de rechercher s'il est de nature
e à son mal. Les tics ne sont pas seulement tributaires de la fibre musculaire striée : ils peuvent s'accompagner de contracti
on. Certains tics psychiques. véritables équivalents de convulsions musculaires , des lubies tou- jours les mêmes, des mots sing
s, et ils ne semblent avoir aucun trouble des sensibilités cutanée, musculaire , articulaire, osseuse. Mais ils n'ont pas une n
toux nerveuse, aphonie hystérique, astasie, abasie, ptosis, spasmes musculaires , parésie, paralysie, diarrhée nerveuse, pollakiur
éagissent pas à la lumière, la droite plus grande, pas de faiblesse musculaire appré- ciable ; seulement le réflexe rotulien e
iratoires, troubles diges- tifs, vertiges, paresthésies, phénomènes musculaires , phénomènes sécrétoires, phénomènes congestifs,
Congrès est entré en séance. Le mécanisme des réflexes et du tonus musculaire , par Chocq (de C Bruxelles.) - D'après la thé
e que j'ai développée au Congrès de Limoges, chez l'homme, le tonus musculaire est exclusivement cortical, tandis que les réfl
par conséquent empêcher ou atténuer l'amaigrissement ou J'atrophie musculaire chez les tabétiques comme chez d'autres malades
étendu augmen- tent la fatigue habituelle du malade, son impotence musculaire et son incoordination. Certaines manoeuvres d
de stimulant de la sensibilité profonde et surtout de la nutrition musculaire (pres- sions douces, mobilisation prudente) que
la cure de l'incoordination, de l'impotence motrice, du relâchement musculaire , sur lesquels le massage n'a aucune prise et qu
signe de Babinski, en le représentant comme un indice d'hypertouus musculaire dépendant, soit d'une altération du sys- tème p
alvanique ou faradique, on peut faire réapparaître les contractions musculaires normales et voir diminuer la contracture; la di
être soigneusement évités. Dît processus histologique de l'atrophie musculaire . M. G. Durante. L'auteur élimine les atrophies
des centres et dans la myo- pathie progressive. , - Dans la fibre musculaire , il faut distinguer la fibrille striée ou myopl
. La fibre striée est revenue à l'état plus indifférent de cellules musculaires embryonnaires. Ces cellules, disséminées dans l
sparaissent ou du moins cessent d'être reconnaissables les éléments musculaires dans les amyotrophies. L'atrophie musculaire es
issables les éléments musculaires dans les amyotrophies. L'atrophie musculaire est donc l'aboutissant non pas d'une résorption
oplasma s'hyperplasie, prend le dessus et se transforme en cellules musculaires distinctes ayant des caractères embryonnaires.
rose en plaques (35 cas), de la polynévrite (30 cas), de l'atrophie musculaire Charcot-Marie (6 cas), de la syringomyélie (8 c
ectées. P. Keraval. XVIII. Un cas d'herpès zoster, suivi d'atrophie musculaire ; par \\'ilUelul Mlacus. (Norsk 111gaziii foi, L
ique méthodique de l'attention. ' 0 IL C. XXII. Sur les atrophies musculaires progressives d'origine myélopa- thique ; par G.
donc, conclut l'auteur, une série morbide constituée par l'atrophie musculaire myélopathique pro- gressive, la paralysie labio
l'observation que rapporte l'auteur, il parait bien qne l'atrophie musculaire double scapulo-humérale ne reconnaît pas d'autr
nt la sensibilité cutanée et la sensibilité profonde articulaire et musculaire . 3° Parmi les troubles de la sensibilité cutané
turbation de la faculté d'association des mouvements, la sy- nergie musculaire : en raison de son origine, il désigne cette 43
ltération du cervelet dépendent, au moins en partie, de l'asynergie musculaire . E. B. XXXVI. Un cas de syringomyélie. Main d
quelques difficultés, mais parfois aussi pour distinguer l'atrophie musculaire juvénile au début d'autres processus atro- phiq
rales et antérieures de cette surface, déterminent des contractions musculaires dans les régions homolatérales dont les fibres
git d'abord sur l'autre extrémité symétrique, puis, sur les groupes musculaires placés sur des plans plus profonds; 3° l'exci-
ies profondes des membres improprement désignée sous le nom de sens musculaire ; leur atteinte entraîne aussi l'incoordi- nati
ure, une fonction motrice; elle est associée a une ferme d'activité musculaire bien définie (acti- vité pour certains muscles,
ont pas atteints, et la forme catatonique, dans laquelle le système musculaire est profondément troublé dans son fonctionnemen
sies affectaient, soit exclusivement, soit de préférence, un groupe musculaire dévolu à une fonction. Elles ont cédé facile- m
au pyramidal, qui consiste à maintenir un certain degré de tonicité musculaire . En un mot, l'hypothèse serait la suivante : le
bulbaire directe du névritique en raison de l'absence d'atrophie musculaire et de troubles des réactions électriques. Atrop
hie musculaire et de troubles des réactions électriques. Atrophie musculaire et poliomyélite. 1111. . Raymond et Cl. Philipp
un nouveau document pour l'histoire anatomo-clinique de l'atrophie musculaire progres- sive spinale, due à une poliomyélite c
ontre à nouveau sur ce malade le phénomène de I'Iivpei-exciLabilité musculaire . M. l'aul Magnin. On a voulu rapporter à la seu
du cervelet, voir llislolo- gie. Du processus liislologique de 1' musculaire , par Durante, 388. musculaires progressives d
e. Du processus liislologique de 1' musculaire, par Durante, 388. musculaires progressives d'origine myélopathiqm, par Etie
usculaires progressives d'origine myélopathiqm, par Etienne, 428. musculaire et poliomyélite, par Raymond et Ptniippe, 537
z par.de Buclc et de Moor, 146. Le mécanisme des . et du tonus musculaire , par .Crocq, 372. De la TABLE DES MATIÈRES. 5JJ
ter, 163. Sein hystérique, par Viallon et Alambert, 220. SENS musculaire . Le -; par John Keid, 56. L'évolution du des
77 (1895) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 10
. » (2) L'auteur continue comme il suit en portant sur le mécanisme musculaire de certains phénomènes suggestionnels de mouvemen
sa volonté est actuellement sans action sur cette portion du système musculaire . Et si vous l'examinez de près, vous vous apercev
édico-légale d'hypnotisme. Mourly Vold (de Christiania) : L'origine musculaire de certains rêves. Dumontpallier : Un cas de dé
assage de la région douloureuse. Mêmes indications dans le rhumatisme musculaire , le lumbago, le torticolis, et dans tous les cas
3° En ravivant la dynamogénie des cellules nerveuses et des fibres musculaires ; 4° En augmentant l'intensité des phénomènes
is, la sensibilité était parfaite, la motilité revenue, mais la force musculaire était moindre et les troubles trophiques encore t
se à la pression. La prétendue bosse n'est autre chose qu'une saillie musculaire normale du ventre débordant dans les deux aines.
t aucune sensibilité spéciale à la pression ; il n'y a pas d'atrophie musculaire , ni autre lésion trophique. Sont-elles dues à un
s variables qui sont tantôt de vraies névralgies, tantôt des douleurs musculaires ou myalgies, tantôt des douleurs osseuses, fibreu
r la respiration ordinaire, à condition qu'elle ne fasse pas d'effort musculaire notable ; la fonction est suffisante; la malade n
, pour retomber après quelques oscillations et quelques frémissements musculaires qui indiquent la fatigue ; si la main qui le sout
est pas suggestionnable par la parole, ni par l'intermédiaire du sens musculaire . Si les phénomènes somatiques sont négatifs et
démontrer plus loin. La peur des mouvements, non pas comme exercices musculaires , mais en tant que variations passives d'attitudes
instables, de dégénérés et presque tous les impulsifs ont du « prurit musculaire » qui les pousse à agir, l'excitation leur est né
valent somatique ou psychique de la fatigue, tel que des contractures musculaires ou des obsessions diverses, qu'on peut considérer
e des phobies, en provoquant des échanges plus rapides par un travail musculaire méthodiquement imposé. Si cette préparation ava
rale, qu'on peut avoir affaire à des auto-intoxications qu'un travail musculaire mal réglé augmente. Si un exercice modéré tonifie
ription ; 2° Contraction plus ou moins brusque et violente des masses musculaires dans les parties visées. Cet effet s'observe prin
gie psycho-physique. Loi de Fechner. Physiologie des sens (sensations musculaires et organiques, le toucher, l'ouïe, la vue, auditi
Expérience sur les rêves et en particulier sur les rêves d'origine musculaire ou optique (1) Par M. le Dr J. Mourly-Vold, Pro
dans les rêves le sens du toucher (contact et température) et le sens musculaire , et sur la relation existant entre les images de
les plus importantes pour moi, celles concernant les rêves d'origine musculaire et optique. Quant au sens musculaire (qui est san
s concernant les rêves d'origine musculaire et optique. Quant au sens musculaire (qui est sans doute, dans ce domaine, plus intére
e son rôle dans les rêves est très important. J'emploie le mot « sens musculaire » dans sa signification la plus étendue pour expr
demain. Voici la méthode que j'employais pour influencer l'appareil musculaire pendant le sommeil. A un stimulus passager, appli
de des stimuli passagers est très difficile à employer sur l'appareil musculaire pendant le sommeil. On ne peut stimuler par une p
t pour faire cesser le sommeil. En tout cas, des séries d'expériences musculaires sur les extrémités seraient très difficiles (ou i
èles. J'ordonnais deux à deux les expériences sur les rêves d'origine musculaire . Le soir, après s'être couche, on mettait la chos
expériences du premier soir se montrait très restreint ; le stimulus musculaire employé seulement avant le sommeil laissait rarem
us forte que je ne l'avais recommandée), avait laissé dans l'appareil musculaire un effet persistant. Conclusion : L'influence cau
un effet persistant. Conclusion : L'influence causée par la pression musculaire , le soir, est, comme telle, insignifiante. D'autr
sans la voir. c) Comme je n'avais pas l'occasion d'agir sur le sens musculaire sans exercer en même temps une influence sur le t
on les distingue assez nettement. Il est naturel de rapporter au sens musculaire les mouvements rêvés ; au sens cutané, au contrai
e le toucher a beaucoup moins d'importance pour les rêves que le sens musculaire . Dans les cas, comme à l'expérience du gant, où l
ns musculaire. Dans les cas, comme à l'expérience du gant, où le sens musculaire et le toucher sont également très intéressés, ce
aux résultats de mes observations et expériences sur le rôle du sens musculaire dans les rêves, je me bornerai à des généralités.
s doute, celeris paribus, plus marquée que la sensation d'une tension musculaire sans mouvement ; donc, la conscience fatiguée qui
on d'une autre personne est très souvent accompagnée d'une perception musculaire dans notre propre corps ; d'autre part nous avons
ar des images d'autres personnes qui se trouvent dans les mêmes états musculaires que nous-mêmes. 40 On rêve quelquefois que les
-sembablement les sensations cutanées collaborent avec les sensations musculaires . Sans doute, ce fait — des nombres rêvés à cause
bre et les doigts de la main. Voilà les formes ordinaires des rêves musculaires . J'ai cependant laissé de côté toutes sortes d'
tion du membre en question. Ces différents genresde rêves d'origine musculaire ne doivent pas être séparés; ils ne s'excluent pa
les façons imaginables. Deux mots encore, sur la causalité des rêves musculaires : 11 résulte de nos recherches que, pendant le
res : 11 résulte de nos recherches que, pendant le sommeil, le sens musculaire donne souvent naissance à différentes illusions.
ssance à différentes illusions. Celui qui dort a conscience de l'état musculaire causé par le fait qu'il a gardé pendant quelque t
raison pour laquelle quelquefois, en rêve, les sensations cutanées et musculaires des doigts disparaissent, supprimées par le calcu
t, supprimées par le calcul mental. Pour toutes ces sortes de rêves musculaires il faut, en outre, supposer que le type psychique
rdue, en d'autres termes, à fortifier ce qui restait encore de fibres musculaires et à obtenir d'elles un travail de plus en plus c
l'influence d'états moraux spéciaux. Alors, le sujet garde l'attitude musculaire imprimée, parce qu'il n'a pas assez d'initiative
dée que le bras doit rester en l'air, comme il maintient l'impression musculaire déterminée par l'attitude spéciale. Le plus souve
je, l'ai mis. D'autres fois le phénomène est dominé par l'impression musculaire : l'attitude cataleptiforme continue à persister
orme ne s'obtient que rarement dans les membres inférieurs : l'effort musculaire nécessité pour maintenir une jambe en l'air, surt
état» s'explique aussi par l'absence d'initiative cérébrale. Le tonus musculaire , on le sait, est un phénomène réflexe spinal. Or,
certain e mesure, décapité fonctionnellement, on conçoit que le tonus musculaire , ne subissant plus l'influence cérébrale modératr
centripète, cela ne donne lieu péripheriquement ni à une contraction musculaire , ni à une sécrétion, puisque le nerf n'affecte au
que le nerf n'affecte aucun l'apport de continuité ni avec des fibres musculaires , ni avec des cellules sécrétantes. Mais nous comp
antérieure d'un nerf spinal) donne lieu uniquement à une contraction musculaire , et non pas à un effet dans les centres nerveux,
théorie histologique du sommeil comme d'une théorie de la contraction musculaire . Son but essentiel est, dans les deux cas, de che
est modifié. Mais tout cela ne nous explique pas pourquoi les fibres musculaires sont formées de parties alternativement sombres e
sur le déplacement latéral d'une prétendue partie liquide de la case musculaire , ils cherchent à établir une théorie histologique
e les combustions, production de chaleur, etc., sont à la contraction musculaire , tandis que la théorie histologique, au-dessous d
, d'aspect, de rapports des cellules nerveuses. Pour la contraction musculaire , l'observation directe a permis à Raxvier de cons
rkel, il a pu substituer ainsi une théorie positive de la contraction musculaire , théorie qui mérite, au premier chef, le titre dk
très influencé, et, peu à peu, il tombait dans un état de résolution musculaire , indiquant l'existence d'un sommeil assez profond
Expérience sur les rêves et en particulier sur les rêves d'origine musculaire ou optique, par Mourly-Vold, 202. Expérimentati
78 (1885) Archives de neurologie [Tome 10, n° 28-30] : revue des maladies nerveuses et mentales
ieures de la moelle, d'où elle s'étend finalement jusqu'à l'élément musculaire périphérique. Observation I. Début par raideur
de douleurs dans les membres au niveau des jointures et des masses musculaires , douleurs pour lesquelles on prescrit 4 grammes
e la mâchoire sont conservés. - Les mains présentent une atrophie musculaire manifeste avec déformation caractéristique ; à
adducteur du pouce; mais, entre l'une et l'autre de ces deux masses musculaires , il reste des muscles formant un bourrelet asse
aine mesure ; pendant qu'on l'examine, on constate, dans les masses musculaires du bras et de l'avant-bras droits, des mouvemen
sible, vu l'existence de l'oedème, de dire s'il y a ou non atrophie musculaire . D'ailleurs, les mouvements du pied sont très l
angue qui présente une diminution de nomhre et de volume des fibres musculaires avec surcharge graisseuse et légère augmentatio
pe, diminution considérable du nombre et aussi du volume des fibres musculaires , la striation est généralement conservée; pas o
excellente monographie, prête une attention spéciale à la réaction musculaire qu'on constate après la trac- tion nerveuse che
ut pas être davan- tage attribuée à une moindre activité du système musculaire dont le travail augmente l'élimination de l'azo
de mettre les individus en expérience dans des conditions de repos musculaire abso- lument semblables, pendant les états de r
uvant être recherchée ni dans le système nerveux ni dans le système musculaire , force est bien de la rattacher à la décomposit
donc analogue aux réflexes tendineux ou tout au moins, aux réflexes musculaires ou aponévrotiques. - P. K. XVI. UNE observati
du champ visuel, troubles de l'ouïe, de l'odorat, du goût, du sens musculaire ), avec ou sans participa- tion de la sensibilit
DE M. WESTPHAL. M. SAKAKY présente un malade atteint d'hypertrophie musculaire vraie combinée à une sorte d'hémichorée gauche.
1-1,3; pas de dégénérescence graisseuse, pas d'infiltration inter- musculaire , pas de multiplication ni de prolifération des no
eut, dans un certain nombre de cas, presser latéralement les masses musculaires qui traversent les régions hystérogènes ou les
lérose en plaques, la sclérose laté- rale amyolrophique, l'atrophie musculaire progressive, la para- lysie spasmodique, la pol
ressive, et le parallèle établi entre cette affection et l'atrophie musculaire progressive, ainsi qu'avec la sclérose latérale
esteur se trouve continuellement dans un certain état d'équilibre musculaire , prêt à tout moment à passer à un mouve- ment d
ou une « indication de volonté)), parce que la force de contraction musculaire du suggesteur et la résistance que ses muscles
152 PHYSIOLOGIE. 2) Le suggesteur ne perçoit pas ses contractions musculaires comme étant actives, comme dépendant de sa volo
bras du sug- gesteur pour m'assurer de l'existence d'une tension musculaire dans une direction perpendiculaire à la premièr
ne fabrique de poteries, est atteint depuis son enfance de raideurs musculaires qui se produisent au début des mouvements volon
cune trace actuellement. Elle aurait été remplacée par des crampes musculaires très douloureuses et très fréquentes qui survie
contraire, qui i ont été atteints à des' degrés"divers de raideurs, musculaires .à l'occasion des' mouvements volontaires, ress
1'liy- MALADIE DE THOMSEN. : W3 pertrophie de différents groupes musculaires est moins pronon" cée. Le cou est moins gros, l
pertrophie des muscles sacro-lombaires est considérable. Ces masses musculaires laissent enti e elles une profonde gouttière. L
noeuds qui leur donnent un aspect tout à fait singulier. La force musculaire paraît être assez bien conservée, mais elle est
tirent en sens in- verse de la direction voulue. Cette résistance musculaire ne se produit qu'au début des mouvements vo-
que ce ne sont pas à proprement parler les premières contractions musculaires qui sont difficiles et pénibles, mais plutôt
normaux dès le début. Diverses circonstances augmentent la rigidité musculaire dont se plaint M. M... Parmi elles, il faut sig
eur position normale, ses AncHiVKS, t. X. Il 4 Fig. 4. A, Tétanos musculaire dans la maladie de Thômsen, lorsque le muscle a
été préalablement fatigué par des excitations répétées. B, Tétanos musculaire normal. 210 0 RECUEIL DE FAITS. muscles contr
cision. La crainte d'être remarqué augmente notablement la rigidité musculaire . M. M... ne monte jamais dans un omnibus parce
ie à soulever sa jambe et s'élever sur le marche-pied. La raideur musculaire augmente encore sous l'intluence des émotions m
niqués aux membres sont faciles. Il n'y a pas traces de contracture musculaire permanente. Il n'y a pas non plus de craquement
s ou névral- giques, pas de sensation de lassitude ni de courbature musculaire . Les réflexes rotuliens sont normaux, sans exag
tale. L'occlusion des paupières ramène instantanément la résolution musculaire . Ces manoeuvres sont toujours suivies d'une cri
es; par A. EULENBURG (Neu1'olog, Centralbl., 1884). Cas de rigidité musculaire (Leyden), ayant pour synonymes : hypertrophie m
e rigidité musculaire (Leyden), ayant pour synonymes : hypertrophie musculaire spasmodique et maladie de Thomsen. Se différenc
euse faradique et galvanique, de la contractilité farado et galvano musculaire et de l'excitabilité mécanique directe des dive
e MUS- CULAIRE DE LA FACE DANS LA FORME JUVÉNILE DE L'ATRO- PIIfE musculaire PROGRESSIVE; par E. REMAK (Neurol. Cen- tralbl,
EMAK (Neurol. Cen- tralbl, 1884). Observation d'un cas d'atrophie musculaire progressive héréditaire, compliquée de diplégie
est que l'existence d'une forme purement myopathique de l'atrophie musculaire pro- gressive est irréfutable. P. K. XXXIV. S
e d'atteindre rapi- dement toute la papille. P. K. XXXV. Atrophie musculaire héréditaire ET PSEUDOHYPER- TROPHIE DES muscles
lant chez une même famille, l'existence de plusieurs cas d'atrophie musculaire . L'auteur est d'avis que toutes les formes d'at
ie musculaire. L'auteur est d'avis que toutes les formes d'atrophie musculaire progressive sont très proches parentes de la ps
ent les atrophies muscu- laires d'origine névrotique, des atrophies musculaires primi- tives, telles que la pseudo-hypertrophie
elles que la pseudo-hypertrophie et les formes analogues d'atrophie musculaire héréditaire ou non, relèguent, continue M. Schu
per- trophie n'est pas une maladie du système nerveux, l'atrophie musculaire héréditaire est une myopathie primitive. En tout
u mémoire. P. K. XXXVI. UN cas DE tabès dorsal compliqué d'atrophie musculaire PRO- GRESSIVE ; par A. EULENBURG. (Berl. klin.
oca., 1885, n° 15.) L'auteur présente un cas de tabes avec atrophie musculaire ; sur un nombre d'environ 500 cas de tabès, il
as d'autopsie; Eulenburg se demande si dans certains cas l'atrophie musculaire n'est pas une maladie surajoutée plutôt qu'une
vint immédiatement de l'anesthésie de la main, puis de la faiblesse musculaire . Peu à peu l'anesthésie et la parésie remontère
l)e masse alimentaire s'effectue grâce à l'exclusion des mouvements musculaires actifs et grâce à l'excita- tion de l'activité
asséipar une agitation convulsive s'étendant à toute la char- pente musculaire du corps. M. Rmccn. Dans un cas il y avait exag
t au mois de décembre 1882, démontre un affaiblissement de la force musculaire des deux mains, spécia- lement de la main droit
r tremblement convulsif et contractures, affaiblissement des forces musculaires et une grande exagération des réflexes des tend
- tique que de la bonne foi de la malade par les réactions neuro- musculaires bien connues maintenant. C'est toujours au sens
: phénomènes cataleptiformes ; les frictions amènent la résolution musculaire . Cet état dure deux heures et demie, et la mala
rs. Aucun trouble de la sensibilité. 11. - Hallucinations du sens musculaire , on la pousse, on la fait aller à droite et à g
nnent ensuite des hallucinations de la vue (taureaux...) et du sens musculaire : elle a peur que tout ce dont elle a souffert
2 avril. Même état, idées d'empoisonnement, hallucinations du sens musculaire . 3. - Pendant le sommeil somnambulique, je lui
Ce que nous avons observé assez souvent, c'est une sorte d'atonie musculaire , surtout sensible vers les extrémités infé- rie
mplète que dans les dix derniers jours ; sur la suppression du sens musculaire dans les extrémi- tés paralysées, sur les troub
xcrétion d'acide urique. L'auteur fait remarquer combien l'exercice musculaire favorise la combustion du sucre dans l'économie
les deux derniers jours de la vie, paraissait due à un relâchement musculaire gé- néral et à l'état aslhéuique du malade. Enf
une force de courant insuffisante pour produire une contrac- tion musculaire . Les mêmes effets se produisent dans toutes les
trois cas). Aux affections en rapport avec le surmenage cérébral ou musculaire , avec les fatigues physiques, on opposera les c
vi l'étude des phénomènes de suggestion par Y intermédiaire du sens musculaire . Mais, dit M. Bérillon, il n'était encore venu
t.5. Ihpoehondre (réflexe de la région de l'J, 97. Hypertrophie musculaire vraie, par Sakaky, 122. Hystérie (notesurun c
trophique des), par Eulen- burg, 228. TAULE DES MATIÈRES. li 67 Musculaire (atrophie- progressive avec participation de la
79 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
en un maigre tissu de granulations ; fibres élastiques et cellules musculaires des membranes extérieures, couche lamellaire de
s articulations, se mobilisent difficilement, il y a de la raideur ¡ musculaire . Pendant l'examen et quelquefois au repos, les
evelu n'est pas soigné », la teinte brunâtre des ongles, l'atrophie musculaire des interosseux palmaires et des muscles des me
erfs, à notre avis. Vulpian" croyait à la suppression de l'action musculaire dans la formation de l'oedème. C'est peut-être
est peut-être le cas des para- lytiques qui ont des dégénérescences musculaires provoquées par la névrite périphérique. Ranvier
ule interne. P. KERAVAL. 111. Contribution A l'étude DE la tonicité musculaire ; par E. JEN- drassik. (Neul'olo[]. Cenl1'aIiJI
JEN- drassik. (Neul'olo[]. Cenl1'aIiJI" XV, 1890.) La flaccidité musculaire et tabétique est démontrée par l'obser- vation
ambes au plus haut degré ataxiques. Cette diminution de la tonicité musculaire est en rapport avec la perte des réflexes tendi
nie car on ne connaissait pas le degré antérieur de l'extensibilité musculaire chez le même individu. Il en est de même pour les
scles de l'épaule) indiquent, de même que les formesrares du clonus musculaire des extrémités inférieures : une hyperexcitabil
tphal (Charité Annalen, l. XI, 1896) caractérisée par de l'atrophie musculaire avec atteinte des muscles de la face, compliqué
iques. D'après ses recherches, l'auteur pense que toutes les fibres musculaires existent à la naissance et que seul le volume de
ues, il y a lésion de la glande pituitaire. P. K. XXIX. Des lacunes musculaires congénitales : par S. KALISCHER. (Neurolog. Cen
tablir de nombreuses variétés soit en ce qui concerne les atrophies musculaires soit en ce qui regarde les phénomènes concomita
pathologiques acquises mais précoces ? et notamment à la dystrophie musculaire , progressive, précoce, mais arrêtée dans son dé
paralysie du membre superieur du côté de la lésion, avec faiblesse musculaire dans les membres inférieurs ; 2° exagération du
bouton d'acné ou d'un furoncle cervical, tantôt c'est un rhumatisme musculaire de l'épaule ou du cou, enfin c'est, quelquefois u
ble que le membre 86 sociétés savantes. supérieur gauche. Le sens musculaire est affaibli dans les extré- mités droites; les
les cellules nerveuses (comme par la méthode de Nissl), les noyaux musculaires des vaisseaux, les cellules névro- gliques, en
fur. 75. iena, 189ï ? Verlaô G. Fischer. CLAPARlioE (Ed.). Du sens musculaire il. propos de quelques cas d'hémiataxie poslhém
as- DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA SYPHILIS. 1 modiques : raideurs musculaires , contractures, exagération des réflexes, souven
un seul muscle, souvent dans quelques fibres seulement ; secousses musculaires traduisant l'excitation de l'écorce et annonçan
érale. Les mouvements passifs, la pression sur les os et les masses musculaires , ne provoquent pas de douleurs. Examen des yeux
t est resté stationnaire; ce matin on constate quel- ques secousses musculaires involontaires dans les membres, plus prononcées
pour les mouvements exé- cutés au lit. Il n'y a pas de paralysie musculaire ,pas d'asthénie bien pronon- 120 CLINIQUE NERVEU
La démarche est normale, pas de troubles de l'équilibre. La force musculaire parait bien conservée à l'examen; cepen- dant e
A l'examen on trouve, en effet, une diminution générale de la force musculaire , surtout aux membres inférieurs. Le bras droit es
mouvements athétosiques sont aussi limitées au côté droit. La force musculaire est con- servée. Les réflexes tendineux du memb
a tendance au coma, l'hypother- mie, l'insensibilité, la résolution musculaire et la dilatalion des pupilles. Rarement la ponc
ppé, le S3 mai 1897, au moment où il déployait un très grand effort musculaire pour retenir son cheval emballé, d'une paralysi
Il a un affaiblissement prononcé des facultés psychiques. Faiblesse musculaire du côté droit, pas de paralysie. Inégalilé pupi
articulièrement les cordons antérieurs. L'association de l'atrophie musculaire et de la paralysie générale trouve son explicat
of mental science, octobre 1872. ' Grellière. Etude sur l'atrophie musculaire dans lapai al. gêner. (Th. de Paris, 1876.) "
o- logique a démontré une dégénérescence atrophique de la tunique musculaire de la vessie, à laquelle l'auteur attribue la r
tir deux formes principales : la maladie d'Arau- Duchenne (atrophie musculaire progressive) ou celle de Charcot (sclérose laté
e méd. et de chir. pratiques, 1894, p. 280.) ' Hoche. De l'atrophie musculaire dans la paralysie générale. (Be-liîi. Klii ? .
