âme est donc la source de l'expression; c'est elle qui met en jeu les
muscles
et qui leur fait peindre sur la face, en traits c
ées, provoquant, à l'aide de courants électriques, la contraction des
muscles
de la face, pour leur l'aire parler le langage
pression de la physionomie. Il m'a donc été possible, en remontant du
muscle
expressif à l'àme qui le met en action, d'étudier
ignes expressives de la face pendant la contraction électrique de ses
muscles
. En résumé, je ferai connaître par l'analyse él
nvier 1850. Recherches électro-physiologiques sur les fonctions des
muscles
de la face. Mémoire adressé à l'Académie de médec
i 1851). Recherches électro-physiologiques et pathologiques sur les
muscles
qui meuvent l'épaule sur le tronc et le bras sur
logiques et pathologiques sur l'action particulière et les usages des
muscles
qui meuvent le pouce et les doigts de la main. Mé
action spéciale de l'électricité d'induction sur la force tonique des
muscles
(Bull, gén. de Ihérap., 1853, p. 337). Recherch
t. 1er). Recherches électro-physiologiques et pathologiques sur les
muscles
qui meuvent le pied sur la jambe. Mémoire présent
1858. De la valeur de la faradisation de la corde du tympan et des
muscles
moteurs des osselets appliquée au traitement de l
urdi-mutité nerveuse par la faradisation de la corde du tympan et des
muscles
moteurs des osselets (Bull, de thérap., 1861).
sifs de la face en recherchant quelle était alors l'action propre des
muscles
de cette région. Je vais rappeler seulement les t
'OEIL HISTORIQUE. De tout temps les anatomistes ont'reconnu que les
muscles
de la face président à l'expression symptomatique
peinture et de sculpture. déterminer la part exacte qui revient aux
muscles
delà face-dans le jeu des passions (I ) ; il y a
ns le jeu des passions (I ) ; il y a moins étudié l'action propre des
muscles
que l'influence des nerfs sur la physionomie. I
» Lorsqu'on pleure, la 'seule différence consiste en ce que tous les
muscles
qui sont mus par la cinquième paire de nerfs sont
étaient encore ignorées. Aujourd'hui, on sait que les mouvements des
muscles
de la face sont sous la dépendance du premier de
je prouverai môme qu'elle n'est applicable qu'à un certain nombre de
muscles
, et qu'il serait impossible d'expliquer, de cette
culier et détaillé de l'usage et des effets physionoiniques de chaque
muscle
; il est entré, à cette occasion, dans des dévelop
blicité avant le travail de Moreau (de la Sarthe), la physiologie des
muscles
de la face lui devrait certainement un progrès.
vrait certainement un progrès. Ses idées sur l'action propre de ces
muscles
et sur la ma* (I) Larl de connaître les hommes
ié un pou plus spécialement que ces prédécesseurs l'action propre des
muscles
de la face: mais les faits historiques qui précèd
Les traités de myologie nous offrent, après la description de chaque
muscle
, un expos;') plus ou moins étendu de leurs usages
un de nos auteurs (ceux qui l'ont précédé) n'a examiné comment chaque
muscle
se contracte en particulier, soit sous l'influenc
d'ensemble, l'expression ou les gestes. » Sarlau-dière a attribué aux
muscles
auriculaires une influence sur l'expression! C'ét
les voici, d'après le professeur Bérard : « 1° Tantôt le relief des
muscles
, pendant la production de certains mouvements, tr
t la configuration des surfaces articulaires indiquait les usages des
muscles
voisins. Jamais un muscle passant sur une articul
aces articulaires indiquait les usages des muscles voisins. Jamais un
muscle
passant sur une articulation ginglymoïdale n'y dé
re de touche de l'action musculaire. » Étant donnée la notion qu'un
muscle
se raccourcit pendant son action, ou plutôt que s
ourcissent (ce qui n'est pas tout à fait la môme chose), disséquez un
muscle
sur le cadavre, imprimez différents mouvements à
t, vous pourrez prononcer, presque à coup sûr, que, sur le vivant, le
muscle
contribue à amener la position dans laquelle vous
me l'a appris; il a dû se présenter au premier anatomiste qui vit un
muscle
se raccourcir pendant sa contraction. » h° Enfi
n, lorsque do vives controverses s'élevaient sur l'action de certains
muscles
, il n'était pas rare qu'on en appelât aux vivisec
assez avancé clans la connaissance des usages particuliers de chaque
muscle
; niais je ne pense pas comme lui, cependant, que
cherches électro-physiologiques, on possédait sur l'action propre des
muscles
de la main des notions tellement incomplètes, qu'
— Les notions physiologiques étaient également insuffisantes pour les
muscles
qui meuvent le pied et pour ceux de quelques autr
membres, l'action individuelle et les fonctions d'un grand nombre de
muscles
, la difficulté est bien plus grande encore à la f
as pour la plupart applicables. Ainsi : 1° à la face, il est peu de
muscles
dont on puisse reconnaître l'action par leur gonf
de surfaces articulaires dont la configuration indique les usages des
muscles
voisins; S0 cette véritable pierre de touche de l
action musculaire, qui consiste à rapprocher les deux extrémités d'un
muscle
de manière ci le mettre dans le relâchement (ce q
tre dans le relâchement (ce qui permet d'en déduire à coup sûr que ce
muscle
contribue à ramener la position dans laquelle on
tels modes d'exploration pour arriver à connaître l'action propre des
muscles
de la face, les rides, les plis, les reliefs nomb
à la peau ? Ils no pourraient, en un mot, montrer l'influence que ces
muscles
exercent sur l'expression. On doit vraiment adm
ui ont pu deviner, pour ainsi dire, l'action expressive de certains
muscles
de la face, quoiqu'ils aient été privés de tout m
s bientôt démontrer, en effet, qu'à la vue des mouvements de certains
muscles
du sourcil, on éprouve une sorte de mirage qui fa
es du visage, sont nécessairement perpendiculaires à la direction des
muscles
. S'ensuit-il donc que dans tout mouvement express
uit-il donc que dans tout mouvement expressif on peut reconnaître les
muscles
en action par la direction des rides? En d'autres
termes, étant donnée une ride produite par un mouvement expressif, le
muscle
qui croise la direction de cette ride se trouve-t
es sillons et des reliefs dus à la prédominance tonique de tel ou tel
muscle
de cette région, prédominance qui varie à l'infin
des du visage sont nécessairement perpendiculaires à la direction des
muscles
. La commissure a été mise en mouvement par le gra
je viens de dire du grand zygomatique est applicable à la plupart des
muscles
expressifs de la face. III. ORIGINE DE MES RE
ontraction simultanée (synergique) d'un plus ou moins grand nombre de
muscles
. La nature n'a pas donné à l'homme le pouvoir de
me le pouvoir de localiser l'action du fluide nerveux dans tel ou tel
muscle
, de manière à en provoquer la contraction isolée.
alyser, comment arriver à connaître exactement l'action propre de ses
muscles
? S'il était possible de maîtriser le courant él
iculier, avec quelle facilité on déterminerait l'action propre de ses
muscles
! Armé de rhéophores, on pourrait, comme la natur
sans l'intéresser et sans l'exciser, de concentrer son action dans un
muscle
ou dans un faisceau musculaire, dans un tronc ou
de voir se dessiner sous l'instrument les plus petites radiations des
muscles
. Leur contraction révèle leur direction et leur s
de médecine de Paris, une série de mémoires intitulés : Fonctions des
muscles
de la face démontrées par iélectrisation localisé
e C. Bell et Sarlandière avaient essayé d'étudier l'action propre des
muscles
de la face au moyen de la galvanisation. Ces aute
a-tion, qui seule permet de déterminer exactement l'action propre des
muscles
et de décomposer les mouvements. Ces premières
giques de la face. Et puis, quelle part fallait-il faire à chacun des
muscles
de la face pour l'influence qu'ils exercent sur l
naître et juger le degré d'influence exercée sur l'expression par les
muscles
de la face, j'ai provoqué la contraction de ces d
était alors fixe et dirigé devant lui. .l'ai d'abord mis chacun des
muscles
partiellement en action, tantôt d'un seul côté, t
s variant autant que possible, c'est-à-dire en faisant contracter les
muscles
de noms différents, deux par deux, trois par troi
par ces contractions partielles et par ces contractions combinées des
muscles
de la face. contractions partielles des MUSCLES
tions combinées des muscles de la face. contractions partielles des
MUSCLES
DE LA FACE. L'étude expérimentale des contracti
S DE LA FACE. L'étude expérimentale des contractions partielles des
muscles
de la lace apprend qu'elles sont, ou complètement
\. — Contractions iMirliclicH complètement expressives. 11 est des
muscles
qui jouissent du privilège exclusif de peindre co
paraît paradoxale; car, bien que Ton ait accordé à un petit nombre de
muscles
une influence spéciale sur la physionomie, on n'e
professé que toute expression exige le concours, la synergie d'autres
muscles
. J'ai partagé, je l'avoue, cette opinion, que j
ches, en effet, j'avais remarqué que le mouvement partiel de l'un des
muscles
moteurs du sourcil produisait toujours une expres
une expression complète sur la face humaine. 11 est, par exemple, un
muscle
qui représente la souffrance. Eh bien! sitôt (pie
duite parla contraction synergique d'un plus ou moins grand nombre de
muscles
, quoique je n'en eusse excité qu'un seul. C'était
que j'avais été le jouet d'une illusion. Un jour que j'excitais le
muscle
de la souffrance, et au moment où tous les traits
passion ou chaque sentiment, il eût été nécessaire de mettre tous les
muscles
simultanément en jeu, afin de modifier les traits
Les traits qui représentent l'image d'une passion étant réduits à un
muscle
ou à un petit nombre, et dans un point limité de
ez nombreuses, il ne fallait pas trop multiplier les contractions des
muscles
qui servent à en tracer les signes et dont le nom
l-ncUollS lHII'liclICS ¦HfOlUItlrlCIIlCIll OXlU'OSSiV»'*; Parmi les
muscles
qui sont situés au-dessous du sourcil, il en est
sur la physionomie; mais alors cette expression est incomplète. Ces
muscles
sont éminemment expressifs ; leur action individu
t à mes expériences. L'expérimentation m'a quelquefois appris quels
muscles
doivent alors entrer synergiquement en contractio
actions partielles expressives complémentaires. Isolément, quelques
muscles
situés au-dessous du sourcil n'expriment absolume
e représenter spécialement des passions en se combinant avec d'autres
muscles
, et qu'ils soient destinés à venir en aide à cert
eur imprimer un autre caractère. J'en citerai un exemple. Il est un
muscle
qui attire obliquement en bas et en dehors tous l
moindre signe physionomique qui décèle une expression quelconque. Ce
muscle
produit seulement une déformation des traits. Mai
rmation des traits. Mais, dès l'instant que l'on marie l'action de ce
muscle
avec celle de tel ou tel autre, on fait apparaîtr
. — Contractions partielles inexpressives. Il n'est pas un seul des
muscles
de la Lace qui ne soit mis synergiquement en acti
ise un mouvement très appréciable. Au point de vue physionomique, ces
muscles
doivent donc être considérés comme inexpressifs.
tre considérés comme inexpressifs. II. CONTRACTIONS COMBINÉES DES
MUSCLES
DE LA FACE. Les combinaisons musculaires de la
sculaires de la face s'obtiennent en excitant simultanément plusieurs
muscles
de noms différents, d'un coté ou des deux côtés à
nt parfaitement dessinées par les contractions partielles de certains
muscles
, tandis que d'autres expressions originelles, qui
les, qui individuellement sont aussi représentées spécialement par un
muscle
, ont besoin cependant, pour être complètes, du co
pendant, pour être complètes, du concours d'un ou de plusieurs autres
muscles
. J'ai fait contracter tour à tour chacun des mu
usieurs autres muscles. J'ai fait contracter tour à tour chacun des
muscles
de la face, conjointement avec les muscles incomp
ter tour à tour chacun des muscles de la face, conjointement avec les
muscles
incomplètement expressifs. Ces combinaisons muscu
ent expressifs. Ces combinaisons musculaires m'ont fait connaître les
muscles
complémentaires de ces derniers; elles m'ont appr
les muscles complémentaires de ces derniers; elles m'ont appris qu'un
muscle
expressif complémentaire ne peut être suppléé par
muscle expressif complémentaire ne peut être suppléé par aucun autre
muscle
, et qu'il est toujours l'auxiliaire nécessaire de
e muscle, et qu'il est toujours l'auxiliaire nécessaire de tel ou tel
muscle
incomplètement expressif. Elles m'ont enseigné en
binaisons musculaires expressives, il m'ait fallu mettre plus de deux
muscles
simultanément eu action, lorsque j'ai voulu repro
ctions partielles complètement expressives, ou par la combinaison des
muscles
incomplètement expressifs avec les muscles expres
ou par la combinaison des muscles incomplètement expressifs avec les
muscles
expressifs complémentaires) sont primordiales; ca
ynergie du grand zygomalique et cle Yorbicu-laire inférieur (l'un des
muscles
moteurs de la paupière inférieure), sont des expr
eté ou de la lubricité, en faisant contracter synergiquement avec les
muscles
précédents le transverse du nez, les traits sensu
actions combinées inexprcssives. Il est rationnel de penser que les
muscles
qui sont les représentants directs de passions co
citateur rencontre un nerf qui anime un plus ou moins grand nombre de
muscles
. La contraction en masse qui en résulte ne produi
sourire au pleurer modéré, et encore mieux à la contraction légère du
muscle
de la souffrance, on obtient une admirable expres
ultat de la contraction synergique d'un plus ou moins grand nombre de
muscles
. Ainsi l'élévation volontaire du bras (de l'humér
olontaire du bras (de l'humérus) est produite par la contraction d'un
muscle
(le deltoïde); nous le sentons durcir sous notre
cliap. II, art. 4 et 5. Irc édit. volontaire du deltoïde, un autre
muscle
(le grand dentelé), qui fixe puissamment le bord
ère de parler — par une divine fantaisie, mettre en action tel ou tel
muscle
, un seul ou plusieurs muscles à la fois, lorsqu'i
e fantaisie, mettre en action tel ou tel muscle, un seul ou plusieurs
muscles
à la fois, lorsqu'il a voulu (pie les signes cara
ctive d'exprimer toujours ses sentiments par la contraction des mêmes
muscles
. (I) Loc. cil., 2e partie. Il était certainem
endre harmonieux que la nature a mis au service de chaque passion les
muscles
homologues (de même nom), en nous privant de la f
es derniers mouvements de ceux qui appartiennent à l'action propre du
muscle
excité ? En général, ces mouvements involontair
es résultats parfaitement identiques. La contraction partielle d'un
muscle
qui préside à une expression ne pourrait-elle pas
s involontaires? La face, par exemple, met toujours en mouvement deux
muscles
, dont l'un dessine les lignes fondamentales d'un
er en temps opportun). Eh bien ! l'excitation artificielle du premier
muscle
ne fait-elle pas naître une impression intérieure
pression ne provoque-t-elle pas, à son tour, la contraction du second
muscle
? C'est ce qu'on appellerait un phénomène sympath
que en physiologie. Il en résulterait ([ue l'on ne pourrait mettre un
muscle
expressif isolément en contraction, sans provoque
isolément en contraction, sans provoquer l'action synergique d'autres
muscles
, satellites habituels de la passion dont il est l
ites sur des sujets récemment morts, chez lesquels la contraction des
muscles
de la face a produit des mouvements expressifs, a
des nerfs moteurs du membre excité, de manière à réagir sur certains
muscles
qui alors entrent en contraction. On voit donc qu
) que Vexpression qui se produit pendant l'excitation électrique d'un
muscle
quelconque fût le résultat d'un ensemble de contr
hes électro-physiologiques, pour ce qui a trait à l'action propre des
muscles
non-seulement de la face, mais aussi des membres.
, Iro édit., I83Ü, p. 30, et -2e edil., -I8G2, ». 3i. isolément des
muscles
humains, misa nu sur certains membres nouvellemen
es mouvements étaient absolument les mômes que lorsque j'excitais les
muscles
homologues des membres non séparés du tronc. J'ai
c. J'ai fait aussi des expériences sur les animaux dont j'excitai les
muscles
de la face, et les mouvements ont été absolument
E L'APPLICATION A L'ANATOMIE ET A LA PHYSIOLOGIE. A. La plupart des
muscles
de la face semblent se continuer les uns dans les
préparations anatomiques qu'il avait faites dans le but d'étudier les
muscles
par leur face postérieure, après avoir détaché de
u'on ne saurait assigner les limites exactes du plus grand nombre des
muscles
de la face. Si cette continuité fibrillaire des
nombre des muscles de la face. Si cette continuité fibrillaire des
muscles
de la face était réelle, leur indépendance serait
it très compromise, sinon annulée. Comment concevoir, en effet, qu'un
muscle
puisse se contracter dans une portion de sa longu
fibrillaire (t) qui convertit, pour ainsi dire, en un masque tous les
muscles
de la face, on ne peut s'expliquer le mécanisme d
aît pour cliefliellingeri, célèbre analoniisle italien. de quelques
muscles
que Ton croyait se continuer les uns dans les aut
les uns dans les autres, ce qui, depuis lors, a été confirmé pour un
muscle
(le pyramidal du nez) à l'aide du scalpel. B. L
alpel. B. L'électro-physiologie démontre l'existence, à la face, de
muscles
qui ne sont ni classés ni dénommés. J'en vais cit
ns les grandes émotions. L'ana-tomie morte en est encore à trouver un
muscle
qui puisse expliquer ce mouvement : elle va même
s musculaires dans l'aile du nez (1). J'espère pouvoir montrer que ce
muscle
a été confondu avec un autre muscle connu sous le
. J'espère pouvoir montrer que ce muscle a été confondu avec un autre
muscle
connu sous le nom de myrliforme, composé lui-môme
muscle connu sous le nom de myrliforme, composé lui-môme de plusieurs
muscles
dont les fonctions sont opposées. L'anatomie mo
pposées. L'anatomie morte a confondu dans une môme dénomination des
muscles
qui possèdent une action indépendante, sous l'inf
électrique, comme pour les mouvements volontaires et instinctifs, des
muscles
enfin qui sont destinés à des fonctions essentiel
sont destinés à des fonctions essentiellement différentes. Dans le
muscle
dit sphincter des paupières, par exemple, dont on
scle dit sphincter des paupières, par exemple, dont on a fait un seul
muscle
, on trouve quatre muscles indépendants qui présid
upières, par exemple, dont on a fait un seul muscle, on trouve quatre
muscles
indépendants qui président à des expressions dive
es erreurs physiologiques que l'on avait commises en attribuant à des
muscles
des mouvements auxquels ils étaient étrangers, et
ainsi que le peaucier, qui jusqu'ici a été oublié ou mal étudié comme
muscle
expressif, concourt spécialement à peindre avec u
ère, la torture, etc. .l'en pourrais dire autant de quelques autres
muscles
presque méconnus, de ceux principalement qui meuv
émontrer dans les considérations suivantes : .%. — nénombrcmcnt des
muscles
expressifs et des expressions obtenues dans mes e
écédemment (article II) qu'il existe une sorte de hiérarchie pour les
muscles
expressifs de la face humaine, c'est-à-dire que c
e la physionomie. On peut en effet ranger dans un premier ordre les
muscles
qui, en se contractant partiellement, possèdent l
s ou des états divers de l'esprit. Un deuxième ordre se compose des
muscles
qui, de môme que ceux du premier ordre, dessinent
peindre complètement. Dans un troisième ordre, enfin, on trouve les
muscles
qui sont destinés, en s'associant avec d'autres m
on trouve les muscles qui sont destinés, en s'associant avec d'autres
muscles
, à exprimer spécialement certaines passions ou à
pressifs. Voici, dans la table synoptique suivante, la liste de ces
muscles
expressifs, rangés d'après ces différents ordres
sifs, rangés d'après ces différents ordres : TABLE SYNOPTIQUE. 1°
Muscles
complètement expressifs. Fuontal............Mus
e de la douleur. Pyramidal du nez.......Muscle de l'agression. 2°
Muscles
incomplètement expressifs et expressifs complémen
inateur..........Muscle de l'ironie. Triangulaire des lèvres. . . «
Muscle
de la tristesse, du dégoût, et complémentaire d
istesse, du dégoût, et complémentaire des expressions agressives.
Muscle
de la houppe du menton. Muscle du dédain et du do
mentaire des expressions agressives. Muscle de la houppe du menton.
Muscle
du dédain et du doute. Peaucier............Muscle
stesse, de l'humilité. On pourrait former un dernier ordre avec les
muscles
qui, sans aucun doute, sont mis en action par que
nt sur la physionomie aucune ligne expressive apparente : ce sont les
muscles
auriculaires et les muscles du pavillon. Je ran
ligne expressive apparente : ce sont les muscles auriculaires et les
muscles
du pavillon. Je rangerai aussi dans cet ordre u
res et les muscles du pavillon. Je rangerai aussi dans cet ordre un
muscle
qu'il ne m'a pas été possible de faire contracter
ne puis en conséquence décrire exactement l'action propre : c'est le
muscle
canin. b. Il est également ressorti des faits é
sions primordiales sont produites par les contractions partielles des
muscles
complètement expressifs ou par la combinaison des
tielles des muscles complètement expressifs ou par la combinaison des
muscles
incomplètement expressifs avec des muscles expres
ou par la combinaison des muscles incomplètement expressifs avec des
muscles
expressifs complémentaires. Les expressions com
o-physiologique. TABLKAU SYNOPTIQUE EXPRESSIONS PRIMORDIALES.
MUSCLES
OUI LES PRODUISENT. 1° Par la conlraclkm part
MUSCLES OUI LES PRODUISENT. 1° Par la conlraclkm partielle des
muscles
complètement expressifs. Attention....... Réf
Agression., méchanceté ........ 2° Par la contraction combinée îles
muscles
incomplètement expressifs et des muscles expressi
la contraction combinée îles muscles incomplètement expressifs et des
muscles
expressifs complémentaires. Pleurer à chaudes l
ris......... Frontal. Orbiculaire palpébral supérieur (portion du
muscle
dit sphincter des paupières); contraction modérée
n du muscle dit sphincter des paupières); contraction modérée. Môme
muscle
; contraction forte. Même muscle; contraction tr
ières); contraction modérée. Môme muscle; contraction forte. Même
muscle
; contraction très forte. Sourcilier. Pyramida
que et orbiculaire palpébral inférieur ; contraction modérée. Mêmes
muscles
et palpébraux. Grand zygomatique seul. Buccin
ns complexes PAR LA COMBINAISON des EXPRESSIONS PRIMORDIALES.
MUSCLES
qui les produisent. Surprise........ Étonneme
traction. Même combinaison musculaire, au maximum de contraction.
Muscles
de l'étonnement associés à ceux de la joie. Fro
IONS COMPLEXES PAR LA COMBINAISON des EXPRESSIONS I'RIMORMALES.
MUSCLES
OUI LES PRODUISENT. Délire sensuel. . . . E
rmes, affliction. . Douleur avec abattement, désespoir. . . Mêmes
muscles
que ci-dessus, regard tourné en haut et latéralem
es. On remarque, clans le tableau précédent, qu'en général plus les
muscles
de la face sont situés supérieurement, plus leur
let, lorsqu'ils se contractent partiellement. On voit aussi que ces
muscles
ne sont pas seulement destinés à représenter l'im
l'homme, — et cela seulement par la contraction partielle de l'un des
muscles
moteurs du sourcil! —la réflexion, le plus import
ériences, ainsi que je l'ai déjà démontré, que c'est toujours un seul
muscle
qui exécute le mouvement fondamental, représentan
ents déterminés par l'action nerveuse, volontaire ou instinctive, les
muscles
possèdent encore une force qui ne sommeille jamai
C'est eu vertu de cette force tonique que les extrémités libres d'un
muscle
coupé, chez le vivant s'éloignent l'une do l'autr
, chez le vivant s'éloignent l'une do l'autre en se rétractant. Les
muscles
sont donc des espèces de ressorts qui, dans l'int
nsations, et qu'il commence à ressentir l'influence des passions, les
muscles
de sa face entrent en action pour les peindre sur
a face entrent en action pour les peindre sur son visage. Ceux de ses
muscles
qui sont le plus souvent exercés par cette sorte
t l'influence des modifications éprouvées par la force tonique de ses
muscles
, ou, suivant une comparaison triviale que j'ai dé
'est que l'artiste avait de fréquentes occasions d'étudier le jeu des
muscles
sur des sujets qui possédaient à la fois la force
t bien moins utile encore à la face, où, à peu d'exceptions près, les
muscles
en contraction ne font aucun relief sous la peau.
à l'artiste, de connaître la situation , la forme et la direction des
muscles
de la face, de savoir que tel ou tel de ces muscl
la direction des muscles de la face, de savoir que tel ou tel de ces
muscles
préside à l'expression de la* joie, du chagrin, d
us ses plis, de toutes ses rides, en provoquant la contraction de ses
muscles
partiellement ou par groupes, est destinée à repr
et, à ses passions violentes, et cela en vertu de la prédominance des
muscles
les plus exercés par ce que l'on peut appeler gym
qui représentent, comme la nature, les traits expressifs propres aux
muscles
interprètes des passions, en apprend mille fois p
ose : 1° d'exposer quelques considérations anatomiques sur chacun des
muscles
qui concourent à l'expression; 2° de décrire leur
ctro-physiologiques............. 7 I. — Contractions partielles des
muscles
de la face.......... 18 A. Contractions partiel
expressives.................... 25 II. — Contractions combinées des
muscles
de la face........... 25 A. Contractions combin
ue de l'application a la psychologie........ il A. Dénombrement des
muscles
expressifs et des expressions obtenues dans mes e
ant impossible de maintenir longtemps au même degré de contraction le
muscle
, dont l'irritabilité, après quelques secondes d'a
res photographiées. Elles sont consacrées à l'étude expérimentale des
muscles
de l'attention (le frontal), de la réflexion (l'o
évateur commun de F aile du nez et de la lèvre supérieure), enfin des
muscles
complémentaires de la surprise ou de l'étonnement
complémentaire de la frayeur, de l'effroi (lepeaucier). L'étude des
muscles
de la face dont il m'a été (1) De 1856 à 1857,
s 1, 2, 3, à, 5, 6. LÉGENDE. Fig. 1. — Préparation anatomique des
muscles
de la face.— A. Frontal, muscle de Y attention.
g. 1. — Préparation anatomique des muscles de la face.— A. Frontal,
muscle
de Y attention. — B. Orbiculaire palpé- bral su
tal, muscle de Y attention. — B. Orbiculaire palpé- bral supérieur,
muscle
de la réflexion. — C, D. Palpébraux supérieur e
muscle de la réflexion. — C, D. Palpébraux supérieur et inférieur,
muscle
du mépris et complémen- 1 Lairc du pleurer. —
plémen- 1 Lairc du pleurer. — E. Orbiculaire palpébral inférieur,
muscle
de la bienveillance et complémentaire de la joie
illance et complémentaire de la joie franche. — F. Petit zygomatique,
muscle
du pleurer modéré et du chagrin. — G. Elévateur p
r modéré et du chagrin. — G. Elévateur propre de la lèvre supérieure,
muscle
du pleurer, — H. Élévateur commun Fie. 1. de
vateur commun Fie. 1. de la lèvre supérieure et de l'aile du nez,
muscle
du pleurnicher. — I. Grand zygomatique, muscle de
e et de l'aile du nez, muscle du pleurnicher. — I. Grand zygomatique,
muscle
de h joie. — K. Masséter. — L. Orbiculaire des lè
Masséter. — L. Orbiculaire des lèvres. — M. Triangulaire des lèvres,
muscle
de la tristesse et complémentaire des passions ag
aire des passions agressives. — N. Houppe du menton. — 0. Sourcilier,
muscle
de la douleur. — P. Pyramidal du nez, muscle de Y
menton. — 0. Sourcilier, muscle de la douleur. — P. Pyramidal du nez,
muscle
de Y agression.—Q. Transverse du nez, muscle de l
. — P. Pyramidal du nez, muscle de Y agression.—Q. Transverse du nez,
muscle
de la lasciveté, de la lubricité. — 11. Dilatateu
e la lasciveté, de la lubricité. — 11. Dilatateur des ailes du nez,
muscle
complémentaire des expressions passionnées. — U.
muscle complémentaire des expressions passionnées. — U. Buccinaleur,
muscle
de Y ironie. — Y. Fibres profondes de l'orbiculai
e des lèvres se continuant avec le buccinateur. — X. Carré du menton,
muscle
complémentaire de Y ironie et des passions agress
complémentaire de Y ironie et des passions agressives. — Y. Peaucier,
muscle
de la frayeur, de Y effroi et complémentaire de l
oro-faciale. — E. Branche cervico-faciale. — A. B. Filets moteurs des
muscles
auriculaires postérieur et supérieur. — C. Filet
es muscles auriculaires postérieur et supérieur. — C. Filet moteur du
muscle
occipital. — S. Branche au-riculo-temporal de la
nche au-riculo-temporal de la cinquième paire. — T. Rameau moteur des
muscles
orbiculaire inférieur des lèvres, carré du menton
e rhéophore est en rapport avec un rameau nerveux qui anime plusieurs
muscles
, l'clectrisation musculaire do la face ne produit
e. Électrisation du rameau temporo-facial ; contraction de tous les
muscles
animés par lui; grimace semblable à celle qui est
expressives, et facilite en même temps l'élec-trisation partielle des
muscles
de la face. S0 A cette figure triviale je n'ai
ériences, parce que, sans être très douloureuse, l'élcc-Irisation des
muscles
de la face provoque souvent des mouvements involo
t de la douleur, au point que je faisais contracter partiellement ses
muscles
avec autant de précision et de sûreté fine sur le
moins saisissantes de vérité. (1) Il était alfcclé d'un spasme des
muscles
rotateurs droits de la tête, spasme qui se monlra
sme musculaire jone-Wmnel). .le l'en ai guéri par l'éleelrisalion des
muscles
antagonistes. J'aurai cependant à reproduire qu
r l'électrisation localisée. Les moteurs du sourcil sont, de tous les
muscles
expressifs, ceux qui obéissent le moins à la volo
c une parfaite vérité la plupart des expressions propres à chacun des
muscles
du sourcil. Il a eu l'obligeance de se prêter à u
. J'ai aussi fait mouvoir individuellement, parla faradisation, les
muscles
moteurs de son sourcil, et j'ai constaté que les
nts expressifs du sourcil qu'il peut produire lui-même. Un seul des
muscles
du sourcil échappe à son pouvoir; j'en représente
ctrisation que j'ai employé pour obtenir la contraction partielle des
muscles
de la face. On remarque que les rhéophores, ten
ermédiaire des fds conducteurs du courant et sont posés au niveau des
muscles
de la joie (I, %. 1). — Les lignes expressives de
s peuvent être produites sous l'influence de Faction partielle de ces
muscles
, si je leur avais envoyé le courant de mon appare
nt doivent être assez rapides et égales pour éviter le tremblement du
muscle
pendant qu'il est mis en contraction ; la gradati
ision et s'approprier au degré d'excitabilité différent de chacun des
muscles
de la face. 2° Les rhéophores, aussi petits que
ace. — On les voit sur la figure 2, où les filets nerveux moteurs des
muscles
de la face ont été disséqués avec le plus grand s
er complètement à cet art de localiser le courant électrique dans les
muscles
de la face, exposer des détails anatomiques et pr
du grand zygoma-tique aurait dû produire la contraction isolée de ce
muscle
, ainsi qu'on l'observera dans la figure 30; mais
ptième paire (voy. G, fig. 2), a provoqué la contraction en masse des
muscles
animés par ce tronc nerveux, et n'a pu produire q
e grimace. (1) Ces détails sont exposés dans ma Monographie sur les
muscles
de la face et dans mon Traité de l'électrisation
muscles de la face et dans mon Traité de l'électrisation localisée.
MUSCLE
DE L'ATTENTION (frontal, A, fig. 1). Figures 7,
é.) Fig. 7. — Destinée à l'étude du mécanisme et de l'expression du
muscle
frontal chez un -vieillard (voy. son portrait pho
ié, fig. 3). A droite, excitation électrique, à un degré modéré, du
muscle
frontal; lignes fondamentales (élévation et courb
et se continuent sur la ligne médiane pendant la contraction des deux
muscles
frontaux. Excitation électrique modérée des deu
eux frontaux : attention. Fig. 9.— Destinée à l'étude expressive du
muscle
frontal, au maximum de contraction. A droite, e
um de contraction. A droite, excitation électrique, au maximum, des
muscles
frontaux : grande attention. A gauche, repos de
hysionomie. Fig. 10. — Destinée à l'étude des lignes expressives du
muscle
frontal chez une petite fille (voy. son portrait,
ATION DE LA LÉGENDE. A. — Mécanisme. L'électrisation localisée du
muscle
frontal (A, fig. 1) se pratique en posant l'un de
ig. 2), comme dans les figures?, 8, 9, 10, 11. Dans la figure 7, le
muscle
frontal droit a été excité modérément, par l'inte
u repos. On voit, du côté excité (à droite) : 1° que non-seulement ce
muscle
élève considérablement le sourcil, mais qu'il lui
igure 8 montre la contraction électrique, à un degré modéré, des deux
muscles
frontaux. Les rides frontales, on le voit, s'éten
'un des pôles (le pôle positif) du courant. Dans la figure 9, où le
muscle
frontal est représenté au maximum de contraction,
etite fille sur laquelle j'ai fait contracter modérément (fig. 10) le
muscle
frontal était âgée de neuf ans. On constate que s
ntales, qui sont les lignes secondaires expressives, produites par le
muscle
frontal. B. — Expression. Masquez le côté dro
ionomie est plus tranquille; le sujet est seulement attentif. Ill
MUSCLE
DE LÀ RÉFLEXION (orbiculaire palpébral supérieu
MUSCLE DE LÀ RÉFLEXION (orbiculaire palpébral supérieur, portion du
muscle
dit sphincter des paupières, B, fig. 1). Figure
ainsi que la figure 13, à l'étude du mécanisme et de l'expression du
muscle
orbiculaire palpebral supérieur (B, fig. 1), chez
; son front s'était ridé transversalement, dans toute sa largeur; son
muscle
frontal, en un mot, était légèrement en action et
est artificiel ; que le courant électrique seul a fait contracter le
muscle
qui représente la réflexion, la pensée. Le viei
nt de cette expression, j'ai toujours vu la contraction modérée de ce
muscle
imprimer sur la face le cachet de la réflexion.
rément élevés trahissent la légèreté ou l'étourderie. On aurait vu le
muscle
de la réflexion, obéissant à mes rhéophores, fixe
re la figure 13 à la figure 12. Ces deux figures représentent le môme
muscle
en contraction chez le même individu, mais à des
urmentés par la pensée, annoncent un travail laborieux de l'esprit.
MUSCLE
DE L'AGRESSION (pyramidal du nez, P, iig. 1).
la tête des sourcils et consé-quemment la complète indépendance de ce
muscle
. En effet, les rhéophores ayant été posés sur la
n haut, en sens inverse du pyramidal ; ce qui démontre que ce dernier
muscle
est non-seulement indépendant du frontal, mais qu
on transversal qui indique la terminaison supérieure et cutanée de ce
muscle
se dessiner d'une manière aussi prononcée que che
agression. On observe ce phénomène expressif dans la figure 16. Les
muscles
pyramidaux y sont mis en effet énergiquement en c
ce sujet. De quelque manière que je m'y sois pris, en tourmentant ses
muscles
, je n'ai pu appeler sur sa physionomie une expres
ment que le sujet dont il est ici question s'est exercé à mouvoir les
muscles
de ses sourcils. Il en est tellement maître, que
t les mouvoir en sens contraire. Cependant, malgré son empire sur les
muscles
moteurs de son sourcil, sa volonté n'exerce pas l
de la méchanceté. Ce fait s'explique par le peu de développement des
muscles
qui représentent cette passion, muscles qui, chez
r le peu de développement des muscles qui représentent cette passion,
muscles
qui, chez lui, n'obéissent qu'aux rhéophores, ain
ue son sourcil est très mobile en tout sens et obéit facilement à ses
muscles
moteurs. On a vu dans le paragraphe précédent a
ction énergique de l'orbiculaire palpébral supérieur. A l'appel de ce
muscle
, on a vu apparaître, à l'aide d'une forte excitat
générale du pyramidal sur la physionomie, quoique l'expression de ce
muscle
, qui n'a été mis en action que d'un côté, soit mo
ile de limiter très exactement dans un seul côté l'action propre d'un
muscle
aussi petit que le pyramidal. C'est pourquoi on r
ction combinée du pyramidal et du triangulaire des lèvres. Ce dernier
muscle
(je puis le dire par anticipation) n'exprime par
plus méchant? 11 annonce un instinct féroce ; c'est l'œil du tigre.
MUSCLE
DE LA DOULEUR (sourgilieb, 0, fig. 1). Figures
CATION DE LA LÉGENDE. (L'action du sourcilier est si peu connue, ce
muscle
joue un rôle si important dans l'expression de la
gique est tellement importante, que j'ai dû consacrer à l'étude de ce
muscle
un plus grand nombre de figures que pour celle de
étude de ce muscle un plus grand nombre de figures que pour celle des
muscles
moteurs du sourcil.) A. — mécanisme. Le sourc
une troisième, mais très peu marquée, parce que la contraction de ce
muscle
y est plus forte. — La courbe de ces lignes média
iquité au sourcil, parce que la tête de ce dernier est retenue par un
muscle
pyramidal puissant. Il est ressorti des considé
r expliquent parfaitement le mécanisme des mouvements imprimés par ce
muscle
au sourcil, des reliefs, des méplats et des ligne
s contraire du sourcilier, tandis qu'il est congénère de ce dernier
muscle
pour les deux tiers externes du sourcil. Il a é
rieur, pour la tête du sourcil. Enfin, l'expérience démontre que ce
muscle
est également antagoniste du frontal pour le tier
fait contracter son sourcilier droit. A une excitation modérée de ce
muscle
, le modelé du sourcil et du front n'a pas changé
duire à l'instant les mouvements propres à l'action du premier de ces
muscles
. On voit dans la figure 21, les résultats de ce
peau de son front est sillonnée de rides dans toute sa largeur par le
muscle
frontal. — Ce mouvement était exécuté par la volo
ait disparaître les longues rides transversales propres à l'action du
muscle
frontal. En résumé, il est démontré, d'une part
ement. Aussi ne peut-on regarder le côté droit de la figure 28, où ce
muscle
est excité faiblement chez une petite fille, sans
où l'on voit que sous l'influence de la contraction plus énergique du
muscle
sourcilier, son sourcil est devenu sinueux et plu
hotographié, figure k, s'est exercé à contracter individuellement les
muscles
de son sourcil, de telle sorte qu'il peut mouvoir
lement, c'est-à-dire qu'avec un courant électrique j'ai mis ces mêmes
muscles
en action ; j'ai vu alors se reproduire exactemen
dans les considérations générales dont j'ai fait précéder l'étude des
muscles
expressifs de la face, une question qui me paraît
us haut degré l'étude de l'expression de la physionomie. « Il est des
muscles
, ai-je écrit, qui jouissent exclusivement du priv
eur action partielle, une expression qui leur est propre: ce sont les
muscles
moteurs du sourcil. » 11 n'y avait que l'analys
urcil. » 11 n'y avait que l'analyse anatomique et physiologique des
muscles
de la face qui pût mettre en lumière un fait auss
logiques représentées dans les figures destinées à l'étude des autres
muscles
moteurs des sourcils. Il me reste à en compléter
démonstration à l'aide des figures suivantes, pour ce qui a trait au
muscle
de la douleur, le sourcilier. Si l'on cache le
est plus facile encore à mettre en évidence dans la figure 21, où le
muscle
de la douleur a été excité des deux côtés à la fo
e. En résumé, sous l'influence des mouvements expressifs propres au
muscle
de la douleur, nous éprouvons une illu- sion qu
dans les considérations générales qui précèdent l'étude partielle des
muscles
moteurs de la face. La môme expérience, faite s
de la face. La môme expérience, faite sur les autres figures où le
muscle
de la douleur a été excité partiellement, de mani
propriété expressive. Ce n'est plus alors qu'un violent spasme de ce
muscle
, produit, par exemple, par une vive lumière. Le s
ent. C'est ce que j'ai toujours observé, lorsque la contraction de ce
muscle
était forcée, comme dans cette figure, et qu'en m
naît seulement que les sourciliers sont contractés spasmodiquement.
MUSCLES
DE LA JOIE ET DE LA BIENVEILLANCE (grand zy
econdaires cle la joie, avec légère contraction de quelques fibres du
muscle
dit sphincter des paupières : rire faux. Fig. 3
3zj. — Destinée à montrer, chez le même sujet, que la combinaison du
muscle
de la joie et de la douleur, à un certain degré d
ébraux ; développement des lignes fondamentales propres à l'action du
muscle
de la joie . rire faux. Fig. 36. — Destinée à l
zygoma-tique se fait un peu au-dessous de l'attache supérieure de ce
muscle
, c'est-à-dire 2 centimètres et demi à 3 centimètr
m'est arrivé quelquefois de localiser exactement l'excitation dans ce
muscle
, comme dans le côté droit de la figure 30. Cette
cé, se développent sous l'influence de la contraction énergique de ce
muscle
. J'ai dit ailleurs : 1° que ces lignes fondamen
ore, lorsqu'elle est brûlée par l'air ou par le soleil, et lorsque le
muscle
est fréquemment exercé par la gaieté habituelle.
eté habituelle. B. — Expression. Le grand zygomatique est le seul
muscle
qui exprime complètement la joie, à tous ses degr
ion que l'on puisse tirer de son action expressive, est donc celle de
muscle
de la joie, bien qu'il ne la justifie pas complèt
éablement, et qu'il complète l'expression du sourire et du rire. Le
muscle
qui produit ce relief de la paupière inférieure n
ment du cœur. Non-seulement il égayé l'œil, et à ce titre il est le
muscle
complémentaire du grand zygomatique, pour l'expre
ctueux. Il rend alors le regard bienveillant; aussi peut-on l'appeler
muscle
de la bienveillance. Anatomiquement, je l'ai ap
t été développés et démontrés dans l'article consacré à l'étude de ce
muscle
; j'ai dû, en raison de leur importance, les rapp
zygomatique, comme du côté gauche de la figure 31, où Ton voit que ce
muscle
est contracté légèrement, ce qui donne à ce côté
ui donne à ce côté un rire un peu moins faux que du côté opposé. Ce
muscle
ne peut être sup- 6* pléé, pour sa fonction e
and zygomatique, sur le point où doit s'immerger le nerf moteur de ce
muscle
; ce dernier s'est contracté en produisant les si
s'est au contraire élevée. Or, ce dernier mouvement indique que les
muscles
palpébraux se sont contractés ; ce qui ne peut av
ce qui ne peut avoir lieu que par l'excitation du filet moteur de ces
muscles
. 11 m'eût été facile d'éviter ce filet nerveux et
roduite, on le sait, par le spasme des paupières, y est plus forte.
MUSCLE
DE LA LASCIVETÉ (transverse du nez, q, lig. 1).
) s'obtient en plaçant les rhéophores au niveau du corps charnu de ce
muscle
, comme clans les figures 38, 39, M et 42. La disp
me clans les figures 38, 39, M et 42. La disposition anatomique de ce
muscle
rend cette expérience facile. Les figures 38 et
cessairement attirée vers l'épine nasale, qui est le point fixe de ce
muscle
. Tout le monde comprend pourquoi la peau des part
expression de mauvaise humeur qui annonce l'hostilité; mais jamais ce
muscle
ne se contracte partiellement, et pour rendre cet
cette expression de mécontentement, il agit de concert avec d'autres
muscles
. L'expression de la figure 41, ol le transverse
sion. J'y reviendrai à l'occasion de l'étude expressive de ce dernier
muscle
. Les expériences photographiées dans les figure
s 39 et 42 démontrent que la combinaison du transverse du nez avec le
muscle
de la joie (le grand zygomatique) produit l'expre
onction la plus importante du transverse du nez; aussi l'ai-je appelé
muscle
de la lasciveté, de la lubricité. Le vieillard
t, on reconnaît dans son portrait photographié (fig. 3 et 37), que le
muscle
expressif des plaisirs lascifs est chez lui peu d
ossible de lui donner, pour cela, un air assez lubrique, parce que le
muscle
qui représente cette passion n'était pas chez lui
pas trompé.—L'expérience représentée dans la figure 42 prouve que le
muscle
de la lubricité était très développé chez cet hom
le, traits qui avaient été momentanément effacés par le narcotisme.
MUSCLE
DE LÀ TRISTESSE (triangulaire des lèvres, M, fi
courant ne doit pas être assez intense pour traverser l'épaisseur du
muscle
; car il arriverait jusqu'au rameau nerveux moteur
uscle; car il arriverait jusqu'au rameau nerveux moteur qui anime les
muscles
de la houppe du menton, le carré du menton, Forbi
Forbiculaire des lèvres, et conséquemment ferait contracter tous ces
muscles
à la fois. Les triangulaires des lèvres tirent
ntrent, ainsi qu'on va le voir, que diverses associations de certains
muscles
avec le triangulaire des lèvres modifient ou chan
la dureté du regard, produite par la contraction du pyramidal du nez,
muscle
de l'agression. Il est vrai que sous la seule inf
à la fois la douleur et l'abattement : c'est l'image du désespoir.
MUSCLES
DU PLEURER ET DU PLEURNICHER (petit zygomatiq
e supérieure, associée à l'abaissement de la lèvre intérieure par les
muscles
carrés du menton. Contraction électrique des él
l'os malaire; c'est également là que s'immerge le filet moteur de ce
muscle
(voy. K, fig. 2). Du côté droit de la figure li
upérieure (voy. G, fig. 2), et le filet moteur (voy. L, fig. 2) de ce
muscle
, sont sous-cutanés. Il n'est pas toujours facil
éophore ait été, comme on le voit, placé très bas, loin de ce dernier
muscle
. En voici la raison anatomique : « Le petit zyg
racines dont Y line est souvent constituée par les fibres externes du
muscle
orbiculaire des paupières. Dans quelques cas, le
it zygomatique est exclusivement formé par des fibres détachées de ce
muscle
. Dans d'autres cas, ce muscle extrêmement grêle n
nt formé par des fibres détachées de ce muscle. Dans d'autres cas, ce
muscle
extrêmement grêle naît de l'os malaire par deux f
férieur de ïorbiculaire des paupières. Le plus ordinairement ce petit
muscle
naît de l'os malaire.... » (1). On conçoit donc q
nc qu'il existe une connexion intime entre le petit zygomatique et le
muscle
dit sphincter des paupières, et qu'il soit imposs
s dans la disposition et le trajet des filets nerveux qui animent ces
muscles
, de telle sorte que le courant dirigé sur la part
action individuelle du petit zygomatique : on voit que l'action de ce
muscle
a lieu obliquement de bas en haut et de dedans en
bord libre des lèvres et le sillon naso-labiale. qui correspondent au
muscle
excité, ont décrit une légère courbe à concavité
atique. Je rappellerai ici cette disposition anatomique. Dès que ce
muscle
a atteint la lèvre supérieure et le côté externe
atique se faisant au bord libre de la peau de la lèvre supérieure, ce
muscle
ait une tendance à retrousser celle-ci en l'éleva
r propre de la lèvre supérieure est excité, montre que l'action de ce
muscle
est à peu près la môme que celle du petit zygomat
ndir l'ouverture. Chez les sujets jeunes et aux lèvres épaisses, ce
muscle
retrousse aussi la lèvre supérieure. Le mécanisme
upérieure s'explique parfaitement par la disposition anatomique de ce
muscle
que j'ai rappelée ci-dessus, en exposant celle du
fig. 1), vers le point d'immersion du filet moteur (L, fig. 2) de ce
muscle
. On voit que l'aile du nez s'est élevée et a en
figure 51, l'éleclrisatiou est parfaitement localisée dans ce dernier
muscle
. Aussi n'y voit-on pas les plis cutanés qui se
matique, pour l'expression de la joie et du rire, est au contraire un
muscle
du pleurer. La contraction bien isolée de ce mu
au contraire un muscle du pleurer. La contraction bien isolée de ce
muscle
, telle que je l'ai obtenue du côté gauche de la f
je n'ai jamais vu do larmes couler par une cause morale, sans que ce
muscle
entrât en action. Cette expression d'attendrissem
zygomatique, et le pleurer franc se montrer avec l'association de ce
muscle
et du sphincter des paupières. Du côté droit de
lèvre supérieure et le relief de la pommette) produites par ces deux
muscles
(l'élévateur de la lèvre supérieure et le petit z
nt lorsqu'ils veulent que l'on s'attendrisse ou qu'on leur cède. Le
muscle
qui produit le pleurer à chaudes larmes, le pleur
rs les traits du mécontentement. Le côté droit de la figure 51, où ce
muscle
est mis partiellement en action, peint l'expressi
expression qui contraste avec la fermeté des traits du côté opposé.
MUSCLES
COMPLÉMENTAIRES DE Ik SURPRISE (abaisselrs du m
verts par le peaucier, ne peuvent être électrisés sans que ce dernier
muscle
se contracte en même temps; leur excitation parti
tielle de l'un des peauciers, photographiée figure 58, établit que ce
muscle
tire obliquement en dehors et en bas les tissus d
uciers sur tous les traits de la face, et font comprendre comment ces
muscles
soulèvent et tendent la peau de la moitié antérie
était en effet fermée lorsque j'ai fait contracter énergiquement ces
muscles
, et bien que je lui eusse recommandé de n'opposer
re du thorax, dont il suit enfin les contours à la face et au cou; ce
muscle
, dis-je, attire en bas et en dehors la lèvre infé
ou. Enfin, au maximum de contraction, un grand nombre de fibres de ce
muscle
forment, à la surface de la région antérieure d
lle du peaucier est inexpressive ; la figure 58, où de chaque côté ce
muscle
est mis isolément en action, en donne la démonstr
cier devient éminemment expressif, dès qu'il s'est associé à certains
muscles
, et que sans lui, plusieurs émotions de l'âme qui
suffit, pour les faire apparaître, d'associer le peaucier à l'un des
muscles
moteurs du sourcil. En voici la preuve expériment
regard calme et indifférent, bien qu'il fut dirigé latéralement. Son
muscle
frontal étant mis d'abord énergiquement en contra
figure 60, on sent que cet homme éprouve le frisson de la peur : ses
muscles
cutanés, le peaucier (du cou) et le frontal (peau
de même chez les quadrupèdes; leur pannicule, qui est l'analogue des
muscles
cutanés précédents de l'homme, hérisse les poil
urcil, parce qu'il y a antagonisme entre le frontal et le sourcilier,
muscles
qui produisent, le premier, ces lignes transversa
vec les lignes frontales, telle qu'on l'observe sous l'influence du
muscle
frontal (voy. %. 7 et 8). 12 Fie. 69. — Même
les expériences représentées sur les figures consacrées à l'étude des
muscles
moteurs du sourcil, ne tardera pas à reconnaître
es sourcils de ces antiques, peuvent s'expliquer par le mécanisme des
muscles
moteurs du sourcil. Évidemment, d'une part, les
gendes de ces figures, surtout ce qui a trait. h l'antagonisme de ces
muscles
, et l'on verra que mon assertion est fondée sur u
comme cela s'observe sous l'influence de la contraction énergique du
muscle
frontal, chez un adulte (voy. I, les figures cons
(voy. I, les figures consacrées à l'étude électro-physiologique de ce
muscle
). Veut-on, au contraire, laisser son sourcil in
eux de la partie médiane, comme dans la figure 8, sous l'influence du
muscle
frontal, et tant d'autres figures où ce muscle a
8, sous l'influence du muscle frontal, et tant d'autres figures où ce
muscle
a été mis en action. Mais alors, de même que dans
gêné par une trop vive lumière, qui semble avoir produit un spasme du
muscle
sourcilier. Laquelle de ces expressions diverse
te la force de l'âme. Tandis que l'excès de la » souffrance enfle ses
muscles
et tire violemment tous ses » nerfs, on voit la s
ations générales et en traitant spécialement de l'élude expressive du
muscle
sourcilier, sur la valeur différentielle des lign
Le mouvement douloureux du sourcil, — en d'autres termes, l'action du
muscle
qui produit ce mouvement (du sourciller),— est ca
tion électro-physiologique (voyez les figures consacrées à l'étude du
muscle
sourcilier), — aurait-il échappé au génie d'obser
its de sujets soumis à dès expériences électro-physiologiques sur les
muscles
de la face........................ . . 1 Lége
5, 6.......... 4 Explication de la légende................. 6 II.
Muscle
de l'attention (frontal)............... 4 3 Lég
.................. 15 B. Expression...................... 17 III.
Muscle
] de la réflexion (orbiculaire palpébral supérieur
scle] de la réflexion (orbiculaire palpébral supérieur , portion du
muscle
dit sphincter des paupières)....... 4 9 Légende
................... 24 B. Expression...................... 24 IV.
Muscle
de l'agression (pyramidal du nez)......... 27 L
.................... 28 B. Expression...................... 30 V.
Muscle
de la douleur (sourcilier)............. 35 Lége
................... 39 B. Expression...................... 45 VI.
Muscles
de la joie et de la bienveillance (grand zygoma-t
ce (grand zygoma-tique et orbiculaire palpébral inférieur, portion du
muscle
dit sphincter des paupières)..................
.................. 58 B. Expression...................... 61 VII.
Muscle
de la lasciveté (transverse du nez)......... 65
................ 67 11. Expression...................... 68 VIII.
Muscle
de la tristesse (triangulaire des lèvres).......
................... 75 B. Expression...................... 76 IX.
Muscles
du pleurer et du pleurnicher (petit zygomatique,
................... 84 B. Expression....................... 89 X.
Muscles
complémentaires de la surprise (abaisseurs du m
.................. 97 B. Expression....................... 98 XI.
Muscle
complémentaire de la frayeur et de l'effroi (pe
insensible, ce qui me permettait d'étudier l'action individuelle des
muscles
avec autant de sûreté que sur le cadavre ; — sa v
; — sa vieillesse avait développé toutes les lignes produites par les
muscles
expressifs, lignes que j'ai divisées en lignes fo
eux témoins, en localisant l'excitation électrique dans chacun de ses
muscles
, et sur laquelle je peignais les passions avec au
i je crois devoir répéter que la contraction électrique partielle des
muscles
qui produisent des expressions différentes, de ch
iste, en cachant les mêmes parties du côté opposé. Electrisation du
muscle
de la douleur (du sourcilier, voy. o, fig. 1), à
ase, en cachant de la même manière le côté opposé. Electrisation du
muscle
de la douleur (le sourcilier), à gauche ; — regar
te Thérèse), en cachant la moitié opposée. Electrisation modérée du
muscle
de la lasciveté (trans-versc du nez, voy. Q, fig.
ulu rendre plus évidente l'influence modificatrice générale d'un seul
muscle
expressif sur tous les autres traits de la face.
on doit le comprendre, produites de cette manière, puisqu'il est des
muscles
qui n'obéissent pas partiellement à la volonté, e
deux côtés à la fois, la contraction électrique d'un ou de plusieurs
muscles
dont l'action expressive spéciale, vient modifier
Armé de mes rhéophores, il ne me suffît pas d'exciter exactement les
muscles
dont l'action individuelle produit les lignes, le
que j'expérimente, je ne fais découvrir l'objectil qu'au moment où le
muscle
électrisé est arrivé juste au degré de contractio
¦— De plus, lorsque la pose est un peu trop longue, l'irritabilité du
muscle
excité s'affaiblit par le fait du passage continu
rd directement en haut (mouvement produit par l'action synergique des
muscles
droits supérieurs de l'œil et frontaux). De chaqu
ez le coté droit de la figure 75). Au même instant, j'ai éleclrisé le
muscle
sourcilier gauche; les lignes et le modelé dus à
muscle sourcilier gauche; les lignes et le modelé dus à Faction de ce
muscle
se sont dessinés, do ce côté, avec les caractères
des deux sujets (voyez, pour la description des lignes expressives du
muscle
de la douleur, le chapitre \ . partie scientifiqu
bre de figures, que chacun des mouvements du sourcil, surtout ceux du
muscle
sourcilier (voyez les figures 19, 20, 21, 27, 28
sion de la douleur, la forme que prend le sourcil sous l'influence du
muscle
sourcilier. On a cependant essayé quelquefois de
sourcil devrait être gonflée. Telle est, à tous les âges, l'action du
muscle
de la douleur, du sourcilicr (voyez toutes les
r, du sourcilicr (voyez toutes les figures consacrées à l'étude de ce
muscle
), et ce fait est des plus évidents dans le sourci
du sourcilier et ces lignes frontales, dessinés par la contraction du
muscle
de la douleur sur un front bien plus jeune que ce
a partie scientifique de l'album ont été déjà consacrées à l'étude du
muscle
de la lasciveté, le- (1) Que l'on me permette d
, ainsi qu'on l'observe sur la figure des satyres et des faunes. Ce
muscle
transverse du nez donne une expression lascive à
lubricité provocante, par l'association de la contraction forte de ce
muscle
aux autres traits; j'ai ainsi transformé des figu
figures de bacchantes. Mais lorsque sa contraction est modérée, ce
muscle
peint, dans certaines circonstances, sur la physi
'est dans ce moment que j'ai fait contracter légèrement, à droite, le
muscle
de la lasciveté (le transverse du nez), et alors
la figure 77, il m'a suffi de faire contracter plus énergiquement le
muscle
de la lasciveté (le transverse du nez). On compre
te par la mort d'un autre enfant. Contraction électrique moyenne du
muscle
sourciller, associée à l'expression naturelle de
critiquer chez le Poussin, en électrisant simultanément au maximum le
muscle
de la douleur (le sourcilier) et le muscle de la
imultanément au maximum le muscle de la douleur (le sourcilier) et le
muscle
de la joie (le grand zygomatique). La joie mêlé
je l'ai montré dans toutes les expériences qui ont été faites sur ce
muscle
(voyez toutes les figures du chapitre X, partie s
que j'ai produite expérimentalement dans les figures 26 et 27, où le
muscle
sourcilier droit est électrisé isolément (voy. l'
vation critique dans la parlie scientifique de l'album, page 300. »
muscle
de la souffrance, on obtient une admirable expres
ler. — Toutes les figures de la partie scientifique de l'album, où le
muscle
de la joie est montré dans un état de contraction
e maintenant rappeler une des lignes fondamentales développées par le
muscle
du pleurer (le petit zygomatique), sous l'influen
tit zygomatique), sous l'influence de l'électrisation localisée de ce
muscle
: la ligne naso-labiale, ai—je dit, décrit une co
sourire s'étant développées, j'ai mis en action le petit zygomatique (
muscle
du pleurer), j'ai toujours vu le sillon naso-labi
ur obtenir une expression juste et harmonieuse par la combinaison des
muscles
du pleurer avec le muscle de la joie, il faut, co
uste et harmonieuse par la combinaison des muscles du pleurer avec le
muscle
de la joie, il faut, comme dans le sourire mêlé d
aut, comme dans le sourire mêlé de douleur, que la contraction de ces
muscles
ne dépasse pas certaines limites, au-delà desquel
de la figure 80), et puis j'ai excité modérément, du côté opposé, le
muscle
du pleurer (voyez la moitié droite de la figure 8
ainsi que je l'ai décrit plus haut en rappelant l'action propre de ce
muscle
, quoique la lèvre inférieure eût conservé la form
j'ai faites, au point de vue esthétique, à différents degrés, sur le
muscle
qui met en relief les signes caractéristiques d
es des passions agressives (sur le pyramidal du nez, P, fig. 1). Ce
muscle
est tellement développé chez la jeune fille qui s
l ! Soufflez-moi vos poisons ! que mon lait tourne en iiel (2) ! Un
muscle
destiné à mettre en évidence les signes des plus
nez a, dans la figure 82, altéré la beauté de mon modèle, bien que ce
muscle
n'ait été électrisé que modérément. La physiono
core que dans la figure 82, par la contraction au maximum de ce petit
muscle
, que l'on doit considérer comme l'agent principal
oduites par les passions agressives; en d'autres termes, le principal
muscle
expressif qui est mis en action par ces mauvaises
voyez fig. 8), par la contraction du pyramidal du nez, j'ai trouvé ce
muscle
si faible ou si peu développé chez un homme jeune
rait, fig. h), que j'ai pu à peine, malgré une forte excitation de ce
muscle
, abaisser la tête de son sourcil (voyez la fig. 9
les traits cruels d'un assassin. Tel n'est pas l'état dynamique des
muscles
moteurs du sourcil, chez la jeune fille que j'a
élévateurs, le frontal et le sourcilicr (A et 0, fig. 1). Ce dernier
muscle
est môme si faible, que pour le mettre en action,
photographiées dans les figures 81, 82 et 83, de faire contracter son
muscle
pyramidal du nez. (On appréciera bien sur ces fig
ppeler sommairement de nouveau. J'ai démontré que le point fixe de ce
muscle
est toujours en bas, et conséquemment que sa term
e région du front, comme on l'observe sous l'influence du sourcilier,
muscle
de la douleur (voyez toutes les figures consacrée
le de la douleur (voyez toutes les figures consacrées à l'étude de ce
muscle
), qui, antagoniste du pyramidal, élève la tête du
voulu donner à ce chef de bande. Le pyramidal du nez étant le seul
muscle
qui abaisse la tète du sourcil pour peindre les i
la tète du sourcil pour peindre les instincts cruels, de môme que le
muscle
sourcilier en élève la tête pour exprimer la doul
r la douleur, on ne doit pas s'étonner qu'il puisse, comme ce dernier
muscle
, se contracter isolément sous l'influence de cert
des instincts méchants ou cruels. En appelant le pyramidal du nez,
muscle
des passions agressives, j'ai voulu donner à ente
as très prononcé; cet abaissement ne sera pas même appréciable, si le
muscle
qui représente cette passion est aussi peu dévelo
n farouclic et à la répulsion qu'il inspire. La jeune fille dont le
muscle
des passions agressives est puissant au point de
un grand nombre de sujets. —N'est-il pas permis d'en conclure que le
muscle
agressif, de la méchanceté, etc., est un de ceux
passion dont il est l'agent expressif essentiel? On remarque que le
muscle
qui exprime un sentiment contraire au muscle de l
el? On remarque que le muscle qui exprime un sentiment contraire au
muscle
de l'agression, le muscle de la bienveillance (l'
uscle qui exprime un sentiment contraire au muscle de l'agression, le
muscle
de la bienveillance (l'orbiculaire inférieur, E,
r (E, fig. 1); que le premier obéit à la volonté, mais que le second (
muscle
de la bienveillance, de l'amitié et des impressio
le rire menteur, ne sauraient provoquer la contraction de ce dernier
muscle
. (1) Loc. cit., 1er fascicule, p. 52. (2) L"s
seconde, par l'absence de cette dépression (voy. la figure 31, où le
muscle
grand zygomatique est électrisé isolément, du côt
e transversalement, à une certaine distance de son bord libre, par le
muscle
de la bienveillance (orbiculaire inférieur), dont
VI. Je terminerai ce paragraphe en rappelant ce que j'ai dit de ce
muscle
à la page 63 de la partie scientifique de l'album
de ce muscle à la page 63 de la partie scientifique de l'album : « Le
muscle
qui produit ce relief de la paupière inférieure »
'est qu'une expression grimaçante, car, de chaque côté de la face, un
muscle
différent est mis (I) Ce phénomène me semble po
es qui sont la cause du trouble constaté. La moindre parésie d'un
muscle
moteur de l'oeil est toujours consta- table et
e nerveux oculaire (nerf optique, nerfs moteurs du globe, nerfs des
muscles
intrinsèques, nerfs des paupières, de la cornée
obe donne lieu à des manifestations variables suivant le nombre des
muscles
intéressés et le degré de leur insuffisance. Et
améliorations ou les aggravations progres- sives clans l'état d'un
muscle
paralysé. Fig. '12. - Strabisme convergent (Mor
cepen- dant, par suite d'une paralysie ou parésie d'un ou plusieurs
muscles
du globe, l'oeil n'est plus dans un état d'équi
and l'oeil n'est pas obligé de se porter dans, le sens d'action des
muscles
parésiés, les troubles sont nuls; il n'y a pas
ie. Mais, dès que fil se met en mouvement dans le sens d'action des
muscles
paralysés, les troubles apparaissent. A un mome
ngénère, il reste en retard, et la diplopie survient; cependant, le
muscle
parésié fait des efforts pour suivre, comme en té
strabisme. Mensuration de cette insuffisance (Dynamomél1>ie des
muscles
de l'ccil). - Si l'apparition de diplopie, de s
gré d'insuffisance de cette fonction, le degré de parésie du ou des
muscles
atteints. Cette détermination se fait encore à
du périmètre, transformé, pour la circonstance, en dynamomètre des
muscles
de l'oeil. 1 Champ du regard monoculaire. Un oe
champ du regard monocu- laire diminuera d'étendue dans le sens des
muscles
insuffisants, il mo- difiera sa forme (fig. 18
rer l'insuffisance des excursions du globe dans le sens d'action du
muscle
droit externe. On peut, par ce moyen, mesurer le
externe. On peut, par ce moyen, mesurer le degré de para- lysie du
muscle
, en suivre les aggravations ou les améliorations.
c, avec ce simple appareil, mesurer mathématiquement l'action ,d'un
muscle
, doser son msmn- sance. " ' De plus, la paral
doser son msmn- sance. " ' De plus, la paralysie isolée d'un -
muscle
, du globe imprime au champ du regard certaines
exploration du champ du regard peut permettre le diagnos- tic du
muscle
paralysé. En tout cas, cette exploration consti
qu'il ne faut pas négliger. Bien plus, dans le cas où plu- sieurs
muscles
de l'un ou dés deux yeux sont touchés ensemble,
ser un diagnostic. Dans ces conditions, l'exploration directe des
muscles
atteints au moyen du périmètre-dyna- momètre se
xcursion normale ne se fait qu'en dehors - dans le sens d'action du
muscle
droit externe qui est intact (Morax). " EXPLO
u, on peut, par un autre moyen, mesurer le degré d'insuffisance des
muscles
parésiés. Le malade étant placé dans les con- d
ît la diplopie, c'est-à-dire le point où commence l'insuffisance du
muscle
parésié. Ensuite, il joint par une ligne la sér
tion. Sa direction et sa position varient, on le conçoit, avec- les
muscles
paralysés et le degré de paralysie. ' " . On pe
23 cristallin, sorte de. lentille élastique, sous l'influence d'un
muscle
circu- laire qui entoure sa circonférence, le m
influence d'un muscle circu- laire qui entoure sa circonférence, le
muscle
ciliaire. , " Dans certaines circonstances, une
uscle ciliaire. , " Dans certaines circonstances, une altération du
muscle
ciliaire, un changement dans la structure du cr
des voies optiques. Ils proviennent d'un trouble nerveux moteur du
muscle
ciliaire. Ils peuvent exister avec une intégrit
nombreux troubles ocu- laires du diabète (cataracte, paralysie des
muscles
, rétinite, hémorra- gies), on peut observer une
on directe du fond de l'oeil à l'ophtalmoscope. ni PARALYSIES DES
MUSCLES
MOTEURS DES GLOBES Symptômes. Strabisme. - Le
isme ou déviation de l'oeil se fait toujours dans le sens opposé au
muscle
paralysé. L'oeil peut être dévié en dedans (S. in
dedans ou en dehors du point de passage habituel. PARALYSIES DES
MUSCLES
MOTEURS DES GLOBES. 511 Le regard prend alors u
s jeunes, chez les enfants. Il ne s'accompagne pas de diplopie. Les
muscles
du globe ne sont pas paralysés, ce dont on peut s
rale de son oeil paralysé l'image de l'objet fixé. Ces tractions du
muscle
paralysé impriment des mouvements conti- nuels
Rétrécissement du champ de fixation monoculaire. - On conçoit qu'un
muscle
paralysé ou parésié n'ait pas la force de tirer l
. Position inusitée de la TÊTE. - La tète se tourne de façon que le
muscle
paralysé ait le moins possible de contraction à
. Elle se dirige, de façon à porter l'oeil dans le sens d'action du
muscle
paralysé. Si, par exemple, le droit externe de
re sur la macula. . , Inclinaison fréquente de la fausse image. Les
muscles
de l'oeil.sont susceptibles, suivant leur posit
rotation en même temps que l'adduction ou l'abduc- tion. Lorsqu'un
muscle
rotateur est paralysé l'image perçue par l'oeil
lysé. ' Nystagmus. - Quand l'oeil se porte dans le sens d'action du
muscle
paralysé, on voit apparaître des secousses nyst
- tables mouvements nystagmiques. Ils se montrent au moment où le
muscle
devient insuffisant, et dénotent ses efforts inut
des autres variétés de nystagamus (Voir Nystagmus). PARALYSIES DES
MUSCLES
MOTEURS DES GLOBES. 61 Diagnostic A l'aide DE l
s signes précédents qui accompagnent les parésies ou paralysies des
muscles
moteurs des globes servent à établir le diagnosti
u globe dans l'autre permettent, à elles seules, de reconnaitre les
muscles
paralysés (Voir Paralysie complète du M. O. G.,
'une paralysie oculaire il faut déterminer successive- ment : 1° le
muscle
paralysé; 2° le siège dans les voies optiques de
ésion interruplrice; 5° la nature de cette lésion. ' Diagnostic des
muscles
paralysés. Il peut y en avoir un seul ou plusie
plusieurs. Supposons qu'il n'y en ait qu'un seul. Lequel des douze
muscles
moteurs des globes est atteint de paralysie ? L
oteurs des globes est atteint de paralysie ? La paralysie de chaque
muscle
, nous le verrons, donne lieu il des symptômes p
symptômes particuliers, qui la distinguent de celle des onze autres
muscles
. Il suffirait, semble-t-il, pour arriver au diagn
ur arriver au diagnostic, de constater les troubles produits par le
muscle
paralysé, et de rechercher ensuite quel est cel
muscle paralysé, et de rechercher ensuite quel est celui des douze
muscles
moteurs des globes dont la paralysie amène les
les douze schémas symptomatiques des paralysies de chacun des douze
muscles
moteurs des globes. Il existe des méthodes plus
ct, plus pra- tique et plus sur, pour arriver à la détermination du
muscle
paralysé. Ces méthodes sont variables. En voi
ncipes suivants : 1° L'oeil est toujours dévié en sens contraire du
muscle
paralysé ou mieux en sens contraire de l'action
traire du muscle paralysé ou mieux en sens contraire de l'action du
muscle
paralysé. 2° L'image est en sens contraire de l
des images augmente quand l'objet se meut dans le sens d'action du
muscle
paralysé. A l'aide de ces trois principes très
ROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. fonction physiologique d'un
muscle
paralysé, déduire immédiatement le sens de la d
LES .MOTEURS DES GLOBES. ) ! 5 Diagnostic de la paralysie d'un seul
muscle
. - Le malade ayant un verre rouge devant un oei
e sans vous préoccuper des déplacements verticaux. Quel que soit le
muscle
paralysé, vous aurez une déviation transversale
uscle paralysé, vous aurez une déviation transversale, car tous les
muscles
ont, à des degrés divers, une action transversa
fausse est projetée en dehors (diplopie homonyme). . PARALYSIES DES
MUSCLES
MOTEURS DES GLOBES. 65 Voilà le diagnostic fait
ma , nous montre la disposition des images dans la para- lysie du
muscle
droit externe de l'OD. ' Hi TROUBLES NERVEUX DE
mur quadrillé. 1 1 Fig. 48. - Schémas de diplopie. PARALYSIES DES
MUSCLES
MOTEURS DES GLOBES. 67 Diagnostic quand plusieu
YSIES DES MUSCLES MOTEURS DES GLOBES. 67 Diagnostic quand plusieurs
muscles
sont paralysés. - Il se fait de la même façon q
iplopie. 68 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. que, si deux
muscles
antagonistes sont touchés en même temps, les trou
n, de recourir à l'usage du périmètre, de faire la dynamométrie des
muscles
, d'explorer la force contractile de chacun. Si
ie des muscles, d'explorer la force contractile de chacun. Si les
muscles
paralysés dépendent d'un même tronc nerveux, du
facile (Voir p. (i9). Vérification du diagnostic de paralysie d'un
muscle
. Quand, au moyen de la méthode rapide que nous
yen de la méthode rapide que nous avons indiquée, on a déterminé le
muscle
paralysé, il est bon de vérifier le diagnostic. I
suffit pour cela de se rappeler les fonctions physiologiques de ce
muscle
et de recher- cher si chacune d'elles fait défa
ce muscle et de recher- cher si chacune d'elles fait défaut dans le
muscle
paralysé (Voir à la suite Aspect clinique des p
de la diplopie ou des autres signes de paralysie, on a déterminé le
muscle
ou les muscles atteints, il faut encore, pour a
ou des autres signes de paralysie, on a déterminé le muscle ou les
muscles
atteints, il faut encore, pour arriver à un dia
ies optiques de la périphérie vers les centres. 1° Paralysie d'un
muscle
. Voici, pour chacun des muscles, un schéma des
ers les centres. 1° Paralysie d'un muscle. Voici, pour chacun des
muscles
, un schéma des déviations et des troubles diplo
Le tableau indique successivement : 1" L'action physio- logique du
muscle
; 2° Les déviations de l'oeil résultant. de la par
u muscle; 2° Les déviations de l'oeil résultant. de la paralysie du
muscle
; 5° Les caractères de la diplopie (tig. 48 et !
Les caractères de la diplopie (tig. 48 et ! >-9). PARALYSIES DES
MUSCLES
MOTEURS DES GDOBES. 69 70 TROUBLES NERVEUX DE L
DES GDOBES. 69 70 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. par le
muscle
droit externe resté sain, et légèrement en bas pa
t de légers mouvements en bas et en dehors dans le sens d'action du
muscle
grand oblique. La pupille est dilatée à des deg
non entre-croisé (syndrome de 311llal'fl-Guhler). PARALYSIES DES
MUSCLES
MOTEURS DÈS GLOBES. 71 côté (côté de la lésion)
s supérieures (les deux yeux regardent à droite). PARALYSIES 'DES
MUSCLES
MOTEURS DES GLOBES. 75 Syndrome de Benediht (de
sociées de l'iris, de l'accommodation, d'un ou 'de quelques-uns des
muscles
extrinsèques. Les paralysies dissociées sont d'or
se dissocient, en avant du côté de l'oeil, pour aller à chacun des
muscles
, en arrière du côté du cerveau, pour gagner les
égie extérieure, extrinsèque. Dans certaines condi- tions, tous les
muscles
moteurs du globe (0. unilatérale) ou des globes
érale) ou des globes (0. bilatérale) sont paralysés, aussi bien les
muscles
dépendant du M. 0. C. que ceux innervés par le
grité de la musculature intrinsèque contraste avec la paralysie des
muscles
extrinsèques. ' Cette paralysie, ordinairemen
malade est obligé de mouvoir la tète ou le corps. PARALYSIES DES
MUSCLES
MOTEURS DES GLOBES. 75 Cette ophtalmoplégie sou
es maladies nerveuses, on voit se prendre successivement les divers
muscles
extrinsèques etintrin- sèques des globes oculai
ial et du M. 0. E. (paralysie radiculaire) (llorax). PARALYSIES DES
MUSCLES
MOTEURS DES GLOBES. 77 6° Paralysie par lésion
i complexes, ne se font pas par l'action isolée d'un ou de quelques
muscles
, mais par la contraction combinée, inégale et s
combinée, inégale et synergique de plusieurs d'entre eux. Tous les
muscles
entrent en action dans les mouvements oculaires;
héma pour expliquer le mécanisme des mouvements combinés des yeux. C,
muscle
ciliaire accÓmmodateur; I, constricteur de l'ir
muscle ciliaire accÓmmodateur; I, constricteur de l'iris; M, 31, M,
muscles
extrinsèques moteurs du globe oculaire; MOC, ne
au mésocéphaliquc du côté opposé. Il se fait dans la PARALYSIES DES
MUSCLES
MOTEURS DES GLOBES. 1 7 ! 1 région protubéranti
ulo-moteurs, les lésions ne produisent plus la paralysie isolée des
muscles
ou des troncs nerveux. La paralysie qu'on obser
associées, la déviation conjuguée d'un côté étant le PARALYSIES DES
MUSCLES
MOTEURS DES GLOBES. 81 f résultat d'une, paraly
ophtalmique. La cocaïne, excitatrice des terminaisons nerveuses du
muscle
dilatateur de l'iris, augmente la mydriase en ajo
uant Ù la cocaïne, elle excite les ter- miuaisons nerveuses dans le
muscle
dilatateur (mydriase spasmodique). L'usage de c
ytique, avec ou sans participation de l'accommodalion et des autres
muscles
moteurs des globes (Voir Accommodation). Cette my
éplacement du cristallin, elles ne résultent pas d'une paralysie du
muscle
accommodateur. La première, au contraire, paraît
sie de l'accommodation par compression des filets nerveux allant au
muscle
ciliaire. Il est rare que le neurologiste qui con
alysie de l'accommodation. Tantôt, c'est nue paralysie complète, le
muscle
ciliaire ne se contractant nullement; tantôt, c
quelques branches motrices du globe oculaire ou d'une paralysie des
muscles
intrinsèques. Le ptosis n'est, en ce cas, que la
vision. C'est un pto- sis myopathique, résultant d'une atrophie du
muscle
releveur. Il se ren- contre également au début
es régions qu'elles traversent. Une lésion périphérique touchant le
muscle
ou le filet nerveux du' releveur dans l'orbite,
aux qui consistent il rattacher le rcleveur de la paupière, soit au
muscle
frontal, soit au muscle droit supérieur, élévateu
ttacher le rcleveur de la paupière, soit au muscle frontal, soit au
muscle
droit supérieur, élévateur du globe oculaire.
ralysie faciale du même côté. Elle est due il la paralysie d'un des
muscles
inner- vés par le nerf facial, l'orbiculaire de
upe ici que des troubles oculaires consécutifs à la paralysie de ce
muscle
, et laisse de côté tout ce qui a trait aux symptô
itable larmoiement. Tous ces symptômes résultent de la paralysie du
muscle
orbiculaire. Ayant perdu sa ('olill'adilité il
s les filets sécrétoires et donnera du larmoiement par paralysie du
muscle
de Corner; au contraire, une lésion intra-pétre
talmique). Elle peut aussi résulter d'une altération portant sur le
muscle
lui- même, comme cela se voit dans certaines, a
d on demande au malade de tourner ses yeux dans le sens d'action du
muscle
parésié. Il faut savoir le distinguer du vérita
loureuse, ver- tiges) qui sont en rapport, non avec la paralysie du
muscle
interne du marteau, comme l'écrivent encore cer
l'écrivent encore certains classiques, mais avec la para- lysie du
muscle
de l'étrier. Les lésions du sympathique provoqu
du tympan, soit plus souvent par des contractions spasmodiques des
muscles
tubaires. L'hystérie est assez fréquemment caus
ce du facial et des troubles dans l'innervation du trijumeau et des
muscles
oculaires. L'unilatéralité des symptômes est un
urdonnements, ces derniers notamment par la contraction rl'l1exc du
muscle
du marteau. Inversement, les exci- tations sono
tige auriculaire brusque par ce mécanisme de la tension exagérée du
muscle
interne du marteau. z Les réflexes peuvent se f
on a signalé le blépharospasme et des contractions spasmodiques des
muscles
du globe oculaire. Le phénomène le plus intéres
dents, tels la toux, le spasme glottique, la contraction des petits
muscles
bron- chiques, le catarrhe des voies aériennes
vertige oculaire est la diplopie, par paralysie ou contracture des
muscles
de l'mil d'ori- gine périphérique ou centrale.
articulièrement sous l'influence : de contractures unilatérales des
muscles
du con, d'après Fl'r¡'" ou de convulsions partiel
es muscles du con, d'après Fl'r¡'" ou de convulsions partielles des
muscles
des yeux, d'après Huglings Jackson. Le vertige de
aies accompagnées d'amyotrophie et de contractions librillaires des
muscles
atteints. L'athrophie musculaire et les contrac
de paralysie unilatérale des cordes vocales. Enfin, la parésie des
muscles
bucco-pharyngés, détermine toute une série de t
roubles de la formation des labiales dans la paralysie faciale. Les
muscles
atteints présentent de l'atrophie, des secousse
ts sont hachés, comme déformés par les mouvements involontaires des
muscles
de la phonation et de l'articulation. Dans peu
atteint particulièrement les gestes com- mandés et la mimique. Les
muscles
intéressant surtout les actes purement r(l1exrs
intéressant surtout les actes purement r(l1exrs ou semi-conscients (
muscles
du tronc, de la face, masticateurs) sont le plu
its sont dans la résolution. Dans l'amimie byperstbénique, certains
muscles
du visage sont dans un état de contraction perm
le peut être exaltée. Nous ne parlons pas ici de la sensibilité des
muscles
à la pression, constatée au moyen d'appareils s
is ce sont les terminaisons nerveuses des tissus mous sous-cutanés (
muscles
, tendons, aponévroses) et du périoste qui se ch
ordinaire, ou encore, sur un schéma d'écorché, où sont ligures les
muscles
et les tendons. D'après 1. A. von SrrUnrer;r.r.
choses très différentes les unes des autres et dans lesquelles les
muscles
ne jouent qu'un rôle tout à fait t [ROUSSY.]
ent de la capsule, des ligaments, des tendons et la contraction des
muscles
périarticulaires, ainsi que par le plissement de
postérieure du membre. La paralysie motrice occupe tous les petits
muscles
de la main et les fléchisseurs de la main. Le f
la douleur), ou encore à une zonp cutanée (en dermatologie), à des
muscles
, à des articulations, à des os, etc.. v .. El
phénomènes paralytiques et siègent au niveau des articulations, des
muscles
, des tendons et plus rarement au niveau des ner
elles ne le sont pas par la pression des tissus su- perficiels, des
muscles
ou des os. Les nerfs mêmes de la région ne sont
émerge d'un canal os- seux, le lieu où un filet nerveux traverse un
muscle
ou une aponévrose pour se rapprocher de la peau
tepharospasme, mouvements des commissures des lèvres, secousses des
muscles
de la face). Il esta il remarquer que les muscl
es, secousses des muscles de la face). Il esta il remarquer que les
muscles
masticateurs ne sont pas le siège de contractions
eux de la face, les symptômes dou- loureux sont les mêmes, mais les
muscles
du visage sont agités de con- tractions rapides
point occipital à l'émergence du grand nerf occipital à travers le
muscle
complexus, ce point est situé à une distance égal
state un point douloureux au niveau du passage de ce nerf entre les
muscles
grand rond et petit rond. Dans la névralgie d
légère amyotrophie et diminution de la contractilité électrique du
muscle
, par l'abolition du réflexe tendineux du triceps.
actérise par une douleur de l'(''picondyle (lui peut s'irradier aux
muscles
('pieondyliens et à la tète du radius, par une di
névrites, on constate des troubles paralytiques dans le domaine des
muscles
innervés parle scia- tique. Les troubles de la
é en avant du condyle de l'os maxillaire inférieur, a traversé le
muscle
mas- seler, les muscles ptérygoïdiens- ex- te
e l'os maxillaire inférieur, a traversé le muscle mas- seler, les
muscles
ptérygoïdiens- ex- terne et interne. Son extrém
s moyens peuvent vaincre une contraction volontaire perma- nente du
muscle
. . Mais il est des cas où le réflexe n'apparaît
l'apprécier, il faut que le malade se mette ! à genoux et garde les
muscles
du mollet dans le plus complet relâchement. Dan
de percuter le tendon d'Achille, on s'assu- rera du relâchement des
muscles
en palpant le mollet, en constatant sa flaccidi
arfaite du pied sur la jambe et en provoquant, par la palpation des
muscles
du mollet, l'extension du pied sur la jambe.
ex- tenseurs du pouce sur le bord ex- - terne, le tendon des
muscles
cubi- taux sur le bord interne du poignet. La
. La percussion de tous ces tendons détermine de la contraction des
muscles
correspondants. Il est nécessaire, comme pour l
EXES. 43.') ai cussiondu tendon, mais par percussion ou traction du
muscle
lui- même. Pour obtenir le réflexe, on peut en
effet procéder de deux façons : on peut percuter avec le marteau le
muscle
masséter à travers la peau de la joue et on voi
flexes qui quelquefois est incomplète ne s'observe qu'au niveau des
muscles
paralysés. Enfin, dans la syringomyélic, quoiqu
t névritiques. mais on l'a encore constatée dans les affections des
muscles
: les myopathies. Dans les myopathies progres-
en dehors de l'abolition des réflexes qui est liée à l'atrophie des
muscles
paralysés, on a pu constater l'abolition des réfl
on a pu constater l'abolition des réflexes malgré l'inté- grité des
muscles
correspondants (Léri). 11) Abolition des réflex
e; spasmodique des mem- bres inférieurs, la paralysie localisée aux
muscles
fléchisseurs et au muscle pectine. Ce tableau
s inférieurs, la paralysie localisée aux muscles fléchisseurs et au
muscle
pectine. Ce tableau clinique s'oppose à celui d
ue, mais dans ce cas il y a déjà eu début d'atrophie par les petits
muscles
des mains, gêne dans les mouve- ments des doigt
s les mouve- ments des doigts et tremblements fibrillaires dans les
muscles
de l'avant- bras. A un stade plus avancé de la
s avancé de la maladie, il y a abolition des réflexes au niveau des
muscles
atrophiés et l'exagération des réflexes n'existe
ne des orteils : Le malade doit être placé de telle façon que les
muscles
du pied, de la jambe soient dans un relâchement
ied du malade sur son genou et cherche à obtenir un relâchement des
muscles
de la jambe et de la cuisse. On procède alors i
sur la cuisse, de la cuisse sur le bassin et par une contraction du
muscle
tenseur du fascia lata et des abducteurs de la
otum, on sentira au même moment le choc rapide de la contraction du
muscle
bulho-can'l'I1eux. Réflexe abdominal et épigast
à gauche de la ligne médiane : il se produit, une con- traction des
muscles
abdominaux, grand droit, obliques et transverse
de cet organe. Réflexe fessier. II consiste dans la contraction des
muscles
"-rands fessiers par excitation de la peau qui
stance muse médullaire : 5" Le nerf centrifuge moteur; 't ()° Les
muscles
. Chacun de ces organes est nécessaire pour la p
nerveux réflexe, ce fait que l'excitation du tendon se propage aux
muscles
mécaniquement, et d'autre part, ils pensent que l
ux Fig. 1°1. CA, corne antérieure; Cl', corne posté- rieure ; )[,
muscle
; 1'\)[( : , nerf centrifuge; nerf centripète. (
dans les maladies au cours des- quelles l'excitabilité directe des
muscles
n'est guère modifiée (tabès, paralysie générale
s points, en effet, il ne peut être question que le tiraillement du
muscle
par les tendons maintienne une excitation et une
x central qui réfléchit l'excitation nerveuse vers les nerfs et les
muscles
du côté opposé il la percussion. Nous venons
émiplégie cérébrale la paralysie ne frappe pas isolément tel ou tel
muscle
, mais plutôt des mécanismes fonctionnels : oppo
inte étant, du côté paralysé, la grosse extrémité du côté sain. Les
muscles
innervés par le facial supérieur participent as
indépendamment l'un de l'autre. [CROUZON.] 4ü4 HÉMIPLÉGIE. Les
muscles
moteurs des globes oculaires participeraient géné
ent, mais non constant, il s'agit de contractions fasciculaires des
muscles
de la rébion antérieure des cuisses et des moll
ureuse, ou bien qu'il se produit soit un léger tressaille- ment des
muscles
au niveau du point piqué, soit même un léger mouv
s très rare dans 1 hémiplégie, elle atteint principalement certains
muscles
de la racine des membres (deltoïde, muscles de
principalement certains muscles de la racine des membres (deltoïde,
muscles
de la fesse), quelquefois cepen- dant elle se l
la fesse), quelquefois cepen- dant elle se localise sur les petits
muscles
des mains ; elle peut être pré- coce (dès les p
les organiques dans une diminution du relief de contraction de ce
muscle
du côté paralysé, quand on fait ouvrir la bouche
ystèmes de mouvements, sur certains actes plutôt que sur cer- tains
muscles
. - ' Elle est et reste en général flasque ; qua
mitive. Babinski suppose que ce mouvement est du à la paralysie des
muscles
qui étendent la cuisse sur le bassin; ces muscl
la paralysie des muscles qui étendent la cuisse sur le bassin; ces
muscles
ont pour action d'im- mobiliser le fémur pendan
soas iliaque se contracte pour fléchir le bassin sur la cuisse; ces
muscles
étant parésiés, l'action du psoas iliaque devie
i a pu l'ob- server dans des cas de sciatique où les mouvements des
muscles
exten- seurs de la cuisse sur le bassin étaient
certains actes où le peaucier entre en jeu, la con- traction de ce
muscle
est plus énergique du côté sain que du côté para-
au niveau du cou-de- pied la corde du tendon du jambier antérieur,
muscle
qui produit le mouvement ci-dessus indiqué. v
xtenseurs de la cuisse, en état d'insuffisance active, et celle des
muscles
fléchisseurs devenus hypertoniques. Un certai
musculaires et des troubles des réactions électriques au niveau des
muscles
atteints. On complétera cet examen local par un
nt de la course : la marche est gênée par la raideur croissante des
muscles
. Le pied frotte au niveau de la pointe et du bo
ombinée il une flexion légère. L'équinisme est toujours accusé. Les
muscles
sont durs et saillants, par- fois agités de sec
es ischions, etc. Il convient de signaler l'atteinte éventuelle des
muscles
tombo-abdominaux, aisée à mettre en évidence en
culière, la généralisation rapide de l'excitation provoquée dans un
muscle
aux muscles proches et même au membre voisin.
généralisation rapide de l'excitation provoquée dans un muscle aux
muscles
proches et même au membre voisin. La recherch
, mais c'était là phénomène secondaire, corrélatif à l'atrophie des
muscles
. Il pouvait persister quelque réflexe dont l'ex
tiner sur place afin de maintenir l'équilibre que l'impuissance des
muscles
de la jambe menace il tout instant de faire per
teur périphé- rique : cellule de la corne antérieure, racine, nerf,
muscle
. Seront spas- modiques (sans que jamais l'on pu
'exagération des réflexes est cependant encore perceptible avec des
muscles
très atrophiés. On peut également observer de l
ard, la paralysie ré- trocède et se localise en certains groupes de
muscles
qui subiront une atrophie définitive. Il n'exis
a D. R., assez tardive d'ailleurs, indique la perte irrémédiable du
muscle
sur lequel un la constate. La polynévrite peu
d'une poliomyélite et moins massive. Elle atteint avec élection les
muscles
des extrémités et détermine de gros troubles se
ible. La D. R. est plus précoce que dans la poliomyélite, mais tout
muscle
qui la laisse déceler à son niveau n'est point
nce des membres inférieurs peut être réalisée par la disparition du
muscle
. Cette atrophie est et demeure une des principale
n groupe d'affections de causes diverses pourtant. L'altération des
muscles
peut être, en effet, tantôt d'origine névritique,
Dans l'atrophie musculaire du type ChaTcot-Ma1'ie, l'atrophie des
muscles
est encore d'origine myélopathique. Il s'agit d'u
début périphérique. Pour ne parler que des segments inférieurs, les
muscles
du pied sont les premiers atteints, puis se prenn
des mouvements, de l'élargissement de la base de sustentation, des
muscles
durs, puis mous. Il n'existe ni troubles sen- s
ccidents trophiques. L'état des réflexes est parallèle à l'état des
muscles
, il n'existe pas de secousses librillaires. 4
s. Il y aurait dans ce cas un véritable épuisement des nerfs et des
muscles
. Signalons enfin des malades chez lesquels tout
flexion, rotation, extension, accom- pagnés parfois d'atrophie des
muscles
du cou. Fig. 1. Schémas radiculaires de Thorbnr
vent une parésie des fessiers (rotation en dehors du membre) . des
muscles
postérieurs de la cuisse (flexion de la jambe) et
de la cuisse (flexion de la jambe) et du groupe autero- externe des
muscles
de la jambe et des muscles du pied (avec déforma-
jambe) et du groupe autero- externe des muscles de la jambe et des
muscles
du pied (avec déforma- lions diverses, varus éq
ement et, d'une façon totale, la paralysie ne survient que dans les
muscles
inactifs. Il y a donc une influence très nette du
le tronc; quelquefois, on a observé de plus la parti- cipation des
muscles
de la respiration, de la langue et du pharynx, d'
é faradique et galvanique ; elle porte également aussi bien sur les
muscles
que sur les nerfs. Ce caractère est constant ; le
essive quand la maladie s'est constituée d'une façon graduelle; les
muscles
recouvrent leurs fonctions en sens inverse de l
YSIOLOGIE MUSCULAIRE SÉMÉIOLOGIE DES PARALYSIES ISOLÉES DE CHAQUE
MUSCLE
par Georges GUILLAIN Avant de faire l'étude s
emble les insertions, l'innervation, les fonctions des diflé- rents
muscles
du corps humain et aussi les troubles qui résulte
lysies, car il suffira de se rapporter à la physiologie normale des
muscles
pour comprendre les troubles consécutifs à la s
ppression de la fonction d'un ou de plusieurs d'entre eux ('). I.
MUSCLES
DU MEMBRE SUPÉRIEUR MUSCLES DE L'ÉPAULE Delto
ou de plusieurs d'entre eux ('). I. MUSCLES DU MEMBRE SUPÉRIEUR
MUSCLES
DE L'ÉPAULE Deltoïde. Insertions. Le deltoïde s
des mouvements de Duchenne de Boulogne, de l'article Physiologie des
muscles
de M. llallion dans le Traite de Médecine de Bo
le du plexus bra- chial. Physiologie. Les faisceaux antérieurs du
muscle
portent l'humérus en avant et en dedans jusqu'i
r- minée par les faisceaux postérieurs. Quand tous les faisceaux du
muscle
se contractent, il en résulte une abduction dir
u qui l'arrête ; le mouvement est aussi arrêté par la distension du
muscle
grand rond et de la partie infé- rieure de la c
mettre dans la poche du pantalon; on ne peut s'habiller seul. Le
muscle
sus-épineux a une action abductrice semblable il
oïde, il peut atténuer les troubles produits par la paralysie de ce
muscle
. Réciproquement, le deltoïde intact compense les
lysie de ce muscle. Réciproquement, le deltoïde intact compense les
MUSCLES
DU MEMBRE SUPÉRIEUR. M5 effets de la paralysie
crite ; aussi l'écriture est très gênée quand il est para- lysé. Ce
muscle
peut être considéré aussi comme un ligament actif
; 3" sur une deuxième cloison fibreuse qui le sépare du grand rond,
muscle
situé au- dessous de lui ; 4° sur la partie inf
lui ; 4° sur la partie inférieure de l'aponévrose sous-épineuse. Le
muscle
se porte en haut et en dehors et se fixe sur la f
pineux ; 4° sur la face profonde de l'aponévrose. sous-épineuse. Le
muscle
se porte en haut, en dehors et en avant ; son t
férieur de l'omoplate qu'il porte en avant et en haut. , C'est un
muscle
d'une puissance faible; aussi sa. paralysie n'amè
rf supérieur du sous-scapulaire innerve les faisceaux supérieurs du
muscle
; 2° le nerf inférieur du sous-scapulaire innerve
ermine la rotation en dedans de l'humérus. Il est antago- niste des
muscles
sous-épineux et petit rond qui forment le rotateu
le rôle de ligament actif de l'articulation scahulo-lucmérolc. à
MUSCLES
DU BRAS Biceps. - Insertions. Le muscle biceps
ion scahulo-lucmérolc. à MUSCLES DU BRAS Biceps. - Insertions. Le
muscle
biceps est formé de deux por- tions qui s'étend
qui sépare la grande de la petite tubérosité. Les deux portions du
muscle
se fusionnent. En bas le tendon terminal s'insè
nne avec la partie de l'aponévrose antibra- chiale qui recouvre les
muscles
épitrochléens. Innervation. Nerf musculo-cuiané
it l'avant- bras sur le bras. Dans le second cas, la contraction du
muscle
amène d'abord la main en supination, puis il ff
puis il ffechit l'avant-bras sur le bras. La puissance d'action du
muscle
s'accroît à mesure que le coude se rap- proche
névrotique le biceps a une action utile aux fonc- tions de certains
muscles
de l'avant-bras. En effet, cette expansion tend
on tend l'aponévrose antibrachiale, fixe l'insertion supérieure des
muscles
de la MUSCLES DU MEMBRE SUhi ? P'f;RI ? 525 c
évrose antibrachiale, fixe l'insertion supérieure des muscles de la
MUSCLES
DU MEMBRE SUhi ? P'f;RI ? 525 couche superficie
con- traction du biceps fait que le tendon de la longue portion du
muscle
se tend; ce tendon, véritable ligament actif, c
aintenir la tête humorale au niveau de la cavité glénoïde. Quand le
muscle
est paralysé, le même mouvement, qui s'accompli
que le biceps, mais ses fibres étant moins longues que celles de ce
muscle
ont vite donné leur maximum de raccourcissement
uls peuvent agir encore comme fléchisseurs, et très faiblement, les
muscles
épitrochléens. Triceps brachial. Insertions. Le
chléens. Triceps brachial. Insertions. Le triceps brachial est un
muscle
constitué par trois portions distinctes à leur or
ectueuse, car l'on sait que c'est une loi de la physiologie que les
muscles
ne fonctionnent bien qu'autant que leurs antagoni
fonctionnent bien qu'autant que leurs antagonistes sont normaux.
MUSCLES
DE LAVANT-BRAS Région antérieure de l'avant-bra
ant-bras. Dans la région antérieure de l'avant-bras, on trouve huit
muscles
disposés sur quatre plans. Le premier plan poss
t muscles disposés sur quatre plans. Le premier plan possède quatre
muscles
: le rond pronateur, le grand palmaire, le peti
nateur, le grand palmaire, le petit palmaire, le cubital antérieur;
MUSCLES
DU MEMBRE SUPÉRIEUR. 527 7 le second plan conti
eur commun superficiel des doigts ; le troisième plan comprend deux
muscles
: le fléchisseur commun profond des doigts en d
du pouce en dehors; le qua- trième plan n'est constitué que par le
muscle
carré pronateur. Rond pronateur. Insertions. Le
e sur le bord interne de l'apophyse coronoïde. En bas, le tendon du
muscle
prend insertion sur la partie moyenne de la fac
action pronatrice est annihilée par la contraction synergique d'un
muscle
antagoniste comme le biceps. Grand palmaire. In
ut sur la face antérieure de t'epitrochtec par un tendon commun aux
muscles
epitrochteens, sur l'aponévrose antihracliialc, s
du fléchisseur commun superficiel en arrière. En bas, le tendon du
muscle
prend insertion sur la face antérieure de l'extré
re s'insère en haut sur l'épitrochlée par un tendon commun avec les
muscles
epitro- chluens, sur l'aponévrose antibrachiate
névrose palmaire, le faisceau externe se confond avec l'origine des
muscles
de t'eminence thénar, principalement avec les fai
ctement sur l'avant-bras; il peut secondairement, connue les autres
muscles
épitro- clllécns, fléchir l'avant-bras sur le b
rs supérieurs du bord posté- rieur du cubitus. En bas, le tendon du
muscle
s'insère sur l'os pisi- forme. Innervation. N
l'avant-bras et diminue secondairement la puis- sance d'action des
muscles
extenseurs commun et propre des doigts. Fléchis
r l'épitrochlée en se confondant plus ou moins à ce niveau avec les
muscles
superficiels, sur le bord interne de l'apophyse
essous de la tubérosité bicipitale. Les quatre tendons terminaux du
muscle
glissent dans la gouttière du carpe, traversent,
ent, en divergeant. la région palmaire où ils donnent insertion aux
muscles
tombrieaux. perforent au niveau des doigts les
rvé par le médian et par le cubital. Le médian, par l'intermédiaire
MUSCLES
DU MEMBRE SUPERIEUR. 52 ! ) du nerf interosseux
ur profond fléchit les deuxièmes et les troisièmes pha- langes. Ces
muscles
agissent à peine sur les premières phalanges dont
les fléchisseurs agissent avec puissance, il est nécessaire que les
muscles
extenseurs soient normaux. Le fléchisseur profo
e la griffe si puissante pour déchirer avec les ongles. Quand les
muscles
fléchisseurs sont paralysés, les différents usage
du cubitus, soit ¡Je Il'pill'Ol'hlél', soit de la masse commune des
muscles
epitrochteens. Le tendon terminal se fixe en bas
r propre, n'agit pas sur le premier métacarpien. La paralysie de ce
muscle
, bien que n'entraînant que la perle de la flexi
GIE MUSCULAIRE. ainsi la main en pronation. Le rôle pronateur de ce
muscle
a été mis en doute par Ilyrtl, mais Calori, Tes
de l'avant-bras. La région externe de l'avant-bras comprend quatre
muscles
: le long supinateur, le premier radial externe
le met en demi-pronation. Quand la main est en pronation forcée le
muscle
en se contractant est supinateur, puisqu'il amène
l'avant-bras en demi-pronation, on ne perçoit pas alors la corde du
muscle
contracté. " Premier radial externe. Insertions
et sur la cloison interniusculaire externe. En bas, le ten- don du
muscle
se fixe en arrière de l'extrémité supérieure ou b
-bras. Il est extenseur et adducteur de la main. La paralysie de ce
muscle
amène une déviation permanente de la main vers
en haut sur l'épicondyle par un tendon qui lui est commun avec les
muscles
superficiels de la région postérieure de l'avant-
xtenseur abducteur de la main. Pour Duchenne de Boulogne, il est un
muscle
extenseur direct. Lorsque le deuxième radial ex
main est encore possible grâce à la contraction simultanée des deux
MUSCLES
DU MEMBRE SUPÉRIEUR. 551 autres extenseurs, le
tes s'annulent réci- proquement. Court supinateur. Insertions. Ce
muscle
s'enroule autour du radius à la manière d'un de
parfois des faisceaux additionnels proviennent de l'épicondyle. Le
muscle
court supinateur contourne le tiers supérieur d
Innervation. - \erf radial. Physiologie. Le court supinateur est un
muscle
supinateur (ner- tique. est avec le biceps le p
e l'avant-bras. La région postérieure de l'avant-bras comprend huit
muscles
qui for- ment deux couches. La couche superfici
ieur, l'anconé. La couche profonde se compose égale- ment de quatre
muscles
: le long abducteur du pouce, le court extenseur
doigt en dedans et du deuxième radial externe en dehors. En bas, le
muscle
se divise en trois faisceaux : un faisceau exte
iveau de l'articulation métacarpo-pha- langienne des expansions des
muscles
lombricaux et interosseux et se divise en trois
rose anti-brachiale, sur les cloisons fibreuses qui le séparent des
muscles
voisins. Le tendon terminal du muscle se fusion
ibreuses qui le séparent des muscles voisins. Le tendon terminal du
muscle
se fusionne avec le tendon que l'extenseur commun
les premières sur les métacarpiens et la main sur l'avant-bras. Le
muscle
agit peu sur les deux dernières pha- langes, au
deux dernières phalanges tient un peu à la "("81stanc¡' tonique des
muscles
fléchisseurs, niais surtout il ce que le ten- '
opre du petit doigt permet 1 extension isolée du petit doigt. Les
muscles
extenseurs impriment aux doigts des mouvements de
postérieure et le bord postérieur du cubitus. En bas, le tendon du
muscle
s'insère sur le côté interne de l'extrémité sup
nerf radial par les rameaux que ce nerf envoie au vaste externe.
MUSCLES
DU MEMBRE SUPÉRIEUR, 5 5 Physiologie. L'anconé
ui est utile dans la pronation et la supination. La paralysie de ce
muscle
n'amène pas de troubles appréciables si le tric
um de sa contraction, il fléchit la main et l'incline en dehors. Ce
muscle
n'intervient jamais, comme d'ailleurs le long et
edans vers le deuxième méta- carpien. Dans les cas de paralysie des
muscles
thénariens, le long exten- seur, par son action
ndex sur le métacarpien, il rapproche aussi ce doigt du médius. -
MUSCLES
DE LA MAIN Région palmaire externe. Muscles d
oigt du médius. - MUSCLES DE LA MAIN Région palmaire externe.
Muscles
de l'éminence thénar. Insertions. - Ce court ab
édiaire de cette gaine sur le trapézoïde et le grand os. En bas, le
muscle
se divise en deux faisceaux : l'un, externe, s'
hisseur du pouce amènent la flexion et l'adduction du premier méta-
MUSCLES
DU MEMBRE SUPÉRIEUR. 555 carpien, la flexion de
l'adduction et la rotation en dedans du premier métacarpien. Les
muscles
de l'éminence thénar, comme le fait remarquer Poi
sant lui imprime un léger mouvement de rotation en dedans. Tous les
muscles
de l'éminence thénar, sauf l'oppo- sant dépourv
aponévrotique, qu'ils envoient au tendon du long extenseur, que ces
muscles
peuvent pro- duire ce mouvement (Poirier). Qu
ces muscles peuvent pro- duire ce mouvement (Poirier). Quand les
muscles
de l'éminence thénar sont paralysés, la tonicité
eur du pouce est plus utile en tant qu'opposant que les deux autres
muscles
(l'opposant et le faisceau externe du court flé-
opposcr le pouce à l'index et au médius. Région palmaire interne.
Muscle
de l'éminence hypothénar. Palmaire cutané. Inse
ortement un objet dans la main (1[I'nlc), Le palmaire cutané est un
muscle
rudimentaire chez l'homme. Adducteur du petit d
ction à l'axe de la main il peut être considéré comme abducteur. Ce
muscle
fléchit aussi la première phalange sur le métac
eux autres phalanges lorsque, ainsi qu'il t'a vu plusieurs fois, le
muscle
envoie une expansion dorsale au tendon extenseu
os crochu, sur le ligament qui unit cet os au pisiforme. En bas, le
muscle
prend insertion sur le coté interne du cinquièm
Région palmaire moyenne. Lombricaux. Insertions. Il existe, quatre
muscles
lombri- caux s'étendant en hauteur depuis l'art
des quatre derniers doigts. La languette tendineuse qui termine le
muscle
se réunit il la partie inférieure ou longue por
étacarpo-phalanginnne du médius, se termine sur le tendon extenseur
MUSCLES
DU MEMBRE SUPÉRIEUR. 557 du médius; le troisièm
extension des deux autres. ' Interosseux. Insertions. Il existe des
muscles
interosseux palmaires et des muscles interosseu
eux. Insertions. Il existe des muscles interosseux palmaires et des
muscles
interosseux dorsaux. Chaque espace interrnéta-
donne naissance à l'interosseux dorsal correspondant. Le tendon du
muscle
vient se terminer sur le tendon de l'extenseur.
eure, à l'interosseux palmaire correspondant. Le tendon terminal du
muscle
se divise en deux portions : une courte portion
la première phalange sur le côté correspondant au métacarpien où ce
muscle
a pris ses insertions les plus étendues, une lo
al innerve les interosseux dorsaux et palmaires. Physiologie. Les
muscles
interosseux fléchissent la première pha- lange,
s phalanges des doigts sont en hyperextension par la rétraction des
muscles
extenseurs commun et propre, les deux dernières
u niveau du médius et de l'index, quoique existant toutefois. II.
MUSCLES
DU MEMBRE INFÉRIEUR MUSCLES DU BASSIN Grand f
ndex, quoique existant toutefois. II. MUSCLES DU MEMBRE INFÉRIEUR
MUSCLES
DU BASSIN Grand fessier. Insertions. Le grand f
externe de la crête iliaque dans sa partie la plus reculée, sur la
MUSCLES
DU MEMBRE INFERIEUR. mis ligne courbe postérieu
e posté- rieure du grand ligament sacro-sciatique. Les faisceaux du
muscle
se dirigent en bas et en dehors et s'insèrent s
nd trochanter à la ligne âpre; les faisceaux les plus inférieurs du
muscle
s'insèrent non sur le fémur, mais sur l'aponévros
âché dans la station debout. D'après les recherches de Duchenne, ce
muscle
n'intervient ni dans la station debout ni dans
pace compris entre la crête iliaque et le grand fessier. En bas, le
muscle
s'insère sur la face externe du grand trochante
n dedans et un léger degré de flexion. Les faisceaux postérieurs du
muscle
sont obliques en bas et en avant, ils déterminent
située en avant de la ligne courbe antérieure. En bas, le tendon du
muscle
s'insère au bord antérieur et un peu au bord supé
elle reste au même niveau que l'épine iliaque du côté qui porte.
Muscles
pelvitrochantériens. Les muscles pelvitrochanté-
épine iliaque du côté qui porte. Muscles pelvitrochantériens. Les
muscles
pelvitrochanté- riens sont : le pyramidal du ba
bturateur externe et le carré crural, .l'indiquerai l'action de ces
muscles
dans un paragraphe d'ensemble. Pyramidal du bas
rne et gagnent, avec lui, la cavité digitale du grand trochanter.
MUSCLES
DU MEMBRE INFÉRIEUR. 541 Innervation. - Le jume
e entre le trou obtura- teur et l'épine sciatique. Les faisceaux du
muscle
se portent vers la petite échancrure sciatique,
r quelques faisceaux à sa face postérieure. En dehors, le tendon du
muscle
s'insère dans le fond de la cavité digitale du
ation. Hameau issu du plexus sacré qui lui est commun avec celui du
muscle
jumeau inférieur (nerf du jumeau inférieur et du
ur (nerf du jumeau inférieur et du carré crural). Physiologie des
muscles
pelvitrochantériens. Le pyramidal, les jumeaux,
ant la flexion connue pendant l'extension de la cuisse. Lorsque les
muscles
se contractent, le sujet étant assis, la jambe al
uvement de flexion associé il l'abduction (Duchenne). ' Quand les
muscles
pdvitrochanteriens sont paralysés, le pied est
l'un de l'autre. [G. GUILLAIN.] a43 ' . PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE.
MUSCLES
DE LA CUISSE . * Région antéro-externe. Ten
ar le couturier n'est pas très énergique. La paralysie isolée de ce
muscle
n'entraîne pas de troubles fonctionnels importa
de ce muscle n'entraîne pas de troubles fonctionnels importants.
MUSCLES
DU MEMBRE INFÉRIEUR. 545 Quadriceps fémoral. In
MUSCLES DU MEMBRE INFÉRIEUR. 545 Quadriceps fémoral. Insertions. Le
muscle
quadriceps est formé de quatre portions distinc
ligne âpre, sur la lèvre externe de la ligne âpre, sur le tendon du
muscle
grand fessier et la cloison intermusculaire ext
s'insèrent directement sur la tubérosité antérieure du tibia. Le
muscle
sous-crural ou tenseur de la synoviale du genou e
se perdre sur le cul-de-sac supérieur de la synoviale du genou. Le
muscle
sous-crural est parfois indépendant, le plus so
le quadriceps. Innervation. Les quatre portions du quadriceps et le
muscle
sous- crural sont innervés par le crural (plexu
lier impossible. La paralysie peut prédominer sur certains chefs du
muscle
. Si le vaste externe est seul respecté, l'exten
quelques fibres sur le ligament pubo-femorat. En bas. les fibres du
muscle
s'insèrent sur le fémur sur cette ligne rugueuse
r. Innervation. Le premier adducteur reçoit des filets nerveux de
MUSCLES
DU MEMBRE INFERIEUR. 545 l'obturateur, branche
serrer les flancs de sa monture sans la toucher de l'éperon. Les
muscles
adducteurs ont une action dans la flexion de la c
la jambe, ils sont plus étendus en dehors qu'en dedans. Quand ces
muscles
prennent leur point fixe sur la jambe, ils étende
ion de la hanche est très nécessaire pen- dant la marche. Quand ces
muscles
sont paralysés, l'extension de la hanche pendan
ments postérieurs de l'articulation du genou se distendent, car les
muscles
paralysés ne peuvent plus limiter l'extension d
cles paralysés ne peuvent plus limiter l'extension de la jambe. '
MUSCLES
DE LA JAMBE . Région antérieure. Jambier anté
breuse le séparant de l'extenseur des orteils. En bas, le tendon du
muscle
s'insère sur le premier cunéiforme et sur l'extré
la jambe, le tord légèrement en dedans, il porte l'extrémité poste-
MUSCLES
DU MEMBRE INFÉRIEUR. 547 rieure du premier méta
ur propre du gros orteil qui exerce une suppléance ; l'action de ce
muscle
se traduit par une extension exagérée du gros o
alanges qui sont étendues par les lombricaux et les interosseux. Le
muscle
exten- seur détermine aussi la flexion du pied
onévrose jambière, sur les cloisons fibreuses qui le sépa- rent des
muscles
voisins. Le tendon du muscle descend derrière la
isons fibreuses qui le sépa- rent des muscles voisins. Le tendon du
muscle
descend derrière la malléole externe, la contou
eure du premier cunéiforme et une expansion plus mince au pre- mier
muscle
interosseux dorsal. Innervation. Nerf musculo-c
, branche de bifurcation du scia- tique poplité externe. Parfois le
muscle
reçoit un rameau direct du sciatique poplité ex
tefois le long péronicr estun auxiliaire utile au triceps sural. Ce
muscle
, en effet, est un extenseur énergique de l'arrièr
portant du long péronier latéral, l'impotence fonc- tionnelle.de ce
muscle
a pour conséquence l'effondrement de la voûte p
pied sur son bord interne pendant son extension volontaire, l'apla-
MUSCLES
DU llE)tB11E INFÉRIEUR. 549 tissenient de la vo
erne de cet os, sur les cloisons aponévrotiques qui le séparent des
muscles
voisins. Le tendon du muscle contourne la malléol
ns aponévrotiques qui le séparent des muscles voisins. Le tendon du
muscle
contourne la malléole externe, croise la face e
ed comme l'ont soutenu différents auteurs. Duchenne a montré que ce
muscle
ne produit de mouvements dans l'articulation ti
ure, puis sur la ligne oblique du tibia immédiatement au-dessous du
muscle
poplité et sur le tiers moyen du bord interne d
ur l'aponévrose du poplité. En lias, l'aponévrose de terminaison du
muscle
soléaire se fusionne avec 1 aponévrose des jume
en élevant le talon, élève en même temps le corps tout entier, ces
muscles
ont un rôle pri- mordial dans la marche, le sau
Enfin, au bout d'un certain temps, par suite de la prépondérance du
muscle
long péro- nier, le pied est entraîné en abduct
d'animaux et notamment chez les singes inférieurs. Chez l'homme ce
muscle
n'existe qu'à l'état de vestige et il n'est fixe
et en dedans et vient se fixer sur la lèvre supérieure de la ligne
MUSCLES
DU MEMBRE -INFÉRIEUR. 551 oblique du tibia et s
cloison fibreuse qui le sépare du jambier postérieur. Le tendon du
muscle
à la région plan- taire reçoit sur son côté ext
on du muscle à la région plan- taire reçoit sur son côté externe le
muscle
accessoire ou chair carrée et se divise en quat
du ligament interosseux, sur la cloison fibreuse qui le sépare des
muscles
pérdniers latéraux. Le tendon du muscle se term
fibreuse qui le sépare des muscles pérdniers latéraux. Le tendon du
muscle
se termine sur l'extrémité postérieure de la deux
d'après Testut, et là dénomination de fléchisseur propre donnée au
muscle
consacre une erreur. Innervation. Nerf tibial p
la pre- mière sur le premier, métatarsien. Duchenne a montré que ce
muscle
n'avait que peu d'action sur l'articulation tib
ie du jambier postérieur a pour con- séquence un pied bot valgus.
MUSCLES
DU PIED Région dorsale. Pédieux. - Insertions
tissu fibreux situé dans le creux calcaueo-astragallcn. En avant le
muscle
se termine par quatre tendons : le premier tendon
clon cUcnSeur dc cet ortcil. Innervation. Nerf plantaire interne.
MUSCLES
DU i\tE1113RE INFÉRIEUR. 555 Physiologie. L'add
Abducteur du gros orteil. Insertions. L'abducteur du gros orteil,
muscle
homologue de l'adducteur du pouce à la main est
i- le sépare du court flécliisseur plantaire. Le tendon terminal du
muscle
se fixe sur le côté externe de l'extrémité post
t il se fixe aux deux tiers antérieurs du cinquième métatarsien. Le
muscle
fait souvent défaut, il est fréquemment fusionne
ponévrose plantaire, sur les cloisons fibreuses qui le séparent des
muscles
voisins. En avant le muscle se termine par quat
cloisons fibreuses qui le séparent des muscles voisins. En avant le
muscle
se termine par quatre tendons qui, après avoir
ur ses branches de bifurcation. La plus grande partie des faisceaux
MUSCLES
DU 1E}IBHE INFÉRIEUR. 555 de l'accessoire se te
dons destinés aux troisième et quatrième orteils. Innervation. Le
muscle
reçoit un rameau nerveux du plantaire externe p
insère exclusivement sur le, tendon destiné au deuxième orteil. Les
muscles
se portent en avant en- divergeant, légèrement,
nt les deux autres. Interosseux. Insertions. Il existe au pied sept
muscles
inter- osseux : quatre interosseux dorsaux et t
0; Íl'il. Le gros orteil et le deuxième orteil ne possèdent, pas de
muscles
interos- seux plantaires. Les quatre interosseu
rteil. Innervation. Nerf plantaire externe. Physiologie. Tous les
muscles
interosseux fléchissent la première phalange de
douleurs dans la partie antérieure de la plante du pied. , 111. -
MUSCLES
DU COU W l Région latérale. Sterno-cléïdo-m
U W l Région latérale. Sterno-cléïdo-mastoïdien. Insertions. Le
muscle
sterno- cteïdo-mastojdicn prend son origine sur
uelle naissent de nom- hreux filets se distribuant aux faisceaux du
muscle
. Parfois le ste1'l1O- mastoïdiell reçoit un pet
il fléchit la tète, l'incline de son côté, lui imprime un mouve- \
MUSCLES
DU COU. 557 nient de rotation qui porte la face
s sont simplement fléchisseurs de la tête. ' - Le chef profond du
muscle
, le cléïdo-mastoïdien est innervé par le spinal
ujours très peu marquée. Dans la contracture du chef superficiel du
muscle
on observe, au con- traire, principalement la r
avec un sterno-mastoïdien, mais normalement le rôle respiratoire du
muscle
est très peu important. 11 neut modérer l'expir
et dit à ce sujet : « Le sterno-mastoïdien est en quelque sorte un
muscle
de luxe, et sa disparition ne produit pas de pe
e vertèbres cervicales ; ces quatre fais- ceaux se fusionnent en un
muscle
dont le tendon terminal vient se fixer sur le t
hyoïde en le portant légè- rement en arrière. Richct pensait que ce
muscle
tendait l'aponévrose cer- vicale moyenne, maint
o-hyoïdien. Insertions. Le thyro-byoïdicn semble la continuation du
muscle
sterno-thyroïdien. Il s'insère en bas sur les deu
sé par ses élévateurs, il devient éléva- teur du larynx. Tous les
muscles
sous-hyoïdiens en fixant l'insertion inférieure d
ous les muscles sous-hyoïdiens en fixant l'insertion inférieure des
muscles
sus-hyoïdiens interviennent dans l'abaissement du
laire inférieur. Digastrique. Insertions. Le ventre postérieur du
muscle
digas- trioue s'insère, sur le côté interne de
-hyoïdien porte l'os hyoïde en haut et en arrière. Avec, les autres
muscles
sus-hyoïdiens il élève l'os hyoïde et par lui l
-hyoïdienne qui s étend de l'os hyoïde à la symphyse du menton. Les
muscles
myto-hyoï- diens constituent le plancher de la
tractant d'un seul côté il détermine la rotation de la face vers le
muscle
qui se contracte. Petit droit antérieur de la t
incline latéralement. Long du cou. Insertions. On distingue dans ce
muscle
trois portions distinctes : la portion oblique
du cou fléchit la colonne cervicale et l'incline latéralement. '
MUSCLES
DU THORAX. 561 t IV. MUSCLES DU THORAX Grand
icale et l'incline latéralement. ' MUSCLES DU THORAX. 561 t IV.
MUSCLES
DU THORAX Grand pectoral. Insertions. Le grand
de la sixième ou de la septième. Tous les faisceaux constitutifs du
muscle
convergent vers la lèvre antérieure de la couliss
isager l'action distincte des faisceaux supérieurs et inférieurs du
muscle
. La partie supérieure, formée par les fibres cl
mouvement de pronation se combine au mouvement d'abaissement. Le
muscle
peut prendre son point fixe sur l'humérus, il agi
rôle respiratoire, car Duchenne a démontré expérimentalement que le
muscle
n'élevait pas les cèles. Les faisceaux antéri
e la colonne vertébrale. Sous-clavier. Insertions. -Le est un petit
muscle
qui s'étend de la première côte à la clavicule.
. Nerf du sous-clavier, branche du plexus brachial. Physiologie. Le
muscle
sous-clavier peut prendre son point fixe sur la
il élève la première côte et devient inspirateur. D'autre part, le
muscle
peut être considéré comme un véritable ligament
n objet en avant avec le moignon de l'épaule. La portion moyenne du
muscle
produit isolément ce même mouvement. La portion
a une action sur les côtes. La première et la troisième portion du
muscle
élèvent les côtes, la seconde abaisse les côtes
ème portion l'emportent de beaucoup par leur volume sur la seconde,
MUSCLES
DU THORAX. 505 1-) le in-and dentelé peut être
S DU THORAX. 505 1-) le in-and dentelé peut être considéré comme un
muscle
inspirateur. Quand le grand dentelé est paralys
ormation particulière du thorax dans les cas de paralysie isolée du
muscle
grand dentelé; elle ne se voit que du côté paraly
'existence de l'omoplate ailée, d'autre part, l'étal paralytique du
muscle
grand dentelé et l'action supplémentaire exagérée
que du muscle grand dentelé et l'action supplémentaire exagérée des
muscles
inspirateurs accessoires. Muscles intercostau
ion supplémentaire exagérée des muscles inspirateurs accessoires.
Muscles
intercostaux. Insertions. Les muscles inter- co
s inspirateurs accessoires. Muscles intercostaux. Insertions. Les
muscles
inter- costaux externes s'insèrent sur la lèvre
du bord supé- rieur de la côte qui est au-dessous. Les faisceaux du
muscle
sont dirigés en bas et en avant. Les muscles
ous. Les faisceaux du muscle sont dirigés en bas et en avant. Les
muscles
intercostaux internes s'insèrent sur la lèvre int
du bord supérieur de la côte, qui est au-dessous. Les faisceaux du
muscle
sont dirigés en bas et en arrière. Innervation.
ière. Innervation. Nerfs intercostaux. ' Physiologie. Le rôle des
muscles
intercostaux externe et interne a ele très disc
trariée. La fonction des intercostaux est peu importante, aussi ces
muscles
sont-ils en partie charnus et en partie fibreux
douzième côte. Innervation. Nerfs intercostaux. Physiologie. Les
muscles
surcostaux prennent leur point fixe sur les apo
nt les côtes, sont donc inspirateurs. Sous-costaux. Insertions. Les
muscles
sous-costaux sont situés dans le thorax entre l
la côte sous-jacente ou de celle qui vient après. Le nombre de ces
muscles
est très variable, les sous-costaux supérieurs l'
tre eux. ? Innervation. Nerfs intercostaux. '" r Physiologie. Les
muscles
sous-costaux n'ont pas d'action, ce sont des mu
ysiologie. Les muscles sous-costaux n'ont pas d'action, ce sont des
muscles
rudimentaires. Triangulaire du sternum. Inserti
des muscles rudimentaires. Triangulaire du sternum. Insertions. Le
muscle
trian- gulaire du sternum situé en arrière de c
peut abaisser les côtes, mais son action est très faible. C'est un
muscle
rudimentaire. MUSCLES DE L'ABDOMEN. à6,) V. M
s, mais son action est très faible. C'est un muscle rudimentaire.
MUSCLES
DE L'ABDOMEN. à6,) V. MUSCLES DE L'ABDOMEN Di
le. C'est un muscle rudimentaire. MUSCLES DE L'ABDOMEN. à6,) V.
MUSCLES
DE L'ABDOMEN Diaphragme. -Insertions. Les faisc
es lombes ou ligament cintré du diaphragme, qui s'étend en avant du
muscle
carré des lombes du sommet de la douzième côte à
nerfs intercostaux; ils se distribuent à la partie juxta-costale du
muscle
. Physiologie. Le diaphragme est principalement
stale du muscle. Physiologie. Le diaphragme est principalement un
muscle
inspira- teur. Il dilate le thorax en augmentan
t les trois principaux diamètres de cette cavité. La contraction du
muscle
tend à donner aux fibres charnues une direction
s- piration favorise la circulation abdominale. La contraction du
muscle
rétrécit l'orifice oesophagien; ainsi sciait em
des mouvements, des efforts, car dans la position de repos d'autres
muscles
peuvent suppléer le diaphragme. Dans la paralys
is dans l'intervalle com- pris entre l'épine et l'angle. En haut le
muscle
se divise en trois faisceaux : le faisceau exte
nsi dans la défécation, la miction, le vomissement, l'accouchement.
MUSCLES
DE L'ABDOMEN. 567 Pyramidal. Insertions. Le pyr
yse pubienne et de l'ombilic. Innervation. La partie, supérieure du
muscle
est innervée par les derniers nerfs intercostau
ou postérieurs verticaux. En bas les libres les plus inférieures du
muscle
, celles qui pro- viennent des deux dernières cô
la lèvre externe de la crête iliaque. Tous les autres faisceaux du
muscle
, c'est-à-dire ceux qui viennent des 6 ? 7 ? 8 ?
oblique. Cette aponévrose, qui est un véritable tendon terminal du
muscle
, s'insère sur la crête ilia- que, sur le bord a
ertions. Le petit oblique est dirigé en sens contraire au précédent
muscle
, il s'étend de la région lombo-iliaque aux dern
) qui se fusionne avec l'aponévrose du grand dorsal et qui relie le
muscle
aux apophyses épineuses de la dernière vertèbre l
rand abdomino-génitat et petit abdoniino-génital. Physiologie. Le
muscle
petit oblique abaisse les côtes, fléchit le tho
e porte de ce côté; il est donc antagoniste du grand oblique. Si le
muscle
prend son point fixe sur le thorax il élève et
e thorax en attirant les côtes en dedans. Duchenne a montré que les
muscles
de la paroi abdominale n'étaient pas indispen-
e un second plan de fibres en avant de celui-ci, elles se détachent
MUSCLES
DE L'ABDOMEN. a69 du bord inférieur de la douzi
eures des trois ou quatre premiers nerfs lombaires. Physiologie. Le
muscle
carré des lombes, en prenant son point fixe sur
bassin de son côte. Psoas iliaque. Insertions. La portion psoas du
muscle
s'in- sère en haut sur la face latérale du corp
ase des apophyses transverses de ces vertèbres. En bas le tendon du
muscle
s'insère à la face postérieure du petit trochante
re à la face postérieure du petit trochanter. La portion iliaque du
muscle
prend ses insertions sur les deux tiers supérie
e de l'articulation coxo-fémorale. Presque tous les faisceaux de ce
muscle
se terminent sur la face externe du tendon du p
ostérieure du petit trochanter. Quelques faisceaux formant le petit
muscle
iliaque vont directement au fémur en longeant l
lombaire et quelques filets issus du nerf crural. Physiologie. Le
muscle
psoas-iliaque, en prenant son point fixe sur la
la flexion de la cuisse sur le bassin et sa rotation en dehors. Le
muscle
tenseur du fascia lata amenant la flexion de la
la cuisse avec rotation en dedans, la contraction simultanée de ce
muscle
et du psoas iliaque produit la flexion simple de
cle et du psoas iliaque produit la flexion simple de la cuisse; ces
muscles
ont une action dans la marche. Le muscle psoas-
imple de la cuisse; ces muscles ont une action dans la marche. Le
muscle
psoas-iliaque, en prenant son point fixe sur le f
du plexus lombaire. Physiologie. Le petit psoas est le vestige d'un
muscle
existant chez beaucoup de mammifères, les saute
un rôle utile. ' [G. GUILLAIN.] S70 PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE. VI.
MUSCLES
DE LA RÉGION POSTÉRIEURE DU TRONC ET DU COU M
ULAIRE. VI. MUSCLES DE LA RÉGION POSTÉRIEURE DU TRONC ET DU COU
MUSCLES
SUPERFICIELS DE LA RÉGION C £ RVICD-DORSO-LOMBAIR
es ligaments surépineux correspondants. Les faisceaux supérieurs du
muscle
oblique en bas et en dehors viennent s'insérer su
ogique, il est nécessaire d'en- visager différentes parties dans le
muscle
trapèze. La partie claviculaire, dite respirato
côté opposé. Quand le trapèze se contracte bitatératement, la tête
MUSCLES
DE LA RÉGION POSTÉRIEURE DU TRONC ET DU COU. 571
trapèze se traduit par des signes différents suivant la partie ! de
muscle
qui est affectée. La paralysie de la partie supér
in- cline en bas et en dedans, le moignon de l'épaule s'abaisse. Le
muscle
grand dentelé corrige la déviation de l'épaule.
nd dorsal agit principalement sur l'omoplate, le tiers supérieur du
muscle
rapproche l'omoplate de la ligne médiane de deu
ervicale et des quatre ou cinq premières dorsales. Les faisceaux du
muscle
se dirigent en bas et en dehors et viennent se fi
rovenant des quatre premiers nerfs intercostaux. D'après Poirier le
muscle
recevrait un rameau de la branche du rhomboïde.
Poirier le muscle recevrait un rameau de la branche du rhomboïde.
MUSCLES
DE LA RÉGION POSTÉRIEURE DU TRONC ET DU COU. 373
le petit dentelé postérieur et inférieur est comme le supérieur, un
muscle
inspirateur (Testut). MUSCLES DE LA NUQUE Spl
inférieur est comme le supérieur, un muscle inspirateur (Testut).
MUSCLES
DE LA NUQUE Splénius. - Insertions. Le sptenius
, lui imprime un mouvement de rotation qui porte la face du côté du
muscle
qui se contracte. La contraction bilatérale des
e. Dans diflérents points d'insertion les faisceaux constitutifs du
muscle
se portent en haut [G. GUILLAIN. ;.Í1 PHYSIOL
re les deux lignes courbes. Innervation. Grand nerf occipital. Le
muscle
reçoit aussi des 1¡leh nerveux provenant des br
ème, qua- trième et cinquième nerfs cervicaux. Physiologie. - Les
muscles
grand comptcxus. en se coutractantsitnui- tant'
ère. Sappcy et Cruveilhier disent que la contraction unilatérale du
muscle
imprime à la tète un mouvement de rotation qui
rotation qui a pour effet de porter la face de son côté. Quand les
muscles
se contractent bitatéraicmeru, ils renversent l
Le petit droit postérieur de la tête est un extenseur de la tète.
MUSCLES
DE LA RÉGION POSTÉRIEURE DU TRONC ET DU COU. 575
petit oblique de la tête étend la tète et l'incline latéralement.
MUSCLES
DES GOUTTIÈRES VERTÉBRALES OU MUSCLES SPINAUX l
et l'incline latéralement. MUSCLES DES GOUTTIÈRES VERTÉBRALES OU
MUSCLES
SPINAUX lJr Masse commune, ilio-costal, long
ons musculaires qui s'étendent du sacrum à la région cervicale : le
muscle
ilio-costal ou scccro-lombaire, le muscle long
la région cervicale : le muscle ilio-costal ou scccro-lombaire, le
muscle
long dorsal et le muscle transversaire épineux.
muscle ilio-costal ou scccro-lombaire, le muscle long dorsal et le
muscle
transversaire épineux. L'ilio-costal en dehors,
nsversaire épineux occupe le plan profond. Cet. isolement des trois
muscles
des gouttières vertébrales ne s'observe qu'à la
à la partie supérieure de la région lombaire, au-dessous les trois
muscles
fusionnés forment la niasse commune. ' Voici
commune. ' Voici la description anatomique que donne Testut de ces
muscles
si complexes. La masse commune, qui occupe au
de sa face antérieure naissent la plupart des faisceaux charnus des
muscles
des gouttières. L'ilio-costal on sac1'o-lm/lbai
es cinq der- nières vertèbres cervicales. Au sur et à mesure que le
muscle
envoie par son bord externe des tendons aux côt
En passant en arrière de ces dix-sept groupes vertébro-costaux, le
muscle
fournit à chacun d'eux trois faisceaux : un fai
té la côte lombaire. Le transversaire épineux, situé au-dessous des
muscles
précédents, s'étend du sommet du sacrum à la de
s'atténue au thorax et grossit de nouveau à la région cervicale. Le
muscle
est constitué par une série de faisceaux qui prés
six faisceaux qui s'insèrent sur le sommet et le bord supérieur des
MUSCLES
DE LA RÉGION POSTÉRIEURE DU TRONC ET DU COU. 577
res situées au-dessus. Les rotateurs du dos (Theile) sont de petits
muscles
situés au-des- sous du rrmltifide; ils s'insère
ophyse épineuse de la vertèbre située au-dessus. D'après Theile ces
muscles
n'existent qu'a la région dorsale, il n'en décrit
la deuxième vertèbre cervicale ; il ajoute d'ailleurs qu'à côté des
muscles
courts qui vont d'une vertèbre il la vertèbre v
courts qui vont d'une vertèbre il la vertèbre voisine existent des
muscles
longs qui, franchissant une vertèbre, viennent
s qu à la région dorsale et à la région cervicale. Innervation. Les
muscles
des gouttières vertébrales sont tous innervés p
ar les branches postérieures des nerfs rachidiens. Physiologie. Les
muscles
des gouttières vertébrales sont des extenseurs
linaison latérale et un mouvement de rota- tion variant suivant les
muscles
qui se contractent. Les faisceaux costaux et tr
cutive si la paralysie des fléchisseurs du rachis, c'est-à-dire des
muscles
de la paroi abdominale antérieure ; dans cette
par cet os ou même en avant de lui. La paralysie unilatérale des
muscles
spinaux lombaires et dorsaux a pour conséquence
ralytique qu'il faut différencier de la scoliose par contracture.
MUSCLES
INTERTRANSVERSAIRES Intertransversaires du cou,
. Nerfs cervicaux, nerfs dorsaux, nerfs lombaires. Physiologie. Les
muscles
intertrausversaires inclinent de leur côté la c
t bilatéralement ils fixent solidement les vertèbres entre elles.
MUSCLES
ÉPINEUX ET INTERÉPINEUX Épineux. - Insertions.
SCLES ÉPINEUX ET INTERÉPINEUX Épineux. - Insertions. Il existe doux
muscles
épineux : l'épi- neux du dos et l'épineux de la
uit premières vertèbres dorsales. L'épineux de la nuque s'insère en
MUSCLES
PEAUCIERS DU COU ET DE LA TÈTE. 579 bas par deu
ation. Branches postérieures des nerfs raehidiens. Physiologie. Les
muscles
épineux sont extenseurs de la colonne vertébral
xtenseurs de la colonne vertébrale. Interépineux. Insertions. Les
muscles
intercpinenxsont dis- posés par paires entre, l
rennent insertion, sont donc extenseurs de la colonne vertébrale.
MUSCLES
DU COCCYX Ischio-coccygien, sacro-coccygien pos
o-coccygien postérieur, sacro- coccygien antérieur. Insertions. Les
muscles
moteurs du coccyx sont dégénérés chez l'homme.
gien postérieur porte le coccyx en arrière, il est l'homo- logue du
muscle
extenseur de la queue des mammifères. Le sacro-
est l'homologue du llé- chisseur de la queue des mammifères. VII.
MUSCLES
PEAUCIERS DU COU ET DE LA TÊTE Les muscles peau
e des mammifères. VII. MUSCLES PEAUCIERS DU COU ET DE LA TÊTE Les
muscles
peauciers ont avec la peau des connexions très in
muscles peauciers ont avec la peau des connexions très intimes. Les
muscles
peauciers de la face sont disposés pour la plupar
ouver- tare et l'occlusion de ces différents orifices. De plus, ces
muscles
tradui- sent les états du moi intérieur, présid
du moi intérieur, président au jeu de la physionomie, ils sont les
muscles
de la mimique. [G. GUILLAIN] ;')80 PHYSIOLOGI
s de la mimique. [G. GUILLAIN] ;')80 PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE. Le
muscle
peaucier du cou est la reproduction atrophiée che
musculaire, entourant la nuque, le cou et presque tout le tronc.
Muscle
peaucier du cou. Insertions. Le peaucier du cou
n- gitudinal et d'un froncement transversal. Les deux insertions du
muscle
se rapprochant, la commissure des lèvres s'abai
oitrine s'élève un peu. Testut a vu chez une femme qui possédait un
muscle
peaucier plus développé que de cou- tume les co
cle peaucier plus développé que de cou- tume les contractions de ce
muscle
attirer fortement en haut la glande mammaire.
re. Le peaucier a un rôle mécanique. Pour Cruveilhier il est un des
muscles
qui concourt le plus à l'expression des passion
e l'effroi, de la colère, de la souffrance. Duchenne l'a dénommé le
muscle
de la frayeur, appellation contestée par Darwin
frayeur est la résultante de la contraction simultanée de plusieurs
muscles
. La contraction isolée du peaucier est inexpressi
cte dans le chant, le vomissement, l'inspiration profonde. Le peau-
MUSCLES
PEAUCIERS DU COU ET DE LA TÈTE. 581 1 ciel' se
et la glande sous-maxillaire, favoriser l'excrétion de la salive.
Muscles
de l'oreille externe. Insertions. - Le muscle aur
rétion de la salive. Muscles de l'oreille externe. Insertions. - Le
muscle
auri- culaire antérieur forme avec le temporal
uscle auri- culaire antérieur forme avec le temporal superficiel un
muscle
digas- trique; ce muscle digastrique a succédé
ieur forme avec le temporal superficiel un muscle digas- trique; ce
muscle
digastrique a succédé chez l'homme à un muscle un
le digas- trique; ce muscle digastrique a succédé chez l'homme à un
muscle
uni- que qui se retrouve chez beaucoup d'animau
cle uni- que qui se retrouve chez beaucoup d'animaux sous le nom de
muscle
orbito-amiculaire et qui s'étend de l'oreille a
ui s'étend de l'oreille au bord supérieur de l'arcade orbitaire. Le
muscle
auriculaire antérieur a son insertion fixe sur un
ur sa face posté- rieure et il la conque sur son bord antérieur. Le
muscle
temporal super- ficiel occupe la partie antérie
ficiel occupe la partie antérieure de la région temporale entre le
muscle
frontal et le muscle auriculaire supérieur; ce
tie antérieure de la région temporale entre le muscle frontal et le
muscle
auriculaire supérieur; ce muscle vaste et mince
rale entre le muscle frontal et le muscle auriculaire supérieur; ce
muscle
vaste et mince s'insère d'une part par son bord
ntersection fibreuse qui le sépare de l'auriculaire antérieur. Le
muscle
auriculaire supérieur s'insère d'une part (insert
érieur de l'hélix qui limite en avant cette fossette (Charpy). Le
muscle
auriculaire postérieur, muscle en forme de langue
en avant cette fossette (Charpy). Le muscle auriculaire postérieur,
muscle
en forme de languette, est dirige horizontaleme
horizontale de l'hélix. Innervation. Nerf facial. Physiologie. Le
muscle
auriculaire antérieur, avec le temporal superfi
ect, l'auriculaire postérieur lire le pavillon en arrière. Tous ces
muscles
sont des dilatateurs de l'orifice externe du co
de l'orifice externe du conduit auditif. Chez l'homme, l'action des
muscles
auriculaires est presque nulle. Certains indivi
antérieur semble échapper complètement il l'action de la volonté.
MUSCLES
DES PAUPIÈRES Muscle occipito-frontal. Insertio
r complètement il l'action de la volonté. MUSCLES DES PAUPIÈRES
Muscle
occipito-frontal. Insertions. Le muscle occipital
té. MUSCLES DES PAUPIÈRES Muscle occipito-frontal. Insertions. Le
muscle
occipital en arrière et le muscle frontal en av
occipito-frontal. Insertions. Le muscle occipital en arrière et le
muscle
frontal en avant sont réunis l'un il l'autre par
onévrose epicranienne; ils peuvent être considérés comme formant un
muscle
unique digastrique, le muscle occipito-frontal.
vent être considérés comme formant un muscle unique digastrique, le
muscle
occipito-frontal. Le muscle 'occipital naît en
ormant un muscle unique digastrique, le muscle occipito-frontal. Le
muscle
'occipital naît en arrière sur les deux tiers ext
t s'étendent parfois jusqu'à la face postérieure de la conque. Le
muscle
frontal naît en haut sur le bord antérieur de l'a
ers la région intersonrcitière et ta semblent se confondre avec les
muscles
pyramidaux, les faisceaux moyens et externes de
e rebord supérieur de l'orbite et s'y entre- croisent avec les deux
muscles
qui occupent celte région, l'orbiculaire et le
x de la branche teniporo- faciale du nerf facial. Physiologie. Le
muscle
occipital, qui, chez beaucoup d'animaux, est un
e l'aponévrose epicranienne qu'it attire en bas et en arrière. Le
muscle
frontal a pour principale action l'élévation du s
pes, pour y voir au delà de leur point normal, utilisent surtout le
muscle
frontal alors que d'autres se servent presque exc
frontal alors que d'autres se servent presque exclusive- ment d'un
muscle
antagoniste, le muselé, sourcilier, qui leur perm
fente sl¡' ! llOpéi(J11 ! (Charpy). Duchenne a appelé le frontal le
muscle
de l'attention, il caractérise le regard actif.
lère et de menace. Pyramidal. Insertions. Le pyramidal est un petit
muscle
situé sur le dos du nez et dans la région inter
re où aboutissent aussi les faisceaux internes du frontal. Les deux
muscles
se pénètrent et s ïn- sèrent l'un et l'autre à
il est exposé aune vive lumière. Duchenne a nommé le pyramidal le
muscle
de l'agression, il donne de la dureté au regard
e la contraction du pyramidal associée d'ailleurs il celle d'autres
muscles
dans les émotions pénibles, le pleurer, les gra
des douleurs concentrées. Orbiculaire des paupières. Insertions. Le
muscle
orbi- culaire des paupières est divisé générale
e interne de l'oeil et se termine sur la peau de l'angle externe.
Muscle
de Horner. Borner a décrit connue muscle distinct
a peau de l'angle externe. Muscle de Horner. Borner a décrit connue
muscle
distinct un petit faisceau quadrilatéral situé
lisse de dehors en dedans et favorise la progression des larmes. Le
muscle
de llorncr dilate les points laC1'\'- maux, les
e la peau des sourcils. Innervation. Nerf facial. Physiologie. Le
muscle
sourcilier fronce les sourcils ; le froncement
r lui-même est inexpressif, sa contraction jointe il celle d'autres
muscles
indique une certaine énergie intellectuelle. Du
indique une certaine énergie intellectuelle. Duchenne l'a nommé le
muscle
de la douleur; cette expression n'est pas rigou
autres circonstances que la douleur, comme la réflexion, la colère.
MUSCLES
DU NEZ Transverse du nez. Insertions. Le transv
es expressions comme le mécontentement, le mépris. C'est surtout le
muscle
de la lascivito (Duchenne), de la sensualité (I
rtent en bas et en avant en décrivant une courbe il concavité infe-
MUSCLES
PEAUCIERS DU COU ET DE LA TÈTE. 585 rieure et v
une plus grande masse d'air à la fois dans les poumons. En tant que
muscle
expressif il caractérise soit la volupté délica
minue, le diamètre antéro-postérieur s'allonge légèrement, c'est un
muscle
constricteur des narines. Au point de vue mimiq
te dans l'ex- m'es ? ion de tristesse, de douleur, de sévérité. t
MUSCLES
DES LÈVRES Risorius de Santorini. Insertions. L
he dans le sens transversal, produit le sourire. D'après Charpy, ce
muscle
serait seulement un auxiliaire des muscles du rir
urire. D'après Charpy, ce muscle serait seulement un auxiliaire des
muscles
du rire. Grand zygomatique. Insertions. Le gran
ique il a un rôle impor- tant. Quand il se contracte seul il est le
muscle
de la grimace. Associé a 1 orbieulaire des paup
gère de l'oeil) est aux releveurs de la lèvre supérieure, il est le
muscle
de la joie (Duchenne) dont il traduit tous les
). La contraction du grand zygomatique combinée avec celle d'autres
muscles
peut exprimer le rire sardonique, le ricanement
ors la partie externe de la lèvre supérieure. D'après Duchenne ce
muscle
marquerait l'attendrissement ; sa con- traction
1,7' Dl ? 1, : 1 TH : 'l'E. M7 tlonducanm jointe il celle d'autres
muscles
exprime l'amertume, la haine. Triangulaire des
est abaisseur du coin de la bouche. C'est avec le sourcilier un des
muscles
caractéristiques de l'expression humaine, il n'
sourcils sont deux gestes humains (Charpy). Duchenne l'a appelé le
muscle
de la tristesse, il exprime aussi, en se contract
de la tristesse, il exprime aussi, en se contractant avec d'autres
muscles
, le dégoût, le mépris, la haine. Il est donc surt
de vue hlysiouunricluc il exprime, en se contractant avec d'autres
muscles
les passions tristes et sombres. Muscles de la
contractant avec d'autres muscles les passions tristes et sombres.
Muscles
de la houppe de menton. Insertions.- Les deux p
res. Muscles de la houppe de menton. Insertions.- Les deux petits
muscles
de la houppe du menton s'insèrent en haut il côté
la peau du menton. Innervation. Nerf facial. . Physiologie. Le
muscle
de la houppe du menton attire en haut la peau d
la contraction du buccinateur, associée d'ailleurs à celle d'autres
muscles
, traduit le rire ironique, la colère concentrée.
x faisceaux accessoires se réunissent à cette portion principale du
muscle
et ont les mêmes insertions terminales, ces fais-
sur la peau de la muqueuse en s'entre- croisant avec les fibres du
muscle
précédent. Il est renforcé par le fais- ceau in
côté de la symphyse et se confond presque après son origine avec le
muscle
demi-orbiculaire inférieur. Dans chacune des
nombre de fibres à direction autéro-postérieure qui constituent le
muscle
compresseur des lèvres. Ces fibres naissent en av
et se terminent sur la muqueuse tout autour de l'orifice buccal. Ce
muscle
est spécialement développé chez le nouveau-né.
ire proprement dit, la projection en avant est déter- minée par les
muscles
incisifs supérieurs et inférieurs qui sont adduc-
urs et inférieurs qui sont adduc- teurs de l'angle des lèvres. Le
muscle
compresseur des lèvres, très développé chez le no
et la contraction d'avant en arrière du compresseur des lèvres ; ce
muscle
comprime la lèvre et le mamelon et rend ainsi l'o
amelon et rend ainsi l'occlusion de la bouche plus complète. - Le
muscle
orbiculaire des lèvres agit dans de multiples cir
l'effort, la phonation, le siffler, etc Au point de vue mimique, ce
muscle
entre en jeu dans des étals psychiques variés : l
- [G. GUILLAIN.] 590 . PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE. ' longuement des
muscles
radiés, l'autre, l'orbiculaire interne, est const
re interne, est constituée par l,es fibres appartenant en propre au
muscle
constricteur. Dans la para- lysie labio-glosso-
la déviation de la bouche. peuvent siffler, souffler. - . - VIII.
MUSCLES
MASTICATEURS Temporal. - -Insertions. Le tempor
Nerf du ptérygoïdien interne, branche du maxillaire inférieur. -
MUSCLES
MASTICATEURS. 59[ l Physiologie. Le ptérygoïdie
cornes antérieures de la moelle ont pour conséquence l'atrophie des
muscles
innervés par ces cellules. On a discuté et l'on
ent l'exis- tence dans la moelle de localisations motrices pour des
muscles
isolés ou des muscles ayant la même fonction ph
la moelle de localisations motrices pour des muscles isolés ou des
muscles
ayant la même fonction physiologique, d'autres l'
racines détermine un affaiblissement général, graduel, de tous les
muscles
du membre, et la conservation d'un seul filet s
bre, et la conservation d'un seul filet suffit à maintenir tous les
muscles
en relation avec la moelle. Minier excite avant
lIÜller et Van Deen, Kronenberg, Peyer, pensent que les différents
muscles
synergiques reçoivent leurs nerfs de plusieurs ra
l, dit avoir reconnu qu'une seule racine fournit à presque tous les
muscles
. Krause, chez le lapin, constate qu'une même ra
ause, chez le lapin, constate qu'une même racine peut fournir à des
muscles
antagonistes. Il pense que la contraction simulta
uscles antagonistes. Il pense que la contraction simultanée de deux
muscles
d'action opposée est nécessaire pour l'équilibre
une systématisation évi- dente. Chaque racine .innerve un groupe de
muscles
synergiques et répond dans la moelle à des cent
après Ferrier et Yeo, ne provoquerait pas la paralysie complète des
muscles
correspondants, car ils reçoivent les filets de
spéciah'.Kst-ce que, en effet, une racine ne se distribue pas à des
muscles
dont Faction est très différente, il des muscles
istribue pas à des muscles dont Faction est très différente, il des
muscles
antagonistes les uns des autres pour l'acte sup
sion qui prédomine. Thorburn conclut de ses recherches que chaque
muscle
est sous la dépendance de plusieurs racines, ma
pale, une prépondérante. D'autre part, chaque racine se rend il des
muscles
divers, souvent très nombreux. Ces muscles sont p
ue racine se rend il des muscles divers, souvent très nombreux. Ces
muscles
sont parfois très différents par leur situation
exus se. sont formés par le fusion- nement des myomeres. Comme tout
muscle
vient de plusieurs myomeres, il recevra nécessa
e plusieurs racines. Parlant, une même racine fournira il plusieurs
muscles
. Ainsi les fibres motrices répondant il tel mou
lièrement réparties dans plusieurs racines consécutives. Si un même
muscle
est innervé par plusieurs racines, il faut donc
sont pas toujours conformes il celte loi de Sherrington que, chaque
muscle
serait sous la dépendance de deux racines; il p
ous la dépendance de deux racines; il pense que peut-être, dans les
muscles
à innervation radiculaire double, chaque racine
iculaire double, chaque racine se rend à une partie deter- minée du
muscle
; il l'ail remarquer aussi que l'on peut voir des
r- minée du muscle; il l'ail remarquer aussi que l'on peut voir des
muscles
a fonctions opposées être innervés par une seul
vait signalé, une variété de paralysie obstétricale intéressant des
muscles
du bras innervés par des nerfs différents. Erb
nt l'excitation électrique détermine une contraction simultanée des
muscles
deltoïde, biceps, brachial anté-' rieur, long s
tres au-dessus de la clavicule, un peu en dehors du bord externe du
muscle
sterno- cléido-occipito-mastoïdicn, en face de
entimètres. La conséquence de cette résection fut une paralysie des
muscles
scalènes antérieurs, sous-épineux, sus-épineux, p
adi- cniairctotate. Dans la paralysie radiculaire supérieure, les
muscles
paralysés sont ceux innervés par la cinquième e
surtout l'examen électrique permettent de con- stater que d'autres
muscles
sont également atteints, et, parmi ces der- nie
. Dans certains cas, toutefois, l'épaule peut 'être soulevée par le
muscle
trapèze non para- lyse. C'est un fait sur leque
le membre est écarté des côtés du tronc. C'est cette coutracture'du
muscle
trapèze qui amène donc t'ir- vation de la régio
oursuit l'examen du malade, il est facile de constater que tous les
muscles
du bras ne sont pas paralysés, les troubles son
radiocarpiennc, la flexion et l'extension de la main. Le biceps,
muscle
supinateur fléchisseur, étant paralysé, le malade
raction du biceps et du court supinateur agissant simultanément. Le
muscle
biceps agit surtout quand l'avant-bras est étendu
biceps agit surtout quand l'avant-bras est étendu sur le bras, le.
muscle
court supinateur agit principalement quand l'avan
on de l'avant-bras, car des suppléances sont possibles par d'autres
muscles
de l'avant-bras. La paralysie totale du deltoïd
de s'habiller seul. On comprend facilement que si à la paralysie du
muscle
deltoïde s'ajoutent des troubles parétiques dans
ie du muscle deltoïde s'ajoutent des troubles parétiques dans les .
muscles
grand dentelé, sous-épineux, grand dorsal, grand
dans la région scapulaire, aucune suppléance ne pouvant se faire au
muscle
deltoïde. La paralysie associée du deltoïde et
du côté sain, car c'est une loi de la physiologie musculaire qu'un
muscle
ne possède toute sa puissance d'action qu'autan
bital. C'est à la main que se constate le maximum des troubles. Les
muscles
des éminences thénar et hypothénar, les interosse
à l'index, son extenseur le rapproche du médius. La paralysie des
muscles
de l'éminence thénar a nécessairement pour cons
de flexion, d'abduction, d'opposi- tion du pouce. La paralysie des
muscles
de l'éminence hypothénar amène la perte des mou
ne peut plus être fléchi. Sans insister sur la paralysie de chaque
muscle
, on comprend que la main de- vient impropre à t
ut usage; le malade est incapable d'agir sur le. dyna- momètre. Les
muscles
du bras ont conservé leur contractilité normale e
- thénar est aplatie, flasque, sans aucune tonicité. L'atrophie des
muscles
interosscux amène une saillie très nette des mé
se voit; dans la paralysie radiculaire inférieure, l'impotence des
muscles
innervés par le nerf médian expli- que que la g
les paralysies radiculaires, il est très fréquent de voir certains
muscles
présenter des degrés de para- lysie différents,
ns muscles présenter des degrés de para- lysie différents, certains
muscles
recouvrer leur contractilité plus ou moins norm
nte palpébrale et l'enophtalmie la conséquence de la para- lysie du
muscle
de Millier. Lorsque la paralysie radiculaire es
iculaire est. totale, la monoplégie brachiale est absolue, tous les
muscles
du bras sont atteints. Le membre supérieur lésé
er légèrement le moignon de l'épaule par le faisceau supé- rieur du
muscle
trapèze innervé par le nerf spinal. Les troubles
radiculaire inférieur est moins atteint, et quelques mouvements des
muscles
innervés par les racines basses sont déjà es- q
les. Dans les paralysies radiculaires traumatiques on peut voir des
muscles
innervés par le plexus cervical être aussi para
t du membre que peut faire l'enfant, que l'on pourra déterminer les
muscles
paralysés. La paralysie est-elle totale, alors le
- philitiques peuvent s'étendre en haut et donner une paralysie des
muscles
de la nuque, ou en bas dans la région lombaire
ouvera daiis le tableau que j'ai reproduit plus haut quels sont les
muscles
innervés par chacune des racines lombaires et s
, qu'apparaît la paralysie. Dans les paralysies organiques quelques
muscles
sont parfois moins atteints, quelques mouvements
llliques (expansions aponévroliques) qui unissent les paupières aux
muscles
droits supérieur et inférieur et les rendent dans
s. Il en est de même pour la paupière inférieure. La paralysie du
muscle
de Ilorner a pour conséquence 1 épqmora. L'aile
u relâchement de la membrane du tympan par suite de la paralysie du
muscle
de Poirier. D'après Collé, cotte hyperacousie d
eurs se constatent parfois dans la paralysie faciale : atrophie des
muscles
paralysés, altérations de la cornée, par absenc
te une exagéra- tion des rides et des mouvements cloniques dans les
muscles
contrac- tures. La paralysie faciale récidive
la parotide, il y a seulement paralysie des branches innervant les
muscles
pcauciers de la face. Lorsque la lésion siège i
canal de Fallope, la branche auriculaire postérieure se rendant aux
muscles
peau- ciers de l'oreille sera atteinte en même
uscles peau- ciers de l'oreille sera atteinte en même temps que les
muscles
peauciers de la face. Lorsque la lésion siège p
e la branche motrice du trijumeau pour conséquence la paralysie des
muscles
masticateurs innervés par ce nerf. Ainsi le tem-
té de la paralysie, les aliments sont masti- qués du côté sain. Les
muscles
ptérygoïdiens sont aussi paralysés. Lorsque la
mpossible. Les .symptômes qui pourraient être dus à la paralysie du
muscle
sphéno-slaphylin et du muscle interne du martea
pourraient être dus à la paralysie du muscle sphéno-slaphylin et du
muscle
interne du marteau ne sont pas précisés. Paraly
erf récurrent, on observe des troubles laryngés, une paralysie des.
muscles
du larynx innervés par ce nerf. La corde vocale
ogastrique et innerve le constricteur supérieur du pha- rynx et les
muscles
intrinsèques du larynx à l'exception du crico-tli
sie de la branche externe du spinal se traduit par la paralysie des
muscles
sterno-mastoïdien et trapèze. , Quand le muscle
la paralysie des muscles sterno-mastoïdien et trapèze. , Quand le
muscle
sterno-mastoïdien est paralysé unilatéralement (v
otation vers le côté paralysé; cette attitude est due a l'action du
muscle
sterno- mastoïdien normal; les mouvements passi
ser la tête que l'on maintient dans l'extension, on constate que le
muscle
sterno-mastoïdien paralysé ne se contracte pas.
le sterno-mastoïdien paralysé ne se contracte pas. Lorsque les deux
muscles
sterno-Illastoïdiens sont paralysés, la flexion
ns sont paralysés, la flexion de la tête n'est possible qu'avec les
muscles
accessoires. La paralysie du muscle trapèze (vo
ête n'est possible qu'avec les muscles accessoires. La paralysie du
muscle
trapèze (voir p. 570) a pour conséquence rabais
gue, la pointe est déviée du côté de la para- lysie par l'action du
muscle
génio-glosse demeuré sain. Bahinski a attiré l'
iaphragme. La paralysie du phrénique se traduit par la paralysie du
muscle
dia- phragme (voir p. 505). Les régions de l'hy
rts, la voix est affaiblie, l'expectoration difficile. Bien que les
muscles
inspirateurs accessoires (les scalènes, le ster
pèze) puissent suppléer en partie le diaphragme, la paralysie de ce
muscle
est toutefois très grave lorsque le malade a un
les lésions du nerf circonflexe se traduisent par la para- lysie du
muscle
deltoïde (voir p. ? 11). L'ancsthesie. qui est as
(paralysie rhumatismale, paralysie a frigore). Dans quelques cas le
muscle
court respirateur paraît, avoir une action sur l'
ucune sont paralysés. Quand la lésion siège au niveau du coude, les
muscles
supina- teurs sont respectés. Les troubles de
atteint d'abord les extenseurs des doigts, puis ensuite les autres
muscles
innervés par le nerf radial il l'exception des mu
e les autres muscles innervés par le nerf radial il l'exception des
muscles
supi- nateurs. Sans doute le court supinateur e
ans les cas de Guillain et Huct, etc.). Le nerf cubital innerve les
muscles
de l'éminence hypothénar, les interosseux, les
xiques. Lorsque le nerf médian est lésé au niveau du bras, tous les
muscles
innervés, par lui sont paralysés (rond pronateu
es deux faisceaux externes du fléchisseur profond, carré pronateur,
muscles
de l'éminence thénar, les deux premiers loinbrica
que le nerf est lésé au-dessus du poignet, seuls sont paralysés les
muscles
de l'éminence thénar (court abducteur, opposant
ucteur; sa lésion a pour conséquence la paralysie de ces différents
muscles
(voir pp. 542, 545, : ici9, 544). L'extension de
ou du pied sur la jambe. Le sciatique poplité externe innerve les
muscles
de la région antéro- externe de la jambe et les
e poplité externe. Si l'on prie un malade atteint d'une parésie des
muscles
innervés par le sciatique poplité externe de fa
ue les considérations suivantes pour expliquer le phéno- mène : les
muscles
innervés par le nerf sciatique poplité externe on
it l'attitude du membre, il n'en est pas de même de la seconde, les
muscles
jumeaux et plantaire la jambe est en extension
d le genou est plié, ce qui rapproche les points d'insertion de ces
muscles
. A l'état normal toutefois cette résis- tance a
luence aucunement l'étendue de la flexion dorsale du pied, mais les
muscles
innervés par le. nerf sciatique poplité externe
du sciatique poplité interne a pour conséquence la para- lysie des
muscles
de la région postérieure de la jambe et des muscl
para- lysie des muscles de la région postérieure de la jambe et des
muscles
de la plante du pied; les mouvements de flexion
sie du tronc du nerf sciatique a pour conséquence la paralysie, des
muscles
innervés par le sciatique poplité externe et le s
externe et le sciatique po- plité interne et aussi la paralysie des
muscles
biceps fémoral, demi- tendineux et demi-membran
ur que celle-ci se produise il faut en outre la mise en activité de
muscles
très divers et d'un courant respiratoire. Katze
t l'inférieure (nerf laryngé externe) fournit des filets moteurs au
muscle
crico-thyroïdien et dont la supérieure beaucoup
age, en arrière de la glande thyroïde, pour venir innerver tous les
muscles
du larynx, saul' Ic crico-tly-roïclicn. On admet
e nerf récurrent est purement moteur et qu'il innerve seul tous les
muscles
du larynx. Nous renvoyons aux traités spéciaux po
du spinal, du tronc du pneumogastrique, du récur- rent et même des
muscles
laryngés. A tous les cas enfin, il oppose le fa
différents. Dans le premier, les autres paralysies portent sur les
muscles
innervés par le vago-spinal, ce sont les syn- d
ottique respira- toire (Juracr, Ruault, etc.) qui, agissant sur les
muscles
adducteurs et tenseurs, détermine une occlusion
par un arrêt subit de la respiration par spasme tonique de tous les
muscles
respiratoires y compris le diaphragme : le spas
spé- ciale avec accompagnement de convulsions musculaires dans les
muscles
de la face et des membres ressemblant à la chor
rosiquc spécial, qui a reçu les noms très divers de contracture des
muscles
phonateurs (Elsberg), spasme phonique (Koch), m
oins accusé que dans la forme précédente, prédominant tantôt sur un
muscle
, tantôt sur un autre et donnant des images très v
'en rapprocher le bégaiement ; dans cette névrose en effet tous les
muscles
respirateurs concourrait au trouble fonctionnel e
phonétique est lié à une insuffisance de l'accommodation vocale des
muscles
du larynx, le sujet ne faisant usage que d'une pa
e volume et. de nombre des fibres contractiles d'un ou de plusieurs
muscles
. Cette altération ne se limite pas, comme on le
tte altération ne se limite pas, comme on le croyait jusqu'ici, aux
muscles
striés de la vie de relation, elle peut s'étendre
muscles striés de la vie de relation, elle peut s'étendre aussi aux
muscles
lisses : nous avons constaté, à l'autopsie d'un
ues, mais encore occupe plus de place qu'elles n'en occupaient : le
muscle
atrophié grossit. L'augmentation anormale du vo
le muscle atrophié grossit. L'augmentation anormale du volume d'un
muscle
est plus souvent le signe de son atrophie que d
gne de son atrophie que de son hypertrophie. L'atrophie de certains
muscles
s'accompagne tout spécialement de pseudo-hypert
nation même. Aussi, dans les atrophies mus- culaires, le volume des
muscles
n'est rien et leur affaiblissement est tout (P.
te que celle de la moitié gauche, c'est surtout quand le volume des
muscles
du côté droit sera moindre que celui des muscle
uand le volume des muscles du côté droit sera moindre que celui des
muscles
correspondants à gauche qu'on reconnaîtra facil
manifeste en faisant faire au malade un mouvement qui contracte le
muscle
ou le groupe musculaire examiné; on fera contra
e le muscle ou le groupe musculaire examiné; on fera contracter les
muscles
au maximum en s'opposant au mouvement que l'on
actifs on verra souvent se dessiner isolément certains faisceaux du
muscle
, séparés les uns des autres par des gout- tière
il est en effet d'observation courante que les faisceaux d'un même
muscle
s'atrophient très inégalement, que des faisceaux
a la contraction porter sur une portion seulement de la longueur du
muscle
: il se formera un noeud musculaire (atrophie l
), Ces deux aspects se rencontrent assez communément sur certaist
muscles
, sur le deltoïde par exemple : l'atrophie de ces
r certaist muscles, sur le deltoïde par exemple : l'atrophie de ces
muscles
devenu ainsi assez caractéristique. Parfois c'e
enu ainsi assez caractéristique. Parfois c'est toute une portion du
muscle
qui se trouve isolément atrophiée, par exemple
mple la portion claviculaire du deltoïde : la contraction totale du
muscle
(dans l'abduction du bras pour le deltoïde) rév
sont surtout nettes quand on peut les comparer avec l'élasticité du
muscle
correspondant du côté opposé demeuré sain. La sen
ique quand elle persiste dans les mou- vements au cours desquels le
muscle
devrait se contracter. Mais, comme souvent la f
vrait se contracter. Mais, comme souvent la fibrose ou l'adipose du
muscle
altéré lui donne une fermeté tout à fait compar
le altéré lui donne une fermeté tout à fait comparable à celle d'un
muscle
sain, c'est surtout l'invaria- bilité de la con
ortance. Cette constatation peut surtout être faite quand plusieurs
muscles
d'un même segment de membre se trouvent frappés
deux mains et en faisant alternativement contracter et relâcher ses
muscles
, on perçoit une différence nette entre le côté
ition des deux membres soit rigoureusement la même et que les mêmes
muscles
de l'un et de l'autre côté soient à l'état de c
différence devient parfois plus nette quand on fait contracter les
muscles
que l'on suppose altérés. L'inspection, la me
a palpation suffisent le plus souvent à reconnaitre l'atrophie d'un
muscle
quand elle se révèle, comme il est habituel, pa
n de volume. Mais nous avons dit que la dimi- nution de volume d'un
muscle
n'est pas toujours proportionnelle à son atroph
portionnelle à son atrophie, tant s'en faut, et qu'assez souvent le
muscle
atrophié ne diminue pas ou même augmente de vol
faut envisager, c'est sa physio- logie, c'est le fonctionnement du
muscle
et non sa forme ou sa dimen- sion qu'il faut in
que l'absence de modi- \ fication de. volume et de consistance des
muscles
, quand ils passent de I l'état de repos à l'éta
LAIRES. constant et plus sûr que la petitesse ou la mollesse de ces
muscles
. C'est dans les mouvements où les muscles atrop
sse ou la mollesse de ces muscles. C'est dans les mouvements où les
muscles
atrophiés doivent entrer en contrac- tion que l
endu cette gène fonctionnelle est essentiellement variable avec les
muscles
atteints et avec les besoins usuels du malade, en
ticulier avec sa profession : c'est ainsi que l'atrophie des petits
muscles
de la main, qui entrent en jeu dans des exercic
sera d'ordinaire bien plus rapidement ressentie que l'atrophie des
muscles
de l'épaule ou du bras, et cela surtout chez ceux
devra alors lui faire exécuter des mouvements appropriés où chaque
muscle
à explorer entrera en contraction. La puissan
explorer entrera en contraction. La puissance fonctionnelle d'un
muscle
ou d'un groupe musculaire pourra être- mesurée
e le malade est capable de soulever en exécutant le mouvement où ce
muscle
ou ce groupe musculaire entre seul en contracti
on. Un appareil très simple et applicable à un très grand nombre de
muscles
consiste en une poulie que l'on fixe à une tabl
ert ordinairement dans nos hôpi- taux pour mesurer la puissance des
muscles
fléchisseurs des mains. Pour que ces mesures ai
sa loca- lisation. L'atrophie est localisée à un certain nombre de
muscles
ou de groupes musculaires; quand elle envahit u
out à fait progressivement, en atteignant l'un après l'autre chaque
muscle
ou chaque groupe musculaire; l'amai- bruissemen
s sont suivies, à plus ou moins brève échéance, \ de l'atrophie des
muscles
paralysés, car, comme tout organe, un muscle `
, \ de l'atrophie des muscles paralysés, car, comme tout organe, un
muscle
` qui ne fonctionne pas s'atrophie ; toute amyo
ires conservées est insuffi- sant pour assurer le fonctionnement du
muscle
. Paralysie et amyotrophie vont donc très souven
tinguer de la paralysie dans les cas où la diminution du volume des
muscles
est déjà notable, mais où le nombre des libres
s sensiblement altéré. Chez certains sujets, l'atrophie de quelques
muscles
est très prononcée, leur puissance est très aff
ononcée, leur puissance est très affaiblie ou abolie, mais d'autres
muscles
sont moins atteints et l'on lait le diagnostic
quand l'atrophie ne s'accom- pagne pas de diminution de volume des
muscles
, soit quand il s'y joint certains signes d'affe
va de la cellule radiculaire antérieure, centre trophique, jusqu'au
muscle
. Il semble pouvoir être dû aussi à l'altération
rophique parait pouvoir être dû à une atteinte morbide primitive du
muscle
lui-même, indépendamment de toute lésion ner- v
mer avec certitude que les voies nerveuses sont indemnes et que les
muscles
sont primilive- ment atteints, comme tous les s
ralisées, . Les atrophies secondaires sont localisées soit dans les
muscles
voisins d'une affection locale (atrophies dites
es réflexes, d'origine articulaire ou abarticulaire), soit dans des
muscles
préalablement paralysés (atrophies consécutives
e, du thorax, du crâne, absence ou atrophie congénitale de certains
muscles
, troubles psychiques fréquents, début de l'atro
muscles, troubles psychiques fréquents, début de l'atrophie par les
muscles
dont le développement s'est l'ait le plus rapid
trouble du développement, peut porter parfois non seulement sur les
muscles
, mais aussi sur le système nerveux central ou p
arthrites, luxations, contu- sions ; ' d'origine tebarticulaire :
muscle
: traumatisme, compressions, coup de fouet; os
. Sur la corrélation qui existe entre la prédisposition de certains
muscles
1. la myopathie et la rapidité de leur dévelop-
e altération du système nerveux. Tous les étals patho- logiques des
muscles
ne sont pourtant pas atrophiques, et il serait ju
tions fibrillaires, mélange en proportions variables dans les mêmes
muscles
de l'atrophie et de l'hypertrophie vraie ou fauss
on des réflexes tendineux proportionnellement à la conservation des
muscles
correspon- dants, début de l'atrophie par la ra
etc., ont signalé l'existence de contractions fibrillaires dans les
muscles
des myopathiques. Nous avons nous-mème examiné
existent donc assez fréquemment chez des myo- pathiqnes : certains
muscles
y semblent particulièrement prédisposés, quelle
és, quelle que soit la cause de l'atrophie, tels les deltoïdes, les
muscles
pos- térieurs et internes de la cuisse. D'autre
as d'atrophie Werdnig- Hofïmann jusqu'ici signalés. Dans tous les
muscles
atrophiés, quelle que soit l'origine de l'atrophi
pertrophie puisse être cliniquement reconnue. L'hyper- trophie d'un
muscle
peut dans ce cas être totale ou partielle. L'hy
nesco croient qu'il n'existe jamais d'hypertrophie vraie totale d'un
muscle
1. t ? m. Ret. nctcrnl., a0 ,juin 1 ! 101. ,
ongueur. L'hypertrophie partielle des myopathies peut atteindre les
muscles
soit dans une partie de leur épaisseur, soit da
onséquence de cette double altération est l'apparition sur certains
muscles
, le deltoïde tout particulièrement, de boules o
ulte une pseudo-hypertrophie, avec grosse diminution de la force du
muscle
. La pseudo-hypertrophie est assez importante pour
manquer, on a alors affaire à la forme dite Leyden-Wibius. Certains
muscles
y sont tout particulièrement pré- disposés, tel
et fait place à un moment donné à l'atrophie ; un certain nombre de
muscles
paraissent être toujours atteints d'atrophie dè
paraissent être toujours atteints d'atrophie dès le début, tels les
muscles
du bras et le long exten- seur, le grand pector
et le grand dorsal ; Duchenne a pourtant signalé un cas où tous les
muscles
étaient pseudo-hypertrophiés, sauf le grand pec
pinales progressives, mais on la trouve assez souvent au niveau des
muscles
atrophiés à la suite d'une paralysie, de la paral
dans aucun des cas relevés par Sainton. Des rétractions de certains
muscles
peuvent exister dans toutes les 1. (;OIIfJON. J
serait à la fois dans la transformation fibreuse des extrémités des
muscles
(Roth (2), Dejerine) (3) et, au préalable, dans
, Dejerine) (3) et, au préalable, dans la prédominance d'action des
muscles
qui se rétractent sur leurs antagonistes plus p
('), Sacara). Les rétractions affectent tout spécialement certains
muscles
, .le triceps sural, le biceps brachial, le bice
le bras, la rétraction de la jambe sur la cuisse. La palpation des
muscles
rétractés donne une sensation de dureté parti
Schlesinger(6). Les rétractions peuvent être étendues à d'autres
muscles
et déterminer la flexion permanente de la cuiss
es localisées consécutives à une paralysie. L'examen électrique des
muscles
des myopathiques montre d'ordinaire 1. Landouzy
une diminution de l'excitabilité proportionnelle il l'atrophie des
muscles
considérés; les contractions minium apparaissent
), lluet (3) ont rapporté des observations de myopathiques dont les
muscles
, même les plus manifestement atro- phiés, avaie
ent con- staté des modifications qualitatives au niveau de certains
muscles
de myopathiques. Il semble bien que l'on doive
es de Babinski (6), qui a constaté cette réaction anormale dans des
muscles
normaux une heure et demie ou deux heures après
dégénérescence ne dépend pas de modifications histo- chimiques des
muscles
dont les nerfs sont dégénérés, mais qu'elle est l
hies d'origine spinale ou neuroliquc. c'est seulement dans quelques
muscles
qu'on la rencontre en général, et très fréquemm
tionnellement il.. l'atro- phie simple ou pseudo-hypertrophique des
muscles
correspondants : ainsi le réflexe rotulien sera
e réflexe patellaire avait disparu avant toute trace d'atrophie des
muscles
de lai cuisse dans deux cas sur cinq; Erb a sig
xes soit rotuliens, soit achil- léens, soit 'Il cils, alors que les
muscles
correspondants paraissaient encore en parfait é
discordance entre la diminution des réflexes et la conservation des
muscles
on puisse conclure il l'intervention du sys- tè
es ne conservaient parfois une assez grande intensité au niveau des
muscles
qui sont déjà manifestement très atrophiés et qu'
hiés et qu'on a tout lieu de supposer vraiment plus malades que des
muscles
en apparence sains, non seulement par leur volu
puissance. De plus les réflexes disparaissent parfois dans certains
muscles
que l'atro- phie est encore loin d'atteindre; c
chilléens chez un myopathique facio-scapulo- huméral, alors que les
muscles
, non seulement de la jambe, mais de la cuisse m
équemment diminués ou abolis dans les myo-; pathies, même quand les
muscles
correspondants ne sont pas ou ne I paraissent p
antes. . L'atrophie des myopathiques frappe d'ordinaire d'abord les
muscles
les plus rapprochés de la racine des membres so
nerfs péroniers, aux membres supérieurs dans une partie des petits
muscles
de la main et, plus tard, dans le triceps et le l
187. 5. GowEns. Bril. med. J., 12 juillet 1902. MYOPATHIES. 675
muscles
, symptômes accessoires qui démontrent seulement q
m de « thorax en taille de guêpe». Peut-être l'atrophie de certains
muscles
abdominaux entre-t-elle aussi, accessoirement,
re et de la cyphose dorsale de compen- sation dues à l'atrophie des
muscles
des gouttières vertébrales et de la masse sacro
paralysie 1»cudo-lrypertrol>liclue (Mme Sacara) où pourtant les
muscles
de la face ne sont d'ordinaire pas intéressés, on
rite traumatique produite par les tractions continues de certains
muscles
peu ou pas atrophiés, avec' épaississement de l
éreux de la peau était à peu près propor- tionnel à l'impotence des
muscles
sons-,jacents. La graisse n'envahit pas seuleme
e des muscles sons-,jacents. La graisse n'envahit pas seulement les
muscles
pseudo-hypertrophiés; une adipose sous-cutanée
aladie de Thomsen. Nous avons dit déjà qu'histologiquement tous les
muscles
atrophiés con- tiennent des fibres hypertrophié
qu'à l'hypertrophie partielle ou peut-être totale d'un on plusieurs
muscles
avec augmentation de leur puissance. L'hypertroph
u suivre la myopathie ; elles peuvent évoluer simultanément sur des
muscles
différents, l'atro- phie peut remplacer la myot
es différents, l'atro- phie peut remplacer la myotonie sur certains
muscles
. Toutes ces variétés se retrouvent dans les cas
e Hoff- mann n (maladie de Thomsen suivie de myopathie sur d'autres
muscles
), de Rossoliino (atrophie frappant les muscles
opathie sur d'autres muscles), de Rossoliino (atrophie frappant les
muscles
préalablement myotoniques). de Vigoureux, de Ch
es con- génitales, entre autres à l'absence congénitale de certains
muscles
(obser- vation de Furstner, etc.). Gowers, Oppe
ophie congénitale portait particulièrement d'ordinaire sur certains
muscles
qui sont affectés avec prédilection dans les myop
[A. LÉRL] M2 ATROPHIES MUSCULAIRES. d'absences congénitales de
muscles
connue des myopathies arrêtées dans leur dévelo
à un an ou un an et demi) l'affaiblissement s'accentue sans que les
muscles
s'hypertrophient; par- fois même ils s'atrophie
L'examen révèle alors facilement la pseudo-hypettrophie de certains
muscles
avec affaiblissement de leur force. Les premiers
ment de leur force. Les premiers atteints sont presque toujours les
muscles
du mollet; la jambe est épaissie dans son ensem
HIE l'SEUDO-IIYPER'CROPIIIQUI : . G85 se prennent ensuite; puis les
muscles
de la cuisse en commençant par le quadriceps cr
ticulier par le droit antérieur et le vaste externe. La plupart des
muscles
des membres inférieurs peuvent prendre un aspec
coup sur celle des fléchisseurs : triceps sural, quadriceps crural,
muscles
de la face postérieure de la cuisse, fessiers.
rural, muscles de la face postérieure de la cuisse, fessiers. Les
muscles
sacro-lombaires sont d'ordinaire envahis à peu,pr
ois après le début aux membres inférieurs. Il est souvent le seul
muscle
pseudo-hypertrophié des membres supérieurs;. da
intercostaux, les extenseurs des doigts, les radiaux. Les petits
muscles
de la main ne sont pas toujours indemnes. En to
rt) qu'elles sont capitales et précoces aux membres inférieurs. Les
muscles
du cou sont exceptionnellement et tardivement att
muscles du cou sont exceptionnellement et tardivement atteints. Les
muscles
de la face le sont moins rarement qu'on ne le pen
Fig. 4. - Myopathie avec pseudo-lay- perlrophie considérable des
muscles
du mollet (collection Danmsuliino). ti É ATRO
e et la lordose paralytique résultant de l'affaiblissement de leurs
muscles
spinaux (Duchenne) ou extenseurs de la cuisse (Sa
érale ou juvénile d'Erb. Cette forme atteint d'abord et surtout les
muscles
de la ceinture scapu- laire et du bras; raremen
ure scapu- laire et du bras; rarement elle frappe en même temps les
muscles
de la ceinture pelvienne et du dos; exceptionne
début est toujours lent et insidieux, la faiblesse progressive des
muscles
se révèle accidentellement à l'occasion de certai
asses sacro-lombaires et du long dorsal, aux membres supérieurs des
muscles
du groupe d'Erb, biceps, brachial antérieur et
raie ou fausse, elle est très souvent limitée la portion moyenne du
muscle
et est parfois plus apparente que réelle a caus
le grand et le petit ronds résistent généralement à l'atrophie. Les
muscles
extenseurs et fléchisseurs de l'avant-bras et l
phie. Les muscles extenseurs et fléchisseurs de l'avant-bras et les
muscles
des mains restent aussi inal- térés pendant un
harné est tout à l'ait spéciale. Aux membres inférieurs les mêmes
muscles
sont atteints que dans la variété pseudo-hypert
très longtemps légères et passent facilement inaperçues : les mêmes
muscles
ne sont frappés que dans la variété Landouzy-Deje
éformations et des troubles spéciaux des mouvements. L'atrophie des
muscles
qui s'insèrent à l'omoplate déter- mine l'attit
moignon de l'épaule, ainsi que l'atro- phie du grand dorsal et des
muscles
spinaux, fait que les malades se voûtent et ne
ongues périodes d'arrêt, surtout quand le début a été tardif. Les
muscles
sont à peu près symétriquement atteints; pourta
variété frappe d'abord et surtout, de façon presque constante, les
muscles
de la face. Elle débute généralement dans la se
teur, canin, etc.). Exception- nellement l'un ou l'autre de ces
muscles
peut être respecté alors que les autres sont
exception- nel de constater l'atro- phie de l'un quelconque des
muscles
innervés par un autre nerf crânien que la 7e
des muscles innervés par un autre nerf crânien que la 7e paire :
muscles
mo- teurs de l'oeil, mastica- teurs, langue,-
end aux épaules et aux membres supé- rieurs; elle envahit les mêmes
muscles
que la forme scapulo-humérale : trapèze, rhombo
brachial antérieur, triceps, long supinateur, radiaux; rarement les
muscles
de l'éminence thénar se prennent presque en même
cles de l'éminence thénar se prennent presque en même temps que les
muscles
du bras (Landouzy et Dejerine). La phase d'hypert
ine). La phase d'hypertrophie ou de pseudo-hypertrophie de certains
muscles
de l'épaule (deltoïde, sus- et sous-épineux et
humérate que dans la variété scapulo- humérale pure, mais les mêmes
muscles
sont beaucoup plus résistants à l'atrophie que
es mêmes muscles sont beaucoup plus résistants à l'atrophie que les
muscles
environnants; seul d'entre eux le deltoïde s'at
le bras d'autre part, réduits presque à l'état squelettique. Les
muscles
respirateurs restent presque toujours inaltérés;
ne fois l'atrophie du diaphragme; Dttchenne a observé un cas où les
muscles
respirateurs ont paru atteints à l'examen clini
Les membres inférieurs sont atteints très tardivement, les mêmes
muscles
ne sont pris que dans la variété scapulo-humérale
lus limitée; quand elle existe, elle frappe de préférence les mêmes
muscles
, muscles du mollet et quadriceps crural. L exis
ée; quand elle existe, elle frappe de préférence les mêmes muscles,
muscles
du mollet et quadriceps crural. L existence d'h
marque en plus ou en moins l'atrophie non clas- sique de tel ou tel
muscle
ou groupe musculaire, des cas où les variétés e
r l'en- semble des caractères que l'on a attribués à l'atrophie des
muscles
supposée, à tort ou à raison, protopathique, et
leurs cas une adipose sous-cutanée sans augmentation de volume des
muscles
. y) L'absence de rétractions tendineuses ou fib
ue. Ces modifications sont quantitatives et qualitatives ; dans les
muscles
peu atteints il y a seulement diminution de l'e
ment diminution de l'excitabilité faradique et galvanique, dans les
muscles
presque complètement atrophiés abolition de toute
que complètement atrophiés abolition de toute contraction, dans les
muscles
moyennement atrophiés réaction de dégénérescence
les cas d'atrophie Charcot-Marie ou Werdnig- Hoffmann au niveau des
muscles
dont le degré d'atrophie était favorable. s) Le
(Sainton); ces modifications sont indé- pendantes de l'atrophie des
muscles
et de l'ancienneté de l'affection. Dans tous le
Werdnig-lIoll'lHann parce qu'elle évolue rapidement, frap- pant les
muscles
d'une région en masse et non individuellement, to
emment dans l'adolescence, rarement plus tard, par l'atrophie des
muscles
des pieds et des jambes. Exceptionnellement le
*). . Aux membres inférieurs, l'atrophie atteint au pied tous les
muscles
, en particulier les interosseux, à la jambe les
ed tous les muscles, en particulier les interosseux, à la jambe les
muscles
anléro- externes, les péroniers, le jambier ant
, le triceps peut être atteint dans son tiers inférieur, mais les
muscles
de la région postérieure restent indemnes et l'
'abord les mains, soit les éminences thénar et hypothénar, soit les
muscles
interosseux; elle s'étend de la main aux avant-
ut il fait exceptionnel de constater une atrophie légère de quelque
muscle
du bras ou de l'épaule (triceps, sus- et sous-
'épaule (triceps, sus- et sous- épineux, rhomboïde, trapèze). Les
muscles
du bassin, du tronc et de la face restent presque
nes; IIOlÏIIlM1]Il admet seul la participation possible de tous ces
muscles
. , 1. Tooth. Th. de Cambriclye, t88û, 2. IIOF
myélie, sclérose latérale amyotrophique, etc.); la conservation des
muscles
du segment rhizoml'lique a sans doute une influen
ffaiblissement est rapidement suivi par l'atrophie symé- trique des
muscles
des cuisses, du bassin et du dos. Cette atrophie
muscles des cuisses, du bassin et du dos. Cette atrophie frappe les
muscles
en masse et rapidement ; elle est parfois masquée
à marcher. La paralysie et l'atrophie s'étendent en même temps aux
muscles
du cou et de la nuque et aux muscles des membre
e s'étendent en même temps aux muscles du cou et de la nuque et aux
muscles
des membres supérieurs en commen- çant par l'ép
ussi les jambes et les pieds, puis les avant-bras et les mains. Les
muscles
de la face ne sont pas intéressés; le seul nerf
dont le domaine soit affecté est la branche externe du spinal. Les
muscles
respiratoires peuvent s'atro- phier et la mort
onique, qui se traduise uniquement par l'atro- phie progressive des
muscles
du groupe Duchenne-Aran; ce n'est pas le cas le
La localisation se fait presque toujours au début sur les petits
muscles
des mains, et c'est surtout par une gêne fonction
es pieds et les jambes (cas de Raymond et Philippe) ('). Le premier
muscle
frappé est généralement le court abducteur du p
premier muscle frappé est généralement le court abducteur du pouce,
muscle
le plus superficiel et le plus externe de l'émine
erne de la main, et le pouce se rapproche de l'index. Puis tous les
muscles
des émi- nences thénar et hypothénar s'atrophie
comme caractéris- tique de l'atrophie musculaire progressive. Les
muscles
de l'avant-bras se prennent ensuite, les fléchiss
di, en colonne, et non aplati comme le thorax des myopathiques. Les
muscles
des gouttières vertébrales, les masses sacro-lo
prennent rarement part à l'atrophie : elle commence par les petits
muscles
du pied et par les fléchisseurs du pied sur la
demne, contrairement à l'opinion classique, mais ce sont les petits
muscles
superficiels, peauciers, qui se prennent, la fa
dues à une grande partie de la musculature ou localisées à quelques
muscles
en voie d'atrophie, plus particulièrement à cer
e eux, le deltoïde par exemple; brusques, limitées à une partie des
muscles
ou propagées en ondes, spontanées et réveillées p
olution, aucune hypertrophie vraie ou fausse de l'un quelconque des
muscles
ou d'une de ses portions. On ne constate pas
fibro-musculaires , et à tout moment les articulations entourées de
muscles
atrophiés restent lâches. Il. Meu- nier (') a p
un cas une contracture intermittente, passagère et récidivante, des
muscles
d'un membre inférieur; nous ne sommes pas rense
ure exceptionnelle. * La contractilité électrique varie pour chaque
muscle
suivant la période de l'atrophie, et même pour
v. oaeurol.. ](HJ2, p. 5-45. AMYOTROPHIES TYPE ARAN-DUCHENNE. 701
muscles
se prennent faisceau par faisceau et parfois pres
- ment. La réaction de dégénérescence n'apparaît donc dans chaque
muscle
qu'à un moment donné de son atrophie; son apparit
ique », phénomène rare qui consiste en contractions bilatérales des
muscles
des membres supérieurs atrophiés quand on place l
and on interrompt un courant faradique ou galvanique traversant les
muscles
du membre supérieur. Les réflexes tendineux son
ement lente dans la syringomyélie (jusqu'à 50, 40 ans et plus). Les
muscles
ne sont pas toujours symétriquement atrophiés, il
s crural; elle n'est pas massive et n'est jamais complète sur aucun
muscle
, elle ne s'accompagne pas en géné- ral de contr
ve des atrophies diversement localisées, atrophie de la langue, des
muscles
innervés par la branche externe du spinal, des
ensuite non seulement il la totalité des 4 membres, mais encore aux
muscles
de la face, de la langue, des yeux, etc., avait a
, d'atteindre d'emblée, plus ou moins rapide- ment, la totalité des
muscles
qui doivent être frappés, et d'affecter ensuite
elles soient, les amyotrophies secondaires sont localisées soit aux
muscles
qui avoisinent une région malade, soit à des musc
isées soit aux muscles qui avoisinent une région malade, soit à des
muscles
déterminés il l'avance par une paralysie préala
e, on a signalé des atrophies, généralement loca- lisées à quelques
muscles
, parfois plus ou moins massives, accompagnées s
survenir une amyotrophie plus ou moins étendue qui débute dans les
muscles
voisins de la région irritée. Cette amyotrophie
Cazin, de Van Gehuchten n, qui ont constaté une atrophie simple des
muscles
sans aucune altéra- tion inflammatoire et une i
prolongé. Elle frappe avant tout, et le plus souvent uniquement, le
muscle
ou le groupe extenseur situé au-dessus de l'art
rs plus accusée sur les premiers. Elle peut envahir la totalité des
muscles
d'un segment du membre, elle peut même envahir
lité des muscles d'un segment du membre, elle peut même envahir les
muscles
du ou des segments situés au-dessous de l'artic
on scapulo-humérale, Ilalipré (') a vu l'atrophie affecter tous les
muscles
du groupe Duchenne-Erb, c'est-à-dire ceux qui r
ent aux 5" et 6e paires cervicales, y compris le long supina- teur,
muscle
de l'avant-bras. L'atteinte simultanée des muscle
ong supina- teur, muscle de l'avant-bras. L'atteinte simultanée des
muscles
voisins de plusieurs articulations, à la suite
ivement musculaires, les atro- phies myopathiques entre autres. Les
muscles
atteints ne présentent pas de contractions fibr
et portent avec prédilection sur les fléchisseurs antagonistes des
muscles
les plus atrophiés; on voit par exemple assez s
e se fléchir modérément sur la cuisse. L'excitabilité mécanique des
muscles
est sou- vent exagérée, le moindre choc provoqu
nt la force musculaire revient au bout de peu de temps, mais que le
muscle
n'augmente pas pour cela de volume, que l'atrophi
rée, est d'emblée circonscrite et n'a aucune tendance à envahir des
muscles
qu'elle avait d'abord res- pectés. (3) Atroph
à une lésion traumatique des membres ; elles peuvent porter sur des
muscles
voisins de la lésion et sont peut-être dues alo
lésion et sont peut-être dues alors à une inflammation propagée aux
muscles
; mais elles portent souvent aussi sur des muscles
tion propagée aux muscles; mais elles portent souvent aussi sur des
muscles
éloignés et parfois sur tous les muscles d'un s
tent souvent aussi sur des muscles éloignés et parfois sur tous les
muscles
d'un segment de membre ou d'un membre entier; d
cot et Dulil il (s), Ballet et Bernard (3), etc.) : aux lésions des
muscles
, compression, plaie plus ou moins profonde, déc
rès tenaces. Une mention spéciale doit être faite des atrophies des
muscles
thora- ciques consécutives aux pleurésies . Ces
le semaine (Lasègue, Desplats). Quand l'atrophie ne frappe que les
muscles
inter- costaux, on peut supposer qu'elle ne con
itue qu'une application de la loi de Stokes en vertu de laquelle un
muscle
sous-jacent il une séreuse 1. Chiustin. Th. Par
teint les pectoraux, les grands dentelés, le grand dorsal, même les
muscles
périscapulaires : dans ces cas l'amyotrophie co
ntes, est d'envahir soit la totalité, soit une partie seulement des
muscles
préalablement paralysés d'un ou de plusieurs memb
es groupes musculaires restés paralysés, très souvent au niveau des
muscles
de presque tout un membre ou de plusieurs membr
ions fibro-musculaires sont ha- bituelles dans les antagonistes des
muscles
les plus atropines. Cette atrophie est à peu pr
est à peu près irrémédiable ; elle envahit d'emblée la totalité des
muscles
où elle se localisera, elle n'a pas de tendance à
t très tardive- ment, parfois après 40 ou 50 ans, soit au niveau de
muscles
autrefois paralysés, puis guéris, soit en d'aut
ment, en raison du siège de l'hémorragie, elle se limite à certains
muscles
de l'épaule, du bras et de l'avant-bras, à la m
n égale les. différents groupes musculaires de chaque membre; les
muscles
du tronc et la cage thoracique ne sont pas re
ns doute uniquement £ une di- minution de nombre des éléments des
muscles
, des os, des nerfs, de la moelle, etc. (« atrop
dans tout l'appareil neuro-musculaire, cellules nerveuses, nerfs et
muscles
, soit seulement dans la partie périphérique du
, soit seulement dans la partie périphérique du neurone et dans les
muscles
, soit exclusivement dans les muscles; cette p
hérique du neurone et dans les muscles, soit exclusivement dans les
muscles
; cette perturbation est donc tantôt orga- niq
ent elle prédomine sur le membre supé- rieur et atteint surtout les
muscles
de la racine du membre, les muscles scapuio-hum
é- rieur et atteint surtout les muscles de la racine du membre, les
muscles
scapuio-huméraux, particulièrement le deltoïde;
culièrement le deltoïde; au membre inférieur elle prend surtout les
muscles
de la fesse et de la partie supérieure de la cu
lgurant ou térébrant, et en douleurs à la pression des nerfs ou des
muscles
. Les troubles objectifs de la sensibilité (anes
s ou objectifs de la sensibilité sont très intenses, le nerf et les
muscles
sont très sensibles à la pression. Les névrites p
inférieure ou totale. Dans la paralysie radiculaire supérieure, les
muscles
frappés sont les muscles du groupe Duchenne-Erb,
s la paralysie radiculaire supérieure, les muscles frappés sont les
muscles
du groupe Duchenne-Erb, del- toïde, biceps, bra
onflexe et du médian. Dans la paralysie radiculaire inférieure, les
muscles
atteints sont ceux du domaine du cubital, les p
e, les muscles atteints sont ceux du domaine du cubital, les petits
muscles
de la main surtout, éminences thénar et hypothé
t trophiques des deux formes précédentes : paralysie atrophique des
muscles
de la main, de l'avant-bras, du bras et de l'ép
pour le plexus sacré dans In domaine du nerf scia- tique, fessiers,
muscles
de la région postérieure de la cuisse et tous les
fessiers, muscles de la région postérieure de la cuisse et tous les
muscles
de la jambe; pour le plexus lombaire dans le doma
exus lombaire dans le domaine du nerf obturateur et du nerf crural,
muscles
abdominaux antérieurs, obtura- teurs, adducteur
le est diffuse et atteint a peu près au même degré l'en- semble des
muscles
d'un même serment de membre. La réaction de dég
l'anesthésie s'installe dans le domaine du nerf; en même temps les
muscles
qui en dépendent (s'il s'agit d'un nerf mixte) se
atteinte simultanée, progres- sive, puis régressive, des différents
muscles
atteints; les réflexes sont diminués ou abolis,
entes ou rémittentes, réveil- lées par la pression des nerfs ou des
muscles
, les troubles de la sensibi- lité objective (or
), les paralysies; un peu plus tard l'atrophie envahit en masse les
muscles
préalablement paralysés, lentement ou souvent t
sur les extenseurs que sur les fléchisseurs; l'atteinte rapide des
muscles
du pied et des muscles antéro-externes de la ja
sur les fléchisseurs; l'atteinte rapide des muscles du pied et des
muscles
antéro-externes de la jambe provoque l'attitude
ROPHIES MUSCULAIRES. hallante du pied et la marche en steppant; les
muscles
du mollet et ceux de la cuisse sont moins pris;
nt; les muscles du mollet et ceux de la cuisse sont moins pris; les
muscles
des mains, des avant-bras des bras, du dos et d
ue n'atteint les membres qu'après le voile du palais et souvent les
muscles
de l'oeil; elle commence aux membres infé- rieu
s muscles de l'oeil; elle commence aux membres infé- rieurs par les
muscles
des pieds et des jambes, elle atteint parfois les
ool. Le type ordinaire de la névrite saturnine est la paralysie des
muscles
innervés par le radial, à l'exception du long s
radial, à l'exception du long supinateur; l'atrophie rapide de ces
muscles
est presque constante, la réaction de dégénéresce
pas rares. Les troubles moteurs et trophiques peuvent s'étendre aux
muscles
du bras et au deltoïde ou aux : péroniers et au
- tion, se localiser primitivement sur les uns ou les autres de ces
muscles
ou se généraliser il la presque totalité de la
ivement, à la période d'in- coordination. Elle commence par les
muscles
des pieds, interosseux et émi- nences thénar
e phalange et flexion des autres. Puis l'atrophie envahit les
muscles
de la jambe et surtout les mus- cles antéro-e
ivement vers les cuisses ; auparavant elle envahit généralement les
muscles
des mains (main de singe, griffe totale ou cubi
(main de singe, griffe totale ou cubitale), parfois des avant-bras (
muscles
épitrochléens), exceptionnellement des bras. Les
es infectieuses : l'infection serait ordinairement la syphilis. Les
muscles
les plus divers peuvent être isolément frappés de
ppés de paralysie atrophique dans le tabès, en particulier certains
muscles
dépendant d'une innervation crânienne, tels les
er certains muscles dépendant d'une innervation crânienne, tels les
muscles
masticateurs (Schultze, Chvostek P. Marie et Lé
es masticateurs (Schultze, Chvostek P. Marie et Léri) (2), tels les
muscles
sterno-cll'ido-mastoïdiens ou tra- pèze (Martiu
aire; elle résulte presque toujours du défaut de fonctionnement des
muscles
. L'atrophie hystérique porte toujours sur un me
rédilection sur certaines régions (éminence thé- nar ou hypothénar,
muscles
de l'épaule, grand pectoral seul, etc.). Elle d
ATROPHIES MUSCULAIRES. retarder quelque peu l'atrophie de certains
muscles
, mais rien n'est moins certain. On en est, en
alvaniques juste suffisants pour amener une contraction notable des
muscles
, ou des courants faradiques peu intenses et à inl
es et à inlcr- ruptions fréquentes, sont appliqués aux nerfs et aux
muscles
. Une seule médication semble avoir donné, jusqu
luxation, fracture juxta-articulaire, etc.) et appliqué surtout aux
muscles
extenseurs sus-jacents à l'article lésé, el dan
ès utilement les efforts et de localiser les contrac- tions sur les
muscles
voulus. L'hydrothérapie, soit générale, soit surt
tant appliquée sur la région dorsale, l'autre, plus étroite, sur le
muscle
à électriscr et plus volontiers sur son point m
ES. 751 galvanique peu intense, presque exclusivement au niveau des
muscles
atrophiés, et à la condition que l'on n'observe
acquises par des interventions chirurgicales; la greffe de certains
muscles
paralysés au tendon de muscles voisins ayant un
chirurgicales; la greffe de certains muscles paralysés au tendon de
muscles
voisins ayant une action à peu près similaire a é
a laxité excessive de certaines' articulations due à l'atrophie des
muscles
qui les meuvent sera parfois, avec avantage, remp
périodique, autres variétés de myopathie, absence con- génitale de
muscles
. 5. Variétés tO/1ogmphiqucs : Début par : Mem
aire : os : fractures, ostéites; téguments : plaies, con- tusions ;
muscles
: compressions, plaies, coup de fouet; séreuses :
sence de pseudo-hypertrophie ; localisation : généralement début au
muscle
extenseur sus-jacent; extension et intensité géné
e. B) Consécutives A une paralysie : atrophie de tout ou partie des
muscles
préalablement paralysés associée aux symptômes
rophie musculaire est l'augmentation de volume d'un ou de plusieurs
muscles
due il l'augmentation de nombre ou de dimension
libres contractiles. . CARACTÈRES DE L'HYPERTROPHIE MUSCULAIRE Le
muscle
hypertrophié est gros, et son accroissement de vo
peut servir de confirmation. De plus, il est plus consistant qu'un
muscle
normal et donne au doigt qui le palpe l'impress
agérément volumineux et résistant au repos, la diffé- rence avec un
muscle
normal s'accuse plus encore, à l'oeil et à la mai
us encore, à l'oeil et à la main, à l'état de contraction; quand le
muscle
se contracte, on sent sous les doigts se dilate
s se dilater et se durcir des faisceaux plus volumineux, on voit le
muscle
former dans sa partie moyenne un ventre anormalem
avoir l'impression que l'augmentation de volume siège bien dans le
muscle
lui-même et non dans les tissus superficiels.
s avons dit, à propos des atrophies musculaires, que le volume d'un
muscle
n'est rien, que sa puissance fonctionnelle est to
r les hypertrophies, mais non toujours. La puissance contractile du
muscle
est exagérée dans les hypertrophies physiologique
ompensatrices, où l'augmentation des fibres contractiles atteint un
muscle
sain et constitue soit un mode de réaction contre
pertrophie musculaire est l'un des symptômes mêmes d'une maladie du
muscle
, ce qui est fréquent : dans ce cas, ou bien l'h
ettement quand elle est unilatérale et qu'on peut ainsi comparer le
muscle
altéré avec le muscle symétrique du côté opposé,
t unilatérale et qu'on peut ainsi comparer le muscle altéré avec le
muscle
symétrique du côté opposé, soit à l'état de rep
ie, nous avons pu dire que l'aug- mentation anormale du volume d'un
muscle
est plus souvent le signe de son atrophie que d
trophie de l'hypertrophie vraie : consistance pâteuse, amoindrie du
muscle
, contractilité nulle ou atténuée, faiblesse ou ab
manifestent par un gonflement limité ou diffus d'un ou de plusieurs
muscles
qui en traduit l'infiltration interstitielle :
s infiltrations néoplasiques de tout ou partie de un ou plu- sieurs
muscles
, amenant leur augmentation de volume, se caractér
actérise- ront, outre qu'elles sont exceptionnellement limitées aux
muscles
seuls, par leur localisation irrégulière, leur
NIQUES L'hypertrophie musculaire vraie est aussi rare au niveau des
muscles
de la vie de relation, au niveau des muscles de
ssi rare au niveau des muscles de la vie de relation, au niveau des
muscles
des membres et du tronc, que l'atrophie muscula
musculaire y est fréquente. Il en est tout autrement au niveau des
muscles
de la vie organique, et les hypertrophies muscu-
tes compensatrices. Elles occupent avec une prédilection marquée le
muscle
cardiaque, en vertu sans doute des innombrables
ertrophies fonctionnelles que nous aurons il signaler au niveau des
muscles
des membres ou du tronc qui. pour une cause que
plus rares, sont beaucoup plus souvent localisées à un ou plusieurs
muscles
, a un membre ou à un segment de membre, que gén
: ¡PI Inourl : . - Il s'agit d'une hypertrophie fonctionnelle. Tout
muscle
qui doit accomplir d'une façon prolongée un tra
exagéré ou par certains troubles pathologiques, l'hy- pertrophie du
muscle
peut toujours être dite, physiologique, le muscle
hy- pertrophie du muscle peut toujours être dite, physiologique, le
muscle
lui-même n'est pas malade. l2° Gboupk. L hype
atrophie musculaire : le stade d'hypertrophie indique déjà que. le
muscle
est malade : l'hypertrophie, totale ou partielle,
eur pathogenic. Certaines de ces hypertrophies sont localisées à un
muscle
, d'autres sont étendues à un membre, d'autres s
YPERTROPHIES MUSCULAIRES PHYSIOLOGIQUES. 731' jouent localisées aux
muscles
qui p/'ofessionnellement doivent fournir un tra
umeaux des danseuses, etc. Il faut en rapprocher l'hypertrophie des
muscles
grands droits observée par Ilurante chez des femm
: elles se produiraient, d'après Hecklinghausen, chaque fois qu'un
muscle
exécute une plus grande somme d'actions physiol
e à la production de l'hypertrophie; quand on pratique sur certains
muscles
des excitations répétées, l'afflux sanguin fait
qu'a la suite de l'accomplissement des mouvements qui obligent les
muscles
il faire de grandes excursions et à activer ain
nt physiologiques acquises, nous devons signaler l'hypertrophie des
muscles
respiratoires accessoires que l'on constate fré
les sont aussi presque toujours localisées, mais elles frappent des
muscles
soumis il un surmenage d'ordre non plus physiolog
ermanentes et les mouvements continus auxquels sont soumis certains
muscles
de ces sujets en amènent plus ou moins précocem
plus ou moins précocement l'hypertrophie, avec ou sans atrophie des
muscles
voisins. Mais dans ces cas encore, il est proba
hologique.. Dans l'hypertrophie physiologique ou fonctionnelle, les
muscles
parais- sent normaux sur une coupe, le tissu in
PE. HYPERTROPHIES PRÉATROPHIQUES Nous avons dit que dans tous les
muscles
en voie d'atrophie, quelle que soit l'origine d
des fibres hypertrophiées. Erh, qui avait constaté ce fait sur des
muscles
de myopathiques à forme juvénile,- le croyait s
dehors des myopathies, le nombre des fibres hypertrophiées dans un
muscle
en voie d'atrophie n'est jamais assez considéra
scle en voie d'atrophie n'est jamais assez considérable pour que le
muscle
apparaisse clinique- ment hypertrophié : aussi,
préatrophique frappe avec une prédilection très mar- quée certains
muscles
, et surtout le deltoïde; elle atteint parfois aus
le atteint dans toute leur longueur certains faisceaux seulement du
muscle
, les autres faisceaux s'atrophiant; ou bien ell
gueur un plus ou moins grand nombre ou la totalité des faisceaux du
muscle
. Dans ce dernier cas, c'est la partie moyenne qui
es de contraction for- mant bosses sur le. milieu de la longueur du
muscle
: on les observe surtout, sur le deltoïde. L'hy
tractile plus ou moins hypertrophiée, qui paraît constituer tout le
muscle
, n'en constitue en réalité que la partie moyenne.
a la constance de l'existence de fibres d'un volume énorme dans les
muscles
en voie d'atrophie, s'explique par le fait que l'
s'hypertrophient et, une certaine compensation se faisant ainsi, le
muscle
ne peut guère acquérir un volume considérable,
de 200 à 2)O p. au lieu de 5H à 05 r (hypertrophie volumétrique du
muscle
), non seulement elles présentent de fréquentes di
Dejerine, à savoir que l'hypertrophie de certaines fibres dans les
muscles
en voie d'atrophie esl - une hypertrophie fonct
'elle permet vérita- blement d'étudier l'anatomie morphologique des
muscles
sur le vivant. HYPERTROPHIES MUSCULAIRES PÉRIPH
ont les caractères essentiels de l'hypertrophie thomsénienne. Les
muscles
. atteints sont généralement plus consistants que
Les muscles . atteints sont généralement plus consistants que des
muscles
normaux; mais, lait important, leur puissance c
est nullement pro- portionnelle -à leur hypertrophie. Si certains
muscles
ont une vigueur excessive, qui per- met à certa
que tous se fatiguent avec une rapidité tout à fait anormale. Les
muscles
hypertrophiés des thomsé- niens présentent des
contractilité volontaire est troublée beau- coup moins parce que le
muscle
ne peut se contracter avec force que parce que,
ure. Le fait est vrai du moins pour les premières contractions d'un
muscle
; quand les contractions se succèdent à peu d'in
peu d'inter- valle, la raideur diminue et souvent dispa- rait, le
muscle
s'assouplit. Dans la marche, par exemple, les p
aux membres et au tronc ; on les observe aussi au niveau des petits
muscles
de la face où l'hypertrophie ne peut apparaître
orbiculaire des paupières, des lèvres, etc.), parfois au niveau des
muscles
mastica- teurs, des muscles de la langue, des m
es lèvres, etc.), parfois au niveau des muscles mastica- teurs, des
muscles
de la langue, des muscles oculo-moteurs, etc. ; o
au niveau des muscles mastica- teurs, des muscles de la langue, des
muscles
oculo-moteurs, etc. ; on ne e les ohserve jamai
cles oculo-moteurs, etc. ; on ne e les ohserve jamais au niveau des
muscles
de la vie organique. Les troubles de la contrac
aladie de Thomsen. Remarquer le développement lILhlé1.i'lllC îles
muscles
, surtout rcux des membres inférieurs, cuisses
tion myotonique d'Erb. La contractilité faradique et galvanique des
muscles
est augmentée. Avec les courants galvaniques, l
ntractilité volontaire, quand on répète les excitations sur le même
muscle
. La maladie de Thomsen est essentiellement fami
accom- pagner de myotonie et que dans les atrophies musculaires les
muscles
atrophiés eux-mêmes peuvent présenter los carac
éder ou suivre l'amyotrophie chez un même sujet, soit sur les mêmes
muscles
, soit sur des muscles différents. Il y a donc t
rophie chez un même sujet, soit sur les mêmes muscles, soit sur des
muscles
différents. Il y a donc toutes les formes de pa
hypertrophiées, de '1 ;,(1 u. et plus, on trouve toujours dans les
muscles
des thomséniens un certain nombre de fibres HYP
ullement indifférent, mais bien contractile, que c'est à lui que le
muscle
doit sa tonicité et. que les muscles lisses n'o
ractile, que c'est à lui que le muscle doit sa tonicité et. que les
muscles
lisses n'ont d'autre fonction motrice que celle
par- faitement soit la succession, soit l'association sur les mêmes
muscles
ou sur des muscles voisins de caractères (atrop
la succession, soit l'association sur les mêmes muscles ou sur des
muscles
voisins de caractères (atrophie, hypertrophie pré
zomélique, d'autres enfin à un seul groupe musculaire ou à quelques
muscles
plus ou moins distants; chez les uns on constat
ich et dans le cas de Bressler, il y avait une atrophie de certains
muscles
en même temps qu'une hypertrophie d'autres musc
ie de certains muscles en même temps qu'une hypertrophie d'autres
muscles
: il s'agissait sans doute d'hypertrophie préatro
ions manifestes. Certaines étaient limitées à un groupe musculaire (
muscles
de l'épaule, Benedict), la plu- part étaient ét
l. 190a. - ]l[Il,JITIIOPIIIIls MUSCULAIRES PÉRIPHÉRIQUES. 747 Les
muscles
hypertrophiés ont leur puissance volontaire tantô
la circulation est la condition sine qua non de l'hypertrophie des
muscles
. On a signalé aussi dans certains de ces cas
pertro- phie vraie pour déterminer l'augmenta- tion de volume des
muscles
. 5° Enfin, dans quelques rares cas il semble
HYPERTROPHIES MUSCULAIRES Augmentation de volume d'un ou plusieurs
muscles
par augmentation de nombre ou (le dimension des
pertrophie des grands droits des femmes enceintes; hypertrophie des
muscles
respiratoires des cmphysemitenx. etc. BI Congén
rdination est la perte de l'harmonie normale entre les dilfé- rents
muscles
qui. concourent à l'exécution d'un mouvement, san
qui. concourent à l'exécution d'un mouvement, sans qu'aucun de ces
muscles
pris isolément ait sa puissance contractile dim
mouvement est dù à la contraction simultanée et proportionnelle des
muscles
destinés à produire ce mouvement et des muscles
proportionnelle des muscles destinés à produire ce mouvement et des
muscles
antagonistes destinés à le modérer (Duchenne) ; d
par exemple, dans l'accomplissement duquel n'entre enjeu qu'un seul
muscle
. Physiologiquement parlant, il n'y et pas de mo
nt, il n'y et pas de mouvement simple, la con- traction isolée d'un
muscle
né peut être produite qu'artificiellement, par
qu'artificiellement, par l'excitation mécanique ou électrique de ce
muscle
par exemple. Prati- quement on peut pourtant co
anse, le saut, mouvements auxquels prennent part, non seulement les
muscles
des membres inférieurs, mais aussi ceux du tron
ature du corps. , Les contractions simultanées et synergiques des
muscles
ont norma- lement pour résultat non seulement d
s'ils n'entraînent pas la chute; les con- tractions synergiques des
muscles
doivent donc non seulement assurer les mouvemen
lus ordinairement il nécessite aussi une contraction synergique des
muscles
(équilibre statique volitionnel) ; ainsi, la po
e ne peut être maintenue que grâce à une contraction synergique des
muscles
des jambes et de la plupart des muscles des mem
contraction synergique des muscles des jambes et de la plupart des
muscles
des membres inférieurs. On sait quel effort néces
par lesquels le sujet se rend compte du degré de contraction de ses
muscles
et la situation réciproque de ses muscles, ses ar
gré de contraction de ses muscles et la situation réciproque de ses
muscles
, ses articulations, ses os, ses téguments; w2°
d'après l'ensemble de ces sensations perçues, envoient il tous les
muscles
qui doivent se contracter synergiquement un influ
ité des conducteurs centrifuges chargés de porter cet influx et des
muscles
chargés de le recevoir. Oue l'une quelconque de c
assuré- ment un rôle : on comprend que la perte de la tonicité des
muscles
puisse altérer considérablement la précision de
érents. L'ataxique ne sent pas exac- tement les contractions de ses
muscles
et ne se rend compte de ses mou- vements et de
ent ataxique. simple ou composé, on constate que la contraction des
muscles
producteurs du mouvement n'est pas modérée comm
s. Cela se conçoit si l'on songe que l'ataxique peut ordonner à ses
muscles
de se contracter, mais ne sent pas avec quelle
ela se comprend encore aisément, car l'ataxique qui ne sent pas ses
muscles
se contracter n'a absolument que ses veux pour
ents, l'une comme l'autre nécessitant la synergie fonctionnelle des
muscles
. Avec des variations de siège et d'intensité il
eurs; ils sont parfois bien plus complexes, et l'incoordination des
muscles
du tronc et même des membres supérieurs y entre
s troubles de l'équilibre. ' Peut-être l'incoordination de certains
muscles
respiratoires ou d'autres muscles profonds n'es
être l'incoordination de certains muscles respiratoires ou d'autres
muscles
profonds n'est-elle pas pour rien dans certains t
n sur la fréquence dans le tabès de troubles de la coordination des
muscles
oculo-motenrs : ce symptôme est géné- ralement
musculaires, la fréquence et souvent l'intensité de l'atrophie des
muscles
douloureux, la topographie périphérique et non
ions de la coordination en semblent indépendantes. Il sent donc ses
muscles
se contracter, il a la nolion du degré de leur
éalité à la contraction simultanée et propor- tionnelle de certains
muscles
et de leurs antagonistes; ils nécessitent par c
is sans paralysie vraie, sans trouble notable de la force de chaque
muscle
pris isolément et sans trouble de la sensibilité
nférieurs appliqués au sol par une con- traction énergique de ses
muscles
fessiers, en même temps qu'il fléchirait le tro
. L'asynergique cérébelleux, ne pouvant associer la contraction des
muscles
de la cuisse à celle des muscles du tronc, fléc
ouvant associer la contraction des muscles de la cuisse à celle des
muscles
du tronc, fléchira ses cuisses par suite de la co
out quand les mouve- ments successifs doivent être exécutés par les
muscles
respectivement antagonistes, c'est-à-dire sont
re ne porte que sur un ou plusieurs des mouvements que le groupe de
muscles
paralysés est appelé à exécuter. C'est ainsi qu
de se tenir debout (astasie- ' abasie) sans qu'aucun des groupes de
muscles
qui entrent enjeu dans la station ou dans la ma
rche ordinaire et dans lequel entrent généralement en jeu les mêmes
muscles
qui sont censés être paralysés. j La l'orme ata
ÉS CLINIQUES DES INCOORDINATIONS 1 (Perte de l'harmonie entre les
muscles
qui concourent à l'exécution de chaque mouvemen
e : trouble sensitif : perte de la notion du degré de contraction des
muscles
. Caractères : Il Manque de modération des mou
: Décomposition des mouvements composés par défaut de synergie des
muscles
des différents segments du corps. Variétés cl
asynergiquc type : dissociation des mouve- ments de progression des
muscles
inférieurs et du tronc, d'où perte de l'équilib
aient pour but essen- tiel de rendre plus ou moins complètement aux
muscles
la force qu'ils avaient perdue d'abord par le d
fatigue ; le massage et l'électrisation contribuaient à rendre aux
muscles
leur volume et leur pouvoir contractile. De t
ni dans l'une ni dans l'autre ce n'est la force qui fait défaut aux
muscles
, ni dans l'une ni dans l'autre il n'y a de para
s; on sait seulement qu'il ne s'agit aucunement d'une faiblesse des
muscles
isolés. Mais l'asynergie cérébelleuse est bien
imples, c'est surtout parce qu'il ne sent pas avec quelle force ses
muscles
se contractent, parce qu'il a perdu plus ou moins
ments élémentaires. Mais ce n'est nullement parce que chacun de ses
muscles
ou de ses groupes musculaires n'a pas la force
. Ces exercices, appliqués bien entendu étectivemcnt à tels ou tels
muscles
ou à tels ou tels mouvements, éduquent donc la se
ments au moment où ils deviennent nuisibles et épuisants pour les
muscles
; or, la sensation de fatigue est très atténuée ou
ngement corres- pondant dans celle du tronc. Or, dans le tabes, les
muscles
et les arti- culations de la colonne vertébrale
use plisséc, chiffonnée, pour ainsi dire, semble trop large pour le
muscle
en voie de disparition. La parole est empâtée (
nt le voile du palais, le pharynx, les masticateurs. Ces différents
muscles
s'atrophient, présentent des secousses librilla
ut très heureusement nommé, le rire ou le pleurer spasmodiques. Les
muscles
du visage se contractent violemment, se plissent;
plus divers, la participation de l'orbiculaire des paupières et des
muscles
de la nuque, les crises bul- baires, les rémiss
tiques des lèvres et de la langue, sans affaiblissement notoire des
muscles
. Hémiplégique droit (s'il est gaucher), et géné
ent donc d'une dimi- nution de la puissance et de la résistance des
muscles
. Il en résulte une [MO UTIER.j 814 . MYASTHÉN
t de l'hypotension. L'asthé- nie peut ne pas atteindre seulement le
muscle
, mais se traduire encore par quelque désordre m
une certaine prédilection. Le releveur des paupières est le premier
muscle
à épuisement rapide et impotence fonctionnelle. I
e trouve gênée par le ptosis et la diplopie. Puis sont atteints les
muscles
de la face, les extenseurs de la tête, la langu
de la tête, la langue, les masticateurs, le larynx, le pharynx, les
muscles
de la racine des membres. L'asthénie est exagér
res. L'asthénie est exagérée par la fatigue générale ou locale; les
muscles
sont de plus extrêmement sensibles au froid. Enfi
, pré- cisent ou modifient ce syndrome : telles sont l'atteinte des
muscles
de l'abdomen, des muscles du larynx, du sterno-
ce syndrome : telles sont l'atteinte des muscles de l'abdomen, des
muscles
du larynx, du sterno-cléïdo-mastoïdien, du myo-
ouverte s'échappe la salive. Et cependant, pris au repos, tous ces
muscles
peuvent se contracter, mais leur fatigue est rapi
ulaire, mais les tremblements fibrillaires ne,sont~pas rares. Les
muscles
présentent une altération spéciale de leur réacti
re en les différents types : circonstances étiologiques, lésions du
muscle
e (amas lymphoïdes, graisse), anomalies congéni
a atrophie musculaire, et l'impotence est au prorata de la fonte du
muscle
. Dans la'myasthénie, MYASTHÉNIE. 817 il n'exi
existe ni parésie ni paralysie. On peut s'en assurer en laissant un
muscle
se reposer suffisamment; les mouvements sont alor
ement par des accès de contractions brusques et involon- taires des
muscles
. Les muscles atteints par le phénomène sont les
ccès de contractions brusques et involon- taires des muscles. Les
muscles
atteints par le phénomène sont les muscles volont
taires des muscles. Les muscles atteints par le phénomène sont les
muscles
volontaires, les muscles striés. Lorsque ce son
muscles atteints par le phénomène sont les muscles volontaires, les
muscles
striés. Lorsque ce sont les muscles de la vie vég
nt les muscles volontaires, les muscles striés. Lorsque ce sont les
muscles
de la vie végétative qui sont le siège de troub
age attribue encore le nom de spasmes à des convulsions de certains
muscles
volontaires, tels que l'orbiculairecles paupièr
iques, elles consistent en contractions plus durables, laissant les
muscles
raides pour un temps appréciable et secoués seu
ex, les accès convulsifs cloniques atteignent un nombre variable de
muscles
des membres, du tronc et de la face, le plus so
rganiques, les secousses n'intéressent que des faisceaux isolés des
muscles
et ne prêtent pas dès lors à confu- sion. Phy
nt du système moteur neuro-musculaire qu'il faut ici incriminer. Le
muscle
lui-même ne peut être cause de convulsions : au
nt en être ainsi. Electrisons, en effet, avec un courant modéré, un
muscle
en ne lançant qu'une seule excitation très courte
même, nous lancions des excitations très rapprochées, atteignant le
muscle
il toute période de sa contraction : il y aura
phase tonique et clonique. Cette attaque peut se limiter à quelques
muscles
, à la moitié du corps (épilepsie jack- sonienne
înant la pupille en haut. Des grimaces résultent des mouvements des
muscles
peauciers. La tête est- . portée en tous sens,
nes et des matières; les convulsions peuvent en effet s'étendre aux
muscles
abdominaux, aux muscles expulseurs et vider les
convulsions peuvent en effet s'étendre aux muscles abdominaux, aux
muscles
expulseurs et vider les réservoirs, ou bien ce so
irrégulières, une raideur per- manente, une contraction durable des
muscles
sans intervalle de résolu- tion complète avec s
ne déviation des traits, les mâchoires sont serrées/Le tonisme (les
muscles
respirateurs suspend la respiration. Les sphincte
ne sem- blent pas convulsés au même point ni en même temps que les
muscles
externes, car on observe ici les évacuations in
entraîner par hyperfonclionnenient une augmentation de volume des
muscles
mis en jeu. Leur violence peut d'ailleurs aller q
uefois jus- qu'à amener des ruptures du tissu musculaire ou, si les
muscles
résis- tent, des subluxations et même de vraies
ent prédisposés par suite d'un processus raréfiant anté- rieur. Les
muscles
sont aussi très douloureux, par suite de la fatig
ès intenses et très généralisées, par exemple, chassent le sang des
muscles
- [ROUSSY] 22 CONVULSIONS ET CRISES CONVULSIV
l'accès même. 11 est rare que les convulsions se limitent à un seul
muscle
ou il \111 groupe musculaire. Le plus souvent e
s visuels, etc.) et d'une phase d'invasion (contrac- tures dans les
muscles
de la face et des yeux, mouvements alternatifs
ritable mousse rougeatre. Des grimaces résultent des mouvements des
muscles
peauciers. La respiration courte, brusquement e
onfondra pas le tremblement : avec les secousses fib1'illail'es des
muscles
qiii ne sont pas suffisantes pour produire un d
le malade commence il vouloir parler : on voit alors, au niveau des
muscles
qui entourent l'orifice buccal, de petits mouveme
laire, et qu'il puisse se produire dans l'état de relâche- ment des
muscles
du malade. Il doit être distingué par -conséquent
arkinsonien, mais, à l'inverse de celui-ci, il augmente dès que les
muscles
exécutent une contraction soutenue et cependant n
il est peu marqué au repos; enfin il se reconnaît à la langue, aux
muscles
, à la face où il apparaît surtout pondant la paro
e soir, il est partiel, quelquefois il se généralise et s'étend aux
muscles
de la face. dans quelques cas rares, il peut êt
me par une sorte de piétinement. Quelquefois les contractions des
muscles
thoraciques et du diaphragme amènent la dyspnée
choréique. L'excitabilité mécanique et électrique des nerfs et des
muscles
est eu général diminuée. La chorée ne trouble
d'une assemblée de contractions se reproduisant sur des groupes de
muscles
différents, et on constate alors que la diffusion
ques prodromes moteurs, ce sont alors des contractions isolées, des
muscles
de l'avant-bras ou des mains qui provoquent quelq
nvo- lontaires, continues, cessant pendant le sommeil, passant d'un
muscle
à l'autre, irréguliers et désordonnés. Le siège
ncontrer une légère dimi- nution de l'excitabilité des nerfs et des
muscles
; quelquefois cependant on a pu observer l'exagé
es brusques semblables il celles que produit lélec- tl'isatioll des
muscles
, d'où le nom de chorées électriques qui leur a ét
ent être cloniques : il s'agit alors de secousses brusques dans des
muscles
qui se contractent et se relâchent presque aussit
ôt. Ces contractions siègent quelquefois dans un groupe spécial des
muscles
et se généralisent dans la suite; quelquefois e
quefois elles peuvent se produire par nu choc par la percussion des
muscles
et des tendons, par une exci- tation périphériq
térisée par des contractions librillaires qui apparaissent dans les
muscles
à la partie inférieure du corps, plus particuli
muscles à la partie inférieure du corps, plus particulièrement aux
muscles
des mollets, et à la partie postérieure des cui
ollets, et à la partie postérieure des cuisses, et par la suite aux
muscles
des membres supérieurs : dans tous les cas, les
a suite aux muscles des membres supérieurs : dans tous les cas, les
muscles
du cou et de la face sont respectés. . Les cont
es contractions apparaissent sous forme de tressaillements dans les
muscles
longs, dans les muscles plats,, tressaillements i
sent sous forme de tressaillements dans les muscles longs, dans les
muscles
plats,, tressaillements insuffisants pour provo
provoquer un déplacement ou un tremblement; ils cessent dans les
muscles
dès que ceux-ci se contractent par un mouvement v
res myoclonies est justement la convulsion localisée fibrillaire du
muscle
, alors que les s autres myoclonies s'accompagne
sous ce nom, des secousses fibrillaires qui se produisent dans les
muscles
des membres inférieurs d'une façon con- tinue ;
tinue ; cependant, on a vu quelquefois des myokymies dans d'autres
muscles
que ceux que nous venons de signaler. Les myokymi
et qui est décomposé par une série de mouvements spasmodiqiies des
muscles
respiratoires et des muscles pharyngés. La paro
série de mouvements spasmodiqiies des muscles respiratoires et des
muscles
pharyngés. La parole est très modifiée par le f
fonctionnellement systématisé : il ne porte pas sur un ou plusieurs
muscles
au hasard ; il ne se manifeste pas non plus par
nifeste pas non plus par la contraction simultanée ou successive de
muscles
innervés par le même nerf ou par les branches d
n ferait un mouvement anafoiuiqueinent systématisé. 11 porte sur un
muscle
ou généralement sur un groupe de muscles destiné
ystématisé. 11 porte sur un muscle ou généralement sur un groupe de
muscles
destiné il l'accom- plissement d'un acte foncti
n geste, une grimace, un sourire ou un mouvement plus complexe. Les
muscles
bilatéraux symétriques prennent souvent égaleme
on différente; en revanche, quand les différentes parties d'un même
muscle
interviennent dans des actes fonctionnels diffé
ic donné se manifeste par la contraction toujours répétée des mêmes
muscles
ou de muscles voisins produisant un geste il peu
nifeste par la contraction toujours répétée des mêmes muscles ou de
muscles
voisins produisant un geste il peu près identiq
st d'ordinaire envahissant, et cela de deux façons. D'une pari, les
muscles
voisins y participent de plus en plus, parce qu
ps qui avoisinent les premières régions affectées. En tout cas, les
muscles
nouvellement atteints ne le sont pas en suivant
ippus ou nvstag- mus irien sont parfois assimilables à des tics des
muscles
intrinsèques de l'oeil. Les tics des lèvres s
er, etc.). Tics du front : froncement, rides cloniques ou toniques (
muscles
frontaux, sourciliers, peauciers du crâne); tic
a face et sans doute assimilables il des tics de 1 oreille interne (
muscle
de l'étrier), parfois à des tics du voile du pala
nterne (muscle de l'étrier), parfois à des tics du voile du palais (
muscles
périslaphylins). Tics de la langue, rarement is
toujours du sterno-cléido-niastoïdien, d'ordinaire aussi d'au- tres
muscles
très différemment associés, du même côté ou du cô
i- dieux, évolution envahissante, capricieuse, changeant parfois de
muscles
TICS ? - " . 889 ou môme de côté. Le point de
rts répétés de déglutition, contractions brusques ou prolongées des
muscles
du pha- rynx et du voile, hoquets, nausées conv
irritation matérielle portant sur le nerf moteur dont dépendent les
muscles
enjeu ou sur un des points d'un arc réflexe about
u sur un des points d'un arc réflexe aboutissant à ce nerf et à ces
muscles
. Cliniquement, le mouvement convulsif est plus br
onné, n'a aucune systématisation fonctionnelle, mais met en jeu les
muscles
d'un territoire nerveux ({nato1//iquement détermi
ns fasciculaires ou parcellaires, brusques et répétées, de certains
muscles
de la face; ces contractions envahissent les mu
s, de certains muscles de la face; ces contractions envahissent les
muscles
voisins, faisceaux par faisceaux, el croissent
e et en intensité jusqu'à déterminer une tétanisa- tion de tous les
muscles
d'un coté innervés par le nerf facial : la face e
l'unilatéralité de contraction avec répar- tition rigoureuse aux
muscles
innervés par le facial, les contractions fascic
tence de ces mouvements anormaux et la li- mitation du spasme aux
muscles
innervés par le facial et à eux seuls 1. Badins
niais respectant généralement la face ; elles peuvent atteindre les
muscles
entiers ou seulement des faisceaux musculaires
ans le premier stade, on recherchera seulement l'immobilisation des
muscles
tiqueurs. Ces muscles devront être maintenus immo
on recherchera seulement l'immobilisation des muscles tiqueurs. Ces
muscles
devront être maintenus immobiles d'abord pendan
e plus en plus long, jusqu'à cinq ou six minutes. Ensuite les mêmes
muscles
tiqueurs devront rester immobiles pendant différe
s. 2° Dans le second stade, on fera exécuter au commandement, aux
muscles
tiqueurs, des mouvements méthodiquement réglés; c
ues, on fera exécuter des exercices méthodi- flues de détente : les
muscles
tiqueurs devront être relâchés instantané- ment
édents, en même temps que des mouvements divers seront demandés aux
muscles
voisins. Les séances seront alors espacées au s
supérieurs ». La disciplime psycho-motrice est applicable même aux
muscles
de la vie végétative, généralement déséquilibré
es, qui se produisent chez les tiqueurs non seulement au niveau des
muscles
atteints de tic, mais au niveau de tous les mus
t au niveau des muscles atteints de tic, mais au niveau de tous les
muscles
, en vertu d'un déséquilibre moteur général. On do
motricité proprement dite, puisque ce qui est altéré ce n'est ni le
muscle
, ni le nerf ou le centre moteur, mais bien le con
rents malades ou chez le même malade à des périodes différentes des
muscles
très différents, et qu'il n'y a pas deux crampe
maîtriser sa main, modifie son attitude, tâche d'employer d'autres
muscles
, contient sa main droite avec la gauche : il éc
vent douloureuses, mais la douleur cesse avec la contraction. Les
muscles
de la main ne prennent pas toujours seuls part au
rennent pas toujours seuls part aux pi ? nomènes spasmodiques : les
muscles
de I avant-bras, du bras, de l'épaule y partici
e l'écriture, pour être parfaite, exige la coopération de, tous les
muscles
et de tous les segments du membre supérieur » :
es muscles et de tous les segments du membre supérieur » : il y des
muscles
qui doivent se contracter, il y en a qui doiven
nts ». l'ait plus ou moins défaut. Certaines ne se limitent pas aux
muscles
qui interviennent à un degré quelconque dans l'
ires encore, ceux du cou par exemple; certaines ne frappent que des
muscles
qui ont dans l'acte d'écrire un rôle accessoire
té des faits curieux : dans la forme paralytique, non seulement les
muscles
qui participent à la crampe présenteraient une
adique et. galvanique très diminuée ou même abolie, mais les autres
muscles
du membre, en apparence sains, auraient une exc
comme la fonction d'écrire), soit plutôt dans les nerfs ou dans les
muscles
. Certaines crampes sont sans doute comparables
és, comme dans nombre d'affections paralytiques ou atrophiques, les
muscles
auxquels est imposé le plus grand surmenage fon
emble neuro-musculaire qui permet l'acte d'écrire, moelle, nerfs ou
muscles
n. On comprend que,, suivant neural., 4 décembr
plus souvent localisée à droite. Elle atteint uniquement ou non les
muscles
des doigts. La crampe des violonistes est paral
seurs; en écrivant rond, gros et droit, ils mettent en jeu d'autres
muscles
et laissent ainsi reposer leurs fléchisseurs et
ailleurs est abolie. La catalepsie n'est pas un état spastique. Les
muscles
conservent l'attitude imprimée aux membres, au
ROUZON L'hypotonie musculaire est un état spécial de flaccidité des
muscles
, (lui permet aux membres des attitudes anormale
térieure du bras. L'hypotonie du tronc, et en particulier celle des
muscles
des gout- tières vertébrales, peut permettre un
éga- lement provoquer dcs troubles de là marche. L'hypotonie des
muscles
abdominaux entraîne une flaccidité de la paroi :
s. Enfin, suivant Frenkel, il existerait également des troubles des
muscles
des yeux, des muscles de la vessie et du rectum
kel, il existerait également des troubles des muscles des yeux, des
muscles
de la vessie et du rectum quc l'on peut mettre
ts, les phanères, le squelette, les articulations, les tendons, les
muscles
, les yeux. Une telle classification est un peu sc
t fréquemment et tout ensemble celui-ci les plans sous-cutanés, les
muscles
, os et articulations. Nous n'aurons guère à nou
et à l'épaule, l'autre hypertrophique, au ge- nou et au coude.
Muscles
et tendons, - Nous n'insisterons pas sur les
es déformations rachidiennes, les scolioses, liées à l'atrophie des
muscles
des gouttières vertébrales. Les affections des
t cependant éliminer les tachycardies qui proviennent de lésions du
muscle
cardiaque : telles sont les tachycardies de la fi
se, ce sont les conf1oac- tures du corps qui sont douloureuses : le
muscle
vésical se contracte sur lui-même; il en résult
blir très vite. Ce dernier est méconnu lorsque les contractions des
muscles
abdominaux produisent t'evacuation d'une petite
, purulence des urines : mais ceux-ci sont influencés par l'état du
muscle
vésical, lmrésié ou excité. Si l'infection enva
tres que des crises de vaginisme. c'est-à-dire des contractures des
muscles
constricteurs du vagin, rarement accompagnées de
que, aplatie sur le plancher buccal; la muqueuse trop large pour le
muscle
en voie de disparition, semble flotter et se plis
ème paire. Troubles de la mastication et de la déglutition. - Les
muscles
masticateurs innervés par le trijumeau peuvent êt
ltérations du pneumogastrique, chez les hystériques, l'hypotonie du
muscle
. Mais on signale tantôt la chute précipitée dû
peut y avoir des contractures généralisées, mais sans atteinte des
muscles
respiratoires. Ces divers accès durent de quelq
bique. L'hy- pertrophieporte également sur tous les tissus, os,
muscles
,- tissu cellulo-adi- peux, peau; il n'y a pas
synovites, d'ostéites productives, de contractures secondaires des
muscles
et de subluxations. On voit et on sent à la pal
lopins souvent adhérer aux os par suite d'une atrophie en masse des
muscles
et du tissu sous- cutané; cette peau est sèche,
rale ou unilatérale ; il y a de la raideur des articula- tions, les
muscles
sont durs, la réduction est difficile ou impossib
usculaires progressives myélo- pathiques, quand, à la paralysie des
muscles
des mains qui déterminé la main d'Aran-Duchenne
ins qui déterminé la main d'Aran-Duchenne se joint la paralysie des
muscles
des avant-bras qui provoque là « main de squele
uelette » ou « de cadavre ». Dans la plupart de ces cas; tous les
muscles
sont également paralysés ; il y a une main-bote
supination. Cette altitude est due à 1 atrophie ou à la paralysie des
muscles
. 1 . Il est.rare de constater chez l'adulte la
eurs et pronateurs, interos- seux et lombricaux, avec intégrité des
muscles
innervés par le radial, extenseurs et supinateu
le degré variable d'atrophie, de paralysie ou de contracture de ces
muscles
, les doigts peuvent prendre . une attitude vari
ns des DOIGTS sur la main : GRIFFES. La paralysie ou l'atrophie des
muscles
innervés par un des nerfs moteurs des doigts ou
à écarter normalement les insertions supérieures et inférieures des
muscles
fléchisseurs. La main, appliquée à plat, ne peu
riffe cubitale (fig. 17) comporte la paralysie des interosseux, des
muscles
hypothénar, de l'adducteur du pouce et d'une part
ns l'alcoolisme. - La griffe médiane amène la paralysie de tous les
muscles
antérieurs de l'avant-bras et de l'élllinence t
neest constituée par l'association d'atro- phie ou de paralysie des
muscles
de la main dans le domaine a la fois du médian
érale. Dans cette maladie l'Intégrité extrê- mement prolongée des
muscles
exten- seurs du poignet donne souvent à la ma
nt d'autres malformations et de troubles du développement; mais les
muscles
de la jambe et du pied sont intacts, contrairemen
t être produite, on le conçoit, par la paralysie ou l'atrophie d'un
muscle
ou d'un groupe de muscles ou par la contractu
oit, par la paralysie ou l'atrophie d'un muscle ou d'un groupe de
muscles
ou par la contracture du muscle ou du groupe de
ie d'un muscle ou d'un groupe de muscles ou par la contracture du
muscle
ou du groupe de muscles antagoniste. Il existe
groupe de muscles ou par la contracture du muscle ou du groupe de
muscles
antagoniste. Il existe pourtant des caractères
port avec la paralysie ou la contrac- ture et sans rapport avec les
muscles
at- teints : ils sont semblables à ceux que n
nd ils sont bilaté- raux, ils sont d'ordinaire asymétriques : les
muscles
sont atrophiés, petits à l'in- spection, mous à
ux ouïe plus souvent bila- léraux et plus ou moins symétriques; les
muscles
sont saillants et durs, les tendons forment des
tions tendineuses et les défor- mations osseuses, les atrophies des
muscles
relâchés ou les hypertro- phies et contractures
ies des muscles relâchés ou les hypertro- phies et contractures des
muscles
continuellement tendus rendent les corrections
u spasmodiques, prennent les attitudes les plus variées suivant les
muscles
paralysés ou contractures qui les dé- terminent
s ou contractures qui les dé- terminent. La paralysie de tous les
muscles
du pied produit un pied ballant, souple, lâche,
En dehors de ce cas. la paralysie ou l'atrophie isolée de certains
muscles
d'une part, la contracture de ces mêmes muscles d
isolée de certains muscles d'une part, la contracture de ces mêmes
muscles
d'autre part, provoquent des déviations diamétr
es déviations sont en rapport avec la fonction physiologique de ces
muscles
. Les principaux muscles fléchisseurs du pied su
pport avec la fonction physiologique de ces muscles. Les principaux
muscles
fléchisseurs du pied sur la jambe sentiejannxcr
e faire sans que le pied soit d'abord mis en adduction; si les deux
muscles
sont simultanément paralysés, la flexion ne peu
est seul contracture, il y a un pied- bol talus valgus; si les deux
muscles
sont contractures simultalémenl, il y a un pied
es simultalémenl, il y a un pied-bol talus direct. Les principaux
muscles
extenseurs du pied sur la jambe sont le triceps
ier est seul contracture, il y a un pied-creux valgus : si les deux
muscles
sont contractures simultanément, il se produit un
tanément, il se produit un pied- bol équin direct. Les principaux
muscles
rotateurs du pied sont le jambier postérieur et
ronier en abduction et rotation externe. La paralysie isolée de ces
muscles
ne déterminerait pas de déformation accentuée,
éformation accentuée, à cause de l'action compensatrice de certains
muscles
fléchisseurs ou extenseurs. La contracture isolée
l'étude attentive de chacune d'elles on peut savoir quels sont les
muscles
para- lysés ou contractures; par les caractères
nostiquer s'il s agit d'une paralysie ou d'une atrophie de certains
muscles
ou d'une contrac- ture de leurs antagonistes, l
que. Les cas typiques s'observent dans les lésions traumatiques des
muscles
ou des nerfs. b) Variétés étiologiques. \ous
près Joffroy, à la flaccidité et à l'ato- nie de l'ensemble des
muscles
de la jambe et à l'allon- gement des liga-'
- laires et aponévroliqucs, mais'il ne devient pas spasmodique, les
muscles
antéro-externes de la jambe et ceux du mollet r
fléchi dans ses deux jointures par la rétrac- tion des tendons des
muscles
thénar et des muscles abducteurs, obliques et t
jointures par la rétrac- tion des tendons des muscles thénar et des
muscles
abducteurs, obliques et transverses du gros ort
'l rc phalange et fléchis dans les deux autres par la rétraction du
muscle
pédieux. - [A. LÉRI.] Fig. 7. -. Pieds-bols t
Le jambier antérieur est quelquefois moins atrophié que les autres
muscles
et il y a parfois momentanément, au début, une fl
réduc- tible et s'atténue spontanément dans la position debout; les
muscles
sont amaigris et mous, notamment les muscles an
a position debout; les muscles sont amaigris et mous, notamment les
muscles
antéro-externes de la jambe; les réflexes tendi
) /parfois l'équin direct, par prédominance de la paralysie sur les
muscles
innervés par le sciatique poplité externe, musc
alysie sur les muscles innervés par le sciatique poplité externe,
muscles
antéro-externes de la jambe, péroniers latéraux
t un pied-bot équin direct ou équin varus par paralysie de tous les
muscles
innervés par le sciatique }J'lplifé externe. Pa
souvent un pied-bot équin, généralement peu prononcé parce que les
muscles
postérieurs de la jambe sont presque toujours tou
t presque toujours touchés à un certain degré en même temps que les
muscles
aniéro-ealorncs, rare- ment avec grillé parce q
e les muscles aniéro-ealorncs, rare- ment avec grillé parce que les
muscles
de la plante sont ordinairement respectés. e)
orteils, il y a un talus pied-plat direct; si à la paralysie de ces
muscles
se joint celle de l'extenseur commun, le taltis
articulation médio-tarsienne et qui déterminent une contracture des
muscles
voisins, notamment des péroniers latéraux et des
e paralysie du long péronier (Duchenne), soit à une contracture des
muscles
du pied (« crampe du pied » de soit à un relâch
anthropologique. On fera ouvrir la bouche du sujet, de façon que le
muscle
temporal s'efface le plus possible, et réduise
effet, il faut tenir compte de l'épaisseur des chairs et surtout du
muscle
temporal (D. transverse max.). Indice transvers
t possible en dehors semble dépendre d'un développement anormal des
muscles
masticateurs. fOi2 . ANTHROPOMÉTRIE CLINIQUE. -
du bras en son milieu (là où, l'avant-bras étant fléchi niais le
muscle
au repos, la masse musculaire est le plus saillan
e, devant revenir plus loin sur ce point. Les poils sont rares, les
muscles
faibles. La verge est petite; les testicules sont
. Les membres sont au contraire rctati- vement longs. Les os et les
muscles
, le bassin et les épaules se dessinent assez bi
nes. . 11 est peu de chose à dire enfin des organes génitaux, des
muscles
, de l'intelligence. Ceux-là sont normaux, celle
s anomalies des aponévroses (Féré), du nombre et des insertions des
muscles
. Organes génitaux. Les anomalies ont ici un int
guille en traversant les tissus a piqué une veine de la peau ou des
muscles
, dans ce cas le début seul de l'écoulement est
chés, pour la mise en évidence de la structure du tissu osseux, des
muscles
, des tendons, des bourses séreuses même, par exem
La paralysie infantile frappant une zone [tins ou moins étendue des
muscles
spinaux est une cause évidente d'un grand nombre
ermique (Beaujard), les troubles de la motricité rétrocèdent et les
muscles
récupèrent les mouvements volontaires jusqu'aux
tic pour localiser l'excitation électrique sur les nerfs et sur les
muscles
. On l'utilise également en électrothérapie. 2°
lus grande mais encore peu éloignée de la peau, par exemple sur des
muscles
gros ou larges, comme le deltoïde, les fessiers
amener la désorganisation et la mort des tissus. En soumettant des
muscles
de grenouille à des courants galvaniques, même
é du courant était très élevée en raison des faibles dimensions des
muscles
de grenouille. Chez l'homme, dont les muscles s
aibles dimensions des muscles de grenouille. Chez l'homme, dont les
muscles
sont beaucoup plus volumi- neux, on peut employ
ents survenus avec des courants continus industriels montre que les
muscles
de l'homme peuvent être également détruits et s'a
ifférents ordres et se manifestent sur les nerfs moteurs et sur les
muscles
, sur les nerfs sensitifs, sur les nerfs vaso-mote
s et des effets dits catalytiques, Sur les nerfs moteurs et sur les
muscles
, le courant galvanique, dans son état permanent
s d'excitation. Avec de forts courants, cependant, on peut voir les
muscles
mis en état de contraction soutenue plus ou moi
t en grande partie dus il l'action sur les nerfs moteurs ou sur les
muscles
des pro- duits de l'électrolyse interne. Ils ne
s états variables, a la ]>ro-i prieté d'exciter les nerfs et les
muscles
. Sur le muscle cette excitation;* lorsqu'elle e
s, a la ]>ro-i prieté d'exciter les nerfs et les muscles. Sur le
muscle
cette excitation;* lorsqu'elle est suffisante,
courant est suffisamment élevée, se manifeste par la contraction du
muscle
. Sur un; nerf moteur, cette excitation se tradu
un; nerf moteur, cette excitation se traduit par la contraction des
muscles
animés par ce nerf. Sur un nerf sensitif cette
L11tLES de fermeture et d'ouverture sur les nerfs MOTEURS ET sm LES
MUSCLES
. Pour le moment, nous nous occuperons seulement
nous occuperons seulement de l'excitation des nerfs moteurs et des
muscles
, et nous exposerons les résultats obtenus avec
ode neutre ou indifférente. On la place assez loin des nerfs et des
muscles
que l'on veut exciter, le plus généralement sur l
par le tableau suivant, indiquant les contractions obtenues sur les
muscles
correspondant au nerf excité. 9` ? IG APPLICA
LICATIONS DE L'ÉLECTRICITÉ. * obtient seulement une contraction des
muscles
avec le pôle négatif et au moment de la fermetu
lors, au lieu d'une contraction, la cessation de la tétanisation du
muscle
. Au pôle P, les excitations produites augmentent
s galvaniques peuvent être résumées de la. façon suivante : Sur les
muscles
les réactions galvaniques normales correspondent
céder à l'exploration de l'excitabilité galvanique des nerfs et des
muscles
, on emploie généralement la méthode polaire dont
ensions appropriées, sert à provoquer l'excitation des nerfs ou des
muscles
. Cette dernière, électrode différente ou explor
amen des nerfs superficiellement placés et pour l'examen des petits
muscles
comme ceux des mains et de la face, il convient d
ite électrode de 1 cent. de diamètre par exemple. Pour les nerfs cl
muscles
des membres et du tronc, il y a avantage à se ser
ment placée sur les points d'élection, on peut avoir, même sur des
muscles
normaux, de l'inversion polaire par l'action de
uscle- frontal; - 2. Nerf facial (branche stipe- · rieure) ; 5.
Muscle
sourcilicr ; - 4. Orhi- culaire des paupières
Muscle sourcilicr ; - 4. Orhi- culaire des paupières ; - 5. 5.
Muscles
du nez ; z 6. 6. Zygomatiques; - j. 7. Orbicu
es; - 7' Brandir moyenne du nerf fa- rial ; - 8'. Masséter : 9.
Muscle
de la houppe du menton ; 10. Carré du menton
rand hypoglosse ; - 13. Branche inférieure du nerf facial ; 14.
Muscles
sus-hyoï- diens ; - 15. Muscles sous-hyoïdien
inférieure du nerf facial ; 14. Muscles sus-hyoï- diens ; - 15.
Muscles
sous-hyoïdiens; - 16. Muscle omo-Imnï- dieu
. Muscles sus-hyoï- diens ; - 15. Muscles sous-hyoïdiens; - 16.
Muscle
omo-Imnï- dieu; - 17. Serf Il ? racique antér
16. Muscle omo-Imnï- dieu; - 17. Serf Il ? racique antérieur cl
muscle
grand pectoral : 18. Région des circonvolutio
trales ; 19. Terni- sième circonvolution frontale et insula ; 20.
Muscle
temporal ; 21. Branche temporn- faciale au-deva
24. Branches faciales moyennes; 25. Branche faciale inférieure; -26.
Muscle
splénius : - 27. Sterno-cléido-mastoïdien; 28.
27. Sterno-cléido-mastoïdien; 28. Branche externe du nerf spinal; 29.
Muscle
angulaire de l'omoplate; 50. Muscle trapèze; 51
che externe du nerf spinal; 29. Muscle angulaire de l'omoplate; 50.
Muscle
trapèze; 51. Nerf dorsal de l'épaule; 52. nerf
ire. 53. Nerf du grand dentelé; 54. Plexus brachial; 55. Point d'Erb (
muscles
deltoïde, biceps, brachial antérieur et long su
f phrenique. EXPLORATION DE L'1 : \CI1' : 1BILIT GALVANIQUE. 1221
muscle
que l'on examine est à son maximum (Voir fig. 21,
e alors les diverses manifestations de l'excitabilité du nerf ou du
muscle
sur lequel l'électrode est appliquée en établissa
(longue por- lion); 2. Triceps (vaste interne); 5. Nerf cubital; 4.
Muscle
cubital antérieur; 5. Fléchisseur commun profon
e) ; 2. Nerf radial; 5. Brachial antérieur; 4. Long supinateur : 5.
Muscle
premier radial; - tL Muscle second radial ; - 7
hial antérieur; 4. Long supinateur : 5. Muscle premier radial; - tL
Muscle
second radial ; - 7. Extenseur commun des doigts;
ndex : 9. Long abducteur du pouce; 10. Court extenseur du pouce; IL
Muscles
iulerosseux dorsaux (I et II); -12. Triceps brach
l (longue portion); z 15. Tri- ceps brachial (vaste externe); - 14.
Muscle
cubital postérieur; 15. Court supinateur;- 16.
dex; 18. Long extenseur du pouce; 19. Adducteur du petit doigt; 20.
Muscles
interosseux dorsaux (III et IV). 1222 APPLICA
cuisse (face antérieure). 1. Nerf crural; - 2. Nerf obturateur; 5.
Muscle
, pectiné; 4. Grand adducteur; 5. Muscle crural; 0
l; - 2. Nerf obturateur; 5. Muscle, pectiné; 4. Grand adducteur; 5.
Muscle
crural; 0. Vaste interne; 7. Tenseur du fascia
aussi à la fermeture avec le pôle positif des contrac- tions des
muscles
sans que l'on n'ait cependant rien changé à la
et de bas en haut sur la peau suivant la direction des nerfs et des
muscles
. Si, en même temps, on suit des yeux l'aiguille
ment élevée, des excitations se manifester du côté des nerfs et des
muscles
et se traduire par des contractions musculaires p
e l'onde induite d'ouverture provoque facilement la contraction des
muscles
ou l'excitation des nerfs, tandis que l'onde. i
ts d'ou- verture. -- Le courant faradique excite les nerfs et les
muscles
en raison de l'état- variable de ses ondes. Si
scles en raison de l'état- variable de ses ondes. Si l'on excite un
muscle
avec des chocs faradiques isolés, .en faisant a
un muscle avec des chocs faradiques isolés, .en faisant agir sur ce
muscle
des ondes induites d'ouverture assez rares et d
t de la contraction un certain temps variant, suivant la nature des
muscles
, de quelques millièmes à un centième de seconde;
nq centièmes de seconde. Si l'on produit une nouvelle excitation du
muscle
après qu'il a terminé sa décontraction et qu'il e
ions. On provoque ainsi des contractions isolées et successives des
muscles
. Les mêmes résultats sont obtenus lorsqu'au lieu
mes résultats sont obtenus lorsqu'au lieu d'exciter directement les
muscles
on excite dans les mêmes conditions le nerf qui
t suivant les conditions dans lesquelles s'effectue l'excitation du
muscle
on du nerf. Si la fréquence des ondes induites
, de façon qu'une nouvelle excitation se trouve produite lorsque le
muscle
est dans la période d'énergie décroissante, cel
; dans l'intervalle de ces excitations successivement répétées, le
muscle
n'atteint pas l'état de repos, il reste en état d
est plus grande, et telle qu'une nouvelle excitation atteigne le
muscle
e dans sa période d'énergie croissante ou v
ériode d'énergie croissante ou vers la fin de cette période, le
muscle
ne peut commencer sa décontraction, ses se-
ptions rares ou es- pacées produisant des secousses isolées des
muscles
, les courants avec interruptions semi-fréquen
ptions semi-fréquentes, pro- duisant le tétanos in- complet des
muscles
, ce tétanos étant d'autant plus développé que l
1G\OSTIC et au traitement f Pour exciter les nerfs moteurs et les
muscles
striés avec les courants faradiques, on prendra
es avec lequel apparaît le seuil de l'excita- tion des nerfs ou des
muscles
('). Lorsqu'on emploie des appareils faradiques
lvaniques. Pour apprécier le degré d'excitabilité d'un nerf ou d'un
muscle
, on note la résistance qu'il est nécessaire d'o
fférents. Cependant lorsque l'examen porte la fois sur des nerfs et
muscles
normaux et sur des nerfs et muscles dont l'exci
porte la fois sur des nerfs et muscles normaux et sur des nerfs et
muscles
dont l'excitabilité est altérée, on pourra juger
tenir compte du degré d'excitabilité propre que les divers nerfs et
muscles
présentent dans l'état normal pour les courants f
tion des courants faradiques, pour exciter les nerfs moteurs ou les
muscles
en vue du traitement ou en vue de l'électro- di
ourant librement; il ne se produit que des contractions isolées des
muscles
, séparées par des intervalles de repos plus ou
réquentes, produisant une téta- nisation plus ou moins complète des
muscles
, il y aurait inconvénient a les laisser agir d'
rop longtemps soutenues, on risquerait de surmener et d'épuiser les
muscles
et de produire des effets nuisibles. On évite ces
cet interrupteur, on ne laisse le courant exciter les nerfs ou les
muscles
qu'un temps assez court, une, deux ou (rois sec
mple : puis on suspend le passage du courant de façon à laisser les
muscles
à l'état de repos un temps sensiblement égal ou
e pôle positif est préfé- soit qu'il excite davantage le nerf ou le
muscle
soumis il son action, soit qu'il permette de mi
ection l'électrode excitatrice, on la promène le long du nerf ou du
muscle
en la faisant glisser ou en la faisant rouler si
eur. Après avoir fait rouler l'électrode tout le long du nerf ou du
muscle
, on la soulève et on la tient éloignée le temps q
u salée, sont placées assez près l'une de l'autre sur le nerf ou le
muscle
au niveau des points d'élection, et l'on fait pas
s la méthode polaire. Si l'on provoque des contractions isolées des
muscles
, on peut tenir les électrodes en place en laiss
doit être employée surtout lorsque l'excitabilité des nerfs ou des
muscles
est fortement diminuée. Dans ces conditions, il
i souvent excitent dans le voisinage ou à distance des nerfs et des
muscles
restés sains ou peu altérés ; les contractions Il
1257 laires ainsi produites prédominent sur les contractions des
muscles
que l'on cherche à obtenir; elles masquent cell
excitations il distance ont l'inconvénient de faire contracter des
muscles
qu'il y aurait avantage il ne pas exciter. Loca
plus forts, il s'y ajoute des excitations des nerfs moteurs et des
muscles
, surtout lorsque l'électrode excitatrice se tro
8 APPLICATIONS DE L'ÉLECTRICITÉ. davantage aux nerfs moteurs et aux
muscles
et plus particulièrement à ceux qui se trouvent
e. Ces courants forts peuvent agir sur les nerfs moteurs et sur les
muscles
, soit au niveau de l'électrode, soit à distance
espace interpolaire et les sensations accompagnant l'excitation des
muscles
peuvent gêner pour estimer l'état de la sensibili
dique de façon que les chocs faradiques en exci- tant le nerf ou le
muscle
produisent des contractions musculaires avec un
oyé dans certaines conditions pour exciter les nerfs moteurs et les
muscles
striés. Il pré- sente surtout des avantages pou
uscles striés. Il pré- sente surtout des avantages pour exciter les
muscles
à fibres lisses. On sait que ces muscles se mon
avantages pour exciter les muscles à fibres lisses. On sait que ces
muscles
se montrent peu excitables par les courants sa ra
s courants sa ra- diques ; lorsque ceux-ci sont employés seuls, les
muscles
lisses ne sont guère excités que par des couran
xcitabilité faradique et l'excitabilité galvanique des nerfs et des
muscles
se comportent différemment suivant les cas : ou e
tion de dégénéres- cence. L'étude de ces réactions des nerfs et des
muscles
est très impor- tante au point de vue du diagno
ts C) ou par compa- raison avec le degré d'excitabilité de nerfs ou
muscles
différents de la même personne, l'augmentation
te de retenir, pour la comparaison de l'excitabilité des nerfs et des
muscles
chez des personnes différentes, que cette excit
ines limites, d'une personne à l'autre pour un mème nerf ou un même
muscle
, conditions qui contribuent il rendre difficile
rfois, aussi, dans le cours de ces maladies, elle se montre sur des
muscles
paraissant encore indemnes de paralysie et d'at
itabilité est générale- ment plus accusée sur les nerfs que sur les
muscles
; elle existe pour les courants faradiques et po
excitabilité existe généralement à la fois sur les nerfs et sur les
muscles
pour les courants faradiques et pour les cou- r
ts galvaniques. Parfois, cependant, elle est plus prononcée sur les
muscles
que sur les nerfs ou inversement; elle peut aussi
an- 1. Lorsqu'on explore l'excitabilité électrique des nerfs et des
muscles
, il est très important de faire mettre dans le
cles, il est très important de faire mettre dans le relâchement les
muscles
sur lesquels l'excitation doit produire des con
ou à la partie du corps que l'on examine une position telle que ces
muscles
soient en état de relâchement; il tau u aussi v
t; il tau u aussi veiller à ce que les patients ne tiennent pas ces
muscles
en état de contraction volontaire. Pour exciter
pas ces muscles en état de contraction volontaire. Pour exciter des
muscles
contractés il faut, en effet, des courants plus
tés il faut, en effet, des courants plus forts que pour exciter des
muscles
en état de repos; et en omettant les précautions
que de la diminution simple des réactions électriques sur certains
muscles
, alors que d'autres présentent de la réaction de
e que les cellules des neurones corres- pondant aux premiers de ces
muscles
n'ont été que peu atteintes ; ces muscles ne s'
ndant aux premiers de ces muscles n'ont été que peu atteintes ; ces
muscles
ne s'atrophient pas ou ne s'atrophient que peu, e
les excitations du nerf portées au-dessous, ou les excitations des
muscles
, donnent lieu à des réactions peu diminuées ou mê
s nerveux et de la réaction de dégénérescence sur d'autres nerfs et
muscles
; il en découle la même signification pronostique
é électrique se rencontre encore dans les affections primitives des
muscles
. On l'observe dans les diverses formes de myopa
et parce qu'elles se comportent différemment sur le nerf et sur le
muscle
. Sur le nerf, en effet, l'excitabilité est abol
les courants galva- niques que pour les courants faradiques. Sur le
muscle
, l'excitabilité faradique est abolie aussi, mai
la 1)Il, elles ne se montrent que pour l'excitabilité galvanique du
muscle
, puisque c'est la seule excitabilité qui soit c
e inversée; au lieu que l'exci- 1. La lenteur de la contraction des
muscles
dégénérés est telle qu'elle peut donner lieu a
double contraction. Si on excite avec des courants galvaniques des
muscles
dégénérés (les extenseurs des doigts par exempl
es dégénérés (les extenseurs des doigts par exemple), alors que les
muscles
antagonistes sont normaux (fléchisseurs des doi
lexion des doigts) auquel succède le mouvement lent produit par les
muscles
dégénérés (extension des doigts) dont la contract
la place loin de ceux-ci, généralement sur la partie inférieure du
muscle
, ou sur ses terminaisons tendineuses, ou même p
terminaisons tendineuses, ou même plus has encore, de sorte que le
muscle
compris dans l'espace interpolaire se trouve parc
t appeler artificielle et qui se rencontre assez souvent sur certains
muscles
, même à l'état normal. On observe surtout cette
pèle virtuel qui agit en réalité au niveau du nerf ou au niveau du
muscle
. On évite cette erreur en poursuivant l'explora
ielle peut s'observer 1, l'étal normal sur un assez grand nombre de
muscles
, mais elle est plus fréquente sur certains d'entr
(2) et sont conformes à la formule polaire normale, \l'CP1C. Sur le
muscle
, l'excitabilité faradique n'est pas non plus ah
nerf, elle est plus ou moins diminuée. L'excitabilité galvanique du
muscle
se comporte habituellement comme dans la DR com
ns lentes produites par l'excitation galvanique sur un on plusieurs
muscles
tributaires de ce nerf. On commettrait souvent un
f est inexcitable, Elles s'expliquent par une excitation directe du
muscle
distance et. s'observent surtout dans la période
e du muscle distance et. s'observent surtout dans la période où les
muscles
présentent de l'hyperexcilabilité galvanique. O
remarquant que les cnntrac- lions lentes ne s'observent que sur des
muscles
assez voisins du point où porte l'excita- tion,
assez voisins du point où porte l'excita- tion, alors que d'autres
muscles
du même territoire nerveux, mais plus éloignés, r
vec contractions lentes du trian- gulaire des lèvres, alors que les
muscles
du menton et l'orbiculaire des lèvres restent D
lenteur de la contraction provoquée par l'excitation galvanique du
muscle
est donc aussi la manifestation la plus important
ressivement pour disparaître au bout de quelques jours. Du côté des
muscles
, l'excitabilité faradique ne présente généralem
ent et aboutit bientôt à l'abolition. L'excitabilité galvanique des
muscles
commence aussi par diminuer; mais elle ne conti
ntitatives dans l'excita- bilité du nerf et dans l'excitabilité des
muscles
, on peut prévoir l'établis- sement de la DR; ma
trent les altérations qualitatives de l'excitabilité galvanique des
muscles
. On peut alors considérer la DR comme entrée dans
de l'excitabilité RÉACTION DE DÉGÉNÉRESCENCE. 1251 galvanique des
muscles
; parfois cependant elles tardent un peu plus et
re correspond au temps pendant lequel l'excitabilité galvanique des
muscles
est augmentée ; sa durée est souvent assez courte
me correspond au temps pendant lequel l'excitabilité galvanique des
muscles
est peu altérée en quantité, elle n'est plus au
DR continuant son évolution, on voit l'excitabilité galvanique des
muscles
diminuer plus ou moins rapidement dans des propor
1. A cette période de la DU on observe assez souvent, en excitant les
muscles
, des modifications de l'excitabilité galvanique
le s'observe dans l'excitation du nerf et non dans l'excitation des
muscles
; elle est produite dans des conditions bien dé
la DII, l'augmentation des secousses d'ouverture s'observe dans des
muscles
et non dans l'excitation du nerf; les contraction
araissent sous la dépendance de 1 l'yperexcitabilite galvanique des
muscles
existant à cette période de la DU. [E. HUET ]
s longtemps, plus ou moins diminuées. L'excitabilité galvanique des
muscles
à cette période de la DR est habituellement ass
dans l'état normal. En même temps que l'excitabilité galvanique des
muscles
reprend ses caractères normaux, au niveau du po
s même très diminuées non seulement sur le nerf, mais aussi sur les
muscles
, souvent plus diminuées dans l'excitation des m
aussi sur les muscles, souvent plus diminuées dans l'excitation des
muscles
que dans l'excitation du nerf, et, à ce moment,
réparent pas et restent définitives, l'excitabilité galvanique des
muscles
, la seule qui persistait, continue à s'affaibli
période assez rapprochée de son début l'excitabilité galvanique des
muscles
est souvent augmentée, pendant un certain temps
ain temps, ce qui forme contraste avec l'excitabilité faradique des
muscles
et avec l'excitabilité faradique et galvanique du
quent les altérations qualitatives de l'excitabilité galvanique des
muscles
qui caractérisent aussi cette DR disparaissent
diminution de l'excitabilité faradique et galvanique du nerf et des
muscles
persiste souvent assez longtemps aussi après le
de la motilité volontaire et elle est souvent plus marquée sur les
muscles
que sur le nerf. f 11 est des cas, cependant, o
e l'exploration électrique. Considérons seulement pour l'instant un
muscle
ou un groupe de [E HUET] 1254 ÉLECTRO-DIAGNOS
ant un muscle ou un groupe de [E HUET] 1254 ÉLECTRO-DIAGNOSTIC.
muscles
atteints. Au début de leur envahissement on const
rès de nombreuses années; on pourrait citer comme exemples certains
muscles
plus ou moins atrophiés par le fait de la polio
arie; on peut voir, dans cette dernière maladie en particulier, des
muscles
atteints depuis dix ans ou même davantage, prés
nerf très diminuées mais non abolies, l'excitabilité faradique des
muscles
abolie ou extrêmement diminuée tandis que leur
éciables qu'il vient d'être dit. dans les processus chroniques. Les
muscles
, en effet, ne sont souvent pas altérés au même de
citables; delà une très grande hypoexcitahilité clans l'ensemble du
muscle
ne permettant pas de constater d'une façon bien
e RÉACTION DE DÉGÉNÉRESCENCE AU POINT DE VUE DU DIAGNOSTIC. il de
muscles
, quand la maladie n'est pas trop ancienne. Les mu
OSTIC. il de muscles, quand la maladie n'est pas trop ancienne. Les
muscles
, en effet, se trouvant altérés à des époques di
end parfois à certains moments des allures plus actives, et sur les
muscles
envahis à cette époque la DR se montre souvent pl
erritoire radiculaire, le plus souvent, on trouve en même temps des
muscles
plus ou moins altérés dans d'autres régions.
s un examen des réactions électriques, on peut trouver sur certains
muscles
de la DR à sa période d'état et,sur d'autres musc
r sur certains muscles de la DR à sa période d'état et,sur d'autres
muscles
de la- DR à une période plus -avancée : on est
lules des neurones profondément lésées, partielle seulement sur les
muscles
correspondant à des cellules moins altérées; el
rrespondant à des cellules moins altérées; elle fait défaut sur les
muscles
qui, bien que momentanément paralysés, réponden
procède aussi par étapes successives, apparaissant sur de nouveaux
muscles
ou sur de nouveaux territoires nerveux, à inter
es périodes différentes de son évolution suivant les régions et les
muscles
examinés. Dans la poliomyélite antérieure chron
on constate la présence d'une DR plus ou moins caractérisée sur des
muscles
en voie d'atrophie, alors que sur d'autres muscle
ctérisée sur des muscles en voie d'atrophie, alors que sur d'autres
muscles
plus altérés la DR se montre très avancée dans
ou ne se manifestant que sous une forme plus atténuée sur d'autres
muscles
qui sont cependant plus ou moins affaiblis. La
ormes légères de ces paralysies. Dans les affections primitives des
muscles
, il est de règle que la DR fasse défaut. Ainsi
e permettant pas d'espérer une bonne réparation des neurones et des
muscles
; une amélioration n'est pas com- plètemcnt impo
action de dégénérescence, par les altérations de l'excitabilité des
muscles
. Les contractions provoquées par l'excitation é
uscles. Les contractions provoquées par l'excitation électrique des
muscles
deviennent, en effet, facilement toniques et plus
t crois- santes et décroissantes; ces contractions ondulatoires des
muscles
ne semaines parfois, une grande diminution de l
aines parfois, une grande diminution de l'excitabilité galvanique des
muscles
associée il une grande diminution ou à l'abolit
mps les modifications qualitatives de l'excitabilité galvanique des
muscles
sont atténuées, la le»- teur des contractions n
a DR dans laquelle, il cette période, l'excitabilité galvanique des
muscles
est bien conservée en quantité, souvent même au
comportant pas exactement de la même façon sm les nerfs et sur les
muscles
, il convient, pour prendre une idée plus complète
que des nerfs et les modifications de l'excitabilité électrique des
muscles
; il y a aussi intérêt à considérer par compara
on les modifications de l'exci- tabilité mécanique des nerfs et des
muscles
. Nerfs. L'excitabilité électrique des nerfs est
labiles, on peut observer aussi la persistance des contractions.
Muscles
. Dans l'excitation directe des muscles les modifi
ersistance des contractions. Muscles. Dans l'excitation directe des
muscles
les modifications caractéristiques de l'excitab
raissent avec tout leur développement. L'excitabilité faradique des
muscles
est souvent aug- mentée et elle est modifiée da
ons apparaît ; au moment où on interrompt le courant excitateur, le
muscle
ne revient pas immédiate- ment à l'état de repo
nisants sont forts et un peu prolongés, la contraction tétanique du
muscle
n'est pas toujours continue et régulière, mais el
lant convenablement avec les courants faradiques les excitations du
muscle
, on voit la répétition des excitations produire l
uis le spasme rnyoto- nique se résout peu à peu, la tétanisation du
muscle
devient moins complète, et les secousses plus o
normal dès le début de l'excitation. L'excitabilité galvanique des
muscles
est généralement un peu augmentée; des courants
ent souvent des contractions et l'excitation s'étend facilement aux
muscles
voisins. Au point de vue qualitatif, l'action de
actions musculaires rythmiques et ondulatoires, surtout lorsque les
muscles
sont parcourus par le courant dans le sens de l
e l'électrode exploratrice est appliquée sur le tendon terminal des
muscles
, ou à l'extrémité des membres, à la paume de la
s rythmiques qui donnent lieu à des soulèvements ondula- toires des
muscles
paraissant suivre une direction déterminée et all
iste des modifications de l'excitabilité mécanique des nerfs et des
muscles
. Sur les nerfs, cette excitabilité est plutôt d
es. Sur les nerfs, cette excitabilité est plutôt diminuée ; sur les
muscles
elle est au contraire augmentée et elle se trou
qualité. Les contractions provoquées par l'excitation mécanique des
muscles
se montrent lentes et plus ou moins durables; sui
es; suivant l'intensité de l'excitation et aussi suivant l'état des
muscles
, elles restent localisées aux faisceaux muscula
aux faisceaux musculaires percutés ou s'étendent il la totalité du
muscle
. La persistance de la contraction varie, suivan
à une demi-minute, une minute ou davantage; parfois, pendant que le
muscle
opère sa décontraction lente on le voit agité de
ce. Les modifications de l'excitabilité électrique et mécanique des
muscles
dans la réaction myotonique paraissent avoir un
ans la paramyotonie familiale congénitale (rigidité transitoire des
muscles
produite sous l'influence du froid). Cette inte
; en effet, dans ces cas, l'excitabilité faradique des nerfs et des
muscles
est habituellement diminuée, parfois dans des pro
ques persistantes; elles sont douloureuses et pendant leur durée le
muscle
est très dur, comme contracture et en état de cra
pasme myotonique, suivi bientôt du retour graduel et progressif des
muscles
aux conditions de l'excitabilité normale. Bie
ÉNIQUE. 1267 nom de myokymie (mouvements ondulatoires spontanés des
muscles
), des altérations de l'excitabilité électrique
anés des muscles), des altérations de l'excitabilité électrique des
muscles
, rappelant quel- ques-unes des manifestations d
des nerfs au lieu de dépendre princi- palement de l'excitation des
muscles
. La réaction neurotonique reste encore assez pe
de la parésie plus ou moins prononcée avec fatigabilité rapide des
muscles
donnant lieu à un épuisement plus ou moins comple
surtout avec les courants faradiques. Si l'on soumet un nerf ou un
muscle
à l'excita- tion d'un courant faradique à inter
on finit cependant par apparaître, au début de chaque excitation le
muscle
se contracte, mais le tétanos ne se maintient pas
s'épuise de nouveau. De même, lorsqu'on a obtenu l'épuisement d'un
muscle
excité directement, si l'on reporte l'électrode
é directement, si l'on reporte l'électrode excitatrice sur un autre
muscle
du même territoire nerveux, on constate la prés
territoire nerveux, on constate la présence de l'excitabilité de ce
muscle
; généra- lement aussi on en peut provoquer l'ép
es excitations. Par un repos suffisamment prolongé les nerfs et les
muscles
, sur les- quels s'est montré l'épuisement de l'
fara- diques isolés) l'excitabilité des nerfs et l'excitabilité des
muscles
ne se montre guère altérée et on n'obtient pas
s de poliomyélites on de polynévrites. En pareils cas, il s'agit de
muscles
dont l'atrophie n'est pas complète et dont l'ex
en jeu, des courants assez forts. Si l'on excite un nerf animant ces
muscles
plus ou moins atrophiés, il peut arriver qu'un
animant ces muscles plus ou moins atrophiés, il peut arriver qu'un
muscle
voisin de ce nerf se trouve plus excitable et q
ême la faisant cesser complètement. On voit dans ces conditions les
muscles
animés par le nerf entrer en contraction au momen
elle les excitations. Lorsqu'au lieu d'exciter un nerf on excite un
muscle
, on constate parfois des troubles semblables de
bles semblables de l'excitabilité électrique. En se contractant, le
muscle
se gonfle et éloigne ainsi l'élec- trode des ra
rameaux nerveux que se produit surtout l'excitation fara- dique du
muscle
, on comprend ' que des effets semblables il ceux
ins dues à l'excitation même du nerf auditif. qu'à l'excitation des
muscles
de la chaîne des osselets; les bruits produits
chaîne des osselets; les bruits produits par la contraction de ces
muscles
, trop faibles pour être entendus par une oreill
donc une conductibilité infiniment meilleure; parmi ces tissus les
muscles
sont ceux qui ont la conductibilité la plus gra
ion électro-diagnostique de l'excitabilité des nerfs moteurs et des
muscles
, on a besoin de [«rendre une notion relative de
rodiagnostic, quand on doit explorer les réactions des nerfs et des
muscles
, il vaut mieux commencer par l'examen faradique,
maladies de l'appareil moteur atteignant plus particulièrement les
muscles
. Dans le troisième nous nous occuperons des mal
irigé le traitement électrique à la périphérie sur les nerfs et les
muscles
paralysés. Les nerfs et les muscles conservent,
périphérie sur les nerfs et les muscles paralysés. Les nerfs et les
muscles
conservent, comme nous l'avons vu à l'éleelro-d
la HÉMIPLÉGIE CÉRÉBRALE. 1291 périphérie sur les nerfs et sur les
muscles
retentissent par action réflexe sur les centres
rovoquer des excitations assez peu nombreuses et peu prolongées des
muscles
paralysés, en les faisant porter de préférence
lysés, en les faisant porter de préférence sur les antagonistes des
muscles
déjà contracturés ou menacés de contracture (en
ur les extenseurs). On pourra aussi diriger ces excitations sur des
muscles
plus ou moins atrophiés (malgré une atrophie parf
atrophiés (malgré une atrophie parfois assez prononcée de certains
muscles
dans les paralysies cérébrales, leur excita- bi
nt peu de l'énergie produisant le seuil de l'excitation. Sur chaque
muscle
, ou sur un même groupe musculaire, l'électrisatio
galvanique diffuse l'action du courant sur l'ensemble des nerfs et
muscles
du membre soumis à l'électrisation. Il est souven
e, placée il l'extrémité inférieure du membre et plutôt du côté des
muscles
les moins menacés par la contracture, par exemp
n des groupes musculaires choisis. Les excitations des nerfs et des
muscles
par les courants galvaniques interrompus ou les
érébrales. Suivant les cas on la fait porter davantage sur certains
muscles
ou groupes musculaires. Les excitations par cou
important de pratiquer l'exploration des réactions des nerfs et des
muscles
, qui renseignera, comme nous l'avons vu à l'éle
ur la moelle au traitement dirigé il la périphérie sur les nerfs et
muscles
para- lyses. On peut agir ainsi, soit dès le dé
tiques sont moins diffus et se montrent pré- dominants sur certains
muscles
ou groupes musculaires, au lieu du bain électro
r une plaque électrode que l'on place sur la partie inférieure, des
muscles
les plus atteints. Générale- ment dans ce cas o
, deux ou plusieurs semaines suivant les cas, des exci- tations des
muscles
avec le courant galvanique interrompu. Ces exci-
nsité voisine de celle qui produit les contractions mini- males des
muscles
, intensité qui il cette période de la poliomyélit
nt il y a lieu souvent d'insister davantage sur les excitations des
muscles
, soit en continuant encore les applications de
dication de localiser plus particulièrement les excitations sur les
muscles
que l'électrodiagnoslic montre les plus atteint
, en évitant au contraire d'exciter, autant qu'il est possible, les
muscles
restés sains ou peu atteints, pour ne pas augment
en forme de plaque ou de tampon on localise les excitations sur les
muscles
que l'on se propose d'exciter, soit avec le cou
on longitudinale en plaçant l'électrode sur la partie inférieure du
muscle
ou sur son tendon; on peut faire aussi quelques
on tendon; on peut faire aussi quelques excitations sur le corps du
muscle
, et d'autres au niveau de son point d'élection.
xcitations ne doivent pas non plus être trop prolongées; sur chaque
muscle
ou groupe musculaire soumis, à ce traitement on l
es excitations avec la méthode polaire se diffusent parfois sur des
muscles
restés sains ou déjà bien réparés; il peut y avoi
ces cas la méthode bipolaire et à placer les deux électrodes sur le
muscle
, l'une à sa partie supérieure, l'autre il sa part
iodes de la poliomyélite auxquelles s'adressent les excitations des
muscles
dont il vient, d'être question. On la localise su
des muscles dont il vient, d'être question. On la localise sur les
muscles
les plus atteints; mais dans le plus grand nombre
t par les courants galvaniques. Il est même contre-indiqué pour les
muscles
présentant de la DR complète et même de, la 1)1
11 partielle assez accentuée, tant que l'excitabilité faradique des
muscles
est abolie ou fortement diminuée. Dans les poliom
[E HUET.] 1 1500 ÉLECTROTHÉRAPIE. , des excitations modérées des
muscles
, soit par la méthode polaire, soit par la métho
us graves, le courant faradique pourrait être employé aussi sur des
muscles
peu atteints ne présentant pas de DR ou ne présen
ns ces cas les efforts du traitement doivent porter surtout sur les
muscles
plus profondément atteints et avant que ceux-ci
is au traitement galvanique, se trouvent plus ou moins réparés, les
muscles
peu atteints ont déjà acquis une bonne répa- ra
r, le plus souvent, de faire porter l'excitation électrique sur les
muscles
peu atteints ou sains pour ne pas développer le
moins éloignée de l'évolution des poliomyélites graves lorsque les
muscles
ont acquis une réparation suffisante et ont ret
celles immédiates ou médiates plus ou moins fortes dirigées sur lés
muscles
a été employée aussi pour le traitement des polio
s ne sont pas toujours ceux dans lesquels un très, grand nombre de.
muscles
sont atteints ; avec, quelques muscles ou group
ls un très, grand nombre de. muscles sont atteints ; avec, quelques
muscles
ou groupes musculaires profondément altérés on
observe parfois, sous l'in- lluence de la prédominance d'action des
muscles
antagonistes, des défor- mations contre lesquel
faire consistent en excita- tions plus ou moins localisées sur les
muscles
, que l'examen électro- diagnostique montre plus
même que les. lésions secon- daires des nerfs périphériques et des
muscles
se sont montrées sensi- hiement semblables à l'
s à l'examen électro-diagnostique. La restauration des nerfs et des
muscles
n'est cependant pas toujours complète et les comp
noncées étendues suivant les cas à un plus ou moins grand nombre de
muscles
. - Polynévrites. Parmi les polynévrites il en e
HUET.] 1302 ÉLECTROTHÉRAPIE. des nerfs et douleurs au niveau des
muscles
, sont généralement plus accentués que ceux exis
sation continue à diriger il la périphérie sur les nerfs et sur les
muscles
nous croyons cependant qu'il y a avantage a pla
ours parfaits : dans ces cas aussi un plus ou moins grand nombre de
muscles
peuvent rester plus ou moins atrophiés, soit qu
- vient très souvent dans ces cas. Les excitations des nerfs et des
muscles
se montrent également utiles; elles peuvent êtr
lisée quand elle est bien supportée, parfois aussi l'excitation des
muscles
avec étincelles. Les résultats de ces divers mo
- trisation se trouve généralement indiqué. L'état des nerfs et des
muscles
qu'ils animent reconnu par l'examen étectrodiag
convient d'appliquer. On peut se trouver en présence de nerfs et de
muscles
qui ont bien conservé leur excitabilité électri
embre ou sur la colonne vertébrale, et électrode sert à exciter les
muscles
. Il peut y avoir avantage parfois à remplacer la
ts d'énergie modérée, et prolongées de 1. à 2 ou minutes sur chaque
muscle
ou groupe musculaire soumis à l'électrisation. Le
ctrode, la cathode, à la périphérie soit dans un bain, soit sur les
muscles
paralysés. Mêmes intensités du cou- rant et mêm
A la galvanisation continue on ajoute bientôt des excitations des
muscles
paralysés et plus ou moins atrophiés faites avec
ffisamment avancée et que l'excitabilité faradique des nerfs et des
muscles
a reparu, les courants faradiques ou galvano-fa
s ou galvano-faradiques peuvent être utilisés pour l'excitation des
muscles
. Lorsque la DRn'est que partielle, la galvano-f
as, le traitement peut être fait.par des excitations faradiques des
muscles
, de préférence avec des courants à intermitlenc
ongées-, une à deux minutes, par exemple, sur chacun des principaux
muscles
paralysés. Il nous paraît bien suffit- sant de
et des rameaux se rendant à l'orbiculaire des pau- pières ; sur le
muscle
frontal ; au-dessous de l'oeil, au niveau du plex
l ; au-dessous de l'oeil, au niveau du plexus sous-orbitaire et des
muscles
orbiculaire inférieur des paupières et él( ? va
inférieure de la joue sur la branche inférieure du facial et sur le
muscle
triangulaire, des lèvres; enfin sur le menton a
muscle triangulaire, des lèvres; enfin sur le menton au niveau des
muscles
du menton et de la partie inférieure de l'orbic
s semaines, par exemple, on fait en plus quelques exci- tations des
muscles
avec le courant galvanique simplement interrompu
applique le traitement, de l'état de l'excitabilité galvanique des
muscles
. A chaque séance d'éjectrisatiou nous croyons p
satiou nous croyons préférable de commencer par les excitations des
muscles
. Celles-ci sont faites avec une petite élec- (r
ite élec- (rode de 1 à 2 centimètres de diamètre sur les principaux
muscles
para- lysés, frontal, orbiculaire des paupières
ez et de la lèvre supérieure, zygomatiques. orbiculaire des lèvres,
muscles
du menton, triangulaire des lèvres. L'électrode
placée sur les PARALYSIE FACIALE. 1307 points où l'excitation des
muscles
est le plus facilement obtenue, points qui ne c
éplacement de ces points. D'abord les excitations faites sur chaque
muscle
sont peu nombreuses, de 15 il 20; dans la suite l
riode assez éloignée du début, lorsque l'excitabilité faradique des
muscles
est, présente, les courants faradiques peuvent êt
nte, les courants faradiques peuvent être employés pour exciter les
muscles
; ces excitations doivent toujours être très mo
érieure avec le retour de la tonicité et de la contractilité de ces
muscles
. On en est averti par des signes subjectifs (se
é, accentuation du pli naso-labial, secousses spasmodiques dans les
muscles
en état de contrac- [lire., soit au repos, soit
ut traite- ment électrique, même la galvanisation continue, sur les
muscles
atteints ou menacés de contracture; il peut y a
re; il peut y avoir avantage il continuer l'élec- trisation sur les
muscles
où la réparai ion est le moins avancée, par [E.
ent cité, sur le frontal, l'orbiculaire infé- rieur des lèvres, les
muscles
du menton et le triangulaire des lèvres. Si la
r de reprendre le traitement en le faisant porter seulement sur les
muscles
les moins réparés qu'on excite soit avec les co
15 minutes. ' . On a cherché aussi à agir plus directement sur les
muscles
de l'oeil. avec les courants faradiques ou avec
çant dans les culs-de-sac de la conjonctive près de l'insertion des
muscles
, un petit tampon représenté par une petite boule
on ou d'amélioration; il peut aussi agir directement sur l'état des
muscles
incomplètement atrophiés en entretenant ou en sti
oelle soit seule, soit associée à la galvanisation périphérique des
muscles
atrophiés, galvanisation tahiie dirigée sur ces
hérique des muscles atrophiés, galvanisation tahiie dirigée sur ces
muscles
, excitations modérées des muscles atrophiés ou
vanisation tahiie dirigée sur ces muscles, excitations modérées des
muscles
atrophiés ou en voie d'atrophie, faites suivant
frictions et étincelles le long de la colonne vertébrale et sur les
muscles
atrophiés a été aussi employée. Ou a encore ess
ramener dans la mesure possible le développe- ment des parties des
muscles
qui n'ont pas été complètement atrophiées. La s
Leyden-Mobius, paraissent dépendre d'une dystrophie primitive des
muscles
et non de. lésions des neurones moteurs périphéri
re ceux qui peu- vent exciter la nutrition et le fonctionnement des
muscles
. Comme ceux-ci conservent longtemps leur excita
ter des courants trop forts et trop prolongés qui, en fatiguant les
muscles
, risqueraient de produire des effets plutôt nui
diamètre ou par un rouleau, sert il porter l'électrisation sur les
muscles
les plus affaiblis. La galvano-faradisation peu
ier cas, les excitations sont plus douces et ménagent davantage les
muscles
; on donne au courant galvanique une intensité
électrode en forme de tampon, celle-ci est placée il demeure sur le
muscle
au niveau du point d'élection ; si l'on se sert
a méthode labile en promenant le rou- leau sur toute la longueur du
muscle
. Pour la galvano-faradisation avec courants far
e tampon placée d'une façon stable au niveau du point d'élection du
muscle
, les excitations sont rythmées au moyen d'un in
ées en soulevant le rouleau lorsqu'il est arrivé à une extrémité du
muscle
. La durée de l'électrisation sur chaque muscle
à une extrémité du muscle. La durée de l'électrisation sur chaque
muscle
sera en moyenne de si. il 7.) minutes; d'une fa
a été aussi employée soit avec le bain statique et excitations des
muscles
par étincelles médiates ou immédiates, soit ave
es par étincelles médiates ou immédiates, soit avec excitations des
muscles
par le wave current ou par les courants statiqu
traitement électrique de bonne heure, lorsque l'affaiblissement des
muscles
et leur atrophie ne sont pas encore très pronon
très prononcées. En général ces afro- phies frappent davantage les
muscles
extenseurs de l'articulation ; elles ne, reconn
res médul- laires et entraînant des troubles dans la trophicité des
muscles
. L'électrt- sation se montre' habituellement tr
ne pas provoquer de contrac- tions trop fortes ou trop répétées des
muscles
qui meuvent l'articulation, on peut commencer l
a colonne vertébrale à la hauteur des racines des nerfs animant les
muscles
atrophiés, une large cathode est placée sur ces
animant les muscles atrophiés, une large cathode est placée sur ces
muscles
les recouvrant sur une assez grande surface ou
ité avec succès ce genre d'atrophies musculaires, en soumettant les
muscles
à une électrisation prolongée pendant plusieurs
ourants conti- nus de faible intensité. On peut aussi soumettre les
muscles
atrophiés il la galvanisation labile avec des c
s dans ces conditions il est généralement préférable d'agir sur les
muscles
atrophiés par la faradisation ou la galvano-far
raitement des myo- pathies. On peut sans inconvénient soumettre les
muscles
à des excita- tions plus fortes que dans le tra
ue l'atrophie n'est pas trop ancienne. On voit assez rapidement les
muscles
gagner en volume et en force. L'atrophie toutefoi
- gies sine rnale1'ÙI. dans lesquelles les réactions du nerf et des
muscles
ne présentent habituellement pas d'altérations.
u de chercher à remédier à 1 affadi- blissement et à l'atrophie des
muscles
en portant sur ces derniers des excitations com
lorsqu'il s'y ajoute des secousses convulsives et spasmodiques des
muscles
faciaux on a affaire au tic douloureux de la fa
n, est placée il la partie supérieure du cou, entre le larynx et le
muscle
sterno-cléido-mastoïdien ; courant de ai à 10 m.
galvano-faradisation en la dirigeant plus particulièrement sur les
muscles
où l'hypotonie domine. Lorsqu'aux symptômes tab
onc indiqués pour exciter les nerfs et provoquer la contraction des
muscles
. Pour habituer les malades à supporter la farad
tôt par des courants à intermit- tences fréquentes. En excitant les
muscles
isolément ou en groupe par l'intermédiaire du n
re, soit par la méthode bi-polaire, on montre aux malades que leurs
muscles
ont conservé, le pouvoir de se contracter. On a
s ou moins régulière- ment les excitations pour ne pas fatiguer les
muscles
, d'autant plus qu'il y a lieu d'employer souven
ur amener le déplacement des parties sur lesquelles s'attachent les
muscles
et provoquer des mouvements plus ou moins étend
e bons résultats : on placera, par exemple, une large anode sur les
muscles
qui sont le siège de la contracture, et la cath
RIE. 15-2'J On peut encore employer la faradisation rythmée sur les
muscles
antagonistes des muscles contractures, on bien
e employer la faradisation rythmée sur les muscles antagonistes des
muscles
contractures, on bien exciter ces muscles anta-
muscles antagonistes des muscles contractures, on bien exciter ces
muscles
anta- gonistes avec des courants faradiques tét
s'efforcer à faire un mouvement dans le sens opposé à l'action des
muscles
contractures. Enfin, on a obtenu parfois des ré
ant avec des courants faradiques assez forts et assez prolongés les
muscles
contracturés, de façon à en produire la fatigue
on soit assez faible et ne produise que de légères trémulations des
muscles
de l'abdomen. Delllcrm et Laquerrière conseillent
nales eu suivant le trajet du gros intestin ; puis on électrise les
muscles
postérieurs du tronc et les quatre membres, en
quatre membres, en suivant le trajet des gros troncs nerveux et des
muscles
de manière à faire contracter légèrement ceux-ci;
ou galvano-faradiques portant sur la région périnéale au niveau des
muscles
bulbo-caverncux. Goitre exophtalmique. (Maladie
no-ctéido-mastodicn lorsqu'on déplace l'électrode en dehors vers ce
muscle
. L'application est faite successivement des deux
deux lobes du corps thyroïde et l'on provoque des contractions des
muscles
sterno-hyoïdien et stemo-thyroïdien en excitant l
se, par la galvanisation de la moelle, soit que l'on agisse sur les
muscles
, dont l'excitabilité électrique est généralemen
colonne vertébrale; électrode positive, plaque ou rouleau, sur les
muscles
qui sont le siège de la contracture ou des spas
dans le torticolis spasmodique, on se trouverai bien d'agir sur les
muscles
antagonistes des muscles atteints en les exci-
dique, on se trouverai bien d'agir sur les muscles antagonistes des
muscles
atteints en les exci- tant avec des courants fa
les. - Le fonctionnement fréquemment répété ou prolongé de certains
muscles
produit chez des personnes prédisposées à la né
nuque ou sur la région lombaire, électrode positive recouvrant les
muscles
sur lesquels se produisent les spasmes, courants
des courants faibles et peu prolongés. La faradisation légère des
muscles
, siège des spasmes, ou la faradi- sation de leu
I : S l;l : \'l'ItI.S \F : lt\'IU\.. avec un scalpel, on incise les
muscles
temporaux. La calotte crânienne peut être enlev
ébrale. La peau est incisée depuis l'occipital jusqu'au coccyx, les
muscles
des gouttières vertébrales sont disséqués soigneu
504, Gala, G ! ! 8. Début dans la seconde enfance. Début par les
muscles
des pieds, 695. Evolution lente, G4. Pied, 1054
s à type Duchenne-Aran, 685. Caractères. Localisations aux petits
muscles
des mains, 698. Griffe, 699, 1059. Contractio
ie, 54t. des lombes. Innervation, phy- siologie, 568.- du menton,
muscles
de la houppe du menton. Innervation, phy- sio
ions, 1208. Effets physiologiques sur les nerfs moteurs et sur les
muscles
, 1210. Électrotonus, 1211. Effets sur les ner
ables de fermeture et d'ouverture sur les nerfs moteurs et sur. les
muscles
,. méthode d'excitation polaire, 1214. Courant
Diplopie, recherche, 20 ? mensuration, 22. Dans le diagnostic des
muscles
oculaires paralysies, 6U . Diplopie croisée,
i. - exploration de la motilité intrinsèque, 22. - paralysies des
muscles
moteurs, 58. Glossy-skin, 111a. Goitre exopht
ique, forme Pierre -), li9li. Masculisme, 1090. Masse commune des
muscles
spinaux. lliocosizil, long dorsal, transversale
rvation, physiologie, 559. Müller (Liquide de -). Vo. Fixation.
Muscles
(Lésions des -), réaction de dégénérescence, 12
de réac- tion de dégénérescence, 672. - État des réflexes, 672. -
Muscles
de la racine des membres, 675. Évolution lent
. d'origine pé- . rijihérique, atrophies consécutives, 71o. - des
muscles
moteurs des globes ocu- laires. Symptômes. Stra
oculaire, orienta- tion fausse, nystagmus, 60.- Diagnos- Tlc des
muscles
paralysés, 61. - Dia- gnostic de la paralysie d
des muscles paralysés, 61. - Dia- gnostic de la paralysie d'un seul
muscle
, gaz. - Diagnostic quand plusieurs mus- cles
. Traitement électrique, 1537. intestinales, 998. - isolées des
muscles
, séméiologie, 521. radiculaires. Paralysies du
ésions de la moelle, 1257. Lésions des nerfs, 1258. - Lésions des
muscles
, 1250. Signification au point de vue du prono
tion ntlloloniqrtc, caractères, 1262. - Excitabilité des nerfs, des
muscles
, 1265. - Réaction incomplète, 1266. - neuroto
quelette, 928. - Troubles trophiques des articulations, 930.- des
muscles
et tendons, 952. - des organes des sens, 955.
u plutôt pendant l'exécution même de celui-ci, et siégeant dans les
muscles
dont la contraction a été mise enjeu pour le pr
de la fa- çon suivante : Une raideur spasmodique apparaît dans les
muscles
qui en- trent en jeu pour exécuter des mouvemen
lieu d'une série de mouvements se sui- vant les uns les autres, les
muscles
ont il exécuter un seul mouvement éner- gique e
montre extrêmement tonique, persistante et d'une longue durée ; les
muscles
sont (1) P. Marie, Dict. encyc. d. sc. méd. Art
dinaire. En plus de ces troubles dans la contraction volontaire des
muscles
, la maladie de Thomsen présente d'autres caract
ans l'excitabilité mécanique et électrique des nerfs moteurs et des
muscles
. Ces modifications ont été signalées déjà, en p
ations de l'ex- citabilité mécanique et électrique des nerfs et des
muscles
avaient de carac- téristique dans la maladie de
istante). L'excitabilité faradique des nerfs est normale, celle des
muscles
est un peu augmentée et elle est modifiée : ici
tre, aussi bien -pour les nerfs que pour l'ex- citation directe des
muscles
, que des secousses brèves, instantanées. L'exci-
usses brèves, instantanées. L'exci- tation faradique prolongée d'un
muscle
, les électrodes étant maintenues en place, prov
peut provoquer aussi des contractions persistantes. Par contre, les
muscles
montrent une augmentation de l'excitabilité galva
nt chez ce malade les modifications de l'excitabilité faradique des
muscles
, nous avons constaté par l'emploi de courants i
annicule graisseux sous-cutané n'est pas augmenté d'épaisseur ; les
muscles
dessinent fortement leurs reliefs sur la peau ; l
embres supérieurs aurait un peu di- minué depuis quelque temps. Les
muscles
ont une consistance moins ferme qu'aux membres
e qu'aux membres inférieurs. Malgré le puissant développement des
muscles
, la force que peut fournir le malade, est bien
FIE ÉDITEURS ÉTUDE DE L'EXCITABILITÉ ÉLECTRIQUE DES MUSCLES. 7
muscles
retrouvent toute leur souplesse. C'est ce que l'o
in nombre de mouvements des doigts et du poignet pour assouplir ses
muscles
; néanmoins il éprouve parfois encore de la diffi
enir son équilibre, détermine un spasme étendu à un grand nombre de
muscles
, et souvent,- dans ces conditions, il tombe lourd
avec une canne pour maintenir plus facilement son équilibre. Les
muscles
du tronc sont également très affaiblis et sont au
e. A la face, on voit les contractions durer un long temps dans les
muscles
qui entrent en jeu. Ainsi, après le rire, les c
assez prolongé. La déglutition toutefois ne parait pas gênée ; les
muscles
des paupières, ceux du globe de l'oeil paraissent
oubles de l'excitabi- lité mécanique et électrique des nerfs et des
muscles
que nous étudierons plus longuement au cours de
eviennent durables seulement avec des courants labiles. .Pour les
muscles
, au contraire, l'excitabilité mécanique, faradiqu
nique est augmentée, et modifiée qualitativement. La percussion d'un
muscle
détermine, suivant la force employée, la format
d'un sillon sous le marteau percuteur, ou la contraction totale du
muscle
; dans les deux cas la contraction produite per
tion produite persiste un temps très appréciable, qui pour certains
muscles
, notam- ment à la cuisse, dépasse parfois une m
'excitabilité faradique est aussi plus grande que normalement ; les
muscles
se contractent facilement même avec des courant
encore le plus souvent que des contractions semblables à celles des
muscles
normaux, c'est-à-dire brèves et sans persistance.
lectrode excitatrice ; ces sillons sont très prononcés sur certains
muscles
, notamment les vastes internes de la cuisse, le
chrones avec les mouvements de l'interrupteur il se produit dans le
muscle
une contraction totale, lente, tonique, qui per
Si l'on prolonge l'excitation pendant 3/4 de minute à 1 minute, les
muscles
n'ayant pas encore été excités électriquement,
s secousses isochrones aux mouvements de l'in- terrupteur ; puis le
muscle
se tétanise et reste en contraction tonique penda
amples, et les chocs se passent ensuite sensiblement comme pour un
muscle
normal, le muscle exploré répondant par une secou
ocs se passent ensuite sensiblement comme pour un muscle normal, le
muscle
exploré répondant par une secousse isolée à cha
ce des in- ' terruptions. Si l'excitation est interrompue alors, le
muscle
se décontracte rapidement et complètement, et s
secondes après on renouvelle l'exci- tation il se comporte comme un
muscle
normal et ainsi de même tant qu'on n'a pas lais
temps de repos suffisant pour que réapparaisse la dispo- sition du
muscle
à entrer en état de contraction tonique. Cepend
1 minute et parfois même davantage). L'excitabilité galvanique des
muscles
est également augmentée. Le plus sou- vent NFC
rapide ; mais, si l'on prend certaines précautions, si l'on met les
muscles
dans le relâchement et si l'on cherche alors les
plus particulièrement cette étude sur l'excitabilité électrique des
muscles
. Nous verrons d'abord quelles sont les modifica
bord quelles sont les modifications de l'excitabilité faradique des
muscles
, puis nous étudie- rons les modifications de le
dement en revue les modifications de l'excitabilité mé- canique des
muscles
et celle de l'excitabilité mécanique, faradique e
faradique etgal- vanique des nerfs moteurs. I Excitabilité DES
muscles
par LES courants faradiques. Dans l'étude de l'
les par LES courants faradiques. Dans l'étude de l'excitabilité des
muscles
par les courants d'induction, nous distingueron
hop. Séance du 5 juin 4894, ÉTUDE DE l'excitabilité électrique DES
MUSCLES
. 11 1° Ou des chocs d'ouverture isolés et espac
ure du courant inducteur, il se produit dans ces conditions, sur un
muscle
normal, une contraction, unique, rapide, instan
ès que le courant est suffisamment intense pour faire contracter le
muscle
normal, en produisent la contrac- tion tétaniqu
rapprochés (par exemple de seconde en seconde) les exci- tations du
muscle
, on voyait les décontractions devenir plus lentes
s du muscle, on voyait les décontractions devenir plus lentes et le
muscle
avait tendance à se tétaniser. Ces modifications
s fréquentes (15 à 50 interruptions par seconde) provoquent sur les
muscles
normaux, dès que la force du cou- rant est suff
ès que la force du cou- rant est suffisamment grande, le tétanos du
muscle
; mais ce tétanos cesse aussitôt que cesse le c
minimales provoquent des contractions qui ressemblent à celles des
muscles
normaux, sont presque toujours sans durée, et ces
et CI). Ces tracés n'enregistrent pas directement la contraction du
muscle
, mais l'effet produit par celle-ci, c'est-à-dire,
aires avec fort gonflement et avec oscillations ; toute la masse du
muscle
est agitée d'un mouvement ondulatoire irrégulier
ur produire à chaque ouverture du courant une contraction isolée du
muscle
. Les effets produi ts sur les muscles atteints
rant une contraction isolée du muscle. Les effets produi ts sur les
muscles
atteints de maladie de Thomsen, en se plaçant dan
que nous nous proposons d'insister tout particulièrement. Sur des
muscles
normaux, ce mode d'excitation produit, avec des c
ence des interruptions, il peut se produire un tétanos incomplet du
muscle
, celui-ci continuant à répondre à l'exci- tatio
ctions isochrones aux interruptions. Dès que cesse l'excitation, le
muscle
revient aussitôt à l'état de repos. (1) Pitre e
ITABILITÉ ÉLECTRIQUE DES MUSCLES. 13 Il n'en est pas ainsi pour les
muscles
dans la maladie de Thomsen; mais les effets pro
ou 3/4 de minute) il apparaît une contraction tonique et totale du
muscle
, qui disparaît ensuite graduellement au cours de
une d'elles un intervalle de repos d'au moins quelques secondes, le
muscle
se comporte, d'une manière générale, comme un m
s secondes, le muscle se comporte, d'une manière générale, comme un
muscle
normal. (Ce phéno- mène est comparable au troub
rée de 1 à 2 ou 3 secondes). Effet produit : contraction tonique du
muscle
et décontraction lente consécu- tive. (Phénomèn
et brusque sous l'influence de la volonté.) 9'C. Excitations des
muscles
qui sont sous l'influence de la fatigue, à la s
es. Éludions maintenant en détail les effets ainsi produits sur les
muscles
dans les 3 groupes de conditions que nous venon
n, sa disparition aux excitations suivantes.) Si nous excitons un
muscle
de notre malade, dans ces conditions, et en nou
ernum, l'autre électrode dif- férente maintenue avec la main sur le
muscle
à examiner, voici ce que nous observons : 1° au
vons : 1° au moment où commence l'excitation, il se produit dans le
muscle
exploré quelques contractions isochrones avec les
de deux ou de trois secondes ces contractions cessent tandis que le
muscle
tout entier se gonfle, devient dur, dessine ses
, dessine ses contours sous la peau, se comporte en un mot comme un
muscle
tétanisé. Il en est ainsi, notamment, lorsque les
s appré- ciable. Cet état de tétanisation plus ou moins complète du
muscle
, que nous appellerons, pour abréger le langage,
vait seulement di- minué, et après quelques secondes (5, 10, 15) le
muscle
paraît complète- ment libéré du spasme myotoniq
ui l'empêchait précédemment de se contracter, et il répond comme un
muscle
normal à chaque excitation du courant; ses cont
citatrice (l'exploration totale ayant duré 30, 40, 50 secondes), le
muscle
revient aussitôt à l'état de repos ; 5° renou-
ues secondes après, les mêmes phénomènes ne se reproduisent pas, le
muscle
se contracte comme un muscle normal d'une façon
phénomènes ne se reproduisent pas, le muscle se contracte comme un
muscle
normal d'une façon isochrone aux mouvements de
mence l'exploration, et ainsi de môme tant qu'on n'a pas laissé le
muscle
se reposer pendant un temps suffisamment long (
ntraction tonique était beau- coup moins longue et le gonflement du
muscle
moins prononcé. (Si au lieu de prolonger la pre
interrompt dès les premières secondes, lorsque le spasme tonique du
muscle
est produit, on voit le muscle rester contracté p
condes, lorsque le spasme tonique du muscle est produit, on voit le
muscle
rester contracté pendant un temps assez long so
étaient très manifestes, chez notre malade, sur un grand nombre de
muscles
; ils étaient particu- lièrement faciles à cons
s des doigts, pour les membres supérieurs, etc. Sur certains de ces
muscles
, notamment sur le vaste interne de la cuisse, o
us l'électrode excitatrice, au moment des premières contractions du
muscle
, puis le spasme myotonique se produire, et à part
ce mo- ÉTUDE DE L'EXCITABILITÉ ÉLECTRIQUE DES MUSCLES. 15 ment le
muscle
se comporter d'une façon entièrement conforme à c
sultats obtenus ici ont été contrôlés aussi par l'exa- men d'autres
muscles
, notamment du biceps huméral, et du fléchisseur
/3 par seconde). Pendant la première seconde, il se produit dans le
muscle
, à chaque interruption, une secousse assez éten
s bientôt l'amplitude de ces secousses diminue en même temps que le
muscle
se contracte dans sa totalité, comme l'indi- qu
graphi- que. Pendant tout le temps que dure ce spasme myotonique du
muscle
, les secousses isolées, correspondant à chaque
des (a) elles augmentent graduellement d'étendue, à me- sure que le
muscle
se détend. A la fin de l'exploration, qui a duré
gnent une amplitude assez grande, et lorsque cesse l'excitation, le
muscle
reprend aussitôt sa ligne de repos. Dans la minut
intervalle de repos de 4 secondes. A la fin de chaque excitation le
muscle
reprend aussitôt l'état de repos. Les explorati
tat de repos. Les explorations suivantes (B,) ont été faites sur le
muscle
homologue du côté opposé, avec 480 interruption
interruptions par minute (8 par, seconde). Au début, comme pour le
muscle
précédent, il se produit quelques secousses à c
nt, il se produit quelques secousses à chaque interruption, puis le
muscle
est envahi par le spasme myotonique 3- s ¡oo
t... (Maladie de Thomsen) 25 juillet {888. -Excitations faradiques du
muscle
droit antérieur de la cuisse. - Chariot à 6 cm. 9
par seconde). - T. Temps divise en secondes. - R. Ligne de repos du
muscle
. - (Réduit de )/2). E ÉTUDE DE L'EXCITABILITÉ
d'étendue. A la fin de l'exploration, qui a duré 42 secon- des, le
muscle
reprend aussitôt son état de repos, mais les seco
ière excitation, on renouvelle l'expérience (B, 2°). Cette fois, le
muscle
répond par des secousses assez étendues à chaque
nique disparaît de plus en plus, et les secousses produites dans le
muscle
atteignent toute leur amplitude. (Il faut tenir
upteur se trouvent plus rapprochées, d'où excitation plus grande du
muscle
que dans la suite de l'expérience. Ce défaut sera
herches. Nous l'avons évité lorsque nous explorions directement les
muscles
, sans appareil inscripteur, et les résultats étai
sse, les artères se remplissent de sang. Pendant la suspension, les
muscles
des membres inférieurs sont relativement flasques
; sous l'inlluence d'une distension môme faible mais prolongée, les
muscles
intervertébraux se relâchent et l'obstacle qu'i
d'analogue à ce que j'ai observé sur un chien suspendu et dont les
muscles
étaient relâchés sous l'influence du sommeil ch
ez lés individus épuisés grâce à la flaccidité des ligaments et des
muscles
, la suspension peut amener une distension trop
aminant plus attentivement le côté droit de la face, on voit que le
muscle
élévateur commun de la lèvre supérieure droite et
t pas relatif, il est essentiel, actif. Tandis que du côté droit le
muscle
élévateur commun de la lèvre et de l'aile du ne
ton est tirée à gauche (Pl. III, IV), et dépasse la ligne médiane. Le
muscle
élévateur gauche du menton étant contracture, c
es courants faibles le menton contracté, la contraction de tons les
muscles
cesse presqu'immédiatement tant à droite qu'à gau
ndes de repos on voit des secousses fibrillaires sur- venir dans le
muscle
élévateur commun de la lèvre supérieure et de l'a
; chaque secousse laissant après soi un peu plus de contracture, le
muscle
est enfin en contraction perma- nente presque t
une fois éta- blie on ne voyait plus de secousses fibrillaires des
muscles
, la physionomie étant en repos dans sa bizarre
e courant faradique et le courant galvanique nous apprenait que les
muscles
mimiques et les deux nerfs faciaux étaient t en
tat de veille, sans hypnose. Après avoir minutieusement examiné les
muscles
mimiques avec le cou- rant faradique et avec le
e et avec le courant galvanique, je lui donnais l'assurance que ses
muscles
étaient en parfaite santé et que la seule chose q
pas, bien en- tendu : « allons donc, vous pouvez vous servir de vos
muscles
mimiques aussi bien que moi, faites donc. » Cel
cer en ma présence pendant cinq minutes et à chaque mou- vement des
muscles
affectés, quelque léger qu'il fût, je l'encourage
ès quelques séances, elle réussit à faire une légère relaxation des
muscles
et dès ce moment la guérison marcha à grands pas.
e n'avait que de temps en temps des secousses fibrillaires dans les
muscles
ja- dis contracturés. Craignant que ces spasmes
rs ! 'age de trente ans. I. DESCRIPTION DES MOUVEMENTS. Face. Les
muscles
les plus souvent atteints sont : les risorius, le
limités à la partie inférieure de la face. En général ce sont les
muscles
de la région faciale inférieure qui entrent en
succède celle d'un calme relatif produite par le relâchement de ces
muscles
; mais l'empreinte de leurs on- dulations se ma
taires. Ce sont des contractions isolées, indépendantes, de tous les
muscles
de la face, risorius, zygomatique, orbiculaire
PHOTOCOLLOGRAPHIE Chêne B Longuet ATHETOSE DOUBLE Contraction DES
MUSCLES
DE la Face A l'Occasion DE la Parole VVE BABÉ
nir l'expiration, narines dilatées. Front étroit, fuyant, ridé, les
muscles
du cuir chevelu avec ceux du front se contracte
a langue, mal articulée, nasonnée, mal sonnante, parce que tous les
muscles
de la bouche, ceux qui tapissent la caisse de rés
inspiration retenue et poussée avec force) qui tient il ce que les
muscles
de la glotte sont contracturés, ou bien simplem
dans les épaules et raide. Cou gros, court, raide, on sent que les
muscles
sterno-clnido-mastoïdiens sont hypertrophiés. T
ien conformé. Pas d'atrophies ni d'hypertrophies des membres ou des
muscles
excepté des sterno-cléido-mastoïdiens. Pas de s
e de spasmodique et de lent, rappelant de loin le peristaltisme des
muscles
de la vie organique » (Gairdner). Ils sont ondu-
r plus à fond les mouvements, on arrive aux résultats suivants, les
muscles
interosseux, dorsaux et palmaires sont at- tein
t les extenseurs des doigts long et court, abducteurs du pouce, les
muscles
cubital antérieur et postérieur, les deux radiaux
peuvent du reste se combiner de diverses façons. Les mouvements des
muscles
de la tète, du cou et de la face sont très marq
ns les efforts, rendue sifflante par la contraction spasmodique des
muscles
des lèvres et de la bouche. Du côté de la déglu
malade d'avaler de travers lorsqu'une contraction involontaire des
muscles
qui contribuent à cette fonction, venait en tro
ses rapprochées, les genoux collés, les jam- hes très écartées, les
muscles
de la face se convulsent et semble faire un eff
and nombre d'auteurs déclarent à cause du défaut de relâchement des
muscles
, qu'il était difficile d'obtenir les réflexes. Un
eu d'émotion chez elle tuut simplement en la regardant, on voit les
muscles
de la face entrer en mouvements, surtout les zy
surtout les zygomaliques, l'orbiculaire, les risorius et les petits
muscles
du menton. Les muscles du front et des paupière
s, l'orbiculaire, les risorius et les petits muscles du menton. Les
muscles
du front et des paupières sont un peu plus calmes
ses rappro- chées, les genoux collés, les jambes très écartées, les
muscles
de la face se con- vulsent et elle semble faire
. La parole est très embarrassée il cause de la raideur de tous les
muscles
qui concourent il l'articulation et la phonatio
effort qui provoque des mouvements involontaires intenses dans les
muscles
des lèvres et de la face, puis arrive il peine
déviations, Audry croit qu'elles dépendent de l'action vicieuse des
muscles
. Le plus souvent c'est l'état spasmodique qui d
vent c'est l'état spasmodique qui doit jouer le principal rôle; les
muscles
contracteurs finissent par tordre la colonne ve
l s'agisse quelquefois primitivement non pas d'une hypertonicité du
muscle
mais d'un état p'arétique de ce dernier. Du reste
chaw fut le premier à signaler la possibilité de l'hypertrophie des
muscles
de la région cervicale et des deux bras. Oulmon
lare que l'hypertrophie musculaire, localisée à certains groupes de
muscles
, est fréquente. « C'est une hypertrophie vraie, d
ais d'une hypertrophie réelle produite par l'exer- cice exagéré des
muscles
qui sont les sièges des convulsions athétosiques.
it la môme remarque. Elle se voit plus habituellement au niveau des
muscles
, qui ont à lutter contre les contractures et le
ractures font défaut et ne trou- vent pas là pour lutter contre les
muscles
mis en jeu et forcer ainsi le dé- veloppement d
ile du palais, autrement dit par suite de l'étal de contracture des
muscles
de l'articulation. - Clay Schaw décrit très jus
le s'ac- compagne de contractions involontaires très prononcées des
muscles
, des lèvres et des autres muscles de la face da
involontaires très prononcées des muscles, des lèvres et des autres
muscles
de la face dans lesquels on reconnaît facile- m
possibles que du fait des mouvements involontaires et du spasme des
muscles
. C'est du reste l'opinion qu'admettent tous les
spasmodique des commis- sures, dû à la contraction involontaire des
muscles
de la langue et d'une partie de la face. Dans
nvolontaires. Rigidité des membres in- férieurs. ' Face. Tous les
muscles
de la face se contractent simultanément et égale-
ain sont contracturés. Dreschfeld in- dique chez son malade que les
muscles
de l'avant-bras sont raides, Massa- longo les m
cturées. Ces contractures, qui ne dépendent pas de la paralysie des
muscles
antagonistes, s'exagèrent comme les mouve- ment
à marcher sur les genoux et la partie antérieure des jambes. Les
muscles
du cou; immobilisés par le spasme, quelquefois de
'). La 3e série d'excitation', (C. lig. 1) a été faite sur le même
muscle
que la Il, série, mais après un repos de 20 min
le système musculaire était normal, le tétanos presque complet des
muscles
. Que produisent-elles ici ? Au début de la 1 re
. Que produisent-elles ici ? Au début de la 1 re excitation (2), le
muscle
répond pendant 1 seconde 1/2 par des secousses
secondes ; à partir de ce moment (c.), il tend à disparaî- trie, le
muscle
se détend, mais ici au lieu de voir se produire,
s, nous voyons apparaître un tétanos presque complet, comme pour un
muscle
normal. L'excitation interrompue, au bout de 47
isent plus le spasme myotonique, mais le tétanos presque complet du
muscle
, comme dans l'état normal. Ici encore, à la fin
encore, à la fin de chaque excitation, retour rapide et complet du
muscle
à l'état de repos. Nous pouvons remarquer sur
un niveau inférieur à celui du plateau de la tétanisation vraie du
muscle
. Lorsque le spasme disparaît, la courbe se relè
CTRIQUE DES MUSCLES. 93 tanos. Pendant la contraction tétanique, le
muscle
est donc plus gonflé que 'pendant le spasme myo
de ces planches, nous avons reproduit aussi des tracés pris sur des
muscles
normaux, dans des conditions semblables, afin d
afin de pouvoir comparer l'effet des excitations faradiqnes sur les
muscles
dans la maladie de Thomsen et sur les muscles d
ns faradiqnes sur les muscles dans la maladie de Thomsen et sur les
muscles
dans l'état normal. La figure o représente le r
I 2 secondes cessation de l'excitation, retour immédiat et complet du
muscle
à l'état de repos. Une minute 1/2 après, troisi
ligne A, la différence qui existe entre la réaction électrique des
muscles
dans la maladie de Thomsen et celle des muscles
tion électrique des muscles dans la maladie de Thomsen et celle des
muscles
normaux. La figure suivante (fig. 6) représente
rs, n'a pas été suffi- samment longue pour détendre complètement le
muscle
, qui se décontracte lentement et met 9 secondes
4 secon- des. A la fin de l'excitation, qui a duré 13 secondes, le
muscle
est complè- tement détendu et reprend aussitôt
ncore ébauche très incomplète du spasme myoto- nique (gonflement du
muscle
qui continue néanmoins à répondre aux dé- charg
ant par des secousses isolées); puis au bout de 10 à 13 secondes le
muscle
se comporte comme un muscle normal, répondant par
s); puis au bout de 10 à 13 secondes le muscle se comporte comme un
muscle
normal, répondant par une secousse à chaque mou
let (comparer avec le tracé reproduit au-dessus B, appartenant à un
muscle
normal). A la fin de l'excitation, prolongée pend
ation, prolongée pendant 40 secondes, retour complet et immédiat du
muscle
à l'état de repos. La figure suivante (fig. 7)
duré que 20 secondes ; lorsque le courant faradique est suspendu le
muscle
se décontracté d'abord brus- quement (h), mais
ure, B, représente à titre de comparaison le tracé pris sur un môme
muscle
, dans les mêmes conditions, chez un individu norm
antérieur, l'ex- citation provoquée par le courant s'étendant à ce
muscle
. On voit ici que le spasme myotonique est très
On verra par l'examen de ÉTUDE DE L'L,\CI'CABIL1T1 : ÉLECTRIQUE DES
MUSCLES
. 97 ces tracés que les réactions, que nous veno
xcitations consécutives pour bien montrer comment se comportent les
muscles
dans le cas d'excitations réitérées. Entre chaq
dulatoires).. Les résultats fournis par l'excitation électrique des
muscles
dans la ma- ladie de Thomsen. en se plaçant dan
iqué sur les fléchisseurs recueillait directement la contraction du
muscle
. On voit qu'au début les contractions sont très
deviennent encore de plus en plus étendues; au début, en effet, le
muscle
ne se décontracté pas complètement entre chaque
mières contractions ont une faible étendue ; l'étal spasmodique du
muscle
r. C 0 ti m m i n ? M r 3-
ar le niveau occupé par la courbe au-dessus de la ligne de repos du
muscle
. A mesure que les con- tractions se répètent, q
libres et plus rapprochées, elles augmentent aussi d'étendue et le
muscle
finit par atteindre à chaque décontraction sa l
des mouvements volon- taires et certaines réactions électriques des
muscles
, analogie mise en relief par les tracés que nou
;to ? t'<M). . Nous avons vu précédemment que si l'excitation du
muscle
par le cou- rant faradique. avec interruptions
prolongée pendant 30, 40 ou 50 secondes, la contraction tonique du
muscle
se maintient après la cessation de l'excitation
raît que graduellement ; la décontrac- lion se fait lentement et le
muscle
met souvent plus d'une demi-minute pour revenir
effet, dans ces conditions, qu'au mo- ment où cesse l'excitation le
muscle
est gonllé, dur, et dessine fortement .ses reli
on voit ses reliefs disparaître pro- gressivement, en même temps le
muscle
s'affaisse et reprend peu à peu sa consistance
xcitation (A, 4°) dure une seconde 3/li; au moment où elle cesse le
muscle
se décontracté d'abord assez rapidement (f à u)
es ; à ce moment la décontraction devient beaucoup plus lente et le
muscle
met 30 secondes à revenir à sa li- gne de repos
°). Ici la décontraction totale dure donc 34 secondes. - Lorsque le
muscle
a atteint sa ligne de repos nous 'provoquons une
ion lente se reproduit et ce n'est qu'au bout de 35 secondes que le
muscle
revient complètement au repos en a". = Deux min
excitation (B, 1°) de 1 1/2 seconde. Lorsque cesse l'excitation le
muscle
se décontracté. assez rapidement en 1 1/2 seconde
-Boul... (Maladie de Thomsen), 25 sept. 1888. Réactions faradiques du
muscle
droit antérieur de la cuisse gauche. Excitations
e de 7 centimètres. T. Temps divisé en secondes. R. Ligne de repos du
muscle
. (Réduit de 1/2.) (La suite des décontractions
RIÈRE. nant à cesser avant que le spasme myotonique ait disparu, le
muscle
, au moment où on interrompt le courant, se déco
ière excitation (C, 1°) dure 4 1/2 secondes. Lors- qu'elle cesse le
muscle
se décontracté assez rapidement jusqu'en»/, (moin
te (C, 2°) qui ne dure que 3 secondes, et à la suite de laquelle le
muscle
met près de 28 secondes pour se décontracter. S
'induc- teur de 10 centimètres el il n'y avait aucune excitation du
muscle
; pour les lignes suivantes la distance de la bo
2G sept. 1888. Excitations faradiques de courte durée portant sur le
muscle
droit antérieur de la cuisse gauche ; décontracti
108 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. temps, souvent même le
muscle
revient brusquement et presque complè- tement à
citation produite par le fil moyen esl plus considérable et, que le
muscle
se contracte déjà énergiquement avec un plus gr
aintes reprises, chez ce malade, celle plus grande excita- tion des
muscles
par la bobine a lil moyen, non seulement sur les
e résultat suivant des explorations faites, le 22 août 1888, sur le
muscle
droit antérieur de la cuisse droite avec les troi
26 sept. 1888. Excitations faradiques de courte durée portant sur le
muscle
droit antérieur de la cuisse gauche ; décontracti
ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. le retour complet el instantané du
muscle
à l'étal de repos, après la der- nière. excitat
actions lentes, n'é- puisent que lentement le trouble myotonique du
muscle
; ainsi la ligne C inscrite après un repos de de
jour el dans les mêmes conditions que les deux traces précèdent du
muscle
homologue gauche le montre très nettement. Comm
avons enregistré un assez grand nombre d'excitations successives du
muscle
, depuis les excita- lions minimales jusqu'aux e
e la fignre Hi, par su i te dll trouble myotonique plus accentué du
muscle
du côté droit, c'est d'une part la fa- çon dont
roit, c'est d'une part la fa- çon dont se produit la contraction du
muscle
pendant ces excitations, et d'autre part ce qui
constatons en effet, ici, qu'au moment où commence l'excitation le
muscle
se contracte brusquement, comme l'indique le styl
teur qui s'élève presque perpendiculairement à la ligne de repos du
muscle
, w- G a Il z 1 Il x - i >
0 sept. 9883. - W cilations faradiques de couite duiée portant sur le
muscle
droit aillérieut de la cuisse droite ; décon trac
baisse de nouveau sans toutefois atteindre ici la ligne de repos du
muscle
, puis il remonte graduellement et dépasse souve
l' l'exploration directe ; (ces sillons sont très nets sur certains
muscles
, en particulier sur la vaste interne de la cuis
interne de la cuisse, el produisent dans les tracés recueillis sur ce
muscle
un abaissement de la courbe qui descend souvent
de la courbe qui descend souvent au-dessous de la ligne de repos du
muscle
. Ces sillons el par suite les affaissements de la
res excitations). Mais bientôt le sillon disparaît, la contraction du
muscle
s'étend régulièrement à sa totalité, toute sa m
avons indiqué pour la décontraction lente. On voit donc qu'alors le
muscle
ne commence pas sa décontraction aussitôt que ces
nt et de la façon que nous avons déjà indiquée. Ces contractions du
muscle
la fin de l'excitation ne se produisent ici que l
action secondaire. Cette contraction ou ce gonflement secondaire du
muscle
sont encore des plus nets sur les deux première
i qui repré- sentent d'ailleurs comme la ligure 15 l'inscription du
muscle
droit anté- rieur de la cuisse droite. En e rep
isse droite. En e reportant aux inscriptions analogues pour le même
muscle
du côté gauche (fig. 13 et 14), on reconnaîtra qu
ions se répètent, la décontraction lente diminue de durée et que le
muscle
revient de plus en plus rapidement à sa ligne de
oit que, dans la maladie de Thomsen, lorsque les exci- tations d'un
muscle
au moyen des courants interrompus sont courtes, d
interrompus sont courtes, de .une à quelques secondes seulement, le
muscle
au moment où cesse l'exci- tation ne se décontr
tracte pas aussitôt et complètement, comme cela se pro- duitpour un
muscle
normal ; bien au contraire, sa décontraction ne s
très lentement, régulièrement et progressivement jusqu'à ce que le
muscle
ait atteint son état de repos. La décontraction s
avons dési- gnées du nom de contraction ou gonflement secondaire du
muscle
, nous pensons que c'est là une ébauche du phéno
s courtes n'épuisent que très lentement le désordre myo- tonique du
muscle
. Lorsqu'on répète ces excitations, à intervalles
e de Thomsen, par exemple, veut don- ner un coup de poing, tous les
muscles
qui produisent l'extension du bras, de t'avant-
réciable, et il faut que le malade attende que la décontraction des
muscles
mis en jeu se soit produite pour pouvoir ra- me
entent l'nn avec l'autre une certaine analogie. C Excitations des
muscles
fatigués par des excitations précédentes réité-
dier un troisième groupe de modifications dans l'exci- tabilité des
muscles
par les courants faradiques-. Ces troubles avaien
RAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. veau sur eux l'attention : « Sur certains
muscles
, dit-il, avec des courants faradiques forts, le
es conditions qui nous paraissenl le provoquer sont : la fatigue du
muscle
, les excitations avec de forts courants, et peu
ions avec de forts courants, et peut-être aussi le froid. Lorsqu'un
muscle
, en elfel, a élé exploré longtemps dans la même s
ts fréquemment interrompus épuisant et fatiguant plus rapidement le
muscle
. Les mouvements ondulatoires une fois produits re
ement, alors môme que nous avions eu le soin de laisser reposer les
muscles
et d'interrompre toute excitation électrique non
s on- dulatoires se produisent non seulement pendant le temps où le
muscle
su- bit l'excitation électrique, comme on parai
ut... (Maladie deThomsen), 28 sept. 1888. - Excitations faradiques du
muscle
droit antérieur de la cuisse ganeLe ; apparition
mières lignes A et B, qui représentent le début de l'expérience, le
muscle
n'ayant pas été exploré depuis 24 heures, les cho
ériodiques ; 2° le signe d'A. Robertson et la paralysie de certains
muscles
de l'oeil amenant la diplopie; 3° l'absence des
ticulier des rapports qui unissent l'étal du système nerveux et des
muscles
au dévelop- pement et à la nutrition des os, el
vation, l'auteur attribue la scoliose a l'a- trophie musculaire des
muscles
spinaux. L'atrophie a envahi successive- ment l
une forte prédominance de la maladie à gauche. Il est vrai que les
muscles
du tronc n'étaient pas altérés. / Quoi qu'il en
ablement affaiblis. Secousses et tremblements fibrillaires dans les
muscles
, surtout du côté droit. i Mensuration de la cir
yotrophie notable, si ce n'est aux mains. Réactions électriques des
muscles
; d'après l'examen de M. Vigoureux : lor et 20
gauche. On note également des trem- blements fibrillaires dans les
muscles
de l'avant-bras droit, et parfois, quand le mal
pas de constate ! par la vue ni par le palper le volume relatif des
muscles
des gouttières vertébrales comparées d'un côté à
sensitifs et musculaires. Pathogénie. Both, ayant remarqué que les
muscles
transversales épi- neux présentaient souvent un
ose paralytique surviendra dans les cas, d'ail- leurs rares, où les
muscles
sacro-lombaires sont frappés de paralysie. Nous
lter d'une inclinaison vicieuse du bassin. Des rétractions dans les
muscles
fléchisseurs de la cuisse sur le bassin, s'oppose
gauche. Autant que l'asymétrie du tronc permettait d'en juger, les
muscles
moteurs du rachis étaient indemnes, et de force
se localise rarement, si ce n'est à la première pé- riode, dans les
muscles
du tronc, et qu'elle « n'y entraîne point les phé
essivement t facile C'est donc sûrement le manque de résistance des
muscles
spi- naux qui est la cause de la déviation vert
de la théorie précédente. Il ajoute que peut-être la faiblesse des
muscles
prédomine à droite et qu'il n'y aurait rien là
e la part d'une maladie qui commence d'habitude par s'attaquera des
muscles
isolés (interosseux du pied, etc.). Tabes. Kr
ant du mois qui précède la mort, on note un « af- faiblissement des
muscles
extenseurs du dos, à droite, d'où scoliose vers l
. CHAPITRE II 1)I : W1'l'IO\S l'.11t PARALYSIE OU CONTRACTURE DES
MUSCLES
.MOTEURS OU RACHIS. Nous étudierons dans ce c
exclusivement liées à la paralysie ou à la contracture de certains
muscles
moteurs du rachis. Nous écarterons pour le moment
expliquent la genèse de diverses déviations par l'intervention des
muscles
. Nous nous en tiendrons aux faits bien établis,
is en évidence et clairement expliqué, une paralysie symétrique des
muscles
moteurs du rachis lombaire produit la lordose,
nistes. Supposons une paralysie des /léalhisseurs, c'est-à-dire des
muscles
dela paroi abdominale antérieure; l'ensellure l
e paralysie bilatérale des extenseurs lomúai- res, c'est-à-dire des
muscles
spinaux lombaires. La partie supérieure du tron
aîner celui-ci en arrière, l'autre active, c'est la contraction des
muscles
abdominaux. Pour que la verticale abaissée du cen
ES DÉVIATIONS VERTÉBRALES N É V R O PAT H I OU ES. 163 couchée. Les
muscles
contractures peuvent être douloureux il la pressi
ier systématiquement l'étal de la sensibilité cutanée au niveau des
muscles
atteints. Il est probable qu'on trouverait là des
ures. a. Celles-ci affectent une prédilection particulière pour les
muscles
pu- rement fléchisseurs latéraux de la colonne
dire le carré des lombes et peul-être les inter-lransversaires. Ces
muscles
déterminent, d'a- près Duchenne, une simple fle
simple flexion latérale de la colonne vertébrale, tan- dis que les
muscles
spinaux lombaires produisent, en même temps que
Duret. Il semble donc que la contracture épargne d'ordi- naire les
muscles
de la masse sacro-lombaire, nous verrons tout a l
a l'heure que, par contre, la paralysie unilatérale de ces derniers
muscles
se ren- contre et constitue une variété de scol
de scoliose. Outre la courbure lombaire dont la concavité répond au
muscle
contrac- ture, il se produit une courbure dorsa
co- lonne, el cette manoeuvre peut provoquer de la douleur dans le
muscle
af- fecté. On sent d'ailleurs, en déprimant le
fecté. On sent d'ailleurs, en déprimant le flanc du côte infléchi, le
muscle
tendu el l'ésislanl. Assez souvent, le plus s
rré lombaire. Cette cyphose, en effet, n'était pas produite par les
muscles
antérieurs de l'abdomen, qui étaient manifestemen
le membre supérieur gau- che et la face, avec contracture de divers
muscles
, particulièrement aux membres supérieurs, à l'é
vertèbres ne sont pas déformées. La paralysie peut frapper soit les
muscles
spinaux lombai- res seuls, soit les muscles spi
e peut frapper soit les muscles spinaux lombai- res seuls, soit les
muscles
spinaux lombaires et dorsaux du même côté. Ces
nnement et dans leurs altéra- tions pathologiques (Duchenne). Les
muscles
spinaux lombaires sont-ils seuls affectés, il se
ers le côté malade, avec courbure de compen- sation dorsale. Si les
muscles
spinaux dorsaux participent à la lésion, il se
érale lombo-dorsale. La courbure qui se produit ainsi au niveau des
muscles
atteints est en- gendrée par l'action prépondér
des muscles atteints est en- gendrée par l'action prépondérante des
muscles
de même nom du côté sain, qui infléchissent la
ations que nous venons de signaler. Dans la lordose paralytique des
muscles
abdominaux, un « corset pro- thétique de l'ahdo
éera à l'insuffisance musculaire. Dans la lor- dose paralytique des
muscles
spinaux lombaires, on pratiquera l'électrisa- t
spinaux lombaires, on pratiquera l'électrisa- tion localisée de ces
muscles
. Dans la cyphose cervico-dorsale par paralysie
ères maintenant les épaules en arrière ; on renforcera l'action des
muscles
paralysés et aussi du long dorsal par l'électri
HIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Résumé. Les paralysies et contractures des
muscles
moteurs du rachis détermi- nent des déviations.
ns se produisent dans le plan médian, quand la lésion porte sur les
muscles
extenseurs ou fléchisseurs d'une fa- çon bilnér
ce d'une manière asymétrique. La guérison de l'état pathologique du
muscle
est suivie du redressement de la colonne infléc
excitation (2), renouvelée secondes après la fin de la première, le
muscle
se comporte comme un muscle normal. Il en est de
econdes après la fin de la première, le muscle se comporte comme un
muscle
normal. Il en est de même pour les trois excita
lques secondes d'intervalle. Il n'y a plus de spasme myotonique; le
muscle
esl en tétanos très incomplet et, à chaque ouvert
centimètres comme pour les deux lignes précédentes, l'excitation du
muscle
est prolongée pendant 27 secondes, toujours avec
ombre d'intermittences (6 1/2 par seconde), pendant l'excitation le
muscle
est plus fortement tétanisé, quoique restant en
ns dans la ligne du tétanos. Au moment où cesse l'excitation, f, le
muscle
se décontracté seulement en 1res faible proportio
nute, est très courte (2 secondes et 1/3); lorsqu'elle cesse, f, le
muscle
se décon- tracté lentement, et reste d'abord fo
ation le spasme myotonique appa- raît, puis quand elle cesse, f, le
muscle
se décontracté très lentement, et il est le siè
nous l'avons vu précédemment, excite davantage la conlractilité des
muscles
. Pour la première ligne l'excitation a été prol
ligne l'excitation a été prolongée pendant 49 secondes. Au début le
muscle
se contracte for- tement comme le montre l'élév
r de ce moment apparaissent des oscillations dans la contraction du
muscle
qui continue néanmoins à répondre par des contr
artie de l'excitation, a, ,, oc. Au moment où cesse l'excitation le
muscle
se décontracte faiblement, puis se contracte de n
tinuent pendant tout le temps que se fait la décontraction lente du
muscle
, c'est-à-dire pendant près d'une minute, ce n'e
re pendant près d'une minute, ce n'est qu'à ce moment, en W, que le
muscle
a regagné sa ligne de repos, Il. (En raison du
courte de 2 secondes seulement. Au moment où cesse l'excitation le
muscle
se comporte comme nous l'a- vons vu précédemmen
-à-dire qu'il se produit une petite contraction secondaire, puis le
muscle
se décontracte assez ra- pidement et atteint sa
le premier tour du cylindre, 1, 1. Au bout de 25 secondes, en ? le
muscle
regagne H c 7 C7 t7 r - 1 >1
l .. (Maladie de Thomsen), 28 sept. 1888. - Excitations faradiques du
muscle
droit antérieur delà cuisse gauche provoquées aus
. Boul... (Maladie de Thomsen), 1" oct. 1888. Réactions faradiques du
muscle
droit antérieur de la cuisse ; mouvements ondulat
croire la décontraction achevée el l'étal de repos rétabli, mais le
muscle
se gonfle de nouveau, recommence des mouvements o
ndulatoires recommencent au second tour du cylindre, 2, 2, 2, et le
muscle
ne retrouve définitivement l'état de repos qu'e
re pendant plus d'une minute et au courant de la décontrac- tion le
muscle
semble revenir à son état de repos pour recommenc
ois premières lignes représentent l'ins- cription recueillie sur le
muscle
droit antérieur de la cuisse gauche, la bo- bin
t interrompus momentanément par la tétanisation presqne complète du
muscle
, puis reprennent quand l'excitation a cessé et
cond lour du cylindre, c'est-à-dire pendant plus d'une minute. Le
muscle
droit antérieur de la cuisse droite examiné le mê
parfois d'une sorte de tremblement irrégulier, qui apparaît dans le
muscle
exploré en même temps qu'eux et cesse comme eux
citation prolongée pendant 45 secondes. A la lin de l'excitation le
muscle
reste fortement contracté, et pendant une minute
i... (Maladie de Thomsen), 28 sept. 1888. - Excitations faradiques du
muscle
droit antérieur de la cuisse droite. A et B, bobi
ement qu'au bout d'une minute, en ? à ce moment la décontraction du
muscle
n'est pas encore complètement achevée, mais elle
onique apparaît au cours de l'excitation ; lorsque celle-ci cesse, le
muscle
, au lieu de se décontracter, se contracte au co
pendant une dizaine de secon- des environ, b" à p ; à ce moment le
muscle
est fortement décontracté, mais n'est pas encor
nt, soit parce qu'on emploie des courants forts, soit parce que les
muscles
ont été fatigués par des explorations répétées
soit, peut-être encore, par suite de dispositions particulières des
muscles
, sous l'influence du froid, par exemple, ou bie
seconde, produisent au début de la première excitation, lorsque les
muscles
ont été laissés auparavant suffi- samment en re
n spasme myotonique qui se résout gra- duellement, et qu'ensuite le
muscle
répond à chaque choc faradique par une contract
faradique par une contraction isolée et étendue comme le ferait un
muscle
normal. Pen- dant les excitations suivantes rép
excitations suivantes répétées à quelques secondes d'intervalle le
muscle
continue à se comporter comme un muscle normal ;
es secondes d'intervalle le muscle continue à se comporter comme un
muscle
normal ; à la fin de cha- que excitation il se
roduit dans ces conditions. Ces tracés A, B, C, ont été pris sur le
muscle
droit antérieur de la cuisse du côté gauche, un
ensuite progressi- vement. Mais, au moment où cesse l'excitation le
muscle
au lieu de revenir à l'état de repos se gonfle
e de nouveau et reste à demi-contracté. Quelques secondes après, le
muscle
étant encore dans cet état de demi-contraction,
lle exci- tation est provoquée, B ; à cette troisième excitation le
muscle
se comporte à peu près comme à la seconde ; au
s. A ce moment quatrième excitation, B', même résultat immédiat, le
muscle
se comporte à peu près comme un muscle normal ;
, même résultat immédiat, le muscle se comporte à peu près comme un
muscle
normal ; puis, lorsque cesse l'excitation, on c
à la fin de l'excitation gonflement et relâ- chement alternatifs du
muscle
et décontraction lente pendant près d'une minut
ès que l'excitation a pris fin, la persistance de la contraction du
muscle
avec des alternatives de gonflement et de relâ-
traction lente continue il se faire régulièrement jusqu'à ce que le
muscle
ai t atteint sa ligne de repos, en w, plus d'un
rès la fin de l'excitation. -La ligne suivante E montre comment les
muscles
se comportent dans les conditions que nous étud
Thomsen. On voit qu'ils peuvent être produits par l'excitation des
muscles
avec les courants faradiques dans certaines condi
e forts courants, ou bien après des excitations réitérées d'un même
muscle
. Certaines autres conditions, le froid par exempl
froid par exemple, ou un degré plus prononcé dans l'altération des
muscles
, nous paraissent aussi avoir une influence mani
COURANTS GALVANIQUES. Les troubles de l'excitabilité galvanique des
muscles
, dans la maladie de Thomsen, ne présentent pas
ette augmentation se manifeste encore par ce fait qu'en excitant un
muscle
on voit apparaître aussi des contractions dans le
courants plus forts. On reconnaît facilement sur un grand nombre de
muscles
cette lenteur, cette paresse, et ce caractère ton
t ce caractère tonique des contrac- tions soit parce qu'on voit les
muscles
se tendre lentement et progressive- ment, soit
e contraction d'ouver- ture atteint suivant les cas, et suivant les
muscles
de 5 à 30 secondes. (On verra sur les tracés qu
nt intense, on voit d'abord apparaître une contrac- tion tonique du
muscle
, puis celui-ci continue à être agité de mouvement
ions quantitatives et qualitatives de l'excitabilité galvanique des
muscles
se retrouvent à peu près telles qu'elles ont ét
s secousses de fermeture ; celles-ci se produi- saient, suivant les
muscles
, à 1/2, 3/4, 1 ou 2 milliampères. Mais presque
meture ; de plus on y voit qu'a- près cette secousse d'ouverture le
muscle
reste encore contracté pendant un temps très ap
e négatif, le ÉTUDE DE L'EXCITABILITÉ ÉLECTRIQUE DES MUSCLES. 181
muscle
qui se décontractait lentement se décontracte bru
ns d'énumérer en consultant les tableaux et les tracés suivants :
muscle
biceps brachial DROIT (22 sept. 1888). 182 NOUV
OIT (22 sept. 1888). 182 NOUVELLE iconographie DE la SALPÊTRIÈRE.
muscle
DROIT antérieur DE la cuisse gauche (21 sept. 188
isse gauche (21 sept. 1888). ÉTUDE DE L'excitabilité ÉLECTRIQUE DES
MUSCLES
. 183 184 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈR
DE LA SALPÊTRIÈRE. ' était appliquée sur le point électro-moteur du
muscle
et était constituée par le myographe de Marey,
nganèse. Tous les tracés que nous reproduisons ont été pris sur les
muscles
que nous avons choisis, déjà, dans la plupart d
ujours des troubles moteurs plus ou moins mar- qués dans le jeu des
muscles
extrinsèques, qui font mouvoir les globes. Déje
de Troubles du côté de l'appareil respiratoire; Adseren dit que les
muscles
de la respiration peuvent être pris; son malade
lante, causées probablement par les contractions spasmodi- ques des
muscles
des lèvres et de la bouche. Il n'y a pas de (ro
particulier les doigts et les orteils, la face et parfois certains
muscles
du tronc. Par suite de ces contractures il est
La parole aussi est Iroublée par suite de l'état de contracture des
muscles
de l'articulation; elle se rapproche plutôt à la
ctées, il y a une contracture plus ou moins pro- noncée de tous les
muscles
. Ces mêmes raideurs, ces contractures existent
ouvements volontaires ; elles sont très appréciables aussi dans les
muscles
de la face, surtout lorsque les malades parlent.
de nouveau : elle» ne sont pas cependant d'habitude telles que les
muscles
ne puissent mouvoir leurs membres ou qu'il ne s
raideur, il y a une contracture plus ou moins prononcée de tous les
muscles
. Cette même rigidité, ces contractures existent
ouvements volontaires ; elles sont très appréciables aussi dans les
muscles
de la face. Ces contractures finissent par déterm
thétose. Il y a une contracture plus ou moins prononcée de tous les
muscles
. Ces mêmes raideurs, ces contractures existent
éciables aussi dans les ÉTUDE CLINIQUE SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE. 195
muscles
de la face surtout lorsque les sujets parlent. Qu
urviennent des « secousses fulgurantes », particulièrement dans les
muscles
de la nuque et des épaules, mais dans d'autres
par des excitations diverses, pincement de la peau, percussion des
muscles
, etc., souvent il existe des contractions muscu
t leur ressemblance avec des secousses électriques; 3° le siège des
muscles
atteints. Aussi est-il facile d'après ces diffé
ents convulsifs sié- geant dans la langue, les lèvres et les autres
muscles
de la face. Les tremblements de la sclérose en
le attitude devient à la longue très voisine de la contracture; les
muscles
fléchisseurs latéraux de la colonne lombaire en
nier point. Peut être faut-il faire intervenir aussi l'atrophie des
muscles
latéraux du rachis lombaire du côté de la sciat
vé par la dissection qu'une branche du plexus sacré se distribue au
muscle
sacro-lombaire après avoir passé par le premier
s'explique, d'après cet auteur, la possibilité d'une parésie de ce
muscle
directement liée à la scialique. On a dit aussi
s- ses musculaires, pouvaient rendre douloureuse la contraction des
muscles
. C'est ainsi que L. Laquer (1) cherche à expliq
la pathogénie. L'exploration du flanc du côté malade montre que les
muscles
sonl con- tractures et douloureux à la pression
de, l'exagération du réflexe rotulien et un état de contracture des
muscles
périarticulaires déterminant une pseudo-ankylose
xemple. L'état spasmodique peut s'étendre, d'après M. Brissaud, aux
muscles
tributaires du plexus lombaire, d'où la scolios
nt chez les hémiplégiques et dans les divers cas de contracture des
muscles
fléchisseurs latéraux du rachis lombaire, elle
us sous les yeux, cette contracture n'était pas appréciable, et les
muscles
en question se laissaient distendre aisément. U
cette hypothèse ce n'est pas la contracture, mais la paralysie des
muscles
fléchisseurs latéraux lombaires, qui engendrerait
me mécanisme qui détermine une lordose dans le cas de paralysie des
muscles
extenseurs directs du rachis lombaire. Voici la
lors, ce n'est plus seulement l'état de tonicité ou d'activité des
muscles
du côté droit prépon- dérants, mais encore le p
prépon- dérants, mais encore le poids du tronc qui lutte contre les
muscles
gau- ches. Ceux-ci, paralysés, ne sauraient réa
tronc, remplace et pour ainsi dire supplée la puissance active des
muscles
fléchisseurs gauches. Ainsi se trouve assurée la
nous proposons est identique à celui de la lordose paralytique des
muscles
extenseurs lombaires. Les termes sont superposa
déjetés vers le côté paralysé. Ainsi, la prépondérance d'action des
muscles
du côté sain peut théori- quement provoquer, au
n peut théori- quement provoquer, aussi bien que la contracture des
muscles
du côté op- posé, la déviation que nous venons
tôt d'un état spasmodique, et peut-être parfois d'une paralysie des
muscles
moteurs du rachis. Myopathies primitives. .
dans le type Erb, dans le type Landouzy-Déjerine une altération des
muscles
ex- tenseurs de la masse sacro-lombaire. Il en
« Duchenne, dit-il, at- tribue cette déformation à la faiblesse des
muscles
extenseurs du tronc, mais elle me paraît due pl
, suivant nous, à cette dernière. D'ailleurs dans cette maladie les
muscles
fessiers et les muscles du mollet sont particul
dernière. D'ailleurs dans cette maladie les muscles fessiers et les
muscles
du mollet sont particulièrement frappés. Aussi,
ans la station debout, les malades ont-ils intérêt à faire agir les
muscles
antago- nistes, c'est-à-dire les muscles fléchi
s intérêt à faire agir les muscles antago- nistes, c'est-à-dire les
muscles
fléchisseurs du bassin sur la cuisse et ex- ten
s. Si le centre de gravité était en avant de celles-ci, ce sont les
muscles
fessiers surtout qui auraient à lutter contre l
Chez deux malades de ce genre, atteints d'atrophie très marquée des
muscles
des gouttières vertébrales, nous avons vainemen
z deux autres myopathiques, nous avons trouvé, outre l'atrophie des
muscles
spinaux et la lordose consécutive, une très faibl
ut prolongée. Conclusion : les myopathiques atteints d'atrophie des
muscles
des gout- tières vertébrales et de la masse sac
font dans le sens antéro-postérieur quand l'altéra- tion frappe les
muscles
qui meuvent le rachis dans le plan médian. Elles
observées dans les cas de paralysie ou d'atrophie symétrique 1° des
muscles
abdominaux, fléchisseurs du rachis lombaire (une
ux variétés de lordose paralytique de Duchenne de Boulogne), 2° des
muscles
sacro-spi- naux, extenseurs du rachis lombaire
lombaire (autre variété de lordose paralytique de Duchenne), 3° des
muscles
extenseurs de la colonne dorsale et cervicale {
re d'un seul côté ; la scoliose est alors due à la prédominance des
muscles
symétriques. Il se produit une convexité lombaire
sation dorso-cervicale. Quand la paralysie frappe il' la fois les
muscles
sacro-lombaires et les muscles spinaux dorsaux
la paralysie frappe il' la fois les muscles sacro-lombaires et les
muscles
spinaux dorsaux du même côté, elle donne lieu à u
toujours, de nature hystérique. Elle siège le plus souvent dans le
muscle
carré des lombes; dans ce cas elle ne s'accompa
ère analyse toutes ces scolioses sont dues à l'action dominante des
muscles
moteurs du rachis d'un côté du corps ; il existe,
achis d'un côté du corps ; il existe, soit un excès d'action de ces
muscles
, soit un défaut d'action des muscles du côté oppo
soit un excès d'action de ces muscles, soit un défaut d'action des
muscles
du côté opposé. L'évolution de ces déviations p
scussion de ce genre. Nous ne croyons pas que l'action vicieuse des
muscles
moteurs du ra- chis ait pu produire la scoliose
faite dans le sens latéral. S'agit-il d'une faiblesse relative des
muscles
d'un côté ? D'après les des- criptions des aute
nt pas un pareil degré, même lorsque la para- lysie unilatérale des
muscles
spinaux coïncide, comme dans certains cas de pa
s sommes disposé à accorder un certain rôle à l'action anormale des
muscles
. Celle-ci peut produire à elle seule des déviatio
tres causes, à savoir, un certain état parétique et spasmodique des
muscles
du tronc et même un défaut de développement des
es sujets dont le système musculaire est faiblement développé ; les
muscles
situés de chaque côté du rachis cessent de le m
origine nettement musculaire démontre qu'une faiblesse générale des
muscles
des gouttières vertébrales, portant sur les deu
s, celles-ci étaient tout à fait insignifiantes. Et pour- tant, les
muscles
des gouttières vertébrales étaient autrement atro
de la ramener dans la position normale, on rencontre de la part des
muscles
une certaine résistance dont on triomphe sans p
ance dont on triomphe sans provoquer de douleurs. L'exploration des
muscles
du cou montre le sterno-mastoidien et le trapèz
. (Maladie de Thomsen), 27 juillet 1888. - Excitations galvaniques du
muscle
droit antérieur de la cuisse gauche. 1° à 5*
sur le tracé une forme arrondie ou en plateau, la décontraction du
muscle
se fait lentement, même avec des courants assez
urbe se relève de nouveau, la dépression précédente a disparu et le
muscle
se contracte régulièrement et en totalité ; il
hute brusque de la courbe, c'est-à-dire une décontraction rapide du
muscle
, mais celle-ci n'est que partielle et la décontra
décontraction continue à se faire paresseusement jusqu'à ce que le
muscle
ait regagné son état de repos. Les secousses de
tes dépressions localisées au-dessous de l'élec- trode ; de plus le
muscle
se maintient contracté beaucoup moins longtemps
ressemblent beaucoup aux contractions tétaniques provoquées sur des
muscles
normaux avec des courants d'une intensité élevé
longtemps et, pour éviter de modifier peut-être l'excitabilité des
muscles
par un courant de longue durée, nous no- tions
ons, dans la figure 27, l'inscription de réactions galvani- ques de
muscles
normaux recueillie sur un autre malade de la clin
- ves, instantanées et sans durée. Aussitôt après la contraction le
muscle
se décontracte brusquement et complètement. Au
t normal. Elle montre qu'après la secousse initiale de fermeture le
muscle
ne se décontracte pas complètement mais reste, pe
s courants plus forts. La comparaison de ces tracés, pris sur des
muscles
normaux, avec les tracés recueillis sur notre m
orme de la contrac- tion, même dans les cas où les contractions des
muscles
normaux devien- nent tétaniques. Enfin dans l
siques pour les secousses produites par l'excitation galvanique des
muscles
normaux et il est inutile d'y insister davantag
atteint de maladie de Thomsen. Fig. 28. Excitations galvaniques du
muscle
droit antérieur de la cuisse chez un individu nor
mal. (Réduit au 1/3.) ÉTUDE DE L'LXCI'l'.1D1L1'l'É ÉLECTRIQUE DES
MUSCLES
. 233 On y voit que les secousses de PF sont len
elle est suivie aussitôt de la décon- traction presque complète du
muscle
, puis celui-ci achève de .se décontrac- ter len
faibles, 15 et 12 milliampères, il n'y a plus de secousse il NO, le
muscle
se décontracte aussitôt, d'abord brusquement, p
la figure 29 font suite aux précédents et ont été pris sur le même
muscle
, le même jour, après un repos de 10 minutes. Ils
rèves el se rapprochent notablement des secousses produites sur des
muscles
normaux. Sur les tracés de la figure suivante,
ul... (.Maladie du Titomsen), 3 août l8tt ? livcUaUUns galvaniques du
muscle
droit antérieur de la cuisse gauche. Secousses
... (Maladie de Thomsen), 3 aofit 188S. - Excitations galvaniques du
muscle
droit antérieur de la cuisse gauche. Secousses
oul... (Maladie de Thomsen), 4 août 1588.- Excitations galvaniques du
muscle
droit antérieur do la cuisse gauche. Secousses
es. A l'ouverture du courant il ne se produit pas de secousse et le
muscle
se décontracté lentement. Pour la ligne suivant
tion tonique. Au moment de l'ouverture il n'y a pas de secousse, le
muscle
se décontracté d'abord rapidementpuislentement. A
temps encore elles sont suivies d'un état de contraction Ionique du
muscle
, moins prononcé toutefois pour les dernières ex
ses. On voit qu'il se trouve bien au-dessus de la ligne de repos du
muscle
, surtout au com- 236 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE L
graduellement pour se rapprocher, à la fin, de la ligne de repos du
muscle
. Ceci indique que le muscle, en outre des secou
cher, à la fin, de la ligne de repos du muscle. Ceci indique que le
muscle
, en outre des secousses qui se produisent il la f
encore l'expérience, pour le pôle négatif, a été faite sur le même
muscle
, dans la même journée, après un repos de quel-
, si elles eussent été faites, comme celles du pôle positif, sur un
muscle
resté pendant 24 heures au repos de toute excit
... (Maladie de Tliomsen), 13 août 1888. - Excitations galvaniques du
muscle
droit antérieur de la cuisse gauche. Secousses
nitiale, brève, suivie d'une décontraction par- tielle et rapide du
muscle
, qui reste longtemps encore ensuite en état de
sse petite, lente et to- nique, suivie d'une décontraction lente du
muscle
, comme nous l'avons constaté déjà sur les tracé
initiale un crochet indiquant une faible décontraction partielle du
muscle
. A partir de la 10e minute ce crochet est très
... (Maladie de Thomsen), 13 août 1888. - Excitations galvaniques du
muscle
droit antérieur de lacuissedroite. Secoussesdef
re- marquer que les tracés des figures 32 et 33 ont été pris sur le
muscle
droit t antérieur de la cuisse droite qui, ains
des troubles de la réaction myotonique beaucoup plus accusés que le
muscle
homologue cle la cuisse gauche.) Il était facil
oul... (Maladie de Tliomsen), Il août 188. Excitations galvaniques du
muscle
droit antérieur de la cuisse droite. Secousses
210 NOUVELLE ICONOGRAPTIIE DE LA SALPÊTRIÈRE. se produit dans le
muscle
, avec le pôle posilif, une première contraction
i passer en revue les modifications de l'excitabilité mécanique des
muscles
et celles de l'excitabilité mécanique, faradique
ul... (Maladie de 111Omsell) ? 4 JUllltl 1888. Ëxcnauonssainnjues des
muscles
de la cuisse gauche ; mouvements ondulatoires.
tatrice placée au-dessus de la rotule, myographe inscripteur sur le
muscle
droit antéiieur.) (Réduit au 1/3.) ÉTUDE DE L'E
es; nous allons les signaler brièvement. Excitabilité mécanique des
muscles
: Elle est très augmentée, pour un grand nombre
ique des muscles : Elle est très augmentée, pour un grand nombre de
muscles
, notamment aux vastes internes et externes et a
un sillon à l'endroit percuté, mais encore la contraction totale du
muscle
; le muscle reste alors longtemps contracté et ne
l'endroit percuté, mais encore la contraction totale du muscle; le
muscle
reste alors longtemps contracté et ne se relâche
lâche que très lentement. Cette contraction persistait sur certains
muscles
au delà d'une minute. Ainsi nous l'avons vue se
ès lente. De plus, pendant tonte la durée de cette décontraction le
muscle
est agité de petits mouvements irréguliers, ana
us avons étudiés plus haut à propos de l'excitabilité faradique des
muscles
(Voy. partie I, section C). L'existence de ces
s volon- taires et aussi aux contractions par excitation directe du
muscle
lui-même qui sont torpides. Parfois, cependant,
ue le temps perdu entre l'excitation du tendon et la contraction du
muscle
était plus long 242 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA
statation analogue a été faite pour la contractilité électrique des
muscles
: M. Blumenau (Soc. de psychiatrie de St-Pétm's
té du courant devenait assez grande que le tétanos produit dans les
muscles
innervés par le nerf présentait une durée se prol
'excitabilité mécanique, fara- dique et galvanique des nerfs et des
muscles
signalées par Erb, et groupées (1) An. in Neuro
de l'excitabilité des nerfs moteurs et celles de l'excitabilité des
muscles
sont très différentes. Pour les nerfs moteurs l
urée toutefois est moins grande que pour l'excita- tion directe des
muscles
. C'est, en effet, par l'excitation musculaire d
tes des contractions. Cette façon différente, dont les nerfs et les
muscles
se comportent vis-à-vis des agents qui provoquent
ications de l'excitabi- lité mécanique, faradique et galvanique des
muscles
considérées en parti- culier. Muscles : Leur
faradique et galvanique des muscles considérées en parti- culier.
