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1 (1892) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 05] : clinique des maladies du système nerveux
caractérise essentiellement, comme l'on sait, par des troubles des mouvements volontaires. « Le symptôme capital de cette aff
re, c'est une raideur spasmodique survenant au moment d'exécuter un mouvement , ou plutôt pendant l'exécution même de celui-ci
contraction a été mise enjeu pour le produire. Par la répétition du mouvement ces raideurs ne tardent pas à disparaître et le m
ue apparaît dans les muscles qui en- trent en jeu pour exécuter des mouvements après un repos plus ou moins long. Cette raideu
eur entrave, au début, plus ou moins complètement l'exé- cution des mouvements , puis elle diminue graduellement à mesure que les
on des mouvements, puis elle diminue graduellement à mesure que les mouvements se répètent, enfin elle disparaît et les mouvemen
mesure que les mouvements se répètent, enfin elle disparaît et les mouvements redevien- nent complètement libres. Si, au lieu
ents redevien- nent complètement libres. Si, au lieu d'une série de mouvements se sui- vant les uns les autres, les muscles on
e sui- vant les uns les autres, les muscles ont il exécuter un seul mouvement éner- gique et brusque, la contraction produite
i : elle est le plus souvent héréditaire ou familiale ; la gêne des mouvements existe habituellement dès le jeune âge, bien qu'e
aladie de Thomsen, et, les comparant aux troubles myo- toniques des mouvements volontaires, il les a groupées sous le nom de réa
Thomsen, qui présentait à un haut degré le désordre myotonique des mouvements volontaires, ainsi que les divers phénomènes de
encore des accès de sommeil cataleptique, s'accompagnant de grands mouvements , durant d'habi- tude 3 heures environ, suivis d
re à 14 ans, de phthisie. Antécédents personnels : Les troubles des mouvements volontaires existent chez Boul... depuis son en
l a tou- jours marché lourdement, les jambes écartées. Ses premiers mouvements ont toujours été difficiles, raides. A l'école
éalable en lui disant de résister aussi fortement que possible. Les mouvements volontaires sont troublés à un haut degré par le
e volontaire. Si l'on dit au malade de répéter un certain nombre de mouvements semblables, les premiers mouvements sont lents
de répéter un certain nombre de mouvements semblables, les premiers mouvements sont lents et pénibles, rendus difficiles par u
e et contre laquelle il s'efforce de lutter, puis, à mesure que les mouvements se répètent, ils deviennent de plus en plus* faci
ir et fermer successivement les doigts, ou si on lui fait faire des mouvements alternatifs de flexion et d'extension de l'avant-
'extension de l'avant-bras, etc. Si, au lieu d'un certain nombre de mouvements semblables et suivis, on lui fait exécuter un m
nombre de mouvements semblables et suivis, on lui fait exécuter un mouvement qui demande un effort énergique, la contracture e
n temps très apprécia- ble que le malade recouvre la liberté de ses mouvements . C'est ce qui arrive, notamment, si on lui fait
tre à écrire; il commence d'abord par exécuter un certain nombre de mouvements des doigts et du poignet pour assouplir ses mus
nt que toute autre personne. La même gêne se retrouve pour tous les mouvements des bras ou des mains que le malade veut accomp
niblement 8 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. au début des mouvements , et, il en résulte un certain trouble de la parol
récédents : après quelques secousses, au début, isochrones avec les mouvements de l'interrupteur il se produit dans le muscle un
remières secondes de l'excitation quelques secousses isochrones aux mouvements de l'in- terrupteur ; puis le muscle se tétanis
comme avec des interruptions assez peu fréquentes, l'apparition de mouvements ondulatoires irréguliers, qui se produisent soit
ntier (bras, cuisse, jambe) on produit facile- ment l'apparition de mouvements rythmiques, ondulatoires. Les réflexes cutanés
ent et avec oscillations ; toute la masse du muscle est agitée d'un mouvement ondulatoire irrégulier et continuel, sans toute
parence constaté également par Pétrone. » (Erb, l. c. p. 68.) Ces mouvements ondulatoires existaient aussi chez notre malade.
le normal. (Ce phéno- mène est comparable au trouble myotonique des mouvements volontaires dans le cas de répétition des mêmes
ique des mouvements volontaires dans le cas de répétition des mêmes mouvements .) B. Excitations courtes (d'une durée de 1 à 2
ntraction lente consécu- tive. (Phénomène comparable au trouble des mouvements volontaires dans le cas d'une seule contraction
it : contraction tonique du mus- cle, décontractions très lentes et mouvements ondulatoires. Éludions maintenant en détail les
us la peau, comme précédemment, mais les contractions isochrones au mouvement du trembleur ne cessent pas complè- tement, ell
elquefois plus ; 3° on voit t alors les contractions isochrones aux mouvements de l'interrupteur réapparaître, si elles avaient
ue excitation du courant; ses contractions sont isochrones avec les mouvements du trem- bleur et ont une amplitude en rapport
uscle se contracte comme un muscle normal d'une façon isochrone aux mouvements de l'interrupteur. Il se comporte encore de mêm
liser le plan sous un angle d'incli- naison déterminé, on arrête le mouvement de rotation de la vis sans fin, cet angle une f
an reste dans la posi- tion qu'il avait au moment où on a arrêté le mouvement . Pour pouvoir se rendre compte de l'angle de l'
plaçant pendant le TRAITEMENT DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX. 29 mouvement de la planche, indique l'angle d'inclination de c
ux coudes les gouttières en cuir faiblement lacées. En imprimant un mouvement à la vis sans fin, (1) La distance de la planch
des yeux répété' peut-être deux fois par seconde, sa tête était en mouvement constant el ses bras étaient agités de mouvemen
, sa tête était en mouvement constant el ses bras étaient agités de mouvements choréiformes. L'application énergique de la bro
z un peu les progrès ! » etc., même quand je ne voyais pas trace de mouvement . Cependant elle se donnait de la peine ! La sue
ir. Tout le temps que les températures se conservèrent élevées, les mouvements respiratoires étaient si lents et si superficie
DES MALADIES SERVEUSES, SERVICE DE M. LE l'1t01 ? CHARCOT) . | I. - Mouvements athétosiques. Le début de l'atbétose double est
e cle Little. A lous ces symptômes viennent bien- tôt s'ajouter les mouvements athétosiques de la face et des quatre membres.
illi clans le service de notre maître M. le professeur Charcot, les mouvements limités d'abord au bras gauche (quatre ans) pas
ots devint impossible vers ! 'age de trente ans. I. DESCRIPTION DES MOUVEMENTS . Face. Les muscles les plus souvent atteints so
5) et de Leube. Dans les cas de Charcot et Huet, Ku- rella (6), les mouvements athétosiques étaient limités à la partie inférieu
'ATHÉTOSE DOUBLE. 59 malades de Massalongo (1), présentait même des mouvements des oreilles. Nous trouvons les mouvements de l
(1), présentait même des mouvements des oreilles. Nous trouvons les mouvements de la face, signalés presque dans toutes les ob
(2) a fort bien observé et étudié ces convulsions faciales : « Les mouvements de la face, dit-il, sont l'aiment extraordinaires
que parait dénoter le jeu de certains groupes musculaires, car ces mouvements sont très passagers Des expressions de physiono
'ils n'éprouvent rien de semblable ». Oulmont (3) dépeint ainsi les mouvements de la face : « Un fait rare dans l'hémi-athétos
quent dans l'athétose double, c'est la participation de la face aux mouvements involon- taires. Ce sont des contractions isolé
el le dé- dain, même la curiosité se peindre sur les traits. Ces mouvements et expressions n'étant pas commandées par la volo
souvent des rides au niveau des régions musculaires agitées par les mouvements anormaux sans cesse répétés ; un de nos malades
il eût de la fièvre), le malade se mit peu à peu à faire des petits mouvements , des grimaces, à avoir de la difficulté à par-
des bains froids, mais sans résultat. Au bout de quelque temps les mouvements des membres ont augmenté au point que le malade n
t que cela est impossible et que tout son corps est animé de petits mouvements de peu d'amplitude. Le malade est bien assis il
it au piano, les uns après les autres. Le malade fait très peu de mouvements du poignet. De temps en temps quel- ques secous
du bras. Les épaules se lèvent et s'abaissent et le tronc fait des mouvements de torsion soit à droite soit à gaucho. La tête
ade étant même chaussé on voit que les doigts de pied exécutent des mouvements . L'extension est plus fréquente aux gros orteils,
emière avec la seconde phalange. Même lenteur, même exagération des mouvements qu'aux doigts, les uns par rapport aux autres, ma
es quatre derniers, mais moins de rapidité dans la suc- cession des mouvements . Ceux-ci persistent plus ou moins longtemps surto
rogression un obstacle considérable. Comme le poignet participe aux mouvements des doigts, le tarséjzi l'articula- tion tibio-
le tarséjzi l'articula- tion tibio-tarsienne accompagnent aussi les mouvements des orteils. C'est tantôt une circumduction trè
le bord externe ou in- terne. Pas de pied bot varus ni valgus. Mouvements très limités des cuisses et des jambes. Face. C
expression d'anxiété surtout quand les sourcils se lèvent; quelques mouvements de la face qui accentuent l'expression générale
qui accentuent l'expression générale surtout dans la bouche. Pas de mouvements des paupières mais par moment une sorte de cris
s de mouvements des paupières mais par moment une sorte de crise de mouvements très courts, de durée de 5 à 6 se- condes. Pa
il- lons se creusent davantage, les rides se prononcent, il fait un mouvement de bouche, mouvement qui se propage à tout le c
davantage, les rides se prononcent, il fait un mouvement de bouche, mouvement qui se propage à tout le corps, mouvements des ép
t un mouvement de bouche, mouvement qui se propage à tout le corps, mouvements des épaules, des avant-bras, les doigts se meuv
dérable de tout le corps. Seule dans la bouche la langue exécute des mouvements les plus divers, il la pousse tantôt à droite t
e les muscles de la glotte sont contracturés, ou bien simplement un mouvement brusque d'inspiration et d'expiration. Ce corna
rusque d'inspiration et d'expiration. Ce cornage augmente il chaque mouvement intentionnel, à chaque effort ou même seulement
se raidit d'a- bord, fait des grimaces bizarres et effrayantes, les mouvements qui existent à l'ordinaire augmentent d'intensi
té, le corps se tortille, le bras fait de grandes oscillations, les mouvements athétosiques des doigts deviennent plus forts. Ce
tout ce tableau se répète à chaque lettre (V. la lig. 4). Dans les mouvements intentionnels, comme par exemple pour pren- dre
dre un objet et le porter à sa houche, le bras est animé de petits mouvements involontaires, il saisit brusquement l'objet, l
ur le porter à la bouche la direction est assez bien conservée, les mouvements difficiles il cause de la raideur, la tète bais
vance vers l'objet, mais on voit augmenter en approchant au but des mouvements de tout le corps. Le mouvement du bras lui-même e
augmenter en approchant au but des mouvements de tout le corps. Le mouvement du bras lui-même est lent comme s'il était obli
yeux ne peuvent pas rester fer- més comme il voudrait il cause des mouvements involontaires de fermeture et d'ouverture des p
, pas do rétrécissement du champ visuel. Pas de nystagmus. Tous les mouvements des globes oculaires conservés, mais peu stables.
quefois elle n'exécute que des déplacements de peu d'étendue. Ces mouvements involontaires, bien que peu manifestes l'état de
elle-même et dans l'impossibilité de rester en place. « Lorsque ces mouvements sont très marqués on peut la voir sortir ou ren
a repousser avec les mains. Dans quelques cas, elle est le siège de mouvements si fréquents et si violents qu'elle finit par s
rée chronique. On peut retrouver l'influence des émotions sur ces mouvements de la langue qui, comme nous venons de le dire,
le plus souvent assez lents. Kurella, par exemple, a noté dix-huit mouvements en avant et en arrière en une mi- nute, Massalo
, les mains sont toujours atteintes el peuvent l'être seules. Les mouvements tout en s'exécutant des deux côtés sont presque t
mbre. Ce sont ceux de l'athétose classique, hémiathétose d'Hammond, mouvements incessants des doigts avec impossible de mainte
lle qu'elle soil, où on cherche à les fixer. Au premier abord les mouvements paraissent très compliqués, mais l'ob- servatio
. On connaît enfin la comparaison classique qu'on a faite entre les mouvements des doigts athétosiques et ceux des tentacules
x, ils les écartent et les rapprochent les uns des autres, tous les mouvements sont possibles. Le plus souvent étendus à toute
iè- gent surtout à l'articulation du métacarpe avec les doigts. Les mouvements les plus frappants sont la flexion et l'extensi
, sans être véritablement rhythmées, des doigts, d'où résultent des mouvements de fermeture et d'ouverture alternatifs de la m
vent tenir un objet dans' leurs mains sans le laisser tomber. A ces mouvements de flexion et d'extension s'ajoutent ceux d'ah
s des autres et rapprochés au contraire lors- qu'elle se ferme. Les mouvements sont moins prononcés à la troisième articulatio
issent d'une indépendance complète; s'ils son agités souvent par un mouvement d'ensemble, ils peuvent se mouvoir chacun séparém
des doigts, mais moins étendus, se succédant sans régu- larité, ces mouvements font passer successivement la main par les positi
sivement la main par les position* les plus diverses. A côté de ces mouvements classiques, si l'on peul dire, on en peut obser
ssiques, si l'on peul dire, on en peut observer une foule d'autre : mouvements de reptation (Clay (1) Gairdner. Athetosis. (Br
(Muet) (1) (Audry) (2). Si l'on cherche à analyser plus à fond les mouvements , on arrive aux résultats suivants, les muscles
le plus absolu. Clay Schaw a signalé au niveau des avant-bras, des mouvements de flexion. d'extension, de pronation el de sup
l'avant-bras placé d'abord fortement en abduction, dé- crivait « un mouvement de rotation rappelant absolument celui qu'on fait
dixièmes des cas les membres inférieurs sont également le siège de mouvements athétosiques. Cepen- dant il existe un certain
première avec la seconde phalange. Même lenteur, même intensité des mouvements qu'aux doigts, même indépendance des orteils. C
me indépendance des orteils. Comme le poignet participe parfois aux mouvements des doigts, l'arti- culation tibio-tarsienne ac
du pied sur la jambe, avec supériorité notable de l'extension. Ces mouvements comme ceux des orteils, ne sont ordinaire- ment
p sûr fortement exagérés quand on ordonne aux malades d'exécuter un mouvement avec d'autres parties du corps (élévation des b
IUlel'OSF DOUBLE. (j7 Un certain nombre d'auteurs ont rencontré des mouvements involontai- res qui fléchissent les jambes sur
ent être d'une grande fréquence et d'une remarquable intensité. Ces mouvements onl quelquefois une légère allure de rotation. No
cou, en avant, en arrière, ou latéralement, souvent on observe des mouvements de flexion, d'extension et de latéralité, qui p
atéralité, qui peuvent du reste se combiner de diverses façons. Les mouvements des muscles de la tète, du cou et de la face sont
trouvons dans les observations de Kurella (1) et Adsersen, que les mouvements peuvent atteindre un degré d'intensité extrême :
matelassé (Adsersen) (2). Dans la posi- tion assise, on a noté des mouvements antéro-postérieurs et de circumduc- tion du tro
s à la maladie elle-même mais n'étant que la simple conséquence des mouvements involontaires, par un mécanisme analogue à celu
il tenait à la main, et rien de plus. II. - CARACTÈRES GÉNÉRAUX DES MOUVEMENTS ATHÉTOSIQUES. Intensité. Les mouvements athét
- CARACTÈRES GÉNÉRAUX DES MOUVEMENTS ATHÉTOSIQUES. Intensité. Les mouvements athétosiques ne conservent pas toujours la même
omplète. Lorsque les malades sont tranquilles et hien au repos, les mouvements diminuent de fréquence et d'intensité, jamais c
Kurella en Allemagne s'est servi d'un chronomètre pour étudier les mouvements d'un de ses sujets. Chez un autre il a compté e
ents d'un de ses sujets. Chez un autre il a compté en une minute 33 mouvements d'élévation et d'abaissement de la mâchoire inf
des convulsions n'accroissent cependant pas toujours la vitesse des mouvements et dans le cas de Kurella, les grimaces devenaien
ntaient de fréquence. Un fait très important à noter, c'est que les mouvements athétosiques s'exécutent toujours sans aucunes
qui les sépare nettement des autres affections caractérisées ou des mouvements involontaires rhythmés (chorée hystérique. par
ystérique. par exemple). Influence de la volonté, des émotions, des mouvements vo- lontaires. Les cas d'l'JulenIlerg et de Lan
intellectuelles restent suffisantes, provoquent une exagération des mouvements athétosiques. C'est ainsi par exemple le malade
e devient beaucoup plus agité s'il s'aperçoit qu'on le regarde. Les mouvements volontaires produisent également une augmentation
e quelques observations exceptionnelles où l'on trouve noté que les mouvements ne disparaissent pas toujours complètement pen-
nts de la jambe gauche pendant le sommeil. Kurella déclare, que les mouvements chez son malade, étaient si intenses, que souvent
érature sur les secousses, Kurella prétend que chez son malade, les mouvements plus prononcés en été diminuaient en automne, p
s augmentaient de nouveau pendant l'hiver. Adsersena a noté que les mouvements étaient plus intenses lorsque la température étai
ni les maladies fébriles ou autres, ne paraissent pas modifier les mouvements à en juger d'après les faits connus. Pour ma part
et demi, je n'ai pas constaté l'influence de la température sur les mouvements athétosiques. Spasme. Rigidité. Un des signes l
consiste dans l'état de rigidité des membres qui sont le siège des mouvements , état si réel, si important que Gowers (1) en a f
nt nécessaire de la maladie. Ce caractère, ce signe spasmodique des mouvements est signalé dan» presque toutes les observation
ecousses choréiformes, qui ne sont en réalité que l'exagération des mouvements athétosiques, au moment où le malade veut agir, s
ement de l'acte. Ces spasmes augmentent avec les efforts avec les mouvements et comme (1) Gowers. On athelosis and post-hemi
de la chorée chronique surtout par le défaut de souplesse dans les mouvements t'oloatai- res et l'existence d'une raideur et
bres supérieurs au niveau desquels peut disparaître l'athétose. Des mouvements , des spasmes et des contractures dépendent les at
membres ; dans les formes légères, c'est-à-dire dans des cas où les mouvements sont très peu marqués, on ne trouve rien de parti
e trouve rien de particulier à si- gnaler. Au contraire lorsque les mouvements et les spasmes sont violents, on voit que les m
ont offert aucune anomalie jusqu'à présent. III. CONSÉQUENCES DES MOUVEMENTS Les caractères qui distinguent les mouvements a
III. CONSÉQUENCES DES MOUVEMENTS Les caractères qui distinguent les mouvements athétosiques, en particu- lier la raideur, le s
icu- lier la raideur, le spasme, l'absence de rhytlnne, ont sur les mouvements ou actes volontaires des conséquences sur lesqu
lesquelles il nous paraît inutile d'insister en ce qui concerne les mouvements ou les gestes simples de la vie ordinaire. Nous
imples de la vie ordinaire. Nous avons déjà signalé l'influence des mouvements volon- ÉTUDE CLINIQUE SUR L'ATUÉTOSE DOUBLE. 71
ons sur les acles ou gestes volontaires. En général la direction du mouvement voulu est plus ou moins troublée et le but à at-
u temps manqué. - Mais si nous portons notre attention sur d'autres mouvements volontaires plus compliqués que celui de porter
un verre ou une fourchette à sa bou- che par exemple, tels que les mouvements nécessaires pour l'écriture ou la parole, il es
y a ce point de vue deux éléments à consi- dérer : tout d'abord le mouvement athétosique, et en second lieu les carac- tères
'équilibre. Pendant ce temps les doigts raidis sont le siège de ces mouvements invo- lontaires que nous avons déjà décrits. Le
ait alors sur le sol. Se mettait-il en marche, il se produisait des mouvements excessivement bizar- res, des mouvements tourna
rche, il se produisait des mouvements excessivement bizar- res, des mouvements tournants qui le jetaient souvent à terre sans qu
mère, c'est vers la même époque qu'elle s'aperçut de l'existence de mouvements athétosiques aux doigts de deux mains seulement.
ès difficilement il lire, mais ne pourra jamais écrire il cause des mouvements qu'elle a aux mains. La mère ne peut pas se rap
mains. La mère ne peut pas se rappeler exactement à quel moment les mouvements des pieds sont apparus. État actuel. C'est un
tées. Intelligence conservée (psi. NI et XII). Elle est atteinte de mouvements involontaires siégeant au niveau du la face, v
uand elle parle ou quand elle mange par exemple (PI. XII). Mais ces mouvements variables comme forme et intensité siègent surtou
s coléreuse) les augmentent beaucoup, Le sommeil seul suspend ces mouvements . Aux mains, aux pieds et à la face surtout quan
quand la malade parle ou marche, c'est de l'athétose pure, avec ses mouvements , lents, glissants, tantôt en exten- sion et fle
nt sur les cuisses. C'est la une posi- tion préférée, car ainsi les mouvements involontaires dos doigts et cle la main sont ré
eposent sur les genoux, les doigts et les poignets sont le siège de mouvements lents tout à fait semblables à ceux de l'hémiat
sque jamais à l'extension complète sauf le pouce. Celui-ci, dans le mouvement d'extension, va presque jusqu'à la subluxations
ons ; toute la main rejette vers le bord cubital. Il résulte de ces mouvements des dispositions bizarres et variées à l'infini e
it et les doigts en extension ou abduction ou encore adduction. Les mouvements des bras et des avant-bras ont très peu d'étend
effort et la garde sans la laisser tomber. On voit alors tous les mouvements augmenter d'amplitude dans des propor- tions ex
de dans des propor- tions extraordinaires et cette augmentation des mouvements athétosiques est le fait de l'effort fait par l
osiques est le fait de l'effort fait par la malade pour arrêter les mouvements des doigts qui tiennent la plume. Elle n'y réus
générale, un peu plus accentuée à droite qu'à gauche, qui rend les mouvements passifs difficiles, et en limite l'étendue. M
ssifs difficiles, et en limite l'étendue. Membres inférieurs. Les mouvements passifs de tous les segments de ces membres s'e
périeurs. Le côté droit paraît plus raide que le côté gauche. Les mouvements involontaires s'exécutent de la même façon qu'aux
lenteur, même intensité qu'aux doigts, même indépendance dans leurs mouvements . Les jambes et les cuisses sont presque tranqui
tronc tourne aussi très légèrement. A la face en état de repos, les mouvements involontaires existent il peine quand on la fai
implement en la regardant, on voit les muscles de la face entrer en mouvements , surtout les zygomaliques, l'orbiculaire, les r
se il convexité gauche. Pas de paralysie appréciable, l'étendue des mouvements intentionnels est limitée il cause de la raideu
bouche on voit que la langue est à peine remuée de quelques petits mouvements de peu d'étendue ; mais lorsqu'on lui dit de la t
le faire normalement ; elle fait un violent effort qui provoque des mouvements involontaires intenses dans les muscles des lèvre
a langue ne peut plus rester dans cette position, elle est prise de mouvements involon- taires qui la font se tortiller, rentr
, en revanche les lésions articulaires survenant en conséquence des mouvements y sont relativement fréquentes. Oulmont, Charcot
assalongo, Kussmaul, Audry, etc.... ont insisté sur l'intensité des mouvements involontaires et des spasmes, qui peuvent produir
; l'écriture et la parole ne deviennent impossibles que du fait des mouvements involontaires et du spasme des muscles. C'est d
teint d'une affection nerveuse avec des troubles de la parole ou du mouvement . Aujourd'hui on possède quelques observations d
me. Un malade d'Audry écrivait avec la main gauche, qui offrait des mouvements moins intenses que la droite ; celui de Greidenbe
ues, les spasmes et les contractures entravent né- cessairement les mouvements volontaires, souvent les plus nécessaires et le
les jours. Ces malades si malheureux sont parfois, du fait même des mouvements athétosiques, incapables de rien faire. On peut
ssantes, les diverses positions qu'ils prennent, emportés par leurs mouvements involontaires et surtout le trouble de la parole
ont très bien plantées, le palais est normal. La face est animée de mouvements involontaires presque continuellement ; la peau
ront se plisse en haut en bas. Les quatre extrémités présentent des mouvements athétosiques d'intensité variable, mais typique :
bizarres et les plus extraordinaires. Le som- meil seul suspend les mouvements involontaires. Rigidité des membres in- férieur
y- gomatiques, les risorii et la triangulaire des lèvres ; mais les mouvements sont encore plus caractéristiques quand le mala
s'écartent en éventail, puis se rapprochent les uns des autres. Les mouvements du poignet sont moins fré- quents, plus lents ;
é de raideur des bras quand on veut les écarter ou les étendre. Les mouvements athétosiques présentent la même intensité à droit
a bouche, il faut qu'il l'empoigne à pleine main et, après quelques mouvements lents et oscillatoires, il arrive à la porter à
glissent assez facilement de ses doigts. Membres inférieurs. Les mouvements athétosiques sont bien moins pronon- cés qu'aux
us que de la marche spasmodique classique. Pendant cet exercice les mouvements athétosi- ques de la face des doigts et des ort
comme les mouve- ments athétosiques, par les excitations (essais de mouvements volontaires, émotion, etc.). Elles peuvent arri
on des sueurs chez sa malade : « Lorsqu'elle était un peu émue, les mouvements athétosiques augmentaient alors, et la sueur coul
mal plantées et mauvaises. La voûte palatine est très ogivale. Les mouvements de su- pination des deuxavant-bras sont très li
s ne peut pas se renverser en dehors au delà d'un angle de 45°. Les mouvements de flexion des phalangettes des deux pouces sont
omporte comme un muscle normal, répondant par une secousse à chaque mouvement de l'interrupteur, tout en étant en étal de tétan
t après le retour graduel des secousses musculaires, isochrones aux mouvements de l'inter- rupteur ; pour les excitations suiv
ébauche du phénomène que nous étudierons plus loin (Voy. section C. Mouvements ondulatoires).. Les résultats fournis par l'exc
la contraction volontaire, dans le cas de répétition successive des mouvements . Nous voyons, en effet, alors, les mouvements v
tition successive des mouvements. Nous voyons, en effet, alors, les mouvements volontaires être plus ou moins en- través au dé
dividu normal. Si quelque temps après on fait recommencer les mêmes mouvements , ils se font encore librement; c'est seulement
myographiques, que nous avons recueillis pendant t'exécn- tion des mouvements volontaire*, font bien ressortir ces analogies. A
seurs ,'1 t'avant-bras droit, pendant que le malade exé- cutait des mouvements de flexion et d'extension des doigts répétés auss
n muscu- laire, mais l'effet de cette contraction, c'est-à-dire les mouvements de flexion des doigts ; il a été recueilli en f
propos t'ana- logie qui existait entre les troubles myotoniques des mouvements volon- taires et certaines réactions électrique
phénomène que nous étudierons dans la section suivante (section C. Mouvements ondulatoires). Les excitations courtes n'épuise
citations faradiques courtes avec certains troubles myotoniques des mouvements volontaires, ceux produits notamment par un inf
etc. se contractent brusquement et énergiquement et pro- voquent le mouvement voulu, niais ils sont immobilisés alors dans celt
bras dans une position autre que celle provoquée par l'exécution du mouvement . C'est là, pensons-nous, deux sortes de troubles
dentes réité- rées, on par des excitations avec des courants forts. Mouvements 0,NDU- latoires. Il nous reste à étudier un t
ntes, pendant lesquelles toute la masse du mus- cle est agitée d'un mouvement irrégulier et incessant ressemblant à celui des
. Toutefois on ne peut reconnaître une direction déterminée dans ce mouvement ondulatoire ». (ure, l. c., p. G8.) Dans nos re
a même séance, des courants d'une force moyenne font apparaître des mouvements ondu- latoires, tandis qu'ils n'en provoquaient
a fatigue phy- siologique c'est-à-dire la fatigue provoquée par les mouvements volontaires a la même influence sur l'apparitio
les mouvements volontaires a la même influence sur l'apparition des mouvements ondulatoires, n'avant pas eu l'occasion de diri
modérés on emploie des courants forts, on voit apparaître aussi les mouvements ondu- latoires ; le même effet se produit facil
nt interrompus épuisant et fatiguant plus rapidement le muscle. Les mouvements ondulatoires une fois produits re- paraissent a
ison froide nous a paru, aussi, causer l'apparition plus facile des mouvements ondulatoires ; en effet, à mesure que nous appr
ulatoires ; en effet, à mesure que nous approchions de l'hiver, ces mouvements se produisaient plus facilement, alors môme que
nous a paru que cette plus grande facilité dans la produc- tion des mouvements ondulatoires était bien due au froid, peut-être a
dans le degré de la maladie, quoique les troubles myo- toniques des mouvements volontaires, loin de s'accroître, eussent plutôt
ôt diminué. Les tracés que nous reproduisons ici montrent que ces mouvements on- dulatoires se produisent non seulement pend
diques du muscle droit antérieur de la cuisse ganeLe ; apparition des mouvements ondulatoires. - Interruptions 6 1/2 par seconde
mple lorsque les excitations ont été courtes ou peu prolongées, les mouvements ondulatoires n'apparaissent qu'après l'ex- cita
idence certaines des condi- tions dans lesquelles se produisent les mouvements ondulatoires. Pour les deux premières lignes A
façon suffisamment claire, en dehors de toute in- coordination des mouvements , d'affirmer le diagnostic. Aujourd'hui, depuis
tés plus en arrière, surtout celui de droite qui a subi en outre un mouvement de rotation en dehors entraînant tout le membre
lil des névralgies intercostales, lombaires ou abdominales que les mouvements exaspèrent. Nous en citerons un exemple chez un
n des espaces intermétacarpiens. Parésie très marquée pour tous les mouvements de ces deux membres ; elle diminue de plus en plu
mbres inférieurs. Force très suffisamment conservée pour tous les / mouvements , même au membre inférieur droit qui est atrophié.
'axe dorsal, de manière à ré- duire sa flèche de moitié environ. Le mouvement en sens inverse est limité par la rencontre de
. Aucune dou- 1 leur n'accompagne ces manoeuvres, non plus .que les mouvements de rotation l imprimés au rachis. Si l'on comma
au rachis. Si l'on commande au malade d'exécuter volontairement ces mouvements divers, il ne les réalise que dans une faible mes
La santé générale est bonne. Motilité. Membre supérieur droit. Les mouvements de l'épaule, du coude et même du poignet s'acco
scles des gouttières vertébrales comparées d'un côté à l'autre. Les mouvements d'inclinaison latérale du rachis paraissent s'exé
lonne vertébrale, ni spontanément, ni à la pressoin, ni pendant les mouvements volontaires ou communiqués. On remarquera que l
étant couché sur le côté, on s'aperçoit eu cherchant à produire des mouvements passifs du rachis, que la colonne lombaire peut a
es contractures. Il s'agit d'un jeune sujet affecté depuis 4 ans de mouvements choréiformes dans le membre supérieur gau- che
'après une demi-minute, et pendant tout ce temps il est le siège de mouvements ondulatoires, comme l'indiquent les sinuosités
atteint la ligne de repos en d, il continue à être agité de faibles mouvements ondulatoires. La seconde exci- tation, faite se
, f, le muscle se décontracté très lentement, et il est le siège de mouvements ondulatoires pendant tout le temps cle la dé- c
regagne sa ligne de repos en d'. En continuant l'expérience, les mouvements ondulatoires augmentent, comme le montre le tra
scle se décontracte faiblement, puis se contracte de nouveau et les mouvements ondulatoires continuent pendant tout le temps que
ondant à 7 secondes, mais afin de ne rien supprimer des courbes des mouvements ondulatoires nous en avons rapporté à gauche du
quel ordre se suivent les courbes de la décontraction lente et des mouvements ondulatoires.) Pour la seconde ligne, B, au lie
des alternatives de gonflement et de relâchement, c'est-à-dire des mouvements ondulatoires, qui se lisent sur le tracé pendant
seconde). - Bobine à fil moyen, écartée de 10 et de 1 1 centimètres. Mouvements ondulatoires. (Réduit de 1/2.) *J * =3 o
. 1888. Réactions faradiques du muscle droit antérieur de la cuisse ; mouvements ondulatoires. A, B, C, côté gauche ; D, E, côté d
repos rétabli, mais le muscle se gonfle de nouveau, recommence des mouvements oscillatoires de p" en ? ; ensuite apparaît une
raît une nouvelle période de repos apparent de 8 secondes, puis les mouvements ondulatoires recommencent au second tour du cyl
0>, c'est-à-dire après 80 secondes de décontraction lente et de mouvements ondulatoires. -La troisième ligne, C, du tracé, s
plus grand de la bobine induite ; ici la décontraction lente et les mouvements ondulatoires se pro- longent encore pendant plu
vement sa ligne de repos. Le tracé suivant, figure 19, montre ces mouvements ondulatoires à un haut degré de développement.
xcitation est prolongée de 45 à 50 secondes. On voit d'une part les mouvements ondulatoires apparaître au cours de l'excitation,
ur du cylindre ils sont encore très accusés, décontraclion lente et mouvements ondulatoires ne cessent qu'après une minute de
plus courte, sont renouvelées à quelques secondes d'intervalle. Les mouvements ondu- latoires ont apparu dans le cours de la p
é le même jour dans des conditions identiques, montre également ces mouvements ondula- toires très développés, lignes D etE, f
ents ondula- toires très développés, lignes D etE, figure 19. Les mouvements ondulatoires s'accompagnent parfois d'une sorte d
uit de ! /2.) ÉTUDE DE L'EXCITABILITÉ ÉLECTRIQUE DES MUSCLES. 175 mouvements ondulatoires; mais, en même temps, ainsi que l'in
lètement achevée, mais elle continue à se faire régulièrement, sans mouvements ondulatoires et sans tremblement. Pour le secon
condes seu- lement. Ici ces décontractions lentes s'accompagnent de mouvements ondulatoires et d'un tremblement analogue à cel
tracés au second tour du cylindre en a", b", et c".) Lorsque les mouvements ondulatoires se produisent, soit parce qu'on em
n muscu- laire qui se trouve surtout modifiée par la production des mouvements on- dulatoires. La figure 21 montre bien ce qui
e demi-heure après l'inscription sur d'autres tracés d'une série de mouvements ondulatoires ; la bobine induite, à gros fil, éta
latoires. Nous n'insisterons pas davantage, pour le moment, sur les mouvements ondulatoires qui parfois accompagnent et suiven
loin que les courants galvaniques peuvent provoquer aussi les mêmes mouvements ondulatoires, et que cet effet se produit dans
rac- tion tonique du muscle, puis celui-ci continue à être agité de mouvements ondulatoires réguliers, ressemblant aux ondulat
ers, ressemblant aux ondulations des vagues. La succes- sion de ces mouvements ondulatoires se fait tantôt plus vite, tantôt plu
s musculaire (Huet et Simpson). Sensibilités spéciales. Vision. Des mouvements involontaires probablement d'origine spasmodiqu
est généralement calme, el dans la majorité des cas fait cesser les mouvements . 4. Marche. Durée. Terminaison. Pronostic et tr
roubles moteurs qui ouvrent la scéne consistant' essentiellement en mouvements involontaires, lents et conlinuels, qui oc- cup
e chez ces malades. - Un autre caractère important, c'est que les mouvements athétosiques per- sistent même au repos le plus
deur dans les membres athétosiques si je peux m'exprimer ainsi; les mouvements in- volontaires ne se font pas avec les moelleu
êmes raideurs, ces contractures existent dans l'accomplissement des mouvements volontaires ; elles sont très appréciables aussi
que les signes concomitants de la maladie; pen- dant longtemps les mouvements involontaires restent peu étendus et assez lent
ments involontaires restent peu étendus et assez lents, ce sont des mouvements à petit rayon ; diminuant ou progressant comme
nce est souvent atteinte, les malades sont seulement tristes, leurs mouvements athétosiques, leur imbécillité rendent leur situa
e des sujets par suite du ridicule qu'on attri- bue souvent à leurs mouvements involontaires et à cause de l'incapacité presqu
tinctes et enfin les mouve- ments athétoïdes, c'est-à-dire tous les mouvements involontaires, qui par leur aspect extérieur re
l'effet de la cause première qui les a produits. Les caractères des mouvements involontaires dans l'athétose double, permettra
eux seuls de faire le diagnostic. Rappelons-nous, en effet, que ces mouvements involontaires sont incoor- donnés, illogiques e
ssent ou diminuent pendant quelque temps à l'occasion de cer- tains mouvements intentionnels, mais augmentent d'intensité et de
er signe qui nous frappe comme dans l'athétose dou- ble ce sont les mouvements involontaires de la face et des quatre extrémités
s quatre extrémités y compris le cou et le tronc; les caractères de mouvements involontaires diffè- rent beaucoup dans les deu
ce au point t de vue du diagnostic ; le choréique est agité par les mouvements IeS 1é- sordolés, ainsi il porte brusquement la
e brus- quement le bras, choque le visage, fait un détour, un grand mouvement excentrique, en un mot c'est la folie musculair
sse est fléchie violemment sur le bassin et le choréique tombe. Les mouvements athétosiques sont-ils les mêmes ? Sans doute ils
re par quelque côté, mais il existe toutefois des différences : les mouvements athétosiques sont lents, ils s'accompagnent de ra
même rigidité, ces contractures existent dans l'accomplissement des mouvements volontaires ; elles sont très appréciables aussi
e dans le rhumatisme noueux. La olonté n'a aucune influence sur les mouvements involontaires dans les deux affections. Les imp
role est plus lente, spasmodi- que si l'on peut ainsi parler. Le» mouvements brusques des mains dans la chorée suffisamment ac
ses facultés in- tellectuelles, s'il a appris il écrire, malgré les mouvements involontaires et les spasmes, avec certains art
as ici. Le plus souvent les troubles intellectuels cessent avec les mouvements convulsifs. Dàns l'athétose double les troubles d
dire lorsque la chorée chronique est bien caractérisée, lorsqne ses mouvements sont bien tranchés et reproduisent en somme tous
il n'en est pas, tant s'en faut, toujours ainsi et quelquefois les mouvements involontaires de la chorée chronique de moyenne
e différence ; c'est que, à l'occasion des actes intentionnels, les mouvements athétosiques augmentent beaucoup, principalement
étose double de la chorée chronique, c'est que dans la première les mouvements involontaires ne se font pas avec moelleux comm
êmes raideurs, ces contractures existent dans l'accomplissement des mouvements volontaires ; elles sont très appréciables aussi
ées par le re- trait lent et graduel des angles de la bouche ». Les mouvements de la lan- gue diffèrent aussi ; ils sont plus
ses secousses musculaires brusques qui n'ont rien du caractère des mouvements athétosiques ; en effet on ne remar- que jamais
hétosiques ; en effet on ne remar- que jamais dans cette forme, les mouvements involontaires lents, coordon- nés, exagérés par
paramyoclonus multiplex, une affection ca- ractérisée aussi par des mouvements involontaires. En 1886, P. Marie faisait connaî
d'après Seeligmuller et Rubini qui prétendent que quelque- fois les mouvements involontaires de paramyoclonus multiplex sont ass
QUE SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE. 197 de diminuer ou même faire cesser les mouvements myocloniques. Le som- meil ne les arrête pas to
par la date habituelle de son apparition dans le jeune âge, par les mouvements involontaires de la face et les quatre membres. M
aires de la face et les quatre membres. Mais un examen attentif des mouvements des malades et la connaissance d'au- tres parti
tront de faire le diagnostic. En effet dans la maladie des tics les mouvements sont brusques, rapides, instantanés ; ils n'ont
nt brusques, rapides, instantanés ; ils n'ont pas cette lenteur des mouvements de l'athétose dou- ble ; ils se représentent to
t, le visage, la poitrine, etc..., élévation des bras comme dans un mouvement de défense, etc. Ils sont donc systématisés »,
noncé, puis à la suite il se produit une sorte de décharge et leurs mouvements éclatent pour un temps, avec plus d'intensité e
d'accomplir sans troubles des actes intentionnels mais alors leurs mouvements involontaires sont complète- ment suspendus, il
fluence de la volonté pouvait très exceptionnellement arrêter leurs mouvements atbétô- (1) Charcot, Semaine méd., 1SS6. (2)
mplir tel ou tel acte déterminé. Ainsi par les seuls caractères des mouvements involontaires, on pourra déjà distin- guer la m
ter l'hypothèse de l'athétose double, affec- tion dans laquelle les mouvements involontaires sont irréguliers, lents et contra
sions, sensation de chaleur, etc., empêcheront une mé- prise. Les mouvements involontaires des doigts et surtout de la face da
t ainsi la position de la main qui tient une plume à écrire, et les mouvements qui agitent toutes ses parties rappellent quelq
dant le sommeil) et se manifeste, fait important, en dehors de tout mouvement volontaire. L'écriture quand elle est possible
ique. Dans cette der- nière seule l'émission du son s'accompagne de mouvements convulsifs sié- geant dans la langue, les lèvre
a face. Les tremblements de la sclérose en plaques, à l'inverse des mouvements athétosiques, cessent lorsque les malades sont
ses la confusion ne paraît pas possible entre ce tremblement et les mouvements involontaires si caractéristiques dans l'a- thé
rement inclinée sur l'épaule gauche. M. Beh. est continuellement en mouvement , si on le prie de s'arrêter pour l'ob- server d
de gêne pour le malade ; aussi, il fait faire à chaque instant des mouvements de flexion des doigts, du poignet, du coude ; c
te rigi- dité que pendant la marche, il fait imprimer à son bras un mouvement conti- nuel de balancement. Depuis quelques s
me est de 5 par seconde ; il diminue sans disparaître pen- dant les mouvements volontaires, et ne cesse entièrement que pendant
est- agité et troublé de cauchemars incessants ; malgré la gêne des mouvements , il y tin besoin continuel de changer de position
E DE LA SALPÊTRIÈRE. ment la main et les doigts, qui après quelques mouvements provoqués conservent un instant cette position.
l'état de repos un tremblement peu accusé qui augmente pendant les mouvements volontaires et sous l'influence de l'émotion ;
s et sous l'influence de l'émotion ; il est surtout exagéré par les mouvements du membre du côté opposé. Le nombre des oscilla
tés. Pas de sensation de chaleur ; besoin continuel de se donner du mouvement . Le sommeil est assez bon. Pas de trou- bles di
re, chez notre malade, par les courants galvani- ques stabiles, les mouvements ondulatoires décrits par Erb, et l'on recon- na
le positif. Sur la figure 34 nous avons inscrit quelques-uns de ces mouvements on- dulatoires. Ici le dispositif de l'expérien
tres, était placé immédiatement au-dessus de la rotule ; enfin, les mouvements produits étaient recueillis par un myographe plac
uite ne provoquent aucune nouvelle secousse el il n'apparaît pas de mouvements ondulatoires. Avec le pôle négatif, le courant ay
orte, lente et to- nique, et après la 3e fermeture apparaissent des mouvements ondulatoires. Le courant étant porlé à une inte
des secousses relativement faibles, mais lentes et Ioniques; aucun mouvement ondulatoire n'apparaît. Avec le pôle négatif la
levée, elle est lente et tonique, puis elle est suivie, bientôt, de mouvements ondulatoires. L'intensité du courant est alors
s de fermeture lentes et paresseuses, mais il ne se montre plus cle mouvements ondulatoires; avec pôle positif on n'observe ni
ments ondulatoires; avec pôle positif on n'observe ni secousses, ni mouvements ondulatoires. III Il nous resterait, pour fai
JUllltl 1888. Ëxcnauonssainnjues des muscles de la cuisse gauche ; mouvements ondulatoires. (Electrode excitatrice placée au-de
tonte la durée de cette décontraction le muscle est agité de petits mouvements irréguliers, analogues à ceux que nous avons étud
e des muscles (Voy. partie I, section C). L'existence de ces petits mouvements irréguliers présente, à notre avis, une certain
ar des courants fré- quemment interrompus et de force modérée ; les mouvements ondulatoi- res se produisent avec des courants
TRIQUE DES MUSCLES. 245 et des secousses musculaires isochrones aux mouvements de l'interrupteur réapparaissaient; ces secouss
courant était suffisamment modérée pour ne pas faire apparaître de mouvements ondulatoires. La résolution du spasme myotoniqu
r des excitations avec des courants forts, on voyait apparaître des mouvements ondulatoires qui, non seulement se montraient p
ps après (parfois jusqu'à Il minute et même davantage). Lorsque ces mouvements ondulatoires apparaissent, ils troublent la ré-
'épuisement de la disposition du muscle au spasme myotonique. Ces mouvements ondulatoires se produisaient plus facilement et d
la production 246 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPETRIÈRE. de ces mouvements ondulatoires, chez le même malade, par la seule e
e, ou tant qu'on n'a pas fatigué le muscle au point de produire des mouvements ondulatoires. Avec des excitations courtes (de
gue musculaire, et que par suite ils font apparaître facilement les mouvements ondulatoires, si l'intensité du courant est un
ant est un peu élevée, ou si l'examen est quelque peu prolongé. Ces mouvements on- dulatoires modifient alors la régularité de
ique des muscles, dans la réaction myotonique, est la production de mouvements ondulatoi- res avec des courants stabiles. Ces
uction de mouvements ondulatoi- res avec des courants stabiles. Ces mouvements ondulatoires, sur lesquels 248 NOUVELLE ICONOGR
ment, tan- dis que d'autres ne les ont pas retrouvés. Cependant ces mouvements pa- raissent devoir être constants clans la réa
nse il Seifert, au congrès de IIeidelber de septembre 1889 (2). Ces mouvements ondulatoires paraissent être provoqués plus fac
araître une contraction tonique des muscles, u laquelle succède des mouvements rythmés, ondulatoires, semblables au mouvement de
aquelle succède des mouvements rythmés, ondulatoires, semblables au mouvement des va- gues, et ayant habituellement une direc
trocnémiens pour la jambe, que l'on constate le plus facilement ces mouvements ondulatoires. Il est nécessaire, pour les provo-
scles dans les conditions où nous avons vu se pro- duire, déjà, les mouvements ondulatoires avec les courants faradiques, c'est-
ourants faradiques, c'est- à-dire la fatigue musculaire. Aussi, ces mouvements ondulatoires, qu'ils soient provoqués par des e
es de produire la fatigue des muscles, provoquent t'appari tion des mouvements ondulatoires, d'autant plus facilement, croyons
nguer la maladie de Frie- dreich de l'athétose double. En effet les mouvements involontaires peuvent être de deux sortes : 1°
oscillation irrégulière de la tête et du tronc. En de- hors de tout mouvement quand la tête se trouve sans appui, elle branle
li d'avance, d'où le nom de chorée rhythmée. En ce qui concerne les mouvements involontaires eux-mêmes, ils sont tellement car
ne façon rhythmée, absolument comme s'ils dansaient; quelquefois ce mouvement prime tous les autres, d'où le nom de saltatoir
rgerons qui frappent sur leur enclume (chorée mal- léatoire). Les mouvements sont très variés; citons encore le geste des rame
encore le geste des rameurs qu'exécutent souvent les malades, et le mouvement du moulin qu'ils imi- tent, en faisant exécuter
i- tent, en faisant exécuter dans l'espace à leur bras une sorte de mouvement gyratoire analogue à celui des ailes d'un mouli
gyratoire analogue à celui des ailes d'un moulin à vent. Tous ces mouvements très variés, mais toujours rhythmiques, représen-
uvements très variés, mais toujours rhythmiques, représen- tant des mouvements systématisés divers, se succèdent toujours dans l
ire la chorée rhythmée à forme non paroxys- tique dans laquelle les mouvements , ressemblant à ceux de la chorée hysté- rique à
e peut être dans certains cas confondue avec l'athétose double. Les mouvements qui la caractérisent sont en effet tout à fait
écédent cha- pitre. Car dans l'alhétose double il n'y a pas que des mouvements athéto- siques, il y a toute une série de mouve
a pas que des mouvements athéto- siques, il y a toute une série de mouvements involontaires que l'on pour- rait aussi bien ap
iciel. Mais, en ce cas encore, la constatation de la limitation des mouvements à un seul côté doit suffire il lever tous les d
are qu'il n'y ait pas une grande maladresse, une légère raideur des mouvements , surtout de ceux des doigts. Dans l'athétose doub
tose double la raideur n'empêche le phénomène de se produire. Les mouvements involontaires, si fréquents dans l'athétose doubl
seulement aux membres supérieurs et ne surviennent qu'au moment des mouvements volontaires et jamais au repos. Un caractère
e contracture des nourrices. Or, on observe chez les tétaniques des mouvements involontaires. Mais ceux-ci ne sont que la cons
ans l'athétose double, maladie congénitale et sans prodromes. Les mouvements convulsifs se déclarent dans la tétanie aux bras
t parfaitement à l'aise. Chose rare dans l'athétose double, car les mouvements persistent même pendant le repos, c'est-à-dire
ements persistent même pendant le repos, c'est-à-dire en dehors des mouvements volontaires. Dans l'intervalle des accès, il re
les différentes déformations et l'incurabilité de la maladie. II. MOUVEMENTS ATHÉTOIDES Qu'entendons-nous par ce terme de mo
adie. II. MOUVEMENTS ATHÉTOIDES Qu'entendons-nous par ce terme de mouvements athétoïdes et pourquoi les étudions-nous ici mê
ible de prouver ÉTUDE CLINIQUE SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE. 257 que les mouvements involontaires qui s'observent dans les susdites m
nous venons de l'étudier. Nous considérerons dans cette étude les mouvements involontaires d'al- lure athétoïde qui s'observ
es qui les distinguent. Ataxie locomotrice. A ne considérer que les mouvements invo- lontaires qui caractérisent normalement l
incoordination des tabès, il n'existe aucune ressemblance entre les mouvements ataxiques et les mouvements athétosiques. Mais
n'existe aucune ressemblance entre les mouvements ataxiques et les mouvements athétosiques. Mais on sait aujourd'hui que les at
t aujourd'hui que les ataxiques peuvent offrir des secousses et des mouvements involontaires d'autre es- pèce, lesquels peuven
olontaires d'autre es- pèce, lesquels peuvent imiter assez bien les mouvements athétosiques. Il existe dans la science une diz
étosiques. Il existe dans la science une dizaine d'observations des mouvements in- volontaires survenus au cours de l'ataxie l
de nature tabétique. Sans vouloir discuter ici la pathogénie de ces mouvements involontaires dans l'une et l'autre maladie, il
s différences assez nettes pour être remarquées. Les caractères des mouvements involontaires des ataxiques ne sont ordi- naire
ataxiques ne sont ordi- nairement qu'une image atténuée de ceux des mouvements athétosiques que nous avons étudiés dans notre
ble et qui nous servent pour faire le diagnostic, sont : 1° que les mouvements involontaires des ataxiques, sont signalés toujou
t-à-dire, survenant quand l'ataxie était déjà confirmée. 2° Que ces mouvements sont presque toujours fugaces, ne durent que qu
t étendues sur le lit, attirent immédiatement l'attention par leurs mouvements singuliers, qui se produi- sent d'eux-mêmes en
ation et à l'abaissement réguliers des phalanges, etc. La durée des mouvements involontaires était observée pendant des années,
ns. Entré le 31 mai 1882. Ataxie confirmée, ensuite surviennent les mouvements involontaires. Le 15 octo- bre les mouvements i
suite surviennent les mouvements involontaires. Le 15 octo- bre les mouvements involontaires ont à peu près disparus. Observat
urviennent d'abord à gauche, puis quelques mois après à droite, des mouvements involontaires qui persistent jour et nuit. En c
Massalongo vient de rappor- ter un cas dans lequel il a observé des mouvements involontaires, au cours d'une ancienne paralysi
rophie, de l'arrêt de développement des membres, de l'intégrité des mouvements de la face, de la lucidité de l'intelligence.
la parole facile et prompte. Aucune anomalie ne se révèle dans les mouvements de la face, de la langue ni dans les sens spécieu
par Audry. ÉTUDE CLINIQUE SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE. 259 Ce sont les mouvements involontaires. En effet ceux-ci étaient limités a
e plus l'exis- tence d'une maladie confirmée avant l'apparition des mouvements invo- lontaires devait empêcher toute erreur.
premier à signaler, dans les névrites périphériques, l'existence de mouvements involontaires qu'il rapporte il l'athétose doub
ue, dans son cas et dans celui de Lowenfeld il ne s'agissait pas de mouvements athéto- siques. Cette affirmation provoqua une
ose double est un syndrome. Mais en admettant même qu'il existe des mouvements involontaires au cours des névrites périphériqu
s des névrites périphériques, la confusion se limitera toujours aux mouvements involontaires et nous en ferons toujours le dia
s M. Audry, dans la littérature médicale, une seule observation des mouvements involontaires au cours de l'hystérie. Le cas es
us semble, d'après la description de cet auteur, qu'il s'agit là de mouvements involontaires quelconques, mais n'ayant aucune
nvolontaires quelconques, mais n'ayant aucune ressemblance avec les mouvements involontaires de l'athétose double. Une autre r
cuter l'interprétation des cas de Wiszwianski, le fait seul que les mouvements involontaires sont survenus chez une hysté- riq
PHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Sans vouloir discuter ici la pathogénie des mouvements involontaires qu'on voit toujours dans l'alhéto
ines différences entre eux ? De la cette distinction nécessaire des mouvements athétosiques qui repré- sentent le prototype, l
re des mouvements athétosiques qui repré- sentent le prototype, les mouvements de l'athétose vraie (hémathétose d'o- rigine or
e vraie (hémathétose d'o- rigine organique, athétose double) et des mouvements ATIIÉTOIDES. Cette dernière dénomination sera r
uvements ATIIÉTOIDES. Cette dernière dénomination sera réservée aux mouvements involontaires qui présentent certaines analogie
ouvements involontaires qui présentent certaines analogies avec les mouvements athétosiques, bien qu'ils en diffèrent à certai
urs accidentel, jamais congénital, ni infantile. Les caractères des mouvements athétoïdes ne sont ordinairement qu'une image a
'accompagnent nalurellemenl pas de troubles cérébraux. De plus, ces mouvements athétoïdes peuvent être fugaces, ne durer que que
nous semble qu'elle doit être abandonnée, puis- que d'une part les mouvements qui servent à caractériser ces syndromes présen
thétose double hystérique, tabétique, etc. que l'on doit dire, mais mouvements athétoüles dans le tabès, l'hystérie, etc. 6. E
ladie de Parkinson par un procédé qui rap- pellerait l'ensemble des mouvements communiqués au corps par une voiture en marche.
construire un fauteuil auquel un mécanisme spécial communiquait des mouvements rapides d'oscillation autour d'un axe antérieur e
nts rapides d'oscillation autour d'un axe antérieur et latéral. Ces mouvements , combinés et contrariés, produisaient une vibrati
il, cela nous entraînerait trop loin. Disons qu'il peut être mis en mouvement directement à bras mais qu'il est beaucoup plus f
ctement sur toutes les têtes. Aussitôt en place on met le moteur en mouvement en pla- çant les fils de la pile dans les borne
agit là de vibrations et de tré- pidations purement mécaniques ; le mouvement est transmis au fauteuil par un moteur qui peut
aque mois, des crises de nerfs avec perte de connaissance et grands mouvements . Le malade a eu six frères et une soeur : trois f
s tempes, constriction de la-gorge, perte de connais- sance, grands mouvements , sans morsure de la langue, sans miction in- vo
peut être relevé, le droit ne l'est que très incomplè- tement. Tout mouvement des orteils est impossible. La force musculaire
le est normale au niveau des cuis- ses : le malade résiste bien aux mouvements passifs de flexion, d'exten- sion et d'abductio
plan que lès autres doigts et ne peuvent exécuter qu'un très léger mouvement de flexion vers la paume. La deuxième phalange du
u'avec beaucoup de réserve, d'une part, parce que la pathogénie des mouvements athétosiques ne repose pas sur des résultats cert
contesta- ble que certains malades présentent des troubles moteurs ( mouvements involontaires), presque analogues à ceux qui ex
s. Bien portante et intelligente jusqu'à l'âge de 5 ans, très vive, mouvements normaux, parole facile, caractère très bon et dou
le de plus en plus embarrassée. Démarche de plus en plus hésitante. Mouvements des extrémités de plus en plus incertains. L'en
sortir, presque inintelligible. Au repos la face ne présente aucun mouvement , mais lorsqu'elle veut parler, ou il suffit de
ch. ÉTUDE CLINIQUE SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE. 297 Membres supérieurs. Mouvements athétosiques des mains et des doigts plutôt rap
Pas d'hypertrophie. Pas de secousses. Membres inférieurs. Pas de mouvements athétosiques appréciables des pieds ; quand la
, fléchie sur le poignet, portée vers le bord radial. Avec quelques mouvements des doigts, de temps à autre, on peut facilemen
on forcée appliqué contre la paume de la main ainsi que de quelques mouvements d'adduction et d'abduction. Les phalanges des d
cave à concavité postérieure tandis qu'ils sont animés en entier de mouvements se passant dans l'articulation métarcarpo-phatang
'articulation métarcarpo-phatangienno et caractérisés par de petits mouvements antéro-postérieurs incessants (de flexion), comme
oigt pour s'étendre aux autres, mais peu tendus et en même temps de mouvements d'adduction et d'abduction de tous les doigts con
liors. Ce type de flexion est peu marqué il gauche ; de ce côté les mouvements spontanés paraissent plus rares et plus limités
che l'enfant étend ses mains par instant et il se produit alors des mouvements athétosiques de tous les doigts pendant une dem
et même émaciation qu'aux membres supérieurs (on ne remarque pas de mouvement athétosique des orteils). De temps : 1 autre, l'e
doit être maintenu sous peine de perdre l'équilibre. D'ailleurs ces mouvements sont très irré- guliers et très imparfaits, les
l semble souffrir : dès qu'on le met au lit il se calme. Quelques mouvements athétosiques de la face (front, lèvres). De temps
rait la ranger à côté des chorées chroniques. 2° Les caractères des mouvements involontaires de l'athétose double (mouvements
° Les caractères des mouvements involontaires de l'athétose double ( mouvements athétosiques), leur bilatéralité, la présence de
i peuvent survenir dans certaines maladies nerveuses, sous forme de mouvements involontaires. Dans ces derniers cas ceux-ci
e nom de mou- vements athétoïdes. 3° Au point de vue clinique les mouvements athétoïdes se distingueront des mouvements athé
oint de vue clinique les mouvements athétoïdes se distingueront des mouvements athétosiques par ce fait qu'ils ne sont pas ident
s ou moins grande, leur uni ou bilatéralité. De plus derrière les mouvements athétoïdes existeront toujours les si- gnes des
lla medicina, série V, n° 3). R. Mitchell. Athetosis and athe- toid mouvements in the insane (Edinb. »2ed. Journ., 1882). - Weir
raplegie (Charité Annalen, 1877). - H. White. Two cases of peculiar mouvements in children (Brain, Lond., 1887). Wisz- wianski
l'abondance de ses renseignements, elle donne un tableau complet du mouvement philosophique et scientifique en Europe. Aussi
nseignement des sciences ou qui s'intéressent au développe- ment du mouvement scientifique. On s'abonne sans frais : Chez F
édominance de tel ou de tel phénomène : propulsion, rétrocession ou mouvement de recul, rotation, station, ascension, gymnast
er et par le saut régulier et rhytmique. Ces espèces différentes de mouvements consti- tuent autant d'espèces de musculation i
cte. D'ailleurs, à côté de l'athétose vraie, il existe une foule de mouvements de transition avec la chorée et les tremblement
ments de transition avec la chorée et les tremblements hystériques, mouvements encore mal déterminés, mais qui s'accordent ass
LES ENFANTS 347 récemment, Sollier (1) a observé la présence de ces mouvements athétosi- ques chez une jeune fille hystérique.
) mentionne, chez une enfant de 11 ans, une forme hémiplé- gique de mouvements innommés que l'auteur rattache sans hésiter à l'h
sique de la capsule in- terne, signale beaucoup d'autres cas où les mouvements choréiformes étaient le résultat d'autres lésio
hystériques que nous avons déjà invoqué pour la classification des mouvements athétosiques et qui n'est pas moins indispensab
ts athétosiques et qui n'est pas moins indispensable pour celle des mouvements choréifor- mes. Ces derniers travaux complètent
e la moi- tié gauche du corps, qui serait en même temps le siège de mouvements invo- lontaires dont la nature reste pour nous
ue de sa maladie, et son imagina- tion paraît encore frappée de ces mouvements dont il a été le témoin. Père actuellement âgé
ce temps, on remarque que ses membres du côté droit sont animés de mouvements involontaires, existant à l'état de repos et s'ex
à l'état de repos et s'exagérant dans les actes intentionnels. Ces mouvements s'étaient manifestés en dehors de toute at- taq
es certificats des médecins, il s'agissait là d'une hémichorée avec mouvements arythmiques, plus marqués au membre supérieur q
contracture avec déformation des membres s'étant surajoutée à leurs mouvements choréi- formes. A partir de cet accident jusq
ossible pour le membre inférieur droit qui est constamment agité de mouvements choréiformes ; la jambe droite croise la gau- c
du bras droit, en le séparant brusquement du tronc, il est agité de mouvements désordonnés, en fléau, d'une amplitude considér
s, en fléau, d'une amplitude considérable. Dans cette position, des mouvements particuliers amènent en outre l'extension et la
pas à ramener son bras à l'attitude de repos, afin de supprimer les mouvements dont il n'est pas le maître. Au membre inférieu
r solidement la jambe opposée, de façon à rendre indépen- dants les mouvements des deux côtés. Rien de particulier pour le bra
t complètement impossibles, tant il cause de la contracture que des mouvements liémicloréiques du cote droit. Fig. 43. - Graph
DIES ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES ENFANTS 353 Hémichorée. Ces mouvements choréiformes, que nous devons maintenant étudie
droit ne sont pas, comme les doigts de la main droite, le siège de mouvements particuliers, pseudo-athétosiques, en- traînant
ce qui précède, il n'y a pas, à proprement parler, de paralysie des mouvements volontaires, correspondant à l'hémi contracture e
du côté droit ; au membre inférieur, on peut compter jus- qu'à 160 mouvements à la minute, et ces mouvements persistent la nuit
rieur, on peut compter jus- qu'à 160 mouvements à la minute, et ces mouvements persistent la nuit. Cette exaltation de l'hémic
te exaltation de l'hémichorée dure 5 à 6 jours, puis, le nombre des mouvements étant descendu au ohiffre habituel, 60 à 80 par
e période et dus à l'obligeance de M. Dutil, se rapportent l'un aux mouvements du bras droit, l'autre aux mou- vements de la j
sujet. En plus de ces modifications dans le nombre et la forme des mouvements de l'hémichorée, la première application d'élec
éciale, il n'était pas possible de décrire comme athétose vraie les mouvements d'ex- tensionetde flexion des doigts de la main
l'avons revu tout récemment et rien dans sa démar- che ni dans ses mouvements ne dénote une ancienne hémiplégie. Les stig- ma
dif- ficulté. Eh bien ! cela serait absolument l'attitude et les mouvements d'un ac- teur qui voudrait sur le théàtre repré
d'une façon très considérable quand les membres sont au repos. Les mouvements volontaires le provoquent, mais ne l'accélèrent
atoire, c'est la même artère qu'il faut faradiser. On verra ici les mouvements devenir plus faciles et moins douloureux et la te
de toujours de la promettre quoique j'espère toujours faciliter les mouvements encore possibles. Les membres sont flasques imm
'apoplexie et ils restent ainsi pendant quelques semaines. Puis les mouvements passifs rencontrent une résistance, qui au débu
tanée, mais qui est plus pro- longée au bout de quelque temps ; les mouvements réflexes sont exagérés, les mouvements actifs e
bout de quelque temps ; les mouvements réflexes sont exagérés, les mouvements actifs et passifs sont souvent suivis d'un trembl
s d'un tremblement très prononcé; la résistance que rencontrent les mouvements passifs augmente de plus en plus et devient dan
blisse; mais il y a d'autres cas où l'on voit le retour de certains mouvements volontaires en même temps qu'on constate une ré
ontaires en même temps qu'on constate une résistance momentanée aux mouvements , passifs, en même temps qu'apparaît le clonus d
ps qu'apparaît le clonus de la main ou du pied et l'exagération des mouvements réflexes. Le mouvement actif que regagne le mal
de la main ou du pied et l'exagération des mouvements réflexes. Le mouvement actif que regagne le malade est embarrassé pres
iste. C'est à une pseudo-paralysie qu'on a à faire dans ces cas. Le mouvement est saccadé, ralenti, limité ou même impossible
où les contractions antagonistes n'apparaissent qu'a- près que les mouvements volontaires récupérés ont été pendant quelque t
e le matin que le soir; elle est plus prononcée après une série des mouvements et après les efforts. Cela indique qu'elle est
ralytique. Les efforts des hémiplégiques sont quelquefois suivis de mouvements involontaires différents selon le cas ce qui es
aralysie était de nouveau flasque et complète, tandis que plusieurs mouvements étaient pos- sibles avant ce second ictus. M.
dans les cas graves presque toujours, qu'il y ait ou non retour des mouvements volontaires. Le travail régénérateur dont nous
invétérés on n'observe que très rarement une grande résistance aux mouvements passifs, et le massage, la gymnastique passive
disation de la région supérieure du cou je constate souvent que les mouvements actifs comme passifs sont plus faciles, moins l
ves la contracture peut disparaître sans que le malade recouvre les mouvements volontaires. Le tremblement disparaît, ou il est
ent n'est pas fugace. Si l'on retient bien jusques à quel degré tel mouvement actif ou passif était possible avant la premièr
LA FARADISATION THÉRAPEUTIQUE 381 première catégorie la perte des mouvements et delasensibilité complète; on voit une parési
e comme effets immédiats de notre manipula- tion : l'amendement des mouvements volontaires qui gagnent en facilité et en étend
ée dans cette affection. Mais l'effet immédiat d'une séance sur les mouvements des membres infé- rieurs peut paraître étrange
trouble de la coordination des LA FARADISATION THÉRAPEUTIQUE 88H mouvements est vague. Les mouvements anormaux des tabétiques
n des LA FARADISATION THÉRAPEUTIQUE 88H mouvements est vague. Les mouvements anormaux des tabétiques ne res- semblent pas au
décrits par les physiologistes. Dans l'expérience physiologique les mouvements ne sont pas incoordon- nés, ils sont impossible
lules motrices, les impulsions centrifu- ges sont traduites par des mouvements excessifs ; elles sont en outre por- tées d'un
es d'un groupe des cellules motrices aux groupes voisins; de là les mouvements accessoires, inutiles des tabétiques. L'irritatio
is que la souplesse des membres des ataxiques est la suite de leurs mouvements excessifs, en partie du moins. La faradisation va
2 (1881) Études cliniques sur l'hystéro-épilepsie, ou Grande hystérie
lles ont envers leurs com-pagnes des élans d'amitié insolites, ou des mouvements d'une haine tout instinctive. Elles se renferment
semblent n'avoir aucune raison d'être et obéir aux mêmes lois que les mouvements désordonnés qui constituent leurs attaques.» (Tra
ue, si l'on touchait les mains ou les doigts, ils s'écartaient par un mouvement réflexe, bien qu'à ce moment la connaissance fût
et état ayant persisté environ trois mois, sur-vint tout d'un coup un mouvement fébrile, qui céda dès le jour suivant à de fortes
. Le membre est dans cet état particulier qui permet l'exagération du mouvement réflexe, par la percussion du tendon rotulien.
et cessant aussi subitement qu'elle s'est produite : d'où résulte un mouvement rapide dans les leviers sur lesquels les muscles
s sur lesquels les muscles atteints prennent leur point d'attache. Ce mouvement est absolument comparable à celui que produit la
etc., ou bien elle est générale et le corps tout entier participe au mouvement . Quand elle marche, la malade peut être renversée
e qui se passe autour d'elle, mais elle ne peut parler ni faire aucun mouvement . Fig. 7. — Contractures. Marthe Lesp... n'est
uels : perte de connaissance, convulsions toniques généralisées, puis mouvements cloniques, enfin stertor peu accusé. Mais aussitô
urent des noms empruntés. Elle veut sortir, elle éprouve un besoin de mouvement extraor-dinaire et désire aller dans les cours se
e poids des couvertures, etc. ; elles s'éloignent brusquement, par un mouvement instinctif, du doigt investigateur. Joignez à cel
. 2° Phase cîonique. 3° Phase de résolution. Fig, il. — N°l. Grands mouvements N° 2. Tctanismc ou immobilité iNo 3. Convulsions
es modifications survenues dans la contraction musculaire pendant les mouvements convulsifs du bras. Et comme les convulsions lors
tions qui précè-dent l'ascension de la phase tonique. C'est tantôt un mouvement précipité des paupières supérieures, tantôt une o
t pharyngien oc-casionné par une vibration du voile du palais, ou des mouvements de déglutition bruyants. Gl..., qui à ce moment
té tétanique, la malade exécute avec les m cm- bres quelques grands mouvements ; ce qui nous conduit, pour plus de clarté, à subd
subdiviser la phase tonique en deux parties : a. Phase tonique avec mouvements à grand rayon ou convul-sions toniques (fig. 16).
lité tétanique ou tétanisme(pl. II, p. 41). a. — Phase tonique avec mouvements . Les mouvements alors exécutés par la malade on
tétanisme(pl. II, p. 41). a. — Phase tonique avec mouvements. Les mouvements alors exécutés par la malade ont une grande analo
déplacement du membre dans sa totalité; le plus souvent, ce sont des mouvements de circumduction. Ces deux qualités les distingue
es mouvements de circumduction. Ces deux qualités les distinguent des mouvements de la phase clonique, qui sont précipités et prov
plus, cette ligne est ondulée, et cette ondulation répond aux grands mouvements de flexion, d'extension ou de rotation du membre,
nt en arrière, faisant saillir le cou qui se gonfle, ou bien subit un mouvement de rota-tion, tournant habituellement la face du
ig. 13, 14); ou bien les mâchoires sont fortement serrées, et, par un mouvement de diduction du maxillaire inférieur, la malade f
rrons plus loin, dans la phase clonique l'antagonisme règne entre les mouvements du thorax et ceux de l'abdomen. (Fig. 15, nos 1 e
es membres exécutent dès le début de la phase tonique quelques grands mouvements qui varient suivant les malades, mais qui chez le
es convulsions toniques. Le plus souvent les bras exécutent de grands mouvements de circumduc-tion qui peuvent se décomposer ainsi
16) d'abord, mouve- Fig. 16. Représentation schématique des grands mouvements toniques. ment de pronation avec flexion du poi
reprend sa position première, étendu le long du corps, en accusant le mouvement de pronation. Ces mouvements se répètent trois ou
, étendu le long du corps, en accusant le mouvement de pronation. Ces mouvements se répètent trois ou quatre fois de suite. Les
ou quatre fois de suite. Les jambes sont en même temps animées d'un mouvement analogue, se fléchissant et s'étendant tour à tou
e montre quelquefois d'un seul côté, et un seul bras exécute le grand mouvement dont il vient d'être question. Le tronc, pendan
il se tourne de côté, se fléchit ou s'étend. ;,. 17. Phase tonique. Mouvement de circumduction des membres supérieurs. (Grands-
-mouvements toniques.) Marc... présente une grande variété dans ses mouvements to-niques. La face grimace affreusement (fig. 1
ne espèce de moulinet par lequel les Fig. 18. Phase tonique. Grands mouvements toniques des membres inférieurs. mains passent
ur complet sur elle-même. (Fig. 19.) Fig. 19. Phase tonique. Grands mouvements toniques. La malade se trouve ramassée en boule e
alade, le tétanisme se résout bientôt et la deuxième phase, celle des mouvements cloniques, apparaît. § 3. — PHASE CLONIQUE. L
ans son en- Fig. 25. Phase clonique. Représentation schématique des mouvements cloniques. semble la phase clonique est représe
oins grand nombre de grandes secousses Fig. 26. Phase clonique. Les mouvements cloniques sont limités au côté gauche. très rap
e départ est au niveau de la ligne de la résolution musculaire. Les mouvements cloniques sont généralisés (fig. 25). Ils affecte
est sifflante et l'expiration saccadée; il y a parfois du hoquet; des mouvements bruyants de déglutition se produisent et le ventr
cloniques comme celles de tout le corps, et il en résulte, entre les mouvements du thorax et ceux de l'abdomen, l'antagonisme net
deux tracés, ce qui montre la relation constante qui existe entre les mouvements du thorax et ceux de l'abdomen. 3° Ils sont trè
très rapprochés, en moyenne deux à trois par *se-conde. Rapidité des mouvements respiratoires. 4° Ils sont irréguliers en haute
s en hauteur, les petits s'entremèlant avec les grands. Inégalité des mouvements respiratoires. 5° Les crochets des deux traces
mômes variations : il diminue de volume à chaque inspiration, et les mouvements cloniques se trouvent aussi représentés par le tr
érieurs ou d'un seul côté du corps. La tête elle-même participe à ces mouvements , qu'on ne saurait mieux comparer qu'à ceux produi
t indiqué. Le muscle est complètement relâché, il ne se produit aucun mouvement , et l'aiguille immobile du myo-graphe ne saurait
t-bras. -iN°l.Début progressif du tétanisme. Immobilité tétanique. C. Mouvements cloniiues. S. Grands mouvements de tout le corps.
u tétanisme. Immobilité tétanique. C. Mouvements cloniiues. S. Grands mouvements de tout le corps. Salutations. — N° 2. T. Tétanis
ds mouvements de tout le corps. Salutations. — N° 2. T. Tétanisme. C. Mouvements cloniques. G. M. Grands mouvements de tout le cor
utations. — N° 2. T. Tétanisme. C. Mouvements cloniques. G. M. Grands mouvements de tout le corps. Salutations. — N° 3. T. Tétanis
ds mouvements de tout le corps. Salutations. — N° 3. T. Tétanisme. C. Mouvements cloniques. G. M. Grands mouvements de tout le cor
utations. — N° 3. T. Tétanisme. C. Mouvements cloniques. G. M. Grands mouvements de tout le corps. T. Nouveau tétanisme. Cri après
e corps. T. Nouveau tétanisme. Cri après lequel reprennent les grands mouvements . — On remarque la prédominance du tétanisme, l'ab
ce du tétanisme, l'absence complète de résolution, puisque les grands mouvements de tout le corps, qui font partie de la 2e pé-rio
corps, qui font partie de la 2e pé-riode, succèdent immédiatement aux mouvements cloniques, enfin le peu^e durée de la période épi
ent par degrés, puis tout d'un coup : 1° Phase tonique. — a) Grands mouvements toniques. La respiration s'arrête, la perte de co
au de la face, le coude élevé, et s'étendent lentement en accusant le mouvement de pronation. Ce mouvement est répété plusieurs f
vé, et s'étendent lentement en accusant le mouvement de pronation. Ce mouvement est répété plusieurs fois. En même temps les jamb
t est répété plusieurs fois. En même temps les jambes reproduisent un mouvement analogue, se fléchissent et s'étendent avec lente
raît aux lèvres: 2° Phase clonique. — Bientôt surviennent de petits mouvements brefs et rapides des membres, les traits sont agi
es membres, les traits sont agités convulsivement. L'amplitude de ces mouvements précipités augmente peu à peu; ils gagnent tout l
deuxième période de l'attaque com-mence : les contorsions, les grands mouvements , etc., et la suite de l'at-taque se déroule ainsi
78). Description de la période épileptoïde. L'attaque débute par un mouvement rapide des paupières et une ondula-tion des paroi
ois de l'abdomen légèrement météorisé. ï°Phase tonique. — a) Grands mouvements toniques. —La tête tourne à gauche. La respiratio
l'orbite, la pupille est dilatée. Tantôt les mâchoires sont ser-rées; mouvement de diduction du maxillaire inférieur; grincement
les plus variées (fig. 22, 23, 24). 2° Phase clonique. —Les petits mouvements cloniques, d'abord extrême-ment menus, surprennen
u à peu leur position première pour descendre vers la résolution. Les mouvements respiratoires sont bruyants et précipités. L'insp
calme généralement assez court. Et la malade passe ensuite aux grands mouvements de la deuxième période. Math... 13 juillet Péri
. Quelques contrac-tions dans le front. 1° Phase tonique.—a) Grands mouvements toniques. — Les bras, con-tractures, exécutent de
s mouvements toniques. — Les bras, con-tractures, exécutent de grands mouvements de circumduction, les poings fléchis et tordus, p
iable et des plus étranges. 2° Phase clonique. — Suivent les petits mouvements cloniques généralisés semblables â ceux qui sont
ante se précipite, puis s'arrête brusquement. 1° Phase tonique. — a) Mouvements toniques. — La face se convulsé et se congestionn
Witt... 23 mars 1878. Période épileptoïde. 1° Phase tonique. —a) Mouvements toniques. — La tète tourne un peu sur le côté, la
vent un peu et se contour-nent en reproduisant à l'état d'ébauche les mouvements de circumduction que nous avons vus si développés
és chez les autres malades citées précé-demment. Quelquefois même ces mouvements n'existent pas du tout; les brasse placent de sui
légèrement pour s'étendre ensuite. b) Immobilité tonique. — Si les mouvements toniques sont peu accusés chez cette malade, par
iées et si étranges que nous offre Marc... 2° Phase clonique. — Les mouvements cloniques sont très marqués. Ils agitent tout le
ographique applique à l'avanl-bras. S. Secousses du dc'buf, T. Grands mouvements toniques. Convulsions cloniques. S. Secousses.
ant les principales qu'il nous aétô donné d'observer. a) Les grands mouvements toniques du début peuvent être très réduits ou ma
ce par exécuter quelques grandes convul-sions toniques, et les petits mouvements cloniques suivent immé-diatement. Marc... 26 fé
les bras exécutent le moulinet habi-tuel. Clignotement des paupières, mouvement de diduction du maxillaire; grincement, ondulatio
Bientôt les jambes se détendent brusquement, et commentent les grands mouvements de la seconde période de l'attaque. Ici, la pério
Ici, la période épileptoïde est uniquement représentée par les grands mouvements toniques. Par leur exagération, ces convulsions
le seule toute, la période épilep-toïde de l'attaque. d) Les petits mouvements cloniques sont constants, mais ils peuvent durer
s phases déjà décrites plusieurs fois. D'abord se montrent les grands mouvements toniques, aboutissant à une attitude tétanique va
itude tétanique variée qui se résoud peu à peu, en commençant par les mouvements cloni-ques dont les oscillations d'abord brèves v
nt par des grandes secousses. Mais il arrive parfois qu'au milieu des mouvements cloniques le tétanisme revient de nouveau immobil
ésulte une nouvelle attitude tétanique que suivent bientôt les petits mouvements cloniques. Le tétanisme se reproduit ainsi parfoi
sie. 2? PERIODE___PERIODE DE CLOWNISME Fig"*. 1. Phase des grands mouvements 2. Phase des contorsions ( Arc de cercle. )
PITRE III DEUXIÈME PÉRIODE. — PÉRIODE DES CONTORSIONS ET DES GRANDS MOUVEMENTS (CLONISME) Après un repos assez court, mais le
, celle des atti-tudes illogiques ou contorsions, et celle des grands mouvements , toutes deux exigeant une souplesse, une agilité
l n'y a pas d'écume. On ne voit point non plus appa-raître les petits mouvements cloniques qui sont la terminaison des attitudes t
ec ses diverses phases, telle qu'elle est décrite page 62. Les grands mouvements toniques ont lieu, puis l'immobililé tonique, et
rands mouvements toniques ont lieu, puis l'immobililé tonique, et les mouvements cloniques se produisent suivant la règle, s'attén
om de phase des contorsions. Elle est immédiatement suivie des grands mouvements rythmiques qui revêtent la forme de « salutations
arquée par les grands mouve-ments toniques et le tétanisme ; puis les mouvements cloniques et les secousses multipliées. Quelque
oduire les attitudes illogiques dans leur bizarrerie, puis les grands mouvements rythmiques et les attitudes pas-sionnelles de la
oideur tonique, la congestion de la face avec écume aux lèvres et les mouvements cloniques généralisés, survient la deuxième pério
rvient la deuxième période qui débute par les kicher. • (i grands mouvements . La malade exécute sur son lit un grand saut qui
n attaque. En effet il se produit encore quelquefois plusieurs grands mouvements qui consistent en une sorte de mouvement de rouli
uelquefois plusieurs grands mouvements qui consistent en une sorte de mouvement de roulis, la malade étant couchée sur le dos et
ntôt leur variété ne connaît pas de bornes. § 2. — PHASE DES GRANDS MOUVEMENTS Ces mouvements se séparent de ceux de la phase
ne connaît pas de bornes. § 2. — PHASE DES GRANDS MOUVEMENTS Ces mouvements se séparent de ceux de la phase clonique en ce qu
roduc-tion est le relâchement musculaire complet. Fig. 48. — Grands mouvements . Ces mouvements sont exécutés par le corps tout
relâchement musculaire complet. Fig. 48. — Grands mouvements. Ces mouvements sont exécutés par le corps tout entier ou par une
orps tout entier ou par une partie du corps seulement. A. — Le môme mouvement se reproduit un certain nombre de fois de suite,
ité et une régularité qui ne se dément pas. Le plus fréquent de ces mouvements est celui représenté ci-dessus (fig. 47). Il cons
oux, puis le corps se redresse / : 0. : j ¦ Fig. 49. — Grands mouvements limités à un seul membre. vivement, et le dos e
ment, et le dos et la tête frappent avec violence l'oreiller. Dans ce mouvement d'extension la malade prend un point d'ap- Fig.
vement d'extension la malade prend un point d'ap- Fig. 50. — Grands mouvements du tronc. pui avec ses pieds sur son lit, les j
Au lieu d'être exécuté par la partie supérieure du corps, ce grand mouvement est reproduit d'une façon analogue par les jambes
bes seulement, ou bien la tête et les jambes participent à la fois au mouvement (fig. 48). Fig. 51.— Grands mouvements. — Varié
mbes participent à la fois au mouvement (fig. 48). Fig. 51.— Grands mouvements . — Variété remarquable par l'étendue du mouvement
Fig. 51.— Grands mouvements. — Variété remarquable par l'étendue du mouvement . — La malade passe successivement par les trois p
ement par les trois positions figurées ci-contre. D'autres fois, le mouvement est plus local, il est exécuté par un seul membre
ze à vingt fois de suite (fig. 50). Marc... exécute encore un grand mouvement qui a beaucoup plus d'ampleur (fig. 51 ) : elle l
s, elle retombe sur son lit, qui fait office de tremplin, et ce grand mouvement recommence jus-qu'à dix et quinze fois de suite.
-même pour pousser ce cri (fig. 52). Il se produit avant les grands mouvements réguliers, entre deux grands mouvements ou après.
l se produit avant les grands mouvements réguliers, entre deux grands mouvements ou après. Il est distinct de celui qui s'observ
est distinct de celui qui s'observe à la même période, au mi-lieu des mouvements désordonnés. B. — Les grands mouvements, en eff
ême période, au mi-lieu des mouvements désordonnés. B. — Les grands mouvements , en effet, n'ont pas toujours la régularité que j
appe son lit de la tête en même temps que des poings, ré- Fig. 50. — Mouvements désordonnés. pétant ce mouvement jusqu'à satiét
s que des poings, ré- Fig. 50. —Mouvements désordonnés. pétant ce mouvement jusqu'à satiété, puis la tête est animée d'un mou
. pétant ce mouvement jusqu'à satiété, puis la tête est animée d'un mouvement de rotation rapide. Elle se redresse, jette les b
, en faisant une sorte de salut et en agitant les bras (fig- 56). Ces mouvements sont entre-mêlés de cris et se prolongent souvent
d'un soufflet de forge. Et cependant rien n'arrête la rapidité de ses mouvements . Gen..., 18 avril 1878. Attaques remarquables p
arquables par une prolongation de la deuxième période marquée par les mouvements les plus variés. Première période. — Tétanisme
ce par une contorsion dans l'attitude de l'arc de cercle. Puis grands mouvements de salutation qui perdent bientôt de leur régular
r régularité. Gen... se tourne de côté et d'autre, elle se débat, ses mouvements répétés ressemblent aux allures d'une bête fauve
a respiration haletante imite le bruit d'un soufflet de forge. Divers mouvements se succèdent sans interruption : tantôt tout le t
ents se succèdent sans interruption : tantôt tout le tronc exécute un mouvement de va-et-vient d'arrière en avant ou de gauche à
cription régulière. La deuxième période, composée uniquement de ces mouvements variés, dure en moyenne vingt à ving'-cinq minute
L'attaque se reproduit avec les mêmes caractères. Enfin les grands mouvements de la deuxième période sont sus-ceptibles de nomb
e le bruit d'une locomo-tive qui se met en marche, et l'accompagne de mouvements ryth-mes de tout le corps et des bras particulièr
e vulgaire. La première période est représentée par quelques grands mouvements oniques suivis de convulsions cloniques : tout d'
dus et le tronc demi-courbé en avant, et alors surviennent les petits mouvements cloniques généralisés. Cette période dure fort pe
apeur d'une locomotive qui se met en marche et peu à peu accélère son mouvement . L'inspiiation est sifflante et l'expira-tion bru
aise. L'abdomen est en même temps animé d'ondulations qui suivent les mouvements de la cage thoracique et sont dus à la contractio
sité. La tête, droite, renversée en arrière dans l'oreiller, suit les mouvements saccadés que cette respiration singulière imprime
ne sont point grimaçants, mais la face est congestionnée. Bientôt le mouvement , en même temps qu'il augmente de rapidité, s'éten
augmente de rapidité, s'étend et gagne les membres. Les bras, par des mouvements alternatifs de flexion et d'extension, sont déjet
un nouveau cri strident et recommence le même manège. Les cris et les mouvements que je viens de décrire s'entremêlent et se répèt
é la malade près d'une heure et je n'ai vu qu'une seule fois quelques mouvements de frayeur, et des phrases entre-coupées marquer
uaient le débul d'une nouvelle attaque où se reproduisaient les mêmes mouvements . 10 juillet. Grande attaque. La deuxième périod
e fer déjà décrite. Au milieu de l'agitation des bras, on remarque un mouvement qu'elle répète assez souvent, et par lequel la ma
période imite le chemin de fer, de la façon que nous avons dite. Ces mouvements sont interrompuspar des contorsions variées, et p
on habituelle du chemin de fer, mêlant ainsi la contorsion aux grands mouvements . Nous avons, à plusieurs reprises, cherché à sa
erché à savoir si une hallucination quelconque ne présidait pas à ces mouvements de « chemin de fer ». Chaque fois que nous avons
s avons réveillé la malade par la pression ovarienne au milieu de ces mouvements , elle nous a répondu qu'elle ne voyait rien, n'en
ité de secousses qui suivent la même mesure, et les bras exécutent un mouvement circulaire qui semble imiter le mouvement de la b
e, et les bras exécutent un mouvement circulaire qui semble imiter le mouvement de la bielle. Je n'insiste pas, en terminant, s
riétés de cette deuxième période de l'attaque. Les contorsions et les mouvements peuvent se prêter à diverses combinaisons. Le plu
binaisons. Le plus souvent la phase des contorsions précède celle des mouvements , mais ces deux phases peuvent se mêler en quelque
orte, et une attitude illogique appa-raître au milieu du désordre des mouvements . Malgré leurs aspects si variés, il est à remar
ects si variés, il est à remarquer que les contor-sions et les grands mouvements se présentent presque toujours avec les mômes c
du monde exté-rieur. L'hallucination préside quelquefois aux grands mouvements . Nous en avons eu maintes fois la preuve chezGl..
ommencer dans l'attitude de la contorsion, et même pendant les grands mouvements . Le caractère de cette période se trouve parfai
un plaisir qu'elle ne cherche pas à dissimuler. Pendant les grands mouvements , qui sont toujours chez elle les grandes salutati
mer à cette phase de l'attaque son caractère si pénible. Les grands mouvements se terminent par une vive agitation. La malade se
roule sur son lit en criant : « Pardon! pardon! » Parfois, dans un mouvement plus accusé, elle se redresse et se met complètem
avec le doigt. En même temps elle montre une place à côté d'elle. Ces mouvements sont répétés avec instance. Enfin elle se renve
proche de la fin de l'attaque. Bientôt elle voit des rats, elle a des mouvements de frayeur, elle frappe sur son lit comme pour le
ttaques. Secondes.1° Période épileptoïde............... 502° Grands mouvements . — Salutations....... 103° Attitudes passionnelle
loré; nous essayerons d'y suppléer par quelques figures. Les grands mouvements de la deuxième période, dont il a été question pa
oigt l'objet de la vision (fig. 65), et accompagne ce geste de petits mouvements de tête latéraux tout à fait significatifs. Puis,
a physionomie est impassible, son regard immobile fixé à terre. Aucun mouvement ne trahit la préoccupation de son esprit. A voir
quatrième période avec ses hallucinations spéciales, jusqu'à ce qu'un mouvement convulsif des paupières ou de l'abdomen indique l
es hoquets. 9 heures 22. Le calme revient. 9heures 24. Rage; grands mouvements précipités. Arc de cercle. « Ah ! Ah !... » Grand
comme de grandes salutations, accompagnées d'agitation des bras et de mouvements de rotation de la tète. (9 heures 27) : «Vlà !...
là... voyez les feux... voyez les flammes!... oh! la mort!... (Grands mouvements du tronc.) Oh! là là! mon Dieu!... à mon secours!
de ses cris, Ler... exécute aussi les grandes salutations, les grands mouvements des jambes, les soulèvements du tronc, qui ca-rac
79. Est en attaque depuis le matin. Après les contorsions et grands mouvements , on la voit se soulever à demi, elle regarde fixe
!... Entendez-vous l'orage?... Il faut courir les sauver. » (Tous ses mouvements sont en rapport avec ces paroles.) Son effroi a
e période. —Après un repos assez court la malade est. prise de grands mouvements de flexion et d'extension du tronc qui se penche
n avant pour retomber brusquement en arrière sur l'oreiller, avec des mouvements des jambes...; elle se débat... 1. Rourneville
semble jouer avec quelqu'un, tantôt riant tantôt pleurant. Elle a des mouvements lascifs, et croise ses bras sur sa poitrine comme
es paroles sont inintelligibles. Elle chante entre ses dents avec des mouvements de tête, et son expression devient radieuse. En
le est complètement abolie, mais la malade conserve la liberté de ses mouvements . 4° Après l'attitude passionnelle, la malade ga
coupé d'hallucinations et ac-compagné parfois de quelques troubles du mouvement . Ce délire constitue une quatrième période par la
la malade, attentive et joyeuse, ac-compagne le rythme du morceau, de mouvements de la tête et du doigt; ce sont les rats qui appa
battre en duel ? Ah! maman! c'est un lâche... si ce n'était pas lui. ( Mouvement de menace.) Si je disais les trois scènes, et ce
Après une période épileptoïde bien marquée, et une période de grands mouvements désordonnés et de rage, sa fureur s'épuise peu à
ière période épileptoïde bien nette, d'une deuxième période de grands mouvements (soulèvements du tronc, grandes salutations, agit
.), d'une troisième période avec un délire très agité, mêlé de grands mouvements , et d'une quatrième période qui se pré-sente ains
eaux, etc.), qui sont effrayantes, font place à d'autres phénomènes : mouvements de déglutition bruyants, mouvements de lappement,
ont place à d'autres phénomènes : mouvements de déglutition bruyants, mouvements de lappement, hoquet. Ler... prétend qu'on lui ti
e tous les peuples, par A. Fouquier, cahier 4.6. § 3. — TROUBLES DU MOUVEMENT La contracture générale ou partielle persiste s
un peu. Un tambour myographique appliqué sur le mollet montre, par le mouvement continuel du levier enregis-treur, que le muscle
te que les membres se contournent les uns après les autres; tantôt le mouvement est encore plus restreint et se trouve limité aux
f. f... » Elle « souffle le feu», crie à chat! à chat!... exécute des mouvements rapides de rotation de la tête, pousse des grogne
di, elle n'a plus qu'un rare hoquet qui ne s'accompagne que de légers mouvements convulsifs dans les bras. « 20 octobre 1872. —O
rée, par un moment de calme, de la seconde période (clonisme : grands mouvements et contorsions), dont la durée est à peu près éga
veloppées; période épileptoïde, période des contorsions et des grands mouvements , période des attitudes passionnelles se suivent s
lques instants de lucidité complète séparent les attaques. Les grands mouvements ont souvent cessé; les contorsions sont rares; en
Intervalle de calme................................... 30 2° Grands mouvements ................................... 60 3° Attitu
Calme.............................................. 10" 2° Grands mouvements .................................. 90" 3° Attitu
ériode épileptoïde................................... 60" 2° Grands mouvements ................................... 110" 3° Atti
ériode épileptoïde................................... 60" 2° Grands mouvements .................................. 90" 3° Attitu
utes. Elle est ainsi composée : a) Période épileptoïde. b) Grands mouvements et contorsions de la deuxième période. c) Hallu
taque. Durée de quinze minutes. a) Période épileptoïde. b) Grands mouvements et contorsions de la deuxième période. c) Hallu
minutes et plus. a) Période épileptoïde. b) Contorsions et grands mouvements de la deuxième période. c) Les hallucinations t
trente et une minutes. a) Période épileptoïde. b) Rage et grands mouvements . c) Les hallucinations de la troisième période
sommes témoin à notre arrivée : 20e attaque. — l10 période. Grands mouvements toniques décrits p. 51, et représentés fig. 17, a
du ventre. — Cette période est très courte. ^"période. Trois grands mouvements de « salutation ». Trois cris perçants et prolong
Dans cette série d'attaques nous avons vu, vers la fin, les grands mouvements disparaître, et les attitudes passionnelles de la
s parois abdominales .-................•..... 20" 2° Gris. Grands mouvements ................... 30" 3° Attitudes passionnell
° Période épileptoïde écourtée................. 15" 2° Cris. Grands mouvements ................... 45" 3° Attitudes passionnell
1° Période épileptoïde........................ 30" 2° Cris. Grands mouvements ................... 30" 3° Attitudes passionnell
que. — 1° Période épileptoïde........................ 15" 2° Grands mouvements ........................ l'45" 3° Attitudes pass
1° Période épileptoïde......................... 15" 2° Cris. Grands mouvements ................... 20" 3° Attitudes passionnell
° Période épileptoïde plus accusée............. 45" 2° Cris. Grands mouvements ..........,........ 45" 3° Attitudes passionnell
e. — 1° Période épileptoïde écourtée................. 10" 2° Grands mouvements ........................ 20" 3° Attitudes passio
que. — 1° Période épileptoïde........................ 10" 2° Grands mouvements , dis................... 15" 3° Attitudes passio
que. — 1° Période épileptoïde........................ 20" 2° Grands mouvements . Cris................... 40' 3° Attitudes passi
que. — 1° Période épileptoïde----.................... 25" 2° Grands mouvements . Cris et contorsions........ 2' 3° Altitudes pa
— 1° Période épileptoïde très accusée : phase tonique avec les grands mouvements de moulinet des bras, phase clonique avec la resp
spiration sac-cadée................................... 1' 2° Grands mouvements ........................ 45" 3° Attitudes passio
1° Période épileptoïde........................ 20" 2° Cris. Grands mouvements . Rage.............. 40" 3° Attitudes passionnel
ue. — 1° Période épileptoïde bien marquée............ 45" 2° Grands mouvements . Rage, mouvements désor-donnés ..................
pileptoïde bien marquée............ 45" 2° Grands mouvements. Rage, mouvements désor-donnés ................................ 3'
que. — 1° Période épileptoïde........................ 25" 2° Grands mouvements ........................ 10" 3° Attitudes passio
et clo-nique bien accusée...................... r 2° Pas de grands mouvements . 3° Pas d'attitudes passionnelles. 4° Plaintes.
oment l'attaque change de physionomie. On ne retrouve plus les grands mouvements , ni les attitudes passionnelles. Par contre survi
que. — 1° Période épileptoïde........................ 25" 2° Grands mouvements ........................ 40" 3° Pas d'attitudes
) 27° attaque. —1° La période épileptoïde est réduite aux grands mouvements toniques..................... 15" 4° Contractur
a perte de connaissance, l'exacerbation de la contracture, les grands mouvements toniques, et les convulsions cloniques des membre
° I. — lr0 Période. — Tétanisme prolongé; membres dans l'extension; — mouvements cloniques;— secousses; — stertor; — écume. 2e
s cloniques;— secousses; — stertor; — écume. 2e Période. — Grands mouvements ; —; la tète frappe l'oreiller. 3e Période. — Atti
IL — lrc Période. — Semblable à la précédente. 2° Période. — Grands mouvements ; — la tête frappe l'oreiller; — puis arc de cer
faut. N° III. — lre Période. — Ne varie pas. 2e Période. — Grands mouvements ; — pas de contorsion. 3e Période. —Attitudes pa
ment. N°IV. — lrc Période. — Toujours la même. ^Période. — Grands mouvements ; — puis contorsion qui ne ressemble pas complètem
la plus profonde admiration ; elle exécute de la tête et des bras un mouvement de balancement cadencé : « Ah ! sont-elles jolies
ectrique. Ah! ça balance!... » Elle imite avec les bras et la tête le mouvement du bateau. Mais tout d'un coupelle s'écrie pleine
ptoïde dure une minute. La phase tonique a lieu dans l'extension, les mouvements cloniques sont très accusés, l'écume coule des lè
ides. —La malade se tourne de côté et d'autre, exécutant une sorte de mouvement de roulis. —Rage, cris. Arc de cercle sur le vent
ré-cédemment. b). Arc de cercle avec ondulation du ventre. — Grands mouvements , cris.— Nouvel arc de cercle, la malade repose su
cèdent brusquement, et ne durent chacune que quelques secondes.—Cris; mouvements de roulis.—Rage, mord l'oreiller. c). 10 h. 27.