e temps. Nous avons observé 2 fois le purpura ; 1 fois l'atrophie musculaire localisée à une main et précédée d'une éruption
choire infé- rieure, cyphose cervico-dorsale, céphalalgie, asthénie musculaire etc. A. FENAYNOU. VI. MvxOEDÈME DE l'adulte;
très distingué M. Escu- der. F. BOISSIER. XVI. UN cas d'atrophie musculaire PROGRESSIVE d'origine trauma- TIQUE PRISE pour
s, et l'amélioration d'un grand nombre de paralysies et d'atrophies musculaires , il peut être néfaste aux surmenés intellectuel
référable de donner le mercure en frictions ou en injections intra- musculaires . (The alienist and ne2c·ologist, oct. 97.) E. B.
ble- ment pendant les mouvements. Pas de signe de Romberg ; force musculaire intacte, gâtisme par intervalles; penche en arriè
c entre une paralysie brachiale radiculaire et une forme d'atrophie musculaire du type juvénile d'Erb, il s'agit d'un enfant d
tre ainsi résumés : . 1° L'asthénie ne s'est pas limitée au système musculaire , elle était également très prononcée dans les a
in, sur l'absence de douleur lorsqu'on pince les différentes masses musculaires du corps, surtout celle du mollet. E. Margouliès.
s. Toutes les sensations répondant à un organe (respiration du sens musculaire , etc.) forment cette base organique fondamental
s pénibles dans tout son individu ; il éprouve des troubles du sens musculaire , des spasmes viscéraux, etc. C'est là une premi
mentaire, de l'appareil génital, de l'état des muscles, sensibilité musculaire , sensation générale de nutrition, etc., telles
utre. Aussi, ces malades, privés de leur sensibibilité viscérale et musculaire , se disent- ils en même temps entourés d'un voi
de la cellule piriforme et la ro; duction consécutive du mouvement musculaire , arrive à cetteteet- lule par les collatérales
lule nerveuse des cornes antérieures au protoplasma de la cel- lule musculaire ; ]*axone est bien ici un organe de transmission
les points de contact des fibrilles du nerf moteur avec les fibres musculaires . De même dans la transmission du courant nerveu
suelle et auditive est normale. De même pour les réflexes, la force musculaire est cependant sensiblement diminuée à droite. Tou
(Revue neu- rologiçzle, mai 1897.) E. B. LXIV. DE la substitution musculaire : par le professeur THOMAYER. Les deux observat
u du même côté, paralysie des membres du côté droit avec atrophie musculaire . A l'état de repos la main et la plante du côté d
paralysie motrice des membres du côté droit avec diminution du sens musculaire . Vers la fin de l'observation, la paraplégie in
sensibilité objective. Pas de troubles tro- phiques, ni d'atrophie musculaire . Aux membres supérieurs, il paraît y avoir une
ion, ni de tremblement. Pas de troubles tro- phiques, ni d'atrophie musculaire . Les sphincters ont fonctionné normalement jusq
sibilité. Pas de pliénomènes vésico-rectaux. Diminution de la force musculaire de 436 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. la main gauche.
t dans le membre examiné, mais aussi dans l'autre, des contractions musculaires qui fléchissent légèrement les divers segments
ouloureuses : il semble qu'il y ait hyperesthésie de la sensibilité musculaire . La moindre cause suffit quelquefois pour déter
e du bras. 400 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. Toophicité. Pas d'atrophies musculaires ; pas d'oedème, pas de troubles trophiques. 2°
il les voit immobiles (hallucinations des sensibilités profondes et musculaires ? 4 septembre. Mêmes phénomènes, et de plus : à
t pas perçu par le malade provoquait cependant des contrac- tions musculaires réflexes. Cela nous indiquait que l'arc réflexe
des sensibilités profondes (tendineuses, articu- laires, osseuses, musculaires ). On pourrait peut-être même admettre comme nou
ons fait dans l'observation, de véri- tables hallucinations du sens musculaire ; le malade croyant parfois sentir remuer ses ja
loureuses ; c) ther- miques, etc. 2° sensations profondes : a) sens musculaire ,. b) tendons, ligaments, aponévroses, articulat
yndrome de Brown-Séquard tous les observateurs ont noté que le sens musculaire était conservé du côté hémianesthésié. Il est v
ion de position, reproduction d'une attitude, etc..) et non le sens musculaire dont la recherche est beau- coup plus difficile
s signalent la conservation des sensibilités profondes et du sens musculaire , ce qui nous paraît impossible à rechercher. La
t conservée, car elle supplée les sensibi- lités profondes. Le sens musculaire ne peut évidemment pas être recherché sur un me
tout cela bien entendu en fermant les yeux du malade. Quant au sens musculaire , les divers moyens qu'on a recommandés (cette m
i- culaires, etc. Le meilleur critérium de la disparition du sens musculaire est encore, quoi qu'on en ait dit, l'existence de
au ; ils n'ont plus de coeur, de pou- mons, de foie, etc. Le sens musculaire s'altère ensuite. Le négateur mécon- naît ses p
lorsqu'elle existe, attirer seule l'attention. La première secousse musculaire n'indiquerait nullement le siège de la lésion. Lo
. Étude clinique des troubles de la sensibilité géné- rale des sens musculaire et stéréognostique dans les hémiplégies de caus
rches cliniques sur les troubles de la sensibilité générale du sens musculaire et du sens stéréognostique dans les hémiplégies
uses de l'incapacité maternelle. Chere- chewsk ! (Jacques). Le sens musculaire et le sens des attitudes. Clavey (Eugène). Rech
es attitudes. Clavey (Eugène). Recherches cliniques sur les groupes musculaires 510 () BIBLIOGRAPHIE. paralysés dans l'hémipl
tes apoplectiques. Marinesco (Georges). Main succulente et atrophie musculaire dans la syringomyélie. Marion (Abel). De la par
es. gl2 BIBLIOGRAPHIE. Pompillian (11«° Mariette). La contraction musculaire et les trans- formations de l'énergie. Poulet (
Assistance des aliénés en Belgique, par Peeters, 339. Atrophie musculaire progressive d'o- rigine traumatique, par Buck,
, par Pribytkofi, 421. Compression de la -, par WerzilofI, 422. Musculaires . Lacunes congéni- tales, par Kalischer, 65. De
aud, 267. - substitue à une névralgie, par Mojer, 321. Toxiciié musculaire , par Jendras- sik, 47. ToiiiicoLib .mental. T
80 (1889) Archives de neurologie [Tome 18, n° 52-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ent se compliquer, suivant le siège de la bles- sure, de paralysies musculaires , de perte d'un organe (oeil, nez, etc.) d'atrop
plica- tion de ces données pour expliquer la formation de tumeurs musculaires douloureuses décrites par MM. Rameaux et Bucquo
e. Il s'agit d'une observation caractérisée par - de l'hypertrophie musculaire ; les faisceaux primitifs n'occupent cependant q
pu découvrir la nature. M. Benda croit que cet anneau est du plasma musculaire avec ses noyaux, ainsi qu'on l'observe sur les
es, mais ils ne reprennent pas celles qu'ils avaient, la résolution musculaire paraît complète. La projection d'air froid sur
as quelque chose d'ana- logue à ce que l'on observe dans l'atrophie musculaire pro- gressive où l'on voit se développer, paral
et de la réalité de ces faits. ! IL GLEY lit un travail sur le sens musculaire qui consiste, selon lui, dans la conscience de
s par rapport à lui-même et aux objets extérieurs. Ce prétendu sens musculaire pourrait bien ne résulter que de sensations mul
t aux sen- sations cutanées, une autre aux sensations articulaires, musculaires proprement dites, etc. Si l'on ne connaît pas e
t- tres amenait des sensations diverses de tact, de goût, de sens musculaire . Par exemple l'O est noir pour la vue et s'accomp
serait '. Sans doute une telle catalepsie procède de la contraction musculaire , mais dans des conditions physiologiques ; le t
ut à coup, la suggestion demeure inactive. Enfin, si la contraction musculaire cataleptique ne s'alimente pas à un foyer physi
ie avait disparu. Le malade n'a pas eu le sentiment d'une faiblesse musculaire bien caractérisée dans le côté droit, il a pu m
les cylindres-axes sont normaux; il en est de même des faisceaux musculaires , qui, sous les coupes transverses, sont serrés et
figures signalées par M. Babinski en 1886 (Soc. biol.), des fibres musculaires jeunes se montrent enveloppées d'une gaine lame
e des Hautes-Etudes. CENTRÉS CORTICAUX DE LA SENSIBILITÉ CUTANÉE ET MUSCULAIRE ET DES MOUVEMENTS VOLONTAIRES. I. On convie
ns ont perdu la faculté de faire jouer certains groupes de fibres musculaires d'une manière appropriée dans certains actes ».
agel et de Bastian (avec cette réserve, que celui-ci sépare le sens musculaire des autres éléments constituants de la kinesthé
nt conservées et associées les images nées des sensations cutanées, musculaires et d'innervation des régions correspondantes du
ts anatomiquement des centres de la sensibilité générale et du sens musculaire . Il y a la théorie de Charcot, pour qui les cen
ent l'accomplissement d'un mouvement volontaire, tandis que le sens musculaire , ou plutôt la sensibilité kinesthésique de Bast
que toute représentation de ce genre est accompagnée de sensations musculaires , si bien que la vue seule d'un objet en mouveme
en réa- lité les nuages ; s'il cherche à arrêter cette sensation musculaire , l'image du nuage en mouvement s'arrête aussitô
omme constituée à la fois par des centres de sensibilité cutanée et musculaire , d'une part, et, d'autre part, par des centres
. XVIII. 24 370 PHYSIOLOGIE. tilité volontaire, de la sensibilité musculaire et des autres modes de la sensibilité générale,
lément. Nothnagel croit donc que l'existence des paralysies du sens musculaire sans paralysies mo- trices est d'une importance
s centrales déterminer une paralysie motrice sans abolition du sens musculaire '. Pour localiser dans d'autres régions que D.
localiser dans d'autres régions que D. Ferrier les centres du sens musculaire et de la sensibilité cu- tanée, on ne saurait n
ctes de celles des centres cor- ticaux de la sensibilité cutanée et musculaire . Ce rapide aperçu des principales conceptions t
cun autre centre moteur, de tfaire fonctionner les divers appareils musculaires ae. Siii centri cerebrali di movimento (Sperint
380 PHYSIOLOGIE. Ces auteurs ont trouvé que les troubles du sens musculaire , la diminution de la tension musculaire, et mêm
vé que les troubles du sens musculaire, la diminution de la tension musculaire , et même les légers états parétiques de quelque
osé à la lésion, cérébrale, ce n'est pas l'énergie des mouvements musculaires , mais, avec les sensations de tact et de 1 Dei
tactile, la sensibilité à la pression, la thermoesthésie, le sens musculaire , lui avaient parudiminuéducôté opposé à la lési
donné aux phénomènes observés le nom de désordres de la conscience musculaire : grâce à cet artifice, Hitzig avait pu abandon
i règlent nos mouvements, pro- voquent cet ensemble de contractions musculaires nécessaires à la direction, à la coordination e
tous deux les ont rapportés à une altération soit de la conscience musculaire , soit des représentations centrales de la sensi
, des mouvements complètement différenciés des différents groupes musculaires de telle ou telle région '. » Pour Bechterew, l
leurs, sur le lobe pariétal, les centres des sensa- tions tactiles, musculaires , douloureuses 2. Schiff ne pouvait donc rencont
orrespondantes, pourquoi ne se laisse-t-il pas guider par le sens musculaire et par la vue, puisque, d'après Schiff lui-même
en rapport avec les mouvements volontaires des différents groupes musculaires ~et avec la perception des impres- sions sensibl
s ou moins nette des diver- ses formes de la sensibilité cutanée et musculaire . Il avait pu vérifier l'existence des phénomène
déficit, les altérations résiduelles de la sen- sibilité tactile et musculaire , ainsi que celles des « idéations motrices ", r
lement la motilité volontaire, mais aussi la sensibilité cutanée et musculaire ? - Oui, car dans' aucune des expériences les t
emiers jours, quelquefois abolies. Quant au sens ou à la conscience musculaire , dont le trouble se manifeste souvent par l'ind
es phénomènes de déficit, les troubles de la sensibilité tactile et musculaire , ou les altérations de la motilité volontaire,
' LES FONCTIONS DU CERVEAU. 409 relevé la diminution de la force musculaire dans les membres du côté prétendu sain, l'exagé
cs de cercle passagers répétés à deux ou trois reprises. Résolution musculaire . Rigidité avec légers mouvements convulsifs des
outumer les morphinomanes. M. Enll (d'Heidelberg). De la dystrophie musculaire progressive. - L'atrophie musculaire progressiv
'Heidelberg). De la dystrophie musculaire progressive. - L'atrophie musculaire progressive se décompose en deux formes : la fo
myotrophie spinale progressive) et la forme myopathique (dystrophie musculaire progressive). Cette dernière comprend l'atrophi
trophie musculaire progressive). Cette dernière comprend l'atrophie musculaire juvénile (Erb), la pseu- dohypertrophie de l'en
re juvénile (Erb), la pseu- dohypertrophie de l'enfance, l'atrophie musculaire héréditaire (Leyden), l'atrophie musculaire pro
e l'enfance, l'atrophie musculaire héréditaire (Leyden), l'atrophie musculaire progressive infantile de Du- chenne avec attein
tomo-pathologique semble faite. Les premiers stades des altérations musculaires se traduisent par de l'hypertrophie ; en même t
. COEUMLKR (de Fribourg) présente un malade atteint de dys- trophie musculaire progressive assez avancée mais très nette (forme
s de la Société. M. HOFFMANN (privat-docent). Sur un cas d'atrophie musculaire progressive. - L'orateur le désigne sous le nom
r le désigne sous le nom de forme tenant le milieu entre l'atrophie musculaire spinale et l'atrophie muscu- laire myopathique,
dégénérescence nerveuse multiloculaire et propose le nom d'atrophie musculaire progressive neurolique bien que, ainsi que le d
action des causes d'albuminurie telles qu'hyperthermie, sur- menage musculaire , produits de sécrétion du vagin, sperma- torrhé
uche optique dans le plan antérieur nous obtenons un tressaillement musculaire tout momentané; la même opération dans un plan
ticulations, mais non abolis; les réflexes, la sensibilité, le sens musculaire sont intacts; il n'y a pas de troubles cérébrau
aury, 282. Diabète chez les aliénés, par Liebe, 301. Dystrophie musculaire progressive, par Et, 447. Ecorce cérébrale (f
28. Migraine ophthahmque et paralysie générale, par Blocq, 321. Musculaire (dystrophie - progres- sive, par Erb, r7; - atr
phandres (accidents de l'emploi des), par Castaras, 80, 207. Sens musculaire , par Gley, 285. Sensibilité (troubles de dans c
81 (1889) Archives de neurologie [Tome 17, n° 49-51] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
es,' ni zones hystérogènes, ni sensibilité testiculaire. La force musculaire de R... sans être considérable est suffisante e
hez les malades des Observations XIV et XVI. p). Troubles du sens musculaire . Ces troubles ont consisté chez nos malades : 1
la cuisse qui semble un peu diminuée. Il n'y a pas trace d'atrophie musculaire ; pas de troubles vaso-moteurs. Il y a une aboli
même avec l'appui d'une canne, par l'occlusion des yeux.- La force musculaire ne parait pas du tout diminuée. Toute la surf
is même impossible sans le concours de la vue. Aux troubles du sens musculaire , nous devons ne pas oublier de rattacher la per
la sensation perçue, elle durait plus qu'à l'état normal. Le sens musculaire est à son tour altéré. Il y a des oscillations
d'intensité. Il n'y a pas de troubles de la sensibilité et du sens musculaire aux membres supérieurs. Réflexes normaux. Pas do
s gastriques, pas de troubles respi- ratoires, pas de douleurs soit musculaires , soit articu- laires. On ne sera pas toutefois
éral par des troubles de la sensi- bilité, par des troubles du sens musculaire et par l'abolition des réflexes des membres inf
veau du membre infé- rieur gauche. 11 n'y a aucune trace d'atrophie musculaire . Les muscles du membre droit sont aussi bien co
ière'vertèbre dorsale jusqu'au pied droit. Pas d'altération du sens musculaire et en général pas de symptômes tabétoïdes. Il n
néral pas de symptômes tabétoïdes. Il n'y a aucune trace d'atrophie musculaire , les muscles sont même bien conservés. Les fonc
Pas de (roubles de la sensibilité. Il n'y a aucune trace d'atrophie musculaire . La contractilité faradique est nor- male. Ce m
tous ses modes : tempé- rature, contact et douleurs. Pas d'atrophie musculaire , les muscles sont bien conservés et la contract
ecousses, contractures passagères viennent se joindre à la rigidité musculaire , la dyscampie arti- culaire et la démarche spas
n de ces douleurs, de temps à autre, sous forme d'attaque, rigidité musculaire du cou. Dans l'après- midi, fourmillements et e
rique est normale. Il n'y a pas de troubles vaso-moteurs ni du sens musculaire . Rien du côté de la vessie du rectum et des org
ut, présente dans la phase qui correspond aux indices de la fatigue musculaire notés sur le tracé du membre, un rythme irrégul
ais certains sens conservent du moins en partie leur activité (sens musculaire , vision, audition). Cette persistance de l'acti
remarquable de certains modes de la sensibilité de la peau, du sens musculaire et de quelques-uns des sens spéciaux (vue, ouïe
léthargique peut nécessiter au commencement une pression des masses musculaires énergique et prolongée pen- dant quelque temps,
s mouvements choréiques se traduisent : l°par. l'atteintede groupes musculaires qui, dans diverses parties du corps, concourent
otilité. Ce chapitre se subdivise en : nutrition du muscle, tension musculaire , motilité, excitabilité réflexe, mécanique, éle
i les diverses espèces de sensibilité, la plus atteinte est le sens musculaire (la malade ne peut se rendre compte de la posit
Les bras sont normaux ; dans les extrémités inférieures, la force musculaire est parfaitement intacte (contractilité électriqu
x endroits atteints d'anes- 190 PATHOLOGIE NERVEUSE. thésie. Sens musculaire aboli. L'urine et les excréments s'échap- pent
de paralysie de membres. Pas de troubles de la sensibilité, du sens musculaire , de la vessie, du rectum et des organes génitau
as de troubles de la sensibilité générale et sensorielle et du sens musculaire . Rien du côté des urines. Les fonctions du coeu
dans les doigts. Pas d'autres troubles de la sensibilité. Le sens musculaire est affecté. Ainsi, si on lui dit de porter le
il ferme très bien l'oeil gauche. Il n'y a aucune trace d'atrophie musculaire . La contractilité électrique est normale. GRA
eu lieu des séances publiques de magné- tisme. Or, comme la raideur musculaire est un phénomène que les magnétiseurs font souv
mérées plus haut, est encore plus pro- bant que l'hyperexcitabilité musculaire . On sait que si l'on presse mécaniquement sur u
u ignorant les premières notions de l'anatomie et de la physiologie musculaire serait incapable de deviner, quand on excite un
ve- loppent peu à peu des centres destinés aux différents groupes musculaires du membre innervé parle centre primitif. Chez l
lent le démontrer les lésions du tabes. Or, la conservation du sens musculaire chez les animaux après ablation totale du cerve
ine, et le cordon de Goll excité donne naissance à des contractions musculaires généralisées, sans douleur. Le fait que le cord
paralysie des muscles de le face ni de la langue, quelques groupes musculaires étaient à l'état de rigidité. Réflexes cutanés
Rapports entre l'excitation et l'excitabilité dans la contraction musculaire . « Une impulsion, dit Helmoitz, survenant pen-
faradique prolongé provoque la houle et l'ondu- lation d'un groupe musculaire , mais non les vagues contractiles arythmiques d
ale avec accidents d'ataxïe ET PARÉSIE LINILATÉRALE DE ' L'APPAREIL MUSCULAIRE DE L\ MASTI- CATION', par ZIEU(Central6l. f. Ne
ent psychopathique dé- pressif accompagné de contraction des fibres musculaires lisses et d'affaiblissement de la contractilité
tant fortement la peau dans les anesthésies cutanées, les atrophies musculaires , les paralysies, atrophiques i. Dans l'hystérie
es,, entourant les nerfs (d'où les névralgies etc.), de rhumatismes musculaires chroniques, de distorsions articulaires ou d'hy
hrift 1868, p. 4')8. Leloir. Contribu- tion à l'étude des atrophies musculaires d'origine spinale, etc. Bulletin de la Société
7, issu. Botli. Gliome diffus de la moelle, Syringomyelie, atrophie musculaire . Ar- chives de physiologie, 1878, t. X, p. 613.
