n qui leur est propre et jouent en outre le rôle d'intermédiaires, de moyen d'union entre l'encéphale et le système nerveux p

l, la richesse de son appareil circulatoire, nécessitent de puissants moyens de protection contre les violences et les chocs b

; on le distingue moins aisément dans les circonvolutions des régions moyennes ; mais, dans la région occipitale, surtout sur les

les qui occupent la superficie, les petites cellules, ont un diamètre moyen de 1 [a à 6; elles émettent de leur périphérie de

écédentes ; elle est formée par des cellules pyramidales de dimension moyenne , dont le volume croît de 25 ¡x à 40 p en raison d

é opposé, un espace linéaire nommé troisième ventricule ou ventricule moyen . Sa face supérieure, convexe, constitue le planch

à la surface externe que les précédents, occupante peu près la partie moyenne ; c'est le tubercule moyen. Arnold en a donné la

précédents, occupante peu près la partie moyenne ; c'est le tubercule moyen . Arnold en a donné la description sous le nom de

. Il les désigne sous le nom de centre antérieur ou olfactif., centre moyen ou optique, centre postérieur ou auditif, centre

rigé verticalement de haut en bas et de dehors en dedans. Le centre moyen est le plus volumineux, sa forme est arrondie, so

e est aussi moins ferme. Le centre médian est situé entre le centre moyen et le centre postérieur, en dehors et un peu au-d

es transversales donnent à la substance grise des segmenls interne et moyen un aspect blanchâtre qui lui a valu le nom de glo

le couronne rayonnante l'en-semble des faisceaux irradiés des régions moyennes ; le groupe des fibres issues des régions postéri

ules spiroïdes (Pl. XI, XLIV, 3). Les fibres convergentes des régions moyennes supérieures et internes se juxtaposent en un fasc

gments (Pl. XLIÏ, 2). Les fibres convergentes des régions frontales moyennes et de Pinsula se dirigent directement en dedans,

dans le pulvinar, les autres se dirigent vers la paroi du ventricule moyen et vers le centre médian de la couche optique. Un

ans la profondeur de la couche optique jusqu'à la paroi du ventricule moyen ; que les fibres externes et inférieures de ce fa

hémisphère trois prolongements blancs appelés pédoncules antérieurs, moyens et inférieurs. Les pédoncules antérieurs ou sup

s l'épaisseur de la couche grise qui tapisse les parois du ventricule moyen . On les aperçoit par transparence dans cette couc

ssent aux piliers antérieurs du trigone (Pl. II, 5). Les pédoncules moyens se portent latéralement dans la substance grise d

t ; il enlace la protubérance et constitue les pédoncules cérébelleux moyens . Un troisième groupe prend une direction ascend

cordons grêles (Pl. XXXVII). Les fibres des pédoncules cérébelleux moyens , en se séparant des pédoncules inférieurs, consti

l'en-semble des éléments nerveux groupés depuis la base du ventricule moyen , jusqu'à la région lombaire. La portion intra-c

, constitué par les pédoncules cérébraux, les pédoncules céré-belleux moyens , la protubérance et le bulbe. La portion extra-

es renfermés dans les cornes antérieures; elles ont 60 de diamètre en moyenne , et trois ou quatre prolongements seulement. Su

e à travers le bulbe et la protubérance jusqu'à la base du ventricule moyen . Les faisceaux blancs, qui forment les cordons de

lvius, puis elle s'étale de nouveau, tapisse les parois du ventricule moyen et se termine sous forme de deux lamelles grises

boucle ou genou, le fasciculus teres, que forme le facial à la partie moyenne du sillon médian du plancher du quatrième ventric

her du quatrième ventricule. Ce noyau est en rapport avec le faisceau moyen du facial, auquel il envoie quelques fibres, ce q

céphale. 5 latineuse de Rolande-, au niveau du point où les racines moyennes et supérieures viennent se réunir à la racine bul

calamus scriptorius; et plus haut elle renferme le noyau des racines moyenne et supérieure du trijumeau. Les noyaux sensitif

s ganglions spinaux. Sur une coupe faite vers le niveau des racines moyennes du glosso-pharyngien, on voit une série de fibril

le bord postérieur du plancher du quatrième ventricule. Les racines moyennes du trijumeau prennent leur origine dans la substa

leur origine dans la substance grise des angles externes de la partie moyenne du plancher du quatrième ventricule, caractérisée

rs la substance grise de la couche optique. A la base du ventricule moyen , la substance grise centrale s'épaissit, constitu

situé en arrière des fibres transversales des pédoncules cérébelleux moyens , de chaque côté du raphé médian. Plus haut, ces f

en dehors et en bas, s'immerge dans la substance grise du ventricule moyen sous-jacente à la couche optique, et s'épanouit d

i assignent pour lieu d'origine un amas de cellules qui forme l'étage moyen de la substantia innominata de Reil, situé au-des

grise des lobes du cervelet. Les faisceaux de fibres cérébelleuses moyennes se dissocient en atteignant les parois latérale

s cellules fusiformes. d. Substance grise du plancher du ventricule moyen . Fig. II. — Mode d'émergence ries fibres effére

tubercule mamillaire. d. Substance grise du plancher du ventricule moyen . Fig. III. — Mode cVimmersion des fibres affére

substance grise du névraxe dans le bulbe [coupe auniveau de la région moyenne de F olive bulbaire), a. Canal central du bulbe.

dirigée d'avant en arrière et de haut en bas, s'attache sur la partie moyenne de la tente du cervelet. Elle renferme dans un dé

n des hémisphères repose en avant sur la voûte orbitaire; leur région moyenne est logée dans la fosse zygomato-maxillaire ; la

s optiques interceptent entre elles un espace libre, nommé ventricule moyen ou troisième ventricule. Cet espace a l'aspect d'

me ventricule, communique par l'aqueduc de Sylvius avec le ventricule moyen et, en bas, avec le canal central de la moelle ép

fibres transversales blanches appartenant aux pédon-cules cérébelleux moyens et les fibres verticales blanches issues du bulbe

stance grisâtre de la couche optique qui forme la paroi du ventricule moyen . Elle montre la disposition intérieure des deux s

sous le nom de pédoncule cérébelleux supérieur, pédoncule cérébelleux moyen , pédoncule cérébelleux inférieur. 3. — Section

ée. En arrière apparaît un noyau à peu près arrondi, c'est le -centre moyen (10) en rapport avec le centre postérieur (11) et

ce, sillonnée par les fibres transversales des pédoncules cérébelleux moyens et par les fibres verticales (22) venant de la ré

re, au-dessous du pilier postérieur du trigone. Il recouvre le centre moyen (8) de la couche optique, vers lequel s'effilent

. Au-dessus on aperçoit le noyau jaune du noyau lenticulaire (segment moyen ). 15. — Faisceau des fibres spinales antérieure

es enlacent la protubérance et constituent les pédoncules cérébelleux moyens (19). 20. — Coupe du lobe sphénoïdal. VII. —

tance grise de la couche optique; elles s'épanouissent dans le centre moyen , le centre médian, dont on n'aperçoit que le segm

oncules cérébraux, les autres s'inclinent vers le bulbe. Le fais-ceau moyen continue son trajet pour constituer les fibres tr

roupes de fibres convergentes des régions supérieures, antérieures et moyennes (capsule interne). 12. — Section de la commissu

rcade blanche qui les a fait diviser en segment interne et en segment moyen . Des fibres transversales parcourent les deux seg

gions antérieures, les fibres convergentes des régions supérieures et moyennes , et, en arrière, parles radiations optiques de Gr

osé de trois segments : le segment externe ou putamen (6), le segment moyen et le segment interne (7) appelés noyaux jaunes.

nnante. Cette planche représente la région postérieure et la région moyenne de la capsule interne. Les planches VIH, IX, X on

. — Coupe verticale antéro-postérieure passant au niveau de la région moyenne du noyau lenticulaire. I. — Substance grise c

gion antérieure (2) se portent directement en bas, celles des régions moyennes , en bas et en dedans; les fibres des régions post

ubstance grise du segment externe du noyau lenticulaire et du segment moyen (15) du noyau jaune du corps strié, est pénétrée

arciforme frontal; les fibres convergentes des régions supérieures et moyennes plongent verticalement vers le noyau lenticulaire

l XV. — Coupe horizontale antéro-postérieure, passant par la région moyenne du corps calleux. 1. — Fibres commissurantes

anse à concavité antérieure. 2. — Fibrescommissurantesd.es régions moyennes se séparant des fibres conver-gentes sur le bord

corps calleux qui recouvre les ventricules latéraux et le ventricule moyen . XVI. — Coupe horizontale antéro-postérieure, p

Coupe horizontale antéro-postérieure, passant au niveau de la région moyenne du noyau caudé. 1. — Partie antérieure ou réf

constituée par l'entrelacement des fibres commissurantes des régions moyennes , recouvrant l'intervalle compris entre les faces

o-striés des deux hémisphères. 4. — Fibres convergentes des régions moyennes du cerveau pénétrant dans la substance grise du n

ord externe de la couche optique, en passant au-dessous de la portion moyenne du noyau caudé, qui a été détaché par la coupe (5

é effleurée par la section horizontale. L'intervalle nommé ventricule moyen , compris entre leur face interne, est recouvert p

ïde, formé par la pie-mère. Cette membrane pénètre dans le ventricule moyen , au-dessous du bourrelet du corps calleux; elle t

re, celle des piliers postérieurs du trigone. La cavité du ventricule moyen apparaît entre les faces internes des couches opt

enia semi-circularis qui s'épanouissent dans sa masse. 15. — Centre moyen de la couche optique; des fibrilles blanches trav

ouche optique, atteignent ce noyau et la paroi latérale du ventricule moyen . Un petit nlament blanc situé sur le bord interne

entre médian. La toile choroïdienne re-couvre la cavité du ventricule moyen et gagne latéralement les cavités sphénoïdales, o

fibres convergentes sur le bord externe de la couche optique (Région moyenne de la capsule interne). 8. — Faisceau formé par

fascicule antérieur se dirige en dedans, vers la paroi du ventricule moyen . 9. — Substance grise du noyau intra-ventricula

yau extra-ventriculaire du corps strié. 11. — Apparition du segment moyen , noyau jaune. Il est séparé du segment ex-terne p

ue sur la planche XIX. 15. — Région inférieure et interne du centre moyen de la couche optique. 16. — Centre médian. Il r

ce faisceau se dirige vers le centre médian et la paroi du ventricule moyen . 18. — Pédoncule moyen de la glande pinéale.

s le centre médian et la paroi du ventricule moyen. 18. — Pédoncule moyen de la glande pinéale. 19. — Section des pédoncu

upérieurs, habenœ, de la glande pinéale, sur les parois du ventricule moyen . 20. — Glande pinéale ou conarium. C'est une gl

irigés, en avant, latéralement, en bas, appelés pédoncules supérieur, moyen , inférieur. Les pédoncules antérieurs ou supé-rie

l'épaisseur de la substance grise qui tapisse la paroi du ven-tricule moyen (4, Pl. II; — 12, Pl. XVIII; — 15, Pl. XX). 21.

illies mamelonnées sont situées à la partie postérieure du ventricule moyen , au-dessus de l'aqueduc de Sylvius (10, 11, pl. I

) se porte en dedans vers le centre médian et la paroi du ventri-cule moyen . 11 semble par conséquent que les fibres des régi

egments : le segment externe formé par la substance grise, le segment moyen et le segment interne consti-tués par une substan

se continue en avant avec la substance grise des parois du ventricule moyen (17) jusqu'aux piliers antérieurs du trigone et l

rise du plancher de l'aqueduc de Sylvius et des parois du ven-tricule moyen . Sur ces parois on trouve la coupe des faisceaux

es latéraux. 7. — Segment externe du noyau lenticulaire. Le segment moyen et le segment in-terne sont constitués par les no

17. — Substance grise centrale étalée sur les parois du ventricule moyen . 18. — Section transversale du faisceau de Vicq

ure blanche antérieure. On aperçoit par transparence, dans le segment moyen du noyau jaune, les branches latérales de cette c

23. — Cavité du quatrième ventricule. 24. — Section de la région moyenne du cervelet. Les fibres médullaires convergent, d

du noyau lenticu-laire s'est accru en étendue, tandis que le segment moyen et le segment interne, formés par les noyaux jaun

. 16. — Substance grise centrale tapissant les parois du ventricule moyen . 17. — Section du faisceau de Vicq-d'Azyr. 18

sent deux saillies, les eminentia teres. 21. — Section de la région moyenne du cervelet. 22. — Section du corps rhomboïdal,

entrale de Taxe, qui se continue avec celle du plancher du ventricule moyen . En arrière est l'ouverture du quatrième ventricu

re est l'ouverture du quatrième ventricule. La section de la région moyenne du cervelet montre la disposition centrale de la

rieures, en contournant la sub-stance grise du plancher du ventricule moyen . 7. — Section de la bandelette optique en avant

olfactif. 11. — Substance grise centrale du plancher du ventricule moyen , le tuber cinereum. 12. — Section des piliers a

ux. 17. — Fibres transversales provenant des pédoncules cérébelleux moyens . Elles sont coupées par des fibrilles très fines,

té du quatrième ventricule. 21. — Fibres des pédoncules cérébelleux moyens qui revêtent le plancher du quatrième ventricule.

de fibres à direction antéro-postérieure, les pédoncules céré-belleux moyens . XXXI. — Encéphale dont on a détaché la coupe p

eur, c'est-à-dire au sommet de l'infundibulum que forme le ventricule moyen . Ils sont constitués par un amas de substance gri

ns-versale . Ces fibres protubérancielles appartiennent au faisceau moyen des fibres efférentes cérébelleuses. La section d

le du côté opposé par la communicante antérieure ; l'artère cérébrale moyenne ou sylvienne qui s'engage dans la scissure de Syl

s cendré. Cet amas de substance grise forme le plancher du ventricule moyen ; il constitue la portion la plus antérieure de l

Cette lamelle de substance grise appartient au plancher du ventricule moyen et fait partie constituante de la substance grise

grise du ganglion olfactif. 13. — Fibres des pédoncules cérébelleux moyens , dissociant la substance grise de la protubérance

la ligne médiane, où elles forment un raphé médian. 14. — Faisceaux moyens des fibres efférentes émergeant du corps rhomboïd

ement dans la protubérance où ils forment les pédoncules cérébel-leux moyens . 15. — Fibrilles des fibres efférentes moyennes

doncules cérébel-leux moyens. 15. — Fibrilles des fibres efférentes moyennes se répandant sur le plancher du quatrième ventric

qui partent de la base des circonvolutions des régions supé-rieures, moyennes et inférieures. Ces divers ordres de fibres se di

rbe à concavité tournée en bas. Les fibres commissurantes des régions moyennes ont un trajet à peu près direct. La section a e

s calleux formé par les fibres commissurantes des régions supérieures moyennes et postérieures. En haut, ces fibres sont séparée

térieures (fibres de Kólliker) 4. — Fibres convergentes des régions moyennes et inférieures. 5. — Section perpendiculaire du

e sous le bourrelet du corps calleux pour pénétrer dans le ventricule moyen ; elle contient entre ses deux feuillets la gland

ste, nommé eminentia ter es (15) ou fasciculus ter es, vers la région moyenne , formé par le genou du nerf facial. En dehors de

le bourrelet du corps calleux. Les fibres commissurantes des régions moyennes et inférieures sont sectionnées sur les bords de

dans les replis delà toile choroïdienne, à l'ouverture du ventricule moyen ; au-dessous est la valvule fte Vieussens. Cette

alleux, formée par les fibres commissurantes des régions supérieures, moyennes et postérieures. 2. — Ensemble des fibres conve

ant le centre médullaire. Les fibres des régions interne, supérieure, moyenne et inférieure prennent une direction conver-gente

es pédoncules cérébelleux supérieurs (11), les pédoncules cérébelleux moyens , dont on aperçoit quelques fibres à l'angle latér

ssant en avant de la commissure blanche postérieure. 1. — Portion moyenne du corps calleux, formée par les fibres comrnissu

eux, formée par les fibres comrnissurantes des régions supérieures et moyennes . 2. — Les fibres convergentes de la région supé

es fibres convergentes de la région supérieure et celles de la région moyenne (3) se dirigent vers la couche optique ; les fibr

gentes. 10. — Centre antérieur de la couche optique. 11. — Centre moyen de la couche optique. 12. — Centre postérieur d

nt sur la face supérieure des couches optiques, isolent le ventricule moyen des ventricules latéraux, et ceux-ci l'un de l'au

que par le trou de Monro. 14. — Section sur la paroi du ventricule moyen des filaments blancs (habenœ) qui se rendent à la

entoure l'aqueduc de Sylvius et va tapisser les parois du ventricule moyen . 16. — Raphé d'entre-croisement des pédoncules

, Pl. XXXVI). 17. — Fibres transversales des pédoncules cérébelleux moyens dans la protubé-rance annulaire. 18. — Faisceau

uses se dirigeant en avant, faisant partie des pédoncules cérébelleux moyens . 21. — Faisceau de fibres cérébelleuses descend

iculaire (8 et 9 ; Pl. XXXVIII) ; les fibres convergentes des régions moyennes se portent en dedans et laissent apercevoir entre

uir dans les divers centres de ce noyau ou sur la paroi du ventricule moyen . Le centre postérieur (12, Pl. XXXVIII) est enl

on aperçoit le centre médian en dessous et un peu en dehors du centre moyen et, plus bas, les noyaux rouges de Stilling. Ces

ance annulaire et les fibres transversales des pédoncules cérébelleux moyens , jusqu'aux faisceaux qui représentent dans le bul

des lobes cérébelleux et celle des fibres des pédoncules cérébelleux moyens dans la protubérance. Les fibres convergentes, ap

oïdal, en sortent en formant trois faisceaux divergents. Le" faisceau moyen , ou pédoncule cérébelleux moyen, se porte directe

is faisceaux divergents. Le" faisceau moyen, ou pédoncule cérébelleux moyen , se porte directement en avant; ses fibres contou

récédentes. XL. — Coupe verticale transverse passant par le.segment moyen des noyaux rouges de Stilling. 1. — Portion m

par le.segment moyen des noyaux rouges de Stilling. 1. — Portion moyenne ou voûte du corps calleux, formée par les fibres

eux, formée par les fibres commis-surantes des régions supérieures et moyennes . 2. — Point de dissociation des fibres commissu

es. 3. — Fibres convergentes des régions supérieures et des régions moyennes . 4. — Fibres convergentes des lobes sphénoïdaux

u noyau caudé parles fibres du taenia semi-circularis. 12. — Centre moyen . 13. — Centre médian. 14. — Section des pédon

doncules supérieurs de la glande pinéale sur les parois du ventricule moyen . 15. — Section de la portion horizontale ou int

centre médullaire est formé parles fibres des pédoncules cérébelleux moyens , issues des régions détachées par les coupes préc

Les fibres commissurantes des régions supérieures, forment la région moyenne ou voûte du corps calleux, séparée de la circonvo

l. XL) occupe le bord externe de la cavité ventriculaire ; le segment moyen du noyau lenticulaire fait sa première apparition

culaire fait sa première apparition. Le segment externe et le segment moyen sont traversés par des fibres ramifiées, issues d

entre antérieur de la couche optique a augmenté de volume ; le centre moyen a acquis ses plus grandes dimensions ; le centre

la protu-bérance que traversent les fibres des pédoncules cérébelleux moyens . Les fibres de la portion sensitive des pyramides

le segment antérieur des noyaux rouges de Slil/ing. 1. — Portion moyenne ou voûte du corps calleux, formée par les fibres

eux, formée par les fibres commissu-rantes des régions supérieures et moyennes . 2. — Fibres convergentes des régions externes

ptique. 11. — Centre antérieur de la couche optique. 12. — Centre moyen de la couche optique. 13. — Portion antérieure

vité des ventricules latéraux. Au-dessous est la cavité du ventricule moyen . 19. — Section des pédoncules supérieurs delà g

érieurs delà glande pinéale dans l'épaisseur des parois du ventricule moyen . 20. — Substance grise interpédonculaire ou sub

bstance blanche provenant en grande partie des pédoncules cérébelleux moyens . 22 — Fibres transversales des pédoncules céréb

elleux moyens. 22 — Fibres transversales des pédoncules cérébelleux moyens croisant les fais-ceaux de fibres spinales postér

t en dedans les pédoncules supérieurs de la glande pinéale. Le centre moyen tend à s'effacer; au-dessous est la section d'une

ulaire, croi-sent les fibres transversales des pédoncules cérébelleux moyens , se prolongent dans le bulbe rachidien sous le

nsverse passant en arrière des tubercules mamillaires. 1. — Portion moyenne ou voûte du corps calleux, constituée par les fib

constituée par les fibres commis-surantes des régions supérieures et moyennes . 2. — Point de dissociation des fibres converge

r, son volume est moindre que sur la coupe précédente. 16. — Centre moyen . 17. — Faisceaux de Vicq-d'Azyr (voir Pl. III).

es deux petites éminences arrondies, situées au-dessous du ventricule moyen , sont constituées par un amas de substance grise,

antérieures. 22. — Fibres transversales des pédoncules cérébelleux moyens dissociant la sub-stance grise de la protubérance

périphérique. Les fibres commissurantes des régions supérieures et moyennes constituent la voûte du corps calleux ; les fibre

ire (9 PL XLIV). Les fibres convergentes des régions supérieures et moyennes n'atteignent plus la cap-sule interne. Celle-ci e

yr, dont la partie postérieure est détachée par la section. Le centre moyen montre son dernier segment. Les faisceaux spinaux

lonnée de fibres transversales appartenant aux pédoncules cérébelleux moyens et de quelques fibres verticales provenant des py

sphénoïdal. XLVI, Coupe verticale transverse passant par la région moyenne du chiasma des nerfs optiques. 1. — Portion m

par la région moyenne du chiasma des nerfs optiques. 1. — Portion moyenne ou voûte du corps calleux, formée par les fibres

eux, formée par les fibres commis-surantes des régions supérieures et moyennes . 2. — Point de séparation des fibres commissura

t convergentes. 3. — Fibres convergentes des régions supérieures et moyennes , interrompues à l'entrée de la capsule interne.

nia semi-circularis. 15. — Substance grise des parois du ventricule moyen où vont s'amortir des groupes de fibrilles, issue

oris callosi). Les fibres commissurantes des régions supérieures et moyennes passent d'un lobe à l'autre dans les régions homo

aisceau arrondi que la section a coupé entre le putamen et le segment moyen des noyaux jaunes (8, Pl. XLVI). Les fibres con

s par la substance grise centrale qui forme le plancher du ventricule moyen . La portion horizontale ou intra-ventriculaire

optique et dans la substance grise centrale du plancher du ventricule moyen où ils sont atteints par la section (17, Pl. XLVI

leux, formée par les fibres commissurantes des régions supérieures et moyennes . 2. — Point de dissociation des fibres converge

commissurantes. 3. — Fibres convergentes des régions supérieures et moyennes s'étendant jusqu'à l'entrée de la capsule interne

la couche optique. 11. — Substance grise du plancher du ventricule moyen . 12. — Section des lamelles de la cloison trans

anches latérales sont sectionnées près de l'arcade externe du segment moyen du corps strié (voir Pl. XXVII). Sa portion méd

les mamillaires (voir Pl. III). Ils laissent ainsi dans le ventricule moyen , entre eux et la commissure, un espace triangulai

forme l'ouverture anté-rieure de l'aqueduc de Sylvius. Le ventricule moyen serait de la sorte en communi-cation avec les qua

eux, formée par les fibres commis-surantes des régions supérieures et moyennes . 2. — Point de dissociation des fibres converge

(voir Pl. VII). 9. — Noyau lenticulaire. Il est composé du segment moyen et du segment externe; le segment interne est épu

e ou septum lucidum. 13. — Substance grise des parois du ventricule moyen . 14. — Section de la portion médiane de la comm

diane de la commissure blanche antérieure, en rapport avec le segment moyen du noyau jaune. 15. — Coupe prismatique du tron

s sphénoïdaux. Les fibres commissurantes des régions supérieures et moyennes se détachent de la base des circonvolutions, pass

eux, formée par les fibres commissu-rantes des régions supérieures et moyennes . !. — Point de dissociation des fibres converge

ion supérieure. 3. — Fibres convergentes des régions supérieures et moyennes , plongeant dans la substance grise du corps strié

ar l'ensemble des fibres conver-gentes et commissurantes de la région moyenne . 7. — Point de séparation des fibres convergent

e est formé par les fibres commissurantes des régions supé-rieures et moyennes qui constituent la portion réfléchie du corps cal

eux, formée par les libres commissu-rantes des régions supérieures et moyennes . 2. — Point de dissociation des fibres converge

tes. 3 — Fascicules des fibres convergentes des régions antérieure, moyenne et infé-rieure pénétrant dans la substance grise

ormé par l'ensemble des libres commissurantes des régions supérieure, moyenne et infé-rieure ou orbitaire. Ces divers ordres

belleux inférieurs.................. 27 § 2. Pédoncules cérébelleux moyens ................... 27 § 3. Pédoncules cérébelle

II. Coupe verticale antéro-postérieure passant au niveau de la région moyenne du noyau lenticulaire..................... . *.

80 XV. Coupe horizontale antéro-postérieure, passant par la région moyenne du corps calleux. 82 XVI. Coupe horizontale ant

Coupe horizontale antéro-postérieure passant au niveau "de" la région moyenne "du noyau caudé................................

calleux. 130 XL. Coupe verticale transverse passant par le segment moyen des noyaux rouges de Slilling. 132 XLI. Encépha

calleux. 143 XLVI. Coupe verticale transverse passant par la région moyenne du chiasma des nerfs optiques. 144 XLVII. Encép

encéphale aux for- mations des cerveaux antérieur, intermédiaire et moyen . Peu développé chez l'homme, il atteint son plu

e leur ori- gine dans les cel- lules pyramida- les grandes et moyennes et dans quelques cellules poly- morphes de

tent t dans les gan- glions des cer- veaux intermé- diaire et moyen qui limitent la capsule interne, en particulier

chevêtrent avec les fibres transversales du pédoncule céré- belleux moyen , puis forment la pyramide antérieure du bulbe. Pa

ts du névraxe qu'il traverse : cer- veaux antérieur, intermédiaire, moyen , rhombencéphale, moelle épinière. Dans ce chapi

de celle qui appartient aux cerveaux antérieur, inter- médiaire et moyen , et qui s'étend de la corticalité cérébrale au bo

BRES DE PROJECTION DANS LES CERVEAUX AN- TItIIEUR, INTERMÉDIAIRE ET MOYEN . CENTRE OVALE, CAPSULE INTERNE, PIED DU PÉDONCU

ne rayonnante en quatre segments dont l'un est antérieur, le second moyen ou supérieur, le troisième postérieur, le quatriè

bres de ce segment sont beaucoup plus longues que celles du segment moyen , mais elles n'atteignent pas les dimensions des f

es inférieures se dirigent obli- quement en haut et en arrière, les moyennes horizontalement d'avant en arrière. Les suivant

autant plus verticales qu'elles se rapprochent davantage du segment moyen (Voy. Fig. 2 et G). Sur les coupes horizontales

pédoncule cérébral. Coupe vertico-transversale sectionnant la partie moyenne du FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE.

y. en particulier cas Schweigoffer, Fig. 116, p. 134). 2. Segment moyen ou supérieur de la couronne rayonnante. (CR, CR

nte. (CR, CR(s), Fig. 2,6, 7, 9, 13, 19, 23). Les fibres du segment moyen delà cou- ronne rayonnante se comportent comme

vorables à l'étude de ce segment dans le centre ovale. Le segment moyen de la couronne rayonnante est tributaire de la

origine. Sa disposition en deux couches sagit- tales. partie moyenne de l'hémisphère, en particulier des circonvolutio

(Pi} P2' Fl, F,, F3), du lobule paracentral (Parc) et de la partie moyenne de la première circonvolution limbique (L,). Il d

niveau (Fig. 6). Ce segment est tributaire des parties postérieure, moyenne et anté- rieure du lobe temporal, en particulie

tiers postérieurs de l'hémi- sphère droit dans larégion thalamique moyenne etsectionnant les segments antérieur postérieur

ntale de l'hémi- sphère gauche passant par la région thalamique moyenne de la capsule interne et sectionnant t les se

e porte le nom de genou de la capsule interne Ci (g). Dans le tiers moyen de la région thalamique, lorsque apparaissent l

nterne, Nu sur une coupe vertico-transversale passant par la partie moyenne de la commissure anté- rieure. Méthode de Weige

ntérieure de la couche optique dans laquelle elles s'irradient. Les moyennes se portent horizontalement en arrière et en ded

de la tête du noyau caudé (NC) (Fig. 213 et 281, T. 1er), la partie moyenne de la commissure antérieure (coa) (Fig. 19, 244,

es coupes plus inférieures. Sur les coupes qui passent par le tiers moyen du thalamus (Fig. 21), le genou de la capsule n

E CÉRÉBRALE. 31 ne. 21. - Coupe horizontale dû la région thalamique moyenne intéressant le segment antérieur, le genou, le

(Cia), se dirigent obliquement en bas, en dedans et en arrière, les moyennes directement en bas et en dedans, les postérieur

la région sous-thalamique et sectionnant les commissures antérieure, moyenne et postérieure, les corps genouillés externe et

g. 13, 20), sont très accusées sur celles qui passent par ses tiers moyen et inférieur (Fig. 21, 43). Dans la région sous

ouge (NH) et la capsule de ce noyau (CNU) (Fig. 28). Dans la partie moyenne de la région sous-thalamique (Fig. 24), le faisce

ostérieur de la capsule interne (Cip), le corps de Luys à son tiers moyen , et la zona incerta à son tiers postérieur. Dan

a, tubercule quadrijumeau antérieur; ses couches superficielle (1), moyenne (2) et profonde (3). - li1'lz, radiations optiq

s- sable à l'obliquité de ses fibres en bas et en dedans; la partie moyenne riche en fibres transversales répond au segment

ire. Sur les coupes horizontales passant par les tiers supérieur et moyen du thalamus (Fig. 10 et 21), le segment rétro-l

au lenticu- laire de Forel. Coupe horizontale passant par la partie moyenne de la commissure antérieure. - Méthode de Weige

R, noyau rouge. Rm, ruban de Heit. SR, formation réticulée. - stratum moyen ; Slip, stratum profond; Sirs, stratum superfic

aisceau de Tiirck, par contre, ne lire son origine que de la partie moyenne des deuxième et troisième circonvolutions tempo

t : le cinquième interne au faisceau géniculé; les trois cinquièmes moyens au segment postérieur de la capsule interne; qu

Si dans ces cas Fic. 37 et 38.-Dégénérescence des trois cinquièmes moyens du pied du pédoncule céré- bral, de la partie c

LE. 55 FiG. 39 et 40. - Cas Bizaguet. Dégénérescence de la partie moyenne du pied du pédoncule cérébral consécutive à une

-corticale ayant détruit l'insula, le putamen, sectionné le segment moyen ou supérieur de la couronne rayon- nante et ent

donculaire supérieure (Fig. 39), la zone dégénérée occupe la partie moyenne du pied du pédoncule; dans la région pédonculai

du pédoncule cérébral; P', son faisceau interne sain; P(d), sa zone moyenne dégénérée. - l'cs, pédoncule cérébelleux supérieu

a protubérance. S'agit-il d'une dégénérescence des trois cinquièmes moyens du pied du pédoncule, on pourra suivre le pes l

certaines dégénéres- cences, de prime abord anormales, du faisceau moyen du pied du pédon- cule cérébral, telles que le

érée (P(cl) occupe dans la région pédonculaire supérieure la partie moyenne du pied du pédoncule (Fig. 39); elle est limitée

étrer dans le cervelet avec les pédoncules cérébelleux supérieur ou moyen . Elles appartiennent en effet aux fibres horizont

corticalilé cérébrale aux noyaux gris des cerveaux intermédiaire el moyen (fibres cortico-tlzalanziqzces et corlico- sous