à cela près que le stertor est plus accusé. h). Cris, contorsions, mouvements de côté et d'autre, comme ceux que nous avons déj
re, comme ceux que nous avons déjà rapportés. Il s'y ajoute de grands mouvements des pieds qui frappent violemment contre la barre
je sois paralysée !... Je les tuerais toutes. Elles vont venir là... ( Mouvement de terreur). Tiens, comme ça sort... (Son regard
d à la gorge.... » Elle tousse, met la main à la gorge, fait quelques mouvements de déglutition, comme pour se débarrasser de quel
Première période comme précédemment. b). Contorsions, cris, grands mouvements , frappe des pieds. Tout d'un coup elle s'arrête :
toïde comme précédemment. b). Période des contorsions et des grands mouvements , semblable aux précédentes. Elle enlève l'oreille
uccèdent au nombre de trois, représentées déjà figures 44, 45 et 46 ; mouvements de roulis. c). Elle est saisie de crainte, se c
edresse un peu.) Je ne veux pas qu'il me touche, celui-ci... (Brusque mouvement d'effroi.) » Après un instant de silence : « Eh!
e ce n'est pas vrai... si... c'est bien des fantômes... Oh! ... (Long mouvement de surprise et d'effroi.) ces bêtes qui viennent
légers tressaillements parcourent les bras et tout le corps, quelques mouvements de déglutition pénible se produisent, un peu d'éc
es bras se fléchissent brusquement, et commence alors le désordre des mouvements ; il devient très difficile de la maintenir. Quatr
une période épilep-toïde et une période des contorsions et des grands mouvements , la période des attitudes passionnelles paraît fa
ensuite. Elle voit des animaux, des singes principalement. Elle a des mouvements de grande frayeur, elle cherche à se dérober; d'a
rter la période épileptoïde, la période des contorsions et des grands mouvements et les éléments de \apériode des attitudes passio
la période épileptoïde a paru faire complètement défaut. Les grands mouvements se terminent par l'attitude bizarre, décrite dans
ig. 44), antérieur (fig. 45), puis latéral (fig. 37). c). 10 h. 48. Mouvement de défense, regard de défi, — elle se croise les
ères sembla-bles aux mômes périodes des attaques précédentes. 1. Ce mouvement , qu'on pourrait mettre sur le compte de la suffoc
lles: sorte d'extase, le regard toujours fixé en haut, entrecoupée de mouvements de crainte et de terreur. II. — 10 h. 30. Une n
elle attaque. IV. — 10 h. 36, a). La tète tourne à droite, quelques mouvements de déglutition se font entendre ; le tétanisme im
ans l'extension, un brasse trouvant fléchi, le poing dans le dos. Les mouvements cloniques généralisés suivent. b). Grands sauts
ente suffocation; le visage est congestionné. —¦ Expression décolère, mouvement de défense avec le bras gauche : « Ah bien! non,
son intensité et a déjà été dé-crite plus haut, page 67. Les grands mouvements et les cris de la deuxième période ont subi chez
ent, c'est par là que débute l'imitation du chemin de fer; bientôt un mouvement rythmé sur le bruit des lèvres gagne les bras et
bes se fléchissent. Après un court moment d'immobilité tétanique, les mouvements toniques, de plus en plus accentués, agitent tous
36 m. Nouvelle attaque analogue à la précédente. Période des grands mouvements et contorsions. Grands sauts. Le « chemin de fer
s. Le tronc s'incurve en arrière, et les membres exécutent les grands mouvements toniques déjà décrits. Les convulsions cloniques
pileptoïde. 10 h. 41 m. 30 s. Période des contorsions et des grands mouvements . Imita-tion très complète et très prolongée du «
ion d'une petite pointe de papier dans les narines n'occasionne aucun mouvement . Quelques larmes seulement viennent aux yeux. De
ttaque sans période épileptoïde. La période des contorsions et grands mouvements se borne à l'imitation habituelle du chemin de fe
ès-accusée. La deuxième période est marquée par une forme de grands mouvements tout à fait insolite et qui n'avait pas été obser
ertor est suivi parfois d une phase pendant laquelle la ma-lade a des mouvements de frayeur et laisse échapper des exclamations de
piration se précipite, et les parois abdominales sont animées du même mouvement qui marque le début de chaque attaque. Suivent
mais de nouveau la respiration se précipite et le ventre s'agite. Ces mouvements durent plus longtemps que précédemment et se prol
illes sont dilatées. — L'attouchement de la conjonctive n'amène aucun mouvement , mais celui de la cornée provoque aussitôt le cli
estine conserve cette attitude plus d'une demi-heure sans faire aucun mouvement et sans que la raideur des membres cesse une minu
sont presque exclusivement empruntés aux contorsions, cris et grands mouvements de la deuxième période, et au délire avec zoopsie
ouffés. On y distingue parfois : « Oh ! là, la tète !... » Tous ces mouvements se succèdent, à peine interrompus par un moment d
est courbée en arc, repose sur le côté gauche. Au milieu de tous ces mouvements , la malade aune tendance à tournera gauche, la tê
point que la face se cache dans l'oreiller, et tout le corps suit ce mouvement de torsion. Les diverses positions se succèdent s
épileptoïde n'y est pas représentée; mais la première phase avec ses mouvements de lutte, ses efforts, ses contorsions en forme d
de cercle, représente bien la deuxième période ou période des grands mouvements et des contorsions, pendant laquelle nous avons v
aucoup, les autres jetteront des cris à effrayer. Si elle exécute des mouvements singuliers, toutes les autres auront des convulsi
l'imagination. Les malades imitent les cris, les gestes bizarres, les mouvements singuliers, les hurlements,les aboiements, etc.
a forme extérieure d'une malade à l'autre. Chez Math..., les grands mouvements de la seconde période revêtent cette forme bizarr
out des attaques épileptoïdes, Ernestine PU... des attaques de grands mouvements et de contracture, Del... des attaques de sommeil
malade était en ce moment assise sur l'escarpolette, accomplissant un mouvement ascensionnel. Lorsqu'on la descendit, elle ne pou
rrivée de MlleX... à l'institut hydrothérapique, elle essaye quelques mouvements de gymnastique. L'état général est complètement
e la première période, puis les contorsions (arc de cercle) et grands mouvements de la seconde période se succédant dans l'ordre q
ppartient évidem-ment à la période épileptoïde. Parmi les variétés de mouvements qui composent la deuxième période, nous avons ins
sur le parquet, il y avait quelques secondes de calme, puis quelques mouvements des bras commençaient la grande attaque; ces mouv
puis quelques mouvements des bras commençaient la grande attaque; ces mouvements étaient suivis bientôt de « l'arc de cercle » et
; ces mouvements étaient suivis bientôt de « l'arc de cercle » et des mouvements du bassin (projection cynique). La crise durait a
La période épileptoïde ne semble représentée ici que par les grands mouvements des bras qui commençaient la grande attaque; suiv
ans la deuxième période : la contorsion (arc de cercle) et les grands mouvements représentés ici par des mouvements de projection
sion (arc de cercle) et les grands mouvements représentés ici par des mouvements de projection du bassin que nous avons eu l'occas
me signe épileptoïde, puis, comme dans l'observation précé-dente, les mouvements de projection du bassin et l'attitude de Varc de
eu de côté, et les lèvres mouillées d'un peu d'écume. Puis les grands mouvements se dessi-naient rapidement. Il fallait alors plus
nir dans son lit. Elle n'avait point alors d'hallucinations, mais les mouvements de projection du bassin étaient très accusés. Tan
lairement. Souvent alors les membres inférieurs exécutaient de grands mouvements . Des les premières applications d'eau froide, l
remières applications d'eau froide, les crises se transformèrent. Les mouvements que nous avons décrits furent supprimés pour fair
iode prodromique. SIXIÈME OBSERVATION. M. Pascal a publié dans le Mouvement médical 1872, page 203, une obser-vation d'hystér
tons dans cette attaque dont le début n'a pu être observé, les grands mouvements et les contorsions de la deuxième période, suivis
uelques nouveaux détails : la distinction et la succession des grands mouvements et des contorsions sont parfaitement indiquées:
nait rapidement le cou. Les yeux deve-naient fixes, hagards, un léger mouvement de rotation à gauche était im-primé à la tète, l'
de tombait comme une masse inerte. Au bout de cinq à six secondes, le mouvement d'arc de cercle se produisait, puis l'agitation d
es, nous voyons s'adjoindre aux phénomènes épileptoïdes et aux grands mouvements et contorsions de la deuxième période, les attitu
'à la forme cataleptique (première période) succédera le désordre des mouvements (deuxième pé-riode) et la forme passionnelle (tro
la malade lève les yeux au ciel et croise les bras, jusqu'à ce qu'un mouvement convulsif du bassin la ramène à la phase précéden
me période avec la tendance à l'arc de cercle, la violence des grands mouvements et les cris; enfin la troisième période avec l'at
crispent. Les bras et les jambes s'agitent en Pair et sont animés de mouvements si violents que la femme de chambre ne parvient à
nous avons décrits : phé-nomènes épileptoïdes au début, — puis grands mouvements et contorsions (arc de cercle); — en troisième li
-bras en pronation. Cette période est caractérisée uniquement par des mouvements toniques. La durée en est à peine d'une minute.
t les règles, crise hystérique simple (boule hystérique, cris, grands mouvements des membres). Les mois suivants, les mêmes phénom
nsidérée comme une période épileptoïde composée uniquement des grands mouvements toniques du début avec pro-longation du tétanisme
, car le côté gauche demeure toujours contracture. La tête exécute un mouvement de rotation rapide, en même temps que la bouche s
rotation rapide, en même temps que la bouche s'ouvre et se ferme. Ce mouvement représente la seconde période (période des grands
ferme. Ce mouvement représente la seconde période (période des grands mouvements ). En effet, suivent des hallucinations. La phys
et à droite ; le tronc s'incurve à droite ; le bras droit exécute des mouvements de moulinet. Puis tout d'un coup la malade se dre
estionnée, le cou gonflé, la poitrine dilatée comme dans les grands mouvements d'inspiration. Le tympanisme abdominal ne fait ja
résistance des muscles abdominaux, mademoiselle R... fait un violent mouvement d'expiration suivi brusquement d'une inspiration
a malade porte à la bouche les doigts que le hasard ou la rapidité du mouvement lui permet d'y introduire. L'index, le pouce et l
que sur la tête et les pieds (attitude en arc de cercle). Ce dernier mouvement se fait avec un tel déploiement de force et le ty
. je veux mourir, etc.. » elle ne veut pas surtout qu'on maîtrise ses mouvements . Elle proteste en faveur de ses bonnes intentions
n ovarienne s'est développée la période des contorsions et des grands mouvements . Je puis sans hésiter la caractériser de variété
giquement; la face, portée entièrement à gauche, est animée de petits mouvements rapides, brusques, saccadés, et la figure devient
quelquefois trois, commence la période des contorsions et des grands mouvements . Les mains et les pieds sont fortement fléchis,
bras, soit en supination, soit en pronation ; les bras exécutent des mouvements de rotation en dedans et en dehors autour de l'ép
nts claquent ou grincent, la face grimace. Puis ont lieu les grands mouvements ou la phase de clownisme. Tantôt c'est la tête qu
l'on voit projeté, soit en avant, soit en arrière; et ces différents mouvements s'accompagnent de petits cris aigus, stridents et
miner que momentanément, auquel cas sa crise s'accentue et ces grands mouvements ne sont que plus accusés. 3° La période d'attit
ns et de grands mou-vements. 2° Les membres supérieurs sont pris de mouvements lents : le bras est porté tantôt en avant et en d
dans l'extension : toutes ces attitudes variant à l'infini, tous ces mouvements s'exé-cutant avec une certaine rapidité, sans êtr
ine rapidité, sans être toutefois précipités. Au tronc, ce sont des mouvements plus étendus de flexion et d'extension, quelquefo
issent les yeux fermés; ceux-ci, lorsque l'on examine, sont animés de mouvements saccadés et res-tent en strabisme convergent; le
re à peine deux ou trois minutes, et voici qu'apparaissent les grands mouvements . Les membres sont agités de mouvements rythmiqu
i qu'apparaissent les grands mouvements. Les membres sont agités de mouvements rythmiques, mais rapides et à grandes oscillation
ourroux, el finit par lancer violemment dans l'espace. 4° Enfin ces mouvements , ces attitudes passionnées, ces poses plastiques
urte, lente, inspiration sifflante. Très légère salivation. Quel-ques mouvements légers apparaissent sur la face et dans les membr
es mouve-ments saccadés et courts animent les muscles de la face, les mouvements de circumduction des membres supérieurs se dessin
et étendues d'une partie du tronc et des membres inférieurs. 3° Ces mouvements , accompagnés de délire, sont suivis d'attitudes p
t dilatées, les conjonctives hyperhémiées. Ensuite apparaissent des mouvements rapides et grimaçants de la face, des oscillation
des membres supérieurs et inférieurs et gagnant tout le corps. Ces mouvements cloniques sont suivis de la résolution et du relâ
nt des cris stridents et prolongés. Ces contorsions suivies de grands mouvements ne tardent pas à disparaître. 3° Les attitudes
ntuèrent, l'articulation coxo-fémorale gauche présenta de la gêne des mouvements , de la raideur, de la douleur; l'irritabilité ner
up, et sans cri, la jeune fdle tombe sans connaissance, fait quelques mouvements remplacés par une raideur et une immobilité tétan
analyse ces deux phases toniques, l'on voit dans celle accompagnée de mouvements les phénomènes suivants : La tête raide, renver
nne légèrement, le front est plissé; les paupières battent par petits mouvements saccadés; relevées, elles laissent en- trevoir
es membres ont de véritables convulsions toniques : ce sont de grands mouvements de circumduction, ayant lieu des deux côtés, fais
irer bruyamment la malade. B. Période des contorsions et des grands mouvements . Après un moment de calme de deux à trois minut
s transition, cette phase de contorsion fait place à celle des grands mouvements . Tout d'un coup, un cri strident est poussé, la t
p, un cri strident est poussé, la tête qui portait sur le lit, par un mouvement rapide, vient re-trouver les genoux; puis se reje
ion. C. Période des attitudes passionnelles. La malade estencore en mouvement et en contorsion quand on voit, sa physionomie ch
nférieures. Cela dure parfois quatre à cinq heures, d'autres fois, un mouvement convulsif du bassin se dessine tout d'un coup imm
i dire sans interruption; les paupières et les yeux participent à ces mouvements convulsifs; la bouche est agitée d'une série de p
tion est saccadée, et l'inspiration quelque peu sifflante; il y a des mouvements rapides de déglu-tition et le ventre météorisé es
étendus ; la figure est légèrement grimaçante. Il n'y a pas de grands mouvements , de clownisme. Troisième période. — Celle-ci n'
ble, ou si on place à distance du bras un aimant, elle est reprise de mouvements rappelant ceux de la pre-mière période (phase clo
aque (janvier 1878). Première période. — Celle-ci s'annonce par des mouvements exagérés de contorsion des extrémités supérieures
ontourne et se tortille. C'est la période épileptoïde avec les grands mouvements toniques. Ces mouve- ments sont parfois brusque
ntables, des hurlements se font entendre; le corps animé jusqu'ici de mouvements de contorsion, ou dans la raideur de l'immobilité
apparaître un peu d'écume. A cette immobilité tétanique succèdent des mouvements des pau-pières, des trépidations des membres et q
les muscles se relâchent. B. Période des contorsions et des grands mouvements . — Elle est à peine esquissée. G. Période des a
attitudes passionnelles. — Après et même au milieu de quelques rares mouvements , ébauches de la deuxième période, la jeune ma-lad
e des traits (période épileptoïde, pé-riode des contorsions et grands mouvements ) de notre description de la grande attaque. Dans
Paris an IX, obs. 17 des carotides, grande gêne de la respiration, mouvements convulsifs de temps en temps, agitation, délire.
flement considérable du ven-tre et du thorax, roideur des extrémités, mouvements convulsifs au moin-dre attouchement. Lorsqu'on lu
spasme général, perte de connaissance,raideur des extrémités. Puis, mouvements convulsifs, agitation, coups sur la poitrine, etc
mpression des jugulaires en augmentoit singulièrement la violence. Un mouvement de giration, imprimé aubras ou à la jambe, ren-do
tanique des muscles des membres, de la tête qui se penche en arrière, mouvements convulsifs par intervalles, tension de diverses p
comme dans l'action de loucher; des tremblements, des agitations, des mouvements violents de tout le corps se succèdent; la respir
mes avant-coureurs. La jeune personne tomba tout à coup et resta sans mouvements et sans parole. Il y eut ensuite contraction vive
tion vive des muscles masséler, grincement de dents, rire apparent et mouvement irrégulier de tous les muscles soumis à Vempire d
ômes différents, tels que desgrimaces, des contorsions ridicules, des mouvements convulsifs des doigts des pieds et des mains, le
le grincement de dents, etc., enfin l'écume à la bouche. Les grands mouvements de la deuxième période sont décrits avec leur vio
t état tétanique pendant cinq à six minutes; elle faisait ensuite des mouvements semblables à ceux que ferait une femme qui se liv
de notre descrip-tion : spasme tétanique, écume, violence des grands mouvements , extase, délire, etc. A l'appui de son dire il ra
tuelles sont suspendues, la sensibilité est notablement diminuée, les mouvements convulsifs acquièrent une force prodigieuse;la ma
rpent monstrueux; elle pousse des cris rauques, mêlés de pleurs et de mouvements convulsifs; boule hysté-rique, imminence de suffo
e, ne se dilatait ni se contractait. Par moments, la malade avait des mouvements convulsifs et bondissait sur son lit. Elle ne rép
e répondait pas quand on lui adressait la parole, et ne faisait aucun mouvement lorsqu'on entrait dans sa chambre et qu'elle n'ét
prise de convulsions violentes pendant lesquelles elle exécutait les mouvements les plus rapides et les plus variés. Quand elle s
t des cris, des gémis- sements, de véritables hurlements. Quand les mouvements convulsifs s'arrê-taient, elle se parlait à elle-
ée à travers une ouverture de sa porte, c'était la même répétition de mouvements convulsifs, de poses extatiques : des mesures de
période (période épileptoïde) et la deuxième période avec les grands mouvements et la contorsion si commune de Farc de cercle. H
t une attaque hystérique, avec perte apparente de connaissance et des mouvements très étendus. Sans percevoir rien de ce qui se pa
sse à son esprit. La période épileptoïde est fort bien décrite, les mouvements très étendus et l'agitation de la deuxième périod
Au bout de quelques minutes, la tête se meut très rapide-ment par un mouvement de rotation alternative à droite et à gauche. La
es sont plies et serrés par les autres doigts. II n'y a pas de grands mouvements , mais la malade s'arc-bouté de la tête et des p
fléchie com-plètement sur la cuisse et le pied sur la jambe; mais ces mouvements de flexion étaient tellement exagérés qu'il faut
es yeux une attaque d'épilepsie; mais bientôt le tableau changea; les mouvements de torsion des membres supérieur et inférieur dro
— Hystéro-épilepsie. 17 « Puis il survient une série remarquable de mouvements pendant lesquels le malade recouvre les sens, au
e conserve pas le souvenir de ce qui s'est passé anté-rieurement. Ces mouvements sont apparemment volontaires et consistent dans l
plus loin. Il y est parlé de convulsions consistant en « une série de mouvements rapides » ; de spasme opis-thotonique, « la tête
andis que la tête est projetée en arrière et que les membres font des mouvements in-coordonnés. Pendant ces attaques on observe un
hique ou sensorielle, de pâleur, de rigidité dans le côté droit et de mouvements convulsifs dans le gauche. Il est très difficile
es cheveux à poignées. Alors les deux côtés du corps présentaient les mouvements convul-sifs et les contractures, tandis que dans
ré. —Peut se résumer ainsi : boule hystérique, suffocation; quel-ques mouvements convulsifs; battements grands et forts vers la tè
es soumis à la volonté; les membres, le tronc, la tête sont agités de mouvements convulsifs, variés, analogues à ceux du tétanos ;
pileptoïdes évidents, puis l'indication des contorsions et des grands mouvements , et les troubles intellectuels avec les hallucina
parfaitement indiqué qu'il existe une intensité, plus grande dans les mouvements convulsifs et dans Y exaltation mentale ou le dél
a bouche. Les veines jugulaires sont extraordinairement gonflées. Les mouvements acquièrent une énergie extraordinaire; le tronc e
extraordinairement. » Dans un très petit nombre de cas, au lieu des mouvements convulsifs étendus, il ne se manifeste que des ra
hanger le malade de place. (Contorsions, attitudes illogiques...) Les mouvements du cœur sont forts, tumultueux, les carotides son
tes les trois, quatre ou cinq minutes, plus ou moins, les cris et les mouvements convul-sifs cessent pour quelques instants, penda
es employés dans les grands efforts qui sont particu-lièrement mis en mouvement : ce sont les muscles des membres, du tronc, et q
ple expression de souffrance; les convulsions consistent en de grands mouvements de flexion et d'extension qui dénotent une suract
ssi livide que dans l'épilepsie. Chez un grand nombre de malades, les mouvements convulsifs qui agitent les lèvres et les mâchoire
qui ont pour caractère dominant la violence et la grande étendue des mouvements . Elles affectent surtout les muscles qui servent
période y sont décrits fort longuement. Les contorsions et les grands mouvements y sont même clairement désignés; la troisième pér
Lyon, 1847, p. 264 et suiv. sensible à la vue et au toucher par les mouvements , les duretés et les con-tractions qu'il opère dan
r au début que dans cette région. Là aussi, l'on sent et l'on voit un mouvement et une contraction ondulatoire irrégulière. De là
ccasionner à la fois un gonflement, une tuméfaction manifeste, et des mouvements spasmodiques ou convulsifs continuels et analogue
t les membres inférieurs en font au tant. Alors ils s'agitent par des mouvements cloniques tout à fait irrégu-liers, par des conto
diriger, ni les retenir. Il n'y a point non plus d'ensemble dans ces mouvements ; aussi la malade ne peut ni se tenir droite, ni
lle est renversée, soit par défaut de soutien convenable, soit par le mouvement désordonné de ses membres. Ce ne-sont pas seuleme
achine est ainsi détraquée dans ses agents moteurs, non seulement les mouvements sont irréguliers et insolites, mais ils meuvent l
elles frap-pent la poitrine avec violence. Si la crise est forte, les mouvements du tronc le font bondir et rouler dans tous les s
ntractions alternatives} se succèdent avec rapidité et produisent des mouvements continuels. Tantôt la contraction d'un certain no
se clonique);les muscles des parois abdominales sont agités des mômes mouvements que ceux de la poitrine. » M. Bernutz est peut-
ailleurs, lui aussi, les cris de fureur qui ac-compagnent souvent les mouvements désordonnés de cette seconde période : «Il est
que : « Au moment, dit-il, où, après un certain temps de durée, les mouvements convulsifs ont perdu de leur énergie, et où la fi
yeux, qui jusque-là étaient couverts par les paupières ou animés d'un mouvement de clignotement, et parfois en même temps de nyst
avait at-tenté à son honneur. Elle vociférait après lui et avait des mouvements sem-blables à ceux qu'elle avait faits pour se dé
e clonique, puis résolution et som-meil stertoreux; mais les « grands mouvements ))ne suivent pas, et, au milieu du sommeil, survi
at-titudes, la prolongation du tétanisme; dans la phase clonique, les mouvements bruyants de déglutition, les ondulations du ventr
ourne du côté gauche, le tronc se soulève un peu et suit également ce mouvement de torsion qui ne se produit que par degrés et co
pied bot équin. Les membres ainsi contractés sont animés de petits mouvements cloniques. La respiration saccadée se précipite e
duit une ou deux inspirations bruyantes (ébauche de stertor). Et tout mouvement cesse après une durée de trente à quarante second
nose. Des secousses soulèvent les deux bras et aussi les deux jambes. Mouvements de déglutition bruyants. Piespiration pénible et
ilatée. L'écume vient aux lèvres. Les bras sont soulevés et animés de mouvements cloniques, ainsi que les membres inférieurs. La
urtes oscillations qui s'accusent davantage au fur et à mesure que le mouvement de torsion vers la gauche est plus prononcé. Pu
ue constante d'un petit frémissement des paupières, qui rap-pelle les mouvements cloniques, et l'apparition de temps à autre de qu
description des phénomènes musculaires de la deuxième période, grands mouvements et contorsions, il n'y a qu'un pas à faire pour a
tiplient comme à plaisir. Joignez-y la fureur, les cris, la rage, les mouvements désordonnés que j'ai décrits éga-lement parmi les
t la période épileploïde est représentée ainsi qu'il suit. Les grands mouvements toniques du début sont exagérés, les bras, les ja
lllante et entrecoupée de hoquets. Il y a des bruits pharyngiens, des mouvements de déglutition bruyants. L'é-cume apparaît certai
lée en divers sens ou bien ou-verte, la langue pendante. Les grands mouvements s'exécutent avec une violencee (Trayante*. La mia
is la contrac- 1. Pour Sonner une idée de la violence de ces grands mouvements , nous avons essayé, dans une planche au fraii (p.
cessaires pour la maintenir. t.ijrf,q'ii persiste souvent, gêno les mouvements de la malade. On la voit sourire, appeler un être
avons insisté : dans la période épileptoïde, prédominance des graiids mouvements toniques; dans la seconde période, prédominance d
ôt se retirait, tantôt s'allongeait, ou exécutait alternativement des mouvements en avant et en arrière). Quelquefois ses paupière
de ses éléments, les altitudes illogi lues ou conforsions. Les grands mouvements n' occupent qu'un rang secondaire. Par contre, il
de la deuxième période, mais composée surtout de la phase des grands mouvements . Cette variété constitue en génétTil ces sortes d
eptoïde y est peu ou poini représentée, et toute la crise consiste en mouvements , souvent dîme violence extrême, s'exécutant sui-v
rtielles de la face; puis les grandes salutations, les cris, quelques mouvements désordonnés, interrompus quelquefois par un arc d
artres, Journal de Corvisart, tome XV, n. 416. VIOLENCE DES «GRANDS MOUVEMENTS » ADelaliaye et E,Lecrosnier, légers signes de
ENTS» ADelaliaye et E,Lecrosnier, légers signes de tète, quelques mouvements des lèvres, semblaient révéler la présence d'une
ownique, se traduisant par des coups de pied, des coups de poing, des mouvements du bassin en avant, et nécessitant de la placer d
n cas d'hystéro-épilepsie dans lequel les convulsions consistaient en mouvements de tout le corps absolu-ment semblables à ceux qu
rvice du docteur Pepper, les convulsions consistèrent en une série de mouvements rapides, produits pendant que la malade était au
e de l'extension et de la variété dont sont susceptibles les « grands mouvements » de la deuxième période. A. M., jeune personne
heure et demie, quelquefois deux heures'. La violence des « grands mouvements » dans l'observatlGn sui-vante, ne le cède en rie
de quinze à vingt heures. Lorsque la maladie diminue d'intensité, ces mouvements convulsifs qui ne diu^enl plus qu'une heure ou de
it avec une telle vitesse, que la poitrine imitait très bien alors le mouvement d'une vague fortement agitée par la tempête. Uae
ors en tout semblables aux autres; mais une beuî'e ou deux après, les mouvements convulsifs cessaient comme par en-chantement, et
convulsions variées qui composent ordinairement la deuxième période ( mouvements iTthinés des membres, soulève-ments en arc de cer
malade dont l'observai ion a été rapportée par Motlard exécutait des mouvements d'une agilité et d'une adresse surprenantes, qui
iTO, t. xxxiii, p. 30.Cité par Landouzy, loc. cit. p. (iO. fois ces mouvements ne se font que d'un côte, l'autre semblant paraly
ps qu'elle no peut avaler; » elle est agitée par des soubresauts, des mouvements convulsifs qui se calment, et après une heure tou
s étant raide e. arqué à la région des reins; tantôt elle exécute des mouvements alternatifs d'élévation etd'abaissementdu bassin,
et à la même place pendant cinq à six minutes. Elle répète ces diveis mouvements très régulièrement à chaque accès, et pousse pend
aque. Sans passer par la période épi-leploïde et par celle des grands mouvements , elle entre d'emblée dans la troisième période et
ques battements de paupières, un grincement de dents, quelques grands mouvements toniques à peine esquissés, marquent le début d'u
t les poses plastiques récommencent aussitôL La seconde phase, grands mouvements et contorsions, n'-existe pas. L'iniluence de l
t précédées d'ordinaire par de l'agitation, un hoquet fatigant et des mouvements de déglutition. Bientôt, la tétese porte en arriè
ée en arrière; les paupières sont entr'ouvertes et parfois animées de mouvements convulsifs très rapides; elles laissent voir les
arrondie, comme gonflée, est soulevée momen-tanément par de bruyants mouvements de déglutition. Les muscles du cou sont durs, ten
ernière époque menstruelle. Par instants encore elle divaguait, et au mouvement de ses lèvres on pouvait reconnaître qu'elle parl
utes. La malade perdait connaissance et se livrait en cet état, à des mouvements désordonnés, qu'à peine plusieurs personnes suf-f
gt-quatre heures. Tontes les pré-cautions conseillées par le médecin, mouvements , danses, distractions, repos, efforts musculaires
, le visage parfaitement calme, l'œil fermé, la pau-pière animée d'un mouvement incessant, tes membres souples et retombant douce
it complète. Quelques instants s'écoulèrent. Puis la malade fit des mouvements qui avaient évidemment pour but et qui eurent pou
bras, jusqu'à l'angle droit; ils redescendaient doucement, et par un mouvement égal, continu, plus précis que si la volonté l'av
reprit son immobilité, pour recommencer quelque temps après les mêmes mouvements . La malade a paru fatiguée des diverses épreuve
s remuent; elle semble murmurer des prières. On remarque de fréquents mouvements de déglutition. Une lumière est approchée de la p
suspendre sa respiration comme pour éviter uneodeur désagréable : les mouvements de déglutition, si fréj|uents tout à l'heure, s'a
couche aussi maladroitement qu'elle s'est levée, et toujours avec ce mouvement de balan-cement (pie no'is avons déjà fait remarq
avec les mains dans l'ordre le plus ré-gulier : ce ne sont pas de ces mouvements brusques qu'on s'attend avoir. Nous croyons que n
t une période épilcptoïde, complète ou écourtée, soit quelques grands mouvements ou contorsions do la deuxième période, soit des a
qui parait inépuisable. Elle accompagne de balancements de tete et de mouvements des bras son chant, à peine interrompu de temps e
on des yeux, le grincement des dents, l'écume à la bouche, les grands mouvements toniques des membres et un court tétanisiue. Le t
t de phé-nomènes appartenant aux autres périodes de l'attaque (grands mouvements , agitation,arc de cercle). M... âgé de 18 ans,
ner par un tremble-ment général très court et très léger, sans grands mouvements ni convulsions; nous n'avons remarqué aucun chang
ingles toutes les parties du corps sans que le malade accusât, par un mouvement quelconque, la moindre douleur. A ce moment (12
la plus légère pression sur le testicule droit déter-minait de grands mouvements généraux et saccadés, mais ne ramenait point la c
éraux et saccadés, mais ne ramenait point la connaissance. Ces grands mouvements s'arrêtaient subitement au mo-ment précis où cess
nous essayâmes de nouveau la compression des tes-ticules : les grands mouvements redoublèrent, et à deux reprises, le malade se mi
attaques de nerfs caractérisées par une constriction de la gorge, des mouvements désordonnés, de l'écume à la bouche, des cris, de
e et dans un état de stupeur apparente. Daw6' une autre, elle eut des mouvements désordonnés, de l'agi-tation, des paroles ininlel
e, d^ anxiétés précordiales, de points névralgiques et même de légers mouvements convulsifs des membres. Ces accidents ne se montr
départ dans l'utérus; lors-qu'on place la main sur cette région, les mouvements de la malade deviennent d'une autre nature, et el
eux, faisait des grimaces et exécutait avec ses bras toutes sortes de mouvements bizarres. Le 21 janvier, il se fit entendre à plu
ndiquée, et qui le plus souvent enrayent aussi bien le délire que les mouvements convulsifs. ji 2. — ATTAQUES DE DÉLIRE n'AYANT
t une inspiration sifflante se fait entendre, accompagnée de quelques mouvements bruyants de déglutition. Ces derniers signes et l
suspendue par moments. Il est fort difdcilo de compter le nombre des mouvements respiratoires. musculaire; impossibilité de fai
les deux derniers doigts. Si nous réfléchissons, nous verrons que ce mouvement sin-gulier de la main est produit par les muscles
eur. En effet en portant l'excitation sur ce muscle lui-même, le même mouvement du pavillon de l'oreille se produit. DEUXIÈME O
le regard se porter sur lui, s'y fixer au point d'en suivre tous les mouvements . Le reste du corps peut demeurer catalep-tique, m
ens au gré de l'expérimen-tateur et, le plus souvent, la tête suit le mouvement . Lorsque le regard est dirigé en haut, l'expressi
rer et la direction dans laquelle se trouve l'objet et les différents mouvements qu'on lui fait subir K Mais lorsque l'objet fix
Au contraire en main-tenant l'objet à terre et en imitant avec lui le mouvement de reptation, son imagi-nation voit un serpent do
A. La malade cataleptique, dont l'œil est en état de percevoir les mouvements de l'expérimentateur placé en face d'elle, les re
ois au commencement un peu d'hésitation, mais il suffit de répéter le mouvement une ou deux fois, pour voir la malade, transformé
nsformée en un véritable automate, reproduire avec précision tous les mouvements dont l'image vient impressionner sa rétine. La ma
mouve-ments des membres gauches de fexpérimentateur correspondent des mouvements semblables, mais exécutés par les membres droits
est une véritable image de miroir, mais d'un miroir qui réfléchit le mouvement avec un retard fort appréciable, retard occasionn
voie des nerfs de sensibilité, puis du centre nerveux aux organes du mouvement par la voie des nerfs mo-teurs. On peut faire exé
voie des nerfs mo-teurs. On peut faire exécuter ainsi à la malade les mouvements les plus variés non seulement des bras et des jam
genouüler, se relever, sauter, se déplacer même, marcher, etc.. Les mouvements qui sont accompagnés d'un bruit caractéris-tique
bruit fait avec les ongles, la malade cherche à le reproduire par un mouvement analogue des doigts. Mais ces mouvements ont alor
herche à le reproduire par un mouvement analogue des doigts. Mais ces mouvements ont alors moins de précision, ils ne sont pas exé
n riant aux éclats derrière son dos ou en se mouchant avec bruit. Les mouvements silencieux laissent la malade complètement impas-
lade complètement impas-sible. Aussitôt que la malade n'est plus en mouvement , elle retombe dans l'état cataleptique qui persis
e la position exacte des membres. Il peut être également la source de mouvements automatiques parfaitement coordonnés qui exécu-te
... nul ne savait au juste quel résultat l'on pouvait attendre, et le mouvement se pro-duisit avec tant de rapidité qu'il dépassa
Rob... n'en cède en rien à Bar... pour la vivacité et la précision du mouvement , mais l'impression persiste plus longtemps. Tandi
à terre « à quatre pattes y une main en avant de l'autre, aussitôt le mouvement suit et dans cette posture la malade marche avec
ude communiquée, ceux qui consistent dans l'a-chèvement spontané d'un mouvement dont le début a été provo-qué par l'observateur.
m^ les croiser, les doigts, à peine engagés, achè-vent d'eux-mêmes le mouvement et se croisent complètement. En rapprochant du ne
cataleptique. Si au contraire on abandonne la malade à elle-même, le mouvement se prolonge jusqu'à ce qu'au bout de quelques ins
mais chose singulière la main gauche seule n'en continue pas moins le mouvement . En soulevant de nouveau la paupière, les deux ma
ussi bien du côté gauche. Si l'on aban-donne la malade à elle-même le mouvement se prolonge, puis enfin elle redevient cataleptiq
môme per-sistance qu'elle mettait tout à l'heure à se les laver. Ses mouvements sont fort précis et ne diffèrent en aucune façon
pas, le rouage continue à marcher d'un seul côté, mais il modifie son mouvement dans le but de le rendre réellement efficace. La
semblance conscience de rien; son moi est ab-sent. Cependant dans les mouvements qu'exécute une seule main pendant que l'autre est
prisonner de nouveau dans les courroies, répète absolu-ment les mêmes mouvements qu'elle a faits la première fois. Nous la laisson
ainsi refaire et défaire son œuvre jusqu'à six fois, et toujours ses mouvements se sont succédé avec la même précision et la même
e défaire elle-même. Pas la moindre hésitation ne se traduit dans ses mouvements , elle saisit la pre-mière courroie et recoinmence
nde dans la main, mais le bras droit persiste à se mouvoir et par des mouvements de circum-duction cherche à enrouler la bande aut
ussion des tendons dans la recherche des réflexes tendineux, et, d'un mouvement automatique, elle s'en frappe le poignet. Dans
ation, l'état ca-taleptique cesse et la malade peut exécuter tous les mouvements en rapport avec son hallucination ; mais aussitôt
der et se remplacer tour à tour l'hallucination avec l'attitude ou le mouvement qui la traduit, et l'état cataleptique avec absen
n peut provoquer chez lui des sensalions internes et faire naître des mouvements qui en temps ordinaire sont en dehors du domaine
rovoquer les autres phénomènes dont j'ai parlé, soit en exécutant des mouvements sous ses regards, soit en lui plaçant divers obje
alade éprouve un tressaillement, général, quelquefois il y a quelques mouvements de déglutition et sous des apparences qui paraiss
ires; quelquefois il y a du trismus. Il conserve très longtemps les mouvements imprimés; on ne sait s'il veille ou s'il dort, di
te voix à ouvrir la bouche pour manger, il lui obéit et accomplit les mouvements de la déglutition quand les aliments ont été intr
p-tique n'existe pas et la malade conserve la liberté complète de ses mouvements . 3° Conservation partielle des sens qui le plus
épond aux questions, elle exécute, quand elle n'est pas ataxique, les mouvements qu'on lui prescrit, mais avec une paresse croissa
duire, quelques phénomènes épileptoïdes : légère raideur des membres, mouvements de déglutition, bruit pharyngien, inspira-tion si
moindre fatigue (x\zam). La manière de faire cesser ces troubles de mouvements , ajoute M. Duval, n'est pas moins remarquable que
ujours provoque, lorsqu'on essaye de les soulever. Elles résistent au mouvement qu'on cherche à leur imprimer et le globe oculair
dans le poignet droit et dans la commissure labiale droite, de petits mouvements coiivulsifs; au môme instant, la parole de la mal
dans le poignet droit et dans la com-missure labiale droite de petits mouvements cloniques exactement semblables comme siège, comm
ions constaté lors de la première aimantation, c'est-à-dire de légers mouvements cloniques dans le poignet et dans la commissure l
te fois débandé les yeux) se réveillât après avoir présenteles petits mouvements cloniques dont il a déjà été parlé et demanda si
dans le poignet droit et dans la commissure labiale droite de petits mouvements convulsifs, le réveil était précédé des mêmes mou
te de petits mouvements convulsifs, le réveil était précédé des mêmes mouvements convulsifs. Pendant l'état léthargique la résol
mmeil, présente quelques signes épilep-toïdes, inspiration sifflante, mouvement de déglutition, écume, quelquefois raideur passag
effet, le soir suivant, comme j'étais auprès de son lit, elle fait un mouvement , se relève, se jette sur moi comme pour m'embrass
raire. quel fut mon ctonnement lorsque je crus apercevoir un faible mouvement de respiration! Je l'observai de nouveau, et je v
ance. —Anesthésie. On peut lui transpercer les bras sans provoquer un mouvement . La contracture des membres cède un instant sous
on qui paraissait lui être douloureuse; j'insistai, elle fit quelques mouvements des bras qu'elle ramena au-dessus de sa tête et s
italiennes. Une sorte de chorée rythmique soulève ses épaules par un mouvement brusque et composé de plusieurs soubresauts, la t
sous du lobule de l'oreille pour atteindre le facial, on provoque des mouvements dans le côté correspondant de la face, et princip
ar un trouble particulier dans la vue, et surtout par la sensation de mouvements très rapides dans les globes oculaires. Quelquefo
constamment perte complète de la sensibi-lité, de l'intelligence, des mouvements volontaires, et abolition des sens. Les paupières
me à la main, à l'avant-bras, ou au membre supérieur tout en-tier, un mouvement , et qu'ensuite, apm l'avoir soutenu pendant'^d se
tant à une force su-périeure. Lps bras seuls sont susceptibles de ces mouvements cataleptiques, que nous avons en vain essayé depr
sommeil extatique que nous venons de signaler, on peut reproduire ces mouvements cataleptiques. Cet état de sommeil n'est pas le
e dans les accès. Sou-vent cette tranquillité est interrompue par des mouvements de pandiculatioa, des bâillements, comme si elle
rps qui la gêne ou qui l'étrangle. Un peu plus tard, elle exécute des mouvements fréquemment répétés et bruyants de déglutition.
uet plus ou moins prolongé; ce sont des éructations; et, que tous les mouvements précédents aient lieu ou non, il n'est pas rare d
, il est rare qu'une attaque se termine sans qu'il y ait eu quel-ques mouvements convulsifs. Le plus souvent ceux-ci sont clonique
ade à terre se transporter d'une partie de la salle à l'autre par des mouvements réguliers de reptation latérale. D'autres fois,
des mouvements réguliers de reptation latérale. D'autres fois, les mouvements convulsifs sont plutôt toniques, tantôt bornés
e je leur avais fait prendre; elle n'avait d'ailleurs ni sentiment ni mouvement , et ne répondait à aucune des questions que je lu
ppaient péniblement de sa poitrine, en même temps qu'elle faisait des mouvements de déplacement, comme pour fuir une impres-sion p
de la plénitude de son intelligence sans lui rendre la liberté de ses mouvements . Je trouve noté que les crises provenaient souv
la main, arrêtait instantanément une attaque clonique d'hystérie avec mouvements désordonnés des membres, et nous par le simple co
eptiques de deux manières : ou bien l'attaque générale débute par des mouvements convulsifs qui sont remplacés immé-diatement par
du corps étant en catalepsie, l'autre moitié pouvant se livrer à des mouvements désoi^donnés. Nos observations d'héinicatalepsi
out le côté gauche. Au côté droit, elle fait à chaque piqûre un léger mouvement qui indique que la sensibilité n'est pas complète
and les deux yeux sont ouverts on voit que l'œil gauche suit tous les mouvements de l'œil droit. — Le flacon d'ammoniaque est sent
nt vers le ventre. « Remuez les membres? » — Elle fait faire quelques mouvements pénibles à son bras et à sa jambe droite. Ces deu
Description de l'attaque. Première période. — Début par les grands mouvements cloniques des membres, accompagnés de petits cris
ension de la respiration; il n'y a pas d'écume. Suivent bientôt les mouvements cloniques qui s'exécutent dans tous les membres;
eu de temps. Deuxième période. — Contorsions. Arc de cercle. Grands mouvements . Imitation du chemin de fer et cris (déjà décrits
période, elle n'a conscience de rien. Et cependant il semble que ses mouvements soient une imitation voulue du chemin de fer. — L
ue ses mouvements soient une imitation voulue du chemin de fer. — Les mouvements se passent surtout du côté droit, où ils ont beau
nt et les attaques surviennent : 1° Période épileptoide. Les grands mouvements de circumduction de la phase tonique sont très ma
uction de la phase tonique sont très marqués. 2° Période des grands mouvements . Imitation du chemin de fer déjà dé-crue. 3" At
t de parler, comme une statue à ressort susceptible de toute sorte de mouvements . Après chaque accès, elle jouissait d'une apyrexi
sa comme il avait commencé, par un grand cri, au-quel succédèrent les mouvements spasmodiques du larynx et du pharynx ; puis, aprè
, l'ayant vue les yeux ouverts et fixes, ne parlant point, étant sans mouvement et sans sentiment, on la crut morte. Elle ne revi
eux fixes, les paupières ouvertes et immobiles, elle ne faisait aucun mouvement que ceux qu'on lui faisait faire; toutes les part
emi-journée ou un jour après l'attaque; quand elle ne suivait pas ses mouvements du regard, ou quand elle avait les yeux fermés, c
ladie était condamnée à im repos absolu; elle ne pouvait exécuter les mouvements qu'elle désirait, que lorsqu'elle était en état d
17. yeux fixés eu haut et brillants, les paupières ouvertes et sans mouvement , les bras élevés et les mains jointes, comme si e
parler, mais elle répond aux questions qu'on lui adresse par un léger mouvement de tête. L'anesthésie est absolue ; le pouls est
relatif, à peine coupé par quelques plaintes inarticulées et quelques mouvements peu étendus.—La raideur et la stabilité ont été c
est retombée dans sa catalepsie absolue, que troublent seuls quelques mouvements et quelques plaintes inarticulées. — Pendant tout
aques incomplètes, des attaques épilep-toïdes, des attaques de grands mouvements , des attaques d'extase, des attaques de délire, d
e l'électricité appliquée au niveau du plexus droit, provoquait des mouvements dans tout ce membre et même à la longue dans le m
t de modifier lui-même ses attitudes, se prêtail cependant à tous les mouvements qui lui étaient communiqués par une maii étrangèr
une façon continue, la force fléchissante l'emportait aussitôt, et le mouvement se produisait dans le sens que nous venons d'indi
int quelconque du système musculaire, sans produire, il est vrai, des mouvements étendus, était toujours suivi d'une tuméfaction d
odromes : la tristesse, une douleur de tête, des lipo-thymies; divers mouvements convulsifs, surtout des yeux; delà catalepsie ou
cès d'hystérie éclata avec une intensité extrême; madame X... eut des mouvements con-vulsifs d'une telle énergie que, la tête renv
riques, et du 15 janvier au 1" février on n'observe plus que quelques mouvements convulsifs, avec con-servation complète de l'inte
chambre, comme si elle y apercevait quelque chose de terrifiant. D'un mouvement rapide, elle se dressa, les bras portés en arrièr
20 minutes. — Pleurs et sanglots, quelques secousses. Apparition d'un mouvement cadencé des pouces qui aura lieu dorénavant à cha
orps. 12 h. 28 minutes. — Pleurs et sanglots. 12 h. 30 minutes. — Mouvement des pouces en cadence avec la respira-tion plaint
és et la saillie de la cornée sous les paupières permet de suivre les mouvements de rotation convulsive du globe de l'œil; puis le
animer les paupières supérieures ; les globes ocu-laires subissent un mouvement de circumduction qui porte les pupilles suc-cessi
ombent inertes, et le sommeil s'établit habituellement après quelques mouvements de déglutition. La malade, interrogée sur ce qu
cédés classiques, provoquer de catalepsie géné-rale ou partielle. Les mouvements volontaires ont conservé toute leur intégrité. Ar
la malade, serrer un pli de sa peau sans déterminer de plaintes ni de mouvements de défense. Le retour à l'état normal se fait s
if terrible de grande hystérie à ce contact. )¦ Au point de vue des mouvements , elle se lève en dormant, se promène, va jouer du
, se promène, va jouer du piano; mais elle exécute maladroitement ces mouvements , lève le couvercle de l'instrument avec difficult
ras et le membre conserve la position coudée. En exécutant ces divers mouvements , on se rend parfaitement compte de la justesse de
désigner sous des noms inventés, accompagnant le tout de gestes et de mouvements des yeux, qu'elle avait ouverts, enfin avec toute
des liqueurs. c( ...A son entrée, le 18 avril, il est sans cesse en mouvement , déplace tout autour de lui, cherche dans les coi
peine à fixer son attention ; ses mains, ses pieds sont sans cesse en mouvement pour saisir ou repousser des animaux, des objets
e livre à un combat furieux; entrechoquant les mâchoires, faisant des mouvements brusques comme pour saisir l'ennemi, il secoue en
e énorme de U'^bO d'essence d'absinthe. Cinq minutes après, il a un mouvement de recul brusque, accompagné de mouvements convul
Cinq minutes après, il a un mouvement de recul brusque, accompagné de mouvements convulsifs légers de la tête et du tronc, puis il
es hallucinations sont incessantes, il parle, crie, est sans cesse en mouvement . La nuit se passe sans sommeil. Le 4, à la visi
un œil normal les parties vertes et rouges se confondent en vertu du mouvement de rotation et recon-stituent la lumière blanche;
faitement les couleurs, notre hystérique déclare que le disque mis en mouvement devient blanc. Les rayons verts qu'elle ne voit p
uche, on voit non-seulement le membre inférieur droit être animé d'un mouvement analogue au membre inférieur gauche, mais le bras
égion, produit dans les muscles une contraction qui se traduit par un mouvement des doigts et qui ne tarde pas à se trans-former
actures d'une façon analogue. Il suffit d'opposer une résistance à un mouvement volontaire de la malade pour amener la contractur
ade pour amener la contracture des mus-cles mis en jeu pour opérer ce mouvement . MM. Ch. Richet et Brissaud ont fait quelques rec
es auxquels elles se livrent, il leur arrive parfois, à la suite d'un mouvement un peu forcé, de voir un de leurs membres atteint
usieurs années. La moindre pression, le moindre frôlement, le moindre mouvement provoqué exaspèrent les douleurs et la contractur
si que son nom l'indique, diffère de la chorée vulgaire en ce que les mouvements involontaires, au lieu d'être complètement incoor
e, de façon à produire, dans les parties du corps qu'elle affecte, un mouvement déterminé qui se répète toujours avec les mêmes c
le a reçu différents noms, suivant la forme ou le but apparent de ces mouvements systématiques; on l'a ainsi appelée malléatoire,
, saltatoire; le sens de ces dénominations indique assez la forme des mouvements . Ges mouvements coordonnés qui donnent à cette
ens de ces dénominations indique assez la forme des mouvements. Ges mouvements coordonnés qui donnent à cette affection, ou plut
ans analogues dans la symptomatologie de l'hystérie. Ils ont avec les mouvements rhythmés de la seconde période de la grande attaq
qui fut l'occasion delà leçon que M. Charcot fit sur ce su-jet. Les mouvements rhythmés occupaient la face, le tronc et les memb
e de la région ovarienne droite amenait une suspension momentanée des mouvements , qui finirent par disparaître complètement sous l
u quatre jours. Cet accident choréique avait duré quinze jours. Les mouvements consistaient en une sorte de salutation dont voic
. Sous le courant elle en a deux ou trois, incomplètes, sans « grands mouvements )). Mais il suffit d'interrompre le courant, ne f
résolution des phénomènes convulsifs commence à se produire. )) Des mouvements de déglutition plus ou moins nombreux,et par-fois
hysté-rique au début avec obnubilation de l'intelligence et quelques mouvements convulsifs dans les bras. Depuis la plus haute
tion plus récente un moteur à gaz d'un cheval (système Otto) donne le mouvement à quatre machines à la fois. Voilà, très imparf
s des convulsionnaires, etc. Trad, de l'allemand par Teinturier.in le Mouvement medical. 1872. 4. In Leç. sur les mal. du sgst.
s variétés de formes pouvaient revêtir les agitations et les « grands mouvements » de la deuxième période ^ Dans les possessions c
essions c'est la « con-torsion » qui domine. Ici ce sont les « grands mouvements » qui prennent une extension telle qu'ils ont, en
e qu'il n'y a rien d'irrationnel à rapporter à la grande hystérie les mouvements rhytmés de la dansomanie. I. chorée épidémiquee
une mimique variée; rien de plus facile ^PP^c leur faire exécuter les mouvements de la danse... Mais aussitôt que la musique cessa
de sa personne, d lui arrivait de s'abandonner pendant la nuit à des mouvements animés qui effrayaient les moinesses. « Une rel
l que les assistants ne parvenaient qu'à grand'peine à contenir leurs mouvements ,et que, elles s'élevaient et retombaient par bond
c'est la grande hystérie qui est en cause. Les hallucinations, les mouvements impulsifs, l'horreur pour la confes-sion, les ten
cisme et fort longtemps, lui faisant courber la tête par un continuel mouvement jusques à terre, tantôt devant, tantôt derrière,
prince de la luxure, commença d'agiter Magdaleine, faisant faire des mouvements déshonnêtes, comme il avait fait plusieurs fois â
ande attaque hystérique, avec les contorsions étranges et les «grands mouvements ». Dans l'intervalle des attaques, on peut relever
troubles variés de la motilité, secousses, soubresauts, et jusqu'aux mouvements de la chorée rhytmique. « l^*" de février 1611
a fin du dîner; et au milieu la tourmentèrent toujours par continuels mouvements de la tête jusqu'à terre ; et au souper lui donnè
entrailles, au rapport de la fille : aussi entendait-on le bruit du mouvement .....La torture finie, l'assoupirent tellement q
oi et voulant recommencer â souper, par obéissance, lui causèrent des mouvements de la tête jusqu'à terre, continuellement comme a
nde, et rotant incessam-ment'.....» A côté des attaques de « grands mouvements » nous trouvons signalées des attaques de létharg
u à la porte des Carmes où il entrait en procession, elle éprouva des mouvements déré-glés dans son âme et dans son corps, ces per
ons, pour ce que par le rituel l'exorciste est averti de demander les mouvements de l'esprit et du corps de la possédée dans l'ins
le nez plusieurs fois, ce semblait par mépris et dérision, a fait des mouvements lascifs, réitéré plusieurs fois une parole sale.
ladite supérieure, la-quelle a eu beaucoup de convulsions, et eu des mouvements très violents, s'est efforcée de prendre le saint
s défaut... Enfin, ces troubles cérébraux s'accompagnaient parfois de mouvements convulsifs, de contractures, de secousses de tout
le de faire fente et contrefente, tomber en convulsion et y faire des mouvements , les uns d'une sorte, les autres d'une autre, et
et particulièrement contre le saint sacrement, que chansons lascives, mouvements étranges de toute sorte de nature, convulsions, c
sa source dans un développement inso-litedeladeuxièmepériode (grands mouvements et contorsions) (voy.p. 303). On ne saurait en
dans les passages suivants. A côté de la violence inouïe des grands mouvements , nous retrouverons l'étrangeté et la variété infi
cercle ne manque pas d'être signalé. « 0 bon Dieu! quels étonnants mouvements , quelles étranges contorsions, quels furieux roul
ront passer toutes ces convulsions pour maladie, et tous ces étranges mouvements et roulements pour gentillesses de bateleurs. Mai
oix, et que d'autres fois, outre cela, elles aient ressenti le propre mouvement de leur démon trois ou quatre fois par jour ^. »
en la sœur du Sauveur, que possède Asmodée, qui parmi cent étrangers mouvements corporels s'est trouvée bien souvent toute pliée
n, des plus horribles contorsions et convulsions, et des plus furieux mouvements , de toutes sortes de renversement d'yeux, suspens
suivit de dix années celles de Louviers, Varc de cercle et les grands mouvements sont ainsi décrits : « Elles (les possédées) on
la poitrine, et puis la gorge ; mais ces trois derniers, par un grand mouvement de dUatation ; et tous ces sept mouvements produi
rois derniers, par un grand mouvement de dUatation ; et tous ces sept mouvements produits et entresuivis en aussi peu de temps, qu
dans un assoupissement étrange, les yeux fermés, le corps sans aucun mouvement et comme sans vie : on lui remuait les bras comme
erre dans un assoupissement étrange; ayant les yeux fermés sans aucun mouvement , on lui re-muait les bras et les jambes comme si
bras en haut ; avaient l'air de recevoir quelque chose, faisaient les mouvements de quelqu'un qui ouvre et ht une lettre : cette p
t maladif, sont maigres, nonchalantes, peuvent à peine faire quelques mouvements , ou bien sont d'une agitation excessive et mal ré
ite plus amples, et ne paraissent bientôt plus qu'une exagération des mouvements physiologiques; la pupille se dilate et se resser
lle se dilate et se resserre tour à tour, et les yeux participent aux mouvements généraux. A ce moment, les malades dont l'aspec
lées de salive; ce qui a fait dire que les malades écumaient. » Les mouvements , bornés d'abord aux parties supérieures, gagnent
lle finisse avant que la personne se soit éloignée : dans ce cas, les mouvements convulsifs ne sont cependant pas continus; après
un moment de repos pour se réparer. » Après le grand désordre, les mouvements deviennent peu à peu moins ra-pides, quelques gaz
presque exclusivement formés aux dépens des phénomènes variés (grands mouvements et contorsions) de la deuxième période de la gran
ne dit le moindre mot ou ne fait le moindre geste obscène; dans leurs mouvements les plus désordonnés, jamais elles ne se découvre
ée, est celle dont les crises ifférent le plus. Elle n'a point de ces mouvements cloniques généraux qui se oient chez toutes les a
va s'asseoir, et se met à balancer la tête d'arrière en avant; les mouvements lents et peu étendus d'abord, vont toujours s'acc
t et régulièrement frapper le dos et la poitrine. Par intervalles, le mouvement s'arrête un instant et les muscles contractés mai
de attaque (période épilepto'ide et période des contorsions et grands mouvements ), pendant que les différences existent surtout da
prendre quelque nourriture avaient pour effet « de la jeter dans des mouvements convulsifs si violents qu'on avait bien de la pei
ps déjà, se prononce du côté gauche... « dès lors il ne reste plus ni mouvement , ni sentiment dans le bras de ce côté (gauche) :
de elle paraissait morte, n'ayant aucun sentiment et ne faisant aucun mouvement que quelques tressaillements de temps en temps qu
t l'on vit un air de souffrance peint sur son visage et dans tous ses mouvements , qui me faisaient une peine extrême; mais, au sur
e connaissance..... Après ces agitations notre ago-nisante resta sans mouvements pendant près d'une heure ayant tout l'air d'une p
entendait craquer ses os et ses nerfs avec un si grand bruit, el ses mouvements étaient si violents que les personnes qui la tena
osèrent. Pendant que j'y fus j'éprouvai des douleurs affreuses et des mouvements si violents que les assistants crurent que je t
e qu'on me transportât dans fé-glise. Dès que j'y fus la violence des mouvements recommença, cependant l'usage de ma langue me f
près y avoir resté environ un quart d'heure en prière, il me prit des mouvements qui firent dire à tous ceux qui étaient auprès de
e pour me faire passage et retirer; et cette appréhension d'avoir des mouvements convulsifs me donna des forces qui ne m'é-taient
onnes réunies avaient de la peine â me contenir. Dans le cours de ces mouvements violents qui étaient de véritables convulsions, j
ue de semblables attaques convulsives ne saurait échapper. Les grands mouvements de la deuxième période en font les frais. Nous tr
peut reconnaître après la phase épileptoïde la description des grands mouvements rhythmiques. Dans un rapport fait, le 2 avril 1
demoiselle Fourcroy ci-dessus nommée a été considérablement agitée de mouvements convulsifs qui ont commencé par des bâillements e
ent et avec précipitation sur le lit oii elle était étendue. Tous ces mouvements différents ont duré environ un bon quart d'heure,
quart heure après, elle est retombée en notre présence dans les mêmes mouvements convulsifs qui nous ont été annoncés par un pouls
; U ne nous a pas été possible de toucher le pouls pendant ces grands mouvements . Après qu'ils ont été passés, il s'est élevé et e
sement des nerfs, suivi par un tremblement de tous les membres. « Les mouvements convulsifs que j'ai eus, sans perdre con-naissanc
les carreaux ou le marbre du tombeau. Je n'aurais pas pu empêcher ces mouvements . Quelquefois, la tète me branlait et tournait a
pivot... Les personnes qui me tenaient étaient obligées de suivre les mouvements de la con-vulsion... Les douleurs que je souffrai
alors très gênée et dans un lieu trop étroit pour qu'on pût suivre le mouvement de mes convulsions, je souf-frais plus qu'à l'ord
mes genoux battaient le dessous du marbre avec violence... Les mêmes mouvements se passaient à la maison avec cette dif-férence q
où je perdais connaissance, mes yeux se renversaient, et que tous les mouvements dont j'ai parlé ci-dessus avaient beaucoup plus d
e dans son appartement, elle se met à faire inalgré elle des violents mouvements des bras, des jambes, de toutes les parties qui s
on la trouva dans ses agitations ordinaires, faisant toutes sortes de mouvements indécents, disant qu'il n'y avait aucune partie d
ait encore ailleurs ces mêmes agitations; ce qu'elle marquait par des mouvements extérieurs qu'elle faisait et qui causaient de l'
e cours de cette môme matinée, « elle continua ses contorsions et ses mouvements , frappant toujours avec ses mains sur ses mamelle
évenet allait expirer. Pendant près de quatre heures, elle resta sans mouvement , les dents serrées, le visage'etles mains glacés,
le souffle respiratoire; au sortir de cette extase, elle éprouva des mouvements convulsifs. Le 4 octobre, craignant elle-même u
e foi à l'église catholique... et ede n'éprouva plus ni agitation, ni mouvements , ne conservant qu'un esprit sain*. La nuit du 5
montraient de préférence sous forme d'accès isolés dans lesquels les mouvements convulsifs n'avaient plus qu'une place secondaire
a été facile à ceux qui ont examiné avec attention tous leurs divers mouvements ou leurs différents gestes, d'y recon-naître que
dont ils les ont accompagnés, avec des impressions semblables et des mouvements pareils qu'on avait remarqués en euxlorsqu'ds pro
t restés deux ou même trois jours de suhe les yeux ouverts sans aucun mouvement , ayant le visage très pâle, tout le corps in-sens
droits d'où le sang et les esprits peuvent recevoir plus de force, de mouvement et d'impétuosité? Car tels sont le dos et les rei
rhy-thmique, chorée saltaloire, rolatoire, malléatoire, imitairt les mouvements d'un joueur de violon, etc., etc. Voici le récit
ait au moins cinquante tours à la minute. » D'autres dansaient « d'un mouvement qui ne manquait pas de grâce et de charme, mais d
autres couraient avec une étonnante vitesse; on en voyait imiter les mouvements d'un joueur de violon ; d'autres encore aboyaient
rent, en ce mo-ment, dans toutes les parties du temple ; il se fit un mouvement léger d'abord, mais qui prit par degrés, un carac
entôt cette posture pour d'autres qui laissassent plus de liberté aux mouvements convulsifs de leurs membres, et bientôt je n'eus
jambes s'agitant pêle-mêle sur le sol. Telle était la violence de ces mouvements que je craignais à chaque instant quelque acciden
enait de temps en temps se mêler à cet épouvantable vacarme; mais les mouvements convulsifs des pauvres maniaques n'en devenaient
devant quelque horrible vision, e'ie tomba enfin, sans force et sans mouvement , comme morte. » « Presque toutes les jeunes fil
lieu, sont jetés à terre soudainement, et tombent sans force et sans mouvement comme s'ils avaient été atteints d'un coup de fus
naires prennent part, est le-suivant : Il n'est pas un geste, [)as un mouvement de la tète ou des mains de l'in-spirée qui ne soi
s de tout âge et des deux sexes furent prises sans distinction de ces mouvements involon-taires. De là, la maladie « s'étendit rap
, mais aussi des incroyants et des impies qui faisaient opposition au mouvement revivaliste. « Les personnes qu'un simple sentime
troubler. Je ne remarquai en elle, pendant des heures entières, aucun mouvement , excepté celui produit par une respiration presqu
la reproduit en la méditant, sans savoir ce qu'elle fait. D'abord le mouvement quila soulève est doux et régulier; mais à mesure
rentes phases de l'accès; le plus souvent, il y a liberté entière des mouvements , mais,à certains moments, on observe soit de la c
tres-saillements et d'un cri étouffé. Quelquefois le tronc exécute un mouvement de ro-tation lent, et les yeux se meuvent comme p
e soulève avec un certaine lenteur, puis brusquement, et comme par un mouvement de projection, elle tombe la face contre terre. D
et la robe les recouvre jusqu'au talon. A trois heures, elle fait un mouvement brusque; les membres supérieurs s'étendent transv
lencieuse et calme qu'il faut une grande attention pour en suivre les mouvements ; la circulation se fait comme à l'état de veille
nne absorbée dans une contemplation profonde. Elle n'exécute d'autres mouvements que ceux qui sont en rapport avec les scènes auxq
r un sourire ou le front se plisse profondément. Quand on imprime des mouvements aux membres, le résultat est variable; tantôt ils
x ou en approcher avec rapidité une lumière vive sans provoquer aucun mouvement des paupières ou du globe oculaire lui-même. ..
cile, les battements sont de cent-viugt à cent-trente par minute. Les mouvements res-piratoires deviennent de plus en plus faibles
bassin sont moindres, on incline plus ou moins la pelote au moyen du mouvement de rotation (BB') et l'on fixe solidement l'appar
ments sans gêner la marche et entraver en quoi que ce soit les divers mouvements . C'est ainsi que les malades de la Salpêtrière en
...................................... 46 a) . — Phase tonique avec mouvements ............................ -47 b) . — Phase to
p. III. ~ Deuxième période. — Période des contorsions et des grands mouvements (clovrnisme).....................................
attitudes illogiques................... 73 § 2. — Phase des grands mouvements ............................... 83 § 3. — État m
opsie...................................... 134 ^5 3. — Troubles du mouvement .................................... 141 Chap. V
u attaque démoniaque.................. 303 § 2. — Attaque de grands mouvements ou attaque de clownisme......... 310 Ghap. III.
ouve-ments (c/onisTOe); lisez : Période des contorsions et des grands mouvements (clownisme). Page 73, ligne 8. — Au lieu de : n
z :nom pitto-resque de clownisme. Page 196, ligne 17. —Au lieu de : Mouvement médical, 1872, page 203; lisez : Mouvement médica
6, ligne 17. —Au lieu de : Mouvement médical, 1872, page 203; lisez : Mouvement médical 1872, page 303. Page 274, dernière lign
3 (1934) Oeuvre scientifique
nde valeur sémiologique. La paralysie, c'est-à-dire la privation du mouvement volontaire, constitue un trouble de ce genre, à
it involontairement le malade atteint de paralysie radiale, dans un mouvement énergique de flexion de l'avant-bras sur le bra
antérieure du bras et celle du long supinateur ; faites exécuter ce mouvement au malade en question et vous constaterez que l
ysé, parce qu'alors le globe oculaire du côté normal se met seul en mouvement ; or ce strabisme ne peut être réalisé par une
ur la tonicité musculaire et qu'elle est incapable de dissocier les mouvements bino- culaires. Cette perturbation dans la syne
nostic, dans les paralysies des nerfs moteurs, à la dissociation de mouvements qui, à l'état normal, s'opèrent d'une manière s
que cette paralysie n'est pas psychique, car cette dissociation de mouvements , cette variété d'asynergie est impossible à imite
troi- sième paire la pupille est immobile, ce qui signifie que ses mouvements réflexes font défaut. Mais l'abolition du réfle
; par- fois elle est associée à du myosis et à une conservation du mouvement de la pupille, qui à l'état normal coïncide ave
aralysie double de l'accommodation, coïncidant avec l'intégrité des mouvements pupillaires. On pourrait, à la vérité, feindre
e de l'hémiplégie hystérique; ce sont l'hypotonicité musculaire, le mouvement combiné de flexion de la cuisse et du bassin, l
os orteil, au lieu de se fléchir sur le métatarse, exécute alors un mouvement d'extension quand on excite la INTRODUCTION t L
percussion du tendon de la rotule, exécuter volontairement un fort mouvement d'extension de la jambe sur la cuisse et donner
s rotuliens sont exagérés ou normaux, est en mesure de s'opposer au mouvement qui doit suivre la percussion du tendon en raid
es à l'aide de gestes en faisant exécuter à son membre inférieur un mouvement brusque et saccadé, image des élancements qu'il
e idée, c'est que cette personne avait eu autrefois des crises avec mouvements clowniques et arc de cercle. Or il y avait alor
des corps chauds et des corps froids ; ensuite je fais exécuter des mouvements passifs aux segments des membres supérieurs et de
ment le médecin. Celui-ci, bien qu'ayant constaté la conservation des mouvements des membres inférieurs et l'absence de troubles
sur la jambe, mais les orteils, au lieu de se fléchir, exécutent un mouvement d'extension sur le métatarse. Il m'a été donn
sur des sujets qui pouvaient encore faire exécuter aux orteils des mouvements volontaires; mais je dois ajouter que ce troubl
as de paraplégie crurale due à une lésion organique de la moelle un mouvement d'extension des orteils à la 28 SÉMIOLOGIE su
aison, la réalité d'un trouble est moins manifeste. En résumé, le mouvement réflexe consécutif à la piqûre de la plante du
xcitation de la plante du pied provoque ordinairement, entre autres mouvements réflexes, tels que la flexion du pied sur la jamb
iles, mais et c'est là un point essentiel jamais ils n'exécutent de mouvement d'extension ; cela s'applique principalement au
lier du gros orteil. Je désigne cette modification dans la forme du mouvement réflexe sous la dénomi- nation de phénomène des
mène des orteils. En général, ce n'est pas seulement par le sens du mouvement que le réflexe normal diffère du réflexe pathol
re connaître la technique qu'il faut employer pour bien observer le mouvement réflexe des orteils. Il importe que les muscles
tation est nécessaire chez certains sujets pour faire apparaître un mouvement réflexe des orteils ; mais, par contre, il donne
ils ; mais, par contre, il donne lieu chez d'autres individus à des mouvements si vifs des divers segments du membre infé- rie
est difficile de les analyser ; en pareille conjoncture, le sens du mouvement des orteils peut être impossible à déterminer, et
is de se demander s'il s'agit bien d'un mou- vement réflexe ou d'un mouvement volontaire, question importante à résoudre, car
lantaire ne se manifeste jamais par une exten- sion des orteils, ce mouvement pourrait être exécuté consécutivement à la piqû
x vous signaler. Les orteils suivent nécessairement le pied dans le mouvement de flexion qu'il exécute sur la jambe à la suit
e ; si donc PHÉNOMÈNE DES ORTEILS ET SA VALEUR SÉMIOLOGIQUE 31 le mouvement de flexion sur le métatarse fait défaut, ainsi qu
donner à un observateur inattentif l'illusion qu'ils exé- cutent un mouvement d'extension sur le métatarse. Pour éviter cette c
oncée au membre supérieur qu'au membre inférieur ; toute- fois, les mouvements volitionnels des orteils sont presque complètemen
ceux que nous avons relevés chez la malade précédente, sauf que les mouvements voli- tionnels des orteils sont assez étendus,
de nature organique. Comme dans le premier cas, on constate ici un mouvement réflexe normal du côté droit et une extension des
me sujet à des crises d'épilepsie jackson- nienne, chez lequel, les mouvements convulsifs occupaient le côté gauche du corps.
aison du siège de l'amyotrophie, dans l'impossibilité d'exécuter de mouvement volitionnel ou de mouvement réflexe de flexion.
hie, dans l'impossibilité d'exécuter de mouvement volitionnel ou de mouvement réflexe de flexion. Le phénomène des orteils ma
ne M. Cestan, l'excitation de la plante du pied ne provoquait aucun mouvement des orteils. Chez l'un des sujets la lésion siége
ner avant de déterminer celle qui favorise le mieux l'apparition du mouvement réflexe. ! i" J'en arrive à la percussion. Elle n
xion de l'avant-bras par la percussion du tendon du biceps, mais le mouvement de flexion est généralement moins pro- noncé, p
st l'extrémité inférieure du radius dont la percussion détermine le mouvement réflexe de flexion le plus éner- gique. Là rési
position que pour la recherche du réflexe de flexion. On obtient le mouvement de pronation soit en percutant la partie antéro-i
de l'extrémité inférieure du radius, outre le réflexe constant, un mouvement réflexe de flexion de la main et des doigts. Te
ent des réflexes moyens ou faibles non seulement par l'amplitude du mouvement provoqué, mais encore par divers autres caractère
tendons, exé- cutent presque inconsciemment, à la suite du choc, un mouvement voli- tionnel susceptible d'être pris pour une
on arrive aisément à distinguer du réflexe « légitime » le « faux » mouvement réflexe. Outre que la forme de ce dernier n'est p
ovoque une contraction idio- musculaire qui peut en imposer pour un mouvement réflexe. Semblable confusion est parfois commis
de l'excitation de la peau dans la zone du tendon du quadriceps, un mouvement réflexe qu'un observateur superficiel risquera de
it sur ses gardes, on ne tombera pas dans une pareille méprise : le mouvement réflexe de défense, à l'état pathologique, est
gique, est généralement plus lent et d'une durée plus longue que le mouvement tendino-réflexe ; il envahit des groupes muscul
e est partielle, peut avoir pour conséquence une transformation des mouvements consécutifs à la percussion des tendons et des
- logique, lorsque le réflexe d'extension est aboli ou affaibli, le mouvement réflexe de flexion apparaît, même quand le choc
gne parfois d'une flexion de la main et des doigts; mais ce dernier mouvement , chez l'individu sain, a une intensité qui est
tion.) En traitant de l'irréflectivité, j'ai fait remarquer que des mouvements volontaires sont capables de masquer cet état p
n expérience à étendre le pied sur la jambe et à résister un peu au mouvement de flexion que l'expérimentateur cherche à lui
ermis d'interpréter, avec M. Yoshimura, de Tokio, l'inversion de ce mouvement : l'exagération des réflexes osso- tendineux du
tion de la peau à la partie supéro-interne de la cuisse provoque un mouvement du testicule de bas en haut ; c'est le réflexe cr
ipalement par une flexion du pied, de la jambe et de la cuisse ; ce mouvement est brusque, de faible amplitude et de très cou
les réflexes abdominaux, la contraction réflexe du fascia lata, le mouvement réflexe de flexion des orteils, et, d'autre par
le mouvement réflexe de flexion des orteils, et, d'autre part, les mouvements réflexes de flexion du pied, de la jambe et de
utrement. Dans certaines affections du système nerveux central, les mouvements réflexes de flexion du pied, de la jambe et de
mination dont se sont servis les physiologistes pour dési- gner les mouvements réflexes qu'on observe chez l'animal et qui sont
ères principaux qui permettent de la distinguer : l'am- plitude des mouvements est plus grande, la durée de la contraction plus
secondes, davantage même, surtout si l'excitation qui a provoqué le mouvement est continue, et il est possible quelquefois de
e tronc. En outre, il est à remarquer que le plus ordinairement ces mouvements s'accomplissent avec plus de len- teur qu'à l'é
n- teur qu'à l'état normal ; ils sont, à cet égard, comparables aux mouvements réflexes d'extension et d'abduction des orteils
'un phénomène réflexe car cette flexion fait partie d'un cortège de mouvements manifestement volontaires. b) Le sujet étant
u du tronc, au lieu d'un mou- vement de flexion, peut déterminer un mouvement d'extension. Je ne fais que signaler ce fait. 7
nception, soutient que ces réflexes dif- fèrent essentiellement des mouvement alternatifs du « stepping reflex » qui sont rythm
reflex » (« tentative d'éloigner la source de la dou- leur par des mouvements de défense active, à la façon de la grenouille qu
dissocier ces deux phénomènes. En effet, chez l'adulte normal, les mouvements réflexes de flexion du pied, de la jambe et de
s réflexes abdomi- naux et le réflexe crémastérien sont abolis ; le mouvement réflexe de flexion des orteils est remplacé par
ne bande élas- tique peut amener transitoirement la réapparition du mouvement réflexe de flexion des orteils. Ces diverses ob
rtie de contractions involontaires lentes constituant de véritables mouvements spasmodiques, et, à la phase de début, les trou
bres supérieurs, où elle offre les mêmes caractères : rigidité avec mouvements spasmodiques, affaiblis- sement ou abolition po
t couramment aujourd'hui pour le diagnostic (phénomène des orteils, mouvement combiné de flexion de la cuisse et du bassin, s
volontairement. à la suite de la percussion du tendon rotulien, un mouvement plus énergique du côté malade que du côté sain
Revue neurologique, 1900, il. 771. V (WO.PZG'7 ? MCMF ORGANIQUE. MOUVEMENTS ACTIFS ET MOUVEMENTS PASSIFS. [J. BABINSKI.
00, il. 771. V (WO.PZG'7 ? MCMF ORGANIQUE. MOUVEMENTS ACTIFS ET MOUVEMENTS PASSIFS. [J. BABINSKI. Publié dans les compte
son corps : s'observant plus attentivement, il constata alors que les mouvements des divers segments du membre supérieur gauche
pas soulever le bras malade aussi facilement qu'à l'état normal, ce mouvement provoquant une légère douleur. L'avant-bras éta
nément les doigts sur la main et l'avant-bras sur le bras, mais ces mouvements sont très faibles, très limités et, au point de
ieurs secous- ses consécutives, ce qu'on n'observe pas à droite. Le mouvement réflexe de flexion de l'avant-bras sur le bras
s peu et on observe comme une inversion dans les rapports entre les mouvements du membre inférieur et ceux du membre supérieur
le malade, vu du côté gauche, semble aller l'amble ; en réalité le mouvement en avant du bras n'est que la conséquence d'une
, les membres supérieurs s'écartent du tronc ; mais du côté gauche le mouvement est bien plus étendu ; de plus, le membre paral
remémorer quelques no- tions de physiologie. Je rappellerai que les mouvements du corps et des parties qui le composent peuven
indépendante de l'appareil neuro-musculaire et venue du dehors. Les mouvements de la première catégorie sont qualifiés d'actifs;
tifs; on appelle passifs ceux de la deuxième. go SEMIOLOGIE Les mouvements actifs, si on les envisage dans les actes volitio
dans un acte le rôle fondamental. Dans la marche, par exemple, les mouvements des membres inférieurs et du tronc constituent
, les mouvements des membres inférieurs et du tronc constituent les mouvements essentiels ; on doit considérer comme accessoir
es mouvements essentiels ; on doit considérer comme accessoires les mouvements des membres supérieurs qui s'associent générale
consistent en un balancement du bras se faisant en sens inverse du mouvement de va-et-vient de la cuisse. Je ferai remarqu
e va-et-vient de la cuisse. Je ferai remarquer ensuite que si les mouvements spontanés expriment de la manière la plus éclat
pas la seule manifestation; cette activité apparaît encore dans les mouvements passifs qui sont plus ou moins modifiés par son
e le laisse retomber comme inerte, en lui faisant exécuter ainsi un mouvement passif; si, comme cela arrive souvent, le membr
rieur, s'il avait été complètement inerte, aurait dû, avant que son mouvement se soit arrêté, avoir subi des oscillations à la
A l'état normal l'activité musculaire trouble presque toujours les mouvements passifs et leur enlève leur pureté. Cela posé,
appelé l'at- tention. Il est naturel que le balancement du bras, mouvement accessoire fai- sant habituellement partie de l
ut dans la monoplégie brachiale organique qui doit frapper tous les mouvements actifs, qu'ils soient essentiels ou accessoires
s soient essentiels ou accessoires. L'augmentation de l'étendue des mouvements passifs, l'augmentation du nombre des oscillati
musculaire. En résumé, dans la paralysie organique, l'abolition des mouvements actifs, l'affranchissement et l'exagération des
tion des mouvements actifs, l'affranchissement et l'exagération des mouvements passifs sont des phénomènes connexes. ' VI
on du bassin sur les cuisses et du tronc sur le bassin constitue le mouvement principal et conscient, mais son accomplissemen
égulier nécessite l'extension préalable de la cuisse sur le bassin, mouvement qui est exécuté automatiquement, et dont on n'a
Il y a lieu de supposer que, dans une paralysie, ces deux ordres de mouvements peuvent être troublés. (') Voir à ce sujet : «
sir entre les doigts les lèvres et la joue, et de leur imprimer des mouvements passifs pour constater le relâchement musculair
du côté de la paralysie, comme dans la période de flaccidité. Les mouvements unilatéraux de la face sont plus difficilement ex
si, du reste, que le veut le simple bon sens. Il en est de même des mouvements bilatéraux, que l'hémiplégie soit à la période
re les divers troubles de motilité volontaire. Si, par exemple, les mouvements unilatéraux sont très affaiblis, l'impotence appa
ec netteté, du côté de l'hémiplégie, pendant l'exécution des divers mouvements bilatéraux synergiques; il va sans dire que ce pa
, entre les doigts, les lèvres et la joue et qu'on leur imprime des mouvements passifs, on constate ici une absence de relâche
, c'est-à-dire qu'elle ne porte que sur un ou plusieurs systèmes de mouvements volontaires que les muscles de la face sont app
ême façon dans l'acte de parler ou celui de siffler, tandis que les mouvements unilatéraux sont abolis d'un côté, que de ce cô
les mouvements unilatéraux sont abolis d'un côté, que de ce côté le mouvement d'élévation de la commis- sure labiale est tout
bouche toute grande, tantôt quand il fléchit la tête et s'oppose au mouvement d'extension qu'on cherche à lui imprimer, tantôt
lui imprimer, tantôt quand le malade siffle, souffle ou exécute des mouvements de déglutition. Je me hâte d'ajouter que tous l
tôt d'une parésie du peaucier du côté malade, qui apparaît dans les mouvements synergiques que les peauciers sont appelés à ac
uivante : lorsqu'on imprime à l'avant-bras placé en supina- tion un mouvement passif de flexion sur le bras et qu'on cherche à
pour se mettre sur son séant, du côté paralysé la cuisse exécute un mouvement de flexion sur le bassin et le talon se détache
4) ; en même temps, l'épaule du côté normal se porte en avant. Le mouvement que je viens de décrire se reproduit et peut être
). C'est surtout quand le malade se renverse avec brusquerie que le mouvement est prononcé. Quel est le mécanisme de ce mouve
usquerie que le mouvement est prononcé. Quel est le mécanisme de ce mouvement ? Pour comprendre l'interprétation que je propo
il faut d'abord ana- (') Pour plus de détails voir : « De quelques mouvements associés du membre inférieur paralysé dans l'hé
SÉMIOLOGIE lyser l'acte qui consiste à se mettre sur son séant. Le mouvement essentiel de cet acte est absolument conscient,
exerçant une traction de bas en haut. Ce phénomène, que j'ai appelé mouvement associé de la flexion de la cuisse dépendant, s
sme bien différent de celui qui appartient aux diverses variétés de mouvements associés qu'on a décrits dans l'hémiplégie, pou
la. cuisse et du tronc qui exprime simplement et avec précision le mouvement en question. Il est facile de comprendre pourqu
n le mouvement en question. Il est facile de comprendre pourquoi le mouvement de flexion de la cuisse se reproduit lorsque le
ettre que cette interprétation est juste, c'est que j'ai observé le mouvement de flexion combinée de la cuisse et du tronc da
ent appliquées sur le sol, chez les autres les cuisses exécutent un mouvement plus ou moins marqué de flexion sur le HÉMIPLÉG
STÉRIQUE mn bassin ; mais chez des sujets normaux, quand ce dernier mouvement se produit, il est à peu près égal des deux côt
ux côtés de légères différences au point de vue qui nous occupe, le mouvement de flexion combiné de la cuisse et du tronc ne
eux côtés, il est bien plus apparent d'un côté que de l'autre. Le mouvement de flexion combinée de la cuisse et du tronc impl
ou bien, quand il cherche à se mettre sur son séant, il exécute un mouvement de rotation autour d'un axe longitudinal passan
tion autour d'un axe longitudinal passant par le côté paralysé ; ce mouvement me parait être le résultat de l'action limitée
sujet normal, ou enfin il fait exécuter au tronc et aux membres des mouvements divers bien différents du mouvement de flexion
er au tronc et aux membres des mouvements divers bien différents du mouvement de flexion combinée de la cuisse et du tronc.
ne peut être dénaturée par des influences psychiques ; en effet, le mouvement d'un segment de membre, qui résulte de la percu
voir, que cette exagération des réflexes n'est qu'apparente, que le mouvement qu'on observe se compose de deux éléments qui r
présentent les effets de deux actes bien différents : d'une part un mouvement ayant une amplitude égale et une forme identiqu
d'un réflexe normal (réflexe tendineux légitime) et d'autre part un mouvement bien plus étendu, d'origine psychique (réflexe
, soit parce que le mode de contraction des muscles ou la nature du mouvement ne présente pas les caractères qui appartiennen
s qui appartiennent au réflexe tendineux légitime, soit parce qu'un mouvement analogue peut être obtenu par la percussion d'une
des cas d'hémiplégie hystérique que j'ai examinés j'ai constaté un mouvement réflexe consécutif à l'excitation de la peau de l
, chez quelques hystériques hémianesthésiques, je n'ai obtenu aucun mouvement apparent. Je ne pense pas qu'il s'agisse en parei
areil cas d'une véritable abolition du réflexe et je suppose que le mouvement réflexe est simplement masqué par une contracti
muscles de la paroi abdominale. Quoi qu'il en soit, l'absence de mouvement de la paroi abdominale à la suite d'une excitat
de vue du dia- gnostic, que l'abolition du réflexe abdominal. Les mouvements consécutifs à l'excitation de la plante du pied s
z l'adulte, l'excitation de la plante du pied provoque entre autres mouvements réflexes une flexion des orteils sur le métatar
mène des orteils » cette modification pathologique dans la forme du mouvement réflexe et j'en ai donné une description détaillé
té opposé à la para- lysie et il fait décrire au membre paralysé un mouvement de circumduction : « il fauche. » Rien de parei
ui tous deux paraissent dans l'impossi- bilité de faire exécuter un mouvement quelconque aux divers segments du membre supéri
a perdu la faculté d'évoquer les images motrices correspondant aux mouvements qu'il est incapable d'accomplir, ou bien que sa
e d'accomplir, ou bien que sa volonté se refuse à exécuter certains mouvements . Il est possible que chacune de ces deux interp
la paralysie hystérique n'atteint ni la tonicité musculaire, ni les mouvements réflexes, soit tendineux, soit cuta- nés, dont
nque dans l'hémiplégie hystérique. On sait que, dans la plupart des mouvements volontaires sinon dans tous, plusieurs muscles en
t d'une contraction volontaire unilatérale du peaucier, associée au mouvement d'ouverture de la bouche ou de flexion du cou.
qui consiste à se mettre sur son séant se compose de deux ordres de mouvements , l'un conscient, c'est la flexion du tronc et d
que le phénomène dont je m'occupe tient à une perturbation dans le mouvement subconscient, à la parésie des extenseurs de la
a cuisse. L'auto-suggestion ne doit guère avoir d'influence sur les mouvements inconscients ou subconscients; voilà pourquoi san
c manque dans l'hémiplégie hystérique. Néanmoins les deux ordres de mouvements qui composent l'acte que nous avons en vue pouv
agination, la volonté, la suggestion dissocient les divers modes de mouvements volontaires en abolissant exclusivement certain
ements volontaires en abolissant exclusivement certains systèmes de mouvements et qu'un agent sujet à de brusques variations d
La paralysie n'est pas systématique. Si, par exemple, à la face les mouvements unilatéraux sont très affaiblis, l'impotence
mou- vements bilatéraux synergiques. 3" La paralysie atteint les mouvements volontaires conscients, ainsi que les mou- ve
que ; il en est presque toujours ainsi à la face. Par exemple, les mouvements uni- latéraux de la face peuvent être complè-
ndant l'exécution des mouve- ments bilatéraux synergiques. 3° Les mouvements volontaires in- conscients ou subconscients ne
ien sont ordinairement, surtout au début, affaiblis ou abolis. Le mouvement réflexe des orteils consé- cutif à l'excitation
minal et le réflexe cré- mastérien sont ordinairement normaux. Le mouvement réflexe consécutif à l'excitation de la plante
dant était absolument inerte. Elle exécutait du côté droit tous les mouvements qu'on la priait d'accomplir. Quand on l'invitait
ce membre les uns sur les autres quand on en pique l'extrémité. Ce mouvement reproduit assez exactement celui qu'effectue, sou
extérieure, à se défendre. Le phénomène fut pour cela qualifié de « mouvement réflexe de défense », et l'usage a consacré cet
s critiques Q. Les physiologistes seuls s'occupèrent d'abord de ces mouvements par- ticuliers. Vulpian, Brown-Séquard C') sign
kom soutient à son tour que ces réflexes diffèrent essentiellement du mouvement alternatif du stcpping-roflex et les assimile a
s appelle « mouve- ments de fuite localisés » en les opposant aux « mouvements de fuite généralisés » du stepping-re0ev. Nous
ement très forts et dont les membres inférieurs sont privés de tout mouvement volitionnel. On peut les voir pourtant se remue
sse sur le bassin ; parfois une adduction de la cuisse s'ajoute aux mouvements pré- cédents. L'attitude que ces mouvements imp
la cuisse s'ajoute aux mouvements pré- cédents. L'attitude que ces mouvements impriment à l'ensemble du membre inférieur ne d
e membre préalablement fléchi (Marie et Foix). Habituellement, le mouvement réflexe, à l'état pathologique, s'accomplit ave
flexion très prononcée de tous ses segments et amènera une série de mouvements alternatifs de flexion forte et d'extension ; tan
is que parfois le genou et la hanche participeront à la flexion, le mouvement restant simplement ébauché dans les trois articul
server aussi aux membres supé- rieurs ; ils consistent également en mouvements de retrait ou d'allonge- ment, souvent combinés
à de la pronation de l'avant-bras et de l'adduc- tion du bras. Ces mouvements peuvent présenter des modalités diverses comme
ont plus souvent que ceux-ci localisés à un seul côté. Les grands mouvements des membres, qui s'imposent surtout à l'attenti
i thoracique produit des spasmes respiratoires brusques. Ces divers mouvements se font généralement en même temps que ceux des
ori, l'expression de réflexe de défense parait convenir surtout aux mouvements des membres ; il est certain cependant que les co
mais négliger en pareil cas('). (') Je dois faire remarquer que les mouvements spasmodiques qui se produisent d'une manière «
e nous l'avons déjà indiqué, sont identiques quant à leur forme aux mouvements réflexes de défense « provoqués » ; évidemment, c
rmal, en excitant la région plantaire on peut obtenir, entre autres mouvements réflexes, une flexion du pied, de la jambe et de
ouvent possible de reconnaître la surréflectivité à l'amplitude des mouvements réflexes, mais il est parfois difficile de se f
on des réflexes de défense, car dans les mêmes conditions un pareil mouvement ne se produit pas à l'état normal. Je rappell
en d'autres parties du membre inférieur, et j'ai constaté les mômes mouvements réflexes... « Rien n'autorise donc à soutenir q
qui entrainent, jusqu'au moment où le réservoir se vide, de grands mouvements de défense quasi incessants. (1) NeIll'. Genlra
1' « Unterschenkelsreflex » de cet auteur on fait abstrac- tion du mouvement du gros orteil, on voit que le phénomène d'Oppenh
tégument du dos du pied ou de la jambe provo- que simultanément un mouvement de retrait du membre inférieur et une flexion p
t en 1 ploc) comme manifestations d' « hyperki- nésie réflexe » des mouvements provoqués par le pincement de la peau, la press
es malades ayant conservé en partie leur motilité volitionnelle, un mouvement volontaire pourrait faire prendre le change et
sidéré à tort pour un réflexe de défense. Chez d'autres malades, un mouvement spasmodique « spontané » risque d'être attribué à
ez ultérieurement pourquoi je la fais) et me bornant à observer les mouvements exécutés par le pied, la jambe et la cuisse. Voic
secondes, davantage même, surtout si l'excitation qui a provoqué le mouvement est continue, et il est possible quelquefois de
s cas, tandis que l'excitation du pied et de la jambe donne lieu au mouvement habituel, c'est-à-dire à la triple flexion, 128
la jambe en flexion, laquelle était immédiatement suivie d'un fort mouvement en sens inverse qui ramenait la jambe en extens
i ramenait la jambe en extension. Parfois, quel que soit le sens du mouvement , flexion ou extension, on constate des contractio
muscles de groupes opposés, et l'on peut concevoir que le sens du mouvement soit conditionné en partie par la position où se
rences en ce qui concerne l'intensité des réflexes, l'amplitude des mouvements . Tantôt, le moindre attouchement de la peau d'u
flexion très prononcée de tous ses segments et amènera une série de mouvements alternatifs de flexion et d'extension; tantôt,
rottement avec une épingle est souvent suivie, élimination faite du mouvement des orteils sur lequel je reviendrai ultérieureme
flexion du pied, de la jambe et de la cuisse. Ce sont là les mêmes mouvements que ceux qu'on observe à l'état pathologique. M
hologiques seraient exposés à des erreurs ; ajoutons à cela que ces mouvements n'ont pas toujours la lenteur ci-dessus décrite.
que du membre, hors de la plante du pied, si elle peut provoquer un mouvement de flexion de la cuisse et de la jambe, ne donn
diffèrent d'habitude des réac- tions réflexes par les caractères du mouvement , ainsi que par ce fait que la contraction spéci
ent nos collègues, le signe de Babinski appartient à l'ensemble des mouvements automatiques complexes dont le mécanisme est un
lé. Dans ce cas, c'est la flexion du gros orteil qui fait partie du mouvement général de retrait, et pourtant l'extension pat
sur une observation qui est un type de paraplégie en flexion, avec mouvements spasmodiques intermittents accentuant la flexion
ne bande élastique peut amener transi- toirement la réapparition du mouvement réflexe de flexion des orteils ; or le pied peu
flexion des orteils ; or le pied peut contiuner alors à exécuter un mouvement réflexe en flexion. MM. Marie et Foix, dans un
ion sanguine, le réflexe en flexion remplacer pour quelque temps le mouvement réflexe précédent. Il m'est arrivé alors d'obse
flexe normal en flexion et le réflexe pathologique en extension, le mouvement des orteils est nul ou même en flexion, le sign
membre les uns sur les autres quand on en pique l'extrémité. , Ce mouvement reproduit assez exactement celui qu'effectue, sou
extérieure, à se défendre. Le phénomène fut pour cela qualifié de « mouvement réflexe de défense », et l'usage a consacré cet
e dénominaton. Les physiologistes seuls s'occupèrent d'abord de ces mouvements par- ticuliers. Vulpian, Brown-Séquard signalen
ions atteignant le système pyramidal ; il se sert de ces termes : « mouvement de retrait brusque de tout le membre : flexion du
jambe, de la jambe sur la cuisse, de la cuisse sur le bassin, avec mouvements d'adduction de la cuisse. » . Je reviens sur ce
906 (Neurologisches Centralblatt, p. 290) a publié une note sur les mouvements réflexes produits par la manoeuvre qui consiste
es malades ayant conservé en partie leur motilité volitionnelle, un mouvement volontaire pourrait faire prendre le change et
sidéré à tort pour un réflexe de défense. Chez d'autres malades, un mouvement spasmodique « spontané » risque d'être attribué à
n'est pas toujours égale à elle-même et peut être diminuée par des mouvements passifs. De plus, la contracture en exten- (1)
LEXES DE DÉFENSE if,i sion est entrecoupée de temps à autre par des mouvements spasmodiques involontaires qui déplacent brusqu
'excitation d'un des membres inférieurs peut déter- miner aussi des mouvement réflexes dans l'autre membre, que j'ai seu- lem
emi. Réapparition des réflexes tendineux; extension du gros orteil; mouvements automatiques spontanés extrêmement intenses, mo
ros orteil; mouvements automatiques spontanés extrêmement intenses, mouvements de défense très vifs, mictions réflexes et spon
lexes 52 jours après l'examen précédent, nous trouvons ceci : « Les mouvements de défense sont toujours très accusés. Le pinceme
travail déjà cité. Voici le passage qui s'y rapporte : « Les grands mouvements des membres, qui s'imposent surtout à l'attenti
i thoracique produit des spasmes respiratoires brusques. Ces divers mouvements se font généralement en même temps que ceux des
lésions spécifiques, paraplégie très grave, mais dans laquelle les mouvements volontaires n'étaient pas complètement abolis;
sères déchaînées par la catastrophe mondiale. Quelques mots sur les mouvements réflexes des membres supérieurs. Claude, dans u
ans mon article de i()'5. « Ils consistent également, disais-je, en mouvements de retrait ou d'allongement, souvent combinés à
s à de la pronation de l'avant- bras et de l'adduction du bras. Ces mouvements peuvent présenter des modalités diverses comme
e pincement de la peau de la face dorsale du pied ne provoque aucun mouvement ; l'excitation de la plante du pied détermine un
nt habituellement lentes; elles donnent lieu à des j48 SÉMIOLOGIE mouvements alternatifs de flexion et d'extension avec prédom
rtie de contractions involontaires lentes constituant de véritables mouvements spasmodiques, et, à la phase de début, les trou
ffre les RÉFLEXES DE DÉFENSE 14g mômes caractères : rigidité avec mouvements spasmodiques, affai- blissement ou abolition po
alternativement les deux côtés, faire exécuter à la main saine des mouvements en sens inverse : la main était-elle appliquée
e sont des réflexes ayant leur centre dans l'encéphale. Quant aux mouvements de la main vers la tête constatés chez les hémi-
sion reflex » de Philipson, ils arrivent à cette conclusion que les mouvements réflexes dits de défense sont des mouvements du
tte conclusion que les mouvements réflexes dits de défense sont des mouvements du même ordre que les mouvements du a stepping
réflexes dits de défense sont des mouvements du même ordre que les mouvements du a stepping reflex » et constituent des manifes
légères sans déplacement des divers segments du membre, et que les mouvements alternatifs rythmés qu'on observe chez le chien
ne les obtient que par l'excitation de la zone plantaire et que les mouvements sont plus rapides et moins amples. A l'état pat
une excitation peut déterminer, loin du point où elle a eu lieu, un mouvement de fuite ; c'est ainsi que la triple flexion pe
erne son mécanisme, de la triple flexion, à l'état physiologique le mouvement des orteils, la flexion, semble avoir une autre
d'une fuite localisée, d'une retraite en face d'une offensive ; ce mouvement de griffe vis-à-vis d'une agression constitue u
e terminer, un travail de M. Minkowski ayant pour titre : « Sur les mouvements , les réflexes et les réactions musculaires du f
nerveux. W Revue Neurologique, 1921, nos il et 12. X SUR LES MOUVEMENTS CONJUGUÉS [J. BABINSKI ET J. JARKOWSKI. Publi
oulons parler de la difficulté ou de l'impossibilité d'exécuter des mouvements élémentaires isolés. Lorsque le malade cherch
tanément d'une manière automatique et de telle façon que ces divers mouvements sont dans leur forme subor- donnés les uns aux
or- donnés les uns aux autres. Ceux-ci sont bien différents des « mouvements associés homolatéraux ». Pour les distinguer, n
Pour les distinguer, nous les désignerons sous la dénomination de « mouvements conjugués ». Nous nous bornerons, ici, à l'étud
« mouvements conjugués ». Nous nous bornerons, ici, à l'étude des mouvements conjugués aux membres inférieurs. Lorsque par
nomène apparaît avec plus de netteté si on oppose une résistance au mouvement que le malade veut exécuter. Inversement, la fl
d entraîne une flexion de la jambe et de la cuisse. Ainsi les trois mouvements élémen- taires de flexion sont, dans ces cas pa
our conséquence l'extension des deux autres ; ce sont là encore des mouvements conjugués dont le résultat est un « allongement
re inférieur. On voit donc que dans ces affections l'ordonnance des mouvements 160 SÉMIOLOGIE volitionnels peut être semblab
que les divers groupes musculaires dont la contraction provoque un mouvement conjugué ont dans la moelle des centres fonc- t
sme. Nous tâcherons de le démontrer en ana- lysant quelques-uns des mouvements conjugués. Voici un malade atteint de paraplégi
oportionnée à celle de la cuisse, et on a l'impression que ces deux mouvements ont une connexion d'ordre mécanique. L'action
lexion de la jambe. Nous voyons donc que, dans l'exemple choisi, le mouvement conjugué de flexion a pour cause première la te
t au groupe des extenseurs(=). Il n'en est pas de même lorsque le mouvement conjugué apparait à l'occasion de la flexion de
son rôle dans la production de ce phénomène n'est que secondaire. MOUVEMENTS CONJUGUES 161 du biceps, du demi-membraneux et
par l'aponé- vrose jambière. Il nous paraît inutile d'analyser le mouvement conjugué d'extension ; il a pour cause les même
omiques. Ajoutons que, dans le cas où la contracture est forte, les mouvements conjugués peuvent être obtenus par des déplacem
intervention volitionnelle du malade. Il est à remarquer que les mouvements conjugués existent aussi à l'état physiologique
ompagne d'une extension de la jambe. Mais, chez l'homme normal, les mouvements conjugués n'existent qu'en germe. Au contraire,
és n'existent qu'en germe. Au contraire, chez certains animaux, les mouvements conjugués sont à l'état normal aussi marqués que
isit entre deux doigts la cuisse et si on imprime à ce seg- ment un mouvement de flexion ou d'extension, on constate que la jam
ed se fléchissent ou s'étendent simultanément. On observe les mêmes mouvements , que l'animal soit vivant ou mort, ce qui prouve
firme ce que nous avons dit précédemment. En analysant les divers mouvements conjugués, nous avons indiqué les dispositions
s qui les déterminent. D'une manière générale, on peut dire que ces mouvements résultent de ce que certains muscles ont des co
ulations. Il nous reste à déterminer les causes pour lesquelles ces mouvements deviennent particulièrement apparents dans les
des antagonistes, condition essentielle pour l'accomplissement d'un mouvement élémentaire isolé. Mais les mouvements conjugué
pour l'accomplissement d'un mouvement élémentaire isolé. Mais les mouvements conjugués peuvent se manifester aussi dans les ca
parésie musculaire qui conduit le malade, cherchant à effectuer un mouvement isolé, à placer automatiquement le membre dans
écution de l'acte projeté ('). Il résulte de ce qui précède que les mouvements conjugués apportent aux fonctions motrices une
préciation des désordres moteurs, qui n'est pas à négliger. " Les mouvements conjugués constituant, pour une grande part au mo
euses. (1) Ce qui vient d'être dit permet de comprendre que, si les mouvements conjugués doivent être particulièrement apparen
vrier ig21 . Il peut être difficile parfois de distinguer, dans les mouvements consé- dits de défense ou d'automatisme médulla
dans cette étude, c'est que la distinction, en clinique, entre les mouvements réflexes et les mouvements volontaires est plus
e la distinction, en clinique, entre les mouvements réflexes et les mouvements volontaires est plus complexe qu'on ne le suppo
voir se produire, sous l'influence d'excitations périphériques, des mouvements réactionnels qui, sans ren- trer dans la catégo
s mouvements réactionnels qui, sans ren- trer dans la catégorie des mouvements réflexes dits de défense ou d'auto- matisme méd
éfense ou d'auto- matisme médullaire, et tout en se rapprochant des mouvements réaction- nels volontaires, sont cependant indé
endants de la volonté et, par conséquent, constituent de véritables mouvements réflexes. Nous allons exposer les observations
que, c'est-à-dire une flexion dorsale du pied lente et continue. Ce mouvement peut résulter d'excitations sur diverses parties
' Les excitations de la peau du côté droit ne sont suivies d'aucun mouvement du mem- bre inférieur de ce côté ; mais elles d
On ne comprendrait guère avec une pareille hypothèse ce fait que le mouvement réactionnel a lieu, non du côté excité, mais du c
si l'on considère le malade de l'observation III, que l'absence de mouvement du côté de la lésion est due à ce que les mouve
ue l'absence de mouvement du côté de la lésion est due à ce que les mouvements volontaires de ce côté sont extrêmement affaibl
e pour l'observation I, où SURRÉFLECTIVITÉ YPEALGES/()i7E 171 les mouvements volontaires sont presque normaux. Notre argument
il s'agit là d'une réaction motrice involontaire, c'est-à-dire d'un mouvement réflexe. Ces mouvements réflexes, sur lesquels
on motrice involontaire, c'est-à-dire d'un mouvement réflexe. Ces mouvements réflexes, sur lesquels nous appelons l'attention,
lesquels nous appelons l'attention, peuvent-ils être assimilés aux mouvements réflexes connus depuis bien longtemps et désign
gésie. b) Au lieu que les réflexes de défense se traduisent par des mouvements relativement lents et que la contraction muscul
iser, dans les phénomènes que nous envi- sageons on a affaire à des mouvements brusques, rapides. c) La flexion du pied qui co
nous les appellerons réflexes hyperalgésiques ; en outre, comme ces mouvements réflexes consistent en secousses d'une intensit
sultat soit par des excitations électriques provoquant d'énergiques mouvements réflexes de défense, soit par la constriction a
iée à une compres- sion de la moelle dans la région cervicale ; les mouvements des membres inférieurs sont complètement abolis
ppareil faradique des deux côtés du genou, elle exécute d'abord des mouvements de défense involontaires ; puis elle devient mo
lle devient momentanément capable d'accomplir, au commandement, des mouvements d'extension et de flexion de la jambe et de la
illeurs la seule dont la faradisation puisse faire réapparaître des mouvements volontaires. Cette réapparition de la motilité
que quelques minutes. Dans des cas de paraplégie incomplète, les mouvements volontaires peuvent augmenter notablement d'amp
ander si l'on n'est pas victime de quelque illusion ; ces prétendus mouvements volontaires ne seraient-ils pas simplement des
prétendus mouvements volontaires ne seraient-ils pas simplement des mouvements réflexes de défense ? Ce qui prouve qu'il n'en es
entateur est en mesure de lui faire accomplir, au commandement, des mouvements soit de flexion, soit d'extension, soit d'abduc
d'abduction, soit d'adduction, c'est enfin que quelques- uns de ces mouvements tels que l'abduction et l'adduction de la cuisse
ous semble très peu vrai- semblable ; en effet, la réapparition des mouvements volontaires, chez les divers malades sur lesque
es d'ailleurs, l'opération est alors d'autant plus tentante que les mouvements volitionnels provoqués par les manoeuvres que n
ionne le centre du réflexe d'une manière plus active ; de plus, les mouvements pupillaires réflexes obtenus à l'aide du procédé
ffaiblissement considérable du réflexe pupillaire à la lumière (les mouvements synergiques de la pupille étant conservés) est
et qui dépend J d'une perturbation de la faculté d'association des mouvements , la synergie musculaire ; cette perturbarion pe
tout à tait spécial ; la partie supérieure du corps ne suit pas le mouvement du membre inférieur et reste en arrière. Je sui
dans l'esprit que cet acte se compose de deux ordres principaux de mouvements donnant lieu, l'un au soulèvement du pied au-de
rmale de la marche implique l'intégrité des muscles qui opèrent ces mouvements et la synergie entre ces deux ordres de mouveme
qui opèrent ces mouvements et la synergie entre ces deux ordres de mouvements . ' Chez H. M., la force musculaire étant normal
phénomène dénote aussi un défaut dans la fonction d'association des mouvements du tronc et des membres inférieurs. En effet, dan
nt son équilibre... itDIAD aGas ! NÉS ! E (1) ... Comme type de mouvements successifs, on peut prendre l'acte qui consiste
l exécute aussi rapidement qu'un individu normal chacun de ces deux mouvements élémentaires : la pronation et la supination ;
nombre de fois en recommandant au malade de ne pas interrompre les mouvements . , Voici maintenant deux sujets atteints de scl
et dans les actes volitionnels nécessitant une succession rapide de mouvements (Diadococinésie). Revue neurologique, n° 21, }5
des membres inférieurs ; ce sont donc des cérébelleux. Or, pour les mouvements de pronation et de supidation. ils se comportent
est altérée. Comparez maintenant les deux côtés au point de vue des mouvements de pronation et de supination ; à droite, les m
de vue des mouvements de pronation et de supination ; à droite, les mouvements sont à peu près normaux ; à gauche, ils sont an
e chez un sujet en mesure d'exécuter, avec la rapidité normale, les mouvements élémen- taires, car il va sans dire qu'un indiv
car il va sans dire qu'un individu qui ne peut faire rapidement un mouvement isolé, soit de pronation, soit de supination, est
fortiori inca- pable d'accomplir une succession rapide de ces deux mouvements . Mais l'inverse est facile à concevoir ; en eff
st facile à concevoir ; en effet, la succession rapide de plusieurs mouvements implique la faculté d'arrêter brusquement une imp
te faculté puisse être troublée alors que l'exécution de chacun des mouvements élémentaires s'opère correc- tement. On est en
s de deux mots grecs, dont l'un signifie « successif » et l'autre « mouvement ». De même que le mot syncinésie, créé par Vul-
De même que le mot syncinésie, créé par Vul- pian, est synonyme de mouvement associé, de même ce mot de diadoco- cinésle ser
vement associé, de même ce mot de diadoco- cinésle sera synonyme de mouvement successif et, par extension, pourra désigner la
mécanisme que j'ai cherché à expliquer. permet l'accomplissement de mouvements successifs. XVII LES SYMPTOMES DES MALADIES D
chez l'homme, que dans les affections de l'appareil cérébelleux. MOUVEMENTS DEMESURES : HYPERMÉTRIE. Chez les malades attei
lades atteints d'affections cérébelleuses on peut constater que les mouvements volontaires, ou tout au moins certains mouvements
constater que les mouvements volontaires, ou tout au moins certains mouvements et dans certaines conditions, sont exécutés d'u
s qu'un sujet sain arrive aisé- ment, quelle que soit la vitesse du mouvement , à appliquer sans choc l'extrémité du doigt jus
nou du même côté. Puis on lui commande de retourner sa main, par un mouvement de supination, de telle façon que par sa face d
le elle vienne se poser exactement à la même place sur le genou. Ce mouvement , simple et facile pour un sujet normal, n'est pas
: l'avant-bras est entraîné en dedans de la cuisse, et, de plus, le mouvement de supination est plus ample qu'il ne convien-
imite fixée. On peut faire répéter cet exercice de droite à gauche, mouvement élémentaire moins habituel. On peut aussi faire
vient frapper le sol contre la fesse. On voit en quelle manière les mouvements exécutés dans ces deux pré- cédents exercices s
s troubles entre eux. Pour bien constater le caractère démesuré des mouvements il faut demander au cérébelleux d'exécuter ceux
rect, il peut y réussir. C'est qu'alors il se surveille, exécute le mouvement avec lenteur et circonspection. Souvent ses mou
e, exécute le mouvement avec lenteur et circonspection. Souvent ses mouvements spontanés ne sont pas déme- surés, parce qu'ils
ent ou par inadvertance. il veut accomplir avec promptitude quelque mouvement , celui-ci est plus ou moins démesuré. D'autre p
ser le but, ils usent d'artifice ; ils visent sur la trajectoire du mouvement un point en deçà du but. Mais dans leurs premie
t, l'observateur ne constate aucune différence dans la modalité des mouvements démesu- rés. La vue n'influe pas sur eux. C'est
vements démesu- rés. La vue n'influe pas sur eux. C'est là pour les mouvements démesurés cérébelleux un caractère différentiel
autre caractère, non moins important, complète la définition de ces mouvements . C'est que, d'une façon générale, le mouvement dé
a définition de ces mouvements. C'est que, d'une façon générale, le mouvement démesuré cérébelleux conserve sa direction, son
son trajet, dans la majeure partie de son trajet tout au moins, le mouvement , rapide, continu, est à peu près uniforme et orie
nt sur ces oscillations et sur celles que l'on observe au cours des mouvements spontanés. Nous insistons sur ce fait que les m
cours des mouvements spontanés. Nous insistons sur ce fait que les mouvements que nous venons de décrire sont, au pied de la
uvements que nous venons de décrire sont, au pied de la lettre, des mouvements démesurés. Leur carac- tère brusque ne suffit p
uffit pas à les définir. Déjà nous indiquions en 1906 qu'il est des mouvements que l'on appelle brusques, mais auxquels l'expr
ues, mais auxquels l'expression sans mesure conviendrait mieux ; un mouvement peut en effet être brusque, mais être en quelque
ais après l'avoir dépassé, en raison de son incapacité d'arrêter le mouvement à point. En 1909 nous avons plus expressément a
it que les malades cérébelleux que nous examinions présentaient des mouvements que l'épithète de brusque ne qualifiait pas suf
tuant un véritable symptôme, nous nous sommes servi de l'expression mouvements démesurés pour indiquer, sans confusion possibl
ces mouve- ments la mesure est dépassée. ... Peut-on observer des mouvements volontaires, à la fois rapides et démesurés, da
s, dans d'autres affections ? Et si oui, peut-on les distinguer des mouvements démesurés cérébelleux ? ' ? Au cours de l'ataxi
cours de l'ataxie qui se rencontre chez l'homme dans le tabes, les mouvements peuvent être brusques et sans mesure. Assurément,
que des désordres moteurs. La parole est lente et interrompue. Les mouvements des membres supérieurs sont maladroits, manquan
arche avec les jambes écartées, en oscillant continuellement et ses mouvements se distinguent par leur maladresse (Ungeschichlic
embres supérieurs et un cérébelleux présentant de façon typique les mouvements démesurés ci-dessus décrits; et commandons-leur
. Il se peut qu'occasionnellement ces deux malades accomplissent un mouvement fort comparable, que leur doigt aille avec brus
eux, restant dans les mêmes conditions et cherchant à faire le même mouvement , le reproduit avec les mêmes caractères. Répéta
même mouvement, le reproduit avec les mêmes caractères. Répétant un mouvement rapide, il l'exécute avec brusquerie et démesur
eux, il n'apparaît guère de changement appréciable dans la forme du mouvement exécuté. Parfois, il est vrai, le doigt passe à c
les plus divers, et sous des angles fort variables. Il commence son mouvement avec brusquerie et lui imprime presque dès le d
que ferme les yeux, ce trouble s'accentue de façon très notable. Le mouvement perd toute mesure, le doigt peut être porté en
eçà du but qu'il doit atteindre. Ainsi dans les cas typiques, les mouvements démesurés des cérébelleux et ceux des tabétique
ourrait peut-être expri- mer en réservant le terme de dysmétrie aux mouvements sans mesure des tabétiques, et en appliquant à
tBl-"SLI. 1 3 194 SEMIOLOGIE En ce qui concerne la pathogénie des mouvements démesurés dans les affections cérébelleuses, le
nomène primordial d'après Luciani. Nous avons en effet constaté des mouvements démesurés à leur plus haut degré de développeme
tout se passe comme si le cervelet exercait à l'état normal sur les mouvements une action frénatrice dont la suppression engen
ir seulement la partie supérieure de son corps sans lui imprimer de mouvements , il est invité à se mettre en marche. Or, dès s
rté en avant. Mais la partie supérieure du corps ne concourt pas au mouvement de translation, le tronc reste étendu sur le bass
même un peu entrainé en arrière, ce qui peut être la conséquence du mouvement démesuré de flexion de la cuisse. Aussi, lorsque
signe de Romberg. On ne peut dire d'autre part qu'il s'agisse d'un mouvement démesuré, et d'ailleurs ici la caractéristique
ré, et d'ailleurs ici la caractéristique à retenir c'est non pas le mouvement de la partie supérieure du corps, mais bien l'ine
vons, dès notre première communication, rapproché ce phé- nomène du mouvement de flexion combinée de la cuisse et du tronc ty
cuisse et de la jambe. On conçoit que dans l'un et l'autre cas les mouvements de chaque segment de membre pourraient être brusq
, et qui pour nous est caractéristique de l'asynergie, c'est que ce mouvement est décomposé : lorsque la cuisse est fléchie d
a jambe n'étant forte que dans un second temps. Dans l'ensemble les mouvements sont donc décomposés et démesurés. Il ne faut p
côtés et qu'elle cherche à marcher, le membre inférieur exécute les mouvements élémentaires d'une manière presque normale, mai
on appelle synergie la faculté d'accomplir simultanément les divers mouvements qui constituent un acte, le phénomène que nous ve
ne propulsion, puisque la force musculaire est conservée et que les mouvements élémentaires s'accomplissent nor- malement, ain
l'une, c'est la partie supérieure du corps qui n'accompagne pas le mouvement de la partie in- férieure ; dans l'autre, c'est
ause, de l'impossibi- lité d'associer les deux ordres principaux de mouvements qui les composent ? Passons au mouvement comb
ux ordres principaux de mouvements qui les composent ? Passons au mouvement combiné de flexion de la cuisse et du bassin. C
d'abord analyser l'acte qui consiste à se mettre sur son séant. Le mouvement essentiel de cet acte est l'inclination en avan
e c'est la parésie de ces muscles qui provoque dans l'hémiplégie le mouvement associé de la flexion de la cuisse. Cette inter
ière imparfaite parce que le malade n'associe pas ou associe mal le mouvement d'extension de la cuisse sur le bassin au mouve
associe mal le mouvement d'extension de la cuisse sur le bassin au mouvement de flexion du tronc. C'est donc encore l'asynergi
lition ou l'amoindrissement de la faculté d'exécuter rapidement des mouvements volontaires successifs. C'est la perte même de
ujet sain est capable d'exécuter isolément avec rapidité chacun des mouvements élémentaires, par exemple de porter la main rapid
pination ; il est capable aussi d'exécuter une succession rapide de mouvements élémentaires, par exemple de porter avec rapidi
acte ; il exécute aussi rapidement qu'un individu normal chacun des mouvements élémentaires : la pronation et la supination ;
n sujet sain l'acte complet constitué par la succession de ces deux mouvements . Le phé- nomène devient surtout manifeste quand
dérivés de deux mots grecs, dont l'un signifie successif et l'autre mouvement . Le mot diadococinésie est synonyme de mouvemen
ccessif et l'autre mouvement. Le mot diadococinésie est synonyme de mouvement successif et par extension peut désigner la fon
xtension peut désigner la fonction qui permet l'accomplissement des mouvements successifs. Quant au terme adiadococinésie prop
ste chez un sujet en mesure d'exécuter avec la rapidité normale les mouvements élémentaires, car il va sans dire qu'un individ
car il va sans dire qu'un individu qui ne peut faire rapidement un mouvement isolé, soit de pro- nation, soit de supination,
fortiori incapable d'accomplir une suc- cession rapide de ces deux mouvements . ... L'impossibilité dans laquelle se trouvent
lle se trouvent les hémiplégiques d'accom- plir du côté atteint les mouvements successifs ne constitue pas en effet de aoo SÉM
e pas en effet de aoo SÉMIOLOGIE l'adiadococinésie vraie, car les mouvements élémentaires sont eux-mêmes exécutés avec lente
inésie il est nécessaire d'analyser la diadococinésie. Pour que des mouvements alternatifs de pronation et de supination se su
se succèdent avec rapidité, il est indispensable que chacun de ces mouvements successifs soit bien réglé, ne dépasse pas la mes
églé, ne dépasse pas la mesure et que le temps perdu entre les deux mouvements successifs soit réduit au minimum. Ces conditio
compensation fonctionnelle représentés par l'ensemble des actes et mouvements anormaux, instinctifs ou volontaires, avec lesque
s initiaux d'avec les phénomènes tardifs ; il décrit d'une part les mouvements forcés, troubles de l'orientation spatiale, et
Nous avons déjà indiqué comment certains désordres cérébelleux, les mouvements démesurés, par exemple, se distinguent de trouble
s par l'exclusion de la vue et le signe de Romberg fait défaut. Les mouvements rapides, démesurés, conservent leur orientation.