'un centre moteur par exemple, la parésie ou la paralysie du groupe musculaire correspondant : la destruction du centre absolu
ut même jusqu'à un certain point, en évaluer l'intensité. Le sots musculaire (c'est-à-dire la faculté de se rendre compte de
point de contact quand le courant électrique agit. La sensibilité musculaire (faculté de se rendre compte des con- tractions
dans l'espace est tombée; la sensibilité farado-cutanée et le sens musculaire sont affaiblis; impuissance génitale; malgré un
re, car, comme symptômes, outre l'ataxie, l'affaiblissement du sens musculaire dans les membres inférieurs et l'abolition de r
. I), de la. pseudo-paralysie bttlbaire, de la pseudo- hypertrophie musculaire , du pseudo-tabes, etc., par exemple. C'est pour-
e aucun symp- tôme céphalique. La motilité, la sensibilité, le sens musculaire , les fonctions de la vessie, du rectum et des o
aques .d'anesthésie très étendues surtout au membre gauche. Le sens musculaire ne parait pas altéré. Il n'y a pas de myatro- p
s les auteurs qui ont écrit sur la question. J'entends les douleurs musculaires ou articulaires, les myopathies ou arthropathie
embre, la sensibilité est intacte à l'autre. Rien du côté du sens musculaire , de la nutrition des muscles, des vaso-moteurs,
extérioriser les inci- tations de la volonté. L'harmonie des forces musculaires avec les incitations internes est détruite ; l'
détruite ; l'influx nerveux s'est altéré par dénutrition ; le sens musculaire est presque aboli. De là, des mouvements nullem
La neurasthénie pro- duit des troubles d'innervation de l'appareil musculaire assez caractéristiques, mais qui ne constituent
ec hypéresthésie, paresthésie et anesthésie cutanées, de l'atrophie musculaire , et une abolition complète de l'exci- tabilité
membres supérieurs, et peu de temps après la face ; pas d'atrophie musculaire , sensibilité intacte, excitabilité électrique d
ection gauche de la moelle (analgésie 'gauche ; paralysie, atrophie musculaire à droite) ; avec dévia- tion de la colonne'vert
de de Kov(ilewsky, t. XII, n° 1, 1888. Boutakoff. Un cas d'atrophie musculaire non progressive. Jourta. de Mie7,jietvsÀ-y, 50
s rapports entre l'excitation et l'excitabilifc dans la contraction musculaire . Saint-Pétcas6ouy, 1886. XXI. IDIOTIE avec cach
ision, de l'audition, etc.) ; 2° de la motricité (hyperexcitabilité musculaire , convulsions, -attaques épileptiformes). Ces de
formes chroni- ques. M. le B. SACHES (de New-Yorl;). Dislrophles musculaires . Il pense que l'atrophie à type péronéal a peut
type Aran-Duclieune. Il propose de classer comme suit les atrophies musculaires : I. amyotrophies spinales progressives (1° typ
e, du bras et des doigts du côté affecté. La température et le sens musculaire sont normaux. La tumeur était située au niveau
'' F. Peterson (de New-York). Contribution a l'étude du tremblement musculaire . M. le Dl Pinnp C. z (de Boston). Troubles mote
suite des traumatismes ; ceux-ci pourraient entraîner des troubles musculaires , de l'irritation spinale et des névrites périphér
82 (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
n à trois ans, et qu'il n'y a nulle trace de spasme ni de secousses musculaires . Voilà donc une paralysie faciale bien constaté
l'extension possible au domaine du facial supérieur, les secousses musculaires qui l'ac- compagnent, etc., etc. Toutrécemmen
r prédominant par suite de la mise en jeu de sensations tactiles et musculaires et consiste avant tout en des phénomènes d'arti
r tous les modes de sensibilité (toucher, température, piqûre, sens musculaire , sensi- bilité articulaire), depuis les orteils
taient atteints : contact, piqûre température, chatouillement, sens musculaire , sensibilité arti- culaire. Gomme c'est la règl
M. Berbez lui-même avaient déjà insisté sur l'existence d'atrophie musculaire assez accusée dans les paralysies hystériques.
, névropathiques; le même aspect si caractéris- tique des secousses musculaires , la même bénignité de ces trou- bles fonctionne
tion d'une im- ,CAS DE PARALYSIE DES QUATRE MEMBRES. Si puissance musculaire passagère en une paralysie complète. Si nous no
accidents paralytiques un rôle analo- gue à celui de l'impuissance musculaire passagère produite par un choc local. L'impuiss
progrès obtenus à la suite de la cessation prématurée des exercices musculaires . Rappelons que la guérison définitive se produi
a même chose de la sensibilité de la peau.) L'excitabilité électro- musculaire est conservée daus les deux extrémités postérieur
e, la malade jouit de la liberté de lous ses mouvements et la force musculaire est à peu près normale dans cette position. Ass
sibilité, nous constatons un certain degré d'hyperesthésie. Le sens musculaire est intact, la malade assise ou couchée peut dé
n 'debout et de la marche, coïncidant avec l'intégrité de l'énergie musculaire et de la coordination motrice appliquées à d'au
côté opposé du corps ' ; ces accès débutaient par la con- traction musculaire correspondant au point irrité et pouvaient s'ét
onctionnel- lement au corps strié et en rapport avec les mouvements musculaires . D. Ferrier, Cxperim. Researches in Cerc6 ? l'1
ues et cloniques débutent presque à la fois dans les divers groupes musculaires représentés dans les centres corticaux ; la sen
ce, l'accès convulsif intéressera successivement les divers groupes musculaires dans l'ordre même où évolue le processus épilep
que les aires corticales, dont l'ex- citation meut certains groupes musculaires , et dont la destruc- tion entraîne la paralysie
nvulsions, au lieu d'affecter successivement les différents groupes musculaires , seraient d'emblée générales. De même, et à plu
et de devenir générales, les convulsions débutent par des fj^vupes musculaires circonscrits, comme dans l'épi- lepsie expérime
Mais comme les convulsions se limi- tent, dans ce cas, aux groupes musculaires innervés par la région motrice laissée intacte,
ue la sensibilité thermique, la sensibilité à la douleur et le sens musculaire étaient à peine altérés. L'acuité de l'ouïe, to
. Arch. di psichiatria, 1889, x, 28. L'accès débutait par un spasme musculaire d'une région, toujours circonscrite, du tronc,
nt entre le siège cortical de la lésion provocatrice et les groupes musculaires où l'accès convulsif débute et peut rester limi
sensibilité générale, les altérations de la sensibilité cutanée ou musculaire n'étant pas en rapport constant avec le siège d
début des convulsions sous forme de spasmes localisés à un groupe musculaire . Seppilli cite des cas d'épilepsie dite idiopathi
torpeur, pesanteur, douleur dans les parties envahies par le spasme musculaire . La nature du spasme non plus n'a rien de carac
n du bulbe pourrait déterminer des convulsions limitées à un groupe musculaire ou à un seul côté du corps, les expé- riences d
ARDT. (Centralbl. f. Neweniceilk., 1889.) Cas isolé DE DYSTROPHIE musculaire progressive (type facio-scapulo-liumé ? ,al), par
), par SPERLING. (Neurol. Centralbl., 1889.) Deux cas DE DYSTROPHIE musculaire PROGRESSIVE (type facio-scapulo-h2cmdlal), par
tôt que du type de Jackson; il insiste sur l'absence de convulsions musculaires isolées. L'autopsie révéla des lésions microsco
paralysie de l'ocu- lomoteur commun, délire, tremblements, crampes musculaires . Intégrité de la moelle et des noyaux des nerfs
érée, s'est développée une certaine diffi- culté dans les fonctions musculaires (depuis la station jusqu'aux plus légers mouvem
lumière; affaiblissement de la vue; disparition com- plète du sens musculaire et un certain affaiblissement des autres formes
ort intime avec l'origine des mouvements mimiques et avec le sens musculaire . M. Kornilof dit qu'il a pu observer un cas de
que les hallucinations sensorielles émanent, dans l'espèce, du sens musculaire de l'appareil du langage. En effet, les concept
es toxiques : alcool, tabac, morphine, éther, cocaïne, le surmenage musculaire , le traumatisme y prédisposent ou l'occasionnen
membre supérieur droit existent à la fois des troubles sensitifs et musculaires diversement répartis. Les premiers occupent la
ras, les extenseurs. La physionomie des lésions rappelle l'atrophie musculaire du type Duchesne-Aran. Ajoutons que la peau, no
toucher ne dénotent rien dans le canal rachidien. Suture des plans musculaires au catgut ; suture de la peau au crin de Floren
d'après M. Gerlach, de procurer du sommeil et de calmer le système musculaire ; indépendamment de son action narcotique, elle
ique complète. Telle est la prostration des malades, leur faiblesse musculaire , leur abattement (impossibilité de parler et de s
sont à la fois compromis. Le foie, les reins, le coeur et la fibre musculaire elle-même sont envahis par la dégénérescence gr
cipal processus dégénératif qui conduit à la démence avec faiblesse musculaire eL souvent aux paralysies partielles. Mais de p
six mois, surviennent des symptômes d'affaiblissement céré- bral et musculaire ; l'animal a des frayeurs fréquentes et des para-
u, tantôt mélancolique avec idées de persécution. 4° L'excitabilité musculaire est portée à son maximum. 5° La marche de l'aff
la sensibilité de la patte postérieure avec perte de la sensibilité musculaire de la même jambe devenue ataxique; exagération
70 O ' SOCIÉTÉS SAVANTES. M. SPERLING. - Cas insolite de dystrophie musculaire progressive (type facio-scapulo-huméral. Voyez
provoque sur eux aucune réaction. C'est évidem- ment une dystrophie musculaire progressive généralisée. Séance du 8 avril 1889
pue par une dentelure qui représente la conser- vation des origines musculaires inférieures du trapèze, de celles qui correspon
et le petit pectoral ? S'agit-il d'une atrophie due à une atrophie musculaire juvénile ? Nous adopterions plus volontiers la
atérale; trou- bles de la motilité du voile du palais sans atrophie musculaire ni altérations électriques; dysarthrie. Avec ce
ondyle droit fuit en dehors. Puisqu'il n'est pas survenu d'atrophie musculaire , les noyaux d'origine des nerfs sont probablement
. ' M. Goldscheider. D'un rapport qui existe entre la contraction musculaire et la conductibilité du nerf. Si, chez la grenoui
e l'electrotlié- rapie enseigne être la résultante d'une altération musculaire (réac- tion dégénérative faradique de Remak).
cherches sur le centre de l'audi- tion, la surdité verbale, le sens musculaire , la théorie de Luciani, faisant des corps strié
ganes nerveux musculo-tendineux, ces dynamo- mètres organes du sens musculaire , la grande discussion sur le re- froidissement
d'un cancer de l'estomac, avait souffert long- temps de rhumatisme musculaire . Mère vivante, « nerveuse ? avait eu douze enfa
oit indemne. Le poignet et les doigts sont insensibles; c). Le sens musculaire est aboli dans la région de l'anesthésie superf
légère orchile traumatique. 25 juillet. - On constate de l'atrophie musculaire de J'éminence thénar droite, et du premier espa
: « Epilepsie( perversion des instincts, débilité mentale; atrophie musculaire de la main droite.» 0 Envoyé en cellule. 372
erve dans l'état de mal épileptique. V. Relevons enfin l'atrophie musculaire de l'éminence thénar droite et du premier espac
é du regard, l'anesthésie des conjonctives et une sorte de rigidité musculaire . L'état normal ne revint que le lende- main. Il
Diabète sucbé et tabès, par Guinon et Souques, 305. Dystrophie musculaire progressive, par Sperling, l31elchowslcy, 125 ;
la dans l'enfance, par Oppenheim, 268. Morphinomanie, 451, 452. Musculaire , contraction et con- ductibilité des nerfs, par
83 (1880) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1880
tc. Sommeil à l'état ordinaire. — Somnambulisme : hyperexcitabilité musculaire , catalepsie. Relation entre les règles et les a
epuis plusieurs heures, M. Charcot parvient à vaincre la résistance musculaire , et W... reprend connaissance. L'arrêt n'a duré q
t les mêmes dimensions, que le délire fût gai ou triste. citabilité musculaire .—M.X...regarde fixement la malade; au bout d'une
.) M. Charcot a désigné ce phénomène sous le nom d[hyper'excitabilité musculaire . Pour faire cesser les contractures artificiell
élevé, conserve l'attitude qu'on lui a. imposée ; l'hyperexcitabilité musculaire a disparu. Rien n'est changé à gauche. — Les paup
ion génitale et aurait plutôt du dégoût pour les hommes. - La force musculaire est diminuée : au dynamomètre Mathieu, on obtient
tte période, comme nous l'avons vu , il existe une hyper excitabilité musculaire très prononcée. En frictionnant le sterno-mastoïd
lors, on peut provoquer la contracture des muscles (hyperexcilabilité musculaire ). Nous déterminons une contracture du bras droit
soulevé, conserve l'attitude qu'on lui a imposée; l'hyperexcitabilité musculaire a disparu. Et, comme les paupières gauches sont r
nce de phénomènes cataleptiques et la présence de l'hyperexcitabilité musculaire , des contractures artificielles, etc. Catalepsi
oiement, ni spasme pharyngien. Anesthésie totale; — hyperexcitabilité musculaire . Somnambulisme.—P... suit, au commandement, l'e
ardent les attitudes exagérées qu'on leur impose. L'hyperexcitabilité musculaire a disparu. Les pupilles sont un peu plus dilatées
sparition des phénomènes cataleptiques; retour de l'hyperexcitabilité musculaire , etc. On ne parvient pas à la faire parler. — Les
mbres soulevés retombent lourdement. Il n'y a pas d'hyperexcitabilité musculaire . Les zones hystérogènes sont : Io les deux régi
st résulté un amaigrissement des jambes et un certain degré Xatrophie musculaire . Les pieds, surtout le gauche, ont l'attitude du
au froid, etc. Dans aucun cas, nous n'avons vu à' hyper excitabilité musculaire . Chez H... (Obs. XI), il existait un certain degr
volume. Nous n'insisterons que sur un seul point : l'hyperes-thésie musculaire est tellement développée pendant le sommeil hypno
e qu'il est possible de faire, par le simple contact, une exploration musculaire aussi délicate qu'on pourrait la faire au moyen d
térogènes. —Nouveaux détails sur l'aura.—Léthargie; hyperexcitabilité musculaire . — Catalepsie; suggestion; hallucinations provoqu
t l'expérience.) — On la rendort en une minute. L'hyperexciiabilité musculaire est très prononcée. En frictionnant légèrement, a
rcot la retrouve après Planche XIV. LÉTHARGIE hyperexcitabilité musculaire Planche XV. CATALEPSIE Planche XVI. HÉMI-LÉ
it — tout le côté correspondant est en léthargie; l'hyperexcitabilité musculaire y est présente et on met le bras droit en contrac
térique. — Expérience? : sommation ou léthargie ; — Hyperexcitabilité musculaire ; — Catalepsie. — Etfets du regard, d'une lumière
dormie par le regard. On étudie les phénomènes de l'hyperexcitabilité musculaire : en frictionnant le sterno-mastoïdien droit, on
ité. On vérifie les manifestations habituelles de l'hyperexcitabilité musculaire ; on analyse, pour ainsi dire, l'action isolée de
s'endort vite, après avoir eu quelques soubresauts. Hyperexcitabilité musculaire très évidente (sterno-mastoïdien, Pl. XXXYIII);—
lles, avec les phases déjà si gnalées ( léthargie hypérexcitabilité musculaire , catalepsie, hémi-léthargie et hémi-catalepsie,
ésenter quelques-unes des expériences relatives à l'hypérexcitabilité musculaire . Nous avons choisi la malade de I'ObservationI, W
res Planches la montrent en léthargie {sommation); Vhypérexcitabilité musculaire , on s'en souvient, est présente. Si l'on excite l
, 47, 40, 55, 62, 71, 90, 243. — Lointaine, 9, 47, 55,213. Atrophie musculaire consécutive, à la contracture permanente, 123, 13
rs, 154. Faria (méthode de), 464, Fascination, 171, 178, 220. Force musculaire , 25. H Hallucinations provoquées, 179, 194, 2
46, 55, 62,70, 79, 105, 117, 190, 203, 213, 218. Hypérexcitabilité musculaire , 171, 191. Hypnotisme (voir Catalepsie, Léthargie
84 (1894) Archives de neurologie [Tome 27, n° 83-88] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
U SYSTÈME NERVEUX. 3 luer sous les allures cliniques d'une atrophie musculaire pro- gressive : c'est un fait de ce genre que j
le droit persiste encore, quoique diminué. 11 n'y a pas d'atrophie musculaire ni de para- lysie des membres. Les doigts sont
difficile. La sensibilité est bien conservée partout ; les masses musculaires , particulièrement celles des mollets, sont un p
ansversaux des vaisseaux de calibre, qui appartiennent aux cellules musculaires , sont res- pectés malgré la présence des cellul
DU SYSTÈME NERVEUX. 19 La membrane élastique interne et la tunique musculaire sont par- out intactes. Les altérations les plu
très facile de se convaincre qu'il a perdu en grande partie le sens musculaire dans ses membres inférieurs et, à un bien moind
ns aussi dans ce même- numéro, une, observation curieuse a onanisme musculaire , rapportée par Stefanowski. L'exer- cice du tra
hésique des membres inférieurs ' (contact^' piqûre,' chaleur', sens musculaire ). Les réflexes sontèxàérés;iléziste même de l'épi
ps a s épuiser. ? a"<j-< ? o Il n y a aucune trace d atrophie musculaire localisée, les muscles ont simplement'fondu par
erlairi`dëgré'dh3 péresthésie à la douleur ; la pression des masses musculaires de la , ' ; , n-ti notasl jambe est en effet
à la .périphérie; signe de Roml)er- ; légère diminution de la force musculaire brute; légère ataxie; réaction dégénérative des
du tempéramentépileptique. J. S. iv, i VI. DE la toxicité DU suc musculaire DES animaux thyroïdectomisés par Vassale etRoss
résie se transforme eu paralysie des membres inférieurs avec oedème musculaire , disparition des réflexes patellaires et de la
s douleurs lancinantes. Parésie des membres supérieurs; atrophies musculaires , névrite optique; illusions et hallucinations; dé
araplégie spasmodique avec exagération des réflexes et contractures musculaires bien moins marquées que l'excitabilité réflexe;
atrophie et hypertro- phie, souvent dans le même muscle, des fibres musculaires . " Pathogénie. l°Action délétère primitive de l
insolite de consommation , est probablement dû à l'excès du travail musculaire , par suite de la continuité des mouve- ments in
des glandes sudoripares. Cette vasodiiatation dans le. système ,3 musculaire irite(les, terminaisons nerveuses et produit la s
e le parenchyme spécial. Les dégénérations, y compris l'atrophie musculaire et'les sclérosés primitives : sont d'origine toxi
-1 H * ' ' .JIIi102fIt 9«10alls .9 uo XXXI. Deux cas DE dystrophie musculaire progressive avec réac- j tion ? dégénérative; p
plus' rationnel ! d'ailleurs, c'est d'admettre que les dystrophies musculaires progressives (atrophie juvénile ici) sont une sor
uefois attaques f généralisées comme dans l'épilepsie. Tremblements musculaires et convulsions fibril- laires dans tous muscles
rps comme un. éclair, allait se réfléchir sur une partie du système musculaire ; mais cette excitation peut aussi ? ? r,'f ? p-t
' , "- , tui' > ,u ... XXXIX. Syringomyélie ( ? ) ou dystrophie musculaire , hystérie; par W. ERB. (Neurolog. Centralbl., 1
aire dans l'observa- tion en question à une syringomyélie. Atrophie musculaire des extrémités-supérieures - paralysie dissocié
centrale. Mais en réfléchissant, le professeur voit que l'atrophie musculaire est celle de la dystrophie et non de la dystrop
antécédent. , Nous croyons donc à une association de la dystrophie musculaire "progressive à une anesthésie traumatique hystér
de la sensibilité tactile générale, thermique, dolorifiqueetau sens musculaire . Toutes ces fonctions n'étaient pas lésées à un
Las. 11. ,1 ,uun 1 T * t - X ' ' ' et -- ? t, XHY. SUR l'atrophie musculaire précoce DES hémiplégiques ET sur 1 le pouls len
1893.) 1, · . ' .- - VI J» ' -l . l' I Il y a des cas d'atrophies musculaires précoces chez des hémiplé- giques dépendant d'u
E DE ' PATHOLOGIE NERVEUSE. '*19 ? ' Il y a d'autres cas d'atrophie musculaire tardive chez les hémiplé- giques dépendant d'un
u côté de la 'destruction tient principalement à un trouble du sens musculaire et probablement de la; sensibilité cutanée; il
, V ? w.le ' i - l'if , . ' XXXV. PERTE dissociée DE la sensibilité musculaire avec INCOORDINA- TION motrice A la SUITE de mal
le plus souvent, les complications en question. G'est une atrophié musculaire marchant du centre à la périphérie, sans troubl
ananmes- tiques. Cela ne veut du reste point dire que l'atrophie,' musculaire , des hémiplégiques soit d'origine arthropatlii
laire des hémiplégiques influe sur le développe- ment de l'atrophie musculaire . En effet, c'est,I l'articulation; de l'épaule
t prise, c'est aussi dans les muscles de l'épaule i que l'atrophie^ musculaire se développe, chez eux, le plus tôt, le; plus r
i ·Inq . : ? u'U .il Nous proposons la dénomination de : , atrophie musculaire , des leémiplégiqzLespi·écôëe'(d'ôi·iâinëcéuéli
s prises (synovite)'et l'extrémité "paralysée.' De plus, l'atrophie musculaire -'des1 muscles"1 qui entourent l'articulation a
ubles delà parole, de la, marche, de la nutrition et de'la,tonicité musculaire ,. des, réflexes et. des diffé- rentes sensibili
instantanées,) incoordo'nnées;-1 apparaissant -dans divers groupes musculaires ou dans des muscles isolésj'aux membres, au tro
à rem- placer les images visuelles qui'leur"manquent par le sens musculaire qu'ils ont conservé.* Mis en présence d'un mot éc
alades M. Toulouse a constaté : 1° une diminution de la contraction musculaire volontaire et 2° une tendance à J'égalité"' de
ble cause de l'affaiblissement de l'énergie de la con-'1 traction 1 musculaire volontaire est la'paresselde3l'attention; qui ?
la s'entende dans les procédés d'éducation de la marche et dûrsesas musculaire (mouvements méthodiques de flexion'et d'extensi
nchettes, etc. etc., destinés à augmenter le sens : et la puissance musculaire en précision. Pour l'éducation* dm loucher* ; é
tat faible, dans le gosier, la' langue, qles lèvres; des sensations musculaires ,' tactiles," articulaires qui rsont les '.résid
3 : CLINIQUE, mentale.^ ,tJ T"· 5% 0 l'articulation des mots (écho, musculaire z '). L'hallucination motrice verbale, ou kines
d'elle=mème) ; souvent c'est1 lan gorgé',EJles -lévres (sensations' musculaires et '^autres éÎÎiâ'éè-s'd'à larynx, de la bouche
verbales,"s'expliquent par ce fait que les' sensations - tactiles, musculaires des lèvres et de la langue ne sont pas les seul
t;<\.<t"< : )"\ v M ? M)S\' 9 ,. 1 . « Les'deux phénomènes musculaires , (expiration volontaire- . ment réglée et mouve
ées sous la dépendance(des centres .nerveux,, compris les fonctions musculaires , sont ramenées a ce qu'on appelle la vie. Le sy
e9réatioü ? qui, partant du centre, aboutissent à de grands groupes musculaires et donnent lieu à des convulsions générales ? 9
ce de trépidation' épilep- tolde et de choc de la mâchoire. Le sens musculaire .est' intact ; ' recherché aux membres inférieu
e pas de chute, mais l'équilibre est plus instable. 1-Force et sens musculaires conservés, réflexe plantaire intact, réflexes £
de scléroses combinées, ceux de scié- rose latérale avec atrophie - musculaire , de sclérose, multilocu- laire portant à la foi
Il est divisé en cinq parties la' ' première traite'de la nutrition musculaire en général et des rapports de la" circulation ave
; .. Les phénomènes circulatoires qui accompagnent la contraction musculaire sont identiques dans l'exercice physiologique 'et
résulte que : 1° le mode d'action de l'électricité sur la nutrition musculaire est com- plexe. Sous la forme de courants conti
, T-fi e ' , , , ' , , j , II. Action des, courants DE polarisation MUSCULAIRE comme EXCI- ? ** -'TANTS DE' LA CONTRACTILITÉ ; p
maladies à lésions,, spinales; polyo- myélite antérieure, atrophie musculaire progressive, tabes, para- lysies bulbaireset da
mme réaction diffusible.- Cette der- nière diffère des contractions musculaires lentes et vermiculaires de la dégénérescence et
être conservée, il faut seule- = ment pour obtenir des contractions musculaires des intensités plus fortes que du côté sain. Ce
ur les parties malades il provoque également de longues ondulations musculaires allant jusqu'à l'extension complète du bras. Ch
apides i et. plus puissantes, augmente la contractilité, électrique musculaire .. » Le tapotement provoque la contraction puis
ie spinale spasmodique, sclérose latérale amyotropluque, atrophie musculaire progressive, paralysies consécutives aux maladies
sont'constitués par-de l'insomnie, des cauche- mars, du tremblement musculaire , des maux de tête, de l'émotivité exagérée; d'a
ntermittents des muscles de la face et de la langue,* les secousses musculaires , les soubresauts des tendons, de l'appauvrissem
sses musculaires, les soubresauts des tendons, de l'appauvrissement musculaire , rarement de l'anesthésie, tels sont les'troubl
\IÉTRIE chez les aliénés, par Toulouse 289. ' v. '' D1'3TROPIIIES musculaires progres- , sives avec réaction dégénérative,
uerstner, 186 ? ,Y,' Motrice, perte dissociée de la sen- sibilité musculaire avec incoor- dination à la suite de maladies
Tours, 381. -' Iij 1, « Polarisation, action des courants de - musculaire comme excitants de la contractilité, par Rousse
ébraux, par Bucklers, 148. THYROIDECTO.IISÉ, la toxicité du suc musculaire des animaux -, par .4' Vassale et Rossi, 147.