Ces fibres destinées aux noyaux gris des cerveaux intermédiaire et moyen comprennent : ·1° Les radiations thalamiques ;

isceaux ou pédoncules, connus sous le nom dopé- doncules antérieur, moyen , postérieur cl inférieur de la couche optique. Il

rébrale, mais la délimi- tation elle-même des pédoncules antérieur, moyen , postérieur et inférieur est toule fictive. Il

amiques antérieures ou frontales; 2° les fibres cortico-thalamiqucs moyennes ou p-,iriéto-l'i-oiito-iolaiicli(liies; 3° les fi

n aspect tacheté tout à fait spécial. 2. Fibres cortico-thalamiques moyennes , supérieures ou pariéto- fronto-rolandiques. (R

supérieures ou pariéto- fronto-rolandiques. (Radiations thalamiques moyennes ou supérieures, pédoncule supérieur de la couch

de la couche optique.) (Fig. 7, 26.) Les fibres cortico-thalamiques moyennes appartiennent à la zone rolandique et aux parti

- ticulièrement favorables à l'étude des fibres cortico-thalamiques moyennes , elles les intéressent en effet dans toute leur

Lné , lame médullaire externe supplémentaire, subdivisant le segment moyen (iVI2 du noyau lenticulaire. - Lmi, lame médull

(BrQa), et s'irradient finalement dans les couches superficielle et moyenne du tubercule quadrijumeau antérieur. Ce tuber

enouillé externe, restent pro- fondes et s'irradient dans la couche moyenne du tubercule quadrijumeau antérieur (RQa) (Fig.

ubérance. Les fibres de la voie pédonculaire proviennent du secteur moyen de l'hé- misphère cérébral, passent par le geno

antérieur de la capsule interne (Cia), dans les régions thalamiques moyenne et inférieure, par le faisceau géniculé (Ci(g)

ent pas de fibres striées. Ses libres pro- wennent du secteur moyen de l'hémi- sphère. Elles passent par le gen

'elles ne viennent ni de la pointe frontale, ni de la face externe et moyenne de F3, puisque les lésions de ces régions s'acc

. 76 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Origine cortical du faisceau moyen Son trajet. La topograplm capsulaire et péd

pied du pédoncule du cas Richard ne proviennent néanmoins du secteur moyen de l'hémisphère (Voy. p. 207). 2, 3, 4. La pa

u secteur moyen de l'hémisphère (Voy. p. 207). 2, 3, 4. La partie moyenne , ou faisceau moyen du pied du pédoncule cérébra

l'hémisphère (Voy. p. 207). 2, 3, 4. La partie moyenne, ou faisceau moyen du pied du pédoncule cérébral, est constituée p

iques plus inférieures et plus antérieures. Les fibres de la partie moyenne de la zone rolandique (zone corticale du membre

s Au pied du pédoncule cérébral (Fig. 49), et passent par la partie moyenne du segment postérieur de la capsule interne (Ci

ar le faisceau de Tiirck (Fig. t9). Les libres des trois cinquièmes moyens du pied du pédoncule cérébral abandonnent chemi

nt les fibres du lobe pariétal. Les fibres de projection du secteur moyen de l'hémisphère passent par le genou et le segm

e cérébral. Les fibres du segment supérieur ou sus-sylvien du secteur moyen et la région orbitaire du lobe frontal (colorée

rieures. Les fibres du segment sous- sylvien ou temporal du secteur moyen (coloré en rouge foncé) passent par le seg- men

. - 1, 2, 3, 4, 5, les cinq parties du segment sus-sylvien du secteur moyen de l'hémisphère et la situation respective de l

interne et le pied du pédoncule cérébral. Les fibres de la partie moyenne du pied du pédoncule cérébral con- tiennent don

offer, Fig. 116 à 122); et que les dégénérescences des trois quarts moyens (cas Scheule, Fig. 106 à 112) s'accompagnent to

les quatre cinquièmes internes et surtout dans les trois cinquièmes moyens du pied du pédoncule. 5. - La partie externe

ule cérébral ou faisceau de Türck (FT)tire son origine de la partie moyenne du lobe temporal, et en particulier de l'écorce

chi). Pusateri (1898) en extirpant chez le chat la région temporale moyenne (zone auditive de Munck) constata par la même m

il dégénère moins souvent que ces derniers, surtout que le faisceau moyen , cela lient uniquement à ce que les lésions de

que les lésions de la région temporale, en particulier de la partie moyenne des deuxième et troisième circonvolutions tempo

aucune, au niveau des ganglions centraux, et provienne» dit secteur moyen de l'hémisphère cérébral. Les fibres du pied du

s neurones cortico-protubérantiels proviennent de tout le sec- teur moyen de l'hémisphère. Le faisceau de Tiirck ne contien

olandique. Leurs terminai- sons. Leur origine dans le secteur moyen de l'hémisphère. Leur origine oper- culaire

s passent dans la région sous-thalamique par les trois cin- quièmes moyens du segment postérieur, occupent les trois cinquiè

quièmes moyens du segment postérieur, occupent les trois cinquièmes moyens du pied du pédoncule cérébral et forment la pyram

. cas Schweigoffer, Fig. 122). Les dégénérescences des trois quarts moyens du pied du pédoncule cérébral sont, par contre,

tubérance au-dessus de l'émergence du nerf facial; 4, par la partie moyenne des olives bulbaires; : i, par la partie sous-oli

yramide (coupe 5) et le cordon antérieur homolatéral. - Cbr, région moyenne du pied du pédoncule cérébral dans laquelle les f

pyramide sont mélan- gées avec des fibres du pédoncule cérébelleux moyen . - Cp, le faisceau externe du pied du pédoncule

ntielle qui occupe la couche superficielle du pédoncule cérébelleux moyen gauche, entre en connexion avec une cellule (cll)

tinue avec une fibre de la couche profonde du pédoncule cérébelleux moyen gauche. - fb (coupe 4), fibre superficielle du co

|bulbaire. - Os, olive supérieure. - l'on, pé- doncule cérébelleux moyen . - Pes, pédoncule cérébelleux supérieur. - 7'o, p

croisaient avec celles du côté opposé au niveau du raphé du cerveau moyen puis se rendaient dans les noyaux des nerfs moteu

51). Outre le contingent strié qui occupait les parties interne et moyenne du pied du pédoncule cérébral ltig. 51, coupe 1

a couche profonde ou stratum intermedium des parties in- terne et moyenne du pied du pédoncule cérébral, puis descendaien

) D, dégénération secon- daire occupant environ les deux quarts moyens de l'étage inférieur du pédon- cule. - F. éta

escence ne peut être suivie au delà de la]protubérance; Un faisceau moyen , ou faisceau pyramidal, qui comprend au moins les

moyen, ou faisceau pyramidal, qui comprend au moins les deux quarts moyens de l'étage inférieur du pédoncule cérébral et rép

antérieure du pont à l'écorce occipito-temporale; 2° Le faisceau moyen (p), faisceau pyramidal, occupe dans la région pé

pyramidal, occupe dans la région pédonculaire infé- rieure le tiers moyen et dans la région pédonculaire supérieure, le tro

rales ; 4° Que le faisceau pyramidal occupe les trois cinquièmes moyens du pied du pédoncule cérébral. En 1894 et 189

èvre cal- carine du lobule lingual (sphère visuelle) ; 3° la partie moyenne de la première circon- volulion temporale (sphè

lobe temporo- occipital, le lobe pariétal et le précunéus; l'autre moyenne , localisée dans l'insula de Reil ; la troisième

icalité cérébrale possède des fibres de projection. Mais le secteur moyen de l'hémisphère envoie seul des fibres de project

nce rétrograde de la voie pédonculaire, en particulier de sa partie moyenne chez un homme de 44 ans, frappé à l'âge de 33 ans

ique de la capsule interne; dans la région thalamique inférieure et moyenne il n'existe plus de zone dégénérée distincte, m

seg- ment postérieur de la capsule interne, surtout dans sa partie moyenne . Le pied du pédoncule gauche, présente une peti

ent du noyau lenticulaire ayant sectionné dans la région thalamique moyenne la partie antérieure du segment postérieur de l

s chez un sujet mort il. l'âge de 84 ans. Plaque jaune de la partie moyenne des cir- convolutions frontale et pariétale asc

entimètre d'épaisseur. FiG. 57. - Coupe trans- versale de la partie moyenne du bulbe. ^Dégénérescence de la pyramide anté-

plégie cérébrale m- t'antilo gauche (pla- que jaune de partie moyenne des circon- volutions rolandiques droites san

e la voie pédon- culaire dans un cas de dégénérescence de la partie moyenne du pied du pédoncule cérébral. (Cas Bizaguet, v

frontale interne et anté- rieure (Fia), artère frontale interne et moyenne (Fim), artère frontale interne et postérieure (

colorées en rose. - Les branches de l'artère sylvienne ou cérébrale moyenne : artère frontale inférieure (Fi), artère frontal

Pi), artère du pli courbe (Pc), artères temporales antérieure (Ta), moyenne (Tm) et postérieure (Tp) sont colorées en bleu.

tère occipito-temporale antérieure (OTa), artère occipito-temporale moyenne (OTm), artère calcarine (K) sont colorées en ve

Z3ztrdacJt et de Goll; sur les pédoncules cérébelleux supérieur et moyen ; sur les noyaux moteurs et sensitifs des nerfs

ubstance grise centrale du troisième ventricule ; dans le cer- veau moyen et le rhombencéphale : la formation réticulée et

oire vasculaire de l'artère sylvienne et des branches antérieure et moyenne de l'artère cérébrale antérieure (Fig. 65 et 79).

locus niger et la Fic. 73 et 74. - Cas Pradel. Région pédonculaire moyenne et inférieure. - Dégéné- rescence complète du p

gauches. Atrophie indirecte des pédoncules cérébelleux supérieur et moyen droits et hémi-atrophie de la calotte gauche. M

as Pradel. Quatre coupes de moelle des régions cervicale, dorsale moyenne , dorsale inférieure et lom- baire. Dégénéresc

re frontale interne et antérieure (Fia), artère frontale interne et moyenne (Fim), artère fron- tale interne et postérieure

ère temporo-occipitale antérieure (OTa), artère temporo- occipitale moyenne (OTm), artère calcarine (K), ou Lemporo-occipital

verbale pure. - Coupe horizontale passant par la région thalamique moyenne , intéressant le segment antérieur (Cia), le genou

bercule quadrijumeau antérieur (BrQa), des fibres superficielles et moyennes de ce tubercule et de la substance grise centrale

ondaires sur une coupe vertico-transversale pas- sant par la partie moyenne du cunéus. La plaque jaune a détruit la moitié

bercule quadrijumeau antérieur (BrQa), des couches superficielle et moyenne de ce tubercule et du pilier antérieur du trigo

Pul), du corps genouillé externe (Cge) des couches superficielle et moyenne du tubercule quadrijumeau antéueur (Qa), des pi

u LI PI, courbe. Coupe horizontale passant par la région thalamique moyenne . Dégénérescence des couches sagittales externe

un peu oblique en bas et en dehors passant par la région thalamique moyenne de la capsule interne : 1° dégénérescence des cou

l inférieur. - Coupes horizontales passant par la région thalamique moyenne de la capsule interne (Fig. 102), la partie infér

amide bulbaire (Py) et la zone dégénérée occupe toujours le segment moyen de la couronne rayonnante, le segment postérieur

cérébral le deuxième cinquième externe. Dans les lésions de la partie moyenne des circonvolutions pariétale et frontale ascen

t postérieur de la capsule interne - comme du reste dans le segment moyen de la couronne rayonnante, - les fibres cortico-

e la région thalamique et s'ir- radient dans les tiers supérieur et moyen du thalamus. Les fibres cortico-protubé- ·antie

- zontales passanl par la partie supérieure (Fig. 107) et la partie moyenne (Fig. 108) de la région tlialamique de la capsu

infé- rieure (Fig. 111) du pied du pédoncule cérébral et la partie moyenne du bulbe (Fig. 112). Dégénérescence du deuxième

p- sule interne, du noyau externe du thalamus, du cin- quième moyen du pied du pédoncule cérébral et du locus n

nte à la dégénérescence capsulaire. Dégénérescence du cin- quième moyen du pied du pédoncule cérébral et du locus niger

dégénérescences secondaires occupent la partie postérieure du segment moyen de la couronne rayonnante, et pénètrent dans la

omme dans les cas précédents, la dégénéres- cence occupe le segment moyen de la couronne rayonnante (pCR), le segment lenti

que dans les cas précédents. Elle occupe, dans la région thalamique moyenne (Cig.4), la partie du segment lenticulo-optique

gment antérieur de la capsule interne (Cia) dans la région thalamique moyenne forme le faisceau géniculé et occupe le genou (

re (Fig. 65, p. 99). Les lésions du lobe pariétal (artère cérébrale moyenne ), lorsqu'elles atteignent le lobe temporal, s'éta

uit la face externe du lobe occipital et les parties postérieure et moyenne des 2e et 3 cir- convolutions temporales (Fig.

sur la face inféro-interne de l'hémis- phère au niveau de la partie moyenne du lo- bule fusiforme, mais n'intéresse ni le c

le de fibres saines correspon- dant aux fibres saines du faisceau moyen de la voie pédonculaire. Méthode de Weigert.

les passant par les régions thalamiques supérieure (fin.130) et moyenne (Fig. 131). La plaque jaune (Ram a) a section

ck. Il démontre que lorsque dans la région thalamique supérieure et moyenne la zone dégénérée occupe le segment rétrolentic

en outre une particularité intéressante. Dans la région thalamique moyenne (Fig. 131) on voit, en effet, un faisceau sain se

une n'intéressant que le lobe temporal, et en particulier la partie moyenne des deuxième et troisième circonvolutions tempora

é- bral consécutive a une plaque jaune oc- cupant les parties moyenne et posté- rieure des deuxième et troisième ci

chez un homme mort à l'Age de 6 ans. - Plaque jaune des parties moyenne et postérieure des deuxième et troisième circon

euxième et troisième circon- volutions temporales et de la partie moyenne de la première temporale. Dégénérescence du s

coupe des pyramides anté- rieures du bulbe passant par la région moyenne des olives bulbaires. Méthode de Weigert 2/1

eçoit du lobe temporal des fibres qui relient la région temporale moyenne les unes, à la pointe temporale, les autres à

165 à 173) empiètent en général sur la partie antérieure du segment moyen de la couronne rayonnante; celles qui siègent à l

tie interne du pied du pédoncule cérébral. Lorsque c'est le segment moyen de la couronne rayonnante qui est con- jointeme

s Séjalon, Fig. 182; cas Carré, Fig. 188); les lésions de la partie moyenne du segment postérieur de la capsule interne (Cip)

ent postérieur de la capsule interne (Cip) font dégénérer la partie moyenne du pied du pédoncule cérébral (cas James, Fig.

triculaire au-dessus du noyau caudé, sectionne les pieds des segments moyen et antérieur de la couronne rayonnante et détru

'opercule sylvion sectionnant le pied des segments anté- rieur, moyen et pos- térieur do la cou- ronne rayonnante.

n'est toutefois pas complète et l'on ren- contre dans le segment moyen ,comme dans les segments antérieur et posté- r

opercule sylvien droit (Fig. 142). Section des pieds des segments moyen et antérieur de la couronne rayonnante (Fig. 14

ent, sur les coupes sériées, être suivies dans les tiers interne et moyen du pied du pédoncule cérébral (P) (Fig. 150) et s

lésion sous- corticale qui a sectionné les seg- ments antérieur, moyen et posté- rieur de la couronne rayonnante san

audé. Remar- quer les quelques rares fibres respectées du segment moyen de Cas Rivaud. Hé- miplégie cérébrale infan

'opercule sylvien sectionnant le pied des segments anté- rieur, moyen et pos- térieur do la cou- ronne rayonnante.

'opercule sylvien sectionnant le pied des segments anté- rieur, moyen et pos- térieur de la cou- ronne rayonnante.

'opercule sylvien sectionnant le pied des segments anté- rieur, moyen et pos- teneur do la cou- ronne rayonnante.

'opercule sylvien sectionnant le pied des segments anté- rieur, moyen et pos- terieur de la cou- ronne rayonnante.

152. - Cas Rivaud. Coupe transversale du bulbe passant par la région moyenne des olives bulbaires. Agénésie complète de la p

'opercule sylvien sectionnant lo pied des segments anté- rieur, moyen et pos- térieur de la cou- ronno rayonnante.

'opercule sylvien sectionnant le pied des segments anté- rieur, moyen et pos- terieur de la cou- ronne rayonnante.

u de Ticrch (FT), soit les rares fibres saines des tiers interne et moyen , s'épuisent toutes dans la substance grise antéri

'operculo sylvien sectionnant le pied des segments anté- rieur, moyen et pos- térieur de la cou- ronne rayonnante.

percule s3 Ivicii sectionnant le pied des segments anté- rieur, moyen et pos- térieur de la cou- ronne rayonnante.

atrophie secondaire des pédoncules cérébelleux supérieur (l'cs) et moyen (Fig. 150 à 9 : ;1); l'atrophie du ruban de Reil

'opercule sylvien sectionnant lo pied des segments anté- rieur, moyen et pos- térieur de la cou- ronne rayonnante.

rtie externe de l'espace perforé antérieur, les segments externe et moyen du noyau lenticulaire, le tronc du noyau caudé,

t en dedans, passant par la partie supérieure (Fig. 165) et la partie moyenne (Fig. 166 et 167) de la région thalamique de la

é- rieur de la capsule interne. Dégénéres- cence de la partie moyenne du pied du pédoncule. Intégrité partielle du

é- rieur de la capsule interne. Dégénéres- cence de la partie moyenne du pied du pédoncule. Intégrité partielle du

é- rieur de la capsule interne. Dégénéres- cence de la partie moyenne du pied du pédoncule. Intégrité partielle du

é- rieur de la capsule interne. Dégénéres- cence de la partie moyenne du pied du pédoncule. Intégrité partielle du

ieur de la capsule interne (Cip) dans les parties supérieure el moyenne de la région thalamique; une dégé- nérescence

des noyaux externe et interne du thalamus (Ne, Ni). Dans la partie moyenne et inférieure de la région thalamique, de gros fa

eure du segment antérieur et des deux tiers antérieurs du segment moyen de la couronne rayonnante, on peut se demander

et le sillon pédonculo- protubérantiel. Dégénérescence de la région moyenne du pied du pédoncule cérébral, conservation par

é- rieur de la capsulo interne. Dégénéres- cence de la partie moyenne du pied du pédoncule. Intégrité partielle du

aisceau interne du pied du pédoncule (Voy. p. 73). Dans les parties moyenne et inférieure de la région thalamique, de nombr

la lésion de déficit (porencéphalie super- ficielle) de la partie moyenne de la cir- convolution pariétale ascendante. Ce

s le pre- mier cas (Racle) il existe une dégénérescence des parties moyenne et interne du pied du pédoncule cérébral avec i

177). Dégénérescence du bras (BrQa) et des couches superficielle et moyenne du tubercule quadrijumeau anté- rieur. Dégénére

terne du pied du pédoncule avec intégrité des fibres de sa partie moyenne . Le pied du pédoncule de Cogery représente en

trois lésions : une petite lésion corticale inté- ressant la htutie moyenne de la circonvolution pmiélale ascendante et deux

al : Fig. 178, 179, 180. - Cas Cogery. Coupes passant par la partie moyenne de la protu- bérance et les parties moyenne et

s passant par la partie moyenne de la protu- bérance et les parties moyenne et inférieure du bulbe. 1° Dégénérescence très

rale de l'extrémité antérieure de la couche oplique et de la pailie moyenne du globus pallidus, qui sectionne le segment post

cupe le thalamus (Fig. 186) et sectionne, dans la région thalamique moyenne , la partie postérieure du segment pos- lu ieur

ns le cas James (Fig. 183 à 185), la lésion centrale occupe la partie moyenne du segment postérieur delà capsule interne et d

ution postérieure de l'insula. La dégé- nérescence occupe la partie moyenne du pied du pédoncule cérébral (Fig. 181), et la

- rieur de la capsule intenre ; dégénéres- cence de la partie moyenne du pied du pédoncule. Fig. 181 et 182. Cas Sé

ule. Fig. 181 et 182. Cas Séjalon. Lésion centrale de la partie moyenne du globus pallidus et de l'extrémité antérieure

oite. Foyer du putamen détruisant le globus pallidus et la partie moyenne du segment postérieur de la capsule interne.

t postérieur de la capsule interne. Dégénéres- cence de la paitie moyenne du pied du pédoncule cérébral, dégénérescence pre

nne antérieure : 1° lésion du globus pallidus sectionnant la partie moyenne du segment postérieur de la capsule interne. 2° L

et de la commissure antérieure (coa), Foyer primitif dans la partie moyenne du pied du pédoncule. Conservation relative du

tère choroïdienne anté- rieure. L'une sec- tionne la a partie moyenne du segment postérieur de 1 a capsule interne

capsule interne et entraîne une dégé- nérescence de la par- tie moyenne du pied du pédoncule, l'autre occupe le segme

teie e choroidienne anté- rieure. L'une sec- tionne la partie moyenne du segment postérieur de la capsule interne e

capsule interne et entraîne une dégé- nérescence de la par- tie moyenne du pied du pédoncule, l'autre occupe le segme

du pédoncule cérébral et a entraîné une dégénérescence de la partie moyenne du pied du pédoncule et du locus niger, pouvant

nt postérieur de la capsule interne (Cip) ; à gauche, par la partie moyenne du thalamus et du segment postérieur de la caps

ébral (P), le noyau amygdalien (NA), le corps de Luys (CL), la partie moyenne du thalamus (Th) et du segment postérieur de la

ssant, par les tubercules quadrijumeaux postérieurs (Qp), la partie moyenne de la protubérance (Po), l'émergence du trijumeau

Elles existent FiG. 210. - Cas Longery. Coupe passant par la partie moyenne des olives bulbaires. Agénésie complète des pyr

édian de Luys. Le cervelet et ses pédoncules cérébelleux supérieur, moyen et inférieur, paraissent nor- maux. Les fibres

lution frontale, la deuxième circonvolu- tions pariétale, la partie moyenne du .obe temporal, la partie externe de la circonv

ème circonvolution frontale, la pointe et les parties antérieure et moyenne du lobe temporal. Elle est, en réalité, beaucoup

u manteau cérébral. Il diminue seulement d'épaisseur dans la partie moyenne de la convexité, en même temps que le pied s'él

233. - Cas Richard. Coupe transversale du bulbe passant par la partie moyenne des olives. Agénésie totale des pyramides antér

ble ou motrice du cerveau occupe la partie sus-sylvienne du secteur moyen de l'hémisphère cérébral; elle comprend par con

ons frontale et pariétale et, d'après Horsle3 et Schafer, la partie moyenne de la première circonvolution limbique. Elle co

i du membre supérieur est le plus vaste : il occupe les deux quarts moyens des circonvolutions rolandiques, s'étend en arr

situé sur la circonvolution frontale ascendante, l'union des tiers moyen et supérieur de l'aire faciale, au niveau du geno

ésions destructives, compres- sives ou traumatiques des deux quarts moyens des circonvolutions rolandiques. Elles peuvent

cale par lésion bilatérale de l'oper- culc rolandiquc. du tiers moyen et du tiers inférieur du sillon de Rolando; à gau

tiers inférieur du sillon de Rolando; à gauche, à l'union du tiers moyen et du tiers supérieur de ce sillon. Disposition r

opercule rolandique, et remontant' en s'atténuant jusqu'à la partie moyenne de la région rolandique. Dans les derniers mois d

paule, - lorsqu'on excite les régions inférieures. Dans les régions moyennes , le mouvement commence par une des ai ticulations

es régions moyennes, le mouvement commence par une des ai ticulations moyennes ; par le poignet, lorsqu'on applique les électro

in, dissocient dans le centre des mouvements des yeux un territoire moyen dont l'excitation détermine la déviation conjug

ent postérieur. Sur les coupes qui intéressent la région thalamique moyenne et le globus pallidus, la zone excitable empiète

i apparaît à peu près à l'union des régions thalamiques supérieure et moyenne , s'ac- croît rapidement à mesure que l'on desce

degré de l'hémiplégie et celui de l'hémianesthésie. Une hémiplégie moyenne ou très peu accusée pourra s'accompagner d'une an

auteurs s'accordent pour localiser le centre auditif dans la partie moyenne de la première circonvolution temporale (Fig. 247

ons bilatérales des lobes temporaux, et en particulier de la partie moyenne de ces lobes. Nous disons la partie moyenne, car

articulier de la partie moyenne de ces lobes. Nous disons la partie moyenne , car il est aujour- d'hui bien démontré que la

t inti- mement unis entre eux par des fibres d'association courtes, moyennes et longues, en particulier par le faisceau long

he et droite. - NC, noyau caudé. - NL3, NL2 les segments externe et moyen du noyau lenticulaire. Pc, Pc', plis courbes ga

p. 128) et par la physiologie expérimen- tale que le deuxième quart moyen de Cip correspond à la région rolandique moyenn

ue le deuxième quart moyen de Cip correspond à la région rolandique moyenne , - centre du membre supérieur, - et que le troisi

moyenne, - centre du membre supérieur, - et que le troisième quart moyen correspond à la région rolandique supérieure, -

stait une lésion en foyer du volume d'un haricot occupant la partie moyenne de Cip. Quant aux monoplégies cl'urales par lés

ntense du membre inférieur que dans les cas de lésions de la partie moyenne de Cip, se traduisant par une hémiplégie ordina

ieur du segment postérieur (Cip) est lésé dans la région thalamique moyenne de la capsule interne, il n'existe aucun trouble

et du thalamus, siégeant dans les régions thalamiques supérieure ou moyenne de la capsule interne, n'a produit qu'une hémip

pour la plupart les cylindres-axes des cellules mitrales, petites, moyennes et géantes du bulbe olfactif, renforcés par un

qui, prenant leur origine dans les cellules pyramidales petites et moyennes du tubercule olfactif, relieraient celle région

bulbe olfactif. Elles naissent des cellules pyramidales petites et moyennes de la substance grise du pédoncule et du tubercul

Il s'irradie ensuite dans le ganglion de l'habenula et dans la partie moyenne et interne du thalamus, et unit par conséquent

FiG. 255. Les radiations strio-thalamiques de la région thalamique moyenne et le contingent thalamique du tamia semicircul

la couche optique. - Lme, lame médullaire externe. - \'G2, segment moyen du noyau lenticulaire. - or, orifice vasculaire

s circonvolutions aux régions basales des cerveaux intermédiaire et moyen (tubercule mamillaire, région sous-optique, cal

. - Rm, ruban de Reil. - SI ? , formation réticulée. - Slrm, couche moyenne . - Slrp, couche profonde. - Sirs, couche superfic

si, fibres du septum lucidum ou fibres perforantes de la par- tie moyenne du tronc du corps calleux. - il, lame névrogliq

ure. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 281 1 du tiers moyen (Fig. 262) du corps calleux n'entrent pas en conn

s séparent le septum lucidum et les fibres perforantes de la partie moyenne du tronc du corps calleux. Au niveau du tiers ant

ux. Il est renforcé en outre par les fibres perforantes des parties moyenne et antérieure du corps cal- leux. Toutes ces li

n de l'hippocampe. Coupe vertico-transversale passant par la partie moyenne de la couche optique. La dégénérescence intéres

tal le long de la voûte de la corne sphé- noidale jusqu'à la partie moyenne du noyau amygdalien où elles changent de directio

beaucoup de netteté depuis le tubercule olfactif jusqu'à la partie moyenne de la commissure antérieure (Fig. 271). Le tape

eint presque en avant l'extrémité antérieure du thalamus et la partie moyenne du tronc du corps calleux. Il l'orme la paroi i

n interne conlient des cellules triangulaires ou étoilées de volume moyen , mesurant 20 à 30 y-, et réunies en petit amas (F

es tantôt étoilées, tantôt triangulaires, fusiformes ou ovoïdes, de moyenne et de petite tailles, munies de plusieurs dendr

omplexe et très enchevè- trée. A côté de ces nombreuses cellules de moyenne et petite taille, on trouve irrégulièrement dis

de l'homme, Külliher a décrit en outre des cellules de petite ou de moyenne dimension à corps cellulaire poli[ et grêle, rema

ne et de là aux amas ganglionnaires des cerveaux inter- meaiaire, moyen , postérieur, etc., etc. (fibres cortico-thalamiqu

psule interne sur des coupes horizontales pas- sant par les parties moyenne ou inférieure du thalamus (Fig. 295, RGp), il e

sement de la substance blanche sous-corticale placée sous la partie moyenne des circonvolutions rolandiques, et sous la parti

capsule interne (Cip Fig. 283 et 284); une dégénérescence du tiers moyen en [particulier du 3° cinquième externe du pied

22 jours, relevant d'une lésion sous-corticale qui occupe la partie moyenne des circonvolu- lions rolandiques et la premièr

nt posté- rieur de la capsule interne (Fig. 283 et 284), du tiers moyen du pied du pédoncule et du pes lemniscus profon

, partie posté- rieure Cip, Pul, Ne. Nm, Cgi, Cge, BrQa, partie moyenne du pied du pédoncule, pes lemniscus pro- fo

artie posté- rieure Cip, Pul, Ne, ¡\111, Cgi, Cge, BrQa, partie moyenne du pied du pédoncule, pes lcmmscus pro- fon

miques, externe, interne et antérieur. Dans les régions thalamiques moyenne .(Fig. 287) et inférieure (Fig. 288), la dégénéres

io-luysiennes. Coupes horizontales passant par la région thalamique moyenne (Fig. 287), la région thalamique inférieure aux c

rel. Connexions du corps strié avec les cerveaux intermédiaire et moyen . Le corps strié est relié aux cerveaux intermédia

et moyen. Le corps strié est relié aux cerveaux intermédiaire et moyen par à un volumineux système de fibres d'une valeu

connexions du corps strié avec les cerveaux intermé- diaire et moyen . Leur importance phylogénétique. Le faiscea

envoyer des fibres de projection dans les cerveaux intermédiaire et moyen à travers le ganglion basal; la capsule interne

erminent dans les amas ganglionnaires des cerveaux intermédiaire et moyen . Aucune fibre ne descend dans la protubérance ou

302 et 303). Sur les coupes horizontales qui intéressent les tiers moyen et infé- rieur de la couche optique (Fig. 291,

mineux encore que ceux du putamen et convergent tous vers la partie moyenne du segment postérieur de la capsule interne (Cip)

enliculaire (Cirl) et dans le sens vertical de la région thalamique moyenne à la limite inférieure de la région sous-tha- l

postérieur et rétrolenticulaire de la capsule interne et la partie moyenne du thalamus. Méthode de Weigert. -'r/1 gran- de

oins étendues; l'exlerne (lme') cloisonne incomplètement le segment moyen du noyau lenticulaire (Fig. 43, p. 63; Fig. 47, p

sent le segment postérieur de la capsule interne dans les par- tics moyenne el inférieure de la région thalamique et s'irradi

euses sur les coupes horizontales sériées qui sectionnent la partie moyenne du thalamus (Fig. 91), mais deviennent d'autant p

nt au cas Rivaud est très démonstrative à cet égard. Dans la partie moyenne de la région thalamique (Fig. 293), les radiati

t les radia- tions strio-thalamiques (Rsth) de la région thalamique moyenne , dans un cas d'hé- miplégie cérébrale infantile

riculaire. Cet auteur y distingue néanmoins trois parties (dorsale, moyenne et ventrale), correspondant à nos trois groupes d

e siège de la lésion : ainsi les lésions de la partie supérieure et moyenne du noyau lenticulaire (domaine des artères lent

io-thalamiques tireraient leur origine de la partie supé- rieure et moyenne du corps strié, tandis que l'anse lenticulaire re

interne (Cip) (Fig. 296 et 297) pouvant être suivie dans la partie moyenne du pied du pédoncule céré- bral (Fig. 299 et 30

périeure do la a couclio optique. Dé- générescence do la partie moyenne do Cip et du pied du pédoncule. Degene- res

supérieure de la couche optique. Dé- générescence de la partie moyenne de Cip et du pied du u pédoncule. Dégéne- r

liques parallèles à la bandelette optique passant par les par- ties moyenne (Fig. ? 9G) et inférieure (Fig. 297 et 298) de la

sant par la région sous-thalamique. Dégénérescence de la partie moyenne du pied du pédoncule (P), du lo- cus niger (L

nnent que quelques rares grains isolés. Dégénérescence de la partie moyenne du pied du pédoncule cérébral, qui, dans la r

supérieure de la couche optique. Dé- générescence do la partie moyenne de Cip et du pied du pédoncule. Dégéné- res

périeure du thalamus. Il existe enfin une dégénérescence de la partie moyenne du pied du pédoncule (P), du locus niger (Ln) e

ous avons pu suivre cette dernière dégénérescence jusqu'à la partie moyenne de la calotte pédonculaire sans pouvoir toutefo

utions frontale et pariétale ascendantes, qui sec- tionne la partie moyenne du segment postérieur de la capsule interne et en

e thalamus. Cette lésion a entraîné une dégénérescence de la partie moyenne du segment postérieur de la capsule interne (Fig.