és, conservent leur orientation. Au contraire chez le tabétique les mouvements rapides, mal mesurés, perdent leur orientation,
usion des yeux aggrave considérablement les troubles. Chez lui, les mouvements d'ensemble ne sont pas décomposés et les mouvem
. Chez lui, les mouvements d'ensemble ne sont pas décomposés et les mouvements successifs sont exécutés correctement. Chez les c
ps se trouve dans un état d'immobilité active, ou bien qu'il est en mouvement , qu'il se déplace. Dans le premier cas l'équili
était négative, la tête s'inclinait du côté opposé. J'ajoute que le mouvement produit par le pôle négatif était plus brusque
ctrique de chacun des trois canaux semi- circulaires produirait des mouvements différents ; or la réaction paraît être la même
uvre le circuit. Avec un courant de 10 milliampères l'amplitude des mouvements ocu- laires est sensiblement plus grande. De pl
ale ou à peu près, devient seulement prédominante du côté sain ; le mouvement de rotation du côté lésé peut même être très ma
progressivement, après un temps perdu notable. A l'ouver- ture, le mouvement de retour est faible et fait parfois défaut, cont
mal exécute dès le passage d'un courant de 5 à 10 milli- ampères un mouvement d'inclination de tout le corps, puis s'incurve du
e analogie ('). En augmentant la puissance du courant on obtient un mouvement de manège puis une chute avec rotation autour d
ant alors l'intensité du courant on observe la succession des mêmes mouvements en sens inverse. Quand le galvanomètre est au o
ar la destruction du labyrinthe (incurvation du tronc, instabilité, mouvement de manège), l'animal s'enroule davantage et la tè
uvaient aucune sensation spéciale. En outre, on constate parfois un mouvement de rotation de la tête. Pour le faire apparaîtr
rs la tête exécuter une rotation du côté opposé au pôle négatif; ce mouvement commence au moment de la fer- meture du courant
re et s'opère lentement, en donnant au spectateur l'impression d'un mouvement exé- cuté volontairement. S'il s'agit d'un mo
ression d'un mouvement exé- cuté volontairement. S'il s'agit d'un mouvement réflexe, comme cela est très probable, il faut
ulaires, des réflexes tendineux, ainsi que des réflexes cutanés. Ce mouvement de rotation, suivant les individus, est pur ou as
- DÉSORIENTATION ET D1;S1 ? QUILIBRATION SPONTANÉE ET PROVOQUÉE. MOUVEMENTS RÉACTIONNELS ET CONTRI ? RI"ACTI0,NNELS() (En c
RI ? RI"ACTI0,NNELS() (En collaboration avec G. A . Weill.) . Les mouvements réactionnels décrits par Barany s'observent au co
preuves vestibulaires et dans les différents segments du corps. Les mouvements d'inclination et de rotation de la tête et du tro
la raréfaction d'air dans le conduit auditif (Baldenwek), sont des mouvements réactionnels. DÉVIATION ANGULAIRE La déviatio
nnels. DÉVIATION ANGULAIRE La déviation de la marche constitue un mouvement réactionnel com- plexe. Étudiée par Buys(') apr
déviation après giration. Ce phénomène nous a conduit à l'étude des mouvements contre-réactionnels. Mouvements contre-réaction
mène nous a conduit à l'étude des mouvements contre-réactionnels. Mouvements contre-réactionnels. A l'état normal, tous les
onnels. Mouvements contre-réactionnels. A l'état normal, tous les mouvements réactionnels, toutes les épreuves de la déviati
aque épreuve. On peut mettre en évidence, succédant en général à un mouvement réactionnel, un mouvement en sens inverse ou co
re en évidence, succédant en général à un mouvement réactionnel, un mouvement en sens inverse ou contre-réactionnel. Nous avo
et son amplitude peuvent atteindre et parfois dépas- ser celles du mouvement réactionnel primitif. Observée après la giratio
la giration de dix tours, suivant la sensibilité vestibulaire à ce mouvement , sensibilité qui peut varier beaucoup même à l'ét
ent sur le vestibule ne sont pas. seules capables de déterminer des mouvements réactionnels ou contre-réaction- nels ; en voic
ce point pen- dant l'épreuve de la déviation angulaire. Soit que le mouvement conjugué des yeux représente uniquement le mouv
e. Soit que le mouvement conjugué des yeux représente uniquement le mouvement lent d'un nystagmus, soit qu'il détermine réell
ire tantôt dans le sens du regard, tantôt en sens inverse. C'est un mouvement réactionnel. Avant l'épreuve de la D. A. en pro
; elle se produit généralement du côté où le poids est porté. Ces mouvements réactionnels sont moins constants et moins amples
F. C., que la contraction est lente, paresseuse et que la forme du mouvement diffère sui- vant le sens du courant ; quand le
ale de la lèvre inférieure se soulève et il ne se produit pas d'autre mouvement si le courant est faible, si ce dernier est plu
ction de la paupière inférieure, comme précédemment, et de plus, un mouvement très net de la commis- sure labiale en haut et
c 3g volts et 29 milliam- pères, le pôle positif ne provoque pas de mouvement . Avec 13 volts et 13 milliam- pères, on obtient
le sens du courant, la secousse est lente, paresseuse. La forme du mouvement diffère suivant le sens du cou- rant ; avec N.
tilité volontaire ne sont pas très prononcés ; en effet, les divers mouvements du pied sur la jambe peuvent être exécutés dans
estent immobiles en flexion, du côté sain les orteils exécutent des mouvements successifs dont le nombre égale celui des inter
lle est très lente, mais correcte ; elle n'est pas titu- bante. Les mouvements des membres supérieurs sont réguliers. Pas d'asyn
arésiée. Le membre supérieur, au contraire, est presque inerte; les mouvements qu'il peut exécuter sont extrêmement limités. Le
droite wu gauche. On constate le signe de l'orteil, ainsi que le mouvement combiné de la cuisse et du bassin à droite, ain
légie organique ; le signe de l'orteil, le signe du peaucier, et le mouvement combiné de flexion de la cuisse et du bassin pe
inution de la force du membre supérieur gauche; puis apparurent des mouvements spasmodiques involontaires dans les muscles du
son attitude se modifie d'un instant à l'autre sous l'influence des mouvements spasmodiques. Il présente toutefois une défor-
vec sa main droite. Le phénomène le plus saillant consiste en des mouvements spasmodiques qui sont surtout très prononcés qu
e se porte en arrière, s'incline légèrement à droite, et exécute un mouvement de rotation de gauche à droite ; on observe alo
tractions des muscles de la face du côté gauche. De plus, quand les mouvements sont très violents, on voit aussi apparaître de
e des contractions spasmodiques dans le triceps fémoral gauche. Ces mouvements spasmodiques se reproduisent plusieurs fois par m
'attitude dans laquelle le spasme s'atténue. A l'état de veille les mouvements spasmodiques ne disparaissant jamais complète-
te en même temps un mou- vement de rotation de gauche à droite ; ce mouvement , il est vrai, n'est pas identique à celui qui s
R UN CAS D'HÉMISPASME - ! 5 ? jeu. Quoi qu'il en soit, la forme des mouvements , leur mode de succes- sion, les attitudes auxqu
ant aussi, mais à un degré moindre, le membre inférieur gauche. Les mouvements spasmodiques du cou avaient des caractères iden
ie avec la précédente. Il s'agit d'une jeune fille pré- sentant des mouvements spasmodiques dans diverses parties du corps, en
ntua et de plus la sensation de tiraillement du cou s'accompagna de mouvements involontaires de rotation de la tête à gauche.
pé par l'attitude vicieuse presque permanente de la tète et par les mouvements spasmodiques intermittents du cou et du membre su
u cou, principalement du sterno-mastoïdien droit, qui accentuent le mouvement de rotation; en même temps le menton se soulève
hit sur le bras et le bras se porte en adduction (voir fig. g). Ces mouvements spasmodiques se reproduisent avec une plus ou m
observé, comme le dit lui-même le malade, augmentent le spasme. Les mouvements et surtout la marche ont encore plus d'action peu
plètement, si l'on arrive à distraire le malade. Par l'examen des mouvements passifs, on met en évidence un état de spasme p
ote une excursion exagérée des segments les uns sur les autres. Les mouvements actifs de l'épaule rendent manifeste l'état de sp
: tout mouve- ment commandé ne s'exécute qu'en s'accompagnant d'un mouvement de même sens du côté opposé. Ceci est encore pl
côté opposé. Ceci est encore plus frappant à l'extrémité, dans les mouvements alter- natifs de pronation et de supination par
xemple, ou encore lorsqu'on fait fléchir ou étendre les doigts. Les mouvements du côté sain ne déterminent au contraire aucune
uoiqu'à un degré bien moindre qu'il y a six mois. Au contraire, les mouvements spasmodiques de l'extrémité semblent alors moins
les caractères cliniques du torticolis dit mental, d'autre part, de mouvements spasmodiques du membre supérieur et du membre i
ut affirmer qu'il est atteint d'une lésion des centres nerveux. Les mouvements spas- modiques que l'on observe chez lui, notam
u'elle a été bilatérale. Cette interven- tion était motivée par des mouvements spasmodiques involontaires extrêmement intenses
le malade déclare que les spasmes incessants qui mettent sa tête en mouvement lui rendent la vie impossible à supporter. n&
à la position assise, et côté opposé, lorsque le malade exécute le mouvement inverse. Mais c'est surtout dans des cas de cho
s de netteté et cette flexion se produit du côté où prédominent les mouvements involontaires. Généralement, ce phénomène s'att
ralement, ce phénomène s'atténue et disparait en même temps que les mouvements choréiques, et il est par conséquent étroitement
rrive même à courir. Mais c'est dans le domaine de la parole et des mouvements de la bouche que les variations paraissent part
arkinsonien fit son apparition : raideur généra- lisée, lenteur des mouvements , fixité du regard. Pas de tremblement. En même
on les narines se pincent et l'expiration est bruyante. Parfois les mouvements respiratoires sont un peu accélérés, le plus souv
novembre 1922 et nous dit qu'il reste inerte, soudé, parlant peu. Ses mouvements sont lents et d'une manière intermittente, sous
rsuasion seule. Nous rappelons à ce sujet que Charcot, étudiant les mouvements anormaux caractérisant la maladie des tics convul
ètement. Le tremblement apparaît ou s'accentue notablement dans les mouvements ; il est particulièrement net quand on fait por
bouche, soit l'extrémité d'un de ses doigts au bout de son nez. Les mouvements ont alors une certaine brusquerie, il y a des o
e porter la pointe du pied vers un point déter- miné, il exécute le mouvement à peu près de la même manière, que les yeux soien
rts ou fermés et il atteint toujours le but sans le dépasser, mais le mouvement est exécuté d'une manière anormale. On l'invite
a contractilité électrique des muscles des membres est normale. Les mouvements de flexion, d'extension, d'inclinaison et de rota
ne manière à peu près normale des deux côtés. Il en est de môme des mouvements de flexion et d'extension du tronc sur le bassin.
ord interne de l'omoplate et la colonne vertébrale, donne lieu à un mouvement d'adduction du scapulum, l'électrisation pratiq
risation pratiquée à droite dans le point correspondant provoque un mouvement d'ascension de cet os. La contractilité électri
rouve ni dans le peaucier, ni dans le sterno-mastoïdien la D R. Les mouvements unilatéraux et bilatéraux des muscles de la face
ue (faradique et voltaïque) est notablement affaiblie à droite. Les mouvements de la langue sont normaux. La parole est profon
nt jusqu 40 et même 5o centimètres au-dessus du sol (lig. 12); ce mouvement est un peu plus prononcé du côté gauche que d
. M., soutenu des deux côtés, cherche à marcher, on constate que le mouvement des membres inférieurs se décompose d'une l3ews
2)O AFFECTIONS DU CERVELET manière plus nette qu'à l'état normal en mouvements élémentaires des divers segments ; de plus, les
ormal en mouvements élémentaires des divers segments ; de plus, les mouvements ont plus de brusquerie que chez l'individu sain e
orteils; du côté gauche cette excitation n'est parfois suivie d'aucun mouvement réflexe et provoque d'autres fois de l'extensio
l'état nor- mal, une occlusion de l'oeil gauche et en même temps un mouvement semblable, un peu moins énergique du côté droit
. L'excitation de la conjonctive du côté droit n'est suivie d'aucun mouvement réflexe. L'excitation de la fosse nasale gauche
ondant; du côté droit une pareille excitation ne donne lieu à aucun mouvement . Organes des sens. La vision est tout à fait ab
e cet homme d'avancer d'un pas sans être aidé, ce désordre dans les mouvements que vous constatez, constituent une perturbation
de spéciale que j'ai déjà décrite (fig. Il). Pendant l'exécution du mouvement , les membres et le tronc oscil- lent dans tous
la marche les membres inférieurs sont écartés l'un de l'autre, les mouvements élémentaires du membre inférieur gauche sont brus
ied gauche vient s'appliquer sur le sol d'une manière bruyante; les mouvements du membre inférieur droit présentent aussi ces
dans sa position pri- mitive, voici ce qu'on observe : à droite, le mouvement est à peu près normal, l'exten- sion de la cuis
ent et le talon glisse sur le sol d'arrière en avant ; à gauche, le mouvement est bien différent : dans un premier temps la jam
le sol. Quand le malade se met à genoux sur une chaise, à droite le mouvement est normal, à gauche il s'accomplit avec brusqu
dans le décubitus, cherche à se mettre sur son séant, il exécute un mouvement de rotation autour d'un axe passant par le côté g
xe passant par le côté gauche du corps et on constate à droite « le mouvement combiné de flexion de la cuisse et du tronc ».
e « le mouvement combiné de flexion de la cuisse et du tronc ». Les mouvements des membres supérieurs sont accomplis avec correc
est vrai, caractéri- sée par le signe des orteils ainsi que par le mouvement combiné de flexion de la cuisse et du bassin, b
cas, pendant le passage du courant, on voit la tète exé- cuter des mouvements alternatifs d'inclination à gauche et à droite ;
nd immédia- tement sa position primitive ou bien exécute d'abord un mouvement brus- que qui augmente encore l'inclination pro
s'incline, comme à l'état normal, du côté du pôle positif, mais le mouvement est plus étendu d'un côté que de l'autre. Par-
us trace de nystagmus calorique. 2" TROUBLES DE la déviation ET DES mouvements réactionnels. Ils sont comparables à ceux de l'
sentent un peu de raideur et que de temps en temps apparaissent des mouvements spasmodiques accompagnés de douleurs qui accentue
et les membres, dès qu'on les abandonne à eux-mêmes, exécutent des mouvements spasmodiques qui les ramènent, et au delà, à la p
distinct de la trépidation épileptoïde et consistant en une série de mouvements de flexion et d'extension ; les réflexes tendin
culier. La percussion des tendons ro- tuliens ne provoque aucun mouvement réflexe, ce qui paraît dû à l'intensité de la
l du cervelet en refoulant les lamelles. Le bulbe refoulé a subi un mouvement de torsion sur son axe. SUR UNE FORME DE PARAPL
st impossible d'ajouter complètement foi à cette déclaration. Les mouvements volitionnels des membres inférieurs sont totaleme
mplètement paralysés ; c'est à peine si elle peut imprimer quelques mouvements de latéralité à la jambe gauche; mais on peut fac
deux côtés; le chatouillement de la plante du pied donne lieu à des mouvements réflexes de tout le membre; l'excitabilité idio-m
ntatives de redressement des membres provoquent des douleurs et des mouvements spasmodiques ; la jambe fait avec la cuisse un
à corriger par des tractions l'attitude vicieuse des membres, et de mouvements spasmodiques apparaissant surtout à la suite de
l'avais vu; la marche est possible, mais elle est hésitante et les mouvements du membre inférieur droit s'effectuent avec lente
distinctifs, entre autres par une contracture en flexion et par des mouvements involontaires qui apparaissent surtout quand on
reuses, des membres inférieurs. Ces contractions donnent lieu à des mouvements alternatifs de flexion et d'extension, mais ce
obtenir, d'un côté, par la percussion du tendon achilléen, un léger mouvement d'extension du pied. Je suis donc convaincu que
l'excitation et suivant la position du membre ('), mais ce sont les mouvements de flexion de la cuisse sur le bassin, de la jamb
corri- ger l'attitude vicieuse des membres. Ils sont semblables aux mouvements involontaires, en apparence spontanés, dont j'a
sur divers points de la surface cutanée et de se manifester par des mouvements combinés des divers segments des membres inféri
chez ce malade à plusieurs reprises et avec le plus grand soin les mouvements réflexes de défense et nous avons pu consta- te
te remarqué que les excitations du côté anesthésié provoquaient ces mouvements involontaires, on se rappelle que ce furent les
d'un fait isolé. Il est pourtant à noter que dans les deux cas ces mouvements réflexes étaient également exagérés de l'autre
ous avons essayé d'établir la limite supérieure d'apparition de ces mouvements réflexes : comme on le voit sur le schéma, elle s
essayé de localiser la lésion médullaire. La limite supérieure des mouvements réflexes, arrivant en arrière un peu au-dessus
cutanés est le même qu'à l'entrée du malade à l'hôpital. Les grands mouvements involontaires des membres sont plus violents, et
oque, l'impotence des membres inférieurs est absolue. Il existe des mouvements involontaires spasmodiques de ces membres. Les ré
tence est presque absolue : la malade peut seulement faire quelques mouvements très limités quand on a vaincu pour elle la spa
sculaires, il ne peut effectuer qu'avec peine et grande raideur les mouvements de flexion de la cuisse sur le tronc et de la j
men, la jambe sur la cuisse et le pied sur la jambe ; dans tous les mouvements , le membre (') Société de Neurologie, 10 févrie
outre, qu'à partir de ce moment, il éprouvait quelque gêne dans les mouvements d'élévation des bras et cette gène s'accentua p
cement, la piqûre, le grattage ou l'électrisation, on détermine des mouvements involontaires plus ou moins variés de l'un ou d
de l'un ou des deux membres infé- rieurs ; ce sont, d'habitude, des mouvements de flexion des divers seg- ments du membre; mai
t les malades dans certaines positions, on obtient parfois d'autres mouvements ('). Le territoire cutané dont l'excitation peu
n question peut, surtout si elle est douloureuse, donner lieu à des mouvements volontaires de la partie supérieure du corps am
que le malade soit à l'abri de toute cause capable d'engendrer des mouvements automatiques. En procédant de cette manière, en
sont contracturés est presque complète, surtout à droite. Si les mouvements volitionnels sont à peu près abolis, on observe,
ts volitionnels sont à peu près abolis, on observe, par contre, des mouvements spasmodiques involontaires de flexion de la cuiss
le bassin, de la jambe sur la cuisse et du pied sur la jambe ; ces mouvements , qui sont bilatéraux, se produisent le jour et
roi abdomi- nale dans le domaine de la XIe dorsale. Il existe des mouvements réflexes de défense obtenus par le pincement ou p
ait sonder depuis huit jours, urina seule et sans difficulté. Les mouvements involontaires et les contractions brusques qui su
ès l'opération. Le troisième jour, la malade peut exécuter quelques mouvements volontaires de flexion et d'extension du pied e
nt perçus au niveau des pieds et des jambes. Le 6 avril, tous les mouvements des orteils, des pieds et des jambes sont revenus
ne trouve aucune trace d'ataxie ni dynamique ni statique ; tous les mouvements sont coordonnés. On constate aux membres supé-
tate aux membres supé- rieurs un léger tremblement à l'occasion des mouvements intentionnels. La force musculaire est assez bi
iste pas de paralysies de la musculature externe des yeux, tous les mouvements des globes oculaires sont bien conservés, toutefo
plement capable de soulever un peu les épaules, d'imprimer quelques mouvements aux doigts et d'étendre bien qu'imparfaitement
DE LA MOELLE colonne vertébrale, douleurs qu'exagèrent les moindres mouvements des membres ; les douleurs lancinantes des memb
d'habitude en une flexion de la cuisse, de la jambe et du pied. Ces mouvements relativement faibles au moment de l'entrée à l'
e correspondant aux 2'' et 3e dorsales (voir schéma) on obtient des mouvements réflexes de défense aux membres supérieurs : il
s divers réflexes tendineux et le siège de la limite supérieure des mouvements réflexes de défense autorisait à supposer que l
était considérablement affaibli, en outre on pouvait provoquer des mouvements réflexes de défense non seulement sur les membres
Schéma montrant les territoires dans lesquels on peut provoquer les mouvements réflexes de défense Rd. i. aux membres inférieu
es, ni réaction de dégénérescence. 4° Enfin nous avons constaté des mouvements réflexes de défense aux membres supérieurs que
alade disait qu'elle était capable d'effectuer par moments quelques mouvements volontaires. Aujourd'hui, si mois après l'opérati
pparaissent dès qu'elle fait un effort, et qui doivent entraver les mouvements qu'elle voudrait exécuter. Mais la malade nous
ois après l'intervention que la malade commença à exécuter quelques mouvements volontaires. Dans un autre cas où l'on avait af
COMPRESSIONS MÉDULLAIRES 4ot tumeur extra-dure-mérienne le premier mouvement volontaire n'apparut que 10 mois après l'opérat
tensité : tantôt c'est la triple flexion classique, tantôt c'est un mouvement de flexion des orteils (réflexe de préhension). M
est à peu près totalement abolie. La malade est tourmentée par des mouvements spasmodiques involontaires des membres inférieu
n'est pas toujours égale à elle-même et peut être diminuée par des mouvements passifs. De plus, la contracture en extension e
état d'esquisser, sous l'action du courant faradique, un très léger mouvement de flexion et d'extension de la cuisse et de la j
Après une nouvelle période de trois semaines, la malade exécute ces mouvements sans faradisation, mais à condition qu'on lui s
re inférieur dans une position favorable. Vers le 27 février, ces mouvements deviennent plus nets à la jambe gauche, mais re
comment elle relate l'évolution ultérieure de son état. Le premier mouvement volontaire qu'elle ait pu faire, sans aide, est a
as la normale ; il n'y a aucune trace d'épilepsie spinale. Tous les mouvements volitionnels s'exécutent avec facilité ; pourta
s deviennent moins raides ; la jambe droite peut exécuter de petits mouvements de flexion et d'extension ; la sensibilité se rév
btenu un certain assouplissement de l'articulation du genou par des mouvements passifs. Mais la jambe ne tarde pas à reprendre
ambe ne tarde pas à reprendre sa position primitive en extension; les mouvements volontaires du pied et des orteils sont en part
es pour la recherche des réflexes de dé- fense, ne déterminent ni mouvement de la cuisse, ni mouvement de la jambe, ni fl
flexes de dé- fense, ne déterminent ni mouvement de la cuisse, ni mouvement de la jambe, ni flexion réflexe du pied (criter
ment à l'exagération des réflexes de défense ; la malade accuse des mouvements spasmodiques spontanés accentuant l'attitude en f
ence, dans la recherche des réflexes de défense, la substitution du mouvement d'extension du pied à celui de flexion. Deuxièm
e en flexion avec exagération très forte des réflexes de défense et mouvements spasmodiques « spontanés » très niarqués contra
e produisant que d'une manière intermittente sous l'in- fluence des mouvements spasmodiques. On pourrait appeler cette variété
se généra- lisent ensuite à tout son côté gauche, donnent lieu à un mouvement de la commissure labiale en haut et un arrière,
duit, d'abord non tétanisant, puis tétanisant. On peut dire que ces mouvements anormaux de la figure se composent de convulsions
quelques muscles, à quelques portions de muscles dans lesquels les mouvements convulsifs restent parfois cantonnés. e) Ces co
t et en arrière, ou encore on observe une association de ce dernier mouvement à un mouvement du pavillon de l'oreille en haut e
, ou encore on observe une association de ce dernier mouvement à un mouvement du pavillon de l'oreille en haut et en arrière ;
e trouvent les caractères en question : ce sont l'unilatéralité des mouvements anormaux, leur aspect fasciculaire ou parcellai
e signe de l'éventail des deux côtés, mais plus marqué à droite, le mouvement combiné de flexion de la cuisse et du bassin à
ion les caractères du spasme facial et il est bien possible que les mouvements convulsifs ne soient pas identiques dans l'hémi
ut-être, au moins dans bien des cas de cette dernière affection, de mouvements d'un tout autre ordre. Mon ami M. Meige, il est v
e et se répétant toutes les cinq ou dix minutes ; or, l'analyse des mouvements convulsifs m'a montré qu'ils dif- féraient esse
soulever le bras au-dessus de l'horizontale et quand il exécute ce mouvement les omoplates se détachent du tronc; il y a de
les longs supinateurs sont diminués de volume surtout à gauche. Le mouvement de flexion de l'avant-bras sur le bras est faib
être normales, s'exécutent avec assez de force; du côté gauche ces mouvements sont plus faibles. L'extension du pied est assez
-PITIIIATISME facial ; il sera incapable aussi de dissocier dans le mouvement de flexion de l'avant-bras sur le bras l'action
des corps chauds et des corps froids, ensuite je fais exécuter des mouvements passifs aux segments des membres supérieurs et
e des orteils (extension du gros orteil et signe de l'éventail), le mouvement combiné de flexion du tronc et du bassin, le si
eur mode de localisation et à leur intensité, des tremblements, des mouvements choréiques parfois irréguliers, mais géné- rale
suis arrivé, par exemple, à faire reproduire, par imi- tation, les mouvements de la chorée de Sydenham de telle manière que j
crise hystérique, pourrait être spontanément conduit à exécuter des mouvements analogues à ceux par lesquels l'attaque légitime
à des crises de cata- lepsie auxquelles s'associaient parfois « les mouvements désordonnés des crises convulsives hystériques
t, Chartier put consta- ter que la main paralysée n'exécutait aucun mouvement . Cette observa- tion serait démonstrative si le
riques se distinguent encore par la forme qu'elles revêtent, grands mouvements , gesticulations, arc de cercle, et par cet autr
ution de la réaction cutanée plantaire (réflexe cutané plantaire et mouvement de défense). » D'autres faits furent invoqués à
Déjerine, l'un de nous fit déjà les remarques suivantes : « Si des mouvements volontaires peuvent donner le change et être pr
uvements volontaires peuvent donner le change et être pris pour des mouvements réflexes, par contre un réflexe peut être masqu
it défaut et qui s'accompagne cependant d'anesthésie hystérique, le mouvement réflexe peut être pro- voqué. « Ces faits ne
capable, comme la contracture musculaire volontaire, de masquer les mouvements réflexes ». A ces critiques on peut en joindre
électriques. L'examen de la hanche montre une légère limitation des mouvements de flexion et de rotation interne de la cuisse
sie et après disparition de toute réaction consciente provoquait un mouvement spasmodique qui exagérait l'attitude vicieuse ; i
(') H. Meige, Mm° Ath. Bénisty et Mule G. Lévy, Impotence de tous les mouvements de la main et des doigts avec intégrité dos réa
ps. La percussion, même légère, des masses musculaires détermine un mouvement de grande amplitude qui est souvent lent et sou
fférents muscles et obtenir, à l'état de pureté pour ainsi dire, le mouvement qui correspond à l'action de chacun d'eux. Lorsqu
stiques, car d'ha- bitude, à l'état normal, on obtient seulement un mouvement ébauché, rapide, de faible amplitude. Il est à
ilatérale. La contraction, ainsi obtenue, doit être distinguée d'un mouvement réflexe ; elle se produit lorsqu'on percute le
à l'état normal, ne détermine pas de contraction nette, provoque un mouvement d'extension de la patte, lent, soutenu et très
f cubital dans la gouttière épitrochléo-olé- crânienne détermine un mouvement bien caractérisé d'adduction du pouce avec flex
ètement défaut dans les autres. Suivant les cas on obtient, par des mouvements passifs, une surflexion de la main qui forme avec
surflexion de la jambe combinée à de la sur- flexion de la cuisse, mouvement complexe dans lequel la cuisse s'accole à la pa
réflexe tendineux, il y a à considérer non seulement l'amplitude du mouvement mais aussi ses autres caractè- res (brusquerie,
lissement plus ou moins marqué du réflexe achilléen avec lenteur du mouvement comme l'a montré Clovis Vincent('). Dans ces ca
pide- ment et expliquent pour une part la limitation et la gène des mouvements ; elles peuvent être très rebelles à la thérape
culaires, est atteint d'une monoplégie brachiale complète. Tous les mouvements des différents segments du membre sont abolis.
faire des exercices d'assouplis- sement du pied, en particulier des mouvements de flexion dorsale forcée. Puis il passe à la s
ambiant n'est pas favorable à ces organismes. « La perfection du mouvement , écrit Ch. Richet('), est liée sans doute à une
e régulation automatique qui assure la rapidité et la précision des mouvements (liée à une haute température) par ce mouvement
t la précision des mouvements (liée à une haute température) par ce mouvement lui-même qui élève la température. » Cette supé
nous attirons particulièrement l'attention. Sous l'influence des mouvements exécutés et de leur répétition, les troubles ph
omplètement abolie. Avant même qu'elle fut alitée, appa- rurent des mouvements spasmodiques involontaires des membres inférieurs
ise pendant une quinzaine de jours : abolition complète de tous les mouvements volitionnels aux memhres inférieurs ; contracture
flexion des membres inférieurs, plus prononcée à gauche qu'à droite ; mouvements spasmodiques involontaires très amples et pénib
renouvelant presque sans interruption jour et nuit ; contracture et mouvements spasmodiques des muscles de la paroi abdominale
au-dessus de la région précé- dente ne sont pas toujours suivies de mouvements réflexes ; mais, à maintes reprises, il a été p
n de la famille au commencement de décembre, nous apprenons que les mouvements volontaires restent complètement abolis, que la
ppréciable. En février 1920, la malade commence à exécuter quelques mouvements volontaires des pieds. Puis, son état resta trè
ontractions spasmodiques et douloureuses dans les cuisses pendant les mouvements provoqués ou spontanés. Somme toute, quand on a
eures après l'inter- vention la rétention d'urine avait cédé et les mouvements spasmodiques avaient cessé ; le 3e jour, la mal
vaient cessé ; le 3e jour, la malade pouvait déjà exécuter quelques mouvements , tandis que jusque-là la paralysie avait été to
ation portant surtout sur l'état de la sensibilité, mais le premier mouvement volontaire sans aide n'apparaît que 10 mois apr
ant, parfois très violentes ; elles sont exagérées par la marche, les mouvements du tronc. Un médecin, consulté à cette époque,
eurs. Contracture en extension. De temps en temps, pendant la nuit, mouvements spasmodiques invo- lontaires déterminant une fl
ésié ; le surlendemain, la malade est en mesure d'exécuter quelques mouvements des orteils. La régression des troubles est très
es troubles vésicaux ont disparu ; la malade peut exécuter tous les mouvements élémentaires des membres infé- rieurs et il n'y
ouvements élémentaires des membres infé- rieurs et il n'y a plus de mouvements spasmodiques involontaires. Quatre semaines apr
nne cervicale est comme ankylosée, et, de même que l'extension, les mouvements de rotation de la tète sont impossibles. La f
z grande, car le malade peut, en faisant des efforts, s'opposer aux mouvements passifs ; les réflexes tendineux sont très forts
le signe du gros orteil, le signe de l'éventail et une tendance aux mouvements athétosiques des orteils. Le membre supérieur g
uche présente aussi des troubles de motilité très pro- noncés ; les mouvements volontaires sont aussi très limités, mais les mou
noncés ; les mouvements volontaires sont aussi très limités, mais les mouvements passifs sont, au contraire, assez étendus, et l
, les membres inférieurs et les membres supérieurs, ou du moins les mouvements qu'il peut exécuter sont excessivement limités et
rrive spontanément à fléchir un peu la jambe sur la cuisse, mais ce mouvement se fait très lentement. Il est possible de fair
faire exécuter aux divers segments des membres inférieurs quelques mouvements passifs, mais ceux-ci sont très limités. D'autr
bien plus contracturé que paralysé, est en mesure de s'opposer aux mouvements passifs, de temps en temps, les jambes se fléch
il est en mesure d'étendre et de faire tourner un peu la tête, les mouvements de son membre supérieur droit sont améliorés au p
tiques, son tronc était fléchi et sa colonne vertébrale rigide, les mouvements actifs et passifs de flexion, d'abduction et de
nstate alors. Les membres inférieurs sont absolument privés de tout mouvement volontaire. Ils sont contracturés, en adduction
face interne de la cuisse et de la jambe ganches, on détermine des mouvements spasmodiques réflexes ; la cuisse se fléchit su
cuisse se fléchit sur le bassin et le talon se détache du lit. Ces mouvements involontaires peuvent aussi se développer spont
t : la paralysie reste complète. Le 2 octobre on observe quelques mouvements volontaires des orteils du côté gauche. D'autre
e dernière date les orteils du côté gauche exécutent seuls quelques mouvements volontaires qui ne sont pas plus accentués jusq
se gauche, de détacher ainsi le talon du lit et d'exécuter un petit mouvement de flexion de la jambe sur la cuisse ; les troubl
ter facilement aux divers segments du membre infé- rieur gauche des mouvements passifs ; la malade peut se déplacer dans son lit
contracture. Au commencement de janvier 1907, du côté gauche, les mouvements volontaires de la cuisse sur le bassin, de la j
te à la Pitié Semaine médicale, 27 juillet 1898). 49. De quelques mouvements associés du membre inférieur paralysé dans l'hémi
des Hôpitaux, numéros des 5 et 8 mai igoo). 60. Sur la paralysie du mouvement associé de l'abaissement des yeux (Société de Nel
et dans les actes volitionnels nécessitant une succession rapide de mouvements . Diadococinésie (Société de Neurologie, 6 novembr
aire (Société médi- cale des Hôpitaux, 24 avril igo3). 94. Sur le mouvement d inclination et de rotation de la tète dans le v
(Encé- phale, janvier 909). 157. Monoplégie brachiale organique. Mouvements actifs et mouvements passifs (Société de Neurol
ier 909). 157. Monoplégie brachiale organique. Mouvements actifs et mouvements passifs (Société de Neurologie, 5 février 1 gog
, 6 février r g r 3). 200. Vertige voltaïque. Perturbation dans les mouvements des globes oculaires à la suite de lésions laby
ton Durand. Société médicale des Hôpitaux, 16 juillet igi3). 206. Mouvements réactionnels d'origine vestibulaire et mouvements
illet igi3). 206. Mouvements réactionnels d'origine vestibulaire et mouvements contre-réaction- nels (en collaboration avec G.
rant voltaïque (Bulletin médical, 5 novembre ig 13). 210. Sur les mouvements conjugués (en collaboration avec Jarkowski. Socié
tendineux et réflexes osseux 39 V. Monoplégie brachiale organique. Mouvements actifs et mouvements passifs... 88 VI. Diagnost
s osseux 39 V. Monoplégie brachiale organique. Mouvements actifs et mouvements passifs... 88 VI. Diagnostic différentiel de l'
. Etude clinique 115 IX. - Réflexes de défense 126 w X. - Sur les mouvements conjugués 15g XI. Modifications des réflexes cu
4 (1862) Mécanisme de la physionomie humaine : ou analyse électro-physiologique de l'expression des passions
ions sont rendues avec autant de délicatesse que d'énergie, où chaque mouvement de l'âme est exprimé par un trait, chaque action
vélé la raison d'être des lignes, des rides et des plis de la face en mouvement . Or, ces lignes et ces plis sont justement les si
umaine, et que l'on pourrait appeler orthographe de la physionomie en mouvement . DUCHENNE (de Boulogne). Paris, le 1" janvier
onlractilité électro-musculaire n'est pas nécessaire à l'exercice des mouvements volontaires. Mémoire adressé à l'Académie des sci
ues de mes recherches électro-physiologiques et pathologiques sur les mouvements de la main (Bull, de thérap., 1857). Note sur q
téiisée spécialement par des troubles généraux de la coordination des mouvements . Mémoire adressé à l'Académie des sciences et à l
X ANTÉRIEURS SUR L'ACTION MUSCULAIRE DANS LE JEU DE LA PHYSIONOMIE EN MOUVEMENT . Je ne confondrai pas dans cette revue les aute
vue les auteurs qui se sont spécialement occupés de la physionomie en mouvement (la symptomatologie des passions), avec ceux qui
es lois motrices, et il en est d'autres qui ont essayé d'analyser les mouvements expressifs de la face en recherchant quelle était
action motrice semblable à celle de la septième paire, il a placé les mouvements expressifs de la face sous la dépendance tantôt d
cinquième paire étaient encore ignorées. Aujourd'hui, on sait que les mouvements des muscles de la face sont sous la dépendance du
side à sa sensibilité; que la paralysie de celui-ci ne trouble ni les mouvements (l) 1\ Camper, Discours sur les moyens de repré
se manifestent sur le visage, 179 . volontaires de la face, ni ses mouvements expressifs, tandis que la paralysie de la septièm
it certainement pas autant négligé l'observation de la physionomie en mouvement , qui devrait servir de base à l'examen de la phys
itre de Fragments, avaient compris que l'étude de la physionomie en mouvement , entièrement omise par Lavater, devait précéder c
a volonté, ou indépendamment de cette volonté, pour produire, par ces mouvements partiels ou d'ensemble, l'expression ou les geste
« 1° Tantôt le relief des muscles, pendant la production de certains mouvements , trahissait l'aspect qu'ils y prenaient. Le bicep
muscle passant sur une articulation ginglymoïdale n'y déterminera des mouvements latéraux ; il sera fléchisseur ou extenseur, suiv
approchera davantage d'un des plans opposés dans lesquels se font les mouvements . » 3° Plus souvent encore, on avait recours à l
môme chose), disséquez un muscle sur le cadavre, imprimez différents mouvements à la partie, observez le moment où les fibres se
mplètes, qu'il était impossible d'expliquer le mécanisme des moindres mouvements de la main. Comment, par exemple, était-il poss
sans qu'ils s'en doutassent, des illusions d'optique exercées par des mouvements limités à certains points de la face. Je vais bie
ints de la face. Je vais bientôt démontrer, en effet, qu'à la vue des mouvements de certains muscles du sourcil, on éprouve une so
diculaires à la direction des muscles. S'ensuit-il donc que dans tout mouvement expressif on peut reconnaître les muscles en acti
des rides? En d'autres termes, étant donnée une ride produite par un mouvement expressif, le muscle qui croise la direction de c
de l'angle externe de l'œil. Voici comment on devrait expliquer ces mouvements , suivant cette assertion de Camper, à savoir : qu
pendiculaires à la direction des muscles. La commissure a été mise en mouvement par le grand zygomatique; le sillon naso-labial s
ERCHES ÉLECTRO-PHYSIOLOGIQUES SUR LA PHYSIONOMIE EN MOUVEMENT. Tout mouvement volontaire ou instinctif résulte de la contractio
iit., 1861. Puisqu'il rie jouit pas de la faculté de décomposer ses mouvements et d'analyser ainsi l'action individuelle de ses
éterminer exactement l'action propre des muscles et de décomposer les mouvements . Ces premières recherches n'étaient cependant e
es que j'avais observés ne me rendaient pas corn plétement compte des mouvements physiologiques de la face. Et puis, quelle part f
. Dès le début de mes recherches, en effet, j'avais remarqué que le mouvement partiel de l'un des muscles moteurs du sourcil pr
e contraction très évidente, et je n'avais pu constater le plus léger mouvement sur les autres points de la face. Cependant j'éta
les je répétais mes expériences. Quel était donc le mécanisme de ce mouvement général apparent de la face? était-il dû à une ac
mme je l'ait dit précédera -ment, une espèce de mirage exercé par les mouvements partiels du sourcil, si l'expérimentation directe
ance et du but de mes recherches expérimentales sur la physionomie en mouvement . En vertu de quelle loi un mouvement circonscri
mentales sur la physionomie en mouvement. En vertu de quelle loi un mouvement circonscrit dans un point de la partie supérieure
à ses fins est digne de notre admiration. Si, en effet, à la vue d'un mouvement aussi limité et qui nous fait reconnaître l'image
est de môme de cette sorte de mirage que nous font éprouver certains mouvements circonscrits de la face. semble que la lace s'e
scles sont éminemment expressifs ; leur action individuelle trahit un mouvement particulier de rame; chacun d'eux, en un mot, est
expressive apparente, bien que leur contraction partielle produise un mouvement très appréciable. Au point de vue physionomique,
de incertitude sur sa signification réelle. Ainsi l'association des mouvements qui sont propres à l'expression de la joie et de
physionomie étrange, qui s'éloigne d'autant plus de la vérité que ces mouvements expressifs sont plus énergiques. Il en est de mêm
oie s'associer merveilleusement à celles de la douleur, pourvu que le mouvement fût modéré ; je reconnaissais alors l'image du so
t au moment où elle pleure la perte d'un être chéri, d'un époux. Le mouvement du sourire n'indique pas seulement un contentemen
nom de tic indolent de la face. IH. DE LA SYNERGIE MUSCULAIRE DES MOUVEMENTS EXPRESSIFS DE LA FACE. Les faits exposés dans l
échappe à personne : c'est que la synergie musculaire qui produit les mouvements physiologiques des membres et du tronc n'est null
giques des membres et du tronc n'est nullement comparable à celle des mouvements expressifs de la face. Cette proposition exige qu
e. Cette proposition exige quelques développements. Il n'est pas un mouvement physiologique du tronc ou des membres qui ne soit
scle (le deltoïde); nous le sentons durcir sous notre main pendant ce mouvement , et nous croyons qu'il est alors le seul qui entr
u scapulum contre le thorax, sans (pie nous ayons la conscience de ce mouvement et sans qu'il nous soit donné de l'empêcher. Je
rais choisir bien d'autres exemples aussi probants, surtout parmi les mouvements synergiques de la main et du pied, mouvements qui
ants, surtout parmi les mouvements synergiques de la main et du pied, mouvements qui sont des merveilles de combinaisons mécanique
ire de dire que les mêmes raisons d'équilibre n'existent pas pour les mouvements expressifs de la face ? Le Créateur n'a donc pa
elquefois un peu douloureuse. Or cette sensation peut occasionner des mouvements involontaires. Comment distinguer alors ces derni
r des mouvements involontaires. Comment distinguer alors ces derniers mouvements de ceux qui appartiennent à l'action propre du mu
appartiennent à l'action propre du muscle excité ? En général, ces mouvements involontaires n'ont lieu qu'à la première applica
res contractions involontaires? La face, par exemple, met toujours en mouvement deux muscles, dont l'un dessine les lignes fondam
ts, chez lesquels la contraction des muscles de la face a produit des mouvements expressifs, absolument semblables à ceux que l'on
'un animal dont la teto vient d'ôtre séparée du tronc, on observe des mouvements qui produisent la flexion des différents segments
nu sur certains membres nouvellement amputés, et j'ai prouvé que les mouvements étaient absolument les mômes que lorsque j'excita
riences sur les animaux dont j'excitai les muscles de la face, et les mouvements ont été absolument identiques, que la tète fût ou
la face, on ne peut s'expliquer le mécanisme de cette foule de petits mouvements indépendants, qui écrivent sur la figure les impr
tomie morte en est encore à trouver un muscle qui puisse expliquer ce mouvement : elle va même jusqu'à nier l'existence de fibres
pendante, sous l'influence de l'excitation électrique, comme pour les mouvements volontaires et instinctifs, des muscles enfin qui
hysiologiques que l'on avait commises en attribuant à des muscles des mouvements auxquels ils étaient étrangers, et en méconnaissa
ion. C'est ainsi que l'on faisait concourir le petit zygomatique au mouvement de la joie, tandis que l'expérimentation fait voi
ssif, concourt spécialement à peindre avec une vérité saisissante les mouvements les plus violents de lame : la terreur, la colère
uent le rôle le plus important dans l'expression de la physionomie en mouvement , comme on le verra bientôt. IL AU POINT DE VU
ication fondée sur l'observation de la nature. It. — Physionomie en mouvement . L'étude de la physionomie en mouvement est cet
ure. It. — Physionomie en mouvement. L'étude de la physionomie en mouvement est cette partie de la psychologie qui traite des
des différentes manières dont l'homme manifeste ses émotions par les mouvements de sa face. Estime. Hardiesse. Remords. Espér
erait pas compris? Exprimer et sentir les signes de la physionomie en mouvement me semblent des facultés inséparables que l'homme
l'ai déjà démontré, que c'est toujours un seul muscle qui exécute le mouvement fondamental, représentant un mouvement donné de l
un seul muscle qui exécute le mouvement fondamental, représentant un mouvement donné de l'âme. Cette loi est tellement rigoureus
s instinctives ou réflexes. On sait avec quelle régularité tous les mouvements instinctifs s'exécutent. Je ne citerai, comparati
humaine, qu'on les simule ou qu'ils soient produits réellement parmi mouvement de l'âme, ne peuvent être changés: ils sont les m
os. Pendant le repos musculaire, c'est-à-dire dans l'intervalle des mouvements déterminés par l'action nerveuse, volontaire ou i
ante, cette espèce de monstruosité serait tôt ou tard effacée par les mouvements incessants d'une belle âme. Toutefois il est de
plastiques. L'étude expérimentale du mécanisme delà physionomie en mouvement exige des notions anatomiques exactes sur la musc
ui suffirait, pour la pratiquer, de connaître exactement les lois des mouvements expressifs, qui découlent de mes recherches. Af
savaient-ils accuser les reliefs et les dépressions qui trahissent le mouvement et donnent la vie aux membres! Cette science pr
ence du modelé vivant, née seulement de l'observation de l'homme en mouvement , était elle-même une véritable élude d'anatomie v
pensable ; 2° que l'étude des formes extérieures, surtout à l'état de mouvement , doit être cultivée beaucoup plus spécialement da
it absolument nécessaire aux arts plastiques, pour ce qui a trait aux mouvements des membres et du tronc, on peut affirmer qu'elle
s conditions normales de la vie. It. — Impossibilité «l'étudier les mouvements expressifs de la face de la me «ne manière «iue l
er les mouvements expressifs de la face de la me «ne manière «iue les mouvements volontaires des membres. Les mouvements express
la me «ne manière «iue les mouvements volontaires des membres. Les mouvements expressifs de la physionomie ne sont pas, comme c
ujours été possible aux plus grands maîtres de saisir, comme pour les mouvements des autres régions, l'ensemble de tous leurs trai
ique et rigoureuse. Les règles des lignes expressives de la face en mouvement , ce que je voudrais appeler orthographe de la phy
et que je vais exposer brièvement. Les traits propres à tel ou tel mouvement expressif se composent de lignes fondamentales, q
naissances suffisantes sur les lois du mécanisme de la physionomie en mouvement . J'ai constaté cependant avec admiration que ce
nce de ces lignes, par le seul fait de la difficulté d'observer les mouvements expressifs de la face. En somme, il ressort des
qui doivent guider l'artiste dans la peinture fidèle et complète des mouvements de l'âme, les règles de Y orthographe cle la phys
ouvements de l'âme, les règles de Y orthographe cle la physionomie en mouvement . Que l'on ne craigne pas que ces règles puissen
loppement des traits fondamentaux et secondaires de la physionomie en mouvement , non-seulement est en raison directe du degré de
Les traits fondamentaux qui, à la naissance, apparaissent pendant les mouvements de la physionomie, s'accentuent, se creusent et s
pléer au génie; mais, en enseignant l'art de peindre correctement les mouvements delà physionomie humaine et en faisant connaître
ériences électro-physiologiques sur le mécanisme de la physionomie en mouvement sont de ceux qui ne peuvent être jugés que par la
reliefs, les creux, les sillons, les plis, les rides, en un mot les mouvements variables auxquels ils donnent naissance, suivant
gine de mes recherches électro-physiologiques sur la physionomie en mouvement ............................ 13 CHAPITRE II. — F
ves discordantes........... 29 III. — De la synergie musculaire des mouvements expressifs de la face,.........................
expériences électro-physiologiques. .......... 41 Ë. Physionomie en mouvement ........................ • 49 C. Physionomie au
ue des arts plastiques........... 55 B. Impossibilité d'étudier les mouvements expressifs de la face de la même manière que les
udier les mouvements expressifs de la face de la même manière que les mouvements volontaires des membres .....,...................
oureuse, l'élcc-Irisation des muscles de la face provoque souvent des mouvements involontaires, la contorsion des traits du visage
entation électro-physiologique ne pouvait être complète, sans que les mouvements expressifs naturels fussent représentés par la ph
l'émotion de l'âme seule a le pouvoir de les mettre partiellement en mouvement . Or, on le sait, le vieillard dont il a été quest
ès un long exercice, en est arrivé à posséder un grand empire sur les mouvements de ses sourcils. C'est un artiste détalent et en
isation, les muscles moteurs de son sourcil, et j'ai constaté que les mouvements artificiels étaient semblables aux mouvements exp
t j'ai constaté que les mouvements artificiels étaient semblables aux mouvements expressifs que provoquaient ses sentiments. J'aur
pressifs que provoquaient ses sentiments. J'aurais pu représenter ces mouvements électro-musculaires ; mais c'eût été multiplier s
borné à photographier, quand cela a été nécessaire, quelques-uns des mouvements expressifs du sourcil qu'il peut produire lui-mêm
figures me serviront à montrer les différences qui existent entre les mouvements expressifs, chez le jeune homme et chez le vieill
œil a subi une profonde modification organique, sous l'influence d'un mouvement psychique, d'une passion violente. Mais dès que v
e, cet éclat de l'œil, ce feu du regard, sont sous la dépendance d'un mouvement spécial du sourcil. Si maintenant vous comparez
, dans son regard et sur son front, les signes caractéristiques de ce mouvement expressif; signes qui ont été exposés page 2, fig
es frontales ; 2° qu'il est devenu rectiligne ; 3° qu'il a exécuté un mouvement de corrugation, en vertu duquel les poils couchés
en dehors et de haut en bas se sont redressés. Tel est l'ensemble des mouvements du sourcil, toujours produits par la contraction
te anomalie). Cette ligne verticale n'aurait dû apparaître qu'avec un mouvement très prononcé de corrugation du sourcil, mouvemen
araître qu'avec un mouvement très prononcé de corrugation du sourcil, mouvement qui avait à peine commencé dans l'expérience préc
ontraction de chaque côté plus énergiquement que sur la figure 12. Le mouvement de corrugation était très prononcé; aussi deux li
15) au moment où il se livrait à de grands efforts de méditation. Ce mouvement expressif du sourcil, alors qu'il est produit par
ontraction de l'orbiculaire palpébral supérieur est à son maximum, le mouvement de corrugation est tel, que, chez certains indivi
résentée dans la figure 12, à l'occasion de l'étude clu mécanisme des mouvements de l'or-biculaire palpébral supérieur. Regardons
à cet homme une grande intelligence. Tel est l'effet magique de ce mouvement imprimé au sourcil parl'orbiculaire palpébral sup
espondant à ce sillon transversal, les rhéophores n'ont produit aucun mouvement , en d'autres termes, aucune contraction musculair
es et profondes se creusaient en dedans de sa tète. Cet ensemble de mouvements et de lignes résultait de la contraction énergiqu
et de côté, comparativement à la contraction du frontal, avec le même mouvement de l'œil. A gauche, contraction volontaire du s
sourcil s'est gonflée et s'est élevée légèrement. Chez l'adulte, ce mouvement est le même, mais un peu plus accentué. Sur la
ns anatomiques du sourcilier expliquent parfaitement le mécanisme des mouvements imprimés par ce muscle au sourcil, des reliefs, d
emporté sur celle du frontal, et j'ai vu se produire à l'instant les mouvements propres à l'action du premier de ces muscles. O
sillonnée de rides dans toute sa largeur par le muscle frontal. — Ce mouvement était exécuté par la volonté du sujet, et s'était
a direction oblique de haut en bas et de dedans en dehors, ni avec un mouvement sinueux du sourcil ; d'autre part, que l'élévatio
ait au moment où j'ai commencé mon expérience, et contrastait avec le mouvement douloureux du sourcil droit. Malheureu sèment m
10) lorsqu'il a été photographiée, sans pouvoir modifier toutefois le mouvement sinueux et douloureux que j'avais donné à son sou
certain âge et dont la peau est très fine ou brûlée par une que ce mouvement expressif n'a eu lieu que du côté gauche, et cela
mêmes muscles en action ; j'ai vu alors se reproduire exactement les mouvements , les lignes et les reliefs que l'on observe dans
et comment chacun des sourcils de cette dernière figure a exécuté un mouvement différent. Est-il besoin d'ajouter que pour bien
usement, pour se mettre en harmonie avec le sourcil et le front. Ce mouvement général, qui s'opère, en apparence, dans les part
le, qu'il ne m'a pas été possible de convaincre les spectateurs qu'un mouvement général ne s'était pas opéré dans la face, en m
l m'était alors facile de leur prouver que, dans cette expérience, le mouvement du sourcil seul avait troublé la tranquillité gén
ité générale des traits de la face. En résumé, sous l'influence des mouvements expressifs propres au muscle de la douleur, nous
âges, chez le vieillard comme chez l'adulte, sont constituées par le mouvement oblique en dehors et en haut de la commissure lab
nantes qui partent de l'angle externe de l'œil. C'est uniquement d'un mouvement particulier de la paupière inférieure que dépend
atez, dans la figure 32, qu'il s'est mis en parfaite harmonie avec le mouvement des commissures labiales, pour compléter l'expres
différence de l'œil contraste, d'une manière choquante, avec le grand mouvement d'expansion joyeuse et gaie de la partie inférieu
t d'expansion joyeuse et gaie de la partie inférieure du visage. Ce mouvement de la paupière inférieure, sans lequel toute joie
de lui elle est tendue. L'expérimentation, unie à l'observation des mouvements naturels expressifs, m'a démontré que ce modelé p
eut à peine dissimuler son action, quand celle-ci est éveillée par un mouvement du cœur. Non-seulement il égayé l'œil, et à ce
issée et que l'inférieure s'est au contraire élevée. Or, ce dernier mouvement indique que les muscles palpébraux se sont contra
du transverse du nez; ne se produisant pas partiellement pendant les mouvements expressifs naturels ; représentant, en général, l
res Al et A2. Fig. Al. — Destinée à montrer, chez le même sujet, le mouvement imprimé aux ailes du nez par le transverse du nez
comparer la forme du nez au repos des figures 37 et 40, au nez mis en mouvement par le transverse du nez, dans les figures 38, 39
te de petites rides parallèles à la direction de l'épine nasale. Le mouvement de l'aile du nez, les lignes et les reliefs qui e
Figures 43, 44, 45. LÉGENDE. Fig. Zl3. —Destinée à l'étude des mouvements , des reliefs et des plis cutanés, occasionnés par
s de ce côté., On peut comparer entre eux, sur cette figure 35, les mouvements contraires, exécutés par les commissures labiales
augmente l'énergie ou étend le sens des expressions delà plupart des mouvements de son sourcil, avec lesquels elle se combine. En
otographie, parce qu'elles étaient dans l'ombre. — Le mécanisme de ce mouvement est parfaitement expliqué par le mode de terminai
ndant le pleurer. La figure 50 ne donne pas une idée parfaite de ce mouvement particulier des lèvres, que j'ai très souvent obt
it que les lignes expressives (la courbe de la ligne naso-labiale, le mouvement de la lèvre supérieure et le relief de la pommett
essemblance. — J'ai dit précédemment, en traitant du mécanisme de ces mouvements , en quoi ces lignes différaient entre elles. En
un air niais et ridicule. Cependant on ne saurait se défendre d'un mouvement de compassion à la vue de l'affliction exprimée s
ire inférieure, ou des téguments de la partie inférieure de la face ; mouvement inexpressif. Fig. 55. — Destinée à montrer qu'i
nnement, mais qu'un rapport parfait doit exister entre ces divers mouvements , sous peine de ne faire qu'une grimace. Abaisse
ait ouverte d'une manière exagérée, comparativement à la mollesse des mouvements de ses sourcils et de ses paupières. Aussi a-t-il
rs de la mâchoire inférieure. Pour bien comprendre le mécanisme des mouvements des lignes et des reliefs produits par le peaucie
re et des frontaux; mais cette combinaison musculaire qui produit des mouvements , des lignes et des reliefs analogues, au pre ni
, l'abaissement de la mâchoire inférieure est combiné avec les autres mouvements qui, dans la figure 60, ont représenté la frayeur
damné. ÉTUDE CRITIQUE DE QUELQUES ANTIQUES au point de vue DES MOUVEMENTS EXPRESSIFS DU SOURCIL ET DU FRONT. Figures G6, G7
sent, le premier, ces lignes transversales du front, et le second, ce mouvement oblique et, sinueux du sourcil. Fig. 68. —Même
e Rome. Les lignes médianes du front sont en parfait accord avec le mouvement oblique et sinueux imprimé au sourcil par la cont
e front plat et le sourcil uni n'offrent pas le modelé produit par le mouvement de la douleur. EXPLICATION DE LA LÉGENDE. Je
ment, devraient exister entre les lignes frontales de YArrotino et le mouvement de son sourcil, et vice versa? Si les lignes qu
le jardin des Tuileries, j'ai essayé d'harmoniser sur des plâtres les mouvements des sourcils et le modelé du front, en imitant le
dans VArrotino (fig. 66 et 67), elles ne pourraient coexister avec le mouvement sinueux du sourcil. On voit sur la figure 71 qu
j'ai essayé de faire concorder le modelé du front du Laocoon avec le mouvement de son sourcil, conformément aux règles établies
du sourcil. II.— Impression. La discordance qui existe entre les mouvements du front et du sourcil de Y Arrotino donne de l'i
sa physionomie, parce que les lignes et les reliefs pi'oduits par ces mouvements appartiennent à plusieurs expressions et s'exclue
trahissent seuls sa douleur physique. On ne voit sur sa face aucun mouvement convulsif ou spas-modique qui annonce l'horrible
par les lignes naso-labiales et le renversement des lèvres en avant ( mouvements produits par le petit zygomatique et par les fibr
ur la face du Laocoon de Bruxelles, les signes de la douleur; mais le mouvement convulsif de sa bouche et de ses lèvres lui donne
omen et lui creusent les flancs, de manière à » nous faire juger du mouvement de ses viscères. Cependant » ses propres souffran
en rien l'expression de douleur morale chez le Laocoon, parce que le mouvement du sourcil qui seul produit la ligne fondamentale
né de la tranquillité de ses traits, tranquillité contrastant avec le mouvement extraordinaire que Praxitèle a su donner à son ge
-à-dire alors môme qu'elles n'éprouvent aucune émotion de l'âme. Le mouvement douloureux du sourcil, — en d'autres termes, l'ac
x du sourcil, — en d'autres termes, l'action du muscle qui produit ce mouvement (du sourciller),— est caractérisé par un ensemble
05 XII. Étude critique de quelques antiques, au point de vue des mouvements expressifs du sourcil et du front (YArrotino, l
secondaires, qui indiquent l'âge du sujet et les différents degrés du mouvement expressif;—quoiqu'il fût peu intelligent, sa phys
de la lasciveté (trans-versc du nez, voy. Q, fig. i), du côté droit; mouvement du globe oculaire oblique en haut et un peu latér
e j'ai à produire ; je l'engage ensuite à exécuter volontairement les mouvements faciaux qui sont propres à ces expressions. — Aya
ns. — Ayant étudié et connaissant les combinaisons musculaires ou les mouvements qui conviennent à chaque expression, je me garde
isation localisée. — C'est au moment où l'expression produite par les mouvements volontaires est bien venue et se dessine avec ses
e présente d'assez grandes difficultés. II. Dans la figure 75, le mouvement expressif de la physionomie est semblable à celui
Dans les deux cas, j'avais fait porter le regard directement en haut ( mouvement produit par l'action synergique des muscles droit
érimentalement, dans un assez grand nombre de figures, que chacun des mouvements du sourcil, surtout ceux du muscle sourcilier (vo
nalité du corps humain, soit des reliefs musculaires produits par les mouvements et par les attitudes. Que l'on n'aille pas conc
s et des plus touchantes (1 ). II. J'ai écrit précédemment : « Le mouvement du sourcil n'in-» dique pas seulement un contente
t de la tète du sourcil l'abaissement des commissures labiales. — Ces mouvements s'obtiennent électro-physiologiquement, par la co
aises passions. L'expression des passions agressives et cruelles en mouvement a presque toujours été également bien sentie. J'e
palais Pitti). Les conjurés, que leur physionomie soit au repos ou en mouvement , ont une expression de méchanceté et de férocité
et en lui plissant transversalement la peau de la racine du nez. — Ce mouvement expressif démontre au physiologiste que le pyrami
niquement le modelé du front de cet homme ne peut coexister avec le mouvement imprimé à son sourcil. C'est plus qu'une faute d'
fig. 1), est également rebelle à la volonté, et n'obéit qu'à ce doux mouvement de l'âme qui rend le regard sympathique, comme su
tique de cette jeune fille, et que ses paupières n'en éprouvent aucun mouvement , et que l'on ne voit pas, chez elle, de rides ray
'étude de l'influence expressive réciproque de l'œil au repos et du mouvement modéré des commissures labiales propre au souure,
5 (1839) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Tome second
2, en quelles circonstances il, lisez : en quelles circonstances ce mouvement . 361 — 4, adducteurs, lisez : abducteurs. 395
ous temps (2), et que l'expérience a confirmée de nos jours (3). Un mouvement nécessaire succède à toute impression distincte.
là peuvent s'expliquer les sympathies confuses que révèle l'étude du mouvement réflexe. Ces quatre ordres de ganglions sont le
formeront « toutes qu'un seul système, et aucune ne pourra faire un « mouvement qu'il ne soit partagé par les autres. Mais que «
endroits, il en résultera plusieurs systèmes qui pourront « avoir du mouvement indépendamment les uns des autres. » On pourrait
f; mais les organes des sens supérieurs et le cerveau suivraient ce mouvement , ce qui n'a lieu dans aucun animal. Cette vue ne
xact, eu égard aux actions propres de la moelle et en particulier aux mouvements réflexes. (2) Foville, Traité complet de l'anat
coup sûr elles doivent être pour quelque chose dans la production des mouvements associés. Il est probable d'ailleurs que les prol
elque exercée qu'on la suppose, ne commande pas au dernier détail des mouvements , mais agit sur des systèmes ou des groupes d'acti
'anatomie du noyau nerveux encéphalique. Nous verrons plus loin qu'un mouvement d'enroulement semblable y modifie toutes les part
blanche l'emporte de plus en plus sur la grise. Ce cordon continue le mouvement d'enroulement des couches, et conduit en quelque
ne, et supposons que toutes les parties de la commissure subissent ce mouvement ; si l'enroulement a lieu du côté ventral au côté
essus de lui. Enfin la commissure blanche sera entraînée dans le même mouvement . Chose remarquable! cette modification si simpl
parlé, et la similitude, je veux dire l'analogie, est complète. Ce mouvement d'enroulement ne modifie pas seulement les partie
laris, la couche optique, les habenœ de la glande pinéale, suivent ce mouvement . De là ces formes circulaires, ces zones enroulée
e cause quelconque borne le développement de l'encéphale et arrête ce mouvement ascensionnel, (1) Cf. Bulletins de la Société p
e de YOrang, du Chimpanzé, du Gorille adultes, et des microcéphales à mouvements coordonnés. 11 s'en faut de beaucoup aussi, que
roche de la forme fœtale. La marche du développement a été viciée. Le mouvement ascensionnel n'a pas seulement été affaibli; il a
ce blanche de la couche optique, seulement, au lieu de continuer leur mouvement d'enroulement, elles se terminent toutes deux en
aine ne dessine point, elle peut, tout au plus, indiquer, et dans son mouvement lent et successif se prête mal à l'exposition de
abord en arrière, se portent en avant, tandis que les internes, qu'un mouvement de développement direct eût conduites vers les pa
int exactement parallèles; elle subit en effet vers ses extrémités un mouvement de torsion qui ramène en avant les fibres de son
peuvent-elles céder qu'aux efforts des études immédiates, quand les mouvements de la main qui dissèque fournissent 'aux idées qu
e sensations spéciales; 2° nerfs de sensibilité générale; 3° nerfs du mouvement volontaire; 4° nerfs du mouvement respiratoire. T
e sensibilité générale; 3° nerfs du mouvement volontaire; 4° nerfs du mouvement respiratoire. Telle est la classification de Ch.
e servir à des sensations spéciales; 3° nerfs présidant à la fois aux mouvements volontaires et respiratoires. Dans ces classifi
y a dans la face une vie matérielle, savoir: de la sensibilité et du mouvement . A cet égard, la face ressemble au tronc. Il pour
niennes, des nerfs pour la sensibilité générale, et des nerfs pour le mouvement automatique ou volontaire, et en réalité les chos
la paire postérieure comprend, outre le nerf acoustique, des nerfs de mouvement tels que l'hypoglosse, le spinal, le facial et le
f rhythmiquo par excellence, avec le cervelet organe coordinateur des mouvements , est un fait bien digne de fixer l'attention. L
e j'éprouve en ce moment n'est point un sentiment d'orgueil, c'est un mouvement d'humilité profonde et douloureuse. J'ai bâti, mo
pha-lique une forte courbure, et le tube nerveux central se plie à ce mouvement général. Cette inflexion de l'axe nerveux n'est
de la commissure molle, dont la formation centripète coïncide avec ce mouvement . Ces déterminations une fois établies, il est é
ique et de grossier, qui convient mal à l'idée qu'on doit se faire du mouvement vital dans les êtres organisés ; mais si l'on dis
t dans son ensemble, mais encore dans ses moindres détails. Or, de ce mouvement de développement qui transforme en même temps la
e voulait Gall, soit qu'il gouverne et régularise la distribution des mouvements volontaires, comme l'enseigne notre illustre phys
sans doute à l'imperfection du cerveau qu'à la faiblesse générale du mouvement vital, dans une organisation sans force originell
nt quelque civilisation fatale, pétrifiée pour ainsi dire, et d'où le mouvement est exclu. Cette uniformité chez les barbares et
e sphenoidal de l'os pariétal qu'elle rejette en arrière par un léger mouvement de bascule ; il en résulte d'une part que la régi
rêt; elles semblent indiquer en effet une sorte d'opposition entre le mouvement d'ossification des vertèbres céphaliques et l'acc
MENTALE DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL. Nous laisserons ici de côté les mouvements alternatifs qui agitent la masse cérébrale. Ces m
e côté les mouvements alternatifs qui agitent la masse cérébrale. Ces mouvements , qui ont peut-être sur les fonctions une influenc
s centres nerveux céphalo-rachidiens, sous le triple point de vue des mouvements , de la sensibilité et de l'intelligence. CHAPIT
usanias tomba de voiture et reçut une contusion au haut du tronc. Les mouvements demeurèrent libres, mais deux doigts de la main e
par Cl). Darem- Ainsi la question est résolue par l'observation. Le mouvement étant conservé, la sensibilité peut être abolie e
orps, le sciatique par exemple, et qu'on le coupe, le sentiment et le mouvement seront à la fois anéantis dans tous les organes q
e grenouille décapitée. Il n'est pas besoin, dit-il, pour exciter des mouvements , de toucher ni les muscles, ni les nerfs; il suff
rrive à cette conclusion, qu'après la décapitation le sentiment et le mouvement volontaire persistent. 11 va plus loin encore.
ral, mais partiellement fausses. A ces expressions de sentiment et de mouvement volontaire, il en eût dû substituer de nouvelles,
l'animal n'est plus qu'un automate, capable d'excitation, capable de mouvement , capable d'équilibre et de vie, mais aveugle, mai
ce passage remarquable: « Dans le fait, « la possibilité de tous les mouvements partiels sous l'effet d'une irritation exit lérie
apitation, puisque la moelle épinière, agent « producteur de tous ces mouvements , subsiste ; mais il n'y a plus, comme « je l'ai m
mouvements, subsiste ; mais il n'y a plus, comme « je l'ai montré, ni mouvement spontané, ni mouvement coordonné, puisque « l'enc
mais il n'y a plus, comme « je l'ai montré, ni mouvement spontané, ni mouvement coordonné, puisque « l'encéphale, siège des parti
ulent, les parties qui coordonnent et les parties qui produisent « le mouvement , n'était pas encorde laite. » (Propriétés et fonc
moelle, des relations automatiques si intimes, qu'un grand nombre de mouvements coordonnés peuvent être exécutés à l'occasion de
lle des Hirudinées. Deuxième édition. Paris, 1846, p. 202, 206. les mouvements des pattes ravisseuses de la Mantis reli-giosa (1
itation, tandis que le segment qui tient encore à la tête exécute des mouvements coordonnés (3). La plupart de ces phénomènes pe
entre les nerfs sensitifs et les fibres motrices, donnent la clef des mouvements réflexes aussi bien dans les vertébrés que dans l
lui, les cordons antérieurs et les racines antérieures président aux mouvements de flexion. Les cordons postérieurs et les racine
dea of a new anatomy of the Brain. London. (2) Note sur le siège du mouvement et du sentiment dans la moelle épinière. Dans Jou
spinali nervisque ex eâ prodeuntibus. Turin, 1823. postérieures aux mouvements d'extension. Ces derniers tiennent en outre la se
in le cordon postérieur droit, vers la première vertèbre lombaire. Le mouvement de l'extrémité postérieure fut conservé de ce côt
érieurs à la région dorsale donna lieu à des résultats différents. Le mouvement des extrémités postérieures fut d'abord affaibli,
vertèbre. Le côté droit du corps fut frappé d'insensibilité, mais le mouvement y fut conservé. Cet effet croisé des lésions de
e celle des cordons postérieurs se conserve. L'inverse arrive pour le mouvement , car il persiste dans les membres antérieurs, et
gauche. À la suite de cette opération, le sentiment fut détruit et le mouvement affaibli. Il coupe enfin vers la région dorsale
erçut point les effets croisés signalés par Fodera. Il observa que le mouvement , affaibli pour un temps après la section des cord
des cordons postérieurs. Rolando coupa les cordons postérieurs. Le mouvement fut anéanti dans les parties situées en arrière d
t les cordons antérieurs conduisent également la sensibilité. Mais le mouvement volontaire exige le conflit et l'action simultané
toutefois qu'ils servent les uns et les autres à la sensibilité et au mouvement (2). Les questions relatives à ce point important
et les postérieurs sensi-tifs, d'autres attribuaient aux premiers les mouvements de flexion et aux seconds les mouvements d'extens
ttribuaient aux premiers les mouvements de flexion et aux seconds les mouvements d'extension (1) ; d'autres défendirent une propos
se. Van Deen a fort soigneusement distingué le sentiment réel et le mouvement volontaire des effets de l'action propre et du po
qui excite la volonté, et un sentiment de réflexion qui détermine les mouvements réflexes. 11 y a une sorte d'antagonisme entre ce
e sentiment réel et la volonté disparaissent, mais le sentiment et le mouvement de réflexion deviennent plus actifs, page 120.
ntia gelatinosa. 11 fonde son opinion, quant au premier fait, sur les mouvements musculaires, dont les cordons antérieurs, séparés
ons antérieurs et postérieurs comme servant exclusivement, les uns au mouvement , les autres à la sensibilité; mais les opinions v
, mais sans preuves directes, l'existence de fibres analogues pour le mouvement , quïl nomme fibres kynésodiques (1). Ce mémoire
et l'autre moitié dans la région de la cinquième, l'animal perd tout mouvement dans les pattes postérieures, mais le sentiment n
ratiquées à trop peu de distance l'une de l'autre, le sentiment et le mouvement sont également anéantis. Cette expérience avait d
eux moitiés symétriques. Le 8entimentful détruit des deux côtés et le mouvement fut affaibli. (2) Van Deen. Loc. cit. Pages 112
e qu'on ne l'imagine en général. A côté des impressions perçues et du mouvement volontaire, il y a l'action réflexe de la moelle.
rce sur la respiration ; tant que le bulbe est intact, l'harmonie des mouvements .respiratoires se maintient. Une région est plus p
aux postérieurs ; 2° qu'elle n'est pas seulement l'agent immédiat des mouvements respiratoires, mais qu'elle intervient comme prem
e intervient comme premier mobile et comme principe régulateur de ces mouvements . Cette seconde proposition est démontrée de la
respire plus; mais si l'on excite la moelle, les côtes exécutent les mouvements de la respiration. Ainsi, la cause immédiate de c
nt les mouvements de la respiration. Ainsi, la cause immédiate de ces mouvements est dans la moelle, mais la cause première, le pr
moelle allongée l'anéantira par de grés, et à un certain point tout mouvement respiratoire s'arrêtera : ce point a reçu de M. F
it; s'il demeure uni au tronc, le tronc seul vivra, et conservera des mouvements volontaires. Nous ne nous arrêterons pas à cette
t le mieux établi de son histoire est son rôle dans la production des mouvements respiratoires; quant à ses fonctions comme conduc
nce; l'animal se mit à tourner, suivant son axe, sur le côté lésé; ce mouvement continua plusieurs heures et pendant toute la nui
en effet, on y fait intervenir une certaine action des membres, or le mouvement se produit alors même que les membres ont été att
é générale d'agir, mais il serait dépourvu de celle de coordonner les mouvements de l'une des moitiés de son corps. Les deux côtés
ésultante des actions s'effectuerait nécessairement sous l'empire des mouvements exécutés par les muscles coordonnés; tout conspir
scles coordonnés; tout conspirerait alors pour imprimer à l'animal un mouvement de rotation sur son axe, et ce mouvement aurait l
pour imprimer à l'animal un mouvement de rotation sur son axe, et ce mouvement aurait lieu sur le côté du corps opposé à celui d
agendie s'est attaché à prévenir cette explication en montrant que ce mouvement de rotation est beaucoup plus actif lorsque les l
quart de ce côté avec les trois quarts gauches, et produisit ainsi le mouvement de rotation sur l'un des côtés du corps. Il coupa
dit Magendie, « que la section du pédoncule a plus d'influence sur le mouvement de rotation latérale du corps que la lésion du ce
duit à admettre : « 1° que « la production du principe incitateur des mouvements de « locomotion est plus spécialement sous la dép
de la protubérance, comme la production du principe « incitateur des mouvements de conservation et ceux de la res-« piration en p
e concours des « lobes cérébraux. » Il faut distinguer avec soin le mouvement de rotation sur l'axe qui résulte des lésions de
tation sur l'axe qui résulte des lésions de la protubérance d'avec le mouvement de manège que d'autres lésions déterminent. On sa
r le côté courbé. On pourrait conclure de cette observation que ces mouvements de manège qui se produisent dans les vivisections
expériences de Longet, confirmées en partie par celles de Schiff, ce mouvement résulte constamment d'une lésion incomplète de l'
bres ne soient point paralysés. M. Lafargue a essayé d'expliquer ce mouvement de manège par la prédominance de l'un des côtés d
une déviation de l'extrémité antérieure du corps, qui imprimerait aux mouvements de progression une résultante circulaire. Magen
logistes ont prétendu qu'elles influent plus particulièrement sur les mouvements des deux membres antérieurs, et que leurs radiati
e contraire ou antagoniste de celle-ci dominant seule, déterminait le mouvement en avant par une propulsion irrésistible. Longet,
la couche optique et les lobes postérieurs du cerveau présidaient au mouvement des bras, les corps striés et les lobes antérieur
au mouvement des bras, les corps striés et les lobes antérieurs, aux mouvements des jambes. M. Serres, d'après des observations q
Saucerotte. Les radiations de la couche optique sont excitateurs des mouvements des membres thoraciques, et subsidiairement excit
s hommes avaient une intelligence faible, et on remarquait dans leurs mouvements une certaine indétermination. On pourrait conclur
is seulement par son lobe médian. Ses hémisphères sont excitateurs du mouvement des membres. » Cette influence du cervelet sur
ême de l'opinion qui accorde au cervelet une grande influence sur les mouvements . Rolando est tombé à cet égard dans une telle e
ombé à cet égard dans une telle exagération, que suivant lui tous les mouvements du corps en dépendent; on a bien démontré combien
Les animaux privés de cervelet éprouvent un grand trouble dans leurs mouvements , et s'il n'y a chez eux une altération profonde d
pousse l'animal à se mouvoir en avant. 11 est donc l'antagoniste des mouvements que les corps striés déterminent. Ainsi par les c
côté, la section de l'un des pédoncules cérébelleux moyens amène des mouvements de rotation selon l'axe du corps, tandis que des
amène des mouvements de rotation selon l'axe du corps, tandis que des mouvements de manège résultent d'une section de la moelle al
forces, qui dans l'état de santé se font équilibre. L'une pousse aux mouvements en avant, l'autre aux mouvements en arrière. La t
se font équilibre. L'une pousse aux mouvements en avant, l'autre aux mouvements en arrière. La troisième fait tourner sur l'axe d
ernières déterminent des (1) Précis de physiologie. T. I, p. 413. mouvements de manège en deux sens opposés, et la volonté fai
ses expériences ne poussa pas assez loin l'analyse ; il avait vu des mouvements de recul se produire à la suite de la section des
tte conclusion nouvelle dans la science que le cervelet coordonne les mouvements qui ont été voulus dans le cerveau et que détermi
oelle épinière parson action immédiate. 11 n'est point le principe du mouvement , mais il en est le régulateur; des animaux auxque
le cervelet seul est-il détruit, tout subsiste, les sensations et les mouvements 5 mais ces mouvements ne ^'enchaînent plus, et le
l détruit, tout subsiste, les sensations et les mouvements 5 mais ces mouvements ne ^'enchaînent plus, et le corps s'agite sous l'
re la direction de chaque « canal semi-circulaire, et la direction du mouvement produit « par la section (1). » M. Flourens ne
M. Flourens ne conclut point de ces expériences que la cause de ces mouvements est dans les canaux demi-circulaires, elle vient,
e la direction des fibres ou des canaux tranchés, et la direction des mouvements produits. De nouvelles expériences faites sur le
e pareille influence de l'ablation de ses parties antérieures sur les mouvements en avant, et de ses parties postérieures sur les
s sur les mouvements en avant, et de ses parties postérieures sur les mouvements en arrière. M. Flourens conclut de tous ces faits
n arrière. M. Flourens conclut de tous ces faits que la direction des mouvements déterminés par la section des libres de l'encépha
Il y a, dit-il, autant de fibres modératrices distinctes qu'il y a de mouvements opposés possibles (2). Il admet donc trois ordres
résulte des expériences de M. Flourens que le cervelet coordonne les mouvements du corps : j'entends parler ici des mouvements de
cervelet coordonne les mouvements du corps : j'entends parler ici des mouvements de locomotion. J'ai émis l'hypothèse que les lobe
l'hypothèse que les lobes moyens du cervelet présidaient surtout aux mouvements automatiques dont la moelle est le principe, et l
utomatiques dont la moelle est le principe, et les lobes latéraux aux mouvements que le cerveau détermine; l'analomie comparée est
l'intelligence, avait conservé, mais inégalement, son pouvoir sur les mouvements des deux côtés du corps (1). Eu égard aux mouve
ouvoir sur les mouvements des deux côtés du corps (1). Eu égard aux mouvements , plusieurs physiologistes ont pensé que les deux
parties différentes du corps. Les lobes postérieurs présideraient aux mouvements des bras, et les lobes antérieurs à ceux des memb
t sur une de ses moitiés. De là la nécessité d'admettre, soit pour le mouvement , soit pour la sensibilité une action directe de c
nce qui n'a été contestée par personne. En eux réside le principe des mouvements de l'iris; et tant qu'ils persistent, un animal p
n pigeon privé de ses hémisphères cérébraux, suivait avec sa tête les mouvements d'une bougie à laquelle on donnait un mouvement c
ait avec sa tête les mouvements d'une bougie à laquelle on donnait un mouvement circulaire. Je ne pense pas qu'on puisse conclure
s ; 2° chez l'homme et chez les singes, en détruisant le principe des mouvements de l'iris, etde cette accommodation automatique d
rs s'accordent sur la question de l'influence qu'ils exercent sur les mouvements . Quand on attaque leurs couches profondes, il se
nt que l'influence des tubercules quadrijumeaux ne se borne point aux mouvements de l'iris, et s'étend au corps tout entier. Il fa
ans le corps, en agite la masse épaisse et lui communique ses propres mouvements , pareille à l'argent vif qui animait la Vénus de
r à cette déclinaison des atomes imaginée par leur maître, un certain mouvement volontaire d'une âme. Acutihs Carnéades gui doceb
« toutes les idées des différentes espèces de figures, l'idée de « mouvement est aussi le genre des idées de toutes les espèce
« mouvement est aussi le genre des idées de toutes les espèces « de mouvement ; l'idée de couleur est le genre des idées de « t
es de toutes les espèces d'ani-« maux. Les idées générales de figure, mouvement , couleur, « son, animal, sont des puissances géné
elle-même davantage. De là ce nom métonymique de passions donné à ces mouvements auxquels l'âme est pour ainsi dire entraînée. T
ulé autour d'un treuil, de manière à l'abaisser ou à l'élever avec un mouvement uniforme. Cette aiguille avec son lest doit être
me. Cette aiguille avec son lest doit être si légère et abaissée d'un mouvement si lent, qu'abandonnée à son propre poids, elle n
ment, quand l'organe tactile est immobile, donne l'idée d'un corps en mouvement . 11 s'y joint habituellement une sensation de pre
e doigt qui le touche. Le frottement qui en résulte donne l'idée d'un mouvement . Mais quelle est la forme d'un corps en mouvement
e donne l'idée d'un mouvement. Mais quelle est la forme d'un corps en mouvement ? Voilà ce que notre aveugle ne pourra dire. Cett
orps tout entier des cercles autour d'elle, et par l'idée qu'il a des mouvements qu'il a exécutés et voulus, il décidera que cette
larges surfaces de notre corps, nous le circonscrivons avec certains mouvements des extrémités de nos doigts, de ces cinq pointes
est impuissant. Il faut pour cela un nouvel élément, c'est-à-dire un mouvement voulu. L'esprit sait qu'il a mû le corps. Il gard
e corps. Il garde la trace de ces mouve merits; or la trace de tout mouvement , c'est une figure ou une forme, Eldoç.. Cette for
rien donné, l'esprit a tout tiré de lui-même. Ainsi l'âme sent les mouvements du corps. Elle sent ses membres où ils sont; en u
que « ces doigts eussent un plus grand nombre d'articulations et « de mouvements , il n'est pas douteux que le sentiment du « touch
gèrement promenés sur leurs surfaces. Nous les circonscrivons par des mouvements coordonnés, ou bien nous les motions en mouvement
onscrivons par des mouvements coordonnés, ou bien nous les motions en mouvement sous les doigts d'une certaine façon. Dans ce cas
nous jugerons que cette tige est un cylindre, si en lui imprimant un mouvement de rotation sur son axe, aucun des doigts qui l'e
n sur son axe, aucun des doigts qui l'embrassent n'est déplacé par ce mouvement . La lige est-elle immobile, au contraire, on arri
immobile, au contraire, on arrivera à la même conclusion par certains mouvements de la main. 11 serait presque absolument impossib
ue l'on tiendrait à pleine main, sans lui imprimer dans celle main un mouvement de rotation sur son axe. Mais on peut supposer un
on l'aime mieux, de ces angles. Ce nombre sera compté par suite d'un mouvement amenant une succession de contacts. Mais évidemme
ais formé de parties dures à sa surface convient à un animal dont les mouvements sont précis et rapides, mais dont la sensibilité
e impression aide beaucoup au jugement que nous portons sur l'état de mouvement des corps que nous touchons. 4° De tous les sen
es fétides ou suaves; les odeurs fétides entraînent naturellement des mouvements sympathiques d'expulsion, tandis que les odeurs s
ympathiques d'expulsion, tandis que les odeurs suaves déterminent des mouvements généraux d'expansion voluptueuse et de déglutitio
boucher le nez. On fait ainsi des fosses nasales une impasse d'où le mouvement est exclu ; alors aucune odeur n'est perçue, et s
comme l'emploi du goût suppose une intersusception plus avancée, les mouvements qui lui sont propres, en même temps qu'ils exprim
s; il ne saurait ni la forme, ni l'étendue, ni la résistance, ni le mouvement des corps extérieurs. Les odeurs ou les saveurs n
ion une influence singulière. Ils sont essentiellement excitateurs de mouvements , et cette propriété est d'autant plus marquée qu'
z évidente, c'est qu'avec des bruits ou des sons on peut cadencer des mouvements . La succession de ces mouvements étant alors régl
its ou des sons on peut cadencer des mouvements. La succession de ces mouvements étant alors réglée par la succession des bruits.
n y revient par des oscillations du corps, mais encore la tendance au mouvement n'est pas satisfaite, le repos est presque forcé,
ns la tendance des organes. Il suit de là que la tendance du corps au mouvement se réglera d'autant plus facilement sur la succes
es mêmes sons. Ayant tous à la fos de la tendance à se mouvoir, leurs mouvements coïncideront, ils marcheront, ils agiront à la fo
s l'homme n'en a-t-il point tiré! Mais ce n'est pas seulement sur les mouvements généraux du corps que la musique et le rhylhme ag
du corps que la musique et le rhylhme agissent. Ils influent sur les mouvements respiratoires eux-mêmes, et les sympathies innomb
r un art d'accélérer, de suspendre, de régulariser, de troubler leurs mouvements , et d'éveiller par là des sentiments divers. Auss
nous affirmons qu'un pareil homme ne peut avoir ni de la forme, ni du mouvement des corps aucune idée possible. Quel rapport natu
lconque et des idées de forme, d'étendue, de surface, de solidité, de mouvement et de résistance? Tout au plus l'âme pourrait-ell
A l'occasion de la vue l'âme a des idées de l'espace, de la forme, du mouvement et du temps; (railleurs la vue est comme l'ouïe
la rétine, (1) Hist.nat., T. III, de redit, in-4, p. 312. (2) Les mouvements réciproques des paupières et du globe de l'œil, é
é se sert de sa main beaucoup moins pour toucher que pour saisir. Ces mouvements , qui ne peuvent d'ailleurs lui donner aucune idée
r des observations précises que les objets sont vus droits, que leurs mouvements sont perçus dans leur sens véritable, et que nous
traverser le champ lumineux de la petite ouverture en sens inverse du mouvement de l'objet. L'objet réel est vu d'ailleurs dans s
est pas quant au jugement que l'esprit porte sur les attitudes et les mouvements du corps. L'homme posé sur ses pieds distingue fo
1) Il est intéressant de constater ici un fait relatif à l'emploi des mouvements dans la physionomie. Les gens préoccupés par un c
s objets plus éloignés et réciproquement, éveillent le sentiment d'un mouvement , et ce sentiment a pour corrélatif nécessaire l'i
t une sorte de liaison naturelle du corps et de l'œil qui fait qu'aux mouvements de celui-ci s'associent sympathiquement ceux de c
là (1). (I) Chevreul. Lettre à M. Ampère sur une certaine classe de mouvements musculaires. — Condillac, combattant Buffon, dit
it ne règne pas seulement sur la terre mais sur l'univers, et dans ce mouvement du regard qui plonge dans l'étendue, l'âme emport
d'objets incolores ou colorés, mais immobiles. 11 s'agit d'objets en mouvement , comme une roue qui tourne, comme une eau qui s'é
ière. Si, par exemple, après avoir considéré longtemps une surface en mouvement , comme une nappe d'eau coulant avec rapidité, l'o
n objet immobile, une illusion constante vous le fait voir animé d'un mouvement qui l'entraîne en sens inverse du courant. On peu
t quelques minutes, une bande de papier rayé à laquelle on donne un mouvement rapide au moyen d'un mécanisme quelconque. Plat
écartées que dans l'expérience précédente. On imprimera au disque un mouvement dont la vitesse doit être de six ou sept révoluti
révolutions par seconde- Alors, si l'on fixe un instant ce disque en mouvement , et que, détournant les yeux, on les porte immédi
ce visage se dilater ou se concentrer, et toujours en sens inverse du mouvement dont la spire paraissait animée. Semblait-elle se
lles-ci. 11 est d'autres illusions de l'œil qui ne dépendent pas du mouvement des objets extérieurs, mais de ceux du corps. Tel
s les objets semblent tourner, l'on se sent soi-même entraîné dans un mouvement gyratoire, et cet état est accompagné d'un troubl
dans une autre explication de ce phénomène, l'hypothèse d'un certain mouvement imprimé au cerveau. Cette hypothèse mérite d'être
après avoir ainsi tourné sur soi-même, le cerveau, qui participait au mouvement général du corps, est à peu près dans le cas d'un
peu près dans le cas d'une gelée emprisonnée dans un vase qu'anime un mouvement rotatoire. Tant que le vase tourne, elle est entr
vement rotatoire. Tant que le vase tourne, elle est entraînée dans un mouvement homogène et continu ; mais vient-il à s'arrêter b
parcourent les claviers ou les cordes avec une telle accumulation de mouvements suivis, saccadés, interrompus de mille manières d
de l'automate. Si les mains ont souvent exécuté une certaine série de mouvements , il suffira de vouloir cette série et les mains l
dans un seul système toutes nos idées et toutes nos impressions, les mouvements des idées et des impressions sonores, la vue simp
s notations, entraîneront, sans que l'attention y ait aucune part, le mouvement des doigts. Alors le grand exécutant oublie son c
des groupes, puisse régler plus aisément Le détail presque infini des mouvements du corps. Mais, pour bien comprendre ces résultat
ées; de même, nous voyons l'esprit tendre à l'équilibre perdu par des mouvements oscillants entre le présent et le passé. Aussi le
entre le présent et le passé. Aussi le développement des sons et des mouvements en séries régulières aident-ils merveilleusement
matique du système nerveux y est moins intéressée ; et tandis que des mouvements effectifs sont la conséquence nécessaire des sens
oins, no détermine dans la sphère de l'automatisme que des indices de mouvement et, si je puis ainsi dire, des ébauches do réacti
al, quand le système des images s'est complété par le temps et par le mouvement de la vie, naissent incessamment des impressions
lucination et de sommeil par des troubles singuliers de la sphère des mouvements organiques. Nous aurons donc à étudier l'imaginat
eures dominent; mais, bien que dominantes, elles n'éteignent point le mouvement de l'imagination ; les deux mondes, le réel et l'
eux essentiellement liée à une volonté efficiente d'où résultent des mouvements dont l'ensemble exprime une tendance plus ou moin
naires peuveut être assimilées à des sensations très-faibles. 3° Le mouvement d'une attention vive portée à une chose quelconqu
d'imaginer, il cesse en même temps d'écouter. L'attention donnée à un mouvement quelconque affaiblit aussi la faculté actuelle d'
nes. 11 peut donc y avoir chez un questionneur intéressé, ou certains mouvements des lèvres, ou des tressaillements du corps et de
'esprit qui anime cette machine pourra croire n'obéir qu'à son propre mouvement , puisque, ainsi que nous venons de l'établir, des
n des caractères les plus frappants des idées du sommeil. Comme les mouvements du corps et la persistance des attitudes actives
x lois de la vie automatique. Le sommeil, disait Avicenne (1), est un mouvement de retrait de l'esprit animal qui abandonne les o
trait de l'esprit animal qui abandonne les organes du sentiment et du mouvement , à l'exception de ceux dont l'action est à tout m
u point d'être sentie sans que le dormeur en soit éveillé. De même un mouvement spontané du corps contrarié par un obstacle, une
oir volontairement persiste; si, par exemple, le corps est livré à un mouvement régulier et habituel, ce mouvement peut se contin
r exemple, le corps est livré à un mouvement régulier et habituel, ce mouvement peut se continuer malgré le sommeil : c'est ainsi
x y s'ont tracés avec la même fidélité et que l'habitude d'un certain mouvement donne la direction première, on concevra comment
ertain mouvement donne la direction première, on concevra comment les mouvements pourront se développer dans une corrélation parfa
nt ce qu'elle exécutait en rêvant. Elle imprime au corps une suite de mouvements , qui correspond à celle que la vue des objets occ
ommeil. Globe, t. V, nos 21 et 22. — Bontekoë attribue les songes aux mouvements organiques du cerveau. « Atque hinc pendent insom
0, fo!. 22 a. nés ont en quelque sorte préparé la voie à un certain mouvement , de même il est réciproquement nécessaire que les
d'objets tourbillonnants. Mais à mesure que le sommeil approche, ce mouvement moléculaire d'images se ralentit ; peu à peu elle
çus de mes yeux fermés, une tête éblouissante de couleur, dévie et de mouvement (1), et si vivement ombrée et modelée qu'elle me
es sont assez difficilement explicables. Peut-être tiennent-elles aux mouvements du sang ou, comme certaines variétés du vertige,
délire d'une fièvre typhoïde voyait tous les meubles de sa chambre en mouvement . Cette illusion est fort commune dans la forme sa
u de l'eau, la partie ébranlée en pousse une autre, en « sorte que le mouvement se propage même en l'absence de la « cause qui l'
e la « cause qui l'a déterminé; de même rien n'empêche que « certains mouvements et certaines impressions ne viennent « aux âmes,
onges peuvent être le point de départ de certaines idées, de certains mouvements de l'homme éveillé, « qu'y a-t-il d'étonnant, dit
genre et des plus curieux. (Démonologie.) s'y attendait le moins le mouvement incessant et spontané des idées la rappelant enco
cavité d'une dent détermine la perception d'un certain bruit; que le mouvement des artères et du sang soit perçu sous forme de b
ie se rattachent ces hallucinations qui sont en contradiction avec le mouvement des pensées dont l'esprit est préoccupé. La sec
pparences se font impérieusement regarder. Elles paraissent suivre le mouvement des yeux, mais il ne s'ensuit pas nécessairement
s que nous nous imaginons voir. Ainsi, par suite de l'association des mouvements des idées avec ceux du corps, le fantôme sera nat
ns la direction des axes optiques. Ces images semblent donc suivre le mouvement de la tête et des yeux. Je me suis convaincu de
icroscopiques; lorsque je détournais la tête, ces images suivaient le mouvement et ne cessaient point d'être aperçues. Les fant
M. Chevreul se décida à passer dans sa chambre à coucher. Pendant ce mouvement , qui l'obligeait de passer devant ce fantôme, cel
de lui ; elle imitait tous ses actes et répétait exactement tous ses mouvements . Le cavalier ayant à traverser une rivière, le fa
érielles, il sera difficile de contester l'influence des états et des mouvements du corps sur la génération des idées. (1) Wieru
les natures faibles et délicates, en suspendant sympathi-quement les mouvements respiratoires, est une cause immédiate de congest
dans un jeu d'enfant. Quand une jeune fille se livre sans frayeur aux mouvements d'une escarpolette, il n'est pas rare de la voir
as rare de la voir fermer les yeux. Examinez alors avec attention les mouvements du corps : au moment où elle descend, ses épaules
otre tour sur l'escarpolette, analysez vos impressions intimes et vos mouvements involontaires. Même résultat ; au moment de la ch
, expansion générale du thorax dans une inspiration prolongée; et ces mouvements sont si naturels, si intimement liés à l'harmonie
et vous verrez qu'alors il se développe un sentiment très-précis d'un mouvement en avant, pendant la durée duquel l'idée de la vi
s, lui disait-on, et soudain elle fermait, les yeux, faisait un grand mouvement d'inspiration, pendant lequel, tout éveillée, ell
rigine. Dans mon enfance, je m'imaginais voler dans mes rêves par des mouvements de natation aérienne. Aujourd'hui je m'accroupis
ations des songes dépendent du sentiment intérieur qui s'associe à un mouvement d'expiration, surtout quand un frisson léger en a
oments où la peur de se briser à tous les obstacles enchaîne tous les mouvements . Or, du sentiment de fragilité naît l'idée de fra
semblent parcourus avec une rapidité toujours croissante. L'idée d'un mouvement uniforme n'exprime en aucune façon la loi de la v
fets de l'IM a g IN at I on. § 4. Influence de l'Imagination sur le mouvement du corps île l'être qui Imagine. La tendance au
on sur le mouvement du corps île l'être qui Imagine. La tendance au mouvement qui suit une sensation véritable est une tendance
e résultat demeure incomplet. Ainsi, à la sensation correspondent des mouvements achevés, mais l'imagination n'amène, en général,
en général, que des indices d'action auxquels nous donnons le nom de Mouvements symboliques. Les mouvements symboliques ne sont
'action auxquels nous donnons le nom de Mouvements symboliques. Les mouvements symboliques ne sont point des phénomènes accident
d'une manière nécessaire et dans un détail infini. La théorie de ces mouvements a dans l'histoire philosophique du langage une im
nt occupé les esprits. Il ne faut point les confondre avec d'autres mouvements qui se développent dans des circonstances très-di
des circonstances très-diverses, et auxquels on peut donner le nom de Mouvements sympathiques. Ces mouvements résultent des relati
es, et auxquels on peut donner le nom de Mouvements sympathiques. Ces mouvements résultent des relations qui existent entre tous l
crate : Consensus unus, conspiratio una, consentientia omnia (1). Ces mouvements sympathiques sont de deux ordres. Les uns se déve
suivant la loi d'analogie, et prennent un caractère métaphorique. Les mouvements d'attention qui se produisent automatiquement dan
plication attentive des yeux, en sont un exemple fort habituel. Les mouvements symboliques sont l'expression visible des mouveme
habituel. Les mouvements symboliques sont l'expression visible des mouvements et des désirs de l'imagination. L'existence de ce
ble des mouvements et des désirs de l'imagination. L'existence de ces mouvements a été prouvée de la manière la plus heureuse par
ule oscillateur. Un homme tient un pendule à la main; il pense à un mouvement possible, le pendule se met en mouvement; il pens
ule à la main; il pense à un mouvement possible, le pendule se met en mouvement ; il pense que le mouvement va s'arrêter, le pendu
n mouvement possible, le pendule se met en mouvement; il pense que le mouvement va s'arrêter, le pendule s'arrête. Quelques perso
uissante. La cause réelle de ce phénomène est celle-ci. Imaginer un mouvement , c'est le voir en idée; or, l'imagination n'agit
dépendamment des organes du corps, elle conduit l'œil dans le sens du mouvement qu'elle rêve, comme elle (1) Œuvres d'Hippocrat
'aliment, § 23. conduit le corps entier dans le somnambulisme. A ce mouvement symbolique de l'œil, s'associe bientôt un mouveme
mnambulisme. A ce mouvement symbolique de l'œil, s'associe bientôt un mouvement sympathique de la main qui tient le pendule, et c
entôt un mouvement sympathique de la main qui tient le pendule, et ce mouvement lui imprime des oscillations d'autant plus étendu
vive et la volonté plus énergique. On peut démontrer aisément; ces mouvements de la main. Il suffit, pour cela, de l'observer d
er l'immobilité la plus grande. Si au lieu d'imaginer le pendule en mouvement , on l'imagine en repos, le résultat sera égalemen
bilité résultera d'une contradiction automatique opposée par certains mouvements de la main à toutes les oscillations que pourrait
eut, en effet, considérer avec la plus grande attention un pendule en mouvement , sans que la vue de celui-ci ait la moindre influ
it point encore sur les organes vivants, n'a aucune influence sur les mouvements d'un corps inerte étranger à l'être qui imagine;
rps inerte étranger à l'être qui imagine; 2° que la vue d'un corps en mouvement et le désir de voir ces mouvements s'accélérer, n
magine; 2° que la vue d'un corps en mouvement et le désir de voir ces mouvements s'accélérer, n'ont aucune influence sur les mouve
ir de voir ces mouvements s'accélérer, n'ont aucune influence sur les mouvements d'un autre corps tenu suspense manu, hors de la p
a volonté sur un pendule tenu d'une main et dont les yeux suivent les mouvements , n'a aucune influence sur les mouvements d'un pen
et dont les yeux suivent les mouvements, n'a aucune influence sur les mouvements d'un pendule tenu de l'autre main, mais que les y
à son tour au regard, le pousse effectivement. Or, il s'agit ici d'un mouvement sympathique, d'un mouvement purement automatique
sse effectivement. Or, il s'agit ici d'un mouvement sympathique, d'un mouvement purement automatique en conséquence, et dont l'es
e pendule est mû, parce que le regarder attentivement en pensant à un mouvement possible, c'est vouloir à certains égards ce mouv
n pensant à un mouvement possible, c'est vouloir à certains égards ce mouvement , et l'action de cette volonté sur le mouvement de
r à certains égards ce mouvement, et l'action de cette volonté sur le mouvement des yeux se change sympathiquement en une action
ce que M. Chevreul a parfaitement exprimé par ces mots '.tendance au mouvement . I! y a, en effet, dans ce phénomène, quelque c
e; ils se produisent, il est vrai, à notre insu, à peu près comme les mouvements de nos viscères, mais les expériences de M. Chevr
nes faisant autour d'une table ou d'un chapeau une chaîne vivante, un mouvement rotatoire emportait bientôt la table ou le chapea
e, quel qu'il fût, ne pouvait seul produire ces merveilles. Aussi ces mouvements furent-ils bientôt attribués à certains esprits s
des expériences et de les multiplier. On sait comment est obtenu le mouvement des tables : plusieurs personnes entourent une ta
s accompagnées de craquements. Enfin, la lourde masse se meut, et son mouvement , d'abord très-lent, devient bientôt assez rapide
nte, les expérimentateurs dont les mains sont imposées sur elle. Ce mouvement est-il l'effet d'un courant d'électricité émané
s et incontestables? dépendraient-ils par hasard de la volonté et des mouvements des expérimentateurs eux-mêmes? Mais comment des
. On peut considérer en premier lieu qu'il ne s'agit point ici d'un mouvement immédiat, mais d'un effet assez lent à se produir
ez-vous frémir, s'agiter, sautiller et se mouvoir en divers sens? ces mouvements sont semblables à ceux d'un diapason. Cette exp
es esprits en suspens; ainsi nous retrouvons ici tous les éléments du mouvement du pendule z l'attention de l'œil et l'idée d'un
léments du mouvement du pendule z l'attention de l'œil et l'idée d'un mouvement possible. Or, on ne peut avoir évidemment aucune
ent possible. Or, on ne peut avoir évidemment aucune idée actuelle de mouvement sans avoir en même temps l'idée corrélative d'une
lative d'une certaine direction ; aussi, quand notre esprit rêve à un mouvement que Iconque, il imagine en même temps un but ou u
agine en même temps un but ou un point de départ, sans quoi l'idée du mouvement serait nulle. Admettons qi'Je l'incertitude fasse
rection, il n'y en aura pas moins, en vertu de l'asso dation de nos mouvements à nos idées, une tendance vague, mais irrésistibl
nos mouvements à nos idées, une tendance vague, mais irrésistible au mouvement . Maintenant, considérez que plusieurs personnes
plus grand nombre de volontés instinctives auront coïncidé. Alors le mouvement devient effectif, il devient sensible, et par con
séquent, l'incertitude cessant, tous ayant à la fois l'idée d'un môme mouvement , concourront également à le produire. Cependant l
oir que les doigts demeurant adhérents à la table, c e n'est point du mouvement qu*il faudrait s'étonner, mais du repos. Prenez u
ensée de l'arrêter, il tournera aussitôt pour ne s'arrêter qu'avec le mouvement d'extension des bras ; mais si l'on imagine de su
le mouvement d'extension des bras ; mais si l'on imagine de suivre le mouvement , on tournera incessamment avec le disque. Ici l'e
est point possible, et cependant le fait dont nous parlons a, avec le mouvement des tables, la plus évidente analogie. Au surpl
essus duquel il oscillait, un gâteau de résine, avec la pensée que le mouvement s'arrêterait, le mouvement s'arrêtait en effet. A
un gâteau de résine, avec la pensée que le mouvement s'arrêterait, le mouvement s'arrêtait en effet. Ainsi, ajoute ce subtil expé
pour pie le phénomène se produise il faut avoir implicitement foi au mouvement . J'ai bien souvent vérifié la justesse de cette o
ux qui ont un parti pris d'incrédulité. Comme ils ne croient point au mouvement , ils ne peuvent ni le vouloir ni l'imaginer; ils
détruit par une opposition dont ils n'ont point conscience, jusqu'aux mouvements fortuits qui pourraient agiter le pendule. On p
phénomène des tables parlantes des expériences analogues. Lorsque le mouvement est le plus actif, la pensée qu'on peut le produi
, dit-on, qu'une personne étrangère veuille mentalement qu'un certain mouvement se u. n produise pour que le mouvement ail lieu
le mentalement qu'un certain mouvement se u. n produise pour que le mouvement ail lieu, pour que tel ou tel nombre significatif
stes erreurs de l'esprit humain. L'influence de l'imagination sur les mouvements du corps demeure démontrée. Cette influence s'exe
îme? Ils s'abaissent vers la terre. Le corps est en tout complice des mouvements de l'âme. Ainsi, par une illusion irrésistible, T
uelque chose en imagination, sans xécuter en même temps un indice des mouvements qui, dans a sphère des actions extérieures, corre
extérieures, correspondent à ces ac-ions diverses. L'influence des mouvements de l'imagination sur les sym-)athies viscérales n
enchantement sa marche habituelle. L'effet de l'imagination sur les mouvements intestinaux n'est pas moins remarquable : qu'aprè
amant les avait endurées. » § Z. Influence de l'imagination sur les mouvements d'un corps étranger a l'être qui Imagine. J'emp
nous dominent, et ce phénomène vient de ce que les idées règlent nos mouvements , et les idées pénètrent par les oreilles et par l
nspirent la terreur. L'enthousiasme idéal se communique par les seuls mouvements du visage. Rappelons ici la puissance dans l'amou
sulte en raison de la relation naturelle qui enchaîne à nos idées nos mouvements les plus secrets. Remarquez d'ailleurs que, pour
apable de recevoir, propager, communiquer toutes les « impressions du mouvement . Il est susceptible de flux et de « reflux. Le co
lacé dans un coin de la salle, et on y « joue différents airs sur des mouvements variés. On y joint « quelquefois le son de la voi
pport, « quel qu'en soit le moyen, entre la volonté de l'âme et les « mouvements du corps, qu'on ne saurait dire jusqu'où peut « a
agnétisme déterminent des convulsions, des accidents hystériques, des mouvements nerveux très-divers, plus souvent encore de la so
me me persécutez, dit-elle, du Vin ! Je le déteste, » et elle fit un mouvement pour cracher. Le vomissement aurait peut-être eu
erons point appel à des causes surnaturelles, ni le magnétisme, ni le mouvement des tables ou du pendule n'exigent cela. Mais si
assentiment mental qui n'est jamais pur d'un certain mélange avec les mouvements du corps. Cet assentiment meut imperceptiblement
rti le plus digne d'un philosophe (2). CHAPITRE IX. INFLUENCE DES MOUVEMENTS EXTÉRIEURS ET DES ATTITUDES DU CORPS SUR L'IMAGIN
que le corps est intéressé directement ou sympathiquement à tous les mouvements de l'imagination. Le moindre désir, la moindre in
e intention, la moindre idée émeut le corps, et lui fait ébaucher des mouvements corrélatifs. A cet égard tous les philosophes, to
iproques; si, en un mot, il n'y aurait pas une certaine influence des mouvements que le corps exécute sur les tendances de l'âme e
ma pensée plus claire par un exemple. Le mépris détermine un certain mouvement caractéristique de la bouche, des yeux et du nez.
yeux et du nez. Je demande s'il est possible d'exécuter simplement ce mouvement extérieur, sans avoir par cela même une certaine
e avec effort, il porte le regard haut, et, pendant qu'il exécute ces mouvements , il se sent réellement plus courageux. Un homme
n'est pas, avons-nous dit, une seule pensée qui ne se traduise par un mouvement , par un geste, par une attitude involontaire. — R
trument, ce n'est qu'à la condition d'une harmonie parfaite entre les mouvements de celle-là et les dispositions de celui-ci. CH
tier d'un tisserand. Aussitôt que le balancier de l'une sera mis en mouvement , aussitôt que la main de l'ouvrier pressera le le
amment sur l'imagination de l'homme, celle du corps en action. Si les mouvements accidentels du corps déterminent dans l'âme des t
ces fugaces, une aptitude innée et constante de l'automate à certains mouvements , y maintiendra des tendances constantes; les inst
pour principe l'automatisme du corps. Tels sont, par excellence, les mouvements réflexes qui se produisent dans les criminels qu'
n le corps agit alors sans la participation de l'esprit qui ignore ce mouvement , ou bien l'esprit aperçoit ce mouvement du corps,
ion de l'esprit qui ignore ce mouvement, ou bien l'esprit aperçoit ce mouvement du corps, en s'y laissant entraîner. C'est ains
t de lui-même, il est vrai, mais cette tendance du corps à un certain mouvement , ou du moins sa résultante, est sentie par l'espr
ar les anciens philosophes ; comme l'âme des bêtes, entraînée par les mouvements d'auto» mates admirables, accomplit des actions m
des injures qu'il avait reçues. Je m'occupais alors de l'étude des mouvements physiono-miques, et la vivacité de ce magot le re
s. Les pauvres folles et les infirmières aimaient ces oiseaux dont le mouvement et le babil égayaient un peu la solitude des cour
jet qui attire, rejetant ou fuyant, s'il blesse ou menace. Tous ces mouvements qui ont un but direct et réel, méritent le nom de
Tous ces mouvements qui ont un but direct et réel, méritent le nom de mouvements prosboliques (1). Les mouvements prosboliques d
direct et réel, méritent le nom de mouvements prosboliques (1). Les mouvements prosboliques des yeux, des oreilles, de la bouche
ment interprétés, car il y a toujours une corrélation sensible de ces mouvements avec les sentiments qui les déterminent. L'œil s'
ure à l'existence d'un sentiment d'aversion. Le degré d'énergie des mouvements externes dans des différents actes, donne la mesu
n relâchement général des muscles du corps; à une volonté faible, des mouvements peu dessinés ; à une volonté forte, des mouvement
olonté faible, des mouvements peu dessinés ; à une volonté forte, des mouvements énergiques; enfin, des contractions extrêmes expr
imitivement affecté. Ainsi, tout le corps s'associe naturellement aux mouvements de l'œil qui se ferme avec effort; dans ce cas, i
es oreilles, les yeux se ferment d'eux-mêmes ; nous avons donné à ces mouvements qui se produisent dans un organe, à l'occasion de
ccasion de l'action d'un certain objet sur un autre organe, le nom de mouvements sympathiques. Dans tous ces mouvements, il y a
r un autre organe, le nom de mouvements sympathiques. Dans tous ces mouvements , il y a des degrés. Le plus souvent, ils sont hom
lus souvent, ils sont homogènes et de même sens, mais quelquefois des mouvements contraires s'associent. C'est ainsi qu'un animal
e luttes qui composent un groupe distinct dans le tableau complet des mouvements d'expression. Des mouvements un peu différents
e distinct dans le tableau complet des mouvements d'expression. Des mouvements un peu différents se produisent quand l'œil est f
repoussée par la lèvre inférieure. Pour se faire une idée claire des mouvements analogues dans les animaux, il suffira d'examin
agit-il, l'expression est simple. Dans le cas d'expression mixte, les mouvements sympathiques se développent en général dans le se
les mouvements sympathiques se développent en général dans le sens du mouvement le plus fort. Ajoutez à cela le cri des réactions
ans le monde réel, et le corps suit l'âme, si je puis ainsi dire. Ces mouvements qui se déve loppent à l'occasion de causes fant
ccasion de causes fantastiques, sont désignés par nous sous le nom de mouvements symboliques. 11 y a entre ces mouvements et les
és par nous sous le nom de mouvements symboliques. 11 y a entre ces mouvements et les mouvements prosboliques les plus grandes a
e nom de mouvements symboliques. 11 y a entre ces mouvements et les mouvements prosboliques les plus grandes analogies. Dans l'u
ndes analogies. Dans l'un et l'autre cas, en effet, il se produit des mouvements sympathiques. Toutefois, les mouvements symboliqu
, en effet, il se produit des mouvements sympathiques. Toutefois, les mouvements symboliques se distinguent par quelques nuances q
sentiment d'impatience et de gêne est raconté par l'ordre entier des mouvements sympathiques ; on se frotte les yeux, les narines
timent d'embarras et de gêne dont l'expression s'est généralisée. Ces mouvements se rapprochent beaucoup de ceux qui dépendent de
a voix ; celles-ci ont une double signification, car la voix liée aux mouvements du poumon est un phénomène mixte qui participe à
ent cette double parenté ; un désir vif réveille-t-il l'organisme? un mouvement homogène d'aspiration traduit ce désir dans la sp
lus. C'est ainsi que la voix exprime comme les attitudes du corps les mouvements l'âme. Les cris, considérés comme expression sy
uences naturelles du degré d'énergie des passions. Ajoutez à cela les mouvements qui changent les attitudes du squelette et les fr
ciée. Le signe par lequel nous accédons à une proposition n'est qu'un mouvement métaphorique de soumission corporelle. Le non est
un certain objet par les yeux? L'expression de l'amitié se compose de mouvements de flair voluptueux et de dégustation satisfaite.
t-il un menuisier scier une planche, il s'intéresse en apparence à ce mouvement , puis il profite d'un instant favorable, s'empare
ène, mais sans but, sans aucune idée d'un résultat. Il s'inquiète des mouvements de la scie, mais ne se doute pas qu'elle coupe; l
'abstractions véritables. L'animal a bien l'idée de son repos, de son mouvement , de l'arrivée future du maître qu'il attend; mais
oir que celte partie du système nerveux qui préside immédiatement aux mouvements de l'automate, et celte autre partie par laquelle
de sa division sur un plan médian qu'une incertitude légère dans les mouvements , et il est constant que des hommes naturellement
l'avons vu, conçoivent une pareille localisation des forces d'où les mouvements des membres tirent leur principe. On pourrait all
Longet la démonstration de l'influence que la lumière exerce sur les mouvements automatiques des animaux privés de leurs hémisphè
e l'imagination......... 584 § 1. Influence de l'imagination sur le mouvement du corps de l'être qui imagine.................
ne..................... ib. § 2. Influence de l'imagination sur les mouvements d'un corps étranger à l'être qui imagine.......
l'être qui imagine............... 600 CHAPITRE' IX. — influence des mouvements extérieurs et des attitudes du corps sur l'Imag
6 (1911) La pratique neurologique
e, du côté temporal de l'oeil en examen. On le met peu à peu en mouvement de la péri- phérie vers le centre. Invisible
. 2° Limitation du champ d'excursion des globes. Insuffisance des mouvements du globe. , Reconnaissance de l'insuffisance de
'y a pas de déviation, pas de diplopie. Mais, dès que fil se met en mouvement dans le sens d'action des muscles paralysés, le
les apparaissent. A un moment donné, l'oeil parésié ne suit pas les mouvements de son congénère, il reste en retard, et la dip
en laissant l'ohjet fixe, et en imprimant à la . tête du malade des mouvements en différents sens, en haut, en bas, à droite,
ent ses dimensions, se dilate et se rétrécit alternative- ment. Ces mouvements pupillaires sont provoqués par des causes mul-
action directe. Dans beaucoup de. circonstances pathologiques, ces mouvements réflexes de la pupille sont abolis ou atténués.