85 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ni l'autre ne réagissent plus à la lumière. Du côté de l'appareil musculaire , existe une légère contracture avec conservatio
ations relevant de la sclé- rose latérale amyotophique (contracture musculaire des membres avec commencement d'atrophie, porta
'emblée. Les convulsions sont précédées d'un aura de la sensibilité musculaire de la jambe gauche et suivies de délire hy- poc
autre lésion. L'auteur en conclut : «1° Le centre de la sensibilité musculaire du membre inférieur semble être placé- dans la
nantes, fourmille- ments, variations de froid et de chaud, douleurs musculaires ; il y a quelquefois de l'oedème périmalléolaire
ité se réfféchissent sur l'autre sous la forme de vives convulsions musculaires . P. IER : 1V1L. REVUE DE THÉRAPEUTIQUE 1. Sur
s'expliquent du reste facilement, puisqu'il s'agit d'une affection musculaire . et que la gêne n'existe qu'au début des mouvem
d'une cause déprimante quelconque et à l'occa- sion de contractions musculaires répétées Le tic est-il « un acte auto- maliquec
de se lève du parquet, analogue à celle de la pseudo-hyper- trophie musculaire progressive. En effet, le malade atteint de lom-
e sans troubles moteurs graves. Vraisemblablement, quand le système musculaire a longtemps souffert, la des- truction de la ce
ade, sans amnésie, sans embarras de la parole et sans tremblement musculaire , nous l'avait fait considérer, de prime abord,
ssions et des troubles de sa sensibilité. C'est à peine si sa force musculaire peut être grossièrement appréciée. C'est dans
on laisse l'animal au repos com- plet pendant l'asphyxie, la fibre musculaire n'est pas profondément atteinte. Aussitôt que l
raisonné pour le choix du pôle actif suivant les réactions neuro- musculaires . Les règles tracées par l'auteur : repos absolu d
de son point d'élection, n'est pas une excitation directe du tissu musculaire , mais bien pour une REVUE d'électrophysiologi
nces de M. Charpentier (de Nancy) qui a démontré que la contraction musculaire provoquée par l'excitation d'un nerf n'est pas
constatons à la suite de l'excitation d'un nerf moteur une réaction musculaire anormale, celle-ci ne peut s'expliquer que par
s voltaïque et faradique, la seconde les ano- malies de la secousse musculaire consécutive. L'hypoexcitabilité faradique (réac
elle est également provoquée de temps à autre par les mou- vements musculaires en rapport avec la parole, la mastication, le b
oeil, en permanence, une ondula- tion légère de quelques trousseaux musculaires ; les convulsions affectent parfois la forme to
d'une affection périphérique de l'oculomoteur, puisque la paralysie musculaire s'accompagne d'un trouble -de la réaction pupil
oteur qui va des noyaux des nerfs craniens et spinaux à l'extrémité musculaire . 3° Dé- chéance des cellules commissurales et d
de la maladie. G. D. XXXV. PATHOGÉNIE ET prophylaxie DE l'atrophie musculaire ET DES DOULEURS DES HÉMIPLÉGIQUES; par GILLES D
bilisation du membre para- lysé. Absence d'arthrites et d'atrophies musculaires , 3 malades. Les observations montrent que l'amy
6° L'affection des neurones moteurs donne naissance à l'atro- phie musculaire . Or, comme dans la syringomyélie la lésiou débu
de localisation médullaire; 7° Le type le plus fréquent d'atrophie musculaire qu'on ren- contre dans la syringomyélie, tout a
gitation. Tous les muscles du corps font saillie, relief ; la force musculaire , indemne, n'est pas cependant proportionnée à l
franchement spasmodique. Les réflexes profonds (osseux, tendineux, musculaires ), sont extrêmement exa- gérés ; frappe-t-on un
be 132 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. gauche. C'est une sclérose musculaire , une rétraction des tendons et de l'aponévrose
ion de la peau, tandis que la jambe gauche est affectée de sclérose musculaire avec rétraction de quelques tendons et sclérode
chulz caractérisé par de la sclérodermie, avec sclérose et atrophie musculaire , par places, indépendantes de la première, il y a
ubital gauches, cervical et péronier droits); une lésion des fibres musculaires (disparition des stries transversales, hypergénès
nd particuliè- rement sur la méthode de Frenkel, par la rééducation musculaire . L'explication physiologique de cette méthode,
quer que cette anurie est due à une convulsion tonique des tuniques musculaires des vaisseaux des reins précédant l'accès d'épi
lume des reins pendant l'accès. L'opium, en paralysant des éléments musculaires en question, de même que les muscles involontai
IILRON (J.). Du traitement de la syphilis par les injections inlNI- musculaires de sérum artificiel & ! c/to)';<;'6, ci do
urs progressive. Au bout de deux mois, on constate que l'atrophie musculaire et les troubles électriques dans les membres in
bilité, des réflexes, de la contractilité électrique, avec atrophie musculaire , etc.). C'est alors seulement que nous vint l'i
égie spasmodique avec exagération des réflexes rotuliens, secousses musculaires , trépidation épileptoïde, paralysie des sphinct
erché de la sclérose pri- mitive des cordons latéraux sans atrophie musculaire . Je l'ai décrite dès 1885 sous le nom de tabès
anquait que de voir un cas de tabès moteur se compliquer d'atrophie musculaire . Cette lacune a été comblée récemment, et on a
nces primitives du téléneurone moteur (certaines formes de atrophie musculaire progressive), de l'archineurone moteur (tabes d
ÉTÉS SAVANTES. rapie chaude et surtout par une gymnastique spéciale musculaire les crises cessèrent au bout d'un mois; puis la
cifient cette phobie. L'ataxique tire de ses sensa- tions anormales musculaire , articulaire, cutanée, de ses sensations vertig
tion motrice; elle modifie parfois, en provoquant des contractions musculaires , la démarche classique de l'ataxique; méconnue el
ine mais distincte toutefois de celle que l'on assigne à l'atrophie musculaire progressive. G. D. LIII. La suggestibilité ET l
umogastrique. Dégénérescence totale des deux récurrents. Les fibres musculaires , également fort appauvries, ont conservé leur s
e clinique, ni au point de vue anatomique. Ce n'est ni une atrophie musculaire progressive, ni une poliomyélite antérieure chr
gnostic de la localisation, ne concerne-I-elle que quelques groupes musculaires du membre hémiplégique ? Autant de problèmes no
es de transition dégénératives, en particu- lier dans la dystrophie musculaire progressive, dans l'hémiplégie. Il faut complét
e : mysticisme, des hallucinations des sens, jointes à des troubles musculaires , à un embarras pro- noncé de la parole, qui se
bres. A la quinzaine, je mentionne dans mon certificat des troubles musculaires qui peuvent se rattacher à la paralysie géné- r
de na- ture diverse. M. KOR,41LOFF fait remarquer que l'atrophie musculaire dans la première observation de M. Schatalofr p
épileptoïde pure et simple sans phases convulsives avec résolution musculaire et sommeil prolongé. Enfin, elle aurait eu une
nerveuses, l'explication de la raideur et de l'exagération du tonus musculaire qu'on observe dans la maladie de Parkinson. (Re
AIRE PROGRESSIVE Aran-Duchenne; par le Dr P. Marie. De l'atrophie musculaire progressive de Duchenne, constituée REVUE DE
peu la myopathie progressive primitive être éliminée de l'atrophie musculaire progressive, puis ce seront les polyné- vrites
ère affection constituait environ un tiers des cas de s'en atrophie musculaire progressive. De même presque tous les cas que D
omme on le croit trop généralement encore, une maladie : l'atrophie musculaire progressive de l'adulte. Et l'auteur conclut, d
que, que, dans l'état actuel de la science, il n'y a pas d'atrophie musculaire progressive de Duchenne, de Boulogne. (Revue ne
paupières à l'exclusion des autres muscles de la face. Les groupes musculaires qui réagissent d'ordinaire synergiquement sont
neuves, bleu-clair ; les noyaux du tissu conjonctif et des éléments musculaires , ainsi que les cellules épithé- liales du canal
voilà ce que nous voulons essayer de déter- miner. I. Adaptation musculaire . Nous trouvons en premier lieu une série de co
négative de l'hypnotisme, produisait une modification de la tension musculaire rendant la marche difficile, du tremblement des
acial sont donc affectés à l'innervation des différents territoires musculaires de la face. L'auteur, dans un prochain travail,
territoires plus petits dont chacun est en rapport avec des groupes musculaires net- tement déterminés : ZD 1° Le groupe inte
un dernier cas, où le malade, après un gros rhume, eut des spasmes musculaires , des crises de pleurs et de rires et enfin une
ou maladie de Thomsen (phénomène d'arrêt du mouvement avec tension musculaire normale ou un peu augmen- tée) peut accompagner
on pendulaire de l'extrémité paralysée indique que les contractions musculaires sont bien plus fugitives que celles de l'autre
86 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
. Le 1" avril, les symptômes continuent à s'améliorer; la raideur musculaire et l'hémianesthésie ont presque complète- ment
décrit une forme de ptosis qu'il attribue à la paralysie des fibres musculaires lisses de Mùller qui se rendent dans l'orbicula
e malade, un état de torpeur intellec- tuelle analogue à la torpeur musculaire . Les pupilles sont dilatées, mais sensibles à l
ection, que Duchenne (de Boulogne) a décrite sous le nom d'atrophie musculaire progressive de l'enfance"est une maladie spécia
st une maladie spéciale qui n'est pas de même nature que l'atrophie musculaire progressive de l'adulte; car, tandis que cette
r absolue qui permettra de repousser d'emblée l'idée d'une atrophie musculaire myélopathiqne. Si les muscles de la face sont i
hie atrophique progressive constitue, dans le domaine des atrophies musculaires protopathiques, une affection spéciale aussi bi
hiffre exact de la température n'a pas été relevé. Grande faiblesse musculaire , parole lente et embarrassée, paresse intellect
u facial ; on a vu en plusieurs cas du strabisme. Jamais d'atrophie musculaire dégénératrice à proprement par- ler, jamais de
'un long séjour au lit... On n'a pas observé jusqu'ici de raideur musculaire dans l'ataxie. Les muscles sont mous, lâches et
avec des réflexes tendineux exagérés, desparé- sies et des tensions musculaires avec de légers troubles de sensibilité et de ve
avait parésie marquée des extrémités inférieures, avec ten- sions musculaires et exagération des réflexes tendineux, mais aus
tabes. Epilepsie, aliénation mentale, hystérie, tabes, atro- phie musculaire , etc., se succèdent, se remplacent dans les fam
veut imprimer aux membres ; on n'a pas observé jusqu'ici de raideur musculaire dans l'ataxie ; les contractures sont tout à fa
mprend ce qu'elle entend et répond bien ; mémoire faible, faiblesse musculaire générale, mais pas de paralysie localisée. Vue
opsie, avec ou sans les autres symptômes (hémiplégie, perte du sens musculaire , surdité verbale). 5. Qu'une lésion plus éten
corps, surtout si elle est associée à un trouble quelconque du sens musculaire , serait [.robablement due à la lésiun du lobule
accuser des douleurs spontanées vagues, peu vives, dans les masses musculaires , les articulations et les os ; elles sont exagé
elvien droit; leur absence dans les trois autres membres. Stabilité musculaire cataleptique dans les muscles de la tête et du
contracture léthargique au membre inférieur gauche seul; stabilité musculaire à droite, manquante à gauche, possibilité de su
membres, prédominant pourtant dans ceux du côté gauche ; stabilité musculaire beaucoup plus affirmée à droite qu'à gauche. On
de même que dans les sterno-mastoïdiens et les fa- ciaux. Stabilité musculaire réduite presque aux trois doigts mé- dians du m
a malade est plus longue à être hypnotisée, mais les manifestations musculaires et nerveuses s'accentuent (les ma- nifestations
épart, il se trouve plus haut ou plus bas. Chez l'homme, la fatigue musculaire survient plus rapidement et, comme règle généra
t, on constate une élévation qui aussi est un résultat de fatigue musculaire , comme nous le verrons plus loin. L'immobilité,
étées (sujet apathique et indolent), sans qu'il éprouvât de fatigue musculaire , fournit une courbe qui, par sa régularité, se
ique et physiologique du bras, qui sert d'instrument à l'acti- vité musculaire , et qui est envisagé comme un levier et soumis
force pour le maintenir dans cette posi- tion ; lorsque la fatigue musculaire survient, le bras s'abaisse, et il se place alo
les courbes que le tracé, après avoir baissé à la suite de fatigue musculaire , reste station- naire sur une ligne droite; cec
n- naire sur une ligne droite; ceci provient de ce que la fatigue musculaire est compensée par les conditions favorables dans
t ou en arrière. La joie ou les contrariétés augmentent le désordre musculaire . - Les fonctions digestives s'exécutent bien, m
UIOES; par C. REINHARD 'Aî-ch. f. Psych., XV, 3.). Les phénomènes musculaires sont des processus moteurs déter- minés dans un
ent être pro- voquées chez les individus dont le système nerveux et musculaire est sain, ainsi que chez les aliénés dont le sy
on bien plus considérable que la contraction totale. Les phénomènes musculaires persistent pendant le sommeil. PendantJa narcos
ns systèmes de l'économie, tels : l'oeil, les poumons, la charpente musculaire . Les manifestations correspondantes sont : le n
rieures, et, le lendemain une paralysie complète qui gagne la paroi musculaire de l'abdomen. Flacci- dité des organes paralysé
affection des muscles; les altérations chimiques de la substance musculaire entrent en ligne de compte, ainsi que le prouve l
pathogénétique, qui généralement provoque une atrophie du système musculaire avec altération de la réaction électrique. L'is
férence y a-t-il entre le sopor et le coma accompagné de résolution musculaire ? Le type du coma, c'est le coma qui, au point
vement sans but, ou une durée démesurément longue de la contraction musculaire . En second lieu, il est extrê- mement facile de
EUSE. taires, rotuliens, testiculaires sont presque nuls. Le sens musculaire est aboli; le malade n'a plus la notion de la pos
t donc frappés de paralysie flasque, complète et totale. Les masses musculaires ont diminué de volume, et ne réagissent que fai
ivement pénible. La paralysie reste complète et absolue. Les masses musculaires ont subi un amai- grissement rapide et très pro
droit. Le malade peut mouvoir le bras et la jambe, mais la force musculaire est- très amoindrie; sensibilité presque normale.
, dans les 27 autres il y a un degré quelcon- que d'affaiblissement musculaire bien constaté et spé- cialement noté dans l'obs
as de coliques. Vomissements alimentaires. - Les réflexes tendineux musculaires et cutanés sont abolis. Le 12 décembre, on note
eut se produire de concert avec la réaction dégénérative du système musculaire correspondant que dans le cas de lésion spinale
ence d'une réaction dégé- iiérative partielle très nette du système musculaire correspondant, ne se montre très probablement q
retour à la normale, longtemps à la réaction dégénérative galvano- musculaire ; b, dans la névrite dégénérative la plus légère,
xagération des réflexes tendineux , immobilité pupillaire, atrophie musculaire et cutanée, cv-tite, in-omnie, accidents du déc
nt à la vacuité mentale, avec une affection bien définie du système musculaire constituée par des tremblements museu- lahes ou
reux. Trois observations. . II. Traitement galvanique de l'atrophie musculaire progressive. - On prend souvent pendant longtem
s lésions cérébro-spinales graves. De même, il existe une paralysie musculaire progressive d'origine périphérique (myopathie e
gine périphérique (myopathie et névrite primitive) et une paralysie musculaire progressive d'origine centrale (poliomyélite).
ibli; il est devenu insaisissable juste au moment où les mouvements musculaires allaient com- mencer. Deux ou trois minutes apr
e sensations spéciales, autant qu'il y a de sens, y compris le sens musculaire . Chaque personne a plus d'aptitude à former tel
iques, somnambuliques et en particulier la contracture, la secousse musculaire et l'état cataleptoïde. La BIBLIOGRAPHIE. 453
apport médico-légal), 398. lllorphiomanie, par Obersteiner,288. Musculaires (phénomènes), par Rei- nhard, 254. Mutisme du
87 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 12, n° 67-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
quatre autres, la paralysie s'établit définitivement avec atrophie musculaire et abaissement de la température du membre abdo
-un ans qui fut atteinte, à la suite d'une frayeur, de contractions musculaires répondant à trois types distincts : 1° Des os
ider, pour les gros travaux et les besognes qui exigent de la force musculaire . Les soeurs remplissent aussi dans les quartier
eulement de rares erreurs, les chiffres tracés sur sa peau. Le sens musculaire est conservé. Les sensibilités spéciales sont é
as de dyschromatopsie. Bien que le malade n'accuse aucune faiblesse musculaire , il ne donne au dynamomètre que trente et un po
ervé leur striation, qu'au milieu du périmysium interne. Les fibres musculaires ont donc réagi à la section du sciatique et peu
s pathologiques d'autres tissus. Le début du processus est intra- musculaire , mais quand les masses deviennent trop grandes, l
'on pourrait appeler électrique- ment myasthéniques, le relâchement musculaire survient très rapidement, au bout de quelques s
transfert comme la parésie. Dans deux cas de pseudo-h3'pertroplrie musculaire , la réaction était extrêmement prononcée. Par c
e spasmodique due à une myélite dorso- lombaire il y a hypotonicité musculaire et non hypertonicité. Elle est d'autant plus ne
la flaccidité. Il n'y a donc aucun rapport intime entre la tonicité musculaire et l'état des réflexes, ceux-ci pouvant être tr
: Douleur dans les' extrémités inférieures depuis 18 mois ; spasmes musculaires ; cachexie* marquée. La~ douleuriavail le carac
et hypoalgésie sans hyperesthésie. Plus tard, il y eut une atrophie musculaire mar- quée, et la guérison se fit incomplète.
roubles marqués de la sensibilité. Il y eut plus tard de l'atrophie musculaire avec guérison complete. Discussion : Ces troi
ie de Landry. Dans les deux cas qui guérirent il y eut une atrophie musculaire considérable et dans le cas fatal, une dimi- nu
veuses sont justes, qu'il doit résulter de ces lésions une atrophie musculaire et une modification dans les réactions électriq
e modification dans les réactions électriques. Cependant l'atrophie musculaire et les modifications électriques demandent un c
de légers changements dans les réactions électriques. L'atrophie musculaire et les modifications électriques se rencontrèrent
s fibrillaires marquées dans certains muscles atteints.Irritabilité musculaire beaucoup augmentée. Bras complètement ou presqu
ération du réflxe rotulien. Trépidation épileptoïde. Pas d'atrophie musculaire aux membres inférieurs, pas de lésions trophiqu
23m,5; la pression dynamométrique est de 17 kilos. Les sensibilités musculaire , tendineuse, osseuse, ainsi que les HYSTÉRIE JU
e constate pas de diathèse de contracture ni de contraction idio- musculaire . Les réflexes musculaires et tendineux sont conse
èse de contracture ni de contraction idio- musculaire. Les réflexes musculaires et tendineux sont conservés. Que les mouvements
l'existence du membre est absent. Cette abolition de la sensibilité musculaire n'est pas modifiée par le passage d'un courant
alade fasse aucune différence entre les deux épreuves. Les masses musculaires du membre inférieur droit sont bien conformées
avons déjà indiqué l'abolition de la sensibilité gauche profonde : musculaire , nerveuse, osseuse, ligamenteuse et articu- lai
e font défaut, par suite d'ankylose, de contracture ou d'altération musculaire , comme dans la diplégie permanente ou par suite
le et des tuhes. (Cappelletti). I<'urstner a signalé des lésions musculaires sembl ? Les à.celJesque-l'ou rencontre dans les m
nastique, de massage et d'électricité, à la rééducation du système musculaire par la suggestion à l'aide du mouvement. On const
urs années et atteint d'imbécillité. Toute tentative de rééducation musculaire a dû être abandonnée dans ce dernier cas. En
és. Quelques secousses de trépidation épileptoide. Pas d'atro- phie musculaire . Diminution de la force musculaire. Depuis cette
on épileptoide. Pas d'atro- phie musculaire. Diminution de la force musculaire . Depuis cette époque, aucune modification ne s'
nt sentis, alors qu'ils provoquaient de très violentes contractions musculaires ; 9° La sensibilité profonde s'abolit au sur et
ir avec la contracture secon- daire ; ils entraînent l'hypertrophie musculaire de quelques. muscles, de sorte que chez le même
ments à gauche, surtout des mains ; 4° Diminution de la sensibilité musculaire ; 5° Affaiblissement de l'ouie du côté gauche ;
même plus tôt, quelques-uns des symptômes pupillaires, ciliaires et musculaires font leur apparition. Absence temporaire et per
reux avec une hypertrophie modérée et un état vacuolaire des fibres musculaires . L'examen du sang, des urines et des matières f
outes impressions douloureuses du même côté que la lésion ; 4° Sens musculaire diminué du côté paralysé, normal de l'autre côt
par distribution imparfaite des impulsions motrices à des groupes musculaires asynergiques). Le premier type (affaiblissement
in). Présidence de M. G. Ballet. Physiologie et pathologie du tonus musculaire des réflexes et de la contracture. \I. CROCQ (d
et de la contracture. \I. CROCQ (de Bruxelles), rapporteur. Tonus musculaire . Après avoir donné un aperçu historique de la q
section des racines postérieures donne lieu à l'abolition du tonus musculaire ; 2° la section de la moelle, à la région cervica
à la région cervicale, chez la grenouille, ne diminue pas le tonus musculaire ; 3° la sec- tion ou la ligature de la moelle c
s, le rapporteur conclut que : 10 chez la grenouille, la toni- cité musculaire , tant volontaire que sphinctérienne, est réduite
-ne, le faisceau pyramidal n'existe pas fonctionnellement; le tonus musculaire se produit, comme chez les vertébrés inférieurs
VANTES. ' 317 fonctionnel qui donne lieu à une exagération du tonus musculaire . Ces lois servent de base à la compréhension de
lois servent de base à la compréhension des modificat'ons du tonus musculaire dans les différentes maladies que l'auteur Fif
nisme de la contraction est indis- solublemeut lié à celui du tonus musculaire , la contracture étant l'expression de l'hyperto
es moteurs cen- traux : d'autre part, par les lois de l'antagonisme musculaire . Le type si constant des contractures dépend de
pend de raisons histolo- giques ; à l'état normal, certains groupes musculaires sont pré- dominants ; une lésion diffuse ayant
e ayant pour résultat d'abaisser d'une manière uniforme la tonicité musculaire amènera la flaccidité complète des muscles les
sur les centres mésocépha- liques dans le maintien normal du tonus musculaire . M. Pitres. - Les expérimentations faites sur l
u contraire la conséquence d'une véritable contraction des fibres musculaires . On a tendance à considérer encore la trépidati
le temps écoulé entre la percussion et le début t de la contraction musculaire varie suivant chaque sujet et semble augmenter
; 1° il semble que la contraction qui fjl ! 1"9'u'tie à la secousse musculaire varie peu d'intensité dans les digère a ? U1'n
ble que le temps écoulé entre le choc et ], début de la contraction musculaire soit le même que l'on percute « le tendon du mu
uadriceps seraient donc de même nature. La différence des réactions musculaires dans les réflexes tendineux et les secousses mu
réactions musculaires dans les réflexes tendineux et les secousses musculaires chez les différents sujets tient peut-être à ce
. Les réflexes patellaires, qui ne seraient ainsi que des réactions musculaires dépendraient de la tonicité du muscle, qui elle
en phénomènes moteurs variables caractérisés surtout par la raideur musculaire catalep- toïde. Kahlbaum considère la Cataton
(Ibid., p. 753.) 1 E. Destrée. Influence de l'alcool sur le travail musculaire . (Journ. méd. de Bruxelles, 1897, p. 537-573.)