um et entourés d'une zone de dégénérescence qui s'étend à la partie moyenne et postérieure du noyau externe du thalamus, et a

ous-corticale des circonvolutions rolandiques et section du segment moyen de la couronne rayonnante. Dégénérescence de la p

egment moyen de la couronne rayonnante. Dégénérescence de la partie moyenne du seg- ment postérieur de la capsule interne;

dcs cir- convolutions rolandi- fines ayant sectionné le segment moyen do la couronne rayon- nante. Dégénércs- cen

en do la couronne rayon- nante. Dégénércs- cence de la partie moyenne du segment postérieur de la cap- sule interne

al des circonvo- lutions rolandiques ayant sectionné le segment moyen de la couronne rayon- nante. Dégénéres- cen

en de la couronne rayon- nante. Dégénéres- cence do la partie moyenne du segment postérieur de la cap- sule interno

lamique et la région sous-thala- mique. Dégénérescence de la partie moyenne du segment postérieur de la capsule interne (Ci

07. - Cas Gardette (Salpêtrière, 189G). Dégénérescence de la partie moyenne du pied du pédoncule cérébral et du locus niger (

ortical des circonvolutions rolandiques, ayant sectionné le segment moyen de la couronne rayonnante. Dégénérescence vitre

en de la couronne rayon- nante. Dégénéres- cence do la partie moyenne du segment postérieur dola cap- sule interne

al des circon- volutions rolandiques tfant sectionne le segment moyen de la couronne rayon- nante. Dégénéres- cen

en de la couronne rayon- nante. Dégénéres- cence de la partie moyenne du segment postérieur de la cap- sule interne

9. -- Cas Gardette (Salpêtrière, 189G). Dégénérescence de la partie moyenne du pied du pédoncule cérébral (P, I), du locus ni

corticale des circonvolutions rolandiques ayant sectionné le segment moyen de la couronne rayonnante. Dégénérescence de

a moelle épinière. Les plus volumineuses mesurent de 43 à 60 u, les moyennes et petites de 30 à 20 et 15 jj.. Du corps cellula

e d'arborisation dendritique (A, Fig. 318). Ce sont des cellules de moyenne et petite dimen- sions(25a 45 IL) à corps globu

u près dans le plan ver- tico-transvcrsal de la commissure molle ou moyenne (com). 11 aborde le noyau antérieur par sa part

démarcation appréciable (Fig. 21, p. 31). Dans la région thalamique moyenne (Fig. t3, p. 63), la limite entre ces deux noya

psule et le noyau externe du thalamus, dans les régions thalamiques moyenne et inférieure. Centre médian de Luys (Nm), (Fig

brale et avec la région de la calotte. Dans sa partie supérieure et moyenne s'irradient de nombreuses fibres radiées qui trav

segment postérieur de la capsule interne et proviennent des parties moyennes et supérieures des circonvolutions rolandiques et

ieurs du thalamus. Les coupes horizontales qui passent par le tiers moyen de la couche optique montrent qu'elle n'atteint

re de la lame médullaire interne correspondu la commissure molle ou moyenne (com)à laquelle elle envoie de nombreuses fibres.

issance à une lamelle médullaire supplémentaire, la lame médullaire moyenne qui limite le noyau semi-lunaire de Flechsig (N

psule interne (Cia, Ci(g), Cip, Cisl). Elles proviennent du secteur moyen de l'hémisphère cérébral, en particulier des ci

e le corps strié ; : ! avec la région de la calotte. Le secteur moyen de l'hémisphère représente donc la zone corlicale

h) (Fig. 47, p. 69), faisceau volumineux qui occupe les deux quarts moyens du noyau externe, et qui se continue dans la ré

une petite lamelle médul- laire supplémentaire, la lame médullaire moyenne (Lmm), le sépare du faisceau thalamique de Fore

ique et sous-thalamique et sectionnant les commissures postérieure, moyenne et antérieure. - Méthode de Weigert (voy. des-

u- lenticulaire. - lnaé', lame médullaire supplémentaire du segment moyen du noyau lenticulaire (NL,). - Lmi, lame médull

de la zone visuelle et s'irradient dans les régions inférieures et moyenne du pulvinar. Comme le stratum zonale du pulvina

n terminale aplatie. -13. fibres optiques se ramifiant dans l'étage moyen . - C et D, fibres optiques pourvues d'une arboris

out des fibres thalamo-corticales; v. Kôl- liker, adoptant un terme moyen , soutient que le pulvinar et le corps genouillé

rieur (Na) et la zone réticulée (Zr) ; dans les régions thalamiques moyennes et inférieures la dégénérescence se cantonne dans

nexions de la couche optique avec le rhombencéphale et le cer- veau moyen . La couche optique envoie peu de fibres dans le r

e la capsule du noyau rouge, s'irradie dans la partie antérieure et moyenne du thalamus. Les radiations de la calotte (nC) se

, et croisée. Connexions de la couche optique avec le cerveau moyen , situé à la partie postérieure et ventrale du n

inar, la couche optique entre en outre en connexion avec le cerveau moyen . Le bras du tubercule quadrijumeau postérieur (

ssure postérieure. Située à la limite des cerveaux intermédiaire et moyen , dans la lame repliée qui unit les tuber- cules

ure postérieure sont transversales et paral- lèles dans leur partie moyenne , située en arrière et au-dessus de l'aqueduc de

NFHACORTICAUX : COUCHE OPTIQUE. 311 -i rhombencéphale et le cerveau moyen , en particulier avec la formation réti- culée d

ganglion homologue du côté opposé et à la moitié opposée du cerveau moyen . Con- sidérée par Kôlliker comme une commissure

olfactives du cerveau. Mais le plus grand nombre se rend au cerveau moyen , les unes s'arrêtant dans le toit du cerveau moye

rend au cerveau moyen, les unes s'arrêtant dans le toit du cerveau moyen , en particulier dans le tubercule quadrijumeau

déprimée (fossette du conarium, Charpy), qui appartient au cerveau moyen et termine en haut le sillon sagittal médian des

qui comprend de haut en bas : 1° La région sous-optique; 2° L'étage moyen ou calotte du pédoncule cérébral; 3° L'étage po

e ouvert en bas et en avant et dont le sommet correspond au cerveau moyen , à la coudure du vertex du cerveau embryonnaire

andis que les coupes vertico-transversales qui passent par le tiers moyen de la couche optique (depuis la commissure postér

erne et le noyau externe du thalamus; 4° avec les lames médullaires moyenne et interne du thalamus et le noyau semi-lunaire

dépasse pas le plan vertico-trans- versal de la commissure molle ou moyenne (Fig. 312, 2 et 324); il fait corps avec la lam

aire externe, du noyau externe, et des lames médullaires interne et moyenne qui délimitent le noyau semilunaire de Flechsig

es plus grandes dimensions sur les coupes qui passent par la partie moyenne des tubercules mamillaires (Fig. 321.), Corps d

ous l'aspect d'un corps ovalaire en contact immédiat avec la partie moyenne du segment postérieur de la capsule interne (Fig.

48) et atteint ses plus grandes dimensions au-dessous de la partie moyenne de la com- missure antérieure, sur les coupes q

d au plan horizontal qui passe au-dessous de la commissure molle ou moyenne . Le bord interne, situé à la hauteur de la partie

des ventricules latéraux et la substance grise centrale du cerveau moyen . Elle fait défaut au niveau de la paroi antérieur

laire ou perforée postérieure qui appar- ient en réalité au cerveau moyen , puis tapisse la face profonde des tuber- cules

èle dans la substance grise cenlrale de nombreuses fibres fines, de moyen et de gros calibre, dont beaucoup appartiennent

s toute la hauteur du tronc encéphalique; le plancher du ventricule moyen n'est en effet que le raphé des cerveaux moyen

ancher du ventricule moyen n'est en effet que le raphé des cerveaux moyen et intermédiaire étiré en lame par la divergenc

p de Forel du côté opposé. Les fibres luysiennes occupent la partie moyenne de la commissure sous-thalamique postérieure. A

a bandelette optique, puis pénètre entre les faisceaux de la partie moyenne du pied du pédoncule cérébral (Voy. T. 1er, Fig.

26). Meynert, Forel, Gudden n'ont pu la suivre au delà de la partie moyenne du pied du pédoncule cérébral; Darkschewitsch e

is aux centres homologues du côté opposé et à la calotte du cerveau moyen par des systèmes distincts de fibres commissurale

missure antérieure (Rolp, 1, Fig. 327) ; ils sont reliés au cerveau moyen par le système du ganglion de l'habenula (Gh) : f

courent à former le tænia, thalami puis s'arborisent dans la partie moyenne du thalamus et dans le ganglion de l'habenula (

antérieur et se terminent dans la substance grise superficielle et moyenne de ce tubercule. Segment postérieur ou intra-cé

mbreuses (de 400 à 500 000 : Salzer, Krause) et fines, mesurent les moyennes 2 IL de diamètre, les plus grosses 5 il 10 p.; ou

e immédiatement en avant du chiasma. La coupe 5 passe par la partie moyenne du chiasma; les coupes G et 7 intéressent la pa

les coupes G et 7 intéressent la partie antérieure (6) et la partie moyenne (1) de la bandelette optique. - La hauteur de c

elle est située en arrière des hémisphères cérébraux et du cerveau moyen souvent très développé. Sur l'encéphale extra

ermiforme, pro- cessus vermiformes, et à sa situation celui du lobe moyen du cervelet. (Vs, Vi, Fig. 331, 332, 338, 339,

'étage antérieur de la protubé- rance et les pédoncules cérébelleux moyens font défaut; chez les vertébrés inférieurs, poi

plissée. Au point de vue phylo- génétique et ontogénétique, le lobe moyen ou vermis représente en effel la partie primiti

et sail- lante, le vermis supérieur (Vs) ou face supérieure du lobe moyen du cer- velet, et deux parties latérales obliqu

scrit, situé à la partie antéro-inférieure du pédoncule cérébelleux moyen et connu sous le nom de flocculus (Floc), de lo

sillon marginal antérieur (sma), qui loge le pédoncule cérébelleux moyen et sur lequel s'implantent à angles plus ou moi

NERVEUX. giilièrenient arrondie du volumineux pédoncule cérébelleux moyen (Pcm), adhérant en haut au pédoncule cérébelleu

dans au pédoncule cérébelleux inférieur. Les pédoncules cérébelleux moyens séparent le diverticule latéral du quatrième vent

rieur, mais beaucoup plus petite que celle du pédoncule cérébelleux moyen . Elle esl ovalaire, aplatie de haut en bas et p

eur. - l'ci, pédoncule cérébelleux inférieur. - pédoncule cérébelleux moyen . - 1'11'" diverticule latéral du il ventricule.

hémisphérique (Fig. 335). Dans le lobe supérieur (LS), la région moyenne ou vermienne (V) est intimement soudée dans tou

ble. Les lamelles se portent directement d'un pédoncule cérébelleux moyen à l'autre, el éprouvent à peine de chaque côté

he cen- trale du cervelet, et d'être plus profonds dans leur partie moyenne que dans leur parties hémisphériques (Fig. 338

rieurs et la partie correspondante des pédoncules céré- belleux moyens . Les coupes sagit- tales (Fig. 336) montren

la largeur de la lingula et s'é- tendent d'un pédoncule cérébelleux moyen à l'autre. Le bord supérieur est tapissé de lam

ngula et les freins de la lingula; la face pos- térieure du cerveau moyen et l'islhme postérieur de Ilis.- D'après Retziu

ngula.- Lig', freins de la lingula. - 7'cm, pédoncule cérébel- leux moyen . - l'cs, pédoncule cérébelleux supérieur. - Qa,

belleux supérieur et la partie postérieure du pédoncule cérébelleux moyen , auxquels la lingula envoie un certain nombre d

iques qui s'étendent en forme d'aile jusqu'au pédoncule cérébelleux moyen sur lequels ils s'implantent en formant les ail

on post-central. Le bord supérieur est libre et onduleux; sa partie moyenne est plus ou moins saillante suivant les sujets,

diaire d'une lamelle verticale unique, sur le pédoncule cérébelleux moyen . Tantôt les lamelles sont de longueur inégale e

ule (t, 4) occupe toute la largeur du cervelet et présente une partie moyenne et deux parties hémisphériques bien développées

érieur en rose. 13t, bourgeon terminal. - coin, commissure molle ou moyenne . - cop, commissure postérieure et sa striation

. C'est un lobe volumineux, remarquable par l'exiguïté de sa partie moyenne et le développement considérable de ses parties

le valvulaire ou des lames transversales inférieures dont la partie moyenne constitue le tubercule postérieur el dont les par

rs les deux lobes semi-lunaires, le sépare du pédoncule cérébelleux moyen qu'il n'atteint pas. En dedans, il présente d

du sillon supérieur (ssV) dont le sépare le pédoncule céré- belleux moyen . Le fond du sillon inférieur est souvent tapissé

plus ou moins régulières, et sont souvent profonds dans leur partie moyenne , et super- ficiels à leurs extrémités (Fig. 33)

le des hémisphères et empiète en avant sur le pédoncule cérébelleux moyen (Fig. 316 et 116). IV. LOBE 1\llslt0-I\TER\E. L

raux du versant supérieur du 4' ventricule. - pédoncule cérébelleux moyen . Pyc, pyramide de Malacarne. - sma, sillon margin

et relativement épais à la face inférieure du pédoncule cérébelleux moyen (Fig. 437). Le Ilocculus constitue le plus peti

s lamelles profondes, sessiles, adhérentes au pédoncule cérébelleux moyen , et connues sous le nom de flocculus accessoire,

- Pci, pédoncule cérébelleux inférieur. - Pain. pédoncule cérébelleux moyen . "ll'" diverticule latéral du 4" ventricule. se

E DU RHOMBENCÉPHALE. 479 pédicule adhérant au pédoncule cérébelleux moyen ; en dedans, elles s'im- plantent sui un épais

d'une masse fusiforme, oblongue ou rhomboïdale, épaisse à sa partie moyenne qui se prolonge dans le cervelet, effilée en bas

ue avec la moelle épinière et en haut où elle fait suite au cerveau moyen (Fig. 319). Sa limite supérieure est marquée : en

uvert en bas et en avant, et dont le sommet correspond au cer- veau moyen ; il n'est pas recliligne, son extrémité inférieur

ge en dehors dans le cervelet en formant les pédoncules cérébelleux moyens (Pcm, Fig. 333). Sur la ligne médiane elle prés

en dehors par l'émergence du trijumeau et le pédoncule cérébelleux moyen . Une ligne fictive qui unit l'émergence du trijum

rance proprement dite, située en dedans, des pédoncules cérébelleux moyens , situés en dehors. Le sillon médian mesure 2 à

nt un méplat ovalaire trans- versal. Le pédoncule cérébelleux moyen (Pcm) apparaît comme - un volumineux faisceau p

ceux qui sont voisins du sillon bulbo-protubérautiel, et faisceaux moyens , ceux qui passent au-dessous du trijumeau. Ces

ge le bord supérieur de la protubérance et du pédoncule cérébelleux moyen , et s'enfonce dans la masse blanche du cervelet

blanche du cervelet entre les pédoncules cérébel- leux supérieur el moyen . Malacarne le considérait à tort comme un nerf

la troisième paire; plus rarement on le voit surgir vers la partie moyenne du sillon protubérantiel supérieur, entre la pr

aire, médian et profond, le trou borgne de Vicq d'Azyr. A sa partie moyenne , ce sillon est le plus souvent interrompu par les

recouvertes par des fibres arciformes, elles mesurent à leur partie moyenne G à 8 millimètres de largeur, puis s'effilent en

rieure. - Il, pédoncule cérébral. - ! 'cm, pédoncule cérébelleux moyen . ! 'cs, pédoncule cérébelleux supé- rieur. - ]'

érébelleux supérieurs (Pcs) ; elle est située en arrière du cerveau moyen , au-dessus de la pro- tubérance dont la sépare

e région de chaque côté et la sépa- rent des pédoncules cérébelleux moyens (Pcm). Sa limite supérieure est consti- tuée

thme ou ruban de Reil latéral (RI), situé à cheval sur le cerveau moyen et l'isthme postérieur. La limite inférieure de

oncule cérébelleux, Fig. 331. - L'islhme postérieur et le cerveau moyen (face postéro-laté- rale). L'émergence du nerf

s, pédoncule cérébelleux supérieur. - l'cm, pédoncule cérébelleux moyen Tpo, t.enia pontis. - Il, nerf pathétique. Fa

uteus. - ? pied du pédon- cule cérébral. Pcm, pédoncule cérébelleux moyen . - F. pyramide postérieure. - Sir. ac, stries a

rébelleux supérieur, situé en dedans, et les pédoncules cérébelleux moyens , situés en dehors. Une ligne fictive passant par

u verrou. - Oc, olive cérébel- leuse. - l'em, pédoncule cérébelleux moyen . - l'lclel, plexus choroïdes transversaux du 4°

de la moelle épinière. Étroite en haut, elle s'élargit à sa partie moyenne , émet en arrière un diverticule angulaire, médi

ile blanche interne (apl, Fig. 355), s'élargissent dans la région moyenne du plancher où ils sont le plus souvent recouve

dans l'aqueduc de Sylvius avec les lames fondamentales du cerveau moyen . Deux sillons, les sillons latéraux (sulci limi

e par Schwalbe sous le nom de tubercule acoustique. Toute la partie moyenne de la zone acoustique est en général recouverte

ur ligne d'émergence qui peut occuper toute la hauteur de la région moyenne du plancher, le plus grand nombre des stries se

ule en trois régions transversales : 1° une région intermédiaire ou moyenne , ou région des stries acoustiques; 2° une régio

et présente : z10 un petit segment horizontal formé dans sa partie moyenne par la substance blanche du nodule, et dans ses p

base du pédoncule cérébelleux supérieur et du pédoncule cérébelleux moyen (Fig. 337) ; elle décrit ensuite une courbe à p

iques, grêle et semi-lunaire inférieur sur le pédoncule cérébelleux moyen . En dehors de cette ligne d'arrêt si nette, l'é

les uns extrinsèques forment les pédoncules cérébelleux supérieurs, moyens et infé- rieurs , émergent au niveau du hile du

et en dedans et se continue en avant avec le pédoncule cérébelleux moyen (Pcm, Fig. 358). De la périphérie de celle mass

u trijumeau, par l'olive cérébel- leuse et le pédoncule cérébelleux moyen . Le lobe supérieur est coloré en bleu, le lobe

externes. - Oc, olive cérébelleuse. - l'cm, pédon- cule cérébelleux moyen . Pchl V, plexus choroïdes du diverticule latéral

n avant avec le pédoncule cérébelleux inférieur (l'ci) puis avec le moyen , et dans son épaisseur apparaît l'olive cérébel-

és, dont l'interne et l'externe sont minces et longs, tandis que le moyen est épais et irrégulier. Noyaux dentelés access

C5, Fig. 361) et les coupes horizontales qui passent par sa partie moyenne et inférieure n'intéressent plus le bouchon.

entrale des hémisphères céré- belleux et les pédoncules cérébelleux moyens . Coupe horizontale passant au-dessous du noyau

ci, pédoncule cérébelleux inférieur. - Pem, pédoncule céré- belleux moyen . - Pes, pédoncule cérébelleux supérieur. - ssV, s

t se détachent les pédoncules cérébelleux. Le pédoncule cérébelleux moyen (Pcm) se forme surtout aux dépens du feu- trage

coupes H4, S 6, S 7, Fig. 396, 414, 415). Pédoncules cérébelleux moyens (Pcm), bras du pont, brachium pontis, processus

cessus ou entra cerebelli ad ponlem. - Les pédoncules céré- belleux moyens (Pcm) sont deux faisceaux épais et volumineux qui

à C5, Fig. 362 et 127 à 436) montrent que le pédoncule cérébelleux moyen (Pcm) ne forme pas dans la région protubérantie

o- baire. Pédonculos céré- belleux. Pédoncule ceré- belleux moyen et libres protubéran- tielles transversales.

ous le nom de Fig. 36 ? . - Les pédoncules cérébelleux supérieur et moyen , l'étage antérieur de la protu- bérance. Les no

u oblique en bas et en avant passant par la région protubérantielle moyenne , un peu au-dessous de l'émergence du trijumeau. -

es protubérantielles antérieures. - Fl'om, fibres protubérantielles moyennes . - FPop, fibres protubérantielles postérieures. -

olive supérieure ou protubérantielle. - l'cm, pédoncule cérébelleux moyen . - l'es, pédoncule cérébelleux supérieur. - 1',

'une superficielle, l'autre profonde, la troisième intermédiaire ou moyenne . La couche superficielle ou antérieure (stratum

de volume et d'épaisseur très variables. La couche intermédiaire ou moyenne (Strc) (stratum complexum pontis, fibres protub

moyenne (Strc) (stratum complexum pontis, fibres protubérantielles moyennes [FPom]) appartient aux deux liers supé- rieurs

égion protubéran- tielle antérieure. Les fibres protubérantielles moyennes abordent et divisent les fibres de la voie pédo

é. Pédoncules cére- I)clletix supérieurs. Trajet. Rapports. moyennes cessent d'exister et le reste des fibres de la vo

ne (Fig. 362). Les fibres antérieures se continuent avec des fibres moyennes du côté opposé. Les fibres moyennes d'un côté s

s se continuent avec des fibres moyennes du côté opposé. Les fibres moyennes d'un côté se continuent après entre-croisement

ei, pédoncule cérébelleux inférieur. - l'cna, pédoncule cérébelleux moyen . - l'es, pédoncule cérébelleux supérieur. - xl'cs

donc trois parties : l'une inférieure ou intra-cérébelleuse, l'autre moyenne , ou juxta-ventriculaire, apparente à l'extérieu

es internes les plus élevées et les plus externes. Dans son segment moyen ou juxta-ventriculaire, le pédoncule cérébel- l

blique en haut et en arrière. Il en résulte que si dans les régions moyennes et supérieures (coupe P.2, Fig. 393), l'entre-

trinsèques du cervelet : pédoncules cérébelleux supérieur, inférieur, moyen et corps juxta-restiforme. Coupe horizontale du

'ci, pédoncule cérébelleux inférieur. - l'cm, pédoncule cérébelleux moyen . - l'cs, pédoncule cérébelleux supérieur. - Rm, r

pédon- cule cérébelleux supérieur (Pcs) et le pédoncule cérébelleux moyen (Pcm) et se place en arrière et en dehors des n

ué s'insinue entre l'olive cérébelleuse et le pédoncule cérébelleux moyen , et dont la large base s'adosse à l'angle posté

ion que sur les coupes horizon- tales des régions protubérantielles moyennes (coupe H6, Fig. 3gaz), les fibres du pédoncule

t néanmoins toujours facilement des fibres du pédoncule cérébelleux moyen qui leur sont parallèles dans la partie supérie

nneau gris complet. Sur toutes les coupes qui passent par sa partie moyenne (coupe H 9, Fig. 366), l'olive apparaît formée de

outre un grand FIG.361. - Coupe transversale passant par la partie moyenne des olives bulbaires et les fibres radiculaires

limile entre ces deux étages ou régions est établie dans le cerveau moyen par le locus niger, dans le rhombencéphale par le

es au niveau du raphé médian et appartient au pédoncule cérébelleux moyen (p. 51'7); 3° Par une gangue de substance grise

pédoncule central, et avons démontré qu'elle pro- vient du secteur moyen de l'hémisphère cérébral, passe par le genou, les

INTÉRIEURE DU RHOMBENCÉPHALE. 535 se prépare aeja aans les régions moyenne et intérieure uu pieu uu peuon- cule cérébral (

concentrer à sa partie externe en formant le pédoncule cérébelleux moyen (l'cm). Les libres transversales du pont se dis

(Voy. cas Schweigoffer, p. 131), et que le contin- gent du segment moyen est, par contre, considérable; les fibres pyrami-

ubérantielles, car toute dégénérescence, même limitée, de la partie moyenne du pied du pédoncule cérébral, retentit à la fo

st FiG. 3n. - Atrophie complète des fibres du pédoncule cérébelleux moyen (Pcm), des fibres transversales et de la substa

drijumeau antérieur, en particulier dans ses couches pro- fondes el moyennes . Leur trajet est particulièrement manifeste dans

ig. 377, 37C, 375, 374), dans un cas de dégénérescence de la partie moyenne de la voie pédoncu- laire consécutive à un foye

cu- laire dans les régions bul- baires supérieure (Fig. 379) et moyenne (Fig. 380). Dégé- nérescence de la substance

, cl les fibres aberrantes postéro- externes aux parties externe et moyenne du ruban de Reil médian. La FIC, 381 et 382. -.

- interne de la'couche inter-oli- vaire dans la région bulbaire moyenne ](Fig.383), puisréintè- grent la voie pédonculai

(f Pyhs), fusionnées avec le faisceau pyramidal (Py) dans la région moyenne de l'olive bulbaire (Fig. 385), s'en différenci

ux pontiques de Schlesinger), les autres pénètrent dans ses parties moyenne ou interne et se fusionnent avec les fascicules d

voie pédonculaire dans les régions protubérantielles supérieure ou moyenne (Fig. 375, 381, 382), tantôt seulementdans la r

ur trajet et c'est là leur caractéristique. Dans la région bulbaire moyenne et inférieure, la voie pédonculaire abandonne p

de la calotte appartient à la fois au rhombencéphale et au cerveau moyen ; considérée dans son ensemble, elle présente l'as

ue du côté opposé; en dehors, elle atteint la périphérie du cerveau moyen et du bulbe rachidien, tandis qu'elle est limitée

région protubérantielle par les pédoncules cérébelleux inférieur et moyen au moment où ils pénètrent dans le hile du cervel

corps restiforme, aux confins des pédoncules cérébelleux inférieur et moyen . La calotte contient encore un certain nombre d

sous lequel elles sont générale- ment désignées. Dans le cerveau moyen , les amas gris occupent la partie antéro-exlernc

ire. -La formation réticulée commence en haut, à l'union du cerveau moyen et de la région sous-optique, par une extré- mi

rcation nette. b) Segment protubérantiel. 1° Aux confins du cerveau moyen et du rhombencéphale (coupe Pus, Fig. 393), la

ekink. Le ruban de Reil et les fibres transversales superficielles, moyennes et profondes de la protubérance. Coupe hori- zo

ieur. - Fl'oa, FPom, Fi'op, fibres pro- tubérantielles antérieures, moyennes et postérieures de l'étage antérieur du pont. - L

NUI, noyau du ruban de Reil latéral. - l'cnz, pédoncule cérébelleux moyen . -l'cs, pédoncule cérébelleux supérieur. - r, rap

en dehors (coupe H2, Fig. 395). 3° Dans la région protubérantielle moyenne (coupes H 3 ct H 4, Fig. 362 p. 518 et 396) qui

que dans la substance grise de la protubérance. Il occupe la partie moyenne et inférieure de la calotte protubérantielle et i

ircon- flexe, c. Son aspect dans la région protubéran- tiille moyenne . Le Ifoyau réticulé. Son aspect dans la rég

FiG. 396. - La formation réticulée dans la région prolubéranl ielle moyenne , le noyau réticulé et les noyaux moteur et sens

et sensitif du trijumeau. - Les pédoncules cérébel- leux supérieur, moyen et inférieur et les fibres semi-circulaires exter

cervelet. - Fl'oa, FPom, 1"I'op, libres transversales antérieures, moyennes et postérieures de la protubérance. - Lig, lingul

e ou protubérantielle. - ! 'cm, l'ci, ]les, pédoncule céré- belleux moyen , inférieur et supérieur. - Iinz, ruban de Reil mé

upé- rieure. - L'ci, L'cnz, l'es, pédoncules cérébelleux inférieur, moyen et supérieur. l'il, fais- ceau pyramidal. r, ra

, fibres arciformes dorsales ou profondes. - fat, fibres arciformes moyennes . Fcc, faisceau central de la calotte. - Floc, Ilo

Fig. 399. - La formation réticulée du segment bulbaire dans la région moyenne de l'olive bulbaire. La formation réticulée bla

NATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Son aspect dans la région bulhalro moyenne . Les noyaux du cordon latéial. Son aspect a

nant du corps restiforme. 2° Dans la région qui correspond au tiers moyen de l'olive bulbaiie, (coupes H12 à H14, Fig. 44

re le pédoncule cérébral et les pédoncules cérébelleux supérieur et moyen , se porte obli- quement en haut, en arrière et

4), et en liauteur,del'entre-croise- ment pyramidal à la partie moyenne de l'olive bulbaire. Sa partie inférieure, larg

- gions inférieures et moyen- nes de l'olive bulbaire la partie moyenne (coupes H13 àH1 ? 1 ij. u02,400 et 4H à 446,

ée et cloi- sonnée par les nombreuses fibres arciformes des parties moyenne et supé- rieure du bulbe, fibres qui appartienn

dans le sens transversal; il occupe dans la région protubéranlielle moyenne toute la largeur de la face antérieure de la ca

Fit. 403. - Le ruban de Reil et la formation réticulée dans la région moyenne de la protuhéiance. L'olive cérébelleuse, l'emb

ale du vermis au-dessus des noyaux du toit et sectionnant la partie moyenne de l'étage antérieur de la protubérance. Méthod

ubérantielle. - l'ci, l'cm. l'es, pédoncules cérébelleux inférieur. moyen et supérieur, - IW ruban de Reil médian. Sbe, q

Slis, Slrc, Strp, couches des fibres transversales superficielles, moyennes et profondes de l'étage antérieur du pont. - 1'

nd ou des fibres aberrantes protubérantielles, les parties interne, moyenne ou externe du ruban de Reil médian. Ils sont pa

èrement nom- breux dans les régions protubérantielles supérieure et moyenne , mais font le plus souvent défaut dans le tiers

e; comme cette Fic. 406. - La calotte de la région protubérantielle moyenne : ruban de Reil, faisceau longitudinal postérie

le ruban de Reil latéral (111). Dans les régions protubérantielles moyenne et inférieure (coupes H3, H4, H5, 6H, Fig. à il

esdu bulbe. Fl'oa, FPom, Pl'op, fibres protubérantielles antérieures, moyenne » et postérieures. NCI3, noyau du cordon de Burd

s faisceaux protubérantiels transversaux antérieurs, postérieurs et moyens (FPoa, FPop, FPom). Calotte. - La caractérist

se antérieur. - Strs, Strc, Slip, couches transversales antérieure, moyenne et postérieure de l'étage antérieur du pont.-Tv,

rale, qui reçoit les pédoncules cérébelleux supérieur, inférieur et moyen , et contient dans son épaisseur des amas ganglion

port, considérable des fibres fournies par le pédoncule cérébelleux moyen . Coupes S4etS5 (Fig. 412 et 413.) Ces coupes ap

leux direct. Fl'oa, FPom, FPop, fibres protubérantielles antérieures, moyennes et posté- rieures de l'étage antérieur du pont.

les noyaux pontiques en dehors, et forment le pédoncule cérébelleux moyen . Les fascicules du stratum profundum (FPop) sont

la protubérance est sectionné aux confins du pédoncule cérébelleux moyen . Dans la partie supérieure de la coupe, on trouve

du noyau moteur du triju- meau, intéresse le pédoncule cérébelleux moyen (Pcm), les lamelles du flocculus (Floc), la par