Muscles
: Leur excitabilité mécanique est très notablemen
et au point percuté. Lorsque la per- cussion est plus énergique, le
muscle
tout entier peut entrer en contrac- tion et for
24t NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. variable suivant les
muscles
, et aussi suivant l'intensité de l'excitation;
ns cas, peuvent dépasser une minute. L'excitabilité faradique des
muscles
est aussi manifestement accrue : des courants a
is des cas de maladie de Thomsen, dans l'excitabilité faradique des
muscles
, à propos de la réaction myotonique. Tontes ces
plus en plus des secousses normales, et à la fin de l'excitation le
muscle
se décontractait comme un muscle normal, instan
es, et à la fin de l'excitation le muscle se décontractait comme un
muscle
normal, instantanément et complètement, si l'ex
ulatoires. La résolution du spasme myotonique une fois produite, le
muscle
semblait revenu à des conditions normales de co
ès on renouvelait l'excitation faradique, il se comportait comme un
muscle
normal, et ainsi de même tant qu'on ne l'avait
les excitations étaient courtes (de quelques secondes seulement) le
muscle
, au moment où cessait l'excitation, était en ét
- citations courtes n'épuisaient que très lentement la tendance des
muscles
il entrer en état de spasme myotonique et on po
qu'on n'avait pas fait dispa- raître cetle disposition spéciale des
muscles
soil par uue excitation pro- longée, soit par d
quemment et coup sur coup. Dans certaines conditions, lorsque les
muscles
se trouvaient fatigués par des explorations rép
ète que nous avons signalée après l'épuisement de la disposition du
muscle
au spasme myotonique. Ces mouvements ondulato
onnaître en même temps l'indice d'une altération plus accentuée des
muscles
? Nous serions assez porté à admettre, dans une
oires, chez le même malade, par la seule exci- tation mécanique des
muscles
, et nous inclinons à penser que ces mouve- ment
ments se produisent d'autant plus facilement que les altérations des
muscles
atteignent un degré plus élevé. 3° Avec des c
mment inter- rompus provoquent le tétanos électro-physiologique des
muscles
, les parti- cularités que nous avons signalées
a- tion, suffisamment prolongée pour avoir épuisé la disposition du
muscle
au spasme myotonique, la décontraction se produ
uites quelques secondes après provoquent la tétanisation normale du
muscle
, sans spasme myotonique, la décontraction du mu
tion normale du muscle, sans spasme myotonique, la décontraction du
muscle
se fait de nouveau instantanément et totalement d
cesse l'excitation, et ainsi de suite, tant qu'on n'a pas laissé le
muscle
en repos un temps suffisant pour que la disposi
au spasme myotonique repa- raisse, ou tant qu'on n'a pas fatigué le
muscle
au point de produire des mouvements ondulatoire
fois, ces excitations courtes épuisant lentement la disposition des
muscles
à la production du spasme myotonique. Mais il
régularité des phénomènes précédents. L'excitabilité galvanique des
muscles
est augmentée aussi d'une façon manifeste. Cett
tions musculaires, mais aussi par le fait qu'en excitant tel ou tel
muscle
il se produit souvent des contractions dans des m
t tel ou tel muscle il se produit souvent des contractions dans des
muscles
voi- sins, par propagation du courant. , ÉTUD
r propagation du courant. , ÉTUDE DE L'EXCITABILITÉ ÉLECTRIQUE DES.
MUSCLES
. 2t7 Sous le rapport qualitatif il existe aussi
des modifications importantes dans la contractilité galvanique des
muscles
. Tandis qu'à l'état normal le pôle négatif a su
ême leur prédominance est intervertie. De plus les contractions des
muscles
sont, môme avec de faibles courants, lentes, pa
ales. Enfin un dernier trouble dans la contractilité galvanique des
muscles
, dans la réaction myotonique, est la production
différente est appliquée plutôt sur les terminaisons tendineuses des
muscles
que sur les muscles eux-mêmes. Ils se montrent
uée plutôt sur les terminaisons tendineuses des muscles que sur les
muscles
eux-mêmes. Ils se montrent également lorsque l'on
mbe. On voit, alors, bientôt apparaître une contraction tonique des
muscles
, u laquelle succède des mouvements rythmés, ond
e l'examen. Tous ces moyens, en somme, nous pa- raissent placer les
muscles
dans les conditions où nous avons vu se pro- du
on myotonique, portent presque exclusivement sur l'excitabilité des
muscles
; tandis, en effet, que l'excita- (1) Deutsch.
24U bilité cles nerfs reste il peu de chose près normale, celle des
muscles
se trouve profondément modifiée sous le rapport
s ou des excitations violentes, capables de produire la fatigue des
muscles
, provoquent t'appari tion des mouvements ondula
ortance de celle réaction myotonique c'est qu'elle est spéciale aux
muscles
atteints de maladie de Thomson. Jusqu'à présent,
de névrites périphériques l'excitation mécanique et électrique des
muscles
provoque des contractions toniques et persistante
action myotonique. Pour ne parler que de l'excitabilité faradique des
muscles
nous dirons seulement que : 1° cette excitabili
persistantes ; celles-ci sont douloureuses ; pendant leur durée le
muscle
est contracté au maximum, très dur, et en état
spasme myotonique, suivi bientôt du retour graduel et progressif du
muscle
aux conditions de l'excitabilité hormale. - Nou
il avait constaté ces modifications dans l'excitabilité de certains
muscles
et qu'il a bien voulu nous montrer. v 17 250
au-dessus de l'objet avant de le saisir. Enfin pas de rai- deur des
muscles
. Quant à la parole, elle est surtout scandée, c
tétanie aux bras et sur- tout aux doigts, s'étend de là à tous les
muscles
brachiaux et puis aux ex- 256 NOUVELLE ICONOGRA
oduire dans le vagin, d'après la comparaison de Trousseau.) - Les
muscles
du tronc, de la face et le diaphragme sont assez
que le remède pénètre et agisse à souhait. Dans cet effort Lous les
muscles
de la face entrent en action, le front se pliss
émaciation prononcée : les os sont saillants sur tout le corps, les
muscles
très accusés, la peau terne, flasque, froide et
tés droites est saillant et sou- lève l'omoplate correspondante, le
muscle
trapèze se trouve également soulevé à droite et
r la petite malade, do la mettre en émotion, tout de suite tous les
muscles
de la face se contractent simultanément et en mêm
supérieurs émaciés ; les mains sont cyanosées ; raideur de tous les
muscles
du bras et de l'avant-bras ; les bras sont appliq
membrane d'aspect gangreneux. La paroi thoracique de l'autre côté (
muscles
intercostaux, parties molles superficielles) of
sive du début, l'arrêt de développement avec atrophie des os et des
muscles
du côté pa- ralysé, la contracture avec déforma
xes', il est impossible de l'évaluer, à cause de la contracture des
muscles
et de leur instabilité. Les réflexes sont norma
: La sensibilité électrique est abolie à droite pour la peau et les
muscles
; elle est très vive au contraire du côté gauch
tracture du pied droit, qui est en varus équin, en agissant sur les
muscles
antagonistes. La résistance, mesurée au courant
es des membres et d'arrêt de développement des os ; l'intégrité des
muscles
et de leurs réac- tions électriques. Enfin, si
i-ci est enflammé ou hype- rémié. On peut môme espérer agir sur les
muscles
des artères presque direc- tement parce qu'il n
ageux de le poser entre le cartilage thyroïde et le bord interne du
muscle
stemo-clêido-mastoïdien. Ce rhéophore est alors
érable. Mais j'ai observé plus sou- vent une action antagoniste des
muscles
dilatateur et sphincter de la pu- pille ; par e
ale du grand sympa- thique contient, outre, les fibres destinées au
muscle
dilatateur de la pu- pille des fibres destinées
lade est embarrassé presque dès son retour par des contractions des
muscles
dont l'action lui est antagoniste. C'est à une ps
on des mucosités ne peut être expliquée que parles contractions des
muscles
des bronchioles. Une diminution de la tu- méfac
, est frappée d'apoplexie avec hémiplégie droite et roideur clans les
muscles
paralysés. Elle meurt le lendemain 5 octobre 1808
gidité très prononcée du membre supérieur du même côté ; rigidité des
muscles
postérieurs du cou; la face est tournée à droite.
étendue en largeur qui correspondait à celle de l'eschare cutanée, le
muscle
fessier était de couleur violacée, de consistance
es fragments de faisceaux primitifs provenant des parties altérées du
muscle
, comparés aux faisceaux pris sur les parties sain
nerfs moteurs servent de conducteurs aux irritations jusque dans les
muscles
. M. Charcot pense donc que les nerfs moteurs et
ature qui s'établit entre les parties où plonge le thermomètre et les
muscles
échauffés par la contracture (2). 1. En collabo
nique ; elle produit de la chaleur, et cette chaleur se communique du
muscle
au sang qui le traverse. L'élévation de la tempér
abar, soit par l'application d'un courant induit dans l'épaisseur des
muscles
des gouttières vertébrales ou directement sur la
rature monte à 39°, 2 ; une demi-minute après, elle est à 39°, 3. Les
muscles
redeviennent flasques et la température redescend
Température rectale avant l'expérience 39°, 5. Introduction dans les
muscles
des gouttières des rhéophores d'une bobine de Ruh
des convulsions ressemblant à celles de l'épilepsie, mais bornées aux
muscles
du cou et à ceux de la face. Du 7 au 10, l'état
spasmodiques, saccadés, se succédant très rapidement, s'emparent des
muscles
du côté gauche de la face et du cou. A chaque sec
endemain survient un accès de convulsions épilep-tiformes bornées aux
muscles
du cou et de la face. Un nouvel accès convulsif,
entraîné au dehors, tandis que l'œil gauche est porté en dedans; les
muscles
du côté droit du cou se contractent convulsivemen
douleurs, quelquefois très-vives, qui peuvent se manifester dans les
muscles
ou dans les articulations des membres paralysés.
n ou les mouvements ; elles dépendent d'une inflammation subaiguë des
muscles
et des articulations qui, bien à tort, est souven
dans les parties même où elles se manifestent, c'est-à-dire dans les
muscles
, par exemple, dans les articulations. Je ne sac
'a pensé l'auteur que nous venons de citer, à une subinflammation des
muscles
, et nous pensons, au contraire, qu'elles relèvent
it un peu !. Voir : Corail.— Notes sur les lésions des nerfs et des
muscles
dans les hémiplégies! Comptes rendus cl mémoires
soulevés, la face ainsi que les yeux sont dirigés vers la droite. Les
muscles
du cou sont rigides, ceux du coté droit surtout.
aucune apparence d'injection vasculaire. (PL IV, figure 7, A. B.) Les
muscles
du bras ont paru présenter des deux côtés les car
raient par la pression exercée sur le trajet des cordons nerveux. Les
muscles
des membres paralysés ne présentaient aucune alté
de pneumonie lobaire. Dissection du membre supérieur gauche. — Les
muscles
de la partie antérieure du bras et de l'avant-bra
partie antérieure du bras et de l'avant-bras ne diffèrent en rien des
muscles
correspondants du côté opposé. Ils ont, comme ceu
aître de différence histolo-gique entre nerf droit et le gauche. Le
muscle
biceps du côté droit est un peu moins volumineux
s yeux paraissent constamment dirigés vers le côté droit; rigidité du
muscle
sterno-cléïdo-mastoïdien gauche. Les plis de la j
que que présentaient, dans ce cas, les gaines séreuses des fendons du
muscle
extenseur commun des doigts au niveau du ligament
'hyper'excitabilité musculaire : il suffit d'exciter mécaniquement un
muscle
au travers de la peau, soit en pressant, soit en
lieu, quand on pratique l'élcc-trisation localisée. La contraction du
muscle
sur les membres persiste après l'excitation, pour
acture permanente; l'excitation d'un nerf provoque la contraction des
muscles
qu'il innerve. Ainsi, il suffit (l'une légère pre
oreille, au point où émerge le facial, pour amener la contraction des
muscles
du même côté de la face ; chaque muscle de la fac
ur amener la contraction des muscles du même côté de la face ; chaque
muscle
de la face touché isolément, se contracte isoléme
e sferno-masfoïdien fait tourner la tête suivant faction connue de ce
muscle
, c'est-à-dire que la face est dirigée du côté opp
de ce muscle, c'est-à-dire que la face est dirigée du côté opposé au
muscle
excité. L'excitation de l'antagoniste, c'est-à-di
e par l'excitation des extenseurs et inversement. En résumé, tous les
muscles
sont susceptibles de se contracter ainsi, et, sui
tient à \rolonté une contraction ou une contracture. A cet état des
muscles
, se joignent pour caractériser la léthargie hysté
ou point de rigidité musculaire; impossibilité de faire contracter le
muscle
par excitation mécanique. 2° Etat léthargique.
onvulsés en bas. La respiration était très-faible et irrégulière. Les
muscles
avalent perdu la propriété spéciale désignée sous
'on pourrait appeler la diathèse de contracture, c'est-à-dire que les
muscles
sont susceptibles de se contracturer sous l'actio
si attirée, en quelque sorte, sur un autre point du corps, quitte les
muscles
qu'elle avait primitivement atteints. Ainsi, supp
'oreille, et aussitôt vous voyez se contracter énergiquement tous les
muscles
de ce côté delà face, innervés par le facial, fou
ourant à la manière de Duchenne (de Boulogne). Je touche de même le
muscle
sterno-cléido-masfoïdien droit ; immédiatement, v
r du côté gauche, ce qui est l'effet produit par la contraction de ce
muscle
. Ces résultats ne peuvent être simulés par nos ma
e Ch. Bell. Je produis les mêmes effets, la contraction, sur tous les
muscles
que je touche légèrement. Si, au contraire, je
raction passagère, mais une contracture. Je touche plusieurs fois les
muscles
du bras droit, et vous voyez que la malade a une
; sa contracture du bras peut passer d'un côté à l'autre, et dans les
muscles
que nous voudrons, comme vous l'avez vu dans la s
e dans l'état que nous venons d'étudier. Alors la surexcitabilité des
muscles
existe ; la contracture pourrait être produite, e
tisme, pendant lequel nous avons constaté l'excitabilité spéciale des
muscles
et des nerfs. Pour vous montrer que cette expérie
és divers. Elle peut-être générale, c'est-à-dire s'étendre à tous les
muscles
de la vie animale, face, tronc, membres, ou, au c
ton, d'un manche de plume, par exemple, le tronc d'un nerf: alors les
muscles
qui sont tributaires de ce nerf entrent en contra
muscles qui sont tributaires de ce nerf entrent en contraction. Les
muscles
eux-mêmes peuvent être directement excités de la
xcitations un peu intenses et plongées déterminent la contracture des
muscles
mis en jeu ; à la face, au contraire, les contrac
s. Ces contractures, produites soit par l'excitation des nerfs ou des
muscles
, soit par la percussion exercée sur les tendons,
tendons, se résolvent rapidement sous l'influence de l'excitation des
muscles
antagonistes. Chez le sujet plongé dans l'état
lus haut, n'existe pas, ou autrement dit, l'excitation des nerfs, des
muscles
eux-mêmes, ou encore la percussion des tendons ne
ue. Il consiste sommairement en une aptitude spéciale que présente le
muscle
(2) à entrer en contracture sous l'influence d'un
on mécanique. L'excitation mécanique peut être portée sur le corps du
muscle
lui-même, sur son tendon ou sur le nerf dont il e
vail est reproduit ci-après, p. 310. ?. Il s'agit seulement ici des
muscles
de la vie animale. Charcot. (Euvr. compl. r. in
s de la vie animale. Charcot. (Euvr. compl. r. in, Hypnotisme. 20
muscles
, déterminée au moyen de l'électrisation localisée
nstantanément, et ce moyen consiste dans la friction exercée surs les
muscles
antagonistes. L'hyperexcitabilité neuro-muscula
ntracter successivement au moyen de la faradisation, les différents
muscles
de la face, suivant le procédé de Duchenne (de Bo
e disparaître instantanément toute trace d'hyperexcitabilité dans les
muscles
du côté du corps correspondant, en môme temps que
l'attitude imprimée aux membres, soit par l'excitation faradique des
muscles
de la face, peuvent se montrer également limités
hypnotique. — Les contractures produites par excitation mécanique des
muscles
pendant l'état léthargique, persistent souvent ap
riques, sur ce phénomène qui consiste en une aptitude particulière du
muscle
à la contracture sous l'influence de l'excitation
de Yhyperexcitabilité neuro-musculaire, qu'une simple malaxation des
muscles
de la face antérieure de l'avant-bras, par exempl
ue localisée soit au tendon, soit au rameau nerveux, soit au corps du
muscle
lui-même (1). § I. — Excitation du tendon. — ét
lles ont été nettement formulées par M. Westphal. En premier lieu, le
muscle
sur lequel on veut agir doit être placé dans un é
es tendineuses, détermine un ébranlement soudain de toute la masse du
muscle
. La contraction musculaire réflexe ne peut être p
a percussion du tendon est suivie alors d'une contraction soudaine du
muscle
qui soulève le segment du membre auquel il s'at
e et le choc sur le tendon donner lieu à une contraction plus vive du
muscle
directement intéressé, mais encore provoquer des
traduit les modifications survenues dans l'état de contraction de ce
muscle
. La ligne inférieure offre la même signification
cillations paraissent produites par des contractions alternatives des
muscles
extenseurs et des muscles fléchisseurs. — La cour
uites par des contractions alternatives des muscles extenseurs et des
muscles
fléchisseurs. — La courbe T. c. traduit les contr
s muscles fléchisseurs. — La courbe T. c. traduit les contractions du
muscle
extenseur du triceps crural. — On remarque sur
ation. Les nombreuses expériences faites sur elle, aussi bien sur les
muscles
des bras que sur ceux des jambes, ont donné les r
7 janvier 1881. — Le tambour myographique est placé sur le corps du
muscle
extenseur commun des doigts (avant-bras droit).
le prouvent les tracés des fig. 3 et h. L'excitation portée sur les
muscles
fléchisseurs de la main et des doigts nous a donn
ques centimètres au-dessus du poignet, sur la saillie des tendons des
muscles
palmaires. Comme dansTexpérience précédente, le c
et, en même temps que le réflexe irradié, on voit la contraction (du
muscle
directement excité, de même que celle du muscle é
it la contraction (du muscle directement excité, de même que celle du
muscle
éloigné du point d'excitation) tendre vers la con
s'est redressé, la tête est maintenue renversée par une rigidité des
muscles
de la nuque. En résumé, il s'est produit là une s
aussi qu'au point de vue de l'hyperexcitabilité neuro-musculaire les
muscles
de la face et ceux des membres sont soumis à un r
le pression est beaucoup plus efficace. D'où il suit également que le
muscle
sur le tendon duquel on opère n'a pas besoin d'êt
e abord si singulier, qui consiste à l'aire conlracfurer isolément un
muscle
en touchant simplement son tendon, ne présente en
ion du tendon et celle qui suit l'excitation des nerfs ou le corps du
muscle
lui-même. Fig. 8. — Contracture par pression br
nerfs. L'excitation mécanique des nerfs produit la contracture des
muscles
auxquels ils fournissent des rameaux. Afin d'évit
soit de la diffusion de l'excitation ou de sa propagation à d'autres
muscles
par l'intermédiaire des anastomoses nerveuses, il
d'être dans la distribution spéciale des rameaux du nerf cubital aux
muscles
de l'avant-bras et de la main. En effet, le ner
as et de la main. En effet, le nerf cubital fournit des rameaux aux
muscles
suivants : cubital antérieur ; fléchisseur profon
ant les deux faisceaux externes) ; interosseux dorsaux et palmaires ;
muscles
de l'éminence hypothénar ; les deux derniers lomb
autre côté, la physiologie nous fournit sur l'action de chacun de ces
muscles
des données que nous résumons dans le tableau sui
ésumons dans le tableau suivant : Action individuelle de chacun des
muscles
innervés par le nerf cubital. Cubital antérieur
ain. Flexion des premières phalanges. Extension des deux dernières.
Muscles
de l'éminence hypothénar (abducteur et court fléc
duire de là l'attitude spéciale que prendra la main, lorsque tous les
muscles
innervés parle nerf cubital entreront simultanéme
ur. Cette flexion n'est pas très énergique, parce que les deux autres
muscles
fléchisseurs du poignet, grand palmaire et petit
. Il ne se produit aucun mouvement de pronation ou de supination, les
muscles
qui président à ces mouvements, ne recevant aucun
n de la phalange et extension de la phalangette est évidemment due au
muscle
adducteur du pouce dont l'action peut s'effectuer
l'action peut s'effectuer librement. Les interosseux sont les seuls
muscles
innervés par le nerf cubital, de tous ceux qui me
etit doigt, est le résultat d'actions musculaires plus complexes. Les
muscles
innervés par le nerf cubital et qui ont quclqu'ac
t qui ont quclqu'ac-tion sur ces deux doigts sont nombreux. Parmi les
muscles
fléchisseurs, le fléchisseur sublime est le seul
ond, et les phalanges par les interosscux, les lombricaux et deux des
muscles
de l'éminence hypothénar (adducteur et court fléc
teur et court fléchisseur). Le mouvement d'extension que ces derniers
muscles
(interosseux, lombricaux) impriment aux deux dern
e intensité du courant pour que l'excitation se transmette à tous les
muscles
innervés par lui ; ce qui n'a pas lieu sans une a
rait s'expliquer par une distribution plus étendue du nerf cubital au
muscle
fléchisseur profond dont les deux faisceaux exter
internes. On pourrait admettre aussi qu'il existe dans l'intérieur du
muscle
des anastomoses nombreuses entre les terminaiso
e sa raison dans la distribution du nerf médian et la physiologie des
muscles
que ce nerf tient sous sa dépendance. Mais ici, l
bien difficile de ne pas exciter en même temps les parties voisines,
muscles
ou tendons. L'expérience est donc assez délicate,
à l'avant-bras et à la main. Le nerf médian fournit des rameaux aux
muscles
suivants : rond pronateur ; grand palmaire ; peti
ital) ; les deux lombricaux externes ; le carré pronateur ; enfin les
muscles
de l'éminence thénar moins l'adducteur du pouce i
cubital. Quelle est maintenant l'action partielle de chacun de ces
muscles
? Comme nous avons fait pour le nerf cubital, nous
à ce sujet dans le tableau suivant : Action partielle de chacun des
muscles
innervés par le nerf médian. Rond pronateur. —
s deux dernières phalanges et fléchisseurs de la première phalange.
Muscles
de Véminence thénar qui se rendent au côté extern
prendra le membre sous l'influence de Faction combinée de tous les
muscles
innervés parle médian. A priori, l'excitation du
e nous le verrons tout à l'heure. 'Pronation énergique. — Aucun des
muscles
innervés par le médian n'est supinateur, et ne pe
pinateur, et ne peut par cela même contre-ba-lancer l'action des deux
muscles
pronateurs (rond pronateur et carré pronateur).
carré pronateur). Flexion de la main sur l'avant-bras. — Sur trois
muscles
fléchisseurs de la main sur l'avant-bras (qui son
uxième. — Le mouvement d'opposition est exécuté par les faisceaux des
muscles
de l'éminence thénar qui s'attachent au côté exte
ence thénar qui s'attachent au côté externe de la phalange. Ces mêmes
muscles
à la manière des interosseux fléchissent sur le
avec d'autant plus d'énergie qu'il n'est contrebalancé par aucun des
muscles
extenseurs ; il n'en est pas de même du mouvement
rouver annulé par l'action du fléchisseur propre du pouce. Ce dernier
muscle
, en raison de sa masse musculaire, paraît même de
rer encore s'il est possible ; on voit alors l'action s'étendre à des
muscles
en dehors de la sphère du médian, aux muscles de
'action s'étendre à des muscles en dehors de la sphère du médian, aux
muscles
de l'épaule rotateurs de l'humérus, et le mouveme
2. — Griffe médiane. Le nerf radial innerve sans exception tous les
muscles
de la région externe et de la région postérieure
gion externe et de la région postérieure de l'avant-bras. Ce sont les
muscles
: Long supinateur ; Les deux radiaux externes
e ; Court extenseur du pouce ; Long adducteur du pouce. De tous ces
muscles
un seul est fléchisseur et encore dans de certain
nt-bras, puis fléchisseur de l'avant-bras sur le bras. L'action de ce
muscle
doit être complètement annulée et par l'anconé qu
ui seul préside efficacement au mouvement de supination. Les autres
muscles
innervés par le radial sont tous extenseurs : les
oigts (extenseur commun et les deux extenseurs propres : ces derniers
muscles
, d'après Du-chenne (de Boulogne), étendent énergi
n'ont qu'une action très faible sur les deux dernières). Les trois
muscles
du pouce, agissant simultanément, déterminent l'e
uites, par le raisonnement, de l'action physiologique de chacun des
muscles
innervés par le nerf radial. En effet, l'attitu
la simple pression des masses musculaires amenait la contracture des
muscles
excités. Mais, dans ce cas, la contracture est-el
lle la cotisé Fig. 13. — Griffe radiale. §. III. — Excitation des
muscles
. quence de l'excitation directe de la fibre mus
petits rameaux nerveux et de leurs terminaisons dans la substance du
muscle
? La solution de ce problème ne saurait être dema
Quoi qu'il en soit, la contracture qui suit l'excitation mécanique du
muscle
est facile à démontrer chez les sujets hypnotisés
-dien, ou une simple pression sur un point de ses fibres, pour que ce
muscle
entre en contracture, imprimant à la tête le mouv
arfaitement, sur cette photographie, la corde saillante formée par le
muscle
contracture dont les deux extrémités, en se rappr
vertu duquel la face se trouve dirigée latéralement du côté opposé au
muscle
directement excité. Pour faire cesser cette con
mmobilisée bientôt dans l'extension forcée, le cou saillant. Tous les
muscles
qui, par leur situation superficielle, per-" me
échit l'avant-bras, etc.. 11 résulte des expériences faites sur les
muscles
larges et fascicules, tel que le deltoïde, que :
eltoïde, que : à) L'excitation portée sur un point, même limité, du
muscle
produit sa contracture en masse (tandis qu'à l'ai
cile de faire contracter isolément les différents faisceaux d'un même
muscle
.) b) La contracture d'un muscle, provoquée dans
les différents faisceaux d'un même muscle.) b) La contracture d'un
muscle
, provoquée dans ces conditions, entraîne presque
ans ces conditions, entraîne presque toujours l'action simultanée des
muscles
qui lui sont synergiques. Ce qui se passe lors de
sation est localisée au deltoïde, ne se produit pas lorsque ce même
muscle
est contracture par l'excitation mécanique dans l
ttitude physiologique, trahissant ainsi la contracture simultanée des
muscles
synergiques, trapèze et grand dentelé, bien que c
muscles synergiques, trapèze et grand dentelé, bien que ces derniers
muscles
n'aient subi aucune excitation directe. Nous re
écessaire de les signaler dès maintenant. L'expérimentation sur les
muscles
de l'avant-bras et de la main est plus complexe,
plus complexe, et cela pour plusieurs raisons faciles à saisir : les
muscles
sont de petit volume, et réunis en grand nombre d
petit espace; en plusieurs points, il y a superposition de plusieurs
muscles
, de sorte qu'il est difficile que la pression d'u
plusieurs muscles, de sorte qu'il est difficile que la pression d'un
muscle
superficiel ne retentisse pas sur les muscles pro
ile que la pression d'un muscle superficiel ne retentisse pas sur les
muscles
profonds; les actions synergiques y sont multiple
n petit bâton, on cherche à mettre en action isolément les différents
muscles
de l'avant-bras d'une hystérique hynoptisée et pr
logie sous le nom de point d'élection pour l'excitation partielle des
muscles
. Instruit par une longue pratique, Duchenne (de
nd cette science de localiser exactement l'action électrique sur un
muscle
ou sur un faisceau musculaire. 11 put ainsi démon
rement l'action partielle, jusque-là inconnue, d'un certain nombre de
muscles
et doter la physiologie des mouvements d'importan
l'extenseur propre du petit doigt; le cubital postérieur. Des trois
muscles
du pouce, le long extenseur nous a donné les résu
index a été facilement trouvé. L'action partielle de ces différents
muscles
est trop connue depuis les recherches de Duchenne
Boulogne) pour que nous y insistions ici. A la main, l'excitation des
muscles
de l'éminence thénar produit, suivant le point d'
communiquée au tendon du long fléchisseur du pouce qui passe sous ces
muscles
. Quant à Lé-minence hypothénar, l'excitation port
a face antérieure de l'avant-bras et de la main, M, nerf médian. — 1,
muscle
rond pronateur ; 2, grand palmaire ; 3, petit pal
ies résultent : a) De la possibilité de localiser l'excitation à un
muscle
ou à un groupe de muscles ; b) De la possibilit
a possibilité de localiser l'excitation à un muscle ou à un groupe de
muscles
; b) De la possibilité d'exciter un muscle, soi
uscle ou à un groupe de muscles ; b) De la possibilité d'exciter un
muscle
, soit directement, en Fig. 15. — Quelques point
dans les cas d'hyperexcitabilité. Mais, ceci n'est vrai que pour les
muscles
des membres. Nous savons en effet que, pour ce qu
es muscles des membres. Nous savons en effet que, pour ce qui est des
muscles
de la face, l'excitation mécanique, pendant l'éta
é de localisation de l'excitant dans les différents faisceaux du même
muscle
. 11 est facile de localiser l'excitation électriq
e de localiser l'excitation électrique dans une partie seulement d'un
muscle
large et fascicule, tandis que, dans l'état d'hyp
ue, dans l'état d'hyperexcitabilité, la contraction totale de ce même
muscle
suit toujours l'excitation mécanique partielle d'
n de l'excitation. Dans l'état d'hyperexcitabilité, le mouvement d'un
muscle
s'accompagne ordinairement de l'action des muscle
, le mouvement d'un muscle s'accompagne ordinairement de l'action des
muscles
qui lui sont synergiques, sans que l'excitation a
dant la veille, par la faradisation. Elle n'est possible que pour les
muscles
superfi ciels, elle n'est réellement facile que
procédés. Quelques exemples feront bien comprendre : En comprimant un
muscle
superficiel, la pression, pourvu qu'elle soit un
nt, par suite, participer à la même excitation ; que ce soit un autre
muscle
, un nerf ou un tendon. Ainsi, en comprimant le te
é, ce qu'il est facile d'expliquer par la compression des tendons des
muscles
fléchisseurs qui sont au-dessous. Lorsqu'on che
s fléchisseurs qui sont au-dessous. Lorsqu'on cherche à exciter les
muscles
interosseux en comprimant sur le dos de la main,
ux autres, tandis que l'électrisation localisée nous a appris que les
muscles
interosseux, en même temps qu'ils étendent la pha
'erreur dont nous par- Ions, si l'organe à exciter, tendon, nerf ou
muscle
, se trouve parfaitement seul intéressé, l'hyperex
les individus, les points d'élection pour l'excitation partielle des
muscles
; c) De la diffusion de l'excitant qui, lorsque
'est pas exactement mesurée, peutgagner les organes voisins, nerfs ou
muscles
. A ces difficultés s'ajoutent, au sujet de l'hy
les conditions de l'expérimentation sont un peu moins complexes. Les
muscles
sont superficiels, disposés le plus souvent en un
plètement le résultat cherché. Ainsi que nous l'avons déjà dit, les
muscles
de la face, pendant la phase d'hyperexcitabilité
itabilité neuro-musculaire, se comportent d'une autre manière que les
muscles
du corps. Ils sont également susceptibles d'être
xcités mécaniquement. Une simple pression, exercée directement sur le
muscle
lui-même ou sur le rameau nerveux qui l'innerve,
ransforme jamais en contracture permanente. Ce mode de réaction des
muscles
de la face à l'excitant mécanique est une analogi
les expériences de Duchenne (de Boulogne), sur l'action partielle des
muscles
de la face, et la part qui revienta chacun d'eux
sion. Nous avons cherché à produire la contraction isolée de chaque
muscle
par l'excitation des points d'élection indiqués p
rveuse destinée à mettre enmouvement un plus ou moins grand nombre de
muscles
, ce que l'on reconnaît à leur contraction simulta
du grand zygomatique, aurait dû produire la contraction isolée de ce
muscle
, ainsi qu'on l'observera dans la figure 30 ; mais
-faciale de la septième paire, a provoqué la contraction en masse des
muscles
innervés par ce tronc nerveux et n'a pu produire
, elle retentit presque toujours sur un plus ou moins grand nombre de
muscles
voisins de la région excitée, et parfois sur quel
mbre de muscles voisins de la région excitée, et parfois sur quelques
muscles
éloignés. Dans ce cas, la contraction musculaire
remblement. — Une excitation trop forte se propage souvent à quelques
muscles
voisins ; 2° La contraction du muscle cesse le
e propage souvent à quelques muscles voisins ; 2° La contraction du
muscle
cesse le plus souvent en môme temps que la pressi
n a peu insisté, mais elle ne se transforme jamais en contracture. Le
muscle
peaussier est celui dont la contraction se mainti
ntient le plus longtemps, tenant en quelque sorte le milieu entre les
muscles
des membres et ceux de la face ; 3° Malgré la p
ression à un degré égal sur le point qui a provoqué la contraction du
muscle
, on ne tarde pas à voir celle-ci s'effacer peu à
inir par disparaître complètement. 4° L'excitation unilatérale d'un
muscle
pair s'obtient le plus souvent fort aisément; mai
rt aisément; mais, il arrive parfois que l'excitation retentit sur le
muscle
homologue du côté opposé, qui se contracte alors
'on peut constater sur la Fig. 1 de la Planche VI, où l'excitation du
muscle
orbiculaire palpébral supérieur n'a été portée qu
ée que d'un seul côté. 11 nous a semblé que cette loi de synergie des
muscles
pairs se manifestait d'autant plus facilement que
gie des muscles pairs se manifestait d'autant plus facilement que ces
muscles
étaient situés plus près de la ligne médiane. En
fois remarqué qu'une double excitation, portée à la fois sur les deux
muscles
pairs, donnait lieu à une exagération du mouvemen
térale ; 5° II est possible de faire contracter à la fois plusieurs
muscles
, de façon à reproduire les contractions combinées
ulogne), dans ses expériences électro-physiologiques sur l'action des
muscles
de la face, et nous mettrons en regard, d'un côté
aillantes. D'après les recherches de Duchenne (de Boulogne), quatre
muscles
de la face ont le privilège de peindre complèteme
ment, par leur action isolée, une expression qui leur est propre. Ces
muscles
occupent la partie supérieure du visage et im p
ait l'électrode pour amener la contraction partielle de chacun de ces
muscles
sont indiqués sur le schéma (Fig. 16). Fig. 10.
és sur le schéma (Fig. 16). Fig. 10. —Points moteurs des principaux
muscles
de la face. 1, frontal ; 2, sourcillier; 3, orb
its de la face est résumée dans les schémas suivants : 1° Frontal :
Muscle
de l'attention. (Fig. 17). — Sa con- Fig. 17. —
scle de l'attention. (Fig. 17). — Sa con- Fig. 17. — Contraction du
muscle
frontal. Muscle de l'attention de Duchenne. F
n. (Fig. 17). — Sa con- Fig. 17. — Contraction du muscle frontal.
Muscle
de l'attention de Duchenne. Fig. 18.— Contracti
ntal. Muscle de l'attention de Duchenne. Fig. 18.— Contraction du
muscle
orbicidaire supérieur. Muscle de la réflexion,
Duchenne. Fig. 18.— Contraction du muscle orbicidaire supérieur.
Muscle
de la réflexion, de Duchenne. traction produit
entriques à l'arc du sourcil ; 2° Orbiculàire palpébràl supérieur :
Muscle
de laréflexion. (Fig. 18). — Abaissement du sourc
x sur le front; redressement des poils du sourcil; 3° Sourcillier :
Muscle
de la douleur (Fig. 19). — La Fig. 19. — Contra
ig. 19). — La Fig. 19. — Contraction du Fig. 20. — Contraction du
muscle
sourcillier. pyramidal du nez. Muscle de la dou
u Fig. 20. — Contraction du muscle sourcillier. pyramidal du nez.
Muscle
de la douleur, de Muscle de l'agression, de Duc
du muscle sourcillier. pyramidal du nez. Muscle de la douleur, de
Muscle
de l'agression, de Duchenne. Duchenne. tête d
qui correspond à leurs deux tiers externes ; 4° Pyramidal du nez :
Muscle
de l'agression (Fig. 20). — La tête du sourcil es
ine du nez. Chez notre malade hypnotisée, l'excitation de ces mêmes
muscles
, par une simple pression exercée sur les points d
au nerf frontal, ou par la pression portée sur un point quelconque du
muscle
(Pl. V, Fig. 3). L'orbiculaire palpébral supéri
Il n'est pas sans intérêt de faire remarquer, avec Duchenne, que les
muscles
« moteurs du sourcil sont, de tous les muscles ex
avec Duchenne, que les muscles « moteurs du sourcil sont, de tous les
muscles
expressifs, ceux qui obéissent le moins à la volo
nt ». (Duchenne, Mécanisme de la physionomie..., page 8). Parmi les
muscles
qui sont situés au-dessous du sourcil, les uns so
'est parfaitement rendue que par la contraction simultanée d'un autre
muscle
, les autres n'expriment absolument rien par eux-m
e représenter spécialement des passions en se combinant avec d'autres
muscles
. Ces données, qui sont le résultat des expérien
hes auxquelles nous nous sommes livrés. Le grand zygomatique est le
muscle
de la joie. Il est le seul qui puisse exprimer le
s, pour que l'expression soit complète, il est nécessaire qu'un autre
muscle
intervienne en même temps et imprime à la paupièr
t imprime à la paupière inférieure un mouvement particulier, c'est le
muscle
orbicu-laire palpébral inférieur, appelé par Duch
c'est le muscle orbicu-laire palpébral inférieur, appelé par Duchenne
muscle
de la bienveillance. L'action partielle de ces de
r Duchenne muscle de la bienveillance. L'action partielle de ces deux
muscles
est résumée dans les schémas suivants: Grand zy
muscles est résumée dans les schémas suivants: Grand zygomatique :
Muscle
du rire (Fig. 21). —Lignes fondamentales : mouvem
tes de l'angle extérieur de l'œil. Orbiculaire palpebral inférieur:
Muscle
de la bienveillance (Fig. 22). — Relief de la pau
ivé quelquefois, dit-il, de localiser exactement l'excitation dans ce
muscle
... Cette localisation est assez diffi Fig. 21.—
scle... Cette localisation est assez diffi Fig. 21.— Contraction du
muscle
grand zygomatique. Muscle du rire, de Duchenne,
st assez diffi Fig. 21.— Contraction du muscle grand zygomatique.
Muscle
du rire, de Duchenne, rire faux. Fig. 22. — Con
faux. Fig. 22. — Contraction simultanée du grand zygomatique et du
muscle
orbiculaire palpébral inférieur. Expression du
st pas sans présenter quelques difficultés. Il arrive souvent que les
muscles
, situés en dedans de lui (petit zygomatique, élév
ser d'être mousse, il est possible d'isoler assez bien l'action de ce
muscle
, ainsi que le montre les figures 1 et 2 de la Pla
une action bien différente de celle du grand zygomatique. C'est un
muscle
du pleurer. Le schéma suivant résume son action (
évateur propre de la Fg . 23. — Contraction du petit zygomatique.
Muscle
du pleurer, de Duchenne. lèvre supérieure, dont
mparant cette figure à la suivante, qui représente l'action isolée du
muscle
élévateur commun de la lèvre supérieure et de l'a
VIII mettent parfaitement en lumière. La contraction partielle de ce
muscle
est très facilement obtenue chez notre malade. Da
z notre malade. Dans la figure 4 de la Planche VII, la contraction du
muscle
suit l'excitation du rameau nerveux qui lui est d
rps dumusclelui-mè-me. Duchenne résume ainsi l'action partielle de ce
muscle
(Fig. 24) : L'aile du nez est attirée en haut, le
eure attirée eh haut. Le transverse du nez, que Duchenne appelle le
muscle
de Ciiarcot. OEuv. comp. t. ix, Hypnotisme. 24
iarcot. OEuv. comp. t. ix, Hypnotisme. 24 Fig. 24. — Contraction du
muscle
élévateur commun de l'aile' duhezel de la lèvre s
nez se marque de plis parallèles à la direction de l'épine nasale. Ce
muscle
est susceptible de grandes variations, suivant le
mmée Caill..., tandis que chez Witt... l'excitation isolée de ce même
muscle
n'a pu être obtenue. Par contre, chez cette der
le n'a pu être obtenue. Par contre, chez cette dernière malade, les
muscles
dilatateurs des narines peuvent être très-facilem
té unilatérale. C'est un nouvel exemple de la synergie musculaire des
muscles
pairs de la face, dont nous avons déjà parlé. Si
rant l'extrémité de l'excitateur. Le triangulaire des lèvres est le
muscle
de la tristesse. Sous l'influence de la contracti
abaissée et moins ouverte. (Fig. 25). La contraction partielle des
muscles
du menton et de la lèvre inférieure est assez dif
ez difficile à obtenir, à cause de la superposition de ces différents
muscles
en certains points et de l'intrication d'une part
portion du rameau nerveux dont les fibres se distribuent à plusieurs
muscles
à la fois. En beaucoup de points également, l'exc
rencontrera à la fois des fibres musculaires appartenant à plusieurs
muscles
soif superposés, soit juxtaposés. Fig.2o. — Con
muscles soif superposés, soit juxtaposés. Fig.2o. — Contraction du
muscle
triangulaire des lèvres. Pour obtenir chez nos
nche VIII, l'excitation portée sur le milieu du menton met en jeu les
muscles
de la houppe du menton. Ces muscles impriment aux
e milieu du menton met en jeu les muscles de la houppe du menton. Ces
muscles
impriment aux téguments du menton un mouvement d'
e région, est également très facilement excitable. Le peaucier est le
muscle
de la frayeur et de l'effroi. Il tire en bas et e
traits occasionnés par le peaucier vient s'ajouter l'action d'un des
muscles
mot urs du sourcil, le frontal p r exemple, on
oduire, chez notre malade hypnotisée, l'action simultanée de ces deux
muscles
et les Figures 1 et 2 de la Planche IX sont plein
sion de la physionomie. Nous savons d'ailleurs que la contracture des
muscles
des membres obtenue par les mômes procédés persis
quer, à l'exemple de Duchenne, la contraction simultanée de plusieurs
muscles
, que ces muscles concourent à l'expression d'un m
de Duchenne, la contraction simultanée de plusieurs muscles, que ces
muscles
concourent à l'expression d'un môme sentiment (co
ie, et, la malade étant rendue cataleptique pendant l'excitation d'un
muscle
, la contraction de ce muscle persiste parfois un
e cataleptique pendant l'excitation d'un muscle, la contraction de ce
muscle
persiste parfois un certain temps après l'excitat
que côté de la face, une expression opposée en faisant contracter des
muscles
différents. Par exemple, le grand zygomatique d'u
localiser exactement. La tendance que possède l'excitation d'un seul
muscle
à retentir sur le muscle homologue du côté opposé
tendance que possède l'excitation d'un seul muscle à retentir sur le
muscle
homologue du côté opposé, gêne l'action locale. I
ntage, et il y a parfois un peu de diffusion de l'excitation dans les
muscles
voisins. Néanmoins, s'il se produit alors de chaq
gure 4 de la Planche IX en sont vraiment saisissants. L'excitation du
muscle
élévateur commun de l'aile du nez et de la lèvre
riences que nous venons de rapporter que les troncs nerveux comme les
muscles
eux-mêmes étaient aussi bien excitables à la face
bles à la face qu'ils le sont aux membres. En résumé, l'excitation du
muscle
est directe ou indirecte. Quelques expériences su
Quelques expériences sur des rameaux nerveux, isolés et éloignés des
muscles
qu'ils innervent, le proLivent péremptoirement. \
Dans l'état d'hyperexcitabilité neuro-musculaire, la contraction des
muscles
qui sont sous la dépendance de ces rameaux est l'
le point de l'excitation, la contraction s'accuser davantage dans les
muscles
de l'oeil, du nez ou des lèvres et du menton. Dan
bule de l'oreille; il est facile de constater, en effet, que tous les
muscles
de cette moitié du visage sont entrés en contract
eule. Il s'agit de l'extension de cette hyperexcitabilité jusqu'aux
muscles
de l'oreille, circonstance assurément fort intére
surément fort intéressante au point de vue du diagnostic, puisque ces
muscles
échappent, dans le plus grand nombre des cas, à l
acilement. Nous trouverons là un exemple de plus de l'excitation d'un
muscle
, directement, en agissant sur les fibres musculai
tion produit le même résultat, et qui correspond bien certainement au
muscle
auriculaire supérieur. Que conclure de ce fait d'
t du tragus intéresse le rameau nerveux qui va donner le mouvement au
muscle
auriculaire supérieur, et qui ne saurait être aut
'elle ait été produite par l'excitation des tendons, des nerfs ou des
muscles
eux-mêmes. Nous ne ferons que rappeler ici quel
hypnotique, cède très facilement par la friction ou la malaxation des
muscles
antagonistes. Cette excitation, que l'on pourrait
nseurs, elle fait cesser la contracture partielle de n'importe quel
muscle
fléchisseur et inversement. Si l'action est trè
ent. Si l'action est très locale et ne s'adresse pas directement au
muscle
antagoniste du muscle contracture, au lieu de fai
très locale et ne s'adresse pas directement au muscle antagoniste du
muscle
contracture, au lieu de faire cesser la contractu
éthode graphique. Le tambour explorateur est placé sur la saillie des
muscles
fléchisseurs du poignet. Onze chocs portés succes
exion forcée de ce segment du membre, avec contracture permanente des
muscles
excités. En F, friction des muscles antagonistes,
, avec contracture permanente des muscles excités. En F, friction des
muscles
antagonistes, la contracture cède rapidement, et
ortés sur les tendons fléchisseurs de l'avant-bras. — F, friction des
muscles
antagonistes. — (Mouvement lent.) 1° La contr
le sujet, et, pendant l'état léthargique, procéder à l'excitation des
muscles
antagonistes dont l'effet est instantané. c) Tr
le (Fig. 9). Nous approchons alors de l'avant-bras gauche, dont les
muscles
sont demeurés dans le relâchement, l'extrémité ou
ras en pronation, de façon que le dos de la main regarde en haut. Les
muscles
sont dans la résolution. En touchant sur l'avant-
expérience peut être répétée avec un égal succès pour les différents
muscles
extenseurs. En voici un autre exemple : le petit
normale du relâche-chement musculaire. La pression sur la masse des
muscles
de la région postérieure de l'avant-bras amène l'
itude, maintenue par la contracture simultanée d'un certain nombre de
muscles
, se déplace de la même façon que dans les expérie
chirurgicale, faisait disparaître dans ce membre toute disposition du
muscle
à se contracturer sous l'influence des excitants
r le moment, nous constatons que l'excitation mécanique portée sur un
muscle
anémié ne saurait y provoquer de contracture, mai
ait y provoquer de contracture, mais n'en détermine pas moins dans ce
muscle
une disposition spéciale à la contracture, que MM
arition de l'anémie et le retour avec la circulation de l'aptitude du
muscle
à la contracture. 1. Progrès Médical, n°* 19, 2
t de soulever les paupières pour faire cesser aussitôt l'aptitude des
muscles
à se contracturer et faire naître la catalepsie.
membre anémié, à la région du coude. Nulle modification de l'état des
muscles
. L'aimant est appliqué près de l'avant-bras gau
e transfert, elle est devenue manifeste, parce que du côté gauche les
muscles
ne sont pas anémiés et n'ont pas, par là même, pe
peler les cas types, le phénomène existe à un égal degré sur tous les
muscles
", aussi bien aux membres qu'à la face (il n'est p
it; il est possible d'obtenir la contracture partielle des différents
muscles
des membres, et les différents procédés à l'aide
rmanente. Cette contracture se détruit facilement par la friction des
muscles
antagonistes. Nous tentons alors de nouveau de
tons alors de nouveau de produire la contracture par lamalaxation des
muscles
, et, cette fois, non sans quelque surprise, nous
ence faite le lendemain, nous constatons une aptitude plus grande des
muscles
à la contracture, se traduisant même pendant la v
t le cours d'expériences assez prolongées sur l'hyperexcitabilité des
muscles
et des nerfs du bras droit, tout d'un coup, sans
u état somnambulique. L'excitation mécanique directe ou indirecte des
muscles
n'amène plus leur contracture. Les réflexes tendi
enu hyperexcitable. En effet, l'excitation mécanique des nerfs et des
muscles
amène la contracture de la façon que l'on sait, m
q minutes environ, on remarque quelques mouvements cloniques dans les
muscles
de la face, surtout du côté gauche, les conjoncti
t d'heure environ avec quelques frémissements de tout le corps et des
muscles
de la face de temps en temps; l'objet brillant es
ui se montre d'une façon très manifeste. Il n'y a aucune aptitude des
muscles
à la contracture quand les yeux sont fermés, et l
t nuls, l'état cataleptique n'existe pas, pas plus que l'aptitude des
muscles
à la contracture localisée. En outre de la sommat
ntracture aussi sous l'influence de l'excitation mécanique, niais les
muscles
de la face demeurent inexcitables. L'excitation d
est imparfaite. Ces contractures diverses cèdent par la friction des
muscles
antagonistes. Jusqu'ici nous voyons que l'hyper
térise par l'exaltation des réflexes tendineux et par la tendance des
muscles
à la contracture, sous l'influence de l'excitatio
l'appui de cette manière devoir. Il n'y a d'exception que pour les
muscles
de la face, où nous avons vu la contraction rempl
ulpian, dans les cas de mouvements volontaires de certains groupes de
muscles
, me paraît avoir son point de départ dans la moel
n effet, qu'au moment où se fait la contraction volontaire, celle des
muscles
fléchisseurs des doigts, par exemple, une certain
on se transmet du foyer médullaire d'origine des nerfs destinés à ces
muscles
, au foyer d'origine des nerfs moteurs des muscles
erfs destinés à ces muscles, au foyer d'origine des nerfs moteurs des
muscles
extenseurs; et c'est ainsi, suivant toute vraisem
cles extenseurs; et c'est ainsi, suivant toute vraisemblance, que ces
muscles
entrent en action (1) ». C'est un mécanisme analo
mécanique, friction). Elle gagne les foyers d'origine des nerfs, des
muscles
, sur lesquels elle est directement portée, d'où
elle retentit sur les foyers d'origine des nerfs qui se rendent aux
muscles
antagonistes. r) L'étude détaillée que nous avo
neuro-musculaire, ne reste pas toujours exactement localisée dans le
muscle
ou le groupe musculaire sur lequel porte l'excita
diane produite, l'excitation sort de la sphère du médian. Ce sont les
muscles
rotateurs du bras en dedans qui se contracturenl,
as en dedans qui se contracturenl, et il est facile de voir que ces
muscles
ne font, en somme, que continuer au bras le mouve
e, que continuer au bras le mouvement commencé à l'avant-bras par les
muscles
pronateurs qui relèvent directement du médian.
du médian. A la face, l'excitation se propage très facilement d'un
muscle
au muscle homologue du côté opposé. fVoy. p. 360
. A la face, l'excitation se propage très facilement d'un muscle au
muscle
homologue du côté opposé. fVoy. p. 360 et 361.)
p. 360 et 361.) La raison de cette propagation de l'excitation d'un
muscle
à un autre muscle plus ou moins éloigné, mais rat
La raison de cette propagation de l'excitation d'un muscle à un autre
muscle
plus ou moins éloigné, mais rattaché au premier p
Il est inutile d'y insister. f) Enfin l'excitabilité électrique du
muscle
n'est pas sensiblement modifiée pendant l'état d'
nt l'état d'hyperexcitabilité neuromusculaire ou en dehors de lui. Le
muscle
répond à peu près de la même façon à l'excitant é
un point limité du membre, que ce point corresponde à un tendon, ù un
muscle
ou à un nerf. Mais si l'excitation même limitée
plus vive et plus accusée que dans l'état léthargique ordinaire. Les
muscles
du front, du nez, de la bouche et du menton répon
elques instants. Contrairement à tout ce qui se passe d'habitude, les
muscles
de la face se contracturent. 11 est vrai que cett
e,, ont une tendance remarquable à se produire exclusivement dans les
muscles
qui meuvent la partie excitée. La cinquième loi
, en 1847, que lorsqu'un nerf mixte donne des branches motrices à des
muscles
, ses rameaux sensitifs se distribuent à la partie
distribuent à la partie de la peau qui est en rapport avec ces mêmes
muscles
. M. Vulpian résume ainsi l'état de la question :
resse, au travers du tégument cutané, un organe sous-jacent tel qu'un
muscle
, un tendon ou un nerf, détermine immédiatement la
tres qu'il existe dans les tendons et les aponévroses d'enveloppe des
muscles
des nerfs centripètes qui jouent un rôle spécial
raient directement intéressés ; si l'excitation porte sur le corps du
muscle
, ce sont alors les nerfs sensitifs de l'aponévros
rte sur le tronc d'un nerf mixte, les nerfs sensitifs qui viennent du
muscle
ou du tendon, au lieu d'être intéressés partielle
llaire d'où elle est réfléchie par la voie des filets moteurs sur les
muscles
tributaires du nerf. 11 importe, en terminant c
ion. Mais il est d'autres moyens de mettre en jeu l'excitabilité du
muscle
. Il suffit alors de l'excitation cutanée la plus
ue par un seul procédé, qui est l'excitation mécanique portée sur les
muscles
antagonistes; tandis que la contracture somnambul
d'hyperexcitabilité de tout le système moteur phériphôrique (nerfs et
muscles
). Ce phénomène a été suffisamment décrit, je pe
qu'il consiste sommairement en une aptitude spéciale des nerfs et des
muscles
à réagir sous l'influence de l'excitation mécaniq
r que cet état d'hyperexcitabilité n'appartient pas exclusivement aux
muscles
et aux nerfs, mais qu'il s'étend jusqu'au centre
être attribués à une action plus ou moins directe du courant sur les
muscles
ou les nerfs de la face. Aussi, dans d'autres r
le, ou encore par un léger attouchement, le tronc d'un nerf, tous les
muscles
tributaires de ce nerf entrent en contraction : c
écanique porte sur le nerf radial, le cubital ou enfin le médian. Les
muscles
eux-mêmes peuvent être directement excités de la
g. 29, I). En résumé, la cataleptique ne connaît pas la fatigue, le
muscle
cède mais sans effort, sans intervention volontai
xpérimentateur. Nous avons eu recours à la faradisation localisée des
muscles
de la face, suivant les procédés employés par Duc
ont suivre. 1° Si l'on vient alors à exciter faradiquement les deux
muscles
frontaux en plaçant une électrode au niveau de ch
, l'expression, ainsi imprimée à la face par la contraction d'un seul
muscle
, se complète d'elle-même. La bouche s'ouvre légèr
e d'elle-même. La bouche s'ouvre légèrement sans qu'on ait touché aux
muscles
abaisseurs de la mâchoire inférieure, et les deux
ême moment l'expression première. Nous savons que la contraction du
muscle
orbiculaire palpébral supérieur a pour propriété
Aussitôt que sur notre sujet cataleptique nous faisons contracter ce
muscle
, la physionomie revêt l'expression indiquée et en
e attitude d'agression et de défense. (Pl. XI, Fig. 3). Si c'est le
muscle
sourcillier que nous faisons contracter, la doule
jet. (Pl. XI, Fig. 4). De même pour le grand zygomatique qui est le
muscle
du rire. (Pl. XI, Fig. 5 et 6) ; pour le muscle é
ygomatique qui est le muscle du rire. (Pl. XI, Fig. 5 et 6) ; pour le
muscle
élévateur commun de l'aile du nez et de la lèvre
lévateur commun de l'aile du nez et de la lèvre supérieure qui est le
muscle
du dédain ; pour le muscle triangulaire des lèvre
u nez et de la lèvre supérieure qui est le muscle du dédain ; pour le
muscle
triangulaire des lèvres qui est le muscle de la t
muscle du dédain ; pour le muscle triangulaire des lèvres qui est le
muscle
de la tristesse. Il est des expressions qui, po
'a démontré Duchenne (de Boulogne), la contraction simultanée de deux
muscles
de la face. Par exemple, l'exprès sion de l'effro
plus expressifs. Il semble, dans ce cas, que l'impression partie des
muscles
contractés de la face mette un certain temps pour
fluence de manœuvres variées. C'est cettejjrédispo-sition spéciale du
muscle
à entrer en contracture que l'un de nous a désign
avons vu, dans un cas, la diathèse de contracture s'étendre jusqu'aux
muscles
du visage. La faradisation de ces muscles, lorsqu
racture s'étendre jusqu'aux muscles du visage. La faradisation de ces
muscles
, lorsqu'elle était un peu intense et prolongée, e
ge conservant indéfiniment la môme expression, qui variait suivant le
muscle
excité, jusqu'à ce que les frictions répétées fis
ance, que l'excitation mécanique profonde portée sur les tendons, les
muscles
, demeurait sans résultat. Cette forme spéciale de
e est générale ou partielle. Elle existe à un égal degré sur tous les
muscles
du corps ou bien sur les muscles d'un membre seul
existe à un égal degré sur tous les muscles du corps ou bien sur les
muscles
d'un membre seulement. Souvent elle revêt la form
ntraction musculaire paradoxale », et qui peut se formuler ainsi : un
muscle
est susceptible d'entrer en état de contraction p
nt de lui imprimer, maintenu en flexion dorsale par la contraction du
muscle
tibial antérieur, dont on voit le tendon faire sa
» peut être la conséquence de la faradisation directe et indirecte du
muscle
tibial antérieur. 11 se produirait également sous
'un fait purement passif (d'où le paradoxe) qui est le relâchement du
muscle
. Il l'oppose au phénomène du pied qui résulte d'u
, la jambe étant fléchie sur la cuisse, on rapproche avec la main les
muscles
du mollet de leur insertion calca-néenne. Il n'y
omène musculaire, décrit par Westphal, d'une contracture réflexe d'un
muscle
à la suite d'une excitation portée sur son antago
e sur son antagoniste. M. Westphal (2) répond qu'en admettant qu'un
muscle
, par la manœuvre de M. Erlenmeyer, puisse être ra
e citée plus haut doivent être attribués à la pression exercée sur le
muscle
gaslrocnémien et non pas au rapprochement de ses
athèse de contracture. 11 s'agit là d'une disposition particulière du
muscle
à entrer en contracture sous l'influence d'excita
'interprétation de Westphal, la conséquence du relâchement brusque du
muscle
, mais elle trouve sa cause dans la tension brusqu
ntracture n'existe pas seulement dans le jambier antérieur qui est le
muscle
de la flexion dorsale, mais elle existe aossi dan
est le muscle de la flexion dorsale, mais elle existe aossi dans les
muscles
antagonistes, jumeaux et soléaire. On peut faci
ltitude de flexion, ce qui ne saurait être dû qu'à la contracture des
muscles
antagonistes, jumeaux et soléaire. b) L'on sait
re pouvait être obtenue par des manœuvres diverses. La malaxation des
muscles
est une de ces manœuvres, si donc nous malaxons l
dans l'attitude de la flexion dorsale. Si la malaxation porte sur les
muscles
jumeaux, la contracture se produira également mai
aît particulièrement intéressante. Si pendant que nous malaxons les
muscles
du mollet, nous maintenons relevée la pointe du p
elevée la pointe du pied de façon à l'empêcher d'obéir à l'action des
muscles
directement excités, nous voyons bientôt le pied
dorsale et cela à un degré d'autant plus accusé que l'excitation des
muscles
extenseurs (jumeaux et soléaire) est plus prolong
ée. Sur la main, le même phénomène se produit. Si nous malaxons les
muscles
extenseurs par exemple, et qu'en même temps, main
ait qu'un obstacle s'oppose au déplacement du membre dans le sens des
muscles
directement intéressés; ou autrement dit les grou
elle rencontre les cellules motrices, origine des nerfs destines aux
muscles
directement excités. Mais cette excitation n'y re
confinée et gagne également les groupes cellulaires correspondant aux
muscles
antagonistes. Les connexions qui existent dans
minante lorsqu'une circonstance quelconque entrave la contraction des
muscles
directement excités. Des graphiques (Fig. 30, 3
malade. — Contracture du jambier antérieur obtenue par le massage des
muscles
du mollet (muscles antagonistes). Le tracé s'insc
re du jambier antérieur obtenue par le massage des muscles du mollet (
muscles
antagonistes). Le tracé s'inscrit dans le sens de
es hystériques — trouve sa cause non dans le relâchement brusque du
muscle
, mais dans l'excitation par distension de son ant
s, soit par l'excitation des nerfs, soit par l'excitation directe des
muscles
ou des tendons (percussion, malaxation, vibration
ue. Ici, le phénomène à mettre en relief, c'est que si vous pincez un
muscle
, le biceps par exemple, entre les doigts, la rigi
le biceps par exemple, entre les doigts, la rigidité qui s'empare du
muscle
ne reste pas limitée : il y a flexion, mais il y
le d'exagérer la flexion que de défléchir le membre. Non seulement le
muscle
ou les muscles d'action contraire à celui qui a é
la flexion que de défléchir le membre. Non seulement le muscle ou les
muscles
d'action contraire à celui qui a été excité, mais
muscles d'action contraire à celui qui a été excité, mais encore les
muscles
d'une autre partie du membre sont atteints ; ains
sont une légère friction sur les antagonistes, le massage général du
muscle
, une légère pression sur les tendons. Si, malgré
n permanente, non seulement dans les sphincters, mais encore dans les
muscles
des membres, déterminant ainsi leur altitude moye
diastaltique est entre tenue par l'excitation permanente venant des
muscles
ou de la peau. Si, dans cet état, l'excitabilité
ts de Y hystérie se manifestent, en janvier 1886, par une parésie des
muscles
intercostaux. Peu après, elle présente des atta
centres trophiques, le courant galvanique provoque la contraction du
muscle
et môme plus énergïquement que dans l'état normal
iale construits en vue de l'électrisation de l'œil, de l'oreille, des
muscles
, des cavités, etc. Le plus léger de ces effets (m
resaut du membre. Si l'on opère sur une partie découverte, on voit le
muscle
sous-jacent secoué par une brusque contraction. 1
avoir son importance : dans certains cas de paralysie spinale où des
muscles
ne répondaient pas aux courants les plus forts de
aintenant, il va falloir une électrisation énergique et prolongée des
muscles
antagonistes pour ouvrir la main de la malade, et
passages. —Consulter aussi d'une excitation mécanique directe, les
muscles
de la vie normale se contracturent. Le mode d'exc
la percussion des tendons, etc. Faisons remarquer à ce propos que les
muscles
de la face sont, dans l'hypnotisme comme dans l'h
ns l'hypnotisme comme dans l'hystérie, soumis à d'autres lois que les
muscles
des membres. C'est ainsi que, jusqu'à présent, on
fréquentes. L'excitation mécanique des troncs nerveux agit sur les
muscles
tributaires du nerf de la même façon que l'irrita
tributaires du nerf de la même façon que l'irritation directe de ces
muscles
. Il en résulte que le membre sur lequel on expéri
e, produisant un léger courant d'air, on provoque une contracture des
muscles
soumis à cette action. Cette contracture, dite so
hénomèues de la contracture léthargique; il suffît de presser sur les
muscles
, de comprimer un membre avec une bande élastique,
On sait que si l'on presse mécaniquement sur un nerf moteur, tous les
muscles
desservis par ce nerf entrent en contraction ou e
apable de deviner quand on excite un point de la peau, quels sont les
muscles
qui doivent entrer en contracture. Inutile d'insi
eau et dont le point de départ est dans l'excitation périphérique des
muscles
et des nerfs, et que les contractures hypnotiques
de plusieurs médecins de Neuchâtel (Suisse). « Je contracturai les
muscles
de l'avant-bras droit chez mon malade éveillé et
H-, Ë. Fig*. 6. î Fig-. 4. ×7- PLANCHE Y. Excitation des
muscles
de la face pendant la léthargie hypnotique. Fig
de la face pendant la léthargie hypnotique. Fig. 1. — Excitation du
muscle
sterno-mastoïdien du côté gauche. Contracture du
Excitation du muscle sterno-mastoïdien du côté gauche. Contracture du
muscle
. Fto. 2. — Excitation du nerf facial en avant d
acial en avant de l'oreille du côté droit. Contraction simultanée des
muscles
de l'œil, du nez et de la bouche. Fig. 3. — Exc
e l'œil, du nez et de la bouche. Fig. 3. — Excitation bilatérale du
muscle
frontal. Fig. 4. — Excitation bilatérale du mus
on bilatérale du muscle frontal. Fig. 4. — Excitation bilatérale du
muscle
orbiculaire palpebral supérieur. Fig. i Fig.
Fig. i Fig. 2 PLANCHE VI. Fig. 1. — Excitation unilatérale du
muscle
patpébral supérieur, On peut constater, dans le m
unilatérale du muscle patpébral supérieur, On peut constater, dans le
muscle
du côté opposé à l'excitation, un léger degré de
contraction. Fig. 2. — Dans cette figure, à la contraction des deux
muscles
orbiculaires palpébraux supérieurs excités direct
e du petit zygomatique. Il s'y joint un léger degré de contraction du
muscle
élévateur de l'aile du nez et de la lèvre supérie
u nez et de la lèvre supérieure. Fig. 4. —Excitation unilatérale du
muscle
élévateur commun du nez et de la lèvre supérieure
on, parfaitement localisée, porte sur le rameau nerveux destiné à, ce
muscle
, Fig. 1 Fig. 2 PLANCHE Y HT. Fin. 1. — Ex
Fig. 1 Fig. 2 PLANCHE Y HT. Fin. 1. — Excitation bilatérale du
muscle
élévateur commun de l'aile du nez et de la lèvre
Fig. 1 Fig. 2 PLANCHE IX. Fig. 1. — Excitation simultanée des
muscles
frontaux et pcauciers. — Masque de l'effroi d'apr
mie ait été modifiée pour cela. Fig. 3. — Excitation simultanée des
muscles
orbiculaires palpébraux supérieurs et des grands
côté gauche par l'ouverture de l'œil gauche.—Excitation bilatérale du
muscle
élévateur commun delà lèvre supérieure et de l'ai
muscle élévateur commun delà lèvre supérieure et de l'aile du nez. Le
muscle
droit du côté léthargique se contracte seul. Du c
nerfs...............,........................... 336 Excitation des
muscles
......................................... 348 Pa
me après choc du tendon, p. 320, 329, 330; — expériences sur la — des
muscles
de la face, p. 362; — du frontal, p. 363; — de j'
— permanente par excitation du tendon, p. 320: ?— par excitation des
muscles
, p. 848; ?— provoquée par l'hyperexcilabilité neu
transfert, p. 384 ; — somnambulique, p. 419; 150: —par excitalhn des
muscles
, p. 848. Convulsions toniques, p. 96 ; — cloniq
s le traitement de l'hystérie, p. 499. Electrique (Excitabilité) du
muscle
pendant l'hyperexcilabilité neuro-musculaire, p.
u tronc; il résulte », etc., lisez : « des extenseurs du tronc ou des
muscles
abdominaux ; dans le premier cas, il résulte », e
bides de cette fonction, trois faits s'enchaînent : le nerf excite le
muscle
, le muscle agit sur l'os, l'os est mis en mouveme
tte fonction, trois faits s'enchaînent : le nerf excite le muscle, le
muscle
agit sur l'os, l'os est mis en mouvement. (1) P
effets dans les systèmes musculaire et osseux. Tout état morbide des
muscles
exerce une influence sur le squelette. Il y a d
une série de désordres du système osseux qui dérivent des lésions des
muscles
, une série d'affections musculaires et osseuses d
e, indépendamment des systèmes nerveux et musculaire, de même que les
muscles
peuvent l'être indépendamment du système nerveux.
omènes est alors renversé ; l'influence morbide se propage des os aux
muscles
et aux nerfs, des muscles au système nerveux. N
; l'influence morbide se propage des os aux muscles et aux nerfs, des
muscles
au système nerveux. Nous aurons, pour chaque ma
ystème musculaire sont en rapport avec celles du système nerveux. Les
muscles
de l'enfant sont mous, peu colorés, faibles, et c
ce des arrêts de développement, des désordres nutritifs des os et des
muscles
, celle de toutes les affections irrilatives du sq
, des sensations douloureuses qui invitent le malade à contracter ses
muscles
pour mettre les parties dans les rapports les plu
changements de direction; ils sont dus à la réaction musculaire. Les
muscles
agissent alors pour soutenir la tête ; ils la rel
n, l'influence de la pesanteur, les pressions extérieures, celles des
muscles
, déterminent la direction du pus. Réfléchissez au
on rencontre un premier obstacle dans la contraction instantanée des
muscles
abdominaux. Il faut alors user de patience , calm
ion : c'est un léger degré de flexion de la cuisse du côté malade. Le
muscle
psoas, contracture par l'irritation que cause le
I. Abcès ilio-abdominaux. — Le pus s'engage entre le péritoine et les
muscles
abdominaux, après avoir percé le fascia-iliaca, e
ransverses, puis en dedans des scalènes ou entre les vertèbres et les
muscles
intercostaux, en dedans ou en dehors du carré des
ient former une tumeur dans le creux sus-claviculaire, en arrière des
muscles
sterno-cléido-mastoïdiens, ou bien, descendant au
viennent aboutir au creux sus-clavicu-laire, en passant au-devant des
muscles
scalènes. J'ai observé trois cas de ce genre; dan
débutent brusquement. Il y a d'abord diminution de contrac-tilité des
muscles
, simple affaiblissement, qui peut n'être que pass
uelque sorte l'excitation sur les nerfs moteurs, d'où elle arrive aux
muscles
. C'est ce qu'on appelle mouvement réflexe; le cli
'axe cérébro-spinal laisse persister l'influence de la moelle sur les
muscles
, la motricité directe involontaire ; c'est ce que
dans quelques cas, on puisse reconnaître certains rapports entre les
muscles
qui se contractent et le point des téguments sur
es paralytiques. Les contractures atteignent les diverses séries de
muscles
; ordinairement fixées sur les fléchisseurs, elle
t durables, laissent quelquefois à leur suite un raccourcissement des
muscles
affectés ; c'est ce qu'on observe surtout aux mus
urcissement des muscles affectés ; c'est ce qu'on observe surtout aux
muscles
du mollet. Une jeune fille de nos salles a conser
jeune fille de nos salles a conservé un léger degré de rétraction des
muscles
atteints. Les viscères pelviens, les sphincters
à courir. Elle a conservé seulement un léger degré de rétraction des
muscles
du mollet. L'autre enfant, avant d'entrer à l'h
ment réflexe; cela dépend du siège de la lésion. L'action réflexe des
muscles
produit, suivant les cas, diverses altitudes, ren
le cou roide, la tête inclinée à droite, la face tournée à gauche. Le
muscle
sterno-cléido-mastoïdien droit était raccourci. J
t même pas lui imprimer un mouvement de rotation du côté op-i posé au
muscle
sterno-mastoïdien rétracté. Diehenbach se trouvai
est peu sensible. La nuque, très-affaissée, forme un pli profond. Les
muscles
postérieurs, fortement tendus, se contractent dav
cas, on n'observe pas, en général, de déplacements très-étendus; les
muscles
se contractent avec force et suppléent, jusqu'à u
confondre avec l'arthralgie sous-occipitale, c'est la contracture des
muscles
du cou. Deux cas de ce genre sont décrits dans l'
un torticolis. La contracture, dans le premier cas, était bornée aux
muscles
de la nuque ; dans le second, elle était générale
circonstance servit à fixer le diagnostic. Quand la contracture des
muscles
du cou existe seule, vous comprenez qu'on puisse
re présente une attitude fixe, des formes spéciales, inhérentes aux
muscles
affectés et en rapport avec le mode d'action de c
entes aux muscles affectés et en rapport avec le mode d'action de ces
muscles
; l'affection osseuse donne lieu à une attitude d
érente, telle que celle qui résulte de l'action combinée de plusieurs
muscles
: l'inclinaison de la tête en avant, son renverse
oyen de diagnostic. Si vous examinez le sujet vivant, vous voyez un
muscle
contracté d'une manière permanente, lorsque l'aff
est purement musculaire; dans le torticolis osseux, au contraire, les
muscles
ne se contractent que par moments. La différence
a différence est moins sensible lorsque la rétraction réside dans les
muscles
profonds ; c'est alors le toucher plus que la vue
énomène commun aux deux affections; dans un cas elle a pour siège les
muscles
, et les articulations dans l'autre. Ce siège sera
rganes : cependant la douleur musculaire existe dans le corps même du
muscle
, et non à ses attaches ; la douleur osseuse est p
, et non à ses attaches ; la douleur osseuse est plus profonde que le
muscle
; elle est réveillée surtout par les tentatives de
rts produisent, dans le torticolis musculaire, une tension extrême du
muscle
, et une tension moins forte dans l'affection osse
ouvement. Si, dans l'autre maladie, la douleur siège aux attaches des
muscles
, le diagnostic peut être douteux. B. Nous venon
ple vice de conformation , qui peut être la suite d'une affection des
muscles
ou d'une maladie articulaire. Celle-ci laisse que
pité par vice de conformation acquis est la suite de la rétraction du
muscle
sterno-cléido-mastoïdien ou d'une affection artic
able ne se voit dans le torticolis musculaire; on trouve seulement un
muscle
tendu et raccourci. Parfois cependant il existe e
même l'affection osseuse donne souvent lieu au raccourcissement de ce
muscle
. Avec de l'attention, on évitera une méprise. L
né, à une époque, les journaux politiques. On a proposé la section du
muscle
sterno-mastoïdien pour l'un d'eux, et sans l'éner
l'inclinaison est le phénomène principal. On n'observe rien, dans les
muscles
, qui indique une rétraction. La douleur articul
à la fois sur tous les organes de la région, tels que les nerfs, les
muscles
, etc. Mais les tissus articulaires sont évidemmen
is pas d'affection sous-occipitale occupant d'abord exclusivement les
muscles
ou les nerfs. Le nom à'arthralgie ne pourrait dés
t douloureuses et produisent une contraction involontaire de certains
muscles
. Le fémur obéit à ce mouvement et déplace le liqu
ents de la grossesse; la luxation a été constatée à une époque où les
muscles
étaient à peine formés ; l'action musculaire ne p
'opinion de M. J. Guérin, c'est qu'on ne retrouve pas de rigidité des
muscles
après la naissance. Rien, dans l'état des muscles
pas de rigidité des muscles après la naissance. Rien, dans l'état des
muscles
, n'indique ces contractions énergiques dont il re
certaines paralysies accompagnées du relâchement des ligaments et des
muscles
, comme on le voit dans l'articulation de l'épaule
e ainsi un double glissement. Le petit fessier double la capsule ; ce
muscle
est souvent atrophié, mais sa portion fibreuse pe
te et suffit pour donner plus de solidité à cette connexion. Tous les
muscles
voisins entourent la portion fémorale de la capsu
la portion libre est, comme la portion fémorale, en contact avec les
muscles
rotateurs qui entourent l'articulation, obturateu
souvent considérable du bassin, chez ces malades, a été attribuée au
muscle
psoas, qui serait rétracté et exercerait des tira
t lorsqu'un contact articulaire s'est établi entre les os. III. Os,
muscles
, etc. —Le cotyle normal, devenu vide, se rétrécit
montre l'influence des pressions mécaniques sur la forme des os. Les
muscles
ne jouent qu'un rôle secondaire dans la productio
apparaît dans les os, dont la longueur est plus ou moins réduite. Les
muscles
, souvent atrophiés, deviennent en partie graisseu
Dans le mouvement de flexion, la tête du fémur descend au-dessous des
muscles
qui la recouvrent et soulève les parties molles à
s on ne la sent guère davantage clans l'état sain; le déplacement des
muscles
qui recouvrent l'articulation a pu faire croire à
lure de la région lombaire. Cette conformation est due à l'action des
muscles
sacro-spinaux, qui se contractent pour combattre
a suite une ankylose incomplète du fémur, ou bien de contractures des
muscles
qui entourent l'articulation. Dans le premier cas
efois des soins à l'Hôlel-Dieu. Il existait une paralysie étendue des
muscles
, tant de la partie antérieure que de la partie p
ance aux parties fibreuses, nous avons fait usage du chloroforme. Les
muscles
ont été mis dans un relâchement complet ; néanmoi
'il comprend. 1° L'articulation nouvelle peut être trop serrée; les
muscles
qui l'environnent peuvent être trop courts ; l'ad
écartement des cuisses était très-borné. J'ai pratiqué la section des
muscles
adducteurs et fait ensuite usage d'un appareil te
ied-équin s'est établie; il y a déjà un raccourcissement sensible des
muscles
extenseurs. Une autre déformation tend à se pro
s infatigables recherches qu'il poursuit avec tant de bonheur, que le
muscle
long péronier latéral, congénère des extenseurs,
cette attitude. Il y a là, je crois, une coxalgie avec rétraction des
muscles
antérieurs et internes de la cuisse; c'est un éta
ène physiologique de coordination nécessaire à l'action régulière des
muscles
. De l'existence de ce phénomène dérive un group
doit y avoir, et il y a en effet, action coordonnée, harmonique, des
muscles
des deux yeux, contraction simultanée des muscles
ée, harmonique, des muscles des deux yeux, contraction simultanée des
muscles
droits supérieurs, droits inférieurs, des muscles
tion simultanée des muscles droits supérieurs, droits inférieurs, des
muscles
latéraux, non pas internes, externes, mais droits
'objet qu'on regarde. Pour obtenir ce résultat, l'accord des quatre
muscles
latéraux est indispensable. Lorsque cet accord vi
es. Je définis le strabisme un vice de coordination de l'action des
muscles
de l'œil, s'opposant à la convergence des axes op
ction normale. 2° Le strabisme varie quant à sa direction. Tous les
muscles
peuvent en être le point de départ. Le strabisme
ments étant à l'état physiologique plus habituel que le second, et le
muscle
interne plus exercé que l'externe, il en résulte
de des lésions de l'action musculaire; on la retrouve dans les autres
muscles
du squelette. 5° Les degrés de la déviation son
dû à deux états principaux des agents du mouvement : dans un cas, un
muscle
est plus fort, plus exercé que son antagoniste; i
nant lieu au strabisme parce que l'œil n'obéit plus qu'à l'action des
muscles
sains; la déviation n'est alors que symptomatique
ion avec la faiblesse consécutive au strabisme, que peut présenter le
muscle
opposé au muscle devenu prédominant. Une autre
esse consécutive au strabisme, que peut présenter le muscle opposé au
muscle
devenu prédominant. Une autre variété de strabi
anières la déviation des yeux; elle agit, d'une part, en irritant les
muscles
et les conlracturant, par une action analogue à c
et, d'une autre part, par les efforts qu'elle suscite dans ces mêmes
muscles
pour soustraire la cornée à l'excitation de la lu
, lorsqu'il a quelque durée, détermine une altération de nutrition du
muscle
et un raccourcissement permanent. Il faut savoir
ellement, on voit dans cet œil une lutte et une série de saccades, le
muscle
qui agit alors ne pouvant surmonter que pendant d
instants la résistance totale de son antagoniste. La rétraction du
muscle
est-elle portée à un haut degré, il y bouvier. «0
lésion musculaire; j'ai fait plusieurs autopsies, et j'ai trouvé les
muscles
raccourcis dans quelques cas, non dans d'autres.
le est percée de plusieurs trous pour le passage du nerf optique, des
muscles
droits et obliques, auxquels elle fournit des gai
éloignés. 4° Le dernier cas embarrassant est la paralysie d'un des
muscles
latéraux de l'œil. J'ai exposé précédemment les c
imitive la faiblesse des antagonistes consécutive à la rétraction des
muscles
affectés. § II. — Traitement du strabisme. «
en cautérisant la conjonctive avec le nitrate d'argent, vis-à-vis du
muscle
affaibli. L'hygiène est elle-même à considérer;
nt : redresser l'œil strabique par l'exercice et rétablir Faction des
muscles
inactifs. Ces moyens ont été anciennement connus.
de la vision. Le strabisme ne dépend pas seulement de la longueur du
muscle
; il peut aussi être l'effet d'un degré de contrac
un grand rôle dans la déviation des yeux : elle se rétracte comme les
muscles
. Des liens physiologiques l'unissent d'une part a
iologiques l'unissent d'une part au globe oculaire, et de l'autre aux
muscles
qui lui empruntent des g.iînes et avec lesquels e
quels elle fait corps. Suivant que la section porte sur des points du
muscle
plus ou moins éloignés de son attache antérieure,
i expliquent bien des insuccès. Il y en a encore d'autres. Les autres
muscles
contribuent à produire un strabisme interne ou ex
ivergent ne sont pas maintenus par des liens de même force. L'état du
muscle
opposé à celui qui produit la déviation est varia
ide de ciseaux courbes sur le plat, incise le repli conjonc-tival. Le
muscle
sous-jacent est alors mis à découvert et saisi au
haut, sous la bandelette musculaire. Troisième temps. — Lorsque le
muscle
est saisi, on l'incise à l'aide des ciseaux courb
its coups successifs. La section peut porter sur différents points du
muscle
, en avant ou en arrière du crochet. M. Philippe,
rrière du crochet. M. Philippe, de Bordeaux, a conseillé de couper le
muscle
loin de son attache antérieure; c'est à tort : la
ablirai, au contraire, en règle générale, qu'il vaut mieux diviser le
muscle
au-devant du crochet à son insertion même à la sc
devra souvent prendre quelques précautions, telles que de décoller le
muscle
sur ses bords ou à sa face interne, d'introduire,
reux qui l'unissent au globe oculaire; suivant que la face interne du
muscle
est dénudée dans une plus ou moins grande étendue
nt quand on réfléchit que les adhérences de la portion postérieure du
muscle
sectionné forment plus tard sa nouvelle insertion
e, qu'on incisera à petits coups. S'il en est besoin, on décollera le
muscle
dans une plus grande étendue, mais en y mettant b
'état de la vision. Une condition essentielle de succès, c'est que le
muscle
conserve , au moins en partie, son action après l
l'état normal, le succès est à peu près assuré. Il faut encore que le
muscle
antagoniste recouvre la plénitude de son action,
du strabisme ; c'est ce que vous voyez sur cet opéré, chez lequel le
muscle
droit externe a retrouvé toute sa puissance. On
onvénient, et il peut y avoir plus d'avantage à décoller largement le
muscle
que lorsque la déviation est interne ; on ignorai
e incision horizontale pratiquée à la muqueuse oculaire, on attire le
muscle
au dehors et on l'incise. Le seul avantage de ces
retrouve dans le procédé de M. Velpeau, qui, au lieu de découvrir le
muscle
par l'incision préliminaire de la conjonctive, le
l'aide de pinces à griffes, et divise en même temps la membrane et le
muscle
dans le pli qu'il a formé. Les suites de l'opér
st intéressant de rechercher ce qui se passe dans l'orbite et dans le
muscle
divisé à la suite de l'opération du strabisme. On
du strabisme. On sait ce qui arrive après la section sous-cutanée des
muscles
: un lien fibreux réunit les portions divisées. L
it les portions divisées. Les choses se passent différemment dans les
muscles
de l'œil ; il paraît que les deux bouts ne se réu
bservateurs, ni moi-même, nous n'avons vu l'union des deux moitiés du
muscle
; mais nous avons constaté la soudure du bout post
ane s'organisant en aponévrose d'insertion. L'extrémité antérieure du
muscle
se flétrit et disparaît à la longue. On n'a jamai
t à la longue. On n'a jamais démontré par la dissection la réunion du
muscle
bout à bout que l'on prétend obtenir dans certain
ulent des conséquences physiologiques importantes : c'est que plus le
muscle
s'insère en arrière, plus son action est diminuée
celle-ci a-t-elle lieu dans un point voisin de l'attache normale, le
muscle
a presque autant d'action qu'avant la section. Le
quelque sorte régler à l'avance le degré de cette action restante du
muscle
, en agissant sur un point plus ou moins rapproché
la strabotomie dépendent d'une espèce de lutte qui s'établit entre le
muscle
coupé et son antagoniste; si l'opération a été bi
ivers déplacements. 3° Le strabisme n'est pas redressé, bien que le
muscle
ait été incisé dans toute sa hauteur. Quelquefois
esser le strabisme, lorsqu'il résiste à la section complète d'un seul
muscle
et à un large débridement de l'aponévrose oculair
Zi° L'opération produit un strabisme opposé à celui qui existait, le
muscle
antagoniste attirant trop fortement l'œil de son
consécutif. L'immobilité complète du globe oculaire dans le sens du
muscle
coupé est encore un fâcheux résultat que les chir
at que les chirurgiens ont observé à la suite de la division d'un des
muscles
de l'œil, dont l'action se trouve perdue par l'ef
ans lesquels il est plus facile encore de produire la prédominance du
muscle
antagoniste sur le muscle affecté, trop affaibli
acile encore de produire la prédominance du muscle antagoniste sur le
muscle
affecté, trop affaibli par l'opération. On évite
t l'opération ; il est à peine du deuxième degré. J'ai peu détaché le
muscle
abducteur, l'œil me paraissant suffisamment redre
eusse porté plus loin la section de l'aponévrose et le décollement du
muscle
, j'aurais obtenu un redressement plus complet du
me degré. Une sœur jumelle éprouvait la même infirmité. L'incision du
muscle
droit interne et de l'aponévrose a été trop étend
ent à droite et par conséquent double alternatif. Après la section du
muscle
droit interne gauche à son attache, pratiquée en
sion avait beaucoup gagné. La seconde opération a nui au résultat. Le
muscle
droit interne du côté droit, divisé avec beaucoup
e jusqu'à dix-neuf ans. Le 11 août 1841, je pratiquai la section du
muscle
droit externe sans presque obtenir de changement.
e débridai largement alors, au-dessus et au-dessous de l'insertion du
muscle
, et j'obtins un redressement satisfaisant ; l'éte
ait un peu plus grand que l'œil droit. Le 19 mars 1841, la section du
muscle
droit externe fut pratiquée sans amener de change
nt d'abduction était presque normal ; il y avait peu de rétraction du
muscle
droit interne. La vision était affaiblie à gauche
ision était affaiblie à gauche. Au mois de juin 1854, la section du
muscle
droit interne, pratiquée à son attache antérieure
ne donnait pas lieu à la vue double. Le 12 avril 1842, j'incisai le
muscle
droit interne gauche à petits coups, près de la c
éterminée et maintenue par la disposition vicieuse des ligaments, des
muscles
et très-souvent des os eux-mêmes. Mouvements ph
, que je vais résumer brièvement ce point de mécanique animale. Six
muscles
sont les agents essentiels des huit mouvements in
ambier postérieur et le court péronier latéral. Les quatre premiers
muscles
, quand ils agissent seuls, ne produisent que des
pied a été préalablement amené à l'angle droit. Chacun de ces deux
muscles
peut s'associer à ceux des quatre autres qui agis
vements normaux du pied, et l'influence qu'il faut attribuer à chaque
muscle
dans ces actions simples ou composées. Vous compr
le produit, cette cause peut résider dans les os, les ligaments, les
muscles
, dans les tissus morbides. 1° Le pied bot accid
os restés intacts incline nécessairement le pied du côté malade ; les
muscles
ne se rétractent que consécutivement. On comprend
es ligaments du pied; il coïncide ordinairement avec la faiblesse des
muscles
. 3° Les ulcères, les plaies, surtout celles qui
re par des causes pathologiques. Dès que cet équilibre est rompu, les
muscles
prédominants inclinent, dévient les parties auxqu
n, qu'à la condition d'être également soutenues de tous côtés par les
muscles
. Or, une foule de causes peuvent détruire cet équ
nt détruire cet équilibre musculaire. Si vous maintenez longtemps les
muscles
d'un membre raccourcis ou allongés, l'équilibre e
ssances musculaires, et il surviendra des déviations dans le sens des
muscles
raccourcis. C'est ce qu'on voit après l'immobilit
taient de vives douleurs aux mollets, à cause du raccourcissement des
muscles
jumeaux et soléaire. Le poids du corps, dans la
chez les jeunes apprentis de certaines professions pour allonger les
muscles
et les ligaments dans un sens, et amener une incl
bord externe. La contraction involontaire, incessante, de certains
muscles
dans beaucoup de maladies douloureuses du pied ou
nte de ce genre de déviation des pieds réside dans les affections des
muscles
eux-mêmes, soit qu'elles proviennent de leurs lés
ent, l'abolition de cette contraction. Dans les deux cas, si tous les
muscles
ne sont pas atteints ou s'ils le sont à des degré
z court, le mouvement reparaît, peu à peu, mais inégalement; certains
muscles
demeurent plus, faibles que d'autres, et le membr
sans permanence, fugace ; peu à peu elle se prononce davantage ; le?
muscles
cèdent encore, on peut ramener le pied à sa posit
our cela, chez l'un d'eux, d'un effort peu considérahle, parce que le
muscle
n'est encore que faiblement rétracté. C'est en qu
qu'ils font effort pour fléchir le pied. Dans les cas de ce genre, ce
muscle
tend, en effet, à suppléer le jambierantérieur, p
t pied bot équin si la cause pathologique persiste ; la paralysie des
muscles
antérieurs est générale. Ve et VIe cas. — Enfin
au commencement de cette leçon l'action qu'il fallait attribuer à ce
muscle
, qui est comme une sorte de ligament actif, maint
incomplète dépendant du mal vertébral ; le long péronier étant un des
muscles
les plus affaiblis, la voûte tarsienne s'affaisse
la moitié inférieure du corps; plus tard, la contraction inégale des
muscles
détermine peu à peu des pieds bots suivant le méc
atifs déterminés par l'absence congéniale de certains os, de certains
muscles
du pied. Palletta parle de deux talus produits pa
ète, chez l'enfant, la disposition des organes du parent; les os, les
muscles
, etc., se sont irrégulièrement développés dès leu
egré, sans passer à la seconde forme. Voici ses caractères : les deux
muscles
jambiers, le postérieur surtout, sont raccourcis
que par la rencontre des os et par la résistance des ligaments et des
muscles
allongés. 2° Deuxième et troisième degrés. — Le
endue du déplacement du scaphoïde, en se rappelant la disposition des
muscles
jambiers postérieur et antérieur, qui s'insèrent,
t de ces derniers. Cependant ils peuvent aussi être attirés par leurs
muscles
propres, s'incliner en dedans, augmenter ainsi la
emarquez aussi l'atrophie des gastrocnémiens de ce côté, comparés aux
muscles
de l'autre jambe. La mère nous dit que la jambe d
ubitus en arrière, conséquence des paralysies et des contractures des
muscles
de l'avant-bras. Les pieds sont devenus courbes ;
nt à se renverser en dehors. La paralysie n'est pas complète dans les
muscles
de la jambe, car il y a encore quelques mouvement
enseurs et des fléchisseurs des orteils, et par l'affaiblissement des
muscles
interosseux. Il y a chez celte femme une légère
ans les deux premiers orteils, et bien légèrement. On sent encore les
muscles
de la jambe, mais ils sont déjà bien atrophiés. L
déformée, parce que la faiblesse musculaire a été égale dans tous les
muscles
. IIIe cas. — Madame Lecouteux, vingt-huit ans,
abolis dans cette main, en sorte que la paralysie porte même sur les
muscles
qui ont agi avec excès, qui se sont contractures.
son de la sensibilité générale du pied et de la faiblesse extrême des
muscles
: aussi ne voyez-vous pas ici de talon surnumérai
lle est inclinée en dedans par l'obliquité plus grande du col, que le
muscle
jambier postérieur a dévié au lieu de luxer le sc
squelette, des pressions, des tractions qu'il supporte de la part des
muscles
ou par l'influence de la pesanteur, des déplaceme
gieux des surfaces articulaires s'unir et former ankylose. État des
muscles
. — Les altérations qu'offrent les muscles dans le
former ankylose. État des muscles. — Les altérations qu'offrent les
muscles
dans le pied bot portent sur leur longueur, sur l
eur contractilité et leur substance propre. Le raccourcissement des
muscles
rétractés offre plusieurs degrés. Il n'y a sous c
sements spontanés effectués après la naissance par le seul effort des
muscles
, dont les mouvements deviennent plus libres alors
use; les autres ont dit, avec Scarpa (2), que le raccourcissement des
muscles
était l'effet du rapprochement de leurs attaches,
l y a en effet, dès l'origine, une contraction plus forte de certains
muscles
; mais ce n'est pas un raccourcissement permanent.
la simple contraction anormale, et la perte de longueur constante des
muscles
, celle qui les fait résister à la manière des lig
deux sortes de raccourcissement, la contraction et la rétraction des
muscles
. Ces deux états sont, à la vérité, généralement a
apparences semblables, par la tension, le soulèvement, la dureté des
muscles
et de leurs tendons, quand on fait effort pour re
re peut vaincre instantanément la résistance due à la contraction; le
muscle
rétracté se rompt, au contraire, plutôt que de cé
pied bot y est moins prononcé que sur le vivant. La rétraction des
muscles
et celle des ligaments n'existent pas au même dgr
rétraction des ligaments est le plus marquée par rapport à celle des
muscles
. Au contraire, certains pieds bols paralytiques n
e l'étendue de la rétraction musculaire, accroît encore le nombre des
muscles
rétractés. On a en effet distingué avec raison le
nombre des muscles rétractés. On a en effet distingué avec raison les
muscles
primitivement rétractés, qui sont les agents esse
ent rétractés, qui sont les agents essentiels de la déviation, et les
muscles
qui ne se rétractent que secondairement par le se
ondairement par le seul effet du rapprochement de leurs attaches. Les
muscles
de la plante du pied, par exemple, ainsi que l'ap
tiennent généralement à cette dernière catégorie. Disons un mot des
muscles
allongés dans le varus. Ils se présentent dans un
résentent dans un état de tension dû à cette tendance continuelle des
muscles
au resserrement, qu'on appelle leur tonicité. Ils
e d'S, ce qui était dû en partie à cette influence de la tonicité des
muscles
distendus. Des changements singuliers dans la s
tendons transforment plus ou moins les fondions spéciales de certains
muscles
. Je me bornerai à trois exemples de ce genre. L
delà rotation de cette tubérosité et de son obliquité permanente. Le
muscle
, qui tend toujours à se diriger en ligne droite,
ent du ta'on dans ce sens. Le poids du corps doit contribuer avec les
muscles
à ce déplacement du calcanéum. Le tendon du jam
rteil, et d'abducteur qu'il était, devient adducteur. Vous avez vu ce
muscle
relever le bord interne du pied sur une jeune mal
deux sortes : dans l'une, le mouvement volontaire est seul perdu, les
muscles
affectés ont conservé leur irritabilité et se con
ine l'action musculaire, elle s'affaiblit peu à pou, d'abord dans les
muscles
allongés, puis dans les muscles raccourcis. Cet a
affaiblit peu à pou, d'abord dans les muscles allongés, puis dans les
muscles
raccourcis. Cet affaiblissement musculaire est pr
rmité elle-même : trop grand rapprochement des attaches pour certains
muscles
, éloignement trop grand de ces attaches pour d'au
ées, à l'impotence du membre : c'est la transformation grais euse des
muscles
. Cette transformation, d'abord partit lie, fi;;it
sformation, d'abord partit lie, fi;;it par envahir tout à la fois les
muscles
allongés et les muscles raccourcis. (1) De l'él
it lie, fi;;it par envahir tout à la fois les muscles allongés et les
muscles
raccourcis. (1) De l'électrisation localisée. P
n localisée. Paris, 1855. pag,711, 837, On a dit aussi que certains
muscles
, dans Je pied bot, devenaient fibreux. Je n'en co
n constaté. On a pu observer cette apparence sur des monstres, où ces
muscles
n'avaient peut-être jamais existé, et se trouvaie
nt un membre pied bot, porte sur toutes les parties de ce membre, os,
muscles
, vaisseaux, nerfs. Cet état persiste toute la vie
nerveuse primitive, tantôt principalement élans l'inertie forcée des
muscles
. M. Michon rappelait dernièrement, à la Société
rès l'amputation de Chopartou après l'ampu'a ion sus-malléolaire, les
muscles
de la jambe, n'ayant plus lieu d'exercer leur act
la contraction des fléchisseurs des orteils. Presque tous les autres
muscles
sont, en effet, paralysés. Delpech (1) a déjà fai
fois on rencontre, d'un côté, un varus, et de l'autre, un valgus, des
muscles
différents ayant été affectés à droite et à gauch
nseur du gros orteil, et le jambier antérieur, pour la flexion. Les
muscles
al'ongés sont ceux qui se trouvent raccourcis dan
e et le scialique poplité interne, correspondent à ces deux ordres de
muscles
affectés; el'où la division des pieds bots, (1)
on. La face plantaire est ordinairement aplatie dans le valgus. Les
muscles
abducteurs et fléchisseurs ont une tendance à apl
absence de ces os et la déviation du pied; on peut comprendre que les
muscles
du côté externe du membre n'ayant pas trouvé la
déformations osseuses, des changements subis par les ligaments et les
muscles
, dans le varus, s'applique également au valgus. I
ceps sural seul ou associé au long péronier, plus rarement à d'autres
muscles
. Cette extension offre divers degrés dépendant
long péronier paraît êlre l'agent principal de cette déformation ; ce
muscle
étendant son action jusqu'au métatarse, il en rés
par leur face inférieure et fortement appliqués au sol par les petits
muscles
de la plante du pied, agrandissent en avant celte
ong péronier; c'est le résultat d'une égalité d'action entre ces deux
muscles
. J'adopte pleinement ici les vues exposées récemm
mment par M. Duchenne, dans la première partie de son mémoire sur les
muscles
moteurs du pied. Le triceps sural fait porter le
lée du triceps sural ; dans un degré plus avancé, la rétraction de ce
muscle
est augmentée de celle du jambier postérieur et d
nterne. Cette abduction est plus souvent l'effet de la rétraction des
muscles
abducteurs, associée à celle du triceps sural.
; cela fait croire, au premier abord, à un grand raccourcissement des
muscles
du molltt ; mais que l'enfant essaye d'appuyer
tion que le long péronier latéral ; le b:ird externe est abaissé; les
muscles
antérieurs agissent à peine , mais les mouvements
raction que rétraction permanente. On fait céder assez facilement les
muscles
en apparence rétractés, et la déviation s'efface
t ensuite à un haut degré par la contraction involontaire 14. des
muscles
prédominants, et l'on observe alors tous les cara
de paralysie du triceps, mais seulement une moindre résistance de ce
muscle
, accompagnée d'un spasme très-prononcé des fléchi
que très faiblement aux fléchisseurs de l'avant pied. Ces derniers
muscles
sont sollicités à agir par deux causes; d'un côté
. C'est ce que vous saisirez aisément, en jetant un coup d'œd sur ces
muscles
artificiels adaptés à un membre de squelette par
us. Us offrent la forme de griffe dans le talus pied creux, quand les
muscles
inierosseux sont paralysés. Us sont dioits ou rel
paralysés. Us sont dioits ou relevés vers le dos du pied, lorsque ces
muscles
sont sains. La sustentation est plus assurée da
des orteils; mais il en existe une troisième, dans laquelle les Dois
muscles
sont associés. C'est ce qu'on peut appeler le tal
pas; j'ai constaté moi-même que l'électricité n'a pas d'action sur le
muscle
paralysé. Il y a un pli très-pofond à la piaule,
interne, comme cela a lieu dans la rétraction isolée de chacun de ces
muscles
. DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DU PIED BOT. — Il semb
. Ainsi, il faudra explorer l'état de la contractilité des différents
muscles
, l'état de leur nutrition ; s'assurer de la confo
ur comparée à celle de l'autre membre, la force et la disposition des
muscles
qui les meuvent. On verra si la situation des mal
de la première période ou période de formation, pendant laquelle les
muscles
sont contractés et non rétractés. Les moyens à em
ère condition des moyens mécaniques, c'est d'agir en sens inverse des
muscles
qui ont produit la déviation. Il faut aussi con
occupent. Elles peuvent siéger uniquement ou principalement dans les
muscles
; elles consistent alors dans une espèce d'attitud
es déviations tibio-tarsiennes, la résistance principale est dans les
muscles
, tandis qu'elle provient souvent des ligaments et
es. L'intensité de la résistance varie encore suivant la nature des
muscles
; la plus considérable provient de la rétraction d
rçon qui se guérit lui-même par des efforts soutenus, en exerçant les
muscles
de son pied et en le redressant très-fréquemment
emédier à des subluxalions anciennes ou à la rétraction permanente de
muscles
puissants. Us conviennent particulièrement après
ntra-utérine, affection qui a eu pour résultat un affaiblissement des
muscles
fléchisseurs abducteurs du côté droit et des musc
aiblissement des muscles fléchisseurs abducteurs du côté droit et des
muscles
opposés du côté gauche. Le valgus du pied gauche
eut rapprocher les genoux. Ceux-ci sont fléchis, et la rétraction des
muscles
fléchisseurs ne permet pas de leur donner l'exten
se de cordons élastiques, représentant la direction, les attaches des
muscles
, et destinés à remplacer ceux dont l'action est a
ns, à l'aide de liens de caoutchouc agissant suivant la direction des
muscles
affaiblis. C'est celle même idée que M. Duchenne
es recherches de M. Duchenne, c'est la détermination plus précise des
muscles
affectés ; d'où l'indication plus nette des moyen
e, et il s'est efforcé de reproduire ces effets en détail, en prenant
muscle
par muscle. Les deux malades que vous allez voi
est efforcé de reproduire ces effets en détail, en prenant muscle par
muscle
. Les deux malades que vous allez voir vous donn
nt s'attacher des ressorts de bretelles qui simulent la puissance, le
muscle
; ces ressorts se terminent au chausson par une ou
chausson par une ou plusieurs divisions représentant les tendons des
muscles
. Mais l'insertion supérieure des muscles sur les
représentant les tendons des muscles. Mais l'insertion supérieure des
muscles
sur les os est fixe, tandis qu'ici cette insertio
la molletière et aboutissant à un étrier placé sous le chausson. Les
muscles
sont représentés, comme précédemment, par des r
ns le pied équin, dans le talus, le poids du corps, en allongeant les
muscles
rétractés, peut venir en aide aux autres moyens.
it de savoir que le pied est retenu dans sa position vicieuse par des
muscles
raccourcis, pour que l'idée vînt de les couper. O
vait devant les yeux l'exemple du torticolis, guéri par la section du
muscle
sterno - mastoïdien dès le temps de Tulpius, méde
, et que la ténotomie fut appliquée successivement à presque tous les
muscles
moteurs du pied. Aujourd'hui, deux méthodes son
ncipe de diviser, dans chaque forme de pied bot, tous les tendons des
muscles
qui l'ont déterminée par leur rétraction. C'est u
ue de la ténotomie. L'autre méthode établit une distinction entre les
muscles
rétractés. Elle ne touche pas à ceux qui cèdent f
mairement en revue la section des autres tendons du pied. Les trois
muscles
fléchisseurs du pied, jambier antérieur, extenseu
int où leur rétraction les rend le plus saillants, qu'on divisera ces
muscles
. Le jambier antérieur peut être divisé dans certa
ctricité pourra servir à produire le même effet par la contraction du
muscle
. Les mêmes moyens rendront plus visible le tend
, à la jambe. Aucune partie importante n'avoisine immédiatement ces
muscles
. Il faut éviter seulement d'entamer les articulat
on isolée du tendon du jambier postérieur est bien plus difficile. Ce
muscle
, en effet, est accolé au long fléchisseur des ort
e pied dans l'adduction. Une dépression qui se produit alors entre ce
muscle
et le jambier antérieur, montre clairement où il
l nous reste à parler des longs fléchisseurs des orteils. Quoique ces
muscles
aient été divisés à la jambe, ils y sont trop pro
rien de particulier dans le procédé. Mais on n'a plus, comme pour les
muscles
précédents, des cordes nettement circonscrites; o
ux du long fléchisseur des orteils; le pied est dans l'adduction, les
muscles
fléchisseurs du pied sur la jambe sont paralysés,
a des adhérences dais la coulisse ostéo-fibre use, et le mouvement du
muscle
sera aboli ; les tendons accolés pourront aussi s
ou moins longtemps après la section. Il s'agissait, à la vérité, des
muscles
de la main ; mais les mêmes considérations s'appl
t ce que M. Velpeau fit très-bien ressortir, en posant, à l'égard des
muscles
du pied, des principes analogues à ceux que je vi
, des recherches nouvelles sur l'état anatomique et physiologique des
muscles
divisés chez l'homme, pour fixer la science sur c
ied des sections qui affaiblissent ou détruisent l'action de certains
muscles
, si c'est le seul moyen d'obtenir une rectitude i
spasme musculaire, qui ne s'opposait plus dès lors à l'allongement du
muscle
; mais il n'admettait pas que cet allongement fût
les faits nombreux qui en démontrent l'inexactitude. L'allongement du
muscle
résulte, en effet, de l'interposition de la nouve
sol. Aussi qu'arrive-t-il si les moyens mécaniques ou l'action des
muscles
antagonistes ne rétablissent pas la position norm
fisamment du supérieur, la cicatrice tendineuse est trop courte et le
muscle
est presque aussi rétracté qu'avant l'opération.
rieusement à ceux qui reprochent à la téno-tomie de trop affaiblir le
muscle
en rallongeant, puisque, si cet allongement n'est
e en rallongeant, puisque, si cet allongement n'est pas suffisant, le
muscle
a encore assez de force pour reproduire la déviat
Sans doute, en exagérant l'extension, on peut amener une débilité du
muscle
; c'est au médecin à agir dans les limites conven
. Ainsi, dans la rétraction commençante, même congénitale, quand le
muscle
cède à l'extension, la ténotomie est, en général,
, on obtient un mouvement de flexion plus étendu. En second lieu, les
muscles
fortement rétractés, lorsqu'ils sont simplement a
gard des moyens mécaniques, pour s'assurer du degré de rétraction des
muscles
. Suivant le résultat de ces observations, on avan
. La ténotomie étant indiquée, il reste à déterminer quels sont les
muscles
qu'on doit diviser. J'ai déjà dit que, dans mon o
qui produit une résistance capable d'empêcher la guérison. Les autres
muscles
du pied et l'aponévrose plantaire s'étendent le p
entels. Un bandage compressif a suffi pour faire cesser le spasme des
muscles
du mollet. C'est là un exemple des indications
ations analogues ; mais on s'attachera à les appliquer uniquement aux
muscles
affaiblis, en localisant autant que possible l'ef
ement des ligaments du rachis, en partie produit par la faiblesse des
muscles
, qui leur laissent supporter tout le poids du tro
au nombre de quatre, savoir : la mollesse des os, la contraction des
muscles
, le poids du corps et la courbure naturelle des o
rus. La flexion de l'os répond à son bord interne, et il n'y a pas de
muscle
qui puisse le courber dans ce sens. Je crois que
cas de ce genre, quand le bras est soulevé par le deltoïde. Mais les
muscles
triceps-brachial, grand pectoral et grand dorsal,
s, 1842, 2e partie, p. 676. courbure à la prédominance d'action des
muscles
fléchisseurs sur les extenseurs. La légère courbu
du corps, à laquelle s'ajoute, dans certains cas, la contraction des
muscles
. Chez les enfants qui ne marchent pas, cette cont
érieure du membre, lorsque la cuisse est soulevée par l'action de ses
muscles
, du psoas-iliaque par exemple. C'est à la jambe
x genres d'altérations. D'une part, il souffre dans sa nutrition; les
muscles
sont mous, pâles, amincis ; d'autre part, ce syst
mathématiquement la courbure des os par le défaut d'accroissement des
muscles
, devenus trop courts pour la distance de leurs ex
tance de leurs extrémités d'insertion. Ce qui est vrai, c'est que les
muscles
, après avoir concouru activement par leur contrac
odifications qu'éprouve le système musculaire, il faut distinguer les
muscles
profonds et les superficiels. Les premiers , adhé
pouce, par rapport à la courbure du cubitus et du radius ; celle des
muscles
fixés le long de la ligne âpre, dans la courbure
uscles fixés le long de la ligne âpre, dans la courbure du fémur; des
muscles
de la couche profonde de la jambe, dans les diver
jambe, dans les diverses courbures du tibia et du péroné, etc. Les
muscles
superficiels, au contraire, faiblement bridés par
beaucoup moins prononcées que celles des os. Cette disposition des
muscles
concourt avec le changement de configuration des
que dans leur portion charnue. Il faut remarquer néanmoins que les
muscles
ne sont pas toujours raccourcis, dans leur totali
eté absolue, suffisante pour produire la tension et la résistance des
muscles
lorsqu'on veut effacer la courbure des os, est do
roire au premier abord. J'ai vu cette tension principalement dans les
muscles
insérés par leur extrémité inférieure à l'os incu
le pectine, les premier et second adducteurs, à la cuisse, etc. Les
muscles
éprouvent encore des déplacements partiels qui ne
iques, les vaisseaux et les nerfs, beaucoup moins retráctiles que les
muscles
, suivent plus ou moins exactement la courbure des
ps que se prononce l'am-pliation de la cavité pelvienne, l'action des
muscles
résiste de plus en plus à la tendance produite pa
vertèbres dorsales supérieures de manière à les attirer en avant. Les
muscles
postérieurs n'ont pas, en effet, une action telle
propriétés de ses parties constituantes ; 2° L'activité normale des
muscles
qui le meuvent ; 3° L'état physiologique des au
nœuvre ne peut réduire entièrement la déformation. La faiblesse des
muscles
sacro-spinaux concourt, avec la lésion rachitique
la lésion rachitique, à la production de celte forme de cyphose. Ces
muscles
sont incapables de maintenir la rectitude du tron
e d'elle-même à mesure que les 03 reprennent plus de consistance, les
muscles
plus de puissance contractile. Il importe seuleme
st la faiblesse de constitution primitive ou acquise, qui dispose les
muscles
extenseurs du rachis à se fatiguer promptement, s
es qui lui ont donné naissance , puis chercher à faire contracter les
muscles
extenseurs du tronc de manière à corriger la défo
x-mêmes leur maintien , à redresser peu à peu, par le seul effort des
muscles
, un rachis déjà courbé d'une manière permanente.
l'on comprend que cet exercice finisse par accroître la puissance des
muscles
et par vaincre leur inertie habituelle. Le même m
r vaincre leur inertie habituelle. Le même moyen peut s'appliquer aux
muscles
des épaules, du dos, des lombes, etc. L'attitud
ané, et qu'on ne peut obtenir quelque continuité dans les efforts des
muscles
. En maintenant alors la tête ou le tronc dans une
à peu les résistances du squelette , on rompt l'habitude vicieuse des
muscles
, et on fait prendre en quelque sorte aux organes
marche n'est plus possible qu'à l'aide d'un bâton ; parfois même les
muscles
ne peuvent maintenir l'équilibre. La cyphose, à
nant lieu à une cyphose persistante. On a signalé une contracture des
muscles
abdominaux s'opposant au redressement de la colon
ntôt par suite des altitudes du malade pour éviter la contraction des
muscles
douloureux. Le rhumatisme articulaire, rare dans
ot, dont la tête volumineuse, ne pouvant être encore soutenue par ses
muscles
, retombe en arrière quand elle n'a pas de support
ut être due à des causes accidentelles, à un excès de contraction des
muscles
sacro-spinaux, au relâchement des ligaments. C'
de l'organe , qui peut constituer un obstacle à la parturition. Les
muscles
se moulent, comme les ligaments, sur les espaces
n avant ou son renversement en arrière. On exerce ainsi à volonté les
muscles
antérieurs ou postérieurs de la colonne vertébral
tes sur les mmcles des lombes, comme d'autres en ont pratiqué sur les
muscles
abdominaux dans certains cas de cyphose avec rétr
e. Ce moyen ne serait indiqué que si la contraction et la tension des
muscles
paraissaient de nature spasmodique , et si elles
qui me paraît rentrer dans la même catégorie. A. La-contracture des
muscles
de la nuque est assez commune chez nos enfants ;
est possible, mais je n'en connais pas d'exemple. Les rétractions des
muscles
du cou sont généralement latérales, et non direct
creux. Rien ne saurait mieux nous donner une idée de la puissance des
muscles
pour modifier les os ; rien n'est plus propre à n
est produite par une paralysie du tronc, paralysie qui porte sur les
muscles
extenseurs ou fléchisseurs de la colonne vertébra
; je me bornerai pour le moment à ce qui a trait à nion sujet. Les
muscles
abdominaux, principaux fléchisseurs du rachis, pe
Chacun de ces états opposés donne lieu à une attitude spéciale. Les
muscles
de l'abdomen sont-ils paralysés, les sacro-spinau
s de M. le docteur Duchenne pour une acinésie occupant une partie des
muscles
du tronc et, en particulier, ceux de l'abdomen. V
ifférence dans la conformation apparente des lombes. Si ce sont les
muscles
sacro-spinaux que le mal a envahis , on observe u
drait dans ce cas à voir, comme chez les vieillards, la faiblesse des
muscles
postérieurs suivie de flexion en avant, de cyphos
e son propre poids le porte dans cette direction , jusqu'à ce que les
muscles
antérieurs valides soient appelés à leur tour à m
seurs du cou, considérée en particulier , se comporte comme celle des
muscles
du tronc (1) Loc. cit., p. 834, (2) Voy. pl.
expliquer ce renversement bizarre du rachis? Quel est ici le rôle des
muscles
? D'abord qu'est-ce qu'un monstre ? Dans beaucou
veloppement du squelette. Il serait assez naturel de penser que les
muscles
postérieurs du tronc contribuent par leur contrac
.de lordose fœtale moins considérable, le changement de direction des
muscles
, rejetés sur les côtés avec les lames vertébrales
mes vertébrales, et leur état de relâchement comparé à la tension des
muscles
antérieurs. Il est difficile de comprendre commen
rompue, exerce une influence pour le moins aussi réelle que celle dés
muscles
. Ne faut-il pas aussi tenir compte de la rétracti
premier. Un des côtés du dos est un peu plus bombé que l'autre ; les
muscles
des gouttières vertébrales sont soulevés, tendus
e l'action de la pesanteur est principalement contre-balancée par les
muscles
d'un seul côté, ce qui repose ceux de l'autre côt
effort d'équilibration instinctif et par la prédominance d'action des
muscles
de ce côté. L'état du membre inférieur influe aus
on a représenté toutes ces poses. Remarquez la saillie, la dureté des
muscles
lombaires d'un côté, fortement contractés pour so
d'un inégal développement musculaire, d'hypertrophie, d'atrophie, de
muscles
plus saillants et par conséquent plus volumineux,
es individus. En réalité, sauf quelques exceptions, l'omoplate et ses
muscles
sont tout à fait étrangers à cette apparente disp
en arrière, dans les courbures normales inférieures. Aux lombes, les
muscles
seuls sont inégalement soulevés par les apophyses
dorsale inférieure gauche ; flanc droit un peu déprimé ; saillie des
muscles
lombaires droits, due à une courbure secondaire i
out chez les enfants, celle des vertèbres supérieures, permettent aux
muscles
de ramener les deux extrémités de la courbe dans
onnue, ne comporte qu'un petit nombre d'exceptions. Certains sujets à
muscles
débiles ne parviennent pas à relever le rachis, à
le de la région dorsale se changer en lordose par la seule action des
muscles
pour établir une courbure de compensation. Vous a
es. Le plus grand effort de rotation des vertèbres que produisent les
muscles
, ne fait que tourner en sens contraire les extrém
ies molles qui ressentent l'influence des courbures de l'épine. Les
muscles
extrinsèques et intrinsèques du rachis suivent le
sertions opposées. Là où les attaches deviennent moins distantes, les
muscles
se raccourcissent : c'est ainsi, par exemple, que
es, les muscles se raccourcissent : c'est ainsi, par exemple, que les
muscles
des gouttières vertébrales acquièrent une longueu
ité doit être distingué de la rétraction primitive ou consécutive des
muscles
qui meuvent une articulation quelconque. Les arti
ibles par elles-mêmes, sans rencontrer de résistance de la part des
muscles
. On peut en conséquence diminuer les courbures, r
é des vertèbres dans un sens opposé à leur inclinaison , sans que les
muscles
de la concavité se montrent tendus de manière à b
nt vous. Sur ce rachis scoliotique encore frais et pourvu de tous ses
muscles
, provenant d'un sujet d'environ vingt-cinq ans, n
e voir que le redressement obtenu n'est pas limité par la tension des
muscles
,—ceux-ci sont à peine un peu plus tendus,— mais b
qui unissent ces vertèbres, on peut redresser le rachis et tendre les
muscles
; mais cette section préalable est toujours nécess
se est borné par la tension des ligaments, et nullement par celle des
muscles
. On a dit qu'en procédant autrement, en suspend
suspendant, par exemple, un cadavre gibbeux, on arrivait à tendre les
muscles
. D'abord, ce n'est pas là une expérience en rappo
on musculaire ne mettant point obstacle à l'écartement des os, et les
muscles
sont loin de faire corde, comme dans un pied bot
à laquelle nous suspendons un poids assez pesant : vous voyez que les
muscles
sont bien peu tendus. Pour (1) Voy. Bulletin de
noter la longueur exacte de la colonne ainsi tendue, puis couper les
muscles
qu'on suppose résister à cette extension : c'est
rcit dans un sens; c'est une réduction des vertèbres elles-mêmes. Les
muscles
, en s'accommodant à cette réduction, ne doivent p
déjà pour vous faire pressentir que l'on ne peut, par la section des
muscles
de l'épine, lever un obstacle réel au redressemen
flexion qu'à celle dont nous nous occupons en ce moment. Les trois
muscles
principaux qui composent le sacro-spinal sont iné
t de la configuration nouvelle du rachis. Les plus longs, parmi ces
muscles
, une partie du long dorsal, du sacro-lombaire, pa
scoliose semblable à celle de Mayow et aussi peu fondée : on voit ces
muscles
, à certaines hau- (1) Journal de médecine de Ly
ne se rattache nullement à une modification primitive dans l'état des
muscles
. La plupart des changements que les muscles du
imitive dans l'état des muscles. La plupart des changements que les
muscles
du rachis éprouvent dans la scoliose sont défavor
au sens habituel de leur action, et congénères, sous ce rapport, des
muscles
de la concavité. C'est sans doute à l'inertie c
uscles de la concavité. C'est sans doute à l'inertie croissante des
muscles
de plus en plus gênés dans leur action , à la dim
ncavité des courbures principales, qu'elle atteint beaucoup moins les
muscles
de la convexité. Ce n'est que dans un âge avancé
e grande étendue. Vous remarquerez encore, sur ces dessins, que les
muscles
extrinsèques eux-mêmes, les muscles larges et sup
encore, sur ces dessins, que les muscles extrinsèques eux-mêmes, les
muscles
larges et superficiels de la région dorsale, part
effets de la pression, des froissements exercés par les côtes sur les
muscles
qui les avoi-sinent ; vous devinez l'atrophie des
s qui les avoi-sinent ; vous devinez l'atrophie des intercostaux, des
muscles
resserrés entre les côtes et la crête iliaque, et
s beaucoup de cas en arrière ou de côté avec l'axe de la poitrine, ce
muscle
n'exerce plus alors, dans ses contractions, un ef
es (5). De nature musculaire , il se raccourcit à proportion comme un
muscle
du squelette dont les points d'insertion se rappr
gion cervicale était ainsi tordue sur elle-même. La contracture des
muscles
du tronc, si rare après la naissance, paraît plus
uosités. Il dit avoir observé, dans plusieurs cas, une rétraction des
muscles
du rachis en rapport avec le sens des courbures;
tion des muscles du rachis en rapport avec le sens des courbures; ces
muscles
courbaient la colonne vertébrale en tirant sur el
eu contracture musculaire primitive, lorsque d'ailleurs on trouve les
muscles
rétractés. Mais cette lésion manque parfois, dans
ation. Fleischmann (4), qui malheureusement ne dit rien de l'état des
muscles
, suppose que l'éventralion , (1) Histoire des a
tribuent inégalement aux deux côtés de l'os. Selon Mayow, ce sont les
muscles
, trop courts pour le squelette, qui le forcent à
u et quelque peu modifié l'explication de Mayow, en admettant que les
muscles
de l'épine, contractés avec force d'un seul côté,
5) complète encore celte théorie, en disant que cette contraction des
muscles
d'un côté peut dépendre de convulsions ou (1) B
ces, 1706. (5) Lettre 27«. d'une plus grande force naturelle de ces
muscles
, ou encore d'un affaiblissement des muscles oppos
de force naturelle de ces muscles, ou encore d'un affaiblissement des
muscles
opposés par une paralysie ou une autre cause. Mor
uelles des enfants produites par la prédominance d'action de certains
muscles
. Pravaz (2), adoptant la même idée, intitule son
ui agissent sur la colonne vertébrale; et ces puissances, ce sont les
muscles
. Notre bien regrettable confrère revint plus tard
aut d'harmonie entre l'élongation du squelette et l'accroissement des
muscles
(3). Delpech seul, de nos jours, battit en brèc
qui dépendent, suivant cette doctrine, de la rétraction partielle des
muscles
de la colonne vertébrale. Voyons ce que l'obser
arquée de la tige osseuse devient permanente. Plus tard, l'effort des
muscles
ajoute une seconde, une troisième courbure à la p
scles ajoute une seconde, une troisième courbure à la première. Les
muscles
sont-ils, dans ce cas, rétractés, tendus à la man
flexions latérales habituelles suivies de déformation du rachis. Les
muscles
concourent par leur action physiologique à la for
cusées, depuis Morgagni, de donner lieu à la scoliose en laissant les
muscles
disproportionnés en force, les uns affaiblis, par
bures une fois qu'elles se sont produites. L'action irrégulière des
muscles
n'est donc point la condition étiologique de cett
ans la scoliose rachitique et dans celle que j'appelle spontanée, les
muscles
concourent, comme nous le verrons, à déterminer l
non par leur rétraction. Est-il plus nécessaire de prouver que les
muscles
ne sauraient donner à l'épine la forme sigmoïde,
ie (l), qui n'aurait pas dû être répétée de notre temps. (2) Si les
muscles
, soit rétractés, soit contractés irrégulièrement
té : les partisan? mêmes du système de la contraction irrégulière des
muscles
, les partisans du système de la rétraction reconn
oplate, une troisième saillie à peine accusée, due au soulèvement des
muscles
qui répondent à la convexité de la courbure sus-a
hyses épineuses ; le milieu de cette ligne est souvent caché sous les
muscles
de la gouttière vertébrale, situés sur le côté in
peu prédominante. Il n'y a pas de troisième courbure appréciable. Les
muscles
de la région dorso-lombaire gauche sont déprimé
vé. Vous n'avez pas oublié que cette proéminence de l'omoplate et des
muscles
lombaires est due aux côtes et à l'épine, qui son
extérieures, etc. ; 2° dans les mouvements actifs déterminés par les
muscles
. a. Action de ia pesanteur et des pressions ext
concavité des courbures par le poids des parties, par la pression des
muscles
qui font équilibre à ce poids ; dans les articula
la position horizontale, et ils seraient encore plus marqués, si les
muscles
contractés ne bornaient l'écartement des os. On
trême tension dans un effort considérable qui ne tendait pas plus les
muscles
que dans l'expérience répétée dernièrement sous v
e et contribuer à la faire naître. Le mode d'action particulier des
muscles
du rachis a donné lieu à d'étranges méprises. J'a
athologique, des conditions nouvelles dans lesquelles se trouvent les
muscles
de l'épine. Au lieu d'agir également à droite et
e de toute sa force à cette impulsion. Croiriez-vous qu'on a vu là un
muscle
rétracté ? qu'à défaut de pièces pathologiques pr
a rétraction dans divers faisceaux musculaires, et même dans les deux
muscles
parallèles des côtés droit et gauche (4). Ainsi
tenir la cessation de toute contraction, et vous ne trouverez plus de
muscles
raccourcis, durs, tendus, et, en apparence, rétra
actés, quelque attitude que vous donniez au tronc. Naturellement, les
muscles
se tendront un peu, quand vous éloignerez par tro
voudrez redresser les courbures, vous ne rencontrerez alors dans les
muscles
guère plus de résistance que sur le cadavre ; tan
et durcit le sacro-spinal dans l'expérience précitée? Au moment où ce
muscle
est si court, si tendu qu'il semble impossible d'
xtrémités, faites fléchir le tronc en avant; le dos va se voûter, ses
muscles
vont changer tout à coup de dimensions; ils décri
t relâché, parce qu'il s'est comporté comme son congénère, comme tout
muscle
doué d'une longueur en rapport avec celle du sque
enu au delà de quelques instants. En appréciant cette influence des
muscles
sur les courbures, on devra éviter une erreur que
nt de la scoliose, comment on a tenté d'ajouter encore au pouvoir des
muscles
du rachis en combinant avec leur action celle des
pouvoir des muscles du rachis en combinant avec leur action celle des
muscles
des autres sections du corps, et comment on a éga
es d'une scoliose, la rondeur des côtes du côté droit, la saillie des
muscles
lombaires du côté gauche. C'est un cas bien carac
alade en avant, on fait disparaître la corde saillante formée par les
muscles
lombaires au lieu de l'augmenter, comme le voudra
à son étroitesse d'un côté à l'autre. La maigreur est générale ; les
muscles
ont partout peu de volume. Celte jeune fille ne
les sont souvent les flexions dues à une contraction involontaire des
muscles
causée par la douleur, celles qui accompagnent le
ou soi-disant tel, en cherchant à mettre en défaut la ténacité de ses
muscles
, et principalement au moyen d'épreuves morales, q
plus grand développement d'une moitié de la cavité thoracique ou des
muscles
d'un côté du dos, etc. Dans presque aucun de ce
o-latérale essentielle, la gouttière vertébrale correspondante et ses
muscles
ne seraient pas portés en arrière, comme cela a l
vertébrale et de la torsion qu'il indique. A0 Le développement des
muscles
d'un côté, dans l'hémiplégie, par exemple, ou dan
est ce qu'on observe dans les contractures et dans les paralysies des
muscles
de l'omoplate, lesquelles, selon leur siège, sont
gne (1), a réuni plusieurs faits de ce genre dans son travail sur les
muscles
de l'épaule. Cette photographie et ce moule, que
ale était droite, sans torsion, le thorax sans voussure latérale; les
muscles
étaient ramassés, contractés, durs, tendus, lorsq
travaux pénibles, surtout s'ils entraînent une action irrégulière des
muscles
, une vie trop sédentaire, des études trop assidue
là de longues récréations , des jeux actifs en plein air, sinon leurs
muscles
deviennent plus débiles, leurs os, leurs vertèbre
endre à procurer ce qu'on appelle un bon maintien, devra habituer les
muscles
extenseurs de la tête et du rachis à agir avec un
rce convenable, devra équilibrer à droite et à gauche l'action de ces
muscles
et de ceux des membres supérieurs et inférieurs.
es mouvements à l'état des forces, et, sous prétexte de fortifier les
muscles
, ne les exposez pas à des efforts outrés, capable
, éloigner de leurs études toutes les causes d'action irrégulière des
muscles
. La position horizontale est quelquefois nécess
atérale de l'épine? Les mouvements sont certainement plus libres, les
muscles
moins gênés, dans le second cas que dans le premi
manière des aponévroses d'enveloppe , et qu'il favorise l'action des
muscles
en exerçant sur eux une douce compression. Mais d
cieuses, une inclinaison permanente des vertèbres, jusqu'à ce que les
muscles
et les ligaments aient acquis plus de force. Us s
rbure de l'épine à une atonie générale, et surtout à la faiblesse des
muscles
; la conséquence est qu'elle doit guérir par les t
de cette supposition (2). Vous donneriez toute l'énergie possible aux
muscles
du rachis, que vous ne changeriez rien à la forme
les parties supérieures ; mais cela n'est possible qu'autant que les
muscles
ou des appareils spéciaux retiennent le haut du t
e la pesanteur, on a songé à contrebalancer celle-ci par l'effort des
muscles
, et même h la faire agir, au moyen de cet effort,
ous savez ce que vaut ce raisonnement. Les médecins supposent que les
muscles
de l'épaule tirent sur les vertèbres déviées et l
de la ligne médiane, ou que, dans l'action du membre thoracique, les
muscles
spinaux du côté droit inclinent le rachis de leur
la courbure. Mais, ainsi que je l'ai rappelé dans l'étiologie, si les
muscles
de l'épaule tirent sur les vertèbres, ils ne les
en rétablissant l'équilibre musculaire, et spécialement l'action des
muscles
inertes. Vous avez vu que la vraie scoliose n'est
e affection musculaire, et même en admettant que la con« traction des
muscles
soit inégale, — chose fort peu démontrée, — ce ne
latérale de l'épine dans la débilitation ou la relaxation de certains
muscles
(2). Vous comprenez que ce fait de la relaxation
ù serait donc alors cette prétendue inégalité de contraction dans des
muscles
qui ne se contractent plus? Faute de connaître de
n sur les lombes ou les lombes sur le bassin à l'aide d'un effort des
muscles
du côté gauche qui s'oppose à l'augmentation de l
plan étroit et vacillant; son but était de faire contracter tous les
muscles
à la fois autant que possible. Il n'y a point à c
ombe presque aussitôt à droite, tandis qu'avec l'aide de la main, les
muscles
du rachis le maintiennent assez longtemps dans un
ns la scoliose par déformation, c'est la brièveté de leur action; les
muscles
se fatiguent promptement d'une contraction aussi
aces articulaires ou à les faire glisser les unes sur les autres. Les
muscles
étendus du bras ou de l'épaule au tronc, trapèze,
la question dans ce sens. Le poids se partage entre le rachis et les
muscles
; les contractions de ces derniers les font simple
r ses courbures. Le degré de raccourcissement ou d'allongement de ces
muscles
suspenseurs du tronc déterminera la position des
rent alors le poids du corps aux seuls ligaments et à la.tonicité des
muscles
. Ceci n'a pas moins d'inconvénients; il suffit d'
particulier, en sont moins gênés; les ressorts cèdent à l'effort des
muscles
à chaque inspiration. Les appareils de pression
urait être puissante, parce que les omoplates sont trop mobiles ; les
muscles
s'allongent plutôt que le rachis ne cède, quand o
ourbure lombaire en renversant le tronc à gauche, et que l'effort des
muscles
pour reporter le haut du tronc à droite redresse
une analogie apparente donna l'idée d'appliquer aussi la section des
muscles
aux difformités du rachis. M. J. Guérin s'assura
a peau, par la méthode sous-cutanée. Ce que l'on sait de l'état des
muscles
dans la scoliose, des véritables obstacles qui ré
ions mécaniques. Tout en entretenant le mieux possible la vigueur des
muscles
, et particulièrement celle des extenseurs du rach
flexion du tronc en avant ou de côté, tout ce qui peut distendre les
muscles
spinaux ou augmenter la pression supportée par le
........ 111 II. Ligament rond.....................• 1*8 III. Os,
muscles
, etc.................... § II. — Diagnostic...
........ b. État des ligaments...................... 195 État des
muscles
..................... 196 Atrophie générale du m
euses spéciales, enveloppes particulières de nombre de viscères et de
muscles
, et, comme telles, moyen d'isolement de l'organe
us-péritonéal, tunique albuginée, gaines fibro-celluleuses des grands
muscles
des membres. (d) Les membranes fibro-celluleuse
res, gaines séreuses de glissement, multiples pour les tendons et les
muscles
, dont elles séparent les faisceaux et les fibres.
isir entre les aponévroses, les enveloppes viscérales, les faînes des
muscles
ou des vaisseaux, suivant le volume des organes q
pour le mouvement, en arceaux osseux réunis en une seule cage par des
muscles
et des aponévroses. A l'intérieur, les difleren
cylindres, les cavités aponévrotiques, complétées par les os, par les
muscles
, et, à diverses places, par d'autres aponévroses,
e, et, pour le cou et les membres, rassemblent les divers groupes des
muscles
synergiques, et les isolent de ceux qui leur sont
riphérie, tous les os sont enveloppés par le périoste et contigus aux
muscles
profonds auxquels ils donnent insertion par l'int
res. Dans les deux membres elles sont superficielles, par rapport aux
muscles
et aux os qu'elles renferment dans un cylindre co
parallèles à l'axe du membre, et conséquemment à la direction de ses
muscles
; elles s'insèrent au pourtour des articulations e
sées par autant de lames distinctes qu'il y a de groupes diflerens de
muscles
synergiques. Ces divers systèmes se joignent aux
rve aux bras et à la cuisse, entre les deux faces correspondantes aux
muscles
extenseurs et fléchis-seurs. Lorsque les rnouveni
épaisseur proportionnée à celles de ces enveloppes et de la masse des
muscles
dont elles supportent les vaisseaux. Ainsi, dans
trémités à l'enveloppe périphérique et à l'os, isolent les groupes de
muscles
synergiques de ceux qui leur sont antagonistes. D
ntre eux les divers groupes, puis des cloisons plus fines isolent les
muscles
eux-mêmes. Dans les lieux d'intersection des apon
ples feuillets fibro-celluleux, servant d'enveloppe spéciale à chaque
muscle
isolé. Ici ce sont les grandes aponévroses d'inse
pinal et du transverse; pour la paroi abdominale, les aponévroses des
muscles
obliques et transverses. Au thorax, les enveloppe
x, les enveloppes fibreuses de contention sont décomposées, comme les
muscles
eux-mêmes, pai l'interposition des côtes, et form
u fascia sous-cutané. Les gaines aponévrotiques formant pour chaque
muscle
une enveloppe spéciale qui décroît d'épaisseur à
i chaque loge ne reçoit que les vaisseaux et les nerfs appartenant au
muscle
qu'elle renferme; du moins, telle est, à part de
de bien rares exceptions, la disposition commune aux gaines des longs
muscles
des membres. Il n'en est pas de même des larges m
nes des longs muscles des membres. Il n'en est pas de même des larges
muscles
de l'abdomen; comme ils en circonscrivent l'encei
au crâne. Il en est de même des os des membres par rapport aux grands
muscles
profonds. (Ex. : au bras et à la cuisse des trice
s polyèdres cellulcux, résultant de l'adossenient des viscères et des
muscles
. Dans leur configuration générale elles présenten
est analogue, niais seulement plus complexe, dans les synoviales des
muscles
et des tendons qui offrent autant de dédoublemens
A la face et au cou elle se confond par une adhérence intime avec les
muscles
qui, par cette raison, prennent le nom de peaucie
e loges superposées. Chaque plan est formé lui-même d'un ou plusieurs
muscles
juxta-posés, les uns et les autres séparés par de
d'autant plus minces, au contraire , qu'elles s'interposent entre des
muscles
synergiques. L'élément organique le plus profond
onique. Au tronc la direction verticale s'observe dans les masses des
muscles
extenseurs et dans les muscles fléchisseurs, les
erticale s'observe dans les masses des muscles extenseurs et dans les
muscles
fléchisseurs, les deux tiges médianes, le rachis
'office de levier central analogue à l'os des membres, tandis que les
muscles
des parois, pour compléter l'enceinte de la cavit
la protection, est surmontée en haut par l'arcade sourcilliére et ses
muscles
, garantie en dehors par l'arcade orbitaire extern
ses muscles, garantie en dehors par l'arcade orbitaire externe et le
muscle
temporal, en bas par la saillie de l'os jugal et
rne et le muscle temporal, en bas par la saillie de l'os jugal et ses
muscles
, et en dedans par la racine du nez. Au devant el
, déjà renfermé dans l'orbite, est préservé du contact des os par ses
muscles
et ses coussinets graisseux. Composé lui-même, da
rieur, l'appareil musculaire de la tête se divise en deux séries; les
muscles
propres ou peauciers de la face destinés à ouvrir
de la peau fait qu'ils ne présentent aucune loge spéciale. Les autres
muscles
sont les masticateurs, qui forment autant de loge
s, il se confond avec la naissance des épaules, par la continuité des
muscles
qui leur sont communs. Dans son diamètre antéro
vant du pharynx, 1 Planche 2, fig. i, 2, et planche io, %. i. les
muscles
abaisseurs de la mâchoire, ceux de la base de la
os hyoïde se présentent, par trois couches superposées, les loges des
muscles
abaisseurs de l'hyoïde; au-delà sont situés la gl
e et la cage du larynx avec la trachée artère, puis l'œsophage et les
muscles
constricteurs du pharynx, enveloppés par l'aponév
es thyroïdes ; ces régions sont bornées de chaque côté par la loge du
muscle
sterno-masloïdien. La moitié cervicale postérie
prévertébrale ; elle est formée par la superpo-position des loges des
muscles
extenseurs de la tête, renfermés de chaque côté,
est fermée dans les intervalles des côtes, par les aponévroses et les
muscles
intercostaux. Les parois de la poitrine apparti
e de l'appareil locomoteur. Elles ne renferment qu'un petit nombre de
muscles
très larges. Quant aux enveloppes organiques elle
des feuillets fibro-celluleux ; de ce nombre sont les loges des deux
muscles
pectoraux, en avant, du dentelé sur le côté, du t
e est formée,dans la circonférence de l'abdomen, par les trois grands
muscles
membraneux, les deux obliques et le transverse. C
de la ligne blanche, pour former la gaine verticale de réception des
muscles
sterno-pubiens. Ainsi, par leurs membranes d'inse
muscles sterno-pubiens. Ainsi, par leurs membranes d'insertions, les
muscles
abdominaux constituent des 1 Planches 5, 7, et 8.
x constituent des 1 Planches 5, 7, et 8. loges résistantes pour les
muscles
verticaux , extenseurs et fléchisseurs; pour eux-
pé dans une gaine fibreuse très dense à double compartiment, comme le
muscle
lui-même; le sillon aponévrotique intermédiaire e
tique, isolant la cavité viscérale proprement dite, de la surface des
muscles
. Outre l'enveloppe fibreuse générale, cette paroi
erme de chaque côté deux loges aponé-vrotiques spéciales , celles des
muscles
pyramidal et obturateur interne. 5° MEMBRES. me
se fondait avec la naissance du cou par la continuité des fibres des
muscles
qui leur sont communs , le trapèze et l'angulaire
rement dit pour les gaines des deux pectoraux et du grand dorsal. Les
muscles
propres de l'épaule sont contenus dans des gaines
aux contours osseux , ayant une grande résistance ; c'est le cas des
muscles
sus et sous-épineux , petit rond et sous scapulai
rond et sous scapulaire,fixés à l'os par l'autre surface ; les autres
muscles
n'ont que l'aponévrose extérieure et sont libres
sont liées par la fusion de leurs aponévroses entr'elles et avec les
muscles
de la poitrine et du bras. Il résulte de cet aper
e d'une texture serrée, sans communication entre les loges, et où les
muscles
adhèrent intimement aux os, à l'exception du delt
aneux sous-cutané, uni supérieurement dans son contour aux gaines des
muscles
de l'épaule, et traçant en particulier, par sa fu
; 20 la portion métacarpienne renferme les gaines des deux groupes de
muscles
latéraux, formant les éminences thénar et hypothé
et de leurs annexes, séparées, par l'aponévrose profonde, du plan des
muscles
inter-osseux et de l'adducteur du pouce,renfermés
dédoublement de l'aponévrose abdominale antérieure. Les [gaines des
muscles
pelvi-fémoraux rappellent dans leur disposition g
es pelvi-fémoraux rappellent dans leur disposition générale celle des
muscles
de l'épaule. La double gaine libre du grand fessi
lume et de la force du membre qu'elle renferme, elle est pourvue d'un
muscle
tenseur propre, le fascia lata , renfermé dans un
ère cloison verticale qui isole en avant le groupe peu volumineux des
muscles
fléchisseurs du pied ou extenseurs des orteils. E
sculaire ne se compose, à la portion tarsienne, que d'un seul rang de
muscles
, le court fléchisseur commun , flanqué de l'adduc
culaires forment quatre plans, par l'addition des inter-osseux et des
muscles
propres du gros orteil. Toutes ces loges sont éga
lcul se forme un trajet fistuleux, et vient causer un abcès entre les
muscles
, qui nécessitera, pour sa guérison, l'interventio
sculaire sus-aponévrotique, mais qu'elle intéresse les enveloppes des
muscles
, qui, renfermés sous l'aponévrose de contention,
t restée intacte. Le canal inguinal ', situé entre les attaches des
muscles
abdominaux, dans la gouttière aponévrotique de Po
e Poupart, protégé, en avant, par l'aponévrose du grand oblique et le
muscle
crémaster, en arrière par le fascia transversalis
re par le fascia transversalis, et surmonté par le bord inférieur des
muscles
petit oblique et transverse, formant une arcade d
s vaisseaux fémoraux est placée superficiellement clans le sillon des
muscles
fléchisseurs de la cuisse. Soumise à des alongemc
artilagineux des côtes, et les seconds dans le triangle celluleux des
muscles
abdominaux, en arrière, au-dessus de la crête ili
daires des vaisseaux cervicaux rampent dans les espaces celluleux des
muscles
. Le sillon des gros vaisseaux céphaliques offre b
vers fluides accumulés dans la cavité du bassin, en formant, sous les
muscles
de la fesse ou de la cuisse, des collections prof
re groupe, ils traversent des arcades aponévrotiques, formées par les
muscles
ou les aponévroses, leurs gaines faisant toujours
vons pu classer, d'une manière générale, la myologie par régions, les
muscles
, qui, par leur volume, forment la masse principal
topographiques fondées sur leurs usages en physiologie. L'accord des
muscles
avec le squelette, et la délimitation des divers
par les aponévroses, moyens de séparation et surfaces d'insertion des
muscles
; et l'isolement de ces derniers et de leurs tendo
d'un petit volume dans les polyèdres celluleux ou les adossemens des
muscles
. C'est de la réunion de toutes ces parties, de le
le soit se compose nécessairement de parties hétérogènes, des os, des
muscles
, des aponévroses, des vaisseaux, des nerfs, le to
itations soient bien fixées par des os et des aponévroses, et que les
muscles
qui en font partie y soient contenus dans leur to
naître à quel point cette observation s'applique à un grand nombre de
muscles
et d'aponévroses au tronc et aux membres. Si l'on
es ; pour les vaisseaux, les diverses espèces d'anévrismes ; pour les
muscles
, les ganglions lymphatiques et le tissu cellulair
tissu adipeux, qui constitue l'ad-hérence intime de la peau avec les
muscles
sous-jacenset le péri-crâne. La densité de ce tis
ses tumeurs, productions érectiles ou kystes, qui s'y développent. 3°
Muscles
et aponévrose. Les muscles, intimement unis avec
ectiles ou kystes, qui s'y développent. 3° Muscles et aponévrose. Les
muscles
, intimement unis avec le corps de la peau, font p
ème paire ; le rameau frontal interne se distribue principalement aux
muscles
; le frontal externe se répand plutôt dans l'aponé
dans par le plan moyen ; en bas, par une ligne qui suit l'attache des
muscles
extenseurs de la tête, de la protubérance occipit
nombre de bulbes pileux et d'une petite quantité de tissu adipeux. 3°
Muscles
et aponévrose. La couche musculaire est formée pa
ure existent, par trois plans superposés, les attaches crâniennes des
muscles
extenseurs de la tète: le trapèze, le splénius, l
ettent dans le chapelet sous-occipital situé le long des attaches des
muscles
extenseurs. 6° Nerfs. Nombreux dans cette région,
sa partie supérieure, l'inférieure étant masquée par les attaches des
muscles
extenseurs de la tête. RÉGION TEMPORALE. Situ
laire, ses limites, tracées à peu près par le contour des attaches du
muscle
temporal, sont indiquées : en bas, par la ligne t
yse orbitaire externe; en haut et en arrière, par la circonférence du
muscle
. Parties constituantes. i° La peau. Mince, liss
n'a qu'une adhérence assez légère avec l'aponévrose sous-jacente. 3°
Muscles
et aponévroses. Cette couche se compose de deux p
ital et frontal; elle sert elle-même d'épanouissement aux deux petits
muscles
peauciers auriculaires, antérieur et supérieur, e
temporale profonde, enveloppe de coutention et surfaceM'insertion du
muscle
temporal, et par ce muscle lui-même, dont l'inser
ppe de coutention et surfaceM'insertion du muscle temporal, et par ce
muscle
lui-même, dont l'insertion au périoste, dans tout
peuse, et au-dessous [aponévrose épicrânienne, intermédiaire des deux
muscles
occipital et frontal. 3° Faisseaux. Disposés sur
aponévrose épicrânienne, intermédiaire des cartilages de l'oreille au
muscle
occipital, et sur laquelle s'épanouit le petit mu
de l'oreille au muscle occipital, et sur laquelle s'épanouit le petit
muscle
auriculaire postérieur. 3° Vaisseaux et Nerfs. Le
illeuse temporale et l'angle inférieur du pariétal, vu l'épaisseur du
muscle
temporal au-devant, et sur-tout par crainte de lé
emplacée sur les lèvres proprement dites par la membrane muqueuse; 2°
Muscles
. Ils sont, par leur adhérence intime avec la peau
La peau, recouverte de poils dits la barbe, dans l'homme, adhère aux
muscles
sous-jacens qui nous sont déjà connus. Les artère
la symphise de l'os maxillaire inférieur, derrière laquelle sont les
muscles
de la base de la langue. RÉGION ORBITAIRE. Si
a texture générale nous est déjà connue; il est environné par ses six
muscles
propres, et reçoit un grand nombre de vaisseaux e
te, garnie de graisse au-dessous, elle existe à peine en avant où les
muscles
élévateurs adhèrent fortement à la peau. 3° Muscl
e en avant où les muscles élévateurs adhèrent fortement à la peau. 3°
Muscles
. Les peauciers de cette région sont : l'ellipse i
Parties composantes. i° Peau. Lisse, unie, intimement adhérente aux
muscles
en avant, mobile et séparée des muscles par une b
nie, intimement adhérente aux muscles en avant, mobile et séparée des
muscles
par une boule graisseuse très abondante au-devant
les par une boule graisseuse très abondante au-devant du masseter. 2°
Muscles
. Dans la portion antérieure est la fusion avec l'
le triangulaire de la lèvre inférieure ; au milieu le buccinateur. Ce
muscle
forme à lui seul la moitié postérieure de la régi
te par un tissu serré à l'aponévrose du buccinateur ; au milieu de ce
muscle
, en regard de la troisième dent molaire supérieur
e toute la région génienne ; elle se réfléchit en haut au-dessous des
muscles
élévateurs, et en bas sur les muscles abaisseurs,
éfléchit en haut au-dessous des muscles élévateurs, et en bas sur les
muscles
abaisseurs, en formant à chaque extrémité une gou
le masseter, lisse, mince et unie en regard du sillon parotidien. 2°
Muscles
. Le seul qui existe est en avant le masseter. Ent
en. 2° Muscles. Le seul qui existe est en avant le masseter. Entre ce
muscle
et la peau s'interposent les appendices de la gla
sse, le sillon vertical profond placé entre l'apophyse mastoïde et le
muscle
sterno-mas-toïdien, en arrière, et, en avant, le
rs, elle forme un plan oblique trapézoïdal, constitué par le plan des
muscles
abaisseurs de la mâchoire, ou élévateurs de l'os
e l'os maxillaire, l'os hyoïde, et les enveloppes des deux ventres du
muscle
digastrique. 5° Muscles. Ils sont disposés sur pl
hyoïde, et les enveloppes des deux ventres du muscle digastrique. 5°
Muscles
. Ils sont disposés sur plusieurs plans; superfici
e entre le fer à cheval de la base de la mâchoire, l'os hyoïde et les
muscles
styliens, se pratiquent un grand nombre d'opérati
u peaucier ; et le troisième constitué par l'aponévrose cervicale. 3°
Muscles
. Sous le peaucier se présentent, en deux plans su
rico-thy-roïdien. Latéralement la portion laryngée est revêtue par le
muscle
constricteur inférieur du pharynx; profondément,
ynx; profondément, derrière le tube laryngo-trachéal, se trouvent les
muscles
longs du cou. 4° Vaisseaux. De chaque côté du gro
les scalènes, et coupée obliquement au dessus de la clavicule par le
muscle
scapulo-hyoïdien, dont la situation diagonale, sé
cédés opératoires qui se pratiquent dans cette région, suivant que le
muscle
doit être relevé, abaissé ou coupé. Parties con
'aponévrose du ventre scapulaire de l'omoplat-hyoïdien tendu entre ce
muscle
et la clavicule. 3° Muscles. En avant le sterno-m
laire de l'omoplat-hyoïdien tendu entre ce muscle et la clavicule. 3°
Muscles
. En avant le sterno-mastoïdien, en arrière l'extr
x scalènes. La considération la plus importante qui se rapporte à ces
muscles
consiste dans les trois petits triangles parallèl
jonction avec la sous-clavière. Transversalement à la direction de ce
muscle
existe l'arcade formée par les vaisseaux sous-cla
térieure du cou constituant la nuque, elle se compose de la masse des
muscles
extenseurs de la tête, limitée en haut par la bos
ompose en fait que de la réunion des enveloppes fibro-celluleuses des
muscles
superficiels. Sur le sillon moyen le ligament cer
-celluleuse, forme une cloison de séparation entre les deux côtés. 4°
Muscles
. Ce sont les extenseurs de la tête et du cou, log
l sur le plan moyen, et la masse apophysaire sur le plan latéral. Ces
muscles
sont, d'arrière en avant : le trapèze, le spléniu
l et du plexus cervical, forment une couche entre le complexus et les
muscles
profonds. 70 Squelette. Il se compose de la moiti
lle forme une dépression verticale, limitée par les attaches des deux
muscles
pectoraux. 1 Planche 1, n° 18. Parties consti
breux formé de chaque côté par les expansions aponévrotiques des deux
muscles
pectoraux; au-dessous est le périoste du sternum,
ioste du sternum, et enfin l'os doublé à sa face interne par les deux
muscles
triangulaires. Cette face correspond à lecarte-me
le sternum. Latéralement se présentent de chaque côté l'extrémité des
muscles
grands pectoraux, les cartilages costaux et l'ext
les cartilages costaux et l'extrémité, aponévrotique en ce point, des
muscles
intercostaux doublés en dedans par le feuillet fi
e qui, de l'appendice xiphoïde, passe transversalement au-dessous des
muscles
pectoraux, indiquant à l'extérieur la double vous
tronc, est chargée d'une quantité assez considérable de graisse. Les
muscles
sont les digitations terminales du grand dentelé
ale et sous-claviculaire, son étendue est représentée par la masse du
muscle
grand pectoral, sur laquelle s'applique la glande
que, inégale, granulée, située sous le pannicule adipeux au-devant du
muscle
grand pectoral, sur l'aponévrose duquel elle s'ap
l'opération, d'emporter plutôt plus que moins, sans même respecter le
muscle
grand pectoral et les traînées lymphatiques qui v
milieu à la suture des aponévroses avec le ligament sur-épineux. Les
muscles
sont : en plan superficiel, le trapèze et le gran
aux opérations, en raison du coussin protecteur épais que forment les
muscles
tendineux de cette région, appliqués eux-mêmes su
et rugueuse en arrière; elle n'adhère au feuillet fibro-celluleux des
muscles
que par un tissu cellulaire assez lâche, et qui p
Le plan costal, complété par les petits faisceaux aponévrotiques des
muscles
intermédiaires, est doublé en dedans par le feuil
sette xiphoïdienne à la première ligne transversale d'intersection du
muscle
sterno-pubien, limitée en dehors par le bord exte
du muscle sterno-pubien, limitée en dehors par le bord externe de ce
muscle
et par la ligne oblique du rebord cartilagineux d
aire. Elle est formée seulement par les deux faisceaux supérieurs des
muscles
sterno-pubiens, engaînés dans la duplicature apon
sterno-pubiens, engaînés dans la duplicature aponévrotique des grands
muscles
larges, disposée par deux feuillets doubles, un s
te aponévrose au-dessous de l'appendice xiphoïde, où l'écartemcnt des
muscles
est le plus considérable, donne lieu à la hernie
ue, qui revêt la ceinture abdominale des côtes, et, plus bas, du même
muscle
recouvrant les attaches chondrales du petit obliq
nes précitées, limitée latéralement par les deux sillons externes des
muscles
sterno-pubiens, et partagée au milieu par le sill
couche musculaire est formée, comme à la région épigastrique, par le
muscle
sterno-pu-bien, encastré dans sa quadruple envelo
ique de la ligne blanche, plus large en ce lieu par l'écar-tement des
muscles
sterno-pubiens en regard de l'anneau, prend une f
véritablement ombilicale est-elle toujours congéniale. En dehors des
muscles
droits, les éraillemens aponévrotiques qui survie
r le petit dentelé postérieur; en avant et sur le côté, par les trois
muscles
larges de l'abdomen, les grand et petit obliques
2 Planche i, n° 26; et planche 5. gaine à deux feuillets doubles du
muscle
grand droit, et en arrière, les deux gaines du sa
vers une saillie verticale considérable, déterminée par le relief des
muscles
. La peau, très épaisse, est coupée de rides tra
gens au sommet des apophyses transverses lombaires; 6° l'épaisseur du
muscle
carré des lombes; 70 enfin, le feuillet antérieur
nches postérieures se distribuent dans la masse du sacro-spinal , les
muscles
superficiels et la peau, et dont les branches de
ne sous-ombilicale aux pubis, au-devant de l'extrémité inférieure des
muscles
grands droits, dont elle indique à l'extérieur, d
blanche et les sillons latéraux indiquant les bords externes des deux
muscles
. Parties constituantes. i° Peau. Lisse, unie et
as, celui du transverse, tous trois formant l'enveloppe antérieure du
muscle
sterno-pubien ; (b) l'extrémité inférieure du s
diminue de l'anneau ombilical aux pubis, où, par le rapprochement des
muscles
, elle se transforme en une cloison antéro-postér
ntéro-postérieurc, sur les faces latérales de laquelle s'insèrent les
muscles
pyramidaux. Inférieuremcnt elle s'attache de chaq
ofondes sont les épigastriques, qui montent verticalement derrière le
muscle
sterno-pubien dans sa gaine. 5° Les nerfs provien
ves des côtés sont formées en dedans par le sillon du bord externe du
muscle
sterno-pubien , et en dehors par le pli inguinal
aponévrotiques des piliers de l'anneau inguinal, par les tendons des
muscles
sterno-pubiens, et plus profondément par le ligam
se de deux moitiés symétriques, formées chacune de plusieurs plans de
muscles
, séparés par des cloisons apo-névrotiques, les un
n raphé médian mi-partie fibreux et aponévrotique, interrompu par des
muscles
impairs circulaires ou ellipsoïdes, les sphincter
uvent graves. 3°Aponévrose superficielle. Enveloppe de contention des
muscles
du périnée, sous-jacente au fascia superficialis,
acente au fascia superficialis, elle revêt le sphincter rectal et les
muscles
de l'urèthre, et sc'confond sur le plan moyen ave
et sc'confond sur le plan moyen avec les fibres du sphincter anal. 4°
Muscles
. Au milieu, en arrière, est le sphincter anal, de
profondément, autour de la portion membraneuse de l'urèthre, ses deux
muscles
constricteurs, le pubio-uréthral et le pubio-pros
constricteurs, le pubio-uréthral et le pubio-prosta-tique. Ces divers
muscles
profonds sont unis dans leurs attaches médianes p
bas par les tégumens dans sa portion pénienne et scrotalc, et par ses
muscles
propres dans ses portions spongieuse et membraneu
enflement pyri-forme, le bulbe de l'urèthre, séparé de la peau par le
muscle
bulbo-caverneux. C'est ce même tissu aminci qui f
périnéale continue avec celle de la moitié postérieure; au-dessus les
muscles
correspondant à ceux de l'homme, le transverse du
du périnée épanoui chez la femme dans le sphincter vaginal; puis les
muscles
ischio-caverneux et ischio-clitoridien. Les vai
elief et convergens sont tracés par l'insertion sacro-coccygienne des
muscles
grands fessiers, et se réunissent inférieurement
e lombo-iliaque, surface d'insertion de la masse du sacro-spinal. Les
muscles
forment deux couches, en arrière l'extrémité infé
vertébrale, le gros faisceau d'origine du transversaire épineux ou le
muscle
sacré. Les vaisseaux et les nerfs sont fournis pa
ensité delà peau transforme en foyers. 3° Couchefibro-musculaire. Les
muscles
sont disposés sur deux plans, superficiellement l
disposés sur deux plans, superficiellement la masse commune des deux
muscles
confondus à tort sous la déno- 1 Planche i , n°
du grand pectoral dont l'adhérence avec les tuniques vasculaires, les
muscles
intercostaux et les côtes, sépare nettement la ré
au sillon lui-même de forme linéaire en bas par le rapprochement des
muscles
, il présente en haut entre l'écartcment de leurs
le bord correspondant du deltoïde; dans l'espace intermédiaire à ces
muscles
s'enfonce la veine cépha-lique. En second plan se
de l'arc antérieur des quatre ou cinq premières côtes réunies par les
muscles
intercostaux, et recouvertes en arrière par les l
sant sur les parois de la poitrine et sur la face interne du bras. 3°
Muscles
. Le fond du triangle axillaire est tapissé par le
ral en avant, du grand rond et du grand dorsal en arrière; ces divers
muscles
revêtus de leurs aponévroses d'enveloppe, qui sép
t affectés de lésions traumatiques, ou d'anévrismes que la tension du
muscle
grand pectoral isole le plus souvent de ceux de l
e. 3° Portion ostéo-musculaire. C'est de la disposition des os et des
muscles
que cette région emprunte tout son intérêt. La co
te acromio-coracoïdienne, et maintenue sur la cavité glénoïde par ses
muscles
rotateurs, en avant le sous-sca-pulairc, que cont
horax, formée par la masse triangulaire de l'omoplate, revêtue de ses
muscles
, cette région qui n'offre en elle-même d'intérêt
l'attache scapulaire embrasse l'épine de l'omoplate. Au-dessous, les
muscles
rotateurs de l'humérus sus-épineux, sous-épineux,
s-cutanée de son épine. Enfin, dans la fosse antérieure de cet os, le
muscle
sous-scapulaire, puis le grand dentelé, implanté
cervical superficiel; dans le trapèze, se ramifie le nerf spinal; aux
muscles
sus et sous-épineux, appartient le nerf sus-scapu
es sus et sous-épineux, appartient le nerf sus-scapulaire et aux deux
muscles
ronds se rendent quelques rameaux du circonflexe.
ntent les veines radiale et cubitale antérieures. 3° Couche profonde:
muscles
, vaisseaux et nerfs. L'aponévrose d'enveloppe for
sont surmontés et protégés par les masses d'insertions humerales des
muscles
; pour l'interne, les prona-teurs et fléchisseurs,
d'une 1 Planche i, n° '\ \ ; et planche 9. bourse synoviale. Les
muscles
, dont il n'existe en ce point que les insertions,
une postérieure et une externe, composées chacune par des groupes de
muscles
différents, contenus au dehors par la grande apon
une. RÉGION ANTI-BRACHIALE ANTÉRIEURE. 1 Formée par le groupe des
muscles
pronatcurs et fléchisseurs, elle est séparée vert
ôtés et par les divisions des nerfs cutanés externe et interne. Les
muscles
sont superposés en quatre couches : la première f
nom. RÉGION ANTI-BRACHIALE EXTERNE.1 Constituée parle groupe des
muscles
supinateurs, elle environne en dehors le radius e
u sur ses deux faces, outre les vaisseaux, par les divers tendons des
muscles
de l'avant-bras fléchisseurs ou extenseurs. Par l
uatrième plan les doubles tendons fléchisseurs dans leur gaine et les
muscles
lombricaux; et derrière eux, seulement en dedans,
e et les muscles lombricaux; et derrière eux, seulement en dedans, le
muscle
adducteur du pouce. Enfin en cinquième plan sur l
anches in ter-osseuses appliquées sur la face profonde formée par les
muscles
inter-osseux et les crêtes des os métacarpiens. M
Masses latérales. En dehors l'éminence thénar est constituée par les
muscles
court abducteur, court fléchisseur et opposant du
nd fessier, et en arrière par le sillon du bord inférieur libre de ce
muscle
. Inférieurement, les limites chirurgicales de la
déterminer en avant par les deux lignes courbes d'insertion des deux
muscles
vastes sur le tendon rotulien, et en arrière par
née obliquement du pubis vers le fémur, et en dehors par le relief du
muscle
couturier, oblique de haut en bas et de dehors en
e et des deux premiers adducteurs; dans le sillon intermédiaire à ces
muscles
sont logés les gros vaisseaux, au milieu l'artère
le fascia-lata et le vaste externe, et en bas par la courbe des deux
muscles
vastes, externe et interne. A 1 Planche i, n° 5
stituée par le droit antérieur renfermé dans sa gaine, et derrière ce
muscle
, par la portion moyenne du triceps enveloppantle
veinules sous-cutanées , et en plan profond des vaisseaux propres des
muscles
; les artères et veines musculaires antérieures p
s des muscles ; les artères et veines musculaires antérieures pour le
muscle
droit; les collatérales externe et interne pour l
es cloisons aponévrotiques latérales, et renferme seulement les trois
muscles
fléchisseurs de la jambe, dont la saillie se pron
; elle présente au milieu un sillon qui représente la séparation des
muscles
biceps en dehors et demi-tendineux en dedans. La
en dedans. La couche musculaire se compose superficiellement des deux
muscles
que nous venons de nommer, plus le demi-membraneu
tanés qui en émanent ; en plan profond, les vaisseaux nourriciers des
muscles
dont, en haut, les branches terminales des artère
ermé lui-même dans une gaine verticale dans le plan intermédiaire aux
muscles
fléchisseurs et au grand adducteur. Cette régio
re et moyenne par le relief des adducteurs, et aplatie en bas, où les
muscles
longs s'amincissent pour devenir tendineux. Par
principalement de fibres courbes transversales qui forment, pour les
muscles
adducteurs, une sorte de capsule de contention. 4
aire. Elle se compose d'un plan superficiel très mince formé par deux
muscles
rubanés, le couturier et le droit interne, renfer
oyen et petit, auxquels se rattache, en haut, le pectine ; ces divers
muscles
séparés entre eux par des cloisons aponévrotiques
ros vaisseaux et toutes les ramifications qui se distribuent dans les
muscles
. Le couturier, par sa position au-devant du grand
du grand sillon vasculaire, est, en chirurgie, le plus important des
muscles
de la cuisse. Le faisceau vasculaire fémoral, don
et croise ensuite longuement en diagonale la direction oblique de ce
muscle
; de sorte qu'ils se correspondent par leur partie
ns cette région, par la bandelette fascia-lata, tendon membraneux des
muscles
fessier supérieur et fascia-lata. La couche muscu
e vaste externe, remarquable par sa grande aponévrose d'insertion. Ce
muscle
enveloppe le squelette ou la face externe du fému
indique, par un sillon circulaire de rétrécissement, la naissance des
muscles
de la jambe, cette région, dont la surface est tr
res saillies verticales funiculaires, déterminées par les tendons des
muscles
et les ligamens de l'articulation. Parties comp
ret, comprise entre deux masses latérales formées par lecartement des
muscles
fléchisseurs à la cuisse, et des deux jumeaux à l
me adducteur; en bas, elle est formée par les deux jumeaux. Entre ces
muscles
s'inscrit l'aire poplitée de forme losangique, do
E'. Situation, configuration, délimitation. Formée par la masse des
muscles
fléchisseurs du pied, compris dans la gaine ostéo
large en haut et au milieu, se rétrécit en bas avec la conversion des
muscles
en tendons ; elle est partagée verticalement par
onévrose d'enveloppe ou jambière , sorte de capsule de contention des
muscles
, formée principalement de fibres obliques, étendu
e seulement, existe l'aponévrose d'insertion commune aux trois grands
muscles
de cette région. 4° Muscles. Ce sont : le jambier
rose d'insertion commune aux trois grands muscles de cette région. 4°
Muscles
. Ce sont : le jambier antérieur, le long extenseu
eines tibiales antérieures, dont les ramifications se distribuent aux
muscles
; en dehors, les péroniers sont 1 Planche i, n°
e au calcanéum. A hauteur moyenne est le renflement déterminé par les
muscles
du mollet, séparés par le sillon médian des jumea
ibia; la dépression externe a pour limites, en dehors, la saillie des
muscles
péroniers et la portion malléolaire du péroné.
artie postérieure de l'aponévrose jambière, capsule de contention des
muscles
du mollet, étendue transversalement de la cloison
tarse. 4° Couche musculaire. Elle est constituée par deux groupes de
muscles
différens : (a) en plan superficiel, les muscles
par deux groupes de muscles différens : (a) en plan superficiel, les
muscles
du mollet ou les extenseurs du pied, les deux jum
ofonde par son aponévrose d'enveloppe. Le plan profond renferme trois
muscles
: le long fléchisseur propre du gros orteil, le j
nombreuses des vaisseaux tibiaux et péroniers. Les nerfs de ces deux
muscles
sont fournis par le sciatique poplité interne. Au
alement par les deux sillons musculaires du jam-bier antérieur et des
muscles
postérieurs de la jambe. Parties composantes. i
ticale en forme de triangle alongé, correspondant à la conversion des
muscles
cle la jambe en tendons sous-malléo-laires. Infér
autant de gouttières de glissement les tendons sous-malléo-laires des
muscles
long fléchisseur propre du gros orteil, long fléc
n sur les côtés que la naissance du relief longitudinal formé par les
muscles
plantaires ; de sorte qu'on peut considérer, sur-
nt le tendon commun se divise en quatre autres. En second plan est le
muscle
pédieux formant une saillie musculaire en dehors,
isième plan, dans la portion métatarsienne seulement, sont les quatre
muscles
inter-osseux dorsaux. 5° Vaisseaux et nerfs. En p
et inter-osseux. Cette surface, doublement convexe et peu fournie de
muscles
, est rugueuse pour l'implantation de ses ligamens
les côtés du pied avec sa région dorsale, au-dessus de la saillie des
muscles
latéraux plantaires. Sa forme générale est celle
n double voûte. Cette surface, qui donne attache à un grand nombre de
muscles
et de très forts ligamens, est remarquable par l'
oyen, des luxations anciennes se réduire presque sans difficulté, les
muscles
, sous la préoccupation factice du malade ayant, e
e moins de désordre possible. 11 vaut mieux, par exemple, écarter les
muscles
que de les diviser; et, si leur section est indis
oints, et on évite au besoin les artères, nerfs, tendons, et même les
muscles
, qui suivent en général une direction parallèle à
strument solide et mince convient : tels sont les cas d'isolement des
muscles
pour atteindre dans les espaces celhileux profond
rgien. Relâchement des parties. Ce précepte s'applique sur-tout aux
muscles
dont les tractions opposent une vive résistance a
des deux lèvres. 4° La piqûre ne doit traverser que la peau et les
muscles
; il faut éviter avec soin de piquer ou d'embrass
ivent être remplacées par les bandages unissans. Dans les cas oii les
muscles
ne sont intéressés qu'à une légère profondeur,
ment recouvert par les parties molles, pour donner de la longueur aux
muscles
et sur-tout à la peau, M. Fouilloy s'est servi de
ment sous le troisième, le dernier doigt, soulevé par la réaction des
muscles
, ne servant presque que de point d'appui. Si le
ontraint de se reposer, sur-tout à cause de la fatigue si commune des
muscles
des lombes dans les attitudes forcées qu'exigent
la partie moyenne des membres ; (b) de s'opposer à la rétraction des
muscles
dans le cas où l'on opère sur la fraction même du
t de permettre la circulation veineuse en retour et la rétraction des
muscles
dans les opérations ; (d) et enfin , ce qui est t
ar compression, et encore est-il nécessaire, pour y parvenir, que les
muscles
soient mis dans le relâchement en portant l'épaul
umérus en regard, ou, plus exactement, sur les attaches humorales des
muscles
. Quant aux nerfs, la compression permanente est p
dre pour que la compression soit efficace, c'est, après avoir mis les
muscles
dans le relâchement, d'écarter les tendons des su
c une pelote ou le dos des articulations métacarpo-phalangiennes, les
muscles
du bas-ventre étant dans le relâchement. Ce moyen
e lésion de l'artère près de l'arcade crurale. 20 Artère aorte. Les
muscles
étant mis dans le relâchement par la flexion mutu
aire, artère, veines et nerfs, plus ou moins environné de lambeaux de
muscles
et de tissu cellulaire, et les liait en commun, d
uand des tissus fibreux sont saisis ; enfin, inévitablement, pour les
muscles
et le tissu cellulaire , une vive inflammation av
le point intermédiaire soit des attaches, soit des bords de plusieurs
muscles
où il se passe le moins de mouve-mens. Ainsi, on
le tibia et le bord libre du jumeau interne, derrière les tendons des
muscles
couturier, droit interne et demi-tendineux. Mais
rablemcntau bras, le gauche sur-tout, entre l'insertion inférieure du
muscle
deltoïde en arrière, en avant le bord externe du
; on y observe de légères oscillations et de faibles palpitations des
muscles
sous-jacens. A mesure que la combustion s'achève,
a aucun obstacle, tel que l'ancbylose, la transformation fibreuse des
muscles
, l'adhérence des tendons, qui rendrait l'opératio
nente qui gêne les mouvemens, on pratique, au besoin, la section d'un
muscle
, d'une aponévrose ou d'un tendon. Les muscles qui
besoin, la section d'un muscle, d'une aponévrose ou d'un tendon. Les
muscles
qui sont plus particulièrement dans ce cas sont l
ichaelis, Stromeyer, Dieffen-bach et Du val ont coupé les tendons des
muscles
biceps, demi-tendineux, demi-membraneux et coutur
uérin et Bouvier, sur la convenance de couper, sous la peau, quelques
muscles
du dos, considérés par M. Guérin comme causes de
jugement qui serait encore prématuré. Après toutes les sections de
muscles
, d'aponévroses et de tendons , en précepte généra
ciser a plat, avec lenteur et par petits coups ménagés, la peau et le
muscle
peaucier dans toute sa largeur, puis maintenir la
osition. section du sterno-cléido-mastoidien. La rétraction de ce
muscle
est la cause la plus ordinairedu torticolis. Les
ont prescrit de couper beaucoup plus haut, dans le but d'atteindre le
muscle
sur un point moins large et plus éloigné de ses v
e sur un oreiller ou sur la poitrine d'un aide, faire à la peau et au
muscle
peaucier une incision perpendiculaire à la direct
du sterno-mastoïdien et qui dépasse ses bords de quelques lignes. Le
muscle
étant à découvert, la section peut se faire de de
onde cannelée tenue comme une plume à écrire, le chirurgien dénude le
muscle
sur deux points en regard, à chaque bord, dans l'
aîne; puis il couche la sonde et la glisse sur la face postérieure du
muscle
, le plus près de ses fibres, et la fait ressortir
Faire à la peau une incision verticale au milieu des deux portions du
muscle
, sternalc et clavieulaire, les dénuder avec la so
bistouri qui les divise. Ce procédé, employé sur la partie moyenne du
muscle
, peut être appliqué pour tout autre point de sa h
entre le pouce et l'indicateur de la main gauche, le bord sternul du
muscle
, puis traverser la peau et le peaucier, en piquan
tement tendu, le chirurgien fit à la peau un pli parallèle au bord du
muscle
, et, piquant à la base du pli, glissa, sous la fa
éido-mastoïdien , qu'il considère, dans ses deux portions, comme deux
muscles
distincts et coagissans, accolés longitudinalemen
ête inclinée du côté opposé , de manière à faire saillir fortement le
muscle
sous la peau. Premier procédé. Faire , à un tra
he sternale, un pli cutané parallèle au bord externe et postérieur du
muscle
; insinuer à plat, sous la peau tendue, la lame d
gument en regard; retourner le bistouri, le tranchant apoliqué sur le
muscle
, lâcher le pli cutané et faire, en pressant et re
li à la peau, le bistouri convexe est glissé sous la face profonde du
muscle
. La section du tendon sternal est faite de la pro
i renient visible sous la peau , surtout, dans l'état de tension du
muscle
. La veine jugulaire interne et l'artère carotide
t, dans leur sillon, entre les saillies des scalènes en dehors et les
muscles
sous-hyoïdiens en dedans. Cependant il reste enco
dé dont on ait fait usage , et la hauteur à laquelle on ait divisé le
muscle
; l'opération terminée, 011 redresse la tête et on
s pansemens. — Cette position suffisant pour obtenir une cicatrice du
muscle
avec écartement, rien ne s'oppose à ce qu'on réun
ervical, d'hémorrhagiepar lésion des gros vaisseaux, ou d'atrophie du
muscle
lui-même. section du tendon d'aciiille (soléair
firmité permanente dite le pied-bot, lorsque, par la prédominance des
muscles
extenseurs, le soléaire et les jumeaux , la face
aponévrose d'enveloppe et des surfaces plus ou moins considérâmes des
muscles
superficiels et des tendons, la cicatrice ne pouv
orte de couture fibreuse en commun de tous les tissus intéressés; les
muscles
et les tendons, dépouillés de leur enveloppe de g
ulier, l'effet anatomique clc ces adhérences par suite desquelles les
muscles
de fonctions variées, synergiques ou antagonistes
trices sont de deux genres : les unes, trop serrées, maintiennent les
muscles
rétractés dans le même sens; soit, par exemple, s
s le même sens; soit, par exemple, sur les faces de l'avant-bras, les
muscles
fléchisseurs ou extenseurs raccourcis ou grippés
ontraire, sont trop lâches et ont eu pour résultat un allongement des
muscles
, soit qu'elles succèdent à une perte de substance
les-ci c'est en sens inverse que s'exerce la traction habituelle, les
muscles
antagonistes, plus actifs et relativement plus co
cicatriceou mieux son isolement, par dissection de la peau, avec les
muscles
sous-jacens, si le tégument est assez vasculaire;
étraction persiste et qu'on doive l'attribuer au raccourcissement des
muscles
, on y pratique, en regard de la cicatrice, une in
Dieu. Pour la cicatrice avec allongement, il s agit de rétablir les
muscles
dans leur condition première. Dans un cas semblab
muscles dans leur condition première. Dans un cas semblable, où, les
muscles
extenseurs ayant été divisés, on avait laissé, pa
catrice, redressé les doigts, rapproché la peau et les extrémités des
muscles
par des sutures, et maintenu, pendant la durée de
tension par un appareil contentif : l'équilibre de traction entre les
muscles
antagonistes a été le résultat de l'opération.
nom ; monte verticalement sur le péricrâne recouvert par la peau, les
muscles
sourcilier, orbiculaire et frontal, et accompagné
érieure, au-dessous duquel se dégage le faisceau vasculaire, entre ce
muscle
et l'attache supérieure du canin laissé en dehors
e du trou mentonnier, poulies névralgies que l'on suppose bornées aux
muscles
voisins; 2° à son entrée dans le canal dentaire i
ngienne supérieure; enfin plus profondément, derrière le faisceau des
muscles
styliens, la veine jugulaire interne et l'artère
ui descend le long du bord antérieur du sterno-mastoïdien. Ce bord du
muscle
étant mis à découvert, le fait important est de l
trouvent les gros vaisseaux. Il atteint bientôt le nerf au-dessus des
muscles
styliens, à distance moyenne entre le col du cond
live du membre, et en faisant exécuter au malade des contractions des
muscles
situés au-dessous de la ligature, et on exerce av
sauf un roulement obscur, en faisant exécuter de légers mouvemens aux
muscles
voisins, et qui se gonfle et repousse le doigt lo
ace externe, elle est recouverte par la peau , le tissu adipeux et le
muscle
peaussier. Par sa face interne, elle est appuyée
et le muscle peaussier. Par sa face interne, elle est appuyée sur le
muscle
sterno-mastoïdien dont elle croise verticalement
e sur les veines que dans les points où celles-ci correspondent à des
muscles
, le voisinage des surfaces fibreuses et osseuses
tion de la ligne de l'artère, et s'assurer, en faisant contracter les
muscles
, de la ligne réelle des interstices musculaires s
, en général on dépose le bistouri et l'on écarte les interstices des
muscles
ou des tendons avec le doigt, le manche d'un scal
une ou des deux mains, déprimer les chairs le long du bord interne du
muscle
pour tracer le sillon dans lequel on doit inciser
xtrémité de la sonde cannelée, introduite dans le sillon, séparer les
muscles
, par la rupture du tissu cellulaire, en promenant
extrémité de la plaie. Faisant alors fléchir le pied pour mettre les
muscles
dans le relâchement, les écarter latéralement par
Situé sous la cloison transversale aponévrotique , qui maintient les
muscles
postérieurs profonds de la jambe; appliqué sur la
peau, l'aponévrose jambière et, dans ses trois quarts supérieurs, les
muscles
jumeaux et soléaire, dont l'épaisseur varie, suiv
arrière les masses musculaires. Quelle que soit l'élévation dont les
muscles
proéminent, l'artère tibiale postérieure, au tier
sseux intermédiaire de ce bord, continué par le tendon d'Achille, aux
muscles
profonds. Inciser, si on veut lier un peu haut, l
mée en ce point sous l'arcade du soléaire, elle est recouverte par ce
muscle
, le jumeau interne, et la peau. Procédé opérato
demi-fléchie et placée comme il a été dit plus haut, pour mettre les
muscles
dans le relâchement, pratiquer, à vingt ou vingt-
mise à nu, la manœuvre ultérieure varie suivant que l'on décolle les
muscles
ou qu'on les incise. A. Décollement des muscles
ue l'on décolle les muscles ou qu'on les incise. A. Décollement des
muscles
. Porter dans la plaie le doigt indicateur, contou
tibialc du soléaire en rasant la face postérieure de l'os, isoler le
muscle
en dessous de l'aponévrose du long fléchisseur co
; le faisceau vasculaire se trouvant situé très profondément sous les
muscles
qui réagissent et se contractent, quelque soin qu
de la jambe et l'extension du pied. Sur le vivant, le fouettement des
muscles
et le sang épanché rendent tellement difficile la
travers le soléaire sur les vaisseaux. Au reste, puisqu'aussi bien ce
muscle
est déjà lésé par ses attaches, mieux vaut incise
onévrose superficielle, puis écarter en arrière le jumeau interne; le
muscle
soléaire étant à découvert, diviser immédiatement
en haut sur le jambier postérieur , et en bas sur les attaches de ce
muscle
et du court péronier latéral, on ne la lie guère
ser sur la sonde cannelée suivant une ligne verticale. Parvenu sur le
muscle
long fléchisseur propre du gros orteil, à son ext
'artère fémorale, n'a pas hésité à inciser directement au travers des
muscles
du mollet pour faire, avec une aiguille à suture,
ndylienne sur la face postérieure de l'articulation , et enfin sur le
muscle
poplité, sa profondeur sur le ligament 1 Voy. A
éférablement vers l'angle supérieur de la plaie dans l'écartement des
muscles
fléchisseurs cle la jambe et vers 1 angle inférie
meaux, l'incision peut être moins longue pour lier l'artère entre les
muscles
, où sa profondeur n'est que de deux centimètres.
blés, reconnaître et déprimer à l'extérieur le sillon decartement des
muscles
jumeaux et la ligne moyenne du creux poplité; pui
clessousde l'adossement des jumeaux jusqu'à l'angle cl'écartement des
muscles
biceps et demi-tendineux à la cuisse. Cette incis
ée. Faire fléchir médiocrement la jambe sur la cuisse pour mettre les
muscles
clans le relâchement, puis les faire écarter chac
tre prolongée beaucoup plus haut, suivant le sillon cl'écartement des
muscles
de la cuisse, cle manière à atteindre une longueu
correspondant à l'origine cle l'artère, à partir du bord interne des
muscles
demi-tendineux et demi-membraneux , descend au mi
meau interne en descendant de l'extrémité supérieure entre le bord du
muscle
et l'angle interne du tibia et suivant obliquemen
bord du jumeau interne et faire écarter fortement avec un crochet le
muscle
en arrière. A trois centimètres de profondeur, en
ne, avec le bec de la sonde, par sa face antérieure appliquée sur le
muscle
poplité; glisser le dos de la sonde sous cette ve
s d'un aide intelligent. L'artère se présente alors, appliquée sur le
muscle
poplité: la dénuder d'abord en avant sur son bord
jambière, l'inciser derrière et au-dessous des gaînes tendineuses des
muscles
fléchisseurs internes en prenant garde de léser c
écoller avec l'indicateur le bord du jumeau interne, faire écarter ce
muscle
en dehors et se conduire comme il a été dit précé
us du condyle interne, dans le sillon qui sépare le vaste interne des
muscles
fléchisseurs de la jambe. Pour y procéder, l'inci
fortement l'articulation du genou et, en écartant en dehors les longs
muscles
fléchisseurs clans le relâchement, aller à la rec
faisceau vasculaire, à son quart supérieur, est placé en dedans de ce
muscle
, et fortifié dans sa gaîne par une aponévrose épa
interne déplacé, puisqu'il longe ordinairement le bord postérieur du
muscle
, soit la branche antérieure presque constante qui
toute l'étendue de la plaie à quatre ou cinq millimètres au-devant du
muscle
, dénuder celui-ci, l'isoler de sa gaîne avec la p
incision. Ainsi, Hunter incisait sur le bord interne et renversait le
muscle
en avant; M. Hutchinson, au contraire, et M. Roux
prescrit d'inciser au milieu, en écartant parallèlement les fibres du
muscle
, sauf même à inciser en travers si l'organe gêne
rts du faisceau vasculaiie fémoral avec le couturier, on voit que, le
muscle
coupant la face antérieure de la cuisse en diagon
haut, à six ou huit centimètres au-dessous de l'arcade crurale où le
muscle
est externe par rapport aux vaisseaux,et terminan
n du droit antérieur, du vaste interne et du couturier, où ce dernier
muscle
, qui contourne la cuisse en dedans, revêt dans ce
à en ce point devient antérieur en raison de la torsion en spirale du
muscle
. Ces faits étant posés, la ligature à une haute
névrose dans une longueur de huit centimètres, soulever et dénuder le
muscle
avec le doigt, et le faire écarter en arrière. Pl
iser en deux temps la peau et l'aponévrose parallèlement au milieu du
muscle
couturier, puis écarter et dénuder les grandes fi
eu du muscle couturier, puis écarter et dénuder les grandes fibres du
muscle
; si elles gênent trop, les inciser en travers ou
peu diagonale, d'abord en haut à un centimètre plus en dedans que le
muscle
, et en bas à un autre centimètre en dehors sur le
edans que le muscle, et en bas à un autre centimètre en dehors sur le
muscle
lui-même. Dans cette première incision procéder a
nterne du moyen fessier, et se divise au delà entre ces deux derniers
muscles
. Cette artère a été liée quatre fois pour des l
gt l'aponévrose de revêtement du moyen fessier; le bord interne de ce
muscle
se présente obliquement à un ou deux centimètres
pouce étendu dans l'abduction, pour faire saillir les tendons de ses
muscles
long abducteur et long extenseur, inciser la peau
du cubital antérieur, l'os pisiforme, et les attaches carpiennes des
muscles
de l'éminence hypothénar. Longée par ses deux vei
lus en dedans ; la peau, le pannicule adipeux et l'attache externe du
muscle
palmaire cutané étant divisés, couper sur la sond
la sonde cannelée l'aponévrose superficielle à laquelle s'implante ce
muscle
: le faisceau vasculaire étant mis à nu, isoler,
avec de légères flexuosités, appliquée, entre ses deux veines, sur le
muscle
fléchisseur profond et côtoyée en dedans par le n
rt, fléchir légèrement la main sur son bord interne pour relâcher les
muscles
; écarter, avec le bec de la sonde,en dehors les t
t jusqu'à son origine de l'artère bumérale, par le lmsceau des quatre
muscles
superficiels rond pronatcur, grand et petit palma
facilement chez les sujets très maigres, en relâchant tout-à-fait le
muscle
par une flexion de la main sur le poignet et de l
où l'artère cubitale se présente obliquement en diagonale du bord du
muscle
, sous lequel elle s'enfonce, jusqu'à son origine
on, pour écarter le biceps plus facile alors à déprimer en dehors. Le
muscle
contenu par trois doigts de la main gauche, dont
bduction et soulevé à angle d'environ 80 degrés, le bord axillaire du
muscle
grand pectoral écarté et soulevé en dedans sous l
rappeler à sa direction naturelle dans l'adduction pour relâcher les
muscles
. Dans l'examen de la situation relative des parti
illaire, en raison Je sa profondeur, de la direction transversale des
muscles
qui la revêtent et de l'intrication des nerfs du
et motivent la variété des procédés qu'on emploie pour y parvenir. Le
muscle
petit pectoral, qui revêt en second plan les vais
la ligature se pratique au-dessus du petit pectoral, au-dessous de ce
muscle
ou derrière lui ; chacune de ces désignations com
diaire entre le deltoïde et le grand pectoral, en écartant ce dernier
muscle
jusqu'à son tendon. Mais cette opération n'est ut
e le deltoïde et le grand pecioral, en décollant et écartant ces deux
muscles
, puis divisant en travers le petit pectoral, d'où
n, se trouve être derrière le petit pectoral; et non au-dessous de ce
muscle
, comme l'indiquent à tort les auteurs par un vice
te point dans l'aponévrose ou le feuillet fibreux de liaison des deux
muscles
, et diviser, dans la longueur de la plaie, ce feu
c la sonde cannelée et l'extrémité de l'indicateur, décoller les deux
muscles
, et écarter en dedans et en bas le bord du grand
te alors obliquement en travers de la plaie ( pl. 6). Les deux grands
muscles
superficiels étant maintenus fortement, écartés p
m fibreux dégagé , sous la clavicule, de l'enveloppe aponévrotique du
muscle
sous-clavier. A. Incision transversale. — (Proc
la plaie, suivant le côté sur lequel on opère, à un centimètre sur le
muscle
deltoïde , de manière à pouvoir ouvrir largement
, de manière à pouvoir ouvrir largement le sillon intermédiaire de ce
muscle
au bord adjacent du grand pectoral. Après la sect
oracique qui se trouvent divisées. Parvenu sur la face postérieure du
muscle
, inciser son feuillet postérieur dont quelquefois
ux entre eux et avec le feuillet du petit pectoral. Dénuder un peu ce
muscle
en arrière avec le doigt , qui fait office de cro
e lier l'artère axillaire au-dessus du petit pectoral en déprimant ce
muscle
au lieu de le couper en travers. La peau étant di
étant divisée, le bras dans l'abduction, M. Lisfranc écarte les deux
muscles
adja-cens avec la sonde cannelée , puis ramène le
n écartement assez considérable, et que le rapprochement immédiat des
muscles
, après l'opération, ne donnât lieu à des fusées p
sion, mais en direction verticale, qui permette l'écartement des deux
muscles
sans crainte de léser la veine céphalique accolée
écouvert le petit pectoral et le creux vasculaire intermédiaire de ce
muscle
à la clavicule. L'opération à laquelle M. Chamber
ficulté à agir, et que l'on eût besoin d'un plus grand écartement des
muscles
de revêtement, on peut toujours, sans compliquer
-claviculaire ou omo-claviculaire de quelques chirurgiens, à cause du
muscle
omoplat-hyoïdien qui le traverse au milieu. Si l'
imée en bas et en arrière dans l'abduction pour tendre la peau et les
muscles
, et le chirurgien placé en dehors du malade : pra
inférieur du scapulo-hyoïdien, qui bride la plaie, et faire tirer ce
muscle
en haut et en dehors, puis rompre et écarter le t
chez les autres. La vérité est que l'on peut se dispenser de léser ce
muscle
, l'artère se trouvant encore au moins à deux cent
rde de léser le nerf diaphragmatique , en avant cl au côté interne du
muscle
: nous y ajouterions aussi l'artère scapulaire su
tre le nerf diaphragmatique pour éviter de le léser. La rétraction du
muscle
en haut, après la section, laisse à nu l'artère o
ur de deux centimètres, écarter puis diviser sur la sonde cannelée le
muscle
peaucier ; l'artère se présente alors dans le sen
ïde, elle s'engage, au-dessus de la grande corne de cet os, entre les
muscles
hyoglosse et constricteur moyen du pharynx , d'où
ente l'artère surmontée par le nerf hypoglosse et par sa veine sur le
muscle
hyoglosse, dans le point où ils s'insinuent sous
le vivant, pour agir plus à découvert, il est préférable d'inciser le
muscle
lui-même en soulevant ses fibres avec la pince et
icale , au pharynx en dedans et en avant, au sterno-mastoïdien et aux
muscles
trachéliens en arrière et en dehors, et, dans sa
iquer, à un centimètre et demi au-devant, une incision parallèle à ce
muscle
, dans une longueur de cinq centimètres , dont qua
seul au-dessous de l'os hyoïde. La peau, l'aponévrose cervicale et le
muscle
peaucier étant incisés, déposer le bistouri pour
rne. Le faisceau formé par le ventre postérieur du digastrique et les
muscles
styliens étant reconnu , le dénuder un peu et le
rement tournée du côté sain, le menton relevé de manière à tendre les
muscles
et les tégumens du cou: déprimer avec les doigts
erno-mastoïdien en dedans, et pratiquer le long du bord interne de ce
muscle
, comme guide, une incision de sept à huit centimè
puis l'aponévrose qui unit la gaîne du sterno-mastoïdien à celle des
muscles
sous-hyoïdiens. Parvenu à ce point, déposer le bi
ectitude, et la faire fléchir légèrement sur le tronc pour mettre les
muscles
dans le relâchement. Alors, avec le bec de la son
mé par l'épaisseur du sterno-mastoïdien ( pl. 10, fig. i ) ; et si ce
muscle
dans l'opération est convenablement écarté en deh
rtère à la partie inférieure clu cou, derrière le faisceau sternal du
muscle
sterno-mastoïdien. La tête étant placée dans sa r
tant placée dans sa rectitude, mais déjetée en arrière pour tendre le
muscle
sterno-inastoïdien : inciser dans une longueur de
, puis incliner la tête vers le côté de l'opération pour relâcher le
muscle
; écarter les fibres avec lenteur et précaution :
maintenir dans cette position par des crochets mousses ; derrière le
muscle
se présente le faisceau vasculaire : d'abord la v
igne. Le but de l'auteur est de prendre pour guide le bord externe du
muscle
sterno-thyroïdien : indication vraie en elle-même
t les deux tiers environ clu faisceau claviculaire, puis renverser le
muscle
en haut et en dehors; glisser de nouveau la sonde
n haut et en dehors; glisser de nouveau la sonde, en dedans, sous les
muscles
sterno- hyoïdien et thyroïdien, puis écarter avec
s une longueur de six centimètres , l'incision sur le bord interne du
muscle
sterno-mastoïdien gauche. Cette incision cutanée,
s sterno- hyoïdien et thyroïdien du côté droit, et faire contenir ces
muscles
en dehors par un crochet mousse de manière à se f
u malade vers la plaie , glisser l'indicateur entre la trachée et les
muscles
sous-hyoïdiens, et arriver sur l'artère. Dans cet
elle forme à sa naissance une coudure en dedans et se dirige vers le
muscle
droit. Au-devant d'elle sont placés la peau , l'a
erions d'en faire la ligature clans le lieu où elle s'insinue sous le
muscle
sterno-pu-bien, point où elle peut-être mise à dé
tronc dans l'extension, déterminer par le toucher le bord externe du
muscle
sterno-pubien à sa partie inférieure. Dans ce sil
ée plus haut, est le point où l'artère épigastrique s'insinue sous le
muscle
droit. Abaisser dans ce lieu, parallèlement au bo
sous le muscle droit. Abaisser dans ce lieu, parallèlement au bord du
muscle
, une incision de trois à quatre centimètres, puis
nt fléchie sur l'abdomen, et l'abdomen sur le thorax, pour mettre les
muscles
clans le relâchement : si le ventre est plat, inc
e du petit oblique et du transverse, glisser le doigt sous ce dernier
muscle
pour le dénuder du fascia transversalis ; suivant
onducteur, insinuer un bistouri concave avec lequel on coupe les deux
muscles
. Dans ce second temps de l'opération se trouvent
qu'en tout cas, pour en combattre les effets, il suffit de mettre les
muscles
dans le relâchement par la demi-flexion de la par
, on arrive ainsi à traverser impunément non seulement la peau et les
muscles
, mais le tissu même des viscères à toute profonde
des éclats de bois, des esquilles, fichés depuis longtemps entre les
muscles
et les tendons, et qui pendant longtemps n'avaien
iser la peau, les aponévroses d'enveloppe, et, dans certains cas, les
muscles
lorsqu'ils renferment eux-mêmes des aponévroses d
lipomes sous-aponévrotiques sont plus communs dans les points où les
muscles
épais ou nombreux présentent de larges espaces qu
ndensent, s'épaississent et font l'office d'une capsule fibreuse; les
muscles
eux-mêmes sont susceptibles de se fasciculer et d
ieur et pratiqua directement au-dessus, en suivant le bord externe du
muscle
droit, une incision de sept centimètres (deux pou
n de sept centimètres (deux pouces et demi) qui divisa la peau et les
muscles
jusqu'à l'os. Portant ensuite son doigt au fond d
dirigeant en bas et en dehors afin de la faire sortir vers le bord du
muscle
vaste externe. Pour le reste, l'opération fut ent
rt de la circonférence de la cuisse en n'intéressant que la peau. Les
muscles
étant divisés d'un second coup jusqu'à l'os, la r
ens du périoste, continue immédiatement de fournir des insertions aux
muscles
, dont les tractions contribuent à la forme irrégu
ein de vigueur, la tonicité des tissus, la contraction convulsive des
muscles
qu'on écarte avec violence ou qu'on a divisés dan
er le tendon extenseur, sans le diviser, et détacher latéralement les
muscles
inter-osseux ; puis ouvrir l'articulation en inci
sont rejetés de côté. Dans un second temps, diviser latéralement les
muscles
inter-osseux et ouvrir l'articulation carpo-métac
plus qu'à renverser le fragment en l'attirant à soi pour l'isoler clu
muscle
carré pronateur, et couper ses connexions ligamen
de fois au-dessous des extenseurs du pouce, pour éviter de couper ces
muscles
en travers. 2° Extirpation du corps du radius e
ion de l'insertion radiale du biceps et des coulisses tendineuses des
muscles
radiaux et extenseurs du pouce, dont l'action se
cédé se réduit également à deux temps : i° incision de la peau et des
muscles
, 2° désarticulation et résection de l'os. Le mala
es, diviser avec précaution la capsule articulaire et les tendons des
muscles
sus- et sous-épineux et petit rond qui la fortifi
deux pouces et demi). Ici Sabatier conseille d'extirper la portion du
muscle
deltoïde que circonscrivent les incisions. MM. Bé
u deltoïde une petite incision transversale cpii divise les fibres du
muscle
sans intéresser la peau. Cette espèce de débridem
e. Du premier coup le bistouri a divisé dans son trajet la peau , les
muscles
et le ligament acromio-coracoïdien. Le résultat d
t en arrière écartent toute la masse charnue inférieure, composée des
muscles
qui forment les bords du creux axil-laire et de t
et en fit la section dans l'intervalle, divisa la portion externe du
muscle
sterno-mastoïdien à cinq centimètres (deux pouces
ncision pratiquée suivant le trajet de la quatrième côte il divisa le
muscle
grand pectoral, le ligament costo-claviculairc, l
l divisa le muscle grand pectoral, le ligament costo-claviculairc, le
muscle
sous-clavier, et put enfin enlever la tumeur et a
jusqu'à la fosse sous-scapulaire. Après avoir coupé les attaches des
muscles
trapèze et sous-épineux, s'étant assuré que la po
ed. Le tendon du long péronier fut écarté en dehors, et les fibres du
muscle
pé-dieux, incisées, furent déjetées en dedans. Le
ement, qui n'intéresse que la peau et s'arrête au niveau du tendon du
muscle
péronier antérieur : il en résulte un lambeau tri
étant disséqué et relevé, isoler le tibia en avant et en arrière des
muscles
et des vaisseaux qui l'entourent. La dénudation u
charnue antérieure composée par la peau, le faisceau des tendons des
muscles
extenseurs et court péronier, l'artère, le nerf t
postérieure constituée par la peau, les tendons du triceps sural, des
muscles
profonds postérieurs et des péroniers, par l'artè
une incision proportionnée à l'étendue de la maladie. La peau et les
muscles
péroniers doivent être divisés jusqu'à l'os du pr
remières incisions, qui doivent diviser, du même coup, la peau et les
muscles
, seront réunies inférieurement par une incision t
mité supérieure de cette première incision, qui divise la peau et les
muscles
, en faire partir une seconde de onze centimètres
e la section des filets clu nerf facial, qui donnent le mouvement aux
muscles
de la face, en dirigeant l'incision des parties m
en dehors par le tissu cel-lulo-graisseux de la joue, en haut par les
muscles
de l'œil, dont les insertions orbitaires ont été
eure de l'os en divisant successivement, de gauche à droite, tous les
muscles
qui s'y insèrent : pendant ce temps un aide écart
stouri. Mais à peine la mâchoire est-elle détachée, que, l'action des
muscles
sous-hyoïdiens n'étant plus contre-balancée par c
ade zygomatique, un bistouri boutonné qui sert à diviser le tendon du
muscle
cro-taphite en même temps qu'on abaisse la mâchoi
urait être calculée d'avance. Après cette opération, les attaches des
muscles
génio-glosses étant en partie conservées, on n'a
, on la soulève avec un crochet mousse et on divise en même temps les
muscles
intercostaux en rasant soigneusement le bord de l
ix-septième siècle. Pendant toute la période intermédiaire, tégumens,
muscles
et os étaient coupés sur le même plan; il n'y eut
mais par un autre procédé, à l'idée de Celse. Après avoir affermi les
muscles
à l'aide d'une ligature, ils coupaient d'abord le
u'ils misaient relever après les avoir disséqués, et divisaient les
muscles
jusqu'à l'os, qu'ils sciaient dans un troisième t
ils sciaient dans un troisième temps. Louis incisait la peau et les
muscles
superficiels dans un premier temps, et, dans un s
au de leur rétraction, la couche profonde. Valentin voulait que les
muscles
fussent mis dans un état de tension forcée pendan
ortai renversa ce procédé, et conseilla, au contraire, cle mettre les
muscles
dans le relâchement. Bell, suivi par M. Ilcllo, a
âchement. Bell, suivi par M. Ilcllo, après avoir coupé la peau et les
muscles
d'un seul coup, comme.T.-L. Petit, détachait, com
uscles d'un seul coup, comme.T.-L. Petit, détachait, comme Celsc, les
muscles
de l'os, en le contournant avec la pointe clu cou
. Alanson divisait d'abord la peau, puis coupait d'un seul coup les
muscles
en formant avec son couteau un angle cle vingt-ci
st principalement avec la pointe qu'il creusait le cône à travers les
muscles
. On conçoit que, de cette façon, on puisse bien n
ération ne saurait être régulière. Dupuytren coupait la peau et les
muscles
d'un seul coup, d'après le procédé cle Celsc ou d
énéral de disséquer la peau comme .T.-L. Petit, d'inciser d'abord les
muscles
en plein comme Celse; puis, à la manière d'Alanso
remonté la peau, inciser d'un seul coup jusqu'aux os, et détacher les
muscles
circulairement et de bas en haut pour tomber clan
s l'articulation: d'autres préfèrent disséquer la peau et diviser les
muscles
perpendiculairement ou obliquement au niveau de l
ue, se contente de lambeaux superficiels, et coupe circulairement les
muscles
profonds, pensant réunir ainsi les avantages ratt
chefs soient repliés sur la face du membre qui est le moins garnie de
muscles
, afin que la partie la plus épaisse soit plus sol
d'un centimètre et demi, les fait relever, divise les tendons et les
muscles
inter-osseux, passe d'avant en arrière les trois
ace palmaire, tailler son lambeau antérieur, diviser les tendons, les
muscles
interosseux, et couper les os. Second procédé de
spositions anatomiques à peu près analogues à celles de la jambe. Les
muscles
nombreux accumulés sur les faces antérieure, exte
uis a conseillé de scarifier les aponévroses, suivant la longueur des
muscles
, du centre à la circonférence sans intéresser la
peau plus bas en avant qu'en arrière. Deuxième temps. Affermir les
muscles
, conduire le couteau comme pour l'incision de la
r formé comme il vient d'être dit, couper à la manière d'Alan-son les
muscles
postérieurs après avoir d'abord incisé et remonté
ns cpii vont suivre. Le bras renferme deux systèmes fractionnels de
muscles
bien distincts. Les muscles qui meuvent l'avant-b
as renferme deux systèmes fractionnels de muscles bien distincts. Les
muscles
qui meuvent l'avant-bras sur le bras forment la p
tes, se font à la diaphyse de l'humérus; il n'y a véritablement qu'un
muscle
superficiel, le biceps, qu'on puisse raisonnablem
superficiel, le biceps, qu'on puisse raisonnablement assimiler à ces
muscles
longs et grêles qui parcourent la cuisse dans tou
qu'au bras il ne faut faire nulle attention à la rétraction de chaque
muscle
en particulier, mais considérer seulement les div
fibres profondes et de la rétraction des superficielles dans un même
muscle
. A cause de la distinction bien tranchée des mu
es dans un même muscle. A cause de la distinction bien tranchée des
muscles
qui meuvent le bras, d'avec ceux qui font agir l'
n remontant simultanément les tégumens. Deuxième temps. Diviser les
muscles
jusqu'à l'os, en commençant par le biceps; laisse
mieux couper perpendiculairement les fibres profondes et détacher les
muscles
de l'os suivant le procédé de Bell : avec cette q
e biceps, de le laisser se rétracter, et de couper ensuite les autres
muscles
en deux temps comme il a été dit. MM. J. Cloque
dit. MM. J. Cloquel et Sédillot le coupent plus bas que les autres
muscles
: cet excès de précaution ne nous paraît pas avoir
lus grande extension et juger de suite le degré de rétractilité de ce
muscle
, circonscrire, à l'aide d'une incision transversa
longitudinales et convergentes suivant l'obliquité des bords du même
muscle
, un lambeau trapézoïdal long de six centimètres,
s, constituent une espèce cle fosse externe et antérieure remplie cle
muscles
qui la débordent, et qui nécessitent l'emploi d'u
t pour la ligne de réunion des chairs. Considérés en eux-mêmes, les
muscles
se présentent groupes en deux couches séparées pa
a peau et l'aponévrose; disséquer et relever les lambeaux, couper les
muscles
à leur base, remonter les chairs, scier les os, e
nt en bas sur la face externe et antérieure, détache avec la peau les
muscles
extenseurs, dissèque et relève la peau en avant j
usqu'au niveau de l'ovale en arrière, incise alors circulairement les
muscles
postérieurs et scie les os. 10 Procédé de M. Le
refouler la peau, ce qui donne un ovale suivant lequel on incise les
muscles
jusqu'aux os; remonter les chairs à la même haute
urtout ici, nous devons tenir compte de l'inégalité de rétraction des
muscles
, dont les uns s'attachent sur presque toute l'éte
si haut que possible: enfin, à leur niveau, section de la peau et des
muscles
du mollet, en inclinant le couteau. Ce procédé, t
revêt la face antérieure et interne du tibia. Après la section des
muscles
opérée de cette manière, il n'est pas rare d'obse
lie et la dénudation des os par suite de la rétraction, primitive des
muscles
superficiels et secondaire des muscles profonds;
e la rétraction, primitive des muscles superficiels et secondaire des
muscles
profonds; c'est pour remédiera cet inconvénient q
ofonds; c'est pour remédiera cet inconvénient qu'Alanson taillait les
muscles
en biseau, suivant le procédé que nous avons indi
par Sabatier, a été complétée par M. Sédillot, qui incise d'abord les
muscles
superficiels en biseau, et, au niveau de leur rét
iseau, et, au niveau de leur rétraction, coupe de la même manière les
muscles
profonds. On pourrait encore employer le procéd
re le couteau inter-osseux, afin qu'il n'intéresse pas de nouveau les
muscles
et surtout les vaisseaux; diviser d'abord, vertic
ement. Avec le procédé que nous avons adopté, toutes les attaches des
muscles
de la cuisse sont conservées; la plaie présente u
attribuent cette difficulté à sa rétraction plus forte que celle des
muscles
, et à sa triple courbure; M. Sédillot, à sa mâchu
nt; inconvénient qui se trouve encore contrebalancé si la section des
muscles
postérieurs est faite suivant les indications que
istait à couper d'abord les chairs antérieures, puis les os, puis les
muscles
du mollet; il y a plus, c'est qu'Héliodore recomm
ntérieurs à la base du lambeau, couper selon la méthode d'Alanson les
muscles
profonds, diviser les fibres inter-osseuses, remo
ien plus embarrassant qu'utile. Grœfe, pour avoir plus de peau que de
muscles
, fait remonter les tégumens et tirer sur la jambe
ors de la crête du tibia enfoncer la pointe du couteau, traverser les
muscles
de la région antérieure et externe, contourner le
elever; détacher du tibia, du péroné et du ligament inter-osseux, les
muscles
à nu, quatorze millimètres plus haut que la base
e des li-gamens, les disséquer à la même hauteur cpi'on a détaché les
muscles
. Après avoir relevé cette espèce de manchette, à-
ette, à-la-fois cutanée et charnue, couper à la manière d'Alanson les
muscles
de la face interne et postérieure, faire le 8 de
bord antérieur du tibia au bord externe du péroné, en intéressant les
muscles
qui tapissent l'espace inter-osseux : après avoir
cation ne porte ici que sur la manière d'inciser la peau, puisque les
muscles
sont toujours coupés circulairement. Cette méthod
d, au lieu de former les lambeaux, préfère diviser circulairement les
muscles
au niveau de l'adhérence de la peau relevée. Ap
oser, avant tout, par la méthode à lambeau, est de recouvrir avec les
muscles
toute la surface osseuse ; et c'est évidemment s'
tissu cellulaire lâche et abondant, qui sépare les diverses séries de
muscles
et accompagne les rameaux vasculaires; l'inflamma
sseux difficile. Si l'on désarticule le péroné, il faut disséquer les
muscles
qui l'environnent, l'ébranler, et pénétrer en ple
musculaire, et cherche à la prévenir en sciant l'os plus haut que les
muscles
profonds. Alanson et Bell, poursuivant la même id
oire et le travail de cicatrisation ; il faut alors laisser après les
muscles
une partie de cette graisse. La longueur du lambe
our, les tégumens dans l'amputation circulaire. Il faut concevoir les
muscles
groupés en deux séries superposées. La première c
roupés en deux séries superposées. La première comprend la couche des
muscles
superficiels, qui parcourent la cuisse du bassin
e valeur dans leur totalité. La seconde couche est for niée par les
muscles
profonds : adhérens au fémur dans une étendue plu
ns considérable, ils sont soumis à l'une et à l'autre rétraction. Les
muscles
les plus nombreux de la première série sont situé
spositions anato-miques que nous avons signalées varient un peu : les
muscles
sont moins retráctiles, mais leur nombre et, par
ien, dans la même position que pour l'incision de la peau, divise les
muscles
jusqu'à l'os en quatre temps, suivant les quatre
isant plusieurs fois le tour de l'os (Lisfranc). Bell détachait les
muscles
autour du fémur à vingt-sept millimètres de haute
et postérieure. Procédé de Dupuytren. Incision des tégumens et des
muscles
jusqu'aux os; au niveau des libres rétractées, di
erne, les attirer modérément au dehors, afin de ne pas intéresser les
muscles
de diverses régions, qui reprennent leur place na
ever, et, à leur base, inciser circulairement et en cône rentrant les
muscles
profonds. Méthode ovalaire. — Procédé de M. Mal
re. — Procédé de M. Malgaigne. Il est fondé sur ce principe : que les
muscles
de la partie interne et postérieure étant plus re
une surface égale, les couper plus bas. L'incision de la peau et des
muscles
, opérée en trois temps, figure un ovale dont une
rieure et interne. A trois centimètres et demi plus bas, détacher les
muscles
de l'os, scier et réunir obliquement, de façon qu
la peau en avant, cle moitié de la hauteur. Couper circulairement les
muscles
superficiels, (aire retirer fortement les chairs
(aire retirer fortement les chairs en haut, inciser jusqu'à l'os les
muscles
profonds, enfin scier l'os en regard de la sectio
à-la-fois assez de peau pour recouvrir la surface saignante, assez de
muscles
pour protéger efficacement le fémur, de manière à
'épaisseur du membre ; mais il convient très bien pour la section des
muscles
profonds. Les combinaisons que Valent! n a propos
promis l'auteur; car ce n'est pas uniquement contre la rétraction des
muscles
internes et postérieurs qu'il faut se prémunir, m
éthode circulaire donne, pour recouvrir la plaie, des tégumens ou des
muscles
qu'il est toujours facile de conserver avec une l
t être considérable, avant de la diviser il faut laisser remonter les
muscles
qu'elle revêt. Dans son Mémoire sur les désarti
stouri, on taille, en y comprenant, vers le bord palmaire, le plus de
muscles
que l'on peut, un lambeau dorsal externe que l'on
emier coup la peau, le tendon long extenseur et une partie du premier
muscle
inter-osseux. L'articulation étant mise à découve
en ce sens; et contournant le métacarpien en arrière, on détache les
muscles
de haut en bas en rasant la face interne. — Modif
dre le tendon extenseur, ramener en dehors cette peau et la masse des
muscles
de l'éminence hypothénar, et, d'un autre coup de
ête de l'os, glisse l'instrument sous sa face palmaire et détache les
muscles
en ce sens, du carpe vers les commissures digital
prétendue maladresse; si, parle fait de l'amputation, tous les autres
muscles
sont privés de leur insertion, ce n'est pas une r
faire relever. 20 Inciser alors circulairement la première couche de
muscles
, faire remonter les chairs, puis inciser une seco
t au-dessous de l'aeromion inciser d'un seul coup les tégumens et les
muscles
jusqu'à l'os, enfin désarticuler dans la plaie la
aeromion ; couper net et circulairement d'un seul coup la peau et les
muscles
au contour de l'os et faire écarter rapidement le
n aide, les chairs vers la poitrine, afin d'avoir assez de peau et de
muscles
pour former une incision circulaire; la section t
cromion, inciser transversalement le deltoïde et les deux portions du
muscle
biceps, puis, sans quitter le couteau , tomber su
che la masse du deltoïde, glisser horizontalement, sous la base de ce
muscle
, un petit couteau, le tranchant tourné vers le co
ès que la peau est rétractée, diviser, par deux autres incisions, les
muscles
au plus près du bord de la peau : le reste comme
e de la peau, qui, en outre, guide ultérieurement pour la section des
muscles
. Appréciation et valeur relative des méthodes e
d placé sur une table et fixé par un aide, saisir les tégumens et les
muscles
du côté interne de l'os et les attirer en ce sens
de Chopart, toute la seconde rangée du tarse avec les insertions des
muscles
qui relèvent les bords du pied. Aujourd'hui cette
ne incision circulaire tracer la voie à la scie dans les attaches des
muscles
inter-osseux plantaires, enfin désarticuler le pr
trajet en diagonale sous la face plantaire, en coupant la peau et les
muscles
jusque sur les os, pour arriver à rejoindre, à l'
e du péroné, tailler, en rasant leur face postérieure, aux dépens des
muscles
du mollet, un lambeau long d'un travers de main,
quatre travers de doigt au-dessous de la rotule, sans intéresser les
muscles
; la disséquer et la faire relever au contour, en
t terminer en coupant d'un seul trait les vaisseaux, les nerfs et les
muscles
du jarret perpendiculairement à leur longueur au
n, la capsule, les ligamens latéraux, et en arrière les faisceaux des
muscles
jumeaux avec les vaisseaux et les nerfs. 4° Enfui
vité où elle est fixée par sa capsule et les attaches tendineuses des
muscles
rotateurs. 4° Au dedans, le ligament inter-articu
la dissèque et la relève en avant pour procéder, avant la section des
muscles
, à la ligature préalable de l'artère fémorale.
égumens dans ce sens, de les inciser d'abord un peu plus haut, et les
muscles
fessiers un peu plus bas. 2° Procédés a deux la
postérieure, achever la section de la capsule, couper les tendons des
muscles
rotateurs et, rasant la face externe du fémur, ta
couteau offert à plein tranchant inciser d'un seul coup la masse des
muscles
internes par un mouvement de bascule de manière à
qui se compose d'une incision circulaire de la peau avec section des
muscles
en deux lambeaux latéraux. Placé en dedans de la
pt pouces), intéresse, avec la peau, les attaches des fessiers et les
muscles
antérieurs de la cuisse. 2° Abaisser en arrière u
résister à la pesanteur des lambeaux; si elle renferme une portion de
muscles
, elle en détermine la section, se desserre et, da
eaux sont obliques, antéro-interne et postéro-externe, surtout si les
muscles
sont coupés plus haut que la peau (Dupuytren). En
t réunions anormales, 129—131. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR LES
MUSCLES
ET LES TISSUS FIBREUX. Page 131—135. Section
nes du squelette osseux ou aponévrotique, et par les bords des grands
muscles
qui séparent les groupes synergiques ou antagonis
rer la fosse zygomatique. C. Portion mastoïdienne du temporal. a.
Muscle
buccinateur. b. Muscle triangulaire des lèvres.
C. Portion mastoïdienne du temporal. a. Muscle buccinateur. b.
Muscle
triangulaire des lèvres. 2° COU. e. Splénius.
au contour. Au centre, on a enlevé les extrémités correspondantes des
muscles
superficiels, les releveurs de l'anus, le sphinct
e. Surface musculaire des attaches pelviennes du grand fessier et des
muscles
de la cuisse. En bas, le bord perineal du grand f
nal et du transversaire épineux, et l'extrémité postérieure des trois
muscles
larges de F abdomen. Le plan du segment antérieur
es de F abdomen. Le plan du segment antérieur continue dans les trois
muscles
abdominaux, et traverse le quart inférieur du mus
dans les trois muscles abdominaux, et traverse le quart inférieur du
muscle
sterno-pubien. Les deux côtés représentent des
aponévrose du transverse. 2. Petites aponévroses qui recouvrent les
muscles
inter-transver- saires. 3. Muscle transversai
aponévroses qui recouvrent les muscles inter-transver- saires. 3.
Muscle
transversaire épineux. 4. Sections de la cloiso
ansverse. 13. Suture des feuillets antérieur et moyen qui limite le
muscle
en dehors. 14. Muscle transversaire épineux v
feuillets antérieur et moyen qui limite le muscle en dehors. 14.
Muscle
transversaire épineux vu à découvert. 15. Extré
couvert. 15. Extrémité postérieure de la loge du petit oblique ; ce
muscle
et le grand oblique sont vus coupés au profil.
ncs ischiatiques. F. Grande cloison aponévrotique séparant les deux
muscles
grands fessiers. Côté droit. G. Loge du moy
es, accompagnées de ganglions lymphatiques, et rampant sur le plan du
muscle
mylo-hyoïdien. C. Loge musculaire du ventre max
rieur de la loge se distribuent les vaisseaux et les nerfs propres du
muscle
, et derrière son feuillet postérieur se voient en
2° la région des vaisseaux axillaires , aperçus derrière la gaîne des
muscles
pectoraux; 3° la région brachiale interne et supé
hiale interne supérieure. A son extrémité il se perd sur le tendon du
muscle
. K. Feuillet de l'aponévrose brachiale qui vient
Vaisseaux acromio-thoraciques, avec les nerfs qui se distribuent aux
muscles
pectoraux. 13. Veine céphalique. L. Muscle so
ui se distribuent aux muscles pectoraux. 13. Veine céphalique. L.
Muscle
sous-clavier renfermé dans son enveloppe aponévro
chiale interne supérieure. M. Portion de la loge du biceps, dont le
muscle
existe aux deux extrémités. Dans cette loge rampe
rieur de l'aponévrose du grand oblique renversé sur la cuisse. 3.
Muscle
crémaster également renversé en ba, 4. Arcade m
artos. B. Aponévrose du grand oblique. C. Extrémité inférieure du
muscle
grand oblique. D. Portion des tégumens et du pa
r l'aponévrose fémorale d'enveloppe. G. Gaîne fibro-celluleuse du
muscle
couturier. 16. 16. Vaisseaux fémoraux accompagn
eaux de nutrition du couturier. 18. Long rameau nerveux propre à ce
muscle
. 19. Rameau nerveux cutané. EL Loge musculair
coupée du droit antérieur. L. Aponévrose fascia-lata. M. Portion du
muscle
vaste interne. Tome 6 PL 7. Dessiné d'après
a superficialis étant enlevé. D. Extrémité inférieure de la logé du
muscle
sterno-pubien. 7. Portion de la paroi postérieu
nt le ster-no-pubien. E. Loge fibro-celluleuse du petit oblique. Ce
muscle
et le grand obli- que sont coupés au profil. Le
lles des adducteurs et le vaste interne (G). H. Loge aponévrotique du
muscle
pectine. 19. Attache pubienne conservée. 20.
nutrition dégagés de l'artère fémorale. 24. Rameau nerveux du même
muscle
fourni par l'obturateur. 25. Tronc du nerf obtu
toïde dans sa gaîne, avec ses vaisseaux et ses nerfs. B. Section du
muscle
grand pectoral. Creux axillaire. 1. Nerf médi
des vaisseaux et des nerfs, au-devant des tendons fléchisseurs et des
muscles
lombricaux à la région métacarpienne, et les bran
s musculaires séreux sont conservés en premier plan. La surface des
muscles
est plus profonde. INDICATION DES LETTRES ET DE
Corps thyroïde. 5. Sterno-mastoïdien. Dans le triangle derrière ce
muscle
se voient les gros vaisseaux, artère carotide,
carpiens. L Aponévrose palmaire. 2. Doubles tendons fléchisseurs et
muscles
lombricaux. Dans leurs gaines synoviales. 3.
ie en bas dans celle du couturier. H. Loge du demi-membraneux. Le
muscle
coupé en haut. 15. Vaisseaux sanguins fournis p
18. Filamens des nerfs sciatiques. JAMBE. A, B, C, D. Tendons des
muscles
internes de la cuisse; A. Couturier; B. Droit i
es. 7. Portion pédieuse du nerf tibial antérieur. FIGURE 2. Les
muscles
superficiels de la cuisse sont enlevés par leur e
montrés à découvert, l'aponévrose étant enlevée. 2° En dehors: 16.
Muscles
péroniers. FIGURE 3. R. Loge du court fléchis
. Dans toutes les figures, les enveloppes fibreuses et séreuses des
muscles
sont conservées en premier plan. La surface mus
d'opposition prend son point d'appui latéralement en arrière sur les
muscles
de la nuque, dans l'angle rentrant compris entre
pelotte d'opposition, dite pelotte mobile, s'appuie en arrière sur le
muscle
triceps brachial ; la pelotte de pression, gouver
son plus grand diamètre en travers, exige, pour s'insinuer entre les
muscles
, un déplacement trop considérable contre lequel i
ortant la pelotte d'opposition (E), qui s'applique en arrière sur les
muscles
de la cuisse, l'extrémité antérieure (F) supporte
e à surjet. PLANCHE 23. OPÉRATIONS DIVERSES. Figure 1. Section du
muscle
sterno-mastoïdien, pratiquée avec le bistouri dro
ant de l'oreille ; mais, comme l'incision porte encore sur le plan du
muscle
temporal, nous proposons le procédé suivant : 2
mettre à découvert, par une incision, la veine céphalique, entre les
muscles
deltoïde et grand pectoral. (D) représente cett
vaisseaux. g. Nerf musculo-cutané jusqu'au point où il traverse le
muscle
coraco-brachial. h. Muscle petit pectoral enl
utané jusqu'au point où il traverse le muscle coraco-brachial. h.
Muscle
petit pectoral enlevé au-devant de la tumeur. i
ION DES PARTIES. A. Tumeur anévrismale, recouverte et bridée par le
muscle
petit pectoral. B. Extrémité supérieure de l'
tie de la tumeur. c. Nerf médian. d. Veine humérale interne. e.
Muscle
petit pectoral aminci au-devant de la tumeur. f
tit pectoral aminci au-devant de la tumeur. f. Extrémité interne du
muscle
grand pectoral, également très aminci dans son
périeure de la tumeur. C. Point d'aplatissement moyen formé par les
muscles
jumeaux. D. Limite inférieure de la tumeur caus
xtrémité inférieure des jumeaux. L. Extrémité supérieure du soléaire.
M. Muscle
poplité. N. Tendons des muscles fléchisseurs in
Extrémité supérieure du soléaire. M. Muscle poplité. N. Tendons des
muscles
fléchisseurs internes de la jambe (demi-tendineux
e sous le biceps (fig. 6') et entièrement revêtue parles fibres de ce
muscle
, qu'elle a éraillées. Dans la figure 5, le biceps
ur les figures, la veine formant sur la tumeur, avec interposition du
muscle
biceps, un cordon d'étranglement. Au point (a, fi
mouvemens du biceps ont fait graduellement remonter le sang entre ce
muscle
et le brachial antérieur, et ont déterminé la for
isse le bistouri. c. Plaie opératoire. FIGURE 3. Ecartement des
muscles
. Déprimant, de la main gauche, les muscles de s
GURE 3. Ecartement des muscles. Déprimant, de la main gauche, les
muscles
de son côté, tandis qu'un aide agit en sens inver
s muscles de son côté, tandis qu'un aide agit en sens inverse sur les
muscles
de l'autre lèvre de la plaie, le chirurgien, avec
de cas. a. Annulaire et médius gauches du chirurgien, écartant les
muscles
. b. Doigts de l'aide de face, opérant en sens i
crochet mousse, qui l'applique contre la face externe du tibia. 4.
Muscles
extenseurs des orteils, déprimés en arrière par l
2. Section de l'aponévrose dorsale du pied. 3. Premier faisceau du
muscle
pédieux, écarté en dehors. 4. Tendon du long ex
on de l'aponévrose jambière. —3. Section de l'aponévrose profonde des
muscles
fléchisseurs. — 4. Artère tibiale postérieure, en
re, par la main droite de l'aide de face, qui refoule et contient les
muscles
du mollet. 1. Section de la peau. — 2. Section
ction de l'aponévrose jambière. — 3. Section des attaches tibiales du
muscle
soléaire. — 4. Section de l'aponévrose antérieure
rose antérieure du soléaire. — 5. Aponévrose profonde d'enveloppe des
muscles
fléchisseurs. — 6. fig. 2. Muscle jumeau interne.
ponévrose profonde d'enveloppe des muscles fléchisseurs. — 6. fig. 2.
Muscle
jumeau interne. — 7. fig. 2. Nerf tibial postérie
1. Section de la peau. — 2. Section de l'aponévrose jambière. — 3.
Muscles
péroniers, écartés en avant par un crochet mousse
u jarret, dans l'écartement des deux triangles formés en haut par les
muscles
fléchisseurs de la cuisse, et en bas par les jume
on de la peau. 2. Section de l'aponévrose fémorale. 3. Saillie du
muscle
demi-membraneux. ê. Saillie du muscle biceps. 5
vrose fémorale. 3. Saillie du muscle demi-membraneux. ê. Saillie du
muscle
biceps. 5. Nerf sciatique poplité interne. 6.
irurgien. a. Doigts d'un aide de face, qui dépriment en arrière les
muscles
jumeaux. 1. Section de la peau. 2. Section de
jambière. 3. Veine saphène interne. 4. Nerf saphène. 5. Bord du
muscle
jumeau interne. 6. Tendons des muscles droit in
4. Nerf saphène. 5. Bord du muscle jumeau interne. 6. Tendons des
muscles
droit interne et demi-tendineux. 7. Veine popli
rf sciatique poplité, écarté en arrière. 9. Artère poplitée, sur le
muscle
de même nom. 10. Aiguille de Deschamps, dont l'
n de la gaîne des vaisseaux fémoraux. — 6. Portion du bord interne du
muscle
couturier refouléen avant. — 7. Portion dénudée d
3. Section de l'aponévrose fémorale. —4. Portion du bord antérieur du
muscle
couturier, qui, pour cette opération, est refoulé
, fig. 4. ¦— Détails supplémentaires : 6. Aponévrose d'insertion du
muscle
vaste interne, qui sert de guide pour atteindre,
e, clans la profondeur, vers le siège des vaisseaux. — 7. Tendon du
muscle
droit interne. — 8. Aponévrose falciforme des pre
Crochet mousse, tenu par un aide de gauche, qui écarte et abaisse les
muscles
fléchisseurs, pour laisser à l'opérateur la dispo
. Section de la peau. —2. Section de l'aponévrose antibrachiale. — 3.
Muscle
cubital antérieur écarté en dedans.—5. Muscle flé
ose antibrachiale. — 3. Muscle cubital antérieur écarté en dedans.—5.
Muscle
fléchisseur sublime, déprimé en dehors. — 6. Nerf
Section de la peau. — 2. Section de l'aponévrose antibrachiale. — 3.
Muscles
rond pro-nateur et grand palmaire, écartés en ded
3. Muscles rond pro-nateur et grand palmaire, écartés en dedans. — 4.
Muscles
supina-teurs, écartés en dehors. — 5. Attaches ra
. 1, et (G2) LIGATURE DE L'ARTÈRE HUMÉRALE, au milieu du bras. Le
muscle
biceps est refoulé en avant et en dehors par la m
nérale interne. — 6. Artère humérale, sur la sonde cannelée.— 7. (G2)
Muscle
biceps. — 8. (G2) Portion interne du triceps. (
n de la peau. — 2. Section de l'aponévrose antibrachiale.— 3. pl. 40.
Muscle
radial antérieur. — 4. pl. 40. Muscle long supi-n
rose antibrachiale.— 3. pl. 40. Muscle radial antérieur. — 4. pl. 40.
Muscle
long supi-nateur. — 5. pl. 40. Muscle fléchisseur
radial antérieur. — 4. pl. 40. Muscle long supi-nateur. — 5. pl. 40.
Muscle
fléchisseur sublime. — 6. Nerf radial. Fig. I,
tion de la peau. — 2. Section de l'aponévrose brachiale. — 3. Bord du
muscle
coraco-brachial, vu en transparence. — 4. Veine b
du grand pectoral déjeté en bas et en dedans. — 3. Bord supérieur du
muscle
petit pectoral, déprimé en bas par un crochet mou
bas par un crochet mousse. — 4. Section des attaches claviculaires du
muscle
grand pectoral. — 5. Veine céphalique. — 6. Veine
on du peaucier et de l'aponévrose cervicale. — 3. Portion sternale du
muscle
sterno-cléido-mastoïdien, écartée en dedans. — 4.
éido-mastoïdien, écartée en dedans. — 4. Portion claviculaire du même
muscle
, écartée en dehors. — 5. Nerf pneumo-gastrique. ¦
r deux crochets mousses. 1. Section delà peau et du peaucier. —2.
Muscle
scapulo-hyoïdien, maintenu rétracté en haut par l
a veine jugulaire externe, dans le point où elle va s'engager sous le
muscle
sterno-mastoïdien pour s'aboucher dans la veine s
des attaches clavicu-laires du grand pectoral. — 3. Bord supérieur du
muscle
petit pectoral, déprimé, avec la peau et la secti
cle petit pectoral, déprimé, avec la peau et la section inférieure du
muscle
grand pectoral, par le doigt indicateur gauche du
. 1.) 1° Portion cervicale. 1. Section de la peau. —2. Section du
muscle
peaucier. — 3. Muscle sterno-mastoïdien. Une inci
vicale. 1. Section de la peau. —2. Section du muscle peaucier. — 3.
Muscle
sterno-mastoïdien. Une incision est pratiquée sur
e sillon de la carotide dans le point où s'en fait la ligature. •— 4.
Muscle
sterno-hyoïdien. — 5. Muscle sterno-thyroïdien. —
le point où s'en fait la ligature. •— 4. Muscle sterno-hyoïdien. — 5.
Muscle
sterno-thyroïdien. —6. Muscle trapèze. — 7. Muscl
ure. •— 4. Muscle sterno-hyoïdien. — 5. Muscle sterno-thyroïdien. —6.
Muscle
trapèze. — 7. Muscle scapulo-hyoïdien, dont les r
rno-hyoïdien. — 5. Muscle sterno-thyroïdien. —6. Muscle trapèze. — 7.
Muscle
scapulo-hyoïdien, dont les rapports sont très imp
re carotide primitive. — 15. Tendon médian du scapulo-hyoïdien. — 16.
Muscle
scalène antérieur, sur lequel rampe le nerf diaph
quelle est passé un fil. 2° Portion axillaire. 1. Clavicule. — 2.
Muscle
grand pectoral, dont on a incisé le [bord axillai
avant pour développer le trajet des vaisseaux. — 3. Bord axillaire du
muscle
deltoïde. — 4. Aponévrose coraco-claviculaire. —5
ose coraco-claviculaire. —5. Tendon coracoïdien du petit pectoral. Ce
muscle
lui-même est coupé en travers pour découvrir les
NE. 1. Section de la peau et du peaucier. 2. Ventre mastoïdien du
muscle
digastrique rejeté en haut par un crochet mousse.
dien du muscle digastrique rejeté en haut par un crochet mousse. 3.
Muscle
sterno-mastoïdien déjeté en arrière. 4. Tronc v
-mastoïdien et du trapèze. 1. Section de la peau et des attaches du
muscle
occipital. 2. Surface formée par les attaches d
peau et du feuillet aponévrotique superficiel. 2. Bord inférieur du
muscle
auriculaire antérieur. 3. Nerfs temporaux super
ÈRE LINGUALE. 1. Section de la peau et du peaucier. 2. Section du
muscle
hypoglosse. 3. Nerf hypoglosse. ht. Veine lingu
teur de la main gauche du chirurgien, qui déprime, avec le médius, le
muscle
sterno-mastoïdien. (Voyez, pour le numérotage, la
1. Section de la peau.— 2. Section du peaucier. — 3. Bord interne du
muscle
sterno-mastoïdien.— 4. Bord externe du thyro-hyoï
opération est faite par un simple incision verticale, sans section du
muscle
scalène antérieur, comme dans le procédé de Dupuy
es externe et antérieure, longeant la lèvre externe de la plaie. — 5.
Muscle
scapulo-hyoïdien, déjeté en haut par un petit cro
aisseaux cervicaux transverses, relevés avec le scapulo-hyoïdien.— 7.
Muscle
scalène antérieur, placé en dedans de l'artère. —
es libres. Deux crochets mousses sur la plaie dépriment le bord de ce
muscle
en bas et en dedans. La plaie démontre que, par c
upérieur, rejeté en haut et en dehors. Il est formé par la peau et le
muscle
sterno-mastoïdien, coupé en travers dans son atta
pé en travers dans son attache sterno-claviculaire. 4. Faisceau des
muscles
sterno-hyoïdien et sterno-thyroïdien, recouvrant
r est tournée du côté droit, le cou légèrement fléchi, pour mettre le
muscle
sterno-cléido-mastoïdien dans le relâchement. 1
carte en dehors et déprime le bord interne du sterno-mastoïdien. 3.
Muscles
sterno-hyoïdien et sterno-thyroïdien, également é
ien et sterno-thyroïdien, également écartés en dehors. 4. Les mêmes
muscles
, qui recouvrent, du côté gauche, la trachée et l'
nférieur de la plaie. 1. Section de la peau. 2. Section des trois
muscles
abdominaux. 3. Péritoine, revêtu de son feuille
u fascia superficialis abdominal. 3, 4, 5. Section des trois grands
muscles
abdominaux : 3, le grand oblique; 4, le petit o
arallèles aux libres du deltoïde, a été taillé dans l'épaisseur de ce
muscle
. Ce lambeau (a), relevé vers l'épaule, a mis à dé
ation de la plaie, le bord externe (c) est formé par les attaches des
muscles
de l'éminence hypothénar, et le bord interne (d)
la plaie : (e). Portion de l'extrémité inférieure du péroné. ^ r ).
Muscle
péronier antérieur. (g) . Muscle long fléchisse
ité inférieure du péroné. ^ r ). Muscle péronier antérieur. (g) .
Muscle
long fléchisseur propre du gros orteil. (h) . V
ng extenseur propre. ( o ). Tendon du long fléchisseur propre. ( p ).
Muscle
inter-osseux. ( q ). Premier os cunéiforme. ( r
tibiaux. ( c ). Faisceau postérieur. Il renferme les tendons et les
muscles
fléchisseurs des orteils, péroniers', jambier pos
alement le long péronier latéral (c), puis le court péronier (d). Les
muscles
étant écartés de chaque côté et séparés de la sur
section du fragment supérieur (i). Au fond de la plaie se voient les
muscles
extenseurs (k) et les vaisseaux péroniers non lés
deux traits convergens entre les attaches du tendon d'Achille et des
muscles
sous-plantaires. Un troisième trait perpendiculai
ed. (b) . Tendon du long fléchisseur propre du gros orteil. (c) .
Muscle
adducteur du gros orteil. (d) . Tendon coupé du
mens sca-pulaires existent les débris du ligament postérieur. (g) .
Muscle
poplité dont le tendon fémoral est coupé. (h) .
ire où, la glande mammaire étant enlevée, à l'examen de la plaie, les
muscles
pectoraux et, plus profondément, les côtes, sont
lément la section des côtes en dedans , près de leurs cartilages, les
muscles
intercostaux ayant été préalablement divisés. Pou
pé- rieures du grand dentelé. 11. Tendon coupé du sus-épineux. Ce
muscle
est enlevé avec toute la portion de l'omoplate
de l'attache du trapèze. 3. Section de l'attache du deltoïde. 4.
Muscle
sous-clavier. 5. Section de la clavicule. Tom
a cloison en dedans et en dehors l'apophyse zygomatique. t. Bord du
muscle
temporal. u. Section de l'attache zygomatique d
tache la mâchoire en dessous par sa face interne, en coupant dans les
muscles
peaucier (b, c) et mylo-hyoïdiens (g) ; puis, ava
par un aide (h), ce qui permet de couper impunément les attaches des
muscles
de la langue (i). Le corps de la mâchoire étant i
s , et à gauche les plans de section des ptérygoïdiens (o). Entre ces
muscles
, on a pu lier le tronc de l'artère maxillaire int
n à tous, le tissu cellulaire fibreux. Ainsi, un nerf, une artère, un
muscle
, un os, etc., pour faire partie d'une cicatrice,
i-membraneux. 4. Tendon du droit interne et du demi-tendineux. 5.
Muscle
poplité. Inférieurement (5 ') on voit la conversi
tée. 8. Nerf sciatique poplité interne. 9. Branches nerveuses des
muscles
jumeaux et soléaire. Tous ces vaisseaux, à leur
sorte avec l'art pour rétablir et con-tre-balancer l'antagonisme des
muscles
, lorsqu'une portion du membre, à laquelle s'insér
ssemble à celui d'un moignon naturel. En fait général les tendons des
muscles
tarsiens continuent à rester muscles tarsiens , d
En fait général les tendons des muscles tarsiens continuent à rester
muscles
tarsiens , de manière à continuer ou reprendre, a
alcanéum. C. Astragale. D. Aponévrose d'insertion calcanienne des
muscles
sous-plantaires : court fléchisseur commun, add
, avec des ossifications irrégulières dans les attaches fibreuses des
muscles
. Figures il à 17. EXAMEN MICROSCOPIQUE DES IN
au antérieur destiné à recouvrir la plaie. h, Section des os et des
muscles
de la face postérieure. FIGURE 5. amputation
t représentée, fait incliner le pied pour couper avec le bistouri les
muscles
inter-osseux que leur situation profonde, dans l'
appeler en arrière le lambeau plantaire pour faciliter la section des
muscles
interosseux. d, Main gauche du chirurgien qui t
ain droite occupée à pratiquer avec le bistouri ( f) la section des
muscles
inter-osseux. Figure 2. Surface du moignon de l
représentée terminée; le vaste lambeau dermo-musculaire formé par les
muscles
plantaires internes est montré soulevé entre les
lambeau cutané plus étendu en regard delà masse la plus épaisse, les
muscles
ont été coupés circulairement à deux plans (b et
k. Mains d'un aide qui supportent le moignon et refoulent en bas les
muscles
et le contour de la peau. Extrémité des artères
i. Double incision à angle des chairs sur le fémur, k. Section des
muscles
adducteurs. FIGURE 2. plaie ovalaire de l'opé
e dans la figure précédente. 1. Section de l'extrémité supérieure des
muscles
biceps et demi-tendineux. m, n, o. Fils à ligat
nt l'instrument en haut vers l'articulation, de manière à tailler les
muscles
en un cône creux. Au moment où en est l'opération
de la face externe de l'avant-bras au-dessous de l'articulation. Les
muscles
, coupés un peu longs, revêtent en partie la surfa
ieur par l'incision ovalaire de la peau et la section plus élevée des
muscles
à deux lambeaux, l'un externe antérieur et l'autr
ambeau inférieur de recouvrement, et au-dessus section circulaire des
muscles
à deux plans. Sur cette figure des pinces fermées
rt avec des centres supérieurs cérébraux, en-' voient des nerfs aux
muscles
de l'oeil, de la face, de la langue, etc. situés
tte lésion qui donne lieu à l'hémiplégie. - Au contraire tous les
muscles
innervés par le nerf facial, aussi bien les mus
traire tous les muscles innervés par le nerf facial, aussi bien les
muscles
innervés par le facial supérieur que ceux inner
lion Wallérienne, il s'en suivra une atrophie dégé- nérative des
muscles
paralysés. La lésion concomitante du nerf moteu
es différen- ces sont plus accusées, c'est simplement parce que les
muscles
animés par les nerfs hypoglosse, facial et mote
de la musculature externe de l'oeil par les filets qu'il envoie aux
muscles
droit interne, droit inférieur, petit oblique,
ie de la muscu- lature interne de l'oeil par les filets qui vont au
muscle
ciliaire et au mus- cle constricteur de l'iris.
un, véritable paralysie périphérique avec atrophie dégénérative des
muscles
qu'il innerve. C'est cette modalité d'hé- miplé
un phénomène paraly- tique ni dans le facial supérieur, ni dans les
muscles
animés par le mo- teur oculaire commun, le mote
Paralysie du releveur de la paupière supérieure droite, parésie des
muscles
droit interne, droit supérieur, droit inférieur,
supérieur, droit inférieur, petit oblique, c'est-à-dire de tous les
muscles
de l'oeil droit innervés par les branches extri
ainsi que la paralysie du releveur de la paupière supérieure et des
muscles
ani- més par le moteur commun ; aujourd'hui la
de la paupière a presque complètement disparu, ainsi que celle des
muscles
animés par le moteur commun et pour peu que l'a-
noyaux d'origine des fibres du moteur oculaire commun destinés aux
muscles
extrinsèques, ainsi que les artères pédonculaires
ré- bral (1). Les artères qui se rendent aux noyaux d'origine des
muscles
accommo- dateurs et iriens ont une origine diff
othèse, la disparition des phénomènes paralytiques observés sur les
muscles
animés par le mo- teur oculaire commun. Pour
che réapparaît en même temps que se rétablissent les mouvements des
muscles
animés par le moteur oculaire commun. Or, il
ent plus que peu accusés, l'hémi- plégie légère et la paralysie des
muscles
de l'oeil en voie d'amélioration, tandis que l'
bres, la paraphasie a complètement disparu, et c'est à peine si les
muscles
de l'oeil révèlent à un examen systématique un pe
sont limitées à l'appareil oculaire sous forme de para- lysies des
muscles
ou d'atrophie de la papille. Ces malades doivent
connaissance et tombait en arrière comme fou- droyé. Alors tous les
muscles
étaient pris d'un spasme tonique qui durait 22
sensation de fatigue ou de courbature que l'on expérimente dans les
muscles
soumis à un travail prolongé, et dont la cause
professeur il y a entre l'épilepsie parcellaire, limitée à quelques
muscles
, et le grand mal toute une gamme de cas in- ter
s dont les convulsions étaient d'abord localisées dans un groupe de
muscles
, mais qui se sont en- suite généralisées progre
nt dit, s'il existe pour chaque doigt des tendons correspondant aux
muscles
fléchisseurs et extenseurs. La radiographie n'e
articulaire en imprimant des mouvements aux diverses phalanges, les
muscles
étant dans le relâchement; ces mouvements sont
s, les surfaces articulaires ou les ligaments qui les unissent, les
muscles
sont sensibles. Si cette sensibilité a élé niée,
sous le nom de sens musculaire, et la notion d'une contraction des
muscles
et de la mesure même de celle contraction me para
culations et qui consiste justement à mettre en état de tension les
muscles
moteurs de celles-ci, de sorte que de la notion a
assez notable l'insensibilité absolue des articulations et même des
muscles
qui les mobilisent. Il ne faut pas s'appuyer su
taines parties de l'écorce cérébrale est suivie de la paralysie des
muscles
du côté opposé du corps. Cette « zone motrice »
re proprement dite, uniquement mise en éveil par la contraction des
muscles
, facilement perçue quand on s'oppose auxmou- ve
e comment la destruction de cetle zone n'amène pas de paralysie des
muscles
oculo-moLeurs dont le centre serait plus loin bie
RÉOGNOSTIQUE ET CENTRES D'ASSOCIATION 55 fuges successifs jusqu'aux
muscles
périphériques. Ce sont les centres ner- veux po
de la jambe portante, pendant tout le- cours du pas postérieur. Ce
muscle
devient alors l'agent de propulsion le Fig. 6.
agent du soulèvement du torse, on constate en même temps que les
muscles
pos- térieurs de la cuisse sont contractés. L
aire se déplace et, se produit sur le même membre au mollet dont le
muscle
soulevant le talon sert également d'agent de prop
ui (d'après une phot. inst. de M. Londe). 78 PAUL RICHER que du
muscle
quadriceps, contraction dite balistique, et qui s
au moment de la verticale, alors que la flexion du membre place le
muscle
en état de distension, pour cesser pres- que au
alon touche le sol. Il en résulte que, dans l'intervalle d'un pas, ce
muscle
de la jambe oscillante est tour tour dans un ét
alternative de contraction et de relâchement se produit sur le même
muscle
de la jambe portante ; au début du pas, la cont
ctivité et de repos. Voyons maintenant ce qui se passe dans le même
muscle
lors de la mar- che en flexion. .. -, Pendant
prend contact avec le sol, la jambe en flexion. A ce moment le même
muscle
, au lieu d'être comme précédem- ment dans un ét
lieu de ces alternatives de travail et de repos, nous voyons ici un
muscle
en travail continuel pendant toute la durée du pa
facile de démontrer, ainsi que nous l'avons fait plus haut, que le
muscle
quadriceps travaille plus énergiquement dans la m
remarquer M. le professeur Marey, est beau- coup plus complexe. Un
muscle
en contraction statique ou frénatrice ne produi
rapport avec le degré et la durée delà contraction, C'est le cas du
muscle
quadriceps dans la marche en flexion. Il y a donc
tégrité absolue de tout l'appareil locomoteur, os, articulations et
muscles
, avec accessoirement celle des vaisseaux, artèr
attribuer aux maladies primitives des os, des articulations et des
muscles
. La méthode des empreintes a donné, entre les m
cées très symétriquement presque sur toute la surface du tronc. Les
muscles
des deux jambes sont distinctement atrophiés en c
les des deux jambes sont distinctement atrophiés en comparaison des
muscles
du corps. Le commencement de la maladie est en ra
nes purement trophiques, comme : taches de vitiligo et atrophie des
muscles
des jambes. Les altérations de la sensibilité e
elle égale 30, pour la main droite, 120. L'électro-excitabilité des
muscles
et des nerfs, du côté gauche est aussi diminuée
Le réflexe du gosier est conservé. L'excitabilité des nerfs et des
muscles
au courant faradique est sensiblement diminuée du
). Le ventre est gros, le torse est rond, les reliefs des os et des
muscles
s'accusent à peine; un soupçon de pénis et deux
rges, son bassin étroit, les saillies os- seuses bien marquées; ses
muscles
, sans être forts, sont bien « écrits », débarra
ocomoteur caractérisée par la formation de masses osseuses dans les
muscles
, les aponévroses, les ligaments, les os et abouti
ographie exacte, c'est Bulhak, dans sa thèse sur l'ossification des
muscles
et du tissu teudineux (1860). Il concerne le no
ation des cas, le groupement de ceux dans lesquels l'altération des
muscles
joue un rôle prépondérant ». Un peu plus tard (
atisme et dont les membres avaient perdu tout mouvement, trouva les
muscles
secs et comme tendineux, ayant dans di- vers en
ns di- vers endroits des concrétions osseuses ; quelques-uns de ces
muscles
n'étaient pas dans leur situation naturelle (Li
11). Lobstein ajoute : « Je connais deux exemples dans lesquels les
muscles
étaient devenus si denses qu'ils paraissaient .
normes masses osseuses dans les membranes aponévrotiques, entre les
muscles
du dos, s'élevant en haut jusqu'à l'occiput, s'
que principalement au tissu conjonctif que celui-ci appartienne aux
muscles
ou à d'autres systèmes, peu importe. Le premi
ssu intermusculaire constitue le commencement des troubles dans les
muscles
; l'infiltration débute par la partie charnue e
arnue et envahit bientôt l'appareil tendineux qui l'accompagne ; le
muscle
s'épaissit ainsi, augmente de volume, et ses diff
it-il, fait voir que la peau et le tissu cellulaire sont normaux.Le
muscle
est très tuméfié,proéminent sous forme de tumeur,
ration qui est surtout marquée dans le voisinage des vaisseaux. Les
muscles
sont repoussés les uns contre les au- tres, leu
voit çà et là quelques faisceaux restés intacts ; d'autres fois le
muscle
est atteint dans toute son épaisseur. Lexer'a p
uivant que le néoplasme a envahi une partie plus ou moins grande du
muscle
. Les fibres musculaires qui subsistent se montren
coupe dans la zone de transition, entre la tumeur et le segment du
muscle
resté sain, montre la continuation de la première
sible de dire si le tissu néoplasique, ayant débuté d'abord dans le
muscle
, est allé se joindre à l'os secondairement' ou
à l'os secondairement' ou si, parti de l'os, il a envahi ensuite le
muscle
. DE LA MYOSITE OSSIFIANTE PROGRESSIVE 123 For
il apparaître. Celui-ci ne débute jamais par toutes les parties du
muscle
il la fois, il commence par le centre de la par
à une action irritative directe, se propageant de la tumeur sur les
muscles
et les vaisseaux, et enfin à l'impotence fonc-
itée, en dedans du paquet vasculo-nerveux et ne correspondant aucun
muscle
. Il est probable que cette volumineuse masse os
nte progressive atteint tout l'appareil locomoteur, c'est dans les -
muscles
qu'elle exerce ses plus grands ravages, c'est là
elle est discrète. Toutefois l'ossification respecte constamment les
muscles
delà vie végétative, l'ensemble des muscles lis
especte constamment les muscles delà vie végétative, l'ensemble des
muscles
lisses. Il est probable qu'elle peut atteindre
ème à fibres striées ; cependant les sphincters, le diaphragme, les
muscles
internes de l'oreille, les muscles du larynx, l
s sphincters, le diaphragme, les muscles internes de l'oreille, les
muscles
du larynx, les releveurs de l'anus et les muscles
de l'oreille, les muscles du larynx, les releveurs de l'anus et les
muscles
de l'appareil génital, le coeur, les muscles de
veurs de l'anus et les muscles de l'appareil génital, le coeur, les
muscles
de la langue n'ont pas encore été notés parmi l
oeur, les muscles de la langue n'ont pas encore été notés parmi les
muscles
malades ; cette anomalie reste inexpliquée. Les m
s parmi les muscles malades ; cette anomalie reste inexpliquée. Les
muscles
peauciers de la face, le pharynx ont été rareme
touchés. Dans un cas de Bockaï (Stonham) il y a eu ossification des
muscles
oculaires. Le processus ossifiant des muscles e
a eu ossification des muscles oculaires. Le processus ossifiant des
muscles
envahis s'est-il avancé jusqu'au voi- sinage im
u niveau d'une insertion musculaire et si elle s'étend loin dans le
muscle
, il est difficile de faire la part de l'exostos
enseurs du carpe, Munchmeyer-Mays). Si deux os sont réu- nis par un
muscle
ossifié, il est impossible d'affirmer si deux exo
st impossible d'affirmer si deux exostoses se' sont réunies dans un
muscle
, ou si un muscle ossifié a réuni deux os (os- s
ffirmer si deux exostoses se' sont réunies dans un muscle, ou si un
muscle
ossifié a réuni deux os (os- sification du pect
ent plus obtuses, plus indistinctes ; parce que souvent plu- sieurs
muscles
voisins, plusieurs régions voisines sont envahies
houtée, correspondant à peu près quant à sa forme et à son siège au
muscle
atteint. Celui-ci montre que toute vie n'est pa
générescence simple constitue la terminaison du processus. Certains
muscles
ont même le pri- vilège de ne subir que la dégé
les phénomènes aigus ont été peu étendus et de courte durée que le
muscle
récupère toutes ses fonctions, que la resti- tu
ment douloureuse et de là s'irradient des douleurs violentes. Les
muscles
épargnés par l'ossification, eux-mêmes, sont fibr
à une irritation mécanique. Le courant faradique indique l'état du
muscle
; en. effet la contraction 132 A. WEIL ET J. NIS
A. WEIL ET J. NISSIM musculaire est d'autant moins énergique que le
muscle
se trouve à une période plus avancée du process
à une période plus avancée du processus ossifiant. Normale dans les
muscles
sains, faible dans les muscles en partie attein
rocessus ossifiant. Normale dans les muscles sains, faible dans les
muscles
en partie atteints, la contraction faradique es
les en partie atteints, la contraction faradique est nulle dans les
muscles
fibreux ou envahis par de vastes ossifications.
herchons à nous rendre compte du siège de la tumeur relativement au
muscle
, nous trouvons que souvent tout le muscle est t
la tumeur relativement au muscle, nous trouvons que souvent tout le
muscle
est transformé en tissu osseux ou fibreux; d'au
ement celle de la nuque, se mon- tre la première atteinte. Avec les
muscles
de la nuque, l'ossification gagne régulièrement
sification gagne régulièrement le ligament cervical postérieur. Les
muscles
longs du dos forment une masse osseuse unique.
uscles longs du dos forment une masse osseuse unique. Plus tard les
muscles
de l'épaule, le deltoïde, les grand et petit ro
ule, le deltoïde, les grand et petit ronds, le grand pectoral et le
muscle
grand dorsal se prennent à leur tour, il en rés
celle de la colonne vertébrale. Plus tard, arrive l'atteinte des
muscles
du bras et de l'avant-bras con- duisant le plus
s d'autres cas l'affec- tion continue ses ravages, elle attaque les
muscles
du bassin, principale- ment ceux de la région f
muscles du bassin, principale- ment ceux de la région fessière, les
muscles
antérieurs et postérieurs de la cuisse, les mus
n fessière, les muscles antérieurs et postérieurs de la cuisse, les
muscles
de la jambe, surtout les postérieurs, et ankylose
eurs, et ankylose les hanches et les genoux; elle détruit ainsi les
muscles
par étapes successives et en dernier lieu, ordi
e grosse saillie grâce à l'ossification du ligament cervical et des
muscles
postérieurs et latéraux du cou ; le dos, par l'
ications sont survenues à 12 ans. Relativement à Ja fréquence des
muscles
atteints, faisons remarquer que ceux du dos et
roits antérieurs, les obliques et les transverses de l'abdomen, les
muscles
oculaires ; enfin il en est qui le plus souvent s
générescence fibreuse comme le sterno-cleïda-mastoïdien. Lorsque ce
muscle
offre des ossifications, celles-ci forment souven
ifications, celles-ci forment souvent des noyaux séparés donnant au
muscle
un aspect moniliforme. Certains muscles possède
noyaux séparés donnant au muscle un aspect moniliforme. Certains
muscles
possèdent presque une absolue immunité, il en est
t presque une absolue immunité, il en est ainsi des sphincters, des
muscles
de la mimique, du diaphragme, du DE LA MYOSITE
iaphragme, du DE LA MYOSITE OSSIFIANTE PROGRESSIVE 135 coeur, des
muscles
épicrâniens, des peauciers du cou (une seule fois
ce fibreuse, sous forme de tractus), du rele- veur de l'anus et des
muscles
génitaux, des muscles du larynx. De ce fait Mun
e de tractus), du rele- veur de l'anus et des muscles génitaux, des
muscles
du larynx. De ce fait Munchmeyer croit pouvoir
loi,qu'il ne peut du reste pas expliquer, loi d'après laquelle les
muscles
dont les deux extrémités ne s'insèrent pas sur
a décrit l'ossification du triangulaire du menton, Bokaï celle des
muscles
extrinsèques de l'oeil. Munchmeyer croyait égalem
uscles extrinsèques de l'oeil. Munchmeyer croyait également que les
muscles
de l'abdomen étaient exempts d'ossification, mais
du est enveloppé d'une couche graisseuse qui masque les reliefs des
muscles
et des os. Un torse rond, un gros ventre qui proé
n état de contracture spasmodique, quelque- fois avec secousses des
muscles
de la face du côté opposé, avec anesthésie ou d
ie de la langue du côté de l'hémiplégie et une parésie analogue des
muscles
des lèvres et des muscles de la face et aussi d
l'hémiplégie et une parésie analogue des muscles des lèvres et des
muscles
de la face et aussi des masséters (1). On peut
ie, 1889, p. 2 18). Note sur l'exploration des mouvements de quelques
muscles
de la face (ibid., 1890, p. 619). Noie sur l'ex
admis aussi des restric- tions relativement à la généralisation aux
muscles
de la face. Plusieurs auteurs pensent que la pa
céré- brales. Non seulement on a mis en doute la participation des
muscles
animés par le trijumeau, participation que l'on
t facile ; mais la parais sie de l'orbiculaire des paupières et des
muscles
frontaux s'atténue souvent rapidement an point
Soc. de biol., 1891, p. 619. Note sur la dynamoméli'ie comparée des
muscles
fléchisseurs des doigts et des élé- valeurs de
, mais la paralysie est incomplète et z moins marquée que celle des
muscles
innervés parle facial inférieur. Au début de l'
u- jours le trajet des fibres musculaires, et marquent la place des
muscles
malades), l'ossification du grand dorsal transf
exister un torticolis avec déviation du men- ton du côté opposé au
muscle
atteint. Fréquemment une des épaules est plus h
les est plus haute que l'autre par suite de l'ossification d'un des
muscles
qui élèvent l'omoplate, le trapèze ou l'an- gul
vers le tronc et fixés dans cette position par l'ossifica- tion des
muscles
qui, partis du tronc, viennent s'insérer sur l'hu
ure et externe ; toutefois llays et Lexer les ont trouvées dans les
muscles
anconé et deuxiè- me radial; Munchmeyer, dans l
premiers cas (Copping, Brensohn) l'ossification indépendamment des
muscles
, a suivi des tractus fibreux irrégulters, dans
e certaine symétrie, le processus ossifiant a uniquement envahi les
muscles
. L'articulation co.ro-fémol'ltllJ est immobilis
légère flexipn par l'ossification du tenseur du fascia lata, d'un des
muscles
postérieurs ou de la région interne de la cuiss
à gauche. Aux pieds, Munchmeyer signale l'ossification de tous les
muscles
inter- osseux dorsaux à droite, indépendamment
gle générale, ces différentes déformations sont déterminées par les
muscles
envahis les premiers. Au bras, lorsque les masses
mations de la colonne vertébrale. Lorsque la myosite s'attaque à un
muscle
, le tissu interstitiel de ce der- nier s'infilt
ui subissant la rétraction inodulaire fixe les articulations que le
muscle
est destiné à mouvoir ; l'ossification gagne- t
ertébrate, c'est la tendance involontaire du su- jet il relâcher le
muscle
malade, à s'incliner du côté douloureux. C'est là
de l'urine, t en tenant compte de la différence nutritive entre les
muscles
, qui ont une nutrition très active, et le tissu
tres centres trophiques; la multiplicité des systèmes atteints, os,
muscles
aponévroses, tissu conjonctif et cela toujours
hyperplasie conjonctive, et la formation de masses osseuses au seii
muscles
, ne retentissent pas sur les terminaisons et les
affection de nature inflammatoire. Les soubresauts fibrillaires des
muscles
, une agitation particulière qu'on observe dans le
a clinique, admit qu'il s'agissait d'une inflammation chronique des
muscles
avec participation du tissu conjonctif inter et
c participation secondaire du tissu conjonctif intermusculaire. Les
muscles
disparaissant par atrophie dégéné- rative et se
le long des apo- névroses et des tendons; ils arriveraient dans les
muscles
, peut-être par \ oie lymphatique. Ces germes pé
ragme ; mais elle y conduit parfois par une complication grave. Les
muscles
du voile du palais et du pharynx une fois attei
ésence de masses osseuses multiples sur tout l'appareil locomoteur,
muscles
, os et aponévroses ; le siège de prédilection d
, mais où l'on reconnaît cependant souvent la direction de quelques
muscles
; l'ossification des tendons qui contribuent à f
ttement accusé, où les localisations sont plus multiples : dans les
muscles
, les apo- névroses et sur les os, et où la repr
ions conservent cependant leur modèle habituel ; la consistance des
muscles
est dure, parfois ligneuse, elle n'est jamais os-
n'est jamais os- seuse. Dans la myosite ossifiante au contraire les
muscles
sont atrophiés, cà et là on constate des masses
ement laissant à leur suite la raideur de la nuque et la saillie du
muscle
grand dorsal droit ossifié tel qu'on le constat
te en. 1887; la partie moyenne du tho- rax, à gauche, au niveau des
muscles
grand, dorsal, petit et grand ronds, en 1888; e
Pour prendre des liquides, il se sert d'un long tube eu verre. Les
muscles
orbiculai- res des lèvres étant restés indemnes
indemnes, la succion lui est très facile. Du reste tous les petits
muscles
de la face ont été respectés : la mimique est exp
cles de la face ont été respectés : la mimique est expressive ; les
muscles
qui meuvent le globe oculaire sont indemnes et il
ont indemnes et il peut porter la pupille dans tous les sens. Les
muscles
sterno-mastoïdieus durs, rigides, dépourvus d'oss
o-claviculaires et chondro-sternales supérieures sont mobiles ; les
muscles
intercostaux inférieurs sont durs, résistants et
, à fleur de peau. (Fig.1.) Elle se continue en haut avec celle des
muscles
ronds et grand dorsal, tous les trois confondus
e sa face dorsale, un peu au-dessous et en dehors de au niveau du
muscle
anconé, musclé dépendant lui-même au point de v
des mus- cles par les travées néoplasiques. Le bord supérieur des
muscles
grands dorsaux ossifiés fait une saillie consi-
dérable qui se continue avec l'angle inférieur de l'omoplate et les
muscles
ronds transformés. Pour être plus précis, dison
en dehors de l'angle de l'omoplate, et qu'à gauche au contraire le
muscle
ossifié recouvre cet angle. ' Au-dessus se vo
° vertèbres cervicales où ils existent, mais sont très limités. Les
muscles
sus et sous-épineux sont atrophiés, et les foss
ical ; ces travées osseuses semblent indiquer la transformation des
muscles
angu- laires de l'omoplate. Plus bas, au nive
libre. L'ankylose du genou a eu pour effet une atrophie marquée des
muscles
de Fig. 2. - Radiographie du genou gauche; elle
itable orteil supplémentaire. Là où les mouvements sont libres, les
muscles
sont assez développés ; ils offrent une diminut
pos le malade présente une certaine dyspnée. Il fait intervenir les
muscles
de la ceinture omo-claviculaire et soulève la p
l, les fibres saines sont en plus grand nombre. Des fragments des
muscles
biceps crural et jambier antérieur, nous ont paru
ifficulté à les relever. Il n'y avait aucune trace de paralysie des
muscles
de l'oeil. Les pupilles réagissaient bien aux i
ôté opposé, sont pâles, en particulier le quadriceps fémoral et les
muscles
du mollet. Les nerfs, en particulier les gros t
, à gauche. · Examen iiistologique. Il a porté sur les nerfs, les
muscles
, la moelle, le cerveau. Des dissociations sont
araison avec les coupes prove- nant des nerfs du côté gauche. Les
muscles
montrent en général, mais d'une façon inégale, un
é l'histoire précédemment. Klippel constata, en ce qui concerne les
muscles
, une diminution de nombre plutôt que de volume,
ntres spinaux au niveau du foyer d'origine des nerfs se rendant aux
muscles
frappés d'atrophie. C'est un cas particulier de
ulation du poignet droit; celle-ci s'étendit, peu à peu, à tous les
muscles
de l'avant-bras jusqu'au coude et les transforma
e. Fixation de l'omoplate aux côtes par des ossifications. Tous les
muscles
s'insé- rant à l'omoplate (le trapèze, le rhomb
eloppées dans différents endroits. Ossifications nouvelles dans les
muscles
qui entourent le grand trochanter particulièremen
torales contenant 150 à 180 gr. de pus. Les parties tendineuses des
muscles
n'étaient pas affectées. Les mus- cles du dos é
nts sous la peau. Ankylose des articulations scapulo-humérales. Les
muscles
pectoraux sont tendus, saillants et ossifiés da
. Le tube digestif offre les traces d'une entérite chronique. Les
muscles
que l'on avait cru ossifiés pendant la vie, le so
assez bien des côtes en sens inverse des côtes naturelles. 9° Les
muscles
des gouttières vertébrales dans presque toute leu
masse osseuse qui s'unit au précédent et qu'où ne sait pas il quel
muscle
rapporter. 17o La portion inférieure et interne
bord une couche dense, puis pénètre avec une grande facilité. Aucun
muscle
n'est entièrement ossifié; tous conservent encore
lleurs. Oiis. VIII. - Hawkins, Un cas de formation osseuse dans les
muscles
, London med. gaz., 1844, p. 274. G. Braun, 22
l, longue de 10 à 12 centimètres, très dure, et comprenant tous les
muscles
s'insérant à l'occiput à côté du trapèze, épaisse
par suite de la raideur de la colonne lombaire et de la dureté des
muscles
de la nuque; il ne peut pas remuer les épaules,
ourquoi l'ossification se produit- elle dans le tissu conjonctif du
muscle
, je ne saurais le dire. DE LA MYOSITE OSSIFIANT
l. III, 1846, p. 993-993. Squelette d'une jeune femme dont quelques
muscles
sont ossifiés. Sternum voûté en avant. Union de
à deux pouces de la colonne. Nombreuses plaques osseuses dans les
muscles
, particulièrement dans les pectoraux, grands do
rhomboïde; elles vont vers la base de l'omoplate gauche et dans le
muscle
sous-épineux. A droite de la colonne se trouve
té inférieure du sterno-mastoïdien gauche est ossifiée; le reste du
muscle
est pâle, atrophié. Des bandes et des plaques o
le, atrophié. Des bandes et des plaques osseuses se voient dans les
muscles
abaisseurs de la mâchoire inférieure. Un frag
he ; l'une d'elles, partie du condyle interne, se prolonge dans les
muscles
rond pronateur et fléchisseurs de l'avant-bras
s, il 3 pouces de son extrémité inférieure, et se prolongé dans les
muscles
triceps et les deux ra- diaux. Rien dans les
tis dans ce trajet et une pla- que longue, irrégulière, derrière le
muscle
. Les muscles de l'avant bras ne semblent pas af
ajet et une pla- que longue, irrégulière, derrière le muscle. Les
muscles
de l'avant bras ne semblent pas affectés. Du cô
mblent pas affectés. Du côté gauche même état qu'à droite, sauf les
muscles
de l'avant-bras qui commencent à devenir plus o
et se dirigeant en haut vers l'épine de l'omoplate. Tout le bord du
muscle
, jusqu'à son insertion à l'épine est dur et off
allant jusqu'à l'omoplate. Elles représentent l'ossifi- cation des
muscles
grands dorsaux, trapèzes, rhomboïdes, et celle de
eur des tra- pèzes. Tuméfaction ganglionnaire dans le voisinage des
muscles
ossifiés. Exsudat dans les plèvres, oedème pulm
moplate semble 288 A. WEILL ET J. NISSIM s'être confondu avec les
muscles
, qui, après avoir transformé la paroi posté- ri
E LA MYOSITE OSSIFIANTE PROGRESSIVE 289 Pas d'ossification dans les
muscles
masticateurs, cette absence de mouve- ments doi
oviennent, sans doute, de l'épaississement du tissu interstitiel du
muscle
peaucier du cou. Thorax rétréci. Base du thorax
côtes au bassin est amoindri. La respiration se fait 'à l'aide des
muscles
auxiliaires. Le thorax est attiré en haut à cha
pêché dans ses mouvements par la réunion osseuse des côtes avec les
muscles
de la poitrine. Un peu d'emphysème qui se traduit
e. Noyau ossifié dans le deltoïde gauche, La plus grande partie des
muscles
du dos : grands dorsaux, grands et petits ronds,
mine en quelques endroits la contraction de quelques fibres dans les
muscles
atteints. La teinture d'iode détermina la dispa
s la par- tie inférieure du biceps brachial, mais la consistance du
muscle
resta fibreuse. Le courant induit,a ce niveau,
us-claviculaire on sent un tissu dur et résistant, à l'exception du
muscle
homo-hyoïdien dont les contrac- tions persisten
objectif et subjectif de la jambe droite. Ossification de tous les
muscles
interosseux dor- saux du pied. Le 14 mai, scarl
embraneux. 16 juillet. L'infiltration diminue, la fièvre cesse, les
muscles
de la cuisse deviennent pâteux, la tumeur du va
empêchée (est-ce par oedème ou par inflammation de la gorge et des
muscles
du palais ? ), plus tard la dysphagie était tel
e la peau du dos en plusieurs endroits. Atrophie considérable des
muscles
antérieurs du cou. Dégénérescence fibreuse de l
sseux va du rebord costal gauche à l'iliaque gauche. Atro- phie des
muscles
grand dentelé et grand dorsal. Les cavités pleu
jamais donné des signes de virilité. La peau adhère intimement aux
muscles
ossifiés. Etat général bon dans le cours de la
e bassin étaient encore indemnes; extension des ossifica- tions aux
muscles
des avant-bras, surtout sur le biceps, et difficu
arition d'ossifications successivement au ligament de la nuque, aux
muscles
droits de la nuque et fixation du menton au stern
ation d'un gonflement sur le grand trochanter, il gagna bientôt les
muscles
qui l'entourent et fixa l'extrémité inférieure.
a l'extrémité inférieure. Dans l'intervalle d'un an, atteinte des
muscles
de la tête. Les masséters fu- rent pris d'abord
'à l'immobilisation complète. Il y a quelques semaines atteinte des
muscles
de la cuisse qui partent du bassin ; il s'y est
SSIFIANTE PROGRESSIVE 295 Torticolis droit et un peu antérieur. Les
muscles
frontaux, de la mimique, les oculaires sont lih
érieure est un peu plus en avant que l'inférieure. Ossification des
muscles
du cou et de la nuque, surtout du côté droit. O
-mastoïdiens traversés par des noyaux osseux. Il en est de même des
muscles
qui s'insèrent au menton, à l'os hyoïde, au lar
andelettes et d'épines qui correspondent en partie aux origines des
muscles
, en partie au tissu cellulaire lui-même. Ossifica
ite est rentrée, la gauche très saillante. Ossification de tous les
muscles
qui vont au fémur gauche ; l'ossifica- tion des
de tous les muscles qui vont au fémur gauche ; l'ossifica- tion des
muscles
droit antérieur et biceps ne dépasse pas la moiti
é- braux. Les fascia sont en général durs et épaissis. Atrophie des
muscles
très prononcée, quelques-uns sont fibreux, d'au
les-ci tantôt sont t réunies aux os, tantôt elles restent libres.
Muscles
de la mimique normaux, masséters fibreux, noyaux
e moyenne de la moitié droite du maxillaire inférieur. Atrophie des
muscles
antéro-latéraux droits du cou. Sterno-mastoïdie
escence fibreuse moindre du sterno-mastoïdien gauche ; le reste des
muscles
est dans le même état. Ecchymoses nombreuses
E LA MYOSITE OSSIFIANTE PROGRESSIVE 297 .. Masses osseuses dans les
muscles
postérieurs du cou. La portion du trapèze qui r
siège une grosse masse osseuse qui se met en rapport avec plusieurs
muscles
et plusieurs ossifications. De la partie la plu
ns. De la partie la plus épaisse qui siège sur le bord inférieur du
muscle
, partent des expansions osseuses ; l'une d'elle
ec la masse os- seuse du trapèze. Grand dorsal très atrophié. Les
muscles
profonds du dos passent à droite sous les bande
e épaisse traversée par des noyaux osseux. Ossification complète du
muscle
crural. Atrophie de la musculature de la jambe;
lant de la moitié anté- rieure de la crête iliaque à mi-cuisse. Les
muscles
qui entrent dans le domaine de la tumeur sont l
iceps; le tendon contient également un noyau osseux. Atrophie des
muscles
de la jambe ; sur l'extrémité supérieure de la di
douleurs à la nuque, à droite,et à l'épaule droite. Plus tard, les
muscles
trapèzes, le sus-épineux et le petit rond furent
bras presque appuyés contre le tronc, les avant-bras normaux ; les
muscles
de la tête, du cou, du thorax, les muscles fess
avant-bras normaux ; les muscles de la tête, du cou, du thorax, les
muscles
fessiers sont durs et raides ; ceux de la cuiss
s et raides ; ceux de la cuisse sont en grande partie ossifiés. Les
muscles
de la cuisse droite, des jambes et des avant-bras
Les muscles de la cuisse droite, des jambes et des avant-bras, les
muscles
de la paroi abdominale sont intacts. A 4 ans.
rtie ossifiés : la bouche s'ou- vre de 3 centimètres seulement. Les
muscles
de la nuque et latéraux du cou, particulièremen
e tour du corps. Sur le dos 5 à 6 exostoses grosses comme des noix.
Muscles
lombaires durs des deux côtés. Dans la musculat
serrés con- tre le tronc. Avant-bras normaux. Dureté et raideur des
muscles
de la cuisse gauche et de la région ischiatique
r des muscles de la cuisse gauche et de la région ischiatique ; les
muscles
ischiatiques, de la cuisse et de la jambe droit
restent attachées au thorax; on y voit des noyaux osseux dans leurs
muscles
. Pas de changement dans la cuisse gauche qui rest
avant; stel'l1o-c\l\ido-masLoïdiens saillants et tendus. Les autres
muscles
du cou sont également exempts d'ossification. Sur
très peu marqués. Les masséters se contrac- tent. Pas de dysphagie.
Muscles
de la mimique normaux. Membre inférieur gauche
ffuse, de consistance assez considérable, s'est développée dans les
muscles
adducteurs de la jambe droite, près de leur ins
305 gonflement, il s'est développé une raideur et une impotence des
muscles
de l'épaule et du bras ; depuis, l'articulation
in- \ Ilammaroire. Un an après, formation d'une induration dans les
muscles
du cou ; elle fixa la tête vers la gauche. Vers
t abolie. Epaississement de l'os frontal au niveau d'une cicatrice.
Muscles
de la mimique et masséter droit normaux. Dans le
gauche attenante aux côtes ; tout près d'elle , dans l'épaisseur du
muscle
grand dorsal, se voit une arcade osseuse indépe
absence du fléchisseur profond ( ? ). Dégénéres- cence fibreuse des
muscles
profonds droits du cou. Une tubérosité osseuse re
inférieur de l'omoplate sur une lame correspondant à l'é- tendue du
muscle
grand dorsal ; cette lame se recourbe sur le bras
ermine en bas, tout près de l'os iliaque, en un appendice bifurqué.
Muscles
de la région lom- baire, muscles fessiers et ab
iliaque, en un appendice bifurqué. Muscles de la région lom- baire,
muscles
fessiers et abdominaux intacts. Sur le prolongeme
t 306 A. WEILL ET a. NISSIM une bandelette osseuse large dans le
muscle
tenseur du fascia lata ; au bord interne du mus
se large dans le muscle tenseur du fascia lata ; au bord interne du
muscle
couturier une plus petite. Rotation et abduction
n de la hanche est manifestement entravée par une arcade osseuse du
muscle
couturier venaut se terminer par une pointe arr
ments de la tète, l'extension et la rotation sont très limités. Les
muscles
de la mimique et l'articulation des maxillaires s
. Le tenseur du fascia lata droit est plus raide que le gauche. Les
muscles
de la région externe et postérieure de la cuisse
éprouvé de douleurs. Diminution de l'excitation faradique dans les
muscles
atrophiés, fibreux ou ossifiés. Réaction normal
ns les muscles atrophiés, fibreux ou ossifiés. Réaction normale des
muscles
des membres supérieurs et inférieurs avec de lé
courant donne des contractions énergiques sur le nerf cubital; les
muscles
trapèzes et les cléido-mastoïdiens ne dounent r
erno-mastoïdien gauche et du trapèze semble diminuée ; à droite les
muscles
réagissent mieux à l'excitation directe. Le del
entelés, les grands pectoraux à l'excitation faradique directe. Les
muscles
accessibles du dos, rhomboï- des et grand dorsa
s petite contraction faradique. Le sacro- lombaire réagit bien. Les
muscles
de la région interne et postérieure de la uisse
1874, des ossifications se sont montrées à la partie inférieure des
muscles
sterno-mastoïdiens, dans les rhom- boïdes ; en
scles sterno-mastoïdiens, dans les rhom- boïdes ; en 1875, dans les
muscles
de l'épaule, et, particulièrement, dans les mus
1875, dans les muscles de l'épaule, et, particulièrement, dans les
muscles
sous-épineux. Fracture de l'avant-bras droit en
partie inférieure, apparu- rent des tubercules osseux dans tous les
muscles
de la poitrine, aux dentelés, aux trapèzes, aux
ns tous les muscles de la poitrine, aux dentelés, aux trapèzes, aux
muscles
extenseurs larges du dos en général, aux deltoïde
, aux sus-épineux ; en 1882, dans les masséters ; en 1883, dans les
muscles
de la cuisse. Les noyaux osseux sont ronds, c
illimètres, large de 7 centimètres. L'ossifica- tion débute dans le
muscle
par une tuméfaction pâteuse dans les tissus mous
n est un peu sensible et laisse après elle un noyau osseux dans les
muscles
. Ainsi, dans l'ossification des masséters, il s
ylose des épaules, Mouvements de l'avant-bras limités. Atrophie des
muscles
char- gés de noyaux osseux. A peine peut-on déc
r mouvement fébrile, d'une tuméfaction correspondant à la région du
muscle
trapèze et aux muscles sous-jacents ; elle gagn
d'une tuméfaction correspondant à la région du muscle trapèze et aux
muscles
sous-jacents ; elle gagna en surface, puis dimi
sse gauche est gênée sans que l'on puisse sentir une induration des
muscles
accessibles, seul, le tenseur du fascia lata est
r, 36 kilogr., très pâle. Tète fixée à droite, en bas et en dehors.
Muscles
de la mimique nor- maux. Pupilles inégales, la
s sterno-mastoïdiens font une saillie comme une corde fibreuse. Les
muscles
profonds du cou et de la région hyoïdienne sont d
oraco-brachial, brachial antérieur, triceps et les inser- tions des
muscles
grands dorsaux, grands ronds et grands pectoraux.
e. Mouvements de la main gauche plus limités que ceux de la droite.
Muscles
des mains et mouvements des doigts normaux. Lam
liaque pectine, adducteurs ; bandelettes osseuses, mobiles avec les
muscles
, dans la moitié inférieure du biceps, semi-tendin
appartenant au droit antérieur de la cuisse, s'élève au-dessus des
muscles
de la cuisse. Longueur du membre inférieur gauc
trac- tion dans toutes les parties musculaires, aussi bien dans les
muscles
respectés que dans les portions des muscles non
es, aussi bien dans les muscles respectés que dans les portions des
muscles
non ossifiées complètement, ce que l'on cons- t
t un peu vers la droite. Contracture des sterno- mastoïdiens et des
muscles
de la nuque adroite. Aboli- tion presque complè
er le malade comme une planche. Le front est proéminent à droite.
Muscles
de la mimique normaux. Mouve- ments des lèvres,
ôtes et de l'hu- mérus. Des lames osseuses suivent le trajet de ces
muscles
. Le bord inférieur des pectoraux est ossifié ju
, dans sa partie supérieure, une pointe osseuse qui se perd dans le
muscle
. Masse osseuse sur l'articulation du coude qui
e exos- tose de 2 centimètres sur 1 in de hauteur. Ossification des
muscles
qui par- tent de l'épitrochlée droite se termin
e arrive à 2 centimètres ; la diduction est réduite au minimum. Les
muscles
masticateurs étant normaux, on doit rapporter ces
en partie à l'ankylose des articulations temporo-maxillaires. Les
muscles
sterno-mastoïdiens sont comme des cordes tendues
splénius et du grand com- plexus en cordes fibreuses. Atrophie du
muscle
grand pectoral droit. A droite de la papille ( ?
e- ment en cypho-scoliose. Les omoplates sont fixées ; atrophie des
muscles
sus et sous-épineux. Sacrum et coccyx munis de
e des petits pois ; plusieurs saillies comme des noisettes dans les
muscles
sacro-lombaires. Le bras droit est fléchi à ang
le obtus. Mouvements de la main et des doigts normaux. Atrophie des
muscles
du bras et de la main.Dans le brachial antérieu
e sur 3 centimètres de base,à l'union des tiers supérieur et moyen.
Muscles
plantaires droits gonflés, douloureux et tendus
les mobiles. Sensibilité normale ; contractilité faradique dans les
muscles
les moins atteints (face, abdomen, jambes), exi
mbes), existe même avec un courant faible; elle est abolie dans les
muscles
ossifiés et dégénérés. T = 37° ; pouls = 90,.no
elle jusqu'à l'insertion du deltoïde. Une lame osseuse recouvre les
muscles
élévateurs de la colonne vertébrale, de chaque cô
eur, il relève autant que possible ses paupières en contractant ses
muscles
frontaux. Pour la vision latérale étendue, le cor
, que cette apparence est due, en grande partie, aux mouvements des
muscles
ins- pirateurs accessoires. La mensuration de l
ticularités diverses consistant surtout en l'atrophie de différents
muscles
. ' Il y a un léger' degré d'aplatissement des m
différents muscles. ' Il y a un léger' degré d'aplatissement des
muscles
de la face, et une très légère asymétrie du vis
iens sont réduits au chef sternal, lui- même diminué de volume ; le
muscle
du côté droit est plus petit que celui du côté
e muscle du côté droit est plus petit que celui du côté gauche. Ces
muscles
se tendent comme des ficelles lorsque le malade
l'atrophie de sa partie moyenne est complète; il ne reste de chaque
muscle
que deux faisceaux : l'un costal supérieur et c
côté droit est plus considérable que celle du borùVcorrespondaut du
muscle
de l'autre côté. Le rhomboïde est atrophié, de
roi en est très tendue. Il y a comme une contracture permanente des
muscles
de la paroi. La masse sacro-lombaire est diminu
d'imprimer quelque mouvement à sa tête, ou si Duf... fait agir ses
muscles
du cou, il se produit une douleur, toujours la mê
ie musculaire. Chez notre malade, l'atrophie musculaire de quelques
muscles
est bien évidente. La diminution de volume du d
idente. La diminution de volume du deltoïde et du biceps droit, des
muscles
de la cuisse et du mollet gauche, semblent bien e
de compres- sion radiculaire. , PATHOGÉNIE DE la contracture DES
MUSCLES
DE la paroi abdominale. A côté de l'atrophie mu
u ventre au-dessous de l'ombilic et l'état permanent de tension des
muscles
de la paroi en cette région. Cette contracture es
assage. Il nous semble que des exercices quotidiens portant sur les
muscles
et les articulations encore mobiles, au besoin
r quelque espoir. Après deux mois de massage et d'électrisation des
muscles
dorsaux et lombaires, le malade de Béer avait r
voir des dimensions plus grandes que l'iris gauche. La motilité des
muscles
de la face ainsi que la sensibilité sont normales
evelu pigmenté de couleur café au lait clair. Examen électrique des
muscles
de la face, pratiqué par M. le Dr Debédat : à g
es boivent par aspiration (Sabrazès et Cabannes). La motilité des
muscles
faciaux est toutefois le plus souvent intacte (
on note une hypertrophie des veines, des lymphatiques, parfois des
muscles
et des os, plus rarement des nerfs, et cela à u
la commissure la- biale gauche qui est toutefois plus humide. Les
muscles
de la mimique, nécessairement gênés par l'épaissi
rête iliaque. Godlée a assisté aune attaque de l'affection dans les
muscles
rhomboïdes des deux côtés successivement. Au ni
ent saillie dans la musculature et qui semblaient se substituer aux
muscles
, étaient pourvus à leur extrémité d'une épiphys
g. Australas, 1887, Adélaïde. 1888, I, 109-121, 6 pl. Garçon. Les
muscles
du dos et de l'épaule sont atteints ; le bras est
e l'épaule sont atteints ; le bras est atteint très violemment, les
muscles
de la cuisse aussi. Exostoses surtout au fémur.
Il s'agit bien d'un enfant hongrois, rachitique de 5 ans, dont les
muscles
de la nuque, le dos et les muscles grand dentel
s, rachitique de 5 ans, dont les muscles de la nuque, le dos et les
muscles
grand dentelé, grands pectoraux, grands dorsaux
bserva un gonllement à l'occiput et de la raideur de la nuque ; les
muscles
de la nuque et du dos furent donc atteints les
scles de la nuque et du dos furent donc atteints les premiers ; les
muscles
atteints en dernier lieu ce furent ceux des épa
peu mobiles, par suite de la rigidité, de la semi- ossification des
muscles
de la ceinture scapulaire, spécialement des tendo
ire, spécialement des tendons du grand rond et du grand dorsal. Les
muscles
de la nuque et du dos sont ossifiés ; on consta
ne peut étendre, ni tourner la tête par suite de l'ossification des
muscles
sterno-mastoïdiens, trapèzes, stylo-hyoïdiens,
r l'occipital. Coudes ne peuvent être éloignés au delà de 8 pouces.
Muscles
de l'épaule ossifiés ; à gauche : le grand rond
apophyses épineuses, le sacrum, les côtes et la crête iliaque, les
muscles
sont également atteints d'où difficulté pour le
arties inférieures du biceps et du brachial antérieur sont dures.
Muscles
de la nuque complètement ankylosés. Scalènes et s
ylosés. Scalènes et sterno-mastoï- dien droit très rigides. Sous le
muscle
mylo-hyoïdien, on sent une sorte de stalactite
s le muscle mylo-hyoïdien, on sent une sorte de stalactite osseuse.
Muscles
abdominaux durs. Rigidité des muscles de la cuiss
sorte de stalactite osseuse. Muscles abdominaux durs. Rigidité des
muscles
de la cuisse. Tous les autres muscles non cités
abdominaux durs. Rigidité des muscles de la cuisse. Tous les autres
muscles
non cités ici sont plus fermes qu'à l'état normal
selle droite et se dirige en bas et en arrière dans la direction du
muscle
grand dorsal ; son extrémité inférieure corresp
sur la région lombaire gauche. Toutes ces tumeurs siègent dans les
muscles
. Les muscles des régions sus et sous-épineuses,
n lombaire gauche. Toutes ces tumeurs siègent dans les muscles. Les
muscles
des régions sus et sous-épineuses, ceux des rég
rieure est en- tièrement fixe, et forme une masse compacte avec les
muscles
qui entourent l'épaule, lesquels sont eux-mêmes
it une petite masse ovale de 5 centimètres. La partie supérieure du
muscle
sterno-mastoïdien droit est épaissie et dure, m
viculaire. Saillie des sterno-mastoïdiens sl4ns noyaux osseux ; les
muscles
latéraux de la nuque sont exempts d'ossificatio
s l'étendue des mouvements paraît tenir à l'état de contracture des
muscles
du creux axillaire. Dans la paroi postérieure d
e un noyau osseux plus petit, mobile. Pas d'ossifications «dans les
muscles
de la région abdominale antérieure. Mouvements
droit. Ces deux saillies semblent occuper l'expansion fibreuse des
muscles
extenseurs. Genoux. - Extension, limitée ; flex
uque, on n'obtient rien, sans doute par suite de l'ossification des
muscles
profonds. Les os enlevés avaient l'apparence du
iane. ' Bras gauche. Abduction mis, flexion 15° et extension 45°.
Muscles
de la paroi antérieure de l'aisselle raccourcis e
arrière. Tuméfaction dure comme du bois il la nuque ; les bords des
muscles
sont très épaissis. Mêmes indurations et épaissis
muscles sont très épaissis. Mêmes indurations et épaississement des
muscles
cléido-mastoïdiens et pectoraux. Mouvements de
niveau de la tumeur donne : peau et tissu cel- lulaire normaux ; le
muscle
est très tuméfié, proéminent sous forme de tu-
osseux par sa consistance. Amélioration appréciable surtout dans les
muscles
du con; la tête est moins inclinée en avant et
e 10 ans. Diplitérie en 1874 avec paralysie des cordes vocales. Les
muscles
atteints sont : le grand dorsal, les scalènes, la
érébraux, il y a un territoire chargé spécialement de commander aux
muscles
l'exécution des mouvements volontaires; il se s
l se subdivise en ilots et chacun d'eux régit un groupe distinct de
muscles
. Il y a des zones chargées de percevoir les impre
ou progressif, qui envahit une masse plus ou moins considérable de
muscles
du squelette, dans des circonstances déter- min
ns un territoire de la moelle, chargé de veiller la nutri- tiun des
muscles
. Je pourrais multiplier -les exemples de ce genre
s les grands symptômes nerveux, tels que la fonte ou atro- phie des
muscles
, les paralysies du mouvement et du sentiment, les
té intervienne autrement que pour donner l'impulsion première à des
muscles
habitués 1 se contracter d'une certaine façon.
ébrité. - La Rédaction SUR UNE VARIÉTÉ DE PARALYSIE ASSOCIÉE DU
MUSCLE
GRAND DENTELÉ (grand DENTELÉ ET trapèze SCAPULA
DUVAL .Médecin des Hôpitaux Interne des Hôpitaux. La paralysie du
muscle
grand dentelé se présente sous des aspects dif-
a paralysie isolée. Tantôt elle est compliquée de la paralysie d'un
muscle
ou de plu- sieurs muscles : c'est la paralysie
t elle est compliquée de la paralysie d'un muscle ou de plu- sieurs
muscles
: c'est la paralysie associée. Le cadre des par
aralysies radiculaires du plexus brachial, il n'est pas rare que ce
muscle
soit touché. Nous n'avons pas l'intention de nous
acer les faits de paralysie du grand denlelé, associée à celle d'un
muscle
de la région scapulo-lmmérale : du deltoïde par
iculier nécessite une contraction synergique forte et prolongée des
muscles
grand dentelé, trapèze et grand pec- toral : no
traordinairement musclé. Tout se borne chez lui il une paralysie du
muscle
grand dentelé et des deux tiers inférieurs du tra
formations de la région sca- pulo-humérale. PARALYSIE ASSOCIÉE DU
MUSCLE
GRAND DENTELÉ 421 1 A) Station ASSISE.- 1° Le t
Souques ct Dmal.) MASSON rie F ? it(,\1rc : PARALYSIE ASSOCIÉE DU
MUSCLE
GRAND DENTELÉ 423 bord spinal du scapulum reste
citabilité faradique directe et indirecte est très diminuée dans le
muscle
grand dentelé droit. Les courants aussi forts que
le malade les peut supporter ne provoquent pas l'excitabilité de ce
muscle
il droite, tandis qu'ils font contracter énergi
ce muscle il droite, tandis qu'ils font contracter énergiquement le
muscle
it gauche, quand ils sont appli- qués de ce côt
sont appli- qués de ce côté sur le nerf du grand dentelé ou sur le
muscle
lui-même. L'exci- NOUV. ÎCONOGHAPHIE DI- LA SAL
SIE DU GRAND DENTELÉ (A. Souqucs et Ducal.) PARALYSIE ASSOCIÉE DU
MUSCLE
GRAND DENTELÉ 425 tabilité galvanique du muscle
RALYSIE ASSOCIÉE DU MUSCLE GRAND DENTELÉ 425 tabilité galvanique du
muscle
grand dentelé droit est, au contraire, conservée,
c N F C P F C. Donc il y a de la réaction de dégénérescence dans ce
muscle
. Dans les portions moyenne et inférieure du tra
ysie de son an- tagoniste (grand dentelé). Enfin, dans les autres
muscles
de la région scapulo-humérale : angulaire de l'
, de parcourir les principaux travaux pu- bliés sur la paralysie du
muscle
grand dentelé. On y voit que la paralysie du tr
déclara qu'il n'avait observé que trois cas de paralysie isolée du
muscle
grand dentelé, tandis qu'il avait vu six cas de
e grand dentelé, tandis qu'il avait vu six cas de paralysie du même
muscle
, associée 1 celle des portions moyenne ou infér
t le plus souvent la portion moyenne et la portion inférieure de ce
muscle
. » Cette complication n'avait du reste pas écha
paralysie généralisée. Au bout d'un an, il restait encore quelques
muscles
atrophiés, en particu- lier le grand dentelé. «
ophie du grand den telé,ivec iii légi,1 té pa l'laite (les « autres
muscles
qui meuvent l'épaule sur le tronc et le bras sur
On pourrait, il nous semble, en raison de l'in- tégrité des autres
muscles
de la région scapulo-humérale, considérer dans
, par abus de travail. - L'atrophie n'avait pas encore envahi les «
muscles
des autres régions. » Les figures 2, 5, 11, 12 et
au point de vue (1) Banmuno, Conlrib. à l'étude de la paralysie du
muscle
grand dentelé. Th. Pa- ris, 1895, p. 50. (2)
1867, p. 40. (3) DocuEwa, eod. loc., p. 14. PARALYSIE ASSOCIÉE DU
MUSCLE
GRAND DENTELÉ 427 7 documentaire, et au point d
ts sont pour la plupart incomplets : on ne peut pas sa- voir si les
muscles
de l'épaule autres que le grand dentelé étaient i
e que la forme isolée. Etant donnée la fréquence de la paralysie du
muscle
grand dentelé, as- sociée à celle des parties m
EwiNsKi, Virchow Archiv., t. LXXIV, p. 7. 428 SOUQUES ET P. DUVAL
muscle
entier, indépendant des deux tiers moyen et infér
yen et inférieur, qui de leur côté peuvent être considérés comme un
muscle
autonome. Mais ceci né- cessiteqlielques éclair
animaux domestiques (1); la musculature du cou se compose de trois
muscles
: Le stcrno ? aastoïcliea; Le tlastoïllo-la2c
èze supérieur fait alors partie de la musculature du cou : c'est un
muscle
cervical; son évolution montre qu'il appartient a
t que le mastoïdo-huméral. Le trapèze inférieur est au contraire un
muscle
dorsal. Ainsi chez l'homme, le muscle trapèze s
inférieur est au contraire un muscle dorsal. Ainsi chez l'homme, le
muscle
trapèze se trouve constitué par l'union de deux
l'homme, le muscle trapèze se trouve constitué par l'union de deux
muscles
primitivement différents, dont la fusion a été dé
al, mais il innerve surtout le trapèze dor- sal. Chez l'homme, le
muscle
trapèze est innervé par la branche externe du s
nnu, c'est la dis- tribution respective de ces deux sources dans le
muscle
: leur territoire musculaire n'est pas anatomiq
comparée des animaux domestiques, Paris, 1H57. PARALYSIE ASSOCIÉ DU
MUSCLE
GRAND DENTELÉ 429 péziens du plexus cervical au
péziens du plexus cervical aux portions moyenne et inférieure de ce
muscle
. Remak (1), se basant sur son observation perso
(2). Pour ce dernier auteur, les portions inférieure et moyenne du
muscle
trapèze sont innervées non seulement par le plexu
séparer le tiers supérieur des deux tiers moyen et inférieur de ce
muscle
. On devrait même, pour plus de commodité, les d
ue, physiologique et patho- logique, il y a lieu de distinguer deux
muscles
trapèzes : le trapèze clavi- culaire et le trap
le trapèze claviculaire et le tra- pèze scapulaire constituent deux
muscles
distincts, indépendants, auto- nomes. Reste à
ze scapulaire, alors que tous les musclesvoi- PARALYSIE ASSOCIÉE DU
MUSCLE
GRAND DENTELÉ 431 sins sont indemnes, semble s'
: ce serait celle qui se baserait sur la synergie fonctionnelle du
muscle
grand dentelé et du trapèze scapulaire. Cette s
capulum, le second l'en éloigne. Mais on sait que, d'ordinaire, les
muscles
antagonistes se contrac- tent en même temps que
alors on voit le bord spinal de l'omoplate sollicité par ce dernier
muscle
, n'appliquant solidement contre les parois thorac
cette illi- tude, qu'il a subitement et simultanément paralysé son
muscle
grand den- telé et son trapèze scapulaire. Qu
donc passé ? Il y a eu contraction violente et brusque de ces deux
muscles
. Cette contraction musculaire a pu produire un ti
lé et des rameaux tra- péziens et consécutivement une paralysie des
muscles
qu'ils innervent. Le tiraillement des nerfs été
. Le tiraillement des nerfs été le fait de la contraction forcée du
muscle
(1) Duchenne, Physiol. des mouvem., p. 47. -
t du trapèze scapulaire, ou le lait de la contraction de tout autre
muscle
. On peut se poser la question, notamment pour le
nquième et sixième paires, traversent avant de s'unir les fibres du
muscle
scalène postérieur. 11 arriverait même parfois
er, comprimer les troncs nerveux et produire ainsi la paralysie des
muscles
innervés par ces nerfs. Gowers a observé trois
s de paralysie radiale, consécutifs à une vio- lente contraclion du
muscle
triceps brachial. Oppenheim a vu un fait sem- b
Analyse in Semaine médicale, 1898, p. 271. PARALYSIE ASSOCIÉE DU
MUSCLE
GRAND DENTELÉ 433 étudions ici. Mais nous les a
re que nous venons d'exposer. En résumé : synergie fonctionnelle du
muscle
grand dentelé et du tra- pèze scapulaire, parti
respectifs, et, en dernière analyse, paralysie associée de ces deux
muscles
. La solidarité pathologique de ces deux muscles
ociée de ces deux muscles. La solidarité pathologique de ces deux
muscles
est basée sur cette soli- darité physiologique.
facile de distinguer la paralysie associée de la paralysie isolée du
muscle
grand dentelé. * .... Il nous faut mainte
telï1e de l'épine de l'omoplate, s'ajoute celle de la portion de ce
muscle
qui s'at- tache à la moitié externe de cette ép
Duchenne, Physiologie des mouvements, p. 10. PARALYSIE associée DU
muscle
grand DENTELÉ 435 externe se trouve à deux, tro
nne, que quand l'atrophie a détruit seulement la portion moyenne du
muscle
trapèze. Un second facteur, qui facilite l'abai
ter en avant et en dehors son angle inférieur. La paraly- sie de ce
muscle
, supprimant cette action, doit faciliter l'abaiss
l'action n'est plus contrebalancée. Le rôle prin- cipal de ces deux
muscles
consiste, d'après Duchenne, à faire tourner le
on directement élévative du rhomboïde et de l'angulaire. « Tous les
muscles
, déclare Duchenne, qui par leur con- traction i
écrit Duchenne (2), malgré l'in- tégrité des autres portions de ce
muscle
, malgré la conservation du rhom- boïde et de l'
loc., p. 33. (2) Duchenne, eod. loc., p. 7. PARALYSIE associée DU
muscle
grand DENTELÉ 437 tour de son angle externe. En
ribue-t-elle à la production de celte obliquité du bord spinal ? Ce
muscle
a pour fonction normale de mainte- nir l'angle
associée du grand dentelé et des portions inférieure et moyenne du
muscle
trapèze. Elle tient sous sa dépendance l'abaiss
évation jusqu'à 1'liori- zontale. En effet, dans la paralysie de ce
muscle
, le bras peut être élevé jusqu'à la ligne horiz
e, le deltoïde est donc aidé par le sus-épineux qui est du reste un
muscle
élévateur du bras, et même semble-t-il par le s
le inférieur par suite porté en haut en dehors et en avant. Or deux
muscles
sont seuls capables d'imprimer un pareil mouvem
tre part la portion moyenne du trapèze. Dans l'état normal ces deux
muscles
agissent simultanément. Peu- vent-ils se supplé
uchenne. Electrisat. local., 3 édit., p. 939. PARALYSIE ASSOCIÉE DU
MUSCLE
GRAND DENTELÉ 430 ments du bras, si l'on en exc
seulement un peu affaibli par la perte de la portion moyenne de ce
muscle
. » Si le grand dentelé est complètement pa- ral
on en masse est facile à concevoir. Nous savons, en effet, que tout
muscle
qui, par sa contrac- tion isolée, imprime au sc
t que le sujet élève le bras jusqu'à la ligne horizontale, c'est le
muscle
deltoïde qui se contracte seul. Or le deltoïde,
u scapulum, en sens inverse du faisceau acromial du deltoïde. Si le
muscle
grand dentelé est paralysé, l'angle inférieur d
l'omoplate, dite scapulum alatum, « le grand dentelé étant le seul
muscle
qui, par son association avec le deltoïde, empê
(1) Duchenne, Physiol. des mouvem., p. 6u. PARALYSIE ASSOCIÉE DU
MUSCLE
GRAND DENTELÉ li 41 paralysie du grand dentelé,
, le deltoïde se contracte isolément (1). En somme, la paralysie du
muscle
grand dentelé permet au deltoïde, lors de l'élé
peut en penser, dans un travail ultérieur sur la paralysie isolée du
muscle
grand dentelé. Quoi qu'il en soit, c'est la c
n haut. C'est, par con- séquent, le rejet, dans même direction, des
muscles
sous-scapulaire, grand rond, petit rond et gran
décrits ailleurs et qui sont, en résumé : -. PARALYSIE ASSOCIÉE DU
MUSCLE
GRAND DENTELÉ 443 1° L'élargissement de la paro
mblablement dépendre en partie de la paralysie du grand dentelé. Ce
muscle
, en effet, dans l'élévation volontaire du bras, à
bride étroitement et dont il gêne l'expansion en dehors. Lorsque ce
muscle
est paralysé, cette expansion en dehors a libre c
a libre cours et la cage tho- racique doit présenter, au niveau du
muscle
paralysé, une voussure plus ou moins accusée. D
Nous n'en voulons pour témoignage que les reliefs exagérés que ces
muscles
font sous la peau, et l'attitude vicieuse qu'ils
ons. 1° Il existe une variété particulière de paralysie associée du
muscle
grand dentelé et du trapèze scapulaire (portion
s paralysies du grand dentelé. ` ? ° Le trapèze scapulaire forme un
muscle
distinct anatomiquement, physiologiquement et p
synergique du grand dentelé. La synergie fonclionnelle de ces deux
muscles
explique probablement leur solidarité pathologi
mérale sont très accusés et consistent dans : PARALYSIE ASSOCIÉE DU
MUSCLE
GRAND DENTELÉ 445 a) l'impossibilité d'élever l
d'observation pour ainsi dire banale que dans la chorée souvent les
muscles
homologues se relâchent d'un côté pendant qu'ils
u, c'est la contraction indépendante des divers faisceaux d'un même
muscle
. Ces contractions dissociées peuvent provoquer
de suicide. - Alcoolisme aigu. - Chorée généralisée : t spasmes des
muscles
de l'oeil. - Guérison apparente. Rechutes. Chorée
e droit. - B. Courbes des contractions du faisceau postérieur du même
muscle
C. Métronome battant la seconde. 43S cil. L
is.Sheffield a déjà ob- servé une fille de 10 ans chez laquelle les
muscles
ciliaires participaient au spasme et les pupill
es auditifs qui pa-, raissent dus à des mouvements incoordonnés des
muscles
intrinsèques de. l'oreille : Ilaug a signalé de
ques de. l'oreille : Ilaug a signalé des contractions cloniques des
muscles
du mar- teau du côté gauche, et Urbantschitsch
mar- teau du côté gauche, et Urbantschitsch a décrit une chorée des
muscles
tu- baires. Dans la deuxième attaque générali
eltoïdes, et la discor- dance des contractions des faisceaux de ces
muscles
. On peut trouver la preuve de l'action isolée d
dentelé. La contraction, indépendante des différents faisceaux des
muscles
, n'est qu'un cas particulier, en somme, de l'in
is, pas de contraction du sterno-cléido-mastoïdien gauche. Dans les
muscles
pectoraux, au niveau de la paroi antérieure de l'
guliers se déplaçant légèrement avec les 476 A. WEIL ET J. NISSIM
muscles
. Du côté droit ces noyaux sont placés sous le mus
ET J. NISSIM muscles. Du côté droit ces noyaux sont placés sous le
muscle
et surtout au niveau de son insertion. Là ils s
platê, il y a deux masses proéminentes, mais non fixées à l'os. Les
muscles
de l'omoplate même ne paraissent pas atteints.
très athéromateuses. ; Pas d'ossification sur la tête, ni dans les
muscles
abdominaux, ni dans les membres inférieurs. L
oïdiens ; flexion et extension également limitée par opposition des
muscles
de la nuque. Les muscles cités sont durs, mais
nsion également limitée par opposition des muscles de la nuque. Les
muscles
cités sont durs, mais ne contiennent pas de noy
, mais ne contiennent pas de noyaux. Epaississement osseux dans les
muscles
longs du dos ; on constate des protubérances su
s mus- cles est légèrement douloureuse. Peu de changements dans les
muscles
de l'ab- domen et du bassin; rien dans les memb
ession ; pas de fièvre. - Le 13 juin excision d'un petit morceau de
muscle
au niveau du gonflement ; guérison de la plaie
tif, qui est surtout marquée dans le voisinage des vais- seaux. Les
muscles
sont pressés les uns contre les autres, leur subs
En juin 1894 léger état fébrile, doule.urs aux deux épaules et aux
muscles
des bras. Gonflement dans les parties molles de
rtie inférieure du grand pectoral, mobile avec le bord inférieur du
muscle
, sans limites précises ; le muscle est souple sau
mobile avec le bord inférieur du muscle, sans limites précises ; le
muscle
est souple sauf au niveau des fibres de la 3° c
r radial. L'anconé est transformé en une pointe osseuse; les autres
muscles
sont durs, il en est ainsi du splenius gauche e
lus de la côte. 18 mai 1894. D'après une lettre du malade, d'autres
muscles
ne seraient pris au cou et aux extrémités infér
a perdu ses forces, surtout celles des membres inférieurs dont les
muscles
s'atrophièrent à un tel point qu'il fut obligé de
ule directement avec le métatarse. 20 Lésions en connexion avec les
muscles
. - Tête fixée par la tension des sterno-masloïd
s, indurés, et élargis, il est difficile de trouver les limites des
muscles
. La flexion de la tête est possible, l'extension
ts des plaques osseuses se sont développées dans le fas- cia et les
muscles
, spécialement dans le bras et l'avant-bras droits
ne bien le squelette on voit les ossifications occuper la place des
muscles
, suivre si bien le trajet de ces derniers, par ex
essier à droite. A gauche une bandelette osseuse se trouve dans les
muscles
abdominaux et offre une sorte d'articulation avec
saillies qui en imposent pour des exostoses, mais elles suivent les
muscles
et peuvent être considérées comme des ossificat
oit que les ossifications se sont développées dans l'intervalle des
muscles
, qu'elles se sont réunies au travers des muscles
s l'intervalle des muscles, qu'elles se sont réunies au travers des
muscles
par des pouts osseux, qu'elles se montrent daus
nt difficulté dans les mouvements de la mâchoire, douleurs dans les
muscles
masticateurs droits et, six mois après, la mast
ux séparés. La portion acromiale du trapèze est dure, fibreuse. Les
muscles
du cou, les sterno-mastoïdiens, surtout la port
e l'os. Omoplates fixées et pourvues de noyaux sur leurs bords. Les
muscles
sous et sus-épineux semblent à droite atrophiés
tie fixées à l'humérus qui est épaissi au niveau des insertions des
muscles
long dorsal et grand pectoral. Ossifications da
on du grand dorsal empêche les mouvements du bras droit, les autres
muscles
du bras sont normaux. L'épiphyse de l'humérus est
est pas complètement détruit. La respiration fait voir quels sont les
muscles
atteints et dans quel degré : le sterno-mastoid
Les pectoraux des deux côtés sont pris. Transformation osseuse des
muscles
du dos, ça et là quelques parties fibreu- ses.
atteinte que celle de droite. L'os- sification est marquée dans les
muscles
latéraux du thorax, surtout le grand dorsal. Le
épineuses sonl transformés en une masse osseuse. L'ossification des
muscles
du dos va sans interruption jusqu'au sacrum. Le
sans interruption jusqu'au sacrum. Le fascia lombo-dorsal avec les
muscles
sous- jacents sont transformés en une masse s'é
rête iliaque,o(Trent des bandelettes osseuses, partout ailleurs ces
muscles
sont atrophiés. Le bassin est dévié vers la gau
a direction des fibres, en partie elle les croise; elle soulève les
muscles
de la partie supérieure et externe de la cuisse.
irconférence à ce niveau 44 centimètres, 36 seulement à gauche. Les
muscles
sémi-membraneux et semi-tendineux sont ossifiés
amment des hyperostoses des tibias, des péronés et d'une dureté des
muscles
extenseurs. L'électricité faradique donne une c
une contraction à peine sensible dans les mus- cles dégénérés. Les
muscles
peu atteints et ceux qui semblent sains réagissen
ns le voisinage des masses osseuses. La réaction est bonne dans les
muscles
de la mimique, de l'avant-bras et de la cuisse.
gauche, en rotation à droite ; flexion et rotation très diminuées ;
muscles
de la mimique, et masticateurs DE LA MYOSITE OS
asticateurs DE LA MYOSITE OSSIFIANTE PROGRESSIVE 4>J5 normaux.
Muscles
sterno-mastoïdiens tendus. Un petit noyau sur la
ion claviculaire du droit. On constate 7 petits corpuscules dans le
muscle
grand oblique abdominal droit. Cyphoscoliose ga
plus considérable des masses sacro-lombaires. Une grande partie des
muscles
de la nuque et du dos sont plus durs que normal
cles de la nuque et du dos sont plus durs que normalement; d'autres
muscles
du tho- rax sont très atrophiés. Sur l'épine
du mamelon gauche se réunit à la lame axillaire. La résistance des
muscles
de la paroi antérieure du thorax est augmentée, i
uin. Résection partielle du grand pectoral gauche. A l'aisselle, le
muscle
se montre ossifié à sa partie profonde, normal su
ure du sterno-mastoïdien droit, extension du gonfle- ment à tout le
muscle
les jours suivants, oedème dans toute la région d
, de la poitrine, du dos et des bras est ossifiée on dégénérée. Les
muscles
des jambes sont plus ou moins atteints ; les fe
, les adducteurs offrent des masses osseuses. Autant que l'état des
muscles
le permet, les arti- culations sont mobiles. Mu
que l'état des muscles le permet, les arti- culations sont mobiles.