sych. Arbeiten, 111, 1900.) 1 A. Chauveau. La production du travail musculaire ulilise-t-elle comme po<e;tt ëtterye< ! M
sucre alimentaire en quantité isodynamique sur la valeur du travail musculaire , etc. (Ibid., p. 110.) ' P. Nacke. Die Epilepsi
uâh, qui ont expérimenté sur ses propriétés relativement au travail musculaire , s'entendent à reconnaitre ses effets dépressif
tiques, de longue - durée, qui consistent à répéter les mêmes actes musculaires longtemps, fréquemment, toujours de la même faç
, 262,312, 415. Contracture. Physiologie et patho- logie du tonus musculaire , des réflexes et de la -, par Crocq, 314. C
tiques, par Binet-Sanglé, 128. Rapports entre les- et la tonicité musculaire , pai de Benzy et Coop, 129. Polynévrites et -,
88 (1893) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 2
a sensibilité, tels que anes-thésie, thermo-anesthésie, perte du sens musculaire , etc. Lorsqu'ils existent, c'est d'ordinaire à un
lasque, avec anesthésie profonde et systématique, intéressant le sens musculaire , si le membre frappé est traîné par le malade der
uche ; le bras correspondant, en particulier, avait conservé sa force musculaire . Nous notions également l'absence d'exagération d
au contraire, dans laquelle on connaît l'influence suggestive du sens musculaire , les excitations sensorielles sont perçues et pro
l, et poursuivent l'exécution des actes qu'ils ont commencés. Le sens musculaire serait remarquablement conservé chez eux, et c'es
s, il n'existerait pas chez eux cette prédisposition aux contractures musculaires spasmo-diques qui caractérise le somnambulisme hy
on des signes somatiques de cet état. Il existe une hyperexcitabilité musculaire qu'on met en œuvre par une excitation superficiel
n remarque aussi dans cet état une exaltation notable de la puissance musculaire , et surtout des sens spéciaux. Enfin, le sujet n'
ne de la sensibilité générale et des sens spéciaux, la vue et le sens musculaire exceptés. Chez lui la transition de la vie normal
au i9t temps et à la base du cœur. Pas do paralysie, pas d'atrophie musculaire . Pas de troubles trophiques ou vaso-moteurs. Les
che est complète en ce qui concerne le contact, la douleur et le sens musculaire . Quant aux sensations thermiques, il y a une sort
e malade n'est pas contracturable, ni par la pression sur les niasses musculaires , ni par le souffle sur la peau. Dans ces cas, il
olue au contact, à la douleur et à la température. La perte du sens musculaire de ce côté n'est point absolue ; il sent qu'on re
mais sans indiquer toujours sûrement lequel. La sensibilité profonde, musculaire et articulaire est abolie complètement. Il exis
nverse en arrière : quelques mouvements convulsifs ; puis, résolution musculaire ; le malade est calme. On met un flacon de sulf
at. Mais si l'on suggère une idée au cataleptique, soit par le sens musculaire , soit par un sens quelconque (vue, odorat, goût,
ir à la fois et la contracture par la pression exercée sur les masses musculaires , les tendons, ou les troncs nerveux (contracture
perte de la sensibilité est cutanée et profonde et intéresse le sens musculaire . Elle ne sent pas les piqûres faites en les div
ion des membres. » L'individu, les yeux fermés, et dans la résolution musculaire la plus complète, reste cependant conscient et ré
re ce qui ne lui convient pas, et elle déploie alors une grande force musculaire ... Quand elle est dans son état normal, elle perd
ite, en ce sens que l'on n'y trouve pas la suggestibilité par le sens musculaire et les sens spéciaux, qui caractérise les cas com
r. Elle n'est pas paraplégique, à vrai dire, et en éprouvant la force musculaire des différents segments des membres inférieurs, o
ir à la fois et la contracture par la pression exercée sur les masses musculaires , les tendons ou les troncs nerveux (contracture d
non seulement superficielle, mais encore profonde, avec perte du sens musculaire , accentuée à un tel point qu'elle tombe comme une
de signe de Romberg. Absence totale des réflexes rotuliens. La force musculaire générale est affaiblie; le malade se fatigue plus
le de faire les courses qu'il faisait Tan dernier. Cependant la force musculaire dans les membres inférieurs est normale; il oppos
e fortement. Et cependant il n'y a aucune espèce de parésie, la force musculaire est intacte et le malade résiste vigoureusement,
gauche sans participation de la face. — L'affaiblissement de la force musculaire est très net de ce côte pour le bras et pour la j
uis longtemps qu'il traînait un peu la jambe gauche. Pas d'atrophie musculaire . Pas de tremblement spontané, ni intentionnel.
la paralysie pseudo-hypertro-phique ; la forme juvénile de l'atrophie musculaire de Erb ; l'atrophie infantile héréditaire de Duch
e, 1893, n° 1). (2) Charcot. — Revision nosographique des atrophies musculaires progressives (Leçon recueillie par Pierre Marie e
ie) ; il a montré l'hypertrophie dans la forme juvénile de l'atrophie musculaire (myopathie avec prédominance de l'atrophie). Il f
t volumineux, surtout au niveau des premières phalanges. Les masses musculaires sont très fermes au deltoïde, au trapèze, aux mus
bras droit. Pas d'anesthésie pharyngée. Conservation parfaite du sens musculaire . En octobre 1890, le malade a eu une hydarthros
ils le sont en général dans les amyotrophies myélopathiques (atrophie musculaire progressive de Duchenne-Aran, sclérose latérale a
e dans la paralysie pseudo-hypertrophique (1) dont la nature purement musculaire n'est plus mise en doute par personne. D'autre pa
ypertrophie et non pas de la conservation relative de quelques masses musculaires , et cela pour plusieurs raisons. Tout d'abord o
que l'on admette qu'il s'agissait là de véritable pseudo-hypertrophie musculaire . L'observation ci-dessous pourrait, à la rigueu
lades lorsqu'il décrivit la forme infantile héréditaire de l'atrophie musculaire progressive, qu'il rattachait à tort aux amyotrop
y maintenir. Ce sont bien là les caractères de la pseudo-hypertrophie musculaire : un muscle gros et dur, mais impuissant. D'ail
., 1885). (2) F. Raymond. — Maladies du système nerveux ; atrophies musculaires et maladies amvotrophiques. 1 vol. in-8, Paris, 1
e lésion ostéo-trophique spéciale, parallèle aux troubles tro-phiques musculaires qui constituent la myopathie progressive. Etude
yotrophique........ 3 Maladie de Friedreich........... 1 Atrophie musculaire du type Duchenne-Aran ... 6 Paralysie spinale i
enne-Aran ... 6 Paralysie spinale infantile.......... 19 Atrophie musculaire d'origine articulaire et abarti- culaire.......
: Iohémianesthésie gauche sensitive et sensorielle avec perte du sens musculaire ; 2° anesthésie pharyngée à droite. Il n'y a pas
e : hémianesthésie gauche sensitive et sensorielle avec perte du sens musculaire ; champ visuel très rétréci des deux côtés. Remar
e totale au froid ou à la piqûre ; la sensibilité profonde et le sens musculaire sont atteints aussi. La force musculaire est dimi
sibilité profonde et le sens musculaire sont atteints aussi. La force musculaire est diminuée de ce côté. A Texamen campimétriqu
cielle et de la sensibilité profonde, et il y a perte absolue du sens musculaire . Voilà donc un bel exemple d'hystérie chez un a
77; — et hypnotisme, 285. Arthritisme : — et tahes, 307. Atrophie musculaire , 369 ; — et pseudo-hypertrophie, 369 ; Statistiqu
orbides diverses à la —, 439. Charcot, t. ii. Pseudo-hypertrophie musculaire : — dans la myopathie, 367 ; — et atrophie, 369
89 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome second
r lamelles super-« posées, lesquelles se continuaient avec les fibres musculaires et étaient séparées par des « couches de muscles.
être beaucoup « plus susceptible de cartilaginification que le tissu musculaire . » (2) (1) Dans quelques cas, le ligament rond
être toujours la même, si elle tenait à une cause identique, l'action musculaire . Il est des conditions d'engrenure telles, que la
-seulement aux dépens du périoste, mais encore aux dépens des couches musculaires adjacentes : j'ai donc eu lieu d'être surpris de
du fémur, un ligament capsulaire nouveau, formé aux dépens des fibres musculaires du muscle petit fessier, une déformation plus ou
xtrémités osseuses; les muscles passent à l'état graisseux; les nerfs musculaires s'atrophient, et les vaisseaux artériels et veine
melons ou tubercules pour les séparer. Les muscles et les aponévroses musculaires qui s'attachent au pubis ont-ils contribué à la p
ont on me parlait pouvaient peut-être s'appliquer aux cas de rigidité musculaire ; mais, lorsqu'ayant eu occasion de conférer avec
us approfondie de l'ankylose, en permettant de distinguer la rigidité musculaire de l'ankylose proprement dite, pourra rendre de g
re dans l'estomac. L'œsophage était notablement dilaté et la membrane musculaire un peu épaissie dans la partie située immédiateme
ation dans la texture de la membrane ainsi resserrée, et les « fibres musculaires environnantes étaient parfaitement saines. Les pr
produites par la cou traction d'une portion quelconque de ses fibres musculaires , sans aucune altération de texture. Devons-nous
ture. Devons-nous ajouter avec Baillie qu'on conçoit que les fibres musculaires contractées pourraient comprimer la membrane inte
plissement n'est évidemment qu'un effet du resserrement de la tunique musculaire . La structure éminemment musculaire de l'œsophage
fet du resserrement de la tunique musculaire. La structure éminemment musculaire de l'œsophage autorise sans doute à admettre un r
e la couche fibreuse est tellement ténue, qu'on dirait que les fibres musculaires subjacentes sont à découvert; que cette cicatrice
peut-être que des purgatifs, en excitant la contractilité des fibres musculaires de l'intestin ; pourraient en quelque sorte expri
Dans certains points de la surface interne de l'estomac, les fibres musculaires sont à nu : il y avait donc, dans ces points, des
n. i3, pour un dévoiement datant de quelques jours, avec prostration musculaire considérable. Elle portait à l'ombilic, immédiate
pression : on pouvait reconnaître au milieu de ce tissu des faisceaux musculaires hypertrophiés H M , HM. En deçà du rétrécisseme
ntre les parois de l'intestin par la présence des noyaux. La membrane musculaire se voyait au fond de la plupart de ces ulcération
s, au centre desquels on rencontre quelques phlébolithes. La membrane musculaire est très épaisse; enfin les veines variqueuses qu
; des clapiers nombreux, anfractueux, situés en dehors de la membrane musculaire de l'intestin et parfaitement circonscrits par du
ire induré, s'ouvraient dans la cavité du rectum à travers les fibres musculaires hypertrophiés ; celles-ci étaient comme disséquée
u moins anfractueux, à travers les aréoles constituées par les fibres musculaires disposées en faisceaux distincts. Réflexions. —
, le rectum présentait une hypertrophie considérable dans sa membrane musculaire . Cette dégénération, qui avait tous les caractère
de faire la part des diverses tuniques de l'intestin. Une des bandes musculaires longitudinales très saine, avait été repoussée à
subi la dégénération présentaient encore quelques vestiges de fibres musculaires et aponévrotiques. Une côte qui était cancéreus
paille qui caractérise les lésions organiques profondes. Les forces musculaires se maintinrent pendant long-temps, soutenues qu'e
on variqueuse : on rencontrait encore un assez grand nombre de fibres musculaires sur ses faces antérieure et postérieure; mais dan
ées par des filamens noueux, ici d'apparence fibreuse, là d'apparence musculaire . Le tissu érectile à parois musculaires n'est pas
rence fibreuse, là d'apparence musculaire. Le tissu érectile à parois musculaires n'est pas sans exemple dans l'économie. Le tissu
su caverneux de l'urèthre du cheval contient manifestement des fibres musculaires : il n'est pas démontré que le canal de l'urèthre
up plus complète que celle du biceps humerai ; on ne trouve de fibres musculaires qu'à leur attache supérieure. Leurs tendons sont
comme d'ailleurs dans toutes les dégénérations, ce soient les fibres musculaires , les aponévroses, la peau , le tissu cellulaire,
ansformation occupait une portion plus ou moins limitée d'un faisceau musculaire ; mais le reste du faisceau musculaire était intac
ou moins limitée d'un faisceau musculaire; mais le reste du faisceau musculaire était intact, et l'altération de ce faisceau étai
ssu variqueux était en quelque sorte à l'état sénile; mais le système musculaire n'avait pas été envahi. La transformation était b
le sang infiltré occupe le tissu cellulaire qui sépare les faisceaux musculaires , et même le tissu cellulaire qui sépare les fibre
mercure; chaque tubercule était environné d'une couche mince de tissu musculaire rouge et fragile. L'articulation fémoro-tibiale
cause était un rhumatisme fixé sur les nerfs cutanés et sur les nerfs musculaires de la main. Cependant, attendu que le pouls éta
une lésion du système artériel. Du reste, intelligence saine. Forces musculaires assez considérables pour que la malade puisse mar
rhumatismales, appliqué à l'étude des maladies du système nerveux et musculaire , me parait aussi vague que le mot ictère, appliqu
de la plante des pieds, quoique non perçu, détermine des contractions musculaires ; le malade éprouve souvent des crampes dans les
ause d'irritation qui aura pour résultat la transformation des fibres musculaires en tissu fibreux, en tissu cartilagineux, et même
n est une cause très fréquente de la transformation fibreuse du tissu musculaire . Toute cause qui diminuera la force de résistan
e partiel. Or l'inflammation qui, en même temps qu'elle rend la fibre musculaire plus fragile, la prive de sa contractilité, la tr
transformation fibreuse, suite si fréquente de la distension du tissu musculaire . Si on me demande pourquoi le ventricule droit
re non-seulement sur l'épaisseur, mais encore sur la densité du tissu musculaire . La figure 2 représente les orifices aortique e
des parois de cet organe, FA, FA, avait suivi la direction des fibres musculaires , disposition qui donnait au tissu du cœur ainsi i
a coque, des prolongemens fibreux, dont les uns font suite aux fibres musculaires et dont les autres sont entremêlés à ces fibres.
uelles présentent un mélange remarquable de tissu fibreux et de tissu musculaire . il est bien évident que, dans ce cas, l'anévry
lus faible, est le siège d'une distension répétée : or, pour le tissu musculaire , les conséquences d'une distension qui n'est pas
1827 : au niveau ou un peu au-dessus de la pointe du cœur, les fibres musculaires du ventricule gauche s'arrêtaient brusquement et
tumeur étaient formées par un tissu fibreux faisant suite aux fibres musculaires de l'oreillette. La disposition aréolaire de ces
pasme bronchique, c'est-à-dire par contraction spasmodique des fibres musculaires qui entrent dans la structure des divisions bronc
bronchiques contiennent jusqu'à leurs dernières extrémités des fibres musculaires circulaires situées en dedans des cerceaux cartil
put se relever. Il faut, en effet, à l'asthmatique une grande énergie musculaire pour qu'il puisse dilater suffisamment le thorax,
rolongée. Cet état du cœur permettait la séparation facile des fibres musculaires . Il y avait dans le péricarde une petite quantité
us la pression du doigt, et ayant en conséquence perdu cette tonicité musculaire qui leur est né- (i) Morgagn. Epist. xxvn. n. 8
es parois, sauf les colonnes charnues, sauf la couche mince de fibres musculaires qui les soutient, sans que la rupture soit surven
rophie de tous les tissus à cet âge de la vie. Pendant que le système musculaire de la vie de relation s'atrophie avec la charpent
de relation s'atrophie avec la charpente qui le soutient, le système musculaire de la vie nutritive conserve son développement; j
ieillards offrent presque constamment une hypertrophie de la membrane musculaire de l'estomac, et plus particulièrement de l'annea
ou moins considérable au milieu de la graisse qui la sépare du tissu musculaire . Que si au contraire la fragilité du tissu du c
cœur n'est pas aussi considérable, ou si elle est inégale, ses fibres musculaires peuvent ne pas se rompre dans toute l'épaisseur d
e l'oreillette et l'épaississement de ses parois, soit dans sa couche musculaire , soit dans sa membrane interne. Mais la circula
x de tête moins violens et laissant de longs intervalles : les forces musculaires revenues lui permettent de faire de longues prome
iatiques. L'immobilité est douloureuse, aussi bien que la contraction musculaire . La malade ne peut pas rester en place, et pourta
augmentée : il y a paralysie douloureuse des muscles, et la paralysie musculaire me parait exclusivement déterminée par la douleur
a douleur. En un mot, il n'y a paralysie que parce que la contraction musculaire est douloureuse. Cela est si vrai que, en excitan
tanément. La paralysie du mouvement paraît être l'effet de la douleur musculaire , et c'est là la grande différence qui existe entr
douloureuse à la pression, douloureuse par l'effet de la contraction musculaire . Le genou est la limite de la douleur. Trois pilu
é peut dans la première période de la maladie produire la contraction musculaire , mais bientôt la douleur est telle, que la volont
dolorissement des muscles. La paralysie par douleur et avec douleur musculaire , douleur limitée au système musculaire, douleur
ie par douleur et avec douleur musculaire, douleur limitée au système musculaire , douleur répondant en quelque sorte à tous les
qu'il y avait paralysie du mouvement par exaltation de la sensibilité musculaire . Voici d'ailleurs, sous ce point de vue, l'anal
de toutes celles qui ont été recueillies sur la matière. Paralysie musculaire èt conservation de la sensibilité, tel est le rés
'action de gratter, le pincement, peuvent déterminer des contractions musculaires très prononcées dans la région où s'opère le grat
se redressa avec la plus grande facilité: c'était donc un torticolis musculaire . Tous les organes thoraciques et abdominaux éta
'état naturel. Réflexions. Ainsi, rigidité, immobilité, contraction musculaire très limitée et pour l'étendue et pour la force:
Déglutition difficile, ce qui supposait une diminution dans l'action musculaire de la langue et de l'arrière-bouche. Point de cép
s spécialement leurs effets : i° sur les nerfs capillaires cutanés ou musculaires , de là ces paralysies ou névralgies cutanées, de
es, de là ces paralysies ou névralgies cutanées, de là ces paralysies musculaires qui envahissent tous les muscles ou certains musc
sition fascicu-lée. Plusieurs muscles ont conservé quelques faisceaux musculaires dont la couleur rouge contraste avec l'aspect gra
traction fibril-laire des muscles, d'un muscle, de quelques faisceaux musculaires de la jambe ou de la cuisse, sans mouvement appré
bre par suite d'une action directe des nerfs de la peau sur les nerfs musculaires . Je trouve un pouls dur et fréquent qui m'étonn
ns vagues, qui le plus ordinairement se résumaient dans une faiblesse musculaire hémiplégique ou générale, et dans un affaiblissem
ité du sentiment. L'articulation des sons est difficile par faiblesse musculaire ; la déglutition est pénible ; des mucosités gutt
er aux mamelles. Nous avons vu des tubercules cutanés, cellulaires et musculaires , se développer très fréquemment dans le champ du
embraneuse du canal de l'urètre. En outre, une couche mince de fibres musculaires comme rayonnantes, faisant suite aux fibres muscu
nce de fibres musculaires comme rayonnantes, faisant suite aux fibres musculaires de la vessie, se prolongeait entre la muqueuse ur
d'une injection. Les grains glanduleux sont séparés par des couches musculaires extrêmement prononcées, qui font suite aux fibres
couches musculaires extrêmement prononcées, qui font suite aux fibres musculaires de la vessie. Il résulte de cette disposition que
culaires de la vessie. Il résulte de cette disposition que les fibres musculaires delà vessie, non-seulement forment une couche ext
ns un certain nombre de cas, on rencontrera l'hypertrophie des fibres musculaires prostatiques coexistant avec l'atrophie des grain
tate; qu'en outre, la prostate est elle-même traversée par des fibres musculaires qui sont encore le prolongement de la couche musc
r des fibres musculaires qui sont encore le prolongement de la couche musculaire de la vessie. L'épaisseur de la couche musculeuse
lus souvent des hernies de la membrane muqueuse à travers la membrane musculaire : ces hernies ont lieu dans l'intervalle des colon
nnes charnues, et c'est tout au plus si l'on remarque quelques fibres musculaires rares disséminées à la surface du kyste. On peut
' représente la face postérieure de la même vessie. On y voit un plan musculaire superficiel qui m'a paru constant, mais qui est t
_Tubercules cancéreux mUiaires et pisiformes, cutanés, sous-cutanés , musculaires . — Plaques cireuses de la plèvre. Desmoulins {M
reux des muscles est d'être disposés régulièrement le long des fibres musculaires aux dépens desquelles ils semblent formés; c'est
, le grand pectoral ne présente plus aucun des caractères de la fibre musculaire ; qu'il est tuberculeux et fibreux ; que, à mesur
e mucus noirâtre. Son tissu était flexible, hypertrophié, d'apparence musculaire comme dans la grossesse. Une tumeur fibreuse TF,
astaient d'ailleurs avec la mollesse, la couleur rouge et l'apparence musculaire du tissu ambiant. L'ovaire gauche était transfo
ions de la muqueuse gastrique. Hypertrophie des membranes fibreuse et musculaire . Granulations miliaires cancéreuses des épiploons
ules cancéreux, miliaires et pisiformes , cutanés , sous-cutanés et musculaires . Plaques cireuses de la plèvre. Réflexions et obs
. Accouchement naturel. Apoplexie. 15e liv., pl. 1, p. 3. — Apoplexie musculaire . 17e liv., pl. ni, p. 4. — Apoplexie des circonvo
Tubercules cancéreux miliaires et pisiformes, cutanés, sous-cutanés, musculaires . Plaques cireuses de la plèvre. 27e liv., pl. m,
. 1, n, m, iv, p. /. DOULEUR. Paralysie par douleur et avec douleur musculaire . 32e liv., pl. 1, n, p. /0, n.— Distinction à fai
Tubercules cancéreux miliaires et pisiformes , cutanés, sous-cutanés, musculaires . Plaques cireuses de la plèvre. 27e liv., pl.ni,
avres des cholériques. 14e liv., pl. 1,11, nf, iv,\,p. 35. —Apoplexie musculaire . = Inflammation puerpérale des muscles et des syn
tion des artères. 27e liv., pl. v, p. 7, io. — Paralysie avec douleur musculaire . 32e liv. pl. 1, 11, p. fot 11. — Arrêt de dévelo
90 (1887) Archives de neurologie [Tome 13, n° 37-39] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
sommeil, elle produit parfois ,un peu d'abattement et de parésie musculaire . Chez les animaux, à doses plus élevées, mais n
ti- grammes. Aucun effet hypnotique même léger, aucune séda- tion musculaire ne sont obtenus; pendant toute la durée de la m
phénone, en tout 65 centigrammes. Excitabi- lité moindre, agitation musculaire diminuée, un peu de som- nolence, mais sans som
autres, il ne procure pas le sommeil , mais diminue l'excitabilité musculaire . Tandis qu'en dehors de l'administration de l'a
s, la morphine, l'atropine ont été employés sans succès, la fatigue musculaire pendant le jour, la surveillance pendant la nui
ement le bavardage a été diminué, et il y a eu un peu plus de calme musculaire . Une seconde tentative, faite quelques jours ap
igastriques au moment de la prise; pas'de sommeil, pas d'apaisement musculaire . OBSERVATION VII. Mme B..., cinquante-deux ans,
e. 11 d'acétophénone, en tout 1 gr. 50; consécutivement, le calme musculaire a été obtenu, l'excitabilité a diminué, la malade
Aucun effet hypnotique; toutefois, légère dépression des phénomènes musculaires , moindres cris, plus de crachotement. Pas de va
ria- tions sensibles de l'hémoglobine. De l'aveu du malade, calme musculaire marqué, besoin de mouvement moins considérable,
le sommeil ; elle produit seulement un apaisement de l'agitation musculaire , apaisement plus ou moins considérable, suivant
énone à la dose de 30 centigrammes, les mêmes effets sur le système musculaire et sur l'encéphale se reproduisent la nuit, alo
r le sommeil a été nulle, et seule la diminution de l'a- gitation musculaire a été obtenue. Une fois (OBS. XIV) l'acétophéno
administrée et que, sous l'influence de ce médicament, l'agitation musculaire a été moindre que dans les autres formes d'alié
ade n'a pas dormi sous l'influence de l'acétophénone, mais le calme musculaire a été assez nettement obtenu, et les obser- vat
Cette substance n'a produit qu'un effet sédatif sur le sys- tème musculaire . Si nous envisageons dans leur ensemble les vin