Ici, pédoncule cérébelleux inférieur. - Pcnz, pédoncule cérébelleux moyen . - Pes, pédoncule, cérébelleux supérieur. - PFl

ans ses parties externes, à sa limite avec le pédoncule cérébelleux moyen . Sur la coupe S 6, (Fig. 414), on trouve encore

S 7 (Fig. 415) n'intéresse par contre que le pédoncule cérébelleux moyen (Pcm) dont les connexions avec la substance blanc

es intéressent l'hémisphère cérébelleux et le pédoncule cérébelleux moyen (Pcm). La coupe S 8 (Fig. 416) passe par le péd

t et en avant, qui se continue en avant avec le pédoncule cérébelleux moyen (Pcm). Sur sa face supérieure, assez régulièr

t plus réduit de volume et se confond avec le pédoncule cérébelleux moyen (Pcm); le diverticule latéral (rlV4) forme une

urs, et qui s'implantent direc- tement sur le pédoncule cérébelleux moyen (Pcm). - Sur ces deux coupes S 8 et S 9, l'oliv

es semi- circulaires externes du cervelet, le pédoncule cérébelleux moyen , le pédoncule des ilocculus et le diverticule l

lobaire. - Oc, olive céré- belleuse. - Plein, pédoncule cérébelleux moyen . -1'11 ? diverticule latéral du quatrième ven-

s semi-circulaires externes du cervelet et le pédoncule cérébelleux moyen . - Coupe sagittale S9 de l'hémisphère cérébelle

rvelet. - Oc, olive cérébelleuse. - 7'et)t, pédon- cule cérébelleux moyen . - Plchl"4, plexus choroïdes du diverticule latér

on les voit s'irradier sur ces coupes dans le pédoncule cérébelleux moyen (Pcm). Tout le reste de la substance blanche ce

s régulièrement ovoïde et se continue avec le pédoncule cérébelleux moyen . COUPES HORIZONTALES Les séries de coupes hor

réunissent à sa partie externe en formant le pédoncule cérébelleux moyen (Pcm). Suivant qu'elles passent en avant, à tra

ngue en fibres transversales antérieures (Strs), fibres transversales moyennes ou intermédiaires (Strc), fibres transversales

de la protubérance. On ne les rencontre plus sur les coupes des tiers moyen et inférieur de la protubérance, et la couche d

ÉTUDE TOPOGRAPHIQUE DU RHOMBENCÉPHALE. 623 Les fibres transversales moyennes (Strc) sont très nombreuses et dissocient la vo

ral supérieur. NI, noyau latéral. - 7'e;) : , pédoncule cérébelleux moyen . - Pes, pédoncule cérébelleux supérieur. - Rl,

- SR, formation réticulée. - Strc, Strp, Strs, couche transversale moyenne , profonde et superficielle de l'étage antérieur d

) qui sur cette coupe alimen- tent surtout le pédoncule cérébelleux moyen (Pcm), réduit encore à une mince mais dense cou

re sans connexion aucune avec le cervelet. Les fibres transversales moyennes (Strc) se terminent brusquement par de gros fasci

re- ront que plus bas dans la constitution du pédoncule cérébelleux moyen . Quant aux fibres transversales profondes (Strp

les nombreuses fibres toanscer- sales de la couche protubérantielle moyenne (F Pom). Les fibres des couches antérieures (FP

t se continuent directement en dehors avec le pédoncule cérébelleux moyen (Pcm). Ce pédoncule forme sur la coupe un faisc

u sein des fibres épaisses et très foncées du pédoncule cérébelleux moyen (Pcm). Au niveau du raphé, les fibres transvers

tre-croisent en fascicules presque parallèles, les fibres des couches moyennes (FPom) et profondes (FPop) s'entre-croisent à a

tie postérieure et externe du pont en dedans du pédoncule cérébelleux moyen (Pcm). Ils atteignent presque en avant la périp

leux spérieur(Pcs) en arrière, libère toute la partie antérieure et moyenne de la calotte occupée par le noyau central supc-

l postérieur. - FPoa, FPom, FPop, fibres transversales antérieures, moyennes et postérieures du pont. - Le, locus coeruleus.

eil latéral. - Rm, ruban de Reil médian. - Pcm, pédoncule cérébelleux moyen . - Pes, pédoncule cérébelleux supérieur. - SgPo

que par la concentration de la voie pédonculaire (VP)dans la couche moyenne du pont et par l'augmentation d'épaisseur de ses

423. - La calotte et l'étage antérieur do la région protubéranlielle moyenne . La voie pédonculaire, sa dissociation par les

on par les fibres transversales du pont. Le pédon- cule cérébelleux moyen , son irradiation dans le cervelet et sa continuat

bérance. - FPoa, FPom, FPop, fibres protubérantielles antérieures, moyennes et posté- rieures. - fsme, fibres semi-circulai

live supé- rieure ou protubérantielle. - Pcm, pédoncule cérébelleux moyen . - l'es, pédoncule céré- belleux supérieur. - 1

n réticulée du côté opposé. Les connexions du pédoncule cérébelleux moyen (Pcm) avec la substance blanche du cervelet son

e) du cervelet. A la partie antéro-externe du pédoncule cérébelleux moyen (Pcm), il existe un groupe de fibres sectionnée

direction, et séparées du reste des fibres du pédoncule cérébelleux moyen par une cloison névroglique; elles forment le f

rne de Burdach ou noyau de v. Monakow. - Pcm, pédoncule cérébelleux moyen . Rnz, ruban de Reil médian. - r, raphé. - riV"

et on le voit traverser toute l'épaisseur du pédoncule cérébelleux moyen (Pcm), de la périphérie du rhomb- encéphale à l

nti- ques (SgPo) et les fibres transversales superficielles (FPoa), moyennes (FPom) et profondes (FPop) de la protubérance;

s radiculaires du trijumeau (V) traversent le pédoncule cérébelleux moyen (Pcm), et peuvent être suivies de leur point de p

127. - La calotte et l'étage antérieur de la région protubérantielle moyenne . La voie pédonculaire et sa dissociation par le

ce de ce nerf. Les pédoncules cérébelleux supé- rieur, inférieur et moyen et les fibres semi-circulaires externes du cervel

l postérieur. - FPoa, FPom, FPop, fibres transversales antérieures, moyennes et postérieures de l'étage antérieur de la prot

e. - l'ci, pédoncule cérébelleux inférieur. - pédoncule cérébelleux moyen . - l'es, pédoncule cérébelleux supérieur. - Rm,

trijumeau (NVs), recouvert en dehors par le pédon- cule cérébelleux moyen (Pcm) et qui contient, dans sa partie antérieure

6 et S 7, Fig. 414 et 415, p. 608 et 609). Le pédoncule cérébelleux moyen (Pcm) forme la plus grande partie de la substan

tinuent directement avec les fibres transversales profondes (FPop), moyennes (FPom) et superficielles (FPoa) de la protubéra

(FPoa) de la protubérance. La partie externe du pédoncule cérébelleux moyen (Pcm) est formée de fibres entre-croisées dans

eurs de l'olive cérébelleuse Fig. 428. - La région protubérantielle moyenne et ses .connexions avec la substance blanche ce

te du trijumeau. - Les pédoncules cérébelleux supérieur, inférieur et moyen dans la région du hile du cervelet, les fibres

Pci, pédoncule cérébelleux inférieur. - l'cm, pédoncule cérébelleux moyen . - l'es, pédoncule cérébelleux supérieur. - Rm, r

- Sli, formation réticulée de la calotte. - Strc, Strp, Strs, couches moyennes , profonde et superficielle des fibres transvers

bres transversales de la protubérance avec le pédoncule cérébelleux moyen (Pcm) est des plus manifestes. Dans la calotte,

gris centraux du cervelet. Les connexions du pédoncule cérébelleux moyen (Pcm) avec la substance blanche centrale des hé

rantielle. - Pci, 7'cm, 7'cs, les pédoncules cérébelleux inférieur, moyen et supérieur. - Rm, ruban de Jteil médian. - Sglt

ée de la calotte. S<<'e, Strp, Strs, les fibres transversales moyennes , profondes et superficielles de l'étage antérieur

upérieure. - l'ci, l'cn, Pes, les pédoncules cérébelleux inférieur, moyen et supérieur. - puy, faisceau pyramidal. - r, r

nc encéphalique, la formation des pédoncules cérébelleux supérieur, moyen et inférieur, et la manière dont se présentent

rale du vermis; elle sectionne en avant le pédoll- cule cérébelleux moyen (Pcm) dans le sillon marginal antérieur du cervel

ntérieures de la protubé- rance en formant le pédoncule cérébelleux moyen (Pcm); les fibres du groupe in- terne (fsme) so

U RHOMBENCÉPHALE. 645 l'olive cérébelleuse, sectionnant la partie moyenne de la protubérance au niveau des noyaux du trij

belleuse. - l'ci, l'em, l'cs, les pédoncules cérébelleux inférieur, moyen et supérieur. - ssl', sillon supérieur de Vicq d'

euse. - Pci, Pcnz, Pcs, les trois pédoncules cérébelleux inférieur, moyen et supérieur. - 1'l', la voie pédonculaire. - V

es fibres transversales du pont en formant le pédoncule cérébelleux moyen (Pcm); l'autre, interne (fsme'), dont les fibre

e cérébelleuse (Oc), le bouchon (Nem) et le pédoncule cérébel- leux moyen (Pcm) dans le sillon marginal antérieur du cervel

use. - Pei, Pcm, Pes, les trois pédoncules cérébelleux infé- rieur, moyen et supérieur. - ssl-, sillon inférieur de Vicq d'

(fsme) se continue comme précédemment avec le pédoncule cérébelleux moyen (Pcm). Le groupe interne (fsme') passe entre l'

e. - Pei, l'cnz, Pcs, les trois pédoncules cérc- belleux inférieur, moyen et supérieur. - ssV, sillon supérieur de Vicq d'A

use. - Pci, l'an, l'es, les trois pédoncules cérébelleux inférieur, moyen et supérieur. - ssV, sillon supérieur de Vicq d'.

nerf auditif. ginal antérieur du cervelet, du pédoncule cérébelleux moyen et de la substance blanche centrale du vermis.

ieure, volumineuse, du lobe semi-lunaire inférieur; quant à la partie moyenne de la face postérieure de la substance blanche

- fad, fibres arciformes dorsales du bulbe. - fana, fibres arciformes moyennes du bulbe. Fcc, faisceau central de la calotte.

le nom de fibres arciformes pnélrigé- minales (fpt). Les parties moyenne et dorsale de la calotte sont traversées par un a

utre système de fibres arciformes, le système des fibres arciformes moyennes (fam) et dorsales (fad). Elles se détachent pou

arciformes ])1'0 (ondes ou dorsales (fad) et les fibres arciformes moyennes . Les fibres arciformes qui, sur cette coupe, tr

e ventricule et du tubercule acoustique; elle inté- resse la partie moyenne des olives (Oi) et les fibres radiculaires du ner

e du bulbe. Çoupe H 11 (Fig. 441). -Celte coupe passe par la partie moyenne des olives (Oi) et sectionne la partie supérieu

raphé, mais se coudent et se continuent avec les fibres arciformes moyennes ou profondes du bulbe et ainsi s'explique l'asp

H 13, Fig. 441 à 413). Il n'appartient qu'à la partie supérieure et moyenne de l'olive, atteint rarement son extrémité infé

visible sur les coupes H9 et H 10 (Fig. 439 et 440) dans la partie moyenne , sous-jacente au noyau cen- f-al inférieur. L

n réticulée grise (SRg) est plus abondante en fibres dans sa partie moyenne ; à sa partie externe, en dedans de la substance g

modifications du corps juxta-resti- Fic. 442. - La région bulbaire moyenne . L'olive bulbaire et les noyaux juxta-olivaires.

tion réticulée grise (SRg), le noyau Floc. 443.- La région bulbaire moyenne au niveau du trou de Magendie. - L'olive bul- b

par les fibres radiculaires du nerf hypoglosse (XII) et à sa partie moyenne par les fibres radiculaires de la portion bulbair

élatineuse de Rolando (SgR) et dont les autres traversent la partie moyenne de la formation réticulée grise (SRg). Une aggl

es, elle intéresse le noyau juxta-olivaire inlerne (Noi), la partie moyenne de l'entre- croisement sensitif ou piniforme (x

- Ces coupes passent par le collet du bulbe, au niveau des parties moyenne et inférieure de Y entre-croisement pyramidal (

les onduleux la base d'insertion delà corne antérieure et la partie moyenne du cordon latéral (CI). Il ne faut pas, en effe

visagerades coupes intéressant les régions cervicales supérieure et moyenne de la moelle épinière, la distance qui sépare T

elles, plus espacés au fond des sillons. Ils mesurent 35 à 70 u. en moyenne , GO p. de longueur sur 30 IJ. de largeur et 25 il

oppe lente- ment, elle atteint à peine chez le nouveau-né la partie moyenne de la couche moléculaire; elle se trouve recouv

lécu- laire. Golgi; leur corps est irrégulicr, de volumcjgrand ou moyen , et pourvu de nombreux prolongements, dont les

sphérique, contiennent de nombreuses cellules penicilléus de taille moyenne (18 à 3G 11.), irré- culièrement disséminées su

ivent au corps dcnteléparlavoiedes pédoncules cérébelleux supérieur, moyen ou inférieur. Entre les cellules nerveuses, on

ieur et du bile du cerveau, les fibres des pédoncules céré- belleux moyen et inférieur, et se trouve limité en avanl el en

cérébelleuse et l'em- bole. Les pédoncules cérébelleux supérieurs, moyens et inférieurs. Coupe horizontale du rhombencéph

euse. - Pci, Pcm, l'es, les (rois pédoncules cérébelleux inférieur, moyen et supérieur.- sus 17, sillon supérieur de Vicq d

l'une de l'autre sur toutes les coupes qui intéressent les parties moyenne et supé- rieure du corps dentelé, grâce au para

ntelé ou qui s'y terminent. Il est sillonné en outre dans la partie moyenne de l'olive cérébelleuse par des fibres arquées

p. gaz); elles se continuent en avant avec les pédoncules cérébelleux moyen et inférieur et s'entre-croisent dans le vermis

e de démarcation nette avec les pédoncules cérébelleux inférieur el moyen . Après avoir contourné la face externe, l'extré

ci, pédoncule cérébelleux inférieur. - l'enz, pédoncule cérébelleux moyen . Pes, pédoncule cérébelleux supérieur. - PFloc,

en avant où il se continue avec les fibres du pédoncule cérébelleux moyen (Pcm). Sur les coupes horizontales sériées (cou

dedans, les fascicules externes tributaires du pédoncule cérébelleux moyen se portent obliquement en avant et en dehors. C

e (fsme), le plus volumineux, passe en dehors de la toison, dont le moyen (fsmé) recouvre le bouchon, traverse ses couches

E. 719 l'enveloppe augmentent de volume, les fascicules internes et moyens des fibres semi-circulaires externes diminuent,

ment commissural (Eca). Sur les coupes qui intéressent la partie moyenne de l'olive cérébelleuse (coupe C5,Fig. 36). les

, nette et lucide dans son esprit, mais souvent peu familier avec les moyens de traduction graphique, s'épuise en vain à se fa

ns, il faut bien que l'œuvre témoigne du désaccord entre la fin et le moyen , et de l'absence d'une idée unitaire qui ait prés

s de l'anatomie, où l'immobilité du modèle s'accorde si bien avec les moyens et les possibilités de l'art du dessin. D'un au

che à l'action de ces deux causes, ne pourront se produireque par des moyens , sous des formes, et, jusqu'à un certain degré, d

ble ayant arrêté un plan général et une harmonie préexistante, où les moyens tendent de concert vers une fin, le peu que la fa

natomie, nous avons apporté une sérieuse attention à y coordonner les moyens avec la fin. Toutefois, que l'on ne nous attribue

ue. Souvent aussi il semble que l'on n'ait pas assez réfléchi sur les moyens que l'art pouvait offrir. Tel ouvrage n'offre que

en regard des dessins qui les représentent. A l'aide de ces divers moyens , et en nous ingéniant à modifier les ressources d

t compris. A la vérité, chez les personnes ainsi organisées, tous les moyens d'enseignement échouent, et même les études sur l

si, dans certains cas, l'on juge que nous nous sommes trompé sur les moyens , et qu'il y avait mieux à faire, nous nous consol

ieux comprendre. Pourtant, à l'examen microscopique, aidé de tous les moyens d'exploration, ou, en d'autres termes, à l'analys

en un mot il n'y aurait point eu d'organisme, s'il n'avait existé des moyens généraux de liaison et de coordination entre ses

moyens généraux de liaison et de coordination entre ses parties. Ces moyens existent: ce sont l'appareil vasculaireet le syst

xible, ou les os, organes généraux de sustentation, et, comme parois, moyens de protection et d'isolement des appareils si imp

rtion musculaire: ex. les grandes aponévroses des membres; et parfois moyens de séparation : ex. au tronc, aponévroses pharyng

brane médullaire, enveloppes et organes de nutrition du tissu osseux; moyens d'insertion des tissus fibreux sur les os. (c)

particulières de nombre de viscères et de muscles, et, comme telles, moyen d'isolement de l'organe et de support de sa membr

nales. (e) Les gaines fibro-celluleuses des vaisseaux et des nerfs, moyens de liaison pour les canaux vasculaires eux-mêmes,

nferment les cavités des organes des sens qu'ils circonscrivent comme moyen de protection. i° En haut les deux orbites, en

nerfs. Dans l'état physiologique, elle n'a de rapport avec l'oreille moyenne ou la caisse du tympan que par deux orifices , le

nnexes, des deux régions latérales antérieures. Le groupe antérieur moyen , circonscrit par l'aponévrose pharyngienne posté

e contention, sont au nombre de cinq de chaque côté, sus-hyoïdiennes, moyenne et latérale, cératoglosse, pté-rigo-myloïdienne e

ue à celle du deltoïde, y revêt les loges fibro-osseuses des petit et moyen fessiers et des rotateurs de la cuisse, solidemen

uses; elles s'exercent à des degrés intermédiaires pour les tissus de moyenne densité, et se reproduisent encore, quoique d'une

le. Ainsi les enveloppes organiques, outre leur usage général comme moyen de protection, de sùpportet d'isolement, au point

de la circulation, et, par le seul fait de cette propriété, comme un moyen puissant de transport et de mélange des liquides,

lit au travers de son épaisseur, elle devient en physiologie un vaste moyen auxiliaire de communication pour les liquides les

me aperçu général, le tissu cellulairesemble bien à priori le premier moyen d'isolement des maladies à leur début moléculaire

la communication de ses cellules et sa distribution par masses, comme moyen commun d'union et de remplissage dans les espaces

plète que les sciences diverses ne s'empruntent l'une à l'autre leurs moyens d'investigation, et ne s'éclairent mutuellement p

i-même, dans sa pathogénie spéciale, il convient de l'envisager comme moyen mécanique d'isolement des maladies des organes qu

erme, ou dont il est lui-même entouré. Les grandes parois osseuses, moyen de protection et de support dans l'état physiolog

our être expulsés au-dehors. Plus un organe est éloigné de semblables moyens de communication, et moins il offre, à priori, de

roses et tissus fibreux. Les effets de l'interposition de l'os, comme moyen d'isolement dans les maladies, sont également app

les cavités splanchniques, les membranes fibreuses des parois sont le moyen d'isolement complétif du squelette ; telles sont

sente toutefois, dans certaines circonstances pathologiques, comme un moyen très efficace d'isolement. C'est par la superposi

s pour le passage des vaisseaux et des nerfs, d'où il résulte que les moyens généraux de liaison des parties de l'organisme so

les trajets par des gaines et de fortes adhérences cellu-leuses, ces moyens auxiliaires de résistance n'ont pu être si solide

et des volitions. Sous ce double rapport, les cylindres vasculaires, moyens communs de liaison des élémens de l'organisme, so

les divers liquides sains ou altérés dans leur composition, sont les moyens généraux de transmission des maladies qu'ils répa

on de la trompe d'Eus-tache, qui établit sa continuité avec l'oreille moyenne . Mais indépendamment des communications intérie

des divers groupes entre eux, ont été complétés par les aponévroses, moyens de séparation et surfaces d'insertion des muscles

à la pathologie. Mais, par extension , c'est clans l'application des moyens empruntés à la thérapeutique chirurgicale, ou dan

âne et en face. CRANE. Le crâne se partage de chaque côté du plan moyen en cinq régions : frontale;, occipitale, pariétal

e de chaque côté à la région antérieure du crâne, limitée sur le plan moyen par la suture sagittale, en bas par la racine du

extérieur sont très vagues ; elles sont tracées en dedans par le plan moyen ; en bas, par une ligne qui suit l'attache des mu

ORALE. Situation, configuration, délimitation. Située sur la partie moyenne latérale et inférieure du crâne, de forme irrégul

RIÉTALE. Situation, configuration, délimitation. Située à la région moyenne , latérale et supérieure du crâne, dans l'étendue

ce interne du pariétal, les divisions des artères et veines méningées moyennes , encastrées avec la dure-mère dans les sillons du

ion, configuration , délimitation. — Située à la partie supérieure et moyenne de la face, constituée par l'appareil de l'olfact

xes; le cornet inférieur trace la démarcation des méats inférieurs et moyens ; les deux autres méats sont constitués en arrière

LARIALE. Situation, configuration, délimitation. Située à la partie moyenne et inférieure de la face, limitée en haut par le

ILLAIRE. Situation, configuration, délimitation. Située à la région moyenne et latérale de la face, formée par la saillie de

ÉNIENNE. Situation, configuration, délimitation. Située à la partie moyenne et latérale de la face, de forme quadrilatère, el

le s'ouvre le conduit auditif externe, séparé de la caisse ou oreille moyenne par la membrane du tympan. L'oreille moyenne, san

de la caisse ou oreille moyenne par la membrane du tympan. L'oreille moyenne , sans communication à la surface cutanée, s'ouvre

ur ensemble, les deux régions sus-hyoïdiennes, confondues sur le plan moyen , forment une surface trapézoïdale nettement déter

ration, délimitation. Située de chaque côté à la partie antérieure et moyenne du cou, dont elle forme presque toute la hauteur,

ondant que forment, au-devant de la trachée, les veines thyroïdiennes moyenne et inférieures, dont la lésion, si difficile à év

ophyses épineuses sont peu sensibles en dehors; c'est -lans la partie moyenne de la nuque que l'on pratique ordinairement les s

enveloppes fibro-celluleuses des muscles superficiels. Sur le sillon moyen le ligament cervical, de nature fibro-celluleuse,

entre les apophyses épineuses et le liga-gament cervical sur le plan moyen , et la masse apophysaire sur le plan latéral. Ces

TERNALE'. Situation, configuration, délimitation. Situéeà la partie moyenne et supérieure du thorax, en regard du sternum et

ace abdominale est disposée en trois zones transversales, supérieure, moyenne et inférieure, dont chacune renferme trois région

figuration, délimitation. Située verticalement de chaque côté du plan moyen , à la partie supérieure de l'abdomen, séparée de

illet postérieur du petit oblique et celui du transverse. Sur le plan moyen , la suture entrecroisée des fibres des quatre apo

nt s'ouvrir le plus fréquemment les abcès profonds du foie. 2° zone moyenne ou mésogastrique. Elle se renferme entre deux l

les vaisseaux du même nom, se continuent au-delà jusque vers le plan moyen , et plus bas envoient des filets aux tégumens de

masse du sacro-spinal; 4° l'épaisseur du sacro-spinal; 5° le feuillet moyen très résistant de l'aponévrose du transverse, fix

et la peau, et dont les branches de continuation longent l'aponévrose moyenne du transverse pour gagner les parois de l'abdomen

issent la surface osseuse, que continue par sa résistance le feuillet moyen de l'aponévrose du transverse. 3° ZONE inférieu

TRIQUE'. Situation, configuration, délimitation. Située à la partie moyenne et inférieure de la paroi abdominale antérieure,

amenteux. 1 Planche 1, n° 28 ; et planches 4 j 7 j 8- Sur le plan moyen se continue la suture des aponévroses formant la

, flanquée de l'une et l'autre région fessière; en bas et sur le plan moyen , la région ano-périnéale, plancher inférieur de l

haut, à la sortie des cordons, est divisé inférieurcment, sur le plan moyen , par un raphé, eu deux prolongemcns latéraux remp

ien, compris, pour les surfaces osseuses, entre des diamètres dont la moyenne est de quatre pouces, est déjà singulièrement rét

atre bords adjacens du contour inférieur du bassin. Situé sur le plan moyen , il se compose de deux moitiés symétriques, formé

seaux et les nerfs dont les nombreuses ramifications croisent le plan moyen par des anastomoses multipliées. i° Région ano-

tum, cpii se termine par une sorte de crête tégunientaire sur le plan moyen . En arrière la peau s'amincit encore autour de l'

hincter rectal et les muscles de l'urèthre, et sc'confond sur le plan moyen avec les fibres du sphincter anal. 4° Muscles. Au

étendu du col de la vessie à l'extrémité du pénis, situé sur le plan moyen périnéal, où il forme une petite saillie courbe,

ivant les dimensions du bassin et surtout du pénis, il offre en terme moyen neuf pouces (Wathely, Dueamp) à neuf pouces et de

e tissu spongieux. Quant à sa direction, l'urèthre, placé sur le plan moyen , est dirigé d'arrière en avant, mais avec une dou

haut en bas, d'arrière en avant et un peu du côté gauche vers le plan moyen , il s'étend entre le sacrum et le bas-fond de la

l ou inter-sciatique et antéro-postérieur ou pubio-coceygien. Le plan moyen est occupé par les deux grands orifices, de l'anu

mme, en raison de la saillie plus grande du sacrum. C'est à sa partie moyenne et supérieure d'une part, et cle l'autresur le pu

l'enfant, la non réunion des masses apophysaires sacrées sur le plan moyen en permettant la dilatation des membranes rachidi

oison aponévrotique; en plan profond les rotateurs du fémur, petit et moyen fessiers, pyramidal, jumeaux, obturateurs et carr

on médiane. Ces sillons indiquent au dehors les limites de la saillie moyenne du biceps et du brachial antérieur qu'ils séparen

térieur renfermé dans sa gaine, et derrière ce muscle, par la portion moyenne du triceps enveloppantle squelette ou le corps du

lon des gros vaisseaux; elle est bombée dans sa portion supérieure et moyenne par le relief des adducteurs, et aplatie en bas,

te interne; en arrière, dans toute la hauteur, les adducteurs, grand, moyen et petit, auxquels se rattache, en haut, le pecti

rtée du trajet de l'incision pour la ligature de l'artère à la partie moyenne de la cuisse. Au plan vasculaire profond se rappo

blique de ce muscle; de sorte qu'ils se correspondent par leur partie moyenne au tiers supérieur de la cuisse. A la partie infé

ux côtés, supérieures et inférieures, et, au milieu, les articulaires moyennes ; (d) trois à quatre ganglions lymphatiques et le

noncent le plus tôt, et où il est le plus facile d'y remédier par les moyens chirurgicaux, jambe, La jambe se divise en si

avant et en dedans, décroissant de haut en bas et renflé à sa partie moyenne . Sa limite est déterminée supérieurement par la l

ar la saillie d'insertion du tendon d'Achille au calcanéum. A hauteur moyenne est le renflement déterminé par les muscles du mo

uelette. Constitué en arrière par les os du tarse, et, dans la partie moyenne , par les cinq os métatarsiens maintenus en une ma

dans les cavités des membranes muqueuses. 2° Quand, tous les autres moyens ayant échoué, il s'agit de soustraire l'organisme

à l'effet principal que l'on produit, et le procédé à l'ensemble des moyens pour y parvenir; de sorte que le procédé est comp

t à suivre telle voie pour pénétrer dans la vessie, ou à employer tel moyen de broiement et d'extraction du corps étranger.

facile et du tact le plus délicat, il doit trouver dans son cœur les moyens de persuader, et plus tard, maître de ses émotion

un homme ordinaire. La préparation physique comprend l'ensemble des moyens prophylactiques appropriés à la situation général

la situation des diverses personnes qui concourent à l'opération, les moyens de diminuer la douleur, la suspension locale du c

pareil est toujours à sa droite. 2° Suspension du cours du sang, et moyens de diminuer la douleur. Nous ne faisons que menti

tourniquet; mais le plus souvent par les doigts d'un aide. Ce dernier moyen est toujours préférable par la facilité qu'il off

ait eu le temps d'y songer. Souvent aussi nous avons vu, par le même moyen , des luxations anciennes se réduire presque sans

troduction de l'air dans les veines. Nous n'insisterons pas sur les moyens d'arrêter Yhémorrhagie, renvoyant, pour cet objet

s malades précédemment affaiblis. Ordinairement cet accident cède aux moyens thérapeutiques les plus simples, usités en pareil

ontroverse sur la réalité de l'accident, ses conséquences, et sur les moyens de le combattre les plus efficaces ou plutôt les

le , comme on l'a déjà fait en pareil cas. Mais l'insignifiance de ce moyen , qui n'enlève pas la cause, et la proposition qui

ans l'application méthodique que l'on fait, sur la partie malade, des moyens propres à en amener la guéri-son. Les pansements

es dans la manière d'y parvenir : la première renferme la réunion des moyens qui ont pour effet de diminuer la douleur; la sec

ent. Evidemment le volume (un demi-centi-millimètre), de la denticule moyenne , équivalant à un globule de sang, est encore bien

tranchant. L'habitude qui résulte d'un fréquent exercice, est le seul moyen d'acquérir cette sûreté de la main, qui fait que

ent exercice, sous ce rapport, est donc indispensable : c'est le seul moyen d'acquérir cette précision, cette aisance, cette

ent tranchant. En général, dans ces cas, la dissection forme le temps moyen des opérations que commence et que termine l'inci

z ou à des liquides : c'est encore dans ce sens qu'on l'emploie comme moyen d'exploration pour préciser la nature d'une tumeu

léser avec l'instrument tranchant. On opère la déchirure par divers moyens : i° Avec le pouce et l'indicateur de chaque ma

ulluleront, même après une cautérisation terminale, ce n'est point le moyen opératoire qui est infidèle, mais la nature de la

rt : ces deux trajets, parallèles entre eux, inter-cepteront le tiers moyen de la tumeur. Dans ce cas, du reste, pour tles tu

ibres, la tumeur se trouve liée isolément en trois parties : le tiers moyen entre les trajets des fils et les deux intervalle

revenir dans de meilleures circonstances , ou à recourir à tout autre moyen de guérison. 2° Dans les cas heureusement assez

er une hémorrhagie lorsque la ligature, le tamponnement et les autres moyens hémostatiques sont impraticables ou insuffisans ;

on de bois, dont un aide active la combustion par le soufflet. Par ce moyen , l'opérateur, substituant immédiatement un cautèr

d'un ou de plusieurs viscères. On combat ces divers accidens par les moyens appropriés. Cautérisation transcurrente. On la

s moyens appropriés. Cautérisation transcurrente. On la pratique au moyen du cautère hastile chauffé au rouge cerise. Elle

froidissement à l'air d'un charbon isolé fait que l'emploi du dernier moyen est de beaucoup préférable. Le cautère, ou le cor

Il suffit de mentionner la cautérisation par les rayons solaires, ce moyen , très douloureux, ne produisant aucun effet que l

elle que l'on pratique avec des liquides ne s'emploie guère que comme moyen de vésication. COMPRESSION. La compression es

chirurgicale par laquelle on opère sur les tissus, à l'aide de divers moyens mécaniques, une pression dont l'objet répond, sui

trique est d'un emploi continuel en chirurgie. i° Elle entre comme un moyen de réunion clans tous les pansemens pour contenir

terminée par de petits vaisseaux. 2° Par elle-même, elle constitue un moyen curatif pour faire dissiper un œdème ou l'empêche

s déplacées par les orifices dilatés qui leur donnent issue. 3° Comme moyen auxiliaire, la compression forme l'un des élémens

anguines, on en a obtenu quelque succès, seule ou combinée à d'autres moyens , dans le traitement des anévrismes; mais poulies

s'accroît avec plus de rapidité dès qu'on en cesse l'usage. Enfin, ce moyen a de nombreux inconvéniens, et ne saurait être em

s très restreints : c'est donc sur-tout comme agent temporaire que ce moyen trouve son application. Le plus général et le plu

lication. Le plus général et le plus utile est, sans contredit, comme moyen suspensif du cours du sang; il trouvera sa place

quent usage d'instrumens nommés dilatateurs, dont on se servait comme moyen d'écarte-ment des orifices naturels et artificiel

tretenir. Les substances dont on se sert le plus habituellement comme moyen de dilatation sont : la charpie en tente ou en bo

donnent issue aux divers fluides naturels ou morbides. Le détail des moyens , si variés, de dilatation, trouvera sa place dans

t liquides. L'opération qui leur donne issue se nomme évacuation; les moyens généraux par lesquels on l'effectue sont la ponct

ion convenable de la partie malade. On y joint l'em ploi des divers moyens thérapeutiques, les topiques locaux, bains , cinb

nstrument tranchant, la ligature, les caustiques, ou , par tout autre moyen de division, tous les tissus pourvus d'une envelo

lle. 2° La réunion s'opère par la situation , l'affrontement et les moyens unissans. (a) Situation. Une position convenabl

plus considérable, par se revêtir d'un tissu cutané accidentel. (c) Moyens unissans. Ils comprennent les sutures, les aggl

s par les bandages. SUTURES '. La suture a été autrefois l'un des moyens de réunion les plus employés. A l'époque de J.-L.