Muscles
de la face normaux. Gros orteils et pouces plus
L'excitabilité faradique et galvanique des nerfs normale, celle des
muscles
est diminué et un rapport avec l'étendue de l'o
établit une fois de plus que les tissus atteints par l'ossification (
muscles
striés, tissu conjonctif inter et intra-muscula
du feuillet externe du mésoderme, de la somatoplèvre. En effet, les
muscles
striés se développent aux dépens de la partie int
térise par le dépôt de masses osseuses dans le tissu conjonclif des
muscles
, dans les tendons, les aponévroses, les ligaments
rieure du clos : - 9° Elledétermine secondairement l'atrophie des
muscles
; elle ankylose les articulations dont la posit
ylose les articulations dont la position est régie par l'action des
muscles
les pre- miers atteints; - 10° Il est des mus
ar l'action des muscles les pre- miers atteints; - 10° Il est des
muscles
qui sont très fréquemment envahis par les ossifi-
ment (paroi abdo- minale), quelques-uns le sont exceptionnellement (
muscles
de la mimique, du pharynx, etc.),enfin il en es
, par L INNOIS et Berncmjd (1 phot.), 446. Paralysie associée du
muscle
grand den- lelé (sur une variété de), par.\. So
(Pierre) et A. Souques. Sur une va- riété de paralysie associée du
muscle
grand dentelé (15 phot.), 419. FEINDEL (E.) e
ques (A.) et Pierre DuvAL. Sur une variété de paralysie associée du
muscle
grand dentelé (15 phot.), 419. Spillmann (Lou
nsibilité cutanée ; 2° par une in-sensibilité des parties profondes :
muscles
, articulations, os, etc. La troisième période m
lus tard, elle fut prise de douleurs fulgu-rantes dans la tête et les
muscles
, douleurs auxquelles s'asso-cièrent des crises ga
it dans la peau, soit dans les parties plus profondes, telles que les
muscles
, des troubles variés de nutrition. Les os et les
gauche ; une diminution de la con-tractilité électrique dans tous les
muscles
de ce membre, indi-quant une souffrance rapide et
ubles trophiques, tels qu'escarres, mo-difications des propriétés des
muscles
, troubles trophiques qui ont évidemment la même o
i-même suivi, à la longue, d'une atrophie plus ou moins prononcée des
muscles
. La compression, l'irritation des nerfs sont fr
le zona, les bulles pemphigoïdes, les escarres même, et, du côté des
muscles
, l'atrophie plus ou moins rapide, la paralysie, l
culaires, et enfin la contracture survenant dans un certain nombre de
muscles
. Je ferai remarquer enfin qu'une déformation fa
dans l'émission des urines. Cette difficulté semble due à ce que les
muscles
qui jouent le rôle de sphincters restent dans un
M. Budge, il n'existerait pas d'autre sphincter de la vessie que les
muscles
uréthraux (constricteur del'urèthre et bulbo-cave
à l'issue des 3°-5e paires sacrées. Les nerfs qui font contracter les
muscles
de l'urèthre suivent, toujours d'après M. Budge,
un acte qui a pour effet de déterminer la contraction permanente des
muscles
uréthraux, mais qui peut être annihilé même par u
et l'urine s'écoule alors inces-samment goutte à goutte, l'action des
muscles
de la vessie ne rencontrent plus d'obstacles. J
, la nutrition dans les parties paralysées demeure normale. Ainsi les
muscles
conser-vent pendant de longs mois leur volume et
r l'émaciation et l'amoindrissement de la contractilité faradique des
muscles
paralysés. De leur côté, le tégument externe, la
raplégie déterminée par une tumeur qui comprimait la Fig. 6 et 7.
muscles
abdominaux de ce même côté. Les téguments, sur
uvement serait parfaitement conservé dans le membre infé-rieur et les
muscles
de l'abdomen ; mais, par contre, la sensi-bilité
de revenir. L'impuissance motrice ne tarderait pas à survenir, et les
muscles
des membres paralysés présente-raient bientôt une
se présenterait au contraire avec des caractères tout autres. Ici les
muscles
conservent pendant fort longtemps leur volume ain
igine une flaccidité extrême, résultat de la perte de la tonicité des
muscles
; les actes réflexes sont plus 1 Pathology of t
cot. Œuvres complètes, t. il, 10 ou moins complètement abolis ; les
muscles
alrophiés ne ré-pondent plus aux excitations fara
du cœur: le rétrécissement aortique, la dégénérescence graisseuse des
muscles
ventriculaires l, la présence de dépôts fibrineux
ue). Anatomie pathologique de la paralysie infantile. — Lésions des
muscles
aux diverses périodes ; surcharge graisseuse. — L
myo-pathies spinales ou de cause spinale. Une lésion trophique des
muscles
, plus ou moins étendue et plus ou moins profonde,
té, altérés simultanément. Les fonctions motrices et la nutrition des
muscles
, sont seules affectées au contraire dans les cas
lles-ci, bornée aux mus- cles de la vie animale, en particulier aux
muscles
des mem-bres; le tronc, la lête, ne sont pas épar
e. Tantôt l'impuissance motrice, survenue dans un certain nombre de
muscles
ou groupes de muscles, est le premier symptôme qu
nce motrice, survenue dans un certain nombre de muscles ou groupes de
muscles
, est le premier symptôme que l'observation fasse
cles, est le premier symptôme que l'observation fasse reconnaître. Le
muscle
est d'abord paralysé, les fonctions motrices sont
s sont anéanties d'une façon plus ou moins complète ; la structure du
muscle
semble ne s'altérer que secondairement. D'autre
e ne s'altérer que secondairement. D'autres fois, au contraire, les
muscles
affectés sont, dès l'origine, le siège de trouble
en quelque sorte proportionnelle au degré de l'atrophie subie par le
muscle
; Ce sont là deux cas extrêmes, reliés par de no
nombreux inter-médiaires, car souvent, le plus souvent peut-être, les
muscles
malades sont à la fois paralysés et atrophiés et,
tractilité électrique faradique est amoindrie sur un grand nombre des
muscles
paralysés, éteinte sur plusieurs d'entreeux; c'es
s auteurs, la con-tractilité galvanique peut encore mettre en jeu les
muscles
que la faradisation n'affecte plus. Tout muscle q
re mettre en jeu les muscles que la faradisation n'affecte plus. Tout
muscle
qui, au bout de quelques semaines après le début,
ion apparente de la contractilité faradique dans un certain nombre de
muscles
frappés de paralysie. 3° Absence de troubles ma
ut, époque qui marque la terminaison de cette période rétrograde, les
muscles
qui n'ont pas recouvré leurs fonctions peuvent êt
ur tous les points. Dans les cas ordinaires, il est toujours quelques
muscles
, ceux parfois de tout un membre ou seulement d'un
re frappé de paralysie infantile pourra avoir perdu la plupart de ses
muscles
et cependant n'être'plus court, que celui du côté
ns ce cas, la lésion musculaire soit restée localisée dans un ou deux
muscles
à peine et ait permis le prompt retour des mouvem
ecté chez des enfants qui, en raison du léger degré d'al-tération des
muscles
des pieds et du peu d'étendue des défor-mations e
e Télectrisation localisée, 3e édition, 1 72, p. 400. fonctions des
muscles
, être suivie cependant de lésions tro-phiques oss
est peut-être le lieu défaire remarquer qu'en outre de l'atrophie des
muscles
et des os, on trouve à l'autop-sie, dans les cas
les membres paralysés, en conséquence de la prédominance d'action des
muscles
restés sains ou ayant, à un moment donné, récupér
s savons que l'a-trophie n'est pas répandue uniformément sur tous les
muscles
1 R. Volkmann, loc. cit.,]). 6. « Même dans la
nière édition, page 398. d'un membre ; elle prédomine dans certains
muscles
et grou-pes de muscles; les antagonistes de ces m
. d'un membre ; elle prédomine dans certains muscles et grou-pes de
muscles
; les antagonistes de ces muscles doivent im-poser
dans certains muscles et grou-pes de muscles; les antagonistes de ces
muscles
doivent im-poser, à la longue, des attitudes vici
ir de l'époque où les lésions sont devenues définitives dans certains
muscles
, on peut dire que la maladie est arrê-tée. Il ne
vous être- présenté. Nous traiterons en premier lieu des lésions des
muscles
, et en deuxième lieu des lésions du système nerve
, et en deuxième lieu des lésions du système nerveux. {"Lésions des
muscles
. — Je serai bref sur ce qui est rela-tif à l'alté
s muscles. — Je serai bref sur ce qui est rela-tif à l'altération des
muscles
, car c'est là un sujet qui réclame encore de nouv
e que les données positives con-cernant l'altération histologique des
muscles
font défaut. D'a-près ce qu'on sait, la majeure p
tatées trois semaines après le début de la maladie sur un fragment de
muscle
oblenu à l'aide de remporte-pièce : à l'aide du m
même, procédé, MM. Volkmann et Steudener ont pu également étudier les
muscles
paralysés, aune époque assez voisine du début et
ns des cas de date ancienne. B. Seconde période. Si l'on étudie les
muscles
altérés à une époque éloignée du début de la para
où la surcharge graisseuse est tellement pro-noncée que le volume du
muscle
est notablement accru, de manière à reproduire ex
nlile de date ancienne, n'y est cependant pas nécessaire : à côté des
muscles
distendus par la graisse, il en est souvent d'aut
ux fait à peu près complètement défaut On ne trouve dans ces derniers
muscles
que des fais-ceaux primitifs d'un très petit diam
tissu conjonctif fibril-laire, évidemment de formation nouvelle. Les
muscles
qui ont subi ce mode d'altération ont, à l'œil nu
servation de Wilson, in Arch. de plajsiologie, loc. cit. phériques,
muscles
ou nerfs, d'autres ont voulu y voir une maladie e
, dans la région de la moelle d'où émanaient les nerfs se rendant aux
muscles
atrophiés; mais nous n'avions pas remarqué la dim
ru dans la corne antérieure du segment de la moelle correspondant aux
muscles
atrophiés et, sur les points qu'elles avaient occ
e l'invasion des accidents, le mode de localisation de l'atrophie des
muscles
ne laissent guère subsister de doute à cet égard
ions dans lesquelles ce3 affections déterminent l'atrophie rapide des
muscles
. I. Messieurs, Il y a longtemps déjà que M.
la vérité, d'une manière incomplète. C'est que, dans un bon nombre de
muscles
des membres supérieurs, la nutrition avait souffe
econnaître des désordres dès lors irréparables. Une grande partie des
muscles
du bras, de l'avant-bras et de la main étaient co
vait continué à progresser dans les membres inférieurs : là, tous les
muscles
avaient récupéré leurs fonctions, à l'exception d
ellement une atrophie vraisemblablement indélébile très prononcée des
muscles
du bras droit et de la jambe gauche : à part quel
e des épaules et de la partie postérieure du bras ; au contraire, les
muscles
de l'avant-bras, de la poitrine, ceux de l'abdome
hypothénar. Il se produit, de temps à auire, sponta-nément, dans les
muscles
de la îiain, des contractions fibril-laires qui c
été matériellement impossible de préciser l'époque où l'atrophie des
muscles
a commencé à se produire. On assure toutefois qu'
eurs, la contractilité faradique commence à reparaître dans plusieurs
muscles
où elle était soit très amoindrie, soit abolie. P
e, soit abolie. Par contre, en raison dé la prédominance d'action des
muscles
postérieurs de la cuisse et 1 Je tiens de mon c
s le long de la colonue vertébrale. A partir de la dernière date, les
muscles
paralysés et atrophiés ont été soumis tous les de
es du corps. Un certain degré de maigreur relative, de flaccidité des
muscles
antérieurs à la cuisse gauche, une tendance mar-
altérées dans les régions de la moelle épinière, correspondantes aux
muscles
frappés d'atrophie ; mais on ne rencontre nulle p
sénile de la cellule, l'affaiblissement moteur et les altérations des
muscles
des membres, qui se montrent à peu près fatalemen
autre côté, l'hypo-thèse qui placerait à la périphérie, soit dans les
muscles
, soit dans les nerfs, le point de départ des acci
éments ganglionnaires relève aussi certainement l'atrophie rapide des
muscles
paralysés et les modifications de la con-tractili
paralysie infantile, la paralysie motrice avec l'atrophie rapide des
muscles
paralysés pourvu que soit remplie la condition ex
, et tend à enva- 1 Les altérations profondes que peuvent subir les
muscles
des membres pa-ralysés dans la myélite centrale a
tions de myélite dès la première semaine 1 ; et enfin, l'atrophie des
muscles
rapidement développée. La théorie in-dique qu'ils
cu-lier. (Type Duchenne-Aran). — Symptômes: atrophie individuelle des
muscles
, troubles fonctionnels, persistance prolongée de
moins prononcée, conséquence de la lésion spinale ; 3° enfin dans les
muscles
correspondants, par des lésions Irophiques que no
onsécutifs en découle, et en particu-lier, l'atrophie progressive des
muscles
; toutefois les symptô-mes amyotrophiques se trou
à l'atrophie consécutive des cornes antérieures, — atrophie lente des
muscles
, — et de ceux qui caractérisent la sclérose des z
ce qu'on pourrait appeler Y atrophie in-dividuelle que subissent les
muscles
affectés ; en d'autres ter-mes, un muscle ou plus
viduelle que subissent les muscles affectés ; en d'autres ter-mes, un
muscle
ou plusieurs muscles d'un membre peuvent avoir so
nt les muscles affectés ; en d'autres ter-mes, un muscle ou plusieurs
muscles
d'un membre peuvent avoir souffert une diminution
oir souffert une diminution de volume très remarquable, alors que les
muscles
voisins ont conservé leur relief nor-mal. Ce pr
ans l'espèce, où la maladie n'a envahi encore qu'un certain nombre de
muscles
dans un membre su-périeur. Tous les muscles de la
e qu'un certain nombre de muscles dans un membre su-périeur. Tous les
muscles
de la main et de l'avant-bras auront, je suppose,
d'un seul peut-être, le long supinateur par exemple. En revanche, les
muscles
du bras et de l'épaule seront intacts et présente
ain. Prenons un autre exemple, plus rare. Ce sera, dans ce cas, les
muscles
thoraciques qui auront été affectés les premiers.
- vahissement de l'atrophie qui procède, dans une certaine me-sure,
muscle
par muscle, fournit un caractère important parce
ment de l'atrophie qui procède, dans une certaine me-sure, muscle par
muscle
, fournit un caractère important parce qu'il ne se
s deutéropathiques. b) Les troubles fonctionnels que présentent les
muscles
en voie d'atrophie doivent nous arrêter actuellem
lie un certain degré à'affaiblissement des mouvements exécutés par le
muscle
et l'on peut dire que ces deux phénomènes, d'une
-lèlement ; autrement dit, moins il y a de fibres musculaires dans un
muscle
ou plus il y a de fibres atrophiées, plus la fai-
de l'action cérébrale pourra être complète, absolue, et cependant les
muscles
, en pareil cas, ne souffriront pas dans leur nutr
provoquer souvent l'apparition à l'aide d'un léger choc porté sur le
muscle
. Elles consistent, permettez-moi de le rappeler,
ent, permettez-moi de le rappeler, en ce que la peau, qui recouvre le
muscle
atteint, paraît tout à coup soulevée par de petit
-les aiguës où, dès les premiers temps et avant même que le volume du
muscle
ait décelé par ses changements une altéra-tion ap
mieux les déviations qui résultent forcément de l'affaiblissement des
muscles
atrophiés et de la prédominance que prennent en c
cles atrophiés et de la prédominance que prennent en con-séquence les
muscles
antagonistes. C'est de la sorte que se produisent
Après cette énumération des symptômes qui s'observent sur chacun des
muscles
malades, considérés en particulier, nous devons f
sera l'inverse dans quelques atrophies deutéropathiques, celui où les
muscles
des membres inférieurs sont lésés avant tous les
s lente : c'est par exception que, envahissant prématurément tous les
muscles
qui servent au mécanisme de la respiration (muscl
turément tous les muscles qui servent au mécanisme de la respiration (
muscles
intercostaux ou dia-phragme, ou encore les nerfs
ns même, alors qu'elle s'est depuis longtemps généra-lisée à tous les
muscles
. D. Un mot maintenant concernant Yétiologie. Ce
e balle de coton trop lourde, W. Gull. — Progressive atrophy of the
muscles
of the trunk an uppe III. Dans un exposé où i
m of medicine, p. 168. — D'autres exemples d'atrophie progressive des
muscles
, survenue a la suite de causes traumatiques, ont
Le mécanisme, suivant lequel l'altération spinale retentit sur les
muscles
dans l'amyotrophie progressive, semble donc diffé
cette lésion est remarquable par l'intégrité de la nutrition dans les
muscles
paralysés, tant que l'inertie fonc-tionnelle ne s
eurs surtout, marquée par une contracture, plus ou moins intense, des
muscles
lesquels conservent pen-dant longtemps tous les c
érieures et des nerfs spinaux ; — 4° enfin des lésions trophiques des
muscles
. Sur ce premier point, je serai bref, parce que
heure, ce qu'explique l'existence de la sclérose latérale, mais leurs
muscles
ne sont pas ou sont relativement peu atrophiés.
montrer encore très bref, relativement à ces lé-sions trophiques des
muscles
. Elles ne diffèrent pas, d'une ma-nière essentiel
s. Je relèverai ex-pressément que la lipomatose intersti-tielle des
muscles
se produit, dans l'a-myotrophie liée à la scléros
e fait est intéressant pour ce qui est relatif à la langue , dont les
muscles
, dans la sclérose amyotrophi-que, s'atrophient à
dans celle-ci, suivant la statistique de M. Duchenne, l'atrophie des
muscles
ani-més par les nerfs bulbaires ne se serait mont
tractilité faradique que présentent, jusqu'à la dernière limite, [les
muscles
frappés d'atrophie. B. Les autres symptômes son
rale, la paralysie domine certainement la situa-tion ; l'atrophie des
muscles
n'est là fréquemment qu'un fait consécutif ou mêm
pour la première fois, fixe sérieuse-ment l'attention du malade, les
muscles
des membres affectés offrent en général, à cette
s d'ordinaire circonscrite à une région limitée du membre, à quelques
muscles
de la main ou de l'avant-bras, par exemple: elle
mbre jusqu'à sa racine. Ce n'est plus cette atrophie individuelle des
muscles
que nous avons rele-vée à propos de l'alrophie mu
et plus ou moins généralisée du membre tout entier. D'ailleurs, les
muscles
atrophiés, ou en voie d'atrophie, sont agités de
ilité faradique à peu près intacte. b) En outre de l'émaciation des
muscles
, les membres para-lysés et atrophiés sont bientôt
latérale amyoUophique. Le bras est appliqué le long du corps et les
muscles
de l'é-paule résistent quand on veut l'en éloigne
res complètes, ?.?. 17 dent de la prédominance d'action de certains
muscles
moins profondément affectés que les autres {défor
ons dans la règle, sont dues à la contraction spasmodique de certains
muscles
, à une vérilable contracture qui rend rigides un
alades ont la tête pour ainsi dire fixée, par suite de la raideur des
muscles
du cou; ils ne peuvent, sans effort et sans doule
droite, soit à gauche. Dans un cas que j'ai observé récemment, les
muscles
qui élèvent le maxillaire inférieur étaient contr
ophique, par une lipomatose luxuriante, la-quelle donne du relief aux
muscles
atrophiés: c'est ce dont témoigne, entre autres,
îne pas nécessairement, comme la première, l'atrophie musculaire. Les
muscles
, au contraire, peuvent conserver jusqu'aux der-ni
re ou permanente ou, autrement dit, de la contracture spasmodique des
muscles
, privés du mou-vement volontaire. Déjà, depuis qu
posée à toutes les jointures des membres par l'action spasmodique des
muscles
, ainsi que la 1 Je ne saurais dire pourquoi, da
rigidité musculaire persiste alors sans cesse et sans trêve, dans les
muscles
fléchisseurs comme dans les ex-tenseurs, bien qu'
ins à l'af-faiblissement de l'innervation qu'à l'état spasmodique des
muscles
; dans ceux-ci, d'ailleurs, la nutrition s'accompl
nt élargie transversalement par suite de la prédominance d'action des
muscles
non affectés de la face. Les sillons naso-labiaux
-millements. La rigidité spasmodique s'empare à un certain moment des
muscles
paralysés et atrophiés et détermine des déformati
uis permanente et compliquée parfois d'épilepsie spinale tonique. Les
muscles
des membres paralysés ne s'a-trophient qu'à la lo
e. Ainsi : a) dans la sclérose en plaques ; — b) dans En effet, les
muscles
de la langue et ceux des membres su-périeurs surt
la substance grise antérieure, à laquelle se rattache l'atrophie des
muscles
, serait un phénomène consécutif. La propagation d
manière à entraîner, elles aussi, le dé-veloppement de l'atrophie des
muscles
dans les membres paralysés ? C'est, en effet, u
nt aux lésions partielles du cerveau et de la moelle épinière que les
muscles
demeurent, dans la règle, indemnes de troubles nu
ement à la règle commune, d'une atrophie plus ou moins pronon-cée des
muscles
dans les membres paralysés, survenant à une époqu
théorie que j'ai exposée, de rapporter les altérations trophiques des
muscles
participait à l'altération scléreuse. Le fait a
dans les membres paralysés et, deux mois a peine après l'attaque, les
muscles
, tant du membre in-férieur que du supérieur, comm
ssent d'être douloureux, mais, en revan-che, ils se paralysent et les
muscles
s'atrophient. Cette atro-phie porte à peu près ég
et la main, il est digne de remarque que, dans la pachyméningite, les
muscles
compris dans la sphère d'inner-vation du nerf rad
sulte de cette prédominance de l'altéra-tion dans quelques groupes de
muscles
, une sorte de griffe où l'extension de la main pr
produit consécutivement à la méningite. La rigidité spasmodique des
muscles
relève de la sclérose descendante qui, consécutiv
le, absolument indemnes, on comprend par là pourquoi la nutrition des
muscles
n'est pas directement inté-ressée. Cette absenc
iedreich), à la nuque (Leyden), où elles peuvent n'occuper qu'un seul
muscle
ou même une partie d'un muscle. Si les éminences
où elles peuvent n'occuper qu'un seul muscle ou même une partie d'un
muscle
. Si les éminences thénar et hypothénar sont quelq
tent, dans un grand nombre de cas, parfaitement normales, Souvent les
muscles
des membres in-férieurs, frappés d'incoordination
voit dans la paralysie infantile. Bien qu'elle prédomine sur certains
muscles
ou groupes de muscles, elle s'attaque cependant
nfantile. Bien qu'elle prédomine sur certains muscles ou groupes de
muscles
, elle s'attaque cependant à toute l'étendue ou à
aux symptômes classiques de l'atrophie musculaire progressive, — les
muscles
, ceux même qui n'ont pas subi une réduction de vo
le, sinon une disparition totale de la contractilité faradique. Ces
muscles
, si profondément atteints dans leur nutrition, pe
rer toutes leurs fonctions. Il est rare, néanmoins, que plusieurs des
muscles
les plus gravement compromis ne res-tent pas atro
sie des membres inférieurs surtout, due à la modification de certains
muscles
, ceux-ci ne présentant pas encore d'hypertrophie
beaucoup plus longue la parésie tend à se généraliser et de plus les
muscles
affectés, ceux des mollets principalement, augmen
aux investigations Mais * Charcot. — Note sur fêtât anatomique des
muscles
et de la moelle cpi-nière dans un cas de paralysi
vicale et dorsale de la moelle. Je dois faire remarquer, ici. que les
muscles
qui reçoivent leurs nerfs du renflement cervical
es de l'état normal. Nous avons même rencontré, dans l'épais-seur des
muscles
affectés, plusieurs fdets nerveux qui nous ont se
antérieurs) qui seuls ont une influence directe sur la nutrition des
muscles
, de telle sorte que les lésions spinales, dans ce
t des fourmillements incommodes occupaient les membres ; de plus, les
muscles
paralysés offraient une atrophie profonde et deve
nrent difficiles. Pendant le cours des derniers mois, plusieurs des
muscles
atrophiés, en particulier les adducteurs du pouce
des muscles atrophiés, en particulier les adducteurs du pouce et les
muscles
des mollets, subirent un accroissement de volume
e l'impuissance motrice persis-tât au même degré. A l'autopsie, les
muscles
des membres présentèrent pour la plupart, à des d
à la sub-stitution graisseuse avec ou sans accroissement de volume du
muscle
, elle peut se produire, à titre de complication é
érer. Il est à noter qu'en pareil cas, la substitution graisseuse des
muscles
paraît se rattacher quelquefois à une lipomatose
s comme celle-ci tout à fait exempts d'altération. C'est donc dans le
muscle
lui-même qu'il faut chercher le point de départ d
s doute, dénués d'intérêt. Ce qui frappe tout d'abord dans ceux des
muscles
où l'on peut étudier très exactement les première
bstitution graisseuse, ébauchée déjà dans quelques endroits sur les
muscles
non hypertrophiés, devient presque générale sur c
nier cas, l'examen microscopique Fig. 27. — Coupe transversale d'un
muscle
dans la paralysie pseudo-hypertro-phique. (Phase
a'pression réciproque a rendues Fig. 28. — Coupe longitudinale d'un
muscle
dans la paralysie pseudo-hypertro-phique (deuxièm
ctive. « C'est elle, dit-il, qui produit l'augmentation de volume des
muscles
, en raison directe de la quantité de tissu connec
es. Toujours est-il que, dans les cas où il s'est agi de fragments de
muscles
atteints d'hypertrophie, extraits sur le vivant p
anquer d'être frappés de l'analogie qui existe entre l'altération des
muscles
qui vient d'être décrite et celle qui, lorsqu'il
e pseudo-hypertrophique, d'une manière fatale, au moins dans quelques
muscles
, me paraît constituer, dans l'espèce, un caractèr
, en pareille circonstance, d'une altération des nerfs se rendant aux
muscles
paralysés et atrophiés, a été relevée pour la pre
la région lom-baire de la moelle provenant d'un sujet chez lequel les
muscles
du membre inférieur gauche étaient paralysés et a
ns de la moelle épinière qui intéressent directement la nutrition des
muscles
. Tel est l'état des choses, quant à présent ; j
dits cephaliques tels que l'amblyopie ou l'amaurose, la paralysie des
muscles
mo-teurs de l'œil, appartiennent également à cett
contre l'autre, ne se peuvent séparer qu'à la suite d'efforts où les
muscles
qui s'insèrent au bassin paraissent jouer le rôle
à chaque pas, en raison de la prédominance du spasme tonique dans les
muscles
du mollet, le talon est for-tement relevé et touc
rs sont : L'application du froid sur la peau, ou la compression des
muscles
para-lysés, la flexion (flexion dorsale énergique
n percuté ou tiraillé exercerait une action sur toutes les parties du
muscle
correspondant, qui sons cette influence entreraie
n presque absolue à la production Les masses sacro-lombaires et les
muscles
de l'abdomen peuvent aussi être affectés. En cons
L'exacerbation qui se produit, par moments, dans la con-traction des
muscles
abdominaux peut avoir pour effet d'occa-sionner t
désordres fonctionnels de la vessie ou du rectum, des paralysies des
muscles
moteurs oculaires, des lésions musculaires trophi
rminé d'abord une névrite du bout périphérique, suivie d'atrophie des
muscles
de la main et d'une éruption pemphigoïde. Plus ta
t, si l'on croit son récit, un certain degré de contrac-ture dans les
muscles
de la.main droite. Quoi qu'il en soit, au terme
d'une façon rythmique, par la contraction brusque et involontaire des
muscles
anté-rieurs de la cuisse, — vous voyez en même te
préexis- tence d'une hémiplégie de longue durée avec flaccidité des
muscles
d'abord, puis marquée par un certain degré de con
es mouvements des doigts, c'est-à-dire ceux produits par l'action des
muscles
fléchisseurs et extenseurs des doigts, se font be
; urines fétides. La contractilité électrique est conservée dans les
muscles
des membres inférieurs. — 13e jour, refroidisseme
ec une douleur assez vive siégeant à la nuque, et une contrac-ture du
muscle
sterno-mastoïdien du côté droit. Cinq jours après
es deux bras, les deux épaules surtout l'épaule droite, ainsi que les
muscles
des fosses sus et sous-épineuses. On ne constate
s assez longues en dehors de la Salpêtrière. 1875. — L'atrophie des
muscles
est extrêmement prononcée dans les parties supéri
porte à peu près égale-ment, sur les deux membres. Les deltoïdes, les
muscles
pecto-raux, sont presque complètement détruits ;
médiatement placé sous la peau. La tète n'étant plus soutenue par les
muscles
delà nuque tombe en avant et demeure habituelleme
ence complète de toute teinte grise au niveau des cordons latéraux.
Muscles
D'une façon générale, les muscles malades sont dé
e au niveau des cordons latéraux. Muscles D'une façon générale, les
muscles
malades sont déco-lorés ; ils not pris la teinte
une coloration qui se rapprochent de l'état normal ; tous les autres
muscles
de cette région sont plus ou moins atrophiés et d
t décolorés. Ils sont cependant moins profondément atteints que les
muscles
de l'avant-bras, qui sont, pour la plupart, rédui
teu;"' sont un peu moins atrophiés. A la région postérieure, tous les
muscles
sont profondément atteints, à l'exception de l'ex
seur propre du pouce qui est encore rouge et assez volumi-neux. — Les
muscles
de la région externe sont également atteints. A l
on rouge et un certain relief. Membre inférieur droit. Ici tous les
muscles
ont un volume en-core considérable et une colorat
ont subi une atrophie extrême. Le faisceau claviculaire de ce dernier
muscle
est au contraire rouge et volumineux. — Les muscl
aire de ce dernier muscle est au contraire rouge et volumineux. — Les
muscles
des fosses sus et sous-épineuses sont atrophiés.
t sous-épineuses sont atrophiés. Les pectoraux, les intercostaux, les
muscles
de la paroi antérieure de l'abdomen, ont subi une
Les sterno-mas-toïdiens paraissent à peu près sains, de même que les
muscles
des régions sus et sous-hyoïdiennes. — Les muscle
s, de même que les muscles des régions sus et sous-hyoïdiennes. — Les
muscles
du pharynx sont d'un beau rouge et remarquables p
-mateuse ne saurait, croyons-nous, faire de doute un seul in-stant.
Muscles
. — Un certain nombre de muscles ont été examinés
s, faire de doute un seul in-stant. Muscles. — Un certain nombre de
muscles
ont été examinés à l'aide des divers procédés act
els. L'examen des coupes longitudinales pratiquées sur ces différents
muscles
permet de se faire une idée plus exacte de l'éten
ière, cette fibre unique restée là comme pour attester l'existence du
muscle
, est parfois volumineuse. — Le trapèze dans sa po
r striation, et on a, de prime abord, quelque peine à admettre que ce
muscle
soit le siège d'une altération profonde. Mais qua
egard des coupes qu'il a fournies, d'autres coupes prati-quées sur un
muscle
sain traité de la même façon, les différences dev
tête qui ne s'est produite que lentement, au fur et à mesure que les
muscles
de la nuque devenaient impuissants à la soutenir
dans les Archives de physiologie, que les lésions observées dans les
muscles
, les nerfs et les racines ne se sont produites qu
terminant les altérations profon-des qu'avaient subies la plupart des
muscles
servant à la respi-ration, en particulier les int
les intercostaux et le diaphragme; car c'est à l'altération de ces
muscles
qu'il faut vraisemblablement attribuer la termina
dement terminé l'existence de la malade, la paralysie progressive des
muscles
respiratoires. Le nombre des fibres jouissant de
e. Toutefois, pour expliquer une paralysie aussi complète, dans les
muscles
pourvus de fibres encore assez nombreuses et qui,
erf phrénique qui les plaçait pour la plupart dans les conditions des
muscles
paralysés par soustraction de l'action ner-veuse.
e progressive, marquée surtout aux membres su-périeurs — Atrophie des
muscles
de la langue et de ïorbicidaire des lèvres. — Par
aux avant-bras et aux mains, il y a atrophie prédominante de certains
muscles
ou grou-pes de muscles. Le deltoïde est, des deux
ains, il y a atrophie prédominante de certains muscles ou grou-pes de
muscles
. Le deltoïde est, des deux côtés, très émacié et
ule fait défaut. Aux avant-bras, l'atrophie porte à la fois sur les
muscles
flé-chisseurs et extenseurs des doigts: aux mains
aît être plutôt exagérée aux membres supérieurs. Un grand nombre de
muscles
, ceux surtout des extrémités su-périeures, sont l
rillaires sponta-nées ou provoquées se remarquent encore sur tous les
muscles
de la partie supérieure du tronc. Us sont aussi t
cles de la partie supérieure du tronc. Us sont aussi très marqués aux
muscles
du cou, mais c'est sur les muscles sterno-cléïdo-
nc. Us sont aussi très marqués aux muscles du cou, mais c'est sur les
muscles
sterno-cléïdo-mastoï-diens, en particulier sur ce
Il n'existe pas trace de mouvements fibrillaires sur les différents
muscles
des membres inférieurs. Nous avons fait remarquer
avons fait remarquer déjà qu'à la longue ils sont très prononcés. Les
muscles
les plus pro-fondément amaigris, ceux des avant-b
t des progrès, mais sans jamais être excessive. Enfin, l'atrophie des
muscles
, s'accentuant de plus en plus, rendait les déform
ait considérable, mais sans signe évident d'atro-phie musculaire. Les
muscles
respiratoires fonctionnaient norma-lement et, en
. On n'y remarquait ni déformations atrophiques des divers groupes de
muscles
, ni contractions fîbrillaires. Les pieds présenta
ésentaient rien à noter. c) Système masculaire. — La dissection des
muscles
nous a donné les résultats suivants: 1° A la face
on des muscles nous a donné les résultats suivants: 1° A la face. Les
muscles
des joues et du menton, mais principalement le bu
mal. 2° Au cou. Les sterno-cléïdo-mastoïdiens paraissent sains. Les
muscles
de la région sus-hyoïdienne sont très-petits. Ils
e manière très marquée ; il est mince, pâle, jaune feuille-morte. Les
muscles
du bras sont petits, mais d'une teinte rouge pres
petits, mais d'une teinte rouge presque normale. A l'avant-bras, les
muscles
sont excessivement grêles, mais là en-core la col
es, mais là en-core la coloration rouge est assez bien conservée. Les
muscles
de la main sont jaune feuille-morte et très atrop
t jaune feuille-morte et très atrophiés, surtout les interosseux. Les
muscles
de la main sont certainement, avec ceux de la lan
oir subi un certain degré d'atrophie. La coloration est jaunâtre. Les
muscles
de l'abdomen présentent le même caractère et pour
de l'abdomen présentent le même caractère et pour eux, comme pour les
muscles
du dos, les lésions semblent diminuer et même dis
5° Aux membres inférieurs. L'amaigrissement est assez mar-qué ; les
muscles
ne sont pas volumineux, mais cependant leur émaci
En somme, il ne semble pas y avoir là d'atrophie proprement dite. Les
muscles
sont d'ailleurs rouges et leur tissu semble sain.
ns fait du système musculaire par la description des altéra-tions des
muscles
de la main ; ce sont ceux, en effet, qui offrent
e sont ceux, en effet, qui offrent les lésions les plus avancées. Les
muscles
des éminences thénar et hypothénar, et les muscle
plus avancées. Les muscles des éminences thénar et hypothénar, et les
muscles
interosseux étaient arrivés au même degré de dégé
on des noyaux dans les tubes du sarcolemme. Les vaisseaux, dans les
muscles
affectés, ne nous ont offert au- cune altératio
: cet aspect fen-dillé se retrouve d'ailleurs dans des altérations du
muscle
, qui n'ont rien de commun avec l'atrophie progres
rophie progressive ; on les observe entre autres communément dans les
muscles
des membres infé-rieurs, chez les individus immob
hez les individus immobilisés depuis longtemps. En résumé, dans les
muscles
de la main, c'est-à-dire là où les lésions étaien
de volume dans la masse musculaire ; 2° une coloration jaune pâle des
muscles
; 3°une consistance plus grande du muscle, rappel
coloration jaune pâle des muscles ; 3°une consistance plus grande du
muscle
, rappelant celle du tissu conjonctif; 4° une alté
de tissu conjonctif et de noyaux arron-dis ou fusiformes. Pour les
muscles
de la langue, nous pourrons nous borner à répéter
scription qui précède. Observons seulement que c'est surtout dans les
muscles
intrinsèques de l'organe que les lésions étaient
rinsèques de l'organe que les lésions étaient le plus accentuées. Les
muscles
de ïavant-bras ont à peu près conservé leur color
'absence de toute dégénérescence. On ne remarquait même pas, dans ces
muscles
, cet aspect fendillé qui était àpeu près général
ces muscles, cet aspect fendillé qui était àpeu près général dans les
muscles
des membres supérieurs et inférieurs. Les pecto
uverte laisse constamment écouler la salive. Il semble que tous les
muscles
de la face soient dans un état de contracture per
nt de diduction des mâchoires paraît impossible. — La contraction des
muscles
masticateurs est peu énergique, aussi ne parvient
un amaigrissement nota-ble, étendu à tout le membre ; aucun groupe de
muscles
ne paraît plus spécialement atteint que les autre
ge de contractions fibril-laires abondantes. — L'examen faradique des
muscles
permet de constater qu'ils se contractent tous so
se produit pas partout avec ses caractères normaux, et, dans bien des
muscles
, elle revêt la forme de mouvements fibril-laires.
e de saillies mamelonnées, tapissée d'exsudats puru-lents. Etat des
muscles
. —Les muscles de la face sont très grêles, mais l
mamelonnées, tapissée d'exsudats puru-lents. Etat des muscles. —Les
muscles
de la face sont très grêles, mais leur coloration
nourris et offrent une belle coloration rouge. Les pectoraux et les
muscles
du membre supérieur gauche sont jaunes, décolorés
incis et leur aspect contraste d'une manière frappante avec celui des
muscles
du cou ; le deltoïde surtout est très altéré. A l
muscles du cou ; le deltoïde surtout est très altéré. A la main, les
muscles
des éminences thénar et hypo-thénar sont décoloré
e et atrophié. — 11 en est de même, mais à un moindre degré, pour les
muscles
de l'abdomen. — Le diaphragme a con-servé sa colo
consistance et son épaisseur normales. Aux membres inférieurs, les
muscles
, bien que grêles, sont à peine décolorés, un cert
présentait même cette couleur feuille-morte que donne si souvent aux
muscles
le séjour au lit longtemps prolongé. Etat des c
n nombre de racines antérieures de la moelle. Etude histologique. —
Muscles
. — L'examen des muscles de la langue, pratiqué à
rieures de la moelle. Etude histologique. — Muscles. — L'examen des
muscles
de la langue, pratiqué à plusieurs reprises, a co
des mus-cles, arrivée à un degré avancé de son évolution. — Dans les
muscles
de la face, au contraire, de nombreuses fibres av
t un état granu-leux très prononcé du contenu de la gaine. Dans les
muscles
des membres supérieurs qui, à l'œil nu, avaient u
ire dans les diverses parties du corps, on remarque ce qui suit ; les
muscles
de l'épaule gauche sont manifestement plus amaigr
'aide de lé-gers attouchements. Par suite de l'affaiblissement de ces
muscles
, la malade éprouve de la difficulté à élever son
de la main droite, et il n'y a pas trace d'atrophie prédominante des
muscles
des émi-nences thénar et hypothénar. Le membre
s pas dans la salle, mais non sans beaucoup de fatigue. A gauche, les
muscles
de la partie antérieure de la cuisse et ceux du m
trapèze et sur les sterno-cleido-mastoïdiens. Néanmoins l'action des
muscles
qui meuvent la tète est assez énergique et l'atti
plus en plus pénibles et accompagnées de contractions éner-giques des
muscles
sterno-mastoïdiens, scalènes, grand pectoraux et
présentent, d'ailleurs, aucune altération appréciable. p. Etat des
muscles
. Les muscles extrinsèques de la langue et ceux de
d'ailleurs, aucune altération appréciable. p. Etat des muscles. Les
muscles
extrinsèques de la langue et ceux des régions sus
-hyoïdiennes, présentent une belle coloration rouge ; par contre, les
muscles
propres de la langue se distinguent par leur pâle
ar une diminution évidente de leur consistance. Au larynx, tous les
muscles
intrinsèques paraissent sains à l'exception des a
és et pré-sentent, çà et là, une coloration jaune très manifeste. Les
muscles
crico-thyroïdiens du côté gauche sont d'ailleurs
voisinage de leurs insertions, de petites taches ecchymotiques. Les
muscles
du pharynx ne semblent pas avoir subi d'altératio
mastoï-diens sont grêles, mais ils offrent une coloration rouge. Le
muscle
trapèze présente partout une teinte jaunâtre ; ce
ncée au niveau du bord an-térieur gauche de la partie cervicale de ce
muscle
. En ce point, les faisceaux musculaires sont très
antérieure du del-toïde du côté gauche. La partie postérieure du même
muscle
est relativement peu altérée. Le deltoïde du côté
atrophiés et jaunâtres. Aux bras, aux avant-bras et aux mains, les
muscles
ont, du côté droit comme du côté gauche, l'appa
mal. Le diaphragme ne présente pas d'altération appréciable. Quelques
muscles
des membres inférieurs ont été examinés; ils ont
en qu'ils aient conservé leur coloration rouge de l'état nor-mal, les
muscles
extrinsèques de la langue présentent tous, çà et
sarcolemme ou du périmysium. On peut appliquer la même re-marque aux
muscles
du pharynx qui, eux aussi, paraissent sains à l'œ
les du pharynx qui, eux aussi, paraissent sains à l'œil nu. Quant aux
muscles
du larynx, ceux d'entre eux qui, à l'œil nu, offr
ion gra-nulo-graisseuse à peu près au même degré que la langue. Les
muscles
du bras et de l'avant-bras, ceux de la main (émi-
uses, volumineuses, interposées entre les faisceaux primi-tifs. Les
muscles
des membres inférieurs (muscles de la cuisse, mus
entre les faisceaux primi-tifs. Les muscles des membres inférieurs (
muscles
de la cuisse, muscles plantaires) ont été examiné
imi-tifs. Les muscles des membres inférieurs (muscles de la cuisse,
muscles
plantaires) ont été examinés en plusieurs points.
sarcolemme. Mais elles ne sont pour ainsi dire con-centrées sur aucun
muscle
ou groupe de muscles ; elles sont disséminées un
es ne sont pour ainsi dire con-centrées sur aucun muscle ou groupe de
muscles
; elles sont disséminées un peu partout, et l'on
. Elles sont cependant plus accentuées et plus répandues sur certains
muscles
que sur 'd'autres ; mais ici encore se présente u
s dans le deltoïde et le trapèze, surtout du côté gauche, dans divers
muscles
du larynx, et enfin dans la langue. Il importe de
et, en un mot, toutes les appa-rences de l'état normal, bien que ses
muscles
propres contins-sent, en assez grand nombre, des
nt considérablement affaiblis, et, à l'autopsie, on a trouvé dans les
muscles
qui constituent cet organe des lésions évidemment
ver cette impuissance motrice indépendante de la lésion trophique des
muscles
? Nous ne trouvons à invoquer que cette môme lésio
e, 1868. p. 318. établie. Enfin, l'intégrité anatomique absolue des
muscles
paralysés, constatée plusieurs fois par d'habiles
male et pathologique, 1870, p. 247). Note sur l'état anatomique des
muscles
et de la moelle épinière dans un cas de paralysie
cide chromique. Elles comprennent : 1° divers fragments provenant des
muscles
deltoïde, psoas, pectoral, sacro-lombaire ; 2° le
cule gauche. II. En premier lieu, je dirai ce qui est relatif aux
muscles
exté-rieurs. Ainsi que cela résulte des détails d
èrent plutôt une réduction de volume. Les altéra-tions qu'offrent ces
muscles
peuvent être considérées comme représentant les p
pectoraux présentent de leur côté, à peu de chose près, l'as-pect de
muscles
normaux, traités dans les mêmes conditions par l'
i maintenant en quoi consistent les altérations histolo-gïques de ces
muscles
: sur les coupes transversales, ce qui frappe tou
brilles, lesquelles finissent par Fig. 34. —Coupe transversale d'un
muscle
dans la paralysie pseudo-hyperthrophiqve (Phase i
substitution graisseuse, ébauchée déjà dans quelques endroits sur les
muscles
non hypertrophiés, devient presque générale dans
t, on le sait, très prononcée. En effet, l'examen microscopique de ce
muscle
montre la majeure partie de la surface des coup
ibrillaire de formation nouvelle Fig. 35.— Coupe longitudinale d'un
muscle
dans la paralysie pstudo-hypertrophique (Deuxième
est encore l'atrophie simple qui domine toujours. Pour ce qui est des
muscles
pectoraux et sacro-lombaires, les lésions des fib
consistent dans l'af-faiblissement plus ou moins prononcé de certains
muscles
, ceux-ci ne présentant pas encore d'hypertrophie
ue se passe-t-il dans la seconde période de la maladie, alors que les
muscles
paralysés commencent à augmenter de volume ? Suiv
tive ; « C'est elle, dit-il, qui produit l'augmentation de volume des
muscles
en raison directe de la quantité de tissu connect
es. Toujours est-il que, dans les cas où il s'est agi de fragments de
muscles
extraits sur le vivant $ v,Y excision, ceux-ci on
e époque de l'affection, d'une manière fatale, au moins dans quelques
muscles
, me parait constituer, dans l'es-pèce, un caractè
des fourmillements incommodes occupaient les mem-bres ; de plus, les
muscles
paralysés offraient une atrophie profonde et deve
vinrent difficiles. Pendant le cours des derniers mois, plusieurs des
muscles
atrophiés, en particulier les adducteurs du pouce
des muscles atrophiés, en particulier les adducteurs du pouce et les
muscles
des mollets, subirent un accroissement de volume
que l'impuissance motrice persistât au même degré. A l'autopsie, les
muscles
des membres pré-sentèrent pour la plupart, à des
la substitution graisseuse, avec ou sans accroisse-ment de volume du
muscle
, elle peut se produire, à titre de complication é
mérer. Il est à noter qu'en pareil cas la substitution graisseuse des
muscles
paraît se rattacher quel-quefois à une lipomatose
ces de l'état normal. Nous avons même rencontré, dans l'épaisseur des
muscles
affectés, plu-sieurs filets nerveux qui nous ont
, excepté toutefois dans un cas où l'un de ces filets, appartenant au
muscle
psoas, présenta sur des coupes minces, colorées p
s notre cas, aux altérations qui se mon-traient si prononcées sur les
muscles
des membres. (Extrait des Archives de physiolog
s forcées ; — 2° de plus, Vathêtose ne reste pas toujours limitée aux
muscles
qui meuvent les doigts et les orteils ; quelquefo
l'une des malades que M. Charcot a montrées à ses auditeurs, quelques
muscles
de la face et du cou sont, en même temps que ceux
elques légères grimaces dans la moitié gauche de la face; ce sont les
muscles
des commissures qui paraissent surtout agir. — Au
surtout agir. — Au cou, les troubles moteurs semblent siéger dans les
muscles
peaucier et sterno-mastoïdien gauches. Observat
u moins rapides, ou qu'ils affectent un plus ou moins grand nombre de
muscles
selon la malade que Ton examine. D'autres raiso
ons dans lesquel-les ces affections déterminent l'atrophie rapide des
muscles
.......... 188 ONZIÈME LEÇON des amyotrophies
u-lier. (Type Duchenne-Aran). — Symptômes : atrophie individuelle des
muscles
, troubles fonctionnels, persistance prolongée de
........................... 462 Vil. Note sur l'état anatomique des
muscles
et de la moelle épinière dans un cas de paralysie
re progressive pro-topathique, 9, 74, 217, 218. — A. individuelle des
muscles
, 219. — Troubles fonctionnels, ¿20. — Mo-des d'in
; — des racines an-térieures et des nerfs périphéri-ques, 229 ; — des
muscles
, 231, 431 ; — Pathogénie, 425. — Cas d' —, 435.
etc.) Monoplégie transitoire d'origine sy-philitique, 389, note.
Muscles
(Lésions des) dans la para-lysie glosso -laryngée
s de la) dans les paraplégies par compression, 131. (V. Amyotrophies,
Muscles
, etc.) O Oreilles (Lésions des) dans le ver-t
striques, 36, 280. — Glosso-laryngée, 167,261, 453. — Lésions des
muscles
, 445, 456 ; — des cellules nerveuses motrices, 46
t suiv. —Pseudo-hypertrophique, 117,283,477. — Etat anatomiquedes
muscles
, de la moelle, 477. — Saturnine, 291. — Spinale
Refroidissement des membres, 173. — Déformations, 173. — Lé-sions des
muscles
, 175 ; — de la moelle, 178. Paraplégie alcooliq
— Des racines antérieures, 245. —Des nerfs périphériques, 245. — Des
muscles
, 246, 445, 446. — Symptô-mes, 248. — Évolution, 2
, sur ce phéno- mène qui consiste on une aptitude particulière du
muscle
à la contracture sous l'influence de l'excita-
V hyper excitabilité neuro-musculaire. qu'une simple malavatiou des
muscles
de la face anté- rieure de l'avant-bras, par ex
ocalisée soit au tendon, soit au rameau nerveux, soit au corps du
muscle
lui-même '. § 1. EXCITATION DU TENDON. ÉTUDE DE
ont été nettement formulées par M. Westphal. En premier lieu, le
muscle
sur lequel on veut agir doit être placé dans un
endineuses, détermine un ébranlement soudain de toute la masse du
muscle
. La contraction musculaire réflexe ne peut être
percussion du tendon est suivie alors d'une contraction soudaine du
muscle
qui soulève le segment du membre auquel il s'at
et le choc sur le tendon donner lieu à une contraction plus vive du
muscle
directement intéressé, mais encore provoquer de
raduit les modifications survenues dans l'état de contraction de ce
muscle
. La ligne inférieure offre la même significatio
llations paraissent produites par des contractions alternatives des
muscles
extenseurs et des muscles fléchisseurs. La cour
s par des contractions alternatives des muscles extenseurs et des
muscles
fléchisseurs. La courbe T. c. traduit les contr
muscles fléchisseurs. La courbe T. c. traduit les contractions du
muscle
extenseur du triceps crural. On remarque sur ce
n. Les nombreuses expériences faites sur elle, aussi bien sur les
muscles
des bras que sur ceux des jambes, ont' donné le
7 janvier 1881. Le tambour myographique est placé sur le corps du
muscle
extenseur commun des doigts (avant-bras droit).
prouvent les tracés de la Fig. 3 et 4. L'excitation portée sur les
muscles
fléchisseurs de la main et des doigts nous adon
es centimètres au-dessus du poignet, sur la saillie des tendons des
muscles
palmaires. Comme dans l'expérience pré- cédente
t, en même temps que le réflexe irradié, on voit la contraction (du
muscle
directement excité, de même que celle du muscle
la contraction (du muscle directement excité, de même que celle du
muscle
éloigné du point d'excitation) tendre vers la c
'est redressé, la tête est maintenue renversée par une rigidité des
muscles
de la nuque. En résumé, il s'est produit là une
ussi qu'au point de vue de l'hyperexcitabilité neuro-musculaire les
muscles
de la face et ceux des membres sont soumis à un
pression est beaucoup plus efficace. D'où il suit également que le
muscle
sur le tendon duquel on opère n'a pas besoin d'
abord si singulier, qui consiste à faire contracturer isolément un
muscle
en touchant simplement son tendon, ne présente
n du tendon et celle qui suit l'excitation des nerfs ou du corps du
muscle
lui- même. § IL EXCITATION DES NERFS. L'exc
FS. L'excitation mécanique des nerfs produit la contrac- ture des
muscles
auxquels ils fournissent des rameaux. Afin d'év
de la dif- fusion de l'excitation ou de sa propagation à d'autres
muscles
par l'intermédiaire des anastomosesnerveuses, i
tre dans la distri- bution spéciale des rameaux du nerf cubital aux
muscles
de l'avant-bras et de la main. 1 En effet, le
ux aux Fig. 10. - Griffe cubitale. 64 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE.
muscles
suivants : cubital antérieur; fléchisseur pro-
nt les deux faisceaux externes); interosseux dorsaux et palmaires ;
muscles
de l'éminence hypothénar; les deux derniers lom
e côté, la physiologie nous fournit sur l'ac- tion de chacun de ses
muscles
des données que nous résumons dans le tableau s
ésumons dans le tableau suivant : Action individuelle de chacun des
muscles
innervés par le nerf cubital. Cubital antérie
n. Flexion des premières phalanges. Extension des deux dernières.
Muscles
de l'éminence hypothénar (abducteur et court fléc
ire de là l'attitude spéciale que prendra la main, lorsque tous les
muscles
innervés par le nerf cubital entreront simultan
Cette flexion n'est pas très éner- gique, parce que les deux autres
muscles
fléchisseurs du poignet grand palmaire et petit
ne se produit aucun mou- vement de pronation ou de supination, les
muscles
qui président à ces mouvements, ne recevant auc
la phalange et extension de la phalangette est évidemment due au
muscle
adducteur du pouce dont l'action peut s'effec-
tion peut s'effec- tuer librement. Les interosseux sont les seuls
muscles
innervés par le nerf cubital, de tous ceux qui
it doigt, est le résultat d'actions musculaires plus complexes. Les
muscles
innervés par le nerf cubital et qui ont quelqu'
ui ont quelqu'action sur ces deux doigts sont nom- breux. Parmi les
muscles
fléchisseurs, le fléchisseur sublime est le seu
d, et les phalanges par les interosseux, les lombricaux et deux des
muscles
de l'éminence hypothénar (adducteur et court fl
ur et court fléchisseur). Le mouvement d'extension que ces derniers
muscles
(interosseux, lombricaux) impriment aux deux de
intensité du courant pour que l'excitation se transmette à tous les
muscles
innervés par lui ; ce qui n'a pas lieu sans une
s'expliquer par une dis- tribution plus étendue du nerf cubital au
muscle
tié- 68 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. chisseur pr
ternes. On pourrait admettre aussi qu'il existe dans l'intérieur du
muscle
des anastomoses nombreuses entre les terminaiso
raison dans la distri- bution du nerf médian et la physiologie des
muscles
que ce nerf tient sous sa dépendance. Mais ici,
difficile de ne pas exciter en même temps les parties voisines :
muscles
ou tendons. L'expérience est donc assez déli- c
l'avant-bras et à la main. Le nerf médian fournit des rameaux aux
muscles
suivants : rond pronateur; grand palmaire; peti
al) ; les deux lombricaux externes; le carré pronateur; enfin les
muscles
de l'éminence thénar moins l'adducteur du pouce
ubital. Quelle est maintenant l'action partielle de chacun de ces
muscles
? Comme nous avons fait pour le nerf cubital, n
à ce sujet dans le tableau suivant : Action partielle de chacun des
muscles
innervés par le nerf médian. Rond pronateur.
deux dernières phalanges et fléchisseurs de la première phalange.
Muscles
de l'éminence thénar qui se rendent au côté exter
endra le membre sous l'influence de l'action com- binée de tous les
muscles
innervés par le médian. A priori, l'excitation
omme nous le verrons tout à l'heure. Pronation énergique. Aucun des
muscles
innervés par le médian n'est supinateur, et ne
nateur, et ne peut par cela même contre- balancer l'action des deux
muscles
pronateurs (rond pro- nateur et carré pronateur
et carré pronateur). Flexion de la main sur l'avant-bras. Sur trois
muscles
flé- chisseurs de la main sur l'avant-bras (qui
uxième. Le mouvement d'opposition est exécuté par les faisceaux des
muscles
de l'éminence thénar qui s'attachent au côté ex
lange. Ces mêmes ÉTUDE DE L'HYPNOTISME CHEZ LES HYSTÉRIQUES. 71 I
muscles
à la manière des interosseux fléchissent la phala
c d'autant plus d'énergie qu'il n'est contreba- lancé par aucun des
muscles
extenseurs ; il n'en est pas de même du mouveme
uver annulé par l'action du fléchisseur propre du pouce. Ce dernier
muscle
, en raison de sa masse musculaire paraît même d
er encore s'il est possible; on voit alors l'action s'étendre à des
muscles
en dehors de la sphère du mé- dian, aux muscles
n s'étendre à des muscles en dehors de la sphère du mé- dian, aux
muscles
de l'épaule rotateurs de l'humérus, et le mouve
on externe et de la région postérieure de l'avant-bras. Ce sont les
muscles
: Long supinateur; Les deux radiaux externes
Court extenseur du pouce ; Long abducteur du pouce. De tous ces
muscles
un seul est fléchisseur et encore dans de certa
eul préside efficace- ment au mouvement de supination. Les autres
muscles
innervés par le radial sont tous extenseurs : l
(extenseur commun et les deux extenseurs .propres : ces derniers
muscles
, d'après Ducheune.(de Boulogne), étendent énerg
'ont qu'une action très faible sur les deux dernières). Les trois
muscles
du pouce, agissant simultanément, déterminent l
uites, par le raisonnement, de l'action physiologique de chacun des
muscles
innervés par le nerf radial. En effet, l'attitu
- mations que nous 'constatons actuellement (février 1881). Les
muscles
du bras et de l'avant-bras sont atro- phiés. L'
hie complète du deltoïde et à l'atrophie moins prononcée des autres
muscles
de l'épaule. Ainsi, le point de départ de l'a
re la tête humérale de la peau, il est facile de reconnaître que le
muscle
deltoïde a déjà subi une atrophie manifeste.
re, par l'aponévrose de Gerdy qui, comprenant dans son épaisseur le
muscle
petit pectoral, va se confondre au bord inférie
d inférieur du grand pectoral, avec l'aponévrose antérieure de ce
muscle
, et en ce point adhérant fortement à la peau, f
l'épaule droite est si facile à explo- rer, grâce à l'atrophie des
muscles
, quoique les lésions remontent à une période an
musculaire dite paradoxale, qui consiste en un spasme permanent du
muscle
tibial anté- rieur, à la suite d'une brusque fl
l nous faisons allu- sion, que Westphal considère le relâchement du
muscle
comme agissant à la manière d'une excitation ;
nière d'une excitation ; or, il est constant que la tension du même
muscle
détermine un spasme analogue ; et c'est en rais
racture provoquée. Erlenmeyer ' n'admet pas que le relâchement d'un
muscle
puisse jamais être une cause de contraction ou
jambe étant flé- chie sur la cuisse, on rapproche avec la main les
muscles
du mollet de leur insertion calcanéenne. En par
t le pied sur la jambe quel que soit le degré de cette flexion, les
muscles
du mollet ne peuvent pas être distendus et le t
caractères graphiques, une grande analogie avec la contraction d'un
muscle
empoisonné par la vératrine. Quant à définir le
e ce qui s'observe dans les autres modifications fonctionnelles des
muscles
. 1 Centralbl. f. llei-ve7zheilkit71de, 1880, n-
tations morbides imputables à une perturbation de la tonicité des
muscles
. E. B. II. RECHERCHES graphiques SUR LES mouvem
En outre, le temps perdu devrait être de longueur inégale pour des
muscles
situés à des distances inégales de la moelle. O
énomène dans le même temps en percutant, au lieu du tendon, soit le
muscle
lui-même, soit l'os sur lequel il s'insère; c'e
t comme si une onde vibratoire se propageait d'un bout à l'autre du
muscle
. On peut aussi déterminer le phénomène en percu
aximum ; c'est d'ail- leurs cette différence dans l'irritabilité du
muscle
qui règle ses réactions en présence des excitan
e : 10 cou- rant continu ; 2° courant interrompu ; 3° percussion du
muscle
; 4° percussion du tendon ; 5° percussion de l'
eur n'a été clairement démontré, et auprès des zones d'où de petits
muscles
seuls sont supposés tirer leur innervation cort
sont : l'anesthésie de la peau, l'hyperesthésie et la paralysie des
muscles
, l'anasarque, les palpitations, des mur- mures
énéralement l'anesthésie cutanée qui apparaît successivement sur le
muscle
tibial antérieur, à l'extrémité des doigts et a
e. La paralysie occupe, à des degrés variables, certains groupes de
muscles
, souvent ceux qui sont sous-jacents aux plaques
ps une sorte de BIBLIOGRAPHIE. 143 rétraction avec induration des
muscles
du mollet, et une ten- sion du tendon d'Achille
certaine gêne de la respiration, duc probablement àla paralysie des
muscles
du tho- rax, et des palpitations, quand le mala
(Suite) « ; Par MM. CHARCOT et Paul RICHER. § III. EXCITATION DES
MUSCLES
. L'expérience a montré que la malaxation ou la
simple pression des masses musculaires amenait la contracture des
muscles
excités. Mais, dans ce cas, la contracture est-
etits rameaux nerveux et de leurs terminaisons dans la substance du
muscle
? La solu- tion de ce problème ne saurait être
oi qu'il en soit, la contracture qui suit l'excitation mécanique du
muscle
est facile à démontrer chez les sujets hypnotis
ien, ou une simple pression sur un point de ses fibres, pour que ce
muscle
entre en contracture, imprimant à la tête le mo
itement, sur cette photo- graphie, la corde saillante formée par le
muscle
con- tracture dont les deux extrémités, en se r
u duquel la face se trouve dirigée latéralement du côté opposé au
muscle
directement excité. Pour faire cesser cette con
ilisée bientôt dans l'ex- tension forcée, le cou saillant. Tous les
muscles
qui, ÉTUDE DE L'HYPNOTISME CHEZ LES HYSTÉRIQUES
hit l'a- vant-bras, etc Il résulte des expériences faites sur les
muscles
larges et fasciculés, tels que le deltoïde, que
oïde, que : a). L'excitation portée sur un point, même limité, du
muscle
produit sa contracture en masse (tandis qu'à l'
e faire con- tracter isolément les différents faisceaux d'un même
muscle
). b). La contracture d'un muscle, provoquée dan
s différents faisceaux d'un même muscle). b). La contracture d'un
muscle
, provoquée dans ces conditions, entraîne presqu
s conditions, entraîne presque toujours l'action simulta- née des
muscles
qui lui sont synergiques. Ce qui se passe lors
sation est localisée au deltoïde, ne se produit pas lorsque ce même
muscle
est contrac- ture par l'excitation mécanique da
itude physiologique, trahissant ainsi la contracture simultanée des
muscles
synergiques, trapèze et grand dentelé, bien que
uscles synergiques, trapèze et grand dentelé, bien que ces derniers
muscles
n'aient subi aucune excitation directe. Nous
essaire de les signaler dès maintenant. L'expérimentation sur les
muscles
de l'avant-bras et de la main est plus complexe
lus complexe, et cela pour plusieurs raisons faciles à saisir : les
muscles
sont de petit vo- lume, et réunis en grand nomb
it espace; en plusieurs points, il y a superposition de plusieurs
muscles
, de sorte qu'il est difficile que la pression d'u
sieurs muscles, de sorte qu'il est difficile que la pression d'un
muscle
superficiel ne retentisse pas sur les muscles p
e que la pression d'un muscle superficiel ne retentisse pas sur les
muscles
profonds; les actions synergiques y sont multip
petit bâton, on cherche à mettre en action isolément les différents
muscles
de l'avant-bras d'une hystérique hypnotisée et
ie sous le nom de points d'élection pour l'excitation partielle des
muscles
. - Instruit par une longue pratique, Duchenne (
cette science de localiser exac- tement l'action électrique sur un
muscle
ou sur un faisceau musculaire. Il put ainsi dém
nt l'action partielle, jusque-là inconnue, d'un certain nombre de
muscles
et doter la physiologie des mouve- ments d'impo
é facilement trouvé. L'action par- tielle de ces diffé- rents
muscles
est trop connue de- puis les recher- ches d
pour que nous y insistions ici. A la main, l'excita- tion des
muscles
a>S '5 S -a si N ri O ,7 ..a O
e au tendon du long fléchis- seur du pouce qui passe sous ces
muscles
. Quanta à l'éminence hy- pothénar, l'exci-
résultent : ' a) Delà possibilité de localiser l'excitation à un
muscle
ou à un groupe de muscles; b) De la possibilité
possibilité de localiser l'excitation à un muscle ou à un groupe de
muscles
; b) De la possibilité d'exciter un muscle, soit
muscle ou à un groupe de muscles; b) De la possibilité d'exciter un
muscle
, soit directe- ment, en portant l'excitation su
s les cas d'hyper- excitabilité. Mais, ceci n'est vrai que pour les
muscles
182 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. des membres. No
GIQUE. des membres. Nous savons en effet que, pour ce qui est des
muscles
de la face, l'excitation mécanique, pen- dant l
localisation de l'excitant dans les différents faisceaux d'un même
muscle
. Il est facile de localiser l'excitation électr
localiser l'excitation électrique dans une partie seu- lement d'un
muscle
large et fasciculé, tandis que, dans l'état d'h
dans l'état d'hyperexcitabilité, la contraction totale de ce même
muscle
suit toujours l'excitation mécanique par- tiell
de l'excitation. Dans l'état d'hyperexcitabilité, le mouvement d'un
muscle
s'accom- pagne ordinairement de l'action des mu
mouvement d'un muscle s'accom- pagne ordinairement de l'action des
muscles
qui lui sont synergiques, sans que l'excitation
la veille, par la faradisation. Elle n'est possible que pour les
muscles
superficiels, elle n'est réellement fa- cile qu
cédés. Quelques exemples feront bien comprendre : En comprimant un
muscle
superficiel, la pression, pour- vu qu'elle soit
HEZ LES HYSTÉRIQUES. 183 à la même excitation, que ce soit un autre
muscle
, un nerf ou un tendon. Ainsi, en comprimant le
ce qu'il est facile d'expliquer par la compression des tendons des
muscles
fléchisseurs qui sont au-dessous. Lorsqu'on che
s fléchisseurs qui sont au-dessous. Lorsqu'on cherche à exciter les
muscles
interosseux en comprimant sur le dos de la main
tres , tandis que l'électrisation localisée nous a appris que les
muscles
interosseux, en même temps qu'ils étendent la p
d'erreur dont nous parlons, si l'organe à exciter, tendon, nerf ou
muscle
, se trouve parfaitement seul intéressé, l'hyper
individus, les points d'élection pour l'excitation partielle des
muscles
; . c) De la diffusion de l'excitant qui, lorsqu
pas exactement mesurée, peut gagner les or- ganes voisins, nerfs ou
muscles
. A ces difficultés s'ajoutent, au sujet de l'hy
es conditions de l'expérimentation sont un peu moins complexes. Les
muscles
sont superfi- ciels, disposés le plus souvent e
ètement le résultat cherché. . Ainsi que nous l'avons déjà dit, les
muscles
de la face, pendant la phase d'hyperexcitabilit
ité neuro-mus- culaire, se comportent d'une autre manière que les
muscles
du corps. Ils sont également susceptibles d'êtr
ités mécaniquement. Une simple pression, exercée directement sur le
muscle
lui-même ou sur le rameau nerveux qui l'innerve
ransforme jamais en contracture permanente. Ce mode de réaction des
muscles
de la face à l'exci- tant mécanique est une ana
expériences de Duchenne (de Boulogne) sur l'action partielle des
muscles
de la face, et la part qui revient à chacun d'e
ire la contraction isolée 186 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. de chaque
muscle
par l'excitation des points d'élection indiqués
e destinée à mettre en mouvement un Plus ou moins grand nombre de
muscles
, ce que l'on reconnaît à leur contraction simul
u grand zygomatique, aurait dû produire la contraction isolée de ce
muscle
, ainsi qu'on l'observera dans la figure 30 ; ma
iale de la septième paire, a pro- voqué la contraction en masse des
muscles
innervés par ce tronc nerveux et n'a pu* produi
elle retentit presque toujours sur un plus ou moins grand nombre de
muscles
voisins de la région excitée, et parfois sur qu
re de muscles voisins de la région excitée, et parfois sur quelques
muscles
éloignés. Dans ce cas, la contraction musculair
emblement. -Une excitation trop forte se propage souvent à quelques
muscles
voisins ; 2° La contraction du muscle cesse le.
e propage souvent à quelques muscles voisins ; 2° La contraction du
muscle
cesse le.plus souvent en. même temps que la pre
n peu insisté, mais elle ne se transforme jamais en contracture. Le
muscle
peaussier est celui dont la contraction se main
ient le plus longtemps, tenant en quelque sorte le milieu entre les
muscles
des membres et ceux de la face;' 3° Malgré la
ssion à un degré égal sur le point qui a provoqué la contraction du
muscle
, on ne tarde pas à voir celle- ci s'effacer peu
par disparaître complè- tement ; 4° L'excitation unilatérale d'un
muscle
pair s'obtient le plus souvent fort aisément ;
aisément ; mais, il arrive parfois que l'excitation retentit sur le
muscle
homologue du côté opposé, qui se contracte alor
peut constater sur la Figure 1 de la Planche X, où l'excitation du
muscle
orbiculaire palpébral supérieur n'a été portée
que d'un seul côté. Il nous a semblé que cette loi de synergie des
muscles
pairs se manifestait d'autant plus facilement q
des muscles pairs se manifestait d'autant plus facilement que ces
muscles
étaient situés plus près de la ligne médiane. E
remarqué qu'une double excitation, portée à la fois sur les deux
muscles
pairs, donnait lieu à une exagération du mou- v
rale ; 5° Il est possible de faire contracter à la fois plusieurs
muscles
, de façon à reproduire les contractions com- bi
s ' ÉTUDE DE L'HYPNOTISME CHEZ LES HYSTÉRIQUES. N$',y} ' ? / r, .
muscles
de la face, et nous mettrons en regard, d'un cô
llantes. D'après les recherches de Duchenne (de Boulogne), quatre
muscles
de la face ont le privilège de peindre complète
nt, par leur action isolée, une expression qui leur est propre. Ces
muscles
occupent la partie su- périeure du visage et im
l'électrode pour amener la contraction par- tielle de chacun de ces
muscles
sont indiqués sur le schéma (Fig. 16). Fig. 1
(Fig. 16). Fig. 16. Fig. 16. Points > moteurs des principaux
muscles
de la face. 1, frontal; 2, sourcillier; 3,.or-
its de la face est résumée dans les schémas suivants : 1° Frontal
Muscle
de l'attention. (Fird. 17). Sa contraction prod
centriques à l'arc du sourcil; 2° Orbiculaire palpébral supérieur :
Muscle
de la réflexion (Fig. 18). - Abaissement du sou
hors. Il affecte la forme d'une ligne si- Fig. 17. Contraction du
muscle
frontal. Muscle de l'attention, de Du- clicnn
a forme d'une ligne si- Fig. 17. Contraction du muscle frontal.
Muscle
de l'attention, de Du- clicnne. Fig. 18. Co
Muscle de l'attention, de Du- clicnne. Fig. 18. Contraction du
muscle
orbiculaire palpébral supérieur. Muscle de la
Fig. 18. Contraction du muscle orbiculaire palpébral supérieur.
Muscle
de la réflexion, de Du- cheniie. ÉTUDE DE L'H
ond à leurs deux tiers externes; .1 1 q , 1 4° Pyramidal du NEZ :
Muscle
de l'agression (Fig. 20). La tête du sourcil es
e du nez. Chez notre malade hypnotisée, l'excitation de ces mêmes
muscles
, par une simple pression exercée sur les points
s a donné les résultats sui- vants : , rrg. 1 s. Contraction du
muscle
sottrcillier. Muscle de la douleur, de Du- uh
sui- vants : , rrg. 1 s. Contraction du muscle sottrcillier.
Muscle
de la douleur, de Du- uhenne. Fig. 20. Cont
ur, de Du- uhenne. Fig. 20. Contraction du pyramidal du izez.
Muscle
de l'agression, de Du- chennc. 192 PHYSIOLOGI
nerf frontal, ou par la pression portée sur un point quelconque du
muscle
(PL. IX, Fig. 3). L'orbiculaire palpébral supér
l n'est pas sans intérêt de faire remarquer, avec Duchenne, que les
muscles
« moteurs du sourcil sont, de tous les muscles
Duchenne, que les muscles « moteurs du sourcil sont, de tous les
muscles
expressifs, ceux qui obéissent le moins à la vo
'). (Duchenne, Mécanisme de la physionomie..., page 8). Parmi les
muscles
qui sont situés au-dessous du sourcil, les uns
parfaitement rendue que par la contraction simultanée d'un autre
muscle
, les autres n'expriment absolument rien par eux
présenter spécialement des passions en se combi- nant avec d'autres
muscles
. Ces données, qui sont le résultat des expérien
s auxquelles nous nous sommes livrés. Le grand zygomatique est le
muscle
de la joie. Il est le seul qui puisse exprimer
'expression soit complète, il est 13 Fig. 21. L. Contraction du
muscle
grand zygomatique. Muscle du rire, de Duchenn
est 13 Fig. 21. L. Contraction du muscle grand zygomatique.
Muscle
du rire, de Duchenne, rire faux. Fig. 22. C
aux. Fig. 22. Contraction simultanée du grand zygomatique et du
muscle
orbi- culaire palpébral inférieur. Expression
ès Duchenne. 194 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. nécessaire qu'un autre
muscle
intervienne en même temps et imprime à la paupi
prime à la paupière inférieure un mouve- ment particulier, c'est le
muscle
orbiculaire palpébral inférieur, appelé par Duc
'est le muscle orbiculaire palpébral inférieur, appelé par Duchenne
muscle
de la bien- veillance. , 1 L'action partielle
muscle de la bien- veillance. , 1 L'action partielle de ces deux
muscles
est résumée .dans les schémas suivants : , ,
est résumée .dans les schémas suivants : , , Grand zygomatique :
Muscle
du rire (Fig. 31). Lignes fondamentales : mouve
s de l'angle extérieur de l'oeii. Orbiculaire palpébral INFÉRIEUR
Muscle
de la bienveillance (Fig. 22). Relief de la pau
quelquefois, dit-il, de localiser exactement l'excitation dans ce
muscle
... Cette localisation est assez difficile; carie
pas sans présenter quelques 'difficultés. Il arrive souvent que les
muscles
situés en dedans de lui (petit zygomatique, élé
r d'être mousse^il est'possible d'isoler assez bien l'action de ce'
muscle
, ainsi que le montre les Figures l'et'3 de la P
ction bien différente ' de celle' du grand' zygomatique. C'est un
muscle
du pleurer. Le "schéma'suivant résume son actio
cette figure à la suivante, (qui représente i l'action isolée du
muscle
élévateur commun del1 lèvre supérieure et de l'
mettent parfaitement en lumière. La contraction par- tielle de ce
muscle
est très facilement obtenue chez notre malade.
a , ' Fig. 3. t, î 1 19 Contraction du petit' zygomatique.' ' '
Muscle
du pleurer, de Duchenne.' - T t d''f<i 1 ) i
enne.' - T t d''f<i 1 ) i, t Fig. 4. ! ,r-t 1 Contraction ' du
muscle
élévateur ,t commun , de l'aile du nez. et de
' ÉTUDE DE L'HYPNOTISME CHEZ LES HYSTÉRIQUES. 197 contraction du
muscle
suit l'excitation du rameau ner- veux qui lui e
re' 1 de la Plan- CHE XII,- l'excitation est portée sur le corps du
muscle
- lui-même. Duchenne résume ainsi l'action part
muscle - lui-même. Duchenne résume ainsi l'action partielle de ce
muscle
(Fq. 2-4). L'aile du (nez'est attirée en haut,
se marquer de plis parallèles à- la direction de l'épine nasale. Ce
muscle
est susceptible de" grandes variations, suivant
ée Cait)...', tandis que chezWitt... l'excitation isolée de ce même
muscle
n'a pu être'obtenue. t^~A / Par contre, chez
pu être'obtenue. t^~A / Par contre, chez cette dernière ma)ade,')es
muscles
dilatateurs, des narines peuvent êtèetrès-facil
nilatérale. C'est un nouvel exemple de la synergie musculaire des
muscles
pairs de la' face, dont nous avons déjà parlé.
rant l'extrémité de l'excitateur. Le triangulaire DES LÈVRES est le
muscle
, de la tris- tesse. Sous l'influence de la cont
L'HYPNOTISME CHEZ LES HYSTÉRIQUES. 199 La contraction partielle des
muscles
du menton et de la lèvre inférieure est assez d
difficile à obtenir, à cause de la superposition de ces différents
muscles
en certains points et de l'intrication d'une pa
.du rameau nerveux, , dont les fibres se distribuent. à plusieurs
muscles
à la fois., En beaucoup de points égale- ,, m
era à la fois des .fibres muscu- laires appartenant à plusieurs
muscles
soit, superposés, ,soit, juxtaposés.* ,I, , z ;
e XII, l'excitation por- tée sur le milieu du menton met en jeu les
muscles
DE .. ->n, i -I . ? / . ... LA houppe du m
s muscles DE .. ->n, i -I . ? / . ... LA houppe du menton. Ces
muscles
impriment aux tégu- tg - 11 t l 1 - . 14 11 t1
région, est également très facilement excitable. Le peaucier est le
muscle
de la frayeur et de .l'effroi.. Il tire en bas
raits occasionnés par le peaucier vient s'ajouter l'action d'un des
muscles
mo- t, ." i ? , ,1 ' 1 ' ' 1 .. 1 l teurs du
on de la physionomie. Nous savons d'ailleurs que la contracture des
muscles
des membres obtenue par les mêmes procédés pers
- t'exempte de D'ucheiine, la contraction simul- tanée de plusieurs
muscles
, que ces muscles concourent à l'expression d'un
ucheiine, la contraction simul- tanée de plusieurs muscles, que ces
muscles
concourent à l'expression d'un même sentiment (
et, la malade- étant rendue cataleptique pendant l'excitation d'un
muscle
, la contraction de ce muscle persiste parfois u
cataleptique pendant l'excitation d'un muscle, la contraction de ce
muscle
persiste parfois un certain temps après l'excit
côté de la face, une expression opposée en faisant contracter des
muscles
différents. Par exemple, le grand zygomatique d
nce que possède l'excitation d'un seul muscle- à 'retentir sur le
muscle
homologue' du' côté opposé,' gêne l'action loca
t> il y a parfois un peu- de diffusion de, l'excitation dans les
muscles
voisins. -Néanmoins ? s'ilnse produit alors' de
de la Planche XIII en' sont vraiment» saisissants. L'excitation du
muscle
.-élévateur commun ÉTUDE DE L'HYPNOTISME CHEZ LE
ques expériences sur des rameaux -nerveux, isolés et i éloignés des
muscles
qu'ils -innervent, le. prouvent pé-t remptoirem
état i d'hyperexcitabilité neuro-muscu- laire, la contraction ! des
muscles
qui . sont sous la 20't- le PHYSIOLOGIE PATHOLO
int de l'excitation, la con- traction s'accuser, davantage dans les
muscles
de l'oeil, du nez ou des lèvres et du menton. -
e l'oreille; 'il est. facile de constater, en effet, que tous les
muscles
de cette moitié du visage sont entrés en contra
- Il s'agit dei l'extension de cette hyperexcitabilité jus- qu'aux
muscles
de l'oreille, circonstance assurément fort inté
ment ? Nous trouverons là un exemple de plus de l'excitation d'un
muscle
, directement1, ! en agissant sur les fibres muscu
produit le même-résultat, et qui cor- respond bien certainement -au
muscle
auriculaire su- périeur. Que conclure de ce fai
tragus intéresse le rameau nerveux- qui iva donner le mouvement au
muscle
auriculaire supérieur, et , qui 'ne sauraitiêtr
otique; cèdetrèsfacilement par la friction ou la ma- laxation des
muscles
anta- agonistes. Cette excitation, 'que l'on*
urs, elle fait cesser nia contracture partielle de n'importe quel
muscle
né- chisseur et inversement. Si l'action est
le et ne ^ s'adresse' pas directement au,hmuscle antagoniste du
muscle
contracture, au lieu de -faire cesser la'contra
ion forcée de ce segment du membre, avec contracture permanente des
muscles
excités. En F,, friction des muscles antagonist
vec contracture permanente des muscles excités. En F,, friction des
muscles
antagonistes, la contracture cède, rapidement,
ujet, et, pendant l'état léthargique, procé- der à l'excitation des
muscles
antagonistes dont l'effet est instantané. * ?
(Fig. 9). Nous approchons alors de l'avant-bras gauche, dont les
muscles
sont demeurés dans le relâchement, l'extrémité
en pronation, de façon que le dos de la main regarde en haut. Les
muscles
sont dans la résolution. En touchant sur l'avan
xpérience peut être répétée avec un égal succès pour les différents
muscles
extenseurs. En voici un autre exemple : le peti
normale du relâchement musculaire. , La pression sur la masse des
muscles
de la région postérieure de l'avant-bras amène
maintenue par la contracture simultanée d'un certain - nombre de
muscles
, se déplace de la même façon que dans les expér
urgicale, faisait disparaître dans ce membre toute dis- position du
muscle
à se contracturer sous l'influence des excitant
le moment, nous constatons que l'excitation mécanique portée sur un
muscle
ané- mié ne saurait y provoquer de contracture,
t y provoquer de contracture, mais n'en détermine pas moins dans ce
muscle
une disposition ''spéciale à la contracture, qu
de l'a- "'némie'et le retour avec la circulation de l'aptitude du
muscle
à la contracture. · ' -y.j '4 » - , , .. ,1 1
de soulever les paupières pour faire cesser aussitôt l'aptitude des
muscles
à se contracturer et faire naître la catalepsie
anémié, à la région, du. coude. Nulle modifica- tion de l'état'des'
muscles
. " ' 'r L'aimant est' appliqué près de l'avant-
ansfert, elle est de- venue manifeste, parce que du côté gauche les
muscles
ne sont pas anémiés et n'ont pas, par là même,
frontale comme le point où aboutissent les nerfs qui animent les
muscles
de l'appareil de la phonation. Cette hypothèse ne
n dans l'articulation du poignet. Il n'y avait pas de paralysie des
muscles
des bras ou des épaules ; il n'y avait non plus
deltoïdes' sont affaiblis, mais peu atrophiés. On constate dans ces
muscles
une diminution peu considérable de la contracti
z accusé et une atrophie peu considérable des'' deux deltoïdes. Les
muscles
des bras ne présentent rien de particu- lier à
radiaux ; mais la diminution de volume est très accentuée pour les
muscles
de la région postérieure. Cette lésion' corresp
nt très nettement la réaction de dégé- nérescence. A la main, les
muscles
interosseux et de l'éminence thénar sont très a
l'atrophie de l'éminence thénar est tellement marquée, que tous les
muscles
paraissent avoir complètement disparu à ce nive
triceps cru- raux qui sont affaiblis et atrophiés. A la jambe, les
muscles
les plus atrophiés sont ceux de la partie antér
éro-externe, surtout du côté gauche; et, taudis que tous les autres
muscles
des membres infé- rieurs répondent normalement
de la jambe gauche, due à la faiblesse encore persistante dans les
muscles
an- téro-externes. Les muscles des épaules étai
aiblesse encore persistante dans les muscles an- téro-externes. Les
muscles
des épaules étaient revenus à leur état normal,
ndant, les triceps cruraux, et surtout lé groupe antéro-externe des
muscles
de la jambe gauche ? présentent encore une dimi
mbres supérieurs, il existe aussi un certain degré de faiblesse des
muscles
de l'avant-brâs, surtout des muscles de la région
certain degré de faiblesse des muscles de l'avant-brâs, surtout des
muscles
de la région posté- L , ? a -* 1 238 RECUEIL
même temps que se produit cette série de symptômes alar- mants, les
muscles
atteints diminuaient de volume et subis- saient
! La leucocytose fut observée 'dans 'deux cas ; une altération des
muscles
dans trois. Dix-huit malades moururent de'malad
Les mouvements de la face sont moins libres du côté gauche ; les
muscles
pourtant répondent avec énergie au courant élec-
étériorée' partielle.-1 Dans lepre- mier ? le spasme'est'limité aux
muscles
de' la face'/des oreilles et "du1 voile1 'du' p
ses n'occupent que les muscles'du"tronc ! des 'épaules* et quelques
muscles
de la face; dans le troisième enfin, 'le spasme
in'rp.T rp rr rt, q ? t. t ? .... de la mort a été la paralysie des
muscles
respiratoires par com- pression brusque des ori
ulums ubrineux et la d 1é'g',é7'zeî-esce2cel cireuse (vitreuse) des
muscles
; celle-ci était prononcée surtout dans les addu
ts de'l'abd omen, lé biceps,'le 'diaphragmé,' les intercostaux, les
muscles
du 'cou. : infiltration du périm'ysium par des
sectionné d'abord un morceau du biceps' gauche (en plein ventre' du
muscle
), on constatait que la période des contractions
cond examen pratiqué, par le même moyen,' un mois plus tard, sur le
muscle
droit interne de' la cuisse, 'démontre la, même
e des ab- cès du), 254. 0 Chorée (limitée à certains groupes de
muscles
), par Warner, 259. 314 table 'des matières.
ATION DES PLANCHES. ; ! 2'J PLANCHE IX . Excitation mécanique des
muscles
de la face pendant la léthargie hypnotique. (
usée anatomo-patholojique de la Salpêtrière.) Fig. 1. Excitation du
muscle
sterno-mastoidien du côté gauche. Contraction d
citation du muscle sterno-mastoidien du côté gauche. Contraction du
muscle
. Fig. 12. - Excitation du nerf facial en avant
ial en avant de l'oreille du côté droit. Contraction simultanée des
muscles
de l'mil, du nez et de la bouche. Fig. 3. Excit
de l'mil, du nez et de la bouche. Fig. 3. Excitation bilatérale du
muscle
frontal. Fig. 4. Excitation bilatérale du muscl
tion bilatérale du muscle frontal. Fig. 4. Excitation bilatérale du
muscle
nrbiculaire palpébral supé- 1 leti Il. 33H EX
ICATION DES PLANCHES. PLANCHE X Fig. t. Excitation unilatérale du
muscle
palpébral supérieur. On peut constater dans le
érale du muscle palpébral supérieur. On peut constater dans le même
muscle
du côté opposé à l'excitation, un léger degré d
e contraction. Fig. 2. Dans crtte figure, à la contraction des deux
muscles
orbicu- laires palpébraux supérieurs excités di
pyramidaux du nez. Fig. 3. Excitation unique et médiane des deux
muscles
dilatateurs des narines. Fig 4. Excitation du
du petit zygomatique. Il s'y joint un léger degré de contraction du
muscle
élévateur de l'aile du nez et de la lèvre supér
nez et de la lèvre supérieure. Fig. 4. Excitation unilatérale du
muscle
élévateur commun du nez et de la lèvre supérieu
n, parfaitement localisée, porte sur le rameau nerveux destiné à ce
muscle
. 132 EXPLICATION DES PLANCHES. PLANCHE XII
CATION DES PLANCHES. PLANCHE XII Fig. 1. Excitation bilatérale du
muscle
élévateur commun de l'aile du nez et de la lèvr
et de la lèvre supérieure. L'excitation porte sur le corps même du
muscle
. Fig. 2. Excitation bilatérale du carré du ment
S PLANCHES. 33 : ! PLANCHE XIII Fig. 1. Excitation simultanée des
muscles
frontaux et peaussiers. Masque de l'effroi, d'a
omie ait été modifiée pour cela. Fig. 3. Excitation simulatanée des
muscles
orbiculaires palpébraux supérieurs et des grand
gauche par l'ou- verture de l'oeil gauche. Excitation bilatérale du
muscle
élévateur commun de la lèvre supérieure et de l
cle élévateur commun de la lèvre supérieure et de l'aile du nez. Le
muscle
droit du côté léthargique se contracte seul. Du
ters. Cette gène de la miction tenait sans doute à la paralysie des
muscles
de la paroi abdominale, et, en partie, à l'impo
De même encore les mouvements qui nécessitent la contraction des
muscles
du tronc et du cou s'exécutaient sans vigueur.
rande étendue. Le malade pouvait ouvrir largement la bouche, et les
muscles
, intéres- sés à ce mouvement, se contractaient
t des lèvres. On ne constatait plus de traces d'une paralysie des
muscles
extrinsèques de l'oeil. Les pupilles réagissaie
urs, le malade affirmait n'avoir pas maigri. De temps en temps, les
muscles
des membres supérieurs étaient agités par quelq
açon la plus nette les signes de la IL D., des deux côtés, dans les
muscles
du menton, dans les zygomatiques et dans le fro
s faradiques et galvaniques étaient assez hien conservées, dans les
muscles
des deux membres inférieurs, sauf dans le vaste
et dans le jambier antérieur,à droite; à l'exploration de ces deux
muscles
, on constatait une diminution considérable de la
s comme précédemment elle était moins accentuée que dans les autres
muscles
. Le 11 novembre, l'excitabilité faradique resta
ait toujours abolie des deux côtés, pour le nerf facial et pour les
muscles
; à gauche, cependant, l'exci- tabilité faradiq
u'il était nécessaire d'employer. 1 L'excitabilité galvanique des
muscles
restait notablement augmentée, mais à gauche, i
lèvre supérieure et de l'aile du nez, l'orbiculaire des lèvres, les
muscles
du menton; dans les zygomatiques, les contraction
pières, l'élévateur de la lèvre supérieure et de l'aile du nez, les
muscles
du menton ; les contractions étaient encore lente
s ont commencé à revenir dans le membre inférieur, d'abord dans les
muscles
de la cuisse, ensuite dans ceux des jambes, enfin
amaigries; il y a de l'atrophie diffuse, surtout dans le groupe des
muscles
antéro-exlel'l1es. Il résiste aux mouvements d'
ogrès de la faiblesse des membres. La paralysie s'était étendue aux
muscles
du tronc et à ceux de la face. Le ma- lade n'ép
is ceux-ci s'exécutaient sans force. De plus, elle avait envahi les
muscles
de la face, les muscles innervés par la vue pai
sans force. De plus, elle avait envahi les muscles de la face, les
muscles
innervés par la vue paire, au point de supprime
; c'est tout au plus si on constatait un amaigrissement diffus des
muscles
. Elle ne s'accompagnait pas non plus de trouble
er les signes de la R. D., à l'ex- ploration d'un certain nombre de
muscles
de la face, avec quelques indices de R. D. dans
'elle occupait primitivement. Du même coup, l'atrophie s'empare des
muscles
dans lesquels la paralysie s'établit à de- meur
reste incomplète, en ce sens qu'elle épargne cer- tains groupes de
muscles
. Aussi est-il exceptionnel que tous les mouvement
ne s'accompagne pas d'une atrophie en masse 'de certains groupes de
muscles
,ou de segments entiers de membre, mais seulemen
dans un cas de poliomyélite anté- 10 F. RAYMOND rieure aiguë, les
muscles
innervés par l'encéphale participent à la para-
rs sous cette forme. Des troubles en rapport avec une paralysie des
muscles
de l'oeil, ou avec une 7e paire sont tout à fai
- lisée ; assez souvent, elle s'accompagne de quelque paralysie des
muscles
de l'oeil, et vous vous rappelez que notre mala
re frappant, avec une prépondérance très nette, certains groupes de
muscles
, et de l'absence de ces troubles vaso-moteurs q
ie complète, réaction complète de dégénéres- cence ; enfin dans les
muscles
complètement atrophiés, abolition complète de l
amen du vaste interne et du jambier anté- rieur, il droite,lesquels
muscles
n'étaient pas plus paralysés que d'autres. Enfi
. Enfin, la face, où la paralysie intéressait uniformément tous les
muscles
innervés par la 7° paire, on a constaté, d'une
e façon très nette, les signes de la R. D. dans quelques-uns de ces
muscles
; dans les autres, les modi- fications des réac
t de vue, celui qui est relatif il la restauration des nerfs et des
muscles
touchés. Il est extrêmement rare qu'une polio-
rme d'une atrophie limitée à un segment de membre ou d'un groupe de
muscles
, et sous la forme de rétractions tendineuses co
rite, ait les meilleures chances de récupérer l'entier usage de ses
muscles
, sans conserver ni résidu d'atrophie musculaire
éhyde chez les alcoo- liques. Sitôt disparu l'endolorissement des
muscles
il la pression, sitôt les malades devenus mania
antage aujourd'hui. Une fois obtenus la restauration anatomique des
muscles
atrophiés et leur rétablissement fonctionnel, v
0,20. - 0,19. Réactions électriques. L'excitabilité faradique des
muscles
atrophiés est très sensiblement dimi- nuée. Ell
s donne des contractions plus fortes que l'ex- citation directe des
muscles
. L'excitabilité galvanique est encore plus dimi
t encore plus diminuée que l'excitabilité faradique. Dans aucun des
muscles
atrophiés il n'y a de réaction de dégénérescence
ait nous parait intéressant ci signaler, très manifeste surtout aux
muscles
de la cuisse : à côté de réactions qualitatives n
. a. à 9 m. a. - négative à . 13 m. a. à 11 m. a. Pour les autres
muscles
les proportions sont à peu près les mêmes. Fait
ît bon de rapprocher de celui-là. Lorsqu'on percute brusquement les
muscles
du malade à la cuisse, ;1 la jambe ou aux bras,
ute et plus. Ces secousses se montrent parfois spontanément dans ce
muscle
, mais elles se produisent également quelquefois d
en être rapproché. L'atrophie atteint en premier ' lieu les petits
muscles
des pieds, puis ceux de la jambe en commençant
es extenseurs des doigts, puis le jambier, les péroniers, enfin les
muscles
du mollet. Après un temps d'arrêt variable, l'atr
es du mollet. Après un temps d'arrêt variable, l'atrophie gagne les
muscles
des cuisses où elle frappe particulièrement le va
trophie est à peu près la même dans notre cas, sauf pour les petits
muscles
des pieds qui sont indemnes chez X,... Mais où
observons est donc bien la con- séquence d'une lésion primitive des
muscles
, car, seule, une semblable hypothèse nous perme
u à la réaction de dé- générescence ; l'excitabilité électrique des
muscles
s'affaiblit seulement, puis disparaît au sur et
tre pas dans les myopa- thies. Il est une réaction particulière des
muscles
que l'on observe dans certaine maladie, et à la
les deux manifestations paraissent dues il une lésion primitive des
muscles
. Quoi qu'il en soit, nous nous arrêterons, pour
laire , du côté droit. extrêmes. de même dans les Pupilles norma-
muscles
frontaux. les, réagissant bien il la lumière
Mimique exagérée. Rire facile. Intelligence médiocre. Parésie des
muscles
droits oculaires internes des deux côtés. Gène da
be. Démarche ataxique, cérébelleuse. Développement considérable des
muscles
des jam- bes. Sensation de lassitude dans les j
dérable de la musculature des membres inférieurs. Légère parésie du
muscle
droit interne oculaire du côté droit. Secousses
culaire du côté droit. Secousses cloniques de courte durée dans les
muscles
de la moitié inférieure de la l'ace, au repos, de
les de la moitié inférieure de la l'ace, au repos, de même dans les
muscles
du front pendant l'effort de l'attention. Hémicra
s mouvements des mains ; écriture ataxique ; 9° Affaiblissement des
muscles
oculaires moteurs avec secousses nystag- mi for
e chez le 2e et le 3° malades ; 11° Secousses choréifonnes dans les
muscles
inférieurs de la face et secousses intentionnel
muscles inférieurs de la face et secousses intentionnelles dans les
muscles
supérieurs de la face (chez le 3e malade) ; 1
mille. Cest d'abord la distribution particulière de l'affection des
muscles
des globes ocu- laires, et notamment la parésie
ion des muscles des globes ocu- laires, et notamment la parésie des
muscles
droits internes et obliques supérieurs (dans le
s cas de cette maladie, on rencontre plus sou- vent l'affection des
muscles
droits externe et supérieur). C'est ensuite le
bres inférieurs devient plus visi- ble par suite de la rigidité des
muscles
des cuisses et particulièrement des adducteurs
iqués; il existe du strabisme alternant. Etat de la nutrition des
muscles
. Aucune dénutrition. Sensibilité. La sensation
noter. Examen électrique (Vizroli). - Contractilité galvanique des
muscles
, normale; contractilité faradique un peu augmen
hie musculaire qui a débuté insidieusement à l'âge de 20 ans par le
muscle
biceps droit et qui a acquis un haut degré d'inte
ta en effet que son biceps droit était atrophié mais que les autres
muscles
étaient intacts. Il fut réformé pour atrophié m
sans qu'il en retire un bénéfice quelconque. A l'âge de 28 ans, les
muscles
des membres inférieurs ont commencé à participe
ivement beaucoup moins que le bras ; le long supinateur est le seul
muscle
complètement atrophié; les radiaux sont fiasque
seul muscle complètement atrophié; les radiaux sont fiasques. Les
muscles
de la main sont un peu grêles mais non dégénérés
s. Les cuisses sont amaigries sur leur face interne. La saillie des
muscles
du mollet est normale. Les muscles antéro-exter
eur face interne. La saillie des muscles du mollet est normale. Les
muscles
antéro-externes, principalement le tibia] antérie
ïdo-mas- toïdien est très apparente des deux côtés ; par contre les
muscles
des creux sus-claviculaire, sus-épineux, et sou
creux sus-claviculaire, sus-épineux, et sous-épineux ainsi que les
muscles
pec- toraux sont atrophiés au plus haut point.
rtout à gauche, deux fois plus larges que chez un homme normal. Les
muscles
des gouttières vertébrales sont atrophiés ainsi q
de mou- vement de bilboquet et cela sans l'intervention active des
muscles
du bras et de l'avant-bras. Quand le bras est a
ignet nuls nuls Pas de trépidation épileptoïde ni rotulienne. Les
muscles
des cuisses sont excitables par la percussion.
t excitables par la percussion. Réactions ÉLECTRIQUES. L'examen des
muscles
a été pratiqué par 1\1. le professeur Bergomé.
eur droit, conservation de l'exci- tabilité faradique pour tous les
muscles
qui ne sont pas complètement atrophiés. Pas d'a
vanique réactions physiologiques, mais inexcitabilite abso- lue des
muscles
inexcitables aux faradiques. Excitabilité normale
elettique dans la partie supérieure du corps jusqu'aux cuisses. Les
muscles
atrophiés sont symétriques; le biceps est rédui
nt-bras, le long supina- teur est dégénéré complètement, les autres
muscles
superficiels sont sim- plement amaigris. Les
, les autres muscles superficiels sont sim- plement amaigris. Les
muscles
intercostaux sont très grêles mais encore assez b
érieurs on n'a examiné de près que le couturier qui a l'aspect d'un
muscle
sain ; on a noté une laxité extrême de l'articula
out fait sains ainsi du reste que les filets qui pénètrent dans les
muscles
plus ou moins complètement atrophiés (biceps, p
ent pourvues de prolongements protoplasmiques que celle dernière.
Muscles
. Le triceps qui a été examiné avec grand soin a s
s noyaux du sarcoplasme se sont multipliés. Autour de ces débris de
muscle
le tissu libro-adipeux interstitiel est devenu tr
qui ont encore échappé à la sclérose. Les vaisseaux des régions du
muscle
complètement sclérosés sont nom- breux et permé
s conjonctives. On ne trouve pas de tubercules dans l'épaisseur des
muscles
.. Racines nerveuses et nerfs. Parmi les nombreu
n. Le 1,1; juillet 1898 : Atrophie d'intensité variable de tous les
muscles
inner- . nés par le plexus brachial droit avec
oportionnelle au 108 J. SABRAZÈS ET L, MARTY degré d'atrophie des
muscles
; épaississement dermique à la surface du membr
re, dépression pectorale) sont très accusés et comme vides de leurs
muscles
. Le deltoïde est réduit à une lame très mince,
n pré-scapulo-humé- rale. Saisissant avec les doigts la masse des
muscles
ronds et du tendon du grand dorsal, on la trouv
de la pa- roi costale témoigne de l'impotence du grand dentelé. Ce
muscle
, en effet, a pour action de contrebalancer surt
gulaire de l'omoplate semble un peu amaigri. La colonne charnue des
muscles
de la nuque a des insertions exactement sy- mét
métriques sur le sommet du thorax et la ceinture scapulaire. Les
muscles
intercostaux de t'hémithorax droit ne participent
de t'hémithorax droit ne participent nullement à l'atrophie. Les
muscles
du bras droit sont très atrophiés. Le biceps, r
artie charnue a gardé sa configuration. Cependant la masse externe (
muscles
épicondyliens) semble plus frappée que l'intern
externe (muscles épicondyliens) semble plus frappée que l'interne (
muscles
épitrochléens). Le long supinateur est le plus at
(muscles épitrochléens). Le long supinateur est le plus atteint des
muscles
de l'avant-bras. Il est relativement plus grêle q
'extension lorsqu'on met l'avant-bras en flexion sur le bras. Les
muscles
de la région antérieure de l'avant-bras (rond pro
ne du fléchisseur commun profond semblent à peu près intacts. Les
muscles
de la région postéro-externe de l'avant-bras sont
que légèrement réduite de volume. 112 J. SABRAZÈS ET L. MARTY Les
muscles
interosseux sont peu diminués; ils remplissent le
ndant un peu plus marqués que du côté gauche. En résumé, tous les
muscles
innervés par le plexus brachial (et ceux-la seu
, le grand dorsal, le petit pectoral, le sous- scapulaire. 6° Les
muscles
thénariens moins l'adducteur du pouce. 7° Les m
ire. 6° Les muscles thénariens moins l'adducteur du pouce. 7° Les
muscles
de la région antérieure de l'avant-bras. 8° Le
t-bras. 8° Le cubital antérieur, le fléchisseur commun profond, les
muscles
hypo- thénariens, les interosseux et les lombri
rès faible degré) que par un mouvement de flexion et d'adduction du
muscle
'cubital antérieur. L'extension de l'avant-bras s
ROIT Du cou (20 juillet), par M. le professeur Bergokié. Io Aucun
muscle
ne donne la réaction de dégénérescence. 2° Cons
dégénérescence. 2° Conservation de l'excitabilité faradique pourles
muscles
de l'éminence thé- nar, de l'éminence hypothéna
eur du pouce, extenseurs des doigts, sus et sous-épineux, et pour les
muscles
du cou. 3° Excitabilité faradique très diminu
diminuée. pour le biceps. 4° Excitabilité faradique abolie pour les
muscles
, deltoïde, triceps, long su- pinateur ; 5° Ne
'hyperalgésie cutanée et sous-cutanée, est ma- nifeste sur tous les
muscles
de la ceinture scapulaire. Le pincement du gran
ement de ce mus- cle provoque un sursaut brusque ; de même pour les
muscles
c01'aco-brachial, biceps, brachial antérieur.
fracture de l'humérus, l'est moins dans le reste de son étendue ; ce
muscle
est hyperaIgésique il peu près au même degré qu
pinateur. ATROPHIE MUSCULAIRE ET OSSEUSE 1 117 i Le pincement des
muscles
de la région postéro-exterlle de l'avant-bras est
postéro-exterlle de l'avant-bras est assez douloureux. Celui des
muscles
de la région antérieure de l'avant-bras et de l'é
peu. Celui du cubital antérieur, du fléchisseur commun profond, des
muscles
hypothénariens, des interosseux et de l'adducte
e moins marquée, s'étend aux au 9 118 t J. SABRAZÈS ET L. MARTY
muscles
delà ceinture (grand rond, rhomboïde, angulaire,
Le degré de l'hyperalgésie est proportionnel au degré d'atrophie des
muscles
. Les territoires hyperalgésiques peuvent être c
ssants : 10 Circonflexe. 2<' Musculo-cutané. 3° Radial. 4"
Muscles
péri-scapulaires. Vaisseaux. Le pouls radical e
pa- raissent des papules à droite comme à gauche. Réflexes. - Les
muscles
de l'avant-bras ne sont pas hyperexcitables par l
de l'avant-bras et de la main. Pas de contractions fibrillaires des
muscles
dans le membre supérieur droit, ni dans la régi
f radial ; 4° Nerfs péri-scapulaires. La traction exercée sur les
muscles
innervés par ces nerfs est à peu près indolore.
o-cutané, situé tout à fait en dehors, s'engage dans l'épaisseur du
muscle
caraco-brachial croisant ainsi la face antérieu
r le rebord glénoïdien antérieur. Dans ce mouve- ment, le tendon du
muscle
sous-scapulaire (inséré sur la petite tubérosité
rochés de la tète articulaire. Le nerf circonflexe est tendu par le
muscle
sous-scapulaire qui s'enroule sur la tète humér
est normalement croisée par la courte portion du bi- ceps et par le
muscle
coraco-brachial qui lui forment une coiffe charnu
raison de leur position éloignée par rapport il l'articulation, aux
muscles
et aux tendons périarticulaires, semblent devoi
'Erb complète pour le biceps. Réaction incomplète pour les au- tres
muscles
. ' Un mois après, un nouvel examen permet de co
un nouvel examen permet de constater une paralysie très marquée des
muscles
du bras et de l'avant-bras gauche. Le hras droit
été bien grande. La clavicule est séparée du plexus brachial par un
muscle
assez épais, le sous-clavier, et, à moins d'une
portion radiculo-médullaire peut rendre compte de l'atro- phie des
muscles
de la ceinture scapulaire. Nous sommes donc en
nd facile la laxité des moyens de contention (capsule, ligaments et
muscles
) ? Au total, on a bien un raccourcissement mais
cutanée musculaire et osseuse correspondant aux territoires où les
muscles
sont le plus atrophiés. Cette hyperalgésie est d'
x accessibles au doigt (circonflexe, radial, cubital surtout) : les
muscles
innervés par ces trois nerfs sont aujourd'hui m
ux affections ostéo- articulaires qui s'accompagnent d'atrophie des
muscles
. Ces amyotrophies considérées naguère comme éta
ples de l'humérus et de la clavicule du même côté, on peut voir les
muscles
du membre intéressé s'atrophier au plus haut poin
t voulu est forcément plus conscient qu'un mouvement subi, comme le
muscle
est l'agent du mouvement actif, il était assez na
ments, comme lestissusprofonds, os, articulation, fascias, tendons,
muscles
même, fournissent à cette tactilité superficiel
ssive, mais maintenue on modifiée activement par l'intervention des
muscles
, les parties tégumen- taires et profondes des s
s le cas où le maintien ou la variation d'attitude sont passifs. Le
muscle
se raccourcit, se gonfle, se durcit, les tendon
éplacement des parties profondes et superli- cielles, sans doute le
muscle
a sa sensibilité, comme tous les autres tissus
les autres tissus qui composent le segment, mais sais-je plus qu'un
muscle
ou plusieurs se sont contractés, que je ne sais
egmentai- res ; quand il ne parvient pas, malgré l'intégrité de ses
muscles
, à réaliser telle attitude commandée, ce n'est
commandée, ce n'est pas parce qu'il ne mesure pas l'activité de ses
muscles
, ce n'est même pas parce qu'il coordonne mal ses
oindre notion que cette variation d'attitude s'effectue grâce à des
muscles
, à des os, à des articulations ? Aucunement. Sa
ion les uns et les autres ont fonctionné ? Sais-je même où sont mes
muscles
et si j'en ai ? En fait, de mes centres de repr
ues de ma conscience, précisément parce que l'ap- pareil moteur, le
muscle
, est en dehors de ma sensorialité, qui cor- res
ns pédieux apparaît dans la précision des efforts compensateurs des
muscles
tihio-tarsiens. Cette correction manque chez le
nt ainsi. Le nystagmus est un mouvement spasmodiquc non pas de deux
muscles
antagonistes alternativement contractés, mais d'u
eux muscles antagonistes alternativement contractés, mais d'un seul
muscle
, généralement l'abducteur du côté de l'oreille so
cal, beaucoup plus rare, s'expliquerait par le jeu réflexe d'autres
muscles
. J'en ai observé deux cas, dont un d'origine net-
îne des oculomoteurs, soit à la contraction momentanée de plusieurs
muscles
droits, produisant la rétraction du globe et la c
ucteur opposé et les noyaux ampullaires sans toucher aux noyaux des
muscles
obliques, des droits supérieur et inférieur. De
'elle paralyse ainsi que l'élévateur palpébral voisin. Pourquoi ces
muscles
-là et pas les autres ? Nous le saurons quand à
constatâmes un nystagmus hystérique très net dû à des secousses des
muscles
de roi)." Tel était l'état du malade à son en
. Mai- Juin 1899 CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE LA PARALYSIE ISOLÉE DU
MUSCLE
GRAND DENTELÉ \ PAR A. SOUQUES Médecin de
J. CASTAIGNE Interne des hôpitaux. L'histoire de la paralysie du
muscle
grand dentelé est relativement ré- cente : elle
t. LXXIV, 4Rtû. (8) Bauheiro, Contnib. à l'étude de la paralysie du
muscle
grand dentelé, Th. de Paris, XII. 1895. 13 xn
rale. Or, de ces 23 faits, 3 se rapportent à la paralysie isolée du
muscle
grand dentelé, et 6 à cette même paralysie asso
et J. Castaigne) MASSON & cle. Editeurs. PARALYSIE ISOLÉE DU
MUSCLE
GRAND DENTELÉ 179 que gène dans les mouvements
hoïde. Ces phénomènes paralytiques sont très nettement localisés au
muscle
grand dentelé droit. ' Etat actuel. I. Si l
timètres au niveau de l'angle inférieur. Dans cette position, les
muscles
sus et sous-épineux forment des bourrelets très
qui persiste cependant, est beaucoup moins accentuée. Le relief des
muscles
sus et sous-épineux reste aussi saillant et aus
llèle à la ligne médiane. En dedans de ce bord on voit un relief du
muscle
trapèze, beaucoup plus accusé à droite qu'à gau
ques et J. Castaigne) MASSON A Cie, Editeurs. PARALYSIE ISOLÉE DU
MUSCLE
GRAND DENTELÉ 181 male sans déformation appréci
ou et la tête ne présentent aucune attitude vicieuse, cependant les
muscles
du cou (trapèze, sterno-mitstoïdien) paraissent
tions faradiques et galvaniques sensiblement normales dans tous les
muscles
qui s'attachent à l'omoplate, et semblables il
s le grand dentelé. A droite, réac- tions faradiques nulles dans ce
muscle
il 90 millimètres d'écartement des bobi- nes, t
uleurs vives dans la nuque. Rapidement s'installa une paralysie des
muscles
du bras droit, puis du bras gauche, enfin du gr
ption- nelle au cours de la fièvre typhoïde. La paralysie isolée du
muscle
grand dentelé n'est-elle pas très rare ? Nous a
et J. Gistaigne) MASSON & Cie, Editeurs. PARALYSIE ISOLÉE DU
MUSCLE
GRAND DENTELÉ 183 nelle du bras droit. Il lui é
vives dans le bras droit et consécutivement de paralysie isolée du
muscle
grand dentelé, du même côté. Voilà dans quell
dressé son mémoire, a publié deux observations de paralysie isolée du
muscle
grand dentelé. En voici le résumé très succinct
rs pu lever le bras au-dessus de l'horizontale. PARALYSIE ISOLÉE DU
MUSCLE
GRAND DENTELÉ 185 Voyons tout d'abord les cas q
son trajet, que ce traumatisme résulte de la contraction propre du
muscle
grand dentelé ou de celle des muscles voi- sins
te de la contraction propre du muscle grand dentelé ou de celle des
muscles
voi- sins. On conçoitaisémentqu'il soit diffici
tôt son grand dentelé gauche se paralyse. Le rôle du surmenage du
muscle
grand dentelé nous semble hors de contestation
rs de contestation (1). Quel est donc le rôle physiologique de ce
muscle
? Pour Cruveillier, « le grand dentelé portant
plate en avant et élevant le moignon de l'épaule, c'esL de tous les
muscles
celui qui agit le plus puissam- (1) On sait que
mbours, d'après les travaux de Bruns et de Zeuder est localisée aux
muscles
du pouce gauche et due à l'excès de fonctionnemen
x muscles du pouce gauche et due à l'excès de fonctionnement de ces
muscles
. 186 A. SOUQUES ET J. CASTAIGNE ment dans l'a
ssi qu'il a encore d'autres usages, qu'il concourt, avec les autres
muscles
qui s'insèrent à l'omoplate, à fixer cet os et
de la ceinture scapulaire, c'est-à-dire de donner un point fixe aux
muscles
qui vont du scapulum au membre supérieur. Il jo
aralysie isolée du grand dentelé, en est une preuve irréfutable. Le
muscle
grand dentelé est donc soumis, dans les divers
capables de le paralyser ? Bref, qu'il s'agisse d'une paralysie du
muscle
grand dentelé, consécu- tive à un effort brusqu
s pouvoir l'affirmer et sans vouloir rejeter le PARALYSIE ISOLÉE DU
MUSCLE
GRAND DENTELÉ 187 rôle du froid humide, nous fe
éclare Duchenne, el qui a dû bien des fois empêcher la paralysie du
muscle
grand dentelé de se manifester), se constate en
en avant le bord spinal du scapulum, pendant que le grand pectoral (
muscle
synergique) agit sur l'angle externe de cet os pa
il faut appliquer une main sur chaque épaule du PARALYSIE ISOLÉE DU
MUSCLE
GRAND DENTELÉ 189 sujet, en repoussant les deux
on scapulaire, au repos du bras, sont des faits complexes. D'autres
muscles
, dit-il, sont paralysés en même temps, le trapè
la période de rigidité, ou bien quand il est désinséré de tous ses
muscles
. Cette attitude cadavérique de l'omoplate dépen
itude cadavérique de l'omoplate dépend de la cessation d'action des
muscles
s'insérant sur cet os, lequel n'obéit plus alor
ysie isolée du grand dentelé témoigne de la participation d'autres.
muscles
et avant tout du trapèze. Le trapèze en effet,
I. (6) IIUCII11CLLER, Thèse d'Erlangen, 1892. PARALYSIE ISOLÉE DU
MUSCLE
GRAND DENTELÉ 191 déplacement de la façon suiva
omoplate est fixé dans sa position normale par l'action tonique des
muscles
qui s'y insèrent et dont l'effet se balance. Que
int, le bord spinal quitte la paroi thoracique, grâce à l'action du
muscle
sous-épineux. 11 est vrai que, pendant un temps
était rapproché de deux centimètres environ. PARALYSIE ISOLÉE DU
MUSCLE
GRAND DENTELÉ 193 en quelque sorte, si l'on con
est, en effet, difficile de concevoir qu'il n'en soit pas ainsi. Le
muscle
grand dentelé joue un rôle considérable dans la s
entraîner un trouble de cette statique. L'action tonique des autres
muscles
, qui s'insèrent au sca- pulum, ayant libre cour
difier la situation normale de cet os. La physiologie de ces divers
muscles
étant connue, ainsi que leur degré respectif d'
suivantes : ou bien il s'agit de parésie (et non de para- lysie) du
muscle
grand dentelé, ou bien le trapèze supplée le musc
para- lysie) du muscle grand dentelé, ou bien le trapèze supplée le
muscle
com- plètement paralysé. Mais ceci demande quel
t, qui relève, pour le dire en passant, de la contraction isolée du
muscle
deltoïde. Or, à l'état physiologique, lors de l
gion scapulaire n'est pas troublée. « Le grand dentelé est le seul
muscle
qui, par son association avec le deltoïde, empê
comme dans le cas de contracture électro-physiologique isolée de ce
muscle
. L'omoplate, non maintenue par le grand dentelé,
uem., p. 53. (2) DUCIIEPNE, loc. cil., p. 65. PARALYSIE ISOLÉE DU
MUSCLE
GRAND DENTELÉ 105 Dans Jes conditions physiolog
erne de cet os et l'humérus déjà étendu sur celui-ci ». Or c'est le
muscle
grand dentelé qui est chargé d'imprimer au scap
tervention du grand dentelé n'est pas bornée à fixer l'omoplate. Ce
muscle
imprime, en outre, avec une grande puissance, à
mécanisme. « Le grand dentelé; dit Duchenne (2), n'est pas le seul
muscle
qui jouisse du privilègede déter- miner l'éléva
aisemblablement exister, dans tous les cas de paralysie iso- lée du
muscle
grand dentelé. Elle ne se voit que du côté paraly
stence de l'omoplate ailée, et d'autre part l'é- tat paralytique du
muscle
grand dentelé et l'action supplémentaire exagé-
e du muscle grand dentelé et l'action supplémentaire exagé- rée des
muscles
inspirateurs accessoires. (1) Souques, Déformat
cessoires. (1) Souques, Déformations du thorax dans la paralysie du
muscle
grand dentelé. Soc. méd. des hôp., 21 oclobre 1
u des taches. A ce ni- veau il existe une sorte de gouttière où les
muscles
sont moins fermes et moins élastiques. La masse
où les muscles sont moins fermes et moins élastiques. La masse des
muscles
scapulaires est un peu moins dé- veloppée. Le
u des taches sclérodermiques est moins fine, moins adhérente et les
muscles
atrophiés reprennent un peu de fermeté. Chez ce
. SPILLMANN peau était accompagné d'une atrophie très accentuée des
muscles
et d'un raccourcissement de la jambe. Si la s
, soit héré- ditaires, soit collatéraux. Il aurait été faible des
muscles
, dès sa jeunesse. En 1860, chancre dont la natu
idents secondaires. Jusqu'en 1882, il ne s'est pas aperçu que ses
muscles
aient diminué de volume; à cette époque, il ent
poque, M. Damaschino l'ayant exa- miné avec soin, s'aperçut que les
muscles
de l'éminence thénar du côté droit étaient moin
on travail de dessinateur. Mais l'atrophie s'étendit rapidement aux
muscles
du membre inférieur droit, puis aux muscles gau
'étendit rapidement aux muscles du membre inférieur droit, puis aux
muscles
gauches, de sorte qu'il fut obligé de rentrer à
du côté gauche. Membre supérieur droit. Atrophie très marquée des
muscles
des émi- nences thénar et hypothénar et des mus
rès marquée des muscles des émi- nences thénar et hypothénar et des
muscles
interosseux. L'adducteur du pouce a complètemen
sem- ble, présente une déformation en griffe. À l'avant-bras, les
muscles
sont très atrophiés, les fléchisseurs comme les
TON dant fléchir la main sur l'avant-bras. Le bras est amaigri, les
muscles
font une saillie très nette, mais ils ne semble
les sus et sous-épineux sont normaux. Membre inférieur droit. - Les
muscles
de la région antéro-externe et postérieurs sont
dineux sont bien conservés. A la jambe, l'atrophie atteint tous les
muscles
. Le membre inférieur droit est dans une position
ombre normal. La sclérose péri ou interfasciculaire existe à peine.
Muscles
. - Aspect macroscopique. Les muscles de la région
erfasciculaire existe à peine. Muscles. - Aspect macroscopique. Les
muscles
de la région postérieure et de la région antéri
périeure est intacte. Le grand adducteur est un peu pâle. , Les
muscles
antéro-externes de la jambe droite sont de couleu
ntéro-externes de la jambe droite sont de couleur vieille cire, les
muscles
jumeaux de la jambe sont constitués par de simple
la jambe droite sont un peu charnus. Les interosseux ainsi que les
muscles
du pied ont complètement disparu. Les muscles d
rosseux ainsi que les muscles du pied ont complètement disparu. Les
muscles
du bras sont d'aspect normal ; le deltoïde, le gr
u bras sont d'aspect normal ; le deltoïde, le grand pecto- ral, les
muscles
de l'épaule ne paraissent point altérés. Les mu
to- ral, les muscles de l'épaule ne paraissent point altérés. Les
muscles
de l'avant-bras sont diminués de volume, mais ils
de volume, mais ils ne me paraissent pas très atteints; les petits
muscles
de la main, au contraire, ont complètement disp
au contraire, ont complètement disparu. Aspect microscopique Les
muscles
ont été étudiés sur des coupes, soit longitudin
e et pour les nerfs intra-musculaires, la méthode de Weigert. Les
muscles
du membre supérieur qui ont été examinés sont : l
rieur qui ont été examinés sont : l'exten- seur du pouce droit, les
muscles
de l'éminence thénar. 214 PAUL SAINTON Extens
sculaires est conservée, il n'y a pas d'altéra- tions des noyaux.
Muscles
de l'éminence thénar. Les lésions sont très profo
in. Au milieu du tissu con- jonctif, qui a pris la place occupée du
muscle
, on trouve des amas consi- dérables de tissu ad
périarfériefteetpériveineuse très intense. Au membre inférieur, les
muscles
examinés sont le biceps crural droit, le coutur
xaminés sont le biceps crural droit, le couturier, les jumeaux, les
muscles
de la région antéro-exteme du même côté. Musc
les jumeaux, les muscles de la région antéro-exteme du même côté.
Muscle
biceps crural. Ce muscle présente peu de lésions
de la région antéro-exteme du même côté. Muscle biceps crural. Ce
muscle
présente peu de lésions des faisceaux : atrophi
ion du nombre des noyaux du tissu conjonctif est des plus nettes.
Muscle
couturier droit. Les lésions se montrent à un deg
es fais- ceaux atrophiés est beaucoup plus considérable que dans le
muscle
pré- cédent. Certains se colorentmal parle picr
ines lamelleuses ; il semble y avoir peu d'altération des fibres.
Muscles
jumeaux. - Les fibres musculaires intactes sont e
nservé leurs fibres ; les autres au contraire paraissent dégénérés.
Muscles
de la région antp1'o-exteJ'/le de la jambe gauche
absolument les mêmes que celles que nous venons de décrire pour les
muscles
jumeaux, mais elles sont plus accen- tuées. Un
ant en : atrophie des fibres muscu- laires, inégale clans les mêmes
muscles
, pouvant aller jusqu'à la dispari- tion complèt
. Certaines formes de strabisme ou plutôt de défaut de synergie des
muscles
moteurs de l'eeil, reconnais- sent la môme orig
con- naissais rien alors du myxcedéme. Je me rappelle que tous ses
muscles
étaient raides et douloureux, les articulations
céphalée et à la rachialgie. Dans la plupart des cas, beau- coup de
muscles
et d'articulations sont douloureusement affectés.
s, le matin, les pieds froids. Dans les cas avancés, la raideur des
muscles
et des articles vient confirmer l'idée de rhumati
Capable de rendre DE L'HYPOTHYROÏDIE BÉNIGNE CHRONIQUE . 297 aux
muscles
rhumatisés leur souplesse et leur élasticité indo
périeurs les éminences thénar et hypothénar, les inter- osseux, les
muscles
de la moitié inférieure de l'avant-bras, aux memb
de la moitié inférieure de l'avant-bras, aux membres inférieurs les
muscles
de la jambe et du pied, les muscles des régions
ras, aux membres inférieurs les muscles de la jambe et du pied, les
muscles
des régions antéro-externe et postérieure de la
observées portaient sur la moelle, les nerfs pé- riphériques et les
muscles
. La moelle était le siège d'une sclérose des plus
uées avec conservation presque complète des tubes nerveux. Dans les
muscles
on constatait une diminution de volume des fibres
uée dans le cas de Marinesco ; modérée dans le nôtre. Lésions des
muscles
. Elles sont beaucoup plus intenses au niveau de
ésions des muscles. Elles sont beaucoup plus intenses au niveau des
muscles
des extrémités. Les muscles' de la cuisse sont de
a cuisse sont de coloration normale ou un peu pâles, tandis que les
muscles
de la jambe présentent un aspect de vieille cir
de chair musculaire. 322 PAUL SAINTON - Au membre supérieur, les
muscles
de la main sont le siège d'altérations comparab
les de la main sont le siège d'altérations comparables à celles des
muscles
de la jambe, tandis que les muscles de l'avant-
ations comparables à celles des muscles de la jambe, tandis que les
muscles
de l'avant-bras sont mieux respectés. Les lés
à remplacer les libres musculaires. 3° A un degré plus avancé le
muscle
est remplacé par du tissu conjonc- tif peu abon
la science, de différencier celles-ci par l'examen histologique des
muscles
. En résumé l'exposé des lésions que nous venons
ex- tenseur propre du gros orteil, le jambier antérieur, les petits
muscles
du pied : les muscles du mollet sont tardivemen
gros orteil, le jambier antérieur, les petits muscles du pied : les
muscles
du mollet sont tardivement diminués de volume : à
les du mollet sont tardivement diminués de volume : à la cuisse les
muscles
pris sont le triceps dans son tiers inférieur, qu
ypothénar : elle atteint les mus- cles de l'avant-bras, surtout les
muscles
de la région antérieure ; les mus- cles du bras
que ne donne en aucun point la réaction de dégénérescence. Tous les
muscles
se contractent bien ; au dynamomètre elle amène à
es orteils. Pas de trépidation spinale, il n'y a pas d'atrophie des
muscles
, leur force est conservée partout : le dynamomè
r l'extrémité des membres supérieurs, leplus souvent par les petits
muscles
de la main droite ; 2) L'existence des contract
e myélopathique, type Aran-Duchenze; début classique par les petits
muscles
de la main, surmenés'; évolution rapide en 18 m
bras........ 23 231/2 - - supérieure du bras....... su 2S1/2 Les
muscles
du bras et de l'avant-bras droits sont flasques,
t pas saillantes. Tremblements fibrillaires spontanés au niveau des
muscles
de l'épaule, des deux cuisses et du membre supé
vaillant un peu. A partir du mois de janvier l'atrophie a gagné les
muscles
du dos en allant vers la gauche jusqu'à l'épaul
ment les mêmes signes que la main droite il y a un an. Atrophie des
muscles
de l'éminence thénar, moins prononcée à l'émine
érieure........... 20 18 partie moyenne du bras........ 19 20 Les
muscles
du cou, des bras et des avant-bras sont très flas
s avant-bras sont très flasques. Les omoplates sont saillantes, les
muscles
sous-épineux semblent surtout atrophiés. L'at
ses épineuses des premières vertèbres dorsales sont saillantes. Les
muscles
intercostaux présentent des contractions fibrilla
iplopie, pas do vertiges. Janvier 1895. L'atrophie musculaire des
muscles
de la main gauche est totale, plus accentuée qu
it.......... 21 gauche 21 Au palper, état absolument mollasse des
muscles
. Au bras on ne sent que la peau et le tissu cel
sterno-cléido-mastoïdiens ne sont plus que de petites lanières. Les
muscles
des lombes sont atropliiés puisque le malade ne p
atrophies musculaires PROGRESSIVES D'ORIGINE MYÉLOPATHIQUE 363 Les
muscles
de l'omoplate semblent assez conservés. Cependant
roduisent que quand il fait des mouvements. Pas de modification des
muscles
de la face. Langue normale. Le malade ne peut p
athies. Les mouvements sont douloureux mais seulement au niveau des
muscles
qui entrent enjeu. Sensibilité conservée au t
thologique, a examiné des fragments de moelle épinière, de nerfs, de
muscles
. On constate sur des coupes pratiquées à différ
veux et des fibres à myéline moins abondants que normalement. Les
muscles
atrophiés présentent à côté de fibres saines, des
r, entre 40 et 60 ans. Ici, nous la voyons débuter à 24 ans par les
muscles
fatigués des. mains. Il est vrai que le sujet a
la peau, trop large à son niveau, fait des plis à la surface ; les
muscles
sont mous à la pression. Aux éminences hypothén
t aux mains la forme de griffes (PI. LXI, C). Aux avant-bras, les
muscles
sont moins atrophiés ; conservés en grande part
rande majorité des cas, l'atrophie musculaire débute par les petits
muscles
de la main, surtout delà main droite, par les mus
ar les petits muscles de la main, surtout delà main droite, par les
muscles
de l'éminence thénar et tout d'abord par le cou
n suivante, nous voyons l'atrophie débuter par le del- toïde et les
muscles
péri-scapulaires : c'est la caractéristique du ty
gine myélopathique ; début scapulo - hmnéral (type Vulpian) par les
muscles
surmenés. Troubles bulbaires ; mort. Poull...,
Etat actuel. - Rien dans les organes des sens. Pas de paralysie des
muscles
de la face ni de l'oeil, ni du palais. Muscles
Pas de paralysie des muscles de la face ni de l'oeil, ni du palais.
Muscles
du cou. - Sterno-mastoïdiens diminués, surtout l'
XII, D). Trapèze à peine perceptible il son insertion occipitale.
Muscles
scapulaires. - Les creux du sus-claviculaire abso
sertion thoraci- que. Les grands dorsaux sont atrophiés à droite.
Muscles
sus et sous-épineux atrophiés à droite, plus qu
. Il semble qu'il existe un peu de rétraction du biceps droit ; les
muscles
de la région postérieure du bras sont très diminu
minués surtout à droite. , A la face postérieure de l'avant-bras,
muscles
disparus, os saillant. L'espace interosseux for
L'espace interosseux forme un méplat à la partie postérieure. Les
muscles
de la partie antérieure de l'avant-bras sont en p
demi-flexion; la main a l'aspect d'une main de singe. Atrophie des
muscles
du thénar et de l'hypothénar ; gril interosseux
ssible à droite et quand il l'essaie, la - crampe le prend dans les
muscles
antérieurs de l'avant-bras. Extension du poigne
duction du pouce des 2 côtés est impossible. L'abduction également.
Muscles
du tronc : les grands dentelés sont très atrophié
intercostaux saillants. Thorax aplati à sa partie inférieure. Les
muscles
de l'abdomen se contractent bien. Membres infér
ment chez les personnes maigres. Léger méplat à la face interne des
muscles
de la cuisse. Le malade plie facilement la cuis
.... 29 Le malade étant couché au repos, on constate clans tous les
muscles
, surtout dans ceux de la cuisse et du tronc, un
cipitale du trapèze est en partie dis- parue ; atrophie marquée des
muscles
des fosses sus-épineuses particulièrement t à d
fosses sous-épineuses ; méplats surtout appréciables à droite; les
muscles
sont réduits à l'état de languettes aplaties lais
qui semble reposer directement sur le système osseux; atrophie des
muscles
lombaires, mais moins marquée. Les sterno-clé
r l'humérus directement attaché à l'omoplate. Atrophie générale des
muscles
du bras et de l'avant-bras ; à la partie moyenne
u est trop ample. Atrophie musculaire également marquée de tous les
muscles
de l'avant-bras ; - qui a la forme d'une planch
; par les mollets chez un maître de ballet (IIall11110nd); par les
muscles
de la jambe chez un maçon qui, pendant son trav
ui- vante : un fossoyeur voit débuter l'atrophie musculaire par les
muscles
extenseurs de l'avant-bras droit ; or ce sont l
e par les muscles extenseurs de l'avant-bras droit ; or ce sont les
muscles
qui travaillent surtout lorsque cet ouvrier, du
remières années de la vie ; début par la jambe paralysée et par les
muscles
surmenés des avant-bras. Mas..., 44 ans, fossoy
réflexes patellaires et plantaires. Pas d'atrophie appréciable des
muscles
fessiers et lomhaires. , Marche normale. - Le m
ade se baisse facilement pour ramasser un objet. Pas d'atrophie des
muscles
abdominaux. Membres supérieurs. - Aplatissement
hie des muscles abdominaux. Membres supérieurs. - Aplatissement des
muscles
des éminences thénar et hypothénar des deux côt
ètres. Bras cylin- drique. Atrophie considérable du deltoïde et des
muscles
du bras. Le biceps semble assez bien conservé,
malade ne peut résister quand on veut éten- dre le bras fléchi, le
muscle
contracté reste mou : il ne peut élever le bras d
moplate ne suit pas les mouvements de l'épaule. Atrophie légère des
muscles
sus et sous -épineux. Le chef claviculaire du t
e peu marquée des sterno-cléido-mastoïdiens. Le grand dorsal et les
muscles
de la gouttière vertébrale ne semblent pas atro
trophiques de la peau, pas de troubles vaso-moteurs. Rien dans les
muscles
de la face. Contraction fibrillaire des muscles,
eurs. Rien dans les muscles de la face. Contraction fibrillaire des
muscles
, surtout à la cuisse. Sensibilité intacte. Ou
ambe antérieurement atteinte par la paralysie infantile, et par les
muscles
surmenés de l'avant-bras. III. Hérédité poliomy
e musculaire aurait été en s'exagérant et,se serait communiquée aux
muscles
de l'avant-bras et du bras droit. Depuis envi
'auriculaire ; le pouce est dans l'extension forcée (fig. B). , Les
muscles
de l'éminence thénar sont complètement disparus,
mant entre le pouce et la base de la pe phalange de l'index. Les
muscles
de l'éminence hypothénar sont en partie atrophiés
; on ne peut arriver entièrement à les mettre en extension. . Les
muscles
de l'avant-bras sont atrophiés en grande partie,
ie, surtout ceux de la région antéro-externe. Il en est de même des
muscles
du bras ; il est im- possible au malade de mett
. Force au dynamomètre à peu près nulle ; atrophie considérable des
muscles
de l'avant-bras et du bras. Le malade ne peut s
..... 19 - Gauche..................... 19 - ? 1 G. ÉTIE1VNE '
Muscles
de la nuque considérablement atrophiés. La tête e
redresser mais ne peut la maintenir longtemps dans cet état. Les
muscles
pectoraux sont assez bien conservés. Le malade
ade accuse des crampes dans les cuisses et les mollets. Face. Les
muscles
de la face se sont atrophiés à leur tour, en part
uscles de la face se sont atrophiés à leur tour, en particulier les
muscles
masticateurs et les muscles du plancher de la bou
rophiés à leur tour, en particulier les muscles masticateurs et les
muscles
du plancher de la bouche, ce qui empêche la mas
ie passagère, fréquente après un peu de fatigue. Les nerfs et les
muscles
offrent la réaction de dégénérescence, partielle
nerf, l'excitabilité faradique et galvanique est diminuée. Pour le
muscle
, l'excitabilité faradique est diminuée. L'excitab
An S : 3 millia. Ka SF : 14 millia. Triceps, adducteur du pouce,
muscles
de l'éminence hypothénar. Rien. Les secousses d
n de l'excitabilité faradique ; disparition complète pour plusieurs
muscles
. B. Nerfs. N. médian (poignet) : 4 centim. 50
'oeil, diplopie passagère après fatigue. En somme, les nerfs et les
muscles
offrent la réaction de dégénérescence, partiell
ité faradique et galvanique est diminuée. Pour les 376 G. ÉTIENNE
muscles
, l'excitabilité faradique est diminuée, l'excitab
avril. - Même état, pas de phénomènes nouveaux. 25. L'atrophie des
muscles
de la face n'a pas progressé. Les muscles des b
aux. 25. L'atrophie des muscles de la face n'a pas progressé. Les
muscles
des bras et des jambes, ont sensiblement gardé le
rogressive d'origine myélopathique ; début classique par les petits
muscles
de la main, surmenés. - Troubles trophiques : Art
il ne semble rester aucune fibre musculaire. Atro- phie notable des
muscles
de l'avant-bras et du bras, surtout accentuée aux
eures, et le deltoïde devient saillant. Tremblement fibrillaire des
muscles
, ondulations spontanées, s'exagérant par un lég
x sont presque complète- ment atrophiés. Les grands dentelés et les
muscles
du cou ont totalement dis- paru. La tête pend
par l'atrophie musculaire. Réaction de dégénérescence dans tous les
muscles
. RÉACTION ÉLECTRIQUE. 1° Electricité galvaniq
le. Depuis longtemps, en effet, par suite de l'atrophie précoce des
muscles
de la nuque, la malade porte la tête penchée en
, est très profonde; en raison de l'atrophie musculaire, le plan du
muscle
a pour ainsi dire totalement disparu, et l'on a
rt une plaque large de 2 cen- timètres, s'étendant sur le trajet du
muscle
sous forme de fuseau ostéophytique sur une long
a- blement moins prononcées que dans les petits filets terminaux.
Muscles
. - Atrophie musculaire extraordinaire surtout du
sculaire extraordinaire surtout du côté droit. De ce côté, tous les
muscles
du membre supérieur sont pour ainsi dire totaleme
talement disparus, complètement décolorés ; à la main, surtout, les
muscles
de l'éminence thénar sont réduits à quelques fi
s blanches, nacrées, de consistance et d'as- pect gélatineux. Les
muscles
périscapulaires manquent. Les muscles du tronc, t
d'as- pect gélatineux. Les muscles périscapulaires manquent. Les
muscles
du tronc, thorax, abdo- men et bassin, ceux du
lus réduites, peu colorées. Par contre, si la face est émaciée, les
muscles
de la face, les masséters, les muscles de la la
si la face est émaciée, les muscles de la face, les masséters, les
muscles
de la langue et du voile du palais paraissent à p
normaux. A l'examen histologique, sur tes coupes transversales des
muscles
de l'éminence thénar droite, on trouve de grand
es cas l'un de l'autre ; si, par exemple, l'atrophie débute par les
muscles
scapulaires ou par les muscles des avant-bras, au
r exemple, l'atrophie débute par les muscles scapulaires ou par les
muscles
des avant-bras, au lieu de débuter par les peti
u par les muscles des avant-bras, au lieu de débuter par les petits
muscles
de la main, nous trouvons dans ces cas la même lo
opathie infectieuse, après une arthropathie traumatique de voir les
muscles
extenseurs des articulations lésées s'atrophier,
. La paroi antérieure de l'aisselle n'est nullement atrophiée et le
muscle
grand pectoral a son relief normal. Quand on re
par la simple inspection, mais en palpant avec la main la masse des
muscles
ronds et grand dorsal. Le malade a conservé tou
la flexion est impossible, il n'a plus sa force habituelle dans les
muscles
biceps et brachial antérieur surtout du côté droi
fléchit la tête facilement, il la tourne à droite et à gauche, ses
muscles
faciaux sont normaux eux aussi. L'atrophie musc
douloureux. ' Aucun tremblement fibrillaire ne se remarque sur les
muscles
envoie d'atrophie, aucun trouble trophique sur
par M. le D Huet. L'incitabilité faradique est conservée dans les
muscles
trapèze, sous- épineux, petit rond, rhomboïde e
sont bonnes. L'incitabilité galvanique est diminuée dans les mêmes
muscles
à droite et à gauche. Cette diminution est surt
ette diminution est surtout marquée dans le faisceau anté- rieur du
muscle
deltoïde droit dont les contractions sont moins b
nt les mouvements deviennent difficiles dans l'épaule droite et les
muscles
adjacents à l'articulation maigrissent. Sept mois
ire progressive du type.c1l'an-Duchenne qui dé- bute par les petits
muscles
des mains, ce n'est pas la forme scapulo-hu- mo
atrophie con- sidérable de tout le membre inférieur portant sur les
muscles
de la jambe, de la cuisse, de la fesse et ne pr
cuisse, de la fesse et ne prédominant pas sur tel ou tel groupe de
muscles
. Il s'agissait d'une atrophie simple, sans réacti
3, p. 227. (2) Charcot, loC. cit. 392 G. GUILLAIN ment dans les
muscles
de la jambe. Atrophie simple, sans contractions
eur droit à la suite d'une rupture mus- culaire, de la déchirure du
muscle
soléaire. Ces observations de M. Charcot sont a
fessier. Von Lûcke avait mentionné le fait que la déchi- rure d'un
muscle
pendant un effort peut en déterminer l'atrophie.
course en bicyclette, eut une légère arthrite tibio-tarsienne. Les
muscles
s'atrophièrent beaucoup au mollet et à la cuiss
on possible, de par l'absence de contractions fibrillaires dans les
muscles
en voie d'amaigrissement, de par l'exagéra- tio
ues- unes d'entre elles sont encore défendues aujourd'hui. 1° Les
muscles
, a-t-on dit, s'atrophient parce que le membre est
aines observations, au bout de trois à quatre jours la paralysie du
muscle
extenseur du genou peut exister, que, au bout d
agir comme un véritable poison. 3° La théorie de la propagation aux
muscles
de l'inflammation articu- laire est infirmée, c
res de la moelle qui concourent à l'exercice de la réflectivité des
muscles
sont sectionnées ou détruites. L'absence physiolo
moelle ni des nerfs chez ses animaux ; il a trouvé des lésions des
muscles
. Dans les muscles atrophiés la surface de secti
fs chez ses animaux ; il a trouvé des lésions des muscles. Dans les
muscles
atrophiés la surface de section des fibres prim
par comparaison avec la surface de section des fibres provenant du
muscle
sain. De plus les divers éléments du champ de Coh
les atrophies musculaires traumati- ques la diminution du volume du
muscle
dépend non pas d'une destruc- tion de la substa
ais d'une atrophie de la substance inter- fibrillaire à laquelle le
muscle
est en majeure partie redevable de son élastici
miques. MM. Duplay et Cazin dans leurs expériences out, examiné les
muscles
, les nerfs, la moelle de leurs animaux, ct, éta
a constaté l'intégrité de la moelle, des nerfs périphé- riques, des
muscles
dans un cas d'atrophie musculaire consécutive à u
e est-il possible, avec Metchnikoff(3), de voir dans l'atrophie des
muscles
une résultante clel'ac- tion des phagocytes mus
anvier 1888. (3) Metcunikoff, Phagocytose musculaire . Atrophie des
muscles
pendant la trans- formation des batraciens. Ann
ce est conservée dans tous les seg- ments de membres comme dans les
muscles
du tronc : le dynamomètre donne à gauche 31 kil
ns sont bonnes et égales des deux côtés, il en est de même pour les
muscles
, sauf ceux de l'éminence thénar droite (atrophi
a gauche NFC > PFC. Cette excitation est conservée dans tous les
muscles
des membres supérieurs, les contractions sont a
ersion polaire ; cependant hypoexcitabilité très manifeste pour les
muscles
de l'éminence thénar droite. A l'éminence hypot
nt, quoi- que affaiblies et lentes, et PFC = NFC. De même, pour les
muscles
de l'émi- nence hypothénar du même côté. VIII
semble absorber à son profit toute la nutrition ; chez ceux-ci, le
muscle
prédomine ; chez ceux-là, lotit se transforme e
que ce soit bien la branche externe du spinal qui innerve les deux
muscles
sterno-mastoïdien et trapèze, ceux-là mêmes qui
z-vous trouver là comme cause l'irritation du spinal, qui anime les
muscles
présidant à ce mouvement ? assurément non, s'il
doit intervenir ce n'est pas seulement la volonté de faire agir les
muscles
du cou, mais la force de ces mains ; sa volonté
; sa volonté qui se fait obéir de ses mains ne commande plus à ses
muscles
du cou » (2). Il s'agit donc là d'un état psy
te et consciente au début, de certains mouvements que le spasme des
muscles
qui participent à ces mouvements se développe et
uté, dit M. Brissaud, le malade ne peut pas parvenir à relâcher ses
muscles
et à remettre sa tète dans la si- tuation norma
e unguéale; acromégalie (radiographie). Paralysie avec atrophie des
muscles
extenseurs et des cubitaux ; partici- pation du
uscles extenseurs et des cubitaux ; partici- pation du triceps, des
muscles
de la ceinture scapulaire. Thorax en bateau. Cy
ite. Examen électrique : inexcitabilité faradique et galvanique des
muscles
des deux mains. Inexcitabilité faradique des de
e est tuméfiée mais les plis de la peau y sont moins effacés. Les
muscles
des éminences thénar et hypothénar sont atrophiés
sculaire intéressant surtout les extenseurs ; les autres groupes de
muscles
sont inégalement atrophiés ; celui des cubi- ta
; par contre les épicondyliens sont rela- tivement épargnés. Les
muscles
des bras, quoique grêles, sont moins atrophiés ;
tandis que les triceps, mous et flasques, sont très réduits. Les
muscles
de l'avant-bras et le biceps sont le siège de con
que les pectoraux dont il ne reste que des vestiges. Le relief des
muscles
des gouttières vertébrales est assez apparent.
saillie anormale des orifices glandulaires. L'examen électrique des
muscles
pratiqué par M. le professeur Bergonié a donné
s suivants : Conservation de l'excitabilité faradique pour tous les
muscles
de l'é- paule, du bras et de l'avant-bras ; ine
cles de l'é- paule, du bras et de l'avant-bras ; inexcitabilité des
muscles
des éminences thénar et hypothénar, des interos
qu'à droite. Conservation de l'excitabilité faradique pour tous les
muscles
des membres inférieurs et pour les muscles des
faradique pour tous les muscles des membres inférieurs et pour les
muscles
des gouttières vertébrales. Conservation de l'e
bres même les plus atrophiés. Inexcitabilité galvanique de tous les
muscles
ayant perdu leur excitabilité faradique. Sensib
férieur gauche, par Vigoureux (1 phot.), 481. Paralysie isolée du
muscle
grand dentelé (Contribution à l'étude de la), p
staigne J. et A. Souques. Contribution à l'étude de la paralysie du
muscle
grand dentelé (4 phot.), 178. Dartigues et Bo
membre inférieur gauche (VIGOUROUX). LXXXIII. Paralysie isolée du
muscle
grand dentelé (Souques et Castaigne), XXII, XXI
. et J. Castaigne. Contribution à l'étude de la paralysie isolée du
muscle
grand dentelé (4 phot.). 178. Spillmann L. et
a portion sons-diaphragmatique heurte toujours par sa largeur ; les
muscles
fessiers sont atrophiés et la peau se plisse à le
hernie à grand axe vertical apparaît lors des efforts entre les deux
muscles
grands droits de l'abdomen. Du côté du membre
sse. Du côté gauche on ne relève aucune déformation fémorale. Les
muscles
de la cuisse sont manifestement plus atrophiés à
trophiés à droite qu'à gauche, tant au niveau du quadriceps que des
muscles
de la loge postérieure de la cuisse. , Enfin,
nfin la tumeur est limitée par les fascicules sterno-mastoïdiens du
muscle
sterno-cléido-mastoïdien qu'elle repousse en arri
t et en bas assez vigoureusement. L'élévation et la contraction des
muscles
frontaux et sourcil- liers se fait avec une mob
en que la branche digastrique du facial ne soit pas en cause. Les
muscles
masticateurs sont indemnes, la malade peut serrer
les et réagissent aussi bien à la lumière qu'à l'accommodation. Les
muscles
intrin- sèques et extrinsèques des globes ocula
'autres termes il existe une paralysie bilatérale et symétrique des
muscles
adducteurs du larynx, c'est-à-dire des muscles
le et symétrique des muscles adducteurs du larynx, c'est-à-dire des
muscles
arythénoïdes et crico-arytlénoïdes latéraux. En
ngiens chez notre malade peuvent se résumer ainsi : Paralysie des
muscles
adducteurs ou paralysie de phonation, avec intégr
es muscles adducteurs ou paralysie de phonation, avec intégrité des
muscles
tenseurs et des muscles abducteurs (postices) pré
paralysie de phonation, avec intégrité des muscles tenseurs et des
muscles
abducteurs (postices) préposés à la fonc- tion
complète des cordes vocales dans l'acte inspiratoire. Intégrité des
muscles
tenseurs et abducteurs du larynx. Fig. 2. - Par
ble la toux galva- nique. En effet, pendant l'examen électrique des
muscles
de la région cervicale postérieure, la toux gal
aut à cause de l'insuffisance fonctionnelle du chef claviculaire du
muscle
sterno-cléido-mas- toïdien, du faisceau cléido-
cléido-mas- toïdien, du faisceau cléido-occipital du trapèze et des
muscles
supérieurs de laçage thoracique : pectoraux, de
des sont souvent rejetés par le nez. Si nous observons le jeu des
muscles
innervés par V hypoglosse, on peut voir que tou
eu des muscles innervés par V hypoglosse, on peut voir que tous ces
muscles
sont indemnes. La langue est parfaitement mobil
XII, 3), ni de contractions fibrillaires, ni de scialorrée.Tous les
muscles
sus-hyoïdiens et sous- hyoidiens sont valides.
égion est parfaitement négatif, de même que l'examen électrique des
muscles
de la langue. Tous les troubles que nous avons
se montre bien quand la malade veut avaler des liquides En plus les
muscles
de la première portion du pharynx sont parésiés :
iés : Il existe donc une paralysie limitée au voile du palais et au
muscle
constricteur su- périeur du pharynx. Examen d
lésés, notre syndrome laryngien n'aurait plus aucune valeur. Si les
muscles
élévateurs du thyroïde vers l'hyoïde ou de l'os h
notre malade pendant la phonation. On peut retenir en effet que les
muscles
sous-hyoïdiens soient les antago- nistes des mu
effet que les muscles sous-hyoïdiens soient les antago- nistes des
muscles
inlrinséques du larynx. Etant donné la faillite d
des muscles inlrinséques du larynx. Etant donné la faillite d'un des
muscles
sous-hyoidiens, la corde vocale ne trouvant plu
cipital du trapèze. L'atrophie musculaire s'étend encore à tous les
muscles
de la gouttière cer- vicale postérieure et à la
a flexion directe en avant peut s'accomplir non seule- ment avec le
muscle
sterno-cléido-mastoïdien qui est atrophié, mais e
Cette différence tient simplement à l'atrophie profonde de lous les
muscles
de la région cervi- cale postérieure chez notre
des membres supérieurs . - Le faisceau postérieur du deltoïde, les
muscles
pectoraux (plus à droite), le fais- ceau horizo
pèze, les grands dentelés se présentent manifestement atrophiés. Le
muscle
rhomboïde est assez bien respecté, le grand et
du biceps et du triceps qui sont un peu atrophiés, tous les autres
muscles
du bras, de l'avant-bras et de la main sont absol
e des bras ne peut s'exécuter qu'avec difficulté par l'atrophie des
muscles
pectoraux. Le mouve- ment d'élévation et d'abai
rapprochement des épaules en arrière est limité. L'on sent alors le
muscle
rhomboïde qui est contracté, tandis qu'on ne perç
qu'on ne perçoit aucune con- traction du trapèze. Tous les autres
muscles
du tronc, de l'abdomen et des membres inférieurs
res inférieurs n'offrent aucune trace d'atropine. La fonction des
muscles
sphinctériens est parfaitement normale, on n'a
nous avons noté un certain degré d'hy- potonie dans le domaine des
muscles
atrophiés. Il existe des contractions fibrillai
uscles atrophiés. Il existe des contractions fibrillaires dans les-
muscles
de la ceinture sca- puio-huméraie, elles augmen
l'exposition au froid et plus encore par la percussion directe des
muscles
avec le marteau de Dejerine. La malade présente
Voici le résumé de V examen électrique : Sur le nerf.et tous les
muscles
actionnés par ce nerf l'excitabilité faradique
xcitabilité faradique et galvanique est parfaitement conservée. Les
muscles
: temporal, masséter et anglo-hyoïdien se contr
tabilité élpctlique du nerf facial hypoglosse est normale, tous les
muscles
de la langue et les muscles sus-liyoï- diens pr
facial hypoglosse est normale, tous les muscles de la langue et les
muscles
sus-liyoï- diens présentent une contractihté to
ultats suivants : POLIOMYÉLITE ANTÉRIEURE CHRONIQUE 51 Ce dernier
muscle
peu excitable avec le courant faradique, avec le
te (Ka CHC = An CHC). A gauche les réactions sont meilleures. Les
muscles
grand dorsal, grand et petit dentelé sont peu exc
it dentelé sont peu excitables sans altération de la formule. Les
muscles
épineux, grand et petit rond répondent mieux que
rand et petit rond répondent mieux que les précé- dents. Tous les
muscles
de l'avant-bras et de la main présentent des réac
l'existence d'un syndrome partiel de la D. R. sur les nerfs et les
muscles
de la région cervicale postérieure et de la cei
apulo-humérale. Nous retrouvons l'hypoexcitabilité des nerfs et des
muscles
au courant fara- dique, la diminution de l'exci
tion de l'excitabilité galvanique des nerfs, l'hipoexcitabilité des
muscles
avec secousse lente et égale aux deux pôles et tr
musculaire au faradique sont parallèles au degré de l'atrophie. Les
muscles
excités se fatiguent très vite sous l'influence
remarquable du trapèze, du stel'l1o-cléido-mastoïdien, de tous les
muscles
de la région cervicale postérieure et des épaul
ongs efforts faits à coudre,avait présenté une atrophie de tous les
muscles
de la gouttière cervicale postérieure de façon
xiste presque toujours des signes de rigidité ou de contracture des
muscles
de la nuque et des alté- rations très graves de
uméral par exemple,on peut voir participer à l'a- trophie les mêmes
muscles
qui ont été pris chez notre malade et plus pro-
ébute par la VIIIe cervicale et la Ire dorsale et gagne ensuite les
muscles
du bras, atteint d'a- bord le biceps, le brachi
ïde et le triceps et 54 . 13ERTOLOTTI seulement après s'étend aux
muscles
des épaules. Généralement dans la polyomyélite
le dernier. Comme le dit Dejerine, c'est 1'ttltirnui2z morierls des
muscles
du tronc et du cou et il est intéressant de voi
avait débuté par le faisceau cléido-occipital du trapèze et par les
muscles
innervés par les premiers segments cervicaux, p
vés par les premiers segments cervicaux, pour s'étendre ensuite aux
muscles
de l'épaule et du bras, tout en respectant les
ensuite aux muscles de l'épaule et du bras, tout en respectant les
muscles
de l'avant-bras et de la main. Nous nous trouvo
nous étudierons ensuite la séméio- logie de l'atrophie cantonnée au
muscle
de la région cervicale postérieure et les troub
acé le surmenage : selon cet auteur l'atrophie débute- rait par les
muscles
soumis à un travail exagéré : ainsi les muscles d
ébute- rait par les muscles soumis à un travail exagéré : ainsi les
muscles
du mollet chez un danseur (cas de IIamtnoud), l
r que chez notre malade la polyomyélite a débuté précisément parles
muscles
du cou et des épaules, c'est-à-dire par ces mus
cisément parles muscles du cou et des épaules, c'est-à-dire par ces
muscles
que depuis plusieurs années elle surmenait le plu
lo-homéral avec symptômes bulbaires, mais sans comparlicipation des
muscles
de la nuque et dernièrement dans un mémoire vra
avec le nôtre. La séméiologie et le diagnostic de la paralysie des
muscles
de la nuque ont été illustrés d'une façon très
E CHRONIQUE 57 est pris par un croissant état de faiblesse dans les
muscles
du cou et des épaules, la tête devient lourde e
a disparu et le ligament cervical supérieur est très saillant. Le
muscle
sterno-cléido-mastoïdien est aussi très atrophié,
en est aussi très atrophié, cette atro- phie qui s'étend encore aux
muscles
de l'épaule, a épargné complètement les muscles
s'étend encore aux muscles de l'épaule, a épargné complètement les
muscles
de l'avant-bras et de la main qui sont parfaiteme
t parfaitement conservé des deux côtés. A cause de l'atrophie des
muscles
de la nuque, la tète ne peut être main- tenue d
signe d'altération du faisceau pyramidal. L'examen électrique des
muscles
innervés par le spinal et par la moelle cervica
phie myélopathique à début scapulo- huméral, avec participation des
muscles
delà nuque et symptômes bul- baires. L'histoi
s considérations intéressantes sur la fonction et l'innervation des
muscles
de la région cervicale postérieure. Il fait rem
andis que chez la jeune femme examinée par nous, l'insuffisance des
muscles
de la nuque était un peu moins prononcée, mais
la paralysie du voile, la para- lysie laryngée et la paralysie des
muscles
extenseurs de la tête. En présence du syndrome
èido-mastoïdien et du trapèze, jointe à la paralysie atrophique des
muscles
innervés par les premiers quatre ou cinq nerfs
ation du larynx et du voile du palais et de l'autre à celle de deux
muscles
très importants qui sont le trapèze et le stern
ent complètement l'influence de la X18 paire sur les mouvements des
muscles
du larynx. (1) L. Ferrio, Su di un caso di emia
racines de la XI" paire au- raient vu se contracter la plupart des
muscles
du pharynx ; Chauveau li- mite l'action motrice
ey (1888) en expérimentant sur des singes auraient démontré que les
muscles
: azigos, élévateur du palais et la plupart des m
tré que les muscles : azigos, élévateur du palais et la plupart des
muscles
pharyn- giens sont sous la dépendance de la XIe
atif. L'examen électrique de la moitié gau- che de la langue el des
muscles
innervés par la branche externe du spinal démon
poliomyélite antérieure chronique, qui avait débuté par les petits
muscles
de la main et du bras et avait envahi ensuite l
es petits muscles de la main et du bras et avait envahi ensuite les
muscles
de l'épaule et de la nuque avec réali- sation d
ryngologistes, qu'il existait une paralysie du larynx localisée aux
muscles
arytliénoïdes et crico-arythénoïdes latéraux, t
uscles arytliénoïdes et crico-arythénoïdes latéraux, tandis que les
muscles
du larynx préposés à la fonction respiratoire é
e. En conclusion,sans pousser trop loin la localisation motrice des
muscles
laryngiens, je crois qu'il est permis dans mon
ostal commun chez la femme.Or ce fait était dû à l'insuffisance des
muscles
élévateurs des clavicules et des pre- mières cô
oint d'appui de l'articulation atlanto-occipital. Sans l'action des
muscles
de la gouttière cervicale postérieure, la tête
ale postérieure, la tête tomberait en avant, de telle façon que ces
muscles
ont vraiment une fonction importante dans le sout
expliquer cette anomalie de la façon suivante : A l'état normal les
muscles
extenseurs de la tête sont les antagonistes des
normal les muscles extenseurs de la tête sont les antagonistes des
muscles
abaisseurs de la mâchoire inférieure. Quand ces d
s de la mâchoire inférieure. Quand ces derniers se contractent, les
muscles
de la gouttière cervicale postérieure se raidisse
fléchie en avant. Chez notre malade, étant donné l'insuffisance des
muscles
extenseurs de la tête, l'antagonisme normal éta
CHRONIQUE inférieure ne pouvait se faire qu'après la suppléance des
muscles
intrin- sèques de la colonne cervicale (inter-t
olontaires ou instinctifs, et se localisent dans quel- ques-uns des
muscles
entrant alors synergiquemeut en action. » Duche
peut observer des troubles analogues aux membres inférieurs et aux
muscles
du cou, de l'épaule et du tronc. Convient-il
- 68 MACÉ DE LÉPINAY tracte) est une contraction involontaire des
muscles
, notamment de ceux qui n'obéissent pas à la vol
survenant par suite de l'attitude professionnelle avec pression des
muscles
ou des nerfs. Mais ces douleurs ou paralysies u
sans l'impulsion de la volonté il ne se produirait pas et que, les
muscles
rentrant dans le repos, il s'arrête de lui-même
on nosographique ; c'est : - 1° Leur localisation dans un groupe de
muscles
habitués e.xéczc- fer synergiquement un acte fo
a lésion périphérique, causant une incertitude dans la réaction du
muscle
, vis-à- vis du stimulus mental. Ces lésions son
cubital au niveau du coude est capable de déterminer un spasme des
muscles
innervés par ce nerf, spasme offrant l'aspect d'u
défenseur de l'origine centrale. « Comment admettre, dit-il, qu'un
muscle
serait plus surex- citable, se contracterait ou
rveuse trop consi- dérable et produirait la contracture de certains
muscles
; tantôt leur enverrait l'excitant nerveux irrég
légèrement et, devant l'intensité de la dou- leur et la raideur des
muscles
qui ne pouvaient plus mouvoir le porte, plume,
on rencontrent à leur tour des foyers de myosite chronique dans les
muscles
atteints, A. Pick, dans plusieurs cas de crampe d
ts. Il est évident que l'action mécanique locale, le traumatisme du
muscle
par les tiraillements qu'y provoque tout exer-
les trophiques et la réaction électrique de dégénérescence dans les
muscles
animés par ces nerfs. ÉrUDE SUR LES CRAMPES PRO
oire du radial droit, et de la réaction de dégéné- rescence sur les
muscles
innervés par le médian. Remak cite ce cas comme
uite de l'attitude professionnelle, occa- sionnant une pression des
muscles
ou des nerfs, et siègent sur le terri- toire co
scles ou des nerfs, et siègent sur le terri- toire correspondant au
muscle
ou au nerf lésé. Les observations en sont très
rs dans ces 86 MAC DE LÉPINAY deux doigts, puis de l'atrophie des
muscles
de l'éminence thénar et des interosseux [Côster
énar et des interosseux [Côster (38)]. C'est encore la paralysie du
muscle
long fléchis- seur du pouce gauche (3 cas) ou d
nnelles pour tous les actes qui exigent la mise en marche des mêmes
muscles
que ceux qui agissent dans l'exécution de la pr
te, outre la présence de ce petit névrome, une atrophie marquée des
muscles
extenseurs des doigts et d'une partie des muscles
ophie marquée des muscles extenseurs des doigts et d'une partie des
muscles
de l'éminence thénar ; il n'existe aucun troubl
voir en effet, dans presque tous les spasmes fonctionnels, certains
muscles
se contracter avec excès, d'autres ne point se
t au bas des pages,il ressentait une sorte de tiraillement dans les
muscles
des doigts et de l'avant-bras. Peu à peu la gêne
n. Cette succession de mouvements s'accompagne de douleurs dans les
muscles
de l'avant-bras, qui irradient souvent jusqu'à
pe des écrivains, fut prise d'un spasme fonctionnel concomitant des
muscles
du larynx : Observation VIII. Madame de M., â
s'agit ici, non d'un bégaiement mais d'un véritable spasme dans les
muscles
du larynx qui se produit quand la malade parle
par le renversement de la tête en arrière et par la contraction du
muscle
frontal la paupière supérieure se relève un peu
tête est un peu tournée et penchée à gauche par la contraction des
muscles
du cou de ce côté. Les membres supérieur et i
SYNDROME PEDONCULAIRE 117 obliques) et la musculature intrinsèque (
muscles
ciliaires, sphincters pupil, laires) des yeux d
IRES ET ANGLADA du reste de la tonicité musculaire et du volume des
muscles
du côté qui es paralysé. Crises spasmodiques.
it les commissures buccales en un rictus triste, contracte tous les
muscles
de la mimique faciale et arrive à prendre un ai
t presque devenue une guérison. La crise spasmodique immobilise les
muscles
faciaux dans un rictus qui n'est ni le pleurer
té. Les plis du front sont assez marqués. Lorsque S... mobilise les
muscles
de la face, ces divers signes sont plus marqués
le de la mimique proprement dite, un homme ' pouvant contracter ses
muscles
faciaux sans pouvoir arriver à rire ou pleurer,
en plus,abolition partielle ou totale de la motilité volontaire des
muscles
de la face; l'exci- tation des noyaux moteurs b
A PAROLE ARTICULÉE AVEC HÊM1SPASME FACIAL ET SPASME BILATÉRAL DES
MUSCLES
DU COU ET DE LA CEINTURE SCAPULAIRE PAR Il L.
lentement ; il sent,dit,il, « les nerfs qui le tirent » ; tous ses
muscles
se raidissent ; il prolonge ses repas d'une heu
il s'agit ici en somme d'un spasme fonctionnel où interviennent les
muscles
de la face du côté gauche et de la musculature
e supérieure du tronc (pectoraux, trapèze, bras et épaules), et des
muscles
du larynx. En ce qui concerne ce dernier, les p
mastoïdiens se contracturent pendant la contraction instinctive des
muscles
qui main- tiennent la tête en équilibre entre l
on localisée, 1861. obs. CCXXXIV. (2) GAUSSEL, Spasme bilatéral des
muscles
du cou et de la face, Nouvelle Iconogra- phie d
maximum, les phénomènes sont tels que le malade immobilise tous les
muscles
désignés,et est finalement placé dans l'impossibi
point de départ laryngé, le larynx pre- nant point d'appui sur les
muscles
de la face et du cou immobilisés, puis sur ceux
la situation physiologique de l'homme normal qui contracte tous ses
muscles
pour pousser un cri perçant. Mais ce qui caract
résistance, c'est volontairement qu'elle contracte dans ce but les
muscles
du cou et des membres inférieurs ; elle a de l'in
137 bien timbrée. Le réflexe massétérin est normal.La mobilité des
muscles
faciaux est parfaite. Rien du côté du Ve nerf.
ccentuée ; la lordose lombaire apparaît d'autant plus forte que les
muscles
des fesses sont très développés. Il y a une lég
soulevées des parois thoraciques et regardent en dedans. Tous les
muscles
du tronc sont très forts et toniques. Les poils s
pli cutané très accentué, presque une membrane interdigitale. Les
muscles
sont tous très développés et saillants ; leur con
ors ; cet aspect arqué est accentué par le développement énorme des
muscles
delà région externe de la jambe. A gauche il y
qui est très évidente aussi aux articulations iléo-fémurales. Les
muscles
des fesses, des cuisses et des jambes sont extrêm
rnis et il ne s'agitpas chez lui d'une pseudo-hypertrophie, car ses
muscles
, à l'aspect puissant, sont en effet extrêmement
ment se localise dans un organe qui y est particulièrement adapté, le
muscle
et la masse vivante, tout en restant sensible o
en partent doivent encore passer par les centres moteurs de chaque
muscle
en particulier. i. Lie centre 1 résume toutes l
circula- tion cardiaque ; qu'elles peuvent modifier la tonicité des
muscles
, dilater la pupille et conditionner la directio
ciés, chez les sujets normaux ont été décrits par Muïïer ; dans les
muscles
paralysés par Benedikt, Nothnagel, Hitzig, Onim
se. Souvent en même temps surviennent des mouvements convulsifs des
muscles
de la face, de la tête, du tronc ou des membres
ampe fonctionnelle : par sa localisation à un groupe systématisé de
muscles
habitués à exécuter synergiquement un acte fonc
(Woi 1 lez), tremble- ment oscillatoire (Cazenave), bégaiement des
muscles
de la main (Debout), celte affection « consiste
l'impossibilité d'écrire, par suite de contraction particulière des
muscles
fléchisseurs, ou plus rare- ment des extenseurs
plus seulement dans la main et l'a- vant-bras, mais aussi dans les
muscles
du bras et de l'épaule : Duchenne a ainsi obser
umé, dans la forme spasmodique de la crampe des écrivains, tous les
muscles
des doigts,de l'avant-bras, du bras et de l'épaul
u isolément. Or si l'on considère que dans l'acte d'écrire tous ces
muscles
interviennent dans une certaine mesure, on comp
aux extenseurs, les tonifiant par le massage. En réalité tous les
muscles
du membre supérieur : tous ceux de la main, tou
sclé ; il n'a aucune atrophie mus- culaire du bras droit ; tous les
muscles
et tendons semblent normaux ; il n'existe ni tr
formées, souvent presque illisibles. Si l'on palpe à ce moment les
muscles
du bras et de l'avant-bras, on constate que les m
moment les muscles du bras et de l'avant-bras, on constate que les
muscles
extenseurs du bras sout fortement contractures,
ains cas, au contraire, on a pu observer la paralysie évidente d'un
muscle
déterminé. Duchenne cite un teneur de livres chez
nuer l'écriture. Il s'agissait là d'une paralysie fonctionnelle des
muscles
de l'épaule, en particulier du faisceau moyen d
utés avec rapidité et sans fatigue, une grande liberté d'action des
muscles
qui fléchissent la main sur l'avant-bras ; les
traumatis- mes répétés des doigts amènent une fatigue exagérée des
muscles
et des articulations d'où névralgies d'abord, p
dehors de ces deux actes. La crampe peut également siéger dans les
muscles
du bras ou de l'é- paule (deltoïde, trapèze, so
énar peut amener à la longue 218 MACÉ DE LÉPINAY une atrophie des
muscles
, d'où paralysie flaccide, mais permanente, et n
des forgerons. Cette névrose se caractérise par une contracture des
muscles
du bras et de l'épaule, avec parfois douleurs t
mençait à battre le fer, il res- sentait une forte douleur dans les
muscles
de l'épaule et du bras droits, avec sensation d
e caractérise par une crampe tonique et extrêmement douloureuse des
muscles
des mollets; cette crampe se. manifeste dès que
artiste voulait reprendre son exercice ; la crampe apparut dans les
muscles
des mollets ; elle était si intense que Mlle 1\1
ttait une pédale en mouvement.Stürtz (142) a vu une contraction des
muscles
postérieurs de la cuisse chez un tanneur et un
isse chez un tanneur et un perceur ; Edel (49) annoté la crampe des
muscles
antérieurs et posté- rieurs de la cuisse chez u
5 a un malade dont la tête tournait à droite par la contraction des
muscles
rotateurs, lorsqu'il lisait, jusqu'à ce qu'il e
tout à fait dans notre sujet ; elle se manifeste par un spasme des
muscles
des lèvres ou de la langue au moment où l'artis
où l'artiste veut se servir de son instrument t alors que ces mêmes
muscles
fonctionnent parfaitement pour la masti- cation
assez facilement et s'occuper à des travaux manuels. L'atrophie des
muscles
de la cuisse n'est pas extrême- ment marquée, e
un léger réflexe rotulien. Mollet assez bien conservé. Atteinte des
muscles
du thorax et de l'abdomen. C'est surtout pour l
einte des muscles du thorax et de l'abdomen. C'est surtout pour les
muscles
du bras et de l'épaule que l'atrophie est marquée
malade présente en outre du ptosis bilatéral, et de l'atrophie des
muscles
masticateurs et moteurs de la langue, particula
comme exemple du type facio-scapulo-huméral, avec participation des
muscles
de la main et des avant-bras. Il présente encore
complète; cependant le malade peut écrire encore un peu. Quand les
muscles
du bras se contractent, on observe la formation
e pour la cuisse et le quadriceps. La face est prise, ainsi que les
muscles
du trouc et de l'abdomen, le malade ne peut res
atrophiés, surtout au voisinage de leurs racines scapulaires ; les
muscles
les plus atteints sont le grand pectoral et le de
z mobile sur le bassin, mais ne peut être étendue complètement. Les
muscles
de la jambe sont mieux conservés, ou ne peut obte
ite mandarine particulière appré- ciables lors de la contraction du
muscle
, et tels d'ailleurs qu'on les a assez fréquemme
aphie a montré chez Borg...(n° 1), qui présente de l'a- trophie des
muscles
masticateurs, des maxillaires très transparents,
t l'on conçoit que les reliefs osseux puissent s'émousser quand les
muscles
n'agissent plus sur leurs insertions. Mais l'exam
ses observées constamment se développent parallèlement à celles des
muscles
sous l'action d'une cause commune. Il convient
re, Fried- reich, Eulenburg, Schulze), qui attribuent aux os et aux
muscles
une disposition analogue aux altérations trophi
hiques. » L'examen du maxillaire de Borg..., atteint d'atrophie des
muscles
masticateurs (phénomène très rare, chez les myo
ellure considérable. Atrophie des masses lombaires ; le matelas des
muscles
fessiers ne présente pas d'atrophie manifeste.
; une égalité des secousses par l'anode et la cathode pour tous les
muscles
examinés (jumeaux interne, externe droit, gau-
VIRES ET ANGLADA L'atrophie siège : a) au niveau du trapèze et des
muscles
de l'omoplate où le rhomboïde n'est point touch
vant-bras où elle est légère, diffuse, comme si elle recouvrait les
muscles
d'une épaisseur très mo- dérée. Il semble qu'il
effectuées, dans l'autre est le résultat de l'examen électrique des
muscles
et nerfs. Mensurations pratiquées le 14 mai 190
, le développement semble s'être fait normalement. La paralysie des
muscles
de la face n'est pas encore bien accusée ; elle
itivement que lombaire, s'est étendue toute la musculature sauf aux
muscles
inter- scapulaires. En avant il y a atrophie et
e droit antérieur, les jumeaux, les fessiers. Mais la plupart des
muscles
et nerfs sont frappés à un degré du reste extrê
seudo-hypertrophie et l'atrophie se répartissent sur la plupart des
muscles
du corps. On peut encore dans le cadre de ce tabl
u'il est difficile d'individualiser étant donné la multiplicité des
muscles
atteints et leur degré variable d'altération. Cet
l'ouïe excellente, le goût très bien conservé. Les mouvements des
muscles
intrinsèques et extrinsèques des globes ocu- la
és d'un tremblement à oscillations étendues et assez rapides. Les
muscles
des membres inférieurs sont atrophiés ; l'atrophi
l'atrophie paraît résul- ter de l'inertie même de la malade. Les
muscles
de la face du côté droit sont légèrement contract
trice de l'extrémité supérieure droite et par l'atrophie des petits
muscles
de la main. Après divers traitements demeurés san
trau- ,matique de diverses racines du plexus brachial (parésie des
muscles
deltoïde, grand dentelé, rhomboïde). Après quel
rémité supérieure droite, réflexes profonds affaiblis. Atrophie des
muscles
intérosseux, des muscles de l'éminence thénar e
réflexes profonds affaiblis. Atrophie des muscles intérosseux, des
muscles
de l'éminence thénar et hypothénar à droite, avec
te, avec simple dimi- nution de l'excitabilité électrique. Dans les
muscles
du pouce on voit des secousses particulières; c
de l'extrémité supérieure ^droite fut reconstituée. L'atrophie des
muscles
diminua rapidement, et un mois après, c'est à p
résie cessèrent ; même, le symptôme organique qu'est l'atrophie des
muscles
, au dire de la malade, disparut aussi. Si cela eû
l, sous Y influence d'un moment psychique, de l'atrophie des petits
muscles
de la main, atrophie qui rappelle d'une manière
tique. Pareillement, les secousses particulières dans la région des
muscles
atrophiés disparurent ; ces secousses repré- se
es troubles pathologiques habituels ; d'autre part il permettra aux
muscles
surmenés, et aux cellules cérébrales excitées ou
éthode en faisant plusieurs rangées de pointes de feu au niveau des
muscles
malades. On y pourra joindre le massage, comme
e nous le verrons plus loin, et une « gymnaslique » rationnelle des
muscles
atteints, comme l'a proposé plus récemment Vigo
e, de sorte que la conduite de la plume est sous- traite à certains
muscles
, et confiée à la main entière. Les appareils qu
plus ou moins compli- quées, dans lesquelles ils mettent en jeu des
muscles
très différents de ceux qui devraient être phys
rivains ; chez un de ses malades, il pratiqua la fara- dilation des
muscles
extenseurs ; chez l'autre il employa le pinceau
mpe à l'autre,tantôt du front à l'occiput. Pour l'électrisation des
muscles
, on place une électrode au niveau du renflement
if est appliqué sur la colonne vertébrale ; le pôle négatif sur les
muscles
et nerfs affectés. Dans la forme spasmodique, l
t au contraire utilisée comme électrode active et appliquée sur les
muscles
contracturés. Sparling (Electrotherap. stud.) r
, ce qui permettra de lui demander des effets très différents : tel
muscle
en hypotonie fera un travail profitable et augmen
l'on veut agir utilement, il faut localiser l'excitation aux seuls
muscles
malades, mais là encore il est nécessaire de pren
e une électrode en un point quelconque et l'électrode active sur le
muscle
à traiter, il peut arriver que ce muscle étant
l'électrode active sur le muscle à traiter, il peut arriver que ce
muscle
étant hypoexcitable, on soit forcé de recourir à
lors, comme le courant est intense, la quantité qui diffuse sur les
muscles
voisins est appréciable, et si ces muscles vois
tité qui diffuse sur les muscles voisins est appréciable, et si ces
muscles
voisins sont sains, ce sont eux qui se con- tra
ndispensable dans bien des cas de placer les deux pôles sur le même
muscle
, comme le recommandait déjà Du- chenne de Boulo
e qu'on a inconsciemment soigné plus les antagonistes sains que les
muscles
malades. Enfin Arthuis et Vigouroux ont employé
che le tronc par un massage méthodique écartant soi- gneusement les
muscles
; et l'on exerce alors une pression vigoureuse.
ille. Cette méthode consiste essentiellement à faire du massage des
muscles
malades, puis de la gymnastique active et passi
ndjy a posé comme règle générale le principe de « ne masser que les
muscles
en état d'hypotonie, en laissant absolument tra
muscles en état d'hypotonie, en laissant absolument tranquilles les
muscles
en état d'hypertonie ». Et voici sur quelles ra
nous augmenterons la force musculaire des, deux antagonistes : les
muscles
en hypotonie profiteront sans doute ; mais les
nistes : les muscles en hypotonie profiteront sans doute ; mais les
muscles
en hypertonie profileront égale- ment ; l'équil
toniflés en échec. » Dans la crampe des écrivains, par exemple, les
muscles
contracturés sont en général les fléchisseurs.
s utiles pour activer le processus de réparation des vaisseaux, des
muscles
et des nerfs malades ». Ainsi le massage, sou
ge, puis par des exercices gradués qui ont pour hut de tonifier les
muscles
en état d'hypotonie, c'est-à-dire pres- que tou
er les exercices pré- liminaires de façon à toujours faire agir les
muscles
en état d'hypotonie, et d'approprier les exerci
tte main qu'il faudra rééduquer par un entraînement progressif; les
muscles
de la main seront donc tour à tour exercés par
r pour les voyelles), il faut le concours d'un plus grand nombre de
muscles
que pour tracer des caractères très menus. ÉT
ou professionnel coutumier, et se localisent dans quelques-uns des
muscles
habitués à exécuter synergi- quement cet acte h
éducation motrice lente, patiente, mé- thodique et progressive, des
muscles
affectés par la crampe profession- nelle. Cette
nt persistante et s'accompagne d'amyotrophie généralisée à tous les
muscles
du membre supérieur droit. Le 14 et le 28 janvier
nt au sternum et aux côtes ; les autres siègent dans l'épaisseur dn
muscle
grand pectoral. Les ganglions lymphati- ques de
égie alterne supérieure ou pé- donculo- protl1 béran tielle). Les
muscle
* masticateurs sont atteints d'une paralysie incom
aralysie faciale droite s'est encore accentuée; aucun mouvement des
muscles
de la moitié droite de la face n'est possible, le
ment des muscles de la moitié droite de la face n'est possible, les
muscles
du côté gauche de la face se contractent volontai
lement la commissure labiale gauche. La malade ne peut siffler. Les
muscles
faciaux paralysés ne sont pas atrophiés. Il reste
aralysés ne sont pas atrophiés. Il reste une paralysie complète des
muscles
droits inférieurs et de la parésie des muscles dr
ralysie complète des muscles droits inférieurs et de la parésie des
muscles
droits supérieurs des deux yeux. La langue, l
e déviation en bas, en dehors, à gauche, ainsi qu'une paralysie des
muscles
droits supérieur, inférieur, interne, avec ptos
ille ; le redresse- ment du pied droit est impossible. ' Tous les
muscles
paraissent atrophiés. Le signe de Babinski n'exis
La dissection des globes oculaires, des vaisseaux, des nerfs et des
muscles
donne les résultats suivants : A droite, la c
ite antérieure aiguë par l'absence de réparation rapide de certains
muscles
, la présence des troubles sphinctériens, de l'o
musculaire était pour ainsi dire totale. A l'examen nécropsique les
muscles
gastrocnémiens, par exemple, réduits à fort peu
sur les nerfs crural et sciatique et leurs branches : enfin sur les
muscles
des membres inférieurs (Pl. L). ' La moelle e
'alcool ammoniacal par le procédé de Cajal. Enfin des fragments des
muscles
jambiers antérieurs et jumeaux furent fixés par
chimiotaxiques eux-mêmes lrès altérés par le processus morbide. 5°
Muscles
des membres inférieurs. L'examen microscopique no
amen microscopique nous a montré une dégénérescence profonde de ces
muscles
, dégénérescence surtout accentuée au niveau des
onde de ces muscles, dégénérescence surtout accentuée au niveau des
muscles
de la jambe. Nous signalerons comme lésions car
ble des noyaux musculaires et des noyaux interstitiels. Enfin ces
muscles
traités par la méthode de Cajal nous ont montré l
areil cas, dégénérescence des segments nerveux périphériques et des
muscles
innervés par eux et chromolyse intense des cell
lète, l'atrophie musculaire et la paralysie sont complètes pour les
muscles
qui sont atteints, il n'existe aucun symptôme aut
es. ' Puis j'étudierai (P.), dans un autre chapitrera paralysie des
muscles
du tronc, surtout des muscles abdominaux, en tr
ans un autre chapitrera paralysie des muscles du tronc, surtout des
muscles
abdominaux, en traitant de cette paralysie, d'a
douleurs intenses apparaissent dans le dos et dans la nuque où les
muscles
sont dans un état de contracture, et qu'il peut
outes nos observations détaillées sur l'extension de la parésie des
muscles
et des mouvements spéciaux, parce que cela a été
son extension. Cette restriction ne con- cerne que la paralysie des
muscles
des membres ; quant aux troubles des muscles du
e que la paralysie des muscles des membres ; quant aux troubles des
muscles
du tronc et aux troubles respiratoires, ils n'ont
exes tendi- neux sont traités aussi brièvement que la paralysie des
muscles
des mem- bres, et pour les mêmes raisons. Nou
et aussi un cas avec une forme unique de paralysie persistante des
muscles
abdominaux, seront rapportés dans des chapitres
il p a aussi une certaine diminu- tion de la force musculaire. Les
muscles
abdominaux sont normaux. La malade a été traité
bre inférieur droit, sur- tout de l'articulation coxo-fémorale. Les
muscles
de la région fessière se mon- trent un peu rédu
st plus développée dans la région des hanches et des cuisses. \ Les
muscles
abdominaux sont flasques et évidemment parétiques
de contient 2 à 3 lymphocytes par millimètre cube. Le 8 avril les
muscles
abdominaux sont encore assez parétiques, mais le
quand on la fait asseoir ; maintenant on peut aussi sentir que les
muscles
abdominaux se contractent. En août elle peut ma
résie des mem- bres inférieurs est restreinte à quelques groupes de
muscles
seulement. Elle ne peut s'asseoir dans le lit s
ce n'est d'ailleurs pour aucun mouvement considérable. La masse des
muscles
n'est pas sensible- ment réduite. Quand nous
te observation, on pourrait facilement conclure que la motilité des
muscles
abdominaux doit être presque normale, mais un exa
é- taillé nous révèle un certain nombre de symptômes concernant les
muscles
abdominaux. Si l'on examine par palpation les m
oncernant les muscles abdominaux. Si l'on examine par palpation les
muscles
abdominaux quand l'enfant couchée essaye de s'a
'ombilic se contractent d'une manière normale. Quant à la partie du
muscle
au-dessous de l'ombilic, on la trouve bien dévelo
ement sentir des faisceaux musculaires contractés, mais la masse du
muscle
en cet endroit est beaucoup moindre à droite qu'à
uche et il nous semble que c'est à droite plutôt la partie médiane du
muscle
qui est conservée. Déjà quand l'enfant est co
se contracte que très peu à droite ; à gauche la contraction de ce
muscle
est plus prononcée, mais beaucoup plus faible q
la paroi abdominale également, on remarque une asymétrie quand les
muscles
abdominaux sont contractés ; car pendant ce temps
) sont assez flasques quand elle essaie de faire la contraction des
muscles
abdominaux ; ce manque de contraction des petit
onsidérable des membres inférieurs, qui est manifeste pour tous les
muscles
, mais qui est moins développée pour les extrémité
es extrémités des membres. On ne peut sentir aucune contraction des
muscles
abdominaux, quand il lève la tête. En conséquen
nette. Il est toujours impossible d'observer aucune contraction des
muscles
abdominaux Les réflexes abdominaux n'existent p
vations prouvent qu'il ne peut exister qu'une force très petite des
muscles
abdominaux. Quand j'ai voulu faire un examen co
abdominaux. Quand j'ai voulu faire un examen correspondant pour les
muscles
du dos, les extenseurs du tronc, nous avons ren
e que les douleurs du dos sont causées par son essai d'employer les
muscles
parétiques du dos. Le malade peut maintenant to
façon si distincte qu'on ne peut l'expliquer qu'en supposant que les
muscles
abdominaux se sont contractés, quoique on ne pu
r le bassin est encore très considérable. A l'examen électrique des
muscles
abdominaux nous avons obtenu avec le courant in
ction qui cependant nous semblent certaines. Aux autres parties des
muscles
abdominaux nous n'avons vu aucune contraction.
je trouve qu'il n'y a que très peu à noter quant aux fonctions des
muscles
des membres inférieurs. Cepen- dant, elle opère
de se relever, on peut constater une parésie assez considérable des
muscles
dorsaux, extenseurs du tronc. En palpant les mu
nsidérable des muscles dorsaux, extenseurs du tronc. En palpant les
muscles
abdominaux, quand elle essaye de les contracter,
r lentement et lui faire faire aussi les exercices correspondants des
muscles
du dos). Nous constatons une amélioration prono
ps. Les réflexes abdominaux persistent, mais il y a une parésie des
muscles
abdo- minaux, puisque le malade ne peut se teni
ment paralysés. Il y a aussi parésie de la vessie et du rectum. Les
muscles
abdominaux sont tout à fait flasques ; on ne pe
membres inférieurs. On ne peut encore sentir aucune contraction des
muscles
abdominaux, quand on fait essayer à la ma- lade
piré pendant la pneumonie, parce que la maladie emploie surtout les
muscles
du cou auxiliaires de la respiration ; en tout
5. - Il y a une parésie combinée d'atrophie d'un certain nombre des
muscles
de l'épaule droite et du bras droit au-dessus du
inférieurs et une parésie du bras gauche, surtout de l'épaule. Les
muscles
du tronc sont normaux,du moins à peu près. a) O
résie des deux membres supérieurs qui est plus étendue à droite.Les
muscles
paralysés montrent une atrophie très prononcée.
sur le bassin sont plus affaiblis que ceux des genoux. La force des
muscles
de l'ab- domen est normale, les réflexes abdomi
es mouvements des deux épaules avec une atrophie très prononcée des
muscles
. On constate aussi une parésie du biceps brachi
une parésie du biceps brachial des deux côtés. Le volume des autres
muscles
des bras est normal. Le cas suivant a été obs
relever. Il semble aussi y avoir une atrophie de la masse commune des
muscles
du dos. Il y a une parésie des deux épaules, ma
ie du deltoïde et du trapèze. Il y a une parésie consi- dérable des
muscles
abdominaux et on constate encore presque la môme
s plusieurs années). La malade ne peut faire aucune contraction des
muscles
abdominaux. Pas de réflexes abdominaux. Il y a
cts même très légers, se manifestant par une rigidité passagère des
muscles
, uous la constatons aussi très nettement pour l
agère des muscles, uous la constatons aussi très nettement pour les
muscles
abdominaux ; c'est aiusi qu'on peut, en tou- ch
tant avec la main la paroi abdominale, un état de con- tracture des
muscles
abdominaux, la distension rythmique de l'abdomen
bdominale, va être troublée. Cependant, cet état de contracture des
muscles
abdominaux n'a qu'une durée très courte et par
aladies épidémiques. ? 2 PETRÉN ET EHRENBERG SUR LA PARALYSIE DES
MUSCLES
DU TRONC. par Petren Sur la paralysie des mus
A PARALYSIE DES MUSCLES DU TRONC. par Petren Sur la paralysie des
muscles
abdominaux. Il y a quelques années, la paralysi
ie des muscles abdominaux. Il y a quelques années, la paralysie des
muscles
du tronc dans la poliomyélite aiguë n'était pas
homas). En premier lieu, parmi les conséquences de la paralysie des
muscles
du tronc, on a sur- tout fixé l'attention sur l
se qui peut s'en suivre, et qui est causée par une insuffisance des
muscles
du dos (Gowers, Dejerine et Thomas, Sachs). Qua
u dos (Gowers, Dejerine et Thomas, Sachs). Quant à la paralysie des
muscles
abdominaux, ce n'est que dans ces dernières ann
nièrement quelques statistiques sur la fréquence des paralysies des
muscles
abdominaux : les voici. Collins et Romeisel' (22)
les voici. Collins et Romeisel' (22) ont observé une paralysie des
muscles
abdominaux dans cas sur 176, et Bramwell dans 4
n rapporte que, sur 85 cas, il en a observé deux avec paralysie des
muscles
abdominaux et deux avec pa- ralysie de tous les
ralysie des muscles abdominaux et deux avec pa- ralysie de tous les
muscles
du dos (mais il ne dit pas s'il s'agit des mêmes
vett en a observé 40 avec paralysie du dos et 19 avec paralysie des
muscles
abdominaux. En outre, Collins et Romeiser (23) on
ux. En outre, Collins et Romeiser (23) ont trouvé une paralysie des
muscles
abdominaux dans 29 cas et des muscles du dos da
ont trouvé une paralysie des muscles abdominaux dans 29 cas et des
muscles
du dos dans 20 cas sur 500. Si je me reporte
servations, je trouve, sur nos 29 cas, la avec troubles moteurs des
muscles
abdominaux (II, X, XI, XIII, XVI, XVII, XVIII,
s symptômes pouvant être regardés comme la preuve d'une parésie des
muscles
du tronc. Mais évidemment on doit s'attendre à ce
observé suffisamment ces symptômes. C'est pour- quoi la parésie des
muscles
abdominaux a été notée dans une proportion beau
Wickman me semble avoir approfondi la question de la paralysie des
muscles
abdominaux, car il fait une distinction nette ent
AIGUË 423 son opinion, on aurait à la phase aiguë une paralysie des
muscles
abdo- minaux dans tous les cas où il y a en mêm
membres, nous avons trouvé dans 10 des symptômes d'une parésie des
muscles
abdominaux. Ce résultat ne semble pas parler très
rès possible qu'il ait existé dans ces cas des troubles moteurs des
muscles
abdominaux, mais que, par exemple, ces troubles
deux membres, nous avons toujours constaté des troubles moteurs des
muscles
abdominaux. En conséquence, nos observations pa
marquer que dans les cas où Bramwell avait trouvé une paralysie des
muscles
abdominaux, il y avait également des troubles m
conception est exacte, il est bien sûr que les troubles moteurs des
muscles
abdominaux vont disparaître dans le plus grand no
être même davantage, avant de pouvoir être sûr que la paralysie des
muscles
abdominaux persistera (quant aux parésies de ces
alysie des muscles abdominaux persistera (quant aux parésies de ces
muscles
, nous y revenons plus loin). Nous relèverons
où l'on a décrit des troubles moteurs provenant d'une paralysie des
muscles
ab- dominaux, pour donner une idée des formes d
ysie, quand l'observation en a été faite. Une paralysie de tous les
muscles
abdominaux a été observée par Wickman (un mois
vait une scoliose). Une paralysie unilatérale, mais complète, des
muscles
abdominaux a été décrite par Neurath (70) (un c
ais affaibli. Une paralysie unilatérale de la moitié supérieure des
muscles
abdominaux a été décrite par Starcke (huit mois
ermann ont publié 4 cas du même type ; il y avait une faiblesse des
muscles
abdominaux, surtout dans la partie située entre l
d les malades ont toussé ou fait contracter d'une autre façon leurs
muscles
abdo- minaux. La seule différence entre ces cas
ublié par V. Baracz. Un type tout à fait différent de paralysie des
muscles
abdominaux a été décrit par Strassburger ; il y
ainsi que le pouvoir de contracter la cavité abdominale (l'état des
muscles
obliques n'est pas clair ÉTUDES CLINIQUES SUR L
type qui a été décrit par Loewegren ; il y avait une paralysie des
muscles
abdominaux (aussi des grandes droits) aux parties
aux parties inférieures et médiane de la paroi abdominale, mais les
muscles
étaient con- servés dans les parties supérieure
te un cas où il a observé, 7 mois après le début, une paralysie des
muscles
abdominaux au-dessus de l'ombilic. Lafetra in
ès brièvement qu'il a vu deux cas d'une paralysie unila- térale des
muscles
obliques, mais sans donner aucune description des
observés. Leischner a vu un cas avec une paralysie unilatérale des
muscles
abdo- minaux transverses (mais il ne dit rien d
do- minaux transverses (mais il ne dit rien de clair sur l'état des
muscles
obli- ques : Die linken quel'en Bauchmuskeln &l
nous avons un certain nombre de formes différentes de paralysie des
muscles
abdominaux. Cependant il me semble qu'on n'a pa
surtout à l'état du grand oblique. Les symptômes de paralysie des
muscles
abdominaux que nous avons observés pendant la p
sis (impossibilité qui naturellement dépend, en outre de l'état des
muscles
du dos) ou l'impos- sibilité de faire une contr
u dos) ou l'impos- sibilité de faire une contraction quelconque des
muscles
abdominaux, par exemple, en toussant, etc., et,
. En considérant ces symptômes comme des signes d'une paralysie des
muscles
abdominaux, il ne faut pas oublier le rôle que
bien connus comme étant la conséquence d'une paralysie de tous les
muscles
abdomi- naux. Il est aussi de règle que tous ce
e tous les muscles abdomi- naux. Il est aussi de règle que tous ces
muscles
soient atteints quand il s'agit d'une paralysie
ent insisté sur celle règle. Nous avons vu les troubles moteurs des
muscles
abdominaux persister dans 7 cas pendant tout le
inale, on ne peut constater aucune contraction tout à fait sûre des
muscles
abdominaux ; néanmoins je conclus (et les raisons
état du 6 mai) qu'il y a maintenant quelque trace de force dans les
muscles
abdominaux, comme également dans les muscles 42
race de force dans les muscles abdominaux, comme également dans les
muscles
426 PETRÉN ET EHRENBERG du dos. Quant au pron
ut encore espérer une restauration (complète ? ) de la fonction des
muscles
abdominaux. A ce propos je veux attirer l'atten
l'attention sur la méthode pour examiner l'état de la fonction des
muscles
abdominaux comme également des mus- cles du dos
nc. Dans cette position il ne faut qu'une trace infime de force des
muscles
du tronc pour mouvoir le tronc ; d'un aulre côt
sans tomber nous permet de conclure sur la force conservée dans les
muscles
du tronc. Par conséquent, je crois que l'examen
blement un moyen précieux pour étudier le degré de la paralysie des
muscles
abdominaux, surtout des grands droits et des musc
paralysie des muscles abdominaux, surtout des grands droits et des
muscles
du dos et surtout s'il s'agit de parésies encor
eu près de- puis le début de la maladie et la paralysie de tous les
muscles
abdominaux était cette fois encore complète (la
ès le début de la maladie, une lordose, mais l'examen de l'état des
muscles
abdominaux était difficile à cause de l'âge de
aillés sur ce point. Dans le cas XXV, nous avons vu une parésie des
muscles
abdominaux, mais pas une paralysie complète; la
re avis, le pronostic d'une restauration complète des fonctions des
muscles
abdominaux est assez probable pour ce cas. L'ob
ès l'attaque de po- liomyélite, nous avons constaté une parésie des
muscles
abdominaux, as- sez incomplète. Nous avons prat
us avons pratiqué un traitement par des exercices mé- thodiques des
muscles
du tronc et nous avons vu s'en suivre presque à
ous montre que la restauration des fonctions motrices troublées des
muscles
abdominaux peut se produire très longtemps aprè
s nos cas cités jusqu'ici, il s'est agi d'une paralysie de tous les
muscles
abdominaux ou d'une parésie se rapportant, autant
LINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 417 l'ayons constaté, à tous les
muscles
abdominaux au même degré. Cepen- dant, nous avo
mes que le 11 juin. Avec le courant d'induction il y a réaction des
muscles
abdominaux au-dessus, mais pas au-dessous de l'
es. Le 19 octobre on remarque une asymétrie de l'abdomen, quand les
muscles
abdominaux se contractent (par exemple, dans le
te aussi par la palpation, quand le malade essaie de contracter les
muscles
abdominaux. Etat le 21 janvier 1909. Dans les m
3 centimètres. En examinant l'abdomen pendant la contraction de ses
muscles
, on trouve que la cause de ce déplacement est cel
e l'ombilic se contractent (et fortement) ; quant aux parties de ce
muscle
au-dessous de l'ombilic, on n'y peut sentir la
trie de la partie inférieure du thorax pendant la contrac- tion des
muscles
de l'abdomen est la même que le 19 octobre. A l
rax aussi manifeste que celui que j'ai décrit auparavant, quand les
muscles
intacts de l'abdomen sont contractés par la vol
ent). Par conséquent, on peut faire le diagnostic d'une parésie des
muscles
du dos, qui sont les extenseurs du tronc. La fo
du dos, qui sont les extenseurs du tronc. La forme de paralysie des
muscles
abdominaux que l'on observe dans ce cas n'a pas
ci-dessus ; dans tous les deux, seules, les parties supérieures des
muscles
abdominaux ont été conservées et toutes les par
ominaux ont été conservées et toutes les parties inférieures de ces
muscles
ont été pa- ralysées. Dans notre cas, il est re
ouvions constater aucune contraction des parties inférieures de ces
muscles
. Dans ce cas il est intéressant devoir comment,
ilic se déplace vers le thorax, quand le malade fait contracter ses
muscles
abdominaux (dans la mesure où ils sont conservé
ace vers le haut pour la contraction des parties supérieures de ces
muscles
et vers le bas pour la contraction des parties
voit, cette observation du maître dans le domaine des fonctions des
muscles
est en complet accord avec l'observation que nous
ue nous a permis de faire la destruction seulement partielle de ces
muscles
. Dans notre cas, le déplacement de l'ombilic ét
blique. Lafetra rapporte qu'il a vu des paralysies unilatérales des
muscles
obliques, mais il ne donne aucun renseignement su
n du thorax qui se manifeste quand le malade fait se contracter ses
muscles
abdominaux ; alors, la partie du bord du thorax
qui est, dans les conditions normales, recouverte et fixée par ces
muscles
et qui acquiert une résistance considérable par
ici de cet appui et devient proéminente sous la pression des autres
muscles
qui s'insèrent sur le thorax et qui sont con- s
sache. L'autre cas où nous avons observé une parésie partielle des
muscles
abdominaux, c'est l'observation X. Dans ce cas,
sont assez bien conservés ; toutefois, la partie inférieure de ces
muscles
est réduite à droite. Nous avons trouvé une par
e proéminence du bord du thorax quand la malade fait contracter ses
muscles
abdominaux; mais nous avons en outre observé qu
st couchée sur le dos au repos. Quand la malade fait contracter ses
muscles
abdominaux, on ob- serve en outre une proéminen
forme d'une hernie. Cette conséquence des paralysies partielles des
muscles
abdominaux a été déjà plusieurs fois observée (
urs fois observée (Medin, Ibrahim et Hermann). Sur la paralysie des
muscles
du dos. Quant à la paralysie des muscles du dos
n). Sur la paralysie des muscles du dos. Quant à la paralysie des
muscles
du dos, il est difficile de constater son exist
son existence pendant la phase aiguë, quand il ya une paralysie des
muscles
abdominaux et que,par conséquent, les malades n
n a toujours, quand il y a au début de la maladie une paralysie des
muscles
abdominaux, en même temps une paralysie des mus
e paralysie des muscles abdominaux, en même temps une paralysie des
muscles
du dos. D'ailleurs, on n'avait jusqu'ici prêté at
. D'ailleurs, on n'avait jusqu'ici prêté attention la paralysie des
muscles
du dos que presque uniquement dans les cas où ell
les cas cités ci-dessus, où nous avons vu des troubles moteurs des
muscles
abdominaux persistant pendant toute la durée de n
, il n'y en a qu'un où nous ayons constaté une motilité normale des
muscles
du dos : des l'observation X, où la malade pouvai
normale. Quant au cas XXII, nous n'avons aucune note sur l'état des
muscles
du dos. Dans le cas XIX, où la malade est morte
nous n'avons jamais eu l'occasion' d'examiner le fonctionnement des
muscles
du dos, car la malade a eu tout le temps une pa
ur le cas XI, où il n'y a encore qu'un commencement de motilité des
muscles
abdominaux, il nous semble également qu'il existe
e correspondant à celle avec laquelle nous avons examiné l'état des
muscles
abdominaux, parce que dans la position assise,
core de fortes douleurs, et surtout l'essai d'employer la force des
muscles
du dos, qui sont les extenseurs du tronc. Dan
ronc. Dans les cas XIII et XX, nous avons constaté la faiblesse des
muscles
du dos en faisant se pencher en avant les malad
UES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 431 Dans le cas XXV, la paralysie des
muscles
du dos se montre par l'im- possibilité qu'a le
. C'est le seul de nos cas où l'on pourrait dire que la parésie des
muscles
du dos est plus dévelop- pée que celle des musc
e la parésie des muscles du dos est plus dévelop- pée que celle des
muscles
abdominaux. ' Nous n'avons jamais observé de dé
es sont en faveur de cette conclusion, que les troubles moteurs des
muscles
du dos sont assez fréquents. Certainement, nos
jusqu'ici presque jamais prêté suffisamment attention à l'état des
muscles
du dos avant le moment où l'on s'est trouvé en
difficulté considérable à faire exécu- ter le moindre mouvement aux
muscles
du visage et ne peut froncer le front. Yeux. -
thyroïde mobile avec les mouvements d'élévation de la trachée. Les
muscles
du cou se sont nettement parésiés.La malade couch
légèrement, mais très vite tout effort lui devient impossible. Les
muscles
fléchisseurs et extenseurs de l'avant-bras sur
taine résistance, qui rapidement est épuisée. Il en est de même des
muscles
de l'épaule. La préhension des objets volumineux
ieson, au Marchi, au picro-carmin ne nous a révélé aucune lésion.
Muscles
. L'examen a porté sur les muscles sterno-cléido-m
ne nous a révélé aucune lésion. Muscles. L'examen a porté sur les
muscles
sterno-cléido-mastoïdien et thyro-hyoïdien et s
r les muscles sterno-cléido-mastoïdien et thyro-hyoïdien et sur les
muscles
du pharynx. Sterno-cléido-mastoïdien et lhyro-h
smique ou le Soudan III, de dégénérescence graisseuse des fibres.
Muscles
du pharynx. - Sur les coupes colorées à l'hématox
ent qu'en certains points. En d'autres en effet l'aspect général du
muscle
est absolument normal. Nous avons cherché à pré
la persistance du thymus est devenue un fait banal. Les lésions des
muscles
présentent un plus UN CAS DE MYASTHÉNIE GRAVE d
interstitielle nous indiquent que toute idée d'une inflammation du
muscle
doit être éliminée. Enfin un fait des plus impo
tiers antérieur et du tiers moyen de cette même ire phalange. Les
muscles
des membres sont peu développés ; même aux membre
taxie, pas d'asynergie. ' Tous les mouvements sont possibles. Les
muscles
sont flasques et hypotoni- ques, peu développés
on. La fonction des sphincters est aussi normale. La mobilité des
muscles
oculaires, faciaux, de la tète, du crâne et des
ue postérieure et supérieure gauche, au niveau du relief gauche des
muscles
Fig. 9 Fig. 10 DE LA DISPOSITION RADICULAIR
érieure, surtout de la portion supérieure de la région dorsale. Les
muscles
du cou et du corps sont atro- phiés ; la sensib
liénés. A son examen nous avons trouvé qu'il se tenait courbé ; les
muscles
du cou ainsi que ceux de l'omoplate paraissaien
omoplate paraissaient atrophiés ; il n'en était pas de même pour le
muscle
trapèze, de tonicité normale. Les mouvements acti
xes abdominaux sont nets. Le réflexe crémastérien est aboli, car le
muscle
crémastérien est déjà atrophié, les testicules so
non seule- ment les mouvements des extrémités, mais aussi ceux des
muscles
respiratoi- res (soupirs). Lorsqu'on touche le
n in- férieure de la colonne vertébrale provoque la contraction des
muscles
redres- seurs ; le même tapotement pratiqué en
s réflexes. Pas de réflexe maxillaire. La sensibilité mécanique des
muscles
du corps et des extrémités est exagérée. Sensib
thoracique y participe peu ; le diaphragme est abaissé. Faiblesse des
muscles
du cou; tremblement de la langue. On observe au
ur d'iodure de sodium, des bains chauds ainsi que des exercices des
muscles
du cou. Ainsi, notre malade présente une spondy
. L'épaisseur de la paroi du ventricule gauche est de 1 cm. 1/2; le
muscle
est d'un rouge brun. Diagnostic : Récente pachy
lité de la colonne vertébrale, une cyphose, une légère atrophie des
muscles
, un affaiblissement de' la respiration, une dim
et en partie des racines antérieures, d'où résulte une parésie des
muscles
pectoraux et spinaux dont le rôle consiste à so
des conditions mécaniques amenés par la parésie] et l'atrophie des
muscles
de la colonne vertébrale. La fusion des vertèbr
pondylose ne se développe pas toujours à la suite de l'atrophie des
muscles
de la colonne vertébrale. De plus, Schaikevitch
s cas de ma- ladie de Bechterew dans lesquels manque l'atrophie des
muscles
dorsaux. N'ayant pas trouvé d'atrophie musculai
on des méninges et des racines et peut-être un état rhumatisant des
muscles
dorsaux. En tout cas, l'affection a eu au début
e iliaque. L'atrophie du membre inférieur gauche porte sur tous les
muscles
en géné- ral ; les muscles présentent une dimin
mbre inférieur gauche porte sur tous les muscles en géné- ral ; les
muscles
présentent une diminution de l'excitabilité élect
gauche de la suture lambdoïde. Les lignes osseuses d'insertion des
muscles
sur l'apophyse mastoïde sont aussi très saillan
la respiration. Je remarquerai, d'abord, que déjà la paralysie des
muscles
abdominaux cause, si elle est complète, des tro
force très diminuée. Dans notre cas XIX avec paralysie complète des
muscles
abdominaux, nous n'avions pas vu pendant longte
a pneumonie- seule. Toutefois, quand la paralysie n'atteint pas les
muscles
de la respi- ration autres que les muscles abdo
alysie n'atteint pas les muscles de la respi- ration autres que les
muscles
abdominaux et quand n'apparaissent pas de compl
se par Wickman, qu'on aura probablement ^toujours une paralysie des
muscles
abdominaux quand il va paralysie et des membres
rande partie de la moelle. Mais, si cette règle se vérifie pour les
muscles
abdominaux, on aura les mêmes raisons de conclu
mêmes raisons de conclure que le cas serait le même pour les autres
muscles
innervés par les nerfs thoraciques, c'est-à-dire
t à fait en repos et en effet il semble que ce soient seulement les
muscles
auxiliaires de la respiration dans le cou qui se
s développée du gauche. On ne peut constater aucune contraction des
muscles
abdominaux. Pas de réflexes abdominaux. La motili
rien ne peut contrebalancer à cause du manque absolu des tonus des
muscles
intercostaux paralysés. Le tirage intercostal a
Cela dépen- dait évidemment, en outre, de la paralysie absolue des
muscles
abdomi- naux que présentait également le malade
chite, être près de suffoquer. Wickman conclut que la paralysie des
muscles
intercostaux serait mieux supportée que la para
au moins pas dans les cas où la paralysie atteint en même temps les
muscles
intercostaux et les muscles abdominaux. En trai
la paralysie atteint en même temps les muscles intercostaux et les
muscles
abdominaux. En traitant des troubles respiratoi
à un type spasmodique, des contractions fortes et involontaires des
muscles
paraly- sés, et aussi des muscles abdominaux, p
tions fortes et involontaires des muscles paraly- sés, et aussi des
muscles
abdominaux, peuvent être provoquées très faci-
ar l'extension de l'abdomen. Cepen- dant, l'état de contraction des
muscles
abdominaux a une durée si courte que les troubl
alement très diminuée. Toutefois, quand elle essaie de tousser, les
muscles
abdominaux passent à l'état de contraction ; ma
respiralion est un centre de coordination. Mais, dans ces cas, les
muscles
de l'inspiration qui étaient conservés, c'est-à
de la respiration dus à une lésion du noyau du dia- phragme et des
muscles
intercostaux et ceux qui sont dus à la lésion du
a distinction entre les symptômes dus à des paralysies spinales des
muscles
de la respiration et ceux qui sont dus directem
ion très considérable » pour les cas où la paralysie ou parésie des
muscles
les plus atteints montrent un tel degré de rest
les les plus atteints montrent un tel degré de restauration que ces
muscles
retrouvent de nouveau une force assez grande, s
'ai observé encore deux cas où il persiste des troubles moteurs des
muscles
abdominaux, mais où la restauration des mucles
t presque disparu, mais il reste encore une paralysie partielle des
muscles
abdominaux. Observation XII, garçon âgé de 16 a
iminution très modérée de la force de quelques mouvements. Dans les
muscles
abdominaux et les muscles du dos, parésie qui s
la force de quelques mouvements. Dans les muscles abdominaux et les
muscles
du dos, parésie qui semble également disparaîtr
on arrive à ce que le malade puisse exercer son innervation et ses
muscles
, même si leur force ne leur permet pas d'accomp
méthode par laquelle on peut arriver à faire faire un exercice aux
muscles
qui ont une certaine force, mais qui n'en ont p
articulière où il fut encore examiné par le Dr Mayer. Bientôt les
muscles
du voile du palais et du larynx furent atteint. L
ue est de 30 à droite et de 40 à gauche. Les réflexes tendineux des
muscles
triceps et des supinateurs sont exagé- rés. Les
On ne peut pas complètement défléchir les jambes, la rétraction des
muscles
fléchisseurs s'y opposant. Aux membres supérieu
émi- nences thénar et hypothénar sont très réduites de volume. Les
muscles
des bras et des avant-bras sont égalemenl le si
anormal. Résistance musculaire.-Aux membres inférieurs la force des
muscles
exten- seurs est assez bien conservée, tandis q
a musculature ; cette diminution est pourtant plus accusée dans les
muscles
extenseurs que dans les fléchisseurs. La force
ibre muscu- laire, dont la striation ne se voit plus. Dans certains
muscles
l'infiltration est plus intense que dans les au
e assurément un trouble plus ou moins profond dans la nutrition des
muscles
. Elle ne semble pas être la conséquence de la c
ait plutôt d'un trouble plus ou moins spécial dans la nutrition des
muscles
, ' Observation IL A. D..., âgée de 16 ans, en
s 3 ou 4 mois. ' Depuis 5 mois, la malade a commencé à maigrir, les
muscles
se sont atro- phiés, les mamelles qui étaient é
es hôp. de Paris, 1891. 648 MARINESCO ET GOLDSTEIN graisseuse des
muscles
est très importante. Comme nous venons de le voir
lements des paupières. Il n'y a aucun trouble du mouvement dans les
muscles
du territoire du nerf facial. La position de la l
en allongée : le malade peut en exécuter tous les mouve- ments. Les
muscles
du voile du palais ne présentent rien d'anormal.
ed gauche il y a encore une légère rotation à l'extérieur. Tous les
muscles
des articulations inférieures sont flasques et at
, excepté pour l'abduction du droit. De tout cela on déduit que les
muscles
dont l'action manque presque coin plètement son
rouve une diminution de l'excita- bilité galvanique et Lradique des
muscles
des membres inférieurs sans inver- sion de la f
L'examen ne montre rien par rapport à l'attitude et à la motilité des
muscles
innervés par le facial supérieur et inférieur,
ubois-Raymond). LES ATROPHIES MUSCULAIRES TARDIVES 655 les autres
muscles
, dans lesquels le processus atrophique a commencé
iguë lombaire,qui produisit des deuxcôtés une paralysie de quelques
muscles
antérieurs des jambes et du pied et par conséquen
oment il commença à se produire une atrophie associée à parésie des
muscles
des jambes et des cuisses surtout à droite ; ce t
arallèlement aux troubles moteurs s'est développée une atrophie des
muscles
des mains, qui est maintenant assez notable. A
nution de l'excitabilité électrique galvano-faradique dans tous les
muscles
des membres inférieurs dans lesquels on remarquai
et d'hypertrophie vraie ou fausse, et par la parfaite intégrité des
muscles
faciaux, Contre la dystrophie musculaire du typ
ne marche progressive et, petit à petit, atteint un grand nombre de
muscles
, de manière à paraître comme une atrophie muscu
rités de la marche de la maladie ; toutefois il est certain que les
muscles
atteints en premier lieu furent ceux qui étaient
en premier lieu furent ceux qui étaient voisins des paralysés (les
muscles
des jambes). L'atrophie musculaire peut encore
e, mais elle peut aussi se développer en un point très éloigné. Les
muscles
plus paralysés sont en général ceux qui dépende
tDutil). On pourrait admettre cela si t'amyotrophie se limitait aux
muscles
envi- ronnants ceux atteints en premier lieu, e
de l'autre côté et qu'il y avait une réaction de dégénérescence aux
muscles
péroniers, mais que le réflexe patellaire était
gourdissement aux doigts. Une parésie très considérable de tous les
muscles
des membres qui est déve- loppée à peu près au
membres qui est déve- loppée à peu près au même degré pour tous les
muscles
des membres inférieurs, mais qui augmente aux m
eut être assis sans s'aider des bras, mais il y a une faiblesse des
muscles
abdominaux ; toutefois les réflexes abdominaux
l'examen électrique répété plusieurs fois, on trouve pour plusieurs
muscles
une diminution de l'excitabilité, mais jamais de
qu'il retrouve très régulièrement en premier lieu la force dans les
muscles
des racines des membres et que par conséquent l
que par conséquent la parésie la plus développée persiste dans les
muscles
des extrémités des membres. A la lin de mars, q
e, il peut marcher assez bien, monter des escaliers, etc., mais les
muscles
les plus périphériques, surtout les muscles iut
caliers, etc., mais les muscles les plus périphériques, surtout les
muscles
iuterosseux des mains et les muscles de la flexio
lus périphériques, surtout les muscles iuterosseux des mains et les
muscles
de la flexion dorsale des pieds sont encore trè
le ont disparu. Les réflexes tendineux aux bras sont affaiblis. Les
muscles
abdommaux se contractent assez bien. L'examen
GUË 669 son extension normale, Il y a une réduction de la masse des
muscles
du thénar et de l'hypothénar qui sont également
es articulations interphalangiennes étendues, ce qui prouve que les
muscles
interosseux ont conservé au moins en partie leu
s des épaules sont normaux. La marche est légèrement parétique. Les
muscles
du tronc sont normaux. Les réflexes abdominaux
it constater une diminution de l'excitabilité très marquée pour les
muscles
des jambes, mais nettement développée aussi pour
surtout pour le courant induit, est très diminuée, surtout pour les
muscles
des jambes. Aux muscles interosseux des mains o
induit, est très diminuée, surtout pour les muscles des jambes. Aux
muscles
interosseux des mains on ne peut obtenir aucune
, il peut au début faire le mouvement lentement ; puis la force des
muscles
abdominaux n'est plus suffisante et il tombe lo
ns le dos. Par conséquent, il est difficile d'examiner la force des
muscles
du dos. Si on l'es- saie en le faisant, quand i
résistance, il semble qu'il ait une force assez considérable daus ces
muscles
. Le malade peut contracter ses muscles abdomina
assez considérable daus ces muscles. Le malade peut contracter ses
muscles
abdominaux, ce qu'on peut constater quand il to
-mêmes l'avons rendu très probable, il y a toujours une parésie des
muscles
du tronc, quand il y a des troubles moteurs à l
s membres inférieurs aux membres supérieurs en laissant intacts les
muscles
du tronc. C'est ce que nous avons observé dans no
lysie très accusée pour tous les membres et la motilité normale des
muscles
du tronc, au moment où le malade est entré à la
à la clinique. En outre, la répartition de la paralysie entre les
muscles
du même membre montre souvent des différences n
fait irrégulièrement, par exemple, être le plus développée dans les
muscles
de la hanche et de la cuisse. Au contraire, dan
vrite, la paralysie est très régulièrement la plus marquée pour les
muscles
les plus périphériques des membres dans les cas
muscles les plus périphériques des membres dans les cas où tous les
muscles
des membres ne sont pas complètement paralysés.
e publiés ici. S'il y a une phase de paralysie complète de tous les
muscles
du membre, on peut néanmoins s'attendre à trouv
maladie la paralysie est le plus souvent localisée surtout dans les
muscles
des épaules, comme on l'a déjà remarqué (Bauman
le, qui est nettement développée au bout de deux mois pour tous les
muscles
paralysés. Tout cela me semble clairement indique
e ; il est bien musclé, spécia- lement au niveau des bras, dont les
muscles
se sont hypertrophiés, par né- cessité d'être p
is ces caractères sont le résultat même de la brièveté des os ; les
muscles
devien- nent plus volumineux, parce qu'ils ont
re est inégale. Les tubérosités osseuses servant aux insertions des
muscles
sont excessivement hyperplasiées, saillantes. Q
amelon, sur une étendue de 10 à 11 centimètres, sans intéresser les
muscles
sous-jacents. Nous vîmes aussitôt le grand pect
tôt le grand pectoral, le biceps, puis le brachial antérieur et les
muscles
couvrant l'épitrochlée se contracter successiveme
n ne peut rencontrer que dans les organisations complexes munies de
muscles
et de nerfs. L'auto- matisme relève de différen
éaction enchaînée au moyen de nerfs agissant sur les vaisseaux, les
muscles
, les glandes dont ils modifient l'équilibre ; r
excitations purement physiques du travail intel- lectuel, comme les
muscles
doivent être soumis au travail manuel pour cons
ial (Spasme de la parole articulée avec - et spasme bilatérat des
muscles
du cou et de la ceinture scapulaire) (1 pl.), p
(Spasmes de la - avec hc- mispasme facial et spasme bilatéral des
muscles
du cou et de la ceinture scapu- laire) 1 pl.),
de la parole articulée avec hémi- spasme facial et - bilatéral des
muscles
au cou el de la ceinture scapulaire (1 pl.),
parole articulée avec héiirispasme facial et spasme bilatéral des
muscles
du cou et de la ceinture scapulaire (1 pl.), 1z
parole articulée avec hémispasme fa- cial et spasme bilatéral des
muscles
du cou et de la ceinture scapulaire (1 pl.),
e de la parole articulée. Hémispasme facial et spasme bilatéral des
muscles
du cou et de la ceinture scapulaire (Rimbaud
tôt cylindriques que fusiformes ; cepen- dant, il n'y a ni dans les
muscles
des gouttières vertébrales, ni dans les fes- 32
ales, ni dans les fes- 32 RAYMOND ET BABONNEIX siers, ni dans les
muscles
de la cuisse et de la jambe aucun trouble des réa
s analogues à celles que nous avons décrites autour de l'aorte. Les
muscles
des gouttières verté- brales sont absolument sa
coxo-fémorales sont un peu différentes. Lors- qu'on a sectionné les
muscles
périarticulaires, les mouvements articulaires s
uite de la transfor- mation successive, en tissu osseux, des divers
muscles
de la vie de rela- tion ; l'ossification débute
ers muscles de la vie de rela- tion ; l'ossification débute par les
muscles
de la nuque, du dos, de la ra- cine des membres
de la ra- cine des membres pour envahir l'un après l'autre tous les
muscles
, sauf ceux de la face et les sphincters. C'est
apparaît dans les premières années de la vie : elle débute par les
muscles
de la nuque, enfin et surtout, les lésions qui
s sont les plus accentuées, il est aisé de se rendre compte que les
muscles
des gouttières vertébrales sont parfaitement sa
e les vertèbres sont douloureuses à la percussion ; 3) atrophie des
muscles
des ceintures scapulaire et pel- vienne, et plu
ceintures scapulaire et pel- vienne, et plus rarement, atrophie des
muscles
des extrémités ; 4) inten- sité des troubles se
gauche, les mêmes symptômes se manifestent à droite : début par les
muscles
de la main, progression lente vers l'avant-bras
nent les renseignements suivants : Membre supérieur gauche. - Les
muscles
de la main sont comme fondus ; atrophie complèt
- Les muscles de la main sont comme fondus ; atrophie complète des
muscles
des éminences thénar et hypothénar et des in- t
s éminences thénar et hypothénar et des in- terosseux. Atrophie des
muscles
fléchisseurs et extenseurs de l'avant-bras, des
trophie des muscles fléchisseurs et extenseurs de l'avant-bras, des
muscles
du bras, du deltoïde, du grand pectoral. Le trapè
des muscles du bras, du deltoïde, du grand pectoral. Le trapèze, les
muscles
sus et sous-épineux ne paraissent pas atteints.
oit. De ce côté l'atrophie est arrivée à un stade moins avancé. Les
muscles
de la main sont notablement atrophiés mais leurs
igts, mais la malade se fatigue vite lorsqu'elle les fait agir. Les
muscles
du bras et de l'épaule paraissent intacts. , On
aissent intacts. , On note quelques secousses fibrillaires dans les
muscles
atrophiés (ce symp- tôme n'a pas été retrouvé d
ers séjours à l'hôpital il n'a pas été fait d'examen électrique des
muscles
. En 1899 la malade est transférée à l'asile des
iption faite en 1893. Il n'y a pas de secousses fibrillaires dans les
muscles
atrophiés. Pas de troubles objectifs de la sens
tal cantonal dans le service de M. le pro- fesseur Bard. L'état des
muscles
est le même que précédemment. Mort le 16 septem
fragments des nerfs du plexus brachial gauche et des fragments des
muscles
deltoïde et biceps du même côté. C'est grâce à
s ne l'avons pas retrouvée sur les coupes des autres racines. IV.
Muscles
(Fragments du biceps brachial et du deltoïde gauc
l'un à la partie antérieure, l'autre à la partie postérieure de ce
muscle
, le second Fio. 8. Racine antérieure C VIII. Hé
lement plus atrophié que le premier et dans le fragment pris sur le
muscle
biceps toutes les fibres musculaires ont disparu.
. Par contre, le hasard a fait qu'on ait enlevé avec le fragment du
muscle
biceps un nerf d'assez gros calibre, probablement
iveau de la main gauche, type Aran-Du- chenne ; extension lente aux
muscles
de l'avant-bras, du bras et de l'épaule gauches
. à 8 ans après le début de la maladie , atrophie pro- gressive des
muscles
de la main droite, atrophie consécutive incomplèt
des muscles de la main droite, atrophie consécutive incomplète des
muscles
de l' avant-bras .Rares secousses fibrillaires da
des muscles de l' avant-bras .Rares secousses fibrillaires dans les
muscles
atrophiés. Intégrité des muscles du bras et de
es secousses fibrillaires dans les muscles atrophiés. Intégrité des
muscles
du bras et de l'épaule droits. Arrêt de FiG. 9.
grité des muscles du bras et de l'épaule droits. Arrêt de FiG. 9. -
Muscle
deltoïde, coupe transversale. Hématoxyline-éosine
lexes rotuliens semblaient légitimer ce diagnostic. L'intégrité des
muscles
du tronc et des membres inférieurs s'expliquait
a moelle épinière et des nerfs sympathiques. Les filets nerveux des
muscles
de la main droite sont entourés d'un tissu conj
S membres SUPÉRIEURS 59 res et des nerfs périphériques, et dans les
muscles
des lésions fibreuses aux membres supérieurs, l
'hésitait pas à admettre des dégénéres- cences primitives, soit des
muscles
et des nerfs soit des nerfs seuls. Il admettait
ses ; on ne pourrait donc parler ici de névrite hypertrophique. Les
muscles
présentent des lésions souvent juxtaposées d'hy
1), dans un cas où l'atrophie avait débuté entre 5 et 7 ans par les
muscles
des cuisses et des mains et avait été accompagn
longe sur la face externe de l'os,si bien que celle-ci en avant des
muscles
de la région antéro-externe de la jambe est ano
L'aspect extérieur du sujet ? A quoi bon ? Tout pour l'organe : os,
muscle
, nerf, articulation. La peau, le pannicule grai
de l'anato mie du contenu du cadavre. On étudiait l'os en soi, le
muscle
en soi. Malheur à qui ne savait réci- ter par c
arrive, - une saillie normale avec une exostose surajoutée - Et les
muscles
? ' A la table de dissection, la meilleure note
que jadis il fallait savoir le Jardin des racines grecques. Le seul
muscle
étudié, exigé, c'était le muscle du mort, et du m
rdin des racines grecques. Le seul muscle étudié, exigé, c'était le
muscle
du mort, et du mort écorché, cette chose inerte
ogie squelettique de chaque grande région. Dans la myologie, chaque
muscle
se trouvait décrit avec ses insertions précises
pas, comme on l'enseigne couramment, formé par le bord inférieur du
muscle
grand fessier ; c'est un pli permanent maintenu
rop heurtées, sans y rien changer d'essentiel. Entre la peau et les
muscles
in- tervient le pannicule adipeux, dont la prés
ANATOMIQUE 107. organes, les mêmes tissus, les mêmes os, les mêmes
muscles
, et l'anato-, mie est la même pour nous tous. C
se anatomique et je me suis laissé surtout guider, dans l'étude des
muscles
, par leur action sur la forme extérieure. C'est
, par leur action sur la forme extérieure. C'est ainsi que certains
muscles
, que j'appelle les « muscles de la forme », son
e extérieure. C'est ainsi que certains muscles, que j'appelle les «
muscles
de la forme », sont décrits avec détail, qu'ils
il, qu'ils soient superficiels ou pro- fonds, car l'on sait que les
muscles
profonds jouent parfois un rôle important dans
rties profondes et le nu, aussi bien pour le squelette que pour les
muscles
reproduits plus particulièrement dans la forme
nches nouvelles dans lesquelles à chaque dessin du squelette ou des
muscles
correspond un dessin de la forme extérieure qui
louable prétention de donner une connaissance exacte des os et des
muscles
de l'homme et « d'en faire la comparaison avec
externe. N : OUV. ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. T. XX, PL, XIV.
MUSCLES
DU MEMBRE SUPÉRIEUR (ÉCORCHÉ, SUITE) t'v Il 01
. Éditeurs. NOUV. ICONOGRAPHIE DE LA SALPÈTRIÈRE. T. XX, PL. XVI.
MUSCLES
DU TRONC ET DU COU (ÉCORCIIt, SUITE) I;r Paul R
iteurs. NOUV. ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. T. XX. PL. XVIII.
MUSCLES
DU MEMBRE INFÉRIEUR (ÉCORCIIÉ, SUITE) PL.26. l'
ans des poses alanguies, exhibaient leurs os hypothétiques et leurs
muscles
en pendeloques. Pour ne citer que le principal ef
l'anatomie descriptive et l'anatomie des formes. La figuration des
muscles
est cepen- dant encore bien imprégnée de l'obse
e tant bien que mal ajusté, ainsi qu'un légendaire cadavre dont les
muscles
desséchés revêtaient les formes les plus fantaisi
t qui est la connaissance du sque- lette en vie. De même pour les
muscles
; ils sont aussi dessinés d'après le modèle. On
és d'après le modèle. On ne demande pas à l'élève de représenter un
muscle
plus ou moins schématique, mais bien les muscle
e de représenter un muscle plus ou moins schématique, mais bien les
muscles
mêmes du sujet qui pose devant eux, dans leur f
ant t telle ou telle attitude. Enfin, l'étude du squelette et des
muscles
ne saurait suffire aux artistes. Ils ont à repr
composés des mêmes éléments anatomiques ; nous avons tous les mêmes
muscles
avec les mêmes insertions, les mêmes os avec le
dans ce mou- vement le menton se plisse et se fronce, comme si les
muscles
du menton s'efforçaient de concourir à l'action
fait la même recherche, la malade ayant le cou fléchi en avant. Les
muscles
en question non seulement abais- sent le maxill
mouvements peu étendus d'avant en arrière, qui pa- raissent dus aux
muscles
sus-et sous-hyoïdiens. Ces muscles abaissent la
rrière, qui pa- raissent dus aux muscles sus-et sous-hyoïdiens. Ces
muscles
abaissent la mâchoire et l'attirent un peu en a
ni sucre, ni albumine dans les urines. Réactions électriques. - Les
muscles
dépendant du facial se contractent normalement
e malade, une ophtalmoplégie totale et une paralysie atrophique des
muscles
innervés par la branche motrice du trijumeau. Ces
masticateurs, dans les paraly- sies glosso-labiées, que lorsque les
muscles
péribuccaux sont atrophiés. Aussi les malades o
Il existe en outre une légère atrophie diffuse généralisée à tous les
muscles
de la jambe et surtout accusée dans ceux de la
culaire en jarretière, frappant également le triceps fémoral et les
muscles
postérieurs. Les mouvements passifs sont plus o
ci est surtout marquée dans les adducteurs de la cuisse et dans les
muscles
du mollet. Il est en effet absolument impossibl
e un aspect tout à fait différent. Le membre tout entier montre des
muscles
considérablement atrophiés et dans un état de f
n très nette l'aspect connu sous le nom de jambe de polichinelle. Les
muscles
fessiers gauches présentent également un état d
l'atrophie est surtout évidente à la jambe où elle atteint tous les
muscles
dans toute leur étendue ; les muscles antéro-exte
ambe où elle atteint tous les muscles dans toute leur étendue ; les
muscles
antéro-externes sont toutefois beaucoup plus at
jambe gauche est ab- solument glabre. L'excitabilité électrique des
muscles
est,suivant les points, ou très diminuée ou abo
s poliomyéliti- que,pour d'autres (Oppenheim) à l'intégrité du seul
muscle
long extenseur du gros orteil. Dans notre cas
t rechercher la cause de ce phénomène dans l'intégrité isolée de ce
muscle
, car, non seulement cette intégrité isolée n'ex
rt que le gauche et présente la réaction de dégénérescence dans les
muscles
péroniers. Parkes Weber (4) (1899) observe la c
des réflexes tendineux), el d'une paralysie flasque loca- lisée aux
muscles
de la jambe gauche, Ceux-ci sont atrophiés, le pi
usculaire, abolition des réflexes tendineux et de la R. D. dans les
muscles
de la jambe). Une observation particulièrement
t faradique. des nerfs sciatique, poplité externe et interne et des
muscles
tenseur du fascia lita et jumeaux, réaction de
nseur du fascia lita et jumeaux, réaction de dégénérescence dans le
muscle
jambier antérieur, sensibilité intacte). Au mem
one moteur central. Lés troubles de la motilité se limitent ici aux
muscles
péroniers et l'exten- seur propre du gros ortei
i aux muscles péroniers et l'exten- seur propre du gros orteil, ces
muscles
sont dans un état de contracture légère et entr
ital et une tranche comprenant la peau, le tissu sous-cutané et les
muscles
sous-jacents. Examen histologique (PI. XXX, A,
mme formée par des piliers de tissu fibreux dense) ; ... . 6° Les
muscles
sont normaux pour ce qui concerne la structure in
. ' A. Téguments (gr. 2 1/2 d.) B. Epiderme et derme (gr. 14 d.) C.
Muscle
. D. Nerf médian (gr. 7 d.) - E. Nerf cubital (g
e nerf médian est plus remanié que le nerf cubital ; les coupes des
muscles
ne montrent pas une infiltration uniforme par le
par sa disposition, les comprimer ni les irriter. De même pour les
muscles
dont les fibres sont parfois dissociées par du
e, dans la substance grise, au voisinage des centres trophiques des
muscles
. Bien que les constatations histologiques n'aie
n lavage lit apparaître un autre écorché colorié, un vrai, avec des
muscles
rouges, des os jaunes et des ligaments blancs,
natomique elle mérite plus d'une critique : « Par exemple, des deux
muscles
pectoraux, l'un, le gauche, est aplati ; l'autr
t volumineux. Il y a là, en somme, entre la forme donnée aux deux :
muscles
pectoraux une curieuse opposition, de sens abso
isé dans le sens de sa longueur par un sillon profond qui fait deux
muscles
là où il devrait n'y en avoir qu'un. « Autre re
ue : les plis de l'abdomen ne correspondent pas aux divi- sions des
muscles
grands droits ; ils reproduisent plutôt l'apparen
rande symétrie de position des deux omoplates et l'inexactitude des
muscles
qui s'y insèrent, aussi bien que la fantaisie d
scientifique révèle encore de graves inexactitudes. La plupart des
muscles
sont figurés incorrectement et bon nombre d'ent
ux de l'avant-bras, ceux des parties latérales du torse, etc... Les
muscles
du dos donnent cette ap- parence de « sac de no
elé du genou, du côté de la jambe portante, le peu de précision des
muscles
de la face externe de la jambe gauche qui rappe
Bandinelli ; et, en arrière, le modelé défectueux du deltoïde, des
muscles
de l'omoplate et des muscles fessiers. Il exist
le modelé défectueux du deltoïde, des muscles de l'omoplate et des
muscles
fessiers. Il existe au musée de l'Ecole des Bea
'ont rien d'anatomique. Enfin, il n'est pas malaisé de voir que les
muscles
figurés sont des muscles morts. C'est en somme
nfin, il n'est pas malaisé de voir que les muscles figurés sont des
muscles
morts. C'est en somme « une statue de cadavre d
ses de la colonne vertébrale sont ab- 178 UENRY MEIGE sentes. Les
muscles
fessiers ont même forme à droite et à gauche, alo
en soi,de faire un écorché sur lequel il représentait d'un côté les
muscles
su- perficiels et de l'autre les muscles profon
représentait d'un côté les muscles su- perficiels et de l'autre les
muscles
profonds. C'était vouloir parer à l'une des ins
nstration qui pouvait être faite du rôle très important de certains
muscles
profonds dans la forme extérieure. « On peut lu
u d'importance il est vrai,mais surtout une certaine redondance des
muscles
qui leur enlève leur accent de vérité. A preuve
ance des muscles qui leur enlève leur accent de vérité. A preuve le
muscle
grand fessier, volumineux et lout rond,qui ne d
t lout rond,qui ne donne guère l'idée de ce qu'est véritablement ce
muscle
très important. « Un médecin militaire, chiru
t du pannicule adipeux qqi la double. Il en résulte que ce sont les
muscles
eux-mêmes qui occu- pent toute la place prise s
à lui reprocher qu'une exagération de la structure fasciculaire des
muscles
également répandue partout. Sur le vivant, -et ce
a évidemment la prétention de représenter un homme en action, les
muscles
n'apparaissent pas ainsi subdivisés régulièrement
éressant faisant passer ce que peut avoir de désagréable la vue des
muscles
mis à nu. « Mais est-il bien nécessaire de trai
in, comme ce qui nous intéresse surtout c'est la forme vivante, les
muscles
à découvert sur notre écorché devraient avoir la
ur le vivant, c'est-à-dire correspondante à l'état physiologique du
muscle
en rapport avec l'attitude donnée. Car cette atti
adavre. Elle n'existe que conformément aux lois de la vie. Certains
muscles
sont con- tractés, d'autres relâchés, d'autres
hés, d'autres simplement distendus. Et nous savons que pour un même
muscle
, une forme spéciale correspond à chacun de ces
leur demander d'en tenir compte dans le dessin qu'ils faisaient des
muscles
. « C'est là, en effet, le seul moyen de vivifie
ire de transition entre le modèle vivant et le cadavre disséqué aux
muscles
flasques et sans formes. » Eh bien ! cette st
lle moyenne, mesurant sept têtes et demie, à l'ossature solide, aux
muscles
bien développés (Pl. XXXV et XXXVI). 182 HENRY
s, à gauche, la peau et le pannicule adipeux ayant été enlevés, les
muscles
sont visibles, avec leurs aponévroses, ainsi que
ue l'on rencontre chez les sujets vigoureux en pleine santé.. Les
muscles
écorchés se distinguent les uns des autres par le
correspond à la pose du sujet. Sur la tête, sont seuls indiqués les
muscles
qui jouent un rôle dans la forme extérieure de
telé et du grand oblique, soulevées par les côtes ; et en avant les
muscles
grands droits de l'abdo- men légèrement distend
en légèrement distendus. Par contre, dans la région scapulaire, les
muscles
apparaissent contrac- tés à cause de la rotatio
s sans quelques difficultés, une statue de ce genre représentant le
muscle
en place et envie, et, à côté, la forme extérie
on ouvre la paupière droite, la pupille gauche reste immobile. Les
muscles
droits supérieur et inférieur ne semblent pas a
des fibres radiculaires de la IIP paire, correspondant au di- vers
muscles
de l'oeil. - Quoi qu'il en.soit, il est indéniabl
ois impossible, du moins sans appui, troubles trophiques diffus des
muscles
contractés et de la peau, quelquefois légère inco
pa lysie flaccide totale et incomplète des quatre extrémités et des
muscles
dors lombaires, abolissement des réflexes tendi
produisit avec assez d'uniformité et de symétrie, d'abord dans les
muscles
du tronc, puis aux extrémités supérieures, et enf
totale et complète, parésie des extrémités supérieures, parésie des
muscles
fléchisseurs et extenseurs du tronc, suppressio
massage, la gymnastique passive, en y ajoutant la galvanisation des
muscles
paralysés, d'abord constante et ensuite avec de
faradiques et galvaniques, directes et indirectes, spécialement'au
muscle
droit antérieur du quadriceps fémoral gauche, o
tour- nait le pied gauche en dehors ; les réactions électriques du
muscle
droit anté- rieur et du nerf sciatique poplité
, une paralysie incomplète, flaccide, des quatre extrémités, et des
muscles
extenseurs du tronc, avec inclinaison en avant,
ution aux quatre ex- trémités, et la réaction de dégénérescence aux
muscles
innervés par le nerf médian droit. ' 220 JACI
t plus d'inclinaison du tronc en avant et une atrophie sensible des
muscles
de l'éminence thénar droite avec la déformation
es ; suppression des gavaniques avec 15 m A, dans tous les nerfs et
muscles
périphériques, excepté aux muscles extenseurs d
c 15 m A, dans tous les nerfs et muscles périphériques, excepté aux
muscles
extenseurs des doigts de l'extrémité supérieure d
généralisée et qu'elle évolue rapidement pour se localiser dans les
muscles
, dans le membre ou membres qui doivent res- ter
nuées (cas 1 et 2) ; dans les formes douloureuses (cas 3 et 4), les
muscles
paralysés se contractent aussi par l'action des
quand il existe une localisa- tion de névrite grave, comme dans les
muscles
innervés par le médian droit du live cas, et le
matique, ce qui frappe tout d'abord c'est l'aspect athléti- que des
muscles
des ceintures scapulaires et des mollets. Ceint
res et des mollets. Ceinture scapulaire el membres supérieurs.- Les
muscles
qui montrent le degré d'hypertrophie apparente
tion claviculaire étant un peu mieux conservée et la disparition du
muscle
déter- mine l'existence de chaque côté du stern
s côtés et déborde le bassin. Il n'y a pas d'atrophie apparente des
muscles
de la masse sacro- lombaire et long dorsal ; ma
ger degré de scoliose. 226 RAYMOND ET ROSE Face et cou : tous les
muscles
sont normaux. Démarche : L'enfant marche les ja
lysie pseudo-liypertrophique, une hyper- trophie exceptionnelle des
muscles
deltoïde, sous-épineux et grand den- telé, comb
re de son type la possibilité d'une pseudo-hypertrophie de certains
muscles
de la ceinture scapulaire et en particulier du de
enant une myopie de 12 dioptries, ce qui indique une contracture du
muscle
ciliaire ; il est du reste facile de mettre en év
avec uue teinte verte (chloropsie). La contracture de l'iris et du
muscle
ciliaire a eu sa durée normale et a disparu pro
s que le réflexe cutané serait conservé ( ? ). En outre, souvent le
muscle
ciliaire est intéressé ; et il existe des faits
ce et à la douleur sont conservés, quelque légers qu'ils soient. Le
muscle
ciliaire n'est jamais atteint, mais l'irritation
le grand sympathique. Or cette conception n'est pas juste, car les
muscles
iriens sont en réalité sous la dépen- dance du
supérieurs ont montré que le moteur oculaire commun n'agit sur les
muscles
de l'iris que grâce au ganglion ciliaire, qui reç
uer Coppez (1) avec beaucoup de justesse, « ici comme ailleurs, les
muscles
lisses sont innervés par un ganglion sympathique
endant de l'éliminer ; la crampe, en effet, est la contracture d'un
muscle
en tra- vail ; notre malade, qui est horloger,
lade se servît de la loupe ; de plus nous ne pouvons admettre qu'un
muscle
, fatigué au point de ne plus réagir du tout à s
s organiques ; il y a fréquemment des paralysies conco- mitantes du
muscle
ciliaire ou de certains muscles extrinsèques. 2
nt des paralysies conco- mitantes du muscle ciliaire ou de certains
muscles
extrinsèques. 2° Paralysie du sphincter : la my
upille sont abolies, comme dans la dilatation atropinique ; mais le
muscle
ciliaire n'est pas intéressé et l'ésérine a conse
par M. le Dr Huet n'a montré qu'un peu de diminution simple sur les
muscles
des jambes paraissant plus accentuée sur les musc
simple sur les muscles des jambes paraissant plus accentuée sur les
muscles
antérieurs et externes, des deux côtés. En ex
lit, les divers mouvements du thorax sont diminués. Par contre, les
muscles
de la paroi ab- dominale antérieure paraissent
rieure paraissent bien se contracter ainsi que le diaphragme et les
muscles
respiratoires. Ces troubles ont une origiue com
t M gauche, et une atrophie musculaire diffuse, prédominant sur les
muscles
de l'omoplate qui ont un peu l'aspect * ailé ».
peu de dimiuution de l'excitabilité faradique et galvanique sur les
muscles
les plus atteints. Du côté du cou, il n'existe
garde en bas et en dehors vers la droite, c'est-à-dire fait agir le
muscle
grand oblique de l'oeil droit. La sensibilité
aient à la rigueur en impo- ser pour une contracture hystérique des
muscles
du dos. Certaines mé- ningites chroniques du ma
l regarde en bas et en dehors semble bien le signe d'une parésie du
muscle
grand oblique droit, c'est-à-dire d'une lésion du
la fois de la con- tracture etde l'atrophie d'un certain nombre de
muscles
de l'omoplate et du dos ; mais ces troubles mus
enses, les réactions électriques sont peu troublées au ni- veau des
muscles
malades, ils paraissent surtout des troubles seco
s l'accessoire du brachial cutané interne est ahsent (Fig. 1). Le
muscle
biceps brachial est volumineux et normal ; son ex
on expansion aponé- vrotique est épaisse. Sur le bord interne de ce
muscle
cheminent le nerf mé- dian, l'artère humérale e
is cheminent normalement au-dessous de l'expansion bicipitale. Le
muscle
brachial antérieur est plus gros que sur un sujet
brachial antérieur est plus gros que sur un sujet normal ; c'est le
muscle
le plus volumineux du membre tout entier, tant en
ien ; elles se fusionnent en- suite, mais ne s'unissent au reste du
muscle
, qu'à la partie toute inférieure du bras, alors
ne entre le brachial antérieur et le long su - pinateur. Ce dernier
muscle
est également très développé; son insertion supé-
st très saillante en dedans. Pas d'apophyse sus-épilrochléenne. Les
muscles
de la face antérieure de l'avant-bras sont, les u
ormale presque, comme dimen- sions, ce qui est dû à ce fait que les
muscles
qui s'y insèrent : brachial anté- rieur, biceps
eloppés et contrastent singulièrement avec le plus grand nombre des
muscles
antibrachiaux absents, anormaux, ou complètement
insertions, sans qu'on puisse les rattacher au premier abord à des
muscles
normaux. Aussi le corps et surtout les extrémités
face antérieure, partant de la région épitrochléenue, on voit deux
muscles
superficiels : l'un représente exactement le rond
iciel, pour redevenir superficielle. Plus en dedans, il y a un gros
muscle
(/, lig. 2) s'insérant l'épitrochlée, à la face
la crête postérieure du cubitus, par un tendon aponévro- tique. Ce
muscle
est oblique en bas et en dehors, vers le bord int
tinue du côté radial avec une autre formation tendineuse venue d'un
muscle
externe, qui semble être le long supinateur, ce
tions constituant ainsi par leur réunion une sorte d'aponévrose. Ce
muscle
est innervé par un rameau du mé- dian. Cette
n développement et différenciation (futur cubital antérieur). Ces
muscles
une fois sectionnés, c'est-à-dire la couche super
ra- chial antérieur ; h, Artère cubitale ; i, Court supinateur ; j,
Muscle
anormal ; k, Son tendon inférieur ; l, m, Faisc
ns normales. ' Le nerf médian innerve le rond pronateur et les deux
muscles
épitrochléens superficiels dont nous avons parl
rond pronateur et se perd en vascularisant par quelques branches les
muscles
superficiels et profonds de la région interne,
T BOUCHET sont normales. Puis, plus en dehors, se distinguent trois
muscles
, dirigés lon- gitudalement suivant l'axe de l'a
ent un chef du long supinateur dédoublé ; à sa partie inférieure ce
muscle
large conserve son dédoublement au niveau de sa
radiale. Sur la face postérieure de l'avant-bras, on voit ensuite un
muscle
(i, fig. 9) qui a des insertions supérieures an
ons supérieures analogues à celles qui sont normale- ment celles du
muscle
deuxième radial externe : même insertion épicondy
ro-tendineuse épicondylo- radiale ; mais à sa partie inférieure, ce
muscle
s'attache très fortement par un tendon cordifor
, Olécrane ; e, Anconé ; f, Humérus ; g, Épicondyle ; h, i,j, Trois
muscles
anormaux; Is, Radius. HÉMIMÉLIE AVEC ATROPHIE N
HÉMIMÉLIE AVEC ATROPHIE NUMÉRIQUE DES TISSUS 301 Enfin le troisième
muscle
longitudinal (j, fig. 9), situé entre le précéden
ème muscle longitudinal (j, fig. 9), situé entre le précédent et le
muscle
anconé, s'insère sur la face postérieure de l'épi
radiale, ainsi que sur un petit faisceau tendineux qui le sépare du
muscle
longitndinal voisin ; ce muscle ne tarde pas à
faisceau tendineux qui le sépare du muscle longitndinal voisin ; ce
muscle
ne tarde pas à longer dans presque toute son éten
ur, extenseur propre du petit doigt, non différenciés. Peut-être le
muscle
figuré en i représente-t-il l'ensemble des muscle
iés. Peut-être le muscle figuré en i représente-t-il l'ensemble des
muscles
du pouce, arrêtés dans leur développement, 3e g
ra-utérine). Profondément par rapport à la partie supérieure de ces
muscles
, on trouve la face postérieure dn court supinat
te la musculature de la face postérieure de l'avant-bras ; tous ces
muscles
sont innervés par le radial. Au niveau du poign
trouve aucune trace, aucun rudiment d'avant- bras, ou de main. Les
muscles
grand pectoral, petit pectoral, deltoïde, sont
aillie sous la peau. La cuisse gauche n'a que 4 centimètres ; les
muscles
ont leur insertion nor- male. La cuisse du côté
cule incomplètement, et qui ne se continue pas jusqu'au bassin. Les
muscles
coxo-fémoraux s'insèrent sur le tibia à la part
aire ; les adducteurs au même niveau, mais à la partie interne. Ces
muscles
circons- crivent une espèce de pyramide à paroi
la- quelle on ne sent qu'un rudiment ostéo-fibreux, qui n'offre aux
muscles
aucune insertion. 306 KLll'l'EL ET BOUCLIET
oignon. Il existe une articulation radio-cubitale inférieure. Les
muscles
de la région antérieure de l'avant-bras peuvent ê
r et des radiaux se font à la peau de l'ex- trémité du moignon. Les
muscles
de la région postérieure confondent en partie l
e confondent en partie leurs insertions inférieures avec celles des
muscles
de la région externe. L'artère humérale se divi
du pli du coude, en 5 ou 6 petits ra- meaux qui se distribuent aux
muscles
et au tissu cellulaire sous-cutané. Les princip
rs l'autre.. Le système musculaire du bras était complet ; mais les
muscles
, notamment le biceps, étaient peu développés et a
rvice de M. Dieulafoy. Bras gauche moins volumineux que le droit, à
muscles
moins forts ; 3 centimètres de lon- gueur en mo
n os très mobile inséré sur le radius. Dissection du moignon. - Les
muscles
de la région externe de l'avant-bras existent,
nt-bras existent, mais avec des dimensions très petites. Le premier
muscle
, le plus su- perficiel, représente le long supi
insèrent au sommet du cône à la face profonde de la peau. Parmi les
muscles
de la région antérieure on ne distingue que le
moindre que celui de la main droite. Membre supérieur droit : les
muscles
du bras ne présentent rien à signaler. A l'avan
les du bras ne présentent rien à signaler. A l'avant-bras, tous les
muscles
épitrochléens, sauf le petit palmaire, existent,
interosseux palmaires et un dorsal. Membre supérieur gauche : Les
muscles
du bras sont normaux. L'avant-bras est normal d
limitées des fléchisseurs, nous voyons, de dehors en dedans : 1° Un
muscle
anormal, qui nous représente le fléchisseur commu
inférieure de l'avant-bras : l'ex- terne se jette sur le tendon du
muscle
précédent ; l'interne donne bientôt nais- sance
gt dans une attitude vi- cieuse. 4 La 4°. masse est formée par un
muscle
bien conformé qui est le long fléchisseur propr
'offre de spécial qu'un faisceau de renforce- ment qui lui vient du
muscle
fléchisseur commun profond. 5° La dernière mass
vrant le 5e méta- carpien. A nconé, cubital postérieur normaux.
Muscles
longs du pouce normaux. Mais l'extenseur propre
pouce normaux. Mais l'extenseur propre index manque. Main. - Les
muscles
de l'éminence thénar sont peu développés ; il n'y
u 5°. Le palmaire cutané existe. Membre inférieur droit. - Tous les
muscles
de la cuisse existent avec leurs insertions sup
ge qui représente le tibia (seul os do la jambe ici). Jambe. Pas de
muscles
à la région antérieure. En arrière, le triceps
érieure duquel il s'accole. - Le tendon terminal commun à ces trois
muscles
passe en arrière de l'extré- mité inférieure du
représente à lui seul, le squelette du pied. Il n'y a pas trace de
muscles
, au- dessous de ce cartilage. Peut-être cepen
erne de l'extré- mité supérieure du tibia. Jambe. Il n'y a pas de
muscles
à la région antérieure. En arrière, les deux ju
face profonde des jumeaux. Le tendon d'Achille qui fait suite à ces
muscles
, s'attache en bas, comme à droite, sur le petit c
qui passe sous le ligament annulaire carpien, glisse au-devant des
muscles
de l'é- minence hypothénar, et forme les deux c
dos du poignet, se divise en deux rameaux ténus. Radial. Tous les
muscles
qui sont sous la dépendance normale de ce nerf
Membre supérieur gauche. - Le médian est très ténu ; il innerve ses
muscles
normaux, et aussi les deux faisceaux anormaux déc
ent rien de particulier. Le nombre, la position et les attaches des
muscles
qui entourent cette arti- culation de l'humérus
et l'humérus, et, après avoir donné quel- ques filets nerveux à ce
muscle
, il le perçait vers la partie moyenne et ex- te
due de 3 travers de doigt. Peu d'anomalies vas- culo-nerveuses. Ces
muscles
se terminent comme le biceps. Le nerf musculo-
l'humérus est coiffée par une coque fibreuse où s'insèrent tous les
muscles
. Cette coque est séparée de la peau par une trè
cules de Meissner, mais la pièce n'a pas été bien fixée. Tous les
muscles
de l'épaule et du bras ont leur configuration et
ion interne du moignon et disparaît au contactd'un petit tronçon de
muscle
qui doit être regardé comme le cubital antérieur.
léennes et épicondyliennes sont respective- ment représentées. Le
muscle
rond pronateur est assez bien développé ; le gran
adius, for- tement renflée. Le long supinateur et les ébauches de
muscles
radiaux s'attachent, par une petite aponévrose
ur le cubitus trouve son explication dans le développement relatif du
muscle
rond pronateur et dans la présence du biceps. -
et une phalangette de 6 millimètres. Le métatarsien n'existe pas.
Muscle
. Large de 5 millimètres, long de 15, il s'insère
ue sur lequel vient s'insérer une partie des fibres tendineuses des
muscles
de l'avant-bras, surtout des extenseurs ; 3° une
e plus en plus épais à mesure qu'on s'approche du bord inférieur.
Muscles
. - Tous' les muscles de la région offrent un cara
à mesure qu'on s'approche du bord inférieur. Muscles. - Tous' les
muscles
de la région offrent un caractère commun , ils
ils sont diminués de longueur et de volume et apparaissent comme des
muscles
d'un enfant de douze ans ; cependant les muscle
raissent comme des muscles d'un enfant de douze ans ; cependant les
muscles
actifs de la pronation et de la supination (du
nt proportionnellement un vo- lume plus considérable que les autres
muscles
longs de l'avant-bras : rond pronateur, court s
e; seules les insertions inférieures, sont modifiées. Enfin trois
muscles
, dont l'insertion supérieure se fait dans la moit
nalogies, dans son en- semble, avec le squelette du membre droit.
Muscles
et nerfs. - A droite ; mouvements de l'avant-bras
x est très développée et à tous les modes. L'humérus gauche a ses
muscles
légèrement atrophiés ; le bras en son mi- lieu
du pouce, et en correspondance avec une atrophie assez intense des
muscles
de l'éminence thénar de la main droite. L'hémim
rand pectoral est très anormal ; on doit ici le considérer comme un
muscle
de renforcement qu'on pourrait appeler obturate
rcement qu'on pourrait appeler obturateur de l'aisselle; les autres
muscles
de l'épaule sont normaux. Au bras, il n'y a pas
t aussi trois tendons différenciés qui semblent répondre plus à des
muscles
de l'avant-bras qu'à des muscles du bras. 334 l
s qui semblent répondre plus à des muscles de l'avant-bras qu'à des
muscles
du bras. 334 li KLIPPEL ET BOUCHET .1 Les ner
e à contracter des connexions de suppléance. A la face dorsale, les
muscles
long supinateur, radiaux, long abducteur du pou
long abducteur du pouce, long extenseur du pouce sont normaux; les
muscles
court extenseur du pouce et extenseur propre de
yanotique, les réseaux vei- neux du cou se gonflent énormément, les
muscles
slerno-mastoïdiens font saillie des deux côtés;
ier, du côté du pouls ni de la res- piration ; pas de paralysie des
muscles
innervés par le bulbe, dont les mouve- ments so
Le réflexe mas- sétérin est exagéré. Il n'y a pas de paralysie des
muscles
de l'oeil. Le diagnostic porté était celui de p
au cours de la syringomyélie : que ceux- ci portent sur les os, les
muscles
, le revêtement cutané, ils consistent, en règle
suivant. Au bras droit il existait une impotence fonctionnelle des
muscles
de la main avec amyotrophie, une parésie des ex
un peu amaigri. A gauche on retrouvait les mêmes caractères sur les
muscles
de l'éminence thénar et sur les muscles interosse
es mêmes caractères sur les muscles de l'éminence thénar et sur les
muscles
interosseux et ex- tenseurs de la main. Les r
aisseaux étaient normaux, non épaissis, sans aucune infiltration.
Muscles
. Les muscles des membres inférieurs ne présentaie
ent normaux, non épaissis, sans aucune infiltration. Muscles. Les
muscles
des membres inférieurs ne présentaient aucune a
ce processus d'atrophie simple est discret et limité. Les petits
muscles
de la main droite (éminence thénar, éminence hypo
ctivement proliféré, ainsi que le tissu interstitiel. Dans certains
muscles
existe une infiltration adipeuse marquée. Pea
ins nous avons relevé des altérations considérables de la peau, des
muscles
, des nerfs périphéri- ques. 1 Le revêtement c
bacées et sudoripares, les vaisseaux ou soient lésés en rien. Les
muscles
présentaient des lésions d'atrophie simple avec i
n (1), peut être rapprochée de notre cas il est noté que les petits
muscles
de la main sont atrophiés tandis que la peau et
tème nerveux, les I issus constitutifs d'un segment de membre (os,
muscles
, tissu conjonctif, peau) réagissent différemmen
uefois les rudiments de doigts peuvent être mo- biles, contenir des
muscles
et même des phalanges, mais ce sont des observa
raissent des rudi- ments du squelette métacarpo-phalangien ; 3° les
muscles
qui s'insèrent sur le tiers inférieur de l'avan
'agisse d'une amputation congénitale passant au niveau du carpe, ce
muscle
ne devait pas disparaître en totalité, d'autant
la portion terminale du membre, qui est la cause de l'absence de ce
muscle
. » Michel, Jean, Cousin pensent également que d
ut tout à fait réduite. Ainsi même dans l'avant-bras il y avait des
muscles
relative- ment développés et très actifs. Enf
ous pouvons répartir les anomalies musculaires en trois groupes : 9
Muscles
reconnaissables, mais anormaux. a) Par dédouble
pinateur. c) Par excès de volume : radiaux externes fusionnés. 2°
Muscles
méconnaissables, sans analogies, très difficiles
ervation, les connexions orga- niques, nous avons pu identifier ces
muscles
: c'est ainsi que les muscles figurés en i (fig
niques, nous avons pu identifier ces muscles : c'est ainsi que les
muscles
figurés en i (fig. 9) représentent les muscles
c'est ainsi que les muscles figurés en i (fig. 9) représentent les
muscles
longs du pouce, mais leur insertion s'est faite
mais leur insertion s'est faite plus haut, sur le radius ; que les
muscles
figurés en j, sont 'constitués par la masse non
s fléchisseurs profonds (commun des doigts, et long du pouce). 3°
Muscles
absents. - En apparence, un grand nombre de muscl
g du pouce). 3° Muscles absents. - En apparence, un grand nombre de
muscles
manquent; en réalité seuls sont réellement abse
de muscles manquent; en réalité seuls sont réellement absents, les
muscles
de la main, c'est-à-dire les muscles des éminen
s sont réellement absents, les muscles de la main, c'est-à-dire les
muscles
des éminences thénar et hypothénar, les muscles
n, c'est-à-dire les muscles des éminences thénar et hypothénar, les
muscles
lombricaux et interosseux, le carré pronateur, le
x et interosseux, le carré pronateur, le petit palmaire. Les autres
muscles
existent, mais ils sont soit très considérablemen
d'autres, en des masses d'où ils ne sont pas encore différenciés en
muscles
auto- nomes. Les muscles grand palmaire, fléc
ù ils ne sont pas encore différenciés en muscles auto- nomes. Les
muscles
grand palmaire, fléchisseur commun superficiel de
ssi fusionnés, de même que les 1er et 2e radial externe, et que les
muscles
longs du pouce. Si l'on étudie le développement
ques d'apparition, de perfectionne- ment, d'isolement de chacun des
muscles
de ce membre, on voit aisément, d'après le tabl
e, en tous cas certainement avant la fin de la sixième semaine. Les
muscles
qui font défaut, et ceux qui semblent ne point
continuité avec l'omoplate qui est entourée d'un tissu qui fera les
muscles
péri-scapulaires (il n'y a ni coracoïde, ni acro-
l'un de l'autre. HÉMIMÉLIE AVEC ATROPHIE NUMÉRIQUE DES TISSUS 409
Muscles
: a) Pectoraux (grand et petit), forment une mass
hyme qui formera les doigts, où toute distinction entre ce qui sera
muscle
et ce qui sera cartilage, est impossible. Apr
pas entre elles et sont séparées par une aréole de tissu condensé.
Muscles
: On peut distinguer l'un de l'autre : grand pect
us court. Les deux premières rangées de phalanges sont présentes.
Muscles
: Sous-clavier. Fléchisseur commun profond est sé
ui se fusionnent avec le périchondre du premier doigt. - Tous les
muscles
de l'adulte sont présents et à peu près dans la p
l ce moment seulement que se distinguent nette- ment les différents
muscles
qui composent les deux couches du pronato flexo
autant de faisceaux que de doigts ; que se différencient chacun des
muscles
longs du pouce. Avant la fin de la cinquième se
tendons infé- rieurs, distaux, et la masse centrale de la main. Les
muscles
du pouce sont les moins développés ; dans notre
moins développés ; dans notre cas ils sont représentés par un seul
muscle
qui s'insère en bas sur la partie inférieure du r
urtout cutané et légère- ment graisseux. ' Les tendons des autres
muscles
des doigts et de la main s'étalent en un 412 KL
formation à part, comme chacun sait ; les tendons inférieurs de ses
muscles
sont, comme leurs corps charnus, l'objet d'un d
r partie musculaire qu'à leur partie distale, fibreuse, séparés des
muscles
des autres doigts ; ceux-ci ont une partie fibro-
es doigts ; ceux-ci ont une partie fibro-tendineuse com- mune ; les
muscles
longs postérieurs du pouce se terminent en bas pa
s la dissection de notre sujet,sont en rapport d'intensité pour les
muscles
et pour les os, avec la chronologie qui, à l'ét
ogique. L'examen histologique des centres nerveux, des nerfs et des
muscles
a montré, de son côté, des particularités intér
olo- giques sont au nombre de 18 contre 33 du côté sain. i NERFS.
MUSCLES
. p) Examen histologique des nerfs et des muscle
é sain. i NERFS. MUSCLES. p) Examen histologique des nerfs et des
muscles
. Ici, comme pour la moelle, on trouve du côté m
nerf (médian, musculo-cutané, radial) et des fibres qui composentun
muscle
(presque tous ont été examinés), tandis que nulle
tion de volume ou de structure de ces élé- ments. Ainsi, dans les
muscles
les plus petits, les fibres musculaires ont le
plus petits, les fibres musculaires ont le même volume que celle du
muscle
correspondant d'un sujet sain. 7) Conclusions t
l résulte de ces faits que dans la moelle, dans les nerfs, dans les
muscles
, les éléments histologiques qui composent ces d
ystème nerveux. - Il n'y a pas d'altération des mouvements dans les
muscles
du visage- Le mouvement des globes oculaires est
els. , L'examen électro-faradique a démontré l'hypoexcitabilité des
muscles
de la jambe, particulièrement remarquable à la
autres parties sont hypoexcitables. L'hypo-excitabilité des autres
muscles
est évidente. L'examen psychique ne présente ri
tions del'urticaire avec les oedèmes qui succèdent à l'ingestion de
muscles
d'écrevisses, de moules, phénomènes considérés
ue, la volonté ne peut jamais s'abs- tenir assez pour laisser à des
muscles
antagonistes la liberté de se vaincre réciproqu
is » permanent avec contractions paroxystiques très rapprochées des
muscles
de la nuque, projetant violemment la tête en arri
r à cette lamentable situation le chirurgien propose la section des
muscles
de la nuque. La nouvelle opération est pratiquée
e le à gauche. Mais en outre la tôle privée de l'aide puissante des
muscles
de la nuque tend continuellement à tomber en arri
ap- pareil, aucune altèle ne pouvant résister aux contractions des
muscles
de son cou, exaspérés par celte résistance. D
otation de la tête à gauche, c'est-à-dire pendant la contraction du
muscle
; celui-ci acquiert alors une dureté extrême et p
i bien qu'il est arrivé à développer presque parallèlement ces deux
muscles
, et à obtenir une position d'immobilisation for
est très violent on voit parfois quelques mouvements convulsifs des
muscles
de la face : la commissure labiale gauche est t
e la face : la commissure labiale gauche est tirée en arrière ; les
muscles
frontaux et le sourcilier du côté droit se cont
fatigue, de courbature, dans le cou,et une tension exagérée dans le
muscle
sterno-mastoïdien droit, lorsque ce muscle est
tension exagérée dans le muscle sterno-mastoïdien droit, lorsque ce
muscle
est fortement contracté ; ces sensations dispar
ontraction, analogue à ce que l'on observe dans le catatonisme. Les
muscles
semblent être en perpé- tuelle imminence de con
r le courant galvanique que pour le courant faradi- que. Les autres
muscles
de la région (trapèzes, deltoïdes, pectoraux), ne
pliquer par l'état de contraction violente et presque permanente du
muscle
: un courant électrique notablement plus fort e
t fortement son antagoniste, le sterno-mastoïdien gauche ; les deux
muscles
luttaient ainsi l'un contre l'autre jusqu'à ce qu
sterno-mastoïdien droit ; il a appris à provoquer la détente de ce
muscle
au commandement et il l'obtient géné- ralement
pendant quel- ques instants sa tête fléchie, il sent peu à peu les
muscles
de la nuque se relâcher les uns après les autre
une véri- table fonte du sterno-mastoïdien droit. Actuellement, ce
muscle
ne fait plus l'énorme saillie constatée les pre
plus pénible que l'espèce d'accommodation défec- tueuse des divers
muscles
des épaules ou du tronc a (ce dont je suis d'aill
les mouvements ou les atti- tudes forcées. Non seulement plusieurs
muscles
du même côte peuvent être atteints ou cesser de
cesser de l'être l'un après l'autre ; mais du côté opposé d'autres
muscles
entrent aussi enjeu. Le cas présent est significa
souvent possible il remettre la tête à droite en décontractant mes
muscles
; il m'arrive d'éprouver alors des oscillations
47') réfréner ? Ou bien suis-je victime de l'entrée en jeu d'autres
muscles
? Je ne sais pas à quoi attribuer cet état. 2
douches tièdes à très faible pression,générales ou locales (sur les
muscles
contrac- tés), ou les tubs tièdes ont un effet
s signaler me paraît due à une recru- descence des contractions des
muscles
de la nuque, le trapèze gauche notam- ment, et
nuque, le trapèze gauche notam- ment, et aussi probablement un des
muscles
voisins du sterno-mastoïdien droit, car je sens
dans cette aggravation ; je sens, lorsque j'applique ma main sur ce
muscle
, au moment où les contractions se produisent, d
ée aux mouvements de torticolis, afin d'habituer au relâchement les
muscles
qui d'ordinaire entrent en contracture. Le 29 j
pour longtemps, la tête di- recte. L'état de contracture des divers
muscles
qui entrent en jeu dans mon torticolis avait-il
1 uns résultent de compressions laryngées, par les contractions des
muscles
hyoïdiens ; d'autres fois le diaphragme entre m
t en majeure partie satisfaisantes ; à signaler seule- ment que les
muscles
intéressés,et notamment le sterno droit et le tra
déclama- tion,ayant depuis longtemps remarqué la participation des
muscles
respirateurs aux contractions. En dehors des
s l'acception vulgaire, implique une contracture assez violente des
muscles
qui en sont atteints ; or ce . n'est pas ce que
raitement du torticolis mental. 3° Dans les crises violentes, les
muscles
de la face se contractent par- fois. Il s'agit
l'effort ou de la souffrance. 4° Les phénomènes convulsifs, dont le
muscle
sterno-mastoidien droit était seul atteint au d
ion est la même. Les autres proviendraient d'une variation dans les
muscles
ou portions de muscles entrant en contracture ;
tres proviendraient d'une variation dans les muscles ou portions de
muscles
entrant en contracture ; les contractions ne sont
qui était limité dans son étendue par une tension considérable des
muscles
de la nuque, s'exécute maintenant d'une façon c
nts. J'ai fait faire des frictions à l'huile d'olive chaude sur les
muscles
du cou.Je continue, pensant que cette sorte de
e de massage ne peut qu'aider à la disparition de la courbature des
muscles
. Remarques. - Excellente phase d'amélioration p
lques mouvements avec une régularité méthodique; je décontracte les
muscles
que je surprends en état de contracture. Je f
st pas toujours possible, surtout pendant la marche. La roideur des
muscles
du cou augmente lorsque je porte les mains à la
s je m'observe de mon mieux. 2° Je surprends assez souvent quelques
muscles
en état de contraction légère, non voulue, tant
a persistance de contractions involontaires, non seulement dans les
muscles
de la nu- que et du cou, mais dans les muscles
n seulement dans les muscles de la nu- que et du cou, mais dans les
muscles
de la face, de la langue, et jusque dans ceux d
ce apparente de mon 1,)i licolis. Sauf un peu de raideur dans les
muscles
postérieurs du cou, entrainant quelquefois de l
simultanée du mus- cle levator palpebrae superioris d'un côté et du
muscle
rectus superior et obliquus inferior de l'autre
ène de Ch. Bell peut être modifié volontairement par l'ac- tion des
muscles
oculaires ; il suffit de prier le sujet de regard
grand intérêt, car la paupière en se fermant, par la contraction du
muscle
orbiculaire, devient plus épaisse ; conséquemment
paralysie avec réaction dégénérative. En examinant le mouvement des
muscles
du visage, le déplacement de l'oeil vers le hau
ansmet en même temps des im- pulsions volitives à un on à plusieurs
muscles
du bulbe oculaire oblique inférieur (quelquefoi
nesco (13) coupa chez des chiens les branches nerveuses qui vont au
muscle
frontal, à l'orbiculaire des paupières et au musc
ses qui vont au muscle frontal, à l'orbiculaire des paupières et au
muscle
fron- tal ; il laissa vivre 15-20 jours les ani
s cedernier cas il s'agissait d'une paralysie nucléaire de tous les
muscles
oculaires unie à une paralysie des muscles inne
ie nucléaire de tous les muscles oculaires unie à une paralysie des
muscles
innervés par le facial supérieur droit. t. M.
ns pathologiques entre l'élévateur de la paupière supérieure et les
muscles
innervés par le facial supérieur, spécialement
rieur, cependant l'indication donnée par Men- del que bien d'autres
muscles
(il énumère le lerator palpebrae superioris) pe
servation d'une femme, examinant les organes nerveux appartenant au
muscle
fron- tal, au muscle orbiculaire des paupières
, examinant les organes nerveux appartenant au muscle fron- tal, au
muscle
orbiculaire des paupières et au muscle élévateur
nant au muscle fron- tal, au muscle orbiculaire des paupières et au
muscle
élévateur du sourcil du côté droit, constata de
pendant pourrait dépendre, selon moi, bien plus de la lassitude des
muscles
oculaires qui participent à la production du phé-
ertainement, un rapport consensuel déterminé entre l'innervation du
muscle
orbiculaire et celle des élévateurs du bulbe ocu-
et celle des élévateurs du bulbe ocu- laire, spécialement des deux
muscles
obliques inférieurs. BIBLIOGRAPHIE 1. BELL (C
.). 1. On the motion of the Eye, in illustration of the uses of the
muscles
and ner-es of the orbit. Philos. Trans. of Roy. S
XIX. Poliencéphalite chronique. Ophtalmoplé- gie et paralysie des
muscles
mastica- teurs (H. LAMY), XXIV. Porencéphalie
ue les parties constituantes sont diverses pour la peau et pour les
muscles
. Pour la peau, à un endroit donné, la neuvième, e
rfs, par des amputations segmentaires, par des ablations isolées de
muscles
de fixer avec une précision mathématique, les noy
rité de Sano, Van Gehuchten, Mari- nesco, etc. D'après Sano, chaque
muscle
doit avoir son noyau d'innerva- tion distinct d
ion avec le membre inférieur, préside à l'inner- vation de tous les
muscles
d'un segment de membre, quelle que soit leur fo
érimentale et par l'élude d'une moelle humaine après extirpation du
muscle
grand pectoral, dans une ablation de cancer du
nelles, c'est- à-dire qu'elles sont en rapport avec la fonction des
muscles
« die moto- rischen spinalen Localisationen war
pas segmentaire. « Ainsi le radial qui donne le mouvement à un seul
muscle
de ce segment (la main), à l'abducteur du pouce
être considérés strictement parlant, comme correspondant à tous les
muscles
d'un segment de membre, car il y a, ainsi que n
son trois groupements postéro-externes, un groupement A destiné aux
muscles
de l'épaule, un deuxième B au groupe du bras, u
t Parhon, le groupe À correspond au grand Pectoral, le groupe B aux
muscles
de la région antérieure du bras, le groupe C au
les groupes A, C, D, correspondent pour De Neef, réciproquement aux
muscles
de l'épaule, de Pavant-bras, de la main, pour Mar
avant-bras, de la main, pour Marinesco et Parhon réciproquement aux
muscles
petit pectoral, triceps brachial et à ceux de l
jours après une section nerveuse unique ou une ablation unique d'un
muscle
, le malade étant mort sans cause capable de provo
itué puisqu'elle s'accompagne de la section des tendons de certains
muscles
de ces segments. Au surplus, dans quel segment du
tion supérieure sur l'omoplate et l'inférieure sur le radius, ou les
muscles
radiaux qui vont de l'humérus au carpe ? Ces lo
, ou les muscles radiaux qui vont de l'humérus au carpe ? Ces longs
muscles
qui franchis- 6 CESTAN ET HUET sent sans s'y
HUET sent sans s'y insérer tout un segment sont-ils comparables aux
muscles
qui, unissant un segment au segment voisin, l'o
segment voisin, l'omoplate à l'humérus, l'hu- mérus au radius, aux
muscles
qui, unissant deux os du même segment, radius e
raiment segmentaires. Il nous parait donc difficile d'appliquer aux
muscles
le terme segmentaire si vrai au contraire pour le
rait rien et ne permettrait pas d'exclure comme centre présumé d'un
muscle
un groupement cellulaire d'apparence intacte; la
'il sera toujours difficile de déterminer exactement aussi bien les
muscles
atteints que le rapport entre les lésions muscula
onation, la flexion et l'extension des doigts, les mouvements dus aux
muscles
intero'sseux et aux muscles des éminences théna
sion des doigts, les mouvements dus aux muscles intero'sseux et aux
muscles
des éminences thénar et hypothénar se font bien.
thénar et hypothénar se font bien. (Planche I.) Ainsi les divers
muscles
du groupe radiculaire inférieur ont bien conservé
leur action et développent une force assez grande ; au contraire les
muscles
du groupe radiculaire supérieurprésentent une p
accusée à gauche qu'à droite. L'examen électrique a montré que les
muscles
du groupe radiculaire inférieur ne présen- tent
altérations notables de leurs réactions, mais que les réactions des
muscles
du groupe radiculaire supérieur sont au contraire
s et atrophiques s'ajoutent des secousses fibrillaires limitées aux
muscles
du groupe radiculaire supérieur. Or à cette dis
alheureusement les auteurs n'ont jamais dressé le tableau exact des
muscles
intéressés par l'atrophie. On cherchera en vain d
e l'épaule. La contractilité électrique qui avait augmenté dans les
muscles
de l'avant-bras avec le retour des mouve- ments
ments physiologiques de la main avai l entièrement disparu dans les
muscles
deltoïde, biceps,brachial antérieur et triceps.
ur et triceps. Elle était revenue ainsi que les mouvements dans les
muscles
sus et sous-épineux et grand pectoral. L'épaule
aient décharnés. » De môme dans l'observation X on lit : « Tous les
muscles
moteurs du bras sur l'épaule sont atrophiés et pa
tion histologique. Leur malade présentait une atrophie complète des
muscles
de l'éminence thénar et du premier interosseux de
le plus souvent le groupe scapulo-huméral, parfois même sur un seul
muscle
. Mais voici que dans ces dernières années survien
des interosseux.Sans être impossible,la paralysie de ces der- niers
muscles
et l'attitude caractéristique qui s'ensuit sont e
i tend à démontrer la grande rareté de la paralysie par- tielle des
muscles
de la main, c'est que les déformations consécutiv
» Toutes ces raisons, localisation de l'atrophie sur le groupe des
muscles
innervés par la partie inférieure du plexus bra
la motilité revient dans certaines parties du bras ; mais d'autres
muscles
restent paralysés, s'atrophient et restent atroph
vers l'épaule droite par un torticolis permanent avec rétraction du
muscle
sterno-cléido-mastoïdien droit. Ce torticolis,
Dès qu'on examine la disposition de l'atrophie et de la paralysie des
muscles
sur ce membre, on est frappé par le contraste q
sur ce membre, on est frappé par le contraste qui existe entre les
muscles
du groupe radiculaire supérieur du plexus brach
liefs assez prononcés ; et, si on examine l'action de chacun de ces
muscles
, on reconnaît qu'elle est bien conservée et dév
DES ATROPHIES MUSCULAIRES MYÉLOPATHIQUES 15 Au contraire les autres
muscles
, c'est-à-dire : au bras, le triceps ; à l'avant-b
; à l'avant-bras, les extenseurs commun et propres des doigts, les
muscles
propres du pouce, le cubital postérieur, le cub
doigts, les pal- maires et le rond pronateur; à la main, les divers
muscles
des éminences thénar et hypothénar et les inter
ng supinateur, mais la pronation ne peut être complétée, les autres
muscles
pronateurs étant atrophiés et entièrement paral
lontaire et l'ac- tion de ses trois parties sont bonnes. Les divers
muscles
de la ceinture scapu- laire, à l'exception de l
conservé leur action et leur force est peu différente de celle des
muscles
du côté opposé. La partie infé- nieure du grand
uère altérés, cette action étant assurée par la suppléance d'autres
muscles
. Examen électrique : (Méthode polaire d'exame
volontaire ont bien conservé aussi leur excitabilité électrique. Ces
muscles
ne font pas partie à proprement parler du group
mais ils ont une innervation radiculaire très voisine de celle des
muscles
de ce groupe, et l'un de nous a pu les voir plu
ure du plexus brachial, toutefois à un degré moindre que les autres
muscles
de ce groupe. Dans les autres muscles du groupe
egré moindre que les autres muscles de ce groupe. Dans les autres
muscles
du groupe radiculaire inférieur, les altérations
le rond pronateur, les palmaires, les fléchisseurs des doigts, les
muscles
de l'éminence thénar et de l'éminence hypothéna
entre 2 1 ? et 5 ou 6 milliampères, non seulement dans ces derniers
muscles
, mais encore dans des muscles paraissant inexcita
ères, non seulement dans ces derniers muscles, mais encore dans des
muscles
paraissant inexcita- bles avec les courants far
sont assez vives, sans inversion polaire, dans quelques-uns de ces
muscles
; elles se montrent en- core assez lentes dans d
ces muscles; elles se montrent en- core assez lentes dans d'autres
muscles
, avec NFC = < PFC. Dans les trois parties du
ontractions manifestes, même avec 8 et 10 milliampères. Au cou le
muscle
sterno-cléido-mastoïdien présente une bonne excit
Le réflexe du tricèps brachial est complètement aboli. Sur aucun
muscle
on n'aperçoit de secousses fibrillaires. Il exi
la Vllle, les Fléchisseurs de la main, à la Il' Dorsale, les petits
muscles
des mains. En d'autres termes, Thornburn rattache
éjerine. Chez lui en effet, nous constatons une atrophie des petits
muscles
des mains, des fléchisseurs, des palmaires, des
nservé. Nous pouvons traduire ce tableau ainsi : sont atrophiés les
muscles
innervés par la Ire racine dorsale, la VILLE ra
icale, la VIIe racine cervicale, avec peut-être participa- tion des
muscles
innervés par la VIe racine cervicale, en un mot l
ion des muscles innervés par la VIe racine cervicale, en un mot les
muscles
que l'on sait atteints dans la paralysie radicula
T HUET plexus cervical, ont au contraire récupéré leur fonction les
muscles
dont la paralysie s'observe dans le type radicu
et des Radiaux, contraste singulièrement avec l'atrophie des autres
muscles
de l'avant- bras et des petits muscles de la ma
t avec l'atrophie des autres muscles de l'avant- bras et des petits
muscles
de la main. - Nous rapprocherons de l'observati
r gauche avec atrophie assez prononcée de la plus grande partie des
muscles
innervés par la portion radiculaire inférieure
t d'ailleurs recouvré rapidement toute leur force et aucun de leurs
muscles
n'a été atteint d'atrophie. Cet enfant fut vu a
et par le massage. Au membre supérieur gauche un certain nombre de
muscles
paralysés re- trouvèrent assez rapidement leurs
on et d'extension de l'avant-bras sur le bras ; mais la plupart des
muscles
de l'avant-bras et les muscles de la main sont
as sur le bras ; mais la plupart des muscles de l'avant-bras et les
muscles
de la main sont restés paralysés et se sont notab
et au membre su- périeur droit la force et les fonctions des divers
muscles
sont très bonnes. Les réflexes rotuliens sont n
ès bonnes. Les réflexes rotuliens sont normaux. A gauche les divers
muscles
de la ceinture scapulaire ne présentent aucune
e, encore un peu affaiblies dans la partie postérieure. Au bras les
muscles
animés par le nerf musculo-cutané, coraco- brac
les de l'avant-bras, extenseur commun des doigts, cubital postérieur,
muscles
propres du pouce, de l'index et du petit doigt,
ficiel et profond des doigts, cubital antérieur, et dans les divers
muscles
de la main, la motilité volontaire est à peu près
- tions obtenues sont très lentes avec NFC > PFC ou sur quelques
muscles
avec NFC = PFC. Dans ce cas le diagnostic de
est paralysé ; la paralysie rétrocède assez rapidement sur certains
muscles
qui sont particulièrement ceux du groupe radicu
iceps brachial ; dix mois après l'invasion de la maladie ces divers
muscles
sont assez bien ré- parés et ne restent que peu
parés et ne restent que peu affaiblis, au contraire tous les autres
muscles
du groupe radiculaire inférieur restent très pa
Seg...)' . Nous avons pu suivre cet enfant pendant trois mois; les
muscles
du groupe radiculaire supérieur, les radiaux et
fléchisseurs des doigts étaient aussi un peu plus étendus, mais ces
muscles
présentaient toujours de la DR; dans les autres
s, mais ces muscles présentaient toujours de la DR; dans les autres
muscles
paralysés et atrophiés l'état était resté à peu
ront désormais fournir un examen détaillé de leurs malades, étudié,
muscle
par muscle, avec ex- ploration fonctionnelle et
ais fournir un examen détaillé de leurs malades, étudié, muscle par
muscle
, avec ex- ploration fonctionnelle et électrique
ES ATROPHIES MUSCULAIRES MYÉLOPATHIQUES 25 cependant d'une part les
muscles
Grand Dorsal et Grand Pectoral reçoivent des fi
ons dit plus haut sur la justesse du mot segmentaire appliqué à des
muscles
qui par leur fonction de ligaments actifs des a
ion des cellules motrices en groupements correspondant à tel ou tel
muscle
, et c'est à ce point de vue que la méthode expé
pendant à ce point de vue l'histoire de notre malade montre que les
muscles
de l'avant-bras doivent être subdivisés, car no
g su- pinateur et ses radiaux, tandis que sont atrophiés les autres
muscles
de l'avant-bras. Mais il est à craindre que m
t plus tard venu s'adjoindre un affaiblissement très pro- noncé des
muscles
masticateurs par suite duquel le maxillaire infér
issement antéro-postérieur du thorax, d'autre part à l'atrophie des
muscles
lombo-abdominaux. D et D'. - Les deux frères Me
29 Les membres supérieurs sont uniformément amaigris, cependant les
muscles
des éminences thénar, hypothénar et les interos
pendant, la force.musculaire n'est pasdiminuéedans la plupart des
muscles
; seuls les mouve- ments de flexion de la cuiss
i permettent pas de se soutenir ni de grimper sur ses jambes. Ses
muscles
ne présentent aucune ré- traction fibreuse et l
ais eu de crises de nerfs. L'examen électrique des nerfs et des
muscles
nous réservait une surprise : nous n'avons trou
uscles nous réservait une surprise : nous n'avons trouvé pour aucun
muscle
de diminution sensible des excitabilités élec
citabilités électriques, galvaniques ou faradiques. Même pour les
muscles
dont le volume est des plus réduits, comme le del
ot-Marie, M. Huet cependant observé une myopathique avérée dont les
muscles
présentaient en général une diminution simple d
our M. Babinski le con- traste de la paralysie presque complète des
muscles
des jambes avec l'in- tégrité de leurs réaction
en des modifi- cations qualitatives de l'excitabilité galvanique du
muscle
associées à une diminution plus ou moins pronon
lus ou moins prononcée de l'excitabilité faradique des nerfs et des
muscles
. Rien de tout cela ici ; aussi préférons-nous a
us trouvons en face d'un cas de myopathie primitive dans lequel les
muscles
ont subi une altération particulière permettant
ait une diminution dans l'amplitude des contrac- tions sur certains
muscles
très atrophiés, ce que nous n'avons même pas no
e malade un peu différent d'ailleurs de ceux de M. Huet puisque ses
muscles
ne présentaient aucune rétraction fibreuse. En
sur le côté. La tête repose immobile sur l'oreiller. Par contre les
muscles
de la face sont indemnes ; l'élocution est faci
onctions du système musculaire donne les résultats suivants : Les
muscles
de la face ont un fonctionnement normal ; l'orbic
a été parlé plus haut un clignotement fréquent des paupières. Les
muscles
masticateurs, les muscles de la cavité buccale, d
clignotement fréquent des paupières. Les muscles masticateurs, les
muscles
de la cavité buccale, du pharynx, du larynx, ne
cavité buccale, du pharynx, du larynx, ne sont pas atteints. Les
muscles
de la région postérieure du tronc, qui d'après l'
(splénius, com- plexus, droits postérieurs de la tête, etc.) et les
muscles
des gouttières verté- brales ainsi que les inte
malade, lorsqu'elle est assise, en est la preuve. Au contraire, les
muscles
superficiels du dos (trapèze, grand dorsal, rhomb
. T. XV, PI. VI ' MYOPATHIE ATROPHIQUE PROGRESSIVE (Début par les
muscles
redresseurs du cou et du tronc). (E. LonQ, de G
COMMUNE DE MYOPATHIE ATROPHIQUE PROGRESSIVE 35 Région du colt. - Le
muscle
sterno-cléïdo-mastoïdien participe à l'atro- ph
onostic des lésions pulmonaires constatées chez cette malade. Les
muscles
de la région hyoïdienne sont conservés, les mouve
s hyoïde s'opèrent normalement. Par contre il faut supposer que les
muscles
prévertébraux et les scalènes n'ont pas une actio
te, car la tête renversée en arrière ne peut être ramenée en avant.
Muscles
du thorax et de l'abdomen. Les muscles pectoraux
peut être ramenée en avant. Muscles du thorax et de l'abdomen. Les
muscles
pectoraux ont con- servé une partie de leur for
r contre l'immobi- lisation de l'épaule saisie à pleine main. Les
muscles
abdominaux sont impuissants. Si on commande le mo
le mouvement de la position assise on ne voitaucune contraction des
muscles
grands droits et obliques de l'abdomen, le thor
son point d'appui sur la colonne vertébrale et la fosse iliaque).
Muscles
des membres supérieurs. L'impotence due à l'atrop
la racine du membre à la périphérie. L'analyse des mouve- ments des
muscles
de l'épaule (deltoïde, sus et sous-épineux, grand
t pe- tit rond, sous-scapulaire) démontre que les mouvements de ces
muscles
sont conservés mais considérablement affaiblis.
sont conservés mais considérablement affaiblis. Les mouvements des
muscles
du bras, région antérieure et région postérieur
u'après un assez long travail qu'elle est arrêtée par la fatigue.
Muscles
de la ceinture pelvienne et des membres inférieur
rables qu'à la cein- ture scapulaire et aux membres supérieurs. Les
muscles
de la ceinture pel- vienne (muscles fessiers, p
et aux membres supérieurs. Les muscles de la ceinture pel- vienne (
muscles
fessiers, pelvilrochantériens et adducteurs) sont
sse sur le bassin. Il en est de même, à peu de chose près, pour les
muscles
de la cuisse, les mouvements de flexion et d'ex
r les cuisses et mettre les jambes en demi-llexion. 36 LONG Les
muscles
de la région postérieure de la jambe et de la pla
e du pied et cette dernière abaissée et tournée en dedans, mais les
muscles
exten- seurs (région antéro-externe de la jambe
nous n'ayons pas à y insister. A la palpa- tionon constate que les
muscles
malgré leur diminution de volume ont gardé une
ontre : Une diminution de l'excitabilité faradique des nerfs et des
muscles
, plus marquée aux membres inférieurs qu'aux mem
s courants électriques est en réalité peu marquée, on voit même des
muscles
dont le fonctionnement est presque supprimé, ré
tion difficile, ce qui s'explique par le mauvais fonctionnement des
muscles
abdominaux. Sensibilité.- La sensibilité cutané
le professeur Ifaltenholf n'a révélé aucun trouble paralytique des
muscles
moteurs du globe oculaire, ni d'altération des mi
UNE VARIÉTÉ PEU COMMUNE DE MYOPATHIE ATROPHIQUE PROGRESSIVE 37 des
muscles
abdominaux, mais on observe parfois des crises de
s la respiration, très fréquente, reste superficielle (atrophie des
muscles
respirateurs accessoires). Ces lésions pulmonaire
t de l'atrophie musculaire, il l'âge de quinze ans environ, par les
muscles
de la nuque, de la région postérieure du tronc
nture pelvienne. Aggravation lente et progressive ; ex- tension aux
muscles
des membres supérieurs et inférieurs en commençan
la face. Participation des ntztsclessteuno-cléido-ntasto'idiens,des
muscles
abdominaux et des muscles psoas-iliaques ci l'att
ntztsclessteuno-cléido-ntasto'idiens,des muscles abdominaux et des
muscles
psoas-iliaques ci l'att·ophie. Pas de con- trac
il est un point sur lequel il est nécessaire de revenir ; parmi les
muscles
du tronc, la maladie d'évolution dans ce cas n'a
dans ce cas n'a pas frappé seu- lement les sterno-mastoïdiens, les
muscles
qui vont s'insérer à l'omoplate les muscles abd
sterno-mastoïdiens, les muscles qui vont s'insérer à l'omoplate les
muscles
abdominaux et les psoas, ainsi qu'on l'observe ha
ophique progressive ; elle a pris (elle a même dé- buté par là) les
muscles
qui ont pour fonctions de redresser la colonne
e pouvait se lever tout seul lorsqu'on le couchait par terre ». Les
muscles
n'ont jamais été hypertrophiés; d'emblée, l'enf
anisme de la démarche myopa- thique. Mais grâce à la rétraction des
muscles
des cuisses, grâce à la rétrac- tion du mollet,
ontraire ne dépasse pas 50-, et est arrêtée par les rétractions des
muscles
postérieurs de la cuisse (biceps, muscles de la p
e par les rétractions des muscles postérieurs de la cuisse (biceps,
muscles
de la patte d'oie) qui font alors une saillie t
e assez forte. Mais l'extension est limitée par les rétractions des
muscles
fléchisseurs (psoas iliaque, et tenseur du fasc
chisseurs (psoas iliaque, et tenseur du fascia lata). Cependant les
muscles
extenseurs de la cuisse sur le bassin ont conse
. Les pieds sont en équin varus surtout à gauche par rétraction des
muscles
du mollet. Le malade relève et remue facilement
s ten- UNE MYOPATHIE AVEC RÉTRACTIONS FAMILIALES 41 dineuses. Les
muscles
ne sont pas douloureux à la pression. Les réflexe
main est à peu près normale. Les mouvements exécutés par les petits
muscles
sont possibles : adduction et abduction des doigt
, l'extension au contraire limitée légèrement par la rétraction des
muscles
antérieurs de l'avant-bras. Mais la flexion act
oïde est très faible, la rotation en dedans est très énergique. Les
muscles
conservés ne sont pas douloureux ; ils donnent à
terne et interne est normale. Il en est de même de la langue et des
muscles
de la mastication,de la déglutition, de la phonat
ne fait saillie par la rétraction des chefs moyens du trapèze. Le
muscle
trapèze donne à la palpation une sensation .fibre
évi- dente. Le ventre est plat, non préminent, bien sanglé par les
muscles
de la paroi abdominale, dur à la pression. Il
lade l'aspect d'un thorax et d'une poupée taillée dans du bois. Les
muscles
fessiers et surtout les grands fessiers sont très
à peu près semblables. « L'excitabilité électrique des nerfs et des
muscles
est remarquablement bien conservée au point de
ésente pas la dimi- nution qui existe chez ce dernier dans quelques
muscles
: les diverses parties du triceps crural notamm
triceps crural notamment ont une bonne excitabilité électrique ; les
muscles
antérieurs de la jambe (jambier antérieur et ex
plète à droite, limitée au contraire à gauche par la rétraction des
muscles
fléchisseurs. L'extension active est assez rigo
, la flexion du pied sur la jambe est limitée par la rétraction des
muscles
du mollet et par la parésie des muscles antérieur
mitée par la rétraction des muscles du mollet et par la parésie des
muscles
antérieurs de la jambe. Les mouvements des or
Les mouvements des orteils se font bien à droite et à gauche. Les
muscles
ne sont pas douloureux à la pression ; ils doiven
ficulté, mais l'extension passive est limitée par la rétraction des
muscles
fléchisseurs et ne dépasse pas 55°. L'adduction
tale des bras est très faible par l'atrophie des del- toïdes. Les
muscles
des avant-bras sont mieux conservés, ainsi la fle
ine et sur le groupe des extenseurs d'un segment sur l'autre. Les
muscles
ne présentent pas de secousses fibrillaires ; ils
qualitatives de l'excitabilité électrique ; sur un grand nombre de
muscles
, l'excitabilité est très bien conservée quantitat
cependant, l'excitabilité est notablement di- minuée dans quelques
muscles
; c'est le cas par exemple à la cuisse pour le
manifeste dans le jeune âge, la marche progressive à début par les
muscles
de la racine des membres, les caractères si par
ion de dégénérescence. « L'excitabilité électrique des nerfs et des
muscles
est même remarquablement bien conservée au poin
ent des exemples : c'est un pied-bot varus-équin par rétraction des
muscles
du mollet, c'est une flexion plus ou moins pron
le myopathique ne présente pas de sleppage grâce a l'intégrité des
muscles
releveurs de la pointe du pied, mais marche cep
corps incliné en arrière, et ne peut se rele- verpar l'atrophie des
muscles
du bassin et de la cuisse. Mais notre malade a
ixées en position irrémédiable et par les rétractions fibreuses des
muscles
et par des lésions articulaires et péri-articul
surplus, elle ne pourrait expliquer la rétraction du trapèze et des
muscles
des gout- tières vertébrales. Dans son traité
dues à l'action prédomi- nante du groupe musculaire antagoniste des
muscles
atrophiés. « En con- séquence, dit-il, un des m
tagoniste des muscles atrophiés. « En con- séquence, dit-il, un des
muscles
vient-il à être affaibli ou détruit par l'a- tr
de la force tonique prédominante,c'est-à-dire de l'action propre du
muscle
ou du faisceau musculaire. » Cette théorie a été
dant, dès 1873, Friedreich remarquait que chez certains malades les
muscles
rétractés étaient aussi altérés que leurs antagon
équin on constatait une altération très pronon- cée aussi bien des
muscles
du mollet que des muscles de la loge antérieure
ltération très pronon- cée aussi bien des muscles du mollet que des
muscles
de la loge antérieure de la jambe ; on ne pouva
ue la déformation avait été provoquée par l'action prédominante des
muscles
de la loge postérieure. Dès lors, étant donné q
donne une sensation fibreuse, surtout très mar- quée au niveau des
muscles
fléchisseurs rétractés qui paraissent former ai
de véritables cordes. Mais, en réalité, au niveau des membres, les
muscles
les plus rétractés sont aussi les muscles qui ont
u niveau des membres, les muscles les plus rétractés sont aussi les
muscles
qui ont conservé et la meil- leure énergie et l
la théorie de Duchenne, déformations par action prédo- minante des
muscles
antagonistes. La faiblesse atteint surtout les mu
minante des muscles antagonistes. La faiblesse atteint surtout les
muscles
extenseurs ; l'action des fléchisseurs l'emport
cles extenseurs ; l'action des fléchisseurs l'emporte sur celle des
muscles
pré- cédents ; les segments des membres se fléc
que cette théorie ne saurait expliquer clai- rement la rigidité des
muscles
des gouttières costo-verléhrales, du trapèze, d
ôle. Ces deux facteurs, prédo- minance de la myopathie sur certains
muscles
, tendance il la sclérose du tissu conjonctif de
r certains muscles, tendance il la sclérose du tissu conjonctif des
muscles
atrophiés, s'influencent ainsi réciproquement p
nservation a peu près parfaite de la contracti- lité électrique des
muscles
et surtout leur caractère nettement héréditaire
e rétraction tendineuse. La force est à peu près normale dans les
muscles
du bassin, fessiers, psoas, etc. quoique non en
ible quoiqu'encore assez conservée dans le triceps crural, dans les
muscles
antéro-externes des jambes et dans ceux du pied
s en temps des contractions fibrillaires. L'examen électrique des
muscles
donne les résultats suivants : il existe la réa
sultats suivants : il existe la réaction de dégénérescence dans les
muscles
grand-fessiers, la réaction électri- que est ét
rs, la réaction électri- que est éteinte ou très affaiblie dans les
muscles
des cuisses, des jambes et des pieds. Elle est
presque partout éteinte, et seulement très affaiblie dans quelques
muscles
. Dans les nerfs grand-sciatiques, cruraux et ti
absolument normales. Plus encore : le Dr de Léon a examiné tous les
muscles
de l'épaule, du bras, de l'avant-bras et de la ma
e altération élec- trique. Partout et toujours, aussi bien dans les
muscles
que dans les nerfs, les réactions électriques o
rs, 26 ans après le début de la maladie, quelle qu'elle soit. Les
muscles
du tronc sont tout à fait normaux ainsi que ceux
ière. Précisément c'est ce que nous trouvons chez notre malade. Les
muscles
de la jambe sont très atteints, ceux de la cuis
ont très atteints, ceux de la cuisse le sont beaucoup moins, et les
muscles
de la ceinture pelvienne contrastent parleur volu
xtrémité des membres. L'exploration électri- que prouve bien que le
muscle
grand-fessier commence à être pris, mais cela s
cas, et de toute façon la même exploration électrique prouve que le
muscle
fessier est bien moins pris que les muscles des
électrique prouve que le muscle fessier est bien moins pris que les
muscles
des jambes et ceux des cuisses. En effet dans ces
ubles fonctionnels, sont bien évidemment dus à la dispa- rition des
muscles
de la jambe, disparition par suite de laquelle l'
de, quoique bien affaiblie, conservait cependant assez de force aux
muscles
des jambes, et j'estime que celle force était trè
roupes musculaires. On comprend que la connaissance du fait que les
muscles
, prédisposés aux phénomènes téta- niques par vo
lant beaucoup à un masque. Les mouvements mimiques sont limités aux
muscles
du front. Le langage est cor- rect, pas rapide
r montré les gencives, le malade sent quelque chose qui empêche les
muscles
de revenir à l'état de repos. La mastication est
isante; au début seulement ils sont gênés par l'extrême tension des
muscles
, nécessaire pour ces mouvements. Les mouvements
e flexion et dispa- raissant graduellement pendant 1/2 minute. Le
muscle
triceps après une tension volontaire revient au r
main, quand le malade ferme le poignet, principalement du côté des
muscles
flexor carpi ulnaris et des fléchisseurs des de
doigts ; la flexion de la main seule, accompagnée d'une tension des
muscles
du bras, met le bras en supination : quand la t
bras, met le bras en supination : quand la tension est arrêtée, ces
muscles
reviennent à l'état de repos plus tard que les
et à l'extension des pieds et des orteils il se manifeste,dans les
muscles
contractés un état tonique surtout accen- tué d
muscles contractés un état tonique surtout accen- tué dans les deux
muscles
gastrocnémiens ; quand le malade fléchit les cuis
dans le faisceau externe de l'extenseur gauche de la cuisse. Les
muscles
du cou, qui participent aux mouvements de la tête
ossolimo) DE LA MYOTONIE ATROPHIQUE 69 Les mouvements passifs des
muscles
examinés sont partout libres au moment de repos
s sont partout libres au moment de repos. L'état de nutrition des
muscles
de la face est affaibli, ce qui est caractérisé
temporales et par l'amaigrissement de la face, sauf les lèvres. Les
muscles
des bras, surtout les régions périphériques et pr
t prin- cipalement les fléchisseurs, sont atrophiés ; le volume des
muscles
des mains est diminué symétriquement, si on n'e
ns la masse musculaire, rappelle le tableau caractéristique pour un
muscle
ordinaire de Thomsen. Les fibres au lieu d'ètre
et par l'hyperplasie du tissu conjonctif des régions atrophiées des
muscles
. L'excitabilité mécanique des muscles est très
des régions atrophiées des muscles. L'excitabilité mécanique des
muscles
est très augmentée, surtout là où leur nutritio
tée, surtout là où leur nutrition est intacte et bien plus dans les
muscles
de la ceinture scapulo-hu- mérale et dans le fa
es de la ceinture scapulo-hu- mérale et dans le faisceau externe du
muscle
extenseur quadriceps gauche. Ici le moindre cho
re- let musculaire saillant, un état tétanique prolongé de tous les
muscles
orga- nisés. Le choc du tronc du nerf facial
hvostelc) ; pas de phénomènes de Trousseau. Il faut noter que les
muscles
, manifestant une excitabilité faradique affaiblie
UE 73 74 ROSSOLIMO droit ; l'examen objectif a découvert dans les
muscles
lotîtes les propriétés caractéristiques de la m
e myopathique avec cette particularité de l'envahissement que les
muscles
les plus atrophiés étaient ceux qui ont manifesté
opriétés myopathiques au' degré le plus prononcé : à la figure, les
muscles
du front ; aux membres supérieurs, les muscles de
é : à la figure, les muscles du front ; aux membres supérieurs, les
muscles
des bras ; aux membres inférieurs, les muscles
bres supérieurs, les muscles des bras ; aux membres inférieurs, les
muscles
des mollets ; une telle locali- sation de l'atr
raction myo- tonique des chiffres d'affaiblissement quantitatif des
muscles
atrophiés, manifeste aussi dans quelques-uns de
s de l'étude de notre cas et des cas pareils. Il est certain que le
muscle
myotonique, caractérisé au microscope par l'aug
oit d'un court extrait de sa communi- cation. Nos recherches sur le
muscle
enlevé démontrent non seulement que la diminuti
scle enlevé démontrent non seulement que la diminution de volume du
muscle
myotonique dépend- de l'atrophie de ses faiscea
il paraît plus juste d'attribuer l'une et l'autre à une lésion des
muscles
eux-mêmes, se basant sur l'intégrité apparente
attribuer la cause essentielle de cette affection à une lésion des
muscles
eux-mêmes. Mais la théorie de la myopathie primit
outre, une paralysie sensitivo-motrice de la région cutanée et des
muscles
innervés par le péronier. Vous voilà fixés sur
terminal : -. 1° Une paralysie motrice, plus ou moins complète, des
muscles
de la région postérieure des cuisses, des muscl
ins complète, des muscles de la région postérieure des cuisses, des
muscles
de la jambe et des pieds ; 2° Une aneslhésie, t
n'a donné que des résultats normaux. Aux membres inférieurs, les
muscles
de la région postérieure de la cuisse et tous l
eurs, les muscles de la région postérieure de la cuisse et tous les
muscles
de la jambe étaient paralysés, à gauche; les con-
les con- tractions du triceps crural s'effectuaient sans force; les
muscles
fléchis- seurs de la jambe sur la cuisse étaien
e étaient indemnes. Adroite, la paralysie intéressait également les
muscles
de la face postérieure de la cuisse, ceux des m
le ; nulle part, on ne découvrait de traces d'une ar- thrite. Les
muscles
paralysés étaient, en outre, fortement atrophiés
gnes de la R. D. ont été constatés à l'exploration des 86 RAYMOND
muscles
de la face postérieure de la cuisse, du jambier a
stérieure de la cuisse, du jambier antérieur, des ex- tenseurs, des
muscles
des mollets, à droite et à gauche. Les troncs n
t à gauche. Les troncs nerveux superficiels étaient, à l'instar des
muscles
, très dou- loureux à la pression ; au contraire
ce des membres inférieurs, incomplète; à gauche, elle intéresse les
muscles
de la face postérieure de la cuisse et ceux de la
de la cuisse et ceux de la jambe. A droite, elle affecte les mêmes
muscles
, moins le jambier antérieur. Elle est flasque e
ieur. Elle est flasque et elle se double d'une atrophie diffuse des
muscles
para- lysés ; . 2° Une paralysie vésico-recta
ie motrice, dont est atteint cet homme, intéresse exclusivement des
muscles
innervés par le plexus sacré. Rappelez-vous q
ombaire, émanation des quatre premières paires lombaires, anime les
muscles
adducteurs, les muscles des faces antérieure, ext
uatre premières paires lombaires, anime les muscles adducteurs, les
muscles
des faces antérieure, externe et interne de la
s 4. premières sacrées et de la cinquième paire lombaire, anime les
muscles
de la face postérieure de la cuisse, tous les m
re, anime les muscles de la face postérieure de la cuisse, tous les
muscles
de la jambe et du pied, par l'intermédiaire du ne
f sciatique et de ses branches de division. Ce sont précisément ces
muscles
-la que nous trouvons paralysés chez notre malad
urs elle reste limitée au do- maine d'innervation du plexus sacré :
muscles
fessiers ; muscles de la face postérieure des c
tée au do- maine d'innervation du plexus sacré : muscles fessiers ;
muscles
de la face postérieure des cuisses ; muscles de
é : muscles fessiers ; muscles de la face postérieure des cuisses ;
muscles
des jambes et des pieds, tandis que les muscles
ieure des cuisses ; muscles des jambes et des pieds, tandis que les
muscles
innervés par le crural et l'obturateur, les deux
sujets du sexe masculin et il est en rapport avec uneparalysie des
muscles
balbo- et ischio-caverneux. Ces diverses mani
es : ils consistent dans une atrophie, le plus souvent diffuse, des
muscles
paralysés, dans des ulcérations de décubitus, a
xcitabilité galva- nique et faradique des nerfs qui fournissent aux
muscles
paralysés. D'au- tres fois, elles traduisent la
cles paralysés. D'au- tres fois, elles traduisent la R. D. dans les
muscles
paralysés, ainsi que nous l'avons constaté chez
lement les plus superficielles, ne res- pecterait pas les organes -
muscles
et téguments - innervés par le plexus lombaire,
ssance, et de l'in- volution de l'être. · ABSENCE CONGÉNITALE DES
MUSCLES
GRAND ET PETIT PECTORAL PAR A. SOUQUES. L
AND ET PETIT PECTORAL PAR A. SOUQUES. L'absence congénitale des
muscles
grand et petit pectoral est une ano- malie asse
es jours. En l'examinant je constate deux anomalies : l'absence des
muscles
pectoraux et l'existence d'une malformation de
droite n'est pas moins garnie de poils que l'aisselle gauche. Le
muscle
grand pectoral parait totalement absent dans sa p
ée, plus développée peut-être qu'à l'état t normal. Par contre le
muscle
petit pectoral a totalement disparu. Les côtes
n & Cle, Editeurs ^ nCllhaud. - Paris ABSENCE CONGÉNITALE DES
MUSCLES
GHAND ET PETIT PECTORAL 133 3e et 4e côtes font
ture musculaire. Par contre, dans l'inspiration forcée, on sent les
muscles
intercostaux externes se contracter et, dans le s
e de 2 centimètres environ, en raison du tonus non contrebalancé du
muscle
trapèze. Il s'ensuit que l'omo- plate droite es
me particulière. La paroi postérieure est élar- gie, formée par les
muscles
grand rond et grand dorsal qui paraissent hyper-
s n'ont pas amené de troubles fonc- tionnels sérieux. L'absence des
muscles
pectoraux n'a jamais gêné le malade, les mouvem
ceaux sternaux. [D'ailleurs, lorsque le malade ne contracte pas ses
muscles
, si on examine la paroi antérieure de l'aissell
aire, vestige du grand pectoral ; lorsque le malade con- tracte ses
muscles
pour rapprocher le bras du tronc, ou l'abaisser q
raphie DE la Salpêtrière. T. XV, PI. XVII ABSENCE CONGÉNITALE DES
MUSCLES
GRAND ET PETIT PECTORAUX DROITS Photographie de
des mains. - Radiographie de la mam droite. ABSENCE CONGÉNITALE DES
MUSCLES
GRAND ET PETIT PECTORAL 135 Les autres muscles
ENCE CONGÉNITALE DES MUSCLES GRAND ET PETIT PECTORAL 135 Les autres
muscles
: grand dorsal,grand rond,trapèze,del toïde, lori
e excitabilité électrique (examen avec les courants faradiques) des
muscles
du côté gauche. Il s'agit, en résumé, d'une abs
n- tercostaux et permet de se rendre compte directement du rôle des
muscles
intercostaux pendant la respiration. Ce rôle a
irection, on se- rait tenté de prime abord de voir là un vestige du
muscle
grand pectoral. Benario (2) n'y voit que des re
oit que des restes du tissu fasciculaire. L'absence congénitale des
muscles
pectoraux n'amène aucun trouble fonctionnel app
onnelle des mouvements du membre supérieur, due à la suppléance des
muscles
deltoïde, trapèze, grand dorsal, etc. (dont l'h
mporte quelques déductions. Tout d'abord, l'absence congénitale des
muscles
pec- toraux ne constitue pas un cas de réforme
, et que la récidive sur place est fréquente, si on n'enlève pas ce
muscle
. Aussi la plupart des opérateurs enlèvent-ils act
psie d'un nouveau-né, âgé de cinq jours, présentant une absence des
muscles
pectoraux. Or les artères étaient normalement dév
der Brustmuskeln. Münch. med. Woch., 1890. ABSENCE CONGÉNITALE DES
MUSCLES
GRAND ET PETIT PECTORAL 137 terminer dans le ti
d, présentait une excavation thoracique consécutive à l'absence des
muscles
pectoraux ; or le membre supérieur correspondan
capable d'expliquer, dans certains cas, l'absence congéni- tale des
muscles
pectoraux. - SYNDROME DE LITTLE ACQUIS AVEC A
mouve- ments volontaires deviennent plus grandes, à mesure que les
muscles
ac- quièrent plus de force, ils obéissent de mo
e transforma peu à peu en une paralysie des bras et des jambes. Les
muscles
étaient rigides et présentaient aux mouvements
u vésicaux. Enfin, au bout de 3 ans, paralysie complète de tous les
muscles
volontaires du squelette (muscles des yeux, de
s, paralysie complète de tous les muscles volontaires du squelette (
muscles
des yeux, de la face, de la mâchoire, de la langu
d'attitudes, on a également rétréci la question en considé- rant le
muscle
, c'est-à-dire l'organe qui fait varier ou maintie
ts articulaires, des contractions puissantes et souvent brusques de
muscles
tassés les uns contre les autres, au travers de
ude du segment. De même que les associations de certains groupes de
muscles
habituellement réunis dans le même office par l'e
eur, puisqu'il semble indiquer que c'est un sens qui appartient aux
muscles
, ce qui ne peut plus être défendu maintenant, p
tre défendu maintenant, puisque c'est un ensemble de sensations des
muscles
, des tendons, des articula- tions et peut-être
culaire n'est plus que le sens qui nous renseigne sur l'état de nos
muscles
. Il en exclut la sensation de position des memb
de la quantité de contraction de chaque masse musculaire, de chaque
muscle
et même de chaque faisceau ; et par conséquent
nsemble de sensations qui ne nous font nulle- ment connaître... nos
muscles
. « Savons-nous, subjectivement, que nous avons
e... nos muscles. « Savons-nous, subjectivement, que nous avons des
muscles
, qu'ils se contractent... ? Nullement. » Donc, il
auteurs, le sens musculaire avait pour objet de sa connaissance le
muscle
, et critiquer cette manière de voir qui ne fort
rtifiait d'ailleurs pas le terme employé par eux. Connaître l'état du
muscle
, ou connaître, par le muscle, l'être de nos mem
e employé par eux. Connaître l'état du muscle, ou connaître, par le
muscle
, l'être de nos membres, c'est deux. Que le sens
'est deux. Que le sens musculaire nous révèle la contraction de nos
muscles
, ou même l'attitude de nos muscles, même quand
ous révèle la contraction de nos muscles, ou même l'attitude de nos
muscles
, même quand le muscle ne se contracte pas, je tro
on de nos muscles, ou même l'attitude de nos muscles, même quand le
muscle
ne se contracte pas, je trouve le terme aussi m
ive, mais maintenue ou modi- fiée activement par l'intervention des
muscles
, les parties tégumentaires et profondes des seg
s le cas où le maintien ou la variation d'attitude sont passifs. Le
muscle
se raccourcit, se gonfle, se durcit, les ten- d
déplacement des parties profondes et superficielles; sans doute le
muscle
a sa sensibilité, comme tous les autres tissus
les autres tissus qui composent le segment, mais sais-je plus qu'un
muscle
ou plusieurs se sont contractés, que je ne sais q
stribution des cellules motrices en groupements correspondant à des
muscles
déterminés ou à certains groupes musculaires. Dan
ccroît lorsque l'on fait faire des mou- vements de la bouche. Les
muscles
frontal et sourcilier sont respectés,de même l'or
te du strabisme inférieur et l'on constate à l'examen la parésie du
muscle
droit externe. - Il y a de la parésie faciale d
mme volume et semble encore peu différencié. Le nerf optique et les
muscles
ne présentent aucune particula- rité macroscopi
ifié) nous avons trouvé une petite masse formée du nerf optique, de
muscles
assez nettement isolables après dissection, mai
d'autres symptômes dans notre description d'un cas de paralysie des
muscles
du tronc (1). A de certains moments la paralysie
ts normaux en tous sens, mais peu étendus, et ceci suppose quelques
muscles
dans la moitié supérieure de la cuisse. On sent
ne. Ces mouvements se font avec une certaine force grâce à quelques
muscles
qui s'insèrent au squelette de la jambe. On ne re
rès légère, abolition des réflexes tendineux. Atro- phie des petits
muscles
de la main. Sensibilité à peu près normale. Troub
ance à l'im- mobilité cataleptoïde, et, fait culminant, tension des
muscles
, rigidité presque tétanique, plus ou moins perm
l n'y a souvent pas de proportion entre la paralysie atrophique des
muscles
et l'arrêt du deve- loppement des os... Charcot
es les déviations rachidien- nes ont apparu en même temps que leurs
muscles
devenaient « lourds » comme courbaturés, et que
en, mais encore, au palper, une rigidité toute spéciale de certains
muscles
(principalement les biceps brachiaux et les mus
ale de certains muscles (principalement les biceps brachiaux et les
muscles
de la face antérieure des avant-bras, pour le typ
ur le type ordinaire, de flexion) ; dans les cas les plus nets, ces
muscles
deviennent durs, et presque ligneux. Faisons re
-mastoïdien du même côté, avec prédominance d'action des premiers
muscles
. La tête est fléchie à droite et en arrière; ce
un phénomène analogue et l'a- taxie statique. On observe, dans les
muscles
au repos, des contractions fascicu- laires,que
cilla- tions cessent, dès qu'on oll're un point d'appui, et que les
muscles
se relâchent. Elles n'altèrent pas sensiblement
as, le tronc se jette en arrière, des contractions spasmodiques des
muscles
du dos viennent, par instant, exagérer encore c
ue, comme pour les membres inférieurs, la prédominance d'action des
muscles
dont nous constaterons plus tard l'hyperexcitab
a percussion du tendon ne donne aucun résultat, la percus- sion des
muscles
produit le déplacement énergique du segment corre
rillaires ou fasciculaires. -Quand le malade est couché, et que les
muscles
sont dans le relâchement, on constate sur tout le
tôt fasciculaires que fibrillaires. Ce sont des tressaillements des
muscles
qui n'amènent pas de dé- placement des segments
ons fascicu- laires déjà signalées, que quelques légers spasmes des
muscles
du cou qui ne . produisent plus la déviation fo
être affaiblie, car, lorsque nous produi- sons la tétanisation des
muscles
avec les plus forts courants, le malade ne se p
électrique. - L'excitabilité mécanique est augmentée au niveau des
muscles
qui présentent, en même temps, de l'hyperexcitabd
réflexes tendineux sont abolis, on ob- tient, par la percussion des
muscles
, une contraction assez énergique pour ame- ner
er un déplacement du segment correspondant. , Sur la plupart de ces
muscles
, il se produit,au point percuté, un nodule dont'
port de la quantité, l'excitabilité galva- nique est augmentée. Les
muscles
de la face, les sterno-masloïdien, grand pec-"
dants exigent un courant plus fort : 2 à 3 1/2 11.A. ' Les autres
muscles
: extenseurs, éminences thénar et hypothénar, int
s contractions dans le triceps avec 3 pila. au négatif, alors que les
muscles
de l'éminence thénar ne se contractent pas enco
s été frappé du rapport qui existe entre l'excitabilité de certains
muscles
et l'attitude des membres dans la marche. Il y a
de des membres dans la marche. Il y a une prédominance d'action des
muscles
hyperexcitables. Ex. : adduction forcée de la cui
ec 4 MA et 14 éléments, et CFN avec 7 MA et 18 éléments. Dans les
muscles
hyperexcitables, le deltoïde en particulier, dont
plus instantanée, plus généralisée, elle sou- lève en bloc tout le
muscle
; CFP, au contraire, est moins rapide, elle produi
, atteint par le torticolis, est particulièrement difficile, car le
muscle
est bien rarement dans le relâchement complet, al
action latente, ou cette hypertonicité, doit exister aussi pour les
muscles
moins atteints. ' Le fait suivant semble nous e
lus haut, et que, la secousse minima une fois obtenue, au moment où
muscle
est au repos complet, nous la répétions à interva
lvanique, des contrac- tions ondulatoires par propagation, dans les
muscles
biceps, triceps, long su- pinateur, deltoïde.
fait songer tout d'abord la réaction myotonique. En électrisant les
muscles
du mollet et de la région postérieure de la cuiss
On constate assez souvent l'existence de contractions exagérées des
muscles
de la face dans les mouvements de la mimique, dan
otrophies. Les secousses peuvent se montrer dans un grand nombre de
muscles
du tronc et des membres (dos, cuisses, éminence t
rou- vons chez Vig. comme dans la réaction myotonique; 10 Pour le
muscle
: L'augmentation de l'excitabilité mécanique, a
a tétanisation faradique persistante se rencontre, non pas dans les
muscles
hyperexcitables, mais, au contraire, dans les mus
pas dans les muscles hyperexcitables, mais, au contraire, dans les
muscles
donc' l'excitabilité est plutôt diminuée (1).
fibre mus- culaire. M. Rispal a pratiqué l'examen d'un fragment de
muscle
du mollet, enlevé avec l'autorisation du malade
,que la tétanisation persistante se rencontre,précisément, dans ces
muscles
du mollet et de la région postérieure de la cuiss
tôt d'une façon relative, par comparaison à l'hyperexcitabilité des
muscles
de la racine des mem- bres. La force est cons
la coordination des mouvemenls complexes des jambes, des mains,des
muscles
de la face, l'occasion de fonctions déterminées (
u tronc, sous forme d'oscillation ou de spasme, survenant quand les
muscles
entrent en fonctions pour maintenir la position
l'expectative. « Pourpen que la force musculaire diminue et que les
muscles
affectés se mettent à maigrir, recherchez avec
à maigrir, recherchez avec soin l'étal électrique des nerfs et des
muscles
; et si cette recherche aboutit à la constatation
nstatons, chez R..., l'existence d'une parésie motrice, limitée aux
muscles
de la face postérieure de la cuisse, aux mus- c
ine d'innervation du sciatique (plexus sacré). Vous voyez que les
muscles
paralysés sont flasques, sans consistance ; le
sumer dans ces quelques mots : Parésie motrice, très prononcée, des
muscles
de la face postérieure de la cuisse, des muscle
rès prononcée, des muscles de la face postérieure de la cuisse, des
muscles
de la jambe et du pied, à gauche. Atrophie, trè
s de la jambe et du pied, à gauche. Atrophie, très nette, des mêmes
muscles
; R. D.... dans le domaine du sciatique poplité
ations de cette névrite se réduisent à une paralysie incomplète des
muscles
innervés par les branches terminales du plexus sa
ute boisson alcoolique. Plus tard, pour hâter la restauration des
muscles
paralysés et atrophiés, nous prescrirons le mas
qui se double d'une atrophie musculaire massive, prédo- minante aux
muscles
de la face postérieure de la cuisse et à ceux du
nervation du plexus sacré ; La prompte survenance de l'atrophie des
muscles
paralysés, le caractère massif de cette atrophi
tc., susceptibles de réveiller la nutrition et la contractilité des
muscles
frappés de paralysie et d'atrophie. L'expérience
t susceptibles aussi bien les amas gris des centres nerveux que les
muscles
plus ou moins synergiques. Je m'ex- pliquerai a
mblable celle de certains tuberculeux. Prostate petite et pâle.
Muscles
atrophiés et pâles, en particulier les gastrocn
l. en photograv.), 3 dessins, par ILwsH.\L1'ER et BRIOUEL, 222.
Muscles
grand et petit pectoral (Absence congénitale) (
. Amÿotrophie Charcot-Alarie (Soca), IX. Atrophie congénitale des
muscles
pec ! o- raux (Souques), XVI, XVII. Atrophie
la sensibilité locale, générale ou sensorielle; pas d'atrophie des
muscles
. Réflexes rotuliens très exagérés : le relèveme
es ou hystérogènes. Sommeil sans cauchemars. L'examen électique des
muscles
fait par M. Oudin porte : « Diminution de l'exc
porte : « Diminution de l'excitabilité faradique et galvanique des
muscles
sans réaction de dégénéres- cence ; néanmoins l
sibilité de l'occlusion des paupières causée par la paralysie de ce
muscle
et plus tard avec M. Déjérine fondait définitivem
istologique, car, sous le micros- cope, rien ne ressemble plus à un
muscle
hypertrophié qu'au muscle atro- phié (Friedreic
micros- cope, rien ne ressemble plus à un muscle hypertrophié qu'au
muscle
atro- phié (Friedreich, Gradenigo, Landouzy etD
de l'orbiculaire des paupières. - Pseudo-hypertl'ophie de quelques
muscles
de la face, du deltoïde, des muscles du mollet.
eudo-hypertl'ophie de quelques muscles de la face, du deltoïde, des
muscles
du mollet. M<MM )H ! MCM /ace, <t <MoM
marquée. Le creux axillaire est masqué en avant par une par- tie du
muscle
grand pectoral. Le creux sous-claviculaire forme
x mus- cles de l'avant-bras. Elles sont flasques aux pectoraux, aux
muscles
du bras. A la paume de la main droite leur cons
e volume des mollets d'un homme de taille et de force moyennes. Les
muscles
sont extrêmement durs à ce niveau. Cette pseudo-h
NOGRAPHIE DE LA S.\LPG'I'H1EIIE. Face. Hypertrophie généralisée des
muscles
, marquée surtout au temporal gauche et il l'orb
ve. Ce sont les contractions fibrillai- res qui existaient dans les
muscles
de la main, et l'état des réactions élec- tro-m
u plutôt de l'inversion de la formule d'électrisation dans certains
muscles
n'est pas non plus un fait qui doive nous arrêt
cher moins d'importance aux signes tirés de l'examen électrique des
muscles
dans ces cas. En effet MM. Bédard et Ré- mond o
z cet homme c'est la présence de la pseudo-hypertrophie de certains
muscles
, associée avec l'amyotrophie myo- pathiquedu ty
pertrophie se développer dans le service. Donc ce n'étaient pas des
muscles
conservés. D'autre part ce n'é- taient pas non
des muscles conservés. D'autre part ce n'é- taient pas non plus des
muscles
régénérés, mais bien des muscles malades, mais
rt ce n'é- taient pas non plus des muscles régénérés, mais bien des
muscles
malades, mais chez lesquels l'évolution myo-scl
u côté de l'hypertrophie et non du côté de l'atrophie. En effet ces
muscles
avaient perdu leur force. Leurs fonctions avaie
aractéristique de la paralysie pseudo-hypertrophique : à savoir des
muscles
gros et durs qui fonctionnent mal ou même point
xté- rieur) (2). Mais si l'on considère, au niveau des membres, les
muscles
ou les groupes de muscles pseudo-hypertrophique
'on considère, au niveau des membres, les muscles ou les groupes de
muscles
pseudo-hypertrophiques, chez le malade de M. Bris
pu constater la coexistence de la pseudo- hypertrophie en certains
muscles
. OBS. II. (personnelle). Myopathie progressiv
rale. Facies myopathique ty- pique. Pseudo-hypertrophie de certains
muscles
et surtout dit deltoïde droit et du triceps de
en arrière des lèvres très prononcé. Rire en travers. Atrophie des
muscles
de la houppe du menton. Rien à la langue, au vo
e du menton. Rien à la langue, au voile du palais, ni au pharynx.
Muscles
de la nuque conservés, saillants et assez forts.
mouve- ments ne s'exécutent plus. Conservation relative des autres
muscles
. En ce qui concerne les membres supérieurs, il
ance d'une fermeté hors de proportion avec la flaccidité des autres
muscles
. Cependant sa force est loin d'être en. rapport
évolué au niveau des deltoïdes, mais 's encore au niveau des autres
muscles
des bras, ainsi qu'on peut s'en rendre compte e
centimètres et le gauche 8 cen- timètres. Et cependant la force des
muscles
n'a pas dû augmenter, tant s'en faut, si nous e
la pseudo-hypertrophie ? Pas de modifications notables du côté des
muscles
des mains. Muscles de la paroi abdominale affai
ie ? Pas de modifications notables du côté des muscles des mains.
Muscles
de la paroi abdominale affaiblis. Impossibilité d
l était depuis 1889 en pleine évolution, il s'est développé dans le
muscle
triceps, trois gros MYOPATHIE PROGRESSIVE DU TY
vec l'atrophie de tout le reste de la cuisse, dont presque tous les
muscles
sont considérablement atrophiés et affaiblis. Le
être soutenue, étant donné le volume relativement considérable des
muscles
du mollet et leur consistance dure. Mais il n'y a
sistance dure. Mais il n'y a peut-être pas en- tre le volume de ces
muscles
et leur pouvoir fonctionnel, une disproportion su
trois ans. Il n'a pas été pratiqué de nouvel examen électrique des
muscles
. En 1889, MM. Le Noir et Bezançon ont noté l'ab
ans ces deux cas l'existence de la pseudo- hypertrophie de certains
muscles
est tout à fait indiscutable ; ce caractère tou
, à sa- voir la disproportion entre le volume et la consistance des
muscles
d'une part et leur pouvoir fonctionnel d'autre
r ce sujet, il savoir que dans la'maladie myopathique, le volume du
muscle
n'est rien, son impotence fonctionnelle est tou
lle de névropathes. Au mois de mars 1887, contracture brusque des
muscles
de la nuque qui force l'enfant à marcher la têt
la poitrine projetée en avant. Bientôt, cette contracture gagne le
muscle
sterno-cléido-mastoïdien du côté droit -et le t
généralisée, est plus marquée pour certains groupes musculaires. Le
muscle
deltoïde droit est particulièrement touché. T
s myoha(lciques qui sont causées par des altérations matérielles du
muscle
, ne sont modifiées ni par l'ischémie locale ni pa
la paralysie qui, obéissant aux mêmes causes, frappent également le
muscle
d'impuissance motrice, que le muscle soit flaccid
causes, frappent également le muscle d'impuissance motrice, que le
muscle
soit flaccide ou raide suivant la réaction spéc
e d'une exagération des réflexes tendineux et de la contracture des
muscles
para- lysés. Ces caractères essentiels des mo
f de la 3e paire et, par exemple, le ptosis par paralysie isolée du
muscle
releveur de la paupière. La lésion ne siège pas
ade et de la date de la maladie, c'est-à-dire de la contractilité des
muscles
des artérioles dilatées. Il est très difficil
et. On voit dans ces trois catégories des cas où la contraction des
muscles
des artérioles doit céder à la haute pression d
e qui conduit l'excitation au grand sympa- thique de l'insertion du
muscle
sterno-cléido-mastoïdien. Il ne me reste à fair
ente le courant jusqu'à l'apparition des fai- bles contractions des
muscles
sous-cutanés. La faradisation vaso-constric- tr
pose le rhéophore entre le cartilage thyroïde et le bord interne du
muscle
sterno-cléido-mostoïdien de manière qu'il ne couv
-mostoïdien de manière qu'il ne couvre pas du tout la surface de ce
muscle
; le rhéophore est dirigé vers la carotide et la
aviculaire, le second rhéophore au-des- sous de la clavicule sur le
muscle
grand pectoral dont la contraction est rarement
ment incapable, par la raideur des articulations et l'impotence des
muscles
, de rendre au malade le moindre service. En mêm
est aussi atteinte, mais moins complètement que la sensibilité; les
muscles
de l'éminence thénar parais- sent se contracter
ue en abduction. Il est vraisemblable que l'innerva- tion des trois
muscles
superficiels de l'éminence thénar est partielleme
st partiellement compromise, et qu'il en résulte une parésie de ces
muscles
, incapables de résister à une poussée un peu vi
uivront des troubles de la motilité, avec atrophie et paralysie des
muscles
; d'autres fois c'est sur les cornes postérieures
n bout de phalangette. La force est revenue dans celte main, et les
muscles
se sont reformés. L'exploration de la sensibili
établir que ces troubles sont constamment le fait de paralysies des
muscles
oculai- res, les spasmes des mêmes muscles n'in
e fait de paralysies des muscles oculai- res, les spasmes des mêmes
muscles
n'intervenant alors que d'une façon se- condair
laires) s'accompagne au moins pendant un certain temps du spasme du
muscle
associé de l'autre oeil. La paralysie du même m
s du spasme du muscle associé de l'autre oeil. La paralysie du même
muscle
d'origine centrale (nucléaire, sus-nucléaire ou c
ou corticale) s'accompagne au contraire de la paralysie de ce môme
muscle
associé (Pa- rinaud). D'après le même auteur,
a jamais observé de paralysie corticale par exemple de l'un des six
muscles
extrinsèques de l'eeil ; 2° Dans les lésions pu
doué de motricité réflexe, à cause de son noyau protubéranliel, ce
muscle
(1) Raymond et Koenig, Soc. méd. hôpil., 1891.
de ces affections organiques avec les affections hys- tériques des
muscles
de l'oeil. Une première et importante remarque
out d'abord à pro- pos du mode suivant lequel l'hystérie frappe les
muscles
de l'oeil : c'est qu'à l'inverse de ce qui a li
pour les troubles moteurs de cause organi- que, la paralysie de ces
muscles
est l'exception dans l'hystérie et leur spasme
iagnostic différentiel des affections organiques ou hystériques des
muscles
de lui) ; mais le même auteur, d'accord avec MM
ns l'hystérie une seule observation précise de paralysie isolée des
muscles
oculo-moteurs. On a décrit par contre un ophtal
e même syndrome de nature organique. Le seul trouble hystérique des
muscles
de l'oeil qui puisse prêter à cette confusion e
ès sombre. Il importe donc de ne pas s'y tromper. La paralysie du
muscle
releveur de la paupière est simulée dans le pto-
outer de sa nature paralytique : 1° un léger degré de contracture des
muscles
de la face il gauche et principalement de la co
x de tète, le front s'est trouvé plissé à droite dans le domaine du
muscle
frontal et cette nouvelle contracture qu'on peu
vue et au toucher entraîne l'élévation du sourcil correspondant. Le
muscle
releveur de la pau- pière est intact des deux c
és ni sous-cutanés ; les oreilles, les paupières sont indemnes. Les
muscles
du visage fonctionnent très régulièrement dans
imes, entouré par des cercles concen- triques d'épiderme corné. Les
muscles
du premier espace interosseux pa- raissent atro
de l'excavation est rouge, anfractueux et paraît constitué par les
muscles
de la région plantaire. Le stylet n'atteint pas d
yer un cou- rant faradique intense pour produire la contraction des
muscles
de la face. Mais tous (sans exception) se contr
du dos, du bras, la résistance n'offre rien d'anor- mal et tous les
muscles
se contractent énergiquement au faradique. Sur le
rès excitables. Le médius et le radial donnent des contractions des
muscles
de l'avant-bras absolument normales. Auxavant-
Aux deux mains, résistance encore très grande. Les intérosseux, les
muscles
des éminences thénar et hypothénar, ne réagisse
thénar et hypothénar, ne réagissent pas à la main gauche. Seuls les
muscles
de l'éminence thénar se contractent à la main d
uche qu'à droite et contractilité faradique conservée dans tous les
muscles
. Courants galvaniques. Partout réaction normale
ns. On constata, plus tard, une parésie atrophique très marquée des
muscles
de la face, de la dis- (1) Thibierge. Un cas de
pébral. Celui de M. Chauffard avait une parésie de presque tous les
muscles
de la face et la dissociation sensitive intéres
le sommet du front, de l'occiput et des tempes. Dans notre cas, les
muscles
de la face étaient épar- gnés, mais la dissocia
ux deux jambes ; il existe uu méplat très prononcé à ce niveau. Les
muscles
sont légèrement douloureux à la pression. Pas d
l'exploration électrique, on n'obtient aucuue contraction dans les
muscles
des membres inférieurs ; mais les excitations éne
et se combinent de différentes manières. I. L'affaiblissement du
muscle
orbitaire inférieur est le premier indice de la
re qui z prend une direction horizontale. Lorsque la contraction du
muscle
orbi- taire inférieur est forte, les positions
ions se voient bien sur la photographie d'un de mes collègues où le
muscle
orbitaire inférieur est contracté par l'effet de
du nez et sur la joue. Tels sont les indices de la contrac- tion du
muscle
orbitaire inférieur de l'oeil. Par contre, lors
ion du muscle orbitaire inférieur de l'oeil. Par contre, lorsque le
muscle
sus-nommé se relâche, la paupière ne couvre plu
ourriture, puis symptômes de démence.) Mimique : Affaiblissement du
muscle
orbitaire inférieur et de tous les muscles de l
ique : Affaiblissement du muscle orbitaire inférieur et de tous les
muscles
de la face. Pl. XXII-XXV Fig. 4. M. Scb. profes
photographie a été tirée en plein air. Mimique : Affaiblissement du
muscle
orbitaire inférieur, affaiblissement Nouvelle I
INDICES PUYSIONOMIQUES DE LA DÉMENCE APATHIQUE j peu important des
muscles
inférieurs de la face, légère contraction des m
important des muscles inférieurs de la face, légère contraction des
muscles
frontaux, rudesse dans les traits du visage. PI
la parole qui est quelque peu lrccclrhlmsilue; lorsqu'il parle, les
muscles
de la face tremblent; l'écriture frémissante auss
phie a été tirée en plein air. Mimique : Affaiblissement notable du
muscle
orbitaire inférieur, affai- blissement de tous
otable du muscle orbitaire inférieur, affai- blissement de tous les
muscles
inférieurs de la face, 'visage en masque, la pu
t la période d'a- mélioration. Mimique : Affaiblissement des deux
muscles
orbitaires inférieurs et du muscle élévateur ga
ique : Affaiblissement des deux muscles orbitaires inférieurs et du
muscle
élévateur gauche de la paupière. Inégalité des pu
nfantin, eupho- rique. Mimique : Affaiblissement notable des deux
muscles
orbitaires inférieurs, affaiblissement général
orbitaires inférieurs, affaiblissement général médiocre de tous les
muscles
innervés par la bran- che inférieure du facial,
rvés par la bran- che inférieure du facial, contraction modérée des
muscles
frontaux. PL XXVI-XXIX. Fig. 8. 32 ans, idiot.
ent, ne s'occupe de rien, taciturne. Mimique : Affaiblissement du
muscle
orbitaire inférieur et de tous les muscles de l
ique : Affaiblissement du muscle orbitaire inférieur et de tous les
muscles
de la face. On peut constater l'affaiblissement
us les muscles de la face. On peut constater l'affaiblissement du
muscle
orbitaire inférieur non seulement dans la démen
a masturbation. Dans les affections bulbaires, l'affaiblissement du
muscle
orbitaire infé- rieur ainsi que celui des autre
issement du muscle orbitaire infé- rieur ainsi que celui des autres
muscles
sont des symptômes toujours cons- tants. Au con
at de tension de l'intelligence et de l'àme, l'af- faiblissement du
muscle
orbitaire inférieur a un caractère transitoire et
onque facilitent le diagnostic de ces affaiblissements passagers du
muscle
dont je m'occupe ce que dé- montrent les figure
à l'intérieur pen- dant la maladie. Mimique : Affaiblissement du
muscle
orbitaire inférieur. PI. XXX. Fig. 10. Garçon d
g. 10. Garçon de 12 ans. Masturbation. Mimique : Affaiblissement du
muscle
orbitaire inférieur, forte contrac- tion du mus
faiblissement du muscle orbitaire inférieur, forte contrac- tion du
muscle
sourcilier (position oblique des sourcils, surtou
upilles. En sorte que pour la figure 10, nonobstant la faiblesse du
muscle
orbi- taire inférieur, toute supposition d'un é
ît, vu l'ex- pression douloureuse de la physionomie (contraction du
muscle
sourcilier) et vu aussi cette expression d'humi
attitude du sujet. Quelle que soit la cause de l'affaiblissement du
muscle
orbitaire infé- rieur, il donne toujours à la p
e dans le regard ont principalement pour cause l'affaiblissement du
muscle
orbitaire inférieur. Le tableau bien connu de K
d'une mère en démence et d'un chef d'armée. L'affaiblissement du
muscle
orbitaire inférieur est souvent accompagné d'un
aire inférieur est souvent accompagné d'un léger affaiblissement du
muscle
orbiculaire. Alors le limbe de la ca- vité orbi
sont en- foncés (voyez les figures 7 et S). L'affaiblissement du
muscle
élévateur de la paupière supérieure est le second
deux yeux (voyez la figure 6). La combinaison des parésies des deux
muscles
sus-nommés (du muscle élévateur de la paupière
ure 6). La combinaison des parésies des deux muscles sus-nommés (du
muscle
élévateur de la paupière supérieure et du muscl
les sus-nommés (du muscle élévateur de la paupière supérieure et du
muscle
orbitaire inférieur) pro- duit le tableau typiq
par le nerf inférieur de la face. Dans la plupart des cas, tous ces
muscles
s'affaiblissent simultanément; cependant cet affa
multanément; cependant cet affaiblissement attaque tout d'abord les
muscles
qui se dirigent vers la lèvre supérieure, c'est
s muscles qui se dirigent vers la lèvre supérieure, c'est-à-dire le
muscle
grand zygomatique, le petit zygomatique, le muscl
c'est-à-dire le muscle grand zygomatique, le petit zygomatique, le
muscle
profond de la lèvre supérieure et le muscle élé
e petit zygomatique, le muscle profond de la lèvre supérieure et le
muscle
élévateur de la lèvre supé- rieure et de l'aile
la lèvre supé- rieure et de l'aile du nez. L'affaiblissement de ces
muscles
est générale- ment bien caractéristique et donn
e changent positivement en relation directe avec l'affaissement des
muscles
. L'analyse et l'examen de ces transformations f
ées certaines dans la question de savoir quels sont précisément les
muscles
qui sont affaiblis et à quel degré d'intensité.