moins assez générale, que cette substance exerce sur l'agitation musculaire . Dans la plupart des faits que nous avons relat
faits que nous avons relatés, nous voyons en effet cette sédation musculaire se produire sous l'influence de ce médica- ment
le dose. Nous retrouvons ainsi chez nos malades, du côté du système musculaire , cette action si puissante de l'acétophénone qu
les animaux, peut aller suivant les doses, depuis la simple parésie musculaire jusqu'à la paralysie com- plète. Mais cette agi
ie musculaire jusqu'à la paralysie com- plète. Mais cette agitation musculaire est-elle une in- dication suffisante pour récla
six groupes de névropathies; les unes à lésion classée,1; atrophie musculaire progressive ( observation) ataxie locomotrice (
rien ne prouve qu'il soit destiné à la percep- tion des mouvements musculaires qui s'accomplissent à la périphérie. 11 ne méri
ou tout au moins cérébral, et elles aboutissent à des contractions musculaires péri- phériques, qui donnent lieu au langage ar
ues, qui donnent lieu au langage articulé. La mise en jeu d'organes musculaires ne saurait en aucune façon être confondue avec
au sens où je la considère, est une dépendance évi- dente du sens musculaire . Nous avons normalement conscience de la positi
faits ont conduit à admettre l'existence d'un sens spécial, le sens musculaire , dont il ne semble pas possible de contester la
ble de contester la réalité. Il y a donc une mémoire des mouvements musculaires , comme une mémoire de chacun des sens ordinaire
ire de chacun des sens ordinaires, et c'est à cette mémoire du sens musculaire que l'on doit rattacher les mémoires des mouvem
ncore inconnue, doit être considé- rée comme une dépendance du sens musculaire , et .' A. Pitres. -Considérations siii, t.7gi,a
uefois sans qu'il parle. On constate parfois aussi des contractions musculaires dans la face. affectant surtout les muscles de
s dorsaux. En revanche, les tentatives de provoquer des secousses musculaires en chatouillant, pinçant ou piquant la peau de di
es impressions de chaud et de froid sur la production des secousses musculaires . - Pouls 70 à 80.-Du reste rien à observersur l
le sommeil. En môme temps l'intelligence, la sensibilité, la force musculaire , la nutrition, la coordination, l'excitabilité
paramyoclonus comme un type spé- cial dans le groupe des secousses musculaires . Les deux pre- mières de ces différences sont q
e Seelig- mùller, un homme de 34 ans, avait éprouvé des secousses musculaires depuis l'age de 5 ans, sans cause citée : plus ta
lade, après lui avoir dit de s'opposer à ce mouvement. que la force musculaire est parfaitement conservée, à ce point qu'on pe
pas, et décrit des oscillations de plus en plus étendues. La force musculaire est conservée, et l'exploration dynamomé- triqu
supérieures également parésiées deviennent le siège d'une rigidité musculaire , d'ailleurs assez faible, sur certains groupes
rigidité musculaire, d'ailleurs assez faible, sur certains groupes musculaires . Exagération du phénomène du genou, plus tard c
vements voulus, un certain degré de rai- deur dans certains groupes musculaires , la parésie des muscles des yeux, les troubles
es des yeux, les troubles cérébraux. D'un autre côté, la rigidité musculaire n'est pas très accentuée, le tremblement disparaî
mblement disparaît pour faire place aux autres anomalies du système musculaire , l'anesthésie occupe toute la surface de la pea
repos ; REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 2.39 en même temps, tension musculaire , et convulsions toniques interrompant brusqueme
rrompant brusquement la folie choréique. Exagération des phénomènes musculaires et tendineux. Le contact et la volonté développ
es, rachis, tronc); toute excitation interne ou externe d'un groupe musculaire est suivie de con- vulsions toniques, principal
rme ou de chlore (inspirations suspi- rieuses), et diminue le tonus musculaire (d'où, hypothermie, diminution du travail physi
nsibilité spéciale, et des paralysies de même nature par l'exercice musculaire . Dans une série de communications faites à la S
rapport qu'avec des lésions périphériques des nerfs ; 2° l'atrophie musculaire avec les déformations détermi- nées par les rét
tels que diminution ou disparition des réflexes tendineux, parésie musculaire , parésie des fibres lisses de la peau, absence
ripilation, de réflexe cremastérien, bibliographie. 303 atrophies musculaires . Schwalb, Benedickt, Brosdoff, Abramosvki, ont
des leçons contenues dans le présent volume : Leçon II. Atrophie ! musculaire qui succède à certaines lésions articulaires. 1
des notes complémentaires, telles, par exemple, que notions du sens musculaire , et mouvement volontaire,- guérison soudaine d'
hâte ; il trouva l'enfant atteinte de convulsions avec secousses musculaires , pouces fléchis dans la paume de la main ; les ye
ervé il a au contraire le regard fixe. Il parait indifférent. Force musculaire conservée. Bonne santé : 1880. Mars. N'a touj
le trouve dans l'attitude figée qui lui est habituelle. La raideur musculaire est la même. Mais le visage a un peu chan- 360
tiendraient à l'altération des racines lombaires. L'hy- péresthésie musculaire tiendrait peut-être à la prolifération des noya
91 (1908) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 21] : iconographie médicale et artistique
on des racines postérieures de la moelle épinière, des contractions musculaires réflexes ; et s'il n'a pas obtenu une variation
croyait Follin ; elle relève au contraire d'un état d'excitabilité musculaire exagérée. C'est, on n'en saurait douter, dit Ch
chine privée de son frein fonctionne indé- finiment, la contraction musculaire due à ce fonctionnement est comme lui interromp
'exercice, et le but de l'exercice ou de l'éducation des mouvements musculaires est en partie d'apprendre à isoler le principe ne
de ce phénomène positif : l'exagération des réflexes et la rigidité musculaire , ou la contracture, dans les cas où l'influence
s supposer que l'étal spécial des muscles que nous ap- pelons tonus musculaire est surtout dû à l'influence que le cervelet exer
e. Au début il n'y avait en somme qu'un affaiblissement de la force musculaire du membre inférieur, sans perte complète de la
ue l'avant-bras gauche est atrophié, surtout aux dépens de la masse musculaire épicondylienne ; la mensuration donne 21 cen- t
présente pas de diminution apparente de la motilité ou de la force musculaire . Pas de contracture. Réflexes tendineux affaibl
ogues du côté droit. La motilité était conservée quoi- que la force musculaire fût diminuée et les mouvements d'extension un p
as et entrai- nant comme conséquence un affaiblissement de la force musculaire . Notons en passant que grâce à cet étalement de
ême des réflexes tendineux, qu'on ne peut provoquer. Pas d'atrophie musculaire . Réac- tions électriques normales. Il n'existe
ppe de la jambe droite ; elle traîne l'avant-pied droit. La force musculaire , nulle à droite pour les mouvements actifs et pas
oyenne, plutôt maigre. Conformation du squelette régulière ; masses musculaires peu déve- loppées. Rien de particulier du côté
res supérieurs. Au niveau de ces membres la paralysie et l'atrophie musculaire se locali- sent initialement aux muscles desser
affection, en rappelant qu'en outre de la parésie et de l'atrophie musculaire , elle est caractérisée par des troubles trophique
roximale des membres et la douleur, quoique très légère, des masses musculaires et des troncs nerveux à la pression. Un dernier f
tiellement en se cantonnant dans une partie seulement du territoire musculaire qu'elle occupait au début ; dans la polinévrite,
mentionner la répétition de la localisation initiale au territoire musculaire d'un seul nerf, le radial d'abord et le sciatiq
les phénomènes paralytiques ne s'étendirent pas aux autres groupes musculaires et très vraisemblablement ils ne relevaient pas
Gieson, bé- matoxyiine-éosine. Coupes longitudinales : Les fibres musculaires sont en général extrêmement minces et réduites
arrondi. Les fuseaux neuro-musculaires semblent normaux. Les fibres musculaires qui y sont con- tenues ont un diamètre plus gra
LYNÉVRITE AMYOTROPHIQUE 145 augmentation des noyaux au niveau de la musculaire , rétrécissement de la lumière, pycnose. Evide
ncordent avec les études de Wernicke et de Mann sur les atro- phies musculaires chez les hémiplégiques. Mann en examinant les mus
roupe de muscles innervés par le même nerf, mais sur des mécanismes musculaires ayant pour sujet la production de tel ou tel mo
el mouvement. » Il s'en suit pour Mann, que tous les autres groupes musculaires qui ne sont pas paralysés sont à l'état de cont
e pas sûr un tel ou tel muscle en particulier, mais sur des groupes musculaires correspondant ci des mécanismes musculaires, ay
r, mais sur des groupes musculaires correspondant ci des mécanismes musculaires , ayant pour sujet la production de tel ou tel m
s dans leur liberté d'action qu'à une véritable maladie de la fibre musculaire elle-même. Les réactions électriques furent exa
n distingués, la douleur était perçue distincte du toucher, le sens musculaire était correct et la sensibilité à la pression é
un état essentiellement le même. Comparaison avec les dystrophies musculaires . Plusieurs auteurs ont judicieusement comparé c
auteurs ont judicieusement comparé cette maladie aux dys- trophies musculaires ; ces dernières peuvent exister dès la naissance
parce que, depuis un an, il a remarqué une di- minution de la force musculaire dans l'épaule droite et une augmentation de vol
ment, il a remarqué que le bras droit s'oedématiait et que la force musculaire diminuait dans les mouvements d'abduction; il r
s éminences thénar et hypothénar est égale des deux côtés. La force musculaire est considérable et paraît égale à droite et à ga
calorification, constipation, fatigue, anorexie, céphalée, douleurs musculaires et articulaires, obésité, sénilité précoce, troub
insuffisance thyroïdienne les éléments delà neurasthénie : asthénie musculaire et cérébrale, poussée jusqu'à l'apathie la plus
es, fatiguées dès le matin et souffrant de douleurs articulaires et musculaires , qui, sous l'influence d'émotions ou des règles,
re pour 100 ont pour cause réelle ou apparente une simple faiblesse musculaire du membre, d'autres une légère chorée partielle
ERTÉBRALE 289 dylotiques sont les douleurs d'une part et l'atrophie musculaire d'autre part. Bechterew (1), dans le syndrome
ant l'aspect du thorax des spondylotiques. On constate une atrophie musculaire assez marquée au niveau des gouttières vertébra
ordination motrice, il se plaint seulement de diminution des forces musculaires . Les réflexes tendineux sont abolis dans les de
nt l'immobilité. Plaques d'hyperesthésie sur les cuisses. Le sens musculaire et le sens des altitudes sont complètement abolis
dipeux n'est pas déficient, mais encore moins en excès ; les masses musculaires sont assez bien développées et leurs contours son
llongés. Aucune dystrophie soit cutanée soit onguéale. Les contours musculaires sont bien dessinés : la tonicité des muscles est
é des muscles est normale. Aucune douleur à la palpation des masses musculaires , des troncs nerveux et des sur- laces osseuses.
olue, travaille facilement à de petites dentelles. L'excitabilité musculaire mécanique est normale. Les réflexes cubitaux et
veltes. A la palpation on remarque un très léger degré d'hypertonie musculaire qui donne une sensation de vive résistance dans
vements lents et doux. Pas de douleur à la pression soit des masses musculaires soit des troncs nerveux. Les mouvements actifs so
très maigre et ses membres ne sont pas du tout arrondis. Les masses musculaires sont peu développées, mais proportionnées au dé
de-pied. Les mains et les pieds sont fins et allongés. Les masses musculaires sont toniques et se dessinent très bien à cause d
entation des mononucléaires par égard aux polynucléaires. Réactions musculaires . Réaction myasténique positive.Pour cette réactio
l. Stature moyenne (1 m. 60), teint foncé, muqueuses rosées, masses musculaires bien développées, pannicule .adipeux normal. Ri
hamp visuel et l'examen ophtalmoscopique. L'excitabilité électrique musculaire et nerveuse est normale. Examen des urines. R
téristique dans deux; dans un troisième j'ai trouvé , un épuisement musculaire très prononcé, mais sans véritable réaction mya
es de la moelle épinière (maladie de Friedreich, quelques atrophies musculaires , etc.). Mais nous avons aussi la certitude que
peu plus difficile à mouvoir. L'examen des réflexes et de la force musculaire ne permet cependant pas d'affirmer une hémiplég
on des réflexes rotuliens, Babinski. Sensibilité conser- vée. Force musculaire très diminuée. A l'Hôpital cantonal on diagnost
ême temps qu'une vive émotion, une constriction violente des parois musculaires . Vingt ans plus tard encore, il ne pouvait plus
, par exemple, n'est pas autre chose que le résultat d'une activité musculaire mise en oeuvre par des vibrations sonores qui o
urs consti- tuent une crise de larmes en puissance. De la faiblesse musculaire névro- sique qui, en elle-même, ne se distingue
tiques. 11 n'y a ni état catatonique, ni troubles de la contraction musculaire , mais la marche est maladroite et bizarre : le
urtout sur le bras à gauche. D'un côté comme de l'autre les reliefs musculaires se sentent mal, même quand on demande au malade d
is jusque dans la ceinture thoracique. Ces ankyloses,-ces atrophies musculaires ne sont pas ABSENCE CONGÉNITALE BILATÉRALE DU R
unilatéraux). Sur les pièces de dissection on a noté des anomalies musculaires , non seulement par absence des muscles à insert
gies à lapressiondes os,des mus- cles et des téguments, des spasmes musculaires aux extrémités, une dou- leur diffuse à la colo
92 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
pression, d'autre part thermoanesthésie, analgésie et perte du sens musculaire et ostéoarticulaire. ' Brissaud. Leçons sur l
lysie proprement dite. Pas de signe de Romberg. Atrophie des masses musculaires des membres inférieurs. P... se plaint de l'ins
chorée peuvent varier d'intensité, depuis un faible affaiblissement musculaire (chorée molle) jus- qu'à une généralisation tot
s choréiques correspondants : hémiplégie choréique, affaiblissement musculaire avec prédominance hémilatérale, affai- blisseme
sement musculaire avec prédominance hémilatérale, affai- blissement musculaire généralisé. Les troubles de la sensibilité sont
ptiques, 1 tabéto-paralytique, 1 sclérose en plaques, 2 atro- phies musculaires progressives, 2 hystériques, 3 hystéro-épilep-
tracture plus accentuée à gauche; 9° par une diminution de la force musculaire à gauche; 10° par une exagération du réflexe de
ed et des orteils sont très limités. 1 Il n'y a aucune altération musculaire , aucun trouble des réflexes, de la contractilit
lysie infantile ne sont pas seulement représentées par l'atro- phie musculaire , mais quelquefois aussi par l'hypertrophie. De
r l'hypertrophie. De plus, on a signalé, conjointement à l'atrophie musculaire , la pro- lifération du tissu cellulo-graisseux.
comme une dystrophie conjonctive au même titre que les dystrophies musculaires , relevant vraisemblablemank d'une altération de
t des troubles moteurs chez les délirants chroniques. . Du syndrome musculaire comme signe pronostic. M. DuFOUR communique l'o
plus que la percussion des bords radial et cubital. L'excitabilité musculaire à la percussion est normale. Lestr... a la noti
que l'on trace dans sa main à l'aide d'une épingle. L'excitabilité musculaire à la percussion est noi- male. La percussion
avant l'électrisation. Rien de change dans la motilité ou la force musculaire . Mais la sensibilité est redevenue entièrement
etc. La suspension n'a pas à compter chez un cadavre avec le tonus musculaire , fonction prin- cipale de la vie humaine. D'aut
é en lui-même. On comprendrait ainsi comment les neurones sensitifs musculaires fournissent les premières excitations tonifiant
). - - P. KERAVAL. XII. Des proliférations circonscrites des fibres musculaires lisses dans les vaisseaux de la moelle; par A.-
moelle portaient des proliférations considérables de leurs éléments musculaires , de véritables myomes. Il s'agissait de vieillard
ie le canal central, présente une évidente prolifération des libres musculaires lisses de forme arrondie (figure). On constate la
prolifération susceptible de se disséminer qui atteint le système musculaire lisse des gros vaisseaux. La sénilité ne fait rie
e vertébrale (Wirbelsteifigheit); 2° 5 malades, atteints d'atrophie musculaire progressive d'origine myopatleiq2ce. S. TCHERKI
rapports de la structure et des fonctions cérébrales. L'atrophie musculaire progressive du type Oran. Duchenne et la scléro
es réactions électriques, il existe seulement une extrême faiblesse musculaire , avec fatigue qui s'oppose à tous les actes de
seurs moins atteints l'emporte sur l'action genérale des sys- tèmes musculaires locaux. - M. Touche présente les pièces d'un ta
phinc- 246 sociétés savantes. térien et' réveiller les mouvements musculaires de l'intestin ; le soir même et le lendemain su
pied et à la partie inférieure de la jambe du côté gauche. Le sens musculaire est affaibli des deux côtés, mais plus particul
la tristesse, la joie ou la colère. Les modi- (ications organiques, musculaires ou vasomotrices, sont consécutives à l'émotion,
on expression organique ne prouverait pas que les modifica- tions musculaires et vaso-motrices commandent l'émotion et que l'
la série desmodifications vasculaires, respiratoires, sécrétoires, musculaires , etc., dont le résultat devenu cons- cient cons
hésitation de la volonté, hésitation et dif- ficulté des mouvements musculaires . A cet égard, l'étude 268 PATHOLOGIE MENTALE.
névralgies, névrites, rhumatisme aigu et chronique, articulaire et musculaire , migraines (voy. Vratsch. loc. citât.) M. Gri
noyaux du sarcolemme pendant l'époque du développement du système musculaire . D'où l'idée de traiter cette hypertrophie par l'
vations dans lesquelles l'examen électrique de l'appareil neuro- musculaire a permis de constater la- névrite qui ne se manif
'aucun trouble de la sensibilité ni d'af- faiblissement de la force musculaire dans l'extrémité en question, prédominent, en l
e la joue en trois minutes. Elle semble ne pas traverser une couche musculaire de un centimètre d'épaisseur, ou plutôt on peut
a sclérodermie, la sclérodactylie, la maladie de Rayuau, l'atrophie musculaire progressive. Dans la symptomatologie de la lèpr
une allure rythmique comparable à celle de la respiration. La force musculaire varie de même. Les troubles oculo-pupilluires c
a température dans l'accès épileptique étant due surtout au travail musculaire produit pendant la période tonique, il peut se
Lyon médical, 30 novem- bre 1900, p. 397, t. 111.) L'hypertrophie musculaire , dans l'hémiplégie infantile avec athétose ou c
t Fayolle ont vu l'hypertrophie, osseuse accompagner l'hypertrophie musculaire . Dans deux des cas, il n'y a eu ni mensuration,
être invoquées pour expliquer cette hyper- trophie : 1° l'activité musculaire qui crée surtout l'hypertrophie musculaire; mai
trophie : 1° l'activité musculaire qui crée surtout l'hypertrophie musculaire ; mais cette explication ne suffit pas, par exempl
rophique isolée du nerf musculo-cutané, avec remarques sur l'action musculaire compensatrice; par A. Hor.r.- MANN, (Neurolog.
l'impotence totale et à l'atrophie, de l'affai- blissement du sens musculaire , une vive hyperalgésie, de l'ataxie associée à
e la substance mus- culaire : du reste on peut suivre les faisceaux musculaires en train de se contracter tant vers le bras que
au deltoïde et au biceps. En cet endroit, il n'y a pas de substance musculaire sur l'étendue d'une pièce de deux francs, et le
du cerveau. P. KERAVAL.. LXXIV. Observation originale d'atrophie musculaire étendue, à début aigu et devenue stationnaire a
tic entre la dystrophie muscu- laire progressive de ERB, l'atrophie musculaire progressive spinale de Duchenne-Aran, la polyné
let 1899, il existe une paralysie dégénérative grave, avec atrophie musculaire , troubles sensitifs, trophiques et vaso- moteur
ultiple (ou spasme convulsif, ou tremble- ment convulsif, ou spasme musculaire ) est un spasme de plusieurs muscles de la face,
sensibilité, passagers ou de moindre importance, ou de la faiblesse musculaire , mais'l'ataxie est le symptôme pré- dominant et
oisième. Il existait un certain degré de diminution de la puissance musculaire , mais le malade pouvait toujours mouvoir librem
a théorie pathogénique de son origine primiti- vement et uniquement musculaire , à savoir l'abolition des réflexes tendineux ma
ies, la fréquence des lésions nerveuses et l'identité des . lésions musculaires avec celles de certaines affections organiques
l'anesthésie, mais le plus souvent on n'observe que de la faiblesse musculaire : toutefois, l'anesthésie accompagne souvent la
cas d'une fracture de la base. Contre l'amaurose, les paralysies musculaires on pourra tenter l'action d'injections de stryc
ne, de courants continus, de l'iodure de potassium. Si la paralysie musculaire persiste, le chi- rurgien peut arriver à une in
t des réflexes. Il pourrait - être dû à l'intoxication de la plaque musculaire ; la substance toxique serait produite par les m
n marchant. Nulle part on ne découvre la moindre trace d'atrophie musculaire . Par contre, à droite, on constate une exagéra-
erversion de l'inégalité des pupilles, sous l'influence de l'effort musculaire volontaire. 1 On peut aussi l'obtenir en écla
aliques reviennent. Peu à peu il sur- monte avec peine sa faiblesse musculaire , il se lève et se trouve plus mal. Ce n'est en
tre la donnée établissant la région intéressée comme siège du tonus musculaire , ce dernier ayant été plutôt exagéré dans l'esp
let, par Lannois et l'aviot, 146. - cérélnale. pal Dtipié, 330. - musculaire étendue, par Evers- . mann, 385. - consécutive
-, par les excitations de l'odorat, par Ch. Féré, 317. \ Fibres musculaires . Proliférations circonscrites des - dans les va
93 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nt et vers la gauche. Le couteau long et étroit a perforé la couche musculaire et la membrane obturatrice postérieure, tout co
ératite s'ins- talle. P. Keraval. - XIV. S'agit-il d'une atrophie musculaire d'origine né- vritico-spinale ou d'origine myop
GO REVUE D'ANAI OMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. L'atrophie musculaire progressive est indubitable. La démarche, l'exa
u bassin, et de l'hypertrophie des mollels. Est-ce dû la dyslropbie musculaire progressive ? Ce diagnostic aurait pour lui : l
. REVUE DÉ PATHOLOGIE MENTALE. 01 11 est à penser que le système musculaire de l'intestin con- t ! 'acturepa ! 'Ie5Spabn]ea
produise pas une parfaite gué- rison, qu'il subsiste des infirmités musculaires dans le domaine du sciatique poplité externe.
que cet agent n'est efficace que dans les affeclions ner- veuses ou musculaires et s'attache à démontrer, d'une part que, l'éne
is est encore fort gênante el se manifeste ainsi : une hypertrophie musculaire vraie du tout le membre, sauf la main, prédomin
ractititeetectri- que des muscles sans U. ii. une hyperexcilabililé musculaire vis- à-vis des [incitations volontaires, d'où d
git d'un cas de myopathie primitive ou consécutive à une altération musculaire typhique qu'il convient, SOCIÉTÉS SAVANTES. 73
une asthénie 1res profonde avec amaigrissement général el atrophie musculaire diffuse. Comme cette femme a présenté de légers
eil du côté opposé, en rapport probable avec l'altéra- tion du sens musculaire des muscles oculaires et avec un trouble de l'a
canisme palhogénique aveerautomatismcsomnamhulique. La malléabilité musculaire est, un phénomène essentiellement psychique, un
tivisme catatonique, qui semble tout fait. opposé h la malléabilité musculaire , n'est que la même tendance à conserver les alt
ion catatonique pure ou de stupeur passive (immobilité sans tension musculaire ni négativisme) ont pu paraître et demeurer- en
la guérison, survenue graduellement, s'est maintenue. Hypertrophie musculaire acquise. M. SICARD montre un malade atteint dep
ormes. Le membre supérieur droit présente en outre une hypertrophie musculaire vraie avec exagération de la circulation veineu
umaines, la croissance de l'or;anis Illl', les effets de la fatigue musculaire , nous prévient contre les dangers de l'inexpéri
la division la plus simple. 192 clinique mentale de l'activité musculaire , aussi bien que le mouvement; mais au lieu de s
au lieu de se traduire par des changements deposi- tion, les actes musculaires coopèrent ici la conservation d'une attitude.