-on réservé les sutures pour certains cas particuliers, où les autres moyens sont insuffisans. Les sutures se pratiquent à l

ler au-delà, en se rappelant qu'une striction trop forte convertit un moyen unissant en une ligature en masse, dont la conséq

tion plus forte des liens, il vaut mieux soutenir leur action par des moyens auxiliaires, soit des compresses graduées disposé

En ce qui concerne la durée de l'application, la suture n'étant qu'un moyen propre à faciliter l'adhésion , mais irritant par

, comme nous l'avons dit plus haut, aider à ses effets par les autres moyens unissans. io° Pour enlever les sutures, on hume

bien rares où ne pourraient suffire les agglutina tifs seuls ou comme moyens auxiliaires. suture enciievillée. Elle diffère

seulement, s'il y en a plusieurs, on doit affronter d'abord la partie moyenne , puis l'angle supérieur de la plaie, avant de pas

enfin, aujourd'hui que l'on restreint de plus en plus l'usage de ces moyens , quelques chirurgiens ont renoncé à l'emploi de t

rvatifs de frottement, servent, principalement dans la réunion, comme moyen d'affrontement, découpés en lanières ou en bandel

une légère profondeur, il est préférable de combiner l'action de ces moyens . ¦2° Plus la longueur des bandelettes est consi

parfait. Cette première bandelette doit toujours occuper la partie moyenne de la solution de continuité ; puis on en pose un

e, pour s'en servir on applique, par la surlace cmplasfique, le plein moyen des deux rouleaux sur le point diamétralement opp

mène de très haut les chairs et les tégumens au-devant du moignon. Ce moyen , continué quelque temps, a pour but de déterminer

bords. Les uns réunissaient les bandelettes par une suture en surjet, moyen le plus compliqué et par cela même le plus vicieu

cutané. ACTIONS COMPLEXES PROPRES A UN GRAND NOMBRE D'OPÉRATIONS. MOYENS PROPRES A ENGOURDIR LA SENSIRILITÉ ET DIMINUER LA

mais plus particulièrement de la partie sur laquelle on opère. Divers moyens ont été tentés pour obtenir ce résultat. i° Nar

rconstances impérieuses, ont été induits à faire comprimer par divers moyens les principaux troncs nerveux. Toutefois, James M

urce, chez les sujets très irritables et d'une vive sensibilité. 3° Moyens auxiliaires. Quelque valeur que l'on accorde à la

ession, il faut convenir néanmoins, avec MM. Sanson et Bégin, que les moyens les plus certains sont ceux qui tendent à abréger

aul d'Égine, et, à la renaissance, J. de Vigo et F. d'Aquapendente. MOYENS PROPRES A EMPÊCHER L'EFFUSION DU SANG, ou HÉMOS

des vaisseaux qui la fournissent, et nécessitent pour chaque cas des moyens différens. A. Lésions des grosses artères. Sous

analogue à ce qui arrive dans l'arrachement : les tuniques interne et moyenne se retirent dans la tunique celluleuse; le calibr

u sang, soit que le malade se trouve abandonné à lui-même, ou que les moyens employés aient été im-puissans ou cle nul effet,

dont la direction est contraire aux fibres principales de la tunique moyenne et à la force d'impulsion du liquide, ne tend poi

agies et sans anévrismes. Mode de cicatrisation. L'appréciation des moyens employés par la nature pour arrêter l'hémorrhagie

de la circonférence du vaisseau, l'oblitération complète est le seul moyen de guérison possible. Cette oblitération se fait

ons doivent engager le chirurgien à employer le plus tôt possible les moyens propres à s'opposer à l'écoulement du sang. lés

ssées. Quand ces hémorrhagies tendent à récidiver, malgré l'emploi de moyens convenables, leur véritable traitement est l'enlè

e que les hémorrhagies des veines soient assez graves pour exiger des moyens spéciaux. Les veines, en général, ne saignent qu'

nitivement lorsque l'opération est terminée. Dans le premier cas, les moyens préventifs ne s'adressent qu'à l'hémorrhagie arté

ésion des diverses sortes de vaisseaux et la constitution du sujet. MOYENS ET PROCÉDÉS HÉMOSTATIQUES PRÉVENTIFS. Leur obje

er immédiatement la circulation dans le tronc artériel principal. Ces moyens sont au nombre de deux : la compression et la lig

re le cours du sang par une oblitération provisoire. Quel que soit le moyen que l'on emploie, la compression exactement faite

e, soit une surface osseuse ou fibreuse qui réagit sur la pression. Moyens et procédés de compression. La compression s'op

qu'il exige, de ne pouvoir s appliquer avec efficacité qu'à la partie moyenne des membres ; (b) de s'opposer à la rétraction de

mpresseurs sont d'un usage indispensable en chirurgie ; c'est le seul moyen de maintenir une compression permanente pendant u

aines, dans les cas de récidives fréquentes d'hémorrhagies , ou comme moyen curatif des anévrismes, sauf à en graduer, en sus

s traumatiques. Il est rare qu'on 26 puisse y avoir recours comme moyen préventif dans les opérations. i° Arlère tempor

à ce jour. Dans les cas où le danger n'est point imminent, soit comme moyen curatif pour atrophier ou empêcher l'accroissemen

e fongus, d'anévrismes ou de tumeurs érectiles de la tête, soit comme moyen préventif avant de pratiquer une opération, pour

tenté la ligature du tronc carotidien, peut-être clans l'absence d'un moyen efficace pour la compression, que l'on emploie de

clans cette intention par M. Malapert et par nous. (Pl. i8\) Mais ce moyen hardi n'ayant pas encore reçu la sanction de l'ex

oplectique, lorsque le malade ne donne plus d'espoir, tous les autres moyens thérapeutiques ayant échoué. A la vérité, si un é

ratiquent sur le membre thoracique. Mais on ne possédait encore aucun moyen pour la compression permanente comme moyen curati

ne possédait encore aucun moyen pour la compression permanente comme moyen curatif des anévrismes ; c'est dans ce but que no

ot ou tout compresseur quelconque , appliqué perpendiculairement à la moyenne de l'espace inter-musculaire, suffit pour aplatir

en dedans. Toutefois, en comprimant l'artère humérale, il n'est aucun moyen de ne point faire obstacle à la circulation veine

pas applicables en ce point. (b) Au tiers supérieur ou à la partie moyenne de la cuisse, la compression est facile et effica

halangiennes, les muscles du bas-ventre étant dans le relâchement. Ce moyen préventif ne peut s'appliquer que pour un temps t

-deloque, et depuis plusieurs chirurgiens, ont employé avec succès ce moyen pour arrêter des hémorrhagies utérines après l'ac

hagie ultérieure. Nous avons représenté ce mode de compression, comme moyen préventif, dans la ligature des artères iliaques,

ice de vaisseau lésé, à mesure que chemine l'instrument tranchant. Ce moyen suspensif temporaire, qui permet de terminer l'op

s qui renferment les vaisseaux au moment où ils vont être divisés. Ce moyen s'applique à toutes les parties isolées , soit le

ombre de petits vaisseaux, la compression médiate s'opère, par divers moyens , au travers de la peau, à la circonférence de la

er pour les expirations, suivant le conseil de Dupuytren. Outre ces moyens généraux , suffisans dans la plupart des cas, on

comme on l'observe journellement à la suite des diverses saignées. Ce moyen aussi doit toujours être employé concurremment av

d'y suppléer par la ligature. Toutefois on ne doit avoir recours à ce moyen qu'autant que les autres auraient échoué, la liga

béans des vaisseaux flivisés. Pour y parvenir, outre la ligature, le moyen principal et qui s'applique à presque tous les ca

cipal et qui s'applique à presque tous les cas, on a imaginé d'autres moyens , en grand nombre, curatifs ou auxiliaires, presqu

ois vasculaires entre elles et avec les tissus voisins. De ces divers moyens hémostatiques, les uns sont également applicables

u aidée au besoin de la compression. Toutefois l'art possède quelques moyens supplétifs. Sur les vaisseaux sains et d'un médio

llaires, sur des sujets faibles, où il y a tendance à la récidive, le moyen le plus efficace est la cautérisation. Moyens d

ance à la récidive, le moyen le plus efficace est la cautérisation. Moyens d'une application générale. Compression. Elle e

urs ; elle s'emploie, après aussi bien qu'avant les opérations, comme moyen subsidiaire pour diminuer ou suspendre l'afflux d

irecte, lorsqu'on est menacé d'hémorrhagie malgré l'emploi des autres moyens . Procédé de Koch. C'est à la combinaison des de

mpression modérée, employée à chaque fois, en quelque sorte, comme un moyen d'essai pour obtenir une réunion immédiate sans r

médiate, les chirurgiens français n'ont pas encore osé se servir d'un moyen dont la témérité n'est pas assez justifiée par le

ulses dans l'anse. Depuis que la ligature en général est usitée comme moyen hémostatique, le progrès uniforme de l'art a été

us que la ligature circulaire sur le membre en entier, employée comme moyen préventif, la cautérisation, après l'opération, é

e moyen préventif, la cautérisation, après l'opération, étant le seul moyen curatif usité contre l'bémorrhagie. Ambroise Paré

haut l'artère pour la lier sur un point où elle est saine ; ou, si ce moyen est impraticable et que l'hémorrhagie soit à crai

gature médiate, la chirurgie du temps de Louis XIV avait imaginé deux moyens consignés dans Dionis. Dans le premier, qui forme

ction doit être assez forte pour diviser les deux tuniques interne et moyenne , le travail de cicatrisation s'opé-rant plus faci

sez les parois et peut être chassé par la colonne sanguine ; le terme moyen consiste à adapter le volume et la résistance du

ssue à aucun fluide. C'est clans ce but qu'ont été imaginés plusieurs moyens : i° les ligatures ani malcs, clans la supposit

ette dernière, des cas spéciaux d'application nécessaire. Choix des moyens . En résumé, le mode de ligature généralement adop

le mode de ligature généralement adopté consiste clans la réunion des moyens suivans : Un fil simple de chanvre, de volume con

vant que le vaisseau est d'un plus grand ou d'un plus petit volume. Moyens applicables aux artères tCun médiocre ou d'un pet

donne lieu immédiatement à une escharre sèche et solide. Néanmoins ce moyen est insuffisant contre les gros vaisseaux. Les ca

opérations qui se font à la face. La cautérisation est encore le seul moyen applicable après l'enlèvement de fongus, de tumeu

que toute lésion ou ciilacération physique des parois d'une artère de moyen volume doit en faciliter l'adhésion par phlogose.

trémité d'une artère avec les ongles ou des pinces, et réussit par ce moyen à empêcher rhémorrhagie d'une artère testiculaire

es mâcliures de l'extrémité d'une artère, et combinent l'emploi de ce moyen avec la torsion et le refoulement. Refoulement.

re à rompre et refouler de bas en haut les deux tuniques internes. Ce moyen a réussi sur les chiens, et a manqué son effet, a

hairs; comprimer avec cette pince pour couper les tuniques interne et moyenne , et, pendant qu'on étrangle le vaisseau avec une

lui-même est moins en état de supporter une émission sanguine. Les moyens de suspendre l'héniorrhagie sont assez nombreux.

ne soit pas assez considérable pour nécessiter d'urgence l'emploi de moyens plus énergiques, continuer ainsi jusqu'à cessatio

mémoire, les auteurs n'en ayant pas donné la composition. Ces divers moyens demandent à être employés avec une certaine réser

emploie pendant le cours des opérations , et convient très bien comme moyen temporaire ; laissé à demeure, au contraire , il

e le corps même de la peau est malade. B. Cautérisation. C'était un moyen trop dangereux pour une incommodité aussi légère

de Dionis. Enlever par le grattage jusqu'à usure complète la portion moyenne de l'ongle, et refouler vers le côté sain le segm

achement le tiers ou la moitié en largeur du côté sain de l'ongle. Ce moyen , aidé par un pansement méthodique, suffit, d'aprè

é de la maladie, on opère avec ou sans ablation des chairs; le second moyen seul peut être curatif. 4° Arrachement sans abl

gauche, introduire à plat sous le bord libre de l'ongle, à sa partie moyenne , l'extrémité d'une branche de ciseaux droits, bie

Enlèvement isolé des chairs. Pratiqué par les Arabes, décrit comme moyen usuel par Ani-broise Paré , puis oublié pendant d

on du caustique, ou terminer en touchant avec le nitrate d'argent. Ce moyen qui compte déjà un certain nombre de guérisons pa

par quelques chirurgiens, même sans cette coïncidence, comme le seul moyen vraiment curatif de l'ongle incarné. Procédé de

chimique, elle est plus sûre, plus prompte et moins agaçante que les moyens mécaniques. L'objet de son application étant de d

ps affectée d'une névralgie très douloureuse qui a résisté à tous les moyens . On se borne alors à soulever et incliner la dent

ssement de l'ossification. EXTRACTION DES DENTS. C'est le dernier moyen à employer pour faire cesser la névralgie dentair

cours que lorsque la douleur est insupportable et que tous les autres moyens ont échoué. En général, certains opérateurs, et a

: i° Le spéculum oris ( Fig. i ), de diverses formes, imaginé comme moyen préparatoire pour maintenir l'écartement des mâch

gencive et de l'alvéole, qui réclameront, chacun dans leur temps, les moyens appropriés. VACCINATION. Cette opération, la

idité et sans qu'il ait subi d'altération. On achèverait de rendre ce moyen d'un effet sûr en taillant les bords des plaques

sicatoire. Employé d'abord pour mettre à nu le réseau de Malpighi, ce moyen , vanté d'abord par Osiander, a tous les in-convén

e on insinue un fil chargé de vaccin. Elle réussit mieux que les deux moyens précédens; mais elle effraie davantage que les pi

donne lieu à une plaie saignante. 4° Piqûre. C'est en fait le seul moyen employé, vu la facilité et la promptitude de son

prendra pour inoculer. On peut encore, en rayant le verre à sa partie moyenne avec le tranchant d'une pierre à fusil, un diaman

ation particulière pour le choix du lieu, le bras gauche, à la partie moyenne de sa face externe, est le point le plus commode

temps indéterminé. Action instantanée. A. Eau bouillante. C'est le moyen le plus efficace et par cela même le plus employé

mou-vemens et causent des douleurs inutiles. On doit donc préférer le moyen suivant. 2° Procédé d'Anthony Carlisle. Appliquer

calorique à cent degrés, et l'appliquer immédiatement sur la peau. Ce moyen nous paraît lent et pourrait être inefficace, le

ndre garde à un contact trop prolongé. 3° Cautérisation objective. Ce moyen est réservé pour ranimer les fonctions vitales da

effet : celle des rayons solaires rassemblés au foyer d'une lentille, moyen inusité ; et l'approche d'un corps en ignition, m

el cas l'opération deviendrait un véritable moxa. Action rapide. Le moyen qui répond à cette indication est la pommade ammo

me nerveux. Ces acciclens, une fois développés, se combattent par les moyens appropriés, et sur-tout par la cessation de l'usa

amphre mêlée à celle des cantharides pour en neutraliser l'action. Ce moyen , s'il n'est pas toujours très efficace, est du mo

n allume ensuite une de ses extrémités à la flamme d'une bougie ou au moyen d'un charbon en ignition, et on applique sur la p

pour obtenir la chute del'eseharre, que l'on hâte mu besoin par les moyens appropriés. L'ulcère qui en résulte n'est plus qu

travers du tissu cellulaire, et dont on entretient la suppuration au moyen d'une bandelette de linge effilée des deux côtés,

convexe. Mais pour les scarifications superficielles, employées comme moyen révulsif concurremment avec la ventouse, on se se

hère aux parties sous-jacentes comme à la face, l'emploi d'un nouveau moyen est indispensable. Dans la nécessité de remédier

our tailler décidément un lambeau aux dépens des parties voisines. Ce moyen , pratiqué déjà dans l'antiquité, nous a été trans

st rare que l'on soit dans l'obligation d'avoir recours à un pareil moyen , et on doit môme l'éviter, autant qu'on le peut,

r les parties proéminentes. Au besoin, on arrête l'hémorragie par les moyens connus. On panse à plat et on maintient la peau t

n obtenue, on doit continuer encore, pendant longtemps , l'action des moyens propres à empêcher la rétraction des nouvelles ci

queux accidentel qui s'ouvre par un orifice cutané. — L'emploi de ces moyens doit être continué longtemps, et même repris par

ons qui glissent dans des gaines synoviales, pour oser , comme simple moyen de redressement, en couper plusieurs à la fois. E

cd'un fait deM. Amus-sat où la section incomplète, à l'union du tiers moyen avec le tiers inférieur, a été suivie de l'atroph

la lame du bistouri qui les divise. Ce procédé, employé sur la partie moyenne du muscle, peut être appliqué pour tout autre poi

des cicatrices dans les profondeurs, contentons-nous de spécifier les moyens employés contre les cicatrices superficielles des

uer aux nerfs eux-mêmes. Les névralgies faciales, rebelles à tous les moyens empruntés de la thérapeutique médicale, ont d'abo

la fontanelle antérieure ; M. Couquest la suture frontale, à distance moyenne entre l'éminence inter-sourcilière et la fontanel

Il atteint bientôt le nerf au-dessus des muscles styliens, à distance moyenne entre le col du condyle de la mâchoire et l'apoph

que. Les unes ont pour objel d'agir sur la circulation générale comme moyen curatif dune affection étrangère aux vaisseaux eu

soustrayant plus ou moins complètement à la pression atmosphérique au moyen du vide. La ventouse la plus simple se compose d'

sif, et s'appelle ventouse sèche. Ou l'on évacue le sang au dehors au moyen d'incisions superficielles à la peau; la ventouse

r attirer au-dehors les liquides et empêcher l'absorption des venins, moyen peu efficace, à la vérité, mais qui peut servir d

tites opérations : le choix de ces annélides, leur application et les moyens ultérieurs d'accroître ou de suspendre l'hémorrag

hémorragie. Choix des sangsues. On doit préférer celles de grosseur moyenne ; les grosses sangsues sont généralement peu vivac

s cas au jugement de l'opérateur, il estbon de savoir quelle quantité moyenne de sang fournit une sangsue. On l'a évaluée à deu

absorbe deux fois et demie son poids ou cinquante grains; une sangsue moyenne , deux fois son poids ou quatre-vingts grains ; en

osse sangsue, un poids égal au sien ou quatre-vingts grains. Le terme moyen de ces trois dimensions donne soixante-dix grains

u contraire où l'écoulement, trop abondant, fait hémorragie, en terme moyen on peut considérer chaque plaie comme donnant lie

our trois de ces annélides : d'où on conclut que pour produire par ce moyen une évacuation équivalente à une saignée de trois

avoir soin d'enlever de temps en temps les caillots. A l'aide de ces moyens , le sang continue souvent plusieurs heures de cou

utant de cloches simples répandues sur la surface. Au besoin même, ce moyen peut servir pour abréger l'opération. 3° Suspen

ble hémorragie, et l'affaiblissement du malade force à l'arrêter. Les moyens employés à cet effet par l'hémostatique chirurgic

, est assez singulier , car il s'appuie, pour arrêter le sang, sur un moyen employé pour en faciliter l'écoulement, et ne doi

la pulpe du doigt continuée une ou deux minutes. (d) Pincement. Ce moyen est l'un des meilleurs. On l'opère à l'aide de di

urel , se rapprochent brusquement et maintiennent la plaie fermée. Ce moyen remplit bien son objet. Il est d'autant meilleur,

t, plus prompt clans ces cas, lui donne la supériorité sur tout autre moyen . 20 Dans les phlegmasies du poumon, du foie, et e

héroïques que l'art, jusqu'à présent, n'aurait pu obtenir par d'autre moyen . Précautions à prendre. Les ventouses-Junod ,

, en son absence, à des personnes étrangères à l'art. Enfin, comme ce moyen est encore nouveau, on conçoit de quelle importan

oire, c'est que nous étions le premier à faire connaître au public un moyen thérapeutique nouveau, d'une grande énergie et d'

ivres de sang ! Or, si cet effet n'est pas niable, pensez-vous cpi'un moyen cpii met sous votre puissance la circulation, aus

ique , c'est dans l'action de guérir, objet spécial de l'art, que les moyens sont restés les plus limités : et aujourd'hui que

insignifiance et de la témérité la plus audacieuse, négligera-t-on un moyen nouveau, à la fois si varié, si puissant, et avec

dre suivant. i° Le membre thoracique en plusieurs points : (a) au pli moyen cle flexion dit pli du coude, et vulgairement, pa

e l'on a choisi, avec le doigt pour la veine jugulaire externe, et au moyen d'une bande pour les veines des membres. Cette de

se rebuter, continuer au moins pendant une demi-heure l'emploi de ces moyens avant d'y renoncer; et on y ajoute même, autant q

rce des frictions de bas en haut sur le membre. Si cependant tous ces moyens sont infructueux, et que la saignée soit indispen

yée à soutenir le membre qu'elle embrasse et à tendre les tégumens au moyen des doigts d'un côté, le pouce et 1 eminence hypo

u-dessus de l'incision, et les accidens généraux, se traitent par les moyens appropriés. Si, après la chute des principaux sym

Procédé opératoire. Découvrir préalablement le bras jusqu'à sa partie moyenne , en relevant les inanches en bourrelet circulaire

tel a réussi à l'arrêter par un point de suture à la peau sans que ce moyen ait eu aucun inconvénient. saignées spéciales p

n a généralisé cette indication en proposant, dans tous les cas où ce moyen peut être employé, de saigner les veines qui rapp

rnière ressource avant l'artériotomie, que M. Lisfranc a conseillé ce moyen qui n'a pas même été employé. Ce chirurgien propo

t les précautions indiquées (pl. 3o, fig.D»). Lorsqu'enfin tous les moyens d'obtenir une émission sanguine en quantité conve

our une affection générale étrangère aux veines elles-mêmes; 2° comme moyen curatif des maladies de ces vaisseaux. Les opér

ont affectées. La chirurgie, pour y parvenir, a recours à de nombreux moyens : la compression, la réduction, l'incision, la se

été employés dès la plus haute antiquité, comme il en est de tous les moyens cura tifs dont on s'est servi par empirisme avant

des illusions que l'on se fait, à chaque époque, sur l'efficacité des moyens prônés par la vogue. Les anciens ont d'abord empl

laire étendue à tout le membre. Mais déjà Hippocrate ne considère ces moyens que comme palliatifs et avait recours à l'incisio

, Ambroise Paré et Guillemcau, son élève, préfèrent à tous les autres moyens le cautère potentiel; l'illustre chirurgien de La

ression simple. Elle s exerce de deux manières : i° par les bandages, moyen le plus usuel et qui consiste dans le bandage spi

M. Fricke,clans une lettre à M. Velpeau, assure avoir réussi par ce moyen dans trente cas. M. Velpeau l'a employé deux fois

r un nœud ordinaire et couper le vaisseau immédiatement au-dessus. Ce moyen se combine au besoin avec l'incision d'un peloton

ar des auteurs clignes cle foi, la ligature serait l'un des meilleurs moyens et le plus inoffensif. Toute la question roule su

s veines s'étaient trouvées oblitérées fut conduit à employer le même moyen dans ce but spécial, en limitant son emploi aux c

ssance à des hémorragies. A son exemple M. Bonnet s'est servi du même moyen , dont il a étendu et généralisé l'emploi ; mais,

se confirment, la cautérisation potentielle serait encore le meilleur moyen d'obtenir une oblitération permanente des veines;

graves ; cette restriction donne, pour le point le plus bas, le tiers moyen de la jambe, et, pour le point le plus élevé, la

fait que reproduire avec des chances diverses et variées à l'aide des moyens d'expérimentation d'une époque plus avancée les n

art était encore à son berceau. La compression simple, efficace comme moyen préventif, n'a plus qu'un effet palliatif sur les

tes, et ne doit alors son innocuité qu'à son insignifiance. Quant aux moyens d'une intention curative : si l'on s'arrête au ré

e des parties situées au-dessous. Pour conclure, il n'y a donc pas de moyen véritablement curatif des varices ; parce qu'il n

qu'un effet palliatif, et dont il ne faut point abuser, les meilleurs moyens d'y parvenir, la ligature et la cautérisation, ne

extrêmes qu'il faut réserver pour les cas impérieux, seulement comme moyen curatif accidentel des altérations déjà produites

rgement. Reporté au point de départ, c'est le cas d'avoir recours aux moyens préventifs moins brillans dans leur emploi; mais

e de l'extrémité libre du membre au-dessus des veines affectées, seul moyen rationnel d'empêcher, autant qu'on le peut, de no

ù se trouve Je point lésé. La ligature n'étant, en elle-même, qu'un moyen hémostatique , son histoire se trouve confondue a

est acquise à la chirurgie, et, plus ou moins combinée avec d'autres moyens , par une tradition suivie à travers les Arabes et

r obtenir l'atrophie des tumeurs sanguines et cancéreuses, soit comme moyen hémostatique préventif dans les grandes opération

arties par plans ou par couches superposés et prévus à l'avance: seul moyen de procéder méthodiquement, en sachant toujours c

auf les cas de nécessité : le lieu proprement d'élection est le tiers moyen . Cas d'opération. Le plus commun est l'épanchcn

ter l'ouverture de la plaie. Alors, suivant que l'on agit à la partie moyenne ou à la partie supérieure de la jambe, chercher,

tissus. Ces considérations se résument sur trois parties, supérieure, moyenne et inférieure, constituant les trois lieux d'élec

ement le milieu. C'est donc avec raison que M. Manec choisit la ligne moyenne . Procédé opératoire. Le membre en demi-flexion

ateur, inciser du premier coup la peau, suivant la ligne verticale et moyenne indiquée, dans une longueur de cinq centimètres ;

é, garni de son fil, en amenant vers soi. 2° Ligature vers le tiers moyen de la jambe. Les préceptes ana-tomiques sont ici

n dont les muscles proéminent, l'artère tibiale postérieure, au tiers moyen de la jambe, est placée de un à un et demi centim

essus du tiers supérieur de la jambe et un peu en dedans de la partie moyenne du diamètre transverse. Renfermée en ce point sou

uscle et du court péronier latéral, on ne la lie guère qu'à la partie moyenne cle la jambe, au-dessous des jumeaux, entre les p

chirurgicale, pag. 55 et pl. 12. postérieur articulaire est, terme moyen , cle trois à quatre centimètres. La veine poplité

r à l'extérieur le sillon decartement des muscles jumeaux et la ligne moyenne du creux poplité; puis, de la main droite armée d

onnu à la partie inférieure de cette même plaie ; et quanta la partie moyenne , la principale difficulté est due à la veine popl

aller à la recherche du faisceau vasculaire, dontla profondeur, terme moyen , est d'environ quatre centimètres. Artère fémor

ts supérieurs de la cuisse avec une demi-torsion spirale de la partie moyenne et antérieure en haut, en suivant le plan interne

tendue du canal fémoro-poplité ou mieux un peu au-dessus; 20 au tiers moyen de la cuisse, préférablernent dans la portion de

de toutes parmi les grandes artères. C'est de préférence à la partie moyenne , où elle est plus facile à atteindre avec moins d

st-à-dire que la plaie s'étend également, par moitié, en bas du tiers moyen et en haut du tiers inférieur. Dans l'incision de

écarter en arrière par un aide. Ouvrir alors par une piqûre la partie moyenne de cette gaîne et prolonger la division avec la s

ur sa grande profondeur. 2° Ligature sous le couturier, à la partie moyenne ou au tiers supérieur (pl. 39, fig. 2 et 3). On

ification d'une même opération, de lier l'artère fémorale à la partie moyenne ou au tiers supérieur de la cuisse. Sans doute, a

me opinion, due à Desault et appuyée par M. Llogdson, prend le ternie moyen des deux autres et prescrit d'inciser au milieu,

éceptes. A. Partie inférieure de l'espace sous le couturier (partie moyenne de la cuisse). Procédé de M. Roux. Déprimer le si

f externe; dénuder et lier comme il est dit précédemment. B. Partie moyenne de l'espace sous le couturier (tiers supérieur de

rimer le sillon oblique intermédiaire du bord interne du couturier au moyen adducteur, inciser en un premier temps la peau da

entre le pyramidal et le petit fessier, eu regard du bord interne du moyen fessier, et se divise au delà entre ces deux dern

ser également avec la sonde ou le doigt l'aponévrose de revêtement du moyen fessier; le bord interne de ce muscle se présente

iée en plusieurs points : au poignet, au tiers inférieur, à la partie moyenne ou au tiers supérieur de lavant-bras. i0 Ligatu

u la sonde de dehors en dedans ou vers soi. y Ligature cï la partie moyenne ou au tiers supérieur de l'avant-bras. Jusqu'à

ultérieures varient, suivant le lieu de la ligature. A. A la partie moyenne de l'avant-bras. Déprimer et refouler en dehors

ste la lésion : le pli du bras au-dessus de sa bifurcation, sa partie moyenne , et son extrémité supérieure à la sortie de l'ais

uis faire la ligature comme à l'ordinaire. 2" Ligature ¿1 la partie moyenne du bras (pl. /\a ). Le membre placé comme il a ét

que en bas et en dehors à la réunion du tiers antérieur avec le tiers moyen de l'aisselle en travers , quoique sur le vivant

a grande corne de cet os, entre les muscles hyoglosse et constricteur moyen du pharynx , d'où elle se dirige obliquement, ave

ur le vivant. On l'a employée pour les cas les plus variés : i° comme moyen hémostatique préventif, pour faciliter la résecti

cas de simple blessure à la face la ligature de la carotide semble un moyen beaucoup trop grave, proportionnellement à l'effe

ement à l'effet que l'on veut obtenir; enfin le cas de ligature comme moyen préparatoire nous paraît le plus rationnel, quoiq

placé à droite, pratique au-dessus delà clavicule, à partir clu plan moyen , une incision transversale prolongée en dehors d'

, oblique de bas en haut et d'un côté à l'autre et traversant le plan moyen , nous paraît la meilleure , en ce qu'elle met les

Dans cet enfoncement celluleux se présentent les veines thyroïdiennes moyenne et inférieure et les ganglions lymphathiques, que

e M. Roux a plutôt pour objet de permettre la ligature vers la partie moyenne ou supérieure. Le procédé de sir A. Cooper ne per

e sir A. Cooper ne permet de lier avec facilité que jusqu'à la partie moyenne , et enfin celui de Bogros limite son action à la

s en dehors de l'anneau inguinal externe, c'est-à-dire clans l'espace moyen entre cet anneau et l'artère sur l'arcade crurale

t à huit centimètres jusqu'à trois décimètres et plus; mais, en terme moyen , dix à quatorze centimètres dans l'homme. De l'

es artères nous sont déjà connues dans leurs accidens généraux et les moyens d'y remédier. Nous n'aurons plus que quelques mot

e faux primitif. i" Plaies avec hémorragie à l'extérieur. Outre les moyens généraux dont nous avons parlé dans l'hémostatiqu

ues. Dans le second cas on se contente provisoirement de ces derniers moyens , et, à défaut d'une résorption suffisante, on att

ment. i° Compression permanente sur la tumeur. C'est le premier des moyens à employer quand la maladie est commençante. Cont

fection aussi redoutable, doit avoir recours immédiatement à tous les moyens que l'art met à sa disposition. La thérapeutiqu