RIÈRE. fond, assez large, comme il arrive pendant la contraction du
muscle
éléva- teur du menton ; cependant dans le cas d
n ; cependant dans le cas donné il n'y a aucune contraction dans ce
muscle
. On peut le voir aussi sur la figure 7, mais avec
s les plis ou dans les traits du visage. Dans l'affaiblissement des
muscles
de la face dont je parle, les plis se détendent o
térieur de l'oeil sont très peu visi- bles. L'affaiblissement des
muscles
qui se rendent à l'ouverture de la bouche produ
du tableau de Kaulbach. Cela tient, à ce qu'il parait, à ce que le
muscle
orbiculaire des lèvres l'emporte de beaucoup sur
que le muscle orbiculaire des lèvres l'emporte de beaucoup sur les
muscles
qui se dirigent vers l'ouverture de la bouche.
nt vers l'ouverture de la bouche. Lorsqu'il y a affaiblissement des
muscles
inférieurs de la face et que cet affaiblissemen
et que cet affaiblissement est appréciable dans quelques-uns de ces
muscles
, à des degrés d'intensité différents, les muscl
elques-uns de ces muscles, à des degrés d'intensité différents, les
muscles
du front, les frontaux principa- lement, sont a
o- dèle typique dans ce genre : le mnscle frontal est contracté, le
muscle
or- bitaire inférieur et tous les muscles de la
frontal est contracté, le muscle or- bitaire inférieur et tous les
muscles
de la face sont affaiblis. La ligure n° Il, pl.
de 36 ans. Démence secondaire. Mimique : Léger affaiblissement des
muscles
innervés par le nerf infé- rieur de la face, pa
es muscles innervés par le nerf infé- rieur de la face, parésie des
muscles
élévateurs de la paupière supérieure (plus appa
re (plus apparente à droite qu'à gauche), contraction énergique des
muscles
frontaux et des muscles sourciliers. Si l'on
ite qu'à gauche), contraction énergique des muscles frontaux et des
muscles
sourciliers. Si l'on analyse la corrélation qui
la paupière est la principale cause de cette forte contraction des
muscles
frontaux dont le rôle est de compenser dans leu
e l'on explique, depuis Mutchinson, la contraction considérable des
muscles
frontaux dans les ophthalmoplégies où il y a pt
sur la figure n° 11 même, nous voyons que, s'il y a contraction des
muscles
frontaux dont l'action serait indispensable pou
chronique avec idées de persécution. Mimique : Affaiblissement des
muscles
palpébraux inférieurs et de tous les muscles de
: Affaiblissement des muscles palpébraux inférieurs et de tous les
muscles
de la face; forte contraction spasmodique du musc
et de tous les muscles de la face; forte contraction spasmodique du
muscle
frontal, du muscle élévateur de la paupière sup
les de la face; forte contraction spasmodique du muscle frontal, du
muscle
élévateur de la paupière supérieure et du muscle
muscle frontal, du muscle élévateur de la paupière supérieure et du
muscle
sourcilier des deux côtés. La photographie a ét
il n'y a pas clignement des yeux à cause de l'affaiblis- sement des
muscles
orbiculaires des paupières et de la contraction c
orbiculaires des paupières et de la contraction considé- rable des
muscles
frontaux. En sorte qu'il y a là un contraste év
umuscle inférieur de la paupière, léger affaiblissement de tous les
muscles
innervés par le facial inférieur, forte contrac
les muscles innervés par le facial inférieur, forte contraction du
muscle
frontal. Un examen électrique minutieux, à l'ai
ant induit et d'un courant constant, a démontré que la réaction des
muscles
était absolument normale, mais les muscles de l
ntré que la réaction des muscles était absolument normale, mais les
muscles
de la face sont peu développés ; les muscles fron
ment normale, mais les muscles de la face sont peu développés ; les
muscles
fron- taux au contraire le sont beaucoup plus.
us. Il est évident qu'une partie du système musculaire savoir : les
muscles
de la face, n'ont pas reçu de la na- (1) Nouvel
HIE DE LA SALPÊTRIÈRE. luire un développement aussi complet que les
muscles
du front. Ce manque de développement a été obse
ront. Ce manque de développement a été observé par Erb (1), pour le
muscle
trapèze par exemple. Bien que notre sujet soi
lé- gique, celui de Ilutchinson, git dans l'action prépondérante du
muscle
fron- tal, en cas de parésie du muscle élévateu
ns l'action prépondérante du muscle fron- tal, en cas de parésie du
muscle
élévateur de la paupière seulement ; l'au tre,
'au tre, le genre mimique, dans l'action prépondérante de plusieurs
muscles
fron- taux (le frontal, le sourcilier, l'orbita
suite de l'affaiblissement du système musculaire inférieur, tous les
muscles
frontaux prédominent, mais où, d'autre part, l'
A DÉMENCE APATHIQUE 185 a provoqué une contraction compensatrice du
muscle
frontal plus visible du côté où la paupière est
ité des pupilles, forme irrégulière, troubles dans les réflexes des
muscles
ciliaires et des sphincters iriens. Ces symptôm
ransformations physiono- miques, ce sont : 4° l'affaiblissement des
muscles
de la face ; 2° des varia- tions dans la circul
e également chez les ivrognes et les crétins. L'affaiblissement des
muscles
de la face et le degré de cet affaiblisse- ment
rouve dans des conditions moins favorables en ce qui con- cerne les
muscles
de la face spécialement, pour cette raison que la
NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Cependant, la force de ces
muscles
, lo degré de leur contraction peuvent t être dé
que j'ai adopté après avoir essayé tous les moyens. En effet, si un
muscle
se contracte, son relief est visible. C'est grâce
u déterminer exactement le degré d'atrophie congénitale de certains
muscles
au moyen de courants d'induction. Pour ce qui c
muscles au moyen de courants d'induction. Pour ce qui concerne les
muscles
de la face, il est à considérer que la plupart
es fibres musculaires se terminent non sous la peau, comme dans les
muscles
du squelette, mais dans la peau môme (chorion) et
tissu lui-même de la peau offre une surface étendue à laquelle les
muscles
sont fixés par des milliers de points d'attache
ont fixés par des milliers de points d'attache. Lorsque l'un de ces
muscles
se contracte, l'impression qu'il produit est di
, l'impression qu'il produit est différente de celle que produit un
muscle
quelconque du squelette. Le biceps brachial par e
corps étranger, montrant son relief à travers la peau, tandis qu'un
muscle
de la face, le grand zygomatique, le petit zygo
milliers de ces fils invisibles rend très fidèlement le travail du
muscle
caché sous elle. Dans l'affaiblissement des muscl
nt le travail du muscle caché sous elle. Dans l'affaiblissement des
muscles
faciaux, cette fidélité de transmission dispara
ien encore, il est vrai, les principaux plis aux points extrêmes du
muscle
, savoir : à ses points d'attache aux tendons, a
eu mobiles, Pendant la contraction mimi- que, la peau qui couvre le
muscle
affaibli, fait l'effet d'une membrane inerte, p
m vital ; en sorte que l'on peut affirmer que l'affaiblissement des
muscles
de la face agit principalement sur les fi- bres
me musculaire mimique est au repos, la tension tonique diminuée des
muscles
se transmet surtout aux fibres cutanées dont nous
rne la circulation du sang et de la lymphe, l'affaiblis- sement des
muscles
produit naturellement un ralentissement dans la c
xamen (1) a prouvé, que dans la paralysie générale progressive, les
muscles
ne subis- sent pas de réaction de dégénérescenc
des observations mal fondées de Svietline et publiées par lui. Les
muscles
ne subissent aucune dégénérescence ; toutefois de
es phénomènes producteurs. Schüle parle aussi de la contracture des
muscles
; Kraft-Ebing l'affirme également (2). Dans les
par l'affaiblissement des mus- cles de la paupière inférieure, des
muscles
élévateurs de la paupière supé- rieure, de tous
re, des muscles élévateurs de la paupière supé- rieure, de tous les
muscles
faciaux, par certains troubles trophiques et en
u plutôt à un degré d'intensité moindre un affaiblissement dans les
muscles
du squelette ; cet affaiblissement ne peut être o
branche motrice du trijumeau; en sorte que l'alfai- blissement des
muscles
des paupières et celui des muscles innervés par l
orte que l'alfai- blissement des muscles des paupières et celui des
muscles
innervés par la (1) Archiv. sur Psychiatr. XI,
prouvé de la façon la plus évidente, que la réaction électrique des
muscles
affaiblis pouvait être normale (1). La faibless
uscles affaiblis pouvait être normale (1). La faiblesse mimique des
muscles
dé- pend évidemment d'un changement d'innervati
noyaux sous-corticaux. Le caractère même de l'affaiblisse- ment des
muscles
confirme le fait ci-dessus. J'ai évité de lui don
fort vo- volontaire, ou par suite d'une excitation émotionnelle, un
muscle
faible peut produire une contraction assez fort
ire une contraction assez forte ; c'est vrai non seulement pour les
muscles
faciaux, mais aussi pour le muscle élévateur de l
est vrai non seulement pour les muscles faciaux, mais aussi pour le
muscle
élévateur de la paupière. La véritable signific
quée principale- ment par les phénomènes mêmes que nous présente ce
muscle
. Il est fort remarquable, en effet, que la paré
ce muscle. Il est fort remarquable, en effet, que la parésie de ce
muscle
ne soit jamais complète, même dans les ophthalm
plète, même dans les ophthalmoplégies certaines, lorsque les autres
muscles
de l'oeil sont déjà complètement paralysés (2).
ctement ou bien par l'entremise du thalamus optique (3). Les autres
muscles
mimiques se trouvent très probablement dans des c
nce et sa mimique, cet état peut être formulé comme suit : 1° Les
muscles
faciaux ne sont affaiblis que pour l'expression ;
ence, on peut toujours constater des iu- dices d'affaiblissement du
muscle
palpébral inférieur et aussi des autres muscles
d'affaiblissement du muscle palpébral inférieur et aussi des autres
muscles
et vice versa. 3° Entre le degré d'affaissement
rsa. 3° Entre le degré d'affaissement psychique et la faiblesse des
muscles
, il y a une corrélation quantitative : plus la
n quantitative : plus la démence est forte, plus les paré- sies des
muscles
sont apparentes et réciproquement. 4° Entre les
s'il a faim. Conséquemment, con- formément à ces particularités, le
muscle
de la colère, le pyramidal du nez apparait fort
ine du nez, abaissement du limbe intérieur du sourcil) ; les autres
muscles
de la face sont relativement plus faibles. Le
de l'ophthalmo- plégie externe comme telle et non de la parésie du
muscle
élévateur de la paupière en sorte qu'il me para
DE LA SALPÊTRIÈRE. On note quelques secousses fibrillaires dans les
muscles
de l'épaule. Réflexes tendineux toujours très e
la plante du pied frotte parfois le sol. Au repos, la tonicité des
muscles
est normale ; il n'y a pas de raideur perma- ne
on patellaire donne lieu à plusieurs secousses convulsives dans les
muscles
de la cuisse; La trépidation spinale est produi
dans les doigts. Atrophie muscu- laire des avant-bras et des petits
muscles
de la main, sans réaction de dégéné- rescence.
ive, on éprouve une ré- sistance énergique due à la contraction des
muscles
de la nuque. De plus on provoque des douleurs v
e avec précision si l'atrophie l'emporte dans tel ou tel groupe des
muscles
. Il n'existe pas de troubles trophiques marqués
rieurs (coudes et poignets) sont normaux. L'examen électrique des
muscles
n'a révélé aucune anomalie. Il y avait seu- lem
ement une très légère diminution de l'excitabilité faradique dans les
muscles
atrophiés de la main droite, et de la main gauc
e semaine sur trois). On a cru pouvoir négliger l'électrisation des
muscles
, étant donné le peu de gravité de l'atrophie, e
oureux ; mais il n'y a plus de douleurs lancinantes spontanées. Les
muscles
de l'avant-bras et de la main gaucho ont repris d
, la malade accuse une légère douleur il la nuque. L'atrophie des
muscles
de la main gauche a disparu entièrement; les doig
ileptoïde du pied plus tard ; au bout de 3 mois, rigidité modérée des
muscles
aux membres inférieurs. Phénomènes cérébraux lé
regard. Il n'y a cepen- dant aucun trouble paralytique du côté des
muscles
des yeux ; et la diplopie n'est pas constatée a
plan du lit : elle est peut-être encore plus marquée à droite. Les
muscles
au palper sont d'une flaccidité remarquable, no
hie musculaire aux membres inférieurs. L'excitabilité faradique des
muscles
est absolument normale comme qualité et comme i
indre courant, il se produit des convulsions toniques dans tous les
muscles
du membre. Il en est ainsi aux jambes, alors même
de la douleur causée par l'application de l'électrode. 29 août. Les
muscles
des membres inférieurs, qui étaient restés flasqu
une paraplégie ac- compagnée tôt ou tard d'un état spasmodique des
muscles
, et compliquée d'une façon presque constante de
as d'a- trophie musculaire, enfin que l'excitabilité électrique des
muscles
n'est pas modifiée. La moitié supérieure du cor
Pas la moindre atrophie musculaire ; les réactions électriques dos
muscles
sont normales. ' Les réflexes rotuliens sont
bien qu'il n'y ait pas de tonicité permanente très accentuée dans ces
muscles
. Le réflexe est plus fort il droite. De ce côté
La puissance musculaire est conservée. Il n'y a pas d'atrophie des
muscles
; les réactions électriques sont normales. La sen
l droite. Au coude, au poignet, violentes contractions réflexes des
muscles
par la moindre percussion des tendons. Les musc
ons réflexes des muscles par la moindre percussion des tendons. Les
muscles
périscapulaires du côté gauche présentent une a
eurs cependant ; elle est égale des deux côtés. Pas d'atrophie. Les
muscles
répondent normale- ment aux excitations électri
fulgurantes, qui s'ac- compagnent de contractions spasmodiques des
muscles
. Les jambes s'étendent et se fléchissent tour i
dans l'état suivant : ex- tension complète, rigidité permanente des
muscles
aux cuisses et aux jambes - cette rigidité est
Môme état ; mais il y a des variations légères dans la raideur des
muscles
aux membres inférieurs. Ce matin, la tonicité mus
rojection brusque de la jambe en avant, avec plusieurs secousses du
muscle
triceps de la cuisse. La trépidation épileptoïde
ns les membres paralysés, la perte de l'excitabilité électrique des
muscles
. Ces deux dernières particu- larités sont toute
bolition des réflexes tendineux et de l'excitabilité électrique des
muscles
aux membres inférieurs. Anesthésie absolue du mem
e abolition des réflexes persiste jusqu'à la fin de la maladie. Les
muscles
des membres inférieurs présentent alors jusqu'à
elques jours. Les altérations de l'excitabilité électrique dans les
muscles
appartien- nent encore aux formes suraigues. So
et à la région sacrée. Dans les membres, aux jointures et dans les
muscles
, des douleurs vagues, qui changent de place : «
normales. Les mouvements sont seulement limités par la raideur des
muscles
antagonistes. Réflexes un peu exagérés à droite
des sujets hystériques hypnotisés produit une contracture dans les
muscles
du corps. Si l'on pratique disait Charcot des f
ons sur la peau des hypnotisés, dans le stade de somnambulisme, les
muscles
sous-jacents se contractent; cette contracture
une contracture survient au bout de quelques secondes. Ce sont les
muscles
corrugateur et frontal, qui com- mencent à se'c
r ; peu de temps après, de petites secousses appa- raissent dans le
muscle
orbiculaire de la bouche, enfin le côté droit de
e la face tout entier entre en contraction tonique, pendant que les
muscles
de la face du côté gauche ne présentent qu'une
ferme et entre en extension sur l'articula- tion métacarpienne. Les
muscles
du cou du côté droit sont eux aussi en contract
sur le fait qu'avant l'é- - volution complète de la contracture les
muscles
sont flasques. Pendant que la contracture se ma
l'évolution des contractures varie aussi, mais ce sont toujours les
muscles
excités qui se contractent les premiers. Ainsi, s
embre inférieur se contractait, bientôt suivi de la contracture des
muscles
du bras et de la face. Si l'excitation était appl
Par exemple, si je fais des frictions sur la peau du pied quand les
muscles
sont contracturés, la disparition commence à se
sparition complète le sujet pousse un soupir, ce qui prouve que les
muscles
respiratoires étaient eux aussi con- tracturés.
re effacée par une excitation senso- rielle quelconque. 4. Si les
muscles
sont seulement à l'état d'hypertonie, l'excitatio
tracture. Ainsi : . 1. Si le diaparon sonne à l'oreille gauche, les
muscles
de la face se con- tractent les premiers (après
mmobile ; elle reste assise ou étendue sur son lit ; la tension des
muscles
du cou, du visage, des extrémités infé- rieures
ude et de l'épaule, ils sont à peu près impossibles. La tension des
muscles
des extrémités inférieures est bien moins prono
es, la résistance est insignifiante. L'excitabilité mécani- que des
muscles
des troncs nerveux (phénomène facial) n'est pas a
rque ni oedème ni infiltration du tissu cellulaire sous-cutané; les
muscles
, princi- palement ceux du côté antérieur, sont
ne de l'articulation est presque normale. Le réflexe tendi- neux du
muscle
triceps du côté sain est fiasque; les réflexes ro
Les doigts des mains se resserrent de nouveau. 12. La tension des
muscles
apparaît de nouveau des deux côtés, les mouveme
éterminant l'hémorragie, crachements de sang; les modifications des
muscles
sous forme d'atrophie ou de tumeur sanguine, le r
bleuâtre, oedème du tissu cellulaire sous-cutané, infiltration des
muscles
, modification du périoste et des os formant l'a
taine raideur de la colonne vertébrale, causée par la vigilance des
muscles
vertébraux, pour éviter les douleurs. Les vis
ants sont l'indice de la fréquente contraction des sourciliers, les
muscles
de la douleur. L'oeil est petit, triste, enfonc
me dans un étau circulaire, ou la plaque occipitale qui s'étend aux
muscles
de la nuque (plaque cervicale). Puis la rachial
pec- tion du nu. T2 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SAH'KTtUÈHE. Un
muscle
contracté, comme nous l'avons déjà dit, n'a pas l
contracté, comme nous l'avons déjà dit, n'a pas la même forme qu'un
muscle
relâché. Il y a entre ces deux aspects différents
muscle relâché. Il y a entre ces deux aspects différents d'un même
muscle
opposition absolue. Ils ne peuvent coexister. L'u
u clans la station debout bien équili- brée, pour constater que les
muscles
triceps fémoraux, extenseurs de la jambe sur la
la jambe sur la cuisse, sont dans le relâchement; de même pour les
muscles
fessiers, extenseurs du tronc sur les cuisses,
mberait en avant si elle n'en était empêchée par la contraction des
muscles
de la nuque, ainsi que je l'ai déjà fait remarq
nt et la puissance en arrière (Fig. 18). Mais cette contraction des
muscles
de la nuque a pas peson cl être énergique, caria
. Il résulte de ce qui précède que si dans la station verticale les
muscles
de la nuque sont tendus, ils ne forment jamais
e de gravité du corps placé en avant d'eux et la puissance dans les
muscles
du dos ou du cou qui em- pêchent la colonne d'ê
la puissance qui fait L équilibre à la pesanteur est en avant, aux
muscles
de l'abdomen ; d'où il résulte que les muscles
ur est en avant, aux muscles de l'abdomen ; d'où il résulte que les
muscles
lombaires, dans la station droite, n'ont rien il
nt appel pour le maintien de l'équilibre qui résulterait du jeu des
muscles
antagonistes placés en avant et en arrière de l
que la ligne de gravité passe en avant de l'articulation et que les
muscles
fessiers n'ont le volume qu'on leur connaît que
par l'examen du nu que, dans la station droite bien équilibrée, les
muscles
fessiers sonl dans le relâchement le plus com-
. Peut-être faut-il y joindre, avec Giraud-Teulon, la distension du
muscle
psoas-iliaque qui le recouvre en partie. J'ajoute
ui le recouvre en partie. J'ajouterai que dans la station droite le
muscle
tenseur du l'acia lata est manifestement tendu.
ronc et la résistance en avant représentée par les ligaments et les
muscles
distendus (Fig. 19). Station des cuisses sur le
rtaine mesure la distension des masses musculaires des jumeaux. Ces
muscles
dont les fibres charnues sont assez courtes ne
e en avant, et cette puissance ne saurait être ailleurs que dans le
muscle
gastrocnémien (fig. 21). Ce muscle est-il contr
saurait être ailleurs que dans le muscle gastrocnémien (fig. 21). Ce
muscle
est-il contracté ou simplement distendu ? La di
contraction (1). Néanmoins, si nous songeons que le relâchement du
muscle
du mollet ne peut avoir lieu qu'à la condition
rend le pied dans la sta- tion entraîne forcément un allongement du
muscle
grastocnémien. C'est ainsi qu'un muscle long, b
forcément un allongement du muscle grastocnémien. C'est ainsi qu'un
muscle
long, bien qu'à courtes libres charnues, étendu d
uences de l'élasticité musculaire est l'allon- gement possible d'un
muscle
contracté. D E LA S T A T 1 0 N 79 ici en q
ont les suivants. Le centre est légèrement tendu et les reliefs des
muscles
droits s'y accusent discrètement. Aux reins, les
eliefs des muscles droits s'y accusent discrètement. Aux reins, les
muscles
spinaux forment des reliefs mous et arrondis, sou
trémité inférieure (Fig. 16). Le jarret est tendu et les plans du
muscle
triceps sural sont nettement accentués. Je n'ai
t qui d'ait- DE LA STATION 81 leurs se résume ainsi : tension des
muscles
abdominaux, relâchement des muscles fessiers, d
s se résume ainsi : tension des muscles abdominaux, relâchement des
muscles
fessiers, des muscles lombaires, des quadriceps.
nsion des muscles abdominaux, relâchement des muscles fessiers, des
muscles
lombaires, des quadriceps. tension des muscles
uscles fessiers, des muscles lombaires, des quadriceps. tension des
muscles
triceps suraux. Mais il est bien certain que ces
t également se dessiner sous la peau du cou-de-pied les tendons des
muscles
antérieurs de la jambe. Nous avons vu que la li
forme spéciale des mollets par suite de la contraction énergique du
muscle
gaslrocnémien dans son entier. Il arrive égal
au-dessus d'elles et limitée par la distension des ligaments et des
muscles
. Quant au maintien de l'articulation tibio-tars
à-l'heure. A la distension ligamenteuse, s'ajoute la distension des
muscles
situés a la face externe de la hanche, c'est en
du vaste interne et du vaste externe, indice du relâchement de ces
muscles
. En haut, au contraire, le muscle tenseur du fasc
ne, indice du relâchement de ces muscles. En haut, au contraire, le
muscle
tenseur du fascia tata dessine son corps charnu
aillante par suite de la contraction de la moitié supérieure de ses
muscles
(moyen fessier). Cette forme s'accentue encore si
éniforme. Le pli fessier disparaît presque, et le bord inférieur du
muscle
se dessine avec son obliquité naturelle. A la s
baire. L'inclinaison du bassin en avant est dû à l'insuffisance du
muscle
droit antérieur, qui porté d'autre part par la
STATION U7 sol ou siège. II repose sur les ischions recouverts des
muscles
fessiers. Le bassin devient presque horizontal
é. Les saillies des apophyses épineuses lombaires s'accentuent. Les
muscles
lombaires situés de chaque côté sont distendus
s la station assise, l'ischion est séparé du sol par l'épaisseur du
muscle
fessier vu 7 98 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA S
érable dans les membres supé- rieurs (surtout les avant-bras et les
muscles
de la main). Réaction de dégénéres- cence dans
s de la main). Réaction de dégénéres- cence dans un grand nombre de
muscles
. Paralysie des deux sixièmes paires. Ré- sultat
is éprouvé de troubles vésicaux. Pendant que l'amaigrissement des
muscles
se produisait, les douleurs n'ont fait qu'augme
igts. Le relief des radiaux et du long supinateur est conservé. Ces
muscles
fonctionnent par- faitement ; le mouvement d'ex
is dans leur ensemble, sans atrophie musculaire localisée. Tous les
muscles
fonctionnent, sans énergie il est vrai. Épaule.
onctionnent, sans énergie il est vrai. Épaule. Atrophie de tous les
muscles
, mais surtout du grand pectoral des sus et sous
a tension du grand pectoral qui semble rétracté. La faiblesse des
muscles
est proportionnée à leur atrophie. Le malade es
s) avec des intervalles de repos. On a pratiqué la faradisation des
muscles
atrophiés, d'une façon un peu irrégulière il est
névritiques anciennes et de troubles profonds dans la nutrition des
muscles
, dénotés par l'atrophie considérable et la réac
sez solides pour sousle- nir la trépane, sur les tempes à raison du
muscle
temporal... parce que son compagnon opposé tire
n opposé tireàsoy ladite mandibule inférieure, et parce que le dict
muscle
se meust en maschant et en parlant, et partant, d
s au point devue de la station et de la marche. D'abord, l'état des
muscles
des membres inférieurs. Ceux-ci, comme on peut
s ou passifs, confirmé par l'étude des réactions électriques de ces
muscles
est absolument formel à cet égard. (1) P. UIC
lli, 13éclarcl, Beaunis, Itoelerer, etc. attribue il l'action des
muscles
le rôle prépondérant. La théorie mécanique imag
ito- atloïdienne est maintenue dans la rectitude par l'action des
muscles
de la nuque. Ceux-ci repré- sentent la puissanc
de la tête qui tend il l'incliner en avant et en bas. L'action des
muscles
de la nuque doit être assez efficace, car le Fi
vier auquel ils s'attachent est fort court. Aussi l'atrophie de ces
muscles
produit-elle la flexion de la tète en avant. Le
d'une très légère conservation de la puissance fonction- nelle des
muscles
de la nuque pour ramener la tète en extension.
tte considé- ration de physiologie normale. Chez elle en elfet, les
muscles
fessiers ont perdu presque toute leur force con
tation debout est possible, car elle n'exige pas le concours de ces
muscles
. Il en est de même des muscles quadriceps fémor
lle n'exige pas le concours de ces muscles. Il en est de même des
muscles
quadriceps fémoraux chargés d'assurer l'extensi
l'articulation du genou. Cependant elle ne peut pas contracter les
muscles
antérieurs de sa cuisse, sur laquelle on ne con
corps en avant, sa chute ne peut être empêchée que par l'action des
muscles
posté- rieurs de la jambe et en particulier du
ion des muscles posté- rieurs de la jambe et en particulier du gros
muscle
gastro-cnémien. Or, chez notre malade, la contr
tro-cnémien. Or, chez notre malade, la contraction volontaire de ce
muscle
est près-, que nulle. Cependant elle se tient p
ontractiiité 11111SClllilll'e>Lle pouvant plus être invoquée, le
muscle
est alors parfaitement comparable -\ un grand lig
n se réaliseriez nos malades. Je veux parler du raccourcissement du
muscle
. Les rétractions musculaires sont fréquentes ch
Pour bien mettre en évidence le rôle des rétractions tendineuses des
muscles
de la jambe dans le mécanisme de la station deb
ette incapacité fonctionnelle n'est pas, imputable à la faiblesse des
muscles
de la région antérieure de la jambe, mais bien
de myopathies. ~s ? - Une autre conséquence du raccourcissement des
muscles
de la région postérieure de la jambe consiste e
résentent pas de pied-bot, on peut constater chez tous ceux dont le
muscle
du mollet a subi un certain degré d'altéra- tio
les cuisses et des cuisses sur les genoux, puis trans- formation du
muscle
du mollet en un véritable ligament qui supplée av
n question, je dois main- tenant dire encore un mot de l'action des
muscles
du bassin et en parti- culier des fessiers, pen
du bassin et en parti- culier des fessiers, pendant la marche. Les
muscles
antérieurs du bassin concourent à la flexion de
ue essentielle lui avait échappé : l'absence de lésion nerveuse, le
muscle
étant primitivement atteint. Cette distinction
de : Myopathie primitive progressive. On a constaté en effet que le
muscle
pouvait conserver son relief exté- rieur, ou mê
lipomatose), qui appartient au tableau de la maladie. Dans quelques
muscles
on voit celle-ci succéder à l'atrophie. D'autres
s quelques muscles on voit celle-ci succéder à l'atrophie. D'autres
muscles
restent longtemps épargnés par la maladie. Mais i
la forme du tronc et des extrémités résultant de celte maladie des
muscles
, la position anor- male des omoplates, la lordo
ypertrophique, on trouve toujours une atrophie atteignant plusieurs
muscles
, principale- ment ceux de la moitié supérieure
rb, est partout exacte- ment la même, atteignant toujours les mêmes
muscles
de la même façon que dans la forme juvénile et
la ressemblance existe également pour l'hy- pertrophie de certains
muscles
. Les légères modifications dans ces locali- sat
pseudo-hypertrophie ». Les observations apprennent en outre que les
muscles
présentent des ana- logies dans les deux formes
u type facio-scapulo-huméral avec pseudo-hyper- trophie de certains
muscles
(face, deltoïde, mollet). Quelque temps après,
sur ce sujet, à savoir que dans la maladie myopathique le volume du
muscle
n'est rien, son impotence fonc- tionnelle est t
u'elles semblent obéir à certaines lois, et que certains groupes de
muscles
sont atteints avec une prédilection particulière.
ndouzy-Déjerine) pl'imi- tive, avec pseudo-hypertrophie de certains
muscles
. Nouv. Iconogr. de la Salpêtrière; Ne 1, 1893.
refois. 'J ? " ^ ^""^s^-v. ;* ? 4 La localisation initiale dans les
muscles
du dos et* des-jambes/ la con- servation appare
myopathie) à, certains cas d'amyotrophie héréditaire. Pour lui, les
muscles
d'une part, le système nerveux de l'autre, peuv
s fessiers (Voy. Fig. 49 et 50). On peut donc déjà présumer que les
muscles
du tronc sont atteints. Ils ont dû. l'être, nou
atteints. Ils ont dû. l'être, nous l'avons vu, dès le début. Les
muscles
du cou sont pris également. La résistance dans le
n soulève la malade sous les coudes en lui disant de contracter ses
muscles
on arrive, sans éprouver de résistance, à entraîn
ffaiblis. Les fosses sus et sous-épineuses sont aussi excavées. Les
muscles
du bras sont certainement atrophiés, quoique la
ble, mais difficile. L'extension de l'avant- bras est faible. Les
muscles
de l'avant-bras sont aussi atteints, quoique l'at
r la jambe. Il existe assurément un certain degré de rétraction des
muscles
de la Fig. 48. Fjg. 49. Fig. 50. 154 NOUV
r que les mol- lets, on ne pourrait juger du degré de faiblesse des
muscles
, tant dans le mouvement de flexion de la jambe
e long de ses jambes. Rien d'appréciable à l'oeil dans la forme des
muscles
abdominaux. Cependant t l'action de s'asseoir s
té du pied qui quitte le sol correspond à l'atrophie bilatérale des
muscles
pelviens, surtout à celle du moyen fessier. Ell
? 1° Le début, de la maladie, à l'âge de 15 ans- seulement, par les
muscles
du dos, des lombes et du bassin. ' > ¡ 2°
ntéressante il constater, car elle n'est pas fréquemment notée, les
muscles
de la nuque conservant en général la .force suf
lever, car elle confirme l'indépendance des; trois por- tions de ce
muscle
que l'anatomie comparée et la/physiologie différe
E ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE dissimulent parfois l'atrophie des
muscles
. Notre malade en fournit de nouveaux exemples (
ale). Au sur et à mesure que se raccourcit la partie contractile du
muscle
augmente la portion fibro-lendineuse qui le rem
TIVE GÉNÉRALISÉE 157 reté très appréciable au palper même quand les
muscles
sont mis dans le relâchement (muscles du mollet
able au palper même quand les muscles sont mis dans le relâchement (
muscles
du mollet ici, par exemple). D'une façon généra
s ce fait que la dystrophie musculaire a envahi rapidement tous les
muscles
du corps; l'examen des mouvements spontanés et pr
ice d'une altération incontestable des pro- priétés contractiles du
muscle
et qui confirment encore le diagnostic. ce titr
, dans l'acte de se relever, et qui cependant, quand on examine les
muscles
, ne présente ni hypertrophie ni atrophie, bien qu
E PAULINE L. EXAMEN DE L'EXCITABILITE ÉLECTRIQUE DES NERFS ET DES
MUSCLES
DANS UN CAS DE MYOPATHIE PRIMITIVE PROGRESSIVE
RESSIVE Les examens de la contractilité électrique des nerfs et des
muscles
chez les malades atteints de myopathie primitiv
à l'atrophie ou aux altérations de la contractilité volontaire des
muscles
. La diminution de l'excitabilité faradique des
lontaire des muscles. La diminution de l'excitabilité faradique des
muscles
est moins caractérisée par l'apparition plus ou
ar des courants plus forts est notablement diminuée ; pour certains
muscles
toutefois, ceux des cuisses notamment, les cont
ment reconnue pour les altérations de l'excitabilité électrique des
muscles
dans les myopathies primitives, il n'existe ici a
es résultats détaillés de l'exploration électrique des nerfs et des
muscles
de cette malade ; on peut les résumer, d'une fa
x membres supérieurs la diminution de l'excitabilité électrique des
muscles
, comme l'atrophie d'ailleurs, est surtout marquée
aux jam- bes elles sont moins accusées et portent davantage sur les
muscles
du mollet que sur les muscles antéro-externes.
accusées et portent davantage sur les muscles du mollet que sur les
muscles
antéro-externes. A la face il n'y a que des alt
à gauche qu'à droite et le gonflement produit par la contraction du
muscle
y est plus accusé. A droite, à 85 C. minima ; 5
té faradique est très faible, pres- que nulle dans cette portion du
muscle
, tandis que dans les muscles sous- jacents il s
, pres- que nulle dans cette portion du muscle, tandis que dans les
muscles
sous- jacents il se produit des contractions tr
comme à gauche. De 75 à 80mm, il semble se produire des C. dans le
muscle
sus- épineux, mais elles sont masquées par les
; a 80 C. faibles ; à gau- excitabilité électrique DES neufs ET DES
MUSCLES
S 163 che peu près comme à droite, cependant C.
ormant avec lui un angle obtus d'environ 1600 ouvert en dehors. Les
muscles
ont conservé un volume sensiblement normal ; cepe
he sont un peu amaigris. Malgré la conservation de leur volume, les
muscles
ont une force notablement diminuée : dans la fl
: comme l'extenseur de l'in- dex ; A gauche, ces quatre derniers
muscles
sont beaucoup moins excitables qu'il droite et
à 90. Cubital antérieur : Comme le précédent. A la main tous les
muscles
présentent un volume sensiblement normal et une
tres m. de l'éminence thé- excitabilité ÉLECTRIQUE DES nerfs ET DES
MUSCLES
165 nar); à 90 C. bonnes dans tous les m. de l'
>PFC". (Des contractions sont provoquées en même temps dans des
muscles
assez éloignés, comme le triceps et les fléchis
; 4 m A, XVIII, NFC' > PFC" (les contractions produites dans ces
muscles
sont masquées en grande partie par les contractio
asquées en grande partie par les contractions provo- quées dans les
muscles
voisins, le long supinateur notamment, et surtout
muscles voisins, le long supinateur notamment, et surtout dans des
muscles
assez éloignés, comme les fléchisseurs des doigts
LE ET C1' ]',n, >-UFs excitabilité électrique DES nerfs ET DES
MUSCLES
167 tive pourra être faite quand on saura que p
i empêchent dese rendre compte s'il y a ou non contraction clans ce
muscle
). Les cuisses, bien qu'atrophiées notablement,
ande partie au tissu adipeux sous-cutané assez développé et que les
muscles
, les antérieurs.surtout, sont plus atrophiés qu'o
temps sa jambe étendue sur la cuisse quand le pied est soulevé. Les
muscles
posté- rieurs sont également très faibles, elle
iceps fémoral : 40 C. très faibles; " : , (Aux jambes le volume des
muscles
parait sensiblement normal, aussi bien pour les
volume des muscles parait sensiblement normal, aussi bien pour les
muscles
antéro-externes que pour les muscles postérieurs,
nt normal, aussi bien pour les muscles antéro-externes que pour les
muscles
postérieurs, mais leur puissance est notablemen
temps C. dans l'extenseur commun, plus fortes même dans ce dernier
muscle
. COURT péronier : 45mm C. minima. PEDIEUX : 4
vives comme d'ailleurs toutes celles obtenues aussi sur les autres
muscles
des membres inférieurs. Sur ce muscle, de môme
btenues aussi sur les autres muscles des membres inférieurs. Sur ce
muscle
, de môme que sur les autres par- ties du tricep
4 1/2 m A, XXIV ; à 5 m A, XXVI, NFC > PFC"" (1). (1) Pour ce
muscle
comme pour les suivants, ainsi que pour les muscl
(1). (1) Pour ce muscle comme pour les suivants, ainsi que pour les
muscles
et les nerfs du membre supérieur, une résistanc
u verre du IXo élément qui excitabilité électrique DES nerfs ET DES
MUSCLES
169 Extenseur commun : à 3mA, XX, NFC" > PFC
surtout dans les bran- ches moyennes' du nerf; 92 C. dans tous les
muscles
. s'est vidé de liquide et n'en contient plus qu
faible quantité; cette résistance surajoutée n'existe pas pour les
muscles
de la cuisse. 170 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA S
peut être ridé : c'est il peine s'il y a esquisse de mouvement des
muscles
fron- taux ; les sourciliers se contractent nor
ters, les ptérygoïdiens, les temporaux sont respectés ainsi que les
muscles
moteurs des yeux. Les pupilles sont égales, réagi
sont égales, réagissent bien et l'acuité visuelle est intacte. Les
muscles
du menton paraissent indemnes. De même la langu
sinent peine. Les omo-hyoïdiens semblent respectés, de même que les
muscles
de la région postérieure. Tous les mouvements s'e
e dehors en dedans. Les bras sont très grêles ; il semble que les
muscles
ont à peu près disparu. Quanl aux avant-bras, i
éminent; sa paroi amincie fait supposer une atrophie notable de ses
muscles
. Vu de dos, le malade présente une déformation
'élévateur commun qui élève la lèvre supérieure ; dans les au- tres
muscles
il n'y a pas d'altérations manifestes de la contr
8 X 11 : électrode différente, grosse olive 3 cm. X 2 cm. S). Les
muscles
de la ceinture scapulaire sont pour la plupart tr
'avec un écartement des bobines de 65mm, bien plus tard que pour un
muscle
nor- mal ; en même temps des contractions se mo
'omo- plate produisant le déplacement du scapulum ; dans ce dernier
muscle
d'ail- leurs les contractions apparaissent déjà
les qu'a gauche et les C. minima n'apparaissent guère qu'à 0. Les
muscles
des gouttières vertébrales, sous-jacels, long dor
citables et leurs contractions se produisent déjà à 55 ou 60mm. Les
muscles
sacro-lombaires présentent aussi des C. nettement
volume assez considérable qui contraste avec l'atrophie énorme des
muscles
du bras. Portion antérieure : à droite, n'est q
omme la portion précédente ; cependant C. un peu plus fortes. Les
muscles
des avant-bras conservent pour la plupart un volu
rs qu'ils doivent mouvoir, ce déplacement est entravé parles C. des
muscles
antérieurs de l'avant-bras, qui apparaissent déjà
nt-bras, qui apparaissent déjà à 70miu l'excitation portant sur les
muscles
postérieurs. Extenseur commun : malgré le volum
xtenseur commun : malgré le volume bien conservé en apparence de ce
muscle
, sa contractilité volontaire est notablement affa
ce. EXTENSEUR DU PETIT doigt : contractilité meilleure que dans les
muscles
précédents, C. m. apparaissent vers 70mm ; à 60
à 60mm déplacement déjà bien accusé. Extenseur DE l'index : Dans ce
muscle
au contraire la contractilité est faible, il se
otablement des extenseurs et se comportent sen- siblement comme des
muscles
normaux au point de vue de la contractilité vol
pronateur : C. m. vers 65 léger déplacement à 60m' ; Aux mains les
muscles
conservent aussi un développement normal. COURT
rsaux : idem. Nerf médian (au coudé) : à 80mm C. seulement dans les
muscles
du thénar ; à 75 C. apparaissent aussi dans les
les muscles du thénar ; à 75 C. apparaissent aussi dans les autres
muscles
; à 70 C. avec déplacement assez accentué pour
res muscles ; à 70 C. avec déplacement assez accentué pour tous les
muscles
. (au poignet) : à 70 C. m. ; à 65 C. avec dépla
minima apparaissent vers 20mm ; il 0 C. encore très faibles. Les
muscles
de la cuisse sont notablement amaigris ; les exte
50mm ; 180 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE Couturier : Ce
muscle
est un des mieux conservés aux membres inférieurs
dducteur : C. m. à lion-. Pectine et moyen adducteur : C. m. à 45 ?
Muscles
internes : droit interne, demi-membraneux et demi
30 ? ; à 20 ? C. encore très faibles ; il 0 C. encore faibles. Les
muscles
de la jambe, les muscles antëro-externes comme le
très faibles ; il 0 C. encore faibles. Les muscles de la jambe, les
muscles
antëro-externes comme les muscles postérieurs,
les. Les muscles de la jambe, les muscles antëro-externes comme les
muscles
postérieurs, ne paraissent pas atrophiés ; leur
lèvre supérieure : C. minima apparaissent à 85mm dans la portion du
muscle
qui élève l'aile du nez, et il 80mm seulement dan
l'orbiculaire des paupières sont plus faibles que celles des autres
muscles
. Rameau frontal : C. m. à 100 : Rameau orbicula
(C. plus faibles dans l'orbiculaire des lèvres que dans les autres
muscles
). Branche inférieure : VI, 1,5 m. A, ire NFC' ;
se pré- sente il l'esprit est la suivante : . . 1° Les cas où les
muscles
présentent des réactions électriques anormales,
cas s'observent chez les enfants, leur début est brusque. Plusieurs
muscles
des membres sont atteints à la fois; tous ces mus
ue. Plusieurs muscles des membres sont atteints à la fois; tous ces
muscles
ou quelques- uns d'entre eux seulement recouvre
ation favorite de l'atrophie qui envahit progressivement les autres
muscles
. 3° Névrites périphériques multiples ou localis
tandis que l'impotence fonctionnelle est très grande pour tous les
muscles
. L. HATTA1LLE ET c11 ? w ? UN CAS D'AMYOTROPH
Il y avait une faiblesse considérable et une impotence de tous les
muscles
, plus mar- quée dans les extenseurs que dans le
e paraissent dues à la diminution de volume et à la faiblesse* des'
muscles
grands (les mus- cles de l'abdomen, et à l'acti
s (les mus- cles de l'abdomen, et à l'action non contrebalancée des
muscles
spinaux qui semblent avoir conservé un certain
es, et les omoplates sont projetées en arrière comme des ailes. Les
muscles
des bras et des avant-bras sont notablement affai
re les mains. Le long supinateur est atrophié autant que les autres
muscles
. Jambes. À gauche, la flexion peut se faire un
bras et à la jambe gauches que du celé droit ; mais il n'y a pas un
muscle
du corps qui ne soit Iffli- bli ni diminué de v
se. Mais on n'a jamais noté de tremblements fibril- laires dans les
muscles
. Fig. 33. 190 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SAL
, chargé des examens électriques à St-Thomas'Hospital a examiné les
muscles
avec grand soin, et m'a remis une note très intér
. C.C. (1). Note de M. le D Kilner : Courants induits. - Tous les
muscles
réagissent, mais il faut em- ployer un courant
le deltoïde un cou- rant qui ne produit aucune contraction dans ce
muscle
, tandis qu'il pro- voque facilement la contract
s et des jambes, bien que beaucoup plus grande que celle des autres
muscles
, est presque sem- blable. Pour tous les muscles
ue celle des autres muscles, est presque sem- blable. Pour tous les
muscles
il faut employer un courant beaucoup plus fort
'atrophie sont plus accusés à gauche qu'à droite, en général. Les
muscles
de la face innervés par le nerf facial ne réagiss
inférieur. Dans le tableau I, les réactions normales des différents
muscles
sont représentées arbitrairement par 1 pour les
s le cas présent, étant donné que, des deux côtés, presque tous les
muscles
de la malade sont atteints, on doit consi- dére
actuellement, m'informe que les douleurs des troncs nerveux et des
muscles
ont disparu. La circonférence des membres gauches
adie peut se résumer ainsi : Début dans la première enfance par les
muscles
de la face, faiblesse enva- hissant lentement e
face, faiblesse enva- hissant lentement et progressivement tous les
muscles
volontaires du corps. L'atrophie et l'impotence
lèvres, ainsi que l'exophtal- mie sont dues à ce fait que tous les
muscles
de la face sont atrophiés. 2° L'atrophie progre
es de la face sont atrophiés. 2° L'atrophie progressive de tous les
muscles
volontaires s'est accentuée peu à peu d'une faç
ns le deltoïde. Nulle part il n'y a eu d'augmentation de volume des
muscles
. 3° La force musculaire a diminuée peu et peu a
jours été proportionnelle (autant qu'on a pu le juger) au volume du
muscle
conservé. Aussi les fléchisseurs des extrémités
fs. L'ensellure dorsale me paraît due en partie il la faiblesse des
muscles
abdominaux qui laissent retomber le thorax en a
des spinaux, bien conservés ; en partie aussi à la fai- blesse des
muscles
grands fessiers qui laissent le bassin s'incliner
assez excitables pour l'emporter sur les extenseurs. Pour tous ces
muscles
, la contraction après le stimulus ne se fait pas
ment que s'ils étaient sains. Avec les courants constants, tous les
muscles
présentent un fort degré de dégénération ; la c
e normalement. » On peut voir que les modifications électriques des
muscles
sont plus accentuées aujourd'hui qu'elles ne l'
une diminution considérable de l'excitabilité faradique de tous les
muscles
, excepté de celle des fléchisseurs de l'avant-bra
comme par un changement de décor, dénonce avec éclat l'atrophie des
muscles
faciaux, prélude ou compagne d'une atrophie mus
se et montrant le Christ guérissant des malades. ; L'atrophie des
muscles
de la jambe qui accompagne souvent les pieds- b
BINSKI ET ONANOFF. - Corrélations enlre la prédisposition de certains
muscles
et la myopathie et la rapidité de leur développ
ive (type Landouzy-Déjerine) avec pseu- do hypertrophie de certains
muscles
. Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière, I, 18
Atroph. Muscul. myopathique avec participât, de la face et de cert.
muscles
à innervation bulbaire, Deuts. Zeitschr. f. Nerve
mme de haute stature ; d'une grande force musculaire autrefois, ses
muscles
sont actuellement très émaciés. Son corps est c
l'absence de toute arthropathie une production osseuse au-dessus du
muscle
anconé; elle était longue, de l'épaisseur d'un
ong sur 4 de large, et située « mani- festement dans l'épaisseur du
muscle
triceps ». Quoi- qu'il n'y ait pas eu d'arthrop
ense qu'elle est d'origine musculaire, et causée par l'atrophie des
muscles
lransversai- (1) Nous remercions M. Bourneville
eu en retrait. Le bras droit est tendu en haut, le poing fermé, les
muscles
conlractés. L'avant-bras gauche, replié à angle
ué la convulsion des yeux, la rotation de la tête et la saillie des
muscles
du cou. Mais il lui a paru déplacé de figurer la
upérieur droit. Motilité. On ne remarque pas d'atrophie visible des
muscles
des membres et du tronc, sauf au niveau de l'hy
limitée. Les membres inférieurs ne présentent rien d'anormal. Les
muscles
du dos et les masses lombaires paraissent normaux
t plus fortes que du côté droit. Tremblement fiúritlaÍ1'(' dans les
muscles
de la région postérieure de l'avant- bras droit
oubles amyolrophiques, tels : la contrac- tion lente, traînante des
muscles
il la suite de l'excitation mécanique et électr
n ne saurait expliquer ici la déviation par une action vicieuse des
muscles
du rachis. Il ne s'agit ni d'une faiblesse des
vicieuse des muscles du rachis. Il ne s'agit ni d'une faiblesse des
muscles
d'un côté, ni d'une contracture; nous avons vu
ste encore d'autres lésions, soit de l'appareil vasculaire, soit du
muscle
cardiaque, soit des différents viscères, sur lesq
gurantes ? Trouvera-t-on des transformations dégénératives dans les
muscles
privés de leur sens musculaire, dans l'estomac si
ctive : elle est objectivement caractérisée par un état spécial des
muscles
que la méthode graphique permet d'apprécier de vi
és, fourbus, anéantis par une fatigue insurmontable, sans que leurs
muscles
aient fourni la veille un travail exagéré ? Vous
o vaincre n'est autre chose qu'une sorte de paralysie passagère. Le
muscle
fatigué ne se contracte plus. Si le muscle ne s
de paralysie passagère. Le muscle fatigué ne se contracte plus. Si le
muscle
ne se contracte plus, c'est parce qu'il a, au c
poison. Longtemps on a accusé l'acide lactique. On croyait que les
muscles
surmenés en produisaient abon- damment. Vous sa
ence par laquelle Gabelous a démontré la curarisation spontanée des
muscles
fatigués. La grenouille est l'animal choisi. On
grenouille en re- pos, puis, de nouveau, l'on ouvre le circuit. Les
muscles
épuisés après la pre- mière excitation, ne sont
te. La conclusion à tirer de cette expérience est la suivante : les
muscles
de la grenouille en se contractant jus- qu'à la
pas il la patte postérieure droite (puisque l'artère est liée), les
muscles
de cette patte peuvent encore se contracter sous
nocif sur les conducteurs nerveux eux-mêmes. S'il en avait un, les
muscles
de la patte droite ne se contracteraient pas, a
a patte gauche. D'autre - part, l'excitation électrique directe des
muscles
do la patte gauche détermine en- core des contr
s ces faits est donc que la substance toxi- que (qui ne lèse pas le
muscle
et qui ne lèse pas le nerf) exerce son pouvoir
une partie du système neuro-musculaire intermédiaire au nerf et au
muscle
. Cette partie intermédiaire, c'est la plaque term
ander si la fatigue physiologique lui est comparable et si l'état des
muscles
d'un homme qui se fatigue peut être assimilé à
es muscles d'un homme qui se fatigue peut être assimilé à celui des
muscles
tétanisés d'une grenouille. ARTHROPATHIES NER
ui résulte de l'injection des substances toxiques élaborées par des
muscles
fatigués. Sur une grenouille dont les capsules
hénomène conscient, grâce auquel nous savons sans le savoir que nos
muscles
ont aban- donné à notre organisme des substance
es épargnés sont ceux qui président aux fonctions centri- pètes des
muscles
, et, inversement, que dans le labes moteur, les c
vous propose d'adopter sous bénéfice d'inventaire. Nos organes (us,
muscles
, glandes, etc.), sans exception sont dans un état
ernières conservent la fa- culté d'actionner la fibre striée et les
muscles
ne s'atrophient pas. Il subsiste assez de « sen
Un malade atteint de tabès moteur, peut ainsi garder indéfiniment des
muscles
puissants quand bien même il a perdu complèteme
me qu'on voit chez certains tabétiques une paralysie atrophique des
muscles
succéder tardi- vement il un état de nutrition
Cependant cela se voit. Ainsi chez le malade de J. M. Charcot « les
muscles
de l'épaule droite ont subi un degré notable d'al
rnue du biceps était raccourcie et contournée comme si le tendon du
muscle
était devenu trop long, par suite peut-être du
du tendon a son insertion. Quoiqu'il en soit de l'interprétation, le
muscle
avait pris une apparence à la fois athlétique e
te ; le relâchement des ligaments, la dégénérescence graisseuse des
muscles
voisins appartiennent aussi aux. arthropathies
cis soit dans les aponévroses, soif dans les tendons, soit dans les
muscles
, soit dans le tissu cellulaire sous-cutané. On ne
l'abolition de la sensibilité tactile ; l'atrophie et la parésie des
muscles
superficiels de la face ; l'épaississement des
l'extrémité inférieure du cubitus avec décol- lement par le pus des
muscles
de la main et de l'avant-bras, et phénomènes se
rganes soient aussi profondément ignorés de notre conscience que le
muscle
. Ces attitudes segmentaires sont révélées par l
t paralysé, sauf pour quelques mouvements minimes du couturier; les
muscles
de la fesse gauche étaient également atteints.
sur le membre inférieur paralysé des tremblements fibrillaires des
muscles
sous jacents. L'urèthre était insensible au cathé
près l'accident et six après mon premier examen. La reclinaison des
muscles
des gouttières me permit de suite de constater
r activité. Manifestement, les péroniers latéraux sont les derniers
muscles
il redevenir normaux. Les dernières traces d'anes
ent, sans que les poussées soient provoquées par la contraction des
muscles
abdominaux. Le passage de l'urine u'est pas sen
sieurs heures par jour, des charges pesant cent livres et plus. Ses
muscles
, non seulement des membres supérieurs, mais des
de la 11'° vertèbre cervicale sur la 1 ? Paralysie et atrophie des
muscles
dépendant des lie et ¡Se segments ra- diculo-mé
d'une façon très marquée, les efforts faits par le malade avec ses
muscles
du .cou exagérant encore céte inclinaison au li
, c'est-à-dire du côté opposé a la déviation, étaient localisés aux
muscles
suivants : portion claviculaire du sterno-masto
neux, deltoïde, biceps, et très légèrement supina- teurs ; tous ces
muscles
étaient non seulement paralysés, mais encore atro
s et des accidents fonc- tionnels était parfaitement parallèle, les
muscles
paralysés et la région cutanée atteinte dépenda
acé maintenait la luxation réduite, je suturai le pé- rioste, les
muscles
et la peau, puis mis une volumineuse et solide
l'appareil orthopédique ; en outre celui- ci empêchait l'examen des
muscles
. Lorsqu'il fut enlevé, le 31° jour, on put voir
e sans aucun doute par le lien que j'ai mis sur les apophyses : les
muscles
autrefois atteints du cou et de l'épaule ont re
ion, paralytique qui, sans cause connue, envahit successivement les
muscles
de la langue, ceux du voile du palais, et l'orb
'orbiculaire des lèvres donne une prédominance de force tonique aux
muscles
qui meuvent les coiumissures, et .,qui, agissent
te la musculature inférieure de la face, (orbiculaire des lèvres et
muscles
du menton), frappée par la paralysie, demeure ine
des cornes antérieures tiennent sous leur dépendance la nutrition des
muscles
correspondants; que cette région des cornes antér
résumé, vous le voyez, la cataleptique ne connaît pas la fati gue, le
muscle
cède, mais sans effort, sans intervention volon
me vous allez le voir, l'usage du membre droit, ou plutôt de certains
muscles
de ce membre qui laisse à désirer. Il y a un an e
le voyez, les extenseurs de la jambe qui sont en défaut, ce sont les
muscles
innervés par le crural et plus spécialement le tr
, bien qu'il y ait un peu d'affaiblissement relatif de la plupart des
muscles
de ce membre, c'est principalement l'action du tr
, et qui rendait la marche encore plus difficile : cette paré-sie des
muscles
qui fléchissent le pied sur la jambe a disparu de
si parfaitement libre; c'est donc dans le système nerveux ou dans les
muscles
qu'il faut chercher la cause de l'impuissance mot
se droite est considérablement aplatie, comme excavée ; en outre, les
muscles
de celte région sont flasques et sans relief, mêm
arésie, mais encore une modification de la nutrition, une atrophie du
muscle
triceps. Peut-être y a-t-il aussi un peu de refro
e l'exploration électrique qui nous montre l'état de la nutrition des
muscles
. Au moment de l'entrée du malade, il y a 8 jours,
eymond), ne produisait à peu près aucune réaction; on eût dit que les
muscles
étaient absents. On pouvait, d'après ce dernier c
vanisation provoquer la réaction qui s'observe quand la nutrition des
muscles
est profondément affectée, comme cela a lieu aprè
non d'une atrophie dégénérative \ Chose remarquable d'ailleurs, ce
muscle
, qui reste à peu près inerte, soit sous l'influen
t galvanique). Ajoutons que le choc mécanique portant sur le corps du
muscle
droit antérieur provoque une contraction évidente
dié, dans le service du professeur Erb, les réactions électriques des
muscles
dans les cas d'affections articulaires (de l'épau
dans le membre inférieur gauche, ni dans le droit. Tous les autres
muscles
du membre présentent les réactions électriques no
si, d'après le récit du malade : ainsi, autrefois, les jumeaux et les
muscles
antérieurs delà jambe ne se contractaient pas éga
'hui, d'après des études nombreuses1, que la paralysie atrophique des
muscles
extenseurs ou prédominant tout au moins dans les
es du genou déterminées à l'aide d'injections irritantes, ce sont les
muscles
de tout le membre, mais plus spécialement les ext
anent les nerfs moteurs et les nerfs qui président à la nutrition des
muscles
. Il existerait dans la moelle une relation plus
laires et les cellules d'origine des nerfs moteurs et trophi-ques des
muscles
extenseurs (crural dans le cas qui nous concerne)
oujours, dans le cas d'irritation des nerfs du genou, c'est sur les
muscles
extenseurs (triceps), ou du moins plus spécialeme
s muscles extenseurs (triceps), ou du moins plus spécialement sur ces
muscles
, que porte l'atrophie. Je dis plus spécialement,
pandre par diffusion en dehors de la distribution du crural, dans les
muscles
de la jambe et du pied. Dans les lésions articula
agation de l'inflammation articulaire, de proche en proche, jusqu'aux
muscles
voisins ; mais l'atrophie existe au même degré da
oisins ; mais l'atrophie existe au même degré dans toute l'étendue du
muscle
, et d'ailleurs les expériences montrent qu'il y a
citabilité faradique; à moins que, l'affection étant très avancée, le
muscle
soit tout à fait détruit; alors il y aurait abo
nt sera conduit 1. Comme on vient de le voir, dans certains cas, un
muscle
absolument inexcitable par les courants faradique
tion exclusivement) on puisse déclarer électrique ment inexcitable un
muscle
qui se contracte normalement, dès que l'on a reco
ntrer plus efficace que les courants, à provoquer la contraction d'un
muscle
malade. C'est ce que nous avons constaté, ces jou
es jours-ci encore, chez une femme atteinte d'atrophie incomplète des
muscles
du cou et des membres supérieurs, avec diminution
milliampères (pour la galvanique), on les obtient maintenant dans les
muscles
malades avec 4 ou 5 centimètres d'écartement des
s termes, le courant faradique ne donne de contraction que lorsque le
muscle
est excité avec le pôle négatif. (Nous avons insi
le électrique agit de la façon la plus favorable sur la nutrition des
muscles
; nous avons notamment traité avec succès, par ce
inconvénient de chercher à provoquer, quand même, la contraction d'un
muscle
malade. Théoriquement nous voyons l'action trop
es produisent encore, par action réflexe, une contracture limitée aux
muscles
de la jointure ou s'étendant à tout le membre. Ce
iques. II. Tic non douloureux de la face typique. — Contracture des
muscles
de la face chez une hystérique. — Simulation. L
stance est égale, quel que soit le sens dans lequel on veut agir. Les
muscles
fléchisseurs et extenseurs sont les uns et les au
re est comblée, et le nerfcenlrifuge transporte l'excitation dans les
muscles
qu'il anime. Mais il est temps de revenir à l'h
r les paupières contracturées, il se produit déjà une contraction des
muscles
de la face à droite. Si nous découvrons l'œil, le
rs la réalité du blépharospasme ; mais, pour ce qui est du spasme des
muscles
du domaine du facial inférieur et du peaucier, je
chronique généralisé détermine des amyotrophies prédominant dans les
muscles
extenseurs des articulations malades.— Exagératio
dire qu'elle se localise d'une façon tout à fait prédominante sur les
muscles
extenseurs de la jointure affectée ; ainsi, ce so
r les muscles extenseurs de la jointure affectée ; ainsi, ce sont les
muscles
fessiers qui sont surtout atteints quand il s'agi
e du mot, mais bien d'une amyotrophie localisée, surtout sur certains
muscles
ou sur certains groupes de muscles; et nous retro
ie localisée, surtout sur certains muscles ou sur certains groupes de
muscles
; et nous retrouvons là la prédominance sur les ex
des. Les modifications des réactions électriques que présentent les
muscles
sont ici encore des modifications purement quanti
des modifications purement quantitatives et non qualitatives. Un seul
muscle
fait exception : c'est le vaste externe du côté d
hie simple, sans altération profonde de la nutrition. Certains de ces
muscles
atrophiés sont le siège de contractions fibrillai
par exemple, le triceps fémoral, les fessiers; et quelques-uns de ces
muscles
sont manifestement excitables par la simple percu
ur le deltoïde gauche, en particulier. A ces lésions trophiques des
muscles
correspond une impuissance motrice, d'autant plus
s medical, 1880, p. 1011) a eu l'occasion d'étudier au microscope les
muscles
d'un rhumatisant chronique atteint d'atrophie mus
atteint à des degrés différents non seulement les faisceaux d'un même
muscle
, mais, même les fibres d'un même faisceau, et la
transportée à la moelle épinière, et, de là, réfléchie sur les divers
muscles
qui meuvent la jointure, par l'intermédiaire des
ez elle reconnaître cet aplatissement de la fesse dû à l'atrophie des
muscles
fessiers, et que je vous ai déjà signalé comme po
réfléchissent cette excitation par la voie des nerfs moteurs sur les
muscles
, tant extenseurs que fléchisseurs de la jointure.
ointure. En général, la contracture spasmodique se limite aux seuls
muscles
extenseurs et fléchisseurs de la jointure affecté
gauche ; trois jours après, la contracture occupait non seulement les
muscles
du pied qui était fléchi dans l'adduction, mais e
econnaissent pour cause, elles aussi, la contracture spasmo-dique des
muscles
, développée par action réflexe, en correspondance
mêmes malades, genoux, coudes, etc., à la contracture spasmodique des
muscles
. Chàrcot. Œuvres complètes, t. m, Système nerve
peut donner plus de mobilité aux jointures et favoriser l'action des
muscles
contractures ; mais cet élément ne peut être invo
cas où il n'existe pas d'affection articulaire, et où la rigidité des
muscles
est seule enjeu. Ainsi, par exemple, dans l'hémip
de que je vous présente offre une contracture spasmodique de tous les
muscles
des membres supérieur et inférieur du côté gauche
ions qui ne peuvent être expliquées que par la rigidité prolongée des
muscles
antagonistes. On sait, du reste, que dans la para
antagonistes. On sait, du reste, que dans la paralysie agitante, les
muscles
des membres et du tronc sont dans un état de tens
eux, par exemple, dans le temps même où les contractures occupent les
muscles
, on voit la plupart d'entre eux, mais ceux surtou
ense. Un autre fait doit être relevé ; c'est que, en agissant sur les
muscles
et sur les troncs nerveux, la faradisation déterm
ésie occupe non seulement la peau, mais encore les parties profondes,
muscles
et troncs nerveux, puisqu'on peut, en excitant le
scles et troncs nerveux, puisqu'on peut, en excitant les nerfs et les
muscles
, déterminer, sans que la malade souffre, une cont
ails relatifs à la physiologie de cette contracture. Quels sont les
muscles
qui entrent surtout en jeu pour déterminer cette
s au premier chef ; car, comme l'a montré Duchenne (de Boulogne), ces
muscles
ont pour rôle de fléchir la première phalange, et
re exactement la déformation de notre première malade, en excitant le
muscle
opposant dans la paume de la main. Je vous ferai
ort !. En résumé : 1° La cataleptique ne connaît pas la fatigue, le
muscle
cède sans effort, sans intervention volontaire ;
mation de la main, résultant d'une contracture permanente de certains
muscles
, contracture tellement prononcée qu'elle résiste
s aussi dans une certaine mesure à la contracture elle-même ; car les
muscles
fléchisseurs surtout étaient très sensibles (ces
euses ; d'ailleurs, la contracture est remplacée par une paré-sie des
muscles
primitivement atteints. En montrant le malade gué
de la défécation, des fonctions génitales. — Atrophie persistante des
muscles
innervés par le grand et le petit sciatiques gauc
iatiques gauches. — Exploration électrique. — Parésie et atrophie des
muscles
fessiers du côté droit. Messieurs, Le malade
and trochanter, à quelques centimètres au-dessus du bord inférieur du
muscle
grand fessier. Aujourd'hui encore, lorsqu'il pres
stence: 1° d'un point fémoral supérieur siégeant au bord inférieur du
muscle
fessier, entre l'ischion et le grand trochanter ;
ément, soit pour toujours, leur action trophique. En conséquence, les
muscles
auxquels se rendent les tubes nerveux centrifuges
entre spinal dans ce mécanisme, est que souvent l'atrophie frappe les
muscles
qui n'appartiennent pas au domaine du nerf où a s
ronc du grand sciatique, l'atrophie se produit non seulement dans les
muscles
innervés par ce nerf, mais aussi dans les muscles
seulement dans les muscles innervés par ce nerf, mais aussi dans les
muscles
petit et moyen fessier, innervés par le fessier s
la névralgie a été suivie d'une atrophie paralytique, portant sur les
muscles
jumeaux, et qui a résisté à tous les moyens mis e
s dystrophiques tout aussi graves et répandues sur un grand nombre de
muscles
se sont produites, dans notre cas. Mais il nous
e fais allusion placent également le centre des réflexes relatifs aux
muscles
du rectum, et de ceux qui président à l'érection
nt à l'examen fonctionnel du membre gauche. Commençons d'abord parles
muscles
innervés par le plexus lombaire ; ces muscles ont
mmençons d'abord parles muscles innervés par le plexus lombaire ; ces
muscles
ont conservé leur énergie normale, a) Ainsi, dans
r, sont normaux. Il nous sera facile d'établir, par contre, que les
muscles
innervés par le grand et le petit sciatiques, les
atteints. 1° Le grand fessier est mou et flasque. Vous savez que ces
muscles
, d'après Duchenne, n'ont pas grand usage dans la
ui, alors surtout qu'il veut l'exécuter avec le membre gauche. 2° Les
muscles
postérieurs de la cuisse, fléchisseurs de la jamb
es muscles postérieurs de la cuisse, fléchisseurs de la jambe. 3° Les
muscles
qui produisent la flexion plantaire et la flexion
de, par exemple, de se tenir sur la pointe du pied. Ainsi, tous les
muscles
innervés par le grand et le petit sciatique, ou p
ui, émane directement des premières branches du plexus sacré, que ces
muscles
, dis-je, participent, eux aussi, à l'altération.
ation. On sait, surtout d'après les recherches de Duchenne, que ces
muscles
ont pour action, dans la station et dans la march
aison à droite du bassin permet déjà de soupçonner l'insuffisance des
muscles
moyen et petit fessier du côté gauche, muscles do
ner l'insuffisance des muscles moyen et petit fessier du côté gauche,
muscles
dont la fonction serait d'abaisser la crête iliaq
à grand rayon, très particulières et vraiment caractéristiques. Les
muscles
moyen et petit fessier du côté gauche sont donc a
r du côté gauche sont donc atteints et profondément atteints. Or, ces
muscles
sont innervés par le nerf fessier supérieur qui,
trouvons un affaiblissement marqué des fessiers et de la plupart des
muscles
de la jambe. Cette parésie des muscles du côté
essiers et de la plupart des muscles de la jambe. Cette parésie des
muscles
du côté droit comme du côté gauche s'accompagne d
que l'au- tre, le pôle différent est appliqué sur le nerf ou sur le
muscle
qu'on veut examiner. Ce pôle différent peut être
e la formule des réactions normales; et si on trouve, en explorant un
muscle
, qu'on obtient AnSZ avec un nombre d'éléments qui
pliquer dans un instant ces notions à l'étude de l'état trophique des
muscles
atrophiés chez notre malade ; mais il faut à prés
siste, au point de vue de l'électro-diagnostic, l'atrophie simple des
muscles
et leur atrophie dégénérative. 1° Dans l'atroph
un état des plus graves, une modification dégénérative du nerf ou du
muscle
, à peu près certainement irréparable. Or, Messi
actions électriques correspondant à un état grave de la nutrition des
muscles
se voient dans les affections des nerfs périphéri
ons maintenant ces données au cas de notre homme. L'examen des divers
muscles
affectés fonctionnelle-ment et trophiquement a do
ral est faradiquement et galvaniquement excitable des deux côtés. Les
muscles
adducteurs et triceps fémoral répondent aussi nor
us sacré, nous trouvons à droite des réactions normales. A gauche, le
muscle
moyen fessier est inexcitable faradiquement ; ce
adiquement ; ce qui revient à dire que le trouble fonctionnel de ce
muscle
est lié à une lésion organique, que, par conséque
épéter à propos du grand fessier, mais des deux côtés cette fois. Ces
muscles
animés par le petit sciatique ne répondent ni à l
; il n'y a donc guère d'espoir de voir se rétablir la fonction de ces
muscles
. 4° Pour ce qui est du domaine du nerf sciatiqu
f sciatique lui-même, je me bornerai à relever ce qui est relatif aux
muscles
jumeaux et aux fléchisseurs de la jambe sur la cu
être rétablies. Ainsi, vous le voyez, l'exploration électrique des
muscles
nous fournit ici des données pour le pronostic, e
es ou détruites, ce qui correspond à l'altération si considérable des
muscles
fessiers. La lésion spinale dont il s'agit, dév
i est de la médication, elle s'adresse surtout à l'état trophique des
muscles
affectés : nous conseille- ions l'électrisation
période spasmodique. — Cas particulier ; Guérison avec rétraction des
muscles
fléchisseurs des jambes. Guérison définitive par
le s'accompagne datrophie musculaire, atrophie simple pour certains
muscles
, atrophie dégénérative pour certains autres, comm
son complète, tantôt il reste des lésions atrophiques indélébiles des
muscles
. Mais, en général, la moelle est plus ou moins ét
s mois, la marche est restée pénible à cause de l'affaiblissement des
muscles
restés si longtemps dans l^naction. Sous l'influe
e. — Forme juvénile de Erb. — Myopathie sans changement de volume des
muscles
. Forme de Leyden. — Analogies de la paralysie pse
s fibrillaires et la réaction de dégénérescence dans quelques-uns des
muscles
atrophiés. Ils se distinguent cliniquement de la
erfs périphériques. 11 s'agit donc ici d'une maladie protopathique du
muscle
, d'une myopathie primitive. Comme exemple de ce g
nhein, en 1866, par moi-même en 1871, que, dans ces cas, la lésion du
muscle
est complètement indépendante de toute lésion de
ré de l'affection, les mains sont généralement respectées. Enfin, les
muscles
atteints ou tout au moins, bon nombre d'entre eux
ue un grand rôle dans le dé veloppement de la pseudo-hypertrophie des
muscles
. On ren contre souvent dans une même famille à
pendant l'enfance. Yoyez le relief énorme, l'apparence athlétique des
muscles
du mollet. Ils présentent, à l'état de repos, une
volume et surtout de force des membres supérieurs, en particulier des
muscles
du bras. Et c'est là le seul point de ressemblanc
but a lieu par les membres supérieurs, les bras en particulier et les
muscles
de la ceinture scapulaire (Schul-lergûrtel), jama
M. Erb Tait signalée quelquefois dans les deltoïdes, les triceps, les
muscles
du mollet. Cette diminution de volume des muscles
s, les triceps, les muscles du mollet. Cette diminution de volume des
muscles
pourrait conduire à confondre la forme d'Erb avec
thénar et hypothénar) ; l'absence de secousses fibrillaires dans les
muscles
atrophiés ; les résultats de l'électrisation de c
les muscles atrophiés ; les résultats de l'électrisation de ces mêmes
muscles
qui ne donne jamais la réaction de la dégénéresce
ionnelle est le fait dominant ; quant à la modification de volume des
muscles
, en plus ou en moins, elle n'existe pas, ainsi qu
re de la faiblesse, puisse se produire sans modification de volume du
muscle
. Chez Lang..., qui est aujourd'hui âgé de 11 ans,
oit parfaitement bien musclé,, mais aucune modification de volume des
muscles
ne saute Kj. il. aux yeux. Le seul fait clini
ominant chez lui, par conséquent, c'est la diminution de force de ces
muscles
en apparence normaux, quant au volume. Où faire
quelle est toute particulière. En effet, par suite de l'impotence des
muscles
de la jambe, la pointe du pied tombe quand la mal
steppent. C'est l'analogue de ce qui se passe toutes les fois que les
muscles
qui produisent la flexion dorsale du pied sont at
tre absolument dans celle de la forme juvénile de Erb. L'atrophie des
muscles
du bras est considérable. La résistance est impos
ns l'acte de se moucher, par exemple, par une contraction normale des
muscles
élévateurs du membre, est obligée de le projeter
lui, non plus que chez sa fille, la moindre trace d'hypertrophie des
muscles
. Il ne peut froncer son front, l'occlusion des pa
père. Comme chez sa fille, nous constatons une intégrité complète des
muscles
de la main. Remarquons en passant que, dans ces c
des muscles de la main. Remarquons en passant que, dans ces cas, les
muscles
de la langue, ceux qui servent à la déglutition,
on voit bien la conservation du deltoïde, l'atrophie du biceps et des
muscles
thénar. trophie ; enfin, 5° la forme héréditair
me dans les cas décrits par M. Erb, un examen tout à fait spécial des
muscles
de la bouche et des yeux permettrait-il de retrou
tème nerveux. li Irophie, il existe des troubles des mouvements des
muscles
de la face; mais dans les cas légers ces troubles
[fig. 34 et 35). Il existe chez lui une faiblesse très prononcée des
muscles
des membres supérieurs, sans atrophie ni hypertro
uchés dans leur lit, par exemple. S'ils sont assis, au contraire, les
muscles
du cou et du tronc entrent en jeu pour maintenir
ades sont confinées au lit, où elles peuvent à peine se mouvoir : les
muscles
du cou sont paralysés, la tête roule comme une ma
re au-devant de l'abdomen par suite d'une contraction con-vulsive des
muscles
pectoraux. Après cela survient la période des con
malgré la date ancienne déjà du début de la paralysie, d'atrophie des
muscles
paralysés, circonstance qui, jointe à l'absence d
à l'absence de toute modification des réactions électriques dans ces
muscles
, nous conduisais immédiatement à éliminer l'influ
ré aux parties profondes ; on peut, en effet, faradiser fortement les
muscles
, les troncs nerveux eux-mêmes, tirailler énergiqu
nce d'atrophie et de toute modification des réactions électriques des
muscles
, dans un cas où la paralysie datait de 10 mois, d
s trophiques, pas de modifications dans les réactions électriques des
muscles
paralysés. — Diagnostic: commotion ou contusion d
otrice. Porcz... ne peut imprimer aucun mouvement volontaire soit aux
muscles
élévateurs de l'épaule, soit à l'épaule elle-même
rs de l'épaule, soit à l'épaule elle-même, qui est tombante, soit aux
muscles
du bras ou de l'avant-bras. Seuls les doigts de l
ant le moindre vestige d'atrophie ou de diminution de consistance des
muscles
paralysés. La mensuration donne au bras droit 23,
profondes-, c'est ainsi que la faradisation, même énergique, soit des
muscles
, soit des troncs nerveux, alors qu'elle provoque
deux également légères. En résumé, impuissance motrice absolue des
muscles
de l'épaule, du bras et de l'avant-bras, avec per
e l'avant-bras, avec perte complète de la sensibilité de la peau, des
muscles
, des nerfs, des tendons, des capsules articulaire
ité des parties privées du mouvement, avec conservation du relief des
muscles
et légère exagération des réflexes tendineux. Voi
ce fait très remarquable et très significatif dans l'espèce, que les
muscles
pas plus que la peau ne présentent aucune marque
té qu'il n'existe pas d'amaigrissement du membre; j'ajouterai que les
muscles
, soumis à un examen méthodique, n'ont présenté au
sans traces de contracture; mais voici la différence : chez P..., les
muscles
paralysés sont en outre extrêmement atrophiés. Us
èremant œdématié. Rien de semblable chez P... Ici, vous le savez, les
muscles
ont conservé, malgré la date déjà ancienne du déb
nce de troubles trophiques et de la réaction de dégénération dans les
muscles
du membre paralysé. Ces mêmes considérations nous
déjà, la réaction dégénérative à un degré très prononcé sur tous les
muscles
profondément atteints, et au bout de 1. Voir, à
nes lésions articulaires. quatre mois une atrophie manifeste de ces
muscles
. De plus les réflexes tendineux seraient dès l'or
participation, à un degré quelconque, du côté correspondant, soit des
muscles
innervés par le facial inférieur, soit de la lang
t à cause du myosis concomitant. C'est d'ailleurs à la contracture du
muscle
de Biûke 2, sans myosis, que devrait être rapport
s Annales d'oculistique, Gand, mai-juin 1878). 2. La contracture du
muscle
de l'accommodation, dans l'hysLérie, a été étudié
e toute modification des réactions électriques, de toute atrophie des
muscles
alors même que la paralysie date de plusieurs moi
nes qui se produisent, quand on actionne par l'électricité les divers
muscles
faciaux de l'expression, suivant les précieuses i
par exemple, la contraction de l'orbiculaire supérieur des paupières (
muscle
de la colère, D. de B.), vous voyez le visage se
n, le gauche dans une position de défense. Si, au contraire, c'est le
muscle
grand zygo-matique (muscle du rire, D. de B.) qui
ion de défense. Si, au contraire, c'est le muscle grand zygo-matique (
muscle
du rire, D. de B.) qui est excité, l'expression d
est aboli, comme aussi toute résislance aux mouvements passifs. Aucun
muscle
, je le répète, ne manifeste la moindre contractio
ccupe encore, au plus haut degré, les parties profondes, à savoir les
muscles
, les troncs nerveux, les ligaments, etc. Ainsi l'
u d'élongation les plus violents, faradiser les troncs nerveux et les
muscles
au point de produire dans ceux-ci les contraction
particulier, avait dit Slùller, détermine un courant nerveux vers les
muscles
impliqués et produit leur contraction. On sait qu
au membre paralysé, ceux aussi que déterminerait la faradisation des
muscles
; tous ces moyens, dis-je, qui pourraient être mi
présence, nous avons remarqué que, dans chacun de ces exercices, les
muscles
qui mettent en mouvement les grandes articulation
chloroformisation chez les hystériques, le sommeil était complet. Les
muscles
étaient en entière résolution; ceux du membre mal
veil : — la raideur commença à reparaître à un certain degré dans les
muscles
malades, avant qu'aucune manifesta-lion douloureu
plus que cette douleur articulaire est accompagnée de contracture des
muscles
qui meuvent la hanche, le genou et même le bassin
érose musculaire et au dernier terme le raccourcissement définitif du
muscle
. M. Léser, dans les expériences qu'il a faites su
modifications profondes survenues dans les réactions électriques des
muscles
rétractés, et il n'est pas douteux qu'un autre ca
e bandage qui a provoqué l'apparition de la rigidité spasmo-dique des
muscles
; pression modérée cependant, car il s'agit ici d
us l'influence d'une pression légère portant sur les antagonistes des
muscles
dont l'action prédomine, ou encore par l'action d
sion des doigts ne soit plus seulement la contracture spasmodique des
muscles
, mais bien, ainsi que nous l'avons quelquefois ob
ste profond avec des troubles moteurs. D'ailleurs, pas d'atrophie des
muscles
dont les réactions électriques sont normales ; pa
aux ; en arrière, c'est une ligne qui suit (fig. 85), l'insertion des
muscles
fessiers, réservant au centre une sorte de V qui
iliaque, tandis qu'en arrière la ligne frontière suit l'insertion des
muscles
fessiers, réservant, au centre, une figure en V q
comme cela se voit dans certaines paralysies organiques Cependant les
muscles
présentent des réactions électriques absolument n
même des nerfs. La faradisation qui fait énergiquement contracter les
muscles
ne détermine absolument aucune sensation. Le ma
en des impressions venant de la périphérie, à savoir, de la peau, des
muscles
, des aponévroses, des tendons, des capsules artic
e d'une volition pour les porter au point où elles mettent en jeu les
muscles
» (loc. cit., p. 305). «Comme les nerfs reçus par
jeu les muscles » (loc. cit., p. 305). «Comme les nerfs reçus par les
muscles
sont principalement des nerfs moteurs qui y condu
, » le siège des sensations de mouvement ne paraît pas être clans les
muscles
, mais bien dans les cellules nerveuses motrices..
ais lieu dans ces centres... » « C'est le changement de conditions du
muscle
excité et des parties con ligues, changement occa
ur et le membre supérieur du côté droit, mais elle ne s'étend pas aux
muscles
de la face, c'est là un fait sur lequel j'appelle
une étude plus minutieuse permet de constater que, si la plupart des
muscles
du bras et de l'avant-bras ont perdu la motilité,
on spéciale due à l'action des interosseux. Examinons la moitié des
muscles
de l'épaule : nous voyons que le deltoïde ne fonc
pectoral a conservé à peu près sa force, que le trapèze et les autres
muscles
de l'épaule et du tronc se contractent d'une faço
et totale, mais plutôt ceux d'une parésie plus accentuée sur certains
muscles
que sur d'autres; aussi, la malade peut-elle marc
'orbiculaire des lèvres; on ne constate non plus aucune paralysie des
muscles
du tronc. En somme, la paralysie présentée par ce
emarquer que, si l'on avait différé jusque-là l'examen électrique des
muscles
, c'était parce que, peut-êlre, toute tentative de
r, M. le professeur Charcot fait alors, séance tenante, faradiser les
muscles
de l'épaule et du bras du côté droit; au bout d'u
s musculaires qui résulte de la suppression simple de la fonction des
muscles
est lente à se produire, qu'elle n'est jamais trè
observations ont été publiées dans le Progrès médical de 1880) 1, les
muscles
du membre supérieur, quoique leurs fonctions aien
ent d'une façon bien évidente que cette diminution dans le volume des
muscles
appartient à la catégorie des phénomènes dits tro
s cornes antérieures de la moelle constituent le centre trophique des
muscles
et qu'elles ne sont pas altérées organiquement, i
nie est d'autant plus complète qu'elle résulte et de la paralysie des
muscles
du larynx et de la paralysie des muscles du diaph
sulte et de la paralysie des muscles du larynx et de la paralysie des
muscles
du diaphragme. » Briquet cite cependant l'observa
violentes convulsions fréquemment suivies de paralysie temporaire des
muscles
qui avaient été le plus fortement affectés; après
lus gênée qu'auparavant. Après quelques séances de faradisation des
muscles
crico-thyroïdiens et sur le trajet du laryngé sup
un espace ellipsoïde dû au défaut d'action des Ihyro-aryténoïdiens,
muscles
tenseurs et adducteurs. Mais il ne sort aucun son
nostic fut: paralysie des cordes vocales par défaut d'innervation des
muscles
du larynx et en particulier des crico-thyroïdiens
anifestations avait envahi la région laryngée et, en particulier, les
muscles
tenseurs des cordes vocales. Il y avait donc para
aminée ont été d'accord sur le diagnostic de paralysie hystérique des
muscles
du larynx. Divers traitements ont été suivis sans
ts nerveux, elles sont le plus souvent bilatérales et portent sur les
muscles
tenseurs et adducteurs, bien plus rarement sur le
urs et adducteurs, bien plus rarement sur les abducteurs. Suivant les
muscles
atteints, suivant le degré de paralysie, l'aphoni
e. Le malade peut se faire comprendre par la parole à voix basse. Les
muscles
phonateurs ne fonctionnent pas ou fonctionnent ma
larynx comme dans la trachée, dans les conduits aériens, sans que les
muscles
intrinsèques viennent imprimer aux cordes de mouv
villiod n'avait cherché à expliquer par une simple paralysie d'un des
muscles
du larynx les troubles observés chez le malade qu
xistait, avec du mutisme, une paralysie laryngée portant sur d'autres
muscles
que le crico-thyroïdien. Dans le cas de Jarvis
n de particulier ; on a constaté, au laryngoscope, des paralysies des
muscles
tenseurs et adducteurs crico-thyroïdien, thyro-
co-thyroïdien, thyro-aryténoïdien, ary-aryténoïdien ; mais les autres
muscles
remplissent leur rôle, on voit les cordes vocales
omène ; l'aphonie hystérique simple, la paralysie d'un des groupes de
muscles
du larynx, est très fréquente. Le mutisme est, au
re psychique, centrale de cette manifestation nerveuse, c'est que les
muscles
du larynx ne sont pas toujours frappés d'impotenc
ériques. II. Tic non douloureux de la face typique. — Contracture des
muscles
de la face chez une hystérique. — Simulation.....
chronique généralisé détermine des amyotro-phies prédominant dans les
muscles
extenseurs des articulations malades. — Exagéra
de la défécation, des fonctions génitales. — Atrophie persistante des
muscles
innervés par le grand et le petit sciatiques gauc
iatiques gauches. — Exploration électrique. — Parésie et atrophie des
muscles
fessiers du côté droit...........................
ériode spas-modique. — Cas particulier : Guérison avec rétraction des
muscles
fléchisseurs des ïambes. Cuérison définitive par
que. Forme juvénile de Erb. — Myopathie sans changement de volume des
muscles
. — Forme de Leyden. — Analogies de la paralysie p
s trophiques, pas de modifications dans les réactions électriques des
muscles
paralysés. — Diagnostic : commotion ou contusion
Diathèse de contracture, 104, 415. E Electriques (Réactions — des
muscles
dans les atrophies musculaires d'origine articula
carac!.ères, 196; — forme de transition sans changement de volume des
muscles
, 197 ; — forme de Leyden, 200; — forme infantile
elle affecte les extrémités supérieures, les paralyse, y atrophie les
muscles
, y abolit la sensibilité et y produit des mutilat
itement musclé, sans être un athlète. Les réactions électriques des
muscles
de la main, qui paraissent seuls atrophiés, sont
tout au moment des vertiges un peu de contracture ou de paralysie des
muscles
droits, internes ou externes. Vous pouvez const
la paralysie porte non seulement sur les branches qui se rendent aux
muscles
extérieurs: droit interne, droit supérieur, droit
eaux intérieurs, sur ceux, en d'autres termes, qui se distribuent aux
muscles
ciliaires et à l'iris. C'est donc une ophthalmopl
la dénomination à'ophthalmoplégie externe est réservée aux cas où les
muscles
extérieurs de l'œil, seuls, sont paralysés, tandi
erne celle où, au contraire, la paralysie porte exclusivement sur les
muscles
ciliaires et iriens. En Allemagne, où les premi
treint, se multipliera. La paralysie ne porte pas seulement sur les
muscles
extérieurs de l'œil; elle occupe également, ainsi
également, ainsi que cela est la règle dans les cas de ce genre, les
muscles
intérieurs. La pupille légèrement dilatée ne se c
, ni par celle de la convergence. Il y a paralysie très prononcée des
muscles
ciliaires révélée par un trouble profond de l'acc
du mouvement n'est pas appréciable objectivement. — Pas de spasme des
muscles
associés. — Paralysie de l'accommodation complète
internes ; elle attaque aussi quelquefois les parties externes et les
muscles
, savoir : les mâchoires, les épaules, les mains,
onne les résultats suivants : réactions électriques normales dans les
muscles
de la main et de l'avant-bras. La diminution d'ex
on est limitée par une contracture visible et sensible au toucher des
muscles
adducteurs. La pression aux points d'élection sur
tels que l'hyperesthésie et l'anesthésie et enfin que l'atrophie des
muscles
du membre inférieur pouvant survenir dans certain
ompagnée d'une paralysie incurable, avec amyotrophie dégénérative des
muscles
du mollet. Un autre auteur, M. Nonne (4), a pub
l a rencontré la réaction de dégénérescence limitée exclusivement aux
muscles
du mollet, sans qu'il y eût pour cela d'atrophie
du nerf tibial, et rien do semblable ne se remarquait pour les autres
muscles
. Ainsi que le fait remarquer M. Nonne, il y ava
le nerf musculo-cutané et le tibial antérieur. Le premier fournit aux
muscles
péroniers ; le second anime le muscle tibial anté
érieur. Le premier fournit aux muscles péroniers ; le second anime le
muscle
tibial antérieur, l'extenseur commun des orteils
rf tibial antérieur. Long péronier latéral. Court péronier latéral.
Muscle
tibial antérieur. Extens. commun dos orteils. Ext
ètement tombant. Il paraît y avoir un certain degré de rétraction des
muscles
fléchisseurs. Sensibilité moins nette qu'à la j
du pied. — Refroidissement de la jambe malade. L'électrisation des
muscles
de la région antéro-externe de la jambe ne produi
région antéro-externe de la jambe ne produit aucune contraction. Les
muscles
du mollet réagissent encore, quoique faiblement.
se limiter en définitive au seul nerf sciatique poplité externe. Les
muscles
qui sont sous sa dépendance ont perdu leur excita
ne peut marcher qu'avec des béquilles. La paralysie reste limitée aux
muscles
qui relèvent le pied, lequel est tombant et traîn
nt portant exclusivement sur les extcn- seurs, c'est-à-dire sur les
muscles
innervés par cette même branche nerveuse. Tout ce
it est encore plus probante peut-être, en ce que l'état de chacun des
muscles
de la région antéro-externe de la jambe est indiq
ed est toujours froid, comme engourdi. L'exploration électrique des
muscles
de la région antéro-externe (jambier antérieur, e
s plus tard la malade avait encore son anesthésie et une atrophie des
muscles
de la région antéro-externe telle qu'il y avait u
ue on remarque une dépression notable do la région correspondante aux
muscles
jambier antérieur et extenseur commun, indiquant
rieur et extenseur commun, indiquant une atrophie non douteuse de ces
muscles
. Il en est de même à la palpation. La piqûre n'
la jambe droite. L'électrisation ne provoque aucune contraction des
muscles
jambier antérieur, extenseurs commun et propre. L
-cutané, qui fournit aux péroniers, est constatée par ce fait que ces
muscles
n'ont pas perdu leur excitabilité électrique, tan
ate alors une paralysie complète, avec inexcitabilitô électrique, des
muscles
jambier antérieur et péronier, et incomplète de l
uloureux péronier; point malléolaire externe. « L'électrisation des
muscles
antéro-externes de la jambe les trouve absolument
ouve absolument insensibles ; au contraire sous la même influence les
muscles
de la région postérieure et de la cuisse réagisse
in de l'opération les douleurs ont diminué. Quinze jours après, les
muscles
extenseurs et péroniers ne réagissent toujours pa
t compliquée d'une paralysie incurable avec atrophie dégénérative des
muscles
du mollet. Elle ne saurait donc être admise, d'au
nerveuses se localisent de préférence aux troncs nerveux animant les
muscles
extenseurs, de même chez les malades porteurs de
personnelle). — Sciatique avec paralysie et atrophie dègènèrative des
muscles
extenseurs de la jambe, et anesthèsie dans le dom
ns possibles et s'exécutent très nettement. L'examen électrique des
muscles
de la jambe vient d'ailleurs confirmer complèteme
confirmer complètement les résultats de l'investigation clinique. Les
muscles
tibial antérieur et extenseur commun des orteils
es du mollet. Une pression profonde assez énergique sur la région des
muscles
extenseurs n'éveille non plus aucune sensation do
oujours à droite. Jamais de chute de la paupière, ni de paralysie des
muscles
de l'œil. Cet état, avec des rémissions 'plus ou
première vue, il semble qu'il existe un certain degré d'atrophie des
muscles
de cette région. Mais les dimensions de la jambe
à la cuisse, la résistance est conservée. Il n'y a pas d'atrophie des
muscles
de la cuisse ni de la fesse. — Pas de troubles tr
e pratiqué par M. Vigouroux : Pas d'ano- malie de réaction dans les
muscles
de la région antéro-externe de la jambe. La mal
. — Sciatique droite. — Paralysie avec réaction de dégénérescence des
muscles
de la région antèro-externe de la jambe. Mart..
u vite, il traîne la pointe du pied sur le sol. L'affaiblissement des
muscles
jambier antérieur, extenseurs des orteils, a appa
dégénérescence avec diminution de l'excitabilité galvanique, dans les
muscles
tibial antérieur, extenseur commun des orteils et
sions musculaires prédominent, bien qu'on n'ait pas constaté dans les
muscles
atteints la réaction de dégénérescence. Enfin dan
existe à un haut degré, n'est plus exactement connexe aux lésions des
muscles
. Mais auparavant, rappelons en quelques mots la
gauche. A la jambe la région antéro-ex-terne surtout, mais aussi les
muscles
du mollet, paraissent amaigris notablement. Le
e jambier antérieur est atteint aurfsi. La résistance opposée par les
muscles
du mollet est assez grande bien qu'inférieure à c
mollet est assez grande bien qu'inférieure à celle que présentent les
muscles
du côté opposé. Le mouvement et la résistance son
té opposé. Le mouvement et la résistance sont bien conservés dans les
muscles
de la cuisse, bien qu'il y ait un certain degré d
isse, bien qu'il y ait un certain degré d'amaigrissement, surtout des
muscles
de la partie postérieure. La démarche est assez
ts : Io 24 avril 1890. Nerf sciatique poplité externe inexcitable —
muscle
tibial antérieur, néant; — extenseur commun des o
ent. 2° 6 mai 1890. Inexcitabilité absolue directe et indirecte des
muscles
jambier antérieur, extenseur commun des orteils (
: tout d'abord une véritable paralysie des extenseurs et de tous les
muscles
de la région antéro-externe de la jambe, avec atr
ertain degré de faiblesse des fléchisseurs de la jambe et de quelques
muscles
de la cuisse, avec un amaigrissement en masse ass
archent parallèlement avec l'atrophie dégénérative constatée dans les
muscles
animés par ce même tronc nerveux. Les troubles
er, point dorsal du pied et point plantaire. La pression en masse des
muscles
delà cuisse et de la jambe est sensible. La rec
e est sensible. La recherche des points douloureux, la pression des
muscles
, l'exécution des mouvements du pied et delà jambe
atellaires sont égaux des deux côtés. — Les réactions électriques des
muscles
sont normales. Dans toute la moitié gauche du c
commandé par la présence d'une névrite avec atrophie dégénérative des
muscles
. Un cas de sciatique avec paralysie amyotro-phi
érieur droit présente dans toute son étendue une atrophie notable des
muscles
, qui va croissant de la cuisse à la jambe, atroph
n° XI). Sciatique double primitive avec atrophie dégé-nérative des
muscles
dans le domaine du poplité externe et interne (1)
ue nous a montré qu'il existe une réaction de dégénérescence dans les
muscles
tibial antérieur, extenseur commun des orteils, e
une perte complète de l'excitabilité faradique et galvanique pour les
muscles
péroniers latéraux et triceps sural. A droite, la
te, la réaction de dégénérescence n'est que partielle clans les mêmes
muscles
; les mouvements du pied sont, il est vrai, plus
'urine, une paralysie atrophique, avec réaction de dégénérescence des
muscles
innervés par le sciatique (pied tombant) et quelq
-dire primitive, pouvait s'accompagner de paralysie avec atrophie des
muscles
innervés par le péronier (V. plus haut le n° VII)
toujours en steppant. Néanmoins nous continuerons l'électrisation des
muscles
et nous appliquerons de larges vésicatoires sur l
c. Caractères cliniques de l'oplithalmoplégie externe : intégrité des
muscles
iriens et pupillaires, atteinte des seuls muscles
rne : intégrité des muscles iriens et pupillaires, atteinte des seuls
muscles
moteurs du globe oculaire. Considérations anatomi
iption de deux cas. Absence de la réaction de dégénérescence dans les
muscles
atrophiés. Cas aigus et subaigus. Messieurs,
ues analogies. Mais la fixité des traits tient ici à une rigidité des
muscles
et non à une paralysie ; l'œil est plutôt grand o
séquence d'un acte instinctif ayant pour but de faire que l'action du
muscle
frontal supplée à l'insuffisance du releveur des
des deux yeux, est donc atteinte symétriquement, bien que les divers
muscles
ne soient pas affectés toujours au même degré.
remier chef ; la musculature intérieure de l'œil, comprenant : 1° les
muscles
ciliaires, 2° les muscles iriens, reste pendant c
re intérieure de l'œil, comprenant : 1° les muscles ciliaires, 2° les
muscles
iriens, reste pendant ce temps absolument indemne
nt par leur intégrité, avec la paralysie totale ou presque totale des
muscles
extérieurs. En d'autres termes, il y a ophthalm
Hutchinson pour l'opposer à la première, et désigner la paralysie des
muscles
ciliaires et iriens. Il existe là, vous le voye
ut cohérent où les cellules d'origine des nerfs se rendant aux divers
muscles
de l'œil seraient entremêlées et confondues. L'ex
lulaires placés au-dessus de ceux qui donnent naissance aux nerfs des
muscles
moteurs du globe. Quant à ces derniers eux-mêmes,
, ils reconnaissent autant de noyaux d'origine distincts qu'il y a de
muscles
. Voici quelle serait la disposition de ces noya
venons dépasser en revue. Le noyau antérieur, destiné aux nerfs des
muscles
ciliaires et iriens, reste en dehors de la sphère
re compte d'une lésion individuelle des nerfs qui se rendent à chaque
muscle
, et plus spécialement de la dissociation des trou
et plus spécialement de la dissociation des troubles fonctionnels des
muscles
internes et externes. La paralysie par compressio
ulo-moteur comportera à peu près nécessairement la lésion de tous les
muscles
externes et celle de tous les muscles internes à
sairement la lésion de tous les muscles externes et celle de tous les
muscles
internes à la fois. C'est pourquoi l'on admet gén
même, en ce qui concerne l'ophthalmoplégie, que c'est le système des
muscles
de l'œil qui est affecté, sans tenir compte de la
ques semaines plus tard, le voile du palais se paralysa ainsi que les
muscles
masticateurs. Aucun symptôme tabétique jusqu'à pr
que. liest moins souvent donné de rencontrer une paralysie double des
muscles
de l'œil sous forme d'Ophthalmoplegie externe. Du
ésie des membres et depuis deux ans de l'ophthalmoplégie externe. Les
muscles
parésiés sont atrophiés sans réaction de dégénére
ques de plomb. L'affection a débuté par de la parê-sie atrophique des
muscles
de la main, puis a envahi progressivement tout le
s a envahi progressivement tout le membre, les bras, les épaules; les
muscles
de la partie postérieure au cou sont tellement at
secousses fibrillaires très nettes que vous pouvez constater dans les
muscles
des mollets et des cuisses. Il présente enfin tou
s'éloigne à quelques égards du type Duchenne-Aran. Tout d'abord les
muscles
ont un affaiblissement parallèle des deux modes d
s le type Duchenne-Aran la réaction de dégénérescence existe dans les
muscles
les plus affectés. Mais on sait que dans la malad
l s'est aperçu du ptosis dont vous remarquez encore les vestiges. Les
muscles
paralysés des membres se sont atrophiés rapidemen
omme vous le voyez, l'atrophie a frappé en masse, un peu partout. Les
muscles
sont flasques et animés de secousses fi-brillaire
s. Il n'y a, en effet, aucune douleur spontanée, ou à la pression des
muscles
, aucune prédominance de la paralysie dans les ext
l'amyotro-phie des membres, tandis que le ptosis et la paralysie des
muscles
oculaires qui l'accompagnent relèvent de la lésio
s. Actuellement, le malade présente le faciès d'Hutchinson : tous les
muscles
extérieurs de l'œil, et ceux-là seuls, sont intér
ffisamment maintenue est entraînée en avant par son propre poids. Les
muscles
de la cuisse et du mollet, bien qu'ils ne paraiss
lle n'existe pas au niveau de la face. Au cou elle prédomine pour les
muscles
de la région postérieure, qui ont en grande parti
s muscles de la région postérieure, qui ont en grande partie disparu (
muscles
des gouttières vertébrales, portion supérieure du
eau des épaules on constate une atrophie notable des deltoïdes et des
muscles
de la ceinture scapulaire: sus-épineux, sous-épin
du pied est considérable des deux côtés. Mais on remarque dans divers
muscles
de la cuisse et de la jambe, à droite et à gauche
s. En dehors de cela pas d'excès de boissons. Examen électrique des
muscles
, pratiqué par M. Vigouroux : Côté droit (29 juin
: très grande diminution d'excitabilité. Cubital postérieur : normal.
Muscles
abducteurs et extenseurs du pouce : néant, except
nde résistance de la région) ; réaction faradique à peu près normale.
Muscles
abdominaux moins excitables aux deux courants. Mu
près normale. Muscles abdominaux moins excitables aux deux courants.
Muscles
de l'épaule et du cou également très peu excitabl
Néanmoins, l'état des membres supérieurs est resté stationnaire. Les
muscles
sont flasques, animés de secousses fîbrillaires e
hent à résister. La flexion des doigts est pour ainsi dire nulle. Les
muscles
de jl'éminence thénar et hypothénar sont fort atr
Du bras gauche à 12 cent, de l'olécrâne. * . . =24 — L'atrophie des
muscles
de l'avant-bras et du bras est manifeste. Membr
rtie inférieure des cuisses ; on sent aisément le fémur à travers les
muscles
atrophiés. Enfin toutes les masses musculaires de
en sont conservés. L'atrophie est extrêmement accusée au niveau des
muscles
des membres; à part les adducteurs de la cuisse,
ppareil ligamenteux et surtout musculaire trop faible. L'atrophie des
muscles
du mollet est également considérable. Il existe
alement considérable. Il existe des secousses fibrillaires dans les
muscles
de la cuisse, du bras et de l'épaule ; elles sont
aut un courant d'autant plus fort pour obtenir la contraction, que le
muscle
est plus atrophié, aussi bien avec l'électricité
12 élém., 65° = AS néant.; 5 KS = KS pour le 2e radial externe et les
muscles
du pouce. 60 millim. = néant pour les trois por
ens spéciaux (ouïe, goût, odorat). Pas d'anesthésie de la face. Les
muscles
de la mâchoire (masséters, temporaux, ptéry-goïdi
masséters, temporaux, ptéry-goïdiens) fonctionnent normalement. Les
muscles
de la face sont intacts. Rien à noter du côté du
tard de la main droite. En même temps les forces se perdaient et les
muscles
s'atrophiaient et devenaient mous et flasques dan
e supérieure. Le traitement consista surtout dans l'électrisation des
muscles
atrophiés, l'administration de l'iodure de potass
La tête est légèrement penchée en avant, à cause de la faiblesse des
muscles
de la partie postérieure du cou. On ne constate c
de déformation bien nette de cette région ni d'atrophie manifeste des
muscles
. Ceux-ci résistent peu au mouvement passif de fle
n'existe pas de déformation de la main en griffe. Des deux côtés les
muscles
longs supinateurs sont relativement conservés.
r fréquemment constaté l'existence de secousses fibrillaires dans les
muscles
atrophiés de ses membres supérieurs. Les réacti
atrophiés de ses membres supérieurs. Les réactions électriques des
muscles
n'ont pu être recherchées, le malade ne s'étant t
ficile et un peu bre-dôuillée. De plus, l'excitabilité électrique des
muscles
de la partie inférieure de la face était notablem
yeux, pour diriger ses regards autour de lui. Lorsque l'atrophie des
muscles
de la partie postérieure du cou est très avancée,
rque moins souvent la dépression sous-occipitale due à l'atrophie des
muscles
de la nuque. Mais il suffît de jeter les yeux sur
est plus ou moins immobile, penchée en avant, grâce à l'impotence des
muscles
du cou, qui est creusé au niveau de la nuque d'un
nt indemnes, tandis que l'atrophie prédomine énormément au niveau des
muscles
de la ceinture scapulaire, l'omoplate étant notab
s le front est lisse, exempt de toute ride, à cause de l'atrophie des
muscles
. Chez les autres, au contraire, la contraction co
voulons parler de l'absence d'anomalies des réactions électriques des
muscles
et en particulier de l'absence de la réaction de
nution considérable de l'excitabilité pour les deux courants dans les
muscles
atrophiés et, chose remarquable, cette diminution
rquable, cette diminution arrive à l'abolition complète pour certains
muscles
qui sont peu atrophiés et qui obéissent encore à
ophique en particulier, il y a presque toujours un mélange. Parmi les
muscles
atrophiés, les uns réagissent normalement, les au
tait développée ensuite : atrophie légère de la langue, paralysie des
muscles
du voile du palais et du pharynx, de l'orbiculair
sujet de rétrécissement du champ visuel. (2) On a constaté sur les
muscles
de l'éminence thénar de la main affectée les sign
eux à son passage dans la gouttière épitrochléenne, de l'atrophie des
muscles
, des troubles trophiques du côté de la peau, qui
et s'accompagnant de modifications dans les réactions électriques des
muscles
paralysés qui sont le siège de la réaction de dég
sement considérable, portant surtout sur la graisse sous-cutanée. Les
muscles
sont encore à peu près conservés, quoique bien pe
in droite.......... 13 — gauche......... 11 Examen électrique des
muscles
des membres Inférieurs pratiqué par M. le D'' Vig
nseur commun des orteils; simple diminution d'excitabilité des autres
muscles
de la jambe et de la cuisse. A gauche réaction pa
plète encore par la présence d'autres phénomènes. Explorez l'état des
muscles
des membres : vous voyez qu'assis, il résiste ass
lique classique; et ceci aussi, à savoir qu'à l'examen électrique des
muscles
on note la réaction de dégénérescence dans le jam
ur commun des orteils, et une diminution de l'excitabilité des autres
muscles
de la jambe et de la cuisse. Ainsi dans ce cas,
élioration considérable nous est dévoilée par l'examen électrique des
muscles
paralysés. Vous vous rappelez qu'autrefois on ava
les paralysés. Vous vous rappelez qu'autrefois on avait noté dans les
muscles
des extenseurs de la jambe droite, qui était et q
eulement une diminution de l'excitabilité faradique et galvanique des
muscles
de la région antéro-externe des jambes, qui, bien
complètement disparu aujourd'hui, et de la douleur à la pression des
muscles
du mollet, qui persiste encore aujourd'hui. Vou
s de paralysie faciale d'origine hystérique portant seulement sur les
muscles
bucci-nateurs et grand zygomatique. — Superpositi
ver notablement et s'entourer de plis en demi-cercle. A droite, les
muscles
du menton, les abaisseurs de la lèvre inférieure,
eur a été antérieurement paralysé. Il ne paraît donc y avoir que deux
muscles
atteints : le buccina-teur et le grand zygomatiqu
réelle du moteur oculaire commun et dont chacun parait animer un des
muscles
de l'œil, et, d'autre part, le trajet intrapédonc
ts nerfs distincts qui se rendent isolément l'un à l'iris, l'autre au
muscle
ciliaire, le suivant au muscle rele-veur de la pa
nt isolément l'un à l'iris, l'autre au muscle ciliaire, le suivant au
muscle
rele-veur de la paupière et les derniers enfin, t
e-veur de la paupière et les derniers enfin, toujours séparément, aux
muscles
droit interne, droit supérieur, droit inférieur e
ison rare mais possible, en somme, puisse porter exclusivement sur le
muscle
releveur de la paupière. Je n'insiste sur l'exist
viens de vous présenter? Mais remarquez, je vous prie, que les autres
muscles
de l'œil sont épargnés et que ce ptosis est à l'é
iation, la paralysie de la troisième paire peut en somme se borner au
muscle
releveur de la paupière et que, quelque rare qu
sis. Je ne parle pas ici des cas où il y a participation des autres
muscles
de l'œil; dans ces cas, l'origine paralytique est
urcilière et ces plis verticaux qui semblent dus à une contracture du
muscle
sourcilier, contrastent étrangement avec l'état n
lume de l'avant-bras est, lui aussi, légèrement réduit aux dépens des
muscles
fléchisseurs. Cette diminution de volume répond à
et des doigts sont affaiblis, sauf les mouvements que commandent les
muscles
postérieurs de l'avant-bras, les extenseurs. La p
ion de dégénération de l'éminence thénar et de quelques aulres petits
muscles
de la main; les contractions fibrillaires font dé
ose sur la forme de la cage costale. J'ajoute qu'il n'existe dans les
muscles
du rachis et du tronc aucune anomalie appréciable
s sensitifs, mais encore la parésie et l'atrophie qui intéressent les
muscles
de l'éminence thénar, les interosseux, les fléchi
s, qui suivent d'autres voies ; il fournit également l'innervation du
muscle
de Mùller dont la paralysie détermine l'enfonceme
la quatrième cervicale jusqu'à la deuxième dorsale. Désinsertion des
muscles
sur la partie latérale droite des vertèbres jusqu
tant de la région lombaire, traversant l'abdomen dans la direction du
muscle
psoas et s'irradiant à la face interne de la cu
ne de la cuisse et à la face antérieure de la jambe sur le trajet des
muscles
adducteurs de la cuisse et des extenseurs du pied
eurs de la cuisse et des extenseurs du pied. L'action de ces derniers
muscles
est tellement prépondérante que, lorsque le malad
à droite, il n'existe d'atrophie musculaire proprement dite, mais les
muscles
du côté gauche sont certainement moins développés
plus ou moins intenses, rapportées par le malade à la contracture de
muscles
profondément situés, vraisemblablement le carré l
n cutanée des branches lombaires qui président à l'innervation de ces
muscles
. Là ne se bornent pas les troubles trophiques.
la corne antérieure a préservé la nutrition et le fonctionnement des
muscles
; l'envahissement de la substance grise au voisin
inez la face, il n'y a pas de paralysie, mais un état spasmodique des
muscles
du côté gauche, autre phénomène hystérique. A un
on naso-labial est plus creusé, les paupières battent légèrement, les
muscles
de la joue et de la lèvre sont le siège de petite
filtration qui se traduisent cli-niquement, soit par la paralysie des
muscles
de l'œil, soit par la névrite optique. Ces lési
an, M. Lemoine a publié, dans le Mercredi Médical, une paralysie des
muscles
de l'œil chez une femme atteinte de syphilis héré
M. Uhthoff, M. Charcot et son école ont montré que les paralysies des
muscles
de l'oeil s'expliquent par les lésions scléreuses
sclérose multilo-culaire envisagés au point de vue des paralysies des
muscles
des yeux, il a trouvé : a). Parésie de l'abduce
oteur oculaire commun, quoique considérées en bloc les paralysies des
muscles
de l'œil soient un peu plus fréquentes dans le ta
commençait; la malade eut quelques tremblements fibrillaires dans les
muscles
de la face, puis il se produisit de la raideur té
cca dée, un peu hésitante et bre-douillée; il est bon de dire que ses
muscles
au repos ne sont pas agités de secousses involont
tous les caractères de la paralysie périphérique, c'est-à-dire que le
muscle
orbiculaire des paupières est paralysé. Les autre
dire que le muscle orbiculaire des paupières est paralysé. Les autres
muscles
de la face sont également complètement pris. La f
le côté droit restant absolument immobile. L'examen électrique des
muscles
a été pratiqué par M. le Dr Vigouroux, le 8 mars
montre qu'il existe une réaction de dégénérescence complète pour les
muscles
faciaux paralysés et pour le peaucier du cou, inn
ux cervicaux de la branche cervico-faciale du nerf facial. Les autres
muscles
du corps sont sains. La sensibilité est intacte
rée. Quand on sollicite l'abduction, c'est-à-dire la contraction du
muscle
droit externe, l'œil n'exécute qu'un très léger m
l'attention sur les spasmes qui compliquent certaines paralysies des
muscles
de l'œil. Ces spasmes, qui intéressent, sur l'œil
s muscles de l'œil. Ces spasmes, qui intéressent, sur l'œil sain, les
muscles
associés des muscles paralysés, donnent assez sou
es spasmes, qui intéressent, sur l'œil sain, les muscles associés des
muscles
paralysés, donnent assez souvent lieu à des erreu
l s'agit d'un trouble du même (1) Parinaud. Spasme et Paralysie des
muscles
de Vœil (Gaz. hebd. de méd. et de chir., 1877, n°
, se porte brusquement en dedans. C'est ce qui constitue le spasme du
muscle
associé. Le muscle droit interne de l'œil gauche,
ent en dedans. C'est ce qui constitue le spasme du muscle associé. Le
muscle
droit interne de l'œil gauche, innervé par le mêm
s d'innervation, soit que la quantité d'innervation destinée aux deux
muscles
dérive sur lui seul, soit que cet excès d'innerva
à la brusquerie de ce mouvement, il semble que la contraction de ce
muscle
droit interne intervienne. Ce déplacement actif d
qu'on dit, mais ne peut répondre, car elle ne cesse de bâiller et ses
muscles
abaisseurs et élévateurs de la mâchoire sont alte
illement la luxation s'effectuait; la malade faisait un effort de ses
muscles
releveurs de la mâchoire et le condyle reprenait
169 IX. Sciatique double primitive avec atrophie dégénérative des
muscles
dans le domaine du poplilé externe et interne.
ic. Caractères cliniques de l'ophthalmoplégie externe : intégrité des
muscles
iriens et pupillaires, atteinte des seuls muscles
rne : intégrité des muscles iriens et pupillaires, atteinte des seuls
muscles
moteurs du globe oculaire. Considérations anatomi
iption de deux cas. Absence de la réaction de dégénérescence dans les
muscles
atrophiés. Cas aigus et subaigus ... 189 XI.
de pax'alysie faciale d'origine hystérique portant seulement sur les
muscles
buccinateur et grand zygomatique. — Superposition
u — dans la syphilis héréditaire tardive, 381. Noyaux bulbaires des
muscles
des yeux, 193. Nutrition dans l'hystérie, 453.
du ptosis spasmodique, 325. Spasme associé dans les paralysies des
muscles
oculaires, 424. Strabisme : déviation primitive
ctions de la moelle ; les affections des nerfs ; les affections des
muscles
; l'hystérie et le pithiatisme ; les troubles p
nergique de flexion de l'avant-bras sur le bras, la contraction des
muscles
de la région antérieure du bras et celle du lon
ntue lorsque le malade cherche à regarder un objet situé du côté du
muscle
paralysé, parce qu'alors le globe oculaire du côt
ion s'accentue notablement lorsque la malade fait fonc- tionner les
muscles
de la face, qu'elle parle ; la commissure droite
ués à droite, comme s'il y avait de ce côté un état spasmodique des
muscles
. Mais on doit se demander si cette asymétrie faci
. Les perturbations dans l'excitabilité électrique des nerfs et des
muscles
offrent, au point de vue qui nous occupe, un gr
électrique des nerfs, l'abolition de la con ractilité faradique des
muscles
I)uchenne (de Boulogne)], l'augmentation de leur
en dedans et présente un raccourcissement apparent très marqué, ses
muscles
sont un peu atrophiés ; les douleurs de la hanc
a hanche et du genou sont extrêmement vives, la raideur s'étend aux
muscles
du tronc et la malade ne peut même pas se mettre
bien observer le mouvement réflexe des orteils. Il importe que les
muscles
du pied et de la jambe ne soient pas en état de c
dans cette attitude, on attendra pour procéder à l'excitation que les
muscles
paraissent bien relâchés. Il n'est pas indiff
t du membre percuté. 2" Il est important que, pendant l'examen, les
muscles
du segment de membre exploré ne se contractent
que très péniblement ou ne parviennent pas du tout à relâcher leurs
muscles
. Plus elles s'efforcent de le faire, moins elle
e changement de position : tel individu qui, assis, contractait ses
muscles
, les relâche lorsqu'il est couché. Par la palpati
xtrémité inférieure et on provoque ainsi la contraction de tous les
muscles
qui flé- chissent l'avant-bras. On obtient au
, peut-être parce que, d'habitude, la contraction se limite au seul
muscle
biceps. On provoque encore pas toujours il est vr
érieure du radius ne provoque de contraction apparente que dans les
muscles
fléchisseurs de l'avant-bras, nous constatons c
outre la réaction des fléchisseurs, des contractions dans d'autres
muscles
plus ou moins éloignés, dans le deltoïde par exem
iège de lésions atteignant des arcs réflexes. On admet que chaque
muscle
est innervé par plusieurs racines (habi- tuelle
e grise) ; c) la voie centrifuge (racine antérieure, nerf moteur ou
muscles
auxquels aboutit ce nerf). CARACTÈRES PERMETTAN
tement au-dessus de l'olécrâne sur le tendon, s'égare et atteint le
muscle
, on provoque une contraction idio- musculaire q
avait semblé aboli : c'est la percussion plusieurs fois répétée des
muscles
de la région explorée. Lorsque l'absence des ré
s, l'irréflectivité s'établit généralement avant que l'atrophie des
muscles
soit complète. Dans la poliomyélite chronique l
et que les lésions eussent déterminé une atrophie considérable des
muscles
. RÉFLEXES TENDINEUX ET RÉFLEXES OSSEUX z Dans
ique » ('). Il nous reste à voir dans quelle mesure les maladies du
muscle
lui-même sont capables de produire l'irréflecti
s dans la myosite aiguë. On conçoit facilement qu'une altération du
muscle
puisse entraver ses fonctions physiologiques. M
vité, dans la myopa- thie, est due à une altération particulière au
muscle
. L'affection décrite par Erb en 1878, communéme
dérée, depuis les travaux de Goldflam et Joly, comme une maladie du
muscle
, peut-elle provoquer de l'irréflecti- vité ? On
rté à croire que cette maladie appartient plutôt à la pathologie du
muscle
qu'à celle du système nerveux ; l'absence des c
tilité volitionnelle, de l'excitabilité électrique des nerfs et des
muscles
, de l'excitabilité idio-musculaire et des réfle
lectivité lorsque, le sujet ne contrac- tant pas volontairement ses
muscles
, l'excitation d'un tendon détermine dans le gro
s doit être obtenu en l'absence de toute contraction volontaire des
muscles
de la jambe ; alors seulement on a le droit de co
se prêtant à ces recherches, mettant, quand on les y invite, leurs
muscles
dans le relâchement, état dans lequel la trépid
tenir volon- tairement, pendant plusieurs minutes consécutives, les
muscles
au degré nécessaire de contraction, et par cons
tion ; plus forte, elle détermine, en outre, des réactions dans les
muscles
du membre inférieur se manifestant principaleme
si appelé « spasme fonctionnel du cou », où l'activité anormale des
muscles
cervicaux et la raideur qui en est la conséquence
ations fréquentes qui résul- tent de contractions involontaires des
muscles
des membres inférieurs ; ces contractions sont
les sont sous la dépendance d'un affaiblissement de la tonicité des
muscles
; il suffit de saisir entre les doigts les lèvr
flaccidité ou dans celle de contracture. L'action prédominante des
muscles
de la face du côté sain est particu- lièrement
apparente quand le malade parle; on constate alors aisément que les
muscles
des lèvres fonctionnent de ce côté d'une manière
les de motilité que l'hystérie peut engen- drer dans le domaine des
muscles
de la face, ce sont des phénomènes de nature sp
loin d'être la conséquence d'un affaiblissement de la tonicité des
muscles
, il est une manifestation de leur activité. Jamai
sculaire. L'absence de toute perturbation de ce mode d'activité des
muscles
donne à la paralysie faciale hystérique comme d
que sur un ou plusieurs systèmes de mouvements volontaires que les
muscles
de la face sont appelés à exécuter. Chez tel ma
bservé ce trouble qui consiste en ce que, dans certains actes où le
muscle
peaucier entre en jeu, la contraction de ce mus
ains actes où le muscle peaucier entre en jeu, la contraction de ce
muscle
est plus énergique du côté sain que du côté (1)
s à accomplir et qui se mani- feste par la prédominance d'action du
muscle
du côté normal ; je propose d'appeler simplemen
te perturbation dans l'hémiplégie organique n'est pas limi- tée aux
muscles
de la face; elle est simplement plus apparente là
lus accentuée de ce côté. L'affaiblissement de la tonicité dans les
muscles
du membre supérieur peut encore être décelé de
cienne avec exagération des réflexes tendineux. (1) Relâchement des
muscles
dans l'hémiplégie organique, par J. Babinski. C.
obtenue par la mise en activité inconsciente ou sub-consciente des
muscles
qui étendent la cuisse sur le bassin. Je suppos
ent la cuisse sur le bassin. Je suppose que c'est la parésie de ces
muscles
qui est la cause du phé- nomène qui nous occupe
e croire que, dans cet acte, le sujet se borne à faire contracter les
muscles
qui inclinent le tronc en arrière. S'il en étai
née de la cuisse et du tronc dans plusieurs cas de sciatique où les
muscles
extenseurs de la cuisse sur le bassin étaient a
me parait être le résultat de l'action limitée à un côté du corps des
muscles
qui inclinent le tronc en avant. Dans l'hémip
ommande au sujet en observation de fermer les yeux, de relâcher les
muscles
des membres inférieurs et, pour arriver plus fa
ver plus facilement à ce but, de faire contracter énergiquement les
muscles
des membres supérieurs. Malgré ces précautions on
st d'une durée excessive, soit parce que le mode de contraction des
muscles
ou la nature du mouvement ne présente pas les c
nt réflexe est simplement masqué par une contraction volontaire des
muscles
de la paroi abdominale. Quoi qu'il en soit, l
ontracture hystérique, je dirai qu'une contrac- tion volontaire des
muscles
peut la reproduire exactement, tandis que la co
ns la plupart des mouvements volontaires sinon dans tous, plusieurs
muscles
entrent en jeu et il n'appartient pas à la volo
et il n'appartient pas à la volonté d'exclure de l'action un de ces
muscles
. L'ouverture énergique de la bouche, ainsi qu'une
éraux de la face peuvent être complè- tement abolis, tandis que les
muscles
du côté de l'hémiplégie fonctionnent norma- l
r et ne peut être repro- duite par une contraction volontaire des
muscles
. go L'évolution est régulière ; la contrac- t
ntracture peut être reproduite par une contraction volontaire des
muscles
. go L'évolution est capricieuse; la para- lys
sulte des recherches faites par mon élève Barré. La contraction des
muscles
de la paroi abdominale provoque un retrait de l'a
inale provoque un retrait de l'abdomen; celle m8 8 SEMIOLOGIE des
muscles
de la paroi thoracique produit des spasmes respir
ceux des membres ou les suivent à très court intervalle. Enfin, les
muscles
profonds du tronc, ceux qui sont en partie volont
u ceux qui sont spécialement adaptés à la vie végétative, comme les
muscles
intestinaux et les muscles vésicaux, peuvent égal
t adaptés à la vie végétative, comme les muscles intestinaux et les
muscles
vésicaux, peuvent égale- ment entrer en contrac
ux, peuvent égale- ment entrer en contraction en même temps que les
muscles
des membres ; les malades ont parfois alors des
ontaires qui témoignent de la mise en activité de certains de leurs
muscles
lisses. A priori, l'expression de réflexe de dé
nts des membres ; il est certain cependant que les contractions des
muscles
du tronc que nous avons envisagées sont du même o
vement, flexion ou extension, on constate des contractions dans les
muscles
de groupes opposés, et l'on peut concevoir que le
er qu'il n'y avait pas trace de réaction de dégénérescence dans les
muscles
de la jambe. M. Walshe récuse cette Observation
Esmarch agit en supprimant momentanément l'excitabilité réflexe des
muscles
ischémies » Les muscles extenseurs, par suite d
momentanément l'excitabilité réflexe des muscles ischémies » Les
muscles
extenseurs, par suite des dispositions anatomique
xion bien qu'il n'existe pas de réaction de dégénérescence dans les
muscles
de la jambe. Avant de terminer ce chapitre, je
flexes tendineux parce que la réaction, au lieu de s'opérer dans le
muscle
dont le tendon est excité, se manifesterait dan
l y a une lésion de la voie pyramidale, produit une contraction des
muscles
extenseur propre du gros orteil, jambier antéri
eil, jambier antérieur, extenseur commun des orteils et parfois des
muscles
péroniers. Van Gehuchten, dans un travail prése
en observer parfois de ce côté une contraction du quadriceps et des
muscles
du mollet, mais sans déplacement du membre. L
sulte des recherches faites par mon élève Barré. La contraction des
muscles
de la paroi abdominale provoque un retrait de l'a
de la paroi abdominale provoque un retrait de l'abdomen ; celle des
muscles
de la paroi thoracique produit des spasmes respir
ceux des membres ou les suivent à très court intervalle. Enfin, les
muscles
profonds du tronc, ceux qui sont en partie volont
u ceux qui sont spécialement adaptés à la vie végétative, comme les
muscles
intestinaux et les muscles vésicaux, peuvent égal
t adaptés à la vie végétative, comme les muscles intestinaux et les
muscles
vésicaux, peuvent égale- ment entrer en contrac
ux, peuvent égale- ment entrer en contraction en même temps que les
muscles
des membres; les malades ont parfois alors des
ontaires qui témoignent de la mise en activité de certains de leurs
muscles
lisses. » Y a-t-il là des éléments de différenc
tions fréquentes qui résul- tent des contractions involontaires des
muscles
des membres inférieurs; ces contractions sont h
e. Mais, pour qu'il se développe de la contracture, il faut que les
muscles
aient un certain degré de tonicité que n'atteig
tonicité que n'atteignent pas, même après la période de shock, les
muscles
dans les cas de paraplégie consécutive à une se
deux mouvements ont une connexion d'ordre mécanique. L'action du
muscle
couturier ne permet plus d'expliquer ce phéno-
l'immobilisation du bassin ne peut empêcher la contrac- tion de ce
muscle
et devrait plutôt faciliter la flexion de la jamb
de la jambe ne puisse se produire malgré une forte contraction des
muscles
fléchisseurs, il faut qu'elle soit entravée par l
seurs, il faut qu'elle soit entravée par l'ac- tion antagoniste des
muscles
extenseurs. Or, ceux des extenseurs de la jambe
peuvent être influencés par la position du bassin ; ce n'est que le
muscle
droit anté- rieur, fixé en haut à l'os iliaque,
n ; et inversement le rapprochement des deux points d'attache de ce
muscle
, produit par la flexion de la cuisse sur le bas
mouvement conjugué de flexion a pour cause première la tension d'un
muscle
appartenant au groupe des extenseurs(=). Il n
a jambe. Si ce relâchement fait défaut, comme cela a lieu quand ces
muscles
sont en état de contraction ou de contracture,
de la flexion du pied, elle s'explique aisément par ce fait que les
muscles
jumeaux ont leur point d'attache au fémur. Qu
jambe, elle pour- rait être attribuée en partie au relâchement des
muscles
jumeaux, et, pour une autre part, à la traction
érale, on peut dire que ces mouvements résultent de ce que certains
muscles
ont des connexions avec trois segments, qu'ils so
Il 1 16a SEMIOLOGIE plus fréquente : elle augmente la tension des
muscles
et entrave le relâ- chement des antagonistes, c
rs sont à peu près normaux, mais on constate une parésie des autres
muscles
, particulièrement du triceps, des pronateurs, des
oncés à gauche ; ils sont au contraire très marqués à droite. Les
muscles
de la paroi abdominale paraissent parésiés du côt
du corps. L'exécution normale de la marche implique l'intégrité des
muscles
qui opèrent ces mouvements et la synergie entre
r brusquement une impulsion motrice et aussitôt après de donner aux
muscles
une impulsion nouvelle, et l'on comprend très b
SÉMIOLOGIE E ne saurait en effet être attribuée à une paralysie des
muscles
qui dans la marche impriment au tronc une propu
immobilisation de la cuisse est obtenue par la mise en activité des
muscles
qui étendent la cuisse sur le bassin. Je supp
t la cuisse sur le bassin. Je suppose que c'est la parésie de ces
muscles
qui provoque dans l'hémiplégie le mouvement ass
ous avons bien spécifié, en effet, qu'il s'agit de malades dont les
muscles
ont toute leur vigueur. Nous sommes donc obligé
cérébelleux, est caractérisé par « la propriété que présentent les
muscles
soumis à l'influence de la volonté de se mainte
e du courant, mais contrairement à ce qui a lieu quand on excite un
muscle
avec le courant voltaïque, continue après la ferm
observé certaines modifications de l'excitabilité électrique des )
muscles
après la mort qui, à ma connaissance, n'ont pas e
ilité des nerfs se perd toujours avant la contractilité directe des
muscles
et que l'excitabilité disparaît plus vite pour
Chez la grenouille, la diminution de l'irritabilité électrique des
muscles
, après la mort, serait précédée d'une période d
Enfin, d'après Jeanselme et Lermoyez('), chez les cholé- riques, le
muscle
avant de mourir passerait une période caractérisé
sternale. (') Archives de Physiologie, tri. 1,'LECTROI,OGIE 219
Muscles
de la face. L'excitabilité faradique directe et l
eture, la commissure du côté électrisé se porte en haut en arrière.
Muscle
deltoïde droil. Contractilité faradique abolie. A
s nerfs médian, cubital et radial ne provoque aucune contraction.
Muscles
de l'avant-bras. - Pas de différence bien nette e
. F. C. manque. Avec 25 volts et 20 milliampères. P. F, C. forte.
Muscles
de la région antéro-externe de la jambe gauche. A
- pères, N. F. C. < P. F. C. avec 33 volts et 53 milliampères.
Muscles
trapèze droit. Avec 33 volts et 4o milliampères,
l'électrode indifférente est appliquée à la région cervico-dorsale.
Muscle
de la face du côté droit. L'excitabilité faradiqu
onc du nerf facial sont abolies. L'excitabilité faradique directe des
muscles
de la face donne lieu à une contraction mais ce
lectrisé, à la fermeture à une contraction de la partie inférieure du
muscle
orbiculaire des paupières, tandis que les lèvre
avant; avec P la commissure labiale se porte en haut et en arrière.
Muscle
deltoïde droit. Abolition de la contractilite far
te faradique et de la contraction voltaïque. 220 , ' SÉMIOLOGIE
Muscles
de la région postérieure de lavant-bras droil. Co
adique très faible. Pas de différence entre. P. F. C. et N. F. C.
Muscles
de la région antérieure de l'avant-bras droit. Co
observations l'une à l'autre, nous voyons qu'en ce qui concerne les
muscles
des membres il y a entre elles des dif- férence
dégagent ces notions nouvelles que chez l'homme, après la mort, les
muscles
ou tout au moins certains muscles, particulière-
chez l'homme, après la mort, les muscles ou tout au moins certains
muscles
, particulière- ment ceux de la face, avant de p
; P. O. C., que, par conséquent, la contractilité électrique de ces
muscles
subit après la mort des modifica- tions qui, à
nce des modifications histo-chimiques qui se dévelop- pent dans les
muscles
dont les nerfs sont dégénérés. Mais si l'on consi
ères de réaction de dégénérescence peuvent apparaître dans certains
muscles
, ceux de la face, ainsi que je l'ai indiqué (2),
action de dégénérescence tient, au moins pour une part, à ce que le
muscle
est alors complètement soustrait à l'influence
t légitime, pour expliquer la réaction de dégénéres- cence dans les
muscles
après la mort, de supposer qu'elle est due à ce
sité égale, la contraction consécutive de l'excitation du nerf ou des
muscles
était toujours plus forte du côté malade que du
al, et de 3 milliampères à Il milliampères et demi si on excitait les
muscles
, alors que du côté malade le tronc du facial, t
les muscles, alors que du côté malade le tronc du facial, tous les
muscles
innervés par le facial (') Dans des expériences
GIE supérieur réagissaient avec i milliampère et demi et les autres
muscles
avec 2 milli- ampères. La contraction pour tous
autres muscles avec 2 milli- ampères. La contraction pour tous les
muscles
était brève et en éclair ; il n'y avait aucune
réaction lente ou d'inversion de la formule. Le nerf facial et les
muscles
faciaux du côté paralysé sont aussi hyperexcitabl
t le tronc du facial, utiliser T divisions de la bobine et pour les
muscles
entre 9 divisions et 11 divisions et demie. Du
ie. Du côté malade le facial est excitable à la division de 12 et les
muscles
entre i 1 et demi et 12. La différence est nett
ble avec 4 milliampères et celui du côté malade avec 2 et demi. Les
muscles
sains sont exci- tables entre 3 et 4 milliampèr
Les muscles sains sont exci- tables entre 3 et 4 milliampères, les
muscles
du côté malade réagissent avec 1, 1 et demi, 2
niveau de l'os malaire. La contraction musculaire est pour tous les
muscles
brève, en éclair; il n'y a pas de contraction l
tion. Elle diffère absolument de l'hypoexcita- bilité voltaïque des
muscles
qui appartient à la D. R. L'hyperexcitabilité é
ne certaine mesure. En ce qui concerne l'excitabilité voltaïque des
muscles
de la jambe, il est à noter que la secousse de
lente qu'à l'état nor- mal. Il y a aussi, principalement dans les
muscles
du mollet, de la lenteur de la secousse faradiq
e la lenteur de la secousse provo- quée par l'excitation directe du
muscle
, et de la lenteur de la secousse consécutive à
ptible au tact mieux encore qu'à la vue : lorsqu'on applique sur le
muscle
les deux élec- trodes et qu'on tient entre les
on anticipée des secousses faradiques était très manifeste dans les
muscles
du mollet, je disais ceci : « Le phénomène en q
tible au tact mieux encore qu'à la vue : lorsqu'on applique sur les
muscles
les deux électrodes et qu'on tient entre les do
que la lenteur de la secousse provoquée par l'excitation directe du
muscle
est surtout marquée, or, lenteur de la secousse
ptibles à la vue aussi bien qu'au tact. C'est certainement dans les
muscles
de la plante du pied que la fusion anticipée de
olaire et l'hypoexcitabilité faradique qu'on peut observer dans les
muscles
dont le nert moteur n'est pas lésé et qui ont été
ies dites fonctionnelles et plus parti- culièrement dans les petits
muscles
de la main ou du pied. Sous l'influence du réch
le groupe des troubles d'ordre réflexe, l'exitabilité mécanique des
muscles
qui est connexe à l'excitation voltaïque. Ils ont
usion anti- cipée des secousses est souvent très apparente dans les
muscles
de la main, en particulier dans ceux de l'émine
n peut presque affirmer, a priori, que l'excitabilité mécanique des
muscles
est exagérée et que la secousse musculaire est
essortir l'intérêt qu'il y a à examiner l'état de l'excitabilité du
muscle
, quand le membre est froid, et après réchauffem
e dégénérescence des nerfs qui ne sont pas altérés, ce fait que des
muscles
normaux peuvent, sous l'in- fluence de la réfri
lerons batte- rie 2, soit à un appareil faradique, sont placées sur
muscle
dont on se propose de faire l'exploration élect
ration électrique. Nous commençons d'abord par faire contracter les
muscles
en faisant usage de la batterie 2 ou de l'appar
ant de 10 à 20 milliampères ; cela fait, nous excitons de nouveau les
muscles
avec la batterie n° 2. Lorsque les deux pôles
mé notre manière de voir. On constate, dans certains cas, que les
muscles
qui ne réagissent pas à des courants faradiques
rne est absolument inexci- table au galvanique et au faradique. Les
muscles
du groupe antéro-externe présentent l'inexcitab
oie dans la pratique courante, on puisse obtenir la contraction des
muscles
présen- tant cette réaction, sans avoir recours
Pour le nerf : inexcitabilité faradique et galvanique ; 2° Pour le
muscle
: excitabilité faradique latente, contraction len
impuissant à exciter la fibre musculaire. Un certain nombre de ces
muscles
inexcitables en apparence au fara- diques devie
pour mettre en évidence leur excitabilité faradique latente. Ces
muscles
pourront être traités avec le faradique qui ne co
omporte aucun danger de brûlure et qui est un excellent excitant du
muscle
. 2° Galvano-galvanique simultané. On sait que d
On sait que dans les cas de polio- myélite, de névrite, lorsque les
muscles
sont très atrophiés, il est parfois impossible
tion facile, et l'orifice créé artificiellement est protégé par le
muscle
tem- poral. Je passe sous silence les détails
puis apparurent des mouvements spasmodiques involontaires dans les
muscles
du membre supérieur gauche et du cou, qui allèren
ien gauche. On a noté aussi parfois quelques légères contractions des
muscles
de la face du côté gauche. De plus, quand les m
à celui qui serait obtenu par une contraction exclusive de ces deux
muscles
et comparable à celle que déterminerait leur élec
née à gauche, elle s'incline même légèrement à droite, comme si les
muscles
du côté opposé entraient en SUR UN CAS D'HÉMISP
à tout instant on observe des contractions spasmodiques de certains
muscles
du cou, principalement du sterno-mastoïdien dro
l'épaule, qui, à certains moments, deviennent très pro- noncés ; le
muscle
trapèze de ce côté est tendu, le dos de la main r
fortement contractés. Les deux trapèzes, le gauche surtout, et les
muscles
de la nuque le sont également. Cette attitude n
trépidation du membre tout entier, de l'épaule à la main : tous les
muscles
sont le siège de spasmes incessants avec relâche-
vements passifs, on met en évidence un état de spasme permanent des
muscles
adducteurs du bras : grand pectoral, grand rond e
Dans la marche, le sujet avance et lève l'épaule gauche et tous les
muscles
de son cou se contractent, quoiqu'à un degré bi
e moteur. Les spasmes existent pourtant et on les remarque dans les
muscles
de la cuisse lorsque le sujet est couché. Celui-c
t est couché. Celui-ci se plaint du reste de crampes fréquentes des
muscles
postérieurs de la cuisse quand, accroupi ou à gen
modes de la sensibilité sont normaux. Les réactions électriques des
muscles
se sont montrées absolument normales sauf celle
plus creux, plus large et plus trapu que le pied droit. Enfin, les
muscles
du mollet remplis, dans leur partie charnue, pa
nage, il s'est produit quelques contractions involontaires dans les
muscles
du cou ; mais ces troubles, d'ailleurs intermit
minuée de volume ; de plus, la contractilité électrique de ces deux
muscles
étaient profondément troublée : les courants fara
erno-mastoïdiens ; avec les courants voltaïques on obtenait dans ce
muscle
PF > NF et la contrac- tion, très faible, se
ontaires extrêmement intenses et pénibles dans le domaine de divers
muscles
de la face et du cou, des sterno-mastoïdiens en
je crois pouvoir dire que chez l'homme adulte la dégénération d'un
muscle
, consécutive à la section complète de son nerf,
n du sterno- mastoïdien et du trapèze se produit grâce à ce que ces
muscles
reçoivent des nerfs de deux sources différentes
j'ai dit précédemment : je ne soutiens pas que la dégénération des
muscles
innervés par le médian, le cubital, le facial, so
ortir, c'est que le spasme n'a pas pour siège unique le domaine des
muscles
innervés par le spinal. Cette objection aurait de
pinal, de faire disparaître d'une manière immédiate les spasmes des
muscles
que la XIe paire n'innerve pas. Mais leurs visées
dans certains cas du moins, alors que le spasme prédomine dans les
muscles
soumis au spinal, notamment le sterno-mastoïdie
rno-mastoïdien, il y avait tout lieu d'espérer qu'en paralysant ces
muscles
, on obtiendrait un effet sédatif d'une durée plus
i l'on intervient lorsque le spasme est généralisé à la plupart des
muscles
du cou ; mais, même dans les cas les plus favorab
tivement on constatait bien, il est vrai, quelques spasmes dans les
muscles
du cou, mais ils étaient très légers, ne déterm
ervation d'un malade atteint de mouve- ments spasmodiques de divers
muscles
de la face et du cou, des sterno-mas- toïdiens
aciliter le déclenchement de la parole : l'excitation faradique des
muscles
de la face, la respiration profonde, le rire pr
fait manifestement un effort qui se traduit par une contraction des
muscles
de la face, des peauciers, des muscles de la nu
duit par une contraction des muscles de la face, des peauciers, des
muscles
de la nuque. Ses yeux se ferment, sa tête se re
er les mouve- ments avec lenteur. La contractilité électrique des
muscles
des membres est normale. Les mouvements de flex
d'extension du tronc sur le bassin. La contractilité électrique des
muscles
du tronc est normale, sauf en ce qui concerne l
n ce qui concerne le trapèze droit; dans la portion cervicale de ce
muscle
il y a simplement un affaiblissement de l'excit
andis que du côté gauche l'électrisation de la partie moyenne de ce
muscle
, pratiquée entre le bord interne de l'omoplate
rno-mastoïdien la D R. Les mouvements unilatéraux et bilatéraux des
muscles
de la face sont plus difficiles et moins étendu
tation de la fosse nasale gauche provoque une contraction réflexe des
muscles
de la face du côté correspondant; du côté droit
tère fondamental de cet état, c'est la propriété que présentent les
muscles
soumis à l'influence de la volonté de se mainteni
mouvoir ses membres qui ne sont ni contractures ni atrophiés , les
muscles
réagissent normalement aux excitations électriq
à la piqûre et au froid est normale. La contractilité électrique des
muscles
des membres inférieurs est aussi normale. La ma
ison à gauche de la tête qu'on a beaucoup de peine à redresser. Les
muscles
sont dans un état d'hyperexcita- bilité remarqu
s prononcés, aux membres infé- rieurs ; parfois la percussion des
muscles
de la jambe donne lieu, en même temps qu'à un
la jambe donne lieu, en même temps qu'à une contraction de ces
muscles
, à des secousses dans les muscles de la par-
s qu'à une contraction de ces muscles, à des secousses dans les
muscles
de la par- tie supérieure du corps, des pecto
neau, qui distend le sac de la dure-mère et comprime la moelle. Les
muscles
des membres inférieurs sont plus (') Voir : Du
urs accès d'épilepsie jacksonienne du côté droit commençant par les
muscles
de la face, gagnant ensuite le membre supérieur,
gner, d'une manière inter- mittente, de secousses involontaires des
muscles
des membres inférieurs, se répétant avec rapidi
qu'elles diffèrent totalement des secousses qui peuvent agiter les
muscles
dans le tabes dorsal spasmodique. Contraireme
rès affaiblis ou abolis, sans que la contractilité élec- trique des
muscles
ait subi de perturbation ; c'est ce qui a lieu ch
lablement, atteinte de sclérose multiloculaire. Il est vrai que les
muscles
de cette femme, qui présente à un degré très marq
17. PARAPLÉGIE SPASMODIQUE ORGANIQUE 337 citabilité mécanique des
muscles
. Les mêmes signes se montrent, plus discrets, a
; contractions toniques rythmées de la moi- tié sous-ombilicale du
muscle
grand droit, des deux dernières digitations cos
nt la crise, il existe un synchronisme parfait des contractions des
muscles
lisses de 34o .UMPLHCS AFFECTIONS DE LA MOELLE
CS AFFECTIONS DE LA MOELLE la peau (innervation sympathique) et des
muscles
striés de l'abdomen et du membre inférieur (inn
aque crise elle-même est discontinue, les contractions toniques des
muscles
lisses et striés, la sudation, la réaction pilomo
IIÉMISYNDROME SYMPATHIQUE ET MÉDULLAIRE 3. 1 Iules radiculaires des
muscles
intéressés. Cette lésion devrait être toute- fo
dont le tendon d'Achille est le point de départ et qui aboutit aux
muscles
exten- seurs du pied sur la jambe, mais qu'il n
mbre supérieur droit une atrophie et une faiblesse très marquée des
muscles
de l'épaule (du deltoïde surtout), du biceps, d
), du biceps, du brachial antérieur, du long supinateur. Les autres
muscles
de l'avant- Badinski. a5 -fi Fig. 07. - E..
aume. On est frappé de suite par une atrophie marquée localisée aux
muscles
de la ceinture scapulaire : deltoïde, sus et sous
côtés. ' L'excitabilité faradique et l'excitabilité galvanique des
muscles
atrophiés est très affaiblie mais on ne constat
trophie des deltoïdes et celle COMPRESSIONS MÉDULLAIRES 383 des
muscles
de l'épaule traduisaient la participation, si ce
D D. Hémostase des vaisseaux aux agrafes Michel. Décollement des
muscles
à la ru- gine. Ablation des apophyses D 5 à D g
membres inférieurs dans la position d'extension et d'adduction. Les
muscles
du ventre et de la région lombaire sont égaleme
rouve au niveau du quatrième segment lombaire, tandis que celui des
muscles
du mollet a son siège dans le premier et deuxiè
ectrique du triceps brachial ; abolition du réflexe du tendon de ce
muscle
. Cette affection a été souvent méconnue, sans d
pendant que la fatigue générale et les mouve- ments volontaires des
muscles
de la face accentuent ordinairement le mal; d'aut
ulaires, ce qui veut dire qu'elles sont d'abord limitées à quelques
muscles
, à quelques portions de muscles dans lesquels l
lles sont d'abord limitées à quelques muscles, à quelques portions de
muscles
dans lesquels les mouvements convulsifs restent
s aux autres d'une manière contradictoire. On voit, par exemple, le
muscle
peaucier se contracter en même temps que la commi
association la plus singulière est la suivante : en même temps que le
muscle
orbiculaire de l'oeil se contracte et que l'oei
e de l'oeil se contracte et que l'oeil se ferme, la partie interne du
muscle
frontal se contracte et la peau de cette région
r simuler l'incurvation du nez, mais il faut alors mettre enjeu les
muscles
des deux côtés de la face, tandis que dans l'hé
cette déformation est obtenue par la contraction unilaté- rale des
muscles
faciaux. C'est ensuite la synergie paradoxale. M.
s de contractions musculaires qui correspondent très exactement aux
muscles
innervés par le nerf irrité, mais qui ne répond
ue à son tour au noyau de la VII" paire, qui envoie la décharge aux
muscles
orbi- culaires qu'il commande. Voilà donc l'arc
gie avec l'hémispasme primitif. HUITI/ti1lE PARTIE AFFECTIONS DES
MUSCLES
1 MYOPATHIE PROGRESSIVE PRIMITIVE : - SUR L
- SUR LA CORRÉLATION QUI EXISTE ENTRE LA PRÉDISPOSITION DE CERTAINS
MUSCLES
A LA MYOPATHIE ET LA RAPIDITÉ DE LEUR DÉVELOP
lisation de l'affection dans telle ou telle région, dans tel ou tel
muscle
ou groupe musculaire. Mais auparavant, nous rap
nous rappellerons que, dans certaines variétés de la myopathie, les
muscles
sont augmentés de volume (pseudo-hypertrophie),
la Revue de médecine (février et avril 1885). 446 AFFECTIONS DES
MUSCLES
et, à ce point de vue, ce que nous dirons s'app
de M. Charcot, le début se fait par les membres inférieurs, et les
muscles
qui sont atteints primitivement et avec le plus
plus d'intensité sont, à la cuisse : le triceps ; à la jambe : les
muscles
de la région antéro-externe. L'affection peut env
région antéro-externe. L'affection peut envahir ensuite les autres
muscles
des membres inférieurs, mais il en est quel- qu
, par l'orbiculaire des lèvres et l'orbiculaire des yeux ; d'autres
muscles
de la face peuvent se prendre, mais les mastica
muscles de la face peuvent se prendre, mais les masticateurs et les
muscles
moteurs du pavillon de l'oreille ne sont jamais
amais affectés ; les membres supérieurs se prennent ensuite, et les
muscles
qui sont primitivement et le plus profondément
ement et le plus profondément atteints sont, à l'épaule : parmi les
muscles
intrinsèques de la région, le deltoïde; parmi l
parmi les muscles intrinsèques de la région, le deltoïde; parmi les
muscles
extrinsèques, les pectoraux, le grand dorsal, l
achial antérieur, mais l'atrophie du triceps suit de près celle des
muscles
précédents ; à l'avant-bras : le long supinateur;
uscles précédents ; à l'avant-bras : le long supinateur; les autres
muscles
du membre supérieur sont souvent envahis dans la
pos de la forme infantile de Duchenne, la participation de certains
muscles
du tronc qui sont en même temps des muscles ext
rticipation de certains muscles du tronc qui sont en même temps des
muscles
extrinsèques de l'épaule. Mais quelle que soit la
paule. Mais quelle que soit la forme à laquelle on ait affaire, ces
muscles
se prennent avec rapidité, et le grand dorsal e
cles se prennent avec rapidité, et le grand dorsal est peut-être le
muscle
de l'économie qui est le plus souvent atteint. Pa
IVE PRIMITIVE 441 Signalons spécialement à ce sujet la main, où les
muscles
interosseux, en particulier, sont presque toujo
l'invasion soit initiale ou terminale, ce sont tou- jours les mêmes
muscles
qui sont atteints ; ainsi, par exemple, lorsque
ue région et dans chaque segment de membre, il y a entre les divers
muscles
des différences considérables au point de vue d
donnerons un qua- lificatif pour fixer les idées, la catégorie des
muscles
prédisposés, celle des muscles réfractaires, ce
ur fixer les idées, la catégorie des muscles prédisposés, celle des
muscles
réfractaires, celle enfin des muscles intermédiai
uscles prédisposés, celle des muscles réfractaires, celle enfin des
muscles
intermédiaires. Nous avons pu examiner avec dét
tuée, car, dans les cas auxquels nous faisons allusion, ce sont des
muscles
intermé- diaires qui sont pris, alors que les m
, ce sont des muscles intermé- diaires qui sont pris, alors que les
muscles
prédisposés sont intacts ; mais chez aucun mala
e on ne peut constater dans une région quelconque l'altération d'un
muscle
réfractaire coïncidant avec l'intégrité d'un musc
l'altération d'un muscle réfractaire coïncidant avec l'intégrité d'un
muscle
prédisposé. Nous allons aborder maintenant le
herches. Quelle peut être la cause de la prédisposition de certains
muscles
à la myo- pathie ? ' ? Pourquoi, au contraire
s muscles à la myo- pathie ? ' ? Pourquoi, au contraire, certains
muscles
sont-ils réfractaires à V affection ? } Ce sont
est ainsi, il paraît vraisemblable que l'inégale participation des
muscles
à l'atrophie est en relation avec les différenc
e est en relation avec les différences dans le développement de ces
muscles
. Partant de cette hypothèse, nous avons fait des
te hypothèse, nous avons fait des investigations 448 AFFECTIONS DES
MUSCLES
dans cette voie, et nous sommes arrivés, comme
sommes arrivés, comme on va le voir, à constater que les différents
muscles
qui composent les différents segments du corps
un objet d'étude favorable. Nous devons dire immédiatement que les
muscles
ne nous ont pas sem- blé présenter de différenc
de vue des différences histologiques qui existent entre les divers
muscles
. Le long supinateur est le muscle dont le dével
qui existent entre les divers muscles. Le long supinateur est le
muscle
dont le développement est le plus avancé. Les f
le sarcolemme. Les fléchisseurs des doigts sont, au contraire, les
muscles
dont le déve- loppement est le moins avancé ; l
s se contenter, pour soute- nir qu'il y a une différence entre deux
muscles
au point de vue de leur degré de développement,
au point de vue de leur degré de développement, d'examiner dans ces
muscles
quelques fibres en particulier. En effet, Grütz
quelques fibres en particulier. En effet, Grützner a montré que les
muscles
de l'homme sont mixtes, c'est-à-dire qu'ils se
, de fibres inégalement développées Q. Il faut donc examiner chaque
muscle
dans une grande étendue. Les radiaux et le rond
dité, indiquer par des chiffres le degré de développement de chaque
muscle
. Si, par exemple, nous fixons au (') Dans les f
es normales. Voir à ce sujet : Des modifications que présentent les
muscles
il la suite de la section des nerfs qui s'y rende
de l'Académie des sciences, 7 février 1884). (2) Voir, au sujet des
muscles
rouges et des muscles blancs : i° Le Traité tec
nces, 7 février 1884). (2) Voir, au sujet des muscles rouges et des
muscles
blancs : i° Le Traité technique d'histologie de
hiffres pour donner une idée de leur degré de développement. Main :
Muscles
de l'éminence thénar, 2 ; muscles de l'éminence h
ur degré de développement. Main : Muscles de l'éminence thénar, 2 ;
muscles
de l'éminence hypo- thénar, 2. Bras : Biceps,
inence hypo- thénar, 2. Bras : Biceps, 3 ; triceps, 3. Épaule :
Muscles
extrinsèques : deltoïde, 4 ; sous-épineux, 3 ; so
trinsèques : deltoïde, 4 ; sous-épineux, 3 ; sous- scapulaire, 3.
Muscles
extrinsèques : Grand dentelé, 5 ; grand dorsal, 5
ire du trapèze, 2. Face : Orbiculaire des lèvres, 5 ; masséter, 2 ;
muscles
moteurs du pavillon de l'oreille, i. Membres
rieur, 5. Si l'on compare dans chaque segment du corps les divers
muscles
au double point de vue auquel nous nous sommes
développement et leur degré de prédispo- sition à la myopathie. Aux
muscles
prédisposés correspondent des muscles dont le d
o- sition à la myopathie. Aux muscles prédisposés correspondent des
muscles
dont le développement est rapide, et réciproque
. C'est ainsi, par exemple, qu'à l'avant-bras, le supinateur est un
muscle
à la fois prédis- posé et à développement rapid
et à développement rapide, que les fléchisseurs des doigts sont des
muscles
réfractaires et qui se développent lentement ; en
sente un inté- rêt tout particulier ; la portion claviculaire de ce
muscle
est réfractaire, la portion adductrice est préd
les sujets le développement n'est pas toujours identique, et qu'un
muscle
dont le développement est générale- ment rapide
la myopathie dans certains BAui.NsKi. 29 9 450 '. AFFECTIONS DES
MUSCLES
muscles, tiendrait ainsi sous sa dépendance la
hie dans certains BAui.NsKi. 29 9 450 '. AFFECTIONS DES MUSCLES
muscles
, tiendrait ainsi sous sa dépendance la localisati
cette affection ? Nous venons de voir que chez les myopathiques les
muscles
prédisposés sont ceux dont le développement est
les prédisposés sont ceux dont le développement est rapide, que les
muscles
réfractaires sont ceux qui se développent tardi
établir une loi de corrélation entre le degré de prédisposition des
muscles
à la myopathie et le degré de rapidité de leur
urait commencé à éprouver aux membres supérieurs 452 AFFECTIONS DES
MUSCLES
et aux membres inférieurs une faiblesse qui se
actilité volitionnelle ; ces troubles atteignent principalement les
muscles
de la racine des membres. Le malade ne peut soule
ates se détachent du tronc; il y a de l'atrophie des deltoïdes. Les
muscles
du bras et les longs supinateurs sont diminués
près normales. La flexion de la cuisse sur le bassin est faible. Les
muscles
de la cuisse sont un peu atrophiés ; cependant
culaire est notablement amoindrie ou abolie dans un grand nombre de
muscles
. Elle est complètement abolie, des deux côtés, da
re de muscles. Elle est complètement abolie, des deux côtés, dans les
muscles
de l'épaule, dans le biceps brachial, le tricep
s fléchisseurs et les extenseurs de la main et des doigts, dans les
muscles
du mollet et de la région antérieure de la jamb
uscles du mollet et de la région antérieure de la jambe. Tous les
muscles
dont la contractilité volitionnelle est amoindrie
usculaire. Ce phénomène qui s'observe ici dans un grand nom- bre de
muscles
a été d'ailleurs expressément signalé par Erb, Be
nt coïncide avec une perturbation des réflexes tendineux : dans les
muscles
du bras et de la cuisse qui ont perdu leur exci
tionnelle et l'excitabilité électrique : on voit, en effet, que les
muscles
du bras et de la cuisse qui sont inexcitables par
ord flagrant avec l'observa- tion ; soutenir à un individu dont les
muscles
fonctionnent d'une manière normale qu'il est pa
réflexes tendineux et osseux du membre paralysé sont normaux et les
muscles
ne présentent pas la D R ; nous pouvons affirme
ccord flagrant avec l'observation ; soutenir à un individu dont les
muscles
fonctionnent d'une manière normale qu'il est hé
amyotrophie n'est que le résul- tat du repos auquel sont soumis les
muscles
paralysés ; c'est d'ailleurs ce que je pense ac
vant lui, chez un sujet en léthargie on excite par la pres- sion un
muscle
quelconque (le fléchisseur commun superficiel des
force. Mais l'hypnoti- seur n'a qu'à produire une excitation sur le
muscle
antagoniste (l'exten- seur commun en l'espèce)
facial, radial, cubital, etc.) devait développer la contracture des
muscles
innervés par ce nerf et de ceux-là seuls. On po
de l'hyperexcitabilité neuro-musculaire. Quant à la plasticité des
muscles
, elle caractérisait l'état cataleptique. Il suffi
t impuissante à reproduire la griffe cubitale ou la contraction des
muscles
de la face, surtout si le sujet en expérience est
-musculaire. Il ne s'agit pas là d'une hyperexcitabilité réelle des
muscles
ou des nerfs : s'il en était ainsi, la pression d
ut individu peut faire au moyen d'une contraction volontaire de ses
muscles
. Quant aux prétendus caractères spécifiques des
se raidissent pas sous l'influence d'une contraction volontaire des
muscles
. Or, chez les deux premiers malades de M. Déjer
avec figures, où le réflexe cutané plantaire paraissait aboli, les
muscles
étaient également en état de contracture. En ré
irréflectivité; de l'hypotonie; de la surexcitabilité mécanique des
muscles
avec lenteur de la secousse musculaire ; des mo
; des modifications quantitatives de l'excitabilité électrique des
muscles
(sur- excitabilité ou subexcitabilité sans réac
pela le premier l'attention sur l'affaiblissement et l'atrophie des
muscles
qui se produisent à la suite des lésions des arti
es qui sont l'effet d'une entorse, troublent plus les fonctions des
muscles
que celles qui s'adressent directement aux musc
es fonctions des muscles que celles qui s'adressent directement aux
muscles
eux-mêmes. » Ces premières constatations furent
les atrophies consécutives aux lésions articulaires, montre que les
muscles
atrophiés présentent une simple diminution de l
ta- tarsien et la contracture est une contracture qui intéresse les
muscles
moteurs de l'articulation tibio-tarsienne... Vo
lus profondes ; de la sur excitabilité mécanique très prononcée des
muscles
de la main et de l'avant-bras, avec lenteur de la
secousse musculaire ; et enfin de la surexcitabilité électrique des
muscles
avec fusion anticipée des secousses faradiques
main d'accoucheur). L'existence de la surexcitabilité mécanique des
muscles
, décrite par nous dans ce groupe de faits, a ét
moteurs et thermiques les troubles de l'excitabilité mécanique des
muscles
: surexcitabilité musculaire et lenteur de la s
tion : la paralysie amyotrophique du quadriceps, la contracture des
muscles
pelvi-trochantériens associée à la parésie du pie
t qui nous semble important, est la surexci- tabilité mécanique des
muscles
. Elle est surtout marquée dans les formes (') T
constate aussi dans les formes hypertoniques. C'est dans les petits
muscles
des extrémités que le phé- nomène est le plus c
commun et le plus net, toutefois on l'observe égale- ment dans les
muscles
de la jambe, dans ceux de l'avant-bras et dans
qu'on le ferait par une excitation élec- trique, sur les différents
muscles
et obtenir, à l'état de pureté pour ainsi dire,
lacement du segment correspondant. La surexcitabilité mécanique des
muscles
est assez étroitement liée à l'hypothermie. Qua
L'excitabilité augmente alors, notablement, du côté malade dans les
muscles
des extrémités tan- dis qu'elle ne se modifie g
ecousse à la percussion est brève, ils peuvent être certains que le
muscle
est un peu altéré : quand elle devient lente, ils
peut presque affirmer, a priori, que l'excitabilité méca- nique des
muscles
est exagérée et que la secousse musculaire est le
a secousse musculaire est lente. A la surexcitabilité mécanique des
muscles
correspondent souvent quelques modifications qu
ctilité électrique : SIll'exci- tabilité faradique et voltaïque des
muscles
ou, au contraire, légère subexci- (') .1. Babin
maine du cubital, une paralysie avec réaction de dégénérescence des
muscles
hypothénar, adducteur du pouce et interosseux ;
u pouce et interosseux ; d'autre part, une paralysie incomplète des
muscles
de la main innervés par le médian et d'une paré
parésie des extenseurs et des fléchisseurs des doigts. Ces derniers
muscles
ne présentent pas de R. D. mais leur excitabili
a main est émaciée dans son ensemble, que l'amyotrophie atteint des
muscles
situés au-dessus du niveau de la lésion et n'appa
membre inférieur gauche, de la surexcitabilité mécanique des petits
muscles
du pied et de la lenteur de la secousse, une abol
cci-Vaquez) est normale. Il y a de la surexcitabilité mécanique des
muscles
avec lenteur de la secousse, et une légère exagér
ce, au moins pour une grande part, la surexcitabilité mécanique des
muscles
et la lenteur de la secousse mus- culaire (').
excitation mécanique, fut-elle légère, provoque une contraction du
muscle
, non seulement lente et prolongée, mais encore de
t prolongée, mais encore de très grande amplitude. En réalité, le
muscle
se comporte alors comme au premier stade de l'i
emier stade de l'intoxication par la vératrine, l'un des poisons du
muscle
le mieux étudié par les physiologistes qui étab
e premier effet de la vératrine est d'augmen- ter l'excitabilité du
muscle
suivant la remarque de Carvallo et Weiss : les
tion réflexe; les autres, tels que la surexcitabilité mécanique des
muscles
et la lenteur de la secousse, ne paraissent en
pertonie et d'hypotonie) exaltation de l'excitabilité mécanique des
muscles
et parfois même des nerfs modifications quan- t
erfs modifications quan- titatives de l'excitabilité électrique des
muscles
sans D. R. atrophies musculaires troubles troph
able et progressive du membre supérieur droit, de l'amyotrophie des
muscles
de l'épaule et du bras et, six mois plus tard,
nt en raison de la progression de la paralysie ; ils s'étendirent aux
muscles
de la paroi abdominale en provoquant une sensat
nterruption jour et nuit ; contracture et mouvements spasmodiques des
muscles
de la paroi abdominale ; réflexes tendineux dif
ote une association d'amyotrophie et de légère rigidité ; plusieurs
muscles
, le deltoïde en particulier, présentent les car
ale de Paris, 1884, p. 4a). 8. Des modifications que présentent les
muscles
à la suite de la section des nerfs qui s'y rend
c Charrin. Revue de Médecine, 1886). 17. Sur la présence dans les
muscles
striés de l'homme d'un système spécial consti-
Sur la corrélation qui existe entre la prédispo- sition de certains
muscles
à la myopathie et la rapidité de leur développeme
nerveux (Société de Biologie, 22 février 1896). 44. Relâchement des
muscles
dans l'hémiplégie organique (Id., g mai 1896).
système pyramidal (Id., il\ mars 1899)' 52. De la contractilité des
muscles
striés après la mort (Société de Biologie, 6 mai
utive à la fièvre typhoïde. Dissociation de diverses propriétés des
muscles
(ld., Ier décembre tgo4). 1 l 1. Hémiplégie spa
1916). 2/)/(. Fusion anticipée des secousses faradiques dans les
muscles
de la plante des pieds (Société de Neurologie,
bulaire 210 Eleclrologie. XIX. De la contractilité électrique des
muscles
striés après la mort 218 XX. Lenteur de la seco
Hémispasme facial périphérique 438 HUITIÈME PARTIE AFFECTIONS DES
MUSCLES
L Myopathie progressive primitive sur la corrél
e sur la corrélation qui exisle entre la prédisposition de ceriains
muscles
à la myopathie et la rapidité de leur développeme
oints suivants : ce malade est-il atteint d'une paralysie isolée du
muscle
deltoïde, ou bien la paralysie s'étend- elle à
isolée du muscle deltoïde, ou bien la paralysie s'étend- elle à des
muscles
qui, comme le grand dentelé et le sous-épineux, s
s lésions ont-elles pour siège le cerveau, la moelle, le nerf ou le
muscle
? Quel est enfin le mécanisme de cette paralysi
blie dans ce même côté. Seules, les épaules étaient paralysées; les
muscles
des bras, des avant-bras et des mains étaient c
dans la région des del- toïdes, en rapport avec une atrophie de ces
muscles
. Les denxbras étaient pendants de chaque côté,
uppose,. que la contraction du deltoïde j'entends de la totalité du
muscle
- produit l'élévation et l'abduction directe du
es- cence, plus ou moins accusée, dans les divers segments des deux
muscles
deltoïdes. Je dois ajouter que l'excitabilité g
pineux paraissait un peu faible, comparativement à celle des autres
muscles
voisins, mais cela peut être expliqué par la situ
isins, mais cela peut être expliqué par la situation profonde de ce
muscle
. Recouvert qu'il est, en grande partie, par les f
toïdes. On ne voit, cependant, aucune secousse librillaire dans ces
muscles
. Mais les réactions idio-musculailes, provoquée
deltoïdienne bilatérale. Mais y a-t-il exclusivement paralysie des
muscles
deltoïdes ? En d'autres termes, la paralysie ne
hors et en avant, du fait de la contraction du grand dentelé. Si ce
muscle
est paralysé, le bord spinal reste en place et
tence, dans le cas qui nous occupe, d'une paralysie isolée des deux
muscles
deltoïdes. L'étiologie, d'ailleurs, va nous mon
st commun avec le. radial, il chemine le long de la face interne du
muscle
sous-scapu-. laire. Puis, il contourne le bord
cle sous-scapu-. laire. Puis, il contourne le bord inférieur de .ce
muscle
pour envelopper, à la façon d'un arc de cercle,
toïde, ce nerf fournit une branche collatérale motrice, destinée au
muscle
petit rond et un rameau cutané sensitif qui s'épu
lade, les bras repliés derrière la tète, ne se paralysent pas leurs
muscles
deltoïdes. La paralysie deltoïdienne, surve- na
e proémine dans l'aisselle, où elle fait assez fortement saillil le
muscle
sous-scapulaire. Si par hasard le nerf circonfl
primé sur la face antérieure et sur le bord inférieur de ce dernier
muscle
, ainsi que'sur le col de l'humérus. Or MM. Faure
lysie par lésion d'un nerf mixte. En outre, l'examen électrique des
muscles
paralysés nous a révélé l'existence d'une réact
dégénérescence. Cette réaction dénote, comme vous le savez, que les
muscles
paralysés sont le siège d'altérations dégénérat
le siège d'altérations dégénératives, qui se développent quand les
muscles
en question sont soustraits à l'influence de le
e- nir à la suite d'une contusion ou d'une compression prolongée du
muscle
ou de son nerf (par les béquilles par exemple),
oquent la contraction et entre- tiennent ainsi le fonctionnement du
muscle
, en attendant que l'influx nerveux puisse parve
r- quer que ces courants agissent indirectement sur la nutrition du
muscle
, en activant, au moyen, des contractions provoq
rt. La rétraction avait-elle eu lieu par prédominance' d'action des
muscles
du mollet, contractures et immobilisés dans cet
les mouvements physiologiques nécessaires à la bonne nutrition des
muscles
étaient le plus entravés. Nous ajouterons que l
aient le plus entravés. Nous ajouterons que l'examen électrique des
muscles
(difficile dans l'observation II, en raison de
lamburg, Band XIX, 1891. , UN CAS DE , ,. PARALYSIE BILATÉRALE DU
MUSCLE
DELTOIDE 1 1 PAR ÉLONGATION DES DEUX NERFS CI
sie symétrique, un peu plus accusée à droite qu'a gauche, des deux
muscles
deltoïdes. La morphologie de la région intére
r de lever ses bras, on ne sent pas sous la main la contraction des
muscles
deltoï- des. La rotation en dedans des humérus
r rotation en dehors est très limitée (Pl. VIII et IX). Quant aux
muscles
trapèzes, rhomboïdes, grands dentelés sus et sous
s ne sont pas touchés. Le malade peut écrire et coudre. De même les
muscles
des mains, des avant-bras et des bras sont respec
ns l'extension maximum des bras). UN CAS DE PARALYSIE BILATÉRALE DU
MUSCLE
DELTOIDE 55 schéma annexé à la leçon de M. Raym
faradique du sous-épineux parait faible, comparativement aux autres
muscles
voisins, mais cela tient à ce que ce muscle est d
arativement aux autres muscles voisins, mais cela tient à ce que ce
muscle
est difficilement ac- cessible aux excitations
nsistant sur sa bilaté- ralité, sur sa limitation étroite aux seuls
muscles
deltoïdes et sur sa curieuse palhogénie (élonga
sécutive à un abcès osseux. Le genou en est resté déformé. Tous les
muscles
de la jambe gauche sont d'ailleurs atrophiés. L
, 21). V. Fig. 3 (1). Plus rarement, il s'agit d'une forme mâle aux
muscles
accentués, aux hanches étroites, à la poitrine
brale, mais surtout dans la région lombaire. Enfin, la pression des
muscles
de la cuisse et notamment du quadriceps crural
ure dû quadriceps crural, accompagné de secousses convulsives de ce
muscle
. Je vous ferai remarquer en passant que ces sec
tions fibrillaires semblables mais moins fortes agitent parfois les
muscles
des mollets. l' Vous pouvez constater ensuite q
e parésie et de cette atrophie circonscrite a cer- tains groupes de
muscles
du membre inférieur gauche, indépendamment du s
révélé les signes de la réaction de dégéné- rescence dans tous les
muscles
du groupe antéro-exte1'lle de la jambe gauche A
te1'lle de la jambe gauche A. droite, l'excitabilité électrique des
muscles
et des nerfs ne 'présente pas de modification n
S AFFECTIONS DE LA QUEUE DE CHEVAL 77 Actuellement, la pression des
muscles
des mollets développe chez lui des douleurs, un
évolue d'une façon progressive. Elle débute habituellement par les
muscles
de la jambe et du pied d'un côté, pour envahir en
esthésie cutanée, assez nettement circonscrite, n'affectant que les
muscles
innervés par le plexus sacré, et de troubles de
us ou moins complète, souvent tran- sitoire, de certains groupes de
muscles
, aux membres inférieurs. Je trai- terai séparém
ssie et le rectum. Presque toujours, la paralysie est limitée aux
muscles
fessiers et à ceux de la région postérieure de
queue de cheval, sans participation du renflement lombaire, que les
muscles
innervés par le crural restent indemnes. Donc
FECTIONS DE LA QUEUE DE CHEVAL 91 1 prononcée de quelques-uns des
muscles
paralysés, ,c'est le cas chez notre malade. Cet
'excitabilité galvanique et faradique des nerfs qui fournissent aux
muscles
paralysés ; cette diminu- tion peut aller jusqu
de cas, on constate, à l'exploration de certains nerfs et de leurs
muscles
, les signes de la réaction de dégénéres- cence
nde signification pro- nostique. Elle traduit l'existence, dans les
muscles
, de lésions dégénérati- ves, le plus souvent ir
quence d'une désorganisation profonde des centres trophiques de ces
muscles
ou des nerfs qui en émanent. 1 Troubles des (
rait au coït, mais il n'é- jaculait plus, preuve que, chez lui, les
muscles
bulbo et ischio-caverneux étaient paralysés. Ce
dit qu'une atrophie plus ou moins prononcée envahit quelquefois les
muscles
paralysés. Beaucoup plus souvent, on observe le
de che- val, conservent l'intégrité fonctionnelle d'une partie des
muscles
de leurs . membres inférieurs, de ceux qui sont
située le long du bord interne). La paralysie motrice respecte les
muscles
de la région antérieure et des régions externe
t des régions externe et interne de la cuisse; elle est limitée aux
muscles
fes- siers et à ceux de la région postérieure d
les fes- siers et à ceux de la région postérieure de la cuisse, aux
muscles
des jam- bes et des pieds. 100 NOUVELLE ICONO
trouve associée une parésie, une para- lysie motrice incomplète des
muscles
de la cuisse, innervés par le crural, branche d
courante des anatomistes, les branches du sciatique, destinées aux
muscles
de la région postérieure de la cuisse et à ceux d
outre, une paralysie sensitivo-motrice de la région cutanée et des
muscles
innervés par le péronier (affections des racine
s'étend à tout le domaine innervé par le sciatique : paralysie des
muscles
de la région postérieure de la cuisse, de tous
ysie des muscles de la région postérieure de la cuisse, de tous les
muscles
de la jambe et du pied ; anesthésie de la face
ondante de la moelle). f) Ces mêmes symptômes, plus une parésie des
muscles
de la cuisse, innervés par des branches (crural
des membres inférieurs, avec suppression des réflexes, atrophie des
muscles
paralysés; l'exploration électrique des nerfs et
ie des muscles paralysés; l'exploration électrique des nerfs et des
muscles
donne les signes de la réaction de dégénérescence
rie e) : Aux membres inférieurs, la paralysie motrice se limite aux
muscles
fes- siers, aux muscles de la région postérieur
érieurs, la paralysie motrice se limite aux muscles fes- siers, aux
muscles
de la région postérieure de la cuisse, et à la to
muscles de la région postérieure de la cuisse, et à la totalité des
muscles
des jambes et des pieds. L'examen électrique des
talité des muscles des jambes et des pieds. L'examen électrique des
muscles
paraly- sés fait constater la réaction de dégén
scles paraly- sés fait constater la réaction de dégénérescence. Les
muscles
delà face an- térieure de la cuisse, ainsi que
queue de cheval, et, en plus, par une parésie des adducteurs et des
muscles
de la région antérieure de la cuisse, avec anesth
MOUVEMENT (1). PAR PAUL RICHER L'on sait quel rôle important le
muscle
joue dans les mouvements du corps. C'est le vér
int de vue de la morphologie du mouvement, l'état physiologique des
muscles
. Cet état se tra- duira nécessairement par une
qui intéressent particulièrement les artistes. La vivisec- tion du
muscle
, sa contraction expérimentale sur les animaux, ou
volontaire, les laissent indifférents. Ce qui leur importe c'est le
muscle
humain en place, recouvert de la peau qu'il sou
nt peut-être un peu néglige, est cependant le seul qui considère le
muscle
dans les conditions normales de son fonctionnem
ance n'importe pas moins aux médecins qu'aux artistes. v Forme DU
muscle
SUR LE vivant En dehors des états physiologique
des états physiologiques différents dans lesquels il se trouve, le
muscle
, sur le vivant, a une forme propre qu'il importe
T 123 forme vivante ne dépend pas seulement du mode de structure du
muscle
lui- même. Elle est, en outre, grandement inllu
musculaires. Nous avons déjà fait remarquer, en effet, que tous les
muscles
sont contenus dans une gaine aponévrotique plus o
a doublent en certains points, ont pour effet d'altérer la forme du
muscle
lui-même, en y pro- duisant des dépressions et
de la contraction musculaire, il faut donc ajou- ter, pour certains
muscles
, la présence de sillons non moins caractéristique
ssement et, par suite, le degré du gonflement différent avec chaque
muscle
. Ils dépendent de la longueur des fibres charnues
gueur des fibres charnues, et aug- mentent avec celle-ci. Plus le
muscle
est long, plus il se raccourcit, et plus l'opposi
ment, devient presque sphérique une fois contracté. La surface du
muscle
contracté est d'autant plus uniforme qu'il est co
ers antérieur et tiers posté- rieur dont le modelé dans le repos du
muscle
, ne présente guère de différence. Dans la contr
ous venons de parler, il y a encore un autre état physiologique, du
muscle
qui inllue sur la forme extérieure. Le muscle,
t physiologique, du muscle qui inllue sur la forme extérieure. Le
muscle
, tout on restant inactif, peut être distendu, ce
les fessiers sont distendus, dans l'extension du tronc, ce sont les
muscles
grands droits de l'abdomen etc... Un muscle dis
du tronc, ce sont les muscles grands droits de l'abdomen etc... Un
muscle
distendu offre généralement un relief surbaissé m
e sens des fibres musculaires. La contraction peut survenir dans un
muscle
distendu, et, dans ce cas, elle n'en modifie guèr
gique, il y a donc lieu de distinguer trois états physiologiques du
muscle
, le relâchement, la contraction et la distension.
nes. ? La distension qui est toujours accompagnée de l'allongement du
muscle
, est la cause d'une forme extérieure tout a fai
faisceaux secondaires. 3° Enfin la contraction est l'état actif du
muscle
; mais le point sur lequel je veux insister c'e
oint sur lequel je veux insister c'est qu'elle peut survenir sur un
muscle
relâché ou sur un mus- cle distendu, avec cette
peut persister à ses divers degrés malgré l'état de contraction du
muscle
. C'est là d'ailleurs un fait généralement admis
n dit qu'elle consiste dans le raccourcissement et le gonflement du
muscle
, car elle peut aussi bien exister avec son allong
térieures ne sont naturellement pas les mêmes dans les deux cas. Un
muscle
contracté et raccourci est remarquable par la sai
distinct des faisceaux secondaires qui le composent. La forme d'un
muscle
contracté et distendu participe à la fois aux for
senter le corps humain en mouvement, c'est que la saillie que fait un
muscle
ne saurait à elle seule constituer un indice ce
l'état de repos ou relâchement. On verra presque toujours sur un
muscle
distendu la contraction diminuer le relief au l
récède, on pourrait croire que, dans un mouvement quel- conque, les
muscles
contractés sont toujours ceux qni se trouvent du
s extenseurs si c'est l'extension, et ainsi du reste, pendant que les
muscles
distendus sont du côté opposé. La chose serait
e leviers. D'ordinaire, la pesanteur représente la résis- tance, le
muscle
la puissance et l'articulation le point d'appui.
t d'appui est à l'articulation, la puissance au point d'attache des
muscles
fléchisseurs, et la résistance au centre de gravi
RAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE l'action de la pesanteur. Dans ce cas, les
muscles
contractés sont toujours les fléchisseurs, bien
plan vertical ou oblique. Elle a pour caractère de siéger dans les
muscles
dont l'action est antagoniste du mouvement exécut
sous les mêmes, apparences que la contraction dynamique. La forme du
muscle
est la même dans les deux cas. Les photograph
rfaitement appréciable à l'oeil. Dans la contraction frénatrice, le
muscle
est le siège de petites palpitations. 11 n'y a
alors que le tronc se fléchit ou s'étend, etc. Cette palpitation du
muscle
se traduit sur les tracés obtenus avec le myogra-
us accentuées dans la descente que dans la montée. Il semble que le
muscle
se décontracte par saccades et non pas d'une fa
talement en chaleur sensi- ble. Mais la mesure de réchauffement des
muscles
n'a pas encore donné entre les mains des divers
rt musculaire est comparable, car le degré du rac- courcissement du
muscle
est le même, la charge est également la même repr
ontraction une petite différence non pas dans' la fôrme générale du
muscle
, mais dans le degré -d'accentuation de cette fo
un sillon, qui indique clairement une ten- sion plus accentuée,du;
muscle
. - ... , , . , \ Nous ajouterons ;què ces diffé
Lorsqu'au contraire, le mouvement augmente de rapidité, l'effort du
muscle
qui retarde la chute du membre est d'autant moi
imples de l'économie. La flexion est obtenue par la contraction des
muscles
biceps, brachial anté- rieur et long supinateur
ur et long supinateur. L'extension est sous la dépendance d'un seul
muscle
, le triceps brachial. L'image obtenue par la ph
cet exemple, quel que soit le sens du mouvement, ce sont toujours les
muscles
fléchisseurs qui entrent en contraction. Dans l
dernière évidence. DU JEU DES ANTAGONISTES Nous avons vu que les
muscles
sont disposés autour de articulations de telle
que le raccourcissement des uns amène la distension des autres. Les
muscles
agissant ainsi en sens inverse sont appelés antag
ans le groupe antagoniste ? D'après la doctrine classique, quand un
muscle
se con- tracte, un fléchisseur, par exemple, le
ue, quand un muscle se con- tracte, un fléchisseur, par exemple, le
muscle
est inactif, il se laisse tout simplement allon
ticulier M. Beaunis, ont démontré que, dans la plupart des cas, les
muscles
antagonistes se contractent simultanément et due
sultante' des contractions qui se produisent simultanément dans les
muscles
antagonistes. Sans entrer dans le détail des ex
t arrivé cet auteur. Trois cas peuvent se présenter : 1° Les deux
muscles
(ou groupes de muscles) antagonistes se contracte
Trois cas peuvent se présenter : 1° Les deux muscles (ou groupes de
muscles
) antagonistes se contractent simultanément, c'e
ent, c'est le cas le plus habituel, le type normal ; 2° Un seul des
muscles
se contracte, l'autre reste immobile, c'est l'exc
ontracte, l'autre reste immobile, c'est l'excep- tion ; 3o Un des
muscles
se contracte, le muscle antagoniste se relâche et
mmobile, c'est l'excep- tion ; 3o Un des muscles se contracte, le
muscle
antagoniste se relâche et s'al- longe. Ces fa
relâche et s'al- longe. Ces faits expérimentaux observés sur des
muscles
dénudés et détachés par une de leurs extrémités
par M. Beaunis. Inutile de parler du second cas, dans lequel un des
muscles
reste immobile ; le mouvement étant produit par
immobile ; le mouvement étant produit par la contraction d'un seul
muscle
, il n'y a besoin d'aucune explication. Dans l
esoin d'aucune explication. Dans le premier cas, lorsque les deux
muscles
antagonistes se contractent simultanément, le m
r que toutes les expériences ont porté sur les ani- maux et sur des
muscles
n'ayant plus leurs connexions physiologiques. I
r- que, lors de la flexion, un certain relief du triceps qui est le
muscle
exteuseur, relief qui peut faire croire à un ce
relief qui peut faire croire à un certain degré de contraction de ce
muscle
qui est le muscle antagoniste. Nous serions ici
re croire à un certain degré de contraction de ce muscle qui est le
muscle
antagoniste. Nous serions ici dans le premier cas
ons ici dans le premier cas de M. Beaunis, cas dans lequel les deux
muscles
antagonistes entreraient à la fois en contrac-
e suivante la théorie parfaitement juste de M. Beaunis. L'elfort du
muscle
fléchisseur, dans ce cas, se trouve partiellement
cas, se trouve partiellement annihilé par la résistance' active du
muscle
antagoniste contracté. 132 NOUVELLE ICONOGRAPHI
montre de la ma- la la plus évidente, la contraction simultanée des
muscles
antagonistes. Nous prions le modèle de laisser
1 et 2). Fait de prime abord para- doxal, puisque le triceps est le
muscle
extenseur, mais qui se comprend, si l'on songe
ui se comprend, si l'on songe que, dans ce cas (mouvement lent), le
muscle
actif dans l'extension est encore le fléchisseu
s'arrêter un certain nombre de fois de suite. Nous voyons alors les
muscles
antagonistes je considère particulièrement alor
chacun de son côté, et en même temps nous constatons que chacun des
muscles
cesse son action subitement avant que le membre
sse à l'angle droit, mais arrivé au point extrême de la flexion, le
muscle
biceps est complètement relâché. La comparaison d
différentes, par la contraction; momentanée et alternative des deux
muscles
antagonistes, à -la manière' d'une balle .-que. d
trouver ce jeu des antagonistes dans les diverses parties d'un môme
muscle
(le deltoïde) lors de l'élévation d'un' bras en d
un instant. L'élévation des bras en dehors et sous la dépendance du
muscle
deltoide. Je néglige pour le moment l'action sy
bras ; ce dernier tiers est donc antagoniste de l'autre portion du
muscle
. Que le membre s'élève ou s'abaisse, la main ch
d'une poulie placée en haut et d'une corde, les choses changent. Le
muscle
en jeu est l'abaisseur, au.lieu d'être l'é- lév
ssement que dans l'élévation du membre, car dans ce dernier cas, le
muscle
,ne fait, que retenir ]eoids entraîné par la pe
ehors ou dans son abaissement, l'action musculaire est toujours aux
muscles
élévateurs, del- toide, grand dentelé ; dans la
son extension, l'action muscu- laire est toujours aux fléchisseurs (
muscles
postérieurs de la cuisse). Les choses changent
en dehors est mû alternativement en avant eten arrière, ce sont des
muscles
différents qui entrent en action dans les deux mo
e, partie supérieure du grand pectoral) pour le mouvement en avant,
muscles
situés en arrière (tiers postérieur du deltoïde
mê- mes lois. La rotation en dehors s'obtient par l'action d'autres
muscles
que la rotation en dedans. DE LA FORME DU COR
s de la flexion, dans les exten- seurs, lors de l'extension, et les
muscles
antagonistes sont manifestement re- lâchés. '
ans la gouttière épitrochléenne, a provoqué une atrophie rapide des
muscles
dépendant de ce nerf, atrophie sur laquelle nou
t fléchis sur le méta- carpe. Il y avait une atrophie manifeste des
muscles
de la partie antéro- interne de l'avant-bras, d
re et soumise au courant : il en ré- sulta descontractions dans les
muscles
grand dorsal et grand dentelé; la même manoeu
ratiquée sur la racine sus- jacente provoqua des contractions des
muscles
intrinsèques de la main, flé- chisseurs des doi
, se fai- saient par petites saccades successives, comme celles des
muscles
fatigués et la percussion du dos du poignet pro
ieurs étaient nor- maux. La miction exigeait- un effort notable des
muscles
abdominaux, tenant peut-être simplement à la po
rtie supérieure le thorax est recouvert par le scapulum entouré- de
muscles
.puissants. En " bas il est masqué principaleme
rincipalement par deux masses musculaires, L'on dedans la masse des
muscles
spinaux, puis en haut et en dehors la. masse ?
n et qui ne fait que se modeler sur les formes profondes. Entre les
muscles
spinaux et le grand dentelé, il existe un espac
e d'autant plus que la cage thoracique est déprimée, et le plan des
muscles
spinaux est en même temps surbaissé. Il est pre
onfirmée par analogie, par ce fait que les cen- tres trophiques des
muscles
, organes du mouvement, sont situés, avec les ce
st de dimension, normale, son endocarde est par places épaissi. Les
muscles
papillaires olfrent des stries jaunâtres de dégén
le visage se couvrent de poils, la peau se durcit et se fonce, les
muscles
saillent au-dessous d'elle, la ,voix devient fo
nt passer ses gémissements ; des larmes cou- lent de ses yeux ; les
muscles
de la douleur et de l'effroi se contractent : l
énère dans le nerf moteuroculaire commun pour aboutir finalement au
muscle
droit interne; a, centre du petit oblique ; b,
en réalité, d'une série de centres successifs, destinés aux divers
muscles
des yeux (Fig. 3). En avant, sur la paroi du troi
ur la paroi du troisième ventricule, vous apercevez les centres des
muscles
de l'accommodation et des muscles de l'iris. Pu
e, vous apercevez les centres des muscles de l'accommodation et des
muscles
de l'iris. Puis, sous l'aqueduc de Sylvius, d'a
uis, sous l'aqueduc de Sylvius, d'arrière en avant, les centres des
muscles
droit interne, releveur de la paupière et droit s
bles électriques et qu'elle se localise très fréquemment aux petits
muscles
de la main. Jus- qu'ici donc point de difficult
s malades puis- sent encore faire agir dans une certaine limite les
muscles
contracturés, mouvoir et même étendre un peu le
re vigoureusement, le talon est tiré en haut par la contraction des
muscles
de la partie postérieure de la jambe; celle-ci
le bassin ». Dans la forme grave, la contracture se généralise aux
muscles
du tronc pour gagner le larynx et occasionner d
ion artérielle et veineuse ». C'est cette excitabilité exagérée des
muscles
et des nerfs qu'étudieront plus tard Weiss (1),
(3), une ligature sur la cuisse droite, de manière à comprimer les
muscles
, les vaisseaux et les nerfs. Les orteils correspo
ins malades atteints de tétanie, la compression d'un membre : peau,
muscles
, filets nerveux, veines ou artères, est suscep-
cou, fronçant les sourcils, roulant les yeux, contractant tous les
muscles
de son visage, dans une expression de souffranc
sont abolis, il n'y a pas de trépidation épi- leptoïde du pied. Les
muscles
sont flasques, surtout à droite; ils rie sont p
a piqûre ne remonte pas au delà d'une ligne passant en avant par le
muscle
couturier, en ar- rière par la limite supérieur
res au niveau des mollets, sans être là plus épais qu'ailleurs. Les
muscles
des membres inférieurs ne présentent aucune atrop
s sont bien colorés, mais n'offrent pas la rigidité cadavérique des
muscles
des membres supérieurs ; seuls les muscles de la
rigidité cadavérique des muscles des membres supérieurs ; seuls les
muscles
de la région anté- rieure de la jambe, les péro
s muscles de la région anté- rieure de la jambe, les péroniers, les
muscles
de la région postérieure de la cuisse, le tense
ormé, décrit des anses dans sa gaîne trop large, Les nerfs et les
muscles
examinés n'ont pas présenté de lésions appré- c
le situées au- dessous d'elle. Le tonus musculaire a été aboli, les
muscles
paralysés sont entrés dans un état de relâcheme
. La malade est clouée au lit par une paralysie absolue de tous les
muscles
de la moitié inférieure du corps. Les bras sont l
al une petite contraction, particulièrement à droite. Le volume des
muscles
ne paraît pas diminué. Le sphincter anal, est c
mise sur le compte de la virgule de Schultze. , Les nerfs et les
muscles
examinés n'ont présenté aucune lésion appré- ci
il y a 18 mois par le membre supérieur gauche. Prédominance sur les
muscles
de l'épaule gauche et sur ceux de la jambe droite
jambe droite, face légère- ment atteinte, hypertrophie de certains
muscles
, réflexes conservés, réactions électriques norm
ible à déceler. De.même nous avons vu quelquefois presque" tous les
muscles
du ' malade être agités de secousses fibrillair
lans l'articulation radio- cubitale supérieure droite. Tronc. Les
muscles
sus-épineux, sous-épineux et sous-scapulaires son
, sous-épineux et sous-scapulaires sont normaux des deux côtés. Les
muscles
du tronc paraissent également indemnes, il n'y
on essaie d'étendre son pied préalablement fléchi. ' A droite les
muscles
sont manifestement atrophiés dans tous les segmen
hie des masses musculaires de la jambe semble porter autant sur les
muscles
de la partie postérieure que sur ceux de la régio
ur 25 1/2, 24 1/2, 20 et 17 i/2 à droite. L'examen électrique des
muscles
montre que ceux-ci réagissent normalement et qu
laire) et galvanique (galvanomètre de Gaine) soit diminuée dans les
muscles
les plus atteints. En résumé il s'agit d'un ind
t présen- tant une atrophie musculaire touchant très légèrement les
muscles
de la face : orbiculaire des paupières, orbicul
e la voûte plantaire, montre que l'atrophie a surtout porté sur les
muscles
de la région antéro-externe de la jambe. Nous
s les masses dégénérées, sur l'appa- rente hypertrophie de certains
muscles
très atteints comme le deltoïde gauche par exem
A part quelques rares exceptions, où la rigidité prédomine dans les
muscles
extenseurs, et où les malades se présentent le to
s et les pieds sont fortement oedématiés. On constate au niveau des
muscles
un certain degré de contracture, qui entrave le
ns pour la lever et l'asseoir de nouveau. Elle a besoin d'avoir les
muscles
étendus. Dans le lit, même nécessité de changer
t soudés dans la demi-flexion. Le tremblement existe aussi dans les
muscles
des lèvres et la malade laisse écouler sa saliv
les cas de beaucoup les plus fréquents où la soudure apparente des
muscles
maintient tous les segments du corps dans une dem
sculaires d'un seul côté. L'état de demi-contraction permanente des
muscles
chez ces malades rend suffisamment compte de la d
E côté de la rainure interfessiére, au-dessous du bord inférieur du
muscle
fessier, deux petites poches qui renferment les
ntalité du pli fessier absolument indépendante du bord inférieur du
muscle
fessier qui est oblique (1). L'état de maigre
s qu'imprime la maladie au système musculaire tout entier. Tous les
muscles
paraissent contractés. Ils offrent les formes spé
torse et au cou, dans les groupes synergiques ou antagonistes, les
muscles
apparaissent raidis, dessinant les faisceaux se-
t les faisceaux se- condaires dont ils sont composés et séparés des
muscles
voisins par des sillons qui donnent à l'ensembl
ner les faisceaux divers dont ils se composent. On dirait autant de
muscles
distincts. A J'avant-bras, le long supinateur f
de nombreux enfants (celle-ci en a eu ils la tension permanente des
muscles
droits est la cause de cette apparence trilobée
ence trilobée de la portion sous-ombilicale. Comprimés par les deux
muscles
droits écartés de la ligne médiane, les intestins
mbres inférieurs ne sont pas moins intéressants à étudier, tous les
muscles
y dessinant des saillies distinctes. Les formes d
at de contraction persistante, ou pour mieux dire de contracture du
muscle
, ne persiste pas toujours égal à lui-même; il var
x mala- des un véritable soulagement. En examinant de près chaque
muscle
on constate qu'il est animé de petites vibratio
ystème veineux sous-cutané, consé- quence de la compression que les
muscles
tendus exercent sur les veines profondes. C'est
n la cause pro- bable de cette dissociation, bien qu'il s'agisse de
muscles
innervés les uns et les autres par le même nerf
arkinsoniens et sujets atteints de spondylose rhizo- mélique. Les
muscles
abdominaux sont contractés et leur relief se dess
n d'eux, on peut supposer que pendant cette période de douleur, les
muscles
immobi- lisés par la souffrance se sont adaptés
ar une secousse de direction inverse, causée par la contraction des
muscles
antagonistes. Hering (Zeits- chriftfïir fleilku
t presque identique : variabilité extrême de l'état de tonicité des
muscles
, se manifestant par les positions spasmodiques in
ements athétosiques ; trouble très grave de l'action volontaire des
muscles
. Un de ces cas' fut examiné anatomiquement : at
ou, des orteils, etc. Ensuite j'ai examiné la fonction de ces mêmes
muscles
(1) Ce cas fut amplement décrit dans un des der
e des mouvements isolés du pouce, j'ai examiné la fonc- tion de ces
muscles
dans le mouvement de préhension, quand le malade
uand il fume sa pipe. Ainsi nous pouvons exa- miner la fonction des
muscles
des manières les plus différentes en variant le
ires plus éloignés, homo-hétérolaté- raux. Souvent même ce sont les
muscles
antagonistes dont la contraction est observée.
sent pendant l'effort musculaire. Parfois cette action vicieuse des
muscles
est tellement tenace que le malade ne peut plus
forts du malade se heur- tent tout le temps à la contraction de ces
muscles
qui font rebondir le membre dans la position an
mbre dans la position ancienne. Parfois ce sont certains groupes de
muscles
qui se mettent en contraction simultanée : adduct
ments, se heurtent à une 'résistance très- appréciable, parfois les
muscles
se détendent au moindre effort' de 'l'examinateur
pa- raissant ou diminuant' dans'd'autrès fonctions musculaires. Les
muscles
inté1'essés 'ne sont pas paralytiques ,' il a a
'un mouvement actif simple, règlëïrièonsciêllllnent la fonction des
muscles
intéressés ; automatique- ment 'l'état dès"musc
la fonction des muscles intéressés ; automatique- ment 'l'état dès"
muscles
change'continuellemenl, provoquant sans' con- t
ée. Dans certains cas il se développe une véritable contracture des
muscles
. Dans d'autres cas, ce n'est pas t'hypertonie m
s, ce n'est pas t'hypertonie musculaire qui doit être accusée : les
muscles
paraissent temporairement inaccessibles au cour
que nous avons ordonnée ; dans un autre complexe d'innervation, ces
muscles
remplissent souvent leur rôle à volonté tout de
ononcée et ceux d'un cas de parkinsonisme avec raideur générale des
muscles
. En général, dans le premier cas, les actes volon
exécutés avec force, une accentuation de la fonction frénatrice des
muscles
antago- nistes ; il en est ainsi dans les mouve
e ! ! la différence entre le dévelop- pement de la contraction d'un
muscle
isolé, encore, en relation avec le névraxe par
ore, en relation avec le névraxe par ses fibres afférentes, et d'un
muscle
qui. par l'interruption des fibres propriocepti
ntenance and slow decline citaracteristic of it in the de cerebrate
muscle
still posses- sing afférents. », Nous pouvons c
- sing afférents. », Nous pouvons conclure que la ¡contraction d'un
muscle
est influencée dès son début par, l'élément ton
t ' 1 Il t '1 où le système tonique était conservé (accentué), les
muscles
, isolés étaient capables de conserver pendant q
dans l'exécution d'un mouvement isolé tout en maintenant les autres
muscles
du corps dans un état d'équilibre toni- que. Ce
ent fréquentes, nous croyons avoir établi la fonction statique de ces
muscles
dans certains stades du développement humain. "
de parler d'une parésie de fonction que d'une parésie véritable des
muscles
. Dans le développement ultérieur des mouvements
ement du corps avec ou non participation plus ou moins complète des
muscles
de la face. Ces convulsions étaient pour la plu
s convulsions des doigts des deux membres supérieurs, ainsi que des
muscles
de la face. Prononce quel- ques mots inintellig
coprologiques et quelquefois même elle présente des convulsions des
muscles
de la face. Puis elle tombe comme une masse, la f
ion des carotides, perte immédiate de conscience et convulsions des
muscles
de la face. Puis pâlit, elle a des hallucinations
e une personne imaginaire. En même temps elle a des convulsions des
muscles
de l'épaule. Après 4 minutes environ, elle lais
ement perte de connaissance suivie des convulsions instantanées des
muscles
de la face et des extrémités plus marquées à la
il est utile de décrire l'attitude de la main normale au repos, les
muscles
étant dans un état de relâchement à peu près co
ion assez nette. A l'état normal, il apparaît donc que le tonus des
muscles
fléchisseurs et pronateurs est supérieur à celu
us des muscles fléchisseurs et pronateurs est supérieur à celui des
muscles
extenseurs. 66 MADAME ATHANASSIO-BENISTY I. P
ature et la gravité de la lésion, presque toujours la paralysie des
muscles
extenseurs du poignet et des doigts est massive,
t que peu de filets vasomoteurs, sécrétoires ou autres. 1 - Trois
muscles
ont pour fonction d'étendre la main sur l'avant-b
uction). En cas dé lésion du nerf radial, la paralysie de ces trois
muscles
est presque toujours simultanée. Elle n'est dis
nt. L'extension des deuxième et troisième phalanges est dévolue aux
muscles
interosseux et lombricaux. Il ne faudra donc
fortement le pouce vers le bord cubital de la main par l'action des
muscles
thénariens (pl. XVII, fig. E). Pendant ces essa
aucune saillie sous la peau. - Le nerf radial innerve également les
muscles
long et court supinateur. Ce dernier seul produ
tateurs de l'épaule en dehors, le sous-épineux notamment ; mais ces
muscles
ne font qu'esquisser le mouvement de su- pinati
ces muscles ne font qu'esquisser le mouvement de su- pination. Le
muscle
long supinateur qui est un puissant fléchisseur d
ô8 MADAME A l'HANASS10 -BENISTY arrivent ainsi à utiliser tous les
muscles
accessoires et à créer des sup- pléances inatte
radial ; par la palpation on constate la diminution de la masse des
muscles
épitrochléens, par comparaison avec ceux du côt
peul observer l'absence compléter de griffe (pi. XIX, fig. B) : les
muscles
de l'hypothénar et les premiers in- - ter-osseu
ième et cinquième doigts, dans la région postéro-externe, celles du
muscle
cubital antérieur vers le côté interne. Il est
ers le côté interne. Il est très logique de supposer que les petits
muscles
de la main occu- pent la partie antérieure et i
Volkmann.111ais dans ce cas la palpation des mas- ses charnues des
muscles
, révélant leur consistance ligneuse, la possibili
lques mois, une atrophie importante envahit également le groupe des
muscles
épitrochléens dont la maigreur contraste notammen
e long supi- nateur. Les téguments sont plus froids au niveau des
muscles
aplatis. La coloration de la main, des trois pr
pposition aussi complètement du moins que le permet l'intégrité des
muscles
·thénariens. La main est émaciée, atrophiée dans
énar. Par contre, il existe toujours un degré marqué d'atrophie des
muscles
situés au-dessus de la lésion et n'appartenant
consiste en une prédomi- nance.des troubles moteurs sur les petits
muscles
de la main et sur les fléchisseurs des doigts a
s fléchisseurs des doigts avec intégrité plus ou moins complète des
muscles
fléchisseurs du carpe. Seule la flexion du poig
toutes les jointures. Parfois, dans des cas analogues, les mêmes
muscles
sont intéressés, mais à un degré moindre ; alor
l. XVIII, fig. A et pl. XXI, fig. E). .. Troisième type. Les petits
muscles
de la main sont toujours les plus paralysés, ma
sez bien au cou- rant faradique. , Il y a eu au début parésie des
muscles
innervés par le radial, suivie de restauration
t normal ; les fléchisseurs des doigts se contractenten partie, les
muscles
thénariens, d'abord paralysés, sont en voie de re
- il encore là une prédisposition du blessé ? une dégénérescence du
muscle
? : ' Ou s'agit-il d'un équilibre spécial entre
, mais inégal, de la fonction motrice et de la tonicité de certains
muscles
, qui au sur et à mesure de leur restauration, dét
a- tion dure, élastique rappelant le trophoedème chronique. - Les
muscles
subissent une dégénérescence fibrosciéreuse, ils
I, fig. D). Nous avons pu observer dans deux cas une rétraction des
muscles
in- terosseux de la main avec une déformation d
ures pures, le plus souvent un certain degré de parésie de quelqnes
muscles
s'associe à la con- tracture de certains autres
réflexes avec surexcitabililé mécanique, voltaïque et faradique des
muscles
. Académie de médecine, 11 janvier 1916 ; Contra
ux cotés. 8. Excitabilité mécanique. - L'excitabilité mécanique des
muscles
du bras, de l'avant-bras et de la main ne paraî
mécanique. J. Excitabilité électrique. Par la faradisation tous les
muscles
réagis- sent. Un courant faradiquc léger amène
faradiquc léger amène l'adduction du pouce et la contrac- tion des
muscles
de l'éminence thénar. Cependant il faut un très f
peut être attribuée qu'à une hypotonie de l'addzcclezcr du pozice ;
muscle
qui a pour mission, en amenant le premier métacar
ant d'une intensité considérable pour obtenir une contraction de ce
muscle
suffisante à étendre la deuxième phalange du pouc
uitième cervicale qui prend la plus grande part à l'innervation des
muscles
de la main et qui a, croyons-nous, sous sa dé-
emière dorsale, qui a une part moindre dans l'innervation des mêmes
muscles
, commanderait l'hypertonie. Cette hypertonie es
pital. - 8. Excitabilité mécanique. - Brusquerie de la réaction des
muscles
de l'avant-bras, de l'éminence thénar et hypoth
malade. Galvanisation. - Il y a modification de la formule dans les
muscles
de la main : thénariens, hypothénariens, et int
èmes phalanges, surtout pour les deuxième et troisième doigts), des
muscles
opposant et court abducteur du pouce, dont on c
un peu plus brusque dans les fléchis- seurs de l'avant-bras et des
muscles
de la main. L'application de la bande d'Esmarch
tabilité électrique. - Diminution de la contractilité faradique des
muscles
tbénariens. , Galvanisation. Pas de réaction de
st impossible ; elle provoque de la douleur le long des tendons des
muscles
extenseurs. La flexion en est possible, quoique
, mais en déterminant une vive douleur tou- jours sur le tendon des
muscles
extenseurs. 6. Sensibilité. - Pas de troubles d
ojectile, qui traversa l'émi- nence hypothénar et qui paralysa les'
muscles
interosseux, adducteur du pouce et lombricaux i
, adducteur du pouce et lombricaux internes. Chez notre blessé, les
muscles
ne sont pas paralysés, ils réagissent à l'élect
et semble moins large que la gauche par suite de la contraction des
muscles
adducteurs et élévateurs de l'omoplate, qui est
rmale. 8. Excitabilité mécanique. - Hyperexcitabilité mécanique des
muscles
biceps, fléchisseurs de l'avant-bras, thénarien
utre côté. il. Excitabilité mécanique. - Excitabilité mécanique des
muscles
exagé- rée dans : éminences thénar, hypothénar
ique. - Légère diminution de la contractilité fa- radique, dans les
muscles
innervés par le radial surtout, et moins grande d
: SEIZE DÉFORMATIONS PARATONIQUES DE LA MAIN 1Q3 Le fait que les
muscles
interosseux, lombricaux et adducteurs sont inner-
ire du radial 'a tout t d'abord entraîné une hypertonie de certains
muscles
innervés par lui (extension des 2e et 3' doigts
projectile, l'hypertonie du radial sembla s'être réfugiée dans les
muscles
radiaux, et une nouvelle hypertonie apparut dans
Excitabilité électrique. Diminution de la contracture faradique des
muscles
fléchisseurs de la main et des quatre derniers do
é, Pas de modification des réflexes. 8.' Excitabilité mécanique des
muscles
. Pas de modification. 9. Excitabilité électriqu
ectrique. Faradisation, Pas de modification de la contractilité des
muscles
extenseurs. Lors de l'électrisation du fléchisseu
lui-même, on éprouve un obstacle, et on constate la contraction des
muscles
fléchisseurs. Les mouvements d'abduction et d'add
ions appréciables. 8. Excitabilité mécanique. Hypérexcitabilité des
muscles
, surtout à la face postérieure de l'avant-bras,
ution plus considérable encore pour les mus- cles thénariens et les
muscles
de la main innervés par le cubital. Rien à la g
n, et peut-être aussi par la diminution de la faradisation dans les
muscles
longs abducteur et extenseur du pouce, diminuti
dorsal, consécutive à la lésion du rameau du cubital, innervant ce
muscle
, par le projectile qui traversa le premier espa
7. Excitabilité électrique. - Hypoexcitabilité électrique de tous les
muscles
du membre droit. ' - 8. Excitabilité mécaniqu
lité mécanique. Hyperexcitabilité légère de l'éminence thénar et du
muscle
cubital. Après immersion dans l'eau courante à
re phalange et l'extension de la seconde est due à l'hypertonie des
muscles
de l'éminence thénar, qui tous ont pour effet,
dduction de la main et du cinquième doigt est due à l'hypertonie du
muscle
cubital postérieur, dont on perçoit nettement la
. Il est à remarquer que les points de jonction tendino-fibreux des
muscles
de l'avant-bras en état d'hypertonie : long abd
effet, que, quel que soit le mécanisme intime de l'hyper- tonie des
muscles
tributaires du nerf lésé, on doit admettre qu'une
efroidissement et du réchauffement. sur cette hyperexcitabilité des
muscles
. Les résultats de nos observations ne nous perm
as), V (R.) (main, avant-bras), IV (R.) (brusquerie fléchisseurs et
muscles
de la main), 111(0.) (main,avant-bras), IX (R. +
(thénar), XV (R. + 0.) (extenseurs et abduc- teur du pouce, petits
muscles
de la main), IV (R.) (extenseurs), IX (R. + P.)
de la répartition de ces troubles trophiques sur le squelette, les
muscles
et la peau, ne nous est pas apparu. La simple i
partie supérieure du dos de l'avant-bras, et il y a hypertonie des
muscles
de la face antérieure de l'avant-bras, IV. La ble
st à l'extrémité supérieure de l'hu- mérus el il y a hyperlonie des
muscles
qui s'y insèrent, VIII. La blessure est à la ba
pertonie des palmaires, IX. *.}, - Entre la plaie traumatique et le
muscle
atteint d'hypertonie, il n'est pas possible de
une .fusée filiforme inflammatoire soient capables de traverser des
muscles
sans troubler leur état tonique, puisque l'on voi
; mais cela à la condition que les régions où se règle le tonus du
muscle
ne soient pas effleurées. Or ces régions semble
le siège de la blessure et le point de jonction fibrotendineuse des
muscles
en hypertonie. Dans les cas où cette concordance
itatives ou des- tructives de l'organe régulateur du tonus dans les
muscles
en état d'hyper ou d'hypotonie. Quoi qu'il en
rement, c'est-à-dire en partant de l'anatomo- physiologie de chaque
muscle
de la main et de l'avant-bras, on arrive à se r
ian inexcitable électriquement ; secousse galvanique lente dans*les
muscles
fléchisseurs à l'avant-bras et dans les muscles h
ique lente dans*les muscles fléchisseurs à l'avant-bras et dans les
muscles
hypothénars; Pendant les mois suivants, amélior
ce élastique qui ne peut être due qu'à une contracture relative des
muscles
extenseurs des doigts. Le réflexe radial est
ut dans le domaine du scia- tique externe ; atrophie importante des
muscles
postérieurs de la cuisse et du mollet. Dans le
n énergie et à une volonté de tous les instants, a su rééduquer ses
muscles
à un degré exceptionnel. La musculature de l'av
celle des extenseurs que celle des fléchisseurs, est puissante. Les
muscles
des éminences thénar et hypothénar sont plus dé
bilité faradique : augmentée. - galvanique : conservée NF > PF
Muscles
tributaires. Excitabilité faradique : légèrement
Côté sain : NF = 3 mill. - PF=5mill. Nerf médian et cubital et
muscles
tributaires : réactions absolument normales à l
= 4 mill. PF=5mill. Le brachial antérieur est inexcitable. Les
muscles
de l'épaule sont absolument normaux. (Dr Simpni.)
es normaux. Pas de Kernig. 4. Impotence complète des membres et des
muscles
; réapparition de lé- gers mouvements dans la n
sensibilité musculaire conservée. Pas de douleurs à la pression des
muscles
; atrophie musculaire ; pas de contractions fas
urs diffuses dans les membres inférieurs. Atrophie considérable des
muscles
des mollets, très flasques. 4 juin. - Jambe dro
teur. Début le 10 mai, par des crises douloureuses dans les os, les
muscles
des jambes et des cuisses. Inappétence. Aurait
38° et 38°4, puis elle s'abaisse. 19 mai. Douleurs vives dans les
muscles
des jambes, du genou, au bas de la jambe; atrop
observations IV, II, III) ; crises douloureuses dans les os et les
muscles
des jambes et des cuisses, avec inappétence dans
ement déterminé la mort. Un certain degré d'atrophie musculaire des
muscles
paralysés ou paré- siés a existé chez tous les
V, et très précoce dans les deux pre- mières ; dès le 8° jour, les
muscles
étaient flasques, nettement atrophiés. Les trou
uses n'a ren- forcé la douleur notablement plus que la pression des
muscles
ou de l'os. ' Les viscéralgies extrêmement viol
n bon signe, dans les formes très diffuses, dans le relâchement des
muscles
de la nuque donnant aux mouvements passifs impr
st beaucoup réduite. Il y a une certaine agitation motrice dans les
muscles
des membres inférieurs. La sensibilité au tact
nir ou non des amyotrophies dans la totalité ou dans une partie des
muscles
préalablement paralysés ; « la paralysie est le p
sa moitié infé- rieure ; elle porte d'une façon très nette sur les
muscles
de la région anté- rieure ; les tendons fléchis
ceps, qui a d'ailleurs conservé une très grande force. - Tous les
muscles
de l'épaule et du dos et tous les autres muscles
force. - Tous les muscles de l'épaule et du dos et tous les autres
muscles
de l'éco- nomie paraissent tout à fait indemnes
eu de douleurs. Inexcitabilité faradique et galvanique complète des
muscles
de l'éminence thénar, sauf pour l'adducteur du
as, le biceps se contracte avec beaucoup de force, mais le corps du
muscle
est nettement moins volumineux que du côté opposé
corde est nettement moins puissante à gauche qu'à droite. Les autres
muscles
de l'avant-bras ne sont pas indemnes ; les radi
té du pouce et celle du petit doigt. Il n'y a aucune atrophie des
muscles
du cou ou de l'épaule autres que le deltoïde; a
du biceps et du long supinateur, plus légère encore du triceps, des
muscles
radiaux et extenseurs des doigts et des muscles d
ore du triceps, des muscles radiaux et extenseurs des doigts et des
muscles
de la partie externe de l'éminence thénar. La
LÉRI ÉTUDE DES ATROPHIES MUSCULAIRES 259 d'Erb, c'est-à-dire aux
muscles
dépendant du plexus brachial supé- rieur. Les d
'Erb est d'ailleurs douloureux à la pression ; et l'in- tégrité des
muscles
de l'épaule dont l'innervation dépend des branche
renant : 1° que l'amyotrophie soit survenue dans tout le groupe des
muscles
de Duchenne-Erb sans aucune paralysie préalable
t rapporter les amyotrophies isolées et non progressives des petits
muscles
de la main signalées par Pierre Marie et Foix (1)
mollet (mollet de coq), l'atrophie porte en masse aussi bien sur les
muscles
antéro-externes que sur les muscles postérieurs
rte en masse aussi bien sur les muscles antéro-externes que sur les
muscles
postérieurs. La malléole péronière fait une trè
sur la partie externe semble formée par l'extrémité inférieure des
muscles
de la loge antéro-externe, mieux conservés que
nt au doigt et on voit à travers la peau un reste bien peu épais de
muscle
pédieux. La mensuration donne les chiffres suiv
ors qu'il ne peut se maintenir que par des efforts constants de ses
muscles
antéro- externes ; le jambier antérieur et l'ex
s proprement dites, mais volon- tiers une sorte de frémissement des
muscles
, notamment des muscles posté- rieurs des cuisse
s volon- tiers une sorte de frémissement des muscles, notamment des
muscles
posté- rieurs des cuisses et des masses sacro-l
RES 265 d'extension du pied à gauche ; l'excitabilité mécanique des
muscles
antéro- externes de la jambe est presque nulle
- externes de la jambe est presque nulle des deux côtés ; celle des
muscles
anté- rieurs et postérieurs des cuisses est trè
à droite qu'à gauche, mais elle porte des deux côtés sur les mêmes
muscles
et nerfs. Les muscles des cuisses sont égalemen
mais elle porte des deux côtés sur les mêmes muscles et nerfs. Les
muscles
des cuisses sont également très hypoexcitables,
oin- dre degré, mais de façon évidente et déjà très prononcée ; les
muscles
sont tous soit très fortement hypoexcitables mé
s, lorsqu'elle vint nous consulter la première fois, l'atrophie des
muscles
de la 'ceinture scapulaire était déjà manifeste
nt hypertrophiés. Rien à signaler à propos de la fonctionnalité des
muscles
de la face, des bras, des [avant-bras, des sterno
de la face, des bras, des [avant-bras, des sterno-mastoïdiens, des
muscles
lombaires, des muscles du bassin et des membres i
des [avant-bras, des sterno-mastoïdiens, des muscles lombaires, des
muscles
du bassin et des membres inférieurs. L'atrophie
re a donc atteint les parties moyenne et inférieure du trapèze, les
muscles
rhomboïdes, les grands dentelés. Les muscles atte
rieure du trapèze, les muscles rhomboïdes, les grands dentelés. Les
muscles
atteints d'atrophie présentent les caractères s
; elle nous a intéressé par la localisation purement scapulaire des
muscles
atteints et par l'absence, dans son histoire, de
nt profondes : tout de même on constate du côté droit les fibres du
muscle
petit pectoral bien conservées. - Postérieure
te est tournée en dedans et en haut, et cela à cause de l'action du
muscle
rhomboïde dont les fibres sont bien conservées.
du côté droit l'atrophie du grand pectoral et du grand dentelé, le
muscle
rhomboïde étant de ce côté bien conservé. En outr
rvé. En outre, sont atrophiées les parties moyenne et inférieure du
muscle
trapèze. On note des deux côtés l'hypertrophie
ltoïdes. Rien à signaler à propos de la forme et de la fonction des
muscles
de la face, de la nuque, du cou et des membres
e, de la nuque, du cou et des membres supérieurs et inférieurs. Les
muscles
dorso-lombaires et ceux du bassin sont intacts.
ombaires et ceux du bassin sont intacts. A l'examen électrique, les
muscles
atrophiés présentent une diminution de contract
Appareils digestif et respiratoire normaux. Examen électrique des
muscles
de la face et du cou innervés par le facial. DI
sont émises : la corde du tympan, les nerfs pétreux, les nerfs des
muscles
de l'étrier et du marteau. Une fracture, une ex
vec sécheresse plus ou moins marquée de la bouche. La paralysie des
muscles
de l'étrier et du marteau amène une hyper- acou
ausée par la déviation de la cloison. Il n'y a pas de paralysie des
muscles
de l'étrier et du marteau. La légère hyperacous
sinon absolue, s'explique aisément par la double innervation de ce
muscle
qui reçoit en dehors des filets nerveux de la V
à remplacer dans une certaine mesure l'orbiculaire des lèvres, les
muscles
du menton, les buccinateurs. Les muscles massét
iculaire des lèvres, les muscles du menton, les buccinateurs. Les
muscles
masséters eux aussi se contractent dans quelques
ns, l'excita- tion de la Ve paire produit des contractions dans les
muscles
masticateurs et tout le massif facial. De même
on fonctionnelle des peauciers et des masséters en substitution des
muscles
innervés parle facial inférieur. En se- contrac
cial supérieur, nous n'avons aucun fait semblable. Presque tous les
muscles
de cette région sont tributaires de la VIle pai
ébaucher une occlusion partielle des yeux. De plus, les tendons des
muscles
de l'oeil envoient d'après Coyne et Troisier des
ns le Dictionnaire de Physiologie de Richet. DIPLÉGIE FACIALE 281
muscle
de Horner se traduisant par de la lagophtalmie et
la diminution de cette force, dans la faiblesse de la tonicité des
muscles
, aussi bien des muscles de la vie de relation q
force, dans la faiblesse de la tonicité des muscles, aussi bien des
muscles
de la vie de relation que des muscles de la vie
é des muscles, aussi bien des muscles de la vie de relation que des
muscles
de la vie végétative. Les muscles lisses comme
les de la vie de relation que des muscles de la vie végétative. Les
muscles
lisses comme les muscles striés présentent une
que des muscles de la vie végétative. Les muscles lisses comme les
muscles
striés présentent une diminution de capacité fonc
émités sont refroidies en partie pour la même cause. L'asthénie des
muscles
in- ternes de l'oeil se révèle par des signes d
syncope et de l'asphyxie, en ce que dans celles-ci la faiblesse des
muscles
va de pair avec celle des mouvements vitaux (p.
lui qui distribue le fluide nerveux dans le coeur et dans tous les
muscles
du corps, et par conséquent dans tous les organ
ge que la faiblesse muscu- laire - et même surtout la faiblesse des
muscles
à fibres striées - sans parler de la faiblesse
icielle. L'enfant présente dès le premier jour des contractures des
muscles
de la face et des membres : « l'enfant était ra
jambes. Du reste, une certaine augmentation de tonus dans tous les
muscles
. En aucun endroit on n'a pu constater de parési
In- continence des urines. Le patient a une ridigité générale des
muscles
et il est pour ainsi dire raide de tout le corp
e a eu un vomissement et en même temps une forte crampe tonique des
muscles
de la mâchoire infé- rieure. On ne peut disjoin
it. La cicatrice de la blessure siège en avant du bord antérieur du
muscle
sterno-cléido-mastoïdien droit et dans le plan
diminue nettement dans l'obscurité. Résul- tant de la paralysie du
muscle
dilatateur de la pupille, cette pupille en myos
lésion paralytique de celui-ci. 2° L'énophtalmie par paralysie du
muscle
orbitaire non strié de Muller qui, à l'état nor
s » par paralysie de la partie non striée (tarsienne supérieure) du
muscle
releveur qui s'insère sur le bord supérieur du ca
as à ce moment s'orienter vers la guérison. L'examen électrique des
muscles
et nerfs par les méthodes classi- ques ne révèl
sont quelquefois compliquées de contractures isolées de tel ou tel
muscle
dumembre supérieur, qu'il existe enfin des trou
istence de certaines altérations de l'excitabilité des nerfs et des
muscles
que les méthodes clas- siques ne laissent pas c
le seuil d'ouverture est le même pour le mus- cle malade et pour le
muscle
sain. C'est le seuil de fermeture qui diffère,
sain. C'est le seuil de fermeture qui diffère, s'étant élevé sur le
muscle
malade et'faisant varier le rapport. Cette vari
BRACHIAL 357 ? Elle peut être mesurée soit sur le nerf, soit sur le
muscle
, tant au point moteur que par excitation longit
ou associées, correspondent à une destruc- tion de l'homogénéité du
muscle
, certaines libres devenant plus rapides, tandis
e et le temps utile. Nous avons trouvé dans notre observation II un
muscle
plus malade que les autres, le deltoïde, qui no
it par retour de manivelle. Atrophie et parésie prédominant sur les
muscles
périscapulaires, trapèze, deltoïde, grand pecto
nette complique celle parésie. Elle est surtout mar- quée dans les
muscles
périscapulaires, trapèze, grand pectoral, deltoid
faible à l'avant-bras où elle ne reste perceptible qu'au niveau des
muscles
épicondyliens. Les muscles atrophiés ont une co
le ne reste perceptible qu'au niveau des muscles épicondyliens. Les
muscles
atrophiés ont une consistance nettement diminué
re des réactions nor- males faradiques et galvaniques pour tous les
muscles
périjcapu ! aires et bra- chiaux, pour le plexu
du média u et du cubital ne sont pas douloureux. De plus, tous les
muscles
atrophiés sont légèrement sensibles à la pressi
égion du plexus brachial. Paralysie et atrophie prédominant sur les
muscles
périscapulaires. Aucune modification des réacti
érieur droit prédominant à l'épaule. La paralysie et l'atrophie des
muscles
périsca- pulaires est telle que les mouvements
demne. Au niveau du bras, existe aussi de l'atrophie et de plus les
muscles
-sont plus mous que du côté sain, mais les mouv
forcp, particulièrement pour les trois premiers. Les mouvements des
muscles
de l'éminence thénar sont également incomplets et
ues muscu- laires au niveau de la main (état pseudoparkinsonien des
muscles
de la main). v Participation du plexus brachi
iveau de l'éminence thénar. La motilité est moins atteinte pour les
muscles
du hras. Le malade peut, avec une certaine force
e il semblait d'abord, mais d'un trouble trophique très spécial des
muscles
rappelant l'état parkinsonien et correspondant sa
symétrie est due sans duute à une légère contracture de défense des
muscles
élévateurs contre la douleur. Aucun autre troub
e des signes cliniques, que des symptômes insigni- fiants. Tous les
muscles
du domaine atteint ont des contractions vives.
côté sain : 12,1 côté malade : 14,6. ' Pour le médian et pour les
muscles
du groupe radiculaire supérieur, il y a ~ une c
actions galva- niques et faradiques normales pour tous les nerfs et
muscles
du plexus brachial. Les troubles trophiques de
11 septembre 1917, avec le diagnostic : « Atrophie progressive des
muscles
, des.mains et de l'avant-bras avec trem- blemen
qu'à droite, sans qu'on puisse parler d'hypo-excitabilité. Tous les
muscles
tributaires de ces nerfs ont été examinés et en o
rait galvanique donne constamment à droite N < P dans les grands
muscles
; tendances à l'égalisation dans ceux de la main
isation polaire avec secous- ses un peu lentes dans tous les grands
muscles
, mais jamais inversion de la formule et excitab
e et excitabilité évidente entre 2 et 5 milliampères. Au niveau des
muscles
de la main on n'obtient pas de réaction certaine
ent. Des contractions fasciculaires spontanées s'observent dans les
muscles
touchés. F. La nsibilité objective n'est pas
signalerons qu'en passant l'époque tardive la il. D. dans certains
muscles
: en effet, des cas publiés se rapportent à des i
es sont légèrement gonflées par un certain degré d'hydarthrose. Les
muscles
des deux membres supérieurs sont atrophiés d'un
n des vertèbres, à une spondylite traumatique, à une rétraction des
muscles
psoas, etc... L'exa- men clinique (qui montre q
que 5 au dynamomètre; il est flasque comme le membre inférieur. Les
muscles
de ce dernier sont en plus le siège d'une atrophi
degré plus faible; l'impotence porte plus particulièrement sur les
muscles
de l'a'vant- bras, et, alors qu'à gauche le dyn
voit, on sent pour ainsi dire que toute tonicité a disparu de ces
muscles
, qui sont du reste atrophiés en partie; le segmen
s du tronc le membre inférieur gauche, puis mettant en peu tous les
muscles
du côté droit qui peuvent servir à effectuer le
reste en arrière à la façon d'un appendice surajouté. Néanmoins les
muscles
ayant, nous l'avons dit, conservé un certain de
avant et de latéralité du tronc étant toutefois moins marqués, les
muscles
du segment supérieur droit du corps jouissant d
tte, à la crète spinale transformée en gouttière par la saillie des
muscles
puissants qui la bordent de chaque côté. Néanmo
it M. Straus', mentionnent comme terme ultime de la contracture des
muscles
, leur transformation fibreuse. Ce mode de termi
en sont insignifiantes les lésions histologiques que présentent les
muscles
contracturés, même pendant de longues années (C
vent même pas d'une façon péremptoire la transformation fibreuse du
muscle
; les ligaments et les gaines péri-articulaires
s telles qu'elles s'opposent au redressement, sans que pour cela le
muscle
, cause première du mal, se soit sclérosé. Le temp
ue l'élément fibreux résulte des tractions auxquelles est soumis le
muscle
, et que la rétraction est la dernière étape de
génitale et existait chez le père et la' mère de la malade. , Les
muscles
du mollet et de la jambe ne sont pas durs, % la j
dépendances ; explorés électriquement par M. Vigou- ( roux,'un seul
muscle
répond tout à fait bien à l'excitabilité électriq
l'excitabilité électrique, c'est i le tibial antérieur; les autres
muscles
sont peu excitables soit directement i soit ind
'exploration ; on a seulement constaté l'excitabilité faradique des
muscles
jumeaux. , Chez Anna M... l'élément myo-spasmod
tude toute particulière. Ainsi la tête, en vertu de la rigidité des
muscles
antérieurs du cou, est fortement inclinée en avan
longue, les mains, en raison de la rigidité permanente de certains
muscles
, offrent des déformations qu'il est bon de conn
ive. Il a défini et classé cette étrange maladie, dans laquelle les
muscles
s'atrophient progressivement, un à un, débutant d
rime aux divers segments du membre une attitude en rapport avec les
muscles
disparus, jusqu'à ce que la maladie par- venue
révèle l'invasion inégale de l'atrophie qui a porté surtout sur les
muscles
interosseux et les extenseurs de l'avant-bras. On
, et s démontré qu'elle est la conséquence de l'atrophie des petits
muscles
logés dans les espaces intermétacarpiens. C'est l
ste encore à un certain degré; or nous savons aujourd'hui qu'un des
muscles
qui président à ce mouvement, le long supinateu
epos, même s'il s'appuie le dos contre le dossier de la chaise, les
muscles
des cuisses et du tronc présentent des contract
. La force musculaire est bien conservée dans les divers groupes de
muscles
. C'est ainsi que, sa jambe étant étendue sur la
M. Parinaud : pas de lésion du fond de l'oeil. Pas de paralysie des
muscles
moteurs du globe oculaire. Léger nys- lagryus q
l. XI). Les membres inférieurs sont bien développés et leurs divers
muscles
offrent une force de résistance normale; les pi
s marqués) à ceux que nous avons notés au niveau des orteils. Leurs
muscles
, de même que ceux des membres inférieurs, paraiss
ogression lente de cette instabilité bientôt généralisée à tous les
muscles
; scan- sion de la parole; nystagmus plus ou moi
û être employées; il existait non seulement un raccourcissement des
muscles
fléchisseurs de la cuisse, mais encore une sort
t dans la fragilité pathologique du tendon, attribuable a ce que le
muscle
contracturé absorbe un excès de matériaux nutri
déterminante serait représentée par le tiraillement que produit le
muscle
rigide. La ré- traction cicatricielle de ces fi
- Yespiration normaledoM... RESPIRATION CHEZ LES ÉPILEPTIQUES. 73
muscles
expirateurs; il est plus légitime de les attribue
il, le pédièux et les péroniers latéraux sont paralysés. Les autres
muscles
sont absolument in- demnes. L'articulation du g
nexcitable au creux du jarret; excitabilité faradique abolie dans les
muscles
tibial antérieur, extenseur commun des orteils,
excitabilité galvanique conservée (sans exagération) dans les mêmes
muscles
avec prédominance de l'anode et con- traction l
ui n'est pas le cas dans notre observation. Nous avons vu que les
muscles
intéressés par la paralysie sont les deux péron
ur propre du gros orteil et le pédieux : ce sont en un mot tous les
muscles
innervés par le sciatique poplité externe. Cette
ciatique poplité externe par un cal exubérant et paralysie totale des
muscles
exten- seurs de la jambe. Résection du cal et d
id, la compression, ne pourraient-ils développer des palalysies des
muscles
innervés par ce nerf; pourquoi la diathèse rhum
édentes, ne développerait-elle pas des paralysies rhumatismales des
muscles
innervés par le sciatique poplité externe ? Que
hèse : Seeligmtdler1 cite un cas de paralysie dite rhumatismale des
muscles
extenseurs de la jambe, dans lequel existaient de
erf lI1usculo-culané. - 4 et 5. Nerf tibial antérieur. - 5. Rameau du
muscle
pé- diou ? -J.A. Jambior antérieur. - E.P.G.O.
la tête du péroné dont il est séparé par l'insertion supérieure du
muscle
soléaire, contourne horizontalement le col de c
nier se distribue il la peau, l'anesthésie a existé. Or, tous les
muscles
innervés par le sciatique poplité externe ayant
es du musculo- cutané, se trouvent intéressés au même degré que les
muscles
innervés parle tibial antérieur, c'est que ces
s parle tibial antérieur, c'est que ces péroniers latéraux sont les
muscles
les plus sensibles de la jambe : ce sont eux le
de de Brand, il persista quelque temps une paralysie incomplète des
muscles
et une anesthésie cutanée locale. Le malade de
Duplay présentait encore au bout d'un an une paralysie complète des
muscles
extenseurs du pied et des péroniers latéraux. '
, l'accident primitif date de plus de deux mois et la paralysie des
muscles
extenseurs et des péroniers n'a aucu- nement ré
rs n'a aucu- nement rétrocédé, et la réaction de dégénérescence des
muscles
affectés n'est pas propre à faire espérer une g
'anes- thésie, la réaction de dégénérescence n'existaient plus, les
muscles
affectés avaient repris l'intégrité totale de l
nombre de maladies du système nerveux central pro- voquent dans les
muscles
des membres des contractures plus ou moins rebe
ment observé. Cette attitude vicieuse est due à la prédominance des
muscles
postérieurs de la jambe sur ceux de la région ant
sur ceux de la région antérieure. Lorsque la contracture occupe les
muscles
de la cuisse, la jambe est fléchie sur la cuiss
ter- médiaire entre la flexion et l'extension. La contracture des
muscles
de la hanche (coxalgie hystérique) met la cuiss
platie, et le bras collé contre le tronc, dans les contractures des
muscles
de cette région. , Telles sont les déformations
able, parfois passagère, souvent très longue. Quand elle cesse, les
muscles
ordinairement intacts peuvent reprendre leurs fon
ement. Tous les désordres apparents produits par celte attitude des
muscles
sont donc susceptibles de disparaître et de ne la
e le retour des mouvements était assuré, à cause de l'intégrité des
muscles
et des articulations immobilisées. Malheureusem
la contracture) mais que, après elle, persistait une rétraction des
muscles
qui maintenait indéfiniment les attitudes vicie
nd, la contracture ayant cessé, l'attitude .vicieuse persiste, les-
muscles
qui maintiennent cette défor- mation semblent r
lle que produirait une corde rigide. En même temps, la palpation du
muscle
donne une sensation de dureté, de rigidité spéc
devient immuable; elle n'a aucune tendance à changer. Lorsque les
muscles
sont faibles, peu volumineux, on peut, au moyen
allonger légèrement, mais ce résultat ne peut être obtenu, dans les
muscles
épais et solides, que par une intervention chir
ssu fibreux intermédiaire, per- mettra un allongement artificiel du
muscle
. Je ne discuterai pas longuement quelle est l'o
sujet. D'après l'opinion de Roth, défendue aussi par Déjerine1, le
muscle
subirait une modification spéciale qui consiste
tion spéciale qui aurait pour résultat de raccourcir la totalité du
muscle
. Ainsi se trouverait expliquée, d'une part, la
rvation de la contractilité musculaire dans une certaine étendue du
muscle
resté intact. Celte explication, confirmée par
ction musculaire ne serait qu'appa- rent, et le raccourcissement du
muscle
ne serait dû qu'à l'action pré- dominante de ce
ue temps, et la position vicieuse ne peut plus varier, parce que le
muscle
subit un certain degré de cir- rhose par épaiss
te pas moins un fait acquis, c'est le raccourcissement permanent du
muscle
entraînant uue attitude vicieuse d'un segment d
vec conser- vation de la contractilité dans une grande partie de ce
muscle
. Mais ce n'est pas tout; l'obstacle au mouvemen
mportant. A côté de la déformation produite par la relrac- lion des
muscles
succédant à la contracture spasmodique, il existe
vent, les mouvements peuvent s'exécuter facilement aussitôt que les
muscles
sont relâchés. C'est là un fait d'observation g
t vrai pour les contractures spasmodiques, qui laissent intacts les
muscles
et peuvent disparaître complètement, ne l'est plu
sparaître complètement, ne l'est plus pour les cas dans lesquels le
muscle
, en cessant d'être contracturé, subit l'altérat
tion. Ils ont surtout pour effet de gêner les mouvements lorsque le
muscle
trop court a été allongé par une opération approp
éléments fibreux, doit être de même nature que celle qui atteint le
muscle
en agissant sur son tissu cellulaire pour le rend
breux qui l'entourent sont indurés et,' épaissis ; d'autre part, le
muscle
proprement dit(la substance contractile) est sain
e l'intervention chirurgicale : ` 1° Il faut d'abord allonger les
muscles
rétractés, de façon à leur permettre de fonctio
ntrac- ture elle-même, ait disparu. Pendant tout le temps que les
muscles
sont sous l'influence de ce phénomène physiolog
plus nuisible qu'utile, car, après la séparation des deux bouts, le
muscle
contracturé entraînant le bout tendineux qui lui
force à s'abstenir pendant la période de contracture, c'est que les
muscles
antagonistes également contractures, libres de
t homme est atteint, depuis plusieurs années, d'une contracture des
muscles
de l'avant-bras gauche, avec prédominance ordinai
des muscles de l'avant-bras gauche, avec prédominance ordinaire des
muscles
fléchisseurs sur les extenseurs; aussi la main et
u début, qui remonte à plusieurs années. La réaction électrique des
muscles
est parfaite. Ce malade, atteint d'une infirmité
ale pour redresser la main. Par exemple, la section des tendons des
muscles
qui maintenaient la main dans l'attitude vicieu
pourra alors faire avec succès des sections sur les tendons de ces
muscles
et obtenir un excellent ré- sultat. TERRILLON
al. Organes génitaux bien développés. Peau brune, flasque et ridée.
Muscles
émaciés. État cachectique. Poids 56 kilog. Pas
uvé aucun changement (fig. 48). Au début de l'accès, la tension des
muscles
modifie la forme du tracé qui présente des form
PÊTRIÈRE. minute environ. Pendant cet effort de la main gauche, les
muscles
de l'avant-bras droit sont le siège d'une tensi
la main gauche. Pendant cet effort, en raison delà trémulation des
muscles
et de la modification -de pression du ressort,
opposé. Il semble probable qu'elle tient à l'état des vaisseaux des
muscles
dont la contraction s'accompagne d'une aug- men
« chute du poignet », conséquence immédiate du défaut d'action des
muscles
extenseurs, et dont la cause réside dans une para
dents, alors que l'incoordination motrice et même l'atrophie des
muscles
étaient déjà très avancées. M. Bail a signalé d
impossibles, ou ne sont possibles qu'à condition de ti- railler les
muscles
, de faire souffrir les malades et d'augmenter sec
st là un signe excellent qui sert à différencier les deux étals des
muscles
. M. Charcot a particulièrement insisté sur ces si
de ce moyen. Lorsque le malade est profondément endormi, et que ses
muscles
sont en relâchement, la contracture spasmodique
ce résultat n'existe pas; malgré l'anesthésie la plus profonde, le
muscle
raccourci par rétraction de ses éléments fibreu
ablissement de la fonction du membre. Pour conserver la fonction du
muscle
après la section du tendon, il est nécessaire d
pêcherait cette pro- duction. Le résultat serait défectueux, car le
muscle
devenant impuis- sant, le segment du membre dév
drait bientôt une déviation en sens opposé, grâce à la tonicité des
muscles
antagonistes. Cette infir- mité nouvelle serait
e pas fournir la totalité du résultat espéré. Il semble donc que le
muscle
reste encore trop court. Mais l'expérience a pr
ieurement, par des tractions méthodiques, rallongement définitif du
muscle
. Cet allongement 1 secondaire se produit probab
ages ou manipulations diverses, en y ajou- tant l'électrisation des
muscles
. Rien ne peut remplacer l'exercice modéré qu'on
LAS AL P l '[' It II : It E, continus pour activer la nutrition des
muscles
. Ces moyens adjuvants que nous avons toujours e
autant de temps que la paraplégie spasmodique avec contracture des
muscles
postérieurs de la cuisse. Après la guérison, c'
venue absolument impossible. Elle était gênée par la rétraction des
muscles
postérieurs de la cuisse qui se tendaient comme
re obstacle à l'extension en même temps que le raccourcissement des
muscles
. Cet épaississement fibreux existait également
: LA 5 : 11.1`I;'l'ltll : ltl;. l'emploi de ces deux méthodes, les
muscles
ont repris leur activité, les tissus périarticu
t cessé, mais avait laissé après elle une rétraction tendineuse des
muscles
posté- rieurs de la jambe. -- La rétraction m
reslcrenl en équinisme, mainlenus par une rigidité persistante des
muscles
2. Le 4 mars 1887, ou constate aux pieds les dé
die, formée par la poulie aslra- jalienne soulevant les tendons des
muscles
extenseurs. La plante du pied est très fortemen
s les déformations précédentes sont identiques sur chaque pied. Les
muscles
réagissent facilement sous l'influence de l'élect
tions volontaires qui sont limitées à cause du raccourcissement des
muscles
. Il n'existe aucune lésion trophique, et la sen
pied en équinisme, produite primitivement par une con- tracture des
muscles
de la jambe avec prédominance d'action des musc
- tracture des muscles de la jambe avec prédominance d'action des
muscles
de la région postérieure, était entretenue, depui
, depuis la guérison de la contracture, par un raccourcissement des
muscles
extenseurs devenu permanent et indélébile. Ce
xtenseurs devenu permanent et indélébile. Ce raccourcissement des
muscles
contractures est rare dans l'hys- térie, mais o
en connaît déjà plusieurs exemples. Ici la section des tendons des
muscles
raccourcis a suffi pour per- mettre la fonction
vers le mois de mai, mais en laissant après lui une rétraction des
muscles
' postérieurs qui immobilise les pieds dans l'é
és sont très limités. Il n'existe pas de troubles trophiques. Les
muscles
réagissent nettement par l'électricité. La sens
es deux malades, à la suite d'une paralysie alcoolique occupant les
muscles
des deux jambes, avaient eu des troubles trophiqu
culaire postérieur; de là, de l'équinisme dû à la rétraction de ces
muscles
et de leur tendon, principalement du tendon d'A
itudes qui persistèrent par le fait de la rétraction d'un groupe de
muscles
, et aussi au point de vue de l'intervention chi
ques des deux membres inférieurs. Après la guérison, la plupart des
muscles
purent reprendre un peu de vita- lité grâce au
lade, me pria de la voir et je constatai un équinisme prononcé. Les
muscles
antérieurs faibles se contractent assez bien so
es se contractent assez bien sous l'influence de l'électricité, les
muscles
postérieurs aussi, mais les muscles postérieurs
influence de l'électricité, les muscles postérieurs aussi, mais les
muscles
postérieurs de la jambe elle tendon d'Achille, ma
élébiles de certains segments des membres. 2° Les altérations des
muscles
qui succèdent à la contracture portent sur leur
s par un traite- ment secondaire qui consiste dans l'excitation des
muscles
par l'élec- tricité, dans des pratiques de mass
nes gens dont l'âge variait de treize à vingt ans. J'ai exploré les
muscles
, système par système, muscle par muscle, et je su
treize à vingt ans. J'ai exploré les muscles, système par système,
muscle
par muscle, et je suis arrivé à me convaincre q
ingt ans. J'ai exploré les muscles, système par système, muscle par
muscle
, et je suis arrivé à me convaincre que la dimin
- buée assez inégalement. Voici, par ordre de faiblesse, l'état des
muscles
de mon malade : 1° Fléchisseurs de la jambe; 2°
dure un certain temps, comme si le malade oubliait de relâcher ses
muscles
. Notre malade présente une scoliose à courbure
1 VIII. Les phénomènes d'ordre trophique sont absolument nuls. Les
muscles
eux-mêmes ne sont nulle part atrophiés, et, en to
actifs, je décris ici le premier ce que j'appelle le nystagmus des
muscles
de la face. Ces mouvements, au moins dans leur
apophyses épineuses s'enfonce profondément, entre les saillies des
muscles
des gouttières verté- brales, et les bords spin
mander maintenant quels sont les agents de la contracture ? . Les
muscles
carrés des lombes, d'après M. Sappey, lorsque leu
ntenir la colonne lombaire dans la rectitude; lorsqu'un seul de ces
muscles
se contracte par ses faisceaux transversaires,
iquer la concavité à gauche de la déformation. Peut-être les petits
muscles
intertransversaires ajoutaient-ils leur action; c
peut-être penser à attribuer l'incurvation latérale à l'action des
muscles
de la masse sacro-lombaire; mais il suffit de r
ne explication plus difficile. Il faut l'attribuer, selon nous, aux
muscles
psoas-iliaques; car, dit M. Sappey : « dans la st
sur le fémur; ils tendent alors à fléchir le tronc; et si les deux
muscles
se contractent ensemble, le tronc se porte dire
rche. Tous les auteurs signalent les effets des contractions de ces
muscles
. Cependant, il existe encore d'autres muscles s
s contractions de ces muscles. Cependant, il existe encore d'autres
muscles
susceptibles d'entraîner le torse en avant, de
eptibles d'entraîner le torse en avant, de le fléchir : ce sont les
muscles
de la paroi abdo- minale antérieure. Mais la pr
, il existait aussi une flexion directe du tronc en avant; mais les
muscles
abdominaux ne présentaient pas la dépression pr
était la suivante : il s'agissait d'une contracture hystérique des
muscles
du plan profond de la région abdominale postéri
fiantes; c'est un pied bot musculaire. Dans le tabes, en effet, les
muscles
ont perdu leur sensibilité musculaire ou du moins
ment du ligament antérieur de l'articula- lion tibio-tarsienne. Les
muscles
du mollet sont flasques et amaigris; ou obtient
onne- ment; comme l'a démontré Duchenne (de Boulogne), c'est ici le
muscle
frontal qui est enjeu. Nous avons observé,'chez
celle de l'attention, et elle est due à la prédominance d'action du
muscle
orbiculaire palpébral supérieur. Enfin, sur d
hérique et réside dans la prédominance de la rigidité dans certains
muscles
. Entre ce front mouvementé, expressif ou ridé c
traînés par un mouvement passif plutôt que solidement fixés par les
muscles
. De légers obstacles font trébucher le malade.
ez saillants, et il semble qu'il y ait une diminution de volume des
muscles
interosseux; cette dépression est surtout marqu
surmonter. Le volume des trapèzes est normal; il en est de même des
muscles
de l'épaule. Le cartilage thyroïde semble aug
une force à peu près normale. Il en est de même des jumeaux et des
muscles
de la région antéro-externe de la jambe. Le c
de même pour les dents molaires, sans doute parce que la force des
muscles
crotaphytes et masséters s'est opposée à l'élargi
ive et ferme. La force musculaire est très abaissée. L'atrophie des
muscles
est surtout marquée aux bras, aux mollets, et n
. — Ces altérations peuvenl occuper la peau, le tissu cellulaire, les
muscles
, les articulations, les viscères. Importance de c
orps les plus diverses : \apeau, par exemple, le tissu cellulaire,les
muscles
, les articulations, les os, eux-mêmes,ou enfin le
eprogressive considérées naguère comme des affections pri-mitives des
muscles
, et dont le point de départ est en réalité, dans
même de la moelle épinière, les parties périphériques, telles que les
muscles
, les os d'un membre continuent pendant longtemps
le est condamné le membre paralysé ; elle porte non seulement sur les
muscles
, mais encore sur les os et sur la peau, ainsi que
w-York, 1853, p. 6. —Après la section d'un nerf mixte, l'atrophie des
muscles
ne commence à se manifester en général chez l'hom
9.) de faire passer chaque jour un courant galvanique à travers les
muscles
du membre paralysé. 2° La section complète du n
n peut voir,dit Valentin lacontractilité électriquepersister dans les
muscles
des membres postérieurs, jusqu'à la mort, c'est-à
ement, dans les membres paralysés, une dégénération avec atrophie des
muscles
très lente à se produire, des ulcérations du derm
ènes morbides affectant la peau, le tissu cellulaire sous-cutané, les
muscles
, les articulations et les os. La dernière guerre
l'affection désignée sous le nom de sclévodermie. b) Affections des
muscles
. Les muscles s'atrophient, de leur côté, souvent
ésignée sous le nom de sclévodermie. b) Affections des muscles. Les
muscles
s'atrophient, de leur côté, souvent d'une manière
prosus ; b) l'état lisse de la peau (Glossy S/un) ; c) l'atrophie des
muscles
; d) lapériostite etenfin la nécrose. Lorsque ces
trophiques consécutifs aux lésions des nerfs (suite). Affections des
muscles
. Troubles trophiques consécutifs aux lésions de
aire. — Modifications anatomiques et fonctionnelles que subissent les
muscles
sous l'influence de la lésion des nerfs qui les a
istance de la contractilité électrique et de la nutrition normale des
muscles
, à la suite de la section ou de l'excision des ne
hâtives de la contractilité électrique, suivies d'atrophie rapide des
muscles
dans le cas de paralysie rhumatismale du nerf fac
n hâtive de la contractilité électrique, suivie d'atrophie rapide des
muscles
. Expériences de MM. Erb, Ziemssen et 0. Weiss.
rritatives. — Différence des résultats obtenus dans l'exploration des
muscles
suivant qu'on fait usage de la faradisation ou de
le épinière. — En ce qui concerne leur influence sur la nutrition des
muscles
, ces lésions forment deux groupes bien distincts.
s de la moelle qui n'ont pas d'influence directe sur la nutrition des
muscles
: a) Lésions en foyer très circonscrites, n'intér
ions de la moelle qui influencent plus ou moins vite la nutrition des
muscles
: a) Lésions fasciculécs ou circonscrites qui int
sur les modifications anatomiques ou fonctionnelles que subissent les
muscles
sous l'influence de ces lésions. Je voulais réser
estion où les résultats de l'ex-ploration électrique des nerfs et des
muscles
doivent être invo-qués à chaque instant devant de
ontraire, que, à la suite des lésions des nerfs qu'elle provoque, les
muscles
conservent pendant un temps relativement fort lon
i le médecin n'intervient pas, à l'atrophie plus ou moins complète du
muscle
et à la perte quelquefois défi-nitive de ses fonc
int, tout le monde est parfaitement d'accord. En ce qui concerne le
muscle
, il n'offre tout d'abord aucune modification de l
ilité musculaire, lorsqu'i l s'agit du nerf facial, persiste dans les
muscles
correspondants, pendant plus de douze semaines (2
own-Séquard et Martin-Magron ont vu, de leur côté, l'irritabilité des
muscles
faciaux survivre, chez les cochons d'Inde et chez
la persistance presque indéfinie de la con-tractilité électrique des
muscles
correspondants. Le résultat est si palpable, si
n, 1858-59, p. 18. — M, Schiff aurait vu deux fois l'excitabilité des
muscles
persister quatorze mois après la section des nerf
51, p. 101. 4. Vulpian, loc. cit., p. 235. priété contractile des
muscles
. Presque tous font remarquer que si, quelquefois,
électriques deviennent impuis-santes à déterminer la contraction des
muscles
, toujours celle-ci se manifeste sous l'influence
lupart des auteurs semblent s'accordera reconnaître que l'atrophie du
muscle
, sa dégénéra-tion histologique, ne surviennent à
ivant M. Longet(l),si trois mois après la section du nerf facial, les
muscles
correspondants, examinés après la mort, présentai
sque la paralysie consécutive à la section du nerf, date de loin, les
muscles
présentent un certain degré d'amaigrissement. Il
tion électrique directe, c'est-à-dire appliquée sur le nerf ou sur le
muscle
mis à nu; enfin, c'est àpeuprès exclusivement le
avant la fin du premier septénaire, la contrac-tilité électrique des
muscles
de la face est déjà remarquablement amoindrie et
près l'invasion de la maladie, des courants induits appliqués sur les
muscles
paralysés ne donnaient pas lieu à la moindre cont
ent affai-blie dès le dixième ou même dès le cinquième jour, dans les
muscles
frappés de paralysie (3). L'observation cliniqu
Paralysie, suite de contusion du nerf cubital. règle générale, les
muscles
qui présententainsi laprompte dimi-nution etsurto
seuse pure et simple, toute passive et telle qu'on l'observe dans les
muscles
qui ont été durant longtemps condamnés à l'inac-t
complète du nerf facial gauche. La paralysie est surtout prononcée au
muscle
frontal. La contractilité électrique ayant été ex
es. Pour la première fois, le 17 avril 26e jour), on constate que les
muscles
frontal et zygomatique du côté gauche Il est cl
(39° jour), la faradisation ne provoque plus de contractions dans les
muscles
frontal et zygomatique: du côté gauche. Les autre
s dans les muscles frontal et zygomatique: du côté gauche. Les autres
muscles
de la l'ace, du même côté, ne répondent que faibl
cial ne présentent aucune modification appréciable : au contraire, le
muscle
frontal gauche est pâle, flasque, aminci. Dans le
s de l'état normal. Quelques-uns des filets nerveux qui se rendent au
muscle
frontal ne renfermen! guère que des fibres nerveu
a-blement au trijumeau, ont toutes leurs fibres à l'état normal. — Le
muscle
fron-tal gauche est profondément altéré; on obser
le moment, il nous suffira de noter que des lésions irrifali-ves des
muscles
, en tout semblables à celles qui viennent d'être
t. 136, et Gaz. Lomb. p. 18, 1867) a trouvé à partir du 30e jour, les
muscles
déjà pâles, le tissu con-jonctif intermédiaire au
on côté, M. Vulpian a ren-contré des altérations identiques, dans les
muscles
de la langue, chez le chien, cinquante jours aprè
oration. Le pathologiste se trouve dans la nécessité de n'explorer le
muscle
qu'à travers la peau, tandis que le phy-siologist
stainsi que dans un cas de pied bot,avec dégénération grais-seuse des
muscles
, où l'on fut obligé de pratiquer l'amputation, Va
i, se manifester sous l'influence de l'excitation directe,dans un des
muscles
les plus profondément altérés (1). Dans ce cas,si
cité appliquée au travers de la peau rasée et humectée d'eau, sur les
muscles
fa-ciaux du côte de l'opération, ne produisait pa
survint des contractions énergiques ; on les appliqua ensuite sur les
muscles
du côté opposé et il ne se pro-duisit aucune cont
posé et il ne se pro-duisit aucune contraction. Alors on mit à nu les
muscles
para-lysés et on appliqua sur eux, directement, l
s'y mêle aucune complication, comme un processus purement passif. Les
muscles
desservis par les nerfs sectionnés sont nécessair
produits par les lésions de nerfs, est l'émaciation ou l'atrophie des
muscles
desservis par ces nerfs. Celte atrophie peut exis
si qu'on peut voir survenir, en pareille circonstance, l'atrophie des
muscles
et la perte de la contractilité électrique. Mais
ique et, dès les premières semaines, Vatrophie et la dégénération des
muscles
. Bien que j'aie entrepris quelques recherches à c
la perte rapide de la contractilité électrique, l'atrophie hâtive des
muscles
et, en un mot, toute la série des phénomènes que
au-dessous du point lésé. Il paraît certain que les contractions des
muscles
, déterminées par l'électrisation, sont plus prono
la suite de lésions qui cependant, déter-minent rapidement, dans les
muscles
, l'apparition des troubles trophiques les plus pr
'affaiblir qu'alors que les lésions trophiques sont survenues dans le
muscle
(2). 11 importe de remar-quer, d'ailleurs, que la
tion ou une abolition totale de la contractilité électrique, dans les
muscles
des mem-bres frappésdeparalysie.Ce symptôme,manif
maladie, est suivi bientôt d'une atro-phie plus ou moinsprononcée des
muscles
. Les nerfs musculaires ont été plusieurs fois exa
ixtes, les troubles fonctionnels portent moins sur la sensibilité des
muscles
que sur leur contractilité ; ainsi une luxation d
de accuser une sensation musculaire assez notable, alors même que ces
muscles
ne se contrac-taient pas le moins du monde par l'
se traduit également par l'abolition de lacontracfilité spécifique du
muscle
(1). A en juger par l'enchaînementhabituel des
rie de lésions plus profondes qui amènent graduelle-mentl'atrophie du
muscle
et entraînent quelquefois l'abolition complète et
ique coupé ne causait plus de mouvements quand je le galvanisais. Les
muscles
se contractaient vivement quand j'appliquais sur
uveau l'ap-plication de la pile. Il n'y a eu de contractions dans les
muscles
de la jambe ni quand j'excitais le nerf, ni quand
ambe ni quand j'excitais le nerf, ni quand j'excitais directement les
muscles
, j'ai bâche alors la ligature ; au bout de très p
les, j'ai bâche alors la ligature ; au bout de très peu de temps, les
muscles
sont redeve-nus irritables. Le nerf sciatique n'a
n'a rien retrouvé de sa propriété perdue. Dans cette expérience, les
muscles
de la jambe, après avoir complètement perdu leur
de vue de leurs effets sur la contractilité et sur la nutri-tion des
muscles
, ne serait rien moins que fondée. Je commen-cerai
actilité électrique qui apparaissent du côté des nerfs et du côté des
muscles
, sous l'influence des courants continus et de la
es expériences, sont mis en évidence par l'exploration électrique des
muscles
. Ici, Messieurs, les résultats s'éloignent notabl
éritent à beaucoup d'égards de porter la dénomination de cirrhose des
muscles
proposée par M.Mante-gazza (1). Elles rappellent
ns irritatives dontles nerfs sont le siège retentissent jusque surles
muscles
. A la vérité, il peut paraître difficile de conce
et par suite, il y a lieu de reconnaître, à propos des affections des
muscles
, la distinction fondamentale entre les effets de
s périphériques sur les propriétés physiologiques et la structure des
muscles
, ne diffèrent pas essen-tiellement de ceux que dé
ir. D'une façon générale, Messieurs, on peut dire que la, peau, les
muscles
, les articulations, les os, les viscères enfin, p
ns lesquelles la con- tractilité électrique et l'état trophique des
muscles
, se conservent en parfaite intégrité pendant un l
ent con-sidérable, des mois parexemple, ou memeparibis des années. Le
muscle
, dans ce dernier cas, ne s'altère qu'à la longue,
le qui, dans la règle, ne modifient pas di-rectement la nutrition des
muscles
. Elles ont un caractère com-mun : toutes tendent
e leur épaisseur et dans toute leur éten-due en hauteur, sans que les
muscles
, animés par les nerfs issus des points lésés de l
es, une atro-phie plus ou moins rapide et plus ou moins prononcée des
muscles
. C'est, ainsi que je l'ai fait voir (i), d'après
à laquelle doit être rattachée, suivant moi, la lésion trophique des
muscles
(2). 1. Charcot et Joffroy, loc. cit., p. 354.
ins avaient offert la dé-formation connue sous le nom de griffe ; les
muscles
des éminences thénar et hypothénar, les interosse
nt également une atrophie très marquée, limitée à certains groupes de
muscles
. pression exercée par une tumeur, par le mal ve
diverses affections mont pas d'influence directe sur la nutrition des
muscles
tant qu'elles n'intéressent pas le système des ce
e déterminer des troubles plus ou moinsprofonds dans la nutrition des
muscles
. Ce groupe comporte deux sous-divisions : 1 ° L
ant la vie, par aucun symptôme appréciable. Toujours la nutrition des
muscles
des membres est. a moins de complication, parfait
rso-lombaire, la diminution hâtive de la contractilité électrique des
muscles
des membres inférieurs est un symptôme qui ne fai
là, encore, un fait exceptionnel. Quant aux nerfs qui se rendent aux
muscles
affectés, examinés plu-sieurs fois par M. Mannkop
ent lé-gères et nullement en rapport d'intensité avec les lésions des
muscles
(4). Vapoplexie spinale (hématomyélie)do\l être
lition de la contractilité élec-trique, survenant hâtivement dans les
muscles
des membres frappés de paralysie, est un symptôme
ogneJ, une prompte diminution de la contractilité électrique dans les
muscles
des membres paralysés (3). 2° Les affections qu
ns les régions de la moelle d'où émanent les nerfs qui se rendent aux
muscles
paralysés (1). Dans le voisinage des cellules atr
lles étaient le siège s'est transmise par la voie des nerfs jusqu'aux
muscles
paralysés qui, en conséquence, ont subides lésion
même de la contractilité faradique peut être constatée, sur certains
muscles
, cinq ou six jours à peine progressive, de la p
nt les alté-rations quel'étude histologique fait reconnaître dans les
muscles
lésés. La surcharge graisseuse qni s'observe quel
ophiques portent simultané-ment sur tous les faisceaux primitifs d'un
muscle
; il en résulte que celui-ci pourra répondre tant
ilité faradique qui se manifeste hâtivement dans un certain nombre de
muscles
paralysés et, enfin, par l'atrophie rapide que ce
e de muscles paralysés et, enfin, par l'atrophie rapide que ces mêmes
muscles
subissent, constamment, à un degré plus ou moins
cependant nette-ment de la seconde par les caractères suivants : les
muscles
de tout un membre ou d'une partie d'un membre son
llement, enfin, une période cle retour survient, pendant laquelle les
muscles
atrophiés récupèrent, au moins partiellement, leu
faisceaux blancs n'ont pas d'in-fluence directe sur la nutrition des
muscles
; tandis qu'au con-traire celles qui portent soif
faisceaux blancs, n'ont aucune influence directe sur la nutrition des
muscles
. Relativement au premier point, on ne pourrait
d'irritation, de modifier à distance la vitalité et la structure des
muscles
. Pour ce qui est du second point, si Ton se rep
pourra sembler contradictoire, au premier abord, que la nutrition des
muscles
ne soit pas affectée lorsque les faisceaux blancs
, en pareil cas, le tissu cellulaire sous-cutané, et parfois même les
muscles
sous-jacents, sont, eux aussi, envahis par l'infi
s peuvent être ouvertes, le trochanter dépouillé de son périoste, les
muscles
, les troncs nerveux, les branches artérielles d'u
nde qn'hier : c'est à peine si l'on obtient quelques contractions des
muscles
de la face en pinçant fortement divers points de
tions spinales ont pour carac-tère que toujours l'atrophie rapide des
muscles
se développe sansaccompagnementd'eschares, etil e
es,par contre, où Peschare peut se produire sans que la nutrition des
muscles
, dans les membres paralysés, se montre affectée.
la diminution ra-pide de la contractilité électrique (faradique) des
muscles
, bientôt suivie de l'atrophie, une forme particul
signalée, mais on y trouve notée, par contre, une atrophie rapide des
muscles
du membre paralysé, précédée, de plusieurs jours,
s la leçon précédente, de rapporter l'atrophie rapide et générale des
muscles
paralysés, notés dans le cas de M. Millier, à l'e
ans toute Tétendue de la moelle d'où émanent les nerfs se rendant aux
muscles
paralysés; l'envahissement en question ayant pu s
uivent pas le même trajet que celles qui influencent la nutrition des
muscles
et des jointures, et qu'elles s'entre-croisent, a
ont, vous le savez, l'influence la plus décisive sur la nutrition des
muscles
, et probablement aussi, —nous allons le voir bien
douleurs, quelquefois très vives, qui peuvent se manifester dans les
muscles
ou dans les articulations des membres paralysés.
n ou les mouvements ; elles dépendent d'une inflammation subaiguë des
muscles
et des articulations qui, bien à tort, est souven
déplacement des surfaces articulaire occasionné par la paralysie des
muscles
qui enveloppent la jointure. 1. Charcot, — Sur
ir seulement sur les parties périphériques : sur la peau, les os, les
muscles
. Les viscères, eux aussi, peuvent être in-fluencé
rée, où la contractilité électrique commençait à s'affaiblir dans les
muscles
des membres paralysés (1). Comment comprendre c
es tissus. Tout au moi ns les nerfs tan t se nsitifs que moteurs, les
muscles
eux-mêmes deviennent-ils plus excitables (1) et c
se refroidissent; l'activité vitale s'y amoindrit ; l'exitabilité des
muscles
, celle des nerfs, descendent au-dessous du taux n
pecte la tête et le cou. — Changements dans la parole. — Rigidité des
muscles
. — Attitude du tronc et des membres. — Déformatio
ance du fluide nerveux, dont la fonction est de faire con-tracter les
muscles
sous l'influence de la volonté. Ce serait là, par
la volonté, mais bien en contractions et relâchements alternatifs des
muscles
qui sont en jeu, soit pour exécuter le déplacemen
trice paraît tenir en partie, nous le verrons, à la rigidité dont les
muscles
sont le siège. Un symptôme curieux qui vient co
répétons, restent indemnes ; c'est la règle. Loin d'être agités, les
muscles
de la face sont immo-biles, le regard a même une
e en plaques disséminées, n'existepas dans la paralysie agitante. Les
muscles
de la mâchoire, eux non plus, ne participent poin
ez les personnes saines, ce qui tient à une sorte de contrac-tion des
muscles
sourciliers, contraction qui paraît être habituel
alive accumulée dans la bouche s'écoule volontairement au dehors. Les
muscles
delà respiration ne pa-raissent point partager le
la rigidité que subis-sent, à une certaine époque de la maladie, les
muscles
des membres, du tronc, et le plus souvent ceux au
ou moins dura-ble, et s'exagérant par exacerbations. En général, les
muscles
fléchisseurs sont affectés les premiers et toujou
tude toute particu-lière. Ainsi, la tête, en vertu de la rigidité des
muscles
an-térieurs du cou (Perkinson l'avait remarqué dé
u... (Note de la 2e édition). (Voir Pl. II.) permanente de certains
muscles
, offrent des déformations qu'il est bon de connaî
récent Électrothérapie, la rigidité habituelle d'un certain nombre de
muscles
contribue certes, pour une bonne part, à rendre l
et je l'ai constaté deux fois, une véritable atrophie graisseuse des
muscles
. A un moment donné, l'intelligence s'obscurcit, l
'à l'aide d'une tension active et plus ou moins énergique de certains
muscles
ou groupes de muscles. Pour compléter ce qui es
n active et plus ou moins énergique de certains muscles ou groupes de
muscles
. Pour compléter ce qui est relatif à ce symptôm
ans certains cas de paralysie labio-glosso-laryngée avec atrophie des
muscles
linguaux. D'abordàpeine appréciable, l'embarras
s sphincters ne prennent part que très rarement à l'affais-sement des
muscles
des membres, — ce qui établit un contraste avec b
musculaires dans la paraplégie liée à la sclérose multiloculaire. Les
muscles
affaiblis conservent, pendant fort longtemps, pre
ent ca-ractérisés de cette affection, survenirune atrophiede certains
muscles
ou groupes de muscles rappelant, tant par son siè
ette affection, survenirune atrophiede certains muscles ou groupes de
muscles
rappelant, tant par son siège que par son mode d'
mbée à une sclérose en plaques. M. Charcot a observé une atrophie des
muscles
de l'éminence thénar. La paume delà main offrait
offrait une excavation an fond de la-quelle on voyait les tendons des
muscles
fléchisseurs. (B, moins longs. Plus tard, ils s
d'un spasme qui occupe simultanément et à peu près au même degré les
muscles
antagonistes, car il est presque aussi difficile,
cette douleur le nom de cœlialgie, et il en place l'origine dans les
muscles
. Pour moi, d'accord en cela avec Négrier, Schutze
gumentexterne), elle envahit quelquefois aussi les régions profondes (
muscles
, os, articulations). L''hémianesthésie hystériq
t lui : 1° la dou-trëur^am~^iyramidal ou de l'extrémité inférieure du
muscle
droit a été prise bien à tort pour une douleur ut
pour une douleur utérine ; 2° la douleur de l'extrémité inférieure du
muscle
oblique répondrait à la pré-tendue douleur ovariq
spurious peritonitis des médecins anglais. Il est évident qu'ici les
muscles
et la peau elle-même sont de la partie. La douleu
es phénomènes suivants: a) la peau est partout anesthésiée ; — frjles
muscles
, s'ils sont lâches, peuvent être pinces et soulev
on montre que le siège de la douleur n'estpas dans lapeau ni dans les
muscles
. 11 est par conséquent indispensable de pousser l
écanisme que je n'ai pas à indiquer pour le moment, s'étend jusqu'aux
muscles
, à la peau elle-même, de manière à satisfaire à l
ui faut faire appel à toute sa force, afin de vaincre la rigidité des
muscles
de l'abdomen. Mais, dès que celle-ci une fois vai
a déformation du pied bot équin taras le plus prononcé. En outre, les
muscles
adducteurs de la cuisse sont, eux aussi, fortemen
te, je le répète de près de deux ans, vous voyez que la nutrition des
muscles
n'a pas souffert sensiblement. J'ajouterai encore
on de la sensibilité intéresse non seulement la peau, mais encore les
muscles
et peut-être les os ; elle s'arrête exactement à
oir, attaque marquée surtout par de l'oppression, une contracture des
muscles
du cou à gauche, lesquels portent le menton derri
la moindre modification ; il s'agit ici d'une véritable rigidité des
muscles
avec prédominance de l'action des extenseurs et d
hystérique des deux membres inférieurs. sommeil chloroformique. Les
muscles
des jambes et des cuisses sont notablement atroph
raire, l'atrophie limitée plus particulièrement à certains groupes de
muscles
, surtout s'il s'y joignait des contractions fibri
symptômes caractérisés d'hystérie, d'une contracture doulou-reuse des
muscles
de la jambe gauche. Cette contracture, qui imprim
près de deux ans, elle paraît définitive (juin 1870). Plusieurs des
muscles
de la jambe ont subi une atrophie pro-fonde; ils
ngue ou des lèvres. Enfin, il peut y avoir un relâchement général des
muscles
, du coma et une respiration stertoreuse pendant u
demi-occlusion des paupières gauches qui sont animées, ainsi que les
muscles
de la même moitié delà face, de convulsions rapid
en revanche, les convulsions s'emparent des paupières droites et des
muscles
de la moitié droite de la face. La bouche, primit
langue qui est sans cesse en mouvement. Le cou est très rigide ; les
muscles
trapèze, sicrno-mastoïdien gauches sont fortement
, d'ailleurs aussi ferme que par le passé, n'est plus écoutée par les
muscles
qui ne répondent que lentement et tardivement. »
egrés et qui se terminent par de grandes secous-ses généralisées. Les
muscles
de la face, animés des mêmes mouvements, la rende
résolution. — La face demeure bouffie, les yeux sont fermés, tous les
muscles
sont dans la résolution la plus complète, la resp
ment, le grincement ou le claquement des dents. Le cou se gonfle, les
muscles
de cette partie et ceux de la poitrine se contrac
asmodiquement. Les parois thoraciques ou restent immobiles avec leurs
muscles
contractés de manière à menacer d'asphyxie (phase
idement comme dans les plus fortes anhélations (phase clonique) ; les
muscles
des parois abdo-minales sont agités des mêmes mou
passionnées, auxquelles coopèrent non seulement les contractions des
muscles
du visage mais celles des membres et du tronc, qu
s. La douleur sera probablemenlcompliquée d'une action convulsive des
muscles
du bras ou encore d'une con-tracture continue des
vulsive des muscles du bras ou encore d'une con-tracture continue des
muscles
fléchisseurs ou de la partie anté-rieure du bras,
du nerf médian. Dès le lendemain, était survenue une contrac-ture des
muscles
, par suite de laquelle l'avant-bras devint fixé à
occlusion permanente de la mâchoire, déferminéepar une contracture du
muscle
masséter. ouenfin une douleur de fête vive et qui
r remplacée par une parésie ou même une paralysie avec résolution des
muscles
. Ces accidents, développés à l'occasion d'une a
t un torticolis spasmodique, ou encore la con-tracture permanente des
muscles
d'une extrémité ou de tout un membre, une arthral
. — Ces altérations peuvent occuper la peau, le tissu cellulaire, les
muscles
, les articulations, les viscères. Importance de c
trophiques consécutifs aux lésions des nerfs (suite). affections des
muscles
. troubles trophiques consécutifs aux lésions de l
aire. — Modifications anatomiques et fonctionnelles que subissent les
muscles
sous l'influence de la lésion des nerfs qui les a
istance de la contractilité électrique et de la nutrition normale des
muscles
, à la suite de la section ou de l'excision des ne
hâtives de la contractilité électrique, suivies d'atrophie rapide des
muscles
dans Je cas de paralysie rhumatismale du nerf fac
n hâtive de la contractilité électrique, suivie d'atrophie rapide des
muscles
. Expériences de MM. Erb, Ziemssen et 0. Weiss.
rritatives. — Différence des résultats obtenus dans l'exploration des
muscles
suivant qu'on fait usage de la faradisation ou de
le épinière. — En ce qui concerne leur influence sur la nutrition des
muscles
, ces lésions forment deux groupes bien distincts.
s de la moelle qui n'ont pas d'influence directe sur la nutrition des
muscles
: a) Lésions en foyer très circonscrites, n'intér
ions de la moelle qui influencent plus ou moins vite la nutrition des
muscles
: a) Lésions fasciculées ou circonscrites qui int
ecte la tête et le cou. — Changements clans la parole. — Rigidité des
muscles
. — Attitude du tronc et des membres. — Déformatio
Traitement, 400, 401, 405. Cicatrices vicieuses, 24. Cirrhose des
muscles
, 55. Cœlialgie hystérique, 286, 323. Compress
uence des lésions des nerfs sur le —, 109. Dégénération cireuse des
muscles
, note, 42 ; 55. Délire des grandeurs dans la sc
Moelle épinière (Effets de la section transversale de la), 11, 19.
Muscles
(Affections trophiques des), 36 ; — dans la paral
pour reconnaître par le toucher, au-des-sous de la saillie visible du
muscle
orbiculaire, le relief formé sous la peau par le
ant et un peu de de-hors en dedans, pour la ponction de la peau et du
muscle
orbi-culaire, jusqu'à une profondeur d'environ tr
u étant incisée , isoler un peu son bord palpé-bral , puis diviser le
muscle
orbiculaire et la conjonctive en re-gard , dans l
le plus éloigné de la fente palpébrale, vu l'épaisseur croissante du
muscle
orbiculaire qui rend le tiraille-ment plus à crai
nt guérissable dans le cas où elle dépend d'une paralysie complète du
muscle
élévateur de la paupière supérieure; elle est cur
upière, quoique alors même il y ait diminution de la contractilité du
muscle
élévateur. Dans ce der-nier cas, divers moyens so
es bons effets, et se contente de maintenir, abaissé sur la plaie, le
muscle
orbiculaire, parla pres-sion de haut en bas, sur
ure, Morand et Anel avaient eu l'ingénieuse idée de faire suppléer ce
muscle
par l'attache sour-cilière de l'occipito-frontal,
o-frontal, la paupière se trouve relevée à volonté par l'action de ce
muscle
, en même temps qu'elle peu t s'abaisser comme à l
lage tarse que l'objet de l'opérateur est de soustraire à l'action du
muscle
orbiculaire. L'opération amenée à ce point, s'ass
ion ou transformation muscu-laire du tendon aponévrotique de l'un des
muscles
droits de l'œil. Trois méthodes opératoires ont
inconvéniens réels dans son exécution. La contraction convulsive des
muscles
, entraînant, l'œil en haut et en dedans sous la p
supporté q ne par un mince pédicule formé par les tendons des quatre
muscles
droits et le nerf optique. Pour l'excision de ce
r l'épaississement d'un tissu cellu-laire séreux, l'amincissement des
muscles
et le gonflement des glandules et de la muqueuse
e membrane muqueuse, est formée d'abord par la surface sai-gnante des
muscles
de la joue, qui plus tard se transforment en un t
aux disséqués en dessous, des lèvres constituées avec des fragmens de
muscles
séparés de leurs insertions, privés d'une partie
aux deux cinquièmes supérieurs du masse-ter, et côtoie en travers ce
muscle
accompagné à distance par des rameaux du nerf fac
se bucco-génienne directement en dedans et un peu en bas, traverse le
muscle
buccinateur à six milli-mètres du masseter et s'o
s; modification qui nous paraît avan-tageuse, le peu d'éloignement du
muscle
masseter de la termi-naison buccale du conduit de
stérieur de-là branche maxillaire en avant, l'apophyse mastoïde et le
muscle
sterno-mastoïdien en arrière, et prend naturellem
rne appliquée en de-dans sur le ventre mastoïdien du digastrique, les
muscles
styliens et les tendons traehéliens des muscles
du digastrique, les muscles styliens et les tendons traehéliens des
muscles
du eou. Il résulte de cet aperçu que l'extirpatio
irement infirme; il a pu arriver que l'on ait emporté une portion des
muscles
styliens, d'où résulte une gêne ou une imperfecti
le peaucier, le bord de la mâ-choire près de son angle, et le plan du
muscle
mylo-hyoïdien ; circonscrite entre les vaisseaux
organe,qu'elle soulève, l'os maxil-laire et le plancher formé par les
muscles
sus-hyoïdiens. Quoique cette affection soit peu g
e la langue, repli fibro-muqueux, qui termine en avant la saillie des
muscles
génio-glosses, se prolonge quelquefois trop en av
jusqu'à l'os hyoïde, en pénétrant jusqu'à l'inter-valle celluleux des
muscles
génio-hyoïdiens; puis, avec une pince garnie d'ag
. A mesure qu'il se développe, il distend outre mesure la peau et les
muscles
, et, par sa pression en profondeur, gène de plus
Tout étant disposé, pratiquer à travers l'épaisseur de la peau et des
muscles
sous-hyoïdiens, une incision médiane verticale qu
pour mettre à découvert la tumeur. Dans le cas où les tégumens et les
muscles
superficiels sont altérés dans une portion de leu
" la peau et l'aponévrose cervicale; 20 les deux plans superposés des
muscles
sterno-hyoïdiens et sterno-thyroïdiens, tantôt ac
trait, diviser le sillon celluleux plus ou moins large qui sépare les
muscles
sous-hyoïdiens; puis écarter ces muscles, et divi
u moins large qui sépare les muscles sous-hyoïdiens; puis écarter ces
muscles
, et diviser, dans ses trois quarts inférieurs ou
ns une longueur de quatre centimètres (un pouce et demi); écarter les
muscles
, diviser le corps thyroïde; puis, la membrane cri
voix, de la lésion, à l'angle rentrant thyroïdien, des insertions des
muscles
thyro-arythénoïdiens et des cordes vocales. Pour
rir la membrane crico-thyroïdienne; puis, écarter l'aponévrose et les
muscles
sous-hyoïdiens. La membrane intercartilagineuse é
oit maintenue bien exactement médiane, de ma-nière à séparer les deux
muscles
thyro-arythénoïdiens et les cordes vocales , en l
uteur du cartilage cricoïde ; écarte en arrière avec des crochets les
muscles
sous-hyoïdiens; refoule en avant la trachée-artèr
s manœuvres peuvent être gênées par la tension du faisceau sternal du
muscle
. Boyer veut que l'in-cision pénètre entre le ster
par couches régu-lières, dans toute l'étendue delà plaie, la peau, le
muscle
peau-cier, l'aponévrose cervicale. Arrivé sur le
-cier, l'aponévrose cervicale. Arrivé sur le sillon intermédiaire aux
muscles
, l'inciser légèrement avec le bistouri, puis le d
pour ne pas gêner la respiration. Dans la série de ces manœuvres, le
muscle
scapulo-hyoïdien se présente , traversant la plai
et la veine jugulaire interne, que l'on abaisse médiatement avec les
muscles
sur la lèvre gauche de la plaie ; en avant, ou du
c celle du plus grand diamètre de la glande et du bord libre des deux
muscles
pectoraux, qui permet au besoin, pendant l'opérat
compliquent l'o-pération. i° S'il existe sur divers points entre les
muscles
, des prolongemens de tissus altérés ou de nature
ce procédé qu'en essayant de ramener l'aiguille entre la côte et les
muscles
, de manière à faire ressortir le fil par l'u-niq
hors, en faisant, si l'on veut, glisser et tendre les tégumens et les
muscles
, comme jadis pour l'empyème, de manière à cecpie
s parties dans leur situation naturelle ; inciser avec précaution les
muscles
intercostaux, dans l'étendue de quelques millimèt
ière, et qu'en même temps il faut éviter une trop grande épaisseur de
muscles
, on prescrit de ponctionner à l'union du tiers po
ateur gauche pour reconnaître les bords des deux côtés, il incise les
muscles
à petits coups, en touchant auparavant à chaque f
ans la cavité périto-néale, il pourrait glisser et se loger entre les
muscles
abdominaux. Comme dans toutes les ponctions, au m
lui permet la distension de la paroi abdominale, les tégumens et les
muscles
en un pli vertical et légèrement oblique, dont il
te d'un bistouri, et incise successivement par couches la peau et les
muscles
jusqu'au voisinage du péritoine. Parvenu sur cett
d'une aiguille à chaque bout. Le malade étant couché sur le dos, les
muscles
de l'abdo-men mis dans le relâchement par la demi
on de ces parois, nous rappellerons que le plus superficiel des trois
muscles
larges qui constituent la paroi abdominale antéri
évrotique dans sa partie inférieure : les bandelettes fibreuses de ce
muscle
, fixées à l'épine antéro-supérieure de l'os iliaq
ment limitée, est représentée par le bord inférieur flottant des deux
muscles
petit oblique et transverse de l'abdomen. L ori
nterne, est comprise entre l'artère ombilicale et le bord ex-terne du
muscle
droit de l'abdomen; peut-être des organes peu-ven
ues sont de l'extérieur à l'intérieur, les fibres les plus élevées du
muscle
crémaster, la tunique fibreuse commune et la tuni
es quantités variables de graisse et de sérosité.Tantôt les fibres du
muscle
crémaster sont hypertrophiées , tantôt elles sont
ée : celle de ces deux portions qui est externe étant remplie par les
muscles
psoas et iliaque réunis, il ne reste plus, pour c
psoas-iliaque ou plutôt à l'aponévrose fascia iliaca qui recou-vre ce
muscle
. L'angle interne en est occupé par une lame fi-br
aissance ; l'un des deux feuillets, le profond, restant accolé sur le
muscle
pectine, et le superfi-ciel recouvrant la tumeur.
et la veine fémorales sont situées dans son angle externe, séparés du
muscle
psoas-iliaque par le fascia iliaca. La veine, qui
rinée, l'échan-crure ischiatique, l'intervalle compris entre les deux
muscles
grand dorsal et oblique externe, nous ne nous y a
favoriser le résultat de la manœuvre. Il faut faire en sorte que les
muscles
de l'abdomen soient relâchés et le point où siège
ses seront fléchies sur le bassin, d'une part pour mieux relâcher les
muscles
de l'abdomen, d'une autre part pour détendre les
triangulaire. —Le malade sera placé ho-rizontalement sur un lit, les
muscles
de l'abdomen relâchés, la région où est la hernie
-drait, en effet, l'aller chercher, au-dessous du pubis, derrière les
muscles
pectine, petit et moyen adducteurs, qui tous les
extérieur à l'intérieur, la peau, le tissu cellulaire, la graisse, le
muscle
grand dorsal, le grand oblique, le petit oblique
is, on le rencontre assez souvent un peu plus en dedans, au-devant du
muscle
carré lom-baire : c'est donc là qu'il faudra le c
essous de la douzième côte, et immédiatement en dehors de la masse du
muscle
sacro-spinal, et venir se terminer près de la crê
erminer près de la crête iliaque, à 4 centim. environ de la masse des
muscles
précités. Après avoir divisé la peau et le tiss
bourrelet formé par le sphincter anal ou même un peu au-dessus de ce
muscle
. Ordinairement il n'existe qu'une seule fissure,
istant jamais sans la cons-triction du sphincter, et la section de ce
muscle
ayant presque toujours pour effet de la guérir, c
plus rentrer dans les con-tractions convulsives des sphincters et des
muscles
du périnée causées par les douleurs d'excision. C
ive, de telle sorte que l'anus soit plus élevé que l'abdomen dont les
muscles
qui concourent à la défécation doivent être dans
ntion du tissu cellulaire de la fosse iliaque, ou de l'interstice des
muscles
du bas-ventre; qu'elle pouvait glisser sur les pa
gaîne prostatique , et surtout par deux faisceaux constricteurs , les
muscles
de Wilson et le pubio - prostatique que nous avon
(Pl. 56, fig 5 et 6). Le bulbe est recouvert inférieurement par les
muscles
bulbo-caverneuxou accélérateurs de l'urine qui le
-caverneuxou accélérateurs de l'urine qui le séparent de la peau; ces
muscles
, unis par un raphé sur la ligne médiane, sont con
er spasmodiquement et donner lieu à un rétrécissement mo-mentané; les
muscles
de Wilson ont aussi produit le même effet dans la
é à raison des contractions spasmodiqiies qu'ils déterminent dans les
muscles
qui les environnent. Enfin, pour pénétrer avec l'
vec plus de facilité, en donnant au malade une position telle que les
muscles
abdominaux soient dans le plus grand relâche-ment
ux, un mémoire où il s'efforce de prouver que les fibres profondes du
muscle
bulbo-caverneux peuvent, par leur con-traction sp
rétrécissement de l'urètre, et propose, en conséquence, de couper ce
muscle
pour faire cesser la coarctation. 20 Les rétréc
a rétraction spasmodique permanente des fibres les plus pro-fondes du
muscle
bulbo-caverneux. (c) Les rétrécissemens par gon
sme forcé, l'inci-sion de l'urètre ou la boutonnière , la division du
muscle
bulbo-caverneux et la ponction de la vessie. in
raversé la peau, une couche épaisse de tissu cellulaire graisseux, le
muscle
releveur de l'anus et le bas-fond de la vessie, p
atiqua sa ponction sur le bord externe et à l'extrémité inférieure du
muscle
droit; mais la seconde fois il ponctionna sur la
is la seconde fois il ponctionna sur la ligne blanche, entre les deux
muscles
pyramidaux, immédiatement derrière la symphyse. C
oitrine et la tète égale-ment un peu relevées de manière à mettre les
muscles
du ventre dans le relâchement ; les jambes écarté
uins; 5o l'apo-névrose périnéale moyenne; 6° la partie antérieure des
muscles
releveurs de l'anus, l'aponévrose profonde, et la
ieure du bulbo-caverneux et l'extrémité interne des trans-verses. Les
muscles
bulbo-caverneux, qui recouvrent le bulbe, se sépa
onc une cavité clans laquelle sont contenus le bulbe de l'urètre, les
muscles
du périnée, des vaisseaux sanguins et des nerfs.
férieure naît du tronc principal à 27 ou 34 millimètres en arrière du
muscle
transverse et se porte trans-versalement vers l'a
ielle du périnée abandonne la honteuse à 14 millimètres en arrière du
muscle
transverse, se porte dans la couche sous-cutanée,
cavation bulbo-caverneuse, t. vu. où elle côtoie le bord interne du
muscle
ischio-caverneux pour venir se terminer dans le s
presque toujours du tronc commun au niveau de l'extré-mité externe du
muscle
transverse, pour se rendre au bulbe en marchant p
es divisées dans cette méthode sont la peau , le tissu cellulaire, le
muscle
transverse, une portion du releveur de l'anus, la
il coupait ensuite la couche musculaire, constituée seulement par le
muscle
bulbo-caverneux, traversait l'urètre dans sa régi
l'incision extérieure, et que cette incision devait tomber entre les
muscles
bulbo et ischio-caverneux et découvrir l'urètre j
ue sa présence donnerait lieu, de la part de l'organe et de celle des
muscles
abdominaux, à des efforts d'ex-pulsion qui pourra
in est séparée de la prostate et de l'urètre par les aponévroses, les
muscles
et le tissu graisseux du périnée dont nous avons
à faire l'incision de la paroi abdominale le long du bord externe du
muscle
droit, en raison de la moindre épaisseur de l'apo
ire un peu en dehors de cette ligne, entre elle et le bord interne du
muscle
sterno-pubien. Le motif sur lequel est fondée cet
la peau, le feuillet aponévrotique qui recouvre la face antérieure du
muscle
sterno-pubien. Déposant alors le bis-touri, il pl
ar une circonstance accidentelle, soit la contraction spasmodique des
muscles
sterno-pubiens, soit l'étroitesse de la plaie de
uytren, qu'on peut, pour débrider, inciser latéralement en travers le
muscle
droit, et même au besoin les deux lèvres de la pl
destinée à tenir le péritoine appliqué contre la face postérieure des
muscles
droits, et de ne la retirer que lorsque des adhér
llers, et les jambes et les cuisses de-mi fléchies, afin démettre les
muscles
du ventre dans le relâche-ment. Alors les mains é
te incision devait porter sur la ligne blanche, ou bien en dehors des
muscles
droits, suivant que la tumeur se trouvait plus ou
iquide contenu dans son intérieur; séparer le sac du péritoine et des
muscles
auxquels il adhère encore, puis l'entraîner au-de
it eu recours, dans un cas, à l'incision longitudi-nale, en dehors du
muscle
droit, et, dans un autre, il joignit à l'inci-sio
pour précepte de conduire l'incision parallèlement au bord externe du
muscle
droit, et de la placera égale distance de son bor
maintenir en contact, parce que l'utérus d'unepart,et de l'autre les
muscles
obliques et transverses, se rétractaient en sens
emmes grosses, p. 3i6). « L'ouverture sera mieux au milieu, entre les
muscles
droits, car il n'y a dans cet endroit cpie les té
uscles droits, car il n'y a dans cet endroit cpie les tégumens et les
muscles
à couper. » Mauriceau a peu insisté sur ce précep
18 centimètres (6 pouces, 8 lignes), étendue sur le flanc à partir du
muscle
droit, et correspondant à-peu-près au fond de la
s on lui a objecté avec raison , i° que son incision, portant sur les
muscles
grand et petit oblique, les lèvres de la plaie de
e et les garnitures de son lit, on la place de manière que les 88
muscles
de l'abdomen soient dans le relâchement, c'est-à-
841.) Lorsqu'il y a trois ans, nous eûmes à traiter des sections de
muscles
et de tendons, nous n'osâmes, pour ainsi dire, qu
amens (syndesmotomie), aponévroses (apo-névrotomie), etc., et que les
muscles
eux-mêmes appartiennent jusqu'à un certain point
e simuler le strabisme en dehors (Boyer (1)); la concordance de trois
muscles
, les droits interne, supérieur et inférieur, et m
m-mun (Phillips (2) ) ; la longueur moindre de la paroi interne et du
muscle
droit correspondant (Rognetta (3) ). Après le s
e invariablement dans cet ordre systé-matique, qui suppose qu'un seul
muscle
produit la déviation sans que les plus voisins y
droits, à la pratique, il est bien plus ordinaire que la synergie des
muscles
voisins entraîne l'œil dans les directions moyenn
roéminent, si à cette double action se joint encore celle de l'un des
muscles
obliques. La même observation s'applique aux autr
mmet est représenté par les insertions orbitaires ostéo-fibreuses des
muscles
et par le nerf optique. CAUSES DU STRABISME.
me de 82 ans, affectée de strabisme diver-gent depuis son enfance, le
muscle
droit externe n'a point pré-senté de raccourcisse
e 62 ans atteinte de stra-bisme convergent depuis l'âge de 12 ans, le
muscle
droit interne n'offrait qu'une tension légère lor
affectée de strabisme convergent depuis son enfance. A l'autopsie le
muscle
droit interne très mince, était de cinq milli-mèt
convexe; d'où il paraît que ses fibres internes con-couraient avec le
muscle
droit correspondant pour attirer l'œil en dedans
ayant donné lieu à des taches fie la cornée. G" Dégénérescence des
muscles
. M. Phillips n'a reconnu la transformation fibreu
e des muscles. M. Phillips n'a reconnu la transformation fibreuse des
muscles
que dans 3 cas sur 122; i sur /(O. La transformat
G Phillips, ayant remar-qué que la myopie cessait après la section du
muscle
grand oblique, avait été induit à proposer cette
longement du diamètre antéro-postérieur que détermine la pression des
muscles
de l'œil, aux deux côtés des diamètres vertical e
l'un ou l'autre sens ou dans tous les deux à-la-fois, la sec-tion des
muscles
qui s'opposent au raccourcissement du diamètre an
duite d'a-vant en arrière, sur la rétine, par l'action rétractive des
muscles
strabiques. Deux genres de preuves sont invoqués
upérieure; la seconde, la guérison toute nouvelle, parles sections de
muscles
rétractés, de certaines vues faibles improprement
ouvent l'œil affecté de strabisme convergent. 4° Etat convulsif des
muscles
. Cette disposition si frappante et que pourtant j
e chirurgien pendant l'opération. 5" Paralysie d'un ou de plusieurs
muscles
. Cette cause qui n'est que secondaire ou symptoma
respecter. L'opération pratiquée dans deux cas de paralysie d'un seul
muscle
, par MM. P. Guersent et Dufresse Chassaigne n'a p
uit qu'un résultat temporaire, le strabisme étant revenu lorsque le
muscle
opposé à la paralysie, celui que l'on avait dû co
a théorie générale de M. J. Guérin sur la transformation fibreuse des
muscles
rétractés, et en tout cas ne serait point une con
après une guérison temporaire, serait suivie de récidive, lorsque le
muscle
coupé, privé d'an-tagoniste, aurait contracté ave
ait à déterminer dans quelles con-ditions anatomiques se trouvent les
muscles
de l'œil affecté. On le voit suffisamment par tou
iorée. OPÉRATION DU STRABISME, (i) ANATOMIE OPÉRATOIRE. (2) Six
muscles
meuvent l'œil, les quatre droits et les deux obli
aponévrose réunit ces gaines et les tendons sur la sclérotique. 1°
Muscles
droits. Opposés par paires aux deux extrémités de
extrémités des diamètres vertical et transversal de l'œil, les quatre
muscles
droits forment les côtés d'une pyramide dont la b
rotation légère de l'œil sur l'un de ses axes, dans le sens de chaque
muscle
en action, les deux d'une même paire se fai-sant
yeux sont destinés naturellement à con-verger vers un même point, le
muscle
droit interne est le plus court de tous, et le dr
gnes). Le mouvement d'élévation de l'œil étant le moins ordinaire, le
muscle
droit supérieur est le plus mince des quatre. (
atre. (1) Pl. B; C, D, E. (2) Pl. A. fig. 1,2, 3, 4. Action des
muscles
droits, (a) Les muscles droits externe et interne
E. (2) Pl. A. fig. 1,2, 3, 4. Action des muscles droits, (a) Les
muscles
droits externe et interne font exécutera l'œil un
son côté le globe oculaire autour duquel s'enroule en s'allongeant le
muscle
antagoniste. S'ils agissent ensemble il y a rétra
'ils agissent ensemble il y a rétraction de l'œil en travers, (b) Les
muscles
droits supérieur et inférieur agissent précisémen
nt précisément de la même manière autour de l'axe transversal, (c) Un
muscle
agissant avec énergie se lait aider par les deux
ié se ferait abductrice pour aider au droit externe, (d) Mais si deux
muscles
seulement se contractent simul-tanément, le mouve
en dedans et en bas dans celle des droits interne et inférieur. 2°
Muscles
obliques. Le plus long des muscles de l'œil, le g
droits interne et inférieur. 2° Muscles obliques. Le plus long des
muscles
de l'œil, le grand oblique, fixé en arrière à la
e, inscrit au-dessous de la moitié antérieure du globe oculaire et du
muscle
droit inférieur une courbe diagonale, dont la com
ssement) et se dédouble en deux feuillets pour envi-ronner les quatre
muscles
droits. Le feuillet superficiel, libre, va s'insé
ndineuses. De ce qui précède il résulte que les extrémités des quatre
muscles
droits sont reçues dans autant de gaines fibro-ce
suffirait d'un seul lambeau non coupé pour empêcher la rétraction du
muscle
et amener une récidive. Une autre observation a r
vé plusieurs fois dans sa pratique, le tendon sclérotical de l'un des
muscles
peut se trouver divisé en deux faisceaux inégaux,
sistance du strabisme, résultat nécessaire du manque de rétraction du
muscle
, après la section opérée. Physiologie pathologi
roit interne rétracté, (b) Intente et inférieur : rétraction des deux
muscles
droits correspondans. (c) Interne et supérieur: p
rrespondans. (c) Interne et supérieur: peut être produit par les deux
muscles
droits du même nom, avec oli sans la coopération
probable que l'action des deux obliques coïncide avec celle des deux
muscles
droits. Du reste le résultat de la section de ces
ser que le droit externe agit seul, légèrement aidé peut-être par les
muscles
droit supérieur et inférieur. Externe et inférieu
supérieur et inférieur. Externe et inférieur: il est produit par les
muscles
de ce nom; il en est de même s'il est externe et
les deux cas si l'œil n'est point saillant, c'est un indice cpie les
muscles
droits correspon-dans agissent seuls; mais si l'œ
uls; mais si l'œil est proéminent on peut suppo-ser qu'à l'action des
muscles
droits se joint celle des obliques qui ont glissé
régulier. Souvent, au con-traire, l'inégalité d'action de chacun des
muscles
donne lieu à des déviations complexes dont il e
vant un résultat qu'il ne peut at-teindre, erre au hasard, coupant un
muscle
après l'autre jusqu'à isoler le globe de l'œil et
ive, que le strabisme, dû à la contracture spasmodi-« que de l'un des
muscles
droits, lui paraissait curable par la « section d
'un des muscles droits, lui paraissait curable par la « section de ce
muscle
. Malgré mes recherches et mes efforts de « mémoir
ences la possibilité de guérir les louches en « opérant la section du
muscle
dont la contracture détruit Fê-te quilibre d'anta
araissait le plus « convenable. Il voulait appliquer à la section des
muscles
droits « la méthode sous-cutanée. Je parlerai plu
. « La traction en dehors est augmentée jusqu'à ce qu'apparaisse « le
muscle
droit interne; un stylet fin est passé sous ce de
l opéré. La « pratique orthopédique prouve qu'il suffit de diviser un
muscle
« pour faire cesser le spasme dont il était affec
pondit qu'un œil n'était « louche que parce que l'équilibre entre ses
muscles
était détruit; a que, pour rétablir cet équilibre
e, pour rétablir cet équilibre, il ne s'agissait que d'affaiblir « le
muscle
qui l'emportait sur les autres, et que c'était ce
il « faisait en coupant un des filets nerveux qui se portaient à ce «
muscle
trop puissant. » (1) Lellrc du 31 mars 1840, da
se rencon-trent guère qu'une fois sur vingt-cinq. Détermination des
muscles
qui concourent au strabisme. La séméiologie du
sez avancée pour faire prévoir à l'avance avec certitude le nombre de
muscles
qui concourent à la déviation. En thèse générale
ès peu et avec de grands efforts, il est présumable que la section du
muscle
vers lequel l'œil est en-traîné sera insuffisante
inence à l'autre extrémité du diamètre, on doit supposer que les deux
muscles
voisins, soit les droits interne et supérieur, in
mme dans ces actions complexes, l'influence proportionnelle de chaque
muscle
peut se trouver plus au moins exagérée ou masquée
u diagnostic et les tâtounemens du chirurgien coupant à l'aventure un
muscle
après l'autre sans trop savoir, dans une analyse
er. Si le redressement n'est pas opéré après la division d'un ou deux
muscles
, le conseil le plus sage est d'attendre pendant q
nque après l'opération, par l'effet de la contraction spasmodique des
muscles
qui est le ré-sultat de la douleur. MANUEL OPÉR
otique, gouverner le globe de l'œil et maîtriser les mouvemens de ses
muscles
; une ou deux pinces à griffes pour saisir la conj
ge pour absterger le sang; un crochet mousse propre à glisser sous le
muscle
ou son tendon ; des ciseaux mousses droits ou cou
dés opératoires. Il existe deux méthodes opératoires de section des
muscles
: la section à découvert après celle de la conjon
, et continue de donner de petits coups de ciseaux, jusqu'à ce que le
muscle
soit en vue, en même temps qu'avec le crochet, te
aux, prend le crochet mousse, et le glisse entre la sclérotique et le
muscle
; il dégage ensuite son crochet aigu, qui devient
nue libre. Pour finii l'opération, il ne s'agit plus que de couper le
muscle
sur le crochet mousse, ce qui se fait avec les mê
uverture, il introduit le crochet mousse pour aller à la recherche du
muscle
contracté. Cette manœuvre est exécutée avec facil
vec facilité; il suffit de placer le crochet sur le bord supérieur du
muscle
, et de tirer un peu en avant pour charger le mus
ord supérieur du muscle , et de tirer un peu en avant pour charger le
muscle
et le rendre saillant sur le crochet. C'est alors
llant sur le crochet. C'est alors qu'il faut achever la dissection du
muscle
pour l'isoler entièrement ; l'extrémité des cisea
ur l'isoler entièrement ; l'extrémité des ciseaux est portée entre le
muscle
et le globe de l'œil, afin de dé-truire toutes le
lobe de l'œil, afin de dé-truire toutes les adhérences, et ensuite le
muscle
est coupé en travers. L'œil fait un mouvement en
en dehors, puis le chirur-gien éprouvant de la difficulté à isoler le
muscle
, M. Hingest.on, présenta l'opération a conseillé
nnelerlapetite spatule dont ¡1 se sert pour guider le bistouri sur le
muscle
. Procédé de M. Ferrall. Voici comment il est dé
la petite plaie de la conjonctive, et on accroche par là le tendon du
muscle
: voilà pour le second temps. Alors une laine de
econd temps. Alors une laine de ciseaux angulaire est glissée sous le
muscle
pour le couper à l'endroit de son adhérence avec
peut se livrer à toutes les manœuvres nécessaires pour la section du
muscle
rétracté, soit que l'œil étant peu mobile et peu
pli de la conjonctive, le divise avec des ciseaux , et glisse sous le
muscle
mis à découvert une petite spatule cannelée sur l
regarder droit devant lui (s'il le peut), pour, dit le texte , que le
muscle
soit dans le plus grand relâchement possible ; le
possible ; le chirurgien fait alors glis-ser de haut en bas, sous le
muscle
, le crochet tenu de la main gauche , et delà main
ntroduit en se guidant sur le crochet plat l'une des branches sous le
muscle
, qui doit être coupé d'un seul coup. En somme , l
e dessine en relief bien senti, et traduisant une véritable corde, le
muscle
strabique; nous passons sous lui, sans toutefois
s ce premier temps opératoire, la gaine est ouverte, et une partie du
muscle
lui-même a été coupée; nous engageons alors sous
n contournant le globe oculaire, d'abord horizontalement au-dessus du
muscle
à inciser; puis, par un mouvement de bascule de b
ule de bas en haut, abaissa le crochet verticalement et en arrière du
muscle
, sans avoir traversé autre chose que le point de
avait donné passage. Il tira l'érigne doucement en avant, y amena le
muscle
recouvert de la conjonctive en forme d'anse; prit
s et d'arrière en avant. De cette façon il divisa transversalement le
muscle
droit interne et la conjonctive par une seule inc
e seule incision qui eut pour étendue une ligne égale à la hauteur du
muscle
et à l'épaisseur de l'instrument. » Ce premier
, le chirurgien saisit avec une pince à griffes la conjonctive et le
muscle
rétracté, près de l'attache de celui-ci à la sclé
s et mousses, le chirurgien divise et la conjonctive et la portion du
muscle
saisie par la première pince. Cela fait, pour bie
e à celui de M. Phillips, et si cet in-strument ramène une portion du
muscle
non divisée, il la sépare avec les ciseaux. » N
, mais avec quelques modifications; ainsi, il saisit avec la pince le
muscle
en même temps que la conjonc-tive pour ne pas ris
l pratique l'incision de la conjonctive transversalement au-dessus du
muscle
.Toutlepro-cédé opératoire qui suit résulte de cet
tical à la membrane con-jonctive saisie un peu au-dessus du niveau du
muscle
; avec les ciseaux mousses je divise ce pli horizo
à deux branches pénètre alors sans aucune difficulté entre elle et le
muscle
qui est facilement ramené au niveau de la plaie ;
de deux ouver-tures situées, l'une au-dessus et l'autre au-dessous du
muscle
. » De cet énoncé il résulte que le procédé opér
u'il se transportât de l'un à l'autre côté du malade, pour couper les
muscles
droits externe et interne. Mais avec des tranchan
ion peut être conservée pour couper seulement avec la main droite des
muscles
différens. Premier procédé (Pl. E, fig. 1,2, 3)
rs de la piqûre, en insinue le sommet mousse sur le bord supérieur du
muscle
, et, par un mouvement de quart de cercle, la fait
oucher, apparaît à 2 ou 3 millimètres au dessous du bord inférieur du
muscle
. H ne s'agit plus que de faire subir au manche un
ne la lame en avant, et d'exercer une petite pression pour diviser le
muscle
dont la section s'annonce par un bruit de craquem
essif que l'on fait subira l'œil et qui quelquefois, vu la tension du
muscle
, fait obstacle au redres-sement de la lame nécess
mbeau fibro-muqueux de ce côté, le chirurgien met à nu l'extrémité du
muscle
par de petits coups de ciseaux, puis insinue au d
'oeil est fixé fortement et sans danger. 3° Enfin pour la section des
muscles
tous les chirurgiens s'en-tendent à employer des
nt, c'est une preuve assurée ou qu'il reste une portion tendineuse du
muscle
qui n'a pas été coupée, ou que l'un des muscles v
portion tendineuse du muscle qui n'a pas été coupée, ou que l'un des
muscles
voisins concourait à la déviation. Un seul filame
ment le bénéfice de l'opération et amener une récidive en laissant le
muscle
, toujours fixé par ses deux extrémités, en mesure
on peut croire faire obstacle ; mais si l'on ne trouve rien et que le
muscle
soit complètement rétracté, il faut, par un exame
entif des mouvemens de l'œil, tâcher de reconnaître celui ou ceux des
muscles
qui peuvent encore concourir à la déviation. Seul
anvier i84i. A l'autopsie, l'œil ayant été soigneusement disséqué, le
muscle
droit externe est complètement divisé à la naissa
e cette bande est formée par le tissu cel-lulaire flasque qui unit le
muscle
au globe de l'œil. Pour nous, en d'autres termes,
s termes, ce tissu n'est que la gaine cellulaire fournie à chacun des
muscles
de l'œil par la mince aponévrose oculaire de M. B
tion, ce chirurgien ayant été contraint de couper une seconde fois le
muscle
droit su-périeur remarrpia, « cpie cette greffe é
aveu d'un cas de névralgiesus-orbitaire survenue après la section des
muscles
droits externe, supérieur et inférieur. Il est pr
uverture palpébrale, qui accompagne fré-quemment la section d'un seul
muscle
, n'est que le premier de-gré de la buphthalmie qu
presque inévitablement après les sections multiples de quatre ou cinq
muscles
; à propos de ce dernier accident, nous parlerons
gi-née par M. Baudens pour y remédier. 7" Abolition du mouvement du
muscle
coupé. Il n'est pas rare, après la division d'un
ement du muscle coupé. Il n'est pas rare, après la division d'un seul
muscle
droit, interne ou externe, pour un strabisme simp
et accident a lieu inévitablement lorsque la nouvelle implantation du
muscle
coupé se fait au-delà du diamètre trans-verse de
rt l'ancienne inser-tion tendineuse et à entrer dans la gaîne vide du
muscle
rétracté; s'il se présente quelques adhérences on
-gement, on ne tarde pas à apercevoir au fond l'extrémité divi-sée du
muscle
. Dégageant alors l'érigne, on saisit le bout du m
petite bande de diachylum, et après s'être assuré que l'extrémité du
muscle
se présente bien éta-lée dans la situation conven
rabisme inverse consécutif. Cet accident causé par la con-traction du
muscle
opposé à celui qui a été coupé, est, par sa natur
M. Dufresse. Jusqu'à ce moment, on y avait remé-dié par la section du
muscle
contracté, mais, si la nouvelle opé-ration de M.
s dans leur étal normal par l'allongement, dans la position voulue,du
muscle
primitivement rétracté. q° Récidive. Sans tenir
moins complète ne peut reconnaître pour cause que la cicatrisation du
muscle
rétracté sur un point trop rapproché de la premiè
compression l'œil en sens op-posé, pour contraindre le bout divisé du
muscle
à se greffer plus en arrière ou donner lieu à la
ns la cause même du strabisme et dans ses effets sur le mécanisme des
muscles
de l'œil. Il faut bien s'en convaincre, le strabi
on nerveuse qui se traduit parune contraction perma-nente de certains
muscles
, le strabique, même après que l'on a supprimé la
s, le strabique, même après que l'on a supprimé la rétraction sur les
muscles
atteints, et aussi par le ré-sultat de cette supp
nt nous avons supposé que l'opération se borne à la section d'un seul
muscle
et plus particulièrement du droit in-terne pour l
anœuvres et la tenue des instrumens, pour la section des trois autres
muscles
droits, en raison de leur situation spéciale, et
spéciale, et les procédés nou-veaux que réclament la section des deux
muscles
obliques. Section du muscle droit externe. D'
eaux que réclament la section des deux muscles obliques. Section du
muscle
droit externe. D'une manière générale, il ne s'
i sont également nécessités dans la position des aides. Section des
muscles
droit supérieur (pl. D, fig. 3) et droit inférieu
on a affaire à un strabisme supérieur ou frontal, c'est la section du
muscle
droit supérieur qui constitue l'opération ou au m
La même opération se repré-sente dans les cas de section de plusieurs
muscles
, mais peut-être n'a-t-on pas encore eu l'occasion
ie est loin d'être fixée sur les motifs qui nécessitent la section du
muscle
grand oblique. Elle a été appliquée à deux maladi
diviser le grand oblique, lorsque la section de deux ou trois autres
muscles
ne produisait qu'un résultat incomplet. Le cas d'
le plus ordinaire est le strabisme convergent supérieur, lorsque les
muscles
droits interne et supérieur étant préalablement d
and oblique que concurremment avec celle du droit interne. Ce dernier
muscle
étant divisé, si, ajoute l'auteur, « on fait effo
s et en haut, en rasant le globe oculaire, pour accrocher et raser le
muscle
grand oblique- » 2° Section isolée du grand obl
ur une étendue de i o à 12 millimètres dans l'es-pace moyen entre les
muscles
droits interne et supérieur; à travers cette ouve
et s'en servir pour attirer l'œil en bas et en dehors. Le ten-don du
muscle
venant alors se montrer au fond de la plaie, l'is
ique en cas de strabisme divergent supérieur, lorsque la division des
muscles
droits externe et, supérieur ne donnait qu'un rés
ur, considération qui a porté M. Bonnet à appli-quer la section de ce
muscle
, à la guérison d'un genre particulier de myopie.
e myopie. De ces considérations ressortent deux modes de divi-sion du
muscle
, soit isolément, soit simultanément avec plusieur
cas, une opération spéciale. Procédé imité de la section des autres
muscles
(Pl. D, fig. 7). Recommandant au malade de tour
dans une longueur de huit à clix millimètres, entre les ten-dons des
muscles
droits interne et inférieur. Des flocons graisseu
et inférieur. Des flocons graisseux se présentent; pour découvrir le
muscle
, il s'agit de repousser en haut les graisses en s
rasant le plancher maxillaire, de manière à ressortir en ramassant le
muscle
dans le crochet de l'instrument; puis, delà main
petite serpette à double courbure dont il se sert pour la section des
muscles
droits, et la faisant contourner derrière le musc
r la section des muscles droits, et la faisant contourner derrière le
muscle
, au-dessous du crochet de l'érigne, le plan conca
plusieurs fois l'occasion de pratiquer ce procédé pour la section du
muscle
soit isolée, soit combinée avec celle de plusieur
don-née par l'auteur lui-même. «Je choisis l'insertion antérieure du
muscle
petit oblique, qui n'est entourée d'aucun nerf et
u-dessous de la peau; il accroche nécessairement alors l'insertion du
muscle
petit oblique et le divise complète-ment, surtout
deux premiers sont les plus sûrs, en ce qu'on est certain découper le
muscle
en vue; mais, en outre, comme on ne divise aussi
ès avoir blessé différentes parties, manque cependant Indivision du
muscle
, objet de l'opération; et enfin , entre les mains
ec-chymose, parfois très longue à se résoudre. SECTION DE PLUSIEURS
MUSCLES
. Si déjà, en traitant des sections partielles,
tenue dans l'état actuel de la science. i° Section de deux ou trois
muscles
. Nous avons peu de chose à ajouter à ce que nou
le strabisme direct peut être redressé par la section isolée du seul
muscle
correspon-dant , soit le droit interne, par exemp
e nous le savons, d'autres cas où, par une habitude vicieuse des deux
muscles
voisins, il devient nécessaire aussi de les coupe
muscles voisins, il devient nécessaire aussi de les couper, soit les
muscles
droits supérieur et infé-rieur pour l'exemple que
smes obliques ou en diagonale, il est tout simple de cou-per les deux
muscles
droits dont le strabisme semble la résul-tante mo
cles droits dont le strabisme semble la résul-tante moyenne : ex. les
muscles
droits interne et. supérieur, interne et inférieu
areil cas, commence, comme nous venons de le dire, par la section des
muscles
dont la déviation semble la ré-sultante; et, cepe
e couper ultérieurement le petit oblique , l'œil après la section des
muscles
droits externe et supérieur continuant à se porte
enait de faire aurait pu être précisé à l'avance. Section de quatre
muscles
. A mesure que la question se complique , l'obsc
o-rance commune à cet égard , on ne peut assurer d'avance com-bien de
muscles
on sera obligé de couper. On ne peut que prévoir
r pendant l'opération sur le mode de déviation pour couper tel ou tel
muscle
. La seule réserve de l'auteur consiste à ne coupe
r consiste à ne couper les obliques qu'en der-nier, lorsque celle des
muscles
droits est insuffisante; il faut l'a-vouer , une
, il a fallu , pour obtenir un redresse-ment complet, couper les deux
muscles
droits supérieur et infé-rieur , puis le tendon d
légère exophthalmie. » 2° Strabisme divergent. La section de quatre
muscles
est éga-lement applicable à la déviation oculaire
mouvemens en dedans. Dans ce cas, il faut diviser successivement les
muscles
droit externe et petit oblique, examiner de nouve
cédé de la manière la plus fran-che , faire de nouveau la section des
muscles
droits inférieur et supérieur. » Ce genre de stra
redresser le globe oculaire, qu'après avoir divisé successivement les
muscles
droit supérieur , grand oblique, droit interne et
édentes de strabisme convergent et divergent par la section de quatre
muscles
, et les résultats confirment ceux obtenus par M.
lieu , que l'on doit prévoir la section nécessaire, d'abord des trois
muscles
droits synergiques, puis celle de celui des obliq
s, le petit oblique poul-ies strabismes divergens. Sections de cinq
muscles
. Ce cas a rapport au strabisme con-vergent lorsqu
a rapport au strabisme con-vergent lorsqu'après la section des quatre
muscles
précités, les droits interne, supérieur, inférieu
nche-ment dans le sens opposé, il est probable que la section du seul
muscle
rétracté sera suffisante. 20 Si l'œil est très
20 Si l'œil est très peu mobile, on doit s'attendre à couper avec ]e
muscle
principal, les deux latéraux. 3° Si l'œil est trè
adruple, la section de l'un des obliques s'ajoutant à celle des trois
muscles
droits et peut-être même, aussi, celle des deux o
ile on peut supposer que la déviation cessera par la section des deux
muscles
dont elle est la résultante. 20 Si au contraire l
des accidens qui appartiennent spécialement aux sections de plusieurs
muscles
: l'exophtlialmic, l'immobilité de l'œil et des né
de faire cicatriser sur un plan plus antérieur l'extrémité coupée du
muscle
. L'au-teur, d'après ce qu'il nous a dit, aurait d
ès ce qu'il nous a dit, aurait déjà fait quelques tenta-tives sur des
muscles
différais. De son côté, M. Baudens a eu la même p
tion du moment. Mais outre les opérations secondaires applicables aux
muscles
eux-mêmes, cet habile chi-rurgien a imaginé de re
: de là deux sortes d'opérations. i° Opérations secondaires sur les
muscles
. Ce n'est qu'en sui-vant pas à pas la succession
. Soit, par exemple, un strabisme conver-gent opéré par la section du
muscle
droit interne : si à l'instant même il survient u
e manière à forcer un peu à rallongement de la cicatrice de celui des
muscles
qui menace de rétraction. Au besoin, pour contrai
ion de mouvement du côté de la section, il va chercher l'extrémité du
muscle
qu'il ramène, comme M. Guérin , plus en avant, et
aladie étant revenue dans plusieurs cas, après la section de tous les
muscles
qui pou-vaient y concourir. L'auteur pense que ce
née qui s'en trouve plus ou moins écartée latéralement, en coupant le
muscle
qui en est le plus voisin_ Si, par exemple, cette
nsparente est interne ou externe, il est clair qu'il faudra couper le
muscle
droit de même dé-nomination , la traction du musc
faudra couper le muscle droit de même dé-nomination , la traction du
muscle
antagoniste devant, par une légère rotation, rame
même année, M. J. Guérin a essayé également de guérir par section des
muscles
droits latéraux, la myopie compliquant le strabis
cadémie des sciences, deux cas de guérison de myo-pie, par section du
muscle
petit oblique. Depuis, les deux der-niers ont mul
del'œil droit. L'indication donnée par l'auteur est découper les deux
muscles
droits lorsqu'il y a mouvement d'os-cillation lat
e, ou en quelque sorte par pression de la rétine sous l'influence des
muscles
droits rétrac-tés. Qu'il y ait ou non strabisme ,
Le premier était affecté de strabisme divergent de l'œil gauche : le
muscle
droit externe fut coupé; le malade dit qu'il voya
action de la pupille et l'apparition d'un strabisme externe, puis, le
muscle
droit externe étant coupé im-médiatement, le mala
e 4 la vision est plus nette, mais il y a diplopie; le 15, section du
muscle
droit externe suivie du redressement complet de l
s une lutte des plus pénibles entre les organes delà respiration, les
muscles
de la langue et du voile du palais; la tète, le c
s que M. Baudens appelle filet sous-muqueux, et sans doute à d'autres
muscles
de la langue, comme paraissent lé prouver des obs
Dieffenbach eut la pensée de guérir le bé-gaiement par la section des
muscles
de la langue. M. Sainti-Sillani [Gazette médicale
uble complet qui paralyse la langue, et met en état de convulsion les
muscles
de la face et souvent aussi ceux de la respiratio
es physiologistes et des médecins pensent en effet que la section des
muscles
de la langue ne saurait dé-truire une maladie qu'
est transportée de l'appareil musculaire de la langue dans celui des
muscles
de la respiration, excluent, par cela même , tout
signes de rétraction des génio-glosses, cas dans lequel la section du
muscle
est indiquée comme moyen de re-médiera l'un desél
anatomte operatoire (Pl. F, fig. i et 2 ). La langue est formée de
muscles
intrinsèques et extrinsèques. Les premiers consti
e, sans les plus grands dangers, la section complète de cet organe.
Muscles
extrinsèques. Stylo-glosses. Comme élévateurs de
scles extrinsèques. Stylo-glosses. Comme élévateurs de la langue, ces
muscles
devraient être respectés; comme rétracteurs du mê
ves à cet égard. Les mêmes observations s'appliquent, à fortiori, aux
muscles
glosso-staphy-lins et myo-glosses, dont, au reste
l'on fait et sous peine de graves hémorrhagies. Génio-glosses. Ces
muscles
, par la place qu'ils occupent, sont les seuls, à
les opérations subséquentes, il entame au besoin la substance de ces
muscles
. Enfin, il a eu connais-sance des récidives et po
er d'y reconnaître une méthode originale, puis-qu'il transportait aux
muscles
sous-linguaux une opération pra-tiquée d'abord pa
a-tiquée d'abord par M. Dieffenbach à la face dorsale, aux dépens des
muscles
intrinsèques. Au 14 février se rapportent les opé
palais pour s'assurer, par le toucher, du degré de ré-traction de ses
muscles
ou du frein, cpii se traduit par des cordes plus
S ET PROCÉDÉS OPÉRATOIRES. Trois méthodes opératoires de section de
muscles
existent pour le bégaiement : i° La section des m
de section de muscles existent pour le bégaiement : i° La section des
muscles
intrinsèques delà langue (méthode allemande) ; 1°
gue (méthode allemande) ; 1° la section sous-muqueuse à découvert des
muscles
extrinsèques ; 3° Leur section sous-cutanée; les
pération . « Cette pen-sée de guérir le bégaiement par la section des
muscles
de la lan-gue se présenta pour la première fois à
sidait surtout dans la glotte et qui se communiquait à la langue, aux
muscles
du visage et même du cou, je devais aussi croire,
e et aussi infaillible dans le bégaiement, que toutes les sections de
muscles
dans un grand nombre de maladies spasmodiques. »
hodes différentes , qui toutes ont pour but la sé-paration totale des
muscles
, ont été essayées par M. Dieffenbach. Voici com
trace de bégaiement, pas le plus léger mou-vement convulsif dans les
muscles
du visage ni dans les lèvres n'est demeuré après
, les artères et veines linguales et une masse assez considérable des
muscles
intrinsèques dans le milieu de leur longueur. Or,
e méthode a pour but de faire cesser la rétraction spasmodique de ces
muscles
et de permettre à la langue de se porter dans tou
t que rien de tout cela n'est réel. M. Phillips ne coupe pas tous les
muscles
de la langue, mais il en coupe encore beaucoup tr
cas (1). « Après avoir divisé la muqueuse de la langue qui couvre les
muscles
génio-hyo-glosses dans l'éten-due d'un pouce et d
rds antéro-inférieurs. A l'aide de deux incisions, il divise les deux
muscles
et enlève une portion triangulaire de leur substa
s et les artères qui se présentent sur les parties latérales des deux
muscles
Nous n'avons aucune observation à faire sur ce pr
âchoire ; par cette ouverture il in-troduit un bistouri et divise les
muscles
génio-glosses tout près de leur insertion à l'apo
n faisant tirer la langue en avant et en haut, hors de la bouche, les
muscles
viennent s'offrir d'eux-mê-mes à la section , ave
suivant leur contraction. Dans le point où je pratique la section des
muscles
génio-glosses , l'opération est moins difficile e
ou le sommet du trian-gle, tandis que plus haut, comme on lésait, le
muscle
s'épanouit en éventail, et il est entouré de vais
un seul crochet dans la membrane muqueuse qui recouvre le tendon des
muscles
génio-glosses , afin de dessiner une corde médian
rde médiane superposée à celle que forme la portion tendineuse de ces
muscles
; nous plongeons à un pouce de profondeur chez l'
-delà de quelques minutes, rien n'est plus aisé que de l'arrêter. Les
muscles
génio-glosses, parleur rétraction, laissent sous
ssu sous-muqueux à son insertion à la mâchoire ; 3° le refoulement du
muscle
en arrière. Ces trois opérations ne sont que comm
Appareil instrumental. 1° Une lancette destinée à percer la peau, le
muscle
peaucier et l'intervalle qui sépare les digastriq
is on le retourne du côté opposé et l'on coupe la moitié droite de ce
muscle
. « Chacun des temps de cette opération demande
t vice versa. » Lorsqu'on a bien reconnu de la sorte la position du
muscle
, on incline contre lui le tranchant de l'instrume
particulier et le sentiment d'une résistance vaincue annoncent que le
muscle
est coupé. Quand on croit la section complète,
l'opération est terminée: c'est une preuve, en effet, que l'action du
muscle
génio-glosse est complètement détruite. Si le mal
ranchant de l'instrument, et, avec le plat de celui-ci, on refoule le
muscle
en arrière. Alors de nouveau on fait tirer la lan
a bouche; alors on peut retirer sans crainte le ténotome, l'action du
muscle
génio-glosse est complètement détruite, le but im
nt plus nette, les mouvemens convulsifs de la face ainsi que ceux des
muscles
de la respiration diminuent ou disparaissent ; ma
ecine opératoire; c'est-à-dire pour motiver les diverses sec-tions de
muscles
et de tendons, nous réservant de traiter, avec to
e syndesmologique, os et ligainens, et de l'autre les rétractions des
muscles
qui concourent à mou-voir la fraction déviée du s
le résultat de la situation normale du pied long-temps prolongée; les
muscles
qui correspondent à la concavité de la courbure d
écisément attribué le pied-bot congenial à la contraction de certains
muscles
sous l'influence d'une affection nerveuse. De cet
ssement dans un cas, pouvant être produit par excès d'innervation des
muscles
contractés, et dans l'autre cas, par diminution o
contractés, et dans l'autre cas, par diminution ou paralysie dans les
muscles
antago-nistes. DTvernois professait plus partic
générales reconnues qui ont pour effet si-multané les rétractions des
muscles
et les courbures des os sans altération de textur
mis, comme le dit M. Bouvier lui-même, « que le raccourcisse-ment des
muscles
et des ligamens soit primitif ou secondaire, qu'i
u secondaire, qu'il dépende d'un excès de contraction d'une classe de
muscles
, ou du relâchement de leurs antagonistes, que le
me , de dimensions, de direction et de texture. (1) Altérations des
muscles
résultant de la contraction permanente. Nous em
ées sur cette matière. i° « Dans toutes les difformités anciennes les
muscles
, au lieu de continuer leurs rapports primitifs av
s est graisseuse ou fibreuse : graisseuse, dans les conditions ou les
muscles
sont frappés d'i-nertie; fibreuse, lorsqu'ils son
t de M. Double à l'Institut, pag. 10.) La contraction permanente du
muscle
se présente dans deux états successifs, la contra
contracture, dit l'auteur, c'est le raccourcissement spas-modique du
muscle
, c'est le plissement permanent de ses fibres san
ans altération notable de sa texture, de manière que, en éten-dant le
muscle
contracture, on lui rendrait tous les caractères
nt produit d'abord par la contracture, mais dans lequel la texture du
muscle
a subi consécutivement des altérations profondes
ns. La simple contracture permet d'obtenir l'allongement immé-diat du
muscle
parles moyens propres à l'effectuer : l'extension
avec dégénérescence fibreuse, implique l'im-possibilité du retour des
muscles
à leur longueur normale, ou i'impossibilité d'une
anchant » (loc. cit. pag. 73). Altération des tissus autres que les
muscles
. Système osseux. « La portion du squelette qui
amenteux. Par suite de sa texture intermédiaire à celle des os et des
muscles
, il éprouve des transformations ana-logues à cel
s transformations ana-logues à celles de ces deux tissus. « Comme les
muscles
, les liga-mens se déplacent et se raccourcissent
fibreuse, diminuent la longueur de leur trajet, cl tendent comme les
muscles
, quoiqu'à un moindre degré, à se diriger en ligne
ant plus ou moins à une lancette aiguë; 3° la section du tendon ou du
muscle
; 4° la réunion. Appareil instrumental. 11 ne se
e à pointe mousse et à tranchant simple, pour diviser le tendon ou le
muscle
, c'est le té-notome ou myotome. Cela posé, on com
rtie comme pour lui rendre sa position normale. Pour les sections des
muscles
du dos en particulier, M. Guérin fait exécuter au
s'agit plus que de retourner le tranchant en bas vers le tendon ou le
muscle
; et alors, suivant que la corde à couper est plus
agit plus que de substituera ce doigt une ban-delette de diachylon.