N'rS,-La stéréotypie ne se-, révèle pas seulement dans l'activité musculaire statique ; cllc appartient aussi à la forme dyn
tré Lussana des phénomènes de déficience dus à des troubles du sens musculaire . Un sait ce qu'on entend en physio- logie par c
conjonctif qui sépare les loges contient des glan- des, des fibres musculaires lisses et striées, un cartilage hyalin. C'est u
soderme de l'organe hrw-inteslinal, fourni tissu conjonctif, fibres musculaires lisses et striées, carti- lage. P. 11FRAV.1L.
? \\'r- venheilh, XXV, N. l. Xlll, 1902.) Observation de parésie musculaire des deux psoas iliaques, des fessiers, des fléc
. Tout porte à croire à l'existence de la dégénérescence des fibres musculaires striées qui, d'après Zankcr, serait aussi const
dégénérés ; dans les plus grands foyers, il reste encore des fibres musculaires suffisamment nor- males pour parera la paralysi
mou- vements. Elancements dans les membres, lassitude, douleurs, musculaires déchirantes, sensibilité à la pression du muscle,
t de physiologie de la céphalée neuras- thénique. Est-elle purement musculaire comme le veut Maurice de Fleury ? Est-ce une lé
le y lm familial ordinaire. L. W. XXXIV. Observation de dystrophie musculaire congéni- tale à forme hypertrophique ; par htta
coude et du poignet, ayant eu pour cause occa- sionnelle un effort musculaire exagéré. L'affection de la moelle a préalableme
oite, abolis Kauciie ; le rélloxo pharyngien n'existe pas. La force musculaire est très diminuée du côté gauche : la ma- lade
auriculaire du troi- sième nerf cervical, tandis que les faisceaux musculaires en ques- tion reçoivent la branche antérieure d
tique du côte du ré- flexe. Ne pas le confondre avec les mouvements musculaires con- vulsifs, émanant des manoeuvres d'examen d
dégénérescence des muscles, des actions polaires, de la tonicité musculaire , des contractures hystériques, etc. 11 n'y a pa
le, se distinguant par une grande lenteur de propagation de l'ordre musculaire . La contrac- tion idio-musculaire est la manife
t elle se distingue par l'absence complète de propagation do l'onde musculaire ; elle esl un 1)lié- noumène anormal. - G. D.
ail rl'ml1rquer que Il) réflexe qu'il a décrit est non une réaction musculaire , mais une contraction Ce sont les contractions
ulaire, mais une contraction Ce sont les contractions des fibrilles musculaires de la paupière infé- rieure, et non le mouvemen
tor. de la Salpêtriére, n" 1, 1U04.) La diminution de la tonicité musculaire qui accumllaânegéné- ralement les maladies du s
onicité du grand péronier la- téral. Ce procédé accuse de Hypotonie musculaire chez un grand - nombre de paralytiques généraux
au bout de 10-14 jours de concert avec la lenteur de la contraction musculaire au courant galvanique. Ainsi que le souligne Il
il forme pseudo-névralgique el paraît dépendre autant d'une action musculaire que de lésions articulaires. 11. C. \L\ ? Défor
: l'étal général s'altère très vile et on constate de l'hyperlonie musculaire qui peu peu se transforme en altitude tétanifol
er. Fin décembre, le hoquet tend à s'atténuer, mais les secousses musculaires des épaules continuent et gagnent le visage. Si b
ilités osseuse, tendineuse, el nerveuse sont abolies ; mais le sens musculaire et ses variétés, le sens stéréognostique sont c
u réflexe pharyngien. Du côté de la motilité, on ne note d'atrophie musculaire dans aucun des points du corps ; tous les mouve
acique et dans les membres supérieurs les signes d'une dys- trophie musculaire progressive. Les membres inférieurs témoi- gnai
tlisparailre. -6° L'hypersécrétion ne dé- pend pas de contractions musculaires : c'est prouvé par la curari- sation et l'irrit
aire demeure immobile sous l'influence de la douleur, de l'activité musculaire , de l'effort mental, mais il se contracte sous
utres mouvements pupillai- res. P. Keraval. .\C\'n. Perte du sens musculaire aux doigts des deux mains avec intégrité de la
ecine, novembre t \JOJ-1 ! Jl) i, ) Très importante étude du sens musculaire , nous ne pouvons que renvoyer au mémoire origin
lral.ie lalio ? losco-larygée. Un autre t\po débute par l'atrophie musculaire progressive ; un quatrième par des signes de ta
cnouÉCaLrE. Autopsie d ? par Gauckler et Roussy, 4.ï0. Affections musculaires . Con- tribution à la connaissance des - - pos
arBecli- terew,327. Cyphose. Un cas de d'origine articulaire ou musculaire , par - Brissaud et Grenet, 311. Décciiitus la
ire, par Villaret et Fran- coz, 450. DYSTROPHiE. Observation de musculaire congénitale à for- me hypertrophique, par Pini,
psychose», par Aller, 6S. Hygiène. Voir Strabisme. Hypertrophie musculaire ac- quise, par Sicard, 163. Hystérie. Voir Vo
récents travaux sur le mus- culaire, par Borowikow, 299. Perte du musculaire aux doigts des deux mains avec intégrité de l
94 (1892) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 7
nsemble, tout en ayant chacun leur rôle particulier. Cette activité musculaire , nécessaire pour écrire, a été mise en évidence p
tenir la plume exige une action tonique de la part des trois groupes musculaires . Si Ton n'écrit pas. l'élévation diminue et finit
renons bien ainsi la création mécanique de l'écriture, par l'activité musculaire sous l'impulsion du cerveau; le cerveau lui-même
s que l'excitation nerveuse se répartisse dans les différents groupes musculaires qui devront non seulement être aptes à obéir aux
re aptes à obéir aux lois physiologiques qui régissent la contraction musculaire , mais, grâce à la grande habitude, ils devront ré
; mais il est tout naturel qu'un môme état du cerveau, de l'activité musculaire , devra produire une môme action sur l'écriture.
e hypnotique provoquée. En dehors du phénomène de l'hyperexcitabilité musculaire , la malade ne réagit à aucune excitation de la se
s membres supérieurs et inférieurs. La sensibilité cutanée et le sens musculaire no reviennent pas, toutefois, avec la motilité do
externe, qu'il a pu rendre i B... la sensibilité générale et le sens musculaire de la face, des membres et du tronc. Mais ce qu
re savant vit se produire, à l'interruption du courant, des secousses musculaires dans la face et dans les membres du côté opposé c
tinue sa phrase. Mobilité et sensibilité. — Il n'y a pas d'atrophie musculaire . La force dynamo-métrique est conservée normale.
véritable paraplégie qui est caractérisée par la perte des synergies musculaires qui assurent l'équilibre de la marche. C'est surt
e, ordinairement une image visuelle, quelquefois (rarement) une image musculaire ; 2° Que beaucoup voient le mot imprimé purement
ncessants. Le membre inférieur droit ne parait pas atteint de spasmes musculaires . Le côté gauche, au dite de la mère de la malade,
les, elle était dans une détresse morale profonde. Le tact et le sens musculaire étaient conservés : on eut l'idée de s'en servir
e; anesthésie tactile, anesthésie, thermo-anesthésie. absence du sens musculaire . Je pique, je pince, j'électrise le coté anesthés
d'un certain moment). L'expérience suivante montre que l'anesthésie musculaire de notre malade est purement psychique. Il semble
it par l'observation que j'avais faite, neutralise de nouveau le sens musculaire et se suggestionne : la main gauche est bien atti
ences montre donc que l'amblyopie, la surdité, l'anosmie, lanesthésie musculaire , sont de nature purement psychique. Aussi un trai
passe des phénomènes physiques. La mécanique osseuse, articulaire et musculaire , ta station et la locomotion sont commandées par
les, arrêter des convulsions, restaurer l'appétit, augmenter la force musculaire , régulariser des fonctions diverses, guérir des m
t, de Caudry. Cet homme, de complexion très robuste, doué d'une force musculaire au-dessus de la moyenne, n'en est pas moins attei
t Ut paraiysie? II est heureusement prouvé aujourd'hui que l'atrophie musculaire est fréquemment constatée dans les cas de paralys
ommencent 4 peine à être connus, et dans lesquels 02 range l'atrophie musculaire , l'oedème, les tumeur» ulcérées. Si l'on entend p
lée. La contracture se rencontre ordinairement sur d'autres groupes musculaires . Ce fait n'existait pas chez notre malade. L'ex
e traces de syphilis. État de la sensibilité et de la contractilité musculaire (courants induits) pendant l'état de sommeil. — I
du coté droit; pourtant, a la face, on obtient quelques contractions musculaires qui amènent une déviation de la commissure droite
aux inhalations chloroformiques. Rapidement on obtient une resolution musculaire complète; les membres deviennent flasques, et bie
service et, malgré le courant le plus fort, quoique la contractilité musculaire soit partout normale, la sensibilité est nulle.
omnam-bulique. L'état léthargique est caractérisé par la résolution musculaire , l'analgésie de la peau et des muqueuses, l'exagé
atigues quoique les membres ne soient pas raides. L'hyperexcitabilité musculaire n'existe pas, la sensibilité est généralement abs
ait devant lui des mouvements rythmés, il les imite. Souvent, le sens musculaire est à ce point développé qu'il suffit de placer l
de les yeux fermés. c. État catalepiolde avec byperexcita- bilité musculaire . d. État d'extase. a. État de fascination.
ffère des deux précédentes que par la présence de l'hyperexcitabilité musculaire au lieu de l'hyperexcitabilité neuro-musculaire,
es champs visuels sont notablement rétrécis. La motilité et le sens musculaire sont intacts. Fig. 1 - Jean S... à l'état de ve
suel était moins rétréci a droite qu'à gauche. La motilité, le sent musculaire , les réflexes étaient normaux. Le sommeil hyp-not
également développés des deux côté» du corps, la motilité et le sens musculaire «ont intacts, ses champs visucls sont rétrécis.
nsiblement égaux des deux côtés. La molilité est intacte, le sens musculaire conservé, les réflexes sont normaux ; l'intellige
Les champs visuels sont rétrécis. La motilité est intacte ; le sens musculaire est normal; les réflexes sont sains: l'intelligen
. Les champs rituels sont rétrécis. La motilitéest intacte; le sens musculaire et les réflexes sont normaux; l'Intel- ligence es
altérée; la malade ressent une certaine difficulté à marcher. Le sens musculaire est normal. La malade s'endort rapidement au mo
odorat, le goût, sont nettement moins développés à gauche. L'appareil musculaire est intact, le sens musculaire est bien conservé,
moins développés à gauche. L'appareil musculaire est intact, le sens musculaire est bien conservé, les réflexes sont normaux ; l'
es yeux ouverts, en relevant les paupières. Dans les deux cas le sens musculaire était conservé, car si l'on joignait les mains de
pourquoi nous avons été obligés de la photographier couchée. Le sens musculaire est normal a gauche; à droite, il est évidemment
ulique et cataleptique, elle tombe d'emblée en léthargie avec inertie musculaire , absence de communication avec le monde extérieur
Les yeux fermés, mais ne réagît pas, pas d'hyperexcitabilité neuro- ) musculaire . b. Les yeux ouverts. 2° Étais léthargiques Imm
s yeux fermés. c. Etat cataleptolde avec hyperexcitabilité neuro- musculaire . d. État d'exiase. 3° Etat somnambulique..
gération du réflexe rotulien. Trépidation du pied. Absence d'atrophie musculaire . Hémianesthésie gauche complète. Rétrécissement c
pontanément ; mais la contractilité n'est pas revenue dans ces fibres musculaires qui ne sont plus paralysées ou contracturées mais
95 (1893) Archives de neurologie [Tome 26, n° 77-82] : revue des maladies nerveuses et mentales
es troubles bizarres des mouvements qu'amène avec elle l'anesthésie musculaire ? Avait-il la notion de ce syndrome de Lasègue
priment comme par enchantement ces insensibilités et ces impotences musculaires . 2° Les stigmates sont contradictoires, c'est-à
se sentent pas observées, tandis qu'elles présentent une faiblesse musculaire étonnante, une fatigue extrêmement rapide dès q
chologique, p. 188. ' 1. Pick. - Ueber die sogenal1nle « conscience musculaire » (Duchenne). (7,citschi,ifi sur psych. und phys
M. Babinski, de MM. Gilles de la Tourette et Dutil, sur l'atrophie musculaire chez les hystériques. Ce sont là des phénomènes
ons du toucher, de la douleur, de la température, ainsi que le sens musculaire , correspond à peu près, sinon tout à fait aux c
t bien certain que si il n'y a plus aucune contraction des éléments musculaires ou s'il n'y a plus d'élément musculaire, l'élec-
e contraction des éléments musculaires ou s'il n'y a plus d'élément musculaire , l'élec- tricité ne peut être d'aucun secours.
sible de savoir s'il y a encore ou s'il n'y a plus de con- traction musculaire . Il ne faut donc désespérer qu'après un trai- t
stésique renferme plus que ce qu'on entend stricte- ment par « sens musculaire » : il signifie toute sensation de mou- vement,
surfaces articulaires, sensations qui sont le résultat d'une action musculaire et du mouvement qui en est la conséquence. La tot
rébrale trouve un appui dans l'existence des hallucinations du sens musculaire (membres amputés) et récem- ment dans un mémoir
n rapport avec les centres ther- miques. J.-B. C. XVIII. Atrophie musculaire idiopathique COMPLIQUÉE DE NÉVRITE MUL- TIPLE,
ne malade présentant une hérédité bien nette et atteinte d'atrophie musculaire compliquée d'anesthésie complète des membres in
cuté les différents diagnostics, arrive à admettre celui d'atrophie musculaire idiopa- thique compliqué de névrite multiple. J
Signe de Romberg. Démarche tabético-cérébellaire, troubles du sens musculaire dans les extrémités supérieures et inférieures,
. OBSERVATION. - Syringomyélie à forme spasmodique, avec atrophie musculaire prédominant dans les muscles péri-scapulaires, pr
ent, même léger de la peau, provoque immédiatement des contractions musculaires . Trépidation spinale intense que l'on arrête fa
t à vaincre la con- tracture. 104 PATHOLOGIE NERVEUSE. La force musculaire est conservée. On constate au membre infé- rieu
eux qui ne fait qu'augmenter par la suite : du côté de l'ap- pareil musculaire , il se développe une paralysie spasmodique, qui
le membre inférieur droit, sauf le pied. A cette époque la rigidité musculaire est extrême. Deux ans après, en octobre '1891
e 'tien- - draitàjt'exag'ération duipouvoir contractile des. fibres musculaires tandis que-leur action dilatatrice' est diminué
bstratum organique, dont l'hyperthermie n'est pas due à, un travail musculaire ,' aux' convulsions) par exemple. Deux formes :
. D'où l'auteur 'conclut qu'une lésion de la PA peut' léser le sens musculaire à l'exception de toutes les autres- fonctions 1
, diagnostic est indéniable à rai- l''son : < de"l'hypertl'ophie musculaire , ''surtout' aux 'extrémités infé- `rieures`'='
; ils sont, dus<à des obsessions ou à des hallucinations du sens musculaire de l'appareil de la parole . 1 ? 11 JI I<,"
émiplégie hystérique. - 1885 ; Revision nosogrnphique des atrophies musculaires progressives : Tremblements, mouvements choréif
ion avec Pitres, 1883) ; - Sur une forme par- ticcaliére d'atrophie musculaire progressive (en collaboration avec Marie, 4886)
vertige accompa- gné de tremblement de tout le corps, avec raideur musculaire et commencement de perte de connaissance, et po
il a la démarche de tabes dorsal spasmo- dique, grâce à la rigidité musculaire des membres inférieurs, rigi- dité qui disparaî
des spasmes par accès dans divers territoires organiques : spasmes musculaires (aphasie motrice spasmodique et transitoire, se
musculaires (aphasie motrice spasmodique et transitoire, secousses musculaires dans les bras (spasmes respiratoires (respi- ra
ène. Ses jambes ne fléchissent d'ailleurs pas sous elle et la force musculaire est ' encore relativement bien conservée ; il n
ns élémentaires de l'ouïe, se' montrent' des hallucinations du sens musculaire qui sont en rapport avec l'appa- reil de la par
exemple l'idiotie, ou encore certaines formes spéciales de troubles musculaires ou sensoriels. Il est important de savoir et de r
actérisées par des accès répétés de stupeur avec tension du système musculaire , survenant en dehors des ictus apoplectiformes.
is la situation de la crampe des écrivains. Il n'y a pas de tension musculaire , vraie. Il y a hémianesthésie gauche totale ave
vent être réprimés par un efforttde la volonté. 3° les contractions musculaires et fibrillaires principalement au visage; au co
s récentes de Luciani3, qui le considèrent comme le centre du tonus musculaire , ne nous apprennent rien de précis sur la voie
n des théories de Hitzig qui fait de la zone motrice l'aire du sens musculaire , et de celles de Munk qui en fait le siège de l
s. 11 présente à droite de l'atrophie générale et de la contracture musculaire des membres : d'après les renseigne- ments, il
e. Douleurs téi,ébi,ai2tes dans les membres inférieurs. - Faiblesse musculaire . Guérison par hypnotisme (une séance). C'est
eine, d'autant qu'il existait une faiblesse 432 CLINIQUE MENTALE. musculaire très marquée dans les deux membres inférieurs. Qu
se honte, que ce cas tout d'abord me troubla. C'était de l'atrophie musculaire mais quel genre d'atrophie ? Ce n'était pas l'a
e musculaire mais quel genre d'atrophie ? Ce n'était pas l'atrophie musculaire progressive de Duchonne. L'intégrité des muscle
ution A' l'étude DES troubles, DE la', pondération DE '4 l'activité musculaire chez LES i SOULIDS-MUETS; parl : 1110SIsND.IGII.
stique chez le chien, modifie le genre' et' ta forme de' l'activité musculaire chez le chien (Schifi7; la surdi-mutilé dontla ca
ppareil acoustique s'accompagne d'une, e,spècéd'ataxi ? des actions musculaires com- Piexe % (Jariies - 't .4 Iirëidl). Or,111
.`coristaté que les sourds- muets exagèrent 1 intensité de la force musculaire des muscles employés, à Ja marche; l'impulsion
fois ! Dans'iës'observaUons typiques il'ÿ avaitavec' de l'atrophie musculaire ? un troublé très élendu''dé'la'r' sensibilité.
ste's,' il' fallut cliércliër`éédèrniëisÿinpt6më; c'est l'atrophie" musculaire spinale e,, qui prédominait. L'une d'elles offr
rticularité qu'elle' pré- seûtaitrplutôt lé masqued'une dÿ;stëôpbie musculaire ? l'existence e eonvuls 0 i' e - l"iéaction"'dé
nvuls 0 i' e - l"iéaction"'dé ? é èii iinpo- sait pour une atrophie musculaire spinale progressive;, enfin on s explique, dans
; ''ih'j"') 89(jM. - spéciale à'diverses formes'de'dégénérescence musculaire . On rencontre la lésion quetLanghans'et'Kopp rat-
t à la cachexie thyroïdienne et qu'ils nomment lésion des bourgeons musculaires ,.Ierfd'autr6 ? affections" On- sait"1 que' Lang-
ts (Langhans). Chez un troisième malade présentant de isTdystrophie musculaire ' associée à 1&""p"sendo-hypettrophie, le b
tée à une sclérose lâtëralë arpÿotropliique; atrophie des bourgeons musculaires , intégrité, de la gaine ? llfémoire,publié in e
sipèle de la face, présenta .de la paraplégie, avec perte du sens musculaire et diminution de la sensibilité tactile. Un an ap
aladie des jointures dp Charcot" par lleilhronner, 132.' Atrophie musculaire idiopathique compliquée de névrite multiple,
Vv' r r . Dégénérescence, lésions spéciales à "diverses formes de musculaire , par Fuerstner, 495. Delasiauve, mort de z, 1
énéra- tive, par, Griedenbel'g,¡3Dl.¡, ,. , ,p, ÉVIiITE, atrophie musculaire , idio- ,, pathique compliquée de multiple, ,.
e ayant causé'une pa- I " ralysie des mouvement's'Yetl du t'sens1 musculaire , etc ? par Lan- or, don'(Carter Gray; ! 39;' Co
96 (1869) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 1ère année
d et grave. L'appétit de cette enfant tient de la voracité ; sa force musculaire , bien qu'elle soit assez notable, ne laisse pas q
la canule qui les engaînait. Le contact fut immédiat pour les couches musculaires les plus rapprochées de la cavité utérine, mais l
engage la malade à le resserrer, on sent manifestement la contraction musculaire s'effectuer, plus faible sans doute qu'à l'état n
rison se manifeste sous l'influence de ce traitement. De l'atrophie musculaire progressive de l'enfance, et de son diagnostic éc
e IX, représentent le thorax et la face de sujets atteints d'atrophie musculaire progressive de l'enfance. — L'atrophie musculaire
atteints d'atrophie musculaire progressive de l'enfance. — L'atrophie musculaire progressive, lorsqu'elle fut décrite pour la prem
, aujourd'hui, la nécessité de la diagnostiquer des autres affections musculaires de l'enfance dont la marche et le pronostic sont
ubles dans les mouvements de la face nous donna l'idée d'une atrophie musculaire progressive de l'enfance, car nous l'avions toujo
blance physionomique. La figure 5 représente également une atrophie musculaire graisseuse qui, dans l'enfance, a atteint les mêm
ur en bien résumer la description d'après lui. En somme, l'atrophie musculaire progressive débute dans la seconde enfance (en gé
rrégulièrement, abolit isolément les mouvements à mesure que la fibre musculaire s'altère et produit des déformations partielles.