à sa disposition. La thérapeutique de l'anévrisme est très riche en moyens . Comme traitement général de l'anévrisme interne

'anévrisme interne la médecine ne possède que la méthode de Valsalva, moyen d'exténuation qui a pour but de rendre le sujet e

ont très nombreux; ils consistent dans l'emploi spécialisé des divers moyens hémostatiques que nous avons décrits avec les opé

tatiques que nous avons décrits avec les opérations élémentaires. Ces moyens sont : les topiques réfrigérans et styptiques, la

roussement, les mâchures et l'acupuncture. En théorie l'exposé de ces moyens est assez simple, mais en pratique leur applicati

ême ou sur le tronc artériel, au-dessus ou au-dessous de la tumeur. MOYENS D'ACTION SUR LA TUMEDB Topiques rèfrigérans, St

cas c'est encore un auxiliaire utile pour aider à l'effet des autres moyens . T. Bartholin rapporte un cas de guérison d'un an

nt le contact du froid. Compression médiate. C'est encore un de ces moyens toujours utiles comme auxiliaires, et qui a souve

Enfin, de nos jours, il n'est pas un chirurgien qui n'ait employé ce moyen avec succès, au moins comme accessoire. La comp

eur, mais également au-dessus, au-dessous, et sur tout le membre. Les moyens de l'exercer n'ont pas moins varié que le lieu de

l'une et l'autre fixées par un compresseur (pl. 20 , fig. i,2,3). Ce moyen , du reste, est celui qu'ont employé avec succès d

une espèce de pince en bois serrée par un ruban. C'est un exemple des moyens de suppléer à ce qui manque. Aujourd'hui l'art es

gie. C'est seulement dans ce sens que Dupuytren a toujours employé ce moyen à l'Hôtel-Dieu. LIGATURE. Voici la méthode la

ier de l'anévrisme, celle dont on a le plus varié les procédés et les moyens . Le but de la ligature étant d'obtenir l'oblité

acob-son, etc. En 1810 A. Dubois appela l'attention par l'emploi d'un moyen très simple et qui consiste à poser les deux chef

ccomba après une hémorragie qui survint au quinzième jour. Depuis, ce moyen compte deux autres cas de succès obtenus par MM.

résultats. Ligature avec compression latérale par un corps mou. Ce moyen , qui constitue un procédé mixte entre la compress

de six lignes sur trois de large (quatorze millimètres sur sept). Ce moyen est usité par Platner, Hcister et la plupart des

t cylindre en bois de moitié de dimension, et tel est le succès de ce moyen que Saviard le cite comme étant généralement empl

encore légère, Morigi, Paletta, Uccelli, Giuntini, ont imaginé divers moyens . Le plus simple est encore celui de l'auteur. Sca

yer et Roux, en Irlande M. Cramp-ton. En France on a un peu varié les moyens . M. Roux, dans la confection du petit cylindre, a

onformément à sa théorie, pratiqua la section des tuuiques interne et moyenne dans trois ou quatre points par autant de ligatur

sept à quarante-deux jours. En résumé, les résultats de ces divers moyens sont assez vagues et j ustifient la circonspectio

ligature avec piqûre à travers l'artère. Nous avons déjà mentionné ce moyen , indiqué par Dionis, décrit par Richter, et dont

néficier de la présence des artères collatérales les plus voisines. MOYENS EN ESSAI. C'est pour mémoire, en qualité de ten

s, et non comme des procédés ayant cours, que nous mentionnons divers moyens , les uns, expérimentés seulement sur les animaux,

lieu à ranger presque au même titre, parmi les tentatives, tout autre moyen que la ligature simple et permanente, puisque le

une exclusion. 2° Torsion desfds de la ligature sans les nouer. Ce moyen , imaginé parM. Malago, n'est qu'une forme delà li

e résultat on se demande toutefois quel chirurgien oserait essayer ce moyen sur fhomme, et comment, sans isoler un tronc arté

renfermer le vaisseau entre le fil métallique et les anses du fil. Ce moyen ne nous paraît pas différer essentiellement de la

es à toute profondeur. Quelle que soit au fond l'efficacité réelle du moyen thérapeutique, du moins l'opération en elle-même

lle. Quant au nombre des aiguilles, comme dans l'emploi de tous les moyens où l'on ignore ce que l'on fait, chacun agit à pe

regretter que les chirurgiens et les médecins s'occupent si peu d'un moyen dont l'action est si puissante, et (pie son emplo

doit néanmoins, avant le pansement définitif, s'assurer, par tous les moyens d'exploration, qu'il n'en reste pas encore quelqu

es, n'ont plus qu'une médiocre étendue, on ouvre alors le foyer parle moyen du caustique, ouverture des abcès très profonds

cial qui exige préalablement une attention sérieuse dans le choix des moyens dont on doit faire usage et, au delà de toute pré

xcroissances par la ligature, l'excision et l'extirpation. Ce dernier moyen est préférable; c'est le seul qui permette de cer

pression permanente, l'écrasement et l'incision. Vécrasement, le seul moyen nouveau qui se présente ici, se pratique avec un

nt de vue de la médecine opératoire, se traitent toutes par les mêmes moyens , et toutes aussi présentent en chirurgie pour car

n commune de séparer la tumeur de l'organisme. On y parvient par deux moyens généraux, l'atrophie de la tumeur et sa destructi

ux moyens généraux, l'atrophie de la tumeur et sa destruction. i° Les moyens de déterminer l'atrophie sont: la compression pro

étranglement, la ligature en masse et la ligature des artères. 2°Aux moyens de destruction se rapportent : la cautérisation,

r des piqûres, les aiguilles dont la pointe est chargée de couleur. Moyens de déterminer l'atrophie. Compression prolongée

compresses longuettes, le tout contenu par un bandage, tels sont les moyens ordinaires de compression. M. Réeamier en a fait

on cours. Il n'est pas à ma connaissance que l'on puisse citer par ce moyen un seul cas de guérison véritablement confirmé. A

les chances de gangrène qu'elle entraîne, la compression n'est qu'un moyen auxiliaire et non réellement curatif. On peut en

être véritablement curatif. 2° Selon. Imaginé par M. Fawdingfon, ce moyen a été employé par MM. Lawrence, Macilwain et Lang

à demeure. Étranglement par des épingles (tumeurs vasculaires). Ce moyen , qui semble analogue au précédent, en diffère cep

en masse (tumeurs vasculaires). Nous avons peu de chose à dire de ce moyen d'étranglement des tumeurs érectiles, dont nous a

vec de la charpie. 2° Ligature des petites artères. S'il y avait un moyen assuré d'obtenir l'atrophie des tumeurs sanguines

quelques semaines. D'après un pareil résultat, on peut prévoir que ce moyen , véritablement illusoire, ne saurait en imposer p

atiquée le plus fréquemment. Depuis 1809 que M. Travers guérit par ce moyen une tumeur de l'orbite, vingt-cinq autres cas ont

escence peuvent être traitées par la cautérisation; mais, pour que ce moyen soit efficace, il faut que les tissus altérés n'a

et agent thérapeutique, les uns considérant la cautérisation comme un moyen infidèle et une cause nouvelle d'irritation qui h

ommandent. L'essentiel est de n'être point exclusif et de réserver ce moyen pour les cas spéciaux où il peut être utile. On

paisseur, malgré les succès que l'on dit en avoir obtenus n'est qu'un moyen infidèle et qui peut causer des accidens, outre q

omplète ou, dans le cas contraire, suivie de la cautérisation, est le moyen général le plus sûr ou, disons plus exactement, l

HYDROPISIES ARTICULAIRES. Ce n'est qu'après avoir épuisé tous les moyens résolutifs qu'il est permis d'évacuer les collect

es amas de pus épaissi qui ne peuvent être dissous et entraînés qu'au moyen d'injections émollientes répétées; c'est alors qu

a regarde comme insuffisante et comme devant être associée à d'autres moyens pour guérir radicalement la maladie articulaire.

étranger à l'aide de bandelettes agglutinatives et à l'y comprimer au moyen d'une espèce de genouillère construite exprès (Go

mens dont on augmente graduellement l'étendue et la fréquence. Par ce moyen l'on réunit les conditions nécessaires pour favor

sser à petits coups serrés les dentelures du talon de la scie; par ce moyen on est plus sûr de la bien diriger. Une fois la l

erf. Ces accidens réclament, quant aux vaisseaux, l'emploi des divers moyens hémostatiques ; et quant aux nerfs, la section co

ar des portions musculaires interposées entre eux. Un grand nombre de moyens ont été employés pour obtenir la consolidation de

s avec succès par Boycr, MM. Briot et Amcsbury. 3° Vésicatoires. Ce moyen , à peu près abandonné aujourd'hui, a trouvé son p

t par la division des parties molles, qu'ils ont été séparés de leurs moyens d'union et luxés en dehors de la plaie, on peut s

cause de l'indocilité du malade. Appréciation. En théorie, tous les moyens dirigés contre les fractures non consolidées para

la cause de la non-consolidation est dans l'organisme et non dans les moyens opératoires. Ainsi donc, en cas d'insuccès, le ch

dans la constitution du sujet, doit combattre cette diathèse par les moyens généraux et le régime approprié, avant de tenter

res ou bien avec différens compresseurs mécaniques. On conçoit que ce moyen devient tout-à-fait inefficace lorsque le cal est

, pédiculées, larges, diffuses, circonscrites, fusiformes, etc. — Les moyens chirurgicaux ne conviennent pas à toutes ces vari

oses et rejette d'une manière formelle le feu et les caustiques comme moyens douteux et infidèles, nous voyons un peu plus tar

temps on s'est occupé à ajouter des perfectionne-mens successifs aux moyens chirurgicaux dirigés contre les tumeurs des os. L

rties qui environnent ou supportent la tumeur. Ces difficultés et les moyens de les surmonter s'offriront natu rellement au

tumeurs. i° Compression. Nous ne faisons que la mentionner comme un moyen irrationnel et qui n'a jamais été suivi d'aucun r

eur afin d'en obtenir la suppuration et l'élimination, nous paraît un moyen moins sûr que l'excision, qui enlève directement

le moins d'épaisseur, puis on met à nu l'os de nouvelle formation au moyen d'une incision cruciale ou en T ou bien encore de

calorique les parties voisines que le cautère ne doit pas toucher. Le moyen le plus simple et le meilleur est de faire avec d

os. Elle emprunte son nom de l'instrument nommé trépan, qui en est le moyen le plus ordinaire. Toutefois on trépane ou on per

délai. Pour reconnaître les fêlures peu apparentes il propose, comme moyen certain, de racler l'os avec lexystre, ^ucJTfjQ,

sans distinction dans toutes les espèces de plaies de tête soit comme moyen cu-ratif des accidens consécutifs , lorsqu'ils so

ratif des accidens consécutifs , lorsqu'ils sont déclarés, soit comme moyen préservatif lorsqu'ils ne sont pas encore dévelop

e ne pas porter le trépan au niveau des sinus frontaux, sur la partie moyenne du frontal, sur les sutures des os du crâne, sur

nus à se rendre maîtres de l'hémorragie fournie par l'artère méningée moyenne . Du reste aujourd'hui la torsion s'y appliquerait

us convenable pour la fonction du membre. On atteint ce double but au moyen des différens appareils à fractures; celui de Scu

ure de l'os. Après avoir convenablement protégé les parties molles au moyen d'une petite compresse longue passée au-dessous c

nsement. La plaie convenablement nettoyée, on en réunit les lèvres au moyen cle bandelettes agglutinatives. Ce n'est qu'un ce

sèque de haut en bas et qu'on renverse sur le clos de la main. Par ce moyen , les os étant mis à nu et isolés des tissus en-vi

t du cubitus, du milieu de chacune des plaies latérales vers la ligne moyenne du membre, de manière à faire rencontrer les deux

d'en ménager les extrémités articulaires en n'enlevant que la partie moyenne de son corps, lorsqu'elle est fracassée par des f

chairs étant convenablement écartées par des aides, dénuder la partie moyenne de l'os, glisser, à l'aide d'un conducteur de boi

-bras tendant naturellement à se courber du côté externe, le meilleur moyen d'y remédier est l'appareil de Dupuytren pour les

ept centimètres (deux pouces à deux pouces et demi) et dont la partie moyenne tombe sur le condyle interne. Le nerf cubital iso

articulaires malades, en totalité ou en partie, suivant le besoin, au moyen d'incisions longitudinales convenablement dirigée

èles aux fibres du deltoïde, réunies par leur extrémité inférieure au moyen d'une section transversale, donnent pour résultat

quadrilatère qui doit être relevé en haut. Procédé de M. Morel. Au moyen d'une incision semi-lunaire, à convexité inférieu

ne sous - clavicre et même le canal thoracique. Arrivé à ce point, au moyen d'une incision pratiquée suivant le trajet de la

rs qu'à protéger convenablement les parties molles et à pratiquer, au moyen d'une scie cultellaire ou mieux de la scie à chaî

exécutée par MM. Heine, Roux, Dupuytren et Champion fut pratiquée au moyen d'une incision en T qui permit de mettre à découv

de suture, les surfaces osseuses seront rapprochées et maintenues au moyen d'une semelle et de deux attelles fixées sur les

iffère en rien du procédé de M. Rossi. 4° Procédé de M. Velpeau. Au moyen d'une incision semi-lunaire portée de l'épine ant

ntre sa poitrine. Cela étant, circonscrire un lambeau quadrilatère au moyen cle trois incisions. Les deux premières sont vert

termine la quantité d'os qu'on excisera ; on pourra enlever la partie moyenne du corps, la branche ascendante ou la totalité de

les opérations minutieuses et délicates. 111 Résection de la partie moyenne du corps de la mâchoire (pl. 65, fig. 1). Procé

oulette de cire ou avec de l'amadou. C'est seulement lorsque tous ces moyens ont échoué qu'on doit en venir à la cautérisation

ux verticales : l'une interne divise la lèvre inférieure sur la ligne moyenne , l'autre externe part de l'arcade zygomatique en

n haut et en dedans. On commence par scier la mâchoire sur la ligne moyenne ; puis, en rasant avec le bistouri la face postér

l'avantage à convertir l'incision horizontale en une incision en T au moyen d'une nouvelle section qui diviserait la lèvre in

une nouvelle section qui diviserait la lèvre inférieure sur la partie moyenne . On obtiendrait de cette façon deux lambeaux laté

pour avoir plus de facilité, de commencer à scier l'os sur la partie moyenne : ce qui transforme ce procédé en une double désar

gien la pratiqua pour un cancer du thorax. Il eut à enlever la partie moyenne de quatre côtes dans l'étendue de plusieurs pouce

lir le côté malade. On commence par découvrir les côtes affectées, au moyens d'incision suffisantes et en rapport avec l'étend

ite de sept millimètres (trois lignes) de sa position nor mille. Au moyen d'une incision verticale de treize à seize centim

es premiers temps, considérée comme une ressource précieuse, comme un moyen thérapeutique appliqué, avec une détermination pr

ger de l'hémorragie; on ne s'occupa plus qu'à diriger contre elle des moyens tout au moins absurdes, quand ils n'étaient pas b

ux amputations, en précisent le lieu et les indications, fixent les moyens hémostatiques, et s'attachent surtout à raisonner

érieur longe le bord externe du tendon du cubital antérieur, au tiers moyen elle est couchée sur le fléchisseur profond et re

nférieure de l'espace inter-osseux. Quatrième temps. Passer le chef moyen de la compresse-ré-tracteur de la face antérieure

stérieure, remonter les chairs, mettre l'avant-bras dans une position moyenne , afin que les os soient sciés au même niveau ; fi

u tirée en haut, le couteau porté par-dessous le membre sur la partie moyenne du biceps, inciser circulaircnicnt et d'un seul c

ur le bras, pendant la réunion le moignon doit être dans une position moyenne . On a très peu insisté sur la méthode circulaire,

humérus, entre les fléchisseurs et le triceps. En haut et à la partie moyenne il faut lier aussi la collatérale externe. Les au

erviroit dcmpeschemenl pour se heurter de part et d'autre. Avec les moyens prothétiques de cette époque, de pareilles raison

e venait infirmer. Mais si, d'un côté, la mécanique a pu inventer des moyens de sustentation déjà satisfaisans, et capables en

r la patte d'oie et le tendon rotulien, enfin à trouver les meilleurs moyens de conserver assez de peau pour recouvrir la plai

mputation sus-inalléolaire paraît tenir à la difficulté de trouver un moyen de sustentation convenable. Cette considération n

a supériorité, qu'ils la préfèrent quand même on ne trouverait pas de moyens de sustentation convenables; et nous devrons acce

ressort de la pathologie. Au chapitre des résections il est parlé du moyen de remédier à la saillie du fémur, si elle surven

r un aide, saisir soi-même le genou d'une main et, avec un couteau de moyenne longueur offert obliquement, tailler d'un seul co

(trois ou quatre pouces) qui contourne le fémur et s'arrête sur l'axe moyen de la cuisse, en avant et en arrière; ce lambeau

, en effet, une diaphyse ou un cylindre uniforme cpie l'on attaque au moyen d'une scie dont rien ne saurait arrêter le mouvem

stance connue. 3° Imprimer des mouveinens à l'articulation; mais ce moyen , quelquefois inexécutable, n'est jamais sûr quand

es tendons qui s'insèrent au voisinage de l'article: nous ferons à ce moyen le même reproche cpi'au précédent, et nous ajoute

ophyse de l'os crochu, le tranchant du bistouri dirigé vers la partie moyenne du second os métacarpien. Méthode a un lamreau.

dorsal semi-lunaire qu'il dissèque. 3° La main rétablie en pronation moyenne si elle en a été écartée, pénétrer à plein tranch

e vers l'interne et de haut en bas, à un centimètre au-dessous, terme moyen . A l'extérieur l'articulation huméro-radiale corr

nlever la tête numérale, qu'il avait trouvée vacillante. L'absence de moyen pour comprimer la sous-clavière, la crainte d'ouv

u contour de son col anatomique. La tête humérale offre une épaisseur moyenne de cinq centimètres et demi (deux pouces) ; la vo

grand cunéiforme proémine de six à huit millimètres au-devant, et le moyen de deux millimètres seulement : à trois millimètr

se trouve la double articulation métatarsienne du cuboïde. Quant aux moyens de fixité : à la face dorsale les cunéiformes et

précis. Enfin, comme dernier renseignement, il est bon de préciser le moyen de reconnaître le plan inter-articulaire sur les

ubercule de cet os et au delà celui du cunéiforme; dans l'enfoncement moyen est la ligne articulaire. Ce point doit être de v

edans du tubercule du cinquième métatarsien. La pointe arrêtée par le moyen cunéiforme, porter le couteau en travers trois mi

est seulement encore un peu irrégulière par la rentrée articulaire du moyen cunéiforme entre ces deux os. Procédé de Chopar

siècle dernier, est le premier qui en ait conçu la possibilité et les moyens d'exécution. C'est d'après lui que deux de ses él

pour en faire la ligature. Mieux vaudrait, à notre sens, employer le moyen usité par M. Baudens d'oblitérer préalablement ch

hoix du chirurgien ou par l'exigence du procédé, reste à employer les moyens de maintenir l'affrontement des bords de la plaie

92, 93. —Réunion, 93. — Sutures, 93—95. — Agglutinatifs, 95, 96. — Moyens propres à engourdir la sensibilité et à diminuer

—100. — Hémorragie artérielle, 98, 99. — Hémorragie veineuse, 99. z=. Moyens et procédés hémostatiques préventifs. Compression

re en général; ses formes, ses procédés et ses instrumens, 105—109. — Moyens applicables aux artères d'un médiocre ou d'un pet

médiocre ou d'un petit volume, 108, 109. — Hémorragies capillaires et moyens d'y remédier, 109, 110. OPÉRATIONS GÉNÉRALES

ssion immédiate, 182. — Ligature temporaire et permanente, 183—185. — Moyens en essai, 185, 186. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUEN

terne. 3. Vaisseaux thyroïdiens supérieurs. 4. Veine thyroïdienne moyenne . 5. Veines thyroïdiennes inférieures. 6. Vein

TT. E,E. Aponévrose prévertébrale, coupée verticalement sur le plan moyen . a. Attache de l'aponévrose au corps sphéno-bas

gauche. A. Loge de la masse commune du sacro-spinal. 1. Feuillet moyen de l'aponévrose du transverse. 2. Petites aponé

e l'aponévrose du transverse. 13. Suture des feuillets antérieur et moyen qui limite le muscle en dehors. 14. Muscle tr

parant les deux muscles grands fessiers. Côté droit. G. Loge du moyen fessier avec ses vaisseaux et ses nerfs. H. Log

MEMBRE THORACIQUE, A DIVERSES HAUTEURS. Figure 1. Plan de la partie moyenne cervicale. — Figure 2. Section du bras, a un pouc

ertébrale. 2. Aponévrose pharyngienne postérieure. 3. Contricteur moyen . 4. Corps thyroïde. 5. Sterno-mastoïdien. Dan

ité interne. BASSIN. M. Section du sacrum et du coxis sur le plan moyen . N. Symphyse du pubis. O. Masse du psoas iliaqu

du fascia-lata. Figure i. — Plan de section horizontale de la partie moyenne de la jambe. Figure 3. — Plan de section transver

oge du couturier. 3. Loge du droit interne. 4. Loge du premier ou moyen adducteur. 5. Loge du second ou petit adducteur

Surfaces articulaires métatarsiennes des os du tarse. A, B, C. Grand, moyen et petit cunéiformes. D. Cuboïde. 1. Loge du pédi

e puisse jamais se fléchir dans les opérations a fait imaginer divers moyens de fixer la lame avec le manche, comme la plupart

I, 2 ET 3. Figure 1. Compression de l'artère numérale, à sa partie moyenne , par le tourniquet ou compresseur de J. L. Petit,

e fig. 4.) Figure 2. Compression de T artère numérale, ci sa partie moyenne , par le garrot. Cet instrument est représenté ici

es autres compresseurs, on peut le composer partout avec les premiers moyens dont on peut disposer. (a) est une petite bande

produirait ici le biceps si le compresseur était appliqué à la partie moyenne du bras. Cette même erreur de principe est celle

pelotte de M. Charrière, imaginée pour la compression des artères de moyen calibre. (Voyez, pour son apposition, fig, 3; et,

on de l'artère en deux points : à sa partie supérieure et à sa partie moyenne . COMPRESSION PUBIENNE. L'artère fémorale en c

ORALE. DÉTATLS DU COMPRESSEUR DE DUPUYTREN. L'artère, à sa partie moyenne , est comprimée sur le corps du fémur par le compr

ompresse graduée, comprime l'artère tibiale postérieure dans l'espace moyen entre la malléole interne et le calca-néum , à so

te pompe, en cuivre jaune, est à-la-fois aspirante et foulante par le moyen de deux prolongemens ou tubulures garnies chacune

ertrophiées, de une ligne à une ligne et demi d'épaisseur. La tunique moyenne , blanchâtre, offre l'apparence de tissu fibreux.

oro-poplitée, et, en bas, l'arcade vasculairedu soléaire. A sa partie moyenne elle est rétrécie par les tendons des jumeaux, et

eux. B. Portion supérieure de la tumeur. C. Point d'aplatissement moyen formé par les muscles jumeaux. D. Limite inféri

e qui sor- tait de la tumeur. 4, 4. Petites branches articulaires moyennes naissant de la portion anévrismatique de l'artère

llatérales supérieures et inférieures qui remplacent les articulaires moyennes . 6. Tronc de l'artère poplitée avant la naissance

artère iliaque externe et le tronc de la fémorale jusqu'à la partie moyenne de la cuisse. B. Artère hypogasirique. C. Art

urs plus simple de se servir d'une pince ordinaire fixée par l'un des moyens indiqués plus haut. 3° Pinces a mors. 15. Pin

e, avec les doigts de la main gauche, l'artère numérale sur la partie moyenne du corps de l'humérus. La lumière est donnée obli

igure 1. Elle représente la ligature de l'artère carotide à la partie moyenne du cou, et celle de l'artère faciale à son passag

.— 11. Artère axillaire, portant trois ligatures : 1° supérieure (a); moyenne (b); et inférieure (c). Tome 6. Pl.45. Dess

scie à molette. (Pl. 55, fig. 17.) Figure 4. Séquestre de la partie moyenne du radius. Une ouverture suffisante étant pratiqu

Nécroses de l'humérus. Dans \a\fig. 6, où la nécrose occupe la partie moyenne de l'os, le séquestre a été enlevé; l'os de nouve

ne canule intérieure (b), et mise en rotation à l'autre extrémité, au moyen d'un archet dont la corde embrasse un tourillon (

(a) étant écartés en avant, le radius a été isolé et scié à la partie moyenne ; le fragment inférieur a été enlevé après l'avoi

cision longitudinale , pratiquée de chaque côté, le long de la partie moyenne du tibia et du péroné, a permis d'isoler la surfa

l'os mis à nu, un premier trait de scie a divisé l'os dans sa partie moyenne (e); un second trait de scie a enlevé le fragment

(e) . Extrémité articulaire des deux derniers métatarsiens. (f) . Moyen cunéiforme. (g) . Extrémité articulaire de l'ap

e la main droite le talon, la gauche (c) servant à contenir la partie moyenne de la jambe. L'opération étant supposée terminé

e palatine. r. Surface de la cloison nasale surmontée par le cornet moyen et l'os planum de l'ethmoïde. s. Orifice postér

ÉRIEURE. ADULTE, DEMI-NATURE. FIGURE i. RÉSECTION DE LA PORTION MOYENNE DE LA MACHOIRE. (Procédé de Dupuytren.) La po

de côté les lambeaux, arraché les deux dents canines sur le fragment moyen pour donner un passage à la scie , et scié vertic

la mâchoire. Une autre incision (b), partant en arrière de la partie moyenne du bord postérieur de la branche de la mâchoire,

lambeau étant relevé en entier sur la face, de manière que la partie moyenne de son bord libre est formée par la lèvre inférie

gue (i). Le corps de la mâchoire étant isolé, il est scié à sa partie moyenne (k) pour faciliter la désarticulation de chaque b

FIGURES 2, 3 ET 4. amputation du bras dans sa continuité. (Partie moyenne du bras gauche.) Figure 2. Section des chairs.

ée par la triple articulation cunéenne du scaphoïde et par la section moyenne du cuboïde sur le même plan. Figure A. Amputati

ue. Il contribue ainsi à la formation des fosses temporale, cérébrale moyenne et cérébelleuse. Chez le nouveau-né on le voit

n dehors avec la fosse temporale et en dedans avec la fosse cérébrale moyenne , et un segment sous-zygomati-que, ou basilaire, e

bral de l'écaillé, et une partie inférieure en rapport avec l'oreille moyenne (planum epitympanicum, mur de la logette). Une cr

insi une communication entre le système veineux de la fosse cérébrale moyenne et celui de la fosse cérébelleuse. Selon Henle, c

son étendue. La portion sous-zygomatique ou basilaire, par sa partie moyenne , forme la paroi supérieure du conduit auditif ext

chez les mammifères et par Luschka chez l'homme, ce foramen mesure en moyenne un millimètre de diamètre, d'après Loewenstein. D

( 2 - 2 18 mésaticéphales {,,.,-,, A , _ \ _ , j 4 mesaticephalcs moyens : crête sus-mastoïdienne comme sur la figure 5 —

enne comme un repère important pour connaître la situation de l'étage moyen du crâne. Or, si l'on jette un coup d'œil sur la

s de la ligne pointillée qui marque le plancher de la fosse cérébrale moyenne (fig. 1 et 5), tantôt au-dessous (fig. 2 et 6) ;

pération, par rapport a cette ligne, la hauteur de la fosse cérébrale moyenne . Il crut pouvoir répondre à cette question à l'ai

..................... 17 21 Si 18 Le plancher de la fosse cérébrale moyenne ( Moyenne . . . mill. 11,3 8,7 5,2 5,2 se trouv

........... 17 21 Si 18 Le plancher de la fosse cérébrale moyenne ( Moyenne . . . mill. 11,3 8,7 5,2 5,2 se trouve au-dessu

...(Minima .... » 7,0 4,o 2,0 2,0 Le plancher de la fosse cérébrale moyenne ( Moyenne ... » i5,i 12,1 7,6 6,4 se trouve au-

.... » 7,0 4,o 2,0 2,0 Le plancher de la fosse cérébrale moyenne ( Moyenne ... » i5,i 12,1 7,6 6,4 se trouve au-dessus de

4,o Ce tableau lui démontrait que le plancher de la fosse cérébrale moyenne était plus élevé chez les dolichocéphales que che

ALES (16) BRACHYCÉPHALES (il) A droite A gauche A droite A gauche Moyenne ............................ 6,76 7,19 5,01 5,63

OLICHOCÉPHALES BRACHYCÉPHALES A droite A gauche A droite A gauche Moyenne ............................ 6,47 6,g5 5,4i 5,68

s) et 12 millimètres (chez les dolichocéphales). Il obtint encore des moyennes et des chilires maxima et minima plus forts chez

tal passant par la ligne a la distance qui sépare la ligne de l'étage moyen du crâne de la ligne b. De son premier tableau,

chiffres suivants : Dolichocéphales Mésaticéphales Brachycéphales Moyenne ................................... ITog 12,55 M

ltzke conclut donc, contrairement à la théorie de Korner, que l'étage moyen du crâne est plutôt plus profond chez les dolicho

favorables a la théorie de Korner. Elévation de la fosse cérébrale moyenne au-dessus de l'horizontale tangente au bord supér

CHYCÉPHALES A droite A gauche A droite A gauche A droite A gauche Moyenne (millimètres)......... 8,8 7,9 7,0 6,5 7,7 7,6

a mesuré la région la plus externe du plancher de la fosse cérébrale moyenne . Les conclusions de Korner, basées sur des mens

groupe cellulaire squameux dans les processus infectieux de l'oreille moyenne même sans qu'il y ait suppuration de l'antre mast

et et la ligne horizontale qui passe par l'épine de Ilenle, mesure en moyenne : i à droite...................................

igne horizontale qui s'étend de l'épine au bord postérieur, mesure en moyenne : Selon Hartmann...............................