éflexe, on procède comme dans le cas précédent, mais on observe les mouvements de la pupille de l'oeil du côté opposé, restée da
it la pupille se contracter. Piltz réussit également à provoquer un mouvement de dilatation en deman- dant à l'observé de pen
as besoin d'insister sur lamanière dont il faut explorer les divers mouvements palpébraux (élévation,, abaissement, occlusion, é
t la con- tracture de l'accommodation ; Contracture primitive des mouvements associés de direction; Illéhliarospasmc tonique
tonique ; - Ptosis pseudo-paralytique ; - Dissociation entre les mouvements volontaires et les mouvements réflexes dans l'o
aralytique ; - Dissociation entre les mouvements volontaires et les mouvements réflexes dans l'ophtalmoplégic ; Défaut des m
res et les mouvements réflexes dans l'ophtalmoplégic ; Défaut des mouvements associés de direction ; Dissociation entre les
éfaut des mouvements associés de direction ; Dissociation entre les mouvements associés de convergence et de direc- tion ; ,
ts associés de convergence et de direc- tion ; , Dissociation des mouvements déterminés par les différents facteurs de conve
te, le malade ne remarque que la diplopie de l'objet en fixation. Mouvement apparent des objets. Le malade s'efforce continue
age de l'objet fixé. Ces tractions du muscle paralysé impriment des mouvements conti- nuels aux globes et par suite aux objets
DE L'APPAREIL OCULAIRE., '' - ? Vertige oculaire. La diplopie et le mouvement des objets provo- quent, au début de l'affectio
tions multiples. Ils peuvent produire un déplacement vertical ou un mouvement de rotation en même temps que l'adduction ou l'ab
n voit apparaître des secousses nystagmiques du globe oculaire. Ces mouvements , peu fréquents, -sont plutôt des saccades que de
ments, peu fréquents, -sont plutôt des saccades que de véri- tables mouvements nystagmiques. Ils se montrent au moment où le m
s accentuées, la déviation oculaire en un sens et la limitation des mouvements du globe dans l'autre permettent, à elles seule
sie, la déviation oculaire n'est pas appréciable, la limitation des mouvements du globe n'est pas évidente; le malade se plain
de se mouvoir en dedans, en haut, en bas. Seuls sont possibles les mouvements en dehors dans le sens d'action du droit extern
ments en dehors dans le sens d'action du droit externe et de légers mouvements en bas et en dehors dans le sens d'action du mu
(fig. 55 C). Dans la paralysie de l'oculogyre droit ou gauche, les mouvements com- binés des deux yeux vers la droite ou vers
pé- rieur de Reymond-Cestan. En même temps qu'une paralysie des mouvements de latéralité des yeux, il existe une hémiplégi
s le premier cas paralysie nucieairej, u y a paralysie associée des mouvements ae laté- ralité des deux yeux vers le côté para
ésocéphale, capsule interne, centre ovale, écorce céré- brale). Les mouvements oculaires, si rapides, si variés, si complexes,
plusieurs d'entre eux. Tous les muscles entrent en action dans les mouvements oculaires; les uns, producteurs du mouvement, p
nt en action dans les mouvements oculaires; les uns, producteurs du mouvement , par leur contraction, les autres, antagonistes
du mouvement, par leur contraction, les autres, antagonistes de ces mouvements harmonieux, par leur tonicité ou même leur cont
é ou même leur contraction.' C'est par ce mécanisme que se font les mouvements associés de latéralité, d'élévation, d'abaissem
de regarder. - - Fis. 5 î.- Schéma pour expliquer le mécanisme des mouvements combinés des yeux. C, muscle ciliaire accÓmmoda
. L 78 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. 1 divergence. Ces mouvements combinés sont inexplicables sans l'existence de
entres encéphaliques combinant les actions musculaires, réglant les mouvements associés (fig. 81). Des centres nerveux d'assoc
e l'oeil par des tractus nerveux, dont l'ensemble forme la voie des mouvements associés. Le siège des centres d'associa- tion,
iques ont permis d'établir, d'une manière assez précise la voie des mouvements associés et plus particulièrement la voie des m
a voie des mouvements associés et plus particulièrement la voie des mouvements associés de latéralité, de ce que Grasset appelle
et si la volonté n'intervient pas, les centres peuvent produire des mouvements oculaires par le méca- nisme du réflexe automat
pli courbe, cette région ne con- stitue pas un troisième centre des mouvements associés de latéralité. La déviation des yeux s
dans le mésocéphale un noyau, un centre d'asso- ciation réflexe des mouvements de latéralité des yeux, auquel viennent aboutir
ation est discutable. Telle est la voie, assez bien déterminée, des mouvements associés de laté- ralité. ' Les mouvements d'
z bien déterminée, des mouvements associés de laté- ralité. ' Les mouvements d'élévation, d'abaissement, de convergence et de
re organisé sur un type tout à fait semblable à celui qui régit les mouvements de latéralité. Mais le trajet des libres ou le
qu'il existe dans le mésocéphale des centres chargés de diriger les mouvements associés d'élévation, d'abaissement, de con- ve
rve est associée ou combinée; elle est constituée par la perte d'un mouvement qui demande, pour être exécuté, l'action combin
cuté, l'action combinée des deux yeux. Elle peut atteindre tous les mouvements asso- ciés des globes oculaires dans tous les s
les mouvements asso- ciés des globes oculaires dans tous les sens : mouvements associés de latéralité vers la droite ou vers l
la gauche, d'élévation, d'abaissement, auxquels il faut ajouter les mouvements associés de convergence et de divergence. Ces
déviations conjuguées peuvent résulter d'une paralysie associée du mouvement en sens opposé de la déviation, ou d'une con- t
pupillaires, il faut se rappeler avec précision la physiologie des mouvements de l'iris et, plus particulière- ment ici, l'in
Ces ganglions exercent certainement une action importante sur les mouvements pupillaires. Il y a d'ailleurs longtemps que Fr.
G* ' [POULARD.] Tig. 58. Schéma pour expliquer le mécanisme des mouvements pupillaires. A, pédoncules cérébraux; C, protub
ion non soutenue de l'iris se met souvent 11 tl't'mbloUPI' dans les mouvements du globe. ' Enfin, la pupille peut être le sièg
hénie.' - Mobilité pupillaire. A l'état normal, en dehors de tout mouvement de convergence, de toute variation brusque de l
i un seul oeil est aveugle, l'oc- clusion de l'oeil sain arrête les mouvements pupillaires. Dans certaines conditions patholog
erte du réflexe lumineux vient d'une lésion du système nerveux. Les mouvements réflexes lumineux de l'iris ont pour voie centr
nément dans les deux yeux; le réflexe est bilatéral, simultané. Ces mouvements iriens bilatéraux, simultanés, ne se produisent
la distribution bilatérale des voies centripètes et centrifuges. Ce mouvement réflexe bilatéral de l'iris sous l'influence d
omptions sérieuses. TROUBLES PUPILLAIRES. : la Ralentissement des mouvements pupillaires. Dans quelques cas la pupille se co
commande au malade de fermer les paupières et qu'on s'oppose il ce mouvement , on voit la pupille se rétrécir en même temps q
nerveux de l'accommodation, sans doute aussi complexe que celui des mouvements pupillaires, n'est pas encore aussi bien connu.
brale est nettement plus petite du côté malade. Néanmoins, tous les mouvements de la paupière sont conservés. Dans certains ca
crites ailleurs (p. 75). ? L'existence de centres d'association des mouvements combinés d'élé- vation des paupières n'est pas
fois un phénomène très intéressant : la paupière immobile se met en mouvement et se relève pendant la mastication. Cette influe
ndant la mastication. Cette influence du centre masticateur sur les mouvements palpébraux, peut s'observer aussi chez des indi
e de l'oumculaire des paupières. La lagoplualmie. c'est la perte du mouvement d'occlusion palpébrale. La tagopinalune paralyt
s aussi accentuée; elle peut se rencontrer à des degrés divers. Les mouvements palpébraux peu- vent être conservés. Dans l'eff
une sorte de désé- quilibre, une absence de sy- nergie, entre les mouvements de la paupière supérieure et ceux du globe. Q
ngue plusieurs variétés de tremblement oculaire suivant le sens des mouvements . Il y a un nystagmus horizontal . le plus fréquen
que le nystagmus, mais en sens contraire, comme s'il s'agissait de mouvements compensateurs. Les excursions du globe sont sou
ongénital). D'autres fois le tremblement oculaire s'accompagne d'un mouvement , d'un tremblement analogue des objets, d'où une
le nystagmus. Dans le nystagmus congénital on ne perçoit jamais de mouvement , apparent des objets. II. Nystagmus acquis. A
and le mineur travaille au jour. Ce nystagmus donne la sensation du mouvement des objets extérieurs, et provoque ainsi des ve
ouvement des objets extérieurs, et provoque ainsi des vertiges. Les mouvements volontaircs des globes oculaires sont très dimi
a fixation; dans 1`2 pour 100 des cas, il ne se montre que dans les mouvements latéraux des yeux; dans 16 pour 100 des scléroses
00 des scléroses, les oscillations nystagmiques augmentent dans les mouvements laté- raux. Ces dernières particularités sont i
principaux symptômes, le tremblement des membres, augmente dans les mouvements intentionnels. Le nystagmus de la sclérose en p
persistant; les membres supérieurs se niellent à trembler dans les mouvements volontaires; les membres infé- rieurs sont pris
liquer il la surface de la cornée, librement, sans déterminer aucun mouvement de défense, sans provoquer le clignement réflex
exister il l'état de repos des globes oculaires ou (lans les divers mouvements de ceux-ci : c'est le nystagmus spontané. S'il
ffement des canaux semi-circu- laires, la rotation, déterminent des mouvements oculaires en rapport avec le canal semi-circula
, accompagnés de la sensation de ces déplacements : ainsi, certains mouvements de rota- lion, que l'on observe assez souvent c
le sujet s'asseoit ou se couche. Il est fréquemment provoqué par un mouvement brusque de la tête ou du corps ou par un déplac
illusoire; néanmoins cette sen- sation provoque instinctivement des mouvements de protection et des mouvements compensateurs d
sation provoque instinctivement des mouvements de protection et des mouvements compensateurs de la tête,. des bras et surtout de
usions statiques ou cinétiques, illusions d'attitudes ou illusions de mouvements ; '(" les hallucinations d'espace, également d'a
ments; '(" les hallucinations d'espace, également d'altitudes ou de mouvements , également appliquées aux objets environnants o
favorable en ce qu'elle fait cesser le vertige. L'ensemble de ces' mouvements variés ferait partie intégrante du vertige tel
les excitations au. cervelet, organe central de la coordination des mouvements , et au cerveau. Le liquide qui baigne le labyrint
ation vertigineuse est d'autant plus nette et plus prolongée que le mouvement est plus rapide et que la circonférence décrite
irait parfois rien qu'avec une fraction de milliampère. - .... Un mouvement de rotation plus où moins .prononcé accompagne qu
oncé accompagne quel- quefois l'inclination; d'après Blhinski, , ce mouvement se manifesterait parfois quand les deux électro
s expérimentales et cliniques, que cette der- 1. Bii31îsKi. Sur les mouvements d'inclination et de rotation de la tête dans le
ésies des mem- bres supérieurs sont d'ordinaire en rapport avec les mouvements profes- sionnels habituels : la paralysie des e
d'ebtonissemcnt, de tournoie- ment passager, à la suite de certains mouvements ou après la perception de certains bruits viole
rtigineuse de rotation en sens inverse au moment de l'arrêt, ni les mouvements compensateurs nystagmiformes qui se produisent il
isuel. Le passage rapide devant les yeux d'objets qui paraissent en mouvement , la vue de la campagne ou surtout de gril- iage
neuses. L'amblyopie, qui empêche la distinction nette des objets en mouvement , favorise ce vertige. Le nystagmus. en provoqua
s en mouvement, favorise ce vertige. Le nystagmus. en provoquant un mouvement illusoire du monde exté- rieur, est une cause p
placement apparaissent à toute occasion, regard au loin ou eu haut, mouvements de la tête, efforts ou travail prolongé, etc.;
de la conscience du moi, une exagération de certaines sensations de mouvement . Régis a noté avec raison que l'ensemble du syn
ure retombe à 57 degrés,, l'intelligence renaît peu à peu, quelques mouvements sont exécutés. Une nouvelle question va dès lor
mportent la suppression ou l'affaiblissement de la conscience et du mouvement . Le diagnostic peut donc être très difficile, s
brement par l'écriture. Il ne peut ni chuchoter, ni même imiter les mouvements d'articulation verbale de son interlocuteur. Le m
est extrêmement lente; les mots sont hachés, comme déformés par les mouvements involontaires des muscles de la phonation et de
ue le tremblement parkinso- nien diminuant ou même cessant dans les mouvements volontaires, le tremblement est peu marqué souv
es écrivains. Cette crampe consiste en une difficulté d'écrire, les mouvements du bras et de l'avant-bras, les gestes les plus
sur les, autres; toute écriture est bientôt impossible. Parfois des mouvements choréi- formes ou athétosiques, un tremblement
re est l'écriture naturelle de la main gauche, c'est-à-dire que les mouvements qu'elle nécessite sont les symétriques des mouv
-dire que les mouvements qu'elle nécessite sont les symétriques des mouvements du bras droit dans l'acte d'écrire. Cependant,
] ' : 2W . L'APHASIE. Constate-t-on, lorsque le malade parle, les mouvements associés des membres du côté droit observés par
Un foyer situé dans cette zone provoque l'nraarllcrie. Celle I. Ces mouvements consistent en petites secousses dans la main ou l
rle; dès qu'il se tait ces secousses cessent; ce sont de véritables mouvements associés causés très vraisemblablement par l'ef
vraisemblablement par l'effort que fait le malade pour parler. Ces mouvements associés a la parole ont été constatés chez des
n syn- drome. Elle doit être définie l'impossibilité d'exécuter les mouvements adaptés à un but, malgré la conservation de l'i
, répétés, imités) existe l'apraxie. On fera exécuter au malade des mouvements divers ; simples : lever la main, fermer les ye
xie, lc malade sait parfaitement ce qu'il doit accomplir, niais ses mouvements sont mal coordonnés, saccadés. Toutefois. l'ata
n ce qui concerne du moins sa nature et sa destination exactes. Les mouvements fixes et précis (se boulonner, mettre le doigt su
e boulonner, mettre le doigt sur le nez) sont plus atteints que les mouvements simples, grossiers pour ainsi dire. Il en est t
, aussi irrégulier des actes délicats que des actes simples, et ses mouvements ne s'accordent pas avec la valeur de l'objet sa
s motrices on) été étudiées par Sellas; les sujets per- çoivent des mouvements imaginaires partiels ou généraux du corps, ils
, ce sont les hallucinations des am- putes qui disent accomplir des mouvements avec leurs membres fantômes. Sellas a montre qu
entendus ou lus, mais sous la forme d'images motrices à l'aille des mouvements adaptés de l'articulation ou de l'écriture)) »
lucinations, ils n'écoulent pas non plus, mais font en écrivant des mouvements d'articulation.... Certains de; ces hallucinés
e cesser leurs hallucinations et qui toutes tendent à s'opposer aux mouvements d'articulation, comme de tenir la langue serrée
d fixe. Les hallucinations du goût s'accompagnent de crachement, de mouvements de déglutition. Ceux qui ont des hallucina- tio
ent : débris de légumes, ordures, excréments, etc. Imitation, tics, mouvements . - Il y a chez les idiots une tendance instinct
Il y a chez les idiots une tendance instinctive il imiter certains mouvements (mimétisme) : les balancements de leurs voisins
ourneville. Ces tics sont quelquefois convulsifs; ce sont alors des mouvements des sourcils, des paupières, des claquements de
des grincements de dents ou des reniflements; quelquefois c'est un mouvement convulsif des épaules qui peut pré- senter le c
ans d'autres cas, les lies sont spasmodiques et ils se composent de mouvements lents, analogues à ceux de Lathetosc. , Les lie
quelquefois des grands tics qui peuvent consister dans une série de mouvements diuerents constituant tout un acte (sauts, rotati
plus parti- culièrement les troubles des fonctions. , Troubles du mouvement . - La préhension des objets est dif- ficile, la
lade dans l'idiotie complète. Dans les idioties moins marquées, les mouvements et la marche existent, mais sont hésitants et d
cond groupe du précédent, suivant Bourneville, c'est l'existence du mouvement , de la préhension qui les rend dangereux pour e
vait baser ce diagnostic : indifférence de l'enfant, inertie de ses mouvements , accès de cris, retard de révolution. A partir
spéciale qui n'est pas identique, à celle qui est engendrée car le mouvement passif; on la recherche au moyen du courant élec-
ité; nous sommes ainsi renseignés sur l'étendue et le parcours d'un mouvement actif, les autres perceptions de ce mouvement se
e et le parcours d'un mouvement actif, les autres perceptions de ce mouvement se déterminant par la sensibilité musculaire. P
musculaire. Pour certains auteurs, la per- ception consciente d'un mouvement actif serait même entièrement due il la sensibi
ostérieurs » : perte de la sensibilité au tact, à la pression et au mouvement , avec conservation des sensations douloureuses
rceptions que nos membres nous fournissent sur leur position, leurs mouvements actifs et passifs, la pesanteur et la résistanc
ions, suivantes (Claparède) : 1° Notion de position; 2° Notion de mouvement passif; 5° Notion de mouvement actif; 4° Noti
° Notion de position; 2° Notion de mouvement passif; 5° Notion de mouvement actif; 4° Notion de résistance, de force et de
rs visuels) acquises par l'expérience. Une excitation périphérique ( mouvement , pression, choc, etc.) est nécessaire pour faire
re inférieur. Ces troubles de la notion de position, comme ceux des mouvements actifs et passifs dont nous allons parler, sont
troubles sensitifs que nous énoncerons plus tard. 2° La notion du mouvement passif ou « sens kinesthésique » est pro- voqué
ous qui environnent les articulations. Pour apprécier la notion des mouvements passifs chez un malade, on lui bande les yeux e
nts passifs chez un malade, on lui bande les yeux et on imprime des mouvements lents de flexion et d'extension aux différents
bre, en invitant le malade à indiquer la direction et le sens de ce mouvement . Dans cette recherche assez minutieuse, certain
ulaire fait entrer en ligne de compte les éléments de perception du mouvement actif et de la résistance muscu- laire; 2° on c
re; 2° on commencera par imprimer à l'articulation quelques rapides mouvements de flexion et d'extension pour faire disparaître
ts passifs, dits kineslltésiomètres (Goldscheider). 5° La notion du mouvement actif, elle aussi, est basée, sur les im- press
rticulaires et des tissus mous environnants, mais l'exécution de ce mouvement serait précédée de sa représentation mentale. L
ions musculaires' et articulaires inusitées, non en rapport avec le mouvement exécuté. Dans l'effort apparaissent en outre de
de nos expériences « d'effort ». Enfin la notion de la direction du mouvement dérive des notions du mouvement et de l'altitud
Enfin la notion de la direction du mouvement dérive des notions du mouvement et de l'altitude qui sont étroitement associées
n du poids. Les notions de résistance, de force el de direction des mouvements ne sont guère susceptibles d'être appréciées pa
mmobile le membre du sujet, ensuite on invite le malade à faire des mouvements pour soupeser le poids qu'il doit apprécier. On
et tenir l'objet, mais aussi parce que les éléments de la notion du mouvement actif jouent leur rôle spécial dans le travail de
que l'on voit des hémiplé- giques retirer (par un lent et difficile mouvement de reptation, le seul qui leur reste) le membre
lement affaiblie, qu'ils ne s'en sont pas rendu compte, et que leur mouvement de retraite, sans être purement réflexe. a été
main saine sur le point où se fait la piqûre du côté paralysé : ce mouvement de défense se trouve ainsi supprimé. » Lorsque
tolérables et ne cédant à aucun traitement analgé- sique ; 5° Des mouvements choa°éo-atlaétosiques dans les membres du côté
agner de paralysie totale ou partielle de la z` paire, d'ataxie, dé mouvements choréiformeset de tremblements dans les extré-
marquée et des douleurs. Les paralysies oculaires, surtout dans les mouvements associés (Raymond), les troubles pupillaires, vis
quée avec fourmillements et douleurs dans les membres atteints, des mouvements choréo-athétosiformes, de l'asynergie, du tremble
de la dysarthrie et enfin, fait capital, une paralysie oculaire des mouvements associés de bilatéralité avec secousses nystagmif
du médecin. Les anesthésies névropatbiqncs ne gênent nullement les mouvements et ne déterminent pas, comme les anesthésies or
mple); allure para- doxale (ils ne déterminent pas de gène dans les mouvements ni d'incoor- dination motrice); mobilité, fugac
mbre supérieur surtout) que sur la face et le tronc et entraîne des mouvements (ataxie) que ne détermine pas l'hémianesthésie
lade. Certaines douleurs sont calmées par le repos, d'autres par le mouvement , la marche, certaines positions. Ces différente
ite pongitive, gravative avec paroxysme Ù la suite des repas ou des mouvements ; elle est alors extrêmement vive, tenace, arrac
risée, comme son nom l'indique, par l'impossibilité (te faire aucun mouvement sans douleur. Elle survient chez des individus
gistiques internes ou externes; elles sont aussi exaspérées par les mouvements , par la pression au niveau des articulations, et
ont continues ou intermittentes avec paroxysmes; exaspérées par les mouvements , elles ne le sont pas par la pression des tissus
augmentées [GUILLAIN.] 582 NÉVRALGIES ET ALGIES. par le moindre mouvement et souvent diminuées par une compression énergi
r des accès se produit soit spontanément, soit consécutivement à un mouvement , à une irritation cutanée. Il est ex- ceptionne
ius, se caractérise par des douleurs se produisant à l'occasion des mouvements volontaires en l'ab- sence de toute lésion loca
malades atteints d'aki- nesia algera sont incapables de faire aucun mouvement . Les douleurs parfois même se montrent à l'occa
malades en ont compté plus de 100 dans les vingt-quatre heures. Les mouvements de la phonation et de la déglutition suffisent
hypercsthesies. Des troubles moteurs sont observés (htepharospasme, mouvements des commissures des lèvres, secousses des muscl
uleur de la névralgie du grand nerf occipital est réveillée par les mouvements de la tête, par la toux, l'éternuement, la dégl
hial. Les douleurs de la névralgie phreuique sont exagérées par les mouvements du diaphragme, la toux, le hoquet, l'éternuemen
des accès paroxys- tiques. Ces accès sont provoqués souvent par un mouvement du bras, une respiration profonde, la toux, l'e
r vaginal et la pression du nerf au niveau du canal obturateur, les mouvements de rotation de la cuisse exagèrent les douleurs
souvent extrêmement violents ; ces paroxysmes sont rappelés par des mouvements de la jambe, la toux, la défécation, l'eter- nu
les malades s'enferment-ils dans les endroits obscurs, évitant tout mouvement . La migraine est accompagnée de sensations naus
tatation du réflexe. Le réflexe est le plus souvent apprécié par le mouvement de propulsion du pied en avant, que le pied repos
uefois cependant le réflexe ne sera pas suffisant pour provoquer ce mouvement de propulsion; la contraction sera très faible :
loie un percuteur qui, contenu dans un tube cylindrique, est mis en mouvement par mie gâchette; l'effort du percuteur est mes
ension de la jambe sur la cuisse qui se produit du côté percuté, un mouvement produit par la contraction des adducteurs qui r
dans la contraction de cette masse musculaire et a pour résultat un mouvement d'extension du pied sur la jambe. ' Pour l'appr
tendu entre le mollet et le calcanéum; on voit se produire le léger mouvement d'extension du pied sur la jambe, la face plant
ellaire, nécessaire de se servir d'un marteau il percussion, car le mouvement réflexe est bien moins intense qu'au niveau du te
thoscope. Il ne faut pas prendre pour le réflexe achilléen le léger mouvement transmis au pied par le tendon achilléen déprim
lquefois la percussion du tendon achilléen n'amène pas seulement un mouvement d'extension du pied sur la jambe, mais est le p
on du pied sur la jambe, mais est le point de départ d'une série de mouvements rythmés et saccadés d'extension du pied sur la
ied sur la jambe. Si l'on cherche à s'opposer RÉFLEXES. 453 à ces mouvements par la .flexion forcée du pied sur la jambe, ils
re la flexion forcée ; dans ce cas il se produit seulement quelques mouvements successifs de flexion et d'exten- '- sion qui s
ent que les réflexes rolulipns sont augmentés par la coïncidence de mouvements volontaires et celle variation nous explique qu
te aboli- lion des réflexes rotuliens un certain degré d'ataxie des mouvements , des troubles sensitifs, l'ensemble des symptôm
sur la jambe, mais les orteils, au lieu de se fléchir, accusent un mouvement d'extension sur le métatarse; ce n'est donc pas
ché, on lui laisse la jambe étendue, on évite de lui demander aucun mouvement et on le laisse dans l'ignorance de la manoeuvre
signe de Babinski. C'est au gros orteil que se voient le mieux les mouvements de flexion. c'est donc sur lui que doit se conc
t de ne pas confondre l'extension réflexe des orteils avec certains mouvements volontaires de défense. Eu effet, une excitation
hatouilleux amène un retrait brusque du pied accompagné de quelques mouvements vifs des orteils. Dansée mouvement de défense l
du pied accompagné de quelques mouvements vifs des orteils. Dansée mouvement de défense les orteils sont entraînés par le mo
eils. Dansée mouvement de défense les orteils sont entraînés par le mouvement , de flexion et de retrait du pied et semblent s
onique que l'extension des orteils se produisant lentement par;, un mouvement réflexe et surtout l'extension lente du gros orte
r l'excitation de la plante du pied. Si l'on examine, en effet, les mouvements produits par une excitation vive de la plante d
ntagoniste de Scheffer (Neurologisches Centzal l3lalt, 1899) est le mouvement d'exten- sion du pied et de flexion des orteils
roit, obliques et transverse qui a comme conséquence de produire le mouvement « de rentrer le ventre ». - Le réflexe abdomi
les tmees de l'l1éllli- plégie disparue. Pour explorer l'étal des mouvements dans le membre supérieur, le mieux est de dire
r et surtout de reboutonner son gilet, car c'est là certainement le mouvement le plus difficile il exé- cuter pour un hémiplé
u corps. Ils ne peuvent pas remuer du tout le membre supérieur, les mouvements du membre infé- rieur sont ordinairement moins
l ne pas donner lieu au réflexe plantaire en extension. L'étude des mouvements involontaires (') dans les membres est inté- re
plus simples et des plus ordinairement observés con- siste dans un mouvement de flexion du membre supérieur paralysé qui se
l l'hémiplégie infantile. Leur existence 1. Voir plus bas l'article Mouvements associés. HEMIPLEGIE. 405 u chez l'adulte ou
nner une lésion des régions pédonculaire ou sous-optique. Quant aux mouvements associés, ils sont également rares ou peu accen
s qu'à la racine des membres; on les recherche surtout au moyen des mouvements passifs. La stéréo-agnosie désigne les troubles
tudiée par Liclmnann ('), qui con- siste en une sorte d'agnosie des mouvements sans paralysie réelle; c'est ainsi que l'on voi
eints être capables de faire avec les membres du côté apraxique des mouvements variés d'une manière involontaire et inconscien
iente, par exemple faire des gestes quand ils parlent, exécuter des mouvements de défense, etc..., mais, s'il s'agit d'exécute
vements de défense, etc..., mais, s'il s'agit d'exécuter tel ou tel mouvement coordonné intentionnel, tel que de prendre avec
ne pipe, le membre apraxique n'en peut venir à bout. Ce trouble des mouvements est tellement comparable aux troubles aphasique
ouche optique qui est atteinte, on a vu se produire quelquefois des mouvements cluwéi- formes ou riralléatoires, ou bien des t
nt), de douleurs très vives dans la moitié du corps anesthésiéc. de mouvements choréo-albé- tosiques, absence du signe de Babi
e faisceau pyramidal constitue un organe de conduction en niasse du mouvement volontaire pour les deux membres du côté opposé.
bérantiel supérieur (Raymond et Cestan) : d'un côté incoordination, mouvements choréo-athétosiques, troubles sensitifs, paraly
ues, troubles sensitifs, paralysie faible, de l'autre paralysie des mouvements associés d'abduc- tion des yeux. Syndrome de
) : d'un côté paralysie sensitivo-motrice, de l'autre paralysie des mouvements associés d'élévation, d'abaissement et de conve
tériques porte de préférence sur un certain nom- bre de systèmes de mouvements , sur certains actes plutôt que sur cer- tains m
nalée dans la forme précédente. Du reste, d'une façon générale, les mouvements associés se produisent dans 1 hémiplégie infant
oppement par suite des troubles de la nutrition générale (Léri).. MOUVEMENTS ASSOCIÉS par le D' CROUZON On appelle mouveme
érale (Léri).. MOUVEMENTS ASSOCIÉS par le D' CROUZON On appelle mouvements associés « les mouvements qui s'effectuent dans
S ASSOCIÉS par le D' CROUZON On appelle mouvements associés « les mouvements qui s'effectuent dans une partie du corps d'une
partie du corps d'une façon involontaire, au moment où ont lieu des mouvements volontaires ou réflexes dans une autre partie». C
l ces mou- vements associés. Nous prendrons comme exemples de ces mouvements les phénomènes qu'on peut observer chez un hémi
uvements les phénomènes qu'on peut observer chez un hémiplégique. Mouvements associés dans l'hémiplégie. Ce sont, par exempl
Mouvements associés dans l'hémiplégie. Ce sont, par exemple, les mouvements qu'exécute en réduction le membre malade quand
xécute en réduction le membre malade quand on commande au malade un mouvement du coté sain. Quelquefois, c'est la main hémipl
té sain. Quelquefois, c'est la main hémiplégique qui reproduira les mouvements exécutés par la main saine : il s'agit alors d'
ra les mouvements exécutés par la main saine : il s'agit alors d'un mouvement associé symétrique. Quelquefois le membre infér
i est exécuté complètement par la main du côté sain, dans ce cas le mouvement associé est asymétrique. Un autre exemple de mouv
étrique. Un autre exemple de mouve- ment associé asymétrique est le mouvement ébauché par la face du côté hémiplégique pendan
st le mouvement ébauché par la face du côté hémiplégique pendant le mouvement fait par la main du côté sain. Tous ces mouveme
égique pendant le mouvement fait par la main du côté sain. Tous ces mouvements se rencontrent beaucoup plus fréquemment dans l
hémiplégie de l'adulte, et en cela ils se comportent comme tous les mouvements post-hémiplégiques. Ils ont été bien étudiés pa
ois chez l'adulte : Sainton, Remak ont pu ob- server une variété de mouvements associés qui se produisait chez un aphasique qu
er : on voyait chez leur malade la main ou le pied droits animés de mouvements involontaires. Nous avons pu nous-mème, avec Pi
dès qu'il se niellait il parler, on constatait un tremblement, des mouvements involontaires dans tout le membre supérieur du cô
ieur du côté droit, atteint du reste d'une légère hémiplégie. Les mouvements associés sont différents des mouvements dits réfl
'une légère hémiplégie. Les mouvements associés sont différents des mouvements dits réflexes : ceux-ci surviennent il la suite
sent surtout dans les membres supérieurs : du côté [CROUZON.] 478 MOUVEMENTS ASSOCIÉS. paralysé, le bras se met par. exemple
mple en abduction ou en demi-flexion. Il ne faut donc pas confondre mouvements réflexes et mouvements associés. Flexion combin
demi-flexion. Il ne faut donc pas confondre mouvements réflexes et mouvements associés. Flexion combinée de la cuisse et du t
. Flexion combinée de la cuisse et du tronc. Babinski a décrit ce mouvement associé dans le Bulletin de la Société médicale
ganique et de l'hémiplégie hystérique). Ce phénomène qu'il a appelé mouvement associé de flexion de la cuisse, puis flexion c
our se mettre, sur son séant du côté paralysé, la cuisse exécute un mouvement de flexion sur le bassin et le talon se détache
même temps, l'épaule du côté normal se porte en avant ». De même le mouvement se produit lorsque le malade, après s'être mis
ère pour reprendre sa position primitive. Babinski suppose que ce mouvement est du à la paralysie des muscles qui étendent
de la cuisse et du tronc à gauche (Babinski, Gazelle des hôpitaux). MOUVEMENTS ASSOCIÉS. 479 vcmeilts associés c'est ce qui l'
légie ; Babinski a pu l'ob- server dans des cas de sciatique où les mouvements des muscles exten- seurs de la cuisse sur le ba
n du peaucier du cou à droite (Babinski, Gazette des hôpitaux). 480 MOUVEMENTS ASSOCIÉS. consiste en ce que, dans certains act
de flé- chir la tête énergiquement et en cherchant à s'opposer à ce mouvement . Babinski avait considéré tout d'abord ce phéno
lui firent constater cette abduction des orteils ou l'excitation du mouvement combiné de Ik'.xion de la cuisse et du tronc; l
ne contraction du mus- clc jambicr antérieur qui se produit dans le mouvement de flexion de la jambe sur la cuisse, c'est don
ns le mouvement de flexion de la jambe sur la cuisse, c'est donc un mouvement associé. Pour mettre ce mouvement en évidence,
ambe sur la cuisse, c'est donc un mouvement associé. Pour mettre ce mouvement en évidence, il faut demander au malade de se p
fléchir la jambe sur la cuisse, et, pour amplifier l'effort dans ce mouvement , on s'oppose à la flexion par la pression de la m
pied la corde du tendon du jambier antérieur, muscle qui produit le mouvement ci-dessus indiqué. v On peut voir encore ce mou
produit le mouvement ci-dessus indiqué. v On peut voir encore ce mouvement dû à la contraction du jambier anté- rieur se p
Charles Bell. Charles Bell a signalé, dans la paralysie faciale, un mouvement de rotation du globe de l'oeil en haut et en deho
ganique et ne peut être reproduit par l'action de la volonté. Autre mouvement associé dans la paralysie- faciale. - Il n'est
Il n'est pas rare d'observer, surtout au moment où la guérison est MOUVEMENTS ASSOCIÉS. , 481 proche, des mouvements associés
moment où la guérison est MOUVEMENTS ASSOCIÉS. , 481 proche, des mouvements associés dans la paralysie faciale : quand le mal
veut 1'ermer l'oeil il relève l'angle de la bouche; quelquefois ce mouvement se produit dans le côte sain. SIGNE DE KERNIG
de Lasègue dans la sciatique. Si le signe de Kernig existe dans ce mouvement , on sent insensiblement se produire une flexion
n du PHATIQUE M1BIUII.. . 51 [CROUZON.] ] , Fig.3. J. - . 482 MOUVEMENTS ASSOCIÉS. coude, dès que le malade s'assoit sur
tendu : dans le mou- vement de s'asseoir, il y a instinctivement un mouvement de flexion de la jambe sur la cuisse. Le mouvem
stinctivement un mouvement de flexion de la jambe sur la cuisse. Le mouvement de s'asseoir sans fléchir la jambe sur la cuiss
signe de Lasègue ne sont qu'un seul et. même symptôme, que la posi- MOUVEMENTS ASSOCIÉS. 485 lion de Kernig, comme la manoeuvr
méningite cérébro-spinale, 8 fois dans la ménin- [chouzon.] ] 484 MOUVEMENTS ASSOCIÉS. gitctubercuteuse. 5 fois dans la méni
fants atteints de broncho-pneumonie. Enfin, on a pu observer égale- MOUVEMENTS ASSOCIÉS. 485 ment ce signe au cours de la pleu
garde le lit, l'inspection, la pàlpation des membres, l'examen des mouvements actifs ou passifs, l'étude de la force musculaire
épileploïde. Les secousses semblent inépuisables et déterminent des mouvements non seulement au niveau des articulations tibio
ite interstitielle 1t ! /}JatropltÙ/IIl' de Dejerine et Sottas, les mouvements présentent une incoordination extrême, une ampl
au delà de la dis- tance appropriée et choc du talon sur le sol. Le mouvement ne s'adapte pas au but. Enfin, chez de tels mal
nt encore dans (athétose PARAPLÉGIE. 'i'.IÔ \ et la chorée. Les mouvements choréifornies sont incohérents, rapides, souple
rapides, souples, ronds. Même incohérence dans l'athétose, mais les mouvements sont beaucoup plus lents et plus amples. L'athé
ts, - [MOUTIER.] 494 4. PARAPLÉGIE. et l'exécution parfaite des mouvements commandés. Dans certains cas se révèle une exag
alades sont des enfants présentant de la lordose, de la parésie des mouvements , de l'élargissement de la base de sustentation,
volontaire, et le malade s'abstient de bouger parce que le moindre mouvement éveille les élancements d'une sciatique. Elle p
enfin des malades chez lesquels toute activité est douloureuse. Le mouvement chez eux réveille d'atroces souffrances en deho
ont peur de marcher (basophobie), et se confinent au lit. La, leurs mouvements sont parfai- tement normaux. Mais vient-on à le
ie, et que cet équilibre complexe supposait certainement de faibles mouvements dans les articulations coxo-fémorales. Certains
miliaux, il n'existe ni scoliose, ni troubles de la sensibilité, ni mouvements choréi- l'ormes. Le déficit intellectuel est so
fort âgés, présentent une limitation variable, souvent extrême, des mouvements actifs aussi bien que des mouvements passifs. I
variable, souvent extrême, des mouvements actifs aussi bien que des mouvements passifs. Il existe une amyotrophie diffuse avec
Poirier, du Traité d'Anatomic de M. Testut, de la Physio- logis des mouvements de Duchenne de Boulogne, de l'article Physiologie
humérus ren- contre alors le sommet de l'acromiou qui l'arrête ; le mouvement est aussi arrêté par la distension du muscle gr
r de son angle interne, en élève l'angle externe acro- mial. ' Le mouvement d'abduction du bras est très important; aussi la
niveau de la cavité glénoïde. Quand le muscle est paralysé, le même mouvement , qui s'accomplit alors à l'aide des autres fléchi
uctricc est faible, mais il joue un rôle cepen- dant, utile dans ce mouvement . En effet, les puissants adducteurs du bras, le
de ce muscle ont vite donné leur maximum de raccourcissement et le mouvement de flexion commencé par. le brachial antérieur
t le long supinateur, en se contractant syucrgiqllement, amènent ce mouvement . Quand les trois fléchisseurs de [G. GUILLAIN]
supinateur (ner- tique. est avec le biceps le principal agent de ce mouvement de l'avant- bras.* las." .^H| Région postér
e du petit doigt. Les muscles extenseurs impriment aux doigts des mouvements de latéralité. L'extenseur commun écarte du méd
nseur de l'avant-bras sur le bras, il détermine aussi au cubitus un mouvement de latéralité en dehors qui est utile dans la p
jamais, comme d'ailleurs le long et le court exten- seur, dans les mouvements de supination (Poirier). Court extenseur du pou
ouce. L'adduction du pouce, combinée avec la rotation, détermine le mouvement d'opposition. Sappey pense que le court abduc-
sseur le fléchissent légèrement, et l'opposant lui imprime un léger mouvement de rotation en dedans. Tous les muscles de l'ém
au tendon du long extenseur, que ces muscles peuvent pro- duire ce mouvement (Poirier). Quand les muscles de l'éminence thén
de singe. La perte de l'opposi- tion du poucc rend impossibles les mouvements les plus importants de la main. Le court abduct
tit doigt porte le petit doigt en avant et eu dehors, il ébauche un mouvement d'opposition. Région palmaire moyenne. Lombri
ge, étendent les deux autres. De plus, ils impriment aux doigts des mouvements de latéralité. Les interosseux palmaires rapproch
x écartent les doigts de l'axe de la main, ils sont abducteurs. Les mouvements d'abduction sont plus énergiques que les mouvem
abducteurs. Les mouvements d'abduction sont plus énergiques que les mouvements d'adduction. Quand les lombricaux et les intero
issent par la tonicité des fléchisseurs superficiel et profond. Des mouvements de latéralité des doigts peuvent encore s'exécu
a contraction du grand fessier produit l'abduction de la cuisse; ce mouvement s'ef- fectue d'ailleurs sans énergie. ' Quand
carré crural, sont des rotateurs directs de la cuisse en dehors. Le mouvement de rotation se produit pendant la flexion connu
et étant assis, la jambe allongée, le talon reposant sur le sol, le mouvement de rotation interne se trans- forme en abductio
n plus de son action rotative, le pyramidal imprime il la cuisse un mouvement en arrière et, en dehors, c'est-à-dire un mouveme
il la cuisse un mouvement en arrière et, en dehors, c'est-à-dire un mouvement de flexion associé il l'abduction (Duchenne). '
psoas (rotateur en dehors) produit la flexion directe de la cuisse, mouvement important dans la marche. Quand le psoas ou le
cuisse, tend la partie antéro-interne de l'aponévrose fémorale. Le mouvement de rota- tion en dehors déterminé par le coutur
la jambe en dehors, le demi-tendi- neux la rotation en dedans. Ces mouvements de rotation ne sont pas pos- - sibles si la jam
smettent à la cuisse et le membre inférieur tourne en totalité; les mouvements de rotation se pro- duisent au contraire pendan
eurs de l'articulation coxo-fémorale se contractent pour limiter le mouvement de bascule en arrière du bassin, il en résulte
pied en dehors, il maintient la concavité de la voûte plantaire. Le mouvement d'extension du pied est peu éner- gique, toutef
u différents auteurs. Duchenne a montré que ce muscle ne produit de mouvements dans l'articulation tibio-tarsienne que lorsque
nt à la flexion du genou. Lorsque le triceps sural est paralysé, le mouvement d'extension du pied est presque aboli, le malad
d'énergie la jambe sur la cuisse et détermine à la jambe fléchie un mouvement de rotation en dedans. , Long fléchisseur com
e qu'il imprime aux orteils, surtout aux quatrième et cinquième, un mouvement de torsion tel que leurs extrémi- tés regardent
contrac- tant simultanément avec le long fléchisseur s'oppose à ce mouvement de torsion. Le long fléchisseur n'a aucune acti
r les métatarsiens, de plus, il les incline vers le petit doigt; ce mouvement de latéralité, en raison de l'obliquité des tendo
fléchit le gros orteil sur le métatarse et l'incline en dehors. Le mouvement d'abduction est princi- p : llell\('l1l détermi
e des orteils et étendent les deux autres. Ils produisent aussi des mouvements de latéralité. L'axe du pied passant par le secon
r. Dans le geste du prédicateur qui bénit les fidèles (Duchenne) le mouvement de pronation se combine au mouvement d'abaissemen
énit les fidèles (Duchenne) le mouvement de pronation se combine au mouvement d'abaissement. Le muscle peut prendre son point
n point fixe sur les côtes, il détermine d'une part à l'omoplate un mouvement de totalité en avant et en dehors, et, d'autre
n mouvement de totalité en avant et en dehors, et, d'autre part, un mouvement de bascule qui porte le moignon de l'épaule en
de l'épaule. La portion moyenne du muscle produit isolément ce même mouvement . La portion supérieure fait exécuter à l'omoplate
même mouvement. La portion supérieure fait exécuter à l'omoplate un mouvement de bascule, elle, attire en haut et en dehors son
ysé, le bras ne peut s'élever au-dessus de l'horizontale. Durant le mouvement d'élévation du bras l'angle externe clll scapul
L'inspiration estgênée el celte gène est surtout accentuée lors des mouvements , des efforts, car dans la position de repos d'a
phragme on observe par la vue et le palper des différences dans les mouvements de la base du thorax et de la partir supérieure
périeure de l'abdomen entre le côté sain et le côté malade lors des mouvements respiratoires. Grand droit de l'abdomen. Insert
x. La contraction unilatérale du grand oblique imprime au thorax un mouvement de rotation qui porte sa face antérieure du côt
sin par sa portion lombaire; par sa portion iliaque il détermine un mouvement de rotation du bassin qui porte la symphyse pub
ta tète de leur coté et un peu en arrière, en déterminant ainsi un mouvement de rotation qui porte la face du côté opposé. Q
es en arrière, il élève en même temps le scapuhnn et abaisse par un mouvement de rotation son angle acromial; le défaut de fi
'approche du tronc et l'amène en arrière en lui faisant exécuter un mouvement de rotation qui porte la face palmaire en dedans
arrière sans s élever par l'action du rhomboïde et du trapèze, les mouvements [G. GUILLAIN.] ? 72 PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE.
ndairement l'action inspira- foire du grand dentelé et affaiblit le mouvement par lequel le bras se porte en arrière et en de
e. Le sptenius étend la tête, l'incline de son côté, lui imprime un mouvement de rotation qui porte la face du côté du muscle
isent que la contraction unilatérale du muscle imprime à la tète un mouvement de rotation qui a pour effet de porter la face
porter la face du côté opposé; Duchenne n'a jamais pu constater ce mouvement de rotation. Petit complexus. Insertions. Le pe
e. Le petit complcms renverse la tète en arrière, et lui imprime un mouvement d'inclinaison latérale. Transversaire du cou. I
de la tête étend la tête. l'incline, latéralement et lui imprime un mouvement , de rotation qui a pour effet de porter la face
de la ligne médiane l'apophyse transverse de l'atlas, détermine un mouvement de rotation de la tête qui porte la face de son
la vertèbre suivante. Les vertèbres lombaires ne présentant pas de mouvements de. rotation, il en résulte que ces faisceaux m
ipède. Quand ils se contractent d'un seul côté ils déter- minent un mouvement d'inclinaison latérale et un mouvement de rota-
ul côté ils déter- minent un mouvement d'inclinaison latérale et un mouvement de rota- tion variant suivant les muscles qui s
cier soulève et tend la peau du cou au-devant du sterno-mastoïdien, mouvement qui s'accompagne d'un plissement lon- gitudinal
es peau- ciers situés au-dessous du front le rôle de régulateur des mouvements . Il se contracte dans les expressions énergique
r, l'horreur. Le frontal conjointement avec l'occipital produit les mouvements antéro- postérieurs du cuir chevelu. Ces mouvem
tal produit les mouvements antéro- postérieurs du cuir chevelu. Ces mouvements , qui sont très marqués chez beaucoup de singes,
érygoïdien interne élève le maxillaire inférieur et lui imprime des mouvements de latéralité. Ptérygoïdien externe. - Insertio
deux ptérygoïdiens se contractent alternativement, il se produit un mouvement de diduction, le menton se porte alternativemen
een; Mills, Horsiey, etc.) ont isolé des centres distincts pour les mouvements de la hanche, du genou, du cou-de-pied, de l'épau
e l'index, pour la flexion, l'abduction, l'opposition du pouce. Les mouvements seraient, d'après les expériences, beaucoup plus
uscles d'action opposée est nécessaire pour l'équilibre de certains mouvements . Paul Bert et Marcacci cherchent dans les fonct
la première thoracique, on voit les membres supérieurs accomplir un mouvement approprié, à la cueillette d'un fruit; par l'cxei
les racines du plexus sont liées ou sectionnées pour supprimer les mouvements réflexes, puis il procède à l'excitation isolée,
itation uui-I'éldiculail'(" ? Ouand on pense il la multiplicité des mouvements adaptés il une fonction chez des animaux appart
il des espèces différentes, quand on pense : '1 la multiplicité des mouvements nécessaires aux individus accoutumés par les né
vation radiculaire ont été précisées. llisien Hussell montre que le mouvement complexe réalisé par l'exci- tation des racines
e réalisé par l'exci- tation des racines peut être décomposé en des mouvements élémentaires, si l'on parvient à séparer les di
ux de la 7c cervicale, l'excita- tion de chaque faisceau produit un mouvement différent : l'excitation de l'un d'eux produit
ant aux différents points, mais toujours les mêmes. On voit que des mouvements différents, même opposés, se trou- vent représe
ra il plusieurs muscles. Ainsi les fibres motrices répondant il tel mouvement déterminé sont également et régulièrement répar
à cette gène le trapèze élève l'angle externe de l'omoplate par un mouvement inconscient; le scapulum bas- cule alors autour
sés, les troubles sont limités il certains groupes musculaires. Les mouvements des doigts se font avec facilité, le malade les
être atteint. La supination de l'avant- bras est produite, dans les mouvements physiologiques habituels, par la contraction du
malade atteint de paralysie du biceps et du court supi- nateur, le mouvement de supination sera presque nul dans toutes les
une immobilité de la région scapulaire. L'abduction de l'épaule, ce mouvement si utile dans les divers actes de la vie, est a
muscles grand dentelé, sous-épineux, grand dorsal, grand rond, tout mouvement sera presque impossible dans la région scapulaire
trouve le sujet d'imprimer à son avant-bras fléchi sur la table les mouvements de dedans en dehors par lesquels la plume se dé
aux caractères. Si, dans la paralysie radiculaire supérieure, les mouvements de flexion de l'avant-bras sur le bras sont abo
uble. Prie-t-on le malade dont le bras est étendu de s'opposer à un mouvement de flexion que l'on provo- que, il résiste. Cet
e des lombricaux et des interosseux a pour conséquence la perte des mouvements d'extension des deux dernières phalanges. Le ma-
doigts, seules les premières phalanges se mettent en extension. Les mouvements de latéralité des doigts sont presque abolis, m
s extenseurs communs et propres des doigts se contractent, quelques mouvements de latéralité sont esquissés, grâce à l'extenseur
de l'éminence thénar a nécessairement pour conséquence la perte des mouvements de flexion, d'abduction, d'opposi- tion du pouc
a paralysie des muscles de l'éminence hypothénar amène la perte des mouvements du petit doigt, il ne peut plus être rapproché
muscles du bras ont conservé leur contractilité normale et tous les mouvements de la ceinture scapulaire s'exécutent avec facili
ale, le groupe radiculaire inférieur est moins atteint, et quelques mouvements des muscles innervés par les racines basses sont
uent. En effet, dans l'abaissement ou l'hyperélévalion de l'épaule, mouvements qui produisent les paralysies radiculaires, le ga
cile. C'est sur- tout en excitant la peau et en examinant alors les mouvements instinctifs de retrait du membre que peut faire
alors le bras pend inerte et il est possible de lui communiquer des mouvements comme il un véritable balancier. L'examen élect
s organiques quelques muscles sont parfois moins atteints, quelques mouvements légè- rement esquissés; chez l'hystérique, au c
z l'hystérique, au contraire, la monoplégie est absolue, le moindre mouvement est impossible parce que le malade le veut ou l
pières. Quand on fait porter le regard en bas on observe un certain mouvement d'abaissement consensuel de la paupière supérie
nt plus net que la paralysie de l'orbiculaire est plus complète. Un mouvement analogue, mais moins étendu, s'observe il la pa
férieur et les rendent dans une certaine limite solidaires de leurs mouvements . Pendant l'occlusion volontaire et énergique de
e du buc- cinateur empêche le malade de souffler, de siffler. Les mouvements du pavillon de l'oreille sont impossibles. Lors
ousses fibrillaires. On constate une exagéra- tion des rides et des mouvements cloniques dans les muscles contrac- tures. La
a para- lysie faciale d'origine cérébrale sont : la persistance des mouvements réflexes produits par exemple par l'aspersion d
duits par exemple par l'aspersion d'eau froide sur le visage, ou du mouvement réflexe d'occlusion des paupières il la suite d'e
nctivale ; dans la paralysie faciale périphérique nu contraire, ces mouvements réflexes disparaissent ; la conservation de la mi
ont sont généralement moins accentuées du côté de la paralysie. Les mouvements du sourcil sont limités. Chez les hémi- plégiqu
ique pulmonaire qui se traduisait par un ralentissement extrême des mouvements respiratoires, la malade avait 4 à 5 respirations
ttitude est due a l'action du muscle sterno- mastoïdien normal; les mouvements passifs s'exécutent normalement, contrairement
e, le bord interne de l'os s'écarte de la co- lonne vertébrale. Les mouvements du bras sont pénibles il cause du manque de fix
ate une asymétrie manifeste entre les deux bases du thorax lors des mouvements respiratoires. . Paralysie du nerf circonflex
par leur profession (chef d orches- tre), sont obligé de faire des mouvements fréquemment répétés de pro- nation et de supina
ro- nation et de supination (Guillain et Courtelleniont) ; dans les mouvements de pronation forcée le nerf radial peut subir u
par l'action des loinbricaux et des interosseux. La limitation des mouvements des doigts que cause la paralysie des extenseurs
ctères. L'extension de la main sur l'avant-bras est impossible, les mouvements de latéralité de la main ne peuvent, plus se fa
e malade de fléchir l'avant-bras sur le bras et l'on s'oppose il ce mouvement ., on ne sent plus alors le corps musculaire con
creux axillain', la paralysie, du triceps est complète et tous les mouvements d'extension de l'avant-bras sur le bras sont im
r profond, le cubital antérieur. Quand le cubital est paralysé, les mouvements de flexion, d'abduction et d'adduction du petit
upinateur conserve une certaine action pronatrice limitée. Tous les mouvements du pouce, à l'exception du mouvement d'adductio
pronatrice limitée. Tous les mouvements du pouce, à l'exception du mouvement d'adduction, sont abolis. Au niveau des doigts la
inte du pied est abaissée, la plante du pied regarde en dedans. Les mouvements d'adduction et d'abduction de la pointe du pied
e des muscles innervés par le sciatique poplité externe de faire un mouvement de flexion dorsale du pied, on constate que l'a
niveau de l'articulation du genou. La différence dans l'étendue du mouvement du pied, suivant que la jambe, est on n'est pas f
nt aiïaiblls, cette résistance devient suf- Ësante pour entraver le mouvement , surtout si la jamhe est en extension. t Lorsqu
on postérieure de la jambe et des muscles de la plante du pied; les mouvements de flexion, -d'abduction et d'adduction des ort
mouvements de flexion, -d'abduction et d'adduction des orteils, les mouvements de flexion plantaire du pied sont abolis. On tr
blement gênée. L'étude des filets nerveux qui président aux divers mouvements du larynx, de leurs rapports avec les troncs ne
plus cote MALADIES DU LARYNX. 657 de la zone qui commandait les. mouvements d'adduction, ils trouvèrent un centre pour l'ab
in du centre cortical de la respiration et du centre volontaire des mouvements des- cordes vocales : Au point de vue physiolog
arquable : l'excitation d'un seul centre est toujours accompagné de mouvements bilatéraux des cordes vocales, soit en adductio
Masini a soutenu qu'il y avait une région qui pouvait provoquer des mouvements localisés à la moitié opposée du larynx; plus r
la moitié opposée du larynx; plus récemment Katzenstein obtint des mouvements localisés au côté correspondant ou au côté op-
, de Vulpian, de Grabower et de Hl'lhi, qu'il fallait rattacher les mouvements du larynx. La notion du vago-spinal, nerf puremen
ment observée d'ailleurs, il y a une gêne plus ou moins marquée des mouvements d'abduction lorsque les mouvements d'adduction
e gêne plus ou moins marquée des mouvements d'abduction lorsque les mouvements d'adduction sont encore faciles. La deuxième ph
ordes sont immobiles, en position cada- vérique, incapables de tout mouvement dans les efforts de phonation ou de respiration
spiratoires ou phonatoires et plusieurs auteurs ont pu observer des mouvements désordonnés des cordes avec émission de sons bruy
e entre les deux côtés plus manifeste en faisant faire au malade un mouvement qui contracte le muscle ou le groupe musculaire
examiné; on fera contracter les muscles au maximum en s'opposant au mouvement que l'on ordonne au malade d'exécuter. Par exem
te si en même temps on tente d'écarter ce bras du corps. Dans ces mouvements actifs on verra souvent se dessiner isolément c
sûr que la petitesse ou la mollesse de ces muscles. C'est dans les mouvements où les muscles atrophiés doivent entrer en contra
in qui recherchera l'amyotrophie devra alors lui faire exécuter des mouvements appropriés où chaque muscle à explorer entrera
près le poids que le malade est capable de soulever en exécutant le mouvement où ce muscle ou ce groupe musculaire entre seul
ntraction du triceps soit énergique et résiste très notablement aux mouvements passifs ». Mme Sa- cara a fait des constatation
ction Danmsuliino). ti É ATROPHIES MUSCULAIRES. l'attitude ut aux mouvements des malades un aspect tout à fait caractéris- t
sont couchés, ils ne peuvent se lever qu'en exécutant une série de mouvements tout à l'ait typiques qui ont été minutieusement
ettre debout une ascension analogue le long de leurs cuisses. Les mouvements sont quelquefois compliqués encore chez ces malad
ive des muscles se révèle accidentellement à l'occasion de certains mouvements . Le grand pectoral et le trapèze (saul' leur fa
humérale déterminent des déformations et des troubles spéciaux des mouvements . L'atrophie des muscles qui s'insèrent à l'omopla
erm (') ont désigné sous le nom de « faciès de sphinx ». Dans les mouvements des bras les déformations s'accusent. L'omo- pl
après ce que nous venons de dire, les troubles de l'attitude et des mouvements sont les mêmes pour le tronc et les membres, il u
- naire tout à fait typique, il le devient plus encore dans les mouvements . Le malade ne peut fermer complètement les yeux
once difficilement les labiales et sa voix reste sourde. Tous les mouvements de la face sont d'ailleurs très minimes ; aussi
lles sont parfois étendues et violentes et provoquent de véritables mouvements involontaires (Sain- ton). Pourtant Ormerode, S
nt rappro- chées, il reste un espace entre les genoux. Tous les mouvements du pied et des orteils sont altérés, mais d'u
équin, orteils en griffe. A)tYOTHOPIIIE CHARCOT-MARIE. 095 Les mouvements des phalanges sont généralement nuls ou très mini
ouvements des phalanges sont généralement nuls ou très minimes, les mouvements des articulations înétacarpo-phalangiennes se fon
ut il fait libres. Les troubles dans l'exécution de certains petits mouvements des mains sont souvent le signe révélateur de l'a
est déjà beaucoup plus prononcée aux mem- bres inférieurs, car les mouvements des membres inférieurs exigent moins de délicat
les des mains, et c'est surtout par une gêne fonctionnelle dans les mouvements délicats, comme celui d'écrire, de saisir de menu
ts se redressent, et la main pend, flasque et ballante, capable des mouvements passifs les plus exagérés, mais incapable d'auc
le des mouvements passifs les plus exagérés, mais incapable d'aucun mouvement actif : c'est la main de squelette, la main de
de la myopathie; les dévia- tions du scapulum au repos et dans les mouvements sont également les mêmes. . Tardivement le th
impression de froid, elles peuvent déterminer parfois de véritables mouvements involontaires. L'examen clinique ne révèle, à a
des rétractions fibre-tendineuses ne limitent défi- nitivement les mouvements , ou que la névrite n'atteigne le phrénique et l
PARALYSIE. 725 vrotiques fixent ce pied en extension, alors que les mouvements de latéralité sont conservés et même exagérés.
ttache au tronc, et. en l'empêchant de suivre le bras dans tous ses mouvements , on facilite beau- coup ceux-ci. Cette interven
e, il s'est fait une amélioration non douteuse dans l'aspect et les mouvements des doigts. Bien que le traitement antisyphilit
à faire exécuter aussi tôt que possible aux segments paralysés des mouvements actifs que le poids des membres ne permettrait
ue, il faudra favoriser, autant qu'on le pourra, la rééducation des mouvements non seulement par le traitement mécanique, mais
l'hypertrophie ne se produit qu'a la suite de l'accomplissement des mouvements qui obligent les muscles il faire de grandes ex
, Hourneville. etc.) Les con- tractures toniques permanentes et les mouvements continus auxquels sont soumis certains muscles
e entre les dilfé- rents muscles qui. concourent à l'exécution d'un mouvement , sans qu'aucun de ces muscles pris isolément ai
IE NORMALE ET PATHOLOGIQUE DE LA COORDINATION A l'état normal, tout mouvement est dù à la contraction simultanée et proportio
on simultanée et proportionnelle des muscles destinés à produire ce mouvement et des muscles antagonistes destinés à le modér
stes destinés à le modérer (Duchenne) ; de sorte qu'il n'y a pas de mouvement , si simple soit-il, la flexion d'une phalange par
njeu qu'un seul muscle. Physiologiquement parlant, il n'y et pas de mouvement simple, la con- traction isolée d'un muscle né
eut pourtant considérer qu'il existe des 'mouvements simples et des mouvements complexes, et que tout mouvement complexe peut
te des 'mouvements simples et des mouvements complexes, et que tout mouvement complexe peut être décomposé en un certain nomb
tout mouvement complexe peut être décomposé en un certain nombre de mouvements simples, dépla- çant chacun un segment de membr
ou une partie du corps et s'accom- plissant tous simultanément. Les mouvements les plus complexes sont ceux qui déplacent le c
ent le corps entier, comme la marche, la course, la danse, le saut, mouvements auxquels prennent part, non seulement les muscles
scles ont norma- lement pour résultat non seulement de produire les mouvements voulus, mais encore de maintenir, pendant le te
ents seg- ments du corps dans une situation réciproque telle que le mouvement puisse être utilisé ; par exemple, les mouvemen
roque telle que le mouvement puisse être utilisé ; par exemple, les mouvements d'ensemble du corps ne peuvent être utilisés qu
ions synergiques des muscles doivent donc non seulement assurer les mouvements , mais encore maintenir l 'équilibre. L'équilibre
du corps et de ses différentes parties doit être assuré pendant les mouvements , c'est l'équilibre « cinétique », qui est dû un
ctions musculaires. Il doit être assuré aussi dans l'intervalle des mouvements , c'est l'équilibre « statique » ; celui-ci peut ê
dispensable; le dicton bien connu : « L'immobilité est le plus beau mouvement du soldat » n'est pas une simple boutade. c'est
ologique. L'incoordination complète entraîne à la fois la perte des mouvements simples et complexes et la perte de l'équilibre
urs, au tronc ou la tète, ensuite suivant qu'elle altère ou non les mouvements simples en même temps que les mouvements compos
qu'elle altère ou non les mouvements simples en même temps que les mouvements composés, enfin suivant qu'elle détruit ou non
udes que par les yeux; le cérébelleux a la sensation très nette des mouvements simples qu'il exécute, il est seule- ment incap
tion des voies sensitives. Ce qui caractérise essentiellement les mouvements ataxiques, c'est le manque de modération ; dans
les mouvements ataxiques, c'est le manque de modération ; dans tout mouvement ataxique. simple ou composé, on constate que la
composé, on constate que la contraction des muscles producteurs du mouvement n'est pas modérée comme il conviendrait par la co
- nir à temps les antagonistes. Un second caractère essentiel des mouvements ataxiques est qu'ils sont beaucoup plus troublé
si bien dans la conservation des attitudes que dans l'exécution des mouvements , l'une comme l'autre nécessitant la synergie fo
s supérieur), presque jamais par la tête. Membres inférieurs. Les mouvements isolés des membres infé- rieurs, quand le malad
orce que l'hypotonie est plus mar- quée ; mais généralement dans ce mouvement le pied traîne sur le sol plus que chez un suje
ontact du sol était sa sauve- garde et donnait de la précision au mouvement . C'est surtout dans la marche que l'ataxie de
bes dans tous les sens, mais encore faire avec leur tronc de grands mouvements de salutation irréguliers et décrire avec leurs
l'équilibre dans toutes ces conditions, soit dans exécu- tion d'un mouvement (mouvement de demi-tour par exemple ou mou- vem
e dans toutes ces conditions, soit dans exécu- tion d'un mouvement ( mouvement de demi-tour par exemple ou mou- vement de la m
le manque d'équilibre se révèleront bien plus facile- ment dans ces mouvements subits et imprévus que dans les mouvements pres
us facile- ment dans ces mouvements subits et imprévus que dans les mouvements presque automatiques de la marche. 2° Faire m
grands gestes incoordonnés ; elle se révèle surtout dans les petits mouvements des doigts ou dans la préhension des objets. Po
quelques centimètres au-dessus, largement ouverte, décrit quelques mouvements de va-et-vient, « plane » comme si elle guettait
omme pour les inférieurs, on observe en même temps que l'ataxie des mouvements , l'ataxie statique, l'impos- sibilité de mainte
dérable des troubles quand on em- pêche le malade de surveiller ses mouvements avec les yeux. Tronc. L'ataxie du tronc, qui pa
diée; elle se révèle surtout par les oscillations du tronc dans les mouvements , dans la marche en particulier, ou dans la stat
e et face. - Rarement on observe des oscillations brusques dans les mouvements de la tète ou même son instabilité dans les attit
complètement non seulement la marche et la station, mais même tout mouvement utile des jambes dans le décubitus, sans aucune
sensations, par un perfectionne- ment du contrôle de la vue sur les mouvements , en somme par une auto- rééducation plus ou moi
ur, main et doigts. Elle consiste en une série de saccades dans les mouvements volontaires, mais ces saccades sont infiniment pl
sensitives cérébrales à la création, pen- dant l'apprentissage des mouvements , de centres coordinateurs dans les parties infé
g, la prédominance des troubles de l'équilibre sur les troubles des mouvements des membres isolés, présente plus de caractères
les caractères de l'incoordination céi-ébel7 leuse sans ataxie des mouvements isolés. Nous signalons dès maintenant ces diffé
ait accessoire et facultative. Quoi qu'il en soit, cliniquement les mouvements isolés et combinés de l'ataxie labyrinthique n'
gmus, soit absence des mouve- ments compensateurs des yeux dans les mouvements de rotation du corps A LÉRI. 766 INCOORDINATI
comme nous l'avons dit, l'organe principal de la coor- dination des mouvements et de la conservation de l'équilibre. Aussi, si
nes. etc,), ' De plus, par suite de cette parfaite sensibilité, les mouvements simples des membres sont relativement bien exéc
ien exécutés par les cérébelleux : c'est surtout la combinaison des mouvements simples nécessaires à l'exécution des mouvement
la combinaison des mouvements simples nécessaires à l'exécution des mouvements complexes et au maintien de l'équilibre qui est d
érébelleuse consiste surtout, dans un trouble de la composition des mouvements complexes et dans un trouble de l'équilibre. Po
et dans un trouble de l'équilibre. Pourtant nous avons dit que les mouvements les plus simples en apparence sont dùs en réali
abinski, où le (rouble capital est un trouble de la composition des mouvements entraînant ou non une perte . INCOORDINATION CÉ
à Babinski et dont nous aurons à esquisser les autres facteurs, les mouvements démesurés, l'adiadococinésie, la cata- lepsie c
'accentuent quand, pendant la station debout, on fait exécuter un mouvement aux membres supérieurs. Dans les cas plus acc
erve cependant assez fré- quemment une sorte d'incertilude dans les mouvements , d'irrégularité, de maladresse, avec ou sans os
rdina- teur et frénateur du cervelet, l'asynergie cérébelleuse, les mouvements démesurés, l'adiadococinésie, dont nous aurons
ite par Babinski ; son caractère essentiel est la décomposition des mouvements en leurs parties constituantes élémentaires; le
de est incapable de combiner la série des déplacements qui, dans un mouvement composé, devraient être exécutés simultanément
exécutés simultanément par chacun des segments de ses membres : un mouvement complexe se trouve ainsi constitué par une suit
: un mouvement complexe se trouve ainsi constitué par une suite de mouvements simples et non par une association de ces mêmes
suite de mouvements simples et non par une association de ces mêmes mouvements . Comme pour la titubation cérébelleuse, la sens
ts signes se révèlent soit spontanément il l'occa- sion de certains mouvements , soit par l'examen méthodique de certains mouve
on de certains mouvements, soit par l'examen méthodique de certains mouvements commandés chez des sujets que l'on soupçonne atte
près au point où l'aurait posé un sujet sain. Mais pendant tous ces mouvements , successifs et non simultanés, le tronc n'a pas
ivement son tronc en même temps que ses jambes avancent par des mouvements actifs. Dans cette progression , on remarque
lade est couché, quand il est assis ou quand il est debout. Les mouvements d'épreuve que l'on fait exécuter aux malades
nt tous pour but et pour résultat de montrer la décomposilion des mouvements . Ces épreuves s'appliquent surtout aux membres
re. Un tabétique, ou bien exécutera avec ses membres inférieurs des mouvements désordonnés sans atteindre les but proposé, ou
nsuite d'allonger de nouveau son membre inférieur, la même série de mouvements se repro- duira en sens in- verse : soulèveme
en- sion de la jambe, extension de la cuis- se. Chacun de ces mouvements sera exécuté avec une certaincbrusquerie, m
l'air ; s'il s'était agi d'un tabétique ataxique, le pied dans ses mouvements désordonnés aurait peut-être rencontré, presque
pied à terre, le cérébelleux . exécutera en sens inverse les mêmes mouvements , flexion de la jambe, extension de la cuisse, et
rivera très fréquemment au diagnostic de lésion cérébelleuse. Les mouvements démesurés semblent résulter de l'altération du po
velet. Ils consistent en ceci que, quand le malade veut exécuter un mouvement , il dépasse le but. Ainsi, si l'on dit au sujet
ur. Chez la plupart des cérébelleux asynergiques, non seulement les mouvements simples ne peuvent être exécutés simultané- men
ssivement qu'avec une certaine lenteur. Toute succession normale de mouvements néces- site l'arrêt de l'un de ces mouvements e
succession normale de mouvements néces- site l'arrêt de l'un de ces mouvements et la mise en train immédiate du mouvement suiv
l'arrêt de l'un de ces mouvements et la mise en train immédiate du mouvement suivant, c'est-à-dire l'association d'une action
ut étudié la rapidité avec laquelle les sujets peuvent exécuter les mouvements alternatifs de pronation et de supination de la
ÉRI] - 774 ' ^COORDINATIONS-. - . vite que des sujets normaux ces mouvements successifs, il y a chez eux diminution de la di
litionnel des cérébelleux. L'écriture, qui nécessite une série de mouvements successifs, de changements de direction, est
L'équilibre du corps ou de ses différentes parties pendant les mouvements , l'équilibre ciné- tique, est donc profondément
ergique conserve très longtemps l'altitude donnée sans l'aire aucun mouvement : cata- lepsie Cé1'/ibclle.use. L'ataxiquc ne
ment la marche et à rendre il peu près inutilisables la plupart des mouvements volontaires (grande asynergie) ; presque toujou
erser en arrière; marcher. 2° La recherche de l'lllliadococinësie : mouvements alternatifs de pronation et de supination de la
tifs de pronation et de supination de la main. a)" la recherche des mouvements démesurés : porter le doigt sur le nez. tracer
oordination marquée qui se manifeste par des modifications dans les mouvements isolés, mais surtout par des troubles de l'équi
mps d'imprimer il leur tète et à leur tronc de plus ou moins amples mouvements de salutation. L'occlusion des yeux accentue beau
le se révèle d'abord par la maladresse dans l'accomplis- scment des mouvements délicats, comme celui de coudre, d'écrire, de b
t de s'abattre brusquement sur lui, mais la direction géné- rale du mouvement est respectée, il n'y a pas de mouvements contrad
la direction géné- rale du mouvement est respectée, il n'y a pas de mouvements contradic- toires désordonnés et, une fois l'ob
ble et parfois tout il fait impossible. Plus souvent on observe des mouvements choréiformes, parfois des mouvements athétodes.
Plus souvent on observe des mouvements choréiformes, parfois des mouvements athétodes. Cet ensemble de phénomènes, plus ou mo
réifol'llie ». La face participe souvent il l'incoordination et aux mouvements sur- ajoutés par des grimaces, des secousses br
ngue est animée de tremblements fihril- laires inégaux et agitée de mouvements brusques et irréguliers. La parole est lente, p
éritable ten- dance à la propulsion, qui semblait tenir à ce que le mouvement du tronc précédait celui des membres inférieurs
maladie de Friedreich. Il y a pas ou peu de signe de Romberg. Les mouvements isolés des membres inférieurs ont présenté, dans
oréiformes. La face participe quelquefois à l'incoordination et aux mouvements associés. Les yeux sont animés de secousses nys
t ne peut être prolongée ; ledérobement desjambes est fréquent. Les mouvements des membres supérieurs présentent des déviation
ent systématique, c'est-à-dire ne porte que sur un ou plusieurs des mouvements que le groupe de muscles paralysés est appelé à e
ation ou dans la marche présente, pris isolément ou dans les autres mouvements les plus variés, aucun affaiblissement ou aucune
Charcot ne diffère de la forme paralytique que par l'association de mouvements hystériques surajoutés, soit choréi- formes (as
réiforme), soit trépidants (astasie-abasie trépi- dante) ; mais ces mouvements compliquent un trouble fonctionnel de la marche
l'harmonie entre les muscles qui concourent à l'exécution de chaque mouvement ). 1. INCOORDINATION ATAXIQUE Origine : troubl
contraction des muscles. Caractères : Il Manque de modération des mouvements par défaut de contraction des anta- . gonistes.
SYNERGIE CÉRÉBELLEUSE de Babinski. Caractères : Décomposition des mouvements composés par défaut de synergie des muscles des
. b) Petite asynergie : série de petits signes décelables dans les mouvements d'épreuve (exercices à la Babinski). Autres é
syndrome cérébelleux de Babinski B, symptômes associés ou non : " Mouvements démesurés; exagération de l'amplitude des mouveme
iés ou non : " Mouvements démesurés; exagération de l'amplitude des mouvements . Adiadocil1Óie : ralentissement de la successio
des mouvements. Adiadocil1Óie : ralentissement de la succession des mouvements , notamment des mouvements opposés alternatifs.
Óie : ralentissement de la succession des mouvements, notamment des mouvements opposés alternatifs. Catalepsie cérébelleuse :
avant 15 ans) : TRAITEMENT DES INCOORDINATIONS LA RÉÉDUCATION DES MOUVEMENTS . , par le D' ANDRÉ LÉRI Parmi les traitement
u non tout d'abord sous l'eau pour diminuer le poids du membre, les mouvements des différents segments devaient avoir la PnATh
euse, ce qui manque, c'est la faculté d'exécuter synergiquemenl les mouvements des différents segments du corps, mais nullemen
, mais nullement le pouvoir d'exécuter isolément, et avec force, le mouvement de chacun de ces segments : la rééducation devrai
on devrait donc se proposer pour but de faire « composer » avec des mouvements élémen- taires des mouvements de plus en plus c
ur but de faire « composer » avec des mouvements élémen- taires des mouvements de plus en plus complexes; des tentatives de cet
, est avant tout un trouble sensitif : si le malade exécute mal les mouvements les plus simples, c'est surtout parce qu'il ne se
usculaire, articulaire et osseuse; s'il exécute plus mal encore les mouvements plus complexes, c'est avant tout parce qu'il ne
rce qu'il ne sent pas quelle vigueur relative il donne à chacun des mouvements élémentaires. Mais ce n'est nullement parce que
scles ou de ses groupes musculaires n'a pas la force d'accomplir le mouvement : au contraire, le mouvement s'accomplit presqu
laires n'a pas la force d'accomplir le mouvement : au contraire, le mouvement s'accomplit presque toujours avec trop de force
te de sensibilité. Par un exercice patient et prolongé composé de mouvements passifs et PRINCIPES GÉNÉRAUX DES DIFFÉRENTES M
ES GÉNÉRAUX DES DIFFÉRENTES MÉTHODES DE RÉÉDUCATION MOTRICE. 787 de mouvements actifs, pratiqué méthodiquement sous la direction
bien entendu étectivemcnt à tels ou tels muscles ou à tels ou tels mouvements , éduquent donc la sensibilité « nouvelle » et,
i au malade la confiance en la possibilité d'exécuter à nouveau des mouvements coordonnés; elle lui rend en outre la notion de
mouvements coordonnés; elle lui rend en outre la notion de certains mouvements simples qu'il est utile d'exécuter suc- cessive
par exemple; les malades perdent très facilement l'habitude de ces mouvements associés et les « oublient » souvent avec une e
anime ou trop phobique pour craindre exagérément toute tentative de mouvement qui lui paraît menacer son équilibre. Bien ente
Il faut que l'éducateur soit très au courant de la physiologie des mouvements , qu'il sache apprécier dans chaque cas le siège e
aque cas le siège et le degré des troubles sensitifs, la nature des mouvements compromis et les exercices les plus appropriés
ments compromis et les exercices les plus appropriés à rendre à ces mouvements , simples ou complexes le degré de coordination
RALES ^|f L'un des principes essentiels, est d'éviter avec soin les mouvements brusques ou violents et les mouvements excessif
, est d'éviter avec soin les mouvements brusques ou violents et les mouvements excessifs : les fortes contrac- tions musculair
es déplacements des membres ou des segments de membre. De plus, les mouvements forcés amènent à l'étal normal la fatigue, sens
fatigue est très atténuée ou nulle dans les membres ataxiques : les mouvements forcés n'en sont que plus à redou- ter. Enfin,
rois fois dans une journée ('). Ce qu'on demandera uniquement aux mouvements chez les tabétiques, c'est l'exactitude, la sou
sse, l'adresse. Pourtant on devra faire des différences suivant les mouvements à exécuter : il est bien évident que ces qualit
che en glis- sant le talon sur le lit, l'étendre de même; varier ce mouvement , en fai- sant arrêter le pied à mi-chemin d'abo
mais en le soulevant au-dessus du lit, l'étendre de même; varier ce mouvement en faisant porter le pied sur le lit dans l'ang
us ces exercices arrêts à volonté ou au commandement; compliquer le mouvement en combinant les arrêts. Une succession de mouv
compliquer le mouvement en combinant les arrêts. Une succession de mouvements de ce genre, très importante et très utile, est
t à la même hauteur, talon sur les orteils, exten- sion normale; ou mouvement combine en sens inverse. 1'airc lés mêmes mouve
ion normale; ou mouvement combine en sens inverse. 1'airc lés mêmes mouvements , le talon ne se soulevant plus au-dessus du lit
en faisant exécuter par l'un et l'autre des membres inférieurs des mouvements semblables à ceux que nous venons -de décrire,
différentes : 1° les deux .membres exécutant simultanément le même mouvement ; 2° les deux membres exécutant alternativement
e même mouvement; 2° les deux membres exécutant alternativement des mouvements soit semblables, soit dissem- blables; 5° les d
it dissem- blables; 5° les deux membres exécutant simultanément des mouvements dissemblables. Exemples : . 1° Fléchir et éte
ra renseigné sur le degré et le siège de l'ataxie, on éliminera les mouvements trop simples et l'on insistera sur ceux dont la c
us nettement à désirer et qui paraissent les plus utiles. Parmi les mouvements utiles, on choisira ceux qui nécessitent le mini-
re et le maximum d'action coordinatrice ; on n'oubliera pas que les mouvements qui exigent la plus forte contraction musculair
çà de leur amplitude normale. Pour être exécutés avec sécurité, ces mouvements limités doivent être exécutés lentement : il fa
ération qu'ont tous les malades au début. Les plus simples de ces mouvements sont encore trop compliqués quand il s'agit d'a
it d'ataxie très avancée : dans ce cas il faut au début limiter les mouvements à une seule articulation, il faut commencer par l
eux appareils plus ou moins simples pour donner de la précision aux mouvements exé- cutés par les membres inférieurs au lit :
, trois quarts et quarts de pas sur le côté, à droite et à gauche : mouvements plus faciles que ceux de la marche en avant, pa
équilibre. Faire des demi-, quarts et huitièmes de pas en arrière : mouvements plus difficiles. Marcher les pieds l'un devan
ction synergique des extenseurs et des fléchis- seurs. C'est un des mouvements les plus difficiles chez les tabétiques et qu'o
dement. Un bon procédé pour obtenir la sûreté et la promptitude des mouvements (non pas la brusquerie du déplacement des jambe
u'ils ont essentiellement pour but de soutenir le tronc pendant les mouvements des jambes, alors qu'il importe au premier chel'
ver et à s'asseoir ; ces actes sont composés d'un certain nombre de mouvements simples qui généralement sont exécutés sépa- ré
s yeux et corrige la position obtenue. B) Tronc. La rééducation des mouvements du tronc est le complé- ment presque toujours i
e complé- ment presque toujours indispensable de la rééducation des mouvements des membres inférieurs. La marche n'est possibl
on du tronc devront être déjà pratiqués au lit; ils consisteront en mouvements de flexion et d'extension, avec incli- naison v
s c'est surtout dans la station verticale et dans la marche que les mouvements propres du tronc devront être surveillés; il faud
opposition de l'extrémité du pouce à l'extrémité des autres doigts, mouvement précocement altéré dans le tabès), à faire suivre
du piano, etc. Mais la précision que l'on est en droit d'exiger des mouvements des doigts rend beaucoup plus nécessaire l'empl
entes grosseurs suspen- dues par des fils; ces boules sont mises en mouvement , le malade doit les saisir dans leur course, d'
r lésion du quadrilatère de Pierre Marie, on notera l'intégrité des mouvements automatiques des lèvres et de la langue, sans a
nt une valeur prédominante. La fatigue occasionnée par le moindre mouvement , l'impossibilité de fournir un effort un tant s
eut s'en assurer en laissant un muscle se reposer suffisamment; les mouvements sont alors possibles, mais rapidement limités,
uisent de façon intempestive quelque geste de la vie ordinaire. Les mouvements choréiformes (chorée de Sydenham, de Iluntingto
, s'exécutent dans tous les sens sans force et sans brusquerie. Les mouvements athétosiqucs CONVULSIONS ET CRISES CONVULSIVES.
LSIVES. 819 sont encore plus lents que les précédents : ce sont des mouvements alter- natifs de flexion et d'extension donnant
à l'extrémité atteinte des attitudes bizarres qu'on a comparées aux mouvements des tentacules de poulpes. Rien ici qui rappell
tremblements, qu'ils soient continus ou surviennent à l'occasion de mouvements volontaires, sont des contractions musculaires
agi sur lui. L'expérimenta- tion, en réalisant toutes les formes du mouvement musculaire, depuis la contraction simple jusqu'
ice du cerveau d'un côté, dans la région rolandique. on obtient des mouvements simples des membres dn côté opposé. Lorsque cet
aractériser d'un mot, nous dirans que c'est l'irrégularité même. Le mouvement , brusque et soudain, est aussitôt remplacé par
membres sont portés en tous sens et il arrive fréquemment, dans les mouvements de flexion, d'extension, d'adduction, d'abducti
CRISES CONVULSIVES. R21 voit les globes oculaires déviés, agités de mouvements incoordonnés et violents, mettant l'oeil en str
trabisme, entraînant la pupille en haut. Des grimaces résultent des mouvements des muscles peauciers. La tête est- . portée en
ent à la face et aux membres supérieurs et se caractérisent par les mouvements des globes oculaires, la contraction des commissu
d'invasion (contrac- tures dans les muscles de la face et des yeux, mouvements alternatifs de la tête à droite et à gauche). N
spasmes qui remontent de la périphérie d'un membre à sa racine; les mouvements automatiques, tels que l'acte de se gratter le
, de cligner des yeux ou de se passer la langue sur les lèvres, les mouvements coordonnés. Des sensations particulières de chaud
agité par saccades; on voit les globes oculaires animés, agiles de mouvements incoordonnés et violents, mettant l'oeil en str
nguinolente, véritable mousse rougeatre. Des grimaces résultent des mouvements des muscles peauciers. La respiration courte, b
entre dans la deuxième période, celle des contorsions et des grands mouvements , dite encore période de c/0 ! <; ! u.< ?
de quelques membres par petites oscillations pendant l'exécution de mouvements volontaires qui n'en continuent pas moins à se pr
il est des cas oil l'intensité est telle qu'elle empêche presque le mouvement volontaire, la marche devient diffi- cile, il f
e, les oscillations sont de 4 à 5 1/2 par seconde. 4° Influence des mouvements volontaires. Le procédé le plus simple pour déc
imple pour découvrir les tremblements exagérés ou provoqués par les mouvements intentionnels consiste il faire prendre au malade
le tremblement augmenter progressivement, au sur et à mesure que le mouvement s'accomplit. Quand le verre se rapproche des lè
évolution d'un tremblement, le rythme et ses variations suivant les mouvements intentionnels persis- tent invariables. - 7°
traire à la définition que nous avons donnée du tremblement. Les mouvements choréiques qui sont étudiés plus loin se distingu
amplitude, assez brusques, mais sans secousses qui déterminent des mouvements contra- dictoires. Les mouvements de l'aileél
s secousses qui déterminent des mouvements contra- dictoires. Les mouvements de l'aileélose sont au contraire des mouvements p
a- dictoires. Les mouvements de l'aileélose sont au contraire des mouvements plu» lents, réguliers, de petite amplitude, ill
llogiques et caractérisés au niveau des mains et des doigts par des mouvements successifs d'extension et de flexion, d'adducti
tion et de flexion qui rappellent ceux du poulpe. Les tics sont des mouvements plus brusques que les mouvements choréiformes,
ceux du poulpe. Les tics sont des mouvements plus brusques que les mouvements choréiformes, des mouvements convulsifs et inte
t des mouvements plus brusques que les mouvements choréiformes, des mouvements convulsifs et intempestifs répétés à l'excès, c
e acquise. Dans la suite, ils se répètent involontairement. ' Les mouvements du tahétique ne sont ni réguliers ni rythmés, et
nski est caractérisée par un trouble dans la faculté d'associer les mouvements des divers segments d'un membre dans un mouveme
é d'associer les mouvements des divers segments d'un membre dans un mouvement complexe comme la marche par exemple. Les asyne
perte de la diaduco- cinésie : c'est l'impossibilité d'exécuter des mouvements successifs tels que ceux de supination et de pr
tion et de pronation pour l'avant-bras : il en résulte une série de mouvements irréguliers qui sont tout à fait distincts du t
certains cas, le tremblement peut avoir des rapports avec d'autres mouvements normaux; on a pu observer quelquefois des assoc
rmaux; on a pu observer quelquefois des associations fréquentes des mouvements choreiformes et des trem- blements : telle est
s et des trem- blements : telle est la maladie de Friedrcich où les mouvements inten- tionnels coexistent avec les mouvements
de Friedrcich où les mouvements inten- tionnels coexistent avec les mouvements choréiforines. Toutefois, il ne faut pas aller
e le, tremblement simple peut, dans certains cas, se transformer en mouvement arythmique choréiforme. .. DIAGNOSTIC DE LA CAU
ingue les tremblements suivant les modifications que leur donne les mouvements volontaires et aussi suivant la rapidité du rythm
)()l).) a décrit un tremblement aigu survenant chez les enfants, à mouvements lents, rapprochés, continus, de cinq os- cillat
nt le repos et en trem- blements n'apparaissant qu'à l'occasion des mouvements volontaires. Nous ne pensons pas qu'il soit néc
plaques. Il est le type du tremblement apparaissant l'occasion des mouvements et de la volonté : ce tremblement en effet ne s
nd le malade est au repos, il apparaît uniquement il l'occasion des mouvements volontaires et le procédé classique qui consist
met il écrire; le. tremblement s'exagère pendant toute la durée des mouvements et rend l'écriture tout il fait irrégulière, au b
s, mais il est également très marqué au tronc et à la tète dans les mouvements du corps. Les mouvements du tronc et de la tète
très marqué au tronc et à la tète dans les mouvements du corps. Les mouvements du tronc et de la tète peuvent, dans ce cas ren
s du tronc et de la tète peuvent, dans ce cas rendre difficiles les mouvements du corps : c'est la démarche vacillante d'0p])e
sa bouche, la tète participe au tremblement et rend l'exécution des mouvements difficiles. Si le tremblement est surtout inten
ns vrai qu'il est modifié par d'autres circonstances : 1 étendue du mouvement exécuté exagère le tremblement, l'émotion, l'at
ues. Le diagnostic de la maladie se fera par l'ataxie statique, les mouvements choréiformes, le nystagmus et surtout par l'abo
iété de Neurologie, 7 février 1901) le malade présentait des petits mouvements alternatifs de flexion et d'extension de l'avan
as; la main présentai ! un tremblement analogue caractérisé par des mouvements alternatifs d'abduction et d'adduction; quand l
mains dans l'attitude du serment, aux doigts dans la maladresse des mouvements , enfin à la langue et aux lèvres dès que le mal
rs, au niveau des muscles qui entourent l'orifice buccal, de petits mouvements irréguliers, asymétriques qui s'accentuent quan
ère en avant donnant l'apparence désignée par Magnan sous le nom de mouvements de trombone; quelquefois la langue présente des
ut le corps, sauf à la tête. Au niveau des mains, ce sont de petits mouvements du pouce et de l'index, ces deux doigts vont au
de l'index, ces deux doigts vont au devant l'un de l'autre par des mouvements successifs de flexion et d'extension ; suivant la
LA CAUSE DU TREMBLEMENT. - 841 La mâchoire est également animée de mouvements successifs d'élé- vation et d'abaissement qui i
ouvoir rapidement. C'est d'ailleurs ce qui se passe pour les autres mouvements volontaires. Mais l'ensemble de ces tremblements
les caractères d'oscillations très rapides et apparaissant dans les mouvements des paupières et quelquefois sous forme de cris
contraction soutenue et cependant ne s'exagère pas à mesure que le mouvement s'achève, connue on le voit dans le 11'('111- b
aut le recher- cher avec soin en faisant répéter au malade certains mouvements du coude, par exemple, en lui faisant faire des
certains mouvements du coude, par exemple, en lui faisant faire des mouvements précipités qui le font réapparaître. Quelquefoi
erpétuelle très marquée au repos et s'exagérant légèrement dans les mouvements : on se rend compte de cette tréinulation lorsque
s l'extrémité du membre, cependant les doigts ne sont pas animés de mouvements propres, ces oscillations sont produites par de
imés de mouvements propres, ces oscillations sont produites par des mouvements de transmission il la main et ce tremblement es
se sur le sol par la pointe, on voit la jambe se mouvoir suivant un mouvement de pédale, quelquefois le tremblement est assez
maux; on a pu observer quelquefois des associations fré- quentes de mouvements choréiformes et des tremblements, telle est la
ormes et des tremblements, telle est la maladie de Friedreich où un mouvement intentionnel coexiste avec les mouvements choré
aladie de Friedreich où un mouvement intentionnel coexiste avec les mouvements choréiformes.. - Le-tremblement hystérique se -
est régulier, ce tremblement apparaît seu- lement à l'occasion des mouvements volontaires; dans d'autres cas, il persiste à l
seconde, il persiste au repos, il est peu ou point modifié par les mouvements volontaires, souvent il est consécutif à une at
E DU TREMBLEMENT. 845 et ne gêne pas le malade dans l'exécution des mouvements des membres supérieurs et inférieurs. Ce trembl
l existe un tremblement intentionnel au repos, mais exagéré par les mouvements volontaires. Ce tremblement rémittent intentionne
nts lents persistent au repos, ils sont peu ou pas modifiés par les mouvements volontaires et simulent d'une façon frappante la
s sujets étendent les mains, il per- siste sans s'exagérer dans les mouvements intentionnels, il peut occuper les membres, les
repos absolu, il peut s'exagérer notablement sous l'in- fluence des mouvements volontaires, il peut prédominer et. rester limité
, menues, rapides, au nombre de six par seconde et exagéré dans les mouvements intentionnels. Dans l'intoxication saturnine on
s, sauf dans de rares moments de calme absolu, il s'exagère par les mouvements volontaires et se rapprocherait des trem- bleme
ent hystérique. CHORÉES par le D' CROUZON On appelle chorécs ou mouvements choréiques des contractions muscu- laires invol
ues des contractions muscu- laires involontaires donnant lieu à des mouvements de grande amplitude ordinairement constants, se
; nous chercherons à différencier ces caractères de ceux des autres mouvements involontaires : tremblements, athétose, myoclon
ctérisée avant tout par les désor- dres de la motilité. Ce sont des mouvements involontaires qui se renou- vellent sans cesse
s sont exagérés par les émotions et cessent quelquefois pendant les mouvements volontaires; ils sont assez rapides, moins lent
itude, de plus. ils sont désordonnés et irréguliers. , Le siège des mouvements est assez variable ; si les mouvements sont fré
irréguliers. , Le siège des mouvements est assez variable ; si les mouvements sont fréquemment généralisés, ils le sont rarem
lade est obligé de rester au lit. Quand le malade est au repos, les mouvements ne l'abandonnent pas, les pieds et les jambes s
série d'actes respiratoires subdivisés en 2 ou 5 temps. Tous ces mouvements entraînent un certain nombre de troubles, les f
alysie complète. D'autre part, dans certains cas, l'exagération des mouvements peut entraîner un état nerveux spécial qui se r
s certains cas, l'apparition de la température fait disparaître les mouvements , mais cette disparition n'est pas cons- tante,
d'autres cas, où la paralysie domine la scène et dans laquelle les mouvements convulsifs sont à peine manifestes et quelquefois
un para- lytique, hémiplégique, paraplégique, monoplégiqne, et les mouvements choréiques sont à peine évidents, et alors les
férentiel. Le diagnostic de la chorée doit se faire avec les autres mouvements involontaires. Nous avons déjà vu quels sont le
ude de leurs oscillations. Le caractère s'oppose très nettement aux mouvements rythmiques irréguliers et amples de la chorée.
gnent de raideur musculaire. On compare avec assez d'exactitude ces mouvements à des mouvements de poulpe. ' z La maladie de
musculaire. On compare avec assez d'exactitude ces mouvements à des mouvements de poulpe. ' z La maladie des tics peut quelque
ce qui caractérise les tics, c'est la brusquerie et la rapidité du mouvement , c'est d'autre part l'apparente coordination qui
ubles puisse en imposer pour la chorée. suffira de décom- poser les mouvements de la maladie des tics en chacun des actes pseudo
pètent à intervalles variables. Comme on le voit, la brusquerie des mouvements contraste avec la rondeur des mouvements choréi
le voit, la brusquerie des mouvements contraste avec la rondeur des mouvements choréiques; nous aurons du reste l'occasion plu
ères différentiels dé chacune des variétés de myoclonies. Enfin les mouvements choréiques se distingueront de l'ataxie statique
le diagnostic différentiel de la chorée en général avec les antres mouvements normaux, Une nous suffit pas d'avoir porté le d
itifs, ce sont des douleurs erratiques,' de la fatigue, bientôt les mouvements involontaires qui étaient isolés deviennent pré
les troubles moteurs ont les caractères que nous avons décrits aux mouvements choréiques en. général : contractions invo- lon
d'un muscle à l'autre, irréguliers et désordonnés. Le siège. de ces mouvements dans la chorée de Sydenham a été étudié par Odd
ëmichorée serait rarement pure puisqu'il y aurait toujours quelques mouvements du côté sain et la forme la plus fréquente est
sque toujours il y aurait affaiblissement musculaire du côté où les mouvements choréiques sont prépondérants. Oddo a également
maux des deux côtés ou d'un seul. Ils peuvent être modifiés par des mouvements choréiques, il y a alors un réflexe paradoxal d
e étaient moins atteints que les réflexes patellaires. A part les mouvements involontaires, on constate dans la chorée d'aut
le paralysé, et ce n'est qu'ac- cessoirement que se manifestent les mouvements involontaires; ou bien il s'agit d'une chorée m
constate la flac- cidité généralisée des membres ou quelques petits mouvements choréi- formes à intervalles éloignés : ou bien
les cardiaques. 4" Enfin le l'oelU' peut être le siège lui aussi de mouvements invoton- hures, c'est la chorée du coeur (11. R
Guy dure de 1 à 2 mois. Quand la guérison est obtenue alors que les mouvements ont disparu, il subsiste pendant quelque temps
ussi les membres, la face et le cou. Elle se produit sous forme- de mouvements systématiques coordonnés dans le but de l'accompl
le but de l'accomplisse- ment d'une fonction, elle peut imiter les mouvements de la danse (choreesattatoire). On a également
la chorée. natatoire (mouve- (le. natation) ou chorée malléatoire ( mouvements du forgeron). Elle, se- reproduit d'une manière
présente d'une façon toute semblable il la chorée de Sydenham : les mouvements sont involontaires, réguliers et contradictoire
ubite. '" . Le polymorphisme est caractérisé par l'irrégularité des mouvements dans leur forme et dans l'amplitude : ce sont d
e est naturellement très irrégulière, puisqu'il y a variabilité des mouvements dans le temps et dans la forme. La maladie peut
té plus de 50 ans choréique ; la chorée héréditaire s'accentue, les mouvements augmentent d'étendue, les troubles intellectuel
descendants. CHORÉES SYMPTOMATIQUES Les chorées symptomatiques ou mouvements chorelformes ont une signification différente s
it l'hémiplégie et ne se montre que quel- ques mois après elle. Les mouvements offrent le caractère des mouve- ments choréifor
membres, plus rare- ment dans la face, elle s'exagère à propos des mouvements volontaires mais existe au repos. Le plus~souve
e à cette hémi- chorée est légère de même que la contracture. Les mouvements généralisés s'observent au cours de certaines név
s par des mouve- ments involontaires brusques; on peut observer ces mouvements suivant des aspects divers. Ils peuvent être
stinction en est,diffi- cile. La chorée est caractérisée, par des mouvements involontaires également brusques, mais cependan
pides et moins voisins des secousses que les myoclonies. Enfin, les mouvements de la chorée ont une pins grande amplitude, ils
t les contractions sont très rapprochées et semblent continues; ces mouvements entraînent le déplacement des membres dans un c
n est insuffisante pour procurer le changement de position. , Les mouvements les plus variés s'observent aux membres supérieur
au niveau de la tète. La contraction se produit dans les différents mouvements , on l'observe en général dans l'exagération des
e du corps : la tète, le tronc, les membres. A la tète, ce sont des mouvements brusques {.CROUZON.} .869 MYOCLONIES. ' d'e
maladie évolue progressivement pour se ter- miner par le coma, les mouvements s'atténuent alors et la température, s'élève. L
ils cessent dans les muscles dès que ceux-ci se contractent par un mouvement volontaire. Il n'y a pas de troubles de la sens
lepsie jacksonienne, et dans l'intervalle des crises présentent des mouvements myocloniques. 5° Myoclonies familiales du type
ATHETOSE par le D' CROUZON 1,'atlutosc est caractérisée par des mouvements involontaires incoor- donnés qui s'accomplissen
x côtés du corps, c'est alors t'athétose double. Les caractères des mouvements de )'atbétose sont la lenteur et l'exagé- ratio
s mouvements de )'atbétose sont la lenteur et l'exagé- ration ; les mouvements ont été comparés avec exactitude aux mouve- men
tres et il y a adduction en patte d'oie. Le poignet est le siège de mouvements analogues aux orteils : les mouvements se passent
. Le poignet est le siège de mouvements analogues aux orteils : les mouvements se passent à la l'ois dans la flexion et dans l
xtension ; de même, au niveau du coude et de la face, il existe des mouvements dans tous les sens; au niveau de la face c'est
. l'orbiculaire des paupières et des lèvres qui sont atteintes. Ces mouvements sont continus et persistent pendant le repos et
deux dernières conditions, l'émotion les exa- gèrent. Enfin il ces mouvements s'ajoute le plus souvent un certain degré de co
caractères généraux de l'athétose pour les différencier des autres mouvements involontaires. iCROUZON.-] 872 . ATHETOSE..
DIFFÉRENTIEL Nous avons vu que la chorée était caractérisée par des mouvements brusques qui contrastent avec la lenteur des co
ompagne pas de raideurs musculaires cependant il est des cas où les mouvements peuvent revêtir les caractères athétosiques à l
que Brissaud a donné le nom d'athétoso-choréique. D'autre part les mouvements athétosiques peuvent simuler la sclérose en pla
tremblement et la dysarthrie peuvent en effet être simulés par les mouvements athétosiques des mains, de la bouche, de la lan
e à ce tremblement si spécial des extrémités existant en dehors des mouvements intentionnels que l'on a comparé à l'émiettemen
adie, si elle s'accompagne de contractures, ne -s'accompagne pas de mouvements . Elle est cependant très, voisine de l'athétose
caractérisée par une triade symptomatique caractéristique. 1. Les mouvements involontaires. Nous connaissons déjà les carac-
ements involontaires. Nous connaissons déjà les carac- tères de ces mouvements ; nous nous contenterons de décrire les principau
lui ouvre largement la bouche et qui est décomposé par une série de mouvements spasmodiqiies des muscles respiratoires et des
des muscles pharyngés. La parole est très modifiée par le fait des mouvements athétosiques de la langue, des lèvres et du pha
modique, les sons sont comme poussés. Aux membres supérieurs, les mouvements sont plus accentués aux extré- mités; c'est sur
'est surtout au niveau des doigts qu ils existent et c'est pour ces mouvements des doigts que l'on a créé la comparaison des mou
igts que l'on a créé la comparaison des mouve- ments du poulpe. Les mouvements autour des autres articulations sont moins éten
embres inférieurs c'est encore aux extré- mités que prédominent les mouvements , mais moins qu'aux membres supérieurs; on les c
tracture se fait en flexion. L'état spasmodique plus encore que les mouvements rend difficile l'u- sage des membres. La démarc
on dans la capsule interne. L'hémiathétose est caractérisée par des mouvements que nous connais- sons bien, puisque nous en av
es membres inférieurs : c'est, au niveau des membres supérieurs les mouvements qu'on a comparés à ceux du poulpe, au niveau de
x du poulpe, au niveau des membres inférieurs ce sont également des mouvements de flexion et d'extension. La face elle- même n
de flexion et d'extension. La face elle- même n'est pas exempte des mouvements , mais cependant elle n'atteint pas la mobilité
atteint pas la mobilité des athétoses doubles. Les caractères des mouvements sont les mêmes que ceux de toute athétose, ils
astne il physionomie de contracture hémiplégique s'acconipagnant de mouvements athétosiques analogues aux laits décrits par Ml
trophie musculaire. Quelquefois enfin on peut observer associés aux mouvements athétosiques des mouvements cho- l'l.ifol'\)1('
ois enfin on peut observer associés aux mouvements athétosiques des mouvements cho- l'l.ifol'\)1('s du même côté. Chez l'enf
comme on l'ob- serve quelquefois dans l'hémiplégie infantile. Les mouvements athétosiques peuvent se présenter sous l'aspect d
ues peuvent se présenter sous l'aspect de l'athétose vraie avec des mouvements athetoïdes. Il existe dans l'athétose vraie tou
des réflexes ni de signe de Babinski. Dans ce que l'on appelle les mouvements athetoïdes au contraire, c'est l'hémiplégie qui
cène, le malade est contracture, les réflexes sont, exagérés et les mouvements athetofdes sont superposés à l'llimui- 1 ¡]¡"gi
en était arrivé à englober indistinctement la presque totalité des mouvements convulsifs qui se répétaient pendant une durée
s que dans la constatation des faits. Selon Brissaud, le tic est un mouvement convulsif, fréquemment répété et fonctionnellem
nt être précisés : nous étudierons successivement les caractères du mouvement qui constitue le tic et les particularités de l'é
de beaucoup les plus fréquents, se caracté- risent par une série de mouvements brusques, intermittents ; les seconds par des a
es tics tels que les comprennent Pitres et Cruchet. Le tic est un mouvement fréquemment répété, habituel : c'est « une habi
ique tout à fait spécial (« rythmies » de Cruchet). Le tic est un mouvement fonctionnellement systématisé : il ne porte pas
es branches d'un même nerf ou de nerfs voisins, ce qui en ferait un mouvement anafoiuiqueinent systématisé. 11 porte sur un m
fonctionnel déterminé, tel un geste, une grimace, un sourire ou un mouvement plus complexe. Les muscles bilatéraux symétriqu
t plus que la «caricature» de l'acte initial (Charcot). Aussi les mouvements du tic ont pu passer pour « incoordonnés» H (Gi
'il reproduit est pondant très souvent volontaire, mais. comme tout mouvement fréquemment répété, en même temps qu'il devenai
l'insuffisance de la volonté. Les tiqueurs atténuent souvent leurs mouvements par un certain nombre de procédés, de stratagèm
i, les muscles voisins y participent de plus en plus, parce que .le mouvement se complique, l'acte fonctionnel initial se défor
ladie ne va pas sans une atteinte profonde de l'état mental, et aux mouvements désordonnés se joignent des tares psychiques no
mimie)ou les paroles qu'ils entendent (écholalie), ils répètent les mouvements qu'on imprime à leurs propres membres (ecbokine
es mains : à l'état normal, les bras tombent immédiatement,' par un mouvement uniformément accéléré, jusque sur les cuisses où
ribue pour une part notable au trouble pathologique. « L'image d'un mouvement se présente il la conscience du sujet avec, une i
ple gène les exaspèrent » : le geste qui doit se plutôt refréné son mouvement ou triomphé du sa représentation mentale qu'une n
ice revient a la conscience toujours plus intense jusqu'à ce que le mouvement soit exécuté. )) ( car.vs. Etat moteur des aliène
ueurs un certain degré d'inhabi- leté, de maladresse à exécuter des mouvements commandés ou spontanés, même avec les membres q
énéralement bilatéraux. Leur point de départ est le plus souvent un mouvement réflexe ou de défense provoqué par la présence
ics des globes oculaires sont souvent associés aux précédents ; les mouvements convulsifs des globes peuvent se produire sous le
généralement cloniques, parfois toniques. Leur cause est souvent un mouvement réflexe ou volontaire dû à une irritation local
c possibilité d'ouvrir large- ment la bouche pour exécuter certains mouvements , tirer la langue, montrer la gorge, ou simpleme
omplexus, obliques, angulaire) ; associa- tion très fréquente à des mouvements convulsifs de l'épaule, parfois du bras, du tro
ace et de la langue. Le tic est clo- nique ou Ionique, soit que les mouvements cloniques et Ioniques alter- nent dans un même
des accès successifs, soit qu'au cours de contractions toniques des mouvements cloniques exagèrent la dévia- tion. On peut obs
u môme de côté. Le point de départ se retrouve généralement dans un mouvement de défense contre une irritation locale (abcès, a
is toniques, déterminant une attitude plus ou moins persistante. Le mouvement fonctionnel initial a été d'ordinaire déterminé p
des mains et des doigts : les vrais tics convulsifs sont rares, les mouvements stéréotypés sont fréquents (grattage, irichoplast
Les plus fréquents sont les lies de la marche, caractérisés par des mouvements très divers qui interrompent brusquement la mar
rc réflexe aboutissant à ce nerf et à ces muscles. Cliniquement, le mouvement convulsif est plus brus- que, comme produit par
tions fascicu- laires, leur brusquerie, la production de certains mouvements anormalement déformants (incurvation latérale d
tion de la partie in- terne du frontal, etc.). L'existence de ces mouvements anormaux et la li- mitation du spasme aux muscl
e seul âge où l'on.n'observe pas de tics véritables. Il consiste en mouvements cônvulsifs de salutation très rapides (20 à 50 et
cônvulsifs de salutation très rapides (20 à 50 et plus par minute), mouvements se produisant par accès espacés, diurnes ou 1.
il ou le sommeil; 2" des rythmies SYmptomatiques. La régularité des mouvements , simples ou combinés, mais se reproduisant touj
s ; il résume ainsi les caractères différentiels de la chorée : les mouvements sont nettement incoordonnés, « le tic est un mo
horée : les mouvements sont nettement incoordonnés, « le tic est un mouvement figuré, la chorée est constituée par un mouve-
figuré, la chorée est constituée par un mouve- ment amorphe » ; les mouvements choréiques suivent une marche serpi- gineuse, i
t prédominant. La chorée chronique de Huntington présente aussi des mouvements incoordonués, non .systématisés, mais sur lesqu
actérise par des atta- ques convulsives suivies d'hémiparésies; les mouvements sont instan- tanés, « électriques » ; l'évoluti
cas disparates de tics, de chorées et de lésions cérébrales. Les mouvements athétosiques ont souvent une apparence de systéma
rs compren- nent, dans la méthode de Brissaud, l'immobilisation des mouvements est les mouvements d'immobilisation, autrement
ans la méthode de Brissaud, l'immobilisation des mouvements est les mouvements d'immobilisation, autrement dit des exercices d'i
tion, autrement dit des exercices d'immu- hihté et des exercices de mouvements commandés. La cure comprend schématiquement tro
t rester immobiles pendant différents [A. LÉRI 1 8' TRAITEMENT. mouvements du sujet : passage de la position assise à la pos
stade, on fera exécuter au commandement, aux muscles tiqueurs, des mouvements méthodiquement réglés; ces mouve- ments devront
ement les deux séries d'exercices précédents, en même temps que des mouvements divers seront demandés aux muscles voisins. Les
t de ses défauts d'immobilisation que de ses incorrections dans les mouvements ; il est d'autant plus utile que beaucoup de tiqu
isée au début; elle ne s'obtient qu'en analysant, en décomposant le mouvement , en le faisant exécuter par fractions successives
et sinueuse. Dans la variété choréique (chorée des écrivains), les mouvements sont brusques, irréguliers, étendus, l'écriture
s, des pâtés, des piqûres du papier. La variété athétosi forme, aux mouvements peu étendus, ondoyants et serpigineux, est beau
servé chez un même sujet la crampe des écrivains, le torticolis, un mouvement convulsif de la hanche et un ,1..JOFFHOY. Soc.
gauche ; or, chaque l'ois qu'ils écrivaient de la main gauche, des mouvements convulsifs associés se produisaient dans la mai
s atteints de. crampe (Brissaud, llallion et Meige) Cl 1. Haskoyec. Mouvements associés dans la crampe des écrivains. Soc. de ne
iers) : deux variétés : l'impossibilité de coudre siégeant dans les mouvements des doigts, l'impossibilité de couper les étoff
tion d'un mouve- ment, le centre symétrique est prêt à commander ce mouvement , mais « en miroir »; il en résulte qu'un mouvem
t à commander ce mouvement, mais « en miroir »; il en résulte qu'un mouvement sera appris par un membre malade avec plus de f
acilité si le membre symétrique sain exécute et répète lui-même, ce mouvement ». Les modifications dans le porte-plume ou dan
équilibres. Parfois, l'automatisme est plus complexe et s'étend aux mouvements . Les yeux fixes, le regard perdu, atone, le cat
de mobilité des vertèbres, les malades peuvent alors exagérer leurs mouvements en avant et placer leur tête entre leurs jambes
quel elle existe, peut entraîner des attitudes exagérées : dans les mouvements provoqués, mais à un degré plus accentué, elle
es mettront en évidence cette fragilité. Les os se brisent pour les mouvements les plus insignifiants : il en est ainsi dans la
de la température pouvait avoir une inlluence sur la cessation des mouvements . Dans la maladie de Basedow il y a quelquefois
La fréquence et la nature de ces crises échappent à toute règle; le mouvement et l'exercice exercent quelque influence dans un
ue dans ces cas la douleur, comme l'hématurie, est provoquée par le mouvement et cesse pendant le repos. Enfin et surtout, on
il y a inconscience, il est rare qu une agitation particulière, des mouvements dirigés dans le même sens n'éveillent pas t atten
de la langue. On observe en ce cas des secousses fibrillaires, des mouvements vermicu- laires ou d'ondulation, de reptation s
PPAREIL DIGESTIF. Dans la paralysie générale, la langue exécute des mouvements désor- donnés, propulsions et retours violents
cute des mouvements désor- donnés, propulsions et retours violents ( mouvements de trombone). Au contraire la langue dans la sc
t est tout à fait caractéristique : lèvres et langue sont animés de mouvements d'ensemble, le malade mar- motte sans cesse. En
cher de la bouche, pouvant parfois encore exécuter quelques faibles mouvements de propulsion. La dysar- thrie est très prononc
il syllabes nombreuses, exigeant de la langue une asso- ciation de mouvements complexes. Cette difficulté de prononciation est
plus grand, est formé par la moitié atrophiée, flasque, secouée de mouvements fibrillaires, placée sur un plan un peu inférieur
être un symptôme isolé, tantôt elle exécute dans la bouche même des mouvements désordonnés (paramyoclonies) . Dans quelques ca
pénible, et la chute de la mâchoire fréquente. La propulsion et les mouvements de déduction sont impossibles dans la paralysie d
n de l'hélllosialélllèse (A. Mathieu). Il s'agit là. en somme, d'un mouvement de défense de l'estomac. Le diagnostic en est fac
lorrhée. Quelquefois les crises de siittor- rhée alternent avec les mouvements cloniques. Il s'agit là de névrite du trijumeau
ané ou réveillé par des images sensorielles (odeur, vue d'un objet, mouvement ) il est précédé de douleurs ¡"pigastriql1es. de p
r du gaz qui les tracasse. En ce faisant, ils réussissent par leurs mouvements de déglutition à introduire de Pair dans leur e
le du palais peut prendre part il ces secousses diverses. Quand ses mouvements sont associés à des mouvements de la face, le dia
il ces secousses diverses. Quand ses mouvements sont associés à des mouvements de la face, le diagnostic est aisé; mais si le
Enfin certaines déformations de la main sont caractérisées par des mouvements anormaux dont elles sonl le plus souvent la consé
u par dystrophie des parties molles, d'une attitude vicieuse, ou de mouvements anormaux. Aussi est-ce dans l'ordre suivant que
e ; griffe cubitale; griffe -.médiane ; main d'Aran-Duchenne. IV. - Mouvements anormaux : , ' Maladie de Parldnson. Athélose :
r et généralement symétrique, sans aucun signe d'inflammation : les mouvements ne sont pas limités, ils sont au contraire souven
souvent par une dislocation complète avec intégrité remarquable des mouvements fonctionnels, sans attitude vicieuse par atropi
qui explique la déviation cubitale de la main et la possibilité de mouvements anormaux. Cette main succulente est tout à fait
bitus font saillie sur la face dorsale; le poignet est épaissi, les mouvements sont limités, l'articulation est douloureuse. Nou
long abducteur. Si l'on fait fléchir l'avant-bras en s'opposant au mouvement , on ne sent plus sur son bord externe la corde
ralc (type Landouzy-Dejerine) ou scapulo-humérale (type Erb). IV. MOUVEMENTS ANORMAUX Quelques variétés de mains sont caract
sont caractérisées non seulement par leur attitude, mais par leurs mouvements anormaux. Dans la paralysie agitante les mains
e aussi au tremblement général'; en outre elle présente souvent des mouvements spéciaux, lents et continus, de très faible amp
s mouvements spéciaux, lents et continus, de très faible amplitude, mouvements de flexion et d'exten- sion légère des doigts,
rès exceptionnellement les.'parkinsoniens ont le poing fermé. Les mouvements athétosiques de la main s'observent dans deux con
i souvent bien plus prononcée. La main et les doigts sont animés de mouvements lents, irréguliers et arythmiques, de faible am
hmiques, de faible amplitude, jusqu'à un certain point « ondulés », mouvements de « reptation », de « tentacules de poulpe ».
reptation », de « tentacules de poulpe ». L'attitude coutumière de MOUVEMENTS ANORMAUX. ton la main est très spéciale, elle
cette attitude varie d'ailleurs d'un moment à l'autre par suite des mouvements de la main et des mouvements isolés de chaque d
rs d'un moment à l'autre par suite des mouvements de la main et des mouvements isolés de chaque doigt; elle est surtout caract
la série des atti- tudes qu'on donne normalement il la main. Ces mouvements sont inter- rompus de temps en temps par des
oncée des membres at- teints et notamment de la main; souvent les mouvements sont si- multanément choréiques il la racine
si la pro- nation de la main, mais d'ordinaire moins forcée ; les mouvements ^ont beaucoup plus variés, plus irrégu- liers,
ir aucu- nement la brusquerie des tuouve- ments choréiques. A ces mouvements athétosiques, toujours bilatéraux et non acco
ontraction; l'articulation est plus ou moins lâche, ballante, ses mouvements sont excessifs, au moins dans une direction don
els prononces, idiotie, imbécillité, des attaques épileptiques, des mouvements choréo- athétosiques, une tendance progressive
t de fléchir les premières phalanges et d'étendre les 2e et 5e. Les mouvements d'abduction et d'adduction des orteils sont aus
ie avec contracture, de l'adulte ou plus souvent de l'enfant. IV. MOUVEMENTS ANORMAUX Les mouvements anormaux sont hien moin
adulte ou plus souvent de l'enfant. IV. MOUVEMENTS ANORMAUX Les mouvements anormaux sont hien moins caractéristiques aux pie
'aux mains, ce qui se conçoit, étant données la moindre variété, la MOUVEMENTS ANORMAUX. 101»9 moindre étendue, la moindre dél
VEMENTS ANORMAUX. 101»9 moindre étendue, la moindre délicatesse des mouvements que l'on peut constater au niveau des pieds.
au niveau des pieds. Dans la paralysie agitante on ne voit guère de mouvements des orteils, mais de petits mouvements trémulen
agitante on ne voit guère de mouvements des orteils, mais de petits mouvements trémulents d'extension et de flexion se font da
ension et de flexion se font dans l'articulation tibio-tarsienne, « mouvements de pédale » ; quand dans la position assise la
on fait entendre une succession de chocs rythmiques et rapides. Ces mouvements se produisent au repos comme d'une façon généra
égique, surtout infantile, on observe aux pieds comme aux mains des mouvements lents et irréguliers de reptation, d'extension,
t d'abduction des orteils et du pied. Dans l'athétose double, les mouvements sont moins accentués aux pieds qu'aux mains : i
s sont moins accentués aux pieds qu'aux mains : il y a pourtant des mouvements lents, arythmiques et inégaux, de circumduction
ial, il est facile à trouver en faisant exécuter au radius quelques mouvements de pronation et de supination. On marquera avec
point de vue mental, ces êtres sont plutôt des minus habens, Leurs mouvements sont, lents et maladroits. Ce sont des gamins lég
noïdienne et dans une veine. Dans ce cas, il suffira d'imprimer des mouvements de va-et-vient à l'aiguille pour que l'écoulement
coagulabilité du liquide, disparition de l'écoulement rosé par les mouvements de va-et-vient qui nous permettront de conclure
ulfate de magnésie ont eu une action séda- tive remarquable sur les mouvements de la chorée de Sydenham (Marinesco). INJECTI
ire pour la radiographie du coeur('), du poumon ; elle supprime les mouvements respiratoires et donne des radiogrammes fouillés,
ncore fort dispendieuses, des cinématograpliies radiographiques des mouvements viscéraux, des cinématographies des mouvements du
radiographiques des mouvements viscéraux, des cinématographies des mouvements du coeur notamment : on conçoit que l'emploi de
dur spécial des tissus periar- ticutaires avec apparition rapide de mouvements anormaux dans la join- ture. Dans tons ces cas,
troubles de la motricité rétrocèdent et les muscles récupèrent les mouvements volontaires jusqu'aux mouvements fins de l'écritu
dent et les muscles récupèrent les mouvements volontaires jusqu'aux mouvements fins de l'écriture ou de la couture, les troubl
te de paraplégie spasmodique avec abolition à peu près complète des mouvements volitionnels, Babinski (2) observa, il la suite
s précis, soit qu'il se déplace légèrement, soit qu'il communique des mouvements à la peau et aux tissus sous-jacents. . [E. H
métallique qui en vibrant vient fermer et rompre le cou- rant ; son mouvement est entretenu par l'aimantation et la désaimantat
notre avis,, le grand chariot de Gaine-Tripier. Un pendule, dont le mouvement est entretenu par le courant primaire, permet d
our exciter il distance ces derniers, on voit d'abord apparaître le mouvement produit par la contraction vive et brève des mus-
t brève des mus- des normaux (flexion des doigts) auquel succède le mouvement lent produit par les muscles dégénérés (extensi
s toujours continue et régulière, mais elle s'accompagne parfois de mouvements ondulatoires plus ou moins fréquents non seule-
ion des excitations produire le* mêmes effets que la répétition des mouvements volontaires : le spasme myotonique diminue peu
e on le voit agité de petits mou- vements irrégullcrs analogues aux mouvements ondulatoires dont il a été question à propos de
ar Schllltzc sous le RÉACTION MYASTHÉNIQUE. 1267 nom de myokymie ( mouvements ondulatoires spontanés des muscles), des altéra
hystériques et E. Remak chez un malade présentant des troubles des mouvements et de l'atrophie musculaire probablement d'ori-
plus fréquemment atteintes. La galvanisation continue jointe à des mouvements modérés de mobilisation de l'articulation m'a d
at de contrac- [lire., soit au repos, soit surtout à l'occasion des mouvements ou à l'occa- sion d'excitations cutanées ou éle
ns cutanées ou électriques) ; à ces signes s'ajoutent plus tard des mouvements associés d'élévation de la commissure labiale lor
cherche à fermer les yeux ou à plisser le front, ou inversement des mouvements associés d-oc(-Itisloii des paupières lorsque le
des parties sur lesquelles s'attachent les muscles et provoquer des mouvements plus ou moins étendus. Il y a souvent avantage à
à com- biner la faradisation avec la rééducation fonctionnelle des mouvements et il provoquer ou compléter par l'excitation f
vements et il provoquer ou compléter par l'excitation faradique les mouvements que l'on demande aux malades de faire. De cette
ts pendant que l'on recommande aux malades de s'efforcer à faire un mouvement dans le sens opposé à l'action des muscles cont
Ces troubles se développent plus particulièrement à l'occasion des mouvements nécessités par des exercices professionnels. Le
ait dans la phase aiguë d'une paralysie. Le massage sous l'eau, les mouvements spontanés ou provoqués des membres paralysés so
1. 1. Asymbolie, 501. Asynergie cérébelleuse. Décomposition des mouvements . Grande asynergie. Dé- marche type, 769. Petite
991. .Athétose, 871. Description et variétés, 872. Diagnostic des mouvements athétosiques avec les tics, 895. double, 872.
stic des mouvements athétosiques avec les tics, 895. double, 872. Mouvements involontaires, rigi- dité musculaire, troubles
nvolontaires, rigi- dité musculaire, troubles intellectuels, 875. Mouvements de la main, 1041. des pieds, 1059. Atrophie c
s lésion organique, 57. Hémiathétose, 875 - post-hémiplé- unique. Mouvements de la main, 1040. - Mouvements des pieds, 1059.