Muscles
à diviser. Dans tous les genres de rétraction,
. Dans tous les genres de rétraction, quel qu'en soit le siège, les
muscles
à diviser sont, en théorie, ceux, dit M. Guérin,
upérieur (abducteur de la jambe). Mais comme il y a souvent plusieurs
muscles
rétractés, pour éviter de diviser mal-à-propos le
ongénital est le résultat de la rétraction mus-culaire convulsive des
muscles
du pied et de la jambe. « 20 L'affection convul
con-tracture musculaire peut aller jusqu'à paralyser un ou plusieurs
muscles
de la jambe, la rétraction et la paralysie n'étan
u même état pathologique. Lors-qu'il n'y a que simple contracture, le
muscle
, arrêté plus tard dans son développement, ne peut
mité pendant la croissance de l'individu; lorsqu'il y a paralysie, le
muscle
tend à s'atrophier et n'oppose qu'une faible rési
t le résultat de la rétraction, siégeant spécialement dans tel ou tel
muscle
, ou de la rétraction de certains muscles avec la
spécialement dans tel ou tel muscle, ou de la rétraction de certains
muscles
avec la paralysie complète ou incomplète de certa
ncomplète de certains autres, en sorte que la direc-tion d'action des
muscles
rétractés détermine la direction et la forme du p
es, tous effets de la rétraction siégeant à différens degrés dans les
muscles
jambier postérieur, adducteur du gros orteil, pér
des moyens mécaniques et gé-néraux, faire la section des tendons des
muscles
rétractés, déter-minant chaque forme du pied-bot
les péroniers latéraux; et la section simul-tanée des tendons de ces
muscles
, suivant la simultanéité de leur rétraction dans
Enfin, le varus peut devenir plus composé, lorsqu'à la rétraction des
muscles
précédens s'ajoute celle des fléchisseurs des ort
se tourne en dehors, l'or-gane appuyant sur son bord interne. Ici les
muscles
rétractés sont les trois péroniers ; mais aussi l
and volume, tandis que presque toujours l'avant-pied est amaigri. Les
muscles
rétractés, dans le talus, sont les extenseurs pro
trouvée ré-cemment par M. J. Guérin, consiste dans une rétraction des
muscles
de la face plantaire du pied, qui élève la voussu
ns naturels du pied rendus permanens par la rétraction convulsive des
muscles
qui les opèrent; 2° que ces difformités, quand el
guéries par l'allongement, ou en d'autres termes, par la section des
muscles
cpii les ont produites, et la cicatrisation en si
ituation normale dans un appareil approprié; 3° cpie presque tous les
muscles
du pied ou ceux de la jambe, par leurs tendons, p
quent sont sujets à être divisés, au besoin, avec un ou plusieurs des
muscles
du groupe musculaire dont ils sont synergiques; 4
gamenteux. D'autre part, l'allongement et l'atrophie par le repos des
muscles
antagonistes de ceux qui ont été rétractés , cett
er des récidives de la déformation, lorsqu'après la cicatrisation les
muscles
primitivement rétractés ont recommencé d'agir.
isent sous l'influence de causes très différentes. Tantôt ce sont les
muscles
eux-mêmes, atteints de contracture convulsive, qu
n des tissus fibreux, liga-mens et capsules, et celle des tendons des
muscles
situés dans le sens delà concavité. 11 y aura don
terne et du biceps en dehors, avec allongement et affaiblissement des
muscles
inter-nes; 3° la subluxation en dehors, mais beau
us rare, carac-térisée par la courbure en dedans, avec rétraction des
muscles
internes, et allongement des groupes musculaires
if. Ce serait ici le lieu de mentionner les procédés de section des
muscles
qui meuvent l'articulation coxo-fémorale. M. Guér
émorale. M. Guérin a pratiqué la myotomie de l'attache, au sacrum, du
muscle
fessier supérieur, abducteur de la jambe, et M. B
le cas de rétraction faible, couper sur les attaches supérieures des
muscles
dont les tendons se rendent à la main; mais il fa
tion et d'habileté dans la manœuvre. Reste donc la première couche de
muscles
, les deux palmaires et cubital antérieur dont la
ra la déviation pre-mière à laquelle participeront ultérieurement les
muscles
qui s'insèrent aux os déviés; puis, par une succe
s animaux vivans, que le sterno-cléido-mastoïdien est composé de deux
muscles
, le cléido-mas-toïdien, muscle inspirateur, et le
cléido-mastoïdien est composé de deux muscles, le cléido-mas-toïdien,
muscle
inspirateur, et le sterno-mastoïdien, rotateur de
les deux tiers de la hauteur, ils n'en formeraient pas moins un seul
muscle
, qui serait à-la-fois dans son ensemble, suivant
te M. Guérin: « Indépendamment de l'inclinaison de la tète du côté du
muscle
rétracté, il existe une inclinaison en sens inver
sur la région dorsale qui persiste invariablement après la section du
muscle
. » De cette forme de rétraction nous pouvons dé
'incurvation en sens opposé de la portion cervicale du rachis; %° les
muscles
sous-jacens, c'est-à-dire, intermédiaires entre l
rcis par le rapprochement de leurs attaches. Mais, dit M. Guérin, ces
muscles
n'éprouvent qu'un retrait passif, sans apparence
graisseuse, au lieu delà transformation fibreuse qui est le fait des
muscles
rétractés. Pareil fait s'observe, ajoute-t-il, po
re au sterno-cléido-mastoïdien tout entier et même à quelques-uns des
muscles
sous-jacens. Dans ce cas, on coupe le sterno-cléi
le trapèze dont la position est superficielle, mais quant aux autres
muscles
situés plus profondément, en raison des dangers a
de torticolis an-cien, que j'ai notés, cinq fois les deux portions du
muscle
pa-raissaient également raccourcies; deux fois le
. » Ces observations de M. Bouvier, sur les formes de rétraction du
muscle
sterno-cléido-mastoïdien si différentes des concl
ns qu'on les soumît à un nouvel examen. Quant à l'état anatomique des
muscles
sous-jacens signalé par M. J. Guérin, qui concord
mouvemens sont indis-pensables : le premier a pour objet de tendre le
muscle
à diviser et de favoriser ainsi l'action de l'ins
ancien (avril 1838). elle a pour effet de faire saillir en avant le
muscle
sterno-mastoï-dien, de le détacher des parties so
nsertion mastoïdienne dans un plan plus antérieur. Le soulève-ment du
muscle
est quelquefois tel dans cette condition qu'il es
le soit interposée entre les deux doigts qui la pressent. Une fois le
muscle
soulevé et tendu, je fais à la peau, à six ou hui
à la peau, à six ou huit lignes au-dessus de l'insertion sternale du
muscle
, un pli parallèle à la direction de ce dernier, p
u point de la peau qui, dans le relâchement, longe le bord externe du
muscle
. Je plonge à la base de ce pli un bis-touri mince
à huit lignes, c'est-à-dire de manière à dépasser le bord interne du
muscle
, sans tra-verser la peau du côté opposé, je relèv
second temps, la lame du bistouri, et j'applique son tranchant sur le
muscle
. Dans un troisième temps, j'abandonnele pli de la
éviter une division incom-plète de ses fibres. La section complète du
muscle
s'annonce d'ailleurs par un bruit semblable à cel
it être légèrement convexe. J'introduis le bistouri sous le tendon du
muscle
, toujours au moyen d'une simple ponction, et aprè
ion, et après avoir fait préalablement un pli à la peau , je coupe le
muscle
d'arrière en avant jusqu'à ce queje n'éprouve plu
s de nouveau. Pour la ponction, afin d'iso-ler avec plus de sûreté le
muscle
des parties sous-jacentes, à l'i-mitation de M. B
e tout d'abord les vaisseaux. Enfin, lorsqu'il convient de diviser le
muscle
dans toute sa largeur, M. Guérin emploie un myoto
refoulant la peau, derrière le bord externe et la face postérieure du
muscle
, afin de le soulever, de l'isoler des vaisseaux e
conduisis à plat l'in-trument, ainsi appuyé sur l'index, derrière le
muscle
, jusqu'à ce que la pointe soulevât la peau en deh
s musculo-tendi-neuses, formées par un plus ou moins grand nombre des
muscles
des gouttières vertébrales, sont de véritables co
pposé. Si l'on en croit ce chirurgien, les tractions apparentes des
muscles
sont uniquement dues aux mouvemens d'extension qu
re à ses malades couchés sur le ventre, pour augmenter la saillie des
muscles
vertébraux; mais, dit-il, cette saillie disparaît
des où il nous a paru qu'il y avait une rétraction bien manifeste des
muscles
de l'épine, et nous ne voyons pas, comme le dit M
oteur, et la nécessité de la myotomie étant admise en pareil cas, les
muscles
des gouttières vertébrales, déjà mi-parti fibreux
ables d'éprouver les rétractions auxquelles sont sujets tant d'autres
muscles
de struc-ture moins fibreuse, et qui, parla natur
éorie : « i°Les plaies sous-cutanées des tendons, des ligamens, des
muscles
, des aponévroses, des artères de petit calibre, d
sorbent pas toujours à la suite des sections sous-cutanées des grands
muscles
; opération répétée cpiatre fois avec succès comp
ie opératoire, historique, v-ix. Exa-men du regard. Détermination des
muscles
qui concourent au strabisme, ix-x. — Manuel opéra
, bourgeons charnus, proéminence de l'œil, abo-lition du mouvement du
muscle
coupé, opération secondaire, strabisme inverse co
péré, incertitude du regard après l'opération, xvin-xix. = Section de
muscles
variés. Droit externe, droits supérieur et infé-r
xix-xx. — Petit oblique. Procédés, t° imité de la section des autres
muscles
; 2° de M. Baudens; 3° de M. Bonnet de Lyon,xx.=SE
s; 2° de M. Baudens; 3° de M. Bonnet de Lyon,xx.=SECTiON de plusieurs
muscles
. deux ou trois, quatre, cinq, xxi-xxn. — Accidens
ils mécaniques; 2° Sections scléreuses; méthode générale opératoire ;
muscles
à diviser, xli, xlii. — Sections partielles. Pied
—Torticolis. Procédés de MM. J. Guérin et Bouvier. — Rétractions des
muscles
du dos, xlvii—xliv. CHIRURGIE SOUS-CUTANÉE. Thé
ge. Région oculaire. Figures 1 et 1 bis. Section de la peau et du
muscle
orbiculaire palpé-bral, pratiquée circulairement
eure ; i, l'épiglotte ; k, la lèvre inférieure; 1, la langue avec son
muscle
génio-glosse. Plan des cavités. — Cavité nasale
ties accessoires. 1 Extrémité supérieure du sterno-mastoïdien. 2.
Muscle
masseter. 3. Muscle grand zygomatique. A. Mus
Extrémité supérieure du sterno-mastoïdien. 2. Muscle masseter. 3.
Muscle
grand zygomatique. A. Muscle buccinateur. En ce
gauche de la cavité buccale, la langue, la mâchoire inférieure et les
muscles
sus-hyoïdiens, et la moitié gauche du cartilage t
ure de la glotte. La peau et l'aponévrose superficielle incisées, les
muscles
sterno-hyoïdiens écartés, on a divisé sur le plan
tombé dans la trachée-artère. La peau et l'aponévrose divisées, les
muscles
sous-hyoïdiens écar-tés, l'isthme du corps thyroï
face qui écarte sur le bord droit la masse laryngo-trachéale. c.
Muscle
sterno-thyroïdien recouvrant la saillie latérale
o-thyroïdien recouvrant la saillie latérale du corps thyroïde. d.
Muscle
scapulo-hyoïdien. e. Muscle sterno-inastoïdien.
llie latérale du corps thyroïde. d. Muscle scapulo-hyoïdien. e.
Muscle
sterno-inastoïdien. f. Artère carotide primitiv
es ganglions lymphatiques et une portion de l'épaisseur des fibres du
muscle
grand pectoral en regard. Figure 3. Réunion de
ord du grand dor-sal, de manière à intéresser seulement par moitié ce
muscle
et l'at-tache du grand oblique. Au moment où en e
és. Par suite des mouvemens combinés d'expulsion de l'intestin et des
muscles
abdominaux, les deux bouts de l'intestin se sont
é gauche. L'opé-rateur est placé en travers et adroite du malade. Les
muscles
de l'ab-domen étant mis dans le relâchement, par
rficialis. b, b. Lambeaux de l'aponévrose du grand oblique. c, c.
Muscle
crémaster éraillé au-devant de la hernie. Une por
). Hernie dune anse de l'intestin iléon au travers d'une éraillure du
muscle
releveur de l'anus. L'intestin est vu dans l'écar
MODIFICATIONS SUBIES PAR LA PAROI ABDOMINALE. L'aponévrose des deux
muscles
grands obliques étant mise a nu, on reconnaît que
rmé que par les aponévroses. En de-dans il est limité parle tendon du
muscle
grand droit; il n'y a donc-point de canal proprem
asse la masse commune du sacro-spinal, et, en avant, les trois grands
muscles
abdominaux. Le fond de la plaie montre, dans les
l. 51 ) Prostate coupée à demi-diamètre sur la ligure 2. (p, pl. 5! )
Muscles
constricteurs de l'urètre coupés. D. Périnée.
caverneux, dont on voit le plan de section sur la planche 51. ( u )
Muscles
bulbo-caverneux. ( v) Portion spongieuse de l'u
penseur du pénis qui est tiraillé par l'abaissement de la sonde. — e.
Muscles
pubio-urétraux. Ils se relè-vent vers le pubis pa
nterrompus dans l'étendue de la plaie, dont le fond est formé par les
muscles
du côté opposé. — D. Prostate. — E, E. Vessie don
ilic , en dehors de l'arcade crurale, en lon-geant le bord externe du
muscle
sterno-pubien, de manière à tomber à dis-tance mo
ons du strabisme. ANATOMIE OPÉRATOIRE, fig. 1, 2, 3, 4. Figure 1.
Muscles
de l'œil dépourvus de leurs enveloppes, et vus pa
eux vu par le plan supérieur, le plancher orbitaire étant enlevé. Les
muscles
sont indiqués par les mêmes signes que dans la fi
ar M. Bonnet, de Lyon. figures 3 et 4. Enveloppes de glissement des
muscles
de l'œil et du globe ocu-luire. Ces deux figures
professer à M. Guérin , dans ses conférences, sur les en-veloppes des
muscles
de l'œil, et M. Bonnet, dans sa lettre, reconnaît
. Figure 3. Aspect de l'œil, au profil, comme sur la figure 1 : les
muscles
étant représentés avec leurs enveloppes coupées s
représentés avec leurs enveloppes coupées sur le plan moyen, (a et b)
Muscles
droits externe et interne ; le feuillet supérieur
droit externe (c) montre celle double dis-position commune aux quatre
muscles
droits; (d) plan de section du petit oblique dans
ts; (d) plan de section du petit oblique dans sa gaine spéciale ; (g)
muscle
releveur de la paupière supérieure. Son feuillet
fascia forme deux feuillets continus avec 1rs gaines d'enveloppe des
muscles
droits, et adhérant l'un à l'autre par de nom-bre
s cellulaire séreux. Parvenu au point d'im-plantation des tendons des
muscles
droits sur la sclérotique, on voit les teuillels
la sclérotique, du tendon du droit externe; (b) extrémité divisée du
muscle
reporté en arrière; (c) adhé-rence fibro-celluleu
ent prèles par l'auteur. Figure 14. (a) Cicatrice fibro-celluleuse du
muscle
droit externe coupé sur le clieval. Figure 15. (b
opérateur tient de sa main gauche (e) le crochet mousse passé sous le
muscle
et opère la section avec des ciseaux (f). FIGUR
x erignes. Figure 3. Second temps : passage du crochet mousse sous le
muscle
pour en opérer la section avec des ciseaux. FIG
gauche (d), le chirurgien tient l'érigne simple qui fixe le lendon du
muscle
; tandis qu'avec sa main droite (e) il incise, ave
il incise, avec le myotome courbe, la con-jonctive, son fascia et le
muscle
lui-même. Figure 2. Excision du petit lambeau f
tive et du fascia avec l'érigne et les ciseaux — Figure 9. Section du
muscle
avec les ciseaux sur le crochet mousse. Figure
uble à écartement qui va saisir, sous la conjonctive el le fascia, le
muscle
, pour le faire sortir par la plaie où la section
sur le front; de la main droite, le chirurgien amène sous la peau le
muscle
repoussé avec le myotome, pour en faire la sectio
Figure 6. Section du petit oblique par le procédé de M. Baudens. Le
muscle
, amené au dehors avec une érigne (a), est coupé,
ment de l'ouverture palpébrale, consécutive à la section de plusieurs
muscles
. Procédé de M. Baudens. Figure g. Excision d'un
ue par l'opérateur et l'autre (c) par un aide. Figure 5. Section du
muscle
avec les ciseaux entre les deux erignes (b, c). L
s avec des pinces (c), l'opérateur va chercher l'extrémité divisée du
muscle
, pour l'amener au dehors et la faire cicatriser p
verses sections que l'on pratique sur la langue. Sur les trois grands
muscles
extrinsèques, le stylo-glosse en haut, en bas l'h
une pince de Museux b. Le chirurgien après avoir mis à découvert les
muscles
génio-glosses en saisit le bord antérieur avec un
ite à la peau le té-notome (figure 7) introduit au travers, entre les
muscles
génio-hyoïdiens, pratique la section des tendons
amussat.—Figure 8 : section avec des ciseaux b du bord antérieur des
muscles
génio-glosses, le filet de la langue étant saisi
Main gauche du chirurgien dont l'extrémité des doigts appuie sur les
muscles
pour les fixer contre le tibia ; l'indicateur en
tites spatules tranchantes de grandeurs différentes. RÉTRACTION DES
MUSCLES
DU JARRET. FIGURE 6. (a) Face externe du membre
eu-près dans la ligne verticale de l'attache sternale, pour mettre le
muscle
qui doit être coupé en état de tension. Le temps
gauche (a) étant insinué, revêtu de la peau, sous le bord interne du
muscle
, la face pal-maire tournée en avant; de sa main d
it la ponction de la peau et glisse à plat en arrière au plus près du
muscle
, jusque vers le doigt médius de l'opérateur dont
isser l'instrument, la seconde lame vient se loger à plat derrière le
muscle
. Figure 7. Deuxième temps. La lame étant en pos
remier trajet parcouru, et appuyant vers soi de manière à soulever le
muscle
et à le détacher des parties profondes, le glisse
N.H. Jacob. TOME VII. PLANCHES O, P. DIVERS CAS DE RÉTRACTION DE
MUSCLES
DES GOUTTIÈRES VERTÉRRAL TRAITÉS SEULEMENT PAR L'
mencement, mais acquérant ulté- rieurement le Ilagellum. Dans les
muscles
striés, on trouve le protozoaire sous le même asp
s. Méningo-encéphalite chronique ; parasites dans le cerveau et les
muscles
. 8. Diplégie cérébrale spasmodique. Idiotie.
nergiques d'extension de la jamhe sur la cuisse, la contraction des
muscles
de la cuisse et, quelquefois, la flexion de la
e aussi très exagérés, la percussion déterminant la contraction des
muscles
de la région postérieure de la jambe et, quelquef
n décubitus dorsal. Maintien parfait des mouvements volontaires des
muscles
du bassin; Le ma' LES FORMES NERVEUSES D'UNE NO
aume. On est frappé de suite par une atrophie marquée localisée aux
muscles
de la ceinture scapulaire : deltoïde, sus et so
ux côtés. L'excitabilité faradique et l'excitabilité galvanique des
muscles
atrophiés est très affaiblie mais on ne constat
on devait s'étendre en haut ; l'atrophie des deltoïdes et celle des
muscles
de l'épaule traduisaient la participation, ce n'e
tial se localisait toujours DES LOCALISATIONS DE L'APHASIE 27 aux
muscles
de la main et de l'avant-bras du côté droit. Les
x côtés dans les excitabilités galva- niques et faradiques pour les
muscles
explorés : releveur du nez, releveur de la lèvr
u palais, du larynx, du trapèze et du sterno-cléido-mastoïdien, des
muscles
oculaires. Dans d'autres cas, l'hé- miatrophie
rs en bon état. Les membres inférieurs sont absolument inertes, les
muscles
sont flasques. Il ne peut s'asseoir sur le lit ,n
extension à cause des résultats négatifs. Constipation ; tonicité des
muscles
dans le membre gauche plus forte, cependant moi
otons les tendances et les oscillations suivantes. 15 octobre 1910.
Muscles
des membres inférieurs sans flaccidité, leur te
ne peut presque pas remuer le pied, les orteils ; La tonicité des
muscles
est accrue : la force des mouvements est minime.
oelle au-dessus de la dure-mère, se fondait des deux côtés avec les
muscles
, s'épanchait de l'inté- rieur. La masse néoplas
caractère spastique ; on n'aperçoit l'augmentation de la tonicité des
muscles
que dans les mouvements violents du pied gauche
e chaud sous les seins surtout sous le gauche et tressaillement des
muscles
dans la région lombo-sa- crée ; pas de douleurs
ou moins il la ligne ombilicale (schéma de E. Flatau). Tonicité des
muscles
sans augmentation, sensibilité tactile, sens mu
actère passager. Ces douleurs pouvaient agir par contre-coup sur le
muscle
cardiaque affaibli par une autre cause. En outre
fance. Examen du malade (novembre 1911). - 1. Etat fonctionnel des
muscles
. - Parfait pour le développement musculaire. St
produisaient ou d'un côté, ou de l'autre, localisées dans quelques
muscles
des membres, tantôt supérieurs, tantôt inférieu
membres, tantôt supérieurs, tantôt inférieurs, mais respectant les
muscles
du tronc et de la face. Leur fréquence oscillai
produisent de nets et de violents. Dans le cas de Friedreich les
muscles
du tronc et de la face n'étaient pas atteints;
autres observations très semblables à la description primitive, ces
muscles
ont été atteints. Dans quelques cas (Bechterew,
térisées par des secousses fibrillaires continues dans les mollets;
muscles
des extrémités et du tronc. ' Dans les première
ar des contractions fibrillaires apparaissant tout d'abord dans les
muscles
des mollets et de la partie postérieure des cui
de la partie postérieure des cuisses, pouvant ensuite s'étendre aux
muscles
du tronc et même à l'un des membres supérieurs,
et même à l'un des membres supérieurs, mais respectant toujours les
muscles
du cou et de la face. » Celte pseudo-chorée e
xysmes dans l'intervalle des- quels s'observe un calme relatif. Les
muscles
respiratoires peuvent parti- ciper aux spasmes,
ont de 10 à 40 par minute. Ce phénomène se produit souvent dans les
muscles
des membres inférieurs. En 1909 les contraction
n initiale pour le membre inférieur droit, d'où elles passaient aux
muscles
du membre inférieur gauche en se propageant ens
lus longue, mais ne dépasse pas un tiers de seconde. 94 MONIZ Les
muscles
de la face sont aussi atteints. Il est difficile
ace sont aussi atteints. Il est difficile de bien préciser tous les
muscles
qui entrent en contraction. Les masséters, les ri
tation. La secousse se réduit, parfois, à un de ces mouvements. Les
muscles
du tronc entrent en scène sous des formes variées
paules compliqué ou non de flexion des bras. Le diaphragme et les
muscles
de la phonation sont atteints et obligent la ma
. Les membres supérieurs exécutent des mouvements similaires et les
muscles
du tronc, du cou et de la tête, subissent aussi d
veuses. A 13 ans elle commence à éprouver des contractions dans les
muscles
orbiculaires des paupières et des lèvres. Elle
du membre supérieur, du déplacement de la tête et de mouvements des
muscles
de la face. Il arrive aussi que ce mouvement se
n du tronc et le soulè- vement du bras gauche, les contractions des
muscles
de la face, la flexion des bras, etc., sont des
s de latéralisation, en avant et en arrière. Le diaphragme et les
muscles
de la phonation entrent aussi en contraction et
es et inconstants. Sensibilités normales. Réactions électriques des
muscles
également nor- males. , 98 MONIZ Il n'y a p
ales. , 98 MONIZ Il n'y a pas d'atrophies ni de douleurs dans les
muscles
qui entrent en con- traction. La malade semble,
nts dans un degré maximum. Ces secousses peuvent traverser tous les
muscles
de l'organisme. Elles préfèrent ceux de la vie
e l'organisme. Elles préfèrent ceux de la vie de relation, mais les
muscles
de la vie organique peuvent aussi être atteints
is les muscles de la vie organique peuvent aussi être atteints. Les
muscles
les plus atteints sont ceux des membres supérie
miques. Quelques auteurs onl observé une certaine symétrie dans les
muscles
ou groupes musculaires atteints. On l'a même co
il y a symé- trie de certains groupes musculaires, par exemple, les
muscles
des épaules et des bras ; mais la symétrie n'ex
es des épaules et des bras ; mais la symétrie n'existe pas dans les
muscles
du membre inférieur. Chez la seconde malade l
existe aussi, mais pas parfaite. Symétrie ne veut pas dire que les
muscles
symétriques se contractent en même temps, elle
les symétriques se contractent en même temps, elle signifie que les
muscles
symétriques sont atteints par la même contracti
rqué. a L'affection, disait-il, occupait d'une façon symétrique les
muscles
du côté droit et du côté gauche, mais chacun de
que les muscles du côté droit et du côté gauche, mais chacun de ces
muscles
présentait dans ses contractions une indépendan
des autres. S'il survenait une contraction simultanée de plusieurs
muscles
, ce n'était t que par un effet de hasard assez
ontractions il est difficile de faire une classification exacte des
muscles
préférés. Mais il semble que les muscles des me
classification exacte des muscles préférés. Mais il semble que les
muscles
des membres inférieurs sont les plus atteints et
upinateur et les extenseurs sont les plus atteints. Du ventre : les
muscles
abdominaux antérieurs et surtout le droit antérie
surtout le droit antérieur. Du thorax : les pectoraux. Du cou : les
muscles
de la région postérieure et le sterno-cléido-ma
nner des conclusions précises et exactes. Chez nos malades tous ces
muscles
et bien d'autres sont également atteints, d'où
de. Ce n'est que rarement que les contractions peuvent atteindre un
muscle
seul (Hucbard et Fiessinger). Relativement à
pas douloureuses. Les malades se plaignent d'une légère fatigue des
muscles
les plus atteints. La sensa- tion désagréable q
malade) les secousses sont au commence- ment localisées à quelques
muscles
de la face, et se généralisent lentement et par
ce, et se généralisent lentement et par poussées à presque tous les
muscles
. Leur durée est très variable. La myoclonie est
monelli dans lequel les secousses myocloniques étaient limitées aux
muscles
du côté gauche, vrai équivalentjacksonien par lés
e sans déplacements, dans lequel les contractions fasciculaires des
muscles
, par- fois très intenses, ne produisent pas de
nées, brusques, involontaires, incohérentes, illogiques, des divers
muscles
qui actionnent ces segments. , Ètiologie. Sur
ltérations du sys- tème nerveux central, périphérique ou encore des
muscles
. Le plus grand nombre des auteurs est en faveur
été créés. Dans nos cas les mouvements atteignent presque tous les
muscles
, ils n'ont pas de siège fixe, ils sont si diffé
une paralysie agitante très prononcée accompagnée d'une raideur des
muscles
générali- Fio. 1. Moelle 'épinière. Racine post
d'insertion musculaire en rapport avec la relative hypertrophie des
muscles
; jamais nous n'avons de traces de fractures. La
tissu adipeux est distribué d'une façon uniforme et abondante. Les
muscles
sont bien développés. La température est normale.
s, aux proéminences osseuses assez mar- quées. Le dos est plat, ses
muscles
sont saillants. Bien que peu exagérée, il y a u
entre elles en reproduisant ainsi le type de main il trident. Les
muscles
sont bien développés et les réflexes tendineux et
raissent un peu trapus, mais sans déformations particulières. Les
muscles
des fesses, des cuisses et des jambes sont très b
e, que dans son ensemble notre sujet a l'air un peu crétin, que les
muscles
et le tissu adipeux sont bien développés , il y a
d'une excellente santé, et comme il était vigoureux et doué de bons
muscles
, il a toujours pu s'occuper à des travaux pénible
dernier est d'ailleurs généralement abondant chez ce malade et les
muscles
excepté les gastrocnémiens ne présentent pas l'
e véritable cyphose. Par contre la région sacrée est excavée et les
muscles
de la masse lombairefont une saillie de chaque
: 170 grammes. Ils sont pâles, jaunâtres. L'aorte sans athérome. Le
muscle
biceps du côté droit : 30 gram- mes. 1 Passon
la voit se mouvoir lentement de droite à gauche. Dans le rire, les
muscles
mimiques de gauche se contractent plus facilement
ésie du VIl" à droite, liée à une paralysie des quatre membres, des
muscles
du cou, de la dé- glutition : la sensibilité do
ste dès le principe dysarthrie, anarthrie, dysphagie, paralysie des
muscles
de la mastication, de la VII paire, glossoplégie,
pagnés, ou précédés,par des phénomènes irritatifs (contractions des
muscles
mimiques, douleurs névralgiques dans l'espace d
tion spéciale avec ascension successive des membres inférieurs aux
muscles
des lèvres, de la langue, du pharynx, à ceux de
osition anormale que nous rencontrons dans le cas de para- lysie du
muscle
grand dentelé. N'ayant encore eu connaissance d'a
urs une intervention active d'un cer- 224 ' HNATEK tain groupe de
muscles
. Les muscles : grand dentelé, sous-épineux, sus-
vention active d'un cer- 224 ' HNATEK tain groupe de muscles. Les
muscles
: grand dentelé, sous-épineux, sus- épineux, le
oïdes et trapèze étaient normaux. De plus, toutes les fonctions des
muscles
que je viens de nommer étaient t intactes, parf
par la rupture de l'antagonisme qui existe, normalement. enlre les
muscles
scapulo-huméraux et les mus- scapulo thoracique
suite du travail plus grand qui leur a été imposé. L'insertion des
muscles
scapulo-huméraux a renversé leur point fixe; no
sen- sibilité de la peau, parfaite. Les fondions mimiques de ses
muscles
ne laissent rien à désirer ; de plus, il est à
laissent rien à désirer ; de plus, il est à tel point maître de ses
muscles
que même les auriculaires fonctionnent, suivant
peu asymétriques, ce qui doit être attribué à ce fait que le bord du
muscle
trapèze droit s'abaisse un peu plus lentement q
u muscle trapèze droit s'abaisse un peu plus lentement que celui du
muscle
gauche, et laisse à l'observateur l'impression
rd est plus long que celui de l'autre côté. A droite, le bord de ce
muscle
est un peu plus bas. Il est évident que la posi
ale de la partie supérieure de la colonne vertébrale cervicale. Les
muscles
de toute l'extrémité supérieure droite sont plus
lo-humérales est tout à fait régulier. Les fonctions de chacun des
muscles
ou des groupes de muscles sont entièrement'norm
ait régulier. Les fonctions de chacun des muscles ou des groupes de
muscles
sont entièrement'normales. Nulle part, les muscle
u des groupes de muscles sont entièrement'normales. Nulle part, les
muscles
ne montrent d'affaiblissement ou de diminution
, on constate que le sujet possède une vigueur remarquable. Sur les
muscles
soumis à l'examen, on ne voit ni tremblement, n
r s'il s'agissait d'une myopathie la- tente ou bien masquée par les
muscles
du voisinage. On connaît beaucoup de travaux où
voisinage. On connaît beaucoup de travaux où il est décrit que les
muscles
sains suppléent à la fonction des muscles altér
où il est décrit que les muscles sains suppléent à la fonction des
muscles
altérés, faibles ou atrophiés, et même de telle
travaux qui pourraient'nous faire soupçonner qu'une partie seule du
muscle
est privée de son centre nutritif et qu'ainsi s
une amyotrophie latente. Mais alors, nous trouve- rions dans un tel
muscle
une défectuosité de fonction, et c'est ce que je
'ai pu également réussira constater aucune affection congénitale de
muscle
ou même l'absence d'un muscle. Il me reste à ex
tater aucune affection congénitale de muscle ou même l'absence d'un
muscle
. Il me reste à expliquer la déviation- de la co
chitisme ? ). La différence que présentent les dimensions des longs
muscles
dorsaux s'observe, chez le sujet, sur une parti
ciale, per- mettant au sujet de modifier le mode de contraction des
muscles
scapulo. huméraux, si bien que le point fixe, s
nouveau point fixe situé dans la proximité du col de l'humérus, les
muscles
en question exécutent le mouvement sur l'omopla
et il su atteindre une grande agilité dans l'innervation des petits
muscles
auriculaires. Les muscles qui prennent part à c
nde agilité dans l'innervation des petits muscles auriculaires. Les
muscles
qui prennent part à ce mouvement pendant ce cha
PHYSIOLOGIQUES 229 fixer l'omoplate. Il va sans dire que, chez les
muscles
d'un type renversé, que je viens d'énumérer, la
e se contracter suppose une inhib i- lion de l'innervation du grand
muscle
dentelé. Quoi qu'il en soit, j'espère avoir con
t la droite au même niveau 24 cent. 5. 8. Au courant faradique, les
muscles
jambiers antérieurs, extenseur propre du gros o
extenseur commun des orteils ne réactionnent pas. Au contraire les
muscles
péroniers et les muscles postérieurs de la jambe
eils ne réactionnent pas. Au contraire les muscles péroniers et les
muscles
postérieurs de la jambe réaction- nent bien.
ieurs de la jambe réaction- nent bien. An courant galvanique, les
muscles
qui ne réactionnent pas au courant fa- radique,
, on ne peut pas provoquer des contractions bien limitées à un seul
muscle
. De plus ces contractison, contrairement à celles
uent des phénomènes de réaction de dégénérescence complète dans les
muscles
jambier antérieur, extenseur propre du gros ort
tre que les réactions sont normales pour les nerfs et pour tous les
muscles
, à l'exception du long extenseur du pouce gauche.
net, l'adducteur du pouce, les interosseux, les fléchis- seurs, les
muscles
des éminences thenar et hypothénar. De même, les
seurs, les muscles des éminences thenar et hypothénar. De même, les
muscles
du tronc, des bras et des membres inférieurs, l
citabilité, et par suite cette dis- parition à peu près complète du
muscle
, deux mois et demi seulement après le début de
certain que l'affection est récente. Comme elle n'atteignait qu'un
muscle
isolément, elle a pu ne se révéler d'une manière
rniers doigts ; aussi, il est impos- sible de voir le gonflement du
muscle
pendant sa contraction, gonflement qui serait p
ent qui serait peut-être encore apparent si l'on avait affaire à un
muscle
plus volumi- neux ou superficiel. Quoi qu'il
s de diagnostic très précieux. Il nous per- met, de préciser que le
muscle
long extenseur du pouce gauche est le seul para
core une paralysie dissociée, élective car elle a respecté tous les
muscles
du pouce à l'exception d'un seul ; mieux encore,
ui ni hémiplégie, ni ictus. En outre, les réactions électriques des
muscles
para- lysés, avec ou sans atrophie, chez l'hémi
l est au contraire permis d'hé- siter entre une lésion primitive du
muscle
, une myopathie au sens étroit du mot et une lés
athies primitives, les altérations de l'excitabilité électrique des
muscles
ne se traduisent généralement pas par la réaction
, le phénomène révélé par l'excitation fara- dique ou galvanique de
muscles
très atrophiés est une diminution telle de l'ét
sible que quelques fibres musculaires excitables restent au sein du
muscle
, alors que tout se passe au contraire, comme s'
it absorbé par la peau de l'éminence thénar ; or ce ne sont pas ces
muscles
qui sont atteints, mais un muscle dont la masse
e thénar ; or ce ne sont pas ces muscles qui sont atteints, mais un
muscle
dont la masse charnue estanti-brachiale. Ce n'est
EUR DU POUCE 239 pas par l'action directe de la térébenthine sur le
muscle
et les terminai- sons nerveuses, après absorpti
jour et pendant 27 ans. Que la paralysie n'ait frappé qu'un seul
muscle
de l'économie, cela n'est pas si étonnant qu'il
évrites toxiques, les saturnines par exemple, nous a appris que les
muscles
les plus surmenés étaient les premiers à se paral
nce complète des réactions électriques, l'inexcitabilité absolue du
muscle
paralysé environ 2 mois et demi seulement après
ent n. Souques et Castaigne (4) on[ observé une paralysie isolée du
muscle
grand denlelé. Ils signalent que les réactions
s étaient nulles, les réactions galvaniques presque nulles, dans le
muscle
, et que l'excitabilité du muscle par le nerf ét
alvaniques presque nulles, dans le muscle, et que l'excitabilité du
muscle
par le nerf était extrêmementdiminuée. Notre cas
re plus absolue. « Il est possible, disent-ils, que la paralysie du
muscle
soit incomplète, mais les excitations les plus fo
mbours, d'après les travaux de Bruns et Zender, est locali- sée aux
muscles
du pouce gauche et due à leur excès de fonctionne
, t. I, p. 318. (4) Contribution à l'élude de laparalysie isolée du
muscle
grand dentelé, Nouv. Icon. de la Salpêtrière, 1
u graphisme a pour cause à la fois la contraction dés- ordonnée des
muscles
moteurs des articulations des doigts ou du poigne
la durée de l'écriture, a besoin d'un bras solidement fixé par les
muscles
scapulaires. De cela, la preuve nous a été faci
e. Réflexe cornéen du côté droit 0, du côté gauche -1-. Atrophie du
muscle
masséter droit et du muscle temporal droit avec d
roit 0, du côté gauche -1-. Atrophie du muscle masséter droit et du
muscle
temporal droit avec diminution de l'ex- citabil
r à la peau, est très envahissante et il insista sur l'atrophie des
muscles
, qu'il croyait secondaire à une lésion du systè
ée sans croûtes et sans adhérences aux plans plus pro- fonds. Les
muscles
de la région cervicale antérieure sont tendus ; à
montre assez bien cette induration qui englobe tous les tendons des
muscles
extenseurs au niveau du poignet. Les éminences
ofil, les mollets sont très atrophiés, aplatis ; à la palpation des
muscles
gastrocnémiens, on relève qu'ils sont durcis et
êlés à de la substance cornée. Examen électrique. - Au niveau des
muscles
intrinsèques des mains, des muscles, des avant-
men électrique. - Au niveau des muscles intrinsèques des mains, des
muscles
, des avant-bras et des muscles du mollet, l'excit
muscles intrinsèques des mains, des muscles, des avant-bras et des
muscles
du mollet, l'excitabilité électrique gal- vano-
otre cas parfaitement analogues à celles que l'on retrouve dans les
muscles
atteints de myopathie essentielle. Diagnostic r
re des atrophies musculaires localisées. Dans'certains endroits les
muscles
ont subi une induration scléreuse par un proces
cessus de myosite interstitielle ; les ten- dons qui partent de ces
muscles
sont rétractés, indurés, et présentent des sign
lie dans la rétrac- tion des tissus sous-cutanés et probablement du
muscle
orbiculaire des lèvres. (11 M. Lafond, Scléro
de la peau. Après le derme et le tissu cellulaire hypodermique, les
muscles
eux-mêmes sont envahis et participent à la scléro
u est lisse, luisante, rétractée, épaissie, l'insertion de certains
muscles
est calcifiée (tendon d'lcliille) ; l'atrophie
contre par la grande fatigue ; néanmoins, dans l'inter- valle, les
muscles
se contractent encore. A l'examen objectif, on
près des appareils terminaux tels qu'on les ob- serve au niveau des
muscles
striés notamment. Ces appareils ne représentent
que dé- termine l'excitation électrique des nerfs. Les nerfs et les
muscles
ne réagissent pas aux excitations faradiques et
es, d'intensité moyenne, sont souvent suivies de la contracture des
muscles
primitivement para- lysés. Duchenne (de Boulogn
ci- sion les caractères cliniques de cette contracture tardive. Les
muscles
du côté paralysé, dit-il en substance, sont au
vers le côté sain. Après quelques se- maines ou quelques mois, les
muscles
paralysés recouvrant peu à peu leur force toniq
de celle qui existait au début (1). Cette contracture tardive des
muscles
faciaux s'accompagne, dans un bon nombre de cas
l'autre se rapporte à des contractions invo- lontaires de certains
muscles
faciaux se produisant au moment de la con- trac
aux se produisant au moment de la con- traction volontaire d'autres
muscles
de la face. Dans ces dernières années, sous l'i
se montraient, dans les mêmes circonstances, non seulement dans les
muscles
précédents, mais dans la presque totalité des m
ment dans les muscles précédents, mais dans la presque totalité des
muscles
innervés par le nerf facial atteint. On constata
rusques, brèves, n'intéressant que quelques fibres ou faisceaux des
muscles
dans lesquels elles se montrent, fronçant rapidem
nt manifestes à l'occasion des mouvements qui mettent en action les
muscles
de la face, pour parler, rire, pleurer, siffler,
dans la contraction synergique involontaire d'un ou de plu- sieurs
muscles
provoquée par la contraction volontaire ou réflex
ar la contraction volontaire ou réflexe d'un ou de plusieurs autres
muscles
. Ces mouvements associés s'observent en général
uvent s'étendre au côté sain. Ils apparaissent quelquefois dans les
muscles
dont la motilité volontaire est encore complète
de l'oeil, au moins dans sa partie interne. On peut voir encore le
muscle
peaucier se contracter en même temps que la com
contraction synergique paradoxale pourrait s'observer même dans les
muscles
où la contraction volontaire est abolie. . Co
est plus étroit et moins arrondi à gauche. Eu même temps, tous les
muscles
du côté gauche de la face entrent en action comme
rts qu'elle fait entraînent encore la contraction de la plupart des
muscles
du côté gauche de la face. La mastication est f
ements associés que dans l'exploration directe de la motilité de ce
muscle
. Secousses musculaires de l'hémiface gauche. Pe
t facile de constater l'existence, dans la presque tota- . lité des
muscles
de ce côté de la face, de secousses cloniques, br
laire des lèvres (partie supérieure et partie inférieure), dans les
muscles
du menton (houppe, carré et triangulaire), dans
aire est par ailleurs absolument normal. Exploration électrique des
muscles
de Thémiface gauche. L'explora- tion a été prat
enue du côté malade que du côté sain. L'excitabilité électrique des
muscles
du côté gauche de la face exa- minés un uu est
gauche de la face exa- minés un uu est diminuée. L'excitabilité des
muscles
de hémiface gauche ne détermine pas de contract
de hémiface gauche ne détermine pas de contraction appréciable des
muscles
du même côté. Mais les excitations qui provoque
nfin, à aucun moment des divers examens, la percussion mécanique de
muscles
de cette hémiface n'a révélé d'hyperexcitabiiité
u côté opposé. Les excitations por- tées sur la peau recouvrant ces
muscles
ou sur la face interne de la joue du même côté
amais provoqué de contractions musculaires ou de secousses dans les
muscles
de la face du côté gauche. Cette observation pe
ciés dans l'hémiface gauche. Le moindre effort faitpar un groupe de
muscles
détermine la contraction de toute l'hémiface et
vant la peau en ondulations légères, siégeant dans presque tous les
muscles
de HÉMISPASMES SYNCINI ? TIQUES DE LA FACE 375
les yeux détermine la contrac- tion synergique de presque tous les
muscles
de la face : de gros plis cutanés se dessinent
ion énergique des paupières s'accompagne de mouvements associés des
muscles
de la face : ces mouvements s'observent d'un cô
nt pas autrement, mais ils empruntent à l'augmentation du tonus des
muscles
une facilité plus grande à se produire. Il n'est
rtains cas analogues au pré- cédent, des mouvements synergiques des
muscles
voisins et plus particuliè- rement des muscles
ents synergiques des muscles voisins et plus particuliè- rement des
muscles
de la région moyenne de la face. Mais comme tous
nt des muscles de la région moyenne de la face. Mais comme tous ces
muscles
ne sont pas également hypertoniques, certains fai
culaire des paupières. A un degré plus élevé d'hyperlonicité des
muscles
de l'hémirace ancien- nement paralysée, ce ne s
e, ce ne seront plus quelques fibres ou quelques faisceaux, mais le
muscle
tout entier ou plusieurs groupes de muscles qui s
lques faisceaux, mais le muscle tout entier ou plusieurs groupes de
muscles
qui se contrac- teront. L'orbiculaire des paupi
e l'oeil accompagnée d'une contraction synergique aussi brusque des
muscles
de la région naso-labiale du même côté : ainsi
nnaissent pour cause la contraction volontaire d'un ou de plusieurs
muscles
de la face, les secousses fibrillaires et le labi
ontraction, tantôt volontaire, tantôt réflexe, d'un ou de plusieurs
muscles
de l'hémiface correspondante. Cette interprétat
t ainsi fait par la malade n'amène aucun mouvement associé dans les
muscles
du côté gauche de la face. La fermeture des p
e. On remarque aussi que les plis déterminés par la contraction des
muscles
mis en jeu dans ces mouvements sont moins nombr
gauche que du côté droit. Pas de contraction synergique des autres
muscles
de la face ; au contraire, dans ces actes, la d
gauche. Mais on ne constate pas de mouvement synergique des autres
muscles
. La paroie articulée, gênée légèrement au début d
ir la bouche n'entraîne pas davantage de contraction synergique des
muscles
de l'hémiface gauche; quelques fibres du peauci
cier gauche se dessinent cependant à la partie antéro-interne de ce
muscle
. La pression d'un objet de petit volume se fait
elques rares fibres se contracter à la partie postéro-externe de ce
muscle
; aucune fibre de la partie moyenne et de la part
côté de la face, ni de l'autre, aucune contraction involontaire des
muscles
faciaux, aucune secousse fibrillaire ou fascicu
ée, ainsi que nous l'a- vons reconnu en examinant la motilité de ce
muscle
. Aux points 5 et 6, les secousses musculaires,
de l'ouïe. Le goût et l'odorat sont normaux. Examen électrique des
muscles
de l'héntilace gauche. - La malade n'a jamais é
malade n'a jamais été traitée électriquement. L'exploration de ces
muscles
faite pour la première fois deux ans après le d
rieure ; très diminuée pour la branche inférieure ; diminuée pour les
muscles
accessibles à l'exploration. Excitabilité gal
; secousse un peu lente. D'autre part,la percussion mécanique des
muscles
de l'hémiface ne dénote pas d'hyperexcitabilité
des muscles de l'hémiface ne dénote pas d'hyperexcitabilité de ces
muscles
. Les excitations faites au niveau de la surface
ent pas de contractions volontaires ou de secousses musculaires des
muscles
de l'héiniface gauche. En poursuivant l'examen
usion de toute autre. Elles se montrent enfin dans presque tous les
muscles
de l'hémiface gauche, y compris le peaucier. Elle
upières peuvent se produire isolément, tandis que celles des autres
muscles
de la face sont tou- jours associées à celle de
DE LA FACE 389 biculaire s'accompagne également de celle des autres
muscles
. Il en est de même si on percute à droite la ré
t est constamment associée à des contractions synchrones des autres
muscles
de la face... En outre, l'application de l'élec
es non seulement dans l'orbiculaire palpébral, mais encore dans les
muscles
zygomatiques et l'éléva- teur de la commissure
palpébral s'accompagnent de contractions exactement synchrones des
muscles
zygomatiques et de l'élévateur commun de l'aile d
es, dans l'orbiculaire des lèvres et dans les zygomatiques, dans le
muscle
peaucier; ces contractions étaient rigoureusement
à la fois pour disparaître ensemble, et leur disparition laisse les
muscles
dans un état de repos apparent. Elles se présen
lus fortement que du côté opposé : on dirait que quelques fibres du
muscle
orbiculaire se contractent plus fortement que l
de l'orbiculaire ne se montre que dans la contraction normale de ce
muscle
pendant l'acte du clignement physiologique, dont
s précédentes. Au contraire même, quand le malade met en action les
muscles
intéressés par les secousses, celles- ci dispar
présente et n'a présenté de contraction persistante et tonique des
muscles
de la face, en particulier du côté droit. Jamai
ssent de préférence sur la ligne oculo-men- tonnière, au niveau des
muscles
zygomatiques, élévateur de la narine et de la l
demi-ouverte; les lèvres tombent;, la physionomie est hébétée. Les
muscles
grands et petits pectoraux se présentent très a
é par la racine des membres, dans la région scapulo-humérale. Les
muscles
des mollets sont durs, hypertrophiés, donnent l'a
enne) qui pour les auteurs est sous la dépendance de la parésie des
muscles
extenseurs de la colonne vertébrale, mais pour
ara est un phénomène actif com- pensateur. En ellet, l'atrophie des
muscles
extenseurs des cuisses sur le bassin produit un
Marie. On voit encore une petite scoliose et un défaut de tonus des
muscles
abdominaux. L'examen électrique des muscles atr
un défaut de tonus des muscles abdominaux. L'examen électrique des
muscles
atrophiés, fait par le Il Silva, assistant de l
phie musculaire progressive.. L'atrophie est nette dans plusieurs
muscles
de la ceinture scapulaire, dans quelques muscle
tte dans plusieurs muscles de la ceinture scapulaire, dans quelques
muscles
de'la cage thoracique delà paroi abdominale et
on en 1885, l'atrophie musculaire n'a rien a voir avec le volume du
muscle
. Il s'agit dans notre cas d'une fausse hypertro
out pen- dant le mouvement ; la mimique est lente ; tremblement des
muscles
de la langue ; la parole est assez nette ; les
de la motilité démontre encore de l'hypotonie musculaire, surtout des
muscles
de la partie postérieure de la jambe {genu recu
et aponévrotiques sans spasmodicité, parla flexion des orteils, les
muscles
de la région antéro- externe de la jambe restan
M. Bourguignon de bien vouloir faire l'exploration élec- trique des
muscles
de la région antéro-externe de la jambe : il n'ex
érable, à prédominance unilatérale, très localisée, portant sur les
muscles
de la région antéro-externe de la jambe. L'unilat
auche, c'est-à-dire du côté malade, une inexcitabilité complète des
muscles
de la région antéro-externe de la jambe : l'exi
D. R. à droite permet d'affirmer qu'il y a eu de la D. R. dans les
muscles
du côté gauche actuellement inexcitables. Le
1) PIERRE Marie et Foix, L'atrophie isolée non progressive des petits
muscles
de la main, etc. Nouvelle Iconographie de la Sa
, mais bien de phénomènes de paralysie qui, localisés au niveau des
muscles
de la région antéro-externe de la jambe du côté
Foix et qui peuvent expliquer certains faits d'atrophie des petits
muscles
de la main (1). Il serait prématuré de répondre
0-12 respirations, on voit se produire une violente contraction des
muscles
abdominaux et probablement du diaphragme aussi.Le
rme bien les yeux, il a commencé à exécuter des mouvements dans les
muscles
de la face, il siffle, éteint le cierge à une d
ant après 15 jours le point culminant (tétraplégie, para- lysie des
muscles
de la face, phénomènes bulbaires, délire), après
e est d'ailleurs parfaitement musclé. Les réactions électriques des
muscles
de la main, qui paraissent seuls atrophiés, sont
USCULAIRE DES ÉMINENCES ' DEUX CAS DE MALADIE DE MORVAN. 13 Les
muscles
de l'avant-bras, du bras, de l'épaule, du tronc,
e du corps, la face exceptée. Pas de réaction de dégénérescence des
muscles
atrophiés. Réactions normales. Sensibilité gé
ourants continus (appareil Trouvé de quarante éléments) le long des
muscles
. ' . Bains sulfureux (durée de 20 minutes), tou
nicule adipeux. Quelque importante que soit la part qui revient aux
muscles
dans la conformation extérieure du corps, il ne
ralement. En effet, la peau n'est pas directement appliquée sur les
muscles
revêtus de leurs enveloppes aponévrotiques. Aut
eurtées, mais sans y rien changer d'essentiel. Entre la peau et les
muscles
intervient cette nouvelle couche d'un tissu spé
orché, mais comme facteur direct de la forme, au même titre que les
muscles
et les os. Il y apporte un élément spécial destin
mblent se produire exclusivement dans le triceps crural et dans les
muscles
du mollet. Elles deviennent presque nulles quan
imé. Si l'on fait déshabiller le malade, on -peut constater que les
muscles
des membres et du tronc sont animés de petites
u lorsque le sujet est sous le coup d'une émotion un peu vive', les
muscles
de la face participent à l'agitation générale,
ions étaient par trop violentes, nous avons exploré directement les
muscles
en appliquant un tambour myographique soit sur la
e, dans les autres maladies (alcoolisme et paralysie générale), les
muscles
des doigts sont particuliè- rement atteints par
re un individu' atteint de paralysie pseudo-hypertrophique dont les
muscles
sacro- lombaires n'agiraient plus, se met en ma
AS DE CARCINOSE VERTÉBRALE. 77 les membres inférieurs, sans que les
muscles
du tronc y prennent part en rien. Les pas sont
pied le moins de temps possible. Cette absence de participation des
muscles
du tronc aux mouvements de la marche lui donne l'
vements passifs d'extension entraîne un certain travail du côté des
muscles
des lombes, lequel travail étant douloureux, la
isparu. Les pointes des ischions sont profondément cachées sous les
muscles
et légèrement dirigées en avant. De cette trans
peine si dans quelques faits M. Oulmont signale des mouvements des
muscles
de l'épaule2, et encore ces mouvements de rotatio
uvements spasmodiques plus ou moins lents qui atteignent non pas un
muscle
en totalité, mais soit isolément un faisceau, soi
solément un faisceau, soit succes- sivement plusieurs faisceaux dès
muscles
larges de la racine des membres. Uns. - Le no
alpébrale est moindre à gauche, il existe un peu de contracture des
muscles
de la joue ; le pli naso-génien est plus profond
orte saillie en arrière (pl. XIII). En outre, de temps en temps, le
muscle
rhomboïde est le siège de contractions fascicul
, Le même phénomène se reproduit au niveau de la fesse gauche. Le
muscle
grand fessier est animé des mêmes contractions fa
mais les contractions, au lieu de se produire comme dans le premier
muscle
à intervalles plus ou. moins éloignés, sont àpe
est animée d'ondulations lentes. Les réactions 'électriques de ces
muscles
ne sont pas altérées, pas plus que celles' des
iques de ces muscles ne sont pas altérées, pas plus que celles' des
muscles
des membres. Dès son entrée Il... a été soumis
i1);ItG. sivemenl -ou simultanément plusieurs faisceaux de certains
muscles
larges mérite d'être rapprochée des spasmes ath
'on dit, mais ne peut répondre, car elle ne cesse de bâiller et ses
muscles
abaisseurs et élévateurs de la mâchoire sont al
la paresthésie se maintint avec opiniâtreté, et les paralysies des
muscles
de l'oeil, l'atrophie du nerf optique ne présen-
émorale. Les membres supérieurs sont très parésiés, de même que les
muscles
du tronc. Il y a impossibilité de s'asseoir et de
é de s'asseoir et de changer de position dans le lit. Intégrité des
muscles
des yeux, de la langue, du pharynx et de la fac
Sept mois après (août), on constate une paralysie atrophique des
muscles
de la ceinture scapulaire gauche et du triceps br
a ceinture scapulaire gauche et du triceps brachial de ce côté, des
muscles
du dos, enfin de tous les muscles inférieurs. L
triceps brachial de ce côté, des muscles du dos, enfin de tous les
muscles
inférieurs. Le membre supérieur droit est compl
Il existe de la réaction de dégénérescence (examen de Erb) dans les
muscles
des jambes, et de l'absence de contraction dans
ceps fonc- tionnait encore assez bien. Aux membres inférieurs, les,
muscles
innervés par le nerf sciatique poplité externe
re du radial, et d'une façon plus accusée à gauche qu'à droite. Les
muscles
atrophiés présentent des contractions fibrillai
et abdominaux. Ultérieurement la paralysie progressa et attaqua les
muscles
encore indemnes, bien que les fléchisseurs des
a aussi des oedèmes légers des pieds et des mains. Vers la fin, les
muscles
du cou et de la nuque furent pris, puis après l
fin, les muscles du cou et de la nuque furent pris, puis après les
muscles
masticateurs, bien que la langue et les lèvres
, des nerfs médian, cubital, et sciatique, des nerfs cutanés et des
muscles
mis à notre disposition. PAUL BLOCQ, G. MARINES
rophie ne porte pas seulement sur le squelette, les parties molles,
muscles
, peau, etc., y prennent une large part. Après a
rétraction posthume de la paupière supérieure peut être le fait du
muscle
de Millier, muscle à fibres lisses qui serait c
e de la paupière supérieure peut être le fait du muscle de Millier,
muscle
à fibres lisses qui serait capable de conserver s
i serait capable de conserver son acti- vité plus longtemps que les
muscles
rouges. L'ouverture et l'occlusion de la fente
actère particulier d'être asso- ciée à une contraction énergique du
muscle
pyramidal, qui amène le sourcil en avant de tel
ont souvent capables de la produire volontairement. Cepen- dant, le
muscle
de Mutler entre peut-être en jeu pour maintenir l
enpropre.au goitre exophthal- mique et on les attribueau spasme du
muscle
de Millier. Cette hypothèse a- pour elle la per
yeux sont ouverts que lorsqu'ils sont fermés; la con- traction des
muscles
périorbitaires n'est donc pour rien dans la pro
e expiration 'graduelle en escalier qui trahit aussi la fatigue des
muscles
chargés de régler l'expiration'. Les troubles
nt donné la nomenclature suivante en allant d'avant en arrière : 1°
muscle
de Briie\oe; 2° sphincter de la pupille; 3° dro
omenclature des noyaux indiquée par Pick et Kahler, à savoir : 1.
muscle
accommodatcur. . 2. Sphincter de l'iris. DE .
ntation et donne fréquemment l'occasion d'observer la paralysie des
muscles
extérieurs de l'oeil avec l'intégrité de la mus
t être réalisée par une lésion des centres .corticaux régissant les
muscles
des yeux et des faisceaux cortico-nucléaires, o
se du crâne n'expliquerait pas davantage la paralysie exclusive des
muscles
extérieurs des yeux, à moins de faire passer le
supérieure droite, diplopie, ptosis, paralysie complète de tous les
muscles
moteurs de l'oeil; lorsque Moebius l'examina, il
de fleuret que la paralysie atteignit successivement les différents
muscles
externes de l'oeil. ' ' ., 'l, j Meyer a four
halmo- plégie classique : paralysie à peu près complète de tous les
muscles
de l'oeil des deux côtés, même des releveurs de
as moyen d'expliquer autrement l'intégrité complète de l'iris et du
muscle
accommodateur. Ce dernier signe a donc une vale
cas d'ophthalmoplégie avec intégrité des mouvements de l'iris et du
muscle
ciliaire à la paralysie labio-glosso-laryngée.
l'ophthalmoplégie reste unilatérale. Le début est insidieux, les
muscles
sont pris l'un après l'autre sans ordre bien ré
e Lichtheim, le ptosis précéda de trois ans la paralysie des autres
muscles
. Une fois l'ophthalmoplégie complétée, la physi
1, 1889. 2. Birdsall, Progressive paralysis of the externat oculnr
muscles
, or ophthalmoplegia externa (Journal of nervous
eur de la paupière n'est jamais aussi complète que celle des autres
muscles
. C'est pour ce motif que Pick et Kahler, comme
clature de Hensen et Voelkers et ont placé le noyau commandant ce
muscle
en avant de tous les autres, immédiatement derriè
ue analogie. Mais la fixité des traits tient ici à une rigidité des
muscles
et non à une paralysie; l'oeil est plutôt grand
e renseigner sur le degré de parésie ou de paralysie des différents
muscles
extérieurs de l'oeil. Point inté- ressant à not
'autres auteurs admettent en pareil cas la paralysie simultanée des
muscles
antagonistes, ce qui supprime leur rétraction.
leur rétraction. Le symptôme capital est fourni par l'intégrité du
muscle
ciliaire et du sphincter irien, qui se contract
iques et des releveurs de la paupière, avec intégrité de l'iris et du
muscle
ciliaire. Fond de l'oeil normal. Le développeme
ué le ptosis de la pau- pière droite; peu à peu, parésie des autres
muscles
et, depuis six mois, pa- résie de l'oeil gauche
. 1. W. Il. Birdsall, Progressive Paralysis of llie externat ocular
muscles
, or ophlhrilmo- plegia e.4lei-ia (Journal of' n
cée du droit externe droit et déjà une certaine paresse de tous les
muscles
des yeux. Les pupilles avaient conservé leurs m
tion est possible et l'acuité ne laisse rien à désirer. Aucun des
muscles
de la face n'est paralysé, et à part le fourmille
médaille d'or des hôpitaux. 1. Gayet, Paralysie totale de tous les
muscles
moteurs des deux yeux, sauf des élévateurs des
aire un peu épaissie ; ? tissu périfasciculalre. Fig. 4. - Coupe du
muscle
interosseux de polynévrite colorée parla méthode
seux de polynévrite colorée parla méthode de Weigert : a, région du
muscle
sclérosé, où les fibres persistent avec des dimen
ue normales, et entourées d'un tissu conjonctif dense; d, région du
muscle
extrêmement dégénéré où les fibres ne sont plus r
f présentent des alté- rations de névrite parenchymateuse simple.
Muscles
. - Les divers faisceaux d'un même muscle offrent
e parenchymateuse simple. Muscles. - Les divers faisceaux d'un même
muscle
offrent des lésions très inégales. L'altération
nseurs plus marquée que des fléchisseurs. Atrophie considérable des
muscles
du bras et de l'avant- bras. Les jambes jouisse
elle peut soulever le coude. Paralysie complète du deltoïde et des
muscles
qui s'insèrent à l'omo- plate. Atrophie. - Cô
- plate. Atrophie. - Côté droit : atrophie des interosseux et des
muscles
thénar et hypothénar, bien plus prononcée qu'à
st complètement paralysé, n'est pas du tout atrophié, ainsi que les
muscles
du bras. Les muscles épitrochléens sont bien pl
ysé, n'est pas du tout atrophié, ainsi que les muscles du bras. Les
muscles
épitrochléens sont bien plus atrophiés que les
. Exploration électrique (courants induits). - Conctractilité des
muscles
de l'épaule très faible. Contractilité très faibl
cles de l'épaule très faible. Contractilité très faible de tous les
muscles
atrophiés, et du deltoïde gauche (paralysé et non
Membres inférieurs. Elle se tient assez bien sur ses jambes. Les
muscles
des cuisses sont amaigris et non atrophiés. Contr
ant induit sur la paroi abdominale, au lieu de faire contracter les
muscles
, on fait contracter l'intestin. Grands droits :
rand oblique : quelques contractions dans les faisceaux supérieurs.
Muscles
latéraux : contractilité conservée. 21 févrie
roite et la main gauche = 8° 5 en plus à main gauche. Même état des
muscles
abdominaux. . 23 février. - Très peu de différe
n électrique (machine de Gaiffe, trois éléments, tube enfoncé). Les
muscles
de l'épaule et du bras gauche, qui ont repris u
de la volonté, ont une très faible contractilité élec- trique. Les
muscles
atrophiés sont les fléchisseurs de l'avant-bras,
Les muscles atrophiés sont les fléchisseurs de l'avant-bras, et les
muscles
interosseùx et des éminences de la main; à droite
a éprouvé une très grande amé- lioration. Progrès énormes. Tous les
muscles
se contractent sauf ceux de la main. Les électr
pparaissent pour' la première fois depuis la maladie. Septembre, -
Muscles
de l'épaule, du bras et de l'avant-bras aussi v
de la main. POLIOMYÉLITES ET POLYNÉVRITES. 203 Main droite : les
muscles
de l'éminence thénar sont moins atrophiés. Les
n ne parvient pas à faire naître de secousses fibrillaires dans les
muscles
malades. La température présente un abaissement
des courants faradiques ne détermine aucune contrac- tion dans les
muscles
des éminences thénar et hypothénar; l'op- posan
t disparus; l'électricité ne réveille aucune contrac- tion dans ces
muscles
. A la face palmaire, les courants n'agissent pas
langes. La malade perçoit très peu le passage des courants dans les
muscles
de la main. L'atrophie et la déformation qui en
ltent semblent plus marquées à la main gauche. A l'avant- bras, les
muscles
répondent bien à l'excitation faradique toutefois
très vive dans cette région. Dans les autres régions du corps, les
muscles
sont intacts comme volume et comme contractilit
le, mar- che ; cette faiblesse est plus marquée du côté gauche. Les
muscles
du pied ne présentent aucune trace d'atrophie;
ible que dans ces derniers temps. La sensibilité reste la même. Les
muscles
de la main reprennent peu à peu leur volume; le
sivement mais très lente- ment augmenté aux pieds et aux mains. Les
muscles
du tronc, des jambes et des bras sont toujours
s : atrophie localisée presque exclusivement aux interosseux et aux
muscles
de la paume symétrique des deux côtés. Les espace
régions de l'organe. Au membre supérieur, l'atrophie porte sur les
muscles
(interosseux et éminences thénar et hypothénar)
ferme qu'à l'état normal. , Bien qu'à l'avant-bras et au bras les
muscles
paraissent un peu atrophiés, ils ne présentent
pas de modifications sensibles. Au membre inférieur, on trouve les
muscles
interosseux atrophiés, mais moins altérés qu'à
e sont un peu dilatés, et leurs parois sont légèrement épaissies.
Muscles
et nerfs. -- On a prélevé pour cet examen : le ne
ns : c'est pourquoi nous les décrirons en même temps que celles des
muscles
. L'examen de ceux-ci a porté sur le fléchisseur d
e façon générale, les lésions sont assez semblables dans les divers
muscles
, maisplus intenses dans l'adducteur du pouce etle
les caractères de la paralysie péri- phérique, c'est-à-dire que le
muscle
orbiculaire des paupières est para- lysé. Les a
que le muscle orbiculaire des paupières est para- lysé. Les autres
muscles
de la face sont également complètement pris. La
e côté droit restant absolument immobile. L'examen électrique des
muscles
a été pratiqué par M. le Dr Vigou- roux le 8 ma
tre qu'il existe une réaction de dégénéres- cence complète dans les
muscles
faciaux paralysés et dans le peaucier du cou, i
cervicaux de la branche cervico- faciale du nerf facial. Les autres
muscles
du corps sont sains. Nouvelle Iconographie de l
se porte brusquement en dedans. C'est ce qui constitue le spasme du
muscle
associé. Le muscle droit interne de l'oeil gauc
t en dedans. C'est ce qui constitue le spasme du muscle associé. Le
muscle
droit interne de l'oeil gauche, innervé par le mê
d'innervation, soit que la quantité d'innervation destinée aux deux
muscles
dérive sur lui seul,, soit que cet excès d'inne
DE LA S,1LPETRI1;R1;. mouvement, il semble que la contraction de ce
muscle
droit interne intervienne. Ce déplacement actif
, la sciatique est encore stigmatisée par l'amyotrophie diffuse des
muscles
du membre inférieur et par l'impossibilité, dan
ment mais non toujours) en vertu d'une contraction muscu- laire des
muscles
latéraux du tronc. Plus tard, sous l'influence de
nce de l'ha- bitude, se développe un état spasmodique permanent des
muscles
, une contracture pour ainsi dire, qui immobilis
ntre qui peuvent être attribués a un certain degré de paralysie des
muscles
intestinaux déterminée par le médicament. Une g
t, et se localisant ensuite dans un plus ou moins grand nombre de
muscles
; 3° Contractilité électrique affaiblie dès la p
Contractilité électrique affaiblie dès la première période dans les
muscles
paralysés, en raison directe du degré de la lésio
après un certain temps de cette contractilité élec- trique dans les
muscles
dont le tissu n'a pas été altéré ; 4° Déformati
rieure de la malade confirme, au besoin, cette manière de voir. Les
muscles
, des extrémités principalement, s'atrophient, et
retrait de l'atrophie ne se fait pas par membres ou par groupes de
muscles
, mais d'une façon générale, en diminuant régulièr
on ne peut ni constater ni provoquer de secousses fibrillaires des
muscles
. Ce n'est là, à aucun point de vue, la symptoma
rvées ont consisté, en ce cas, en des altérations intenses pour les
muscles
, minimes pour les nerfs, presque nulles pour la
altérations des petits nerfs intra-musculaires et des faisceaux des
muscles
eux-mêmes nous semble plaider plutôt pour l'hyp
s centres psycho-moteurs de l'écorce cérébrale sur la nutrition des
muscles
. Leur action trophique en général ne fait pas d
à l'influence trophique des centres corticaux sur la nutrition des
muscles
en particulier, elle a été mise en évidence par u
es motrices, cellules ganglion- naires de la moelle, nerfs moteurs,
muscles
), par un agent pathogène se localisant plus ou
e ptosis avcc immobilité des deux yeux. Excitabilité électrique des
muscles
commandés par le facial supérieur paraissant qu
depuis deux ans. Cette diminution de l'excitabilité électrique des
muscles
animés par le facial supérieur n'a rien qui doi
acial supé- rieur tirerait son origine; on conçoit dès lors que les
muscles
qu'il in- nerve soient paralysés au même titre
les muscles qu'il in- nerve soient paralysés au même titre que les
muscles
des yeux. La paralysie du facial inférieur n'es
is bilatéral plus accusé il droite qu'à gauche; parésie de tous les
muscles
, plus prononcée à droite également. Réaction pu
accommodation normale. Des deux côtés, parésie du trijumeau et des
muscles
innervés par le facial. Rien du côté des organe
Au bout de quelques mois, également sans cause, parésie de tous les
muscles
innervés par l'oculo-moteur droit, avec intégri
us les muscles innervés par l'oculo-moteur droit, avec intégrité du
muscle
irien. Langue quelque peu déviée d gauche. Envi
e n'a disparu qu'au bout de trois mois. uns. XIII. - Paralysie du
muscle
droit externe du côté droit accom- pagné de pol
si soigneuse- ment par Giraud-Teulon, je reconnus une paralysie du
muscle
droit externe. L'oeil droit, en effet, était en
lésion de ces centres se traduit par la parésie ou la paralysie du
muscle
ciliaire et du muscle constricteur de la pupille
se traduit par la parésie ou la paralysie du muscle ciliaire et du
muscle
constricteur de la pupille qui cesse de se cont
ments en haut et en bas. Pas de tabes. Ons. XVI. - Paralysie des
muscles
oculaires de cause centrale (Licli- theim). J
divergent paralytique, angle du slrabisme : 42°. Des deux côtés les
muscles
innervés par l'oculo-moteur sont tous plus ou m
mel de constater ce qui suit : OEil gauche : paralysie complète des
muscles
droits supérieur et inférieur. Parésie du droit
ieur. Parésie du droit interne et du petit oblique. Intégrité des
muscles
droit externe et grand oblique. OEil droit : pa
des yeux sont absolument impos- sibles dans tous les sens, tous les
muscles
extérieurs étant paralysés des deux côtés. L'ac
facilement, quand soudain se déclare une parésie du bras droit; les
muscles
de la respiration se prennent à leur tour, et b
intemps de 18-16, double ptosis et faiblesse croissante de tous les
muscles
de l'oeil gauche. Rien à l'ophthalmoscope. L'or
s, moins marqué le soir que le matin. Parahsie complète de tous les
muscles
des yeux. Réaction pupillaire et accommodation
co- lonne vertébrale, 10, 11, 12. Contractions fasciculaires des
muscles
de l'épaule, 13, 14. Déformation du tronc dan
paralysie motrice antécédente subsistaient dans un grand nombre de
muscles
du membre in- férieur gauche. Avec cela le ma
les conditions mécaniques qui, dans la station droite, ménagent les
muscles
en faisant porter sur les ligaments tout l'effort
à une omoplate qui occupe sa place habituelle; l'ensemble, garni de
muscles
, forme de chaque côté un moignon sessile légère
lement : les deux os ont leurs con- nexions habituelles ; quant aux
muscles
, aux vaisseaux et aux nerfs ils se sont adaptes
ux et aux nerfs ils se sont adaptes de la façon suivante : tous les
muscles
il insertion humérale convergent vers le sommet
ation globulaire, sphé- rique de la cavité glénoïde. (Fig. 11.) Les
muscles
sous-scapulaire, sus- épineux et sous-épineux f
a tête glénoïde est coiffée avec interposition de syno- viale ; les
muscles
grand pectoral, deltoïde, grand rond et coraco-br
éduits de volume, s'épuisent in- sensiblement en se distribuant aux
muscles
précédents (Fig. 13.) La hanche choisie pour la
ïde el cotyloïde et l'adaptation régulière et non cicatricielle des
muscles
de la région. Quant à la cicatrice cutanée, ell
en outre il existait, enveloppés dans du tissu cellulo-adipeux, un
muscle
, un nerf, des vaisseaux. Il était dès lors diff
et d'abduction, le rapprochant ou l'écartant deson voisin, car les
muscles
interosseux font presque toujours défaut. A c
inie. M... les sentait venir; 76 E. BRISSAUD ET E. DE MASSARY les
muscles
de son visage se crispaient, ses mâchoires se ser
crises avortées. Ces dernières consis- taient en « crispations des
muscles
du visage, avec une grimace de rire forcé sans
reprises le visage était grimaçant, des con- vulsions toniques, des
muscles
soulevaient les plis naso-géniens des deux côté
de détails. La tuméfaction de la main empêche de voir l'aspect des
muscles
interosseux, mais l'examen électrique et l'état
interosseux, mais l'examen électrique et l'état fonctionnel de ces
muscles
nous montrent qu'ils sont complètement atrophié
xtension est mieux conservée que la flexion. Atrophie manifeste des
muscles
de l'avant-bras. Les muscles de la face postéri
que la flexion. Atrophie manifeste des muscles de l'avant-bras. Les
muscles
de la face postérieure sont mieux conservés. Atro
du mamelon, ce qui donne l'apparence d'une atrophie marquée de ces
muscles
. Cependant par l'examen des mouvements dus à ce
quée de ces muscles. Cependant par l'examen des mouvements dus à ce
muscle
et l'excitation électrique on se rend compte qu
otamment de bruits anormaux du coeur, ni d'albumine. L'examen des
muscles
fait par le Dr Huet, avec le courant faradique (g
à la main par l'atrophie musculaire et l'action tonique de certains
muscles
, mais de l'état des téguments de la face dorsale
on essaie d'opérer cette flexion. Cette conservation relative des
muscles
extenseurs de l'avant-bras et du bras a son imp
istance à la flexion du bras. A l'avant-bras, l'atrophie occupe les
muscles
des faces antérieure et posté- rieure, mais ces
d'atrophie. C'est par la persistance de l'action volon- taire de ce
muscle
et de l'extenseur du petit doigt que s'explique l
ais la rétrac- tion légère s'oppose à une extension complète. Les
muscles
de l'éminence hypothénar sont aussi atrophiés, su
gauche sera décrite en même temps que celle de la main droite. Les
muscles
de l'éminence thénar de ce côté sont en appa- r
i leur relief, ni leurs fonctions ne sont modifiés. Par contre, les
muscles
de l'éminence hypothénar et surtout les interosse
e hypothénar et surtout les interosseux sont touchés. En effet, les
muscles
, dans cette région, sont aplatis. Les trois derni
élie. Tout d'abord, la con- formation est modifiée ; l'atrophie des
muscles
du petit doigt et de l'adducteur du pouce fait
tion rénale; pas d'albumine dans l'urine. L'examen électrique des
muscles
des membres supérieurs, pratiqué par M. Muet av
excavée el se rapproche de l'axe médian parsuile de l'atrophie des
muscles
de l'éminence hypothénar et surtout de l'abduct
ophie vulgaire. Mais celle main potelée esl faible, car le vide des
muscles
traduit par l'a- 102 G. MARINESCO trophie des
palmaire achève le tableau que nous venons de tracer. Toujours les
muscles
de l'émi- nence hypothénar et presque toujours
ment ce relâchement des ligaments associé à la tonicité de certains
muscles
qui imprime à la main l'attitude dont nous avon
tes ou dans les trau- matismes des nerfs, il arrive parfois que les
muscles
de la main soient atrophiés et que la face dors
se immédiate ne réside ni dans la paralysie, ni dans l'atrophie des
muscles
dont la contraction favorise la circulation. Ce n
U SYSTÈME NERVEUX UN CAS DE CONTRACTURE HISTRO-TRAU1VIATIQUL. DES
MUSCLES
DU TRONC PAUL RICHER Directeur honoraire du L
Chef du Laboratoire de la clinique. La contracture hystérique des
muscles
du tronc est un'fait assez rare. Dans ce même j
emple, il y a quelques années (1). La contracture siégeait dans les
muscles
de la paroi postérieure de l'abdomen, la carré
ami, M. Pierre Janet (3), a publié huit observations de spasmes des
muscles
du tronc chez les hystériques. Il s'est particuli
et vigoureux, jusque-là bien portant,et siégeant à la fois dans les
muscles
extenseurs et dans les mus- cles fléchisseurs d
ue. Th. de Paris, 1892. (3) P. Janet, Note sur quelques spasmes des
muscles
du tronc chez les hystériques. France médicale,
om- baire a disparu. On constate, dans la station droite, que les
muscles
fessiers et spinaux d'ordinaire relâchés sont m
aux d'ordinaire relâchés sont manifestement tendus et raidis. Les
muscles
abdominaux qui, chez un homme normal, dans l'atti
du dos ne disparaît pas. Les spinaux restent toujours tendus et les
muscles
abdominaux ne sont point relâchés. Il lui est i
dressement est rendu totale- ment impossible par la contracture des
muscles
de l'abdomen. Mais si le redressement du torse
dans l'attitude vicieuse décrite par la contracture simultanée des
muscles
anta- gonistes fléchisseurs et extenseurs. En
de contestation. z CùN1'HACTUIU : : HVSTL : : fO'TiAUMATIQU¡'; DES
MUSCLES
DU TRONC. TRAVAIL DU LABORATOIRE DE LA CLINIQUE
corps thyroïde, au niveau d'une artère moyenne d'un mem- bre, d'un
muscle
du mollet. Le cerveau a été examiné sur des coupe
orsque la suspension est faite sur un sujet vivant, chez lequel les
muscles
périvertébraux augmentent la résistance qu'oppose
itement de l'incoordination motrice du tabes par la rééducation des
muscles
. Revue intern. de thérapeutique, no, 5, 6, 7, 189
r sur une canne. Cependant la force déployée par la contraction des
muscles
primitivement paralysés était encore minime. Le
ermittentes. Circonstance à noter : au membre supérieur gauche, les
muscles
du groupe Erú (deltoïde, biceps, brachial interne
parésie du membre supérieur, rétablissement de la motilité dans les
muscles
du thorax et de la paroi abdominale, qui particip
ie totale et. le membre su- périeur d'une paralysie partielle ; les
muscles
du côté droit de l'abdomen et du thorax partici
avait constaté chez la victime, il droite la paralysie de tous les
muscles
, cou et tête exceptés, une hyperesthésie qui re
du malade. Effectivement la sensibilité est redevenue normale; les
muscles
du bras et de la cuisse ont récupéré leur intég
le sujet avait le membre supérieur droit atrophié, de même que les
muscles
de l'épaule, du dos, de la hanche. Il ne marcha
sthésie pro- fonde et d'une élévation de la température locale. Les
muscles
du côté droit de la face étaient contracturés,
pas non plus que la névrite du cubital ait pu, par la paralysie des
muscles
du territoire nerveux malade, déterminer pareille
e, mais à telle' ou telle fonction dans laquelle entrent en jeu des
muscles
dépendant de troncs nerveux très différents. C'
a pu naître les mains fermées par défaut d'action'de l'ensemble des
muscles
extenseurs des doigts. ' Or tout, dans la mai
direction de leur action ; 2° encore et surtout par l'addition des
muscles
lombricaux dont l'inser- tion se fait sur le bo
fléchissent en même temps vers l'axe du corps; et toujours quelque
muscle
, antagoniste ou correctif, intervient pour con-
veau du renflement cervical, paraît contenir les noyaux de tous les
muscles
sous la dépendance de la racine motrice correspon
ux de Ferrier et Yeo s'est appliqué à montrer que le groupement des
muscles
paralysés dans la paralysie infantile et dans d
ls ont dressé des tableaux qui représentent l'innervation de chaque
muscle
dans les racines et la moelle épinière. Il est
u sui-- vant de Thorburn, le lecteur trouvera les localisations des
muscles
du mem- bre supérieur : 204 G. MARINESCO MA
En effet, si nous supposons, par exemple, que les noyaux des petits
muscles
de la main, qui pour la plupart sont innervés par
ité syringomyélitique vont 1 atteindre et détruire tout d'abord les
muscles
innervés par le cubital. Cette supposition corr
ophie musculaire est localisée ici presque exclusivement aux petits
muscles
innervés par le cubital. Si la lésion progresse e
al. Si la lésion progresse et envahit des régions sus-jacentes, les
muscles
de la main innervés par le médian, les muscles
ns sus-jacentes, les muscles de la main innervés par le médian, les
muscles
de l'éminence thénar sont pris à leur tour, c'est
dit Blocq (1), le début se faisait par une atrophie portant sur les
muscles
innervés par le nerf cubital, l'autre commence pa
innervés par le nerf cubital, l'autre commence par l'atro- phie des
muscles
de la sphère radiale. La première s'accompagne de
remier que nous avons décrit, carac- térisé par l'envahissement des
muscles
de la main-griffe Aran-Duchenne, et des trouble
re, le second, cubito-spasmo- dique, caractérisé par l'atrophie des
muscles
de l'éminence hypothénar, griffe d'extension, e
iens; le troisième, radio-tabétique, caractérisé par l'atrophie des
muscles
de la zone radiale, griffe de flexion, et s'acc
sultera une atrophie musculaire localisée principalement aux petits
muscles
de la main qui sont représentés dans ce segment d
thénar et plus rarement par les interosseux. En ce qui concerne les
muscles
de l'éminence hypothénar, c'est l'abduc- teur d
l'éminence hypothénar,elle diminue à mesure qu'on se rapproche des
muscles
de l'éminence thénar. Ainsi chez cette dernière
des muscles de l'éminence thénar. Ainsi chez cette dernière, les
muscles
de l'éminence hypothénar gauche ne se contracte
ntuée. Ceci prouve, il mon avis, qu'au niveau de la 1'° dorsale les
muscles
de la main sont étages dans un certain ordre, ceu
de l'émi- nence hypothénar occupant un étage sous-jacent celui des
muscles
de l'é- minence thénar, tandis que les muscles
ous-jacent celui des muscles de l'é- minence thénar, tandis que les
muscles
interosseux ou tout au moins pal- maires occupe
ations que j'ai parcourues. Quelques-uns cependant ont noté que les
muscles
antérieurs de l'avant-bras sont plus pris que l
é que les muscles antérieurs de l'avant-bras sont plus pris que les
muscles
postérieurs. Je crois pouvoir affirmer que dans
cas de syringo- myélie l'atrophie musculaire se propage des petits
muscles
de la face pal- maire de la main à la face anté
e remarquer que l'atrophie peut se cantonner pour quelque temps aux
muscles
de la face antérieure et n'envahir que plus tar
ef et déploient une certaine force dans les mouvements passifs. Les
muscles
de la ceinture scapulo-humérale sont pris en même
-Duchenne à marche ascendante qui envahit dans un certain ordre les
muscles
des trois segments du membre supérieur en laissan
ts, bras, avant-bras et main. Dans cette forme scapulo-humérale les
muscles
de la .main conservent pendant un certain temps
ares l'atrophie a une marche diffuse et frappe indistinctement, ies
muscles
des membres supérieurs. Dans ces trois formes asc
as de syrin- gomyélie, je crois pouvoir conclure que les noyaux des
muscles
extenseurs 'sont situés au-dessus des noyaux de
noyaux des muscles extenseurs 'sont situés au-dessus des noyaux des
muscles
fléchisseurs. En effet, dans ce 'que j'appeller
sont situés au niveau du premier segment dorsal et représentent les
muscles
des éminences hypothénar et thénar. Un fait qui m
ive de ces derniers qui nous explique aussi l'intégrité de certains
muscles
ex- tenseurs de l'avant-bras et du bras et nous
grité relative, parce que les faits cliniques nous montrent que ces
muscles
quoique atrophiés conser- vent une énergie rela
état suivant : membre supérieur droit, amaigrisse- ment général des
muscles
de la main, de l'avant-bras et du bras. Le bras
des nerfs mé- dian et cubital en laissant presque intacts certains
muscles
innervés par le radial. Quels sont ces muscles
que intacts certains muscles innervés par le radial. Quels sont ces
muscles
? Naturellement il s'agit là des extenseurs du
postérieur et les radiaux. Or,' chez la plupart de mes malades, le
muscle
qui agit particulièrement dans ces circonstan-
s aussi en abduction si on la regarde par sa face dorsale. Un autre
muscle
qui conserve pendant longtemps sa fonction, c'est
ins touché : ce quiestarrivépour Corr... Celte atrophie,limitée aux
muscles
delà main, on la rencontre quelquefois dans la
de Thorburn et de Starr, par le fait que la localisation des petits
muscles
de la main est plus pré- cise. MAIN SUCCULENT
- .. - .. ..VIII. ' Pour,'un segment donné du membre supérieur, les
muscles
les plus petits sont représentés par les étages
les étages les plus inférieurs de la région cervico-dorale et les'
muscles
fléchisseurs sont sous-jacents aux muscles exte
n cervico-dorale et les' muscles fléchisseurs sont sous-jacents aux
muscles
extenseurs. IX. Il en résulte que les muscles
nt sous-jacents aux muscles extenseurs. IX. Il en résulte que les
muscles
fléchisseurs subiront la première atteinte et m
di- tions les plus favorables à sa production. X. Les centres des
muscles
extenseurs du poignet ont leur siège principal
ions d'un groupe musculaire il un autre, l'inépuisable activité des
muscles
, la rapidité avec laquelle certaines convulsions
lières, souvent symétriques, ordinairement non rythmiques, dans des
muscles
déterminés symétriquement des deux côtés, souvent
l'innervation. Ces secousses, qui s'étendent sur toute la masse du
muscle
, sont quelquefois isolées, quelquefois agglomér
s intervalles irréguliers ; elles se produisent tantôt dans un seul
muscle
, tantôt dans plusieurs à la fois ou alternative
est tellement rapide qu'il en résulte une sorte de tétanisation du
muscle
agité, que leur rythme n'a rien de régulier et
e Raymond : les secousses couvul- sives agitent la masse entière du
muscle
sans aboutir à un effet locomoteur, et ceux-ci
l'altération. « Doit-on, dit-il, regarder le spasme fonctionnel des
muscles
du cou comme une affection périphérique limitée
nel des muscles du cou comme une affection périphérique limitée aux
muscles
atteints, ou comme l'expression d'une lésion po
issaud : « ici, sans aucun doute, l'état morbide n'est pas dans les
muscles
ni dans les nerfs, il est dans l'esprit même ».
s les nerfs, il est dans l'esprit même ». Oui, il n'est ni dans les
muscles
ni dans les nerfs, mais il n'est pas non plus,
localisée. TIC DU COLPORTEUR 235 localiser dans quelques-uns des
muscles
entrant alors synergiquement en action (Duchenn
- tique. Notons dans ce paragraphe la constatation d'association de
muscles
des deux côtés : ainsi le sternomastoïdien d'un
cela, la théorie de l'origine musculaire par atro- phie de certains
muscles
, adopte la théorie nerveuse, mais rejette la théo
yotomies multiples (sec- tion du sterno-cléido-mastoïdien, puis des
muscles
cervicaux) et cite sept cas guéris, trois améli
orps (Fig. 11), il n'a pas les grosses joues, le torse arrondi, les
muscles
potelés, les jambes relativement courtes qui cara
quentes, la paralysie infantile ne portant souvent que sur quelques
muscles
. On a actuelle- ment tendance à admettre la sys
atrophie, nous entendons une diminution très marquée du volume des
muscles
, abaissant, par exemple, de 2 centimètres au moin
ehors de cette atrophie, qui saute aux yeux lorsqu'elle existe, les
muscles
des membres hémiplégies subissent toujours, par l
selle, 2o cent. 1/2 ; bras gauche, 27 centimètres. Flaccidité des
muscles
de l'avant-bras, sans atrophie marquée ; pas d'ar
e. Cas. IV. Hé1n1]Jlégie gauche, ankylose de l'épaule, atrophie des
muscles
-de la ceinture scapulaire. Mong. A..., femme
ure. Demi-ankylose de l'articulation scapulo-humérale, atrophie des
muscles
de la ceinture scapulaire, deltoïde sur- tout.
DE LA TOURETTE OBs. V. Hémiplégie droite et ankylose, atrophie des
muscles
de l'épaule. Anna R,,\, femme,- cinquante sept
kylose douloureuse de l'articulation scapulo-humérale. Atrophie des
muscles
de l'é- paule ; adipose très marquée, Circonfér
s ; p'as d'atrophie, si ce n'est un amaigrissement sans adipose des
muscles
de l'avant-bras. Circonférence : avant-bras droit
e douloureuse de l'articu- lation scapulo-humérale, amyotrophie des
muscles
de la ceinture scapulaire. L'atrophie du biceps
e de l'articulation métacar- po phalangienne du pouce. Atrophie des
muscles
de la ceinture scapulaire et du thénar. " , ',
lose douloureuse de l'ar- ticulation scapulo-humérale. Atrophie des
muscles
de la ceinture scapulaire. et surtout du deltoi
à moitié course, atro- phie très marquée du deltoïde et de tous les
muscles
de la ceinture scapulaire, sauf le grand pector
es. Arthrite de l'articulation radio-carpienne gauche. Atrophie des
muscles
de l'avant-bras. Circonférence de l'avant-bras
u du tiers supérieur de l'avant-bras. Atrophie en masse de tous les
muscles
de la main. Le malade marche en fauchant. Réflexe
roupe, l'atrophie portant sur le mem- bre supérieur est limitée aux
muscles
de la ceinture scapulaire, se tradui- 292 GILLE
laviculaire. Dans les cas de cet ordre, le deltoïde est toujours le
muscle
le plus sévè- rement touché, le grand pectoral,
actilité à l'aide de l'électricité sont nécessaires. En effet, le
muscle
atrophié est souvent remplacé in situ par une mas
égiques est, nous y insistons, une atrophie en territoire. Si les
muscles
de la ceinture scapulaire sont atrophiés, la palp
sculaire des hémiplégi- ques, chez nos sept malades, l'atrophie des
muscles
de la ceinture scapu- laire se superpose à une
point de vue, que chaque articulation commande un certain nombre de
muscles
qui s'atrophient seuls, à l'exception des mus-
ation VIII, il existe une arthrite de l'épaule avec amyotrophie des
muscles
de la ceinture scapulaire; les articulations du
apulaire; les articulations du coude et du poignet sont libres, les
muscles
du bras et de l'avant-bras ne sont pas atrophié
rpo-phalangienne du pouce, et celle-ci coïncide avec l'atrophie des
muscles
du premier espace interosseux et du thénar. DE
HÉMIPLÉGIQUES 293 Chez le malade de l'observation IX, atrophie des
muscles
de la cein- ture scapulaire coïncidant avec une
ant avec une ankylose de l'épaule ; coude libre, pas d'atrophie des
muscles
du bras; demi-ankylose du poignet, atrophie des
trophie des muscles du bras; demi-ankylose du poignet, atrophie des
muscles
de l'avant-bras et des quatre derniers espaces in
anatomie est d'une sincérité bien douteuse. Les reliefs osseux, les
muscles
, la trachée, affectent entre eux des rapports t
istait à droite; elle intéressait dans une mesure prépondérante les
muscles
rotateurs de la cuisse; il existait toujours un
itations motrices que les centres psycho-moteurs projettent sur les
muscles
. Les cylindres-axes de ces fibres représentent
e sort de la moelle avec une ra- cine antérieure, pour aboutir à un
muscle
du même côté. . . * ... * - B. Hémi-ane
g. b. 1, 1', Voie motrice. 2, 2', Fibres sensitives destinées aux
muscles
. 3, 3', Voie sensitive chargée de la sensibilit
, en attribuant ces modifications du modelé des os à l'ab- sence de
muscles
actifs autour du squelette (1). La radiographie
as et de la main. Le pannicule adipeux sous-cutané est amaigri. Les
muscles
sous-jacents dans toute l'étendue du membre son
t mental. Ankylose de l'articulation scapulo-humérale. Atrophie des
muscles
de la ceinture scapulaire, masquée par adipose
' Reste confinée au lit. Ankylose de la hanche droite. Atrophie des
muscles
de la fesse et de la cuisse. Circonférence : 15
e genou. Adipose généralisée à tout le membre inférieur, atrophie des
muscles
de la fesse. Circonférence : cuisse, 47 centimè
ète et douloureuse de l'épaule gauche. Amyotrophie très marquée des
muscles
de la ceinture scapu- laire, surtout du deltoïd
avec craquements et douleurs spontanées et provoquées. Atrophie des
muscles
de la ceinture scapulaire très marquée au nivea
ut dans le domaine du triceps crural masquant en partie l'atrophie.
Muscles
de la fesse atrophiés. Craquements du genou; am
ale droite avec craquements, sans douleurs spontanées. Atrophie des
muscles
de la ceinture scapulaire, portant sur le delto
droite, aphasie depuis 1895. Ankylose de l'épaule avec atrophie des
muscles
de la ceinture scapulaire ; les autres articulati
ations sont libres. Doigts fléchis, réductibles, pas d'atrophie des
muscles
de la main. Adipose très marquée généralisée au
roite ankylosée. Adipose généralisée à tout le membre. Atrophie des
muscles
de fesse et de la cuisse. Circonférence, 15 cen-
ète avec craquements sans douleurs de l'épaule droite. Atrophie des
muscles
de la ceinture scapulaire, méplats sus et sous-ép
doigts fléchis ; polyarthri- tes, atrophie généralysée de tous les
muscles
de la main. Membre inférieur droit. Malade rest
ose presque complète de l'articulation de la hanche. Atro- phie des
muscles
de la fesse et de la cuisse. Circonférence : cuis
ration des réflexes sans contracture. Amaigrissement généralisé des
muscles
du hras sans atrophie localisée. 1 centimètre de
avec hémiplégie faciale ; spasmodique. Flaccidité sans atrophie des
muscles
du membre supérieur; pas d'arthrite, si ce n'es
ose de l'articulation métacarpo-phalaugienne du pouce. Atrophie des
muscles
du premier espace interosseux et du thénar. Mem
ie, sujets à des troubles trophiques : l'amaigrissement général des
muscles
en est une preuve évidente à laquelle on pourra
ncien foyer tuherculeux dans le sommet du poumon droit; coeur gros,
muscle
cardiaque flasque et dégénéré. Examen microscop
ès long et petit pour sa longueur. Légère atro- phie deltoïdienne ;
muscles
du bras peu développés. Le coude est gros et pl
ras. La paume est très large, pas très épaisse. Il y a atrophie des
muscles
des éminences thénar et hypothénar : la main es
rale. « Il est intéressant de signaler les atrophies partielles des
muscles
des bras et des mains, alors que les membres in
algré cette désorganisation articulaire et quel que soit l'état des
muscles
, lamotilitéest relativement intacte : il n'yajama
ire de l'attitude en torticolis est le spasme tonico-clo- nique des
muscles
rotateurs de la tête. Secousses musculaires brusq
diversement entremêlées, produisent la déviation de la tête. Les
muscles
spasmodiques sont les rotateurs de la tête, c'est
t-à-dire qu'un sterno-cleido-mastoïdien se contracte. Mais d'autres
muscles
sont égale- ment spasmodiques, trapèze, pectora
d'autres muscles sont égale- ment spasmodiques, trapèze, pectoraux,
muscles
des bras, avec cette bizar- rerie que ce ne son
production d'un mouvement complexe par la mise en jeu simultanée de
muscles
à innervations différentes d'ori- gine. Le sp
ans la rectitude est nul. Cette force contraire appliquée par les
muscles
rotateurs dans le sens de la déviation est bien
plus fort, le spasme s'exaspère et envahit un plus grand nombre de
muscles
; et, lorsque, lassés, nous aban- donnons la par
la main, un doigt, le bout d'un crayon, etc. En résumé, spasme des
muscles
rotateurs du cou avec participation d'autres mu
mé, spasme des muscles rotateurs du cou avec participation d'autres
muscles
, déviation de la tête à laquelle le malade seul p
- daires, telles que des sensations anormales perçues au niveau des
muscles
spasmodiques ; il n'y a rien d'étonnant à ce qu
'y a rien d'étonnant à ce que soient douloureuses les insertions de
muscles
qui tirent constamment sur leurs deux extrémités.
plet. La tête n'est pas un peu déviée, elle l'est à l'extrême ; les
muscles
spasmodiques donnent toute leur mesure et ne so
a seule différence entre les cas divers est le nombre et le nom des
muscles
qui participent au tic. Le pronostic du tortico
fois par jour, des exercices de correction et d'assouplissement des
muscles
qui tendent à reprendre leurs contractions spas
uait de chaque côté du cou, et censé apte d'une part à réprimer les
muscles
trop actifs, de l'autre, à exalter les antagonist
laignait de douleurs assez intenses au niveau des insertions de ses
muscles
spasmodiques. Les exercices du- raient 20 minut
malaisément curable : la raideur par raccourcissement ac- quis des
muscles
(1). (1) Depuis quelques jours, nous appliquons
ssentiel (héréditaire) ; la cause occasionnelle, le froid ; un seul
muscle
est spasmodique, le sterno-cléido-mastoidien droi
rte taille, 1 m. 95. On remarque tout d'abord l'atrophie des petits
muscles
des deux mains; les mains sont en griffe (Fig.
nués de volume. Un jeu très accusé de contractions fibrillaires des
muscles
des avant-bras, des bras et des pectoraux. Il ne
nous nous trouvions nous n'avons pu faire d'exa- men électrique des
muscles
. - . Aucun trouble de la sensibilité. Les sphin
isolés ou con- fluents, s'étendent en profondeur, mettant à nu les
muscles
, les os et les articulations (Lèpre LrGNurirle)
quence. Elle débute comme dans la maladie d'Aran-Duchenne par les
muscles
des éminences thénar, hypothénar, et les inteross
oduisant bientôt une déformation en griffe d'aspect saisissant. Les
muscles
de l'avant- bras sont atteints à leur tour, plu
bras. Aux membres inférieurs, une atrophie du même genre.frappe les
muscles
du pied, les extenseurs en particulier, puis le
frappe les muscles du pied, les extenseurs en particulier, puis les
muscles
de la jambe, fléchis- seurs du pied et péronier
du pied et péroniers, créant des pieds-bots de formes variées. Les
muscles
de la cuisse, les fessiers, ceux de la ceinture s
, se dessèche, revêt un aspect parcheminé, et, comme en général les
muscles
sont atrophiés à l'extrême, les membres en sont
agnostic de la Lèpre sur les images artisti- ques. L'émaciation des
muscles
, les rétractions fibreuses, en produisant les a
et le pied existent encore, mais dans quel la- mentable état ! Les
muscles
sont, atrophiés à l'extrême, et remplacés par d
tendon d'Achille, conséquence obligée de l'atrophie musculaire des
muscles
du mollet, a mis le pied en équinisme droit, sur
e. « Il a défini et classé cette étrange maladie, dans laquelle les
muscles
s'atrophient progressivement, un à un, débutant
rime aux divers segments du membre une attitude en rapport avec les
muscles
disparus, jusqu'à ce que la maladie, parvenue à s
révèle l'invasion inégale de l'atrophie qui a porté surtout sur les
muscles
interosseux et les extenseurs de l'avant-bras.
e encore à un certain degré ; or, nous savons aujourd'hui qu'un des
muscles
qui président à ce mouvement, le long supinateur,
orte est chose peu fréquente dans la nature. Et non seu- lement les
muscles
sont réduits à néant; mais la peau encore semble
t la face en même temps, immobilisant les jointures, raccourcissant
muscles
et tendons, parcheminant la peau, en un mot réd
ce qu'on observe dans les cas d'atrophie musculaire portant sur les
muscles
trapèze etgrand dentelé. Ceux-ci sont d'ailleur
aignant. Tel qu'il est, avec son omoplate « ailée », l'atrophie des
muscles
de la ceinture scapulaire et du bras, les lèvre
(2 fig., 1 plan- che),414. Contracture hystéro-traumatique des
muscles
du tronc (un cas de), par PAUL BICHER et A. Sou
AuL) et A. Souques. Un cas de contracture hystéro-traumatique des
muscles
du tronc (1 planche), 109. Sabrazès (T.) et C.
.) et PAUL ;RICHER. Un cas de contracture hystéro-traumatique des
muscles
du tronc (1 planche), 109. TARGOWLA. Un Job mod
e myopathies spinales ou de cause spinale. Une lésion Irophique des
muscles
, plus ou moins étendue et plus ou moins profonde,
altérées simultanément. Les fonctions motrices et la nutrition des
muscles
sont seules affectées au contraire dans les cas d
ux secondes. L'affection musculaire est, dans celles-ci, bornée aux
muscles
de la vie animale, en particulier aux muscles des
s celles-ci, bornée aux muscles de la vie animale, en particulier aux
muscles
des membres; le tronc, la tête ne sont pas épargn
e. Tantôt l'impuissance motrice survenue dans un certain nom-bre de
muscles
, ou groupes de muscles, est le premier symptôme q
ce motrice survenue dans un certain nom-bre de muscles, ou groupes de
muscles
, est le premier symptôme que l'observation fasse
cles, est le premier symptôme que l'observation fasse reconnaître. Le
muscle
est d'abord paralysé, les fonctions motrices sont
s sont anéanties d'une façon plus ou moins complète ; la structure du
muscle
semble ne s'altérer que secon-dairement. D'autr
ne s'altérer que secon-dairement. D'autres fois, au contraire, les
muscles
affectés sont dès l'origine le siège de troubles
ance, semble être proportionnelle au degré de l'atrophie subie par le
muscle
. Ce sont là deux cas extrêmes, reliés par de no
nombreux intermé-diaires, car souvent, le plus souvent peut-être, les
muscles
malades sont à la fois paralysés et atrophiés e
ractilité électrique faradique est amoin-drie sur un grand nombre des
muscles
paralysés, éteinte, en appa-rence du moins, sur p
s auteurs, la contractilité'gal-vanique peut mettre encore en jeu les
muscles
que la faradisation n'affecte plus. Tels sont,
on apparente de la con-tractilité faradique dans un certain nombre de
muscles
frappés de paralysie ; 3° Absence de troubles m
se styloïde du cubitus 0m,29; la peau est sèche, farineuse, pâle; les
muscles
sont peu développés. Bras maigres; la force est é
emment émoussé. La jambe paraît un peu plus grosse que la cuisse. Les
muscles
du mollet existent encore un peu, mais fortement
s, suivant l'atrophie musculaire plus ou moins complète. L'action des
muscles
de la jambe sur le pied est à peu près abolie; à
inférieur gauche. Le tibial antérieur n'offre pas de réac-tion ; les
muscles
du mollet ne réagissent pas, le tendon d'Achille
t (tandis qu'à gauche il est plus manifeste, cela est certain). Les
muscles
du mollet ne réagissent pas, non plus le tendon d
uscles du mollet ne réagissent pas, non plus le tendon d'Achille. Les
muscles
de la cuisse ne ré-pondent pas du tout, sauf le c
cité confirme ce que donnait l'examen précédent : Des deux côtés, les
muscles
du pied, de la jambe, delà cuisse, qui se remuaie
cette main. Au moment de son entrée à l'hôpital, on constata que les
muscles
du côté gauche de la face, du bras et de la jambe
dix ans, éprouvait comme une espèce de frémissement spontané dans les
muscles
des membres supérieurs et inférieurs. Depuis troi
continuelle : elle entra à l'hôpital le 12 mai 1845. A ce moment, les
muscles
des membres supérieurs étaient continuellement en
ut, époque qui marque la terminaison de cette période rétrograde, les
muscles
qui n'ont pas recouvré leurs fonctions peuvent êt
ur tous les points. Dans les cas ordinaires, il est toujours quelques
muscles
, ceux parfois de tout un membre ou seulement d'un
façon spéciale. a) Vatrophie devient bientôt manifeste sur ceux des
muscles
chez lesquels la contractilité famélique n'a pas
re frappé de paralysie infantile pourra avoir perdu la plupart de ses
muscles
, et cependant n'être plus court que celui du côté
ns ce cas, la lésion musculaire soit restée localisée dans un ou deux
muscles
à peine et ait permis le prompt retour des mouvem
fecté chez des enfants qui, en raison du léger degré d'altération des
muscles
des pieds et du peu d'étendue des déformations es
ssant au bout de quelques jours à un retour complet des fonctions des
muscles
, être suivie cependant de lésions trophiques osse
st peut-être le lieu de faire remarquer qu'en outre de l'atrophie des
muscles
et des os, on trouve à l'autopsie, dans les cas d
les membres paralysés en conséquence de la pré-dominance d'action des
muscles
restés sains ou ayant, à un moment donné, récupér
s savons que l'atrophie n'est pas répan-due uniformément sur tous les
muscles
d'un membre ; elle prédo-mine dans certains muscl
ment sur tous les muscles d'un membre ; elle prédo-mine dans certains
muscles
et groupes de muscles ; les antagonistes de ces m
les d'un membre ; elle prédo-mine dans certains muscles et groupes de
muscles
; les antagonistes de ces muscles doivent imposer
dans certains muscles et groupes de muscles ; les antagonistes de ces
muscles
doivent imposer, à la longue, des attitudes vicie
ir de l'époque où les lésions sont devenues définitives dans certains
muscles
, on peut dire que la maladie est arrêtée. Une s'a
vous être présenté. Nous traiterons en pre-mier lieu des lésions des
muscles
, et en deuxième lieu des lésions du système nerve
et en deuxième lieu des lésions du système nerveux. 1° Lésions des
muscles
. Je serai bref sur ce qui est relatif à l'alté-ra
des muscles. Je serai bref sur ce qui est relatif à l'alté-ration des
muscles
, car c'est là un sujet qui réclame encore de nou-
e que les données positives concernant l'altéra-tion histologique des
muscles
font défaut. D'après ce qu'on sait, la majeure pa
atées, trois semaines après le début de la maladie sur un fragment de
muscle
obtenu à l'aide de l'emporte-pièce ; à l'aide du
même procédé, MM. Volkmann et Steudener ont pu également étudier les
muscles
paralysés, à une époque assez voisine du début et
ns des cas de date ancienne. B. Seconde période. Si l'on étudie les
muscles
altérés à une épo-que éloignée du début de la par
— où la surcharge graisseuse est tellement prononcée que le volume du
muscle
est notablement accru de manière à reproduire exa
ntile de date ancienne, n'y est cependant pas nécessaire ; à côté des
muscles
distendus par la graisse, il en est souvent d'aut
fait à peu près complètement défaut1. On ne trouve dans ces derniers
muscles
que des faisceaux primitifs d'un très-petit diamè
un tissu conjonctif fibrillaire évidemment de formation nouvelle. Les
muscles
qui ont subi ce mode d'altération ont à l'œil nu
c-tion dont il s'agit, comme siégeant dans les parties périphériques,
muscles
ou nerfs ; d'autres ont voulu y voir une maladie
, dans la région de la moelle d'où émanaient les nerfs se rendant aux
muscles
atrophiés ; mais nous n'avions pas remarqué la di
ru dans la corne antérieure du segment de la moelle correspondant aux
muscles
atrophiés, et, sur les points qu'elles avaient oc
e l'invasion des accidents, le mode de localisation de l'atrophie des
muscles
ne laissent guère subsister de doute à cet égard;
de 7 ans ; elle avait frappé les quatre mem-bres dont la plupart des
muscles
s'étaient rapidement atrophiés, Les membres d'ail
s de la maladie, en particulier la paralysie ainsi que l'atrophie des
muscles
; nous avons en outre émis l'opinion que sui-vant
les nerveuses motrices dans la production des lé-sions trophiques des
muscles
. Pour le moment, je me bornerai aux considération
mblements saccadés, convulsifs (Gri-maux), dans lesquels l'action des
muscles
fléchisseurs paraît pré-dominante (Moreau, de Tou
s nausées, des vomisse-ments pénibles ; il y a de la constriction des
muscles
du pharynx et de l'œsophage, de la difficulté et
i-cieuse du squelette résulte un trouble dans la force musculaire. Le
muscle
, gêné dans sa fonction, perd bientôt sa structure
ès scrofuleux, etc. D'autres fois, la déviation a sa source dans le
muscle
lui-même ou dans le nerf qui l'anime; et, dans ce
cilement son attitude normale, tant qu'une ré-traction consécutive du
muscle
du côté sain n'a pas encore fixé la tête dans sa
elle est la cause de cette rétraction? Nous la trouverons, ou dans le
muscle
lui-même, ou dans le système ner-veux central. S'
mple, que se développe ce torticolis d'origine nerveuse. S'agit-il du
muscle
? nous aurions affaire, dans cette hy-pothèse, à
lles qu'on en ob-serve dans le lumbago. L'affection rhumatismale du
muscle
peut avoir une durée suffi-sante pour amener dans
osent, fibres, tissu conjonclif, gaîne, se raccour-cissent alors. Les
muscles
voisins, qui se nourrissent dans une altitude vic
ulaire, celle-ci ne porte pas seulement sur le sterno-masloïdien; les
muscles
voisins se déforment comme lui, et contribuent à
ul donne son cachet à la déviation. Un torticolis qui n'aurait pas ce
muscle
pour agent pourrait être plus exagéré encore, mai
ieures. Mais sera-ce le seul? Quand la section sera faite, les autres
muscles
accommodés depuis longtemps à la déviation, seron
té? Je n'y compte pas. Néanmoins, nous allons procédera la section du
muscle
, et nous lutterons de notre mieux contre les autr
des. microcéphales. Nous avons exploré au dynamomètre l'état de ses
muscles
. Ici encore nous avons obtenu des résultats digne
ressemble à celle d'un moignon d'amputé. A la paume de la main, les
muscles
de l'éminence hypothénar sont presque tous atroph
e-trouve facilement les filets que leur fournit le nerf médian. Les
muscles
de Véminence thénar sont petits, mais assez color
ici une anas-tomose avec une branche du médian, les branches pour les
muscles
de l'éminence hypothénar, mais elles sont entouré
ment. Les filets des deux derniers lombricaux sont absents, comme ces
muscles
eux-mêmes. Le nerf médian n'offre de remarquabl
n histologique, et voici ce que nos recher-ches nous ont appris. a)
Muscles
. Une portion d'un interosseux dorsal, examinée vi
uelque temps de séjour dans l'acide chromique, nous avons examiné les
muscles
et les nerfs. Un muscle animé par un rameau du
l'acide chromique, nous avons examiné les muscles et les nerfs. Un
muscle
animé par un rameau du nerf cubital avant la cica
Un muscle animé par un rameau du nerf cubital avant la cica-trice, le
muscle
cubital antérieur, nous a offert des stries très-
tal antérieur, nous a offert des stries très-nettes. Un faisceau du
muscle
petit adducteur du petit doigt, qui reçoit une de
s sont devenues plus nettes. Si, enfin, on prenait une portion d'un
muscle
complètement grais-seux, comme le palmare cutané,
ion du médicament fut suivie presque immédiatement du relâchement des
muscles
et de la cessation des crises convulsives : sur c
ptômes principaux étaient le trismus des mâchoires, la convulsion des
muscles
de la face et même des membres chez l'un des mala
ossible ; le malade était dans l'immobilité la plus absolue; tous les
muscles
, ceux du corps et des membres, étaient durs, rigi
J'évite le bulbe en découvrant et en coupant l'insertion bulbeuse du
muscle
sphincter anal. — Pour faire l'incision du col ve
bourses séreuses très-distinctes ; un certain nombre de fibres de ce
muscle
parais-sent s'implanter sur le pédicule même de l
xiste entre la décharge électrique de la torpille et la secousse d'un
muscle
de la vie animale, tant au point de vue du retard
n intermédiaire comme action immédiate : 1° une faible excitation des
muscles
lisses du tube digestif, de la vessie, de l'utéru
érus, etc. ; 2° la dilatation de la pupille par la contraction de son
muscle
radié : 5° la contraction des vaisseaux artériels
me musculaire ; — 3° extinction plus prompte de la contractilité du
muscle
car-diaque que celle de tout autre muscle ; — 4°
mpte de la contractilité du muscle car-diaque que celle de tout autre
muscle
; — 4° circulation lympha-tique intacte; — mort p
e, vient frap-per un os dans sa diaphyse, et broyer en même temps les
muscles
, en raison des contusions à distance qui se produ
ll), nous venons de le dire, fait corps avec le fémur, et soulève les
muscles
ainsi que la peau de la cuisse. Cette dernière es
uvement. Dans les efforts qu'il fait alors, on voit distinctement les
muscles
de la partie antérieure de la cuisse glisser à la
la soirée. Autopsie, 30 heures après la mort.—Dans l'interstice des
muscles
de la région postérieure de la cuisse, existe un
te un vaste cloaque, re-montant jusqu'aux attaches supérieures de ces
muscles
à la tubé-rosité ischiatique. Au niveau de la sec
me de la troisième couche constituée par l'aponévrose fémorale et les
muscles
de la région antérieure de la cuisse (droit antér
e la cuisse (droit antérieur, vaste externe, vaste interne). Tous ces
muscles
sont complètement recouverts par l'a-ponévrose, q
ace correspond au creux poplité, qui est considérablement élargi; les
muscles
qui limitent cet espace (biceps demi-tendineux,
aneux d'une part, jumeaux d'autre part), ne sont pas étalés comme les
muscles
de la partie antérieure de la cuisse, mais ont co
tégé contre toute espèce de compression par le relief que forment les
muscles
du creux poplité. C'est ce qui explique le peu de
tibia. Le derme est à ce niveau très-notable-ment aminci. État des
muscles
. — Tous les muscles de la jambe présentent une co
à ce niveau très-notable-ment aminci. État des muscles. — Tous les
muscles
de la jambe présentent une coloration jaune très-
ont plus représentées que par de longues traînées jaunâtres. Tous ces
muscles
ont en même temps subi une diminu-tion considérab
ent à relever le bord interne du pied. A la région postérieure, les
muscles
, parvenus à la base de l'angle formé par les deux
u cou-de-pied. Lespéroniers latéraux décrivent la même courbe que les
muscles
postérieurs mais leurs fibres s'insèrent aux deux
ont conservé leur volume normal ; ils suivent le même trajet que les
muscles
et se dévient avec eux. Il en est de même pour
eaucoup de l'état normal. Il convient d'ajouter qu'au même niveau les
muscles
delà région plantaire présentent à peine cet état
xterne était normale. Malgré la difficulté de préciser les limites de
muscles
graisseux, j'ai acquis la certitude de l'a-trophi
s. — Rien d'anormal dans la sensibilité, ni dans la contraclilité des
muscles
. — Les membres supérieurs sont agités d'un violen
ies, on ne retrouve, le plus souvent, aucune trace d'inflammation des
muscles
utérins. D'autres invoquent la transmission par l
cette douleur le nom de cœlialgie, et il en place l'origine dans les
muscles
. Pour moi, d'accord en cela avec Négrier, Schut-z
cent à apparaître ces accidents. Les poumons sont donc compromis ; le
muscle
cardiaque lui-même l'est davantage ; les accident
est marbrée de tons rouges et sépia, et res-semble un peu à celle des
muscles
infectés de la même néoplasie. Dans les points en
les sont moins foncées en couleur que dans le tissu conjonctif et les
muscles
; très-dures, résistantes, elles crient sous l'ins
tions les plus ordinaires consistent en lésions des nerfs moteurs des
muscles
de l'œil (paralysie de la 3e et de la 6e paire).
, lorsqu'il aura à traverser un seul membre ou tout le corps, un seul
muscle
, ou tout un groupe de muscles. En reprenant not
un seul membre ou tout le corps, un seul muscle, ou tout un groupe de
muscles
. En reprenant notre comparaison avec une locomo
ique cette loi d'électro-physiologie : l'excitation d'un nerf ou d'un
muscle
dépend moins de la valeur absolue de la tension d
, changent rapidement et brusquement l'état moléculaire du nerf et du
muscle
; et c'est également pour cela que cette excitatio
ette déformation aux variations rhythmées dans le raccourcissement du
muscle
, et M. Marey suppose qu'elle est produite parles
et une seule interruption par se-conde, on distingue toujours sur des
muscles
sains les deux con- tractions ; mais il n'en es
nous pouvons constater cette différence dans la contraction entre les
muscles
du côté pa-ralysé et ceux du côté sain. Cette d
du côté sain. Cette double contraction disparaît éga-lement sur les
muscles
fatigués, et nous l'avons constaté dans des reche
nt de fermeture. Vous voyez également sur ces tracés que lorsque le
muscle
est très-fatigué, on n'ob-tient plus aucune contr
nt là de grands avantages quand on veut examiner la conlractilité des
muscles
et le degré d'atrophie, surtout lorsqu'on fait ce
able une attitude longtemps prolongée intégrité des articulations des
muscles
et du système nerveux par gombault, interne des
grande faiblesse, la malade fait parfaitement usage de ses mains. Les
muscles
, bien qu'ils aient subi une diminution si remarqu
cada-vérique, la flexion des deux jambes n'en persiste pas moins. Les
muscles
uniformément amincis présentent tous une colorati
de l'avant-bras ; dans l'autre, d'une paralysie avec contracture des
muscles
du mollet et de la plante du pied. La guérison ne
de M. L. Lefort, qui prétend que les courants induits, placés sur les
muscles
, les tétanisent ou ne produisent rien, tandis que
ion des courants induits. Si les courants induits font déve-lopper le
muscle
par une sorte de gymnastique, c'est-à-dire l'exer
r le muscle par une sorte de gymnastique, c'est-à-dire l'exer-cice du
muscle
, qui est tout à fait analogue à l'exercice de la
on est impuissante, font rétrograder la dégénérescence graisseuse des
muscles
. Il se passe ici des phénomènes nutritifs. 1 Ch
l'équilibre moléculaire, ce qui se traduit pour les nerfs et pour les
muscles
par une excitation fonc-tionnelle. Etat définit
n'y a donc pas d'exci-tation vive du fonctionnement des nerfs ou des
muscles
, mais le flux électrique impose, pour ainsi dire,
de l'état moléculaire, et par conséquent excitation des nerfs et des
muscles
. La mise en activité du nerf et du muscle n'est e
xcitation des nerfs et des muscles. La mise en activité du nerf et du
muscle
n'est en effet comme phénomène intime, même dans
ucci et surtout M. du Bois-Reymond ont démontré des courants dans les
muscles
et dans les nerfs. A l'occasion de ces faits, M.
s les tendons, dans les os, dans les artères, aussi bien que dans les
muscles
et les nerfs, et M. Bec-querel, dans ses belles r
t-il dire que dans ces cas il était inutile ou mauvais d'agir sur les
muscles
affectés ? Non, mais nous vous indiquons ces fait
cas que nous avons observés récemment. Dans une première classe, les
muscles
paralysés se contractent encore un peu par les co
courants induits, mais plus difficilement et plus faiblement que les
muscles
sains. Les courants continus déterminent des cont
t assez énergique, et ces contractions sont plus faibles que pour des
muscles
homologues sains. Dans la deuxième classe, les
que pour des muscles homologues sains. Dans la deuxième classe, les
muscles
paralysés ne se contractent pas par les courants
con-tinus, mais il faut encore un courant plus énergique que pour les
muscles
sains. Enfin, dans la troisième classe, les mus
ue que pour les muscles sains. Enfin, dans la troisième classe, les
muscles
paralysés ne se con-tractent pas par les courants
t que celui qu'il est nécessaire d'employer pour faire contracter des
muscles
sains. Dans la première classe, il est inutile
du plexus et même de l'organisme qu'il est nécessaire d'employer. Les
muscles
, en effet, ne sont pas encore altérés dans leur n
ent des paralysies ou des atrophies musculaires, ce sont toujours les
muscles
extenseurs des membres supérieurs ou des membres
lieu et dont la lésion est la plus grave. Ce sont également ces mêmes
muscles
qui s'améliorent en dernier lieu, lorsque la gué-
eu, lorsque la gué-rison arrive. Dans l'intoxication saturnine, les
muscles
extenseurs sont donc atteints avant les autres mu
saturnine, les muscles extenseurs sont donc atteints avant les autres
muscles
, mais dans les cas anciens, on trouve également d
tres muscles, mais dans les cas anciens, on trouve également d'autres
muscles
, qui sont paralysés, et souvent sur le même membr
ntres nerveux, mais en même temps, il faut électriser directement les
muscles
paralysés, car dans ce cas, ceux-ci sont affectés
nt-bras. On peut promener par instants le pôle négatif sur les divers
muscles
paralysés et faire de légères inter-ruptions. C
re de légères inter-ruptions. Cette différence de contractilité des
muscles
dans certains états pathologiques est certainemen
nous avons étudiées ailleurs, nous dirons seu-lement que, lorsque les
muscles
ne se contractent plus par les cou-rants induits,
r les cou-rants induits, le pronostic est meilleur, lorsque ces mômes
muscles
se contractent difficilement par les courants con
abord, et je me hâte d'ajouter qu'il ne se rapporte qu'au cas où le
muscle
n'a pas subi d'atrophie bien considérable. On ne
t à l'ori-gine du nerf facial droit, et avait amené une paralysie des
muscles
de la face. A mesure que l'état de cette malade s
u côté gauche une sensation de crampe qui disparut aussitôt, mais les
muscles
de la face de ce côté restèrent paralysés. Il n'a
Nous le vîmes deux jours après, et, à l'exception de la paralysie des
muscles
de la face, le malade n'accusait aucun malaise,
phérique très-légère et dont la guérison rapide ne permettait pas aux
muscles
ni aux nerfs d'éprouver de changement appréciable
le. Une dizaine de jours après, nous revîmes ce malade, et quelques
muscles
, surtout les muscles de la partie supérieure de l
jours après, nous revîmes ce malade, et quelques muscles, surtout les
muscles
de la partie supérieure de la face, étaient toujo
prière, reconnut les symptômes d'une parésie siégeant dans plusieurs
muscles
de l'œil : à gauche, il y avait une insuffisance
r, et l'autre inférieur, plus petit, qui fournit surtout les nerfs du
muscle
orbiculaire des lèvres. Dans ce cas, en effet, l'
inaire, a été possible dès les pre-miers jours ; de plus, ce sont les
muscles
des paupières et du front qui ont été paralysés l
l'ar-cade zygomatique. En arrière, elle dépasse le bord postérieur du
muscle
sterno-cléido-masloïdien; en avant, elle a pour l
nférieur de la mâchoire et l'aponévrose cervicale. 2° En arrière,\e
muscle
sterno-cléido-mastoïdien, dont quelques faisceaux
de la nutrition. » XVI. Rôle calorifique du tissu musculaire. — Le
muscle
en se contractant augmente sa température. Si nou
s le sang et la circulation éprouvent-elles pendant la contraction du
muscle
? Il faut noter d'abord « que le muscle peut se co
lles pendant la contraction du muscle? Il faut noter d'abord « que le
muscle
peut se contracter et produire de la chaleur sans
Elle est surtout due aux phénomènes chimiques qui se passent dans le
muscle
. • « Les analyses les plus récentes distinguent
te, C12H12012 + 4HO. La réaction de ce liquide, et par suite celle du
muscle
au repos, est alcaline. Dans le muscle qui vient
liquide, et par suite celle du muscle au repos, est alcaline. Dans le
muscle
qui vient de se contracter, il y a un chan-gement
que le repos diminue la température. XVIII. La chaleur est pour les
muscles
un excitant direct, à la condition qu'elle ne dép
inverse* « La chaleur qui se développe dans l'intimité du tissu des
muscles
ne fournit pas seulement le degré de température
des glandes. — « 11 y a une opposition com-plète entre le système des
muscles
et celui des glandes. Le système veineux des musc
e le système des muscles et celui des glandes. Le système veineux des
muscles
qui fonctionnent est noir, d'autant plus noir qu'
Côté gauche un peu contracture. Par moments convulsions cloniques des
muscles
de la face. Délire la nuit, subdélirium le ma-tin
s'habiller; il y avait une atrophie visible à l'œil nu dans tous les
muscles
du bras et de l'épaule, et surtout dans les muscl
nu dans tous les muscles du bras et de l'épaule, et surtout dans les
muscles
de la main et dans les extenseurs de l'avant-bras
ins, elle peut coudre, tricoter, se peigner elle-même; néanmoins, ses
muscles
sont loin d'être déjà revenus complètement à l'ét
ste pendant tout le temps que le courant continu est appliqué sur les
muscles
ou sur les nerfs des membres. La contraction ga
Celte femme, en effet, depuis onze ans, a vu successivement tous ses
muscles
des membres supérieurs s'atrophier les uns après
upérieurs s'atrophier les uns après les autres, en commençant par les
muscles
de l'éminence thénar. Depuis qu'elle est en trait
es un syslèmc de lacunes, appréciable même à un faible grossissement.
Muscle
et élément intermusculaire ont été soumis à un ex
lade est au repos, la tête a de légers mouve-ments de latéralité. Les
muscles
des membres supérieurs ont des secousses qui ne p
aississement unilatéral du tissu sous-cutané, atrophie simultanée des
muscles
, intumescence de la mamelle et atrophie du testic
peuvent don-ner lieu à deux accidents consécutifs, la contracture du
muscle
sous-scapulaire et la luxation postérieure sous-é
lence de cette méthode. Les manipulations, en effet, agissent sur les
muscles
abdominaux en renforçant ou en remplaçant leur ac
emploiera surtout : 1° dans les cas où il y aura dé-faut d'action des
muscles
abdominaux ; 2° dans ceux où les con-tractions ut
tête de franchir le col, et de triompher de l'obstacle opposé par les
muscles
du périnée. C'est sans doute la publication de
En avant, après avoir disséqué les parois abdominales complètes, à
muscles
distincts, et les parois molles du thorax, formée
a portion sous-ombilicale. Le diaphragme est épais, complet, mais les
muscles
de la paroi thoracique et des membres supérieurs
doses toxiques, l'abo-lition de l'irritabilité électro-magnétique du
muscle
cadiaque, et enfin, à doses lentement toxiques, l
pendant qu'il dinait, il sent des mouvements con- vulsifs dans les
muscles
du côté droit de la face. Alarmé, il veut quitter
culaires sont libres mais il présente une légère ' parésie des deux
muscles
droits externes, ce qui lui provoque un léger str
itation qui prédominent : attaques d'épilepsie, tressaillements des
muscles
, tremblements et selon que l'écorce participe p
iabète, des ma- ladies des cornes ou des racines antérieures et des
muscles
, toutes affec- tions ayant par ailleurs une sym
riphériques ou des cor- nes et des racines antérieurs ou encore des
muscles
, avancer les proposi- tions suivantes : 1 Il
roit (sur le nerf facial) occasionnent des contractures de tous les
muscles
mimiques jusqu'à la narine et la com- missure (
ions respec- tives normales. L'indice radio-huméral est de 8'i, Les
muscles
épicondyltens sont très développés. Les mains p
les autres régions du corps, uotamment au tronc et à l'abdomen. Les
muscles
sont également d'un volume et d'une consistance
a.it pas que la propulsion du sang fût causée par la contraction du
muscle
cardiaque, mais qu'il l'attribuait à la dilatat
é- moire, mais elle réside aussi pour une part dans les nerfs etles
muscles
. C'est ce qu'il in- dique nettement en répondan
ment ses parties intérieuresetmesme aussi que tous les nerfs et les
muscles
y peuvent servir ; en sorte que par exemple, un
l'ai sentie autrefois eu le voyant » (1). Enfin le mouvement des
muscles
est déterminé par la glande et soumis à ses pro
uvement en notre cerveau qui con- duit les esprits animaux dans les
muscles
qui font abaisser les paupiè- res (1). » Mais
vers les pores du cerveau qui les conduisent par les nerfs dans les
muscles
, au moyen de quoi elle leur fait mouvoir les me
que je vous décris. aux tuyaux des machines de ces fontaines ; ses
muscles
et ses tendons aux autres divers engins et ress
nsi, les variations du coecum et de l'append ? sont nombreuses. Les
muscles
tendent à se dissocier ou à se réunir suivant la
esogne et le but qu'ils ont à remplir : aux membres supérieurs, les
muscles
se perfection- nent, ils se multiplient à cause
es lombaires et chez laquelle manquaient également les côtes et les
muscles
correspondant aux vertèbres absentes. ' On peut
t en extension et abduction, les autres doigts à demi-fléchis ; les
muscles
des éminences thénar et hypothénar, les interos
été attirée sur quelques tremblements fibrillaires, rares, dans les
muscles
de la jambe gauche. Le malade fait un deuxième
in et à l'avant- bras ; elle n'est pas appréciable à la vue sur les
muscles
du bras et de l'épaule. atrophie musculaire P
44 centimètres. b On constate des secousses musculaires dans les
muscles
du membre supé- rieur gauche, depuis la main ju
Triceps brachial gauche. NFC : 9 volts, 6 ma. PFC : 7 volts, 3 ma.
Muscles
radiaux à droite. NFC : 8 volts, 6 1/2 m i. PFC :
s radiaux à droite. NFC : 8 volts, 6 1/2 m i. PFC : 10 volts, 7 ma.
Muscles
radiaux à g;mclie. L'C : 9 volts, 4 ma. Il[-'C :
ences théuar ethypothénar : elle s'étend à la racine du membre; les
muscles
deltoïde et les muscles de l'omoplate y partici
r : elle s'étend à la racine du membre; les muscles deltoïde et les
muscles
de l'omoplate y participent. Seuls, les 'élévat
ques mois qu'il a perdu la possibilité d'écrire. Les mouvements des
muscles
du bras et de l'é- paule sont partiellement con
phie considérable du quadriceps crural et une atrophie en masse des
muscles
de la jambe. Les troubles moteurs qui en résulten
ec leurs ganglions spinaux, des troncs nerveux périphériques et des
muscles
choisis dans les régions les plus atrophiées (1
grêles ; ainsi, sur le nerf tibial antérieur (nerf qui innerve les
muscles
exten- seurs du pied très atrophiés et parésiés
e, notamment sur les filets nerveux intramusculaires des 290 LONG
muscles
extenseurs de l'avant-bras, on constate que la di
et les cellules ganglionnaires gardaient leur structure normale.
Muscles
. - Examen sur coupes transversales et longitudina
e. Muscles. - Examen sur coupes transversales et longitudinales des
muscles
de la loge antéro-externe de la jambe et des ex
res. Nous n'avons pas observé de transformation graisseuse dans les
muscles
examinés. Résumé DE l'observation clinique. -
inique. - Début de l'atrophie musculaire à l'âge de 53 ans, par les
muscles
de la main gauche ; la main droite est prise tr
bre supérieur gauche intéressé jus- qu'au deltoïde, une parésie des
muscles
de la main et de l'avant-bras droit', aux membr
et de l'avant-bras droit', aux membres inférieurs, une parésie des
muscles
de la jambe et de la cuisse, prédominante à gau
utanés et les racines postérieures sont presque indemnes . Dans les
muscles
, atrophie à divers degrés des fibres striées myos
ère, celle d'Eulenburg (début de l'atrophie à 29 ans par les petits
muscles
de la main, avec atteinte à 33 ans seulement de
des sujets est atteint dans la première enfance d'une atrophie des
muscles
des pieds et des jambes, avec extension plus ta
ypertrophiés. La soeur de ce ma- lade ne présente d'atrophie qu'aux
muscles
des mains. Ici contractions fibrillaires et dou
Gustave G., l'atrophie a commencé à l'âge adulte et a atteint t les
muscles
des jambes et ceux des mains et des avant-bras; m
n et à l'avant-bras,et apparition de contractions fibrillaires; les
muscles
des jambes n'ont été pris que deux ou trois ans
une atrophie progressive des membres supérieurs, commençant par les
muscles
des mains, tandis qu'aux membres inférieurs, on
vant la vingtième année ; chez d'autres sujets à 30 ou 40 ans ; les
muscles
de la main étaient pris les premiers, l'atrophie
ls le début par les extrémités des membres inférieurs, mais que les
muscles
des mains et des avant-bras peuvent être touché
La plus grande partie du travail est consacrée aux altérations des
muscles
que l'on considérait alors comme les lésions fond
le d'une atrophie progressive, datant de l'enfauce, intéressant les
muscles
des jambes et ceux de la main droite. A l'exame
s sont nota- blement moins dégénérées que les antérieures. Dans les
muscles
, myosite chronique interstitielle avec atrophie
fection, qui est familiale, avec début dans l'enfance, a frappé les
muscles
des jambes, puis ceux des mains, des avant-bras
al sont indemnes. Les troncs nerveux périphériques, jusque dans les
muscles
, ont un névrilème épais et un tissu conjonctif
elleuse et légère hypertrophie du tissu interfasciculaire. Dans les
muscles
, transformations variables depuis la diminution
on DE SIEMEJlL1NG (1). - Début de l'atrophie entre et 7 ans par les
muscles
des jambes, extension consécutive aux cuisses et
bolition des réflexes tendineux, tremblements fibrillaires dans les
muscles
intercostaux ; diminution des réactions électriqu
tion de SAINTON (2). - Début à l'âge de 42 ans par une atrophie des
muscles
de la main droite ; extension aux muscles de l'av
ans par une atrophie des muscles de la main droite ; extension aux
muscles
de l'avant-bras, au membre inférieur droit, pui
exagéré» du tissu interstitiel, tantôt état presque normal. Dans les
muscles
: lésions atrophiques très variables, inégaleme
ions sont plus fréquentes dans les nerfs intramusculaires. Dans les
muscles
: état lardacé, augmentation des noyaux du sarc
ar les extrémités des membres, vers l'âge de 20 ans ; extension aux
muscles
de la jambe, de la face antérieure de la cuisse
ilité dans tous ses modes. Réactions électriques diminuées dans les
muscles
atrophiés. Signe d'Argyll-Bobertson incomplet.
de fibres de petit calibre et de nombreuses gaines vides. Dans les
muscles
, lésions fascicu- laires d'intensité variable a
périnèvre et de l'endonèvre avec augmentation des noyaux. Dans les
muscles
, états variés de régression allant jnsqu'à la t
maire très étendu, frappant à la fois les centres, les nerfs et les
muscles
). Observation DE WESTPHAL (1).- Hérédité psycho
).- Hérédité psychopathique. Début de l'atro- phie à 12 ans par les
muscles
des jambes avec crampes fréquentes ; extension
ées. Observation de GIERL1CH (2). Hérédité similaire ; atrophie des
muscles
de la jambe, pied-bot ; aux membres supérieurs,
uscles de la jambe, pied-bot ; aux membres supérieurs, atrophie des
muscles
de la main, puis de l'avant bras, sensibilité i
on- flées ou absentes; épaississement du tissu conjonctif. Dans les
muscles
, tous les degrés depuis l'aspect presque normal
un plus faible degré dans les nerfs de la queue de cheval. Dans les
muscles
: atrophie ou transformation graisseuse des fibre
des lèvres, paralysie laryngée ; contractions fibrillaires dans les
muscles
des membres et de la face : abolition des réfle
rtrophique. Début à l'âge de 7 ans par une atrophie progressive des
muscles
des mem- bres inférieurs avec prédominance aux
line et des cellules multipolaires des cornes antérieures. Dans les
muscles
, atrophie simple, parfois transformation fibreu
gangue amorphe interstitielle. Vaisseaux sanguins épaissis. Daus les
muscles
, altérations régressives variables allant jusqu
u niveau de la main gauche, type Aran-Duclenne; extension lente aux
muscles
de l'avant- bras, du bras et de l'épaule gauche
t à huit ans après le début de la maladie, atrophie progressive des
muscles
de la main droite, atrophie consécutive incompl
des muscles de la main droite, atrophie consécutive incomplète des
muscles
de l'avant-bras. Rares secousses fibrillaires dan
des muscles de l'avant-bras. Rares secousses fibrillaires dans les
muscles
atrophiés. Intégrité des muscles du bras et de l'
es secousses fibrillaires dans les muscles atrophiés. Intégrité des
muscles
du bras et de l'épaule droits. Arrêt de la marc
liniques limitées, comme les nôtres, à des désordres trophiques des
muscles
; un aspect spécial des gaines de Schwann, anor
processus dégénéra tifs lents des centres nerveux, des nerfs ou des
muscles
. Dans ces maladies dites héréditaires (1), ou f
exclusivement sur les racines antérieures, les nerfs moteurs et les
muscles
; mais ceci ne crée nullement une différence fond
tologie de nos cas est restée limitée à des troubles trophiques des
muscles
et à de légères douleurs. L'anesthésie cutanée
égéné- rescence secondaire les troubles trophiques des nerfs et des
muscles
. Dans le débat qui s'est engagé, il y a plus de
atif a porté son action exclusive sur les centres nerveux. Pour les
muscles
, la même question se pose : leur atrophie est-ell
t des altérations des nerfs). Enfin il faut rappeler que dans les
muscles
et les nerfs on trouve (1) Ueber die spinal neu
obscure. lien est de même pour les contractions fibrillaires des
muscles
. Elles ont eu pendant toute la maladie, à l'exc
ut attri- buer la pathogénie de ces troubles de l'étal statique des
muscles
.. Le peu d'importance des lésions de l'axe gris
e durée, s'accompagnant de raideur des membres avec contracture des
muscles
. Ces douleurs sont spontanées, elles surviennent
et elle ne peut soutenir le malade, elle est plus atrophiée et les
muscles
fessiers sont touchés ; un examen électrique pr
par le Dr Huet décèle des troubles électriques bilatéraux dans les
muscles
innervés par le sciatique, surtout par le sciat
, avec maximum à gauche ; il existe de la D R très marquée dans les
muscles
péroniers. ~En 1906, le malade est examiné à no
imètres de moins que la droite au niveau de la partie moyenne : les
muscles
sont particulièrement mous au mollet et à la fa
s troubles moteurs sont apparus à la jambe droite, surtout dans les
muscles
innervés par le sciatique ; la sta- tion est to
gauche : on constate des contractions fibril- laires dans tous les
muscles
atteints et les troubles électriques sont très ma
ées ont presque disparu ; toujours pas de douleur à la pression des
muscles
et des troncs nerveux ; il existe une hypoesthé
s deux côtés, mais surtout à gauche. Les pieds sont tombants et les
muscles
in- nervés par les branches du sciatique, surto
du sciatique poplité externe, sont très atrophiés ; par contre les
muscles
innervés par le crural et l'obturateur sont mie
x territoires des deux nerfs sciatiques avec intégrité relative des
muscles
innervés par le crural, le territoire de l'anesth
es que celles du côté opposé. D'ailleurs on sent au toucher que les
muscles
corres- pondants de droite sont atrophiés et qu
le trophisme, les mouvements passifs et les mou- vements actifs des
muscles
de la ceinture scapulaire et des membres supérieu
sont atrophiées, mais l'atrophie est encore plus évidente dans les
muscles
de l'épaule et du bras, et ceux de l'avant-bras e
de l'avant-bras et de la main sont atrophiés à un degré moindre. Le
muscle
deltoïde est réduit à quelques fibres seulement
ien que moins volumineux qu'ils ne devraient l'être normalement, le
muscle
coraco-bracliial, le biceps brachial et le tric
cherche à en obtenir le plus d'effet possible en s'aidant d'autres
muscles
. Il arrive à fléchir com- plètement la main sur
ntaires et faradiques, on voit qu'à droite la force dégagée par les
muscles
de l'avant-bras est notable- ment moindre qu'à
oite. Je n'ai jamais remarqué de tremblements fibrillaires dans les
muscles
tant des membres que de la face. L'excitabilité
cours lent mais progressif,et exclusivement à droite : atrophie des
muscles
de la, face et, beaucoup plus tard, des muscles
oite : atrophie des muscles de la, face et, beaucoup plus tard, des
muscles
du cou, de la ceinture scapulaire, du bras et d
temps, à quelques an- nées de distance, également une atrophie des
muscles
de la cuisse. A gauche, aucun signe d'atrophie,
e. L'examen objectif a permis de faire ressortir que l'atrophie des
muscles
chez le sujet est d'autant plus grave qu'elle d
lus longtemps quant à ses premières manifestations, et qu'aussi les
muscles
atrophiés sont af- fectés d'une diminution de l
ion, altération d'autant plus évidente elle-même que l'atrophie des
muscles
est plus grave. L'on n'a jamais constaté de tremb
e. L'on n'a jamais constaté de tremblements fibrillai- res dans les
muscles
atrophiés. Aucun troublede la sensibilité. Les ré
a très lente évolution des atrophies à droite, affectant les divers
muscles
de la face tout d'abord ; l'extension des atrop
petit pectoraux, le biceps et le brachialis anticus, le groupe des
muscles
épicondyliens (les supinateurs, les extenseurs de
aux, et, en partie aussi, l'abducteur du pouce, les fessiers et les
muscles
de la cuisse. Qu'on ajoute à cela, qu'il n'y a
joute à cela, qu'il n'y a pas de tremblements fibrillaires dans les
muscles
atro- phiés. Il est opportun de faire remarqu
ue que nous venons d'énoncer. En effet, à droite, quelques nerfs ou
muscles
présentent une simple diminution d'excitabilité
ple diminution d'excitabilité galvanique et faradique (nerf facial,
muscle
cucullaire, muscles zygoma tiques, Ilocculus ment
citabilité galvanique et faradique (nerf facial, muscle cucullaire,
muscles
zygoma tiques, Ilocculus menti, biceps brachial
cteur du pouce, mus- cles interosseux dorsaux de la main). D'autres
muscles
(ou nerfs) présen- tent une abolition complète
t une abolition complète de l'excitabilité faradique et galvanique (
muscle
orbiculaire des paupières, deltoïdes, sus-épineux
mon cas, ce second élément était présent dans le premier groupe de
muscles
, comme je l'ai déjà indiqué. Il est certain que
e correspond en général au degré plus ou moins grand d'atrophie des
muscles
. Et outre, il ne faut pas oublier, fait qui se pr
er était frappé d'atrophie à droite et qu'il 1 en était de même des
muscles
abdominaux, ces derniers au point que la cicatr
licale était déviée à gauche. Il faut signaler aussi l'atrophie des
muscles
de l'éminence thénar, du court abducteur du pouce
Churchill, 1899, V. I, 3' éd., p. 590. (2) Mamnesco, Maladies des
muscles
. Traité de médec.Brouardel-Gilbcrt t. X,Paris,
ordance qu'il y a entre la diminution de la contraction réflexe des
muscles
et la conservation de leur volume dans la dystrop
chercher l'explication dans les altérations dont sont affectés les
muscles
qui prennent part à ces réflexes. Il me semble qu
blement unilatérale, de- puis si longtemps. Un examen minutieux des
muscles
de l'épaule gauche ferait soupçonner que peut-ê
ce côté-là commence aussi à être affecté d'une atrophie de quelques
muscles
de la ceinture scapulaire. Cela nous enseigne q
pulaire. Cela nous enseigne que la monolatéralilé de l'atrophie des
muscles
dans la dystrophie musculaire progressive, même
r quelle raison un trouble chimiotaxique devrait plutôt frapper les
muscles
d'un côté à l'exception de ceux du côté opposé.
s cellules trophomotrices des cornes anté- rieures de la moelle aux
muscles
du squelette. Parfois la dégénérescence commenc
ux muscles du squelette. Parfois la dégénérescence commence par les
muscles
de la périphérie et peut s'y arrêter ; parfois
cence secondaire des racines anté- rieures des nerfs moteurs et des
muscles
. La première éventualité se réalise en général
esseur Pierre Marie. L'ATROPHIE ISOLÉE NON PROGRESSIVE DES PETITS
MUSCLES
DE LA £ MilIN ' FtiÉQUENCE relative ET PATITOGÉ
nous avons étudiés, il s'agit d'amyotl'o- phies isolées des petits
muscles
de la main, pouvant déterminer soit la main typ
complexes dont le lien commun est la limitation stricte aux petits
muscles
de la main, et l'absence de progression des sym
es en un mot des atrophies iso- lées et non progressives des petits
muscles
de la main. , Ces atrophies isolées ne sont pas
sayHunt publie trois cas d'amyotrophie non pro- gressive des petits
muscles
de la 'main et les rattache à des névrites par
ées dans nos cas d'amyotrophie isolée et non progressive des petits
muscles
de la main, et ceci et priori se conçoit. En ef
mais plus haut placée. L'ATROPHIE ISOLÉE NON PROGRESSIVE DES PETITS
MUSCLES
357 plète et et linéaire; il peut laisser à sa
e ligne de tissu cica- L'ATROPHIE ISOLÉE NON PROGRESSIVE DES PETITS
MUSCLES
359 triciel lâche et c'est cet effondrement de
iculaire postérieur. (.'arnol'uf; ISOLÉE non PROGRESSIVE DES PETITS
MUSCLES
Bit 1 Il existe donc deux territoires médullair
clans un état de conservation aussi remarquable que les fibres d'un
muscle
qui a normalement fonctionné. En résumé, on est
t de la langue : il existe également du tremblement fibrillaire des
muscles
de la face quand le malade ferme les yeux. Pas
court que le gauche et atrophié. Le gauche présente l'atrophie des
muscles
du thénar et de l'hypothénar et des muscles de la
présente l'atrophie des muscles du thénar et de l'hypothénar et des
muscles
de la face antérieure de l'avant-bras. Les mouv
e que la flexion. On observe des contractions fibrillaires dans les
muscles
de l'avant-bras. Le réflexe du muscle triceps e
ctions fibrillaires dans les muscles de l'avant-bras. Le réflexe du
muscle
triceps et du périoste est assez vif. Membres i
énar de même que ceux de l'avant-bras sont atrophiés. Le réflexe du
muscle
triceps manque. Le réflexe périostal est faible
ucher comme sur la figure 3. 1t. Au côté gauche du cou, derrière le
muscle
sternocléido-mastoïdien, gonflement de la peau
moment de l'entrée du malade à l'hôpital était l'atrophie de petits
muscles
de la paume gauche du type Aran-Duchenne avec r
paume gauche du type Aran-Duchenne avec réaction de dégénérescence (
muscles
de l'éminence thénar, hypothénar et interosseux
es raci- nes antérieures suffisent à expliquer l'atrophie de petits
muscles
de la main gauche avec réaction partielle ou to
de dégénérescence, ainsi que l'affaiblissement des fonctions de ces
muscles
de la main et de l'avant-bras gauche. La compre
dans l'ob- servation clinique des symptômes tels que l'atrophie des
muscles
de la main gauche du type Aran-Duchenneetdes tr
ffaiblissement nota- table des membres supérieurs et d'atrophie des
muscles
du type Aran-Du- chenne, les réflexes tendineux
t. Au repos la trépidation ne se produit pas, mais on voit dans les
muscles
des épaules, du bras et de l'avant-bras du côté
on voit une contraction partielle et'minime des radiaux et d'autres
muscles
voisins, qui ne donne aucun mouvement appréciab
sur la région supérieure de la face dorsale de l'avant-bras, sur le
muscle
extenseur commun des doigts, on obtient un mouv
n peut seulement l'avoir en percutant très doucement en haut sur le
muscle
extenseur commun. Le réflexe du biceps est très
une légère contraction partielle, non seulement des radiaux et des
muscles
voisins, mais aussi du long supinateur, sans que
- core plus nette. Même en percutant très doucement en haut, sur le
muscle
extenseur commun, les doigts se fléchissent plu
citabilité faradique et galvanique des nerfs et de presque tous les
muscles
du bras et de l'avant-bras du côté droit. Aucun
ononcée des masses sacro- lombaires et des interosseux et moins des
muscles
des fesses et des bras. Sen- sibilité parfaite.
ne du peaucier de Babinski.. " Le VIe nerf droit est paralysé et le
muscle
droit interne de l'oeil gauche semble être paré
fesseur Pierre Marie L'ATROPHrE ISOLÉE NON PROGRESSIVE DES PETITS
MUSCLES
DE LA MAIN FRÉQUENCE RELATIVE ET PATHOGÉNIE.
nce des atrophies musculaires isolées non progressi- ves des petits
muscles
de la main. Nous avons vu quelles étaient les lés
hie de l'éminence hypothénar du même côté, une atrophie modérée des
muscles
interosseux avec amaigrisse- ment et dépression
ment et dépression au niveau des espaces. Les mouvements des petits
muscles
delà main se font sans force, l'opposition du p
exécu- tée. Il en est de même des autres mouvements du pouce et des
muscles
inter- osseux. A l'examen électrique, on cons
rique, on constate une réaction de dégénérescence complète pour les
muscles
de l'éminence thénar (abolition de la contractili
GRESSIVE DES PETITS MUSCLES 431 et galvanique), incomplète pour les
muscles
de l'éminence hypolhéuar et les interosseux.
ésente également à étudier deux choses : 10 Une atrophie des petits
muscles
de la main gauche. 2° Une hémiplégie droite, ap
ale survenue longtemps après l'amyotrophie. L'atrophie des petits
muscles
de la main n'a été observée que dans les der- n
ur elle. Elle a débuté 6 ans auparavant sans grande douleur par les
muscles
du pouce. Le malade attribue cette amyo- tropbi
est nettement prédominante au niveau de l'éminence thénar. Tous les
muscles
sont frap- pés surtout l'opposant et le court a
eu amaigrie, mais il est impossible d'affirmer une amyotrophie. Les
muscles
de l'avant-bras et du bras sont res- pectés des
ctement limitée à l'éminence thénar, à l'éminence hypothénar et aux
muscles
inter-osseux du côté gauche. Nous renvoyons plu
,température 0°7. En résumé : Atrophie musculaire isolée des petits
muscles
de la main. Cette atrophie est limitée aux émin
oelle étaient indemne. L'ATROPHIE ISOLÉE NON PROGRESSIVE DES PETITS
MUSCLES
435 été examiné avant sa mort. A l'autopsie, on
extrêmement marquée de éminence thénar et hypothénar ainsi que des
muscles
interosseux. Les muscles de l'éminence thénar, no
minence thénar et hypothénar ainsi que des muscles interosseux. Les
muscles
de l'éminence thénar, notamment l'abducteur et
électrique montre une abolition de l'excitabilité élec- trique des
muscles
de l'éminence thénar et hypothénar du côté droit.
côté droit. Du côté gauche, la contraction se fait normalement. Les
muscles
de l'avant-bras et du bras paraissent égaux des
te une atrophie de date ancienne isolée et non progressive des petits
muscles
de la main. Cette atropliie est limitée au côté
raisse intra-nerveuse. L'ATROPHIE ISOLÉE NON PROGRESSIVE DES PETITS
MUSCLES
437 grêles que les correspondantes du côté gauc
TITS MUSCLES 437 grêles que les correspondantes du côté gauche. Les
muscles
thénar et hypothé- nar du côté droit sont cepen
uchenne. Elle est bilatérale plus marquée à gauche et porte sur les
muscles
thénariens,hypothénariens et interos- seux. Vue
ce, l'éminence thénar est aplatie, effacée, la peau ridée. Tous les
muscles
participent à cette amyotrophie, qui permet la pa
e, métacarpien ; l'adducteur est peut-être encore plus touché que les
muscles
thénariens proprement dits (PI. LXI). Il en e
ie thénarienne et hypothénarienne, plus marquée du côté gauche. Les
muscles
des membres supérieurs, avant-bras, bras et épa
leur niveau. On n'en constate d'ailleurs pas de nets au niveau des
muscles
des mains. Rien d'anormal il la face, au thorax
. Obs. V. Type diffus. Atrophie ISOLÉE NON progressive DES PETITS
MUSCLES
DE la main ('Pierre Marie et C. Foix). l'atro
rre Marie et C. Foix). l'atrophie isolée NON progressive DES PETITS
muscles
439 nifestations de D. R. à une période avancée
, mais elle est très diminuée. L'excitabilité faradique directe des
muscles
de l'émiuence hypothénar est aussi très diminué
si très diminuée, mais non abolie. L'excitabilité galvanique de ces
muscles
est très diminuée avec inversion polaire,sans gra
de la D. R. moins avancée. L'excitabilité galvanique directe des
muscles
de l'éminence thénar, est moins diminuée, les C
]'hypoexcitabi ! ité faradique et galvanique par le nerf et sur les
muscles
, sans altération qualita- tive de D. R. Dans
à peu près complète, faradique et galvanique sur le nerf et sur les
muscles
dans le domaine du cubital à la main. Même état
rophie siégeant uniquement à droite et pré- dominant sur les petits
muscles
de la main et surtout sur les interosseux. Le d
u palmaire cutané. On ne peut pas déterminer la contrac- tion de ce
muscle
par pression sur le pisiforme alors que ce réllex
e mixte frap- pant à la fois l'éminence tbénar et hypothénar et les
muscles
interosseux. L'examen clinique a été confirmé p
du Dr Delherm. Territoire du cubital : Inexcitabilité faradique des
muscles
adducteurs du pouce, hypothénar, interosseux à
hypothénar, interosseux à droite ; concentrations lentes des mêmes
muscles
au galvanique (avec 40 M. A. pour hypothénar).
mêmes muscles au galvanique (avec 40 M. A. pour hypothénar). Les
muscles
de la main innervés par le nerf médian présentent
un peu dimi- nuée. En somme, atrophie et affaiblissement nets des
muscles
de l'éminence thé- nar à gauche surtout de l'ab
Atrophie et affaiblissement légers de l'éminence hypothénar et des
muscles
interosseux. La sensibilité de la main est no
é pour la même raison. L'ATROPHIE ISOLÉE NON PROGRESSIVE DES PETITS
MUSCLES
443 3 Sensibilité normale, marche bonne. Rien d
de l'albumine rachidieune. Lym- phocytose. B) Atrophie des petits
muscles
de la main : Remonte également à un an environ.
rmales, du côté droit : abolition de la contractilité faradique des
muscles
de l'éminence tbé- nar et des interosseux, nota
et l'opposant. Hypoexcitabilité et réactions lentes dans les mêmes
muscles
au courant gal- vanique. En résumé, c'est un
s nerveuse, à type de tahes supérieur. Atrophie isolée des petits
muscles
de la main du côté droit. Il est difficile de d
ie : la prédominance unilatérale ; la limitation stricte aux petits
muscles
de la main. Au point de vue de l'évolution : la
droite est touchée 2 fois sur 3. La limitation stricte aux petits
muscles
de la main constitue un carac- tère absolu et -
ophie, il n'y a pas d'affaiblissement ou de paralysie nota- ble des
muscles
de l'avant-bras. Lorsque ces symptômes existent,
réaliser une maind'Aran-Duchenne presque complète,et cependant les
muscles
de l'avant-bras demeurent complètement indemnes
ons faradiques et galvaniques. Cette dernière est de règle dans les
muscles
les plus atteints. Ces troubles sont importants
la suite. Ces douleurs L'ATROPHIE ISOLÉE NON PROGRESSIVE DES PETITS
MUSCLES
447 sont notées dans deux de nos cas anatomo-cl
centre du réflexe radial étant situé au-dessus du centre des petits
muscles
de la main. 118 P. MARIE ET FOIX Quelle que s
de l'état des réllexes, l'atrophie isolée non progressive despetits
muscles
de la main constitue par son siège, ses réactio
tabétique de Joffroy, et chez qui l'atrophie bilatérale des petits
muscles
de la main, s'accompagne d'a- myotrophie consid
ement névritique et non pas d'atrophie musculaire isolée des petits
muscles
de la main. L'atrophie isolée non progressive p
cornes antérieures. l'atrophie ISOLÉE 1\0l'\ PROGRESSIVE DES PETITS
MUSCLES
li 41) A cette atrophie s'ajoutent des lésions
t unila- téral, toujours asymétrique, strictement limité aux petits
muscles
de la main, parfois môme à un seul groupe, thén
te antérieure aiguë, l'atro- phie isolée non progressive des petits
muscles
de la main peut reconnaître comme cause une lés
er ce diagnostic ? Pas l'atrophie isolée non progressive DES PETITS
MUSCLES
451 davantage, et notamment il en était ainsi d
logique, 1904, p. 802, l'atrophie isolée non progressive DES petits
muscles
153 3 Merle (P.). - Atrophie musculaire progres
e supérieur se généralisaient à tout le corps, avec contraction des
muscles
de la face. Cependant la malade, plongée dans un
tre par des crises convulsives généralisées, avec participation des
muscles
de la face, et contraction de l'orbiculaire des p
hrie. Propos incohérents. Tremblements des mains, de la langue, des
muscles
du visage. Suit depuis le 9 novembre-J6 décembr
diminution prononcée du réflexe lumi- neux. Tremblements dans les
muscles
faciaux, dans la langue et les doigts. Dy- sart
é négatif en tout point ; pas de diminution de l'exci- tabilité des
muscles
et des nerfs ; pas de réaction de dégénérescence.
ère, nous ne pouvons rapporter ni à la moelle, ni aux nerfs, ni aux
muscles
l'origine de ces troubles trophiques. Il nous s
, par de CASTRO, 265 Atrophie isolée non progressive des petits
muscles
de la main, fréquence relative et pathogénie .
UMENT1É, : 109. Main (Atrophie isolée non progressive des petits
muscles
de la -, fréquence relative et pathogénie . Tép
, 76. Téphromalacie (Atrophie isolée non progres- sive des petits
muscles
de la main, fré- quence relative et pathogénie.
démarche (A. DE CASTRO), XXXV à XXXVI. Atrophie isolée des petits
muscles
de la main (Marie et Foix), LXI. Barbier pédi
rdination motrice domine avec une hypotonicité générale de tous les
muscles
. Aux membres supérieurs, les phénomènes observé
mentaire relativement conservée, hypotonicité très nette des divers
muscles
, pas d'atrophie musculaire, réflexes osseux et te
t. D... ne se tient debout que par la volonté qui tétanise tous les
muscles
de la station. Une brusque et légère secousse s
er son thorax sur sa glotte fermée et sta- biliser sur celui-là les
muscles
péri-scapulaires. Mais ce mouvement de contrac
tion si merveilleuse et si com- plexe qu'est la marche, bien peu de
muscles
sans doute ne prennent pas part ; mais nous ne
vements musculaires à l'aide de tambours appliqués à la surface des
muscles
est un procédé d'un emploi peu pratique ici et
ans leurs rapports avec l'état de contraction ou de relâchement des
muscles
. Les muscles des membres inférieurs sont loin d
rts avec l'état de contraction ou de relâchement des muscles. Les
muscles
des membres inférieurs sont loin d'être les seuls
he ; ceux du tronc y concourent activement, et en par- ticulier les
muscles
du dos. La masse sacro-lombaire se contracte à ch
s efforcé : 1° d'établir d'une façon exacte le moment précis où les
muscles
spinaux entrent en contraction dans le pas ; 2°
ce qui m'a décidé à publier cette note. Anatomie. Historique. - Les
muscles
qui nous intéressent ici sont réunis par les an
nous intéressent ici sont réunis par les anatomistes sous le nom de
muscles
spinaux : ils occupent, à la partie postérieure
iliaque et du sacrum à la 126 côte, au niveau de laquelle les deux
muscles
se séparent. Le sacro-lombaire, le plus externe
rans- versccires, qui sont les plus importants. Ces deux derniers
muscles
vont en diminuant de volume vers le haut. Bien
ux sacro-lombaires et longs dorsaux de cha- que côté comme un vaste
muscle
pair et symétrique, extenseur du tronc quand il
uci). Duchenne de Boulogne ne s'est point occupé de l'action de ces
muscles
dans la marche; il les désigne seulement comme
un gonflement ou uneaugmen ta tion manifeste deconsistance dans les
muscles
vertébraux cor- respondant au côté dont le pied
et reste suspendu ; l'autre gonfle aussi, mais beaucoup moins, les
muscles
du côté correspon- dant au pied immobile. Ces d
mier « effort d'élévatiort.»,parceqn'il est dû à la contraction des
muscles
sacro-spinaux qui font effort pour élever et fi
Gerdy que nous venons de rapporter. Il a inscrit les mouvements des
muscles
sacro-lom- baires en se servant d'un tambour ex
de la jambe oscillante, et le deltoïde..... (1). » Contraction des
muscles
sacro-lombaires pendant le pas. - Comme l'a trè
crête iliaque. A chaque pas, on perçoit ainsi le durcis- sement du
muscle
se produisant alternativement à droite et il gauc
sur le sol ; et à ce moment même, comme le dit Gerdy, la tension du
muscle
est assez forte pour qu'on la sente à travers l
y parlait d'une nouvelle contraction se produi- sant dans les mêmes
muscles
du côté portant, mais moins énergique (effort d
ire, où il m'a semblé qu'elle était suppléée par la contraction des
muscles
grands droits de l'abdomen. Configuration des r
u dos ne peut nous renseigner d'une façon com- plète sur l'état des
muscles
spinaux, puisque l'un d'entre eux est profon- d
nt de chaque côté de la ligne mé- diane du rachis. Parfois les deux
muscles
sont séparés par un sillon vertical très appréc
e varie seulement un peu suivant les sujets. Chez les individus peu
muscles
ou gras, les deux cotes supérieurs, répondant au
transversaux cuta- nés, qui, selon lui, indiquent le relâchement du
muscle
sous-jacent. Le sujet vient-il a cambrer le tro
à fléchir le tronc en avant, au contraire, les plis s'effacent, le
muscle
devient dur et s11llant comme une corde : notre
A. Moment de la verticale (jambe droite oscillante) Contraction des
muscles
spinaux du côté droit. B. Pas antérieur (jamb
rtant conservant la configuration qui caractérise le relâchement du
muscle
. c) Suivons l'oscillation delà jambe dans le pa
à l'autre, même quand celles-ci sont t très rapprochées. Rôle des
muscles
spinaux dans l'équilibration du tronc pen- dant
eur du même côté. A priori cette opinion n'est guère admissible. Le
muscle
sacro-lombaire qui s'insère tout au plus au 1/5
a masse sacro- lombaire pendant la marche. Ainsi,' non seulement le
muscle
en question n'élève pas le bassin pendant l'osc
isse du côté oscillant. Reste à décider, entre les deux actions des
muscles
spinaux sur la colonne vertébrale, extension et
t allusion plus haut à l'intervention possible, dans la marche, des
muscles
spinaux à litre d'extenseurs du tronc (marche inc
51. 58 LAMY bilatérale, qui parait avoir pour siège bien plus les
muscles
profonds (trans- versaires épineux) que tesacro
OLE DES MUSCLES SPINAUX DANS LA MARCHE NORMALE CLIE7 L'HOMME 59 ces
muscles
on ! pour effet en se contractant, non point d'in
1) ? Il eût été intéressant de rechercher comment se comportent les
muscles
spinaux dans la marche dans un certain nombre d
tats pathologiques. Nul doute par exemple que l'insuffisance de ces
muscles
ne contribue, pour une part au moins, à la déma
sible aussi que, chez les grands ataxiques, l'incoordination de ces
muscles
joue un rôle dans les troubles de la marche.
que, tant que la marche est possible sans appui, les fonctions des
muscles
spinaux sont au moins relativement conservées.
donné. En terminant cette étude, je signalerai les contractions des
muscles
de la nuque pendant la marche. On peut en faire
tion sur soi-même, en appliquant la pulpe des doigts réunis sur les
muscles
de la nuque pendant la marche. On sent nettemen
ur les muscles de la nuque pendant la marche. On sent nettement ces
muscles
se gonfler et se durcir à chaque pas, surtout d
difficile qu'à la région lombaire, en raison de la multiplicité des
muscles
de la région. Mais il semble bien que les contr
facile d'observer chez le cheval par exemple. Conclusions 1° Les
muscles
spinaux (sacro-lombaires et long dorsal) se contr
n. Cette attitude est maintenue par la con- traction permanente des
muscles
des gouttières vertébrales d'une part, du ten-
r sénile de leurs articulations, et au défaut de vi- gueur de leurs
muscles
. Quelques-uns cependant se plaignent d'éprouver d
hoses dues à l'affaiblisse- ment musculaire portant surtout sur les
muscles
extenseurs du tronc, sans doute parce que leur
niles, celles où le squelette perd de sa résistance, celles où les
muscles
perdent de leur tonicité. Survenant à un âge
mais il n'en a ni le début précoce, ni la scoliose, ni le pied-bot.
muscles
de la face et de la langue. Il n'est toujours sur
ue constamment observés dans l'hérédo-ataxie : pas de paralysie des
muscles
extrinsèques, pas de modification des réactions
eumogastrique surtout est très grêle, d'une coloration grise. Les
muscles
sont un peu infiltrés, jaunâtres. Du côté des o
tes, mais n'ont pas subi d'altération bien appréciable. g) Nerfs et
muscles
. Les nerfs périphériques, bien que petits, ne pré
ylite. Au cours de l'observation se développèrent une paralysie des
muscles
droits interne et inférieur de l'oeil droit, un
ents volontaires sont normaux. Il n'y a pas de trace d'atrophie des
muscles
d'un côté ni de l'autre. Examen de la sensibili
rtaine ouverture, mais cela tient à la suppléance fonctionnelle des
muscles
frontaux et encore à un degré très remarquable
egard tout en étant animés de petites secousses nystagmiformes. Les
muscles
droits externes sont valides et les deux yeux son
ur la ligne médiane. Il n'y a pas de contractions fibrillaires, les
muscles
du pharynx se contrac- tent assez bien, le mala
rand d'exophtalmie paralytique, les yeux sont très saillants et les
muscles
frontaux donnent une bonne suppléance fonctionn
, incontinence d'urine et des matières. 11 février. Relâchement des
muscles
frontaux, le ptosis est complet ; en soulevant
; d'autre part, en étudiant bien les caractères de la paralysie des
muscles
des yeux dans nos cas, parfaitement bilatérale et
dans nos cas, parfaitement bilatérale et symétrique, l'atteinte des
muscles
intrinsèques et les troubles profonds de la sensi
Une pareille lésion nous renseignait très bien sur la paralysie des
muscles
des yeux, musculature interne y comprise, mais
ectement parmi les faisceaux radiculaires de la IIIe paire jusqu'au
muscle
droit interne du côté opposé. C'était, si l'on
royons pas en effet que ces fibres parviennent directement jusqu'au
muscle
droit interne, car dans nos trois faits le tronc
ce d'une rela- tion directe entre les noyaux de la VIe paire et les
muscles
droits inter- nes. Nos faits viennent donc légi
monde extérieur, que toutes les diverses parties : oeil, oreilles,
muscles
de la face et du cou; doivent être réunies dans
des tubercules quadrijumeaux ou de leur voisinage, la paralysie des
muscles
des yeux porte de préférence sur tous les autres
paralytique bilatérale, associée à l'insuffisance fonctionnelle des
muscles
masticateurs, sans lésions sur nos coupes des n
lapoliencéphalite supérieure subaiguë ou chronique ; alors tous les
muscles
des yeux étant paralysés, le relâche- ment des
ors tous les muscles des yeux étant paralysés, le relâche- ment des
muscles
droits peut entraîner un certain degré d'exophtal
othéliales et augmentation du tissu conjonctif interfasciculaire.
Muscles
. L'état des muscles est en rapport avec la paraly
entation du tissu conjonctif interfasciculaire. Muscles. L'état des
muscles
est en rapport avec la paralysie. Le jumeau dro
Martinotti (1), qui vit, chez un acromégalique de 26 ans, dont les
muscles
étaient très .volumineux, des gouttes de graiss
une forme a)Kyo- trophique. Joffroy et Achard ont trouvé dans les
muscles
un épaississement léger du tissu conjonctif ; l
Les creux sus et sous-claviculaires droits sont très accusés. Les
muscles
peauciers droits sont tendus et soulèvent la peau
u, comme des cordes, alors qu'à gauche ils ne s'accusent pas. Les
muscles
pectoraux droits semblent un peu diminués de volu
que réelle, chaque hémi-thorax ayant les mêmes dimen- sions. Les
muscles
du bras droit ne paraissent pas atrophiés. Palp
ut-être un peu moins accusée; qu'il y avait une légère atrophie des
muscles
de la paroi thora- cique, surtout du grand dent
culaires. D'après cet auteur, le spasme fonctionnel atteindrait les
muscles
interosseux, les extenseurs et les fléchisseurs d
quelconque, comme la parésie ou la paralysie de quelques-uns de ces
muscles
, le tremblement localisé, une altération de l'irr
te même un cas, où il a trouvé quatorze plaques de myosite dans les
muscles
de l'avant-bras malade.La plupart des neurologi
dre l'avant-bras pendant l'écriture, afin d'éviter le con- tact des
muscles
contracturés avec la table. L'ataxie professionne
ofessionnelle exclusivement aux troubles locaux du membre, dont les
muscles
sont atteints de parésie ou de contracture, les
spasme. Leur écriture est une conséquence du manque d'éducation des
muscles
, qui forment l'appareil de l'écriture. Le jour
ont raison d'attirer l'attention sur la modification subie par les
muscles
des doigts. Il est évident que c'est dans la mo
extenseurs et des interosseux. Cette diminution de tonicité de ces
muscles
est la seule cause de l'écriture présentée par la
e des écrivains. Au sur et à mesure, que la tonicité musculaire des
muscles
atteints augmente, nous procédons à la rééducat
emploie pour la galvanisation locale et permanente des nerfs et des
muscles
affectés, le courant faible à travers la moelle
courant faible à travers la moelle épinière et la faradisation des
muscles
. Meyer a obtenu deux guérisons par la faradisatio
n des muscles. Meyer a obtenu deux guérisons par la faradisation de
muscles
exten- Fig. 6. - Paralysie radiculaire guérie.
aucun résultat satisfaisant. La ténotomie s'adresse en général aux
muscles
fléchisseurs qui, en majeure partie, se trouvent
suscité plusieurs confrères à s'occu- per du traitement direct des
muscles
, atteints soit de paralysie, soit de contrac- t
, l'affection dépendrait des altérations des fibres musculaires des
muscles
de l'avant-bras et de la main intéressée ; à sa
t-bras et de la main intéressée ; à savoir : les interosseux et les
muscles
de l'éminence thénar. Pour Poor la crampe profe
crampe professionnelle serait un résultat direct de l'affection des
muscles
de l'avant-bras et des interosseux ; Cederschjold
posa de provoquer une irritabilité des troncs nerveux en massant les
muscles
avec les extrémités d'un ou de plusieurs doigts
36 séances. Nordstrâen obtint des résultats positifs, en massant les
muscles
, de l'avant-bras et les interosseux. Il employa
tifs avec résistance ; 3° en massage des nerfs et 4° en massage des
muscles
. Schreiber,Bum, Zabludowski, R. Vigouroux, etc.,o
st extrêmement variable, afin d'agir par son action directe sur les
muscles
atteints et par son influence indirecte sur l'éta
ues et sur le traite- ment des hémiplégiques, à savoir : masser les
muscles
en hypotonie et laisser tranquilles les muscles
savoir : masser les muscles en hypotonie et laisser tranquilles les
muscles
en hypertonie. Nous massons par conséquent les ex
er la contractilité de la fibre musculaire, montre que, lors- qu'un
muscle
est en contracture, sa tonicité musculaire est au
ractilité musculaire augmentera sa contracture. Par contre, dans un
muscle
en hypotonie, l'aug- mentation de la tonicité'
usculaire antagoniste. L'expérience nous a montré qu'en massant les
muscles
parésiés ou atrophiés et en laissant en repos a
es muscles parésiés ou atrophiés et en laissant en repos absolu les
muscles
contractures, nous avons toujours obtenu une au
vons toujours obtenu une augmentation de la tonicité musculaire des
muscles
en hypotonie et, consécuti- vement, l'équilibre
LA CRAMPE PROFESSIONNELLE 225 extenseurs, les interosseux et les
muscles
des éminences thénar et hypothénar, quand ces d
mécanique, qui nous permet d'obtenir une trépidation régulière des
muscles
iiittros ? eux. situés profondément. Pour les opp
te disposition nous permet de suivre la masse charnue de ces petits
muscles
entre leurs points d'insertion. Pour mettre eu
on seulement à rééduquer la façon d'écrire, mais aussi à mettre les
muscles
spasmodiques en inacti- vité. Pour obtenir ce r
diques en inacti- vité. Pour obtenir ce relâchement de l'action des
muscles
contractures nous faisons apprendre à nos malad
e. Nous supposons que pendant l'écriture avec la main renversée les
muscles
, qui subissent l'action spasmodique, se trouvent
chaque bâton on fait prendre de l'encre, ceci permet de tendre les
muscles
contracturés et d'éviter ainsi la possibilité d'u
emps en temps il a des crampes, des soubresauts douloureux dans les
muscles
de la jambe et du pied, rarement dans ceux de l
ion. Krecke attribue cette déviation à la nécessité de relâcher les
muscles
et les ligaments en certains 'points particuliè
VEC LOMBO-SCIATIQUE DROITE 239 l'inaction voulue ou instinctive des
muscles
fessiers et lombaires du côté malade.... « Il
essiers et lombaires du côté malade.... « Il est possible que les
muscles
lombaires soient contractures du côté malade sa
hidienne de ce côté.... « Cela tient Ù ce que la contracture de ces
muscles
ne peut pas contre- balancer l'action de tous l
re de ces muscles ne peut pas contre- balancer l'action de tous les
muscles
du côté sain, lesquels agissent éner- giquement
ade est guéri, doit être rapportée à une contraction permanente des
muscles
sains, compara- ble, à beauconp d'égard, aux sp
ôté sain, la scoliose homologue est produite par la contracture des
muscles
du côté malade... « Le spasme musculaire peut ê
la partie supérieure du sciatique ; elle a pour but de relâcher les
muscles
pelviens. t Ludwig Mann (2) croit à la paralysi
er les muscles pelviens. t Ludwig Mann (2) croit à la paralysie des
muscles
de la masse dorso- lombaire, du côté malade pou
côté opposé pour la scoliose homologue. Lorsqu'il y a paralysie des
muscles
abdominaux, la scoliose se complique de lordose
douleurs sur le trajet du sciatique ont disparu, la contracture des
muscles
extenseurs du tronc d'un côté ou de l'autre, l'
scoliose sciatique serait ainsi causée par un état spasmodique des
muscles
dprso-lombaires, relevant d'une inflammation de
nce musculaire dans toutes les affections dou- loureuses. 1 . Des
muscles
, dont les nerfs ne sont nullement intéressés, peu
nu tel qu'il est impossible de comprendre ce que dit le malade. Les
muscles
de la face et de la langue sont le siège d'un tre
ossifiée de la grosseur d'un haricot et complètement enfouie dans le
muscle
. L'examen du pus et des cultures' révèle la pré
otivité exagérée. Lorsqu'on étudie le fonctionnement des différents
muscles
, on voit qu'aucun n'est paralysé ; mais leur co
n point d'appui auquel elle se cramponne avec les mains. Tous les
muscles
sont également frappés de la même asthénie. Il en
ntéresse l'ensemble de la musculature (membres, colonne vertébrale,
muscles
masticateurs et orbitaires de la face). Elle se
de la face). Elle se marque également au niveau de la langue et des
muscles
phonateurs ; la fatigue vocale est facile et ra
sclérose. 252 DUPRE ET PAGNIEZ Nous avons examiné un fragment de
muscle
provenant du thyro-hyoïdien : les fibres muscul
es ne sont pas constantes et Goldflam, en particulier,examinant les
muscles
par biopsie, n'a rien trouvé dans deux cas. L
phérique ; lympho-sarcome du thymus et infil- tration lymphoide des
muscles
. 254 DUPRÉ ET PAGN1EZ blables néoplasmes ne p
uche du visage après l'ingestion d'écre- visses, fit un extrait des
muscles
de ces animaux et en fit une injection dans le
motrice étudiées par Heidenhain, sont précisément : les extraits de
muscles
d'écre- visses, de têtes de sangsues, de corps
ngestion et l'absorption d'un lymphagogue de la première catégorie (
muscles
d'écrevisses). Mais c'est à propos de ces derni
que ce fragment sur la radiographie. L'exploration électrique des
muscles
de l'épaule, faite au courant faradique par M.
erm, dans le but de rechercher leurs insertions, montre que pour le
muscle
sterno-cléido-mastoïdien il existe en dehors du f
ntre le déplacement des fragments à la suite de l'excitation de ces
muscles
. La contraction des muscles est normale, il n'y a
ments à la suite de l'excitation de ces muscles. La contraction des
muscles
est normale, il n'y a pas d'atrophie appréciabl
i peut même manquer comme chez notre petit t garçon. L'action des
muscles
de la ceinture scapulaire est le plus souvent nor
le 1er cas de Shermann la deltoïde est très atrophiée ainsi que les
muscles
sus et sous-épineux. Le reste du muscle est pre
ès atrophiée ainsi que les muscles sus et sous-épineux. Le reste du
muscle
est presque toujours normal. 5° La portion clav
ier, Gegenbaur s'est demandé si les points d'insertion manquant, ce
muscle
pouvait persister ; chez le 3° individu du cas
à cette absence. Scheuthauer décrit par contre dans son autopsie un
muscle
sous-clavier hypertrophié qui nais- sait de la
e basant sur l'absence de troubles de la déglutition, pense que les
muscles
sterno-thyroïdien et sterno-cléido-hyoïdien ne
t non seulement dans le tissu nerveux, mais encore dans les os, les
muscles
et d'autres tissus ; il reconnaît qu'ils sont plu
. Tremblement des lèvres dans l'effort pour ouvrir la bouche. Les
muscles
oculaires se contractent bien, mais de temps en t
bien prononcées. La parole est accompagnée de la contraction des
muscles
de la mimique, en particulier des muscles du fr
née de la contraction des muscles de la mimique, en particulier des
muscles
du front. La ? igue. - Ne peut être prolabée, m
dans la phonation. Rejet des liquides par le nez. Contracture des
muscles
élévateurs de la mâchoire. Réflexe massélérin for
muscles élévateurs de la mâchoire. Réflexe massélérin fort. Yeux. -
Muscles
difficiles à examiner, le malade ne suivant pas l
uit par une contracture généralisée aux quatre membres, au cou, aux
muscles
faciaux et oculaires, à la langue et au voile d
ccompagne pas de mouvements paralytiques, si ce n'est au niveau des
muscles
exten- seurs des pieds. Cette paralysie toute l
iura. D'un autre côté, l'aspect est complété par la contracture des
muscles
faciaux ; en particulier des muscles frontaux e
omplété par la contracture des muscles faciaux ; en particulier des
muscles
frontaux et du côté droit de la face, détermina
ngue (impossibilité de la tirer hors de la bou- che), au niveau des
muscles
masticateurs. C'est également à la contrac- (1)
n hébétée. Tremblement continuel des paupières infé- rieures et des
muscles
de la bouche. Parole comme chez le frère. Raideur
cependant que la fatigue générale et les mouvements volontaires des
muscles
de la face accentuent ordinairement le mal ; d'
ulaires, ce qui veut dire qu'elles sont d'abord limitées à quelques
muscles
, à quelques portions de muscles dans lesquels l
es sont d'abord limitées à quelques muscles, à quelques portions de
muscles
dans lesquels les mouvements convulsifs restent p
aux autres d'une manière contra- dictoire. On voit, par exemple, le
muscle
peaucier se contracter en même temps que la com
ciation la plus sin- gulière est la suivante : en même temps que le
muscle
orbiculaire de l'oeil se contracte et que l'oei
de l'oeil se contracte et que l'oeil se ferme, la partie interne du
muscle
frontal se contracte et la peau de cette région
r simuler l'incurvation du nez, mais il faut alors mettre enjeu les
muscles
des deux côtés de la face, tandis que dans l'hé
me cette déformation est obtenue par la contraction unilatérale des
muscles
faciaux. C'est en- suite la synergie paradoxale
s de contractions musculaires qui correspondent très exactement aux
muscles
innervés par le nerf irrité, mais qui ne ré- po
ue à son tour au noyau de la VII" paire, qui envoie la décharge aux
muscles
orbi- culaires qu'il commande. Voilà donc l'arc
la moitié de la face et des contractions involontaires de certains
muscles
faciaux, qui se pro- duisent au moment de la co
qui se pro- duisent au moment de la contraction volontaire d'autres
muscles
de la face. Si j'en crois mon expérience person
es de ce côté). B. - Contraction synergique du frontal droit et des
muscles
élévateurs de la commissure lobiale du même côt
SUR LES CONTRACTIONS « SYNERGIQUES PARADOXALES » 429 même côté. Les
muscles
frontaux, les zygomatiques et les releveurs de la
. B). Voilà bien la synergie « paradoxale » : la contraction de ces
muscles
est illogique, absurde, comme l'a dit M.Brissaud,
trarier l'action de l'orbiculaire. On ne peut donc pas dire que les
muscles
en question soient paralysés ; ils se contractent
telle sorte que le nerf de l'orbiculaire commande actuelle- ment au
muscle
frontal et aux zygomatiques. La nature aurait réa
toute une partie du facial : de telle sorte que désormais certains
muscles
ne peuvent plus se contracter indépendamment de
chez les pseudo-hyper- trophiques provient de l'affaiblissement des
muscles
spinaux, extenseurs de la colonne vertébrale, d
rs de la colonne vertébrale, d'où le nom de lordose paralytique des
muscles
spino-iombaires, forme qu'on oppose à la lordos
ires, forme qu'on oppose à la lordose dépendant d'une paralysie des
muscles
abdominaux. (1) Société médicale des hôpitaux d
enace le tronc de le faire tomber en avant, d'où l'intervention des
muscles
spinaux qui se contractent et attirent en arriè
tatent simplement que la masse com- mune est peu atrophiée, que les
muscles
fessiers le sont, et que les réac- tions électr
taté chez leur malade que le bassin est incliné en avant et que les
muscles
fessiers sont très atrophiés, croient que la lo
rès atrophiés, croient que la lordose est produite par l'action des
muscles
spinaux, qui se contractent pour contrebalancer
es spinaux, qui se contractent pour contrebalancer la paralysie des
muscles
abdominaux ; l'inclinaison du bassin ne serait
s tendent à démontrer l'exactitude d'une telle interprétation : les
muscles
de la gouttière vertébrale sont relativement bien
rs, le bassin réduit extérieure- ment àsa surface squelettique; les
muscles
postérieurs de la cuisse sont atro- phiés compl
du bassin en avant sur les cuisses ; les réactions électriques des
muscles
des gouttières vertébrales sont rela- tivement
tébrales sont rela- tivement bien conservées, tandis que celles des
muscles
du bassin et de la face postérieure de la cuiss
la face postérieure de la cuisse sont disparues complètement ; les
muscles
de la paroi abdominale ont perdu aussi leur vol
résumé, la lordose dans notre cas, est produite par l'atrophie des
muscles
extenseurs de la cuisse sur le bassin et vice-ver
. DEUX FRÈRES ATTEINTS DE MYOPATHIE PRIMITIVE PROGRESSIVE 429 des
muscles
de la paroi abdominale, et par la conservation de
429 des muscles de la paroi abdominale, et par la conservation des
muscles
de la gouttière vertébrale de chaque côté. Le
côté opposé, autrement dit, à l'avant-bras recouvert encore de ses
muscles
. Si j'ai insisté sur cette sensation, c'est par
vements à droite, à gauche, en avant avec beaucoup de facilité. Les
muscles
de l'abdomen sont de même bien développés. Les
dépressions longitudinales, occasionnées également par atrophie des
muscles
interosseux dorsaux. Ces atrophies font que nous
presque partout seule- ment par l'os et la peau qui l'entoure. Le
muscle
deltoïde est de même atteint d'atrophie, surtout
en extension. Les orteils sont fléchis en bas, surtout le gros. Les
muscles
des pieds sont atrophiés, leur atro- phie produ
ur atro- phie produit des fossettes sur leur face inférieure. Les
muscles
de la jambe, les fléchisseurs et les extenseurs s
rface plane. Nous trouvons le même état d'atrophie musculaire aux
muscles
de la cuisse, les fléchisseurs et les extenseur
ès atrophiés, les premiers sont relative- ment mieux conservés. Les
muscles
fessiers sont pris également, mais à un moindre
La sensibilité générale et spéciale ne présente rien d'anormal. Les
muscles
ne sont pas douloureux à la palpation, mais le
rissaient. De même que son frère, il prétend ne jamais avoir eu les
muscles
hypertro- phiés et affirme que dès le commencem
out quand le malade est assis sur une chaise ou dans son lit. Les
muscles
abdominaux ont disparu entièrement et la paroi ab
8 1VOICI telle sorte que l'épitrochlée devient très proéminente.Les
muscles
épicondyliens sont disparus et ils ne forment p
érieures et postérieures nous avons maintemant des dépressions. Les
muscles
des éminences thénar et hy- pothénar sont atrop
inences a disparu et nous avons à leur place des dépressions. Les
muscles
interosseux palmaires et dorsaux sont disparus, l
e, ne peuvent plus se produire, le premier à cause de l'atrophie du
muscle
quadriceps, le second à cause de la rétraction
ntimètres de surface; électrode différente, une grosse alêne. Les
muscles
de la face des deux côtés, les frontaux, les temp
x, les temporaux, les orbi- culaires des lèvres, les masséters, les
muscles
du nez, etc. contractions tétani- ques à 150 di
he inférieure], contractions fortes à 140 divisions. Point d'Erb et
muscle
sterno-cléido-mastoïdien, bonnes contractions à 1
no-cléido-mastoïdien, bonnes contractions à 150 di- visions. 9 Le
muscle
deltoïde de chaque côté, ne se contracte même pas
même pas à l'excitation maxima (nous avons vu que l'atrophie de ce
muscle
est considérable). Les pectoraux, contractions
ons nulles. Nerfs médian, radial et cubital, contractions nulles.
Muscles
de la paroi abdominale, contractions nulles. Gr
ligne de 10 centimètres parallèle avec la ligne médio-axillaire.
Muscle
trapèze, contractions très fortes à 150 divisions
re. Muscle trapèze, contractions très fortes à 150 divisions. Les
muscles
de la gouttière vertébrale se contractent faiblem
uttière vertébrale se contractent faiblement à 150 divisions. Les
muscles
fessiers à droite ne se contractent plus, tandis
qu'à gauche ils se contractent faiblement à 900 divisions. z Les
muscles
de la masse sacro-lombaire et tous les muscles de
900 divisions. z Les muscles de la masse sacro-lombaire et tous les
muscles
des membres inférieurs, contractions nulles.
Courants galvaniques. Méthode polaire. Les mêmes électrodes. Les
muscles
de la face. 8 m. A., contractions fortes NFC >
THIE PRIMITIVE PROGRESSIVE 441 Nerf cubital, contractions nulles.
Muscles
de la paroi abdominale, contractions nulles. Gr
nulles. Grand dentelé, 8 m. A., contractions vives NFC > PFC.
Muscles
de la gouttière vertébrale 10 m. A., NFC>PFC c
e la gouttière vertébrale 10 m. A., NFC>PFC contractions fortes.
Muscles
de la masse sacro-lombaire, point commun du quadr
gros orteil, extenseur commun des orteils, contractions nulles. '
Muscles
fessiers, 12 m. A., N.F.C. PFC, contractions fort
s. ' Muscles fessiers, 12 m. A., N.F.C. PFC, contractions fortes.
Muscles
demi-tendineux, demi-membraneux, jumeaux, fléchis
dineux, demi-membraneux, jumeaux, fléchisseurs communs des orteils,
muscles
de la plante des pieds, contractions nulles. Ne
u tronc, on constate une diminution de l'excitabilité dans quelques
muscles
, une conservation même normale (muscles de la gou
'excitabilité dans quelques muscles, une conservation même normale (
muscles
de la gout- tière vertébrale, rhomboïde, grand
ale une abolition complète. Examen DE l'excitabilité ÉLECTRIQUE DES
MUSCLES
ET DES NERFS, CHEZ LE malade J. T... Courants
ier. Méthode polaire. Mêmes électrodes que dans le cas précédent.
Muscles
frontal, temporal, orbiculaire des lèvres, massét
érieur, contractions tétaniques à 150 di- visions. Point d'Erb et
muscle
sterno-cléido-mastoïdien, contractions tétaniques
actions faibles. Pectoraux, contractions faibles à 350 divisions.
Muscles
: triceps brachial, biceps, long supinateur, exte
ntractions faibles. Trapèze à 500 divisions, contractions fortes.
Muscles
de la paroi abdominale, contractions nulles. Mu
ions fortes. Muscles de la paroi abdominale, contractions nulles.
Muscles
de la gouttière vertébrale, a 400 divisions, cont
le, a 400 divisions, contractions faibles. JYVIH ' 29 442 NoicA
Muscles
de la masse sacro-lomhaire, muscles fessiers, con
ibles. JYVIH ' 29 442 NoicA Muscles de la masse sacro-lomhaire,
muscles
fessiers, contractions nulles au maximum de l'e
siers, contractions nulles au maximum de l'excitation. . Tous les
muscles
et tous les nerfs des membres inférieurs excités,
es : Méthode polaire. Mêmes électrodes que dans le cas précédent.
Muscles
frontal, temporal, orbiculaire des lèvres, massét
an, radial et cubital, 15 m. A., NFC > PFC, contractions fortes.
Muscles
de la paroi abdominale, contractions nulles. Gr
ons fortes. Trapèze, 10 m. A., NFC > PFC, contractions fortes.
Muscles
de la gouttière vertébrale, 10 m. A., NFC > PF
, contractions fortes. Masse sacro-lombaire, fessiers et tous les
muscles
des membres inférieurs, contractions nulles.
e, mais non qualitative. Pour les membres inférieurs, y compris les
muscles
du bassin, abolition complète de l'excitabilité
es sont aujourd'hui bien connues et il n'y a pour ainsi dire pas de
muscle
sur lequel on ne les ait observées. D'où, selon
a cause était très nettement le rêve. Mais pourquoi, dira-t-on, tel
muscle
entre-t-il en contracture ? Le trauma a-t-il dé
plus elle s'accentue ; plus on cherche à la redresser, et plus les
muscles
se raidissent, plus le sujet se plaint de souffri
doit être signalé : l'incohérence possible dans le grou- pement des
muscles
paralysés. Tandis que les attitudes vicieuses con
immobilisé à angle droit sur la jambe. Les saillies tendineuses des
muscles
contracturés forment corde autour de l'articulati
u, la douleur est intense, et on note la raideur plus accentuée des
muscles
de droite, qui s'op- posent par leur contractur
et légèrement en haut. La palpation montre de ce côté droit que le
muscle
sterno-cléido-mastoïdien et le chef occipital d
est enlevé, la tête est parfaitement droite, le cou est souple, les
muscles
apparaissent absolument normaux et l'enfantquitte
omion, la face tournée du côté opposé. A la palpation, on sent le
muscle
sterno-cléido-mastoïdien tendu, contracture, nu
seulement dans ces essais à tendre davantage la corde que forme le
muscle
sterno-mastoïdien. Les mouvements de déglutition
it nettement torticolis, différent il est vrai, au point de vue des
muscles
intéressés. Dans le leur cas, la position de la t
lté, car dans le torticolis paralytique la tête se dévie du côté du
muscle
sain, et le redressement se fait à la main, sans
L'enfant est grande, forte, ne paraît avoir aucunement maigri, ses
muscles
s sont'fermes, la peau ne se laisse pas plisser
s. On voit seulement qu'à gauche, côté où la hanche est élevée, les
muscles
iléo-lombaires forment une masse dure, assez volu
flancs latéraux de la colonne vertébrale ; la saillie formée par les
muscles
est dure et ferme, absolument indolore. La di
nche sont absolument normaux. De même ceux du genou. Nulle part les
muscles
ne sont atrophiés, aucun n'est saillant. Fig.
défaut d'équilibre au lieu de le compenser. Dans la concavité, les
muscles
semblaient se laisser aller et non point se contr
ans bien des cas, la contracture est démontrée par la palpation des
muscles
, que l'on trouve sous la main gros et durs du côt
464 BROCA ET IIERBINET imprimée au rachis par la contracture des
muscles
de la concavité, mais d'une « position hanchée
de flexion sont rendus diffi- ciles par une légère contraction des
muscles
extérieurs de la jambe : les mou- vements spont
ligne. La déformation apparente relevait de la saillie exagérée des
muscles
de la ré- gion externe. Le système musculaire
chez uu nouveau-né normal. Cette hypertrophie au moins lé- gère des
muscles
concorde avec le développement des tubercules oss
et à une tête en général volumineuse, enfin l'aspect athlétique des
muscles
frappent encore plus chez t'achondropiase adulte
iers moyen de la cuisse. Les membres inférieurs, épais, courts, aux
muscles
vigoureux, ne présen- tent pas de courbures dan
e). Cet aspect arqué est encore accentué par le déve- loppement des
muscles
de la région externe de la cuisse et de la jambe
diaphysaire, est encore exagérée it la vue par la proémi- nence des
muscles
antéro-exterues de la jambe très développés. Le
les autres organes et particulièrement dans le foie, le rein et les
muscles
. L'ensemble de ces lésions est intéressant en c
péciale en nosologie. On ne confondra pas la sclérose vasculaire du
muscle
et l'amyotrophie bien qu'elles puissent relever
fection, se mit au traitement ioduré, vit l'atrophie s'arrêter, les
muscles
se réparer peu à peu et, au bout d'un an, « était
é. Le biceps et le long supinateur sont atrophiés légèrement et les
muscles
de la région antérieure de l'avant-bras sont re
aire une atrophie manifeste des extenseurs. A la main, atrophie des
muscles
thénar et hypothénar et des interosseux dor- sa
et aussi manifeste qu'à droite : il y a cependant encore un peu de
muscle
dans les deux derniers espaces. A la face palmair
qui rend la pronation impossible. Aux membres inférieurs, où les
muscles
sont un peu graciles, mais sans atrophie vraie,
de l'examen donne les renseignements suivants : Pas d'atrophie des
muscles
de la face ni du tronc. La sensibilité aux dive
ficulté pour marcher, ne sentant pas bien le terrain, dit-il. Les
muscles
répondent encore à l'électricité faradique, mais
NOIS os. D'autre part il n'y a pas de rapport entre les lésions des
muscles
et des os : les triceps ont disparu sans qu'on
aucun phénomène du côté des yeux isolés de leur cen- tre, dont les
muscles
ont perdu leurs nerfs moteurs ; l'exorbitisme rel
ntraction musculaire suffisent à cette besogne. Pour ce qui est des
muscles
, en particulier, ils se contractent encore et son
ant de la même cause. Il est incontestable que les contractions des
muscles
de la face on des membres agissent directement su
déviation du pied se fait en dedans. Il semblerait que l'action des
muscles
externes de la jambe soit tou- jours inférieure
muscles externes de la jambe soit tou- jours inférieure à celle des
muscles
internes. De même, il semblerait que le triceps
diatement au-dessous du deltoïde du même côté au point d'insertion du
muscle
sur l'humérus, en ferme de colonne, de la large
es bosses répandues sur sa superficie, avec une base large comme le
muscle
deltoïde et avec un éperon en bas, qui s'insinu
plus, cela surtout chez la malade 1, de paralysie ou d'atrophie du
muscle
frontal. Il y a donc là plus qu'une simple para
OLOGIQUES (Rudler et Roudot.) SCAPULÆ ALATiE PHYSIOLOGIQUES 669
muscles
scapulaires et de certains muscles superficiels d
CAPULÆ ALATiE PHYSIOLOGIQUES 669 muscles scapulaires et de certains
muscles
superficiels de la région lombo- dorso-cervical
de du bâton qui exigent beaucoup de force' et d'adresse. Etat des
muscles
de l'épaule et du dos ; intégrité anatomique et f
réactions électriques. Si l'on interroge la physiologie de quelques
muscles
en particulier, on reconnaît que chez tous elle e
ous les mouvements du deltoïde sont normaux, aussi bien ceux que ce
muscle
exécute seul que ceux dans lesquels interviennent
traction, il atteint le chiffre 165 kilogs. La contractilité des
muscles
est normale, ainsi qu'il ressort de l'exa- men
t infé- rieure du trapèze, on constate qu'elle est la même pour les
muscles
cor- respondants. Excitabilité galvanique . -
chapitre de la « Physiologie normale et pathologique des différents
muscles
en particulier» de M. HALLION, in Traité,de médec
, soit NFC > PFC. L'excitabilité galvanique est la même pour les
muscles
correspondants. En la comparant avec celle des
ême pour les muscles correspondants. En la comparant avec celle des
muscles
voisins, on peut considérer l'excitabilité galv
TROUBLES musculaires. Il n'existe aucun trouble musculaire dans les
muscles
examinés : pas de contractions fibrillaires, pas
es ? Ou bien, existe-t-il une amyotrophie ? L'atrophie de plusieurs
muscles
, ou d'un muscle unique, ou seulement d'une port
ste-t-il une amyotrophie ? L'atrophie de plusieurs muscles, ou d'un
muscle
unique, ou seulement d'une portion de muscle ?
ieurs muscles, ou d'un muscle unique, ou seulement d'une portion de
muscle
? Ou encore une absence musculaire congénitale
e-t-il, au contraire dans les scapuloe alaise dues à l'atrophie des
muscles
qui prennent leur insertion sur l'omoplate, des r
l'état de repos, lorsque les bras sont pendants, et l'atrophie des
muscles
scapu- laires accusée, le bord interne de l'omo
te est détaché et proémine sous la peau. L'insuffisance de certains
muscles
(grand dorsal, spinaux, et, jusqu'à un certain
LATÆ PHYSIOLOGIQUES 673 parfois plus d'importance que le volume des
muscles
, chez le brigadier M.... la force musculaire es
atrophie musculaire limitée au trapèze ou à une seule portion de ce
muscle
. Les détails de l'observation font justice de c
se contre laquelle protestent, en effet, la physiologie normale des
muscles
intéres- sés, leur contraction révélée par l'ha
téres- sés, leur contraction révélée par l'harmonieuse symétrie des
muscles
du dos et perçue nettement à la palpation et au
e chaque mus- cle pris en particulier, et même de chaque portion de
muscle
. En réalité, le cas du brigadier-prévôt ne relè
ns la rupture de l'antagonisme qui existe, norma- lement, entre les
muscles
scapulo-huméraux et les muscles scapulo-tho- ra
ui existe, norma- lement, entre les muscles scapulo-huméraux et les
muscles
scapulo-tho- raciques. Ce défaut d'harmonie est
âchement musculaire, enfin à un développement plus considérable des
muscles
sca- pulo-huméraux comparativement aux scapulo-
rand qui leur a été imposé depuis quelques années. Normalement, les
muscles
de l'omoplate prennent leur insertion sur le tr
leur insertion fixe est sur le scapulum qui est immobilisé par les
muscles
voisins. Dans le cas actuel, au contraire, le r
renversé : c'est l'humérus qui devient l'insertion fixe. Comme les
muscles
scapulaires vont en s'irradiant de la tête numéra
correspond à celle de la vie libre des larves. Mais, tandis que les
muscles
striés, ainsi étroitement soumis au système ner
foetus n'est autre, en effet, que le résultat des contractions des
muscles
de la nuque qui ont, à la longue, provoqué une
par RAYMO'OE, 5 et 121. 708 TABLE DES MATIÈRES Marche (Rôle des
muscles
spinaux dans la - normale chez l'homme) (1 pl.,
et dystrophie périostale (6 pl.), par Ponnl : et Durante, 481. -
Muscles
spinaux (Rôle des -) dans la mar- che normale d
tyroide et des capsules surrénales (6 fig.), 176. Lwxr. Rôle des
muscles
spinaux dans la marche normale chez l'homme (1
VI. Micromélie congénitale (PoRAI; et Du- RA1'o'TE), LII à LVI.
Muscles
spinaux dans la marche (LAnr), VIII. Myasthén
uent, nous avons été frappés de la mol- lesse, de la flaccidité des
muscles
à l'état de repos, caractères déjà notés aune p
était en outre très inégale d'un groupe musculaire à un autre, d'un
muscle
au muscle voisin. Nous nous sommes assurés qu'i
utre très inégale d'un groupe musculaire à un autre, d'un muscle au
muscle
voisin. Nous nous sommes assurés qu'il en était
l était intéressant de chercher si ce bruit était affaibli dans les
muscles
dont la' tonicité paraissait diminuée. Nous 1 a
plus évidente, de grandes variations dans le bruit des, différents
muscles
. Ce mode d'exploration' nous a fait reconnaître
. Cette diminution de la tonicité atteint son maximum dans certains
muscles
qui sont presque toujours les mêmes; aux. membr
presque toujours les mêmes; aux. membres inférieurs, ce sont les
muscles
antérieurs de la cuisse, c'est-à-dire les 1 L.
s. Nous rappellerons seulement qu'il est nécessaire- d'examiner les
muscles
dans des conditions analogues. Ainsi, il'' ne f
logues. Ainsi, il'' ne faudrait pas auscul- ter comparativement les
muscles
du mollet et ceux de la partie antérieure de la
- rieur, étant dans l'extension. Dans une pareille atti- tude"Jes
muscles
de la partie antérieure de- la cuisse sont relâ
. 1 11 est indispensable, pour éviter toute erreur, d'examiner. les
muscles
du membre inférieur, celui-ci étant dans la dem
tendon. Pour -qu'il se. produise, t,il faut une certaine tension du
muscle
; aussi 1e Poï vqque-t-on chez, l'homme à l'état
quelque différence en rapport avec la différence de jtp7 nicité des
muscles
. La seule que nous ayons constatée porte sur-le
e d'une'période dite d'excitation latente : c'est le temps perdu du
muscle
, temps qui. variera.' suivant les, espèces anim
muscle, temps qui. variera.' suivant les, espèces animales, ^ le
muscle
excité, son état de tension. ou de, relâchement,
s expériences. Les différences, dans l'ataxie, de temps perdu des
muscles
de la partie antérieure de la cuisse et pos- té
3 retard s'est'toujours produit dans le même sens; tou- jours les
muscles
de la partie antérieure de la cuisse ont'' eu ,
n étroit entre : l'incoordination motrice et l'inégale tonicité des
muscles
, et nous croyons que celle-ci est la cause de c
se produise, il faut l'action i'synergique d'un' certain nombre de
muscles
se contractant sous l'influence d'une excitatio
donne naissance a ces nerfs. Cet état de contraction Continué' des
muscles
a reçu te nom de tonus musculaire. Il paraît êt
. ¡llPi 0 ,'O¡/1(' ! 1 1'" il 111 ? U/'I b 3 ii teurs destinés à ce
muscle
. Si l'on pouvait couper, iso- o.p, If P'l'lCi.L
l ilUA'-jU"V Wi'i l "t 1 l ? U ? Y I/"H' .au upi j . y ? z dans les
muscles
soumis à la volonté. Il a démontré gW 0,)1 la..
lq , 1 , 1, 1'. -. 1 1 1 1 . séquence l'inégalité dans le tonus des
muscles
. Ce n'est g 1+ ? r p^M v ^- 1 1 .. I ' ? 1...a.
venir, le,tonus dans la pathogénie de l'incoordination. , Lorsqu'un
muscle
'manque de tonus, il ne contrebalance plus l'ac
désordonnés. Si, : par exemple, le triceps manque, ,de .tonus, ries
muscles
fléchisseurs de l'avant-bras produi- ront sa fl
irjew a déjà été réfutée par Westphal/ qui a^fait remarquer que les
muscles
, atrophiés, ou^par ralysés ne modéraient pas l'
et atteindre isolément les fibres 'sensitives venant de tel ou tel
muscle
: Si on coupe les1 racines postérieures, corres
eur toni- cité : Le même fait existe chez les ataxiques, pour les
muscles
d'un même membre. *' Tschirjew, dans son remarq
es antagonistes un rôle capital; ce tonus augmente à mesure que ces
muscles
sont tendus; il contribue puis- samment à régul
ue l'incoordination était le fait de paralysies limitées à certains
muscles
. Nous ne les' avons pas constatées, chez nos ma
anifeste qu'elles font habituellement défaut. Le relâ- chement d'un
muscle
par atonie ne doit pas être con- fondu avec sa
c sa parésie. Sous l'influence d'une excitation nerveuse faible, le
muscle
dont le tonus est diminué, se contracte moins é
ont le tonus est diminué, se contracte moins énergique- ment que le
muscle
normal, mais sous l'influence d'une' excitation
la coordination des mouvements, mais elle n'empêche nullement les
muscles
de se contracter avec une force égale à celle o
ain. Soit par exemple 20, la force maximum que puisse développer un
muscle
; la force tonique étant réprésentée par 4, il
ntée par 4, il suffira d'une excita- tion volontaire 16 pour que ce
muscle
se contracte au maximum ; si on suppose un musc
re 16 pour que ce muscle se contracte au maximum ; si on suppose un
muscle
complètement dé- 1 . 48-11 I PATHOLOGIE. te
rquée pour un mouvement n'exigeant qu'une contraction modérée des
muscles
, moindre pour un mouvement exigeant une contrac
une excitation nerveuse produisant une force muscu- laire 10; les
muscles
tonifiés produiront un travail représenté par 1
lle ne peut dépasser un maximum d'énergie 20, par exemple, tous les
muscles
se contracteront d'une façon égale, donneront t
ent leurs genoux fléchir, à cause, croyons-nous, du relâchement des
muscles
de la partie antérieure de la cuisse. C'est p
C'est pour contrebalancer les effets de l'inégale tonicité de leurs
muscles
, que les ataxiques sont obligés, dans tous leur
core, le sujet étend fortement les doigts parce qu'il contracte ses
muscles
extenseurs au maximum, il serre l'objet d'une m
cturée. Comme dans la station, c'est par la contraction maximum des
muscles
que peut être atténuée leur inégale tonicité. V
ingt cen- timètres de l'autre pour faire un pas, il contracte les
muscles
de la jambe marchante au maximum ; aussi dépass
. La projection est encore favorisée par cette circonstance que les
muscles
antérieurs de la cuisse sont souvent relâchés,
hés, d'où une certaine brusquerie dans l'extension du membre. Les
muscles
rotateurs en dehors l'emportent de beaucoup au
ieur sur les rotateurs en dedans; aussi, lorsque la contraction des
muscles
de ce membre est portée à son maximum, devra-t-
tule. Lorsque le sujet abaisse la jambe , il contracte encore ses
muscles
au maximum, et le talon vient heurter violemmen
ncoordination des tube tiques est due à l'inégale tonicité de leurs
muscles
; ses effets sont atténués par une contraction m
cles; ses effets sont atténués par une contraction maximum de ces
muscles
. CLINIQUE MENTALE DE LA COEXISTENCE DE PLUSIE
e, et, dans les cas aigus, lorsque des frémissements s'emparent des
muscles
de la face, l'embarras de la parole lui-même pe
tête est dans l'extension, bien qu'il n'y ait pas de rigi- dité des
muscles
du cou. A la fin de la visite : T. R. 39°, 9. S
intervalle de deux accès, de légères con- vulsions fibrillaires des
muscles
. Soir. - De onze heures et demie à une heure, q
is. On note d'abord quelques petites convulsions fibril- laires des
muscles
du pied et de la jambe. du côté droit exclu- si
se dévient à droite. Il se produit des convulsions tétaniformes des
muscles
de la moitié droite de la face, surtout de l'or
ne laisse aucun doute sur ce point : début des convulsions par les
muscles
du pied et de la jambe du côté droit, envahisse
lende- main, une légère parésie faciale, et une vague stupeur des
muscles
précédemment paralysés. HÉMIPLÉGIES GUÉRIES PAR
rants induits de moyenne inten- sité sur l'avant-bras paralysé. Les
muscles
répondent très bien à l'excitation. La peau, d'
emporale, devant l'oreille externe, et à l'occiput, au-des- sus des
muscles
rétracteurs de l'oreille. Dans cette dernière r
Il a été nécessaire de faire connaître aux sujets l'usage de leurs
muscles
et de leur apprendre à les contracter isolément
paraison des chiffres obtenus, à faire la part de ce qui revient au
muscle
et de ce qui dépend de ses antago- nistes dans
xion, et, partant, l'entier accomplissement du travail mécanique du
muscle
, mais ne s'opposait nullement à ce que ce muscl
avail mécanique du muscle, mais ne s'opposait nullement à ce que ce
muscle
reçût un certain nombre d'incitations volon- ta
fices que l'auteur espère être arrivé à séparer l'action de chaque
muscle
. C'est là, on le jugera sans peine, le point at
travail de M. Amidon. On peut se demander si l'action, de chaque
muscle
s'est trouvée suffisamment isolée, si, malgré le
ces expériences même où l'on cherche à contrarier le mouvement d'un
muscle
pour éviter l'action des antagonistes et des mu
mouvement d'un muscle pour éviter l'action des antagonistes et des
muscles
associés, ne provoque-t-on pas une contraction
és, ne provoque-t-on pas une contraction intense de la totalité des
muscles
du membre ? Il est toujours fort difficile, sau
auf par l'électrisation localisée, de provoquer la contraction d'un
muscle
isolé, à cause de l'association des puissances
hysiologie des mouvements » de si remarquables exemples. Pour qu'un
muscle
à insertion fixe indifférente, comme le biceps,
se se contracter, il faut que l'épaule soit elle-même fixée par ses
muscles
; nous en avons des exemples dans la pathologie
emples dans la pathologie nerveuse. Ne voit-on pas la paralysie des
muscles
de l'omoplate contrarier un mouve- ment aussi é
rticulièrement remarquable, c'est d'être , pour certains groupes de
muscles
, parfaitement d'accord avec les données acquise
ions admises comme latentes jusqu'à ce jour. Ainsi, nous voyons les
muscles
du bras et ceux de la face groupés autour du si
riceps crural répond à la partie postérieure du lobe occipital, les
muscles
abdominaux et ceux de la colonne vertébrale par
e paralysie du grand dorsal chez un hémiplégique, ou bien celle des
muscles
extenseurs d'un orteil. M. Amidon entend dire q
qu'à l'avenir il faudra décrire avec plus de soin l'état de chaque
muscle
d'un hémiplégique, et qu'alors on pourra trouve
avec la paroi crânienne, on s'expose à prendre la température du
muscle
sous-jacent, dans la région temporale surtout ; o
hés et dans la vision monoculaire, c'est-à-dire, qu'à l'inaction du
muscle
droit externe d'un côté, s'ajoutait l'inaction
muscle droit externe d'un côté, s'ajoutait l'inaction conjuguée du
muscle
droit interne du côté opposé. Le diagnostic, co
re et synergique l'exercice fonctionnel (contraction simultanée des
muscles
droit externe d'un côté, et droit interne du cô
suivante : l'adulte, avant sa maladie, avait l'usage complet de ses
muscles
; il avait l'habitude acquise de mou- voir cert
cles ; il avait l'habitude acquise de mou- voir certains groupes de
muscles
pour la réalisation de certains effets ; cette
ar l'exercice, persiste si bien qu'à chaque tentative d'efforts les
muscles
entrent en action de la même manière et dans le
aut employer pour pouvoir, par un acte de la volonté, mouvoir les
muscles
affectés. Les malades doivent donc, dans ce cas,
ains efforts. Quand il a été suffisamment dressé à contrac- ter les
muscles
qui s'insèrent à la rotule, et qu'il a compris
rotule de ce côté. Cet exercice doit être répété jusqu'à ce que les
muscles
des deux jambes se contractent simultanément et
nfant à suivre les instructions du médecin, le degré d'atrophie des
muscles
. 156 BIBLIOGRAPHIE. L'auteur a une telle conf
dice d'une lésion organique, soit des nerfs qui se distribuent aux
muscles
paralysés, soit de quelque partie des centres n
oyaux indiquant un processus irritatif. Ajoutons que, du côté des
muscles
, nous avons cons- taté la présence de quelques
lques fibres très minces qui ne se rencontraient pas dans les mêmes
muscles
prove- nant d'un cochon d'Inde normal. Qu'il
ent morbide s'observera toutes les fois que la maladie aura mis les
muscles
dans un état semblable à celui où nous mettrons
mis les muscles dans un état semblable à celui où nous mettrons les
muscles
sains dans la série d'ex- périences que nous al
série d'ex- périences que nous allons rapporter. , On sait qu'un
muscle
soumis à une élongation brusque entre en contra
ux en portant un choc brusque sur le ten- don. Mais l'élongation du
muscle
peut encore être ob- tenue par d'autres procédé
encore être ob- tenue par d'autres procédés. , La contraction du
muscle
antagoniste, provoquée par une forte décharge é
r le bras de levier osseux sur lequel viennent t s'insérer les deux
muscles
antagonistes ne peut être mû par l'un d'eux san
écanique quelconque, dont l'effet définitif sera l'al- longement du
muscle
, et ce moyen a sur tous les autres l'avantage d
s que nous a fournis, chez l'homme sain, la traction brusque d'un
muscle
exercée par la contraction de son antago- niste
citation réflexe produite.par la contraction du triceps. Ce dernier
muscle
, en effet, a été brusquement allongé lors de la
secousse du biceps provoquée par une seule excitation induite de ce
muscle
; - B, secousse simple (réllexe) du biceps prov
production des secousses secondaires. On attache les tendon *si des
muscles
antérieurs et postérieurs de la patte de l'anim
pteur. On porte ensuite une excitation;, induite d'ouverture sur le
muscle
gastro- cnémien. Il est facile de reconnaître s
-bras sur le bras. Cette traction doit se faire uniquement avec les
muscles
du membre supé- - , J' -j,Il. ta m U ' - rieu
n tour, lorsqu'il revient sur lui-même, une traction brusque sur le
muscle
; et cette traction est d'autant plus énergique
us fortement tendue. Or, nous savons que l'allongement brusque du
muscle
provoque sa contraction; dans le cas présent, c
cas présent, cette contraction ou raccourcissement secondaire du
muscle
détermine un nouvel allongement du caout- chouc
jusqu'à ce que la fatigue, en diminuant la force, élas- tique du
muscle
, ne lui permette plus de lutter contre la force
aplégie et de- 1"i,q. 9.-Izzscrition du phénomène du geîzoz4 ? l A,
muscles
antérieurs de la cuisse;' - M P, muscles postér
hénomène du geîzoz4 ? l A, muscles antérieurs de la cuisse;' - M P,
muscles
postérieurs de la cuisse. 1 " 1 1 . 200 ? <
il; ? Ii... - \.¡ .j \ .)... ? -" .4 ....... les contractions ,des;
muscles
, antérieurs,.MA,.et postée rieurs, MP, de·la cu
raccourcissement ? - n.. ' ? ). ' 1 .. ? ,...., ...j..tt actif des
muscles
antérieurs .provoquait le. phénomène du tendon
des muscles antérieurs .provoquait le. phénomène du tendon sur les
muscles
postérieurs, et que ceux-ci,, à leur tour, réag
e r y . ,t ., ? <-' . tu ? excitation électrique portée sur le
muscle
, antagoniste, ainsi que nous l'avons fait pour
eint de contrac- r ., ? ? ,, . ,1- ..i ture, c'est-à-dire sur des
muscles
dont la force élas- . 1 ? ' tlT tique est con
iples du biceps provoquées par une seule exci- tation induite de ce
muscle
? B, secousses multiples du biceps provo- quées
is est repoussé par le pied, grâce à la' contraction réflexe de ces
muscles
, si i ? l'H11 f . les tend de nouveau, est en
, " , , , ..^t Dans la fig. 11, on peut voir les contractions des
muscles
postérieurs de là jambe; -PJ, et celles,-dès mu
;'l',la" contraction ? du' biceps est ici "remplacée par celle des
muscles
de la partie postérieure' de la jambe. Le tra
s de la partie postérieure' de la jambe. Le tracé fourni par'ëês'
muscles
'est. dicr'otë;' ce qui n'avait pas lieu' pouf
où le' réflexe tendineux est exagéré, * et chaque contraction des
muscles
antérieurs de la jambe fig.n 1/ ,. A : J., contra
même d'origine réflexe, provoque une petite secousse secondaire des
muscles
postérieurs; il Fig. 11. - Phénomène du pied ?
postérieurs; il Fig. 11. - Phénomène du pied ? P J, tremblement des
muscles
pos- térieurs de la jambe : A J, tremblement de
lement des muscles pos- térieurs de la jambe : A J, tremblement des
muscles
antérieurs ? D, diapason de 30 vibrations doubl
venons de voir jouer à la bande élas- tique est alors rempli par un
muscle
contracture ? ou dont la tonicité est supérieur
entation de tonicité PATHOGÉNIE DES TREMBLEMENTS. 205 de l'un des
muscles
peut échapper à nos moyens gros- siers d'invest
La contracture, ou si l'on veut, l'exagération de toni- cité d'un
muscle
antagoniste est donc la condition obligée du tr
t la bande de caout- chouc, fortement tendue, qui jouait le rôle du
muscle
contracturé; la force élastique de cette bande
Æ ? u.ll¡¡ peau. Les secousses sont très nettement visibles sur les
muscles
, -)M ? a""t ? i ? ? tt ? Vt J " niuU'tUu' ex
ur' ce malade, un des tambours explorateurs, étant appliqué sur les
muscles
fléchisseurs M P, l'autre sur les muscles exten
s, étant appliqué sur les muscles fléchisseurs M P, l'autre sur les
muscles
extenseurs, M E. r. i 9'" On remarquera l'analo
T ;1... Y '.1` ,it wf` in phénomènes nous semblent identiques ? les
muscles
palmaires, contractures ? et par conséquent plu
tchouc par rapport aux extenseurs. Ce-tracé montré en outre que lés
muscles
, contrac- tures (palmaires, M P) ont "une secon
nistes. ' Fig. 13. - T,e»2blen ? eeîl sénile.- M Et tremblement des
muscles
exté- rieurs du poignet (postérieurs) de l'avan
urs du poignet (postérieurs) de l'avant-bras;- M P, tremblement des
muscles
fléchisseurs du poignet' (palmairès) 'colliacturé
ement a-t-il lieu dans le plan horizontal. ! A l'état de repos, les
muscles
biceps et triceps ont leur con- sistance normal
son biceps dans le relâchement, et supprime l'action exercée sur ce
muscle
par le poids de l'avant-bras.. - Aux membres in
différence d'amplitude, elle s'explique par ce seul fait que les
muscles
du bras étant plus volumineux et leur bras de l
et, le tremblement avait un 'siège spécial, 1f 1 i i ii ' 4 4 les
muscles
du bras..C'est une,, localisation. peu fré- ? ijj
chercher à . ? (Jt m ·Ilo·(r··y'1 ? PCM' préciser quel groupe de
muscles
était plus particu- lièrement intéressé. A' l
équilibre à la contracture du biceps par une égale contracture du
muscle
antagoniste, nous pouvions faire cesser toute o
n certainement le poids du segment du membre sur lequel s'insère le
muscle
contracturé, qui provoque l'allongement de ce m
el s'insère le muscle contracturé, qui provoque l'allongement de ce
muscle
et qui, en somme, 14 210 PATHOLOGIE' INTERNEE
gique'ëe même poids provoque le tremblement lorsque le tonus d'un
muscle
est augmenté. '1 1 i, 11 i ,1 t D'après ce qui
de'nos ma- lades, nous avons constaté qu'elle prédominait sur les
muscles
antérieurs de 'l'avant-bras, et notamment sur l
sur les muscles antérieurs de 'l'avant-bras, et notamment sur les
muscles
fléchisseurs du pouce. L'observation suivante,
sion dont' l'amplitude varie d'un moment à l'autre. '11' ,Tons, les
muscles
^ de l'avant-bras sont contractures, mais 3 on r
nt les tendons font saillie, et ? du fléchisseur propre du pouce.'Les
muscles
exténseurs, moins contracturés, sont le siège,
plégiques contractures. CONCLUSIONS. - 1° L'élongation brusque d'un
muscle
provoque sa contraction (phénomène du tendon) /
i '1'¡Uit ? lfjl¡lnfIÁ1" * ItrJ,tltllltl 2° Cette élongation d'un
muscle
peut être produite artificiellement par un choc
'attache, ou par une i hni mi ' ' "<) ' z forte contraction du
muscle
antagoniste; ., ...1' 3° Si la traction appliqu
du muscle antagoniste; ., ...1' 3° Si la traction appliquée sur un
muscle
sain est, 11 1 i . M- I ll>l| il 1 ? ¡ 1 1)
u près, constant pour chaque groupe musculaire ;, ,"in' ""\ 4° Un
muscle
en état de contracture joue le rôle de ressort
sur lequel il s'attache ; et ses oscillations provo- quent dans le
muscle
antagoniste des contractions, rhythmiques qui c
ent ; , .. z 5° Le tremblement spontané, généralement limité^, un
muscle
ou à un groupe musculaire, indique un, état de
groupe musculaire, indique un, état de contracture prédominante du
muscle
^ou du groupe musculaire antagoniste. i , 1 f ,
bulbo-médullaires, qui, seuls, seraient en rapport direct avec les
muscles
. XIII. Recherches expérimentales ET cliniques s
augmentation énorme de volume des membres et spécialement de leurs
muscles
. L'infiltration, d'abord localisée aux mollets
ate une fois de plus jusqu'à quel point le mouvement volontaire des
muscles
et la conductibilité des nerfs moteurs sont ind
nts de réaction électrique qui sont liés à ces processus. Ainsi les
muscles
du thénar fonctionnaient parfai- tement sans tr
née parles mouvements involontaires de la langue, de la face et des
muscles
respiratoires. Il n'y avait aucune paralysie ;
f.F.l ? 'f.l ? li ? ) ? r'-t) ? avait désigné les crampes dans les
muscles
animés par 1 hv- yH'')n"'f' : tir ! .)'w ? nr ?
parler,. les , J ,V ? ) m1 1 1 : ·Irflr ? wn r='117ri , , "dit..
muscles
de la. région hyoïdienne entraient en contraction
1U n,J .1 Gllt J Jl ? nlll 1 '.n.li.n. 1 lll-lll, iïll'1 n.")'. les
muscles
abdominaux ; la* respiration 1a ¡..."'1 .'u' JJ
1 p ? ¡', tlll Il If ? . J.H 1'-)\1 (1, «instants, la, tension des
muscles
abdominaux cessait, et la respi- s ? B-Pf"J ! i
dl'l : 1 1 tll1) ? (111. IJ 1,) 1. dU 11J4..LtJ. jtuhtjj.911.tf les
muscles
hyoïdiens., . 91 hocfr, f f Xie. taLl..a, -.u u
é intermittente;et, extrêmement violente et douloureuse de tous les
muscles
de la* moitié"gauche"de lafaeo'etrplùsrsp'écial
ris. dans 1 ? 10p.gf.t0 ! l' ,T : d ,cqntract,tli ! é Jaradjque des
muscles
, était déjà¡ fort diminuée 'et la galvanique,,
xcepté -dans les' ' ? r.nt.- ? u.ir. ,; ? -j ? t ? <-L / v ? t
muscles
poster leurs, de. I oreille, ·znnérvés. pnr l'aur
iresspontanées; intermittentés; d'apparence tonique clonique,. des,
muscles
triangulaire eU carré du menton- qui devinrent
ssçparalysie musclùaire, )e bienÆu'n6 hyper- s trophie sclérguso,du
muscle
: , Les. observations 1 deiiMMu SteelC ? et J(i
aient sans influence. Il s'agissait donc bienb (Tune, paralysie du¡
muscle
, grand, dentelé. (Serratus major des t Anglais)
ué' dans^l'action des» cour : ènts'r'électriqûés'surA ? nerf et le'
muscle
? la paralysie est* de courte'durée ' ;'la 'o'l
t la règle, en trois semames. Les1 cas'ou la nutrition «>ule des
muscles
! a' souffert1 forme partielle') de' réactiÓÙ !
;nivJL ) .Il 1 aqueduc de9Sylvi ? si }rv.qti ? ! la contraction' du
muscle
; cnlaire.' Cette même' irritation, portée un P,
0-* Observation Effet de l'entraînement sur un état parétique des
muscles
, Garçon jle, quatorze, ausiaffecté, d'uà embarras
en terribles grimaces ) par ,un spasme. involontaire detousoles1
muscles
du côté droit. La douleur..partait.ded'os 1 malai
trophié l'O r6te'd'é son' étendue ? ainsi'que'le'grand"dorsal. Les.
muscles
I -<- p' j or' 1 l' ? \ III I¡Ilv 1(' 1 i i
rèrent presquetqut le jour., 11, n'y, avait de-, contractés que les
muscles
de l'épine ; les masseters n'étaient pas pris. Il
par un tissu ondulé, mal défini, qu'on retrouve identique dans les
muscles
, lés'glandes/lâ peau ? certainement aussi dans'
es (hyperesthésie avec, troubles vaso-moteurs ; tic, convulsif. des
muscles
grands droits de l'abdomen) liés, a la fièvre T
le côté gauche de la mâchoire est plus rigide ; opisthotonos ; les
muscles
des bras et des jambes, aussi bien que ceux de
observation qu'on peut facile- ment triompher de la contracture des
muscles
dans l'hé- miplégie infantile ; qu'il suffit po
pas, on remarqua une faiblesse du membre gauche; de même, pour les
muscles
fléchisseurs de la main gauche. Graduellement l
quent, sans doute, tout simplement, par un état' particulier des
muscles
et, en partie, aussi des ligaments, durant la vie
aire antérieur. - Céphalalgie, délire, agi- tation, contracture des
muscles
de la nuque. -'Souffle cardiaque. Alternatives
ée sur le dos ; le cou et la tête assez renver- sés en arrière, les
muscles
de la nuque, douloureux à la pres- sion, sont e
le se dresse tout d'une pièce, il y a donc une certaine raideur des
muscles
du dos. Ni diplopie, ni paralysie, ni troubles
nos ; la tête est déviée à gauche par une contracture prononcée des
muscles
de la nuque à gauche, mais le sterno-cléido-mas-
t de la sensibilité dans les parties profondes, troncs nerveux et
muscles
. Il serait intéressant de voir comment et sur q
de l'épine iliaque antéro-supérieure pour se porter en bas entre ce
muscle
et le tenseur du fascia lata et se terminer ens
la branche interne; 430 REVUE d'anatomie. et se terminait dans le
muscle
pédieux ; l'interne se terminait dans la peau d
rveux central : lorsqu'on vient à rac- courcir passivement certains
muscles
, en rapprochant leurs points d'attache, on déte
rochant leurs points d'attache, on détermine une contraction de ces
muscles
. Le relâchement du muscle agit ici à la manière
che, on détermine une contraction de ces muscles. Le relâchement du
muscle
agit ici à la manière d'une excita- tion. C'est
erve le plus fréquemment, mais 436 REVUE DE PHYSIOLOGIE. d'autres
muscles
encore l'ont présenté (extenseur propre du gros
ns lequel la contraction est provoquée par une extension brusque du
muscle
ou par un coup sur son tendon. G. Ha z REVUE
racines. R. B. MODIFICATIONS DE l'excitabilité DES NERFS ET DES
muscles
après la MORT; par ONIMUS. (Journal de l'anato-
la physiologie, p. 629-653, 1880). Après la mort, les nerfs et les
muscles
perdent peu à peu leur excitabilité : ces phéno
er lieu les gros troncs, puis les filets nerveux qui se rendent aux
muscles
extenseurs, enfin les filets des muscles fléchi
nerveux qui se rendent aux muscles extenseurs, enfin les filets des
muscles
fléchisseurs. Les premiers cessent d'être excit
ures environ après la mort, tandis que les nerfs qui se rendent aux
muscles
fléchisseurs conser- vent leur excitabilité sou
inutes, plus grande que sur le vivant; le maximum d'excitabilité du
muscle
a lieu quand les gros troncs nerveux deviennent
duits. Pour ces derniers, la contractilité se perd d'abord pour les
muscles
de la langue et de laface, sauf le mas- séter.
de laface, sauf le mas- séter. Laperte de lacontractilité pour les
muscles
des membres 440 REVUE DE PHYSIOLOGIE. débute
les muscles des membres 440 REVUE DE PHYSIOLOGIE. débute par les
muscles
extenseurs, qui sont atteints une heure et même
ui sont atteints une heure et même plus avant les fléchisseurs. Les
muscles
du tronc con- servent le plus longtemps leur co
lations et la rigidité qui serait simplement une tension active des
muscles
, sorte de contrac- ture mitigée. Mais il convie
us susceptibles que de coutume, les fait agir immédiatement sur les
muscles
auxquels elles commandent. Pour expliquer comme
contracture persiste pendant le sommeil, c'est-à-dire alors que les
muscles
du côté sain sont dans un état de relâchement c
emmes hémiplégiques chez lesquelles un mouvement borné à quelques
muscles
du côté sain entraînait après lui un mouvement id
core nous nous permettrons d'objecter que, si l'atrophie totale des
muscles
contracturés est relativement peu commune, l'at
malaise qu'il ne peut définir. Cette sensation semble provenir des
muscles
; elle commence vers le bassin et s'étend ensui
roche en proche ; le malade ne peut pas dire qu'elle siège dans les
muscles
; elle n'est pas douloureuse mais pénible et ob
malade à'l'hbpital, on cons- tate l'activité presque incessante des
muscles
de la face et des extrémités (grimaces les plus
ves, de pronation et de supination incessantes. C'est alors que les
muscles
du tronc participent à la folie musculaire et q
la repousser dans la bouche avec le doigt. Il est probable que les
muscles
tenseurs des cordes vocales participent à l'ary
e spasmes cloniques; 3° une tétanisation plus ou moins continue des
muscles
du membre affecté et souvent des muscles abdomi
us ou moins continue des muscles du membre affecté et souvent des
muscles
abdominaux ; 4° une parésie plus ou moins marquée
OLIER. XLIV. SUR UN cas DE paralysie DES quatre extrémités ET DES
MUSCLES
DU TORSE, DÛ A UNE MYÉLITE DES CORNES ANTÉ- RIE
de dégénération », qui prouve la dégénérescence des nerfs et des
muscles
. Sur la demande du docteur Shaw, il ajoute qu'il
du coeur, imminence d'asphyxie. C. T. LVI. Paralysie bilatérale DES
muscles
DU larynx INNERVÉS par LES RÉCURRENTS ; par M.
ars . 1880.) Autant sont communes les paralysies unilatérales des
muscles
du larynx ou même les paralysies bilatérales de
érales des muscles du larynx ou même les paralysies bilatérales des
muscles
isolés, autant seraient rares, d'après M. Ormer
térale du larynx, incomplète à gauche, et exclusivement limitée aux
muscles
innervés par les récit ? ,- rents. Divers moy
rétro-laryngienne, et avait amené une infiltration oedémateuse des
muscles
dilatateurs de la glotte, les crico-aryténoïdie
.) L'auteur étudie dans ce travail les différentes conditions des
muscles
dans les affections articulaires, dans les contra
aussi une diminution marquée de la contractilité faradique dans les
muscles
ainsi atteints. La contraction émotive détermin
ter d'enchaîner par la picrotoxine le système nerveux moteur et les
muscles
, et de substituer au tétanisme agité de l'épile
uis le spasme devient continu, clonique et tonique, portant sur les
muscles
surmenés, sur leurs antagonistes, jusqu'à ce qu
andis que d'autres mouvements, réclamant la contraction des mêmes
muscles
en combinaisons différentes, peuvent encore être
forme et vératrine en liniment ; après quelques autres séances, les
muscles
masticateurs revinrent à leur état normal. P. M
u. Le faisceau pédonculaire moyen est destiné à l'innervation des
muscles
des membres et du tronc. Il correspond aux deux
e et contient les fibres du faisceau pyramidal qui actionnent les
muscles
de la tête et du visage ; dans l'aphasie ce fai
partie de son travail ; cette atrophie serait surtout apparente aux
muscles
de l'épaule et à ceux de l'éminence thénar; dan
usieurs années une bande d'Esmarch, celle-ci chasse le sang hors du
muscle
et le met dans l'impos- sibilité de se contract
t M. Brissaud, n'est qu'un strychnisme spontané permanent.-Tous les
muscles
du mem- bre contracture sont atteints, et si le
.jj-Bintt.T ? )jt\ Le réflexe rotulien est aboli ; par instants les
muscles
de la ^ùTise' droitê*s6hnênsiè^ë° ! de ? 'crafn
out'le nièn\b1re',0aôù'Ié^fr^ pagnées de secousses fibrillaires des
muscles
? PuŸS ? dé`srdoùlfûïs térébrantes autour des m
oumettant à des courants faradiques et galvaniques des nerfs et des
muscles
dont il avait au préa- lable interrompu la cond
Dès que reparaît la motilité volontaire, l'hyperplasie cesse et le
muscle
reprend son aspect normal d'autant plus vite qu
du tissu, nerveux ; la proliféra- tion cellulaire- et nucléaire du
muscle
entraînerait l'hyperexci- tabilité du 2° stade,
leuse généralisée, ainsi qu'en témoigne l'anatomie pathologique des
muscles
et des nerfs atteints correspondants. L'absence
latérale amyotrophique. On constate en' même temps les lésions des
muscles
et des nerfs périphériques propres à cette mala
te alté- ration, dit l'auteur, est' en rapport avec ce fait que les
muscles
des membres inférieurs étaient très atrophiés.
de l'oeil droit, immobilité et dilatation pupillaires, atrophie des
muscles
masticateurs du même côté, parésies et contract
masticateurs du même côté, parésies et contractions convulsives des
muscles
de la langue, anarthrie verbale, diminution con
u réflexe tendineux ? 2 C. T. LXXXVI. Remarques SUR la paralysie DU
MUSCLE
grand DENTELÉ, d'après une observation de paral
DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 601 che atrophie et paralysie complètes des
muscles
animés par le nerf radial, à l'exception du lon
suivie, au bout de six autres mois, d'une restitution complète des
muscles
qui avaient été atteints. L'auteur fait remarqu
nsatrice des portions moyenne et supérieure du trapèze et aussi des
muscles
abduc- teurs du bras (deltoïde, sus et sous-épi
s muscles abduc- teurs du bras (deltoïde, sus et sous-épineux). Ces
muscles
présentaient d'ailleurs une hypertrophie notabl
rophie notable, hypertrophie qui disparut peu à peu à mesure que le
muscle
grand dentelé se régénéra. - Bien que Duchenn
cause périphérique. Il fait encore remarquer que, bien que tous les
muscles
de l'avant-bras innervés par le radial fussent
ût, il y avait des mouvements choréiques de tous les membres et des
muscles
du tronc et de la face. L'enfant avait perdu l'
lutôt l'arrèt' de développement', porte à la fois sur les os et les
muscles
! " Quelquefois,' le côté paralysé est le siège
douleur constrictive à l'épigastre et palpitations violentes. Les
muscles
d'un côté du cou se contractent, entraînant la tê
ubliques l'enseignement extérieur pour développer en même temps les
muscles
, les sens spéciaux et les facultés intellectuel
, 637, 640. Nerfs (modifications de l'excitali- lité des), et des
muscles
la mort, par Onimus, 438. Nerfs (altération d
, liée à la surdité chez l'en- fant, par Seeligmuller, 453; - des
muscles
du larynx, par Orme- rod, 463 ; aiguë du larynx
te attitude pen- dant quelques instants par suite de la raideur des
muscles
du cou : c'est là un accident qui se reproduit
rien ne s'oppose à ce qu'on admette une contraction spasmodique des
muscles
du larynx analogue à celle des autres muscles d
ction spasmodique des muscles du larynx analogue à celle des autres
muscles
du corps. Jamais à aucune époque M. S... n'a ép
plus que de troubles de la défécation ou de la miction; jamais les
muscles
de la face n'ont été atteints. Etat actuel. L'a
suivants : Lorsqu'il veut faire un mouvement, lorsqu'un groupe de
muscles
entre en action, on voit presque toujours surveni
survenir une rigidité tétanique, une contraction permanente de ces
muscles
pendant une durée de une, deux, trois secondes
r une augmentation considérable de la consistance et du relief du
muscle
; mais ce phénomène présente ce caractère particu
conçoit que cette sin- gulière tendance à la rigidité tétanique des
muscles
qui entrent en action puisse amener les plus bi
it de faire, il fut pris d'une raideur générale à la plupart de ses
muscles
, mais son adversaire ayant riposté aussitôt, no
malade, on constate qu'il a toutes les apparences de la santé ; les
muscles
se dessinent bien sous la peau, quoique le tiss
s qu'aux autres personnes qui l'ont examiné, qu'on pût dire que ses
muscles
étaient hy- pertrophiés ; voici d'ailleurs les
bien légère, si tant est qu'elle existe ; mais on constate que les
muscles
sont plus sensibles à la pression qu'à l'état nor
anique légère. Nerf rudial droit. - On'constate dans les différents
muscles
innervés par ce nerf les phénomènes suivants :
20 El. '70". Ka St = léger tétanisme. An S Z - secousse simple.
Muscle
biceps droit. 14 El. 45'. Ka S L = secousse s
secousse simple. An S L = secousse simple. Ka 0 et An 0, néant.
Muscles
de l'éminence thénar droite. 18 El. 30". Ka S
ue tire M. le Dl Vigoureux de cet examen sont les suivantes : Les
muscles
et les nerfs sont moins excitables, et surtout
on bien manifeste à la for- mule normale ; cependant, pour quelques
muscles
, la con- traction aizodale est évidemment préco
devient tétanique, et alors on constate que souvent ce n'est pas le
muscle
excité lui-même dont la contracture se prolonge
la contracture se prolonge, mais qu'il se développe une crampe des
muscles
voisins (par irradiation du courant, ou plutôt
nerf donne lieu à une griffe qui cesse avec le courant. Pour les
muscles
comme pour le nerf, l'action tétanisante est pl
ir relié ce tambour au cylindre enregistreur nous avons excité ce
muscle
par un courant faradique à interruptions de fréqu
olon- taire du biceps droit. Pour cela, nous avons placé sur ce
muscle
un petit tambour ex- plorateur de M. Marey fixé
intervalles aussi égaux que possible. Les changements de forme du
muscle
étaient communiqués par un tube de caoutchouc
nsion maxima est notablement au-dessus du niveau A qui est celui du
muscle
à l'état de repos; puis le malade cessant ses e
sion de prendre simultanément le tracé de la contraction des deux
muscles
. Quoi qu'il en soit, nous voyons se former un nou
orté deux cas. Un de ses malades était pris d'une telle raideur des
muscles
au commencement des mouvements, qu'il était for
our lui assouplir les membres, puis au bout de quelques minutes les
muscles
se mettaient a fonctionner convenablement. Le
langue souvent raide ren- dait la parole lente et disgracieuse, les
muscles
des yeux étaient atteints, ainsi que ceux de la
niement du fusil avec la rapidité et la précision nécessaires ; ses
muscles
athlétiques étaient, même au repos, durs comme
ndant cinq secondes et plus. Secousses fibrillaires dans différents
muscles
. Ré- sistance assez considérable dans les mouve
de concerts prise depuis son enfance de raideur momen- tanée des
muscles
volontaires qui lui rendait le pati- nage et la
dès qu'elle le voulait ; il lui semblait aussi que parfois certains
muscles
du visage entraient en ri- gidité, de même pour
piano, ses doigts ne se déliaient qu'aubout de quelques instants ;
muscles
très développés, durs, présentant comme des éch
e lever, etc., il est obligé alors de se livrer à un massage de ses
muscles
; - l'excitation mécanique ne produit rien; -réf
ion mécanique ne produit rien; -réflexes rotulienstrès augmentés;
muscles
volumineux et durs comme de la pierre. SPASME M
qu'il veut ; difficulté pour étendre les doigt une fois fermés. Les
muscles
du tronc, de la vessie, de l'intestin, ne sont
onvenablement la bouche et éprouve la sensation de raideur dans les
muscles
des mâchoires et dans ceux de la bouche. Les mo
re et supérieure, est de 58 cent., celle]du mollet, de39 cent. ;4es
muscles
sacro- lombaires font un relief considérable, i
celle du bras à sa par- tie moyenne de 28 cent. La consistance des
muscles
n'est pas augmentée; "il n'y a pas de secousses
t qu'il veut se lever, il est pris, dit-il, d'en- gourdissement des
muscles
qui sont comme enchaînés, ce qui l'empêche d'ex
- dulations dans les mucles en état de contraction to- nique. Les
muscles
^des extrémités inférieures sont bien développés
nous avons vus dans les observations précédentes : rai- deurs des
muscles
des extrémités au début des mouve- ments volont
rentes circonstances qui exagèrent la contrac- tion spasmodique des
muscles
: préoccupations morales, crainte de se montrer
malade près du médecin, c'est la raideur spasmodique de certains
muscles
survenant au moment d'exécuter un mouve- ment o
malade ne se trompe pas, sensa- tion de contraction spasmodique du
muscle
, mais sans SPASME MUSCULAIRE. 19 ce caractère
ais bien l'impotence fonc- tionnelle causée par cet état spécial du
muscle
; nous ne reviendrons pas ici sur les conséquen
ions citées plus haut. Ces raideurs siègent non seulement sur les
muscles
des membres, mais aussi dans la majorité des ca
mais aussi dans la majorité des cas sur la langue, et aussi sur les
muscles
de la face dans deux cas de Secii--iiiüller et
trouvons rapporté dans plusieurs observations : V hypertrophie des
muscles
. Il en est fait mention dans les trois cas de S
ligmùl- 1er et dans celui de Bernhardt. Pétrone considère que les
muscles
de son malade étaient hypertrophiés (gar- çon d
premières sinon la première complète, dit que son malade avait des
muscles
athlétiques; nous avouons pour notre part ne po
e à l'épithète hyper- tropliie, du moins dans notre cas. Certes les
muscles
ont un développement notable, mais, vu la statu
dérer comme de l'hypertrophie. Peters n'a pas non plus trouvé les
muscles
de son malade hypertrophiés. Quoi qu'il en soit
uscles de son malade hypertrophiés. Quoi qu'il en soit, ce sont les
muscles
de la cuisse qui ont toujours été, comparativem
quelquefois même elle est assez considérable. La consistance des
muscles
a été trouvée très aug- mentée dans les trois c
Lorsqu'on fait une excitation mécanique sur le corps de l'un des
muscles
, avec.le marteau de Skoda par exemple, tantôt,
ent une aug- SPASME MUSCULAIRE. 21 mentation de la consistance du
muscle
sans change- ment appréciable à la vue, ou même
erver aussi chez des individus sains. Si, au lieu de percuter les
muscles
, on percute les tendons, on obtient suivant les
de bourrelets ou d'ondes musculaires qui indiquent un état actif du
muscle
pen- dant quelques instants. Quant aux troubl
n ne retrouve rien d'analogue du côté des membres supérieurs ou des
muscles
de la langue et de la face.- Quant à la paral
ervations de Seeligmùl- ler et de Bernhardt, qui prétendent que les
muscles
étaient hypertrophiés, il peut être bon de rapp
o-hypertrophique, c'est d'une véritable paralysie qu'il s'agit; les
muscles
les plus volumineux sont d'une faiblesse extrêm
x sont d'une faiblesse extrême et, à côté d'eux, on trouve d'autres
muscles
complètement atro- phiés; il n'y a pas non plus
anatomique, nous avons, il est vrai, un exa- men de Ponfick sur les
muscles
d'un des fils de Thom- sen, mais cet auteur n'a
e n'a donné que des résultats négatifs. Faut-il en conclure que les
muscles
ne sont pas atteints et que c'est la moelle qui
nsidérant la généralisation des troubles moteurs à presque tous les
muscles
volon- taires (même ceux des yeux et de la lang
s les observations de Thomsen et de Erb : Spasmes toniques dans les
muscles
volontaires, elle nous semble plus rationnelle,
une force suffi- sante, on parvient à vaincre la résistance que les
muscles
opposent à l'exécution des mouvements provoqués
peau des membres inférieurs et la dégénération graisseuse de leurs
muscles
. Les masses musculaires sont diminuées de volum
rée. Peu à peu les secousses diminuent et cessent complètement. Les
muscles
sont dans le relâchement [phase de résolution),
eil. Bientôt apparaissent des convulsions dans les yeux et dans les
muscles
de la face, puis sur le cou, d'où elles se prop
er signe fut un clignement des paupières, puis des contractions des
muscles
du front et de la bouche. Elle tourna ensuite l
ientôt guéris ; mais la dystrophie passagère parait influer sur les
muscles
de l'émi- nence thénar et hypothénar et sur les
rés par la projection de la muqueuse dans l'axe (action de certains
muscles
), de façon à obstruer l'orifice de l'une des vo
agnant l'espace naso-pharyngien. Mais si l'on fait entrer en jeu le
muscle
dilatateur des narines (longue et forte inspira
narines (longue et forte inspiration, la bouche étant fermée) ou le
muscle
compresseur des narines en reniflant (successio
dis que le biceps et le brachial ne sont qu'affaiblis. Atrophie des
muscles
affectés; atrophie des muscles des mains, surto
ne sont qu'affaiblis. Atrophie des muscles affectés; atrophie des
muscles
des mains, surtout du côté droit qui n'est pas pa
l, de l'extenseur commun des doigts et des péroniers. Asymétrie des
muscles
vaste interne et vaste externe con- sidérableme
he, dans celui du sciatique proplité externe, et s'étend à tous les
muscles
qui ne la possédaient que partiel- lement. Puis
lle, dans l'état de santé et dans l'état de maladie ; mais quand le
muscle
est atteint de lésions trophiques, on observe d
éduire de la distribution de chaque nerf et de l'action de chaque
muscle
. Sur ces données, et d'après les caractères de la
lement périphérique, il n'est déjà pas très exact de supposer qu'un
muscle
étant paralysé, les autres conservent leur inté
ssitent l'action si- multanée, positive ou modératrice de plusieurs
muscles
, et impliquent l'existence d'un système de coor
dans les mouvements associés des deux yeux, qui se font à l'aide de
muscles
tantôt homo- nymes, tantôt de nom contraire, et
ysiologistes, celle de l'association dans un même mouvement de deux
muscles
, le droit interne d'un côté et le droit externe
t de points différents et répondant à des actions particulières des
muscles
. C'est ainsi que, d'une manière générale, il fa
é comme plus naturelle l'association des mouvements qui relèvent de
muscles
innervés par un même nerf dans les deux yeux. L
éalité composé de noyaux distincts en rap- port avec les différents
muscles
innervés par ce nerf; par celles de Vulpian qui
ments cardinaux, correspondant à l'action principale des quatres
muscles
droits, et qui, envisagés dans les deux yeux, d
ond pourrait être con- sidéré comme l'effet du seul relâchement des
muscles
qui produisent le premier, mais les faits patho
elle n'est occasionnée ni par la contracture,niparla paralysie des
muscles
du cou. La paralysie oculaire intéresse à la fo
is cutanés sont moins prononcés à droite, et que la contraction des
muscles
15le CLINIQUE NERVEUSE. s'accompagne de tress
ant plusieurs mois les symptômes pa- ralytiques ont été limités aux
muscles
de l'oeil. Cette forme de paralysie, qui me fit
le n'était le résultat ni d'une paralysie, ni d'une contracture des
muscles
du cou, que l'on observe assez souvent dans les
possibilité de porter le regard à droite. La paralysie intéresse le
muscle
droit externe droit et le droit interne gauche.
se pose entre une paralysie de la sixième paire, c'est-à-dire du
muscle
droit externe, et la paralysie conjuguée. Or, d
ée. Il y a même des cas que j'ai signalés (Spasnze et paralysie des
muscles
de Poeil, Gazette hebdomadaire, 1877), où il se
de Poeil, Gazette hebdomadaire, 1877), où il se déve- loppe dans le
muscle
associé un véritable spasme, de telle sorte que
cation, quand elles se développent dans le sens de l'action, des
muscles
paralysés; mais lorsqu'elles exis- tent dans la
sont plus siginificatives. Enfin la présence d'une hémiparésie des
muscles
du côté opposé et surtout d'une paralysie alter
sion partielle du noyau de la troisième paire, intéressant tous les
muscles
du globe innervés par ce nerf, en respectant le
UX. 161 par le filet que le noyau de la sixième paire envoie à ce
muscle
, et nous trouvons dans ce fait la confirma- tio
à l'affaissement in- tellectuel et à l'impotence fonctionnelle des
muscles
. 164 CLINIQUE NERVEUSE. L'ophthalmoscope révè
eur ne peut pas s'expliquer par une paralysie partielle de l'un des
muscles
abducteurs droit externe ou pathétique. Il semb
a ten- dance à s'écarter, dans la paralysie même très légère d'un
muscle
, quand on porte la bougie, dans le sens du mouv
ervées. Il présente une hémiplégie gauche totale et com- plète. Les
muscles
du côté gauche de la face sont affaiblis, la bo
IL survient bientôt de la contracture des membres supérieurs et des
muscles
du cou, avec déviation des globes oculaires.
aphique, et évalue les variations de force de la contrac- tion d'un
muscle
. Après avoir sectionné le tendon d'Achille d'un
ntres, excitation qui produitla contraction simultanée de plusieurs
muscles
alors qu'on enregistre que la contraction d'un
er dans l'extrémité supérieure droite : parésie du tri- ceps et des
muscles
de l'avant-bras, paralysie absolue des flé- chi
nomènes au bras gauche, mais moins prononcées, car il n'y a que les
muscles
de l'éminence thénar qui soient complètement pa
lité électrique est partout normale, excepté quand on interroge les
muscles
atrophiés, et cependant absence de réaction dég
ompression antérieure. Il attribue la dégénérescence atrophique des
muscles
dans les membres inférieurs à une longue impote
ndante des cellules antérieures de la moelle), tandis que celle des
muscles
de la main, remontant aux premières phases de l
erexci- tabilité neuro-musculaire (contraction ou contracture des
muscles
par simple excitation mécanique), la période cata
ambulique, d'après eux, parun état de rigidité générale de tous les
muscles
. Les auteurs se demandent alors si cette distin
est en quelque sorte latente, il faut une excitation mécanique des
muscles
ou des nerfs pour la rendre manifeste; la contr
mènes qui accompagnent, par rapport à la contraction électrique des
muscles
, la dégénération des nerfs après leur section;
ssage du courant galvanique, suivant que ce courant entre dans le
muscle
ou le nerf par tel ou tel pôle, suivant aussi le
s réactions, au moyen de la myogra- phie ; on a ainsi sur l'état du
muscle
des renseignements bien autrement sérieux et pr
la fara- dique. Puis M. Amidon a repris les mômes études sur les
muscles
dont le nerf avait été sectionné ; mais, cette
xcitation électrique était portée non plus sur le nerf mais sur les
muscles
eux-mêmes; et, l'on peut vérifier sur ses tracé
anément ou isolément, la mâchoire inférieure, la langue, les divers
muscles
de la face. La parole se trouble alors. Jamais
M. WALDEYKR (de Strasbourg) : Des terminaisons nerveuses dans les
muscles
. Il s'agit de recherches faites par le Dr Brenner
agit de recherches faites par le Dr Brenner (de l'Illinois) sur les
muscles
striés de la grenouille et du lézard. Signa- lo
parfois une seule et même fibre se divisait en un rameau destiné au
muscle
et en un second destiné au vaisseau. D'ailleurs
réquemment l'anastomose de diverses plaques terminales tant du même
muscle
que de divers muscles voisins. 3° Deux fibres nty
se de diverses plaques terminales tant du même muscle que de divers
muscles
voisins. 3° Deux fibres ntyéli- niques peuvent
elative à l'exci- SOCIÉTÉS SAVANTES. 261 Lal31lité électrique des
muscles
. L'examen a porté sur quinze indi- vidus jeunes
euse dans les diverses conditions de l'expérimentation relative aux
muscles
premier interosseux, biceps brachial, deltoïde.
tuel qui est d'un signe contraire à celui qui est appliqué. Pour le
muscle
, dit Hering, il peut y avoir plusieurs lieux d'
core beaucoup plus complexe ; ainsi l'exci- tation d'une étendue de
muscle
pauvre en filets nerveux par l'anode provoquera
ne doivent pas être tenues pour le signe d'un état pathologique du
muscle
, et par suite, elles ne suffisent pas pour démo
s photographies concer- nant un nouveau fait de paralysie isolée du
muscle
grand dentelé, survenue chez un épileptique de
ccès d'épilepsie partielle : la jambe, le membre supérieur et les
muscles
de la face du côté gauche ont été agités par les
on de la main sur l'avant-bras. L'extension est impos- sible. - Les
muscles
de ce,, membre supérieur, surtout ceux du bras,
rieure de la muqueuse des joues. Les mouvements de la lèvre et des
muscles
du menton sont intacts. , 't, , .,1 w.xn-< '
oviale sur le tibia. Pas de corps étrangers intra-articulaires. Les
muscles
de la cuisse et de la jambe ne sont pas sensibl
és depuis, le bassin jusqu'au milieu de la jambe. Au, niveau des.
muscles
fessiers, 'ils, étaient tous les deux rougeâtres
nt que les cellules antérieures de la moelle jouent vis-à-vis des
muscles
correspondants le rôle de centres tro- phiques,
t Jajdestructtqnjjentraîne constamment à sa suite l'atrophie de ces
muscles
? L'hypothèse de l'ori- gme cqntralejdgs troubl
oti 'il )1, 1111 )1* -i i. suhir les nerfs des.articulations.et des
muscles
. peu vent subir % il) i 01,Jè bi .I )111 11 W l
ii.in-M.l "in ! '1'i;*vita iii'D Il'n v a d exception que pour les
muscles
de la face, ,...) ? ), ttr, r/ rry ·, ,rr,. i·.
re, celle des , |Mf« |,l i»'If"l 11 PMI' ''I' HiHlMi i/ ,·,1 ? .-
muscles
fléchisseurs des doigts, par exemple, une.cer-,
,-(>'» " Ill'H *1 * ,l.'»l. ... d'origine des nerfs moteurs des
muscles
extenseurs ;,et, fii- Vi no'iiiii i/ i il Il .
que,) ces, 1 mu 1't te i L,>i 1 lit lit" a Ili ii" )-> (1 ?
muscles
entrent en action, , » ? C est,, un, mécanisme,
.«,. (,1 ll ,)il l'el ''*<. "f ? i"" J- » '. one des nerfs, des
muscles
, sur lesquels elle, est, direct , Il(, 1 1;1 ·t
1 ''ni"1 " le 9 )J,Ié z m .m.l ...5 -' des nerfs qui se rendent aux
muscles
antagonistes. 4 ? c) L'étude détaillée quetylou
cutaire, ne resté pasl toujours ? éxactement,ulocaliséel dan2( le
muscle
^ou lé groupe1 musculaire- sur lequeltporte'l' ex
te ? l'excitation -,sort 'dérha.'sphèrea'du rliédian ? Cersôntl.lès
muscles
, rotateurs duf<bras;oen dedns, qu 1 - 'se 1,
nuer.au bras le inouvemeiit'comménc6-à ? I'-avaiit-brà'S' par les
muscles
pronateurs qui relèvent directement du médian.
tatjjd[hyperexcitar bilité ! neurô;nusgulaire ou en dhors,lelui 7Le
muscle
répond à peu près de la même façon à J'excitaii
lli i^rr,7'' 1 Contrairement a tout ce qui se passe d habitude, les
muscles
de la face se contracturent. Il est'vrai'que ce
ment,une tendance remarquable à.se produire exclusivement dans. les
muscles
,. qui. meuvent la partie excitée. , »«i* i . *
es ! 1 1 . 1; 1 I. 1 1, ? Il 1 " ? ^1 1 distribuent à, la- à des,
muscles
, ses, rameaux sensitifs, se,distribuent àila- 1
tér,-timent', cutané ? 1 uii('ogaii*e 1*1ôug-'jcicéi'it" "tèl qu'un
muscle
,tuh tendon jà, -un nerf,I\létè'rminerihîiiîédiale
' directement "intéressés ? si,ll'ëxci- tatiowporte sur le'corpsïdû
muscle
,- ce sont alors»" les nerfs' sensitifs r'de,x&g
e mettre en jeu 1 exci- Il a ? ? 9'Y'f[f ? 2'il '" t1-1 tabihtédu
muscle
. Il suffit alors de l'excitation cutanée tin ÇI
il 41 ? ' > ' e iil.,Ol,ft il 1 q-1 t Ir " xi '" portée sur les
muscles
antagonistes; tandis quclacon- , mn H l'il'l ?
e rien . pe Ira d is d'anormal' La malade contracte très bien les
muscles
ce ce côté lors- (lu elle ve 1 soufilei; f ? t,
ets. Les, bulbes .des, cheveux sont très sensibles; par moments les
muscles
de, la, face du côté, droit en- la' trént en
és* à.-gaughejont, Je, 24,layec les con- tractions, passagères chas
muscles
^e, l'a, face,, entièrement disparu. La*1 pupil
du membre supérieur -.«par exemple, qui occupe un certain nombre de
muscles
, toujours .les mêmes, sans que le. domaine, d'u
w111T t.t y ri' : V.W ? >,. fin*» ? » "I' *rfr ? f-r't,"Tf , 17
muscles
, mais détermine une synergie coordonnée; comme le
? ^il W ? n'{rf ff° )'r" ? f I t v croit lien'al ? ien que certains
muscles
puissent être, comme IIII vill 1.1 il 1, . - j'
gtemps, mis en action'par ,1 excitation de racines différentes. Les
muscles
mis en action '.jn.)"n tllit, 't*l ? Hi, ,'i ?
e transmettre par les troncs nerveux ,il " ? t , ? . nécessalres am
muscles
- It " " 1 . des fibres motrices nécessaires au
ssalres am muscles - It " " 1 . des fibres motrices nécessaires aux
muscles
pour entrer en action ! i ·ft; ·tll IJ· ! 1,·f1;1
t i|, i,j.,T|ftPsi. r»'r.r-r ,~ ...1, , .,..... r : j paralysie dun
muscle
innerve par plusieurs racines dépendra dû Iioml
éé;'et ce IIrW tr r ? T)n )t<.ft n ? ....'p.tnt. 'Il " w . - r
muscle
, plus ou moins anaibli pourra continuer a agir da
ir P, 1 , <'rt.t ? <t/ ,i't. fil . - , i .tf ? . , , , a dea
muscles
synergiques, et qu il existe une véritable syste-
triquement une paire nerveuse;on paralyse ou on excite un groupe de
muscles
concourant à produire iifil'n6uN,iiiént .) "Ol
36 j. , ,, , REVUE CRITIQUE. - , j synergivluç"çt f 11o11.certains,
muscles
,isolés fonctionnellement : 1 On voit, d'après l
echerches moins, complètes de Krausc 1, 11 que, chez, le lapin, des
muscles
antagonistes sont animés par, la / même paire;
s i de il citer; car.on.sait que, la, contraction, d'un- -roupeidp,
muscles
-l ne peut avoir un effet utile, que lorsque ce
dans les trous de conjugaison-; des fibres nerveuses se rendent aux
muscles
,, à la peau qui les recouvre et aux arti- culat
xiste ailleurs '...Toutefois, il est bon de, remarquer que certains
muscles
, dont l'action, se fait sentir dans divers mou-
long supinateur peut échapper au sôrt,commun , à la plupart , des
muscles
animes par' le " radial dans ? la0 paralysie satu
sie,. , . n tn , r SI W· JtutJ6t.W ? aa -. 1 1) infantile, ou des
muscles
isoles ou des petits groupes de muscles* sont-p
a -. 1 1) infantile, ou des muscles isoles ou des petits groupes de
muscles
* sont-pris isolement, seraient surtout utiles p
ète, que lorsque l'insensibilité porte à la fois sur la peau et les
muscles
, par exemple quand une puissante excitation gal
directement en haut,et en dedans; l'hyperexcitabilité mécanique des
muscles
: réveil par le choc du souffle, un appel, l'ac
éantissement des perceptions sensorielles; raideur cataleptique des
muscles
acquérant sous l'inlluencu des applications métal
physes mastoïdes ; le malade eût encore quelques secousses dans les
muscles
du côté droit, et tomba ensuite dans le coma. A
hé un appareil avec lequel on puisse écrire sans mettre, en jeu les
muscles
qu'atteint la contracture dans la crampe des éc
le malade doive mettre en jeu tout justement les antagonistes' des
muscles
qui agissent dans l'écriture par le procédé hab
, le médius, au lieu de se rapprocher, tendront à s'éloigner. Leurs
muscles
abducteurs et extenseurs entreront en jeu en pl
ntreront en jeu en place de leurs fléchis- seurs et adducteurs. Les
muscles
atteints de contracture se re- poseront. Leurs
rocédé ordinaire d'écriture. Du reste, s'il n'arrive jamais que les
muscles
nouvellement mis en jeu soient atteints à leur
ez l'homme), par Amidon, 2'i2. Nerveuses (terminaisons dans les
muscles
), 258. Né\ rite (contribution à l'étude de la\
partie est subdivisée en sections se rapportant aux affections des
muscles
, des nerfs, de la moelle, des méninges, de l'en-
ote où j'ai cherché à établir qu'à l'étal normal il existe dans les
muscles
striés des faisceaux spéciaux constitués par des
« Lorsqu'on examine, sur une coupe transversale assez étendue, des
muscles
striés de l'homme, on observe par places. dans l'
celui des fibres qui se trouvent dans toutes les autres parties du
muscle
, et présentant généralement un plus grand FIG.
constaté pour la première fois la présence de ces faisceaux sur des
muscles
atrophiés dans un cas d'amyotrophie consécutive à
OGIE. PATHOLOGIE EXPÉRIMENTALE DES MODIFICATIONS QUE PRÉSENTENT LES
MUSCLES
APRÈS SECTION DES NERFS QUI S'Y RENDENT D'un
faire comprendre la nature des lésions qu'elles ont subies. « Des
muscles
de lapin adulte, six semaines après la section du
ur voir la disposition que je vais indiquer, il suffit de fixer les
muscles
, soit par le bichromate d'ammoniaque à 2 pour 100
seul la gaine du sarcolemme. Sur d'autres fibres, MODIFICATIONS DES
MUSCLES
APRÈS SECTION DE LEURS NERFS 13 c'est une dispo
à l'état embryonnaire. » Ce processus particulièrement net dans le
muscle
est en réalité, on le sait aujourd'hui, un fait
. Il, p. 198), dans l'article consacré à l'anatomie pathologique du
muscle
, confirme les résultats de mes,reclierches. «
ilité des nerfs se perd toujours avant la contractilité directe des
muscles
et que l'excitabilité disparait plus vite pour le
Chez la grenouille, la diminution de l'excitabilité électrique des
muscles
, après la mort, serait précédée d'une période d
résultent de mes recherches (52). Chez l'homme, après la mort, les
muscles
ou tout au moins cer- tains muscles, particuliè
hez l'homme, après la mort, les muscles ou tout au moins cer- tains
muscles
, particulièrement ceux de la face, avant de perdr
t NOC > POC ; par conséquent, la contractilité électrique de ces
muscles
subit après la mort des modifications qui, à une
n- dance des modifications histo-chimiques se produisant dans les
muscles
dont les nerfs sont dégénérés. Mais si l'on consi
s de la réaction de dégénérescence peuvent apparaître dans certains
muscles
, ceux de la face, ainsi que je l'ai indiqué (Trai
action de dégénérescence tient, au moins pour une part, à ce que le
muscle
est alors complètement soustrait à l'influence du
On pourrait donc expliquer la réaction de dégé- nérescence dans les
muscles
après la mort de la manière suivante : les élém
y a pas d'amyotrophie. L'excita- bilité électrique des nerfs et des
muscles
mis à nu est conservée. La sensibilité à la piq
ent par disparaître. ' Nos recherches anatomiques ont porté sur les
muscles
, les nerfs et le système nerveux central des la
érique ; dans les cas que j'ai étudiés, les nerfs correspondant aux
muscles
paralysés, exami- nés depuis leur origine jusqu
rémité infé- rieure et on provoque ainsi la contraclion de tous les
muscles
qui fléchissent l'avant-bras ; parfois cette ex
peut-être parce que la contraction se limite, d'ha- bitude, au seul
muscle
biceps. On provoque encore, pas toujours il est
éjlectivité lorsque, le sujet ne contractant pas volontairement ses
muscles
, l'excitation d'un tendon détermine dans le gro
s doit être obtenu en l'absence de toute contraction volontaire des
muscles
de la jambe ; alors seulement on a le droit de
SSEUX 33 tant à ces recherches, mettant quand on les y invite leurs
muscles
dans le relâchement, état dans lequel la trépid
maintenir volontairement pendant plusieurs minutes consécutives les
muscles
au degré nécessaire de contraction et, par conséq
version du réflexe du radius et réaction de dégénérescence dans les
muscles
biceps et long supinateur ». Leur travail se term
bien observer le mouvement réflexe des orteils. Il importe que les
muscles
du pied et de la jambe ne soient pas en état de
ns cette attitude, on attendra pour procéder à l'excitation que les
muscles
paraissent bien relâchés. « Il n'est pas indi
flexes tendineux parce que la réaction, au lieu de s'opérer dans le
muscle
dont le tendon est excité, se manifesterait dan
l y a une lésion de la voie pyramidale, produit une contraction des
muscles
extenseur propre du gros orteil, jambier anté-
l, jambier anté- rieur, extenseur commun des orteils et parfois des
muscles
péroniers. En ce qui regarde la contraction du
laboration avec Delherm et Jarkowski) La contractilité faradique du
muscle
dégénéré peut être affaiblie ou abolie et, dans
: On excite avec deux tampons reliés à un appareil faradique les
muscles
dont on se propose d'explorer la contractilité et
de 10, 15, 3o milliampères. Dans certains cas, on constate que les
muscles
, ne réagissant pas à des courants faradiques au
mme ces der- nières, elles sont douloureuses; pendant leur durée le
muscle
est contracté au maximum : ce sont principaleme
um : ce sont principalement les jumeaux de la jambe, et souvent ces
muscles
seuls, qui sont susceptibles d'en être le siège
la cuisse et en fléchissant le pied sur la jambe. Ordinairement, le
muscle
, après avoir été mis ainsi en état de con- trac
e cause excitatrice des plus minimes, d'une percus- sion légère des
muscles
, d'un attouchement superficiel des téguments, d
u'il est bon de connaître et de savoir éviter. » II. AFFECTIONS DES
MUSCLES
MYOPATHIE PRIMITIVE A. Corrélation entre la p
PATHIE PRIMITIVE A. Corrélation entre la prédisposition de certains
muscles
à la myopathie et la rapidité de leur développe
région est envahie, ce sont toujours ou presque toujours les mêmes
muscles
qui sont atteints et les mêmes muscles qui sont
u presque toujours les mêmes muscles qui sont atteints et les mêmes
muscles
qui sont respectés. On peut, à ce point de vue,
muscles qui sont respectés. On peut, à ce point de vue, diviser les
muscles
en trois catégories : la catégorie des muscles
de vue, diviser les muscles en trois catégories : la catégorie des
muscles
prédisposés à la myopathie, celle des muscles r
es : la catégorie des muscles prédisposés à la myopathie, celle des
muscles
réfractaires , celle enfin des muscles interméd
és à la myopathie, celle des muscles réfractaires , celle enfin des
muscles
intermédiaires. C'est ainsi, par exemple, qu'à
est ainsi, par exemple, qu'à l'avant-bras le long supinateur est un
muscle
prédisposé, que les fléchisseurs des doigts sont
est un muscle prédisposé, que les fléchisseurs des doigts sont des
muscles
réfractaires. et que le rond pronateur et les r
lairc des yeux cl, l'orbiculairc des lèvres sont 7'1 AFFECTIONS DES
MUSCLES
prédisposés, les muscles moteurs du pavillon de
lairc des lèvres sont 7'1 AFFECTIONS DES MUSCLES prédisposés, les
muscles
moteurs du pavillon de l'oreille et les masti-
permet de comprendre la prédominance de la myopathie dans certains
muscles
. Voici les résultats de cette étude. Quelle que s
ron, des différences histologiques très manifestes entre les divers
muscles
. Les muscles prédisposés sont ceux dont le déve
érences histologiques très manifestes entre les divers muscles. Les
muscles
prédisposés sont ceux dont le développement est l
les noyaux rélé- gués à la périphérie sous le sarcolemme. Dans les
muscles
réfractai- res, on observe une disposition inve
x à la partie centrale des fibres. Ainsi, le long supina- leur, les
muscles
orbiculaires des lèvres et des yeux, le triceps c
au contraire, les flé- chisseurs des doigts, les masticateurs, les
muscles
moteurs du pavillon de l'oreille, le triceps su
établir une loi de corrélation entre le degré de prédisposition des
muscles
à la myopathie et le degré de rapidité de leur
ses études sur la distribution relative des mus- cles blancs et des
muscles
rouges du lapin. Cet auteur, en montrant que les
ncs et des muscles rouges du lapin. Cet auteur, en montrant que les
muscles
blancs du lapin adulte correspondent aux muscles
n montrant que les muscles blancs du lapin adulte correspondent aux
muscles
les plus avancés dans leur développement chez l
ectrique du triceps brachial ; abolition du réflexe du tendon de ce
muscle
. Cette affection a été souvent méconnue, sans d
aux autres d'une manière con- tradictoire. On voit, par exemple, le
muscle
peaucier se contracter en même temps que la com
te : en même temps que le 1 BABINSKI. 6 82 AFFECTIONS DES NERFS
muscle
orbiculaire de l'oeil fonctionne et que l'oeil se
e de l'oeil fonctionne et que l'oeil se ferme, la partie interne du
muscle
frontal se contracte et la peau de cette région s
ique à son tour au noyau de la VIle paire qui envoie la décharge au
muscle
orbiculaire qu'il commande. Voilà donc l'arc ré
lle du côté où siège le spasme ; enfin la contraction simultanée du
muscle
frontal et de l'orbiculaire des paupières au mome
pagner, d'une manière intermittente, de secousses involontaires des
muscles
des membres inférieurs, se répétant avec rapidité
qu'elles diffèrent totalement des secousses qui peuvent agiter les
muscles
dans le tabes dorsal spasmodique. Dans la plupa
reconnaît de la manière suivante : on con- state le relâchement des
muscles
en saisissant, entre les doigts, les lèvres et
. b) Voici un moyen de mettre en évidence l'hypotonicité dans les
muscles
du membre supérieur : 118 AFFECTIONS DE L'ENC
mouvements auxquels le peaucier participe, la contraction de ce
muscle
est plus énergique du côté sain que du côté
DE L'ENCÉPHALE jeu et se manifeste par la prédominance d'action du
muscle
du côté normal ; j'ai proposé d'appeler simplem
obtenue par la mise en activité inconsciente ou sub-consciente des
muscles
qui étendent la cuisse sur le bassin. Je suppos
ent la cuisse sur le bassin. Je suppose que c'est la parésie de ces
muscles
qui cause le phéno- mène dont nous nous occupon
oire que, dans cet acte, le sujet se borne à faire con- tracter les
muscles
qui inclinent le tronc en arrière. S'il en était
combinée de la cuisse et du tronc impli- que naturellement que les
muscles
qui l'exécutent fonctionnent, au moins dans une
araît être le résultat de l'action, limitée à un côté du corps, des
muscles
qui inclinent le tronc en avant. Griffe de la m
plégie d'origine cérébrale il se développe parfois une atrophie des
muscles
paralysés qui, d'après les idées autrefois admise
our en annihiler ou en restreindre les effets, il mettra en jeu les
muscles
antagonistes de ceux dont la contraction a prod
en avant, ne saurait, en effet. être attribuée à une paralysie des
muscles
qui dans la marche impriment au tronc une propu
dans l'hémiplégie, attribuer le mouvement combiné à la parésie des
muscles
extenseurs de la cuisse. « Nous Ia0 AFFECTIONS
ALE avons bien spécifié, en effet, qu'il s'agit de malades dont les
muscles
ont toute leur vigueur. Nous sommes donc obligé
areil cérébelleux est caractérisé par la faculté que présentent les
muscles
en état de contraction volontaire de se mainten
, était à tout instant agitée par des contractions spasmodiques des
muscles
cervicaux qui accentuaient la rotation et donna
a section du spinal, succède assez rapidement une régénération; ces
muscles
, comparés à ceux des membres inférieurs ou des
ale de Paris, 1884, p. 42). 8. Des modifications que présentent les
muscles
à la suite de la section des nerfs qui s'y rend
c Chagrin. Revue de Médecine, 188ô). 17. Sur la présence dans les
muscles
striés de l'homme d'un système spécial constitu
Sur la corrélation qui existe entre la pré- disposition de certains
muscles
à la myopathie et la rapidité de leur développe-
nerveux (Société de Biologie, 22 février 1896). 4a. Relâchement des
muscles
dans l'hémiplégie organique (Id., 9 mai 1896).
système pyramidal (Id., il\ mars 1899). 52. De la contractilité des
muscles
striés après la mort (Société de Biologie, 6 ma
utive à la fièvre typhoïde. Dissociation de diverses piopriétés des
muscles
(Id., il' décembre tyo4). in. Hémiplégie spasmo
culaires................... (j Des modifications que présentent les
muscles
après section des nerf» qui s'v v rendent......
ent........................ la 2 De la contractilité électrique des
muscles
striés après la mort 14 De la paralysie pyocyan
halo-rachidien 69 2.12 TAULE DES MATIÈRES S II. - FI'EC'rI0\5 DES
MUSCLES
73 Myopathie primitive 7 Corrélation entre la
opathie primitive 7 Corrélation entre la prédisposition de certains
muscles
à la myopathie et la rapidité de leur développe
l; main gauche, G. Il y a aussi affaiblissement musculaire dans les
muscles
de la tête et du tronc. Les muscles de la face
iblissement musculaire dans les muscles de la tête et du tronc. Les
muscles
de la face sont eux-mêmes affaiblis; elle plisse
ans aucune partie du corps, ni aucun trouble des sens spéciaux. Les
muscles
de l'oeil, de la langue, de la bouche, sont nor
déterminés par une excitation de la peau ou une mise en action des
muscles
, l'émotivité, la trémulation de la langue; et,
s, le long de la colonne vertébrale; une contracture permanente des
muscles
fléchisseurs du pied, une trépidation qui se ma
xion des doigts dans la paume de la main, secousses convulsives des
muscles
des membres et de la nuque, le tout durant à peu
eau sur quelqu'un des points où elle était hyperesthésiée, soit des
muscles
eux-mêmes, s'accentuait alors et s'étendait bie
le malade entra à l'hôpital, une contracture douloureuse des divers
muscles
de l'abdomen avec tympanisme, s'amende régulièr
L'embarras de la parole n'existe pas. L'excitabilité électrique des
muscles
et des nerfs est intacte. A cause de ce tremble
Actuellement, le malade présente le facies d'Hutchinson : tous les
muscles
extérieurs de l'oeil, et ceux-là seuls, sont in
isamment maintenue est entraînée en avant par son propre poids. Les
muscles
de la cuisse et du mollet, bien qu'ils ne parai
e n'existe'pas au,niveau de la.face.'Au cou elle prédomine pour les
muscles
de la région postérieure, qui ont en grande par
muscles de la région postérieure, qui ont en grande partie disparu (
muscles
des gouttières vertébrales, portion supérieure du
u des épaules on constate une atrophie notable des deltoïdes et des
muscles
de la ceinture scapulaire : sus-épineux, sous-épi
pied est considérable des deux côtés. Mais on remarque dans divers
muscles
de la cuisse et de la jambe, à droite et à gau-
s. En dehors de cela pas d'excès de boissons. Examen électrique des
muscles
, pratiqué par M. Vigouroux : Côté droit à juin
très grande diminution d'excitabilité. Cubital postérieur : normal.
Muscles
abducteurs et extenseurs du pouce : néant, exce
de résistance de la région). Réaction faradique à peu près normale.
Muscles
abdominaux moins excitables aux deux courants. Mu
rès normale. Muscles abdominaux moins excitables aux deux courants.
Muscles
de l'épaule et du cou également très peu excita
éanmoins, l'état des membres supérieurs est resté stationnaire. Les
muscles
sont flasques, animés de secousses fibrillaires
nt à résister. La flexion des doigts est pour ainsi dire nulle. Les
muscles
de l'émi- nence thénar et hypothénar sont fort
areil ligamenteux et surtout musculaire trop faible. L'atrophie des
muscles
du mollet est également considérable (Pl. V). I
considérable (Pl. V). Il existe des secousses fibrillaires dans les
muscles
de la cuisse, du bras et de l'épaule; elles son
un courant d'autant plus fort, pour obtenir la contraction, que le
muscle
est plus atrophié, aussi bien avec l'électricité
N. LECROSNIER & basé - DE L'OPHTHALMOPLÉGIE EXTERNE. 63 Les
muscles
de la mâchoire (masséters, temporaux, ptérygoïdie
, temporaux, ptérygoïdiens) fonc- tionnent normalement. ... . Les
muscles
de la face sont intacts. Rien à noter du côté du
positions extrêmes de l'oeil, on a cette sorte de tremblotement des
muscles
orbitaires, cette espèce d'hésitation qu'on renco
une durée très variable, d'un tremblement rhythmé commandé par les
muscles
de l'avant-bras, et dont l'intensité esl égalem
à peu son pied droit se placer dans l'altitude d'une contracture du
muscle
tibial antérieur (Pl. VI, fig. 3). Éther. Ell
- comme chez les hystériques, est définie : un état pathologique du
muscle
caractérisé par la raideur involontaire et dura
chent. On le voit alors contracter fortement et progressivement les
muscles
fléchisseurs de l'avant-bras, puis le supinateu
'avant-bras, puis le supinateur et le brachial antérieur, enfin les
muscles
de la région postérieure. Il ne cesse pendant c
est de dix à quinze secondes. , Dans cet état on constate que les
muscles
de la main et de l'avanl- bras sont absolument
et se maintient dès lors sans effort. Le faible développe- ment des
muscles
des bras ne lui permettrait certainement pas cet
autre exercice du même genre. Mais ici la contracture porte sur les
muscles
abdominaux. Il contracte progressivement, en fi
CHEZ UN HYSTÉRIQUE. 105 peut déterminer volontairement soit sur les
muscles
du bras, soit sur ceux de l'abdomen. Il n'exist
: c'est celui dans lequel cette- contracture et le relâchement des
muscles
antagonistes sont un moyen de diminuer une doul
on de la contracture et si longtemps que le sujet la fit durer, les
muscles
du bras ne se prenaient pas, et la contracture
insi pendant aussi longtemps le diaphragme, les intercostaux et les
muscles
abdominaux en état de contraction, n'est pas ch
ux attaques, aux émo- tions, etc., de contractions fibrillaires des
muscles
et notamment des muscles de la face, des lèvres
ns, etc., de contractions fibrillaires des muscles et notamment des
muscles
de la face, des lèvres; en pareil cas, il communi
t à 43 kilogr., celle de la main gauche à 21 kilogr. seulement; les
muscles
du visage étaient moins mobiles à gauche qu'à d
tus horizontal, on ne constatait aucune contraction anormale de ses
muscles
. Si on le priait de porter un verre à ses lèvre
onc s'incline est bas et en dedans, suivant la ligne d'insertion du
muscle
grand fessier, et vient, au niveau du cofcyx, s
ard de la main droite. En même temps les forces se perda ent et les
muscles
s'atrophiaient et devenaient mous et flasques d
supérieure. Le traitement consista surtout dans l'électrisation des
muscles
atrophiés, l'administration de l'iodure de pota
La tête est légèrement penchée en avant, à cause de la faiblesse des
muscles
de la poche postérieure du cou. On ne constate
déformation bien nette de cette région ni d'atrophie manifeste des
muscles
. Ceux-ci ré- sistent peu au mouvement passif de
'existe pas de déformation de la main en griffe. Des deux côtés les
muscles
longs supinateurs sont relativement conservés.
équemment constaté l'existence de secousses fibril- laires dans les
muscles
atrophiés de ses membres supérieurs. Les réacti
atrophiés de ses membres supérieurs. Les réactions électriques des
muscles
n'ont pu être recherchées, le malade ne s'étant
e dans le domaine du trijumeau droit, contracture intermittente des
muscles
de la face. Six mois plus tard se développa une
commença à apparaître. La paralysie porte aujourd'hui sur tous les
muscles
de l'oeil, sauf le muscle ciliaire, et l'atroph
paralysie porte aujourd'hui sur tous les muscles de l'oeil, sauf le
muscle
ciliaire, et l'atrophie très accusée est étendu
atrophie très accusée est étendue à toute la jambe droite. Certains
muscles
ne réagissent plus au passage du courant, d'autre
ticulier, l'atro- phie des membres supérieurs, qui a débuté par les
muscles
de l'épaule, ne s'est manifestée que douze ans
mber. Quatre ans après, il eut de la faiblesse et de l'atrophie des
muscles
de l'épaule gauche et ensuite du bras. Plus tar
ar le bulbe supérieur mais par la moelle. Les noyaux commandant aux
muscles
des membres, les premiers lésés, sont atteints
noter, elle ne s'accompagne pas de réaction de dégénérescence; les
muscles
atrophiés présentent simplement une forte dimin
thalmoplégie externe n'est pas totale; elle res- pecte à gauche les
muscles
élévateurs et abaisseurs du globe de l'oeil, le
sent aisément le fémur, tandis que celaestimpossible au travers du
muscle
droit et du muscle crural. L'examen électriqu
émur, tandis que celaestimpossible au travers du muscle droit et du
muscle
crural. L'examen électrique montre une forte di
té pour les deux espèces de courant. A droite comme à gauche, les
muscles
suivants : deltoïdes, surtout le droit, triceps
ils, extenseur propre du gros orteil à la jambe, aussi bien que les
muscles
abdominaux au tronc, ne présentent pas la réactio
e; de telle sorte que, il y a quatre ans, les noyaux commandant aux
muscles
des membres ont été les premiers lésés, que ceu
nt aux muscles des membres ont été les premiers lésés, que ceux des
muscles
oculaires indiqués (oculomoteur et abducens) on
'un processus atrophique qui porte son action non seulement sur les
muscles
de la vie de relation et sur les diverses parti
formément répartie, mais à la main l'atrophie porte surtout sur les
muscles
. L'éminence thénar a complètement dis- paru. Il
ue les anomalies plus profondes des différents systèmes organiques (
muscles
, viscères, etc.). De ce que je viens de dire préc
et dans tout le reste de la moelle (poliomyélite) et commandant aux
muscles
isolés des extrémités et aux muscles abdominaux
oliomyélite) et commandant aux muscles isolés des extrémités et aux
muscles
abdominaux.. Nous avons donc affaire à une poli
is c'est surtout l'analogie qu'il y a entre la lésion nucléaire des
muscles
spi- naux symétriques et la lésion nucléaire de
léaire des muscles spi- naux symétriques et la lésion nucléaire des
muscles
symétriques bulbo-cérébraux (Seelimüller). Da
e marche envahissante. Celle-ci ne porte pas également sur tous les
muscles
: les DE L'OPHTHALMOPLÉGIE EXTERNE. 221 muscl
ment sur tous les muscles : les DE L'OPHTHALMOPLÉGIE EXTERNE. 221
muscles
vaste interne, vaste externe et tibial antérieur
et brachial, le sterno-mastoïdien dans un autre, comptent parmi les
muscles
les plus altérés. Chez Brau... l'atrophie est s
ceps, le grand pectoral, ont conservé leur puissance nor- male. Les
muscles
sont pris isolément et non par groupes : on sait
certains mouvements et faire du malade un véritable infirme. Les
muscles
atrophiés sont flasques, non douloureux à la pres
i n'existent pas partout; elles sont surtout marquées au niveau des
muscles
en voie d'atrophie, bien qu'elles puissent, ain
eau de parties atrophiées depuis longtemps. L'examen électrique des
muscles
fournit des renseignements inté- ressants, quel
n-excitabilité du nerf, la contractilité faradique et galvanique du
muscle
est simplement affaiblie; de plus, l'excitabili
oint plus loin il propos du diagnostic. Ajoutons enfin que certains
muscles
sont tellement atrophiés, qu'ils ne réagissent
entôt, il est vrai, l'atrophie frappe en masse, un peu partout, les
muscles
paralysés, se généralise et envahit successivemen
upérieurs et inférieurs peuvent atteindre en si peu de temps. Les
muscles
sont le siège de très rares contractions fibrilla
eux, pour diriger ses regards autour de lui. Lorsque l'atrophie des
muscles
de la partie postérieure du cou est très avancé
ue moins souvent la dépression sous-occipitale due à l'atrophie des
muscles
de la nuque. Mais il suffit de jeter les yeux sur
t plus ou moins immobile, penchée en avant, grâce à l'impotence des
muscles
du cou, qui est creusé au niveau de la nuque d'
le front est lisse, exempt de toute ride, à cause de l'atrophie des
muscles
. Chez les autres, au contraire, la contraction
ulons parler de l'absence d'anomalies des réactions électriques des
muscles
et en particulier de l'absence de la réaction d
considéra- rable de l'excitabilité pour les deux courants dans les
muscles
atrophiés et, chose remarquable, cette diminuti
uable, cette diminution arrive à l'abolition complète pour certains
muscles
qui sontpeu atrophiés et qui obéissent encore à
hique en particulier, il y a presque toujours un mélange. Parmi les
muscles
atrophiés, les uns réagissent normalement, les au
it développée ensuite : atrophie légère de la langue, paralysie des
muscles
du voile du palais et du pharynx, de l'orbicu-
facial supérieur : paralysie du voile du palais. Affaiblissement des
muscles
du cou, de plusieurs groupes des membres supéri
pes 1'01 tant sur le bulbe, la protubérance, la région des noyaux des
muscles
oculaires. Les faisceaux radiculaires, les grou
omme encore vigourcux; ila du ptosis palpébral et de la parésie des
muscles
de l'oeil, mais les pupilles ont gardé leur fac
sibilité générale et des sensibilités spéciales. Pas d'atrophie des
muscles
des membres. Abolition 1. \l'eslphll, IJerliner
lomoteurs communs d'une teinte grise étaient également amincis. Les
muscles
de l'oeil présentent les traces d'une dégénéres
roscopiques concernantles paralysies chroniques et progressives des
muscles
oculaires par la relation d'un cas de Poettier.
presque in extenso. OBs. XL. Paralysie chronique et progressive des
muscles
de l'oeil. (Doelliger 1). Il s'agit d'un homm
iellement par une paralysie bilatérale plus ou moins com- plète des
muscles
oculaires (avec ou sans ptosis) à l'exception des
plète des muscles oculaires (avec ou sans ptosis) à l'exception des
muscles
intrinsèques, par de l'ataxie des membres et de l
pouls, la température, la sensi- bilité, la réaction électrique des
muscles
sont normaux. Le réflexe rotulien est plutôt ex
oute pour Thomsen, d'autant mieux que des paralysies semblables des
muscles
oculaires ne sont point rares dans ce qu'on cro
t la suivante : lorsque, à la con- tracture spasmodique de certains
muscles
, succède un état nouveau qui est la rétraction
scles, succède un état nouveau qui est la rétraction indélébile, le
muscle
a conservé presque intégra- lement ses propriét
e de pouvoir -^.. se contracter. Par conséquent, si on sectionne ce
muscle
et si on mobi- lise l'articulation, la fonction
ment chirurgical se résume donc en ces deux formules : sec- tion du
muscle
contracturé, mobilisation de l'articulation. Le
mière de ces deux manoeuvres, la section portant sur les tendons du
muscle
ou sur ses attaches osseuses, suffit pour faire
thodique et l'électrisation appliquée avec une grande prudence, les
muscles
retrouveront leur vigueur nor- male. Grâce à
travail. Dans le premier cas, il s'agit d'une double rétraction des
muscles
de la jambe et de la cuisse ayant succédé à une
lite transverse. La seconde observation concerne une réfraction des
muscles
de la cuisse gauche survenue à la suite d'une h
l- lement guéries et marchent facilement. UNS. I. Contracture des
muscles
postérieurs de la cuisse succédant à une hémipl
e la cuisse succédant à une hémiplégie. - Rétraction secondaire des
muscles
. - Section des tendons au niveau du creux popli
on oblenait un léger résultat aussi- tôt limité par la tension des
muscles
postérieurs de la cuisse. Les tendons qui limit
r obtenir ce résultai : la résistance venait en effet, non plus des
muscles
rétractés, dont on ne sentait plus les tendons sa
ur son état actuel : « La jambe pouvait s'étendre complètement; les
muscles
du mollet, très atrophiés l'année dernière, ava
t guérie (fig. z , OBs. II. Myélite transverse avec contracture des
muscles
de la cuisse. Rétraction musculaire consécutive
es cuisses, les pieds étant en exten- sion. Section des tendons des
muscles
rétractés. Extension forcée maintenue par des a
eins. En même temps apparaissait une contracture très prononcée des
muscles
des deux jambes et des deux cuisses. La malade
éger degré d'extension. Il était facile de constater la tension des
muscles
formant sous la peau de la région postérieure de
coxo-fémorale était intacte, et l'obstacle venait manifestement des
muscles
antérieurs de la cuisse qu'on sentait et qui fa
yenne, mais encore mobiles; il semblait que le raccourcissement des
muscles
postérieurs de la jambe et du tendon d'Achille
e peu accentué. Cette malade était d'une maigreur extrême, et les
muscles
des membres inférieurs étaient très-amincis.
des sections tendineuses portant, premièrement sur les tendons des
muscles
postérieurs de la cuisse au niveau du creux pop
cuisse au niveau du creux poplité, secondement sur les attaches des
muscles
antérieurs de la cuisse au niveau du bassin.
articulaires étaient faciles et s'effectuaient sans craquements; les
muscles
fonctionnaient assez bien. Lorsque les jambes
incre que la flexion des cuisses était bien due à la rétraction des
muscles
antérieurs s'insérant sur le bassin et, dès lor
rieurs s'insérant sur le bassin et, dès lors, que la section de ces
muscles
était indispensable. Le 22 novembre la malade f
roduisit aussitôt entre les deux bouts de la corde for- mée par les
muscles
sectionnés. Les cuisses furent immobilisées par u
sur le sol. Grâce aux massages, il emploi de l'électricité sur les
muscles
de la cuisse, l'action musculaire s'est amélior
ique (le pôle -(- étant placé au devant du sternum, le pôle sur les
muscles
), les muscles de l'éminence thénar droite réagiss
-(- étant placé au devant du sternum, le pôle sur les muscles), les
muscles
de l'éminence thénar droite réagissent fort bie
le pas que la secousse soit plus brusque du côté malade que sur les
muscles
sains. En appliquant le pôle sur les muscles, o
ôté malade que sur les muscles sains. En appliquant le pôle sur les
muscles
, on provoque des contractions au moins égales,
e l'électricité, et surtout l'électricité faradique, se propage aux
muscles
de l'avant-bras : quand on applique sur la 260
main le pôle z, elle se fléchit brusquement en totalité; ce sont lès
muscles
antérieurs de l'avant-bras qui se- contractent,
s les observations précédentes ont trait 11 l'éminence. thénar. Les
muscles
hypothénariens, moins amaigris, pourvus aussi de
racte à peine, et le quatrième un peu seulement. La contraction des
muscles
antéro- externes de l'avant-bras semble aussi u
son de la grande quantité de mouvements superflus. La nutrition des
muscles
, des extrémités est normal' l.cw ? co.n1ractili
la plante des pieds sont exagérés; les réflexes du crémaster et des
muscles
abdominaux font défaut. La sensibilité de la peau
tat psychique du patient). La compression des troncs nerveux et des
muscles
ne provoque nulle part de douleur; celle de la
de la langue sont possibles. On ne remarque rien d'anormal dans les
muscles
du visage, mais il y a chute de la paupière sup
e graisse; mais on ne peut remarquer de dégé- nérescence marquée du
muscle
cardiaque, les valvules sont sclérosées mais su
brale double plus marquée à droite. Sur l'oeil droit : paralysie du
muscle
droit interne et parésie des droits externe, supé
externe, supérieur et inférieur. Sur l'oeil gauche : paralysie des
muscles
droits. Aucun trouble de l'accom- modation, auc
l. Parésie du facial droit. Paralysie du voile palatin. Parésie des
muscles
de la nuque. Ataxie légère des membres supérieu
e des réflexes, la présence de contractions fibrillaires ' dans les
muscles
atrophiés ou en voie d'atrophie, les caractères e
aison et les vices de conformation du bassin, l'absence de certains
muscles
constatable sur le vivant (Féré1), des amyotrop
t. Au mois de mars se produit lentement une contracture de tous les
muscles
du membre inférieur gauche, qui s'immobilise en
de nature saturnine due à une lésion des nerfs périphériques ou des
muscles
. L'anesthésie cutanée l'embarrasse cependant. N
le nom de contraction paradoxale. 3° Action de l'électricité. - Les
muscles
ont conservé leur excitabilité électrique, mais
nterruptions lentes. a. Lorsque les interruptions sont rapides, les
muscles
électrisés se tétanisent, comme il arrive chez
ve parfois que la contraction musculaire ne reste pas localisée aux
muscles
directement excités. Ainsi, si l'excitation farad
erminé bientôt par un retour à la normale. Après celte secousse, le
muscle
est ce qu'il était auparavant. Il ne reste pas
ce cas, la descente de la courbe reste Fig. 03. incomplète et le
muscle
demeure raccourci. Il est en état de contrac- t
g. 65). Dans cette circonstance, la contracture ne se limite pas au
muscle
directement excité : elle envahit tout ce membr
s; e. L'application d'un diapason vibrant; f. La faradisation des
muscles
ou des nerfs ; g. L'aimantation; h. L'excit
gories, suivant que l'excitation porte sur les parties profondes,
muscles
, tendons, os, nerfs, ou bien qu'elle est exclus
différents seg- ments du membre intéressé. Le mode de réaction des
muscles
à l'exci- tant diffère suivant les cas. C'est a
ve d'autres fois une localisation remarquable de la contracture aux
muscles
directement excités, comme cela se voit dans la
cture par massage musculaire ne sera réduite que par le massage des
muscles
antagonistes, une contracture par souffle sur l
te toujours. Pendant l'état léthargique, l'excitation mécanique des
muscles
entenseurs des doigts n'arrive pas à modifier l
pas à modifier l'altitude de la main. En excitant tour ;1 tour les
muscles
de la face antérieure ou postérieure de l'avant-b
de la main en flexion est pro- duite par l'excitation mécanique des
muscles
fléchisseurs. La malade est ensuite plongée dan
au le sujet. Pendant l'état léthargique, l'excitation mécanique des
muscles
ne détruit pas la contracture. Le poignet comme p
st générale ou partielle. Elle existe il un égal degré sur tous les
muscles
du corps ou bien sur les muscles d'un membre se
iste il un égal degré sur tous les muscles du corps ou bien sur les
muscles
d'un membre seulement. Souvent elle frappe un s
Mais lui fallait-il faire un effort pour lever un fardeau, tous les
muscles
fléchisseurs des doigts, du poignet, del'avant-
. Chez elle il existait depuis plus d'une année une contracture des
muscles
extenseurs du pied sur la jambe. La diathèse
nt alors à l'absence plus ou moins complète du relief formé par les
muscles
de chaque côté de la crète apophysaire.Le fait
ne le pouvons encore. Actuellement la contractilité électrique des
muscles
est conservée. Nous avons le droit de conclure
laires en voie d'atrophie. 3° Dans un cas d'atrophie hystérique des
muscles
de la main, l'examen électrique pratiqué par M.
fs pour la même cause que les troubles trophiques survenus dans les
muscles
? Dans tous ces faits, il a toujours trouvé la
rophie musculaire rapporté par M. Michaut, il s'agit d'atrophie des
muscles
de l'avant-bras, rapide selon l'usage, mais off
la récente communication de M. Féréol 2. L'atrophie porte sur les
muscles
de l'épaule droite : biceps, faisceau supérieur d
une étendue modérée. Secousses fibril- la ires très nettes dans les
muscles
de l'éminence thénar. La main tout entière est
scence dans le premier radial externe droit. Les interosseux et les
muscles
du pouce présentent des réactions électriques nor
? 2. Exa- men du 19 août 1890. Pas d'anomalies électriques dans les
muscles
de la main droite. Le premier radial externe ré
l'hystérie est survenue et récemment a produit la fonte rapide des
muscles
et supprimé l'usage de la main. Autrement dit l
, est presque totalement produit par de l'adipose sous-cutanée. Les
muscles
des faces antérieure et postérieure de la cuiss
y a un degré d'adiposc sous-cutanée très sen- sible. L'atrophie des
muscles
de t'avant-bras laisse la main complètement ine
rsqu'on examine la face antérieure de l'avant-bras, on sent que les
muscles
épitrochléens sont complètement atrophiés; les mu
sent que les muscles épitrochléens sont complètement atrophiés; les
muscles
épicondy- liens conservent un léger relief; qua
; les muscles épicondy- liens conservent un léger relief; quant aux
muscles
de la partie postérieure de l'avant-bras, on ne
face les mouvements sont bien conservés, sauf au niveau de certains
muscles
peauciers qui ont subi un sensible degré d'atroph
iers qui ont subi un sensible degré d'atrophie. C'est ainsi que les
muscles
qui s'insèrent il l'os malaire et ceux de la foss
e ni souffler, ni siffler. On ne constate pas d'atrophie des antres
muscles
de la face (frontaux, orbiculaircs des paupière
tent d'atrophie; il y a seulement un degré notable de paralysie des
muscles
du voile du palais, elles aliments, soit liquides
du malade. (d) Tronc. Au tronc, on ne constate point d'atrophie des
muscles
de la ÉTUDE DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES « SIMULAT
e phalange étant légèrement fléchie sur la première. La saillie des
muscles
pédieux a complètement disparu. Les mouvements
atrophie musculaire y est en effet moins prononcée de beaucoup. Les
muscles
de la cuisse sont le siège de trémulations fibril
ements de flexion et d'exten- sion. A l'avant-bras, les reliefs des
muscles
sont conservés; il n'y a pas d'adipose sous-cut
ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. plus le triceps qui agit, mais les
muscles
de l'épaule par une espèce d'im- pulsion partic
as. A l'avant-bras : les fléchisseurs ne réagissent pas; les autres
muscles
(long supinateur, radiaux, etc.) ont une diminu
eurs et le pédieux, diminution des réactions faradiques; les autres
muscles
ne répondent plus au courant. c. Membre supérie
droit. L'excitabilité électrique est diminuée, abolie dans quelques
muscles
: le triceps et le court adducteur du pouce. d.
érieur droit. -Abolition des contractures faradiques dans tous les -
muscles
, sauf le vaste interne, les péroniers, les extens
ers, les extenseurs des orteils où elles sont très affaiblies. c.
Muscles
du tronc. Réactions abolies à gauche, diminuées à
ne se conlrac- tent pas avec trente-six éléments NFC > Pl'C. Les
muscles
é¡1Ícond ! Jliens se contractent avec seize élé
cteur et le court extenseur du pouce se contrac- tent dans tous ces
muscles
NFC>PFC. De plus, la contraction est plus le
s. LXXVII (Roth, in eodem loco). Sommaire. Atrophie progressive des
muscles
de la main. Exagération des réflexes tendineux
s la syringomyélie, l'amyotrophie est progressive; elle procède par
muscles
isolés qu'elle frappe à des degrés divers. Enfi
ignalais un autre malade chez lequel la partie infé- rieure du même
muscle
manquait. La déformation n'était pas suffi- san
mais ce dernier malade ayant succombé depuis, j'ai pu disséquer les
muscles
, et me convaincre de la réalité de l'anomalie o
nt du côté droit de la colonne vertébrale suivi de secousses dans les
muscles
du dos et dans les membres supérieurs. Au momen
es dans l'hémisphère gauche avec des anomalies de développement des
muscles
et de la peau du côté opposé semble en faveur d
n·Lre. FiG. 70. Dissection du petit pectoral gauche ; absence de ce
muscle
à droite. CONSIDÉRATIONS S SUR LE TRAITEMEN
uer, pas plus que l'adduction du pouce. A gauche les mouvements des
muscles
de l'hypothénar sont encore possibles dans de f
ins. L'examen électrique fait par M. Vigouroux montre que les seuls
muscles
atteints électriquement sont les interosseux, e
seuls muscles atteints électriquement sont les interosseux, et les
muscles
de l'éminence hypothénar qui présentent la réac
té faradique est abolie des deux côtés pour les interosseux, et les
muscles
de l'éminence hypothénar. A la main gauche on o
aient une apparence polie et luisante. L'excitabilité faradique des
muscles
in- terosseux du côté droit et des muscles de l
citabilité faradique des muscles in- terosseux du côté droit et des
muscles
de l'éminence thénar et hypo- thénar du même cô
idérablementdiminuée ; du côté gauche elle l'était un peu moins Les
muscles
interosseux droits ne réagissaient que très peu
ils ne tardent pas à être suivis de parésie de certains groupes de
muscles
, et c'est en général à cette période de la maladi
qui restent dans l'extension. Puis la main faiblit et maigrit, les
muscles
de l'éminence hypothénar disparaissent et sa sa
que, et souvent de la réaction de dégénérescence soit dans tous les
muscles
, soit seulement dans quelques-uns parmi lesquels
gt. 11 existe en somme .une. paralysie ehune-atropliielde tous'les,
muscles
innervés par le cuhital(P1; Il) ? , ' ? > ?
survient l'arrêt de la respiration provoqué par la tétanisation des
muscles
thoraciques; puis on le voit se modifier à chaq
vement d'inspiration, vers la cage thoracique; en second lieu, les
muscles
contracturés compriment directement les gros tron
nne cervicale et au déplacement sur les côtés des corps charnus des
muscles
sterno-cléido- mastoïdiens soulevés par les apo
s par les apophyses transverses des vertèbres cervicales et par les
muscles
profonds qui viennent s'y attacher. Nous retrou
occasionné par l'état de contracture dans lequel se trouvaient ces
muscles
. 3U NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.
e, une conséquence nécessaire pour ainsi dire de la contracture des
muscles
extenseurs du cou et de la tête. Il n'en est pa
e droite. Il n'y a pas d'atrophie musculaire, ou du moins, si les
muscles
se sont atrophiés, c'est des deux côtés et d'un
coïncidant avec la période la plus forte de l'état spasmodique des
muscles
, il s'était produit un raccourcissement du membre
l s'est développé, consécutivement à la contracture spasmodique des
muscles
et à l'attitude vicieuse imposée à la cuisse ga
alysie du membre supérieur droit et de l'épaule correspondante; les
muscles
paralysés réagissent bien sous l'influence de l
onnel à la dépression des forces; ce tremblement s'étend à tous les
muscles
et est capable de déterminer des troubles du la
que, en même temps qu'elle devient moins énergique, la tension des
muscles
au lieu d'être continue devient ré- mittente ;
ite des attaques, àl'aided'un tambour myographique appliqué sur les
muscles
des membres supérieurs et en particulier sur le b
de ce genre à l'état normal, la figure 12 donne deux tracés du même
muscle
chez le même malade deux et trois heures après
; aux mains, c'est surtout le tissu sous-cutané, aux avant-bras les
muscles
. Les doigts sont très déformés, surtout au nive
, au contraire les flé- chisseurs et les extenseurs à l'avant-bras,
muscles
dont le volume est exa- géré, paraissent plutôt
°; à gauche 11° (au lieu de 30°-50° chiffre normal). ' Les petits
muscles
des mains exécutent tous les mouvements; quoiqu'u
peu faibles, ils sont assez volumineux. Excitabilité mécanique des
muscles
normale, le réflexe tendineux du'triceps existe
tés des courants minima nécessaires à l'excitation des nerfs et des
muscles
étaient extraordinairement grandes : pour la Ka S
de la séance. Lorsque la pièce est trop longue, le tiraillement des
muscles
de la nuque devient t intolérable, le corps ne
ivement, afin d'éviter une élévation trop brusque et d'habituer les
muscles
du cou à la traction qu'ils vont sup- porter. I
kilogr. et plus. Chez ces derniers, la traction qui s'opère sur les
muscles
de la nuque est très forte, douloureuse, même p
elle a même été utilisée pour l'étude de l'action physiologique des
muscles
intercostaux 3. ` Cil. Féré, Médecin de Bicêt
rofuses ; auparavant la peau ne présentait pas d'humidité anormale.
Muscles
très atrophiés. Ouïe normale, odorat très affec
ensiblement à passer en revue les autres spasmes de même ordre, des
muscles
de la face et du cou, y compris le spasme glosso-
s troubles de sensibilité - qui réunit les spasmes des diffé- rents
muscles
de la face et du cou chez les hystériques. Otso
UVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. ' Les mouvements dévolus aux
muscles
extrinsèques de l'oeil s'effectuent normalement
le blépharospasme reparaissent, ainsi que d'autres contractures des
muscles
des membres supérieurs et inférieurs, qu'on enlèv
sus du pli articulaire du poignet. On constate aussi que tous les
muscles
de l'épaule droite et du membre supérieur droit
nlever ces contractures par suggestion et par des frictions sur les
muscles
antagonistes; mais elles se reproduisent aussitôt
rès que la suggestion les a fait disparaître : les contractures des
muscles
entourant les articulations douloureuses repa-
DE LA : -0 A Ll'ÈTIIIÈHI'. assez fréquemment d'un spasme des autres
muscles
de la face, du même côté. M. P. Richer décrit
inaud` blépharplose pseudo- paralytique. Dans cette forme, les deux
muscles
antagonistes, le rele- veur de la paupière et l
écent mémoire fort intéressant sur les Affections hystéri- ques des
muscles
oculaires2, M. le Dr Borel, chef de clinique de
elle. Annales d'oculislique, août 1886. - Spasmes et paralysies des
muscles
de l'oeil. Gazette hebdomadaire de médecine, 18
cas de blépharospasme de nature hystérique. « Parmi les spasmes des
muscles
extrinsèques de l'oeil, dit-il, ceux des paupiè
e expérience est rapportée par M. Itorel : Affections hystériques des
muscles
ocu- laires et leur reproduction artificielle p
, d'après M. Charcot, que la parahsie hystérique n'affecle jamais les
muscles
de la face. M. Bore) a confirmé ce fait pour le
jamais les muscles de la face. M. Bore) a confirmé ce fait pour les
muscles
des paupières : lorsqu'on suggère a une malade,
oir se généraliser bientôt en ce qui regarde les spasmes des autres
muscles
de la face et du cou chez les hystériques. No
r exquise au simple frôlement qui accompagne les con- tractures des
muscles
fessiers réalisant le syndrome connu sous le nom
, de superposition des troubles de sensibilité à la contracture des
muscles
sous-jacents. Faisons remarquer, pour insister
ration montre que le raccourcissement n'est qu'appa- rent. t. Les
muscles
du cou il gauche paraissent raides et tendus sans
que la terre mais il y a encore un certain degré de contracture des
muscles
qui entourent l'articulation de la hanche. L'
Aux membres supérieurs, même absence de poils que sur le thorax. Le
muscles
y sont bien développés et paraissent puissants; c
ité humérale est assez rugueuse pour l'attache des ligaments et des
muscles
propres ». ' Autopsie de l'Observation IX (Br
t une anesthésie et une analgésie très marquées dans le domaine des
muscles
contracturés. A la vérité, cette anesthésie s'i
té, cette anesthésie s'irradiait au delà de la zone d'action de ces
muscles
, mais non dans des proportions telles qu'on ne fû
lle pouvait bien être en relation directe avec la contrac- ture des
muscles
de la face, et très probablement sous sa dépendan
dans le service de la Clinique, en 18882, pour une contracture des
muscles
de la face accompagnée de blépharo- spasme. Che
ai 1881, sans cause connue, elle a été prise d'un spasme tonique du
muscle
orbiculaire des paupières de l'oeil droit qui aug
menta peu à peu d'intensité et gagna avec le temps presque tous les
muscles
innervés par le facial droit, et passa même du
LA SENSIBILITÉ. 175 et qui consiste en une contracture de tous les
muscles
de la face el du cou, à droite. La compressio
la contracture du droit interne ou à une simple rétrac- tion de ce
muscle
consécutive à cette contracture et à l'occlusion
rvation de M. Richer que la contracture envahissait égale- ment les
muscles
du coït à droile. - Cette ressemblance de deux
à rechercher s'il n'existait pas chez Lelog... une contracture des
muscles
du cou, et nous n'avons pas été peu surpris de re
que l'orbiculaire palpébral, le frontal, l'occipital, en un mot les
muscles
peauciers de la région, à droite, étaient en co
n matin, 12 mai, nous la trouvons à notre visite avec un spasme des
muscles
de la face, de l'orbiculaire des paupières et du
peaucier, et l'anesthésie se superposer immédiatement au spasme des
muscles
qui venaient de se contracturer. Cette observat
e qui est facilement hypnotisable suffit pour enlever le spasme des
muscles
de la face et du cou. Au réveil, là contracture
58) il existait une bande d'anesthésie se superposant exactement au
muscle
sous-jaccnt contracture. Phéno- mène accessoire
-épileptique droite, est sujette à de fréquentes contrac- tures des
muscles
du cou siégeant toujours à gauche. Nous avons obs
até ce qui suit. Le z10 mars 1888, douleurs vives siégeant dans les
muscles
du cou des deux côtés; le 11, les douleurs se l
verses contractures que nous avons décrites. Rappelons-nous que les
muscles
de la face et du cou jouissent beau- coup plus
scles de la face et du cou jouissent beau- coup plus que les autres
muscles
du corps d'une individualité qui fait que leur
Aussi, étant donné l'importance qui s'attache à la contracture des
muscles
delà face et du cou et au diagnostic pathogénique
ion plus active dans cet organe, aussi n'est-il pas étonnant si ses
muscles
ont acquis un développement hypertrophique. Pou
eu l'occasion à plusieurs reprises d'observer des contractures des
muscles
de la face, du cou et de la musculature lingual
, lorsque, par l'excitation, on détermine la contracture d'un autre
muscle
de la face ou du cou. Si chez une hystérique qui
hors de la bouche. Mais, comme je l'ai dit, l'excitation directe du
muscle
est souvent suffisante : de plus on peut égalem
gue au dehors, de voir celle-ci se contracturer sans que les autres
muscles
de la face et du cou partici- passent à la cont
rexcitabi- lité nervo-musculaire très marquée s'étendant à tous les
muscles
du corps.Accès typiques d'hystéro-épilepsie; mo
la cavité buccale. Un examen plus attentif permet de noter que les
muscles
oculaires participent eux aussi à la contractur
es reprennent leur situa- tion normale. Il est donc évident que les
muscles
des yeux étaient eux aussi contractés. - Si l
ment exagérée, les contractures semontraient simultanément dans les
muscles
de la tête et du cou, de telle façon que la têt
produisent aussi par voie périphérique, par excitation directe des
muscles
de la langue. c) Les contractures de la langue
actures de la langue peuvent s'associer avec les contrac- tures des
muscles
de la face, du cou, du tronc ou des membres. d)
e normale. Cette modification de la contractilité s'observe sur les
muscles
des jambes des deux cotes avec une prédominance
er, c'est que la réaction de dégénérescence n'existe pas pour les
muscles
diminués de volume de la jambe . contracturée.
u'il y ait pour cela contracture : prédominance tonique de certains
muscles
et parésie des autres. La rigidité disparaît pen-
; l'attitude vicieuse est due à la prédominance tonique de certains
muscles
et à la parésie des autres; OBSERVATION DE CONT
SUR LE PLI FESSIER On enseigne dans les ouvrages classiques que le
muscle
grand fessier forme la saillie de la fesse et s
la fesse, il entre un autre facteur peut-être plus important que le
muscle
, je veux parler de la graisse accumulée en ce p
tient à d'autres causes tout à fait étrangères au bord inférieur du
muscle
, lequel, au contraire, ne pourrait contribuer q
La partie gauche de Il IigUI'3 montre 1..1111'S 1',¡PPOJ'ls ,lvee le
muscle
grand fessier dont les limites en haut et en ba
relativement pas considérable. Elle est aplatie, et, à moins que le
muscle
n'entre en contraction, elle présente une consis-
n dedans et se perd en dehors, ce qui est dû aux fibres charnues du
muscle
grand fessier qui descend vers la cuisse à laquel
à laquelle appartient véritablement la partie la plus inférieure du
muscle
. Ce sillon a une direction horizontale et crois
on a une direction horizontale et croise celle du bord inférieur du
muscle
grand fessier qui est très oblique en bas et en d
de la FIG. 02. - Les fesses dans la flexion légère du tronc. Les
muscles
fessiers sont contractés. NOTE SUR LE PLI FESSI
rs sont contractés. NOTE SUR LE PLI FESSIER. ? 3 masse charnue du
muscle
qui, dans le relâchement complet, se trouve en
tronc se fléchit en avant, le pli fessier tend à disparaître et le
muscle
contracté dessine sa forme très exactement sous l
tre les deux régions voisines. Ce plan incliné est vrai- ment dû au
muscle
fessier lui-même. Il existe quelquefois un seco
out formée par le tissu graisseux. La présence du bord inférieur du
muscle
fessier le fait disparaître en dehors. Enfin so
nt très amincies, celles du ventricule gauche sont peu épaisses; le
muscle
n'a pas subi de dégénérescence. Les parois du
aricot; sur l'os hyoïde, les tubercules qui donnent inserlion à des
muscles
et qui habituellement sont à peine marqués, for
nt. 3. Ses cavités sont très larges, sa musculature vigoureuse, les
muscles
papillaires fortement allongés. Les artères ont
les membres froids et perclus de cette impotente ? Les nerfs et les
muscles
de la jambe gauche se trouvent tellement relâch
commencé celle atrophie. Membre-supérieur droit. Elle porte sur les
muscles
des trois segments : main, avant-bras, hras; ma
et hypothénar ont disparu presque complètement (fig. 72, 73). Les
muscles
de l'hypothénar sont un peu moins atteints que ce
totalité. L'atrophie débuta par la main, prenant d'emblée tous les
muscles
, elle gagna le bras; le malade a nettement rema
intéresse le bras gauche dans sa totalité ; elle ne dépasse pas les
muscles
de l'épaule qu'elle n'atteint pas. Pendant les
iveau des aisselles surtout du côté gauche. L'examen électrique des
muscles
atrophiés faite à deux reprises 2C oc- tobre 18
« Réaction électrique nulle pour le thénar, normale pour les autres
muscles
y compris le premier interrosseux. » Au mois de
malade étant endormie à l'aide du chloroforme, la contracture des
muscles
du membre inférieur se résont, le raccourcissem
elles ont accompagné la marche ascendante de l'atrophie partant des
muscles
de la main pour gagner le bras et l'avant-bras
ras droit. Puis elles ont disparu, la guérison s'est effectuée, les
muscles
sont revenus à leur état normal. Quelque temps
laires en voie d'atrophie. 3° Dans un cas d'atrophie hystérique des
muscles
de la main, l'exa- men électrique pratiqué par
nternes; elle attaque aussi quelquefois les parties externes et les
muscles
, savoir : les mâchoires, les épaules, les mains
courant électrique plus fort que d'ordinaire pour faire réagir les
muscles
de l'avant-bras gauche. Mercredi 25 septembre.
a- lysies radiculaires du plexus brachial et dus à la paralysie des
muscles
lisses de l'orbite, innervés par les filets sym
réelle du premier nerf dorsal), si la théorie de l'innervation des
muscles
orbitaircs par les filets sympathi- ques nés à
mois. C'est à l'âge de 19 ans qu'il s'est aperçu de l'atrophie des
muscles
de l'hypothénar et des interosseux du côté gauc
vec secousses fibrillaires, mais sans douleurs dans les régions des
muscles
en voie d'atrophie. , UN CAS D1; S1'RI\GOlll'ÉL
vers le coeur. De plus, depuis 4 à 5 ans, sont survenues, dans les
muscles
, des contractures douloureuses. Le malade pré
nts de pronation et de supination. Biceps très amaigri. Deltoïde et
muscles
de la ceinture scapulaire très diminués de volu
ement abolis du côté opposé. Secousses fibrillaires dans tous les
muscles
du corps. Douleurs vives dans le talon droit su
venant d'une manière intermittente. L'atrophie ne porte pas sur les
muscles
des membres inférieurs. Réflexes des membres su
ant faradique ni au courant galvanique. D'une manière générale, les
muscles
plus ou moins conservés répondent normalement à
globes oculaires déviés de côté et l'expression fixe du regard. Les
muscles
du tronc et des membres sont violemment secoués
os séchés. La graisse plantaire adeux centimètres d'épaisseur. Les
muscles
plantaires et le pédieux ont le volume qu'ils o
tirolo). - Réaction normale galvano- faradique sur les nerfs et les
muscles
. Secousses musculaires vives ; pas d'al- térati
ormule, aucun phénomène d'hyperexcitabilité du côtédes'nerfs et des
muscles
. Epreuve du vertige voltaïque. Electrodes ronde
i qualitatives, ni quantitatives. De même, l'excitation directe des
muscles
dé- pendant du nerf facial ne fait pas remarque
ger spasme tonique de l'orbiculaire du côté opposé. Quelques autres
muscles
, innervés par le facial, sont intéressés par le
oeil se ferme aussi un tout petit peu. En plus, chez le patient, le
muscle
sourcilier se contractait et le sourcil se bais
qu'il était plus soulevé du côté sain par une légère contracture du
muscle
fron- tal. Or, cela n'arrive pas dans les spasm
lle est toujours accompagnée par un spasme ou par une paralysie des
muscles
intrinsèques ou extrinsèques des yeux. ' Ces
urcil et l'aplatissement de sa courbe; l'aplanissement des rides du
muscle
frontal; l'apparition de rides sur la peau des
us avons pu constater encore l'aplanissement de la moitié droite du
muscle
frontal et l'appari- tion de rides en correspon
question. Par syncynésie on entend la réaction motrice de certains
muscles
qui se manifeste au moment même où l'innervatio
l'innervation volontaire détermine un mouvement donné sur d'autres
muscles
plus ou moins éloignés des pre- miers. Dans cer
, il arrive que les contractions musculaires se produisent dans les
muscles
normaux du côté sain, pendant les tentatives éner
rgiques, mais infructueuses, que le malade fait pour contracter les
muscles
homonymes du côté paralysé. Dans ce cas, il ne
eux catégories : A. Mouvements associés qui se produisent entre des
muscles
innervés par le facial et des muscles dans la d
s qui se produisent entre des muscles innervés par le facial et des
muscles
dans la dépendance d'autres nerfs. B. Mouvement
che. Jolly a remarqué dans la diplégie faciale des contractions des
muscles
zigomatiques parétiques pendant la fermeture- d
rbi- culaire des paupières, le sourcilier, le frontal et les autres
muscles
du visage, si importantes pour la mimique, et c
ôté sain,avec le courant électrique, on obtenait la contraction des
muscles
du côté opposé. Plus rarement on a constaté l'i
onnes qui ont été frappées de paralysie faciale en bas âge, que les
muscles
voisins de la ligne médiane peuvent se contract
ié saine du visage. A ce propos, Bernhardt a fait remarquer que les
muscles
du menton des deux côtés se croisent entr'eux.
ser, c'est seulement en admettant la bilatéralité d'innervation des
muscles
dépendant du facial, qu'on réussit à bien expli
xpliquer toutes les syncynésies variées et complexes auxquelles ces
muscles
prennent part. Cette idée est admise, au reste,
l'entre-croisement des terminaisons des deux nerfs faciaux dans les
muscles
. Mais si cela est vraisemblable pour les muscles
s faciaux dans les muscles. Mais si cela est vraisemblable pour les
muscles
placés près de 40 MENDICINI ET ARTOM la ligne
Vol III, fasc. 111, 1896. PAIIINAUD, - Spasmes et paralysies des
muscles
de l'oeil. Gaz. hebd. de méd., 1891, n$46 et 47
, grandes douleurs, diplo- pie, prononciation altérée, rigidité des
muscles
des extrémités inférieures. Emotivité exagérée,
nt impossible au malade d'accomplir aucun mouvement volontaire; les
muscles
sont nettement en état de contracture.Les réflexe
hèse de la fatigue ne parvient pas à expliquer pour- quoi les mêmes
muscles
et les mêmes centres nerveux qui exécutent d'une
dres fonctionnels nerveux professionnels d'après la topographie des
muscles
, ou des nerfs, ou des centres cérébraux. Et mêm
e peut être acceptée dans ce .cas, car les effets du poison sur les
muscles
ou sur les nerfs se manifes- lent à tous les in
e de la main ou du bras. Ce qui cause la douleur c'est l'action des
muscles
opposés aux désirs de la malade de tourner la t
urne maintenant sa tête un peu à droite et maintient contractés les
muscles
du cou et de J'épaule de ce côté. L'effort de t
eur aiguë, à parler strictement, mais d'une gêne qui siège dans les
muscles
du côté droit ; en outre, la malade a conscienc
pendant les exercices ; on vit reparaître une tension constante des
muscles
lorsqu'elle essayait de corri- - ger la positio
la tète et du cou ; en même temps apparut une douleur à l'angle des
muscles
scapulaires au point où le grand dorsal est att
ont soulagé le torticolis, mais non la contraction douloureuse des
muscles
de la main : elle fait tout son travail avec la
oins, pendant un an, d'une masseuse qui lui enseigna à détendre ses
muscles
raidis. Il y a un an, une amie intime mourut d'
e de liberté dans les mouvements, une con- traction inopportune des
muscles
, qu'il importe d'éviter. Cette anxiété fait fai
ommencer par une anesthésie de la main et par l'atrophie de quelque
muscle
interosseux. Le symptôme culminant de la lèpre
e de la figure est généralement accompagnée de l'insuf- fisance des
muscles
animés par le facial supérieur, .spécialement les
cial supérieur, .spécialement les orbi- culaires. L'atrophie de ces
muscles
qui, dans la plupart des cas, n'est pas paralyt
es deux côtés sont pris asymétrique- ment. La paralysie frappe tels
muscles
, respeclant lelsaulres; elle est par- cellaire.