............................. 29,01 D'après nos mensurations, cette moyenne se rapproche de 35 millimètres chez l'adulte. L

n un simple ramuscule veineux qui s'anastomose avec la veine méningée moyenne ; il peut même disparaître complètement. La veine

calibre est à peine visible. S'il est unique, son diamètre mesure en moyenne 2-3 millimètres, rarement 5 millimètres; sa longu

éral. Il s'agissait d'un jeune homme âgé de 19 ans, atteint d'otite moyenne aiguë, avec douleurs presque exclusivement rétro-

raux à sillons très profonds. Deuxième type, — 2-5, — de profondeur moyenne . Troisième type, — 3-6, — superficiels. Nous

e du côté droit l'emporte sur celle du côté gauche dans la proportion moyenne de trois contre un. Nous avons trouvé des sillons

tre un. Nous avons trouvé des sillons : Très profonds De profondeur moyenne Superficiels Sur 16 crânes dolichocéphales.....

es plus variables à tous les âges, d'où l'impossibilité d'établir des moyennes numériques utiles. L'antre est petit, moyen ou gr

sibilité d'établir des moyennes numériques utiles. L'antre est petit, moyen ou grand, selon que son extrémité inférieure se t

creusée quelquefois de petites cellules, confine à la fosse cérébrale moyenne . L'extrémité inférieure, si l'antre est volumineu

ocrânienne. A sa partie inférieure, si la capacité antrale dépasse la moyenne , elle est en rapport avec le sinus latéral. (1)

ÉREZ. - OREILLE ET ENCÉPHALE Aditus ad anlrum. — Ce canal mesure en moyenne de t\ à 5 millimètres de longueur, !\ millimètres

uefois assez volumineuses, en rapport en haut avec la fosse cérébrale moyenne , et en dedans avec le sinus latéral : c'est le gr

t de 12 ans, atteint de mastoïdite, développée à la suite d'une otite moyenne aiguë grippale. Le gonflement rétro-auriculaire é

upérieures sinuso-cérébrales menacent à la fois les fosses cérébrales moyenne et cérébelleuse. La topographie du groupe cellula

dans l'espace sous-slemo-mastoïdien, bridé en dehors par l'aponévrose moyenne à laquelle Charpy a donné le nom de (faine trapéz

ise l'apophyse en trois segments, dont l'antérieur serait pétreux, le moyen veineux, le postérieur cérébelleux. Bonomo trac

a ligne astérion-zygomatique marque le plancher de la fosse cérébrale moyenne . Le point supérieur du plan médian indique l'extr

é à la partie antérieure et supérieure de cet espace à une profondeur moyenne de i5-20 millimètres chez l'adulte, de ii-i/i mil

zone de l'antrotomie. Elle est limitée en haut par la fosse cérébrale moyenne , en avant par la corticale pré-mastoïdienne et le

riations individuelles. Il est donc inutile de chercher à établir une moyenne indiquant la profondeur approximative de l'antre.

te de haut en bas par l'abaissement du plancher de la fosse cérébrale moyenne . C'est alors une véritable impasse, dans laquelle

ite . . 7"1" décade (3 cas)... ] , , ' a gauche . Minimum Maximum Moyenne 6 10 8,9 6 i4 9,5 6 i4 10,1 5 16 12,0 7 1

1 — 22 — SUR DES TEMPORAUX A SILLON Très profonds De profondeur moyenne Superficiels À droile À gauche A droite A gauch

.. — 11 et 22 — Sur des temporaux à sillon sigmoïde ] de profondeur moyenne ... S (lr0'lc * * ' 9 et 21 j (a gauche . . — 10

ait la blessure du sinus latéral et l'ouverture de la fosse cérébrale moyenne , accident opératoire considéré comme plus grave q

rizontalement et provenant de crânes de diverses races; il obtint les moyennes suivantes qui confirmaient, d'après lui, ses conc

vantes qui confirmaient, d'après lui, ses conclusions antérieures : Moyennes établies sur.....................................

es................................. — 9 et 20 — — [\ mésaticéphales moyens ................................ — i5et29 —¦ — 2

jugulaire. La face endocrânienne antérieure fait partie de l'étage moyen du crâne et présente de dehors en dedans : le teg

sse cérébelleuse. Elle montre, k l'union du tiers interne et du tiers moyen , le méat auditif interne dans lequel pénètrent le

oit, 2 au côté gauche, et un aux deux côtés. Okada donne comme mesure moyenne icmi2 pour le côté droit, et icmi68 pour le côté

t forme ainsi Veminentia arcuata; il est séparé de la fosse cérébrale moyenne par une lame osseuse, souvent aussi mince que le

reste de son étendue, le limaçon répond en haut à la fosse cérébrale moyenne un peu en dedans de l'hiatus de Fallope: il en es

bule. Le labyrinthe participe souvent aux suppurations de l'oreille moyenne . L inflammation se propage soit spontanément soit

a démontré que les abcès exlra-duraux profonds des fosses cérébrales moyenne et cérébelleuse se développent à la suite d'une n

» Complications endocrâniennes des cochléites. — La fosse cérébrale moyenne est mieux protégée contre les suppurations cochlé

1-on l'existence d'un abcès extra-dural profond de la fosse cérébrale moyenne ? On fera sauter le tegmen antri et l'on con-linu

poro-maxillaire constitue aussi une complication fort rare de l'otite moyenne . Nous l'avons observée une fois chez une petite f

et, sur le même crâne, d'un côté à l'autre. Rozier donne comme mesure moyenne , i5 à 20 millimètres de profondeur, 10 à i5 milli

emi-circulaire frontal. Dans le deuxième type, elle est de profondeur moyenne et se développe en laissant en dehors et en haut

s'accentue à mesure que le sujet grandit. La portion verticale a, en moyenne , 5 millimètres. Elle répond en dehors à la cavité

(Briegen, Inaugural-Dissertation, 1882). —Homme âgé de 56 ans. Otite moyenne suppurée droite, avec petite perforation, qui est

as on pourrait essayer l'oblitération de la caisse et de la trompe au moyen delà paraffine. Ce produit remplacerait avantageu

fine lamelle d'aspect vitré, cette paroi répond à la fosse cérébrale moyenne . Chez le nouveau-né, elle présente la fissure pét

résèque clans l'opération de Stakes. Convexe et lisse, elle mesure en moyenne 5 millimètres de hauteur et se continue en haut a

se de la membrane tympanique est indiquée surtout au cours de l'otite moyenne aiguë, lorsque les fortes douleurs ou la fièvre é

l'épaisseur atteint 2-3 millimètres, la sépare de la fosse cérébrale moyenne . Portion tympanique. — Presque horizontale et l

tion tympanique. — Presque horizontale et longue de io millimètres en moyenne , cette portion est creusée sur la paroi interne d

e jugulaire. Le canal de Fallope communique avec la fosse cérébrale moyenne par l'hiatus de Fallope, avec la fosse cérébelleu

les. Or, l'homologue de la première fente branchiale, c'est l'oreille moyenne , comprise entre les organes qui représentent le p

e facial des vertébrés supérieurs doit émerger au-dessus de l'oreille moyenne comme le facial des sélaciens au-dessus de la pre

vertébrés supérieurs, cette fente s'est élargie pour donner l'oreille moyenne ; son bord postérieur est reporté en arrière, et

situé sur la circonvolution frontale ascendante, à l'union des tiers moyen et supérieur de l'aire faciale, au niveau du geno

ompacte, bien circonscrite, de cellules multipolaires. Dans sa partie moyenne , on peut dissocier ce noyau primaire en un segmen

ce noyau primaire en un segment ou noyau secondaire externe, un autre moyen ou noyau secondaire médian, et un troisième inter

ur 3oo cas de suppuration de l'oreille. L'inflammation de l'oreille moyenne gagne le nerf facial, soit à travers une déhiscen

Qu'enfin, en présence d'une paralysie faciale consécutive à une otite moyenne suppurée, on est autorisé à soupçonner l'existenc

que. Un abcès du cervelet, situé au niveau du pédoncule cérébelleux moyen , pourra encore entraîner une hémiplégie faciale p

ous-hyoïdienne jusqu'au tronc veineux brachio-céphalique. Son calibre moyen mesure 9 millimètres ; comme pour le sinus, il es

astomotique de Trolard. (Hédon.) Cette dernière, issue de la partie moyenne du sinus pétreux supérieur ou de la partie antéri

, logée dans l'épaisseur de la dure-mère, croise les veines méningées moyennes avec lesquelles elle communique, arrive sur le bo

nasto-motique de Trolard et ses anastomoses avec les veines méningées moyennes ; une anastomose émanée du sinus pétreux inférieur

tie, et quitte le crâne soit en s'anastomosant avec la veine méningée moyenne , soit à travers les canaux émissaires temporaux.

presque toujours circulaire, rarement en forme de fente; il mesure en moyenne un millimètre. j) Veines émissaires mastoïdienn

ylien, se relie au sinus latéral, en sorte que ce dernier possède, au moyen du sinus condylien, une voie de dégagement vers l

ce du conduit osseux, du tympan, de l'apophyse styloïde, de l'oreille moyenne n'est pas négligeable ! Enfin, on court le risque

tegmen tympani et Yemineniia arcuata au niveau de la fosse cérébrale moyenne , la région mastoïdienne et la zone de la fosse su

fosse cérébelleuse sont plus fréquents que ceux de la fosse cérébrale moyenne . Gela s'explique si Ton considère que Y ostéite d

se..................................... 3o \ Sur la fosse cérébrale moyenne ................................ 12 , fois sur 43

.................... 12 , fois sur 43 cas. À la fois sur les fosses moyenne et postérieure.................... 1 J Dans les

se..................................... 33 ] Sur la fosse cérébrale moyenne ................................ 10 fois sur 45 ca

........................... 10 fois sur 45 cas. Sur les deux fosses moyenne et postérieure...................... 2 J Les ab

i la région cervicale, simulant une mastoïdite de Bezold. Sur l'étage moyen du crâne, Jansen a vu l'abcès dépasser Veminentia

éphalo-rachidienne est presque toujours lié à l'évolution d'une otite moyenne aiguë, surtout chez les adolescents. Sur 7 cas ré

ns. Gradenigo considère le tableau clinique constitué par une otite moyenne purulente, par des douleurs persistantes temporo-

s frontal, pariétal et occipital, le lobe temporal repose sur l'étage moyen du crâne. Il a la forme d'une pyramide triangulai

atéral. Lobe occipital. —Il occupe la partie postérieure de l'étage moyen du crâne. Sa forme est triangulaire, avec un somm

foyers d'ostéite du temporal siègent au niveau de la fosse cérébrale moyenne , soit sur le tegmen tympani, soit sur Veminentia

le. Exemple : chez un malade de Zaufal, au quinzième jour d'une otite moyenne aiguë, on vit apparaître les signes d'une parésie

n au niveau de la ligne rolandique, ponction du cerveau sur la partie moyenne de la circonvolution frontale ascendante : issue

le antéro-inférieur. Au-dessous et en dehors du pédoncule cérébelleux moyen , en dehors de l'amygdale, derrière les nerfs pneu

orce du cervelet du côté opposé, passent par le pédoncule cérébelleux moyen et rejoignent la voie pyramidale pour se terminer

Le faisceau spinal, voie efférente, issue des régions antérieure et moyenne de l'écorce cérébelleuse et des noyaux centraux,

atiqué trois sortes de mutilations cérébelleuses : l'ablation du lobe moyen , l'ablation d'une moitié latérale et l'extirpatio

oitié du corps correspondant au côté opéré. Après résection du lobe moyen , les mouvements du train postérieur sont plus tro

titique exige toujours l'ouverture préalable des cavités de l'oreille moyenne , l'attico-antrotomie. C'est là un point définitiv

oit au but. L'attico-antrotomie terminée, on ouvre la fosse cérébrale moyenne sur des points et à l'aide de procédés que nous i

tegmen antri ou sur le tegmen tympani, on ouvrira la fosse cérébrale moyenne . Si l'on trouve une fistule au niveau du promonto

ntions un peu différentes : i° L'attico-antrotomie avec craniotomie moyenne , appliquée à la cure des abcès du lobe temporo-oc

abcès mastoïclo-cérébelleux). i° Attico-antrotomie avec craniotomie moyenne . — L'évidement pétro-mastoïdien doit être aussi l

de bien découvrir le plafond attico-antral. On fera la craniotomie moyenne , soit par la voie auriculaire, soi i par la voie

ondeur qui varie quelque peu chez les différents sujets, mais qui, en moyenne , mesure 8 millimètres, on sectionnera le sommet d

ues suppurées rebelles par l'ouverture large des cavités de l'oreille moyenne . Thèse de Paris, i8()5. Arsimoles (L.), La foss

us-amygdalienne. Thèse de Paris, 190.?. Aschkinasi (J.), Les otites moyennes purulentes aiguës en rapport avec les maladies in

2. Broca, Anatomie chirurgicale et médecine opératoire de l'oreille moyenne . Paris 1901. — Chirurgie opératoire de l'oreill

l'oreille moyenne. Paris 1901. — Chirurgie opératoire de l'oreille moyenne . Paris 1899. — Précis de chirurgie cérébrale. P

au (A. A. C), Du traitement chirurgical des suppurations de l'oreille moyenne et de l'antre mastoïdien. Thèse de Bordeaux, 1896

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t (P.), De la thrombo-phlébite du sinus latéral consécutive à l'otite moyenne purulente. Thèse de Lyon, 1900. Cosïii. (A.), Con

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Marlière (A.), Des causes de la durée et de la chronicité de l'otite moyenne suppurée. Thèse de Paris, 1896. Maubrac (0.), Rec

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ris, 1902. Quervain de (F.), Des abcès du cou consécutifs à l'otite moyenne , Semaine médicale, N° 10, 1897 Rambaud (A.) et

re i. La ligne pointillée indique le plancher de la fosse cérébrale moyenne . On la voit très rapprochée du pôle supérieur du

ns très profonds (fig. i à 4)ï 2° Temporaux à sillons de profondeur moyenne (fig. 2 à 5); 3° Temporaux à sillons superficie

avec corticale externe épaisse. Le sillon sigmoïde est de profondeur moyenne . L'angle mastoïdien externe est bien obtus. La co

u type mixte à petites cellules. Le sillon sigmoïde est de profondeur moyenne . L'angle mastoïdien externe est presque droit. La

es avec corticale assez épaisse. Le sillon sigmoïde est de profondeur moyenne . L'angle mastoïdien externe est légèrement obtus.

ata. Une très mince cloison osseuse le séparait de la fosse cérébrale moyenne . La branche postérieure croise à angle droit le b

pplicable à la cure radicale des suppurations chroniques de l'oreille moyenne . Les parois externes de l'attique et de l'aditus

iclée sans crainte de blesser le sinus ni d'ouvrir la fosse cérébrale moyenne . La ligne horizontale, passant par le rebord tr

l demi-circulaire externe, et, sous le plancher de la fosse cérébrale moyenne , celle du canal demi-circulaire vertical supérieu

postéro-supérieure ou sinuso-cérébrale, confine à la fosse cérébrale moyenne , à la loge cérébelleuse et au sinus latéral ; la

rfection des théories et, trop sou-vent, par la stérile abondance des moyens que l'art met en usage. Il en résulte que la thér

point exposé à reproduire de nouveau et à prôner comme infaillible un moyen qu'une expérience suffisante a déjà condamné. Au

té parla moindre pression, et occasionnent de fausses routes. Le seul moyen de les éviter, est de connaître minutieusement le

trois millimètres à ses ex-trémités et de deux seulement à sa partie moyenne , point le plus rétréci : en sorte que le canal es

ce de l'art que la tumeur et la fistule lacrymales. Après l'emploi de moyens si nombreux et si variés, encore aujourd'hui il f

étant sujette à récidiver. Il en est toujours ainsi. L'abondance des moyens ne prouve que leur imperfection : on n'invente pa

guis avec le fer rouge. Au dixième siècle, les Arabes imaginent des moyens plus doux. Rhazès traite la tumeur lacrymale par

engorgement avec ou sans tumeur empêche l'ab-sorption des larmes, les moyens d'y obvier sont: l'injection, le cathétérisme et

ueuse qu'il pousse au-devant de lui. Il est aujourd'hui inusité comme moyen de frayer la voie aux injections, motif pour lequ

té à son orifice sous le cornet inférieur, il se rétrécit à sa partie moyenne pour se dilater de nouveau vers le sac lacrymal.

asal est légère. On peut néanmoins combiner son emploi avec celui des moyens qui agissent sur le canal nasal par la méthode de

rs chirurgiens ont essayé de modifier le procédé de Méjean ; mais les moyens qu'ils ont imaginés n'offrent sur ce dernier aucu

à boyau très déliée qui remplaçait le fil conducteur de la mèche. Ce moyen , plus compliqué, est encore moins exécu-table.— C

une nouvelle, et c'est également lui qui a formulé , sinon conçu , le moyen d'y parvenir par incision. Procédé et traitemen

la paupière en bas, et incli-ner un peu la pointe du bistouri dans la moyenne des deux directions. L'incision de Pouteau, qui t

rate d'argent pour cautériser et déterger le canal nasal; puis, comme moyen permanent de dilatation, il y substituait une tig

est à Foubert que Ion rapporte l'emploi de la canule à de-meure comme moyen usuel. L'instrument de Foubert, long de vingt-cin

nue en vingt-quatre heures. D'après les registres de l'Hôtel-Dieu, la moyenne , sur un nombre immense de malades opérés pendant

ation. Pratiquée par les anciens et par les Arabes, seulement comme moyen général de traitement des trajets fistuleux, mais

quée par les modernes et seulement à peine indiquée par Heister comme moyen de dilatation et de désobstruction» la cautérisat

ique dont on peut presque toujours obtenir la résolution par d'autres moyens ? Évidemment la cautérisation ne fait qu'ajouter

c la canule de Dupuytren et la tige de plomb de Scarpa, au nombre des moyens les plus efficaces de désobstruc-tion du canal na

ans le même but le cautère actuel. Les Arabes n'ont pas connu d'autre moyen ; mais déjà, à la fin du moyen-âge, Guillaume de

thode ancienne reproduite par Woolhouse : 2° par le sinus maxillaire; moyen déjà usité et surtout fréquemment pratiqué par ac

poraire, que l'on remplace par une canule d'or, étranglée à sa partie moyenne , sur laquelle on fait cicatriser la plaie. L'inc

uis avec un trocart, et Bavaton avec un bec de plume. Mais ces divers moyens , à part le cautère actuel, n'a- t. vii. gisse

vinssent pas fermer l'orifice. En dernier résultat, quel que soit le moyen dont on ait fait usage pour entre-tenir pendant u

rices difformes. Toutefois, le cas échéant, la perforation suivant le moyen que nous proposons, au moins comme une tentative,

al artificiel du bord palpébral au sac lacrymal. Pellier employait ce moyen en perfo-rant de dehors en dedans, du bord palpéb

à dard, inventée par M. Manec pour faciliter le passage du séton. Ce moyen , qui évite l'incision , est plus rationnel que ce

il est important de déterminer par l'expérience quel est le meilleur moyen à employer pour chaque cas déterminé, i ° Pour la

de la conjonctive oculaire qui participe à l'état anévrismatique. Des moyens nombreux ont été employés pour y remédier. Quand

de la contractilité du muscle élévateur. Dans ce der-nier cas, divers moyens sont employés suivant le degré de la ma-ladie. Si

es bulbes ciliaires. Retour de la paupière à sa direction. Divers moyens sont employés suivant que la maladie est plus ou

du cartilage tarse. Bandelettes agglutinatives (pl. 5, fig. 8). Ce moyen ne convient que pour les cas les plus légers, où

à ce point, s'assurer, en relevant la paupière, ou plutôt, le lambeau moyen , qu'il n'y a plus d'adhérences ou, s'il en existe

nce de se former il faut maintenir l'écartement du bord palpébral. Le moyen le plus simple, et aussi le plus sûr, est de main

cher une nouvelle adhé-rence de se produire, l'art ne possédant aucun moyen de main-tenir isolées les surfaces, et la sensibi

rface de la conjonctive sur l'un des bords du cartilage tarse. Divers moyens ont été employés pour en obtenir la résolution :

e doit être suivie de la dépression : outre que c'est le plus mauvais moyen d'opérer cette dernière que de faire cheminer la

table. Instrumens. La chirurgie a rejeté depuis long-temps tous les moyens mécaniques de fixer l'œil ; les ophthalmostats de

, fig. 5 ). Ce n'estautrequele premier temps du procédé de Wenzel. Au moyen d'un petit couteau à double tranchant très aigu ,

le complétant une incision cruciale. Le troi-sième temps consiste, au moyen des ciseaux genouillés de Mau-noir, à exciser les

. Une très petite incision étant faite à la cornée, M. Langenbeck, au moyen d'un mince crochet renfermé clans une canule d'or

ornée, un des points de la circonférence pupillaire de l'iris. Par ce moyen on obtient une extension ou un déplacement de la

leur importance, 1" L'oreille interne ou labyrinthe, 2° [/oreille moyenne ou tympan , 3° L'oreille externe. T^es maladi

ulièrement du ressort de la médecine : l'oreille externe et l'oreille moyenne sont setdes accessibles à la chirurgie opératoire

blement dilater par la présence de polypes, de corps étrangers, ou au moyen d'instrumens dirigés par l'art. La membrane qui l

erme en outre une grande quantité de follicules cérumineux. Oreille moyenne . Cavité intermédiaire de l'oreille interne au con

venus par le conduit auriculaire, et limite les maladies de l'oreille moyenne dont les produits de sécrétion ont plus de tendan

es à ses deux extrémités, réduit à un seul mil-limètre dans sa partie moyenne , sa cavité est elliptique en tra-vers. Son orific

e i'apophyse ptérygoïde, à cinq ou six millimètres en arrière du méat moyen des fosses nasales. Cet orifice, distant de sept

face saignante se trouve posté-rieure: alors procéder à la réunion au moyen d'une suture en-trecoupée dont les points embrass

,ou la ponction, qui, suivant lui, exposent à pénétrer dans l'oreille moyenne , et a recours aux caustiques, dont le meilleur es

n perce-oreille; ou par de la viande, si ce sont des vers. Ce dernier moyen a réussi une fois dans les mains de M. H. Bérard.

n'aurait pas été enlevé une première fois. Opérations sur l'oreille moyenne . i° Perforation de la membrane du tympan. Men

isation. 2" Trépanation. Imaginée par ïiimly, elle se pratique au moyen d'un emporte-pièce modifié par M. Deleau et, plus

la sonde, dont on se sert pour diriger des injections dans l'oreille moyenne . Les liquides médicamenteux sont injectés par le

ïdiennes. Cette opération a été tentée clans les abcès de l'oreille moyenne avec épanchement de pus supposé dans les cellules

squ'à gué-rison. appréciation génékale des opérations sur l'oreille moyenne . Différentes causes peuvent rendre l'oreille mo

sur l'oreille moyenne. Différentes causes peuvent rendre l'oreille moyenne impropre à transmettre les vibrations sonores jus

es cas qui réclament l'emploi des manœuvres opératoires sur l'oreille moyenne étant définis; pour convertir leur mode d'ac-tion

r convertir leur mode d'ac-tion en théorie et apprécier la valeur des moyens employés par l'art, il suffit de comparer l'oreil

valeur des moyens employés par l'art, il suffit de comparer l'oreille moyenne avec les autres cavités ou canaux muqueux et, spé

ire externe par la membrane du tympan, le conduit normal de l'oreille moyenne est la trompe d'Eustacbc qui établit la communica

ement le calibre. Injections. Quelle que soit leur nature, c'est un moyen tout-à-fait inefficace dans les rétrécissemens; e

nt en avant, où la voûte est formée par les os du nez. Dans sa partie moyenne elle est horizontale et répond aux gouttières eth

ostérieurs, à environ deux centimètres et demi de profondeur. Le méat moyen reçoit, en avant, l'orifice des cellules ethmoïda

st celui de Ta-gliacozzi modifié et réduit à un seul temps. Lorsqu'au moyen d'un bandage convenable le malade a contracté l'h

ètres, et qui est fixé à l'aide de quel-ques points de suture. Par ce moyen le contour des narines est plus épais, plus résis

n bas. Alors une troisième incision verticale, pratiquée sur la ligne moyenne , divise en deux cette portion cutanée médiane. Ce

maintenir les ouvertures béantes, jusqu'à par-faite cicatrisation, au moyen d'un bourdonnet de charpie, dune canule ou d'une

à débarrasser le malade que par une forte aspiration d'eau salée. Ce moyen , ou l'injection saline, et au besoin le bain de l

ordinaire, dont l'extrémité boutonnée était recourbée en crochet. Ce moyen simple pourrait suffire pour l'enlèvement cle tou

fréquentes, que l'on ne saurait trop se hâter de la faire cesser. Le moyen le plus efficace et le plus prompt est le tamponn

ment. En considérant son mode d'action, on voit que ce n'est pas au moyen d'une compression directe qu'il arrête les hémorr

ite-ment de chacun d'eux. Historique. Si on remonte à l'origine des moyens de traite-ment des polypes des fosses nasales, on

ture et la cautérisation pour les premiers, et détruit les seconds au moyen d'un 1er rouge. L'école d'Alexandrie perfectionne

e-gorge, outre que leur situation permet plus facilement l'emploi des moyens mécaniques, on a renoncé à y appliquer le feu, à

ule par une ligature, ïîhazès, parmi les Arabes, a eu recours au même moyen . Au moyeu-âge G. de Salicet employait déjà les pi

vu pratiquer une fois, enlever préalablement par excision la portion moyenne du polype. A l'aide du vide obtenu il devient pos

aque procédé, suivant l'objet à remplir, et à faire usage de tous les moyens . Au reste, quel que soit le procédé d'arracheme

e jusqu'à ce qu'on se soit rendu maître du cours du sang par tous les moyens . Cet accident et la syncope forcent même quelquef

mais elle ne figure encore chez les Grecs et les Arabes que comme un moyen auxi-liaire de l'excision et de l'arrachement. A

mble, surtout si les résultats de M. Wagner se confirment, que, comme moyen auxiliaire, elle devrait servir mieux que tout au

que, comme moyen auxiliaire, elle devrait servir mieux que tout autre moyen à détruire les racines du polype après l'emploi d

ouverts par deux orifices béants, contigus et distincts, dans le méat moyen , au-dessous du cornet de ce nom, à quatre centimè

au côté affecté , porta la partie la plus déliée au-dessous du cornet moyen ; et ayant senti dans ce point une espèce de repl

iger la soude obliquement en haut, en arrière et au-dessous du cornet moyen , de manière à pénétrera quatre centimètres et dem

u nez. En glissant alors doucement le bec de la sonde sous le cor-net moyen on arrive naturellement à l'orifice, et un mouve-

re. Four cela, un aide tire l'angle labial en arrière et en haut au moyen d'un crochet mousse où \aù\ sim-plement avec le d

e des dents incisives. Presque toujours congé-nial, situé sur le plan moyen vertical où il semble accuser un excès de nutriti

acens avec des bandelettes épispastiques; mais aujourd'hui ce; divers moyens sont complètement abanelonnés. On appelle de ce

près l'opération ; ausji pour y parvenir a-t-on eu recours à tous les moyens de contention : bandages, agglutinatifs, agrafes,

arrive généralement, lorsque l'esprit s'est épuisé à la recherche de moyens complexes, on arrive dans la pratique à obtenir l

, on arrive dans la pratique à obtenir les meilleurs résultats par le moyen le plus simple, qui se trouve presque toujours au

rationnelle et la plus efficace, est à peu près au-jourd'hui le seul moyen de réunion usité. A. Paré est le premier qui en d

bords en fer de lance. 2° Agglutinatifs. C'est, après la suture, le moyen le plus usité. Sylvius l'employait seul ; Purmann

edel le combinaient avec le bandage. Louis insiste sur l'usage de ces moyens dans l'opinion erronée qu'il professait que la di

as de perte de substance, ont senti la nécessité d'avoir recours à un moyen plus direct d'application. 3° Bandages. Franco

. 4" Ce n'est que pour les mentionner que nous rappelons ici divers moyens mécaniques : l'agrafe de Valentin et celle de MM.

ec les doigts tandis que les pouces refou-lent les joues vers le plan moyen ; le chirurgien est placé debout devant le malade

t placer. S'il n'y en a qu'une seconde, elle sera posée dans l'espace moyen entre la première et l'angle de la division. Quan

le tendre, et de conserver sa partie médiane pour servir de tubercule moyen de la lèvre supérieure. On taille en-suite de cha

l arrive jusqu'au bord labial dont il peut ou non former le tubercule moyen , et les deux lignes prennent la forme d'un V (fig

re obtenu dans tous les cas, lors même que l'on y emploierait quelque moyen de pression mécanique, une pelote à vis, un banda

e en peu de temps. Dans un autre cas M. Champion a eu recours au même moyen , et il a pu avec le même succès re-dresser et fai

une fille, guérit presque sans difformité. (c) Cancer de la portion moyenne de la lèvre inférieure et de la i^égion mentonniè

onfirmée, la nécessité d'alimenter le malade force à employer le seul moyen au pouvoir de l'art, c'est-à-dire l'ablation de q

est constitué par les adhé-rences et les cicatrices vicieuses. Divers moyens ont été employés pour obtenir l'écartement des mâ

ile de neuf li-gnes. M. Toirac a renouvelé avec succès l'emploi de ce moyen , en employant des coins de bois dont il augmentai

ble résultat obtenu ne tarde pas à disparaître après la cessation des moyens qui l'avaient fait obtenir. 2° Section des adhé

n serait parvenu à assouplir et rendre plus mobile la mâchoire parles moyens d'écartement. Mais, quoique l'on cite plusieurs s

d'aller plus loin nous ne pouvons nous empêcher de blâmer un prétendu moyen thérapeutique qui, pour guérir une maladie peu gr

bilité souvent absolue d'obtenir le résultat que l'on se propose. Les moyens imaginés pour déterminer l'atrophie sont la compr

t d'une artère. Essayé sur des che-vaux sans accidens consécutifs, ce moyen , conseillé par Zang, est resté à l'état de théori

ce canal lui-même dans le point où il se dégage de la glande. Divers moyens ont été tentés pour ob-tenir la guérison de ces s

de nos jours le nitrate d'argent liquide ou solide. C'est ce dernier moyen qui a prévalu. Toutefois M. Velpeau. en 1831, s'e

chisque de minium. (b) Injections irritantes. Proposé par Louis, ce moyen a pour objet de déterminer l'oblitération par inf

s substances irritantes peuvent y servir. C'est, quanta son objet, un moyen analogue à la cautérisation, mais d'un résultat m

érisation, mais d'un résultat moins sûr. (c) Vésicaloire. Encore un moyen d'un effet analogue au pré-cédent, mais plus acti

er, que la compression de la glande seule ou combinée avec les autres moyens pût être raisonnablement essayée. (e) Excision.

es autres moyens pût être raisonnablement essayée. (e) Excision. Ce moyen , proposé par M. Velpeau, n'a pas en-core été essa

de poix de Bourgogne. Il ne paraît pas déraisonnable de penser que ce moyen , très simple, en empêchant mécaniquement le passa

e croyons point devoir parler de l'extirpation de la glande parotide, moyen extrême qui n'est cité par tous les au-teurs que

nderaient de nouvelles observations d'anatomie pathologique. Divers moyens ont été imaginés pour guérir la grenouillette. En

ivie d'une récidive, et c'est pour cette dernière qu'on a imaginé des moyens plus énergiques : les injections, les corps étran

e et après lui Purmann y introduisaient des substances détersives. Ce moyen , qui provoque une inflammation adhésive, a compté

cicatrisation, est une méthode véritable-ment curative, mais c'est un moyen douloureux et trop long. T. VII. 4° Corps étr

nule. Le but absolument inverse des chirurgiens qui ont créé ces deux moyens , en appa-rence d'une même méthode, témoignent cla

'un kyste réputé salivaire. M. Physick a fait avec succès usage de ce moyen , et M. Laugier a fait connaître un certain nombre

a pas encore été effectuée. Pour un cancer qui occuperait la por-tion moyenne et presque toute l'étendue de la langue , l'opéra

coûterait pas davantage de sépa-rer la tumeur en arrière par le même moyen . Procédé de M. ./. Cloquet (fig. 5). Celui-ci s

ficultés, et par conséquent celui pour lequel on a imaginé le plus de moyens . Ou bien l'instrument principal est une petite ai

er, sont incontestablement les meilleurs des instrumens, et aussi des moyens de perforation , et peuvent recevoir dans tous le

le le rapprochement des deux bords, il est indispensable de trouverun moyen quelconque d'allongementdesparties molles. C'est

il les aurait renversés l'un vers l'autre pour les réunir sur le plan moyen par des sutures, et la guérison s'en serait suivi

utre ladifficulté d'en faire usage, seraient sans efficacité; le seul moyen de ce genre conservé, est la cautérisation avec l

, prend souvent le caractère d'un tissu fongueux etérectile. Divers moyens ont été employés contre ces maladies : les scari-

ar la plupart des chirurgiens du moyen âge. Considéré en lui-même, ce moyen n'est que palliatif, et ne convient que pour prod

par quelques chirurgiens. Cautérisation. L'idée de faire servir ce moyen à la destruc-tion de l'amygdale n'a pu venir qu'à

ouble qui servait de conducteur à Panse d'un fil de chanvre. Tous ces moyens , et tant d'autres qu'il serait trop long d'énumér

po-sitivement sur lui. Dans le cas contraire, on a recours à l'un des moyens indiqués; et, par précaution, il est toujours bon

r immédiatement le cautère rougi à blanc, en ayant recours à tous les moyens mécaniques et aux précautions en usage pour ne pa

abord de haut en bas, puis de bas en haut, et terminait par la partie moyenne . On ne saurait mettre aucune importance à ces div

, etc., dont le diagnostic est importantàdéterminer pour le choix des moyens thérapeutiques à employer. Dans les affections en

s les cas où le tissu en est solide, il faut avoir recours à d'autres moyens . Six méthodes sont mises en usage dont le choix s

n y a entièrement renoncé de-puis long-temps. Ce n'est donc que comme moyen complémen-taire qu'on peut encore y avoir recours

u'une première opération n'aurait pu enlever. Sétons. L'usage de ce moyen paraît remonter à la renais-sance, mais sans avoi

esaulten 1791 n'osant pas terminer une extir-pation, se servit, comme moyen complétai, de la ligature pour étreindre la porti

s où il semblait que l'extirpation seule pût être applicable, mais ce moyen est lent et douloureux. Il donne lieu à des angoi

rs, la ligature, qui permet d'achever l'ablation sur son nœud, est un moyen précieux auquel rien ne peut suppléer. t. vu. L

nt la cause de l'asphyxie. Nous abandonnons ces détails et les autres moyens auxiliaires en pareil cas, comme n'étant plus de

temps, ou, en d'autres termes, de ne pas s'obstiner dans l'emploi de moyens insuffisans, lorsque la gravité croissante de la

lution lente de l'engorgement séreux des lèvres de la glotte, rend ce moyen très supérieur à l'emploi des scarifications et d

haque côté un hémicycle cartilagineux. Andrée paraît avoir employé ce moyen , qui a été recommandé par MM. Lawrence et Porter

tions convenables ; avant tout la dimension, puis la courbure, et les moyens de la fixer au-dehors. Quant à la pose de la ca

ade de M. Wilmer a succombé le cinquième jour. M. Vel-peau rejette ce moyen , qu'il regarde comme une cause d'irrita-tion inut

ent de simples lésions traumatiques dans l'espace hyo-thyroïdien : le moyen d'y remédier consiste dans l'applica-tion des pro

inuer l'introduction comme il a été dit plus haut. On a re-noncé à ce moyen qui complique l'opération et remplit mal son obje

la dilatation et la cautérisation dont le cathétérisme est en-core le moyen ou le premier temps. Dilatation. On l'opère ave

u moins lui procurer du soula-gement. Cautérisation. Voici un autre moyen encore plus énergique ou plutôt téméraire , et do

corps étranger en lui-même, la médecine opératoire a recours à trois moyens : la propulsion dans l'estomac, l'extraction par

écepte est de tâcher de le chasser dans l'estomac. Il existe quelques moyens simples, mais qui n'ont d'effet qu'à l'in-stant m

e fois, par M. Récamier qui en a obtenu de bons effets. Mais comme ce moyen , pour être efficace, demande à être con-tinué pen

nconvénient, que dans l'ancienne chirurgie on avait recours à tant de moyens cruels; l'application du feu à chaque coup de bis

s'en est servi sans inconvénient sur trois malades. Néan-moins, si ce moyen , qui n'agit que sur le bord de la plaie, peut êt

a cavité de la poitrine, a vivement préoccupé les auteurs ; aussi les moyens proposés pour la combattre n'ont-ils pas manqué.