étose, 875 - post-hémiplé- unique. Mouvements de la main, 1040. - Mouvements des pieds, 1059. Hémiatrophie faciale, 929, 950
- mémoire, volonté, sensi- bilité des idiots, z Imitation, tics, mouvements , 267. - TitouDLE.3 PIIT- SIQUES, 268. - Variété
éiologir, 753. - ataxique, 752, 754.' - Défaut de mesure dans les mouvements . Exagéra- tion des mouvements hors du contrôle
, 754.' - Défaut de mesure dans les mouvements. Exagéra- tion des mouvements hors du contrôle de la vue, 754. - Troubles de
lleuse, 753, 766. - Pas de Romberg, trouble de la composition des mouvements complexes, trouble de l'équilibre, 766. - Titub
5. - (Troubles de la -). ). Hémiplégie, 462. - Paraplégie, 486. Mouvements anormaux de la main, 1040. des pieds, 1058. - a
sités d' Hebenlen. - de Boucharrl" 1025. Notion de position. - de mouvement ac- tif. - de mouvement passif. - de ré- sist
ucharrl" 1025. Notion de position. - de mouvement ac- tif. - de mouvement passif. - de ré- sistance, de force et de poids
128. d'origine otique, 140. - Signe de Charles Bell, 480. - Autre mouvement associé, 480. - Caractères, 023. Pronostic de
urs des globes ocu- laires. Symptômes. Strabisme, 58. - Diplopie. Mouvement apparent des ob- jets, 59. - Vertige oculaire,
parties molles, 1046. - mutilantes, 1047. -ATTITUDES vicieuses, z Mouvements anormaux, 1058.- d'éléphant, 1045. de Friedreic
'appareil auditif, ré- sultats de l'examen, 1277. Rééducation des mouvements . - Prin- cipes généraux, 785. - Conditions né-
e hémiopique, du réflexe de convergence, 94. - Ralentissement des mouvements pupillaires, réaction mus- culaire myotonique,
ux de la face, 895. Tics. Définition. Caractères généraux, 876. - Mouvement convulsif, habituel, systématisé, 877. - intemp
ystagmus. Tremblements. Siège. Intensité, z Rythme. Influence des mouvements vo- lontaires. Evolution. Graphique, 855. Dia
7 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 3. Leçons sur les maladies du système nerveux
travailleurs tous les moyens de se tenir constamment à la hauteur du mouvement ; or, cela ne pouvait se faire qu'en créant, pour
de la neuro-pathologie française. Sans doute, son admirable étude des mouvements musculaires, faite à l'aide de l'électrisation lo
mplète avec la régularité d'un mécanisme : 1° épileptoïde ; 2° grands mouvements (contradictoires, illogiques); 3° attitudes passi
mographe, appliqué sur la poitrine [fig. 1, P), donnera la courbe des mouvements respiratoires. Or, voici ce qu'on observe sur ces
sur le tracé du membre, irrégularité dans le rhythme et l'étendue des mouvements respiratoires ; profondes et rapides dépressions,
de est au lit, le membre inférieur droit exécute normalement tous les mouvements excepté un seul, l'extension de la jambe sur la c
ouvements excepté un seul, l'extension de la jambe sur la cuisse. Les mouvements d'abduction et d'adduction de la cuisse, de flexi
flexion de la cuisse sur le bassin et de la jambe sur la cuisse, les mouvements isolés du pied, les mouvements de flexion et d'ex
ssin et de la jambe sur la cuisse, les mouvements isolés du pied, les mouvements de flexion et d'extension du pied sur la jambe so
s'étend, il ne se passe dans le membre inférieur droit presque aucun mouvement de flexion ou d'extension du genou; c'est dans la
asse; le membre inférieur droit, trop long en quelque sorte, opère un mouvement de circumduction tout d'une pièce, comme si la jo
uer qu'il n'existe aucune trace de douleur survenant à l'occasion des mouvements et pouvant expliquer la difficulté de la progress
ndonne à lui-même, il revient dans sa position première, comme par un mouvement de ressort. En outre, ce membre a subi, dans l'ar
ort. En outre, ce membre a subi, dans l'articulation de la hanche, un mouvement de torsion, par suite duquel la rotule et la poin
, la rigidité du membre est absolue, on ne peut lui communiquer aucun mouvement ni d'extension, ni de flexion ; il s'agit en un m
ent plus ou moins souvent dans la journée, et il est constitué par un mouvement des paupières et un tremblement très rapide, se p
té forcé de s'aliter, mais il a été gêné, tout d'abord, dans certains mouvements du poignet, nécessaires à sa profession; puis, es
n des tendons rotuliens a pour effet de déterminer, à chaque coup, un mouvement dans les épaules, surtout à gauche. Ainsi, je le
ral et l'épaule est manifestement soulevée, et elle entraîne dans son mouvement le membre supérieur tout entier. 1. M. Debove (
. ticulier dans les mains. Or, dans cette main, qui vous montre les mouvements involontaires spéciaux de l'athétose, et en Fig
ence un certain degré de mobilité articulaire exagérée, dans certains mouvements , lorsque la malade veut étendre la main, on voi
on de sons, d'inégalité pupillaire, de tremblement, d'incertitude des mouvements . 2° Variété mélancolique en contraste frappant
de la parole, tremblement des mains et de la langue qui est animée de mouvements fibrillaires, incertitude de la marche, titubatio
ire, en forme de zigzag, ou de dessin de fortification, agitée d'un mouvement vibratoire très rapide, image tantôt blanche, pho
d'une série d'autres manifestations ; elles étaient suivies de grands mouvements , puis l'enfant se plaçait en arc de cercle, etc.
n trouvai un, en effet, dans le flanc gauche ; je le comprimai et les mouvements convulsifs cessèrent, bien que la connaissance ne
lité. L'attaque est régulière; période épileptoïde, période de grands mouvements avec attitude en arc de cercle, puis attitudes pa
osseux du premier espace, qui est animé par le cubital ; mais l'autre mouvement est produit par l'opposant, qui est innervé par l
fe cubitale totale avec flexion des deux derniers doigts : ce dernier mouvement étant dû à l'action de la partie cubitale du fléc
neuro-musculaire dont sont doués ces sujets, pour provoquer les mêmes mouvements , en irritant le nerf avec un corps dur quelconque
s observé depuis longtemps que certaines hystériques, à la suite d'un mouvement brusque, en jetant une pierre, par exemple, resta
bres ; 2° un pneumo-graphe sur la poitrine pour obtenir la courbe des mouvements respiratoires. Yoici les résultats que l'on obtie
culaire, on observe une irrégularité dans le rhythme et l'étendue des mouvements respiratoires, les rapides et profondes dépressio
umographe, appliqué sur le devant de la poitrine, a enregistré chaque mouvement respiratoire. Or voici ce que le tracé nous montr
preuves nombreuses et fig. 20.— Les lignes A et B, représentent les mouvements resj ir-itolres de l'hystérique; les lignes G et
coup, on voit la cuisse droite entraînée vers la ligne médiane par un mouvement très prononcé d'adduction. Procédons maintenant
nservé leur énergie normale, a) Ainsi, dans le domaine du crural, les mouvements de flexion de la cuisse sur le bassin, effectués
n, effectués par le psoas iliaque, sont conservés et énergiques ; les mouvements d'extension de la jambe effectués par Je triceps
d'extension de la jambe effectués par Je triceps sont normaux, b) Les mouvements d'adduction effectués parles adducteurs, innervés
rand usage dans la station ; leur action se révèle quand il s'agit de mouvements qui exigent une action musculaire énergique, comm
par suite de l'action du moyen fessier gauche, subir plutôt un léger mouvement d'abaissement à gauche et d'élévation à droite, c
prescrira au malade de ne point se soumettre de longtemps encore aux mouvements fatigants des membres inférieurs qu'exige sa prof
it dans la station verticale, qu'elle marchait ou qu'elle faisait des mouvements dans son lit, et se calmaient dans le repos. Re
devenues continues, mais beaucoup plus fortes quand la malade fait un mouvement , ou essaie de se tenir debout ou de marcher. Bi
te aucun symptôme qui indique une lésion spinale ; ainsi, au lit, les mouvements de flexion et d'extension des membres sont énergi
omine quand la malade se tient debout, essaie de marcher, ou fait des mouvements dans son lit. Quelle est la signification de ce
nes paralytiques et atrophiques, du côté des membres supérieurs ; les mouvements de ces membres sont revenus aussi bien à l'avant-
idité musculaire ou, aufrement dit, la contracture s'est effacée, les mouvements sont devenus libres, dans la plupart des jointure
us due à la contracture, car on pouvait produire dans la jointure les mouvements de flexion étendus et quelques mouvements d'exten
oduire dans la jointure les mouvements de flexion étendus et quelques mouvements d'extension ; mais quand on voulait dépasser une
chirurgicale appropriée aurait pour effet de rendre aux membres leur mouvement d'extension normale ; car j'avais déjà vu que, da
fondes. Lorsqu'on fait des tentatives d'extension, on n'obtient qu'un mouvement limité, et on sent manifestement, au niveau du cr
ibreuse périphérique. D'après Ja façon dont se passent les quelques mouvements qui existent encore dans le genou, et d'après l'e
ianopsie, alexie incomplète ; importance des notions fournies par les mouvements , dans la lecture mentale. Messieurs, Je me pr
Je dirai d'abord que notre malade ne présente aucun trouble dans les mouvements de la langue et des lèvres, dans l'articulation d
elle n'est possible que sous le contrôle des notions fournies par les mouvements exécutés par la main, dans l'acte d'écrire. C'est
Pour bien faire comprendre l'importance des notions fournies par les mouvements dans la lecture mentale des signes écrits, on fai
ux malades, on arme sa main d'une plume et communiquant à sa main des mouvements passifs, on lui fait écrire sur un papier : « Tou
rs, Paris », il dit immédiatement : « Tours, Paris » ; de même si les mouvements passifs ont lieu dans l'espace, sans plume. A p
té verbale. S'il peut lire, c'est à l'aide d'un artifice. La série de mouvements qui concourent à la représentation graphique d'un
lité de lire, mais qui pouvaient écrire, par une sorte de souvenir du mouvement des doigts nécessaire pour tracer les mots ; la l
'aide de l'indicateur de sa main droite. Les notions fournies par ces mouvements des doigts paraissent indispensables pour donner
du champ visuel de P..,, le 21 février 1883. 4° Dans notre cas, ces mouvements instinctifs des doigts-venant en aide à la lectur
amp visuel de P..., le 3 mars 1 883. bre de lignes, en s'aidant des mouvements instinctifs des doigts, pour raviver, en quelque
al du jour. En les lisant, d'ailleurs, il exécute avec les lèvres des mouvements dont il a conscience, et privé de la vision menta
st d^venujnécessaire d'avoir recours à la parole intérieure?,..e,Laux mouvements darticulation de la laïujue et des lèvres pour co
otions appartenant à la catégorie du sens musculaire, fournies parles mouvements de la main, dans l'acte d'écrire, ne sont pas che
effet si, lorsque ses yeux étant fermés, on communique à sa main les mouvements nécessaires pour écrire par exemple le mot Vienne
age motrice graphique ; la première, développée par la répétition des mouvements de la langue et des lèvres nécessaires pour prono
s nécessaires pour prononcer le mot; la seconde, parla répétition des mouvements de la main et des doigts nécessaires pour l'écrir
terre la pointe du pied, de fléchir outre mesure le genou, imitant le mouvement des chevaux qui steppent. C'est l'analogue de ce
igée de le projeter violemment en haut, en l'écartant du tronc, et ce mouvement est tellement caractéristique qu'il saute immédia
es, t. iii, Système nerveux. li Irophie, il existe des troubles des mouvements des muscles de la face; mais dans les cas légers
e pouvoir remplir ultérieurement. QUINZIÈME LEÇON Tremblements et mouvements choréiformes. Ghorée rhythmée Sommaire. — Tre
ralysie générale, de la maladie de Basedow. Ghorée : Caractères des mouvements involontaires de la chorée de Sydenham.— Chorée e
ques. — Athétose et hémiathétose. Chorée rhythmée. — Caractères des mouvements : ils se manifestent sous forme de crises ; ils s
cadencés, systématiques et reproduisent plus ou moins fidèlement des mouvements de la vie ordinaire ou des gestes professionnels
ai montrés dans les précédentes leçons, des divers tremblements, des mouvements involontaires, avec lesquels on pourrait confondr
ques, et déjà j'ai démontré qu'il ne se manifeste qu'à l'occasion des mouvements intentionnels d'une certaine jétendue 1. Leçon
malade de porter à sa bouche un verre, une cuiller. Cet acte exige un mouvement volontaire d'une assez grande étendue, condition
le tremblement qui ne se manifeste pas habituellement dans les petits mouvements tels que enfiler une aiguille, coudre, etc. Au mo
dique le stade du repos. Le point B représente le moment où débute le mouvement volontaire ; B C figure la durée de ce mouvement,
moment où débute le mouvement volontaire ; B C figure la durée de ce mouvement , pendant lequel le tremblement est représenté par
ant ainsi la position d'une main qui tient une plume à écrire, et les mouvements qui agitent toutes ces parties rappellent quelque
ement est continu, et se manifeste, fait important, en dehors de tout mouvement volontaire. Si vous commandez au malade de porter
brisées correspondant au tremblement continu. Au point B commence le mouvement volontaire. A partir de ce point, les composantes
teint en général pas la tête et que si celle-ci semble participer aux mouvements involontaires, elle n'est en réalité que le siège
r aux mouvements involontaires, elle n'est en réalité que le siège de mouvements communiqués. Les tremblements de la^clérose en
ement. La tête participe aux secousses pour son propre compte, et ces mouvements dans le sens vertical et horizontal, se succédant
ces secousses à oscillations rythmées, il est une autre catégorie de mouvements involontaires qui pourrait être, et qui a été eff
de la sclérose en plaques. Je veux parler de la chorée ou plutôt des mouvements choréi-formes en général. 11 ne s'agit plus ici d
des gesticulations contradictoires troublent la direction générale du mouvement et font manquer le butjtandis que dans la scléros
s tremblements dont je viens de vous parler, la direction générale du mouvement , si elle est interrompue par les secousses qui ag
h bien, Messieurs, malgré ces différences capitales, il y a entre les mouvements choréiques et le mouvement de la sclérose en plaq
s différences capitales, il y a entre les mouvements choréiques et le mouvement de la sclérose en plaques je ne sais quelles anal
die est en décroissance, et les intervalles de repos qui séparent les mouvements involontaires sont aujourd'hui assez longs. Mais
on corps ou la frotte à plusieurs reprises contre sa cuisse, dans des mouvements alternatifs de pronation et de supination. Chez e
mandez de porter un verre ou une cuiller à sa bouche, la direction du mouvement n'est presque pas troublée et le but est atteint
ns la chorée. La face est également, dans sa moitié gauche, animée de mouvements involontaires, et la figure grimace assez notable
es, et la figure grimace assez notablement. Dans le même groupe des mouvements choréiformes incoordonnés, nous devons aussi rang
és, nous devons aussi ranger la chorée pré ou post-jhémiplégigue. Les mouvements sont en effet ici de même nature ; la seule diffé
orée posthémiplégiques. Dans l'athétose, il n'y a pas de repos et les mouvements ne sont nullement coordonnés. Je ne m'arrêterai p
ment remarquer qu'elle diffère notablement de la chorée en ce que les mouvements sont moins brusques, plus lents, que dans cette d
aux orteils, quoique quelquefois, cependant, on puisse remarquer des mouvements de la face et dupeaucier. Le malade ne peut rien
sont formés, Messieurs, les deux premiers groupes de tremblements ou mouvements involontaires, je vais maintenant vous parler d'u
e vulgaire ; mais si l'affection est caractérisée, elle aussi,par des mouvements involontaires, impulsifs, ces mouvements sont com
ctérisée, elle aussi,par des mouvements involontaires, impulsifs, ces mouvements sont complexes eten outre, fait important,ils se
s. Ils n'ont donc pas, vous le voyez, le caractère d'irrégularité des mouvements choréiformes. que je vous ai décrits tout à l'heu
coordonnés suivant uncer-tain plan,(4mitant^)ar exemple : 1° certains mouvements a expression tels que ceux de la danse, des danse
ffection dont elle est atteinte aujourd'hui. Le début des crises de mouvements rhythmés remonte au 15 mai 1884, c'est-à-dire à l
s caractères de rhythme, de cadence, d'imitation parfaite de certains mouvements intentionnels et logiques, dont je vous parlais d
c'est le bras qui a été excité, immédiatement ce bras part, animé de mouvements cadencés, rapides, dans lesquels la malade semble
en temps, le membre supérieur tout entier est emporlé dans de grands mouvements de circumduction. Les membres inférieurs s'agiten
uand on est placé près d'elle et qu'elle va exéculer un de ses grands mouvements , qui pourrait avoir pour conséquence de frapper v
mière phase, on voit se produire les secousses rhylhmées du bras, les mouvements malléaloires. La malade a les yeux fermés. Puis à
ètes, t. m, Système nerveux. lo convulsive. Enfin se produisent des mouvements cadencés de la tête à droite et à gauche, mouveme
e produisent des mouvements cadencés de la tête à droite et à gauche, mouvements rapides, échappant à toute interprétation, car je
récédentes malades, vous en présenter une troisième chez laquelle les mouvements choréiques rhythmés n'existent qu'à l'état rudime
itables attaques d'hystérie dans lesquelles se manifestaient déjà les mouvements choréiques d'aujourd'hui. De 1878 à 1884, elle n'
e bras gauche et en le secouant en même temps de manière à imiter les mouvements malléatoires choréiques. Au début, le bras gauche
atoires choréiques. Au début, le bras gauche commence à présenter des mouvements malléatoires que le droit exécute bientôt après.
la frayeur aidant, le malade tomba par lerre privé de sentiment et de mouvement . Il fut long à se remettre et resta deux mois pro
quelques convulsions épileptiformes. Puis vient la période des grands mouvements de salutation, d'une violence extrême, interrompu
a scène. Ils sont bientôt suivis de contorsions diverses et de grands mouvements de salutation, interrompus de temps à autre par l
et de la maladie de Basedow. Il ne s'exagère pas sous l'influence des mouvements volontaires1. Le malade peut se servir de sa main
ela survient la période des contorsions, caractérisée surtout par des mouvements de salutation extrêmement violents qui s'entremêl
t en général peu accentuée et très courte, mais la période des grands mouvements et des contorsions qui lui fait suite est excessi
ut ce qu'il trouve à sa portée, il déchire ses draps, fait les grands mouvements classiques de salutation qu'il interrompt de temp
ériode épileptoïde très nettement caractérisée. La période des grands mouvements , comprenant l'attitude en arc de cercle est égale
s, cependant, restent flasques ou du moins se raidissent très peu. Le mouvement de torsion vers la gauche, d'abord accusé à la fa
ômes de l'épilepsie partielle, tandis que les contorsions, les grands mouvements , l'arc de cercle enfin, font absolument défaut. M
consulter un médecin qui reconnut, paraît-il, une parésie de tous les mouvements du bras gauche avec anesthôsie de ce membre. Le 8
ont le siège d'aucune douleur, soit spontanée, soit provoquée par les mouvements actifs ou passifs. Paralysie incomplète du memb
échir la main sur l'avant-bras et celui-ci sur le bras; mais tous les mouvements de l'épaule étaient impossibles. Le membre paraly
'abandonne à lui-même, est complète, absolue. Il n'y a pas trace d'un mouvement volontaire ; pas trace de contracture. Les masses
nt les ligaments articulaires, faire subir aux diverses jointures des mouvements de torsion violente, sans que le malade en ait co
la place qu'ils occupent dans l'espace, la direction et la nature des mouvements auxquels ils sont soumis, etc. En dehors du mem
classique : à la phase épileptoïde succédait bientôt celle des grands mouvements . Ceux-ci sont d'une violence extrême, le malade d
s mouvements. Ceux-ci sont d'une violence extrême, le malade dans ses mouvements de salutation va jusqu'à frapper sa face contre s
e lendemain, une nouvelle attaque survint, à la suite de laquelle les mouvements volontaires se rétablirent définitivement. Cette
à vous faire reconnaître les modifications qui, en ce qui concerne le mouvement volontaire, se sont produites, en conséquence d'u
le voyez, mouvoir à volonté toutes les parties de ce membre. Mais ces mouvements sont peu énergiques, ils ne triomphent pas de la
nt pas d'ecchymose, tout au plus y avait-il un peu de gonflement. Les mouvements du membre étaient gênés, mais non abolis, et P...
es qui suivirent, le malade prit du repos ; la douleur et la gêne des mouvements semblaient aller en diminuant. Il espérait pouvoi
bre supérieur droit était flasque, pendant, inerte, incapable de tout mouvement , à l'exception toutefois des doigts de la main qu
s en œuvre, A. Impuissance motrice. Porcz... ne peut imprimer aucun mouvement volontaire soit aux muscles élévateurs de l'épaul
s ou de l'avant-bras. Seuls les doigts de la main peuvent être mis en mouvement volontairement et encore ces mouvements sont-ils
de la main peuvent être mis en mouvement volontairement et encore ces mouvements sont-ils faibles, très faibles, au point de ne po
cent. B. Il existe aussi sur ce membre, en outre de la paralysie du mouvement , des troubles profonds de la sensibilité. La sens
cependant de fortes contractions musculaires, n'est pas sentie. Les mouvements de torsion, d'arrachement imprimés à l'épaule, au
uvre sur les doigts, quel est celui d'entre eux auquel on imprime des mouvements passifs. P... a perdu également la notion du poid
ralysie motrice ; absence complète de rigidité des parties privées du mouvement , avec conservation du relief des muscles et légèr
aujourd'hui ; seuls les Fiy. 51 etiia. — Observation de Porcz... mouvements d'élévation de l'épaule étaient conservés. Quant
braux de l'homme. [Revue de médecine, 1883, n°s 5, 6, 8 et 10.) des mouvements , que l'est celle que nous observons chez Por...,
ties ; les divers segments du membre n'opposent aucune résistance aux mouvements qu'on leur imprime. En outre, si les réflexes son
oir à volonté toutes les parties du membre supérieur gauche. Mais ces mouvements sont peu énergiques, ils ne triomphent pas de la
roitement limité; il n'y aura pas de propagation, pas de diffusion du mouvement communiqué; tout le reste demeurera endormi. En c
constituent la conscience proprement dite, le moi. C'est pourquoi les mouvements qui traduiront, à l'extérieur, ces actes de céréb
ois ce n'est pas toujours sans discussion préalable. Ajoutons que les mouvements en rapport avec les idées suggérées sont, en cons
réelle au point de mettre enjeu la série correspondante d'idées et de mouvements : enfin, et d'une façon plus parfaite encore, la
la suite de légers attouchements promenés à leur surface, ou même de mouvements effectués à distance (contracture somnambulique),
même pour le poignet et pour les doigts ; ainsi, dans ce membre, lout mouvement actif est aboli, comme aussi toute résislance aux
bre, lout mouvement actif est aboli, comme aussi toute résislance aux mouvements passifs. Aucun muscle, je le répète, ne manifeste
. Ainsi l'on peut, vous le voyez, imprimer aux diverses jointures les mouvements de torsion ou d'élongation les plus violents, far
qui lui est désigné sur le membre droit et elle n'a aucune notion des mouvements que nous imprimons aux diverses articulations de
e différence, évidemment d'ordre secondaire, que, chez ce dernier, le mouvement et la sensibilité sont conservés dans les doigts.
ude, le poignet, les doigts enfin. De plus, sur toute la partie où le mouvement volontaire est aboli, et là seulement, remarquez-
piqûres, les excitations faradiques, etc., ne sont pas perçues ; les mouvements de torsion, de distension, même violents, imprimé
que toutes les notions fournies par le sens musculaire relatives aux mouvements passifs, imprimés à cette articulation, font, ell
ons employé à l'instant, nous déterminons maintenant la paralysie des mouvements de l'articulation du coude. Aussitôt que, pour ce
périeur, épaule, coude, poignet, que porte l'impuissance motrice, les mouvements des doigts restant parfaitement libres; et, dans
s; et, dans les deux cas également, partout où existe la paralysie du mouvement , il y a anesthésie cutanée et profonde, perte des
ions du sens musculaire, tandis que les doigts qui ont conservé leurs mouvements ne présentent aucun trouble de la sensibilité. Ou
es troubles de la sensibilité qu'en ce qui concerne les troubles du mouvement , ce qu'elle était dans notre première expérience,
de persuader au sujet, au moment même où a lieu la suggestion, que le mouvement seul sera paralysé et que la sensibilité restera
tudes les plus diverses, et aussi à l'aide de légers frôlements ou de mouvements à distance la contracture somnambulique. Tous ces
e peut mouvoir son bras, tout à l'heure paralysé, suffit pour que les mouvements volontaires se rétablissent. Enfin, et c'est là l
e de médecine, 1881, t. I, p. 147.) 2. L'influence de l'idée sur le mouvement , dit M. Maudsley (Le corps et l'esprit, p. 269),
ginaires (?), due à une injonction énergique. Dans ces cas, l'idée du mouvement , la croyance qu'il aura lieu est, dans le for int
mouvement, la croyance qu'il aura lieu est, dans le for intérieur, le mouvement lui-même. Elle est le courant nerveux actif qui,
actif qui, dirigé sur les nerfs appropriés, donne réellement lieu au mouvement externe. — L'idée d'un mouvement particulier, ava
appropriés, donne réellement lieu au mouvement externe. — L'idée d'un mouvement particulier, avait dit Slùller, détermine un cour
sont soumis à une gymnastique particulière. Nous mettons à profit les mouvements volontaires qui y subsistent encore, chez les deu
s prudent et souvent plus efficace. J. M. mentaire qu'elle soit, du mouvement à exécuter 1, est une condition préalable indispe
ondition préalable indispensable à l'accomplissement volontaire de ce mouvement . Or, il est vraisemblable que chez nos deux homme
représentation motrice, condition préalable de la mise en jeu de tout mouvement volontaire, et de fait, ainsi que nous l'avons co
ouvement volontaire, et de fait, ainsi que nous l'avons constaté, ces mouvements tendent à devenir de plus en plus énergiques à me
mesure que les séances se répètent. Les frictions, les massages, les mouvements passifs imprimés au membre paralysé, ceux aussi q
ient dans le même sens. 1. Synonymie : Idée, conception du genre de mouvement à exécuter (James Mill) ; Rappel idéal du mouveme
ption du genre de mouvement à exécuter (James Mill) ; Rappel idéal du mouvement à exécuter (Bain) ; Intuition motrice (Maudsley)
dsley) ; Faculté locomotrice (W. Hamilton); Représentation mentale du mouvement à exécuter (Spencer); Sentiment d'innervation (Wu
donne lorsque, les yeux étant ouverts, il reçoit l'image visuelle du mouvement qu'il exécute. Aussi, dans le but de mettre à pro
hez lui la motilité soit plus fortement affectée que chez Pin..., les mouvements volontaires étant absolument nuls dans l'épaule,
emarqué que, dans chacun de ces exercices, les muscles qui mettent en mouvement les grandes articulations avaient une tendance à
oigts pressent l'instrument, présente une résistance bien marquée aux mouvements passifs d'extension ou de flexion qu'on cherche à
inégaux, comme déchiquetés. En ce qui concerne la restauration des mouvements , les résultats obtenus chez ce malade ne sont pas
ement eût pu être continué, un retour complet de la sensibilité et du mouvement dans le membre affecté eût été bientôt obtenu. Ma
l'amélioration très importante qui s'est produite chez lui, dans les mouvements du membre supérieur gauche, les divers troubles d
os d'une partie de dominos. L'émotion qu'il éprouva fut telle que les mouvements du membre paralysé revinrent immédiatement, mais
u bassin, dans une situation absolument fixe, de telle sorte que tout mouvement imprimé à la cuisse est immédiatement communiqué
quand on exerce une pression sur ces régions, quand on imprime des mouvements au membre, quand on percute le grand trochanter o
le grand trochanter, sur le talon ou à la suite de toute tentative de mouvement imprimé à la hanche. Vous voyez par là, Messieurs
e anesthésie complète pour la piqûre et pour la température. Pour les mouvements de certaines jointures (pieds, mains, poignets, é
us hyperesthésiés ; on pouvait imprimer à la jambe et à la cuisse les mouvements les plus étendus sans être arrêtés parla moindre
Ni la main, ni le stéthoscope n'ont, pendant qu'on exécutait tous ces mouvements , permis de constater le moindre craquement. Donc
tate « qu'un complet relâchement de la hanche est impossible, que les mouvements imprimés à la jointure déterminent des craquement
ter sont-elles suivies d'une vive douleur, de même que les différents mouvements imprimés au membre inférieur. Je vous rappellerai
supérieur gauche qui, depuis plusieurs mois, prive ce membre de tout mouvement . La contracture s'est développée chez lui, pend
lasque ; on pouvait le mouvoir dans toutes les directions, mais aucun mouvement volontaire n'y était possible. D'après ce qui p
r le dos de la main, celle-ci devint insensible, en même temps que le mouvement volontaire fut un instant supprimé dans les doigt
plète dans toute son étendue, en même temps qu'il était privé de tout mouvement volontaire. Il a donc existé chez lui, 1. Leçon
t, la main, les doigts étaient devenus très enflés ; les Fig. 70. mouvements volontaires étaient absolument nuls ; les mouveme
les Fig. 70. mouvements volontaires étaient absolument nuls ; les mouvements passifs étaient au contraire possibles, et il n'e
sur la peau de la face externe de l'index (fig. 80 et fig. 81). Les mouvements volontaires sont, pour ainsi dire, nuls dans les
faire exécuter ainsi qu'à son poignet, à son coude, à son épaule, des mouvements assez étendus. Le malade, je le répète, sortit
ts. Il n'en est pas tout à fait de même pour ce qui est relatif aux mouvements du membre supérieur gauche. A la vérité, ceux de
t sont redevenus à peu près normaux, à peu près aussi étendus que les mouvements correspondants dans le membre opposé et c'est là,
opposé et c'est là, sans aucun doute, un résultat important. Mais les mouvements des doigts, assez énergiques dans la flexion (25
phonie, chuchottement impossible, aphasie motrice. — Conservation des mouvements généraux des lèvres, de la langue, etc. — L'intel
u syndrome. Bien que le malade ait conservé l'exécution intégrale des mouvements vulgaires de la langue et des lèvres, qu'il puiss
plus est, môme en y apportant la plus grande attention, d'imiter les mouvements dar-ticulation qu'il voit faire devant lui. Le ma
ce que son larynx ne vibre pas ; ce n'est pas parce qu'il a perdu les mouvements vulgaires de la langue et des lèvres — vous avez
c'est parce qu'il lui manque désormais la possibilité d'exécuter les mouvements propres, spécialisés, pour l'articulation des mot
me malade offre un exemple complet, — bien qu'existe la paralysie des mouvements généraux des lèvres, de la langue, du larynx, l'e
sse, lui dis-je » ; à peine put-il esquisser avec les lèvres quelques mouvements silencieux d'articulation. — « Criez, lui dis-je
us caractéristiques. On y retrouve l'aura, Tare de cercle, les grands mouvements ; le malade assure qu'il ne perdait pas connaissa
roles indistinctes. Chez lui, ce n'est pas la perte de la mémoire des mouvements d'articulation qui existe, ce n'est pas l'aphasie
est en scène, mais bien Y anarlhrie, conséquence de la paralysie des mouvements généraux de la langue et des lèvres. J'ajoutera
crier, ni articuler une parole, ni même chuchoter ; et pourtant, les mouvements généraux de la langue et des lèvres sont indemnes
des membres inférieurs qui réclame surtout une mention spéciale. Les mouvements volontaires y sont tellement affaiblis que Le Log
t à peine les détacher du plan du lit. Une résiste que très peu aux mouvements de flexion et d'extension qu'on lui imprime, au n
ur ce qui concerne ces dernières, on reconnaît que les tractions, les mouvements de torsion très vigoureusement exercés sur les di
totale d'un membre inférieur. Dans le cas de paralysie partielle des mouvements d'une jointure, hanche, genou, cou-de-pied, etc.,
bre tout entier, divers troubles transitoires de la sensibilité et du mouvement , tels que sensation de lourdeur, parfois aneslhés
up sûr, une monoplégie complète, portant sur la sensibilité et sur le mouvement , présentant en un mot tous les caractères qui dis
où s'opèrent physiologiquement les phénomènes psychiques relatifs aux mouvements volontaires des membres. En raison de la dissocia
plus rares et moins intenses. L'amélioration, en ce qui concerne les mouvements des membres inférieurs, ne s'est pas démentie; le
2° Il n'y aurait pas eu de tuméfaction immédiate des parties; 3° Les mouvements de l'épaule et du coude étaient impossibles, mais
ie de la face. Le membre supérieur droit est complètement paralysé du mouvement , sauf les doigts de la main. Ce membre est en out
lablement, la sensibilité profonde n'est pas encore affectée, car les mouvements qu'on imprime au membre pour rechercher s'il y a
I'Appendice IV, p. 478. II. Les notions du sens musculaire et le mouvement volontaire. (Voir la Leçon XXII, p. 361.) J'a
ntations motrices qui précèdent nécessairement l'accomplissement d'un mouvement volontaire, s'effectuent dans les centres moteurs
ésentations seraient véritablement indispensables à la mise en jeu du mouvement voulu ; les secondes interviendraient, en général
endant, en complétant, dirigeant, perfectionnant, pour ainsi dire, le mouvement déjà en voie d'exécution. On sait, d'ailleurs, pa
it, d'ailleurs, par de nombreux exemples, que l'image visuelle d'un mouvement volontaire qui s'exécute, contribue puissamment à
d'idôation, il s'ensuivrait nécessairement une paralysie complète des mouvements volontaires de ce membre. Dans un livre oublié qu
st suivie, d'après nos observations, non seulement de la paralysie du mouvement , maU encore de la perte de la sensibilité dans to
e que, dans ce dernier cas, la paralysie de l'appareil fondamental du mouvement volontaire, entraîne avec elle, en quelque sorte,
on de ces centres. C'est ce dont paraissent témoigner et la perte des mouvements automatiques, quelle que soit leur origine, et au
t réflexe, qui, en pareille occurrence, s'ajoutent à la paralysie des mouvements volontaires. Les quelques passages qui vont sui
e et le siège du processus psycho-physiologique placé à l'origine des mouvements délibérés. « Si l'idée tend à produire le fait, d
ouvons mieux faire que de supposer que la sensibilité concomitante du mouvement musculaire coïncide avec le courant centrifuge de
plissement de l'acte en tant qu'il est mental. La différence entre un mouvement volontaire et un mouvement involontaire de la jam
t qu'il est mental. La différence entre un mouvement volontaire et un mouvement involontaire de la jambe, c'est que, tandis que l
re et un mouvement involontaire de la jambe, c'est que, tandis que le mouvement involontaire se produit sans aucune conscience an
uvement involontaire se produit sans aucune conscience antécédente du mouvement à faire, le mouvement volontaire ne se produit qu
e produit sans aucune conscience antécédente du mouvement à faire, le mouvement volontaire ne se produit qu'après qu'il a été rep
autre chose qu'une forme faible de l'état psychique qui accompagne le mouvement réel, elle n'est rien autre chose qu'une excitati
ndt (Physiologie, trad. franc., p. 447), » le siège des sensations de mouvement ne paraît pas être clans les muscles, mais bien d
es nerveuses motrices... Nous n'avons pas seulement la sensation d'un mouvement exécuté, mais celle d'un mouvement à exécuter. La
ns pas seulement la sensation d'un mouvement exécuté, mais celle d'un mouvement à exécuter. La sensation de mouvement est donc li
vement exécuté, mais celle d'un mouvement à exécuter. La sensation de mouvement est donc liée à l'innervation motrice, c'est pour
me les centres moteurs des hémisphères, outre qu'ils sont le siège de mouvements différenciés, sont aussi la base organique de la
uvements différenciés, sont aussi la base organique de la mémoire des mouvements correspondants, et le siège de leur réexécution o
itives étant des sensations ravivées, et les idées motrices étant des mouvements ravivés ou idéaux, les mouvements idéaux ne forme
es, et les idées motrices étant des mouvements ravivés ou idéaux, les mouvements idéaux ne forment pas un élément moins important
muscle excité et des parties con ligues, changement occasionné par le mouvement , qui engendre un groupe d'impressions ceñir'pèles
pèles dont le terminus est le centre kinesthétique (centre du sens du mouvement )... Celui-ci est donc un véritable centre sen-
uvement)... Celui-ci est donc un véritable centre sen- sitif et des mouvements idéaux peuvent être ravivés en lui, soit isolémen
l'influence à la fois directrice et dynamogène de l'image visuelle du mouvement . Notre malade Pin... 1 offre aujourd'hui un bel e
uche et lorsque ses yeux sont fermés, il ne possède aucune notion des mouvements passifs imprimés aux divers segments de ce membre
que de laposifion que ceux-ci affectent. Les yeux étant ouverts, les mouvements volontaires généraux et partiels du membre, tant
ur la précision, présentent tous les caractères de l'état normal. Ces mouvements persistent, en grande partie, lorsque les yeux so
ls sont clos. Ces modifications qui se produisent dans l'exercice des mouvements , chez les malades de ce genre, lorsque le concour
int en quoi consiste normalement le jeu de l'appareil fondamental des mouvements volontaires. Par contre, l'étude des cas de paral
tre, l'étude des cas de paralysie psychique portant uniquement sur le mouvement , fera reconnaître le rôle vraiment secondaire, to
ions visuelles et kinesthétiques, dans l'accomplissement normal des mouvements volontaires. Peut-être, d'ailleurs, existe-t-il à
d. Il est possible, en effet, qu'au moment où il s'agit d'exécuter un mouvement prémédité, les uns éveillent exclusivement les re
é les caractères suivants : pas d'aura, perte de connaissance, pas de mouvements des membres; au réveil, sensation de boule épi-ga
ps), mais ne peut être fléchi (biceps brachial antérieur), et que les mouvements de flexion des doigts peuvent être exécutés quoiq
e l'adduction ou l'abduction du poignet, mais il y a encore de légers mouvements de flexion et d'extension du poignet, les doigts
ussi, quand on l'interroge, le malade ne cherche-t-il pas à faire des mouvements des lèvres pour exprimer ce qu'il veut dire. Il s
elligence bien au-dessus de la moyenne. Quand on l'engage à faire les mouvements des lèvres nécessaires pour la prononciation des
saires pour la prononciation des mots, des consonnes, il esquisse ces mouvements , mais le mot ni la consonne ne sont prononcés. De
resserre et avance les lèvres, mais il ne se produit aucun son. Les mouvements de la langue sont très libres ; il n'existe aucun
t très haut. Pas de paralysie, pas de troubles de la sensibilité. Les mouvements de la langue et des lèyres se font sans difficult
ns un triangle isocèle. L'aryténoïde correspondant n'opérait plus ses mouvements de rotation sur son axe. La corde vocale gauche p
anormal. La paralysie laryngée n'est pas seulement une paralysie du mouvement ; elle est aussi une paralysie du sentiment. On pe
oigt dans l'arrière-gorge, chatouiller l'épiglotte, sans provoquer de mouvements réflexes, sans que la malade en éprouve aucune gê
ra, fit constater une paralysie des cordes vocales; celles-ci font un mouvement presque imperceptible lorsque la malade cherche à
du côté gauche. Il ne sait ni lire, ni écrire. Paralysie complète du mouvement et du sentiment du côté gauche, sauf à la face qu
i, quoique insensible, n'est pas déviée. Le bras droit est animé d'un mouvement rhythmique choréiforme presque continuel. Pendant
thmique choréiforme presque continuel. Pendant que le bras exécute ce mouvement , la jambe est au repos complet. Mais essaie-t-on
ntané du côté droit a diminué. Du côté gauche, appparaissent quelques mouvements volontaires. Enfin, un beau jour, après une séanc
ndu, puis il chuchotte quelques mots à voix basse. En même temps, les mouvements et la sensibilité reparaissent du côté gauche. Br
ns, sans que les muscles intrinsèques viennent imprimer aux cordes de mouvements . Rosapelly (Travaux du labor. de Marey, 1876), Bo
ntalement, par l'inscription simultanée des vibrations du larynx, des mouvements des lèvres et de la langue, l'absolue indépendanc
e de tension des cordes vocales, coïncidant avec l'intégrité de leurs mouvements d'adduction et d'abduction, c'est-à-dire lorsqu'i
. Au bout de quelque temps, la parole redevint normale, ainsi que les mouvements . Mais, depuis cette époque, il a existé une vér
M. le professeur Char-cot, c'est la perte plus ou moins complète des mouvements coordonnés communiqués à la main pour exprimer la
, ou plus simplement encore « l'aphasie de la main ». Cette perte des mouvements coordonnés est d'ailleurs indépendante de toute p
rdonnés est d'ailleurs indépendante de toute paralysie ou parésie des mouvements vulgaires, ainsi qu'on peut s'en assurer en faisa
bien il cher- che à répéter, à articuler ces mots, et, grâce à ces mouvements , il finit par les comprendre; dans ce cas, le cen
ar le centre moteur d'articulation, et cela, parce que la mémoire des mouvements d'articulation et celle des mouvements graphiques
cela, parce que la mémoire des mouvements d'articulation et celle des mouvements graphiques font, au même titre que les images vis
mianopsie, alexie incomplète; importance des notions fournies par les mouvements , dans la lecture mentale.............. 154 DOUZ
........................... 19:! QUINZIÈME LEÇON. tremblements et mouvements choréiformes. chorée rhythmée. Sommaire. — Trem
alysie générale, de la maladie de Basedow. (Ihorée : Caractères des mouvements involontaires de la chorée de Sydenham. — Chorée
ques. — Athétose et hémiathétose. Chorée rhythmée. — Caractères des mouvements ; ils se manifestent sous forme de crises ; ils s
cadencés, systématiques et reproduisent plus ou moins fidèlement des mouvements de la vie ordinaire ou des gestes professionnels
aphonie, chuchottement impossible, aphasie motrice. Conservation des mouvements généraux des lèvres, de la langue, etc. — L'intel
.................... 441 II. — Les notions du sens musculaire et le mouvement volontaire..... 464 FIN DE LA TABLE DES MATIÈRE
miplégique, 215; — rhythmique ou hystérique, 216-225. Choréiformes ( Mouvements ), 214. Commotion cérébrale, 443. Compression, son
Affection — des jointures, 370; — Chorée —, 216, 225; -caractères des mouvements , 216; — Monoplégies —, 293, 299, 400; — Parap
8 (1913) Exposé des travaux scientifiques
abyrinthe, à la fermeture du courant, donne lieu tour à tour à deux mouvements en sens inverse suivant que l'électrode en cont
ôle positif et repoussée par le pôle négatif. Il est à noter que le mouvement produit par le pôle négatif est plus grand et p
ne rotation de la tête et parfois aussi du tronc. Pour obtenir ce mouvement , voici les points où il convient de placer les
eture du courant et continue ensuite à s'effectuer avec lenteur. Ce mouvement est un phénomène physio- logique, mais non cons
ale ou à peu près, devient seulement prédominante du côté sain ; le mouvement de rotation du côté lésé peut même être très mar-
et progressivement, après un temps perdu notable; à l'ouverture, le mouvement de retour est faible et fait parfois défaut, co
ar la destruction du labyrinthe (incurvation du tronc, instabilité, mouvements de manège) ; l'ani- mal s'enroule davantage et
ssionuc d'une manière plus active le centre du réflexe; déplus, les mouvements pupillaires réflexes obtenus à l'aide du procéd
xion de l'avant-bras par la percussion du tendon du biceps, mais le mouvement de flexion est généralement moins prononcé, peu
expérience à étendre le pied sur la jambe et à résis- ter un peu au mouvement de flexion que l'expérimentateur cherche à lui
oque parfois une flexion de la main et des doigts ; mais ce dernier mouvement , chez l'individu sain, a une intensité générale
ints. On peut imaginer aisément d'autres combinaisons. Le sens du mouvement qu'un segment de membre exécute à la suite d'un
hologique, lorsque le réflexe d'extension est aboli ou affaibli, le mouvement réflexe de flexion apparaît, même quand le choc
quée par excitation de la plante du pied. ce qui est la règle, un mouvement réflexe des orteils, provoque tou- jours une fl
ce, mais et c'est là un point essentiel - jamais ils n'exécutent de mouvement d'extension. Or, en cas de perturbation du syst
de rappeler. « En général, ce n'est pas seulement par le sens du mouvement que le réflexe normal diffère du réflexe pathol
re connaître la technique qu'il faut employer pour bien observer le mouvement réflexe des orteils. Il importe que les muscles
tion est nécessaire chez certains sujets pour faire appa- raître un mouvement réflexe des orteils ; mais, par contre, il donne
ils ; mais, par contre, il donne lieu chez d'autres individus à des mouvements si vifs des divers 40 SÉMIOLOGIE segments du
est difficile de les analyser ; en pareille conjoncture, le sens du mouvement des orteils peut être impossible à déterminer e
onleperçoit, ilestencorepermis do se demander s'il s'agit bien d'un mouvement réflexe ou d'un mouve- mement volontaire, quest
e vous signaler. Les orteils suivent nécessairement le pied dans le mouvement de flexion qu'il exécute sur la jambe à la suit
e sur la jambe à la suite de l'excitation de la plante ; si donc le mouvement de flexion sur le métatarse fait défaut, ainsi
donner à un observateur inat- tentif l'illusion qu'ils exécutent un mouvement d'extension sur le méta- tarse. Pour éviter cet
homme, sujet à des crises d'épilepsie jacksonienne, chez lequel les mouvements convulsifs occupaient le côté gauche du corps.
t possible d'étendre le gros orteil volontairement et d'exécuter ce mouvement à la suite d'une excitation de la plante du pie
éger aura été suivi d'une extension très forte, parfois môme que le mouvement aura précédé l'attouchement ; par contre, quand
ue l'extension réflexe du gros orteil s'accompagne de divers autres mouvements réflexes tels qu'une flexion brusque de la cuis
ue peut ame- 48 SÉMIOLOGIE ner transitoirement la réapparition du mouvement réflexe de flexion des orteils. On a décrit s
en d'autres parties du membre inférieur, et j'ai constaté les mêmes mouvements réflexes. Les membres de la Société peuvent vér
« L'excitation de la plante du pied provoque parfois, entre autres mouvements réflexes, une abduction plus ou moins marquée d'u
s ; puis, après avoir croisé les bras sur la poitrine, exécuter des mouvements alter- natifs de flexion et d'extension du tron
et d'extension du tronc sur le bassin, comme pour la recherche du « mouvement combiné de flexion du tronc et de la cuisse ».
tion réflexe ; mais il faut remar- quer que, si ces deux espèces de mouvements coexistent parfois, ils peuvent aussi exister l
ls, qu'elle soit d'origine réflexe ou qu'elle se manifeste comme un mouvement associé, la dénomination de signe de l'éventail.
n phénomène réflexe, car cette flexion fait partie d'un ensemble de mouvements manifestement volontaires (106). B. J'ai atti
à une compression de la moelle ces réflexes se manifestent par des mouvements plus lents et la zone réflexogène occupe seulem
remarqué que les excitations du côté anesthésié provo- quaient des mouvements involontaires. Nous avons noté le même fait dan
s muscles, d'un attouchement superficiel des téguments, d'un simple mouvement volontaire du malade, pour les faire ilaiti c.
t et en arrière, ou encore on observe une association de ce dernier mouvement à un mouvement du pavillon de l'oreille en haut
ou encore on observe une association de ce dernier mouvement à un mouvement du pavillon de l'oreille en haut et en arrière ;
fig. 8), car elle est l'opposé des modes de syncinésie propres aux mouvements normaux qu'elle ne saurait qu'entraver. J'ajo
écision les caractères du spasme facial, et il est possible que les mouvements convulsifs ne soient pas identiques dans l'hémisp
ut-être, au moins dans bien des cas de cette dernière affection, de mouvements d'un tout autre ordre. « Je ne crois pas non pl
a/ion du ne : , l'existence d'une fossette mentonnière et parfois des mouvements du pavillon de l'oreille du côté où siège le sp
loureuses, des membres inférieurs. Ces contractions provoquent des mouvements alternatifs de flexion et d'extension, mais c'est
tandis que celle des membres inférieurs était constamment suivie de mouvements réflexes. C'est pourquoi nous estimons que dans
la localisation il ne faut tenir compte que des cas où la zone des mouvements réflexes de défense dépasse les membres inférie
que le malade soit à l'abri de toute cause capable de provoquer des mouvements automatiques. Ajoutons que la détermination du
tée quand l'impotence est complète, parce qu'il n'y a plus alors de mouvements volilionnels pouvant, troubler l'ap- précialion
re très forte des membres inférieurs, accompagnée de douleurs et de mouvements spasmodiques, est généralement liée à une irritat
diverses formes de l'activité musculaire, les diverses modalités du mouvement et de rechercher les perturbations que chacune
t, entre les doigts, les lèvres et la joue et en leur imprimant des mouvements passifs. On distingue ainsi l'asymétrie faciale
19 Signe du peaucier. Ce signe consiste en ce que,1 dans certains mouvements auxquels le peaucier participe, la contractio
t- tant contre une résistance que l'ob- servateur oppose à ce mouvement . J'a- joute que tous les hémiplégiques ne p
ne parésie du peaucier du côté malade, laquelle appa- raît dans les mouvements synergiques où les peauciers entrent en 120 AFF
manifestement spasmodique; ces faits me paraissent exceptionnels. Mouvement combiné de flexion de la cuisse et du tronc. Lo
pour se mettre sur son séant, du côté paralysé la cuisse exécute un mouvement de flexion sur le bassin et le talon se détache
4) ; en même temps, l'épaule du côté normal se porte en avant. Le mouvement que je viens de décrire se reproduit et peut être
C'est surtout lorsque le malade se 1 enverse avec brusquerie que le mouvement est prononcé. On observe ce signe chez la plupa
d'abord analyser l'acte qui consiste à se mettre sur son séant. Le mouvement essentiel de cet acte est absolument conscient,
ne traction de bas en haut. Ce phénomène, que j'ai appelé d'abord mouvement associé de flexion de la caisse, dépendant, si
sme bien différent de celui qui appartient aux diverses variétés de mouvements associés déjà décrits dans l'hémiplégie ((v8), pe
mou- vement en question. Il est facile de comprendre pourquoi le mouvement de flexion de la cuisse se reproduit lorsque le
restent appliquées sur le sol, chez les autres, elles exécutent un mouvement plus ou moins marqué de flexion sur le bassin ;
ion sur le bassin ; mais, chez des sujets normaux, quand ce dernier mouvement se produit, il est à peu près égal à droite et à
mal il peut y avoir entre les deux côtés de légères différences, le mouvement de flexion combiné de la cuisse HÉMIPLÉGIE ORGA
bilatéral, il est bien plus apparent d'un côté que de l'autre. Le mouvement de flexion combinée de la cuisse et du tronc impl
l'ordre donné et cherchant à se mettre sur son séant, il exécute un mouvement de rotation autour d'un axe longitudinal passan
tion autour d'un axe longitudinal passant par le côté paralysé ; ce mouvement me paraît être le résultat de l'action, limitée
e cette attitude lorsque, après l'avoir portée en supination par un mouvement passif, on l'abandonne à elle-même. C'est là un
hénomène, commun dans l'hémiplégie, est surtout apparent quand, les mouvements volontaires du bras étant abolis ou très affai-
onsidérons, par exemple, les troubles de motilité à la face. Si les mouvements unilatéraux sont très affaiblis, l'impotence appa
ec netteté, du côté de l'hémiplégie, pendant l'exécution des divers mouvements bilatéraux synergiques (il est évident que ce par
açon dans l'acte de parler ou dans celui de siffler, tandis que les mouvements unilatéraux sont abolis d'un côté : la paralysi
s dans l'hémiplégie ou la monoplégie organique, on constate que les mouvements actifs accessoires sont abolis en même temps qu
les mouvements actifs accessoires sont abolis en même temps que les mouvements actifs essentiels (voir p. 13o). Dans la paraly
ui tous deux paraissent dans l'impossibilité de faire exé- cuter un mouvement quelconque aux divers segments du membre supéri
autres, tels que le signe du peaucier, le signe de la pronation, le mouvement combiné de flexion de la cuisse qui pourraient êt
adopté complètement mon opinion. MONOPLÉGIE BRACHIALE ORGANIQUE Mouvements actifs et mouvements passifs. Balancement actif
mon opinion. MONOPLÉGIE BRACHIALE ORGANIQUE Mouvements actifs et mouvements passifs. Balancement actif et balancement passi
malade, vu du côté atteint, semble aller l'am- ble ; en réalité, le mouvement en avant du bras n'est que la consé- quence d'u
es membres supérieurs s'écartent du tronc ; mais du côté atteint le mouvement est bien plus étendu ; de plus, le bras paralys
voqués ou non par l'activité de l'appareil neuro- musculaire. Les mouvements de la première catégorie sont qualifiés d'actifs
qualifiés d'actifs ; on appelle passifs ceux de la deuxième. Les mouvements actifs, si on les envisage dans les actes volitio
les mouve- ments des membres inférieurs et du tronc constituent les mouvements essentiels ; on doit considérer comme accessoir
es mouvements essentiels ; on doit considérer comme accessoires les mouvements des membres supérieurs qui, sans être d'ailleur
de va-et-vient de la cuisse. Je ferai observer ensuite que, si les mouvements spontanés manifes- tent dans ce qu'elle a de pl
tique l'activité musculaire, celle- ci entre encore en jeu dans les mouvements passifs qui sont plus ou moins modifiés par son
s je le laisse retomber comme inerte, lui faisant exécuter ainsi un mouvement passif; si, comme cela arrive souvent, le membre
rieur, s'il avait été complètement inerte, aurait dû, avant que son mouvement se soit arrêté, avoir subi des oscillations à la
A l'état normal l'activité musculaire trouble presque toujours les mouvements passifs et les empêche d'apparaître dans leur pur
ai appelé l'attention. Il est naturel que le balancement du bras, mouvement accessoire faisant habituellement partie de l'a
ue dans la monoplégie brachiale organique qui doit frapper tous les mouvements actifs, essentiels ou accessoires. L'augmenta
actifs, essentiels ou accessoires. L'augmentation de l'étendue des mouvements passifs, l'augmenta- tion du nombre des oscilla
sée dans l'expérience d, sont dues à ce que la paralysie libère les mouvements passifs des entraves qui leur sont mises à l'ét
musculaire. En résumé, dans laparalysic organique, l'abolition des mouvements actifs, l'affranchissement et l'exagération des
tion des mouvements actifs, l'affranchissement et l'exagération des mouvements passifs sont des phénomènes connexes. Pour ex
l'appareil vestibulaire. Il en est ainsi des attitudes forcées, des mouvements forcés, de la latéropulsion, de l'écartement de
rgie, l'adiadococinésie, la catalepsie cérébelleuse. J'y ajoute les mouvements démesurés, signe que j'ai contribué à établir.
'autres régions du névraxe, des modes divers de ces associations. Mouvements démesurés. Hypermétrie. L'observation des mouve
ssociations. Mouvements démesurés. Hypermétrie. L'observation des mouvements démesurés peut être faite à l'occa- sion d'acte
dis qu'un sujet sain arrive aisément, quelle que soit la vitesse du mouvement , à appliquer sans choc l'extrémité du doigt jus
ou du même côté, puis on lui com- mande de retourner sa main par un mouvement de supination, de telle façon que par sa face d
le elle vienne se poser exactement à la même place sur le genou. Ce mouvement , simple et facile pour un sujet normal, n'est p
ROME CÉRÉBELLEUX 137 traînée en dedans de la cuisse et, de plus, le mouvement de supination est plus ample qu'il ne conviendr
imite fixée. On peut faire répéter cet exercice de droite à gauche, mouvement moins habituel. Dans le premier temps de la m
au delà du but, sur la cuisse ; ce n'est parfois qu'après plusieurs mouvements alternatifs et excessifs de haut en bas et de bas
le qui nous occupe. Pour bien constater cette perturbation dans les mouvements , il faut demander au cérébelleux de les exécute
s exercices sont effectués lentement. Et si, dans bien des cas, les mouvements spontanés ne sont pas démesurés, c'est précisém
nt, complète la description du mouve- ment démesuré cérébelleux. Ce mouvement conserve, d'une manière générale, son orientati
ixer sur le point visé. Dans le tabes, on peut observer aussi des mouvements brusques et sans mesure, mais ils se distinguen
n'a pas la même influence que chez le cérébelleux sur la qualité du mouvement qui, tout en étant exécuté avec lenteur, peut ê
nd les yeux sont fermés. Voici l'interprétation que j'ai donnée des mouvements démesurés cérébelleux : « Et d'abord, à l'éta
rd, à l'état normal, comment un sujet procèdc-t-il pour exécuter un mouvement avec mesure et pour l'arrêter au moment voulu ?
lieu surtout dans les actes dont il n'est pas coutumier et dans les mouvements rapides : pour en annihiler ou en restreindre l
u les muscles antagonistes de ceux dont la contraction a produit le mouvement qu'il faut arrêter. Ce sera là une action fréna
ement qu'il faut arrêter. Ce sera là une action frénatrice. « Les mouvements démesurés me semblent résulter d'impulsions exc
re corrigés, faute d'une action frénatrice suffisante et, comme ces mouvements s'observent dans les affections cérébelleuses,
lleuses, je suis amené à dire que le cervelet est un régulateur des mouvements et qu'il peut en particulier agir comme frein.
e c'est même alors qu'ils sont le plus manifestes. » L'existence de mouvements démesurés cérébelleux a été notée il y a plus d
ie und Nervenkr., VII, 1878). On avait affaire à un malade dont les mouvements des membres supérieurs et inférieurs manquaient
sauf dans le travail de IIuppert, je n'ai trouvé de description des mouvements démesurés dans aucun ouvrage traitant des sympt
s brusquerie et manque de mesure sont deux qualités différentes; un mouvement peut, en effet, être à la fois brusque et, en q
s isolé d'IIuppert, la description précise et la mise en valeur des mouvements démesurés ou hypermé- trie terme que je préfère
'atrophie olivo-ponto- cérébelleuse, a fait une analyse soignée des mouvements démesurés -et a décrit leurs caractères au cour
, lorsque le malade porte son index gauche au bout de son nez, « le mouvement est incoordonné, brusque et démesuré, l'index d
r) publient un cas incon- testable de syndrome cérébelleux où « les mouvements démesurés, la dysmétrie, sont le symptôme le pl
et Chauvet (Société de Neurologie, 5 décembre igi2) notent que les mouvements sont franchement démesuiés chez un malade atteint
lition ou l'amoindrissement de la faculté d'exécuter rapidement des mouvements volontaires successifs. C'est la perte même de
acte; il exécute aussi promptement qu'un individu normal chacun des mouvements élémentaires de pronation et de supi- nation ;
é de deux mots grecs, dont l'un signifie « successif » et l'autre « mouvement ». Le mot diadococinésie est synonyme de mouvem
» et l'autre « mouvement ». Le mot diadococinésie est synonyme de mouvements successifs et par extension peut désigner la fonc
nsion peut désigner la fonction qui permet l'accomplissement de ces mouvements . Quant au terme « adiadococinésie » proposé par
manifeste chez un sujet en mesure d'exécuter avec prompti- tude les mouvements élémentaires, car il va sans dire qu'un indi- v
r il va sans dire qu'un indi- vidu incapable de faire rapidement un mouvement isolé, soit de pro- nation, soit de supination,
ion, ne peut à fortiori accomplir une succession rapide de ces deux mouvements . 142 AFFECTIONS DE L'ENCÉPHALE Jusqu'à présen
nésie, il est nécessaire d'analyser la diadococinésie. Pour que des mouvements alternatifs de pronation et de supination se su
se succèdent avec rapidité, il est indispensable que chacun de ces mouvements successifs soit bien réglé, ne dépasse pas la m
glé, ne dépasse pas la mesure, et que le temps perdu entre les deux mouvements suc- cessifs soit réduit au minimum. Ces condit
la difficulté dans la mise en train et l'impossibilité d'arrêter le mouvement à temps. L'adiadococinésie a été vérifiée par n
ri il leur était im- possible de faire une succession rapide de ces mouvements . Nous ne pouvions donc tirer aucune valeur de c
quatre malades. Trois autres malades, au contraire, ont exécuté les mouvements isolés brusques d'une manière parfaite, SYNDROM
nt dans l'impossibilité d'exécuter successivement avec rapidité des mouvements antagonistes comme la pronation et la supination,
est pas invraisemblable que, par une observation précise des divers mouvements antagonistes parmi lesquels les uns sont conser
seulement la par- tie supérieure de son corps sans lui imprimer de mouvements , et qu'on l'invite à se déplacer. On constate a
en avant, tandis que le tronc, étendu sur le bassin, ne suit pas le mouvement du membre inférieur (voir fig. 15); il est en m
emps un peu entraîné en arrière, ce qui peut être la conséquence du mouvement démesuré de flexion exécuté par la cuisse. On p
côtés et qu'elle cherche à marcher, le membre inférieur exécute les mouvements élémentaires d'une manière presque normale, mai
contrairement aussi à à ce qu'on observe dans l'asynergie pure, les mouvements ataxiques dans le tabes sont, je le rappelle, m
on appelle synergie la faculté d'accomplir simultanément les divers mouvements qui constituent un acte, le phénomène que nous ve
une propulsion puisque, la force mus- culaire étant conservée, les mouvements élémentaires peuvent s'accom- plir. L'interprét
me cause : l'impossibilité d'associer les deux ordres principaux de mouvements qui les composent ? P « Passons au mouvement co
rdres principaux de mouvements qui les composent ? P « Passons au mouvement combiné de flexion de la cuisse et du bassin. C
er la même interprétation et, comme dans l'hémiplégie, attribuer le mouvement combiné à la parésie des muscles extenseurs de
ière imparfaite parce que le malade n'associe pas ou associe mal le mouvement d'extension de la cuisse sur le bassin au mouve-
i, chez un individu sain, s'accomplit de telle façon que les divers mouvements de flexion et d'extension de la cuisse sur le bas
e le fonctionnement de la jambe est d'abord nul ou très faible ; le mouvement de la jambe commence seulement ou ne devient tr
n n'était prêt à le retenir. 11 y a donc une dissociation entre les mouvements du tronc et des jambes qui rentre dans la grand
jà pen- ché en avant, qu'il avait donc accompli déjà de son côté le mouvement en avant, les jambes étaient encore en arrière
u plusieurs groupes musculaires entrant en action à l'occasion d'un mouvement compliqué, donc d'un trouble de coordina- tion,
ie cérébel- leuse »... Je comprends donc ce phénomène de retard des mouvements des yeux sur ceux de la tête, au sens de Babins
se trouve dans un état d'immo- bilité active, ou bien qu'il est en mouvement , qu'il se déplace. Dans le premier cas l'équili
de ce travail, mon attention n'avait pas été encore attirée par les mouvements démesurés et l'adia- dococinésie ; aussi, ces p
bulation, les membres inférieurs sont écartés l'un de l'autre ; les mouvements élémentaires du membre inférieur gauche sont br
er sur le sol d'une manière bruyante (il s'agissait probablement de mouvements démesurés) ; les mouvements du membre inférieur
bruyante (il s'agissait probablement de mouvements démesurés) ; les mouvements du membre inférieur droit présentent aussi ces
be sur la cuisse, remet le membre dans sa posi- tion primitive. Les mouvements du membre inférieur droit sont exé- cutés presq
re, sont dues à mes travaux, sauf en ce qui concerne l'abolition du mouvement d'inclina- tion observé par Ewald et Pollack ch
ns cas, pendant le passage du courant, on voit la tête exécuter des mouvements alternatifs d'inclination à gauche et à droite;
rend immédiatement sa position primitive ou bien exécute d'abord un mouvement brusque qui augmente encore l'inclination provo
s'incline, comme à l'état normal, du côté du pôle positif, mais le mouvement est plus étendu d'un côté que de l'autre. Parfo
ertigineuse plus forte que précédem- ment, mais il ne se produit ni mouvement d'inclination, ni latéropulsion. On prélève par
e. » Désorientation et déséquilibration spontanées et provoquées. Mouvements réactionnels et contre-réactionnels. (En collab
ans quelques cas, on pouvait encore déclencher le nystagmus par les mouvements rapides de la tête, mais les malades n'en parai
palement dans le trapèze et le sterno-mastoïdien ; par la forme des mouvements qu'il provoquait, par leur mode de succes- sion
tteinte d'un spasme du cou, se manifestant principa- lement par des mouvements involontaires de rotation de la tête de gauche
nq mois après le début de la maladie, tourmentée sans cesse par des mouvements spas- modiques qui la mettent dans l'impossibil
ur résultat d'amener immédiatement une atténuation très notable des mouvements involontaires de rotation, atténuation qui s'acce
la position assise, et du côté opposé lorsque le malade exécute le mouvement inverse. Mais c'est surtout dans des cas de cho
le plus de netteté, et elle se pro- duit du côté où prédominent les mouvements involontaires. Généra- lement ce phénomène s'at
lement ce phénomène s'atténue et disparaît en même temps que les mouvements choréiques ; il est par conséquent étroitement li
st rapprocher des observations de chorée où M. Babinski a trouvé le mouvement combiné de flexion de la cuisse et du bassin et
à la Pitié. Semaine médicale, 27 juillet 1898). Crg. De quelques mouvements associés du membre inférieur paralysé dans l'hé-
es Hôpitaux, numéros des 5 et 8 mai 1\)00). Go. Sur la paralysie du mouvement associé de l'abaissement des yeux (Société de N
dans les actes volitionnels nécessitant une succes- sion rapide de mouvements . Diadococinésie (Société de Neurologie, 6 novembr
ire (Société médicale des Hôpitaux, 24 avril igo3). z gri. Sur le mouvement d'inclination et de rotation de la tète dans le v
(Encé- phale, janvier 1909). 157. Monoplégie brachiale organique. Mouvements actifs et mouvements passifs (Société de Neurol
er 1909). 157. Monoplégie brachiale organique. Mouvements actifs et mouvements passifs (Société de Neurologie, 5 février igog)
gie, 6 février igi3). 200. Vertige voltaïque. Perturbation dans les mouvements des globes oculaires à la suite de lésions laby
ton Durand. Société médicale des Hôpitaux, 16 juillet IgI3). 206. Mouvements réactionnels d'origine vestibulaire et mouvements
illet IgI3). 206. Mouvements réactionnels d'origine vestibulaire et mouvements contre- réactionnels (en collaboration avec G.-
teils 117 Hypotonicité musculaire 117 Signe du peaucier II\) kj Mouvement combiné de flexion de la cuisse et du tronc 120
yotrophie 126 Monoplégie brachiale organique................. 128 Mouvements actifs et mouvements passifs. Balancement actif e
légie brachiale organique................. 128 Mouvements actifs et mouvements passifs. Balancement actif et balancement passif
' Craniectomie.................... 133 Affections du cervelet 134 Mouvements démesurés. Hypermétrie 136 Adiadococinésie.....
ue 167 Désorientation et déséquilibration spontanées et provoquées. Mouvements réactionnels et contre-réactionnels 172 Trait
9 (1858) Leçons cliniques sur les maladies chroniques de l'appareil locomoteur : professées à l'Hôpital des enfants malades pendant les années 1855, 1856, 1857
: le nerf excite le muscle, le muscle agit sur l'os, l'os est mis en mouvement . (1) Première leçon, 18 mai 1855. bouvier. 4
ifférence des conditions anatomiques et physiologiques des organes du mouvement à ces deux époques de la vie. Le système nerveux
ise de mal vertébral à 8 ans ; elle eut une paraplégie et recouvra le mouvement deux années après. Il n'y avait plus trace de son
s. Vous fonderez le diagnostic sur la douleur, l'attitude, l'état des mouvements , l'existence des abcès, la paralysie. La douleu
s ou est difficile à découvrir. On parvient à la produire au moyen de mouvements divers imprimés au tronc. En observant le malade
fois des cris arrachés par des élancements passagers. La rigidité des mouvements est un symptôme assez constant. On tire d'utiles
son antérieure ou latérale du tronc, un soin particulier d'éviter les mouvements qui provoquent de la douleur, l'immobilité habitu
uis pas de douleur; la courbure, il est vrai, ne s'efface pas dans ce mouvement , elle ne fait que diminuer. Mais regardez ce thor
e plus commun est la paralysie. Elle porte sur le sentiment ou sur le mouvement ; dans certains cas, sur les deux à la fois. La pa
nt; dans certains cas, sur les deux à la fois. La paralysie isolée du mouvement est la plus commune ; je ne connais qu'un seul ex
ce que la moelle aurait, par elle-même, la faculté d'entretenir le mouvement volontaire au-dessous du point où sa communicatio
énomènes augmentent graduellement jusqu'à la paralysie complète. I. Mouvement réflexe. — Cette forme de la propriété excito-mot
. Marshall-Hall et Millier s'en sont occupés. Il y a deux sortes de mouvements musculaires produits par les centres nerveux : Io
s de mouvements musculaires produits par les centres nerveux : Io les mouvements volontaires, dont le point de départ réside dans
res, dont le point de départ réside dans les lobes cérébraux ; 2° les mouvements involontaires produits par une cause dont nous n'
cette propriété excito-motrice du centre nerveux. Ce second ordre de mouvements peut être spontané, automatique, c'est-à-dire pro
s nerfs moteurs, d'où elle arrive aux muscles. C'est ce qu'on appelle mouvement réflexe; le clignement presque continuel des paup
que l'action de la moelle n'est troublée que dans le point malade. Le mouvement volontaire est seul aboli dans les parties située
; la fonction conductrice du cordon rachidien est seule éteinte; les mouvements automatiques et réflexes subsistent; il y a paral
de la salle St-Marcou, qui présente à un haut degré ces phénomènes du mouvement réflexe. On observe sur ce malade une contracture
; un tremblement nerveux du pied et de la jambe se manifeste dans les mouvements de flexion forcée imprimés au pied. La sensibilit
du membre. Il est à remarquer que, quel que soit le point touché, ces mouvements ont presque toujours lieu dans le même sens, bien
e pince les téguments, quoique l'enfant n'accuse point de douleur. Ce mouvement automatique de projection du membre en dehors rap
moins sensible, parce qu'il serait masqué et souvent remplacé par les mouvements volontaires de l'individu. £n général, le mouve
mplacé par les mouvements volontaires de l'individu. £n général, le mouvement réflexe sera d'autant plus prononcé que la paraly
le mouvement réflexe sera d'autant plus prononcé que la paralysie du mouvement volontaire sera plus complète ; au contraire, l'i
ir en principe que, dans la paralysie dépendante du mal vertébral, le mouvement réflexe est en raison directe de la sensibilité e
flexe est en raison directe de la sensibilité et en raison inverse du mouvement volontaire. Je n'ai pas encore eu l'occasion de m
contrée chez quelques sujets qui étaient paralysés du sentiment et du mouvement ; mais il serait important de savoir si, dans ces
els il aurait observé les phénomènes réflexes : c'est qu'en effet ces mouvements , longtemps inaperçus, n'ont pas encore été consid
our dissements, quelquefois de contractures involontaires. Tous le? mouvements qui exigent quelque énergie musculaire, tels que
lus se tenir debout ni marcher ; mais ils peuvent encore imprimer des mouvements aux membres inférieurs, lorsqu'ils sont assis ou
squ'ils sont assis ou couchés. Enfin, dans le troisième degré, tout mouvement volontaire est aboli; les membres inférieurs sont
érentes nuances de paralysie. Vous constatez chez tous l'existence du mouvement réflexe, plus ou moins marqué en raison de l'état
t ordinairement, et j'ai été conduit à établir qu'il y a abolition du mouvement volontaire, avec conservation du mouvement réflex
lir qu'il y a abolition du mouvement volontaire, avec conservation du mouvement réflexe. J'ai comparé ces malades aux animaux s
lle, et qui, sous l'influence d'un excitant douloureux, exécutent des mouvements . Remarquez que je n'ai pas voulu dire que les mal
persiste le plus souvent, peut également être abolie, de même que le mouvement réflexe. Nous n'avons pas assez de faits pour déc
r décider si ces deux effets se produisent toujours conjointement. Le mouvement peut être conservé, le sentiment étant seul aboli
alement possible que l'irritabilité musculaire persiste, alors que le mouvement réflexe est perdu. M. Duchenne de (Boulogne) a
ne s'occupe que depuis peu de temps de l'irritabilité musculaire, du mouvement réflexe et autres phénomènes physiolo- (1) De l
rdinaire de paralysie consiste, comme on l'a vu, dans l'abolition des mouvements volontaires, et coïncide avec la lésion des parti
'ouvrage où il en parle est une simple dissertation sur les effets du mouvement et du repos. Cependant qu'est-il advenu ? La
aris, 1792, 3 vol. in-8°. (2) David, Dissertation sur les effets du mouvement et du repos dans les maladies chirurgicales. Pari
lorsqu'au mois de janvier dernier la malade put faire quelques petits mouvements ; l'amélioration continua, et l'enfant parvint su
entre ces deux phénomènes. Il est probable que lorsque le retour des mouvements coïncide avec l'apparition d'un abcès, c'est parc
ité. Aussitôt qu'une amélioration se fait remarquer dans l'état des mouvements , on peut souvent cesser tout traitement. C'est qu
le ergoté ; le résultat a été complètement nul sur l'une d'elles; les mouvements commencent à reparaître chez l'autre. IIIe CAS
t s'expliquent facilement par la compression des nerfs et la gêne des mouvements du diaphragme, résultant du rétrécissement des ca
tlas et de l'axis, dont les surfaces articulaires étendues servent au mouvement de rotation de la tête. Elle peut avoir également
nt un torticolis dû à l'action musculaire, provoquée elle-même par un mouvement réflexe de la moelle. Ce torticolis offre des tra
ujours sous forme de torticolis que se présente, dans la synovite, le mouvement réflexe; cela dépend du siège de la lésion. L'act
aladie a duré plusieurs mois, il reste de la rigidité; une partie des mouvements est limitée, soit que des liens se soient établis
on du cal. De là résulte une ankylose, et conséquemment une perte des mouvements . Celte terminaison, toute défectueuse qu'elle est
ant de la rigidité de la tête; on ne pouvait même pas lui imprimer un mouvement de rotation du côté op-i posé au muscle sterno-ma
elle cesse pendant le repos, et n'est plus ressentie que pendant les mouvements . Ceux-ci sont surtout très-douloureux dans l'affe
iter un ébranlement pénible. II. Modifications des attitudes et des mouvements du sujet. — Nous allons les indiquer, en faisant
lications de teinture d'iode et des manipulations. Il reste de légers mouvements choréiques(l). IIe cas. — Ce malade présente un
illaient souvent l'enfant. Aujourd'hui on peut imprimer à la tête des mouvements de rotation très-étendus sans causer de (1) Ce
e de dire quelle est la disposition des vertèbres, s'il y a là simple mouvement physiologique, ou s'il existe un déplacement des
ne par relâchement ligamenteux; elle disparaît très-facilement par un mouvement d'extension du bassin. Ve cas. — Ce qui domine
de la tête et du cou dans l'affection sous-occipitale? J'ai parlé du mouvement réflexe; c'est là une première cause. On a voulu
sous-occipitale, la douleur et les modifications de l'attitude et des mouvements du sujet ; je vous les ai fait connaître par des
tants ; ce sont des engourdissements, des fourmillements, ou bien des mouvements convulsifs, de la paralysie. La paralysie affecte
Ce dernier est une affection nerveuse, spasmodique, dans laquelle des mouvements se répètent à des intervalles rapprochés; c'est u
-ci on peut, avec de la douceur, obtenir un relâchement des agents du mouvement . Si, dans l'autre maladie, la douleur siège aux a
la disposition des apophyses épineuses et transverses dans les divers mouvements , qui se passent dans la partie inférieure du cou,
tère particulier, qu'il y a peu de douleurs à la pression et dans les mouvements , soit actifs, soit communiqués, mais des souffran
loie avec avantage, dans ce but, les manipulations, c'est-à -dire les mouvements par lesquels on porte la tête en sens inverse de
it de l'étendre ; qu'elles en auraient beaucoup dans l'attitude et le mouvement contraires. Vous comprenez que la réduction des l
ouvelle ressemble donc à l'articulation normale; elle est le siège de mouvements étendus. Dans le second mode d'union, l'article e
ccipitale; on le voit aussi dans la pseudarthrose coxo-fémo-rale. Les mouvements sont extrêmement limités dans l'amphiar-throse ;
partie la plus importante , et de laquelle dépendent la forme et les mouvements de la nouvelle articulation. I. Capsule fibreus
une contraction involontaire de certains muscles. Le fémur obéit à ce mouvement et déplace le liquide. Ce premier pas fait, la lu
donnant en partie la cavité de réception sous l'influence de certains mouvements physiologiques, des pressions extérieures puissen
t point d'altération osseuse; le membre avait une attitude fixe ; les mouvements étaient bornés. En disséquant la jointure, on tro
Le caractère que je viens d'indiquer, à savoir, la grande étendue des mouvements de l'articulation, ne se rencontre pas dans toute
s remarquables par leur organisation et leur influence sur l'état des mouvements sont ceux que j'appellerai faisceaux en X; ils on
s iliaque et décrire un arc de cercle plus ou moins étendu. Dans le mouvement de flexion, la tête du fémur descend au-dessous d
épine iliaque, lorsqu'on imprime au membre placé dans l'extension des mouvements alternatifs de rotation en dedans et en dehors. E
qu'en appliquant le pouce dans le creux inguinal et en imprimant des mouvements de rotation au membre luxé, on ne sent plus la tê
psule; la raison en est due à ce que la tête fémorale, même clans les mouvements de rotation les plus étendus, déborde fort peu la
s fémurs et qui dépendent des attitudes de la ceinture osseuse et des mouvements du membre inférieur. Pour bien apprécier les atti
l'axe vertical du corps, si la colonne ne se redressait à l'aide d'un mouvement dont le centre est dans les articulations lombair
mais encore déterminer une inclinaison en sens inverse. V. État des mouvements . — Tels sont les signes de la pseu-darthrose fémo
nous avons aussi des symptômes physiologiques, déduits de l'état des mouvements . Parmi ceux-ci, les uns sont moins étendus que da
rt étendue ; elle l'est autant et même plus que dans l'état sain. Les mouvements opposés, par contre, sont fort bornés. L'abductio
s affectés de luxation congéniale présentent une grande incapacité de mouvements : c'est une erreur; les mouvements généraux de la
résentent une grande incapacité de mouvements : c'est une erreur; les mouvements généraux de la locomotion sont en général faciles
la hanche de ce côté paraît s'élever. De là une claudication à double mouvement , qu'on observe encore lorsque la luxation est dou
; beaucoup de médecins méconnaissent ces luxations, faute d'opérer ce mouvement . Voici encore un autre caractère : le pli fessier
aussi remarquer le déplacement qu'elles éprouvent dans les différents mouvements ; elles décrivent un arc de cercle étendu sur les
uble des plus considérables, avec attitude vicieuse, gêne extrême des mouvements ; il n'y a presque pas de mobilité du côté gauche
dans la luxation congeniale que vous observez une grande liberté des mouvements du membre, de grands arcs de cercle décrits sur l
naissance, quelques différences dans la conformation, l'attitude, les mouvements de la cuisse. Cette condition ne me paraît point
émorale est située sur la même ligne que le trochanter. L'étendue des mouvements de la tête du fémur fournira le signe distinctif
duction ne fut possible sur le cadavre qu'en imprimant à la cuisse un mouvement de flexion énorme. M. Malgaigne éprouva lui-même,
vous vous exposez à déterminer des accidents; on peut tenter par des mouvements doux de ramener la tête dans sa cavité de récepti
hanche droite ; la mère était affectée d'une double luxation. Par des mouvements inverses, j'abaisse ou je relève le niveau de la
l'état des sujets, diminuer la claudication, accroître la liberté des mouvements . La ténotomie s'ajoute quelquefois utilement aux
l écarte assez facilement les jambes et se trouve plus libre dans ses mouvements . Les deux dessins que je place sous vos yeux repr
des ligaments, ce qu'on peut reconnaître en ayant égard à l'état des mouvements , on doit chercher à remédier aux deux inconvénien
t la prédominence de l'adduction ou de l'abduction. Le premier de ces mouvements étant à l'état physiologique plus habituel que le
aces sur le cadavre ; il est dû à deux états principaux des agents du mouvement : dans un cas, un muscle est plus fort, plus exer
on côté, et il cesse à la longue d'accompagner son congénère dans ses mouvements . Si l'un des yeux est entièrement perdu , l'effet
un haut degré, il y bouvier. «0 aura fixité du globe oculaire ; les mouvements en seront perdus ; je nommerai cette deuxième var
lysie : il s'en distingue en ce qu'il s'accompagne encore de quelques mouvements ; on pourrait dire, il est vrai, dans un cas parei
ès que celui-ci a été ouvert et jusqu'au moment où, à l'occasion d'un mouvement brusque, d'un regard porté latéralement, la dévia
est à peu près inutile à la vision. Cet œil est le siège de quelques mouvements de nystagmus, c'est-à-dire d'oscillations fréquen
par exemple; la deuxième image est toujours située à sa droite. Le mouvement d'abduction paraît à peu près égal des deux côtés
ns le grand angle, mais la pupille reste encore apparente. Les autres mouvements , l'élévation, l'abaissement, l'abduction, ont l'a
ujours*très-fréquentes. Au contraire, dans le strabisme variable, les mouvements ont lieu à intervalles éloignés. 4° Le dernier
onctions. Mais dans l'œil, il n'en est pas de même ; la précision des mouvements est nécessaire à l'exercice régulier de la vision
initifs de la strabotomie. Io L'œil est complètement redressé ; ses mouvements ont leur étendue naturelle ; c'est, en un mot, un
nt suffisamment redressé au moment de la section. Vous voyez, dans le mouvement d'abduction, un léger intervalle entre l'iris et
ion s'exerce parfaitement ; il y a accord entre les deux yeux dans ce mouvement . Si j'eusse porté plus loin la section de l'aponé
urais obtenu un redressement plus complet du globe de l'œil ; mais le mouvement d'abduction, déjà insuffisant, eût été encore plu
participait à l'affection ; il y avait presque strabisme double. Les mouvements latéraux sont bien d'accord ; l'adduction est à p
ée ou peu diminuée. Les yeux se trouvaient d'accord, excepté dans des mouvements extrêmes ; la vision avait beaucoup gagné. La sec
le bord de l'iris atteignait la commissure externe des paupières. Le mouvement d'adduction avait une étendue presque normale; il
faut de convergence des yeux dans le regard vague, un accord dans les mouvements latéraux droit et gauche, excepté à la fin de ce
s mouvements latéraux droit et gauche, excepté à la fin de ce dernier mouvement ; l'abduction de l'œil gauche restait incomplète.
n du globe oculaire. Celui-ci, avant l'opération, jouissait encore de mouvements étendus; mais l'adduction s'arrêtait à deux milli
aques, puis, plus tard, persistait après qu'elles avaient cessé. Le mouvement d'abduction était presque normal ; il y avait peu
cieuse des ligaments, des muscles et très-souvent des os eux-mêmes. Mouvements physiologiques du pied. —Cette inclinaison a pour
ette inclinaison a pour point de départ celle qui se produit dans les mouvements normaux des articulations du pied. Ces mouvements
se produit dans les mouvements normaux des articulations du pied. Ces mouvements sont au nombre de quatre, l'extension, la flexion
la flexion, l'adduction et l'abduction, auxquels il faut ajouter des mouvements intermédiaires qui résultent de l'association de
exion et de l'extension avec l'adduction ou l'abduction; en tout huit mouvements simples ou composés. Des quatre mouvements simp
'abduction; en tout huit mouvements simples ou composés. Des quatre mouvements simples, la flexion et l'extension seules se pass
compliqué, que j'ai décrit il y a déjà bien des années. Le siège des mouvements d'adduction et d'abduction réside donc exclusivem
ragalo-calcanieune et dans l'articulation mé-dio-tarsienne. Quant aux mouvements associés, ils ont lieu à la fois dans ces jointur
mécanique animale. Six muscles sont les agents essentiels des huit mouvements indiqués précédemment; ce sont : le triceps sural
tre premiers muscles, quand ils agissent seuls, ne produisent que des mouvements mixtes ou composés : le triceps sural est extense
x des quatre autres qui agissent dans le même sens, pour produire des mouvements composés. Le péronier antérieur, quand il exist
ments composés. Le péronier antérieur, quand il existe, concourt au mouvement de flexion-abduction avec le long extenseur des o
que dans des cas pathologiques. Je n'ai considéré jusqu'ici que les mouvements de totalité du pied. Je ne m'arrêterai pas aux mo
ici que les mouvements de totalité du pied. Je ne m'arrêterai pas aux mouvements partiels de sa moitié (1) Voyez Archives généra
ine, numéros de juin et juillet 1856. antérieure, tels que certains mouvements isolés de l'articulation médio-tarsienne, ceux de
temps en bas les os cunéiformes, le scaphoïde et même le cuboïde. Ce mouvement donne au pied plus de voussure dans son milieu, a
al. Variétés du pied bot. — Je viens de vous exposer brièvement les mouvements normaux du pied, et l'influence qu'il faut attrib
ns simples ou composées. Vous comprenez maintenant que le sens de ces mouvements va déterminer les principales variétés du pied bo
déterminer les principales variétés du pied bot. D'abord, aux huit mouvements du pied correspondent huit déviations possibles,
nsi, dans la flexion, dans l'extension normales, tout le pied suit le mouvement de l'astragale et du calcanéum; les orteils seuls
e, la rangée antérieure du tarse peut s'incliner en sens contraire du mouvement de la rangée astragalo-calcanienne ; de là des dé
traire, dans les déviations pathologiques, que ces os exécutent des mouvements opposés, que le calcanéum se porte dans l'abducti
e paralysie plus ou moins-étendue; au bout d'un temps assez court, le mouvement reparaît, peu à peu, mais inégalement; certains m
enfant de fléchir le pied, quoiqu'elle ne parvienne pas à exécuter ce mouvement . Chez le n° 8, la rétraction est beaucoup plus
ection du pied. Le calcanéum est tourné en dehors, entraînant dans ce mouvement le scaphoïde et le cuboïde, qui eux-mêmes s'incli
cer la pointe du pied sur la même ligne que le talon. A ce degré, les mouvements normaux du pied sont peu modifiés ; l'adduction e
en 1823, a supposé que le fœtus avait eu des convulsions, et que les mouvements spasmodiques produits par cette affection étaient
les parents. Si la mère, durant sa grossesse, a senti tout à coup des mouvements violents du fœtus, si elle-même a éprouvé de vive
partie et se trouve à nu sous les parties molles du cou-de-pied. Ce mouvement des os de la rangée postérieure du tarse abaisse
nte du pied, mais aussi son bord externe, déjà entraîné en bas par le mouvement d'adduction. Le dos du pied est tourné en avant e
ienne est ainsi mise à nu sous les parties molles. Le cuboïde suit ce mouvement ; il abandonne presque entièrement la facette du c
ïde. Le poids du corps contribue peut-être à ce déplacement, mais son mouvement doit surtout résulter de ce qu'il est entraîné pa
moins étendue, qui produit ce qu'on appelle Y enroulement du pied. Le mouvement de la poulie astragalienne sur la mortaise péroné
i des os placés au-devant du scaphoïde et du cuboïde ; ils suivent le mouvement de ces derniers. Cependant ils peuvent aussi être
urte que l'autre. Les abducteurs continuent d'agir ; il y a de légers mouvements latéraux, mais la flexion et l'extension sont pre
pas complète dans les muscles de la jambe, car il y a encore quelques mouvements latéraux. Les orteils sont deux fois fléchis sur
relever. Les saillies osseuses sont bien marquées au dos du pied. Les mouvements ne sont conservés que dans les deux premiers orte
cachant pour un moment les doigts, on dirait un pied bot valgus. Les mouvements sont complètement abolis dans cette main, en sort
cès, qui se sont contractures. Le pied n'a conservé, lui aussi, aucun mouvement . Le gros orteil est dans une extension continue,
n existait. La main, qui est une main bot valgus, a conservé quelques mouvements ; mais, au pied, ils sont abolis ; il y a une demi
s, avec le temps, le membre droit a recouvré une grande partie de ses mouvements . A gauche, la paralysie a persisté et a produit l
cinquième métatarsien offre une callosité ; le talon n'agit plus ; le mouvement d'adduction est exagéré par l'action du jambier
l'âge de trois ou quatre mois : c'est une paralysie croisée. Mais le mouvement est revenu en partie dans le membre supérieur, ta
: l'articulation tibio-astraga-lienne est ordinairement étrangère au mouvement du pied en dedans; quelquefois, pourtant, elle co
ouvement du pied en dedans; quelquefois, pourtant, elle concourt à ce mouvement . En effet, l'astragale, malgré son enclavement da
son enclavement dans la mortaise péro-néo-tibiale, peut participer au mouvement de rotation du calcanéum; alors ses côtés, inclin
effectués après la naissance par le seul effort des muscles, dont les mouvements deviennent plus libres alors que dans l'utérus.
u moins étendues. Ces paralysies sont de deux sortes : dans l'une, le mouvement volontaire est seul perdu, les muscles affectés o
tance des articulations devenues peu mobiles par l'excès même de leur mouvement . Vous comprenez quelle atteinte reçoivent, à la
temps, un chirurgien orthopédiste imprime fréquemment à ce membre des mouvements avec la main , et il en est résulté jusqu'ici que
sion à l'adduction, de la flexion à l'abduction, dans l'exécution des mouvements physiologiques. Les agents musculaires de cette
ulevé. Mais, dans la marche, la jambe ne peut accomplir en entier son mouvement d'arc de cercle d'arrière en avant sur l'astrag
tre part, il se produit dans l'articulation calcanéo-astragalienne un mouvement singulier, qui donne au calcanéum une situation u
à la longue vers la plante. Le scaphoïde est porté en bas, au delà du mouvement que lui imprime déjà dans ce sens l'inclinaison d
terne est abaissé; les muscles antérieurs agissent à peine , mais les mouvements d'adduction et d'abduction sont assez sensibles.
uer une subluxation de l'astragale en arrière. Le calcanéum suit le mouvement de l'astragale. Ces deux os, relevés en avant, pr
n de l'astragale et du calcanéum ; cependant il se manifeste un léger mouvement de bas en haut qui diminue l'angle médio-tarsien
rêtions quelques instants. Quand la déviation passe les limites des mouvements physiologiques et qu'elle va jusqu'à la subluxati
e exagérée, tout à fait semblable à celles qui se produisent dans les mouvements physiologiques. La déviation peut être simulée;
ulation libio-tarsienne. Mais il est difficile de produire tous ces mouvements à la fois, et on recommande généralement, pour pe
t craindre aussi les effets de cette immobilité trop absolue pour les mouvements et la nutrition du membre. En résumé, les banda
térales, des semelles brisées dans leur milieu par une articulation à mouvements latéraux, mécanisme déjà décrit par Boyer. Dans
mécanisme déjà décrit par Boyer. Dans cet appareil de M. Cotlin, le mouvement de cette articulation est produit par une vis san
u prononcé. Des deux côtés, on ne peut communiquer aux genoux qu'un mouvement de flexion très-borné, et la flexion volontaire e
'étrier. Ces deux articulations sont disposées de manière que leurs mouvements , réglés par une vis, inclinent la sandale, par ra
appareils de MM. Charrière, Lebel-Jeguic, etc. Dans ces appareils, le mouvement de l'articulation n'est arrêté que dans un sens ;
ue le haut du levier étant fixé au-dessous ou au-dessus du genou, les mouvements des deux brisures de ce montant agissent sur la s
gissent sur la sandale, comme le levier courbé ou coudé de Venel. Les mouvements du second mécanisme font même plus : comme ils in
aux différentes espèces de déviations. On n'a qu'à changer le sens du mouvement de la vis, pour avoir un appareil à varus ou un a
uins mécaniques. Le but de ce genre de chaussures est de borner les mouvements du pied dans le sens de la déviation dont il ét
x cuirs de la semelle. La résistance de ces branches met obstacle aux mouvements latéraux exagérés du pied. En outre, presque to
pièce; cette vis, tout en permettant une flexion étendue, renferme le mouvement d'extension dans d'étroites limites. Mais, presqu
étude approfondie des paralysies, et en particulier des paralysies du mouvement , a conduit M. le docteur Duchenne à employer un
u cinquième métatarsien. Si le sujet est assez âgé pour comprendre le mouvement qu'on lui indique, on augmentera la saillie du te
retourne l'instrument, et, par des pressions successives et de légers mouvements de scie , je divise le tendon. Vous entendez le c
u une lièvre qui se serait terminée par une hémiplégie. Peu à peu les mouvements se rétablirent, mais irrégulièrement, et il est r
t à contracter plus facilement des adhérences qui peuvent gêner leurs mouvements , en les empêchant de glisser l'un sur l'autre ou
ée par un trop grand écartement des extrémités tendineuses ou par des mouvements trop répétés. Ces deux circonstances nuisent, e
ts un écartement de plusieurs pouces, ou quand ils sont exposés à des mouvements continuels. Mais c'est surtout au jambier posté
ale, il y aura des adhérences dais la coulisse ostéo-fibre use, et le mouvement du muscle sera aboli ; les tendons accolés pourro
aintenir les bouts tendineux suffisamment rapprochés; d'empêcher tout mouvement nuisible. Mais, malgré toutes ces précautions, on
e praticien, les fonctions du pied n'exigent pas la même précision de mouvements que celles de la main. Il en résulte que l'on peu
ble ; c'était un résultat imparfait. Avec la ténotomie, on obtient un mouvement de flexion plus étendu. En second lieu, les muscl
ersonnes qui avaient eu l'articulation tibio-tarsienne longtemps sans mouvement (1). » L'auteur rapporte les deux observations; i
ue jamais entièrement, pour peu que le traitement ait été tardif. Les mouvements du pied laissent souvent à désirer. Leur étendue
ension; a-t-on trop peu fléchi, la flexion est insuffisante. Les deux mouvements perdent à peu près également en étendue, si l'on
aintient. Aujourd'hui (25 juillet 1856), vous voyez que l'étendue des mouvements est presque normale; ce garçon fléchit le pied à
ait des deux côtés un angle très-aigu. Vous voyez aujourd'hui que les mouvements des-pieds sont très-étendus ; il reste à compléte
Aujourd'hui, la conformation du pied est un peu moins régulière ; ses mouvements sont un peu moins étendus que chez les enfants pr
égère inclinaison en dehors, qui n'est pas assez forte pour gêner les mouvements . Ce fait confirme deux principes que j'ai établ
aroi thoracique supporte sans cesse la pression atmosphérique dans le mouvement d'inspiration. Elle ne peut plus résister à cette
u moins. Aussi ne voit-on presque plus le thorax se soulever à chaque mouvement inspira-toire. Il s'affaisse plutôt dans le fond
ressent des douleurs quelquefois spontanées dans les os ramollis. Le mouvement , la pression des membres lui arrachent des cris,
as âge, qui éprouvait encore de vives douleurs quand on imprimait des mouvements à ses tibias, fortement courbés et restés mobiles
nce salutaire des soins hygiéniques, celle de l'air, de l'aliment, du mouvement . A. On a remarqué que, pendant l'été et sous l'
idemment subordonnée à cette condition plus qu'à toute autre. C. Le mouvement favorisera le développement musculaire et la form
ion du tissu osseux; malheureusement, il doit souvent se réduire à un mouvement passif, la gestation, le balancement, etc. Glisso
utile ; mais elles ont l'inconvénient de gêner la circulation et les mouvements ; aussi faut-il les exclure le plus souvent chez l
giques. Or celles-ci sont de deux sortes. Les unes sont le produit du mouvement réciproque des vertèbres, et disparaissent avec c
oduit du mouvement réciproque des vertèbres, et disparaissent avec ce mouvement ; ce sont les inflexions normales fonctionnelles d
pour l'exercice d'une foule d'autres actes des organes des sens et du mouvement . Il suit de là que, de même que dans cette ligne
tronc, dans la cyphose rachitique, est une des causes qui gênent les mouvements de progression ; elle diminue l'espace occupé par
er en arrière par un effort des extenseurs de la tête, en répétant ce mouvement plusieurs fois de suite ; la main oppose alors un
te le centre de gravité en arrière de cette ligne; il faut donc qu'un mouvement inverse le reporte en avant, et c'est ce qui arri
considérable, nuit à la démarche et rend le sujet peu agile dans ses mouvements . Ce vice de conformation, quoique lié dans le p
excès de mobilité dans les vertèbres lombaires, finit par gêner leurs mouvements . La flexion en avant perd de plus en plus de son
renflées aux deux bouts. On en charge les mains; et, suivant que les mouvements exécutés par les membres supérieurs portent ces p
partie la courbure des lombes en avant. L'attitude du bassin et les mouvements des membres inférieurs dont elle dépend fournis
forte pression de l'abdomen. Il peut, du moins, servir à prévenir des mouvements contraires au but qu'on se propose. Des bandage
plus propre à nous inspirer une juste con'iance dans l'efficacité des mouvements bien dirigés, lorsqu'il s'agit de corriger, chez
. 23. blement dans ce sens par la moindre surcharge, par un léger mouvement des membres supérieurs qui déplace le centre de g
qu'une simple attitude semblable à/celles qui se produisent dans les mouvements ordinaires du tronc; elle ne tend même pas d'une
Galien, est d'ailleurs, vous le savez, étroitement lié dans tous ses mouvements aux autres sections du corps et surtout à la tête
page 85. la forme, la direction de l'axe du rachis dans ses divers mouvements . Or cet axe peut se courber latéralement dans s
s sciences mèdic, t. XXIX, p. 271, 1828. On remarquera que, dans ce mouvement du rachis, les vertèbres s'inclinent directement
rticulaires. La torsion physiologique de la colonne vertébrale est un mouvement tout à fait distinct de sa flexion latérale. Da
staux diminuent, l'abdomen et le thorax perdent de leur capacité, les mouvements respiratoires deviennent plus bornés, les viscère
ultes ne la produisent guère qu'en étendant à toutes les lombaires le mouvement d'inclinaison des dernières vertèbres de cette cl
. C. Ajoutez à une légère flexion latérale, en C vertical, un petit mouvement du bassin qui la rend plus facile, vous aurez une
embre, incline dans le même sens l'extrémité inférieure du rachis. Le mouvement qui se produit pour ramener les vertèbres sur la
ou bien en courbant d'abord le haut du corps et en redressant, par un mouvement inverse des lombes, la courbure oblique qui a été
Berlin, 1851. substiiuer à celle-ci une habitude contraire par des mouvements et des attitudes opposés; à se servir au besoin d
r. Les membres supérieurs, entraînant l'épine latéralement dans leurs mouvements de totalité, fournissent d'excellents moyens de m
le savez, de la flexion latérale fonctionnelle passagère, liée à ses mouvements physiologiques. Cette courbure latérale normale c
sens contraire de la déviation du corps vertébral ferait croire à un mouvement de rotation de toute la vertèbre, si l'on n'avait
, de même que pour l'apophyse épineuse , ce n'est pas là l'effet d'un mouvement de rotation réel de la vertèbre, mais bien le pro
e est compliquée de cyphose. c. Torsion. — Il est un autre genre de mouvement qu'exécutent les vertèbres déviées : c'est leur r
ctivement dans le sens indiqué ; il entraîne le reste de l'os dans un mouvement circulaire dont l'une des apophyses articulaires
aturellement dans les vertèbres médiales, les plus affaissées, que ce mouvement a le plus d'étendue. Les vertèbres voisines y par
nt plus rapprochées des parties droites ou des courbes inverses. Ce mouvement ne consiste pas seulement, comme la rotation phys
-seulement les ligaments, mais encore les os se tordent pour obéir au mouvement général du rachis, et l'on voit distinctement sur
rale physiologique; les épaules suivent, dans l'un et l'autre cas, le mouvement des côtes. Mais, dans la scoliose, cet effet se p
arrière. Le changement de courbure qu'elles éprouvent par suite de ce mouvement , ainsi que je l'ai expliqué pour la courbure norm
exe des courbures, poussées en avant du côté concave, transmettent ce mouvement à leurs cartilages, et ceux-ci changent de forme
ue normal. Le diamètre antéro-postérieur diminue ordinairement par le mouvement en avant des côtes gauches, qui se trouvent placé
ement bridées par le sacro-spinal raccourci; on leur imprime tous les mouvements dont elles sont susceptibles par elles-mêmes, san
les muscles de la concavité se montrent tendus de manière à borner le mouvement , sans qu'ils atteignent les limites de leur exten
muscles. D'abord, ce n'est pas là une expérience en rapport avec les mouvements physiologiques qui se produisent pendant la vie.
fait est facile à concevoir. Ce n'est pas, comme dans le pied bot, un mouvement articulaire qui infléchit le rachis, qui le racco
ivent pas moins conserver assez de longueur pour se prêter à tous les mouvements articulaires, comme ils le feraient dans un rachi
manière permanente, ce qui a probablement lieu passagèrement dans les mouvements physiologiques du rachis. Le liquide de Cotugno o
sac du péricarde s'en est éloigné, ne les ayant pas suivies dans leur mouvement . Le cœur est alors entièrement situé à droite du
premières périodes; son siège, son étendue, sont en rapport avec les mouvements normaux qui l'ont déterminée. Les convulsions o
ur à gauche, dont elle devra être le point fixe; vous ne verrez aucun mouvement de la vertèbre supérieure, parce que la première
sens où elle devrait être retenue pour l'accomplissement de ce second mouvement . Je ne réfuterai pas non plus celte autre suppo
ce de la scoliose rachitique à droite et à gauche. B. Influence des mouvements sur les courbures (1). — Nous n'avons encore cons
du rachis dévié. Les courbures de la scoliose varient en raison du mouvement de (1) Dixième leçon, 24 juillet 1857. ces ar
lations. C'est ce qu'on observe dans deux circonstances : 1° dans les mouvements passifs imprimés aux vertèbres par le poids des p
poids des parties, par des pressions extérieures, etc. ; 2° dans les mouvements actifs déterminés par les muscles. a. Action de
On conçoit que l'inclinaison des vertèbres favorise singulièrement ce mouvement ; aussi est-il d'autant plus étendu que cette incl
qui avaient cessé de se correspondre dans une petite étendue; mais ce mouvement avait été promptement arrêté par des ostéides dév
el le corps repose, impriment aussi aux articulations vertébrales des mouvements qui, tantôt augmentent, tantôt diminuent les cour
gissant sur les côtés du tronc, dans la station, peuvent produire des mouvements analogues, en s'associant à l'action de la pesant
u en l'annihilant. Les articulations du rachis exécutent encore des mouvements passifs qui modifient les courbures, lorsqu'une f
ernièrement sous vos yeux. On devine quel rôle important jouent ces mouvements passifs des vertèbres dans l'accroissement progre
côtés alternativement de la même manière, en raison de l'étendue des mouvements que vous imprimerez à leurs extrémités. Lorsque v
xion se fait à gauche, c'est la région lombaire qui ne peut obéira ce mouvement , et la région dorsale seule qui l'exécute. Remarq
que la colonne antérieure cesse d'être courbe. Il est clair que les mouvements actifs du rachis, comme ses mouvements passifs, p
courbe. Il est clair que les mouvements actifs du rachis, comme ses mouvements passifs, peuvent contribuer puissamment, soit à l
t on a également réuni, dans certaines circonstances, l'influence des mouvements musculaires et celle des mouvements passifs commu
es circonstances, l'influence des mouvements musculaires et celle des mouvements passifs communiqués à la colonne vertébrale, dans
eu près l'équilibre fonctionnel dans l'état de repos. Mais au moindre mouvement actif, dans tout effort musculaire un peu prolong
s sont forts; quoique situé à droite du rachis, il a un peu suivi son mouvement ; il est plus à gauche qu'à l'ordinaire. Le poumo
a station, est caractérisée par une légère flexion du genou droit; ce mouvement instinctif, qui incline le bassin à droite, ramèn
ur ne souffre pas, tant que la respiration n'est pas troublée par des mouvements auxquels elle ne peut suffire. C'est une confirma
. Il n'existe, en effet, ni douleur ni rigidité lorsqu'on imprime des mouvements au tronc dans les scolioses des premier et deuxiè
s jeunes animaux. Les appticata, les gesta, ou les vêtements et les mouvements musculaires, exercent une action plus directe sur
'en bien régler l'emploi à ce point de vue spécial. La nécessité de mouvements musculaires fréquents et inulti- bottvikr. 30
réguliers enseignés dans un gymnase ou ailleurs, mais encore tous les mouvements capables d'exercer régulièrement le système muscu
xercer régulièrement le système musculaire. La marche, la course, les mouvements spontanés des enfants dans leurs jeux, tant qu'il
e et d'agilité des gymnasiarques. La direction que l'on donnera aux mouvements , dans tous les instants où ce sera possible, devr
ls sont à éviter dans celte hygiène particulière des attitudes et des mouvements : il ne faut pas pousser les unes jus qu'à une
un effet contraire à celui que vous voulez obtenir. Proportionnez les mouvements à l'état des forces, et, sous prétexte de fortifi
hez les jeunes sujets disposés à la courbure latérale de l'épine? Les mouvements sont certainement plus libres, les muscles moins
ison des vertèbres, dans la station du tronc, est due, en outre, à un mouvement qui se passe dans leurs diverses articulations, à
d'une part, remédier immédiatement à l'excès de courbure dépendant du mouvement des articulations vertébrales, et, d'une autre pa
oyant le dos à nu pendant que nos malades exécuteront devant vous ces mouvements , et en examinant sur les colonnes déviées les eff
us parlerai que pour mémoire des exercices qui impriment au tronc des mouvements de torsion, de rotation ou de cir-cumduction, des
de la saillie de l'omoplate, montrent suffisamment l'inutilité de ces mouvements au point de vue qui nous occupe. L'élévation du
. On évite en partie l'inconvénient que je signale en combinant les mouvements du bassin et du membre inférieur avec ceux du mem
mentation de la courbure lombaire, ou même qui la redresse. Ce double mouvement ne permet pas toutefois une flexion latérale auss
le position horizontale. N'oubliez pas, en appréciant l'étendue de ce mouvement , que les apophyses épineuses déviées peuvent décr
ment, remarquez encore que presque tous ces exercices se composent de mouvements alternatifs opposés; l'un de ces mouvements tend
exercices se composent de mouvements alternatifs opposés; l'un de ces mouvements tend à reproduire les courbes que l'autre redress
à un désavantage réel. On l'atténue en limitant le plus possible le mouvement qui a lieu dans le sens de la concavité de la cou
sements orthopédiques, sont en effet uniquement destinés à varier les mouvements praticables, sans que les pieds posent à terre, e
assin, nous Obtenons une diminution des courbures. Si l'on exagère ce mouvement , comme pour renverser la courbure lombaire, on vo
position des appareils; 2° les modes de sustentation du corps; 3° les mouvements qui accompagnent la suspension. On se sert peu
met en état de rester cramponnés aux supports sans les lâcher. Des mouvements très-variés peuvent être exécutés pendant la susp
n forme de bobines traversés par ces cordes. Dans la plupart de ces mouvements de locomotion, les enfants peu exercés ou peu rob
te et de gauche pour se donner un élan à chaque effort des mains. Ces mouvements désordonnés peuvent nuire à l'effet de la suspens
du côté de la main qui s'élance. Un vice opposé à l'exagération des mouvements est le défaut de contraction suffisante ; les enf
r ce mode vicieux de suspension. Si les supports sont .mobiles, des mouvements passifs s'associent aux mouvements produits par l
Si les supports sont .mobiles, des mouvements passifs s'associent aux mouvements produits par les organes locomoteurs, ce qui ajou
rticales, pendantes et mobiles à leur point d'attache , procurent des mouvements analogues. Un jeu d'enfant, la bascule brachiale,
nous permettra de vérifier les effets immédiats des attitudes et des mouvements sur les courbures du rachis. Je marque sur la pea
n, à le lui faire parcourir s'il a une certaine longueur, à mettre en mouvement des mécanismes qui déterminent la locomotion. C
tout habitués qu'ils sont à rester longtemps couchés, recherchent le mouvement et en ont besoin. On les exerce à se traîner, à r
retournant sur le dos, etc. De même que dans l'ordre précédent, les mouvements passifs se combinent quelquefois avec les mouveme
e précédent, les mouvements passifs se combinent quelquefois avec les mouvements actifs du sujet. C'est ce qui a lieu, par exemple
de Pravaz et d'autres, roulant sur des cordes ou des rails et mis en mouvement par les malades eux-mêmes. Ces exercices partic
re généralement se servir de ressorts ou de poids qui cèdent dans les mouvements des malades, et réagissent l'instant d'après. Cep
e donner des secousses en retombant après avoir été soulevés dans les mouvements . M. Maisonnabe y a remédié en les plaçant sur un
lit au bout de quelque temps. Enfin d'autres variations résultent des mouvements et des efforts musculaires, qui tendent à rapproc
bassin et à augmenter la tension des ressorts. On veille à ce que ces mouvements ne soient pas trop brusques. On s'attache surtout
tes en s'attirant par les mains vers le haut du lit; il résulte de ce mouvement une grande tension des courroies et du ressort in
e en une courbure verticale, on la rend oblique en sens contraire. Ce mouvement se passe, à la vérité, en grande partie dans l'ar
ées sur le lit, mobiles et fixées par des ressorts qui se prêtent aux mouvements du malade. Je préfère ce second système ; on lui
é supérieure de la courbure; mais, afin délaisser plus de liberté aux mouvements du bras, je donne ordinairement à cette seconde b
plus douces et plus faciles à supporter que des pressions fixes. Les mouvements respiratoires, en particulier, en sont moins gêné
faut replacer l'appareil. Comme la ceinture éprouve, dans ce cas, un mouvement de bascule qui la fait remonter du côté gauche, o
ater encore sur ces enfants, qu'il ne se passe rien de pareil dans ce mouvement horizontal du tronc de droite à gauche, qu'il ne
ce à remonter du côté gauche ; le tuteur, qui s'oppose en partie à ce mouvement , comprime l'aisselle gauche, gêne la circulation
monter du côté gauche, et l'on ne saurait s'opposer complètement à ce mouvement ; il faut que le cercle soit souvent redressé.
ant contre les inclinaisons vicieuses des vertèbres produites par les mouvements de leurs jointures, et vous allez voir quels serv
était peu ancienne, qu'elle était presque uniquement produite par le mouvement des vertèbres; car, si la troisième période est p
^3 § IV. — Lésions de l'innervation. — Paralysie.......... ib. I. Mouvement réflexe. ¦................... ?* II. Degrés de
...............:.......• • ib- IL Modification des attitudes et des mouvements du sujet. ... 80 III. Déformation..............