éral, les deux côtés sont inégalement touchés. L'insuffisance de ce
muscle
est précoce et acquiert une grande valeur sémiolo
y un signe précoce caractéristique. » Quoique le plus souvent les
muscles
animés par le facial supérieur sont les seuls a
, nous voyons aussi des malades chez lesquels sont inté- ressés les
muscles
du facial inférieur. La fig. 10 le démontre bien
té droit faire contraste avec l'intégrité qui existe de la part des
muscles
correspondant t au facial inférieur gauche. D
où elle est sensible. Quand elle ne l'est pas, les excitations des
muscles
et des autres lissus profonds produisent les se
omme c'est à supposer, en propor- tion avec le degré d'atrophie des
muscles
qui entrent en travail. Quand il y a altération
ralysie, et que ce qui existe est purement atrophie musculaire. Les
muscles
altères sont pour eux susceptibles de mouvements
eux ou la gouttière correspon- dant à la diminution volumétrique du
muscle
jambier antérieur. Les signes physiques corrobo
aïque, on obtient seulement une légère secousse de fermeture. Les
muscles
innervés par le facial inférieur droit de la femm
mus- cle droit externe du côté droit, avec diminution de volume du
muscle
et contracture très manifeste du droit interne
ement la gouttière appar- tenant à l'absence d'une grande partie du
muscle
jambier antérieur, spé- cialement du côté droit
o-diannostic confirme la nature de l'atrophie musculaire puisque le
muscle
jambier se contracte par le courant d'in- ducti
s restent immobilisés en griffe cubitale. Cela dépend de ce que les
muscles
, quoiqu'ils présentent un certain degré d'atrop
rtenant à un syringomyélique chez lequel, en plus de l'atrophie des
muscles
des mains, il y a celle du biceps et celle du pec
On ne trouve pas non plus, dans la lèpre nerveuse, l'atrophie des
muscles
de la région antérieure de l'avant-bras correspon
si, dans la lèpre, l'atrophie musculaire d'origine arthritique. Les
muscles
de la région postérieure de l'avant-bras de la
e et de la main. L'atrophie est uniforme dans toute la longueur des
muscles
extenseurs des articles et ils n'ont pas de signe
ur plusieurs motifs. En premier lieu, elles se développent dans les
muscles
a ntagon istes des sujets chez lesquels l'a troph
ont pour cause la lésion spéci- fique des filets nerveux des mêmes
muscles
qui entrent en contracture, et je le crois non
iquer pour les cas précédents, mais parce que la compression de ces
muscles
et la percussion sur leurs tendons produisent de
érenles de l'innervation intéressée pour l'acte ne sortent point du
muscle
. Cette forme de contracture est le bien propre de
e sujet les mains des figures 2 et 31. Dans certains cas, quand les
muscles
contractures s'atrophient, si la flexion n'est
, et même dans beaucoup de cas il est aboli. Cependant, lorsque les
muscles
des jambes ne sont pas atrophiés, on peut alors o
cation de la réflectivité dépend de lésion des nerfs sensitifs, les
muscles
ne sont pas vraiment paralysés (Je crois que pe
idal ; ils sont instantanés et ils se limi- tent avec précision aux
muscles
que nous interrogeons par la percussion du tend
st bien entendu que, pour qu'il y ait irréllectivité de la part des
muscles
contractures, il n'est point nécessaire qu'ils en
ancée ; il arrive que l'irréflectivilé se présente même lorsque les
muscles
conservent régulièrement leur volume. Le phénom
fréquemment le type normal d'excitabilité dans les régions dont les
muscles
se trouvent dans des articles qui sont dans le
que la réaction par les courants d'induction se con- serve dans des
muscles
atrophiés sans paralysie et que son intensité est
usculaire dans les régions où il y a atrophie paralytique. Dans ces
muscles
ainsi atrophiés, on ne trouve pas traces d'irrita
roduire des eschares. Il n'y a pas de réaction faradique pour les
muscles
de la région anté- rieure dans la jambe du mala
us haut, sont très faibles. La réaction est plus apparente dans les
muscles
du mollet, quoiqu'il faille, pour l'obtenir, un
dans une région réduite, la contrac- ture de tel ou tel faisceau du
muscle
fléchisseur ou extenseur, la forme parcellaire
le fléchisseur ou extenseur, la forme parcellaire de l'atropine des
muscles
faciaux. Elle explique encore que t'anesthésie
ter indéfiniment le tronc, le cou et la face. Chez nos malades, les
muscles
du tronc contrastent par leur relief et leur vigu
eurs années après, donc évolution lente. » « Intégrité relative des
muscles
de la racine des membres ou lout 'âl1 moins con
on beaucoup plus longue que pour ceux des extrémités. Intégrité des
muscles
du tronc, des épaules et de la face. « Existenc
es et de la face. « Existence de.contractions fibrillaires dans les
muscles
en voie d'atro- phie. Troubles vaso-moteurs des
rétractions tendineuses notables du côté des articulations dont les
muscles
sont atrophiés. "- « Sensibilité le plus souv
açons. Fréquence des crampes. « Réaction de dégénérescence dans les
muscles
en voie d'atrophie. « Début de l'affection le p
seurs sont saillants, et il y a atrophie exlrême de tous les petits
muscles
de la main, avec disparition complète des.éminenc
vec disparition complète des.éminences thénar et lmpotliénar et des
muscles
interosseux (PI. XXXII). NOUVELLE Iconographie
Aux membres supérieurs, il faut noter l'atrophie extrême des petits
muscles
de la main : interosseux, éminences thénar et hyp
ades s'accompagne de secousses fibril- ¡aires très visibles sur les
muscles
en voie d'atrophie, sur ceux de la cuisse pax e
minuée au niveau des mus- clea du bras, très diminuée au niveau des
muscles
de Pavant-bras, bien que les mouvementsvolontai
e réflexe plantaire n'existe pas, ce qui semble dû à l'atrophie des
muscles
du pied. Je dois signaler ici que M. et Mme Long
utre de 7 ans. Chez nos deux malades, les réactions électriques des
muscles
atrophiés sont très altérées, d'autant plus qu'
es parties distales. Je résumerai ces altérations en disant que les
muscles
des pieds, des jambes et des mains sont iiiexci
quement, les lésions de celle amyotrophie portent à la fois sur les
muscles
, la moelle et les nerfs périphériques. Je passe
, la moelle et les nerfs périphériques. Je passe sur l'atrophie des
muscles
qui est une atrophie simple, sans notable dégén
myosite interstitielle, atrophie plus ou moins accusée suivant les
muscles
et suivant les faisceaux considérés, avec tenda
tairement lesmuscles innervés par le facial inférieur alors que ces
muscles
se contractent très bien lorsqu'on fait rire le m
ultats que précédemment. Troubles trophiques : Atrophie visible des
muscles
de l'avant-bras. Troubles vasomoteurs : Très ac
1° une diminution notable de l'excitabilité faradique portant sur les
muscles
triceps, radiaux, extenseurs communs des doigts
nseurs communs des doigts, long et court extenseurs du pouce. Les
muscles
du groupe d'Erb sont normaux et les fléchisseurs
ousse lente ni inver- sion ; Hyperexcitabilité galvanique sur les
muscles
extenseurs de l'avant-bras, ainsi que sur les m
nique sur les muscles extenseurs de l'avant-bras, ainsi que sur les
muscles
de l'éminence thénar et hypothénar. Pas de seco
nseur propre de l'index, long extenseur du pouce, les radiaux et le
muscle
cubital, tandis que l'hyperexcitabilité galvani
que l'hyperexcitabilité galvanique s'accuse également sur les mêmes
muscles
sauf sur le triceps où l'hypoexcitabilité galva
ique s'accentue ; on constate une ébauche de réaction lente sur ces
muscles
ainsi que sur ceux de l'éminence 5tj SOUQUES, B
st la coexistence d'une paralysie qui frappe plus ou moins tous les
muscles
inversés par les cinq racines motrices du plexus
lorsque le sujet est légèrement fatigué, on le prie de relâcher ses
muscles
et de recommencer tout de suite le mouvement pré-
musculaire tel que les piqûres les plus profondes de la peau et des
muscles
ne saignaient pas. Dans un cas d'hystérie décri
- 276 VAN VOfiIi0 : lI vementschoréo-athétosidues, la raideur des
muscles
, qui sont attribués à sa lésion. Une petite m
arfois elles durent quelque temps (par exemple les contractions des
muscles
frontaux). Ces mouvements involon- taires sont
mis en flexion et en adduction par la contraction intermittente du
muscle
interosseux externe. Les autres doigts sont éga
les articulations proximales. Par des contractions irrégulières des
muscles
in- terosseux, les phalanges proximales sont en
lants du pouce contre l'index, qui à son tour est sous l'action du
muscle
in- terosseux. Parfois l'index est étendu isolé
tion . musculaire, également bien appréciable en palpant les petits
muscles
de la main ou mieux encore en prenant notre mal
s aux doigts et à la main, malgré lès contractions continuelles des
muscles
. Les mouvements passifs dans les cou- ' des pré
tendue se manifeste brusquement; on se heurte à une contrartion des
muscles
antagonistes tellement forte, qu'elle est presque
marquons que chaque nouvel effort se heurte à la contraction de ces
muscles
. Le même phénomène est constaté quand^le malade
é gauche'et qu'inconsciemment la main fait le poing. Pourtant aucun
muscle
n'est para- lysé. Quand, grâce à l'aide d'autru
u- -tent des mouvements associés de flexion palmaire. En palpant le
muscle
biceps nous pouvons nous rendre compte de la co
scle biceps nous pouvons nous rendre compte de la contrartion de ce
muscle
, enrayant NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtriè
Nous remarquons des contractions invo- lontaires des adducteurs, du
muscle
exlensor cruris, mais surtout du muscle 280 VAN
lontaires des adducteurs, du muscle exlensor cruris, mais surtout du
muscle
280 VAN WOERKOM ^ extensor hallucis longus ;
^ extensor hallucis longus ; le gros orteil est par l'action de ce
muscle
presque toujours en extension. L'atonie muscu
ntaires ont le type normal. Malgré les contractions sponta- nées du
muscle
extensor hallucis, les excitations de la plante d
ion spasmodique des antagonistes. Après un temps pendant lequel les
muscles
intéressés sont tour à tour en contraction et e
ensibilité (superficielle et profonde) est intacte. La réaction des
muscles
au courant électrique est partout normale. Aprè
usculaire fort prononcée et de la variabilité extrême de l'état des
muscles
. Les mouvements involontaires sont d'un type rapp
pulsion de la volonté est un changement de l'équilibre statique des
muscles
. Le plus souvent le bras prend une posi- tion d
est, en général, fort restreinte ; bientôt le membre se heurte aux
muscles
antagonistes qui le font rebondir. Il fait encore
ien quand on lui présente une cuillerée de soupe. Souvent les mêmes
muscles
, dont la fonction est rudimenlaire d;lns un act
rêté à une certaine distance du but ; pendant la seconde phase, les
muscles
intéressés sont sous le contrôle permanent de l
p prononcées. Il en résulte que dans la première phase l'action des
muscles
agissants est continuellement arrêtée, ou bien
ettent pas de constater une contracture quelque peu appréciable des
muscles
intéressés. fin opposition à la grave perturbat
t. On remarquait les contractions forcées de plusieurs grou- pes de
muscles
: les genoux étaient mis en forle extension, les
ion vicieuse, qui attirent noire attention. La raideur générale des
muscles
la rapproche de la -maladie de Parkinson et de
premier lieu l'expression du visage qui attire notre attention. Les
muscles
faciaux sont en contraction presque perma- nent
rd. Les pupilles sont étroites, pas de réaction à la lumière. Les
muscles
des extrémités et du tronc montrent une raideur g
ons cloniques plus du moins fortes. Aux membres inférieurs c'est le
muscle
extensor hallucis longus 'qui montre les contract
umés ainsi : 1° Il y a une perturbation de la fonction statique des
muscles
; au repos elle se manifeste par l'hypertonie o
ar l'hypertonie ou par l'hypotonie, par l'instabilité de l'état des
muscles
, dans la deuxième observation aussi par une stabi
iculté parfois insurmontable à substituer la fonction dynamique des
muscles
à leur fonction statique (1). Ce trouble est fo
t l'avant-bras gauches, puis la main gauche, atteignant ensuite les
muscles
du cois, de la nuque et de l'épaule droite; c'e
tion est facile, la supination possible, mais très diffi- cile. Les
muscles
du bras sont très atropliiés, sauf le triceps. D'
sans force, la flexion de la tête par contre est vigou- reuse ; les
muscles
sterno-cléido-mastoïdiens paraissent légèrement t
eur relative faiblesse fonction- nelle semble due à une parésie des
muscles
antagonistes. Les muscles trapèzes présentent u
ion- nelle semble due à une parésie des muscles antagonistes. Les
muscles
trapèzes présentent un faisceau supérieur acromio
quent un contraste frappant entre les diffé- rents faisceaux de ces
muscles
trapèzes. Les muscles de la face, les peauciers
ant entre les diffé- rents faisceaux de ces muscles trapèzes. Les
muscles
de la face, les peauciers, les muscles de la lang
de ces muscles trapèzes. Les muscles de la face, les peauciers, les
muscles
de la langue sont indem- nes de toute atrophie.
rs, les muscles de la langue sont indem- nes de toute atrophie. Les
muscles
pectoraux sont par contre très touchés, le gran
uscles pectoraux sont par contre très touchés, le grand dorsal, les
muscles
dentelés semblent présenter une atteinte qu'il es
faradique est diminuée sur les sterno-cléido-mas- toïdiens, sur les
muscles
sus et sous-épineux, sur le triceps, les muscles
toïdiens, sur les muscles sus et sous-épineux, sur le triceps, les
muscles
de l'avant-bras. Sur ces derniers muscles, les
neux, sur le triceps, les muscles de l'avant-bras. Sur ces derniers
muscles
, les réactions sont plus nettes du côté droit q
ans force. Les adducteurs de la cuisse sont, par rapport aux autres
muscles
, remarquablement vigoureux. Le malade arrive, b
ements du cou, de la nuque, se font avec une force très grande. Les
muscles
de la face, de la langue, les peauciers sont inde
excitabilité faradique est abolie sur les deux délimites et sur les
muscles
de la loge antéro- externe du côté gauche. Au c
la loge antéro- externe du côté gauche. Au courant galvanique, ces
muscles
eux-mêmes se contractent ; ils présentent une é
ntrer aussi une protrusion des globes oculaires, des paralysies des
muscles
moteurs de l'oeil, le nys- tagmus, la réaction
e cela, se présente en même temps une différence de tonus entre les
muscles
de la moitié droite et ceux de la moitié gauche
s la gauche, dirige le regard à gau- che, et a des contractions des
muscles
gauches du visage et des membres gauches ; le p
ge et des membres gauches ; le plus souvent, mais non toujours, les
muscles
de la moitié droite du corps se contractent aus
auxiliaire qui se pré- sente assez abondamment dans le cerveau, les
muscles
et le sérum sanguin, et qui peut stimuler et ac
, et pour un temps 'relativement court. L'instabi- lité motrice des
muscles
de la face (tendance aux tics et aux mouvements
tants après elle avait ses attaques. gauche et la jambe droite; les
muscles
présentaient aussi de l'hyperesthésie à la pressi
: d'où résulte un mouvement rapide dans les leviers sur lesquels les
muscles
atteints prennent leur point d'attache. Ce mouvem
spurious peritonitis des médecins anglais. Il est évident qu'ici les
muscles
et la peau elle-même sont de la partie... » 2°
es phénomènes suivants : a. la peau est partout anesthésiée; — b. les
muscles
, s'ils sont lâches, peuvent être pinces et soulev
montre que le siège de la douleur n'est pas dans la peau ni dans les
muscles
. Il est par conséquent indispensable de pousser l
produisant toujours dans le même ordre. 1° Tétanisation brusque des
muscles
de tout le corps, en même temps que spasmes viscé
smes viscéraux et perte de connaissance; 2° Convulsion clonique des
muscles
tétanisés ; 3° Résolution générale et stertor.
teur, puisqu'ils sont exécutés par des parties du corps dont tous les
muscles
sont déjà contractés à un assez haut degré; de pl
e flexion, d'extension ou de rotation du membre, pendant lesquels les
muscles
sur lesquels se trouve appliqué le tambour explor
ue plus que le rôle d'une membrane élas-tique. Mais supposons que les
muscles
de la paroi abdominale se contractent brusquement
agme. C'est ce qui arrive dans la phase clonique dont il s'agit : les
muscles
de l'abdomen sont pris de convulsions cloniques c
présentée sur nos tracés, ou du moins le début seul y est indiqué. Le
muscle
est complètement relâché, il ne se produit aucun
chissent et s'étendent avec lenteur dans la contraction de tous leurs
muscles
. b) Immobilité tonique (pl. II, p. 41). — Puis
g. 32.— Tracés pris sur Gl... — Tambour myographiqwi appliqué sur les
muscles
de la région antérieure do l'avant-bras. T» Convu
re complète ou incomplète. milieu de la contracture généralisée des
muscles
par la prédo-minance d'action des extenseurs sur
e céder la place au crayon (fig. 39, 40, 41, 42 et 43). Lorsque les
muscles
de la face participent à la contracture géné-rale
et montre, par le mouvement continuel du levier enregis-treur, que le
muscle
demeure peu de temps dans Te même état de contrac
Ou bien le tôtanisme général s'accuse par- tout à la fois, tous les
muscles
se dessinent sous la peau en sail-lies vigoureuse
5. Quatrième période. Contractures généralisées. La contraction des
muscles
abdominaux est telle que la com-pression ovarienn
-semble, au moins partiellement, vu l'état de contraction instable du
muscle
; nous sommes en présence d'une sorte de crampe gé
attaque laisse derrière elle une parésie ou une paralysie de certains
muscles
, se traduisant par l'impuissance fonctionnelle d'
ouvements toniques, et les convulsions cloniques des membres et des
muscles
de la face................... 45" 4° Retour de
de la jambe gauche. Hemianesthésie du même côté. Légère atrophie des
muscles
. Anémie. Anorexie. Aménorrhée. Hallucinations. Dé
dans un état de protrusion et de déviation forcée à droite comme les
muscles
de la région buccale et semblant correspondre ave
adence sur le talon. — La figure est grimaçante toujours adroite; les
muscles
du même côté s'agitent con-vulsivement, les yeux
ou au bout de quel-ques secondes, suivant le degré de résistance des
muscles
abdominaux, mademoiselle R... fait un violent mou
e période elle ne peut pas supporter la lumière. Des contractures des
muscles
postérieurs du cou lui arrachent des plaintes.
s à diminuer, puis à cesser, et la phase de résolution se montre. Les
muscles
se relâ-chent, la face redevient pâle, la respira
ue succède une phase clonique. Les pau-pières battent légèrement, les
muscles
de la face sont animés de petits mou-vements rapi
eurs, et se généralisant dans toutes les parties du corps. Mais les
muscles
ne tardent pas à se relâcher, et après cette phas
e est moins pâle, mais à peine coloré, il y a des tressaillements des
muscles
élévateurs de la mâchoire. C'est la phase des con
se nettement clonique. Les mouve-ments saccadés et courts animent les
muscles
de la face, les mouvements de circumduction des m
uvements cloniques sont suivis de la résolution et du relâchement des
muscles
. 2° Après une à deux minutes de calme, le petit
ée reprend, mais avec une certaine gêne. Puis le calme se fait et les
muscles
se relâchent. B. Période des contorsions et des
sentiment de suffocation, perte de connoissance, spasme géné-ral des
muscles
soumis à la volonté; mouvemens convulsifs, si vio
ation ; puis, chute, perte de connaissance, contraction tétanique des
muscles
des membres, de la tête qui se penche en arrière,
int aux symptômes ci-dessus décrits une tension partielle de quelques
muscles
de la face, qui rend le visage hideux ; d'autres
es mais plus forts. Ils furent accompagnés de convulsions de tous les
muscles
du tronc et des extrémités. Ces affections spas
sans mouvements et sans parole. Il y eut ensuite contraction vive des
muscles
masséler, grincement de dents, rire apparent et m
rincement de dents, rire apparent et mouvement irrégulier de tous les
muscles
soumis à Vempire de la vo-lonté. Bientôt après de
st suffisamment indiquée par le début brusque, la contraction vive du
muscle
masséter, le grincement de dents, etc., enfin l'é
ouve. Il y a trois ans elle fut prise d'une douleur dans le trajet du
muscle
sterno-cléido-masloïdien gauche ; cette douleur d
boule hystérique, de constriction pharyngienne et de contracture des
muscles
du com, la malade souffre beaucoup jusqu'à ce qu'
rgent, mâchoire déviée à gauche et fixe, contracture fibril-laire des
muscles
de la face; perte absolue de connaisance et de se
volontaires et consistent dans les contorsions les plus étranges des
muscles
de la face, du cou, du tronc et des extrémités, d
ficile, menaces de suffoca-tion. Le spasme s'étend bientôt à tous les
muscles
soumis à la volonté; les membres, le tronc, la tê
certain, c'est que dans ces attaques ce ne sont, en général, que les
muscles
employés dans les grands efforts qui sont particu
nds efforts qui sont particu-lièrement mis en mouvement : ce sont les
muscles
des membres, du tronc, et quelquefois les élévate
c, et quelquefois les élévateurs des mâchoires, tandis que les petits
muscles
de la face sont en repos, n'altèrent point les tr
l'apparition du globe hystérique et de la contraction spasmodique des
muscles
du pharynx, la malade pousse un cri aigu ou un so
issance. Chez la plupart elle est conservée... y En même temps, les
muscles
des différentes parties du tronc se convul-sent;
ence et la grande étendue des mouvements. Elles affectent surtout les
muscles
qui servent à la flexion ou à l'extension des mem
a un peu de relâchement et même un peu de ballonnement. La masse des
muscles
clorso-lombaires n'est pas moins vio-lemment agit
s mouvements continuels. Tantôt la contraction d'un certain nombre de
muscles
reste permanente pendant quelques minutes, plus o
ment, le grincement et le claquement des dents. Le cou se gonfle, les
muscles
de celte partie et ceux delà poitrine se contrac-
asmodiquement. Les parois thoraciques ou restent immobiles avec leurs
muscles
contractés de manière à menacer d'asphyxie (phase
apidement comme dans les plus fortes anhélations (phase clonique);les
muscles
des parois abdominales sont agités des mômes mouv
passionnées, auxquelles coopèrent non seulement les contractions des
muscles
du visage, mais celles des membres et du tronc, q
rts les plus énergiques ne peuvent parvenir à vaincre la tonicité des
muscles
. Une minute après le commencement de la raideur,
contractions musculaires rapides et locali-sées à certains groupes de
muscles
. C'est ce que Ilerpin a fort bien décrit parmi le
t prise de secousses partielles, soit dans les membres, soit dans les
muscles
de la face. Parfois les secousses de-viennent gén
ne violente décharge électrique; des convulsions toniques animent les
muscles
du visage; la ma-lade perd un instant connaissanc
uséeux. La poitrine se soulève comme dans l'acte du vomisse-ment, les
muscles
du cou se contractent et la salive vient à la bou
crire. La malade était prise de convulsion de tous les membres et des
muscles
du cou, de la bouche, des yeux, enfin de la langu
la malade tombe suffoquée, les poings serrés, le pouce en dessus; les
muscles
des membres et du tronc sont raidis, tantôt dans
tête et les talons seuls tou-chaient le plan du lit; puis, quand les
muscles
se relâchaient subitement, les fesses retombaient
s jours, avec la môme violence, la malade éprouvant de plus, dans les
muscles
de la respira ion et du bas-ventre, q lelqiiel'oi
lobes oculaires, qui sont immobiles, portés en haut et en dedans. Les
muscles
des mâchoires sont contractures et les arcades de
oulevée momen-tanément par de bruyants mouvements de déglutition. Les
muscles
du cou sont durs, tendus. Lq?, membres supérieu
is d'un trendjlement marqué, analogue à celui qu'on remarque dans les
muscles
fatigués par des contractions pro-longées. Nous m
pouls est à 112. n Nous com|)tous 100 respirations par minute. Les
muscles
du thorax semblent paralysés; ils ne se contracte
ores d'un appareil électrique très fort au bisulfate de mercure : les
muscles
se contractent énergiqiiement ; les extenseurs et
-excitabilité neuro-musculaire : il suffit d'exciter mécaniquement un
muscle
au travers de la peau, soit en pressant, soit en
e médecine 6t de chirurgie pratiques, par M. Mathias Duval. tion du
muscle
, sur les membres, persiste après l'excitation, po
acture permanente; l'excitation d'un nerf provoque la contraction des
muscles
qu'il innerve. Ainsi, il suffît d'une légère pres
oreille, au point où émerge le facial, pour amener la contraction des
muscles
du même côté de la face; chaque muscle de la face
our amener la contraction des muscles du même côté de la face; chaque
muscle
de la face, touché isolé-ment, se contracte isolé
slerno-mas-toïdien fait tourner la tête suivant l'action connue de ce
muscle
, c'est-à-dire que la face est dirigée du côté opp
de ce muscle, c'est-à-dire que la face est dirigée du côté opposé au
muscle
excité. L'excitation de l'antagoniste, c'est-à-di
par l'excitation des extenseurs, et inversement. En résumé, tous les
muscles
sont susceptibles de se contracter ainsi ; et sui
e contracture. Il existe à ce sujet une petite différence entre les
muscles
de la face et ceux des membres. A la face, on pro
es membres. A la face, on provoque très facilement la contraction des
muscles
, mais difficilement la contracture. Il faut insis
es. Chez Wit..., par exemple, on arrive facilement à contracturer les
muscles
de la face de façon à imprimer à la physionomie t
nts respiratoires. musculaire; impossibilité de faire contracter le
muscle
par excitation mécanique. TÉtat léthargique. —L
été faites les premières expériences. La différence qui sépare les
muscles
et les nerfs de la face, des muscles des membres,
. La différence qui sépare les muscles et les nerfs de la face, des
muscles
des membres, s'est toujours trouvée telle que nou
avions tout d'abord cons-tatée. A la face, l'excitation mécanique des
muscles
ou des nerfs amène une contraction ; aux membres,
nerfs amène une contraction ; aux membres, l'excitation mécanique des
muscles
et des nerfs produit la contracture. L'excitati
ntracture. L'excitation d'un tronc nerveux fait contracter tous les
muscles
qu'il innerve. La contraction du muscle peut êt
x fait contracter tous les muscles qu'il innerve. La contraction du
muscle
peut être provoquée par l'excitation mécanique di
res la contracture remplace la contraction. Dans ce dernier état, les
muscles
et les nerfs sont également sensibles à la faradi
ces qui ont été le plus souvent répétées. Au BRAS. — Excitation des
muscles
. — L'avant-bras est très riche en points moteurs
ériences, lorsqu'on veut entrer dans l'analyse de l'ac-tion de chaque
muscle
isolément, sont en somme très délicates et entour
'excitation portée est un peu forte, elle se propage spontanément aux
muscles
voisins; voilà, on le comprend, autant de causes
nombre de fois. Eufm il paraîtrait que dans cet état nerveux certains
muscles
font exception à la règle. M. Vigoureux, qui a fa
i pu faire con-tracter isolément par le même procédé les radiaux, les
muscles
du pouce, les cubitaux, etc.. A la main les mus
es radiaux, les muscles du pouce, les cubitaux, etc.. A la main les
muscles
des éminenos thénar et hypothénar ont pu être exc
sain, l'excitation faradique d'un nerf mixte pro-voque dans tous les
muscles
qu'il innerve une contraction difficile à analyse
léthargie, l'excitation mécanique des mêmes nerfs détermine, dans les
muscles
qui en dépendent, une con-traction permanente ou
une attitude qui est la résultante de l'action simultanée de tous les
muscles
intéressés. Ainsi sous l'influence de l'excitat
us verrons que ce mouvement sin-gulier de la main est produit par les
muscles
auxquels justement le cubital fournit des filets
tal fournit des filets moteurs. Le nerf cubital envoie des rameaux au
muscle
cu-bital antérieur et à la moitié interne du fléc
cu-bital antérieur et à la moitié interne du fléchisseur profond, aux
muscles
de l'éminence hypothénar, aux deux lombricaux int
r, aux deux lombricaux internes, à l'adducteur du pouce et à tous les
muscles
interosseux. Cette intéressante expérience de l
rsion, amène l'extension de ces mêmes parties. A LA FACE. —Tous les
muscles
de la face peuvent être excités séparément. Mais,
ide peuvent être excités sépa-rément et produisent la contraction des
muscles
soit de l'œil, soit du nez, soit de la bouche.
oit de la bouche. Chez une de nos malades Witt..., l'excitation des
muscles
de l'oreille a donné des résultats d'autant plus
de l'oreille a donné des résultats d'autant plus saisissants que ces
muscles
échappent sou-vent à l'action de la volonté. En p
facial qui en montant vers la région temporale innerve une partie du
muscle
auriculaire supérieur. En effet en portant l'exci
muscle auriculaire supérieur. En effet en portant l'excitation sur ce
muscle
lui-même, le même mouvement du pavillon de l'orei
on pourrait ap-peler la diathèse de contracture; c'est-à-dire que les
muscles
sont susceptibles de se contracturer sous l'actio
si attirée, en quelque sorte, sur un autre point du corps, quitte les
muscles
qu'elle avait primitivement atteints. Ainsi, supp
lequel la malade se trouvait plongée, il n'y a qu'un instant. Mais le
muscle
n'est plus excitable, pas plus à la face qu'aux m
est prolongée longtemps et a amené la fin de la crise. L'examen des
muscles
par félectricité faradique est venu con-firmer la
e sur un membre produit infailliblement la con-tracture permanente du
muscle
; dans la léthargie sans hyperex-citabilité muscul
tation faradique, quelque forte qu'elle soit, n'a jamais pu mettre le
muscle
en état de contracture per-manente et n'a jamais
roprement dite, n'existe pas ici. Le massage, la pression laissent le
muscle
inerte; mais la contracture musculaire peut être
leptoïde. On examine alors l'état de la contractililé musculaire, les
muscles
ne répondent pas à l'excitation mécanique, le phé
membres sont en résolution et l'excitation mécanique même légère des
muscles
ou des nerfs amène la contracture des mus-cles su
En soulevant les paupières supérieures les yeux restent ouverts les
muscles
ne sont plus hyperexcitables, mais les membres on
s yeux, la main correspondante s'arrête, le bras re-tombe inerte, les
muscles
sont en état d'hyperexcitabililé musculaire, mais
rmé, le bras correspondant s'arrête (il est dans la résolution et ses
muscles
sont hyperexcitables) ; mais l'autre main poursui
d'un de ses yeux immobilise le côté correspondant du corps, dont les
muscles
de-viennent hyperexcitables (la malade est hémilé
le souvenir de ce qui s'est passé. La catalepsie n'atteint que les
muscles
de la vie de relation ; ceux de la vie organique
tensité de l'état cataleptique semble en rapport avec la rai-deur des
muscles
, si nous nous en rapportons à ce que nous avons o
e excitation mécanique la contraction ou la contracture permanente du
muscle
. La friction ou le massage sur le membre catalept
n'amène aucune modification dans l'attitude provoquée. Cependant, le
muscle
conserve la propriété de proportionner le degré d
os-sibilité par l'excitation mécanique de provoquer la contracture du
muscle
, laquelle disparaît par la friction ou l'excitati
enu dans son état dynamomètre, par exemple ; si alors on malaxe les
muscles
avec les mains, on les sent se raidir, acquérir l
rquable que la manière de les pro-duire : une légère friction sur les
muscles
amène aussitôt leur réso-lution \ Le clignoteme
s rangés par les auteurs parmi les attaques catalepti-ques, l'état du
muscle
ne peut-il être rapproché de cette variété de cat
je t'invite à me serrer la main, et si, en même temps, je malaxe les
muscles
de l'avant-bras, ceux-ci se contractent, durcisse
alors les deux mains et fîmes de violents efforts de contraction des
muscles
de l'épaule et du bras, tout en lui pressant très
hargie, nous semble sous la dépendance de cette propriété spéciale du
muscle
que nous désignons sous le nom d'hyperexcita-bili
Lorsqu'on soulève un peu brusque-ment le membre d'une malade dont les
muscles
sont en état d'hy-perexcitabilité, ou bien, qu'ap
ituation qu'on vient de lui communiquer. Mais que s'est-il passé? Les
muscles
dans cette manœuvre ont été excités, et en vertu
ulaire n'existe pas. Il est impossible de provoquer la contracture du
muscle
, par la pression ou le massage. Mais il existe un
faible et irrégulière : Respirât 11. Pouls 100. — Tempérât. 37,8. Les
muscles
avaient perdu la propriété spé-ciale désignée sou
it toujours été précédé de convulsions ou de contt^action tonique des
muscles
, dont la durée avait été variable. — Chez plusieu
mpossibledel'ouvriren pres-sant sur le menton. Entouchantle front, le
muscle
frontal se contracte. En com-primant avec un peu
tir du trou stylo-mastoïdien, on provoque une contraction de tous les
muscles
de la face du même côté : le front, les paupières
complète, facilite vraisemblablement la production du phénomène. Les
muscles
du cou sont contractures et la tète est immobilis
erte de connaissance qui, par la présence de l'hyper-excitabilité des
muscles
de la face,, se rapproche des faits que je viens
ntôt prolongée et énergique ; j'excitai par la même pression tous les
muscles
de la face du côté gauche, rien ne bougea. C'est
roit. Je n'eus pas plus tôt mis le doigt sur son trajet, que tous les
muscles
de la face et surtout les orbiculaires de l'œil d
fortement rejeté en arrière, maintenu par la contracture de tous les
muscles
ceryico-dorsaux. A son réveil, la malade accuse,
qui s'abaisse et se tire en dehors Touchés isolément, les différents
muscles
de la face se contractent, mais il semble, en out
propage, et souvent la contraction se pro-duit en même temps dans les
muscles
voisins de ceux qui ont été touchés. Aux membres
e de lui-même, tantôt brusquement, tantôt len-tement, et comme si les
muscles
ne cédaient qu'en résistant à une force su-périeu
lepsie s'accompagnait de raideur généralisée. Si on la tou-chait, les
muscles
se contracturaient avec plus de violence, et ce-p
u plus tard, on voit se contracter successivement les massé-ters, les
muscles
du tronc et des membres, enfin, les orbiculaires
es des pau-pières; en sorte que, au bout de quelques heures, tous les
muscles
du corps se trouvent dans un état complet de raid
la violence des douleurs sem-ble s'accroître en raison du nombre des
muscles
contractés. En même temps, les idées de la malade
la malade plongée dans cet état une sorte de secousse électrique; ses
muscles
se contractaient arecplus de vio-lence lorsqu'on
cesser cet état de contracture et de catalepsie. La friction sur un
muscle
, quel qu'il fût, en amenait la résolution. — Il s
fût, en amenait la résolution. — Il suffisait de frictionner tous les
muscles
du corps pour amener une résolution générale; enf
uchant légèrement les paupières, on faisait cesser la contraction des
muscles
orbiculaires, et la malade,jusque-là privée de se
t instantanément connaissance. l^iel pouvait également relâcher les
muscles
orbiculaires des paupières sans faire cesser les
iculaires des paupières sans faire cesser les contractions des autres
muscles
. En un mot, il restituait à la malade la plénitud
l fallait abaisser le membre pour éviter la contracture tétanique des
muscles
de la poitrine. c( Les muscles une fois mis en
éviter la contracture tétanique des muscles de la poitrine. c( Les
muscles
une fois mis en état d'activité par le contact de
embre su-périeur et en le plaçant dans une position très pénible, les
muscles
de l'épaule et du bras, par une suite de contract
étique pouvait se localiser à un groupe musculaire, ou même à un seul
muscle
, si on réduisait le contact au bout du doigt; nou
res localisées non seulement dans un groupe muscu-laire, mais dans un
muscle
, est absolument impossible. Au point de vue du
inités qui existent entre l'hallucination et l'état catalep-tique des
muscles
ont été mises en lumière plus haut dans l'étude q
bres, accompagnés de petits cris entrecoupés, et d'une convulsion des
muscles
de la face qui rappelle le pleurer à chaudes larm
signes ne changent pas. 11 existe un état cataleptique de tous les
muscles
que la friction ne fait point cesser. La malade c
rexcitabilité musculaire existe. — On contracture par la pression les
muscles
des bras. A la face on contracture les masséters.
muscles des bras. A la face on contracture les masséters. Les autres
muscles
de la face sont peu excitables. Ces contractures
maintenant, quelques instants, les yeux fermés). Par la friction des
muscles
, les attitudes cataleptiques ne varient pas. Il
e que l'excitation mécanique n'amène pas la contracture permanente du
muscle
sur lequel elle est portée. L'anesthésie cutané
on dans les symptômes! D'un côté contraction violente et soutenue des
muscles
: de l'autre, leur inertie due à la diversion de
ischions, se maintint dans cette position fatigante sans qu'aucun des
muscles
du visage se contractât et accusât la moindre dou
ieux qu'à l'ordinaire : elle avait la respiration Jibre et égale, les
muscles
du bas-ventre jouaient avec facilité ; son pouls
vec la main, la paroi abdominale ne revient pas sur elle-même, et les
muscles
de la région, participant à l'état cataleptique,
uctueux, et ses lèvres s'agitent en silence. — De temps en temps, les
muscles
du côté droit de la face et du cou se contractent
un seul instant d'être absolue. La raideur et l'état cataleptique des
muscles
, bien que fortement diminués d'une manière généra
hes amènent de suite, au moins pour le côté gauche, la résolution des
muscles
et l'état physiologique des parties; les résultat
la manière dont elles sont faites. Comme pour le galvanisme, tous les
muscles
obéissent à l'action spéciale de ces frictions fa
apports qui relient ensemble les frictions et l'état catalep-tique du
muscle
, les résultats ont varié sensiblement suivant le
ntraire la malade était-elle sous l'influence de l'hypnotisme, chaque
muscle
cédait à la friction, se résolvait pour ainsi dir
ents avaient plutôt besoin d'être indiqués que communiqués et que les
muscles
, comme en équilibre stable, cédaient au moindre c
parties du corps, et partout où nous avons pu trouver des groupes de
muscles
nettement limi-tés nous ont conduit à des résulta
s identiques ; ainsi, la jambe fléchie sur la cuisse, la pression des
muscles
gastro-cnémiens amenait son extension; inversemen
appe des commissures labiales. 9 h. 20. — Quelques contractions des
muscles
de la face et des membres apparaissent. Ces contr
exagérés. En effet, si l'on touche un point quelconque du corps, les
muscles
de cette région se contractent vivement comme sou
subitement elle a jeté un cri, puis il y a eu contraction de tous les
muscles
extenseurs; les yeux étaient convulsés en haut, l
t marqué des mains, un peu moins accusé des jambes, frémissements des
muscles
delà face, surtout en parlant... » Le malade re
ur éviter les balles. Tremblement de tout le corps, frémisse-ment des
muscles
delà face;yeux injectés^... 1. Le D"". V. Magna
n aurait dit un homme à qui l'on aurait ôté les os, sans lui ôter les
muscles
, et qui essayant de se soutenir sur ses membres p
n la voit parfois gagner les parties profondes et s'étendre jusqu'aux
muscles
et aux os. Les yeux fermés, la malade perd la not
ntervalle des attaques. La paralysie peut intéresser les différents
muscles
du tronc et des membres. D'après Briquet et Lando
t les statistiques concordent, on voit : a) que l'affaiblissement des
muscles
de l'un des côtés du corps, l'hémiplégie hystériq
qu'aux membres supérieurs; d) qu'enfin elle attaque très rarement les
muscles
de la face. La paralysie peut en outre atteindr
nt les muscles de la face. La paralysie peut en outre atteindre les
muscles
constricteurs du pharynx et de l'œsophage, les mu
atteindre les muscles constricteurs du pharynx et de l'œsophage, les
muscles
du larynx, de la vessie et du rectum. Le début
um. Le début de la paralysie hystérique est brusque ou graduel. Les
muscles
conservent leur excitabilité électrique. Les me
rieur la percussion du tendon du triceps brachial, et des tendons des
muscles
antérieurs de l'avant-bras occasionnent dans les
tendons des muscles antérieurs de l'avant-bras occasionnent dans les
muscles
une contraction réflexe exagérée. Dans les cas d'
Paris 1872. plus particulièrement : a ) une moitié de la face ; les
muscles
de l'œil ne sont point épargnés, d'où résultent d
épargnés, d'où résultent des troubles de l'ac-commodation ; — h) les
muscles
de la mâchoire (trismus) ; — c) la langue et quel
ue et quelquefois en outre le voile du palais et l'œsophage; — d) les
muscles
d'un côté du cou (le torticolis hystérique est un
des plus fréquentes manifestations de l'hystérie infantile); —é) les
muscles
de la vie de relation : le canal cholédoque, d'où
é de son intensité. Le membre atteint est d'une rigidité extrême, les
muscles
s'y dessinent en saillies vi-goureuses et les eff
nsion. Le membre inférieur est dans l'adduction et l'extension, les
muscles
de la cuisse saillants,la rotule immobilisée. Le
'influence de causes variées. L'excitation mécanique portée sur les
muscles
de la région antérieure de l'avant-bras par exemp
en vibration et promenées sur la peau de la région, produit dans les
muscles
une contraction qui se traduit par un mouvement d
te aux efforts les plus vigoureux. La même exci-tation portée sur les
muscles
antagonistes arrive facilement à la vaincre et la
l'excitation vibra-toire produire une contraction manifeste dans les
muscles
au niveau desquels elle était portée, mais la con
evoir persister si nous ne l'avions pas détruite par l'excitation des
muscles
antagonistes. C'est particulièrement du côté hémi
iser dans un état de con-tracture permanente en extension forcée. Les
muscles
du tronc, du cou, de la face même peuvent être co
tricité faradique peuvent avoir l'in-fluence la plus fâcheuse sur les
muscles
paralysés et en imminence de contracture. Le fait
e qui est encore plus digne d'intérêt, c'est que la même aptitude des
muscles
à la contracture provoquée par l'aimant s'étendai
tations multiples et variées, les dispositions morbides spéciales des
muscles
. Je rappellerai ici les nombreuses variétés de
ns des parties molles ont pu également dé-terminer la contracture des
muscles
au voisinage desquels elles avaient porté. E. Bri
remplacée par une pa-résie ou même une paralysie avec résolution des
muscles
. )) Ces accidents, développés à l'occasion d'un
considérer sera probablement compliquée d'une action convulsive des
muscles
du bras ou encore d'une contraction continue des
nvulsive des muscles du bras ou encore d'une contraction continue des
muscles
fléchisseurs ou de la partie antérieure du bras,
e la contracture hystérique, dont la cause ne saurait résider dans le
muscle
lui-même et dont il faut rechercher la raison dan
ui est le paradigme de la contracture, c'est le tonus musculaire. Les
muscles
môme au repos sont dans un certain état d'activit
qui provoque ordinairement une contraction réflexe passagère dans les
muscles
du membre, amène parfois un commencement de contr
a strychnine porte sur la substance grise de la moelle et non sur les
muscles
; or on a vu dans les cas de paralysie spasmodiqu
llement intermittente, paroxystique et tendant à l'enva-hissement des
muscles
de tout le corps ; les mêmes raisons, au con-trai
à la moitié droite de la face; les pau-pières droites se ferment, les
muscles
du cou, à droite, se convul-sent; X... se plaint
typerexcitabilité neuro-musculaire qui permet de faire contracter les
muscles
, soit par l'excitation directe, soit par l'exci-t
t de sujets qui ne peuvent connaître l'anatomie et la physiologie des
muscles
, encore moins la distri-bution des nerfs et leurs
lui faut faire appel à toute sa force afin de vamcre la rigidité des
muscles
de l'abdomen. Mais dès que celle-ci est une fois
nique se développe. On produit brusquement la compression en G et les
muscles
se re-lâchent immédiatement. On cesse la compress
celle bruyante. La sensation est celle d'une piqûre et d'un choc. Les
muscles
sous-jacents donnent une secousse comme par le ch
parties du corps, qu'ils ap-pelaient tetanus où toutes les fibres des
muscles
et leurs « apaneuuroses » ou in-sertions de nerfs
la poitrine. Par intervalles, le mouvement s'arrête un instant et les
muscles
contractés maintiennent la tête fixe dans la posi
es yeux se sont tournés en sorte que l'on en voyait que le blanc, les
muscles
oblique et releveur des yeux étant en contraction
ceux poussés dans les douleurs de l'enfantement, des convulsions des
muscles
des paupières, — les yeux fixes et hagards, les m
nvulsions des muscles des paupières, — les yeux fixes et hagards, les
muscles
du cou, du tronc et des bras innnobiles, — la res
onvulsifs, des contorsions hideuses ou, ridiculement défigurantes des
muscles
du visage, du corps, surtout des extrémités, le p
ation, et spécialement la moti-lité et la sensibilité. Au palper, les
muscles
de la face, des membres et du tronc n'offrent pas
centimètres ; l'atrophie semble porter à peu près également sur les
muscles
anté- rieurs et postérieurs du bras ; en pressa
rieurs et postérieurs du bras ; en pressant entre les doigts les
muscles
biceps et triceps et en les comparant à ceux du c
t difficile de dire si l'atrophie s'est faite plutôt àux dépens des
muscles
de la région antérieure ou de èeux de la région
thénar et hypothénar sont plus grêles à gauche qu'à droite. - Les
muscles
atrophiés ne présentent pas de secousses fibril-
de secousses fibril- laires. L'excitabilité idio-musculaire de ces
muscles
ne parait pas modifiée. A l'électrisation, tous
de ces muscles ne parait pas modifiée. A l'électrisation, tous ces
muscles
atrophiés se contractent plus faiblement que ce
é, mais le mode de contraction est absolument normal ; dans aucun
muscle
, on n'a pu constater la réaction de dégénérescenc
e l'entrée du malade à l'hôpital, le deltoïde s'est développé et le
muscle
grand pecto- ral est bien plus volumineux ; ent
vec elle; en effet, cette atrophie est rigoureusement limitée aux
muscles
paralysés, elle s'est développée peu de temps a
t un peu déprimée; il en est de même de la région postérieure ; les
muscles
sus et sous- épineux sont atrophiés. Le périmèt
ême niveau de 22 centimètres. L'atrophie semble porter sur tous les
muscles
; le biceps et le triceps sont très réduits de
e est de 22 centimètres. L'atrophie paraît porter davantage sur les
muscles
épitrochléens que sur les épicondy- liens. Les
. A la cuisse, pas de différence sensible entre les deux côtés. Les
muscles
atrophiés ne présentent pas de secousses fibril
fois, mais il est toujours beau- coup plus faible que le droit. Les
muscles
ont augmenté de volume. Les mensurations prises
CORNES antérieures. - Paralysie avec ATROPHIE GRADUELLE DE TOUS LES
MUSCLES
DU CORPS, SAUF CEUX DE LA FACE. ARTHROPAT111ES
des diverses parties de l'encé- phale, des nerfs périphériques, des
muscles
et de la peau, etc.,dans le but d'établir J'inf
tions, de dire son nom. Tremblement très marqué de la langue et des
muscles
de la face, grande hésitation de la parole, inc
t recouvré une cer- taine force, il devint, ainsi que la jambe, les
muscles
de la face et ceux de l'articulation de la paro
its; 3° accès convulsifs affectant les membres du côté droit et les
muscles
de la face du même côté; 4° nystagmus horizonta
t étranger), les actes dus à l'excès d'innervation involontaire des
muscles
antagonistes (étals cataleptoïdes et cataleptiq
ez des enfants de moins de dix-huit ans), l'action du mouvement des
muscles
sur la conscience (l'activité musculaire provoq
: paralysie du facial droit, parésie de l'hypoglosse et de tous les
muscles
de ce côté. C'est REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE.
argés de transmettre aux nerfs moteurs de la moelle épinière ou aux
muscles
correspondants les ordres du cervelet. Le cerve-
mités supérieures, surtout à la ceinture, de l'épaule et des petits
muscles
des mains; profonde dépression au niveau des es
son probablement d'une débilité mentale congéniale. Intégrité des
muscles
des yeux. Aucun trouble électrique, excepté dans
des muscles des yeux. Aucun trouble électrique, excepté dans les
muscles
tout à fait atrophiés qui sont inexcitables par l
rants ; absence de réaction dégénérative ; cependant dans certains
muscles
le courant galvanique engendre, à la fermeture de
re impossible de nettement se prononcer sur ce sujet. Intégrité des
muscles
des yeux. Affaiblissement très notable de la forc
dant l'acte de la convergence; encore plus rare est la paralysie du
muscle
accommodateur. Parmi les malades observés penda
ement des cordes vocales, faiblement ten- dues et d'une parésie des
muscles
des adducteurs ; les muscles du larynx ne sont
blement ten- dues et d'une parésie des muscles des adducteurs ; les
muscles
du larynx ne sont pas affectés de mouvements ch
tilité du larynx, aggravation crois- sante, parésie progressive des
muscles
delà glotte, d'où phonation remarquablement pén
de la flaccidité et de l'atrophie des rubans vocaux, tandis que les
muscles
respirateurs, continuant à fonctionner par voie
s et de pié- tiner. Grande sensibilité au contact de la peau et des
muscles
. Mort en état de collapsus. Les viscères sont p
branches nerveuses dans les contractures exagérées du psoas et des
muscles
des gouttières vertébrales. Cu. F. IV. Des rémi
angue épaisse et protubérante. De chaque côté du cou. en dehors des
muscles
sterno-cleïdo- mastoïdiens, il existait deux go
emplissaient les aisselles et pouvaient être suivis jusque sous les
muscles
sous- scapulaires et vers l'angle inférieur de
endait en dehors de la bouche. De chaque côté du cou, en dehors des
muscles
sterno-cleïdo-mastoïdiens, il existait deux gon
. - Tumeurs molles et mobiles de chaque coté du cou en dehors des
muscles
ste1'llo-cléido-m(tstoidiens. Edmond D..., âgé
mplète- ment paralysé; le membre supérieur est très affaibli; les
muscles
du côté gauche, particulièrement ceux du membre
au début se transforme bientôt en paralysie avec contracture et les
muscles
du côté malade s'atrophient . Puis la contractu
oit être de toute évidence rattachée à la paralysie hystérique. Les
muscles
devaient être examinés élec- triquement, mais l
n de volume du bras et de l'avant-bras parait due à \' atrophie des
muscles
, mais il est impossible de déter- miner si l'at
r- miner si l'atrophie porte plus particulièrement sur tel ou tel
muscle
. Il n'y a pas de secousses fibrillaires. Pas d'ex
gération de l'excitabilité idio-musculaire. A Yélec Irisation, les
muscles
se contractent normalement ; il n'y a pas de réac
ulaire. 187 On ne constate pas de secousses fibrillaires dans les
muscles
atrophiés. L'excitabilité idio-musculaire est n
stérie. - L'amyotrophie hystérique envahit-elle en masse tous les
muscles
des membres paralysés ou se localise-t-elle par
es paralysés ou se localise-t-elle particulièrement dans tel ou tel
muscle
, dans tel ou tel groupe musculaire ? Si uous pa
devue, voici ce que nous constatons. Dans l'Observation I, tous les
muscles
du membre supérieur gauche paralysé depuis l'ép
minance dans une région quelconque. Dans l'Observation II, tous les
muscles
du membre supérieur gauche paralysé sont atroph
che paralysé sont atrophiés, mais à l'avant-bras il' semble que les
muscles
épitrochléens sont plus affectés que les muscle
il' semble que les muscles épitrochléens sont plus affectés que les
muscles
épicondyliens. Dans l'Observation III, il est d
ervation II que l'on relève une prédominance de l'atrophie dans les
muscles
de la région épitro- chléenne, et encore n'est-
aires, de l'atrophie Aran-Duchenne, par exemple, dans laquelle un
muscle
ou plusieurs muscles d'un membre peuvent avoir
ie Aran-Duchenne, par exemple, dans laquelle un muscle ou plusieurs
muscles
d'un membre peuvent avoir subi une notable dimi
euvent avoir subi une notable diminution de volume, alors que les
muscles
voisins ont conservé leur relief normal. L'évol
musculaires qui résulte de la suppression simple de la fonction des
muscles
est lente à se produire, qu'elle n'est jamais t
bservations ont été publiées dans le Progrès médical de 9 885), les
muscles
du mem- bre supérieur, quoique leurs fonctions
te que cette diminution dans le volume des 192 CLINIQUE NERVEUSE.
muscles
appartient à la catégorie des phénomènes dits t
rnes antérieures de la moelle cons- tituent le centre trophique des
muscles
et qu'elles ne sont pas altérées organiquement,
mbes et aux bras; le tissu cellulaire sous-cutané est atrophié; les
muscles
ne présentent pas des modifications atro- phiqu
une légère douleur dans la région lombaire. Quant aux fonctions des
muscles
du visage, du cou et des organes respiratoires, à
té sur tout le corps sont intactes. L'excitabilité élec- trique des
muscles
, dans les premiers jours de séjour à la clinique,
'altération du sens musculaire; un examen électrique des différents
muscles
et nerfs a donné aussi un résultat négatif. Des
légie vraie, également croisée, de la paraplégie : à ce moment, les
muscles
paralysés sont tendus, on constate de l'exagéra
ion du corps; c'est pour- quoi elles sont généralement limitées aux
muscles
des extrémités inférieures bien qu'elles puisse
cles des extrémités inférieures bien qu'elles puissent englober les
muscles
du tronc nécessaires a certains actes d'ensembl
ant rien à voir avec les mouve- ments de déplacement total, sur des
muscles
surmenés desquels part l'irritation. La convuls
llope, entre le ganglion gentculé et l'origine du rameau destiné du
muscle
de l'étrier. Mais il est cer- tam qu'une affect
La lésion, rhumatismale, -IL, au-dessus du rameau de l'étrier (son
muscle
est temporairement paralysé) a l'intérieur du c
la pression de certaines apophyses épineuses et d'une partie des
muscles
de la nuque, troubles trophiques de la peau.) Int
tte analyse plus loin.) P. K. XXI. UN second cas DE CO-ATTEINTE DES
muscles
DE la face dans l'atrophie musculaire juvénile
ée des rebords costaux; l'abdomen parait rétracté sur les côtés des
muscles
droits présentant une tension uniforme ; atroph
urs. Asymétrie faciale témoignant surtout de la même altération des
muscles
du côté droit : intégrité de la langue, du voil
ibrillaires et de réaction dégénérative. Il est vrai que les petits
muscles
des mains participent, dans une certaine mesure
irectement, sans passer par les centres coordinateurs, l'écorce aux
muscles
ne paraissant pas atteintes dansl'ataxie, on es
'hypochondrie, de mélancolie, et paralysie d'un ou de plusieurs des
muscles
droits ou obliques de l'oeil; ces symptômes, fr
eux manifeste; elle contraste avec la charpente athlétique de leurs
muscles
; en dehors des accès de contractures et de roid
ar la sommation d'excitations disséminées le long du cubital. Les
muscles
, extrêmement sensibles aux excitants mécaniques,
es deux pôles des convulsions lentes, persistantes, transformant le
muscle
en une masse inégale, dure, contournée, comme r
b a réséqué sur un de ses malades un morceau du biceps brachial; ce
muscle
, qui, frais, semblait normal, présentait, après
ue l'affection réside surtout sur les membres inférieurs et que les
muscles
de la motilité volontaire présentent un dévelop
r de 28 millimètres); les sourcils jont très élevés; il faut que le
muscle
frontal remplace l'élévaleur de la paupière supé-
aire cesser la blépharoptose. P. K. XXXIII. Un cas DE paralysie DES
MUSCLES
DE L'OEIL A la suite DE diphthérite DE la gorge
ire aboutissant aune paralysie bilatérale absolue de l'ensemble des
muscles
des globes oculaires, avec parésie du facial dr
vec parésie du facial droit, parésie pharyngo-palatine, parésie des
muscles
de la nuque, ataxie et affaiblissement des quat
oubles de la sensibilité et d'atro- phie dégénéiative partielle des
muscles
des membres inférieurs; absence de phénomènes t
la sensibilité excessifs, la diplopie (insuffisance congénitale des
muscles
des yeux), la tuméfaction inlermitlanle des mains
e de l'encéphale. Tel est le cas de l'existence dela para- lysie du
muscle
droit externe d'un des yeux, de concert avec la
muscle droit externe d'un des yeux, de concert avec la paralysie du
muscle
droit interne de l'autre oeil sans que l'ocumol
Paralysie du facial droit dans sa totalilé : hyperexcitabilité des
muscles
paralysés à l'égard des courants faradiques et
dans laperceplion des impressions sensibles, de la para- lysie des
muscles
soumis à l'oculomoteur commun des deux yeux exc
bservation : 1° que l'on ne peut obtenir un relâchement parfait des
muscles
des membres inférieurs que lorsqu'ils pendent l
acquièrent leur degré de développement que si l'on force les autres
muscles
du corps à déployer une grande force. L'examen
res, conservation des réflexes cutanés; parésie vésico-rectale; les
muscles
et les nerfs des membres ne réagissent plus sou
s expérimentaux pro- voqués par Munk chez les singes et les chiens (
muscles
de la nuque et du rachis). Femme de soixante-tr
lité ; conservation de l'excitabilité faradique et galva- nique des
muscles
; exagération des phénomènes tendineux. Le nyst
ur du pouce. Atrophie extrême et réaction dégénérative complète des
muscles
malades. Le del- toïde, le biceps et le triceps
protubérance; dégénérescence très étendue (en bandes) ou totale des
muscles
de l'avant-bras ; dégénérescence grise évidente
lexus brachial gauche ; atrophie des éléments contractiles dans les
muscles
sus-mentionnés avec multiplica- tion des noyaux
ncore des réponses probantes et explicatives. Le plomb lèse-t-il le
muscle
avant de toucher le nerf; la présence d'une réa
du renflement cervi- cal) ; sur l'apparition de tremblements en des
muscles
anatomi- quement sains à l'occasion de l'excita
nt pas des état» catatoniques. M. EDFL. La rigidité catatonique des
muscles
est un symptôme qui se montre aussi en d'autres
e con- vulsions cloniques, auxquelles succédaient une tension des
muscles
de la poitrine et du dos. Au commencement de l'ac
té ont disparu. Après cela, le malade éprouve des douleurs dans les
muscles
du cou, d'abord à gauche, puis à droite, mais c
exagérés. Les jambes sont à moitié paralysées;- y a contracture des
muscles
posté- rieurs de la cuisse, qui fléchissent la
ux mouvements spontanés, sont causées par une certaine rigidité des
muscles
du dos et des jambes. Les jambes sont encore fa
; pas d'amaigrissement musculaire; la contractilité faradique des
muscles
et des nerfs est normale; le malade n'éprouve pre
s sans faire quitter le plan- cher, par suite de la contracture des
muscles
; tantôt ses pieds se déjetaient convulsivement
nière paraplégie qui n'avait pas été suivie d'un amaigrissement des
muscles
, malgré que la maladie ait duré trois mois et m
n clonus dorsalis ; sur le gauche il n'y en a pas. Une rigidité des
muscles
de la jambe droite, des tressaillements et des
exagérés. L'exci- tabilité galvanique et faradique des nerfs et des
muscles
est con- servée ; même la faradique parait plus
on- tinuel. La réaction faradique et galvanique des nerfs et- des
muscles
est normale. Au mois de décembre, arrive une suit
85, le malade essaie de marcher, et alors apparaît une rigidité des
muscles
dans l'arti- culation tibio-tarsienne et dans c
téristique ; le dos est immobile; les genoux un peu fléchis; les
muscles
des reins sont contracturés. Vers le 13 juin, les
à chaque pas. Un examen plus minutieux fit voir une rigidité des
muscles
de la cuisse et de la jambe, même lorsque D... ét
plus ; il marchait facilement et il n'est resté qu'une rigidité des
muscles
à peine visible pendant la marche. Considérant
lors une forte trépidation des jambes, accompagnée de douleurs. Les
muscles
des jambes sont flasques, mais la réaction aux
es de courants ne fait voir aucun trouble dans l'excitabilité des
muscles
et des troncs nerveux, bien que le malade, près d
puisse y remarquer de tremble- ments ; mais lors qu'il marche, les
muscles
deviennent rigides, re qui fait que le malade n
res, le globe oculaire roule en bas. Un tremblement des jambes; les
muscles
des membres inférieurs sont relâchés ; les réfl
s; les pupilles dilatées; de temps en temps, apparaît un spasme des
muscles
de l'oeil, ce qui fait que les globes oculaires
continuelles présentent un tel carac- tère : des tiraillements des
muscles
de la ceinture scapulaire classique, régulièrem
ai réussi à le faire marcher un peu; mais les jambes tremblent; les
muscles
des membres inférieurs sont à l'état de rigidit
e caractère : l'attaque commence maintenant par un tiraillement des
muscles
de l'abdomen, une respira- tion accélérée. Ensu
des mâchoires. Les accès se suivent, séparés par un relâchement des
muscles
momentané. Le 24 janvier, on examine en détail
ux sont fléchis, ou bien, au contraire, les jambes sont raides, les
muscles
sont à l'état de tension. Cela fait que la déma
rties du corps, puis arrive le moment de la contraction tonique des
muscles
de tout le corps qu'interrompent des mouvements
rdonnés. Cela dure de 3 à 5 minutes; puis arrive un relâchement des
muscles
momentané; le malade n'est pas encore revenu à
exercices, un mieux se faisait voir tout de suite. La rigidité des
muscles
dans les mouvements volontaires appartient aux
ième côte à droite, au bord inférieur de la même côte à gauche. Les
muscles
pectoraux sont très décolorés, et ont presque l
cles pectoraux sont très décolorés, et ont presque l'apparence de
muscles
de grenouille; ils sont peu développés. Cavité
carde est pâle, mais celte pâleur est moins accentuée que celle des
muscles
de l'abdo- men (épaisseur à droite, 12 mill.; à
e médiane, on recherche le corps THY- RoiDE entre la trachée et les
muscles
qui ont été assez bien con- servés et on n'en t
le dû à l'hypertrophie musculaire et non à un excès de graisse. Les
muscles
de la cuisse sont bien déve- loppés, contrairem
omen, environ 100 gr. de liquide jaune, très peu trouble. Lntre les
muscles
, il y a encore beaucoup de graisse. Les veines
), le professeur Schâfer et moi nous avons montré que le centre des
muscles
du tronc était situé dans la circonvolution mar
n marginale sur la surface moyenne de l'hémisphère et que celui des
muscles
de l'abdomen est juste à l'extrémité pos- térie
ne écorce saine. M. Exo ( d'Heidelberg ) montre des préparations de
muscles
empruntées à un cas de maladie de Thomsen1. On
ie de Thomsen modérée. Voici maintenant des préparations de trois
muscles
d'un garçon ayant été atteint d'une pseudohypertr
re. Cah... fait une inspiration quasi convulsive. D'autre part, les
muscles
de la langue, du pharynx et probablement du laryn
n, les liquides seraient revenus par le nez, ce qui indique que les
muscles
du voile du palais à ce mo- ment ne se contract
pagne pas, comme cela est habituel en pareil cas de contracture des
muscles
de la face du côté correspondant. Cependant le
es tremblements très accusés, rappelant ceux qu'on observe dans les
muscles
chez les sujets atteints de sclérose en plaques.
u service, aucun n'a pu y arriver. Les contractions volontaires des
muscles
de la langue ne ressemblaient que de fort loin
au début, une inspiration presque cor- vulsive ; d'autre part, les
muscles
de la langue, du pharynx et probablement du lar
oubles que nous avons notés du côté de la langue, du pharynx et des
muscles
de la respiration, semblent au contraire devoir
s mouvements brusques, à grand déplacement, localisés dans certains
muscles
cervicaux, antérieurs ou posté- rieurs, et les
ans certains muscles cervicaux, antérieurs ou posté- rieurs, et les
muscles
élévateurs de l'épaule droite. Ces con- tractio
nécessite en rien, pour se produire, une contraction volontaire des
muscles
de la partie mobilisée ; il se produit au repos
; il se produit au repos ou pendant des contractions volontaires de
muscles
tout différents, durant la 1 Voir Progrès Médic
ons d'un groupe muscu- laire à un autre, l'inépuisable activité des
muscles
, la rapidité avec laquelle certaines convulsion
un autre. Au lieu de voir une activité constante et inépuisable des
muscles
, on constate un repos absolu pendant les inter-
édical, mars 1889. 32 CLINIQUE NERVEUSE. - - rythmiques, dans des
muscles
déterminés symétriques des deux côtés, souvent
'innervation. Ces se- cousses, qui s'étendent sur toute la masse du
muscle
, sont quelquefois isolées, quelquefois agglomér
ter- valles irréguliers; elles se produisent, tantôt dans un seul
muscle
, tantôt dans plusieurs à la fois ou alternativeme
; rien ne fait prévoir son étendue ou sa direction; tantôt c'est un
muscle
, tantôt un autre qui en est le siège, sans la m
cient, résultat de la contraction involontaire d'un ou de plusieurs
muscles
du corps, et reproduisant le plus souvent, mais
de jours le tétanos se généralise, il affecte particulièrement les
muscles
extenseurs, forme opisthotonos. L'affection se
gie. Pas d'attaques d'épilepsie. 12. - Amélioration. La raideur des
muscles
est moins forte, la douleur moins violente, les
elles du malade : cri initial, pâleur de la face, convulsion de ses
muscles
. Raideur de tout le système musculaire avec sec
t dure trois minutes environ. Ensuite coma, slertor, résolution des
muscles
. Après quelques minutes de coma, le malade revi
les. Après quelques minutes de coma, le malade revient à lui et les
muscles
rentrent en la rigi- dite tétanique en laquelle
et ensuite une résolution musculaire complète, se manifeste sur des
muscles
qui se trouvaient, avant l'ictus, en tétanos, c'e
te. Et quand l'épilepsie a, pour ainsi dire, épuisé son action, les
muscles
redeviennent tétanisés, durs, contractures, imm
anos, les cellules des cornes antérieures de la moelle envoient aux
muscles
une excitation violente et permanente qui les m
étanique. Dans l'épilepsie, ces mêmes cellules envoient aux mêmes
muscles
une excitation différente, quant au rythme et à l
rche rapide de l'affection (moins de deux ans); 2° la paralysie des
muscles
respirateurs et notamment du diaphragme, paraly
ébelleuse. G. D. V. UN cas d'absence bilatérale PRESQUE complète DU
MUSCLE
trapèze; par W. ERB. (Neurol. Centralbl., 1889.
pur d'ophtalmoplégi progressive bilatérale : paralysie de tous les
muscles
animant le globe oculaire et du muscleaccommoda
OLOGIE NERVEUSE. la réaction pupillaire réflexe. Cette atteinte des
muscles
soumis à la volonté indique, d'après l'auteur,
. XIII. CONTRIBUTION A l'étude ET au mécanisme DES paralysies DES
MUSCLES
DE L'OEIL CHRONIQUES, PROGRESSIVES, ET A LA FINE
eux du tronc ducerveau et en particulier de ceux qui commandent aux
muscles
des yeux. P. K. XIV. Contribution A la pathol
des nerfs étant demeurée normale, la con- tractilité électrique des
muscles
innervés par le radial se montra considérableme
VUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 79 moelle, courants assez forts sur les
muscles
des bras convulsés) détermina en quelques secon
ourir de la phtisie pulmonaire dont il était atteint. Intégrité des
muscles
, même au microscope, intégrité des éléments ner
oide, on voit qu'il sera un engourdi. L'anomalie porte sur tous les
muscles
volontaires, mais pas d'une manière identique e
mpe, prédomine une para ! y- sie, un arrêt des mouvements. Dans les
muscles
du cou et de la face, c'est presque exclusiveme
énergique; après le rire, la bouche reste légèrement immobile; les
muscles
de la déglutition sont atteints de convulsions to
euse dans le reste du domaine des trijumeaux; affaiblissement t des
muscles
masticateurs et cervicaux, et de ceux de la nuque
ssion. P. 11ERAVAL. XXV. L'irritabilité ÉLECTRIQUE des NERFS ET DES
muscles
DES NOUVEAU-NÉS ; par C. WESTPHAL. (Neurol.' Ce
par cet agent les gros troncs nerveux périphériques, ainsi que les
muscles
, il fallut de bien plus forts courants induits
nduits que chez l'adulte, qu'il s'agisse du reste du facial, et des
muscles
de la face, ou des nerfs spinaux et des muscles
du facial, et des muscles de la face, ou des nerfs spinaux et des
muscles
des extrémités. Des courants qui, chez l'adulte,
nte un garçon de douze ans atteint de para- lysie et d'atrophie des
muscles
des mains innervés par les nerfs cuúi- tal et m
ciétés savantes. 119 qu'it droite. Il existe aussi une atrophie des
muscles
des avant- bras ; le reste du corps ne présente
lité; intégrité des réflexes tendineux. Réaction dégé- nérative des
muscles
atrophiés. L'hérédité est ici le seul élément é
els que l'hypéresthésie et l'anesthésie et enfin que l'atrophie des
muscles
du membre inférieur pouvant survenir dans certa
agnée d'une paralysie incurable^ avec amyotrophie dégénérative, des
muscles
du mollet. ' Bianchi. De* paralysies traumatiqu
contré la réaction de dégénérescence limitée exclusive- ment aux
muscles
du mollet, sans qu'il y eût pour cela d'atrophi
nerf tibial, et rien de semblable ne se remarquait pour les autres
muscles
. Ainsi que le fait remarquer M. Nonne, il y ava
nerf musculo-cutané et le tibial antérieur. Le premier fournit aux
muscles
, péroniers; le second anime le muscle tibial an
ieur. Le premier fournit aux muscles, péroniers; le second anime le
muscle
tibial antérieur, l'extenseur commun des orteil
ement tombant. Il paraît y avoir un certain degré de rétraction des
muscles
fléchisseurs. Sensibilité moins nette qu'à la j
te du pied. Refroidissement de la jambe malade. L'électrisation des
muscles
de la région antéro-externe de la Jambe ne prod
égion antéro-externe de la Jambe ne produit aucune contraction. Les
muscles
du mollet réa- gissent encore, quoique faibleme
limiter en définitive au seul nerf sciatique .poplité externe. Les
muscles
qui sont sous sa dépen- dance ont perdu leur ex
peut marcher qu'avec des béquilles. La paralysie reste limitée aux
muscles
qui relèvent le pied, lequel est tombant et train
nt portant exclusive- ment sur les extenseurs, c'est-à-dire sur les
muscles
innervés par cette même branche nerveuse. Tout
it est encore plus nette peut- être, en ce que l'état de chacun des
muscles
de la ré- gion antéro-externe de la jambe est i
ed est toujours froid, comme engourdi. L'exploration électrique des
muscles
de la région antéro-externe (jambier antérieur,
plus tard la malade avait encore son anesthésie et une atrophie des
muscles
de la région antéro- externe telle qu'il y avai
n remarque une dépression notable de la ré- gion correspondante aux
muscles
jambier antérieur et exlen- l seur commun, indi
et exlen- l seur commun, indiquant une atrophie non douteuse de ces
muscles
. Il en est de même à la palpation. , La piqûr
la jambe droite. L'électrisation ne provoque aucune contraction des
muscles
jam- bier antérieur, extenseurs commun et propr
tané, qui fournit aux péro- niers est constatée par ce fait que ces
muscles
n'ont pas perdu leur excitabilité électrique, t
e alors une paralysie complète, avec inexcitabilité électrique, des
muscles
jambier antérieur et péronier, et incom- plète
oureux péronier; point malléolairè externe. r c L'électrisation des
muscles
antéro-externes de la jambe les trouve absolume
e absolument insensibles; au contraire sous la même influence \ les
muscles
de la région postérieure et de la cuisse réagisse
de l'opération les douleurs ont diminué. Quinze jours après, les
muscles
extenseurs et péroniers ne réa- gissent toujour
compliquée d'une paralysie incurable avec atrophie dégénérative des
muscles
du mollet. Elle ne saurait donc être admise, d'
veuses se localisent de pré- férence aux troncs nerveux animant les
muscles
exten- seurs, de même chez les malades porteurs
(personnelle).Sc : a(Mgsepa ! 'as : e et atrophie dégénérative des
muscles
extenseurs de la jambe, et anesthésie dans le d
SUR UNE COMPLICATION DE LA SCIATIQUE. 163 L'examen électrique des
muscles
de la jambe vient d'ailleurs confirmer complète
nfirmer complètement les résultais de l'investigation clinique. Les
muscles
tibial antérieur et extenseur commun des orteils
u mollet. Une pression profonde assez énergique sur la région des
muscles
extenseurs n'éveille non plus aucune sensation do
jours à droite. Jamais de chute de la paupière, ni de paralysie des
muscles
de l'oeil. Cet état, avec des rémissions plus o
mière vue, il semble qu'il existe un certain degré d'atro- phie des
muscles
de celte région. Mais les dimensions de la jambe
la cuisse, la résistance est conservée. Il n'y a pas d'atrophie des
muscles
de la cuisse ni de la fesse. - Pas de troubles
que pratiqué par M. Vigouroux : Pas d'anomalie de réaction dans les
muscles
de la région antéro-externe de lajambe. La mala
ysie avec 170 PATHOLOGIE NERVEUSE. réaction de dégénérescence des
muscles
de la région antéro-externe de la jambe. Mart
vite, il traîne la pointe du pied sur le sol. L'affaiblissement des
muscles
jambier antérieur, extenseurs des orteils, a ap
générescence avec diminution de l'excitabilité galvanique, dans les
muscles
tibial antérieur, ex- tenseur commun des orteil
musculaires pré- dominent, bien qu'on n'ait pas constaté dans les
muscles
at- teints la réaction de dégéné- rescence. E
un haut degré, n'est plus exacte- ment connexe aux lésions des
muscles
. Mais auparavant, rappelons en quelques mots
gauche. A la jambe la région antéro-externe surtout, mais aussi les
muscles
du mollet, paraissent amaigris notablement. Le
jambier antérieur est atteint aussi..La résistance opposée par les
muscles
du mollet est assez grande bien qu'inférieure à
et est assez grande bien qu'inférieure à celle que présentent les
muscles
du côté opposé. Le mouvement et la résistance son
opposé. Le mouvement et la résistance sont bien conservés dans les
muscles
de la cuisse, bien qu'il y ait un certain SUR U
MPLICATION DE LA SCIATIQUE. 175 degré d'amaigrissement, surtout des
muscles
de la partie poslé- rieure. La démarche est a
: in 24 avril 1890. Nerf sciatique poplité externe inexcitable; -
muscle
tibial antérieur, néant; - extenseur commun des o
nt. z 6 mai 1890. Inexcitabilité absolue directe et indirecte des
muscles
jambier antérieur, extenseur commun des orteils (
tout d'abord une véritable paralysie des extenseurs et de tous les
muscles
de la région antéro-externe de la jambe, avec a
in degré de faiblesse des fléchisseurs de la jambe et de quelques
muscles
de la cuisse, avec un amaigrissement en masse a
t pa- rallèlement avec l'atrophie dégénérative constatée dans les
muscles
animés par ce même ^tronc ner- veux. Les trou
, point dorsal du pied et point plantaire. La pression en masse des
muscles
de la cuisse et de la jambe est sensible. La
e est sensible. La recherche des points douloureux, la pression des
muscles
, ' l'exécution des mouvements du pied et de la
ellaires sont égaux des deux côtés. - Les réactions électriques des
muscles
sont normales. - Dans toute la moitié gauche du
andé par la présence d'une névrite avec atrophie dé- générative des
muscles
.. CLINIQUE NERVEUSE LEÇONS SUR UN CAS DE MALA
te des mouvements partiels provoqués par la contraction de certains
muscles
, en particulier un mouvement oscillatoire, indé
des sourcils, dû à la contraction régulièrement intermittente des
muscles
frontaux et sourciliers. Les mouvements des mem
état de tonus provoqué par la contraction égale et simultanée des
muscles
antagonistes. Voilà pourquoi, dans l'une des de
ant lui- même si l'on détruit par une légère pression le tonus du
muscle
correspondant. Le tremblement qui, au repos vra
qui l'a fort bien étudié : « il commence le plus souvent'par les
muscles
de la nuque et du cou ; la tête branle plus rar
lement de la tête est surtout caractéristique; les se- ,-couses des
muscles
de la. nuque et du cou irupriment à celle-ci. -
r - se localise à une moitié du corps, à un ou plusieurs groupes de
muscles
. Par exception, elle ne se montre que plusieurs
s formes les plus diverses : tantôt elles se localisent à un seul
muscle
ou à un groupe musculaire ayant la même innerva
carbone, comme le poison alcoolique, frappe de préférence certains
muscles
, les extenseurs; mais il n'est pas exact de dir
, il se localise surtout aux membres inférieurs : loin de là. Les
muscles
le plus souvent touchés sont les exten- seurs d
untée à Tripier, où la paraly- sie des extenseurs des doigts et des
muscles
innervés par le radial avait quelque analogie a
isseurs pou- vaient obéir à la volonté et se contracter. D'autres
muscles
isolés ont encore été frappés : les muscles de
se contracter. D'autres muscles isolés ont encore été frappés : les
muscles
de l'oeil (Knapp1), ceux de la vessie, le delto
où la paralysie ne frappait dans un membre qu'un certain groupe de
muscles
, les extenseurs par exemple, la sensibilité éta
e bras par infiltra- tion gélatiniforme du tissu sous-cutané et des
muscles
; la peau avait un aspect rouge bleuâtre. De mêm
réac- tions électriques n'ont été que peu étudiées au niveau des
muscles
paralysés et c'est à peine s'il en est fait men
au dé- but ». ' Une autre fois, Klebs a observé des lésions des
muscles
à côté de celles des nerfs chez un individu qui
rition des cylindres-axes, fragmentation de la myéline ; dans les
muscles
, prolifération des noyaux et du sarco- lemme. A
du sarco- lemme. Aussi l'auteur a-t-il tendance à faire jouer aux
muscles
, plutôt qu'aux nerfs le principal rôle dans la
isées il y a des troubles moteurs localisés à certains groupes de
muscles
. Aussi, dès le premier abord, peut-on affirmer
itation fréquente, soit à un' nerf tout entier, soit à un groupe de
muscles
ayant la même innervation, leur localisation si
. Paralysie périphérique isolée du nerf sus-scapulaire gauche. - Le
muscle
sous-épineux ne répond plus à l'excitation électr
rien espérer de la thérapeutique. II. Parésie de presque tous les
muscles
de l'extrémité supérieure gauche. Etiologie rem
ILLE; par SALGO. (Centr. f. Nervenh., 1886.) Contraction inégale du
muscle
irien prenant ainsi les formes les plus bizarre
oeil, la convergence est celle qui exige le plus d'ell'ort. Que les
muscles
de l'oeil soient tant soit peu affaiblis, vite
jambe. Ces mouvements coïncident exactement avec la contraction des
muscles
abdominaux et l'expulsion du courant d'air glot
xcitation cutanée, car la contraction est résolument localisée à un
muscle
, car les 1 Voy. Archives de Neurologie, t. XV,
réactions tendineuses diffèrent des vrais mouvements réflexes des
muscles
volontaires en ce sens qu'elles ne sont pas soumi
iffus. Quand du reste, à la suite d'une seule percussion, plusieurs
muscles
paraissent réagir, il ne s'agit pas le moins du
neux, tout en étant en relation intime avec la tonicité réflexe des
muscles
, représentent au plus haut point l'expression de
me en quelques années seulement, déterminer une lésion organique du
muscle
cardiaque ou des artères du coeur. En effet, l'
- 06s. III : paralysie tabétique partielle, grave, unilatérale des
muscles
innervés parla branche profonde du nerf (jambie
emple, chaque mouvement exige la mise en jeu d'un certain nombre de
muscles
, de liga- ments, d'articulations... qui subisse
la sensibilité cutanée et faisaient des mouvements avec tous leurs
muscles
. Ils ne montraient aucun signe de plaisir; ' Op
, des faits qui, à cette époque, ont été établis. « Le centre des
muscles
du cou (fig. 35, a) est situé sur la partie lat
outer que nous n'avons pas tou- jours réussi à obtenir l'action des
muscles
du cou en excitant le premier point mentionné.
int mentionné. Nous avons obtenu assez souvent des contractions des
muscles
du dos, de la queue et de l'abdomen en excitant
(Centr. nerf., 1886.) On accepte généralement que la paralysie des
muscles
rotateurs de l'oeil et de l'élévateur de la pau
r de la paupière supérieure avec intégrité du sphincter irien et du
muscle
ciliaire indique que les noyaux centraux des ne
ins très bien admettre que les fibres nerveuses qui se dirigent aux
muscles
de l'oeil sont lésées dans ces muscles mêmes ou
erveuses qui se dirigent aux muscles de l'oeil sont lésées dans ces
muscles
mêmes ou dans leur voisinage et que, seules les b
ndant un certain temps le nerf optique et ne pénètrent pas dans les
muscles
. Voici par exemple une observation en faveur d'
che etc...) ; en outre nous pouvons, sans même faire intervenir de
muscles
antagonistes, les interrompre, les arrêter (massé
fait partie intégrante du processus des mouvements normaux; chaque
muscle
ou chaque partie de muscle constitue un des élé
processus des mouvements normaux; chaque muscle ou chaque partie de
muscle
constitue un des éléments de la force totale gr
(Echo méd. de Toulouse, 1887-88.) G. D. XLI. SPASMES RYTHMIQUES des
MUSCLES
STCRNO-CLC1D0-üA3TOÏD1ENS chez UNE hystérique,
la convulsion est-elle tétanoïde et englobe-t-elle tout un monde de
muscles
. Mais jamais il ne se produit de véritables att
ice était demeurée très sensible : liyperexcitabilité mécanique des
muscles
et clonisme podalique; délire par cause périphé
U DÉLIRE aigu. Deux observa- TIONS avec dégénérescence amyloïde DES
muscles
MOTEURS DU SQUE- lette, par Buchuolz. (arcs. f.
, 449. Atrophie musculaire, progressive, par Audry, 70 ; état des
muscles
dans l' musculaire juvénile, par Erh, 94 ; -
pression médullaire produit toujours des troubles d'innervation des
muscles
volontaires, fatigue, difficulté des mouvements
aucune atrophie des groupes musculaires préférés par la myopathie (
Muscles
scapulo-thoraci- ques et pelviens) , la radiogr
hémiatrophie linguale ; en outre, pseudo-trismus par paralysie des
muscles
abaisseurs de la mâchoire. B, Mal de Pott avec
puis du droit flasque, puis, atrophie rapide de certains groupes de
muscles
: deltoïde, interosseux, éminence thénar, notam
ôté op- posé. Ou constate alors : atrophie et paralysie flasque des
muscles
de la main, de l'avant-bras et du triceps trach
nstate : aux membres supérieurs, parésie des triceps brachiaux, des
muscles
antibrachiaux, et paralysie des muscles de la mai
des triceps brachiaux, des muscles antibrachiaux, et paralysie des
muscles
de la main, avec atrophie des éminences thénar
peu de chose, soit la diminution de l'excita- bilité électrique des
muscles
, mais sans fournir désigne net permettant le di
le rachis ; l'atrophie et la paralysie respectent d'or- dinaire les
muscles
de la ceinture pelvienne et scapulo-thoracique, c
nière s'accompagne d'atrophie musculaire à topographie radiculaire (
muscles
du groupe Duchenne- Erb, ou du groupe Aran-Duch
paralysie flas- que des supérieurs, un certain degré d'atrophie des
muscles
du groupe Aran-Duchenne, une dissociation syrin
contractions élec- triques sont normales, si ce n'est au niveau des
muscles
spinaux très dimi- nués vis-à-vis de l'excitati
ait insisté sur l'absence d'ankylose complète, sur la faiblesse des
muscles
spinaux, sur les douleurs du début, sur l'absen
uence; et ces ligaments et surfaces articulaires inutilisés par des
muscles
impuissants, présenteraient tout logiquement de
n sur sa peau. Cet oedème linéaire angio-neurotique dans lequel les
muscles
de la peau jouent probablement aussi un rôle est
considérable appartient au tableau clinique de l'acromégalie et le
muscle
du coeur semble participer à la myasthénie géné
e cherchant la lumière, le frond ridé témoi- gne un grand effort de
muscles
. Pour avoir une connaissance plus approfondie d
atrophie numérique un arrêt de développement d'un organe (os, nerf,
muscle
, etc.) sans aucune autre lésion histologi- que
ution du nombre des éléments anatomiques qui compo- sent cet os, ce
muscle
, ce nerf, etc. et au point de vue clinique sans a
une arthrite ancienne, datant de l'enfance. Tandis que les os, les
muscles
, les nerfs qui composent ce membre sont plus gr
- ments, c'est par exemple, un pied équin par la seule brièveté des
muscles
, comme dans l'une des observations de mon premi
ment qu'il y a diminution du nombre des éléments qui constiluent un
muscle
, un nerf, un os, un centre nerveux, etc., mais qu
oute réaction fonctionnelle pa- thologique du côté des nerfs et des
muscles
dont le volume est resté en infériorité notoire
es ; l'ongle est rudimentaire ou fait défaut pour ainsi dire. Les
muscles
des avant-bras et des jambes sont fort diminués d
dont le caractère numérique est incontestable. Ainsi, à la face les
muscles
sont moins développés à gauche qu'à droite ; du
le plan vertical tangent à la voûte. Les tendons extenseurs et les
muscles
semblent trop courts, d'où les orteils, surtout l
ues, Jambes : des deux côtés on remarque une diminution marquée des
muscles
; de plus, la jambe est légèrement déviée en de
squ'ici, l'étendue des mouvements dont sont capables les différents
muscles
, en particulier ceux de la face, des globes ocula
dant à l'atrophie numérique peut rendre compte et de-la brièveté du
muscle
, et de l'insuffisance dans l'amplitude des mouv
membres, une conservation relative des réactions élec- triques aux
muscles
des racines et une disparition complète aux muscl
ec- triques aux muscles des racines et une disparition complète aux
muscles
des extrémités, l'apparition de temps en temps
antes, les mouvements fibrillaires que nous avons observés dans les
muscles
de l'épaule chez le cadet, etc., etc., tous ces
sence de toute réaction de dégénérescence à l'examen électrique des
muscles
? et l'absence d'une période de paralysie précé
e. L'analyse de la paralysie du bras montre qu'elle frappe tous les
muscles
éner- vés par le radial, y compris le triceps e
tion de toutes les branches du plexus brachial. C'est ainsi que les
muscles
de la région antérieure des bras (sphères du médi
oit avec ceux du côté gauche. La paralysie atteignait également les
muscles
biceps, brachial antérieur et coraco- brachial,
r les branches collatérales du plexus brachial. La paralysie de ces
muscles
a été dûment établie non seulement par le fait
e par l'exploration électrique. Cette paralysie a été poursuivie de
muscle
en muscle, 172 socA l'excitateur électrique à
exploration électrique. Cette paralysie a été poursuivie de muscle en
muscle
, 172 socA l'excitateur électrique à la main,
al et du mé- dian, et, à un degré moindre, dans les autres nerfs et
muscles
. 11 existait aussi quelque anesthésie électriqu
s et engourdissements ; en outre, il ne pouvait faire doute que les
muscles
innervés par le plexus brachial, voire ceux inner
s oculo-pupillaires. A part ceci, tout l'ensemble des autres nerfs,
muscles
et organes de l'éco- nomie est parfaitement nor
à partir de ce jour, l'amélioration se déclara franchement ; tous les
muscles
du bras et de l'avant-bras récupérèrent lenteme
26 août 1904, le mouvement n'était pas intégralement rétabli dans les
muscles
atteints, si bien que notre homme ne pouvait en
ont lésées, on le reconnaîtra à la distri- bution spéciale dans les
muscles
et la peau, distribution qui ne répond pas à ce
ement de la face du côté malade ; pour les 5e et 6° cervicales, les
muscles
grand dentelé, rhomboïde, angulaire de l'omopla
de, angulaire de l'omoplate et encore les sus ou sous-épineux, tous
muscles
qui reçoivent leurs nerfs directement des 5e et
u rhomboïde, de l'angulaire de l'omoplate, des sus et sous-épineux,
muscles
, qui reçoivent leurs innervation directe- ment
plète n'a pas été suffisamment remarquée, ce n'est pas à dire que les
muscles
des vieillards n'aient pas fait depuis longtemp
ré d'éma- ciation musculaire. Dans ces cas, l'examen anatomique des
muscles
permet de constater une atrophie volumétrique d
eloppement est variable et sans rapport direct avec l'altération du
muscle
dans ces cas.Les caractères négatifs sont aussi
tent que de très rares vésicules adipeuses. Macroscopiquement ces
muscles
sont moins rouges que ceux des jeunes sujets et
que nous avons pratiquées chez le vieillard dont, cliniquement, les
muscles
paraissaient sains, nous portent à penser au co
tation des fibres, ils appartiennent, nous semble-t-il, non pas aux
muscles
du vieillard valide, mais de celui chez lequel on
rbide ayant pour caractéristique l'affaiblis- sement progressif des
muscles
du vieillard dont la cause reste ignorée mais d
plus général. En raison du peu de modifications macroscopiques des
muscles
, toutefois « pâles et décolorés », Empis rappro
isseuse de la plupart des fibres. Principalement localisées sur les
muscles
des membres inférieurs et de la paroi abdominal
s au lit, extrêmement maigres, ces malades sont comme raidis, leurs
muscles
durs et tendus forment sous la peau des cor- de
ambre, article atrophie. (3) G. HAYIOE, Diction. Dechambre, article
muscle
. 260 LEJONNE ET L11ERMTTE des mouvements pass
'est vraisemblablement à elles qu'on doit rapporter la rigidité des
muscles
.» D'après ces quelques lignes, on se rend compt
rd des diverses formes de rhumatisme chronique avec déformation des
muscles
et principalement de la forme décrite par Jacco
e règle de l'observer chez les vieillards. L'étude des nerfs et des
muscles
n'a pas été faite, mais nul doute qu'on aurait
u stade marastique, on observe une émaciation parfois colossale des
muscles
striés prédominant sur les membres inférieurs,sui
causes les plus diverses ne font pas de rétractions bien que leurs
muscles
soient plus ou moins grossièrement atrophiés. De
à des crampes, des tiraillements, des tor- sions profondes dans les
muscles
des mollets surtout. Ces douleurs assez vives m
tater bien nettement d'amyotrophie dans les membres inférieurs, les
muscles
sont mous, flasques, donnant une réaction très
ès accentuée. Au contraire, dès que les malades se sont alités, les
muscles
de la jambe subissent une diminution assez rapi
culaire était proportionnellement plus développée sur le groupe des
muscles
adducteurs que sur celui des fléchisseurs. Bien
n flexion sur les cuisses, les pieds en extension. La palpation des
muscles
atrophiés et rétractés donne la sensation de co
r complète- ment, la jambe forme un angle obtus avec la cuisse, les
muscles
posté- rieurs sont tendus et saillants ; dans l
es et s'étendent à toute la continuité du membre. La pression des
muscles
, du quadriceps fémoral, du groupe postérieur de
douloureux font défaut. Examen électrique. L'examen électrique des
muscles
montre que dans les membres inférieurs les plus
ue est diminuée d'une manière sensiblement égale des deux côtés. Le
muscle
le plus atteint parait être le quadriceps fémoral
t volontaires qu'arrête seu- lement la limite d'élasticité de leurs
muscles
sclérosés. La force musculaire affaiblie mais j
phie. Avec les progrès de la maladie celle-ci s'étend et gagne les
muscles
de la ceinture pelvienne. Jamais elle ne s'acco
t immobilisé par les rétrac- tions, mais seulement du gonflement du
muscle
dont on percute le tendon ainsi que de la rapid
rapidité de la contraction musculaire. L'excitabilité mécanique des
muscles
atrophiés est en général augmentée et après la
elles soient atteintes, mais mon- tre à quel point sont réduits les
muscles
qui s'insèrent autour d'elles. Les^membres supé
es restent pendant des années à ce stade de son évolution, puis les
muscles
de la ceinture pelvienne se prennent,enfin ceux d
athologique (Pl. XLII). Le cadavre est très émacié, les tendons des
muscles
rétractés saillent t sous la peau. Lorsqu'on es
peau. Lorsqu'on essaie par des tractions vigoureuses d'allonger les
muscles
enraidis et de mouvoir les membres on rencontre l
position des membres est assurée en effet, tant par la sclérose des
muscles
que par rétraction des tissus fibreux périmuscula
is toutefois la résistance la plus con- sidérable vient surtout des
muscles
rétractés. La dissection des muscles est fort i
sidérable vient surtout des muscles rétractés. La dissection des
muscles
est fort instructive et montre que si tous sont
du sujet, ils sont infiltrés de graisse. Quant aux antagonistes des
muscles
qui participent au travail de fibrose (1) Unver
épaisseur, dont les fibres sont séparées par des stries jaunes. Les
muscles
les plus scléreux sont naturellement ceux du grou
érieurs, la musculature des bras apparait comme relativement saine,
muscles
rouges, diminués de volume mais sans infiltrati
s altérations sembla- bles à celles que nous avons relevées sur les
muscles
des jambes. L'examen des articulations est ici
rement sclérosé. Ainsi que nous l'avons dit par avance, ce sont les
muscles
qui présentent le maximum d'altérations. Après
même. - Sur une coupe transversale intéressant toute l'épaisseur du
muscle
ré- tracté, on peut étudier la répartition du t
ndant sous l'aponévrose, prolifère surtout à la partie centrale des
muscles
. Formant là de larges placards, il envoie des exp
laques de fibrose ne sont pas toujours aussi denses et sur certains
muscles
, elle apparaissent infiltrées de vésicules adipeu
ophages non plus que de polynucléaires en dehors des vaisseaux. Les
muscles
les plus atteints (demi-tendineux, biceps fémoral
les de la fibre muscu- laire. C'est ainsi que dans un cas, certains
muscles
des jambes présen- taient outre une densificati
a lésion avant d'aboutir à l'atrophie et à la sclérose accu- sée du
muscle
. Tout d'abord, ici comme dans toutes les altéra
die propre et de ce qui est surajouté, contingent. Si l'atrophie du
muscle
est l'aboutissant forcé de la plupart des altér
elle paraît résulter de la transformation adipeuse des éléments du
muscle
; à la suite de leur exfoliation, les cellules
intensité. Dans quelques cas, les veines et surtout les artères des
muscles
présentent des altérations extrêmement accusées ;
leurs. Toutefois, le fait qu'on a pu trouver non seulement dans les
muscles
, mais dans la plupart des viscères des rétrécisse
érée au bras. A droite : normale au bras ; diminuée un peu dans les
muscles
antérieurs de la cuisse, davantage dans les add
encore dans les mus- cles postérieurs de la cuisse; abolie dans les
muscles
de la jambe. NOUVELLE Iconographie DE la Salpêt
et le vaste interne ; contraction lente dans le biceps et tous les
muscles
postérieurs de la cuisse ; diminution et contrac-
stérieurs de la cuisse ; diminution et contrac- tion lente dans les
muscles
de la jambe avec contraction à distance' du cou-
à distance' du cou- turier, des adducteurs, du biceps et un peu des
muscles
antérieurs de la cuisse ; . L'excitation de l
ant lui-même à empêcher la production de ce tic, L... contractait les
muscles
extenseurs du cou (Fig. B), et en 1896 il a deu
excoriation. L'eschare fessière sup- pure assez abondamment. Les
muscles
des membres inférieurs sont atrophiés, surtout à
à la suite de la cause la plus insignifiante. Atrophie évidente des
muscles
des membres inférieurs. Eschare sacrée suppuran
e ; mais, la lésion était limitée et n'affectait pas les noyaux des
muscles
respiratoires et buccaux qui constituent le cen
z ainsi des conceptions personnelles sur la fonction artistique des
muscles
, du tégument et du squelette, et la nécessité s
seulement les inspirateurs accessoires sont paralysés, mais que les
muscles
intercostaux le sont également, la respiration es
l'excitation galvanique, ni à l'excitation faradique, sauf dans les
muscles
extenseurs du bras droit et seulement avec une
ctilité galvanique et faradique réapparaît très faiblement dans les
muscles
des membres supé- rieurs et inférieurs, mais le
du liquide céphalo-rachidien. 18. La réaction électrique, dans les
muscles
des membres, se fait avec 9 ou 10 milliampères.
viscères normaux. Les troncs nerveux ne sont pas hypertrophiés. Les
muscles
sont très petits, blanchâtres, très difficile à
ieu du tissu conjonctif. ETUDE histologique. - Elle a porté sur les
muscles
, les nerfs périphériques, les troncs nerveux, l
oncs nerveux, les ganglions, les racines nerveuses et la moelle. 1°
Muscles
. Un certain nombre de muscles, prélevés au moment
es racines nerveuses et la moelle. 1° Muscles. Un certain nombre de
muscles
, prélevés au moment de l'au- topsie, ont été fi
hode de Van Gieson. -Voici les résultats de l'examen des coupes :
Muscle
jumeau interne gauche. - Sur les coupes longitudi
ent tous les caractères de la dégénérescence vitreuse ou hyaline.
Muscle
jumeau externe gauche. - On constate des lésions
eau externe gauche. - On constate des lésions analogues à celles du
muscle
jumeau interne, mais sur les coupes examinées, ce
olume, les caractères de la dégénérescence vitreuse décrits pour le
muscle
précédent. Muscle jambier antérieur gauche. On
s de la dégénérescence vitreuse décrits pour le muscle précédent.
Muscle
jambier antérieur gauche. On constate les mêmes l
ésions d'atro- phie simple avec prolifération nucléaire que sur les
muscles
précédents; quel- ques fibres cependant, bien q
lques-unes présentent les caractères de la dégénérescence vitreuse.
Muscle
demi-membraneux gauches On constate sur la plupar
es d'atrophie simple avec prolifération nu- cléaire, comme dans les
muscles
ci-dessus étudiés, mais on trouve à côté des fa
brunâtre tranchant sur la coloration jaune vif des autres fibres.
Muscles
des gouttières vertébrales de la région dorsale m
rales de la région dorsale moyenne. - On constate également sur ces
muscles
des lésions dégénératives, mais l'atrophie en e
ves, mais l'atrophie en est notablement moins marquée que celle des
muscles
des membres infé- rieurs. Il existe des lésions
nérescence hyaline, et se colore en brun-cerise par le Van Gieson.
Muscle
diaphragme. Les coupes frappent immédiatement par
es coupes frappent immédiatement par leur aspect tout différent des
muscles
ci-dessus ; il y a intégrité presque absolue. Les
générations des racines antérieures, atrophie simple des différents
muscles
examinés. Fait intéressant, l'auteur eut l'occa
marquée, du membre supérieur, et un certain degré de faiblesse des
muscles
du cou et de la nuque. L'excitabilité galvanique
suivi l'enfant ultérieurement, mais une biopsie prati- quée sur le
muscle
droit antérieur du quadriceps, montra de l'atroph
tre eux, il a pu l'aire l'autopsie suivie d'examen histologique des
muscles
, des nerfs et des cen- tres nerveux. Les lésion
MIÈRE ENFANCE 449 son âge, et présentant une intégrité complète des
muscles
de la face, de la langue, et de la musculature
èque, une paralysie presque complète, sans pseudo-hypertrophie, des
muscles
du cou, qui rendait impossible à la malade de s
eoir. On observait également une pa- résie très marquée de tous les
muscles
des membres inférieurs, des muscles du dos et d
résie très marquée de tous les muscles des membres inférieurs, des
muscles
du dos et de la paroi abdominale, l'enfant ne p
n très considérable de l'exci- tabilité faradique et galvanique des
muscles
des membres, avec réaction de dégénérescence.
très marquée des nerfs intramusculaires, atrophie très inlense des
muscles
correspondants ayant tous les caractères de l'atr
ut. Au moment de l'examen, on constata une parésie très marquée des
muscles
de la nuque, du cou, des épaules, des membres s
les de la nuque, du cou, des épaules, des membres supérieurs et des
muscles
du tronc. La paralysie flasque était peu marqué
ant un enfant de 9 mois, qui présentait de la paralysie flasque des
muscles
de la nuque, ducou et du tronc, ainsi que des m
se, dont seul le leur né avait présenté des troubles parétiques des
muscles
du tronc et de la nuque. Les 4 autres enfants âgé
était normal. On constata la réaction de dégénérescence dans les
muscles
quadriceps et tibial antérieur. L'auteur réun
l'enfant, normal à la naissance, remuant parfaitement 11 ? Lous,ses
muscles
pendant les premiers mois, se développe bien phys
ité des mouvements des membres inférieurs, puis de la faiblesse des
muscles
du dos. Si l'enfant avait appris à marcher, il
enir debout et même assis dans son lit, puis progres- sivement, les
muscles
du tronc et de la nuque, les muscles de la ceintu
t, puis progres- sivement, les muscles du tronc et de la nuque, les
muscles
de la ceinture scapulaire et des membres supéri
ction pulmonaire. A l'autopsie on constata de l'atrophie simple des
muscles
, avec atrophie des nerfs périphériques, atrophie
e avec atrophie musculaire affectant les quatre membres et tous les
muscles
du tronc (à l'exception du diaphragme) et depui
intes. Au membre inférieur droit il existe un peu d'amyotrophie des
muscles
de la jambe avec une diminution de la force mus
'un même système anatomique et phy- siologique comprenant aussi les
muscles
qui s'insèrent sur ces os, leurs vaisseaux et l
yant débuté à l'c £ ge de quatorze ans. Début de l'atrophie par les
muscles
des jambes s'étendant plus tard aux nitis- cles
ambes s'étendant plus tard aux nitis- cles des mains. Intégrité des
muscles
de la racine des membres. Pieds-bols équins. At
s muscles de la racine des membres. Pieds-bols équins. Atrophie des
muscles
des mains, type Aran-Duchenne. Contractions fib
s des mains, type Aran-Duchenne. Contractions fibrillaires dans les
muscles
des membres et de la face. Altération considéra-
hiés ; pour les interosseux, l'atrophie paraît moins prononcée. Les
muscles
des deux jambes 480 DEJERINE ET ANDRÉ-TnOMAS
, peut produire un très léger degré de flexion dorsale, et avec les
muscles
de la région postérieure de la jambe, un très l
une saillie notable du tendon de l'ex- tenseur du gros orteil. Les
muscles
des cuisses, sans être nettement atrophiés sout
t encore des deux côtés, mais sans grande force. Les mouvements des
muscles
des thénars sont presque abolis. Quelques con-
tractions fibrillaires dans le long abducteur du pouce à droite. Les
muscles
des avant-bras sont peu développés, et le group
groupe épitrochléen de chaque côté est atrophié. Les mouvements des
muscles
des avant-bras' sont'conservés, mais affaiblis
les radiaux sont intacts des'deux côtés, il en est de même pour les
muscles
des bras et des épaules, qui, bien que peu dévelo
que peu développés, ^ne parais- sent pas nettement atrophiés.' Les
muscles
du cou, de la face -et de la nuque sont intacts
bornerons à exposer les résultats de l'examen des centres nerveux,des
muscles
et des nerfs. , Examen macroscopique. Le cerv
dérable pour les nerfs périphériques que pour les racines. Certains
muscles
étaient extrêmement atrophiés : pour d'autres, l'
eures et postérieures. Mais nous avons pu suivre, sur les coupes de
muscles
, des petits filets nerveux intrafasciculaires,
ires, c'est pourquoi nous commencerons cette étude par l'examen des
muscles
, nous la continuerons par l'examen des rameaux ne
ns par l'examen des rameaux nerveux intra-musculaires, Examen des
muscles
. Cet examen a été fait après fixation par le liqu
1'liématoxyline-éosine, soit par la méthode de Marchi. Plusieurs
muscles
ont été examinés : fléchisseur superficiel et pro
VRITE INTERSTITIELLE UYPERTROPHIQUE ET PROGRESSIVE DE L'ENFANCE 487
muscles
de l'éminence thénar, deltoïde, biceps, etc... au
inence thénar, deltoïde, biceps, etc... aux' membres supé- rieurs ;
muscles
de la région antéro-externe de la'jambe, triceps
le processus histologique de l'atrophie muscn- laire. - Dans les
muscles
de l'éminence thénar, on trouve à peine quelques
externe) est légèrement épaissie. z Les coupes longitudinales des
muscles
de la région antéro-externe de la jambe montren
ontribuent à achever la dislocation de la fibre musculaire. Sur les
muscles
traités par la méthode de Marchi, les aspects son
a méthode de Marchi, les aspects sont un peu différents suivant les
muscles
; mais d'une façon générale, du moins sur ceux
s. Double pied-bot varus extrêmement prononcé. Atrophie extrême des
muscles
des jambes et des cuisses plus marquée à la pér
rès lent. Nystagmus dynamique. Contractions fibril- laires dans les
muscles
des membres ainsi que dans ceux de la face. Intég
s nettes. Des contractions fibrillaires existent également dans les
muscles
des bras et des épaules. Vue. La malade a été o
qu'à ce qu'elle arrive au point demandé.. L'examen électrique des
muscles
, pratiqué à cette époque, a donné les ré- sulta
les ré- sultats suivants : Contractilité faradique abolie dans les
muscles
des jambes, des cuisses et des mains, diminuée
saillantes et rire transversal. Contractions fibrillaires dans les
muscles
des membres et dans l'orbiculaire des lèvres. Alt
ons enfin à attirer de nouveau l'attention sur la participation des
muscles
de la face à la paraly- sie et à l'atrophie,sig
outerons enfin que chez tous ces malades, du fait de l'atrophie des
muscles
des jam- bes et de la plante du pied, le pied p
il- laire.Comme dans le tabès, on peut observer de la paralysie des
muscles
du larynx (obs. I) mais, chose intéressante, et
dans l'atrophie musculaire, qui dans ces cas n'atteindrait que les
muscles
propres du pied et de la jambe, tandis que dans
ques particularités cliniques, telles que la pseudohyperlrophie des
muscles
des jambes, l'asymétrie de l'atrophie dans les mu
rlrophie des muscles des jambes, l'asymétrie de l'atrophie dans les
muscles
des mem- bres supérieurs, qui s'écartent du tab
cliniques. Chez notre malade l'atrophie musculaire avait gagné les
muscles
de la face et du larynx ; la corde vocale gauche
ple diminution de l'excitabilité galvanique et fara- dique pour les
muscles
contracturés, mais sans D R. Rétention et inconti
et 4e à droite; incontinence; réaction de dégéné- rescence dans les
muscles
paralysés. Cet état s'aggrave après une phase d
, les palmaires, pas de D R dans les fléchisseurs des doigts et les
muscles
de la main, non plus que dans le trapèze et le
ns seulement que, dans l'observation VII, l'examen des nerfs et des
muscles
, pratiqué par Rossi, lui a montré des lésions d
, lui a montré des lésions d'atrophie musculaire dans plusieurs des
muscles
innervés par le plexus sacré. Pour les racine
ctement au-dessous de la peau, l'espace interoseux. Les reliefs des
muscles
épicondyliens sont formés par le grand supinateur
grand supinateur et par le Ier et le IIe radiaux qui sont les seuls
muscles
de la région postéro-externe. La région épitroc
hypoexcitabilité accentuée du cubital antérieur ; inexcitabilité de
muscles
de l'éminence hypothénar et des interosseux, exce
emier et le second radial, se contractent normalement ainsi que les
muscles
de la région antérieure, ceux de l'éminence théna
avec le courant galvanique nous donne une excitabilité normale des
muscles
qui ont une réaction normale à l'examen faradique
l'examen faradique et une réaction dé- générative totale des autres
muscles
(surtout évidente dans les interosseux). Absenc
lure et des caractères bien dif- férents : il n'arrive jamais qu'un
muscle
persiste au milieu de la destruc- tion de tous
plier sa jambe sur la cuisse, ce qui pro- voque la contraction des
muscles
biceps, demi-tendineux et demi-membraneux. Afin
extension complète. Cette expérience permettait même d'examiner les
muscles
du mollet. Enfin, cet homme étant assis, les ye
férents poids sur la partie antérieure des pieds; ici c'étaient les
muscles
de la région antéro-externe de la jambe qui int
. Dès le début, les contractions ont occupé la partie inférieure du
muscle
orbicu- laire des paupières; depuis, elles sont
verticale correspondentles fibres rectilignes les plus internes du
muscle
fron- tal, tandis que l'autre branche dessine l
tandis que l'autre branche dessine les premières fibres obliques du
muscle
. Les rides apparaissent brusquement et disparaiss
es musculaires ; il occupe le même côté de la face et siège sur des
muscles
avoisinant le globe oculaire; dans les deux cas
laire se fait sur la syllabe Par du terme pardi. A cet instant^ les
muscles
de la face, ceux du membre supérieur entrent en
roduit bien, mais elle s'accom- pagne de la mise en jeu de certains
muscles
. Il suffit, à cet égard, de jeter les yeux sur
une décharge électrique, mais aussitôt elle s'éternise, rappelle le
muscle
en état de tétanie, et prend fin d'une manière
en plateau, légèrement accidentée, qui rappelle la contraction du
muscle
en état de tétanie (fig. 6, 7); enfin, pour les m
ntraction du muscle en état de tétanie (fig. 6, 7); enfin, pour les
muscles
du cou, le tracé simule l'explosion d'une décha
, les mouvements ne sont pas limités à un Fig. 8. - Inscription des
muscles
du cou, lorsque la tête est fléchie sur l'épaul
bres inférieurs, reconnaissent constamment la mise en jeu des mêmes
muscles
, ce sont là encore tout autant de caractères pr
re une très grande résistance. Lorsque le mouvement est achevé, les
muscles
se contractent for- tement ; ils restent ainsi
se et absence des réflexes tendineux, malgré l'état spasmodique des
muscles
para- lysés ; sur la présence de la diathèse de
a douleur ne saurait être attribuée ni aux lésions des nerfs ni des
muscles
, ni des os et encore moins de la moelle. Il s'a
tre cause plus ou moins réputée miraculeuse, la rigidité cesse, les
muscles
sont aptes de nouveau à entrer en action. A ce
mes aptes à marcher de nouveau. Mais si pendant cette paralysie les
muscles
se sont atrophiés, le membre né reprendra sa fo
t des vertèbres cervicales, par suite d'une rétraction ancienne des
muscles
cervicaux postérieurs. La malade, à qui une inf
naissance revenait, le malade se plaignait de contractions dans les
muscles
de la nuque. Il y avait de la pros- tration et
cavités qu'il faut rattacher les troubles si fréquents de tous les
muscles
de la physionomie qui concourent à la mimique c
es images d'ensemble sont la somme des impressions du mouvement des
muscles
qui pendant un certain espace de temps sont reç
ie des péroniers (réaction dégénérative). L'examen anato- mique des
muscles
du premier malade a permis de découvrir, en out
augmentant, des atrophies prononcées se développent dans les petits
muscles
du poignet. La malade ne peut plus marcher, ell
alysie ascendante de Landry. - Paralysie des quatre extrémités, des
muscles
du tronc, du dia- phragme ; phénomènes bulbaire
de son entrée à l'hôpital : les deux mains en griffes (parésie des
muscles
interosseux), la parésie était particuliè- reme
e aux petits doigts et aux doigts annulaires; affai- blissement des
muscles
extenseurs de l'épaule, plus marquée à gauche;
droite, du membre inférieur et du tronc. Secousses fibrillaires des
muscles
de la main gauche. L'exci- tabilité électrique
ires des muscles de la main gauche. L'exci- tabilité électrique des
muscles
est normale. Exagération du réflexe tendineux r
nces avec la section du nerf lingual, qui est suivie d'atrophie des
muscles
linguaux semblent confirmer cette manière de vo
ois même 18 pulsations. Après une amélioration de l'alimentation du
muscle
cardiaque et après une augmentation des pulsati
la malade. On constata à l'examen un amaigrissement très marqué des
muscles
du fémur, exagération des réflexes rotuliens, c
augmentation marquée de 'l'excitabilité électrique des nerfs et des
muscles
. L'auteur croit expliquer ces troubles nerveux
. L'état de la malade s'améliora de beaucoup après faradisation des
muscles
de la jambe : Les dou- leurs cessèrent, elle re
résultat d'excitation par voie réflexe des centres vaso-moteurs des
muscles
.. II). MM. les Drs L. DAItKCAER'tTCII et W. VEt
ièrement la planche 1 où sont figurées les plaques termi- nales des
muscles
de divers animaux et de l'homme. La figure 4 de
he représente, avec des détails nouveaux, la plaque ter- minale des
muscles
du lézard, vue à un grossissement de 1000 dia-
ale amyotrophique, par exemple, les auteurs nous montrent dans le
muscle
, une atrophie de la fibre et du réseau terminal d
duisant par une atrophie symétrique et lentement effec- tuée des
muscles
, de la main et des avant-bras, peut encore se r
raison de son apparition dans l'enfance, de l'hyper- trophie des
muscles
, etc. Elle avait été reconnue comme indépendant
e développe en général vers la vingtième année; elle débute par les
muscles
atrophie D'UN membre inférieur, 167 de la cei
de la ceinture scapulo-humérale, respectant pendant longtemps les
muscles
de l'avant-bras et de la main. Il y a parfois p
-bras et de la main. Il y a parfois pseudo-hypertrophie de certains
muscles
, les deltoïdes, les triceps du bras, et les mus
hie de certains muscles, les deltoïdes, les triceps du bras, et les
muscles
du mollet. A ces caractères, il convient d'ajou
men méthodique nous a permis de constater. L'atrophie porte sur les
muscles
du pied, de la jambe, de la cuisse et de la fes
l semble seulement qu'il existe un certain degré de spasme dans les
muscles
extenseurs des orteils; les tendons extenseurs
i de la température du membre, aucun trouble de la sensibilité. Les
muscles
atrophiés sont le siège de contractions fibrill
l'état des réflexes tendineux et la con- tractilité électrique des
muscles
rendent inadmissible. Il en est de même de l'hy
a sensibilité, mais se traduisant à la fois par de l'a- trophie des
muscles
et de l'exaltation des réflexes ten- dineux, c'
ions et en particulier des membres supérieurs nous trouvons que les
muscles
de l'épaule droite et de la partie supérieure d
e atrophie aussi accentuée l'examen électrique ne révèle en aucun
muscle
l'existence de la réaction de dégéné- rescence
ts très exceptionnels; puis en pareil cas l'examen électrique des
muscles
permetleplus souvent de fixer le diagnostic ; c
e; elle abaisse un peu l'inférieure, et l'on voit se contracter les
muscles
de la houppe du menton. Il lui est complètement
e sterno-cléido-mas- toïdien résiste assez bien des deux côtés. Les
muscles
extenseurs de la tête résistent parfaitement bi
le long de la ligne blanche une dépression notable, et quoique les
muscles
droits de l'abdomen fassent une saillie en se con
st assez éner- gique. Flexion dorsale du pied faible. Le groupe des
muscles
de la région antéro-externe de la jambe est cer
pied. La contraction idéo-musculaire ne peut être retrouvée sur les
muscles
de la partie supérieure du corps, sauf aux muscle
etrouvée sur les muscles de la partie supérieure du corps, sauf aux
muscles
thénar et hypothénar. Aux membres inférieurs, e
rtions du triceps; exisle nettement sur les jumeaux, et non sur les
muscles
de la région antéro-interne de la jambe. Formes
aux est peu sensible, et il y a évidem- ment un aplatissement de ce
muscle
. La saillie de l'apophyse cora- coïde est notab
couverte par le deltoïde. On ne sent pas non plus l'épaisseur de ce
muscle
entre l'acromion et la tête de l'humérus et, mê
elui des fesses. La consis- tance des fesses est normale; celle des
muscles
de la cuisse en général, et surtout de là parti
rve dans les régions corres- pondantes une diminution du volume des
muscles
, qui déter- mine les déformations habituelles '
but. Les lésions du poumon par- 1 On trouvera l'examen détaillé des
muscles
de la malade dans le tra- vail de MM. Babinski
, ni dans leur consistance. Membres supérieurs. A la dissection des
muscles
du bras, on est frappé de la coloration, de la
e pâle, d'une couleur analogue à celle de la graisse. Si tous les
muscles
du bras participent à l'atrophie, il n'en est p
ne ceux de l'avant-bras, où le con- traste est saisissant entre les
muscles
atrophiés et les muscles res- pectés. C'est ain
où le con- traste est saisissant entre les muscles atrophiés et les
muscles
res- pectés. C'est ainsi que les muscles fléchi
s muscles atrophiés et les muscles res- pectés. C'est ainsi que les
muscles
fléchisseurs ont conservé la cou- leur rouge fo
ne serait en droit de le supposer chez une tuberculeuse. Les seuls
muscles
de l'avant-bras qui présentent l'aspect jaune p
e déjà signalé et sont atrophiés, sont le long supinateur, les deux
muscles
radiaux, ainsi qu'un des faisceaux de l'extenseur
x, ainsi qu'un des faisceaux de l'extenseur commun. Tous les autres
muscles
de l'avant-bras paraissent sains. · Les muscles
. Tous les autres muscles de l'avant-bras paraissent sains. · Les
muscles
des éminences thénar et hypothénar sont indemnes.
nt symétriques aux deux membres supérieurs. Membres supérieurs. Les
muscles
du pied sont sains. A la jambe, seuls les péron
tro- phiés1.. « Examen histologique, Notre examen a porté sur les
muscles
, les nerfs périphériques, la moelle épinière et
es nerfs périphériques, la moelle épinière et le bulbe rachidien. z
Muscles
. Les muscles ont été durcis dans la liqueur de Mu
phériques, la moelle épinière et le bulbe rachidien. z Muscles. Les
muscles
ont été durcis dans la liqueur de Muller, 1 En
risation de pratiquer l'autopsie, nous n'avons pu, 'ni examiner les
muscles
de la face, ni disséquer aussi minutieusement q
e, ni disséquer aussi minutieusement que nous l'eussions désiré les
muscles
du tronc et des membres. SUR UN CAS DE MYOPATHI
ne et la laque au chromo-cuivre hématoxylique. Les lésions dans les
muscles
atrophiés étant parfaitement iden- tiques, sauf
alisé, dans notre cas, au radial, alors que seuls àl'avant-bras les
muscles
radiaux se trouvaient atrophiés. Il y a là un p
de substance grise de la moelle épinière, centres trophiques.des
muscles
. Du moins est-il probable, pour cet auteur qu'il
guments : l'hé- rédité, la localisation de l'atrophie dans certains
muscles
cor- respondant à des centres spinaux déterminé
ier abord on aurait pu prendre pour pathologique. C'est donc que le
muscle
lui-même -serait primitivement atteint. Cette c
r ce point délicat. M. Krosing ' 1 entrepris ses recherches sur des
muscles
d'embryon d'une part, et sur des muscles pathol
ris ses recherches sur des muscles d'embryon d'une part, et sur des
muscles
pathologiques d'autre- part (muscles avoisinant
embryon d'une part, et sur des muscles pathologiques d'autre- part (
muscles
avoisinant les cals osseux, les abcès, muscles
iques d'autre- part (muscles avoisinant les cals osseux, les abcès,
muscles
d'atrophie expérimentale, muscles pseudo-hypert
inant les cals osseux, les abcès, muscles d'atrophie expérimentale,
muscles
pseudo-hypertrophiés). Il rappelle que la fibre
t à l'aide de ces phagocytes musculaires que s'opère l'atrophie des
muscles
des tétards en voie de dévelop- ' R. Krosing. U
cellules amiboïdes. Un mécanisme analogue a été observé dans les
muscles
atteints de pseudo-hypertrophie et d'atrophie m
rété de la façon suivante. A l'état normal, le tissu conjonctif des
muscles
est remar- quable par la minceur de ses faiscea
nski et Onanoff, en rapport avec le développement embryologique des
muscles
. Il résulte de là, qu'à un moment donné, par un
re côté, l'auteur a pu enregistrer graphiquement les mouvements des
muscles
abdominaux, niés par Percy et Lau- rent, et que
Bourneville dans son service de BicêLre. Ce sont les mouvements des
muscles
abdominaux qui sont les fac- teurs actifs et es
que elle-même. P. K. V. DE la paralysie chronique PROGRESSIVE DES
MUSCLES
DES YEUX, 1 travail posthume de C. WESTPHAL, mi
ur commun d'attribuer à tel ou tel groupe la fonction de chacun des
muscles
, mais il est très probable, que, chez l'homme,
ce noyau, tandis que son segment latéral préside à la fonction des
muscles
élévateurs du globe ocu- laire. L'exposé de Per
xamen de l'espèce, de l'étendue, de la marche de la paralysie des -
muscles
des yeux et la simultanéité des signes spinaux et
et céré- braux. Il y a cependant des cas de paralysie chronique des
muscles
des yeux indemnes cliniquement de toute complic
osse racine du triju- meau détermine chez le chien une atrophie des
muscles
correspon- dants de la face, notamment des musc
une atrophie des muscles correspon- dants de la face, notamment des
muscles
masticateurs. L'auteur en conclut que les fibre
NERF MUSCULO-CUTANÉ AVEC REMARQUES SUR LA RÉACTION TRAUMATIQUE DES
MUSCLES
DE RUMPF ; par VINDSCIIEID. Complément A CETTE
e a augmenté l'excitabilité du nerf, d'où la réaction anormale du
muscle
. M. Bernhardt rappelle qu'il a publié deux obse
er, contracture du masséter gauche, hyperexcitabilité faradique des
muscles
animés par le facial gauche, hypéresthésie de l
branche buccale du facial à gauche, hyperexcitabilité faradique des
muscles
de la moitié droite de la face, de la nuque, du
as être en- terrée ; son corps est vide; elle n'a plus ni nerfs, ni
muscles
, ni os. Ce délire, actuellement stable, est vér
es à la suite de la pre- mière opération se sont guéries. Quant aux
muscles
des pattes pos- térieures, ils ont dégénéré; ce
que ceux qui interviennent dans l'agoraphobie, d'autres groupes de
muscles
, ceux surtout qui servent aux occupations journ
jeune homme ; il en relate une autre concernant une contracture des
muscles
épicondyliens avec hypertrophie extrême de l'ém
ondyliens avec hypertrophie extrême de l'éminence hypothénar et des
muscles
épicondyliens de l'avant- bras droit. L'orate
le centre générateur des mouvements, mais active la contraction des
muscles
par action périphérique. La morphine aussi exci
e de la vie, par une paralysie, à marche subaiguë ou chronique, des
muscles
282 SOCIÉTÉS SAVANTES. du bassin, du rachis,
ses. Puis, au bout d'un temps plus ou moins long, vient le tour des
muscles
du cou, de l'épaule, des bras, des avant-bras,
e dépassa l'âge de cinq ans ; ils furent tués par une paralysie des
muscles
du tronc avec lésion secondaire des poumons. Fu
es du tronc avec lésion secondaire des poumons. Furent épargnés les
muscles
de la face, de la langue, du larynx, du pharynx
ets a jusqu'ici démontré l'existence de l'atrophie dégénérative des
muscles
(état graisseux), de la dégénérescence des raci
sa branche cardiaque sont aussi prises. Réaction dégénérative des
muscles
accessibles à l'examen. En résumé, l'accident a p
pression artérielle. Il n'y avait ni exagération de la fonction du
muscle
, puisque l'agitation faisait défaut, ni ces tro
pas de symptômes de paralysie; il y avait quelques contractures des
muscles
; l'enfant remuait les bras, et il n'y avait pas
urs caractères : rarement complètes, elles atteignent également les
muscles
antagonistes; les troubles de nutrition y sont ra
mpte de l'influence produite par des courants élec- triques sur les
muscles
contracturés. Quant aux contractures proprement
du membre supérieur droit. Motilité. La paralysie atteint tous les
muscles
de la main, de l'avant-bras et du bras. A la ma
té opposé, elle est absolument invincible. A la palpation, tous les
muscles
sont flasques, mous : ils ne don- nent pas une
r. De même on sent le grand pectoral se durcir dansl'adduction. Les
muscles
rota- teurs de l'épaule (sus et sous-épineux, s
scillatoire rapide. Spasme : il y existe un spasme intermittent des
muscles
orbiculaires et signo- matique du côté gauche d
ints hystérogènes. Note de M. Vigouroux sur l'examen électrique des
muscles
para- lysés (le 10 février 1892) : simple dimin
: simple diminution de l'excitabilité fara- dique et galvanique des
muscles
paralysés. " Traitement et évolution. - Le mala
-trauma- tique, sclérose en plaques. Lésion organique des nerfs des
muscles
deltoïde et sous-épineux. Le nommé Math... J.
ant-bras, du poignet et des doigts, sans prédominance de tel ou tel
muscle
ou groupe des muscles. Atrophie des muscles pec
et des doigts, sans prédominance de tel ou tel muscle ou groupe des
muscles
. Atrophie des muscles pectoraux, sous et sus-ép
ominance de tel ou tel muscle ou groupe des muscles. Atrophie des
muscles
pectoraux, sous et sus-épineux et tous les musc
. Atrophie des muscles pectoraux, sous et sus-épineux et tous les
muscles
du bras et un peu aussi de l'avant-bras, pas d'at
muscles du bras et un peu aussi de l'avant-bras, pas d'atrophie de
muscle
de la Ira,in. Voici la mesure des circonférences
membre, l'existence de la réaction de dégénérescence dans certains
muscles
atro- phiés (sous-épineux et deltoïde) sont aut
a- nique des lésions auxquelles se rattachait la paralysie de ses
muscles
. 1 342 CLINIQUE NERVEUSE. 3S2 CLINIQUE NERV
ogressives familiales. « Les myopathiques at- teints d'atrophie des
muscles
des gouttières vertébrales et de la masse sacro
s n'offrent pas de griffe. Par suite de la rétraction de certains
muscles
, il n'est déjà plus possible de remettre les memb
ntérieure des cuisses et sur les genoux, de venir ainsi en aide aux
muscles
du dos. Celui-ci ne présente aucune déforma- ti
des creux poplités, on sent une saillie formée par les tendons des
muscles
fléchisseurs qui sont rétractés. A l'examen du
bres. On connaît des cas de paralysie trophique de l'enfance où les
muscles
du dos avaient été profondément touchés, où mêm
à cette cause, nous sommes prêt à reconnaître que la paralysie des
muscles
spinaux a eu aussi une certaine action qu'elle
régulier et rythmique, auxquels prennent une part principale les
muscles
extenseurs et fléchisseurs du pied. Ce tremblemen
ulement moteurs, mais aussi sensitifs. L'irritabilité mécanique des
muscles
du tronc et des membres, ainsi que les réflexes
en avant et en arrière, elles atteignaient les bords supérieurs des
muscles
fessiers. (Voir fig. 47 et 48.) L'examen périmé
t; il n'éprouve qu'une sen- sation d'écrasement et des douleurs aux
muscles
des extrémités inférieures; il ressent une tell
cataleptique peut être tétanique ou souple. Chez les uns, tous les
muscles
sont cataleptiques, chez d'autres, c'est seulemen
ataleptique éveillé, on provoque im- médiatement la contracture des
muscles
; un souffle, un bruit, une lumière suffisent mê
ler, on note par moments de légères contractions en rapport avec le
muscle
grand zygo- matique. Mais ces détails ne modifi
phoniques de Boude,. de Pans, Brissaud et Regnard ont établi que le
muscle
qui se contracte normalement donne lieu à un brui
u à un bruit de roulement régulier (bruit rotatoire), tandis que le
muscle
contracture pro- duit un bruit irrégulier, scan
ntraux de l'audition, étant donné les insertions supérieures de ces
muscles
à l'apophyse mastoïde et à la ligne occipitale
des réflexes tendineux, augmentation de l'excitabilité directe des
muscles
sans phénomènes de rigidité, es auteurs retrace
lva- nique de l ? par Hoche, 280. Yeux, paralysie chronique des
muscles
des -, par Siemerling, 262. TABLE DES AUTEURS
titude est due à la prédominance de la rigidité musculaire dans les
muscles
fléchisseurs; vous voyez les 4 RAYMOND masses
ée, presque fibreuse, pour le membre su- périeur, aux biceps et aux
muscles
fléchisseurs antibrachiaux. Vous voyez, égaleme
; si j'essaie de forcer, la malade accuse une vive douleur dans les
muscles
, principalement au voisinage de leurs insertions.
r nettement leurs saillies sous la peau ; la rigidité est, dans ces
muscles
, particulière- ment marquée; aussi éprouve-t-il
robablement, la conséquence. Au palper, celle-ci est nette dans les
muscles
de l'épaule, du bras, et de l'avant-bras gauche
muscles de l'épaule, du bras, et de l'avant-bras gauche ; dans les
muscles
du cou, enfin dans les masses sacro-lombaires.
contractions fibrillaires : elles intéressent une grande partie du
muscle
; elles sont « parcellaires » suivant l'expres-
léger mouvement de projection du membre ; mais, en même temps, les
muscles
se contrac- tent énergiquement, violemment. Vou
ez, en outre, que cette contrac- tion énergique ne se limite pas au
muscle
dont on percute le tendon, U RAYMOND mais qu'
a percussion du tendon rotulien fait contracter, à la foi, tous les
muscles
, aussi bien les fléchisseurs que le quadriceps
flexes tendineux. J'ajoute que l'examen électrique des nerfs et des
muscles
a été fait par M. Huet, qui a constaté une légè
e diminution de la contractilité faradi- que et galvanique dans les
muscles
du côté gauche, par comparaison avec leurs homo
; d'ailleurs, la rigidité, peu accentuée, est prédominante dans les
muscles
fléchisseurs , des membres. J'ajoute que les
ouvé que des lésions histologiques, du cerveau, de la moelle ou des
muscles
. Un histologistealIemand,leDrPhilipp (1),à l'au
nerfs périphériques examinés ont été trouvés nor- maux. Deux petits
muscles
de la main et leurs plaques terminales étaient
ont décelé aucune altération : au con- traire, sur des fragments de
muscle
excisés un quart d'heure après la mort, il cons
employé, avec un succès relatif in- contestable, la rééducation des
muscles
, associée aux ressources de l'élec- trothérapie
notable. Le nerf sciatique gauche ne présente aucune altération.
Muscles
. Plusieurs muscles ont été examinés : muscle bice
sciatique gauche ne présente aucune altération. Muscles. Plusieurs
muscles
ont été examinés : muscle biceps crural droit,
te aucune altération. Muscles. Plusieurs muscles ont été examinés :
muscle
biceps crural droit, muscle demi-membraneux gau
s. Plusieurs muscles ont été examinés : muscle biceps crural droit,
muscle
demi-membraneux gauche. Aucun d'eux ne présente d
ts segmentaires simultanés, mais distincts : l'un siégeant dans les
muscles
qui agissent sur les orteils et que l'on peut d
ésigner sous le nom de réflexe planti-digital ; le second, dans les
muscles
de la jambe qui agissent sur le pied, réflexe p
t sur le pied, réflexe planti-tibial ; le troisième enfin, dans les
muscles
de la cuisse qui fléchis- sent la jambe sur la
ignent son emploi : la pre- mière consiste clans le grand nombre de
muscles
mis en action et dans l'insuffisance des divers
à l'homme, toutes rai- sons qui obligent à faire un choix parmi ces
muscles
et à n'appliquer les instruments que sur les mu
hoix parmi ces muscles et à n'appliquer les instruments que sur les
muscles
dont la contraction est suffisamment nette; la
ue expérience ; force est donc ici d'enregistrer la contraction des
muscles
mis en action, et en particulier de celui qui e
lata, au point variable suivant les sujets où la contraction de ce
muscle
est le plus perceptible à la vue et au toucher. L
ide d'une pointe mousse provoque des réactions, à la fois, dans les
muscles
des orteils, dans ceux de la jambe et dans ceux d
u'il s'agit d'établir l'identité . d'un cadavre. Le relâchement des
muscles
dans la fatigue peut jouer d'ailleurs un rôle i
as de fièvre. A l'examen électrique, la contractilité faradique des
muscles
spinaux est NOUVELLE Iconographie DE la SALPÊTR
très diminuée; mais il n'y a pas de réaction de dégénérescence; les
muscles
des parois abdominales réagissent très énergiqu
re malade. Il faut remarquer ici l'antagonisme qui existe entre les
muscles
abdominaux, qui se contractent très énergiquement
s muscles abdominaux, qui se contractent très énergiquement, et les
muscles
spinaux, dont la contractilité est diminuée. Peut
ours de lésions verté- brales, mais plutôt de l'affaiblissement des
muscles
spinaux, le sujet, par des efforts, arrivant à
rieure et latérale et absolument rigide : il y a épaississement des
muscles
de la nuque. La pression est d'ail- leurs doulo
antes en cein- ture, entraînant un certain degré de contracture des
muscles
rachidiens, d'où la raideur vertébrale : c'est
MATIONS RACHIDIENNES 99 y a affaiblissement de la contractilité des
muscles
spinaux, ce qui pourrait jouer un rôle dans la
e. Mais on peut se demander si, au contraire, l'affaiblissement des
muscles
spinaux n'est pas secondaire à la cyphose et à
peut y avoir une cyphose très accusée sans altération primitive des
muscles
spinaux. Si cela était, on pourrait admettre que,
forment comme une corde tendue et l'un observe des contractions des
muscles
de ce côté de la face à l'occasion des mouvemen
arler, la déviation devient extrêmement nette en même temps que les
muscles
de ce côté sont animés de spasmes, lesquels d'a
paralysie faciale isolée (Nothnagel), des mouvements choréïques des
muscles
de la moitié de la face opposée (Duchek), des t
alysie gauche avec phénomènes de contrac- tures et de spasmes : les
muscles
contracturés sont animés de mouvements clonique
du côté droit pour les mem- bres, du côté gauche pour la face et le
muscle
droit externe de l'oeil. La main et l'avant-bra
ination très légère, abolition des réflexes tendineux. Atrophie des
muscles
de la main. Sensibilité à peu près normale. Tro
a tête, rejetée en arrière, donne à la malade un air de fierté. Les
muscles
droits externes et les obliques sont également
tions de repos : c'est la dsmas- sésie d'Opp-efilieim (2). Quelques
muscles
innervés par le facial, des deux côtés, ne fonc
ation verbale. Elle ne sent pas de fatigue ni de faiblesse dans les
muscles
de la nuque, mais elle en sent aux joues et à l
inférieure, avec la sensation de traction par en bas : parésie des
muscles
masticateurs . L'élévation des bras est absolum
ropres jambes. Il n'y a pas, cependant, de diminution de volume des
muscles
; ni contractions fibrillaires, ni diminution d
'arriver à vingt ; les réactions paraissent normales clans les autres
muscles
. Le rectum et la vessie fonctionnent comme en l
abituelle, et semblent tenir à la paralysie rapide et passagère des
muscles
inspirateurs. Dans les périodes d'amélioration
uble, totale et plus ou moins complète, avec ptosis symétrique, les
muscles
sphincter de l'iris et accommodateur restant touj
r restant toujours indemnes : ensuite cette paralysie s'étendit aux
muscles
innervés par la protubérance et le bulbe, à l'o
à l'orbiculaire des deux paupières, à l'orbiculaire des lèvres, aux
muscles
de la mastication, de la langue, au voile du pala
e la langue, au voile du palais, aux pha- rynx ; et finalement, aux
muscles
innervés par la moelle, ceux du tronc et des ex
re, ni de réaction électrique de dégénération, si ce n'est quelques
muscles
avec de la réaction myasthénique ; pas de modific
t passagères, qui causent de l'effroi au pa- tient, par parésie des
muscles
respiratoires ; c'est-à-dire, rien que des symp
gnostic paralysie my({sthénir¡ue ; il n'y manque que la parésie des
muscles
de la nuque, qui, depuis l'observation d'Erb, a
DE LÉON ont commencé par la fatigue, la parésie et la paralysie des
muscles
innervés par le bulbe et la protubérance, et d'
écouvrir cette influence, en lais- sant en repos, non seulement les
muscles
élévateurs oculo-palpébraux, mais aussi l'orbic
et que d'ordinaire elle n'atteint pas le facial supé- rieur et les
muscles
oculaires. La psezcclo-b2clbccire, pour être en g
chez des sujets plus âgés; elle commence généralement parles petits
muscles
des mains, présente des contractions fibrillair
s sont, parfois, le siège de contractions fibrillaires rapides. Les
muscles
adducteurs du maxillaire inférieur (masséter, pté
plus forte à droite et concernant surtout l'éminence thénar et les
muscles
interosseux. Nous avons reproduit cette observa
lontaires. Secousses fibrillaires ou plu- tôt choréiformes dans les
muscles
de la face et particulièrement dans l'orbicu- (
antérieures et les troubles de la motilité et de la trophicité des
muscles
. Loin de constituer une règle dans le développe
NIQUE MÉDICALE DE M, LE PROFESSEUR GRASSET SPASME BILATÉRAL . DES
MUSCLES
DU COU ET DE LA FACE PAR M. GAUSSEL, Chef d
médicale à la Faculté de Montpellier. Les spasmes fonctionnels des
muscles
du cou ont été bien étudiés de- puis Duchenne (
me bilatéral du sterno-cléido-mastoïdien, du peaucier du cou et des
muscles
de la face (2). Ons. - Le malade, qui fait le s
uée par une série de spasmes, survenant par crises, portant sur les
muscles
du cou, et donnant au sujet une attitude incomp
ement généralisé en même temps que de légères contractions dans les
muscles
de la face en particulier. Il n'a ja- n mais eu
s dit-il, il éprou- vait par intervalles des tiraillements dans les
muscles
du cou, sans maladresse, ni impotence dans les
de froid ( ? ) à la nuque et en même temps est pris d'un spasme des
muscles
du cou, en particulier des sterno-cléido-mastoïdi
raphie DE la Salpêtrière. T. XVII. PI. XLVII SPASME BILATÉRAL DES
MUSCLES
DU COU ET DE LA FACE. (Gaussel) . SPASME BILA
ES MUSCLES DU COU ET DE LA FACE. (Gaussel) . SPASME BILATÉRAL DES
MUSCLES
DU COU ET DE LA FACE 339 eu allemand. Il racont
observation, d'un spasme fonctionnel survenant par crises, dans les
muscles
de la face, les sterno-cléido-mas- toïdiens, le
isposé à ces manifestations qui traduisent une SPASME BILATÉRAL DES
MUSCLES
DU COU ET DE LA FACE 341 tare, une faiblesse pa
vienne pour retarder la guérison. Au point de vue anatomique, les
muscles
intéressés par le spasme ti- rent leur innervat
r innervation de deux sources différentes : le nerf facial pour les
muscles
de la face et pour le peaucier ; le nerf spinal p
ïdiens se con- tracturaient, pendant la contraction instinctive des
muscles
qui maintien- nent la tête en équilibre entre l
s notre observation, spasme des deux sterno-cléido-mastoïdiens, les
muscles
innervés par le facial n'interve- naient pas.
s s'est seulement un peu pro- noncé, particulièrement au niveau des
muscles
de la jambe. L'état géné- ral, qui était resté
e au point de vue macroscopique aucune lésion visible. - Etat des
muscles
. - A la dissection des muscles des membres, on es
ue aucune lésion visible. - Etat des muscles. - A la dissection des
muscles
des membres, on est frappé de la coloration pâl
leur consistance spéciale, ce n'est pas la mollesse habituelle aux
muscles
myopathiques, mais en certains points une consi
t dues au développement considéra- ble du tissu fibreux. Tous les
muscles
que nous avons pu examiner à l'autopsie paraissen
ément répartie ; si les lésions semblent d'intensité égale dans les
muscles
homologues du côté droit et du côté gauche, les
le dans les muscles homologues du côté droit et du côté gauche, les
muscles
des membres supérieurs sont notablement moins at-
es membres inférieurs et du tronc. Aux membres supérieurs même, les
muscles
du bras et ceux de l'avant-bras sont notablement
s prononcée à la racine des membres qu'à l'extrémité, au niveau des
muscles
de la ceinture pelvienne ou scapulaire qu'au ni
des muscles de la ceinture pelvienne ou scapulaire qu'au niveau des
muscles
du bras et de la cuisse. Examen histologique.
les du bras et de la cuisse. Examen histologique. - 1° Examen des
muscles
. - Les muscles ont été durcis dans la liqueur d
de la cuisse. Examen histologique. - 1° Examen des muscles. - Les
muscles
ont été durcis dans la liqueur de Militer et in
rchi. Nous avons examiné des deux côtés, aux membres supérieurs les
muscles
des éminences thénar et bypothénar, quelques lo
is nous exposerons comment elles sont réparties dans les différents
muscles
. A un faible grossissement, sur une coupe trans
les. A un faible grossissement, sur une coupe transversale d'un des
muscles
, on observe qu'il est divisé eu une série de fa
ie du faisceau. A un fort grossissement, on peut distinguer dans le
muscle
, deux ordres de lésions : les unes portent sur
d'état vacuolaire de la fibre musculaire. Dans certaines fibres des
muscles
les plus malades tels que le jambier anté- rieu
se de la libre musculaire pour remonter ensuite dans l'épaisseur du
muscle
, ainsi que Roth l'a le premier soutenu. En tout
enant même une importance considérable. D'une manière générale, les
muscles
de la racine des membres et du tronc sont beauc
t du tronc sont beaucoup plus riches en vésicules adipeuses que les
muscles
des extrémités ; à tel point que sur une coupe co
éparant les fibres mus- culaires saines ou hypertrophiées. Dans les
muscles
les plus atteints, ces éléments graisseux se tr
ouvent mélangés avec les fibres hypertrophiées. Si l'on compare les
muscles
antagonistes, triceps brachial et biceps par exem
s maintenant comment sont réparties ces lésions dans les différents
muscles
. Au niveau du tronc, l'atrophie et les lésions
e et les lésions scléro-adipeuses sont à leur maximum dans tous les
muscles
examinés ; ici donc on va trouver les fibres mu
exclusivement, on la voit aussi quoiqu'à un moindre degré dans les
muscles
des extrémités. Les lésions sont un peu moins p
s des extrémités. Les lésions sont un peu moins prononcées dans les
muscles
des segments 348 CESTAN ET LEJONNE supérieurs
e processus adipeux étant il peu près égal dans les deux groupes de
muscles
. C'est dans les muscles des extrémités que les
il peu près égal dans les deux groupes de muscles. C'est dans les
muscles
des extrémités que les lésions sont le plus légèr
du jambier antérieur d'autre part, beaucoup plus intéressés que les
muscles
du bras et de la cuisse. 2° Examen du système n
e a été coupée en séries de façon à pouvoir comparer les noyaux des
muscles
les moins atteints avec ceux des muscles les pl
ir comparer les noyaux des muscles les moins atteints avec ceux des
muscles
les plus atrophiés. * Nous n'avons trouvé aucun
elles sous le rapport de l'in- tensité avec les grosses lésions des
muscles
. Nous sommes donc en présence d'une affection p
, les constatations anatomiques que nous avons fartes au niveau des
muscles
, nous paraissent expliquer les caractères cliniqu
ns les myopathies, on peut distinguer au point de vue de l'état des
muscles
, trois formes : une forme proprement atrophi- q
partenait notre malade; l'examen anato- mique nous a montré que les
muscles
les plus rétractés, qui étaient en même temps l
é que les muscles les plus rétractés, qui étaient en même temps les
muscles
les plus puissants, avaient conservé intactes le
elativement assez développé et surtout particulièrement dense ; les
muscles
antagonistes, au contraire, offraient beaucoup mo
dans la grande majorité des cas, à la prédominance de l'action des
muscles
antagonistes, l'attitude ainsi établie, étant s
d'une hypertrophie portant sur des fibres isolées et que jamais le
muscle
au total ne paraissait hypertrophié ; au contrair
du tissu conjonctif de remplacement ; en effet,si nous examinons un
muscle
peu atteint par le processus myopathique (PI .XLV
muscle peu atteint par le processus myopathique (PI .XLVIII,B),les
muscles
des éminences hypothénar et thénar nous offrent
on aboutissant à la transformation fibreuse. Au contraire, dans les
muscles
fortement touchés par le processus lé- sionnel,
ous montrent une fibrose toute particulière des fléchisseurs et des
muscles
du tronc. Si bien qu'en face des formes pseudo-
de prévoir les troubles physiques de l'écriture d'après l'état des
muscles
des paralytiques généraux : chez ces malades en
muscles des paralytiques généraux : chez ces malades en effet, les
muscles
sont mal commandés ou obéissent mal ; mais il c
sissables mani- festations de la perturbation du fonctionnement des
muscles
. Quant aux troubles psychiques de l'écriture, t
e infantile. Nous avons pu de plus examiner les différents nerfs et
muscles
. L'observation clinique et anatomique du malade
nt seuls conservé leur tonicité. Les psoas ne régissent plus. Les
muscles
abdominaux ont conservé leur action. Les muscle
issent plus. Les muscles abdominaux ont conservé leur action. Les
muscles
sacro-lornbaires réagissent aussi. Les grands p
s deltoïdes ne réagissent pas. Les sterno-cléido-mastoïdiens, les
muscles
de la nuque et du cou réagissent parfaitement.
nt. . Le malade ne peut serrer fort les objets avec ses mains ; les
muscles
de l'avant-bras n'ont aucune force. La céphal
6. Le grand pectoral droit ne réagit pas, le gauche peu. Les autres
muscles
comme la veille. 12 octobre.- La jambe droite
paralysie des extenseurs des doigts et de l'action prédominante des
muscles
cubitaux, la main se porte dans l'adduction à 1
se mettre complètement sur sou séant; dans les efforts on sent les
muscles
droits de l'abdomen se contracter. Inégalité de
aisseuse très notable dans l'in- tervalle des faisceaux nerveux. L.
Muscles
nrrléro-externes de la jambe droite. Dégénérescen
bres complètement ou incomplètement infiltrées de graisse. M. Mêmes
muscles
ti un plus fort gIOSSiSSCIUC11t, montrant mieux l
ation nu- cléaire sans aucun ordre, multiplication des vaisseaux.
Muscles
postérieurs de la cuisse gauche. - Même dislocati
orme. On ne retrouve que quelques fibres de volume très variable.
Muscles
antéro-externes de la jambe droite (Planche LX, L
roite (Planche LX, L2 M). Même 446 LÈm ET N-ILSO.1 aspect que les
muscles
postérieurs de la cuisse, dégénérescence plus mar
pour ainsi dire une par une dans une masse conjonctive-graisseuse.
Muscles
antéro-externes de la jambe gauche. Même substitu
e graisse qu'une masse multinucléée avec quelques fibres géantes.
Muscle
quadriceps crural droit. Dégénérescence graisseus
fais- ceaux. Biceps brachial droit. - La plus grande partie de ce
muscle
est saine, ses faisceaux et ses fibres sont nor
ayant entraîné en quelques jours une paralysie complète de tous les
muscles
du tronc et des quatre membres avec intégrité com
les nerfs n'aient pu être examinés. Dans notre cas les nerfs et les
muscles
ont été coupés ; ils ont présenté des lésions m
elle avec grosse proli- fération conjonctive interfasciculaire, les
muscles
de myosite, d'atrophie musculaire et de dégénér
te du tibia est devenue saillante par l'atrophie très apparente des
muscles
de la région antéro-externe. Ceci frappe d'autant
au dynamomètre de l'un et l'autre côté. Pas d'atro- phie des petits
muscles
de la main. Les mensurations montrent d'une faç
fléchisseurs et les extenseurs de l'avant-bras droit, soit dans les
muscles
de la région antéro-externe de la jambe. Avec le
mbier antérieur droit. Vaisseaux veineux nombreux et volumineux. Le
muscle
mis à nu a un aspect pâle, presque jaune. Le fr
ie dans ses détails absolument classiques. Le tissu interstitiel du
muscle
est partout altéré mais irrégulièrement : il est
yphilitique, surviennent concurremment du steppage par atrophie des
muscles
de la jambe et des douleurs à caractère fulgurant
t les avant-bras et les jambes qui sont atteints, à l'exclusion des
muscles
des ceintures et des petits muscles des extrémité
ont atteints, à l'exclusion des muscles des ceintures et des petits
muscles
des extrémités. Les dou- leurs du début au nive
e citer plusieurs cas analogues. D'ailleurs l'examen du fragment de
muscle
enlevé est trop classique pour laisser place au
e la musculature était vo- lumineuse à la cuisse et à la jambe. Les
muscles
atrophiés présentaient la réaction de dégénéres
r- teils, il avait de la diminution de l'excitabilité faradique des
muscles
para- lysés avec tétanisation (durable réaction
ara- lysés avec tétanisation (durable réaction myotonique) pour les
muscles
de la cuisse. Depuis l'âge de 17 ans, cet homme
7 ans présente depuis trois ans des phénomènes myotoniques dans les
muscles
de la face, du cou, du tronc, de la ceinture sc
it surtout les mus- cles ayant présenté de la myotonie. L'examen du
muscle
montre l'hyper- trophie des fibres comme dans l
se lève de son lit ou de sa chaise il a une contraction totale des
muscles
du mollet qui soulève les talons, élève tout le c
: Myopathie généralisée avec pseudo-hypertrophie et myotonie des
muscles
du mollet. Le nommé Bois..., âgé de 55 ans, exe
montrent une atrophie myopathique généralisée avec conservation des
muscles
postérieurs de la jambe. Le même état persiste ac
t qu'au bout de quelques secondes, parfois même une minute, que les
muscles
se relâchent et que les talons retombent sur le
le, il faut mettre le chariot à 500 pour avoir des contractions des
muscles
des mollets avec les interruptions lentes : on n'
uptions fréquentes on commence à avoir des contractions à 300 et le
muscle
reste dur et contracté pendant quel- ques secon
gique) (2 pi.. 11 fig.), par Czeou- zon, 52. Spasme bilatéral des
muscles
du cou et de la face (2 phot.), par GAUSSEL, 33
Scléroses combinées (O. CaouzoN), VIII, IX. Spasme bilatéral des
muscles
du cou et de la face (GAUSSEI.), XLVII. Spond
atteindre le front. Ces mouvements sont exécutés uniquement par les
muscles
des épaules, les avant-bras et les mains n'y pa
mbres supérieurs sont un peu plus étendus, mais toujours bornés aux
muscles
des épaules; la respiration est diaphragmatique
commence à fléchir très légèrement les pieds et les orteils. Les
muscles
adducteurs des cuisses sont contractés au point d
fet de rapprocher les bras du tronc. 19° jour. - IIyperesthésic des
muscles
des membres infé- rieurs, surtout à la cuisse d
la sensibilité est faible à la région péronière, la contraction des
muscles
y est assez forte pour porter le pied dans l'ab
culo-cutané ne produit rien de plus que l'électrisation directe des
muscles
. Jambe gauche : La sensibilité électrique est o
embre supérieur droit : à la région antérieure de l'avant- bras les
muscles
se contractent assez fortement ; absence de con
ypothénar et interosseuso.Le long supinateur se contracte bien. Les
muscles
de la région postérieure se contractent peu. Co
x régions thénar et hypothénar, faibles dans les interosseux. Les
muscles
de la région antérieure de l'avant-bras, le long
épineuse. Le soir, dou- leurs dans toute la région abdominale, les
muscles
droits sont fortement contractures et la pressi
THOLOGIE NERVEUSE. 123° jour. Disparition delà contracture dans les
muscles
droits de l'abdomen. Même impossibilité d'impri
bras, surtout à droite. L'examen de la contractilité électrique des
muscles
montre qu'elle est considérablement diminuée et
ante des pieds provoque encore des con- tractions réflexes dans les
muscles
de la cuisse. 167° jour. - Au moment de la visi
ut, à l'âge de sept ans, prise de contractions convulsives dans les
muscles
des mains et des bras, qui se manifestaient sur
ents étaient involontaires et convulsifs et on vit y participer les
muscles
des épaules, du cou et de la face. Il en résult
seulement à quelques tiraillements visibles, mais peu fréquents des
muscles
de la touche et du cou. Elle fut mariée à cette
trois qui se succèdent sans rémission. Elles affectent surtout les
muscles
pronateurs de l'avant-bras, les extrémités des
muscles pronateurs de l'avant-bras, les extrémités des doigts, les
muscles
de la face et ceux qui servent à l'émission et
à la fois. Ces mouvements sont rapides : à la tête ils occupent les
muscles
du front, épicràniens, du pavillon de l'oreille
ète et du cou. Bientôt après, ces secousses se généralisèrent : les
muscles
de la face exécutèrent des gri- maces variées;
t CLINIQUE NERVEUSE. survenus des mouvements involontaires dans les
muscles
de la face, du tronc et des membres, mouvements
s s'ouvrent et se ferment. Les mouve- ments qui se passent dans les
muscles
de la tête et de la face sont très caractéristi
e tardèrent pas à s'exagérer et les se- cousses envahirent tous les
muscles
. Il y eut des périodes d'excitation telles que
qu'il y ait en même temps une série de secousses convulsives des
muscles
de la face, des épaules et du tronc. Mais assez s
1, 4°-8e leçon, p. 193-423. 4 4 THÉRAPEUTIQUE. général des autres
muscles
. Sous ce rapport, nos recherches ne sont donc p
loniques décrites ne sont pas suivies de la résolution complète des
muscles
néces- saire pour indiquer la venue de la secon
autre chose que le résultat de véritables petites convulsions des
muscles
expirateurs ? REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE I.
; il s'agissait d'un sujet anémique, faible, mais bien portant, à
muscles
peu développés. De sorte qu'en réalité, sur 2,403
ux, puis 62 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. pouvant se propager aux
muscles
de l'avant-bras, du bras, et même de l'épaule;
ve, les réflexes tendineux du poignet existaient alors même que les
muscles
étaient très diminués de volume, pas de trouble
mastoïde à la moelle cervi- cale) et à la faradisation modérée des
muscles
de la face du côté gauche ? P. K. XIII. Sur u
e et n'est autre chose que l'expression d'une épilepsie spinale des
muscles
respi- ratoires. Ce travail se recommande tout
4" La charpente musculaire intrinsèque de la langue, ainsi que les
muscles
rétracteurs de cet organe, 80 REVUE DE patholog
orce ; Sa La même conclusion s'applique bien probablement aussi aux
muscles
qui ouvrent et ferment la mâchoire inférieure;
ulsions hémitatérales, tirées du côté de l'hémisphère excité; 7" Le
muscle
risurius du chien est simplement innervé par l'hé
u'à ce que, se généralisant, les convulsions s'emparent de tous les
muscles
; - 1'-)- Il se peut que certains groupes musculai
ires musculaires en correspondance avec eux. En cer- tains cas, les
muscles
sont le théâtre de mouvements associés produits p
it rien de semblable; elle augmente simple- ment l'excitabilité des
muscles
en état de catalepsie expérimentale. P. K. IV
). Sur la paralysie Ce nom s'applique à des états dans lesquels les
muscles
de la parole. de la déglutition, de la respirat
ives, t. IX, 7 98 SOCIÉTÉS SAVANTES. * lytique avec paralysie des
muscles
de l'articulation, dans lesquels il n'y a génér
aiblis- sement rapide et progressif des jambes et des bras puis des
muscles
de la nuque. Dès le début, il existait un), 2 o
r commun. On a encore comparativement peu étudié les paralysies des
muscles
de 1*(jcjl au point de vue neurologique; nos co
, quantité qui correspond aune perte somatique de 12 : ; grammes de
muscle
. Dans la ltétiorle d'ingestion alimentaire copi
neux émane de l'excitation de l'appareil de terminaison seusilif du
muscle
produite par un soudain renfor- cement de l'élo
ondgcest a prouvé qu'il existe ou peut exister un tonus réflexe des
muscles
du squelette, mais il n'existe pas de fait phys
'entre- tient l'activité du tonus réflexe de Brondgeest occupent le
muscle
lui-même; on tout cas, ce n'est pas, comme beau
; cela n'a rien d'étonnant lorsqu'on songe que le tonus réflexe des
muscles
du squelette d'un homme normal peut se présente
ids pour qui réfléchit un instant à la différence physiologique des
muscles
striés et de la peau : autant vaudrait s'étonne
out à gauche, en sont littéralement bourrées; il en est de même des
muscles
. La dure-mère, le diaphragme, la plèvre, le pou
s possible, quand on sent des cysticerques sous la peau et dans les
muscles
. Un de ses malades atteint de cysticerques mu-
gue sur les réflexes tendineux et sur l'excitabilité électrique des
muscles
et des nerfs chez l'homme; parle Dr J. 0[tscH.s
', 1884.) L'auteur nous fait ressortir que l'état de la fatigue des
muscles
et des nerfs soumis à une irritation électrique
onsidère. En ce qui concerne les explorations dynamométriques des
muscles
« fatigués », elles ne nous montrent pas l'état p
muscles « fatigués », elles ne nous montrent pas l'état propre aux
muscles
isolés, puisque le système nerveux entier prendra
t (volonté, effort), ce procès, donc l'exploration électrique des
muscles
et nerfs en question pourrait seulement nous rens
changement à la réaction galvanique et fara- dique produit dans les
muscles
avant, pendant et après la fatigue normale. L
u travail; 138 BIBLIOGRAPHIE. ensuite, au sur et à mesure que les
muscles
se fatiguent davan- tage, la contractilité galv
de plus en plus lentes; 41 tous les phénomènes s'observent sur des
muscles
qui ont subi des con- tractions, soit cloniques
plus prolonge, c'est-à-dire qu'ils se fatiguent plus tard que les
muscles
; 6" le rétablissement de l'excitabilité des muscl
us tard que les muscles; 6" le rétablissement de l'excitabilité des
muscles
se fait plus vite que celle des nerfs : pour l'
l'accélérer, il faut faire passer un courant constant à travers les
muscles
et nerfs « fatigués »; 7° au commencement du tr
s par ses expériences le font considérer comme propre à un état des
muscles
mais pas comme réflexe nerveux. ' F. Kaun. VI
cas, dont 64 ont eu une issue funeste. F. Atrophie progressive des
muscles
, 13 cas. Dans l'un de ces cas, on vit l'atrophi
13 cas. Dans l'un de ces cas, on vit l'atrophie envahir d'abord les
muscles
interosseux de la main droite; l'atrophie passa
muscles interosseux de la main droite; l'atrophie passa ensuite aux
muscles
du bras entier et de l'omoplate. En examinant l
e. A partir de ce moment une atrophie progressive s'empara de ses
muscles
et il finit par succomber par le défaut d'ac- t
es muscles et il finit par succomber par le défaut d'ac- tion des
muscles
respiratoires. L'autopsie révéla une dégénéresc
nar droite et Le malade succomba finale- ment à l'envahissement des
muscles
, de, la respiration. Valentiner, ajoute^Roberts
ait publié par M. Gull 3 sous le titre : Atrophie progressive des
muscles
du tronc et des extrémités supérieures à 1 Sain
un aspect languissant et graduellement, à partir de ce moment, les
muscles
des membres supérieurs s'atrophient, les bras p
'atro- phie s'étend aux deux tiers inférieurs des trapèzes et aux
muscles
qui soustendent la colonne vertébrale. La tête
phincters conservaient leur action. La contractilité électrique des
muscles
était en rapport avec leur volume ; les muscles
lité électrique des muscles était en rapport avec leur volume ; les
muscles
des bras, qui étaient les moins atrophiés, se c
L'évolution de la maladie se lit sans douleurs, la sensibilité des
muscles
atrophiés n'était pas exagérée; il n'y avait pa
épinière. 155 altérée, si même elle l'était. Le dépérissement des
muscles
fut rapide et eut lieu peu de temps après l'acc
considère que le squelette; mais il a les chairs ' flasques et les
muscles
peu développés; en outre son systèmepileux est,
n'ont pas été les premiers en date, des mouvements incoordonnés des
muscles
de la face. Ce sont, le plus souvent et dès le
orsque la contraction des masséters est trop brusque (Obs. IV). Les
muscles
du cou entrant en ac- tion, la tête est portée
lés ; les contractions portent le plus souvent sur l'en- semble des
muscles
de l'un ou de l'autre membre, sou- vent des deu
s qui en est le siège; elles se localisent assez souvent dans les
muscles
de la face (Obs. I, II, III, V, VII). Ces période
ce sous forme de secousses musculaires brusques, affectant divers
muscles
, produisant des mouvements variés et assez souv
nous voulons dire un mot d'une variété d'incoordination limitée aux
muscles
de la face, à marche chronique et qui, par oppo
accalmie, l'incoordination semble parfois assez bien se limiter aux
muscles
de cette région, il nous semble utile de cherch
s. Il est incon- testable qu'il existe des convulsions limitées aux
muscles
innervés par le facial, soit partielles, soit g
rbide définie, il n'est pas moins vrai que sa limitation exacte aux
muscles
innervés par le facial et sa localisation const
retrouvons ici en présence de la chorée ; dans celle-ci, les divers
muscles
phonateurs ou res- 198 CLINIQUE NERVEUSE. pir
il peut exister, dans la chorée de Sydenham, des contractions des
muscles
de la face ou des membres, indépendantes les un
toutes les articulations. Contracture très pro- noncée de tous les
muscles
fléchisseurs du bras, de l'avant- bras et de la
s nous voyons, en effet, sous l'influence de la mise en activité du
muscle
aug- menter la proportion qui existe entre le c
e peut pas être attribuée à l'intervention du système nerveux. Le
muscle
et le nerf traduisent leur action sur l'éliminati
l'acide phosphorique d'une manière toute différente. Tandis que le
muscle
en travaillant augmente les phosphates alca- li
symptômes persistent. P. K. XX. Sur UNE PSEUDU-HYPEI2TR01'lllE des
muscles
; par 0. Berger (Arch. f. Psych., XIV, 3.) Réd
dans l'espèce hérédité, névro- pathique. On trouve presque tous les
muscles
surchargés de graisse : les cloisons ont aussi
on constate de la paralysie ou de la parésie étendue de plusieurs
muscles
: extenseurs de la main; extenseurs et fléchisseu
faibles, des zones d'hyperesthésie extrêmes sur la peau et dans les
muscles
, une diminution évidente de la sensibilité tac-
car le heurt d'un tendon provoque souvent avec la contraction du
muscle
correspondant des convulsions légères dans le mus
contraction du muscle correspondant des convulsions légères dans le
muscle
voisin, ce qui n'a pas lieu quand on frappe sur
e. Il souffrait de crampes très douloureuses et de contractures des
muscles
pectoraux ainsi que des muscles du bras gauche,
douloureuses et de contractures des muscles pectoraux ainsi que des
muscles
du bras gauche, qui cessèrent après l'élongatio
de trente-neuf ans, qui accusait des crampes douloureuses dans les
muscles
de la main à la suite de l'amputation de l'annu
de trente-cinq ans qui souffrait de contrac- tions convulsives des
muscles
de la face. Guérison. 1 Nussbaum. Die- Opératio
nt. Andrews et Farrer' (Chicago) : Ilaraplé- gie et contracture des
muscles
de l'extrémité infé- rieure, d'origine traumati
ême jour. Grainer-Stewart' (1879) : Contrac- tions douloureuses des
muscles
de l'extrémité infé- rieure ; traction du nerf
rfs comme inutile. Berridge1 (1881) : Contractions douloureuses des
muscles
de l'extrémité inférieure ; l'élongation du ner
trouvons d'abord affaiblie et même abolie dans un certain nombre de
muscles
paralysés, mais d'une manière très inégale, gén
ons aussi noter dans cette pé- riode quelques contractures dans les
muscles
des cuisses, traduisant déjà, sinon une inflamm
sse sous-épineuse était excavée, le grand pectoral très aminci. Les
muscles
du bras et de l'avant- bras avaient perdu au mo
écutaient assez bien, mais on surmontait aisément la résistance des
muscles
. Le malade ne serrait que faiblement de la main
s permet de faire la part de ce qui, dans un cas donné, revient aux
muscles
et au système ner- veux dans les modifications
considérable, le système musculaire ; et comme nous savons que les
muscles
, en travaillant, augmentent l'élimination de l'
sé de la sensibilité cutanée; vertiges fréquents; convul- sions des
muscles
des bras etdesjambes survenant par accès diurnes
onstate : 424 SOCIÉTÉS SAVANTES. Dans le décubitus dorsal, divers
muscles
sont visités par des convulsions cloniques, qui
les occupent, dans les extrémités inférieures, principa- lement les
muscles
de la cuisse (triceps et son muscle droit), sont
érieures, principa- lement les muscles de la cuisse (triceps et son
muscle
droit), sont peu ou point accusées dans les mus
(triceps et son muscle droit), sont peu ou point accusées dans les
muscles
de la jambe; contractions irrégulières du droit
t parfois des contractions du grand dentelé. Intégrité complète des
muscles
de la tête et de la face. Disparition des convu
e de l'excitabilité réflexe de la peau qui entraîne la réaction des
muscles
sous-jacents. On a beau néanmoins presser sur l
cette maladie, les contractions ont la spontanéité de l'éclair, les
muscles
de la face participent aux phé- nomènes, et il
iple », il s'agissait d'un 'garçon de dix ans chez lequel les mêmes
muscles
étaient pris; il existait aussidel'hyperexcitabil
étudiées ; l'orateur en présente divers tracés. Les paralysies des
muscles
de l'oeil sont proportionnellement rares dans l'e
e la température. Six mois après le début des accidents, les petits
muscles
de la main gauche s'atrophient; l'atrophie augmen
i que des éminences thénar et hypothénar. Réaction dégénérative des
muscles
atrophiés. La situation des doigts est en rappo
ffections des nerfs de l'oeil (surtout des nerfs qui commandent aux
muscles
), des vertiges, des lipothymies, des attaques a
ause des tabes. Il est probable que généralement les paralysies des
muscles
de l'oeil d'ordre syphilitique proviennent de g
Sur ces 15 femmes, 7 avaient éprouvé des symptômes de paralysie des
muscles
de l'oeil (l'auteur n'a pas tenu compte de l'im
oidissement probable; 4 avaient eu des symp- tômes de paralysie des
muscles
de l'oeil, 3 présentaient de l'atro- phie du ne
100 de refroidissements concurrents, de 28 p. 100 d'af- fection des
muscles
oculaires, de 22 p. 100 d'atrophie du nerf opti
e (fracture de l'iléon) : tous avaient présenté de la paralysie des
muscles
de l'oeil; aucun n'était atteint d'atrophie du
roidissements, 7 p. 100 de traumatismes, 21 p. 100 de paralysie des
muscles
de l'aeil. Le troisième cadre embrasse les exem
subi un refroidissement, 8 avaient été affectés de para- lysie des
muscles
de l'eeil, 1 était atteint d'atrophie du nerf o
100 de refroidissements, 35 p. 100 de symptômes en rapport avec les
muscles
de l'oeil, 5 p. 100 d'atrophie du nerf optique.
17 minutes; on constate sur le crâne, les méninges, le cerveau, les
muscles
de la tête et du cou, un état d'hyperémie très
noncé de démence, avec parésie des quatre extrémités, du tronc, des
muscles
innervés par le facial. Le pre- mier était jadi
. Depuis la naissance, il existe de la rigidité de presque tous les
muscles
. La raideur accompagne tous les mouvements acti
s les changements de position; dès qu'il s'agit de se remuer, les
muscles
forment des bourrelets saillants très nets, si bi
Aucune anomalie microscopique des nerfs, de la moelle épinière, des
muscles
. Il s'agit, dans l'espèce, d'un processus de de
i permettent de mettre enjeu successivement et sans danger tous les
muscles
du corps des enfants idiots, gâteux et semi-par
as; 442. Eteruuments hystériques, 53. Excitabilité électrique des
muscles
et des nerfs chez l'homme (iu- 454 1 TABLE DE
de développement dans la spUî·w - du cerveau), par Gensen, 258.
Muscles
(pseudo-hypertrophie des), par Berger, 255. M
e particulière du téta-nos qui débute d'emblée par la contracture des
muscles
pharyn-giens et qui rend difficile, sinon impossi
cou et fléchit difficilement la tête en raison de la contracture des
muscles
extenseurs. La soif est vive; la déglu-tition est
diminué. Les mâchoires s'écartent d'un centimètre ; en revanche, les
muscles
de la région postérieure du cou sont plus contrac
t le quatrième jour, sans que les convul-sions eussent gagné d'autres
muscles
que ceux delà mâchoire. L'au-topsie fut faite; el
asque, d'un rouge vineux ; à la coupe, elle est comme graisseuse. Les
muscles
sont violacés, un peu gluants au toucher. Les os
T. Ax. 38°,6. Soir. On constate un peu de trismus et de roideur des
muscles
de la nuque ; pas de sueurs. Potion avec chloral,
ture rectale, 38°,2. 27 nov. Le trismus et la roideur tétanique des
muscles
de la nuque se sont accentués notablement depuis
ués notablement depuis hier soir. Il y a, ce matin, de la roideur des
muscles
du tronc ; les mouvements de déglutition provoque
ovoquent des contractions cloniques excessivement douloureuses. — Les
muscles
des membres ne sont pas atteints. P. 96; T. Ax. 3
rme très-douloureuse. Opisthotonos ; contracture d'un grand nombre de
muscles
, surtout de ceux delà face ; convulsions réflexes
ne de Berlin, simultanément, contracture d'un grand nombre d'autres
muscles
; convulsions réflexes, spontanées et multiples; é
is, 1869). Dans un autre ordre de faits, ce sont des ligaments, des
muscles
insérés sur le périoste qui ont, dans un mouvemen
ppliqué, du froid, du tiraillement de la face externe de l'os par les
muscles
qui s'y insèrent. On pour-rait même, allant plus
occasionner d'autres symptômes de même ordre et surtout Yatrophie des
muscles
du membre atteint d'arthropathie. En pareil cas,
résente un volume considérable. Une masse arrondie se dessine sous le
muscle
deltoïde. La tumeur est plus saillante en avant q
hagies musculaires dans les fièvres graves, sur la stéatose aiguë des
muscles
dans la variole, etc., de M. Jolfroy, sur la genè
incomplète en raison de la contracture très -modérée, d'ailleurs, des
muscles
fléchis-seurs des doigts. — L'aponévrose palmaire
vrose palmaire est tendue. — Les émi-nences thénar et hypothénar, les
muscles
interrosseux ne sont pas atrophiés. Le membre s
— Le triceps s'insère à l'olécràne. B. Muscles de l'avant-bras. Les
muscles
de la région antérieure sont représentés par des
sus de la tubéro-sité de la face externe (insertions normales). Les
muscles
de la région postérieure se confondent en partie
Les muscles de la région postérieure se confondent en partie avec les
muscles
delà région externe. L'anconé seul est distinct ;
au pli du coude en cinq ou six petits rameaux qui se distribuent aux
muscles
et au tissu cellulaire sous-cutané. Les princip
l'existence de légers mouvements de pronation et de supination — Les
muscles
se contractent éner-giquement et l'enfant oppose
déterminantes (violences extérieures, contraction de l'utérus et des
muscles
abdo-minaux, manœuvres obstétricales). Quelles ca
produire des déformations du bassin. L'atrophie presque constante des
muscles
fessiers causée par l'ankylose concourt au même r
ion libre et irrégulièrement arrondie fait saillie en dedans sous les
muscles
fléchisseurs. Cet ostéophyte mesure trois centimè
quelques bourgeons osseux insi-gnifiants au niveau de la coulisse des
muscles
radiaux. Cubitus. Sains à leur extrémité supéri
de longueur, tandis que la gauche en a 15. A droite, le deltoïde, les
muscles
de la région scapulaire étant peu développés, il
l'électricité on constate que la contraclilité est par-faite dans les
muscles
coraco-huméral et biceps ; ce dernier même paraît
qui est for-tement rétracté quand le courant électrique passe dans le
muscle
. On ne peut que difficilement déterminer l'état
ation. Pour la première fois on observe de légers tressaillements des
muscles
du tronc et des mem-bres. Céphalalgie passagère.
tence de râles sous-crépitants dans toute la hauteur des poumons. Les
muscles
respirateurs se con-tractent lentement et avec ef
A. Colon ascendant; B. Intestin grêle; C. Cœcum. tuée en arrière du
muscle
. On fait alors une deuxième incision per-pendicul
uméfaction dans la région abdominale, surla partie latérale droite du
muscle
grand droit, a dû faire naître l'idée d'une herni
ras droit, qui s'atrophia à son tour, et bientôt l'atrophie gagna les
muscles
thoraciques et dorsaux. Le malade perdit bientôt
tions fibrillaires très-fréquentes, se multipliant à ce point que les
muscles
tout entiers étaient agités de petits mouvements
ression, et le premier métacar-pien est rapproché du second. Tous les
muscles
de l'éminence thé-nar sont atrophiés, et le premi
profondes existent entre les métacarpiens. Avant-bras gauche. — Les
muscles
de la partie antérieure et de la partie postérieu
ace interosseux. Bras gauche. — L'atrophie porte aussi sur tous les
muscles
du bras gauche ; l'humérus n'est plus enveloppé q
très-facilement. L'atrophie est beaucoup moins marquée sur les autres
muscles
, grand dentelé, trapèze, sacro-spinal. Nous all
oduit des déformations beaucoup moins ac-cusées. Main droite. — Les
muscles
de l'éminence thénar sont complè-tement atrophiés
lexion est moins prononcée. Cette défor-mation tient à l'atrophie des
muscles
extenseurs. Les interosseux ont également diminué
d'Aran, qui ne voient dans l'atrophie muscu-laire qu'une maladie des
muscles
; la seconde, qui attribue aux lé-sions médullair
Dire comme Virchow que l'état morbide est primitivement fixé dans le
muscle
et qu'il va gagnant de proche en proche jusqu'à l
tement limitée une atrophie aussi irrégulière, portant sur tel ou tel
muscle
dans la même région, sur telle ou telle fibre dan
tel muscle dans la même région, sur telle ou telle fibre dans le même
muscle
?... Gomment, en outre, concilier cette théorie av
t par une cause qui nous échappe, la nutrition soit modifiée dans les
muscles
, dans le système nerveux comme dans l'état généra
muscles, dans le système nerveux comme dans l'état général. Dans les
muscles
, l'atrophie et l'état graisseux peuvent se dispos
usculaire progressive est un trouble de la nutrition por-tant sur les
muscles
et le système nerveux, dont le point de départ es
ltérations médullaires ont une influence marquée sur la nutrition des
muscles
. — Les lésions de la moelle qui sont plus particu
ition, consécutives à une irrita-tion médullaire, transmise jusqu'aux
muscles
par l'intermédiaire des nerfs. — Lorsque cette af
épinière explique seul la distribution irrégu-liôre de la lésion des
muscles
... De leur côté, MM. Charcot et Joffroy s'expri
les dans la moelle, et la localisation particulière de l'atrophie des
muscles
, dans les diverses parties du corps. De tout ce
espèces; pour un moment, on peut rétablir l'activité des nerfs et des
muscles
, mais bientôt le sang est évacué en partie par hé
offre la déformation de requin varus le plus prononcé. En outre, les
muscles
adducteurs de la cuisse sont, eux aussi, fortemen
e, je le répète, de près de deux ans, vous voyez que la nutrition des
muscles
n'a pas souffert sensiblement. J'ajouterai encore
on de la sensibilité intéresse non-seulement la peau, mais encore les
muscles
et peut-être les os ; elle s'arrête exactement à
ion; il s'agit ici, encore actuellement, d'une véritable rigidité des
muscles
avec prédominance de l'action des extenseurs et d
équin, ne s'est point modifiée pendant le sommeil chloroformique, les
muscles
des jambes et des cuisses sont notablement atroph
aire, l'atrophie limitée plus particulière-ment à certains groupes de
muscles
, surtout s'il s'y joignait des con-tractions fibr
symptômes caractérisés d'hystérie, d'une contracture douloureuse des
muscles
de la jambe gauche. Cette contracture, qui imprim
près de deux ans, elle pa-raît définitive (juin 1870). Plusieurs des
muscles
de la jambe ont subi une atrophie profonde ; ils
oupant le plus près possible des surfaces osseuses les insertions des
muscles
sus et sous-épineux, sous-scapulaire et petit ron
sée. Son bras est dans l'état où il est représenté planche XXVII. Les
muscles
du bras sont solides et assez volumineux. Les pli
hi à angle droit. Dans cette position on voit tiès-bien l'activité du
muscle
biceps et celle de la partie postérieure d:i delt
isse jamais faire le mouvement de rotation en dehors du bras, car les
muscles
principaux de cette rotation en dehors du bras, l
nce de niôtel-de-Ville. CANCROIDE DE L'OREILLE DROITE; PARALYSIE DU
MUSCLE
FRONTAL CORRESPONDANT par E. bassereau, interne
us sous-parotidien ; la cautérisation sans doute en est la cause. Les
muscles
auriculaires, s'ils existent, sont aussi paralysé
istent, sont aussi paralysés. Ce fait nous montre l'existence de deux
muscles
frontaux bien distincts pbysioîogiquement. — Le s
) REVUE PHOTOGRAPHIQUE DES HOPITAUX Planche \\X. PARALYSIE DU
MUSCLE
FRONTAL DROIT C A N C R 0 ï D K PATHOLOGIE IN
T... ne peut mouvoir ni les orteils, ni le pied qui est dévié. — Les
muscles
extenseurs, fléchisseurs, etc., paraissent avoir
s, et des taches jaunes transparentes, correspon-dant à des foyers de
muscle
graisseux. La plus grande ecchymose siège sur la
e pas la réunion du tiers supérieur avec les deux tiers inférieurs du
muscle
sterno-cléido-masloïdien. — En un mot, elle paraî
ès-mobile; elle ne dépasse pas en pro-fondeur le plan superficiel des
muscles
du cou. Sa grosseur peut être comparée à celle
ase du crâne et la région parotidienne. Enfin il sépare la tumeur des
muscles
sterno-mastoïdien et hyoïdien. Cette ablation s
sterno-mastoïdien qui est entièrement ménagé ; en dedans le plan des
muscles
hyoïdiens qui est intact. Examende la pièce.—À
gien fit alors la section de la peau parallèlement à la direc-tion du
muscle
sterno-cléido-mastoïdien sur lequel était placée
l. Il eût fallu inciser ces conduits lacrymaux ainsi que le tendon du
muscle
orbiculaire, pour donner à la sonde un accès plus
pour le retenir à l'hôpital. B. BIBLIOGRAPHIE Des paralysies des
muscles
moteurs de l'œil, par A. von Gbj:fe, traduit de l
de, ces moyens sont appliqués au diagnostic de la paralysie de chaque
muscle
en particulier ; — dans la troi-sième, sont exami
t examinés des cas plus complexes, tels que la paralysie de plusieurs
muscles
à la fois. Si bien des chapitres de l'ophthalmo
idée de la délicatesse et de la précision du diagnostic. Lorsqu'un
muscle
oculo-moteur est paralysé, une recherche mé-thodi
ombre de phénomènes. -— A. Les uns dépendent du défaut de mobilité du
muscle
para-lysé; — B. Les autres se montrent lorsque l'
ysé; — B. Les autres se montrent lorsque l'on fait faire un effort au
muscle
paralysé; — C. Enfin un phénomène remarquable est
s de paralysie, et ne nous révélera rien sur la paralysie de certains
muscles
qui, comme les obliques, agissent faiblement dans
lors avoir recours à quelque chose de moins incertain. B. Lorsqu'un
muscle
paralysé est sollicité à se contracter dans le re
llicité à se contracter dans le regard en dehors, par exemple pour le
muscle
droit externe, il est obligé d'accomplir un eff
averti par des méprises antérieures, il suppléera à la contraction du
muscle
paralysé, par une rotation en dehors de la tête.
n dehors de la tête. Pour peu qu'il existe une paralysie de plusieurs
muscles
, ces mou-vements de la tête devront être très-var
Heste la diplopie, qui apparaît brusquement lorsque la paralysie d'un
muscle
vient rompre la vision binoculaire, empêcher la s
x sur le sens de production de la diplopie, qui est toujours celui du
muscle
pa-ralysé, sur la direction des images qui sera h
ur inclinaison. Il n'est pas jusqu'au simple défaut d'équilibre des
muscles
anta-gonistes sans paralysie que l'on n'arrive à
yopes et les hyperopes sont sou-vent atteints d'un pareil trouble des
muscles
latéraux ; si, sur de pareils sujets, on place au
artie de la cavité articulaire et qui aurait fusé dans les gaines des
muscles
. Quoi qu'il en soit, la synoviale est toujours fo
e musculaire progressive. Elle s'en rap-proche d'autant plus, que les
muscles
du côté affecté éprouvent souvent un commencement
oubles trophiques qui peuvent l'atteindre. Les articula- tions, les
muscles
, les os eux-mêmes, subissent, à des degrés divers
t le ramollis-sement. La moindre cause alors, la contraction même des
muscles
abdominaux, suffit pour amener l'accident ; c'est
à faire à tout l'ouvrage. En second lieu, l'ordre d'exposé, pour les
muscles
, par exemple, n'est pas celui qui est préférable;
it plus de précision, plus d'entente, pour la description de certains
muscles
, comme ceux de la fesse, du cou, des membres, sur
e à l'art des acco; chements, par Ta-chard, 256. — Des paralysies des
muscles
moteurs de l'œil, par von Grsefe (anal. Thaon), 2
par Bourne-ville, 510. Cancroïde de l'oreille droite ; paralysie du
muscle
frontal correspondant, par E. Bassereau, 23). C
e des parties constituan-tes des), par le même, 1. P Paralysie du
muscle
frontal droit, 231. Parotide [voy. Adénome).
ancroïdc de l'o-reille droite.........251 Planche XXX. Paralysie du
muscle
frontal droit.........'¿52 Planche XXXI. Tumeur
érale. Après avoir signalé l'inégalité pupillaire, la paralysie des
muscles
, l'atrophie du nerf opti- que, il signale, d'ap
ysie générale. Tremblement fibrillaire de la langue, des mains, des
muscles
de la face, achop- pement syllabique ; réflexes
Bredouillement, tremblement fibrillaire de la langue, des petits
muscles
de la face, tremblement des mains. Réflexe rotuli
à certaines pratiques telles que le massage, on voit le volume des
muscles
et, parallèlement, leur puissance augmenter de
s exclusivement sur la quantité de travail possible, et ces mêmes
muscles
ne seront pas pour cela devenus plus habiles à
nerveux qu'on comprend les effets d'une semblable éducation; les
muscles
ne représentent que la partie inférieure du systè
n musculaire. Or, dans le premier cas, c'est le déve- loppement des
muscles
qui a été favorisé ; dans le second, il n'est p
ouvement n'est réalisé que grâce au concours simultané de plusieurs
muscles
, et parfois, quand l'un d'eux devient insuffisa
que le premier n'est plus capable de donner. De même que certains
muscles
entre eux, de même aussi les neurones sont dans
ont banaux, on en observe dans tous les cas où l'action de certains
muscles
est sup- primée, soit temporairement, soit défi
, et en même temps d'agir sur les lésions organiques des nerfs, des
muscles
et des articulations, aussi s'est-on gardé de s
es divers modes influence à tout instant les centres nerveux et les
muscles
, et assure d'autre part le contrôle des mou- ve
udes et les fonctions articulaires ne sont jamais indépendantes des
muscles
, car ceux-ci sont les vrais moyens de contentio
s recherches, on ne- connaît encore que le fonctionnement de chaque
muscle
envisagé individuelle- ment, et ces notions, il
ion motrice dont il n'a pas jusqu'ici été ques- tion. Or, jamais un
muscle
n'entre en action isolément, tout mouvement, si
i simple qu'il paraisse, exige le concours simul- tané de plusieurs
muscles
: c'est ce que Duchenne de Bou- logne exprimait
- contre, sont bien réalisés par l'action combinée de plu- sieurs
muscles
; ils ne représentent néanmoins encore que des
r exemple à entendre que, chez les ataxiques, la fonction de chaque
muscle
est intacte et que l'ataxie ne provient que du
ie tabétique comme dans beaucoup d'autres syndromes moteurs, chaque
muscle
envisagé individuellement se montre altéré dans
produit alors une sorte d'inhibition de voisi- nage portant sur des
muscles
dont les fonctions sont sus- ceptibles d'un rét
augmente. Or, on voit bien aussi les fibres restées saines dans un
muscle
se développer lorsque d'autres ont été détruite
nces organiques est déjà plus intéressante : en ce qui concerne les
muscles
, elle est souvent mise à profit, car s'il est v
st souvent mise à profit, car s'il est vrai qu'il n'existe pas deux
muscles
ayant les mêmes fonctions, certains ont cependa
elles que crée l'habitude, elle ne s'applique guère directement aux
muscles
, puisque leurs contractions sont réglées par le
, le méca- nisme de tous les mouvements, les actions toniques des
muscles
, l'harmonie des antagonistes, le rôle de la pesan
lement qu'on pourra prévoir ce qu'il est possible d'attendre de ces
muscles
et quels exercices de rééducation leur convienn
). 8° C'est encore par les exercices de rééducation appliqués aux
muscles
des parois abdominales que l'on réussit parfois
variété était tout apparente, puisqu'ils ne concernaient que les
muscles
des jambes et quelques muscles des cuisses ; ai
, puisqu'ils ne concernaient que les muscles des jambes et quelques
muscles
des cuisses ; ainsi se trahissait chez les aute
ez les auteurs, cette illusion capitale que l'incoordination de ces
muscles
existe seule ou du moins est seule responsable
et surtout la locomotion étaient pos- sibles, sans le concours des
muscles
postérieurs de la cuisse, de ceux de la ceintur
es conséquences pratiques intéressantes. Certains des caractères du
muscle
tabétique sont bien connus quant à leur existen
méritent d'être précisées. La diminu- tion habituelle du volume des
muscles
a été depuis long- temps constatée, mais c'est
tabes; le plus souvent, on n'a affaire qu'à de l'amaigrissement des
muscles
avec intégrité de la fibre elle-même. Ces notio
demander quelle part revient au système nerveux et quelle part aux
muscles
dans la genèse de troubles moteurs des ataxique
lus, autant il serait logique de chercher à agir directement sur le
muscle
lui-même par l'électricité ou par le massage en
ndications à titre accessoire, ils pourront ranimer la nutrition de
muscles
cachectisés, mais c'est tout ce qu'il leur faut
eux ou, à défaut, par leur rééducation. L'état de relâchement des
muscles
, habituel chez les tabé- tiques a été observé d
ibre. Après cette étude, déjà fertile en déductions pratiques, du
muscle
tabétique au repos, l'étude de sa contraction vol
e des malades chez lesquels la contraction volontaire de certains
muscles
n'est pas possible, ces muscles sont paralysés. L
contraction volontaire de certains muscles n'est pas possible, ces
muscles
sont paralysés. Les paralysies au cours du tabe
stic ; il n'est pas rare de voir chez les tabétiques des groupes de
muscles
en apparence paralysés et dont l'exer- cice mét
e qui est de règle, c'est que la contraction volontaire de chaque
muscle
envisagé isolément se montre anormale dans sa f
e que M. P. Richer a appelé type de contraction balistique pour les
muscles
nor- maux, remarquons seulement qu'ils sont peu
t indépendants de la coordination motrice puisqu'ils concernent les
muscles
isolés et non leurs associations fonc- tionnell
se souvient qu'un mouvement simple n'est correct que quand certains
muscles
se contractent normalement, quand leurs antagon
es qui conviennent à chacun dépend de la connaissance précise des
muscles
intéressés. , Mais ce n'est pas tout, car, à cô
roubles élémentaires des contractions de 74 THÉRAPEUTIQUE. chaque
muscle
, de la dissociation de leurs contractions syner
lement simples et correspondront directe- ment à l'action de chaque
muscle
ou chaque groupe muscu- laire malade. Les secon
on serait interminable, puisqu'il faudrait passer en revue tous les
muscles
et tous les mouve- ments, et expliquer la raiso
OLOGIE PATHOLOGIQUES. V. L'influence sur le travail volontaire d'un
muscle
de l'activité d'autres muscles; parCH. FERÉ (No
luence sur le travail volontaire d'un muscle de l'activité d'autres
muscles
; parCH. FERÉ (Nouv. Icottogr. de la Salpêtrière,
mes de la mâchoire, des fléchisseurs des doigts du côté opposé, des
muscles
de la jambe du côté correspondant ou du côté op
x. Parmi les nerfs crâniens, le facial, plus rarement les nerfs des
muscles
de l'oeil, ou le glosso-pharyngien. Jamais de p
ou le glosso-pharyngien. Jamais de paralysie des sphincters, ni des
muscles
de la queue. Les muscles paralysés s'atrophient
Jamais de paralysie des sphincters, ni des muscles de la queue. Les
muscles
paralysés s'atrophient. Les réflexes cutanés, exa
anglion ciliaire, et, par suite, ne desservent qu'indirectement les
muscles
en question. Donc, quand le noyau de l'accommod
tique, causée par des injections mer- curielles pratiquées dans les
muscles
de la fesse; par Ropter et 1'auzoN. (Revue de m
us au passage des épaules au détroit infé- rieur. La réparation des
muscles
se fait bien, mais il persiste une certaine déf
ne amyotrophie souvent considérable et prédomi- nante au niveau des
muscles
des membres inférieurs. Cette amyo- trophie a é
trophie a évolué assez lentement, sans douleurs des nerfs ou des
muscles
à la pression, entraînant une impotence fonctionn
nant une impotence fonctionnelle au prorata de l'amaigrissement des
muscles
. Les réactions électriques ont été souvent renc
des orteils; et la marche de l'amyotrophie débutant par les petits
muscles
des pieds, pour gagner progressivement les gran
es petits muscles des pieds, pour gagner progressivement les grands
muscles
des jambes et des cuisses. Les secousses fibril
myo- trophie progressive ordinairement prédominante au niveau des
muscles
inférieurs, amyotrophie d'origine médullaire. L
), myasthénie générale grave (Laquer), lassitude pathologique des
muscles
, myasthénie tout court (Uuverricht.) Elle est p
va un gros lymphosarcome au poumon droit et des nétastases dans les
muscles
. Le thymus était probablement pris. Planches à
tence de néoplasmes en dehors de celui-ci, avec métastases dans les
muscles
. En revanche dans la plupart, des cas de myasth
res. Cette fois pas de blépharoptose permanente, pas de parésie des
muscles
des yeux, pas de diplopie, pas de régurgitation
, et il ne s'y joint que des troubles du côté des adducteurs et des
muscles
rotateurs en dehors. Les accidents sont aussi m
ive : elle n'est apparue qu'un mois plus tard, et non dans tous les
muscles
myasthéniques. Cette réaction est indépendante
e la con- traction au courant faradique a paru plus faible dans les
muscles
préalablement épuisés par l'action de la volont
à VIII, aux principaux caractères nosographiques. La lassitude du
muscle
en est la note fondamentale. 11 suffit que REVU
ce pas d'in- fluence sur l'excitabilité faradique ; inversement les
muscles
dont les contractions ont presque cessé du fait
mystagmus congénital, l'insuffisance d'in- nervation corticale des
muscles
volontaires des yeux. Cette définition parait j
s sévère. Elle en dif- fère aussi par le mode de fonctionnement des
muscles
qui sont atteints de parésie, de fatigue précoc
d'atrophie, par la participation du facial supérieur, par celle des
muscles
masticateurs et des muscles de la nuque. G. C.
tion du facial supérieur, par celle des muscles masticateurs et des
muscles
de la nuque. G. C. XV. Méningite cérébro-spin
blement des lèvres ; Frederick lllüller un cas de tremblement, des
muscles
du larynx. G. C. XIX. Radiographies d'arthropat
ctérisée surtout par l'existence de formations ossifiantes dans les
muscles
et dans quelques tissus. Chez les tabé- tiques
beaucoup de malades, l'asthénie musculaire occupe non seulemet les
muscles
innervés par les nerfs crâniens, mais aussi les
eulemet les muscles innervés par les nerfs crâniens, mais aussi les
muscles
du tronc et des membres tributaires des nerfs r
trouble convulsif de forme tonique, intermittent, localisé sur les
muscles
de l'accom- modation, trouble comparable à ces
n suivant : mettant le pied en demi-extension et faisant raidir les
muscles
du mollet, il percute un moment le tendon d'Ach
pieds (conservation du long supinateur; prise à peu près totale des
muscles
interosseux, etc.). Réflexes tendineux plutôt e
ial, sauf le long supinateur, toujours resté indemne, dans tous les
muscles
de l'éminence thénar, y compris le muscle court
é indemne, dans tous les muscles de l'éminence thénar, y compris le
muscle
court adducteur du pouce et le 1" interosseux d
teur du pouce et le 1" interosseux dorsal; R. D. partielle dans les
muscles
iner- vés par le sciatique poplité externe, bie
que- ment parlant d'ordre purement secondaire et dégénératif. Les
muscles
sont atrophiés sensiblement au prorata des altéra
s mésodermiques du système vasculaire, endothéliales, des fibres de
muscles
et de tissu conjonctif tuméfiées, hyalines, des
t 8 et 15 années sans rencontrer le mo- dérateur de la pression des
muscles
constitutifs de la-joue. Cette joue est elle-mê
t la contraction convulsive dans un des membres ou dans les deux de
muscles
tels que le triceps fémoral et les gastrocnémie
mouvements d'extension et de la compression que l'on fait subir aux
muscles
des extrémités inférieures des malades. Ces réf
au début de la flexion de la jambe parce que c'est le moment où les
muscles
de la face antérieure de la cuisse sont par là
imultanément et conjointement, comme s'il s'agissait d'un groupe de
muscles
exé- cutant un mouvement déterminé. J3. Moins
plantaire du pied, ou en comprimant entre les doigts delà main les
muscles
de la cuisse et les gastrocnémiens, parfois mêm
ion réflexe ordinaire sous la dépendance de l'extension passive des
muscles
antagonistes. A noter la synergie des fléchisse
nt constamment, mécaniquement, toutes les fois qu'on com- prime les
muscles
de la cuisse, et qui ne se produit ni par simple
muscles de la cuisse, et qui ne se produit ni par simple heurt des
muscles
de la cuisse, ni en choquant à l'aide du marteau
sept -ans, qui est atteint, de- puis cinq mois, d'une paralysie des
muscles
des jambes et des pieds avec abolition des réfl
es paupières et de la musculature externe des globes oculaires, des
muscles
de la face et de la langue, des muscles mastica
e des globes oculaires, des muscles de la face et de la langue, des
muscles
masticateurs, des muscles du voile du palais et
s muscles de la face et de la langue, des muscles masticateurs, des
muscles
du voile du palais et du larynx, des muscles de
cles masticateurs, des muscles du voile du palais et du larynx, des
muscles
de la nuque et des extrémités; cet état parétiq
extrémités; cet état parétique augmente avec le fonctionnement des
muscles
dont l'énergie s'épuise rapidement et aboutit r
e la langue, du larynx, du voile du palais, épuisement rapide des
muscles
, absence d'atrophie musculaire, résultats négatif
ire. Les noyaux des nerfs crâniens moteurs sont sains. Enfin, les
muscles
de la langue, du pharynx et surtout les mus- -c
ogressive et très lente débutant par le membre supérieur et par les
muscles
des éminences thénar et hypothénar et les inter
erosseux, puis ga- gnant peu à peu les avant-bras et respectant les
muscles
du bras et de l'épaule, intéressant enfin et to
vingt-trois ans, qui présentait une paralysie complète de tous les
muscles
innervés par les sciatiques poplités externes e
e jours et sur l'intensité des douleurs localisées aux nerfs et aux
muscles
intéressés, qui les ont accompagnés, que l'aute
s myopathies familiales est caractérisé par la lésion anatomique du
muscle
atrophié ou pseudo-hypertrophié. Un autre carac
hies amyotropliiques, il existe d'autres trou- bles héréditaires du
muscle
, plus rares mais non moins intétes- sants : le
tteint pas le squelette. 296 SOCIÉTÉS SAVANTES. Les fonctions des
muscles
persistent ; les mains conservent leur longueur
pose sur le bord externe de la plante. Dans l'état de nutrition des
muscles
, on remarque une certaine différence entre les
'oeil est normal. Souvent apparaissent des convulsions cloniques du
muscle
orbiculaire des paupières; outre ces convulsion
s convulsions débutent ordinairement par la contraction clonique du
muscle
orbiculaire gauche, parfois simultanément avec
u membre supérieur et ensuite du membre inférieur, lorsque déjà les
muscles
faciaux sont en repos. Vers la fin de l'accès l
vint pas à suivre leur ordre à cause de leur fré- quence. Outre les
muscles
qui participaient avant dans les convul- sions,
participaient avant dans les convul- sions, prirent part encore les
muscles
cervicaux, spinaux, et parlois les muscles du m
prirent part encore les muscles cervicaux, spinaux, et parlois les
muscles
du membre inférieur droit; certains accès se te
était pas épileptique, mais plutôt provoqué par la douleur dans les
muscles
en contraction. La conscience ne disparaissait
était conservée. Les contractures étaient le plus marquées dans les
muscles
spinaux et cervicaux et dans les fléchisseurs d
enou et dans la plante et emporte le pied de côté. La nutrition des
muscles
SOCIÉTÉS SAVANTES. 389 du côté gauche est aba
é électrique par le courant continu est diminuée du côté gauche. Le
muscle
abducteur court du pouce donne la réaction de d
cteur court du pouce donne la réaction de dégénérescence : dans les
muscles
triceps crural et vaste interne, A et K donnent
L'excitabilité au courant faradique est abaissée en somme pour les
muscles
des extrémités gauches. Traitement. Au commence
ère et la propagation des convulsions, le trouble nutritif dans les
muscles
, la modification de leur excitabi- lité électri
es modifications uniquement imputables au moindre développement des
muscles
et à une diminution de leur activité. Signala
it moutir. 1-1 le frappa « seulement ma langue, dit-il, et tous les
muscles
des en- virons, d'une espèce de paralysie qui s
cher à cause de la paralysie qui rendoit immobiles les nerfs et les
muscles
du larynx, me réduisit à un tel état, que je cr
LOGIE PATHOLOGIQUES. XXVI. Recherches sur les centres spinaux des
muscles
de la jambe; par le DTAMUON et l11-e-PAI111ON.
x chiens auxquels ils ont enlevé des deux côtés un ou plusieurs des
muscles
de la jambe. A la suite de l'extirpation des ju
précédent, en arrière du centre des jumeaux. En ce qui concerne les
muscles
de la région antero-externe, c'est du niveau de
servir de guide pour des recherches futures sur la localisation des
muscles
de la jambe de l'homme. G. D. XXVII. Sur la l
reste pourtant debout de leurs premières recherches : c'est que les
muscles
pos- térieurs de la cuisse ne sont pas inervés
es qui leur correspondent et que ces colonnes innervent chacune des
muscles
, qui diffèrent un peu par leur fonction.. 1 G.
nt un peu par leur fonction.. 1 G. D, XXVIII. De l'incitation des
muscles
et des nerfs par les courants faradiques de fer
é des courants faradiques dans les phénomènes de l'incitabilité des
muscles
et des nerfs a une importance plus grande que c
fatigue et la déchéance organique, la diminution d'excitabilité des
muscles
et des nerfs se traduit par une diminu- tion de
totale reste sensible aux vibrations du diapason : ni la peau ni le
muscle
ne peuvent être considérés comme les organes perc
té générale de la musculature de l'oeil. - IV. L'hypotonicité des
muscles
des yeux est en rapport avec un défaut de conve
pratique, consiste en une contraction simultanée', chez la femme du
muscle
constricteur de la vulve et de l'anus, après une
e lieu à des opinions différentes. Les uns (Sano) estiment que tout
muscle
doit 458 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PAT
ts cellulaires et librillaires. il. C. XLI. Absence congénitale des
muscles
grand et petit pectoral; par A. Souques (IVOUD.
ente des tiraillements rythmiques, lorsque le malade l'allonge, les
muscles
faciaux subissent alternativement des tirail- l
mblement ou on ~ observe seulement des tiraillement isolés dans les
muscles
faciaux. En partie, la rigidité chez le malade
n dans la moelle des différents territoires cutanés, des différents
muscles
, etc. Dix observations anatomo-ctiniques, avec
nt vite récupéré leur motilité, avec un maximum d'intensité sur les
muscles
de la face qui ont présenté, au con- traire, un
iation de l'état du tonus musculaire et des réflexes tendineux. Les
muscles
sont séparés par la section médullaire de leur ce
s marquée à gauche : 1° une atrophie musculaire des plus nettes des
muscles
des éminences thénar et hypothénar, interosseux
et de la myopa- thie primitive avec cette particularité : aucun des
muscles
ne pré- sentait de diminution sensible des exci
cette particula- rité rare : Début du processus atrophique par les
muscles
de la nuque, de la région postérieure du tronc
e la face, du cou, du tronc et des membres. L'examen anatomique des
muscles
dénote toutes les propriétés caractéristi- ques
de Duchenne sans réaction de dégénérescence au niveau de tous les
muscles
atrophiés. L'auteur crut pouvoir rattacher cette
roupes cellu- laires qui correspondent dans la corne antérieure aux
muscles
de la main : la situation, à la partie supérieu
vantes. Absence de toute myotonie; dans la myotonie de Thomsen, les
muscles
oculaires sont exceptionnellement atteints tand
u tissu irien est juste le contraire de l'augmentation de volume du
muscle
myotonique : la perte de substance de certains
de volume du muscle myotonique : la perte de substance de certains
muscles
est tardive dans la maladie de Thomsen, et, d'a
e dans la maladie de Thomsen, et, d'ailleurs, la raréfaction d'un
muscle
ne prouve pas une affection musculaire idiopathiq
de mouvement tonique consigne précisément la conlraction tonique du
muscle
irien. Ce à quoi répond M.Rothmann que les cas
ues du centre irien ou de la branche centrifuge de l'arc réflexe du
muscle
irien. Mais il y a plusieurs espèces de ce phén
rition des centres nerveux supérieurs tout aussi bien que celle des
muscles
et des os. Le cerveau de l'enfant, à sa naissan
iles; de même que dans le système de la vie de relation ce sont les
muscles
striés dont les mouvements sont les plus délica
mouvements sont les plus délicats qui sont les premiers atteints (
muscle
» des lèvres et de la lace, doigts, etc.). Plus ta
ficulté de rotation des bulbes des yeux à gauche et avec parésie du
muscle
droit inférieur du côté droit. Nystagmus rotato
t l'étude myologique de la face il précise le méca- nisme de chaque
muscle
pris à part, pour analyser ensuite les mouvemen
Ueiscliowky et Plien, 93. Centres spinaux, Recherches sur les des
muscles
de la jambe, par Parhon et M°° Parhon, 451. Sur
L'influence sur le travail volontaire d'unde l'activité d'autres
muscles
, par Féré, 90. De l'incitation , des et des ner
s de causée par des injections mercu- rielles pratiquées dans les
muscles
de la fesse. par Itopter, 98. Un cas de périp
ôt à ce fait, qu'elle acquiert une certaine adresse à se servir des
muscles
indemnes en mangeant et en buvant ; quant à la
aye de rapprocher ses lèvres, mais elle n'y réussit qu'à l'aide des
muscles
du menton qui relèvent en quelque sorte la lèvre
lèvent en quelque sorte la lèvre inférieure sans la coopération des
muscles
orbiculaires de la bouche; cet effort donne à l
nsi avec la supérieure, dont la partie gauche surtout est mince. Le
muscle
orbiculaire de la bouche semble être complèteme
lysie de la langue qu'elle ne peut pas du tout remuer, quoique les
muscles
de cet organe ne soient pas atrophiés. On n'y r
que les mouvements de la mâchoire inférieure soient bons, et que les
muscles
masétériens et temporaux fonctionnent bien, la
s en plus et il se produisit ensuite une paralysie des membres, des
muscles
du cou et vers la fin de la vie une paralysie] du
alysie] du facial gauche. La mort a été amenée par la paralysie des
muscles
respiratoires. Le tra- vail de Redlich (3) cont
èrent plus aucun mouvement. La mort fut causée par la paralysie des
muscles
respiratoires. L'autopsie démontra outre le table
ieure de la langue s'atrophia, le voile du palais était aminci, les
muscles
de la face étaient paralysés, une partie des al
COXALGIE 51 quée qui remplace le creux poplité ; de chaque côté les
muscles
qui limitent latéralement le creux poplité font
76 centimètres, du côté gauche de 83 centimètres. L'atrophie des
muscles
est très marquée, à la cuisse du moins ; la circo
d'une pseudo-hernie musculaire, développée sans doute aux dépens du
muscle
tenseur du fascia lata. Le genou gauche, observ
téralité de la jambe en dedans, vers la ligne médiane. L'état des
muscles
du membre est excellent ; en particulier les musc
ne. L'état des muscles du membre est excellent ; en particulier les
muscles
de la partie postérieure de la cuisse et de la
endue au-dessus de la rotule au niveau de l'extrémité inférieure du
muscle
. Enfin reste le genu recurvatum osseux, genu re
'en expliquer la persistance. Car, une fois la coxalgie guérie, les
muscles
ten- dent à reprendre leur volume et leur puiss
mal placé et tirant sur le tibia; d'ordinaire atrophie inégale des
muscles
de la cuisse, plus marquée sur la face postérie
face postérieure, laissant au contraire une action prépondérante au
muscle
quadriceps ; enfin et surtout position rectiligne
trait circulaire à mi-hau- teur : les os apparaissent au milieu des
muscles
sectionnés. Un béquillard le regarde ; un autre
t\illl tbilltauil, Paru DESCRIPTION D'UN ECTROMÉLIEN nÉMIMÈLE 129
muscles
pectoraux, deltoïdes, et biceps forment des relie
nt musclé. Sur le dos on constate aussi un développement normal des
muscles
qui recouvrent les omoplates et des au- tres mu
ent normal des muscles qui recouvrent les omoplates et des au- tres
muscles
du tronc ; la colonne vertébrale ne présente pas
s qui paraissent correspon dre comme forme et comme disposition aux
muscles
de l'éminence thénar. Nous verrons sur les radi
t la plus habile. Sur la face palmaire du métacarpe se trouvent des
muscles
assez volumineux, plus étalés qu'à gauche, et par
à gauche, et parais- sant formés pour la plus grande partie par les
muscles
de l'éminence thénar. 130 HUET ET INFRO1T Ell
llll,l'aI'IS DESCRIPnON D'UN ECTROMÉLIEN HÉMIMÈLE 133 Mouvements,
muscles
ET NERFS.- Si maintenant nous étudions les mouve-
ir d'après la conformation du squelette et le bon développement des
muscles
. Ainsi, on constate une grande liberté et une g
n de la fa- çon que nous verrons. Nous avons tenté d'examiner les
muscles
de l'avant-bras et de la main au moyen de l'exc
plète, aussi n'en avons-nous pas pu retirer de résultats précis. Un
muscle
dont plusieurs fais- ceaux sont assez développé
à l'occasion de l'extension de l'avant- bras sur le bras. Un autre
muscle
étalé est situé à la partie interne du pli du c
faisceaux. Sur le bord externe de l'avant-bras on suit nettement un
muscle
étendu longitudinalement de l'extré- mité infér
t. Sur le bord interne de l'avant-bras on constate la présence d'un
muscle
analogue, qui parait correspondre au grand palm
cle analogue, qui parait correspondre au grand palmaire. Les autres
muscles
de l'avant-bras, extenseurs et fléchisseurs des
érieur et postérieur, semblent faire défaut. De même l'examen des
muscles
de la main n'a pu être que très superficiel ; s
rès superficiel ; sur la face palmaire du métacarpe se trouvent des
muscles
assez développés Fis. 2. , 136 HUET ET INFROI
aires ou les contractions pro- voquées électriquement ; ce sont les
muscles
de l'éminence thénar ; parmi eux le court abduc
ans l'axe longitudinal du doigt. Autour du coude la disposition des
muscles
est sensiblement la même qu'à droite. A l'ava
tie externe le long supinateur, et on trouve à la partie interne un
muscle
qui doit correspondre au grand pal- maire. De c
scle qui doit correspondre au grand pal- maire. De ce côté un autre
muscle
de l'avant-bras, le long fléchisseur du pouce,
ison' des mouvements de la dernière pha- lange du doigt. Les autres
muscles
de l'avant-bras paraissent soit faire défaut, s
nt soit faire défaut, soit être très rudimentaires. A la main les
muscles
de l'éminence thénar paraissent bien développés,
ar refoulement, soit par suite de la disposition et de l'action des
muscles
; d'ailleurs la conformation que nous avons sign
ure ; le radius est fortement in- curvé ; la main est normale ; les
muscles
entièrement normaux. XII. - SENFTLEBEN, 1869 (6
culaires, survenant à la suite de l'usage excessif et maladroit des
muscles
mis normalement en action par (1) An adress an
il existe une lé- gère diminution de la contractilité faradique des
muscles
du pouce ; par le cou- rant galvanique, nous tr
'agit, comme on le voit, d'une paralysie flaccide et atrophique des
muscles
du côté cubital de l'avant-bras -et de quelques
des muscles du côté cubital de l'avant-bras -et de quelques-uns des
muscles
du pouce, c'est-à-dire du groupe musculaire phy
le bras et le cou. Chez elle la contracture occupe spécialement les
muscles
de l'é- paule et principalement ces élévateurs
de cette localisation que par le siège exact de la douleur, car ces
muscles
ne subissent aucun changement apparent. En plus
ipalement cette extension continue, amenant une fausse position des
muscles
de l'épaule, qui est la cause des troubles nerveu
LA CRAMPE DES ÉCRIVAINS 155 ver, au mois de juillet 1899, tous les
muscles
de son avant-bras deve- naient, dès qu'il écriv
eut être loca- lisée que dans deux points différents ; soit dans le
muscle
lui : même, soit dans cette partie du système n
hinistes ». La difficulté du traitement réside dans ce fait que les
muscles
atteints sont presque toujours ceux dont l'acti
poignet droit. La gymnastique raisonnée qui fait travailler chaque
muscle
individuellement, successivement et également 1
n défaut de synergie dans la force musculaire : certains groupes de
muscles
étant plus faibles que les autres. En fait de m
interstitiel nerveux est comparable au myoblaste qui renouvelle le
muscle
après l'avoir phago- cyté, avec cette différenc
t d'abord je ferai remar- quer que les cylindraxes qui innervent le
muscle
ciliaire et le droit interne émanent du même gr
e substance .r'), les autres se réfléchissent immédiatement sur les
muscles
, d'où le tonus musculaire. (A celles-ci s'ajout
ntres d'y par- venir, ces ondulations se réfléchiront aussi sur les
muscles
; d'où hyperto- nus, contracture. La contract
r les muscles ; d'où hyperto- nus, contracture. La contracture du
muscle
ciliaire et du droit interne me paraît donc due
tre dû à ce que l'effort qu'il est obligé de faire pour inhiber ses
muscles
ciliaires contracturés, est plus considérable p
érée des ondulations n'est pas constante, et l'hypercontraclion des
muscles
ne se produit, que lorsqu'on fait naître, par u
eurs des mouvements volontaires depuis l'écorce cérébrale jusqu'aux
muscles
. Il n'est pas douteux que les neurones vaso-con
iable au doigt, est dû au non-dé- veloppement ou à la paralysie des
muscles
vaso-constricteurs, l'action élastique des paro
rtout sur le bleu et le vert. 8° Par une contracture oscillante des
muscles
ciliaires, contracture plus prononcée à gauche.
achial des contractions fasciculaires et (ibril- laires de tous les
muscles
de la ceinture scapulaire. Ces contractions n'ent
breuses. C'est une trémulation discrète irrégulière et multiple des
muscles
sus et sous-épineux, trapèze, des muscles de la n
régulière et multiple des muscles sus et sous-épineux, trapèze, des
muscles
de la nuque du grand dorsal, du grand pectoral
as se servir d'une plume. 11 n'est pas possible de préciser quels
muscles
interviennent dans ce tremble- ment, on constat
tremble- ment, on constate seulement d'une manière générale que les
muscles
de l'épaule agitent le membre supérieur dans sa
mblement ni spasme, les contractions fibrillaires du trapèze et des
muscles
sus et sous-épineux ont disparu depuis l'admini
pypotomies, des paralysies qui se manifestent de préférence sur les
muscles
les plus délicats comme ceux de la phonation. O
n, ni luxation, ni fractures, excepté une bosse assez légère sur le
muscle
crotaphite : on y applique une compresse trempée
i de myosis. Par instants, on note de petites contractions dans les
muscles
de la face, prédominant du côté gauche. Du côté
ns existent des deux côtés, mais sont plus accentuées à droite. Les
muscles
de l'éminence thénar sont atrophiés ; la la pla
e, le premier métacarpien est attiré en dehors et en arrière. Les
muscles
interosseux sont atrophiés ; il y a une excavatio
algré l'état du système nerveux et de la cellule en particulier les
muscles
étaient sensiblement normaux. avaient conservé la
ettement plus large qu'à gauche. La mensuration prise alors que les
muscles
lisses étaient un peu contractés nous a donné :
é interne de l'annulaire ; hypoesthésie électro-musculaire dans les
muscles
cubital antérieur, le faisceau interne du fléch
e; nerf cubital,dans le canal épitrochléen et le poi- gnet, abolie;
muscle
cubital antérieur, abolie; faisceau interne du fl
e ; nerf cubital, conservée, CcN > CcP, len- tes et augmentées ;
muscles
cubital antérieur et faisceau interne du fléchiss
ibles à l'attouchement, ce qui accusait clairement une atrophie des
muscles
de ces régions ; sur l'éminence hypothénar on rem
es contractions fibrillaires. Les réactions électriques donnèrent :
muscle
cubital antérieur, faisceau in- terne du fléchi
u < CcP ; c'est-à-dire, réaction de dégénérescence dans tous les
muscles
innervés par le cubital. Dans les deux premie
vés par le cubital. Dans les deux premiers lombricaux et les deux
muscles
de l'éminence thé- nar, les réactions électriqu
sait : l'impuissance motrice et l'hypoesthésie électrique de tous les
muscles
NOUVELLE Iconographie DE la SALPtfRltRE. T. X
radique et galvanique, approximativement comme à l'état normal ; le
muscle
cubital antérieur réagissait bien à la galvanique
ans l'ad- ducteur du pouce; mais la réaction était visible dans les
muscles
hypo- thénars, bien que lente (réaction de dégé
lente (réaction de dégénération faradique de Remak). Dans tous ces
muscles
la CcN = < CcP. Cet ensemble de réactions démo
éactions démontrait l'a- mélioration du nerf et de presque tous les
muscles
. Cette amélioration a permis le fonctionnement
cutive à la paralysie du cubital, qui n'innerve que celte partie du
muscle
. Il resterait à expliquer pourquoi se contracte
ni par la volonté du malade, le spasme étant aussi intense dans les
muscles
fléchisseurs que dans les extenseurs. Je considèr
i troubles trophiques d'aucune espèce de la peau ou des ongles. Les
muscles
de la cuisse et des jambes ont subi une atropliie
Nous prélevons aussi le nerf tibial antérieur droit et un fragment du
muscle
jambier antérieur du même côté. Le corps n'ay
est de même du tu- bercule de Gerdy et des marques d'insertion des
muscles
de la patte d'oie. La gouttière du demi-membran
us la dépendance des insertions musculaires. On savait déjà que les
muscles
modelaient les os, que les rugosités d'insertion
es rugosités d'insertion étaient en rapport direct avec la force du
muscle
qui y attachait ses tendons. Il semble que l'os,
Lamy (2), ont décrit comme névrite d'origine vasculaire. Quant aux
muscles
, ils ne paraissent pas très atteints. Il n'y a pa
(2) L. Lévi, loc. cil. L'INFLUENCE SUR LE TRAVAIL VOLONTAIRE D'UN
MUSCLE
DE L'ACTIVITÉ D'AUTRES MUSCLES PAR CH. FÉRÉ
LUENCE SUR LE TRAVAIL VOLONTAIRE D'UN MUSCLE DE L'ACTIVITÉ D'AUTRES
MUSCLES
PAR CH. FÉRÉ, Médecin de Bicêtre. H. F. W
Journ. de l'anat. et de la phys., 1901, p. 625). L'INFLUENCE SUR UN
MUSCLE
DE L'ACTIVITÉ D'AUTHES MUSCLES 433 Une nouvelle
- Sans excitation ni activité associées. FÉRÉ L'INFLUENCE SUR UN
MUSCLE
DE L'ACTIVITÉ D'AUTRES MUSCLES 435 Exp. IL - Mé
associées. FÉRÉ L'INFLUENCE SUR UN MUSCLE DE L'ACTIVITÉ D'AUTRES
MUSCLES
435 Exp. IL - Médius gauche. - Sans excitation,
ns excitation, ni activité associées. 436 FÉRÉ L'INFLUENCE SUR UN
MUSCLE
DE l'activité d'autres MUSCLES 437 7 gue s'est
ociées. 436 FÉRÉ L'INFLUENCE SUR UN MUSCLE DE l'activité d'autres
MUSCLES
437 7 gue s'est montrée de nouveau à la série s
es arcades dentaires du côté droit. 438 féré . L'INFLUENCE SUR UN
MUSCLE
DE l'activité d'autres MUSCLES 439 440 FÉRÉ l
roit. 438 féré . L'INFLUENCE SUR UN MUSCLE DE l'activité d'autres
MUSCLES
439 440 FÉRÉ l'influence SUR UN MUSCLE DE l'a
LE DE l'activité d'autres MUSCLES 439 440 FÉRÉ l'influence SUR UN
MUSCLE
DE l'activité d'autres MUSCLES 441 Exp. V. - Mé
LES 439 440 FÉRÉ l'influence SUR UN MUSCLE DE l'activité d'autres
MUSCLES
441 Exp. V. - Médius gauche. Pendant toutes les
s arcades dentaires du côté gauche. 442 FÉRÉ L'INFLUENCE SUR UN
MUSCLE
DE l'activité d'autres muscles 443 444 ri ' fér
gauche. 442 FÉRÉ L'INFLUENCE SUR UN MUSCLE DE l'activité d'autres
muscles
443 444 ri ' féré . TABLEAU II Représentati
érie donne encore 36,17 0/0 du travail normal. L'INFLUENCE SUR UN
MUSCLE
DE L'ACTIVITÉ D'AUTRES MUSCLES' 445 446 féré
ments de flexion des doigts de la main gauche. L'INFLUENCE SUR UN
MUSCLE
DE L'ACTIVITÉ D'AUTRES MUSCLES 447 448 FÉRÉ D
de la main gauche. L'INFLUENCE SUR UN MUSCLE DE L'ACTIVITÉ D'AUTRES
MUSCLES
447 448 FÉRÉ Dans les deux séries suivantes,
tenu entre les arcades dentaires du côté droit. L'INFLUENCE SUR UN
MUSCLE
DE L'ACTIVITÉ D'AUTRES MUSCLES 449 450 FÉRÉ L
res du côté droit. L'INFLUENCE SUR UN MUSCLE DE L'ACTIVITÉ D'AUTRES
MUSCLES
449 450 FÉRÉ L'INFLUENCE SUR UN MUSCLE DE L'A
LE DE L'ACTIVITÉ D'AUTRES MUSCLES 449 450 FÉRÉ L'INFLUENCE SUR UN
MUSCLE
DE L'ACTIVITÉ D'AUTRES MUSCLES 451 l'influence
LES 449 450 FÉRÉ L'INFLUENCE SUR UN MUSCLE DE L'ACTIVITÉ D'AUTRES
MUSCLES
451 l'influence SUR un MUSCLE DE l'activité d'a
SUR UN MUSCLE DE L'ACTIVITÉ D'AUTRES MUSCLES 451 l'influence SUR un
MUSCLE
DE l'activité d'autres MUSCLES 453 454 FÉRÉ L
AUTRES MUSCLES 451 l'influence SUR un MUSCLE DE l'activité d'autres
MUSCLES
453 454 FÉRÉ L'INFLUENCE SUR UN MUSCLE DE L'A
LE DE l'activité d'autres MUSCLES 453 454 FÉRÉ L'INFLUENCE SUR UN
MUSCLE
DE L'ACTIVITÉ D'AUTRES MUSCLES 458 456 FÉRÉ L
LES 453 454 FÉRÉ L'INFLUENCE SUR UN MUSCLE DE L'ACTIVITÉ D'AUTRES
MUSCLES
458 456 FÉRÉ L'INFLUENCE SUR UN MUSCLE DE L'A
LE DE L'ACTIVITÉ D'AUTRES MUSCLES 458 456 FÉRÉ L'INFLUENCE SUR UN
MUSCLE
DE L'ACTIVITÉ D'AUTRES MUSCLES i : >7 458 FÉ
LES 458 456 FÉRÉ L'INFLUENCE SUR UN MUSCLE DE L'ACTIVITÉ D'AUTRES
MUSCLES
i : >7 458 FÉRÉ La fatigue ne se manifeste
s de la mâchoire, des fléchis- seurs des doigts du côté opposé, des
muscles
de la jambe du côté cor- respondant ou du côté
Féré, La pathologie des émotions, 1892, p. 143. l'influence SUR UN
MUSCLE
de l'activité d'autres MUSCLES 459 sensorielle
ons, 1892, p. 143. l'influence SUR UN MUSCLE de l'activité d'autres
MUSCLES
459 sensorielle bien connue (1) et je l'ai déjà
elles (C. R. Soc. de Di-1., 1901, p. 671). ' ' L'INFLUENCE SUR UN
MUSCLE
DE l'activité d'autres MUSCLES 461 rouge (Fig.
01, p. 671). ' ' L'INFLUENCE SUR UN MUSCLE DE l'activité d'autres
MUSCLES
461 rouge (Fig. 8), 90,78 ; l'ouïe (1), sonneri
e, dans la substance grise, au voisinage des centres trophiques des
muscles
. Bien que les constatations histologiques n'aie
culaire est commandée par une altération des centres trophiques des
muscles
, on doit considérer le trophoedème chronique comm
épaississement du tissu cellulo-adipeux qui se pro- duit autour des
muscles
atrophiés dans certaines phlegmasies mono.arti-
ysie atrophique de l'enfance, le degré d'atrophie ou de texture des
muscles
(1) Collette, Sur une forme d'arthropathie, Thè
e plus loin la même observation : « L'atrophie d'un grand nombre de
muscles
est quelquefois masquée par l'obésité ou par un e
du tissu adipeux ne s'est faite qu'à un très faible degré dans les
muscles
atrophiés. » Au nombre des troubles trophiques
(obésité locale de Landouzy) qui acquiert quelquefois au niveau des
muscles
atrophiés, un degré très prononcé, au point de
souvent, même dans les régions où la transformation graisseuse des
muscles
ne s'est faite qu'à un faible degré. Celle-ci, en
la paralysie. Ainsi un membre pourra avoir perdu la plupart de ses
muscles
, alors qu'il sera plus court que celui du côté
uoique la lésion musculaire y soit restée localisée dans un ou deux
muscles
. » « Dans quelques cas, dit Boulloche (3), la p
la paralysie infantile n'aboutit à aucune atrophie musculaire : les
muscles
ont conservé leur force et leur dimension norma
autre part, il n'y a parfois aucune proportion entre l'atrophie des
muscles
et celle des os dans le membre paralysé. » L'on
if sous-cutané n'ont ni mêmes centres, ni mêmes conducteurs que les
muscles
et la peau .. Ce qui revient à dire que l'adi-
par lesquelles l'influence tro- phique est conduite d'une part aux
muscles
, d'autre part à la peau, d'autre part enfin au
ente aux tissus sous-jacents est lisse et d'ail- leurs normale. Les
muscles
ne paraissent pas hypertrophiés ; les os de lon
lement plus volumineux du côté gauche et il en est de même pour les
muscles
. D'ailleurs le membre inférieur gauche est plus
une diminution de la contractilité faradique pour les nerfs et les
muscles
du membre inférieur gauche. Les réflexes rotulien
sont de moins en moins sensibles. xiv 40 514 ' ANDRÉ THOMAS Les
muscles
de l'épaule et du cou sont aussi plus développés
elle du tissu osseux. La diminution de l'excitabilité faradique des
muscles
et des nerfs du côté hypertrophié mérite encore
il y a une diminution de moi- tié de la contractilité faradique des
muscles
de l'avant-bras gauche et de la main gauche, pa
uscles de l'avant-bras gauche et de la main gauche, par rapport aux
muscles
correspondants du côté droit. En outre la contr
pas épaissies. Cette anomalie dans la contractilité électrique des
muscles
tient sinon à une-anomalie histologique, du moi
épitations tendineuses ou synoviales ; à la limite d'extension, les
muscles
font saillie comme des cordages tendus, mais c'
ralisée ; synarthroplayse, thèse de Paris, 1900. ' 522 E. APERT
Muscles
et tendons. - Tous les muscles nous ont paru sain
èse de Paris, 1900. ' 522 E. APERT Muscles et tendons. - Tous les
muscles
nous ont paru sains, il n'y avait nulle part d'
(Les), par Henry Meige (3 pl. en photocollogr.), 97. Travail d'un
muscle
{Influence sur le) de l'activité d'autres muscl
97. Travail d'un muscle {Influence sur le) de l'activité d'autres
muscles
, par Cil. Féré (5 Bg.), 432. Trophoedème (Sur
ons de l'odorat, 321. Féré CrI. L'influence sur le travail d'un
muscle
de l'activité d'autres muscles (5 fig.), 432.
CrI. L'influence sur le travail d'un muscle de l'activité d'autres
muscles
(5 fig.), 432. GASNE G. et Courtellemont. Le
lumineux provenant de sa face postérieure, qui vont se perdre dans le
muscle
grand-droit antérieur. De son côté externe (fig.
d'action ? Certes, toutes les fois qu'on rencontre sur le cadavre un
muscle
très-vigoureux, un organe très-développé, on peut
igoureux, un organe très-développé, on peut soutenir hardiment que ce
muscle
, que cet organe jouissaient d'une prédominance d'
as symétriquement placés des deux côtés de la ligne médiane. Les deux
muscles
fessiers étaient réunis sur la ligne médiane, au
cubitus et sa disproportion avec l'humérus h. Examen anatomique des
muscles
, des ligamens, des aponévroses, des cartilages et
tes les parties molles et dures, artères, veines, nerfs, aponévroses,
muscles
, ligamens, cartilages articulaires et os furent d
e cet aspect nacré qui la caractérise. Les nerfs qui se rendaient aux
muscles
étaient extrêmement grêles, on eût dit qu'ils éta
peau et de l'aponévrose jambière, vue par son côté externe. Tous les
muscles
sont passés complètement à l'état graisseux; le j
l'exercice est aussi nécessaire aux tendons et aux aponévroses qu'aux
muscles
. Or l'exercice pour les tendons, c'est la tractio
'exercice pour les tendons, c'est la traction qu'exercent sur eux les
muscles
en contraction ; pour les aponévroses, c'est la d
res ; 6 jumeau interne mince, grêle, mais présentant seul de tous les
muscles
de la jambe la couleur et la texture propres aux
de tous les muscles de la jambe la couleur et la texture propres aux
muscles
; 7 long fléchisseur commun des orteils, et 8 flé
cilité pour ramener le pied dans sa direction normale. D'ailleurs les
muscles
de la plante du pied avaient conservé leur couleu
servé leur couleur naturelle et à peu près leur volume : aucun de ces
muscles
n'avait passé à l'état graisseux, si ce n'est l'a
ng fléchisseur commun des orteils qui avait suivHe sort de ce dernier
muscle
. On voit d'ailleurs sur cette figure, comme sur l
successivement i° les os, i° les ligamens et les aponévroses, 3° les
muscles
. Des os dans le pied-bot. Les os de la jambe so
ités sont en général encroûtées de cartilage de nouvelle formation.
Muscles
. L'atrophie, la transformation graisseuse de tous
tion. Muscles. L'atrophie, la transformation graisseuse de tous les
muscles
de la jambe, et même de r accessoire du fléchisse
de r accessoire du fléchisseur commun, prouvent manifestement que les
muscles
ne sont pour rien dans la déviatioxi, et rm^±^T ~
ent dans l'erreur lorsqu'ils placent dans le défaut d'antagonisme des
muscles
, dans la préaoïuw.™ ™»latiyft. SQ[t or[g[_ nelle,
de toutes ces déviations. Il est vrai qu'ici (planche m, fig. 12) le
muscle
jumeau interne, et quelques fibres du soléaire et
jambe n'exécutait d'autres mouvemens actifs que ceux imprimés par ces
muscles
; mais il est facile de pénétrer pourquoi ces mus
mprimés par ces muscles ; mais il est facile de pénétrer pourquoi ces
muscles
seuls ont échappé à l'atrophie générale. C'est pa
à l'atrophie; car personne n'imaginera, je pense, que l'atrophie des
muscles
soit primitive; il me serait facile de leur oppos
les dissections de pieds-bots d'enfans nouveau-nés, chez lesquels les
muscles
étaient parfaitement naturels. Il suffirait d'ail
e était consécutive. Se pourrait-il cependant qu'il y eût absence des
muscles
de la jambe dans certains cas de pied-bot. On m'a
ive du pied-bot, la rétraction, le raccourcissement ou la tension des
muscles
tibiaux, gastroenémiens, soléaire et fléchisseur
, il n'y a point de luxation, il n'y a point prédominance de certains
muscles
par rapport à d'autres, il n'y a point rétraction
à d'autres, il n'y a point rétraction ou raccourcissement de certains
muscles
et de leurs tendons. Le pied-bot est essentiell
is que le membre a été en partie ramené à sa direction naturelle, les
muscles
rendus à leurs usages accoutumés font alors exécu
AISON. 4 osseuse divisée, à plus forte raison l'action continue des
muscles
extenseurs et fléchisseurs rendue à sa véritable
usculaire, et cette atrophie, ou dégénération graisseuse complète des
muscles
, sans possibilité de retour à la myotilité, serai
ble après une certaine époque; et cette époque me paraît celle où les
muscles
atrophiés sont aptes à ressaisir, si je puis m'ex
au né serait incurable si à cette déviation se joignait l'absence des
muscles
remplacés par du tissu cellulaire adipeux. Une
inférieures du péroné le sont entièrement ; parce que l'atrophie des
muscles
va toujours croissant, et que cette atrophie doit
sseuses se forment, des déformations pins complètes ont lieu, que les
muscles
s'atrophient et deviennent entièrement graisseux.
contre-indiqucnt absolument toute espèce de tentative. L'atrophie des
muscles
en particulier n'est pas une contre-indication. I
s que probable que, si le membre est ramené à une bonne direction, le
muscle
sollicité à la contraction commencera à agir: plu
nt dirigés; et aussitôt que la condition nécessaire de l'existence du
muscle
, l'exercice aura lieu, le muscle, dont la charpen
ndition nécessaire de l'existence du muscle, l'exercice aura lieu, le
muscle
, dont la charpente existe, mais étouffée, si je p
xiste, mais étouffée, si je puis m'exprimer ainsi, par la graisse, le
muscle
reparaîtra. C'est alors que des frictions exercée
ction musculaire et en favorisant la circulation dans l'épaisseur des
muscles
, pourront produire de bons effets. Nous n'avons
rétractent jamais, ils ne le peuvent pas; ce serait tout au plus les
muscles
; or cette rétraction musculaire, qui ne serait qu
si erronées sur le pied-bot, que l'auteur attribue au relâchement des
muscles
et des tendons qui occupent un côté du pied et de
e membrane plaquées de rouge qui tapissaient la face inférieure de ce
muscle
. Ce plaqué rouge était dû à de petites masses de
es organes très-composés se convertissent entièrement en graisse, les
muscles
, le foie, le thymus, etc. H n'est pas rare de ren
ntanées de la peau de la face ou d'autres parties du corps : dans les
muscles
, ce sont des foyers sanguins que j'ai rencontrés
les muscles, ce sont des foyers sanguins que j'ai rencontrés dans les
muscles
du dos chez des épileptiques morts pendant une at
chez des épileptiques morts pendant une attaque, dans les gaines des
muscles
droits qui semblent quelquefois complètement détr
iate, tomel, pag, 388. remplacés par des caillots de sang, dans les
muscles
des mollets, de la cuisse chez les scorbutiques :
n de ses membres. Tous les organes, la peau, le tissu cellulaire, les
muscles
, le cerveau, les poumons, la rate, le foie, le pa
, tissu cellulaire, poumon, plèvre, péricarde, nerfs, os, cartilages,
muscles
. D'une autre part, les parois artérielles sont at
tarda pas à dénuder le sacrum et à s'emparer de la moitié interne des
muscles
grands fessiers. Il mourut le 21 avril, épuisé pr
ières côtes. Cette tumeur soulevait en avant la partie inférieure des
muscles
longs du cou et en arrière la partie correspondan
e des muscles longs du cou et en arrière la partie correspondante des
muscles
spinaux du côté gauche : une semblable tumeur com
mifications du nerf cubital. Un autre avait une paralysie de tous les
muscles
qui meuvent le pied, et s'était donné plusieurs e
enne de la région dorsale, et s'est propagée le long des attaches des
muscles
thoraciques et même à la peau du thorax : le beso
e. D'autres concrétions CL, CL occupent la face profonde du tendon du
muscle
jumeau interne, et revêtent le périoste du condyl
it de petites masses plâtreuses à la face postérieure des tendons des
muscles
extenseurs CS. Sur la face antérieure de la rotul
tière plâtreuse; l'articulation du coude était saine; mais le long du
muscle
biceps, dans l'épaisseur du tissu cellulaire du p
tissu cellulaire du pli du bras, et même dans l'épaisseur de quelques
muscles
j'ai rencontré des masses de concrétions plâtreus
ui formaient les nodosités observées durant la vie. — Les tendons des
muscles
fléchisseurs contenaient dans leur épaisseur beau
ulations costo-transversaires et temporo-maxillaires. Au milieu des
muscles
postérieurs de la cuisse, amas de matière crétacé
uleuse. — A la partie interne de la jambe j entre l'aponévrose et les
muscles
, couche de matière crétacée épaisse de six lignes
s l'épaisseur de ces tendons et de ces ligamens, dans l'épaisseur des
muscles
, sous les aponévroses, sur le périoste ou dans so
iales articulaires, tendineuses et sous-cutanées ; ligamens, tendons,
muscles
, périoste, aponévroses, tissu cellulaire libre qu
pression des nerfs intercostaux, d'une part, doive gêner l'action des
muscles
du même nom, et que, d'une autre part, le trouble
ncore que dans le cas précédent, a été apporté à mon laboratoire. Les
muscles
des gouttières vertébrales enlevés, le thorax ouv
mais bien les parties environnantes, tissu cellulaire, tissu fibreux,
muscles
, 4e. Livraison. Pl. 5. MALADIES DE L'UTÉRUS.
s, le tissu cellulaire libre, le cerveau, jusque dans l'épaisseur des
muscles
; et la rapidité de la formation du pus est telle,
fois la rate, les séreuses, les synoviales, le tissu cellulaire, les
muscles
, le cerveau, etc., en un mot toutes les fractions
plus spécialement dans le foie, la rate, ou bien dans l'épaisseur des
muscles
, les séreuses, etc., jamais dans les reins. Mai
istait qu'en débris et pouvaient être poussés dans tous les sens. Les
muscles
aryténoïdiens, crico-aryténoïdiens et thyro-aryté
*), sous le titre diAtslime mortel produit par la désorganisation des
muscles
dilatateurs de la glotte ; et je m'en applaudis d
ais qu'il faisait en quelque sorte le tour du cartilage cricoïde. Les
muscles
crico-aryté-( noïdiens, disséqués comme ce cartil
r verdâtre. Les cartilages aryténoïdiens « étaient confondus avec les
muscles
indiqués soit latéraux, soit postérieurs. Ces mus
fondus avec les muscles indiqués soit latéraux, soit postérieurs. Ces
muscles
, ainsi que le « tissu cellulaire sous-muqueux et
sis et lardacés, et je ne pus y découvrir « aucune trace de nerfs. Le
muscle
aryténoïdien et ses nerfs étaient au contraire bi
au contraire bien conservés. Ces der-a niers s'épanouissaient dans le
muscle
thyro-aryténoïdien et les lèvres de la glotte. Le
ouillaud attribue la mort du malade à la désorganisation complète des
muscles
dilatateurs de la glotte et de leurs nerfs, tandi
es muscles dilatateurs de la glotte et de leurs nerfs, tandis que ses
muscles
constricteurs jouissaient en apparence de toute l
uatrième jour, toujours même état*, les yeux sont ouverts, fixes; les
muscles
sourciliers contractés : il entend, il répond; to
des mouvemens qui résultent d'un consensus local entre la peau et les
muscles
. Tel était son état lorsqu'il fut transporté à la
chaque fibre, de chaque fibrille. Quel que soit donc le tissu divisé,
muscle
, nerf, cerveau, poumon, foie, etc., la cicatrice
re de l'état du système nerveux ganglionnaire, de même que l'état des
muscles
de la vie de relation est le thermomètre de l'éta
le tissu cellulaire libre, le cerveau et jusque dans l'épaisseur des
muscles
; et la rapidité de la formation du pus est telle
fois la rate, les séreuses, les synoviales, le tissu cellulaire, les
muscles
, le cerveau, etc., en un mot toutes les fractions
plus spécialement dans le foie, la rate, ou bien dans l'épaisseur des
muscles
, dans les cavités séreuses; chose bien singulière
yers de sang, de véritables foyers apoplectiques dans l'épaisseur des
muscles
et du tissu cellulaire. Si l'animal survit, ces f
es changemens de rapports qui ont lieu dans ces divers mouvemens, des
muscles
qui les produisent, en un mot du mécanisme des ar
ts des parties dures et l'état des parties molles, ligamens, tendons,
muscles
, tissu cellulaire, vaisseaux et nerfs, immédiatem
nsversal, que la main est plus renversée en arrière : les tendons des
muscles
« fléchisseurs sont dans une tension considérable
ués et vus de profil du coté radial, comme dans la figure 1. Tous les
muscles
du bras sont atrophiés, mais l'atrophie porte pri
mais l'atrophie porte principalement sur les radiaux et les cubitaux,
muscles
propres de l'articulation du poignet, et sur les
l'articulation du poignet, et sur les pronateurs et les supinateurs,
muscles
propres des articulations radio-cubitales. Cette
ndément échancrée en EC pour recevoir et loger les tendons réunis des
muscles
extenseurs. H y a une sorte de transposition de l
de fibreuse dans l'épaisseur de laquelle sont compris les tendons des
muscles
extenseurs. Cette bride présente tous les attribu
oit la tête TR du radius. Cette coupole m'a paru formée aux dépens du
muscle
anconé et de l'aponévrose si épaisse qui le revêt
tubérosité bicipitale du radius, à laquelle tient encore le tendon du
muscle
biceps. La fig. 5 représente la même articulati
CULATIONS. ( Ânchilose de la mâchoire. ) ou moins considérable du
muscle
brachial antérieur, que le tendon du biceps doit
il en existait à peine des vestiges reconnaissantes à l'insertion des
muscles
sus-épineux, sous-épineux et petit rond d'une par
cette première période, la tunique musculeuse fas-ciculée, comme les
muscles
du squelette, s'hypertrophie et quelquefois à un
vu des foyers de pus dans les viscères, poumons, foie, cerveau, rate,
muscles
, synoviales, sans traces manifestes d'inflammatio
ous devons ranger les inflammations des synoviales, des séreuses, des
muscles
, du tissu cellulaire, est un fait trop général, e
brable de foyers sanguins (foyers apoplectiques) dans l'épaisseur des
muscles
et du tissu cellulaire du membre. Les grosses vei
du membre inférieur étaient injectées de pus. Lorsqu'on divisait les
muscles
, de petits foyers de pus apparaissaient çà et là
suppuration. Toujours des veines saines répondaient à des portions de
muscles
sains^ et des veines malades conduisaient constam
s, du péritoine, des synoviales, du cerveau, du tissu cellulaire, des
muscles
, de la muqueuse gastro-intestinale et bronchique,
ines de divers ordres : ainsi il y avait un très-vaste abcès entre le
muscle
couturier et les adducteurs autour de la veine fé
ommuniquaient avec les veines lacérées existaient dans l'épaisseur du
muscle
soléaire; il me fut facile de suivre toutes les p
émité supérieure. Abcès multiples dans l'épaisseur du deltoïde et des
muscles
qui occupent la région antérieure de l'avant-bras
de ce malade. Un stylet P a été introduit à travers la perforation du
muscle
biceps B produite par les deux chevrotines. La ve
pus épanché autour des veines lacérées; les détails de la coupe de ce
muscle
ont été parfaitement rendus sur cette ligure : le
i confinait l'abcès, et qui était comme plaquée de rouge foncé. Les
muscles
biceps, triceps et brachial antérieur ne m'ont pr
m'ont présenté aucuns foyers purulens. Il n'en était pas de même des
muscles
de l'avant-bras qui en contenaient une multitude
ultiples qu'on rencontre soit dans le tissu cellulaire, soit dans les
muscles
, concurremment avec une phlébite des grosses vein
tiers moyen de la cuisse, et soulevant à cet effet le bord interne du
muscle
couturier, j'éprouvai, pour séparer ce muscle d'a
ffet le bord interne du muscle couturier, j'éprouvai, pour séparer ce
muscle
d'avec le grand adducteur, une très-grande diffic
cherchais à détruire les adhérences morbides qui unissaient ces deux
muscles
, je pénétrai dans un foyer d'où s'échappa un pus
manière bien précise : le foyer était situé au-dessous de la gaine du
muscle
couturier et occupait le tiers moyen de la cuisse
yait des espèces d'embranchement autour des veines articulaires. Le
muscle
soléaire était creusé de huit ou dix abcès de cap
eption, communiquaient avec les veines contenues dans l'épaisseur des
muscles
. Ces veines participaient d'ailleurs au développe
aient autour de la partie supérieure des vaisseaux péroniers entre le
muscle
soléaire et le ligament inter-osseux. Le stylet i
aladie. La plaie se dessèche et se couvre d'une couenne grisâtre. Les
muscles
se rétractent. Le malade n'éprouve aucune douleur
s personnes pour maintenir le malade dans la situation verticale. Les
muscles
de la face se contractaient spasmodiquement ; l'a
ions chirurgicales,la pleurésie, l'inflammation des synoviales et des
muscles
, l'entérite, l'œdème douloureux , l'érysypèle amb
mitivement affectées, elle n'échappera pas enfin à l'inflammation des
muscles
et à celle des synoviales. Il semble qu'un levain
t placés sous le péritoine. Ils së portent de bas en haut, le long du
muscle
psoas, au-devant de la veine ovarique et de l'ure
D'une autre part, les abcès dans le foie, dans les poumons, dans les
muscles
, la suppuration des synoviales, etc., qu'on obser
itonéal, avec une pleurésie simple ou double, avec l'inflammation des
muscles
et des synoviales, sans jeter un nouveau jour sur
p d'efforts ; langue blanche , visqueuse ; crampes rares, bornées aux
muscles
du pied et de la jambe; refroidissement léger de
paru nullement mesurée sur ce symptôme. Les crampes débutent dans les
muscles
des pieds, et s'étendent plus ou moins rapidement
au moindre mouvement, ou même sans mouvement, non seulement dans les
muscles
des extrémités, mais encore dans ceux du tronc, d
les muscles des extrémités, mais encore dans ceux du tronc, dans les
muscles
droits et obliques de l'abdomen, dans le diaphrag
l'excessive douleur qu'elles déterminent, soit par leur extension aux
muscles
de la respiration. L'emphysème sous-muqueux est-i
reuses, qui parcourent successivement les extrémités inférieures, les
muscles
droits de l'abdomen, le deltoïde. Je n'ai jamais
le deltoïde. Je n'ai jamais vu de crampes aussi fortes que celles du
muscle
droit du côté gauche. Les intersections aponévrot
ême que cette similitude a donné lieu à de déplorables erreurs. Les
muscles
sont dans un état de rigidité, telle, que je l'ai
pourprées sur la muqueuse intestinale. Hydro-thorax à droite : les
muscles
des extrémités inférieures, et en général tous le
oite : les muscles des extrémités inférieures, et en général tous les
muscles
étaient parsemés de taches de sang, qui contrasta
part ces macules n'étaient plus multipliées que dans l'épaisseur des
muscles
masséter et temporal. Le péricrâne présentait d
. Canal alimentaire sain ; quelques ecchymoses dans l'épaisseur des
muscles
gastro-cnémiens ; elles sont en bien plus grand n
uscles gastro-cnémiens ; elles sont en bien plus grand nombre dans le
muscle
masséter et sur-tout dans le muscle temporal. P
en bien plus grand nombre dans le muscle masséter et sur-tout dans le
muscle
temporal. Poumons sains. Le placenta présente
ue à l'extérieur. Pour la mettre à découvert, il a suffi d'enlever le
muscle
pectine : derrière ce muscle était une lame aponé
tre à découvert, il a suffi d'enlever le muscle pectine : derrière ce
muscle
était une lame aponévrotique, très ténue, à trave
externe et antérieur, le nerf en avant, les vaisseaux en arrière: le
muscle
obturateur externe ayant été divisé, j'ai vu que
que la partie la plus considérable de la tumeur était située entre le
muscle
et l'aponévrose du trou sous-pubien. Une espèce d
récède, l'intestin doit s'engager entre la membrane obturatrice et le
muscle
obturateur externe avant de s'échapper par l'orif
ntestin déplacé se trouvât contenu en entier entre l'aponévrose et le
muscle
. La lame aponévrotique qui recouvre la hernie e
ernie et qui n'est autre chose que la lame postérieure de la gaine du
muscle
pectine, maintient la tumeur fortement appli- X
ntient la tumeur fortement appli- XVe LIVRAISON. 1 quée contre le
muscle
obturateur externe, en sorte que cette tumeur doi
n accroissement par en bas. La situation de la tumeur au-dessous du
muscle
pectine, ses rapports avec le nerf et les vaissea
issu cellulaire et l'aponévrose fémorale , le long du bord interne du
muscle
pectine, dans la ligne celluleuse qui la sépare d
sépare du bord externe de l'adducteur superficiel. i° A soulever le
muscle
pectine , ce qui serait facile en maintenant la c
être fait en plusieurs temps; dans le premier temps, on inciserait le
muscle
obturateur externe, et on s'assurerait si une por
on s'assurerait si une portion de la tumeur n'est pas logée entre le
muscle
et la membrane sous-pubienne ; dans un second tem
brane sous-pubienne ; et dans un troisième; l'arcade aponévrotique du
muscle
obturateur interne. 16e. Livraison. Pl. Ière
peau et une lame fibreuse très mince qui les séparait de la gaine des
muscles
droits. Cette lame était évidemment le fascia sup
les autres communiquaient avec les veines épigastriques à travers le
muscle
droit. J'ai trouvé une très large communication d
s veines occupent le tissu cellulaire sous-cutané et sont séparées du
muscle
droit par les couches les plus profondes d'une la
tension de l'abdomen, manifestement dues à la contraction de tous les
muscles
. Renversement du tronc et delà tète en arrière.
du tronc et delà tète en arrière. Rien de particulier dans l'état des
muscles
de la face (1) Observation et pièce pathologiqu
me parait nullement prouver l'influence des lobes antérieurs sur les
muscles
extenseurs, lesquels ne contrebalanceraient plus
par la résistance qu'opposaient et les ligaments articulaires et les
muscles
fléchisseurs rétractés. 17e. Livraison. Pl. 2.
ique que dans quelques jours. 17e. Livraison. Pl. 3. MALADIES DES
MUSCLES
. MALADIES DES MUSCLES. (XVIIe livr., pl. III.
ours. 17e. Livraison. Pl. 3. MALADIES DES MUSCLES. MALADIES DES
MUSCLES
. (XVIIe livr., pl. III.) Apoplexie musculaire
DES MUSCLES. (XVIIe livr., pl. III.) Apoplexie musculaire. Les
muscles
sont exposés à toutes les altérations de tissu qu
ibres musculaires sont d'une fragilité extrêmement remarquable. Les
muscles
de la vie de relation ne sont pas à l'abri de sem
le scorbut, des foyers sanguins se former spontanément au milieu des
muscles
déchirés. Les muscles grands droits de l'abdomen
s sanguins se former spontanément au milieu des muscles déchirés. Les
muscles
grands droits de l'abdomen m'ont paru sur-tout ex
t appliquées : la malade succomba. A l'ouverture, je trouvai les deux
muscles
droits remplacés par des caillots sanguins, excep
s remplacés par des caillots sanguins, excepté dans la portion de ces
muscles
qui répond au thorax :1a gaine aponévrotique étai
ux. Vingt-neuf tumeurs sanguines furent trouvées dans l'épaisseur des
muscles
, les unes formées par du sang noir en partie coag
plusieurs autres à la fois, et à l'ouverture du corps, on trouve des
muscles
infiltrés de pus et décollés, les synoviales arti
tré jusqu'à l'évidence cette proposition, que les foyers sanguins des
muscles
sont dus a une phlébite à l'aide d'injections irr
nimaux qui ont succombé dans les premiers jours, j'ai trouvé tous les
muscles
du membre inférieur parsemés de foyers sanguins f
u, j'ai trouvé, au bout d'un mois, deux mois, dans l'épaisseur de ces
muscles
, des cicatrices tout-à-fait semblables à celles q
tout-à-fait semblables à celles qu'on rencontre dans le cerveau : les
muscles
qui avaient été seulement infiltrés de sang et no
CATION DE LA FIGURE lre. G P,grand pectoral d'un individu, dans les
muscles
duquel on trouve un grand nombre de foyers sangui
des parois de quelques-unes de ces figures F A , F'A'. MALADIES DES
MUSCLES
( XVIIe livr., pl. III. ) Inflammation puerpé
DES MUSCLES ( XVIIe livr., pl. III. ) Inflammation puerpérale des
Muscles
et des Synoviales, ou Rhumatisme puerpéral. On
nom de rhumatisme, toutes les douleurs, toutes les inflammations des
muscles
et des articulations qui surviennent spontanément
dite), soit dans les nerfs musculaires, lorsque la douleur occupe les
muscles
eux-mêmes (névralgie musculaire), soit dans les n
ismale musculaire est dans le tissu cellulaire séreux qui entoure les
muscles
comme dans une gaine, et dans celui qui les pénèt
ations tarsiennes étaient remplies de pus. Les gaines tendineuses des
muscles
fléchisseur commun, fléchisseur propre et jambier
lection de pus dans l'épaisseur de la cuisse et delà jambe, entre les
muscles
et l'os ; mais je n'avais pas la certitude que l'
e-même compromise. Il y avait en effet une vaste collection entre les
muscles
et le fémur qui était encore revêtu de son périos
collections, l'une entre les jumeaux et le soléaire, l'autre sous le
muscle
soléaire. Ce pus était épais, un peu fétide, pars
cter exclusivement le tissu cellulaire qui constitue autour de chaque
muscle
comme une atmosphère celluleuse, les muscles étan
onstitue autour de chaque muscle comme une atmosphère celluleuse, les
muscles
étant parfaitement intacts. Je me rappellerai tou
ellulaire de toute la cuisse avait été envahi par la suppuration: les
muscles
avaient été comme disséqués : le fémur privé de s
Deux abcès dans Vépaisseur de la jambe. Un abcès dans l'épaisseur du
muscle
extenseur commun des doigts. Benoit (Esther) bl
dehors de la jambe. Un autre abcès se développe dans l'épaisseur des
muscles
de la région postérieure de l'avant-bras. D'une a
moindre résidu. Le pus avait fusé en avant le long des tendons et des
muscles
de l'avant-bras. Plusieurs abcès existaient dans
cles de l'avant-bras. Plusieurs abcès existaient dans l'épaisseur des
muscles
des éminences thénar et hypothénar. La fluctuat
eure de l'avant-bras était due à un abcès qui occupait l'épaisseur du
muscle
extenseur commun des doigts. C'est cet abcès bien
s ? EXPLICATION ues FIGURES 2, 3, 5'et 4. La fig. 2 représente le
muscle
soléaire d'une femme qui a succombé au rhumatisme
ation datait de deux jours, les nuances de coloration que présente le
muscle
depuis sa partie supérieure, qui est infiltrée de
, indiquent les degrés divers auxquels les différentes portions de ce
muscle
ont participé à l'inflammation. La couche de ti
tait également infiltrée de pus. Les fig. 3, et 3', représentent le
muscle
extenseur des doigts de la malade qui fait le suj
poumons sont remplis d'air, et exercent une certaine pression sur le
muscle
, on concevra la rareté des hernies à travers le d
ultat de l'affaiblissement dè la jambe dont les ligaments actifs (les
muscles
) ne jouissant plus de leur contractilité n'avaien
issus celluleux, fibreux, cartilagineux et osseux. Jamais un nerf, un
muscle
, et à plus forte raison un bulbe dentaire ne se
stance et sa couleur. Aux membres, la peau distincte recouvrait des
muscles
distincts, au centre desquels se voyaient les os.
vec peine trois pieds, et deux bras dans ee fœtus. Les téguments, les
muscles
, tous les membres, en un mot toutes les parties e
transformation en un tissu d'apparence musculaire, et doué, comme les
muscles
, de la con-tractilité. Que si on m'objecte que la
ette coloration , que ce soit dans le cerveau, dans le foie, dans les
muscles
, on peut affirmer qu'il y a eu préalablement foye
ières côtes. Cette tumeur soulevait en avant la partie inférieure des
muscles
longs du col, et en arrière la partie corresponda
des muscles longs du col, et en arrière la partie correspondante des
muscles
spinaux du côté gauche; une semblable tumeur comm
tion insolite pourra amener la déchirure de l'organe à la manière des
muscles
des membres inférieurs des scorbutiques qui se ro
tronc courbé en avant; les cuisses fléchies sous le ventre; tous les
muscles
sont dans un état de contraction tonique. Si l'on
et très fréquent. Le soir, contraction et relâchement alternatifs des
muscles
des membres ; roulement des yeux dans leurs orbit
plète du sentiment et sur la rigidité légère du grand pectoral et des
muscles
des membres thoraciques. Je me fondais aussi sur
congéniale d: 'à, rectum ouvert dans la vessie. Examen anatomique des
muscles
, des ligai, 5, dès aponévroses, des cartilages et
. ....... Maladies des os, cancers.................. Maladies des
muscles
, apoplexie musculaire. Considérations et observat
re. Considérations et observations. —¦— inflammation puerpérale des
muscles
et des synoviales, ou rhumatisme puerpéral. Réfex
la lésion cérébrale et certaines dispositions individuelles. Que le
muscle
frontal du côté paralysé dans le plus grand nom
d'hémiplégie soit lésé, cela n'est pas douteux. La paralysie de ce
muscle
se traduit par le degré divers de rugosité des
des deux sourcils pendant le repos et pendant la contraction des
muscles
frontaux. Si le muscle est en contracture la peau
dant le repos et pendant la contraction des muscles frontaux. Si le
muscle
est en contracture la peau du front de ce côté
USE. fermeture synergique volontaire et réflexe des deux yeux, le
muscle
orbiculaire de la partie paralysée se montre flas
on rencontre chez les individus non hé- miplégiques. La parésie des
muscles
innervés par le frontal supérieur ne manque pou
plus récent Pugliese confirme ses recherches anté- rieures : « Les
muscles
supérieurs de la face participent d'or- dinaire
ieurs de la face participent d'or- dinaire à l'hémiplégie comme les
muscles
inférieurs, mais dans une plus légère mesure. U
certain degré de parésie ne, manque pour ainsi dire jamais dans ces
muscles
, spéciale- ment dans ces cas d'hémiplégie où le
s dans ces muscles, spéciale- ment dans ces cas d'hémiplégie où les
muscles
inférieurs de la face et ceux de la langue sont
supérieur confirment la loi qui règle laparticipation des divers
muscles
dans l'hémiplégie : dans l'hémiplégie les muscles
pation des divers muscles dans l'hémiplégie : dans l'hémiplégie les
muscles
sont d'autant plus affectés, qu'ils jouissent à
quent l'orbiculaire des paupières du côté paralysé, considéré comme
muscle
à mou- vement synergique, est parésie, considér
mou- vement synergique, est parésie, considéré au contraire comme
muscle
à mouvement dissocié, il est paralysé. » Telles s
aut user d'artifice. Longtemps il fut admis dans la science que les
muscles
du tronc étaient respectés dans l'hémiplégie. A
it qu'ils sont atteints, mais à un degré beaucoup moindre que les
muscles
des membres. Pour dévoiler cette paralysie late
, l'état parétique n'est donc pas niable, et cependant il s'agit de
muscles
jouissant uniquement des mouvements synergiques
ogressive ou au contraire par saccades ? Quand le malade laisse ses
muscles
frontaux au repos ou s'il contracte les muscles
e malade laisse ses muscles frontaux au repos ou s'il contracte les
muscles
du facial su- périeur des deux côtés on peut, e
sse brusque, se rendre compte de l'état de tonicité et de force des
muscles
des deux côtés et noter parfois des différences
le droit, il traîne en arrière el s'élève par secousses. Quand les
muscles
des sourcils sont contractés L'ÉTAT DU FACIAL
e est déviée à droite. Le malade ne peut siffler. Quand il rit, les
muscles
de lajoue droite se contractent brusque- ment e
e au repos est déviée vers la droite. Secousses brus- ques dans les
muscles
du côté gauche quand le malade parle ou rit. Le
nférieur. Quand le facial inférieur est presque respecté, quand les
muscles
innervés par ce nerf jouissent presque de l'int
rale bien connue de Broadbent et et Charcot : dans l'hémiplégie les
muscles
des mouvements associés sont affectés à un degr
ements associés sont affectés à un degré beaucoup moindre que les
muscles
à mouvements asyuergiques. Les muscles innervés
gré beaucoup moindre que les muscles à mouvements asyuergiques. Les
muscles
innervés par le facial supérieur sont des muscl
asyuergiques. Les muscles innervés par le facial supérieur sont des
muscles
essentiellement synergiques. Pour la plupart de
euvent-ils exécuter ce mouvement. Rien d'étonnant donc à ce que les
muscles
du facial supérieur soient relativement respect
t relativement respectés dans l'hémi- plégie, au même titre que les
muscles
du tronc par exemple. Pour tous ces muscles la
, au même titre que les muscles du tronc par exemple. Pour tous ces
muscles
la paralysie existe, mais atténuée et pour ains
phénomène absolument iden- tique à celui que l'on observe dans les
muscles
du tronc du côté paralysé. Pour mieux mettre
é sur son congénère et la différence d'amplitude des mouvements des
muscles
des deux côtés. Quand les sourcils sont au repo
mpte de leur état de tension, on reconnaît que du côté paralysé les
muscles
sont flasques, moins tendus, moins résistants (
érieur doit son intégrité apparente à la synergie fonctionnelle des
muscles
qu'il innerve. Quel trajet suivent les fibres d
r était nettement paralysé, la langue était déviée. La motilité des
muscles
des sourcils et du front était nettement altéré
ême de l'orbiculaire : « De même que dans la paralysie radiale, les
muscles
fléchisseurs, innervés par le médian, se contra
fléchissent le poignet ; il est impossible de comprendre comment un
muscle
releveur de la paupière, privé de son antagonis
paralyse du même coup toute la moitié du corps ; complè- tement les
muscles
des membres dont les mouvements sont asynergiqu
asyner- giques, très incomplètement le facial supérieur comme les
muscles
du tronc dont les mouvements sont essentiellement
t et Charcot, qui veut que l'hémiplégie respecte relati- vement les
muscles
à mouvements associés. D'autres symp- tômes fon
que l'orbiculaire. Le moteur oculaire commun ne présente qu'un seul
muscle
dont les mouvements ne soient pas absolument sy
gard morne, éteint, sans expression et vivacité, le front ridé; les
muscles
sourciliers se désinent et proéminent, leur réu
'agi- tations impulsives. Etat physique. Constitution faible, les
muscles
les os et les téguments à l'état normal, peu dé
l n'y a pas de tremblements aux lèvres, ni de contractions dans les
muscles
de la face. Les membres supérieurs ne présenten
ure est congestionnée. Il n'existe pas de troubles moteurs dans les
muscles
de la face et de la langue. 44 if PATHOLOGIE
és ont consisté en une paralysie complète du voile du palais et des
muscles
du pharynx ; une parésie du diaphragme s'accomp
arésie du diaphragme s'accompagnant de mou- vements ataxiques de ce
muscle
, et produisant une gêne notable de la respirati
r l'hypotonie et d'en mesurer le degré pour une série de groupes de
muscles
(extenseur de la jambe, adducteurs de la cuisse
groupes de muscles (extenseur de la jambe, adducteurs de la cuisse,
muscles
des membres supérieurs, muscu- lature du ventre
n'est pas nécessairement liée à la mollesse ou à la flaccidité des
muscles
. L'existence de ce phéno- mène peut rendre la d
s anormale qu'elle imprime aux membres. L'état pseudo-parétique des
muscles
hypotoniques pourrait peut-être expliquer certa
quer certains troubles ocu- laires (paralysie apparente de certains
muscles
de 1'0-,il avec inté- grité absolue ou à ou à p
l avec inté- grité absolue ou à ou à peu près complète de ces mêmes
muscles
), ou laryngés (paralysie des cordes vocales ave
qu'on ne rencontre pas le signe de Ber- natzlii. L'insensibilité du
muscle
à la compression, entre les doigts, Archives, 2
s fugaces, iudoleutes et sans effet moteur, qui parcourent tous les
muscles
du corps ; le plus habituel- lement le malade n
rilles, soit parmi les gros faisceaux, soit dans toute la masse des
muscles
épargnés par le plomb, et pour cette raison han
nte du jeu de la contrac- tihté musculaire disséminée. L'examen des
muscles
atteints par le plomb fournit : inexcitabilité
, biceps, extenseurs ; inexcitabilité galvanique des supinateurs et
muscles
de l'éminence thénar. Dans les deux triceps on
s des accidents myokymiques, leur ressemblance avec les allures des
muscles
dans le cours de l'atrophie musculaire spinale
sibilité n'est encore que faible, l'exagé- ration de la tension des
muscles
lui sert d'indicateur, les yeux fer- més, et lu
té des globes des yeux. Depuis ce temps l'affection paralytique des
muscles
oculaires a augmenté progressivement jusqu'au d
ier. L'opération fut pratiquée en détachant le bout périphérique du
muscle
releveur de la paupière et en le fixant par des
eleveur de la paupière et en le fixant par des sutures de catgut au
muscle
frontal. Dans le cas premièrement opéré, on a o
le des deux côtés, sans images doubles, et enfin vu le fait que les
muscles
oculaires intérieurs sont intacts, l'auteur reg
use directe, mais en accentuant la fragilité native qui faisait des
muscles
et du système nerveux de cet homme un locus min
es, trois réactions différentes : 1° Une réaction motrice, dans les
muscles
desservis parle nerf : flexion des premières ph
on du pouce, et mouvements du petit doigt dépendant de l'action des
muscles
de l'éminence hypothénar ; , 2° Une réaction
rs extrêmement variables qui se passent tanlôt dans le domaine d'un
muscle
, tantôt dans un autre, et dont l'unique cause e
e la constipation. La vessie est énormément dilatée par paresse des
muscles
vésicaux; on retire par la sonde un litre et de
al a donné quelques résultats, mais elle ne suffit pas, puisque les
muscles
mêmes qu'elle anime reçoivent des branches du p
us cervical. D'autre part, l'innervation individuelle de chacun des
muscles
du cou est extrêmement complexe, les données de
onc ; 2° la position exacte de la tête déterminée par le groupe des
muscles
innervés par chacune de ces racines prise indiv
lement ; 3° dans combien de ces racines se trouve représenté chaque
muscle
pris isolément ; 4° quels sont les muscles repr
trouve représenté chaque muscle pris isolément ; 4° quels sont les
muscles
représentés dans chaque racine prise a part. Mê
le lui-même, ne fût-ce que pour une seule de ces questions ; chaque
muscle
exige à lui seul tout un tableau. Mais les conc
es conclusions générales ne sont pas sans intérêt. Comme pour les
muscles
des membres un segment seulement (longitudinal ou
es membres un segment seulement (longitudinal ou latéral) d'un même
muscle
répond à l'excitation d'une racine, par exemple
la C,, le moyen à la G", l'infé- rieur à la C1". A l'exception des
muscles
très petits comme les droits et obliques de la
s muscles très petits comme les droits et obliques de la tête, tout
muscle
est commandé par plu- sieurs racines. Les racin
e racine, le mouvement d'abord aboli se rétablit rapidement dans un
muscle
correspondant, ce qui suggère 152 REVUE D'ANA
s hypothèses : la cellule corticale commandant les mouvements de ce
muscle
lui envoie son influx par l'intermé- diaire de
ois rétablie dans son activité cette cellule transmet ses ordres au
muscle
par les racines restées intactes dont celui-ci
oteur, distribuée avant la section radiculaire à toute l'étendue du
muscle
, se porte main- tenant-tout entière sur la port
due du muscle, se porte main- tenant-tout entière sur la portion du
muscle
restée en relation avec ce centrefce qui établi
e centrefce qui établit une compensation. Ou encore, la par- tie du
muscle
qui seule reste excitable aux influx des centres
niquement de proche en proche les fibres de la partie énervée de ce
muscle
. F. BOISSIER. XII. Pseudo-appendicites et aff
tc.; de même des névralgies intercostales amenant la contraction du
muscle
pectoral simulent des tumeurs du sein par exemp
e de trente-neuf ans qui présenta d'abord de la faiblesse dans 'les
muscles
de l'épaule, puis de la paralysie et de l'atrop
les de l'épaule, puis de la paralysie et de l'atrophie de ces mêmes
muscles
; ensuite apparurent la thermo-auesthésie, des t
e. L'auteur se décida à sectionner les nerfs du groupe gauche des
muscles
occipitaux. L'incision fut faite en arrière du bo
qui amena peu d'amélioration ; l'attention ayant été portée sur les
muscles
de l'autre côté, ceux-ci furent massés complète
ration (section de l'accessoire du spinal), et grâce au massage des
muscles
de l'autre côté l'amélioration se manifesta. De
10 dans le trai- tement des torticolis spasmodiques deux sortes de
muscles
doivent être traitées, d'un côté le sterno-mast
ivent être traitées, d'un côté le sterno-mastoïdien, de l'autre les
muscles
occipitaux ; 2° le traitement médical, qui dans
sévance et il peut être utile de sectionner les nerfs innervant ces
muscles
. A. Vicounoux. XXIV. Hérédité et circoncision ;
tion, mais sur l'état de l'excitabilité électrique des nerfs et des
muscles
; la réaction de dégénérescence, même partielle
ts : provoca- tion de mouvements fibrillaires par la percussion des
muscles
para- lysés, retard et diminution de la sudatio
de dans les jambes. Exagération des réflexes rotuliens. Parésie des
muscles
obliques supérieurs droits. II. Michel S... (5"
résie de la mimique asy- métrique, exagérée. Rire niais. Parésie du
muscle
droit interne (oculaire) des deux côtés. Maladr
gérée, secousses cloniques choréiformes, de courte durée dans les
muscles
inférieurs de la face ; contractions intentionnel
scles inférieurs de la face ; contractions intentionnelles dans les
muscles
supérieurs de la face. Parole irrégulière, par
liens, clonus des pieds. Plantes voûtées. Hypertrophie vraie des
muscles
des cuisses et des jambes. Parésie du muscle droi
ypertrophie vraie des muscles des cuisses et des jambes. Parésie du
muscle
droit ocu- laire interne et du côté droit. Hémi
euse héréditaire. Particularités familiales du cas : 1° Parésie des
muscles
droits oculaires internes (obs. Il et III) et d
arésie des muscles droits oculaires internes (obs. Il et III) et du
muscle
oblique supérieur (obs. I) (dans les observatio
précédentes des auteurs on notait plus souvent la participation du
muscle
droit externe) ; 2° hyper- trophie vraie des mu
articipation du muscle droit externe) ; 2° hyper- trophie vraie des
muscles
des membres inférieurs, par suite d'un exercice
se, vu l'absence de tout autre facteur étio- logique plausible. Les
muscles
des membres inférieurs présen- taient le tablea
ement, ou perversion des sphères de la volition; ce ne sont pas les
muscles
qui n'obéissent pas à la volonté, c'est la volo
inférieurs, envahit le tronc puis les membres supérieurs, enfin les
muscles
de la res- piration. La paralysie fut complèt
xe féminin. R. C. XXXVI. Sur une variété de paralysie associée du
muscle
grand- dentelé (grand-dentelé et trapèze scapul
: 1° Il existe une variété particulière de paralysie associée du
muscle
grand-dentelé et du trapèze scapulaire (portion m
des paralysies du grand-dentelé; 2° le trapèze scapulaire forme un
muscle
distinct anatomiquement, physiologiquement et pat
synergique du grand-dentelé. La synergie fonctionnelle de ces deux
muscles
explique probablement leur solidarité pathologi
pière et de l'oeil. L'auteur se rallie à l'hypo- thèse du spasme du
muscle
de Muller (non strié et innervé par le sympathi
n complète des symptômes moteurs, sauf un léger affaiblissement des
muscles
masticateurs, de la langue et une légère parési
eresthésie droite. Aucune lésion des sphincters. Pas de lésions des
muscles
de l'oeil. Accès de rire forcé. 5° Artériosclér
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. osseuses dans le tissu conjonctif des
muscles
, dans les tendons, les aponévroses, les ligamen
upérieure du dos; 9° elle détermine secondairement l'atro- phie des
muscles
; elle ankylose les articulations dont la positio
ylose les articulations dont la position est régie par l'action des
muscles
les premiers atteints; 10° il est des muscles q
égie par l'action des muscles les premiers atteints; 10° il est des
muscles
qui sont très fréquemment envahis par les ossific
rement (paroi abdominale), quelques-uns le sont exceptionnellement (
muscles
de la mimique, du pharynx, etc.), enfin il en e
s spasmes aux deux deltoïdes et discordance des contractions de ces
muscles
, produisant les craquements arti- culaires. R.
eil gauche, parésie faciale inférieure du même côté. Atrophie dés
muscles
du thénar et de l'hypothénar et de l'avant-bras d
e. L'autopsie montre une véritable destruction d'un grand nombre de
muscles
; les grands pectoraux, les biceps, les brachia
térieurs, etc., sont réduits à quelques tractus aponévrotiques; les
muscles
super- ficiels sont amaigris. Les racines nerve
acines nerveuses et les prolongements périphériques jusque dans les
muscles
atrophiés, les tissus cérébral et médullaire on
EUSE. 361 l'attention (distribution particulière de l'affection des
muscles
des globes oculaires atteignant les droits inte
t d'un homme de quarante-deux ans qui était atteint d'un spasme des
muscles
sterno-mastoïdien et trapèze du côté droit. Tou
le à obtenir, à n'importe quel moment, en s'isolant, en plaçant ses
muscles
dans un relâchement aussi com- plet que possibl
on au 50. Chose remar- quable, l'amélioration porte surtout sur les
muscles
les plus gra- vement atteints. La coexistence
d on saisissait cette dernière et qu'on la secouait. Peu à peu, les
muscles
de la partie antérieure de la cuisse furent pri
ons pour que les ongles ne produisissent pas d'ulcé- rations. Les
muscles
de la partie antérieure du bras se prirent à leur
lade, qui restait sur un fauteuil, fut obligée de s'aliter, car les
muscles
du tronc furent atteints à leur tour. 11 ? ..
que nous le disons, rester dans la position horizontale. Enfin, les
muscles
du cou furent atteints ; cela est, on le sait,
ouvements opposés pendant l'expiration). Il y avait donc parésie du
muscle
et non paralysie. Bien entendu, il y eut atroph
lcoolisme : ainsi le steppage, l'amyotrophie, la paralysie d'un des
muscles
du globe oculaire, les troubles psychiques. -To
ieure aiguë.et la névrite, 394 SOCIÉTÉS SAVANTES. car aucun des
muscles
atteints ne recouvra sa motilité volontaire. Da
out une diminution de la force musculaire avec atrophie de certains
muscles
; en outre, attitude du pied en équin, douleurs
supérieurs ; 4° En outre le cervelet se trouve en rapport avec les
muscles
de la peau ; 5° Les mouvements oculaires se tro
ible de siffler. La force des membres supérieurs est affaiblie. Les
muscles
pectoraux sont atrophiés, de même qu'on remarqu
ules et des bras, surtout en ce qui concerne les biceps. Les petits
muscles
de la main fonctionnent assez bien. Parmi les mus
rmi les mus- cles du tronc on constate surtout une hypertrophie des
muscles
infraspinaux, long dorsal et sacro-lombaires. E
ong dorsal et sacro-lombaires. Encore plus hyper- trophiés sont les
muscles
fessiers et ceux de la cuisse, surtout le vaste
VANTES. 413 produisent l'impression des tumeurs. A la palpation les
muscles
sont d'une consistance molle, graisseuse. Le di
e dégénération graisseuse très prononcée des fibres musculaires des
muscles
: biceps, fléchis- seurs de l'avant-bras, fessi
erplasie du tissu connectif intra- fasciculaire. Dans les fibres du
muscle
cardiaque, on constate en partie les phénomènes
oeil ; la pupille gauche est plus large que la droite. Atrophie des
muscles
du mollet. Abolition des réflexes cutanés, crém
areil de l'articulation, c'esl-ïl-dire dans les cordes vocales, les
muscles
des lèvres et de la langue. Ces contractions pe
doigts, les main ? les avant-bras ; pendant la nuit, elle gagne les
muscles
des deu e épaules puis des deux bras. Au niveau
rieurs, la sensibilité au contact et à la douleur est diminuée. Les
muscles
du cou, de la nuque et du tronc ne sont pris qu
sa tête presque droite, jusqu'alors elle se balançait inerte ; les
muscles
du cou n'étaient pas capables delà soutenir. Pa
le- ment marqué. Le côté gauche de la face est asymétrique et les
muscles
correspondants sont le siège d'une légère atrophi
i- bilité diminuée aux membres inférieurs. La paralysie gagne les
muscles
du cou et de la nuque : déglutition difficile, vo
voix affaiblie, soufflée, contraction difficultueuse, pénible, des
muscles
inspirateurs avec tirage, gêne croissante de la
de réflexe moteur et de créer une association synergique entre les
muscles
qui concou- rent au rire automatique. Cela s'ob
tier, 362. Gawn nenEl.i. Sur une variété de paralysie associée du
muscle
- , par Souques et Duvai, 317. HÉMiANOPSiE. U
ains points laissés dans l'ombre. Pour n'en citer qu'un, l'état des
muscles
, en dehors de l'atrophie imputable à la névrite
très fré- quemment d'une contracture marquée d'un ou de plusieurs
muscles
. Or, depuis qu'on a pris l'habitude de recherch
tes liées à une inégalité de développement et de fonctionnement des
muscles
rachidiens. Aussi, la' dé- signation de scolios
adoptée. Elle est concise et suffisamment expli- cite. Or, si les
muscles
rachidiens du côté sain l'em- portent sur les m
Or, si les muscles rachidiens du côté sain l'em- portent sur les
muscles
du côté malade chez l'indi- vidu qui souffre d'
ue de trois ordres de causes. Ou bien il s'agit d'une paralysie des
muscles
du côté malade, ou bien les muscles sains sont
n il s'agit d'une paralysie des muscles du côté malade, ou bien les
muscles
sains sont dans un état de tonicité exagérée, e
ière hypothèse est inadmissible. Il est facile de s'assurer que les
muscles
du côté malade ne sont pas paralysés. C'est plu
e du nerf scia- tique détermine une contracture dans un groupe du
muscles
indépendants de ce nerf. On ne pourrait in- voq
dans les névralgies SCIA'l'1(;UI·;S. 13 contracture occuperait les
muscles
innervés par le sciatique ; en réalité, c'est l
iatique ; en réalité, c'est le plus souvent un relâ- chement de ces
muscles
qu'on constate dans la scia- tique ordinaire.-
en admettant, à l'extrême rigueur, qu'une contracture réflexe des
muscles
-du tronc puisse être déterminée par une scia-
emière et la plus importante est évidemment l'action permanente des
muscles
latéraux du tronc du côté sain. Nous avons dit
st guérie. Dans ces conditions, il n'est pas étonnant que les seuls
muscles
du côté sain, agissant àl'exclu- sion des muscl
t que les seuls muscles du côté sain, agissant àl'exclu- sion des
muscles
homologues du côté malade, arrivent rapidement
e cause, et non des moins efficaces, con- siste dans l'atrophie des
muscles
du côté immobilisé. L'atrophie musculaire à la
éterminent l'atro- phie musculaire arthropathique. Tandis que les
muscles
du côté malade s'atrophient, ceux du côté sain,
nie de la déviation du tronc, M. Babinski admet l'hypothèse que les
muscles
du côté sain con- tractent entre eux des adhére
TION. - Névrite sciatique avec légère contracture spasmo- dique des
muscles
du membre inférieur.- Déformation du tronc. Inc
bandonne complètement, en évi- tant toute contraction active de ses
muscles
, on peut faire exé- cuter à la jambe et à la cu
droit (fg. 46). Le pli fessier est abaissé, presque effacé. Les
muscles
fessiers ont perdu leur tonicité, ce qui contra
ssiers ont perdu leur tonicité, ce qui contraste avec le spasme des
muscles
postérieurs de la cuisse. - Malgré l'abaissem
paraît affaissée. Mais ce n'est pas le fait d'un état parétique des
muscles
, car les masses musculaires, toutes endolories, o
ère de distribution du nerf scia- tique, et étendue même à d'autres
muscles
non tri- butaires du nerf sciatique proprement
'état spasmodique était caractérisé par une raideur douloureuse des
muscles
entraînant l'attitude décrite, par l'exagératio
eront atteints, lorsqu'elle affectera le caractère spasmodique. Les
muscles
cor- respondant aux points douloureux lombaire
naison de la colonne vertébrale vers le côté sain, puisque tous les
muscles
de l'intervalle costo- illiaque du côté malade
seulement les sciatiques dans lesquelles le spasme s'étend à des
muscles
innervés par des branches du plexus lom- baire.
évoluer sans qu'il se manifeste aucun phénomène morbide dans les
muscles
innervés par le sciatique malade. Mais dans les
e plus souvent ces contractures n'occupent qu'un petit nombre des
muscles
innervés par le sciatique ; elles peuvent ce- 3
envahir tout le territoire de ce nerf, et même s'étendre à certains
muscles
du plexus lombaire, comme la douleur elle-même.
déviation rachidienne : c'est l'inaction, voulue ou instinctive des
muscles
fessiers et lombaires du côté malade. En effet,
ombaires du côté malade. En effet, à l'état normal, l'action de ces
muscles
participe au rappro- chement costo-iliaque; les
ent, le rapprochent du bassin. 7° Il est possible cependant que les
muscles
lom- baires soient contracturés du côté malade
o-iliaque soit diminué. Cela tient à ce que la contracture de ces
muscles
ne peut pas contrebalancer l'action de tous les
re de ces muscles ne peut pas contrebalancer l'action de tous les
muscles
du côté sain, lesquels agissent énergiquement d
ade est guéri, doit être rapportée à une contraction permanente des
muscles
sains, comparable, àbeaucoup d'égards, aux spas
Tandis que la scoliose croisée est produite par la contraction des
muscles
du côté sain, la scoliose homologue est produit
de. La contracture, dans les cas de ce genre, n'est pas limitée aux
muscles
innervés par le nerf sciatique ; elle s'étend,
f sciatique ; elle s'étend, dans la région laté- ralè du tronc, aux
muscles
innervés par les branches du plexus lombaire. I
du nerf circonflexe, etc.) Dans cette variété de scoliose, tous les
muscles
innervés par les plexus lombaire et sacré, ne s
e l'intervalle costo- iliaque du côté sain, mais la contracture des
muscles
lombaires diminue encore davantage l'intervalle
n. 10° Enfin, dans les cas où le spasme musculaire est limité aux
muscles
du membre inférieur et ne s'étend pas aux muscl
est limité aux muscles du membre inférieur et ne s'étend pas aux
muscles
de la région lombaire, la scoliose est croisée,
eu amaigrissement du tissu adipeux sous-cutané, il n'y en a pas des
muscles
. - Au contraire, le malade est très fortement m
mouvements réflexes des membres inférieurs ont totalement disparu.
Muscles
athrophiés, m. p. Le 24. Fièvre intense (somnol
on nombre d'autres ouvriers tubistes souffrent de douleurs dans les
muscles
, surtout des bras et des cuisses et quelquefois
égie était complète : impossible de faire le moindre mouvement. Les
muscles
ne se contractent pas sous l'influence du coura
a motilité que de la sensibilité est complète aux deux membres; les
muscles
paralysés se contractenl vivement au courant fa
ties de l'organisme, au cerveau, aux poumons, au tube digestif, aux
muscles
, aux arti- culations etc. ; c'est la raison pou
usculaire et dans le liquide intra- articulaire, irritant ainsi les
muscles
et les articula- tions qui se gonflent, même si
oubles moteurs, quoiqu'il existât un très léger affaiblissement des
muscles
du côté opposé; analgésie considérable et persi
s le laboratoire de Munk, a déterminé le centre moteur cortical des
muscles
du larynx (1884) : il est localisé au pied de l
e toute la zone motrice ». Pour que les phé- nomènes de parésie des
muscles
du larynx persistent un certain temps, l'ablati
révalent, mais les rapports directs de ce centre ner- veux avec les
muscles
laryngés du même côté sont également évidents.
rant plus intense, on détermine une réaction motrice bilatérale des
muscles
du larynx. Or, Luciani soutient encore, et, en
oteur cortical n'a que des rapports unilatéraux ou croisés avec les
muscles
du côté opposé du corps, - ce qui n'est pas seu
res et le tronc sont agités de continuels mouvements cloniques, les
muscles
se relâchent tout à coup et l'animal tombe en m
fermeture de l'anode, et que, non seulement l'excitation directe du
muscle
par les courants continus permet de constater u
rmet de constater une hyperexcita- bilité manifeste par rapport aux
muscles
indemnes, mais aussi l'excitation indirecte gal
BUTION expérimentale A L'ÉTUDE DE L'HYPEREICITABILITÉ mécanique des
muscles
; par M. FRIEDItIINN. (Neurol. Centralbl., 1887
N. (Neurol. Centralbl., 1887). Ce phénomène dépend de l'union des
muscles
avec la moelle. Une grenouille normale qui reço
Une grenouille normale qui reçoit un choc léger sur le ventre des
muscles
de sa jambe ne réagit pas par une évidente contra
e bulbaire, alors par exemple qu'il y a paralysie avec atrophie des
muscles
inner- vés par la branche buccale, ceux de la b
êche l'accroissement ultérieur des fibres du tronc central jusqu'au
muscle
, une atrophie lente maras- tique du tronc centr
ingenmùnstel'). M. Bucanou (de Klingenmunster). Des altérations des
muscles
dans les psychoses. Il s'agit ici de deux cas d
ELE. 11 faudrait, avant de se prononcer, savoir quel est l'état des
muscles
dans les autres formes d'aliéna- tion mentale.
rand pectoral et le gastro- cnémièn. La dégénérescence amyloïde des
muscles
s'observe d'ailleurs dans tous les états d'agit
ré. Or nos alié- nés sont très souvent porteurs d'atrophie brune du
muscle
car- diaque, de dégénérescence graisseuse du my
trice », et non pas le nerf ni la cellule nerveuse qui innervent le
muscle
. Au point de vue phylogénétique, il paraît bien
de mouvement, avec le réticulum nerveux de l'écorce, etc.2 Dans le
muscle
, la terminaison des nerfs n'est pas même en con
f se termine en ramifications arborescentes, le nerf moteur dans le
muscle
, le nerf sensible dans la substance grise de l'
ésulte à la fois d'impressions lumineuses et de contractions des.
muscles
de l'oeil. De même pour les centres corticaux d
Golgi1. » Ces organes fusiformes, situés dans la zone de passage du
muscle
au tendon, donnent insertion, par l'une de leur
onnent insertion, par l'une de leurs extrémités, aux fibrilles d'un
muscle
, et, par l'autre extrémité, se perdent dans le
ans, que « ces organes ont une fonction en rapport avec celle des
muscles
, et qu'ils peuvent être les organes d'une sensi
culaire spéciale ou les mensurateurs (misuratori) de la tension des
muscles
(organes du sens musculaire)2, » Reprise tout
raction musculaire : si ces malades ne peuvent pas contracter leurs
muscles
paralysés, la contraction d'autres groupes musc
scles paralysés, la contraction d'autres groupes musculaires, des
muscles
de la respiration en particulier, éveillent che
considère, dit Cattaneo, la place que ces organes occupent entre le
muscle
et le tendon, ainsi que leur continuité directe
nerveux- sensitifs (tels que les cor- puscules de Pacini) dans les
muscles
et les tendons, où le sens musculaire l'emporte
Celle-ci doit être évidemment à la fois en rapport avec l'état des
muscles
et des tendons. « Aussi, ces organes « spéciaux
rs est transmise, au moyen de leurs termi- naisons musculaires, aux
muscles
qui se contractent ; cette contraction détermin
onscience sur la somme de travail accompli par tel ou tel groupe de
muscles
. Si le circuit est interrompu, soit parce que l
t interrompu, soit parce que l'excitation n'est point parvenue au
muscle
(interruption du courant centrifuge), soit parc
ourant centrifuge), soit parce que la modification produite dans le
muscle
n'a pas été transmise aux centres nerveux (inte
l'activité cérébrale. En octobre, blépharoptose droite, parésie des
muscles
droits du globe oculaire ; pupille immobile, ma
; leur principal argument est que, dans ce cas, les paralysies des
muscles
des yeux deviendraient accidentelles. P. KERAVA
res nerveuses, motrices périphéri- ques, les plaques terminales des
muscles
, et la fibrille musculaire. 11 en résulte un ra
tteinte se traduit surtout par la lésion muscu- laire, parce que le
muscle
est l'organe qui fatigue le plus. P. K. XI. UN
légie : il n'y a SOCIÉTÉS SAVANTES. 249 9 eu aucune affection des
muscles
de l'oeil; et la motilité de la face et de la l
s et dans les maladies chroniques on rencontre des altérations du
muscle
qui sont les facteurs d'un amaigrissement considé
ration des réflexes patellaires, hyperexcitabilité considérable des
muscles
sous l'influence des agents mécaniques, finalem
'un de ses patients, au cours même de sa vie, de petits morceaux de
muscles
; il y a constaté de l'atrophie, une transformat
réquence des affections pulmonaires se rat tachent aux lésions, des
muscles
abdo- minaux, rectaux, diaphragmatiques. - Parl
r une complète paralysie avec atrophie des 264 SOCIÉTÉS SAVANTES.
muscles
masticateurs du côté gauche, notamment du masséte
s d'importance à l'existence de convul- sions fibrillaires dans les
muscles
; il faut s'adresser, pour l'examen, à l'électri
crée de Lehmann n'est du reste pas autre chose. Les altérations des
muscles
sont caractéristiques (Chambers. Webers, Friedr
lam- mation. 11 existe en somme une dystrophie ostéomalacique des
muscles
qui précède ou accompagne les altérations des ose
affecté depuis longues années de neurasthénie avec insuffisance du
muscle
cardiaque et de crampe des écrivains, se fait m
venir insupportable; finalement SOCIÉTÉS SAVANTES. 269 9 tous les
muscles
de Lavant-bras et de la main innervés par le ra
second cas a trait à des spasmes occupant le grand pectoral et les
muscles
rotateurs de la cuisse en dehors. La guérison s
poste. ne savait ce qu'il faisait. Affaiblissement très marqué des
muscles
qui présidentà la marche ; il vacillait constam
à son passage dans la gout- tière épitrochléenne, de l'atrophie des
muscles
, des troubles trophiques du côté de la peau qui
s'accompagnant de modifications dans les réactions électriques des
muscles
paralysés qui sont le siège de la réaction de d
ment considérable, portant surtout sur la graisse sous-cutanée. Les
muscles
sont encore à peu près conservés, quoique bien
inuée. . . D = Main droite 13 - gauche 11 Examen électrique des
muscles
des membres Inférieurs pra- tiqué par M. le D''
r commun des orteils; simple diminution d'excita- bilité des autres
muscles
de lajambe et de la cuisse. A gauche réaction p
ète encore par la présence d'autres phénomènes. Explorez l'état des
muscles
des membres : vous voyez qu'assis, il résiste a
commun des orteils, et une diminution de l'excitabilité des autres
muscles
de la jambe et de la cuisse. SUR UN CAS DE PA
ioration considérable nous est dévoilée par l'examen électrique des
muscles
para- SUR UN CAS DE PARAPLÉGIE DIABÉTIQUE. 329
329 lysés. Vous vous rappelez qu'autrefois on avait noté dans les
muscles
des extenseurs de la jambe droite, qui était et
lement une diminution de l'excitabilité faradique et galvanique des
muscles
de la région antéro-externe des jambes, qui, bi
lètement disparu aujourd'hui, et de la douleur à 'la . pression des
muscles
du mollet, qui persiste encore aujourd'hui. V
elle, les racines et les ganglions spinaux, quelques fragments de
muscles
, de coeur, de l'oie et de rein. Technique. Tout
n'offrent rien d'anormal ; il en esl de même pour les nerfs et les
muscles
. Du côté de la moelle allongée depuis l'entre-c
ogastrique, du spinal et des nerfs correspondants ; inté- grité des
muscles
des cordes vocales et du larynx, Par conséquent
ts anatomiques la con- ductibilité ? l Envisageons les fibres des
muscles
striés. Le cylindre axe de la fibre nerveuse ap
ces fibrilles semblent chez la grenouillese terminer à la surface (
muscle
thoracique sous-cutané). Les nerfs qui innervent
la sans ordonnance, 433. Morphinomanes (stratagèmes des), 295.
Muscles
(hyperexcitabilité mécani- que des), par Friedm
par Oppenheim et Siemerling, 245; avec atrophie et paralysie des
muscles
mastica, teurs, par Schultze, 263. Tétanie (d
ice, volontaire ou automatique, consciente ou inconsciente, par les
muscles
lisses ou par les muscles striés, dans les memb
ue, consciente ou inconsciente, par les muscles lisses ou par les
muscles
striés, dans les membres, les viscères ou les v
re que les stimulations successives d'où résulte la contraction des
muscles
volontaires, ce « tétanos physiologique », comm
le de ce mouvement; 2°l'impulsus cen- trifuge vers les nerfs et les
muscles
qui doivent être mis enjeu pour la production d
qu'il n'y ait point de mouvement effectué, les nerfs moteurs et les
muscles
sont affectés, à l'état faible, comme ils l'ont
r l'impulsion motrice qui, du même centre, va vers les nerfs et les
muscles
destinés au mouvement; 3° la phase centripète e
ations survenues dans les appareils périphériques du mou- vement (
muscles
, tendons, aponévroses, etc.) consé- cutivement
n constitue la phase centrifuge. Ce sentiment d'inner- vation des
muscles
de l'oeil, accompagnant la per- ception visuell
logique du centre considéré, déterminera dans les nerfs et dans les
muscles
destinés à l'articula- tion, ou des états faibl
l n'en va pas autrement pour le cerveau qui tra- vaille que pour le
muscle
qui se contracte ou pour la glande qui fonction
e, assimilé au travail musculaire; l'équation est la même pour le
muscle
que pour le cerveau. « On pourrait évaluer, ava
drait à isoler, dans les résidus de l'organisme, ce qui provient du
muscle
et ce qui provient de la subs- tance nerveuse,
pposer adéquate à la modification molé- culaire "survenant dans les
muscles
. » Pour G. Pou- ' Rev. scientif., 5 févr. 1887.
périeure de cette région, on peut différencier des centres pour les
muscles
faciaux supérieurs (fit. 1, 2, 3) en avant, et
u-dessous, l'application des électrodes a donné une contraction des
muscles
de la face du côté opposé. Dans quatre cas de
; et commel'ont démontré le professeur Yeo et moi-même 1, les mêmes
muscles
ou les mêmes groupes musculaires entrent dans l
bégaiement avec mouvements associés et tremblements convulsifs des
muscles
de la bouche et de la face (la parole n'est pas s
(voix bitonale). Absence de nystagmus; intégrité despupilles et des
muscles
des yeux; conservation des réflexes ten- dineux
M. Jolly (de Strasbourg). Des allures électriques des nerfs et des
muscles
dans la maladie de Thomsen. - L'orateur a constat
nisation du nerf (contraction allongée) ou que l'on con- vulsive le
muscle
en déterminant la persistance de la contraction
r t'excitation directe de ce dernier, le résultat reste le même. Le
muscle
réagit donc sous l'influence de ces excitations
n inconsciente de cette fonction, ou bien que la peau qui revêt les
muscles
paralysés, moins tendue, est plus exposée à la
prennent en totalité les os vus sous leurs diverses faces, tous les
muscles
, toutes les articulations, toutes les veines su
planches magistrales se trouve un écorché permettant de noter les
muscles
qui entrent en fonctions dans le mouvement que l'
chet de cordonnier bien emmanché; 2 a 3 centimètres de fer dans les
muscles
du dos et externes de la cuisse. Heureusement a
l n'élève sa jambe d'ail- leurs que pour empêcher le pied (dont les
muscles
exten- seurs sont paralysés) de buter contre le
ut simplement parce que les mus- cles du steppage, c'est-à-dire les
muscles
antérieurs de la cuisse, sont impuissants eux-m
e est limitée aux seuls extenseurs du pied, en d'autres termes, aux
muscles
de la jambe, et alors le malade steppe; tantôt
t alors le malade steppe; tantôt elle intéresse simul- tanément ces
muscles
et les extenseurs delà jambe, c'est-à-dire les
tanément ces muscles et les extenseurs delà jambe, c'est-à-dire les
muscles
de la cuisse. Ce n'est pas ce qu'on peut appeler,
me phénomène avec des variations de l'impotence fonc- tionnelle des
muscles
cruraux. La fatigue y intervient pour une certa
ine part. Lorsque le malade a marché déjà depuis quelque temps, les
muscles
de la cuisse ne peuvent plus élever la jambe, l
embre droit. Elles ont totalement disparu au membre gauche. Ici les
muscles
où la diminution de volume est le plus considér
lle qui se voit ou qui se devine au travers du tégument lorsque les
muscles
se contrac- tent, et non pas celle qui nous ens
gne, par la dissection, les rapports réciproques et invariables des
muscles
inertes. Ce n'est pas une anatomie seulement fa
charnu du vaste interne « faisant une saillie distincte du reste du
muscle
dans de certaines conditions et sous l'influenc
utant plus accusé que le relâchement est plus complet. Lorsque le
muscle
se contracte (le muscle étant toujours en exten
le relâchement est plus complet. Lorsque le muscle se contracte (le
muscle
étant toujours en extension), la saillie s'atté
ar en bas le four- reau aponévrotique résistant qui maintient les
muscles
de la partie antérieure de la cuisse. Dans le r
étran- glement que ses fibres exercent sur la masse charnue de ce
muscle
, elle détermine le sillon qui limite supérieure
es, lorsque notre malade se tient debout, raide sur ses jambes, les
muscles
de sa cuisse droite sont contractés, ceux de sa
qui fait que, de ce côté, la rotule est abaissée (fil. '12). Les
muscles
de la partie postérieure ont subi également un
ère du crural, du sciatique poplité externe et de l'obturateur. Les
muscles
fessiers, innervés par le petit nerf sciatique,
e altération profonde des centres médullaires, mais à l'atrophie du
muscle
triceps crural. C'est aussi à cette atrophie, a
triceps crural. C'est aussi à cette atrophie, ainsi qu'à celles des
muscles
extenseurs du pied, qu'est dû le steppage. Le s
pliquer l'in- 176 CLINIQUE NERVEUSE. tégrité presque constante du
muscle
long supinateur dans cette paralysie, si elle é
ation primitive du processus ? Dans les formes paraplégiques où les
muscles
homologues des deux côtés sont simultanément af
ses, auxquelles elles donnnet naissance, et corollairement, sur les
muscles
auxquels se distribuent ces fibres nerveuses. L
veloppement et son [origine, toujours elle détermine l'atrophie dés
muscles
tributaires des cellules nerveuses altérées. La
z tardivement, et, notez-le bien, elle est surtout accusée dans les
muscles
où la contracture est à son maximum. M. Pitres
motrices dans les différents étages de la moelle correspondant aux
muscles
atrophiés. La logique (on est bien excusable d'
s la téphromyélite manquait totalement. Par contre, les nerfs des
muscles
atrophiés présentaient tous les caractères de la
ophie 'et la névrite présentaient leur maximum d'intensité dans les
muscles
con- tracturés. Or la lésion qui engendre la co
pas à subir un certain degré d'atrophie, et il est probable que les
muscles
correspondants sont atteints de la même façon.
lleurs que les plaques terminales ne fussent pas altérées, dans les
muscles
d'hémi- plégiques ainsi atrophiés. Ce qui est i
. Celle-ci évolue avec une rapidité surprenante, et elle frappe des
muscles
que le traumatisme n'a pas atteints, mais qui o
comme nous le disions plus haut, où il existe des contractions des
muscles
, 1 Charcot. Leçons du mardi, 89, 5 mars, p. 367
stasie-abasie 217 de la trépidation, des contractures cloniques des
muscles
pou- vant occasionner des troubles de la statio
tions thermiques, et, en particulier, à celle du refroidissement du
muscle
, ' Haeckel. Die aufreehte gang. und die geglied
de chaleur, un phénomène inverse accompagnait le travail positif du
muscle
: la chaleur diminuait. Des expériences faites
ait que la contraction muscu- laire statique, c'est-à-dire celle du
muscle
dont la puissance est maintenue en équilibre pa
d note expressément que « la quantité de cha- leur qui disparaît du
muscle
quand il produit un tra- vail mécanique extérie
nt, une partie des actions chimiques qui s'accomplissent dans les
muscles
a pour équivalent le travail effectué par ce mo
, aune même somme d'action chi- mique produite dans l'intérieur des
muscles
, répond un dégagement de chaleur moindre dans l
phénomène d'absorption de chaleur résultant du travail positif du
muscle
se trouvait sans doute de valeur numérique mini
sychique, on pourrait dire, comme le fait remarquer Ch. Richet : le
muscle
s'échauffe, donc il ne produit pas de travail.
la con- traction musculaire, dans la phase du travail positif, le
muscle
se refroidit. Le postulat d'Armand Gautier est
ussi accusé un léger refroidissement au début du travail positif du
muscle
*. « En 1883, écrivait Herzen, ayant à ma dispos
ev. scientif., 20 juin 1885, 796. Cf. Herzen. Le refroidissement du
muscle
actif. Réponse à Chauveau sur l'équivalence du tr
que, absorbant de la chaleur et déterminant un refroidissement du
muscle
actif ; 2° un phénomène chimique, produisant de
mique, produisant de la chaleur et déterminant un échauffement du
muscle
. Mais une démonstration éclatante de ce phénomè
Ce physiologiste étudiait les variations de la température dans le
muscle
actif; il avait établi que la fibre musculaire,
que par les attaches qui fixent l'extré- mité des pattes, dont les
muscles
sont en tétanisation, de même que tous les musc
pattes, dont les muscles sont en tétanisation, de même que tous les
muscles
du corps. Pendant ce temps, la colonne du therm
mpérature liées au travail muscu- laire. L'échauffement primitif du
muscle
en travail est indépendant de la circulation. C
du corps de l'animal, par l'effet de la contrac- tion tétanique des
muscles
, représente la phase du travail utile, la phase
u d'énergie perdue, a toujours fait réapparaître la chaleur dans le
muscle
. Il restait à démontrer que, pour le cerveau qu
r le cerveau qui tra-, vaille, il n'en va pas autrement que pour le
muscle
actif, en d'autres termes, que le travail cèréb
veuses. Que le travail positif du cerveau repose, comme celui du
muscle
, sur des processus de désagrégation moléculaire
avec celles des physiologistes sur les oscillations ther- miques du
muscle
en travail : le refroidissement du cerveau, pen
s ni affaiblies, il reste que le tra- vail cérébral, comme celui du
muscle
, est une forme de l'énergie cosmique, et que la
- sement appréciable de la substance du cerveau comme de celle du
muscle
, suivi, dans la phase statique ou de repos, d'u
de trente-quatre ans, une paralysie dissociée au nerf péronier, des
muscles
péroniers, de l'extenseur commun des doigts, de l
re du pouce avec atrophie musculaire consécutive, avec intégrité du
muscle
tibial antérieur. Il pense qu'il s'est agi là d'u
e abolition ab- solue du sens musculaire; et 3° d'une paralysie des
muscles
exten- seurs de la main gauche consécutive à un
-coordination des convulsions, et leur dissémination en plu- sieuis
muscles
du corps. Toutes les autres particularités sympto
bilaté- rale de la partie postérieure du tronc; dégénérescence des
muscles
sans lésion des noyaux, des racines, des nerfs
idents pathologiques dans les 270 REVUE DE PAl'HOf.OGIE NERVEUSE.
muscles
des yeux. V. Allures des pupilles sur 100 cas. Il
la contraction élec- trique, lésions d'hypertrophie fibrillaire des
muscles
examinés histologiquemenl. A cette occasion, l'
ions fasciculaires n'envahissent jamais tous les élé- ments du même
muscle
en même temps, quoique, dans l'une des observat
peu plus accentuée à droite, se répar- tit irrégulièrement sur les
muscles
des extrémités et du tronc. Intégrité du facial
n très marquée des réflexespatellaires Hyperexcitabilité légère des
muscles
atteints à l'égard des deux espèces de courants
entie l'olive et le noyau originaire du cordon latéral, innerve les
muscles
du larynx. - 6° Le faisceau solitaire doit être
re le renflement idiomusculaire vrai, qui tient à la contraction du
muscle
entier et à la tuméfaction qui tient aux oudes
pectoral avec l'extrémité du doigt ou avec le marteau de Skoda, le
muscle
réagira sur 300 personnes quelconques cent cin-
s est la résultante de l'impulsion du coeur, delà contrac- tion des
muscles
du corps, de l'élasticité et de la contractilité
ont la résultante non des impressions cutanées, mais, de l'état des
muscles
. Il est probable que les impulsions émanées du
mi après l'opération, les fonctions se.sont rétablies dans tous les
muscles
jadis paralysés ; l'excito-bilico galvanique et
l'excito-bilico galvanique et faradique est revenue, sauf dans des
muscles
qui ne réagissent encore qu'aux courants galvaniq
de sorte qu'il paraîtrait irra- tionnel de rattacher l'atrophie des
muscles
d'un côté du corps à une modification morpholog
phénomène de névrite parenchymateuse ou interstitielle. Dans les
muscles
du côté lésé, on constate une atrophie la plus cl
ments des globes oculaires à gauche sont légèrement dimi- nués. Les
muscles
du bras gauche sont fortement atrophiés; ceux d
trophiées. Rien d'anormal du côté des nerfs périphériques. Dans les
muscles
du côté gauche, on constate une atrophie des pl
fs périphériques n'a permis de cons- tater aucune altération. Les
muscles
ont été examinés sur le fléchisseur sublime des
précise que celle constatée par l'autopsie ; ainsi, la faiblesse du
muscle
élévateur de la paupière du côté sain, la faibl
usqu'à pré- sent, la localisation exacte des centres trophiques des
muscles
sur l'écorce cérébrale est inconnue et encore m
ce n'entraîne pas nécessairement un trouble e dans la nutrition des
muscles
qui se trouvent sous sa dépendance. - En passan
onique cachectique par afflux insuffisant du sang artériel vers les
muscles
paralysés. Cet afflux insuffisant ne peut dépendr
otrice ayant pour but d'ap- porter une certaine quantité de sang au
muscle
correspondant. La lésion anatomique de ces cent
des vaisseaux et consécutivement, une diminution de la nutrition du
muscle
. L'influence do l'innervation vaso-motrice'ainsi
l'innervation vaso-motrice'ainsi modifiée sur l'état trophique des
muscles
paralysés parait très rationnelle et demanderai
lle du moteur oculaire commun et dont chacun parait animer un des
muscles
de l'oeil, et, d'autre part, le 328 8 CLINIQUE
nerfs distincts qui se rendent isolément l'un à l'iris, l'autre au
muscle
ciliaire, le suivant au muscle rele- veur de la
isolément l'un à l'iris, l'autre au muscle ciliaire, le suivant au
muscle
rele- veur de la paupière et les derniers enfin
ur de la paupière et les derniers enfin, toujours sé- parément, aux
muscles
droit interne, droit supérieur, droit inférieur
rare mais possible, en somme, puisse porter exclusivement sur le
muscle
releveur de la paupière. Je n'insiste sur l'exi
e vous pré- senter ? Mais remarquez, je vous prie, que les autres
muscles
de l'oeil sont épargnés et que ce ptosis est à
, la para- .ysie de la troisième paire peut en somme se borner au
muscle
releveur de la paupière et que, quelque rare qu
s. Je ne parle pas ici des cas où il y a participation des autres
muscles
de l'oeil; dans ces cas, l'origine paraly- tiqu
cilière et ces plis verticaux qui semblent dus à une contracture du
muscle
sourciller, contrastent étrangement avec l'état
her à cause de douleurs dans les genoux, qu'il ne peut fléchir. Les
muscles
des jambes sont contractures. Cette contracture
ulière. C. fait une inspiration quasi convulsive. D'autre part, les
muscles
de la langue, du pharynx et probablement du laryn
ion les liquides seraient revenus par le nez ce qui indique que les
muscles
du voile du palais à ce moment ne se contractai
es de l'articulation qui dépendent de contractions spasmodiques des
muscles
phonateurs se développent fréquemment à l'occas
ite, sans trouble de la sensibilité, suivie de contraction dans les
muscles
paralysés. Cet état per- sista huit mois; on tu
avité de l'hémi- sphère : c'est-à-dire les mouvements du tronc, les
muscles
de la hanche et quelques mouvements de la jambe
. A l'ablation bilatérale, succède la paralysie la plus absolue des
muscles
du tronc.. « L'attitude d'un singe chez lequel
matiquement avec les différents degrés de contrac- tion de tous les
muscles
qui peuvent être en état d'action. - Il J donne
animal vécut seulement 24 heures. Il n'y avait aucune paralysie des
muscles
de la face ni des membres, quoique les membres
ion de la région frontale chez les chiens produit une paralysie des
muscles
du tronc et il appelle la région fron- tale la
de vue : et Horsley et Scha;fer ont montré que les centres pour les
muscles
du tronc sont dans la circonvolution marginale.
oque des phéno- mènes d'impulsion, de tremblement, de paralysie des
muscles
de l'appareil respiratoire et détermine la mort
ouble de l'innervation musculaire, arrêt dans le fonctionnement des
muscles
, trouble dans les condi- tions mécaniques norma
caractérise par l'absence des modi- fications électriques dans les
muscles
et des changements anatomo- pathologiques dans
nérative, se caractérise par la réaction de dégénérescence dans les
muscles
atrophiés et des modi- fications très nettement
ons de longue durée, ce trouble aura une action destructive sur les
muscles
correspondants. M. ICottmtor a fait remarquer q
74. 1'uousra (maladie de), allules elec- triques des nerfs et des
muscles
dans la -, par Joilv, 138 ; - par Haie White,
ou- vement et sans connaissance, la jambe de devant allongée et les
muscles
tendus. Le troisième jour on essaya d'introdu
cture est la déformation des membres provoquée par l'altération des
muscles
ou par la rétraction des parties molles. Quoiqu
attribuant le phénomène il la rigidité permanente et chronique des
muscles
, et le plus ordinairement des muscles fléchisseur
é permanente et chronique des muscles, et le plus ordinairement des
muscles
fléchisseurs. C'est la théorie de Chomel. C'éta
si la contracture dépendait seulement t d'une masse plus grande des
muscles
du côté de la flexion, il n'y pas de raison pou
istant chez un malade depuis des années. Donc la contrac- ture d'un
muscle
est un état permanent d'activité, puisque la cont
la contracture en général est l'exagération du tonus permanent des
muscles
, par l'exci- tation du tissu conjonctif du cord
tres de la substance grise, préposés à la contraction de tel ou tel
muscle
, aussitôt ces muscles se contractent par l'exécut
grise, préposés à la contraction de tel ou tel muscle, aussitôt ces
muscles
se contractent par l'exécution du mouvement qui
bres paralysés des hémiplégiques par les mouvements volontaires des
muscles
non paralysés. Thèse de Bordeaux, 188o. 32 -
grise de la moelle d'où naissent les fibres nerveuses destinées aux
muscles
fléchisseurs ; mais pour les mus- cles du côté
ns l'hémiplégie ; « 2° Nous pouvons supposer que l'étal spécial des
muscles
que nous ap- pelons tonus musculaire est surtou
paralysie consécutive se montrera au même degré dans le groupe des
muscles
extenseurs et dans le groupe des muscles fléchi
e degré dans le groupe des muscles extenseurs et dans le groupe des
muscles
fléchisseurs. Cette hémiplégie restera flasque.
bres supérieurs, la paralysie n'envahira pas au même degré tous les
muscles
correspondants : si elle prédomine dans le grou
s les muscles correspondants : si elle prédomine dans le groupe des
muscles
extenseurs, la contracture amènera le type de fle
pe de flexion ; si, au contraire, elle prédomine dans le groupe des
muscles
fléchisseurs, la contracture amènera le type d'
égiques s'explique par la contracture plus forte (prédominante) des
muscles
fléchisseurs, il ne dit rien de nouveau ; cette
ts articulaires dans les genoux et on observe un peu d'atrophie des
muscles
de la cuisse; les phénomènes douloureux signalés
. La main est amaigrie, notablement plus petite que la droite ; les
muscles
des éminences thénar et hypothénar sont émaciés,
flexe olécrânien absent de même que les réflexes du poignet. 8. Les
muscles
innervés par le nerf radial sont complètement par
ue assez bien. Le long supinateur et le cubital sont respectés. Les
muscles
fléchisseurs fonctionnent à peu près d'une façon
n saturnine. Les réflexes tendineux et périostiaux sont abolis. Les
muscles
paralysés sont très atrophiés et présentent RD. L
tous ies nerfs de l'avant-bras et du bras, sauf le circonflexe. Les
muscles
innervés par le nerf cubital, le nerf médian et
gments. Il pend, oscillant en tous sens, remué exclusivement par le
muscle
deltoïde qui semble beaucoup 132 G. CATOLA mo
aux autres nerfs du bras gauche excepté le nerf circonflexe, et les
muscles
s'atrophient avec une rapidité extraordi- naire
plus que la peau et les os. La paralysie est complète sauf dans le
muscle
del- toïde avec RD., sensibilité normale ou pre
ce qu'on peut en juger par les réactions données par la malade. Les
muscles
des membres inférieurs sont tous paralysés et a
s sont tous paralysés et atrophiés, mais pas au même degré, car les
muscles
de la cuisse, innervés par le nerf sciatique, e
ar les muscles de la cuisse, innervés par le nerf sciatique, et les
muscles
postérieurs des jambes sont relativement moins
- sifs d'extension de la jambe sur la cuisse. RD. complète dans les
muscles
des deux membres sauf dans les muscles desservi
uisse. RD. complète dans les muscles des deux membres sauf dans les
muscles
desservis par le sciatique poplité interne. Réf
e la'malade, ainsi que l'on a vu pour les membres supé- rieurs. Les
muscles
du tronc sont eux aussi paralysés et atrophiés :
s. Les muscles du tronc sont eux aussi paralysés et atrophiés : des
muscles
sus et sous-épineux il n'en reste presque pas de
reste presque pas de trace. Par contre sem- blent moins touchés les
muscles
de la gouttière vertébrale et de l'abdomen. La
paralysie et l'atrophie musculaire se locali- sent initialement aux
muscles
desservis par le nerf radial et aux membres inf
e, pour s'étendre ensuite à toute la musculature des membres et aux
muscles
du thorax. L'amyotrophie est accompagnée de la
ais ordinairement elle débute par les quatre membres à la fois, les
muscles
y sont atrophiés et non paraly- sés et il n'y a
paralysie amyotrophique se trouvait cantonnée en grande partie aux
muscles
innervés par le nerf médian et un autre dans le m
le malade de Heyse chez lequel la paralysie était circonscrite aux
muscles
de l'épaule ; mais dans ces deux cas les phénom
ur la branche externe du nerf spinal en provoquant la paralysie des
muscles
correspondants il son inner- vation. Une dern
u ordinai- rement excentrique et protoplasma d'aspect alvéolaire.
Muscles
. - Colorations : méthode de Weigert, méthode de V
rdinaire de noyaux (fig.), qu'on trouve au niveau de n'importe quel
muscle
, appartiennent au sarcolemme, mais leur augment
upe longitudinale. Méthode de Cajal. Même grossissement. FiG. 16.
Muscle
biceps. Coupe longitudinale. Coloration : hématox
r mediz. Wochenschrift, n° 5, 1887. 26. Klippel. - Altération des
muscles
chez les phtisiques. Soc. anatomique, 1887. 21.
ractions uni-mus- culaires, produites par l'excitation du tendon du
muscle
correspondant, ou de la zone cutanée dans la ré
ant, ou de la zone cutanée dans la région en général sus-jacente au
muscle
qui va se contracter. Nous n'avons qu'à citer c
brachial, le réflexe du biceps brachial, etc. Seuls le réflexe des
muscles
fléchisseurs et celui des muscles extenseurs de
achial, etc. Seuls le réflexe des muscles fléchisseurs et celui des
muscles
extenseurs de l'avant-bras intéressent plusieurs
celui des muscles extenseurs de l'avant-bras intéressent plusieurs
muscles
; mais ici quand on frappe avec le marteau perc
bien connu, a attiré l'attention sur la contraction simultanée des
muscles
avoisinant celui dont le tendon a été percuté.
t (1) : « Par les expériences sur les animaux, où l'on a dénudé les
muscles
sur de grandes surfaces, on a pu observer direc
dire qu'une seule excita- tion provoque la contraction de plusieurs
muscles
, et très fréquemment bilatéraux (Doppelseitige)
elseitige). Dans les réflexes tendineux au sens le plus étroit, les
muscles
dont le tendon a été touché directement se contra
s tendineux sont, en général, moins- accentués ; la contraction des
muscles
est plus faible et se borne à un épaississement
uscles est plus faible et se borne à un épaississement du ventre du
muscle
sans qu'il y ait un saut sensible du (1) Reprod
s avons été frappé non seulement par le tait de la contraction d'un
muscle
situé loin du point osseux que nous frappions,
t représenté presque toujours par la contraction simultanée de deux
muscles
, le long supinateur et le biceps. Le réflexe osse
chi et'porté en avant, produit t presque toujours la contraction du
muscle
triceps et des fibres postérieurs du muscle del
jours la contraction du muscle triceps et des fibres postérieurs du
muscle
deltoïde, etc. Au membre inférieur, la percussion
on de la mal- léole interne (en arrière) produit la contraction des
muscles
demi-tendi- neux et demi-membraneux. En percuta
ercutant la crête iliaque on provoque une excitation dans les mêmes
muscles
et simultanément dans le muscle biceps crural,
oque une excitation dans les mêmes muscles et simultanément dans le
muscle
biceps crural, etc.. (1). Nous nous sommes de
roduction d'un réflexe osseux il y ait parti- cipation de plusieurs
muscles
, le résultat de leur collaboration est une seul
porté un peu en arrière représente la fonction de la moelle, ou des
muscles
excités, qui se traduit par l'action de porter le
lexe qui représente l'origine nucléaire intramédullaire de tous les
muscles
excités par celle fibre sensitive ; et 3° par une
qui prend son origine dans les noyaux intramédullaires de tous les
muscles
précédents et se distribue il la périphérie dans
ute l'apophyse styloïde du radius, on voit une contraction dans les
muscles
long supinateur et biceps brachial, mais si la pe
e, on voit une contraction des fibres antérieures du deltoïde et du
muscle
grand pec- toral, mais si le réflexe est exagér
éflexe est exagéré, on peut provoquer en plus une con- traction des
muscles
biceps et long supinateur, autrement dit on arriv
physe styloïde du cubitus, on produit une contrac- tion de tous les
muscles
épitrochléens (fermeture du poing) et, si le ré-
ne lombaire), peut provoquer une contraction non seulement dans les
muscles
adducteurs, mais aussi par propagation dans le qu
té antérieure du tibia qui produit d'habi- tude une contraction des
muscles
demi-tendineux et demi-membraneux, peut faire c
endineux et demi-membraneux, peut faire contracter en même temps le
muscle
triceps sural. Le réflexe osseux de la malléole
la crête illiaque peut provoquer, non seulement la contraction des
muscles
biceps, demi-tendineux et demi-membraneux, mais
anatomique de la propagation du réflexe osseux des adducteurs, aux
muscles
quadriceps crural et couturier et vice-versa. E
et 4" seg- ments lombaires se trouvent les noyaux d'origine de ces
muscles
, repré- sentés : en haut dans le 3e segment lom
dans le 4° segment lombaire, par deux noyaux séparés, l'un pour les
muscles
adducteurs et l'autre pour le muscle quadriceps ;
noyaux séparés, l'un pour les muscles adducteurs et l'autre pour le
muscle
quadriceps ; le noyau isolé du muscle couturier
adducteurs et l'autre pour le muscle quadriceps ; le noyau isolé du
muscle
couturier n'est pas indiqué. Il est probable qu
ne certaine règle, et non pas seulement une simple propagation d'un
muscle
à un autre de son voisinage, comme pense Sternb
e Sternberg. Quand nous percutons l'apophyse styloïde du radius, le
muscle
long supinateur se contracte, et avec lui le bi
ong supinateur se contracte, et avec lui le biceps, c'est-à-dire un
muscle
d'un autre segment, mais pas les autres muscles
eps, c'est-à-dire un muscle d'un autre segment, mais pas les autres
muscles
voisins de l'avant-bras, à moins qu'il n'y ait
très forte, mais alors il y a diffusion de l'excitation à tous les
muscles
. La propagation se fait en haut ou en bas, comm
ion se fait avec plus de facilité en haut qu'en bas. De plus si les
muscles
correspondant à un seg- ment médullaire se sont
tractés, leur contraction peut être accompa- gnée de celle d'autres
muscles
appartenant au segment immédiatement sus ou sou
neurologique, 1907, p. 1316. 156 NOICA segment, sans exciter les
muscles
correspondant au segment intermédiaire. Il se p
hyse styloïde du cubitus, au lieu de pro- voquer la contraction des
muscles
épitrochléens, on provoque la contrac- tion du
traction des muscles épitrochléens, on provoque la contrac- tion du
muscle
triceps, c'est-à-dire un muscle dont le noyau est
ns, on provoque la contrac- tion du muscle triceps, c'est-à-dire un
muscle
dont le noyau est peut-être situé immédiatement
t le noyau est peut-être situé immédiatement au-dessus de celui des
muscles
épitrochléens, ce qui ne change pas la conclusi
en dedans ; le premier mouvement est produit par la contraction des
muscles
long supinateur et biceps bra- chial, le second
ouvement est produit par la contraction des fibres anté- rieures du
muscle
deltoïde et même quelquefois du grandpectoral. L'
cubitus, on a alors une fermeture du poing, par la contraction des
muscles
épitrochléens, muscles fléchisseurs du poignet
e fermeture du poing, par la contraction des muscles épitrochléens,
muscles
fléchisseurs du poignet et des doigts. Le premier
le membre, provoquée par la contracture du quadriceps crural et des
muscles
adducteurs ; et une autre attitude d'abaissemen
ro- phies musculaires chez les hémiplégiques. Mann en examinant les
muscles
du membre supérieur et du membre inférieur chez
ns. Il trouve que, au membre infé- rieur (1), « ce sont surtout les
muscles
dont la fonction est de raccourcir le membre in
A chisseurs de la jambe, fléchisseurs de la cuisse), tandis que les
muscles
dont la fonction est d'allonger le membre infér
L'élévation du bras est « presque toujours plus ou moins atteinte (
muscle
deltoïde, grand dentelé « et un peu la portion
miplégie organique, la paralysie porte non seulement sur tel ou tel
muscle
en particulier ou sur un groupe de muscles inne
seulement sur tel ou tel muscle en particulier ou sur un groupe de
muscles
innervés par le même nerf, mais sur des mécanisme
hémiplégie organique, la contracture ne porte pas sûr un tel ou tel
muscle
en particulier, mais sur des groupes musculaires
2).' (1) CLAVEV, Thèse de Paris, 1897. (2) Quant à considérer les
muscles
qui ne sont pas contractés, comme étant non seu-
1907. Recherches expérimentales sur l'intervention des nerfs et des
muscles
antagonistes dans la production des mouve- ment
bre symétrique à ce dernier ; 3° l'effort se généralise et tous les
muscles
des membres et de la face se contractent. » C
nscients que l'homme exécute pour marcher, et qui correspondent aux
muscles
extenseurs, les muscles les plus puissants des
cute pour marcher, et qui correspondent aux muscles extenseurs, les
muscles
les plus puissants des membres inférieurs. De m
les plus habituels de l'homme. Ces mouvements sont produits par les
muscles
les plus forts du membre su- périeur, les fléch
Il paraît toutefois vraisemblable que cette faiblesse apparente des
muscles
devait plutôt être attribuée à des difficultés
lade put supporter au niveau du quadriceps extenseur fémoral ou des
muscles
de la jambe dans sa région postérieure. Les muscl
fémoral ou des muscles de la jambe dans sa région postérieure. Les
muscles
tibiaux anté- rieurs répondaient à un courant f
dique supportable ainsi que les longs extenseurs des orteils et les
muscles
du dos du mollet, quoique les mou- vements qui
ent pour les orteils et la cheville fussent seule- ment légers. Ces
muscles
également donnaient une légère réaction galva-
normales malgré les difficultés qu'on éprouvait à les obtenir. Les
muscles
des extrémités supérieures donnaient tous, et a
apable de courir après ses vaches et alors, de toute nécessité, ses
muscles
recevaient l'irrigation sanguine qu'il fallait. U
ans la flexion et l'extension du coude. Il n'y a pas d'atrophie des
muscles
de la main, pas d'atrophie apparente des muscle
pas d'atrophie des muscles de la main, pas d'atrophie apparente des
muscles
de l'avant-bras et du bras ; mais à vrai dire l'a
tractilité au faradique et au galvanique sur le deltoïde et sur les
muscles
extenseurs de la main sur l'avant-bras. L'explo
nt sur la jambe saine et en se penchant en avant que, à l'aide. des
muscles
du tronc, le sujet parviendra à faire progresser
se penche en avant et du côté sain, tirant par son poids et par les
muscles
du tronc le membre paralysé, l'hé- miplégique h
ndis que dans les paralysies organiques les malades contractent les
muscles
non lésés autant que cela leur est possible pour
voriser la démarche ; au contraire dans la paralysie hystérique les
muscles
DE LA D) ! MAHCHR HYSTÉRIQUE 235 non paralysé
ie hystérique, comme Brodie l'a dit justement, « ce ne sont pas les
muscles
qui n'obéissent pas à la volonté, mais c'est la
dit : «dans ces deux affections, les contractures siégeant sur les
muscles
pelvilrochantériens peuvent donner lieu exactemen
éer, le malade cherche à utiliser le faible pouvoir contractile des
muscles
de son épaule en projetant celle-ci. Les mains
troncs ner- veux est bonne. L'excitabilité faradique de tous les
muscles
est bonne. Au courant galva- nique, on note pou
s muscles est bonne. Au courant galva- nique, on note pour quelques
muscles
(deltoïde, biceps, grand pectoral) l'inversion
c nerveux et de l'inexcitabilité ou l'hypoexcitabilité faradique du
muscle
. Ce n'était pas le cas, à la date du 19 mai, c'es
19 mai, c'est-à-dire 5 semaines après le début de la maladie, aucun
muscle
se présentait de réaction, même partielle, de d
scillations, par suite d'une certaine faiblesse persistant dans les
muscles
entrant en action. 6 juin. - Un second examen é
ue et faradique) des nerfs est bonne ; L'excitabilité faradique des
muscles
est'bonne, légèrement diminuée pour les extense
s excita- bilités galvaniques et faradiques des nerfs et des autres
muscles
du membre inférieur droit sont absolument norma
sion de la face du côté sain pouvait provoquer des contractions des
muscles
du côté malade. Thüe (3) et Strümpell (4) montr
a percussion du tendon rotu- lien peut provoquer la contraction des
muscles
adducteurs de la cuisse du côté opposé ; P. Mar
Puis d'autres auteurs essayèrent de provoquer la contraction de ces
muscles
par des excitations autres que celles du (1) WE
citation, et pouvait même ne pas s'accompagner de la contraction du
muscle
du côté excité. Il a vu également des mouvement
n, le premier mouvement réflexe ne portera plus seule- ment sur les
muscles
de la région excitée : il y aura irradiation du m
es molles. En ce qui concerne la colonne vertébrale, tandis que les
muscles
vertébraux étaient sains, il y avait autour de la
a signalé comme symptômes médul- laires : 1° Un état parétique des
muscles
du tronc, du cou et des mem- bres, le plus souv
des mem- bres, le plus souvent accompagné d'une légère atrophie des
muscles
pé- riscapulaires ; 2° un émoussement de la sen
assez marquée au niveau des gouttières vertébrales.et au niveau des
muscles
thoraciques, grand et petit pectoral, grand dor
ne sont pas limités déterminent des craquements articulaires. Les
muscles
de la région sont un peu atropliiés, notamment le
et inférieurs, sont également vifs des deux côtés. Les réflexes des
muscles
droits de l'abdomen sont un peu exagérés, la pe
Pas de douleur à la pression et à la per- cussion. L'énergie des
muscles
da tronc est normale ; il n'y a pas d'asynergie a
es muscles da tronc est normale ; il n'y a pas d'asynergie avec les
muscles
des extrémités inférieures ; les jambes restent f
éale. Les contours musculaires sont bien dessinés : la tonicité des
muscles
est normale. Aucune douleur à la palpation des
au- tres parties du corps. Le tissu adipeux est très réduit ; les
muscles
sont peu développés, mais se dessinent très bie
évidents. Le tissu cellulaire sous-cutané est très développé ; les
muscles
sont flasques et la peau très épaisse. On note
ste également à l'état permanent un certain degré de contrature des
muscles
pé- riorbitaires qui attirent l'angle du sourci
exci- ter une fonction glandulaire, modifier l'étal de tension des
muscles
et provoquer des attitudes d'attaque ou de défe
entent mal, même quand on demande au malade de faire contracter ses
muscles
. Les mouvements de flexion du coude sont limités
ue. Les clavicules et les omoplates paraissent nor- males, mais les
muscles
qui s'y insèrent sont peu développés, en sorte qu
on a noté des anomalies musculaires, non seulement par absence des
muscles
à insertion radiale (radiaux, prona- teurs, sup
rs et fléchisseurs du pouce et de l'index), mais également dans les
muscles
cubitaux. La longue portion du biceps fait souv
ce qui entraine l'absence de coulisse bicipitale sur l'humérus. Les
muscles
de l'épaule sont souvent plus ou moins atrophiés
trapézoïde, le métacarpien et les phalanges du pouce ainsi que les
muscles
qui s'insè- rent sur les os, leurs vaisseaux et
. Les CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L'INFANTILISME DU TYPE LORAIN 423
muscles
sont grêles, les os très minces et peu développés
du corps» ' ' 1 430 ETTORE LEVI Chez l'une comme chez l'autre les
muscles
sont peu développés mais bien « écrits » et « d
s fragmens contre l'autre, ce qu'il attribue en partie à l'absence de
muscles
propres à rapprocher les deux fragmens, et bien p
bid. p. 48), le cal est formé par l'ossification du périoste et des «
muscles
, de ces derniers surtout, qui peu-à-peu deviennen
, et enfin ceux de l'os. Ce sont « les couches les plus profondes des
muscles
qui éprouvent cette transformation dans le « tier
ndue du déplacement. On peut « suivre l'altération progressive de ces
muscles
, depuis le moment, où la fracture vient d'a-« voi
est «encore que cartilagineux est circonscrit et peut être séparé des
muscles
environnans; « cette séparation toutefois ne se f
moindre « trace de travail. J'ai vu plusieurs fois l'ossification des
muscles
se faire par lamelles super-« posées, lesquelles
avec les fibres musculaires et étaient séparées par des « couches de
muscles
. L'extrémité de ces lamelles était obtuse, comme
ractures extracapsulaires, les fragmens sont entourés de périoste, de
muscles
et de tendons déchirés. La fracture intracapsulai
tion du pied en dehors, qui sont l'effet naturel de la contraction du
muscle
psoas-iliaque existaient ici d'une manière très p
ol du fémur les déviations du pied en dehors tient en général non aux
muscles
, non au poids du membre, mais bien au mode d'engr
n'était que moitié de l'intervalle qui les séparait du côté sain: le
muscle
petit-fessier était décoloré et comme induré; sa
athol. t8i6) que je fus conduit, presque malgré moi, à considérer les
muscles
, le tissu cellulaire, les tendons , en un mot tou
gament capsulaire nouveau, formé aux dépens des fibres musculaires du
muscle
petit fessier, une déformation plus ou moins cons
déchirée, la tête du fémur se porte dans la fosse iliaque externe, le
muscle
petit fessier est largement déchiré, et le déplac
ns anciennes et explique le succès de plusieurs tentatives hardies.
Muscles
.—Le muscle petit fessier subit, dans toute la par
et explique le succès de plusieurs tentatives hardies. Muscles.—Le
muscle
petit fessier subit, dans toute la partie qui est
re de l'articulation nouvelle; c'est aussi en partie aux dépens de ce
muscle
, qui se pénètre successivement de gélatine et de
e la cavité nouvelle destinée à la réception de la tête déplacée. Les
muscles
rotateurs en dehors de la cuisse sont allongés et
cles rotateurs en dehors de la cuisse sont allongés et atrophiés ; le
muscle
psoas-iliaque s'enroule autour du fémur pour alle
l'épine iliaque antérieure et inférieure , une rainure profonde : ce
muscle
était tiraillé par suite de la rotation du fémur,
traction, d'où, la flexion de la cuisse : la partie de l'action de ce
muscle
qui a pour résultat la rotation en dehors ne pouv
partie supérieure de laquelle vient se terminer le tendon réfléchi du
muscle
droit. La tête du fémur TF était parfaitement e
cupait le niveau de l'épine iliaque antérieure et inférieure; que les
muscles
petit-fessier, jumeaux, carré, étaient lacérés, q
nce de la capsule était le principal obstacle à la réduction, car les
muscles
ayant été enlevés, on a éprouvé les plus grandes
La nouvelle capsule fibreuse est évidemment constituée aux dépens du
muscle
petit-fessier qui était atrophié et avait subi pr
et avait subi presque en entier la transformation fibreuse. Quant aux
muscles
dits rotateurs, pyramidal, jumeaux carré et obtur
n tous les changemens opérés dans les os, dans les ligamens, dans les
muscles
, à la suite des luxations du fémur en haut et en
me paraît avoir eu lieu par asphyxie, par la diminution d'action des
muscles
inspirateurs. Sans doute les maladies du tissu pr
gêne de la respiration n'est pas dans ces organes, mais bien dans les
muscles
inspirateurs. La périodicité des sueurs, leur a
cervicale : ce trajet est comme creusé aux dépens des ligamens et des
muscles
vertébraux antérieurs, et se termine à la partie
solide des os. Cette rigidité articulaire tient à la rétraction des
muscles
et surtout à celle des ligamens qui, lentement re
apports et de formes s'établissent entre les extrémités osseuses; les
muscles
passent à l'état graisseux; les nerfs musculaires
alles des lobules et des mamelons ou tubercules pour les séparer. Les
muscles
et les aponévroses musculaires qui s'attachent au
erait tenté de le croire; mais l'analogie me porte à admettre que ces
muscles
et ces aponévroses sont complètement étrangers à
n du membre, Boyer trouva que le membre amputé pesait 36 livres : les
muscles
amincis, élargis et décolorés, formaient une memb
t au-devant du trou ovalaire et de l'articulation coxo-fémorale. Le
muscle
iliaque réduit à une lame fibreuse très mince, fo
guines décrites par Pott, tumeurs qui se développèrent au-dessous des
muscles
jumeaux etsoléaires, nécessitèrent l'amputation d
éunis du fléchisseur commun étaient faciles à reconnaître, à cause du
muscle
accessoire ; le tendon de l'extenseur propre du g
tenseur propre; à sa face inférieure, on distinguait parfaitement les
muscles
court fléchisseur et abducteur oblique. La figu
it beaucoup sur le talon, ce qui lui donnait l'air d'un pied-bot. Les
muscles
du mollet étaient bien prononcés. Le malade aimai
stoire des maladies des articulations. Elle tient à la rétraction des
muscles
qui entourent l'articulation et surtout à la rétr
formation observés dans les os en supposent de correspondans dans les
muscles
, les nerfs et les vaisseaux des membres inférieur
extrémité inférieure de l'utérus rudimentaire. 2° La dissection des
muscles
des membres inférieurs, qui a été faite avec beau
particularités suivantes. Pour bien comprendre la disposition de ces
muscles
, il est bon de rappeler que, dans toute syrénie ,
bérosités internes du fémur et du tibia regardant en avant, l'axe des
muscles
couturiers C, C, droit et gauche, donne une idée
e du couturier gauche est légèrement oblique. La direction des autres
muscles
est à-peu-près la même des deux côtés. Les muscle
rection des autres muscles est à-peu-près la même des deux côtés. Les
muscles
droits internes DI, DI, et vaste interne VI, VI,
s droits internes DI, DI, et vaste interne VI, VI, sont en avant; les
muscles
droits antérieurs DA, DA, regardent en dehors. Le
asse charnue, libre en bas JR , que je considère comme le vestige des
muscles
jumeaux. Les deux artères tibiales postérieures s
ue les tendons des fléchisseurs, des nerfs et des vaisseaux. Point de
muscles
proprement dits; on trouve seulement quelques fai
L. L'anus est évidemment situé plus en arrière que de coutume. 2* Les
muscles
grands fessiers GF, GF, très peu développés et mê
s grands fessiers GF, GF, très peu développés et même atrophiés: le
muscle
grand fessier droit est confondu avec le grand fe
est confondu avec le grand fessier gauche dans toute la partie de ces
muscles
qui est située au dessous de l'anus, et qui me pa
'insère aux ligamens sacro-scia-tiques. L'extrémité inférieure de ces
muscles
grands fessiers, se perdait dans les graisses sou
anées, et par conséquent ne présentait aucune insertion au fémur. Les
muscles
fascia-lata MFL, MFL se terminent de la même mani
à toute fusion. Les vastes externes VE, VE sont en arrière. DM est le
muscle
demi membraneux; B le biceps, dont les deux chefs
ment distincts, et qui s'insère au péroné ;DA le droit antérieur. Les
muscles
demi tendineux sont les seuls qui manquent complè
manquent complètement. Je n'ai pas non plus rencontré de vestiges des
muscles
de la région pelvi-trochantérienne, savoir des py
JR représente les jumeaux et soléaires à l'état de vestige. Comme les
muscles
grands fessiers et fascia-lata, ces muscles se pe
tat de vestige. Comme les muscles grands fessiers et fascia-lata, ces
muscles
se perdent dans les graisses par leur extrémité i
nt distincts postérieurement de chaque côté delà ligne médiane. Les
muscles
jambier antérieur JA, extenseur commun EC,et exte
ue, de laquelle partent les tendons qui appartiennent à chacun de ces
muscles
. Les muscles pédieux P sont parfaitement conservé
le partent les tendons qui appartiennent à chacun de ces muscles. Les
muscles
pédieux P sont parfaitement conservés. Fig. 5.
al, sans insertion dans le tissu adipeux sous-cutané, l'obliquité des
muscles
fascia-lata, la direction du muscle droit antérie
eux sous-cutané, l'obliquité des muscles fascia-lata, la direction du
muscle
droit antérieur DA et celle du jambier antérieur
ntique avec celle de la glande parotide. Fig. a et 2'. Atrophie des
muscles
propres de la moitié gauche du larynx. Sur un l
enant à un sujet destiné à mes dissections, j'ai trouvé atrophiés les
muscles
intrinsèques de la moitié droite du larynx, et ce
la faire représenter ici. La figure 2 montre l'atrophie complète du
muscle
crico-arythénoïdien postérieur droit CAP et l'atr
-arythénoïdien postérieur droit CAP et l'atrophie presque complète du
muscle
aryténoïdien , dont il ne reste qu'un petit nombr
ame gauche du cartilage thyroïde : on voit complètement atrophiés les
muscles
thyro-aryténoïdien TA et crico-aryténoïdien latér
e contraste fort remarquable du développement normal de la portion du
muscle
crico-thyroïdien, qui est resté attaché au cartil
ion'(i). Ainsi le nerf laryngé supérieur n'était pas malade, car le
muscle
crico-thyroïdien, auquel se distribue le rameau l
rvé son développement. Il reste encore quelques fibres rouges dans le
muscle
aryténoïdien : or, l'anatomie démontre que le ram
é extirpé. La figure 4 représente la masse cancéreuse vue de côté. Le
muscle
petit oblique MO, qui a échappé à la dégénératiou
es qui traversent cette masse. Il ne m'a pas été donné de voir si les
muscles
avaient été, pour ainsi dire, englobés dans la tu
. 70 Les membres supérieur et inférieur disséqués font voir que les
muscles
ont conservé leur flexibilité, leur teinte rosée,
mollesse, de flexibilité des viscères thora-ciques et abdominaux, des
muscles
, vaisseaux et nerfs, pendant dix-huit ans, conser
e qu'il faut que ces personnes soient exemptes d'éraillemens dans les
muscles
du ventre ou. dans leurs aponévroses; « et, pour
tion de l'anneau et des causes « qui produisent l'écartement dans les
muscles
, etc., etc., je pense, dis-je, que la hernie « se
ndue de l'appendice xyphoïde au pubis, limitée de chaque côté par les
muscles
droits, et dans laquelle peut être contenue la pl
uper l'une ou l'autre région iliaque, lorsque la ligne blanche et les
muscles
droits ayant résisté, la portion des parois abdom
ait étrangère à l'éventration, je m'assurai par la dissection que les
muscles
droits avaient été refoulés de chaque côté de la
u ventre, depuis le cartilage xyphoïde jusqu'au pubis; en ce cas, les
muscles
droits qui se « trouvent l'un à droite et l'autre
r les côtés. Cependant ils ne ron-« tribuent pas moins que les autres
muscles
à y pousser les intestins : ce n'est pas ici le l
la plus extérieure du cordon. La membrane interne faisait suite aux
muscles
abdominaux et au péritoine : celui-ci semblait s'
cordon (chorion et amnios), dont l'autre interne se continue avec les
muscles
et le péritoine. 4° C'est entre ces deux membrane
ège de vives douleurs qui ne sont pas augmentées par la pression; les
muscles
abdominaux sont contractés et raides; point de ba
mars, persistance des accidens : abdomen plus tuméfié : rigidité des
muscles
abdominaux : anxiété plus vive : face grippée, ye
épaisseur même de la cicatrice communiquait avec un foyer purulent du
muscle
psoas : tantôt le bout supérieur de l'intestin di
divisée en deux parties, l'une antérieure et l'autre postérieure aux
muscles
droits de l'abdomen. Sa cavité était subdivisée e
aux; que les deux foyers principaux avaient pénétré dans la gaine des
muscles
droits, entre la face antérieure des muscles et l
énétré dans la gaine des muscles droits, entre la face antérieure des
muscles
et la gaine; que les trois autres clapiers exista
naît diverses causes : i° l'extension de la dégénération mammaire aux
muscles
intercostaux, aux côtes et à la plèvre par contin
Cancer mammaire ; extirpation ; dégénérescence de la cicatrice et des
muscles
intercostaux. — Mort. — Cancer du foie; quelques
ment effectuée. Ouverture du cadavre.—Tumeur mammaire adhérente aux
muscles
intercostaux envahis, aux côtes et au poumon corr
les intercostaux envahis, aux côtes et au poumon correspondant. Les
muscles
intercostaux qui avaient subi la dégénération pré
issue du liquide tient probablement au rapprochement des faisceaux du
muscle
droit qui a dû être nécessairement traversé par l
du thorax; parfois elles se portèrent sur l'épaule gauche et sur les
muscles
intercostaux du même côté : lorsque ces douleurs
que la tumeur était recouverte par la peau , par le bord antérieur du
muscle
sterno-cléido-mastoïdien , par les aponévroses ce
circonscrit communiquant à l'extérieur par une perte de substance des
muscles
intercostaux : au reste, aucun de ces cas de hern
existante aux parois solides de la poitrine, était due à ce que, les
muscles
intermédiaires à ces ce côtes ayant été déchirés,
uel était contenue une portion considérable de poumon HP, fig. 1. Les
muscles
grand et petit pectoraux manquaient au niveau de
ôte; en dehors, par un rebord fibreux semi-lunaire qui appartient aux
muscles
intercostaux. La fig. 2 présente en outre : i°
'une plaie pénétrante de la poitrine; *° pneumocèle par déchirure des
muscles
intercostaux et fracture des côtes avec intégrité
uite de contusion violente des parois thoraciques, avec déchirure des
muscles
intercostaux et fracture des cotes, s'expliquent
nies abdominales, c'est-à-dire à travers un écartement des fibres des
muscles
intercostaux, et précédé par la plèvre costale, q
bien, semblable aux éventrations, le poumon déplacé soulève-t-il les
muscles
intercostaux amincis? la question est encore indé
ite, déterminer une débilité relative de ces parois, et permettre aux
muscles
intercostaux de se laisser soulever par le poumon
ées par des empyèmes circonscrits qui se sont fait jour à travers les
muscles
intercostaux, de telle manière que le pus rentre
ré que, dans sa partie la plus profonde, elle était recouverte par le
muscle
grand oblique, lequel manquait complètement au ni
huitième, neuvième, dixièmes côtes, peuvent, après avoir traversé les
muscles
intercostaux, traverser également le diaphragme,
hiaux jusqu'au pli du bras. En outre, l'inflammation avait envahi les
muscles
grand pectoral et grand dorsal eux-mêmes. On voya
ectoral et grand dorsal eux-mêmes. On voyait, dans l'épaisseur de ces
muscles
, des lignes rouges alternant avec des traînées de
s et l'épanchement pleural, aucun signe de travail de perforation des
muscles
intercostaux. Le poumon droit (fig. 1 ) était p
ire sous-cutané de la peau, mais encore la surface et l'épaisseur des
muscles
et qu'on voit encore le long des tendons, des ner
la dégénération variqueuse s'étend profondément dans l'épaisseur des
muscles
. — Il reste encore un peu de myotilité dans le me
u ayant été incisée verticalement et disséquée (voyez planche v), les
muscles
divisés, voici les particularités que présente l'
° Il y avait des tumeurs variqueuses développées dans l'épaisseur des
muscles
, les unes dans l'épaisseur des couches superficie
dans l'épaisseur des couches superficielles, les autres au centre des
muscles
, un certain nombre dans l'épaisseur des couches p
elles traversaient pour aller se continuer avec le tissu érectile des
muscles
transformés. 11 y avait en outre dans les veines
s variqueuses sont appliquées contre l'aponévrose antibrachiale. Le
muscle
biceps est presque entièrement converti en tissu
converti en tissu variqueux. On pouvait suivre dans l'épaisseur de ce
muscle
tous les degrés de la transformation variqueuse :
, remplis de sang: j'ai trouvé trois phlébolithes dans l'épaisseur du
muscle
biceps. Un seul a été figuré F ÏT L\ Dans beauc
es aréoles du tissu érectile en lequel était converti le biceps. Le
muscle
brachial antérieur était beaucoup moins altéré da
al antérieur était beaucoup moins altéré dans son organisation que le
muscle
biceps. Le triceps humerai avait été respecté.
variqueuse. Autour de l'articulation du coude. i° En avant, sous le
muscle
brachial antérieur, était un foyer sanguin consid
on voit une série de tumeurs variqueuses. A l'avant-bras, tous les
muscles
delà région antérieure sont confondus en un vaste
sont confondus en un vaste réseau variqueux. La transformation de ces
muscles
est beaucoup plus complète que celle du biceps hu
. Ainsi nous avons pu suivre tous les degrés de la transformation des
muscles
en tissu érectile ou variqueux. Dans un premier d
tion des faisceaux voisins; plus tard les faisceaux variqueux du même
muscle
se confondent; plus tard encore les tumeurs érect
e se confondent; plus tard encore les tumeurs érectiles des différens
muscles
forment un tissu continu. On conçoit que si le dé
ies sous-aponévrotiques étaient parfaitement saines, et la pâleur des
muscles
, l'intégrité des petites veines sous-aponévrotiq
s des épanchemens sanguins sous les aponévroses, dans l'épaisseur des
muscles
, enfin sous le périoste. J'ai même rencontré plus
écris. Hémorrhagie spontanée de la peauy du tissu cellulaire et des
muscles
de la jambe. Une vieille femme entra dans mes s
Epanchement de sang sous cette aponévrose jambière, à la surface des
muscles
et dans l'épaisseur de ces muscles. On voyait, en
névrose jambière, à la surface des muscles et dans l'épaisseur de ces
muscles
. On voyait, en outre, une couche de sang au devan
dans les espaces celluleux intermusculaires, 5° dans l'épaisseur des
muscles
, où le sang infiltré occupe le tissu cellulaire q
Ces hémorrhagies spontanées de la peau (i), du tissu cellulaire, des
muscles
, du périoste et des articulations, ont-elles quel
pied. Le lendemain, la malade accuse une douleur très vive dans les
muscles
postérieurs de la jambe droite, douleur que le mo
ltération putride des tissus : le tissu cellulaire sous-cutané et les
muscles
ont une couleur livide, mais ils ont de la cohére
peuvent être reconnues et disséquées. On voit sur la figure les trois
muscles
jambier antérieur, extenseur commun des orteils e
vives à la jambe et principalement à son côté antérieur, le long des
muscles
extenseurs. Il paraît que depuis quelques jours
des parties mortes d'avec les parties « vivantes, et j'ai vu que les
muscles
de la cuisse et de la jambe étaient réduits en bo
abcès gangreneux dans l'épaisseur de la cuisse, dans l'épaisseur des
muscles
; et au centre des abcès gangreneux on trouvait du
eux on trouvait du mercure. En outre, je trouvai dans l'épaisseur des
muscles
grand-fessier et vaste externe, des milliers de t
ée. Le pus est exprimé du poumon comme d'une éponge. Cœur sain. Les
muscles
de la jambe, de la cuisse et du pied droit sont s
qui résulterait de la chaleur d'un four sur la main d'un cadavre. Les
muscles
, les nerfs étaient desséchés, sans présenter la m
vait quelques taches jaunâtres, trace probable du tissu artériel. Les
muscles
intercostaux des deuxième et troisième espaces, a
et la petite extrémité en haut; elle était d'ailleurs située sous le
muscle
sterno-mastoïdien qu'elle soulevait, et qui recou
ue détermine dans les battemens du cœur adhérent la contraction de ce
muscle
. Mais cette circonstance ne rendrait pas compte d
ère égale dans toute l'économie, vous rétablissez l'équilibre; chaque
muscle
en action devient pour ainsi dire, à l'égard du c
aujourd'hui médecin à Moulins, ayant trouvé, chez le même sujet, les
muscles
du mollet graisseux, crut voir une grande analogi
alogie entre l'aspect de la coupe du cœur et l'aspect de la coupe des
muscles
, et en conclut que le cœur avait subi la dégénéra
eineuse. Chez un individu mort avec une dégénération cancéreuse des
muscles
et du tissu cellulaire de l'épaule, j'ai trouvé l
nt en avant contre la branche de la mâchoire, refoulant en arrière le
muscle
sterno-mastoïdien et comprimant les muscles de la
e, refoulant en arrière le muscle sterno-mastoïdien et comprimant les
muscles
de la région sus-hyoïdienne qui étaient durs, cri
ralysie du mouvement. De temps en temps, contraction convulsive des
muscles
de la face, accompagnée de rigidité des membres,
ression du nerf auditif : effet direct. La contraction convulsive des
muscles
de la joue gauche n'a eu lieu que plus tard, sans
erte de l'olfaction et perte de l'ouïe d'un côté, engourdissement des
muscles
de la face du même côté, caractérise les tumeurs
état de rigidité paralytique? pourquoi la contraction permanente des
muscles
fléchisseurs? Ces différences dans les symptômes
s talons sont appliqués contre les fesses. En même temps rigidité des
muscles
fléchisseurs de la cuisse sur le bassin et des ja
des jambes sur les cuisses. La rigidité s'arrête aux genoux; car les
muscles
des jambes et des pieds sont au contraire dans un
e attitude. La myotilité existait encore, mais incomplète, dans les
muscles
qui meuvent la jambe et la cuisse. La malade fu
jours. La «malade peut marcher, mais en vacillant sur les pieds. Les
muscles
de la jambe sont à-la-fois douloureux et affaibli
nt que la sensibilité tactile est abolie, mais que la sensibilité des
muscles
est augmentée : il y a paralysie douloureuse des
sibilité des muscles est augmentée : il y a paralysie douloureuse des
muscles
, et la paralysie musculaire me parait exclusiveme
la paralysie du sentiment de la peau et la paralysie douloureuse des
muscles
ont envahi le membre supérieur droit. Déjà , la v
érieusement sur l'issue de la maladie ; car il est à craindre que les
muscles
de fa respiration ne finissent eux-mêmes par s'en
t un membre, et passe delà dans un autre membre; i° une paralysie des
muscles
par douleur dans la première période ; une paraly
des muscles par douleur dans la première période ; une paralysie des
muscles
avec insensibilité dans la deuxième période. Les
aralysie des muscles avec insensibilité dans la deuxième période. Les
muscles
sont douloureux et par le fait de la pression, et
ais bientôt la douleur est telle, que la volonté ne peut rien sur les
muscles
, et c'est alors qu'on dit qu'il y a paralysie. Si
vu que la peau était insensible), mais bien par l'endolorissement des
muscles
. La paralysie par douleur et avec douleur muscu
sentiment, que cette exaltation de sentiment avait son siège dans les
muscles
paralysés, qu'il y avait paralysie du mouvement p
dans les membres inférieurs, alors qu'on pince le malade, « quelques
muscles
partant du bassin semblent s'agiter. » Si Dance n
'a reconnu la sensibilité cutanée que parle semblant de mouvemens des
muscles
, c'est une manière sujette à erreur; car l'action
'attitude assise.La malade n'est pas complètement paralysée: tous les
muscles
sont susceptibles de contraction ; mais les mouve
rt, entre le renflement cervico-brachial de la moelle, qui répond aux
muscles
du membre supérieur, et le renflement lombaire, q
uscles du membre supérieur, et le renflement lombaire, qui répond aux
muscles
du membre inférieur. Fausse paraplégie produite
plus communes qu'on ne le pense : elles tiennent dans le principe aux
muscles
, et puis elles finissent par tenir aux articulati
ds ; mais il ne détermine aucun déplacement des membres, bien que les
muscles
se raidissent et tendent au raccourcissement. Du
et me parut militer en faveur d'une vraie paraplégie : c'est que les
muscles
ne se contractaient pas, que la malade n'exécutai
des cartilages articulaires et des cartilages inter-articulaires. Les
muscles
des membres inférieurs n'avaient pas encore subi
se de Saint-Guy. La volonté n'a qu'une action très incomplète sur les
muscles
, qui semblent obéir bien plus impérieusement à un
i se prolongeait pendant vingt-quatre heures. J'ai déjà dit que les
muscles
faciaux se contractaient en partie volontairement
partie involontairement , d'où les grimaces les plus singulières. Les
muscles
du larynx, ceux de la déglutition et de la respir
ns involontaires, qui la faisaient s'agiter sur sa chaise percée; les
muscles
faciaux agités de grimaces, et l'articulation des
uses, pour se développer en dehors de la colonne vertébrale, sous les
muscles
spinaux, et j'ai le regret de n'avoir rien fait p
une fluctuation obscure. J'incisai avec précaution et je vis sous les
muscles
longs du dos atrophiés et réduits à une lame asse
, KH, RH), une tumeur molle, fluctuante, tout-à-fait indépendante des
muscles
soulevés et qui occupait les deux gouttières vert
e faisaient pas à l'extérieur de saillie notable,vu la résistance des
muscles
, qui avaient en quelque sorte forcé les tumeurs à
ois sortie du rachis, elle a soulevé, détaché de leurs insertions les
muscles
du dos atrophiés; que la moelle a dû être soulagé
externe ; mais que la résistance du kyste, celle des aponévroses des
muscles
spinaux et celle des muscles spinaux eux-mêmes, c
ance du kyste, celle des aponévroses des muscles spinaux et celle des
muscles
spinaux eux-mêmes, convertis en tissu fibreux, on
traste entre l'insensibilité de la peau et la sensibilité exquise des
muscles
et autres parties subjacentes, qui me firent pens
grand'peine et à la suite d'une contraction volontaire très forte des
muscles
abdominaux, que les urines sont expulsées. L'auto
ïdienne dans une couche purulente, située sous le deltoïde , entre ce
muscle
et l'articulation, ou plutôt dans la synoviale de
s cutanées, de là ces paralysies musculaires qui envahissent tous les
muscles
ou certains muscles des membres; 2° sur les gros
s paralysies musculaires qui envahissent tous les muscles ou certains
muscles
des membres; 2° sur les gros troncs nerveux d'où
ouleurs très vives produites par les mouvemens ou par la pression des
muscles
et de l'insensibilité presque complète de la peau
inaux sont sains. Dissection du membre inférieur atrophié. Tous les
muscles
ont subi la transformation graisseuse, et sont né
naissables à leur forme et à leurs disposition fascicu-lée. Plusieurs
muscles
ont conservé quelques faisceaux musculaires dont
nt la couleur rouge contraste avec l'aspect graisseux du reste de ces
muscles
. Tels sont le muscle fessier qui présente quatre
ntraste avec l'aspect graisseux du reste de ces muscles. Tels sont le
muscle
fessier qui présente quatre petits faisceaux roug
le muscle fessier qui présente quatre petits faisceaux rouges, et le
muscle
soléaire qui en présente deux. Le membre inféri
st à-peu-près pied-bot avait subi la dégénération graisseuse dans les
muscles
de la région postérieure delà cuisse seulement, à
les de la région postérieure delà cuisse seulement, à savoir dans les
muscles
demi tendineux, demi membraneux et biceps. Tous l
es muscles demi tendineux, demi membraneux et biceps. Tous les autres
muscles
étaient sains, mais généralement le membre n'offr
ais généralement le membre n'offre ni dans son squelette, ni dans ses
muscles
le développement d'un membre inférieur pris chez
miquement l'existence d'un pied bot et la dégénération graisseuse des
muscles
de la région postérieure de la cuisse, et que dém
res inférieurs sont constamment fléchis et rigides, et par moment les
muscles
fléchisseurs se contractent spasmodiquement avec
er des orteils, d'autres fois une simple contraction fibril-laire des
muscles
, d'un muscle, de quelques faisceaux musculaires d
, d'autres fois une simple contraction fibril-laire des muscles, d'un
muscle
, de quelques faisceaux musculaires de la jambe ou
e la moelle ? Toujours est-il que toutes les fois que je trouve des
muscles
rigides avec perte plus ou moins complète du sent
es rigides avec perte plus ou moins complète du sentiment, et que ces
muscles
se contractent sous l'influence des stimulans ext
e et cherche à répondre : elle verse quelques larmes et contracte ses
muscles
faciaux, à la manière d'une personne qui comprend
antes avec coloration pourpre de la face et secousses convulsives des
muscles
de la respiration; la déglutition est difficile,
du sacrum sont à nu ; la peau de la région fessière et une partie des
muscles
fessiers sont envahis; respiration fréquente; eng
crum est considérable. Toute la peau correspondante et une partie des
muscles
fessiers ont été détruits. Réflexions. — Il rés
dont le grand hypoglosse est le nerf moteur ; 4° l'action de tous les
muscles
du corps; car la lésion du bulbe rachidien doit e
idérée en tant qu'organe de transmission des ordres de la volonté aux
muscles
. L'asphyxie était inévitable. J'avais annoncé aux
res le soir, lavement purgatif, eau de Sedlitz. Le 26 novembre, les
muscles
de la région postérieure du col sont rigides, dou
ée à gauche. La malade a vomi tout ce qu'elle avait pris. Souvent les
muscles
faciaux se contractent ; les traits se tirent et
la commissure des lèvres. La narine droite n'est pas affaissée ; les
muscles
fronto-palpébraux sont contractiles. La paralysie
douleur violente à la région occipitale, de douleur avec rigidité des
muscles
de la nuque, douleur qu'augmentait la pression ex
A. Chazal del. IinprLmipar tâtnarcl- DU TISSU CELLULAIRE ET DES
MUSCLES
. (Planches iii et iv, xxxii6 livraison.) Canc
Cancer mélanique tuberculeux du tissu cellulaire sous-cutané', des
muscles
, du tissu cellulaire sous-péritonéal, des poumons
ascia superficiel. Il en est d'autres développés dans l'épaisseur des
muscles
, les uns faisant saillie du côté de la couche sup
es, les uns faisant saillie du côté de la couche superficielle de ces
muscles
, les autres ensevelis dans leur épaisseur, d'autr
ux dépens du nerf radial NR, au moment du passage de ce nerf entre le
muscle
long supinateur et le brachial antérieur. Le long
sur les séreuses, dans le tissu eellullaire, et dans l'épaisseur des
muscles
dont la blancheur contrastait avec la couleur noi
es productions adipeuses n'y ont jamais été observées, tandis que les
muscles
, le foie(i), les glandes salivaires, le tissu cel
ciété. Le sternum, qui n'est nullement déformé, a la souplesse d'un
muscle
ou d'un tendon, ou mieux celle que lui aurait don
de tissu, de même qu'elle s'était propagée de la glande mammaire aux
muscles
subjacens; mais à gauche, l'altération des os éta
est évidemment par l'os lui-même qu'a débuté la dégénération; car les
muscles
, la glande mammaire et la peau étaient dans l'éta
n'était pas encore envahi. On voit (fig. 2) la coupe de la portion du
muscle
qui a été emportée. Réflexions.—-Le cancer fung
ion de la plèvre n'avait pas eu lieu par continuité de tissu, car les
muscles
intercostaux et les côtes étaient dans un état pa
res du grand pectoral lui-même. Au niveau de la glande mammaire, ce
muscle
avait en outre participé à la dégénération, si bi
t difficile de distinguer dans la tumeur, ce qui avait appartenu à ce
muscle
, de ce qui avait appartenu à la glande mammaire e
ier, mais on a peu étudié celle delà peau et celle de l'épaisseur des
muscles
.—Un fait bien remarquable, c'est que la présence
Les tubercules cancéreux peuvent se développer par milliers dans les
muscles
subjacens à la mamelle et dans les muscles enviro
pper par milliers dans les muscles subjacens à la mamelle et dans les
muscles
environnans. Ainsi chez une femme delà Salpêtrièr
ant intacte, j'ai trouvé des milliers de tubercules occupant tous les
muscles
du voisinage, le deltoïde, les sus-épineux, sous-
sous-scapulaire. Le caractère général de ces tubercules cancéreux des
muscles
est d'être disposés régulièrement le long des fib
berculeux et fibreux ; que, à mesure qu'on s'éloigne de la glande, le
muscle
reprend ses caractères, et que son tissu est infi
ctum. La gangrène avait envahi le tissu cellulaire du bassin jusqu'au
muscle
obturateur interne. Je trouve aux limites de la g
être autre chose que le résultat de la dessiccation de la peau et des
muscles
. Cette pellicule a été enlevée dans les figures 3
de est-elle formée uniquement par la peau, le tissu cellulaire et les
muscles
? contient-elle dans son épaisseur quelques porti
anique de la parotide et des ganglions sous-maxillaires.—Atrophie des
muscles
propres delà moitié gauche du larynx. Hydrophthal
— Cancer mammaire. Extirpation. Dégénérescence de la cicatrice et des
muscles
intercostaux. Mort. Cancer du foie. Quelques indu
. — Cancer mélanique tuberculeux du tissu cellulaire sous-cutané, des
muscles
, du tissu cellulaire sous-péritonéal, des poumons
le cancer mélanique tuberculeux du tissu cellulaire sous-cutané, des
muscles
, du tissu cellulaire sous-périlonéal, des poumons
s. lre\\\., Avant-Propos, p. iij. DOIGTS. Abcès dans l'épaisseur du
muscle
extenseur commun des doigts. 17e liv., pl. ni, p.
liv., pl. i,p. /. DUVÊRNEY. Son erreur sur la part que prennent les
muscles
dans la déviation du pied-bot. 2e liv., pl. iv, p
p. 2. — Hémorrhagie spontanée de la peau, du tissu cellulaire et des
muscles
de la jambe. = Hémorrhagie spontanée du tissu cel
as de laryngite sous-muqueuse. 35e liv., pl. iv, p. 3. — Atrophie des
muscles
propres de la moitié gauche du larynx. 39e liv.,
iv., pl. n, m, iv, p. /, et pl. vi, p 3- 40c liv., pl. v, p. /; — des
muscles
. 17e liv., pl.m, p. /; 32e liv., pl. ni, iv, p. /
Cancer mammaire ; extirpation; dégénérescence de la cicatrice et des
muscles
inlercoslanx. Mort. 23e liv., pl. y, p. 4. —Cance
. — Cancer mélanique tuberculeux du tissu cellulaire sous-cutané, des
muscles
, du tissu cellulaire sous-peritoneal et des poumo
iv, v, p. 48. — Dans celui de la pneumonie. 29e liv., pl. v, p. 3.