ion est altérée. L'affection de l'enfance, avec laquelle l'atrophie musculaire progressive qui survient dans le jeune âge, a été
ou sans convulsions, à un âge en général moins avancé que l'atrophie musculaire de l'enfance (de 15 jours à 2 et 3 ans), qu'elle
ue est affaiblie ou abolie dès la première période, bien que le tissu musculaire soit encore intact. Ajoutons qu'elle n'atteint ja
onfondue par un pathologiste anglais, M. Edw. Mergon, avec l'atrophie musculaire de l'enfance. Sans entrer dans les détails cliniq
umeaux, les extenseurs du rachis. L'altération anatomique de la fibre musculaire dans les deux maladies est différente ; dans l'at
re musculaire dans les deux maladies est différente ; dans l'atrophie musculaire de l'enfance la fibre musculaire subit la dégénér
ies est différente ; dans l'atrophie musculaire de l'enfance la fibre musculaire subit la dégénérescence granuleuse ou graisseuse
t et de vésicules graisseuses plus ou moins nombreuses. Les faisceaux musculaires primitifs conservent en général leur striation, m
n faire connaître l'affection curieuse décrite sous le nom d'atrophie musculaire progressive de l'enfance, dont le [diagnostic peu
e : c'est un vestige des piliers, mais je n'y ai pas trouvé de fibres musculaires sous la muqueuse. Une coupe d'avant en arrière,
étit est satisfaisant, toutes les fonctions se font bien, et la force musculaire est bien conservée. A son entrée à l'hôpital Sain
s animaux auxquels il a été administré, a bien produit une résolution musculaire extrême et un sommeil profond ; mais M. Demarquay
nts? Et comment les étudierait-il, s'il ne connaît pas les puissances musculaires qui les déterminent ? Ce défaut de connaissance d
des leçons sur la chute du rectum, le tétanos, les kystes hydatiques musculaires , les corps étrangers de l'œil, de l'oreille, des
ions de lichen hypertrophique..................... 38 De l'atrophie musculaire progressive de l'enfance........... 41 La coral
97 (1884) Archives de neurologie [Tome 08, n° 22-24] : revue des maladies nerveuses et mentales
derniers jours, du sopor avec dilatation des pupilles, tremblements musculaires ; à ce moment, P. filiforme = tOO à t ? 0. L'aut
ine dans le traitement de quelques affections nerveuses : atrophies musculaires , myélites chroniques, ataxies locomotrices, ramol
comotrices, ramol- lissements cérébraux, etc. Ce sont les atrophies musculaires d'origine périphérique qui ont été le plus heur
sera simplement promené de-ci de-là des deux côtés de la charpente musculaire , de façon a provoquer quelques contractions dan
si l'action passagère des courants avec les puissantes contractions musculaires généralisées qui en sont la conséquence. La séa
continuation du mode de traitement. Tels sont : certaines douleurs musculaires , un état de névrosisme, de lassitude et d'épuis
percussion du tendon rqtu.lie/ijVdi;qit1j détermine une contraction musculaire nette, mai,molléréei; celle du,,tendon gauche s
temps humide. M. Joliy préférer 1 sOlil-,Jaq citer les contractions musculaires par l'excitation bipoIaire-pluLÔtjfif que par l
l en est qui, tout en ne délirant plus, conservent les contractions musculaires accoutumées, et, inverse- uiçnt ? ertaiusinalad
s anormaux qu'ils éprouvent, en surmenant l'actntte de la charpente musculaire du \isage, aboutit au même icsuitat qu'un i dei
nt des muscles du tronc ne présente rien de particulier. La force musculaire est très diminuée ; ainsi, la pression des main
e de sillon étroit et profond, indiquant la contraction du faisceau musculaire sous-jacent. Cette dépression persiste pendant
ur et à la température sont presque complètement abolies. Le sens musculaire est affaibli, particulièrement au niveau des me
que les battements montent; tant qu'il a conscience des battements musculaires , il lui semble que son bras, qui paraît rac- co
quinze ans que Grar... put saisir certains objets; certains groupes musculaires se con- tracturèrent. III. C'est quatre ans a
pour la perception dans l'écorce, des sensations tactiles, du sens musculaire , des sensations douloureuses, des centres spéci
en arrière et en dehors du champ moteur; ceux qui président au sens musculaire et aux sensations douloureuses occupent une rég
tion se sont traduites exclusivement, tantôt par un trouble du sens musculaire des extrémités opposées, tantôt par une diminut
s de conductibilité destinées à l'innervation spontanée des groupes musculaires qui entrent enjeu pour l'expression des sensati
sthésie complète dans toutes les modalités; aucune trace d'atrophie musculaire . Pas de réaction de dégénération lors de l'exam
dégénérative systématique pure, sans inflammation. Les altérations musculaires constitueraient une simple coïncidence. L'alcoo
riodes; augmentation très prononcée des réflexes tendineux; tension musculaire forte; intégrité de la sensibilité et du sens m
x; tension musculaire forte; intégrité de la sensibilité et du sens musculaire ; affaiblissement de la contracti- lité vésicale
sement de la contracti- lité vésicale; parésie légère de l'appareil musculaire du voile du palais à droite. Sensibilité extrêm
é de de Watteville 2. M. Stein l'a employé dans l'affaiblissement musculaire généralisé des neurasthéniques. Il a obtenu une g
elle ait pris sa source dans un geste, un mot, ou une stimula- tion musculaire , - peut affecter exclusivement les ganglions de
t lorsqu'elle a atteint l'écorce, exciter l'idéation et des actions musculaires réflexes avec ou sans conscience et d'une façon
de corpuscules osseux qui, en fin de compte, ossifient la substance musculaire , mais en en atrophiant les éléments. Une fois q
nt ou à la suite d'un trauma- tisme, attaché aune partie du système musculaire , tous les muscles de la tête, du cou, du tronc
es. Chez le patient actuel, on ren- contre, sur de nombreux groupes musculaires , les altérations les plus multiples : atrophie,
squelette sous-jacent, ou bien ils se présentent dans la substance musculaire même sous la forme de lames larges ou de stalac
mettent de consigner une certaine analogie entre lui et l'atrophie musculaire progressive ou la pseudoliypertropliie musculaire
lui et l'atrophie musculaire progressive ou la pseudoliypertropliie musculaire . Faut-il donc imputer la myosite ossifiante à u
la cause de la myopathie , alors que la longue durée du pro- cessus musculaire permettrait de l'envisager comme l'effet de ce
n bas. Il semblait que ce phénomène fût produit par une contracture musculaire . Séance du 17 juin 1883. Présidence de M. SiA
avec le reste du cerveau aurait engendré la paralysie de l'appareil musculaire du tronc du côté opposé, et l'a- nimal serait d
t : delà lourdeur avec engourdissement des membres; des convulsions musculaires , des secousses dans les muscles, des bourdonnem
dilate. Certaines per- sonnes présentent passagèrement une rigidité musculaire très forte accompagnée de / ! e ? Mt<as cet'
marcher. Nulle part de para- lysies réelles, ni ataxie, ni atrophie musculaire , ni contracture*. Dans quelques cas, les réflex
ertains muscles, on déchaînait des réflexes marqués sur des groupes musculaires éloignés. Hyperexcitabilité mécanique des muscl
ue, d'abord de la jambe soumise à la constriction, puis des groupes musculaires homologues de l'autre jambe. La jeune fille, at
troubles de la sensibilité ; pas d'ataxie, pas de troubles du sens musculaire ; conservation des réflexes crémastériens. Au b
sence du phénomène du genou. Nul trouble de la sensibilité, du sens musculaire . Tel fut l'état qui persistait jusqu'en juillet 1
e portant sur tous les modes de la sensibilité, y compris le sens musculaire . En même temps, rétrécissement concentrique des d
ilité cutanée, des nerfs sensoriels (ouïe, goût, odorat) ou du sens musculaire , à la suite ou à propos des états que voici :
98 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
aliénés que chez les non aliénés. Les premiers par les contractions musculaires inconsidérés contribuent peut-être plus que les
t proportionnelle au développement et à la contractilité du système musculaire . . A. M. V. Névrite alcoolique avec TROUBLES
ment épileptoïde, affectant moins régu- lièrement les mêmes groupes musculaires et dont la terminaison est précédée d'une pério
Après coloration par la méthode de nlarclii, plusieurs fais- ceaux musculaires parurent atteints d'une dégénérescence très fine,
de toutes les articulations du membre inférieur dans ces atrophies musculaires dégénératrices, elle n'existe que pour des mouv
rents modes de la sensibilité générale et spéciale. Seule, la fibre musculaire devrait être appelée motrice, et non pas le ner
le peut explorer le milieu et le conquérir au moyen des appa- reils musculaires , tendineux, etc., annexés à ses prolongements n
ien, dans '- d'autres conditions, produire une sensation tactile ou musculaire . Il y a plus : une cellule nerveuse de l'écorce
er à volonté dans des conducteurs dif- férents allant à des groupes musculaires analogues, mais étéro- nymes. Ceci ferait suppo
ntrent : peau sèche, froide, mince, squa- meuse, exsangue; atrophie musculaire en masse mais non dégéné- rative (examen électr
train postérieur s'amaigrit rapidement sans qu'il y ait d'atrophie musculaire ; cet amaigrissement contraste avec l'em- bonpo
'intervention 156 VARIA chirurgicale chez un d'eux, de la paresse musculaire , du tremble- ment. La neurofibromatose est une
, goût, conservés, mais dif- ficiles à juger comme qualité. Force musculaire . -Prise à droite avecle dynamomètre Mathieu : 8
et l'auteur n'en saurait dire autant du repos. L'exercice physique musculaire est le meilleur moyen d'obtenir par dérivation
sez légère, est géné- rale et non limitée à un ou plusieurs groupes musculaires . Le réflexe du genou d'ailleurs est exagéré. D'
cataleptique, qui va en s'accentuant. La catalep- sie sans rigidité musculaire est à plusieurs égards semblable à celle que l'
ngue et de la pituitaire, soit peut-être même par les nerfs du sens musculaire . 1° Il est des cas où le glosso-pharyngien et l
gue saburrale névropathique. 3° Il n'est pas jusqu'à la sensibilité musculaire qui ne puisse peut-être jouer un rôle sur l'odo
survient. Le dégoût à son début semble donc une sensation d'ordre musculaire , la conscience vague d'un mouvement du pharynx,
dans un acte de répulsion psy- chique, mais non toujours. Le sens musculaire viscéral peut-il être perverti dans le tabes et
ts aux corpuscules fusiformes des couches du sarcoplasma des fibres musculaires striées, dont le volume paraît également varier
, plus est grand le nombre des cellules (nerveuses, glandu- laires, musculaires ) avec lesquelles elle entre en connexion. Ni la
car les cellules nerveuses ne se multiplient pa, comme les cellules musculaires ), peut favoriser d'une manière extraordinaire l
çues soit du monde extérieur, soit des organes de notre corps (sens musculaire ), image conservée dans cet élément. Quelle que
En effet, les capillaires cérébraux manquent de nerfs et de fibres musculaires lisses, et les artères relativement grosses de
artères relativement grosses de la pie-mère, pourvues d'une tunique musculaire , ne peuvent provoquer, sous l'influence d'une e
ules des autres segments préposées au même muscle ou au même groupe musculaire . Du côté de la lésion les réflexes pro- fonds s
t sans interruption de bas en haut du côté opposé. La perte du sens musculaire est le plus incertain des symptômes de la paral
'opinion de Férrier sur la décussation immédiate des fibres du sens musculaire à leur entrée dans la moelle. Il constate ensui
r entrée dans la moelle. Il constate ensuite que les fibres du sens musculaire et celles de la sensibilité tactile paraissent
elle, les deux fonctions sont souvent conservées pourvu que le sens musculaire le soit, l'auteur ne connaît qu'un seul cas (ce
t qu'un seul cas (celui de Charcot et Gombault) dans lequel le sens musculaire ait été atteint alors que la sensibilité tactil
présente. : 1° un garçon de dix ans atteint de pseudohYPc1't1'ophie musculaire typique. Hypertrophie des mollets et des deltoï
r ce fait que le cerveau est intéressé dans ces cas de dystro- phie musculaire . 2° Deux soeurs de vingt-trois et vingt-six ans
ulsif. L'autre offre les mêmes symp- tômes et en outre une atrophie musculaire progressive des deux mains, à caractère spinal.
ial ; combinai- son d'un état de débilité mentale avec une atrophie musculaire progressive (et fréquemment aussi avec une para
éditaires des voies motrices; paralysie spinale spastique, atrophie musculaire familiale par névrites, dystrophie progressive.
âge adulte, d'une façon lente et progressive, sous forme d'atrophie musculaire spi- nale, ou d'une façon aiguë, sous forme de
pareil moteur de l'oeil et sont en rapport direct avec le mécanisme musculaire . Notre conception du double arc réflexe peutse
ibres dégénérées dans le nerf dépresseur de Cyon, dans les branches musculaires et pharyngiennes du laryngé inférieur et dans l
el.- Une atrophie très marquée des tissus cutanés, sous- cutanés et musculaires de la joue, de l'aile du nez et de la moitié de
SAVANTES. 411 1 Vers la fin de la vie, au bout d'un mois, atrophie musculaire surtout dans la région des grandes articulation
veux central; altérations très marquées du parenchyme des fibres musculaires à savoir : vacuolisation, gonflement, troubleet a
ANTON, de Graz (Autriche-Hon- grie). VI. Pathogénie de la rigidité musculaire et de la contrac- ture dans les affections orga
veux parler de phénomènes spasmodiques assez intenses, de raideurs musculaires , surtout apparentes dans les mouvements passifs
approchés, la mort ne surviendrait qu'après une période d'impotence musculaire (sans paralysie vraie) et de séjour obligé au l
précoce apparition chez les pre- miers (les impotents) de raideurs musculaires , de spasmes très accentués, de contractures plu
ellulaire généralisée. Il. DE MUSGRAVE-CLAY. LVI. UN cas d'atrophie musculaire A DÉBUT BRUSQUE; par Théodore DITTER. (New- YOl
peut être question, dans une névrite périphérique, des contractions musculaires spasmo- diques invoquées pour expliquer les déf
eurs en dehors de la substance grise. Paralysie motrice, atrophie musculaire , anesthésies diverses se rattachent à des lésio
t complète dès le début. Par la suite, elle se localise aux groupes musculaires dépendant des noyaux cellulaires intéressés. Si,
ures. Il en est de même dans la syrll1go- myélie. Dans la paralysie musculaire progressive, la paralysie résulte de la dégénér
d'ordinaire complète au-dessous du siège de la lésion. L'atrophie musculaire accompagne la paralysie motrice quand la lésion
x. La couche moyenne est composée d'une couche très mince de fibres musculaires striées. La coloration par l'or et par la métho
omme un contredit de la théorie de Darwin; on voit ici que le tissu musculaire , si utile et si indis- pensable à l'organisme,
419. Pseuno-cnosssssE, par Dubreml , 148. PSCUDO - hypertrophie musculaire typique, par Bruno, 32G. Psychiatrie en Améri
99 (1895) Archives de neurologie [Tome 29, n° 95-100] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
sur le tronc sont faciles et s'accomplissent sans raideur. La force musculaire des membres supérieurs est conservée. Les mouve
ent par ces parties latérales, tandis que le tact et les sensations musculaires passent par les parties postérieures de la moel
cas où un pouce et demi du tronc nerveux fut enlevé, la réparation musculaire se fit cependant bien, mais les os restèrent at
exes centro-moteurs com- prennent deux groupes : a, émotio-moteurs ( musculaires , glandu- laires, vasculaires, métaboliques) et
es, glandu- laires, vasculaires, métaboliques) et b, coléo-moteurs ( musculaires , glandulaires, médullaires, métaboliques). P. S
ectuel, aphasie, paralysie faciale droite, perte du goût et du sens musculaire , névrite optique, hémiplégie droite partielle, ca
n excitatrice, mais aussi une action inhibitrice sur la contraction musculaire et sur le tonus musculaire. Brown-Sé- quard a l
ne action inhibitrice sur la contraction musculaire et sur le tonus musculaire . Brown-Sé- quard a longuement insisté sur cette
e dos, anesthésie bien marquée dans la jambe droite. Pas d'atrophie musculaire ni de troubles sphinctériens. Au bout de deux m
ensibilité tactile et dou- loureuse diminue légèrement; 7" la force musculaire reste la même, et enfin 8° très souvent se décl
avorables; des exercices de gymnastique modérés augmentent la force musculaire dans les extrémités affaiblies ; la coordinatio
ntion), la perte de l'accommodation, de la prostration avec parésie musculaire . Il n'y a guère, conclut-il, que le sulfonal qu
ux central de famille. Redlich. Présentation d'un cas de dystrophie musculaire tardive. Narath. Présentation d'un cas de gangr
ringomyélie. Linsmeyer. Présentation d'un malade atteint d'atrophie musculaire étendue. DE KpAFFT-EBtNG. Présenta- tion d'un c
urs, aucune anomalie appréciable, comme couleur, sensibilité, force musculaire . Les. artères battent norma- lement. Le réflexe
loration, température, sensibilité cutanée, sont normales; la force musculaire elle-même n'est pas notable- ment diminuée. Les
Les phénomènes douloureux, les troubles vaso-moteurs, l'atro- phie musculaire , prédominant sur les extenseurs nous portent à
rqués, à savoir : l'état de dépression apathique, l'affaiblissement musculaire progressif et l'abaissement de la tem- pérature
était parésié, et ses muscles profondé- ment atrophiés. Les masses musculaires des deux membres inférieurs étaient réduites à
126 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. ments, puis survint une faiblesse musculaire progressive. Tous les symptômes allèrent rapide
cellules des cornes antérieures. Aussi exis- tait-il de l'atrophie musculaire avec réaction de dégénérescence et flaccidité d
; pas de paresthésie; perception normale du chaud et du froid; sens musculaire complètement disparu. P. S. XXVIII. Un cas de m
Vallon se demande si la toxicité du sang ne résulte pas du travail musculaire qui accompagne l'attaque épileptiforme. M. Brrn
nts du corps est normale. Les mouvements s'exécutent bien, La force musculaire est conservée. La réflectivité est normale. I
Contractions (ibrillaires au niveau des quadriceps cruraux. Crampes musculaires avec contractures passagères. Phénomènes d'éryt
rioles persiste alors que celle des veinules moins riches en fibres musculaires disparaît, le sang noir reflue des grosses vein
centrique du champ visuel , affaiblissement considérable du pouvoir musculaire , tremblement, résistance aux excitations électr
ns visuelles, notamment de la zoopsie et des hallucinations du sens musculaire . A diverses reprises il fit des tentatives de s
aques épileptiques classiques, tou- jours prédédées de contractions musculaires localisées au bras droit. Souvent il se produis
gie avec hémianesthésie de la sensibilité générale et perte du sens musculaire par lésion cérébrale corti- cale. A l'autopsie
'hémiplégie d'une part et l'hémianesthésie et l'altération du tissu musculaire , d'autre part, vient appuyer l'opinion suivant
facial réagit dans l'espèce par des accidents continus : agitation musculaire de la face; flexions continues de la partie supér
de Schuele. Appelons-les stupeur maniaque. . 1 M. Hoche. Atrophie musculaire dégéî2é7- -tttive daiis la paralysie pro- gress
ofonds une légère ataxie de la jambe gauche de l'anesthésie du sens musculaire , du tact, du sens thermique dans les extrémités
u'il faut avant tout faire remonter les troubles du tact et du sens musculaire . II y a lieu d'admettre 'que le traumatisme a é
s nerveuses avec leur organe terminal, qu'il s'agisse d'une cellule musculaire ou d'une cellule épithéliale sensorielle, il se
zon Les autres sens sont' aussi très fortementt touchés;tle sens musculaire est' presque complètement 'aboli à droite; le. se
"4M . ? ; ? il ? L ? i ' pi'a"'1 ,,Il .\ ? i' etet) '< ? f ? et musculaire , 1 absence du goût et de 1 odorat, enfin la surdi
s voulus se font assez bien. Au palper, on ne trouve pas d'atrophie musculaire , pas de réaction de dégénérescence à l'excitati
uefois un tremblement continuel qui se géné- ralise. Pas d'atrophie musculaire . La sensibilité est diminuée, les réflexes plan
e il rétrocède progressivement lais- sant seulement de la faiblesse musculaire de ce côté et parfois- même rien ne persiste; p
fait de se tenir debout et de marcher. Il y avait en outre atrophie musculaire prononcée ayant son origine et dans cette longu
prononcée ayant son origine et dans cette longue période d'inaction musculaire et dans l'alimentation défec- tueuse par suite
a menstruation, de la digestion, de certains efforts ou exercices musculaires violents. Leuret admettait l'influence des révolu
tre cortical consiste en ceci : que dans le dernier cas les groupes musculaires qui sont sous la dépendance de ce centre n'entr
nt le minimum de courant nécessaire pour provoquer la contraction musculaire la plus faible dans l'extrémité opposée et le min
ment : avecl'étincelle négative, il semble y avoir un léger tétanos musculaire . Ces différences rappellent celles produites pa
de l'étincelle de telle façon que : la grandeur de la contraction musculaire est directement proportionnelle au carré de la lo
4 cas de tabès dorsal, 1 d'atrophie 460 revue d'électrothérapie. musculaire progressive (type Aran-Duchennel, 2 cas de paraly
s que des effets généraux une certaine excitation et la contraction musculaire . La douche hydrogalvanique générale s'emploie l
tout à fait inconsciente, à mettre en oeuvre certaines combinaisons musculaires anormales qui peu- vent simuler un équilibre pa
aux symptômes déterminés tant par l'amétropie que par l'anomalie musculaire : s'il n'en est pas ainsi, l'hétérophorie peut êt
e. Il reste entièrement à démontrer que des anomalies de la portion musculaire extrinsèque de l'appareil de la vision puissent
. Athétose double, par Brissaud et Hall ion, 132, 386. Atrophie musculaire clans la para- lysie générale progressive, par
attaques épileptiformes dans la -, par Christian, 225 ; atrophie musculaire dans la -, par Hoche, 325; étiologie de la-,
100 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 22, n° 127-132] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ar Bier contre les arthrites, dans toute une catégorie de désordres musculaires tels que contractures, spasmes, crampes, etc. I
t par un faisceau unique dont les fibres gouvernent des groupements musculaires antagonistes. G. DENY. Il. Nouvelle contribut
porte un cas et deux autopsies de cette allection avec localisation musculaire diffuse, montrant qu'on a attribué trop de vale
us fréquent. Mais, contrairement à ce qu'on enseigne, la résolution musculaire a été presque générale, comme par exemple, chez
aplégie ^peut être simulée dans la vieillesse par l'affaiblissement musculaire prédo- minant aux membres inférieurs, par une s
érébrale, d'autres d'ori- gine médullaire, d'autres enfin d'origine musculaire . Les paraplégies cérébrales sont bien dues aux
lacté, aux jambes, aux malléoles et au creux poplité gauche. Masses musculaires et téguments de ces régions douloureux au palpe
yant amené l'immo- bilisation indéfinie et la dénutrition du groupe musculaire atteint. Mais ce sont là des faits rares. Les
musculaire atteint. Mais ce sont là des faits rares. Les spasmes musculaires sont exceptionnels dans le tabes et ils sont ra
voquée pendant la perception de ces images, qu'il y ait distraction musculaire , vocale où mentale. L'auteur termine son articl
sent au point d'union du tube médullaire avec le mésoderme (plaques musculaires ). 5° Les rameaux cutanés des nerfs céphaliques
VI. Origine arLlwopatlriyuu (Gilles de la Tourelle). 1'll. Atrophie musculaire par lésion d'un point du faisceau pyra- mitlal.
euse, à travers la substance grise spinale, les nerfs et les fibres musculaires . Ces altérations sont toujours démontrables par
ruite de manière à pouvoir servir pour l'éducation du tact, du sens musculaire , de l'odoral, du goût, de la vue, de l'attention,
es tics quand ils n'existaient pas. G. U. II. Sur un cas d'atrophie musculaire progressive ; par MM. de t3UCK et Deroubaire. (
d'auteurs mettent en doute l'autonomie des divers types d'atrophie musculaire progressive et se rallient à l'idée de l'unité
té de ce processus morbide. D'après ce concept unitaire,l'atr'lphie musculaire progressive serait une affection de l'unité sen
réalisait un type mixte à lésions à la fois spinales, nerveuses et musculaires . De ces rapports entre les formes myopathique,
ntre les formes myopathique, neurale et neuro-spinale de l'atrophie musculaire progressive, les auteurs croient pouvoir conclu
tion. Puis il rapporte deux observations de cas typiques d'atrophie musculaire progressive, et qui ont pré- sente ceci de part
essentir autre chose qu'un affai- hli5scment progressif de la force musculaire dans tous les mem- bres. Inquiet, il entre dans
ulté par suite d'un état de contracture très exagéré. La résistance musculaire est presque nulle. Lasla- tion debout lui est i
. La furce dynamométrique aux mains est nulle. Au coude, la force musculaire des fléchisseurs est diminuée et celle des extens
usqu'aux coudes. La sensibilité osseuse n'est pas atteinte. Le sens musculaire est aboli aux doigts et aux poignets. Les pieds
IQUES. phériquesou alimentaires ; 2» Tous les genres d'épuisement musculaire , nerveux, secrétaire ». Axenfeld et Huchard rec
tantes négatives sont le résultat de l'affaiblisse- mentde la force musculaire par usuro des albuminoïdes ci dimi- nution des
re et ne manifeste aucune tendance à se transformer en une atrophie musculaire progressive. Une infection et une vulnérabi- li
hez l'un, en deux fois distante de trois ans chez l'autre, atrophie musculaire sans hypertrophie préa- lable, - lordose consid
rtent une observation très intéressante. L, W AH ? XXII. Atrophie musculaire du type Aran-Duchenne d'origine syphilitique; p
ité. Il s'accompagne le plus souvent de tremblement ou de secousses musculaires dont le malade a conscience, d'exagération des
cience, d'exagération des réflexes patellaires et d'autres réflexes musculaires et parfois de trépidation épiloploidc. Souvent
cellules motrices corticales et médullaires se fatiguent, le tonus musculaire néces- saire au réflexe s'affaiblit. Puis petit
ne- ment central des mouvements et sur la marche des mou- vements musculaires , et de même sur les excitations mo- trices cent
he en avant et au membre inférieur droit en arrière. La sensibilité musculaire paraissait également altérée, aussi D ? ne perc
-diagnostic, la ponction lombaire, l'examen histologique des fibres musculaires sur le vivant, l'cxa- men du sang, etc., etc.,
sure des albuminoïdes et à l'intoxication du muscle par les toxines musculaires issues de la décomposition des matières albumin
a diminution de a montre que 1 intoxication produite par le travail musculaire est beaucoup moins forte quand le sujet a pris
es. L'accumulation de fatigue chez les personnes normales csrdônc musculaire et tièntprincipalement à l'intoaica 11Õn-parIëS
qui se produit sous l'a- nc"thésie est indépendante de la tonicité musculaire puisqu'elle existe pendant la phase d'atonie et
terne de l'oeil. Pas de nystagmus. Légère di- minution ,le la force musculaire du membre supérieur gauche. L'intervention d'ur
es plus nombreux : signe de liomberg, signe d'Argyll, perle du sens musculaire , incoordination motrice, crises gastriques, dou
thénie neuro-musculaire qui est la traduction d'un état d'hypotonus musculaire se rencontre chez les vertigineux et dans diver
L'asthénie digestive sous la dépendance de l'hypotonus des libres musculaires se rencontre souvent dans les états vertigineux
BLE DURS MATIERES. tante, par d' lLundo, p. 144. Sur un cas d' -- musculaire progressive, par de Buck et Deroubaix, p. 155
de Buck et Deroubaix, p. 155. Nosogra- phie et pathogénie de 1' musculaire progressive, par Valobra, p. 156. - mus- cula
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