120 IV. Disposition du bassin................... 121 V. État des mouvements ................... 122 Diagnostic différentiel
...................... Définition............................ 169 Mouvements physiologiques du pied................ » • Vari
.. 435 c. III'' période..................... 436 B. Influence des mouvements sur les courbures....... 440 a. Action de la pe
10 (1913) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 26] : iconographie médicale et artistique
ux dont le syndrome est très intense que clans, les cas bénins, les mouvements anormaux, principale- ment athétosiformes, sont
lade perd vite l'équilibre, le tronc penche en avant, et de rapides mouvements ataxiques, qui déterminent aussitôt la chute, agi
este 'son asy- nergie musculaire d'une façon très nette. Pendant le mouvement il présente l'attitude suivante : le tronc, pen
une large amplitude au pas. Pendant la marche, les membres font des mouvements ataxiques et la chute a lieu dulcôlé où penche
maintenir son équilibre; on observe dans la titubation et dans les mouvements ataxiques, beaucoup de ressemblance avec ce qui
anière très- incomplète et sa pointe est déviée vers la droite. Les mouvements dans le sens latéral ont lieu aussi d'une façon t
ans le sens latéral ont lieu aussi d'une façon très incomplète, les mouvements dans le sens vertical sont impossibles. Profondes
des deux côtés, la percussion des tendons rotuliens provoquant des mouvements énergiques d'extension de la jamhe sur la cuiss
les de la région postérieure de la jambe et, quelquefois, de légers mouvements d'extension des jambes sur les cuisses. Les réf
xcitation des régions respectives provoque de rapides et énergiques mouvements dans toute la paroi abdominale et suscite encore,
e dans ses membres inférieurs bien conssrvée. Le malade exécute des mouvements d'extension et de flexion des jambes sur les cuis
çon normale, quand il est en décubitus dorsal. Maintien parfait des mouvements volontaires des muscles du bassin; Le ma' LES F
ne trouve aucune trace d'ataxie ni dynamique ni statique; tous les mouvements sont coordon- nés. On constate aux membres supé
nstate aux membres supérieurs un léger tremblement à l'occasion des mouvements intentionnels. La force musculaire est assez bi
te pas de paralysies de la musculature ex- terne des yeux, tous les mouvements des globes oculaires sont bien conservés, toute
lement [capable de soulever un peu les épaules, d'imprimer quelques mouvements aux doigts et d'étendre bien qu'imparfaitement l'
vicale de la colonne vertébrale, douleurs qu'exagèrent les moindres mouvements des membres ; les douleurs lancinantes des membre
d'habitude en une flexion de la cuisse, de la jambe et du pied. Ces mouvements relative- ment faibles au moment de l'entrée à
ue correspondant aux 2e et 3e dorsales (Voir schéma) on obtient des mouvements réflexes de défense aux membres supérieurs : ils
s divers réflexes tendineux et le siège de la limite supérieure des mouvements réflexes de défense autorisait à supposer que l
était considérablement affaibli, en outre on pouvait provoquer des mouvements réflexes de défense non seulement sur les membr
chem" ulU'1Lrdt les territoires dans lesquels un peut provoquer Irs mouvements réflexes de défense ltd.i. aux membres inférieu
es, ni réaction de dégénérescence. 4° Enfin nous avons constaté des mouvements réflexes de défense aux membres supérieurs que
er droit ne peut être vu sous la- peau. Les yeux ont conservé leurs mouvements ; il n'existe pas de nystagmus, ni d'hémianopsi
quelconque et remue normalement, à l'inverse du bras droit dont les mouvements sont assez limi- tés. Les deux membres supérieu
urs sont agités d'un tremblement qui existe au repos et pendant les mouvements . Ce tremblement est plus marqué à droite qu'à g
Les petits orteils sont ordinairement écartés et agités de pe- tits mouvements involontaires. Les réflexes tendineux du côté dro
ur son contenu. La langue exécute dans son ensemble quelques légers mouvements de tré- mulation ; en outre, elle est parcourue
par moments et par places, la muqueuse. Quand on fait exécuter des mouvements de la langue, il faut distinguer en- tre les mo
xécuter des mouvements de la langue, il faut distinguer en- tre les mouvements exécutés à l'extérieur et à l'intérieur de la cav
sortir. Il ne peut la disposer en gouttière antéro-postérieure. Les mouvements de latéralité offrent un contraste frappant : à
nte en arrière vers les dents supérieures, il exécute faiblement ce mouvement du côté droit, alors qu'il ne peut diriger la poi
iger la pointe du côté gauche de la voûte palatine, à l'inverse des mouvements de latéralité exécutés à l'extérieur de la cavi
égale des deux côtés. Trophicité normale. Membres inférieurs Les mouvements actifs s'exécutent avec égale force, à droite e
endue : dans cet acte la pointe reste toujours déviée à gauche. Les mouvements de latéralité abou- lissent à la commissure lab
moitié droite. L'hémiatrophie persiste, à peu près égale, mais les mouvements fibril- laires ont diminué. Du côté de la fac
ue se meut très facilement du côté atrophié ; dans la bou- che, les mouvements sont au contraire plus faciles, quand le malade l
entir un affai- blissement des membres inférieurs, surtout dans les mouvements du pied ; après 5 jours de parésie il cessa com
uccessivement apparut l'affaiblissement de plus en plus notable des mouvements du genou et enfin celui des articulations des han
férieures, à partir des genoux jus- qu'aux pieds inclusivement. Les mouvements plus vifs du tronc sont accom- pagnés de douleu
e vers la périphérie. Le malade ne reconnaît pas du tout le sens du mouvement des orteils pas plus que leur position ; il lui
position ; il lui arrive parfois de se tromper dans l'indication des mouvements des pieds. Absence de réflexes abdominaux; réfl
ouloureux en ceinture, dans la partie basse de la cage thoracique ; mouvements involontaires douloureux. Enlèvement de l'apparei
raissent des symptômes de parésie des membres inférieurs, suivis de mouvements involontaires, accompagnés de la diminution de
us-indiquées ; traitement CHIRURGICAL DES TUMEURS DE la MOELLE 39 mouvements involontaires, accroissement des réflexes tendine
27. 4 heures de l'après-midi, le même jour. Paralysie spasmodique ; mouvements involontaires; réflexes très vifs ; tem- pératu
es mou- vements du pied. 40 ROTSTADT 12. Premiers symptômes des mouvements du pied gauche, il remue légè- rement les ortei
ble, et en dehors du retour rapide, quoique progressif, de nombreux mouvements volontaires, il y a lieu de noter par- ticulièr
lement les extrémités inférieures, la force déployée, pour tous les mouvements , est cependant légèrement affaiblie. Il avance,
ire sous forme de flexion dorsale du pied ; pas d'ataxie ; tous les mouvements vifs, volontaires ou passifs, provoquent souven
sont maintenues qu'avec peine (la gauche est plus obéissante), les mouvements des genoux sont plus réguliers ; il n'a pas la li
guliers ; il n'a pas la liberté du pied et des orteils droits ; les mouvements correspondants du pied gauche sont conservés ma
éral de Babinski ; paralysie des pieds et des orteils ; parésie des mouvements du genou ; faible rétention d'urine. Ainsi do
roubles dans le fonctionne- ment de la vessie, l'affaiblissement du mouvement dans les articulations des hanches et des genou
dans les articulations des hanches et des genoux, la paralysie des mouvements pour les pieds et les orteils (d'abord à droite
e ; pouls rythmique, plein. 19. Premier symptôme de récupération du mouvement dans les pieds et les orteils, dans des amplitu
donne des indications erronées sur la po- sition et la direction du mouvement des petits orteils aux deux pieds. 23 novembre
s la voiture d'Eulenbourg. 12 décembre. - Il avance sans aide ; les mouvements du pied droit sont les plus faibles. 23 janvi
des douleurs dans le côté droit, dans la région sous-costale. En mouvement ou au repos, douleurs sur les côtés de la colonne
ans la région cardiaque; symptômes de réapparition de la parésie du mouvement dans les articulations des pieds, tenu par la mai
inférienre du ster- num. 10. - Douleurs très violentes an moindre mouvement du tronc et à la pres- sion sur toute la région
4 oc- tobre 1910) ; cinq jours après le traitement, réapparition du mouvement dans les pieds et les orteils ; la parésie des
s'améliore ; l'amélioration est constante et rapide ; la portée des mouvements augmente, le malade recommence à marcher. La dé
ed, les orteils ; La tonicité des muscles est accrue : la force des mouvements est minime. Des deux côtés, dans les orteils, t
ui soutenait avec la main la jambe qu'il avait levée. Dès lors, les mouvements libres gagnèrent en force et en amplitude ; les
s très vifs présentaient des symptômes de trépidation épileptoïde ; mouvements achilléens également très vifs avec trépi- dati
reux dans la période subséquente à l'opération. 10. - 15 juillet. - Mouvements plus libres ; le malade ne distingue pas toujou
es ; le malade ne distingue pas toujours exactement-la direction du mouvement des orteils ; douleurs sous le sternum et dans
n n'aperçoit l'augmentation de la tonicité des muscles que dans les mouvements violents du pied gauche et du genou. Réflexes pa-
rsiste. Lorsque le malade respire plus profondément ou fait un faux mouvement , il ressent une douleur dans la région du mamelon
s vertèbres lombaires. Les symptômes douloureux augmentent dans les mouvements du tronc, dans le changement de position d'un c
x extrémités inférieures; dès lors la faiblesse augmente, gagne les mouvements des genoux et l'articulation de la hanche. La m
s en ceinture, et sans apparaître sur le devant ; depuis deux mois, mouvements involontaires ; depuis un mois, l'émis- sion de
e et à force presque nulle ; le genou droit et le pied n'ont pas de mouvements ; elle remue les orteils len- tement et avec un
mue les orteils len- tement et avec une amplitude insuffisante. Les mouvements ci-dessus sont un peu plus agiles,ont une porté
mollets ; disparition presque complète du sens musculaire pour les mouvements des orteils et des pieds ; pression des vertè-
la colonne vertébrale, à chaque changement de position et dans les mouvements du tronc; parfois douleurs au côté gauche. La pon
, elle cesse de marcher, puis finitpar devenir incapable du moindre mouvement des jambes. Après un mois d'incontinence d'urin
ns les jambes. Le ma- lade ne se rend pas compte de la direction de mouvements et de la position des orteils ; faible incontin
paralysie récidivée des extrémités infé- rieures,l'amélioration des mouvements se produisit plus rapidement encore après la de
TRAITEMENT CHIRURGICAL DES TUMEURS DE LA MOELLE 55 lui rendant le mouvement dans les extrémités inférieures, ce qui lui per-
can, 1909. 58 ' DIDE ET LEVÈQUE constituent,'au moment des grands mouvements populaires, de véritables calamités sociales ;
de ses découvertes. Parmi les moindres, nous pouvons citer celle du mouvement perpétuel dont l'application fut réservée par u
debout et marche correctes. Aucun trouble de la coordination, aucun mouvement anormal. II. Réflexes. - Tendineux : massétérin
ut. Profondes (baresthésie, pallesthésie, sens des attitudes et des mouvements passifs), normales. Sens stéréognostique norm
des yeux, normale. Nystagmus horizontal spontané, amplifié.dans les mouvements pro- voqués de latéralité. Réflexes conjoncti
lysé, les courbes qu'il décrit, l'écartement latéral des pieds, les mouvements du tronc et du bassin, tout cela est parfaiteme
s sur un des membres inférieurs, après quoi l'autre membre subit un mouvement d'élévation et d'abduction, jus- qu'à ce qu'à l
membre qui jusqu'à ce moment était resté ployé se transporte par un mouvement d'adduction, en complétant le pas. (1) Charcot,
clonus d'origine syphilitique. Mosny et : Vlalloizel ont trouvé des mouvements myocloniques chez un hé- miplégique, mouvements
izel ont trouvé des mouvements myocloniques chez un hé- miplégique, mouvements qui étaient plus prononcés du côté paralysé que
t Camus ont présenté à la Société de Neurologie une malade avec des mouvements myocloniques congénitaux, laquelle était une hémi
uelle était une hémi- plégique cérébrale infantile congénitale. Les mouvements étaient localisés au membre supérieur droit du
pileptique héréditaire spé- cial et d'autres auteurs ont trouvé des mouvements myocloniques dans l'épilepsie. Je reviendrai su
elles ne sont dans ces cas-là que de simples symp- tômes, comme les mouvements choréiques dans les chorées symptoma- tiques.
les mouvements choréiques dans les chorées symptoma- tiques. Les mouvements myocloniques d'imitation des hystériques sontdans
naitsaillante et dure, mais très rarement se produisaient de petits mouvements du pouce et de l'avant-bras ou un petit déplace
it réveillé par de brusques flexions des cuisses sur le ventre. Les mouvements volontaires avaient une action modératrice sur ce
e vul- gaire dans plusieurs auteurs. » Maisjusqu'à ce moment-là les mouvements choréiques et les mouvements myocloniques étaie
uteurs. » Maisjusqu'à ce moment-là les mouvements choréiques et les mouvements myocloniques étaient confondus. Ce sont même le
iques. « Les symptômes, dit Berland, sont t donc constitués par des mouvements brusques, rapides, involontaires, el pouvant êt
é à cette époque-là dix cas et avait montré la différence entre les mouvements de cette maladie et les mouve- ment choréiques.
aire aucune de ces choses (Trousseau). Or, cet enfant était pris de mouvements bizarres, de contractions mus- culaires involon
. Ces secousses, malgré leur intensité, ne peuvent pas empêcher les mouvements volontaires. Elles sont involontaires et exagér
s sont généralisées. A la tête les spasmes déterminent des brusques mouvements d'ensemble, d'extension ou de flexion. Au tronc
lte des bruits involontaires, parfois des sortes d'éructations. Les mouvements sont exagérés par les émotions de toute nature.
les secousses musculaires deviennent plus fortes et produisent des mouvements involontaires très rapides et brusques, localisés
omène se produit quand la malade est debout, assise ou couchée. Ces mouvements sont déterminés par des contractions musculaire
nt du pied gauche. , . Aujourd'hui les contractions déterminent des mouvements et des déplace- ments si rapides qu'il est impo
nous a montré, mieux qu'une description, comment se comportent ces mouvements . Les mouvements peuvent être localisés à la tèl
eux qu'une description, comment se comportent ces mouvements. Les mouvements peuvent être localisés à la tèle (PI. XVII, fig.
is. les figures I et V donnent l'impression de la succession de ces mouvements . Par le cinématographe on peut mesurer exac- te
Par le cinématographe on peut mesurer exac- tement la rapidité des mouvements qui obtiennent le maximum figure A, dans laquel
ui obtiennent le maximum figure A, dans laquelle nous avons noté un mouvement presque symétrique de contrac- tion des membres
ement de la jambe droite. Pour bien détermi- ner la rapidité de ces mouvements , il faut savoir que chaque passage de plaque se
aque passage de plaque se fait dans 0,06 de seconde et que tous les mouvements sont réalisés dans trois passages. C'est-à-dire
ements sont réalisés dans trois passages. C'est-à-dire que tous les mouvements décrits sont faits dans une période de moins d'
e période de moins d'un cinquième de seconde. La figure V montre un mouvement de latéralisation droite, avec extension du tro
et des membres supérieurs, notamment du bras droit. La durée de ces mouvements est plus longue, mais ne dépasse pas un tiers de
té- rieur, de rotation. La secousse se réduit, parfois, à un de ces mouvements . Les muscles du tronc entrent en scène sous des
tronc entrent en scène sous des formes variées et répétées. Un des mouvements qui apparaît souvent, c'est le soulèvement des ép
train d'étudier. Quand la malade est assise, elle exécute les mêmes mouvements que debout. Ils ont été en 1909 plus ac- centué
un coup de pied à droite. En décubitus dorsal la malade exécute des mouvements similaires à ceux observés dans les autres posi
positions. Dans les membres inférieurs les secousses produisent des mouvements de projection latérale, de surposition des jambes
rément, des jambes sur les cuisses et des cuisses sur le tronc. Ces mouvements sont un peu plus intenses du côté droit. Les me
u plus intenses du côté droit. Les membres supérieurs exécutent des mouvements similaires et les muscles du tronc, du cou et d
un des pieds, plus à droite qu'à gauche, comme si elle exécutait le mouvement qu'en escrime on appelle « un appel » (Ferreira
pelle « un appel » (Ferreira da Costa). En somme, on voit que les mouvements ont toujours les mêmes caratéris- tiques. Ils s
t de même pour le froid. Pendant le sommeil ces contractions et ces mouvements involontaires dis- paraissent complètement. R
res et des lèvres. Elle ferme involontairement les yeux et fait des mouvements de la bouche et de la face qui ont augmenté ave
un fort courant électrique. A ces ébranlements corres- pondent des mouvements brusques, rapides, involontaires, désordonnés, in
ut observer 35 et 40 aux périodes de plus grande agitation. ' Les mouvements produits par les contractions sont les plus diver
ntractions sont les plus divers et les plus bizarres. Néanmoins ces mouvements , si divers et si bizarres soient-ils, se répète
plus fréquents. Les contractions musculaires qui déterminent les mouvements d'élévation de l'épaule droite et du bras du mê
nsion au-dessus de la tête, -sont des plus fréquentes. Souvent ce mouvement est accompagné d'autres mouvements du membre su
t des plus fréquentes. Souvent ce mouvement est accompagné d'autres mouvements du membre supérieur, du déplacement de la tête
res mouvements du membre supérieur, du déplacement de la tête et de mouvements des muscles de la face. Il arrive aussi que ce
ête et de mouvements des muscles de la face. Il arrive aussi que ce mouvement se généralise à tout le corps avec flexion des
eurs et flexion du tronc sur les cuisses. Quelquefois chacun de ses mouvements est isolé ou d'autres mouvements se produisent. L
cuisses. Quelquefois chacun de ses mouvements est isolé ou d'autres mouvements se produisent. L'extension du tronc et le redre
'action adjuvante des extenseurs. A la face se produisent aussi des mouvements divers : les yeux se ferment ou s'ouvrent avec
vre supérieure s'é- lève, etc. La tête est aussi atteinte par des mouvements de latéralisation, en avant et en arrière. Le
jamais un mot. Quand la malade est assise elle présente les mêmes mouvements que quand elle est debout; mais les mouvements
e présente les mêmes mouvements que quand elle est debout; mais les mouvements des membres inférieurs sont plus pro- noncés. E
us pro- noncés. Elle frappe très violemment le sol et fait d'autres mouvements d'ex- MYOCLONIES ESSENTIELLES 97 tension et d
c les mains au fond de la chaise. Quand la malade est couchée les mouvements sont les mêmes. Il n'y a pas de grandes différe
le lit en flexion sur les cuisses. Les membres inférieurs font des mouvements les plus divers de projection latérale de flexi
e, d'adduction et d'abduction. Les membres supérieurs exécutent les mouvements habituels d'élévation, d'extension et de flexio
ais dans les positions latérales extrêmes on voit parfois de petits mouvements , surtout quand la malade regarde à droite; ces
de petits mouvements, surtout quand la malade regarde à droite; ces mouvements sont arythmiques et inconstants. Sensibilités n
fois, fatiguée ; mais elle ne se plaint que des contractions et des mouvements qui lui rendent la vie insupportable. De tous l
mes de seconde. La fig. XVI (obs. II) montre bien la brusquerie des mouvements . Ce caractère a été déjà décrit par Friedreich ch
ecousses différencie les myoclonies des chorées dans lesquelles les mouvements sont ronds,pour nous servir d'une heureuse dési
econde. Cetle rapidité de contraction, qu'on ne trouve pas dans les mouvements choréiques, est signalée par tous les auteurs. Il
lons dire que les contractions myocloniques ne reproduisent pas des mouvements coordonnés ou systématisés pour un but détermin
rres. Contrairement à ce qui arrive dans les tics dans lesquels les mouvements conservent une coordination relative, les mouve
s lesquels les mouvements conservent une coordination relative, les mouvements myocloniques sont désordonnés, polymorphes et v
il prend ainsi les carac- MYOCLONIES ESSENTIELLES 101 tères d'un mouvement convulsif et intempestif, répété à l'excès ; son
la systématisation originelle de l'acte » (Henry Meige). Dans les mouvements myocloniques ces caractères manquent. Il n'est
chomotrice, mais d'une perturbation fondamentalement motrice. Les mouvements myocloniques sont si loin d'imiter les mouvements
ment motrice. Les mouvements myocloniques sont si loin d'imiter les mouvements volontaires cordonnés qu'il suffit de prendre e
ctions sont plus intenses, au contraire quand elle exécute quelques mouvements , quand elle marche, par exemple, les contractio
nsi- gné dans l'observation de Friedreich. Pendant le sommeil les mouvements cloniques n'existent pas. C'est ce qui arrive d
lquefois réveillé par une brusque flexion des jambes. C'est même le mouvement le plus étendu qu'il signale chez son malade. D
culier aux mouve- ments pithiatiques. Lemoine et Lemaire ont vu des mouvements de flexion et d'extension des doigts parfaiteme
d'extension des doigts parfaitement rythmiques, mais à côté de ces mouvements il y avait des contractions tout à fait arythmiqu
n d'autres sont également atteints, d'où résulte la multiplicité de mouvements que nous avons décrits surtout chez la seconde
enls, et si elle disparaît c'est pour récidi- ver. Dans nos cas les mouvements sont bien définis et ont les caractéris- tiques
ous pouvons citer le cas de Tinel et André Cain qui ont observé des mouvements myocloniques du membre inférieur comme équivalent
ise et Laignel-Lavastine), ou alors les contractions produisent des mouvements similaires à ceux que nous avons 106 MONIZ dé
à ceux que nous avons 106 MONIZ décrits chez nos deux observées : mouvements larges, avec localisations diverses. Dans un ca
ts larges, avec localisations diverses. Dans un cas de Shanahan les mouvements étaient localisés au visage, au cou et aux memb
quelle lesmaladescomme chez nos deux observées présentent de grands mouvements des membres, du tronc, du cou, de la face, etc.
ne vaut pas la peine de parler du diagnostic différentiel entre les mouvements myocloniques et les tremblements : secousses brèv
et coprolalie et ensuite dénommée maladie des tics convulsifs. Les mouvements myocloniques sont plus violents, plus brusques, p
Séance du 10 mars 19)0. HO MONIZ (in thèse de Berland) ; mais ces mouvements myocloniques doivent avoir été de nature hystér
ur donne l'origine, méritent bien d'être séparés de tous les autres mouvements convulsifs qui leur sont semblables quant à la
s unes peuvent leur ressembler dans leur période initiale, mais les mouvements n'ont pas la même pathogénie, ils se compliquent
qu'on devine toujours chez les liqueurs. Le tic est généralement un mouvement localisé, il se répète toujours d'une manière s
, leur développement. Ce serait vouloir aller trop loin de voir des mouvements coordonnés ou leurs caricatures (Charcot) dans ce
pourrait voir des systématisations et coordina- tions dans tous les mouvements les plus divers et les plus variés. Et, bien au
les plus divers et les plus variés. Et, bien au contraire, dans les mouvements des tiqueurs on reconnaît toujours ces caractér
les tics la volonté domine toujours, pendant un cer- tain temps les mouvements . Les tics ont d'ailleurs un siège fixe où ils o
ont d'ailleurs un siège fixe où ils ont été créés. Dans nos cas les mouvements atteignent presque tous les muscles, ils n'ont pa
ion. Elles ne reproduisent pas les mots que nous leur disons ni les mouvements que nous exécutons devant elles. Elles ne peuve
ons devant elles. Elles ne peuvent pas dominer par la volonté leurs mouvements ; au contraire, quand on l'a fait intervenir ils
entués à la face et au cou, mais qui existaient aussi aux membres ; mouvements qui ont apparu successivement et lentement ; mo
membres ; mouvements qui ont apparu successivement et lentement ; mouvements toujours figurés, de formalion psychique, pas si
ocié à d'autres mots qu'elle entendait. En outre elle exécutait les mouvements qu'elle voyait faire. L'imitation était plus faci
cile quand elle était distraite. 1 La volonté pouvait dominer les mouvements et l'imitation, dans cer- taines limites. La
x-ci ont des caractéristiques qui les sépa- rent de tous les autres mouvements . Je sais bien que la base psychique est quelque
affirmation qu'il faut démontrer. Pour affirmer que les tics et les mouvements myocloniques à leur période initiale sont quel-
etc. Je pense qu'on a trop généralisé les idées sur les tics à des mouvements apparemment égaux mais qui ont des origines dif
nt des origines différentes. Mais, au contraire, faire des tics des mouvements myocloniques (Van- lair) c'est affaiblir la val
montrée. La maladie de Gilles de la Tourette a, par l'extension des mouvements , qui souvent surviennent subitement, par sa for
eur intensité. Et comme nous l'avons vu, les tics sont toujours des mouvements systé- matisés ou leur caricalure. L'oeuvre de
lantaire ne détermine aucune réaction. Pas de clonus du pied. Les mouvements volontaires des dill'érents segments sont normaux
ension et de la supination des avant-bras. Mêmes remarques pour les mouvements passifs. Les organes génitaux sont bien dévelop
n état d'agitation. La malade chante, crie, pleure, est toujours en mouvement , gesticule, fait des gri- maces. Insomnie. Elle
l'impossibilité de parler. On ne constate rien de particulier pour mouvements passifs du cou et l'enfant ne réussit cependant à
u cou et l'enfant ne réussit cependant à faire spontané- ment aucun mouvement avec la tête. Le malade n'accomplit aucun mouve
é- ment aucun mouvement avec la tête. Le malade n'accomplit aucun mouvement des membres supérieurs et inférieurs ; dès qu'o
cune position obligée. Cependant on observe que la résis- tance aux mouvements passifs varie un peu d'un moment à. l'autre, tout
eu d'heures après ponction lombaire, l'en- fant réussit à faire des mouvements avec les bras, plus étendus avec le droit qu'av
supérieurs, réussit assez bien à exé- cuter l'ordre, cependant les mouvements ne s'accomplissent pas tout de suite et ils son
s tout de suite et ils sont faits par détentes. Il met également en mouvement les membres in- férieurs, mais l'activité est p
re quelques paroles compréhensibles, d'abord d'une voix aphone. Les mouvements actifs des membres supérieurs et inférieurs s'a
us 37°). ' On observe dans les membres supérieurs et inférieurs des mouvements cho- réiformes involontaires, plus marqués à ga
fatigue après avoir fait quelques pas. Il persiste encore de légers mouvements choréiformcs à la charge des membres supérieurs
RÉACUTISATION DE L'HYDROCÉPHALIE INTERNE 213 sans tremblements; les mouvements passifs et actifs des membres sont amé- liorés.
ors l'enfant présente dans les membres supérieurs et inférieurs des mouvements choréi formes ; laissé debout, il a de la tendanc
u malade s'améliorèrent encore davantage, de même que l'allure, les mouvements choréirormes; il per- sistait seulement un peu
anarthrie, voix nasale, parésie du facial inférieur, diminution des mouvements de la langue, déglutition, dif- ficile ou impos
ilité générale et la phonation s'améliorent encore, pendant que des mouvements choréi- formes et des troubles cérébellaires se
subit tout à coup, avec son angle supéro-in- terne comme pivot, un mouvement de bascule qui porte sa partie supé- rieure en
e constater une mobilité singulière de ses omoplates, amenée par un mouvement fortuit et dont il ne put me dire depuis quand
. La saillie de celles- ci augmentait en raison de la diversité des mouvements , de sorte qu'elle deve- nait perceptible même i
, suivant sa volonté, d'une manière exceptionnelle, en exécutant un mouvement rythmique se dirigeant de l'arrière à l'avant.
t à la position des omoplates dans la direction dorso-an- térieure, mouvement pendant lequel, l'extrémité acromiale de l'omopla
n qui en ré- sulte est la même de chaque côté du thorax. Tous les mouvements du deltoïde, du sous-épineux, du sus-épineux,du s
et fonctionnent régulièrement. Il faut surtout mention- ner que les mouvements s'exécutent avec une force suffisante, capable d'
parvenir avec les ongles, il en est arrivé, à force d'exécuter des mouvements extra- ordinaires, à acquérir la souplesse décr
proximité du col de l'humérus, les muscles en question exécutent le mouvement sur l'omoplate, qui est attiré en avant, et cré
des petits muscles auriculaires. Les muscles qui prennent part à ce mouvement pendant ce changement de position des omoplates,
e quantité. La malade souffre tellement qu'elle ne peut faire aucun mouvement que nous lui demandions avec le membre malade,
nous l'avons redressé d'avance, mais la malade peut faire un loger mouvement de rotation en dehors. Les orteils sont immobil
Les orteils sont immobiles, tombants et tous sur le même plan. Les mouvements dans les articulations du genou et de la hanche s
malade est aussi bien gaucher que droitier. Pouce gauche : tous ses mouvements de flexion, d'adduction et d'opposi- tion sont
s de flexion, d'adduction et d'opposi- tion sont conservés. Seul le mouvement d'extension du pouce est aboli ; la taba- tière
produire par leur contraction une saillie apparente du tendon ou un mouvement correspon- dant du pouce. On peut être surpri
e pas. PARALYSIE ISOLÉE DU LONG EXTENSEUR DU POUCE 237 et que les mouvements d'opposition du pouce ; tels sont les phénomènes
R ARTHROPATHIE DE L'ÉPAULE 243 la sensibilité influant sur tous les mouvements réflexes automatiques et volontaires. Nous ve
ant-bras, coude, bras, égale- ment normaux. Mais en recherchant les mouvements de l'épaule, on voit le Feu. 2. 244 MANHEIMER
une gêne, il sera facile de s'y habituer, il aidera même les autres mouvements de la main. Ces vues se sont trouvées confirmée
engelures, ses extré- mités deviennent très froides, violacées, les mouvements des doigts se font difficiles. La peau se durci
e, présente des traînées scléreuses aux poignets, qui empêchent les mouvements de flexion et d'extension de la main. Depuis
ont plus de lunule et semblent même avoir perdu leur matrice. Les mouvements des doigts sont très limités, sans qu'il y ait ce
, diminue à la racine des membres et à la ceinture pelvienne. Les mouvements articulaires aux hanches sont normaux, mais ils s
tion progressive de la force et par la lenteur et la maladresse des mouvements volontaires. Cette myosclérose ne fait aujourd'
ée des dernières phalanges donnant lieu à une grande limitation des mouvements . ÉTUDE RADIOLOGIQUE D'UN CAS DE SCLÉRODERMIE 30
trophiques, des altérations articulaires et des limitations dans le mouvement des grandes articulations, qui auraient une tenda
D'UN CAS DE SCLERODERMIE 307 troubles articulaires, limitation des mouvements , troubles de la sensibi- lité, troubles vaso-mo
matisante, artères dures, douleurs lancinantes, limitation dans les mouvements arti- culaires, la peau adhère aux plaques sous
alade se plaint pour la première fois de dou- leurs accompagnées de mouvements spasmodiques dans tout le moignon. Ces douleurs
e en flexion très marquée ; la malade peut exécuter quelques petits mouvements de flexion des doigts ; elle réussit encore à p
sont beaucoup moins marquées au membre inférieur. La résistance aux mouvements de flexion de la jambe sur la cuisse est très é
de flexion de la jambe sur la cuisse est très énergique,' celle aux mouvements d'extension l'est beaucoup moins. Le réflexe pa
une légère déviation de la pointe de la langue du côté gauche. Les mouvements de latéralité à droite se font moins bien que d
s cn commence à lui faire ré- péter les lettres en lui montrant les mouvements des lèvres et de la langue. Elle réussit très b
ro- nonciation de chaque lettre, ou bien en lui faisant répéter des mouvements , imitant de près ou de loin la prononciation de
céder lentement, faisant précéder la prononciation d'une syllabe de mouvements simples, l'acheminant progressi- vement vers la
ter les mots simplement entendus, sans être obligée de regarder les mouvements des lèvres et de la langue ; aupara- vant la vu
les mouvements des lèvres et de la langue ; aupara- vant la vue des mouvements nécessaires à la prononciation de la première s
ment d'hémiplégie droite et de paralysie faciale gauche, et que les mouvements des lèvres ne pouvaient être ainsi commandés que
haut en bas. Il danse dans un espace très restreint (aveugle). Les mouvements sont très rapides. ,360 BEN ON rax est plutôt
avec beaucoup de souplesse, sautant d'un pied sur l'autre. Mais les mouvements qu'il exé- cute sont peu étendus. Il danse pres
se, sont fléchis à angle droit, en même temps qu'ils sont agités de mouvements incessants mais courts dans le sens ver- tical.
s mais courts dans le sens ver- tical. La tète est animée de petits mouvements de haut en bas. Il danse une ou deux minutes et
garde pas davantage l'immobilité. Le buste est bientôt t animé d'un mouvement transversal de gauche à droite et d'avant en arri
e les doigts des mains qui reposent sur les cuisses, font de petits mouvements de frottements, les uns avec les autres. Les ye
e lorsqu'il danse : ba-ba, bi.bi, ba-ba, bi-bi, etc... Il cesse les mouvements du corps pour exécuter des mouvements des membr
a, bi-bi, etc... Il cesse les mouvements du corps pour exécuter des mouvements des membres supérieurs ; il se touche les oreil
lquefois il croise les jambes, puis les décroise. Il fait aussi des mouvements de rotation du tronc, etc. Spontanément, il se
rt avec cette variété d'excitation, de même que la souplesse de ses mouvements , leur rapidité et leur durée. Ce malade qui est
ive des muscles faciaux s'accompagne, dans un bon nombre de cas, de mouvements convulsifs, sur la fréquence et la nature desqu
ent signalé l'existence dans le cours d'observa- tions isolées. Ces mouvements convulsifs sont mentionnés depuis long- temps d
ciaux, de Brissaud, Meige, Thomas, Babinski, etc., l'analyse de ces mouvements convulsifs survenant après la paralysie du nerf
at de repos du visage, elles deviennent manifestes à l'occasion des mouvements qui mettent en action les muscles de la face, p
l'état d'activité de la face. Cette variété est constituée par les mouvements associés involontaires, que Ilitzig a plus partic
eaucoup d'observations de paralysie faciale avec contrac- ture. Ces mouvements associés involontaires se définissent par leur no
se définissent par leur nom lui-même : ils consistent, en effet, en mouvements , soit d'élévation involon- taire de la commissu
tion volontaire ou réflexe d'un ou de plusieurs autres muscles. Ces mouvements associés s'observent en général dans le côté pa
une quatrième variété, de date plus récente, on peut obser- ver des mouvements associés involontaires, analogues aux précédents,
tractions fibrillaires brusques, labio-blépharospasme intermittent, mouvements associés involontaires, contractions synergiques
ort fait par la malade entraîne dans l'hémiface gauche une série de mouvements associés qui sont : fermeture de l'oeil avec ba
. , L'occlusion des paupières est possible du côté gauche, mais les mouvements de la paupière supérieure gauche sont plus lent
e se contracter tout entière jusqu'au peaucier, présenter les mêmes mouvements associés et prendre le même aspect pleurard. Le
ts, on remarque la même contraction de l'hémiface gauche avec mêmes mouvements associés, et, en plus, la fermeture presque com
s, résistant, s'il se place entre les mâchoires du côté gauche, les mouvements de mastication s'accom- pagnent de contraction
e hors de la bouche n'est pas déviée, elle ne tremble pas; tous ses mouvements sont possibles. Le voile du palais est normal,
contraction du peaucier gauche est beaucoup plus apparente dans les mouvements associés que dans l'exploration directe de la m
musculaires ne se montrent que lorsque les paupières exécutent leur mouvement physio- logique de clignement. Si on fait clign
trique, le contact d'une électrode, les impressions psychiques, les mouvements de la face, les actes de parler, rire, souffler,
le des muscles du même côté. Mais les excitations qui provoquent un mouvement de clignement des paupières 374 PITRES ET ABADI
la diminution du sillon sous-palpébral, et se manifestant dans les mouvements de la face par l'immobilité complète du frontal e
latérales, la formation d'un deuxième sillon labio-génien. 1 3° Des mouvements associés dans l'hémiface gauche. Le moindre effor
dant, accentuant ainsi la déviation permanente des traits. Dans ces mouvements , on voit le frontal, le sourcilier et le peauci
pas, se contracter dans l'ouverture de la bouche, par exemple. Ces mouvements associés ne se transmettent en aucune façon au
iface, y compris le peaucier. Ces contractions sont synergiques des mouvements de clignement physiologique involontaire des paup
se. Toute excitation périphérique, toute impression psychique, tout mouvement de la face qui entraîne le cligne- ment palpébr
essentiel (Henry Meige). Ces caractères sont : l'unilatéralité des mouvements con- vulsifs, leur aspect fasciculaire ou parce
ntanées et irrégu- liéres, sont en réalité toujours synergiques des mouvements de cligne- ment physiologique des paupières (2)
nsta- tation à l'état de veille de la relation étroite qui unit ces mouvements convulsifs de la face au clignement, spontané o
gique des pau- pières, toujours très léger, ne s'accompagne d'aucun mouvement apparent de la face ; de même le clignement exé
l'état normal, l'occlusion énergique des paupières s'accompagne de mouvements associés des muscles de la face : ces mouvement
es s'accompagne de mouvements associés des muscles de la face : ces mouvements s'observent d'un côté de la face ou des deux, s
ue, pour provoquer, dans certains cas analogues au pré- cédent, des mouvements synergiques des muscles voisins et plus particuli
Sans pénétrer plus avant dans l'explication physio-patbologique des mouvements convulsifs posl-paralytiques de la face, on peut
on peut dès à présent envisager les deux premières variétés de ces mouvements comme les ébau- ches plus ou moins accusées des
l'état de repos. Les HÉ : iISPAS11ES SYNCINÉrrQUES DE LA FACE 379 mouvements convulsifs port-paralytiques de la face, malgré l
ls se montrent, se rangent par consé- quent tous dans la classe des mouvements associés involontaires puisqu'ils sont tous pro
le cligne- ment était plus fort. Chez les quatre autres, le moindre mouvement de clignement volontaire ou réflexe entraînait
e labiale et de la joue. Chez tous les six malades, il existait des mouvements associés involontaires très apparents, tels que
tractions fibrillaires brusques, labio-blépharospasme intermittent, mouvements associés involontaires, sont les manifestations
riphérique, parvenue à la phase de spasmodicité et ne présentant ni mouvements associés ni secousses muscu- laires spontanées,
is sans la moindre amélioration, puis peu à peu elle s'atténua; les mouvements revinrent lentement, les traits furent moins dé
auche qu'à droite : l'effort ainsi fait par la malade n'amène aucun mouvement associé dans les muscles du côté gauche de la f
également à l'effort fait pour les ouvrir. Dans ces actes, au- cun mouvement associé n'apparaît dans le côté gauche de la face
plis déterminés par la contraction des muscles mis en jeu dans ces mouvements sont moins nombreux et surtout moins accusés du
ont entraînés légèrement du côté gauche. Mais on ne constate pas de mouvement synergique des autres muscles. La paroie articu
es de l'hémiface gauche. - A l'état de repos de la face ou dans les mouvements habituels de la mimique faciale, il n'existe, pi
es faciaux, aucune secousse fibrillaire ou fasciculaire. Dans les mouvements forcés de la face (ouvrir grandement la bouche, t
ce gauche. Mais, si on fait exécuter volontairement à la malade des mouvements de clignement des paupières, ce clignement volo
t et disparaissent de même ; elles sont absolument syn- chrones aux mouvements de clignement des paupières et ne se montrent j
existe pas de signe de l'épaule, ni à droite, ni à gauche. Tous les mouvements volontaires sont conservés dans les membres tan
de paralysie faciale gauche, se traduisant par une dimi- nution des mouvements du frontal et dusourcilier,par la parésie de la m
résence d'une fossette mentonnière unilatérale. 3° Une absence de mouvements associés dans l'hémiface gauche. L'action d'un
es musculaires dans l'hémiface gauche à l'état de repos ou dans les mouvements habituels de la mimique faciale. 5° L'apparitio
tuelle, apparaissent toujours et exclusivement sous l'influence des mouvements énergiques des paupières et plus particulièrement
onc être prise en considération pour le diagnostic différentiel des mouvements convulsifs de la face. Elle n'a ja- mais été si
e rendre compte du phénomène. Il est incontestable qu'il existe des mouvements associés entre l'orbiculaire palpébral et l'éléva
s contractions syncinétiques ainsi observées chez leurs malades aux mouvements associés involontaires qui ont été décrits dans
rmati- ves de nos propres recherches. Elles prouvent que, parmi les mouvements convulsifs de la face, certains sont en relatio
ile de mettre en évidence que ces contractions sont synergiques des mouvements de clignement physio- logique des paupières et
nant, on constate l'existence, dans la moitié droite de la face, de mouvements convulsifs intermittents : on découvre aussi dans
son attention sur l'existence, dans le côté droit de la figure, de mouvements intermittents, analogues à de légers tics. Il n
outre autour de lui que lorsqu'il avait bu plus que de coutume, les mouvements étaient plus forts. A aucune époque de sa vie,
ucune époque de sa vie, et en particulier avant l'apparition de ces mouvements de la face, le malade n'a eu de paralysie faciale
n du malade. Le malade est examiné spécialement au point de vue des mouvements convulsifs que présente sa figure. Ces secousse
on sur elles pour les augmenter, les arrêter ni les modifier. Les mouvements de la face, dans la mimique ou volontairement exé
men plus attentif on note aussi les phénomènes suivants : Dans les mouvements du frontal et du sourcilier, le sourcil droit s'é
e du côté correspondant à la lésion, con- traction provoquée par un mouvement alternatif de fermeture et d'ouverture des yeux
ns suivantes, en manière de conclusions de notre travail. Parmi les mouvements convulsifs de la face, il faut distinguer ceux qu
t s'accompagner d'incurvation du nez, de fossettes mentonnières, de mouvements synergiques para- doxaux. Les mouvements conv
ssettes mentonnières, de mouvements synergiques para- doxaux. Les mouvements convulsifs, observés dans ces conditions, sont ex
éral sur tout un groupe musculaire à la fois et ne réalisent pas un mouvement de la mimique que la volonté peut reproduire.
aire presser fortement sur les paupières en les remuant. Parfois le mouvement se produit seulement à la clôture ou à l'ouvert
e. ' 396 . PITRES ET ABADIE atteint. Ils sont synchrones avec les mouvements de clignement spontané physiologique des paupiè
uvent être considérés comme de véritables spasmes syncinétiques des mouvements des paupières. Ils constituent l'ébauche, pour ai
ents des paupières. Ils constituent l'ébauche, pour ainsi dire, des mouvements associés de la face, depuis longtemps décrits dan
pasme intermittent avec élévation rythmée de la commissure labiale, mouvements associés, mouvements synergiques paradoxaux, co
ec élévation rythmée de la commissure labiale, mouvements associés, mouvements synergiques paradoxaux, constituent les termes d'
les débutent brusquement après quelques prodromes qui consistent en mouvements incoordonnés portant sur les mains et sur les m
coordonnés portant sur les mains et sur les membres inférieurs. Ces mouvements sont aussi marqués à droite qu'à gauche. Survie
le membre supérieur gauche est nettement plus faible que le droit ( mouvements empêchés, opposition du pouce et du médius) dan
ière est affaiblie ; le visage est asymétrique surtout pen- dant le mouvement ; la mimique est lente ; tremblement des muscles
t le relâchement se font 1. ! }tluniq1lemel/t, synchroniquement aux mouvements dits respiratoires du cerveau. Il est sur que l
phé- nomène de paralysie ; la malade exécute très correctement des mouvements de flexion, d'extension et de circumduction du
n est bila- térale et l'intégrité fonctionnelle au point de vue des mouvements de l'ar- ticulation tihio-tarsienne est aussi c
sième malade. Ici lorsque nous 474 MARIE ET BOUTTIER imprimons un mouvement à la jambe, le pied est secoué dans tous les se
La malade est dans l'impossibilité complète d'exé- culer le moindre mouvement de l'articulation tibio-tarsienne et même les m
le moindre mouvement de l'articulation tibio-tarsienne et même les mouvements qu'elle imprime aux orteils sont pour ainsi dire
rencie de notre pied ballant par l'inté- grité presque complète des mouvements de l'articulation tibio-tarsienne, par l'intens
ntimètres seulement au-dessus du plan du lit. La répétition du même mouvement provoque la contracture du membre. La jambe gau
ve est difficile, à cause de la contracture qui survient lorsque le mouvement est fait un peu brusquement, surtout à droite. Le
ut à droite. Les réflexes rotuliens sont tous les deux exagérés, le mouvement d'extension de la jambe est parfois accompagné
dissement, de sorte qu'il se voit obligé de garder le lit. Quelques mouvements du membre gauche ont persisté jusqu'à son entrée
de toutes les articulations. Passivement, on peut exécuter tous les mouvements . Aux membres supérieurs, il n'est gardé de la m
igne de de Graefe (les paupières supérieures n'accompagnent pas les mouvements d'abaissement des globes oculaires). Le plissemen
t avec la même intensité. Il présente quelque amélioration dans les mouvements des globes oculaires : il' ferme bien les yeux, i
s oculaires : il' ferme bien les yeux, il a commencé à exécuter des mouvements dans les muscles de la face, il siffle, éteint le
e amélioration de la motilité. Aux membres supérieurs il exécute le mouvement actif d'opposition du gros doigt, il porte l'in
exion et l'extension des doigts s'exécute normalement, et aussi les mouvements de l'articulation du poignet et du coude. Il peut
ulations tibio-tar- siennes ; les doigts sont encore immobiles. Les mouvements passifs sont diffi- ciles et engendrent des dou
- ci sur le bassin. L'extension est possible, mais douloureuse. Les mouvements de la jambe sont un peu plus libres ; il ne peu
11 (1891) Archives de neurologie [Tome 21, n° 61-63] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
'activité psychique, ne sont que l'irradiation intercellulaire d'un mouvement molécu- laire né de ces impressions, partant d'
- nomène de la nature, se réduisent donc à une 'forme spéciale du mouvement . A cette époque, Herzen croyait encore avoir à
Ileizen, admet nenf formes élémentaires de ces transformations du , mouvement psychique » : Les sensations peuvent se transfo
intentionnelles ou volon- taires. En effet, nous appelons ainsi les mouvements dont nous avons une représentation anticipée, d
continues, diminuerait ou abolirait la conscience en suspendant le mouvement de désintégra- tion fonctionnelle des cellules
e catalepsie de l'intelligence) l'équiva- lent de la convulsion des mouvements . La volonté ne saurait réfréner le tumulte des
le de premier ordre, de Raffaele Brugia et Scip. Marzocchi. Sur les mouvements systématisés danz quelques formes d'alfaiblisse
ts systématisés danz quelques formes d'alfaiblissent mental'. Par mouvements systématisés ou fixes, ces auteurs enten- dent
Par mouvements systématisés ou fixes, ces auteurs enten- dent les mouvements qu'on appelle d'ordinaire forcés ou incoercible
nerv., 1887, 42a. 38 PHYSIOLOGIE. suggestions'd'actes etc. « Par mouvements fixes ou systématisés, nous entendons ces mouve
tes etc. « Par mouvements fixes ou systématisés, nous entendons ces mouvements circons- crits, stéréotypés, rhythmiques et coo
qui ne correspondent à aucun but, en dépit de leur appa- rence de mouvements intentionnels, et qui, en l'absence de toute ac
ue aux états d'excitation, aux décharges motrices du cerveau. » Ces mouvements peuvent être acquis ou congénitaux : parmi ceux
tant involontaire et inconsciente, des idées, des sentiments et des mouvements , est fréquente chez les personnes d'une intelli
inférieure et chez les névropathes. La sobriété des gestes et des mouvements , le pouvoir de les maîtriser et de les con- ten
- sité de la conscience est en raison inverse de la diffusion des mouvements , a dit Ferrier. Les mouvements systématisés étu
raison inverse de la diffusion des mouvements, a dit Ferrier. Les mouvements systématisés étudiés par Brugia et Marzocchi so
provoquées par des stimuli internes résultant, d'un en- semble de mouvements inconscients, organiquement ou dynamiquement co
'ils ont lieu : 1° par irritation locale des centres corticaux du mouvement , comme dans l'agitation maniaque et les LES FON
e d'observer, dans les asiles d'aliénés, chez les déments, certains mouvements uniformes et rhythmiques, qui sont l'expression
t les derniers vestiges d'énergies intellectuelles éteintes.- Ces mouvements systématisés et fixes, toujours les mêmes chez
esquelles ils répondaient aux diverses incitations : les résidus de mouvements que présentent ces déments sont donc analogues
z ces malades. La forme convulsive que revêt ici, au début, tout, mouvement volontaire, lequel s'épuise avant d'a- voir att
s images de sensibilité tac- tile et musculaire qui accompagnent le mouvement considéré, et dont le complexus constitue la re
ré, et dont le complexus constitue la repré- sentation idéale de ce mouvement ; 2°l'impulsus cen- trifuge vers les nerfs et le
rfs et les muscles qui doivent être mis enjeu pour la production du mouvement . La sensation d'innertion motrice, c'est la con
celle des éléments « moteurs » de ce centre. La représentation d'un mouvement , qu'elle soit physiologique ou pathologique, c'
t la phase centrifuge d'une idée motrice quoiqu'il n'y ait point de mouvement effectué, les nerfs moteurs et les muscles sont
comme ils l'ont été et comme ils le seraient, à l'état fort, si un mouvement véritable se produi- sait. Trois phases carac
ée par le réveil, dans un centre cortical, des images sensitives du mouvement ; il, La phase centrifuge est constituée par l'i
qui, du même centre, va vers les nerfs et les muscles destinés au mouvement ; 3° la phase centripète est constituée par la p
lus importante pour l'organi- sation des représentations idéales du mouvement . Mais une fois ces représentations organisées d
tions des amputés, sans que les images motrices et la conscience du mouvement accompli fassent défaut. La phase centrale et l
l'illusion, non seulement de l'existence, mais du déplacement et du mouvement des parties absentes ou frappées d'anesthésie t
, toujours simultané, créent de toutes pièces les hallucinations du mouvement . Cette genèse des hallucinations motrices vaut
selon Tamburini, outre une per- ception visuelle, une sensation des mouvements de l'oeil, une représentation motrice, conscien
consciente, constituée par des images tactiles et mus- culaires des mouvements de l'oeil, représentation nécessairement liée à
réac- tions motrices sont le fait des appareils périphériques des mouvements avec lesquels toutes les régions de l'écorce so
la langue, et cela alors même que la malade exécute en parlant des mouvements volontaires avec sa langue, ou que celle-ci est
anée dans le centre cortical irrité : Il, d'images sen- sitives des mouvements correspondant à la projection des représentatio
seulement pour le LES FONCTIONS DU CERVEAU. 4< malade, ou des mouvements réels, mais toujours sans qn'aucune parole soit
relations. 52 PHYSIOLOGIE. forme spéciale de l'énergie, comme le mouvement , la chaleur et l'électricité ? 2 - Les phénomèn
étique ou potentielle, ou, tout au moins, qu'ils se transforment en mouvement , chaleur, électricité, etc. L'observation, cont
les comparer à ce que' fait l'homme de peine. » La pensée, comme le mouvement musculaire, sont des effets de l'action chimiqu
ent, dit Lebreton, que la malade étant couchée, peut im- primer des mouvements étendus à ses membres inférieurs. On croirait a
les mêmes symptômes en 1885. ' Jaccoud. - Paraplégie et ataxie du mouvement , page 653, Paris, 1864. ! Thèse de Paris, 1868.
s; elle ne peut plus se tenir debout sans appui. Depuis huit jours, mouvements choréiques de la face et du bras droit. Les mem
he. Elle se renverse sur les talons et la station est gênée par des mouvements contradictoires, empêchée par la cho- rée paral
o- rée paralytique droite. En marchant elle traîne le pied droit ( mouvement type de l'hémiplégie hystérique). Depuis les atta
devenues possibles, quoique toujours sautillantes ; en juillet, les mouvements saltatoires diminuent d'amplitude tous les jours.
s et de douleurs de tête, pendant un an, avant qu'on remarque les mouvements désordonnés des jambes ; il s'agit donc encore
n produit l'ouverture des yeux, la dilatation de la pupille, et des mouvements de la tête et des yeux du côté opposé. Ce cen
différencié plus complètement par Beevor et Hors- ley, suivant les mouvements primaires qui résultent des excitations minima
prona- tion. - 5, extension en avant du bras opposé. - a, bc c, ci, mouvement des doigts et du poignet. - 6, flexion et supin
e paracentral, se trouve une région dont l'excitation pro- duit des mouvements de l'exlrémité inférieure. Les mouvements varie
'excitation pro- duit des mouvements de l'exlrémité inférieure. Les mouvements varient suivant la position des électrodes dans
des électrodes dans le centre. Derrière la scissure de Rolando, les mouvements sont principalement ou exclusivement dans les p
c des excitations minima, on peut encore différencier davantage les mouvements (fig. 4) et en particulier, on peut pro- duire
e les mouvements (fig. 4) et en particulier, on peut pro- duire des mouvements du gros orteil seul par une excitation de l'ext
tions centrales, se trouve une région dont l'excitation produit les mouvements du membre supérieur (3. 4, 5, 6, a, 6, c. d, fig.
tre, il est possible de différencier plus ou moins complètement les mouvements du bras (flexion et exten- sion), les mouvement
s complètement les mouvements du bras (flexion et exten- sion), les mouvements de l'avant-bras (flexion, supination, etc.). ce
on, supination, etc.). ceux du poignet, des doigts, du pouce. Les mouvements « proximaux » sont représentés dans la partie,
aux » sont représentés dans la partie, supérieure de la région, les mouvements « distants » c'est-à-dire ceux de l'extrémité d
nférieure du sillon intra- pariétal peut mettre individuellement en mouvement le pouce (fig. 4). La région correspondante du
dernier point produit la sortie des griffes, action comparable aux mouvements du poignet et des doigts par l'excitation de la
tions centrales, se trouve une région dont l'excitation produit des mouvements de la face, de la bouche, de la langue. Dans la
apin (fig. 7). L'excitation de la partie inférieure a produit ! des mouvements de la bouche et de la langue, la propulsion de
gion homologue chez le chat (miaulement). J'ai aussi montré que les mouvements produits par l'excitation de cette région étaie
x, ce que Krause,Semon, et Horsley, ont retrouvé être vrai dans les mouvements des cordes vocales. Les centres pour la tête
aist, queue. LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES. z fig. 7), produit des mouvements du dos, de la queue, du pelvis ; en arrière, l'
ère, l'extension de la hanche, la flexion de la jambe et enfin, les mouvements du pied et des orteils. Ces mouvements ne sont
on de la jambe et enfin, les mouvements du pied et des orteils. Ces mouvements ne sont pas cependant toujours bien différencié
vent se changer les uns en les autres et sont souvent compliqués de mouvements secondaires des différents segments du membre.
ion du gyrus angulaire, pli courbe (13', 13, fig. 1), pro- duit des mouvements du globe des yeux, et parfois de la tête vers l
né aucun résultat. Mais Luciani et Tamburini ont parfois obtenu des mouvements des yeux semblables à ceux obtenus par l'excita
ation du pli courbe, quoique moins marqués. Et Schmfer 2 décrit des mouvements semblables se produisant après l'excitation des
es à celles de Luciani et de Tamburini, et montrent que quoique les mouvements du globe oculaire, puissent être obtenus par l'
6) et chez le lapin (fig. 7).,Quelquefois, on obtient seulement les mouvements de l'oreille, et quelquefois, l'animal essaie d
Parfois l'excitation de la circonvolution de l'hippocampe donne des mouvements sembla- ' Sui ceralri psico-sensori corlicali,
une très grande différence quant à leur étendue et au caractère des mouvements avec les- quels ils sont en relation. Existe-t-
s des lésions localisées. Bartholow' et Sciamanna 2 ont observé des mouvements du côté opposé du corps en excitant l'écorce à
rès plusieurs essais, on obtint quatre réponses différentes, quatre mouvements définis : 1° dans la position la plus antérieur
ts définis : 1° dans la position la plus antérieure qui a donné des mouvements , on a eu une déviation conjuguée de la tête du
était attirée en haut et en dehors; 3° au-dessous du point pour les mouvements de l'angle de la bouche, à à peu près douze mil
rérolandique. juste derrière la scissure précentrale, on obtint des mouvements du poignet et des doigts. La main se mit en ext
ou- vements furent obtenus, l'application du courant produisit un mouvement du coude gauche, extension et flexion de l'épaule
fut portée en haut et en adduction. Au-dessous de la région, où les mouvements de la main avaient été obtenus, l'application du
la main avaient été obtenus, l'application du courant produisit un mouvement en avant, en bloc, de tout le côté gauche de la
point,juste en arrière de la scissure de Rolando, on a observé des mouvements dans l'ordre suivant : flexion du pouce sur la
la face du côté opposé. Dans quatre cas de Nancréde , on obtint des mouvements du pouce par l'excitation d'une région correspo
s leur ensemble sont complètement séparés les uns des autres. Aucun mouvement de la jambe ne provient de l'excitation du cent
de la jambe ne provient de l'excitation du centre de la face ni les mouvements de la face de l'excitation du centre de la jamb
76 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. d'un centre donné puisse produire des mouvements combinés de ce centre et du centre voisin ne pe
portion contient des fonctions unies, c'est-à-dire la fonction des mouvements du bras et de la jambe ou du bras et de la face.
un or- gane des sens d'un autre. Nous avons vu cependant pour les mouvements individuels d'un membre que, quoiqu'on puisse f
individuels d'un membre que, quoiqu'on puisse fréquemment isoler un mouvement particulier, par une excitation minime d'un poi
minime d'un point défini dans le centre général, cependant, le même mouvement peut se produire avec d'autres quand une partie
est excitée. On peut in- terpréter ce fait soit en supposant que le mouvement particulier, du pouce par exemple, est représen
écorce ne sont pas seulement des contractions musculaires, mais des mouvements synergiques coordonnés pour des actes ; et comm
êmes groupes musculaires entrent dans la composition des différents mouvements innervés par les racines réspectives motrices d
férentes régions corticales. Quelle que soit l'évidence de certains mouvements , il ne s'ensuit pas forcément qu'ils soient la
directe des ré- gions motrices dans le sens propre du mot, car ces mouvements peuvent être le résultat de quelque état psychi
, ou bien être de nature réflexe et alors ne différer nullement des mouvements produits par l'exci- tation périphérique, ou bi
différents or- dres d'animaux, et ce fait que l'on peut obtenir des mouvements semblables par l'excitation de différentes régi
régions corticales en certains cas, m'ont conduit à croire que ces mouvements peuvent avoir une signification différente, et,
x inférieurs. Les réactions, comme nous l'avons déjà vu, sont des mouvements des globes oculaires, et parfois de la tête du co
res, et parfois de la tête du coté opposé; et fréquemment aussi des mouvements des pupilles, pas toujours de même caractère, p
parfois la contraction, parfois la dilatation. J'ai trouvé que ces mouvements se produisaient plus facilement et d'une façon
courbe. Règle générale, LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES. 79 avec les mouvements latéraux, on obtient des mouvements en haut qua
SATIONS CÉRÉBRALES. 79 avec les mouvements latéraux, on obtient des mouvements en haut quand le segment antérieur du pli courb
enir, comme l'ont démontré les premiers Luc- cani et Tamburini, les mouvements des yeux par l'excitation du lobe occipital. Sc
courbe, que j'ai trouvé aussi excitable que le reste, obtient des mouvements en bas des yeux par l'excitation, non seulement d
aque côté de la scissure pariélo occipitale interne. Il obtient des mouvements en haut par l'excitation de la surface sous-jac
de la marge inférieure de la surface convexe. Il obtient un simple mouvement latéral des yeux en excitant le reste de la con
e ne parait pas être comprise dans ce schéma. Mon hypothèse que ces mouvements de la tête et des yeux sont les signes d'une se
confirmation des expériences de Schoefer sur la période latente des mouvements oculaires suivant l'excitation respectivement des
e gauche du cerveau d'un chien. 1, Le membre posé ou wuacé. -.t, 3. Mouvement latéral ou agitation de la queue. - 4, Rétracti
e, - 12, Les yeux largement ouverts avec dilatation des pu. pilles. mouvements des globes oculaires et de la tête du côlé opposé
le dernier cas. Ceci concorde avec l'hypothèse que dans un cas les mouvements étaient réflexes et dans l'autre directs. Le fa
lexes et dans l'autre directs. Le fait qu'on obtient toujours les » mouvements des yeux par l'excitation de la région occipito-a
ociation des ré- gions frontales et occipitales n'empêchent pas les mouvements oculaires; tandis que Becliterew' et Munck'' on
s oculaires; tandis que Becliterew' et Munck'' ont trouvé que les mouvements sont entièrement annihilés par la section des fib
médullaires sous-jacentes. Danillo et Bechterew soutiennent que les mouvements ne peuvent donc pas être considérés comme l'in-
on visuelle subjective; mais cela ne serait pas réfuté, même si les mouvements continuaient toujours après l'abla- tion de la
- fi. occlusion de l'mil opposé. - 9. ouverture de la bouche, aiec mouvements de la langue. - iJ, mouvement en avant de l'oei
é. - 9. ouverture de la bouche, aiec mouvements de la langue. - iJ, mouvement en avant de l'oeil opposé, pwfois torsion de la t
complètement les deux plis courbes. Il n'y avait aucun ptosis, les mouvements des yeux étaient normaux, les réflexes cun- jou
bien à tous les excitants visuels, et se tient en éveil à tous les mouvements qui viennent dans son champ visuel. Cet oiseau
e électrique projetée sur son oeil, à toutes les menaces, et mis en mouvement il volait en aveugle contre tous les obstacles
tieuse de six observations. M. Kceppen dis- tingue trois espèces de mouvements chez les aliénés. I. Ceux qui, quoique paraissa
convulsifs peuvent être même épileptoides voire épileptiques. Le mouvement choréique a pour caractères : de se produire sans
tation de l'aliéné est parfois très voisine de la chorée. Les vrais mouvements choréiques des psychoses sont un élément surajo
ée par de la lenteur dans l'émission des mots et du bégaiement avec mouvements associés et tremblements convulsifs des muscles
'il ait les yeux ouverts ou fermés, une parfaite certitude dans les mouvements . Or, un véritable ataxique serait incapable, da
t-on d'ataxique toute incertitude, tout trouble de coordination des mouvements volontaires ? M. Laquer (de Francfort).-De l'at
du nerf optique droit. C'est le pied et l'orteil qui furent plis de mouvements d'extension et de flexions incoercibles même pe
ensibilité bilatérale des pupilles. On constate depuis six mois des mouvements lents, monotones, presque grotesques des pieds
ents lents, monotones, presque grotesques des pieds et des orteils, mouvements continus, nuit et jour. Il ne s'agit pas là de
ents continus, nuit et jour. Il ne s'agit pas là de chorée, car les mouvements sont -rythmiques et spasmodiques. 134 SOCIÉTÉ
la moelle, lequel est rattaché, par l'auteur, à l'irritation et aux mouvements fluxiou- naires que provoquent les lésions céré
hé permettant de noter les muscles qui entrent en fonctions dans le mouvement que l'artiste a voulu représenter. 150 BIBLIO
il restera entre les mains d'une com- mission intelligente. 6° Le mouvement d'opinion qui se produit en faveur de la va- ri
be, du pied et des orteils; rarement assez prononcées pour que tout mouvement soit impossible, enfin compliquées de troubles
, il ne peut la détacher du sol qu'en se renversant en arrière d'un mouvement brusque, et qu'il ne peut replacer à terre qu'e
il sent malle sol; il combine, autant qu'il en est le maître, les mouvements de son membre gauche en vue de l'acte de la mar
on. D'abord ce fut une sorte d'incertitude avec maladresse dans les mouvements , quelque- fois même avec un tremblement léger,
rurent à peu près complètement à la jambe droite. L'incertitude des mouvements était rapportée par le malade à une faiblesse d
s antérieurs de la cuisse, sont impuissants eux-mêmes à exécuter le mouvement d'éléva- tion de la jambe. Ainsi, tantôt l'impu
est dû le steppage. Le soin avec lequel le malade suit des yeux les mouvements de ses jambes n'appartient pas non plus en prop
con- servé l'intégrité de la force musculaire et la précision des mouvements des membres. La justification du terme astasie-
ersonne soutenue pourra encore avancer ses jambes, en rappelant les mouvements que font les enfants qui commencent à apprendre
tigmates d'hystérie coexistent très sou- vent avec ces désordres du mouvement , indiquant la nature du trouble; mais il n'est
rasset 2, considérant de son côté moins l'intensité du désordre des mouvements , que la qualité des troubles, ramène les cas à
ubles occasionnés par la faiblesse, par l'incoordination ou par les mouvements cadencés (forme chorée rythmée). M. Charcot ado
aladie deFriedreich; mais alors l'incoordination porte sur tous les mouvements des membres inférieurs. L'ataxie hystérique de
asques avec impotence absolue se reconnaissent à cela, que tous les mouvements sont abolis, dans le décubitus. Dans la chorée
urs français est basée sur ce que nous savons de l'organisation des mouvements acquis. Le plus grand nombre des centres foncti
rdi, 1889, p. 359. · SUR l'astasie-abasie 2H¡ S l'observation des mouvements automatiques que font les ani- maux (battre les
toute probabilité, les divers appareils relatifs à l'exécution des mouvements de la station, de la marche, du saut, etc., com
uler son observation n Amuesia parziale (parziale : ' parce que les mouvements sont libres dans le lit) spinale per neuropthia
er des troubles de la station et de la marche, ainsi les cas où les mouvements peuvent être plus ou moins empêchés par des dou
, XVII, 1861. 252 PHYSIOLOGIE. contraction. Quand l'animal est en mouvement , une partie des actions chimiques qui s'accompl
ent dans les muscles a pour équivalent le travail effectué par ce mouvement ; le reste seul apparait sous forme de cha- leur
abaissement initial de la température, qui correspond exactement au mouvement de soulève- ' Laborde. Modifications de la temp
Ainsi, d'après cette interprétation, que nous devions signaler, les mouvements du cer- veau seraient la cause des oscillations
augmente avec le travail cérébral (travail intellectuel, émotions, mouvements volontaires). Malheureusement l'accord est loin
rentes zones de l'écorce céré- brale, les deux types de cellules du mouvement et de la sensibilité sont réunis et confondus e
cylindres-axes des deux espèces de fibres dé la sen- sibilité et du mouvement . , X. Les organes nerveux masculo-tendineux de
s deux oreilles comme s'il était effrayé. Si on peut considérer les mouvements des yeux à la suite de l'excitation de la régio
x et des friandises était le signal de vocifération, de même que le mouvement de la poignée d'un tiroir où étaient enfer- més
Transat., 1888 ; vol. 30, p. 325. '246 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. mouvement des autres singes dans leur cage ne pouvait être
elait. Ce jour-là, pendant qu'il était sur la table et guettait mes mouvements , le garçon de laboratoire descendit l'escalier et
ns sa cage une boîte conte- nant un sifflet qu'on pouvait mettre en mouvement par un long tube de caoutchouc pour ne pas atti
ans lesquel se trouvaient les friandises n'ont jamais produit ni un mouvement , ni aucun des signes animés de vif intérêt qui
taque apoplectique, avec perte du langage et surdité. La perte du mouvement de la main droite se passa vite. Elle devint exci
tactes. Ils ont trouvé que lorsque la colonne latérale restait, les mouvements des bras et de la partie antérieure du corps po
es impressions de la jambe opposée puissent produire facilement des mouvements dans la partie antérieure du corps, ils ont tro
it la possibilité de percevoir une forte pression et de diriger les mouvements avec précision : faculté qu'on a trouvée possib
on a trouvée possible avec l'absence complète d'aucune sensation de mouvement . Dans quatre, on ne dit pas la méthode employée
membre paralysé, que le malade avait une parfaite connaissance des mouvements qui lui étaient commu- niqués passivement, et J
sont fermés, il peut indiquer avec une précision parfaite tous les mouvements qu'on communique à son membre. Il y a de la fai
est son membre ou une partie de ce membre, mais il peut diriger ses mouvements avec assez de précision. Dans un autre cas, le
d frère est aliéné. Plusieurs enfants ont eu des convulsions. - Les mouvements choréiques ont débuté à l'âge de cinquante ans
qui nécessitèrent son internement. A son entrée, il présente des mouvements choréiques intenses dans les différents groupes
musculaires. La marche en est rendue difficile. Cependant, dans les mouvements intentionnels, les phéno- mènes choréiques s'ar
PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. XXVII. NOUVELLES communications sur les MOUVEMENTS des VAISSSEAUS. ETUDES théoriques ET pratiques;
ssus moteurs dépendants de l'entretien de l'équilibre et des autres mouvements ; ceux-ci sont la résultante non des impressions
IISSLAWSH1.(lVeuroG. Centralbl. 1890.) Les auteurs enregistrent les mouvements : 1° De la région cardiaque, par un ballon assu
us ces organes sont calmes. Pendant la digestion, il se produit des mouvements rhythmiques successifs, surtout accentués au py
ut accentués au pylore, qui entraînent parfois l'oesophage (ici les mouvements sont périodiques), des ondes contractiles génér
actiles généralisées assez fortes qui vont du cardia au pylore. Les mouvements pyloriques sont commandés par les nerfs périphé
its par le pneumo- gastrique ; les nerfs splanchniques arrêtent les mouvements py- loriques : il en est de même pour la partie
d'arrêt est exercée par l'excitation péritonéale et cutanée sur les mouvements de l'intestin grêle. P. K. XLI. DE L1 FOLIE con
e Waldeyer. Ces cellules nerveuses multi- polaires sont le siège de mouvements moléculaires qui s'écoulent par le neurosponge.
dant la vie animées de modifications amiboïdes qui en produisent le mouvement , et qu'ainsi, du cenlreau neurosponge et des fi
ns des groupes d'autres cellules un arrêt ou une ac- célération des mouvements amiboïdes, selon les besoins : de là la multipl
deux heures et survenant le plus souvent le matin au réveil. Les mouvements des globes oculaires à gauche sont légèrement dim
ttimée; à la fin, la formation d'un eschare au sacrum a provoqué un mouvement fébrile avec dyspnée et palpitation et trois jour
sivement le réflexe élémentaire pour passer de là à l'analyse du mouvement volontaire comparé à l'activité inconsciente. Les
entale en vertu de laquelle ils répondent immédiate- tement par des mouvements à toute excitation qui les a frappés, sans l'in
ent chronique généralisé, intermittent et, surtout, exagéré par les mouvements volontaires, une discussion clinique du diagnos
: la chute de la paupière, le strabisme externe, la limitation des mouvements oculaires dans tous les sens, sauf en dehors, l
transformée en hémiplégie droite complète et avec contracture. Tout mouvement était impossible ; l'avant-bras était fléchi pres
urant dix mois la malade est restée au lit sans pouvoir faire aucun mouvement du côté droit, toujours tourmentée par son hémi-
pupille.-4° Les pupilles sont égales et réagissent normalement; les mouvements des yeux sont normaux ; pas de diplopie, même a
te que l'asy- métrie sourcilière s'accuse encore davantage. Dans ce mouvement d'élévation volontaire des paupières, le fronta
exe rotulien, on provoque une attaque de nerfs qui commence par des mouvements épileptoïdes, et continue par des grands mouvem
ommence par des mouvements épileptoïdes, et continue par des grands mouvements désordonnés, arc de cercle caractéristique, etc
puis se met à rire. Verre bleu. - Hallucination donnant lieu à des mouvements de tremblement dans tous les membres. Il crie,
lue, donne une poignée de mains, il rit, chuchote. On note quelques mouvements du pavillon de l'oreille. A l'oreille gauche, i
n de l'oreille. A l'oreille gauche, il ferme les poings et fait des mouvements d'escrime du sabre. Transporté à l'oreille droi
lucination précédente se reproduit. Bruit de tambour. Il fait des mouvements comme s'il tenait un fusil, arme, met en joue.
yeur. Puis il pleure, tire sa langue ; la face est animée de petits mouvements . Le lendemain de cette seconde série d'expérien
il était à l'exercice militaire. sur un champ couvert de gazon. Les mouvements étaient exécutés au commandement du tambour. C'
dravia zielaem 1 ! » Verre vert. - Il quitte son lit, fait quelques mouvements des lèvres, incline la tête et chuchote plusieu
mot : i Oui. » Verre oranges Il se jette sur quelqu'un et fait des mouvements de jambe et de main comme s'il était à cheval.
es de fatigue. Essence de térébenthine.- II fixe quelqu'un, fait le mouvement de tirer des cartouches de sa giberne, se met à
quelque animal. Ouïe. Sonnette. Il est agité, se fâche, fait des mouvements comme s'il était à cheval au galop, il crie. (E
ille avec un tire-bouchon '. Puis boit. Verre rouge. - Il fait le mouvement d'enflammer une allumette, allume une bougie, p
uve de violentes douleurs. Verre bleu de nouveau. -Il Il fait des mouvements d'escrime du sabre. Le lendemain matin, le ma
lons jaunes, répond à l'application des verres orange et rouge. Les mouvements qui s'exé- cutent au son du tambour, ce sont se
s d'hystérie classique avec période epi- leploide, phase des grands mouvements et arcs de cercle, altitudes passionnelles. Cet
rt foncé. Tristesse, solitude, comme ci-dessus. Ici, une reprise de mouvements convulsifs arrête le délire, qui reprend ensuit
du jardin. Je sors un peu. Sulfure de carbone. Oh ! c'est infect. ( Mouvement de dégoût.) Où 358, PATHOLOGIE NERVEUSE. somm
vous, je n'en prendrai pas... Oh ! il m'en fait prendre de force. ( Mouvements de vomissements, crachement de glaires.) Pincem
e, après avoir laissé passer les périodes épileptoide et des grands mouvements , nous abandonnons un instant le malade à son dé
de la langue, du pharynx et probablement du larynx sont affectés de mouvements spasmodiques évidents et animés de contractions
es anatomiques et physiologiques. Le claquement des lèvres et les mouvement ? de gurtation que l'on observe avec la sensation
es ani- maux inférieurs. J'ai déjà décrit avec assez de détails les mouvements produits par l'électricité dans les différents
dans les différents points de cette région. L'interprétation de ces mouvements , a donné lieu à différentes opi- nions. Le cara
nné lieu à différentes opi- nions. Le caractère intentionnel de ces mouvements , leur rapport avec les mouvements volontaires h
Le caractère intentionnel de ces mouvements, leur rapport avec les mouvements volontaires habituels aux animaux et surtout le
xcitation fonctionnelle des centres directement intéressés dans les mouvements volontaires et qu'ils font anatomiquement parti
étails que la destruction des centres dont l'excitation produit des mouvements définis, produit de la paralysie des mêmes mouv
produit des mouvements définis, produit de la paralysie des mêmes mouvements du côté opposé du corps variant en degré, en inte
l'état-paralytique des mem- bres persista. A l'exception de légers mouvements de flexion de la cuisse et de la jambe, le memb
re inférieur droit était faible, et ie bras droit incapable d'aucun mouvement volontaire. Parfois, lorsque l'animal se débatt
ire. Parfois, lorsque l'animal se débattait on pouvait observer des mouvements associés de la main droite, semblables à ceux d
xtirpation de la circonvolution marginale, produit la paralysie des mouvements que laisse intacts la destruction des centres d
on des centres de la concavité de l'hémi- sphère : c'est-à-dire les mouvements du tronc, les muscles de la hanche et quelques
-dire les mouvements du tronc, les muscles de la hanche et quelques mouvements de la jambe. - Cependant, pour que ces mouvemen
anche et quelques mouvements de la jambe. - Cependant, pour que ces mouvements soient entièrement paralysés, il faut que la ci
le soit détruite dans les deux hémisphères; comme il semble que les mouvements du tronc sont bilittéralement coordonnés dans l
conserve son pouvoir de rotation, de flexion, d'extension et les mouvements des yeux et de la face sont normaux. L'animal sou
rface dor- sale des orteils frotte contre le sols. » En outre des mouvements du tronc, il y en a d'autres qui sont représent
t Pitres', d'Ex- ner', de Lewaschew3, de Sherrington *, que de tels mouvements n'étant pas positivement représentés bilatérale
ation modérée des centres corticaux des membres ne donne lieu à des mouvements en général que du côté opposé; cependant, il ar-
t augmentée, par les mou- vements se produisant des deux côtés. Ces mouvements sont toutefois plus prononcés du côté opposé, q
e du côté opposé produisent aussi une diminution dans l'énergie des mouvements des membres ' * Leçons sur les fonctions motric
paralysie corticale, le bras est plus paralysé que la jambe et les mouvements distants» » du bras plus que les « proximaux ».
s centres respectifs, . produisent invariablement une paralysie des mouvements volon- taires dans les parties correspondantes.
mais complète. -Seuls restent atteints d'une façon perma- nente les mouvements les moins automatiques et les plus volon- taire
lète des deux hémisphères, sont comparativement peu atteints. Les mouvements qui sont le plus paralysés sont ceux des membres
re intact; car quand ces centres sont détruits des deux côtés, tout mouvement volontaire reste paralysé d'une façon permanent
deux hémisphères ont été détruits ne peut se nourrir lui-même, les mouvements de la langue sont gravement atteints, quoique la
jours marcher, mais d'une façon maladroite et chancelante. Tous les mouvements des pattes comme mains sont entière- ment impos
s convaincre qu'une lésion de l'écorce qui produit une paralysie du mouvement volontaire n'est pas nécessairement accompagnée
due à une tumeur dans la région du pli courbe. Pas de paralysie du mouvement , mais une très légère atteinte de la locali- sa
t, contrairement à Bain, Wundt et Hughlings Jackson, que le sens du mouvement , de son étendue et de sa direction, dépend d'im
e sa direction, dépend d'impressions centripètes pro- duites par le mouvement lui-même et non par un courant centri- fuge, na
n indépendam- ment des impressions sensitives venant des parties en mouvement . L'énergie des centres et de l'appareil moteur
des centres sensitifs correspondants. L'idée ou la conception d'un mouvement est donc un réveil dans les centres sensitifs c
orrespondants d'im- pressions variées qui ont été associées avec ce mouvement parti- culier. De ces impressions, les plus imp
es généralement sous le nom de sens musculaire. - Pour apprendre un mouvement , la vue est notre guide principal qui nous perm
3 The feeling of effort, 1880. 414 . PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. ce mouvement particulier une série distincte d'impressions du
il de ces impressions, séparément ou con- jointement, est l'idée du mouvement et ce qui nous permet de produire la combinaiso
tion musculaire et qui forment en partie la base de nos idées de mouvement sont distinctes des centres corticaux par lesquel
distinctes des centres corticaux par lesquels et grâce auxquels les mouvements particuliers sont effectués. La destruction des
paralyse la puissance d'exécution, mais non la conception idéale du mouvement lui- même. Un chien qui a ses centres corticaux
ien qui a ses centres corticaux détruits a une notion distincte des mouvements désirés lorsqu'on lui dit de donner la patte, m
tère sylvienne découvre son état par l'impossibilité d'exécuter les mouvements qu'il a distinctement conçus. Les mouvements
ilité d'exécuter les mouvements qu'il a distinctement conçus. Les mouvements volontaires peuvent être exécutés avec une abse
aires peuvent être exécutés avec une absence totale de tout sens de mouvement . Das le cas bien connu décrit par Schùppel ', l
notion de sa position ni de la résistance qu'on peut opposer à son mouvement . Bastian5 cependant soutient que « la règle a é
t nécessaire ni à la coordination, ni à la puissance d'accomplir un mouvement . La vision peut entièrement remplacer le sens m
, moins précis et certains que ceux exécutés avec l'aide du sens du mouvement . Cependant, ces défauts peuvent être réparés pa
que, même lorsque les yeux sont fermés, la con- ception visuelle du mouvement est capable de compenser presque entièrement ou
s par le mouve- ment lui-même. On peut concevoir que les idées de mouvement peuvent être for- mées et les mouvements volont
concevoir que les idées de mouvement peuvent être for- mées et les mouvements volontaires effectués par un cerveau consistant
constances, la vision serait principalement occupée à diriger les mouvements et l'étendue de l'action musculaire et de l'adapt
es que si elles étaient gui- dées aussi par les sensations nées des mouvements eux-mêmes. Par le sens musculaire nous pouvons
es. Par le sens musculaire nous pouvons concevoir et exécuter des mouvements que nous n'avons jamais vus, mais nous sommes inc
s vus, mais nous sommes inca- pables de concevoir et d'exécuter des mouvement que nous n'avons ni vus ni sentis. Mais quoique
ntis. Mais quoique dans les conditions ordinaires les sensations de mouvements sont l'accompagnement invariable de l'action mu
les de mouve- ment soient les excitants nécessaires ou immédiats du mouvement . 1 Diseases of Nervous System (Sydenham Soeiéty
ue les centres moteurs sont le siège de ces kinesthésies ou sens du mouvement . Les centres moteurs sont donc, suivant lui, en
ement et entrer dans la composition des idées et des conceptions de mouvement . Mais si, comme le prétend Bastian, le réveil i
on postfrontale, indiquent que cette partie est en rapport avec les mouvements latéraux de la tète et des yeux. L'irritation p
onjugee des yeux persiste pendant quelque temps après le retour des mouvements de la tête, mais au bout de trois jours, il fut
uée de la tête et des yeux, mais aussi une paralysie temporaire des mouvements ~ qui se produisent par l'excitation électrique
que j'avais faite auparavant. C'est une raison pour croire que les mouvements latéraux de la tête et des yeux ne peuvent être
nvolution marginale. Il est probable cependant que 1 altération des mouvements du tronc que Munk a pu observer, est due à une
d'une façon incomplète des fonctions des centres corticaux pour le mouvement et la sensi- bilité. Il y a une autre question
vec soin chez les idiots le chant et surtout le chant accompagné de mouvements rythmiques. Ce sont là, du reste, des principes
ion à droite isolés ou se présentant comme un phénomène d'aura, des mouvements de manège, quelquefois aussi de la rotation à g
e, tandis qu'un homme qui réagit à l'état nor- mal par un arrêt des mouvements psychiques, sera plutôt atteint ARCHIVES, l. XX
- à la suite de bains faradiques, par Loeln, 284. . Vaisseaux ( mouvements des) par Buchl : liardt, 282. Vehbiglhation,
12 (1889) Leçons du Mardi à la Salpêtrière. Policlinique 1888-1889
l est si accentué qu'un maître de ballet pourrait noter et écrire les mouvements étranges, souvent fort complexes, qu'exécutent le
celle de dyspnée, pour caractériser cette accélération hystérique des mouvements respiratoires. La précipitation des actes d'ins
battements dans les tempes, et peu après se montre l'accélération des mouvements respiratoires. — L'attaque se termine souvent par
convulsif vulgaire, il faut placer le grand tic, caractérisé par des mouvements convulsifs, complexes,quelquefois très étendus, e
ont bien changé : elles ont considérablement empiré. Les anomalies de mouvement se sont étendues, généralisées et sont devenues é
es et sont devenues énormes. Veuillez remarquer, messieurs, que les mouvements des tiqueurs, quelque complexes et bizarres qu'il
uvent au moins, en les exagérant cependant, ils reproduisent certains mouvements automatiques d'ordre physiologique appliqués à un
sale un corps étranger engagé dans le nez; les autres, à l'aide de ce mouvement d'occlusion brusque des paupières, que vous conna
r tout à coup son avant-bras sur son bras et, ensuite, par un brusque mouvement d'épaule, élever son coude vers le côté droit de
quième et la sixième paire cervicales qui [est mis en jeu, et ce même mouvement de défense peut être produit, vous ne l'ignorez p
x paires susdites et qu'on désigne sous le nova. Point d'Erb. Mais le mouvement de défense en question diffère, chez notre malade
is le mouvement de défense en question diffère, chez notre malade, du mouvement physiologique qu'il imite, en ce qu'il est consid
tivé par une menace venant du dehors. La brusquerie et l'intensité du mouvement sont tels, chez notre malade, que sa femme, d'hab
t les mains à l'aide d'une corde, de façon à atténuer l'intensité des mouvements de tics qui autrement le priveraient de sommeil.
u même côté, qui imprime atout le corps un tressautement rappelant le mouvement de surprise que déterminerait, par exemple, le br
et il suffirait déjà pour établir une distinction, de relever que les mouvements des tics surviennent inopinément, à des intervall
s): Vous venez d'en entendre assez, je pense, pour comprendre que les mouvements convulsifsne sont pas toujours, chez un tiqueur,
Au contraire, si l'on imprime au -malade reposant toujours à terre un mouvement brusque d'abduction ou d'adduction à la jointure,
es supérieurs et qui peut exécuter, à l'aide de ces membres, tous les mouvements qu'on lui commande de faire, un dynamomètre. L'
veux, t. III p. 322. Io période épileptoïde ; 28 période des grands mouvements ; 3° attitudes passionnelles ; cela nous ne le voy
l'hystérie cette fois, le vertige épileptique, sans accompagnement de mouvements spasmodiques. Ces attaques, ou mieux ces rudiment
le des syncopes, or, les syncopes dont il s'agit, non accompagnées de mouvements convulsifs, sont précédées de l'apparition d'une
est atteinte de chorée, de chorée vulgaire parfaitement légitime. Les mouvements choréiques sont très caractéristiques, pas très i
enir longtemps. A lanière : Combien y a-t-il de temps qu'elle a ces mouvements ? La mère. — Un mois environ, monsieur ; mais ce
s inférieurs sont restés absolument tranquilles, sans présenter aucun mouvement choréique. Est-ce donc que ces membres sont indem
ambes étaient agitées comme le reste; mais depuis quelques jours, les mouvements y ont disparu. Elles sont devenues tout à fait mo
ns fièvre, et non brusquement pendant le cours d'un état fébrile. Des mouvements choréiques ont précédé dans les membres inertes a
flasques, dans la résolution complète, absolument incapables de tout mouvement volontaire. Il en était de même du tronc et de la
rencontré chose pareille, je fus un instant dans l'embarras. Quelques mouvements choréiques de la face,l'impossibilité de mainteni
ourd'hui paralysés et aussi la tête et le tronc avaient été agités de mouvements choréiques très prononcés. La petite malade gué
gtaine de jours, de sa chorée molle, sans repasser par la période des mouvements convulsifs. Elle a malheureusement succombé deux
e d'ailleurs paraît ne pas appartenir particulièrement aux cas où les mouvements gesti-culatoires sont intenses ; on la voit surve
nt progressé sur toute la ligne. On observe cependant encore quelques mouvements involontaires dans les bras, les jambes et la têt
pour l'élever à chaque pas ; il n'y a pas trace d'une esquisse de ce mouvement de circumduction qui ne manque guère d'exister da
anée qui est, comme nous le disons, très profondément affectée, et le mouvement qui lui, au contraire, n'est pas complètement abo
parties profondes. Ainsi les articulations peuvent être soumises aux mouvements de traction ou de torsion les plus énergiques san
tandis que le membre inférieur droit était parfaitement libre de ses mouvements , mais par contre complètement insensible à toutes
boitait encore, et il a éprouvé de ce côté une certaine gêne dans les mouvements pendant près de trois ans. Cependant il a pu très
pour la plupart d'entre elles. B. Côté droit: 1° Pas de troubles du mouvement , jamaisiln'èn a existé ; — 2° Réflexes tendineux
nesthésie croisée. a. Côté anesthésié. b. Côté de la paralysie de mouvement . c. Cicatrice de la plaie. Voilà sans doute u
nes plus accentués encore, et marqués par des spasmes toniques et des mouvements de salutation indiquent la fin de la crise ; ains
son lit, pour recommencer ensuite, une fois encore ou deux, ce • même mouvement , de façon à rappeler ce que, dans l'attaque hysté
ice dans le membre gauche tout entier, surtout en ce qui concerne les mouvements d'extension de la jambe, était fort prononcée.
profondes ; l'atrophie est, vous l'avez vu,considérable encore et les mouvements du membre sont, à l'heure qu'il est, toujours for
est impuissant à en opérer la flexion dorsale, tandis qu'à droite ce mouvement est possible et en même temps le pied se porte da
conséquence l'extension du pied est en partie possible ; mais dans ce mouvement -là, l'axe du pied est porté en dehors. Les muscle
formes, ici peu accentuées ; puis se dessinent tour à tour les grands mouvements de salutation et l'attitude en arc de cercle; enf
et hospice. Ce point est relatif à l'extrême violence des cris et des mouvements convulsifs chez l'homme. Trois ou quatre hommes n
constatons aujourd'hui un amendement très remarquable. La plupart des mouvements volontaires ont reparu dans le domaine du facial
'elle s'est déroulée depuis son début jusqu'à ce jour. Les premiers mouvements involontaires ont paru dans les bras et dans la t
sez rude siégeant à la pointe du cœur, au premier temps. Les grands mouvements choréiques se sont manifestés d'abord sur le memb
ltation de l'hospice pour la première fois le mardi 13 novembre ; les mouvements choréiques étaient, cette fois-là encore, d'inten
bras de chaque côté du tronc, croise ses jambes avec un grand luxe de mouvements ; il parle très difficilement, en changeant sans
ôt sur l'autre, inclinant son corps d'un côté, puis de l'autre. Les mouvements anormaux sont toujours plus intenses du côté gauc
tère propre à certaines choses prétendues spéciales, à l'occasion des mouvements volontaires, les gesticulations s'atténuent, et m
t pris qu'environ 2 grammes de chlo-ral,il a dormi toute la nuit. Les mouvements choréiques sont moins étendus et plus lents qu'hi
état ce matin n'en est pas plus rassurant pour cela : sans doute les mouvements anormaux des membres ainsi que les grimaces sont
it ; il crie, délire, appelle sa mère. Toujours grincements de dents, mouvements divers de la face; les gesticulations sont encore
fficilement, somnolence, avec cris inarticulés de temps à autre ; les mouvements dans les membres ont presque complètement disparu
sion de torpeur de ses traits, c'est l'absence à peu près complète de mouvements involontaires : que sont devenues ces grandes ges
nte cyanosée, la stupeur et jusqu'à la presque complète cessation des mouvements qu'on pourrait, dans d'autres circonstances, cons
s suppures qui s'étaient produits dans les membres en conséquence des mouvements désordonnés, et les vestiges d'endocardite ancien
, enceinte de deux mois environ à l'époque où la chorée a débuté. Les mouvements étaient désordonnés au plus haut degré : On n'a p
s se font remarquer habituellement, antérieurement à l'apparition des mouvements choréiformes, comme aussi pendant le cours de l'a
généralement, la chorée grave chez l'adulte se fait remarquer par des mouvements d'une intensité extrême; ce n'est pas là une circ
ans la chorée mortelle; mais je ferai remarquer que l'intensité des mouvements n'est pas une condition absolument nécessaire à l
vons fait remarquer plus haut, les choréesles plus intenses quant aux mouvements , si elles ne sont pas compliquées de lésions visc
ous-de-pied. Mais je le répète, c'est le 5 novembre seulement que les mouvements choréiques ont commencé à s'accuser nettement.
oici en quoi elles consistent, chez notre malade. Ce sont de brusques mouvements cloniques qui, le sujet étant assis, les mains re
secousses. Lorsqu'elle est debout, ces secousses, qui rappellent les mouvements analogues produits sous l'influence d'une émotion
partout excepté à la main où le malade conserve quelques notions des mouvements imprimés aux doigts ou au poignet, le sens muscul
y a là un contraste entre les troubles de la sensibilité et ceux des mouvements , fort remarquable assurément, et qui paraît appar
e la leçon,était portée à un haut degré ; la langue était sèche : les mouvements choréiques, atténués d'une façon remarquable, n'é
ée vulgaire ; le début s'est fait le 14 novembre ; vous voyez que les mouvements choréiques, qui d'ailleurs ne sont pas fort inten
en passant que les gesticulations s'atténuent un peu à l'occasion des mouvement intentionnels ; ainsi lorsqu'il s'agit de porter
arler, contrairementàlarègle,depériode de rétrocession.Seuls,quelques mouvements d'abduction, d'adduction et de circumduction sont
membres inférieurs qui, depuis l'origine, n'ont pas récupéré un seul mouvement soit dans les hanches, soit dans les autres artic
de résistance des diverses parties des membres inférieurs aux divers mouvements qu'on veut leur imprimer, n'est pas notablement d
z cette malade une paralysie conjuguée des muscles oculaires dans les mouvements vers la droite, avec diplopie homonyme. C'est enc
abondantes terminent la scène. Pas de perte de connaissance ; pas de mouvements convulsifs dans les membres. Ces crises, autrefoi
Diplo-pie consécutive. Sclérose en plaques : 1° Paralysies dans les mouvements associés des yeux, nécessairement binoculaires et
e en plaques, au contraire, elle est surtout liée à une paralysie des mouvements associés des deux yeux. Une diplopie de même orig
ystériques. Elle avait aussi autrefois des tics nerveux consistant en mouvements brusques des muscles de la face et du cou, lesque
bien marquées, à savoir : aura régulière puis arc de cercle et grands mouvements , — la phase épilep-toïde fait défaut — et, enfin,
lque attention, tient à l'existence d'un certain degré de parésie des mouvements associés de l'oeil, laquelle parésie entraine ave
arésie entraine avec elle de la diplopie. La diplopie par parésie des mouvements associés est un symptôme qui peut se voir dans l'
En effet, il s'agit bien de chorée, et de chorée vulgaire ; mais les mouvements choréiques sont remarquables par leur lenteur. *
nt fort agitées et il est devenu triste, indolent, depuis qu'il a ses mouvements . M. Charcot. — A-t-il eu des rhumatismes articu
bles, avaient suffi au rétablissement complet de la sensibilité et du mouvement dans les membres inférieurs (1). Tels sont les
tives s'effectue longtemps d'une manière physiologique, alors que les mouvements sont déjà profondément altérés, et il est même ra
eurs, qu'elle meut cependant assez librement, elle éprouve au moindre mouvement une grande fatigue, un sentiment de faiblesse, d'
out quand il faut les tenir élevés comme pour se peigner, et dans ces mouvements les douleurs du dos et de la poitrine augmentent.