MUSCLES
. Examen anatomique des muscles dans le pied-bot.
la pneumonie. 29e liv., pl. v, p. 3. MUSCLES. Examen anatomique des
muscles
dans le pied-bot. 2e liv., pl. ni, p. 3, et pl. i
, pl. ni, p. 3, et pl. iv, p. ia.— Sur la dégénéralion graisseuse des
muscles
. 2e liv., pl. iv, p. 4.—Rigidité des muscles dans
énéralion graisseuse des muscles. 2e liv., pl. iv, p. 4.—Rigidité des
muscles
dans les cadavres des cholériques. 14e liv., pl.
nf, iv,\,p. 35. —Apoplexie musculaire. = Inflammation puerpérale des
muscles
et des synoviales , ou rhumatisme puerpéral. 17 l
Deux abcès dans l'épaisseur de la jambe. Un abcès dans l'épaisseur du
muscle
extenseur commun des doigts. 17e liv., pl. m, p.
. — Cancer mélanique tuberculeux du lissu cellulaire sous-cutané, des
muscles
, du tissu cellulaire sous-péritonéal, des poumons
j. PIEDS. Pieds-bots. 2e liv., pl. n,p. /. — Examen anatomique des
muscles
et des ligamens dans le pied-bot. 2e liv., pl. m,
Deux abcès dans l'épaisseur de la jambe. Un abcès dans l'épaisseur du
muscle
extenseur commun des doigls. 17e liv., pl. ni, p.
p. a. — Hémorrhagie spontanée de la peau, du tissu cellulaire et des
muscles
de la jambe. Hémorrhagie spontanée du tissu cellu
un cancer mélanique tuberculeux du tissu cellulaire sons-cutané, des
muscles
, du tissu cellulaire sous-péritonéal, des poumons
côté gauche, laissant dans l'intervalle des crises une parésie des
muscles
affectés. -- Sa mère a du même côté, de temps e
étendu à toute la moitié de la face et qui occupe mainte- nant les
muscles
de la mâchoire et l'orbiculaire des lèvres d'un
feste de tous les réflexes tendineux (genou, poignet, coude). Les
muscles
sont amaigris ; mais il ne semble pas y avoir à
deur dans les jambes. Quelques mois après, s'était montrée dans les
muscles
des extrémités inférieures une certaine rigidit
tilité des membres inférieurs sans contrac- ture, sans rigidité des
muscles
, et absence de réflexes rotuliens. Il est vrais
flexe. Il n'y a pas d'hyperexcitabilité musculaire (tapotements des
muscles
et des avant-bras, du biceps, du sterno-cléido-
au abdominale, et ce contact détermine un mouvement spasmodique des
muscles
du ventre; le réveil s'annonce par de profonds
isonne par le resserrement subit de la glotte. Le dia- phragme, les
muscles
abdominaux, l'oesop/ta[Je, etc... entrent immé-
l'estomac pir des pressions exté- rieures, par des contractions des
muscles
abdominaux, en fai- sant de grandes inspiration
ET DE LA LOCALISATION DU CE\1'REDE L'IRIS ET DE LA CONTRACTION DES
MUSCLES
moteurs de L'OEIL; par l3ECDTEREFr·. (Messager
ventricule, il n'existe pas de centres qui servent à contracter les
muscles
moteurs de l'oeil, dans le sens de MM. Ilonsen
pille est légèrement dilatée, les paupières sont entr'ouverles. Les
muscles
de la face se convulsent, surtout à droite, la bo
l'année, plusieurs cas de troubles de la parole, par paralysie des
muscles
articulateurs, dépendant soit d'une lésion céré
vise en quatre parties. Les troubles de la parole par paralysie des
muscles
articu- lateurs peuvent, en effet, être observé
, elle détermine de la glossoplégie, c'est-à-dire une paralysie des
muscles
articulateurs. La localisation anatomo-patholog
gauche; les mouvements spasmodiques sont surtout marqués dans les
muscles
de la commissure labiale, de l'aile du nez et d
e labiale, de l'aile du nez et de la paupière, ainsi que dans les
muscles
de la langue, du côté gauche : abcès de la couc
1 Nous avons rassemblé un grand nombre de cas de convulsions des
muscles
delà face avec lésions de l'extrémité inférieure
ions de l'extrémité inférieure de la frontale ascendante; mais, les
muscles
de la langue n'étant pas spécialement désignés,
ment. Aucune paralysie appréciable dans les membres. L'action des
muscles
des mâchoires, du voile du pa- lais, de la face
les de la sensibilité de la peau, ni de la muqueuse palatine; les
muscles
réagissaient normalement à l'action du cou- ran
1)' Barlow, il paraissait y avoir perte du mouvement volontaire des
muscles
impliqués dans la déglutition et l'articulation
teinte, l'aphasie a fait défaut et il n'y a eu de paralysés que les
muscles
arti- culateurs. Dans l'observation de Rosent
olution frontale ascendante, se trouve le centre des mouvements des
muscles
de la langue, et, par suite, l'origine cortical
inférieur de cette circonvolution prési- derait aux mouvements des
muscles
innervés par le facial inférieur (Charcot et Pi
de cette circonvolution parait donc commander aux mouvements des
muscles
innervés par l'hypoglosse, le facial inférieur
ts de latéralité uL Lu.w.ts.vrm m : u.aett.t.s. 161 1 difficiles,
muscles
peauciers de la face paralysés. Abaissement de
t pas atrophiées et elles se contractent bien, ainsi que les autres
muscles
de la face sous l'influence du courant faradique.
, odorat). Pas de paralysie de l'orbicu- laire des paupières ni des
muscles
moteurs de l'oeil. Affaissement cérébral assez
ladie de Duchenne, en effet, les réflexes ont souvent disparu, les
muscles
sont toujours plus ou moins atrophiés, et la co
es signale dans les affections où les 1 ,II '1..... * 1 .. l" ? t
muscles
ont subi une alté ' tin d muscles ont subi une
s 1 ,II '1..... * 1 .. l" ? t muscles ont subi une alté ' tin d
muscles
ont subi une altération dégénérative. z ni ( il
symptomatique ? Une hémiplégie gauche, une para- lysie de certains
muscles
du côté gauche de la langue, une paralysie du f
éflexes rotuliens, pas de trépidation du pied, légère atrophie- des
muscles
du mollet et des péroniers, diminution de la se
syllabes. Les mouvements vicieux de la langue, des lèvres et des
muscles
respiratoires s'accompagnent souvent de con- vu
muscles respiratoires s'accompagnent souvent de con- vulsions des
muscles
étrangers à la prononciation, des muscles de la
nt de con- vulsions des muscles étrangers à la prononciation, des
muscles
de la face, des bras et même des jambes, et coï
goutte rétrocédée, Scuda- more cite le spasme du diaphragme et des
muscles
abdominaux. M. Duckworths rapporte que M. Buz
dreich), à la nuque (Leyden), où elles peuvent n'occuper qu'un seul
muscle
ou même une partie d'un muscle. Si les éminence
elles peuvent n'occuper qu'un seul muscle ou même une partie d'un
muscle
. Si les éminences thénar et hypo- thénar sont q
nt, dans un grand nombre de cas, parfaitement normales. Souvent les
muscles
des membres inférieurs, frappés d'incoordinatio
lique aune période relati- vement précoce de l'atrophie de certains
muscles
..., notamment de ceux d'une moitié de la langue
les signes de l'ataxie et, de plus, un commencement d'atrophie des
muscles
de l'é- ' Grasset ? 5·aite ywatigue des maladie
la moitié gauche de la face el de la langue et de quelques-uns des
muscles
du membre supérieur gauche. Arthropalhie du cou
ane on voit des rides, des sillons de la muqueuse, dénotant que les
muscles
sous-jacents ont dimi- nué de volume. Lorsque l
r suite de l'atrophie des DE 1.'HFRI1TILOP111G de 1.1 langue. 197
muscles
de l'épaule, le mouvement d'élévation du bras est
s musculaires de l'avant-bras ont peu souf- fert. Au contraire, les
muscles
de la main, particulièrement ceux de l'éminence
nsité assez considérable ne détermine . pas de contractions dans le
muscle
deltoïde. Il en est de même pour les sus et sou
ontracte très bien. La contractilité est également intacte dans les
muscles
sui- vants : grand pectoral, grand dorsal, gran
culièrement du vaste interne. - Rien de spécial à signaler pour les
muscles
de l'avant-bras. - Ceux de l'éminence thénar ne
hie des deux papilles plus prononcée à gauche, et une paralysie des
muscles
droit interne et externe des deux côtés, s'acco
roduire ici (Fig. 3) '. Il n'y avait d'ailleurs aucune atrophie des
muscles
des membres et du tronc. Un second cas, que n
L\ I,.\\Gl'R. 203 troisième paire droite, intéressant surtout le
muscle
droit interne ; pupilles légèrement inégales, c
l'existence d'atro- phies musculaires multiples. 1° Atrophie des
muscles
des membres. L'atrophie est surtout marquée a
é, tandis qu'à droite il est un peu touché. Des deux cô- tés, les
muscles
de la main sont en dégénérescence. Les muscles
deux cô- tés, les muscles de la main sont en dégénérescence. Les
muscles
des éminences thénar et des espaces interosse
ainsi une ensellure très marquée, comme chez les individus dont les
muscles
de la masse sacro-lombaire sont atrophiés. Le
s dont les muscles de la masse sacro-lombaire sont atrophiés. Les
muscles
des membres inférieurs (cuisse et jambe) sont a
s ce symptôme a été noté, c'est la coïncidence avec"lav lésion1 des
muscles
linguaux de paralysies oculaires. Dans le cas d
.'1 Chez la malade Leisier, il y avait para- lysie de plusieurs des
muscles
des deux yeux ; chez Grossor ? nous avons relev
e. Or, les troubles que détermine le tabes dans le jeu normal des
muscles
desservis par les nerfs médullaires, résultent
it-il, démontrent que si l'on coupe les racines postérieures, les
muscles
innervés par la racine antérieure corres- ponda
de l'azygos de la luette (Pierret, Vidal), des ptérygoïdiens, des
muscles
de la langue (Trousseau), sans parler de celles
e (Trousseau), sans parler de celles 21 lé CLINIQUE NERVEUSE. des
muscles
oculaires qui sont de notion vulgaire. Toutes c
est-il autrementdesatrophies musculaires, qu'elles intéressent les
muscles
des membres ou ceux innervés par la langue, com
semble en droit de considérer les impoteni es fonction- nelles des
muscles
permanentes et irrémédiables comme placées sous
ées sous la dépendance de cette atrophie. Le fait est vrai pour les
muscles
des membres, il l'est pour la langue, il est tr
r la langue, il est très vraisemblable qu'il l'est aussi pour les
muscles
des yeux. Nous n'en voulons pour preuve que les
« il se .produit, dit cet auteur, des altérations très graves des
muscles
oculaires et souvent même une atrophie des nerf
le siège qu'elles DE L'HÉJfIATROPHIE DE LA LANGUE. 215 occupent,
muscles
des membres, de la langue ou des yeux, reconnaî
ux, reconnaître une pathogénie univoque. On sait que l'atrophie des
muscles
des membres résulte d'une atrophie des cellules
ophie de la langue et les impotences fonctionnelles permanentes des
muscles
des yeux. Les faits cliniques d'ailleurs plaide
phie linguale que nous possédons, la coïncidence de l'atrophie des
muscles
de la langue (Cas. personnelle; OBs. de MM. Vid
personnelle; OBs. de MM. Vidal et Cuffer) avec celle de certains
muscles
des membres supérieurs..Ce qui semble indi- que
latifs à des cas d'ataxie bulbaire avec lésions de la langue ou des
muscles
des yeux, on ne trouve relaté aucun trouble de
NGUE. 1217 phiques bulbaires (atrophie delà langue, paralysie des
muscles
oculaires, etc.), on se livre à une minutieuse en
n sont sous la dépendance d'é- tats pathologiques des fonctions des
muscles
de la vessie et de l'urèthre. Certaines colique
de leur rétention; et cependant, les efforts les plus violents des
muscles
abdominaux ne peuvent parvenir à provoquer l'expu
montrer sous quatre formes diverses : dans la pre- mière, tous les
muscles
sont hypertrophiés ; dans la seconde quelques m
ère, tous les muscles sont hypertrophiés ; dans la seconde quelques
muscles
sont hypertrophiés en même temps que d'au- tres
atrophiés; dans une troisième, la maladie reste limitée à quelques
muscles
; - dans une quatrième enfin, qui paraît être be
paraît être beaucoup plus rare, ce qui domine dans l'altération des
muscles
, c'est une tendance à la sclérose qui imprime aux
ômes classiques de la sclérose latérale amyotropbique, atrophie des
muscles
avec con- tractures dans les poignets et les pi
e n'a révélé aucune lésion bien nette soit des récurrents, soit des
muscles
du larynx, ce que l'auteur attribue à la courte
nt postérieur contiennent le faisceau destiné à l'innervation des
muscles
des membres et du tronc ; . 1 Voiries Archives
) 298 PATHOLOGIE NERVEUSE. motrices destinées à l'innervation des
muscles
de la face. Les fibres détachées du pied de la
niculé) se rencontreraient dans les cas d'aphasie, de paralysie des
muscles
de la langue, de la face, du voile du palais. P
troubles de la vue, de l'ouïe, ni de l'odorat. Pas de paralysie des
muscles
de l'oeil. Rien du côté du facial supérieur. Pa
onservés, ainsi que la contractilité électrique. Pas d'atrophie des
muscles
atteints. 302 PATHOLOGIE NERVEUSE. Paralysi
du menton qui est porté à droite, par suite de la contracture des
muscles
de la nuque, sans qu'il y ait rotation simultanée
ire, tllen au cote des organes des sens, du facial supérieur et des
muscles
des yeux. Pas de paralysie des membres. Mort
ascension des matières, ce qu'il fait en contractant légèrement les
muscles
abdominaux; l'estomac ainsi comprimé, réagit, s
rs, déterminait une contraction isolée du triceps fémoral, d'autres
muscles
entrant consécutivement en action, suivant la f
ction, suivant la force de l'incitation; on frappait en vain sur le
muscle
lui-même. Or, dans la première observation, la
ne du genou (heurt du tendon rotulien), ou la contraction lente des
muscles
de la cuisse (pincement de la peau). Une inter-
dans la tonicité muscu- laire, dans un certain degré de tension du
muscle
et de son tendon. Les faits cliniques n'imposen
e graduelle. Plus tard, hémiplégie gauche suivie de contracture des
muscles
du cou et de la face du côté droit. Enfin, affa
périeures et les mains, et sont caractérisées par de l'atrophie des
muscles
, des tendons, des os, les articulations se trou
le à molécule); les autres, de la paralysie et des contractions des
muscles
périartieutaires (action des antagonistes, ramo
paralysie atrophique de l'enfance, une atrophie considérable des
muscles
des éminences thénar et hypothénar et des muscles
considérable des muscles des éminences thénar et hypothénar et des
muscles
inter- osseux de la main droite, avec paralysie
uscles inter- osseux de la main droite, avec paralysie de ces mêmes
muscles
¡ '1'101' photolithogT1phirs représentent l'éta
masse du bras droit, mais l'auteur n'ayant constaté ni lésions des
muscles
ni anomalies dans le résultat de l'examen élect
l'exception du cubital,quedans leurs derniers rameaux destinés aux
muscles
atrophiés. L'auteur ajoute quelques considérati
te quelques considérations sur l'atrophie des os correspondants aux
muscles
paralysés, et fait ressortir les diffé- rences
hal prend la parole sur la paralysie progressive de la totalité des
muscles
de l'oeil chez les aliénés avec présentation de m
s les yeux de ses confrères trois cas. La paralysie progressive des
muscles
oculaires s'effectua lentement et aboutit à l'i
ns se trouvent égale- ment pris, comme le démontre la paralysie des
muscles
de la bouche, de la langue, du voile du palais,
actuellement à la clinique, on notait, avec la parésie de tous les
muscles
des yeux, de l'atrophie des nerfs optiques (céc
roie à des troubles psychiques, perdait l'usage complet de tous les
muscles
de l'oeil, des extrémités inférieures et en parti
ques des deux côtés. Sur trente-deux faits de paralysie de tous les
muscles
de l'oeil, dont six observés par M. Westphal lu
mais été infecté. Conclusions. La paralysie progressive de tous les
muscles
de l'oeil, qui peut également s'allier à l'impote
es muscles de l'oeil, qui peut également s'allier à l'impotence des
muscles
touchés par la paralysie bulbaire, est en rapport
ns se résument en : atrophie des nerf moteurs de l'oeil et de leurs
muscles
(hyperplasie conjonctive, dégénérescence graisseu
urée de la dernière période d'observation, ma- nie légère. Tous les
muscles
des yeux sont presque complètement paralysés ;
es, sensations musculaires, sensations émanées de l'innervation des
muscles
de l'oeil, etc.. De même, chaque image commémora-
une forme de contracture infantile intéressant particulièrement les
muscles
adducteurs; par Simard. Thèse de Pa- ris, 1884.
t de la localisation du centre de l'iris et de la contraction des
muscles
moteurs de l'), par Bechtereff, 121. OEil (
Bechtereff, 121. OEil (paralysie progressive de la totalité des
muscles
de 1' chez les aliénés', 363. Ophthalmoscopiq
La paralysie faciale qui occupe le côté gauche porte sur tous les
muscles
innervés par le nerf de la septième paire, elle e
voir eu froid ou de s'être exposée à un refroidissement. Tous les
muscles
du côté droit de la face sont paralysés. Intégrit
voir eu froid les jours précédents. L'hémiplégie porte sur tous les
muscles
innervés par le nerf de laseptième paire ; dou-
volontaire et la contractilité électrique sont normales dans les
muscles
innervés par le facial supérieur; cependant l'oei
re; l'excitabilité faradique est notablement diminuée dans tous les
muscles
, l'excitabilité galvanique n'est pas augmentée,
ais il y a prédominance de la contraction à l'anode; en un mot, les
muscles
présentent les signes de la réaction de dégénér
t la contractilité faradique sont perdues pour un certain nombre de
muscles
, et en particulier pour les zygomatiques. Obs
eux jours avant en stationnant devant un bureau d'omnibus. Tous les
muscles
innervés par le facial gauche sont paralysés ;
git bien d'une paralysie périphérique complète portant sur tous les
muscles
placés sous la dépendance de la septième paire.
qu'il y a une diminution sensible de la contractilité faradique des
muscles
de la face de côté droit; pas de modifica- tion
survint qu'au bout de huit mois, et encore est-elle incomplète; les
muscles
orbiculaires des paupières, frontal et releveur
M. D... est atteint d'une paralysie de la septième paire. Tous les
muscles
innervés par le facial gauche sont paralysés, m
is de décembre, soit neuf mois après le début de la paralysie ; les
muscles
se contractaient normalement sous l'influence d
ée ou même impossible. Balancement de la tête, tressaillement des
muscles
du cou, et mouvements involontaires, anormaux, de
nt et ils finissaient par se changer en simples tressaillements des
muscles
du bras et du pied du côté souffrant. Ce tressa
ompréhensible. Toutes les autres fonctions étaient normales, et les
muscles
du côte droit parfaitement soumis à la volonté.
ement fléchis, n'est pas entièrement permanente. La contraction des
muscles
du cou n'est pas non plus assez énergique pour
tous les membres sont agités de mouvements désordonnés, tous les
muscles
sont le siège de contractions irrégulières; la ma
'une de ses tantes, elle aurait eu des mouvements ir- réguliers des
muscles
de la face et des membres. Une de ses tantes, d
r PAUL SOLLIER. I. L'existence de sensations spéciales, émanant des
muscles
, semble avoir échappé aux anciens auteurs, ce q
r d'avoir établi nettement l'exis- tence des sensations émanées des
muscles
, auxquelles il donna définitivement le nom de s
(Physiology of common Life. 1860). Schiff, dans sa Physiologie des
muscles
et des nerfs, Trousseau dans ses Cliniques sur
sens musculaire nous donne l'appréciation de la contraction de nos
muscles
; pour d'autres, il nous fournit les notions de
ies profondes des membres, apo- névroses, tendons, articulations et
muscles
, contribueraient à le constituer. Les impressio
en rapport avec les différents degrés de contraction de tous les
muscles
qui peuvent être en jeu. E.-H. Weber, qui étudi
uel qu'il soit, mis en contact avec notre peau, tan- dis que si nos
muscles
sont appelés à jouer, nous apprécions des diffé
qui résultent des états variés de tension ou de contraction de nos
muscles
. Cette faculté est perdue dans certaines maladi
ns et résistons, soit en partie du moins, non une sensation dans le
muscle
, mais une notion de la quantité de force nerveu
ons des nerfs sensitifs qui 86 REVUE CRITIQUE. se distribuent aux
muscles
et à la peau. » Pour Millier et Hamilton, le se
ves des membres en mou- vement, impressions centripètes émanant des
muscles
, ou émanant de la peau. Ludwig pense aussi « qu
ent, les connaissances et le discernement qui nous arrivent par les
muscles
volontaires mis enjeu. D'après Wundt, « le si
« le siège des sensations de mouvement ne paraît pas être dans les
muscles
mais bien dans les cellules nerveuses motrices.
ant des appareils sensibles et des nerfs situés à l'inté- rieur des
muscles
, seraient considérées en quelque sorte comme le
plus probable, que les sen- sations accompagnant la contraction des
muscles
naissent dans les fibres nerveuses qui transmet
res nerveuses qui transmettent l'impulsion mo- trice du cerveau aux
muscles
, car si elles étaient ducs aux nerfs sensitifs
veau aux muscles, car si elles étaient ducs aux nerfs sensitifs des
muscles
elles croîtraient et décroîtraient constamment
tamment avec le degré de travail interne et externe accompli par le
muscle
. Mais ce n'est point là le cas, car la LE SENS
t. Pour lui aussi les impres- sions du sens musculaire dérivent des
muscles
par les nerfs moteurs et son siège est du côté
sens, et il s'exprime ainsi : « Comme les nerfs qui se rendent aux
muscles
sont surtout des nerfs moteurs grâce auxquels l
ur siège du côté moteur. Les découvertes de Sachs, montrant que les
muscles
possèdent des nerfs sensitifs, ayant un trajet
culaire dérivait de courants centripètes ou impressions émanées des
muscles
, et rapportées aux centres volitionnels par les
es comme composantes du groupe complexe des impressions émanées des
muscles
, c'est-à-dire du sens muscu- laire. Dans ses Cl
dépendante de la peau, réside dans une sensibilité particulière aux
muscles
, ou dans LE SENS MUSCULAIRE. 89 une sensation
ation d'origine centrale, accompagnant l'innervation volontaire des
muscles
. Bernhardt penche à considérer le sens musculai
en outre, qu'une distinction de poids peut être faite lorsque les
muscles
sont contractés par le courant électrique seul. I
le dans les amputations de l'avant-bras à la partie inférieure, les
muscles
moteurs des doigts subsistent en tout ou en par
mouvements exécutés par les changements survenus dans l'état de ces
muscles
. D'autres fois, par exemple dans la désarticula
sarticulation de l'épaule, dans les amputations de l'hu- mérus, les
muscles
qui agissent sur la main font complètement défa
er au sensorium l'impression particulière des mou- vements dans les
muscles
. Lorsque nous voulons un mouvement, il naît en
nce d'impressions donnant des sentiments de tension et venant des
muscles
par les nerfs sensitifs. Seulement, au lieu de
ds et de résistance ainsi que la connaissance de la position de nos
muscles
et de leurs mouvements, nous sont fournies non
nos muscles et de leurs mouvements, nous sont fournies non par les
muscles
92 REVUE CRITIQUE. mais par les sensibilités
essions tactiles, en partie de sensations passives émanant de nos
muscles
et de nos articulations, et des déductions basées
fs sensitifs ordinaires des membres en mou- vement, par exemple des
muscles
, des articulations et de la peau, d'autres impr
et leur coordination, mais aussi la sensation exacte de ce que les
muscles
sont en train de faire, pour que l'énergie des
elle seule, nous connaissons la force de contraction actuelle des
muscles
, l'étendue, l'énergie, la direction des mouvement
la peau et des parties sous-cutanées, sensation de contraction des
muscles
, et sensations d'innervation centrale, qui ne p
r-le- 9 le REVUE CRITIQUE. champ une modification dans l'état des
muscles
. Meynert sou- tient aussi (Psychiatrie) une opi
des impressions venues de la périphérie, à sa- voir de la peau, des
muscles
, des aponévroses, des tendons, des capsules art
dans ces cas. Il croyait qu'il restait encore un chemin de l'ame au
muscle
, puisque le mouvement n'était pas complètement
on quelconque dans le trajet des impressions centripètes venues des
muscles
. « Cette inter- ruption siège, dit-il, dans le
lle peut s'exercer lorsqu'on fait con- tracter artificiellement les
muscles
en les excitant par l'élec- tricité. En somme
de mouvements moléculaires qui, immédiatement après, se rendent aux
muscles
par les nerfs moteurs, craniens et spinaux, est
un simple phénomène physique. C'est le chan- gement de condition du
muscle
ainsi excité et des parties contiguës, changeme
les centres volitionnels, moteurs spinaux, les nerfs moteurs et les
muscles
pouvaient être mis en jeu comme à l'état normal
e, dit-il, que la connaissance de l'état et de la con- traction des
muscles
ne vient pas des impressions concomi- tantes de
tifs de la peau ou des muqueuses. Réflexes tendineux, fonctions des
muscles
et réactions élec- triques ne présentant rien d
Pouls identique à celui du côté sain. Rien aux articulations ni aux
muscles
. La peau de- 102 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
ires, qui présentait du côté gauche une paralysie avec atrophie des
muscles
deltoïde, biceps, brachial antérieur, long et c
lle était comprimée, mais ne présentait aucun signe de myélite. Les
muscles
et lesgros troncs nerveux portaient des signes
il arrive dans la myélite, ni troubles vésicaux, ni rectaux. Les
muscles
s'atrophient peu à peu et ont des réactions de
ong du corps, incapable d'être soulevé ou écarté du tronc. Tous les
muscles
sont en pareil cas intéressés, y compris ceux d
droit, portant exclu- sivement sur la main et sur le poignet. Les
muscles
de l'épaule, du bras et de l'avant-bras ont con
Les mouvements sont nuls aux cuisses et aux jambes, bien que les
muscles
puissent encore se contracter, et qu'il soit
rde à la malade, elle laisse tomber les objets qu'elle porte. Les
muscles
de la main ont conservé leurs propriétés élec-
. La contractibilité faradique est parfaitement conservée, et les
muscles
de l'avant-bras et de la main droite répondent à
dant qu'il y ait un léger degré d'atrophie musculaire au niveau des
muscles
de l'éminence thénar, par- ARCHIVES, t. XIV. 13
on trajet cervical. Les articulations sont absolument saines, les
muscles
répondent bien à toutes les excitations et ne son
a guérison était complète, sans aucune modification appréciable des
muscles
ni des tégu- ments. La guérison a persisté depu
tence fonctionnelle est complète, la vessie devient paresseuse. Les
muscles
de la cuisse subissent un certain degré d'atrophi
s spinales antérieures correspondantes, et déterminé l'atrophie des
muscles
de la cuisse. Il ne se demande pas si la distri
es articulations du membre supérieur, et une intégrité complète des
muscles
dé ce dernier. De même que dans la crampe des é
e dernier. De même que dans la crampe des écrivains, où ce sont les
muscles
soumis à une contraction incessante pour mainte
l'examen des faits dans la crampe des pianistes, que ce soient les
muscles
destinés à l'extension du poignetqui sont attei
ts. Lesmouvements ryth- miques de contraction et de relâchement des
muscles
faisant . REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 273 mo
es malades du Dr V. Poore ont présenté des symptômes du côté de ces
muscles
et du nerf radial. Le terme de « crampe des pia
este, est celle que l'on exerce le plus. L'excitation faradique des
muscles
donnait lieu à une contraction propagée des mus
faradique des muscles donnait lieu à une contraction propagée des
muscles
voisins. Dans quatre cas, il y avait simplement
; l'auteur attribue cette différence à ce que dans la première, les
muscles
intéressés sont plus volumineux, plus nombreux
nous y ajoutons quelques détails comme tremblement fibrillaire des
muscles
de la face, inégalité de la dilatation pupil- l
contrac- tilité électrique : un courant faradique, appliqué sur les
muscles
de la face, les fait parfaitement contracter.
ur le pied droit; le corps entier ne forme qu'une barre rigide. Les
muscles
de la tête échappent seuls à cette contracture.
e celle-ci n'a aucune contracture, elle fait ce qu'elle veut de ses
muscles
; à tel point que Pitres établit un parallèle en
es; à tel point que Pitres établit un parallèle entre l'état de ses
muscles
et l'état de son intelligence. Notre malade a
es muscles et l'état de son intelligence. Notre malade a donc les
muscles
comme celles de Richer et l'intelligence comme
t le plus atteints, en même temps qu'on constatait une atrophie des
muscles
de la main gauche, des bulles sur les extrémité
caractérisée par un affai- blissement unilatéral ou symétrique des
muscles
des membres supérieurs, avec anesthésie ou anal
able. L'é- criture n'est pas ferme, les lettres sont inégales. Le
muscle
opposant du pouce est très affaibli : le pouce ne
es mouvements fibrillaires, mais on ne remarque pas d'atrophie. Les
muscles
extérieurs des yeux n'ont pas été at- teints. L
à l'état normal. Il n'y a pas de contractures persistantes, mais le
muscle
sterno- ciéido-mastoidien et la portion cervica
e coutraction (v. plus bas); il y a un sentiment de tension dans le
muscle
pectoral et les muscles du thorax du même côté.
bas); il y a un sentiment de tension dans le muscle pectoral et les
muscles
du thorax du même côté. Les réflexes tendineux
xe aponévrotique dans les membres inférieurs est exa- géré dans les
muscles
du mollet droit; il ne peut être produit la par
ne présente pas d'altérations marquées. Le courant induit dans les
muscles
et les nerfs du bras donne des chiffres égaux p
ux éléments) le nerf médian et le biceps, 23 m., le triceps, 20; le
muscle
long supinateur, 19. Courant constant : DE LA G
l'appréciation des mouvements passifs) est normal. Les nerfs et les
muscles
sont insensibles à la pression. Il existe toute
s phénomènes consis- taient en douleurs variées : dans le côté, les
muscles
du cou pen- dant le mouvement, de même que pend
quoi- que les contractures franches manquent et que la tension du
muscle
sterno-cléido-mastoïdien et de la portion cervica
diagnostic établies par Schultze. Nous avons : 1° atro- phie des
muscles
des membres supérieurs; 2°anesthé- sie partiell
sordonnés des membres supérieurs. Contorsions du tronc, du cou, des
muscles
de la face; signes plus marqués du côté droit.
is pas me... re- tenir... alors, j'éclate. » Quand il rit, tous les
muscles
de la face entrent en jeu d'une façon exagérée,
rotulien est très difficile, car le malade contracte sans cesse ses
muscles
, et si, DEUX CAS D'ATHÉTOSE DOUBLE AVEC IMBÉCIL
straire son attention, on exagère, au contraire, la contraction des
muscles
. Dern... peut toucher avec ses pieds la main de
ués, sont impossibles dans les articulations tibio- tarsiennes. Les
muscles
postérieurs de la jambe sont contracturés. Le s
aisé de voir que ce n'est pas un aphasique et que le tétanisme des
muscles
vocaux qui se produit dès qu'il essaye de profé
sur la gauche. Do temps en temps, on observe des contractions des
muscles
des membres inférieurs qui sont soulevés, ainsi q
llongée et libre est due peut- être aux contractions énergiques des
muscles
de la face qui accom- pagnent chaque effort. La
ont rapprochées, les genoux collés, les jambes très écar- tées, les
muscles
de la face se convulsent et semblent faire un e
était en forme de griffe («in Krallenstellung »), avec atrophie des
muscles
inlerusseux, ainsi que des éminences thénar et
dre degré, à la main gauche, qui n'était toutefois pas crochue. Les
muscles
du bras et de l'épaule du côté droit étaient a-
découvert, outre l'empyème à droite, une atrophie assez marquée des
muscles
de la main droite, qui pré- sentaient de minces
ant-bras, ainsi qu'à un degré notable au niveau du del- toïde et du
muscle
grand dentelé du côté droit. L'examen microscop
de quelques troubles sensitifs fuga- ces, puis d'une paralysie des
muscles
de l'épaule et du bras cor- respondants (type D
part de son système nerveux; un vertige, par exemple; en outre ses
muscles
indisci- plinés ont peine à obéir à une énergiq
centrifuge se passait dans le plexus nerveux et, réagissant sur les
muscles
correspondants, produisait un type spécial de d
dehors. Les rapports du nerf articulaire antérieur avec le pectiné,
muscle
fléchisseur et adducteur de la cuisse, nous exp
oral. Face externe. — La portion sus-zygomatique donne insertion au
muscle
temporal dans presque toute son étendue. La porti
ne de démarcation sur laquelle s'insèrent les faisceaux inférieurs du
muscle
temporal et qui n'avait pas attiré l'attention de
arce qu elle forme la limite postérieure de la surface d'insertion du
muscle
temporal. Elle se continue avec la ligne temporal
mi-circulaire supérieure et augmente ainsi la surface d'insertion des
muscles
de la nuque, don! le puissant développement est e
ristique dans l'espèce humaine, au rôle que joue dans la phonation le
muscle
sterno-cléido-mastoïdien. Ne sait-on pas,^en effe
le exige une expiration lente, ténue? Or, c'est en grande partie à ce
muscle
, innervé parla branche externe du spinal, qu'est
che externe du spinal, qu'est dévolue cette action frénatrice sur les
muscles
expirateurs. Il y aurait là matière à une série d
ion postéro-inférieure, des rugosités déterminées par l'insertion des
muscles
sterno-cléido-mastoïdien, splénius et petit compl
bsente..................................................... i3 — Le
muscle
digastrique s'insère au fond de la rainure et sur
ie phlegmon cervical pourra donc se développer, soit dans la gaine du
muscle
sterno-cléido-mastoïdien, soit dans l'espace sous
illaire et sous-mentonnière (cas de Kirchner). En fusant en dedans du
muscle
digastrique, le long du paquet vasculo-nerveux, i
térieur de l'apophyse et désinsérer en partie le ventre postérieur du
muscle
digastrique. Zone de l'antrotomie. — G'est'au n
nte les orifices de deux canaux superposés, dont le supérieur loge le
muscle
interne du marteau, et l'inférieur constitue la p
lets d'origine du nerf cochléaire; le sommet se rapproche du canal du
muscle
interne du marteau. Le cône est constitué par le
ovale est surplombée de la saillie du canal de Fallope. Le canal du
muscle
du marteau forme, au-dessous et en avant du promo
ès en son milieu, elle présente la saillie de la pyramide qui loge le
muscle
du marteau. Près du cadre tympanal on remarque le
on que nous remarquons chez l'adulte. )) (Courtade.) L'insertion du
muscle
interne du marteau se fait un peu au-dessus de l'
milieu, le repli postérieur et passe au-dessus du tendon réfléchi du
muscle
interne du marteau. La région prémalléaire répond
en dedans avec la portion horizontale du canal carotidien et avec le
muscle
péristaphylin interne, en dehors avec la scissure
ui offre en arrière la petite surface rugueuse donnant insertion au
muscle
de I'étrier. Le surface articulaire, ovoïde, rega
ents opposent une faible résistance à l'ablation des osselets. Deux
muscles
intra-tympaniques agissent sur la chaîne : i° le
lets. Deux muscles intra-tympaniques agissent sur la chaîne : i° le
muscle
interne du marteau, dont le tendon réfléchi trave
aire inférieur, il tend la membrane et comprime le labyrinthe ; 2° le
muscle
de I'étrier, dont l'attache tendineuse se trouve
ale de la commissure labiale, produite surtout par la contraction des
muscles
zygomatiques, s'obtient par l'excitation d'un cen
contrairement k celui du facial inférieur qui agit seulement sur les
muscles
de la face du côté opposé. (i) Déjeiuine, Anato
, et un troisième interne. La résection de la branche qui innerve les
muscles
frontal, sourcilier et orbiculaire palpébrai, pro
-facial et un rameau inférieur ou cervico-facial, il innerve tous les
muscles
de la face. Dans son trajet intra-pétreux le fa
l fournit les nerfs grand et petit pétreux superficiels et le nerf du
muscle
de I'étrier. D'après renseignement classique, des
ivraient la voie du grand nerf pétreux superficiel pour se rendre aux
muscles
du voile du palais sans interruption, au niveau d
n'a pu provoquer les moindres mouvements du voile alors même que les
muscles
de la face entraient en contraction violente. En
che de tissu cellulaire, en passant au-dessus du ventre postérieur du
muscle
digastrique et en dehors de la base de l'apophyse
nd à corriger, à l'état de repos, l'asymétrie faciale et à rendre aux
muscles
paralysés leur tonicité perdue ; elle ne peut jam
é alors pour la première fois, constata une atrophie très marquée des
muscles
paralysés et pratiqua l'anastomose spino-faciale
e du spinal sans tiraillement. Il coupa alors le ventre postérieur du
muscle
digastrique et put ainsi adosser les deux nerfs.
ure du courant, il put constater une petite contraction au niveau des
muscles
grand et petit zygoma tiques. Quelque temps après
ndant l'élévation de l'épaule, des contractions fibrillaires dans les
muscles
du menton. Quelques semaines après, ces contracti
, et on remarquait l'excitabilité faradique. Puis, ce fut le tour des
muscles
zygo-matiques; beaucoup plus tard, celui des rele
biculairc des lèvres, de l'orbiculaire palpébral, finalement celui du
muscle
frontal. Aujourd'hui, c'est-à-dire deux ans apr
, de l'épaule gauche, s'accompagne de mouvements synergiques dans les
muscles
de la face du côté correspondant. Il peut élever
élever cependant l'épaule en évitant ces contractions synergiques des
muscles
de la face, mais pas celles du peaucier cervical.
ais pas celles du peaucier cervical. S'il contracte énergiquement les
muscles
gauches de la face, il ne peut, par contre, évite
er inaperçues sous les vêtements. L'opéré ne peut contracter certains
muscles
isolément. Un examen minutieux fait voir que les
styloïde, contre laquelle s'applique le nerf. Le ventre postérieur du
muscle
digastrique est ensuite repéré et disséqué. Le ne
e par la base du crâne, la glande parotide et le ventre postérieur du
muscle
digastrique. Il se présente sous la forme d'un co
apparaît dans Je champ opératoire au-dessous du ventre postérieur du
muscle
digastrique. En écartant le sterno-cléido-mastoïd
tend les différentes fibres de cette branche, qui se perdent dans le
muscle
ou le traversent pour se rendre au trapèze. Ce fa
u de tenir compte des arguments tirés de l'atrophie du trapèze ou des
muscles
de la langue, pour préférer l'anastomose spino-fa
ourt. Dans les deux cas, il faudra sectionner le ventre postérieur du
muscle
digastrique, ce qui, d'ailleurs, n'offre aucun in
au recessus hypotym-panique, et l'on résèque, après désinsertion des
muscles
qui s'y attachent, l'apophyse styloïde avec sa ga
gage la fosse digastrique, après désinsertion du ventre postérieur du
muscle
du même nom, et on abat la crête ou bulle digastr
ou lié J'artère occipitale qui passe en longeant le bord inférieur du
muscle
digastrique, et on a senti l'apophyse transverse
corce de la sphère auditive aux appareils moteurs de l'oreille et aux
muscles
de la tête et du tronc. Par l'intermédiaire des n
ts; 2° l'atonie musculaire, ou diminution de la tension élastique des
muscles
au repos ; 3° l'astasie musculaire, ou ensemble d
que la fatigue survient vite. Ces troubles sont plus marqués dans les
muscles
des membres et de la colonne vertébrale de la moi
tion des membres postérieurs, les hémisphères agissant plutôt sur les
muscles
des membres antérieurs. Les lésions localisées à
t une déviation de son côté avec mouvement de torsion produit par les
muscles
du même côté; c'est-à-dire que la destruction du
e torsion du tronc telle que le corps tombera sur le côté gauche; les
muscles
du côté droit étant les agents de cette torsion.
savoir, un arc réflexe indemne et une certaine distension tonique du
muscle
. La clinique constate que, dans les affections
, 1896. Maubrac (0.), Recherches anatomiques et physiologiques sur le
muscle
slerno-clèido-mastoïdien. Paris, i883. Mignon (A.
rque la bulle digastrique qui donne insertion au ventre postérieur du
muscle
digastrique. Le tentorium, oblique en haut et e
blique en bas et en avant, qui suit le trajet du ventre postérieur du
muscle
digastrique. La scie a découvert, en avant, l'épi
d'origine mastoïdienne. A gauche, on aperçoit le ventre postérieur du
muscle
digastrique, depuis son insertion au fond de la r
son insertion au fond de la rainure jusqu'à l'os hyoïde. En dedans du
muscle
se trouve le paquet vasculo-nerveux du cou. Autou
ent être mis en légère flexion. De même, au tronc, presque tous les
muscles
étaient paralysés, sauf cependant ceux de la tête
de parvenait à sou- lever légèrement ses bras, grâce à l'action des
muscles
trapèzes. Partout la paralysie se compliquait d
hie musculaire considérable. L'exa- men électrique des nerfs et des
muscles
n'a pas été pratiqué. Nous n'en éprouvons qu'un
vail de mortification a pris une extension énorme, mettant à nu les
muscles
profonds et jusqu'aux os. Cette vaste plaie béant
iquée d'une atro- phie musculaire intense aux membres surtout ; les
muscles
du cou et ceux de la tète étaient respectés par
staient. Par contre, l'oedème des téguments masquait l'atrophie des
muscles
; les réflexes tendineux, exagé- rés jusque [Il
e grand oblique et le droit externe sont sains. A droite. Les trois
muscles
abducteurs sont paralysés : droit externe, gran
cette diminution des forces surtout du côté droit, eu examinant les
muscles
et les avant-bras do notre malade et, on consta
jourd'hui que la douleur a diminué, que l'écoulement est tari, les
muscles
des membres inférieurs ne paraissent nullement
s musculaires. Il n'y a pas eu à proprement parler de paralysie des
muscles
; si le malade n'a pu se servir aisément de ses m
es mouvements qui dépendent du deltoïde et du grand pectoral. Les
muscles
inlerscapu- laires sont contracturés ainsi que
ère paire dorsale contribue, sans doute, à la motricité de certains
muscles
du bras et nous avons vu qu'il existait chez no
e de côté, lés globes oculaires convulsivement relevés en haut, les
muscles
sourciliers énergiquement contractés, tous ces dé
des premiers mois de la naissance et qui porte sur presque tous les
muscles
des membres et du tronc succède, ainsi qu'il es
dans tous les cas il ne persiste pas de déformations osseuses. Les
muscles
des membres inférieurs n'étaient pas atrophiés.
colés l'un il l'au- tre, le malade les soulève difficilement. Les
muscles
des membres supérieurs ne sont pas atrophiés, tou
mouvements volontaires vraisemblablement due au tonus exagéré des
muscles
. Il existe en effet de l'exagération des réflexes
t-bras, légèrement conservée au niveau des membres inférieurs ; les
muscles
intercostaux ne fonc- tionnent pas( ? ). Pas
uisqu'il a existé de la diplopie et un certain degré de paralysie des
muscles
innervés par l'hypoglosse. , « Etant donné qu
uée d'engourdissement des membres in- férieurs, on constate que les
muscles
des cuisses et des jambes ont conservé leur vol
lis, les réflexes plantaire et pharyngien conservés. L'atrophie des
muscles
des membres inférieurs semble en relation directe
ts. , Troubles trophiques. --Nous avons déjà signalé l'atrophie des
muscles
des membres inférieurs ; les ongles des orteils
un peu conservés aussi, sont plus atteints. Quant aux diffé- rents
muscles
de la jambe, leur impuissance est complète. ' L
ité est tout à fait normale au-dessus des hanches. Les différents
muscles
paraissent à peu près conservés. Le malade se red
ît, tantôt sûr les os, tantôt sur les articulations, tantôt sur les
muscles
, tantôt sur la peau, et les glandes. Le plus so
grossissant une épiphyse en disloquant une jointure, éma- ciant un
muscle
en bonrsoullant un épiderme, atrophiant ici, hype
res anomalies évolutives portant sur les os, les articulations, les
muscles
ou la peau, qu'on doit considérer les nains con
troubles trophi- ques qui portent sur les articulations et sur les
muscles
. Parmi les premiers, figurent au premier rang l
bles chez les nains. Plus fréquent est le développement exagéré des
muscles
donnant au nain l'apparence d'un Hercule en min
rps semble un amoncellement de graisse où se noient les reliefs des
muscles
et des os. ' ' , - Deux paquets adipeux gonflen
ficiel la colonne vertébrale rendue fragile par le mal de Pott, les
muscles
de la région dorso-lombaire qui contribuent au ma
endant fort bien les reliefs des deux deltoïdes, la contraction des
muscles
de l'avant-bras gauche qui soutient le haut du co
ent qu'elles démontrent la possibilité d'une distension extrême des
muscles
, et d'une laxité anor- male des ligaments. La
, l'hyper- extension du genou rendue possible par la distension des
muscles
flé- chisseurs, par la flaccidité des aponévros
eur. Cette attitude, qui démontre la distension des adducteurs, des
muscles
pelvi-trochantériens et des ligaments capsulair
tions vertébrales, qui s'accompagne évidemment de la distension des
muscles
et ligaments vertébraux, et de la masse sacro-lom
nt la marche. La laxité des ligaments tillio-tarsiens externes, des
muscles
de la loge antéro-externe de la jambe et des mu
externes, des muscles de la loge antéro-externe de la jambe et des
muscles
péroniers, est évidente. C'en est assez pour dé
ndue jusqu'au pied, et due à l'élongation du nerf sciatique, et des
muscles
qui relient l'ischion au tibia et au péroné (1)
plusieurs observa- tions. Constamment, nous avons remarqué que les
muscles
de nos tabé- tiques, à la seule condition qu'il
E ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE différente de celle qu'offrent les
muscles
d'un individu normal, à l'étal de repos, clans
. Les jambes flottent au gré de la pesanteur, et le relâchement des
muscles
est tel, que la forme même-du membre en est mod
ts que par la diminution de la tonicité qui amène le relâchement du
muscle
dans des attitudes où, normalement, il n'exis-
éjà fait la même remarque par un autre procédé. L'auscultation d'un
muscle
au repos donne naissance à un bruit né de la sé
on périarticùlaire rend possible; avec le défaut d'intervention des
muscles
antagonistes, et la diminution de la sensibilité,
nesthésie. Le tonus est du reste un phénomène généralisé à tous les
muscles
de l'économie : parois des vaisseaux sanguins, de
t donc pas étonnant qu'il ne disparaisse pas avec celle-ci. Que ces
muscles
soient innervés par le grand sympathique ou par l
le rend possible, et par la perte de la contention exercée par les
muscles
autour de l'articulation. Soumis à,des tirailleme
ticulation. Soumis à,des tiraillements excessifs et répétés que des
muscles
toniques sauraient leur éviter, ils ne peuvent qu
DERMIE GÉNÉRALISÉE CONGÉNITALE (Sclérose atrophique de la peau, des
muscles
, des os), par LE Pr GRASSET. Leçon clinique f
un homme desséché : le tissu cellulaire sous-cutané a disparu, les
muscles
elles os sont atrophiés à l'extrême, la peau prés
ophique généralisée por- tant sur la peau, le tissu cellulaire, les
muscles
, les tendons, les os, les organes génitaux... I
'1. XXXVIII) ; la peau est appliquée contre les os ; l'ah- sence de
muscles
est à peu près complète ; l'ensemble est comme fi
tractions, plus encore que la sclérose atrophique de la peau et des
muscles
, brident les mouvements articulaires, entravent s
ent surtout l'extension. Aux bras : le biceps semble être le seul
muscle
qui tient encore un peu. A ce niveau la peau se
es, les extrémités articulaires des os, en raison de l'exiguïté des
muscles
qui s'y insèrent, pourraient en imposer pour des
e fait saillie, mais sans position vicieuse, sans arthropathie, les
muscles
n'apparaissent plus que comme des cordages tend
accentuées portant sur la peau le tissu cellulaire sous-cutané, les
muscles
, les tendons, les os, les viscères ne présenten
une atrophie semblable d'être renseigné sur l'état et la valeur des
muscles
. M. le professeur Imhert a bien voulu faire un
xcitabilité faradique est plus grande que normalement dans tous les
muscles
examinés (deltoïdes, biceps, extenseurs et fléchi
propre poids.) Etendre la jambe sur la cuisse. Les mouvements des
muscles
de la jambe étaient encore faciles à exécu- ter
re malade, les caractères suivants (1) : de siéger sur un groupe de
muscles
innervés par le même nerf (crural) et d'être co
groupe de mus- cles, si on en excepte toutefois les paralysies des
muscles
de l'oeil. » Bien que nos recherches soient loi
e une paralysie des adducteurs de la cuisse; Marius Carre celle des
muscles
de la masse sacro-lombaire ; Bernllardt, Remak
tius, paralysie du spinal et une de Schullze do Bonn, paralysie des
muscles
masticateurs. Bien que ces deux dernières sorte
en quelque sorte segmentaire, occupant la main et non un groupe de
muscles
relevan de l'innervation d'un même nerf périphéri
de Massary (3). « L'activité de l'élémenL nerveux qui commande aux
muscles
estdétermi- née par l'excitation périphérique..
rtée à une lésion encéphalique; celle qui, localisée, atteindra des
muscles
relevant de l'innervation d'un même nerf périph
'exprime ainsi : . quelques observations semblent démontrer que les
muscles
de la face delà langue peuvent présenter des tr
de grosses veines dilatées, sans rougeur diffuse inflammatoire. Les
muscles
de la cuisse sonl amaigris. La longueur du memb
es méninges, en dehors de Taxe spinal proprement dit, au milieu des
muscles
comme dans les organes viscéraux que nous avons
elques signes d'infiltration spécifique; c'est tantôt au milieu des
muscles
voisins une gomme miliaire typique dans les par
semblables à ceux qui infiltrent l'espace sous-arachnoïdien. Les
muscles
avoisinant les vertèbres sont également le siège
en véritables gommes miliaires. Queue DE cheval. Même aspect. Les
muscles
voisins sont également le siège d'une infiltratio
'opendyme peuvent se distinguer par leur aspect si spé- cial. Les
muscles
voisins attenant aux vertèbres sont également env
us les points de l'axe spinal. Mais en dehors de celui-ci, dans les
muscles
attenant aux vertèbres, nous trouvons des lésions
ure, on ne saurait le pré- ciser. La plaie est longue, béante, le
muscle
apparaît dans le fond, rouge, saignant; elle si
lieu 324 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE elle envahit les
muscles
du tronc. A cette période, l'enfant, complètement
stater encore que les mouvements qui nécessitent la contraction des
muscles
du thorax, du cou et de la tête s'exécutent d'une
; elle est sensiblement normale, qualitativement parlant. Dans les
muscles
du mollet (jumeaux interne et externe) les réac
qu'elle n'accuse pas non plus de douleurs quand on lui comprime les
muscles
, en particulier ceux des membres infé- rieurs.
es extenseurs sont plus fortement touchés que les fléchisseurs, les
muscles
delà l'ace antérieure de la cuisse le sont plus
les muscles delà l'ace antérieure de la cuisse le sont plus que les
muscles
de la face postérieure. La paralysie atteint so
éphalalgie opiniâtre et très pénible ne manque presque jamais ; les
muscles
et surtout les troncs nerveux sont douloureux à l
a paralysie devint complète aux membres ; elle s'étendit à certains
muscles
du tronc, aux masticateurs, aux muscles des pau
; elle s'étendit à certains muscles du tronc, aux masticateurs, aux
muscles
des paupières. Une atrophie énorme s'empara des
ateurs, aux muscles des paupières. Une atrophie énorme s'empara des
muscles
paralysés. Les réflexes tendineux étaient aboli
de remuer les bras et les jambes ; elle avait des crampes dans les
muscles
des mollets. Sur toute la surface du corps la s
contact d'un corps froid développait une sensation de chaleur. Les
muscles
et les troncs nerveux PARALYSIES ARSENICALES ET
leurs dans les bras et dans les membres inférieurs. La pression des
muscles
et des nerfs exaspérait ces douleurs. La paraly
d'une paralysie, qui avait envahi les quatre membres ainsi que des
muscles
du tronc. L'atrophie s'empara ensuite des muscles
res ainsi que des muscles du tronc. L'atrophie s'empara ensuite des
muscles
paralysés. Les réflexes tendineux étaient aboli
ser dans les membres inférieurs, ne frapper que certains groupes de
muscles
. En ce cas elle se cantonne d'abord dans l'extens
eut être généralisée aux quatre membres et à un certain nom- bre de
muscles
du tronc ; je viens de vous en citer des preuves,
avaient été frappés de diplopie, par conséquent d'une paralysie des
muscles
de l'aeil, pour avoir. couché dans une chambre
débuts, chiropodale. Les troubles de la sensibilité persistent. Les
muscles
, quelquefois aussi les troncs nerveux sont deve
hissante ; elle se propage des membres vers leurs racines, puis aux
muscles
du tronc, quelquefois à des muscles innervés pa
es vers leurs racines, puis aux muscles du tronc, quelquefois à des
muscles
innervés par des nerfs crâniens, donnant ainsi li
dif- fuserais qui atteint un degré extrêmement prononcé aux petits
muscles
des mains et des pieds, aux autres segments des
itu pendant des mois. Des rétractions tendineuses se produisent aux
muscles
qui Sont moins atrophiés et moins paralysés que
'hygiène et soumis à Un traitement ap- proprié, la restauration des
muscles
atrophiés commence à se faire : leur (1) Goldfl
aux membres inférieurs, et s'y cantonner dans certains. groupes de
muscles
; sauf que l'atrophie musculaire est géné- ralem
e- ment, elle a de la tendance à se généraliser, à envahir tous les
muscles
des membres, et quand elle reste circonscrite à
des membres, et quand elle reste circonscrite à certains groupes de
muscles
, assez souvent elle se complique d'un certain d
totalité, et alors sa marche est centripète ; elle peut envahir les
muscles
du tronc, les muscles innervés par l'encéphale.
marche est centripète ; elle peut envahir les muscles du tronc, les
muscles
innervés par l'encéphale. Dans les deux cas, on
peres- thésie superficielle et profonde (douleurs à la pression des
muscles
et des nerfs) tiennent une place importante dan
es dans les deux cas. Dans ceux de paralysie arsenicale, les petits
muscles
de la main et des pieds, muscles interosseux, mus
e paralysie arsenicale, les petits muscles de la main et des pieds,
muscles
interosseux, muscles de l'éminence thénar, musc
e, les petits muscles de la main et des pieds, muscles interosseux,
muscles
de l'éminence thénar, muscle long extenseur de
in et des pieds, muscles interosseux, muscles de l'éminence thénar,
muscle
long extenseur de l'orteil sont frappés les pre-
poignets et dans les cou-de-pieds; la paralysie frappe d'abord les
muscles
extenseurs et flé- chisseurs des mains et des p
ie alcoolique, les rétractions tendineuses intéressent sur- toutjes
muscles
de l'avant-bras, les muscles de la jambe ; elles
s tendineuses intéressent sur- toutjes muscles de l'avant-bras, les
muscles
de la jambe ; elles entraînent des déformations
ES SENSITIVO-MOTEURS 351 tion considérables, aboutir à la fonte des
muscles
des quatre membres et d'une partie du tronc, sa
but de mettre pour ainsi dire en train le travail de rénovation des
muscles
atrophiés. On appuiera ce travail de rénovation
secondaire. Macéré, poids 1120 grammes. Le foie,' les reins, les
muscles
de l'abdomen ont été examinés au microscope. To
isseur des chairs, plus grande dans le sens transversal (à cause du
muscle
temporal) que dans le sens antéro-postérieur.
antécédents. contribution A L'1 : 'IUDG DE l'ostéomalacie 35 Les
muscles
steriio-iiiastoïdietis apparaissent comme deux co
aules très rap- prochées de la ligne médiane. Le bord supérieur des
muscles
proéminent comme une corde tendue. La face po
clavicule droite dans son tiers interne. Les bords inférieurs des
muscles
pectoraux sont bien visibles. Les glandes mamma
t d'habitude la position en demi-flexion. Le tissu adipeux et leurs
muscles
sont très réduits et les tendons se dessinent sou
a contraction des adducteurs. La percussion des différents autres
muscles
détermine leur contraction. Le réflexe plantair
ion des différentes branches du facial détermine la contraction des
muscles
des territoires respectifs (signe de Weiss). On c
use facilement, car on observe en même temps des secousses dans les
muscles
des lèvres. L'excitation de fermeture des branc
ccales avec un courant de ! m. 1/2 détermine des secousses dans les
muscles
des lèvres. Avec un courant de 3 milliampères o
d'un certain nombre de fibres, fragmentation des autres, etc. Les
muscles
(deltoïde, demi-membraneux, long péronier, etc.)
oulets, s'est . basé sur une étude attentive de la distribution des
muscles
et des nerfs et a pu conclure qu'elle est due à
s. La colonne vertébrale n'est pas objecti- vement douloureuse. Les
muscles
brachiaux, du côté droit surtout, et ceux de to
on qualitative de l'excitabilité fara- dique et galvanique dans les
muscles
atrophiés. Exagération des réflexes tendi- neux
ales; absence de déformation des os. Atrophie et épaississpment des
muscles
longs du dos et de quelques muscles de la régio
Atrophie et épaississpment des muscles longs du dos et de quelques
muscles
de la région de l'épaule. Absence complète de d
ts aux régions lombaire, dorsale, aux omoplates, aux cuisses et aux
muscles
occipitaux; NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊfR
disparut après un mois de séjour à l'hôpital. Atrophie de quelques
muscles
de la région de l'épaule et de toute l'extrémité
E RHIZOMÉLIQUE (N. Eldnro'). LA spondylose rhizomélique 129 des
muscles
longs du dos, de deux muscles serrati ant. maj.,
LA spondylose rhizomélique 129 des muscles longs du dos, de deux
muscles
serrati ant. maj., supra et infras- pinati, des
t. maj., supra et infras- pinati, des deux portions supérieures des
muscles
grands pectoraux. Diminu- tion quantitative de
tion quantitative de 1 excitabilité faradique et galvanique dans les
muscles
atro- phiés. Le système nerveux est normal. Cré
peu sensible dans les articulations des genoux. Faible atrophie des
muscles
de la région des épaules et des muscles sous-cuta
genoux. Faible atrophie des muscles de la région des épaules et des
muscles
sous-cutanés du dos ; absence dans ces derniers
st du type costal infé- rieur et abdominal. Atrophie symétrique des
muscles
autour des articulations des épaules et des cui
ulations des deux pieds est enflée. Atrophie ou tension de quelques
muscles
de la région de l'épaule. Douleurs aux mouvements
mouvements, et de douleurs dans le dos, dans les côtes et dans les
muscles
de l'épaule gauche. Il est malade depuis 6 ans
sée et du sacrum ; ri- LA Sl'ONOYLOSE RHIZOMÉLIQUE 135 gidité des
muscles
dorsaux. Il s'agit dans ce cas de rhumatisme arti
é du rachis doit être expliqué par un affaiblissement de rigidité des
muscles
dorsaux. Sur les seize observations que nous
ues. Dans presque toutes nos observations, les troubles du côté des
muscles
sont manifestes : le plus souvent, ce sont de f
s souvent, ce sont de faibles atrophies simples et une rigidité des
muscles
de la région des épaules, du bassin et des musc
une rigidité des muscles de la région des épaules, du bassin et des
muscles
qui entourent « les racines îles extrémi tés n
3 centim.) (obs. I, II, VII); une atrophie avec épaississement des
muscles
longs du dos. Dans quelques cas on observe un t
ion électrique de dégénérescence. Tous les troubles atrophiques des
muscles
doivent être mis sur le compte de l'affection d
court que le gauche. Il existe une atrophie très marquée de tous les
muscles
du membre malade. Mais surtout l'atrophie est g
es muscles du membre malade. Mais surtout l'atrophie est grande aux
muscles
de la v face antéro-externe de la jambe, où l'o
on remarque une cavité creuse au lieu de la proéminence normale des
muscles
de cette face. Les mouvements de tous les muscl
nence normale des muscles de cette face. Les mouvements de tous les
muscles
innervés par le nerf péronier sont totalement abo
n. - Tissu adipeux. Ce tissu ne présente aucun caractère spécial.
Muscles
. Le tissu musculaire a une constitution normale.
e la couche super- ficielle. Un liquide injecté dans l'épaisseur du
muscle
est plus rapidement absorbé que si l'injection
r par la plus grande abondance des hémorragies après piqûre dans le
muscle
même et que d'autre part, l'élasticité et la co
13 au fond de laquelle les faisceaux du 160 CUAltoN ET COUltl3OiN
muscle
grand fessier apparaissent déchiquetés et baignan
a vitalité de leurs tissus est générale. Peau, tissu cellulaire, et
muscles
du côté valide, sont en état de moindre résista
s yeux se déviant de ce côté. Pas de mouvements convulsifs dans les
muscles
de la face. La main gauche se dirige toujours v
isième fléchissent ; la main a pris la forme de main en griffe. Les
muscles
interosseux s'atrophient graduellement (août 1909
s espa- ces métacarpiens deviennent de plus en plus évidents. Les
muscles
de l'éminence thénar et hypothénar deviennent pet
contractions, et qu'il voit des contractions fibrillaires dans les
muscles
du premier espace métacarpien. Dans les premier
gts sur les métacarpiens. Atrophie des es- paces interosseux et des
muscles
de l'éminence thénar et de l'éminence hypo- tbé
main au niveau de la, partie métarcapienne ; malgré l'atrophie des
muscles
de l'éminence hypothé- nar et du premier espace
n tranche. 210 BOVERI Quelques contractions fibrillaires dans les
muscles
de l'avant-bras et du bras. Pas de tremblemen
n droite pour ce qui est de son altitude (en griffe), de l'état des
muscles
(atrophie) et des mouvements relatifs. Mais ce
contracter continuellement, pendant la jour- née et la soirée, les
muscles
de la main droite, en maniant les gros ciseaux
gique » : les douleurs, les hyperesthésies, la rigidité réflexe des
muscles
dépendent de l'inflammation des méninges et de la
ire; elle porle sur quelques vertèbres; la tumeur en traversant les
muscles
dorsaux forme sur la colonne vertébrale des exc
peresthésie, douleurs, hypoesthésie, parésie, légères atrophies des
muscles
dans les régions occipitale, dorsale et lombair
ent et l'immobilité de la cage thoracique sont dus à la parésie des
muscles
cervicaux et dorsaux, consécutive à la dégénére
supérieure, tandis que sa lordose physiologique était aplatie. Les
muscles
du dos et des hanches étaient contractures et.
que tous les phénomènes signalés plus haut résultaient de l'étatdes
muscles
et des douleurs provoquées par les mouvements.
d'origine myopathique (DrPo- poff)dépend des spasmeshystériques des
muscles
du clos.Dans l'observation n" 1, l'incurvation
table fosse dans le creux sns-claviculaire gauche.A la palpation le
muscle
apparaît comme une bande mince. En arrière l'
en plus, enfin on voyait survenir une forte contraction tonique des
muscles
de la joue, contraction qui durait DÉMENCE PRÉC
e série de contractions fibrillaires ou fasciculaires de cer- tains
muscles
. La piqûre de la peau de la face interne des cuis
cuisses provoque des mouvements fasciculaires des adducteurs et des
muscles
de la face interne des jambes. Abolition des
gyll Robertson positif). Quoique n'observant aucune paralysie des
muscles
de l'oeil, quand on demande au malade de regard
olonté ? Au début de nos recherches, nous avions pensé que tous les
muscles
autour de l'articulation coxo-fémorale, y compr
u- LE MÉCANISME DE L'ATAXIE TABÉTIQUE 347 laires, intéressant des
muscles
entiers,et même des fascicules des muscles, aut
laires, intéressant des muscles entiers,et même des fascicules des
muscles
, autour des articulations coxo-fémorales. Ces c
n observe ce qui se passe chez un homme normal, on voitque tous les
muscles
pendant l'exécution d'un mouvement volontaire,
ntinue, et toujours la même; au contraire, chez l'ataxique,tous les
muscles
péri-articulaires sont dans un continuel état d
er, etc. Certes, on remarque ces contractons non seulement dans les
muscles
fessiers, adducteurs, quadriceps, etc., c'est-à
es muscles fessiers, adducteurs, quadriceps, etc., c'est-à-dire les
muscles
qui envelop- pent l'articulation coxo-fémorale,
qui envelop- pent l'articulation coxo-fémorale, mais aussi dans les
muscles
des jambes et des pieds, quand le malade, par e
sin et du tronc quand le malade est debout, car ce sont surtout ces
muscles
qui jouent le rôle principal dans l'altitude de
à cloche-pied, etc. Dans tous ces cas, l'organisme a été pourvu de
muscles
puissants qui se contractent tous en même temps,
ibre. Cette absence d'harmonie, remplacée par un état choréique des
muscles
, ne pouvait pas échapper à des observateurs com
rps est agité plus ou moins vivement par ces oscillations, certains
muscles
de ces membres se contracter fortement et brusque
t, que, lorsque le sujet oscille dans un sens, ce sont toujours les
muscles
qui le ramènent dans un sens opposé, qui entren
peut constater déjà des contrac- tions petites et courtes parmi les
muscles
qui meuvent les pieds et les orteils, J'ai vu d
, il les subdivise en deux espèces. Les unes sont composées par les
muscles
qui peuvent s'op- poser directement aux associa
ns murs- culaires collatérales, parce qu'elles sont formées par les
muscles
qui assurent le mouvement, en empêchant la part
est abso- lument nécessaire, comme le dit Duchenne, que le jeu des
muscles
situés autour de l'articulation coxo-fémorale s
n l'air, on n'observe rien en apparence, c'est-à- dire que tous les
muscles
péri-articula ires sont tellement contractés à
e, étant debout, puisse rester immobile, il faut absolument que ses
muscles
soient contractés à l'unisson. Si quelques-uns d'
e tronc n'oscille pas latéralement. Supposons, dans ce cas, que les
muscles
situés autour de l'articulation coxo-fémorale art
n coxo-fémorale articulation mobile dans tous les sens et aussi les
muscles
sacro-lombaires et abdo- minaux ne se contracte
royons comme Duchenne de Boulogne qu'elle esl due à ce que tous les
muscles
qui entourent l'articulalion coxo-fémorale sont c
t sous la main appliquée sur la face antérieure de la cuisse que le
muscle
quadriceps se contracte. Celle contraction persis
notre main libre, alors la contracture du quadriceps disparaît, le
muscle
est relâché ; et si nous abaissons lentement la j
st relâché ; et si nous abaissons lentement la jambe sur le lit, le
muscle
est tout le lemps mou. 2° Si maintenant nous di
ncore exagérée, c'est que le membre se renversant sur l'abdomen, le
muscle
s'étend. En s'étendant le muscle durcit, et dans
re se renversant sur l'abdomen, le muscle s'étend. En s'étendant le
muscle
durcit, et dans ce cas, il durcit d'aulant plus
ME DE L'ATAXIE ,TABÉTIQUE 355 pas se raidir du tout, on sent que la
muscle
ne durcit pas dès le début, mais seulement un p
ue celle dureté dépendait aussi d'un élémentpassif, l'extension des
muscles
posté- rieurs. En effet cette dureté ne dispa
nos mains la masse musculaire des adducteurs, que dès le début les
muscles
adducteurs se contractent, puis, continuant de
roche de la position verticale. Cela s'explique facilement, car les
muscles
se contractent au début de l'effort, puis se dé
ambe repose complètement sur le lit. On comprend ce phénomène : les
muscles
adducteurs étaient mous pendant toute la durée de
homme croyant qu'il a abaissé trop vite le membre, il contracte ces
muscles
de nouveau pour retenir la chute du membre, mai
aires est tel qu'il a été décrit par lui, c'est-à-dire que tous les
muscles
se contractent au début de tout mouvement qui d
e fait que pen- dant que l'homme exécute un mouvement avec certains
muscles
, les autres muscles, les antagonistes se contra
que l'homme exécute un mouvement avec certains muscles, les autres
muscles
, les antagonistes se contractent eux aussi comme
s sur le bras mouvement qui ne demande qu'un effort très faible, le
muscle
triceps ne doit pas se contracter, il ne fait q
out de même vaincre ; 36 NOICA on sent alors que non seulement le
muscle
biceps se contracte plus fort qu'auparavant, ma
le muscle biceps se contracte plus fort qu'auparavant, mais que le
muscle
triceps se contracte lui aussi. Si nous repreno
fé- rieur en l'air, nous avons vu que dès le début du mouvement les
muscles
postérieurs de la cuisse se contractent eux aus
rieurs de la cuisse se contractent eux aussi, en même temps que les
muscles
antérieurs, parce que l'homme, sachant qu'il doit
e, et même quand il est arrivé à le laisser reposer sur le lit, les
muscles
antérieurs cette fois-ci antagonistes ont été c
tinuellement à l'état de contraction. Nous avons vu de même que les
muscles
adducteurs, qui étaient mous pendant la descent
n soulevant le membre inférieur étendu en l'air, contracte tous les
muscles
; tous, en se durcissant, font une cuirasse par
ofitons d'un moment que le membre n'oscille pas, et palpons-lui ses
muscles
: on se rend compte facilement que tous les mus
palpons-lui ses muscles : on se rend compte facilement que tous les
muscles
postérieurs, internes el- externes, sont mous et
postérieurs, internes el- externes, sont mous et flasques, sauf les
muscles
antérieurs qui sont durs, et ceux-ci par la volon
on voit t que rapidement le membre tombe , tant la contracture des
muscles
antérieurs a cédé facilement; de même aussi auc
acilement; de même aussi aucune contracture n'est survenue dans les
muscles
latéraux pour retenir la descente trop brusque
e ne pas le laisser osciller; on voit et on sent alors que tous les
muscles
, antérieurs, postérieurs et latéraux se contracte
e générale n'est pas continue, elle se relâche, puis rapidement les
muscles
durcissent de nouveau, et de nouveau ils se rel
nd il veut le maintenir dans une position fixe, c'est parce que les
muscles
péri-articulaires, sauf les antérieurs, sont à l'
uent,c'estla flaccidité muscu- laire^ l'absence de contraction des
muscles
postérieurs et des muscles latéraux. Cet état
scu- laire^ l'absence de contraction des muscles postérieurs et des
muscles
latéraux. Cet état de flaccidité, qui est d'u
flaccidité, qui est d'un degré inférieur à la tonicité normale des
muscles
, on l'observe même quand le membre repose tranqui
ment, on sent une certaine raideur en Irain de se produire dans les
muscles
postérieurs et dans les muscles laté- raux, mai
ur en Irain de se produire dans les muscles postérieurs et dans les
muscles
laté- raux, mais elle est si discrète qu'on la
lève le membre, plus on sent. seulement du côté postérieur, que ces
muscles
-là s'étendent et se durcis- sent. Il en résulte
peut osciller que latéralement, ce qui arrive en réalité. Si les
muscles
sont mous et flasques, il ne faut pas croire qu'o
Si nous considérons, alors que cette flaccidité intéresse tous les
muscles
, que chacun d'eux peut jouer le rôle de se cont
NOICA la flaccidité n'implique pas l'impossibilité de contracter le
muscle
volon- tairement - ou lie jouer le rôle d'antag
e progrès de la maladie l'état général s'affaiblit, et que même les
muscles
perdent une partie de leur force de contraction
onus der TViI- ler- Ke2crige spiercn), il est vraisemblable que les
muscles
se trouvent ordi- nairement dans un état de lég
ue pendant leurs contractions, le son n'est pas le même pour chaque
muscle
. Debove eu Boudel émettent alors une théorie de
plus souvent une voûte plantaire très excavée. Le développement des
muscles
est lout à fait normal, sans être exagéré. Les
cation à la tendance marquée des achondroplasiques à cultiver leurs
muscles
: « On sait, dit-il, que les achondroplases son
intelligence et s'exerce à la moquerie, l'achondroplase cultive ses
muscles
. Or, il a des os épais, ce qui favorise l'épaissi
uscles. Or, il a des os épais, ce qui favorise l'épaississement des
muscles
; il a comme membres des bras de leviers courts,
sion des os s'accompagne de troubles trophiques et vaso-moteurs des
muscles
et de la peau. ïmbert et Gagnière, tout en admet-
férents symptômes, pensent que plus lard les lésions objectives des
muscles
et de la peau peuvent disparaître, laissant sub
e, devançant les lésions de même ordre observées plus tard dans les
muscles
et la peau. Les lésions osseuses ne sont pas limi
nerveuses. Le semi-lunaire arraché de sa loge se comporte comme les
muscles
dont les filets sensitifs ont été sectionnés et q
dants. C'est un mouvement qui doit être fait par la contraction des
muscles
fléchisseurs des doigts, qui fléchissent les deux
premières phalanges sur les métacarpiens, - ce qui est l'action des
muscles
interosseux et lombricaux puis il faut fléchir
igt. En effet, quand on ouvre la main, par la seule contraction des
muscles
extenseurs des doigts, le poing s'ouvre; les doig
omparant avec le malade de la première observation prouvent que les
muscles
de la partie inférieure du corps sont arrivés à u
ivement le membre sur l'abdo- men plus que chez l'homme normal, les
muscles
de la partie postérieure et peut-être même les
normal, quand on soulève volontairement le mem- bre inférieur, les
muscles
antagonistes se contractent en même temps que les
ieur, les muscles antagonistes se contractent en même temps que les
muscles
qui vont faire le mouvement de flexion. Cette con
e l'a dit Duchenne, le rôle de modéra- teur ; car supposons que ces
muscles
ne se contractent pas ce qui se passe en réalit
nd alors dès le début un grand élan, ne pouvant être modéré par les
muscles
postérieurs. Autrement dit, l'exagération des m
e du sens profond et d'un autre côté à l'absence de contraction des
muscles
antagonistes et à l'extension passive plus facile
istes et à l'extension passive plus facile et plus grande des mêmes
muscles
. LE MÉCANISME DE L'ATAXIE TABÉTIQUE 495 ' En
Cette chute des pieds tient plus pro- bablement à la flaccidité des
muscles
extenseurs des pieds qu'à une névrite périphéri
es muscles extenseurs des pieds qu'à une névrite périphérique ; les
muscles
extenseurs ne sont pas atrophiés et les mouvement
usion (2) : « Il parait exister une sorte de sens qui siège dans le
muscle
, qui sert à l'accomplissement de la contraction
des crises de névralgie orbitaire avec para- lysie transitoire des
muscles
de l'oeil dont voici la description : quand la
t doulou- reux à la pression. Si l'on provoque la contraction des
muscles
paralysés, la douleur sus-orbitaire se développ
le regard fixé à gauche et en bas. Dans cette position qui met les
muscles
au repos, elle ne souffre pas. Un nouvel examen
on ne pouvait plus remarquer aucun trouble dans les mouvements des
muscles
de l'oeil, mais la mydriase subsistait encore;
remarqua que le ptosis disparaissait le deuxième jour, et que les
muscles
de l'oeil redevenaient libres le troisième jour,
ptosis. Saundby trouva pendant l'accès une paralysie com- plète des
muscles
droits interne, supérieur, inférieur, ptosis, d
ieur, de la parésie du droit inférieur du sphincter de l'iris et du
muscle
ciliaire. Observation V, de Thomsen2 (résumée).
yeux fait par Ealès le 6 septembre n'a montré aucune paralysie des
muscles
ni aucune altération du fond de l'oeil. Saund
nce de réaction de la pupille à la lumière et à la corvergence, les
muscles
innervés par le moteur oculaire commun ne se co
oit, ainsi que tous les autres nerfs crâniens n'est pas altéré. Les
muscles
innervés par l'oculo-moteur commun gauche ont s
insensible, quelques frémissements se manifestant parfois dans les
muscles
DES ZONES CÉRÉBRALES MOTRICES. 31 de la face
dans le foie, les reins, le pancréas; il n'y en avait pas dans les
muscles
. Or, d'après les recherches de Seegen, de Krats
être faite aux lésions cons- tatées du côté du coeur. L'atrophie du
muscle
, cardiaque a été observée chez un certain nombr
, il se produit des convulsions clo- niques ininterrompues dans les
muscles
des jambes et du dos, de la paralysie vésico-re
en ceinture; rien du côté de la colonne vertébrale; rien dans les
muscles
abdominaux ou thoraciques. L'Observation I con-
res, évolution apyrétique, absence d'atrophie; réaction normale des
muscles
et des nerfs à l'égard du courant galva- nique
atrophique progressive débute le plus souvent dans l'enfance parles
muscles
de la face, quelquefois, dans l'ado- lescence o
ral, scapulo-huméral, fémoro-tibial. Dans le premier cas, quand les
muscles
de la face sont atteints, la phy- sionomie du m
res, en étant toujours plus marquée u leur racine : elle frappe les
muscles
à'une façon individuelle, de telle sorte que da
le, de telle sorte que dans le domaine d'un même nerf on trouve des
muscles
complètement détruits au milieu d'autres normau
e sous-scapulaiie, les fléchisseurs de la main et des doigts. Les
muscles
annexés à des appareils spéciaux (vue, masticatio
déglutition, phonation, respiration) ne sont jamais atteints. Les
muscles
altérés sont atrophiés dès le début; jamais il n'
atrophiés dès le début; jamais il n'y a d'hy- pertrophie dans aucun
muscle
, qu'il soit frappé ou non par le processus atro
soit frappé ou non par le processus atrophique. La consistance des
muscles
n'a rien de par- ticulier ; quelques-uns cepend
e. Les réflexes tendineux ne disparaissent en général que quand les
muscles
sont très atrophiés; les réflexes cutanés, la s
teuse primitive atrophique avec sclérose très légère, sans que les
muscles
altérés présentent la moindre augmentation de vol
ent aucune altération. Au point de vue diagnostique, l'atrophie des
muscles
de la face a une valeur absolue qui permettra d
ser d'emblée l'idée d'une atrophie musculaire myélopathiqne. Si les
muscles
de la face sont intacts, la conservation de mus
athiqne. Si les muscles de la face sont intacts, la conservation de
muscles
particuliers, la rétraction de certains autres,
rophique s'accompagne toujours d'un état hypertrophique de quelques
muscles
; elle respecte la face, débute dans la pre- miè
s une impo- tence presque complète des membres supérieurs. Tous les
muscles
innervés par les deux nerfs radiaux, y compris
ques ; grande lourdeur dans les membres pendant les mouvements; les
muscles
du mollet gauche semblent tendus et SOCIETES SA
vaut-il la peine de mentionner la prédominance des paralysies des
muscles
de l'oett chez les tabétiques ayant des antécéden
lcool, il s'effectua une amélioration de la motililé, de l'état des
muscles
, voire des contractures M. Skixigmuller. Sur l'
ganglion cervical supérieur, mais cela provient de la paralysie du
muscle
organique de Millier. L'abaissement de la paupi
a suite de la destruction du facial et de la troisième paupière, le
muscle
rétracteur du globe oculaire peut retirer l'oei
spiratoires et expiratoires avec co-participation de l'ensemble des
muscles
auxiliaires de la respiration. Pendant les accè
n'a pas observé jusqu'ici de raideur musculaire dans l'ataxie. Les
muscles
sont mous, lâches et n'opposent aucune résistan
au moins et parfois de quelques jours, se produisant dans certains
muscles
des membres inférieurs, princi- palement dans l
certains muscles des membres inférieurs, princi- palement dans les
muscles
des pieds, avec flexion spas- modique des ortei
rs spontanées assez vives avec tiraillements très pénibles dans les
muscles
des gouttières. Pas de douleur à la percussion
qu'on se rappelle les descriptions clas- siques de l'ataxique : les
muscles
, dit Leyden, sont mous, lâches et n'opposent au
tout le membre inférieur ne forme plus qu'une barre rigide avec ses
muscles
gros et durs. En somme, les membres inférieur
e plaignait de trouble de la vue de l'oeil droit. Les pupilles, les
muscles
et le fond de l'oeil étaient normaux. Vision ce
n° )4 J a )3"w + nu 6 J'it8" Les pupilles réagissent normalement.
Muscles
de l'oeil : pas d'insuffisance d'aucun côté à 20'
ie à l'extrême faiblesse générale, mais anssi à une impuissance des
muscles
buc- caux. Les deux mains présentaient des déso
leurs phéno- mènes caractéristiques. A gauche, la contraction des
muscles
faciaux par la pression du nerf facial est faib
stoïdien pressé tourne la face du côté droit et se contracture; les
muscles
des extrémités thoracique et pelvienne n'entren
sur les deux autres nerfs, on n'obtient que des secousses dans les
muscles
devantse contrac- turer ; autrement l'effet est
s, surtout sur le côté gauche du corps. Léthargie : contracture des
muscles
de la face et du sterno- mastoïdien normale à g
ès amoindris au membre pelvien droit. Phénomènes léthargi- ques aux
muscles
de la face, aux sterno-mastoïdiens, au membre p
es trois autres membres. Stabilité musculaire cataleptique dans les
muscles
de la tête et du cou, dans ceux des membres dro
moins d'accentuation des altérations articulaires retentit sur les
muscles
et nerfs des membres d'une façon presque toujours
rdinairement; ces mani- festations s'obtiennent aussi bien dans les
muscles
sterno-mastoï- diens ; les faciaux ne se contra
s s'accentuent (les ma- nifestations nerveuses sont les griffes des
muscles
résultantes de la pression des trois nerfs : mé
es extenseurs des orteils. L'adducteur du pouce aplati, et certains
muscles
du membre pelvien gauches sont notablement atro
s attitudes de la main, dans leurs rapports avec l'état moral ; les
muscles
, en effet, n'étant que des intermé- diaires, di
« ciente que la croissance de l'individu, ou la nutrition de ses «
muscles
et de ses os. Une fois développés, les éléments c
s rapides, mais les mouvements lents, tout en passant dans tous les
muscles
volontaires, échappent à notre conscience. Dans
OLOGIE. dentelles, n'ayant aucune importance pour nos études. Les
muscles
d'une grenouille sont en état de tenir une articu
de ce sujet ne diffère en rien de celle d'un homme normal dont les
muscles
sont fatigués. La courbe suivante (4) provient
le bras doit lutter contre la force de la pesanteur, au moyen des
muscles
qui servent à l'élever. Pour tenir le bras dans l
l'élever. Pour tenir le bras dans la position horizontale, le seul
muscle
qui intervient c'est le deltoïde, et il doit dé
s des cas rares, cette tendance à la flexion survient dans tous les
muscles
du corps. J'ai eu l'occasion de voir un exemple f
iraillements, on voyait survenir une contracture passa- gère de ces
muscles
; il se plaignait aussi de crampes dans les musc
a- gère de ces muscles; il se plaignait aussi de crampes dans les
muscles
de l'oeil gauche et des muscles innervés par le f
plaignait aussi de crampes dans les muscles de l'oeil gauche et des
muscles
innervés par le facial gauche. Ce malade fut en
nomènes musculaires sont des processus moteurs déter- minés dans un
muscle
par l'excitation mécanique de ce muscle. Ils se
oteurs déter- minés dans un muscle par l'excitation mécanique de ce
muscle
. Ils se divisent en : 40 une contraction totale
entrale non atropllique, dans lesquels l'excitabilité mécanique des
muscles
demeure normale en tous sens. 2° Dans la pluralit
cesformes de paralysies, la quantité de l'excitabilité mécanique du
muscle
est modifiée. En ce qui concerne la contraction
s quantitatives, mais qualitatives, de l'excitabilité mécanique des
muscles
; on constate que le mode de con- vulsions ou de
exe : elle émane de l'enveloppe et des cloisons sarcolemmatiques du
muscle
; la contraction locale résulte de l'actionneme
VIII), on pourrait croire qu'au cours de l'inanition la créatine du
muscle
se transforme en acétone, mais on en constatait
rique, si ce n'est un peu d'exa- gération dans la contractilité des
muscles
de l'éminence thénar. Ni lipothymie, ni accès c
observe de semblables névroses à la peau, aux appareils terminaux (
muscles
, os, articulations), dans les glandes, dans les
jambe de la face postérieure de la cuisse parce que la tension des
muscles
chargés de l'extension fait obstacle aux muscle
e la tension des muscles chargés de l'extension fait obstacle aux
muscles
chargés de la flexion. Au lieu d'opérer la flexio
gée où aboutissent également des nerfs moteurs chargés d'animer les
muscles
respiratoires. L'excitation de ces rameaux, si
s. Excitabilité électiiqup normale; absence d'atrophie en masse des
muscles
paralysés : pas de convulsions fibrillaires dan
se des muscles paralysés : pas de convulsions fibrillaires dans ces
muscles
. La paralysie des extrémités supé- rieures s'am
s la nuit du 31 décembre. Autopsie, ) Intégrité de la structure des
muscles
et des nerfs périphériques, aucune ano- matie d
, c'est-à-dire dépourvue d'atrophie et de réaction dégénérative des
muscles
paralysés. Ce qui prouve que la paralysie de La
n produit dans les cas d'hyperoxcitabilité mécanique anormale des
muscles
2 - nI. I : un. Non. M. Edinger a rencontré dan
casd'Edinger n'excluent pas tout à fait l'idée d'une affection des
muscles
; les altérations chimiques de la substance musc
eu Je courant élec- trique ; contractions et réactions normales des
muscles
et des nerfs à l'égard des deux espèces de cour
arreries, excitabilité, phénomènes convulsifs dans les mains et les
muscles
de la face). Plus tard, pendant des années, il
us régulièrement trouvée, c'est l'hyperexcitabilité méca- nique des
muscles
. Ce symptôme renforce l'analogie du sopor avec
ssions douloureuses. Atrophie des interosseux des deux mains et des
muscles
de la langue. inulle part il n'existe de réacti
stement exagérées soit par les mouvements, soit par la pression des
muscles
; la sensibilité est normale dans ses diffé- ren
r ses membres en les faisant glisser sur le plan du lit. Les divers
muscles
réagissent mieux à l'excitation élec- trique. P
tée par l'atrophie et la diminution de l'excitabilité faradique des
muscles
paralysés. Les centres nerveux, cerveau et moel
dait à un membre à l'aide d'un courant faradique, la contraction du
muscle
qui s'était subite- ment produite ne finissait
légè- rement touché un membre on arrivait à faire contracter les
muscles
de ce membre par l'irritation de la zone motric
au moment de la rupture; mais elle s'affaiblit très lentement, les
muscles
contractés se relâchent' dans un laps de temps
, quand ils ont appliqué le courant faible sur la zone motrice d'un
muscle
, qui était mis en contraction, le muscle ne fut
e sur la zone motrice d'un muscle, qui était mis en contraction, le
muscle
ne fut relâché que pour un moment, et tout de s
er un coup rapide, bien que. doux, pour provoquer la contraction du
muscle
, ce qui est la propriété générale des réflexes
thèse d'origine réflexe spinale. La contraction s'é- tend aussi aux
muscles
non irrités, ainsi les muscles synergiques part
. La contraction s'é- tend aussi aux muscles non irrités, ainsi les
muscles
synergiques participent presque toujours au mou
ère est fortement accrue, que la contraction apparaît aussi dans un
muscle
qui n'était pas directement irrité; mais, dans
par une simple malaxation des tendons ou des de l'hypnotisme. 375
muscles
. Aussi une circonstance que voici, ne s'accorde
guère avec cette hypothèse : en excitant les antago- nistes, les
muscles
contractés se relâchent; au con- traire, en cas
agonistes. On sait depuis Duchenne qu'à chaque mouvement, outre les
muscles
qui l'exé- cutent, encore les antagonistes se c
pas spontanément. Quand nous frictionnons les anta- gonistes des
muscles
, mis préalablement en contrac- ture, nous provo
racture dans ceux-là, et avec cela nous changeons leurs rôles : les
muscles
qui i étaient en contracture se relâchent à pré
même mois, on observe en dehors de toute crise des crampes dans les
muscles
des mains et une impotence fonction- nelle du m
re de l'organe. Insuffisance mitrale. Sclérose cartilagineuse des
muscles
papillaires du ventricule gauche. La valve intern
re inférieur gauche. C'est à peine s'il peut cons- tracter quelques
muscles
. , La pupille gauche est plus dilatée que la dr
itiques des nerfs mixtes avec réaction dégénérative consécutive des
muscles
,- même lorsqu'il n'existe ni paralysie ni modif
loi que les phénomènes tendineux manquent toutes les fois que les
muscles
où on les provoque présentent la réaction dégénér
contracté la limite du secteur supérieur. En supposant même que les
muscles
palpébraux échappent complètement à l'action vo
t à l'action volontaire, le courant agit sur l'innervation de ces
muscles
. Or, les examens d'Engelskjoen se rattachent surt
tation à droite); tremblement et légère .incoordination dans les
muscles
de la face : l'aspect du malade suggérerait l'idé
ire constituée par des tremblements museu- lahes ou la rigidité des
muscles
. 3u La base pathologique de ce groupe est const
ent galvanique local méthodique exposé plus haut (électrisation des
muscles
et des nerfs jusqu'à leur entrée dans la moelle
és d'intensité. On les force jusqu'à imprimer, par intervalles, aux
muscles
la plus forte con- traction possible en flexion
(Thèse de Paris, 1885.) Études cliniques et physiologiques sur les
muscles
; par Gilles DE la TOURETTE. (Thèse de Paris, 1
t actuel. Marche parétique, puis dérobement des jambes, parésie des
muscles
anté1'o-exte1'1les de la jambe droite, finalement
t qu'on la mettait debout. On constata alors une légère parésie des
muscles
antéro-externes de la jambe droite accompagnée
imer sa pensée par la combinaison pho- nétique des contractions des
muscles
du larynx, de la langue, du palais, des lèvres
neurone a pour effet la dégénérescence des fibres nerveuses et des
muscles
, en détruisant leurs centres trophiques. C'es
n d'un neurone plus élevé ne change rien à l'état des nerfs, et des
muscles
, et par conséquent les réactions électriques re
près la phase aiguë, mais d'une façon assez pré- coce, fortifie les
muscles
capables de se contracter. Il faut savoir que c
les muscles capables de se contracter. Il faut savoir que certains
muscles
parésiés répondent mieux à l'incitation volon-
19 et 20 mai 1897.) La pathogénie de la rigidité spasmodique des
muscles
dans cer- taines affections des centres nerveux
nc et des membres supérieurs. Par contre les membres inférieurs aux
muscles
durs, dessinés en saillies vigoureuses sous la
xamen des ré- flexes tendineux est empêché par la ten- sion des
muscles
, mais la malade dit qu'elle a souvent de la
La marche encore possible était pénible avec chutes fréquentes, les
muscles
rigides semblaient avoir peu perdu de leur force,
s accusée, la réaction de dégéné- rescence s'est accentuée dans les
muscles
des membres supérieurs; ceux-ci présentent l'as
que fait constater une légère diminution de l'excitabilité dans les
muscles
de la langue et des membres supé- rieurs avec l
s quoi se développa progressivement un sentiment de contraction des
muscles
de la face, une faiblesse de paupières, lorsqu'
s en temps le malade se plaignait d'une diplopie, d'une fatigue des
muscles
masticateurs de la langue et du palais mou, d'u
ivée de son indistincte ; on remarquait aussi un amaigrissement des
muscles
de la face, mais sans changement d'électro-sens
ns changement d'électro-sensibilité et un léger affaiblissement des
muscles
posté- rieurs du cou ; mais pas d'affaiblisseme
rge), un affaiblissement de la mimique de la face, une faiblesse du
muscle
droit interne, la mâchoire inférieure pendante,
égère de la langue, une immobilité du palais mou, une faiblesse des
muscles
de l'épaule et du bassin ; en suite en été de l
ue, plus marquée du côté droit ; le réflexe pharyngien existe ; les
muscles
postérieurs du cou sont affaiblis; on constate
les muscles postérieurs du cou sont affaiblis; on constate dans les
muscles
de la face un abaissement quantitatif de la sen
es yeux), on constate une faiblesse et un épuisement très prompt du
muscle
orbiculaire de l'élévateur et des droits extern
u'un affaiblissement passager du constric- teur de la pupille et du
muscle
ciliaire, plus loin (ce qui surtout est marqué
ade, constata, à l'aide des courbes, une lassitude très prompte des
muscles
tétanisés par le courant faradique. La nuit du vi
la paralysie bulbaire asthénique en géné- ral ; les changements des
muscles
internes des yeux, qui n'ont pas encore été jus
n de la fatigue musculaire générale; 2° l'atrophie dégénérative des
muscles
de la langue et du palais mou est une seconde p
sthénique, vu qu'il existe ici une réaction de dégé- nérescence des
muscles
de la langue. M. JAKovENKO trouve qu'il serait
* squelette vivant ». Cet individu tantôt en contractant certains
muscles
, tantôt en les affaiblissant au maximum, tantôt e
em- ployant l'un et l'autre procédé en même temps dans différents
muscles
et même dans ceux qui ordinairement ne se laissen
cette manipulation on remarque, que la con- traction volontaire des
muscles
passe bientôt en convulsions involontaires de c
des muscles passe bientôt en convulsions involontaires de ces mêmes
muscles
; 2° les omoplates alaires semblables à ce qu'o
endant la paralysie du grand dentelé antérieur (tension de tous les
muscles
de l'épaule et l'omoplate et même des rhom- boï
er, en se courbant préalablement fait paraître, une contraction des
muscles
abdominaux et repousse son intestin en haut; pu
ées jusqu'à l'atouchement du mur abdominal posté- rieur ; alors les
muscles
abdominaux droits sont tendus au plus haut degr
degré; M. Eguier peut faire aussi une contraction partielle de ces
muscles
; tantôt de leur portion supérieure, tantôt de leu
ore l'arrêt du coeur et du pouls, pour faire cela, il tend tous les
muscles
de son corps arrête la respiration pour quinze
en ce temps semble dispa- raître, grâce à la tension très forte des
muscles
, qui empêche de palper l'artère. L'examen sphyg
rées. La capacité extraordinaire de la contraction volontaire des
muscles
isolés (du fléchisseur commun des doigts et du pe
lontaire paraît se diriger de l'écorce cérébrale tout droit vers le
muscle
donné indépendamment de la représentation du mo
ans le cerveau des voies qui unis- sent l'écorce cérébrale avec des
muscles
isolés; mais ces voies ne sont pas encore bien
arition des paralysies hystériques et des contractures dans de tels
muscles
dont la lésion n'a pas encore été décrite. On
m- bres inférieurs, paraplégie inférieure spasmodique; spasme des
muscles
abdominaux obliques, atrophie partielle des membr
associés des yeux de tous les deux côtés, mais [sans paralysie des
muscles
isolés de l'appareil ocu ! o-moleur. A tout cel
ire de gran- deur. Convulsions cloniques continuelles dans tous les
muscles
du côté droit. L'autopsie donna les mêmes rés
s troubles ano-rectaux; on activera la nutri- tion des nerfs et des
muscles
, et on ne négligera pas d'agir sur le malade pa
a moelle épinière; ainsi l'auteur conclut de ses recherches que les
muscles
fléchisseurs d'un segment donné des membres sup
d'un segment donné des membres supérieurs siègent plus bas que les
muscles
extenseurs pour le même segment. La gliose dans
nte. Quanta la localisation plus exacte des centres médullaires des
muscles
exten- seurs, ces centres se trouveraient dans
aminé ce- membre supérieur droit : la main est sans graisse et sans
muscles
, son squelette est revêtu d'une peau ridée, fla
uliens sans trépidation épileptoïde. L'excitabilité faradique des
muscles
atrophiés n'a pas disparu; elle est plus grande à
ule bicipitalc dans la contraction de l'avant-bras sur le bras; les
muscles
de l'avant-bras sont très réduits; les éminence
Puis, en dix-huit mois se développe une parésie avec atrophie des
muscles
débutant par les membres supérieurs envahissant
la perte de l'activité psychique. 3° Il serait le centre moteur des
muscles
du dos et son haut développement est en relatio
avant la mort on avait constaté chez ce malade qu'une rigidité des
muscles
trapèzes : son état mental ne lui permettait de
pographiquement délimités sur l'écorce céré- brale. Les centres des
muscles
du tronc et de la nuque n'ont pas encore été lo
der cette question ; il a cherché où étaient situés les centres des
muscles
du tronc et de la nuque chez le chien, et s'il
n'y a à retenir que son affirmation de l'existence d'un centre des
muscles
des yeux dans le lobe frontal. Contre les idées
e l'absence pour ce centre d'action croisée (action dérecte sur les
muscles
du même côté). Les expériences de Kurick, faite
s conclusions suivantes : 1° le chien possède deux centres pour les
muscles
de la nuque : a) l'un dans le lobe frontal en a
eur entre les centres des extrémités, il préside aux mouvements des
muscles
du même côté ; 3° il n'y a pas de centre moteur
1° Le travail qui convient aux aliénés est celui qui fait agir les
muscles
sans les fatiguer, mais leur offre un but intéres
ntéressent que secondairement les centres réflexes subordonnés, les
muscles
, la peau, les os, les,indi- cations que nous ve
tue uniquement d'une vieille chemise, elle avait une rétraction des
muscles
et une ankylose des articulations, et était compl
m), un cas de ¡Tic rota- toire (spasmes cloniques, diopathiques des
muscles
cervicaux) rebelle il toutes les médications in
n outre, le goût était aboli sur la moilié droite de la langue. Les
muscles
masticateurs de ce côté étaient paralysés. Les mo
- ments' de la langue et du voile conservés; pas de paralysie des
muscles
de la face ni de l'oeil. Tout se bornait donc à u
après, Ja sixième paire fut atteinte et il survint une paralysie du
muscle
droit externe. Le diagnostic de la lésion causa
qui tient à des altérations analogues dans l'oreille moyenne. Les
muscles
de la face étaient parésiés : ils ont besoin en e
n caractérisée par l'existence d'une paralysie complète de tous les
muscles
du bras et de presque tous les muscles de l'ava
ralysie complète de tous les muscles du bras et de presque tous les
muscles
de l'avant-bras. Les muscles complètement paral
muscles du bras et de presque tous les muscles de l'avant-bras. Les
muscles
complètement paralysés correspondent aux nerfs
ocalisent bientôt et s'atténuent; le tonus exagéré et permanent des
muscles
qui croît spontanément et pendant les essais de
t en secousses cloniques plus ou moins fréquentes d'un ou plusieurs
muscles
de la face ou des extrémités. Le plus souvent c
rale. Paralysie de l'abducteur de l'oeil gauche. Paralysie des deux
muscles
de la fente vocale, qui sont innervés par le ne
la fente vocale, qui sont innervés par le nerf laryngien supérieur (
muscles
crico-aryténoï- diens postérieurs). Hémiatrophi
ent être rares. Observation V. Enfant de trois ans. Contracture des
muscles
de la nuque. Tête rejetée en arrière et comme e
ouvoir. Je constate, en effet, une con- tracture très prononcée des
muscles
du cou ; l'enfant se tourne tout d'une pièce qu
le bébé crie seulement quand on essaie de vaincre la résistance des
muscles
contractures. Le 2 mai, la contracture a cessé.
chives, 2e série, t. IV. 21 322 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. des
muscles
de l'omoplate et de l'épaule, et elle n'est pas e
que. En général, la rupture du coeur, comme la rupture des autres
muscles
, est favorisée par un état morbide antérieur. Cet
cyanose faciale et bruit convulsif hoqueté. Tension excessive des
muscles
respiratoires; puis rigidité du système musculair
e plus de trenle ans.' Il est consécutif au surmenage de certains
muscles
(extenseurs), dure quelques semaines et cède au r
a cage thoracique est immobilisée par une sorte de tétanisation des
muscles
expirateurs; les paupières sont mi-closes, les
dehors. Quelques contractions fibrillaires passent parfois sur les
muscles
de la face. L'enfant n'offre pas d'autres malfo
os. L'examen minutieux du membre supérieur droit démontra que les
muscles
brachiaux (biceps, brachial antérieur et postérie
encore atrophiés avec réaction de dégénérescence. Quant aux autres
muscles
, ceux de l'avant-bras et de la main sont restés i
racines cervicales, le malade en question a encore une atrophie du
muscle
triceps. Ce muscle est innervé par le nerf radi
, le malade en question a encore une atrophie du muscle triceps. Ce
muscle
est innervé par le nerf radial , qui prend son
gressivement dès l'âge de dix à onze ans, envahit non seulement les
muscles
des extrémités, du corps et du cou, mais encore
ent les muscles des extrémités, du corps et du cou, mais encore les
muscles
de la face, principalement les masticateurs. A
istingue facilement du tétanos physiologique, consiste en ce que le
muscle
ne répond pas durant une irritation plus ou moins
lus basse que celle du tétanos physio- logique et rappelle celle du
muscle
fatigué. Sur les coupes microscopiques du morce
du muscle fatigué. Sur les coupes microscopiques du morceau pris du
muscle
gas- trocnémien, on trouva une augmentation trè
s'aggravèrent visiblement et il apparut en outre une paralysie des
muscles
oculaires avec nystagmus, un tremblement pendan
s cutané médian et interne), en même temps survint une atropine des
muscles
interosseux trois-quatrièmes et plus lard encor
gion de la fosse canine sous l'arc zygomatique et dans la région du
muscle
huccinateur, paralysie complète du côté droit d
a région du muscle huccinateur, paralysie complète du côté droit du
muscle
frontal, du sourcilier, de l'orbicu laire des p
s l'action du grand zygoma- tique augmente; tous les mouvements des
muscles
mentonniers se font bien. L'atrophie du peaucie
triques correspond à la distribution des paralysies ; dans tous les
muscles
paralysés et atrophiés, la contraction à deux c
es paralysés et atrophiés, la contraction à deux courants (comme du
muscle
ainsi que du tronc nerveux) = 0 ; dans les musc
ourants (comme du muscle ainsi que du tronc nerveux) = 0 ; dans les
muscles
qui ont conservé leurs mouvements, tous les deux
à fait symétrique- ment des contractions du quart inféro-externe du
muscle
orbicu- laire des paupières et de la moitié inf
du muscle orbicu- laire des paupières et de la moitié inférieure du
muscle
orbicu- laire de la bouche du côté droit. A l'é
du tronc commun du nerf facial auprès du trou stylo-mastoïdien les
muscles
ne réa- gissent pas localement au courant, et n
a sensibilité mus- 358 SOCIÉTÉS SAVANTES. culaire et tactile; les
muscles
des extrémités droites sont atro- phiés, mais s
du côté du tissu cellulaire sous-cutané ; plus rarement du côté des
muscles
, des tendons, os, périoste, cartilage et périch
la profondeur des tissus des anfractuosltés, des cryptes entre les
muscles
et dans leur masse; de nulle part ne surgissait
les rapports entre les os de la face, les inserlions craniennes des
muscles
et sur- tout de ceux de l'appareil masticateur.
peu plus relevé que l'externe. La flexion des pieds est nulle. Les
muscles
extenseurs des pieds sont normaux. SOCIÉTÉS S
otrophie prononcée aux mains. Ainsi les thénars, hypothénars et les
muscles
inlerosseux sont visiblement atrophiés. C'est p
tre donne 5 à droite et si à gauche. Grâce à l'inégale atrophie des
muscles
interosseux, les doigts ont une altitude plus o
lle est l'effet d'une excitation des centres intra-cardiaques et du
muscle
du coeur même, et enfin elle peut être causée par
seconde soeur présente à ce moment un accroissement remarquable des
muscles
du mollet, des muscles extenseurs quadrijumeaux
à ce moment un accroissement remarquable des muscles du mollet, des
muscles
extenseurs quadrijumeaux, glutéens, et des musc
s du mollet, des muscles extenseurs quadrijumeaux, glutéens, et des
muscles
extenseurs de la colonne vertébrale ; elle-même
forcée de garder le" lit. à cause d'une contraction permanente des
muscles
du mollet. Chez la cadette, âgée de onze ans, c
finissent par la destruction des fibres nerveuses. Des morceaux de
muscles
. pris du muscle gastro-cnémien, des muscles qu
destruction des fibres nerveuses. Des morceaux de muscles . pris du
muscle
gastro-cnémien, des muscles quadrijumeaux et du
euses. Des morceaux de muscles . pris du muscle gastro-cnémien, des
muscles
quadrijumeaux et du 446 ' SOCIÉTÉS SAVANTES.
cnémien, des muscles quadrijumeaux et du 446 ' SOCIÉTÉS SAVANTES.
muscle
deltoïde présentent les altérations connues. Pour
et certaines eaux minérales; 3° Contre l'ataxie, la rééducation des
muscles
suivant la méthode - de Frenkel est un récent e
ation de l'élasticité et l'éner- qui lui a donné naissance dans les
muscles
en contraction volontaire.; par' M. J. Tissot;
r de l'énergie que le -travail mécanique « prend » ou « donne » aux
muscles
, suivant qu'il est positif ou négatif; par M. A
au ; - Structure intime des libres terminales des nerfs moteurs des
muscles
striés des Am- phibiens ; par M. Charles Rouget
es Rouget ? Recherches sur l'innervation motrice et inhibitrice des
muscles
du poumon; par M. M. Doyon; Influence motrice d
te hypertrophie porte sur tous les plans des tissus de la main; os,
muscles
, tissu cellulo- adipeux et peau. Cette dernière
emnes. Toujours comme à la main, tous les tissus constitutifs : os,
muscles
, etc., participent, à l'hypertrophie; l'aspect
phie*). Atrophie progressive pendant plusieurs années de différents
muscles
et sur tout de ceux des épaules, de la face, du
phagie ; un trouble carac- téristique de la parole; une parésie des
muscles
de la nuque du facial supérieur (faible occlusi
ère) et du facial moven. Intégrité de l'excitabilité électrique des
muscles
et des nerfs du thorax et des extrémités avec c
Aldren Tur- NER. (The Edinburgh médical Journal, mai 1897.) . Les
muscles
de l'oeil, de même que ceux du larynx, ne peuvent
e hémisphère exerce une action bilatérale sur les mouvements de ces
muscles
. L'expérience a montré qu'une excitation du cen
vers le côté opposé. Si l'on vient même à sup- primer l'action des
muscles
droits externes et internes par la sec- tion de
l cas où la lésion d'un lobe frontal ait entraîné une paralysie des
muscles
de l'oeil du côté opposé, autre qu'une abolitio
nt de la moitié gauche du visage. La complète déchirure de certains
muscles
et l'état électrique de ceux qui sont respectés
e la 'surdité nerveuse; puis, dans l'intégrité complète de certains
muscles
de la face, malgré la lésion de la base, notamm
e, malgré la lésion de la base, notamment dans la conservation de
muscles
dont les fibres viennent, à n'en pas douter, du n
e rythme, non synergiques, au point qu'elles se bornent il quelques
muscles
ou simplement à quelques faisceaux musculaires.
muscles ou simplement à quelques faisceaux musculaires. Excepté les
muscles
de l'oeil, tous les mus- cles volontaires sont
séries de symptômes : 1° Troubles moteurs ; atrophie et parésie des
muscles
de la cein- ture scapulaire ; 2° Troubles de la
e ne sommes-nous pas tous d'accord sur le centre qui correspond aux
muscles
du tronc. La loi acceptée sans discus- sion, en
scles du tronc. La loi acceptée sans discus- sion, enseigne que les
muscles
dépendant de la volonté sont subor- donnés au c
posé, mais le centre, qui est chargé des fonctions extrinsèques des
muscles
de l'oeil, n'est pas encore connu. Egalement, p
e se généralise, elle a ordinairement son point de départ sur les
muscles
de la moitié de la face, principalement sur la mo
edowiens, ce qui tient à un phénomène musculaire, à la paralysie du
muscle
orbitaire interne, et non au resserrement des v
sa pathologie à l'atonie. Il faut cependant réfléchir que, quand un
muscle
est frappé d'atonie, c'est, ou bien que le systèm
que le système nerveux qui l'anime est lui-même atteint, ou que le
muscle
a été soumis à un travail excessif ou trop prol
e observation est la constatation d'une trépidation épileptoïde des
muscles
droits abdominaux en traçant avec le doigt appu
Brodmann. G. DENY.. Vu Recherches sur la localisation spinale des
muscles
du périnée et du rectum (chez l'homme), par MM.
ces constatations MM. Irimesco et Parhon concluent que le noyau des
muscles
du périnée occupe un groupe place en arrière et
inaires. Au groupe intermedio-latéral corres- pondrait le noyau des
muscles
lisses du rectum et peut-être de la vessie. E
effet, l'atrophie ainsi que la paralysie n'intéressent pas tous les
muscles
innervés par une racine donnée et empiè- tent p
e cas offre également un certain intérêt : à l'atrophie de tous les
muscles
de la jambe et du pied droits correspondait en
légitime de localiser dans le premier de ces groupes le centre des
muscles
de la jambe et dans le second celui des muscles
oupes le centre des muscles de la jambe et dans le second celui des
muscles
du pied avec les restric- tions que Parhon et G
arhon et Goldstein et plus récemment Mari- nesco ont faites pour le
muscle
pédieux. G. DENY. 44 REVUE D'ANATOMIE ET DE P
tre part, sur l'absence de lésions dégénératives des nerfs et des
muscles
et aussi sur l'existence de quelques lésions irri
re, il n'aurait jamais consulté un médecin. Système musculaire. Les
muscles
sont bien développés, mais pas outre mesure ; p
ducteurs, d'abord à l'hémisphère opposé. Voilà pourquoi ce sont les
muscles
du côté libre qui entrent en fonctions à la place
apporte la loi physiologique (le Hasch sur l'innervation double des
muscles
antagonistes. P. KERAVAL. XV. Pseudomélie par
ts électromagnétiques et sinusoïdaux quelconques agis- sent sur les
muscles
atteints comme les courants galvaniques ou cons
eu importe que, comme dans la dégénérescence moyenne, le nerf et le
muscle
réagissent au courant faradique et galvanique,
cte à l'égard du courant galvani- que subsiste seule. Tandis que le
muscle
complètement dégénéré ne réagit souvent pas à l
o-électriques ou sinusoïdaux détermine une convulsion paresseuse du
muscle
dégénéré dans tous les cas où cette paresse de
este par l'excitation galvanique directe (musculaire).. (Juand le
muscle
n'a pas dépassé le stade (1«1) I)et,exci tal)ilit
taté que le courant ondulatoire avait une action excitante, sur le
muscle
dégénéré plus vive au pôle positif qu'au pôle nég
mulants niais éleclrolyliques capables d'agir favorablement sur les
muscles
et nerfs paralysés. C'est une thérapeutique a e
. : P. Keraval. < 1 ? Recherches cliniques sur l'auscultation du
muscle
, par B. Lcvl : . (1\Teicrolog. Centralbl., XXIV
i;.nclti. Le son que l'on entend en plaçant cet instru- ment sur un
muscle
qui se contracte volontairement et.de façon 1
st-elle plus forte, il est plus intense ; il en est de même sur les
muscles
épais. Ce son n'a rien à faire avec le glisseme
Dans les paralysies fiasques complètes, on n'entend, au niveau des
muscles
atteints, absolument rien quand on invite les mal
paralysie agitante (un cas), dans l'athétose (2 cas), au niveau des
muscles
qui se con- tractent, ainsi que dans les trembl
tension du gas- trocnémien s'est traduite par un son intense. Les
muscles
affectés de réaction dégénérative partielle fourn
laire soit possible. L'excitation faradique directe ou indirecte du
muscle
à réaction électrique normale engendre un son t
ment volontaire, pourvu que le L·Lanos soitsuf- fisamment fort : le
muscle
, à une excitation galvanique forte, non oscilla
eil. La convulsion lente consécutive à l'excitation galvanique d'un
muscle
qui présente la réaction dégénérative reste sil
ction dégénérative reste silencieuse. - L'excitation fa- radique du
muscle
qui ne réagit point ne fournit pas de son non p
: cela doit tenir à la brièveté de la convulsion musculaire. Les
muscles
raccourcis par suite d'un trouble nutritif ne don
mhe a fourni un son musculaire très net. La contracture tardive des
muscles
hémiplégies ou en état de paralysie infantile c
ieures de la moelle en état d'excitation ? Le silence au niveau des
muscles
contractures serait en faveur d'une diffé- renc
sans naturellement nier lu rapport intime qui rattache, le nerf au
muscle
, faut reconnaître au mus- de même une certaine
Les nerfs articulo-moteurs 'des membres, leur triple action sur les
muscles
: contraction, raccourcis- sement, relâchement,
oculo-moteurs : elle n'est pas moins exacte lorsqu'elle a trait aux
muscles
des membres. Un sait depuis longtemps qu'une ac-
puis longtemps qu'une ac- tion musculaire n'est possible que si les
muscles
antagonistes en- trent en jeu : il y a donc une
de sciatique de à a 10 millim. ; on l'insère en lo- tallté dans les
muscles
de la cuisse ; quelques jours plus fard on en p
aire des plèvres et des reins et de phtisie subaiguë du poumon, les
muscles
étaient pâles, le volume et la forme étant cons
lume et la forme étant conservés, llistologiquement, la plupart des
muscles
que les auteurs étudièrent présentaient de l'atro
ôt chez les malades aisés, on ne sait s'il y a raccourcissement des
muscles
par hypertonie musculaire ou si ce raccourcisse
nt plus ou moins accentué des terres, 7 fois avec de la raideur des
muscles
, G fois avec de la dysarthric, 4 fois elle ne s
des lèvres et de la langue ; ? " la rigidité de ces organes et des
muscles
du pharynx entravant plus ou moins la déglutition
uverture des poings (figures). Absence de réaction myotonique ; les
muscles
ne se contractent point en forme de caniveau so
n trouble acquis de l'innervation volontaire de certains groupes de
muscles
différant de la myotonie pure, d'autant que la
onctionnel des vasomoteurs et une ischémie relative pendant que les
muscles
se contractent. Le siège des douleursetparesthé
LEI : NH1RDT montrent un malade atteint de Tabès avec atrophie des
muscles
abdominaux et des gouttières ver- tèb1"illcs ga
ie commençant par les extrémités et, portant d'abord sur les petits
muscles
des mains et tles pieds, avant ut plu- profondé
les des mains et tles pieds, avant ut plu- profondément que sur les
muscles
de l'a\anL-Ij['llsl'lde la jambe. )1. Marie con
se la sonde par la narine droite, la malade contrarie fortement ses
muscles
constricteurs du pharynx, et ramène ainsi le be
alisé, élève le corps au-dessus du plan du lit, par contraction des
muscles
dans la région dorso-lombairc. Les membres infé
de savoir par un examen direct, en raison de la contraction de ces
muscles
abdomi- naux, s'il y a durcissement du muscle u
a contraction de ces muscles abdomi- naux, s'il y a durcissement du
muscle
utérin. Interrogée, la malade déclare que son v
tions. Le cou se durcit et se gonfle, par con- traction de tous ses
muscles
qui provoque la turgescence mani- feste des vei
on et la projetant en arrière sur l'oreiller, en même temps que les
muscles
rotateurs la dé- vient parfois latéralement. -
que les muscles rotateurs la dé- vient parfois latéralement. - Les
muscles
respiratoires sont con- tractés, et la respirat
st constamment modifié par la contraction invo- lontaire des divers
muscles
de l'expression, qui lui donne un as- pect grim
quelquefois un son rauque est émis, par suite de la contraction des
muscles
de la glotte qui se produit brusque- ment au mo
peu profond. Trois minutes après environ, nouvelle crise : tous les
muscles
du corps sont contractures, la tête se renverse
erne 4ensitivo- motrice, une paralysie bilatérale et symétrique des
muscles
in- nervis par les 3e et 4° paires (périodes mo
que ce réflexe se produit surtout quand on frappe sur la masse des
muscles
épicondyliens. Il n'est pas dû à un point de dé
emière période relativement courte ; puis succède une période où le
muscle
travaille d'une fa- non régulière et constante,
fosse temporale il ne paraît plus exister de tissu cellulaire ni du
muscle
. Le mass(Ler existé eneure, mais na atrophié. L
sement, certaines observations localisant un ce point le centre des
muscles
du tronc et du cou. C. C. XXV. Sur un cas de té
lé par les auteurs : hyperexlcn- sion des pieds un varus équin, les
muscles
jumeaux et le tendon REVUE DE PATHOLOGIE NERV
Tremblement de la langue et mouvements brusques de la tête et des
muscles
sourciliers. (. C. XXVIII. Épilepsie et rétréci
, flé- chisseurs, interosseux. Exophtalmie par épaississement des
muscles
de l'oeil. M. iiocaoN-1)ovICNAUU montre les piè
rtérioscléreux, due à une augmentation extraordinaire de volume des
muscles
extrinsèques de l'oeil, de nature scléreuse.
rohpasme constitue le seul phénomène nettement hystérique; tous les
muscles
, sauf ceux des paupières, sont en résolution
urier, du droit intense, une partie du grand adducteur ; les autres
muscles
ont été respectés. Etudes microscopiques (figur
isparaît ; il est remplacé par un autre groupe en relation avec les
muscles
de la hanche. Dans la partie inférieure de ce 4
conscrit. Le groupe antéro-externe représente donc maintenant les
muscles
de la hanche et le groupe central le sel1li-membr
ET de PHYSIOLOGIE pathologiques jambier antérieur; le centre de ce
muscle
occupe le niveau le pins élevé parmi les centre
e de ce muscle occupe le niveau le pins élevé parmi les centres des
muscles
de la jambe parce que, des fibres lombo-sacrées
issent d'autres pelils groupes qui sont en relation avec les autres
muscles
de la jambe. Ce sont, on dedans de ce centre et
u jambier postérieur et du plantaire grêle. Le centre de ce dernier
muscle
doit être en dedans de celui des fléchisseurs d
la partie inférieure du groupe central, Une partie des centres des
muscles
de la jambe est d'ailleurs ici restée indemne,
nt apparaît un nouveau groupe de cellules, en arrières de celui des
muscles
de la jambe ; c'est le groupe post-postéro-laLr
e groupe post-postéro-laLral d'Onuf ; il est lésé et comman- de aux
muscles
plantaires. 11 est en plein développement dansle
A ce niveau il ne reste qu'un seul groupe de ceux qui innervent les
muscles
de la jambe ; c'est le centre des gasll'o- cném
esl formé de deux groupes secondaires, en relations avec les divers
muscles
plantaires. /) Dans le 4° segment sacré, il n'y
confirma- tion des indications précédentes sur la localisation des
muscles
du pied et de la jambe. Ici encore peu de cellu
mbe. Ici encore peu de cellules lésées dans leurs rapports avec les
muscles
de la cuisse. Dans les deux observations, vacuo
orne antérieure, et cor- respondent au centre de Marinesco pour les
muscles
antérieurs du bras et le nerf IllU5Culo-cut,ané
nte. Ce qui prouve que le groupe an- léro-latéral est le centre des
muscles
antérieurs de l'avant-bras, tandis que le group
te ce qui suit. On provoque le phénomène en question en frappant le
muscle
frontal dans toute son étendue, ou la région co
régulière de l'or- biculaire palpébral, exclusivement limitée il ce
muscle
, ou,quand l'excitabilité est faible, des trembl
droit externe, du droit supérieur et du grand oblique, de tous les
muscles
innervés parl'oculomoteur commun. En ce qui c
cerne le droit externe, l'auteur fait remarquer qu'en pareil cas le
muscle
est remplacé par un ligament élastique qui le s
vu qu'il y ait un antagoniste capable de fonctionner. En outre, les
muscles
atteints d'inertie congénitale ne s'atrophient
globe, à cause d'un excès de raideur du ligament qui remplace le
muscle
. Souvent aussi dans ce mouvement d'abduction, on
e totale du sphincter vrai et de l'accommodation ; immobi- lité des
muscles
extrinsèques. Par contre toutes les trois ou tout
quelle la paupière supérieure s'abaisse par saccades, et les autres
muscles
reviennent à leur état de paralysie absolue. Le
le, c'est une action vasomotrice exercée sur les noyaux puisque les
muscles
sont contractiles, et les filets nerveux exci-
). Valeur des recherches re- latives à l'excitabilité mécanique des
muscles
ou aux soi-disant réflexes musculaires dans les
des symptômes constants du tabès ; elle peut s'observer dans les
muscles
de la jambe (gastrocnémiens), de la hanche, des m
rd indemnes. Dans la névrite- mulLi- ple, les troncs nerveux et les
muscles
présentent une sensibilité exagérée. L'insensib
de mesurer la compression à laquelle sont respectivement soumis le
muscle
, la peau, le tissu cellulaire sous-cutané. C'es
là pression en rapport avec la sensibilité cutanée et avec celle du
muscle
. IL - L'excitation mécanique du muscle ou, réfl
ité cutanée et avec celle du muscle. IL - L'excitation mécanique du
muscle
ou, réflexe musculaire, qui se traduit par la c
musculaire, qui se traduit par la contraction de tout le ventre du
muscle
ou d'un de Ces faisceaux Sur toute sa longueur,
Ce dernier phé- nomène résulte d'une compression vive, rapide d'un
muscle
ap- parent comme les biceps entre le pouce et l
et l'index. Quant au ré- flexe musculaire, contraction générale du
muscle
entier, sans bourrelet visible à l'oeil, il dér
ntraction générale du musCle se produit même quand on frappe sur un
muscle
sectionné. Mais les conditions de provocation d
ions de provocation de la contraction à l'excita- tion mécanique du
muscle
sectionné et demeuré au sein de l'or- ganisme v
rs séparer la con- traction due à l'excitation mécanique directe du
muscle
de la con- traction réflexe due à son extension
fs du membre supérieur qui frappe tous le biceps, le triceps et les
muscles
, de l'avant-bras,on observe presque constamment
ires s'affaiblissent, la lenteur de la contraction apparaît dans le
muscle
franchement atrophié avant que l'on constate la
culaires existent dans les extrémités inférieures et aussi dans les
muscles
de la face antérieure de la hanche. Dans la dém
ation des réflexes musculaires. As- sez souvent quelques groupes de
muscles
, exemple : la face, les mains, l'avant-bras, l'
ologie. On peut no- ter, en effet, tous les intermédiaires entre le
muscle
rouge de Ranvier, le muscle du nouveau-né, le m
effet, tous les intermédiaires entre le muscle rouge de Ranvier, le
muscle
du nouveau-né, le muscle vératrinisé, la cour-
aires entre le muscle rouge de Ranvier, le muscle du nouveau-né, le
muscle
vératrinisé, la cour- bature de fatigue, la cou
e Thomsen, Le bien commun à tous ces cas, est soit, la richesse des
muscles
en sarco- plasma, soit l'hyperfonctionnement sa
sistante et définitive ; dilatation pupil- laire el tremblement des
muscles
. (Le malade nie l'alcoo- lisme.) A maintenir,
aillants, les pupilles dilatées, sans aucune expression, ni jeu des
muscles
mimiques, comme une somnambule. Elle se laissa
, qui donne 0 au dynamomètre, la main droite donnant encore 18. Les
muscles
des mains sont très atrophiés ; la gauche est r
du larynx et des cor- des vocales. L'atrophie n'a pas épargné les
muscles
thoraciques et il existe normalement une dyspné
xamen, on constate une raideur avec tendance à la con- tracture des
muscles
des quatre membres, plus accentuée aux membres
ériphérique piovo- que des contractions fibrillaires des différents
muscles
. Exagéra- tion considérable des réflexes patell
re un centimètre de moins en circonférence que le bras droit. Les
muscles
périscapulaires du même côté sont nettement touch
front bas et très> fuyant, la face très large, asymétrique. Les
muscles
du menton sont animés de contractions fibrillai
par compression de la moelle, des décubi- tus avec destruction des
muscles
fessiers. Or, dans ce cas, j'ai constaté une di
arition presque complète des cellules consti- tuant les centres des
muscles
détruits. Il m'est également arrivé d'étudier l
ré. (licu. de méd, de janvier 1906.) Le sucre est « le charbon du
muscle
», il a comme avantage de céder très facilement
424. Auréoles névropathiques, par Féré, 142. Auscultation. Voir
Muscle
. Avellis. Syndrome d ? Voir sy- ringobulbic.
itabilité. Valeur des recher- ches relatives iL l'- mécanique des
muscles
ou aux soi-disant réflexes musculaires dans les
Voir Cel- lules nerveuses. ' Exophtalmie par épaississement des
muscles
de 1*oeil, par Ro- C11011-I)tl\'iIleatl(l, 223.
d. Voir Paysanne. Localisation spinale. Recherches sur la - - des
muscles
du pc- rinée et du rectum (chez- l'homme), pa
acement, dans les affections cérébrales, par de Bechterew, 122.
Muscle
. Auscultation du -, par Link, 127. Voir Localis
Les - articulo- moteurs des membres, leur tri- ple action sur les
muscles
: con- traction, raccourcissement, re- lâchem
p volumineux, il n'est pas tombant, mais on sent au toucher que les
muscles
des parois abdominales, de même que tous les au
ulation du genou. L'aulre cause de ce phénomène, la proéminence des
muscles
antéro-externes de la jambe très développés (Po
ulaire des membres inférieurs est bien conservée. Les ré- flexes du
muscle
triceps et périostaux sont faibles des deux côtés
inférieurs conservent leur force muscu- laire normale, excepté les
muscles
fléchisseurs de la hanche (forte douleur). Les
Sur la face antérieure du corps,sur la poitrine, dans la région du
muscle
del- toïde il y a de nombreuses taches brunâtre
premier coup d'oeil l'atropliie musculaire générale et surtout des
muscles
fessiers. La pression des dernières côtes à gauch
région fessière est tout à fait flasque. Les mouvements de tous les
muscles
de celte région sont affaiblis. L'excitabilité mé
x. Les membres supérieurs fonctionnent normalement. Les réflexes du
muscle
triceps et périostal, normaux des deux côtés. L
a une tumeur. L'examen électrique ne montre rien d'anormal dans les
muscles
cruraux péroniens et les quadriceps (bilatérale
respiration et la toux. La nuit, des contractions automatiques des
muscles
des jambes. Les vertèbres lombaires inférieures
ts peuvent être remués facilement. Le membre supérieur gauche a les
muscles
extenseurs du coude et du carpe très contractés
squ'à l'angle droit (plus loin apparaît douleur et résistance). Les
muscles
adducteurs de la cuisse résistent de même. Le p
conservent des mouvements passifs suffisants. La jambe gauche a les
muscles
adducteurs contractures aussi bien que le genou
de contractions spastiques, paralysies et atrophies des différents
muscles
. Il ya des cas où, à la suite de compression de
qu'on fléchit tronc sur le bassin, il se fait une distension des Ij
muscles
postérieurs de la cuisse et au moment où le tronc
t 50 degrés et on voit alors se dessiner d'une façon très nette les
muscles
susdits. Il est évident que si la cause du phén
d'une façon générale, proportionnelle à la diminution du volume des
muscles
....Pourtant, remarque avec juste raison Jeanselme
ement précoces, apparaissant avant que l'amyotrophie ait détruit le
muscle
. Parmi un certain nombre de faits observés en E
uvement était complète et il n'y avait pas atrophie appréciable des
muscles
paralysés. On notait un peu d'anesthésie diffus
rente-cinq ans environ, les lésions étaient plus avancées. Tous les
muscles
de l'avant-bras étaient fort diminués de volume
ui n'avaient à aucun degré la main en griffe et chez les- quels les
muscles
de l'avant-bras avaient conservé leur volume norm
e baissait, il se serait produit des troubles paralytiques dans les
muscles
extrinsèques des yeux; en effet, le strabisme a
cune atrophie de la langue, ni de tremblements fibril- la ires. Les
muscles
masticateurs sont indemnes ; la malade peut serre
st à peu près normal. Il est difficile de se prononcer sur l'état des
muscles
de la gouttière vertébrale ; l'attitude affaiss
senter sa convexité normale, est excavé par l'atrophie profonde des
muscles
du côté cubital ; de même le sillon existant en
tre le pouce et l'index est très accusé en raison de l'atrophie des
muscles
de cette région. Les ongles sont profondément r
mauvais état de circulation artérielle et veineuse. L'action des
muscles
sphinctériens paraît assez bien conservée ; à l'e
glosse, sans toutefois déceler des altérations qualitatives sur les
muscles
. Les muscles du cou ont présenté des réactions
utefois déceler des altérations qualitatives sur les muscles. Les
muscles
du cou ont présenté des réactions électriques à p
riques à peu près nor- males. Les altérations sont nettes sur les
muscles
de la ceinture scapulo-humérale.11 existe en ef
ousses avec le cou- rant faradique. · Avec le courant continu,ces
muscles
ont des réactions lentes avec hypoexci- tabilit
courant galvanique, soit encore avec le courant faradique. Sur les
muscles
de l'avant-bras, il y a production de réactions é
raction musculaire à la fermeture de l'anode. Aux mains, tous les
muscles
sont complètement inexcitables avec le plus fort
cée. Le droit antérieur est à peu près 'inexcitable. Sur les autres
muscles
de la région supérieure des cuisses, 'il existe
l existe une diminution globale de l'excitabilité électrique. Les
muscles
de la région pelvienne ont donné des réactions él
des globes oculaires.- Strabisme divergent. Paralysie partielle des
muscles
intrinsèques et extrin- sèques des yeux. Dimi
dans tous les sens ; il n'existe aucune atrophie de la langue, les
muscles
masticateurs sont indemnes, mais il est évident
culté dans la déglutition de la salive et du bol alimentaire. Les
muscles
peauciers du visage et du cou semblent bien un pe
sensibilité tactile soit émoussée aux extrémités. 1 L'action des
muscles
sphinctériens est encore bien conservée. Rien d
é neuro-musculaire est nettement diminuée. L'exatnen électrique des
muscles
de la langue, très difficile chez Aurélie, à ca
r des secousses musculaires avec le courant faradique. Sur tous les
muscles
de l'avant-bras, on peut relever des réactions ne
'avant-bras sont presque inexcitables. Au poignet et à la main, les
muscles
atrophiés sont absolument inexcitables et ne ré
mêmes altérations des contrac- ,' tions électriques : bien que les
muscles
de cette région soient encore valides : dans leur
que et faradique est complète- ment abolie sur les uerfs et sur les
muscles
. Les muscles de la région pelvienne donnent des
e est complète- ment abolie sur les uerfs et sur les muscles. Les
muscles
de la région pelvienne donnent des réactions infé
a figure ; c'est un sourire à la fois bête et un peu moqueur. Les
muscles
masticateurs sont forts, le voile du palais et le
d'une façon parfaitement normale. Il n'y a que les mouvements des
muscles
intrinsèques de la main qui soient 120 BERTOLOT
mmencer. Les pieds de la petite fille sont ballants, l'atrophie des
muscles
intrinsèques est assez avancée, mais il y a sur
ajet des troncs nerveux est complè- tement indolore. L'action des
muscles
sphinctériens est assez bien conservée. Rien de p
est paisible et nor- male. Examen des réactions électriques. Les
muscles
du cou, de la nuque, de la région cervicale et
e courant galvanique, soit avec le courant faradique. De même les
muscles
de la région pelvienne sont doués d'une excitabil
nerveux des bras et des avant-bras sont encore excitables, mais les
muscles
: deltoïde, biceps et triceps brachial, présenten
qualitatives et quantitatives avec le courant électrique. Sur les
muscles
de l'avant-bras, on peut décéler des réactions de
ntractions à la fermeture de l'anode sur les interosseux et sur les
muscles
de l'éminence thénar et hypo - thénar ; avec l'
r ; avec l'inversion complète de la réaction dégénérative, les petits
muscles
delà main sont inexcitables au courant faradiqu
que galvanique et faradique un peu au-dessous de la normale sur les
muscles
des fesses et des cuisses, exception faite pour
Les nerfs péroniers et tibial sont inexcitables, de même que tous les
muscles
innervés par eux. Les jumeaux au contraire prés
masculin, et com- mence à se manifester par une atrophie des petits
muscles
des mains et des pieds. ' (1) Frïud, Neurolog
troubles trophiques sont plus accusés dans le tibia antérieur, les
muscles
péroniers, les extenseurs des orteils et les peti
ur, les muscles péroniers, les extenseurs des orteils et les petits
muscles
du pied. A la suite des rétractions tendineuses,
iels caractérisés par l'anosmie, la dis- phabie, par l'atteinte des
muscles
de la face et par certaines altérations particu
, au lieu de rester limitée aux membres, peut aussi se propager aux
muscles
du visage et de la langue. De même dans le cas de
me dans le cas de Marinesco, on avait constaté la participation des
muscles
masticateurs à l'a- trophie et enfin il faut en
peu étendus ; la commissure labiale est tirée du côté gauche ; les
muscles
de la face sont animés d'un tremblement fin. Le
d'intensité. Les ongles des doigts sont cassants et incurvés. - Les
muscles
de l'avant-bras, du bras et de l'épaule ne présen
ès le début des accidents apparurent des contractions cloniques des
muscles
de. la main qui allèrent en augmentant d'intens
éflexes patellaires vifs, tandis que les achilléens étaient abolis.
Muscles
du tronc affaiblis, ré- flexes abdominaux aboli
Les membres supérieurs sont complètement paralysés. Les réflexes du
muscle
tri- ceps sont faibles ; les périostaux, abolis
les IX6 et XIe côtes ou espaces intercostaux se trouve au sein des
muscles
une masse néoplasique, en partie rouge et en part
a Xi* vertèbre dorsale la masse néopla- sique pénètre au-dessus des
muscles
et les soulève. Examen, microscopique. La tum
- vers de doigt, la gauche de six. On voit une atrophie notable des
muscles
deltoïde, splénius et sus-épineux du côté gauch
ont pas douloureuses à la pression et à la percussion, par contre les
muscles
de la nuque sont très sensibles à la pression.
muscles de la nuque sont très sensibles à la pression. Atrophie des
muscles
splénius, deltoïde, rhomboïde, surtout du côté
muscles splénius, deltoïde, rhomboïde, surtout du côté gauche, des
muscles
sus et sous-épineux. Atrophie des muscles de l'
rtout du côté gauche, des muscles sus et sous-épineux. Atrophie des
muscles
de l'avant-bras et de la main du côté gauche. L'é
166 FLATAU limités et faibles, surtout du côté gauche. Réflexe du
muscle
triceps vif bilaté- ralement ; périostal aboli.
flasque), les doigts fléchis légèrement. Mains froides. Réflexes du
muscle
triceps conservés, périostaux très faibles ou a
ches et un affaiblissement des membres inférieurs, l'atro- phie des
muscles
de l'épaule gauche et l'affaiblissement du membre
. Nous avons vu dans nos cas une tumeur dans le médiastin. dans les
muscles
du cou, du tronc ou dans la plèvre. L'autopsie
primitive de ces tumeurs est surtout dans le médiastin, ou dans les
muscles
du cou, du tronc, dans la cavité abdominale ou en
de Schultze (où la tumeur de la queue de cheval pénétrait dans les
muscles
lombaires et de la cuisse), ne peuvent être con
efois les deux phénomènes sont simultanés) ou l'affaiblissement des
muscles
dépendant de quelques nerfs en particu- lier. D
usqu'à la moelle). Dans le cas de Kollarits, la tumeur poussait des
muscles
du tronc ; dans celui de Luce, du tissus au-des
ophtalmoplégie externe, excitabilité électrique affaiblie dans les
muscles
masséters, affaiblissement des jambes, respiratio
centre vasomoteur appartient à la vie végétale ; son action sur les
muscles
est purement réflexe et présente la forme la .plu
abaissement de la commissure des lèvres, c'est par contraction des
muscles
abaisseurs de ce côté, ou élévateurs de l'autre
s l'hystérie. La première sepro- duit lorsque le malade relâche ses
muscles
, elle est absolument régulière comme rythme et
te qu'en paraissant donner l' tout son effort, en faisant durcir le
muscle
parésié, celui-ci ne donne ce- pendant qu'une c
le les ignore : dans l'hystérie, ces mouvements persistent dans des
muscles
soi-disant paralysés. Un grand nombre de signes s
ine, on essaye de s'asseoir, le tronc est soulevé à la fois par les
muscles
abdominaux et par les psoas. Mais ces derniers
lier par les extenseurs du bassin fléchisseurs de la jambe. Si ces
muscles
sont paralysés, lorsque le sujet essaye de s'as
u plan du lit, nous devons, pour offrir un point d'appui solide aux
muscles
fléchisseurs de la cuisse, immobiliser le bassin.
re ces points de physiologie ; sans s'en douter, il contractera des
muscles
soi-disant paralysés. Dans la paralysie organiq
lier ces expériences : elles reviennent toutes, à mon- trer que des
muscles
paralysés en apparence, se contractent très bien,
ionnels peuvent être multiples, se localisant dans n'im- porte quel
muscle
à l'occasion de n'importe quelle fonction. En voi
dissement de la main tenue en position déclive; de l'atro- phie des
muscles
paralysés; des rétractions fibro-tendineuses dans
e des muscles paralysés; des rétractions fibro-tendineuses dans les
muscles
contracturés. Il n'y a pas trace de lavage dans l
it-on pas se demander encore si le développement vigoureux de leurs
muscles
n'a pas préservé ces trois sujets de la scoliose
tion très nette de la tonicité musculaire, une certaine paresse des
muscles
à se con- tracter sous l'influence des excitati
pas les timides vigoureux, adonnés au sport, chez qui le tonus des
muscles
est certainement égal ou supérieur à la normale
me temps d'autres défauts dans les organes de relation subalternes,
muscles
, os, ligaments, c'est possible et logique : l'h
mme actif sait dès ses premières années, qu'il est le maître de ses
muscles
, de son corps, il est sûr de lui. Le timide fai
Le système locomoteur présente ici une importance particulière. Les
muscles
sont bien développés, les articulations normale
vertébrale présente dans sa portion lombaire une forte lordose. Les
muscles
du thorax sont tous bien développés. Appareils
férence est très grande ; il y a un développement très accentué des
muscles
fessiers. Le pubis est recouvert d'abondants poil
ourcissement est fait particulièrement aux dépens de la cuisse. Les
muscles
sont développés et je dirai presque athlétiques.
ppé d'une forte céphalée, puis de ptosis à droite, d'une parésiedes
muscles
droits des yeux, surtout droite, d'une raideur à
s la contagion. Il s'en- suivit bientôt un processus atrophique des
muscles
de la face. L'hémiatro- phie de la face dura en
usculaire et stéréognosique est normale. Les réflexes tendineux (du
muscle
triceps) et périostaux sont normaux. La pressio
un peu plus du côté gauche que du côté droit, mais surtout dans les
muscles
ad et abducteurs de la cuisse et extenseurs du
droit) surtout dans l'articulation de la hanche gauche et dans les
muscles
fléchisseurs du genou gauche. Les réflexes pate
abolis. La nuit il y a souvent des contractions spontanées dans les
muscles
des jambes, surtout à droite. 31. - Accès de do
s exagérés (la percussion du dos du pied provoque la contraction du
muscle
quadriceps).On obtient le réflexe de Babinski en
La dure-mère se présente cyanosée et sans pulsation. L'hémorragie des
muscles
et des os est très considérable.Pour arrêter l'
de l'urine et des matières fécales. De très fortes contractions des
muscles
des jambes. Phénomènes spastiques. 26. T. 37°
s douleurs revenant par accès, les contractions spontanées dans les
muscles
des jambes, l'affaiblis- sement des membres tou
ptômes s'accentuaient la nuit. Les contractions spontanées dans les
muscles
lui étaient très pénibles. La malade soutenait
iques ont persisté (généralement après l'opération étal flasque des
muscles
. La plaie guérissait par première intention. La
c (dans cette position les douleurs sont moindres). Doigts fléchis.
Muscles
inter- osseux atrophiés surtout dans premier es
les inter- osseux atrophiés surtout dans premier espace. De même le
muscle
thénar (sur- tout le droit). Les muscles aux me
premier espace. De même le muscle thénar (sur- tout le droit). Les
muscles
aux membres supérieurs sont flasques. Le malade n
ibles. Les nerfs périphériques ne sont pas douloureux. Réflexes des
muscles
triceps abolis. La colonne vertébrale dans la r
rieurs fléchis au coude et rapprochés du tronc. Atrophie des petits
muscles
des mains. Affai- blissement des membres supéri
es membres supérieurs, surtout des segments distaux. Ré- flexes des
muscles
triceps abolis. Pupille droite plus large que la
leurs comme elle dit). La sensibilité est intacte. Les' réflexes du
muscle
triceps sont vifs, les périostaux de même, pas d'
esthésie, mais on pouvait remarquer des rétractions volonlaires des
muscles
abdo- minaux, de la cuisse, etc.). On a suggéré
tuent l'origine des fibres qui excitent les noyaux radiculaires des
muscles
striés des globes oculaires, de la face, du cou
es géantes avec le faisceau pyramidal qui transmet l'incitation aux
muscles
soumis à la volonté, je dirai quelques mots sur
qui envoient leur cylindraxe aux centres bulbo-protubérantiels des~
muscles
de la face, du larynx, etc. sont moins volumineus
ns volumineuses que celles qui incitent les centres médullaires des
muscles
des membres supérieurs ou des membres inférieur
avec la dégénérescence accusée depuis l'écorce cérébrale jusqu'aux
muscles
. Contribution from. tho w. Pep- pers Laboratory
t extraite. Paraplégie flasque. Aux membres supérieurs atrophie des
muscles
des avant-bras, des régions scapulo-humérales e
« un squelette d'homme : la plupart de os longs vers l'attache des
muscles
présentent des traces d'exosto- ses (2) ». On y
Les mouvements des membres supérieurs sont normaux. Les réflexes du
muscle
triceps sont conservés, les périostaux abolis.
t la main et les doigts gauches sont froids et cyanosés. Réflexe du
muscle
triceps faible de deux côtés (surtout à gauche).
'est qu'après ce laps de temps qu'on constata l'affaiblissement des
muscles
abdominaux du côté gauche avec modification de
ombo- sacrée. Oppenheim attire l'attention aussi sur l'atrophie des
muscles
abdominaux. Il est] étrange que, suivant les
t] étrange que, suivant les observations de Oppenheim et Bruns, les
muscles
atrophiés ne présentent pas de troubles de réacti
'atrophie bien accusée. Dans l'un d'eux (XXI°) les contractions des
muscles
des mains dépen- daient de l'irritation radicul
nce complète ou presque complète de la réaction électrique dans les
muscles
atrophiés (Oppenheim, Bruns). Enfin on peut t
les racines de 3 ou 5 segments mé- dullaires). La môme loi lie les
muscles
correspondants aux racines anté- rieures de la
uscu- laires (même accompagnées d'une réaction de dégénérescence du
muscle
releveur de l'anus, Oppenheim), des troubles sp
du coccyx, une réaction de dé- générescence bien prononcée dans les
muscles
paralysés, la région lom- haire restant intacte
s poils. Le système musculaire est à tout point de vue parfait; les
muscles
sont bien dessinés, dépourvus de toute gangue g
aux joues la barbe ne manque pas, mais est rasée. La mobilité des
muscles
faciaux est parfaitement normale et la mimique
e. Pas de tumé- factions glandulaires. L'énergie et la tonicité des
muscles
sont normales et la mobilité de la tête est par
· Les bras ne sont pas revêtus de gangue graisseuse ; le profil des
muscles
est très bien dessiné. La tonicité musculaire e
de la peau, des ongles et des tissus sous-cutanés est parfait; les
muscles
très bien développés ne sont pas masqués par la g
és ; le tissu adipeux est bien développé mais pas surabondant ; les
muscles
sont tous très bien dessinés et normalement ton
e, Dé- glutition et mastication normales. La mobilité de tous les
muscles
faciaux est normale : les troncs nerveux de la
ongles. Les bras et les jambes sont plutôt gras, mais le dessin des
muscles
est bien visible. La mobilité du tronc études
sité ; toutes les lignes de son corps sont plus harmonieuses et ses
muscles
sont en- core plus développés et mieux dessinés
ve et intelligente ; la mimique très expres- sive ; la mobilité des
muscles
faciaux absolument normale ; les trônes du VIIe
développée. On ne palpe pas de glandes lymphatiques tuméfiées. Les
muscles
du cou et de la nuque sont toniques et forts.
présente pas la moindre déviation ni dorsale ni lombaire ; tous les
muscles
du tronc sont très développés et don- nent au s
supérieurs et inférieurs sont normaux. La tonalité et l'énergie des
muscles
abdominaux sont parfaites. Organes génitaux. La
s ciliaires, c'est-à-dire sur l'origine des fibres qui innervent le
muscle
ciliaire et le muscle irien. Ayant l'intentio
ire sur l'origine des fibres qui innervent le muscle ciliaire et le
muscle
irien. Ayant l'intention de reprendre dans un t
aux distincts pour les ÉTUDES SUR LES NERFS CIL111LtES 563 divers
muscles
de l'oeil. Ces noyaux sont distribués de chaque c
rs sont considérés comme les centres des mouvements de l'iris et du
muscle
ciliaire (centre photo-moteur et centre accommo
te des centres qui fournissent des fibres distinctes à l'iris et au
muscle
ciliaire, et ces fibres se trouvent comprises dan
comprises dans la III" paire. . Se rendent-elles directement aux
muscles
iriens et au muscle ciliaire, en traversant sim
III" paire. . Se rendent-elles directement aux muscles iriens et au
muscle
ciliaire, en traversant simplement le ganglion
ngendorf, Kôlliker, z etc., que les fibres du sphincter irien et du
muscle
ciliaire prennent leur origine clans leganglion
pen- dant l'opération. Il en résulte la paralysie et l'atrophie des
muscles
cor- respondants (Oppenheim). Quelquefois, im
latérale, de la contractilité faradique et galvani- que de tous les
muscles
de la main. L'atrophie en effet n'est pas muscula
obable : nous savons que la morphogénie de beaucoup d'organes et de
muscles
n'esl pas terminée à la naissance de l'individu
on retrouve même la dépression superficielle répondant au tendon du
muscle
pyramidal. La face interne de l'os iliaque avec l
s dans leurs fonctions, et cela très tardive- ment (insuffisance du
muscle
droit externe gauche, ptosis, etc.). La para- l
cune particularité. Les cavités cardiaques ne sont pas dilatées, le
muscle
a sa consistance et sa coloration habituelles.
1 dans la partie envahie par la néoplasie 11. Coupe E Coupe du
muscle
demi-membraneux : 1, fibre musculaire normale;
tits fibromes développés au niveau des nerfs de la sous-muqueuse.
Muscles
. - Même fixation, même inclusion, mêmes coloratio
inclusion, mêmes colorations que pour les nerfs et la peau. Aucun
muscle
ne semblait présenter macroscopiquement de grosse
a couleur, la con- sistance étaient normales, et cependant tous les
muscles
que nous avons examinés (demi-membraneux, pecto
ons retrouvés; mais en outre,sur nos coupes histologiques de divers
muscles
,nous avons pu étudier les lésions du tissu musc
ur, ni comme consistance, et cependant à l'examen microscopique les
muscles
sont profondément altérés. Les fibres musculair
e trouvant à droite et au niveau de l'ombilic, elle s'étend sous le
muscle
droit jusqu'au rebord hé- patique : l'explorati
AL D'ORIGINE HYSTÉRIQUE G3 tout mouvement du larynx, du thorax, des
muscles
abdominaux pouvant se rapporter à une introduct
soutenue (10). M, Paul Regnard pense également que la paralysie des
muscles
lisses intestinaux joue le plus grand rôle dans
es de l'intestin, mais encore les inflammations du voisinage de ces
muscles
(entérites, péritonites), ou les états de faibles
à rattacher le tympanisme à la paralysie transitoire ou durable des
muscles
de l'intestin. Gilles de la Tourette(13) semble
ez les jeunes sujets, se traduisant par des attaques de parésie des
muscles
lisses de l'intestin, attaques provoquées par l'e
s. L'éclat et l'évidence des paralysies hystériques portant sur les
muscles
de la vie de relation semblent avoir fait quelq
tort à l'étude de déter- minations morbides de celle nature sur les
muscles
de la vie organique : ceux-ci semblent bien cep
t bien cependant soumis aux mêmes fatalités pathologi- ques que les
muscles
de la vie de relation et les exemples de ces déte
chet assez particulier qui manquait tout à fait dans notre cas. Les
muscles
ont toujours été un relâ- chement malgré la lon
une coloration normale du teint est surtout apparent au niveau des
muscles
du cou, du tronc, dans les membres supérieurs et
tement accusées, le teint est normalement coloré. La motilité des
muscles
de la face est intacte. Les globes oculaires se
on de la fosse iliaque gauche. Les membres supérieurs possèdent des
muscles
très amaigris. La force néanmoins est relativem
rieure du col du fémur est volumineuse ; elle repousse pn avant les
muscles
sus-jacents et l'artère fémorale bat très super
esser le poignet; il peut à peine ramasser les objets et les petits
muscles
des mains sont pris, beaucoup plus à gauche qu'à
e même l'élévation des deux bras. 11 existe une atrophie des petits
muscles
des mains et des muscles de l'avant- bras, mais
ux bras. 11 existe une atrophie des petits muscles des mains et des
muscles
de l'avant- bras, mais tout particulièrement de
ins et des muscles de l'avant- bras, mais tout particulièrement des
muscles
innervés par le radial. Les réflexes osseux et
ien voulu pratiquer il plusieurs reprises l'examen élec- trique des
muscles
et des nerfs de notre malade et nous allons résum
ôtés. Médian. - A droite, pas de DR, à gauche DR partielle dans les
muscles
de l'éminence thénar,le petit palmaire et le fl
de DR ni à droite ni à gauche. Radial. - A droite, DR dans tous les
muscles
de l'avant-bras ; le triceps étant intact. A ga
l'avant-bras ; le triceps étant intact. A gauche, DR dans tous les
muscles
de l'avant-bras et dans le tri- ceps. ' Le 26
- A droite. pas de DR, à gauche, DR en voie de régression dans les
muscles
de l'éminence thénar ; elle avait presque disparu
lectrique a montré en septembre une forte hypoexcitabilité dans les
muscles
antéro-externes, triceps surral et vaste intern
ro-externes, triceps surral et vaste interne des deux jambes, seuls
muscles
qui ont été examinés ; on ne constatait pas de
men électrique montre une diminution de l'excitabilité faradique des
muscles
du membre inférieur, du deltoïde el du biceps d
eps droit, cette diminution existe 158 R. CESTAN surtout pour les
muscles
de la face postérieure de la cuisse. A gauche, le
galvaniques donnent des réactions normales ; mais droite, dans les
muscles
antéro-externes de la jambe, dans les muscles de
mais droite, dans les muscles antéro-externes de la jambe, dans les
muscles
de la face postérieure de la cuisse, dans les m
mbe, dans les muscles de la face postérieure de la cuisse, dans les
muscles
du mollet, on constate avec la lenteur de la seco
gts, à tel point que le malade ne pouvait plus écrire. Atrophie des
muscles
des mains, de l'avant-bras droit avec secouse f
tre une atrophie musculaire avec paralysie Ilaccide portant sur les
muscles
des pieds et des mains, avec prédominance sur les
ans le cubital droit. On trouve RD dans l'adducteur du pouce et les
muscles
profonds de la main. Bientôt enfin on constate de
dominant sur les extenseurs du pied, avec participation légère des
muscles
ex- ternes de l'oeil (nystagmus paralytique), d
égère des muscles ex- ternes de l'oeil (nystagmus paralytique), des
muscles
du tronc et du facial gau- che. Hyperesthésie i
debout. Le 14 fé- vrier, douleurs dans les épaules avec parésie des
muscles
du tronc et des épaules ; atrophie musculaire d
scles du tronc et des épaules ; atrophie musculaire de ces derniers
muscles
Abolition des réflexes rotulien et plantaire. D
Spillmann et Etienne, ces auteurs n'ont pas constaté de RD dans les
muscles
atteints. En somme, les 164 R. CESTAN expérie
s la dissémi- nation des troubles des réactions électriques sur les
muscles
de plusieurs territoires nerveux sans aucun ord
it dans la' paralysie saturnine, mettre en évidence l'intégrité des
muscles
du voile du palais pris au contraire dans la pa
s antérieur, à cause de la prédominance de la paralysie de certains
muscles
, nous voyons dans l'hémiplégie organique, que dan
marche dans cette affection, c'est la paralysie flasque de tous les
muscles
des membres touchés. C'est nne paralysie massive,
l'hyperplasie adipeuse sous-cutanée se modèle sur les contours des
muscles
sous-jacents. Il est vrai qu'à l'abdomen par ex
ions relèvent une infiltration de graisse exactement superposée aux
muscles
grands droits dont elle simule à s'y méprendre
elief faussement athlétique. Mais si, à la rigueur, pour quel- ques
muscles
, le deltoïde par exemple, la même correspondance
e au rôle du système nerveux dans la production des tumeurs. Si les
muscles
des régions atteintes subissent parfois une dimin
phatiques en pleine joue (Pr Fournier, Poncet), entre les fibres du
muscle
pectoral (Audry), à la racine de la verge, au d
ucoup moins saillant qu'à droite. y a une atrophie considérable des
muscles
de cette région, les ré- gions sus et sous-épin
s masses musculaires sont molles. Quand on fait tourner la tête les
muscles
ne se contractent pas autant qu'à l'état normal
Il n'y a pas de diminution bien sensible dans la force des différents
muscles
du côté gauche, il en est ainsi pour le biceps,
. Les réflexes sont à peu près normaux. Il n'y a pas d'atrophie des
muscles
ni du squelette, pas de déviation de la face ni
ire alimenté par la troisième branche de la cinquième paire, et les
muscles
masticateurs fonc- tionnaient normalement.....
anneaux de la- trachée. Sur les côtés elle sem- ble arrêtée par les
muscles
sterno-mastoïdiens, mais il est facile de voir
muscles sterno-mastoïdiens, mais il est facile de voir que sous ces
muscles
elle se continue en arrière avec une autre tumeur
en plus au point que la station debout est devenue impossible. Les
muscles
des membres inférieurs ont notablement diminué
e tout le corps mais particulièrement aux membres inférieurs. Les
muscles
des bras ont subi une légère diminution de volume
sion) et de la sensibilité musculaire et périostique. Paralysie des
muscles
de l'oeil droit avec abolition des réflexes pup
minution de la sensibilité musculaire et périostique. Paralysie des
muscles
de l'oeil droit avec abolition des réllexes pup
appelant de suite la démarche des malades atteints de paralysie des
muscles
extérieurs des lombes. Observation VI. - (InO
' sans ptose palpébrale véritable, sans strabisme, sans paralysie des
muscles
moteurs du globe oculaire. Quelque temps après,
t particu- lièrement remarquable à la face. 276 JEAN ABADIE Les
muscles
des membres sont d'une flaccidité extrême, mais l
un de ces mouvements ne s'accompagne de craquement articulaire. Les
muscles
du tronc atrophiés sont dans le relâchement le pl
if : il n'existe pas de nystagmus, pas de chute de la paupière. Les
muscles
des paupières, ceux du globe oculaire ont un fonc
ticulation du genou correspondante est saine. Des deux côtés, les
muscles
des deux jambes ne sont pas atrophiés. Sur la f
la poitrine nues, en belle lumière, d'une vigoureuse carnation, les
muscles
tendus, le cou saillant,- la tôle fortement rej
i froncer énergiquement les sourcils. Il n'y a pas de paralysie des
muscles
de l'oeil, tous les mouvements isolés et synerg
'ailleurs ni troubles de la déglutition, ni de la mastication : les
muscles
masticateurs ont conservé toute leur force et l
e la tête sur le cou, de flexion et d'extension, sont normaux ; les
muscles
correspondants agissent puissant ,^ J. DEJERINE
ntre ses doigts, le membre supérieur décrit des oscillations et les
muscles
de l'émi- nence thénar sont parcourues par des
he un peu pro- longé, il sent venir la fatigue, et surtout dans les
muscles
des mollets. Mouvements passifs. - La propulsio
he. Il ne peut pas siffler, mais il fait facilement la moue, et les
muscles
de la face semblent se contracter normalement.
rmalement. Il n'a pas été fait d'examen électrique des nerfs et des
muscles
. La sensibilité est normale sur tout le corps ;
; la diplopie, bien qu'il n'existe aucune paralysie appréciable des
muscles
des globes oculaires et le vertige : les objets s
tion des membres supé- rieurs, du signe de Romberg, la tonicité des
muscles
des bras et des jam- bes était exagérée ; dans
derniers temps il y eut de la contracture gé- néralisée à tous les
muscles
; les mêmes contractures sont signalées par Roj
ent des raideurs tétaniques dans les membres inférieurs et dans les
muscles
de la mâchoire : elle vomissait fréquemment. La
oscillations latérales des doigts, des contrac- tions exagérées des
muscles
de la face qui ont pour résultat des troubles d
sements. Au premier examen il présente un affaissement très net des
muscles
faciaux du côté gauche. La commissure labiale d
ras et contracture Les mouvements passifs sont encore possibles Les
muscles
ne semblent que très légèrement atrophiés, mais
la trace du doigt disparaît vite. La palpation permet de sentir les
muscles
aussi bien ceux de l'épaule (deltoïde, grand ro
nent l'impression de trousseaux fibreux et sont bien différents des
muscles
souples du côté opposé. Cependant ils se contract
ns faradiques et galvaniques étaient seu- lement diminuées dans les
muscles
de la main et de l'avant-bras, qu'il n'y avait
e deltoïde est hypertrophié. Aux membres inférieurs, l'atrophie des
muscles
de la cuisse est notablement moins marquée qu'e
nt la saillie peu étendue en hauteur est nettement globuleuse ; ces
muscles
sont durs il la pal- pation, les tibias ont un
s. Tuberculose pulmonaire; splénique à droite. Examen électrique.
Muscles
examinés : frontal, orbiculaire des lèvres, stern
faradique (1). L'excitabilité faradique est diminuée pour tous les
muscles
, sauf pour l'extenseur commun droit, le jumeau in
tte comparaison il ressort des résultats très variables suivant les
muscles
: augmentation de l'excitabilité galvanique pou
que nous l'avons exprimée par des formules différentes suivant les
muscles
. Les contractions du frontal, de l'orbiculaire
he.. , UN CAS D'AMYOTROPIIIE PROGRESSIVE 421 En résumé : Tous les
muscles
examinés présentent un ou plusieurs carac- tère
plénius atteint des deux côtés, que l'on trouve réunies sur un même
muscle
et la lenteur des secousses et l'inversion ou l
ite au thorax et aux membres supérieurs, y com- pris les mains; les
muscles
du cou sont atteints, mais pas de faciès myopa-
soniens. La palpation ne dénote jamais cependant de contracture des
muscles
para-vertébraux. Enfin signalons, en terminant,
43G ABADIE . profil, le malade parait atteint d'une paralysie des
muscles
extenseurs des lombes. Il se tourne et se retou
quents et continuels n'ébranlent pas seulement le diaphragme et les
muscles
du thorax, mais aussi le nerf acoustique. Le \
oir élever la paupière baissée, la malade, au lieu de contracter le
muscle
frontal, mouvement qu'elle ne peut pas exécuter
oit ; à gauche, ce sont seule- ment les mouvements produits par les
muscles
droit externe et grand oblique qui sont conserv
bulbe oculaire gauche est tourné en dehors par la con- traction du
muscle
droit externe, et la malade ne le peut pas tourne
rne, et la malade ne le peut pas tourner en dedans. Tous les autres
muscles
de l'oeil, innervés par le moteur oculaire com-
al gauche sont très affaiblis ou même nuls. Pas d'atrophie dans ces
muscles
, ni de secousses fibrillaires. L'examen électri
a encore une parésie du nerf facial gauche s'étendant sur tous les
muscles
innervés par ce nerf. Cette parésie n'a pas enc
hérique des nerfs endommagés. L'absence de DR dans les nerfs et les
muscles
, puis l'absence d'atrophies, enfin l'apparition
va de nouveau une paralysie du côté droit, quoique presque tous les
muscles
des membres étaient rigides aussi. Quatre moi
ent presque incessants du côté droit. Ils envahissaient parfois les
muscles
de la face du côté droit et les muscles de l'oe
s envahissaient parfois les muscles de la face du côté droit et les
muscles
de l'oeil droit (déviation de l'oeil en dehors).
servations une intégrité apparente des premiers; quant aux seconds,
muscles
des gouttières, épineux, ligaments propres de l
es quelques faits de traumatisme direct ou indirect, de fatigue des
muscles
moteurs de la colonne vertébrale, de surmenage
ne canne, il s'appuiera pesamment sur elle, et fera effort avec les
muscles
du membre supérieur et de l'hémithorax correspond
niques ensuite, vont subir des transformations correspondantes. Les
muscles
para-verté- braux à leur tour, se relâchent du
se dans des perturbations musculaires, paralysie ou contracture des
muscles
extenseurs fléchisseurs ou Jatéro-fléchisseurs du
oduire à certains moments, par contraction volontaire et forcée des
muscles
frouto-sourciliers, un soulèvement de la pau- p
Le choc des mus- cles donne une réaction exagérée à la plupart des
muscles
du membre infé rieur. Réflexe rotulien exagéré
et battant un peu- Depuis lors, il a un meilleur contrôle sur les
muscles
de l'oeil gauche mais à part cela, il y a peu d
gement inférieur. Après avoir rabattu le lambeau, on trouve dans le
muscle
temporal lacéré une ouverture circulaire par la
'épaule et du bras gauche, on produit aussi facilement des secousses,
muscles
sur les masses de l'avant-bras. Artères dures
fléchi. ' xm 36 554 RENÉ martial W Atrophie très prononcée des
muscles
de l'épaule et abaissement de cette dernière ;
ncée des muscles de l'épaule et abaissement de cette dernière ; les
muscles
de la cuisse sont également légèrement atrophiés.
e paraît bon de le faire de plusieurs façons, la fonction de chaque
muscle
en sera plus intelligible. Et cela sera bon pour
a sera bon pour les statuaires, qui doivent accentuer davantage les
muscles
qui causent les mouvements des membres, plus qu
du, et il fera, par ce mouvement circulaire, toutes les actions des
muscles
qui 600 GILBERT BALLET meuvent l'épaule. Mais
nverse de celle de la main gauche : cela tient à la disposition des
muscles
dans chaque membre, qui sont symétriques par rapp
decin des hôpitaux (de Bordeaux). Les paralysies congénitales des
muscles
oculaires constituent un des chapitres les plus
2° le strabisme congénital (dû à la paralysie congénitale d'un seul
muscle
oculaire : droit interne, externe, supérieur, i
complexes) tiennent à une paralysie con- génitale de la plupart des
muscles
oculaires. Elles sont constituées dans la major
EFF 4° intégrité de la musculature interne (sphincter pupillaire et
muscle
ciliaire). Nous avons désigné cette dernière
lus ou moins marqué d'intensité du trouble fonctionnel des di- vers
muscles
. C'est à proprement parler l'ol)htalitiolilégie c
cas à une anomalie dans le développement ou dans l'inser- tion des
muscles
des yeux. Schenkl (1881) se rallie à son opinio
rapproche ses observations des cas d'amyo- trophie étudiés pour des
muscles
d'autres régions du corps par Lan- douzy, Déjer
environ de chaque côté ; cette ouverture est due à l'action du seul
muscle
releveur. Elle atteint 7 millimètres à droite e
leveur. Elle atteint 7 millimètres à droite et à gauche lorsque les
muscles
frontaux se contractent, contraction que renden
le droit (Lawford). L'étude des mouvements des yeux montre que les
muscles
extrinsèques sont généralement plus ou moins co
rvations que nous avons soigneu- sement analysées, nous trouvons le
muscle
droit supérieur paralysé dans tous les cas, deu
e comprendre d'après cette énumération que, suivant le nom- bre des
muscles
atteints et l'intensité de la paralysie, les mouv
eu étendue, tendant à dépla- cer l'oeil dans le sens de l'action du
muscle
atteint. Ces secousses surve- nant dans les eff
gts. Le facial estparésié ou paralysé entièrement (Recken).Tous les
muscles
de l'organisme fonctionnent bien, on ne trouve'pa
il faudrait avant tout des documents précis au sujet de l'état des
muscles
de l'oeil, des nerfs de l'orbite, de leurs noyaux
es renseignements les plus complets concernent peut-être l'état des
muscles
des yeux : position reculée de l'insertion des te
erne dans un cas de Heuck où l'opération fut pratiquée, de tous les
muscles
de l'oeil à l'exception du droit interne (la po
l'oeil à l'exception du droit interne (la position du tendon de ce
muscle
étant normale) et du grand oblique dont l'inser
t aussi rencontré de semblables anomalies chez des strabiques. Le
muscle
anormalement inséré peut être grêle, gracile, tou
re fibro-membraneuse (Hotz, Baumgarten, Uthoff). D'autres fois, les
muscles
peuvent être soudés entre eux(01bers, Wrisberg) o
parties voisines (Morgagni). On peut se demander aussi si certains
muscles
ne peuvent pas manquer entièrement dans les oph
Klinkoch et Sclnn ont observé des cas d'absence totale de tous les
muscles
des globes oculaires bien que ceux-ci fussent pré
heim, Seiler). La combinaison de diverses anomalies dans l'état des
muscles
(recul des ten- dons, leur soudure, etc.) est e
possible. Tels sont les documents que nous possédons sur l'état des
muscles
ex- ÉTUDE SUR L'oPHTAL1110PLÉGIE CONGÉNITALE 62
que dans un cas de Bernhardt relatif à une paralysie partielle des
muscles
des yeux compliquée de paralysie faciale congénit
sub-corticaux, les centres sub-corti- caux eux-mêmes, les nerfs des
muscles
oculaires et enfin les muscles ocu- laires sont
corti- caux eux-mêmes, les nerfs des muscles oculaires et enfin les
muscles
ocu- laires sont les diverses parties constitua
es troubles plus ou moins profonds et durables dans la motilité des
muscles
oculaires. Kunn apporte l'appui de son opinion
privés congénitàlement de cerveau et de moelle et chez lesquels les
muscles
ocu- laires ainsi que ceux du corps étaient tou
à fait normaux. II en conclut à l'indépendance de développement des
muscles
et de la moelle. Si la rela- tion ne s'établit
té des formes isolées et partielles des paralysies congénitales des
muscles
des yeux, formes qui sont parfaitement connues, i
ressement brusque du pied. Troubles trophiques. Atrophie légère des
muscles
des deux mollets ; pas de troubles trophiques d
ompliquée de troubles trophiques de la colonne vertébrale ou de ses
muscles
, finalement nous pensâmes pouvoir rattacher ce
e réduisaient à une paraplégie spasmodique avec atrophie légère des
muscles
des membres in- férieurs : mais nous savons que
labes sont redou- blées ; au moment de l'articulation des mots, les
muscles
des lèvres sont agités d'un léger tremblement.
d'autres lésions, pouvant agir par compression sur la moelle. Les
muscles
des membres supérieurs et inférieurs sont notable
eurs et supérieurs, avec paralysie des extenseurs de la main et des
muscles
de la face antéro-externe de la jambe. L'hy- po
de l'oedème périmalléolaire, chute de poils, phlyctène atrophie des
muscles
paralysés. Ces différents signes, d'ailleurs sp
re pour cause d'accident. Cinqaus plus tard, contractions de divers
muscles
et convulsions fibrillaires, symptômes listé- r
s signes de Frie- dreich : convulsions cloniques d'une catégorie de
muscles
des deux côtés, mais non isochrones, présentant
cependant dans les bras à quelques tremblements; la contraction des
muscles
de la jambe provoque un léger saut. Les mouvement
t peu à peu plus aisée. Plusieurs tracés montrent la façon dont les
muscles
et les nerfs réagissent à l'excitation électrique
Centrulbl., XVI, 1897.) Développer par des exercices appropriés les
muscles
chargés de fléchir la cuisse sur le bassin et d
« torticolis mental » est le résultat d'un spasme toniclonique des
muscles
rolateursde la tête, manifestation monosymploma
de MAI. Ch. Ri,het et A. Broca sur l'action de l'électricité sur le
muscle
privé d'oxygène'. Leurs expériences ont porté s
dément atteinte. Aussitôt que l'oxygène est revenu, si on excite le
muscle
, on voit que la contraction reprend une valeur
aiblissement est d'autant plus grand que le travail effectué par le
muscle
est lui-même plus "rand et il est beaucoup moin
ons de l'expé- rience : si on a poussé l'épuisement à l'extrême, le
muscle
est défi- nitivement mort et plusieurs heures a
Lorsqu'on a poussé la fatigue à un état voisin de l'épuisement, le
muscle
continue à mou- rir, même si on lui rend l'oxyg
gène. L'excitation électrique à cette période accélère la mort du
muscle
. Lorsque le travail anaérobie a été moindre, il s
e travail anaérobie a été moindre, il suffit de rendre l'oxygène au
muscle
pour que son excitabilité reparaisse assez rapi
de sa vascularisatiou considérable et de la possibilité qu'ont ses
muscles
de fixer l'oxygène à travers la muqueuse. Au po
quelles varient le nombre d'excitations tétani- santes pour un même
muscle
sont assez restreintes, ce qui permet d'établir
sont assez restreintes, ce qui permet d'établir une moyenne pour un
muscle
donné ; d'autre part, les nombres d'excitations
ur produire le tétanos diffèrent dans des proportions notables d'un
muscle
à l'autre. On peut donc, par la comparaison du
ut donc, par la comparaison du nombre d'excitations tétanisantes du
muscle
sain et de son similaire malade, se faire une i
de, se faire une idée assez exacte de la durée de la contraction du
muscle
atteint et voir si celte durée diffère de la no
aissance du rythme des excitations nécessaires pour faire entrer un
muscle
malade en tétanos parfait est utile, parce qu'i
citations suivant ce même rythme, si on veut évi- ter la fatigue du
muscle
. Les recherches de Richard Fischel sur les modi
communication avec le sol. Si on réunit le bout central du nerf au
muscle
au moyen d'un conducteur collatéral formant cir
téral formant circuit fermé, l'excitation induite s'affaiblit et le
muscle
ne se contracte pas. Les excitations induites s
ndaire a un fil plus fin. Il faut donc quand on veut électriser les
muscles
employer des bobines à gros fil. M. Dubois 1
on utilité . Dans la chirurgie du pied bot, l'examen électrique des
muscles
permet de reconnaître les muscles sains et ceux
pied bot, l'examen électrique des muscles permet de reconnaître les
muscles
sains et ceux qui sont malades, 1 Acad, des Sc"
e du pied après la myotomie, enfin l'état de l'innervation. Si le
muscle
n'obéit plus à l'excitation indirecte, malgré l'o
recherche la contraction tétanique soit par l'excitation directe du
muscle
, soit par celle du nerf, en faisant agir le pôl
ur la valeur séméiologique des réactions anormales des nerfs et des
muscles
. Il se pose d'abord les deux questions suivante
t des muscles. Il se pose d'abord les deux questions suivantes : le
muscle
répond-il directement aux excitations électriqu
e excitation ? Il lui semble logique d'admettre que l'excitation du
muscle
, lors- qu'elle se fait par l'intermédiaire de s
qui emprunte l'influence des filets terminaux qui aboutissent à ce
muscle
. Se basant ensuite sur les expériences de M. Ch
altération du cordon nerveux en aval du point excité; altération du
muscle
. On peut donc poser comme règle que les réactio
) se produit soit dans les altérations du cordon nerveux moteur, le
muscle
res- tant sain ; soit dans les altérations du m
eux moteur, le muscle res- tant sain ; soit dans les altérations du
muscle
, le nerf restant sain; soit lorsqu'il y a altér
estant sain; soit lorsqu'il y a altération simultanée du nerf et du
muscle
. Cette réaction nous enseigne que l'organe mote
est due aussi bien à une altération du nerf exploré, qu'à celle du
muscle
ou des deux organes. Elle correspond a une altéra
rode active de 3 centimètres de diamètre sur les points moteurs des
muscles
avec une intensité de ta à 35 milli-ampères.
ologie ET d'électrothérapie. 113 la moelle avec la faradisation des
muscles
; on peut aussi ajouter à ce traitement, comme l
parfois la forme tonique, surtout à l'occasion des mouve- ments des
muscles
de la face. Traitement : le patient s'est fait co
E PATHOLOGIE NERVEUSE. 117 suels des deux côtés, sans paralysie des
muscles
des yeux. Blépha- roptose bilatérale. Nystagmus
mydriase. Une lésion nucléaire enlraine rarement une paralysie des
muscles
intrinsèques de l'ml ; de plu, en ce cas, les d
che à se rendre aussi intéressant que possible, que les yeux et les
muscles
de son visage sont constamment se- coués de mou
pe Aran-Duchenne; 8° Pour un segment donné du membre supérieur, les
muscles
les plus petits sont représentés par les étages
les étages les plus inférieurs de la région cervico-dorsale et les
muscles
fléchisseurs sont sous- jacents aux muscles ext
cervico-dorsale et les muscles fléchisseurs sont sous- jacents aux
muscles
extenseurs; 9° Il en résulte que les muscles fl
nt sous- jacents aux muscles extenseurs; 9° Il en résulte que les
muscles
fléchisseurs subiront la pre- mière atteinte et
itions les plus favo- rables à sa production; 10° Les centres des
muscles
extensenrs du poignet ont leur siège principal
, se montre au moindre effort, à la plus petite agitation. Tous les
muscles
du corps font saillie, relief ; la force muscul
aire, indemne, n'est pas cependant proportionnée à la charpente des
muscles
. Il steppe en marchant, la démarche est franche
ndineux, musculaires), sont extrêmement exa- gérés ; frappe-t-on un
muscle
quelconque, il se contracte; frappe- t-on le te
cellules motrices ou des nerfs périphériques, ou tout au moins des
muscles
. Or, ['autopsie ne révéla rien de semblable. Rest
l est admissible d'y voir la cause de la modalité patholo- gique du
muscle
. L'urine du malade contenait du sucre en perma-
es liquides et organes de l'organisme. Pendant des années donc, les
muscles
ont été alimentés de sang fortement sucré ou im
mes dystrophies physico-chimiques, n'étaient pas plus aptes que les
muscles
qu'ils unissent à leurs fonctions normales ? P.
s tuméfaction, sans oedème, en un an et demi, des modifications des
muscle
et du tégument. Bientôt là main gauche est pris
tème nerveux central. L'auteur fait remarquer que la sclérose des
muscles
présente la même tendance à la rétraction cicat
de la peau s'enfonce dans la profondeur, gagne les aponévroses, les
muscles
, les os, les articulations, est constante de la
nu valgus et le pied valgus, par suite d'altérations scléreuses des
muscles
, et; peut-être, des aponévroses et de l'apparei
la peau, et ily a atteinte iden- tique des os, des aponévroses, des
muscles
. Quelles sont les altérations anatomiques sous-
tale du plexus. Il n'y a pas non plus de réaction dégénératrice des
muscles
atteints : la diminution de leur excitabilité a
neux sont normaux ainsi que la réaction électrique des nerfs et des
muscles
. Comme le facial et l'hypoglosse sont indemnes, l
paralysant des éléments musculaires en question, de même que les
muscles
involontaires de l'intestin, agit comme diurétiqu
eurs, principalement dans les segments périphériques. Paralysie des
muscles
de la moitié inférieure du tronc; la malade a b
difficilement la cuiller. Contractilité faradique diminuée dans les
muscles
des bras et des avant-bras (la partie cubitale
u le tissu nerveux sous-jacent. t. Les nerfs périphériques et les
muscles
, surtout ceux des membres inférieurs présentent
les cornes antérieures de la moelle, les nerfs périphériques et les
muscles
, nous avons pu déceler des altérations de tous
essèrent par la raison que des neurones affaiblis, commandant à des
muscles
à peu près impotents, ne peuvent pas faire naît
nt malades, si les tubes nerveux centrifuges sont altérés ou si les
muscles
ne sont plus normaux, la convulsion fait défaut,
une paralysie de tout l'avant-bras, intéressant par conséquent des
muscles
iner- vés par le médian, le radial et le cubita
calmie, il subsistait quand même un état spasmodique généralisé des
muscles
. Maints traite- ments avaient été essayés sans
. Dans ces cas; le traitement local est inutile sinon nuisible. Les
muscles
non dégénérés sont susceptibles au contraire de
s la région cervicale. A qua- torze ans, l'atrophie envahissait les
muscles
des membres supé- rieurs et du tronc, produisan
le visage, était endormi. L'atrophie a attaqué en premier lieu les
muscles
de la ceinture scapulaire et, dans le court dél
e fortes contractions SYRINGOMYÉLIE. 27S fibrillaires- dans les
muscles
affectés, contractions qui aujourd'hui Fi[l, O,
l, O, 216 6 CLINIQUE NERVEUSE. encore sont visibles dans divers
muscles
des membres supérieurs et plus particulièrement
ris la forme de griffes à cause de la destruction de ces der- niers
muscles
et ont une apparence simienne par suite de la dis
x est marqué dans les deux mains par une pro- fonde dépression. Les
muscles
du tronc, en particulier ceux du côté gauche, o
e autre durant laquelle se manifestent la parésie et l'atrophie des
muscles
des membres supérieurs en respectant généraleme
de de la pachyméningite, et, loin d'avoir de la rigidité dans les
muscles
du cou, il a eu une paralysie des extenseurs avec
el : le manque d'éruption, les localisations de l'atrophie dans les
muscles
des membres supérieurs et du tronc et la déform
ue de la lèpre l'atrophie ne se limite pas à un groupe déterminé de
muscles
, mais elle en- vahit conjointement ceux des qua
, ceux du tronc et du visage. Dans le cas de Manuel de la 0..., les
muscles
atrophiés correspondent précisément à ceux dont
possible d'admettre qu'avec un état si avancé d'atro- phie dans ces
muscles
, ceux des membres inférieurs et du visage aurai
e dans les difformités des mains et l'intensité de l'atrophie des
muscles
supérieurs et du tronc, il y a aussi la différenc
et du tronc, il y a aussi la différence prin- cipale de ce que les
muscles
des pieds, ceux des mollets etdu visage, sont a
le facial n'est pas, ainsi qu'on l'admet généralement, le principal
muscle
moteur du voile du palais. La physiologie expér
nerf vague et de la branche interne du spinal), innerve tous les
muscles
du voile, à l'exception du péristaphylin externe.
e hypertrophique : prédominance des troubles parétiques du côté des
muscles
extenseurs des membres thoraciques, la para- pl
s mus- cles innervés par le médian et une atrophie incomplète des
muscles
innervés par le cubital. A la suite de cette atro
a sclérose artérielle des centres nerveux et à la dégénérescence du
muscle
cardiaque (cardio-bulbar sclerosis). A. Marie.
vant, on observe par- fois une paralysie du deltoïde et de quelques
muscles
voisins et un déplacement secondaire passif de
érique des deux cordes vocales, atrophie 'en masse dégénérative des
muscles
du bras droit, qui décroitcepen- dant de haut e
il faut qu'on trouve que, sous l'influence du courant galvanique le
muscle
se contr cccte lentement ; c'est cette paresse
raction qui permet de conclure à la dégénérescence des nerfs et des
muscles
(Remak). Les treize variétés se répartissant en
n indirecte de Erb) ; et que l'excitabilité faradique du nerf et du
muscle
peut présenter un ralentissement de la réac- ti
à démontrer qu'il y avait réaction dégénérative complète, quaud le
muscle
, inexcitabteàla sollicitation laradique ordinaire
ution de l'excitabilité faradomusculaire, la réaction électrique du
muscle
n'est justemeut point complètement perdue, ce q
du noyau d'origine naissent les fibres croisées et quels sont les
muscles
oculaires auxquels ces fibres sont destinées. P
et inférieure de chaque noyau. Ces fibres se rendent en partie au
muscle
droit supérieur, au releveur de la paupière, au
eur est innervé exclusivement par des fibres directes ainsi que les
muscles
intrinsèques de l'oeil. Quant au nerf pathétiqu
rs croient pouvoir conclure : 1° Que les noyaux d'innervation des
muscles
de la jambe et du pied occupent la partie posté
e manifeste surtout par instants, des mou- vements fibrillaires des
muscles
de la face et du tremblement des membres. A la
embres supérieurs sont affaiblis, la parole très embarrassée et les
muscles
des lèvres agités de mouvements fibrillaires tr
de la jambe droite avec diminution de l'excitabilité électrique des
muscles
. Hypoesthésie marquée tactile et thermique de l
'au niveau de la troisième côte ; il se manifeste une paralysie des
muscles
abdominaux, dorsaux et intercostaux (difficulté
e n'est admissible qu'à la condition que les nerfs moteurs ou les
muscles
ne soient pas eux-mêmes frappés de dégénérescence
période de calme. Les mouvements cloniques sont d'abord limités aux
muscles
des membres, puis ils envahissent ceux du cou e
enfin parfois l'orbiculaire des paupières à l'exclusion des autres
muscles
de la face. Les groupes musculaires qui réagissen
t et à la fois; il en résulte des mouvements d'ensemble de tous ces
muscles
. Les mouvements ne sont pas rythmiques. La volo
as. RECDERCHE SUR l'action DE QUELQUES nervins sur LE travail des
muscles
fatigués; par Tavernari. (Riv. sp. di fTela., 189
laire . Nous trouvons en premier lieu une série de contractions des
muscles
intrinsèques et extrinsèques de l'oeil dans le
t extrinsèques de l'oeil dans le but de renforcer l'image. a) Les
muscles
extrinsèques de l'oeil se contractent, de façon
sur la macula, au point le plus sensible de chaque rétine. b) Le
muscle
de Bruce se contracte, et le cristallin prend l
rbure nécessaire pour que l'image rétinienne soit au point. c) Le
muscle
irien se contracte de façon à régler l'intensité
ns corticales prolongées incitant continuellement divers groupes de
muscles
. 2° Ces convulsions d'ordinaire s'associent aux
ons qu'une série de fibres partant de la peau, des muqueuses et des
muscles
sont réunies, passentdans la moelle épinière, t
de mots. La verbigération, c'est un mouve- ment mécanique des mêmes
muscles
produisant les mêmes sons, produit par une exci
rait formé de deux parties : une partie externe en rapport avec les
muscles
auricu- lof96 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLO
et une partie interne dont les cellules sont en connexion avec les
muscles
que le facial innerve pendant son trajet dans le
t le noyau d'origine des fibres du facial innervant tous les autres
muscles
. Toute la partie ventrale du noyau du facial re
entripète. Il a vu l'excitation de l'écorce produire la détente des
muscles
auparavant contractés, déterminer un mouvement
énorme de cellules destinées à assurer la coordination délicate des
muscles
dans l'infinie variété des mouvements ; ces cel
al de médecine de 1900, 349. Contractures hystéro-traumatique des
muscles
du tlonc, par P. RI- cher et Souques, 127. - po
Du côté des téguments, il n'y a pas de trouble trophique, mais les
muscles
du membre inférieur gauche sont un peu atrophié
compression normale, que le nerf sciatique doit subir, lorsque les
muscles
du mem- bre inférieur entrent en contraction, e
t supprimée dans le membre malade par suite du relâchement de ses
muscles
. D'autre part, le malade, tout en évitant d'exe
liner son tronc, il se développe sans doute un état spasmodique des
muscles
, qui n'est plus susceptible de se modifier d'un
ure, il paraît y avoir défaut dans l'action antagoniste normale des
muscles
. Peut- ' Cliarcot. - Lezioni cliniche dell'anno
NERVEUSE. être y a-t-il un retard dans l'incitation cérébrale des
muscles
, et alors l'incoordination résulterait de la le
erait de la lenteur de la perception de la nécessité d'exciter un
muscle
antagoniste ou de la lenteur de l'exécution de
'une famille aisée, est d'une bonne constitution physique; il a les
muscles
et les os bien développés, n'a aucun défaut cor
ATHOLOGIE NERVEUSE. desquels survinrent des secousses dans tous les
muscles
du corps, tantôt localisées à certains groupes,
u chute. Le malade récupérait bientôt le pouvoir de maîtriser ses
muscles
et se redressait. Puis le membre inférieur droit
légèrement courbée en avant par suite de la contracture dont les
muscles
du cou sont le siège. La malade est du reste émin
renflement cervical. Dégénérescence des nerfs périphériques et des
muscles
. Altérations vasculaires et conjonctives de l'e
abouchement de deux fentes branchiales et que, d'un autre côté, les
muscles
des yeux appartiennent, au point de vue mor- ph
appartiennent, au point de vue mor- phologique, à la catégorie des
muscles
viscéraux (A. Dohrn). L'appareil de l'adorât n'
sauriens. M. le professeur ERB (d'Heidelberg). Etat anatomique des
muscles
dans la forme juvénile de la dystrophie muscula
ie musculaire généralisée véritable. Il s'agit d'un véritable homme
muscle
de trente et un ans, qui s'exhibe dans les foires
i s'exhibe dans les foires à cause du colossal développement de ses
muscles
, surtout des pecto- raux, des deltoïdes, des bi
es pecto- raux, des deltoïdes, des biceps, des grands dentelés, des
muscles
du tronc, du cou, de l'épaule. Quand il les con
vigoureux, mais sa force ne correspond pas à l'excessif volume des
muscles
hypertrophiés; il se fatigue aisément quand il
é électrique; un peu d'hyperexci- tabilllé mécanique; intégrité des
muscles
eux-mêmes ; pas de trace de maladie de Thomsen;
s réflexes à gauche, réaction dégénérative sur plusieurs groupes de
muscles
qui présentent en même temps de l'hyperexci- ta
ion avec zona et ictère (Gaz. hebd., 1858); - Paralysie de certains
muscles
de l'oeil et rapports avec l'anatomie et la phy
ous-cutané est peu développé; il manque presque complètement. Les
muscles
sont par places très atrophiés. Les sous-épineux
aru; la peau paraît comme collée sur l'os; pourtant l'existence des
muscles
est rendue évidente par l'application du courant
s et moyennes ont été légère- ment atteintes (surtout à gauche); le
muscle
trapèze est conservé dans sa portion supérieure
n supérieure et paraît atrophié dans les autres. Les res- tants des
muscles
de la ceinture scapulaire ne présentent pas d'a
e la ceinture scapulaire ne présentent pas d'atrophie notable et le
muscle
pectoral droit paraît même hyper- trophié en co
oral droit paraît même hyper- trophié en comparaison du gauche. Les
muscles
du bras présen- tent le degré moyen de l'atroph
mier espace interosseux et un léger amai- grissement du second. Les
muscles
des membres inférieurs et les autres muscles pl
ssement du second. Les muscles des membres inférieurs et les autres
muscles
plats du tronc, à l'exception de ceux cités plus
de ceux cités plus haut, ne présentent pas d'atrophie notable. Les
muscles
situés le long de la colonne vertébrale à droit
etit bourrelet solide proéminent (hypertrophie); du côté gauche les
muscles
paraissent ne pas être atrophiés. Les muscles d
); du côté gauche les muscles paraissent ne pas être atrophiés. Les
muscles
de la face, autant qu'on puisse en juger, ne pr
i de contractures. Des mouvements fibrillaires s'observent dans les
muscles
du bras et du thorax. Les cordons nerveux et le
t dans les muscles du bras et du thorax. Les cordons nerveux et les
muscles
ne sont pas douloureux à la pression. Eleclro
à l'avant-bras gauche, à la par- tie inférieure du ventre, dans le
muscle
deltoïde droit toutes ces douleurs ob- tuses
l'hôpital, ils ne présentèrent pas de changements : l'atrophie des
muscles
demeura station- naire, le sens de la douleur a
85). Bonne nutrition; la peau, le tissu cellulaire sous-cutané, les
muscles
, le squelette n'ont pas subi de changements. Em
triceps droit est un peu plus faible que le gauche. Tous les autres
muscles
sont également et suffisamment . forts des deux
également et suffisamment . forts des deux côtés. Les fonctions des
muscles
du thorax, du cou, de la nuque et de tous les n
de l'accommodation est diminuée; l'acuité visuelle est normale; les
muscles
normaux. L'ouïe est normale ; le malade éprouve
'épaule gauche ; la motilité passive y est un peu limitée par les '
muscles
qui se contractent; point d'altérations anatomiqu
e, craquement, limitation des mouvements passifs par la tension des
muscles
. Point d'épaississements de l'appareil ligament
ermo-anesthésie partielle du membre supérieur droit; atro- phie des
muscles
de la main; des tiraillements convulsifs. M110
as d'altérations trophiques. Toute la musculature est amaigrie. Les
muscles
thénars et hypothénars de la main droite sont m
des mouvements convulsifs et des spasmes se produisent dans les s
muscles
interosseux et parfois aussi dans les autres musc
ent dans les s muscles interosseux et parfois aussi dans les autres
muscles
de la main et de 1 avant-bras. La malade se p
places à la pression. Une pression produite sur lés nerfs et les
muscles
périphériques augmente la douleur générale, mai
niques. Des altérations trophiques existent proba- blement dans les
muscles
, de même que leur hyperé- mie associée peut-êtr
vation dans le voisinage du doigt et de l'amaigrissement des autres
muscles
interosseux. Depuis que la main s'était affaibl
dire du malade, il se produisait une contraction idio-musculaire du
muscle
biceps brachial (appa- rition d'une petite boul
oule semblable à celle qui se forme à la suite d'un coup sec sur le
muscle
). A la main droite, il y a près de deux ans, un
du pouce se contracte à 5°, le premier interosseux à 0, les autres
muscles
de la main ne se contractent point. Courant con
ontractent point. Courant constant. Les nerfs sont normaux dans les
muscles
atrophiés, 30 éléments avec l'alternative de Vo
ans le court abducteur et l'interosseux et parfois aussi dans les
muscles
de l'avant-bras. Ils se produisent de temps à aut
se produisent de temps à autre pour deux ou trois minutes dans les
muscles
de la main droite alterna- tivement des contrac
s notables. La main droite est subjectivement plus atlaiblie. Les
muscles
de la partie supérieure de l'avant-bras sont tr
- multanément il y a un tremblement et une trépidation rapide des
muscles
de la face interne de l'avant-bras; si le ma-
nt restées stationnaires. A la main droite atrophie partielle des
muscles
du thénar, surtout dans la partie inféro-externe,
la partie inféro-externe, et un commencement d'atrophie du premier
muscle
interosseux ; tous les mouvements du pouce sont
n en griffe, l'extension complète des phalanges est impossible. Les
muscles
interosseux sont considérablement affaiblis et
e diagnostic définitivement; les petits mouvements spasmodiques des
muscles
sont très typiques et quant aux maladies chirur
is, du moins dans les cas typiques, la puissance dynamométrique des
muscles
des mêmes membres persiste, la conscience muscu
aphes, danseuses de ballet (Schultze). Toutes occupent un groupe de
muscles
déterminé et ne se révèlent qu'à l'occasion de
station, alors que les con- tractions synergiques et immanentes des
muscles
anta- gonistes sont nécessaires à l'accomplisse
s extenseurs, bientôt suivie d'une action trop brusque de ces mêmes
muscles
, ou bien encore d'une action exagérée des fléch
c ? à la même cause, c'est-à- dire à l'innervation pathologique des
muscles
antagonistes à ceux qui doivent accomplir un ac
haine apparition de phénomènes hystériques surajoutés. L'état des
muscles
est très important à considérer, surtout, lorsq
trouvera qu'il existe presque toujours une contracture de quelques
muscles
, si même le système musculaire n'est pas contra
très intéressante à ce point de vue. Au moment de notre examen les
muscles
antérieurs du cou contracturés empêchaient la t
air pendant des heures, jusqu'à ce que la fatigue physiologique des
muscles
rompit la contracture; il présentait ainsi les
cussion d'un tendon rotulien produisait la trépidation spi- rale du
muscle
, trépidation qui ne tardait pas à envahir le me
membre du côté opposé, se généralisant en outre bientôt à tous les
muscles
du tronc qui devenaient rigides. Mais, avons-no
localise très spécialement la contracture : nous avons nom- mé les
muscles
masticateurs. Dans presque tous les cas, on obs
acerons sur le même plan une sorte de contracture intermittente des
muscles
orbiculaires des paupières produisant un battem
DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. 269 entrer en contracture les
muscles
de l'oeil, car, lorsqu'ils n'y sont pas d'emblé
p. 58. 276 REVUE CRITIQUE. avec de longues épingles sans qu'aucun
muscle
de la face ne tressaille. Les sens spéciaux n
au membre supérieur et inférieur et souvent n'est pas complète; les
muscles
sont, généralement, dans le relâchement, mais n
ux membres peuvent être affectés de spasme de quelques-uns de leurs
muscles
et peuvent avoir de la tendance à devenir rigid
, SUR UN CAS DE PSEUDO-TABES. 347 L'énergie de la contraction des
muscles
des membres inférieurs est normale. Quand on di
, delà peau qui recouvre les tendons rotuliens. La percus- sion des
muscles
triceps donne lieu à une contraction brusque, c
eurs intervalles, il y a souvent des crampes très pénibles dans les
muscles
des membres inférieurs. Depuis que ces crises f
'une paralysie faciale occupant le côté gauche de la face. Tous les
muscles
innervés par le facial gauche sont paralysés ;
l'hémiplégie faciale. L'exploration électrique nous apprend que les
muscles
innervés par le facial inférieur gauche, quoiqu
on de l'excitabilité fara- dique); il n'en est pas de même pour les
muscles
placés sous la dépendance du facial supérieur e
apporter la paralysie. L'impotence fonctionnelle porte sur tous les
muscles
innervés par le facial gauche, à l'exception de l
contracturé. La coutractilité faradique est diminuée dans tous les
muscles
du côté gauche de la face; contractilité galvaniq
rvenue brusque- ment sans raison apparente pour le malade. Tous les
muscles
innervés parle facial gauche sont paralysés; ré
he sont paralysés; réaction de dégéné- rescence très nette dans les
muscles
frappés de paralysie. Observation VI. C... (Lou
évèle l'existence de la réaction, de dégé- nérescence dans tous les
muscles
innervés par le facial droit. DE LA PARALYSIE F
elle s'est réveillée paralysée du côté droit de la figure. Tous les
muscles
innervés par le facial droit participent à 1 hé
elle se réveillait avec la face paralysée du côté gauche. Tous les
muscles
innervés par le facial gauche sont para- lysés;
e paralysie faciale occupant cette fois-ci le côté gauche. Tous les
muscles
innervés par le facial gauche sont paralysés, les
rougeole dans l'enfance. La paralysie faciale intéresse tous les
muscles
innervés par le facial droit, faible-diminution
facial droit, faible-diminution de la contractilité faradique : les
muscles
zygomatiques sont légèrement contracturés. L'ar
s. C'est sur ces variations dans l'état électrique des nerfs et des
muscles
qu'Erb a basé sa classification des paralysies
urs de la deuxième et de la troisième semaine apparaissent dans les
muscles
les modifica- tions caractéristiques de la réac
tative et altération qualita- tive de l'excitabilité galvanique des
muscles
; augmen- tation de leur excitabilité mécanique.
. Vers la deuxième minute, nous avons constaté un tremblement des
muscles
bien visible, surtout dans ceux des cuisses. Le t
bre; son regard devient inquiet. Puis viennent les tremblements des
muscles
et surtout ceux des cuisses et des oreilles.
repos, d'où l'inspiration a fait sortir le poumon et le thorax. Les
muscles
de l'abdomen n'entrent qu'assez rarement en act
-même prendre et garder et cela les yeux ouverts. Dans cet état les
muscles
présentent seulement une légère raideur. Observ
Morselli 3 divise en états d'excitabi- 1 lité réflexe exagérée des
muscles
(tétanie), états d'exagération du tonus muscula
ions et de contorsions des lèvres auxquelles prennent part d'autres
muscles
de la face. Lorsqu'ils sont assis, on observe q
qu'ils se mettent debout, ce qui exige une violente contraction des
muscles
, les cuisses se rapprochent, les genoux sont en
s'ac- compagne de mouvements convulsifs des lèvres et des autres
muscles
de la face qui n'existent pas, chez les malades a
nerf sus-scapulaire gauche. - Un cas de parésie de presque tous les
muscles
de l'extrémité supérieure gauche à étiologie reni
urs de limes. On constata, en effet, la paralysie et l'atrophie des
muscles
de l'éminence thénar et du premier interosseux,
ire du radial, des extenseurs des jambes, et, mais moindre,dans les
muscles
des membres intérieurs et dans les vastes de la c
moitié gauche de la langue, ainsi qu'une paralysie progressive des
muscles
de l'oeil (opthalmoplégie externe). Le même mal
male tandis que celle du radial était totalement éteinte et que les
muscles
qu'il innerve étaient affectés de réaction dégé
graduellement et progressive- ment présenté une atrophie des petits
muscles
de la main du côté droit, de la parésie de la j
tallins; le globe oculaire était bridé sur toutes ses faces par des
muscles
difficiles à disséquer, mais qui étaient innerv
cot, ligne d'amputation. Du reste, les réactions électriques des
muscles
sont normales, quelle que soit la durée de la par
ce que dans cette partie il n'y a pas de mélange de nerfs et « des
muscles
; le nerf cesse là. Il y a plusieurs parties du c
inte depuis plusieurs années d'une atrophie progressive de,tous les
muscles
du côté gauche de la face. L'examen minutieux p
tale du plexus bra- chial droit. Elle s'accompagnait d'atrophie des
muscles
du bras et de l'épaule avec réaction de dégénér
e parésie avec diminution de la contractilité faradique de certains
muscles
de la face. Des différents faits mis en évidenc
sie et de la dimi- nution de la contractilité faradique de certains
muscles
de la face, et de la langue, qui peuvent accomp
i que le tremblement peut envahir la tête, le cou, la mâchoire, les
muscles
de la face, du pharynx, 'du larynx con- trairem
mort d'un cancer de la langue ayant détruit une grande partie des
muscles
palato-glosse, pharyngo-glosse et amycalo-glosse.
'après Marinesco, il faudrait admettre une double innervavation des
muscles
, corticale et sous-corticale ; mais tandis que
et pourquoi dans la paraplégie, l'hypertonie porte souvent sur les
muscles
extenseurs du membre inférieur. (Revue neurolog
l il attribue une grande valeur diagnostique : « la contracture des
muscles
adduc- teurs avec impossibilité de placer les c
uis- que on constate chez cet homme, non seulement l'atteinte des
muscles
extenseurs, mais encore la participation du group
e beaucoup. Une paralysie complète avec affaiblissement de tous les
muscles
de l'extrémité supérieure droite. Cyanose des, 1
A peu près en même temps que ces phénomènes, le malade voyait les
muscles
de la main et de l'avant-bras diminuer de volum
iège d'une paralysie à peu près complète portant sur la main et les
muscles
de l'avant-bras; le bras et la ceinture scapula
beaucoup gagné dans ces derniers mois. Il en est de même pour les
muscles
de l'épaule et de la ceinture scapulaire : à ce n
Enfin, Messieurs, les réactions électriques de ces nerfs et de ces
muscles
atrophiés sont, vous pouviez le prévoir, pro- f
fait plate. Aux membres inférieurs, elle intéressait surtout les
muscles
des pieds et les muscles antéro-externes des jamb
s inférieurs, elle intéressait surtout les muscles des pieds et les
muscles
antéro-externes des jambes, principalement du c
mbes, principalement du côté droit, tandis que les mollets et les
muscles
des cuisses étaient à peu près respectés. A la fa
au du coude, et de la réaction partielle de dégénérescence dans les
muscles
des éminences thénar et hypothénar, dans les mu
cence dans les muscles des éminences thénar et hypothénar, dans les
muscles
de la région profonde du mollet, ainsi que dans
ans les muscles de la région profonde du mollet, ainsi que dans les
muscles
innervés par les sciatiques poplités externes.
aractérise essentiellement par une atrophie débutant par les petits
muscles
des mains et s'accompagnant de troubles profond
observation, signalé un steppage en rapport avec la paralysie des
muscles
antéro-externes des jambes; j'ajoute que quand
ylvius et du 3° ven- tricule. Enfin la contraction et la détente du
muscle
ciliaire s'effectuent lentement comme il arrive
dente des réflexes tendineux, le clo- nus du genou, la tonicité des
muscles
correspondants demeure assez, souvent invariabl
sale inférieure, cervicale, sacrée), entraîne le spasme de tous les
muscles
des deux pattes postérieures, surtout accusé quan
'avant-bras (coaction du triceps bra- chial). Tel est le réflexe du
muscle
sous-épineux. Il faut frapper non où les faisce
spinaux ? La contraction dépend-elle de l'excitation méca- nique du
muscle
? Il faut pour en décider un nombre suffisant d
La percus- sion de l'extrémité de ce tendon fait contracter tout le
muscle
et produit l'adduction du membre au torse. Comm
étition des mêmes mouvements, il s'est pro- duit un relàchement des
muscles
fixateurs de l'omoplate qui per- met à la malad
e et verticale pouvait faire penser tout d'abord a une paralysie du
muscle
grand dentelé, mais l'examen électrique a démon
on particulière de l'épaule susceptible de simuler une paralysie du
muscle
grand dentelé. M. B. SOCIÉTÉ DE NEUROPATHOLOGIE
ies nerveuses le 11 janvier 1903, se plaignant sur la faiblesse des
muscles
du cou et du membre supérieur droit; en mars de
infé- rieures et médianes. Des mouvements involontaires dans les
muscles
mimiques de la face. L'abaissement de l'ouïe et d
uvements involontaires de la langue. De la paralysie atrophique des
muscles
de la partie supé- rieure du tronc des deux côt
rophique du bras droit. L'exagération de l'excitation mécanique des
muscles
, qui n'ont pas été soumis à la dégénéres- cence
ps du côté gauche. Une réaction de dégénérescence complète dans les
muscles
biceps, deltoïdes scapularis et cucullaris du c
, deltoïdes scapularis et cucullaris du côté droit. Dans les autres
muscles
atrophiés on observe une diminution très marqué
réflexes cutanés sont assex vifs et égaux des deux côtés. Dans les
muscles
de la face, du cou, du tronc, des membres supér
rieures, on remarque des tiraillements particuliers ; dans certains
muscles
, surtout de la face et du cou, on voit un jeu inc
ulaires isolés, de la durée de quelques -secondes ; dans les autres
muscles
on observe préférenciellement des contractions
pageant d'un faisceau musculaire à l'autre, et envahissant tout le
muscle
; assez souvent on peut voir aussi sur les cuisse
e. Le discours un peu intelligible Un affaiblisse- ment général des
muscles
de tout le corps. Une faiblesse des deux membre
lexes profonds dans tous les mem- bres. Affaiblissement de tous les
muscles
. Les nerfs crâniens sont en ordre. Douze heures
e, cherche à produire une lésion périphérique dans un nerf, dans un
muscle
et recherche, après une quinzaine de jours, dans
est « spécifique pour la recherche des loca- lisations : enlever un
muscle
et trouver dans la moelle un groupe de cellules
fonctionnelle qui unit ce groupement cellulaire à l'innervation du
muscle
. Des erreurs personnelles que chacun peut comme
oires dépendant des rameaux posté- rieurs des nerfs rachidiens, des
muscles
du dos en particulier. Knape prétend qu'il n'ex
on aux noyaux centraux. Dans une seconde période, on a enlevé les
muscles
et les résul- tats furent plus précis ; on déco
scles et les résul- tats furent plus précis ; on découvrit à chaque
muscle
dans la moelle un noyau d'innervation déterminé
on image dans la différenciation des noyaux médullaires; à chaque
muscle
répond un noyau, à chaque groupement fonctionnel
'existence de noyaux musculaires individuels, répondant chacun à un
muscle
isolé et même, pour chacun des muscles complexe
iduels, répondant chacun à un muscle isolé et même, pour chacun des
muscles
complexes, comme le sterno-cléido-mastoïdien, l
ans la moelle des noyaux répondant à chacun des grands faisceaux du
muscle
. Il est remarquable de voir que la disposition
disposition des noyaux dans la moelle reproduit la topographie des
muscles
dans les membres; c'est ainsi que le noyau du d
oïde entoure le noyau du biceps dans sa partie supérieure, comme le
muscle
deltoïde lui-même enveloppe la partie supérieur
comme le muscle deltoïde lui-même enveloppe la partie supérieure du
muscle
biceps ; de même, le noyau des adducteurs se tr
e en dedans et en arrière du noyau du quadriceps fémoral, comme les
muscles
adducteurs se trouvent eux-mêmes en dehors et e
muscles adducteurs se trouvent eux-mêmes en dehors et en arrière du
muscle
quadri- ceps. Les recherches anatomo-clinique
ans un petit nombre de cas peuvent, à la longue, entraîner dans les
muscles
intéressés des troubles trophiques plus ou moin
a suite de certains spasmes profes- sionnels, où l'on voit certains
muscles
inutilisés pour le travail à accomplir, mais né
il descend de son lit, il a une contraction dans les fesses et les
muscles
postérieurs de la cuisse qui l'obligent à s'ass
n myotonique existe chez lui et l'examen biopsique d'un fragment de
muscle
montre les lésions typiques de l'atrophie muscu
s adultes. On doit donc envisager une discipline psycho-motrice des
muscles
de la vie végétative, et même une discipline ps
ytiques généraux à la 1° période. 278 SOCIÉTÉS SAVANTES. Rôle des
muscles
spinaux dans la marche normale chez l'homme. He
aux dans la marche normale chez l'homme. Henry LAMY (de Paris). Les
muscles
spinaux participent à la marche d'une façon trè
un cas de paralysie infantile au point de vue de la topographie des
muscles
atrophiés et des localisations médullaires. M
n- tile, quatre-vingts ans après le début de la maladie. Tous les
muscles
de la jambe et du pied ainsi que le troisième add
antes : Il Parce que la paralysie n'intéresse pas toujours tous les
muscles
d'un territoire radiculaire; 2° Parce qu'elle e
0 SOCIÉTÉS SAVANTES. aiguë on rencontre une topographie spinale des
muscles
atrophiés. En mettant en parallèle les muscles
ographie spinale des muscles atrophiés. En mettant en parallèle les
muscles
malades avec les groupements cellulaires absent
- téro-laléral de la moelle lombo-sacrée sont en rapport avec les
muscles
de la jambe et du .pied. Dans les premier et deux
Parhon et nous-même, chez les animaux, plaçons la localisation des
muscles
de ce segment. Si l'on tient compte de ces rech
ent compte de ces recherches on doit admettre que : les centres des
muscles
de la face postérieure de la jambe sont placés
du jambier antérieur est le plus haut situé de tous les centres des
muscles
de la jambe. Celui des deux jumeaux est, par co
. A ce niveau, le groupement antéro-externe est en rapport avec les
muscles
fessiers. Contribution à l'étude du diagnostic
ils traduisent des contractions rhythmiques séparées d'un groupe de
muscles
déterminés; mouve- ments automatiques plus simp
' ? Cela tient à ce que tout mouvement d'un groupe quelconque de
muscles
s'accompagne normalement de l'innervation des mus
quelconque de muscles s'accompagne normalement de l'innervation des
muscles
antagonistes. Quand je fléchis l'avant bras sur
s, ont totalemeut perdu leur excitabi- lité électrique : les autres
muscles
, qui ne sont qu'affaiblis, ne l'ont pas complèt
une phase tonique avec immobilisation du thorax, tétanisations des
muscles
inspi- ratoires, efforts d'inspirations avec br
uvements stéréotypés, mutacisme, refus de nourriture, ,en- sion des
muscles
du corps, accès spasmodiques catatoniques inter
macroscopiques. Les convulsions portèrent plus fréquemment sur des
muscles
isolés que sur des groupes de muscles : d'abord u
rent plus fréquemment sur des muscles isolés que sur des groupes de
muscles
: d'abord uni- latérales, elles ne devinrent qu
ette seule différence qu'ils sont involontaires, irrésistibles. Les
muscles
du visage prennent aussi part aux mouvements ch
hez ce malade, au contraire, les convulsions occupaient surtout des
muscles
isolés qui, par eux-mêmes, n'exercent pas de fo
e déterminée, tels le sternocléidomastoïdien, certaines paities des
muscles
de l'abdomen, des tendons à part. Les convulsions
des reins. Est-ce de la myoclonie ? Cela y ressemble. L'atteinte de
muscles
séparés, de certaines parties de muscles à part
y ressemble. L'atteinte de muscles séparés, de certaines parties de
muscles
à part, de certains ten- dons isolément est en
. Parfois on observait toute une série desecousses successives d'un
muscle
déterminé. Les convulsions faibles ne produisaien
es les convulsions fortes, s'étendant simul- tanément à beaucoup de
muscles
ou à des groupes musculaires entiers, faisaient
au tic généralisé, et nous éloigne des convulsions choréiques. Les
muscles
de la face étant épargnés, l'affection côtoie l
h. Ce sujet a aussi pré- senté des contractions spasmodiques en des
muscles
homonymes, mais ni synchrones, ni symétriques s
s'il arrivait que des convul- sions bilatérales portassent sur des
muscles
homonymes, il y avait entre elles un certain re
oclonie, ce sont : les contrac- tions en éclair, les convulsions de
muscles
isolés, de portions iso- lées de muscles, de te
éclair, les convulsions de muscles isolés, de portions iso- lées de
muscles
, de tendons isolés, l'absence de symétrie et de
dans le môme ordre, plus tard, à gauche, n'ayant atteint les autres
muscles
volontaires que bien longtemps après et à un mo
ment claires. Ptosis de la paupière droite avec parésie de tous les
muscles
innervés par l'oculo-moleur commun et léger str
he. L'homme en question pouvait faire contracter volontairement les
muscles
de la face mais il ne pouvait pas rire. Pendant
face mais il ne pouvait pas rire. Pendant ie rire, c'est-à-dire les
muscles
de la face qui produisent cet acte de la mimique
décrits de Nothnagel et de Gowers qui ont observé la paralysie des
muscles
mimiques de la face à la suite d'altérations pa
par Nothnagel a, par son grand volume occasionné une paralysie des
muscles
de la face, soit des phénomènes d'abolition. La
né des phénomènes d'irritation, d'où contraction irré- sistible des
muscles
de la mimique de la face. Il n'est cependant pa
uelle qu'en soit la nature, peuvent déterminer des contractions des
muscles
mimiques de la face. A ce titre, cette observat
faculté de provoquer des convulsions isolées de certains groupes de
muscles
, et de croire que ces convulsions, parties de ces
s, se puissent propager de groupes en groupes musculaires, voire de
muscles
en muscles, pour finalement se généraliser suiv
ent propager de groupes en groupes musculaires, voire de muscles en
muscles
, pour finalement se généraliser suivant les loi
des faisceaux moteurs, mais des centres moteurs qui commandent aux
muscles
des membres, à l'intérieur desquels (et cette o
te opinion s'impose en présence de faits tels que celui-ci), chaque
muscle
, chaque groupe de muscles est tout aussi distinc-
ésence de faits tels que celui-ci), chaque muscle, chaque groupe de
muscles
est tout aussi distinc- tement représenté que d
cupent celle région est susceptible de déchaîner des convulsions de
muscles
et groupes muscu- laires isolés à forme d'accès
3.) Bien qu'on ne soit pas encore en droit d'affirmer qu'à chaque
muscle
corresponde un centre spécial dans la moelle, les
ns élémentaires qui, elles, sont l'ex- pression de la fonction d'un
muscle
isolé. Donc, toutes réserves faites sur les rés
lle se sont développées à son insu des convulsions fibrillaires des
muscles
du côté gauche de la face. Incessantes, REVUE D
on dégénérative), par l'absence des convulsions brillaires dans les
muscles
de la langue paralysés. Ces deux derniers carac
fois par l'examen laryngo- scopique et par l'examen électrique des
muscles
du larynx. G. D. LI. Un cas de tétanos céphal
muler ainsi : « Ce signe est dû. à la contracture de défense des
muscles
fléchisseurs de la cuisse, qui réagissent à l'élo
macroscopiques ou microscopiques qu'ils ont constatées au niveau du
muscle
sterno-cléido-mastoïdien dans ce cas de tor- ti
ograde consécutive à une malformation ou à une Jésionprimi- tive du
muscle
. G. C. - XCV11. Hémiplégie immédiate consécutiv
périeur droit, irradiant vers l'extrémité. Atrophie progressive des
muscles
. Complications de broncho-pneumonie. Mort. A l'
s toujours unilatérales.&) Les secous- ses n'atteignent que les
muscles
innervés par le facial.-c) Les secousses sont t
uction de véritables accès pouvant aller jusqu'à la tétanisation du
muscle
. d) Les secousses échappent à l'influence de la
ive, en une nuit appa- rition d'amblyopie avec paralysie totale des
muscles
extrinsèques et intrinsèques des globes et des
ophicité conjonctive doivent siéger près des centres trophiques des
muscles
et des centres vaso- moteurs, vraisemblablement
Alter, 338. Moyen epilepto-frenateur héroïque, par Crocq, 218.
Muscles
. Rôle des - spinaux dans la marche normale chez
oufflet. Ici, vous le voyez, c'est surtout le groupe particulier de
muscles
innervés par la cinquième et la sixième paire cer
'amaigrissement, l'émaciation du membre, bien qu'il n'existe dans les
muscles
atrophiés, actuellement du moins, aucune trace de
effet, vous le constatez aujourd'hui, sont rigides, atrophiés et les
muscles
très certainement y ont subi des modifications or
nspiration d'ammoniaque, ni la faradisation intense de la peau ou des
muscles
, des troncs nerveux eux-mêmes, ne sont cap.ables
partient exclusivement à la léthargie hypnotique. La pression sur les
muscles
, sur les trajets nerveux, ne détermine pas la con
muscles, sur les trajets nerveux, ne détermine pas la contracture des
muscles
correspondants dans l'attaque de sommeil hystériq
es membres, antérieurement bien entendu à la pression exercée sur les
muscles
ou sur les troncs nerveux, est un caractère inhér
différent. Il s'agit, vous le reconnaissez aux reliefs que font les
muscles
, d'un homme d'une vigueur peu commune, d'une sort
malade de raidir ses membres autant que possible. Alors l'action des
muscles
extenseurs de la jambe devient tellement puissant
l'amaigrissement Fig. 20. - Atrophie totale du membre Fig. 21. - Le
muscle
tenseur du fasci inférieur gauche. lata (A) est
Cuisse. — C, Jambe. portant toutefois tout particulièrement sur les
muscles
antérieurs de la cuisse 1. Les croquis des fig.
nt évidemment, du moins cela nous paraît être, au défaut d'action des
muscles
tenseurs de la rotule et de la capsule articulair
uisse gauche surtout prononcée, je le répète encore une fois, sur les
muscles
de l'extension (fig. 19 et 20). La différence e
aire d'un membre tout entier, mais manifestement prédominante sur les
muscles
extenseurs de l'articulation sur laquelle, lors d
es amyotrophies de ce genre à l'influence de l'inaction prolongée des
muscles
ne mérite même pas d'être discutée, puisqu'en som
ttre que ces amyotrophies soient la conséquence d'une propagation aux
muscles
d'un processus inflammatoire, car dans notre cas
à toute l'étendue d'un membre et sa prédominance très marquée sur les
muscles
antérieures de la ¦cuisse. Seule, la théorie im
rite périphérique des auteurs — et par des lésions dégé-nératives des
muscles
correspondants ; ces lésions entraînent après ell
eurs et nous pourrons maintenant procéder à un examen détaillé de ses
muscles
. Voici ce que cet examen permet de constater. L
r pour le moment qu'au niveau des mollets la pression exercée sur les
muscles
est douloureuse, douloureuse également est la per
Nous donnons maintenant l'indication plus détaillée des principaux
muscles
atrophiés. A gauche, presque tous les muscles d
aillée des principaux muscles atrophiés. A gauche, presque tous les
muscles
de la jambe sont atrophiés. Les extenseurs plus e
e ; mais dans ce mouvement-là, l'axe du pied est porté en dehors. Les
muscles
du mollet sont en partie conservés, surtout le ju
nt impossible. Aux deux cuisses les adducteurs et les fléchisseurs (
muscles
postérieurs) sont bien conservés. Aux fesses les
ts,fournis par l'exploration électrique : A la jambe gauche, tous les
muscles
sont inexcitables, tant par le courant galvanique
les jumeaux, excitabilité un peu diminuée sans inversion. Les autres
muscles
, extenseurs des orteils, etc., sont normaux. A la
le tenseur du J'ascia lata sont complètement inexcitables, les autres
muscles
, adducteurs et fléchisseurs, de même que à gauche
eu sensible aux piqûres, maison ne pouvait presser les tendons et les
muscles
, des jambes surtout, sans provoquer une vive doul
otrice complète à peu près également répartie sur toute l'étendue des
muscles
des membres inférieurs mais prédominant toutefois
inégale répartition de la paralysie et de l'atrophie dôgénérative des
muscles
des membres inférieurs. C'est ainsi qu'aux deux c
che, tandis qu'à droite il n'existe plus — à la jambe gauche tous les
muscles
sont pris, extenseurs et fléchisseurs ; seul le l
l'extenseur commun est très bien conservé. Sur cette même jambe, les
muscles
fléchisseurs du pied sont détruits en partie seul
embres ; sauf en ce qui concerne leur prédominance symétrique sur les
muscles
de la flexion dorsale des pieds. Ainsi, je le r
ncée. « De plus, quand à l'aide du marteau de Skoda, on percute les
muscles
du côté paralysé, on les voit agités de secousses
ut fermer parfaitement l'œil, faire contracter normalement les divers
muscles
de la joue et des lèvres ; l'excitabilité électri
ée dans tout le côté gauche de la face : front, orbiculaire de l'œil,
muscles
de la joue. Cependant il s'agirait, d'après les
les voit en outre se produire aussi chez quelques individus dans les
muscles
extenseurs du tronc, plus rarement dans ceux de
être renversé à terre avec un cri produit par nnft action brusque des
muscles
respirateurs. Cela arrivait chez un jeune homme d
moelle épinière, à l'œil nu ne présente aucune trace d'altération.
Muscles
des membres : Ils sont durs et présentent une tei
de nerfs moteurs correspondants, par suite l'atrophie consécutive des
muscles
ou partie de muscle auxquels ces nerfs moteurs se
espondants, par suite l'atrophie consécutive des muscles ou partie de
muscle
auxquels ces nerfs moteurs se rendent. Mais il
riques se font reconnaître dès le quatrième ou cinquième jour sur les
muscles
le plus profondément affectés et l'on peut en sui
t en grande partie ; si un seul membre a été affecté, un ou plusieurs
muscles
ou groupes de muscles reviendront sur ce membre à
i un seul membre a été affecté, un ou plusieurs muscles ou groupes de
muscles
reviendront sur ce membre à l'état normal. En gén
nale est le plus limitée en même temps et le moins profonde, quelques
muscles
ou groupes de muscles resteront en général défini
ée en même temps et le moins profonde, quelques muscles ou groupes de
muscles
resteront en général définitivement, à tout jamai
luante ; il s'y produit des rétractions par prédominance d'action des
muscles
les moins altérés lesquelles conduisent aux membr
omplète dans le membre inférieur droit où elle occupait à la fois les
muscles
qui meuvent la hanche, ceux qui meuvent le genou,
st là justement le point que je signalais plus haut, presque tous les
muscles
qui ont été frappés, l'ont été du premier coup, a
des réactions électriques, elles sont absolument nulles dans tous les
muscles
de la cuisse, de la jambe et du pied et après tro
éaction de dégénérescence très nette et complète, pour la plupart des
muscles
. Les muscles de la jambe ne répondent plus aux ex
générescence très nette et complète, pour la plupart des muscles. Les
muscles
de la jambe ne répondent plus aux excitations.
1. Il existe en outre, chez cette malade une paralysie conjuguée des
muscles
oculaires dans les mouvements vers la droite, ave
l'ataxie est, dans la règle, la conséquence de la paralysie d'un des
muscles
moteurs de l'œil; dans la sclérose en plaques, au
ussi autrefois des tics nerveux consistant en mouvements brusques des
muscles
de la face et du cou, lesquels tics ont également
signe de Romberg n'existe plus ; 5° augmentation légère du volume des
muscles
des membres inférieurs qui commençaient à s'atrop
e.Lorsque la pièce est trop longue, au contraire, le tiraillement des
muscles
delà nuque devient intolérable, le corps ne trouv
élévation trop brusque afin d'habituer peu à peu en quelque sorte les
muscles
du cou à la traction qu'ils vont supporter. On do
0 kilog. et plus. Chez ces derniers, la traction qui s'exerce sur les
muscles
de la nuque est très forte, douloureuse même parf
ême, le malade s'étant dépouillé de ses vêtements, que la plupart des
muscles
du tronc sont, chez lui, en proie à des secousses
cadé, pouvant s'entendre à une certaine distance, et prouvant que les
muscles
respiratoires, eux aussi, participent aux trépida
ie. b. Hyperesthésie. pression exercée sur la partie inférieure des
muscles
demi-membraneux, de-mitendineux,couturier et droi
és, surtout le mouvement dorsal. Toujours est-il que c'est dans les
muscles
extenseurs et fléchisseurs du genou que la rigidi
contractions musculaires rapides et localisées à certains groupes de
muscles
(accès épileptiques incomplets de Herpin). Voilà
curable ; il en est de même des crises laryngées, des paralysies des
muscles
moteurs de l'œil, des crises vesicales et de bien
paralysie incomplète de la corde vocale gauche, ou autrement dit, du
muscle
crieo-arythénoïdien postérieur Tout cela, remarqu
liens sont absents. Atrophie, également prononcée des deux côtés, des
muscles
qui remplissent le premier espace interosseux. Tr
ains où, après qu'on a tracé quelques mots, il survient dans certains
muscles
de la main des crampes pénibles, qui font qu'on e
ure, il semble y « avoir défaut dans l'action antagoniste normale des
muscles
... Cette forme « d'incoordination est relative se
mpris le sens musculaire, des réflexes tendineux, de la nutrition des
muscles
, etc., etc., et surtout l'absence d'un trouble qu
ent pas le fait, remarquez-le bien, d'une contracture spasmodique des
muscles
, d'origine spinale. L'observateur n'éprouve pas,
ainsi parler, et qui très évidem-mentdépend de ce que les tendons des
muscles
fléchisseurs se sontraccourcis en même temps que,
sont les péroniers. Quoiqu'il en soit, dans l'ensemble, l'action des
muscles
extenseurs est généralement très faible et le suj
duirela flexion plantaire dupied. Cette même faiblesse d'action des
muscles
extenseurs se retrouve aux membres supérieurs, en
Il existe, en effet, une réaction de dégénération bien nette sur les
muscles
antérieurs de la cuisse et sur les muscles péronn
ération bien nette sur les muscles antérieurs de la cuisse et sur les
muscles
péronniers et même,sur certains d'entre eux, les
ité externe. Droit. 20 él. 46 degr. KSZ. Gauche. 19 él. 50 degr. KSZ.
Muscle
vaste interne. Dr. faradiquement et galvaniquem
ies où la déformation ne dépend pas d'une contracture spasmodique des
muscles
; tel est le cas de la paralysie alcoolique. H y
te périphérique, qu'on dit primitivement développée, une atrophie des
muscles
extenseurs suivie d'une chute du pied, analogue à
le flexion même était portée à son extrême limite aux genoux, car les
muscles
du mollet étaient appliqués sur les muscles posté
imite aux genoux, car les muscles du mollet étaient appliqués sur les
muscles
postérieurs de la cuisse. Voir : Brissaud, Des pa
x émanant des parties altérées des cornes antérieures, l'atrophie des
muscles
auxquels ces nerfs se distribuent et enfin, dans
complètement dégagé. Pour ce qui est de l'atrophie des nerfs et des
muscles
signalée plus haut, il faut y voir des lésions fi
ent dans ces parties des fourmillements; en même temps l'atrophie des
muscles
intéressés y devient des plus évidentes. Un peu p
aux objets environnants et de changer de place. Au bras droit, les
muscles
du moignon de l'épaule sont atrophiés, y compris
ras ; la supination est impossible, la pronation très incomplète. Les
muscles
de l'épaule et du bras sont agités de tremblement
t se ferment complètement. Il en est de même pour ce qui concerne les
muscles
du cou ; leur examen ne donne que des résultats n
diminué de volume et on y voit des secousses fibrillaires. Les autres
muscles
de la face antérieure du tronc et de l'abdomen ne
face antérieure du tronc et de l'abdomen ne semblent pas altérés. Les
muscles
des gouttières vertébrales et de la masse sacro-l
t de la masse sacro-lombaire ne semblent pas avoir été atteints ; les
muscles
fessiers sont également encore assez volumineux.
énérale assez peu modifiées, si ce n'est cependant sur la plupart des
muscles
très atrophiés, les deltoïdes par exemple, où la
par une atrophie, conséquence de la lésion spinale; 3° enfin dans les
muscles
par des lésions trophiques également consécutives
me série de phénomènes et, en particulier, l'atrophie progressive des
muscles
se manifeste ; toutefois, on le comprend, ces sym
trer constamment marquée par une atrophie manifeste de la plupart des
muscles
affectés. Les travaux de MM. Erb, Landouzy et Déj
sans y regarder de plus près, la localisation de l'atrophie dans les
muscles
des épaules et des bras, les avant-bras et les ma
t, de secousses fibrillaires très intenses et généralisées à tous les
muscles
atrophiés ou en voie d'atrophie. Or, pareille cho
Un autre point à relever chez N.,.las, c'est l'intégrité absolue des
muscles
de la face ; tandis que, comme on sait, chez les
les myopathiques du type Lan-douzy-Déjerine une atrophie de certains
muscles
faciaux amenant la gêne des mouvements des lèvres
lui de laréaction électrique de dégénérescence dans quelques-uns des
muscles
les plus profondément lésés, ainsi que la partici
appé est qu'il ne pouvait plus siffler ses chèvres ; ce sont donc les
muscles
de la face qui ont été pris en premier. Aujourd'h
ce qui ont été pris en premier. Aujourd'hui, l'atrophie porte sur les
muscles
des épaules et des bras, et elle s'y montre à un
rs de l'avant-bras sont parfaitement conservés; il en est de même des
muscles
de la main et de l'avant-bras ; l'examen le plus
l'avant-bras ; l'examen le plus attentif ne fait reconnaître sur les
muscles
affectés, aucune trace de secousses librillaires.
les cas classiques du type Duchenne-Aran, c'est généralement par les
muscles
des éminences thénar, hypothénar et de l'avant-br
s. Conformément à ce qui est la règle dans le type Aran-Duchenne, les
muscles
des éminences thénar et hypothénar, sont, en tant
e Duchenne-Aran. Certes il n'en serait pas de même si l'affection des
muscles
se rattachait à la sclérose latérale amyotrophiqu
is l'articulation ilio fémorale jusqu'aux extrémités des orteils. Les
muscles
des membres étaient mous et flasques. Depuis l'ar
ns de la moelle épinière qui intéressent directement la nutrition des
muscles
. On sait encore très positivement, par l'histoire
che, aux mains, sur les avant-bras, les bras, les épaules et quelques
muscles
du tronc. Les réflexes tendineux, comme vous pouv
y a deux ans.Vous voyez que l'atrophie est surtout prononcée sur les
muscles
antérieurs de la cuisse droite, où l'on voit se d
s ne répondant pas aux excitations soit galvaniques soit faradiques :
muscles
de l'éminence hypothénar droite, long extenseur d
he, grand fessier gauche, longue portion du biceps crural droit. C.
Muscles
répondant aux excitations faradiques mais non aux
ues ; 68 cles : eminences thenar ethypothénar de la main droite ;
muscle
grand-fessier du côté droit, les réactions soit f
ction de dégénérescence ; partout ailleurs, il y a seulement dans les
muscles
atrophiés Jumeaux externe et interne gauches. L
e ne se contracte qu'excité par un courant très fort. D. Les autres
muscles
explorés ne présentent pas de réactions électriqu
culaire dans la sphère d'innervation des nerfs cubital et médian, les
muscles
innervés par le radial restant relativement indem
'on peut dire que,d'une façon générale, il en est de même de tous les
muscles
du tronc. Il y a également ici pronation forcée d
us sont dans ce membre les seuls possibles. L'examen électrique des
muscles
atrophiés des membres supérieurs a fait trouver u
moment donné il était devenu évident que la rigidité spasmodique des
muscles
n'existait plus et que, par conséquent, l'affecti
robable qu'il s'agissaitlà : 1° d'un raccourcissement des tendons des
muscles
fléchisseurs de la cuisse, et 2° de la rétraction
u d'extension du genou. Dans le cas de contracture spasmodique, les
muscles
d'action contraire, vous le savez, sont simultané
nt que la malade pût marcher. Sous l'influence du repos prolongé, les
muscles
des membres s'étaient émaciés ; l'électrisation f
y a une amyotrophie avec réaction de dégénérescence, surtout dans les
muscles
de la main, sans espoir de guérison ; c'est pourq
des paralysies où la déformation ne dépend par d'une contracture des
muscles
; tel est le cas de la paralysie alcoolique, dont
d'une névrite qui semble primitivement périphérique, une atrophie des
muscles
extenseurs, suivie d'une chute du pied, analogue
iation spasmodique, mais d'une déviation paralytique; la tonicité des
muscles
non altérés est seule en jeu. Mais il est enfin
évelop- pement de l'idée délirante de la prédominance de certains
muscles
quand leurs antagonistes sont paralysés. Il n'y
en griffe des deux mains. Cette atrophie est exactement limitée aux
muscles
des mains et ne dépasse pas les plis articulair
e sont que passagères et aboutissent finalement à l'hypertrophie du
muscle
cardiaque. L'insuffisance mitrale suite d'une a
rd de l'orbite. Quand on a pénétré dans l'intérieur de celle-ci, le
muscle
releveur atrophié est attiré et coupé en son mi
attiré et coupé en son milieu . Cela fait, la peau recouvrant le
muscle
frontal est détachée jusqu'à mi-hauteur du front
e muscle frontal est détachée jusqu'à mi-hauteur du front et sur le
muscle
frontal ainsi mis à nu on fixe au moyen de troi
is sutures au catgut l'extrémité libre de la partie périphérique du
muscle
élévateur ; la plaie est refermée par des sutures
fixé le tronçon périphérique de l'élévateur un peu plus haut sur le
muscle
frontal. Cette opération, facilement exécutable
urée ne dépasse pas une seconde, peuvent se montrer dans tous les
muscles
. Elles préoccupent beaucoup plus les malades que
forme zoophique, paraplégie symétrique bilatérale avec atrophie des
muscles
des jambes et des cuisses, avec pieds en varus éq
ne fait craquer mes os, brider ma chair, se tordre et se briser mes
muscles
et mes nerfs. « Je suis assassiné, martyrisé, l
devien- nent sensibles que si l'on étudie en détail les divers
muscles
et si l'on analyse leurs mouvements. Musculat
t plus molles du côté gauche. Deltoïde. Pris à pleines mains ce
muscle
ne paraît pas diffé- l'ent à gauche de ce qu'il
s fosses sus et sous-épi- neuses sont plus apparentes à gauche, les
muscles
correspondants sont moins volumineux et moins r
est maintenue longtemps, met en évidence l'inégal développement des
muscles
de l'épaule. Le deltoïde a des faisceaux plus c
est évidente ; au contraire la longueur de la portion tendineuse du
muscle
est égale à droite et à gauche. Dans ce mouveme
à droite et à gauche. Dans ce mouvement on constate encore que les
muscles
de l'avant-bras font un relief plus accusé à dr
le bras accentue l'asy- métrie des biceps. A gauche le ventre de ce
muscle
parait déjeté en dedans comme si, la longue por
ente sur les radio- graphies. La gracilité de certains groupes de
muscles
a été signalée déjà. Il s'agit plutôt d'un déve
droite pour l'excitation faradique : l'excitabilité galvanique des
muscles
n'a pas été étudiée. L'arrêt de développement
eint, quelquefois même il est atteint presque seul, l'intégrité des
muscles
étant relative- ment respectée. La participatio
rations n'était pas un argument important contre elle, puisque les
muscles
innervés par le facial sont intéressés quelquef
liomyélite antérieure aiguë des enfants'. '. Mais l'état actuel des
muscles
, moins atrophiés qu'arrêtés dans leur accroisse
les petits mouvements involontaires qu'on remarque parfois dans les
muscles
de l'épaule gauche. L'absence de phénomènes spa
des mais chaque déglutition forcée provoquait une con- traction des
muscles
du visage et du pharynx. L'inspection de la mus
re que le mouvement s'exécute l'obstacle disparait. Un morceau du
muscle
gastrocnémien excisé et examiné sous le microscop
malade accuse la même difficulté des mouvements au début dans les
muscles
de la face et notamment à la mastication et aux m
t même où ce spasme survient. C'est qu'alors les contrac- tions des
muscles
droits de l'abdomen agissent directement sur un
r. Elle faisait le mou- vement de non; le spasme était localisé aux
muscles
de la nuque SOCIÉTÉS SAVANTES. 163 et au ster
ulement avec ses deux lèvres, d'après Henschen). L'oeil, avec ses
muscles
, en tant que doué de la sensibilité générale (t
droite, la con- vergence, la contraction irienne, la contraction du
muscle
1 Dans cet article nous aurons en vue, moins d'
111. Action bilatérale et symétrique de chacun de ces centres. Les
muscles
dont l'action est habituellement synergique de
cles dont l'action est habituellement synergique de celle des mêmes
muscles
du côté opposé, obéissent à la fois aux deux hé
les paralyse jamais complètement. Il en est ainsi par exemple des
muscles
du pharynx, du larynx, du tronc, etc. Cependant
e des muscles du pharynx, du larynx, du tronc, etc. Cependant ces
muscles
obéissent encore d'une façon prédominante à l'h
pas absolu- ment intacts dans l'hémiplégie (Féré ef Lépine). Les
muscles
moteurs du globe oculaire agissent toujours d'u
de ces musles sur uu seul oeil, dans les lésions corticales. Les
muscles
moteurs des paupières (orbiculaire-releveur) ag
lus contre-balancées par celles venant du côté opposé. Le tonus des
muscles
oculaires sollicités d'un seul côté prédomine d
, comme on l'a fait, l'innervation symétrique et bila- térale : les
muscles
oculaires et palpébraux obéissent non pas à deu
' V. Miraillé, loc. cit. 2 In Pughese, loc. cil. 3 Si les autres
muscles
innervés par le facial supérieur restent aussi
entres, et que chacun des centres oculo-moteurs commande à tous les
muscles
groupés autour de l'oeil. On connait d'ailleurs
mais deux centres, et que chacun d'eux commande non pas tel ou tel
muscle
, mais tout l'appareil meteur de la vision. Ces
e complète des mouvements volontaires de la langue, des lèvres, des
muscles
de la face, trismus, déviation conjuguée de la
re inférieure sont très difficiles et limi- tés. Les mouvements des
muscles
jugaux sont abolis. Les réflexes de la luette e
agit bilatéralement, et tient sous sa dépendance non seulement les
muscles
innervés par les nerfs oculo-moteurs, mais auss
périphériques et des impressions centrales et s'exer- çant sur les
muscles
et appareils d'où dépendent les différentes att
par terre. Les membres supérieurs sont pris rarement. Parfois les
muscles
du visage sont touchés, on rencontre du strabis
ces aux cellules des cornes antérieurs, l'autre de ces cellules aux
muscles
. Le neurone périphérique produit le reflexe, le
re entre l'inner- vation du cerveau et l'innervation médullaire des
muscles
. La thé- rapeutique peut tirer des données prat
longation et une myorrhexie. Dans les cas d'extrême contracture des
muscles
adducteurs, il éloigne ce groupe, en coupant le
nie; émaciation; perte du réflexe lumineux des pupilles; parésie du
muscle
droit interne de l'oeil droit et de la jambe dr
. - Rousseau (Louis). Contri- bution à l'élude de l'innervation des
muscles
du palais. - ! lotier (Victor). L'épilepsie sén
ctuel (19 mars). Paralysie faciale droite totale ayant respecté les
muscles
innervés par le facial supérieur ; il semble ce
crêtes iliaques est de 86 centimètres. Les membres sont grêles, les
muscles
peu développés. Le bras, à sa partie moyenne, m
our lui au point de vue diagnostic, les phénomènes spasmodiques des
muscles
des membres, le tremblement qu'il attribue à un
WEIlTIIEIll-SALOMONSON. (Neurolog.Centralbl., XVII, 18C8.) 1° Les
muscles
de l'oeil sont dits inaccessibles à l'examen élec
oculaire, 1896) ne parle pas de l'examen électro- diagnostique des
muscles
de l'oeil ; - 2° La cause de l'absence de locom
e de locomotion apparente du globe de l'ceil, quand on excite les
muscles
de l'oeil par l'électricité, tiendrait, pour la p
le globe, de sorte qu'une quantité infinitésimale seule en atteint
muscles
et neifs. En vain excite-t-on les muscles à leur
tésimale seule en atteint muscles et neifs. En vain excite-t-on les
muscles
à leur insertion, après cocaïnisation de la con
s on risquerait de léser la rétine (Ducbenne) ; - 3° Mais il est un
muscle
qui, en certaines circons- tances, est accessib
entraîne une exagération de l'excitabilité galvanique directe des
muscles
innervés par celui-ci au bout d'environ trois sem
lysies légères et récidivantes ; - 9° L'impossibilité d'exciter les
muscles
du globe de l'oeil doit être déterminée par la
de l'oeil doit être déterminée par la tonicité permanente de ces
muscles
qui échappent à la détente volontaire du patient,
de l'oeil sous l'influence de l'excitation galvanique directe d'un
muscle
de l'oeil paralysé. La lenteur indubitable de la
nteur indubitable de la contraction ne peut vaincre la tonicité des
muscles
sains. Cela serait probable- ment possible si l
génitale et permanente accompagnée U'une augmentation de volume des
muscles
de l'avant-bras et du bras qui sont durs et fer
, a aboli la fonction du long extenseur des doigts. La fonction des
muscles
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 321 1 innervés
une hypertrophie vraie. En un mot, il y a contracture de quel- ques
muscles
innervés par le cubital et le médian, intégrité d
nement aux questions. Pas de paralysies, légère rigi- dité dans les
muscles
des jambes ; ataxie et tremblement de mains; pa
alais, de la déglutition et de la mastication ; parésie de tous les
muscles
, des membres et du tronc sans H, D.; intégrité
arésie très accusée dans le domaine du plexus sacral, notamment des
muscles
fessiers et une paralysie complète des deux ner
droite. Parésie incomplète des fléchisseurs. Certaine faiblesse des
muscles
de l'épaule. Parésie très prononcée des mus- cl
OCIÉTÉS SAVANTES. portion directe avec le degré de la paralysie des
muscles
correspon- dants. Hypoesthésie légère, tactile
c le bout du doigt ou du marteau percuteur un petit coup sec sur un
muscle
en état de relâchement, il se forme parfois à l
de bourrelet muscu- laire l'ont amené à des conclusions fermes. Le
muscle
qui se prête mieux à l'étude de ce phénomène es
ieurs également; cette paralysie est flasque, sans contracture. Les
muscles
du tronc et de la ceinture scapulo-humérale par
pi- ration pendant laquelle on ne constate pas de contraction des
muscles
respirateurs de la ceinture thoracique. La face n
lectuelle et l'immobilité complète des membres et de la plupart des
muscles
moteurs. Température : 39°. Pouls : 120°, rapid
phénomènes sensitifs sub- jectifs, par la douleur à la pression des
muscles
et des troncs nerveux, par une évolution plus l
organes. Les urines ne contiennent rien d'anormal. Les mains et les
muscles
de la face tremblent beaucoup. Deux jours après
sensations kinesthé- siques variées localisées au larynx, dans les
muscles
respi- ratoires. C'est qu'en effet au cours de
logique du centre considéré, déterminera dans les nerfs et dans les
muscles
destinés à l'articulation, 1 P. nitigé. Sur les
ent à l'amaigrissement, survint une hyperexcitabilité graduelle des
muscles
aux courants faradiques (expériences régulièremen
perexcitabilité longue conduit à la réaction de la fatigue nette du
muscle
. Puis, cette faiblesse irritable fait, de la si
otomie ne serait-elle pas l'effet d'un trouble dans la nutrition du
muscle
puisqu'on trouve chez ces malades, même non REV
HÉRAPEUTIQUE. 421 podagres, des altérations de l'urine et que leurs
muscles
révèlent une hypertrophie des fibres musculaire
salutaires dans l'espèce, augmenteraient les échanges nutritifs du
muscle
, le débarrasseraient de ses poisons et par suit
es mouvements avec maximum à gauche. Tremblement des extrémités des
muscles
de la face. Déviation de la langue à gauche. In
gué, l'alitement permet encore le relâchement complet de tous les
muscles
de la vie de relation, et par suite le repos des
833, n'exprimait alors que l'idée vague de sentiment de l'action du
muscle
, et nous retrouvons cette même conception dans
à placer l'ori- gine des sensations en question, non point dans les
muscles
, au moins dans les muscles seuls, mais dans la
nsations en question, non point dans les muscles, au moins dans les
muscles
seuls, mais dans la peau et l'expression de sen
ude du sens musculaire ni la sensation pioduite par la pression des
muscles
, ni la sensation de courbature qui se produit a
muscles, ni la sensation de courbature qui se produit au niveau des
muscles
fatigués. ' SENS MUSCULAIRE. 463 des mouvemen
ion simple. Trois sortes d'organes sont àcon- sidérer, la peau, les
muscles
et les articulations avec les tendons. Or l'aut
dans l'extension ou le plissement de la peau, des tissus mous, des
muscles
et de leurs tendons, en particulier dans la ten-
s et de leurs tendons, en particulier dans la ten- sion de certains
muscles
et le relâchement simultané de leurs antagonist
bsente puisque en fait le mouvement est empêché ; 3° La tension des
muscles
atteint une importance considérable, bien plus
e, mais de sources différentes provenant des articulations et des
muscles
de la glotte et du thorax. La notion de la diff
re le professeur Pitres a dit à ce propos : « La contraction d'un
muscle
est accompagnée d'une sensation toute particulièr
pupille droite est dilatée. il y a une parésie de la pupille et du
muscle
ciliaire. Pour le moment le malade n'accuse auc
mose considérables suivant particulièrement la direction des grands
muscles
fléchisseurs et adducteurs, qu'il n'existe aucu
, et bien souvent avant, le triceps crural l'emporte sur les autres
muscles
. Les adducteurs des jeunes enfants sont plus ac
ensibilité musculaire. Les mains étaient bouffies, tandis que leurs
muscles
étaient un peu atrophiés. Persistance des réfle
eurs muscles étaient un peu atrophiés. Persistance des réflexes des
muscles
des bras, mais disparition des réflexes patella
lonique de l'attaque, un peu après la cessation des convulsions des
muscles
striés; 1» celles de l'intestin grêle débu- ten
minale ; 100 II y a analogie entre les convulsions épileptiques des
muscles
striés et les contractions stomacales, intestin
musculaire du vaste externe du triceps. A chaque contraction de ce
muscle
, le radial est donc comprimé sur l'angle poslér
ro-externe de l'os, mais il se déplace vers l'origine tendineuse du
muscle
qui, en se tendant, le protège. Mais, que le nerf
qui, en se tendant, le protège. Mais, que le nerf soit l1é par les
muscles
de l'avant-bras et que brusquement le tri- ceps
ceps se contracte, le radial peut être comprimé entre l'os et ce
muscle
. Et bien, les contractions violentes et soudaines
lsive paraissent aptes à déterminer la compression du nerf entre le
muscle
et l'os et à contusionner le nerf. Pourquoi d
que soudain se produise une contraction du triceps pendant que les
muscles
de l'avant-bras sont encore contractés et que l
mptomatique. Il y faut ajouter une atrophie progressive de tous les
muscles
insensibles au courant faradique; c'est pourquo
s non plus aux forts courants faradiques. La paralysie comprend les
muscles
in- nervés par les plexus lombaires et sacrés à
ention du pisseur ne se porte pas sur lui ; il faut qu'il oublie le
muscle
obturateur de la portion membraneuse, surtout à
bles de la sensibilité de la peau des doigts que de la motilité des
muscles
de l'éminence thénar. Or il est constaté que le
Conservation des mouvements de la main et des doigts. Atrophie des
muscles
paralysés qui poursuit son évolution pendant di
de l'acuité visuelle. Intégrité des nerfs craniens. Atro- phie des
muscles
du bras et de la jambe gauches ; mouvements spa
nfin tremble- ments de la main gauche, paresthésies et atrophie des
muscles
du côté gauche. Il s'agit donc d'une sénile aff
une égale étendue, atteintes, ou que l'innervation com- pliquée des
muscles
de la langue comporte des variétés indivi- duel
le bras ne peut être éloigné du corps La galvanisation cursive du
muscle
jointe à l'excitation faradique de l'axillaire pe
tion du bras gauche à l'horizontale se fait, dans l'espèce, par les
muscles
de l'omoplate, et ce n'est qu'alors qu'in- terv
e ultérieure des deux oculomoteurs communs ; paralysie complète des
muscles
extrinsèques et intrinsèques des yeux. Aucun au
ébro-spinal (Bath, Heusser, Hippel). Les variétés de paralysies des
muscles
des yeux tiennent aux al- lures variables de la
ix-huit mois plus tard, les deux pupilles ne réagissaient plus, les
muscles
extrinsèques de l'oeil n'étaient point paralysés.
ologique reste si obscure encore à l'heure actuelle. M. SICARD. Les
muscles
abdominaux et l'orifice inguinal chez les hémip
e par les classiques : à savoir que dans l'hémiplégie organique les
muscles
à fonction synergique sont respectés des deux c
soin leur orifice inguinal, qu'il existait une parésie certaine des
muscles
abdominaux du côté paralysé. 516 SOCIÉTÉS SAV
uer à lutter. Aussi rejetant les procédés qui ne s'attaquent qu'aux
muscles
en se basant sur la théorie qui incri- mine dan
ar Guttmann, 501. - al- terne, par Babll1skl, 513. Hémiplégiques.
Muscles
abdominaux et orifice inguinal chez les - par
nférieurs et du membre supérieur gauche. — C. artificielles. — C. des
muscles
de la langue et du larynx : aphonie. — Modificati
succès, en raison du volume exagéré du ventre ' et de la tension des
muscles
. Aujourd'hui, la malade étant en 1 attaques depui
nte ce matin une contracture partielle du sterno-mastoïdien droit. Ce
muscle
est très dur, tendu, douloureux dans une longueur
ur, tendu, douloureux dans une longueur de 5 à 6 centimètres. L'autre
muscle
sterno-mastoïdien est absolument souple. Applicat
de la rigidité ordinaire. — b) Phase tétant forme : frémissement des
muscles
de la face, secousses tétanifbrmes rapides des me
titue la première phase (Pl. II). b ) La face se congestionne ; ses
muscles
sont agités de petites secousses convulsives, qui
facial au-devant de l'oreille droite, on détermine la contracture des
muscles
de la moitié correspondante de la face. La même e
oitié correspondante de la face. La même excitation, pratiquée sur le
muscle
sterno-mastoïdien droit, fait contracter ce muscl
, pratiquée sur le muscle sterno-mastoïdien droit, fait contracter ce
muscle
: la face se porte à gauche. — En grattant, pour
e porte à gauche. — En grattant, pour ainsi dire, avec les doigts les
muscles
fléchisseurs des doigts et des avant-bras, on amè
actures artificielles, il faut exciter, dans une certaine mesure, les
muscles
antagonistes. L'expérience a été répétée plusieur
entes contractures qu'on a fait disparaître, sauf une contracture des
muscles
de la langue et du larynx : elle ne peut pas pa
e vainement, après l'avoir endormie de nouveau, de décontracturer les
muscles
du larynx; seule, la langue est débarrassée. So
nnant le sterno-mastoïdien gauche, on détermine une contracture de ce
muscle
, et la tête se porte à droite. Pour la faire disp
Pour la faire disparaître, ou bien l'on donne de petits coups sur ce
muscle
avec l'extrémité du doigt, ou bien on frictionne
les uns ni les autres nous ne parvenions à vaincre la résistance des
muscles
de la paroi abdominale. Peu à peu, les tentatives
s vulgaires. Mais, ce qui est plus curieux, elle a intéressé l'un des
muscles
sterno-mastoïdiens et produit un torticolis hys
caractères particuliers chez W... En effet, une portion seulement du
muscle
était rigide. Rappelons enfin la contracture du s
déterminant une rétention d'urine; — une contracture artificielle des
muscles
du larynx qui a disparu, grâce au chloroforme, ap
ction d'une scène réelle qui a causé la première attaque syncopale.
muscles
fléchisseurs des doigts et de l'avant-hras produi
ion, que l'on fait disparaître en pratiquant la même manœuvre sur les
muscles
antagonistes. Catalepsie. — Les paupières, qui
primitif. Sommation. — Alors, on peut provoquer la contracture des
muscles
(hyperexcilabilité musculaire). Nous déterminons
dans la période de sommation ou de somnambulisme. En tapotant sur les
muscles
extenseurs des doigts et de l'avant-bras droit, o
on de la distension énorme du ventre (tympanite) et de la tension des
muscles
abdominaux. — Une forte pression sur la région so
tance : il y a une sorte de lutte, un léger froncement du sourcil, du
muscle
frontal, etc. — Ni au moment où elle s'endort,
n et l'adduction. b) Phase clonique. — La face se congestionne, les
muscles
des joues et des lèvres sont le siège de convulsi
ourant déterminent des mouvements de déglutition, une contraction des
muscles
de la face, et le retour momentané de la connaiss
'ouïe. Au dynamomètre Burq : 19 à droite, 16 à gauche. Mai. — Les
muscles
des membres inférieurs ont conservé leur contract
s de sterteur ; dans un cas, la respiration ne se faisait que par les
muscles
abdominaux, le thorax restant immobile; les batte
ible de reproduire pendant l'état de sommeil. Il suffit d'exciter les
muscles
légèrement avec la main pour les voir se contract
al. Fig. 7. Il est même possible de tétaniser à ce point tous les
muscles
du corps que le sujet se raidisse absolument et
s prononcée. En frictionnant légèrement, avec le bout des doigts, les
muscles
fléchisseurs des doigts et des avant-bras, on dét
l. XIII). On peut, par la même manœuvre, contracturer isolément les
muscles
, par exemple le steruo-mastoïdien, et produire un
toïdien, et produire un torticolis artificiel; — ou tout un groupe de
muscles
, par exemple la masse sacro-lombaire, et placer a
lombaire, et placer ainsi le corps en opisthotonos. En excitant les
muscles
de la face, ou le nerf facial en avant de l'oreil
es et, de la sorte, il est facile de se rendre compte de l'action des
muscles
et des nerfs moteurs de la face. Pour faire ces
la face. Pour faire cesser la contracture, il suffit de malaxer les
muscles
contractures ou de frictionner légèrement les mus
de malaxer les muscles contractures ou de frictionner légèrement les
muscles
antagonistes, en ayant soin de ne pas les exciter
. On appuie sa tète sur le dos d'une chaise, ensuite on frictionnedes
muscles
du dos, des cuisses et des jambes, et on place le
faire fléchir le corps. Dans la somniation, si l'on contracture les
muscles
du dos, la malade étant appuyée sur le dos d'un a
M. Charcot, permettent de faire, en quelque sorte, la physiologie des
muscles
et des nerfs, soit qu'il s'agisse des attitudes i
ée du sterno-mastoïdien gauche, on fait disparaître la contracture du
muscle
sterno-mastoïdien du côté droit. - Nous frictionn
re du muscle sterno-mastoïdien du côté droit. - Nous frictionnons les
muscles
fléchisseurs des doigts et des avant-bras, et nou
faire cesser, il rendort B... par le regard ; puis, il frictionne les
muscles
extenseurs ; les bras ne Planche XIX. LÉTHARG
culaire ; on analyse, pour ainsi dire, l'action isolée des principaux
muscles
de la face : orbiculaires des paupières et des lè
uriculaire, élévateur commun de l'aile du nez, masséter, etc. ; — des
muscles
sterno-mastoïdiens, des muscles fléchisseurs et e
l'aile du nez, masséter, etc. ; — des muscles sterno-mastoïdiens, des
muscles
fléchisseurs et extenseurs des doigts et du pouce
, des avant-bras, etc.. ; — on détermine des contractures variées des
muscles
des jambes, des pieds, etc. (pieds-bots artificie
erfs (nerf facial, nerf cubital, etc.) on produit une contracture des
muscles
correspondants. 31 mars. — Nous enflammons deva
nes de Yhyperexcitabilité neuromusculaire ; elle existe pour tous les
muscles
et tous les nerfs moteurs. Il est facile de produ
ie de nouveau ; les contractures sont détruites par le tapotement des
muscles
contractures. L'anesthésie est générale et complè
pour produire des contractures, en excitant soit les nerfs, soit les
muscles
, demeurent sans résultat ; en un mot, il n'y a pa
abilité musculaire, on s'en souvient, est présente. Si l'on excite le
muscle
sterno-mastoïdien, on produit un torticolis artif
es Planches XXXIX et XL montrent,l'une, les effets de l'excitation du
muscle
frontal, l'autre, ceux de l'excitation du muscle
s de l'excitation du muscle frontal, l'autre, ceux de l'excitation du
muscle
zygomatique. Planche XXXIX. LÉTHARGIE CONTR
C, mouvements de rotation de la tête et du cou ; — D, mouvements des
muscles
de la face ; — E, mouvements de la langue, des mâ
s. L'insensibilité s'étend aux parties profondes ; elle affecte les
muscles
qui peuvent être excités par l'électrisation sans
puissent survenir dans le tableau symptomatique ; c'est ainsi que les
muscles
des membres paralysés qui, d'ordinaire, dans l'hé
e attention. On a depuis longtemps remarqué que, dans la règle, les
muscles
des membres du côté paralysé chez les sujets atte
e d'exceptions, et il peut arriver que, contrairement à la règle, les
muscles
des membres frappés d'hémiplégie subissent, à un
le rapportentre l'altération des cellules nerveuses et l'atrophie des
muscles
. Tout récemment, M. Pitres (1), à propos d'un f
embre supérieur gauche à peu près dans sa totalité. Au contraire, les
muscles
du membre inférieur paralysé ne présentaient pas
système des nerfs centrifuges est l'a-trophie et la dégénération des
muscles
auxquels les racines malades étaient destinées, s
1875. (2) Arch. f. Psych., VIII, 1878. paire, se réfléchit sur le
muscle
triceps par la voie de la racine motrice correspo
utant à l'extrémité inférieure de l'avant-bras les tendons des divers
muscles
qui accomplis-sent ces mouvements. IV. J'en a
action réflexe du triceps crural du côté de l'hémiplégie, et celle du
muscle
correspondant du côté sain (1). (1) Sur ces tra
s la première ligne représente les variations du raccourcis-sement du
muscle
pendant la contraction. La seconde ligne, coudée
le temps perdu, correspondant à la transmission de la déformation du'
muscle
jusqu'au cylindre enregistreur, dans les tubes de
re part, il dure plus longtemps.Enfin, la forme de la contrac-tion du
muscle
en question est notablement différente,encesens q
me, à la suite d'une série d'oscillations de plus en plus élevées, le
muscle
, au lieu de revenir à son état primitif, reste pe
le, dit Fouquier, la noix vomique peut dé-terminer la contraction des
muscles
paralysés, sans atteindre les parties saines. Pri
gale dans les deux sens, et l'on acquiert ainsi la conviction que les
muscles
antagonis-tes sont contractures à peu près au môm
aralyti-ques. Supposons qu'il s'agisse d'une paralysie atrophique des
muscles
qui, normalement, opèrent la flexion dorsale du p
alade, d'une façon intermittente, s'exerceront ex-clusivement sur les
muscles
gastrocnémiens dont l'activité se traduit par la
uit par la flexion plantaire ; et, de la prédominance d'action de ces
muscles
résultera, à la longue, l'attitude du pied-bot éq
blir momentanément l'attitude normale, sans résistance de la part des
muscles
paralysés, lesquels sont à la fois privés de toni
s — l'autopsie l'a maintes fois dé-montré — d'altération du tissu des
muscles
; et lorsque celle-ci s'est produite, après un la
n. Pendant la vie, l'exci-tation faradique révèle d'ailleurs dans ces
muscles
contractures une excitabilité normale, quelquefoi
ction durable, permanente. Cette persistance même de l'activité des
muscles
constitue justement le caractère paradoxal que je
l'heure. Jour et nuit, en effet, pendant des mois et des années, ces
muscles
vont rester rigides, quelquefois dans une attitud
trente mi-nutes debout sur la pointe des pieds par la contraction des
muscles
jumeaux. Au contraire, la contracture dont il s'a
'on songe à l'intensité des phénomènes chimiques de nutrition dont un
muscle
est le siège pendant l'acte de contraction. 3°
ou du tonus musculaire. Vous n'ignorez pas, Messieurs, que certains
muscles
, comme les sphincters par exemple, sont manifeste
, et qu'il en est de même, à un moin-dre degré toutefois, de tous les
muscles
delà vie animale. Ceux-ci, dans les conditions
nerf moteur correspondant a été sectionné. La contraction tonique du
muscle
se traduit encore comme l'a montré Cl. Bernard, p
Cl. Bernard, par une modification chimique du sang qui a traversé ce
muscle
. Ainsi, la quantité d'oxygène contenue dans le sa
quantité d'oxygène contenue dans le sang artériel qui pénètre dans un
muscle
étant représenté par 7, Il % la quantité contenue
par 7, Il % la quantité contenue dans le sang veineux à la sortie du
muscle
en contraction n'est repré-sentée que par 4, 28 °
que par 4, 28 °/0. Quand, le nerf moteur étant coupé,' la tonicité du
muscle
est abolie, la quantité d'oxygène du sang-veineux
devient donc presque égale à celle du sang artériel. Mais, dans le
muscle
à l'état de simple tonicité, le nerf étant intact
ait paradoxal en apparence d'une contraction permanente, indéfinie du
muscle
, M. Onimus a proposé d'admettre qu'il s'agissait
teignant successivement et non simultanément les divers faisceaux des
muscles
; de telle sorte que les uns se repo-seraient tand
four-nis au point de vue spécial que nous envisageons. Tandis que le
muscle
qui se contracte normalement produit un bruit de
ore (bruit rotatoire), constant dans le chiffre de ses vibrations, le
muscle
contracture ne produit qu'un bruit sourd, irrégul
e épinière, dit M Vulpian, agit d'une façon incessante sur tous les
muscles
où elle produit, par la voie des nerfs moteurs, l
voquée par des stimulations excito-motrices centripètes provenant des
muscles
eux-mêmes ou des téguments. » C'est donc un phéno
mbre de faits qui tendent à établir que la contraction permanente des
muscles
, dans le cas de contracture, reconnaît une ori-gi
cas est accolé à la paroi thoracique par le fait de la contracture du
muscle
pectoral. Nous venons de voir également que le co
ig. 85). 3. Enfin, il n'est pas exceptionnel que la contracture des
muscles
s'établisse à la face, du côté paralysé, dans le
contracture tardive des hémiplé-giques comme un état particulier des
muscles
, qui, une fois constitué, subsiste en permanence
es années. Cela est exact assuré-ment. Mais il arrive souvent que les
muscles
finissent par souffrir et s'amaigrissent. Dès lor
re ne disparaît-elle jamais avant l'époque où survient l'atrophie des
muscles
et la rétraction ligamenteuse? Quelques auteurs l
malheureux infirmes ; si, en effet, l'état spasmodique a disparu, les
muscles
ont subi des modifications plus ou moins profonde
ssent de très bonne heure. Il en est de même du tonus musculaire. Les
muscles
, en conséquence, sont flasques et cette diminutio
sie dont l'excitation détermine une violente con-traction réflexe des
muscles
fléchisseurs delà jambe; ainsi, lorsque le malade
otrice de la moelle épinière. --E,E, cellules aesthésodiques. — M, le
muscle
. -- P, la peau. -- R, segment postérieur ou centr
trice de la moelle épinière. -- E,E, cellules aisthésodiques. — M, le
muscle
. -- P, la peau. — R, segment postérieur centripèt
ire. Ainsi les excitations perma-nentes émanant, à l'état normal, des
muscles
ou de leurs apo-névroses, par la voie des nerfs m
expression physiologique est une contraction légère et permanente des
muscles
. Dans l'état pathologique, ces mêmes excitations
e des éléments cellulaires. La conséquence est alors une atrophie des
muscles
où se rendent les nerfs émanant des régions ainsi
es tendineux sont exaltés ; il n'y a pas d'atrophie musculaire et les
muscles
ont conservé leur excita-bilité normale. 11 exist
quelques mots, voici les caractères fondamentaux du groupe : 1° Les
muscles
sont frappés d'impuissance motrice. La para-lysie
plus ou moins complète; mais — et ceci est le fait fondamental, — les
muscles
des parties affectées sont en outre le siège de l
cialement des faisceaux latéraux, cas dans lesquels la nu-trition des
muscles
n'est nullement affectée, 2° Les muscles de la
lesquels la nu-trition des muscles n'est nullement affectée, 2° Les
muscles
de la vie animale seront seuls intéressés, ou tou
scles de la vie animale seront seuls intéressés, ou tout au moins les
muscles
de la vessie et du rectum res-teront indemnes. Le
n'est que secondaire, accidentelle, et où l'altération trophique des
muscles
se trouve par conséquent entremêlé cliniquement a
tes centrales ou poliomyélites diffuses. Ici, la lésiou trophique des
muscles
, analogue à celle de la paralysie infantile, est
e, mais encore les nerfs moteurs qui y prennent origine, et aussi les
muscles
striés auxquels ceux-ci transmettent le mouvement
ent cette connexité étroite du nerf centrifuge et de la substance des
muscles
. Ainsi, Messieurs, vous le voyez, il existe d'u
la lésion de l'élé-ment ganglionnaire retentit nécessairement sur le
muscle
par la voie du nerf; que la lésion du nerf retent
e muscle par la voie du nerf; que la lésion du nerf retentit sur le
muscle
, qui, par conséquent, occupe le dernier rang dans
démontré d'un autre côté, quant à présent du moins, qu'une lésion des
muscles
ou des nerfs moteurs puisse retentir sur l'élémen
nnaissances physiologiques, la contracture spasmodique permanente des
muscles
passe, à juste titre, pour un phénomène étrange,
u renversée en arrière, la tête est entraînée par son poids, et les
muscles
antérieurs sont absolument incapables de la ramen
trophie proprement dite. La rigi-dité est prononcée, surtout dans les
muscles
adducteurs de la cuisse. La tête est immobile. Le
érieure de la face, soulèvement des commissures. Paralysie légère des
muscles
labiaux (la malade dit qu'elle bave continuelleme
mme un faible degré de contracture, comme cet état caractéristique du
muscle
malade et cependant actif, et qui, en un mot, suf
: « les jambes ne sont pas atrophiées d'une façon frappante, mais les
muscles
sont flasques, et leur force très notable-ment am
de parésie sys- tématisée dans tel ou tel domaine. D'ailleurs, les
muscles
sont un peu diminués de volume seulement, sans
i décoloration des cheveux, des sourcils et des cils. Du côté des
muscles
, la motilité est intacte aussi bien du côté du fa
ongtemps à gauche qu'à droite. L'examen électrique des nerfs et des
muscles
pratiqué par M. Huet n'a montré aucun trouble q
position, mouvement, résistance,poids) que concou- rent à créer nos
muscles
, nos articulations, nos tendons, notre peau, etc.
mot était que le sens qu'il désigne ne nous fait pas connaître nos
muscles
eux-mêmes. M. Bonnier doit évidemment mieuk sav
rmo-algésie sont figurés sur le schéma. , L'examen électrique des
muscles
est pratiqué par M. Allard. Tous les muscles de
'examen électrique des muscles est pratiqué par M. Allard. Tous les
muscles
des membres supérieurs et des épaules se contract
re et du tendon de la longue portion du biceps. Dans la portion des
muscles
sous-scapulaire, sus-épineux, sous-épineux, qui
odules sont ovoïdes, légèrement allongés dans le sens des fibres du
muscle
; ils sont au milieu même des éléments constituti
du muscle ; ils sont au milieu même des éléments constitutifs de ce
muscle
. Leur diamètre est de un à un centimètre et dem
n à un centimètre et demi ; ces nodules sont un ou deux pour chaque
muscle
. Ils sont constitués par une coque externe, min
e nette, linéaire ; en dehors elle se continue avec les éléments du
muscle
. HOSPICE DE BICÊTRE LABORATOIRE DE M. PIERRE
e t'amyotrophie névritique et de la myopathie : atrophie des petits
muscles
du pied chez une jeune fille de 15 ans avec ste
avec adipose et pseudo-hypertrophie des mollets, participation des
muscles
du bassin et conservation des réflexes patellaire
pathogénie des myopathies à la seule intervention protopathique du
muscle
et force est d'admettre une participation du sy
ement postérieur signalé par Marie et Onanoff. Pas d'atrophie des
muscles
de la face. L'expression du visage est normale
e. Pas de trouble de la mimique. Cou et tronc. Pas d'atrophie des
muscles
du cou ou de la nuque. Au palper, on sent très
as de déjètement des omoplates. Pas de déformation du thorax. Les
muscles
des gouttières sont respectés. Il semble y avoi
s sont respectés. Il semble y avoir cependant un peu d'atrophie des
muscles
de la sangle ab- dominale qui n'offre pas la ré
eurs kilogs en peu de jours. L'examen électrique des nerfs el des
muscles
a révélé les particularités suivantes : Excit
100, elles ne débutent qu'à 150 pour le crural et le pé- ronier.
Muscles
. Disparue pour les muscles de l'épaule et du bras
à 150 pour le crural et le pé- ronier. Muscles. Disparue pour les
muscles
de l'épaule et du bras. A l'avant-bras on n'a q
'apparaissent qu'entre 150 et 200. ` Diminution nette au niveau des
muscles
de la paroi abdominale. A la face, au contraire
, au contraire, l'exploration, qu'elle porte sur le nerf ou sur les
muscles
, produit une contraction brusque et énergique qui
au niveau de la racine des membres; simple diminution au niveau des
muscles
encore conservés à la périphérie. L' excitabili
re. Le péroné participe dans une certaine mesure à l'inflexion. Les
muscles
du membre inférieur droit sont plus grêles que
re et la motilité varient aux deux membres. A droite, on trouve des
muscles
bien développés et le malade exécute tous les mou
ensitifs peuvent être suivis jusque dans la peau et jusque dans les
muscles
. Les muscles ont une structure nor- male ; les
ent être suivis jusque dans la peau et jusque dans les muscles. Les
muscles
ont une structure nor- male ; les fibres muscul
ation transversale très nette comme la fibre musculaire adulte. Les
muscles
sont bien proportionnés et nulle- ment atrophié
au niveau du ganglion ophtalmi- que et, de là, va se distribuer au
muscle
droit externe. Le trijumeau dont la portion int
tribue par ses deux branches cervico-faciale et temporo-faciale aux
muscles
superficiels de la tête. Le nerf auditif que
avité pathologique. - D \i. dure-mère. - G S. ganglion sensitif. M.
muscle
. - G. Sy. grand sympathique. 142 BRISSAUD ET BH
e l'ouïe. Pas de céphalée. . On constate une atrophie marquée des
muscles
des éminences thénar et hypothénar et des inter
nge. La force musculaire est nulle. La sensibilité est normale. Les
muscles
du bras droit, de l'épaule et du tronc présentent
avec atrophie commençante PARAPLÉGIE CERVICALE INCOMPLÈTE 145 des
muscles
des mollets et des cuisses. Ou coustate au niveau
d dans la main droite en même temps que se montrait l'impotence des
muscles
de la même région. Cette constatation nous auto
e (nerveux) était le suivant : Membre supérieur droit. Atrophie des
muscles
de la main droite. = (main simienne). Atrophi
ie des muscles de la main droite. = (main simienne). Atrophie des
muscles
du bras droit et de l'épaule. . Force musculair
ye de la redresser, on rencontre partout une grande résistance; les
muscles
sont raidis sur tout le côté gauche, quoique d'un
ique en varus équin, déterminée par la force inégale des différents
muscles
de la jambe. Ici le pied n'était pas en équin,
uperfi- cielle de la peau et surtout de la sensibilité profonde des
muscles
: c'est le contraire de la conception clinique
ations nous montrent qu'un spasme, ne portant pas seulement sur les
muscles
du cou comme dans le torticolis psychique de Bris
La peau et le tissu cellulaire ne présentent rien d'anormal. Les
muscles
du membre supérieur droit ne semblent pas atrophi
vant-bras. Le deltoïde, .le brachial antérieur ainsi que les autres
muscles
du bras paraissent intacts, sans atrophie, ils
sans atrophie, ils se contractent bien ; il en est de même pour les
muscles
de l'avant-bras, y compris le long supinateur,
bras droit, et 92 kilogs dans le gauche. La réaction électrique des
muscles
du membre supérieur droit est normale. La contr
secousse musculaire est identique dans les deux membres ; tous les
muscles
, excités séparément, répondent aux' interruptio
placée sur le sternum et l'autre appliquée successive- ment sur les
muscles
de l'épaule, du bras et de l'avant-bras des deux
fermés. Les troubles moteurs cessent pendant le sommeil. Tous les
muscles
de la face se contractent régulièrement, L... rit
a pris l'habitude de plisser le front, contraction mus- culaire des
muscles
frontaux qui détermine des rides verticales profo
uent, se fait spontané- ment, à son insu. Rien d'anormal dans les
muscles
de la nuque. Pas de déformation cra- nienne.
ent de la fente palpébrale ni du champ visuel, pas de paralysie des
muscles
moteurs de l'oeil, ni de troubles de l'accommod
r et qu'il s'accompagne presque toujours d'un affaiblis- sement des
muscles
de la face qui en fait le type facio-scapulo-humé
les paralytiques d'origine névritique n'atteignent généralement les
muscles
du bras qu'après avoir atteint ceux de l'avant-
dans l'hypothèse de paralysie, au nerf sous-scapulaire innervant le
muscle
sous-épineux. « Le muscle sous-épineux est, en
sie, au nerf sous-scapulaire innervant le muscle sous-épineux. « Le
muscle
sous-épineux est, en effet, un rotateur de l'humé
u membre supérieur » (1). La. perturbation dans les fonctions de ce
muscle
, un certain degré d'atrophie du biceps brachial
respond à la lésion des 5° et 6e cervicales, intéresse en effet les
muscles
deltoïde, biceps, brachial antérieur et long supi
au claviculaire du grand pectoral ; la parésie du premier groupe de
muscles
(1) J'ai puisé les notions sur « la physiologie
notions sur « la physiologie normale et pathologique des différents
muscles
» en cause dans cette observation dans le chapitr
ette observation dans le chapitre, ainsi intitulé, des maladies des
muscles
et des nerfs en particulier, de M. Hallion, in Tr
e ? Une altération anatomique ou fonction- nelle de cerlains de ces
muscles
, caractérisée d'une part par une atrophie légèr
grand pectoral, et, d'autre part, par des troubles fonctionnels du
muscle
sous-épineux (adduction et rotation du bras en
parcellaire du plexus brachial .incomplète du fait de l'intégrité;^
muscles
deltoïde, brachial antérieur et long supinateur,
vation puisse être rappro- chée du cas de Giraudeau : paralysie des
muscles
sus- et sous-épineux, sans troubles de la sensi
p. 841). Mais il est à remarquer que les troubles fonctionnels des
muscles
élé- vateurs de l'épaule et rotateurs du bras o
e de cette paralysie parcellaire du plexus brachial, respectant les
muscles
commu- nément atteints dans le type de Duchenne
é sur le plexus brachial ? Le diagnostic de trouble fonctionnel des
muscles
élévateurs de l'épaule et rotateurs du bras rép
ment la conséquence du peu d'activité fonctionnelle de tels ou tels
muscles
, de même qu'au contraire on voit des hypertroph
re supérieur droit qui semblait relever de troubles fonctionnels du
muscle
sous-épineux, provenait en réalité de ce fait q
écepteur au membre supérieur droit malade. La correction du tic des
muscles
frontaux marchait parallèlement sous la double
du pouce, et en correspondance avec une atrophie assez intense des
muscles
de l'éminence thénar de la main droite. I L'h
position que prend la main. Il n'est donc soumis à l'action d'aucun
muscle
; du reste, l'éminence thénar, aussi bien que l
doute, l'inspection la plus superficielle montre que les os et les
muscles
n'ont pas acquis leur volume normal, et l'on sera
on fibreux représentait, comme on l'a dit, le reste des tendons des
muscles
du pouce, ces tendons ne pourraient être que ce
s des muscles du pouce, ces tendons ne pourraient être que ceux des
muscles
extrinsèques dont la longueur et le calibre corre
s se révélerait par la possibilité des mouvements spontanés que ces
muscles
imprimeraient au pouce anormal. Nous n'observon
ractus fibreux sur lequel prennent insertion quelques faisceaux des
muscles
tibiaux. Le cordon fibreux dont il s'agit doit êt
ier qui domine et carac- térise l'anomalie. ' Pour ce qui est des
muscles
, il est difficile de préciser nettement, en l'a
rne, aucune part au pro- cessus spécial qui intéresse les os et les
muscles
; elle parait simplement atteinte d'un arrêt de
de deux processus : tous deux touchen tsimultanément les os et les
muscles
; un seul d'entre eux touche les vaisseaux. Ce
pendant du mode de différenciation des parties squelettiques et des
muscles
, qu'il intervient secondairement, à titre de pr
bords extérieurs, aux fibres obliquo-transverses, qui dérivent des
muscles
stylo- glossits et hyoglossus. , La partie co
confondre, vers les bords, avec les libres obliquo-transverses des
muscles
slylo-glossus et hyoglossus rappelés tout à l'h
lylo-glossus et hyoglossus rappelés tout à l'heure. Au-dessous du
muscle
lingualis superficialis se trouvent les fibres mu
: elles se trouvent logées avec leur graisse interposée, entre les
muscles
. lingualis superficialis et lingualis inferior, d
vons décrites frappent essentiellement les fibres longitudinales du
muscle
lingualis superficialis. Celui-ci fait partie,
rive du deuxième arc céphalique viscéral et qui donne naissance aux
muscles
de la face. Ceux-ci, comme tous les organes sembl
s) au moyen de leurs peri1ftysia. Ceci ne s'est pas produit dans le
muscle
que nous étudions. D'un autre côté, ils ne prés
et mettre en relief les intervalles. Il n'y a donc aucune lésion du
muscle
, mais un développement segment- taire longitudi
mincissement progressif de la peau ; la fistule passe au dessous du
muscle
biceps et s'ouvre dans l'articulation ; elle donn
olongée du doigt ne détermine aucun godet. Bien que le volume des
muscles
soit difficile à apprécier en raison de l'épais
lement. Les réflexes tendineux vifs. L'excitabilité mécanique des
muscles
augmentée. Rétrécissement du champ visuel des d
n. Le malade était un peu excité et timide. Le volume de tous ses
muscles
était normal. Tous ses mouvements passifs et ac
le sentiment d'être attiré vers la terre, d'avoir de l'atrophie des
muscles
, et d'être comme si ses jambes n'avaient pas de
la température et le pouls normaux. Artériosclé- rose légère. Les
muscles
bien développés, normaux, symétriques, et leur ex
tabilité vasomotrice de la* peau et de l'excitabilité mécanique des
muscles
, et outre les vifs réflexes tendineux, l'examen
d'autres symptômes dans notre description d'un cas de paralysie des
muscles
du tronc (1). A de certains moments, la paralysie
l'avant-bras gauche. Il n'y avait pas d'atrophie visible des petits
muscles
de la main, pas plus que des autres muscles du
phie visible des petits muscles de la main, pas plus que des autres
muscles
du membre supérieur. Pensant à une ancienne sec
uteur de l'extrémité supérieure de l'incision, on trouve, entre les
muscles
, un amas jaunàtre,moucomme du tissu adipeux,et sa
ylindriques et sans bosselures (Voy. pl. LXII, fig. A, b, d). * Les
muscles
, tant du bras que de l'avant-bras et de la main,
molle, jaunâtre, lisse, fusiforme, indépendante des tendons et des
muscles
voisins. Au moment de la section du pôle supérieu
nt seuls été paralysés. Péraire attribue la conservation des autres
muscles
à une suppléance du cubital. Quanta t'anesthési
te opération, les troubles moteurs sont limités à une paralysie des
muscles
opposant du pouce et court abducteur. Il y a eu,
ession cellulaire identique à celle que nous avons décrite dans les
muscles
placés dans des conditions analogues (1). Cette
xagéré chez Symbole avec irritation très grande et frémissement des
muscles
chez Mirabelle, mouvement de défense chez Notus e
se prononce rapide- ment ; elle se dessine également à gauche ; les
muscles
de ces éminences s'atrophient avec une grande r
acarpiens ; les espaces interosseux commencent à se dessiner. Les
muscles
des éminences thénar répondent faiblement aux c
t, des reliefs très marqués, par suite de l'état de contracture des
muscles
; les mouvements d'élévation du bras sont impos
une dépression assez considérable. Dans la paume de la main, les
muscles
qui s'attachent au bord interne du premier méta
entre l'une et l'autre de ces deux masses musculaires, il reste des
muscles
formant un bourrelet assez notable. -L'émi- nen
s supérieurs sont dans un état de rigidité bien caractérisée. Les
muscles
de l'éminence thénar sont un peu moins rouges q
rophiés, mais présentent, eux aussi, une coloration jaunâtre. Les
muscles
du bras et de l'avant-bras ont une coloration n
ont une coloration normale : le deltoïde est un peu jaunâtre. Les
muscles
des membres inférieurs ont un aspect normal ; l
bornerons à une simple énumératiou, notamment pour les nerfs et les
muscles
. CAS DE SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE. 15 C
euse et légère augmentation du tissu conjonctif interstitiel. Les
muscles
thénar et hypothénar qui laissent voir d'une fa
hologique. Nous n'avons pas eu à notre disposition de nerfs ni de
muscles
des extrémités inférieures. 20 PATHOLOGIE NERVE
ement de mai qu'on commença à remarquer un peu d'amaigrissement des
muscles
, surtout du côté droit du corps, spécialement à
ion plantaire s'exécute un peu, les pieds sont un peu tombants. Les
muscles
des extrémités inférieures sont, comme ceux de
t écarter ses deux jambes, on éprouve une notable résistance. Les
muscles
du cou sont atteints eux aussi, la malade ne pe
ement 1 Les notes prises par M. Vigoureux sur l'état électrique des
muscles
et des nerfs ont été perdues; les résultats qu'
rtion du masséter, on détermine très nettement la contraction de ce
muscle
et avec plus d'in- tensité qu'à l'état normal.
des cellules adipeuses du tissu interstitiel. Dans le larynx, le
muscle
de la corde vocale inférieure était altéré d'un
e la corde vocale inférieure était altéré d'une façon évidente, les
muscles
voisins ne l'étaient pas, ou l'étaient beaucoup
voisins ne l'étaient pas, ou l'étaient beaucoup moins. Parmi les
muscles
des extrémités, les interosseux palmaires du tr
le Dr E. Cyon1. Ensuite, on écarte avec le manche du scalpel les
muscles
fessiers, et on arrive au tiers supé- rieur du
de temps après, il se produit une réaction dégénérative absolue des
muscles
paralysés et de l'amaigrisse- ment. La mort a l
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE I. SUR LES allures DES nerfs ET DES
muscles
malades (dégénérés) A l'égard DES courants magn
. Mais il se présente certains cas dans lesquels l'excitabilité des
muscles
dégénérés à l'égard des courants magnétiques re
e plexus et troncs nerveux co-affectés, atrophie dégénérative des
muscles
. Pathogénie. Au début, phénomènes d'irritation de
é des racines antérieures cervicales et lombaires, altéra- tion des
muscles
de l'extrémité supérieure droite et de la jambe
tralbl. f. Nervenheilk. 1884.) Observation I. Paralysie isolée du
muscle
deltoïde gauche. Observation II. Paralysie isol
sur le nerf sus-scapulaire, le nerf thoracique postérieur (longus) (
muscles
sus- et sous-épineux et grand dentelé); atteint
us-claviculaires postérieurs qui complètent l'innervation du spinal(
muscle
trapèze). Intégrité des branches sus-claviculai
aide d'un courant fara- dique fort, de provoquer la contraction des
muscles
en divers endroits du corps. Si l'on réussit, o
Quand ce réflexe est doué d'une force. moyenne, il y a concours des
muscles
oblique externe, oblique . interne, diaphragme,
autre patient qui présente des crises laryngées et des parésies des
muscles
du larynx. Un mémoire sera publié. Discussion
par lui pendant un temps assez long, et compliqué de paralysie des
muscles
de l'oeil, le premier symptôme de l'affection s
er symptôme de l'affection spinale fut une paralysie unilatérale du
muscle
crico-aryténoidien postérieur. A rapprocher du
lates ; lordose lombaire; convulsions cloniques des extrémités, des
muscles
de la nuque et du visage du même côté; la tête
ière et à gauche; l'enfant fait toute espèce de mouvements avec les
muscles
du visage et de la langue quand il veut parler;
es, la langue ; les lèvres beaucoup plus volumineuses à gauche; les
muscles
atteints sont plus fermes et plus tendu; malgré
ment énumérées; elles ne siègent donc pas dans la peau, ni dans les
muscles
et tendons, car on peut, dans un certain nombre
85. N" 29 ARCHIVES DE NEUROLOGIE PHYSIOLOGIE SUR LA TENSION DES
MUSCLES
COMME SUBSTRATUM DE L'ATTENTION; Par le profe
é d'Exner. En d'autres termes : l'acte de volonté et la tension des
muscles
qui en résulte se préparent d'avance, précèdent
infailliblement accompagnée de la tension prépa- ratoire des mêmes
muscles
qui doivent se contracter pendant l'exécution d
sychologie, t. III, chap. vi (sur la mémoire). SUR LA TENSION DES
MUSCLES
. 147 pensées a lieu dans les conditions suivant
as être question de deviner une ligne entière. SUR LA TENSION DES
MUSCLES
. 1 19 * Pour éclaircir la question qui nous int
entionnés du suggesteur. Votre sensation subjec- SUR LA TENSION DES
MUSCLES
. 151 tive, si vous jouez le rôle de lecteur, ne
ce de contraction musculaire du suggesteur et la résistance que ses
muscles
opposent à la main du lec- teur grandissent par
ents de la main de ce dernier, tout de même que la tension de nos
muscles
est proportionnée à la violence du vent et de s
l'obstacle que l'eau offre à la rame du rameur et la tension des
muscles
de ce dernier. C'est la raison pour laquelle le
ans l'expérience consistant à deviner un nombre, SUR LA TENSION DES
MUSCLES
. 153 3 un mot ou une figure convenus, l'acte de
es chiffres sont diffi- ciles pour commencer. SUR LA. TENSION DES
MUSCLES
. 155 à cette occasion, je me suis convaincu de
'existence de la ligne horizon- 156 PHYSIOLOGIE. SUR LA TENSION DES
MUSCLES
. tale supérieure, je déplace subitement le bras
mier symptôme qui fixe l'attention, c'estle volume considérable des
muscles
. Presque tous les muscles 20 le RECUEIL DU FAIT
ttention, c'estle volume considérable des muscles. Presque tous les
muscles
20 le RECUEIL DU FAITS. volontaires font des
é- rable qui devient une véritable tumeur dure et bombée quand le
muscle
entre en contraction. Le poignet est grêle. La ma
. La main est courte et paraît très épaisse par suite du volume des
muscles
des éminences thénar et hypolhénar. Les doigts
s ne semblent pas atteindre des dimensions comparables à celles des
muscles
de la cuisse. Le pied est petit, sec, osseux. D
moins longs que chez un sujet de même taille. L'hypertrophie des
muscles
sacro-lombaires est considérable. Ces masses mu
uttière. La lordose des vertèbres lombaires est très manifeste. Les
muscles
du thorax sont également plus gros qu'à l'état
bandes qui rendent le cou presque aussi large que la face. Ces deux
muscles
, dans leur contraction, gênent considérablement
donne les chiffres suivants : MALADIE DU THOMSEN. 205 Lorsque les
muscles
sont au repos, ils ont une consistance élastiqu
ent renflés et de former des saillies lisses, ainsi que le font les
muscles
normaux; ils sont irrégulièrement bossués, prés
ais elle est loin d'être en rapport avec le volume considérable des
muscles
et l'énergie apparente de leur contraction. L
pliquée sur le slernum, électrode différente sur le point moteur du
muscle
.) 1 éléments Gaiffe 1 = 0,5 milliampères KSZ
ettent en évidence celte difficulté particulière du relâchement des
muscles
préalablement contractés. Le tracé reproduit da
y voit aussi très nette- ment que la période de raccourcissement du
muscle
est sen- siblement égale dans toutes les contra
se répètent. , . Des phénomènes analogues se produisent lorsque le
muscle
est tétanisé par le passage d'un courant faradi
s. La figure 3 montre les formes de la contrac- tion électrique des
muscles
fléchisseurs de la main chez notre malade. Une
ant placée dans la paume de la main, on lance les courants dans les
muscles
fléchisseurs. Si le muscle est reposé lorsque c
la main, on lance les courants dans les muscles fléchisseurs. Si le
muscle
est reposé lorsque cette excitation a lieu, il
à son état de repos physiologique /Ti. 3). Au contraire, lorsque le
muscle
a subi plusieurs excitations antérieures, il e dé
pour ainsi dire pas de différences entre la courbe fournie par les
muscles
de notre malade et la courbe fournie par les mu
ournie par les muscles de notre malade et la courbe fournie par les
muscles
d'un sujet normal (Fig. 4, B). Les muscles des
courbe fournie par les muscles d'un sujet normal (Fig. 4, B). Les
muscles
des membres ne sont pas seuls atteints des troubl
que nous venons de décrire. 7 ? y. 3. -Décontractiou très lente du
muscle
dans lamaladie de Thomsen, lorsque l'excitation
dans lamaladie de Thomsen, lorsque l'excitation a été portée sur le
muscle
reposé. MALADIE DE THOMSEN. 209 Les mouvement
et que la volonté a cessé son action. Si M. M... se met à rire, les
muscles
contractés de sa figure exprimeront malgré lui le
ig. 4. A, Tétanos musculaire dans la maladie de Thômsen, lorsque le
muscle
a été préalablement fatigué par des excitations r
répétées. B, Tétanos musculaire normal. 210 0 RECUEIL DE FAITS.
muscles
contractés et immobilisés. Comme la face est touj
té de la langue qui a toujours été intacte, mais de la rigidité des
muscles
des lèvres et des joues. L'attention portée par
nté les troubles de la motilité que nous venons de décrire pour les
muscles
des membres du tronc et de la face. La déglutit
a jamais eu de gêne de la respiration atlribuable à la rigidité des
muscles
du thorax. Les mouvements passifs, communiqués
sans autre résultat que de provoquer quelques contractions dans les
muscles
de'la face; la commissure labiale est violemmen
s lépreuses) et sur la peau de la face intacte, atrophie des petits
muscles
des deux mains avec troubles de nutrition, de l
autres. P. K. XXXI. UN cas D'HYPERTONIE PSEUDO-HYPERTROPHIQUE DES
muscles
; par A. EULENBURG (Neu1'olog, Centralbl., 1884).
alvano musculaire et de l'excitabilité mécanique directe des divers
muscles
des quatre extrémités. P. K. XXXII. SUR LES TRO
Parmi ces cinquante ma- lades, treize présentaient des troubles des
muscles
de l'oeil, dix-neuf des perturbations pupillair
XXXV. Atrophie musculaire héréditaire ET PSEUDOHYPER- TROPHIE DES
muscles
; pas SCHULTZE (Neurolog. Cen- tralbl., 1884).
par exemple sous la rubrique de surcharge graisseuse de quel- ques
muscles
ou d'altérations anatomiques consécutives ; elles
u l'anesthésie et la parésie remontèrent jusqu'à l'épaule. Tous les
muscles
du membre supérieur étaient en état de parésie,
ros ganglions, de la protu- bérance, des noyaux, qui commandent aux
muscles
de l'oeil. Seuls les noyaux de l'hypoglosse sem
erve un léger tremblement et une contraction convulsive de quelques
muscles
des jambes même pendant le repos, et alors les
t sous la peau. On remarque une rigidité, une tension dans tous les
muscles
des jambes, mais de différents degrés : plus fa
ont visiblemet 308 PATHOLOGIE NERVEUSE. exagérés. La réaction des
muscles
et des nerfs sur les deux courants dans les ext
. Au mois d'octobre 1882, les crampes apparaissent aussi dans les
muscles
de l'abdomen et l'examen démontre la rigidité des
ans les muscles de l'abdomen et l'examen démontre la rigidité des
muscles
du côté droit de l'abdomen. L'examen, fait au m
mptômes les plus remarquables sont : marche spastique, rigidité des
muscles
, leur tremblement convulsif et contractures, af
ladie, par son cours de bas en haut, par l'absence de l'atrophie de
muscles
. 11 est vrai qu'à ce diagnostic on pour- rait o
montra une absence de parésie, de rigi- dité et de contractures des
muscles
et d'agrandisse- ment des réflexes des tendons.
il y a des petites contractions spas- modiques dans les différents
muscles
de la face du côté gauche. Ces contractions se
de quatre attaques convulsives dontles prodromes (boule, spasme des
muscles
de la face) existaient avant la séance d'hypnot
ptiformes et des contractures qui disparaissent par la friction des
muscles
antagonistes. La malade est réveillée par le so
alors les contractures par l'excitation superficielle au niveau des
muscles
antagonistes, je renouvelle mes suggestions et
tervalle les membres en entier, on sent une trémulation de tous les
muscles
, surtout à l'avant-bras. 13. Le tremblement per
limitées; elles occupent le plus souvent un membre, ou un groupe de
muscles
, parfois même un muscle isolé ; en général elle
le plus souvent un membre, ou un groupe de muscles, parfois même un
muscle
isolé ; en général elles sont associées à diver
pas reparu. Il resterait à se demander si c'est en agissant sur le
muscle
ou sur le système nerveux que le sucre arrive à
globe oculaire (paralysie du nerf oculo-moteur externe gauche et du
muscle
droit interne droit) ; sur la paralysie de .l'hyp
'), pnl' .\1. J. Teis- sier, 408. Attention (sur la tension des
muscles
comme (le l'), par Sikol'sky, 145. Beach (cas
Nixon, 230. Mort apparente (diagnostic de la), par l3uclt, 96.
Muscles
(cas d'hypertonie pscudo- hypertrophique des),
ar Siemens, 101. Réactions électro-magnétiques des nerfs et des
muscles
malades, par Eulcubur, 90. Sciatique (altérat
ont été détruits. Le trouble paralytique, qui s'est montré sur les
muscles
de la langue et des membres du côté droit a été
ue la destruction n'a pas atteint les conducteurs nerveux que ces
muscles
reçoivent ; ces conducteurs n'ont éprouvé qu'un
ontinuellement d'avoir le corps absolument changé; elle n'a plus de
muscles
, plus de sang, plus de veines. Elle a senti tou
iN,1-1 A. AI... ne fait que répéter qu'elle n'a plus de veines, de
muscles
, de sang. Tout son corps est changé en nerfs, e
le diag- nostic d'athétose auquel contredisent la participation des
muscles
oculaires, et masticateurs, et du facial entier
branche horizontale de la mâchoire inférieure; atrophie de tous les
muscles
innervé» par la troisième branche du nerf triju-
est atrophiée. Sensibilité normale, collt"(Ictilité électrique des
muscles
utrohlaiés-- conservée. Rien d'anormal dans le
en question, nous associons les notions issues des mouve- ments des
muscles
de i'oeit et celles qui sont fournies par le ta
musculaire, de façon a provoquer quelques contractions dans chaque
muscle
. On agira de même pour la région lombaire. L'él
éside uniquement dans l'excitation rapide de la contractilité des
muscles
superficiels, quand la maladie ne présente pas d'
agirait seul, et donnerait naissance à une contraction continue des
muscles
(tétanie, athétose, etc.). Une des dernières
upières supé- rieures ; les yeux sont légèrement entr'ouverts ; les
muscles
de la face se convulsent, surtout à droite; la
onique, succède bientôt une période de convul- sions cloniques. Les
muscles
de la face et des membres du côté droit sont ag
perexcitabi- lité(très manifeste de la moelle ; 2° la paralysie des
muscles
part aux convulsions. ? Ençé qui concerne l'hyp
s de suite, cons- tamment apparaissait une parésie- transitoire des
muscles
con- vulsésJqVtiicirlx.relation de ces ? paraly
ulait faireet'réciprôquëment; ici l'intervention-d'ùné'' ataxierdés
muscles
de'1'articulation du 1üliâe-devienfinsuffisânte'-
de la moelle, vers, la périphérie 9'(zones des nerfs moteurs et des
muscles
), occasion non t d'es désordres n anatomiquemen
lq 6')i ) i Pob ? r.nnr 'J".0'tB M. Jolly (de Strasbourg). Sur (les
muscles
ù regarder, de f'<ec<)'M ! '<ds<aM
oyant la'bouteille dé Lé3-déDans tôislcâs d'alôphie,de3tta certains
muscles
à réaction'fâradyqueepûtsée, il trouva un peuj3gg
uantité d'électricité, par décharges détachées qùeincitation 9' des
muscles
bien portants 5 ! 9.1JJ069'1 8ST3D92 .IJI nI. M
vitesse des changements de l'humeur peut être si accentuée que les
muscles
sont incapables de marcher du même pas, d'où l'
ments passion- nels ; les autres, la participation involontaire des
muscles
de la lace à l'action impétueuse des autres mus
nvolontaire des muscles de la lace à l'action impétueuse des autres
muscles
du corps (état maniaque et surtout délire aigu)
certaines grimaces (exagération dans les contractions de plusieurs
muscles
du nez, des lèvrés ? renillemenLs, etc.); les h
ficulté de trouver, les mots). L'unilatéralité d'action de quelques
muscles
, l'asymétrie fonctionnelle qui engendre les exp
HIQUE; Par le D, Romain VIGOUI301jX. L'augmentation de volume des
muscles
a été notée dans quelques-uns des cas de maladi
t exactement ceux de certains dan- seurs. C'est dire que tous leurs
muscles
sont également atteints. La palpation donne la
il semble que les aponévroses d'enveloppe aient disparu et que les
muscles
forment avec le pannicule graisseux sous-cutané
deltoïdes, et, à un moindre degré, des triceps et biceps. Tous ces
muscles
sont plus volumineux que ne le comporte le rest
ure du sujet, et présentent la consistante susdite. L'apparence des
muscles
des avant- bras est n irmale ; les muscles intr
susdite. L'apparence des muscles des avant- bras est n irmale ; les
muscles
intrinsèques des mains (thénar, hypothénar, int
terosseux) sont manifestement hypcrtrophiques. Le développoment des
muscles
du tronc ne présente rien de particulier. La
diminuée pour le galvanique. On ne peut obtenir de contraction des
muscles
des membres qu'avec un courant de 110 à 120 dix
indication sommaire, sans reproduire les chiffres relatifs à chaque
muscle
ou nerf en particulier. Il n'y avait d'ailleurs
ous reste à parler. En effet, ce n'est pas de la faiblesse de ses
muscles
que le malade se plaint, car il peut rester plu
se et reste immobile ; si on le poussait, dit-il, il tomberait. Les
muscles
des cuisses et des jambes sont durs et manifest
t-bras sont contracturés. Le spasme dure quelques se- condes. Les
muscles
de la mâchoire et de la langue sont aussi affec
é- canique n'est pas augmentée, en ce sens que la percussion d'un
muscle
avec le marteau ne provoque pas sa contraction en
à-dire que l'électrode excitatrice ait été placée sur le corps du
muscle
ou sur le nerf). En outre, nous avons cons- tat
en somme, rotation à gauche de la tète et des yeux avec spasme des
muscles
de la face, principalement et quelquefois exclu
ent indiquées, se produisent quelquefois de petites secousses des
muscles
convulsés; ces secousses constituent comme l'ébau
des muselés de l'a-vant-bras du volé droit et du côté gauche. a, b,
Muscles
de l'avant-bras droit un téf.misme; -e, Cow ulsio
l'avant-bras droit un téf.misme; -e, Cow ulsions cloniqucsdes mêmes
muscles
; -a' b ', Muscles de l',m.mt-br : m gnwlic au lep
un téf.misme; -e, Cow ulsions cloniqucsdes mêmes muscles; -a' b ',
Muscles
de l',m.mt-br : m gnwlic au lepos; L', ', Ces mus
scles; -a' b ', Muscles de l',m.mt-br : m gnwlic au lepos; L', ', Ces
muscles
entrent en contr,iclou en G ', alors que ceux d
-mêmeprobablement des contrac- tions forcées, souvent répétées, des
muscles
péri-articulaires. Nous avons été conduit à cet
identels et intermittents : Accès convulsifs, les uns localisés aux
muscles
moteurs de la tête et de DES ATTAQUES D'HYSTÉRI
DES ATTAQUES D'HYSTÉRIE. 285 la face gauche, d'autres étendus aux
muscles
moteurs des mem- bres gauches, d'autres enfin g
en se renver- sant, les paupières palpitent un instant et tous les
muscles
de la face sont pris d'un spasme tonique accomp
quement fermée. A peine le bras est-il entré en convulsion, que les
muscles
du visage sont pris de mouvements cloniques, qu
indice d'un accès. C'est le pouce qui se fléchit le pre- mier ; les
muscles
de la région antérieure se contractent et sont
e, mais il n'est pas possible d'en reconnaître le trajet exact. Les
muscles
du côté gauche se contractureraient, la tête s'
demie; lobules adhérents. ÉPILEPSIE JACKSONNIEXNE. 301 foimé; le
muscle
grand pectoral gauche parait moins développé qu
avant-bras n'est pas dans la flexion, il est aussi très dur, et les
muscles
de la région antérieure paraissent durs comme d
vation, toutes les branches du trijumeau gauche sont affectées, les
muscles
masticateurs sont atrophiés et paralysés, comme
des mouvements voulus ; hyperexcitabilité réflexe et mécanique des
muscles
et des nerfs; contracture et parésie des membre
que, présentent la dégénérescence atro- phique de leurs fibres. Les
muscles
sont en partie dégénérés (dis- parition des str
es cliniques : un affai- blissement croissant, suivi d'atrophie des
muscles
, des extrémités, la conservation des réflexes t
e jusqu'à la décussa- tion. Dégénérescence des nerfs moteurs et des
muscles
. L'auteur fait remarquer que la dégénérescence
s fléchisseurs de la main et des doigts et de l'ensemble des petits
muscles
de la main; une dimi- nution de la sensibilité
rs externes, de la parésie faciale gauche, de l'affaiblissement des
muscles
masticateurs, de l'anarthrie, de la parésie des e
l inférieur gauche devient parétique. Trois semaines encore, et les
muscles
masticateurs se paralysent 340 REVUE DE PATHOLO
de E. Remak déjà traitée par Kast1. Elles consis- tent en ce que le
muscle
se contracte paresseusement non pas seulement q
En outre, pour les nerfs, seules sont KaS et AnO actives ; pour les
muscles
, KaS et AnS agissent seules'.Ces modalités élec
é dans les altérations histologiques et chimiques principa- ment du
muscle
, sans qu'il soit possible de préciser davantage.
. LUI. CONTRIRUTION AU TRAITEMENT ÉLECTRIQUE DE LA CONVULSION DES
MUSCLES
DE LA FACE QUI SERVENT A LA MIMIQUE; par 0. BERGE
ant des heures, devient de jour en jour plus intense et envahit les
muscles
homonymes du côté opposé. Aucun traitement ne r
que l'on pou- vait tirer des tracés pour découvrir lasimulation.
Muscles
. L'auteur se borne à rappeler les observations fa
centrale (dilatation pupillaire alternante, parésies partielles des
muscles
de la face) ; de l'affaiblissement de la mé- mo
t successivement présidé à l'in- flammation du tissu cellulaire des
muscles
atteints et à la formation dans ce tissu de cor
trauma- tisme, attaché aune partie du système musculaire, tous les
muscles
de la tête, du cou, du tronc et des extrémités
dégénéres- cence du tissu conjonctif ou ossification. C'est sur les
muscles
pec- toraux, sur ceux du tronc, sur le grand ob
raux, sur ceux du tronc, sur le grand oblique de l'abdomen, sur les
muscles
du bras et de la jambe que les ossifications prés
ont : la parésie du facial gauche, des convulsions fibrillaires des
muscles
de la face, un embarras de la parole excessif,
produit des paralysies, rattache au lobe frontal l'innervation des
muscles
du dos, tout en lui refusant le siège de l'intell
nt des membres; des convulsions musculaires, des secousses dans les
muscles
, des bourdonnements d'oreilles et de la dysacou
associées (deux cas, dont un à droite), des convulsions dans les
muscles
de la face du côté droit (1 cas). Le premier mala
ns malades. Dans une observation, en pressant le ventre de certains
muscles
, on déchaînait des réflexes marqués sur des gro
des groupes musculaires éloignés. Hyperexcitabilité mécanique des
muscles
dans cinq cas ; un fait témoigne de la sensibilit
une manifestation analogue à la raideur observée par Boehm pour le
muscle
cardiaque dans l'intoxication à l'aide de la di
inférieures, sociétés savantes. 381 et de préférence, les petits
muscles
de la plante du pied, ou, mais à un moindre deg
tits muscles de la plante du pied, ou, mais à un moindre degré, les
muscles
du mollet ; elles atteignaient, après plusieurs
malade eût vécu plus longtemps, que le défaut d'activité motrice du
muscle
droit interne à l'occasion des mouve- ments de
mobilité de l'oeil gauche étant réduite au minimum dans le rayon du
muscle
droit externe ; blépliaroptose bilatérale modér
elle débutant par l'ac- commodation, puis se faisant sentir sur les
muscles
externes des globes oculaires. Aujourd'hui, l'i
mmuni- cation relative à la paralysie progressive de l'ensemble des
muscles
de I'oeil dans ses rapports avec les affections
eurs externes, et pathétiques et, dans un cas, l'atrophie jaune des
muscles
oculaires. Dans un autre enfin, l'inté- grité d
cles oculaires. Dans un autre enfin, l'inté- grité des nerfs et des
muscles
contrastait avec des foyers de dégé- nération m
s premiers temps, tout se bor- nait à des convulsions cloniques des
muscles
droits de l'abdomen ; plus tard les muscles des
nvulsions cloniques des muscles droits de l'abdomen ; plus tard les
muscles
des extrémités et du tronc participèrent à l'at
ort avec elles, les ergasies résultent, les unes des mouvements des
muscles
de la vie de relation, les autres des mouvement
ts des muscles de la vie de relation, les autres des mouvements des
muscles
de la vie végétative; de là, les actes volontai
ie, par Ch. Féré, 37. Electricité statique (sans action sur les
muscles
), 233. Encéphale (conservation de 1'), 306. E
de la 85, 89, 345; - (traitement électrique des convulsions des
muscles
delà), 346. Faim (influence de la -. sur les
isphère cérébral), par Bechte- rew, 78. Paralvsie progressive des
muscles
de l'oeil, 384. Paralysies saturnines des ext
limitée, mais elle est le plus souvent complète d'emblée pour les
muscles
atteints. C'est une grande surprise pour le malad
uvements et- avec une force normale. La paralysie est localisée aux
muscles
moteurs de la main et des doigts Elle porte sur
1 limitées, survenant brusquement, atteignant un petit nombre de
muscles
, mais les paralysant complètement, étaient carac-
des ongles, l'atrophie musculaire des interosseux palmaires et des
muscles
des membres. Dans le remarquable article du dic
atrophie muscu- laire, la diminution de l'excitation électrique des
muscles
, la chute des cheveux, leur décoloration; dès p
érence entre ces deux angles qui indique l'exacte extensibilité des
muscles
de la cuisse; a, l'angle plein quand on fléchit
a POSITION (U'Y OCCUPENT LES territoires correspondant A chacun DES
muscles
DE L'OEIL; par H. Schwabe. (Neurolog. Cen- tI a
. Cen- tI al6l., XV, 1896.) On enlève à des lapins les différents
muscles
de l'oeil; on les tue dans les neuf à quatorze
chwabe a obtenu des résultats positifs par l'extirpation des quatre
muscles
moteurs de l'oeil inner- vés par l'oculomoteur
antérieur) de Gudden. Ceci dit, voici la localisation de chacun des
muscles
. l- 1° Il n'y a parmi les muscles moteurs de l'
i la localisation de chacun des muscles. l- 1° Il n'y a parmi les
muscles
moteurs de l'oeil innervés par l'ocu- REVUE D'A
ute : Il est en tout cas intéressant de constater que : , a). Les
muscles
(droit supérieur et oblique inférieur) qui conc
nge le tendon du triceps fémoral et provoque des contractions de ce
muscle
qui, par l'ex- tension continue-, dégénèrent en
mblements convulsifs de tout le bras par extension du biceps et des
muscles
de l'épaule) indiquent, de même que les formesr
n I. Etude de la réaction électrique et mécanique du radical et des
muscles
qu'il anime dans un cas de paralysie par compre
ité du nerf n'est pas amoindrie et que l'excitabilité galvanique du
muscle
est augmen- tée. Apparition relativement rapide
1896) caractérisée par de l'atrophie musculaire avec atteinte des
muscles
de la face, compliquée de folie circulaire entée
UE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 55 XI. Du CENTRE DES
MUSCLES
, DU TRONC DANS LA RÉGION SENSITIVE DE l'écorce
sé dans les ascendants, n'a chez ces animaux aucun rapport avec les
muscles
du tronc ; 2° les incurvations de la colonne ve
es ; elles résultent de la vive contraction du psoas iliaque ou des
muscles
de l'omoplate, sans que les muscles du dos soie
raction du psoas iliaque ou des muscles de l'omoplate, sans que les
muscles
du dos soient le moins du monde animés ; 3° Les
rience de la table, tiennent non pas à une perte de la fonction des
muscles
du dos du même côté, mais à celle des mus- cles
unissant les centles des membres avec les centres médullaires des
muscles
du tronc. Quatre nouvelles expériences, qui sem
ion directe entre le cerveau frontal et les centres médullaires des
muscles
du tronc du côté opposé, sont contredites par l
bas (méthode de Marchi). S'il y a par conséquent une union avec les
muscles
du tronc, cette union subit dans le cerveau moy
r consé- cutif à un traumatisme du coude. L'examen histologique des
muscles
, des os, de la moelle et des nerfs a démontré q
fection caractérisée par le seul défaut du nombre des éléments d'un
muscle
, d'un os, d'un nerf, sans dimi- nution de volum
ce et que seul le volume de ces fibres fait la différence entre les
muscles
du foetus à terme et du sujet adulte ; il est p
que l'on a à vaincre quand on se trouve en présence d'absences de
muscles
à la face et aux yeux. L'auteur fournit en termin
r fournit en terminant une troisième observation type d'absence des
muscles
de la poitrine unilatérale congénitale avec ano
ou en rédui- sant au minimum l'effet moteur du raccourcissement des
muscles
: section du sterno-mastoïdien, section de la p
eur de cette supposition plaide l'atrophie dégénérative de certains
muscles
avec réaction de dégénérescence ou même avec ab
s sillons surtout du côté gauche. , L'excitabilité électrique des
muscles
de la langue était très abaissée et la réaction
e l'appareil visuel étant comme auparavant à un très haut degré. Le
muscle
frontal agissait faible- ment ; l'excitabilité
e frontal agissait faible- ment ; l'excitabilité électrique dans ce
muscle
, ainsi que dans le muscle orbiculaire des paupi
ment ; l'excitabilité électrique dans ce muscle, ainsi que dans le
muscle
orbiculaire des paupières, était très diminuée. A
duit à faire paraître des contractions, quoique faibles ; quant aux
muscles
frontal et orbiculaire des pau- pières leur exc
evint presque normale. Cette observation indique que l'atrophie des
muscles
, qui dépend des modifications dans les cellules
tuellement moins localisées, se diffusent à un plus grand nombre de
muscles
que dans la syphilis artérielle, mais aussi ell
agnent souvent de secousses in- volontaires se passant dans un seul
muscle
, souvent dans quelques fibres seulement ; secou
he et à la jambe droite. 12. Ce matin on constate de la raideur des
muscles
de la nuque. En même temps ralentissement des b
es loca- lisées à la face et au bras droit; tantôt contractures des
muscles
du cou avec phénomènes bulbaires (dyspnée, tach
e qui montre des lésions absolument stationnaires. Rien du côté des
muscles
delà nuque. Le toucher buccal montre tou- jours
cal, cause des principaux symptômes de la maladie ; la paralysie du
muscle
lisse orbitaire interne ferait disparaître l'ex
es supérieurs. Quelques minutes plus tard, la paralysie gagna les
muscles
du tronc et la jambe droite ; en même temps, paré
er les coudes. Mais déjà à cette mène époque, l'atrophie des petits
muscles
de la main était bien prononcée des deux côtés.
tés des deux côtés ; il existe une atrophie dégénérative des petits
muscles
de la main, des exten- seurs et en partie même
léchisseurs des avant-bras. Pas d'atro- phie ni de parésie dans les
muscles
du troue et des membres infé- rieurs. En outre,
euses, on a constaté : paraplégie inférieure complète; atrophie des
muscles
correspondants avec abolition de l'excitabilité
cles correspondants avec abolition de l'excitabilité électrique des
muscles
extenseurs et adducteurs des cuisses; abolition
périeurs, en même temps qu'on remarque une parésie des mains et des
muscles
du tronc. An mois de novembre apparaissent,'des
vante : Des caractères spécifiques de la contraction des différents
muscles
. Voici le relevé des communications faites dura
est sujet aussi à des perturbations, les os, les articulations, les
muscles
sont atteints, mais, disons-le de suite, fort r
périphériques. Hoche= (de Hambourg) cite deux cas d'atro- phie des
muscles
de la main avec inversion de la formule électri
opique de l'un de ces deux cas montre une atrophie dégénérative des
muscles
, les cornes antérieures et les racines des nerf
forme, l'atrophie est générale. Les réflexes sont exagérés, et les
muscles
atrophiés présentent de la rigidité. Nous rappo
ra d'abord une éruption de pem- phigus, et plus tard l'atrophie des
muscles
de la main gauche. ' Joflroy. Sur les formes
u pemphigus, nous constations que la main gauche s'atrophiait : les
muscles
de l'éminence thénar, hypothénar et le muscle c
e s'atrophiait : les muscles de l'éminence thénar, hypothénar et le
muscle
court abducteur du pouce l'étaient déjà. Les mé
du pouce et de l'index cessaient de pousser. Pas d'atrophie ni des
muscles
du bras et de l'épaule gauche, ni de la main dr
e éruption trophique, et cinq mois après, par l'atrophie des petits
muscles
de la main, se localisant à une main. Mais que
altération quantitative des réactions électriques des nerfs et des
muscles
du côté paralysé chez les hémiplégiques 224 lie
- ment appréciable entre le degré d'excitabilité des nerfs et des
muscles
du côté sain et du côté malade, mais qu'il existe
a présenté de la paralysie des membres supérieurs, portant sur les
muscles
extenseurs des doigts, de la main et du bras. A
on d'un shock » affectant les centres nerveux. La contrac- tion des
muscles
de la nuque crée d'autre part un obstacle au 23
s doulou- reux ; le troisième jour sueurs profuses, contracture des
muscles
de la face, opistotonos permanent, membres infé
rs, une diminution de la contractilité volontaire et électrique des
muscles
de ces membres, de la trépidation spi- anale, e
peresthésie de la peau. Contraction fibrillaire et fasciculaire des
muscles
au toucher ; exagération des réflexes, trépidat
rébraux transi- toires tels que céphalées nocturnes, paralysies des
muscles
de l'eeil ; une grande variation dans l'intensi
bien qu'on a attribué à ces mouvements le qualificatif de folie des
muscles
. Cinq cas cliniques, avec tracés, cités par l'au-
ien portant et vigoureux, on constate une atrophie très marquée des
muscles
de l'épaule et du thorax du côté droit. Le gr
ut dans sa portion inférieure qui a presque totalement disparu. Les
muscles
sus et sous-épineux sont atrophiés ; le deltoïd
ments normaux. Il n'y a d'ailleurs pas paralysie absolue dans les
muscles
atteints, mais un fort degré de parésie qui rend
asmes d'abord dans la paupière gauche, puis peu à peu dans tous les
muscles
de la face. Au moment où le spasme va commen- c
utition, le ptosis gauche, l'atrophie tle là langue, la parésie des
muscles
masticateurs et de ceux de la partie infé- rieu
onsidérables. L'as- thénie était grande, surtout prononcée dans les
muscles
buccaux et pharyngiens. Les côtés intéressants
très nette avec signe de dégénérescence peut être observée dans les
muscles
atteints d'asthénie ; avec ceci de particulier
érimentale, 1897, septembre, 110 9, p. 656-658). Les paralysies des
muscles
isolés sont extrêmement rares dans l'hystérie.
spontanées en plus ou en moins qu'on observait fréquemment dans le
muscle
paralysé; 3° sur l'absence d'atrophie après deu
cris. Cas 3 : douleur dans l'hypochondre gauche localisée dans les
muscles
. Cas 4 et 5 : une demi-heure avant chaque attaq
u venant du canal alimentaire, de l'appareil génital, de l'état des
muscles
, sensibilité musculaire, sensation générale de
l'état mécanique des organes (viscères, muqueu- ses, articulations,
muscles
, etc., E. Weber). Objectivement, les troubles s
troubles sécrétoires non moins caractéristiques. Les spasmes des
muscles
viscéraux s'accompagnent de trou- bles analogue
uscles viscéraux s'accompagnent de trou- bles analogues du côté des
muscles
de la vie de relations, depuis les contractures
ement des cellules nerveuses du cor- don ventral pour se rendre aux
muscles
. Mais, de sa cellule d'ori- gine jusqu'à sa sor
des cellules unipolaire d'où partent les courants qu'apportent aux
muscles
les prolonge- ments cylindraxiles de ces cellul
ermédiaire du prolongement nerveux- que cet organe terminal soit un
muscle
, un territoire cutané ou muqueux, ou une autre
ultiplication des effets, car l'expansion des fibrilles nues sur le
muscle
augmente les points de contact des fibrilles du
cutanées et muqueuses du corps, des parenchymes des organes, des
muscles
, des articulations, etc. Ce prolongement périphér
ar l'auteur montrent que dans quelques cas de paralysie de certains
muscles
le sujet arrive à substituer au muscle paralysé
as de paralysie de certains muscles le sujet arrive à substituer au
muscle
paralysé l'action de muscles sains. Dans le pre
muscles le sujet arrive à substituer au muscle paralysé l'action de
muscles
sains. Dans le premier cas il y avait paralysie
muscles sains. Dans le premier cas il y avait paralysie complète du
muscle
del- toïde des deux côtés, muscle dont la fonct
il y avait paralysie complète du muscle del- toïde des deux côtés,
muscle
dont la fonction est d'élever les bras, de les
les, d'une manière très restreinte, il est vrai, parce que d'autres
muscles
, qui ont leur insertion à l'omoplate, se substi
ite traumatique du plexus brachial suivie de l'atrophie de quelques
muscles
. Le deltoïde surtout était pris. Le malade ne p
Le malade ne pouvait exécuter tous les mouvements dépendants de ce
muscle
; il mettait seulement les bras en avant, ce qu
malades à substituer à leurs mus- cles paralysés l'action d'autres
muscles
. (Revue neurologique, mars 1897.) . E. Blin.
tiquement delà façon suivante l'ensemble du parcours de l'écorce au
muscle
oculaire, d'une part de l'oculo-moteur commun,
es conditions tout à fait opposées, d'abord par la paralysie de ses
muscles
, ensuite par leur contracture. Or l'inhibition
indiquée. C'est d'abord le pied bot tabétique dû à une atrophie des
muscles
de la jambe et aux troubles trophiques des liga
es tiraillements, et n'empêchent en rien les fonctions normales des
muscles
: aussi donnent-ils des résultats satisfai-ants e
uliens, des grimaces en excès, des contractions isolées dans divers
muscles
du corps, une dénutrition très notable. A parti
ie complète du bras gauche, de parésie du bras droit, faiblesse des
muscles
du cou, troubles légers de la phonation et de l
ers de la phonation et de la déglutition, atrophie dégénérative des
muscles
paralysés et anesthésie (thermique et douloureu
la déglutition. Au mois de mars survint une paralysie complète des
muscles
des globes oculaires. Mort le 14 mars 1896. La
sensibilités icflexes; contractions réflexes très douloureuses des
muscles
des membres inférieurs survenant sous l'influen
437 Le malade est incapable de se soulever ou de se tourner : les
muscles
du tronc semblent complètement paralyses. Il n'y
érieur, coraco- brachial, grand pectoral deltoïde, grand dentelé et
muscles
de la ceinture scapulaire. Réflexes : tendine
eivés encore que du côté gauche. Pas de différences pour les autres
muscles
. Les troubles de la sensibilité sont iden- tiqu
ie à la face interne du bras. yd<fetco : t.Intégrité absolue des
muscles
innervés par le bulbe : mouvements de la mimiqu
e des septième, huitième cervicales et première dorsale. Quelques
muscles
innervés par .ces racines, surtout à droite parai
s n'étaient pas perçues ; au contraire la pression profonde sur les
muscles
, les os, était sentie et même douloureuse; la n
ulaire ne peut évidemment pas être recherché sur un membre dont les
muscles
ne se contrac- tent pas. Dans le syndrome de Br
pas davantage affirmer l'altération du sens muscnlaire, puisque les
muscles
ne se contractent pas. Pour notre compte, nous
la peau à l'aide de la réfrigération, et en faisant contracter les
muscles
à l'aide de l'électricité. Nous avouons n'être
hez les malades atteints de démono-mélancolie des convulsions des
muscles
soumis à la volonté, des contractions du larynx q
en avoir conscience. » « Le malade, dit Janet ', constate que ses
muscles
font, à son insu et malgré lui, des actes compl
entrer dans le corps ; elle éprouve des frémissements dans tous ses
muscles
, qui sont comme mus par des fils de fer... Quan
e se servait de sa langue pour parler, mais il lui semblait que les
muscles
de sa poi- trine fussent mis en jeu par une pui
A l'étude DE l'atrophie UNIL1TLR.1LE isolée (CON- génitale ? ) DES
muscles
DE la face ; par M. BERNH.vRDT. (1'eu·olog. Cen
peu ; l'excitation du tronc du facial ne fait contracter aucun des
muscles
tout à fait ou partiellement conservés ; nulle
muscles tout à fait ou partiellement conservés ; nulle anomalie des
muscles
intrinsèques ou extrinsèques de i'oei) ; pas de
atrophie congénitale du noyau du facial, ou la lésion primitive des
muscles
, chez un individu ainsi affecté, dans les premi
ve d'o- rigine traumatique, par Buck, 232. unilatérale isolée des
muscles
de la face par Rernliardt, 495. Aura. Note su
à rappro- cher de t'ataxie, par Spiller, 315. Cerveau. Centre des
muscles
du tronc dans la région sensitive de l'écorce
articulaire, tendineuse et muscu- laire, la sensibilité propre des
muscles
ne jouant qu'un rôle assez effacé au regard de
aît-elle qu'après la paralysie centripète des nerfs de la peau, des
muscles
, des articu- lations, etc. ? Doit-on l'attribue
pète se produit,'écrit IIering, lorsque les nerfs centripètes -des
muscles
sont incapables de fonctionner. » Il estime que l
l'alitement rend encore possible le relâchement complet de tous les
muscles
de la vie de relation et partant le repos des c
eur hépatique et une prostration considé- rable, avec paralysie des
muscles
volontaires, relâchement des sphincters, émacia
rer l'attention sur ce fait que la rigidité qui affecte surtout les
muscles
du cou et des épaules, et que Kahlbaum a décrit
nfin de paralysie. Il est à prévoir que l'on trouvera dans d'autres
muscles
un certain degré de faiblesse ou de paralysie l
bruit que présentent les mélancoliques résulte de la faiblesse des
muscles
tenseurs du tympan, et il se propose de démontr
ection de leur vision est due à un affaiblisse- ment temporaire des
muscles
de l'accommodation. Kahibaum a signalé aussi da
entent en effet une certaine parésie, sans atrophie musculaire, des
muscles
anté- rieurs de la jambe. Le cas que nous ven
e diminution de la contractilité fara- dique et galvanique pour les
muscles
et les nerfs du côté gauche sans R. D. Sensib
d'excitations mécaniques de toute sorte. Les secousses agitent les
muscles
symétriques des membres, sans déterminer de gra
totale et complète de la région seroto-pénienne. Rapi- dement, les
muscles
de la jambe se sont atrophiés, ceux de la cuiss
e 1 organisme depuis le paucier jusqu'aux appareils inlernes. Les
muscles
delà face expriment particulièrement la douleur.
que l'intensité de la douleur augmente, la con- traction gagne les
muscles
du corps et des membres; elle s'accom- pagne de
directement l'os, sont plus sensibles que les parties revêtues des
muscles
. Le rôle des anesthésiques est de supprimer cet
ulaires se trouve de ce fait gravement compromise et l'atrophie des
muscles
correspondants est une des suites inévitables d
es étrangers à la symptomatologie classique du tabes : atrophie des
muscles
de la ceinture scapulaire et des avants-bras, p
vraxe. Dans un cas de paralysie générale observé par A. floche, les
muscles
étaient frappés d'atro- phie dégénérative avec
Le tableau clinique diffère, quant à l'excitabilité galvanique du
muscle
, dans le tabes et la paralysie générale : la réac
XII. Un cas de lipomatose symétrique par métaplasie graisseuse - du
muscle
; par les Drs de BCCK et de Moon. (Journ. de Neuro
dans le sens de la pesanteur n'ont pas besoin de l'intervention des
muscles
agonistes, c'est-à-dire de ceux qui agissent da
n du tronc peut s'effectuer malgré l'atrophie ou la paralysie des
muscles
abdominaux, par la seule force de la pesanteur. C
e serait impossible. Quand le tronc s'incline à droite, ce sont les
muscles
chargés de l'inclinaison à gauche qui jouent le
il donc dans les extenseurs pendant les flexions du tronc, dans les
muscles
inclinateurs de gauche pendant l'inclinaison du
'inclinaison du tronc soit graduelle et efficace, l'innervation des
muscles
chargés de maintenir la rectitude du tronc, dim
u tronc, diminue à mesure que les fléchis- seurs, c'est-à-dire; les
muscles
abdominaux sont assez faiblement innervés pour
scoliose ? Dans la situation de la rectitude normale du tronc, les
muscles
érecteurs des deux côtés doivent maintenir l'éq
ffet, car la sciatique n'entraine jamais une complète paralysie des
muscles
affectés, et son élongation, par suite de la co
t un terme à l'exagération de la scoliose, et épargne les forces du
muscle
; par contre, il se dessine, dans les segments s
térations musculaires et par leur localisation exclusive aux divers
muscles
du groupe radiculaire supérieur; par l'absence
ocie à une hypertonie avec petites secous- ses caractéristiques des
muscles
de la face du côté opposé. 3. La déviation ]Jtt
énomènes électriques qui accompagnent la contraction volontaire des
muscles
subissent dans ces deux affections. Depuis Dubo
Depuis Dubois-Reymond on sait que toute contraction volontaire du
muscle
est accompagnée d'un dégagement de l'énergie élec
musculaire SOCIÉTÉS SAVANTES. 165 ou bien le courant d'action du
muscle
. Or. il résulte de mes nom- breuses recherches
l'aiguille galvanométrique déviée par la contraction volontaire du
muscle
contracté revient quoique lentement, mais d'une
conditions. Il y a évidemment une différence dans l'activité des
muscles
contracturés dans l'hémiplégie organique et dans
émiplégie organique la contracture attaque isolément les différents
muscles
et même différents faisceaux musculaires. De là
tte même volonté est impuissante à ramener, en commandant aux seuls
muscles
du cou, la tète dans la recti- tude. F... et II
ntuée des deux membres inférieurs surtout à droite, et frappant les
muscles
de la région antéro-externe de la jambe et le m
illements et provoquant à la fin un état de fatigue douloureuse des
muscles
thoraciques. Il suffit au sujet d'être distrait
ïde dans un cas de rhumatisme chronique. Paralysies associées des
muscles
des yeux. bill. liarsionn et CESTAN ont observé
e, 26 centimètres. 11 n'existe pas de contractions fibrillaires des
muscles
de la jambe gauche. 11 n'y a pas de signe de Ba
sens musculaire ou articulaire, pas de mouvements intentionnels des
muscles
des membres supérieurs. Troubles sensoriels.
cessif des divers segments des membres inférieurs depuis les petits
muscles
des pieds jusqu'à la cuisse, son extension fata
y avait de la perte de la contractilité électrique des nerfs et des
muscles
. Cousot, dans son remarquable travail*, fait co
ition était difficile, la parole embarrassée, la langue lourde, les
muscles
de la face épargnés. A l'acmé il y avait une pa
irecte (R. D. partiel^ avec perte des contractions indirectes). Les
muscles
très dév$-5 loppés n'avaient qu'une puissance m
musculaire atténuée. L'exa-' '' men microscopique d'un fragment de
muscle
excisé montra une hypertrophie des faisceaux. m
agit probablement du développement d'un poison qui s'exerce sur les
muscles
et les terminaisons nerveuses. Cette conjecture
t le repos exerce-t-il son action (qui diminue la fonction) sur les
muscles
qui sont altérés d'une façon caractéristique da
apidement toutes les extrémités, pouvant s'étendre à la tête et aux
muscles
de la respiration, s'accompagnant'd'une sensati
ns l'inter- valle aussi, l'excitabilité électrique des nerfs et des
muscles
, la résistance galvanique de -la-peau étaient n
anique de -la-peau étaient normales, l'exci- tabilité mécanique des
muscles
diminuée, les réflexes cutanés et tendineux tan
taires, qui est atteint depuis trois ans d'une atrophie de tous les
muscles
des deux mains et des fléchis- seurs de l'avant
de la moelle cer- vico-dorsale intéressant le noyau segmentaire des
muscles
de la main et quelque peu aussi le noyau segmen
es muscles de la main et quelque peu aussi le noyau segmentaire des
muscles
de l'avant-bras. G. D. IV. Les lésions anatom
pières, d'écoulement catarrhal ou purulent, de paralysie des autres
muscles
de l'oeil, et, très rarement, comme dans le cas
l'enfant est jeune plus il y a de probabilités pour qu'on voie les
muscles
des jambes subir la dégénérescence grais- seuse
graduel au lieu d'être soudain et par, l'envahissement simultané de
muscles
non associés. Le pronostic est sévère. La maladie
ronostic est sévère. La maladie peut durer de cinq à vingt ans. Les
muscles
respiratoires finissent par être atteints ; mai
essus atrophique s'arrêter, et dans ces trois cas, il s'agissait de
muscles
isolés. R. DE Musgrave Clay. XIII. Un cas d'hém
s troubles de la sensibilité ou très peu après, sont la raideur des
muscles
innervés par les nerfs malades, aboutissant à une
en une dégénérescence des filets nerveux eux-mêmes ; et quant aux
muscles
, y compris le coeur quand le pneumogastrique part
es mouvements de droite à gauche s'arrêtent à la ligne médiane. Les
muscles
de la moitié gauche du pharynx sont en état de
e par un spasme ou une crampe des fibres musculaires de l'iris, des
muscles
ciliaires et des muscles extrinsèques de l'oeil
ampe des fibres musculaires de l'iris, des muscles ciliaires et des
muscles
extrinsèques de l'oeil. Les phénomènes qui domi
ents qu'il lui donne. La tension constante et prolongée de tous les
muscles
de l'oeil, aidée parla faiblesse d'un ou de deu
les plus capables de provoquer le spasme ou la crampe du groupe des
muscles
oculaires. R. DE Musgrave-Clay. XXI. Concussi
du coeur contiennent une quantité de Blaires perstans vivantes. Les
muscles
du dos présentent des cysticerques de ténia soliu
de départ à la cicatrice et s'accompagnent parfois de spasmes des
muscles
du front et des sourcils. A partir de ses règles,
it supporter sa tête difficilement, comme si elle était lourde. Les
muscles
du cou m'ont paru, dit le père, « peu développé
che et carcinose généralisée à tous les organes, principalement aux
muscles
des membres sous forme de nodules de très petit
ation rouge du reste de la préparation. - Paralysie associée îles
muscles
droits supérieurs. MM. 1\loc;uÈs et Cirode envo
s photogra- phies d'une malade atteinte de paralysie hystérique des
muscles
droits supérieurs. 11 lui est impossible de reg
que les impulsions volontaires, destinées aux différents groupes de
muscles
d'un côté du corps, partent de centres moteurs
nd. ' ? ' ARCHIVES, 2- Série, t. XI. 24 .370 CLINIQUE NERVEUSE.
muscles
, préposé à tel ou tel mouvement intentionnel : co
lée du pouce, des doigts, de la main, des lèvres, de la langue, des
muscles
du larynx, des yeux, etc. Notez bien que ces ré
te à son inten- sité minima, fait contracter un groupe déterminé de
muscles
synergiques, du côté opposé. On a encore eu rec
surer que leur suppression entraîne l'impuissance fonctionnelle des
muscles
auxquels ils sont censés commander. On a été ai
e toute autre chose qu'une paralysie complète et irré- médiable des
muscles
innervés par ce centre, contrairement à ce qu'o
t une certaine délicatesse ou l'association de plusieurs groupes de
muscles
, puis dans un défaut de spontanéité. Ainsi, à l
de provoquer des mouvements con- vulsifs dans le ou les groupes de
muscles
qui tirent leur innervation volontaire du centr
ie d'irritation expérimentale, des con- vulsions dans le groupe des
muscles
innervés par le centre extirpé. D'où ce corolla
e contractaient énergique- ment et les fléchisseurs faiblement. Les
muscles
intérosseux, à l'exception de celui qui fait mo
qui fait mouvoir le petit doigt, étaient para- lysés. De même, les
muscles
de la moitié droite du visage et de la bouche é
nne fut élargie ; on réussit alors à obtenir des con- tractions des
muscles
de l'avant-bras, du bras et de la figure, en ex
rs, les pronateurs et les supinateurs de la main ; le biceps et les
muscles
de la moitié gauche de la face se contractaient
nouvelles attaques convulsives; les spasmes sont restés limités aux
muscles
du côté droit' de la face et du membre supérieu
maximum d'intensité, dans le territoire qui correspond au groupe de
muscles
par lequel débutent les attaques. Sup- primer c
lobe moyen de cet organe. N P. KERAVAL. L. Parésie partielle des
muscles
droits de l'abdomen chez un hys- térique ; par
périphérique. La parésie porte sur les deux tiers supérieurs des
muscles
seulement. Une chute sur le ventre ne pourrait-el
déviation de la face qui s'observe parfois, dépend d'un spasme des
muscles
du visage, et non d'une paralysie faciale ; 3°
reprend ses fonctions plus tôt que la jambe ; 4° Les paralysies des
muscles
des yeux sont douteuses et se rapportent plutôt
e forme caractéristique, par suite d'une paralysie prédominante des
muscles
innervés par le radial, l'avant-bras étant en p
ait chez cette jeune fille une sorte de chorée du diaphragme et des
muscles
abdomi- naux, un véritable clonus abdominal qui
géré à gauche; qu'il n'y a ni ataxie ni paralysie des bras; que les
muscles
de la face sont normaux et normales aussi toutes
es aiguilles avalées par la malade et qui s'étaient logées dans les
muscles
abdominaux où elles avaient déterminé de l'inflam
jambe. Mais ultérieurement il se développa un état spasmodique des
muscles
du bras et de la jambe, et deux ans après le dé
doit notamment être déviée du côté sain, grâce à la contracture du
muscle
génioglosse, et non du côté para- lysé, comme p
graisse est diminuée. L'examen microscopique de toute une série de
muscles
latéraux de la colonne vertébrale (des deux côtés
ntassent pas de phénomènes de polynévrites, l'examen électrique des
muscles
a montré des ano- malies considérables allant j
rf radial gauche, dans les extenseurs de la main et dans les petits
muscles
de la main une absence totale de l'exci- tabili
par M. Popoff. Pour avoir l'occasion d'examiner électriquement les
muscles
de l'ouvrier, il faut que celui-ci soit attiré
lation de l'orbieulaire des lèvres et 452 . CLINIQUE mentale. des
muscles
de la face. Après un instant de cet état ataxique
e. Quand cette contracture cesse, c'est à cause de l'atrophie des
muscles
. Mais, dans ce dernier cas, les attitudes vicieus
e pourrait être question de ce cas non plus, puisque l'atrophie des
muscles
contractures n'existe pas. Les faits clinique
t spinales, mala- die de Liltle, chorée congétinale, lipomatose des
muscles
, rachi- tisme, végétations adénoïdes de la cavi
nant, une parère du facial gauche, du tremblement de la langue, des
muscles
de la face et surtout des lèvres, tous signes d
retard et espèce d'extinc- tion de la vie mentale. Contracture des
muscles
deltoïdes, tra- pèzes ; rigidité du biceps brac
brachial et, en partie, du fessier. Hyper- tonie peu importante des
muscles
ciliaires. Ce n'est une affection organique cla
le réflexe soit produit par la secousse transmise par le tendon aux
muscles
. M. BmD. L'observation que vous venez d'enlendr
· " SOCIÉTÉS SAVANTES. 51 L paralysie localisée dans un groupe de
muscles
, comme, par exem- ple. dans la paralysie des ex
cuter ce mouve- ment, il se produisait, au contraire, un spasme des
muscles
rele- veurs. J'ai dit que l'idée de lésion or
du type « négateur » ; tremblement qui se modifie 'par l'action des
muscles
volontaires et qui dispa- raît pendant le somme
que très imparfai- tement et ne peut pas regarder en haut. " Les
muscles
masticateurs sont perdus, le sujet ne peut rappro
aux des nerfs oculomoteurs, à l'exclusion de ceux qui innervent les
muscles
internes et l'élévateur de la pau- pière supéri
e, tous les noyaux sont, atteints au même degré d'intensité, et les
muscles
sont très faibles. Les mouvements rapides des glo
sens contraire, ce qui facilite sans doute le travail mécanique des
muscles
des globes oculaires. 2° Ophtalmojilégie aiguë
l. Le malade, âgé de cinquante ans, présente une paralysie des deux
muscles
droits supérieurs et une parésie des droits inf
globes en haut et en bas peuvent être exécutés grâce à l'action des
muscles
obliques. Les pupilles sont très dilatées, la p
t lorsque les yeux se ferment ou en général lorsque se contracte le
muscle
orbiculaire, et elles se dilatent aussi rapidem
e rotation dans un sens contraire. Malgré l'action suffi- sante des
muscles
dioits internes, lors des mouvements latéraux,
n, 134 Deux cas de - alterne, par Miral- lié, 172. - associée des
muscles
des e v, par Raymond et Cestan, 182." . assoc
des muscles des e v, par Raymond et Cestan, 182." . associée des
muscles
droits supérieurs, par Noguès et Cirode. 340.
la- ques familiales, par Cestan et "Guillain, 405. Parésiiï des
muscles
de l'abdomen chez un hystérique, par Bloume-
près complète des rele- veurs de la paupière, mais tous les autres
muscles
sont pa- ralysés, cependant quelques légers mou
cependant quelques légers mouvements sont encore possibles dans les
muscles
droits internes. J'examine immédiatement les au
ptôme très intéres- sant. Voyons maintenant l'état des différents
muscles
: j'ob- serve au niveau du visage une paralysie
, ses bras et ses jambes pendent inertes. L'examen électrique des
muscles
pratiqué par M. Huet, n'a montré aucun trouble
puis quelque temps, mais c'est un amaigrissement massif de tous les
muscles
, sans atrophies musculaires localisées. L'éta
eures ne se plient pas suffisamment dans les genoux et le tendon du
muscle
gastro-cnémien reste tendu. Tel est l'état de sa
bes et parle comme si sa bouche était remplie de quelque chose. Les
muscles
mimiques de la face sont en état de tension ton
aule se tourne dans son articulation et par la contraction du grand
muscle
dorsal, s'approche un peu de la poitrine. Il co
l'excitabilité, la malade suit attentive- ment la contractilité des
muscles
et s'y oppose un peu. Il parait qu'elle compren
e la contractilité provoquée car elle dit. souvent en regardant les
muscles
contractés : « Pourquoi faites-vous de moi une
ng- temps une seule et même pose avec une position incommode, des
muscles
, comme, par exemple, dans notre première ob- se
ème paires : -. ainsi s'expliquent tous les mouvements réflexes des
muscles
des REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOG
oyen des racines antérieures, aux appareils nerveux ter- minaux des
muscles
. On peut de cette manière comprendre les innomb
cette manière comprendre les innombrables contractions réflexes des
muscles
de tout le corps qui, d'ordinaire, accompagnent
cette impression est de là, à l'insu de la volonté, trans- mise aux
muscles
par le faisceau rubrospinal. Ainsi est maintenu,
i la distingue de celle des autres tissus anisomé- tropes, tels que
muscles
, tendons, fibres végétales, qui est positive. E
en allemand. Le réflexe abdominal, constitué par la contraction des
muscles
abdominaux, provoqué par l'excitation mécanique
région sus-inguinale s'affaisser par suite de la contrac- tion des
muscles
de la région abdominale inférieure, du segment
es départements des centres nerveux. 2. Les fibres des nerfs et des
muscles
présentent une atrophie sim- ple et une dégénér
que le résultat de la propagation de l'excita- tion mécanique d'un
muscle
à un muscle voisin innervé par le même nerf. '
ltat de la propagation de l'excita- tion mécanique d'un muscle à un
muscle
voisin innervé par le même nerf. ' P. KERAvaL.