été méconnus, le nombre n'en est pas aussi considérable que celui des moyens imaginés pour y remé-dier, ce qui réduit la plupa

lésion de l'artère intercostale et l'intégrité du poumon. Les autres moyens proposés, l'introduction dans la plaie du doigt o

sion artérielle au fond de la plaie quand elle est assez large. Les moyens imaginés pour arrêter cette hémorrhagie sont, avo

onnement qu'ils proposent ne méritant pas d'être rappelée. Reste deux moyens véritablement effi-caces : la compression de deda

fixait au dehors. Richter, Desault et Sabatier ont beaucoup vanté ce moyen ; mais comme il offre l'inconvénient délaisser au

e à n'avoir plus qu'à retirer le linge d'enveloppe. 2" Ligature. Ce moyen , de tous incomparablement le plus efficace, est n

e, a été recommandé par Nuck, Heister et Morand. L'opération, par son moyen , est plus expé-ditive, et aussi simple que la pa

des onzième et douzième côtes, à-peu- 24 près à l'union «lu tiers moyen avec le tiers postérieur du tronc. Faisant chemin

ant alors la tige à dard , le liquide sort par la canule dont le trou moyen est dans le foyer. L'évacuation terminée, il bouc

ns crainte de l'introduction de l'air, M. Reybard y a pourvu par deux moyens : r sur l'extrémité libre de la canule, est ficel

e qu'elle a été employée, la vessie de baudruche suffit; 2° Le second moyen de M. Reybard est encore plus simple (Pl. 28, fig

t de la plèvre, soit du coeur ou des poumons, la ponction n'est qu'un moyen palliatif, et peut être pratiquée avec le trocart

inquième et sixième côtes, à sept ou huit centimètres agauche du plan moyen . La paroi thoracique en regard renferme : la peau

ou un nouvel instrument de cette sorte, imaginé par M. Charrière, au moyen duquel le corps étranger, fortement saisi, est re

recte de dedans en dehors; mais si la lame s'enfonce profondément, le moyen le meilleur à employer est la résection entre deu

diate peut être établie en précepte, sauf à com-battre , par tous les moyens appropriés, les accidens locaux et généraux qui s

CENTÈSE ET AUTRES OPÉRATIONS POUR LA GUÉRISON DE L'ASCITE. Tous les moyens chirurgicaux proposés contre l'ascite ont pour bu

re fois dans l'espace de quinze jours. On obtient quelquefois, par ce moyen , une diminution du liquide, mais ce résultat n'es

nt en venir à l'évacuation par la ponction qui n'est plus alors qu'un moyen palliatif pour soulager le malade. Duverney et Be

ourra avoir qu'un heureux ré-sultat et favorisera l'action des autres moyens de traitement. Dans ce premier cas, on devra fair

tte syncope par 1 ^inspiration de vapeurs excitantes. L'emploi de ces moyens est certainement utile comme stimulans du système

u des parois du ventre. Dans ce dernier cas, Petit-Radel conseille un moyen employé avec succès par M. Cruveilhier, et qui co

ffection arthritique. Ce procédé de ponction graduée de l'ascite au moyen d'une canule à demeure, a servi de base à une mét

llection de la vésicule biliaire. Aujourd'hui on sait que c'est parle moyen des adhé-rences péritonéales entre les feuillets

cun inconvénient, si déjà les adhérences existent, et l'absence de ce moyen préparatoire pouvant donner lieu immédiatement à

ion de ce genre n'a encore été pratiquée. Enfin, c'est parles mêmes moyens qu'il convient d'ouvrir toutes les tumeurs enkyst

l'estomac et de faire cicatriser l'incision opérée au bas-ventre. Les moyens d'y parvenir appartiennent aux procédés gé-néraux

de très petit volume adaptés à une pompe faisant aspiration. Mais le moyen , par excellence, est le débride-ment. Les règles

rme le grand axe, par une compression exercée de dedans en dehors. Le moyen dont il s'est servi est assez ingénieux. Il a eu

sont extraits à l'extérieur du quatrième au cinquième jour : c'est le moyen le plus sûr, le chirurgien étant certain de ce qu

autre les deux bouts supérieur et inférieur. Jusqu'à présent l'unique moyen , conseillé par Louis, est de maintenir les deux b

isir le bout inférieur avec quatre pinces disposées en carré; mais un moyen meilleur, qui a été perfectionné par M. Reybard,

Procédé de M. Reybard. C'est, commme nous avons dit, une imitation du moyen d'invagination employé par Chopart et De-sault. L

enables et termine enfin par nouer les deux fils de chaque suture. Le moyen imaginé par M. Reybard est ingénieux, mais il ne

ère que le bord de revêtement dépasse de quelques millimètres le plan moyen du corps étranger. Alors, avec un gros fil, le ch

e. La prudence à cet égard doit être d'autant plus recommandée que ce moyen en lui-même est hardi et qu'il reste à la surface

amations s'élevèrent à ce sujet ; M. Faure prétendit avoir proposé ce moyen dès 1820; M. Denans, dont nous allons voir plus l

ses deux bouts. Or voici, quant au mode d'introduction des fils, un moyen qui n'est pas moins ingénieux que l'idée de l'eng

ant dans les enve-loppes que dans la partie herniée, et par suite des moyens de trai-tement qui sont méthodiquement applicable

tait adhérent ou malade. Il est remarquable, au reste, que ces divers moyens ne s'adressaient qu'aux hernies simples, dans le

ent et ses effets ; il décrivit même le taxis à employer alors, et le moyen de l'exécuter, et il recommanda, après la réducti

tive des her-nies, au lieu de perfectionner les bandages, qui sont le moyen le plus efficace pour prévenir les accidens qu'el

ÉTUDE GÉNÉRALE DES HERNIES. Avant de faire l'histoire des différens moyens employés par l'art pour combattre la hernie, il e

l est nécessaire, afin de faire mieux comprendre l'application de ces moyens , de présenter quelques-unes des particularités qu

l'opérateur comprend le rôle qu'il a à remplir, et soit qu'il use de moyens palliatifs pour prévenir les accidens, soit qu'il

démontré la possibilité d'un étranglement actif ou spasmodique par le moyen des fibres musculaires, en particu-lier dans la h

c'est spécialement dans ce cas que la chirurgie opératoire offre des moyens pour combattre l'infirmité. Etat de l'intestin.

faire disparaître complè-tement la maladie. On peut donc séparer les moyens chirurgi-caux que nous possédons à cet égard en d

t les organes dans la hernie inguinale oblique ou externe; une autre, moyenne , est bornée en dehors par l'artère épigas-trique,

ès ancienne s'est échappée par la fossette externe ou par la fossette moyenne , c'est-à-dire pour savoir si cette hernie est ext

ns la hernie in-terne , celle qui s'échappe par la fossette inguinale moyenne , le cordon, communément situé en arrière et en de

té du ventre, le péritoine qui entoure l'an-neau est lâchement uni au moyen d'un tissu cellulaire extensible;, et par conséqu

ouction DE la hernie. Soit que l'on veuille user des bandages comme moyen pallia-tif contre la hernie, soit que l'on ait à

trer la hernie dans le ventre. On obtient la réduction par plu-sieurs moyens isolés ou réunis, ce sont : le taxis, la position

mpression lente sur la tumeur, la réfri-gération, et plusieurs autres moyens auxiliaires. i° Taxis (Pl." 3^, fig. 1 et a). I

e pour recourir à une nouvelle tentative; cpie la patience est ici un moyen efficace et sûr. Il n'est pas très rare cpie l'on

Dans les cas difficiles, enfin, il faudra s'aider de quelques-uns des moyens dont il nous reste à parler. 20 Position donnée

pe-sant, tel qu'un morceau de plomb ou une vessie remplie de mercure, moyen irrationnel qu'il n'est pas besoin de blâmer. 4

sommes pas assez ami des nouveautés pour oser la conseiller ici. 6° Moyens adjuvans. Parmi eux, nous rangeons les bains géné

divers topi-ques appliqués sur la tumeur herniaire. Plusieurs de ces moyens ont une influence réelle sur la réduction de la h

prime abord, mais il peut être nécessaire de lui associer les autres moyens . On usera des bains généraux, de quelques saignée

s. Le plus souvent aucun motif réel ne parle en faveur de l'un de ces moyens adjuvans, plutôt qu'en faveur d'un autre, la règl

mple, il faut se hâter et ne point perdre son temps dans l'attente de moyens le plus souvent illusoires. Ajoutez que plusieurs

te de moyens le plus souvent illusoires. Ajoutez que plusieurs de ces moyens sont non-seulement inutiles, mais dangereux par e

exible, en même temps qu'il adapta à l'écusson un ressort à boudin au moyen duquel le coussin de la pelote peut suivre le mou

t, de forme elliptique, ovale ou arrondie, cpti se fixe au ressort au moyen d'une charnière, d'un écrou, etc., et qui support

ons fixes et inclinés sur le ressort, ou bien les écussons mobiles au moyen d'un mécanisme quelconque. Tantôt l'articulation

r, mais il est impossible d'avoir une com-pression suffisante avec ce moyen ; on a proposé aussi d'y intro-duire des substanc

le malade et sans être sujet à se déranger. Le t.. vii. meilleur moyen pour atteindre ce but est de prendre la mesure du

cpi'il est bien applicpié, on est dans l'habitude cle l'assujettir au moyen d'un ruban que l'on nomme sous-cuisse, et qui, at

le à maintenir en bonne position , il faut sa-voir tirer parti de ces moyens adjuvans qu'on aurait tort d'aban-donner d'une ma

brun, le poil en dehors, et Camper, cpii se loue d'avoir usé du même moyen chez les dames délicates, remarque que la sueur n

er sur les avantages d'un taxis long-temps prolongé, et sur plusieurs moyens de réduction que le hasard sans doute a fait réus

ouvrait le sac, on le soulevait par des crochets, et on débridait, au moyen du bistouri conduit sur le bâton, puis on faisait

tion de Franco, et remplaça le bâ-ton de bois par une sonde cannelée, moyen plus commode et plus sûr pour conduire le bistour

'Acquapendente (i 565) ne propo-sait, contre l'étranglement, cpte les moyens ordinaires de réduc-tion , et il donne le précept

s. Cependant il faut convenir que la dilatation doit être rarement un moyen capable de lever l'étranglement, car 33 celui

op haut derrière l'anneau aponévrotique. L'abaisse-mentdu sac, par le moyen desaides, contribue beaucoup à rendre facile ce t

eux gâteaux de charpie et des compresses, et on assujettit le tout au moyen d'un bandage triangulaire ou avec le bandage conn

lèvres de la plaie à l'aide de ban-delettes agglutinatives ou même au moyen d'un ou deux points de suture. Cette conduite, av

sans pratiquer la réduction, à moins qu'on ne préfère employer un des moyens nombreux proposés contre les plaies des intestins

lée. De deux choses l'une, ou par ce débridement sous-cutané, fait au moyen d'une simple ponction à la peau, on ne débride qu

chercher, au-dessous du pubis, derrière les muscles pectine, petit et moyen adducteurs, qui tous les trois re-couvrent la tum

orante et grossière employer indistincte-ment contre toute hernie des moyens barbares que le succès couronne quelquefois au pr

pour résister définitivement à la pression des organes du ventre. Ce moyen d'obtenir la cure radicale , le plus rationnel de

décisifs et con-cluans. Toutefois on remarquera sans peine qu'un tel moyen ne saurait agir que sur des hernies encore récent

us forte raison, chez les vieillards. Cette compression s'exerce au moyen des brayers ; mais pour qu'elle soit efficace, il

DE M. RONNET, DE LYON. Celte méthode consiste à oblitérer le sac au moyen d'épingles 35 passées à travers ses parois, e

ie du malade.Ainsi donc, d'après l'expérience acquise, entre tous les moyens dont on a fait l'essai, la compression par le bra

pécifier pour servir de base aux diverses méthodes opératoires. Les moyens employés pour la cure palliative ou la cure radi-

tation, l'anaplastie et l'entérotomie. Il faut y joindre en outre les moyens particuliers qui s'adressent aux complications-

'érysipèlc, la gangrène de lam-beaux cutanés, etc., qui réclament les moyens appropriés de traitement général et local. Ce n'e

aitement, que l'on peut s'occuper de la cure défini-tive par l'un des moyens dont le détail suit. Compression. Desault procé

rir la fistule. M. Judey, plus heureux, aurait réussi à guérir par ce moyen un anus qui datait do, quatre mois. Enfin M. Blan

résultats confirment ce que nous avons avancé , que la suture est un moyen non-seulement inutile , mais même dangereux, tout

s un avivement conve-nable des bords du canal fistulenx, le véritable moyen à em-ployer dans les fistules très anciennes, qui

re la vie dans les parties qu'ils embrassent, comme étant le plus sûr moyen de prévenir l'inflammation et tous les accidens q

elle persiste et ne peut se fermer complètement, quels que soient les moyens cle traitement qu'on emploie. Dupuytren lui-même

iger les lèvres de la plaie à se tenir en contact. Enfin, si tous ces moyens échouaient, on devrait se borner à la compression

ans la défécation. L'établissement de l'anus artificiel est le seul moyen de retarder la marche de la maladie, et de prolon

musculaires longitudinales interne et externe, ce qui nous prive d'un moyen de diagnostic important. Le colon lombaire gauche

ord externe de la masse com-mune et s'étend jusqu'à la ligne latérale moyenne du corps à quatre ou cinq travers de doigts de so

écales. La pression avec le doigt et la percussion sont les meilleurs moyens pour s'assurer qu'on est sur un intestin quel-con

; alors on agrandit la petite ouverture faite par le trois-quarts, au moyen d'une incision cruciale avec le bistouri herniair

avait beau-coup de peine à y pénétrer. On fut obligé de le dilater au moyen d'épongés, de canules en gomme élastique et de bo

ant cette opération lorsqu'elle est indiquée, lorsqu'elle est le seul moyen de sauver le malade. Nous dira-t-on qu'elle est d

dans l'ab-sence de tout signe local, il suffit de piquer sur le plan moyen ou le raphé, à i centimètre et demi au-devant de

re, le tranchant en bas, serait ramené d'arrière en avant sur le plan moyen , en divisant les parties jusqu'à i centi-mètre du

cicatrisation. arsence de la partie inférieure du rectum. Un seul moyen se présente de remédier à ce genre d'imperfo-rali

illie sous-cutanée du coccyx et incise la peau en regard, sur le plan moyen , dans une longueur de 2 centi-mètres (8 lignes).

t la fissure et dont elle n'est souvent que l'effet. Tkmtement. Les moyens proposés sont : les topiques, la di-latation , la

, le cérat opiacé, etc. Mais, il faut le dire, le grand nombre de ces moyens ne prouve que leur insignifiance. La plupart réus

tions sont à prendre pendant l'incision. Boyer incisait sur la partie moyenne du sphincter, sans s'oc-cuper de la fissure, qu'i

tefois ce précepte nous semble devoir être modifié. Comme, l'incision moyenne du sphinc-ter offre des avantages réels pour la d

e mieux son application, lorsque la fente existe en avant sur le plan moyen , cas dans lequel les partisans cle l'incision sur

ladie plus incommode que grave et que l'on peut trai-ter par d'autres moyens . Appréciation. En résumé, s'il est vrai que la

remédier. L'essentiel est d'en savoir choisir et graduer à propos les moyens . Dans tous les cas où la maladie est consécutive

ceux qui précèdent, il convient toujours de combiner avec les autres moyens l'emploi de la dilatation par les mèches, auxilia

la récidive en ren-dant ultérieurement la défécation plus facile. Ce moyen même est encore celui auquel il faut avoir recour

ne nouvelle fissure. Enfin l'in-cision du sphincter est assurément le moyen le plus efficace; mais comme elle offre des dange

a met-tre en usage que comme ressource dernière et lorsque les autres moyens ont échoué. FISTULES A L'ANUS. Définition, va

il faut re-connaître la forme et l'étendue du trajet fistuleux. Trois moyens d'exploration sont mis en usage à cet effet : le

tournesol, d'épinard, de safran, d'orca-nette, etc. Les deux premiers moyens s'emploient toujours con-curremment; le troisième

ner des suites fu-nestes. Ce sont ces considérations qui motivent les moyens de guérison par lesquels on y remédie. Enfin , il

crit] sagement de ne point essayer de la guérir. Ainsi donc, dans les moyens de traitement à employer, il faut mettre à part l

fistuleux pour en obtenir le re-collement. Il est remarquable que les moyens assez nombreux imaginés pour y remédier ont été c

tives, il est curieux de voir dans la suc-cession des âges, les mêmes moyens pris, oubliés et repris à di-verses époques, comm

et ses effets qu'il la proclame, comme nous le faisons nous-mêmes, le moyen de guérison le plus efficace. Celse alliait les c

prévenir la lésion de l'intestin , achève de compléter l'ensemble des moyens adoptés de nos jours. Dans le cours des deux de

hodes, mais sans rien ajouter à ce que l'on savait, la plupart do ces moyens n'ayant pas survécu à leurs auteurs. Pour la liga

èdent de beaucoup les avantages, est néanmoins encore conservée comme moyen facultatif par les praticiens ti-mides, dumoins p

ne longue tige flexible, reste dans la pra-tique , en ce qu'il est le moyen d'un procédé d'une exécution fa-cile. Enfin il re

rument devra être conservé. Pour terminer, ajoutons que deux autres moyens ont été ten-tés dans cesderniers temps. La cautér

trême du malade qui se refuserait absolument à l'emploi de tout autre moyen , est à-peu-près le seul cas qui pourrait aujourd'

ermine l'adhésion. Mais il n'est pas be-soin de faire observer que ce moyen thérapeutique est long, très douloureux et peu sû

les chairs à diviser. On peut lier direc-tement sur la peau, mais ce moyen est peu sûr parce qu'il faudrait délier le noeud

pparence inof-fensive au moment de l'opération , est, par le fait, le moyen le plus cruel et le plus périlleux. Triste effet

quides puissent y séjourner. Pour obtenir ce mode de compression, les moyens que l'on a essayés sont les mêmes qui ont pour ob

es chirurgiens prétend avoir obtenu quelque succès de l'emploi de ces moyens . A la vérité, chez une malade de M. Colombe, la p

bservation a rapport aux fistules anté-rieures ou situées sur le plan moyen , en avant de l'orifice anal. Il faut prendre gard

n de veines variqueuses chez les su-jets affectés d'hémorrhoïdes. Les moyens d'y remédier sont le tamponnement et le cautère a

nunta), un pilon (M. Dor), une fourche en bois (M. Thiaudière). Les moyens employés par tous les chirurgiens pour l'extrac-t

e corps étranger n'est pas d'un trop grand volume, sont assurément le moyen le plus sûr. A défaut de la main du chirur-gien,

chaient dans la muqueuse de l'intestin. Si en dernier lieu tous les moyens échouent par le fait de l'étroitesse de l'anus, c

seules ou combinées les unes avec les autres. Dilatation. C'est le moyen le plus simple, le plus sûr et le moins offensif.

ffets n'en sont cpie temporaires. La dilatation peut s'employer comme moyen eu rat if dans les affections de tout genre, et c

yer comme moyen eu rat if dans les affections de tout genre, et comme moyen palliatif pour les plus graves, même le squirrhe

ation ne remonte pas au-delà de 3 à 6 ou 8 centimètres, il suffit des moyens de dilatation, les plus simples , des tentes de c

é à une grande hauteur, il est indispensable d'avoir recours à divers moyens mécaniques imaginés dans ces derniers temps et qu

long stylet fourchu ou porte-mèche. L'auteur assure avoir employé ce moyen avec succès chez plusieurs malades. M. Velpeau a

re appareil également destiné à vaincre les coarctations de la partie moyenne ou de l'extrémité supérieure du rectum. 11 est in

ncision des parois du rectum, affecté de rétrécissement, est l'un des moyens le plus anciennement em-Wiseman s'en est servi tr

aire à chaque fois. Ford et MM. Copeland et Duplat ont réussi, par ce moyen , à obtenir chacun une guéri-son définitive. L'inc

dans l'autre procédé, rien n'empêche, il nous semble, d'appliquer ce moyen à la canule, c'est-à-dire, de donner au tampon de

ains et surtout aux lavemens froids, à la diète et. à l'en-semble des moyens antipblogistiques. Sous l'influence de ce régime,

des suites graves. C'est pour ce cas seulement que sont réservés les moyens chirurgicaux. Nous disons pour ces cas seulement,

vitablement à deshémorrhagies internes, malgré l'emploi judicieux des moyens hémostatiques les plus énergiques, et lui préfère

cavité , quand il y en a une. Evidemment cette opé-ration n'est qu'un moyen palliatif, à notre avis inutile et dange-reux dan

nable et on procédait à l'excision comme ci-dessus. En réalité par ce moyen , on ne peut obtenir cpie la hernie au dehors des

e liquides stercoraux , M. Chau-met pratique son incision sur le plan moyen en arrière, vers le coccyx, c'est-à-dire seulemen

nnelée dans laquelle on fait, glisser le bistouri ordinaire. Avec ces moyens le débride-ment est toujours facile, dût-on procé

de la tumeur a été obtenue, il s'agit de la contenir. La plupart des moyens imaginés à cet égard n'agissent que d'une manière

ée de liquides astringens, pourrait avoir de bons effets. Mais si ces moyens sont insuffisans , il reste l'emploi, bien plus e

résultats fournis par cette méthode avec ceux qu'on obtenait par les moyens qu'on employait avant qu'elle fût généralement co

source dernière qu'on était réduit à employer lorsque tous les autres moyens avaient échoué, avant qu'on connût la méthode par

l'intestin finirait par dégénérer, si l'on n'avait recours à l'un des moyens curatifs que nous avons mentionnés. Toutes les fo

favorable, et chercher à débarrasser le malade de sa tumeur, par des moyens chirurgicaux. Ces moyens consis-tent dans la liga

débarrasser le malade de sa tumeur, par des moyens chirurgicaux. Ces moyens consis-tent dans la ligature, les caustiques et l

u-mens. Lorsque la ligature serait faite ,il faudrait la maintenir au moyen d'un serre-noeud et en augmenter chaque jour la c

ose tellement la ma-ladie à dégénérer et est si au-dessous des autres moyens , que personne ne s'en sert. Excision. Si l'on v

oup de sang: ce sont les hémorrhoïdales inférieures, l'hémor-rhoïdale moyenne , la transversale du périnée, quelques rameaux de

n'y a rien d'important à léser. Alors il fait tirer par des aides au moyen d'érignes sur toute la circonférence de l'organe

même tamponner comme cola a déjà élé indiqué. A l'égard de ce dernier moyen M. Lislranc ne se bâte jamais de l'employer dans

manière de pratiquer cette ponc-tion. Traitement curatif. Plusieurs moyens ont été préconisés de-puis Celse jusqu'à nous, po

s, pour obtenir la cure définitive de l'hydrocèle vaginale. Parmi ces moyens , les uns, mis en usage par les chirurgiens ancie

na, Dieffenbach, Chelius, Begin, etc., la regardent comme le meilleur moyen d'obtenir la cure radicale de l'hydrocèle. Inci

plupart des chirurgiens de l'épo que, est sans contredit le meilleur moyen que l'on possède encore pour obtenir la cure radi

uses. Alors on conçoit que les injections de même que certains autres moyens , doivent avoir peu d'action sur cette membrane ai

ition horizontale. Vigueriedit avoir obtenu beaucoup de succès par ce moyen . Procédé de Desault. Desault, contrairement à l

ins à craindre. M. Velpeau a dit avoir obtenu plusieurs succès par ce moyen . Evidemment en comparant l'un avec l'autre les

ni de la pathologie , nous devons seulement nous borner à étudier les moyens de traitement que l'on emploie contre cette phléb

ment de 1834 ¦ M. Frick , pensant que si l'on pouvait parvenir par un moyen quelconque, mais peu dangereux, à déterminer dans

se compose de deux pinces d'acier coudées à la réunion de leur tiers moyen avec le tiers antérieur, dont l'ex-trémité est ga

s branches offrent une rainure médiane qui va se terminer à la partie moyenne du corps , où se trouve un treuil percé de deux t

s complications. Aussi conçoit-on facilement que l'on ait employé les moyens lesphisénergiques pour en débarrasser les personn

les effets dans un point aussi rapproché de la cavité abdominale. Ce moyen est à cause de cela fort peu usité, et cependant

ment serrées dans le pli antérieur du scrotum. Sanson espérait par ce moyen effacer leur calibre, y déterminer la formation d

s ils se dissolvent en-suite et le varicocèle revient comme avant. Ce moyen , qui n'en-traîne jamais d'accidens graves ne guér

érable de la tunique vaginale, soit la castration. Mais, bien que ces moyens soient quelque-fois les seuls capables de procure

parvenu à guérir une de ces tumeurs, déjà d'un certain volume, par le moyen du mas-sage long-temps continué. Mais lorsque la

ur a acquis un volume considérable, il paraît bien prouvé que le seul moyen thé-rapeutique qu'on puisse lui opposer avec succ

eux-mêmes , il y a moins d'un siècle , opéraient la castration comme moyen d'obtenir la cure radicale des her-nies. Déjà, à

n ne réussisse pas toujours, et qu'une trop grande confiance dans ces moyens entretienne l'esprit dans une fausse sécurité qui

Procédé ordinaire. Il consiste à fendre le prépuce dans sa par-tie moyenne et dorsale. Les instrumens nécessaires sont une s

ent et en temps opportun. Pour en obtenir la cure on a proposé deux moyens : la ré-duction et le débridement. Réduction.

précau-tion d'entourer le bourrelet d'un linge fin; c'est en outre un moyen de rendre la pression moins forte et moins doulou

s parties infiltrées chaque fois qu'on renouvelle ce ban-dage; par ce moyen le replacement du prépuce se fait peu-à-peu et de

s inflammatoires, en général , qu'elles font diminuer promptement. Ce moyen n'a pas encore été employé. En définitive, pour

lammation soit forte, il ne faut pas insister trop long-temps sur les moyens de réduction ; il vaut mieux recourir à l'opérati

ge d'une bande, depuis sa racine jusqu'à la couronne du gland; par ce moyen , la peau s'agglutinait au corps de la verge, et c

nécessairement tenter la destruction de ces adhérences, bien que les moyens d'y parvenir réussissent difficilement. Procédé

la circonférence, on pourrait, suivant le même chirurgien, tenter le moyen suivant : inciser le prépuce sur sa face dorsale

au cas dont il est ici question , il réussirait aussi bien. Si par ce moyen on parvenait à détruire les adhérences, rien n'em

onde, de la charpie fine, et deux compresses longuettes qu'on fixe au moyen d'une bande étroite, ou mieux d'un bandage en T e

, est dirigée un peu obliquement en haut et en arrière. La longueur moyenne de l'urètre, qui pourtant doit toujours être la m

s et demi ( 26 cent, et demi et 20 cent, un quart), ce qui donne pour moyenne 8 pouces et demi ( 23 cent.). Ducamp admit ces me

le vrai parmi toutes ces contradictions causées par l'incertitude des moyens de mensuration mis en usage par les chirurgiens,

rrespondant aux glandes de Cowper, que l'urètre traverse l'aponévrose moyenne du périnée. Examinée à l'intérieur, la partie mem

ce métal y a fait renoncer : tou-tefois maintenant qu'on a trouvé un moyen simple et écono-mique de dorer ou d'argenteries m

rnard et Feburier, cela n'arrive pas. Avant Feburier on ignorait le moyen de graduer ces sondes : il imagina le premier un

ent à leur extrémité ou-verte une virole de cire creusée, à sa partie moyenne , d'une gouttière qui sert à attacher les fils des

n; lorsqu'elles sont introduites dans l'urètre, elles y tiennent sans moyens contentifs et n'ont aucune tendance à sortir; d'a

portée dans l'urètre avec la sonde. Mais même avec l'auxiliaire de ce moyen , les essais prolongés, la douceur et la pa-tience

, tandis que de l'autre on pousse la sonde qui chemine seide; par ce moyen son bec mousse et flexible évite les obstacles et

ns la vessie on ôte le mandrin et l'on aide à la sortie de l'urine au moyen d'une pression douce et soutenue sur la région hy

(3 pieds) environ, et on les attache l'un et l'autre par leur partie moyenne et par un double nœud près du pavillon de la sond

deux , on les conduit sur les côtés de la verge jusque vers sa partie moyenne ; on passe ceux qui sont du même côté l'un dans l

nvénient de comprimer la verge. Assez souvent, quels que soient les moyens qu'on emploie, les cordons glissent sur la sonde

ons glissent sur la sonde et celle-ci sort de la vessie. Le meil-leur moyen d'obvier à cet inconvénient consiste à nouer sur

ons, pour remédier à cet inconvénient, Boyer a trouvé que le meilleur moyen était de substituer aux liens de coton des lanièr

e de gomme élastique, dont on « replie l'extrémité que l'on arrête au moyen d'un fil qui entoure « cette extrémité et la lani

que, dont on forme « un anneau enjoignant ensemble les extrémités, au moyen d'un « fil ; ensuite on relève les bouts des lani