t un peu raides, mais la résistance des divers segments du membre aux mouvements qu'on veut lui imprimer, alors que la malade s'y
'ajouterai enfin, même absence de troubles sérieux dans le domaine du mouvement .Tel n'eûtpasété, bien évidemment, le concours des
éfaut dans l'histoire de notre cas; en même temps que les troubles du mouvement se fussent montrés beaucoup plus accentués qu'ils
ais elles sont exaspérées soit par la pression, soit par les moindres mouvements du tronc, et dans ces cas-là, elles se montrent b
mal lorsque le tronc s'infléchit en avant et se redresse, lorsque ces mouvements opposés sont portés à leur maximum, on voit les c
même en courbures inverses et si, pendant que le malade effectue ces mouvements , on applique les doigts sur les apophyses épineus
ujet et qui, le tronc dépouillé de vêtements, exécute devant nous les mouvements signalés ci-dessus. Mais il n'en est plus de mê
s'incliner sur l'un ou l'autre côté, se déplace tout d'une pièce, les mouvements manquent de souplesse. Il semble que les apophyse
semble que les apophyses épineuses soient fixées l'une à l'autre; ces mouvements sont d'ailleurs extrêmement limités en raison de
urs qu'il ressent, de leur exacerbation sous l'influence des moindres mouvements du tronc, on pourrait être conduit à penser que l
ue de sou plesse que nous avons signalés expressément, à propos des mouvements du tronc soit en avant soit en arrière ; c'est à
en partie des tiraillements de ce genre qui entravent l'exécution des mouvements dumeinbre. En réalité, il n'existe pas de paraplé
t dite ; la résistance des divers segments des membres inférieurs aux mouvements qu'on veut leur imprimer, est énergique et si les
de sujets sains, jeunes et vigoureux. En outre de l'accélération des mouvements respiratoires et de l'augmentation de la tension
supporter. On doit engager le malade à éviter autant que possible les mouvements qui se produisent instinctivement, au moment où i
quitte le sol ; on devra éviter aussi les déplacements latéraux, les mouvements de torsion qui pourraient se produire. Le malad
ion et la traction plus effectives. Fig. 48. — Lejnalade suspendu : mouvements latéraux des bras. Nous pensons que la plus lon
ne sais comment ; je ne suis pas tombé, je n'ai même pas fait un faux mouvement . M. Charcot : Voilà bien une fracture d'ataxiqu
e jour, sous l'influence de causes banales, telles, par exemple,qu'un mouvement brusque de la tête ou du corps,un bruit imprévu,
la donne en disant « qu'il est toujours en éveil parce que le moindre mouvement imprévu de la tête sur le tronc, pendant la march
guère alors qu'à la suite d'un bruit soudain, imprévu, ou encore d'un mouvement qui serait imprimé, à l'improviste, au siège qui
n rythme beaucoup plus régulier que l'autre, lors de l'exécution d'un mouvement voulu la différence qui existe entre les deux esp
s par seconde). 2° Tremble nient mercuriel pendant l'exécution d'un mouvement . Le mouvement commence en A. Le tremblement devie
. 2° Tremble nient mercuriel pendant l'exécution d'un mouvement. Le mouvement commence en A. Le tremblement devient bien plus a
ermophobie, les sueurs profuses, ni fièvre ni fébricule. L'examen des mouvements des globes oculaires, fait reconnaître l'existenc
endus ou fléchis volontairement par le malade, résistent fort peu aux mouvements de sens contraire qu'on leur imprime. S'agirait-i
e sait très bien déterminer l'attitude qu'on donne à ses membres, les mouvements qu'on leur fait exécuter. L'impuissance motrice p
encore n'est-ce qu'avec peine. Elle n'oppose aucune résistance aux mouvements soit de flexion soit d'extension, qu'on veut impr
lequel les membres inférieurs sont également le siège de troubles du mouvement ; mais, dans ce dernier cas, il nous sera facile
t pour cause une lésion organique, alors même qu'ils ont conservé les mouvements des doigts de la main droite, sont, dans l'immens
abe, bien qu'elle ait conservé dans les lèvres et dans la langue, des mouvements qui, bien qu'entravés quelque peu par un certain
n corps et ses membres se raidir au point de ne pouvoir plus faire un mouvement : deux fois ses yeux ont tourné et une fois elle
déployant une grande force. Les paupières sont closes et animées d'un mouvement vibratoire. Il n'y a pas de perte de connaissance
Il n'y a pas de perte de connaissance, pas de secousse, pas de grand* mouvements , rien qui rappelle la phase épileptique, les cont
sans l'aide d'un de ses doigts et il remarqua qu'elle était animée de mouvements vibratoires. Il s'agissait donc là d'un blépharos
ssied sur son séant et fait, en fléchissant son tronc en avant, trois mouvements de salutation profonde, après quoi elle s'endort
hystériques convulsifs. Vous reconnaîtrez d'ailleurs dans ces grands mouvements de salutations un des épisodes les plus vulgaires
ille. Il se produit en conséquence une certaine accélération dans les mouvements de palpitation des paupières et c'est tout; toujo
ôt commence une attaque convulsive : ce sont d'abord plusieurs grands mouvements de salutation semblables à ceux qui se montraient
ma force, aussi le résultat désiré est-il bientôt obtenu : les grands mouvements ont cessé complètement. La malade se dresse sur s
aines formes de l'hystérie. Leçons faites à la Salpêtrière en 1872. — Mouvement médical 1872 n° 3 et 4 et the Lancet 1872. — Leço
mouvoir dans tous les sens : il n'en est pas même de la hanche où les mouvements sont un peu limités dans toutes les directions. L
où les mouvements sont un peu limités dans toutes les directions. Les mouvements volontairement exécutés de cette articulation son
plan du lit et le porter en abduction et en adduction. Mais tous ces mouvements , je le répète, sont difficiles, exigent des effor
t des efforts et leur amplitude reste toujours inférieure à celle des mouvements volontaires exécutés par le membre inférieur droi
es exécutés par le membre inférieur droit. On peut en dire autant des mouvements volontaires du pied ; tous sont possibles mais no
es du pied ; tous sont possibles mais notablement limités, surtout le mouvement dorsal. Toujours est-il que c'est dans les musc
smodique est le plus accentuée et là, ainsi que nous l'avons dit, les mouvements volontaires, comme les mouvements passifs, sont l
là, ainsi que nous l'avons dit, les mouvements volontaires, comme les mouvements passifs, sont littéralement impossibles. Dans t
œuvres que nécessite l'examen des jointures, on constate que tous les mouvements qu'on leur imprime ou qu'on essaye de leur impris
temps que lorsque ses yeux sont clos, la malade n'a aucune notion des mouvements qu'on imprime aux divers segments du membre, non
rime le front sur chaque tempe et l'occiput, et il ressent au moindre mouvement du cou des craquements. Les fonctions génitales s
érique » suivant la relation de la veilleuse de nuit, et fait de tels mouvements que son lit en est ébranlé. Les convulsions, d'un
oir une forte bosse à la tempe et d'éprouver une grande gêne dans les mouvements du côté droit. Craignant d'avoir fait quelque bév
e, en 1872, et qui ont été publiées cette année-là dans le journal le Mouvement médical (1). Je crois utile de la rappeler telle,
les Leçons sur les anomalies de Vataxie locomotrice, publiées dans le Mouvement médical de 1872 (21, 28 sept., et 19, 26 octobre
er qu'au lit, il a dans les membres inférieurs la liberté de tous ses mouvements et ne présente aucun des signes révélant une affe
de mouvoir ses membres dans diverses directions, il exécute tous les mouvements prescrits avec force et précision, aussi bien lor
fléchir, il résiste admirablement. Donc, tout ce qui est relatif aux mouvements dans cette exploration paraît être absolument nor
bien, vous voyez que sur mon invitation, il exécute parfaitement les mouvements assez compliqués de la natation; vous serez amené
dans l'escrime, il exécute sans hésitation et avec prestesse tous les mouvements prescrits. Ainsi, Messieurs, voici un homme qui
à fait libre d'exécuter avec force et coordination parfaite tous les mouvements possibles des membres inférieurs ; la station deb
nt se révéler immédiatement, Messieurs, lorsqu'il voudra exécuter les mouvements de la marche. Remarquez que je l'ai prié de mar
un corps voisin. On dirait un automate mû par un ressort et, dans ces mouvements de progression raides, saccadés, comme convulsifs
t la règle dans les conditions normales, il se produit tout à coup un mouvement contradictoire et brusque d'extension du membre i
ontradictoire et brusque d'extension du membre inférieur tout entier, mouvement qui redresse le genou et a pour effet consécutif
Cette progression par petits pas précipités rappelle assez bien les mouvements rapides et cadencés de certaines chorées rythmées
rdres de phénomènes une différence foncière, capitale : c'est que les mouvements de la chorée rythmée, et c'est là d'ailleurs un t
ou assis, soit qu'il se tienne dans la station debout. En somme, les mouvements en question ne sont autres que ceux de la marche
s moteurs de la marche ordinaire. Ils sont remplacés chez lui par les mouvements anormaux, pathologiques que nous avons essayé de
nous avons essayé de décrire. Et, cependant, contraste frappant, les mouvements vulgaires, non étroitement spécialisés des membre
e tenir debout ou encore de se « fendre », comme dans l'escrime,— ces mouvements -là, dis-je, ne sont nullement affectés, ils ont c
du monde troublés, à aucun moment, par l'intervention intempestive de mouvements contradictoires. Il en est absolument de même lor
à l'heure, étant couché sur le ventre il a exécuté régulièrement les mouvements de natation, et en même temps nous relèverons par
s anomalies qui s'observent chez Ro..el, dans l'exécution de certains mouvements des membres supérieurs et en particulier Qui eû
Qui eût pu deviner, Messieurs, que les divers mécanismes relatifs aux mouvements de progression, tel que la marche, le saut, la da
cède, et aussi indépendants d'un autre côté de ceux qui président aux mouvements vulgaires, non spécialisés des membres inférieurs
l'enfant n'apporte en naissant que, la prédisposition à exécuter les mouvements de la marche, et que, pour arriver à opérer régul
devra organiser dans les centres nerveux pourchacunde ces groupes de mouvements spécifiés, systématisés, différenciés, de la ma
ement à l'aide de ces membres et spécialement des doigts delamain les mouvements généraux qui lui sont prescrits. Pas d'incoordina
a conservé dans les doigts de la main l'exécution normale de tous les mouvements vulgaires, a perdu précisément et exclusivement l
ements vulgaires, a perdu précisément et exclusivement la mémoire des mouvements qu'il faut faire pour donner leur forme aux lettr
expressément, il pouvait,étant au lit,imprimer à ses membres tous les mouvements possibles,avec la même force et la même précision
e, couché au lit ou assis, la force musculaire et la coordination des mouvements était parfaitement conservées dans les membres in
1888. Ils lui ont été suggérés par M. Girard, membre de l'Institut, mouvements bizarres, incoordonnés, contradictoires ; il se l
ancien de M. le professeur Jaccoud intitulé : Paraplégie et ataxie du mouvement (1). Là, sous la rubrique : Ataxie par défaut de
matique, l'auteur décrit un trouble moteur consistant en ce que « les mouvements sont normaux lors-« qu'ils sont exécutés dans la
muscles... Cette forme « d'incoordination est relative seulement aux mouvements complexes, elle « n'apparaît pas dans les cas de
ement aux mouvements complexes, elle « n'apparaît pas dans les cas de mouvements vulgaires des membres ; la « faiblesse n'y est po
c., et surtout l'absence d'un trouble quelconque dans l'exécution des mouvements de ces membres, tant que le malade est couché ou
crois pas qu'il existe encore une seule observation dans laquelle les mouvements spécifiés pour la station aient été seuls affecté
88. 2. Montpellier médical du 17 mars 1889, n° 5. 49 groupes de mouvements complexes associés en vue d'un but spécial pouvan
exécute cela est bien entendu, avec les membres inférieurs, tous les mouvements de l'état normal, se trouve, lorsqu'il veut quitt
mis en cause,troublés dans leur fonctionnement par l'intervention de mouvements contradictoires. Il n'en sera plus de même dans l
l'observation, elle se baisse et se redresse alternativement par des mouvements brusques et rapides, et à mesure qu'elle avance
écipitées. Par moments il semble que, en raison de l'intensité de ces mouvements , elle soit menacée de tomber à terre ; on la voit
ut ainsi parler, que la caricature ne consistent pas seulement en des mouvements successifs d'abaissement et de redressement du tr
se fléchir sur le bassin, la tête éprouvant par rapport au tronc, un mouvement de flexion et de rotation, et les-avant bras se f
fléchissent à leur tour sur les bras. Il paraît clair que ce sont ces mouvements de flexion exagérés et brusques des membres infér
rche normale, qui menacent à chaque pas l'équilibre, occasionnent les mouvements du tronc, de la tête, des membres supérieurs, et
mouvements du tronc, de la tête, des membres supérieurs, et aussi ces mouvements de recul qui peuvent être considérés jusqu'à un c
oche-pied, marcher à quatre pattes, etc., etc. Sous cette forme les mouvements anormaux des membres inférieurs, dans la station
'abasie trépidante la forme dans laquelle la marche est gênée par des mouvements d'exécution contraditoire qui raidissent les memb
e qui existe entre ces deux ordres de faits dans lesquels on voit des mouvements anormaux apparaître exclusivement à l'occasion de
rte à le croire, que les groupes cellulaires divers qui président aux mouvements spécifiés pour la marche, la station, le saut, et
nt toute probabilité, les divers appareils relatifs à l'exécution des mouvements de la station, de la marche, du saut, etc., compo
re organique, qui préside à l'exécution, dans tous leurs détails, des mouvements prescrits réside, dans celui-là. Vous voyez par l
e en action tel ou tel rouleau ou, au contraire, pour en suspendre le mouvement . C'est ainsi que, dans la marche par exemple, le
tion, comme vous voudrez dire, n'attaque et ne compromet que ceux des mouvements de ces membres, qui sont spécialisés pour un genr
l'idée d'une impuissance motrice complète, portant sur l'ensemble des mouvements des membres inférieurs, et de fait se manifestant
r» suggérera seulement l'idée d'une impuissance relative, limitée aux mouvements de la marche et dont l'incoordination abasique se
ssibles, la représentation mentale,à la fois visuelle et motrice, des mouvements de la marche normale. ¦ÃÎ. de la Ýîñ. de Òóð. -
n certain degré cette trépidation qui autrefois s'étendait à tous les mouvements de la marche. Elle se manifeste encore lorsque, p
ux membres inférieurs. Les lésions à relever portent à la fois sur le mouvement et sur la sensibilité. Il y auralieu aussi d'accu
llenepeutd'elle-mêmelamodifierquetrès légèrement,à l'aide de quelques mouvements obscurs et très limités qui se passent dans les j
extenseurs se retrouve aux membres supérieurs, en ce qui concerne les mouvements du poignet. La main est tombante, beaucoup moin
moins de rêves pénibles. D'un autre côté, un retour très accentué des mouvements s'est produit du côté des membres supérieurs et p
mmence à pouvoir un peu partout leur imprimer volontairement quelques mouvements . Les troubles de la sensibilité sont eux aussi be
nir de ce côté des résultats très satisfaisants. Toutefois, quand les mouvements seront redevenus possibles, il faudra de toute né
suivie, contrairement à la règle du type, ni de la phase « des grands mouvements » ni de celle « des attitudes passionnelles ». Vo
ès courte ; le perte de conscience incomplète. Il n'y a pas de grands mouvements , si ce n'est une esquisse assez nette de l'arc de
Déjerine une atrophie de certains muscles faciaux amenant la gêne des mouvements des lèvres, et faisant obstacle à l'occlusion com
ue, en ce Fig. 85. — Aus der Periode der contorsionen. Pig. 86, — Mouvements de salutation. sens qu'il présente une période
e phase, le sujet s'agite, se tord dans tous les sens, fait de grands mouvements de salutation, s'arc-boute de manière à former l'
c de cercle ouvert en avant (Emprosthonos). C'est la phase des grands mouvements , des contorsions ou encore du clownisme, que nous
que aussitôt un corps lumineux, incandescent, fixe ou au contraire en mouvement , plus ou moins volumineux. « M. Meunier (2) se tr
uche jusqu'au bout des orteils,la perte du sentiment suivait celle du mouvement . Elle était totale. Quatre jours après, la malade
eurs et le bras droit étaient entièrement privés de sensibilité et de mouvement .Bientôt un fourmillement se manifesta, et il ne t
lement obtuses, mais non totalement supprimées en-ce qui concerne les mouvements de l'articulation de la hanche et de celle du gen
rte : sa boiterie paraît tenir surtout à un défaut d'énergie dans les mouvements de l'articulation de la hanche. C'est dans cette
tion de la hanche. C'est dans cette jointure, principalement, que les mouvements de flexion et d'extension sont très affaiblis. Le
au niveau de l'épaule, et en même temps ÏÏ G Fig. 98. tous les mouvements de ce membre sont manifestement plus faibles qu'à
l revint à lui, sa main droite était insensible, presque incapable de mouvement et portait sur sa face dorsale une plaque brune d
uccès, lorsqu'un jour, tout à coup, inopinément, la sensibilité et le mouvement reparurent. Six ans après, pendant qu'il travai
d'atrophie des interosseux, de l'émi-nence thénar et hypothénar ; les mouvements du poignet et des doigts sont très faibles; impos
en. Sens musculaire complètement aboli ; il ne se rend nul compte des mouvements qui, lorsqu'il a les yeux clos, sont imprimés à s
rapports et particulièrement en ce qui concerne la sensibilité et le mouvement . Mais lorsque survient un orage, à mesure que le
le membre supérieur droit avec perte complète de la sensibilité et du mouvement . Gela dure environ deux heures en moyenne, après
peut-être dix minutes. Le lendemain, une paralysie incomplète pour le mouvement , mais très prononcée en ce qui concerne la sensib
nt dans ces deux formes. J'insistais en outre sur ce point, que les mouvements convulsifs appelés tics, quelque complexes et biz
, et, de plus, ils reproduisent, en les exagérant cependant, certains mouvements automatiques complexes, d'ordre physiologique, ap
ale, un corps étranger engagé dans le nez; les autres, à l'aide de ce mouvement d'occlusion brusque des paupières que vous connai
dans un acte de contrition, ou encore, élèvent le bras comme dans un mouvement de défense. On n'en finirait pas à cet égard, si
dire, même sommairement. Toujours est-il que, comme vous le voyez, le mouvement complexe du tic n'est pas absurde en soi ; il est
absence de tout corps étranger, etc., etc. —. Ajoutons à cela que les mouvements des tics sont brusques, rapides, instantanés, et
e. En effet, messieurs, vous le reconnaissez, à ne considérer que les mouvements involontaires, incessants, généralisés, que prése
généralisés; eh bien, chez l'une, comme chez l'autre, vous voyez ces mouvements occuper à la fois la tête, le tronc, les membres
s reprises, cherchant à reconnaître en quoi consistent chez elles les mouvements involontaires, vous finirez par discerner que che
pour ainsi dire, tandis que chez l'autre, la plus jeune, ce sont des mouvements brusques, saccadés que l'on observe : au premier
résentent graphiquement les mou- Fig. 99. Tracés reproduisant les mouvements involontaires de la tête chez une malade atteinte
usquerie, l'instantanéité, l'étendue, la répétition coup sur coup des mouvements chez J... ; tandis que le tracé B fait bien voir
.. ; tandis que le tracé B fait bien voir que chez la malade Ch., les mouvements n'ont plus cette brusquerie, cette soudaineté ; i
plus ou moins espacés. On pourrait dire que, dans le premier cas, les mouvements sont en quelque sorte angulaires ; qu'ils sont au
emps, et vous reconnaîtrez que chez Ch..., la plus âgée des deux, les mouvements ne cessent jamais, même un instant, de sepro du
s. J..., par un effort de la volonté peut momentanément arrêter les mouvements , ceux de la main, par exemple, prendre une plume
t. Enfin, il ne vous a certainement pas échappé que chez Ch..., les mouvements involontaires ne sont autres que des gesticulatio
ronc et ses membres et frappe le sol du pied, de manière à figurer un mouvement de grande impatience, etc., etc. Inutile d'insi
chronique, les tics, à ne considérer même que ce qui est relatif aux mouvements , peuvent encore, à l'aide de certains caractères,
d'abord sous la forme de tics vulgaires, consistant dans de brusques mouvements des paupières, puis ils ont occupé la tête et les
n accouchement survint il y a un an ; et c'est à ce moment-là que les mouvements convulsifs ont acquis l'intensité que nous leur v
le les reproduit malgré elle et l'on peut provoquer ainsi un accès de mouvements involontaires. Il y a encore à noter, chez elle,
le malade qui couché, exécute, avec les membres inférieurs, tous les mouvements de l'état normal, se trouve, lorsqu'il veut quitt
pporter, étaient capables cependant, dans le lit, d'exécuter tous les mouvements possibles avec force et précision. L'abasie-astas
malade est couché sur le brancard, ou assis sur une chaise,les divers mouvements qu'on lui prescrit sont exécutés par ses membres
s, et qui, bien qu'il s'exagère manifestement à l'occasion des divers mouvements exécutés, ne les trouble pas notablement. Maint
exécute ce genre démarche, sans difficulté et sans l'intervention de mouvements contradictoires ; il progresse aussi, vous le voy
ette fois, à peu près sans le secours des membres inférieurs, par des mouvements qu'il imprime à son siège à l'aide des mains. T
s ici, le malade étant au lit, peut, vous le savez, déployer dans les mouvements de ses membres inférieurs une grande force muscul
embres inférieurs une grande force musculaire et il n'existe dans ces mouvements aucune trace d'incoordination ; mais, lorsqu'il e
nent. Vous retrouvez bien ce contraste entre l'intégrité parfaite des mouvements des membres inférieurs lorsque le malade est couc
orsque le malade est couché ou assis, et leur vicieuse adaptation aux mouvements de la marche qui constitue, en somme, le caractèr
rte à le croire, que les groupes cellulaires divers qui président aux mouvements spécifiés, pour la marche, la station, le saut, e
près nécessairement avec elle. Les premiers désordres relatifs aux mouvements de la marche ont commencé à paraître chez lui il
ou de troubles cérébraux quelconques. Il se produisit alors, dans les mouvements de la hanche gauche, une certaine gêne accompagné
Le membre supérieur gauche n'a jamais présenté, dans l'exécution des mouvements , aucun trouble appréciable. Les choses sont res
des deux membres inférieurs. D'ailleurs,actuellement,le désordre des mouvements relatifs à la marche, autrefois localisé comme on
ientôt, au membre inférieur droit. Etudions tout d'abord l'état des mouvements des membres inférieurs lorsque le malade est couc
s ces conditions-là, en ce qui concerne la force et la précision, les mouvements d'ensemble ou les actes partiels ne laissent ri
'il fait pour se remettre en situation, survenir dans ses membres des mouvements de flexion bientôt suivis d'une extension rapide,
et lorsque placé à plat ventre sur un lit, on le prie de figurer les mouvements de la natation, il s'en tire, vous le voyez, plut
'origine, une trépidation, un piétinement sur place, qui remplace les mouvements normaux et gêne singulièrement la progression ;pu
gure chaque projection du membre en avant, est interrompue ici par un mouvement d'extension brusque, qui maintient la jambe rigid
asique, aucun des troubles de l'intelligence, de la sensibilité ou du mouvement qui devraient, ne fût-ce qu'au plus léger degré,
tion de la conscience et finalement le malade tombe à terre. Quelques mouvements convulsifs des membres se manifestent alors. Des
y a cinq ans,en 1884, il commença à éprouver de la faiblesse dans les mouvements de la main droite où,peu après,se manifesta l'ama
des craquements lorsque l'on meut l'articulation du coude. Les seuls mouvements volontaires qui se produisent dans ce membre sont
ce membre sont un certain degré d'extension en masse de la main, les mouvements particuliers des doigts étant impossibles. Par su
n voit du côté gauche, mais l'extension est moins prononcée. Quelques mouvements volontaires d'extension de l'index et du médius s
ielle. Les membres inférieurs ne sont nullement affectés ; tous les mouvements naturels y sont parfaitement libres; on n'y voit
us allez du reste en juger. Vous voyez comment à la main droite les mouvements chez notre homme sont, au poignet comme aux doigt
es de vertiges. Cette fois la sensibilité des parties paralysées du mouvement , main et poignet, était absente dans tous les mod
on a vu se succéder la phase épileptoïde, l'arc de cercle, les grands mouvements , et enfin une phase de délire avec hallucinations
lement à la suite d'une attaque. Il en est de même de laparalysie des mouvements .Mais jamais,depuis le28 juin,l'anesthésie n'a dis
aucune douleur; il avait conservé la liberté et l'énergie de tous ses mouvements . Les voyageurs qui se trouvaient couchés dans sa
li que la jambe. Le malade peut exécuter avec son bras droit tous les mouvements qu'on lui commande, mais à la condition que ces m
t tous les mouvements qu'on lui commande, mais à la condition que ces mouvements ne nécessitent pas d'effort. , .. ( main droite
d*exister, l'amyotrophie diminua et il y eut récupération des divers mouvements . Mais ce qui nous intéresse particulièrement, c'e
e de celui de l'extension et quand on cherche à imprimer au membre un mouvement passif, on éprouve la sensation d'une résistance
ble amélioration. La flexion du genou est devenue possible ; quelques mouvements ont reparu dans l'articulation tibio-tarsienne, e
s à l'extrême, si bien qu'en général le.malade ne peut imprimer aucun mouvement aux parties contracturées. Déplus, quand on impri
cun mouvement aux parties contracturées. Déplus, quand on imprime des mouvements passifs à la jointure, en dedans ou en dehors, le
rime des mouvements passifs à la jointure, en dedans ou en dehors, le mouvement est à peu près complet ; le mouvement de flexion
ure, en dedans ou en dehors, le mouvement est à peu près complet ; le mouvement de flexion plantaire et aussi assez étendu, et on
a donc ^désormais le pouvoir de rendre au membre l'intégralité de ses mouvements . Mais l'opération est-elle opportune? oui, inco
enter de nouveau, cette fois complètement guérie et libre de tous ses mouvements (1). APPENDICE ¹ 3 Hystérie provoquée chez l'
le premier jour (30 juillet), il ne recouvra que quelques très légers mouvements des doigts et de la main. Quanta la face, au di
aucun trouble de la mobilité de telle ou telle partie du visage. Les mouvements des paupières aussi bien que ceux des globes ocul
une déformation, aucun pii, indice d'une contracture partielle. Les mouvements de la tête et du cou étaient parfaitement libres.
e supérieur gauche est totale, et à peu près absolue. Quelques légers mouvements de flexion des doigts et d'extension de la main,
ncomplètement paralysé. Le malade peut exécuter à peu près tous les mouvements qu'on lui commande, mais ces mouvements sont lent
exécuter à peu près tous les mouvements qu'on lui commande, mais ces mouvements sont lents et comme inhabiles. Le malade ne peut
nt du tronc, ni frottement de la pointe du pied sur le parquet. Les mouvements de flexion, d'extension, d'inclinaison latérale,
visuel) 455 Fig. 99. —Tic convulsif et chorée chronique (Tracé des mouvements ) 466 Fig. 100. — Abasie trépidante (Champ visue
gestion dans Ã). — choréi-forme, 365. — Début, 374. — (Des différents mouvements dans Ã), 356, 358, 360. — Diagnostic, 366. — (Ecr
de l'astasie, 363. — Mécanisme, 361,367.—Mécanisme psychique, 374. — ( Mouvements des membres supérieurs dans Ã), 359. — paralytiqu
Intégrité des autres modes de progression,473.— Intégrité des autres mouvements , 472, 445. — Mécanisme de l'astasie, 472. — paral
térieures, 275. — et attaques, 66, 67. — et catalepsie. 70. — (Grands mouvements dans F), 274, 275. — (Mouvements de salutation da
, 67. — et catalepsie. 70. — (Grands mouvements dans F), 274, 275. — ( Mouvements de salutation dans le), 67. — Nutrition, 273, 274
s noirs du), diagnostic avec Tabes, 331. Canaux semi-circulaires et mouvements des yeux, 227. Carpenter, 316. Carrion, 475.
113. — Fièvre dans la, 106, sq. —Hérédité dans la, 111. Intensité des mouvements , 111. — Mort dans la, 127. — Fréquence de la mort
Réflexes, 171. — Terminaison. 39. Chorée. — (Mort dans la), 103. — Mouvements , 104.—(Mouvements intentionnels dans la),130. —(M
Terminaison. 39. Chorée. — (Mort dans la), 103. — Mouvements, 104.—( Mouvements intentionnels dans la),130. —(Mouvements volontai
a), 103. — Mouvements, 104.—(Mouvements intentionnels dans la),130. —( Mouvements volontaires dans la), 105. — (Pronostic dans la),
ydenham, 467. Chorée chronique et Tic convulsif. — Coordination des mouvements , 467. — Début, 468. — Mouvements, 465. — Séméiolo
et Tic convulsif. — Coordination des mouvements, 467. — Début, 468. — Mouvements , 465. — Séméiologie des mouvements, 466.— Pronost
s mouvements, 467. — Début, 468. — Mouvements, 465. — Séméiologie des mouvements , 466.— Pronostic, 469. Chorée d'huntington. (Vo
rogènes, 66. — (Sommeil) et sommeil naturel, 65, 69, 70. — Sommeil ( mouvements de salutation), 67. — (Somnambulisme) et somnambu
sky, 199, 200, 201, 202, 203, 204, 216, 217. Motet, 320, 322,323. Mouvements . — Dans la chorée, 104. — Dans la chorée chroniqu
Mémoire psychologique des), 367. — Volontaires dans la chorée, 105. Mouvements automatiques physiologiques chez les liqueurs, 14
dant l'attaque du sommeil, 69. Nystagmus, 164, 170. 0 Oculaire ( Mouvements du globe). — et canaux 1/2 circulaires, 227. Oc
du tabès, 156. Prévost, 141. Progression (Variétés de mécanisme des mouvements de), 356, 358, 359. Psychique (Etat). — (Voy. a
n, 119, 533, 534. Tic convulsif, 13, 464. — Arithmomanie, Arrêt des mouvements , 464. — (Bruits laryngés dans le), 15. — (Coprola
e, 14, 464. Tic convulsif et chorée chronique. — Coordination des mouvements , 467. — Début, 468. — Mouvements, 465. — Pronos
orée chronique. — Coordination des mouvements, 467. — Début, 468. — Mouvements , 465. — Pronostic, 469. — Séméiologie des mouve
Début, 468. — Mouvements, 465. — Pronostic, 469. — Séméiologie des mouvements , 466. Tic convulsif. — Etat psychique, 13,15, 1
Tic convulsif. — Etat psychique, 13,15, 16. 17,464.— (Exagération de mouvements physiologiques dans le), 464 — Mouvements, 463, 4
6. 17,464.— (Exagération de mouvements physiologiques dans le), 464 — Mouvements , 463, 468. — (Reproduction de mouvements physiolo
ysiologiques dans le), 464 — Mouvements, 463, 468. — (Reproduction de mouvements physiologiques dans le) 14. —(Sommeil dans le), 1
mmeil dans le), 14. — Stigmates psychiques, 16. — Systématisation des mouvements , 14. — Variétés, 464. TlC convulsif vulgaire, 1
13 (1888) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 01] : clinique des maladies du système nerveux
r, à décomposer sur le papier , 1 n AVERTISSEMENT. sensible des mouvements anormaux, par exemple, qu'il eut été impossible
perd connaissance et se réveille paralysé .de la sensibilité et du mouvement du côté droit. Il regagne enfin l'Europe et sa
réflexe rotulien est absent. Le bras gauche peut exécuter quelques mouvements , mais avec grande peine, et la main ne donne qu
ait connaissance et était agité, pendant une heure environ, par des mouvements convulsifs des bras et des jambes. Après cette
s-accentué du membre inférieur droit, qui s'exagère dans les divers mouvements provoqués, qui tous d'ailleurs sont conservés d
st inerte ; la paralysie flasque est complète (sauf quelques légers mouvements de redressement du pied) avec abolition du réflex
che il droite, tirant ainsi après lui le pied gauche qui, dans ce mouvement est porté en avant sans jamais quitter le sol q
le pas droit, lequel est considérablement raccourci et ce sont des mouvements de latéralité du tronc NOUVELLE ICONOGRAPHIE T.
orteils. La marche s'effectue d'ailleurs comme précédemment, les mouvements d'inclinaison en avant et de latéralité du tronc
manifeste le malade étant couché. Aussitôt que ce membre exécute un mouvement le tremblement s'exagère, à plus forte raison lor
s sur un seul pied, lançant le tronc en avant et entraînant dans ce mouvement le membre paralysé qui suit en balayant le sol.
ppeler particulièrement votre attention sur le caractère spécial du mouvement de la jambe paralysée lorsque la malade marche,
e organique dans laquelle le membre inférieur décrirait toujours un mouvement de circumduction. Nous avons en effet établi da
e circumduction. Nous avons en effet établi dans notre thèse que ce mouvement de circumduction ne se produisait que lorsque l
r les changements incessants que la vie, dans l'infinie variété des mouvements , imprime à toutes les par- ties du corps humain
nscrite et due à la proéminence de la crête spinale lombaire que le mouvement de flexion du tronc en avant exagère considérab
, et nous comprendrons facile- ment la modification profonde que le mouvement de flexion 'du tronc apporte à la morphologie d
ois pour empêcher le malade d'imprimer au membre inférieur certains mouvements de flexion et d'extension. S... présente la dia
blement moins fort que le côté gauche; le bras résiste très peu aux mouvements de flexion forcée; la résistance de la jambe es
ué à droite : le malade hésite à dire quel doigt on lui prend, quel mouvement on imprime à ce doigt ; il se trompe même très
au gré de la volonté. 0... peut imprimer même à, son pied quelques mouvements , mais très limités. La force musculaire est. co
tension; lorsqu'on cherche à imprimer un mou- vement de flexion, ce mouvement , d'abord libre, est tout à coup arrêté par un o
le amélioration. La flexion du genou est devenue possible; quelques mouvements tus ont reparu dans l'articulation tibio-tarsie
l'ex- trême, si bien qu'en général la malade ne peut imprimer aucun mouvement aux parties contracturées. De plus, quand on
ouvement aux parties contracturées. De plus, quand on imprime des mouvements passifs à la jointure en de- dans ou en dehors,
e des mouvements passifs à la jointure en de- dans ou en dehors, le mouvement est à peu près complet; le mouvement de flexion
e en de- dans ou en dehors, le mouvement est à peu près complet; le mouvement de flexion plantaire est aussi assez étendu et
ion sont rapides, et, le 13 juillet, la marche est facile; tous les mouvements du pied sur la jambe sont aisés et non douloure
au à son cours, cette fois complètement guérie et libre de tous ses mouvements . L'événement, comme on a vu, a justifié cette p
ois. Depuis ce temps elle n'aurait jamais recouvré complètement les mouvements de cet article. Toutefois elle put marcher pend
ège de douleurs, non seulement lorsqu'on cherche à lui imprimer des mouvements , mais encore spontanément. M... compare ces sen
l'atrophie qui, suivant sa localisation, laisse persister certains mouvements , imprime aux divers segments du membre une attitu
oignet est inerte, le 44 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. mouvement de flexion de l'avant-bras sur le bras persiste e
ré; or nous savons aujourd'hui qu'un des muscles qui président à ce mouvement , le long supinateur, est justement un des derni
atteints par la maladie. Depuis la déformation de la main, jusqu'au mouvement limité que le patient exécute avec ce membre, l
ir de ce moment la marche est devenue beaucoup plus difficile ; les mouvements des mains et des bras plus hésitants; la tête e
de sustentation. Néanmoins, il présente continuel- lement de petits mouvements oscillatoires soit latéralement, soit, plus souve
présentent des contractions continuelles qui déterminent de petits mouvements très variés. Lorsqu'il s'agit de prendre un obj
és. Lorsqu'il s'agit de prendre un objet, un verre par exemple, les mouvements sont hésitants et incertains; il ouvre largemen
isi, il le porte assez bien à la bouche. Cette incertitude dans les mouvements est à peu près aussi prononcée aux deux bras. P
èvres, ou à l'une ou l'autre joue. Cette même hésitation dans les mouvements est encore très prononcée si on lui fait porter
e de ses mains, surtout pour tenir de petits objets et exécuter des mouvements de précision; ainsi elle ne peut travailler il l'
t est assez marqué, mais il est iL peu près le même pendant tout le mouvement et n'augmente pas lorsque le verre arrive près de
u repos on n'observe rien d'anormal. En faisant exécuter différents mouvements passifs, on constate que la force musculaire es
ses modes. Pas de déformation. Ce n'est qu'en faisant exécuter des mouvements actifs a la malade qu'on constate des troubles.
porter son doigt sur son nez, elle n'y arrive pas exactement et le mouvement est plus maladroit du côté gauche que du côté d
nt du reste conservées. L'incoordination se révèle à l'occasion des mouvements volontaires, el en particulier lors de la march
l'influence d'émotions morales; la tête est alors agitée de petits mouvements d'oscillation latérale. Ces mouvements sont enc
e est alors agitée de petits mouvements d'oscillation latérale. Ces mouvements sont encore plus marqués lorsqu'on lui ferme le
le de tout le corps, les bras remuent, de même les jambes, mais ces mouvements ont peu d'am- plitude. Dans les mouvements in
e les jambes, mais ces mouvements ont peu d'am- plitude. Dans les mouvements intentionnels des membres supérieurs, la directio
ents intentionnels des membres supérieurs, la direction générale du mouvement persiste, mais les bras et les mains sont agités
de son contenu. La langue tirée au dehors est agitée par de légers mouvements . Lorsqu'on lui dit, les yeux ouverts, de porter
rales toutefois; mais, lorsque les yeux sont fermés, la justesse du mouvement devient impossible Le sens musculaire est du
ité des globes oculaires dégénérant en véritable nystagmus lors des mouvements extrêmes en dehors ou en dedans. Le malade es
s une saillie très marquée sous la peau. Ces orteils sont agités de mouvements incessants ressemblant assez bien aux mouvement
ils sont agités de mouvements incessants ressemblant assez bien aux mouvements athétosiques. , Cette saillie dorsale s'atténue
d'un pied, normalement conformé. Lorsque le malade est debout, les mouvements dont les orteils sont, spontanément le siège s'ac
s. Lorsqu'on saisit la jambe par le milieu et qu'on lui imprime des mouvements latéraux ou antéro-postérieurs on voit le pied s'
u antéro-postérieurs on voit le pied s'a- giter, indépendamment des mouvements communiqués à l'instar d'une masse inerte reten
ent conformés; on notedetemps en temps du côté des doigts de légers mouvements alhétosiques analogues (mais CINQ CAS DE MALADI
r une table, on remarque que le bras tout entier qui va exécuter le mouvement est animé de légères oscillations en haut, en b
avant d'exécuter l'ordre prescrit : les doigts sont alors animés de mouvements athétosiques et c'est avec d'assez grandes diff
nférieurs. Quoique la marche fût possible, elle se faisait avec des mouvements bizarres, « comme si j'avais été ivre », dit la
sensibilité est indemne dans tous ses modes. Mais, t l'occasion des mouvements , se révèle un degré d'incoordination manifeste
e trouble est plus manifeste du côté gauche que du côté droit : les mouvements de ce bras'sont du reste limités depuis trois ans
est extrêmement accentué. Dès que l'on engage la malade à faire un mouvement , par exemple à atteindre la main qu'on lui présen
ité musculaire, ou autrement dit la contracture, s'est effacée, le; mouvements sont devenus libres dans la plupart des jointures
due à la contracture, car on pouvait produire dans la jointure des mouvements de flexion étendus et quelques mouvements d'exten
uire dans la jointure des mouvements de flexion étendus et quelques mouvements d'extension; mais, quand on voulait dépasser un
irurgicale appropriée aurait pour effet de rendre aux membres leurs mouvements d'extension normale. Je consultai alors mon col
ondes. Lorsqu'on fait des tentatives d'extension on n'obtient qu'un mouvement limité, et on seul manifestement au niveau du c
mplètement les contractures spasmodiques pures non compliquées. Les mouvements spontanés sont totalement impossibles lors de c
r dans des limites déterminées lors de rétractions fibreuses. Les mouvements communiqués sont également difficiles dans tous
les ligaments qui le *' fixent au tibia. f ; 2° Arrachement par mouvement forcé. Ce mécanisme est indiqué ; 1. Gazette mé
diagnostique une fracture de l'extrémité supérieure du péroné. Les mouvements volontaires du genou sont conservés et indolores,
roné est notablement plus volumineuse que celle du côté opposé. ' Mouvement . - Le malade ne peut communiquer au pied gauche a
' Mouvement. - Le malade ne peut communiquer au pied gauche aucun mouvement volontaire de flexion sur la jambe, ni aux orteil
cun mouvement volontaire de flexion sur la jambe, ni aux orteils de mouvements d'extension sur le pied. Il lui est de môme i
us, les muscles affectés avaient repris l'intégrité totale de leurs mouvements et M. Charcot le présentait de nouveau à ses audi
ue, il ne persistait aucune attitude vicieuse, et que le retour des mouvements était assuré, à cause de l'intégrité des muscle
sions dans le tissu fibreux périarticulaire, lesquelles opposent au mouvement des articulations une gène assez marquée. La co
e grande partie de ce muscle. Mais ce n'est pas tout; l'obstacle au mouvement ne réside pas seule- ment dans cette rétraction
E LA SALPÊTRIÈRE. autre élément qui concourt également à rendre les mouvements dif- ficiles dans les articulations immobilisée
lations n'aaucun effet nuisible sur celles-ci, et que, souvent, les mouvements peuvent s'exécuter facilement aussitôt que les
iphériques ne sont ni engorgés, ni indurés, et ne peuvent gêner les mouvements , ou ne les gênent que temporairement. i Or, c
iculation, des phénomènes particuliers qui vont gêner le retour des mouvements . Ce n'est'heu- reusement pas dans l'intérieur d
reliefs de l'articulation. Ils ont surtout pour effet de gêner les mouvements lorsque le muscle trop court a été allongé par
de leur résistance qui retarde pendant quelque temps le retour des mouvements complets de l'articulation. Ces désordres sont va
périphériques pour faire, disparaître cette cause de gène dans les mouvements articulaires. II. - Afin de pouvoir agir d'une
43. Fie. 44. CINQ CAS DE MALADIE DE FRIEDREICH. 117 parésie des mouvements associés. Diplopie intermittente; pas de nystag
et inférieurs se raidissent, puis ne tardent pas il être agités de mouvements cloniques en même temps quc la malade, se por-
che, l'ail des esquisses d'arc de cercle latéral. De plus, quelques mouvements de projection du bassin en avant. En résumé, phé-
ep- tique ; mais ces modifications peuvent varier suivant que les mouvements , convulsifs ou non, se sont produits dans le me
n des douleurs fulgurantes, au commencement de l'incoordination des mouvements . Cependant, il y a des exceptions, et l'arthropat
ant avec le corps de l'os. La pression exercée sur le tarse, ou les mouvements exécutés par le pied, ne sont en général pas do
vril 1886. 13S NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPETRIERE. Quant aux mouvements de l'articulation, ils sont diminués, et peuven
ant près d'un mois; l'articulation n'était douloureuse que dans les mouvements de la marche. En mars 1888, la malade ressent
ion de la contracture, on pou- vait imprimer à la jointure quelques mouvements , limités, il est vrai, par la tension des tendo
dons raccourcis et des tissus fibreux péri-arti- culaires, mais ces mouvements étaient assez faciles etnon douloureux. Au cont
uloureux. Au contraire, dans le cas de contracture en activité, ces mouvements , ou bien sont impossibles, ou ne sont possibles
odique s'amoindrit, dis- paraît même complètement et alors tous les mouvements de l'articula- tion immobilisée peuvent reparaî
dique disparaître; tandis que la rétraction musculaire empêche tout mouvement . Ce procédé, indiqué par le docteur Brissaud, peu
ncore repris sa position-normale. Il reste encore un peu dévié, les mouvements des articulations provoquent des douleurs; enfi
es condyles était immo- bilisée dans cette position. Les quelques mouvements de flexion et d'extension qu'on pouvait produir
en môme temps légèrement déviée vers le bord externe du pied. Les mouvements spontanés sont très limités. La flexion du pied s
malade peut relever de quelques degrés la face dorsale du pied. Le mouvement d'extension des orteils est peu près nul. Les m
pied. Le mouvement d'extension des orteils est peu près nul. Les mouvements communiques (articulations tibio-tarsienne et méd
la malléole interne on sent une crépitation très nette pendant les mouvements communiqués au pied. A quelques centimètres a
igitale permet de sentir le tendon d'Achille fortement tendu. Les mouvements des pieds sont très limités. Avec de grands effor
rrive à porter la pointe des pieds en dedans et en dehors. Mais les mouvements de flexion et d'extension qui ont pour siège l'ar
ège l'articulation tibio-tarsienne sont complètement supprimés. Les mouvements communiqués sont très limités. Il n'existe pa
30 novembre 1887 nous constatons les faits suivants (pl. vi) : Les mouvements de flexion et d'extension de l'articulation tibia
nt que les tendons fléchisseurs devenus trop courts s'opposent à ce mouvement . Celle position défectueuse oblige la malade à
s autres tissus fibreux qui, ainsi altérés, gênent ou empêchent les mouvements de l'articulation. * 3° Pour remédier à ces att
ouverts. Mais dans cette position, sa tête est sujette à de légers mouvements de « salutation » : son corps à des balancement
ête est fléchie sur la poi- trine, et il fait constamment de petits mouvements comme de « salutation ». Le dos est courbé en a
lusieurs pas de côté, après quoi il reprend sa ligne de marche. Ces mouvements sont plus ou moins fréquents et iné- gaux, c'es
le caractère de la vraie démarche tabétique. Ici au contraire, les mouvements sont doux et ont quelque chose de l'impuissance d
otre malade par ce mot : démarche tabéto-cérébello-parétique. Les mouvements dans le lit ne sont pas moins troublés que dans l
pied, la cuisse, et diriger le membre dans tous les sens, mais ces mouvements sont maladroits, brusques, excessifs ou insuffi
s. L'occlusion des yeux exagère tous ces troubles. Les troubles des mouvements dans les membres supérieurs s'accusent encore d'u
c des qualités défectueuses, surtout quand il s'agit d'exécuter des mouvements complexes, et d'une coordination compliquée et
malade reste entièrement au repos (couché), il y a peu ou point de mouvements . Mais, quand il lui faut s'asseoir, manger, parle
nts. Mais, quand il lui faut s'asseoir, manger, parler, écrire, des mouvements divers apparaissent. Il est inquiet, paraît agité
l remue conti- nuellement soit ses bras, ses jambes, ses pieds. Ces mouvements , qui n'ont rien de convulsif, sont très naturel
expriment seulement un « besoin particulier de mobilité ». Mais les mouvements les plus remarquables sont ceux de la tête, les
t surtout quand le malade marche, s'émotionne, parle) des séries de mouvements antéro-posté- rieurs assez rapides, d'une très
é- rieurs assez rapides, d'une très courte étendue, de vrais petits mouvements de salutation. Ces mouvements me paraissent rap
très courte étendue, de vrais petits mouvements de salutation. Ces mouvements me paraissent rappeler, d'une manière bien loin
e que celle-ci ne remue pas, on ne tarde pas à s'apercevoir que les mouvements de totalité ont leurs ana- dogues dans divers p
petite secousse agite le carré du menton, etc., etc., et ces petits mouvements se répètent avec une fréquence et une intensité v
moments, et notamment quand le malade est dans un calme absolu, ces mouvements font absolument défaut. Si on lui fait tirer la l
s son bord, à sa pointe, des enfon- cements dans sa surface, et ces mouvements et ces petites convulsions se succèdent, se mêl
Par contre, la langue ne présente pas, ou présente à peine de vrais mouvements fibril- laires. En même temps, les mêmes petite
s'élèvent et qui s'abaissent irrégulièrement. Si, à tous ces petits mouvements réunis, ou se succédant les uns aux autres, on
uns aux autres, on ajoute le nystagmus, et si l'on se rappelle les mouvements de « saluta- tion » dont nous avons parlé, on v
anifestes : quelques crampes cependant, dont j'ai été témoin. Les mouvements de la langue sont possibles dans tous les sens, e
CONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. la parole. Nous avons déjà parlé des mouvements spontanés de la langue. La parole est modifiée
its dans le voisinage des renflements cervical et lom- baire. Les mouvements de la colonne lombaire ne produisent aucu e doule
peu à peu. A quatre ans, il pouvait mar- cher, mais présentait des mouvements bizarres des quatre membres. C'est à peine si,
e distinguait plus de traces de sa paralysie; il avait toujours des mouvements athétosiques qui ont persisté. Ses attaques son
tion de la tête à droite. Les membres des deux côtés sont animés de mouvements lents de flexion et d'extension qui se produise
t dans tous les segments, y compris les doigts et les orteils ; ces mouvements , qui se font alternativement dans toutes les di
les directions, rappelleraient la chorée n'était leur lenteur. Les mouvements du thorax présentent aussi des irrégularités su
165 relève, mais il ne tient pas sur ses jambes. Il se livre à des mouvements bizarres avec ses membres supérieurs, prend ave
rités du tracé respira- toire dont es courbes représentent bien les mouvements choréiformes que l'on remarque à l'inspection e
la disposition des surfaces articulaires que ces troubles dans les mouvements extrêmes des genoux semblent tenir). Après av
s. Jamais de.diplopie, ni de strabisme, ni de ptosis. Cependant les mouvements de l'oeil ne sont pas normaux. Je constate un cer
degré de nystagmus. Si l'oeil est en repos absolu, il n'y a pas de mouvements anormaux. Si l'oeil fixe un objet en avant, que
uable et si contraire à ce que l'on observe d'habitude. Pendant les mouvements de l'objet, le nys- tagmus est présent, et il e
la secousse est contraire à l'excur- sion de l'objet fixé. Dans les mouvements verticaux, il y a encore quelques secousses, et
ents verticaux, il y a encore quelques secousses, et aussi dans les mouvements obliques de l'objet, mais, comme je l'ai dit, l
urcils, des joues, des lèvres, des ailes du nez, et enfin de petits mouvements de « salutation » de la tête. L'ouïe est parfai
tte faiblesse, de cette impuissance particulière que présentent les mouvements ataxiques dans la maladie de Friedreich. Musso a
chose, malgré l'opinion contraire de Musso. Parmi les troubles des mouvements actifs, je décris ici le premier ce que j'appel
e premier ce que j'appelle le nystagmus des muscles de la face. Ces mouvements , au moins dans leur ensemble si frappants, n'on
ces deux phéno- mènes puissent se présenter isolés, car ces petits mouvements si capri- cieusement circonscrits sont très sin
oncée, dans ces cas, d'après Duchenne, de Boulogne (Physiologie des mouvements , p. 684). La cypho-scoliose lombaire s'observe
part, l'articulation coxo-fémorale chez lui avait conservé tous ses mouvements et n'était pas douloureuse. La conclusion donc
re 'dépression. On perçoit quelques craquements articulaires. Les mouvements de l'articulation tihio-tarsienne sont très dimin
ouvements de l'articulation tihio-tarsienne sont très diminués; les mouvements de 'flexion du pied en dedans sont à peu près nul
atar- sien forme une masse plus volumineuse qu'à l'état normal. Les mouvements sont très restreints dans cette articulation.
lés, légèrement déformés. Il n'y avait vraiment pas de douleur; les mouvements étaient plutôt gênés. Il dut bientôt entrer à
vre. Au bout de six mois, il pouvait imprimer à sa jambe gauche des mouvements de latéralité. De temps z en lemps, oedème du m
étatarsien ne donne de haut en bas que 3 centimètres et demi. Les mouvements qu'on cherche à imprimer dans l'articulation méta
genou droit; jambes de polichinelle; des deux côtés, il existe des mouvements de latéralité dans les articulations des genoux.
troisième orteil. En même temps, le premier orteil a subi un léger mouvement de torsion, de telle sorte que sa lace dorsale es
algré cela, n'ayant jamais été douloureuse et permettant encore les mouvements , vous devez penser à l'arthropathie des ataxiqu
rdre de ce morceau de sculputure. Nous nous bornerons à signaler le mouvement expressif des yeux qui nous paraît admirable- m
singulièrement par la liberté et la variété de son allure et de ses mouvements avec l'attitude rigide et compassée de son comp
enteur 16 214 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. de leurs mouvements . Pendant la marche, tout le corps conserve cette
e au filet descendant du l'é- moro-cutané. ' . Motilité. Tous les mouvements sont possibles, mais sans force. L'im- potence
llent molle- ment les uns sur les autres, ils sont entraînés par un mouvement passif plutôt que solidement fixés par les musc
ins rapportent qu'il semblait râler, qu'il exécutait d'assez grands mouvements pour leur faire craindre une chute hors du lit. P
liquer contre les parties antéro-latérales du cou et s'opposer à ce mouvement . Les os propres du nez sont très larges; la sai
Fic. 83. - Ohs, III. L'A C Il 0 H; GA LIE. 233 En imprimant des mouvements à l'articulation du genou on sent quelques craq
u se trou- vent quelques verge turcs dans le sens transversal. Le mouvement de flexion dorsale se fait avec une force considé
eut très bien remuer les orteils, les écarter et les rapprocher. Le mouvement de flexion et d'extension de la cuisse se fait av
, mais la malade'résiste cependant moins à gauche qu'à droite. Le mouvement d'écartemenl et de rapprochement des doigts se fa
as gauche était devenu plus faible. La résistance des deltoïdes aux mouvements passifs du bras est notable- ment affablic; pen
ce semble aussi diminuée. " ' En somme, quoiqu'un grand nombre de mouvements s'exécutent avec moins de force qu'à l'état nor
malade peut faire tout ce qu'elle veut. Il en est de même pour les mouvements de la tête qui, quoique affaiblis, comme nous le
errons tout il l'heure, n'en existent pas moins tous. 7 ? coM. Le mouvement d'extension et de flexion de la tête s'opère bi
e du crâne. La langue est élargie, craquelée, mais pas sèche. Les mouvements de l'avant-bras sont conservés, mais semblent un
le du triceps semble légèrement diminuée. Le deltoïde fait bien ses mouvements , mais sans grande force. Il y a, de plus, dans
a de fortes douleurs aux jambes qui lui rendirent dans la suite les mouvements impossibles. Ce qu'il y a de plus remarquable, c'
es des bruits du coeur avec quelques faux pas cardiaques. Jamais de mouvement fébrile. La longueur de toute la personne arriv
s de paralysie; le malade peut remuer bras et jambes, cependant les mouvements sont lents ; il faut un certain effort pour soule
lissement musculaire ou est-ce le poids des extrémités qui rend les mouvements pénibles ? Il est vraisemblable que ces deux ca
14 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ès important du tabès : l'influence de l'occlusion des yeux sur les mouvements et l'équilibre des ataxiques; ce symptôme porte
si on lui commande de di- riger¡son pied vers un objet désigné, ces mouvements sont exécutés très régulièrement, et le but est
s quelques lignes qu'il consacre à cette affection, il qualifie les mouvements des tiqueux de « contractions ins- tantanées, r
re furent divisées. Les blessures n'étaient pas cicatrisées que les mouvements convulsifs s'étaient manifestés. Dès le début, le
ement d'occlusion de la paupière. Sous l'influence de l'émotion, le mouvement aug- mente d'étendue ; alors le clignement des
été pour la mère un facteur prépondérant; il a donné naissance aux mouvements convulsifs et a contribué pour une bonne part à
soirée et une partie de la nuit. Peu de temps après apparurent les mouvements convulsifs. D'abord limités à la face, ils aura
mbre inférieur de ce même côté et le bras gauche. Description des mouvements . - Les mouvements peuvent être ramenés à deux t
ce même côté et le bras gauche. Description des mouvements. - Les mouvements peuvent être ramenés à deux types, suivant qu'i
eu la partie dorso-Iatérale du nez. Dans le membre inférieur, les mouvements sont moins com- plexes : la cuisse est fléchie
t le pied porte fortement contre le sol. Pour le bras gauche, les mouvements sont à peu près les mêmes que pour le membre du
re en branle, souvent il reste en repos. Dans le second type, les mouvements sont limités au bras gauche, qui d'abord est pr
plement la projection de la langue hors de la cavité buccale. Ces mouvements , dont le propre est d'échapper à l'action de la
premier métacarpien, une coloration rouge foncée. Le caractère des mouvements est franchement explosif; c'est un ressort qui
qui inaugure les contractions de ce membre, Fig. 2. Inscription du mouvement du bras droit projeté sur l'abdomen. (Le chro
coprolaliques auxquels ils sont associés. - i ' . . Le nombre des mouvements est très variable. Si la malade est émotionnée,
. Si la malade est émotionnée, on compte dans une minute six à sept mouvements du premier type et deux à trois du second. Il e
usculaire. En dehors de ces états, on note simplement trois, quatre mouvements généralisés, car le plus souvent le bras gauche
: pardi et voilà, hé ! oh1', qui accompagnent L invariablement les mouvements convulsifs. Si le mouvement est généralisé, la
qui accompagnent L invariablement les mouvements convulsifs. Si le mouvement est généralisé, la phrase entière est prononcée
ysant les rapports qui existent entre l'émission de ces mots et les mouvements convulsifs, on se rend compte que le dé- clench
plus de ces exclamations franchement articulées et asso- ciées aux mouvements convulsifs, Ma... est coprolalique, dans le vra
re ! . Echocinésie. L'échocinésie se manifeste seulement pour les mouvements convulsifs que la malade présente. Dans les momen
en frappant avec le pied le sol. Cette suggestion à reproduire les mouvements qui simulent ceux qu'elle exécute naturellement
lument distinctes. Tantôt les paroles ordurières sont associées aux mouvements convulsifs, et leur émission se fait d'une voix
uditive. Chez Ma..., l'un et l'autre ne sont nullement associés aux mouvements convulsifs. Quant à l'échocinésie, les conditio
ses muscu- laires. En dernier lieu, la manière dont s'effectue le mouvement du membre inférieur soulève quelques remarques.
rnières phalanges, tantôt des mains, tantôt des pieds. Bien que les mouvements s'exécutent inconsciemment, ils restent soumis à
ucinatoire dura environ un quart d'heure. Quelques jours après, les mouvements apparurent. D'abord, limités au bras droit, ils
tous ses membres. C'est à la suite de ce der- nier incident que les mouvements se sont généralisés aux membres inférieurs et a
laire conservée à gauche, très diminuée à droite. Description des mouvements . Les mouvements sont partiels ou généralisés,
gauche, très diminuée à droite. Description des mouvements . Les mouvements sont partiels ou généralisés, partiels ils sont
eule particularité est d'être localisés. Assise sur une chaise, les mouvements peuvent être ramenés à . trois temps. ier temps
auche, le front se ride, les sourcils se froncent, la tête subit un mouvement de torsion de droite à gauche; 2e temps : Clign
La tête est ramenée brusquement de droite à gauche; elle exécute un mouvement com- plet de latéralité; fléchie qu'elle était
adduction, le pied gauche s'appliquant contre le droit; enfin, des mouvements de latéralité du tronc en tout point comparable
son dans le dos, terminent cette série de contractions. Parfois, le mouvement convulsif est précéd de la projection de la langu
atateurs de l'aile du nez. Assise à terre, les jambes étendues, les mouvements restent les mêmes pour la face, les membres sup
e poids du corps porte sur la pointe du pied gauche. En marche, les mouvements sont ceux de la station debout; mais toutes les
malade saute à cloche-pied sur la jambe gauche. Comme nombre, les mouvements sont très variables. Sous l'in- fluence de l'ém
i inaugurent la sériation des divers actes musculaires composant un mouvement généralisé. Bien que très atténués, ils persist
omènes d'écholalie, l'appareil symptomatique se trouve ramené à des mouvements étendus à tout le corps, dont le propre est d'é
nt le propre est d'échapper à l'ac- tion de la volonté. Lorsque les mouvements involontaires sont ainsi généralisés, de prime
ontractions ne justifie cette opinion. Les caractères inhérents aux mouvements choréiques sont : la lenteur, le défaut de coor
ogiques, aussi prêtent-elles au rire. La permanence indique que les mouvements se produisent sans trêve ni repos, du moins à l
s trêve ni repos, du moins à l'état de veille. Cette permanence des mouvements peut fournir dans l'espèce un signe' d'une cert
lade, nous trouvons entre eux une opposition absolue. Chez J..., le mouvement , sans avoir la rapidité de l'éclair, présente u
'explosion d'une décharge électrique ((ig. 8). Comme étendue, les mouvements ne sont pas limités à un Fig. 8. - Inscription
Le défaut de coordination n'existe pas ; pour si limité que soit le mouvement , il répond tou- jours à un acte physiologique.
es, la projec- tion du bras sur la poitrine, le sautillement, les mouvements de latéralité du tronc sont tout autant de cont
Un autre trait caractéristique est tiré de la non permanence des mouvements . Pour si agi- tée que soit la malade, elle rest
de l'intelligence ni de modifications dans le caractère, et que les mouvements persistent depuis six ans sans avoir jamais com
orée vulgaire ou de chorée de Sydenham. Convient-il d'attribuer les mouvements de J... à l'hystérie, et par suite de les consi
es, il faut que nous retrouvions en eux les caractères assignés aux mouvements spasmodiques de cette nature. De ces caractèr
s, la malade a éprouvé deux autres émotions non moins vives, et les mouvements au lieu de disparaître pu simplement de s'attén
accès de hoquet. (Pitres, t. 1. p. 313.) fin. 12. - Inscription des mouvements du bras droit de J... V. 36 PATHOLOGIE NERVEUSE
étaient avant. En conséquence, on est en droit de conclure que les mouvements ne relèvent pas de l'hystérie, bien que la mala
uite d'un traumatisme ou d'une vive émotion, caractérisée par des mouvements involontaires avec troubles divers du système n
ements involontaires avec troubles divers du système nerveux. Les mouvements , d'abord limités, se généralisent et peuvent s'
à qui est d'accord avec la marche envahissante de la ma- ladie. Les mouvements se reproduisent à des intervalles irré- guliers
de caractères propres aux tics convulsifs. Quant à la rapidité des mouvements , elle n'est pas ici tout à fait compa- rable à
nces étiologiques... * 38 PATHOLOGIE NERVEUSE. par M. Charcot des mouvements des tiqueux et se rapproche plutôt de celui don
mode d'émission de ces mots, on reconnaît qu'à leur production, les mouvements des lèvres, de la langue prennent une faible pa
e M. Pitres), il y a lieu de remarquer que, dans ces deux cas, tout mouvement volontaire faisait défaut, et. d'ailleurs, l'éc
, t. I, p. 318. 2 De ces deux opinions de concevoir la qualité du mouvement chez les tiqueux, nous croyons la première plus
ns les trois premières observations; si pour cette autre malade les mouvements présentent le plus habituellement une lenteur r
- lontaire de paroles ordurières, accompagnant le plus souvent le mouvement convulsif, certainement ce trouble du système n
il convient de comprendre non seulement les cas dans lesquels les mouvements involontaires sont généralisés, mais aussi ceux
'HYSTÉRIE ET LES MALADIES ORGANIQUES DU CERVEAU. 41 Les qualités du mouvement sont : la rapidité, la systéma- tisation, la co
ême dans ces cas, les tracés obtenus offrent des analogies avec les mouvements qui simulent une 'décharge électrique. L'écho
s d'obnubilation de la conscience, ni d'aucun trouble du sens ou du mouvement ; seulement AU... se sentait entraîné à tomber v
paralysé à gauche et presque complètement à droite; à gauche, le mouvement le plus léger lui était impossible; à droite, il
tait impossible de parler et aussi de mâcher. Après quinze jours le mouvement commença à revenir il droite successivement dan
odures et à l'électricité. Peu à peu commencèrent à se rétablir les mouvements du côté gauche ; au mois de mars il était en me
yant sur un bâton, puis il imprime à la han- che gauche un brusque- mouvement de rotation et porte devant soi le membre infér
ient s'appliquer par la face antérieure contre le bras; pendant les mouvements passifs on trouve dans les deux membres de gauc
s de gauche un certain degré de résistance et de rigidité. Tous les mouvements actifs intéressant les différents groupes muscu
as sans l'aide du bras tirer la jambe hors du lit. De plus tous les mouvements sont très lents, se font par saccades, comme si
, comme si AU... dût vaincre une très grande résistance. Lorsque le mouvement est achevé, les muscles se contractent for- tem
lles on les sent très durs au toucher, et AU... ne peut exécuter le mouvement antagoniste qu'après quelques secondes; ce mouv
exécuter le mouvement antagoniste qu'après quelques secondes; ce mouvement s'accomplit lentement et lui aussi par saccades.
main gauche, il y réussit avec beaucoup de fatigue, mais à peine le mouvement de flexion est-il achevé, son énergie augmente
phénomènes plus ou moins ébauchés de la crise hystéro-épileptique ( mouvements convulsifs, délire, attitude passionnelle), et
particulièrement la main, n'avaient plus la force d'autrefois, les mouvements des flexions des doigts avaient très peu d'éner
s musculaires de ses membres est presque nulle. Pour ce qui est des mouvements actifs, Bo... réussit avec beaucoup de peine à
onde. L'avant-bras ne peut être fléchi au delà de l'angle droit; le mouvement d'extension et de flexion du poignet est à pein
le bassin sans soutenir sa jambe avec la main droite et encore le mouvement est très peu accentué. La flexion de la jambe sur
de la jambe sur la cuisse est possible en Ja soutenant un peu. Les mouvements qui intéressent l'articulation du pied sont ins
ts qui intéressent l'articulation du pied sont insignifiants. Les mouvements de flexion du tronc sont très limités. En res-
es- thésie est profonde. L'on peut imprimer aux articulations des mouvements de torsion dans tous les sens sans provoquer de d
re que dans le membre inférieur, elle est presque normale. Tous les mouvements qui intéressent les diffé- rentes articulations
utes ces positions, B... peut opposer une cer- taine résistance aux mouvements qu'on lui imprime dans une direction opposée.
nconsciemment. En effet, cette position repré- sente une ébauche de mouvement de défense, que Bo... doit avoir fait avec beau
it aujourd'hui, constitu- tives de la faith-healing dont la mise en mouvement est d'ordre variable. D'autre part, le domaine
côté gauche; depuis ce tems, il lui a été impossible de faire aucun mouvement de son bras ni de sa main gauche, qui demeurère
niment tout à coup; déjà son bras a repris la vie, la chaleur et le mouvement ; sa jambe retirée et desséchée se déploie et s'
e très doucement et très lentement de manière à en- traîner dans ce mouvement la colonne vertébrale du malade et à lui faire
be en avant et il entraîne la co- lonne vertébrale du sujet dans ce mouvement exactement comme dans le second temps de l'opér
té chez le malade que de simples vertiges précédés ordinairement de mouvements oscillatoires et de course en avant, propulsion
n sommeil bizarre, accompa- gné de troubles de la sensibilité et du mouvement , de phosphaturie, sommeil au cours duquel l'ali
N. (Neurol. CcHai/6 ? 1891.) On ordonne au patient d'exécuter des mouvements , ou on imprime des mouvements aux membres paral
On ordonne au patient d'exécuter des mouvements, ou on imprime des mouvements aux membres paralysés. On éduque, ou plutôt on
genèse DES EMPREINTES mnémoniques DES IMPRESSIONS VISUELLES ET DES MOUVEMENTS REFLEXES ; par NOISZE- wski. (Centmlbl. f. Neve
'image tombant sur la rétine a son centre sur la macula lutea. Tout mouvement de la tête produit' une nouvelle image détermin
conde image. Les images d'ensemble sont la somme des impressions du mouvement des muscles qui pendant un certain espace de te
cou 132 SOCIÉTÉS SAVANTES. et les bras, s'exacerbant pendant les mouvements . Parésie très prononcée des mains et des pieds.
ion, sur les actes, psychiques, la vitesse, la forme, l'énergie des mouvements secondaires, sur la pression artérielle, sur la
éraux qui se réduisent en somme à des transformations de forces. Le mouvement qui tient une place importante parmi ces effets
leur précision, leur rapidité. Ces modifications des caractères des mouvements sont en rapport avec des modifications de la ci
l, ce seraient les asiles mixtes ne dépassant point 500 malades. Le mouvement de la population étant, par suite, assez restre
énergiques dans le droit an- térieur ; et elles déterminent là des mouvements d'élé- vation de la rotule brusques et très éte
Il -1 1 ligue ou de gêne appréciable. Cependant, à l'épreuve, des mouvements provoqués avec résistance de la part du malade,
ns les membres intéressés par l'atrophie. Cependant à l'épreuve des mouvements provoqués avec résistance de la part du malade,
des mouvements provoqués avec résistance de la part du malade, les mouvements de la jambe, de la cuisse, du pied gauche sont
moindre occasion, et par là même ils essayent de régulariser leurs mouvements . » Donc les patients ne fixent pas leurs pieds.
écité, qui n'est pas rare chez les tabétiques augmente l'ataxie des mouvements . » C'est là une erreur complète. Trousseau 2 av
ant. » Dans d'autres cas, la perte du sens musculaire trouble les mouvements (et je ne nie nullement cela), mais les caractère
t plus bouger quand elle a les yeux fermés; elle croit exécuter les mouvements commandés, et cependant elle ne les fait pas; l
, elle ne peut se déplacer et se relever qu'au jour. Au milieu d'un mouvement volontaire, si on masque la vue du membre en mo
milieu d'un mouvement volontaire, si on masque la vue du membre en mouvement ou si on détourne le regard, le mouvement s'arr
asque la vue du membre en mouvement ou si on détourne le regard, le mouvement s'arrête, le membre reste où il est, bien que l
E MYOPATHIE PRIMITIVE PROGRESSIVE. 191 et lui semblaient lourds; le mouvement qui tout d'abord lui a été le plus difficile es
ras sur le bras, et notam- ment l'action de se moucher. La gène des mouvements a augmenté d'une façon progressive et presque i
e, se trouve un méplat qui s'accuse surtout quand la malade fait un mouvement des lèvres. Le menton ne présente rien de parti
paupière inférieure; pour l'oeil gauche, 2 millimètres et demi. Les mouvements synergiques de la paupière supérieure coïncidan
ouvements synergiques de la paupière supérieure coïncidant avec les mouvements de l'oeil dans la vision en haut et en bas, son
ments de l'oeil dans la vision en haut et en bas, sont normaux. Les mouvements des yeux sont parfaitement réguliers. Il y a to
aine abondance de larmes au niveau de la paupière inférieure. Les mouvements de l'aile du nez, dans l'action de renifler, ne
commissures labiales. Elle par- vient à imprimer isolément quelques mouvements de latéralité aux - 192 PATHOLOGIE NERVEUSE.
s devant sa poitrine, mais elle ne présente aucune résistance aux mouvements passifs. Mouvements du trapèze très énergiques, r
ne, mais elle ne présente aucune résistance aux mouvements passifs. Mouvements du trapèze très énergiques, résis- tant parfait
ments du trapèze très énergiques, résis- tant parfaitement bien aux mouvements passifs, du moins dans sa partie supérieure; au
ontraction du triceps est énergique et résiste très notablement aux mouvements passifs. Les mouvements de pronation et de supina
t énergique et résiste très notablement aux mouvements passifs. Les mouvements de pronation et de supina- tion s'exéculent bie
t énergiquement. Les fléchisseurs du carpe accomplissent bien leurs mouvements , mais n'opposent que peu de résistance. 11 en e
t que peu de résistance. 11 en est de même pour les extenseurs. Les mouvements d'abduction et d'adduction sont encore assez én
gauche 13 kil. main droite G kil. La malade était droitière. Les mouvements des interosseux et de l'adduction du pouce s'ex
malade porte assez bien son bras sur sa tête, quoique pour faire ce mouvement elle soit obligée de projeter brusquement son bra
malade est, pendant le repos, légèrement incliné à gauche. Dans le mouvement du grand dorsal, le scapulum bascule très forte
e paralysie pseudo-hyperlroplrique. Cependant, quand elle fait ce mouvement sans être prévenue, elle a une tendance à appuyer
la cuisse gauche. Les fléchisseurs du bassin sont un peu affaiblis. Mouvements du triceps fémoral forts. Résistance assez cons
vements du triceps fémoral forts. Résistance assez considérable aux mouvements passifs. De même la flexion de la jambe sur la
d elle marche, elle tourne assez facilement son pied en dedans. Les mouvements des orteils sont normaux. Les fessiers agissent
gulièrement menstruée, urines normale ? Le vertige vient au moindre mouvement des yeux, de la tête; elle a dû garder le lit t
marche. 4 avril. Légère sensation de tournoiement fugace dans les mouvements brusques de la tête en arrière, rien de plus; la
as. La montre est perçue à 60 centimètres à droite et à gauche; les mouvements des tympans et des étriers sont normaux ; les r
'était-il passé ? Mon malade qui, les jours précédents, faisait des mouvements continuels de succion était arrivé par une succ
7 peuvent se faire les paralytiques généraux par la répétition de mouvements automatiques; il est tout à fait exceptionnel, si
es, se manifestantpar de la cyanose, des grimaces de la face et des mouvements couvul- sifs des memhres sans prédominance d'un
rant son enfance. De quatre à six ans, l'enfant aurait présenté des mouvements cho- réiformes dans les membres, tant à droite
Ces troubles, d'après sa mère, consistent en un besoin fréquent de mouvements . Depuis l'âge de deux ans et demi, il sait marc
4 recueil DE faits. de recevoir la moindre éducation. Sans cesse en mouvement , il passe parfois des heures à s'amuser avec un
ès qu'on l'approche ou qu'on lui parle. Il fait avec les doigts des mouvements bizarres et incohé- rents. Dans la marche, il t
des dents, en faisant des contor- sions des doigts comparables aux mouvements de l'athétose (fit. 23 et 24). Il remue lenteme
métacarpo-phalangienne des doitgs suivants. Il parvient à faire ce mouvement compliqué sans se servir de la main opposée. Il
de cornage particuliers. Pendant un instant il se balance avec des mouvements de rotation de la fête et présente une posture
i adressons, bien qu'il les comprenne toutes, comme le prouvent les mouvements que nous lui faisons faire sur simple invitatio
rne plusieurs fois sur lui-même pendant un court trajet. Les autres mouvements de Ros... sont bien coordonnés, il prend les ob
complexes, multiples, et reproduisant constamment la même série de mouvements , l'absence plus ou moins complète de la parole,
cs chez Ros... est intéressante. Comme ses pareils, il est avide de mouvements et surtout de mouvements rotatoires (gyrospasme
ssante. Comme ses pareils, il est avide de mouvements et surtout de mouvements rotatoires (gyrospasmes). Il éprouve une vérita
manifeste le nouveau- né que l'on berce. Mais ici le plaisir dû au mouvement se com- plique du résultat de l'imitation. Sa m
cs, ces deux penchants si communs chez les idiots : la nécessité du mouvement et l'imitation. Une autre particularité intéres
accru. D'un autre côté, l'auteur a pu enregistrer graphiquement les mouvements des muscles abdominaux, niés par Percy et Lau-
servés avec M. Bourneville dans son service de BicêLre. Ce sont les mouvements des muscles abdominaux qui sont les fac- teurs
pour prendre les aliments et présentaient dans la mastica- tion des mouvements de latéralité de la mandibule. J. Séglas. XX. U
oujours en repos, tan- dis qu'en réalité nous sommes constamment en mouvement dans l'espace. ' 2° L'esprit sain renferme au
gnant les cas aigus des asiles, on rendrait ainsi presque nul le mouvement des sorties, mouvement qui donne aux malades chro
des asiles, on rendrait ainsi presque nul le mouvement des sorties, mouvement qui donne aux malades chro- niques l'espérance
le l'activité fonctionnelle dans les centres moteurs et produit des mouvements prédéterminés. Mais le pouvoir de la volonté es
la regarder comme attention rationnelle. Lorsqu'une association de mouvements musculaires a été une fois définitivement établ
précision est le résultat de l'exécution antérieure et correcte des mouvements qui sont exécutés par la capacité automatique d
le temps d'élection (on dit au sujet en expérience : vous ferez tel mouvement quand vous reconnaîtrez l'impression auditive);
ique de l'établissement en question pour 1888 et 1889, comprenant : mouvement général de la population - particula- rités sur
ès probable, que, chez l'homme, le centre de l'accommodation et des mouvements de l'iris réside dans le segment antérieur de c
grés. Immédiatement après l'extraction du clou, em- barras dans les mouvements du bras droit et quelques symptômes d'aphasie.
sarque et les symptômes de néphrite disparaissent et, avec eux, les mouvements choréiques. Il est donc à penser qu'il y avait
conductibilité fonctionnelle; ce trouble passager a transformé les mouvements voulus combinés en mouvements incoordonnés. Les
e trouble passager a transformé les mouvements voulus combinés en mouvements incoordonnés. Les trois observations ont trait à
totale du bras droit; incapacité d'effectuer sans peine certains mouvements , avec secousses de l'avant-bras etde la main, sec
secousses de l'avant-bras etde la main, secousses exagérées par les mouvements intentionnels. Il y avait aussi anes- thésie de
chique des impressions extérieures d'une part, et la production des mouvements d'autre part, car les médicaments en question,
Suivant toute appa- rence, il gêne un peu le centre générateur des mouvements , mais active la contraction des muscles par act
es; les uns voient de l'amélioration là où d'autres cons- tatent un mouvement rétrograde, et par conséquent, certains vou- dr
ssion du malade, au bout du troisième jour. Ensuite, on vit que les mouvements de la tête étaient beaucoup moins fréquents et
es plus communément observés; 3° la paralysie par sup- pression des mouvements coordonnés (astasie-abasie). Il analyse leurs c
Mais enfin, il pouvait se servir de sa main droite pour manger. Les mouvements de l'épaule seuls était impossibles à cause de
on apparition. Le premier jour, il pouvait encore exécuter quelques mouvements des doigts, tandis qu'aujourd'hui, il en est to
bras, elle est absolue. Le malade est incapable de faire le moindre mouvement de la main et des doigts. Quand la main est en
impossibles. Il n'y a pas même une ébauche de ces mouve- ments. Les mouvements de pronation et de supination de même. Pour met
and on lui commande de fléchir son avant-bras, il peut le faire, le mouvement est très faible, et l'on s'y oppose facile- men
Ce n'est donc 324 CLINIQUE NERVEUSE. pas le biceps qui produit ce mouvement . D'ailleurs, le biceps, pen- dant ce mouvement,
iceps qui produit ce mouvement. D'ailleurs, le biceps, pen- dant ce mouvement , reste flasque, Le mouvement de flexion est vra
t. D'ailleurs, le biceps, pen- dant ce mouvement, reste flasque, Le mouvement de flexion est vraisemblablement obtenu par le
n- nent pas une sensation des masses fermes comme du côté gauche. Mouvement de l'épaule. Le deltoïde et le grand pectoral se
ment de rotation de l'épaule. Le trapèze se contracte bien dans les mouvements d'extension de la tête et dans l'élévation de l'é
24. Séance de trois quarts d'heure. On lui commande de faire des mouvements alternatifs de flexion et d'extension des doigts
sont complète- ment inertes. Le résultat est également uul pour les mouvements associés (par exemple : pression du dynamomètre
ne très légère flexion de la phalangette du pouce. C'est le premier mouvement volontaire qu'on obtient. Le malade est enchanté,
deux dernières phalanges de l'index est obtenue vers la fin, et les mouvements du pouce se produisent à différentes reprises.
urs par imitation de la main saine. ' 26. Séance d'une heure. Les mouvements de flexion du pouce et de l'index se conservent
éance de trois quarts d'heure. Pour la première fois, on obtient un mouvement de flexion d'ensemble des quatre derniers TROIS
roisième est plus paresseux, mais il arrive à suivre les autres. Ce mouvement de flexion est beaucoup plus étendu qu'au début
langes. L'index et le pouce arrivent au contact par leur pulpe. Les mouvements sont lents, faibles et la flexion se fait souve
ent par saccades. Pour la première fois aussi, on obtient de légers mouvements d'ex- tension dans l'index et le cinquième doig
x et le cinquième doigt surtout. Le pouce fait maintenant de petits mouvements d'abduction, mais l'adduction est toujours plus
mètre de la main droite. Poignet toujours tombant. En résumé, les mouvements volontaires sont apparus dans l'ordre suivant :
persuader au sujet, au moment même où a lieu la suggestion, que le mouvement seul sera paralysé et que la sen- sibilité rest
bles sensitifs. Dans ces conditions, nous avons obtenu la perte du mouvement mais aussi la perte de la sensibilité. Il s'agis-
sensibilité, anesthésie ou hyperesthésie, tantôt à des troubles du mouvement (paralysies et contrac- tions) cet oedème bleu
tombante en flexion et pro- nation, les doigts en demi-flexion. Les mouvements de l'épaule et du coude sont conservés, mais be
main sur l'avant-bras, les doigts peuvent exécu- ter un très léger mouvement de flexion, et les premières phalanges étant ma
la main étant étendue sur une surface plane, il peut faire quelques mouvements de latéralité des doigts. Tous ces mouvements o
l peut faire quelques mouvements de latéralité des doigts. Tous ces mouvements ont été récupérés depuis une quinzaine de jours
nzaine de jours. Le long supinateur est paralysé et il n'y a pas de mouvement de supination, même dans la flexion du coude.
que et enfin par des exercices sur le dyna- momètre. Les premiers mouvements acquis ont été les mouvements de flexion des do
sur le dyna- momètre. Les premiers mouvements acquis ont été les mouvements de flexion des doigts, sans participation du po
e peut fléchir et étendre sa dernière phalange et atteindre dans le mouvement d'opposition la pulpe de l'index. Le poignet
alade remarque qu'il ' peut mettre beaucoup plus d'énergie dans les mouvements du coude et de l'épaule. 1 TROIS CAS DE MONOP
1 TROIS CAS DE MONOPLÉGIE BRACHIALE HYSTÉRIQUE. 333 10 mars. - Le mouvement du poignet est commencé, mais la sensibilité n'
nuant peu à peu, l'injection conjonctivale est moins intense. Les mouvements du membre supérieur droit sont tout à fait libres
gauche est atténuée. Pas d'attaque de migraine ophthalmique. Les mouvements du membre supérieur droit sont tout à fait libres
rois mois après soit sept mois après le début des accidents que les mouvements du coude reparaissent pres- que subitement. Il
six mois n'ont produit aucun changement dans l'état du malade. Les mouvements de l'articulation du poignet et ses doigts rest
il y a trois semaines, le malade a recouvré petit à petit quelques mouvements de flexion et d'extension des doigts, des poi-
che, elle présente les caractères suivants : Paralysie complète des mouvements , dont l'épaule est le centre; paralysie incompl
s mouvements, dont l'épaule est le centre; paralysie incomplète des mouvements d'extension et de flexion de l'avant-bras, du p
de M. Parinaud, du 2 mars 1892). Nystagmus avec parésie de tous les mouvements associés. Les pupilles réagissent normalement.
cices quo- tidiens dans lesquels le malade s'efforce d'exécuter des mouvements divers des doigts de la main et des autres segm
ndition que l'avant-bras s'appuie en s'élevant contre le thorax. Ce mouvement gagne par l'exercice chaque jour et on voit trè
phie et la para- lysie'étaient stationnaires en ce qui concerne les mouvements de l'épaule. ' Ce cas est complexe, on ne sau
ître. A la lésion du plexus doivent être rapportées la paralysie du mouvement et la sen- sibilité qui ont suivi immédiatement
éciale qui double la mo- noplégie et peut-être aussi la paresse des mouvements de flexion de l'avant-bras. Cette interprétatio
e interprétation étant acceptée, on comprendra aisément pourquoi le mouvement du coude a re- paru rapidement sous l'influence
supérieurs ne tardent pas à être pris; mais ici, la difficulté des mouvements coïncide avec une diminution considé- rable des
les saillies des os. La face seule échappe à'l'atrophie. Quant aux mouvements , ils ont presque en- tièrement disparu ; le mal
nt à plier légèrement l'avant-bras sur le bras. Néanmoins, tous ces mouvements sont accomplis avec très peu de force. Pour s'e
sent-on une faible pression, La tête a conservé la plupart de ses mouvements . Par lui-même, il est incapable, non seulement
modérément la peau en arrière En outre, le sacrum a décrit un petit mouvement de rotation, de manière que sa face antérieure
une variété à part. Dans ce cas, ni le rapport du trem- blement aux mouvements volontaires, ni l'amplitude des oscil- lations,
de et atteint un haut degré lorsque P. S... s'ef- force de faire un mouvement volontaire ou d'être debout, davan- tage encore
ERTAINS CAS D'ABOULIE AVEC OBSESSIONS 1NTERROGATIVES ET TROUBLE DES MOUVEMENTS (FOLIE DU DOUTE AVEC DÉLIRE DU TOUCHER) ; par M
éral des facultés, autrement dit le dynamisme mental; 2° l'état des mouvements volontaires. Tout d'abord s'impose la distincti
ésitation psycho-motrice (hésitation de la volonté, incertitude des mouvements , malades incapables par eux-mêmes d'une volonté
oulie, avec toutes ses conséquences; - hésitation et difficulté des mouvements musculaires et des actes, qui ne peuvent, plus
n : et comme force impulsive d'où l'hésitation et l'incertitude des mouvements et comme puissance d'arrêt, d'où les obsessions
hypothermie ; souvent troubles oeulo-moleurs, crampes, névralgies, mouvements automatiques, troubles des voies digestives, gâti
durée, sou- vent héréditaire, caractérisée par l'incoordination des mouvements avec conservation de la force musculaire, par l
es doigts sont froides, insensibles à la douleur et au toucher; les mouvements sont faibles et sans vigueur. Les accès ont l
e résulte pas seule- ment d'un désordre dans les représentations et mouvements , mais comporte aussi d'autres symptômes. , La
L'élément moteur joue chez elle le rôle principal. C'est lorsque le mouvement est accompli qu'elle en déduit des conséquences.
t l'excitation intellec- tuelle s'accroit; le malade, sans cesse en mouvement , se montre loquace, exubérant, l'exaltation aug
es américains, empêchen t les alié- nés agités de troubler, par les mouvements continuels de leurs sièges, la tranquillité de
de Reynolds', M. Charcot a montré que certains troubles graves du mouvement ne pouvaient être expliqués par aucune lésion g
festent surtout par des accidents d'apparence physique. Ce sont des mouvements involontaires, des spasmes, des para- lysies au
Il en est ainsi, semble-t-il, dans toutes les aliéna- tions où des mouvements bizarres sont aussi la conséquence de certaines
la conséquence de certaines idées fausses. Non, dit M. Moebius, les mouvements de l'aliéné ne sont qu'indirectement en rapport
'hystérie, le rapport est plus immédiat, la pensée se transforme en mouvement sans l'intermédiaire de la volonté du sujet. Ce
cessivement2 » ; il a dans l'une des sensations, des souvenirs, des mouvements qu'il n'a pas dans l'autre et, par conséquent,
s chez le même malade. Ce sont toujours les mêmes gestes, les mêmes mouvements , les mêmes cris, les mêmes paroles : on peut pr
otionnelles. Nous sommes loin du savoir exacte- ment quels sont les mouvements des membres, les contorsions de la face, les tr
aissaient laisser de côté les accidents permanents, ces troubles du mouvement si bien résumés d'autre part par les théories d
vérifier l'exactitude, on peut provoquer chez le sujet non plus des mouvements , mais des hallucinations visuelles qui ont égal
, p. 410.) 3 Automatisme psychologique, p. 332. ` Ch. Richet. Les mouvements inconscients dans l'hommage ci Che- vreul, 1880
'hystérie un rôle capital; elles peuvent déterminer des troubles du mouvement les plus variés, elles donnent lieu à des hypér
ces, il semble se produire une légère amélioration ; néanmoins, les mouvements du bras sont toujours très gênés; il existe un
é à noter; après chaque application des pointes de feu, la gêne des mouvements s'est accusée davantage. Fig. 51. Reproductio
tout d'abord chez le malade, c'est son faciès, son attitude et les mouvements dont le bras gauche est agité. Les yeux fixes,
43 mate. La tête, néanmoins, peut exécuter encore quelques légers mouvements de latéralité ; très limités à droite, ils sont à
membre inférieur du même côté. Etudié à la main, il consiste en des mouvements alternatifs de flexion et d'extension combinés
ments alternatifs de flexion et d'extension combinés avec de légers mouvements de laté- ralité. Les premiers portent sur les d
le lever,le tremblement est moins accusé,la paroleplus facile, les mouvements plus libres. Examen du malade. - Homme de taill
se plaint d'une grande fatigue et d'une gêne très marquée dans les mouvements ; il y a quelques mois, s'est aperçu que la main d
EVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. lèlement, les symptômes de paralysie du mouvement qui produi- sent l'asymétrie et les états patho
magination, produit ce phénomène. Tel est encore le méca- nisme des mouvements , des actes, des propos que les fous systé- mati
igidité, des rigidités spasmodiques avec parésies. musculaires, des mouvements choréiques ou athétosiques, en sont les manifes
iologique et évolutif, par lio- bertson, 459. Mémoire visuelle et mouvements ré- ilexes, par Ivoizewshi, 115. Mensonge et
15 (1898) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 11]
'hui cette encoche réapparaît en même temps que se rétablissent les mouvements des muscles animés par le moteur oculaire commu
prement dites. Bref, tous ces savants rapportent les altérations du mouvement à des troubles, soit de la sensibilité générale,
perte de la notion de position, et une certaine indécision dans les mouvements volontaires du même membre, observés une seule
acun des doigts, pris isolément, est, après l'opération, capable de mouvements ; autrement dit, s'il existe pour chaque doigt des
un mois et demi en voulant retenir un paquet qui tombait, il fit un mouvement brusque et il ressentit aussitôt « quelque chos
ons recherché l'état de la sensibilité articulaire en imprimant des mouvements aux diverses phalanges, les muscles étant dans le
aux diverses phalanges, les muscles étant dans le relâchement; ces mouvements sont très bien perçus ; la moindre résistance aux
t; ces mouvements sont très bien perçus ; la moindre résistance aux mouvements volontaires est également accusée par le malade
comme carac- téristique de la grande névrose, c'est l'abolition des mouvements volontaires des yeux absolue pour l'élévation e
olue pour l'élévation et la convergence, et marquée pour les autres mouvements ; tant que son attention n'est pas attirée la mus
ttre en garde contre l'artifice dont ils usent pour reconnaître les mouvements imprimés à leurs SENS STÉRÉOGNOSTIQUE ET CENTRE
a plupart des hémi- plégiques organiques, chez qui la précision des mouvements plus quel- quefois que la force de ces mouvemen
la précision des mouvements plus quel- quefois que la force de ces mouvements est troublée surtout lorsqu'on soustrait les me
reçoit l'impression de la périphérie et la réfléchit sous forme de mouvement . Il est impossible de nier l'existence de troub
ur désigner la force musculaire' caractérisée par la résistance aux mouvements passifs et qui p11'a rien à voir avec la sensib
c la sensibilité ; on l'a employé pour désigner la per- ception des mouvements passifs, perception qui n'est autre que le résul-
l'excitation de cetle même zone provoque comme Munk l'a montré des mouvements des globes oculaires. La sphère olfactive, qui
réfléchies ne pouvant être conservées ni comparées, il n'y a aucun mouvement volontaire : peu à peu les fibres d'association
sphères sensitivo-motrices et celles-là permettent de maîtriser le mouvement réflexe et de provoquer le mouvement volontaire
-là permettent de maîtriser le mouvement réflexe et de provoquer le mouvement volontaire. C'est l'étude du développement, l'a
, les uns centres de projection servant à la sensation simple et au mouvement ré- flexe plus ou moins compliqué et coordonné
du membre opposé. Les seuls mou- vements possibles du bras sont des mouvements de rotation en dedans et en dehors, et du côté
t en dehors, et du côté de l'avant-bras sur le bras de très faibles mouvements de flexion et d'extension. L'aspect et l'obse
. Cela n'est pas sans doute aisé à obtenir, 'car, pour refréner les mouvements intempestifs, le vieux chirurgien emploie des p
er la main de l'opérateur, ce dernier a jugé bon de paralyser leurs mouvements en posant tout bonnement son pied sur le genou de
tude. Et ces crispations des poings, ces contractions des bras, ces mouvements brusques des jambes, que le maître hollandais n
oir amèneront nécessairement des modifications va- riées dans les mouvements si complexes dont se compose la marche ; de mêm
marche ; de même le moral s'y reflétera, donnant à chacun de nos mouvements une accentuation particulière, et c'est de tout
ur ne fait que commencer à détacher le talon (Fig. 15). Quant aux mouvements des membres inférieurs, ils sont à peu près les
rtical et dans le sens transversal, l'oblige à un certain nombre de mouvements de compensation qui ont lieu au torse et aux
ussant devant lui un corps pesant ou en le tirant derrière lui, les mouvements qu'il exécute sont bien différents de ceux de l
). Il ne s'agit plus seulement d'impri- mer au corps tout seul un mouvement de translation, mais le corps doit en- traîne
tendue que l'autre pied s'en détache par la pointe. En résumé, le mouvement des pieds ne diffère guère de ce qu'il est dans
en entier sur deux degrés successifs. Je n'insisterai pas sur les mouvements des deux membres inférieurs, ilsuffira au lecte
DESCENTE D'UN escalier. Je pense inutile de décrire en détails les mouvements des membres in- férieurs lors de la descente d'
si ses pas le conduisent à la chasse ou au combat, il se livre aux mouvements plus violents de l'attaque ou de la défense, et
contact du sol en extension complète et l'aborde par le ta- lon. Ce mouvement d'extension est déterminé par une contraction bru
rche et la course aurait disparu. Mais toute autre modification des mouvements ordinaires de la marche est autorisée. Nous avo
ent violemment leur balancement ; et ce balancement alterne avec le mouvement des membres inférieurs comme cela a lieu dans la
htalmoplégie il prédominance unilatérale, par paralysie de tous les mouvements de l'oeil gau- che. Le signe d'A. Robertson exi
sir. 108 IIENHY MEIGE ET FÉLIX ALLAHD quelques irrégularités. Ses mouvements s'accélèrent surtout il l'occasion des fortes i
tourmenté par un rhumatisme et dont les membres avaient perdu tout mouvement , trouva les muscles secs et comme tendineux, ayan
est rendue ordinairement immobile par la douleur qu'exaspèrent les mouvements actifs ou passifs, par l'infiltration inflammatoi
l ; plus rarement elles sont très sensibles au point que le moindre mouvement y détermine des violentes douleurs (Rogers, Min
. Au surplus, 0... ne pouvait, pour ainsi dire, leur imprimer aucun mouvement dans cette jointure. Par contre, la motilité vo
is dans la journée, est pris brusquement, vers 7 heures du soir, de mouvements convulsifs dans les membres supérieurs et infér
'ailleurs constater que, chez les hysté- riques amyosthéniques, les mouvements de la face et de la mâchoire qui sont affaiblis
glosso-labiée du côté op- (1) Cii. Féré, Noie sur l'exploration des mouvements de la langue (C. R. Soc. de biologie, 1889, p.
(C. R. Soc. de biologie, 1889, p. 2 18). Note sur l'exploration des mouvements de quelques muscles de la face (ibid., 1890, p.
uscles de la face (ibid., 1890, p. 619). Noie sur l'exploration des mouvements des lèvres (ibid., 1891, p. 611). (2) CI ! .
(2) CI ! . PÉRI; et P. Ouvity, Note sur l'énergie et la vitesse des mouvements voloizlai- Tes considérés dans l'hémiplégie par
(2). On a admis aussi l'existence d'une paralysie systématique des mouvements d'articulation ; mais la preuve indispensable,
ements d'articulation ; mais la preuve indispensable, la mesure des mouvements étrangers à l'ar- ticulation et soi-disant cons
muscles de la face. Plusieurs auteurs pensent que la paralysie des mouvements d'articulation peuvent exister sans que les mou
aralysie des mouvements d'articulation peuvent exister sans que les mouvements de la langue adaptés aux autres fonctions soien
eut s'appuyer que sur des mesures démontrant l'intégrité des autres mouvements (3). Or, chez les aphasiques, l'observation dir
de ces connexions des troubles des mouve- ments non adaptés et des mouvements adaptés il l'articula Lion chez les aphasiques,
ez les aphasiques, se trouve dans les bons effets des exercices des mouvements non adaptés dans la rééducation, bons effets qu
ipation que l'on peut mettre en évidence il la fois par la pesée du mouvement et par la mesure du temps de réac- (1) Bull. et
l'exercice musculaire sur l'énergie, la rapidité el l'habileté des mouvements volontaires de la langue chez un bègue (C. B. Soc
é de fermer l'oeil du côté hémiplégique si ce n'est en associant ce mouvement à celui de l'oeil sain. Coingt, tout en admetta
dit la mère, la face était atteinte ; l'oeil ne se fermait pas. Les mouvements des membres revinrent graduellement, l'asy- mét
a malade commence à éprouver de la pesanteur et de la gêne dans les mouvements du pied et de la jambe droite. Quelquefois même
'est que de 32 à droite tandis qu'elle est de 35 à gauche. Tous les mouvements des doigts de la main et du bras sont libres. L
trémulation se pro- duit, précédant la secousse qui consiste en un mouvement de flexion de l'avant- bras sur le bras qui se
uelquefois même au repos, les doigts se raidissent tout à coup. Ces mouvements s'accompagnent généralement d'une sensation d'e
peut pas comparer le temps de réaction aux deux yeux, parce que les mouvements isolés des deux orbiculaires ne sont pas égalemen
avoir le domaine du facial tout à fait intact au simple examen des mouvements des paupières. Cette cons- tatation ne comporte
é un aphasique avec paralysie faciale et hémiplégie chez lequel les mouvements volontaires des orhiculaires ont été rigoureuse
clusion qui s'impose, c'est qu'on ne peut affirmer l'intégrité d'un mouvement que quand on l'a me- suré : elle peut servir de
nd palmaire; Pollard, dans le long supinateur. En général, tous les mouvements de l'avant-bras s'exécutent bien, il en est de
des annulaires des deux côtés et Partsch l'absence congénitale des mouvements actifs dans l'articulation phalangienne des pou
de de Testelin et Dambressi dont les premières difficultés dans les mouvements des membres se manifestè- rent à 26 ans, et l'o
u S'agit-il d'une tumeur ou d'une simple inflammation aiguë ? Les mouvements fébriles et les douleurs plus ou moins violentes
btient ainsi une certaine mobilité pour le bras, mais l'ampleur des mouvements ne tarde pas à se restreindre, la tumeur s'étan
penchée du côté gauche, le malade ne peut lui faire exécuter aucun mouvement . Dans la station debout le malade s'appuie sur
ont extrêmement bridées ; on y dis- lingue pourtant quelques légers mouvements ; les masséters ne semblent pas présenter des o
e position intermédiaire entre la supination et la pronation. Les mouvements du poignet et des doigts s'exécutent tous bien.
consistance cartilagineuse, rou- lant sous le doigt et suivant les mouvements des tendons. A quelques détails près, le memb
'arrête aussi à une distance plus grande du coude. De sorte que les mouvements de cet arti- cle sont beaucoup plus étendus : l
ne retrouve plus sur le dos la saillie des apophyses épineuses. Les mouvements de la colonne vertébrale sont entiè- rement abo
une noix au devant de la tête de l'astragale ; celle-ci limite les mouvements du pied dont la flexion ne peut pas dépasser l'an
ant l'apparence d'un vé- ritable orteil supplémentaire. Là où les mouvements sont libres, les muscles sont assez développés ;
nte dépassant droite et il gauche la ligne de marche, avec quelques mouvements de projection comme chez les ataxiques. Les yeu
verre, il le saisit facilement, mais son bras présente une série de mouvements successifs, qui diminuent d'amplitude en approcha
ours, était nourri au biberon.. Pendant sa vie il ne faisait pas de mouvements volontaires avec ses extré- mités et les tenait
Lorsqu'on lui introduisait le doigt dans la bouche, il faisait des mouvements de succion. Il avalait l'eau et le lait, mais par
ité réflexe générale était fort exagérée : lorsqu'on provoquait des mouvements réflexes d'un seul mem- bre (avec une piqûre ou
que l'attention de l'opé- rateur indique ou simule une précision de mouvements comme ceux que nécessite la recherche d'un corp
artères étaient rétrécies ; les veines dilatées, tortueuses. Les mouvements des lèvres, de la langue, des mâchoires s'effectu
r un lit, a été trouvée intacte. Dans ces mêmes altitudes, tous les mouvements physiologiques s'exécutaient avec précision et
llure pour choir sur le sol. A cela se réduisaient les désordres du mouvement . J'ajoute que les ré- llexes tendineux étaient
ace interne 3 cm. 5, au lieu de 7 centimètres du côté opposé. Les mouvements de la hanche sont conservés, ainsi que ceux du co
gue l'atro- phie de la portion de substance corticale dévolue à ses mouvements . M. Landouzy (10) a rapporté Inobservation d'un
mença à faiblir sans cause connue. On remarqua d'abord la perte des mouvements des membres supérieurs : il était incapable de
es coudes il une grande distance du corps. Diminution graduelle des mouvements du bras droit jusqu'à sa complète fixation au c
ticulièrement à droite. Il était obligé de rester couché le moindre mouvement produisant de violentes douleurs. Une large col
osé. Huit ans après, douleurs dans tous les membres accompagnées de mouvement fébrile intense. Les mouve- ments commencèrent
ans il put continuer encore à travailler et à pouvoir marcher; les mouvements s'embarrassèrent alors de plus en plus et seuls
ent absolument immobiles, ainsi que la mâchoire inférieure dont les mouvements n'avaient commencé il être gênés que longtemps ap
ngtemps après ceux des membres thoraciques et abdominaux. En 1834 mouvement fébrile intense qu'il conserva pendant longtemps.
emps. Etat du malade en 1836. - Mâchoires accolées l'une à l'autre. Mouvements des lèvres libres. 11 se nourrissait avec des a
ANTE PROGRESSIVE ' 279 une brèche due à la perte de deux dents. Les mouvements d'extension et de flexion du cou sont impossibl
peut se rapprocher du tronc, l'extension se fait à demi seulement. Mouvements du tronc et des articulations coxo-fémorales ab
ations des ossifications analogues à celles des pectoraux. Quelques mouvements dans les articulations du genou. Le malade ne
rno-mastoïdiens, scalènes, dentelés et rhomboïdes ont diminué ; les mouvements sont très limi- tés ; l'épine dorsale est très
forme un- gonflement semblable, accompagné de douleur et d'un léger mouvement fébrile. Etat actuel. L'enfant peut se tenir de
des articulations chondro- costales et quelque peu noueuse. Pas de mouvements thoraciques dans la respiration. Pas de mouveme
noueuse. Pas de mouvements thoraciques dans la respiration. Pas de mouvements dans la colonne vertébrale, et les omoplates so
de 3 ans. A la suite d'une chute, douleurs aux épaules ; depuis les mouvements devinrent de plus en plus difficiles ; ils resten
deltoïdes et les pectoraux sont tendus comme une corde, atrophiés. Mouvements des bras très diminués, mais pas complètement abo
ète des coudes. Exostose de la 2° phalange de l'index gauche. Les mouvements de l'articulation de la Il" avec la 2° phalange d
Le malade peut du reste faire plusieurs heures de marche par jour. Mouvements de la mâchoire très diminués. L'écartement des mâ
ments doit être attribuée à une raideur des ligaments articulaires. Mouvements de la colonne vertébrale très limités. Le malade
vertébrale très limités. Le malade ne peut pas se redresser. Peu de mouvements latéraux et de rotation dans la colonne dorsale.
s la colonne dorsale. La colonne cervicale est plus libre, mais ses mouvements ne sont pas normaux : L'extension de la tête es
er où le thorax restait immobile parce qu'il était empêché dans ses mouvements par la réunion osseuse des côtes avec les muscl
ieu. Idem à la jambe et à la cuisse gauches, mais moins. Absence de mouvements de la mâchoire, tête fixée. Bras droit lléchi,
scles des avant-bras, surtout sur le biceps, et difficulté dans les mouvements des extrémités supérieures. Il y a deux ans, ap
s masséters fu- rent pris d'abord et limitèrent de plus en plus les mouvements de la mâchoire jusqu'à l'immobilisation complèt
- rieure, peu sensible à la palpation, très douloureuse pendant les mouvements parce que le malade l'a irritée en voulant marc
us comme une corde et indurés d'une façon irrégulière, moniliforme. Mouvements de la tête dans le sens antéro-postérieur de 2
a présenté à la fin de sa première année une diffi- culté dans les mouvements du cou ; cette difficulté alla en augmentant de p
niveau des apophyses épineuses des 3e, 4e et 58 vertèbres dorsales. Mouvements de la colonne cervicale très limités. On peut l
essive (Cas de Nicoladoni). 302 , A. WEILL ET J. NISSIM de légers mouvements d'abduction, d'adduction et de projection en avan
cartement possible entre les mâchoires d'un centimètre seu- lement. Mouvements dediduction très peu marqués. Les masséters se co
motilité des membres supérieurs et inférieurs. La disparition des mouvements des bras coïncidait avec le développement de no
maxillaire est libre. Les rangées dentaires se touchent. Très léger mouvement de diduction. L'alimentation se fait par une brèc
ggravation légère de l'état du malade. Mêmes dif- ficultés dans les mouvements des membres. Rien d'anormal dans les urines. Le
pination de l'avant-bras normales. Au pouce absence congénitale des mouvements actifs dans l'articulation phalangienne, sans ank
uce. Les gros orteils,déjetés en dehors,semblent raccourcis,et sans mouvements au niveau de l'articulation phalangienne. On ne
osseuse de cinq centimètres qui va se perdre dans le pariétal. Les mouvements de la tète, l'extension et la rotation sont très
en avant, aussi la démarche est-elle rapide ; ankylose des épaules, Mouvements de l'avant-bras limités. Atrophie des muscles cha
ser de trace après quelques mois. A 4 ans, apparition avec uu léger mouvement fébrile, d'une tuméfaction correspondant à la r
après apparition d'indurations au dos et une gêne notable dans les mouvements des épaules. A l'école, elle était obligée de s
angle de 130°, raideur de la nuque et du dos, gêne notable dans les mouvements de la mâchoire, d'où troubles de la parole. Plu
u deltoïde. Avant-bras en flexion et en pronation, mains croisées ; mouvements des avant-bras très limités ; l'extension de l'av
te un noyau osseux sur le tendon du long extenseur propre du pouce. Mouvements de l'avant-bras gauche plus limités dans les arti
d palmaire et le cubital antérieur on voit une lame osseuse,mobile. Mouvements de la main gauche plus limités que ceux de la dro
ain gauche plus limités que ceux de la droite. Muscles des mains et mouvements des doigts normaux. Lame de 3 centimètres, mobile
t des muscles de la nuque adroite. Aboli- tion presque complète des mouvements de la tête. Ankylose de la colonne ver- tébrale
. - Coude éloigné du tronc de 10 centimètres, fléchi à angle obtus. Mouvements de la main et des doigts normaux. Atrophie des mu
la station debout impossible. Ankylose de l'épaule droite ; peu de mouvements dans la gauche. Rien à la partie antérieure du
ns le biceps et le semi-tendineux. Diminution considérable dans les mouvements du genou. Dans l'épaisseur du couturier, un nodul
plète de la hanche gauche, une limitation plus ou moins accusée des mouvements qui s'effectuent dans les autres articulations de
plus tard (1895) les douleurs des cuisses dis- parurent ; mais tout mouvement provoquait de vives douleurs dans les régions c
o-sacro-coccygiennes, survinrent des douleurs dans les hanches. Les mouvements du cou, du bras droit, do la cuisse gauche surtou
e époque, tandis que le cou et la cuisse gauche se sou- daient, les mouvements des deux bras et de la cuisse droite devenaient u
L. 1-'eiiidel ct 1'. Froussard) ^Altitudes du malade dam différents mouvements . UN CAS DE SPONDYLOSE RüIZ0111LIQUE 323 l'ank
gé de bas en haut et un peu de droite à gauche. Il ne jouit d'aucun mouvement . Les courbures de la colonne vertébrale sont mo
f... à faire reposer sa cuisse gauche sur le plan ; il exécute un mouvement de sonnette autour de ses ischions ; la cuisse
par le palper, que cette apparence est due, en grande partie, aux mouvements des muscles ins- pirateurs accessoires. La mens
isse gauche forme avec le bassin un angle de 150° environ. Tous les mouvements spontanés ou provoqués de la cuisse gauche sont i
possibles et toute tentative pour les produire est douloureuse. Les mouvements de l'ar- ticulation coxo-fémorale droite sont t
uements apparaissent quelquefois dans la flexion des genoux. Pas de mouvements de latéralité au niveau des genoux. Les articul
tes sont ailées, la droite plus que la gauche (PI. XXXVIII, 2). Les mouvements des articulations des épaules sont assez étendu
4). Le bras droit peut être porté directement en avant, mais, si ce mouvement est très accentué « ça tire un peu dit le malad
le malade. Le bras droit est amené plus facilement en arrière. Les mouvements du bras gauche ne sont que très peu limités. Les
ts que l'on perçoit en posant la main entre les deux omoplates. Les mouvements des bras ne causent que peu ou pas de douleur dan
lations des épaules, mais plutôt une sensation de tiraillement. Les mouvements des autres articulations du membre supérieur sont
elui de droite, sont plus mobiles que norma- lement, et suivent les mouvements du bras. Les sus-épineux et sous-épineux sont n
rizontalement par le barreau supérieur du dossier. A droite, où les mouvements sont plus limités qu'à gauche, la force est aussi
ge ailée et plus mo- 328 E. FEINDEL ET P. FROUSSARD bile dans les mouvements du bras ; en outre le deltoïde droit est plus pet
llet, paraissent plus petites qu'à droite. Par moments, on voit des mouvements fibrillaires ; ils peuvent siéger sur presque t
Pas de clonus du pied. Douleurs. Lorsque le malade ne fait pas de mouvement , il ne se produit pas de douleur. Ainsi lorsqu'
e temps se produit la « douleur de reins». Pour les tentatives de mouvements volontaires ou passives portant sur les parties
e moyenne des côtes inférieures. Si l'on tente d'imprimer quelque mouvement à sa tête, ou si Duf... fait agir ses muscles d
e sur une étendue du crâne d'une surface large comme la main. Les mouvements actifs ou passifs se passant dans les articulatio
t glissé que posé sur le siège) ; mais, il sa période terminale, ce mouvement est douloureux (douleur de l'aine droite). Les
minale, ce mouvement est douloureux (douleur de l'aine droite). Les mouvements d'élévation forcée, d'abduction forcée du bras dr
ation de tiraillement ; pour le bras gauche, à peu près rien. Les mouvements de ces trois articulations s'accompagnent de craq
ements de ces trois articulations s'accompagnent de craquements. Le mouvement de hausser les épaules s'accompagne de craquement
s'accompagne de craquements des deux côtés de la racine du cou. Les mouvements des genoux, s'accompagnent quel- quefois de cra
emporo-maxillaire droite n'est pas douloureuse (elle l'a été) ; ses mouvements sont accompagnés de craquements intenses. Actuell
ses. Actuellement il n'y a plus de douleur de la déglutition. Les mouvements qui se passent dans les autres articulations ne s
es ne sont ja- mais spontanées, ne se produisent qu'à l'occasion de mouvements , elles siègent au voisinage de l'articulation c
lles siègent au voisinage de l'articulation correspondante pour les mouvements des seg- ments de la racine des membres non com
articulier le principal elles ne se produisaient qu'à l'occasion de mouvements . Les douleurs à la pression sont différentes de
du bassin et du rachis, jusqu'au cou exclusivement. A ce moment les mouvements de la cuisse gauche provoquaient la « douleur des
, c'est-à-dire dans la troisième étape ; mais de la 2' à la 3', les mouvements de la cuisse gauche avaient déjà commencé à se
sation du cou et de la tête, de la cuisse gauche, la limitation des mouvements du bras droit et à un degré plus faible du bras
et à un degré plus faible du bras gauche, et par la limitation des mouvements du maxillaire in- férieur. Enfin, la marche d
ment bien et l'articulation n'est plus douloureuse. - De plus les mouvements du bras droit sont moins limités et bien moins do
loureux qu'il y a 3 mois. UN CAS DE SPONDYLOSE RHIZOMÉLIQUE 331 Mouvements . - Cette observation peut être complétée par l'ét
. - Cette observation peut être complétée par l'étude de quel- ques mouvements du malade. Marche. - Duf... peut marcher sans c
nt, Duf... s'appuie sur elle et redresse son corps (Fig. 6, A) ; au mouvement de redressement du corps fait suite la projecti
ment soulevé (B) (la hanche gauche n'est pas portée en avant par un mouvement de rotation qui se passerait dans la hanche dro
uit la translation en avant. Tout naturel- lement, sans aucun autre mouvement , le genou gauche se trouve en avant du genou dr
nt du corps soudé Il cuisse (D). La fin du pas s'accomplit avec des mouvements normaux d'extension et de flexion de la cuisse
nt son genou droit fléchi dans une cer- taine mesure, mais ces deux mouvements restent néanmoins bien appréciables. Par contre
deux mouvements restent néanmoins bien appréciables. Par contre, le mouvement de rotation du bassin dans le pas (qui serait pos
ion permanente de la cuisse, et n'a besoin de s'accompagner d'aucun mouvement de rotation ; le malade marche avec 2 pieds, 2
ti de l'ankylose en flexion de sa cuisse. Il est obligé de faire un mouvement de ro- tation de droite à gauche de tout le cor
le corps, pour porter son pied gauche assez en arrière du droit. Ce mouvement ne peut s'effectuer dans l'articulation sacro-
st encore plus difficile, attendu que Duf... ne peut exécuter aucun mouvement de rotation sur sa hanche gauche. Si, étant deb
e jambe sur l'autre, il exécute facile- ment de la jambe droite les mouvements de flexion et d'adduction nécessaires pour la p
er en avant et en dehors de la jambe gauche. De la jambe gauche, ce mouvement ne peut s'effectuer que grâce à la rotation de to
cette position le pied droit repose sur son côté externe, et que ce mouvement ne peut guère s'exécuter que si Duf... a un poi
écarter les jambes, malgré que la droite puisse encore exécuter des mouvements d'abduction (limités, il est vrai). Duf... peut
'ankylose) porte sa cuisse gauche en arrière ; il exécute la fin du mouvement en fléchissant la jambe droite, et en se laissa
la tête était portée en avant, le menton rapproché du sternum. Les mouvements actifs et passifs, très limités, se passaient s
parurent. Toutefois la raideur, ainsi que la limitation extrême des mouvements de la nuque persistèrent. Actuellement H. L...
lonne cer- vicale demeure immobile : il ne saurait être question de mouvements de flexion ou de rotation de la tête ; les dépl
1898, p. 177. UN CAS DE SPONDYLOSE RHIZOMÉLIQUE 335 masse par les mouvements des'articulations des genoux et des pieds. Pour l
ements des'articulations des genoux et des pieds. Pour les bras les mouvements d'élévation semblent s'être un peu limités dans l
, , temps, alors que le rachis inférieur était déjà immobilisé, les mouvements du cou étaient encore possibles ; c'est d'aille
e le nôtre, si l'on peut ainsi s'exprimer, possède encore de petits mouvements de flexion et de rotation de la tôle. Chez Duf.