'imbriquer en se superposant : le groupe inférieur représentant les
muscles
placés autour des arti- culations du pied, est
caudale de la région postérieure. Le groupement qui représente les
muscles
placés autour de l'articulation tibio-tarsienne e
stérieure et externe de la corne les cellules qui correspondent aux
muscles
de la cuisse groupés autour de l'articulation d
groupe cellulaire ne contient que des éléments correspondant aux
muscles
du pied. Au niveau de la dizième racine et juste
eurs, qni sont le siège de douleurs fulgurantes. La sensibilité des
muscles
à la compression est accusée et douloureuse. Un
nts et anesthésiques, peuvent faire contracter volontairement leurs
muscles
lisses non soumis normalement à l'action de leur
ions. Le réflexe pupillaire à la lumière par exemple, met en jeu le
muscle
irien à fibres lisses. Jamais la suggestion, ni
es); douleurs plus cons- tantes et plus sourdes desjointures et des
muscles
. Sens de la tempé- rature : outre les sensation
ent psychique et physique parait arrêté. L'enfant est anémique, les
muscles
sont mous et flasques, les mouvements spontanés
tions du côté de la moelle épinière, des nerfs périphériques et des
muscles
. La coexistence de tous ces faits indique nette
laires dans l'hémiplégie organique. Chez les indi- vidus sains, les
muscles
homologues des deux yeux ont exacte- ment la mê
organique de l'adulte la puissance musculaire absolue de chacun des
muscles
oculaires est diminuée des deux côtés, mais sur
s arrivés aux résultats suivants : 1° Chez les individus sains, les
muscles
homologues des deux yeux n'ont pas toujours exa
puissance; 3" Dans l'hémiplégie hystérique, la différence entre les
muscles
homologues du côté sain et du côté paralysé est
une écriture tremblée. Aucun tremblement de la langue; ce sont les
muscles
des lèvres et des joues qui tremblent. Pupilles
l'accommodation. Tremblement léger de la langue, tremblement des
muscles
de la face. Diminution de la sensibilité au conta
d'agitation et d'anxiété, avec ça et là de légères contractions des
muscles
et des tremblements fibrillaires de la langue.
ngue. Puis bientôt se produisent des spasmes tétaniques de tous les
muscles
. La marche devient spasmodique, avec raideur su
spasmodique jusqu'à l'incapacité absolue de se tenir avec tous les
muscles
en contraction violente. Il y a alors trismus v
quentes de la langue, écoulement de salive, contraction de tous les
muscles
de la face, projection des yeux en avant par la f
ha alors à déterminer le point d'attaque de ce poison hypothétique,
muscles
ou système nerveux. Chez des chiens parathyroïd
crural et de l'obturateur, d'où paralysie complète de la'jambe, les
muscles
de cette jambe, lors- qu'apparut l'état tétaniq
nt aucune contraction. Donc l'action du poison ne porte pas sur les
muscles
mais sur le système nerveux central. Pour préci
enfance une fracture du poignet qui est atteint d'une atrophie des
muscles
de l'épaule et du bras gauche ainsi que de la moi
a consisté en séances bi-quotidiennes d'électricité faradique des
muscles
paralysés, en frictions stimulantes, en même temp
laident plutôt en faveur de l'action paralysante de l'alcool sur le
muscle
, fatigué ou non. En somme, dit en terminant'l
er l'oeil ; cela en raison de l'expansion aponévri- tique allant du
muscle
droit supérieur à la paupière, muscle dont la t
ion aponévri- tique allant du muscle droit supérieur à la paupière,
muscle
dont la tonicité est conservée dans la paralysi
e des nerfs correspondants : radial, cubital, médian et partie du
muscle
cutané à gauche, branche auriculaire et branche m
du musculo-cutané, cette réaction existait nettement dans tous les
muscles
innervés par le médian et le cubital, et atteig
cturnes, finissent par ne plus laisser aucun repos la malade. Les
muscles
commençent à s'atrophier. Non seulement la marc
rême, les jambes et les pieds sont le siège d'un oedème blanc ; les
muscles
des membres supé- rieurs et inférieurs sont atr
hie musculaire, les vives douleurs à la pression des nerfs et des
muscles
, les signes stéthoscopiques, nous avions porté le
formes, de coloration grisâtre ou rosée ; la surface de section des
muscles
en était littérale- 288 CLINIQUE NERVEUSE. me
d'une production néoplasique. Une dissection attentive de tous les
muscles
du tronc, du thorax, des mem- bres découvre des
n, distribué dans tout l'organisme et notamment au sein de tout les
muscles
de l'économie, des embolies cancéreuses, qui, e
VEUSE. mécanisme analogue à celui des gaines sarcolemnatiques des
muscles
. Vous pourrez d'ailleurs vous rendre compte de ce
s réseaux, comme s'ils avaient été artificiellement injectés. Les
muscles
avaient une teinte jaunâtre, mais les troncs ne
et les cas de paralysie saturnine ne frappant qu'un petit nombre de
muscles
ne sont pas d'une -extrême fré- quence, et on c
u saturnine. Thèse 4S3r. 310 ' RECUEIL DE FAITS. que les autres
muscles
de la main soient tous atteints; il existait en
Romak qui rapporte un cas d'amyo- trophie exclusivement limitée aux
muscles
du pouce et plus tard trois autres cas où l'émi
111°l Déjerine-Iïlumplte en z1889 dit que « la paralysie des petits
muscles
de la main est souvent partielle dans le type A
Villaret2 cite de même Gowers qui a décrit la paralysie des petits
muscles
de la main con- nexe le plus souvent à la paral
, ce qui prouve bien qu'il existe un certain degré de parésie des
muscles
extenseurs des doigts comme on le constate mieux
point de pathogénie intéressant, puisque ce sont précisément les
muscles
du territoire correspondant au contact du poison
l'idée d'intoxication saturnine, remarquant que la paralysie des
muscles
de la main s'observe surtout dans les intoxicatio
uteur réserve la plus grande part à la compression habi- tuelle des
muscles
et à leur surcroît d'effort professionnel. Il e
ieurs centimètres en arrière et en dehors. Sur la radiographie, les
muscles
sont absents, sauf le triceps. On immobilise le
lète est la règle. L'impotence fonctionnelle est faible lorsque les
muscles
ne sont pas trop atrophiés. Le gonflement est é
arésie manifeste des membres inférieurs et une atrophie marquée des
muscles
des cuisses et des jambes. Elle offre une modal
pseudo- tabès polynévritique et le tabès vrai. Dans le premier les
muscles
ne sont pas tous atteints en même temps et quel
son cas la paralysie ne porterait que sur les fibres atteignant le
muscle
de Millier et qu'une telle dissociation semble
ements de défense s'opèrent avec le temps de réaction normal. Les
muscles
réagissent normalement à l'exploration mécanique
avaient gagné les autres segments des membres et avaieut envahi les
muscles
de la colonne et de la nuque. On sait que c'est
rulente. A la dernière période, état de stupeur avec résistance des
muscles
aux mouvements passifs. 2° Même au début de la
près de la même gros- seur, mais d'âge différent. A la section des
muscles
, on trouvait des cysticerques entre les faiscea
cerques entre les faisceaux; ils étaient surtout abondants dans les
muscles
intercostaux et le diaphragme, rares dans le mu
nts dans les muscles intercostaux et le diaphragme, rares dans le
muscle
cardiaque et dans le tissu consécutif sous-périca
s articulaires et osseuses intactes (radio- graphie). Paralysie des
muscles
de l'avant-bras et de la main innervés par le m
yphose avec ankylose partielle du rachis, accompagné d'atrophie des
muscles
spinaux. L'émission des rayons N'dans quelques
myopatbique atteint d'atrophie complète du deltoïde, incomplète des
muscles
de l'avant-bras avec intégrité des muscles du v
deltoïde, incomplète des muscles de l'avant-bras avec intégrité des
muscles
du visage. La phosphorescence de l'écran était
ralysie périphérique du facial), ils ont constaté, en comparant les
muscles
symétriques du côté sain et du côté malade, un
ôté malade, un affaiblissement marqué de l'éclat de l'écran sur les
muscles
malades. Plusieurs paralysies Infantiles ont été
ieurs paralysies Infantiles ont été exa- minées et toujours sur les
muscles
paralysés, les auteurs ont pu constater une pho
teurs ont pu constater une phosphorescence bien moindre que sur les
muscles
similaires du côté sain. La conclusion qui en
st, qu'il y a diminution de l'émis- sion des rayons N au niveau des
muscles
paralysés ou atrophiés dans la myopathie, les n
cérébrale et chez une femme atteinte de paraplégie spasmodique, les
muscles
paralysés augmentaient de beaucoup la luminosit
e deux pointsdonnés le punctum proximum et le punctum remotum. Le
muscle
de Bruche, muscle accommodateur, agit par la zo
nés le punctum proximum et le punctum remotum. Le muscle de Bruche,
muscle
accommodateur, agit par la zonule de Zinn sur l
s fait entrer, bien entendu, en ligne de compte les altérations des
muscles
pouvant être rapportées à d'autres causes que l
s avons noté 12 fois un ptosis simple, sans aucun autre trouble des
muscles
innervés par la Ille paire, 14 fois des paralys
innervés par la Ille paire, 14 fois des paralysies ou parésies des
muscles
sous la dépendance de cette 1111 paire, 5 fois
'ensemble des mouvements provoqués par l'acte exécuté. Un groupe de
muscles
entrent en con- traction d'abord et provoquent
ents de l'oeil et ceux des paupières ; 1° Que 1'liypotonicité des
muscles
des yeux est en rapport avec un défaut de conver-
l'acte sexuel; c'est la position des yeux. Au début la tonicité des
muscles
de l'oeil semble s'accroître, le releveur de la
arrive à la période que nous pourrions dénommer de contracture, les
muscles
les plus puissants l'emportent, et comme dans l
puissants l'emportent, et comme dans la dynamique ocu. laire les
muscles
qui dirigent l'axe de l'oeil « en dedans » sont
strabisme : cet état tra- duit ainsi la contracture musculaire des
muscles
de l'oeil qui elle-même n'est que la traduction
ice; l'état psychique, et non la fatigue organique, l'épuisement du
muscle
, comme il arrive par exemple dans le travail mu
longue marche ou dans un exer- cice musculaire quelconque, c'est le
muscle
lui-même qui ' travaille, qui se fatigue. Il en
tion, résultat de l'intensité des échanges organiques au niveau des
muscles
en travail. Dans l'acte sexuel, les phénomènes
laire dans le tabes démontre, d'après M. Duplant l'intégrité des
muscles
dans le plus grand nombre des cas. La réaction n'
normalement mais elle est rendue plus apparente par l'hypotonie des
muscles
qui est constante dans l'ataxie locomotrice. G. C
ue mentale, et alors sont peut-être l'expression de la. fatigue des
muscles
et des centres respiratoires inférieurs. - 18°
s que dans les cen- tres moteurs les plus élevés, ce sont moins les
muscles
individuel- lement, que les groupes musculaires
teint le faisceau pyramidal et la voie sensitive. Préparations de
muscles
provenant d'un cas de maladie de Pa1'lânon. M
dans un travail con- SOCIÉTÉS SAVANTES. 419 9 sacré à l'étude des
muscles
dans diverses maladies, entre autres dans la ma
on. Il trouva des lésions musculaires très accentuées dans tous les
muscles
examinés aussi bien dans les muscles du bras et
très accentuées dans tous les muscles examinés aussi bien dans les
muscles
du bras et de la main que dans le quadriceps, le
e ; les pupilles réagissent cependant normale- ment. Tremblement du
muscle
orbiculaire des paupières, léger ptosis, trembl
iculaire des paupières, léger ptosis, tremblement de la langue, des
muscles
de la face, du muscle orbiculaire des lèvres. -
éger ptosis, tremblement de la langue, des muscles de la face, du
muscle
orbiculaire des lèvres. - Léger embarras de la
parole est peu accentué, mais les tremblements, sur- tout ceux des
muscles
de la face, ont augmenté et acquièrent de l'int
ues on trouve de l'inégalité pupillaire, un léger tremble- ment des
muscles
de la face et de l'orbiculaire des lèvres, un lég
ticale qui correspond aux mouvements spécifiques et la masse des
muscles
mis en action. Nous pouvons supposer que l'attent
sition de courants nerveux (comme dans l'antagonisme corrélatif des
muscles
) aboutissant à la pro- duction d'équivalents th
les nerfs de la main par la contraction énergique et prolongée des
muscles
de la main et de l'avant-bras, et d'autre part co
atrophies successives dans l'espace de trois ans et intéressant les
muscles
du pied droit'et de la jambe droite, gagnant en
fulgurantes aux extré- mités supérieures. Paralysie du groupe des
muscles
extenseurs et du deltoïde. Troubles de la sensi
ertainement joué qu'un rôle accessoire dans la symptomatologie. Les
muscles
présentaient une dégénérescence très accusée, s
orçaient par les mouvements volontaires, et par les émo- tions. Les
muscles
de la main droite sont atrophiés légèrement; 50
qu'il s'agisse de la contracture permanente d'un certain nombre de
muscles
(attitudes stéréoty- pées) ou de la répétition
- neux, augmentation de l'excitabilité mécanique des nerfs et des
muscles
, dilatation pupillaire, troubles vaso-moteurs, cy
1 étude des formes unilatérales, par Grande, 330. Ptéparations de
muscles
provenant d'un cas de maladie de , par Idelsohn
erveux en parti- culier sur le trajet du nerf sciatique gauche. Les
muscles
du tronc étaient également parésiés et douloure
l'extrait thyroïdien dans un têt cas. II. Atrophie primitive des
muscles
du tronc et des membres ; par 13.RLO ? C'est un
du larynx dans la paralysie générale. Les adducteurs seraient les
muscles
le plus souvent atteints par la paralysie. Il n'e
. Elle porte d'ahord sur le triceps crural, les fessiers, les longs
muscles
vertébraux. L'enfant n'apprend pas à marcher et n
es groupes musculaires s) mé- triques. Ce sont successivement : les
muscles
de'la nuque et du cou, ceux de la ceinture scap
is ceux des avant-bras et des jambes, et, en tout dernier lieu, les
muscles
des mains et des pieds. La paralysie, toujour
ophie. Jamais il n'y a d'hypertrophie ou de pseudo-hypertrophie des
muscles
. On constate, en outre, des convulsions fibrillai
térieures; faible dégénérescence des troncs nerveux antérieurs. Les
muscles
subissent : l'atrophie simple, la dégénérescenc
sécrétion des larmes, de phénomènes vaso-moteurs, de mouvements des
muscles
de la physionomie (mimique). Or, l'écorce conti
t à peu près normaux. Il n'y avait ni parésie, ni paralysie d'aucun
muscle
; aucun nerf crânien ne paraissait intéressé. La
survinrent des phénomènes convulsil's très nets, envahissant les
muscles
des extrémités aussi bien que ceux de la face. En
mesures des réactions végétatives (respiration, pouls, fatigue des
muscles
). II. Psychologie, de l'individu normal. S'adre
ture. L'exploration de l'excitabilité galvanique des nerfs et des
muscles
est, on le sait, une des parties les plus importa
ouru par le courant galvanique affaiblit l'excitation du nerf ou du
muscle
à la fermeture du courant aussi bien avec le pôle
e existe, elle est le plus souvent limitée à un nombre restreint de
muscles
. L'excita- bilité du nerf et des muscles pour u
e à un nombre restreint de muscles. L'excita- bilité du nerf et des
muscles
pour une des formes de courant ou pour les deux
cet état qui déterminerait chez eux un affaiblissement général des
muscles
et en particulier de ceux qui sont situés de ch
eprésentations ou des impulsions motrices, avec des contractions du
muscle
tenseur du tympan, avec de légers mouvements de
s parétiques ou paralytiques; il en est de même pour l'atrophie des
muscles
et ponr divers troubles cutanés, sensoriels et
strique se rencontrent fréquemment chez les aliénés : paralysie des
muscles
du pharynx, dans la démence paralytique, dans l
mental peut être appliqué à une variété de spasme intermittent des
muscles
du cou, associé ou subordonné à des troubles ps
des sujets névropathes, en dehors de toute altération organique des
muscles
des nerfs ou des centres. Les intéressantes obs
ns l'un des cas par exemple, il s'agit d'un tic limité au début aux
muscles
rotateurs de la fête et qui peu à peu s'est génér
e le gauche ; les mains sont plus affectées comparativement que les
muscles
de l'avant-bras et du bras. Les mouvements ac
est conservée, quant à]la main droite elle est un peu émoussée. Les
muscles
du tronc, à l'exception de la faiblesse des mus
u émoussée. Les muscles du tronc, à l'exception de la faiblesse des
muscles
abdominaux, ne pré- sentent aucune anomalie. Le
s manquent totalement. Les réflexes patellaires n'existent pas. Les
muscles
de la jambe et de la cuisse sont douloureux à l
diarrhée ne cessaient pas. L'abdomen était gonflé. La faiblesse des
muscles
abdominaux s'accroissait. L'observation de l'ét
elle. Le 16 février 1893, vers le soir, sans cause appréciable, les
muscles
du côté gauche de la face et du pharynx présent
tées et d'une durée de deux à trois minutes. La portion frontale du
muscle
occipito-frontal se contractait des deux côtés,
gauche. Le clignement de l'oeil gauche était constant, et tous les
muscles
du côté gauche de la face étaient assez énergiq
giquement contractés ; il y avait en même temps une contraction des
muscles
du pharynx donnant lieu à du gargouille- ment p
uscles du pharynx donnant lieu à du gargouille- ment pharyngé ; les
muscles
du larynx participaient plus légère- ment à cet
ieure droite de la tête et répondait : « Oui. » Après la crise, les
muscles
du côté gauche de la face demeuraient légèrement
e l'oeil ; tous les réflexes parais- saient normaux, et aucun autre
muscle
que ceux du côté gauche de la face, ceux du pha
se. Le lendemain, les crises convulsives avaient' disparu, mais les
muscles
qui en avaient été le siège étaient en état de
halalgie. Le 21 février, on note une paralysie presque complète des
muscles
du côté gauche de la face, une déviation nette
malade ; il n'y avait ni vomissements, ni vertiges, ni spasmes des
muscles
de la nuque ; pas de nystagmus, pas de tendance
aralysie flasque, atrophie, et perte de la sensibilité faradiqne du
muscle
, en l'absence de tout symptôme sensoriel indiqu
minution de la résistance musculaire, la parésie ou la rigidité des
muscles
. > li. de 'I\IUSGRAVE-CLAY. ' 1ô REVUE D'ANA
ERTE DE l'irritabilité faradique, ET réaction DE dégénérescence DES
muscles
DU côté paralysé; par J.-T. EsI : RIDCE, avec r
déchets qui pro- viennent de la fatigue et relever la nutrition du
muscle
. En somme : 1° amélioration remarquable de l'at
de la sensibilité dans tous les modes, une parésie avec ataxie des
muscles
de la vie de relation et une diminution de facu
dite spontanée et dont la cause efficiente est la dégénérescence du
muscle
, est le ventricule. Sur un total de 89 observat
auche sont normaux. L'examen microscopique du coeur et de plusieurs
muscles
locomo- teurs a révélé une dégénérescence grais
enfant fut pris de mouvements spasmodiques, intéressant d'abord les
muscles
de l'angle externe de l'oeil gauche, puis ceux
deux semaines, il demeura paralysé, sans pouvoir faire agir un seul
muscle
des extrémités. Le mouvement revint d'abord à l
nce du glosso-pharyn- gien, qui envoie aussi des filets moteurs aux
muscles
du pharynx. Ces derniers filets naissent du noy
noyau propre, d'où ils émergent avec le losso-pharynrien; 4° Les
muscles
des parties molles du palais ne sont pas innervés
hôpital, elle commencé à avoir des contractions involon- taires des
muscles
de la face : puis les bras, le corps et finalemen
l'hôpital, elle a vu apparaître des contractions involontaires des
muscles
de la face, qui se sont aggravées et ensuite prop
ctions fibrillaires, et des spasmes partiels et isolés de plusieurs
muscles
individuellement, ainsi qu'une certaine incoord
cellules, les contractions musculaires comprendront des groupes de
muscles
associés, et surtout, parmi ces groupes, ceux q
ilité réflexe à la lumière et il l'accommodation); 3° paralysie des
muscles
oculaires; 4° paralysie 276 6 REVUE DE PATHOLOG
e, où elle se manifeste à l'occasion des mouvements volontaires des
muscles
des membres et de ceux des yeux, du larynx et d
dans ces orsanes se manifesterait d'abord par une para- - lysie des
muscles
de l'oeil, tandis qu'un néoplasme cérébelleux d
rges épileptiques, qui s'effectueraient non par l'intermédiaire des
muscles
de la respiration et de la vie de relation, mais
on d'urine; en tout cas, elle eut pour cause physique le spasme des
muscles
de l'urètre et de la vessie. Quant à la polyuri
ce aux obsessions et impulsions; elle a provoqué l'hypertrophie des
muscles
et des attaches osseuses, et elle se double des
et les noyaux de la substance grise, jusqu'aux faisceaux isolés des
muscles
. Exagération dans la transmission des impulsion
ent d'influx nerveux d'abord dans les conduits efférents allant aux
muscles
involontaires, puis dans ceux des muscles semi-
uits efférents allant aux muscles involontaires, puis dans ceux des
muscles
semi- volontaires, enfin dans ceux des muscles
, puis dans ceux des muscles semi- volontaires, enfin dans ceux des
muscles
volontaires. C'est cette haute tension dans les
provison nerveuse est carac- téristique de la vie humaine. Pour les
muscles
volontaires le con- trôle est entièrement dévol
ablement sou- levé tout un poids mort d'inhibitions. Ce réflexe des
muscles
volon- taires représente donc une décharge de f
longements de la tumeur s'étendait sous la plèvre, l'autre sous les
muscles
des gouttières vertébrales, le troisième dans l
regard insignifiant; leur visage est sans expression et quand leurs
muscles
se contractent, c'est brusquement et violemment.
'OEDÈME BLEU. 323 3 L'excitabilité électrique est diminuée pour les
muscles
et les nerfs du membre supérieur gauche dans le
e dégénéres- cence. Affaiblissement de l'excitabilité mécanique des
muscles
du membre supérieur gauche. Diminution de la se
atteint au-dessus et au-dessous des parties oedématiées et quelques
muscles
de la main. Les ganglions du grand sympathique
, les vaisseaux et la peau a donné des résultats négatifs. Dans les
muscles
on n'a trouvé aucune modification. Comme nous l
du coeur et de la cage thoracique, mais aussi à la contraction des
muscles
qui chas- sent le sang des veines pourvues de v
ntrer des lésions trophiques, telles que l'atrophie de la peau, des
muscles
et des os, des destructions de tissus (eschares
rte sur des formes déter- minées du mouvement mais non sur quelques
muscles
isolés. Dans ces paralysies, les mouvements son
longements de la tumeur s'étendait sous la plèvre, l'autre sous les
muscles
des gouttières vertébrales, le troisième dans l
pendant que cessent le trouble respiratoire et les convulsions des
muscles
de la face - 5° il s'accompagne d'autres signes
cas d'ophtatmoplégie : 1° Une paralysie plus ou moins complète des
muscles
des yeux (l'élévateur de la paupière supérieure
syphilitique. Symp- tômes de tabès au début. Paralysie complète des
muscles
de l'oeil des deux côtés; l'élévateur palpébral
du tendon du biceps qui, transmise à la moelle, fait contracter le
muscle
élongé. B. Dans la névrite 7 ? îullilociilciii,
à sept minutes, par exemple, détermine la contrac- tion réflexe des
muscles
de la jambe pouvant aller à la flexion de l'art
culation du genou. La percussion périarticulaire des tendons ou des
muscles
de la jambe peut produire le même résultat, la
me côté; après une longue marche, une station debout prolongée, les
muscles
paraissent rac- courcis, les aponévroses anorma
non suivant les nerfs périphé- riques, mais suivant l'ensemble des
muscles
qui agissent. Il en est ainsi pour les racines
du corps, on obtient un transfert mais incomplet. - 8° La force des
muscles
des mains demeure, la plupart du iemps, intacte
ins au début, on constate des palpita- tions et des ondulations des
muscles
de la région, des adducteurs -.des cuisses, et
ication chargée de transmettre les ordres de l'écorce cérébrale aux
muscles
; cette voie ne passe pas par les pyramides; 3°
actérisées par des troubles de coordination dans les mouvements des
muscles
des membres, de la tête, du tronc, des muscles
s les mouvements des muscles des membres, de la tête, du tronc, des
muscles
de la phonation et du langage arti- - culé. -
fonctions de cette substance en est la conséquence. Plus tard, les
muscles
s'atrophient et ne répondent plus à l'excitatio
a entrepris une série d'expé- riences graphiques sur la rétine, le
muscle
et le nerf. Pour la rétine (oeil de grenouille
ompagnée de sensation propor- tionnelle à sa propre valeur. Avec le
muscle
considère non comme organe musculaire, mais en
s centres en retour influent sur le processus nutritif des tissus. (
Muscles
considérés comme organes terminaux des nerfs mo
st ajournée; 2° M. limucc6ra. Sur un cas de paralysie chronique des
muscles
de l'oeil (avec présentation de préparations).
ylindraxe qui établit les mêmes connexions ou qui s'en va jusqu'aux
muscles
, à la peau, aux organes des sens, etc., etc.
e, aller à travers un nerf périphérique, de la moelle épinière à un
muscle
des extrémités, par exemple; les varia- tions,
e qui de la corne antérieure de la LES NEURONES. 42] moelle va au
muscle
. Le prolongement cylindraxe ou neural naît soit
mpulsion motrice partant de l'écorce du cerveau pour se rendre à un
muscle
; le courant nerveux qui s'éloigne à ce moment d
à ce moment il est de nouveau repris et conduit à des- tination (au
muscle
) par un prolongement cylindraxe. La même loi se
uffisent à établir la communication entre l'écorce cérébrale et les
muscles
, c'est-à-dire que la chaîne motrice se compose
cellule de Deiters dont le prolongement cylindraxe s'en va dans le
muscle
à travers la racine antérieure et le nerf. Ce s
ensuite en suivant de nouveau un prolongement cylindraxe jusqu'au
muscle
. S'il existe deux neurones dans la voie motrice,
nces isolées du téléneurone, celui qui va de la corne antérieure au
muscle
, donnent lieu, de leur côté, à un tableau clini
nt ; ce tableau est celui de l'atrophie musculaire progressive. Les
muscles
s'atrophient ; les paralysies ne se produisent
ue deux neurones pour conduire une impression motrice du cerveau au
muscle
, il en faut pour le moins trois ou quatre pour
oquer cette manière de voir pour expliquer l'atro- phie tardive des
muscles
dans le tabès vulgaire, etc., etc. D. Pathologi
ns ses deux tiers supérieurs, rétréci dans son tiers inférieur. Les
muscles
pectoraux sont volumi- neux ; leur bord inférie
e siège d'une sécrétion légère, et se recouvraient de croûtes'. Les
muscles
deltoïdes, biceps et triceps brachiaux forment de
nale. A ce moment de l'examen on observe un léger tremblotement des
muscles
de la jambe. La notion de position est normale.
ire. Exploration faradique. La con- tractilité est normale dans les
muscles
fessiers ainsi que dans ceux de la cuisse, de l
lité. Exploration faradique. La contractilité est diminuée dans les
muscles
péroniers latéraux. Exploration galvanique.- Da
s les muscles péroniers latéraux. Exploration galvanique.- Dans les
muscles
où l'excitabilité fara- dique est diminuée, il
lysie du plexus brachial de Erb, avec dégé- nérescence complète des
muscles
deltoïde, biceps, brachial anté- rieur, long su
ment contractée. Il en résulte que cette flexion a pour facteurs le
muscle
premier radial externe aidé des épicondyliens,
ls sont hypertrophiés. D'où l'indication d'exercer et de masser ces
muscles
-là pour ramener la flexion perdue de l'articulati
s après la mort, on n'obtenait plus que des contrac- tions dans les
muscles
du cou. Quelques minutes plus tard, on n'obtena
1894, on constate que la main a l'attitude dite du prédicateur; les
muscles
SOCIÉTÉS SAVANTES. 487 innervés par le médian
u ou blanc par stase mécanique. Plus rares sont les contractures de
muscles
isolés (tibial antérieur), Bruns a observé plus
membres, et ne correspondent jamais aux groupe- ments des nerfs des
muscles
et de la peau, soit à la périphérie, soit dans
ires au repos chez les - par Grasset, 493. Atrophie primitive des
muscles
du tronc et des membres par Barlow, 47. - de
stationnaire limitée datant de dix ans. - Atrophie progressive des
muscles
de la main. Paralysie atrophique des membres in
rément développée. Une atrophie considérable à la main gauche : les
muscles
lombricaux et les interosseux (surtout le premier
les interosseux (surtout le premier) ont été le plus atteints ; les
muscles
de hypothénar l'ont été un peu moins. La faible
s muscles de hypothénar l'ont été un peu moins. La faiblesse de ces
muscles
correspond au degré de l'atro- phie ; la malade
a- tique gauche plus que le droit. La pres- sion produite sur les
muscles
des mem- bres inférieurs, en partie dans les su
agnée de pied équin des deux côtés, par suite de la contracture des
muscles
du mollet. L'électro-excilabilité des muscles p
la contracture des muscles du mollet. L'électro-excilabilité des
muscles
paralysés diminuait progressivement. Leur atrophi
ation. La réaction de dégénérescence ne s'observait que dans peu de
muscles
des membres inférieurs et de la main gauche (CF
e vis la malade pour la dernière fois. Aucon- traire l'atrophie des
muscles
de la main avait augmenté. Les douleurs dans le
ne. La sensibilité douloureuse à la pression sur les nerfs et les
muscles
n'existe plus maintenant dans les mem- bres inf
in droite; à la main gauche elle est dans l'état antérieur; seul le
muscle
premier interosseux fonc- tionne mieux qu'aupar
ons étranges sont éprouvées dans la cavité buccale et la sphère des
muscles
masticateurs. La force de ces derniers est cons
e davantage le matin. Une légère exophtalmie de l'oeil droit. Les
muscles
moteurs de l'oeil ne sont point atteints. La vu
aux parties voisines de la moelle et eût provo- qué l'atrophie des
muscles
delà main. Les douleurs dans le dos et les memb
les moteurs des membres inférieurs, la paralysie atro- phique des
muscles
, etc. Vu la restauration assez rapide des fonct
e. Nutrition moyenne. Le squelette ne présente pas d'anomalies. Les
muscles
sont assez mal développés, on n'aperçoit nulle
ion est normale. Les organes sexuels sont normaux. Les nerfs et les
muscles
ne sont pas douloureux à la pression. Le mala
ablement affaiblie, en comparaison de celle du côté droit. Dans les
muscles
de la main gauche on observe de temps en temps
e et un certain aplatissement du the- nar surtout dans la région du
muscle
adducteur du pouce. Les muscles et les nerfs ne
the- nar surtout dans la région du muscle adducteur du pouce. Les
muscles
et les nerfs ne sont pas douloureux à la pression
u côté droit. Pas de troubles moteurs au tronc (diaphragme, thorax,
muscles
abdominaux, etc.). La sensibilité tactile du ma
est exagéré et accompagné de contrac- ture marquée à' répétition du
muscle
cremaster et du droit plus que du gauche, même
xagéré des deux côtés et accompagné de contractions à répétition du
muscle
triceps crural. A l'extension passive du genou
ive du genou on observe fré- quemment des mouvements convulsifs des
muscles
fléchisseurs du genou. Les réflexes tendineux d
rovocables au biceps et au triceps. L'exeitcabi- lité mécanique des
muscles
est modérément accusée. Les or- fanes internes
traitement consistait dans l'application du courant induit sur les
muscles
atrophiés et du courant constant sur le dos, et e
e courant le plus intense ne donne point de contraction de tous les
muscles
interosseux et de l'adducteur du pouce; du côté
té droit l'électrocon- tractilité est normale. Courant constant :
muscle
interosseux Ier, CFC = AFC 10 M. A ; interosseu
réaction de dégénérescence plus ou moins nettement accusée dans les
muscles
atrophiés. Dans les muscles thenars du côté gau
lus ou moins nettement accusée dans les muscles atrophiés. Dans les
muscles
thenars du côté gauche on observe des mouve- me
sans contracture; on avait de la pleine à vaincre la résistance des
muscles
, et si on déplaçait les mem- bres ils s'immobil
progressive du mollet et de la cuisse. La réaction élec- trique des
muscles
atrophiés a conservé ses caractères normaux. Il
Les troubles de l'accommodation, les troubles de l'innervation des
muscles
du globe oculaire et de la pupille, ont donné nai
ladie exis- tant depuis quelques mois : hypertrophie et parésie des
muscles
, dont aucun n'est atrophié. On a excisé un peti
réflexe avait diminué du côté malade. On réséqua des mor- ceaux de
muscles
tant aux malades présentant des épanchements ré
n à 1/5, de teinture d'iode, etc.) et celle de la lésion directe du
muscle
(martellement de portions de muscles plus ou mo
t celle de la lésion directe du muscle (martellement de portions de
muscles
plus ou moins circonscrites). On obtint dans to
contractures qui se produisent ne dépendent pas de la paralysie des
muscles
antagonistes; elles sont l'expres- sion de l'al
tracture ; ici aussi, pied bot équin. L'excitabilité électrique des
muscles
et des nerfs des jambes a disparu; à la cuisse, e
; forte atrophie du jambier antérieur, de l'extenseur commun, des
muscles
du mollet. - M. JOLLY. Chez les paralytiques gé
éminences thénar et hypothénar. En deux mois, la faradisation des
muscles
et l'iodure de potassium ou le nitrate d'argent à
as nécessaire- ment au niveau des centres moteurs correspondant aux
muscles
exclusivement ou primitivement convulsés. Quant
tantôt des perversions ou de la douleur; leurs rap- ports avec les
muscles
volontaires qui, suivant le cas, se contrac- te
es convulsions, ou au contraire sont paralysés. Même étude pour les
muscles
involontaires et pour les .diverses fonctions o
s ont leur volume normal ; il n'y a pas de trace de myatrophie. Les
muscles
répondent parfaitement aussi bien au courant fa
ous ses modes n'a présenté aucune altération. - L'état nutritif des
muscles
ne laisse rien à désirer : en effet, l'examen f
présente aucune altération. Pas de troubles trophiques : l'état des
muscles
est satisfaisant : examen électrique négatif. P
ture du membre percuté, qu'on fait dispa- raître par le massage des
muscles
antagonistes. Par une légère flexion des pieds,
'état trophique des membres paralysés ne laisse rien à désirer, les
muscles
répondent très bien à l'électricité. Pas de tro
sion, qu'on peut facilement faire disparaitre par la malaxation des
muscles
anta- gonistes. Pour peu qu'on fléchisse le p
ns musculaire normal. Il n'y apas trace d'atrophie musculaire ; les
muscles
répondent très bien aux courants électriques ;
ires; D). Groupe de symptômes douloureux des articulations et des
muscles
et divers autres symptômes sensitifs. Pas- sons
des am- poules. Atrophie de deux côtés (plus forte à gauche) des
muscles
de la main (en griffe), des muscles sus et sous
côtés (plus forte à gauche) des muscles de la main (en griffe), des
muscles
sus et sous-épineux dans leur por- tion postéri
culations des membres supérieurs. Tremblement fasciculaire dans les
muscles
de l'épaule. Exagération des réflexes du genou.
arpo-phalangienne du pouce des deux côtés. Atiophie progressive des
muscles
de la main et des scapulaires ; celle-ci est mo
réflexes ne sont pas exa- gérés. Tremblement fnsciculaire dans les
muscles
du thorax, des membres supérieurs et de la lang
pas exclusivement sur la peau : elles se font sentir aussi dans les
muscles
, sous forme de légère douleur sourde, de constr
s névralgiques; tantôt c'est une douleur locale siégeant dans les
muscles
atrophiés, les grandes articulations, les nerfs,
maladie. Dans nos six observations', elle était localisé dans les
muscles
de la main et présentait le tableau considéré c
Charcot). Chez un malade- la localisation prédomi- nante dans les
muscles
scapulaires et ceux de l'épaule rappelle aussi
a localisation initiale, dans la sanction et le degré de lésion des
muscles
atteints), qui est observée dans les atrophies
considérable ne correspond pas au degré de la paraly- sie. Dans les
muscles
atrophiés, on observe souvent la réaction de dé
pas plus que dans d'autres amyotrophies spinales. L'atrophie des
muscles
peut ne pas avoir lieu pen- dant très longtemps
habituellement pas de tendance à se généraliser; mais dans certains
muscles
(de la main le plus souvent) elle atteint parfo
in, un léger changement d'écriture, etc. Il est à remarquer que les
muscles
transversaires épi- neux sont atteints assez so
X). Plus tard, comme le prouve notre premier cas, l'atrophie des
muscles
et les troubles moteurs peuvent être plus accus
observés dans tous les cas où il y avait faiblesse et atrophie des
muscles
de la main, se rap- portent les tressaillements
cles de la main, se rap- portent les tressaillements convulsifs des
muscles
iso- lés de l'avant-bras et de la main; cela se
e l'avant-bras et de la main; cela se voit rarement dans les autres
muscles
. On observe aussi des spasmes toniques, surtout
es muscles. On observe aussi des spasmes toniques, surtout dans les
muscles
longs, au moment d'une forte contraction exagér
nsibilité ou l'analgésie, ou les troubles moteurs et l'atrophie des
muscles
. Plusieurs années peuvent s'é- couler, le malad
utre. Pour Longet le trouble des mouvements est dû à la section des
muscles
de la nuque; lorsqu'on détermine l'issue du liq
d'une vertèbre dorsale et qu'on ne divise pas par con- séquent les
muscles
de la nuque, alors la démarche des animaux ne p
enir sur ses jambes et il reste couché. Pour Béclard la section des
muscles
de la nuque provoque le trouble des mouvements
ent par la suppression brusque des points d'attache de la masse des
muscles
du dos, qui jouent un rôle capital dans l'équil
régions de la moelle épinière qui correspondent à la nutrition des
muscles
. La lésion des grandes cellules motrices des co
ans les nerfs périphériques (amyotrophies névritiques), ou dans les
muscles
mêmes (amyotrophies myopathidues). ' 1" group
s membres est la conséquence d'une insuffisance d'innervation des
muscles
extenseurs qui s'atrophient à la suite d'une inac
réflexes rotuliens. Exagération de la contractilité galvanique des
muscles
de la face du côté para- lysé. Déviation en ded
uvements de l'aeil gauche en bas, en haut et en 'dehors. Parésie du
muscle
droit interne, les mouvements du globe oculaire
ulaire en dedans ne dépassant pas la ligne médiane. La paralysie du
muscle
droit externe, ainsi - que la parésie du muscle
ne. La paralysie du muscle droit externe, ainsi - que la parésie du
muscle
droit interne gauche s'observent 1 Indications
; intégrité des rameaux intermusculaires. Atrophie dégénéralive des
muscles
en rapport avec la manifestation clinique de la
ATOLE pathologique DE L\ PARALYSIE AIGU1; COMPLÈTE (ALCOOLIQUE) DES
MUSCLES
DES YEUX. (Polio-encéphalite aiguë supérieure d
IX. 1.) Deux observations avec nécropsies, de paralysie aiguë des
muscles
des yeux ayant surtout porté sur les muscles extr
de paralysie aiguë des muscles des yeux ayant surtout porté sur les
muscles
extrinsèques du globe : intégrité des sphincter
s extrinsèques du globe : intégrité des sphincters pupillaires, des
muscles
accommodateurs, des élévateurs des paupières su
d'incliner son tronc à droite et de lever sa hanche gauche, car les
muscles
de ce mem- bre n'étaient pas assez rigides pour
é partiels et les troubles moteurs dans lesquels l'atro- phie des
muscles
est bornée à une région limitée au membre supér
des cas, où la sensibilité douloureuse des cordons nerveux et des
muscles
nous induira en erreur. Il faut se rappeler, qu
hésie partielle delà partie périphérique du membre avec atrophie de
muscles
de la main avait été observé à un certain degré
elle des troubles de circulation et de nutrition de la peau, des
muscles
, des articulations et probablement aussi dans l
ne faut pas en outre oublier l'atrophie avec affai- blissement des
muscles
orbiculaires des paupières qui est caractéristi
s ; 4) dans les atrophies musculaires. L'atrophie progressive des
muscles
avec localisation préalable dans les mains et l
ssive des muscles avec localisation préalable dans les mains et les
muscles
de la ceinture scapulaire etc., accompagnée d'a
aient rugueuses comme les points osseux qui servent d'insertion aux
muscles
. Le cerveau n'avait point d'autre lésion que l'
iation, des contractions cloniques d'origine corticale sur d'autres
muscles
. Tel est le résultat d'expé- riences dont le pr
originales. D'après l'auteur, la névrite alcoolique débute par les
muscles
, c'est-à-dire par les organes terminaux de l'appa
e pro- gressant, apparaissent les troubles sensibles et l'ataxie du
muscle
, le signe de Romberg. Enfin, tout à fait à la f
ndineux. P. K. XXIII. Un cas DE paralysie progressive chronique DES
muscles
DES veux (ophthalmoplégie externe); description
caractérisée par des contractions spas- modiques et symétriques des
muscles
intacts dans leur vigueur, leur coordination, l
Ziehen. (-1·c7a. f. Psych., XIX, 2.) Les maladies convulsives des
muscles
semblables au paramyoclo- nus multiple deFriedr
les au paramyoclo- nus multiple deFriedreich(convutsionscIoniquesde
muscles
symé- triques des extrémités, ne cessant que pe
r la rotation forcée, par Fuerstner, 89. Paralysie alcoolique des
muscles
des yeux, par Tlromsen, 252; - (pro- gressive
scles des yeux, par Tlromsen, 252; - (pro- gressive chronique des
muscles
des yeux), par Weslphal, 538; laryn- ée d ori
ertainement perdu de leur force. Il n'y a pas trace d'atrophie, les
muscles
sont même bien conservés. Les réflexes rotulien
gestions immédiatement après les crises sont normales. La force des
muscles
est bien conser- vée, excepté celle de fléchiss
Aucun de nos trois malades ne présentait trace de myatrophie les
muscles
étant parfaitement conservés. c). Symptômes cép
ndre trace de paralysie motrice. Pas de troubles myatrophiques, les
muscles
de son corps étant même parfaitement bien conse
é- rieur gauche. 11 n'y a aucune trace d'atrophie musculaire. Les
muscles
du membre droit sont aussi bien conservés que ceu
ptômes tabétoïdes. Il n'y a aucune trace d'atrophie musculaire, les
muscles
sont même bien conservés. Les fonctions de la v
tempé- rature, contact et douleurs. Pas d'atrophie musculaire, les
muscles
sont bien conservés et la contractilité faradiq
ntérieures, à savoir : l'absence des réflexes et la myatrophie, les
muscles
mêmes bien conservés, et la contractilité farad
incomplète depronalion; le dos de la main porté un peu en avant.
Muscles
du dos et de l'épaule. Le trapèze et le sterno-ma
ur le thorax. Le grand pectoral parait un peu lésé. La motilité des
muscles
rotateurs du bras, le sus-épineux, le sous-épin
ux, le sous-épineux et le petit rond, parait complètement abolie.
Muscles
innervés par le nerf radial. Deltoïde. Il existe
le nerf radial. Deltoïde. Il existe une pa- ralysie complète de ce
muscle
, il est matériellement impossible au malade d'é
brachial anté- rieur. Les mouvements physiologiques régis par les
muscles
de l'avant- bras, fléchisseurs, extenseurs et i
te importance. La contractilité faradique du grand den- telé et des
muscles
rotateurs du bras, sus-épineux, sous-épineux et
du bras, sus-épineux, sous-épineux et petit rond est amoindrie. Ces
muscles
se contractent très bien à la galvanisation, il
qui se traduit par Ka SZ > An SZ. La contractilité faradique des
muscles
deltoïdes, biceps, brachial antérieur et long s
pinateur est complètement abolie. L'explora- tion galvanique de ces
muscles
dénote très nettement l'inversion delà formule
peu diminuée. L'examen électrique est négatif pour tous les autres
muscles
du membre supérieur droit. Sensibilité. Le mala
ouvée tout à fait normale. Il n'y a aucune trace de myatrophie. Les
muscles
sont même bien conservés, la contractilité élec
jours de traitement. L'amélioration est notable. La motilité des
muscles
grand dentelé, sus-épineux, sous-épineux et petit
giques que par l'examen faradique. La contractilité faradique des
muscles
deltoïde, biceps, brachial antérieur, et long sup
PHANDRES. 83 sidérable. Les mouvements physiologiques régis par les
muscles
grand dentelé, sus-épineux, sous-épineux et pet
plus du tout altérés, leur contractilité faradique est normale. Les
muscles
deltoïde, biceps, brachial antérieur et long supi
écembre 1883, le malade a intégralement recouvré la motilité de ses
muscles
deltoïde, brachial antérieur long supi- nateur
lisation presque exclu- sive de la paralysie et de la myatrophieaux
muscles
qui sont sous la dépendance du nerf radial, c'e
HYPNOTISME. 9 a l'influence d'une excitation mécanique directe, les
muscles
de la vie normale se contracturent. Le mode d'e
soit avec une bande élastique, la percussion des tendons, etc. Les
muscles
de-la face se contractent seule- ment au moyen
entrent pas en con- tracture. Faisons remarquer à ce propos que les
muscles
de la face sont, dans l'hypnotisme comme dans l
l'hypnotisme comme dans l'hystérie, soumis à d'autres lois que les
muscles
des membres. C'est ainsi que jusqu'à présent on
ributaires du nerf de la même façon que l'irritation directe de ces
muscles
. Il en résulte que le membre sur lequel on expé
produisant un léger courant d'air, on provoque une contracture des
muscles
soumis à cette action. Cette contrac- ture, dit
taient d'abord de petites secousses convulsives et très courtes des
muscles
sous-cutanés, plus fréquentes dans la région du
, elle se plaignit de crampes dans les mollets, de contractures des
muscles
lom- baires et de fourmillements à la plante de
e la connaissance n'éprouve que des chocs, car elle ignore de quels
muscles
nous nous servons. La concep- tion du mouvement
appareil de la motilité. Ce chapitre se subdivise en : nutrition du
muscle
, tension musculaire, motilité, excitabilité réf
mémoire en résumant, en deux autres appendices, la physiologie des
muscles
et les modifications pro- duites par leurs alté
nconsciemment ou non, de mettre en oeuvre, les ni usclesetlesseiils
muscles
animes parce nerf. Mais M. Liégeois n'est pas m
us avons sur la connais- sance physioiogque de l'innervation de ces
muscles
n'existent évi- - demment pas pour lui. 11 ne n
us n'hésitons pas a rapporter cette tétanisation cataleptique des
muscles
à une forme modifiée de t'hyperexcitabitité neuro
ieurs, il faut remarquer l'absence complète du réflexe du tendon du
muscle
triceps dans le bras droit et la conservation d
ernière tombe lorsque, étant debout, elle ferme les yeux. Force des
muscles
excellente. [Contractilité électrique normale.
i échappent des mains. La paralysie prédomine incontestablement aux
muscles
innervés par les nerfs cubital et médian. Quand
nomènes de la contracture léthargique; il suffit de presser sur les
muscles
, de comprimer un membre avec une bande élastiqu
sait que si l'on presse mécaniquement sur un nerf moteur, tous les
muscles
desservis par ce nerf entrent en contraction ou
e de deviner, quand on excite un point de la peau, quels sont les
muscles
qui doivent entrer en contracture. Inutile d'insi
et dont le point de départ est dans l'excitation périphérique des
muscles
et des tendons, et que les contractures hypnotiqu
e plusieurs médecins de Neuchàtel (Suisse). c Je contracturai les
muscles
de l'avant-bras droit chez mon malade éveillé e
extrémités avant ceux de la face, et ceux-ci avant les centres des
muscles
du dos. Chez le chien nouveau-né, les centres m
es moteurs sont bien cir- concrits et régissent chacun un groupe de
muscles
, chez le chien nouveau-né, il n'existe que troi
t comparable à celle de la poliomyélite antérieure chronique où les
muscles
volontaires sont seuls touchés. Le diagnostic v
s des mouvements volontaires et des mouvements expressifs des mêmes
muscles
. Le Di- Rosenbach a publié sur ce sujet une obs
or- dons postérieurs ; leur excitation produit la contraction des
muscles
innervés par le segment correspondant de la moell
dos, sans pou- voir faire aucun mouvement, jamais de paralysie des
muscles
de le face ni de la langue, quelques groupes mu
ndineux abolis. Abolition complète de l'excitabilité électrique des
muscles
et des nerfs. Au bout de quelques heures, les m
n moins importante : « Pour chaque moment de l'état du nerf et du
muscle
, existent un optimum et un pessimum de l'excitati
on.) REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 283 augmente l'excitation d'un
muscle
en agissant sur son nerf, à partir d'un certain
pessimum de l'excitation; mais si on diminue alors l'excitation, le
muscle
se contracte de nouveau, puis se tétanise. Lapéri
y, en France, avait déjà signalé ce fait.) A l'état de pessimum, le
muscle
consomme une certaine quantité de force; en eff
onsomme une certaine quantité de force; en effet, dans cet état, un
muscle
récupère ses forces contractiles moins que s'il
s que s'il était à l'état de repos. Dans cet état l'excitabilité du
muscle
est seulement diminuée : si l'on produit une ex
diminuée : si l'on produit une excitation soit directement sur le
muscle
, soit sur un point du nerf plus rapproché que le
guées. Dans le passage de l'optimum au pessimum et vice- versà, le
muscle
se repose de l'une ou l'autre fatigue. Terminai
l se développa une paré- sic d'abord des jambes, puis des bras, des
muscles
de la nuque et du diaphragme. Disparition des r
Prompte guérison. La paralysie procéda par sauts, sans toucher aux
muscles
abdominaux, à ceux de la colonne vertébrale, aux
her aux muscles abdominaux, à ceux de la colonne vertébrale, aux -
muscles
intercostaux ; sinon, le diaphragme étant paralys
sprit c'est que l'inflammation du facial s'est transmise au nerf du
muscle
de l'étrier ; en tous les cas il existe une lég
de même qu'en intensité : les convulsions portent à la fois sur les
muscles
déjà pris, à la fois sur ceux de la face, de la
oujours aspect athlétique. Un peu d'hyperexcitabilité mécanique des
muscles
de la face, mais non tonique. Excitabilité élec
de la face, mais non tonique. Excitabilité électrique des nerfs et
muscles
, comme jadis. Un courant faradique prolongé pro
res musculaires lisses et d'affaiblissement de la contractilité des
muscles
stries, avec les mêmes syndromes produits tantô
ère utile ou n'agit que par son facteur psychique. Les nerfs et les
muscles
paralysés et dégénérés se comportent d'une mani
ongé, associé à des manifestations spinales et à des paralysies des
muscles
de l'oeil; l'affaiblissement de la mémoire lui
t très probablement une paralysie de nerf radial avec intégrité des
muscles
supinateurs, autrement dit, une para- lysie sat
lité musculaire (faculté de se rendre compte des con- tractions des
muscles
) semble être excessivement affaiblie; ainsi, qu
uit dans l'articulation tibio-tarsienne quelque mouvement et si ses
muscles
se contractent. ÉTUDE DE L'ÉTIOLOGIE DU TABES.
olument pas compte de contractions très violentes dans la région du
muscle
vaste interne. Les réflexes cutanés sont presqu
n temps que J... est atteint de rétention d'urine. La nutrition des
muscles
est parfaitement normale. Les réactions électri
normale. Les réactions électriques sont également normales dans les
muscles
des -membres supérieurs et inférieurs. L'irrita
des -membres supérieurs et inférieurs. L'irritabilité mécanique des
muscles
est intacte. Marche de la maladie. Les symptôme
u côté droit, une sensation de ceinture et de constriction dans les
muscles
du cou. Vers le 30 novembre, la rate se gonfle de
t que dans un tiers de ses sujets il n'a pas trouvé de troubles des
muscles
oculaires. Enfin, il n'y avait également pas de
existant chez notre malade, nous aurions, malgré l'état normal des
muscles
oculaires et du fond de l'oeil, pleinement le d
dégénération excessivement prononcée des nerfs périphériques et des
muscles
, il y avait dégéné- ÉTUDE DE L'ÉTIOLOGIE DU TAB
rnée droite est loin d'arriver jusqu'à l'angle de la paupière et le
muscle
droit externe se fatigue si rapidement que c'est
qui est d'une fré- quence extraordinaire, est celle qui a lieu aux
muscles
et aux articulations. C'est elle aussi qui a ét
cte à l'autre. Rien du côté du sens musculaire, de la nutrition des
muscles
, des vaso-moteurs, de la vessie, du rectum et d
énéral. L'électricité agit très efficacement sur la contraction des
muscles
qui se tendent et font saillie sous la peau, à pe
le voyons dans un certain degré de maigreur, dans la flaccidité des
muscles
à l'état de repos et dans une diminution de la
ncore, mais plus rarement, chez les hysté- riques, des troubles des
muscles
moteurs des paupières et du globe oculaire, d'u
laire, et une abolition complète de l'exci- tabilité électrique des
muscles
atrophiés. Le diagnostic de né- vrite multiple
, on trouve les symptômes suivants : paralysie complète de tous les
muscles
du bassin, des membres inférieurs et des membre
utanés et tendineux abolis, ainsi que l'excitabilité électrique des
muscles
; sensibilité cutanée intacte ; amaigrissement e
ensibilité cutanée intacte ; amaigrissement extrême et en masse des
muscles
. La syphilis est niée, mais le traitement spécifi
rophie musculaire, sensibilité intacte, excitabilité électrique des
muscles
normale; réflexes tendineux abolis; acuité visuel
la moelle et des noyaux mo- teurs du bulbe, les centres moteurs des
muscles
seuls auraient été touchés et le centre trophiq
s des muscles seuls auraient été touchés et le centre trophique des
muscles
ne répondrait pas au centre des mouvements. Il
ncertaine, enfin survien- nent des contractions tétaniques dans les
muscles
extenseurs des extrémités et dans les muscles r
s tétaniques dans les muscles extenseurs des extrémités et dans les
muscles
respirateurs. La sensibilité cutanée et les réf
mal hypnotisé y réponde. Sous l'influence du courant faradique, ses
muscles
se tétanisent, mais il reste immobile. 'Si on a
s d'un état mental, mais d'une atrophie ou d'une hypertro- phie des
muscles
de la face. BIBLIOGRAPHIE. Anfimoff. - Des al
.nerveux do la rétine. Le Alédccin, u° 2'r, 1888. Dostoewsky. Du
muscle
dilatateur de la pupille. Le Médecin, ' n" 30,
n, n° 38, 1886. ' Milovsoroff. Des altérations microscopiques de-
muscles
striés dans la rigidité cadavérique. Thèse inau
rbaeh. Etude sur l'excitabilité galvanique normale des nerfs et des
muscles
. Le Médecin, nu 43, 1886. De l'influence du tab
). Polynzosile progressive subaiguè. Cette affection débute par les
muscles
du membre inférieur, puis envahit tous ceux de
ns groupes atteignant fatalement en deux ans ou un an et demi les
muscles
respiratoires. De l'examen histologique, on trouv
és sur le trajet du canal inguinal. Phimosis ; méat régulier. Les
muscles
, examinés dans plusieurs régions sont pâles et
d'un système de mouvements pour exercer notamment les groupes de
muscles
dont la faiblesse rend la marche impossible, est
même lorsque les vagues étaient fortes. La progression de force du
muscle
quadric. crural avait haussé de 1 kilogramme à
à 4 kilogrammes depuis le 28 juin jusqu'au 4 août 1896 ; les autres
muscles
avaient retrouvé leur force dans les mêmes prop
après être parvenu, par le galvanisme, à fortifier suffisamment les
muscles
de l'index et du majeur pour qu'ils pussent sup
ier 1896 que, malgré ce travail manuel, la force tensionnaire des
muscles
n'avait pas augmenté : ce n'était toujours, pour
t par la main gauche, gagnant bientôt tout le membre supérieur, les
muscles
de la face et l'orbiculaire des pau- pières du
céphale. - G. U. II. De l'influence de l'alcool sur le travail du
muscle
fatigué ; par les U1'5 de l3oecR et GUVZDURG. (
99, n° 94 ) Pour étudier les effets de l'alcool sur le rendement du
muscle
fatigué les auteurs ont expérimenté sur d'ancie
ve chez les sujets normaux : au lieu d'augmenter, le rendement du
muscle
reste stationnaire ou diminue. G. D. III. Exagé
ement admise, il n'y a pas toujours parallélisme entre le tonus des
muscles
et l'état des réflexes tendineux, et que, dans
es réflexes tendineux sont exa- gérés alors que le tonus normal des
muscles
est affaibli. A l'appui de cette opinion, M. Va
constate une exagération des réflexes tendineux aussi bien dans les
muscles
atteints d'hypertonie, que dans ceux atteints d
ion de l'exagération des réflexes tendineux vis-à- vis du tonus des
muscles
, prouve que celui-ci doit se produire sui- vant
l permet d'obtenir simultanément les tracés graphiques de plusieurs
muscles
, de plusieurs animaux en expérience, d'où la dé
trouvé en présence d'un spasme des vaso-moteurs aussi bien que des
muscles
volontaires, avec en même temps un abaissement
ralentie mais distincte, vision affaiblie, relâchement au repos des
muscles
de la face, exagération du réflexe patellaire,
pyramidal dans son trajet intra-cérébral. L'équilibre nutritif d'un
muscle
est fonction de l'activité de 'ce muscle. Il est
L'équilibre nutritif d'un muscle est fonction de l'activité de 'ce
muscle
. Il est plus que probable que l'intégrité anato
de fréquence : a) affections spasmodiques (convulsions, spasme des
muscles
du la- rynx, croup, contractures, catalepsie) ;
) : c) troubles moteurs (para- lysies des extrémités, paralysie des
muscles
laryngés, aphonie) ; d) troubles viscéraux et v
colonne vertébrale, qui porte aussi sur les parties mollis et les
muscles
périarticulaires ; la cyphose est inconstante ; i
1889) et de Charcot (Progrès médical, 17 juin 1893). Paralysies des
muscles
des yeux; troubles dans le domaine du trijumeau
ue, quelques jours auparavant, il a ressenti un craquement dans les
muscles
de ce membre; à chaque pas il traîne le pied ga
ouvement synergétique de l'iris, qui accom- pagne la contraction du
muscle
orbiculaire et la rotation en haut et en dehors
mpressions sensorielles conscientes ou inconscientes. Rien dans les
muscles
qui n'ait été dans les sens. Il n'y a pas un in
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. survenu une atrophie très marquée des
muscles
de la ceinture scapulaire du côté gauche. On
adie; 2° taudis que la réaction de dégénérescence existait dans les
muscles
tibiaux antérieurs de la jambe gauche, on const
ore l'excitabilité par le courant faradique, et, alors même que les
muscles
de la jambe droite avaient recouvré presque tou
endante de Landry soit réellement ascendante. ? 0 La flaccidité des
muscles
et l'intégrité des sphincters n'ont certainemen
as, ils ne constituent pas un symptôme marquant. 4° L'intégrité des
muscles
, c'est-à-dire l'absence d'atrophie et le défaut
rnier de troubles glosso-labio-laryngés. 11 existe une atrophie des
muscles
des mains et des avant-bras. Les réflexes sont
atrophie rapide rétrocéda au bout d'un certain temps dans certains
muscles
mais resta définitive au niveau des autres. Réa
ser dans cette région les centres moteurs des différents groupes de
muscles
. Mais tout cela n'avait pas-ébréché d'une façon
erritoires corticaux qui projettent des impulsions motrices sur nos
muscles
sont aussi des lieux d'abou- tissement des cond
symptômes suivants : une ophtalmoplégie externe, une paralysie des
muscles
innervés parle facial (supérieur et inférieur)
ur) une paralysie presque complète de la langue ; une parésie des
muscles
du larynx, du voile du palais, des muscles mastic
langue ; une parésie des muscles du larynx, du voile du palais, des
muscles
masticateurs. La parole est impossible; la dégl
nts répétés : il existe, en somme, un épuise- ment assez rapide des
muscles
. Cet ensemble symptomatique correspond au syndr
iens sont sains (même avec la méthode de Nissl). Il existe dans les
muscles
du larynx et de la langue, mais surtout dans le
de son action directe, de nous rendre compte de l'état tonique des
muscles
, du degré de l'atrophie, des contractures, de l
e et de l'épaisseur des couches adipeuses, qui couvrent souvent les
muscles
atrophiés et masquent l'atrophie. De plus, le
on suit une méthode déterminée par l'hypotonie ou l'hypertonie des
muscles
des membres paralysés. La force des manoeuvres
Iüller, de llabermman et d'autres massothérapeutes bien connus. Les
muscles
atro- phiés sont massés plus fortement que les
connus. Les muscles atro- phiés sont massés plus fortement que les
muscles
contractures. Deux des muscles contracturés son
s sont massés plus fortement que les muscles contractures. Deux des
muscles
contracturés sont évités par nous, surtout au d
, non atteintes de l'atrophie et qui, en proliférant, régénèrent le
muscle
para- lysé. Le massage méthodique serait ici le
e para- lysé. Le massage méthodique serait ici le régénérateur du
muscle
en voie d'atrophie. Il faut masser avec précautio
tenons, en massant pendant l'exécution du mouvement d'abduction les
muscles
abduc- teurs et opposant du pouce. Dans un cas,
l'avons déjà dit, en massage raisonné, guidé par l'état tonique des
muscles
et les manifestations pathologiques qui accompa
les contractures musculaires. Au début nous évitons de masser deux
muscles
les plus souvent contracturés. Ces muscles sont
évitons de masser deux muscles les plus souvent contracturés. Ces
muscles
sont le rond pronateur et l'adducteur du pouce. I
'adducteur du pouce. Inver- sement nous insistons davantage sur les
muscles
atrophiés, à qui nous faisons subir des manoeuv
ET D'ÉLECTROTHÉRAPIE. I. Electrophysiologie. La physiologie des
muscles
et des neifs offre encore malgré les nombreux t
ier lieu le travail de MM. Carvalho et Weiss sur la force limite du
muscle
. On sait combien les résultats obtenus par les
senthal et Gréhant pensent être arrivés à l'extrême limite quand le
muscle
ne soulève plus le poids tenseur que de 1/10 de m
enseur que de 1/10 de millimè- tre. En réalité la force limite d'un
muscle
est sa charge de rupture, car celle-ci se produ
r trouver cette force limite : 11\l. CarvarlUo et Weiss laissent le
muscle
en place en conservant sa circulation. L'animal é
ids est bien choisi, la rupture se produit en 3 ou 4 se- condes, le
muscle
répondant pendant ce temps par une contrac- tio
endant ce temps par une contrac- tion à chaque excitation. Quand le
muscle
est convenablement fixé la rupture se fait par
porte sur la moelle que lorsqu'on la localise sur le nerf ou sur le
muscle
. Arloing et Chantre ont étudié la persistance d
ermine des modifications. curieuses. La contractilité volontaire du
muscle
est supprimée et cependant l'anus reste fermé ;
ar Chauveau et les excitations ré- flexes sont supprimées. Mais les
muscles
conservent longtemps la propriété de réagir aux
ion directe du bout périphérique des nerfs frai- chement coupés. Le
muscle
répond également bien aux secousses isolées et
la destruction de l'influence directe du système nerveux. Enfin le
muscle
conserve ses caractères his- tologiques normaux
econde). Le membre était fixe de manière à exclure le con- cours de
muscles
autres que ceux qui travaillaient lorsque cru : \
es chocs électriques très' fréquents sur le cceur, les nerfs et les
muscles
. La hauteur de la courbe de contrac- tion tétan
onte sous l'influence de l'élévation de température à 28 ou 38°. Le
muscle
normal ne diffère pas sous ce rapport du mnscle
e. Kuhne dès 1860 avait constaté les ondula- tions que. présente un
muscle
traversé suivant son axe longitudinal par un co
a contractilité musculaire, et dépendent du degré d'excitabilité du
muscle
. De ce travail on peut rapprocher la communicat
rAs par M. lleudelssohn sur les Variations de l'état électrique des
muscles
chez l'homme sain et malade. Partant de ce fait
montré et admis par tous les physiologistes que la contraction d'un
muscle
est toujours accompagnée du dégagement d'un cou
aire au point qu'elle disparaît à peu près totale- ment lorsque les
muscles
sont réduits à tel point que le malade ne puiss
urni depuis de nouveaux moyens de contrôler la part qui revient aux
muscles
dans la production de ces courant ? . Chez quel
i ne peut exécuter presque aucun mouvement volontaire mais dont les
muscles
ont conservé leur excitabilité électrique, le c
peut être considérée comme un signe certain de l'envahissement du
muscle
par un processus de dégénérescence. Dans certains
e trapèze. Ces zones s'étendent aussi en arrière de la tête sur les
muscles
du dos ou de la nuque. Ces manifestations gusta
ntes) a étudié les modifications de l'excitabilité des nerfs et des
muscles
par les courants continus. Après avoir rappelé
rente sur le sternum, électrode active sur le tronc nerveux ou le
muscle
. Les résultats sont d'ailleurs identiques dans le
brusque-tension des quatre membres et un tétanos rigide de tous les
muscles
du corps ; la tète est en opistotonos. Ils rest
un certain nombre de cas que l'épuisement n'étant pas complet, les
muscles
récupéraient par le repos leur excitabilité.
f. Dans la seconde partie du traitement, on excite le nerf ou les
muscles
avec le courant galvanique interrompu dont on rég
idation était cette fois complèle et régulière. L'électrisation des
muscles
incurvés par le nerf cubital guérit ensuite rap
atrophie musculaire. Le troisième cas est une paralysie réflexe des
muscles
court fléchisseur, opposant et long abducteur d
Il me semble que dans l'expé- rience de M. Grasset, au moment où le
muscle
revient à l'état de repos, il se produit un mou
qu'il n'y a cer- tainement aucune différence essentielle entre les
muscles
du mou- vement et ceux du langage, lesquels son
vement et ceux du langage, lesquels sont sûrement, seulement des
muscles
différenciés pour une fonction spéciale. C'est po
'est pourquoi il est bien vraisemblable, que l'appareil central des
muscles
du mou- vement est construit de même manière qu
le.) LEDUC (S.). - Modifications de l'excitabilité des nerfs el des
muscles
par les courants continus. - Brochure in-8° de
malades, nous avons cherché à obtenir une résolution complète des
muscles
du membre inférieur. Les malades sont étendus dan
nsitifs des tissus environnant le tendon et ne sont pas transmis au
muscle
par une vibration du tendon. 3° Le réllexe rotu
dû à une hydromyélie consécutive ou il des contractures rigides des
muscles
. 8° La perte des réflexes patellaires n'est nul
ire d'un centre nerveux. La « secousse » est une réponse directe du
muscle
à une tension mécanique subite. C'est seulement
e tension mécanique subite. C'est seulement quand l'excitabilité du
muscle
est grande qu'on peut obtenir celle réponse dir
té du muscle est grande qu'on peut obtenir celle réponse directe du
muscle
. Quand le muscle est séparé des neu- rones spin
grande qu'on peut obtenir celle réponse directe du muscle. Quand le
muscle
est séparé des neu- rones spinaux moteurs qui l
les racines spinales afférentes en rapport avec le tonus spinal du
muscle
sont sectionnées, l'excitabilité musculaire dim
saire pour que la « secousse » se produise que le tonus spi- nal du
muscle
subsiste. L'arc réflexe dont dépend le tonus spin
al du muscle subsiste. L'arc réflexe dont dépend le tonus spinal du
muscle
est composé de fibres nerveuses afférentes venant
al du muscle est composé de fibres nerveuses afférentes venant du
muscle
lui-même (le triceps crural dans le cas de la « s
de la « secousse» » du genou) et des neurones moteurs innervant ce
muscle
. L'activité de cet arc réflexe peut être exalté
braux entraîne immédiatement une très grande exaltation du tonus du
muscle
triceps crural traduisant l'exalta- tion de l'a
r l'excitation de l'activité des neurones moteurs qui innervent les
muscles
antagonistes, les fléchisseurs du genou. L'acti
nou est habituellement associée à un certain degré d'inhibition des
muscles
extenseurs du genou. Le réflexe spinal le plus
'inhibition peut être particulièrement bien obtenue en excitant les
muscles
fléchisseurs eux-mêmes, par exemple le demi-mem
anglais : « 1 want to ask Doctor Sherrington, il' lie has eut other
muscles
th an the biceps or their nerves, for instance
un degré moins prononcé, peut être produit par la section d'autres
muscles
ou nerfs du plexus sacré. 11. le professeur I
flexe sont tou- jours parallèles à des variations dans le tonus des
muscles
. Dans les cas où le réflexe était fort, le tonu
pendance 'des réflexes tendineux du tonus des différents groupes de
muscles
. De plus, ces expériences montrent très netteme
ces expériences montrent très nettement la dépendance du tonus des
muscles
des procédés cérébraux, fait sur lequel M. Bruns
nesthétose, hémiplégie), aucune perturbation de la sensibilité, des
muscles
, de la physio- nomie, on trouve une grosse tume
PATHOLOGIQUES : dégénératives et régénératives de ces racines, les
muscles
thoraci- ques et spinaux sont parasiés ainsi qu
endigue dans les limites exigées pour les opérations de la vie. Aux
muscles
qui doivent à l'exactitude du travail joindre l
mes antagonistes aboutit à l'opération normale précise et exacte du
muscle
. La rupture de l'accord entre eux, c'est-à- dir
culaire. Dans le premier cas, il y a exagération de la tonicité des
muscles
, ou spasme; dans le second, exagération de la v
ines postérieures, aux cornes posté- rieures, de là aux centres des
muscles
contractiles (triceps crural) sis dans les corn
phénomènes tendineux est produite par la grandeur de la tension des
muscles
correspondants ; la grandeur de la tension des
tension des muscles correspondants ; la grandeur de la tension des
muscles
est sous l'influence non seulement des nerfs de
hénomène du genou doit être, d'une part vis-à-vis de la tension des
muscles
, d'autre part vis-à-vis de la force d'excitatio
ité musculaire l'emporte sur l'action de la volonté actionnant ce
muscle
; sa grandeur normale montre dans quelle mesure la
du genou reparaisse, malgré la diminution de la tension tonique des
muscles
, c'est-à-dire malgré la dégénérescence tabétiqu
nt comme dans le cas de paralysie progressive multilo- culaires des
muscles
des yeux. Il est intéressant de rapprocher la c
Hoppe, 55. Drames de l ? î9. Influence (je 1'- sur le travail des
muscles
fatigués, par de Boeck et Gunzbourg. 121. Alc
ngation est inutile chez les ataxiques, atteints du relâchement des
muscles
, Archives, 2. série, t. XIII. 3 34 - ' THERAP
ts, la paralysie radiale, etc. Lorsqu'elles sont très longues - les
muscles
de la nuque subissent la traction, produite par
entes hauteurs, ce qui nous permet d'éviter la traction brusque des
muscles
de la nuque. Il est difficile de comprendre; co
rée est relativement courte pour pouvoir déterminer une raideur des
muscles
de la nuque. Le nombre des séances ne peut être
promptement très vives; engourdissement des jambes, contracture des
muscles
, difficulté de marcher, nécessité de s'asseoir.
te sensation de fatigue, d'épuisement, envahit peu à peu tous les
muscles
du corps y compris ceux des yeux, qui conservèren
toute autre cause. Les troubles moteurs portaient surtout sur les
muscles
des jambes, des pieds et des éminences thénars,
l'avant-bras : il existe, en seconde ligne, un affaiblissement des
muscles
des deux mains, sauf l'éminence thénar droite n
nar droite néanmoins touchée. En même temps, atrophie prononcée des
muscles
paralysés les plus atteints, qui ont aussi perd
qui ont aussi perdu leur excitabilité électrique et mécanique : les
muscles
les moins affectés témoignent d'une diminution
anique sans réaction dégénérative. A la paralysie prennent part les
muscles
qui rapprochent l'épaule gauche de la colonne v
t cervical au premier segment dorsal inclusivement, étant donné les
muscles
frap- pés : il a respecté les groupes externes
ives ont à vue d'oeil légèrement amélioré les mouvements des petits
muscles
des mains. P. KER\V\L. XLI11. Du phénomène pa
tal subsistent depuis plus de huit mois : il est à craindre que les
muscles
épargnés jusqu'ici ne s'atrophient à leur tour.
tout sur le bleu ou le vert ; 8° par une contracture oscillante des
muscles
ciliaires, con- tracture plus accentuée à gauch
er à ce délire. Depuis un an, cette malade est atteinte de tics des
muscles
du cou, de la nuque, des bras et des jambes. Ce
NTES. plitude, celle-ci étant en rapport avec l'état d'atrophie des
muscles
. Il est naturel que les contractions soient amp
vite, sauf pour le membre supérieur. Cependant pour celui-ci les
muscles
innervés paris groupe radiculaire du plexus brach
plexus brachial ont bénificié du processus de réparation, seuls les
muscles
correspon- dant au groupe inférieur sont atroph
où la thermoanesthésie s'arrête net en coupure à l'avant- bras. Les
muscles
sont très atteints des deux côtés, mais surtout
aralysé que du côté gauche sain. L'excitabilité à la percussion des
muscles
de l'avant-bras provoque une secousse normale e
ne sensation, bien que, cependant, on constate la contraction des
muscles
sous la peau. Peu à peu la sensibilité faradique
de position du membre conservée (fig. 14). - , L'excitabilité des
muscles
de l'avant-bras à la percussion est normale des
ue la sen- sation de position du membre paralysé. La percussion des
muscles
Fig. 15. 106 CLINIQUE NERVEUSE. donne lieu
até une distribution systématique de la paralysie dans un groupe de
muscles
physiologiquement différenciés, dans les extens
ient d'un acte réflexe produitpar l'action de la suspension sur les
muscles
, les ligaments et les nerfs. En ce qui concer
suit : la suspension ou l'extension pro- duisent une extension des
muscles
, des ligaments, des nerfs périphériques, des ra
y a six ans d'un oedème du gros orteil gauche et d'une raideur des
muscles
du pied, lui empêchant la marche. A la suite de
i présentait une paralysie complète des. quatre membres et même des
muscles
du cou, à la suite d'une plaie produite par un
ue. - Simon. VIII. Sur les noyaux moteurs médullaires innervant les
muscles
; par SAM. (JOU1'Il, de Neurologie, 1901, n° 15
ions qui' ont été adressées à sa théorie de l'existence pour chaque
muscle
, d'un noyau d'innervation distinct. Il soutient
haque muscle, d'un noyau d'innervation distinct. Il soutient que le
muscle
, les 134 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PAT
e à celle de la zone motrice destinée aux mouvements ordinaires des
muscles
de la face, de la langue, du pharynx, du larynx
e pied de la troisième fron- tale commande aux mouvements des mêmes
muscles
adaptés, par perfectionnement, à la parole ; le
onnement, à la parole ; le pied de la deuxième frontale, à ceux des
muscles
en question adaptés à l'écriture. La zone motrice
phiés, l'utérus est atrophié (petit). - . L'examen électrique des
muscles
a montré l'apparition précoce de la contraction
ique à la suite d'excitations lentes et faibles; le relâchement des
muscles
est assez lent, même après contrac- tions isolé
E HYSTERIE AVEC CRISES PARAXYSTIQUES, ETC. 205 Sentez la chair, les
muscles
de la cuisse : mouvements de flexion et d'exten
trois ans, fait pendant près d'une minute une paralysie de tous les
muscles
de la langue qui tombe en arriére dans le palais.
e au grand air et d'utiles systèmes d'exercise; 2° exercer plus ses
muscles
que son esprit, et lui don- ner un entraînement
vitiligo qu'ils soient tabétiques ou non. Absence congénitale des
muscles
pectoraux. M. Souques présente un jeune homme d
tribue non à un trouble réflexe central, mais à ce que l'action des
muscles
extenseurs moins atteints l'emporte sur l'actio
ens, Phéno- mène du pied. Démarche spastique. Certaine atrophie des
muscles
de la jambe droite sans raideur, mais avec simp
ion debout, puis sensation de froid à la jambe droite, atrophie des
muscles
de la jambe droite et les phéno- mène sspastiqu
echerches sur les lésions produites dans le cerveau, la moelle, les
muscles
et les autres organes, chez les sujets morts de c
était due à une affection des plaques terminales et des fibres des
muscles
en rapport avec une prolifération anormale des no
question, prédominent, en l'espèce dans les interosseux et dans les
muscles
des éminences thénar et hypothénar. Il est évid
scléreuses du segment inférieur de la moelle aient pu agir sur les
muscles
des mains. Deux hémiplégiques peuvent-ils tenir
ations quali- tatives de l'excitabilité électrique des nerfs et des
muscles
, et nous, les rencontrons aussi du côté non hém
et sans autres troubles du côté des extrémités, du triju- meau, des
muscles
de l'autre oeil. La suppression de la réaction à
s per- sonnelles de l'auteur. Il introduit sous la peau et sous les
muscles
des chiens des pellicules de gélatinobromure en
phique. La lumière électrique de l'arc voltaïque irrite vivement le
muscle
, car elle y détermine de vives contractions fib
rses transforma- tions chimiques en réalité peu connues, excite les
muscles
et pro- voque diverses espèces d'énergies. P. K
exe pilaire est constitué par la contrac- tion d'un ou de plusieurs
muscles
voisins du point d'excitation du poil : ce réfl
s paupières, convulsion des globes oculaires en haut, mouvement des
muscles
de la face, hila- rité, modifications du rythme
ntôt bref, tantôt prolongé; il s'accompagne d'un spasme de tous les
muscles
respiratoires, c'est-à-dire du diaphagme, des m
e de tous les muscles respiratoires, c'est-à-dire du diaphagme, des
muscles
thoraciques, abdominaux, ceux du cou etdu laryn
e qu'il s'agit ici d'une contraction spasmodique très énergique des
muscles
thoraciques et abdominaux de l'expi- ration, su
actuelle, toutes les articulations sont atteintes et déformées; les
muscles
sont bien atrophiés. En outre, il existe des exos
capulaire, l'acromion (trois de chaque côté, près de l'insertion du
muscle
deltoïde, les os de l'humées et sur l'olécrane
e l'olécrane se présente sous forme d'un os sésamoïde séparé. Les
muscles
se contractent bien aux courants électriques. Les
es consistent en modifications du côté de la pupille (Leube) et des
muscles
extrinsèques (Ziemssen. Biot). Les troubles sen
t aurait eu de violentes secousses dans les bras, les jambes et les
muscles
de la face ; la perte de connaissance aurait ét
déclarèrent de violentes secousses dans les bras, les jambes et les
muscles
de la face, pendant qu'une écume sanglante s'éc
, mouvements de rotation de la tête, avec violentes secousses des
muscles
de la face, qui de pâle devient cyanosée. La pert
a moitié de la face paralysée. A l'examen électrique du nerf et des
muscles
, simple diminution de la contractilité galvaniq
ire en haut et en dehors). Les réactions électriques du nerf et des
muscles
indiquèrent la gravité de ce second accès. Il y
faradique et grande diminution de la contrac- tilité galvanique des
muscles
, avec inversion de la formule; c'est-à-dire la
tieuse exploration électrique, qui montre l'état des nerfs et des
muscles
, afin de ne pas commettre de grosses erreurs. E
tile à extension tardive. G. C. LXII. De la fonction vicariante des
muscles
insérés sur les con- dyles du bras, dans la par
eurs propres de l'avant-bras, gràce à l'intervention vicariante des
muscles
insérés sur le condyle interne de l'humérus (ép
, l'avant-bras se peut fléchir très passablement sur le bras. Les
muscles
biceps, deltoïde, brachial antérieur, long supina
sus-épineuse sont aplaties. Intégrité de la réaction électrique des
muscles
paralysés. Fléchit- on l'avant-bras sur le bras
de ce membre pour y sentir nettement une puissante contraction des
muscles
qui s'in- sèrent à l'épitrochlée, et notamment
Duchenne, dans la Physio- logie des mouvements (1867) p. 160. « Les
muscles
fléchisseurs de la main sont, comme tous les au
. « Les muscles fléchisseurs de la main sont, comme tous les autres
muscles
qui s'attachent à l'épitrochlée, auxiliaires de
ion possible, et alors ils fléchissaient l'avant-bras, à l'aide des
muscles
qui s'attachent à l'épitrochlée, et dont on senta
ussi par les fibres du médian associées à ce nerf. L'atrophie des
muscles
atteints est considérable : elle donne une conf
myotonique du mouvement est limité aux avant-bras et aux mains. Les
muscles
qui le présentent sont non hypertro- phiés mais
amen électrique révèle la réaction myotonique non seulement sur les
muscles
affectés, mais encore sur des muscles des bras
tonique non seulement sur les muscles affectés, mais encore sur des
muscles
des bras qui ne sont pas atteints de trouble mote
atteints de trouble moteur myotonique. L'excitabilité mécanique des
muscles
n'est pas nette- ment exagérée. Il s'agit d'un
omatique de la myotonie et l'atrophie manifestement progressive des
muscles
aient pris naissance sur un fonds de débilité p
te ataxie présentait le caractère cérébelleux : à une époque où les
muscles
des jambes ne trahis- saient aucune faiblesse,
dorale du côté sain et du côté malade - phénomènes concomitants des
muscles
volontaires modifica- tions quantitatives des r
centimètres en dehors : dans ces conditions, toute contraction des
muscles
deltoïde et biceps, éloi- gnés, émane sûrement
: il fallait avoir soin de se défier de l'excitation mécanique des
muscles
. » Quant à sa différence d'un côté à l'autre, a
veusmann. (Neurolog. CenI1'albl" XIX, 1900.) Atrophie étendue des
muscles
du tronc et des extrémités, sur- tout de l'épau
tout de l'épaule, du bras, de la cuisse et de la jambe. Certains
muscles
, comme le deltoïde, le rhomboïde, l'angulaire de
ne, 1882.) L'atteinte simul- tanée de tant de régions; le choix des
muscles
frappés d'atrophie, incapable, en aucune des af
é d'arbitraire et d'irrégularité; l'hypertrophie vraie de cet tains
muscles
, de nature compensatrice; la terminaison de la
haut », dit-il. Il lui faut, pendant quelques instants, tendre les
muscles
de sa bouche et de son visage péniblement, pour
ans signes de dégénérescence des voies conductrices. Paralysies des
muscles
des yeux se manifestant d'abord par une parésie
une parésie totale de l'oeil droit qui se limite ultérieurement au
muscle
droit externe; finalement parésie de l'oeil gau
a altéré les régions qui président à l'équilibre, aux nerfs et aux
muscles
de l'oculomoteur commun, du pathétique, de l'oc
attachée aux troubles de la vision en rapport avec la paralysie des
muscles
des yeux. Genèse lentement progressive à la sui
des fléchisseurs et pronateurs de l'avant-bras droit et des petits
muscles
de la main. Une cicatrice ovale, creuse, du volum
pos permanent des jointures et du raccourcissement secondaire des
muscles
innervés par le radial qui exercent une action an
rvés par le radial qui exercent une action antagoniste de celle des
muscles
atrophiés; la faiblesse relative du bras droit
ment convulsif, ou spasme musculaire) est un spasme de plusieurs
muscles
de la face, du cou, des bras, et des membres infé
cou, des bras, et des membres inférieurs. ainsi que du tronc : les
muscles
des mains et des pieds ne sont pas atteints : l
e la plaie fût guérie : on note d'abord un léger frémis- sement des
muscles
du dos, puis des spasmes toniques et cloniques
muscles du dos, puis des spasmes toniques et cloniques de tous les
muscles
de la partie postérieure du tronc et des extré-
c et des extré- mités inférieures; sans perte de la sensibilité des
muscles
atteints. Miction et défécation libres. Tristes
mencé à présenter des spasmes cloniques qui ont atteint d'abord les
muscles
du côté droit du corps (bras et jambe), puis se
s du côté droit du corps (bras et jambe), puis se sont propagés aux
muscles
correspondants du côté gauche et ensuite à ceux
à savoir l'abolition des réflexes tendineux malgré l'intrégrité des
muscles
correspondants et des contractions librillaires
galvaniques interrompus, assez puissants pour faire contracter les
muscles
; on y adjoignit une suggestion mentale énergiqu
ographie radiculaire supérieure des membres thora- ciques. Tous les
muscles
innervés par le groupe radiculaire supé- rieur
uel, le fait que des lésions assez accentuées existent sur l'un des
muscles
de l'émi- nence thÉnar, alors que tous les autr
l'un des muscles de l'émi- nence thÉnar, alors que tous les autres
muscles
radiculaires infé- rieurs ne présentent pas d'a
rvention : ténotomie de l'anta- goniste et avancement capsulaire du
muscle
paralysé. C.aaccn. G. Carrier. XVII. Des osté
la plaque musculaire; la substance toxique serait produite par les
muscles
en travail et excercerait un pouvoir paralysant
issent bien à la lumière et aux efforts d'ac- commodation. Tous les
muscles
extrinsèques de l'oeil fonc- tionnent bien, des
es réagissent bien à la lumière et aux efforts d'accommodation. Les
muscles
extrinsèques de l'oeil fonctionnent bien. A l'e
et des actes, embarras de la parole et tremblement fibrillaire des
muscles
de la face et de la langue ; myosis et inégalit
ée : inégalité pupil- laire, tremblement de la langue et des petits
muscles
de la face, tremblement des membres, embarras d
ue est profondément troublé. Bien plus, la faculté de maintenir les
muscles
dans la fixité peut être plus grande qu'à l'éta
par Cro- .thers, 403. Muets. Entendants, - par Lévy, , 525. -
Muscles
pectoraux. Absence congé- nitale dos - par Souq
par \V. Ireland, 238. Noyaux, moteurs médullaires Inner- vant les
muscles
, par Sano, 133 Noyau rouge. Endothéhome du -,
aines - radiales, par Lannois, 374, De la fonction vicariante des
muscles
insérés sur les condyles du bras dans la - co
postéro-externe. Le nerf circonflexe, qui innerve chez l'homme deux
muscles
, le deltoïde et le petit rond, et qui, chez le
ie progressive primitive avec ptosis bilatéral et participation des
muscles
masticateurs ; par M. le D 1. MARIE. La divis
, la forme est dite de Leyden llfubius; quand il occupe surtout les
muscles
de la ceinture scapulaire et de la ceinture pel
pelvienne, on a affaire à la forme juvénile de Erb ; enfin, si les
muscles
des lèvres et l'orbiculaire des paupières sont af
joints des phénomènes de ptosis bilatéral et d'affaiblissement des
muscles
masticateurs qui n'appartiennent nullement à la f
le et coqueluche dont elle guérit bien. A l'examen, on trouve les
muscles
de la partie supérieure du bras droit et de l'o
ettement atteint. Pupille droite un peu plus large que la gauche.
Muscles
de l'extrémité inférieure gauche notablement atro
éré à droite. Lordose accentuée et ventre très proéminent. Tous les
muscles
atteints répondent au courant faradique : la ré
résie des extenseurs dorsaux. Mollets volumineux et durs. Plusieurs
muscles
(cuisses, bras, omoplate droite) sont hypertro-
ications qualitatives : Lorsque la rigidité prédomine] sur certains
muscles
, ces derniers présentent le plus souvent, mais no
ec légère augmentation de la résistance, par compa- raison avec les
muscles
moins malades. Ces modifications ne dif- lérent
la raideur, d'autres fois, à la contraction simultanée de tous les
muscles
d'un segment de membre. Deux fois on a observé
, si l'on commande à ces malades de relâcher brusquement tel ou tel
muscle
, ils n'y parviennent souvent qu'a- près un temp
tes : elle est caractérisée par un spasme clonique intermittent des
muscles
innervés par le spinal accessoire et quelquefois
elligence indemne, une parésietaciaie légère, surtout à droite. Les
muscles
droits interne des yeux sont paré- siés surtout
xe pharyngien existe. Aucune atrophie de la langue, des lèvres, des
muscles
quelconques; pas de réaction décénéra- tive. Co
aucune ano- malie, a fini par révéler la réaction myasthénique des
muscles
palatins et masticateurs, des biceps, de la por
use sous l'influence du même cou- rant quand on a laissé reposer le
muscle
une demi-minute. Ce phénomène est plus accusé a
t les mêmes caractères de fatigue musculaire que les phénomènes des
muscles
des membres, de la respiration, du sphincter pu
t pris que ce dernier. Intégrité de la tète et de la face, sauf les
muscles
qui concourent à l'ouverture de la bouche. Inté
e des jambes et des membree supérieurs, l'as- tbénie respectant les
muscles
dorso-lombaires, les extenseurs et fléchisseurs
s dorso-lombaires, les extenseurs et fléchisseurs de la tête et les
muscles
dits bulbaires inférieurs. A l'entrée du malade
phiquesni vaso-moteurs, aucun trouble moteur dans le domaine des
muscles
innervés par les faciaux, les vago-spinaux, les h
e, vomissements et hallucinations. L'insuffisance fonctionnelle des
muscles
des quatre membres et de quelques-uns des muscl
fonctionnelle des muscles des quatre membres et de quelques-uns des
muscles
intrinsèques des yeux relève de l'as- thénic, b
me nerveux, dont la symptomatologie se résume dans une asthénie des
muscles
innervés par la mpsocéphate et de ceux qu'in- n
git d'une affection essentiellement motrice : ptosis, paralysie des
muscles
de l'oeil, troubles de la mastication, de la dé
tion des mots. Elle atteint son apo- gée en quelques mois. Tous les
muscles
animés par des nerfs ctauio-butbaires peuvent ê
are. Cette anesthésie fonctionnelle envahit toujours des groupes de
muscles
innervés par la moelle et peut s'étendre à tous
upes de muscles innervés par la moelle et peut s'étendre à tous les
muscles
du squelette. Ce n'est donc pas une anesthésie
la myoclonie. Ce terme désignant des mouvements spéciaux d'un seul
muscle
pris à part. Conservons donc pour le phénomène
d'une maladie nouvelle, caractérisée par une fonte progressive des
muscles
, et pour lui, cette maladie est une. BIBLIOGRAP
re que dans le type qu'ils ont décrit l'atrophie commençait par les
muscles
des mains, comme dans l'atrophie Aron-Duchenne,
ar aucune affection des paupières ni des yeux) et en même temps les
muscles
du nez et des joues se contractent,, tantôt d'un
r qui témoigne de la persistance d'une contrac- tion frénatrice des
muscles
élévateurs, tantôt avec une brusquerie qui indi
tantôt avec une brusquerie qui indique la participation active des
muscles
abaisseurs. Dans les deux cas, le relâchement m
s accentuée est à convexité gauche. Vue de dos, on constate que les
muscles
rachi- diens du côté gauche font saillie au niv
9 cices mélhodiques, dans le but de corriger l'incoordination des
muscles
intéressés dans les fonctions thoraciques et abdo
horaciques et abdominales. C'est, en effet, l'incoordination de ces
muscles
, qui amène les crises laryngées, par perturbati
ion et de la défé- cation, dus à l'incoordination et à l'atonie des
muscles
de la paroi abdominale du plancher périnéal et
toires et digestives, pour lesquelles l'intégrité des fonctions des
muscles
du thorax et de l'abdomen est nécessaire. Les e
ablissant la tonicité des parois abdominales et la coordination des
muscles
du larynx, etc., amènent promptement l'améliora
ure plus ou moins accen- tué, intéressant la plus grande partie des
muscles
des membres in- férieurs. Il en résulte que le
quelle il faut réapprendre au paraplégique assoupli à se servir des
muscles
dont il a oublié l'emploi. Au cours de la cure,
le massage et l'é- lectrisatiori peuvent aussi êire dirigés sur les
muscles
insuffisam- ment nourris. Il va sans dire que c
tomiques (expansions aponevrotiques) qui unissent les paupières aux
muscles
droits supérieur et inférieur et les rendent da
l'orbiculaire, taudis qu'ils deviennent très manifestes lorsque ce
muscle
est paralysé. % SOCIÉTÉS SAVANTES. '263 Acroc
Mures, claéilopleagie, chéilophobie. M. Henry Meige (de Paris). Les
muscles
des lèvres prennent part. à un grand nombre d'a
nique et consistant à évaluer la résistance passive opposée par les
muscles
et l'étendue des déplacements réalisés lors des
par la méthode graphique les secousses musculaires fournies par des
muscles
sains sous l'influence des divers modes d'excit
e et de les com- parer aux courbes correspondantes fournies par des
muscles
dont le tonus est altéré. L'identité entre les
négatif était intéressant à constater parce qu'il prouvait que les
muscles
examinés, s'ils étaient modifiés dans leurs ton
n rapport avec l'état du tonus. i° Chez les sujets sains et pour un
muscle
déterminé, le nombre des excitations nécessaire
traction de l'index de dix secondes en dix secondes, on voit que le
muscle
fléchisseur non seulement récupère sa puissance
(contractions espacées de dix secondes), permet de constater que le
muscle
ou bien ne récupère que liés lentement sa puiss
éniques, a son origine dans le système nerveux central, non dans le
muscle
. Il y dans ce fait un moyen éventuel de contrôle
es, de même que dans le système de la vie de rela- tion ce sont les
muscles
striés dont les mouvements sont les plus délica
s mouvements sont les plus délicats qui sont les premiers atteints (
muscles
des lèvres et de la face, doigts, etc.) Plus ta
u squelette, de la graisse, de la peau et de ses dépendances, des
muscles
, glandes et viscères, du larynx, du crâne, de l
perdre, ce qui donne lieu à une con- ti action brusque de tous les
muscles
. Des bruits subjectifs peuvent être entendus pa
r les malades quand le phénomène du relâche- ment se passe dans les
muscles
de l'oreille moyenne. Au réveil, un phénomène a
ayant entraîné en quelques jours une paralysie complète de tous les
muscles
du tronc et des quatre membres avec intégrité com
r l'auto-suggestion comme pendant la veille. Sur l'excitabilité des
muscles
dégénérés. ,)111" le Dr lOTB1&0 (Bruxelles)
té des muscles dégénérés. ,)111" le Dr lOTB1&0 (Bruxelles). Les
muscles
mis en état de dé- générescence (section du ner
e phénomènes. En étudiant de plus près les faits d'excitabilité des
muscles
dégénérés, je suis arrivée à réduire considérable
réduire considérablement l'in- fluence exercée par l'énervation du
muscle
. Les phénomènes s'ex- pliquent aisément grâce a
nt aisément grâce aux nouvelles découvertes sur la physio- logie du
muscle
, et sans qu'il soit nécessaire de faire interveni
de la substance fibrillaire. Le sarcoplasme se contracte lentement (
muscles
lisses et muscles striés rouges, riches en sarc
brillaire. Le sarcoplasme se contracte lentement (muscles lisses et
muscles
striés rouges, riches en sarcoplasme). La subst
arcoplasme). La substance fibrillaire se contracte très rapidement (
muscles
striés pâles). Le sarcoplasme est moins excitab
n relief, une durée d'excitation plus longue. Il en résulte que les
muscles
riches en sarcoplasme (muscles lisses) sont trè
n plus longue. Il en résulte que les muscles riches en sarcoplasme (
muscles
lisses) sont très peu excitables par les ondes
s, les phénomènes caractérisant la réaction de dé- générescence des
muscles
deviennent facilement explicables. Mor- phologi
muscles deviennent facilement explicables. Mor- phologiquement, le
muscle
dégénéré présente un retour à l'état em- bryonn
de la striation) et développement considérable du sarco- plasme. Le
muscle
perd donc ses caractères de différenciation et
muscle perd donc ses caractères de différenciation et cesse d'être
muscle
strié. 11 acquiert les caractères morphologiques
e d'être muscle strié. 11 acquiert les caractères morphologiques du
muscle
lisse. En même temps, il devient un muscle lisse
ctères morphologiques du muscle lisse. En même temps, il devient un
muscle
lisse par son fonctionnement. Ce qui caractéris
égénérescence d'Erb, c'est la perte de cor 1 raclilité faradique du
muscle
avec conservation de 1 a coutractilité voltaïque,
secousse sont précisément dues à l'abondance du sarcoplasme dans le
muscle
dégénéré ; elles constituent la léaction normal
brillaire, n'est pas ' IOTEYI0. Etudes sur a contraction tonique du
muscle
strié et ses excitants. (Mémoires de l'Académie
ne partie de cet organe, soit la section d'un ou plusieurs de ses
muscles
. Si l'on songe qu'à cette époque les méthodes ane
apparemment péri- phérique il est exceptionnel que ce soit dans le
muscle
qu'il faille voir la cause du mal. Sans doute i
, d'autant plus aisément que l'attention est attirée par les autres
muscles
du visage qui entrent en jeu : quelques fibrill
re de plus en plus grand jusqu'à occuper la totalité de plu- sieurs
muscles
, et de fréquence croissant jusqu'à produire une
cette contracture n'est pas uniforme : ici ou là, des parcelles de
muscles
semblent animées de légères trémula- tions. C'e
uvements convulsifs avec ceux qui frappent d'emblée un ou plusieurs
muscles
, sans hésita- tion, sans frémissements parcella
n pulsatile sous-cutanée sans dé- placement de l'extrémité libre du
muscle
jusqu'à la décharge ex- plosive qui, faisant br
qui, faisant brusquement tressauter un ou plusieurs fais- ceaux des
muscles
de la face, déclanche des parcelles de grimaces,
ue l'appareil ligamenteux est ossifié, ainsi que les tendons et les
muscles
autour de l'articulation; enfin que les trabécu
puisse alléguer la transmission directe des vibrations osseuses au
muscle
lui-même. De plus, dans la paralysie faciale, t
s sont en demi-flexion, les doigts sont fortement fléchis. Tous les
muscles
des extrémités du tronc, du cou, de la face pré
'injection des conjonctives, de courtes convul- sions cloniques des
muscles
du visage. De temps à autre le patient pousse u
écisse- ment cicatriciel probablement consécutif à une gomme. Les
muscles
, friables, présentent une faible sudation transve
onfirmer ce diagnostic. Ordinairement la diminution de volume des
muscles
ne dépasse pas le degré qui concorde avec l'éta
itifs agissant non seule- ment sur le système nerveux, mais sur les
muscles
striés. La réaction musculaire est alors altéré
culaire est alors altérée à des degrés variables suivant les divers
muscles
. Ostermayer a noté 1'liyperexciLabiliLé méca- n
ique ; c'est peut-être cela qui se traduit par le refus de certains
muscles
, voire de tous, d'obéir à la volonté Le malade
tation suffit à engendrer de l'hypertonicité musculaire et dans les
muscles
qui doivent accomplir le mouvement demandé, et
quelquefois complète, et s'accompagne souvent de tremblements. Les
muscles
ne se bornent pas à s'éma- cier, ils s'atrophie
. En outre, de même que, dans tout mouvement, l'action combinée des
muscles
et des nerfs facilite la répétition de ce mouve
t pu apprécier les bienfaits ; je veux parler de la rééducation des
muscles
. L'esprit largement ouvert aux innovations thér
et son discouis est accompagné de gestes extraordinaires. Tous les
muscles
de sa face entrent en contraction, il secoue la
lité de la moitié inférieure du thorax, effort de contrac- tion des
muscles
cervico-thoraciques supérieurs. 5t2 REVUE DE PA
ormer en une profonde distrac- tion. · Défaut de coordination des
muscles
oculo-moteurs chez les ataxiques. 1111. llar.r.
t. XVI. 34 530 SOCIÉTÉS SAVANTES. à 8° pour le droit interne. Les
muscles
homologues des deux yeux ont rigoureusement la
on à trou- bler ces conditions de la vision normale, à demander aux
muscles
oculaires un effort voulu, un acte de motilité
nc que la conséquence d'un défaut de coordination, d'une ataxie des
muscles
oculaires. Donc : 1° Chez le tabétique arrivé à
tabétique arrivé à un degré avancé de l'ataxie, il existe, dans les
muscles
oculo-moteurs, un défaut de coordination latent
ue, par un artifice, on immobilise l'axe visuel d'un oeil. 2° Les
muscles
oculo-moteurs participent à l'incoordination mo
teurs participent à l'incoordination motrice, tout comme les autres
muscles
du corps. L'ataxique ne commande pas mieux à se
les autres muscles du corps. L'ataxique ne commande pas mieux à ses
muscles
oculo-moteurs qu'aux mus- cles des membres, et
ôme de toute la musculature. 3° Ce trouble de la coordination des
muscles
oculaires est un symptôme tardif, dans le tabes
/eu)'cs. Chétlophagie, chéilophobie. M. Henry Meige (de Paris). Les
muscles
des lèvres prennent paît a un grand nombre d'ac
ins, il n'y a chez lui non plus, aucune manifestation choréique des
muscles
. Nystagmus, maslurbation, Intelligence bonne.
r les zones de dégénéralion rétrograde cor- respondant à différents
muscles
dans le cas d'amputation, d'atro- phie, etc., e
phie, etc., et établir, par conséquent, le centre spinal de chaque
muscle
, inconnu jusqu'alors. Par cette méthode on peut
r ' llawnonri, 160. AsvnluoLU : Voit- Iqnoscie. Ataxiques. Voit
Muscles
. TABLE DES MATIÈRES. 517 AtIt01'III6 %IUSCI,1
1.1' thérapeutique, par Meige, 87. · Excitabilité, Sur l' - ries
muscles
dégénérés, par Intejko, 3îl . Excitations SER
LYEMES'îSATnETOSnuES.Voir7'a&cs z Depuis vingt-huit ans. 191.
Muscles
-Voir Excitabilité. Défaut de coordination des
qui n'existe pas encore, ne peut intervenir pour mettre en jeu les
muscles
de Guthrie et de Wilson chargés de fermer la ve
ue ce réservoir est distendu par une certaine quantité d'urine, les
muscles
lisses se contractent et en provoquent l'évacua
1). Quant à ceux qui se produisent à l'occasion du jeu normal des
muscles
ils présentent les caractères suivants : ils sont
ure, on voit qu'il est recouvert en haut par le scapulum entouré de
muscles
puissants, et qu'en bas il est masqué par deux
qu'en bas il est masqué par deux masses musculaires ; la masse des
muscles
spi- naux en dedans, celle du grand dentelé en
grand dorsal est uniformément étendu sur toute la région. Entre les
muscles
spinaux et le grand dentelé il existe un espace é
nne n'est qu'une série de centres successifs, desti- nés aux divers
muscles
de l'oeil. En avant, sous la paroi du troisième
avant, sous la paroi du troisième ventricule, sont les centres des
muscles
accomoda- teurs et des muscles de l'iris. Sous
ème ventricule, sont les centres des muscles accomoda- teurs et des
muscles
de l'iris. Sous l'acqueduc de Sylvius et d'ar-
l'acqueduc de Sylvius et d'ar- rière en avant sont les centres des
muscles
droit externe, rele- veur de la paupière, droit
ra une ophtalmoplégie externe bilatérale, puisque les centres des
muscles
moteurs de l'oeil sont contigus, ceux d'un côté t
gressive (type facio-scapulo- huméral) avec pseudo-hypertrophie DES
muscles
des membres infé- rieurs ET attitude vicieuse e
ne tenant compte, au contraire, que de l'atrophie considérable des
muscles
de l'épaule et du bras des deux côtés, jointe à
l'épaule et du bras des deux côtés, jointe à la parésie de certains
muscles
de la face, on rangerait ce cas de myopathie da
ulaire des membres supérieurs n'est pas localisée exclusivement aux
muscles
de l'épauleet dubras; elle adéjàenvahi quelques
UE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. Remarque importante, chez ce malade, les
muscles
de la région sacro-lombaire sont normaux, ce qu
peut être attribuée, comme on le fait généralement à l'atrophie des
muscles
sacro-lombaires. Celte lordose est due uni- que
ro-lombaires. Celte lordose est due uni- quement à la faiblesse des
muscles
fessiers et des muscles de la région postérieur
ose est due uni- quement à la faiblesse des muscles fessiers et des
muscles
de la région postérieure de la cuisse, muscles
cles fessiers et des muscles de la région postérieure de la cuisse,
muscles
qui sont les extenseurs du bassin sur le fémur.
et chez qui existe un certain degré d'atrophie et de paré- sie des
muscles
de la langue, ce qui n'est pas fréquent dans celt
ie des extenseurs successivement des deux membres supérieurs et des
muscles
péroniers; plus tard encore, parésie du triceps
toïde; finalement, paralysie avec atrophie rapide de la plupart des
muscles
des extrémités avec contractures. Diminution de
xcitabilité électro-faradique, réac- tion dégénérative de plusieurs
muscles
, diplopie, sensation defroid intense et.continu
eculées des membres, troncs nerveux un peu sensibles à la pression;
muscles
très sensibles. Violentes douleurs spontanées d
onsécutive des cordons pos- térieurs. Inflammation dégénérative des
muscles
dont les vaisseaux sont très altérés. Cette o
l'intelligence. Cette asthénopie accommodative est due à ce que les
muscles
de l'oeil subissent le même processus de fatigu
e même processus de fatigue douloureuse et pré- coce que les autres
muscles
de l'économie, diminution progres- sive du pouv
est fortement étendue en arrière par le fait de la contraction des
muscles
de la nuque. Les muscles des membres sont très
arrière par le fait de la contraction des muscles de la nuque. Les
muscles
des membres sont très rigides et le malade immubi
driceps, comme on peut s'en convaincre en plaçant la main sur ce
muscle
; la tonicité du quadriceps est augmentée. Le tonu
du quadriceps est augmentée. Le tonus, artifi ciellement exalté, du
muscle
extenseur de la cuisse que déterminent les cont
muscle extenseur de la cuisse que déterminent les contractions des
muscles
fléchisseurs des doigts et des mains, facilite
porte seulement de s'assurer de l'état de relâche- ment complet des
muscles
. M. IIIOELI insiste sur ce fait que dans les ca
frappé de ce fait que les malades ont littéra- lement oublié quels
muscles
il faut contracter pour exécuter tel ou tel mou
ppareils terminaux de la sensibilité, situés dans la peau, dans les
muscles
, les tendons, les ligaments, les cap- sules art
aurail été nécessaire. Amyoslhénic généralisée. Parésie flasque des
muscles
fléchisseurs et extenseurs des mains, qui ne pe
îlots, se sont accompagnés. comme ceux des mains, de paralysie des
muscles
sous-jacents (diffi- cultés de la mastication,
du coeur et de la cage thoracique, mais aussi à la contracture des
muscles
qui chassent le sang des veines pourvues de val
nde convulsive gagnant les pectoraux, les grands dentelés, tous les
muscles
du thorax, atteint parfois dans sa marche pro-
nt où l'expiration, quoique très ralentie par la tétanisa- tion des
muscles
respiratoires, va être complète, l'obstacle cède
t de ces racines dans le canal, leurs rapports, etc. Il énumère les
muscles
innervés par les diverses branches des plexus l
cette anatomie, au point de vue actuel, peut se résumer ainsi : les
muscles
adducteurs de la cuisse, ceux de ses faces anté
rations anatomiques exposées tout d'abord; par les régions, par les
muscles
intéressés, on reconnaît le point de la moelle
motilité. - Ils se résument en la paralysie de certains groupes de
muscles
des membres inférieurs. La paralysie se borne p
des membres inférieurs. La paralysie se borne presque toujours aux
muscles
postérieurs de la cuisse et de la jambe, tous m
toujours aux muscles postérieurs de la cuisse et de la jambe, tous
muscles
innervés par des branches du plexus sacré. Par
un faible degré, le signe de Romberg. Enfin il peut arriver que des
muscles
paralysés s'atrophient. 3° Troubles génilo-urin
région. A noter que le membre était en partie oedématié et que les
muscles
innervés par le cubital étaient atrophiés, con-
dix-huit mois, par le membre supérieur gauche. Prédominance sur les
muscles
de l'épaule gauche et sur ceux de la jambe droi
la jambe droite, face légèrement atteinte, hypertrophie de certains
muscles
, réflexes conservés, réac- tions électriques no
lectriques, sur la persis- tance de faisceaux contractiles dans les
muscles
dégénérés et sur l'apparence hypertrophique de
les muscles dégénérés et sur l'apparence hypertrophique de certains
muscles
très atteints, laquelle fausse hypertrophie est
Vient ensuite l'examen de la rigidité musculaire, à laquelle aucun
muscle
de la vie de relation n'échappe. Chaque muscle
re, à laquelle aucun muscle de la vie de relation n'échappe. Chaque
muscle
est en outre animé de petites vibrations dues a
ralysés, mais faiblesse musculaire marquée dans le bras gauche. Les
muscles
interscapulaires et de la nuque contractures. S
mbres et du tronc avec atrophie musculaire intense généralisée, les
muscles
de la tête et du cou seuls avaient échappé à l'
Renzi ne le pense pas, l'absence de la rigidité caractéristique des
muscles
de la face et du tronc, la marche normale, la f
vements de l'orbiculaire des lèvres, paralysie presque complète des
muscles
masticateurs. Langue difforme, elle a trois poi
nts réflexes et d'accommodation de la pupille sont con- servés, les
muscles
ciliaires et iridiens ne sont donc pas atteints,
VUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. Paralysie et ail ophie considérable des
muscles
du cou, de la nuque surtout, du dos, du thorax,
s aux membres supérieurs, sont normaux aux inférieurs. Sur tous les
muscles
atrophiés, contractions fibrillaires très marquée
er. Excitabilité électrique propor- tionnée au degré d'atrophie des
muscles
. Même dans les muscles les plus atrophiés on ne
ique propor- tionnée au degré d'atrophie des muscles. Même dans les
muscles
les plus atrophiés on ne note pas l'inversion d
on explique l'indépendance des paralysies qui atteignent certains
muscles
de l'oeil innervés par le moteur commun et qui re
uvent être soulevés volontaire- ment. Le cou est un peu rigide. Les
muscles
deltoïdes des deux côtés, mais surtout ceux du
toidien droit sont atrophiés ; contractions fibrillaires sur ces
muscles
. Réflexe rotulien exagéré. Excitabilité électriqu
Réflexe rotulien exagéré. Excitabilité électrique diminuée dans les
muscles
des membres supérieurs. La sensibilité au lou-
ations de la sensibilité, l'inégalité pupillaire, etc. En plus, les
muscles
atrophiés ne sont pas ceux qui sont atteints or
ement se mettre en supination. Excitation faradique abolie dans les
muscles
extenseurs de l'avant- bras, l'excitation galva
nairement unilatérale et le supinateur est atteint comme les autres
muscles
. Il s'agit donc, sans conteste, d'une paralysie s
et un peu incer- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 311 I tains et les
muscles
de la face du côté gauche se contractent un peu
. L'excitabilité faradique redevint petit à petit normale, mais les
muscles
moteurs du pied gauche ne réa- gissaient que lé
die, surtout dans les premiers temps, de fortes contractions des
muscles
du membre inférieur gauche, principalement la nui
s, a été trouvée 56 fois; celle des membres inférieurs 52 fois; des
muscles
de l'oeil 26 fois; des membres inférieurs 21 fo
scillations spon- tanées, fréquentes et rythmiques, intéressant les
muscles
de la vie de relation, compatibles dans une cer
lle semble jouir d'une bonne santé générale. Aucune paralysie aux
muscles
des yeux, ni à ceux de la face. Rien de particu
ouve dans une position de varo-equin par suite d'un relâchement des
muscles
antéro-ex- ternes de la jambe. Ce n'est qu'avec
ed. Une fois debout la malade est incapable de con- tracter un seul
muscle
de cette jambe. On les sent du reste com- plète
- 340 CLINIQUE NERVEUSE. lonté à amener des contractions dans les
muscles
de la jambe gauche. On commence à sentir une ce
L'intelligence est normale, l'humeur calme. Pas de paralysie aux
muscles
des yeux, ni de la face. Les pupilles sont d'un
orps la sensation de la température est normale. 3lotilité. - Les
muscles
des bras et des jambes sont bien con- servés et
n et la flexion des orteils par suite d'une forte contrac- tion des
muscles
postérieurs de la jambe. TRAITEMENT DE L'ATAXIE
qu'on donne à ses articulations, ni du degré de contraction de ses
muscles
. Si on croise ses jambes, elle ne sait pas quel
un peu trop facilement et à propos de rien. Rien de particulier aux
muscles
de la face, des yeux, à la langue, aux dents, d
our amener le malade à dominer les contractions désordonnées de ses
muscles
. C'est au prix d'efforts énormes, vraiment éton
tique. Les autres articulations ne présentent rien d'anormal. Les
muscles
des jambes sont très bien développés et la force
tions, et il ne sait pas apprécier le degré de contrac- tion de ses
muscles
. Motilité. Couché. L'incoordination motrice est
uche prend la position de varo-équin par suite d'un relâchement des
muscles
antéro-externes delà jambe. Par un effort de vo
iculations, et il ne sait pas apprécier le degré de contraction des
muscles
des jambes (les yeux fermés naturellement). Tous
uisse. Ces troubles sont à peu près égaux à gauche et à droite. Les
muscles
sont bien conservés et la force musculaire est co
DE L'ATAXIE DANS LE TABES DORSALIS. 361 temps, on constate que les
muscles
du mollet sont agités par des contractions fibr
IE NERVEUSE. 455 nerf phrénique fonctionne, alors que les nerfs des
muscles
thora- ciques sont paralysés, la lésion siège e
sation du tronc, révulsifs au niveau de la lésion, faradisation des
muscles
paralysés, etc., aboutit à une guérison complèt
culaire entier de la vessie entre en même temps en contraction, les
muscles
expulseurs (de l'urine), aussi bien que le sphi
uantité donnée d'urine; 2° elle est due à une hyperexcitabilité des
muscles
de la vessie; quand ceux-ci sont distendus au d
se générale, muqueuses décolorées, ganglions lymphatiques engorgés,
muscles
flasques. Les muscles extenseurs, d'une façon g
décolorées, ganglions lymphatiques engorgés, muscles flasques. Les
muscles
extenseurs, d'une façon générale, ont à peu prè
, d'une façon générale, ont à peu près conservé leurs forces, les
muscles
fléchisseurs au contraire sont affaiblis. Légère
reux à la pression au niveau de la quatrième vertèbre lombaire. Les
muscles
atrophiés sont un peu, douloureux à la pression
membres supérieurs devien- nent' de plus en plus douloureux, leurs
muscles
s'atrophient, et enfin une arthropathie semblab
rop léger. Ainsi les paralysies n'étaient pas assez prononcées, les
muscles
pas assez douloureux à la pression, etc. Pour t
s de dégénérescence. Examinés au point de vue de l'innervation, les
muscles
de la luette se contractaient dans 73 cas p. 10
u pouce gauche avec parésie des 472 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
muscles
de l'éminence thénar, et surtout de l'adducteur,
e. Paralysie du long fléchisseur du pouce gauche. Parfois aussi les
muscles
de l'éminence thénar, ont atteints, du moins da
plégie droite totale, y compris le facial inférieur, la langue, les
muscles
du pharynx et les masticateurs. Clonus achillée
XXL DE L1 distribution fonctionnelle DES RC1,NES MOTRICES D15 LES
muscles
DES membres, recherches expérimentales; par I. le
HYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. moelle à un même niveau, se rendent à des
muscles
synergiques, et concourent ainsi à des mouvemen
es mouvements associés dus à la contraction simultanée de plusieurs
muscles
, ou de plusieurs faisceaux de fibres musculaire
ou de plusieurs faisceaux de fibres musculaires appartenant à des
muscles
différents, et qu'on provoque au moyen de l'excit
donnée. - 3° C'est ainsi qu'une racine unique met en mouvement des
muscles
antagonistes, mais concourant à un mou- vement
Racines motrices. IJlbtliuutlon fonc- tlUlll1elle des - clans les
muscles
, par Polmanti. 485. Réflexes. Leçons sur les
une forte contraction des paupières et des '10 CLINIQUE MENTALE.
muscles
du globe oculaire et des contractions cOl/vulsivc
système nerveux, c'e1 la fai- blesse de la vue el la faiblesse des
muscles
des yeux à la lumière trop torte. On observe la
1897. 30 CLINIQUE MENTALE.. - . irrésistible des paupières et des
muscles
du globe ocu- laire et des convulsions de celui
ieil ne révèle pas non plus que l'organisme, et en particulier, les
muscles
, nerfs, centres nerveux, soient aptes à renforc
ovoque dès le début une secousse causée par l'extension passive des
muscles
correspon- dants. Rien de semblable n'a lieu da
uccale du facial ; à ce mouvement sem- blent participer surtout les
muscles
zygomatiques et la portion la- biale de l'éléva
flexe lombo-fémoral se traduit par des contractions clo- niques des
muscles
de la jambe ; ainsi en est-il dans les myélites
alangien, et le réflexe du poignet obtenu par le heurt du tendon du
muscle
cubital externe. Ces réflexes ne peuvent fourni
ans les cas pathologiques. Etant donné la grande quantité de gros
muscles
entrant en jeu, son exagération indique la lésion
sonnes ; il suffit de frapper l'extrémité libre non recou- verte de
muscles
du cubitus en tenant le membre fléchi et lé- gè
urine et des matières ; des convulsions toniques continues dans les
muscles
du cou ; des contractions convulsivesdcs muscle
continues dans les muscles du cou ; des contractions convulsivesdcs
muscles
des lèvres ; une légère parésie du voile du pal
e, lequel implique naturellement un avantage correspondant pour les
muscles
du côté droit du corps. Le second fait qui se p
et,peut-être, 86 CLINIQUE NERVEUSE. très léger amaigrissement des
muscles
des mains et des avant- bras. ' n 0 Membres i
galement des deux côtés. Le malade dit qu'il ne peut contracter ses
muscles
à fond à cause de la douleur. Au lit, il évite
moelle est normal. Cerveau normal. Aucune atrophie apparente des
muscles
des différents segments des membres inférieurs
: seulement ra et là quelques stries jaunâtres dansl'épaisseur des
muscles
, particuliè- rement dans les muscles postérieur
jaunâtres dansl'épaisseur des muscles, particuliè- rement dans les
muscles
postérieurs de la cuisse. Au contraire, les mus
rement dans les muscles postérieurs de la cuisse. Au contraire, les
muscles
fessiers paraissent atrophiés ; ils présentent un
is pour l'étude des cellules avec la méthode deNissl, sur plusieurs
muscles
des membres inférieurs; fléchisseurs de la jamb
E. S9 externe, jumeaux externe, jambier antérieur, long péronier,
muscles
plantaires (liématéine-éosine, Marchi, Pal, Gieso
é, par toutes les diverses méthodes employées, aucune altération.
Muscles
: On constate des altérations, qui sans être cons
gularités. Les vaisseaux ont des parois un peu épaisses. Dans les
muscles
plantaires, les altérations sont beaucoup moins
périphériques des membres inférieurs sont absolument intacts ; les
muscles
présentent des lé- sions légères, sans phénomèn
e hypothèse ; seulement dans les nerfs intramusculaires de certains
muscles
, nous avons trouvé quelques légères lésions con
e en ne tenant pas compte de la prédominance de ces lésions sur les
muscles
de la racine des membres plu- tôt que sur les m
sions sur les muscles de la racine des membres plu- tôt que sur les
muscles
de la périphérie présentant pres- que tous des
à fortiori peut-il en être ainsi dans l'immobi- lité réflexe où le
muscle
qu'il s'agit de pousser à se contracter se cont
ar l'oculomoteur commun, envoie des rênes aux organes terminaux :
muscle
droit interne, muscle ciliaire, muscle sphincter
mun, envoie des rênes aux organes terminaux : muscle droit interne,
muscle
ciliaire, muscle sphincter pupil- laire. Ces si
ênes aux organes terminaux : muscle droit interne, muscle ciliaire,
muscle
sphincter pupil- laire. Ces six rênes sont à le
s paupières, il ne réussit plus à les ouvrir que graduellement. Les
muscles
de la face ne présen- tent cependant pas de con
mange, il sent parfois sa langue se rouler en pelote. Intégrité des
muscles
dp la déglutition, de la respiration, de la ves
idiomusculaire, constitue un signe de réaction locale extérieure du
muscle
loca- lement excité ; les fibres musculaires se
té ; les fibres musculaires se soulèvent au-dessus de la surface du
muscle
en un point limité ; c'est la contraction parti
phénomène, physiologique, appartient, comme les réflexes à tous les
muscles
striés de l'organisme animal ; seulement, pour
ée quand REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 129 le
muscle
vient de travailler ; cette exagération tient à l
exagération tient à la fatigue musculaire, à l'accumulation dans le
muscle
des produits de dédoublement, ainsi qu'à l'épui
usculaire. 4. L'onde musculaire normale indique que la substance du
muscle
a son excitabilité et sa con- tractilité normal
é et sa con- tractilité normales ; est-elle accentuée, c'est que le
muscle
trop excité, s'affaiblit en réalité, que son ac
ns, de l'hystérie et de la neurasthénie (25 %) ; L) l'inactivité du
muscle
par rupture de la communication avec le système
time deshémorrhagies, myélites, névrites; c) la dégénérescen- ce du
muscle
dépendant ou non du système nerveux, ex : myosi-
tabilité propre, mais il y a lieu de tenir compte de la surchage du
muscle
en substances chimiques de dédoublement et de l
SAVANTES. re, est de comprimer entre les doigts transversalement le
muscle
puis de cesser brusquement. Ce bourrelet survie
à 5 secondes. Chez les myotoniques, àl'endroit où l'on acomprimé le
muscle
, il s'effec- tue une petite dépression qui fait
un spasme tonique de la moitié droite du visage; en même temps les
muscles
contractures sont devenus le siège d'une onde m
l'absence de toute lésion atrophique organique ou dégénérative des
muscles
et des os, mais par simple diminution du nombre
en existe un grand nombre d'autres ayant pour point de départ les
muscles
, les articulations, les os, etc., qui parviennent
tués par l'ophtalmoplégie interne partielle ou totale (paralysie du
muscle
constric- teur de la pupille, ou du muscle acco
ou totale (paralysie du muscle constric- teur de la pupille, ou du
muscle
accommodateur, ou des deux à la fois.) Les lési
la P. G., c'est la parésie, allant jusqu'à la paralysie complète du
muscle
constricteur. Puis la parésie, jusqu'à la paral
cle constricteur. Puis la parésie, jusqu'à la paralysie complète du
muscle
accommo- dateur. En somme, c'est l'ophtalmoplég
lui, outre la rareté de la forme de la paraly- sie, c'est qu'aucun
muscle
n'a été épargné ou tout au moins peu atteint.
ndons, et on admet généralement que c'estl'allon- gement brusque du
muscle
, provoqué par le déplacement du tendon, qui exc
ose toxique, le Bromdiéthylacétamide paralyse progressivement les
muscles
lisses et striés, particulièrement les tuniques d
"' 1 » . . , Tics des sphincters ^ HENRI MEIGE (de Paris). - Les
muscles
sphinctériens sont localisés dans des régions d
des ac- tes musculaires excessifs ; on comprend que les tics des
muscles
sphinctériens soient fréquents. Chez un jeune h
me de 1\1 ans, le frôlement des cheveux lut l'origine d'un tic des'
muscles
auriculaires et d'un tic de plissement du front
a ceinture du pantalon a été l'origine de tics du diaphragme et des
muscles
abdominaux ; le frottement du col lui donna des
généraux, comme la malade de notre observation, incoordination des
muscles
de la respiration. 235 doivent être, ànotreavis
'Angleterre, de l'Allemagne et de la Hollande. L'incoordination des
muscles
de la respiration chez les ataxiques et son tra
axiques et son traitement. M. Maurice FAURE. - L'incoordination des
muscles
de la respiration chez les ataviques ne semble
s troubles laryngés. En réalité, il n'en est point ainsi et lousles
muscles
duiintcrviennentdans la respiration peuvent êtr
atteints d'incoordination,d'atonie et d'asynergie,tout com- me les
muscles
de la marche ou de la préhension. Les muscles d
rgie,tout com- me les muscles de la marche ou de la préhension. Les
muscles
de la respiration peuvent être divisés en trois
es : 1° 230 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIENISTES ET NEUROLOGISTES. les
muscles
moteurs du thorax proprement dits, qui en modi-
et de surface, modifie les diamètres verticaux du thorax ; 3° les
muscles
intercostaux qui s'opposent par leur tonicité à l
oupes démuselés : 1° L'incoordination, ou le défaut de synergie des
muscles
élevateurs et abaisseurs des côtes immobilise l
t d'appel d'air qui peut résul- ter d'une contraction normale de ce
muscle
est supprimé. D'au- tre part, la compression qu
t le mécanisme de l'effort est compromis ; 3° enfin, l'a- tonie des
muscles
intercostaux fait qu'au moment de l'inspi- rati
une fonction motrice qui ne peut exister qu'à la condition que les
muscles
du cou,du thorax,et de l'ab- domen accomplissen
cou,du thorax,et de l'ab- domen accomplissent leur fonction.Or,ces
muscles
, très nom- breux, sont innervés par des rameaux
de la moelle, depuis le bulbe jusqu'aux lombes. INCOORDINATION DES
MUSCLES
DE LA RESPIRATION. 237 Sans contester l'existen
produi- sent l'incoordination du diaphragme, par exemple, ou des
muscles
intercostaux, exactement par le même mécanisme
rcostaux, exactement par le même mécanisme que l'incoordination des
muscles
postérieurs de la cuisse ou du jambier antérieu
ue même des étages de la moelle occupés par les centres moteurs des
muscles
respiratoires montre que la fonclion de la resp
nctions motrices, exercer une ac- tion curatrice prépondérante. Les
muscles
de la respiration ne sont-ils pas soumis à l'ac
tudiés, des exercices élémentaires s'adressant systématiquement aux
muscles
in- coordonnés, suivis d'exercices de respirati
s courants faradiques, dirigés contre l'atonie ell'émacialion des
muscles
immobilisés par une longue oisiveté, ont permis d
enne et avait déterminé une ulcération cutanée avec suppuration des
muscles
peauciers, sterno mastoïdien, ven- tre postérie
aux. Dans le noyau de l'hypoglosse, le groupe externe innerve les
muscles
de la région postérieure et externe de la langue
ostérieure et externe de la langue ; le groupe antérieur innerve le
muscle
génio-hyoïdien. Dans le noyau du facial, le sec
facial, le second groupe neural sert à l'in- nervation motrice des
muscles
stylo-hyoïdien, stylo -glosse et du ventre post
-ci. Le groupe postérieur du noyau de la cinquième paire innerve le
muscle
temporal. Ce qui reste encore de ce noyau donne
ste encore de ce noyau donne les fibres motrices au masséter et aux
muscles
ptérygoïdiens. Lésions du cerveau et du cervele
a motilité chez les nou- veau-nés. 11 s'agit de l'hypcrtonicité des
muscles
, de la (1) Preyer. L'âme de l'enfant, p. 210.
lobes optiques avec les nerfs moteurs de l'oeil et les nerfs des
muscles
de la tête, ces rapports sont affirmés par Held
urs racines participent souvent à l'innervation d'un seul et même
muscle
(3). D'autres auteurs qui ont corroboré ces dir
centres. Sano est particulièrement affir- matif il ce sujet. Chaque
muscle
, dit-il, dans ses conclu- sions, a son noyau d'
ulature externe de l'oeil (forme ophtalmoplegiquc), ou bien par les
muscles
qui reçoivent leur innervation du bulbe et de la
et de la protubérance (forme bulbo-protubérantielle), soit par les
muscles
du tronc et des extrémilés(formespinale) . Les
soit par les muscles du tronc et des extrémilés(formespinale) . Les
muscles
manifes- tent leur atteinte par de la fatigue d
Salp., 1902, n" 1 ; il s'agit bien d'une myopathie primitive : les
muscles
sont d'apparence et de consistance fibreuses, ils
éterminé pendant la v ie les rétractions constatées ; en effet, les
muscles
rétractés, qui étaient les fléchisseurs, avaient
mps que le tissu de sclérose y était assez développé et dense ; les
muscles
antagonistes au contraire offraient beaucoup mo
' Les auteurs l'ont remarquer qu'en dépit de la présence dans les
muscles
d'éléments hypertrophiés, ceux-ci étaient toujour
t d'une tumeur ganglionnaire du cou qui avait altéré ou détruit les
muscles
delà région ccrv icalc antérieure, ces au leurs
) reconnaissent comme principale cause l'incoordination motrice des
muscles
de la langue et delà face. Les Lroubleysvclml
tout chez le dément parai) tique, l'magnraliun des 1,("fJl'\l'S des
muscles
qui entourent l'orifice huerai et. par suite, a
0] ! ! ati(jue,. indique les dégénérescences delà voie centrale des
muscles
corres- pondant* : celle dégénérescence, en l'e
cas, sont plus ou moins exagérés. 11 a Iles cas .où l'activité (les
muscles
de la jambe' el du tronc est plus intense que c
les muscles de la jambe' el du tronc est plus intense que celle des
muscles
de la face Dans la forme tabétique de la paraly
rieure au faisceau de (.owcr·. l. ( : .taatcn. XXXVHt. Rôle des
muscles
spinaux dans la marche normale chez l'homme ; p
L'auteur attire ul'tolll ralll'IÜion sur des spasmes localisés aux
muscles
de l'éminence hvpothénar droite. Ces spasmes, q
é de remettre son doigt en place avec le pouce de l'autre main. Les
muscles
ne paraissent pas atrophiés. Il présente aussi
ne paraissent pas atrophiés. Il présente aussi une contraction des
muscles
de la partie pn,,(é- rieure de la cuisse qui fl
objective et du- rable,' le fonctionnement défectueux à la fois des
muscles
pré- posés aux mouvements de l'écriture ou du d
ntale, par "\Vyroubow, p. 486. A taxiques. L'incoordination des
muscles
de la respiration chez les pl .son Il'1111 ?
mentales, par Rogues de j<'urac; p. 49 : ¿. < Marche. Voir
Muscles
. Marciii. Remarques sur les noucibsures artif
oRPHiNisME familial par con- tagion, par Briand et TibOt, p. 1.
Muscles
. Voir .dtrl £ iqlle8. - Voir Spasmes. Rôle des
el, par Babinski, p. 132. , parLa- my, p. 132. - bi-latéral des
muscles
du cou et de la face, uni- Gausse), p. 315. Con
re jouer un rôle, dans l'espèce, au développement plus accentué des
muscles
du côté droit de cet homme qui est chaudronnier
e tendue qui se détend et vibre au moment où il entre en repos; les
muscles
perdent leur tonicité, les osselets s'entre-cho
DE PATHOLOGIE NERVEUSE I. Cas d'atrophie infantile unilatérale DES
muscles
DE la face, probablement congénitale : par IJEI
aperçue de cette paralysie faciale du côté droit, avec atrophie des
muscles
de la face. Il ne peut fermer l'oeil droit, tou
s sudorales, de la coloration, de l'oreille, de la mastication, des
muscles
de l'oeil, des pupilles. Toutefois l'exagératio
obtient-on que des contractions courtes et rapides et seulement des
muscles
labiaux ou sous-labiaux et mentonniers, quel qu
l, l'orbiculaire des paupières, le sourcilier, les zygomatiques les
muscles
naso-labiaux, le buccinateur; résultats aussi nul
embres supérieurs, surtout aux avant-bras et aux mains, et dans les
muscles
du thorax. Réaction de dégénérescence dans un g
scles du thorax. Réaction de dégénérescence dans un grand nombre de
muscles
. Paralysie des deux sixièmes paires. Etat génér
le malade se tient voûté et il marche mal, sans que, pourtant, les
muscles
des membres inférieurs soient paralysés ou atro
'est-à-dire des myopa- thies sans lésion médullaire ni nerveuse, le
muscle
lui-même étant primitivement atteint, est mise
pseudo-hypertrophies musculaires, qui en outre a fait voir que les
muscles
en pseudo-hypertrophie étaient cependant paraly
alade ne. peut siffler ni souffler un peu fort. Au tronc : Tous les
muscles
sont plus ou moins atteints. La tête est fortemen
ur volume. Au tronc : thorax rectangulaire; grand relief des côtes;
muscles
pectoraux et dentelés disparus, abdomen proémin
l'excitabilité électrique, en rapport avec le degré d'atrophie des
muscles
ou avec les altéra- tions de leur contractilité
ies forment deux grands groupes, le premier comprend les cas où les
muscles
présentent des réactions électriques anormales,
ésentent des réactions électriques anormales, le second ceux où les
muscles
présentent des réactions électriques normales p
second groupe qu'on doit faire entrer le cas suivant, bien que les
muscles
réagissent à l'électricité d'une façon anormale
e, faiblesse musculaire très grande, lordose considérable, tous les
muscles
volontaires sont altérés... Faciès myopathique
e dont elles ont été le point de départ continue à évoluer dans les
muscles
. Dans l'observation qui précède, les lésions ner-
mment, avec cette théorie, expliquer le fait de la non-atrophie des
muscles
volontaires dans le tabes. On sait que quand l'at
res centri- fuges de ce grand arc sont respectées, la nutrition des
muscles
striés est maintenue normale, car il subsiste a
souvenirs » dans l'écorce pour entretenir la fonction trophique des
muscles
, alors même que l'arc réflexe direct est interrom
ement de l'éminence thénar droite. Tremblement fibrillaire dans les
muscles
de l'avant-bras droit. Donc, plusieurs des sy
outre il existe des symptômes d'amyotrophie : contraction lente des
muscles
à la suite d'une excitation mécanique ou élec-
bilité électrique. Trem- blement fibrillaire de certains groupes de
muscles
. On sait aussi que dans les névrites périphériq
es deltoïdes, réaction partielle de dégénéres- cence dans les mêmes
muscles
. Il y a doue bien paralysie des del- toïdes. D'
mêmes muscles. Il y a doue bien paralysie des del- toïdes. D'autres
muscles
sont-ils paralysés ? Non, la preuve en est donn
ent. Dans le chapitre trai- tant des paralysies et contractures des
muscles
de la tête et du tronc, on trouve une intéressa
des plans musculeux digestifs uri- naires et respiratoires que des
muscles
striés. Cette'double propriété anesthésique et
période qui n'est pas la même dans tous les cas, les nerfs et les
muscles
sont bien plus difficiles à exciter que les nerfs
es muscles sont bien plus difficiles à exciter que les nerfs et les
muscles
des adultes (XI tableaux résumant les examens é
e myéline aux divers endroits de développement d'un nerf. Quant aux
muscles
, les fibres musculaires des nouveau-nés presque
du germe musculaire sans encore le pénétrer. La caractéristique du
muscle
infantile est dans sa richesse en noyaux et dan
nt non un simple réflexe, mais une alternative de tensions dans les
muscles
antagonistes, comme dans le clonus podalique. L
vicale explique la rigidité des extrémités supérieures et celle des
muscles
du cou. L'atteinte du bulbe est en rapport avec
nt une espèce de paralysie par- tielle du facial localisée dans les
muscles
mentonniers du côté gauche semblable à celle qu
l'anomalie fonctionnelle indique une relation anatomique entre les
muscles
du menton et le peau- cier du cou. Comme il n'y
tête tomberait donc en avant si elle n'était pas maintenue par les
muscles
de la nuque en contraction légère. C'est un levie
maintientl'extension de la tête, mais elle est très peu forte, les
muscles
ne font pas de saillie. L'équilibre des diver
lui, à la ligne de gravité, et la puissance est représentée par les
muscles
du dos et du cou. Aux lombes, la ligne de gravi
ravité passe en arrière des ver- tèbres, la puissance alors est aux
muscles
de l'abdomen, les muscles lombaires n'agissent
s ver- tèbres, la puissance alors est aux muscles de l'abdomen, les
muscles
lombaires n'agissent pas. Dans la station du
Or, les fesses sont en relâchement, l'observation le démontre; les
muscles
fessiers n'interviennent donc pas, contrairement
partie antérieure de l'articulation, et en même temps par quelques
muscles
de cette région. Les fessiers n'agissent, en réal
u ligament croisé. Il faut aussi faire intervenir la distension des
muscles
jumeaux. Dans la station des jambes sur les p
ière, la puissance qui empêche le corps de tomber en avant est le
muscle
gastro-cnémien. Il est distendu et non contracté,
ux caractères morphologiques, le ventre est légère- ment tendu, les
muscles
spinaux, aux reins, forment un relief mou et ar
eps. La rotule est descendue et saillante. Le jarret est tendu, les
muscles
du mollet sont nette- ment marqués. La ligne de
sur les affections générales du squelette, des articulations et des
muscles
; et de fait, il constitue, dans la Nouvelle icon
hiques, à propos d'une femme myopathique de la Salpêtrière dont les
muscles
, tout en ayant à peu près con- servé leurs reli
aul Richer fait voir successivement : qu'une légère contraction des
muscles
de la nuque suffit pour maintenir la tête droit
écisément un peu inclinée en avant par suite de la faiblesse de ces
muscles
. Que l'équilibre du bassin sur les cuisses est ma
Que l'articulation de la jambe avec le pied enfin est fixée par le
muscle
gastro-cnémien qui, dans ce cas, agit comme un
ce cas, agit comme un ligament; il est tendu et non contracté. Les
muscles
du mollet deviennent, du reste, parfois trop co
ales et une atrophie des interosseux des mains; pas d'affection des
muscles
de l'oeil, ni de ceux de la mastication. Durée
du glosso-pharyngien et du spinal, et la source d'inner- vatiou du
muscle
releveur du voile du palais, des muscles thyro-
a source d'inner- vatiou du muscle releveur du voile du palais, des
muscles
thyro- aryténoïdiens et probablement aussi des
palais, des muscles thyro- aryténoïdiens et probablement aussi des
muscles
du pharynx. Le noyau postérieur du glosso-phary
ments dans les doigts de la main droite. Le 2 mars : L'atrophie des
muscles
, des jambes et des cuisses est très apparente.
ent des soin*, ne s'expri- maient que par une forte contraction des
muscles
de la face et le tremblement nerveux des bras.
facultés intellectuelles sont consi- dérablemeut affaissées. Les
muscles
de la face, des lèvres et delà langue sont animés
. Quelques troubles trophiques existent aussi - de l'atrophie des
muscles
du mollet, des éruptions zostériformes. Pas d'art
Autopsie. - Le cadavre est dans un état d'émaciation extrême; les
muscles
sont grêles, mais fermes et bien colorés. Les pou
du membre supérieur sont t à peu près sains, sauf le cubital. Les
muscles
antérieurs de la jambe présentent une atrophie
arrondie. Les nerfs intra-musculaires, étudiés sur les coupes des
muscles
, présentent un grand nombre de leurs fibres dég
Autopsie. Le cadavre porte une escarre sacrée toute récente; les
muscles
sont grêles, mais fermes et rouges; les pieds son
tant le diagnostic : hypertrophie des extrémités, de la langue, des
muscles
des membres ; articula- tions énormes. Il n'exi
à l'état chronique : les symptômes moteurs prédominent; plu- sieurs
muscles
présentent de la réaction de dégénérescence. Le
et commençant juste au-dessous de l'apophyse mastolde, on écarte le
muscle
et la jugulaire, on soulève la carotide interne
nt graduellement en augmentant et s'accompagnèrent d'a- trophie des
muscles
et d'exagération des réflexes profonds. L'affec-
ces avec état spasmodique et en même temps atrophie progressive des
muscles
. Ce cas viendrait donc à l'appui de l'opinion d
note des mouve- ments des doigts des deux mains, des épaules et des
muscles
de la face. La physionomie, d'intelligente qu'e
é; en même temps, il fait t continuellement des mouvements avec les
muscles
de la face et les mains. Quand le malade est de
ttre ensuite la jambe dans sa première situation. On dirait que les
muscles
se trouvent figés dans la position qu'on leur don
ant qu'il parle ses lèvres se contractent, ont des contorsions, les
muscles
de la face et du front jouent d'une façon bizar
lisation bien précise au niveau des doigts ou au niveau de certains
muscles
de la face, ce sont des mouve- ments, non seule
t être net- tement différenciée des autres formes de l'atrophie des
muscles
. . Dans ce but, M..J.-B. Charcot nous fait d'ab
ant aux exten- seurs des jambes, au dos, au larynx, au pharynx, aux
muscles
des yeux, aux intercostaux. Dyspnée, stridor la
déjà de la paralysie motrice des deux jambes, de l'affaissement des
muscles
abdominaux, sans que disparaisse la contracture
fréquents; il est évident que la résolution des contractures des
muscles
respiratoires et la disparition des douleurs prov
écrit par Goldflam se retrouvait surtout dans le second cas. Chaque
muscle
qui se con- tractait plusieurs fois fournissaie
ur aggravation le soir. On notait un affaiblissement progressif des
muscles
, des lèvres, de la mastication et de la dégluti
, insomnie. - Février 1891, troubles de la déglutition, parésie des
muscles
labiaux, ptosis double. Depuis avril améliorati
cellules de la portion supérieure de ce territoire fournissent aux
muscles
de l'épaule et de la partie supé- rieure du bra
,5° Les cellules qui donnent naissance aux nerfs qui innervent les
muscles
extenseurs sont situées plus près de la ligne méd
situées plus près de la ligne médiane que celles qui innervent les
muscles
fléchisseurs; 6° Le groupe des cellules qui inn
s muscles fléchisseurs; 6° Le groupe des cellules qui innervent les
muscles
du dos est situé à la partie interne des cornes
bes avec paralysie flasque, et quelquefois atrophie peu marquée des
muscles
, peu d'altérations de la réaction élec- trique,
re, bien que le malade ait beaucoup de peine à se tenir debout. Les
muscles
des jambes ne réagissent point sous l'influence
eurs. Dans les cas très graves peuvent s'ajouter des paralysies des
muscles
du tronc, du diaphragme, des muscles oculomoteu
s'ajouter des paralysies des muscles du tronc, du diaphragme, des
muscles
oculomoteurs, des troubles de la miction, de la t
ériphériques (névrite paren- chymateuse), atrophie dégénérative des
muscles
, altérations du cordon de Goll, vacuolisation d
quement une polynévrite très accentuée avec paralysie complète des
muscles
des membres, du tronc et de la nuque et atrophie
asc. Ill-IV,) LXXVIII. RECHERCHES expérimentales SUR la fatigue des
muscles
de l'homme sous l'action des poisons nerveux, p
ons continuent ensuite à se manifester. Contracture et atrophie des
muscles
des extrémités droites. Niveau mental d'un enfa
pture des voies d'associa- tion entre le cervelet et les noyaux des
muscles
des yeux. M. VERNICâE, est d'avis de rattacher
e muscu- laire a suivi une marche progressive. Les interosseux, les
muscles
de l'éminence thénar de la main droite, les mus
nterosseux, les muscles de l'éminence thénar de la main droite, les
muscles
du pouce, le triceps du côté gauche sont intére
ps du côté gauche sont intéressés, ainsi que le deltoïde droit. Les
muscles
atrophiés ne réagissent pas sous l'influence des
ue a fourni la réaction de dégénérescence pour un certain nombre de
muscles
. Pas de tremblements fibrillaires. Pas de troub
près une période de stupeur. L'examen microscopique a porté sur les
muscles
des yeux, les nerfs périphériques des yeux et d
337. Atrophie infantile unilatérale des 502 TABLE DES MATIÈRES.
muscles
de laface, par Bernhardt 59. - nerveuses et tro
ion cer- vicale de la moelle par Bechterew, 144. FA 1 IGur; des
muscles
sous l'action des poisons nerveux parRossi,466.
culaire des paupières, grand zy- gomatique, orbiculaire des lèvres,
muscles
du menton) sont très atrophiés à gauche, par co
pas encore manifesté de symptômes de déficit : pas d'atrophie des
muscles
de la main et du bras. P. KERAVAL. V. Contribut
b se multiplient. P. KERAV1L. VI. Le trajet central des nerfs des
muscles
des yeux, par J. Piltz. (11'eurolog. Centralbl.
s 18 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. isolés des
muscles
des yeux. Puis on enlève ces zones et 14 jours
le centre cor- tical extirpé avec les noyaux des nerfs moteurs des
muscles
ocu- laires ou avec le quartier où ils se trouv
contient quatre zones suscep- tibles d'engendrer des paralysies des
muscles
oculaires : zone frontale, pariétale, temporale
gressif des membres inférieurs. On constate : paralysie de tous les
muscles
innervés par le sciatique poplité externe des d
agnée de contracture des pieds (aspect varus-équin) ; faiblesse des
muscles
du bassin et surtout du moyen fessier des deux cô
diminution ou disparition de l'excitabilité électrique de tous les
muscles
para- lysés qui sont innervés par le sciatique
he, l'examen de la motilité, le début de l'affection par les petits
muscles
des pieds, 1'tt-o de la malade, la réaction dég
s c'en serait une forme atypique il cause de la paresieha- live des
muscles
du bassin, et de l'hypertrophie des mollels. Es
mme réelle ou pscudo-hypcrlrophique, la participation pré- coce des
muscles
du bassin, la conservation de la sensibilité, l'â
ative de concert avec le début de la para- lysie par le groupe, des
muscles
qu'innerve le sciatique poplité externe. ll n
vrai dire du nystagmus. C'est, un mouvement associé (i-émulant de
muscles
synergiques. Il émane de l'excitation du noyau du
nvexes de 2 D à 2 I) 5. En un mot il existe une paralysie isolée du
muscle
ciliaire et du sphincter irien. M, Schullze pen
tions spasmodiques passagères ou d'une atonie quasi-paralytique des
muscles
du conduit ? L'abdomen était'assez uniformément
lysie y fut infiniment plus nav e et plus durable qu'aux bras. -Les
muscles
de la jambe et du pied furent infiniment plus att
ritoire du sciatique poplité externe ; elle était demeurée dans les
muscles
du mollet. L'une des observations (OITS.I), tra
l'éminence thénar. Dans l'obs. 11, on relève une atrophie nette des
muscles
des jambes el des cuisses rétrocédant après plusi
sent à tout instant lors d'un effort intellectuel ou physique. Les
muscles
de la face sont aussi agités parités mouvements s
tive Ü la fièvre typhoïde (Dissociation des diverses propriétés des
muscles
.) JI. 13 IBl¡. : SKI. Je présente une jeune fil
la racine, et associ(·e it l'want-Ira, à une atrn- phie de quelques
muscles
postérieurs ; une augmentation de la consistanc
elques muscles postérieurs ; une augmentation de la consistance des
muscles
, qui son ! plus durs que du côte sain : une déf
ptue des autres ; une diminution delà contractititeetectri- que des
muscles
sans U. ii. une hyperexcilabililé musculaire vis-
de la synergie physiologique : une augmentation de la puissance des
muscles
hypertrophiés ; une gêne dans l'accomplissement d
lupart des mouvements (de l'extension de la main par atro- phie des
muscles
correspondants, des autres mouvements par exagé
ar exagération de la synergie physiologique, d'où contracture des
muscles
antagonistes). .le ne trouve chez cette malade
une myopathie eL capable de dissocier les diverses proprié- tés des
muscles
, (l'al1'aiblil' les une, dl'. ;.umeliyel' quelque
s, et amenant une perturbation dans le fonctionnement général des
muscles
alteinls..Ie rapnellerai v ce su·jeL un plténomi·
enexesrotutiens, d'impotence fonctionnelle avec atrophie des divers
muscles
de la main et du pied et avec traces de réactio
le malade a fait un abus forcé de la bicyclelle et le surmenage des
muscles
des extrémités joint au surmenage général et au
ne des membres. Quelques semaines plus lard : paralysie absolue des
muscles
de l'avanl-bras, des dettoides, (te la ceinture
rnu antérieure de la moelle, soif des nerfs périphériques, soit des
muscles
et on[ los3'nrlromeqmnouaavous constaté chez le
ération de l'ensemble des protoneurones mo- teurs correspoudunl aux
muscles
paralysés. 3131. Déjlhine et Thomvs discutent s
, nettement organisée. Ils occupent le même côté que les groupes de
muscles
qu'ils animent. Les muscles des membres ont dan
ccupent le même côté que les groupes de muscles qu'ils animent. Les
muscles
des membres ont dans le cervelet trois sortes d
un peu. Toute divergence active exigeai} ! la contraction des deux
muscles
abducteurs, les centres sous-cor- REVUE D'ANATO
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 131 ticaux de ces
muscles
siégeant dans les noyaux des nerfs corres- pond
iaux de convergence. Les centres de convergence qui régissent les
muscles
interne des eux occupent les noyaux des oculo-mo
a région visuelle de l'écorce cérébrale et de ses rapports avec les
muscles
des yeux; par \Y. M. Bech- terevv. Du centre co
osé, en rapport probable avec l'altéra- tion du sens musculaire des
muscles
oculaires et avec un trouble de l'accommodation
es de lacirculalion du côté droit, la legereatro- ]11Lic des petits
muscles
de la main du côté gauche, la scoliose de la co
atique dans lequel le l'ail saillant est la flexibilité cireuse des
muscles
. Il appal'aîl ('pbodi(llll'IIlI'1l1 dans le cou
ne du côté droit ; les membres du même côté sont paresies. Seul les
muscles
de l'oeil, l'oculomoteur externe est atteint, c
premier cas, i ! e.\isteun trouble de la balance normale entre les
muscles
protagonistes et les muscles antagonistes. Dans
rouble de la balance normale entre les muscles protagonistes et les
muscles
antagonistes. Dans le second, l'aperception, qui
quelque peu énigmatique. P. KERAVAL. XVHI. - De la participation du
muscle
orbiculaire palpébral aux paralysies faciales c
nie journellement des superphosphates comme engrais chimiques ; les
muscles
pos- térieurs de l'avant-bras sont atteints de
ié du re- dressl'lJ1enL des membres inférieurs ; la contraction des
muscles
de la cuisse, tiraillant le nerf sciatique, fai
tes d'une niaiserie affectée. D'autres fois encore, tous les petits
muscles
de la face semblent entrer en jeu pour produire
qu'il s'agisse d'une contracture permanente d'un certain groupe de
muscles
, ou de la répétition d'un même mouvement p (1),
même chose : tantôt ils repré- sentent le centre d'innervation d'un
muscle
, d'un segment de membre; tantôt ils représenten
re d'un nerf ou d'une de ses branches ; fort suu uut,le centre d'un
muscle
isolé ou de plu- sieurs muscles à fonction comm
anches ; fort suu uut,le centre d'un muscle isolé ou de plu- sieurs
muscles
à fonction commune. Le moment n'est pas en- cor
faits est celle qui ratta- che ces localisations aux fonctions des
muscles
. Quant aux localisations spinales vaso-motrices
et l'obturateur externe, le psoas- iliaque, plus rarement d'autres
muscles
, se développerait généralement à la lin de la s
semaine, et entraînerait ruptures, hémorrha- gies, suppurations des
muscles
. Une dégénérescence légère est, quand l'innerva
ales, suscepti- ble de guérison. Du reste, il est rare que les gros
muscles
soient en leur totalité complètement dégénérés
de, douleurs, musculaires déchirantes, sensibilité à la pression du
muscle
, tels sont les symptômes. Rien du côté de la ré
; H fois seule- ment le traumatisme. Nulle pari la paralysie des
muscles
intrinsèques de l'oeil n'est établie, pas plus
ation de l'accommodation. Pas davantage d'opinion unanime quant aux
muscles
extrinsèques ; ils ne sont pas para- lysés dans
villon de l'oreille, par la contraction delà portion postérieure du
muscle
élévateur auriculaire supérieur et du muscle ré
portion postérieure du muscle élévateur auriculaire supérieur et du
muscle
rétracteur auriculaire postérieur de ce pavillon.
euvres d'examen du facial ou du plexus cervical, qui s'étendent des
muscles
de la face aux muscles de l'oreille. 11 peut ar
al ou du plexus cervical, qui s'étendent des muscles de la face aux
muscles
de l'oreille. 11 peut arri\er que la zone réfle
e l'hémisphère cérébral du chien détermine : la tension tonique des
muscles
du tronc et des extrémités, d'abord du côté opp
e dans la cellule nerveuse. G. D, LX1V. La dualité fonctionnelle du
muscle
; par Mlle YOTEYKO. (Jou/'l1. de Neurologie, l(
orique et critique de la théorie de la « dua- lité fonctionnelle du
muscle
», d'après laquelle il existe dans le muscle de
lité fonctionnelle du muscle », d'après laquelle il existe dans le
muscle
deux éléments fonctionnellement différents et clo
l'explicalion du galvanoLuome, delà réaction de dégénérescence des
muscles
, des actions polaires, de la tonicité musculair
tres (la largeur de la main) au-dessus du coude, il v a 30 ans. Les
muscles
de l'avant-bras et de la main sont sacri- iiés,
eu dorsal. On constate, en effet, au microscope la localisation des
muscles
de l'avant-bras et de la main annoncée par Edin
ne l'obtient plus, encore que l'excitabilité du frontal et autres
muscles
innervés par le facial subsiste et soit même exag
ns nécessaires. Mais il existe un appareil coordinateur de tous les
muscles
propres il un mouvement d'ensemble en une directi
vements distincts : )'<'/7'etM(;tH-.(yttf{X, sié- geant dans les
muscles
qui agissent sur les orteils, réflexe plantai-
cles qui agissent sur les orteils, réflexe plantai- crural dans les
muscles
de la cuisse, réflexe plccnti-tibial dans les m
ural dans les muscles de la cuisse, réflexe plccnti-tibial dans les
muscles
de la jambe. L'étude de ces réflexes à l'aide du
s prouvant ([lie de fortes excitations mÚca- niques successives des
muscles
paralysés y déterminent des contractions toniqu
si que dans les vieilles para- lysies faciales avec contracture des
muscles
paralysés. Une observation montre, qu'absent da
ibles ininterrompues, grande sensibilité à la pression des nerfs et
muscles
, atteinte quasi si- multanée des membres supéri
la suppression delà menstruation; des tremblements Iibrillaires des
muscles
de la cuisse il la phase de la réparation ; l'i
ins ; mais, en revanche, l'animal se servant pour sa propulsion des
muscles
qui entourent cet os, ceux-ci s'ac- crurent jus
s les agitations mécaniques. Le tissu cellulaire sous-cutané ef'les
muscles
constituent des absor- bant. ("liez les sujet
tantôt sur le genou gauche, on vit se rétablir les fonctions des
muscles
, du tronc, du cou, des jambes. La cuisse atrophié
grandes cellules commissurales, des cellules motrices destinées aux
muscles
du dos (vertébraux). L'innervation antérieure s
de la coupe, ce sont toujours les groupes cellulaires destinés aux
muscles
des segments du corps les plus rapprochés qui s
lus rapprochés qui sont en avant. Ainsi dans la région du bras, les
muscles
de la ceinture de l'épaule et ceux qui attachent
a corne antérieure, tandis que des cellules chargées d'innerver les
muscles
les plus éloignés occupent les environs du bord
t. le sang est obligé de remonter dansune certaine mesure, mais les
muscles
du cou, principalement le muscle mnolt-oltlien,
dansune certaine mesure, mais les muscles du cou, principalement le
muscle
mnolt-oltlien, forme une véritable san- gle qui
qu'il existe .chez les paralytiques généraux une sorte d'ataxie des
muscles
du pharynx. A plus forte raison, s'il se trouve
leptiques, presque à l'état permanent, un état spasmodi- que des
muscles
de la bouche et du pharynx qui facilite la péné
pi- dement l'orifice supérieur de l'oesophage sous la poussée des
muscles
pharyngiens qui se contractent au moment de la
la région visuelle de l'- céré- brale et de ses rapports avec les
muscles
des yeux, par Bechterew, 131. Education physi
t. Un héroïque : le décubitus \ latéral gauche, par Crocq, 63."
Muscles
. Voir Ecorce cérébrale. La dualité fonctionnell
e d'une fracture du crâne, par Bloch, 145. De la participation du
muscle
or- biculaire palpébral aux fa- ciales cortic
dt et sa psychologie, 465. Yeux. 1 e trajet central des nerfs des
muscles
des , par l'iltz, 47. ' ZD ! S'l'WOS. La répa
a fourni dans toute sa hauteur des coupes sériées; les nerfs et les
muscles
des deux orbites ont été dissociés et coupés sé
ber. Les autres nerfs des deux orbites sont absolu- ment sains. Les
muscles
de l'oeil ont peu réagi ; c'est à peine si l'on
ales, p'unctiformes et immobiles. Lorsque le malade parle, tous les
muscles
de la face sont animés 24 ' PATHOLOGIE NERVEUSE
? ' '. P. K. t. , . V1..DEUx causes DE paralysie congénitale DES
muscles
DES yeux; paé L.' B.Gé : (Celatualbl : f.' Nel'
rs externes. Mêmellac- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 41 cidité des
muscles
de la face. Anomalies morphologiques du sque- l
e dépression psychique, on note un véritable tremblement émotif des
muscles
respiratoires facile à distinguer des trembleme
< ? o Il n y a aucune trace d atrophie musculaire localisée, les
muscles
ont simplement'fondu par l'elfet'de l'amaigriss
force musculaire brute; légère ataxie; réaction dégénérative des
muscles
terminaux. Amélioration. Genèse : intoxication ty
dégénérescence des nerfs périphériques, atrophie dégénératrice des
muscles
, vacuoles dans les grandes cellules des cornes an
iques, interstitielle etparenchy- mateuse. Surcharge graisseuse des
muscles
; atrophie et hypertro- phie, souvent dans le mê
seuse des muscles; atrophie et hypertro- phie, souvent dans le même
muscle
, des fibres musculaires. " Pathogénie. l°Action
es, puis, secondairement atteinte des nerfs périphériques (nerfs et
muscles
). 2° Altération simul- tanée et directe ou succ
recte ou successive, mais disséminée, des cellules ner- veuses, des
muscles
et des nerfs, sous l'influence de. l'alcool. z
Noir ? tC ? a fréquemment un mouvement d'élévation des sourcils ses
muscles
frontaux se - - '^UM- ? . ' . 1 l'là 't.gi ? L'
ontractent énergiquement, les paupières clignotent vivement, et les
muscles
de la joue droité`sôlitdârisyé rizême temps ani-
que nous, avons décrit, ce mouvement fréquent' dé contraction des(
muscles
frontaux, en prétendant que Our ]l un ? i gyen
, est conscient de l'effort qu'il fait PoLit, y parvenir, mais les ^
muscles
, ne, ^répondent,, qu après,un, certain temps. Une
1 protubérance.1 Les dégénérations ''dès nerfs périphériques et des
muscles
peuvent être considérées comme0'de°s^'phério,mè
1 être b arrêtés dans leurs fonctions, notamment -les. groupes» des
muscles
»'qui servent, à une - occupation; journalière e
crivains survenant à l'océasiondel'entréelemfonction,dé : nroupesde
muscles
, n'ayant rien à voir avec l'écriture en même te
oyenne du trapèze, les, fibres postérieures-du;delloïde, celles des
muscles
ironds et du sous : épineux.iiu33 .y0j0 ,wSy.ï
le nystagmus horizontal; dacprolongation' de '-cette1 fatigué" des
muscles
oculaires* entraîne e - 1 a déviation -,défi niti
s accidents avec dé- générescence complète; ou partielle des petits
muscles
de l'éminence thénar. L'atrophie date de,plusie
ara)ysie radiale. (Quelques moisaprès,ily avait atrophie des autres
muscles
du bras et de,lla main paraissant due' 'l'ex te
s spinal a; par propagation,'excité directement les centres de ces.
muscles
et en a déterminé le trouble fonctionne ! . Ce qu
tate surtout l'image, de la dystrophie et qu'en revanche les autres
muscles
témoignent de' cette(même. dystophie'(fibres arro
est probable,dit-il,-)queE.cesphénomènes,morbide5)de)a motilité des
muscles
, soustraits àde lavololité, tiennent à un vice
RVEUSE. o .. et 0....r rr... r ünv lld 1 1 ? provoquent dans les"
muscles
les contractures caractéristiques, soit z exprè
'exer- cer sur la corne grise antérieure et non directement sur les
muscles
1 t REVUE DE ' PATHOLOGIE NERVEUSE. '*19 ? '
umeati) etj'moteurs (facial, courte portion du trijumeau, nerfs des
muscles
de il il se pro- duit une dégénérescence de leu
ijumeau, file facial, la courte portion du trijumeau, les nerfs des
muscles
de l'oeil, on voit se produire la dégénérescence
progresse,plus que cleli- , tement; elle ne choisit pas) certains,
muscles
ou : certainstgroupes. , Ce. n'est point une at
aule qui, chez eux, est le plus souvent prise, c'est aussi dans les
muscles
de l'épaule i que l'atrophie^ musculaire se dével
)'et l'extrémité "paralysée.' De plus, l'atrophie musculaire -'des1
muscles
"1 qui entourent l'articulation affectée et plus
rne qui tend à disparaître ; de temps à autre affai- blissement des
muscles
innernés par le facial, finalement mouve- ments
innernés par le facial, finalement mouve- ments anormaux' dans les
muscles
de la face et des masticateurs. Il existe un fo
suitee le loti 1 du bras,"ipour ^envahir ensuite rapide- ine«nttles
muscles
de'la'nuque, du cou'edu<membre supérieur dro
'nnées;-1 apparaissant -dans divers groupes musculaires ou dans des
muscles
isolésj'aux membres, au tronc ! eHà la tê).e;t.
troite de ces hallucinations motrices verbales avec des spasmes des
muscles
masticateurs, leur rôle important dans l'éclosi
ucinations, leur .; association très fréquente avec des spasmes des
muscles
masticateurs, leur Ole dans la genèse des accès
27 mars.' La malade'se plaint de la persistance des convulsions des
muscles
masticateurs'et des hallucinations motrices'verba
mal à votre mari en venant ici.,» y,. » 2 juillet. Les spasmes des
muscles
masticateurs sont tellement intenses qu'il semb
otrices verbales sont le;plus,souvent associées aux convulsions des
muscles
masticateurs quej'on perçoit par la.vue et par le
.... ° ..r,- - . " . * .. des musciesde l'ceil. Les convulsions des
muscles
, masticateurs sont ·n.a .n : a rl Flff, ? 1 t
iqué ,dü1·centrér·cônsidéré, déterminera dans les nerfs et dans les^
muscles
destinés à l'ar- ti éulation, ou des états faib
sensations kinesthétidues >variées P,rae ! eUsptdu' larynx, des
muscles
respiratoires et enfin Variées émanées du laryn
, des muscles respiratoires et enfin Variées émanées du larynx, des
muscles
respiratoires et enfin fr ? M'.M ? 1./b 1 J.JJI
oires et enfin fr ? M'.M ? 1./b 1 J.JJI 'Y'W ? W ? ti ? c x·m des
muscles
masticateurs.. ? ,- . nç mnv, « enHm -1 w<&l
on si fréquente , des hallucinations kinesthétiques associées, des^
muscles
, du larynx et des muscles,respiratoires, (local
ucinations kinesthétiques associées, des^ muscles, du larynx et des
muscles
,respiratoires, (localisation des, voix, dans la
Ca'o)tsmo'tcese ? '6s'e< des . , v contractions spasmodiques des
muscles
masticateurs ? z j. ,* i t . j ., ...- ? '- , .
que, des hallucinations kinesthétiques verbales et des spasmes des,
muscles
^ masticateurs est.,1 un.fii qui,' bien. qu'exce
ie àcélui,del'articu- lation, verbal (diaphragme, etc.).jtComme]les
muscles
respira- toires, comme les muscles du larynx, l
l (diaphragme, etc.).jtComme]les muscles respira- toires, comme les
muscles
du larynx, les muscles : annexés à la mâchoire
Comme]les muscles respira- toires, comme les muscles du larynx, les
muscles
: annexés à la mâchoire inférieurejentrerit,ene
hez P ? 1'hallucination s'accompagnanttde spasmes, douloureux des
muscles
masticateurs, les.mouvements, de'la langue aient
'est`même mordu les bràs°) t ? ' B Stl L'association de spasmes dès
muscles
inncrvéspar le trijumeau avec' : des doubles du
! observé,. également -chezp des paralytiques,; des convulsions^des
muscles
. masticateurs coïncidant avec des trou- bles, p
gnaient de contractions toniques du bras gauché étfde crampes des
muscles
'masticateurs : ? Ià',bouelie',Ié'ntroÙverte ? ri
- tales e5'Rappel ons Drievement 1 e"' f ait e (convulr sions des
muscles
masticateurs durant dix minutes; mouve- ments '
Hirt1 (mouvements corivulsifs, puis, paralysie, isolée double des.
muscles
. masticateurs, par lésion unilatérale du tiers
, 0. ;d, 11-1 < t ' s , ". ....Irtl ' MÛ suivis de paralysie des
muscles
masticateurs; autopsie : rame)- > lissemént
Citons enfin, d'après M. Lépinez,le cas d0u ! mont(para ? lysie des
muscles
masticateurs; autopsie foyer ocreux limité en a
séqué l'insula' et le, pied' de F3); ~ celui de;Magnus.(parésie des
muscles
de,la mâchoire : kyste, hémorragique ayant- dét
ivi, d'attaques tétanie ' Hirt. Localisation du centre cortical des
muscles
masticateurs chez l'homme. Rev. Ilayem, t. XXXI
t. XXXII, p., 11 i. z ", . V ... ,w ;0-v ' Langer. Des paralys. des
muscles
de la mastication et du tris- , mus dans les ma
étroite des hallucinations motrices verbales à des convulsions des
muscles
masticateurs. c) Apparition de ces hallucinatio
e nerf abandonnetune partie de. son liquide, lequel va stimuler les
muscles
et les glandes en provoquant chez les premiers,
t placés, comme des intermédiaires, entre les grands centres et les
muscles
invo- 101]tàii.e's"f'i fournissent ces derniers
ls sont eux-mêmes cqnvena- 'biemehtàlimentés, mais ils excitent'les
muscles
au delà de la nor- maie, lorsqu'ils reçoivent e
ion, plus énereique, des L u·iU J4f ! l70 ' <' 4 · U 9 h ? ? *
muscles
et des autres organes, qui fournit la chaleur ani
en retour le long des nerfs, vibrations qui se ré- pandent, dans le
muscle
ou les muscles. que, ces nerfs animent. 376 REV
ong des nerfs, vibrations qui se ré- pandent, dans le muscle ou les
muscles
. que, ces nerfs animent. 376 REVUE ' D'ANATOMIE
bration dans ces centres mêmes, et une'radiation en retour vers,les
muscles
;, lorsque" ceux-ci' sont épuisés'1 par' l'inténsi
n de la pupille fait'défaut.'à gauche, en' plus de la'paralysie des
muscles
iriens, il>y,a delà parésie.très marquée du
aralysie des muscles iriens, il>y,a delà parésie.très marquée du
muscle
ciliaire. La parole, maintenant, est nettement
ibilité, etc. ; quand elle parle, les contractions fibrillaires des
muscles
péri-'buccaux sont plus manifestes" : la'1 langue
bras, la peau dessine les contrac- tions successives des différents
muscles
. La marche n'est pas modi- fiée, les réflexes r
e; a droite" paralysie 'du sphincter de l'iris et légère parésie du
muscle
ciliaire; , gauche, contraction peu marquée, so
e {contraction fait défaut; à gauche, en.plus`dé la paralysie dès
muscles
iriensjparésiemarquj ! e, du muscle ciliaire (fau
e, en.plus`dé la paralysie dès muscles iriensjparésiemarquj ! e, du
muscle
ciliaire (faux signe d'Argyll Robertson) qui, a
? q b 1 u E ;NERVEUSE.gM&6 SYJ/A ? capital, dans, le,tabes, le
muscle
çil aire : est,constammentlres ? pecté par^la l
xternes p d el k,oe.1 ? tandis s z qu r chez 1 la 3[j paralysie des
muscles
externes 1 tandis quechez]la.'xi malade on n'a
électricité d'usage COURANT EN ÉLECTROTHÉRAPIE SUR LA. NUTRITION DU
MUSCLE
. pP ? s " ' > M ' t, Dans ce travail, fai
suggestion, les modifications que l'électricité fait subir tant aux
muscles
qu'aux autres organes. Ses expériences portent
s où le minimum d'exercice physiologique leur était pos- sible. Les
muscles
sur lesquels ont porté les expériences sont ceux
upture du, courant n'amène que la décontraction pure et . simple du
muscle
tandis que dans le second la secousse de rupture
ne met pas ^seulement la pile en court circuit, ce qui soustrait le
muscle
à l'ac- tion du courant excitateur, maison réun
ison réunit en même temps par, un conducteur les deux extrémités du
muscle
qui vient d'être excité. , Cela a une importanc
- tralisées deviennent 1-ib're's.' Si on se.sert du levier-clef, le
muscle
se comporte alors comme .un. accumulateur, dont
ences faites. avec lé concours du téléphone ? du galvanomètre et du
muscle
, M. Wedensky'démontre queles ondes d'excitation
Elle consiste dans la diffusion de la contraction à la totalité -du
muscle
excité ainsi qu'à certains muscles adjacents. M
la contraction à la totalité -du muscle excité ainsi qu'à certains
muscles
adjacents. M. Leszinsky conclut de recherches s
à- travers la peau, sa présence peut encore être démontrée dans le
muscle
par l'acupuncture. "" ' '* M. Jacoby considère
uvais dans cette circonstance, car il fatigue vite les nerfs et les
muscles
déjà fatigués et le mal s'aggrave. Souvent on app
urant galvanique est également mauvais parce qu'il agit trop sur le
muscle
. Monell attaque le mal à son centre à travers l
ons musculaires allant jusqu'à l'extension complète du bras. Chaque
muscle
est également influencé et on laisse cesser cha
mmencement seront- courtes et les contractions douces.' Au début le
muscle
réagit plus lentement qu'à l'état normal et ce
altérations de l'excitabilité électrique ; la portion moyenne de ce
muscle
, peu atrophiée,\.se.) contracte,. môme a par, l
par, l'intermédiaire des fibres moyennes du bord supérieur du même
muscle
. Le, malade ne peut élever le. bras au-dessus,
» ? ,, * , ». ,. , > . z1m s Le pétrissage augmente le volume du
muscle
, affermit la fibre, en augmente. la, vitalité,
versions du'goût et de l'odorat. Les tremblements intermittents des
muscles
de la face et de la langue,* les secousses musc
r l'épilepsie; sur la' physiologie' générale1 et là physiologie des
muscles
, du cceur, du sang, de la peau et des viscères, s
icité, influence des différentes ? formes de 1' sur la nutrition du
muscle
, par, Debedat, 438. ELECt'RODtAGNOSTIC,4t2. E
e à la diphtérie, par , Seifert, 192 ; lésions des artères et des
muscles
dans les cérébrales, par Dai-h-sclie-witsch, 22
, » , * J -Ml, Yeux, deux causes de paralysie con- génitale des
muscles
des , par Bacli, z0 ? t, . TABLE DES -AUTEURS
u à peu son pied droit se placer dans l'attitude d'une contracture du
muscle
tibial antérieur. Ether. — Elle fait de grandes
archera cause de douleurs dans les genoux, qu'il ne peut fléchir. Les
muscles
des jambes sont contractures. Cette contracture q
endu sur son lit ; les torsions, flexions et extensions exagérées des
muscles
s'accompagnaient parfois d'un soulèvement du bass
ractéristique psychique, au même titre que la flexibilité cireuse des
muscles
en est la caractéristique somatique (1). Au point
ssi aisément chez elle la contracture léthargique par la pression des
muscles
ou bien des nerfs, et la contracture somnambuliqu
'il peut revêtir chez certaines léthargiques. Mais en pressant sur un
muscle
on le fait entrer en état de contracture permanen
ente, que l'on peut faire cesser en exerçant la même manœuvre sur les
muscles
antagonistes. Si l'on vient à produire auprès d
ulique. D'une part, en soufflant sur la peau on fait contracturer les
muscles
sous-jacents; d'autre part, la malade accepte à p
un si haut degré dans l'état vigilambulique. Plus de contracture des
muscles
par excitation légère de la peau (souffle) ; abse
uivantes : 1° la cataracte; 2° la paralysie de l'accommodation et des
muscles
extrinsèques ; 3° les troubles hémorrhagiques du
steppage véritable, à cause d'un degré assez accentué d'atrophie des
muscles
des jambes avec prédominance sur les extenseurs d
iation tabético-diabétique. Pour ce qui concerne les paralysies des
muscles
des yeux d'origine diabétique, Althaus dit : « Ac
ne possède pas d'observations très concluantes sur les paralysies des
muscles
oculaires, quoique Kiwalkowski en ait rapporté un
que Kiwalkowski en ait rapporté un cas ; on a relaté une paralysie du
muscle
droit externe dans des conditions analogues2. » D
sont : la cataracte, les paralysies de l'accommodation et celles des
muscles
extrinsèques, les troubles hémorrhagiques du corp
est caractérisée par ce fait que la paralysie ne reste pas bornée au
muscle
droit externe du côté atteint, mais gagne simulta
au muscle droit externe du côté atteint, mais gagne simultanément le
muscle
droit interne de l'autre côté. Des faits de cet
iques se traduisent par un symptôme caractéristique : la paralysie du
muscle
droit externe d'un œil avec inaction conjuguée du
paralysie du muscle droit externe d'un œil avec inaction conjuguée du
muscle
droit interne de l'autre œil. Ce symptôme perme
e ne fournit pas seulement le nerf moteur oculaire externe destiné au
muscle
droit externe du même coté, mais encore un filet
destiné au muscle droit externe du même coté, mais encore un filet au
muscle
droit interne de l'autre côté ; ce même muscle dr
ais encore un filet au muscle droit interne de l'autre côté ; ce même
muscle
droit interne recevant cependant une seconde inne
moteur oculaire interne de (1) Parinaud. — Spasme et paralysie des
muscles
de l'œil (Gaz. heb. de méd. et de chir., 1887, n°
ssive du type Landouzy-Dejerine, avec pseudo-hypertrophie de certains
muscles
(1). Dans une leçon publiée en mars 1885, M. le
ossibilité de l'occlusion des paupières causée par la paralysie de ce
muscle
, et plus tard avec M. Dejerine fondait définitive
ue histologique, car, sous le microscope, rien ne ressemble plus à un
muscle
hypertrophié qu'un muscle atrophié (Friedreich, G
le microscope, rien ne ressemble plus à un muscle hypertrophié qu'un
muscle
atrophié (Friedreich, Gradenigo, Landouzy et Deje
ne de l'or-biculaire des paupières. — Pseudo-hypertrophie de quelques
muscles
de la face, du deltoïcle, des muscles du mollet.
Pseudo-hypertrophie de quelques muscles de la face, du deltoïcle, des
muscles
du mollet. Le nommé Arn... Aimé, âgé de 42 ans,
s marc[uée. Le creux axil-laire est masqué en avant par une partie du
muscle
grand pectoral. Le creux sous-claviculaire forme
Les masses musculaires sont très fermes au deltoïde, au trapèze, aux
muscles
de l'avant-bras. Elles sont flasques aux pectorau
, aux muscles de l'avant-bras. Elles sont flasques aux pectoraux, aux
muscles
du bras. A la paume delà main droite leur consist
olécrane)....... 25 cent. 22 cent. L'exploration galvanique des
muscles
des membres supérieurs montre qu'il existe en cer
f et négatif, en particulier en ce qui concerne le deltoïde. Certains
muscles
ne répondent pas: au bras, le biceps et le tricep
mouvements, on voit se produire des mouvements fibrillaires dans les
muscles
. Le membre supérieur droit peut être utilisé di
le volume des mollets d'un homme de taille et de force moyennes. Les
muscles
sont extrêmement durs à ce niveau. Cette pseudo-h
du pied est impossible, la fluxion est faible (impotence relative des
muscles
du mollet). A l'exploration électrique des musc
nce relative des muscles du mollet). A l'exploration électrique des
muscles
à l'aide du courant continu, on note la perte de
du courant continu, on note la perte de l'excitabilité pour certains
muscles
(triceps de la cuisse, muscles de la région posté
perte de l'excitabilité pour certains muscles (triceps de la cuisse,
muscles
de la région postérieure, extenseurs de la jambe)
ssement de la contracti-lité pour certains autres, en particulier les
muscles
clu mollet (jumeaux et soléaires). Réflexes pat
un objet voisin avec les mains. Face. Hypertrophie généralisée des
muscles
, marquée surtout au temporal gauche et à l'orbicu
ssive. Ce sont les contractions fîbril-laires qui existaient dans les
muscles
de la main et Fêtât des réactions électro-muscula
ou plutôt de l'inversion de la formule d'électrisation dans certains
muscles
, n'est pas non plus un fait qui doive nous arrête
tacher moins d'importance aux signes tirés de l'examen électrique des
muscles
dans ces cas. En effet, MM. Bédard et Rémond ont
hez cet homme c'est la présence de la pseudo-hypertrophie de certains
muscles
, associée avec l'amyotrophie myopathique du type
ypertrophie se développer dans le service. Donc, ce n'étaient pas des
muscles
conservés. D'autre part, ce n'étaient pas non plu
as des muscles conservés. D'autre part, ce n'étaient pas non plus des
muscles
régénérés, mais bien des muscles malades, chez le
part, ce n'étaient pas non plus des muscles régénérés, mais bien des
muscles
malades, chez lesquels l'évolution myo-sclérosiqu
du côté de l'hypertrophie et non du côté de l'atrophie. En effet, ces
muscles
avaient perdu leur force, leurs fonctions avaient
caractéristique de la paralysie pseudo-hypertrophique : à savoir des
muscles
gros et durs qui fonctionnent mal ou même point d
ect extérieur) (1). Mais, si l'on considère au niveau des membres les
muscles
ou les groupes de muscles pseudo-hypertrophiques,
si l'on considère au niveau des membres les muscles ou les groupes de
muscles
pseudo-hypertrophiques, chez le malade de M. Bris
'ai pu constater la coexistence de la pseudo-hypertrophie en certains
muscles
. Observation II (personnelle). Myopathie prog
érale. — Faciès myopathique typique. —Pseudo-hypertrophie de certains
muscles
et surtout du deltoïde droit et du triceps de la
al en arrière des lèvres très prononcé. Rire en travers. Atrophie des
muscles
de la houppe du menton. Rien à la langue, ni au v
du menton. Rien à la langue, ni au voile du palais, ni au pharynx.
Muscles
de la nuque conservés, saillants et assez forts.
les mouvements ne s'exécutent plus. Conservation relative des autres
muscles
. En ce qui concerne les membres supérieurs, il
stance d'une fermeté hors de proportion avec la flaccidité des autres
muscles
. Cependantsa forceestloin d'être en rapport avec
sont bien là les caractères de la pseudo-hypertrophie musculaire : un
muscle
gros et dur, mais impuissant. D'ailleurs la scl
ment évolué au niveau des deltoïdes, mais encore au niveau des autres
muscles
du bras, ainsi qu'on peut s'en rendre compte en c
é 3 centimètres et le gauche 8 centimètres. Et cependant la force des
muscles
n'a pas dû augmenter, tant s'en faut, si nous en
auche. A quoi donc attribuer alors cette consistance et ce volume des
muscles
, sinon à la pseudohypertrophie ? Pas de modific
à la pseudohypertrophie ? Pas de modifications notables du côté des
muscles
des mains. Muscles de la paroi abdominale affai
ie ? Pas de modifications notables du côté des muscles des mains.
Muscles
de la paroi abdominale affaiblis. Impossibilité d
tait, depuis 1889, en pleine évolution, il s'est développé, dans)le
muscle
triceps, trois gros noyaux de pseudo-hypertro F
avec l'atrophie de tout le reste de la cuisse, dont presque tous les
muscles
sont considérablement atrophiés et affaiblis. Le
re être soutenue, étant donné le volume relativement considérable des
muscles
du mollet et leur consistance dure. Mais il n'y a
consistance dure. Mais il n'y a peut-être pas entre le volume de ces
muscles
et leur pouvoir fonctionnel une disproportion suf
trois ans. Il n'a pas été pratiqué de nouvel examen électrique des
muscles
. En 1889, MM. Le Noir et Bezançon ont noté l'abse
clans ces deux cas l'existence de la pseudo-hypertrophie de certains
muscles
est tout à fait indiscutable. Ce caractère tout p
ions, à savoir la disproportion entre le volume et la consistance des
muscles
d'une part et leur pouvoir fonctionnel d'autre pa
l sur ce sujet, à savoir que dans la maladie myopathique le volume du
muscle
n'est rien, son impotence fonctionnelle est tout.
nait le poids de 200 grammes. Rien de particulier à noter du côté des
muscles
atrophiés ; rien dans la moelle à l'œil (1) Com
qui, atteint de myopathie (forme Lan-douzy-Dejerine), présentait des
muscles
pseudo-hypertrophiques. Voir plus haut, n° XXXIV,
d part nécessairement à leur production, mais il va sans dire que les
muscles
d'expiration et (1) Cet appendice comprend deux
oncomitants de la tête et du tronc en arrière démontrent que certains
muscles
autres que ceux du larynx et de la respiration so
ire dans les névroses convulsives les plus diverses, pour peu que les
muscles
du thorax et de l'abdomen soient intéressés dans
essive du type Landouzy-Dejerine avec pseudo-hypertrophie de certains
muscles
. (Travail de M. Georges Guinon)..........367
ée au-dessous de la fosse sous-épineuse, je la nommerai la fistule du
muscle
sous-épineux. Cependant, elle est venue non pas p
eu pour point de départ, comme la fistule antérieure, les tendons des
muscles
sous-scapulaires qui pénètrent aussi dans l'artic
de et la tête osseuse de cette partie jusqu'à la partie antérieure du
muscle
sur le bord postérieur. Les mouvements sont int
and on laisse le malade à lui-même. A quoi cela tient-il? A ce que le
muscle
trapèze se contracte quand le malade le veut, et
ticulièrement mises en honneur. Je me borne à signaler ceci, que le
muscle
trapèze est contrac¬ture, et que l'épaule, du côt
n'est pas atrophié, qu'il est encore très-épais. Ici l'atrophie de ce
muscle
nous permet de sentir que l'os a perdu sa régular
, elle s'est ouverte à la partie antérieure sur le bord postérieur du
muscle
deltoïde. Celle-là pourrait n'avoir été qu'un abc
ire. En effet, il est impossible que le pus ait fusé dans la gaine du
muscle
biceps si, primitivement, il n'était pas dans l'a
ation. Il en est de même pour la fistule postérieure : c'est par le
muscle
sous-scapulaire que le pus s'est introduit dans l
nserver au membre, après la gué¬rison, l'action très-importante de ce
muscle
. . Tout se passa très-simplement. La tête humér
x et leurs variétés innombrables; G. Le tremblement fibrïllaire des
muscles
dont les oscillations se répèlent au nombre de 3
ents du cœur, du pouls, des artères ou le tremblement fibrillaire des
muscles
, on appuie, sur le point à explo¬rer, une ampoule
t pas sûr de l'immobilité de sa main. Lorsqu'il s'agit d'ex¬plorer un
muscle
en particulier ou un faisceau de fibres, on met l
en contact avec l'aiguille ou la pince myographique enfoncée dans le
muscle
. De son côté, le tube de verre est fixé à la pi
olution com¬plète. Parfois, efforts de déglutition. — Convulsions des
muscles
abdominaux et du diaphragme. La respiration se ra
emblement, parésie du train posté¬rieur ; quelques secousses dans les
muscles
du tronc. — 6h5 : selles ; paraplégie complète ;
énérale et ajouterait son effort secondaire à la puis¬sante action du
muscle
cardiaque gauche. V. Analyse d'i n tracé comple
est affaiblie, par sa dilatation, et cela non-seulement parce que les
muscles
respiratoires (diaphragme et intercostaux) ne pre
e du matin, spasmes répétés et douleurs très-vives. Abdomen très-dur,
muscles
adducteurs violemment con¬tractés. La nuque est b
qu'hier dans la journée. Rien dans les membres supérieurs ni dans les
muscles
thoraciques. — Six grammes de chloral. Le 3 fév
ature est à 58°,2. Le 4 février, l'état est moins satisfaisant: les
muscles
ne sont pas beaucoup plus contractés, mais il se
mes parties. Au bout de trois jours, apparurent les con¬tractures des
muscles
de la nuque et du dos. C'est alors qu'elle entra
goides, érythème pernio, peau lisse ou glossy skin) ; b. atrophie des
muscles
; c. arthropa¬thies; d. périostites donnant lieu
contact qui a eu lieu sur la cuisse. La sensibilité à la pression des
muscles
est un peu émoussée. — Aux membres supérieurs, la
icile de reconnaître les dimensions de la tête bumérale elle-même. Le
muscle
deltoïde est mince, aplati. L'acromion et l'apoph
produit des mouve¬ments aussi intenses à droite qu'à gauche; mais le
muscle
deltoïde droit, principalement dans sa partie ant
fort que la veille. On ne constate point de contracture manifeste des
muscles
des membres. — On administre 2 grammes de chloral
39°,2; le soir, le trismus est plus prononcé ; il y a contracture des
muscles
du cou et de la nuque, surtout du côté gauche; la
diminué. A 3 heures, il a cessé d'être assoupi, et la contracture des
muscles
faciaux se prononce de nouveau. On réitère Ja dos
t (Obs. III), a peu d'efficacité pour faire cesser la contraction des
muscles
respirateurs. Aussi, tout en ayant recours au chl
serve de l'électricité ou de tout autre moyen capable de détendre ces
muscles
et de prévenir aussi l'asphyxie qui lue les malad
l y avait non-seulement du trismus, mais encore de la contracture des
muscles
des régions antérieures du cou, du thorax et de l
te influence, le cœur recommença à battre, la respiration revint, les
muscles
s'étendirent. Le chloral fut repris à la dose de
prendre dans les 24 heures. 1er mai. Rigidité prononcée de tous les
muscles
du corps, sur¬tout des muscles des gouttières ver
er mai. Rigidité prononcée de tous les muscles du corps, sur¬tout des
muscles
des gouttières vertébrales. Même trismus. — Grand
our réclamer le sirop de chloral parce que iaroideur tétanique de ses
muscles
la fait beau¬coup souffrir. Du 8 au 22 mai, les
larmants. Il constate le trismus et un opisthotonos très-évident. Les
muscles
abdominaux sont tendus, le dos arqué. On administ
nson, à Londres, le 5 février 1870. — Trismus très-marqué; spasme des
muscles
de la glotte ; congestion de la face ; danger imm
évrier. — Chloral, 2 drachmes en lavement. — Sommeil, relâchement des
muscles
. Temp. 98 Far. (36°,6). — 11 février. Chloral 2 d
— 28 avril matin. Même trismus. P. 96. T. 37°.— Soir. Contracture des
muscles
abdominaux. P. 100. T. 38°,2. Chloral, 4 grammes.
donne encore 2 grammes de chloral. 29 avril matin. Contracture des
muscles
abdominaux ; crises assez fréquentes. P. 112. T.
rphine, 2 cen¬tigrammes. 1er mai matin. Nuit calme. Contracture des
muscles
abdominaux, presque disparue. Dysphagie. P. 192.
orgées de caillots noirâtres. — Système musculaire : Rupture des deux
muscles
droits de l'abdomen un peu au-dessous de l'ombili
P. 120. T. A. 38°. 31 mars. Trismus plus marqué; douleurs dans les
muscles
de la masse sacro-lombaire. P. 120. T. À. 37°,8.
. 37°,8. — Soir. P. 112. T. A. 37°,8. — 1eravril. Trismus très-serré;
muscles
de la nuque dou¬loureux. P. 104. T. A. 37°,8 ; ch
mêmes prescriptions. P. 112. T. A. 38°,8. — Soir. Roideur dans les
muscles
de l'abdomen. P. 138. T. A. 38°. 4 avril. Insomni
matin, trismus très-pro¬noncé; parole gênée; spasme considérable des
muscles
de la dé¬glutition. Roideur et douleur vague dans
alon gauche. 2 juillet. Opisthotonos marqué. — Contraction dans les
muscles
abdominaux. — Chloral, 4 grammes. Du 4 au 9 jui
rammes de chloral. 18 juillet. Les mâchoires sont plus serrées; les
muscles
du clos tendus; l'opislhotonos est assez fort. Ch
e. — 'HO juillet. Diminution du trismus; plus de contracture dans les
muscles
sacro-lombaires et abdominaux. Plus d'opisthotono
à l'hôpital. il juillet. Trismus ; douleur dans le cou ; dureté des
muscles
des jambes, des cuisses, de la paroi abdominale.
Même degré de trismus. — Roideur des membres infé¬rieurs. Tension des
muscles
abdominaux. — Plus d'accès. T. A. 37°,8. Le malad
dans la journée. 22 juillet. Trismus plus prononcé. Contracture des
muscles
abdo¬minaux. Chloral, grammes dans la journée. —
oral. 24 juillet. Trismus moindre. Diminution de la contracture des
muscles
adducteurs et abdominaux1. A la suite de ces ob
tion, à laquelle se joint une con- traction spasmodique de tous les
muscles
organiques. Dans les cas d'aboulie générale, l'
, désagréables au toucher, et frappés d'impuissance absolue : les
muscles
sont atrophiés, les doigts contractés. Ce cas est
n est la cause. Briicke a montré que le mouve- ment volontaire d'un
muscle
est dû aux décharges successives de chaque fibr
n concours à une partie de l'impulsion motrice pour que la force du
muscle
qui se contracte soit affaiblie. Par suite les co
tionnel résulte d'un trouble de la contraction intérieure de chaque
muscle
, tandis REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATH
ération des synergies musculaires, du concours ordonné de plusieurs
muscles
ou groupes de muscles. L'ataxie tient à des foy
musculaires, du concours ordonné de plusieurs muscles ou groupes de
muscles
. L'ataxie tient à des foyers qui siègent au-des
sculaire bilatérale, non compliquée, des bras et surtout des petits
muscles
des mains. On croit successivement à une atroph
s segments de lamoelle recélant les centres ' trophiques des petits
muscles
des mains; cela a suffit pour empê- cher la par
aient présenté que relativement des altérations si faibles; que les
muscles
les plus atrophiés n'aient pas dégénéré complèt
tif multiplié (tronc nerveux des bras, et minuscules destinés aux
muscles
) ; en certains endroits seulement, il y a atrophi
rme. Le déplacement du pisiforme tend l'aponé- vrose palmaire et le
muscle
, mais il faut auparavant que le muscle soit dét
'aponé- vrose palmaire et le muscle, mais il faut auparavant que le
muscle
soit détendu. Le réflexe est plus fort et plus
lexes tendineux parce que la réaction, au lieu de s'opérer dans les
muscles
dont le tendon est excité, se manifes- terait d
é qu'il ne s'agissait ni d'une paralysie ni d'une contracture des
muscles
droits inférieurs ou droits supérieurs, mais d'un
hez ce malade d'un tic et cette localisation à une une fonction des
muscles
de l'oeil a paru intéressante à signaler. M. Jo
paralytique général. Pour lui, d'ailleurs, quand il y a trouble des
muscles
extrinsèques de l'oeil, toutes les présomptions
oculaire sont tous possibles. Il n'y a pas de nystag- mus. Tous les
muscles
de la face fonctionnent normalement. La langue
'existe pas non plus de diathèse de contracture à la malaxation des
muscles
, au tiraillement, à l'insufflation ou à l'excit
t que le besoin d'uriner naît au contraire de la mise en tension du
muscle
vésical. Ces deux théories sont loin de s'exclu
is encore la sensation de plénitude de la vessie n'existe plus : le
muscle
vésical se laisse distendre sans essayer d'expu
e réveille la ' TRAITEMENT MÉCANIQUE DE L'HYSTÉRIE. 215 peau, les
muscles
, l'os de la cuisse. La malade fléchit la cuisse s
r la poitrine, je dé- compose en partant de la peau, des seins, des
muscles
, de laçage osseuse thoracique. A noter que la s
éveloppement des membres dans l'épilepsie, mais ne s'occupe que des
muscles
, et mesure la circonférence des membres en négl
peau et ce prognathisme qui se rencontrent dans le crétinisme. Les
muscles
sont flasques, mais il n'y a pas de difformité
Siemerling et Bodeker insistent sur la rareté de la para- lysie des
muscles
de l'oeil, et Ballet sur la diminution ou la pert
ar des attaques apoplectoïdes ou épileptoïdes. Le trem- blement des
muscles
de la face et de ceux des extrémités est un sig
t à chaque pas l'axe de direction. On note de l'atrophie simple des
muscles
grands pectoraux et grands fessiers (sans modif
plutôt exagérés. Inté- grité des sphincters. Paralysie complète des
muscles
des yeux pour les mouvements d'en haut et d'en
sibilité à type périphérique, sensibilité des trones nerveux et des
muscles
et certaine atrophie musculaire. Les réflexes p
é où existe la paralysie ou en général quand il y a contracture des
muscles
du cou et de la nuque ; quand la paralysie des
. La résolution dépend surtout de l'inhi- bition s'exerçant sur les
muscles
atteints. Selon l'auteur, les mouvements auxili
fois sur l'occlusion de l'oeil (parlefacial) à la fois sur d'autres
muscles
du même organe, dont parle Bernhardt, s'interprét
latérale chez une enfant de deux ans et demi avec participation des
muscles
de la nuque, de l'orbi- culaire des lèvres et d
ible accouchement. Premiers symptômes : Faiblesse intermittente des
muscles
de l'oeil; vision double, obs- curcissement plu
début, elle a vu apparaître : Ptosis de l'oeil droit; faiblesse des
muscles
de la face. Les mouve- ments des lèvres se limi
rise des troi- sième et sixième noyaux; la faiblesse bilatérale des
muscles
de la mastication dénote la participation de la
sie de l'autre, donnant une déviation faoiale unilatérale quand les
muscles
fonc- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 341 1 tio
et sans contractions fibrillaires. Absence d'atrophie dans tous les
muscles
. Caractère transitoire des parésies. Réflexes c
flexes conservés. Réaction électrique normale. Etat psychique sain.
Muscles
ciliaires intacts, vision nor- male. Pas d'écou
tion sous l'influence du plus léger exercice, spécialement dans les
muscles
desservis par les nerfs moteurs crâniens, mais
e leur force; faiblesse dans les jambes également. La faiblesse des
muscles
de la gorge, la difficulté pour avaler et prono
vision. Face sans expression, comme un masque. Pas de paralysie des
muscles
de la face, ni de 31 : .r REVUE DE PATHOLOGIE N
s liqui- des reviennent quelquefois par le nez. A l'inspection, les
muscles
de la gorge semblent flasques. Bras faibles et
ne s'épuisent pas par la répétition. Pas de troubles sensitifs. Les
muscles
répon- dent au courant faradique, et bien qu'il
t observé Jolly et d'autres. Pas d'atrophie de la langue ni d'aucun
muscle
; pas de tremblements fibrillaires. La fatigu
tremblements fibrillaires. La fatigue qui survient dans les divers
muscles
(muscles de l'oeil et de la gorge, ceux des jam
ents fibrillaires. La fatigue qui survient dans les divers muscles (
muscles
de l'oeil et de la gorge, ceux des jambes et de
ction, montre que la parésie porte à des degrés divers sur tous les
muscles
moteurs du globe oculaire tandis que la muscu-
e le signe de Romberg existait en dépit de la cécité. Paralysie des
muscles
de l'oeil : dans 33 cas. Signe d'Argyl- Roberts
es réflexes rotu- liens sont absents, la force des contractions des
muscles
est conservée; avec les yeux fermés, la répétit
nt, un déchirement survenant soit sur un nerf mo- teur, soit sur un
muscle
, produisent les phénomènes de con- tractilité.
ilité. Lorsque le choc ou la pression agissent directe- ment sur le
muscle
, surtout suivant l'axe transversal, on voit d'a
on voit d'abord' sur le vivant le mouvement s'étendre à tous les
muscles
, mais après ce mouvement d'ensemble on remarque
ment ». Pour rechercher la contraction locale on peut frapper le
muscle
, le biceps de préférence, avec le dos d'un coutea
toute la ligne transversale selon laquelle l'instrument a frappé le
muscle
, il persiste plus ou moins longtemps dans le po
tout sim- plement avec-la main : On saisit le biceps ou un autre
muscle
par ses bords entre le pouce et l'index et on le
re de médecine et de chirurgie pratiques de Jaccoud, t. XXIII, art.
Muscles
, p. 231. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE P
s tendineux, l'intégrité de l'excitabilité électrique du nerf et du
muscle
, l'intégrité de la sensibilité objec- tive. Il
voit la paralysie, débutant par les membres inférieurs, envahir les
muscles
du bas- sin, de l'abdomen, des membres supérieu
it jusqu'à la mort. Celle-ci est la conséquence de la paralysie des
muscles
du tronc et des extrémités. Il peut arriver que
ités. Il peut arriver que la paralysie, après avoir épuisé tous les
muscles
jusqu'à la tète, saute sur certains nerfs crâni
es sensi- tifs. Excitabilité faradique perdue pour les neris et les
muscles
. La paralysie a duré trois mois. Cause : Para
es- sant de rechercher, dans la crise épileptique, quels sont les
muscles
qui sont impliqués les premiers dans la convulsio
cita- tion (pincement, coup) détermine un état de crampe dans les
muscles
du membre supérieur des deux côtés. Le malade a s
de rotation, de flexion, d'ex- tension dans tous les sens. Tous les
muscles
de la face participent également à l'agitation
e brusquerie se retrouve dans les contractions présen- tées par les
muscles
du thorax et de l'abdomen, produisant une sorte
s incompréhensible, étant donnés-les spasmes qui secouent aussi les
muscles
du larynx. Aux questions qu'on lui pose, il rép
e propagent aux membres éloignés; le seizième jour, les centres des
muscles
du visage et des extrémités sont en pleine acti
, il a constaté que la période latente de l'excitation corticale du
muscle
est, chez le nouveau-né, notablement plus lon-
s, tout au moins, à conduire des excita- tions isolées sur certains
muscles
et groupes de muscles. Cette aptitude lui est d
nduire des excita- tions isolées sur certains muscles et groupes de
muscles
. Cette aptitude lui est dévolue par l'intermédi
liqués tels que ceux de l'écriture ; hypoexcitabilité mécanique des
muscles
, réa- gissant normalement à l'électricité. Pas
II. Observations sur les terminaisons nerveuses sensitives dans les
muscles
volontaires; par A. RUFFINI. (Bi,aii2, part. LXXI
intra-tendineux et des corpuscules de Pacini intra-musculaires. Les
muscles
volontaires renferment trois ordres de fibres ner
es sensorielles chez les vertébrés supérieurs se terminent dans les
muscles
volon- taires de trois manières différentes : p
éclaire réellement la question des terminaisons sensitives dans les
muscles
. F. BoissiER. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGI
dans la moelle lombo-sacrée président à l'inner- vation de tous les
muscles
d'un segment de membre, quel que soit nombre de
ous les muscles d'un segment de membre, quel que soit nombre de ces
muscles
, quelle que soit leur fonction phy- siologique,
ice médullaire n'est donc en rapport ni avec les nerfs, ni avec les
muscles
des membres, elle est segmentaire et peut être
démontrer que la con- traction isolée d'un groupe physiologique de
muscles
dans un segment donné de membre ne résulte pas
- nexions médullaires, mais qu'au-dessus du noyau segmentaire des
muscles
de la jambe, du pied, de la main, etc., il doit e
plus élevés, tenant sous leur dépendance les différents groupes de
muscles
qui, dans un segment donné, remplissent des fon
ance chroma- tique, qui, probablement, sont l'origine des nerfs des
muscles
intérieurs de l'oreille ou même peuvent être de
de lésions alrophiques du noyau du facial avec participation des
muscles
orbiculaire, sourcilier et fronlal; cas de paraly
ions. Raideur du cou, du dos et des extrémités ; secousses dans les
muscles
. Symptôme de Koenig quelquefois. Peau hyperesthés
marques suivantes : Dans le torticolis spasmodique, deux groupes de
muscles
demandent il être traités : d'un côté le sterno
er de l'opéra- tion seule, mais qu'il faut pratiquer le massage des
muscles
du côté opposé pendant un assez long temps, et
re obligé d'avoir recours à la division des nerfs qui innervent ces
muscles
. C. Schépiloff. XXXVIII. Epilepsie d'origine pé
mmo- dation conservée, vision normale. On observe une raideur des
muscles
; le malade ne peut s'asseoir et semble être fait
des globules de sang et de pus. Les jours suivants la raideur des
muscles
augmente, la pupille ne réagit plus ; le malade
rieure du corps calleux; chez le malade de l'auteur, la raideur des
muscles
augmentait chaque jour, l'opistôt- hosnos était
au lieu d'être ascendante était descendante : elle a débuté par les
muscles
de l'épaule pour descendre de là le long du bra
ine du nerf cubital, puis de l'affaiblissement et de l'atrophie des
muscles
. Celle-ci s'étend non seulement à tous les musc
e l'atrophie des muscles. Celle-ci s'étend non seulement à tous les
muscles
de la main innervés par le cubital, mais encore
e cubital, mais encore à ceux innervés par le médian; dans tous ces
muscles
il existe de la D R; au contraire les muscles de
médian; dans tous ces muscles il existe de la D R; au contraire les
muscles
de l'avant- bras sont restés indemnes. ' A l'
ans leur reliquat semble bien indiquer que la paralysie de quelques
muscles
intrinsèques du larynx relève du même processus
tion au llauov're, par Snell, 5G. Terminaisons nerveuses dans les
muscles
volontaires, par Ilaffiiii, 512. Tétanos céph
ssociation étroite avec des convulsions 6 CLINIQUE MENTALE. , des
muscles
masticateurs. c) Leur apparition au cours 'd'une
émoire par les mots qu'il oublie et l'incoordination motrice de ses
muscles
. Au mois d'août, l'agitation persiste quoique a
constatés sur la langue expliquent : ondulations vermiculaires des
muscles
péri-buccaux. Pendant l'examen, a un air de défia
ains états d'excitation de l'écorce peuvent déterminer un spasme du
muscle
dilatateur de la pupille. Paul Sérieux. V. Ac
sur ce sujet permettent de diviser les paralysies congénitales des
muscles
oculaires en deux catégories : in Paralysies is
rare), intégrité de la musculature interne (sphincter pupillaire et
muscle
ciliaire). R. C. VII. Une observation de trop
; 2° Des contractions fibrillaires localisées dans la plupart des
muscles
du corps; 3° Un état d'incoordination spasmodiq
opathie avec nodules ostéophytiques sur les tendons d'insertion des
muscles
périarticu- laires, notamment du deltoïde. Sy
.. G. OE1';Y, IX. A propos de certaines modifications nucléaires du
muscle
; par les DIS DE l3ucr ET DLUOOn. (Journal de .
. (Journal de .Yeurologie, 1901, iio 3.) En examinant des coupes de
muscles
de la patte d'un lapin, ayant reçu du virus rab
clinica, 19JU, n° 21.) .) Lorsque chez un sujet normal on excite un
muscle
ou un nerf par un courant faradique apte à prod
S. selon les sujets mais toujours assez long, 10 à 30 minutes, le
muscle
peu à peu cesse de réagir et se relâche. Si l'on
est due non à l'hypertonicité, mais à des contractions réflexes des
muscles
dont la contraction cesse bientôt pour faire pl
l'absence de contracture et de contractions fibrillaires dans les
muscles
atrophiés et aussi l'absence du phénomène des ort
oubles moteurs ont persisté, ce qui n'a pas lieu de surprendre, les
muscles
étant déjà en voie de dégéné- rescence très pro
aire ou d'une partie du noyau. 7° Spasme de la face : asymétrie des
muscles
frontaux, indiquant des altérations du septième
ité de parler par suite d'une affection du centre de coordinati des
muscles
producteurs du son articulé; 2° Amnésie ou perte
s qu'une absence de coordination synchronique. Le tremblement des
muscles
de la face, et'spécialement des lèvres, la trémul
s patellaires, et une sensibilité marquée des troncs nerveux et des
muscles
deces deux membres. En même temps, il y avait par
scles deces deux membres. En même temps, il y avait para- lysie des
muscles
fléchisseurs du bras gauche et des extenseurs d
de faiblesse des jambes, puis de paralysie complète s'étendant aux
muscles
abdominaux, aux bras et au côté gauche de la face
jambes, augmentant jusqu'à la paralysie complète et s'étendant aux
muscles
abdominaux et respiratoires, aux muscles de la
complète et s'étendant aux muscles abdominaux et respiratoires, aux
muscles
de la face, à ceux de la mastication et de la d
e affection fébrile aiguë, elle affecte un nombre consi- dérable de
muscles
du même coup et n'a pas l'allure progressive; l
érable de muscles du même coup et n'a pas l'allure progressive; les
muscles
abdominaux et respiratoires et ceux qui sont sous
abituel, mais il peut être expliqué en- partie par la faiblesse des
muscles
abdominaux qui empêchaient tout effort effectif.
dérable et dans le cas fatal, une dimi- nution dans la réaction des
muscles
au faradisme. Un des carac- tères les plus frap
ascendante progressive avec terminaison fatale, par le fait que les
muscles
paralysés conservaient intacte leur excitabilit
arquée, les symptômes de la synngomyélie, atrophie et paralysie des
muscles
de l'épaule, avec des contractions fibril- lair
ons fibril- laires, et une paraplégie spasmodique sans atrophie des
muscles
de la jambe, et sans aucun trouble vésical ou r
mptômes analogues. à ceux de la syringomyélie. Atrophie avancée des
muscles
des; deux épaules, comprenant le deltoïde, le g
, les sus et sous-épineux, et la partie inférieure du trapèze ; les
muscles
des bras,- des avant-bras et presque tous ceux
également pris. Contractions fibrillaires marquées dans certains
muscles
atteints.Irritabilité musculaire beaucoup augment
les réflexes pupillaires persistent. En dehors de l'émaciation des
muscles
qui est générale, on constate une atrophie des mu
aciation des muscles qui est générale, on constate une atrophie des
muscles
de la jambe, prédominant dans les extenseurs. L
amen du système nerveux central et périphérique ainsi que celui des
muscles
nous a décelé les lésions suivantes : le bulbe es
nte qu'ils méritent. Un chapitre spécial est consacré à l'étude des
muscles
de l'oeil et particulièrement aux troubles de c
FILLETTE. 183 Tête et éou. La face ne présente pas d'asymétrie, les
muscles
de la physionomie se contractent bien ; il n'y
e, reste insensible à toute excitation ; on remarclue aussi que les
muscles
du voile de ce même côté gauche ne se contracte
Si on commande à la malade de soulever les épaules, on voit que les
muscles
de l'épaule gauche sont parcourus un instant de
sage d'un courant faradique ou galvanique; et si la contraction des
muscles
existe normalement, elle n'est nullement perçue
digitales, puis on lui dit de fermer la main : on voit aussitôt les
muscles
de l'avant-bras et des éminences thénar et hypo
vement des deux pattes postérieures, avec réaction dégénérative des
muscles
paralysés. 3° De la paralysie des sphincters, d
émités inférieures, avec modification de la réaction électrique des
muscles
paralysés innervés par les nerfs dans la région d
accélération. L'auteur, pour rendre sa pen-ée plus claire, prend le
muscle
pour exemple, et intercale un schéma qui montre
ma qui montre l'effet de deux courants moléculaires agissant sur le
muscle
en sens oppo-é, et déterminant, suivant leur én
ulaire, il parait légitime de leur appliquer les mêmes règles qu'au
muscle
; et bien que certains expérimen- tateurs aient
égé- tante au niveau des sigmoïdes aortiques. Pas d'altération du
muscle
cardiaque. Tube digestif. - Les auteurs ont sig
dées délirantes, le malade fut pris de contracture avec spasmes des
muscles
du cou. La tête était abaissée, portée sur l'ép
le vole. Etat physique. - Tremblement fébrillaire des lèvres, des
muscles
de la face, de la langue, des extrémités digitale
e cutanée. Quand celle-ci est com- plète, la pression énergique des
muscles
, la percussion forte des os, le tiraillement mê
ion, il est noté l'apparition de mouvements fibrillaires dans les
muscles
des membres inférieurs, surtout apparents aux mus
prodromes. L'hémitonie, caractérisée par la contraction tonique des
muscles
des membres et même de la face du côté frappé,
s'occupe de lui, ou sous l'influence d'une excitation mécanique des
muscles
, de l'émotion. En ce dernier cas se produisent
on- daire ; ils entraînent l'hypertrophie musculaire de quelques.
muscles
, de sorte que chez le même sujet, on trouve de l'
de sorte que chez le même sujet, on trouve de l'hyper- trophie des
muscles
hypertoniques, et, à côté, de l'atrophie des os
té, de l'atrophie des os 298 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. et des
muscles
non hypertoniques due à une atrophie parétique
qué pour les couleurs. Il s'y joint des mouvements spasmodiques des
muscles
extrinsèques du globe oculaire. A cette pério
ans les efforts d'accommodation et de convergence, les parésies des
muscles
extraoculaires, la diminution de la fente palpébr
quelquefois même l'épiphora, les tressaillements fibrillaires des
muscles
orbiculaires lorsqu'ils entrent en action. t
très caractérisque le tableau clinique. L'examen d'une parcelle de
muscle
, prise à la partie interne du gastrocnémien dro
té sur 10 malades : dans 40 p. 100 des cas il y avait paralysie des
muscles
oculaires; dans GO p. 100 il y avait de l'inéga
intes, car il n'y a pas d'atrophie consécutive : ce ne sont pas les
muscles
qui sont affectés, mais les mouvements d'ensemb
e est caractérisé par la confusion : entre la volonté d'agir et les
muscles
qui doiveut exécuter l'acte, il exisle par l'in
sie de la zone innervée par le trijumeau : puis affaiblissement des
muscles
masticateurs à gauche, parésie de la langue, dé
le supérieure, chez le chien et chez le lapin, diminue le tonus des
muscles
volontai- res et exagère le tonus des sphincter
le supérieure, chez le singe, diminue considérablement le tonus des
muscles
volontaires et exagère le to- nus des phincters
rieure, provoquent l'abolition permanente et complète du tonus 'des
muscles
volon- taires, et l'exagération de la tonicité
émentaire (Tr. 1) ; 2° chez le lapin et chez le chien, le tonus des
muscles
volontaires se fait presque exclusive- ment par
ngues sont seules chargées de transmettre les courants toniques des
muscles
volontaires ; le centre de ce tonus est exclusi
dre les modifications pathologiques du tonus : 1° l'excitation d'un
muscle
volontaire produit ['inhibition de son antagoni
uit ['inhibition de son antagoniste ; 2° l'inhibition du tonus d'un
muscle
volontaire provoque Vhypertonie de son antagonist
iques ou de leurs prolongements cylindroïdes, provoque l'utonie des
muscles
correspondants; 4° leur destruction partielle 3
uniforme la tonicité musculaire amènera la flaccidité complète des
muscles
les moins développés et seulement l'hypoto- nic
des muscles les moins développés et seulement l'hypoto- nicité des
muscles
les plus forts. Cette hypotonicité deviendra bien
out d'abord elle varie dans sa distribution topographique, certains
muscles
sont préfé- rablement contracturés que d'autres
urs seraient toujours plus intéressées que les fibres destinées aux
muscles
fléchisseurs. M. CCST.1N. -J'approuve d'autant
ou chroniques, les déformations soient dues à une hypertonicité des
muscles
conservés que l'on puisse comparer à l'hyperton
au-dessous de la rotule, ou que la percussion ,arlaa : ...- sur le
muscle
lui-même, soit à sa partie inférieure, soit à,a n
contraction musculaire soit le même que l'on percute « le tendon du
muscle
lui-même à différentes hauteurs, alors que le r
s différents sujets tient peut-être à ce que dans le premier cas le
muscle
est tiraillé suivant la longueur même de ses fi
ainsi que des réactions musculaires dépendraient de la tonicité du
muscle
, qui elle-même, serait sous la dépendance de l'
ées à tout le corps, mais siégeant de préfé- rence aux mains et aux
muscles
de l'abdomen. Il y a de véritables crises catal
atigue. 1 De Bock et L. Gùnzburg. De l'influence de l'alcool sur le
muscle
fatigué. (Bull. de la Soc. de méd. mentale de B
uche. Il est de petite stature, présente un embonpoint notable, les
muscles
sont très développés. La face est rouge, conges
trouvé les réllexes cutanés très actifs et une grande facilité des
muscles
des membres à être pris de tremblement fibrilla
s et se propose dans le présent travail de se borner il l'étude des
muscles
oculaires internes con- sidérée comme caractère
ssive, de la paraparésie spasmodique, des mouvements athétoïdes des
muscles
de la bouche et des orteils et de l'atrophie op
Aux dernières nouvelles de la malade (octobre 1900) la motilité des
muscles
de la face ne s'est pas améliorée. L'atrophie du
tat hyperto- nique, vis-à-vis de ceux de la région postérieure, des
muscles
flé- chisseurs du pied, peiinettant ainsi à la
de proté- ger les articulations. Ces réflexes mettent en cause les
muscles
dont dépend chez l'homme l'équilibre de tout le
rique. Le cas guérit à la suite de quelques applications à tous les
muscles
de l'avant-bras de courants galva- niques inter
f qui va impressionner directement le tympan, les osse- lets et les
muscles
. G. UENY. 1 XII. Traitement des cas récents d
Morphine. Traitement de l'habitude de la -, par Mac Bride, 530.
Muscle
. propos de certaines modi- fications du , par d
ates soient dus à des lésions locales des appareils sensoriels, des
muscles
, des nerfs, des centres : 1° Les stigmates sont
érique a perdu tri la volonté de mettre en mouvement des groupes de
muscles
dé- terminés... c'est tout autre chose de mettr
pes de muscles dé- terminés... c'est tout autre chose de mettre ces
muscles
en mou- vement par un effort de volonté ou par
ins spasmes de l'oesophage, de l'estomac, du diaphragme ou même des
muscles
de l'abdo- men. Mais il n'en est pas moins vrai
liomyélite aiguë de l'enfance, etc. Or, dans ces affections, chaque
muscle
, on pourrait dire chaque fibre mus- culaire, pe
de celle-ci, un appareil moteur compliqué. Jamais elle n'affecte un
muscle
individuellement, par exemple le biceps du bras
gle (le ptosis cortical, par exemple), on voit bien qu'il s'agit de
muscles
qui, à eux seuls, remplissent une fonction de l
flasques qu'on peut soutenir qu'elles n'affectent jamais un seul
muscle
, excepté le cas où ce muscle est l'instrument uni
ir qu'elles n'affectent jamais un seul muscle, excepté le cas où ce
muscle
est l'instrument unique d'une fonction, qu'elle
alors qu'apparaît la paralysie. Mais les nerfs périphériques et les
muscles
sont altérés avant les centres. C'est la seule th
'hé- misphère droit. J. SEGLAS. XIV. DE la réparation DE certains
MUSCLES
QUI ONT ÉTÉ COMPLÈTE- MENT paralysés A la SUITE
in, le siège d'une impulsion volontaire, pour la contraction de son
muscle
correspondant, encore moins cela prouve-t-il que
les sensations tactiles et mixtes, toute sensation pro- venant des
muscles
de la peau, des ligaments, des tendons, des sur
plégie gauche et paraplégie des membres inférieurs, rigidité des
muscles
et abolition des réflexes cutanés et tendineux du
syphilis, antécédents, troubles NÉCROLOGIE. 65 moteurs partiels (
muscles
de l'oeil); paralysie faciale, hémiplégie ' · p
à forme spasmodique, avec atrophie musculaire prédominant dans les
muscles
péri-scapulaires, prise pour une pachymêningite
ements d'excursion des côtes se font avec une certaine raideur. Les
muscles
du tronc, en général, sont plus rigides, plus t
gouttière vertébrale droite, sont très contractures ; de même, les
muscles
de l'abdomen. Il existe, à la nuque, les traces
istouri. 0 DES TUMEURS NÉVROGLIQUES DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 99 Les
muscles
péri-scapulaires sont considérablement atrophiés,
surtout à droite. L'atrophie porte plus particulièrement sur les
muscles
sus et sous-épineux, rhomboïde, grand dorsal et t
ont plus difficiles dans l'extension. De même, pour les,doigts. Les
muscles
des membres superieurs ont conservé à peu près
membres superieurs ont conservé à peu près leur volume normal ; ces
muscles
sont con- tracturés, surtout les extenseurs. La
seurs. 11 suffit de percuter, même très légèrement, le tendon ou le
muscle
, pour provoquer ces réflexes. Les réflexes cuta
n tremblement étendu des deux jambes. La plus petite percussion des
muscles
détermine une trépidation spinale prolongée. Le
nt minime. Le deltoide est légèrement atrophié des deux côtés : les
muscles
des fosses sus et sous-épineuses sont beaucoup
mmobilisé en adduction et rotation en dedans par la contracture des
muscles
de la jambe. Les douleurs en éclair qui travers
d il éprouve en marchant une sensation de froid, la contracture des
muscles
rend la marche totalement impossible et il doit
peu près leur volume nor- mal et/leur coloration habituelle. Les
muscles
de la ceinture scapulaire sont atrophiés des deux
tôt à nouveau dans un autre travail. IV. Lésions des nerfs et des
muscles
. - Les gros troncs nerveux des membres supérieu
cence, mais il n'existe aucune trace de névrite interstitielle. Les
muscles
de la ceinture scapulaire et le triceps fémoral
es sont complètement saines. En somme, les lésions des nerfs et des
muscles
sont très peu impor- tantes. La longue histoi
ie spasmodique, qui affecte, au membre supérieur, de préférence les
muscles
extenseurs; quelques muscles de la ceinture sca
au membre supérieur, de préférence les muscles extenseurs; quelques
muscles
de la ceinture scapulaire subis- sent une atrop
que l'on descend, et c'est ce qui permet de comprendre pourquoi les
muscles
de la main ' ' 'd'T ? IIT'I ? 9 T'a - 1 "» 7'T
f' 1 t /1" /' l'¡ ¡ ) (\ " ,\ 1 . , 1 \ \ 1 " ... dominait sur les
muscles
extenseurs à l'ayant-bras. En,effet si > l'o
e,sazal ço ? °d : ; Lôndrés ? 138c,J), on , voit que les noyaux des
muscles
de la' main sont les plus., bas i situés et que
t dû attirer mon atten- tion, c'est l'absence de'cette atrophie des
muscles
de la main qui se rencontre dans la pachyméning
abord été pris pour, des douleurs rhumatismales; le maniement des,,
muscles
provoquait des'douleurs très vives ; la plante
lexes superficiels étaient abolis ; l'atyôphiéjet la paralysie"de's
muscles
fléchisseurs ,'du' pied étaient^ très marquées,
cq.ol'ée,s.al'acé-.1 ristique ayant. successivement-porté sur] les
muscles
.,du^cou,et desj épaules, ides bras, ( des jambe
e être quand elle' accompagne certains états spasmodiquesdes divers
muscles
siégeant du côté opposé à celui qu'elle occupe.
la paresie, car. la paresie véritable s ac- compagne de parésiêjdes
muscles
dû,côté coréespoydant ? 3°,L'ô i pinion, de Cha
manifestent, notamment à l'occasion des mouvements voulus, dans les
muscles
, du ^cou, et de l'épaule du côté non paralysé,
ie, sans accélération du pouls/ douleurs intenses 'localisées'' aux
muscles
, augmentant à* l'occasion 'des mouvements, et,'
duelle qui ne va point toutefois jusqu'à ta guérison. Intégrité des
muscles
, surtout si ,1'on considère l'état satisfaisant,
elle l'hyoscine par exemple, 212 THERAPEUTIQUE. en paralysant les
muscles
volontaires et en mettant par là les sujets dan
issiperait complètement, sans paralyser ni la volonté ni le jeu des
muscles
. C'est là une propriété précieuse qu'elle serait
e, les réflexes patel- laires peuvent ne pas être conservés car les
muscles
sont tendus; géné- ralement ils apparaissent da
s. Puis, faiblesse généralisée avec troubles de. coordination des
muscle
du tronc et du cou. Convulsions cloniques des mus
ordination des muscle du tronc et du cou. Convulsions cloniques des
muscles
flé- chisseurs des deux médius, contracture du
e déviation extrême à droite. Evidemment elle a une contracture des
muscles
de cet organe du côté droit. Les fonctions des
tracture des muscles de cet organe du côté droit. Les fonctions des
muscles
du côté gauche de la face sont peu actives; le
Le malade à été- affecté en outre de contractions fibrillaires des
muscles
entourant l'oeil et des muscles releveurs des ail
re de contractions fibrillaires des muscles entourant l'oeil et des
muscles
releveurs des ailes du nez et de la lèvre supér
ts sont l'in- dice de la fréquente contraction des sourciliers, les
muscles
de la douleur. L'oeil est petit, triste, enfonc
se produit parfois, au dire du malade, des contrac- tures dans les
muscles
des membres inférieurs, surtout dans les mollet
t dans les mollets; mais à l'examen, ceux-ci, comme tous les autres
muscles
, ont la flaccidité normale. Les réflexes rotuli
ubles oculaires qui pour- raient se rapporter au fonctionnement des
muscles
de l'oeil; convulsions et raideurs tétaniques p
ui contribue simultanément à l'innervation du coeur et à celles des
muscles
pharyngo-laryngés. La patiente a été suivie pen
ertain qu'en provoquant un exercice qui met en jeu presque tous les
muscles
du corps, en permettant de parcourir de plus long
elleuse. P. KERAVAL. XXX. DE certains phénomènes DE contraction DES
muscles
quand ON LES excite au courant faradique ; par
que ; par W. BROCIi. (Neurolog. Centralbl., 1892.) Excitation des
muscles
à l'aide d'interruptions lentes. Peut-elle, dan
ion des muscles à l'aide d'interruptions lentes. Peut-elle, dans le
muscle
humain, produire des conlractions toniques ? 2
ractions toniques; celles-ci peu- vent aussi être produites dans le
muscle
sain, quand on modifie comme il est dit l'excit
u nerf. En revanche, l'intensité de l'excitant joue un rôle. Sur un
muscle
sain, si l'on affaiblit graduellement la force
ement la force d'un courant faradique, on arrive à une limite où le
muscle
est animé de contractions toniques sans secouss
ans secousses isolées. Mais l'intensité de l'excitant varie avec le
muscle
. Il en est de même pour les muscles atrophiés (pa
sité de l'excitant varie avec le muscle. Il en est de même pour les
muscles
atrophiés (para- lysie faciale rhumatismale, pa
le sens des sillons, afin de déterminer si l'hypercontractililé des
muscles
peauciers n'avait pas pu les produire. Son cons
acuité centrale, des troubles de l'accommodation, de la paresse des
muscles
de l'oeil, des fantasmes entoptiques, des hallu
pupilles se dilatent pour revenir promptement sur elles- mêmes, les
muscles
des jambes se tendent et restent immobiles ; le
u dans les cas de foyers unilatéraux une para- lysie bilatérale des
muscles
en question. M. Remak a lui-même constaté une p
é, il n'y a pas de troubles du mouvement du côté du temporal T, ces
muscles
sont simplement un peu moins sensibles au courant
à l'action individuelle de la volonté de chaque côté, savoir : les
muscles
ptérygoïdes qui produisent des mouvements latér
ouvements indé- pendants unilatéraux, sont demeurés intacts. Or les
muscles
qui normalement agissent toujours de concert ne
orce, car alors chaque hémisphère cérébral innerve suffisamment les
muscles
chargés de mouvements associés, combinés, coord
r du teint que la maladie n'avait pas altérée. Pas d'atrophie des
muscles
de la face. L'orbiculaire des paupières et des lè
e de ses vête- ments, que remarque-t-on ? Une atrophie complète des
muscles
de l'épaule et de la hanche, atrophie telle que
e préparer dans une salle de dissection après avoir enlevé tous les
muscles
qui les recouvrent. Chez cette malade la peau r
recouvrait de véritables pièces anatomiques. Faisant contraste, les
muscles
de l'avant-bras et des mains, les muscles des j
Faisant contraste, les muscles de l'avant-bras et des mains, les
muscles
des jambes ont conservé leur volume normal. Pas d
pas l'atrophie musculaire progressive de Duchonne. L'intégrité des
muscles
des mains, l'absence des tremblements fibrillai
crite par Erb où la ceinture scapulaire est surtout prise et où les
muscles
affectés ne présentent pas d'ap- parence hypert
on, une femme de soixante-seize ans , contracture spas- modique des
muscles
de la mâchoire, hystérie (observation relatée p
itérieures de la moelle, on trouvait 'dans les'extré- , Z mites des
muscles
stries intacts. Ce qui prouve que 1 influence des
partie .des, fibres de l'acoustique servent à régler la tension des
muscles
du corps, et leur terminaison dans le labyrinthe
rminaison dans le labyrinthe exerce unejnfluence sur latontéitc.des
muscles
,(Wvâld);'la séctionxdé l'acoustique chez le chi
les sourds- muets exagèrent 1 intensité de la force musculaire des
muscles
employés, à Ja marche; l'impulsion est trop for
cé- demment constatée, ne provient pas de la paralysie de quelque
muscle
lingual que ce soit, elle est due. à un état, d'i
e. Avec l'oedème; il y avait une infiltration dure,- ligneuse,' des^
muscles
.du braslgauclieuetsde l'épaule,,de,ce, c8té. !
;>iiisl'ii.i Ai. Mendel/ J'ai constaté^cette dureté ligneuse^des
muscles
avec M.' Pbllnbw, chez un syring'o'myéliq'ue ?
e l'analgésie. 11>. -' dem.' 1 e si inriltratioii' "ligneuse des
muscles
peut être cônsidéréeeorrime -ysue;de prolfératf
rs-de plusieurs mois, atteinte de para- l,s,i'to,1,etle de tous.les,
muscles
)extrinsèques de l'oeil; seul l'éléva- teur de^l
par Langhâns et Kopp toutes- les fois'qu'il-y a'dégénérescence'du'
muscle
. Ainsi, dans un cas de paralysie saturnine des
moelle et des nerfs contraste ici avec l'atrophie considérable des
muscles
, atrophie avec multiplication- de3 noyaux; abon
médian, .du radial, du musculo- cutané; atrophie dégénérative des «
muscles
de l'éminence hypothé- nar;t endartérite syphil
n des branches terminales du grand sympathique, qui commandent au
muscle
palpébral de Muller (élévateur accessoire lisse d
F9` ? ? t,. ' ,, .Contraction ? de certains, phénomè- nes de-;des
muscles
quand on les, excite au cgurant faradique, ;
tend à détruire les instruments au moyen desquels elle s'effectue. Le
muscle
à l'état de repos présente une réaction alcaline;
onséquence d'un proces-sus atrophique qui porte non seulement sur les
muscles
de la vie de relation et sur les diverses parties
elle : cela est surtout remarquable, suivant Otto Weber (1), dans les
muscles
des vieillards, dont les éléments sont pâles, de
en présentent des accumulations considé-rables intus et extra. Les
muscles
ne renferment aucun dépôt d'urate de soude; mais
il existe un souffle occasionné par la dégénérescence graisseuse des
muscles
tenseurs des val-vules. La matite précordiale est
t cependant ailleurs que dans les jointures : on les voit occuper les
muscles
, les tendons, les nerfs, la peau, et quelques aut
ints, dans les parois de la poitrine; elles occupent probablement les
muscles
intercostaux ou le tissu fibreux des parois tho-r
uvons en présence de résultats contradictoires. L'urée provient des
muscles
, dit-on; l'acide urique, des pa-renchymes viscéra
rmales, on ne trouve que de la créatine et de la créatinine clans les
muscles
; pour l'acide urique, la chose est mieux dé-mont
ultanée des cap-sules articulaires, des ligaments, des tendons et des
muscles
. Quant aux ligaments interarticulaires, aux ménis
urs musculaires de la goutte, suivies de crampes et de rétraction des
muscles
(Guilbert), peuvent aussi se rencontrer dans le r
, au début, à celles du rhumatisme aigu. — Rétraction spasmodique des
muscles
. — Attitudes vicieuses. — Désordres permanents. —
au même degré : nous voulons parler de la rétraction spasmodi-que des
muscles
, qui produit une attitude singulière, et quel-que
: elle peut occuper l'articulation elle-même, le corps des os ou les
muscles
voisins, sous formes de cram-pes douloureuses.
marche de la maladie est rapide, et les contractions spasmodiques des
muscles
étant très prononcées, les déformations sont nett
con-séquence de cet état de choses. L'atrophie des os, l'atrophie des
muscles
et l'amaigrissement des parties molles sont les a
hénomènes s'observent surtout aux membres inférieurs. Au reste, les
muscles
des membres subissent toujours, à la longue, sous
ectées ; on ne peut alors invoquer que la contraction spasmodique des
muscles
. Ainsi, dans la paralysie agitante, dans l'atro
agitante, dans l'atrophie congénitale du cerveau, dans l'atrophie des
muscles
interosseux, on voit quelquefois les membres pren
n plus ou moins complète des mouvements. — Rétraction spasmodique des
muscles
assez rare. — Rigidité extrême de l'articulation.
e éburnée des sur-faces articulaires. La rétraction spasmodique des
muscles
est ici très rare, sauf au début ; mais il existe
ont ^té, 'désignées quelquefois sous le nom de stéatose. Le foie, les
muscles
de la vie,ani-male, les reins, le cœur surfout su
elle paraît résider soit dans les extrémités osseuses, soit dans les
muscles
, soit dans les troncs nexveux, ainsi que nous che
ns duquel elle fut confiée, en 1841, opéra la section des tendons des
muscles
postérieurs de la cuisse, et plaça ensuite les me
leur musculaire. La variété de la douleur qui paraît résider dans les
muscles
se montre ordinairement plus ou moins longtemps a
ment, la suppression des règles, que cette rétraction douloureuse des
muscles
a été prononcée et persistante. Je crois que c'es
ier, au moment où nous chercherons à apprécier le rôle que jouent les
muscles
dans la production de la rigidité articulaire, et
diverses régions du corps, et étaient li-mitées à un petit nombre de
muscles
. Elles avaient cessé d'exister, dans la plupart d
on cherche à l'opérer après avoir préalablement fléchi le membre, les
muscles
fléchisseurs en-trent immédiatement en contractio
du genou, même à une époque avancée de la maladie. La rétrac-tion des
muscles
me paraît la principale causede la flexion per-ma
rieure du membre abdominal, et en outre, la tension môme du corps des
muscles
qu'il est facile d'apprécier à travers les tégume
t, de détruire cette flexion permanente, en pratiquant la section des
muscles
rétractés ; d'autant mieux que ces tentatives ont
, mais presque toujours en vain, contre la rétraction douloureuse des
muscles
postérieurs de la cuisse. J'ai appris de quelques
e de plan incliné, appareil bien propre à contrebalancer l'action des
muscles
. Elles ont obtenu ainsi une légère demi-flexion p
ur sourde, toute spéciale qu'on ne peut guère localiser cpie dans les
muscles
eux-mêmes ou dans les nerfs qui s'y distribuent,
ée ne peut-elle pas être attribuée en partie à ce que, à cet âge, les
muscles
encore vigoureux agissent plus énergïquement, lor
étudiée par M. Cuzauvielh. Un certain nom-bre de ces infirmes ont les
muscles
fléchisseurs et extenseurs des membres d'un côté
ement qu'ont dû subir les mus-cles contractés. Enfin, si on coupe ces
muscles
, la rigidité diminue notablement. 7° Il faut sa
ersiste encore, bien qu'à un plus faible degré, malgré la section des
muscles
: la section des ligaments eux-mêmes n'a encore q
nons, sur le rôle de l'action musculaire. 8° Ce sont, en effet, les
muscles
qui, par leur contraction persistante, dirigent
ures sont dans une attitude permanente produite par la rétraction des
muscles
, les lésions articulaires se développent et suive
lammation des parties constituantes des jointures au tissu propre des
muscles
. En effet, alors même que les extrémités supérieu
in, Bonnet, Morel-Lavallée, ont considéré le rhumatisme porté sur les
muscles
, comme une des causes des rétractions musculaires
l'observation; mais, chez nos malades, ce n'est pas çà et là que les
muscles
ont été atteints pour déterminer les déviations;
jointures paraissent énormes, par suite de l'atrophie qu'ont subi les
muscles
; les stalactites osseuses, ou même les têtes des
ne s'arrêtent qu'à une époque où la rétraction s'est déjà emparée des
muscles
, et où la plupart des mouvements sont devenus imp
rs l'âge de quinze ans, elle aurait eu des douleurs siégeant dans les
muscles
de l'épaule, et pour lesquelles un médecin aurait
isin d'un mur humide ; au bout de huit ou dix jours, l'éfatnormal des
muscles
s'était rétabli. A part ces douleurs, et un abc
s, qui avaient quelquefois disparu plus ou moins com-plètement. Les
muscles
des membres dont les articulations étaient attein
et d'un caractère spécial, qui paraissaient avoir leur siège dans les
muscles
, et qui s'accom-pagnaient de rétraction des extré
ne s'est accompagnée d'aucune douleur appréciable dans le trajet des
muscles
. Les déformations ont été caractérisées par le go
rfois si rapidement produites sous l'influence de la rétraction des
muscles
? Voilà autant de différences fort importantes que
ou à provoquer la supination, on ne peut y parvenir, car aussitôt les
muscles
paraissent agir violemment, et des cordes corresp
sinent sous les téguments. Ces cordes paraissent dues aux tendons des
muscles
long supinateur, grand pronateur ; d'ail-leurs, e
aous disséqué avec soin : 1° le tissu cellulaire sous-cutané ; -° les
muscles
eux-mêmes ; 3° les ligaments péri-articulaires. A
aissie et rétractée; ce qui ne veut pas dire que, pendant la vie, les
muscles
ne jouaient pas un certain rôle dans la difficult
sous-séreux, dans les ligamen ts ar-ticulaires, dans les tendons des
muscles
, dans la névrilemme des nerfs des doigts, dans le
t la vie comme due à une contrac-ture rhumatismale, siégeant dans les
muscles
, mais que l'au-topsie démontre tenir tout simplem
ou à provoquer la supination, on ne peut y parvenir, car aussitôt les
muscles
paraissent agir violemment et des cordes correspo
sinent dans les téguments. Ces cordes paraissent dues aux tendons des
muscles
long supinateur, grand et petit pal-maires, cubit
vons disséqué avec soin : 1° le tissu cellulaire sous-cutané ; 2° les
muscles
eux-mêmes ; 3° les ligaments péri-articulaires. A
issie et ré-tractée, ce qui ne veut pas dire que, pendant la vie, les
muscles
ne jouaient pas un certain rôle dans la difficult
on, mais limitent complètement l'extension et l'abduction : aussi, le
muscle
court abducteur du pouce a-t-il subi complètement
a transformation graisseuse, ce qui con-traste avec l'état des autres
muscles
de la main qui ont conservé, à peu de chose près,
nt rienmoinsque le résultat d'une modification dans le tissu même des
muscles
. Enfin, nous assistons à tous les degrés possib
rétraction spasmodique et parfois douloureuse que subissent certains
muscles
(Guilbert, De la goutte, etc., Paris, 1820, p. i(
ux cas, c'est un même agent, à savoir, la rétraction spas-modique des
muscles
, qui paraît jouer le rôle principal dans la produ
s capsules fibreuses. 8° En règle géné-rale, on ne rencontre dans les
muscles
de, la vie animale aucune trace de concrétions
des tissus fibreux par désassimilation, « comme la créatine dans les
muscles
». (Dictionnaire de médecine, etc., 1865 p. 078.
Fréquence du coup de fouet dans la gouile. — Quoi qu'il en soit, les
muscles
et les tendons paraissent subir assez souvent, da
iagnostic. Chez quelques malades atteints de rhumatisme noueux, les
muscles
des membres immobilisés s'atrophient. La peau est
gnent quelquefois des contrac-tures permanentes, siégeant dans divers
muscles
du tronc ou des membres. 1. En commun avec M. V
ne pas confondre le tremblement sénile avec les spasmes rhythmés des
muscles
du cou, lesquels éclatent dans les mêmes conditio
, au début, à celles du rhumatisme aigu. — Rétraction spasmodique des
muscles
. — Attitudes vicieuses. — Désordres perma-nents.
plus ou moins com-plète des mouvements. — Rétraction spasmodique des
muscles
assez rare.— Rigidité extrême de l'articulation.
ion, 369; — observa-tions, 509. Dégénération graisseuse, 9; — des
muscles
, JO; — du cœur, 11;— des arterioles du cerveau,
s cartilages, 393; —? altérations de la synoviale, des téguments, des
muscles
, 393 ; — non-spécificité des lésions articu-laire
251; — douleur, 252; — caractères 252 ; — rétraction spas-modique des
muscles
, 254. Rhumatisme blennorrhagique, 267, 493. R
taient rendus à l'articulation du genou. Il reste une paralysie des
muscles
de la jambe et une anes-thésie partielle des tégu
astoïdien , les trois doigts suivants sous le bord postérieur du même
muscle
, l'artère étant suivie et comprimée ainsi comme p
ITE grande rapidité et envahit bientôt toutes les parties voisines,
muscles
, os, etc., comme le représente la planche V. Le
obile et il ne pouvait froncer les lèvres (voyez fig. 3) ; les autres
muscles
, moteurs des lèvres, avaient également perdu leur
ement perdu leur action : aussi plus d'abaissement des lèvres par les
muscles
carré et triangulaire des lèvres, plus de rire pa
gomatiques. La fara-disation ne provoquait plus la contraction de ces
muscles
, sa face ne présentait pas de sillons naso-labiau
elle une atrophie à des degrés divers, dans un assez grand nombre de
muscles
du tronc, du bras, surtout de son deltoïde et son
on grand pectoral correspondant (voyez fig. 2), et de quelques autres
muscles
du tronc. Enfin, pour compléter son histoire, nou
rophie musculaire graisseuse qui, dans l'enfance, a atteint les mêmes
muscles
de la face et ne s'est étendue que dans l'adolesc
ze ans) aux membres et au tronc, où elle a détruit un grand nombre de
muscles
. Trois membres de sa famille avaient été atteints
la seconde enfance (en général entre cinq et sept ans), par quelques
muscles
de la face (orbiculaire des lèvres, zygomatiques)
4) ; elle n'envahit que plus tard, en général dans l'adolescence, les
muscles
des membres ou du tronc, en débutant par les memb
s membres inférieurs qu'à une période fort avancée ; elle détruit les
muscles
partiellement et irrégulièrement, abolit isolémen
ution ou la perte de la contractilité électro-musculaire que dans les
muscles
dont la striation est altérée. L'affection de l
e en diminuant et se localisant dans un plus ou moins grand nombre de
muscles
; que la contractilité électrique est affaiblie o
musculaire soit encore intact. Ajoutons qu'elle n'atteint jamais les
muscles
de la face, qu'elle n'est jamais héréditaire et q
elle est rapidement suivie d'une augmentation de volume dans certains
muscles
, comme les jumeaux, les extenseurs du rachis. L'a
légèrement concave ; disposition due sans doute aux attaches que les
muscles
et les aponévroses prennent sur la ligne courbe d
ffuse : on dirait une tuméfaction due à une exagération de volume des
muscles
, chez un sujet vigoureux. L'étendue de la mobil
volume presque double. 70 Dans le creux axillaire sur le trajet du
muscle
biceps, on sent à gauche une petite tumeur de la
n entier et possède tous les mouvements qui lui sont transmis par les
muscles
qui s'insèrent à l'extrémité supérieure de l'humé
les muscles qui s'insèrent à l'extrémité supérieure de l'humérus. Ces
muscles
offrent un volume égal à celui qu'ils doivent pos
frent un volume égal à celui qu'ils doivent posséder normalement; les
muscles
propres du bras, se rendant à l'avant-bras, sont
ité numérale recouverte par un tissu cellulo-fibreux assez dense; les
muscles
du bras lui impriment quelques légers mouvements.
les tissus mous du membre prennent l'aspect d'une masse lardacée, les
muscles
se distinguent mal des parties voisines. Les os m
d depuis la ligne demi-circulaire, qui limite en bas et en dedans les
muscles
de l'éminence thénar, jusqu'à environ un centimèt
, comme on le sait, au-dessus de presque tout l'espace occupé par les
muscles
de l'éminence thénar. Elle n'a pas de coloration
tatâmes alors qu'elle était située entre l'aponévrose palmaire et les
muscles
du pouce, et qu'elle s'étendait dans la direction
tré dans un remarquable mémoire. Ils ont été découverts dans certains
muscles
, le .deltoïde^ le biceps, le grand pectoral, les
ans certains muscles, le .deltoïde^ le biceps, le grand pectoral, les
muscles
de la jambe, comme M. Demarquay l'a montré à la S
e nous le disions plus haut, des portions de membre8 se détacher. Les
muscles
s'atrophient progressivement, à commencer par ceu
signaler à la paume de la main, où il y a commencement d'atrophie des
muscles
de l'éminence thénar. BULLETIN Depuis quelque
ant assise sur son lit, on a noté en premier lieu des convulsions des
muscles
de la moitié droite de la face, une inclinaison d
tre les phénomènes déjà indiqués, on remarque quelques convulsions du
muscle
orbiculaire gauche survenant après l'apparition d
édemment, une occlusion rhythmique des paupières, des convulsions des
muscles
de la joue, de la commissure labiale, tandis que
de partie, ou Manuel de Vamphithéâtre, se trouve contenue l'étude des
muscles
, des articulations, des vaisseaux et des nerfs.
dont il doit faire usage pour trancher les tissus, pour disséquer les
muscles
superficiels et profonds, les vaisseaux et les ne
ités d'anatomie, s'obstine-t-on à décrire les articulations avant les
muscles
, alors qu'on fait justement le contraire dans les
ances musculaires qui les déterminent ? Ce défaut de connaissance des
muscles
ne contribue pas peu à rendre cette étude aride.
uite, il est bien préférable de disséquer les articulations après les
muscles
, le même sujet pouvant servir pour ces deux parti
considérant comme remarquables. De ce nombre sont la physiologie des
muscles
, celle des centres nerveux et celle des organes d
ter-ganglionnaire signalée tout à l'heure, se portent au-devant des
muscles
profonds du cou, ram- ÉTUDE SUR LES VAISSEAUX S
utaires de veines musculaires, veines du pharynx, ou veines des
muscles
pré-vertébraux. . Il en sera ainsi pour les a
eines ncrveuses cub taires des affluents musculaires. - nf , J, I
muscle
jambier postérieur. - V, T, P, vein tibiale pos
eu 26 ANATOMIE. tibiales postérieures, encore accolées à l'un des
muscles
entre lesquels elles glissent. Les troncules ve
e disons plus loin, de l'im- pulsion locale due à la contraction du
muscle
. En réalité, il existe une association intime d
scle. En réalité, il existe une association intime des veines des
muscles
et des veines des nerfs, et, dans la pro- fonde
fonde et ses dcw veines, l'une reçoit la veine névro-musculaire. M,
muscle
. N, nerf. 28 - - - ANATOMIE. et, transversale
interne au niveau du canal de Hunier. ,\'1nerf saphène interne. M,
muscle
vaste interne. A, artère fémorale. Il, réseau d
fs muscu- laires : les connexions de leurs vaisseaux avec ceux du
muscle
lui-même semblaient toutes naturelles, leurs ve
ent toutes naturelles, leurs veinules se jettent dans les veines du
muscle
; ils en . partagent toutes les conditions circu
ur trajet, reçoivent toute la série des veines qui se détachent des
muscles
ambiants. On retrouve donc, là encore, associée
est représenté figure 2 : le sang, qui se précipite, chassé par le
muscle
, entraîne celui qui sort du nerf. Ainsi, tout c
ntes : 1° la cataracte; 2° la paralysie de l'accommodation et des
muscles
extrinsèques; 3° les troubles hémorrhagiques du
teppage véritable, à cause d'un degré assez accentué d'atrophie des
muscles
des jambes avec prédomi- nance sur les extenseu
part nécessairement à leur production, mais il va sans dire que les
muscles
d'expiration et d'inspiration entrent également
omittants de la tète et du tronc en arrière démontrent que certains
muscles
autres que ceux du larynx et de la respiration
dans les névroses convulsives les plùs diverses, pour peu que les
muscles
du thorax et de l'abdomen soient TOUX ET BRUITS
lit le membre inférieur droit, il se produit une légère raideur des
muscles
postérieurs de la cuisse, raideur qui disparait
gions fessières. Dans ces conditions, les secousses convulsives des
muscles
s'arrêtent, la station et la locomotion s'effec
rt pouvait être rapporté à la région plan- taire ou aux tendons des
muscles
. Or les piqûres, les pince- ments, les pression
ar une électrisation intense 92 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. des
muscles
qui s'y relient, on ne constate toujours que des
téralement creusée à droite; le tissu cellulaire sous-cutané et tes
muscles
ont complètement disparu à ce niveau et le fond
fléchisseur du pouce reste réfractaire à toute excitation; tous les
muscles
innervés par le médian, se con- tractent except
de la motilité, les troubles de la sensibilité, les paralysies des
muscles
de l'oeil, la démence sarcas- tique avec propos
ués sur l'éminence thénar et hypothénar. Intégrité des nerfs et des
muscles
. C'est à l'altération des faisceaux pyra- midau
extrémités et de la langue ou des organes d'articulation ataxie des
muscles
de la physio- nomie champ limité des mouvements
rigidité musculaire indiquant un premier degré d'altération dans le
muscle
, il est légitime de rapporter les accidents par
d'altérations de la moelle ? Enfin, souvent on néglige l'examen des
muscles
dans la forme spinale et cependant, on y trouve
ce la question si difficile de para- lysies et des contractures des
muscles
des yeux dans l'hystérie. L'ouvrage se termine
es, entrecoupé de secousses fibrillaires qui s'étendent parfois aux
muscles
des joues et même des parties supérieures du vi
iation tabetico-diabétique. Pour ce qui concerne les paralysies des
muscles
des yeux d'origine- diabétique, Althaus dit : «
ossède pas d'observations très con- cluantes sur les paralysies des
muscles
oculaires, quoique Kiwatkowski en ait rapporté
e Kiwatkowski en ait rapporté un cas ; on a relaté une paralysie du
muscle
droit externe dans des conditions analogues'. »
mais nullement entravés. L'excitabilité électrique des nerfs et des
muscles
est normale. Les réflexes plantaire et scapulai
électrique révèle une simple diminution de l'excitabilité dans les
muscles
de la main; aucune modification qualitative. Il
microscope. '' . M. J. HOFRMANN (d'Heidelberg). Etat anatomique des
muscles
dans un cas d'hypertrophie congénitale. - Il y
oïde présentent aussi des vacuoles. La multiplication des noyaux du
muscle
gigantesque n'est qu'apparente, car, si l'on co
ons correspondantes, on voit qu'il n'y a pas plus de noyaux dans le
muscle
normal que dans le muscle géant; le même résult
it qu'il n'y a pas plus de noyaux dans le muscle normal que dans le
muscle
géant; le même résultat émane de la comparaison
ue tient à une modification chimique de la substance contractile du
muscle
, elle-même provoquée, dans l'espèce, par des an
e cuir chevelu commence plus en arrière qu'à la tempe droite. Les
muscles
masticateurs et mimiques du côté atteint fonc-
s, tantôt toniques, s'étaient parfois mani- festés, d'abord dans le
muscle
masséter droit, puis dans celui de gauche. Il y
centre nerveux une influence trophique simultanée sur le tissu, les
muscles
et les os d'une certaine partie du corps.- MM.
seurs des doigts et de la main des deux côtés, on observait que les
muscles
du ténar et de l'bypo- ténar, ainsi que le bice
galvanique et faradique n'était que diminuée. Tous les réflexes des
muscles
atrophiés et sains des extrémités supérieures,
tendon d'Achille est normal. Dans le second cas, presque tous les
muscles
de l'extrémité supé- rieure droite étaient paré
étiques et atrophiés. A gauche, la paralysie est moins marquée; les
muscles
de la main sont intacts. Contrac- tilité faradi
ers normaux, réflexes tendi- neux abolis, atroph'e et faiblesse des
muscles
du tronc, et de préférence des parties centrale
parties périphériques et le diaphragme. Contractilité faradique des
muscles
, directe, surtout aflaiblie. NFC=FFC. C. ' A
a la main paralysée, où devrait être son 1 insensibilité ? Sur les
muscles
qui ne fonctionnent pas, c'est- à-dire sur l'av
a paroi abdominale du côté gauche pour provoquer la contraction des
muscles
sous-jacents. C'est le réflexe abdominal de Ros
e dont la durée est considérable : une minute et demie environ. Les
muscles
du facial supérieur, les muscles des ailes du n
: une minute et demie environ. Les muscles du facial supérieur, les
muscles
des ailes du nez s'agitent les premiers, les pa
ment de faiblesse dans les jambes, puis d'atrophie avec parésie des
muscles
de la cuisse et du bassin, et, finalement, des
parésie des muscles de la cuisse et du bassin, et, finalement, des
muscles
du tronc. Symp- tômes symétriques. L'affection
du même côté d'ailleurs simplementparé- siée ; atrophie extrême des
muscles
de l'épaule, moindre des éminences thénar et hy
qui ne présente du reste point le type Duchenne-Aran ; atrophie des
muscles
du tronc (pectoraux, sous et sus-épineux) ; atr
s, elle n'estsûrementpas proportionnelle au degré de l'atrophie des
muscles
; hyperalgésie, intégrité de la sensibilité tact
ération des réflexes tendineux contras- tant avec la flaccidité des
muscles
paralysés. Rien de bien mar- quant du côté de l
e, ce qui prouve l'ascension de la crampe musculaire. Intégrité des
muscles
pharyngo-oesophagiens supérieurs (sous la dépen
subir certaines modifications moléculaires locales et envoyer aux
muscles
des courants efférents, capables de produire des
courants nerveux soient ren- forcés à mesure qu'ils aboutissent aux
muscles
qui produisent les mouvements visibles. Ce renf
. Si le groupe ainsi formé décharge des courants efférents vers les
muscles
, l'acte psychique se traduit par un mouvement.
ut aussi donner lieu à des courants qui ne vont pas directement aux
muscles
, mais bien à d'autres cellules parmi lesquelles i
ce que, du dernier groupe, partent des courants qui aboutissent aux
muscles
et provoquent des mouvements visibles. (81). Th
n stimulus, des courants efférents à certains centres ou à certains
muscles
. 412 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLO
oids. Joignons à cet ensemble de l'hémiatrophie de la langue et des
muscles
de la face correspondants aux extré- mités affe
pas aux excitations pathologiques de la sensibilité centripète des
muscles
du langage, sur les halluci- nations centrifuge
une diminution concentrique du champ visuel un affaiblissement des
muscles
et des globes oculaires (rigidité, fixité du re
de l'ori- gine du laryngisme pareil à la suite d'une paralysie des
muscles
postérieurs; il explique pourtant les phénomène
viennent d'être mentionnés plutôt par un spasme réflexe de tous les
muscles
du larynx, spasme, qui pourrait être occasionné p
i- . semblablement pas du spasme, mais plutôt d'une paralysie des
muscles
postérieurs. l1L- le Dr DAIICHENITCH. Sur les a
semaines, depuis le com- mencement de la maladie, envahit lous les
muscles
de l'extrémité atteinte ; son évolution n'a auc
énuer dans la mesure du possible la défec- tuosité en question. Les
muscles
les plus importants seront éduqués avant les mu
question. Les muscles les plus importants seront éduqués avant les
muscles
secondaires ; une attention toute spéciale sera
pédagogique. Mais, que l'on consi- dère l'action particulière d'un
muscle
isolé, ou un groupe de muscles, ou un système m
si- dère l'action particulière d'un muscle isolé, ou un groupe de
muscles
, ou un système musculaire comme celui de la pho
l'état fonctionnel et la résistance des centres cérébraux et des
muscles
, si intimement liés au fonctionnement des centr
embre hémiplégie; étant donné d'autre part le degré d'impotence des
muscles
qui l'entouraient, chercher dans quelles propor
s muscles qui l'entouraient, chercher dans quelles proportions le
muscle
est l'agent du trouble trophique. Autre- ment d
(1) a démontré que la formation du pilastre étaitliée al'action du
muscle
crural. C'est pour les besoins de ses fibres qu
oirlamodifier, que le fémur humain prend la forme prismatique. Le
muscle
agissant sur la face externe de l'os la transform
V complètement teinté sur II). Cette disposition signifie'que les
muscles
n'ont pas utilisé toute la surface disponible c
dre développement musculaire et l'activité du membre sain pourvu de
muscles
à grande extension. Sur les Planches V et VI la
te sur l'os malade atteint de troubles trophiques ou encore que les
muscles
n'ont rien à voir dans la production de ces for
es osseuses humaines ou animales que l'os s'adapte aux fonctions du
muscle
. Autre- ment dit : si celui-ci tout en se dével
ire, la surface d'insertion n'est plus en rapport avec le volume du
muscle
accru par l'exercice, la forme osseuse se modif
llongera et le pilastre sera ainsi constitué; mais en même temps le
muscle
repoussera les deux lèvres vers la partie posté
diaire. Toute la morphologie, à ce niveau dépend donc du volume des
muscles
relative- ment àla surface osseuse. Il est évid
le plan est incliné sur un fé- mur normal en raison de l'action du
muscle
crural qui agran- dit la surface d'insertion en
lusieurs reprises les modifications de cet os sous l'influence du
muscle
et de son activité. Chez un enfant, en dehors de
reporte il la Planche II où sont représentés des fémurs pourvus de
muscles
peu différents les uns des autres, l'existence
c'est que même un os malade s'adapte entièrement à la fonction du
muscle
. Tout ce qui précède le prouve et les remarques
es groupes musculaires sont inégalement frappés et que même dans un
muscle
un faisceau isolé peut conserver son activité a
ition de l'activité et de l'inactivité des deux faisceaux d'un même
muscle
. Sur un fémur normal ilexiste souvent, à la par
t ce qui précède, nous devons constater l'importance de l,y,oit clu
muscle
dans la détermination de l'atrophie osseuse. On
sphère fémorale n'y est plus ? P Mais il faut préciser le rôle du
muscle
, car le mot atrophie est impropre : l'os du mem
. 65 ments pour exagérer le poids brut de la masse supportée. Les
muscles
sont nécessaires à la marche : pendant longtemps
ri curetai enta ssi mi) ab tes a une oscillation pen- dulaire, les
muscles
n'y prenant qu'une part insignifiante. M. le pr
au point la physiologie des mouvements et démontré le rôle actif de
muscles
durant l'oscillation du membre inférieur. Sans
us avons noirci les parties inoccupées de l'os et l'on voit que les
muscles
étaient, en effet, moins développés sur l'os ma
la direction axiale. On cite des cas où l'impotence de cer- tains
muscles
(muscles de la patte d'oie en particulier) avai
ction axiale. On cite des cas où l'impotence de cer- tains muscles (
muscles
de la patte d'oie en particulier) avait amené u
ncé par les ligaments latéraux de l'articula- tion et aussi par les
muscles
de la région interne de la (1) Mode de croissan
rieur pendant la durée de la croissance en insistant sur le rôle du
muscle
; (1) On peut trouver des détails plus complets
t mi- nime (nouveau-né 133°, - adulte 172°). Sous l'influence des
muscles
les modifications suivantes sont survenues. F
externe de la dépression antérieure donnant insertion au tendon du
muscle
grand pectoral, l'activité de ce muscle va prod
nt insertion au tendon du muscle grand pectoral, l'activité de ce
muscle
va produire d'une part l'apparition de rugo- si
vigoureux. D'autre part, étant donné le sens suivant lequel agit le
muscle
gr. pectoral, et son influence sur l'activité d
à ce niveau. Leur dévclop- pement est en rapport avec l'activité du
muscle
: cela ne souffre aucune contradiction. En seco
atoztie ouplatybra- chie il). Elle est mise sous la dépendance du
muscle
brachial antérieur, qui s'insère sur l'os par d
vons signalé pour la saillie pilastrique. Au tiers- inférieur, le
muscle
est encore l'agent des transformations. L'os je
nommée p/è¡'e susepiconcllierzne (2) sert il donner inscrtion à un
muscle
(1) ltudiée lar LcLman-\ietsclic, Anoutc : : i
t hien que ce soit sur le versant externe et non sur l'autre que le
muscle
ait amené cette forme. Du côté interne nous avo
le muscle ait amené cette forme. Du côté interne nous avons vu le
muscle
produire de la platvoruic h la partie moyenne'de
s de ce V occupent une partie importante de la face externe et le
muscle
ne pouvant prendre son extension a ce niveau, le
lles sont en résumé les transformations de l'os et leurs causes. Le
muscle
en est l'agent exclusif aussi son affaiblisseme
modifications uniquement impu- tables au moindre développement des
muscles
et à une diminution de lmen actirife. Suivant l
accentuation, tout cela est lié à l'activité musculaire de certains
muscles
et nos os malades présentent continuellement ce
térales. Vers les 4e ou 5° côtes, en avant, le thorax fait saillie.
Muscles
peu saillants. Rien d'anormal à la percussion,
ourcilières légèrement saillantes. Iris bleus; pas de paralysie des
muscles
de l'oeil; accommodation normale. La racine du
mbre supérieur gauche ne présente pas d'attitude vicieuse, mais les
muscles
n'ont pas leur souplesse normale. Les mouvement
tte. depreSSIOI1. 11'" l ? \)" . Quant au rôle du diaphragme,et des
muscles
abdominaux ? il. j lV]et ét.qJ)U ,pa,l : lgfo,u
il. j lV]et ét.qJ)U ,pa,l : lgfo,ur ? 1s. qI,lj, 1 p)lralysant r ces ,
muscles
pâi'çl`â sectiiil,lcs dcuxnorssjdiaphragmatique
re, lit pOllr(' la, pre III if' re fois, .examiné la moelle, et les
muscles
. ,1 ? pe,, `"i ? 91[0.11(1'\ ? 1 QI 100 REVUE D
1 ."f..."r\11l\."l),, )' f.,qf ! ltrÜ\tl I.Wfl.H ? ll¡ z mune ; ses
muscles
ont recouvre vo ume et puissance.. Rien, chez l
a f'déIi'Íentï(]J(IrÜel : ioil1 1 A l'autopste du premier suiet; ]e
muscles
offrent à J'oeil IlU ]'hlfr "¡¡if ,'J t,Il ? ?
"t t<1 "'fiJ'lTft,.lh U'Hl11 2,()lu .J ? e" ! lbullJd mettre aux
muscles
1 incitation. volontaire. , ? ,... ? IIW fn in
e.tÆ\d.ts : 9{l,jlléli1;'\7 gite chronique d'emblée, si celles des
muscles
qui en relèvent sont bien. connues,, on n a p,a
am T d'origii1'è' bulbaires' et' médullaires des nerfs destinés aux
muscles
de la rotation. nl,) ! Adamùck, en excitant le
ée ? les - ? i'"31" ? ». c» ? i , -, a" .JIIIIT ... v, y r ru f /
muscles
du cou ni paralyses, ni contractures. Cette rotat
le dans les'affections de la protubé- rance. L'état fonctionnel des
muscles
dont elle relève n'a au- cun rapport avec celui
ents ri 1,8 .REV,UE;DE PATHOLOGIE NERVEUSE. .convulsifs,.dans les
muscles
innervés par ce, nerf (pertes.de cO,ni1ais- l5a
mps ,que la déglutition de- ? vient. pénible; : de 'la paralysie des-
muscles
de la : nuque ? Miç- a'tion pénible; troubles p
pilH, MJP;ro9-uireJ l'effort ^physiologique .v» Les f-iierssit et .
muscles
, desi- extrémités infé- 81rieures ne répondent,
tate;au coúrant<'gal vanique1lal réactioÍ111'dégénérative.d Les ^
muscles
''fléchisseurs 'des 'bras' sont ébâlêmënt41nexcit
? n1}" v.erJébI.e) 'I1 jointe/) aux. effets, de- la kathode sur les
muscles
et, nerfs des membres inférieurs; détermine en
des, cordons postérieurs, à lairégion; dorsale f supérieure ;Mesa
muscles
infiltrés,de granulations c,,raisseuses 1 et4 dei
lité'neuro-musculairo* existe toujours à desl degrésfdivers ' : les
muscles
se contractent sous^ l'influence d'une irritation
ce d'une irritation1 méca- nique, portant soit directement' sur les
muscles
eux-mêmes; soit sur le nerf qui' les' anime;' s
nente; d'une contracture qui ne se résout que par l'excitation' des
muscles
antagonistes. Les téguments sont insensibles il
que dans l'état précédent. Mais, si, par l'excitation mécanique des
muscles
ou des nerfs, on ne peut pas provoquer de contr
id, 'Cha'rcot' et''Richer 1).1' Inversement, si ou1' éléctrise'cles
muscles
de la face et 'que'* l'on 'donne Jdrtificiellémen
le voisinage des centres moteurs du membre supé- rieur droit et des
muscles
qui concourent à la fonction du langage articul
-érie d'observations personnelles les phénomènes r de paralysie des
muscles
de,l'oeil qui se montrent dans la méningite. Il
énorme. Dans leur fond noirâtre et pu- trilagineux on aperçoit les
muscles
dénudés et des lambeaux flottants de tissu fibr
laie au fond de laquelle apparaît l'articulation coxo-fémorale; les
muscles
sont détruits et le grand trochanter est à nu.
centimètres de diamètre, ayant mis à nu le sacrum et disséqué les
muscles
fessiers, à fond irrégulier et sanieux. 2° Une
nt des mouvements à la tête et au cou. Il y a un peu de raideur des
muscles
extenseurs du rachis. Le malade, depuis hier ma
ndis que le pied s'étend sur la jambe. A la face, trémulation des
muscles
du côté droit, plus marquée sur les muscles qui
a face, trémulation des muscles du côté droit, plus marquée sur les
muscles
qui attirent à droite la commissure labiale; la d
ives, t. VI. 17 258 REVUE CRITIQUE. phragme, et la dépression des
muscles
abdominaux. « Ces muscles, ajoute-t-il, peuvent
E CRITIQUE. phragme, et la dépression des muscles abdominaux. « Ces
muscles
, ajoute-t-il, peuvent, du reste, se contracter
. Le douzième jour, diminution considérable do l'excitabi- lité des
muscles
de la main à l'égard des deux sortes de courants.
ernicke). Immédiate- ment après les attaques d'épilepsie grave, les
muscles
sont flasques, , et le phénomène du genou n'exi
s de pliénomenes d'excitation,"et'coïncidant.avec une atrophie' des
muscles
; ^- 2 ? une affection dU'coeÚ¡" cO'IÍstilùéè 'o
les branches'qué dans les gro'sP troncs ? 1 il'a vu aussi que' les1
muscles
'atrophiés^ étaient1 infiltrés ' d'élé'l1eÍ1Ls :
aîriinëilt là"séri's;b', toute spéciale des. i troncs nerveuxet'dos
muscles
"à Impression1 ? * ? dll,J i'^VH1-' troncs ne1'v
muscles"à Impression1 ? * ? dll,J i'^VH1-' troncs ne1'vOLIx'etldO.s
muscles
'il là pressIOn. ' , Aitciuvrs, l. VI. HJ 290
ment développée ; le tissu sous-cutané contient peu de graisse; les
muscles
offrent de même peu de développement. Le symptô
uvements est produite principalement par la rigi- dité continue des
muscles
; le malade le sent bien lui-même et se plaint d
us souvent la droite, sont prises de mouvements convulsifs dans les
muscles
adducteurs de la cuisse, ce qui produit un croi
spinale) qu'on peut arrêter par la flexion forcée des orteils. Les
muscles
des extrémités inférieures sont peu déve- loppé
uelquefois de trépidation. On remarque aussi de la raideur dans les
muscles
du dos; ceux qui sont placés le long de la colo
s mouvements des doigts et des mains sont gênés par la rigidité des
muscles
, qui, quoique peu développés , ne présentent au
à la liberté des mouvements est, comme autrefois, la rigidité des
muscles
, rigidité qui il chaque effort augmente encore, s
es, rigidité qui il chaque effort augmente encore, surtout dans les
muscles
extenseurs des jambes; souvent ces dernières so
sent dans les articulations du genou et du pied la résistance des
muscles
. Les réflexes tendineux sont très exagérés : un
ée de tremblement ; un choc sur d'autres tendons, ainsi que sur les
muscles
et le tibia, détermine aussi des contractions m
ds n'en provoque que de légers. Comme tout le reste du corps, les
muscles
des extrémités inférieures sont considérablemen
se le dynamomètre jusqu'à 72°, la droite n'at- teint que 650. Les
muscles
des membres supérieurs, surtout ceux des mains,
rencontrerons ici une atrophie musculaire; la contractilité de ces
muscles
est quelque peu affaiblie, tandis que, dans les
ces muscles est quelque peu affaiblie, tandis que, dans les autres
muscles
du corps, elle est intacte ; les réflexes cutan
on no sont pas exagérés, tandis qu'un coup sur les tendons et les
muscles
provoque de brusques et amples mouvements. CAS
ans le dérange- ment du système nerveux; seul, l'amaigrissement des
muscles
, comme celui de tout le corps du reste, faisait
es mouvements réflexes provoqués par un choc sur les tendons ou les
muscles
, devenaient de plus en plus exagérés : on pouva
r les extrémités, mais aussi sur le tronc, particulièrement sur les
muscles
de l'épaule et du cou (sur la face, ces réflexe
ités ne présentaient également aucune modification. La majorité des
muscles
du tronc et des extrémités avaient un aspect no
de l'émaciation do tout le corps, ils fussent maigres et secs : les
muscles
des mains, au contraire, et surtout ceux des ém
notre sujet quelques modifications, peu graves du reste de certains
muscles
, des nerfs périphériques et de la subs- tance g
ériques et de la subs- tance grise de la moelle épinière. Quant aux
muscles
, on voyait déjà du vivant de M... que ceux des
par dissociation ou par coupes transversales, a démontré que les
muscles
les plus atrophiés étaient les interosseux des de
eux des deux mains, et ceux des éminences hypothénar et thénar; les
muscles
de la surface externe de l'avant-bras étaient a
avant-bras étaient aussi atteints, mais très faiblement. Les autres
muscles
des extrémités supérieures et inférieures ne pr
ures et inférieures ne présentaient aucune modification. Dans les
muscles
atrophiés, on rencontrait parmi des fibres tout à
s trace de substance contractile. Partout d'ailleurs, même dans les
muscles
les plus atteints, le nombre des fibres normale
racines antérieures, des nerfs périphériques, ainsi que celles des
muscles
, étaient beaucoup moins prononcées que celles d
e second séjour de Mennschof il la Clinique, lorsque l'atrophie des
muscles
de la main se déclara, nous démontrâmes à MM. l
avant, étend le cou, contracte simultanément son diaphragme et ses
muscles
abdominaux, il ajoute une légère inspiration, et
l'extension du cou, la contraction simultanée du diaphragme et des
muscles
abdominaux, une légère inspira- tion, une sorte
important est incontestablement la contraction du diaphragme et des
muscles
abdominaux; aussi est-ce celui qui a le plus fi
ains médecins, Percy et Laurent, ont nié absolument l'action de ces
muscles
dans la production du mérycisme; et voici, d'ap
ser le diaphragme ; en même temps il y a une légère contraction des
muscles
de l'abdomen. L'estomac, qui se trouve alors co
té buccale. Tout en admettant la participation du diaphragme et des
muscles
de l'abdomen, l'auteur ajoute que leur action e
dont elle ne diffère, somme toute, que par l'action attribuée aux
muscles
abdominaux et diaphragmes. Pour nous, voici, d'
avons jamais vu le thorax se dilater, les intestins s'abaisser, les
muscles
inspirateurs se contracter. Nous pensons, au co
ou trois mouvements des mâchoires. D'un autre côté, les efforts des
muscles
abdominaux, déjà faibles au début, sont encore
poque bien plus avancée de la maladie, de convulsions cloniques des
muscles
de la face. L'au- topsie ne rend pas compte de
le chloral en petites quantités prolongées agit sur l'encéphale, le
muscle
cardiaque, les centres neuro-vasculaires, l'app
amen microscopique lèvera les doutes à ce sujet. Les paralysies des
muscles
moteurs des yeux semblent confirmer cette localis
de la peau et des tendons normaux. L'examen électrique des nerfs des
muscles
de la moitié droite du visage démontre que nous n
bilité faradique et galvanique des nerfs est diminuée, mais celle des
muscles
pour le courant galvanique est augmentée et la fo
essant à noter que, quoique après un traitement de cinq semaines, les
muscles
de la face n'obéissent point encore à la volont
pnologie: 1° Les douleurs dépendaient de causes matérielles; 2* Les
muscles
paralysés qui, à l'état de veille, ne pouvaient ê
eviennent pas après celle-ci? Expliquer cela par l'excitabilité des
muscles
et des nerfs augmentée dans l'état hypnotique, en
ne serait pas capable de provoquer d'excitation dans les nerfs et les
muscles
ne fonctionnant pas depuis longtemps, mais le ser
notisme, septembre 1890, page 67) ont démontré que dans l'hypnose les
muscles
et les nerfs ne manifestent aucune excitabilité a
de la moelle épinière. Les mouvements plus ou moins compliqués de nos
muscles
sont d'autant plus facilement exécutés qu'ils le
'est que dans ces cas que nous réussissons à séparer pratiquement les
muscles
qui restent en repos, de ceux qui doivent être mi
n repos, de ceux qui doivent être mis en activité. Quand un groupe de
muscles
n'a pas fonctionné depuis longtemps, non seulemen
upe de muscles n'a pas fonctionné depuis longtemps, non seulement les
muscles
qui le composent s'atrophient, mais aussi les par
lles se trouvent les cellules médullaires motrices régissant les dits
muscles
; et, par suite, les mouvements qui en dépendent s
des deux extrémités inférieures, une atrophie insignifiante de leurs
muscles
et une légère difficulté de marcher dans les deux
n'amènent pas l'état somnambutique. » P. 238 : « Nous malaxons les
muscles
fléchisseurs de lavant-bras et les mas-séters mai
en malaxant l'orteil, M. Mi«oin aurait pu sans diftirulté exciter les
muscles
de l'avant-bras et le* raaseter*. Dans toute la
même conclusion. Il a remarqué que les gens qui gouvernent bien leurs
muscles
et qui ne manifestent pas leur impatience, leurs
nerfs sciatiques, provoque de fortes contractions tétaniques dans les
muscles
de la patte correspondantes. Si maintenant on app
e l'excitation du nerf sciatique provoque un tétanos général dans les
muscles
de la patte correspondante. Si l'on lie fortement
e la patte, tandis que l'excitation du nerf, entre la ligature et les
muscles
de la patte, provoque une contraction nette des m
gature et les muscles de la patte, provoque une contraction nette des
muscles
. Il est évident que l'excitation nerveuse n'est p
nt l'excitation par un courant interrompu provoque la contraction des
muscles
de la patte, et que, l'ayant coupé vivement, l'on
ctivement, dans l'activité de différents organes de notre corps : des
muscles
, des glandes, des vaisseaux, etc., qui sont gouve
orps, cette excitation nerveuse provoque, dans un cas, l'activité des
muscles
, dans un autre celle des glandes, dans un troisiè
ion volontaire suffit pour mettre en jeu les nerfs qui gouvernent les
muscles
des bulbes pileux de la peau et qui, par leur con
oblème d'arithmétique, a pour cause la contraction provoquée dans les
muscles
des parois des vaisseaux sanguins par la transmis
i passent par le champ de vision de notre conscience, se trouvent les
muscles
de notre squelette; mais les mouvements que nous
tère excitant ou déprimant, et qui se traduisent par le jeu varié des
muscles
de la face et de tout le corps. Dans cette catégo
re de l'humeur et des émotions dominantes. Chacun sait que ce jeu des
muscles
est tout à fait involontaire, et s'effectue sous
réalisation d'une certaine idée, la volonté perd son contrôle sur les
muscles
, à cause de la concentration de l'attention sur l
ôt six mois! » Moi, froidement: « Certainement; je vois chez vous des
muscles
en parfait état de santé. — Eh bien ! je vais vou
et les contractures produites par la simple excitation mécanique des
muscles
et des nerfs qui lui réagissent, comme s'ils étai
ois anatomo-physiologiques, dès qu'on excite mécaniquement chacun des
muscles
ou des nerfs correspondants. Il n'y a pas de sugg
exécutés, lorsqu'on excite mécaniquement et pour la première fois les
muscles
abducteurs du fémur, le muscle tibial extérieur,
iquement et pour la première fois les muscles abducteurs du fémur, le
muscle
tibial extérieur, le supinateur long, le triceps
ns et les contractures, on procède à une excitation mécanique sur les
muscles
, sur les tendons et sur les nerfs, provoquant ain
r les tendons et sur les nerfs, provoquant ainsi les contractions des
muscle
» ou des faisceaux musculaires, aussi bien que les
iologiques. Et si l'excitation mécanique que l'on fait agir sur les
muscles
et sur les nerfs est faible et fugace, la contrac
gmente encore, elle se manifeste et s'étend sur d'autres faisceaux de
muscles
, produisant une contracture toujours plus étendue
n, a obtenu, comme effet réflexe, une faible contracture générait des
muscles
dans laquelle, selon Ch. Michel et la plupart des
tte période, Y/iyperexcitabUilé culano~musculaire (la contracture des
muscles
lorsqu'on excite légèrement la peau qui les couvr
ation cutanée locale ne fait qu'élever à un plus lu.ut degré dans les
muscles
correspondants la contracture, qui était déjà gén
nt aussi remarqué chez une hystérique, pendant la veille, un état des
muscles
analogue a celui de l'hypnose, soit un état inter
é, pendant la veille, Vhyperexcitabilité mécanique des nerfs et des
muscles
. Chez une autre, au contraire, G......la contract
uise, la contracurc paradoxe et les contractures provocables dans les
muscles
mêmes du visage (4). Une autre hystérique, Maldin
es contractions et les contractures par excitation mécanique, sur les
muscles
, sur les tendons et sur les (I) Bauwni rt Riche
simples, tels que la pression sur les troncs nerveux, le massage des
muscles
, l'application du diapason, qui vibre sous la pea
s toutes ses formes variées, c'est-à-dire la faculté des nerfs cl des
muscles
de réagir sous l'in- (I) G. Gnsox. Les Agents p
on d'urine complète; élancements sous la plante des pieds et dans les
muscles
des jambes et des cuisses, se compliquant de cont
aujourd'hui que rien n'est plus commun que de voir les paralysies des
muscles
moteurs de l'oeil, chei les diabétiques, disparaî
t, pendant longtemps, on a attribué cette gaérison des paralysies des
muscles
moteurs à l'application de divers traitements et
e malade affectée de pied bot valgus hystérique, avec contracture des
muscles
de la jambe, de la cuisse et des muscles pelvi-tr
érique, avec contracture des muscles de la jambe, de la cuisse et des
muscles
pelvi-trochantaires, tout le membre inférieur éta
stion verbale produisait facilement l'hypnose et la déconlracture des
muscles
du pied, de la jambe et de la hanche. L'examen
uro-musculaire. Lorsqu'on excite mécaniquement à travers la peau, les
muscles
, les tendons ou les nerfs moteurs des sujets, on
moteurs des sujets, on voit se produire des contractures intenses des
muscles
excitée. Ces contractures seraient remarquable* p
ui les ont produites, ou bien d'excitations analogues parlant sur les
muscles
antagoniste-*. Au lieu de recourir aux excitati
une plasticité musculaire très caractéristique, grâce à laquelle les
muscles
peuvent conserver, sans fatigue appréciable, les
ait que la plus légère excitation de la peau amène la contracture des
muscles
sous-jaceuts. On aurait dans la période de somnam
a pression du vertes ne venaient modifier cet état. La malaxation des
muscles
, des tendons, l'excitation du nerf cubital n'amen
ielle; les membres soulevés retombaient lourdement et la friction des
muscles
de lavant-bras amenait l'apparition de contractur
e contractures très résistantes, cédant seulement à la malaxation des
muscles
antagonistes. La même byperexcitabilité neuro-mus
a même byperexcitabilité neuro-musculaire se retrouvait dans tous les
muscles
des membres supérieurs et inférieurs. Ia simple
ôté droit. Elle a également de rhémiparésic de tout le même côté. Les
muscles
de la langue participent à celte hémiparésie. La
et qu'un bruit quelconque amènerait successivement la contracture des
muscles
des bras el des jambes, nous avons vu la contract
ous l'influence de ce bruit que par la malaxa-tion ou la friction des
muscles
. En résumé, de nos expériences se dégage pour nou
n dira que ces mouvements spiritiques n'ont pas pour intermédiaire le
muscle
, qui est le moyen le plus commun de transmission
es globes oculaires, puis nous malaxons fortement avec les doigts les
muscles
extenseurs de l'avant-bas. Notre but, en agissant
ction sur le môme point, c'est-à-dire en continuant la malaxation des
muscles
extenseurs de l'avant-bras gauche, nous amenons l
on des extenseurs, et on voit apparaître chez elle la contracture des
muscles
excités. En continuant l'excitation sur les mêmes
racture des muscles excités. En continuant l'excitation sur les mêmes
muscles
, la contracture se généralise comme chez le sujet
sculaire qui n'avaient pas été provoqués par l'excitation directe des
muscles
tant que le sujet ignorait le but de l'excitation
' On a soutenu à propos du sens musculaire que la contraction du
muscle
et la force dépensée pour déterminer cette contra
-disant sensations mus- culaires. Il y a des états pathologiques du
muscle
, atrophie, etc., mais, dans ces états, bien qu'
la rigidité, il n'existe jamais de sensation de poids rapportée au
muscle
. La seule sensation éprouvée est une sensation
ur ou d'endolorissement ; la sensation de poids est absente. Si les
muscles
sont malades les sensations sont de la nature des
'il y a un petit ulcère sous-cutané, douloureux, on peut trouver le
muscle
rigide ; mais ce n'est pas la sensation de poid
e de cette rigi- dité, il n'y a qu'une sensation qui appartienne au
muscle
, c'est celle de tension. Comment se fait-il que
lu'il existe de sen- sations subjectives rapportées spécialement au
muscle
. Et pourtant les fausses sensations du toucher,
: 1° les sensations de poids ne sont pas rapportées spécialement au
muscle
; 2° les muscles malades, enflammés, etc., ne f
ons de poids ne sont pas rapportées spécialement au muscle ; 2° les
muscles
malades, enflammés, etc., ne fournissent jamais
issent jamais d'exemples de sens musculaire proprement dit ; 3° des
muscles
mis en état de tension par un choc électrique,
on ou de fatigue ; 4° les hallucinations des aliénés rapportées aux
muscles
ne fournissent pas d'exemple de ce que l'on enten
de la lésion ; ils ne tardèrent pas à disparaître. Les troubles des
muscles
des yeux furent trop mobiles et, ultérieurement
les pour qu'on pût les rattacher au foyer. La faiblesse marquée des
muscles
du tronc et de la nuque des premières semaines
ères semaines disparut égale- ment, ce qui prouve que le centre des
muscles
du tronc est plus près du foyer que celui des m
le centre des muscles du tronc est plus près du foyer que celui des
muscles
des extrémités. En réalités 2z'y a pas eu de sy
latéral chez-le deuxième. Cet élargissement dépend de la saillie du
muscle
trapèze, saillie qui parait tenir elle-même à l
à la prédominance d'action du faisceau supérieur (claviculaire) du
muscle
par suite de l'atrophie des fais- ceaux inférie
d'hémiopie. L'oeil droit montre déjà une légère parésie de tous les
muscles
innervés par la troisième paire droite. .L'ét
ués qu'à l'état normal. Il n'a pas de tremble- ment fibrillaire des
muscles
. Examen des yeux. Nystagmus horizontal (qui a t
s affections cérébrales accompagnées de troubles de la motilité des
muscles
de l'oeil, la lésion siégeait plusieurs fois au
de la périphérie et d'où part l'excitation nerveuse qui se rend au
muscle
. » (Abadie L. C. p. 223-224). Plus récemment M.
on a placé la cause dans les centres nerveux, les conducteurs, les
muscles
. a. « Les centres nerveux pourraient provoquer
rations des fibres musculaires, soit par des troubles nutritifs des
muscles
résultant de lésions vasculaires et de modifica
isir désiré leur donne le coup de fouet de l'émotion pour que leurs
muscle
; deviennent d'acier et accomplissent des choses
ation de sa partie inférieure. Plus un point du nerf est éloigné du
muscle
et plus vite disparait son excitabilité. L'ordr
ment des fonctions : c'est la partie inférieure du nerf, voisine du
muscle
, qui récupère la premièae son excitabilité. L
n point donné se transmet à la fois aux deux hémisphères et que les
muscles
mis en activité par l'hémisphère situé du même
e situé du même côté que la région excitée sur les antagonistes des
muscles
mis en activité par l'hémisphère du côté corres
ychiques, il augmente au contraire par l'ischémie expérimentale des
muscles
de l'avant-bras et diminue par l'électrisation
tale des muscles de l'avant-bras et diminue par l'électrisation des
muscles
radiaux. Se fondant sur ces différents caractèr
on fléchit vivement le pied avec la main, il arrive parfois que le
muscle
tibial antérieur entrant brusquement en contrac-
ou paradoxo-normal, parce qu'il y a à la fois mise en jeu de deux
muscles
antagonistes : le tibial antérieur et les fléchis
présentait des douleurs le long du membre in- férieur droit et les
muscles
de la masse sacro-lombaire du même côté étaient
suivies d'une paralysie radiculaii e du type Erb, avec atrophie des
muscles
de la ceinture scapulaire. Quelque temps après
otale du nerf de la troisième paire et une véritablecontracture des
muscles
de la nuque et de ceux des membres supérieurs i
fibrillaires et la diminution de l'excitabilité électrique dans les
muscles
para- lysés. - G. D. (X. Syndrome d'Erb; par
ophie avec diminution de la con- tractilité faradique localisée aux
muscles
de l'épaule et du bras. Pas de troubles marqués
La faiblesse des membres inférieurs n'était pas .excessive. , Les
muscles
de ces membres, bien qu'un peu flasques, répon-
uée selon la forme de l'hémiplégie c'est-à-dire atteignant tous les
muscles
d'un même côté y compris la face. L'hémiatrophi
ements sont atactiques ; tremblement de la langue, des mains et des
muscles
faciaux, lorsqu'elle parle. Les réflexes rotuli
pas la nuit. Etat présent. Des tiraillements fibrillaires dans les
muscles
faciaux et dans la langue. Tremblement des memb
elques contractions fibril- laires agitaient, de temps à autre, les
muscles
du côté droit de la face. Les yeux étaient immo
cérébral. Les troubles respiratoires sont dus à la contraction des
muscles
respiratoires, le rythme est modifié, l'inspira
ile de secousses brusques, rapides, involontaires, siégeant dans un
muscle
isolé ou dans un groupe de muscles habituellement
, involontaires, siégeant dans un muscle isolé ou dans un groupe de
muscles
habituellement associés pour l'exécution d'une
secousses brusques, généra- lement unilatérales, siégeant entre les
muscles
du visage et le peaucier du cou.-Son histoire e
leur explosion involontaire et intempestive, leur limitation à un
muscle
ou à un groupe musculaire déterminé. Quand je voi
ernomastoïdien, du SOCIÉTÉS SAVANTES. 267 1 trapèze ou des autres
muscles
de la région je dis : Voilà un torti- colis mus
différents : en effet, M. Z... avait parfois un spasme des mêmes
muscles
et bien que celui-ci fût parfois localement doulo
olie, con- tusionne ses nerfs, arrache ses ligaments et déchire ses
muscles
, sans même s'en apercevoir. ' ' 378 . SOCIÉTÉ
, à la condition qu'on développe simultanément les deux systèmes de
muscles
antagonistes et qu'on ne dépasse jamais le mome
très grêles, mais ne saurait, à elle seule, entraîner l'atrophie du
muscle
, puisque la diminution de volume des éléments est
ic moqueur et d'un tic renifleur. Dans le tic 1/11), queur tous les
muscles
de la physionomie qui agissent simultané- ment
bord ulnaire de l'avant-bras droit, l'atrophie se déclara dans les
muscles
suivants : infraspinosus, deltoïdeus, triceps, su
, flexcurs des doigts, palmaire du pouce et de l'ar- ticulaire. Les
muscles
atrophiés fournissaient la réaction de la dégén
lques mois de traitement, l'atrophie disparut, sauf dans les petits
muscles
de la main. L'auteur admet, que le même virus q
lite bénigne. XIX. Contribution à l'étude de la paralysie isolée du
muscle
grand dentelé; par A. Souques et J. Castaigne.
. son début habituel par l'extrémité des membres supérieurs (petits
muscles
de la main droite) ; b. l'existence de contract
tative. Souvent il s'accompagne de fatigue générale, d'asthénie des
muscles
du squelette, d'inaptitude au travail, ou- enco
u corps. L'exécution, normale de la marche implique l'intégrité des
muscles
qui opèrent ces mouvements et la synergie entre
899.) Observation de syringomyélie avec paralysie et atrophie des
muscles
de la main gauche, paralysie du muscle orbito-pal
c paralysie et atrophie des muscles de la main gauche, paralysie du
muscle
orbito-palpébrat' gauche, exagération des réfle
racine cervicale, rend compte de la paralysie et de l'atrophie des
muscles
de la main et des fléchisseurs de la main et de
ophie, sans caractères radiculaires bien nets, portant sur tous les
muscles
intrinsèques de la main gauche et le plus grand
peuvent aussi produire une action tonique sur le coeur, et sur les
muscles
en général, et peut-être, une certaine diminution
l'épingle; et, cependant, il est probable qu'elle avait-traversé ce
muscle
avant de s'implanter dans le foie, étant donnée
onyme, limité aux deltoïde, biceps, long supina- teur, ainsi qu'aux
muscles
de l'épaule. Ce mouvement s'accentue à mesure q
mouvement bilatéral symé- trique, qui se propage ensuite en bas aux
muscles
du thorax, de l'abdomen, voire de la cuisse. A
mum sur la région des cordons antél'o-[rÛé1'aux fait contracter les
muscles
de l'épaule et du bras du même côté, et l'effet e
-mère et la dure- mère, avec un courant faible, fait contracter les
muscles
de l'épaule et du bras à gauche; si le courant
racine postérieure droite. Qu'on procède à droite ou à gauche, les
muscles
du bras se contractent mieux et en plus grand n
férenciation ; ils engendrent des actions symétriques, excitent les
muscles
du thorax, de l'abdomen, le diaphragme, le psoa
ferme d'activité musculaire bien définie (acti- vité pour certains
muscles
, inhibition pour. d'autres). Aussi n'est-il pas
mprend elle-même deux variétés : la forme simple, dans laquelle les
muscles
ne sont pas atteints, et la forme catatonique,
ur des accidents semblables accompagnés de rigidité généralisée des
muscles
, de négativisme, de suggestibilité, etc.; de temp
nction pyramydale qui consiste à transmettre les ordres moteurs aux
muscles
du membre inférieur, tandis que le clonus du pi
ommencé à faire de cinquante- deux ans par l'atrophie graduelle des
muscles
antéro-externes de la jambe, la faiblesse motri
secondaires des racines antérieures, des nerfs périphériques et des
muscles
. Sur le rôle du cervelet dans lns actes Colitio
par l,iew- kowsky, 425. Contribution à l'étu de de la - isolée du
muscle
grand dentelé, par Souques et Castayne, 427.
de paralysie faciale d'origine hystérique portant seulement sur les
muscles
bucci- nateurs et grand zygomatique. Superposit
otablement et s'en- tourer de plis en derai-cercle. A droite, les
muscles
du menton, les abaisseurs de la lèvre inférieur
nateur a été autrefois paralysé. Il ne paraît donc y avoir que deux
muscles
atteints : le buccinateur et le grand zygomatiq
élevure de la peau D blanche. Tronc. Motilité. Pas de paralysie des
muscles
abdominaux ni des sphincters. Sensibilité. Ab
ssement considérable de l'excitation faradique. L'électrisation des
muscles
et des nerfs des membres inférieurs ne donne Ji
es observations de la Salpê- trière, il est toujours noté que « les
muscles
présentent des réactions électriques absolument
égie remontait à quatre mois, il est expressément signalé que les «
muscles
n'ont présenté aucune modification des réaction
des, de véritables secousses électriques qui surviennent dans les
muscles
de la nuque, des épaules, des membres. La. tête e
r la guérison, sou- mettant la malade à une gymnastique répétée des
muscles
indemnes ou seulement parésiés. Les exercices d
8, p. 25. DE l'épilepsie corticale. 101 simples, limitées au seul
muscle
ou groupe de muscles corres- pondant au centre
lepsie corticale. 101 simples, limitées au seul muscle ou groupe de
muscles
corres- pondant au centre cortical lésé ; 5° si
e n'est donc pas circonscrite aux centres d'innervation motrice des
muscles
: elle atteint les centres vaso-moteurs qui se
raient point cloniques ni limitées au début à certains groupes de
muscles
. Enfin, ce qui achève de prouver que la cinchonid
te. Les centres les plus excitables sont ceux qui correspondent aux
muscles
les plus habituellement mis en mouvement. Inver
des centres moteurs spéciaux, contenus dans le gyrus angulaire, des
muscles
oculo-palpé- braux. Unverricht, dans ses Rech
frontaux et préfrontaux renfer- ment des centres d'innervation des
muscles
du tronc, et que le développement de cette part
cérébrale, centres d'arrêt, de tension cérébrale, d'innervation des
muscles
qui se contractent dans le phénomène général de
La sensibilité électrique, demême que l'excitabilité électrique des
muscles
, a été trouvée amoin- drie et plus émoussée enc
l'extrait de Liebig ; il en résulte des contractions cloniques des
muscles
de la face, mais point de ' A. Vetter. Ueber di
non successivement comme dans l'épilepsie jacksonienne, tous les
muscles
du corps. Or la nature et l'intensité des phéno-
ne participait point aux convulsions générales. Au con- traire, les
muscles
de la face et du tronc y participaient pleine-
trique et le spinal ; le voile du palais, les cordes vo- cales, les
muscles
externes et internes du larynx avaient été pen-
on symétrique des noyaux des nerfs spinaux, cervicaux et lombaires (
muscles
des membres et muscles abdomi- naux. - - P. K.
x des nerfs spinaux, cervicaux et lombaires (muscles des membres et
muscles
abdomi- naux. - - P. K. III. Hémorrhagie SOUS
se développa une paralysie périphé- rique isolée avec atrophie des
muscles
sus et sous-épineux. Les observations de Sperli
égénérescence des nerfs périphé- riques ; légère dégénérescence des
muscles
. Observation IL Allures cliniques de l'ataxie l
ts des doigts, à la suite de mouvements choréiformes continuels des
muscles
du tronc et des extrémités, mouvements qui s'ac
qui s'accentuent encore davantage lorsque la malade est agitée. Les
muscles
de la face et du cou ne sont pas atteints. Les
a- lysie atrophique progressive des extrémités supérieures et des
muscles
du cou. La mort a été causée par une hémorragie d
es maniaques, Une partie des phénomènes attribués par M. Cramer aux
muscles
lisses se rattachent à l'émotivité. La seule fo
ilité, avec lassitude douloureuse, et anéantissement subit dans les
muscles
. b° La rachialgie avec ses sièges de prédilection
me de l'avant-bras est, lui aussi, légèrement réduit aux dépens des
muscles
fléchisseurs. Cette dimi- nution de volume répo
des doigts sont affaiblis, sauf les mouvements que commandent les
muscles
postérieurs de l'avant-bras, les extenseurs. La
inence thénar et de quelques autres 166 CLINIQUE NERVEUSE. petits
muscles
de la main; les contractions fibrillaires font
sur la forme de la cage costale. J'ajoute qu'il n'existe dans les
muscles
du rachis et du tronc aucune anomalie ap- préci
sensitifs, mais encore la parésie et l'atrophie qui intéressent les
muscles
de l'éminence thénar, les interosseux, les fléc
ui suivent d'autres voies ; il fournit égale- ment l'innervation du
muscle
de Millier dont la para- 1 Eéré. Arch. de Neuro
quatrième cervicale jusqu'à la deuxième dorsale. Désinsertion des
muscles
sur la partie latérale droite des vertèbres jusqu
e, il pré- sente une sorte d'état spasmodique, d'enraidissement des
muscles
, simu- lant l'ataxie. 3° Au point de vue de l
appelant l'hémi- chorée à gauche : nasonnement avec convulsions des
muscles
de la bouche et de lalanue, respiration haletan
M. ŸBSTPÜAL. Chez un malade atteint de paralysie progressive des
muscles
des yeux, on trouve une hypérémie notable du noya
mettre debout; pour y parvenir, il lui faut le concours de tous les
muscles
du corps. Sensibilité intacte; absence de réflexe
este du deltoide gauche, des deux sterno- cléido-mastoïdieus et des
muscles
de la colonne vertébrale. Hyper- trophie des de
le. Hyper- trophie des deux mollets. Un grand nombre de nerfs et de
muscles
réagissent moins aux courants faradiques et gal
ncs nerveux (radial, cubital, sciatique poplité externe) et sur les
muscles
est très douloureuse. Légère albuminu- rie. Tem
du tissu conjonctif interstitiel. Prolifération interstitielle des
muscles
(tissu conjonctif et ses vaisseaux); atro- phie
et l'extenseur commun des orteils. Les altérations des nerfs et des
muscles
sont simultanées. M. OI'PE1VI1G1M. Un cas de tu
. M. Eulenbourg présente un malade atteint de lacune partielle du
muscle
trapèze droit. L'anomalie apparaît des plus nette
à gauche le bourrelet du trapèze et un peu en dehors une partie des
muscles
postérieurs du cou; adroite, au contraire, le b
n'existe pas d'anomalies de l'excitabilité électrique du nerf ni du
muscle
, pas plus au courant galvanique qu'au courant far
est restée défectueuse; la déglutition s'est rétablie. 'Parésie des
muscles
des lèvres des deux côtés; glossoplégie bilatéral
itation du bout périphérique engendre une contraction trémulante du
muscle
, le même excitant appliqué au bout central prov
ifie la coutiacliou, qu'on la rend semblable à celle que produit le
muscle
fatigué, semblable à celle que l'electrotlié- r
. parait fortement constitué ; mais il a une atrophie marquée des
muscles
de la jambe droite, provenant, au dire des siens,
orale droite est très enfoncée. Quand la malade serre les dents, le
muscle
temporal gauche forme une proéminence mar- quée
ée; lorsqu'on examine avec soin cette région, on cons- tate que les
muscles
et le tissu adipeux y ont disparu et que la pea
é à droite qu'à gauche. A la mâchoire infé- rieure, aux environs du
muscle
triangulaire droit on trouve une cavité très ma
ALE PROGRESSIVE. 349 ment à celle du côté gauche '. La réaction des
muscles
du côté droit de la face est considérablement a
laire et, peut-être, le sus-épineux du même côté. Le premier de ces
muscles
est innervé par des branches partant HEMIATROPH
triques. La réaction de dégénération est très accusée dans tous les
muscles
paralysés ; 5° Vue : L'oeil gauche parait plus
ommes autorisés à fixer cette limite supérieure par le fait que les
muscles
angulaires et rhomboïdes répondent aussi bien a
tout entière vient s'épuiser sur la branche qui innerve ces deux
muscles
. Etant donné, par conséquent, que le tiraillement
ion une languette de peau non anesthésiée, de l'autre parce que les
muscles
du bras qui prennent part à ces mouvements sont
servée chez notre malade, et attribuée en général à la paralysie du
muscle
de Mùller. Or, le muscle de 111üller est simple
et attribuée en général à la paralysie du muscle de Mùller. Or, le
muscle
de 111üller est simplement un des quatre muscle
e de Mùller. Or, le muscle de 111üller est simplement un des quatre
muscles
orbitaires de l'oeil, à savoir l'orbitaire infé
en croix, les poings fermés. Frémissc- - monts des paupières et des
muscles
de la face. Arc de cercle pro- noncé. Il ouvre
et reste ainsi trois minutes. Les mâchoires sont contractées et les
muscles
de la face sont agités de petits frémissements.
lexes rotulien et plantaire du même côté; contracture passagère des
muscles
des paupières et du sterno-mastoïdien ; défaut
erfs périphériques ne jouissent pas de la fonction vicariante. Tout
muscle
séparé de son conducteur nerveux ne continue à êt
vements dans diverses parties du corps, surtout dans les groupes de
muscles
servant à l'expression des sentiments. IV. Enfi
la substance grise au même titre que l'acide qui se forme quand le
muscle
fonctionne; sinon il serait impossible de compr
tes assez régulièrement. Depuis le jeûne, on ne les revit plus. Les
muscles
de son visage étaient assez gonflés par la mala
ni bouffis et fonctionnaient régulièrement. On pouvait voir que les
muscles
des bras, des mains, des cuisses, des jambes et
érie motrice, est une mémoire motrice, centrifuge, qui agit sur les
muscles
sous l'in- fluence d'une stimulation volontaire
ire. Nous avons normalement conscience de la position de nos divers
muscles
, du degré de leur contraction, et nous en indui
tat du malade à son entrée a la clinique : Constitution vigoureuse,
muscles
bien développés, pas trace d'atrophie, nutritio
si des contractions musculaires dans la face. affectant surtout les
muscles
de la bouche, leszygomahques en particulier ; c
ou voit s'y produire de temps en temps des secousse» dans certains
muscles
, les mêmes des deux côtés, mais pas toujours si
simultanément ; ces secousses n'affectent généralement pas tous les
muscles
à la fois, mais sou- vent un seul muscle, quelq
généralement pas tous les muscles à la fois, mais sou- vent un seul
muscle
, quelquefois alternativement. Ces muscles sont
is, mais sou- vent un seul muscle, quelquefois alternativement. Ces
muscles
sont surtout le long supinateur, le biceps, le
s extenseurs du carpe. Les secousses, toujours étendues sur tout le
muscle
, sont souvent smvies d'un mouvement correspondant
endant elles se produisent par séries non rythmiques dans le même
muscle
; elles sont d'une intensité variable et se succè
ucteurs; il arrive aussi de voir de légères secousses dans quelques
muscles
du tronc. Au moment où le malade s'endort il se
s de salle. Assis dans son lit, le malade éprouve parfois, dans les
muscles
du dos, de fortes secousses qui le rejettent en
accompagnés d'extensions brusques ou encore des secousses dans les
muscles
dorsaux, qui font que le malade risque de tomber
perdre l'équilibre, principalement par suite de secousses dans les
muscles
du tronc. Pendant la marche, sans appui, il se
t; elles paraissent aussi plus intenses en proportion du nombre des
muscles
qui en sont affectés à la fois. On ne pouvait c
On ne pouvait constater aucune diminution de la force muscu- laire.
Muscles
et nerfs réagissaient d'une manière parfaitement
ux courants galvanique et faradique. L'excitabilité mé- canique des
muscles
paraissait normale aussi. C'était en chatouilla
s le quadriceps fémoral, lesquelles se propageaient quelquefois aux
muscles
de l'autre cuisse et à ceux du tronc, particuli
muscles de l'autre cuisse et à ceux du tronc, particulièrement aux
muscles
dorsaux. En revanche, les tentatives de provoqu
au de diverses parties du corps, ou en exerçant une pression sur le
muscle
que l'on voulait affecter, demeurèrent en génér
es celles qui s'y manifestaient, en mani- pulant ou en percutant ce
muscle
pendant un instant. Les réflexes de la peau ne
tion d'un courant constant le long du rachis ainsi que sur certains
muscles
; au bout de deux semaines on ne voyait pas enc
es, sou- vent symétriques, ordinairement non rythmiques, dans des
muscles
déterminés, symétriques des deux côtés, souvent t
l'innervation. Ces secousses, qui s'étendent sur toute la masse du
muscle
, sont quelquefois isolées, quelquefois agglomér
intervalles irréguliers ; elles se produi- sent tantôt dans un seul
muscle
, tantôt dans plusieurs à la fois ou alternative
e Seeliemüller de l'autre. Ainsi, dans notre observation, outre les
muscles
le plus ordinairement affectés, quadriceps fémo
léchisseurs du carpe, etc., les secousses s'étendaient sur quelques
muscles
du tronc, le diaphragme, et même, dans une faib
s du tronc, le diaphragme, et même, dans une faible mesure, sur les
muscles
de la face, comme dans le cas douteux de Silvas
l'observation de Seeli-müller, aussi une grande partie des autres
muscles
du corps étaient le siège de fortes secousses de
e mais aussi des bruits expiratoires produits par des secousses des
muscles
de l'abdomen et d'autres muscles d'expi- ration
res produits par des secousses des muscles de l'abdomen et d'autres
muscles
d'expi- ration. Quant la fréquence des attaques
vait arriver que pendant une période de repos complet plusieurs des
muscles
le plus ordinairement affectés demeurassent san
très intenses, non seulement dans les jambes, mais encore dans les
muscles
du tronc, surtout du dos, au point que le malad
itations delà peau, et moins aussi par une excitation mécanique des
muscles
mêmes. Dans les autres cas, les réflexes tend
paramyoclonus sont très variables, souvent localisées dans un seul
muscle
et ne sont pas toujours accompagnées d'un mouve
ssi observer des secousses irrégu- lières et banales tantôt dans un
muscle
seul, tantôt dans, un autre. Quant à la choré
igts, sauf le cubital postérieur et le long abducteur du pouce, les
muscles
de l'éminence thénar sont complètement paralysé
foyers de bronchiopneumonie disséminés ; une'atrophie fibreuse'des
muscles
de la face d'extension des avant-bras; une dégé
face d'extension des avant-bras; une dégénérescence graisseuse des
muscles
des mollets, du triceps crural et des adducteur
la rigidité et de la contraction para- doxale. Ultérieurement, les
muscles
masticateurs sont atteints delà même façon.- In
muscles masticateurs sont atteints delà même façon.- Intégrité des
muscles
de la face, déviation de la langue à droite Dim
egré de rai- deur dans certains groupes musculaires, la parésie des
muscles
des yeux, les troubles cérébraux. D'un autre cô
é- nérescence minuscule des cordons antéro-latéraux, bien que les
muscles
correspondants ne présentassent pas de réaction
tés aux mouvements inten- tionnels,; contractions intempestives des
muscles
sollicités, contraction inutile de muscles qui
ctions intempestives des muscles sollicités, contraction inutile de
muscles
qui devraient rester 'en repos ; REVUE DE PATHO
nées par les rétractions fibreuses, et tendineuses; l'atrophie des
muscles
de la face, outre qu'elle entraîne des déformatio
z large, a 33 centimètres. Le thorax est sy- métrique, normal ; les
muscles
pectoraux sont bien dessinés. - L'abdomen est s
ercice parait être très douloureux pour le malade. Il contracte ses
muscles
de la face, et crie : Holà ! 1884. Septembre. M
n, le malade ne peut se servir ni de ses pieds ni de ses mains, les
muscles
fléchisseurs devenant beaucoup plus puissants q
ette arthrodynia. Mais, dans ce cas, la paralysie est imputable aux
muscles
et non aux nerfs comme dans les cas de paralysi
froid, chair de poule et probablement contractions fibrillaires des
muscles
En septembre, sort de Lariboisière. Ses « friss
à gauche ; il a des deux côtés une rigidité très prononcée. , Les
muscles
des jambes et des cuisses font lorsque les jambes
squ'il est debout et qu'on le fait marcher on voit presque tous les
muscles
du corps se raidir considérablement; ceux des c
dorsaux et pal- maires ont en grande partie disparu, ainsi que les
muscles
thénar et hypothénar. Les avant-bras sont très
nes et épitrochléennes sont assez diminuées de volume ainsi que les
muscles
du bras. Tronc. Les pectoraux sont diminués de
lète. On ne constate rien d'anormal au point de vue du volume des
muscles
du dos, peut-être sont-ils cependant un peumoinsv
deur. Mouvements fibrillaires, palpita- tions dans presque tous les
muscles
des extrémités et du tronc et aussi dans le pea
ation devient bruyante'et présente une sorte de cornage (spasme des
muscles
de la glotte). Réflexe du masséter exagéré. L
te, disparition des réflexes patellaires, forte hyperes- thésie des
muscles
à la pression; aucun accident pupillaire ni vés
ntramusculaires. Prolifération des noyaux du ti,su interstitiel des
muscles
triceps de la cuisse et péroniers, mais intégri
es triceps de la cuisse et péroniers, mais intégrité des noyaux des
muscles
et des fibres. L'auteur admet une dégénérescenc
t peut-être à la prolifération des noyaux du tissu interstitiel des
muscles
. P. K. RV111. Contribution au trajet des fibres
. Les mouvements choréiques affectaient d'une façon constante les
muscles
de la face, du cou et des membres supérieurs, sur
s professionnelles, on ne rencontre pas une fa- tigue excessive des
muscles
intéressés. (The aliezzist and neurologist, oct
se lever. L'auteur le trouve couché sur le côté. Les masséters, les
muscles
de la face et du pharynx sont tétanisés. La con
st une dyspnée des plus inquiétantes résultant de la rigi- dité des
muscles
du thorax, mais il y a une contracture douloureus
ividité de 56 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. la face, rigidité des
muscles
thoraciques, contracture en flexion des avant-b
omac ne donne aucun résul- tat. Le soir du 21 la rigidité gagne les
muscles
du cou et le dia- phragme, la respiration parai
s du mesencéphale, comme dans celles des nerfs périphériques et des
muscles
que l'on doit chercher la physiologie pathologi
e a porté sur les centres nerveux, le nerf crural et une portion du
muscle
quadriceps fémoral. Les centres nerveux n'ont p
ce cas a été une polynévrite segmentaire périaxile, les lésions des
muscles
u'ont été que secon- daires. G. 1)EN o. XXVII
e facule datant DE la première EN- Fange ; atrophie unilatérale des
muscles
DE la face ; par 11.1RTOSI. (Neurolog. Cenlralb
Il présente une atrophie complète, perceptible à la palpation, des
muscles
de l'oreille, des yeux, du front, de la région
du peaucier ; disparition complète de la réaction électrique de ces
muscles
; intégrité relative simultanée de l'orbiculaire
relative simultanée de l'orbiculaire des lèvres droit, de quelques
muscles
mento- labiaux qui réagissent d'ailleurs au cou
e et que l'on veuille fléchir la cuisse sur le bassin, ce groupe de
muscles
sera nécessairement tiraillé puisque dans celte
chez le Labétique il y a une modification dans la constitution des
muscles
en question sinon une atrophie, au moins une di
motrice, et non pas le nerf ni la cellule nerveuse qui innervent le
muscle
: « Le nerf ni la cellule nerveuse ne renfermen
ême conception que le professeur de l'Université de Zurich. Dans le
muscle
non plus, remarquait ce savant, la terminaison
deux cas le nerf se termine en s'arborisant, le nerf moteur dans le
muscle
, le nerf sensible dans la substance grise centr
e résulte à la fois d'impressions lumineuses et de contractions des
muscles
de l'oeil. De même pour les centres corticaux d
troisième cellule en communication avec une fibre motrice qui va au
muscle
. Une fibre corticale isolée n'agit pas sur une
c'est l'absence de toute rigidité muscu- laire, de toute lésion des
muscles
; c'est aussi la façon dont elle s'accentuait à
nd on le touchait au front) ; , 4°*Des paralysies permanentes des
muscles
moteurs des paupières. Ces quatre groupes de
n fibrilles » se mettre'en rapport avec la substance contractile du
muscle
: « Cette multiplication de points de contact, di
nsidérée comme une condition essentielle de l'action du nerf sur le
muscle
. » (Leçons sur l'histologie du sys- tème nerveu
nerveux apporté de la pequ, des muqueuses, des articulations, des
muscles
, etc., par la branche périphérique, de significat
ainsi la production des mouvements limités à cer- tains groupes de
muscles
que provoque l'excitation mécanique, chi- mique
i, par la nature de ses connexions périphériques (organes des sens,
muscles
, etc.). III. On peut admettre, avec quelque rés
ntrés; respiration en apparence suspendue; face cyanosée : tous les
muscles
paraissent rigides. De temps en temps elle aspi
chronique bulbaire chez un aliéné, une de paralysie bilatérale des
muscles
crico-aryténoi- diens latéraux due à l'hystérie
demeure indemne, mais comme on sait aujourd'hui que la plupart des
muscles
sont pourvus d'une représentation cellulaire dans
ssé et aussi par les cellules des autres segments préposées au même
muscle
ou au même groupe musculaire. Du côté de la lés
des modifications, aux voies motrices centrifuges, et atteint aux
muscles
internes et externes de l'oeil, d'où partent des
ien accusée, si ce n'est toutefois un certain degré de mollesse des
muscles
de l'avant-bras et de l'éminence thénar. Pas de
la main la réaction de dégénérescence est assez prononcée dans les
muscles
de l'éminence thénar, moindre dans le premier i
de même nature. Un examen détaillé du bras droit a démontré que les
muscles
deltoïde, biceps, brachial interne, triceps et
us, ils présentent tous la réaction de dégéné- rescence. Les autres
muscles
(de l'avant-bras et de la main) sont absolument
E PATHOLOGIQUES. 359 mènes tabétiques tels que les relâchements des
muscles
et des ligaments, la diminution du volume des m
âchements des muscles et des ligaments, la diminution du volume des
muscles
et l'atrophie simple. Ces modifications des c
ments de décharge, ou dynamoncures. (t). Cellules correspondant aux
muscle
, ou myoneures. b). Cellules correspondant aux g
infantile. Pupilles inégales, réflexes pares- seux, tremblement des
muscles
de la face et de la langue. Hésita- tion de la
seuses ; troubles de la parole et de l'écriture, tremblement des
muscles
de la face, exagération des réflexes, clonus du p
troubles de la parole, tremblement fibrillaire de la langue et des
muscles
de la face, ictus, démence progressive, idées de
ile du nez et de la moitié de la lèvre du côté gauche et parésie du
muscle
droit interne et du releveur de la paupière sup
embre inférieur droit. De ce côté l'atrophie atteignit le sein, les
muscles
sterno-huméral, le deltoïde et le muscle grand
atteignit le sein, les muscles sterno-huméral, le deltoïde et le
muscle
grand dorsal; plus fort les muscles obliques de l
terno-huméral, le deltoïde et le muscle grand dorsal; plus fort les
muscles
obliques de l'ab- domen, la région du nerf cuta
d'engourdissement dans les mêmes parties. L'électro-sensibilité des
muscles
est un peu exagérée, dans les endroits où l'atr
parties supérieures, une douleur très accuentuée à la pression des
muscles
, et à peine perceptible des troncs nerveux; abo
es troncs nerveux; abolition de la réaction fara- dique de tous les
muscles
; diminution prononcée de la réaction galvanique
muscles; diminution prononcée de la réaction galvanique de certains
muscles
avec réaction de dégénérescence. SOCIÉTÉS SAVAN
onctif intersti- tiel ; ces altérations sont plus marquées dans les
muscles
des grandes articulations. L'auteur note l'ab
les cas déjà publiés), de la douleur spontanée et du gonflement des
muscles
, la diminution rapide de leur électro-sensibili
ies accusent celle des circonvolutions de la zone rolandique. » Les
muscles
de l'oeil, le pneumogastrique peuvent être intére
médicale. I. La valeur séméiologique des réactions électriques des
muscles
et des nerfs. Rapporteur : professeur DOUMER, d
Pour Schüle ? » les troubles ataxiques observés au début dans les
muscles
du tronc et des extrémités continuent à s'accen
ou du rectum, et avec conservation de l'excitabilité faradique des
muscles
: Ce cas contraste avec le cas de Landry et ave
ant deux ans; puis ensuite paralysie et atrophie du deltoïde, des
muscles
de la région radiale et de l'éminence thénar à ga
SE. 461 pas atteinte ; les réactions électriques sont normales. Les
muscles
, - peu développés ne présentent ni atrophie, ni
ano. Les mouvements choréiques affectent tout le corps, surtout les
muscles
de la face et de la langue et la tête. Si elle
out résulter de l'ininterruption des mouvements de la langue et des
muscles
de la face. Il ne parait y avoir évidem- ment a
s être considéré comme le résultat d'un ébranlement com- muniqué au
muscle
, mais constitue véritablement un phénomène réfl
'une .santé parfaite commença à ressentir des douleurs vagues aux
muscles
du tronc et des extrémités. Ces symptômes s'aggra
robuste, se plaignant de douleurs au tronc et aux extrémités ; les
muscles
sont légèrement raides et douloureux à la press
il n'y a pas de paralysie vraie, mais la douleur et la raideur des
muscles
empêchent le malade de faire des mouvements ; la
aire chronique ; on ne peut songer davantage à l'action tonique des
muscles
restés indemnes. Il est plus légitime de cher-
ndant des noyaux cellulaires intéressés. Si, après deux semaines le
muscle
ne répond pas à l'électricité, il est pro- babl
be droite; parésie très marquée dans la région péronière droite, le
muscle
tibial antérieur excepté et, REVUE DE PATHOLOGI
ie totale motrice et sensitive, excitabilité faradique des nerfs et
muscles
conservée, sensibilité exagérée depuis les pied
és par la capacité de ces ma- lades de soumettre à leur volonté les
muscles
, qui ordinairement ne peuvent être soumis aux m
cas cités, par une habitude de faire des mouvements isolés par des
muscles
, qui ordinairement ne se contractent que simult
cubital et du péronier dans le -, par Sarbo, 62. Flacci- dité des
muscles
dans le -, par Girenkiel, 62. Chute spontanée
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