. Chez Duf..., la cuisse gauche seule est immobilisée; adroite, les mouvements sont encore possibles dans une assez large mesure
épaules de Duf... ont la plus grande partie de l'amplitude de leurs mouvements conservée, en partie grâce à la mobilité des om
à la mobilité des omoplates, c'est ce qui arrive d'ordinaire. Les mouvements des genoux sont un peu limités et s'accompagnent
cyx par exemple); et la douleur à l'occasion d'un ébranlement, d'un mouvement brusque ou forcé. Il est à noter que dans le ca
e auprès duquel ils avaient été appelés ne pouvait plus faire aucun mouvement . Toutes lès articula- tions étaient ankylosées,
r des points déterminés, celles qui surviennent à l'occa- sion d'un mouvement , d'un ébranlement. Les premières siègent surdes
égétations osseuses. Les douleurs qui se produisent a l'occasion de mouvements sont remar- quables par leur instantanéité, par
du mollet gauche, semblent bien en relation avec la limitation des mouvements du bras et de la jambe. Mais en ce qui con- cer
orsaux et lombaires, le malade de Béer avait recouvré en partie les mouvements de la colonne vertébrale, et les phénomènes dou
t plus volumineuse, plus bombée. Sa con- sistance est uniforme, ses mouvements sont conservés. Lorsque le malade veut boire, i
nce absolue des membres dont il a coupé les nerfs, tan- dis que les mouvements des mâchoires persistent intégralement après sec-
edans est beaucoup plus limitée que la rotation en dehors. Lé- gers mouvements entre l'omoplate et l'humérus : les plaques osseu
e l'eczéma de la tête). Les pouces sont déviés en dehors avec des mouvements limités. La tête est un peu fléchie, fixée et d
sa suite des nouvelles plaques osseuses et une difficulté dans les mouvements de l'épaule. OBS. XXIX. - VOLKMANN, Discussio
l'omoplate est fixé aux côtes. Adroite, il y a moins de lésions, les mouvements sont plus libres. Masses volumineuses à l'ang
rsonnels. Jamais ni coups, ni blessures. Peu de vivacité dans les mouvements dès l'enfance ; épaule gauche plus basse que la
certain, marche difficile. Thorax immobile, respiration abdominale. Mouvements de la tête très réduits. La tête peut être penc
épaule ; an- kylose du coude gauche, le droit offre encore quelques mouvements incom- plets. Mains et doigts libres. Aux membr
com- plets. Mains et doigts libres. Aux membres inférieurs tous les mouvements sont possibles, mais difficiles. Presque tout
des noyaux indurés au dos, dans les régions scapulaires, et que les mouvements des bras étaient un peu * limités. Les tumeurs
du dos ont été en grossissant avec le temps. Depuis une année, les mouvements de la mâchoire inférieure sont limités et il exis
thorax rachitique. Pas de fiè- vre : pouls et respiration normaux. Mouvements limités au maxillaire infé- rieur et aux deux b
ue dans sa totalité. Sur le côté postérieur du (1) Les troubles des mouvements de la mâchoire apparurent à 2 ans 1/2. DE LA MY
e gauche ; et à l'angle inférieur de l'omoplate gauche limitant les mouvements du bras. La tête est inclinée alors du côté gau
un au-dessus de la crête iliaque gauche. 5° année : difficulté des mouvements du bras gauche et de plier le dos. 6e année : nuq
Il peut se tenir debout, mais le moindre choc peut le faire tomber. Mouvements de la tête très limités, nuque très raide. Mass
e postérieure, en avant de 45°. Cette diminution dans l'étendue des mouvements paraît tenir à l'état de contracture des muscles
ossifications «dans les muscles de la région abdominale antérieure. Mouvements de la hanche droite conservés. Juste au-dessous
es. Tète fortement inclinée en avant : le menton touche le sternum. Mouvements de la tête très limités, sur- tout en arrière.
ions et épaississement des muscles cléido-mastoïdiens et pectoraux. Mouvements de l'épaule droite très limités surtout l'abduc
emblables sur les articulations sterno-costales des 3e et 5° côtes. Mouvements respiratoires limités. A la partie moyenne de l
. Il y jeta les bases de cette école sans rivale, qui exerça sur le mouvement scientifique contemporain une si prestigieuse inf
XVIlle siècle, ce sont les philosophes qui prennent la direction du mouvement intellectuel, préparant la grande poussée révolut
itoire chargé spécialement de commander aux muscles l'exécution des mouvements volontaires; il se subdivise en ilots et chacun
de recueillir les im- pressions les plus diverses ou de produire le mouvement ; conducteurs chargés de relier ces mêmes appar
eux, tels que la fonte ou atro- phie des muscles, les paralysies du mouvement et du sentiment, les spasmes, les douleurs, etc
tes dans les li- mites du pouvoir qu'elle exerce sur les organes du mouvement . Tantôt, nous n'avons qu'une vague perception d
nimale s'est habituée à réagir à certaines impressions par certains mouvements , par certains actes ; il un mo- ment donné, la
dominée par l'automatisme cérébral ; il suffira, pour le mettre en mouvement d'une violente impression du dehors, ou d'un simp
e en nous et autour de nous, en particulier les représentations des mouvements que nous exécutons avec les apparences de la sp
à l'Jypnotisme ne sont pas autre chose que le réveil et la mise en mouvement de ces souvenirs, chez un être dont la volonté pr
re, une fois pour toutes, que cette élévation est déterminée par le mouvement de bascule de l'omoplate, mouvement qui élève l
élévation est déterminée par le mouvement de bascule de l'omoplate, mouvement qui élève les angles supéro-interue et inférieur
gions. » Les figures 2, 5, 11, 12 et 13 de la « Phy- « siologie des mouvements » concernent ce malade. Duchenne,qui rédigeait
faisceau reste in- tact, ce qui suffit, ajoute-t il, à empêcher le mouvement de bascule de Du- chenne. Donc les portions m
e la ligne médiane, fixe ce bord contre le thorax et lui imprime un mouvement de rotation autour de l'angle supéro-interne, m
imprime un mouvement de rotation autour de l'angle supéro-interne, mouvement qui chez l'acromion porte en dehors et en avant
en avant l'angle inférieur de l'omoplate, en imprimant à cet os un mouvement de rotation autour de son angle supéro-interne.
laire, dans l'acte de porter l'épaule en avant et en haut. « Si le mouvement volontaire de l'épaule en avant et en haut, déc
en haut par le tiers supérieur du grand pectoral La puissance de ce mouvement est des plus grandes ; c'est lui qui fixe l'épa
basculer de telle façon que son angle (i) Duchenne, Physiologie des mouvements , p. 10. PARALYSIE associée DU muscle grand DENT
exactement ce qui a lieu dans notre cas. Et Duchenne ajoute : « ce mouvement de rotation de l'angle externe et de l'angle infé
on d'une portion du faisceau acromial du tra- pèze pour empêcher ce mouvement de bascule dé l'omoplate ». La portion supérieu
'abaissement de l'épaule, est la para- lysie du grand dentelé. « Le mouvement de bascule de l'omoplate sur son angle externe
henne, qui par leur con- traction isolée, impriment à l'omoplate un mouvement de rotation pro- duisent en même temps l'élévat
pro- duisent en même temps l'élévation en masse de cet os (1). » Ce mouvement de rotation est permis par la paralysie associé
aire du bras. Un premier fait qui frappe, pendant l'exécution de ce mouvement , c'est l'impossibilité d'élever le bras au-dess
tale par la contraction isolée du deltoïde. Notre malade exécute ce mouvement sans difficulté, malgré la paralysie complète d
la paralysie complète de son grand dentelé. Dans l'exécution de ce mouvement d'élévation, le deltoïde qui est normal se cont
cessaire est que le scapulum décrive autour de son angle interne un mouvement de rotation, par lequel l'angle externe se trou
en avant. Or deux muscles sont seuls capables d'imprimer un pareil mouvement de rotation ou de bascule au scapulum. C'est d'
si l'on en excepte toutefois l'élévation verticale de ce der- nier, mouvement qui paraît seulement un peu affaibli par la perte
pour ne pas élever le bras au-dessus de la ligne ho- rizontale, le mouvement de rotation nécessaire étant doublement impos-
impos- sible. Le deltoïde, chez cet homme, est obligé de borner son mouvement d'élévation à la ligne horizontale, faute d'adj
e que l'on fasse exécuter, à l'aide d'un artifice, au scapulum, son mouvement de rotation : aussitôt il élève son bras jusqu'à
out muscle qui, par sa contrac- tion isolée, imprime au scapulum un mouvement de rotation élève en même temps cet os. Lorsque
r le deltoïde, par sa contraction isolée, imprime à l'omo- plate un mouvement de rotation autour de son angle externe. Il s'ens
lontaire du bras jusqu'à l'horizontale, on voit l'omoplate subir un mouvement de rotation sur son axe vertical, de telle sort
e bord spinal du scapulum contre le thorax, imprime à l'omoplate un mouvement de rotation, l'élève en masse et lui communique u
rand dentelé, l'omoplale éprouve, pendant l'éléva- tion du bras, un mouvement pathologique semblable à celui qui est pro- dui
n'en est pas de même du mécanisme de son obliquité, c'est-à-dire du mouvement de bascule qui élève l'angle infé- rieur et le
ttre cette obli- quité sur le compte de la paralysie du trapèze. Ce mouvement de bascule manquerait dans la paralysie isolée
ité du bord spinal du scapulum, dans l'élévation du bras. Dans ce mouvement d'élévation, la difformité en aile du scapulum
lle n'existe plus, dans l'élévation du bras en dehors, par exemple, mouvement qui, comme nous l'avons mon- tré, rapproche plu
en poussant un cri, avec perte de connaissance complète; elle a des mouvements cloni- ques et toniques, de l'écume à la bouche
droit 20 centimètres. Il n'y a pas de raideur apparenle et tous les mouvements sont possibles, mais la force musculaire y est
dans la matinée. Dès le réveil, on constata qu'elle était agitée de mouvements généralisés. Qnand elle essaya de se mettre debou
e côté, les bras, les épaules, la face, la langue étaient agités de mouvements incoercibles et discordants. Au bout de quelque
lus calme, put se lever, se tenir debout et marcher, mais agitée de mouvements désordonnés prédominant du côté gauche. Elle se
évrier. Les membres, la face, le tronc, - a langue sont affectés de mouvements constants, prédominant du côté gauche; mais ce
gauche; mais ce qui frappe surtout dans sa physionomie,ce sont les mouvements de l'oeil 1 gauche qui se dévie isolément, soit
cien spasme ait disparu et que cette région ne soit pas le siège de mouvements particulièrement fréquents. Il existe de la sensi
lle s'est présentée à la consul- tation, elle ne faisait plus aucun mouvement , la face aussi bien que les membres était immob
fit descendre ; à ce moment elle était incapable de parler tant les mouvements de la langue étaient intenses. Elle paraît avoi
vante fut agitée de cauchemars presque continuels. Le lendemain les mouvements incoordonnés étaient il peu près constants même
rtout marqués du côté droit. Elle vint à la consultation le 22. Les mouvements étaient beaucoup atté- nués. Il ne s'en reprodu
eproduisait pas dans les yeux comme à la précédente atta- que ; les mouvements du thorax n'étaient pas troublés, mais il existai
A la consultation du 26 avril, on ne .note plus que quelques rares mouvements de la main droite, l'arythmie a dis- paru, la m
mère, elle avait été reprise du côté gauche exclusivement de petits mouvements très légers et limités à la face et au membre sup
se rendre compte que ce sont les deltoïdes qui seuls sont agités de mouvements spasmodiques. Pen- dant l'élévation du bras, l'
faces articulaires et des craquements plus ou moins bruyants. Ces mouvements choréiformes isolés ne s'accompagnaient pas de tr
cours de la première attaque généralisée, il est bon de relever les mouvements , spasmodiques du globe de l'oeil et de l'iris.She
is dans la chorée des troubles auditifs qui pa-, raissent dus à des mouvements incoordonnés des muscles intrinsèques de. l'ore
ore contestée (2) du trouble. Notons encore que la prédominance des mouvements se montre d'un côté différent dans les deux att
s sa dépendance. Ces craquements, qui ne se produisent que dans les mouvements provo- qués par une contraction partielle, mont
circonstances (2). (1) Duchenne DE BOlLOG : >.E, Physiologie des mouvements , 186 7, p. Sa. (2) Cu. FÉRÉ et L. Quermonne, Co
et les membres deviennent rigides. Aussitôt com- mencent des grands mouvements qui paraissent obéir à une idée fixe ; elle fait
rise (environ 5 minutes), elle semble inconsciente. Elle reste sans mouvements quelques minutes et l'attaque reprend de nouvea
ment sensible à la jambe et au bras droits. Bientôt survenaient des mouvements très étendus et d'une extrême violence qui h je
. Cette dyspnée se caractérise par une fréquence extraordinaire des mouvements respiratoires lesquels sont alors naturellement t
née hystérique se caractérise par l'extraordinaire accélération des mouvements respiratoires sans trouble bien sensible de la
chez notre malade ? Syndrome paroxystique, fréquence extrême des mouvements respira- toires, indifférence relative de l'org
ment; migraines aux époques. Depuis 5 à 10 mois difficulté dans les mouvements du cou et des bras par suite de la formation de n
laires sont très petits. Nystagmus dans la vue externe extrême. - Mouvements de la face normaux. Raideur de la tête et de la c
e sur le côté droit du visage ; consécutivement difficulté dans les mouvements de la mâchoire, douleurs dans les muscles mastica
en avant et en arrière est minime. La tension du biceps limite les mouvements de l'articulation du coude. Flexion possible jusq
l'avant- bras gauche. L'ossification du grand dorsal empêche les mouvements du bras droit, les autres muscles du bras sont
s le fascia lata droit se voit une masse osseuse. De même à gauche. Mouvements du genou limités. Genu valgum à droite de 160°.
fosse sus-épineuse est dure ; fosse sous-épineuse également dure. Mouvements des bras à l'épaule droite diminués : le bras s'é
llaire. Un petit noyau os- seux dans le grand palmaire. A gauche, mouvements du coude limités ; extension possible 135°, flexi
e flé- chisseur du pouce contient un petit noyau dans son tendon. Mouvements des extrémités inférieures normaux. Exostose sur
se présente sous deux formes distinctes, il -1 est aigu avec léger mouvement fébrile ou chronique d'emblée; " 8° La maladie
16 (1887) Archives de neurologie [Tome 14, n° 40-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ler, ni souffler ; la joue gauche est soulevée passivement à chaque mouvement respiratoire. Les plis du front ont disparu à g
état d'angoise extrême, il se sentait étrangler; puis il avait des mouvements convulsifs qui prenaient de temps en temps un v
ont la figure se contracte et qui est sans cesse trahi par quelques mouvements involontaires. Est-ce à dire qu'ils méprisent l
s individus rangés auprès des musiciens se lèvent et se livrent aux mouvements rythmiques de la tête sur lesquels nous reviend
ns et le corps incliné en avant, se met à balancer la tête par un mouvement impossible à décrire. Il semble que les vertèbr
point brillant fixé par le dan- seur. J'y reviendrai. Pendant ces mouvements qui ont l'air désordonnés, mais qui sont très r
une sorte de déplacement latéral qui se marie très bien au premier mouvement rythmique. Ces mouvements ayant duré une demi-h
atéral qui se marie très bien au premier mouvement rythmique. Ces mouvements ayant duré une demi-heure, et souvent beaucoup
pour les charbons ou les lames des poignards et des sabres. Leurs mouvements ont deux caractères constants : , ils impriment
es régulières au bulbe et au cerveau. Il s'y joint plus ou moins de mouvements du corps en avant et en arrière. Mais le mouvem
lus ou moins de mouvements du corps en avant et en arrière. Mais le mouvement de circumduction de la tête paraît être le mouv
rière. Mais le mouvement de circumduction de la tête paraît être le mouvement capital; ceux qui essaient de s'y livrer n'y ar
dre part à la fête se lèvent tout à coup et comme entraînés dans un mouvement irrésis- tible, viennent se mêler aux acteurs e
ure de chaque danseur pendant les exercices; l'on voit qu'au- cun mouvement de physionomie ne trahit le phéno- mène douleur
a·cacmrotatoria, rotatoria, circumambulatoria, saltatoria, etc. Les mouvements invo- lontaires de Wicke, la musculation irrési
u bien encore exécutaient soit des mouve- ments de manège, soit des mouvements irréguliers. Il nous paraît intéressant de rapp
fet d'un malade qui courait jour et nuit, si rapidement et avec des mouvements du corps si ininterrompus que la sueur lui coul
evant ses jambes alternativement d'une manière assez uniforme. Ce mouvement singulier, qu'il est impossible de bien caracté-
ns de la face; au moindre effort pour les comprimer survenaient des mouvements involontaires de la mâchoire inférieure, des tr
tal, elle se caractérisait ainsi : Regard fixe, timidité, grimaces, mouvement anormal des mâchoires et de la langue ; quelque
ible. Balancement de la tête, tressaillement des muscles du cou, et mouvements involontaires, anormaux, de tout le corps, en s
l'amélioration fut sensible. Après quinze jours de traitement, les mouvements involontaires avaient entièrement disparu; il n
erlin. Voici quel était' son état : Taille élancée, air de santé, mouvements précipités et anxieux, pouls petit, contracté,
lait-il prendre quelque objet avec la main, c'était toujours par un mouvement circulaire qu'il y parvenait, et s'il ' Lau. Hu
tenir en repos ; il ne cessait de l'agiter. Au dire de la mère, ces mouvements con- vulsifs étaient par moments si violents, q
montait à pas très précipités, ne pouvant, dans sa hâte, régler ses mouvements . Si on le maintenait fortement, les mouvements
sa hâte, régler ses mouvements. Si on le maintenait fortement, les mouvements se changeaient t en tressaillements, et le mala
. Au bout d'un quart d'heure ou d'une demi-heure de paroxysmes, les mouvements convulsifs s'affaiblissaient et ils finissaient
s minutes d'exer- cice à pied, quand, tout à coup, il sentit que le mouvement de ses jambes s'accélé1'aif malgré sa volonté e
e mouvement de ses jambes s'accélé1'aif malgré sa volonté et que ce mouvement rapide, qui l'e7atraïnait droit devant lui, l'é
vait d'un côté bordé de précipices. La terreur que lui cau- sait un mouvement si extraordinaire et le danger visible qu'y ajo
e fort lentement, monter à son appartement, diriger à sa volonté le mouvement des jambes, mais qu'il sentait et qu'on voyait
de l'oeil; bouche entr'ouverte, et sans torsion apparente; quelques mouvements dans la langue sans déviation permanente de sa
s mouvements dans la langue sans déviation permanente de sa pointe. Mouvements respiratoires fréquents, irréguliers, par momen
la pesanteur. Les seuls signes de la sensibilité générale furent un mouvement convulsif du bras droit au moment où l'on pinça
f du bras droit au moment où l'on pinça la peau de ce membre, et un mouvement semblable au moment où l'on incisa les tégument
dix-sept ans. Mère et tante maternelle épileptiques. - Vertiges et mouvements convulsifs dès l'enfance, puis accès. Aura proc
les soeurs de Notre-Dame. On nous raconte que déjà elle avait des mouvements nerveux dans les lèvres ; dès sa plus tendre en
n), son bras gauche ne pouvait rien saisir avec précision, tous les mouvements étaient irréguliers, involontaires ; au dire de
maladie a fait de rapides progrès ; tous les membres sont agités de mouvements désordonnés, tous les muscles sont le siège de
épileptique, et, au rapport d'une de ses tantes, elle aurait eu des mouvements ir- réguliers des muscles de la face et des mem
La chorée de cette enfant était généralement caractérisée par des mouvements précipités qui l'entraînaient violemment à cou-
accompagnés parfois de DE L'ÉPILEPSIE PROCURSIVE. 77 sauts et de mouvements rotatoires, tous phénomènes qui se trouvent par
s les convulsions manquent entièrement et sont remplacées par des mouvements ambulatoires et des courses », cite briève- 1 N
s y arrêter lon- guement de quelques autres phénomènes impulsifs, mouvements de manège, mouvements de rotation, observés éga
ment de quelques autres phénomènes impulsifs, mouvements de manège, mouvements de rotation, observés également sur des sujets
bli, à l'insu l'un de l'autre, que l'exer- cice de notre faculté de mouvement est le moyen par lequel nous sommes à même d'es
the intellect, en 1855 où il ap- pelle le sens musculaire « sens du mouvement ». Landry dans ses mémoires sur la paralysie du
chez les amputés en ce qui concerne les rapports des illusions des mouvements chez eux et la notion du sens musculaire. Ch. B
es impressions diverses qui se combinent pour parfaire « le sens du mouvement » sous le nom d'impressions kines- thétiques. '
ccond en Franco, dans son livre sur les Paraplégies et l'Atraxie du mouvement . Ch. Richet y insiste fort peu dans ses Recherc
impressions que nous recevons de nos membres en mou- vement, ou des mouvements en général, les autres au con- traire, ne désig
est perdue dans certaines maladies, et son absence donne lieu à des mouvements désordonnés quand les yeux sont fermés, et à la
e partant du cerveau, qui est néces- saire pour produire un certain mouvement . Il serait fort possible que l'appréciation du
olontaires mis enjeu. D'après Wundt, « le siège des sensations de mouvement ne paraît pas être dans les muscles mais bien d
nerveuses motrices... Nous n'avons pas seulement la sensation d'un mouvement exécuté, mais celle d'un mouvement à exécuter.
pas seulement la sensation d'un mouvement exécuté, mais celle d'un mouvement à exécuter. La sensation de mouvement est donc
ment exécuté, mais celle d'un mouvement à exécuter. La sensation de mouvement est donc liée à l'inner- vation motrice, c'est
ayé de faire dériver, autant que possible, toutes les sensations de mouvement d'une seule source. Dans cette intention, ils o
emment une partie de la vérité, et par conséquent les sensations du mouvement sont pour nous des produits fusionnés complexes
ndent aux muscles sont surtout des nerfs moteurs grâce auxquels les mouvements musculaires sont excités par le cerveau et les
c le plus de certitude, c'est que la sensibilité qui accompagne les mouvements musculaires coïncide avec le courant centrifuge
cience de l'effort mus- culaire. Toutefois, Ferrier objecte que'les mouvements coor- donnés ne sont pas dus aux sensations, ma
façon que les animaux, privés de leur cerveau, nous présentent des mouvements bilatéraux parfaitement coordonnés. G.-H. Lew
r sa grandeur normale. Il faut donc admettre que cette sensation de mouvement , indépendante de la peau, réside dans une sensi
apprécier beaucoup plus faiblement des différences de poids que les mouvements d'élévation. La contraction muscu- laire, le se
luence de la volonté. Le sensorium peut donc avoir connaissance des mouvements exécutés par les changements survenus dans l'ét
omme tout à l'heure, il y a une sensa- tion nette et consciente des mouvements des doigts et de leurs déplacements. Autrement
née de conditions mentales qui représentent devant la conscience le mouvement lui-même, la force avec la- quelle il s'accompl
hysiologistes n'admettent que les notions de ce genre, relatives au mouvement des parties que nous voulons faire agir, nous s
elle n'est pas l'explication véritable ; il semble que lavolonté du mouvement et la conscience de ce mouvement soient des fai
table ; il semble que lavolonté du mouvement et la conscience de ce mouvement soient des faits contemporains, s'accomplissant
cié certaines formes d'activité céré- brale avec certaines idées de mouvements produits. La mémoire aurait conservé le souveni
ncs nerveux dans un moignon ou au- dessus on provoque l'illusion de mouvements d'extension et de flexion des doigts, et des pa
iculière des mou- vements dans les muscles. Lorsque nous voulons un mouvement , il naît en même temps dans les mêmes centres s
tiespériphériquos. En second lieu, pen- dant l'accomplissement d'un mouvement , certains nerfs périphé- riques transportent au
as confondre la conscience musculaire, dit-il, qui, dans l'acte des mouvements volontaires, semble précéder et dé- terminer la
été le premier à soutenir que les sensations qui accom- pagnent nos mouvements ou en résultent sont afférentes et non efférent
oduire un effet, mais seulement ce qui se passe dans nos organes en mouvement après que la force a exercé son action. Landry
importe quelle autre source en dehors des parties mêmes qui sont en mouvement , ainsi que le prouve d'ailleurs le passage suiv
ière médiate, et peut les négliger. L'action nerveuse qui excite le mouvement ne peut donc fournir à la conscience qu'une idé
en même temps, à la fois le siège et le degré de con- traction. Le mouvement lui-même est donc la source d'où zzousvien- nen
ainsi que la connaissance de la position de nos muscles et de leurs mouvements , nous sont fournies non par les muscles 92 REVU
s un apanage, mais dérive d'impressions émanant des organes même en mouvement . Nos perceptions de résis- tance et de poids so
s en ce qu'elles sont, tout d'abord, résultats plutôt que causes de mouvement , et ne sont ensuite employées que comme guides
suite employées que comme guides pour provoquer la continuation des mouvements déjà commencés. III. Quel est maintenant le rôl
le rôle du sens musculaire ? Pour que la volonté puisse exécuter un mouvement il lui faut non seulement la conception du but
'il fait naître, un guide, grâce auquel l'individu peut diriger ses mouvements et régler la force qu'il doit leur imprimer dan
erminer la quantité de force nerveuse néces- saire pour produire un mouvement , un résultat donné. Ce n'est pas encore là tout
action actuelle des muscles, l'étendue, l'énergie, la direction des mouvements , la position de nos membres, en un mot les effe
rprète la nature du sens musculaire, que pour lui la sensation du mouvement est liée à l'innervation motrice. Chaque sensatio
u mouvement est liée à l'innervation motrice. Chaque sensation du mouvement est pour lui une résultante provenant de trois
coor- dination volontaire a pour effet d'adapter incessamment le mouvement fonctionnel au but voulu en modifiant les qualité
sure, il faut qu'il soit instruit à chaque instant des qualités du mouvement produit. Ces notions indispensables, l'encé- ph
s sont des impressions fournies par le sens musculaire. Dès qu'un mouvement , quelque complexe qu'il soit, est convenablement
s que l'organisme se l'est assimilé, l'appréciation des qualités du mouvement cesse de se faire par la vue, et le sens muscul
it Jaccoud, qui soit mis en usage, à l'état physiologique, pour les mouvements de la marche et de la préhension. E. Fournie
. nerveux) est aussi d'accord sur l'importance de ces sensations de mouvement par rapport aux autres impressions sensorielles
sensations de la contraction musculaire dans l'accomplissement des mouvements volon- taires ou distinctifs. Il soutient que l
musculaire est une condition indispensable pour la direction de nos mouvements , et que sans notre pouvoir de rappeler, de ravi
esprit, nous ne pourrions jamais apprendre parfaitement de nouveaux mouvements , et que l'exécution des mouvements serait un ét
prendre parfaitement de nouveaux mouvements, et que l'exécution des mouvements serait un éternel apprentissage. Au commencemen
es mouvements serait un éternel apprentissage. Au commencement d'un mouvement , il nous faut évoquer la conception des qualité
un mouvement, il nous faut évoquer la conception des qualités de ce mouvement , ce que l'expé- rience antérieure nous permet d
térieure à la conception, et antérieure à l'accomplissement réel du mouvement volontaire. Si on remplace les impres- sions du
met que le rappel idéal ou conception des qualités sensitives des mouvements nécessités, c'est-à-dire des impressions kines-
ir et quelle force employer, tandis que pendant la continuation des mouvements , il serait aussi en partie influencé par des se
nnaît aussi la nécessité de l'aide de la vue dans l'édu- cation des mouvements complexes. « Mais au bout de quel- que temps le
evoir les impressions kinesthétiques centripètes, le pro- cessus du mouvement volontaire. Ils arrivent à cette conclu- sion «
- tion était primitivement l'effet. Pour eux, toutes nos idées de mouvement , grâce au rappel des impressions du sens 96 REV
ions motrices qui précèdent né- cessairement l'accomplissement d'un mouvement volontaire s'effectuent dans les centres moteur
complètement éteintes, et qui, les yeux ouverts exécutent tous les mouvements avec précision, tandis que, les yeux fermés, il
ajoute : « Ces modifications qui se produisent dans l'exercice des mouvements , chez les malades de ce genre, lorsque le conco
en quoi consiste normalement le jeu de l'appa- reil fondamental des mouvements volontaires. Par contre l'étude des cas de para
l'étude des cas de paralysie psychique, portant uniquement sur le mouvement , fera reconnaître le rôle vraiment secon- daire
ue à la paralysie du sens musculaire. Le fait de la restauration du mouvement au bout d'un certain temps, chez le chien, prou
oyait qu'il restait encore un chemin de l'ame au muscle, puisque le mouvement n'était pas complètement paralysé, mais qu'il y
. sur Experim. Pathologie und. Pharma- colo,qaé, 1874), regarde les mouvements résultants de l'ex- citation des centres moteur
ela : c Savoir si la sensation est excitée avant que se produise le mouvement musculaire, est un pro- blème qui ne peut être
ve que dans ces cas, où il se produit des convulsions limitées, les mouvements ne sont précédés de, ni associés à aucune sensa
étruits, les autres restant intacts. Les centres corticaux pour les mouvements des membres sont en rapport uniquement avec les
e sens musculaire, ou conscience musculaire, bien que la faculté du mouvement subsiste. La destruction des centres centrifuge
et pour, autant que nous en avons la preuve, l'arrivée en eux de mouvements moléculaires qui, immédiatement après, se rende
ainsi excité et des parties contiguës, changement occasionné par le mouvement qui engendre un groupe d'impressions centripète
sthétique. Celui-ci est donc un véri- table centre sensitif, et des mouvements idéaux peuvent être ravivés en lui, soit isolém
Pour lui, les idées motrices n'existent pas ; toutes nos idées de mouvement sont ravivées dans les centres sensoriels. Dès
arrive à nier les centres moteurs. « Si, dit-il, nos sensations de mouvement sont concomitances des courants ell'érents ; et
ns l'écorce. Mais si c'est erroné et si toutes nos connaissances de mouvements viennent par les centres sensoriels il n'y a plus
'existence des registres sensoriels des impres- sions produites par mouvement . En d'autres termes, les centres Inesthétiques
. Charcot, qui considère les représentations motrices, précédant le mouvement , qui s'effectuent dans les centres moteurs, com
centres moteurs, comme les seules indispensables à l'exécu- tion du mouvement voulu. Tel est à peu près le résumé des opinion
tion des plus intéressantes tant au point de vue du mé- canisme des mouvements qu'au point de vue plus général du fonctionneme
veau lui-même et des rapports qui existent entre la sensation et le mouvement . REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE 1. 10,NOI'LEGIA
e rotulien aboli par le procédé de Jendrassik, sous l'influence des mouvements du tronc et des membres supérieurs. Quoi qu'i
ve chez ceux-ci ils montrent que toutes leurs attitudes, tous leurs mouvements sont bien ceux que présentaient les anciens pos
Mais qu'en savez-vous ? Com- ment ! voilà un homme qui n'a pas ces mouvements désordonnés 'qui appellent nécessairement l'att
aines pa- ralysies plus ou moins généralisées, du sentiment et du mouvement . Notre intention, dans cette note, n'est pas de
nscription très particulière des trou- bles de la sensibilité et du mouvement , qui s'arrêtent brusquement, en procédant par s
est endolori, comme après une simple con- tusion ; la gêne dans les mouvements , la lourdeur et l'inertie du membre, ne viennen
remuer le bras droit, lequel était d'autre part, animé de certains mouvements rhytmés involontaires (athé- ,tose). Ces mouvem
imé de certains mouvements rhytmés involontaires (athé- ,tose). Ces mouvements allèrent s-atte- nuant, à mesure que l'impotenc
UR. 185 suite l'impotence fonctionnelle de tout le bras, avec des mouvements choréiformes, et la paralysie sensi- tivo-motri
le malade n'a pas la notion de la position de ses membres. Les mouvements sont nuls aux cuisses et aux jambes, bien que l
et qu'il soit capable de remuer -les orteils; la résistance, aux mouvements passifs est nulle. Il existe également de nom
ient une paralysie en manchette de l'avant-bras (sensibi- lité et mouvement ). Cette paralysie monte jusqu'au coude. Dispari
lle était en apprentissage. Elle ne souffrait plus du poignet ; les mouvements étaient con- servés, mais la main était devenue
ais- sait tomber les objets. Depuis deux mois, il existe quelques mouvements choréiques aux membres supérieurs. Au moment de
t extérieur, la colora- tion et la température du membre affecté. Mouvements . - Rien d'anormal dans les mouvements do l'épau
empérature du membre affecté. Mouvements. - Rien d'anormal dans les mouvements do l'épaule, du bras et du coude. Ceux de l'art
mais il sont un peu amaigris et moins forts qu'à l'état normal. Le mouvement d'opposition du pouce, par exem- ple, estpossib
ctions à l'aide de la bande d'Esmarch. Depuis quelques jours, les mouvements choréiques qui existaient lors de la rentrée de l
. Cependant, à partir de cette époque, Mlle V... remarqua que les mouvements du poignet sans être plus difficiles, étaient un
'y fait bien; rien n'indique l'appa- rence d'un état morbide. Les mouvements voulus du poignet et de la main sont tous possi
u sens propre du mot. 11 n'y a pas non plus de contracture, car les mouvements spon- tanés, de même que les mouvements provoqu
lus de contracture, car les mouvements spon- tanés, de même que les mouvements provoqués, s'exécutent sans aucune roideur musc
s'exécutent sans aucune roideur musculaire. Il en est de même des mouvements des doigts qui ont con- servé leur agilité et c
roite. Instinctivement elle se sert de sa main gauche pour tous les mouvements qui demandent un certain effort, tels que dépla
une impotence fonctionnelle complète de ce côté, bien que tous les mouvements soient en apparence conservés. La sensibilité p
ion de ses phalanges. En redressant les doigts de façon à forcer le mouvement de l'articulation méta- carpienne, la malade n'
pas la conscience nette du degré d'effort à faire pour produire un mouvement déterminé, pour fournir une pression un peu sou
rmer mon diagnostic. Dans le but de réveiller l'image psychique des mouvements de l'avant-bras, il recom- manda à la malade d'
cupéré; M110 V... a la notion de l'effort à faire pour accomplir un mouvement voulu. Elle donne mainte- nant, sans effort, un
En résumé, le traitement moral et la reproduction fonctionnelle des mouvements ont produit le meilleur effet, et malgré l'exag
e qui était nulle revient graduelle- ment par la seule évocation du mouvement lui-même, en exerçant méthodiquement des pressi
nès est arrivé à un résultat iden- tique dans ses Recherches sur le mouvement de l'aliéna- tion mentale à Paris (1872-85). Le
e sur le dos, sans cri, sans aura, sans écume à la bouche. Quelques mouvements convulsifs de la tête et des bras, qui manquent
remiers accès, il tombait comme une masse, était roide, avait des mouvements convulsifs pendant un instant et del'écume buccal
, à la moindre contrariété, se mord les mains; elle est affectée de mouvements de balancement du tronc d'arrière en avant et v
i- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 271 tant la rétine par la mise en mouvement des milieux de l'oeil, pro- voquer la formation
ion incessante pour maintenir la plume, plutôt que ceux destinés au mouvement de celle-ci, chez lesquels se pro- duit la cram
iculation ne doivent pas produire la contrac- ture pas plus que les mouvements rythmiques du coeur sur le myocarde. Les profes
ur ces derniers, quand ils sont appliqués sur les touches. Dans ces mouvements , les extenseurs du poignet et des premières pha
istes ont de difficulté à faire ma- noeuvrer l'annulaire, qui a des mouvements indépendants très restreints. Cette gène est du
les extrémités, surtout à droite, moindre résistance à l'égard des mouvements qu'on veut leur imposer; la malade s'étire, remue
ordre dans les actes : de temps à autre un léger sourire, de petits mouvements des lèvres indiquaient des hallucinations, mais
chiques ». Il conclut que les phénomènes psychiques ne sont que des mouvements du protoplasma subordonnés à cette loi générale
des mouvements du protoplasma subordonnés à cette loi générale du mouvement dans la nature : un mouvement partiel se trans-
a subordonnés à cette loi générale du mouvement dans la nature : un mouvement partiel se trans- forme en mouvement de masse e
mouvement dans la nature : un mouvement partiel se trans- forme en mouvement de masse et réciproquement. En se fondant sur c
façon schémati- que comment les phénomènes psychiques résultent du mouvement 302 BIBLIOGRAPHIE, du protoplasma des tissus
de la loi, et M. le ministre de l'intérieur, dont je surveille les mouvements ...(Hilarité.) Vous allez voir pour- quoi... Je
té.) Vous allez voir pour- quoi... Je disais que je surveillais les mouvements de M. le ministre de l'intérieur, parce qu'il e
mis au lit, dit-il, il me sembla qu'aussitôt les noix se mirent en mouvement , non seulement en sautant dans le sac, mais enc
est alors absolue, aucune articulation ne peut être fléchie, aucun mouvement ne peut être imprimé aux membres, les doigts so
in. Lorsque la main est appliquée sur le front, il se produit des mouvements désordonnés de la tête qui semble vouloir se déba
d'une partie du corps, il se produit dans cette partie une série de mouvements de transla- tion qui aboutissent en fin de comp
se décroisent, en même temps qu'il se produit un certain nombre de mouvements de déglutition; puis les mains se séparent, les
tant qu'elle n'est pas sortie de sa crise, elle ne peut faire aucun mouvement bien qu'elle croie l'exécuter; il y a, en effet
- lepsie, avec phénomènes tantôt de contracture, tantôt de grands mouvements ; dans ses diverses attitudes, elle fait souvent l
est depuis plusieurs heures dans cet état, pousse des cris et a des mouvements désordonnés qui obligent à la main- tenir, pour
s et la res- piration calmes, sans une convulsion clonique, ni un mouvement . La sensibilité est absolument abolie dans tous
: F.. a les yeux fermés et non ouverts, il n'y a pas résistance aux mouvements passifs, il y a impos- sibilité absolue de dépl
rendue un peu difficile par la tension du pectoral. Tous les autres mouvements du membre supérieur droit et tous ceux du gauch
gue elle est légèrement déviée à droite et l'on peut y observer des mouvements fibrillaires, mais on ne remarque pas d'atrophi
laire (la conscience de la position des membres, l'appréciation des mouvements passifs) est normal. Les nerfs et les muscles s
en douleurs variées : dans le côté, les muscles du cou pen- dant le mouvement , de même que pendant le repos, des douleurs con
huit ans. - Difficultés de la marche et chutes par exagération des mouvements des jambes. Difficulté de man- ger et de boire
s mouvements des jambes. Difficulté de man- ger et de boire due aux mouvements désordonnés des membres supérieurs. Contorsions
; signes plus marqués du côté droit. Parole scandée et embarrassée. Mouvements rares au repos; exagérés par la plus légère;émo
aissance, parfois rigidité; écume san- glante, ronflement. Quelques mouvements de la tête, mais ne se débat pas. Il aurait eu
pileptiques présumés. Cette dernière affection paraît douteuse; les mouvements irréguliers dépendraient plutôt d'un état chlor
e pouce et l'index se détachent de la four- chette et exécutent des mouvements . Quand il a saisi le morceau de viande avec la
l a saisi le morceau de viande avec la fourchette, par une sorte de mouvement de bascule il appuie fortement sur la table l'a
éférence il se sert de la main gauche pour prendre son pain, et les mouvements d'élévation de l'avant- bras et d'abaissement d
re et le corps, cou gonflé, pouls faible, lent, ré- gulier (60 p.). Mouvements respiratoires réguliers (20), soulevant t les j
t se rhabiller, mais tout cela se fait très lentement en raison des mouvements choréiformes. Utination normale. Moustaches châ
voix est nasonnée et gutturale. Les lèvres sont presque toujours en mouvement . Parfois la phrase se conti- nue sans arrêts :
commissionnaire... malade lui-même.» La parole est scandée par des mouvements . Il peut allonger la langue et la maintenir que
nserve assez longtemps cette position; parfois, cependant, il a des mouvements des doigts et du bras droit. C'est ce bras qui
faible - ainsi que la jambe correspon- dante - et qui présente les mouvements choréiques les plus accusés. Le malade peut se
oche les deux mains, les doigts très largement espacés, et avec des mouvements d'athé- those. Une fois le vase saisi violemmen
uelqu'un qui pousse son chariot. Il est plus vigou- reux ; mais ses mouvements chloréiformes sont les mêmes. Quand on le renco
nt les mêmes. Quand on le rencontre il soulève sa casquette avec un mouvement sac- cadé tout spécial. Traitement : continue Y
un état satisfaisant au point de vue de la santé générale; mais les mouvements spasmodiques persistaient presque aussi intenses.
es, les genoux en contact, les jambes rejetées de côté. On note des mouvements des doigts de la main droite, des épaules, de l
la main droite, des épaules, de la tête et de la jambe droite. Ces- mouvements sont à certains jours beaucoup plus prononcés,
me qu'elle ne roidit pas, qu'elle lui obéit et ne le gêne par aucun mouvement irrégulier. , Plusieurs expériences ont été fai
ces ont été faites pour étudier la préhension et les caractères des mouvements des bras dans cet acte. Quand le malade veut sa
'écartent, s'élèvent et se rapprochent vers le but en exécutant des mouvements choréiformes à large amplitude, tout en se diri-
artir du moment où D... soulève le : verre, il n'y a plus de grands mouvements comme dans la .première partie de l'acte, mais
oscillations assez grandes, avec conservation de la direction du mouvement , puis la cuiller étant saisie énargiquement, il l
'étant plus animé que de petites oscilla- tions. Les caractères des mouvements dans ces deux actes doivent être retenus, car i
un effort considérable pour se mettre debout, effort accompagné de mouvements athétosiques de la face et des doigts. 394 RECU
che le sol. Les jambes, surtout la droite sont agitées ;de quelques mouvements choréiformes qui ne sont en rien comparables au
uelques mouvements choréiformes qui ne sont en rien comparables aux mouvements de projection des ataxiques. La seule analogie
iculations sont un peu roides, mais s'assouplissent après quelques. mouvements . Elles ne sont le siège d'aucun cra- quement. '
s qu'il y ait erreur de direction; il y a seulement quelques petits mouvements . Il en est de même si on lui fait porter l'un o
levé et que les orteils, surtout ceux du pied droit, sont;animés.de mouvements d'athétose. Le signe de Rot- berg n'existe pas
, état paralytique, prédominant à droite. - Appa- rition des grands mouvements spasmodiques à l'occasion des gestes et des mou
n des grands mouvements spasmodiques à l'occasion des gestes et des mouvements spontanés. Contractures avec les mouvements pro
ion des gestes et des mouvements spontanés. Contractures avec les mouvements provoqués. - Accès de colère. Bave jusqu'à huit
ler et de manger seul jusqu'en 1880. Gâtisme. z- Prédominance des mouvements du côté gauche, légèrement plus fort que le droit
avec une certaine force, à cause de la contracture musculaire. Les mouvements , même communiqués, sont impossibles dans les ar
mange, bien. Reste le plus souvent assis dans un fauteuil, avec des mouvements d'athétose, surtout de la main gauche. Il rit f
ce qu'il sait faire. Sa marche est gênée considérable- ment par les mouvements choréiformes exagérés qui lui font tordre et co
en poussant le dos d'un fauteuil devant lui. Dans ce cas, tous ses mouvements sont exagérés et provoquent par tout son corps
s ses mouvements sont exagérés et provoquent par tout son corps des mouvements réflexes de la plus grande étendue. Quand il ve
ves, t. XIV. 26 40 RECUEIL DE FAITS. objets voisins dessinent des mouvements très étendus, les avant- bras se fléchissent su
des extrêmes. Au repos, nulle exagération des réflexes; parfois nul mouvement ; il reste accroupi dans son fauteuil, les membres
essaye de manger seul, avec une cuiller, mais à caube de ses grands mouvements , il répand la moitié du potage. Il s'essaye aus
ler lui-même, dit : « Attends » à l'infirmier qui veut l'aider. Les mouvements ont un DEUX CAS d'ATHÉTOSE DOUBLE AVEC IMBÉCILL
is ont conservé ce caractère d'être constants, à l'occasion de tout mouvement volontaire ou provoqué, et de tendre à se génér
es membres inférieurs qui sont soulevés, ainsi que les épaules, des mouvements dans les doigts, des grimaces de la face : la b
ent 404 RECUEIL DE FAITS. - DEUX CAS D'ATHETOSE DOUBLE. de grands mouvements . Le bras droit s'élève, et la main se porte à l
, inclinaison du tronc, etc. ; puis, il saisit la cuillère avec des mouvements choréiformes qui la fontquelquefois sauter sur
oup plus imparfaite. Sous l'influence des émotions même légères les mouvements des membres et du tronc et les grimaces de la f
le droit, ne touchent pas le sol et que les orteils sont animés de mouvements d'athétose. La marche ne parait pas modifiée, l
ion se montre soit pendant le repos seul ou durant le repos et le mouvement (hémichorée proprement dite, athélose, hémipara-
e, athélose, hémipara- l ? sie agitante) soit seulement pendant les mouvements voulus (/iëMM<6;.rte, hémisclérose en plaque
Le diagnostic pour être complet doit nous apprendre à quel type de mouvement nous avons affaire et nous rensei- gner sur le
e la fête fémorale, au-dessous de l'arcade de Fal- lope, et par les mouvements de rotation en dehors. Les rapports du nerf art
lle que cette mérite physique change quand il s'agit de liquides en mouvement comme ceux qui occupent l'intérieur du crâne de
ntéressantes. P. K. IX. Contribution A l'étude DE l'innervation DES mouvements DE l'expression; par P. HOSEi'OE \CII. (New'ol.
olontaire (hémiplégie passagère, rétablissement presque complet des mouvements du bras et de la face), mais ayant pro- duit un
17 (1915) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 27] : iconographie médicale et artistique
UN CAS D'ÉPILEPSIE JACKSONNIENNE PORTANT SUR LE CENTRE CONJUGUÉ DES MOUVEMENTS DE LA TÈTE ET DES YEUX, PAR R M. CHIRAY,
eisenLurg (5), Poggio (6) ont confirmé l'existence de ce centre des mouvements conjugués de la têteet des yeux. Seulement les
ent délimitée qui permet de déterminer avec précision le centre des mouvements convulsifs observés. La lésion était située (comm
empiétement sur celle-ci. Celte lésion localisée avait produit des mouvements jacksonniens exactement limités à la déviation co
rme à la palpation, mais on ne peut sentir aucun relief osseux. Les mouvements de la dernière articulation phalangienne sont gên
de réaction émianopsique. Léger degré de strabisme divergent à G. Mouvements des globes oculaires bien conservés. Nystagmus
résistance, on réussit à lui ouvrir les paupières de l'oeil droit. Ce mouvement provoque alors la fermeture complète et spontan
un côté, tantôt de l'autre. En invitant le patient à exécuter des mouvements avec les yeux, on observe qu'ils se comportent
, symétrique dans ses deux moi- tiés ; la luette est verticale. Les mouvements actifs et passifs des membres supérieurs et inf
me volontairement un oeil. En effet, lorsqu'un sujet normal fait ce mouvement , il soulève plus ou moins légèrement la commiss
e manifeste au moment même où l'innervation volontaire détermine un mouvement donné sur d'autres muscles plus ou moins éloignés
uscles homonymes du côté paralysé. Dans ce cas, il ne s'agit pas de mouvements associés, puisque nous n'avons pas le mouvement
l ne s'agit pas de mouvements associés, puisque nous n'avons pas le mouvement voulu, le mouvement du groupe musculaire du côt
ouvements associés, puisque nous n'avons pas le mouvement voulu, le mouvement du groupe musculaire du côté opposé intervenant
pposé intervenant à sa place (Negro). Il s'agit alors (Senator), de mouvements de substitution, qui sont par conséquent l'équi
mimique, qui en somme n'est qu'un ensemble de syncynésies. Or, ces mouvements associés dans le champ' d'innervation du facial
etit oblique de l'oeil et le frontal pendant l'élévation de l'oeil, mouvement auquel la paupière inférieure participe aussi u
e de phénomène de Bell. Dans la même caté- gorie il faut ranger les mouvements de la paupière supérieure qui s'accom- pagnent
upérieure qui s'accom- pagnent avec l'ouverture de la bouche et les mouvements de la mastication, rarement observés chez les s
re cas, les syncynésies de la deuxième catégorie, c'est-à- dire les mouvements associés dans le champ d'innervation du facial, n
scles du visage, si importantes pour la mimique, et celles entre le mouvement de clignement des yeux et les dilatateurs des n
deur presque universelle de la musculature, les trémulations et les mouvements athétosiques, l'absence de parésies véritables
ions très fortes, occupant le corps entier, s'exagérant pendant les mouvements et les émotions. En outre des altéra- tions d'o
ent par les parésies spasmodiques, les trémulations, la lenteur des mouvements , les troubles de la parole d'une part, l'irrita-
ns sont secouées par de fortes trémulations s'exagérant pendant tes mouvements actifs. Parfois la somnolence est entre- coupée
s les excita- tions douloureuses les membres sont bien retirés. Les mouvements passifs ne se heurtent pas à une résistance aug
masquée par la dégénérescence de ces derniers. A droite, le même mouvement de translation se produit, moins visible en rai
n légère ; il est totalement impossible au malade d'accomplir aucun mouvement volontaire; les muscles sont nettement en état
extension franche ; les gros orteils et les petits participent à ce mouvement et on note de plus, de chaque côté, le signe de
le signe de l'éventail. Chaque excitation de la plante détermine un mouvement net mais léger de retrait du membre inférieur.
ablement modifiée pen- dant les sept jours qui se sont écoulés. Les mouvements volontaires sont toujours nuls. Dès qu'on décou
se retire brusquement. La facilité avec laquelle se produisent les mouvements dits de défense, est telle qu'elle empêche d'ap
flexion de la jambe et ascension du genou. Quelquefois ces derniers mouvements existent sans s'accompagner d'ex- tension des o
ans s'accompagner d'ex- tension des orteils, ou du moins ce dernier mouvement est alors si léger qu'on peut douter de son exi
ge de cette région. Il nous a été impossible de produire le moindre mouvement réflexe du membre inférieur eu excitant la peau
ardiaque n'est pas augmentée de volume et le diaphragme exécute des mouvements d'élévation et d'abaissement synchrones des deux
ble avoir été contractée l'habitude dans laquelle se canalisent les mouvements où se cristallise l'attitude du sujet. Une inte
de de supposer qu'une ataxie d'origine physique puisse permettre un mouvement parfaitement aisé, lorsqu'il ne s'agit pas d'un
sayé l'électricité; un mieux se produisit quant à la douleur et aux mouvements . Cette femme était tombée sur cette épaule au moi
août, mais elle n'en souffrit plus au bout de quelques jours. Les mouvements et la douleur étaient supportables jusqu'à un moi
ion des muscles opposés aux désirs de la malade de tourner la tète, mouvement qu'à son insu elle tâche de maîtriser. Par suit
la malade a conscience de son incapacité à exécuter li- brement le mouvement désiré. Si le tic de cette femme n'est pas guér
venir une douleur aiguë accompagnera ses efforts pour supprimer les mouvements . Le tic s'exagère tous les mois, quand elle sou
qu'elle avait un appui. Des épreuves cliniques démontrèrent que les mouvements cessaient lorsque l'attention était distraite p
mal renvoyer la balle peut entraîner un manque de liberté dans les mouvements , une con- traction inopportune des muscles, qu'
de cesser d'écrire dans un but déterminé et il commença à faire des mouvements libres avec le bras en se servant de craie sur
isation prolongée, ils souffrent d'hypereslhé- sie articulaire. Les mouvements passifs qu'on imprime aux pieds produi- sent de
nstinctivement dans les articulations que nous explorons quel- ques mouvements rapides quoique de peu d'étendue, comme fait l'in
xion d'un article, tandis que la sensibilité est conservée pour des mouvements et pour des attitudes particulières. Chez d'aut
extrémités de ses index, il ne réussit pas avec précision, mais les mouvements sont faits normalement quant à la lenieur et qu
la forme rythmique, ni la forme oscilla- toire ; cela constitue le mouvement ataxique et, comme on lésait, le trou- ble est
de l'application simultanée de toute la plante contre le sol. Les mouvements céphaliques sont lents. Ainsi, quand elle doit re
u sens des altitudes segmentaires. Tous ces phénomènes, lenteur des mouvements , restriction d'automo- lilité segmentaire spéci
que de limitation pré- cise des traits de la têle et cela dû il ses mouvements oscillatoires dans la pose photographique, afin
st cause de secousses qui sont ou bien réduites à l'article dont la mouvement volontaire dépend, ou bien sont d'une étendue bea
ophie musculaire. Les muscles altères sont pour eux susceptibles de mouvements volontaires dans la proportion de leur volume.
UEU. SYMPTOMATOLOGIE DU SYSTÈME NERVEUX Le manque d'association des mouvements des yeux de l'homme de la figure 1 est dû à des
aquelle là pointe du pied se voit en contours diffus à cause de son mouvement rythmique. Les mains de la femme des figures 4
a première, les articles arrivent à un certain degré de flexion, le mouvement convulsif est alors un instant suspendu et ensu
e-pied. Elle est au contraire conservée au genou, à la cuisse : les mouvements de flexion et d'extension de la jambe, d'extens
ie au niveau des orteils et du cou-de-pied. Au niveau du genou, les mouvements de flexion et d'extension se font mais avec une
un-- plan résistant. L'opposition du pouce est très - diminuée. Les mouvements de flexion et d'extension du poignet se fout ma
'apparence normale ; le malade s'oppose avec une grande vigueur aux mouvements forcés de flexion et d'extension de Pavant-bras
omberg, une ataxie moins marquée des membres supérieurs. Tous les mouvements s'effectuent avec une étendue normale, mais leur
distinctes : l'une, la voie cortico-rubro-spinale laquelle régit le mouvement réflexe ou automatique, l'autre, la voie cortico
le ou pyramidale, laquelle est acquise beaucoup plus tard, régit le mouvement volontaire et fait partie du mécanisme régulateur
it le croire à priori ; entre l'accès convulsif, le tremblement, le mouvement athétosique et le geste choréiforme, il semble
ou mixtes, et même des cas qui réalisent nettement, tour à tour, le mouvement athé- tosique et le mouvement choréiforme. Ev
réalisent nettement, tour à tour, le mouvement athé- tosique et le mouvement choréiforme. Evidemment, il serait prématuré de
ces arrondies, pigmentées en rouge brun. Troubles moteurs. Tous les mouvements actifs du poignet et du coude semblent normaux
exion alors que la deuxième phalange est en extension. , Tous les mouvements actifs des doigts sont difficiles, lents, limités
leur flexion est possible mais se fait très incomplè- tement. Leurs mouvements d'abduction et d'adduction sont particulièrement
et qu'ils n'existaient certainement pas avant cette éruption. Les mouvements actifs de l'épaule sont lents et d'étendue limité
l existe dans l'articulation de l'épaule une raideur qui arrête les mouvements et diminue leur amplitude. De plus, le malade se
malade se plaint d'une légère douleur dans l'articulation quand les mouvements dépassent une certaine étendue. Passivement,
mouvements dépassent une certaine étendue. Passivement, tous les mouvements sont possibles à la main comme au poi- gnet et
poi- gnet et au coude. A l'épaule on ne dépasse guère l'étendue des mouvements actifs. On perçoit des craquements'dans l'artic
Ou n'arrive pas à mettre le bras dans la position verticale. Les mouvements de l'épaule droite sont, eux aussi, en partie lim
ylosante. La force musculaire est un peu diminuée à gauche pour les mouvements de flexion de l'avant-bras sur le bras, d'abduc
olontaire, sont essentiellement déterminés par la représentation du mouvement , c'est-à-dire par son image cinesthésique, qui
ns musculaires, articulaires, tactiles qui se produisent lorsque ce mouvement a été accom- pli autrefois. C'est seulement par
tion d'une bille, accomplit très souvent avec un de ses membres des mouvements involon- taires dans la même direction que la b
ntraction musculaire prolongée, ils sont à même d'accomplir le même mouvement par un (1) Brissaud, Les troubles nerveux post-
ergique et prolongée avec son bias, en même temps qu'on oppose à ce mouvement une vive résistance ; lorsque le sujet est légè
le prie de relâcher ses muscles et de recommencer tout de suite le mouvement pré- cédent, mais très légèrement et seulement
is très légèrement et seulement son début. Alors on remarque que le mouvement à peine ébauché s'effectue tout entier d'une mani
plus impressionnables, les plus émotifs, ont pu même effectuer les mouvements automatiques en question sans les avoir aucune-
ez un petit nombre de sujets; ceux-ci ont pourtant remarqué que les mouvements volontaires exécutés tout de suite après la contr
suite après la contraction musculaire dans la direction même de ce mouvement , s'effectuaient avec une extrême facilité; ils
e impressionna- bi 1 i lé célleslhésique; ce sujet, chez lequel les mouvements automatiques susdécrits étaient très prononcés,
ques susdécrits étaient très prononcés, pouvait accomplir les mêmes mouvements involontaires en pensant tout simplement à l'ac
'il voulait effectuer ; c'est-à-dire que la représentation seule du mouvement était suffisante à donner l'impulsion automatiq
e forme d'habitude par suite de la représentation très vive de tout mouvement . L'on ne peut donc douter de l'importance des i
tracture d'un membre implique de même l'image cénesthésique fixe du mouvement que le sujet a accompli ; là catalepsie ne pour
'autres .,images cénesthésiques, y compris celles qui président aux mouvements antagonistes ; ce qui expliquerait parfaitement
ce qui expliquerait parfaitement l'impuissance du sujet à faire les mouvements qui s'opposeraient à la réalisation et à la perma
On conçoit en outre que le malade perde aussi le désir de faire ces mouvements , car le désir de faire tel ou tel acte dépend d
l'EIN ; Chef de labor. : D' .IOSSELIN de JONG. SUR LES TROUBLES DES MOUVEMENTS ACTIFS DANS DEUX CAS DE LÉSION BILATÉRALE DU
nt à la lésion de la première. L'opinion de Hammond, attribuant les mouvements involon- taires de caractère athétosique à une
e plus solidement confirmé leur signification pour la genèse de ces mouvements involontaires. Plus récemment von Niessl Vlay
la lésion des pédoncules,cérébelleux supérieurs avait provoqué les mouvements invo- lontaires, toute interprétation tendant à
é sur l'action muscu- laire. Les troubles dans ces cas (lenteur des mouvements actifs, raideur musculaire, présence de mouveme
cas (lenteur des mouvements actifs, raideur musculaire, présence de mouvements choréo-athétosiques) ont été réunis sous le nom
ent une affection des corps striés fort prononcée, les TROUBLES DES MOUVEMENTS ACTIFS DANS LA LÉSION DU CORPS STRIÉ 275 autres
ntractions cloniques par l'ex- citation des parties du milieu ; des mouvements de locomotion sont pro- voqués en stimulant les
xpression ; seulement, quand il y a quelque chose dans TROUBLES DES MOUVEMENTS ACTIFS DANS LA LÉSION DU CORPS STRIÉ 277 son en
lque temps (par exemple les contractions des muscles frontaux). Ces mouvements involon- taires sont déjà présents quand le mal
pupilles sont égales, la réaction à la lumière est bonne. Tous les mouvements des yeux sont bien exécutés, pas de lenteur, pas
main est presque toujours en flexion palmaire. Le pouce exécute des mouvements roulants contre l'index, qui à son tour est mis e
mps en temps les phalanges distales sont pliées également. Tous ces mouvements sont exécutés avec une certaine lenteur. De tem
entrecoupant les contractions des fléchisseurs, la main exécute un mouvement de flexion dor- sale. La main droite montre é
du milieu est ankylosé (après une chute). Nous remarquons les mêmes mouvements rou- 278 ' VAN WOEI1KOM ' " lants du pouce co
ou mieux encore en prenant notre malade par un des poignets. - Les mouvements passifs ne se heurtent à aucune résistance, on pe
et à la main, malgré lès contractions continuelles des muscles. Les mouvements passifs dans les cou- ' des présentent les même
ns le malade de relever le bras en abduction, au lieu de faire ce - mouvement dans la position d'extension, il met le bras en f
sition d'extension, il met le bras en flexion. Puis il exécute . un mouvement d'abduction, qui tout de suite est arrêté. En pal
n : c'est encore la contraction des anta- - gônistes qui empêche le mouvement projeté et qui fait rebondir le membre. Le mala
s figures de nos deux photos . (PI. XLVIII). Après avoir exécuté ce mouvement passivement, le malade est souvent capable de l
st' mis en flexion, . Quand le malade est prié d'exécuter un simple mouvement .d'extension -de ' t'avant-bras sur le bras, c'
t où les avant-bras sont jetés en avant, les mains exécu- -tent des mouvements associés de flexion palmaire. En palpant le muscl
DANS LES LÉSIONS DU CORPS STRIÉ (W. van Woerkom.) -- TROUBLES DES MOUVEMENTS ACTIFS DANS LA LESION DU CORPS STRIÉ 279 'l'eff
79 'l'effort des extenseurs. Après quelques efforts, l'amplitude du mouvement d'ex- tension s'amoindrit de plus en plus. Qu
e et pas en flexion dorsale. Pendant cet effort nous remarquons des mouvements associés de l'épaule, des grimaces, des contrac
s grimaces, des contractions de la musculature de l'autre bras. Les mouvements de flexion et d'extension dans l'articulation du
pé par des contractions. Après avoir exécuté deux ou trois fois ces mouvements , l'action devient tout à fait impossible. Qua
ocher le pouce du petit droit, nous constatons que le pouce fait un mouvement d'opposition de faible amplitude et très passag
om- .'mence par serrer le bras contre le thorax, ensuite il fait un mouvement brus- que de flexion au coude, qui le fait dépa
lexion au coude, qui le fait dépasser son but. Le même caractère de mouvement démesuré est constaté, quand le malade fait un
ractère de mouvement démesuré est constaté, quand le malade fait un mouvement de préhension : il ouvre la main d'une manière ex
urs comme par hasard que la-nourriture entre dans ;la bouche. Les mouvements alternatifs de pronation et de supination delà ma
'tout a fait en défaut : c'est à peine s'il peut exécuter les deux mouvements séparément; après quelques tentatives il n'est
après quelques tentatives il n'est plus capable de faire suivre le mouvement inverse. Par contre l'autre main exécute quelques
ivre le mouvement inverse. Par contre l'autre main exécute quelques mouvements 'alternatifs'inconsciemment. t. Je lui passe
faut qnand il vent les faire comme acte volontaire. En général tout mouvement intentionnel est exécuté bilatéralement; pendant
, nous assistons à un jeu muscu- laire bizarre. Au lieu de faire un mouvement de flexion, souvent le membre est fixé en exten
es intéressés sont tour à tour en contraction et en relâchement, le mouvement demandé est exécuté brusquement. Pendant les ef
ments alternatifs. Quand, à la fin, l'acte demandé est commencé, le mouvement en avant est encore arrêté à cause du relâcheme
s se tenir droit sans un soutien solide ; autrement le corps est en mouvement continuel et il risque des chutes. Mis sur les
Les bras sont immobiles, pliés aux coudes. Les pas sont petits, le mouvement est assez rapide. En général les pieds sont trè
it des efforts désespérés, se manifestant par des grimaces, par des mouvements en avant du tronc entier; enfin, le membre est
membre est lancé en avant. Parfois les membres exé- cutent bien des mouvements alternatifs de flexion et d'extension, mais le ma
ension, mais le ma- lade reste figé à la même place. TROUBLES DES MOUVEMENTS ACTIFS DANS LA LÉSION DU CORPS STRIÉ 281 Les tr
s les mêmes, sont fort variables en intensité. A certains jours les mouvements involontaires sont plus prononcés, parfois il n
a coupe précé- Si'rie normale Observation 1 FiG. 1 TROUBLES DES MOUVEMENTS ACTIFS DANS LA LÉSION DU CORPS STRIÉ 283 dente
d'une finesse Série normale Série ohs, I - Fm.2 2 TROUBLES DES MOUVEMENTS ACTIFS DANS LA LÉSION DU CORPS STRIÉ 285 extrêm
ntre la défor-, Série normale Série obs. 1 Fn,.3 3 TROUBLES DES MOUVEMENTS ACTIFS DANS LA LÉSION DU CORPS STRIÉ 287 motion
t prononcée et de la variabilité extrême de l'état des muscles. Les mouvements involontaires sont d'un type rappelant à la foi
choréo-athétose et la maladie de Parkinson. La désorganisation des mouvements actifs mérite une ample discussion, que nous vo
ts physiologiques. 1>- 1 r. Pt& S ' ' , raton TROUBLES DES MOUVEMENTS ACTIFS DANS LA L Si0 (liiPS STRIE 289 Prions un
0 (liiPS STRIE 289 Prions un individu normal d'exécuter vivement un mouvement se bor- z nant à une seule articulation, par ex
ex droit dans l'articulation métacarpo-phalangienne. L'amplitude du mouvement ne sera pas limitée par des instructions spécia
homme un processus psychique ; il prend la résolution d'exécuter le mouvement demandé (entschlieszungs-einstel- lungsakt des
cessus psychique à son tour pro- voque l'action musculaire. Mais le mouvement , une fois commencé, est exécuté sans que les él
ues interviennent (ce qui, natu- rellement, ne veut pas dire que le mouvement est exécuté inconsciem- ment). La vitesse avec
hemin est parcouru n'est pas la même pendant les phases diverses du mouvement : elle augmente vite dès le début, atteint son
e augmente vite dès le début, atteint son maximum, puis diminue. Le mouvement est terminé par une secousse en sens inverse.
terminé par une secousse en sens inverse. L'enregistrement de ces mouvements simples a permis de constater que c'est toujour
permis de constater que c'est toujours le début qui caractérise le mouvement entier. Un mou- vement dont la première phase s
ecousse en sens inverse sera prononcée. C'est le contraire pour les mouvements commen- çant plus lentement. Dans le cas où l
e cas où l'attention s'est concentrée sur Pacte musculaire même, le mouvement est commencé vivement. Quand l'individu est in-
Chez l'homme normal, c'est le processus psychique, provoquant le mouvement , qui lui communique son caractère du début à la f
ut à la fin. En procédant à l'analyse des troubles que montrent les mouvements actifs chez notre malade, nous nous demandons à
vent impossible. Si notre malade essaie de faire vivement un simple mouvement mono- articulaire, par exemple s'il veut faire
simple mouvement mono- articulaire, par exemple s'il veut faire un mouvement d'extension dans le coude, le premier effet de
Faut-il expliquer la difficulté qu'éprouve notre malade au début du mouvement actif par la force mécanique de la contraction do
xécuté quelques minutes après sans difficulté apparente. Parfois un mouvement passif précédant le propre effort facilite son ex
rôle dans les actions qui lui sont fami- lières : l'exécution d'un mouvement d'opposition isolé du poucese heurte à des diff
le pouce se met tout de suile eu opposi- tion quand la main fait un mouvement actif de préhension. En général la faute d'inne
s'est concentrée sur la fonction musculaire même. Ce sont les mêmes mouvements étudiés par les physiologistes qui par l'homme
bien elle ne se produit t pas au bon moment. Dans le premier cas le mouvement est lent, irrégu- lier, dans le deuxième cas il
STRIÉ 291 1 Les éléments pathologiques communiquent leur cachet aux mouvements limités par un but. Comme on le sait, nous devo
sait, nous devons les premières connais- sances du mécanisme de ces mouvements aux travaux de Voodortlt (Thèse de Paris). Dans
volonté ; par la fonction frénatrice des antagonistes, ce pre- mier mouvement est arrêté à une certaine distance du but ; penda
ve des diffi- cultés parfois insurmontables en commençant un simple mouvement actif ; nous avons constaté également que les f
innervation musculaire expliquent suffi- samment ce symptôme. Les mouvements alternatifs (de flexion et d'extension, de pronat
ination) sont particulièrement défectueux. Chez l'homme normal, ces mouvements sont liés l'un il l'autre par le phénomène de la
nvolontaire des antagonistes produit également le commen- cement du mouvement inverse. Les troubles de notre malade sont, en
° par la difficulté qu'il éprouve souvent en commen- çant un simple mouvement ; 2" par l'action défectueuse des antagonistes.
e facteur. Admettons que le malade réussisse à accomplir le premier mouvement et fasse ensuite, après une pause considérable,
remier mouvement et fasse ensuite, après une pause considérable, le mouvement inverse. Après ces efforts, la continuation du
érable, le mouvement inverse. Après ces efforts, la continuation du mouvement est le plus souvent impossible; tout au plus ce s
vent impossible; tout au plus ce sont encore quelques ébauches d'un mouvement actif qu'on remarque. Nous consta- tons un épui
nomène qu'il ne faut pas assimiler à ! a fatigue ordinaire (1). Les mouvements passifs, exécutés au moment où le malade ne peu
es muscles intéressés. fin opposition à la grave perturbation des mouvements actifs, les réflexes (Il Voyez ce sujet l'artic
., Bd. 14. 292 VAN WOERKOM cutanés montrent le type normal. Les mouvements de retrait des membres inférieurs après excitat
ordination de l'élément slalique et de l'élément dynamique dans les mouvements actifs. Dans descasdechorea minor, les petits m
ains moments et dans certaines conditions incapables d'exécuter les mouvements les plus simples. Un de ces malades, quej'ai eu
cution restait en défaut. En relevant pas- sivement un des bras, le mouvement demandé fut fait tout à coup, mais des deux côt
) Sur la signification... lte%ue Neurol., n° 11, 1912. TROUBLES DES MOUVEMENTS ACTIFS DANS LA LÉSION DU CORPS STRIÉ 293 malade
scles des extrémités et du tronc montrent une raideur générale. Les mouvements passifs sont arrêtés par une résistance irréguliè
du médecin, peut être vaincue mais renaît tout de suite après. Les mouvements actifs sont exécutés très lentement, par secousse
lentement, par secousses, avec des trémulations très fortes. Les mouvements isolés des doigts,/ les mouvements de flexion et
trémulations très fortes. Les mouvements isolés des doigts,/ les mouvements de flexion et d'extension de la main restent pr
exagérés. Les jours suivants la rigidité est moins forte, mais les mouvements passifs sont arrêtés par la même résistance irr
oyau lenticulaire nous remarquons un réseau capillaire TROUBLES DES MOUVEMENTS ACTIFS DANS LA LÉSION DU CORPS STRIÉ 295 très d
euxième observation aussi par une stabilité exagérée. 2° Dans les mouvements actifs, ces malades éprouvent une difficulté pa
st un facteur défavorable. 3° Dans le développement ultérieur des mouvements actifs, il se montre un manque de coordination
on dans l'action musculaire, leur communiquant le caractère soit du mouvement raide et lent, soit du mouvement déme- suré.
communiquant le caractère soit du mouvement raide et lent, soit du mouvement déme- suré. Est-ce que cette perturbation de
n très spéciale de la fonction musculaire, qui par les troubles des mouvements actifs montre quelque ressemblance avec le synd
alange avec flexion de la phalangine et de la phalangette. Tous les mouvements passifs des doigts^sont possibles, mais les mouve
xion peut être augmentée, l'extension n'est qu'esquissée. Les seuls mouvements aclifs possi- bles des quatre derniers doigts s
s mouvements aclifs possi- bles des quatre derniers doigts sont des mouvements de flexion ; l'extension, le rapprochement et l
très importante, comme on le constate en essayant de s'opposer à ce mouvement . Par contre, les fléchisseurs du pouce n'ont qu'u
-bras sur le bras sont absolument impossibles, de même que tous les mouvements du bras. Au niveau de la région scapulo-huméral
ous les téguments et a fortiori se laissent palper aisément ; aucun mouvement actif n'est possible. Le membre supérieur dro
atrophie un peu moins accentuée que du côté opposé, aussi tous les mouvements du pouce sont-ils possibles, de même les mouvem
aussi tous les mouvements du pouce sont-ils possibles, de même les mouvements des quatre derniers doigts ; seuls cependant le
ême les mouvements des quatre derniers doigts ; seuls cependant les mouvements de flexion se font avec une force notable. Au ni-
on se font avec une force notable. Au ni- veau du poignet, tous les mouvements actifs s'effectuent, mais la flexion seule se f
du bras sont très atropliiés, sauf le triceps. D'ailleurs, le seul mouvement possible est un mouvement d'extension de l'avant-
iés, sauf le triceps. D'ailleurs, le seul mouvement possible est un mouvement d'extension de l'avant-bras sur le bras, mouvem
possible est un mouvement d'extension de l'avant-bras sur le bras, mouvement qui s'effectue avec vigueur. Au niveau de la régi
endineuse ni contracture. Au niveau du cou et de la nuque, tous les mouvements actifs sont possibles, mais l'extension s'effec
othénar sont atrophiées, les espaces interosseux déprimés. Tous les mouvements passifs sont possibles. Les mouvements actifs o
terosseux déprimés. Tous les mouvements passifs sont possibles. Les mouvements actifs ont une étendue très incomplète comme la
très incomplète comme la flexion du pouce et des autres doigts, les mouvements de rapprochement et d'écartement des quatre der-
der- niers doigts ; ou bien même ils ne sont qu'esquissés comme les mouvements d'extension, d'opposition du pouce, d'extension
erniers doigts. L'abduction du pouce est impossible. Parmi tous ces mouvements , seule la flexion se fait avec une certaine for
on, la flexion de l'avant-bras sont im- possibles. L'abdnction, les mouvements en avant et en arrière du bras ne peuvent qu'êt
trophiée que la gauche, mais les doigts ne sont pas en flexion. Les mouvements actifs du pouce sont comparables à ceux du pouc
ements actifs du pouce sont comparables à ceux du pouce gauche. Les mouvements des quatre derniers doigts sont un peu plus éte
AMYOTROPHIE PROGRESSIVE ARAN-DUCHENNE 305 leurs trois segments. Les mouvements des orteils et des tibiotarsiennes ne sont qu'e
que péniblement, à détacher le talon du plan du lit. Dans tous ces mouvements , le membre inférieur gauche apparaît nettement
ilement les épaules et avec une grande vigueur. D'ailleurs tous les mouvements du cou, de la nuque, se font avec une force très
ne femme enceinte qui perçoit les contractions de sa matrice et les mouvements de l'enfant. A la vue et au palper, on perçoit à
mme le jour, laissant à peine quelques minutes de répit. Le moindre mouvement les provoque, si bien qu'après avoir pu pendant
4 heures que Mme X... semble sortir de son coma. Elle fait quelques mouvements , se défend, ouvre les yeux avec un regard vague,
r Schnyder ajoute : a La force musculaire est normale pour tous les mouvements des extrémités inférieures. Démarche un peu alo
alade perdit connaissance; ces crises n'ont pas été accompagnées de mouvements convulsifs. Pas de vomissements, mais une const
rent parti. Nous avons indiqué que deux d'entre eux exécutaient des mouvements compliqués. Or, rien n'est moins favorable à ce
ent des mouvements compliqués. Or, rien n'est moins favorable à ces mouvements que l'existence d'un simple moignon. Cela perme
qui se manifeste par des troubles trophiques, le ralentissement des mouvements intestinaux et de la circulation. La glande thy
glande elle- même ; en'oulre, il se présente un ralentissement des mouvements intes- tinaux, une sécrétion insuffisante de to
el est diminué, le sang devient plus riche en acide carbonique, les mouvements intestinaux se ralentissent, etc. Cela entraîne
bolisme intermédiaire, sont sécrétés en quantité insuffisante ; les mouvements intestinaux et la résorption sont aussi dimi- n
tabi- lité motrice des muscles de la face (tendance aux tics et aux mouvements coordonnés), mobilité facile des membres, des p
ielles cervicales (abcès froids probables), limitant légèrement les mouvements d'élé- vation de la tête. Marié deux fois, la p
arement. A la fin, en octobre, il ne dort plus du tout. Toujours en mouvement il parle sans discontinuer et de toutes sortes
manie avec fureur. Le malade est très agité : il est sans cesse en mouvement et n'arrête pas de parler. A un moment, pendant
vation ; il est couché dans le décubitus horizontal, ne fait pas un mouvement et ne dit 418 BENON ET LEINBERGER pas un mot.
'aperçois que mon état n'a réellement pas changé. Pour me mettre en mouvement , je dois faire un effort. La marche m'est parti
ts d'âge moyen, par W. van Woerkom, 43. Corps strié (Troubles des mouvements actifs dans deux cas de lésion bilatérale du
par BOLTEN, 360. jacksonienne portant sur le centre conjugué des mouvements de la tête el des yeux, par CRIRAY, 1. - Grou
ascendanles consécutives il une lésion de la -), par Long, 61. Mouvements actifs (Troubles des dans deux cas de lésion bi
cas d'épilepsie jackso- nienne portant sur le centre conjugué des mouvements de la tête et des yeux, 1. CLUZET et Lf : vr (L
es sujets d'âge moyen, 43. (de Rotterdam). Sur les troubles des mouvements actifs dans deux cas de lésion bilatérale du co
rkom), XII. Corps strié (Lésion bilatérale du -, trou- bles des mouvements actifs) (W. VAN Woerkom), XLVIII. Dégénéresce
EL et Rabaud), LVI à LXII. Moelle, compression (Révccr,IOn), LII. Mouvements actifs (Troubles des - dans deux cas de lésion
18 (1886) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 2. Leçons sur les maladies du système nerveux
es parties de la moelle. Ces fibres serviraient à la coordination des mouvements des membres, tout au moins, nous savons, d'une ma
ement dite, mais il se produit dans les mem-bres supérieurs, lors des mouvements intentionnels, une inco-ordination motrice s'exag
nt que dure l'applica-tion, d'exciter dans les membres supérieurs des mouvements réflexes. Je vous rappellerai aussi que, dans l
observe dans les membres su-périeurs ni paralysie, ni contracture, ni mouvements ataxiques. — Si, au contraire, les bandelettes ex
mpor-tante. On note, en second lieu, Y incoordination tabétique des mouvements volontaires. En quoi consiste ce symptôme ? Vous
nt, localement : les mus-cles s'atrophient dans les membres privés du mouvement : il se produit une tendance aux eschares sacrées
, d'un poinçon, d'un poignard, auquel on imprimerait en même temps un mouvement de torsion. Ces douleurs sont limitées à un point
ulgurantes ont commencé à paraître. Il n'y a pas d'incoordination des mouvements des membres tant inférieurs que supérieurs. La dé
e appré-ciable — car il n'y avait antérieurement aucune gêne dans les mouvements du membre — c'est la tuméfaction extrême de tout
'agit de la hanche et du genou. Naturel-lement cette demi-liberté des mouvements diminue si l'incoor-dination fait des progrès ou
u de jours après sur-venir successivement : une paralysie complète du mouvement dans le membre inférieur gauche ; une diminution
trition ; des escarres occupant la fesse droite (côté non paralysé du mouvement ), bien que le malade reposât parfaitement sur le
pendant la nuit et revêtent quelquefois un caractère pé-riodique. Les mouvements dans le lit, qu'ils soient d'ailleurs actifs ou p
ar, au lit, dans le temps où les douleurs ne sont pas trop vives, les mouvements des membres inférieurs s'exécutent, si le ma-lade
itives s'effectue longtemps d'une manière physiologique alors que les mouvements sont profondément altérés et il est même rare qu'
du côté gauche serait paralysé, plus ou moins complètement, quant au mouvement , ainsi que les les points correspondant aux par
ersalement et formant par en haut la limite des parties paralysées du mouvement et dont la sensibi-lité, ainsi qu'il a été dit, s
rmale. Adroite, c'est-à-dire du côté opposé à la lésion spinale, le mouvement serait parfaitement conservé dans le membre infé-
, il y aurait lieu de relever l'existence, dans les membres privés du mouvement , d'un amoindrissement et même de la suppression t
, ainsi que pendant l'acte de la mixturition et de la défécation, des mouvements involontaires plus ou moins énergiques survenaien
x mois après l'invasion de la paralysie. Jusqu'au der nier moment les mouvements volontaires persistèrent à ur certain degré dans
es ?) en même temps que s'exaspérait la douleur thora-cique ; puis le mouvement commença à s'affaiblir dans les membres inférieur
apoplectique ; il est enfin des cas, dans lesquels il s'y adjoint des mouvements épileptiformes, surtout marqués à la face, avec c
se plaignant d'une douleur vive au cou et d'une gêne marquée dans les mouvements de la tête. Cette gêne persista longtemps; cepen-
ital avaient subi l'ankylose osseuse, de manière à ne permettre aucun mouvement . La moelle allongée était très petite et d'une co
s de ce point, on observerait les phénomènes suivants : paralysie des mouvements à droite n'occupant guère que la jambe et le pied
rès, des parties correspondantes du côté gauche, avec conservation du mouvement volontaire. De plus, il y aurait — et c'est là ce
ée dans un ou deux muscles à peine et ait permis le prompt retour des mouvements *.M. Volkmann, deson côté, a observé des faits de
la longue, des attitudes vicieuses répondant à la direc-tion de leurs mouvements . C'est d'ailleurs vers le huitième ou dixième moi
es. Quatre jours plus tard, la fiè-vre avait cessé. La paralysie du mouvement persista pendant deux mois, sans modification app
ccuser. En premier lieu, ce fut dans les membres inférieurs que les mouvements se rétablirent progressivement ; puis, quinze jou
bres brusquement développée. Un mois après le début des accidents, le mouvement commença à reparaître dans le bras droit, d'abord
Ce fut alors seulement qu'on reconnut l'existence d'une para-lysie du mouvement à peu près complète, et marquée par une flaccidit
des contractions fibril-laires qui communiquent aux doigts de légers mouvements . Charcot. Œuvres complètes, t. n. '8 X... ne
tion. L'émaciation est plus prononcée aux cuisses qu'aux mollets. Les mouvements volontaires sont à peu près impossibles ; à gauch
nt à peu près impossibles ; à gauche, tout se borne à quelques légers mouvements du gros orteil; à droite, tous les orteils peuven
s divers modes d'exci-tation de la peau ne provoquent aucune trace de mouvements réflexes. Le malade n'accuse aucune sensation p
ont ja-mais été froids ou cyanoses. Il y a toujours persisté quelques mouvements partiels. Ainsi, R... a toujours pu étendre et fl
l ne peut fléchir les cuisses sur l'abdo-men ; il esquisse à peine ce mouvement . Couché sur le dos, il lui est tout à fait imposs
ujours resté excellent. Nous revoyons M. R... en octobre 1874 ; les mouvements des membres inférieurs ont repris leur puissance
des impressions sen-sitives et n'ont pas d'influence directe sur les mouvements de la vessie ou du rectum non plus que sur la nut
ion dorsale, peut déterminer dans les membres inférieurs paralysés du mouvement , l'atrophie aiguë des mus-cles, et en un mot tous
a dimi-nution de volume se lie un certain degré à'affaiblissement des mouvements exécutés par le muscle et l'on peut dire que ces
cali-sées, elles sont, d'autres fois, assez énergiques pour mettre en mouvement un doigt, la main elle-même. Ces secousses fibril
c-tions librillaires très accusées. Dans les derniers temps, tous les mouvements des membres sont devenus à peu près impossibles.
pas offrir à sa surface les circonvolutions et les rides, animées de mouvements pour ainsi dire vermiculaires, qu'on y observe
ude de la main. — Trémulation des membres supérieurs à l'occasion des mouvements intentionnels. — Modes de début. — Paraplégie cer
nouveau trait distinctif. Les membres, plus ou moins privés de leurs mouvements naturels, sont habituellement, dans la sclérose l
illeurs, les muscles atrophiés, ou en voie d'atrophie, sont agités de mouvements fibrillaires souvent très accusés, et, comme dans
es, contractures et atrophiés, ont néanmoins conservé encore quelques mouvements . Eh bien, dans l'exercice de ces mouvements, par
conservé encore quelques mouvements. Eh bien, dans l'exercice de ces mouvements , par exemple l'élévation du bras tout entier, on
élèvent le maxillaire inférieur étaient contractures au point que le mouvement d'écartement des mâchoires en était exces-sivemen
le reconnaître, par d'au-tres caractères importants. La gêne dans les mouvements des membres inférieurs fait de rapides progrès. L
'une manière normale. Ce n'est qu'à la lon-gue qu'on les voit pris de mouvements fibrillaires et s'atrophier dans leur ensemble à
tain degré d'atrophie: elle est rapetissée, comme ridée, et agitée de mouvements vermicu-laires ; 2° La paralysie du voile du pa
out d'abord le département qui est en relation physiologique avec les mouvements des membres supérieurs. Plus tard, elle gagne le
t condamné à séjourner au lit, et il était privé de la plupart de ses mouvements . En même temps que progressait la paralysie des m
art de ses mouvements. En même temps que progressait la paralysie des mouvements , des douleurs plus ou moins vives, et des fourmil
iège de contractions fibrillaires très accusées. En dernier lieu, les mouvements de la parole et ceux de la déglutition devinrent
ment, du moins dans la grande ma-jorité des cas, l'incoordination des mouvements , le tabès spasmodique, au contraire, reste limité
exibles à l'excès, parfois même comme disloqués, ce luxe intempéré de mouvements qui prêtent à la démarche de l'ataxique son cache
ine du sol auquel ils semblent fixés for-tement, produisant dans leur mouvement de progression un bruit de frottement, s'accrocha
taire agite avant qu'il soit appuyé de nouveau sur le sol. Dans ces mouvements de pro-» gression, tantôt la pointe du pied est a
taxique, réduit à cet état, c'est encore le pouvoir de coordonner les mouvements qui est surtout en défaut. Ceux-ci sont énergique
l'extension forcée et dans l'adduction, rendant ainsi impossible tout mouvement volon-taire. D'un autre côté, la trépidation spon
auxquels il lui est impossible d'imprimer volontai-rement le moindre mouvement , ne sont pas flasques et iner-tes, comme cela a l
ois de part 1 Cette leçon, faite en juin 1870, a paru dans l'ancien Mouvement Médical, en 1872. et d'autre ; mais il faut l'a
ique du côté gauche, par exemple, tant que l'irritation persiste, les mouvements réflexes sont abolis dans le membre inférieur du
es doigts, il se produit dans les membres inférieurs une paralysie du mouvement , laquelle persiste tant que dure la pression et m
de Meniere. — Description du cas. — Vertige habituel exagéré par les mouvements . — Caractères de ce vertige : exacer-bations paro
ements. — Caractères de ce vertige : exacer-bations paroxystiques ; — mouvements subjectifs de translation. — Lésions anciennes de
d'un soubresaut. Si on l'inter-roge alors sur la cause de ce brusque mouvement , elle répond invariablement qu'elle vient d'éprou
paraissaient être caractérisés surtout par la sensation d'un brusque mouvement de translation, non pas des objets envi- ronnan
on, non pas des objets envi- ronnants, mais bien du sujet lui-même, mouvement tout sub-jectif et dont le tressaillement est le
dix ou douze observations qui me sont personnelles, la sensation d'un mouvement de translation du corps tout entier, d'avant en a
ces modes de rotation. Il s'agit là, en général, remarquez-le bien de mouvements tout à fait subjectifs, de véritables hallucina-t
na-tions qui ne se traduisent à l'extérieur que par un soubresaut, un mouvement de surprise, parfois la nécessité où se trouve le
et rendue par là à peu près incapable d'exécuter spontané-ment des mouvements un peu étendus. Les moindres mouve-ments communiq
au type classique : sensation, succédant au sifflement, d'un brusque mouvement de translation, par suite duquel la malade se c
générale et spéciale. — Troubles moteurs : leur ressemblance avec les mouvements choréiques. — Trépidation des hémi-plégiques. — I
mal. Mais, alors qu'elle récu-pérait peu à peu et progressivement les mouvements dans le membre inférieur droit, ceux du membre su
s allons maintenant les examiner suc-cessivement au repos et dans les mouvements . Dans les mouvements intentionnels du membre su
examiner suc-cessivement au repos et dans les mouvements. Dans les mouvements intentionnels du membre supérieur, il se manifest
tre, dans l'acte de porter un verre à la bouche, le bras est saisi de mouvements rythmiques très étendus et tels que, si on ne sur
logues se montrer du côté du membre inférieur droit. Ce désordre du mouvement se rapproche non seulement du tremblement de la s
egré, pourvu, toutefois, que, la contracture étant peu accentuée, les mouvements vo-lontaires soient à un certain degré, encore po
vements vo-lontaires soient à un certain degré, encore possibles. Ces mouvements choréiformes post-hémiplégiques s'éloignent, d'au
e de la chorée : c'est l'existence, alors que le malade ne veut aucun mouvement , d'une instabilité des membres affectés. Ces me
u'il importe tout à fait de mettre en évidence, — sont animés par des mouvements involontaires, analogues à ceux qui, dans les mêm
dans les mêmes circonstances, se voient dans la chorée ordinaire. Ces mouvements , comme vous le pourrez constater, sont très évi-d
s absolument comparables au précédent mais plus accentués encore, ces mouvements invo-lontaires, très étendus, constituent une agi
de rapporter les accidents que j'ai relevés chez noire malade. Les mouvements choréiformes dont je me suis attaché à vous faire
ans quoi elle serait, à l'exemple du membre inférieur, constamment en mouvement . L'hémichorée post-hémiplégique ne se présente
as droit. On s'aperçut dès ce moment que la main de ce côté, dans les mouvements volontaires, était agitée d'une sorte de tremblem
ments volontaires, était agitée d'une sorte de tremblement ; mais les mouvements choréiformes survenant en dehors de tout acte vol
ni contractures ni anes-thésiés. Ils se montrent sans cesse agités de mouvements cho-réiformes, auxquels la face ne paraît point p
progressivement et disparaît complètement sans qu'à aucune époque les mouvements choréiformes se 1 L'hémianesthésie permanente s
principalement lorsqu'il y a un certain degré de contracture, que les mouvements intentionnels soient trou-blés par une sorte de t
ions les plus diverses sans qu'il s'en soit suivi la moindre trace de mouvements choréiques. De telle sorte que, suivant toute ap-
at pathologique pour ainsi dire inverse, c'est-à-dire dans lequel des mouvements choréiformes, développés brusquement dans les mem
est pour ainsi dire permanent ; il s'exagère manifestement dans les mouvements intentionnels, mais il subsiste en dehors de tout
re inférieur du côté droit. Seul le membre supérieur droit, siège des mouvements ohoréiformes, offre encore sur toute son étendue
stait, non sans émotion, à l'envahissement progressif et régulier des mouvements convulsifs qui, commençant tou-jours par le membr
impro-viste, sans signes précurseurs immédiats, en même temps que les mouvements convulsifs éclatent du même coup sur tous les poi
ment et le bras correspondant se roidir, après quoi, par suite d'un mouvement de torsion du cou, sa face s'était portée vers l'
attiré vers la gauche, le malade a subi pendant l'accès un véritable mouvement de rotation, s'opérant de droite à gauche, suivan
ment durait depuib plusieurs mois, lorsqu'une nuit, à la suite d'un mouvement dans le lit, un craquement se produisit dans la h
e produire de temps en temps, elle pouvait, au lit, leur imprimer des mouvements éner-giques ; mais ces mouvements étaient devenus
pouvait, au lit, leur imprimer des mouvements éner-giques ; mais ces mouvements étaient devenus désordonnés, mal coordonnés, rapp
s qui, de temps en temps, occupent encore les membres inférieurs. Les mouvements dans les membres supérieurs n'ont été affectés qu
ésenter une déformation analogue à celle qu'offre la main gauche. Les mouvements des divers segments du membre sont faciles encore
sser de menus objets, etc. Enfin, le 11 octobre 1873, à la suite d'un mouvement insignifiant, une luxation de l'épaule gauche s'e
u, dans le sens longitudinal du membre, bourrelets s'effaçant par les mouvements . La forme de la cuisse est celle d'un cône tron
eur de 23 centimètres. L'articulation de la hanche jouit de ses six mouvements , la flexion, l'extension, l'adduction, l'abductio
ension, l'adduction, l'abduction, la rotation et la circumduction. Le mouvement d'extension est limité. Le mouve-ment d'abduction
eur partie latérale externe où elles reposent sur le plan du lit. Ces mouvements sont ceux exécutés par la malade elle-même. On pe
produire aussi complète-ment qu'ils sont décrits ci-dessus. Dans les mouvements provoqués •on entend parfois, surtout quand le me
nt l'épine iliaque antérieure et supérieure à l'ischion. Les divers mouvements de l'articulation coxo-fémorale droite peuvent êt
la malade elle-même. On peut aussi les provoquer; mais tandis que les mouvements d'adduction et de flexion sont exagérés, par cont
es mouvements d'adduction et de flexion sont exagérés, par contre les mouvements d'abduction et de rotation en dehors sont limités
rs sont limités et même notablement diminués. C'est en produisant ces mouvements que l'on éprouve la sensation de craquements dans
érieure du creux de l'aisselle présente plusieurs plis verticaux. Les mouvements divers de l'articulation scapulo-hu-mérale sont p
'ataxie dont est atteinte la malade. On peut éga-lement provoquer ces mouvements ; le mouvement d'élévation du bras est le plus
atteinte la malade. On peut éga-lement provoquer ces mouvements ; le mouvement d'élévation du bras est le plus limité ; les mo
vements ; le mouvement d'élévation du bras est le plus limité ; les mouvements d'adduction sont dimi-nués, la malade ne pouvant
sous-coracoïdienne complète; la crépitation est très accusée dans les mouvements . Le reste de l'humérus est sain. L'avant-bras g
ant-bras. La cal, tel qu'il vient d'être décrit, gêne notablement les mouvements de flexion et d'extension des doigts. Les doigts
ui du côté opposé ; il ne présente point de luxation de l'épaule. Les mouvements de l'articulation scapulo-humérale se font tous e
sidérée comme sensiblement la même que celle de son os congénère. Les mouvements des doigts, c'est-à-dire ceux produits par l'acti
es détails relatifs surtout à divers troubles de la sensibilité et du mouvement et à l'état gé-néral. Appareil de la digestion.
sentent les déformations qui se lient en général à cette affection. Mouvements , sensibililité. — On constate que les mouvements
à cette affection. Mouvements, sensibililité. — On constate que les mouvements des membres inférieurs, tout limités qu'ils soien
mplètement la notion des positions im- primées à ses membres. — Les mouvements provoqués, comme les mouvements spontanés, se fon
ns im- primées à ses membres. — Les mouvements provoqués, comme les mouvements spontanés, se font d'ailleurs absolument sans dou
que les yeux soient ouverts ou fer-més lors de l'accomplissement des mouvements . C'est surtout depuis un mois que l'incoordinatio
des mouvements. C'est surtout depuis un mois que l'incoordination des mouvements s'est accusée. Les divers modes de la sensibilité
nt la différence qu'il y a entre deux corps inégalement froids. — Les mouvements du membre supérieur droit sont moins profondément
nnaît que la jointure en question jouit d'une mo-bilité exagérée. Les mouvements spontanés ou provoqués n'y pro-duisent d'ailleurs
roduites à une époque où ces membres jouissaient encore de tous leurs mouvements physiologiques, la maladie spinale n'étant représ
possédait encore, lui aussi, lorsque le col du fémur s'est brisé, des mouvements étendus et énergiques, modifiés seulement, depuis
. Les mem-bres du côté gauche ne présentent aucune anomalie, quant au mouvement et à la sensibilité, dans l'intervalle des accès
e, turgescente et un peu violacée ; il y a de temps en temps quelques mouvements convulsifs dans la face et dans les membres ; pas
à l'aide de la sonde renfermaient du sang. —7e jour, dis-parition des mouvements réflexes aux membres inférieurs ; formation d'une
stoïdien du côté droit. Cinq jours après, une paralysie incomplète du mouvement , avec obnubilation de la sensibilité du membre su
e, et ils étaient assez vio-lents pour faire exécuter à la malade des mouvements singuliers (révérences, saluts, etc). On les calm
i que les muscles des fosses sus et sous-épineuses. On ne constate de mouvements lîbrillaires ni aux avant-bras, ni aux bras, mais
aient pas atteints en réalité d'une para- lysie véritable. Certains mouvements partiels étaient possibles, en particulier le mou
le. Certains mouvements partiels étaient possibles, en particulier le mouvement d'élévation du moignon de l'épaule. Grâce à ces m
ticulier le mouvement d'élévation du moignon de l'épaule. Grâce à ces mouvements , la malade pouvait encore dans une cer-taine mesu
te ; la langue a conservé son volume normal et la liberté de tous ses mouvements . Les troubles du côté de la parole doivent donc ê
uil ; comme elle demeurait là depuis assez longtemps sans faire aucun mouvement , ses voisines appelèrent ; on s'approcha de la ma
randes articulations, la possibilité pendant longtemps d'exécuter des mouvements vo-lontaires partiels permettant d'atteindre un b
couverte de circonvolu-tions sur la face dorsale qui est le siège de mouvements fîbrillai-res et vermiculaires à peu près incessa
ccumulent pas non plus entre les joues etles arcades dentaires. Les mouvements de la poitrine semblent normaux. L'auscul-tation
s de ses genoux où elles reposent habituellement presque inertes ; ce mouvement d élévation, qui paraît exiger de grands efforts,
gne d'un tremblement, surtout latéral, des mains, fort singulier. Les mouvements de flexion et d'extension des doigts sont très bo
ui est tout à fait impossible de porter ses aliments à sa bouche. Les mouvements de l'épaule, ceux de l'a-vant-bras, ceux du bras,
re-croisent, et, en même temps, ses pieds se portent en dedans par un mouvement involontaire d'adduction forcée. Les membres in
n-férieurs, et la malade peut fléchir un peu, étendre les jambes. Ces mouvements , d'ailleurs très limités, ne s'accompagnent pas d
ence des attouchements. Elles sont assez énergiques pour produire des mouvements très prononcés d'extension des doigts et de la ma
igt un choc léger sur la face dcvrsale de l'avant-bras, il se fait un mouvement d'extension bientôt suivi d'un mouvement de flexi
l'avant-bras, il se fait un mouvement d'extension bientôt suivi d'un mouvement de flexion correspondant, et cela se répète ensui
t, en frappant un petit coup sur le mus-cle supinateur, déterminer un mouvement de supination par suite duquel la main se renvers
sont le plus fréquents et le plus accusés. Il n'existe pas trace de mouvements fibrillaires sur les différents muscles des membr
e qui se produit alors ne s'efface qu'avec une lenteur extrême. Les mouvements de l'orbiculaire des lèvres sont notablement gêné
même lorsqu'elle est placée à une certaine distance de sa bouche. —Le mouvement de diduction des mâchoires paraît impossible. — L
res d'une atro-phie déjà très prononcée. Petite, ratatinée, agitée de mouvements fibrillaires, creusée de sillons et recouverte ha
tée en avant et dépasser les lèvres de quelques millimètres. Quant au mouvement d'éléva-tion de la pointe vers la voûte palatine,
e partie s'écoule entre les lèvres ; puis, il se produit une série de mouvements de déglutition, avec ascension considérable du la
onstater qu'il est symétrique, et a conservé l'entière liberté de ses mouvements normaux. Jusque dans ces derniers jours, on pou
us spécialement atteint que les autres. Ils peuvent exécuter quelques mouvements dans le plan du lit. Les masses musculai-res, cel
caractères normaux, et, dans bien des muscles, elle revêt la forme de mouvements fibril-laires. La sensibilité semble conservée
ords avec grand soin, on croit aper-cevoir de temps à autre de légers mouvements fibrillaires. B... peut assez facilement encore l
inte, ni en appliquer la face dorsale contre la voûte palatine. Les mouvements de l'orbiculaire des lèvres sont très notable-men
ain droite sur l'un des côtés du larynx, elle semble vouloir aider au mouvement d'élévation de cet organe qui bientôt va s'accomp
us, le deltoïde est, d'une manière à peu près permanente, le siège de mouvements fibril-laires très accentués, qui se produisent s
çà et là, le siège de quelques contractions fîbrillaires. Enfin, les mouvements de préhension se font aussi bien à l'aide de la m
rties ; nulle part il n'y existe d'atrophie partielle. Ce-pendant des mouvements fîbrillaires, peu accentués il est vrai, se produ
érence sous ce rapport entre le côté droit et le côté gauche. — Leurs mouvements sont normaux, seulement notablement affaiblis. B.
emploi de la sonde œsophagienne. On constate une fois de plus que les mouvements du voile du palais s'effectuent assez bien sous l
ée hors de la bouche, portée légèrement de droite à gauche ; mais ses mouvements sont évidemment plus lents et plus faibles que pa
euls, ses bords sont en certains points plissés, ridés et offrent des mouvements vermiculaires presque incessants. 26. — On obse
d nombre, des faisceaux primitifs dégéné-rés ou atrophiés, et que ses mouvements fussent d'ailleurs remarquablement entravés. En s
ementinaper-çue, si l'attention n'eût été éveillée par l'existence de mouvements fibrillairesintenses répandus sur presque tous le
ne relèverons qu'un point : on sait que chez notre malade les divers mouvements de la langue, ceux surtout qui sont relatifs à l'
it condamné à séjourner au lit et il était privé de la plupart de ses mouvements . En même temps que progres-sait la paralysie des
rt de ses mouvements. En même temps que progres-sait la paralysie des mouvements , des douleurs plus ou moins vives et des fourmill
articulier, autonome, M. Charcot estime qu'il s'agit là simplement de mouvements choréiformes et qu'ils doi-vent être rattachés no
doigts et les orteils dans la position qu'on leur imprime et par leur mouvement continuel. » Cette définition est imparfaite po
mparfaite pour les motifs suivants : 1° Il faudrait y ajouter que les mouvements des doigts se font lentement et que ceux-ci ont u
du cou sont, en même temps que ceux de la main et du pied, agités de mouvements choréiformes. * Décembre 1876. 2 aOrroç, with
nt, hémiplégie gauche, sans anesthésie ni contrac-ture, mais avec des mouvements choréiformes limités au côté gauche du corps et a
nt la face, le cou, la main et le pied. Les doigts sont sans cesse en mouvement ; ils s'étendent et se fléchissent successivement
'écartent ou se rapprochent, en même temps que le poignet exécute des mouvements variés d'extension, de pronation, d'adduction et
e ; les orteils s'élèvent, se fléchissent ou le talon s'exhausse. Ces mouvements se produisent toutes les 3 ou 4 minutes. Notons
es 3 ou 4 minutes. Notons qu'il y a une sorte de synergie entre les mouvements de la main et ceux du pied : quand on dit à la ma
algésie intéressant à la fois la face, le tronc et les membres et des mouvements choréiformes occupant 1 Voir pour plus de détai
mais simultanément et malgré elle, les doigts s'étendent. Les grands mouvements du bras ne sont pas saccadés. Tendance du pied
malade de fermer ou d'ouvrir la main le Died sur-le-champ est pris de mouvements : le talon s'élève, les orteils remuent. — Quand
que la main et le pied gauches sont à peu près constamment agités de mouvements saccadés, synergiques ; afin de les atténuer, ell
os deux malades, il n'y a qu'une différence portant sur l'étendue des mouvements anormaux : limités à la main et au pied du côté p
nce ne porte également que sur l'éten-due et aussi sur le rhythme des mouvements involontaires. Les quelques détails que nous allo
plète. Dès que P... a commencé à se servir de son bras, on a noté les mouvements choréiformes. Trois mois après, appari-tion des a
veulent constamment s'ouvrir et qu'il s'ajoute à ces mou-vements, des mouvements de pronation et de supination. — La main est-elle
pronation et de supination. — La main est-elle ouverte ? on note des mouvements d'extension des doigts. Pour obtenir un peu de re
quer fortement sa main sur un plan résistant. Si l'on considère les mouvements intentionnels, on voit qu'ils sont désordonnés, s
le se soufflette. Lui fait-on prendre un objet léger? elle exécute un mouvement disproportionné de la main et, à chaque instant,
ain et, à chaque instant, menace de laisser tomber l'objet. Entre ces mouvements et ceux de la chorée vulgaire, la seule dissem-bl
lgaire, la seule dissem-blance consiste en ce que, dans celle-ci, les mouvements sont plus arrondis, plus festonnés. Si, avec M.
qu'ils sont plus brusques et plus saccadées, ils intéressent tous les mouvements des membres du côté gauche. Des considérations
primé) chez un adulte qui après avoir été paralysé avait recouvré les mouvements . —a, a, Substance blanche du côté gauche, atrophi
ude de la main. — Trémulation des membres supérieurs à l'occasion des mouvements intentionnels. — Modes de début. — Paraplégie cer
de Ménière. — Description du cas. — Vertige habituel exagéré par les mouvements . — Caractères de ce vertige : exacer-bations paro
ements. — Caractères de ce vertige : exacer-bations paroxystiques ; — mouvements subjectifs de translation. — Lésions anciennes de
énérale et spéciale. — Troubles moteurs : leur res-semblance avec les mouvements choréiques. — Trépidation des hémiplégi-ques. — I
-plégique. — Caractères des troubles musculaires au repos et dans les mouvements . Lésions organiques. — Foyer d'hémorrhagie et d
19 (1918) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 28] : iconographie médicale et artistique
lombaires ; cependant toute la colonne verté- brale participe à ce mouvement du tronc, si bien que vu de profil, le dos prés
emble, l'attitude de ces malades est très caractéristique. Certains mouvements volontaires' du tronc sont exécutés aisément, les
penchent facilement de côté. Cependant pour obtenir l'exécution du mouvement demandé, il faut parfois employer une certaine
insistance. Ces malades déclarent en effet ne pas pouvoir faire le mouvement ordonné en se plaignant de douleur et de faible
lombaire ; mais on arrive tout de même, en insistant, à obtenir le mouvement voulu. Le redressement dans la station debout o
tre : il leur suffit de se soulever sur les coudes. } Dans tous ces mouvements , on est frappé de constater une souplesse parfa
faite de la colonne vertébrale avec mobilité normale du rachis. Les mouvements ne paraissent pas être très douloureux, ils ne pr
C'était une douleur violente, continuelle, exagérée par le moindre mouvement . Elle siégait au niveau de la région dorso-lomb
position en chien de fusil, ou la tête entre les jambes. Le moindre mouvement ou changement de position provoquait des douleu
sujet.- SUR LE ROLE DE LA DYSTONIE DANS LA DÉSORGANISATION DES MOUVEMENTS VOLONTAIRES, PAR W. van WOERKOM (de Rotterd
ES, PAR W. van WOERKOM (de Rotterdam). Alors qu'en matière de mouvements réflexes le clinicien trouve un sou- tien solid
n sur l'animal, nous manquons de cette aide en abordant l'étude des mouvements volontaires. Il est bien vrai que des troubles
mençons en relatant certains faits physiologiques caractérisant les mouvements de l'homme normal. En premier lieu nous nous occu
ments de l'homme normal. En premier lieu nous nous occupe- rons des mouvements les plus simples, des mouvements vifs, monoarticu
er lieu nous nous occupe- rons des mouvements les plus simples, des mouvements vifs, monoarticu- laires, provoqués par une seu
oarticu- laires, provoqués par une seule impulsion psychique. Ces mouvements sont toujours terminés par une secousse de direct
ré qu'il existe un lien étroit entre la vitesse et l'amplitude d'un mouvement , en ce sens que l'amplitude s'accroît en porpor
connaissances sur- le rôle du processus psychique dans la genèse du mouvement volon- taire simple*. Il me semble que le 'résu
l'individu concentre toute son attention sur l'acte musculaire, le mouvement est accompli vivement,1 le» temps de réaction est
de réaction s'accroît, l'amplitude diminue ? i n t " Woodworth (Le mouvement , Paris, 1903) fut le premier qui étudia les act
) fut le premier qui étudia les actes musculaires où l'amplitude du mouvement se trouvait limitée par un but. Il distingue de
sion psychique est exécutée vivement ; mais elle n'a pas le type du mouvement illimité, parce que dès le début l'intention se f
description des troubles que nous avons constatés en étudiant, les mouvements simples dansées cas avec- lésion de certaines p
parties du névraxe. Pendant leur vie, cesnmla- des présentaient des mouvements involontairesldont le type étaitsoitcho. réifor
t des positions diverses. 'Des stéréotypies ayant le 'caractère des mouvements pseudo- volontaires (des mouvements de préhensi
otypies ayant le 'caractère des mouvements pseudo- volontaires (des mouvements de préhension) sont constatées. Après quel- que
estant par les positions spasmodiques involontaires et passagères ; mouvements athétosiques ; trouble très grave de l'action v
s striés. La méthode d'après laquelle j'ai examiné les troubles des mouvements actifs, dans ces cas, fut inspirée par celle em
e sain c'est le processus psychique qui déter- mine le caractère du mouvement volontaire simple, et que, dans les psy- choses
ule d'innerva- tion musculaire, de sorte qu'à la fin une ébauche du mouvement demandé était obtenue. Le schéma de mes reche
ure faciale unilatérale (4), des élévateurs d'une seule épaule, les mouvements isolés de l'index et du pouce ; aux membres inf
vements isolés de l'index et du pouce ; aux membres inférieurs, les mouvements dans l'arti- culation de la banche(élever le me
n musculaire même. Par exemple, après avoir constaté le trouble des mouvements isolés du pouce, j'ai examiné la fonc- tion de
isolés du pouce, j'ai examiné la fonc- tion de ces muscles dans le mouvement de préhension, quand le malade empoigne un obje
n'y a pas de troubles psychiques empêchant l'exécution des simples mouvements actifs. Les troubles de la sensibilité ne sont
ce de paralysies véritables. Qu'un de nos malades exécute un simple mouvement mono-articulaire, par exemple qu'il étende vive
exemple qu'il étende vivement le bras dans le coude, qu'il fasse un mouvement d'opposition du pouce. La faute de l'innervatio
ntraction n'a pas de signification pour l'acte projeté, causant des mouvements dans un autre segment du membre, ou intéressant
rs des gros orteils avec abduction 'des autres orteils. Parfois les mouvements passifs, exécutés à ces moments, se heurtent à
ut effort n'est pas un fait invariable chez le même malade. Le même mouvement , qui -est impos- sible à'cèrtain moment, est ac
étaient toujours les fléchisseurs qui s'opposaient à l'exécution du mouvement ; plus le malade s'efforçait, plus la position
, plus la position vicieuse s'accusait, de sorte que l'amplitude du mouvement en extension diminuait progressivement. ' <
eut plus quitter. Dansundemes cas le malade, en voulant exécuter un mouvement isolé de flexion et d'op- position du pouce, co
de mettre l'avant-bras en pronation (supination),' il exécuté des' mouvements dans le'coude, dans ie poignet ; c'est comme pa
remue la mâchoire, ouvre la bouche, c'est à péihë'si une ébauche du mouvement voulu est obtenue. Parfois l'effort prolongé n'a
é. Mais ici non' plus lé trouble n'est un'fait' invariable; le'même mouvement , impossible à'certain moment, est exécuté' un aut
cas où le malade n'est pas même capable de commencer sans délai un mouvement ordonné, il' y z èi1'core"le{ trbubles'"que le
ur d'un, acte' volontaire. Admettons qu'il réussisse à commencer lé mouvement projeté dans la bonne direction.' L'homme sain,
ement projeté dans la bonne direction.' L'homme sain, au début d'un mouvement actif simple, règlëïrièonsciêllllnent la foncti
ades : en général nous pouvons distinguer deux possibilités : 10 le mouvement est très' vif et démesuré, le phénomène de la sec
ousse en direction inverse est souvent absent bu indistinct ; 2° lé mouvement est lent, de faible amplitude, très irrégulier,
e amplitude, très irrégulier, et par'le fait même de la lenteur des mouvements il va perturbation de 'mécanisme de la secousse e
on de 'mécanisme de la secousse en direction inverse. 'Dans un même mouvement les deux possibilités peu- vent se produire ; d
mule d'innervation s'est tellement 'empreinte et'comme fixée que le mouvement est répété, même dans le'cas d'uri'èrdre contra
'uri'èrdre contraire. ' ' ->-» Dans lés âctes ou l'amplitude' du mouvement est limitée par un but, - -' >- . '' '> s
par les éléments caractérisant les actes les plus simples. Quand le mouvement est trop vif et démesuré, le malade est souvent
ition complète du schéma de Woodworth. Considérons maintenant les mouvements vifs se succédant en direction inverse. Chez l'
nts vifs se succédant en direction inverse. Chez l'homme normal ces mouvements sont liés l'un à l'autre par le mécanisme de la
cousse en direction inverse, qui est la fin phy- siologique de tout mouvement vif. Par elle le mouvement contraire est initié
, qui est la fin phy- siologique de tout mouvement vif. Par elle le mouvement contraire est initié automatiquement. Chez nos
es ce mécanisme est troublé, ce qui oblige les malades à initier le mouvement inverse, comme si c'était un acte séparé. Cepen
ades (par exemple des parkinsoniens) qui sont capables de faire ces mouvements plusieurs fois malgré la perturbation de ce méc
les en initiant un simple mouve- ment actif. En faisant répéter ces mouvements , nous remarquons que la faute d'innervation s'a
nir l'effet dynamique désiré, souvent il se met à exécuter d'autres mouvements , par exemple dans ses efTorts vains vers l'oppo
mbiné de préhension est exécuté sans difficulté. Les troubles des mouvements actifs simples caractérisant l'état de nos mala
ont, on le conçoit facilement, un aspect fort divers. Comparons les mouvements actifs d'un cas de chorée (athétose) avec flaccid
ral, dans le premier cas, les actes volontaires ont le caractère du mouvement dysmétrique ; dans le dernier cas, les mouve- m
on frénatrice des muscles antago- nistes ; il en est ainsi dans les mouvements d'extension forcée dans les coudes, dans les mo
si dans les mouvements d'extension forcée dans les coudes, dans les mouvements de flexion et d'extension des orteils. Chez le
de flexion et d'extension des orteils. Chez le même malade certains mouvements ont le caractère dysmétrique, d'autres ont le c
ution for a minute or more » : Dans, le dernier cas, l'amplitude du, mouvement est excessive : « it is often of very ample exc
capable de régler par la seule impulsion delà volonté, précédant le mouvement simple, l'étal de tonicité.des agonistes et des
té.des agonistes et des antagonistes dès le début jusqu'à la fin du mouvement . Automatique- ment,. la fonction frénatrice des
fonction frénatrice des antagonistes es.t augmentée vers la fin du mouvement , provoquant ainsi le phénomène de la. secousse en
on des synergistes, ^communiquant la stabilité au membre pendant le mouvement . Pendant l'effort, les autres groupes musculaires
la signification de l'élé- ment tonique dans la désorganisation des mouvements actifs. Alors que dans les expériences de Sherr
ion de l'élément tOllÎ1Jue et de l'élément dynamique, troublant les mouvements au plus haut degré..Dans, certains cas, ce manq
des autres orteils. ? , ...... 1 Dans le développement ultérieur du mouvement simple, l'incoordina- tion se manifeste par la
nique sa fonc- tion frénatrice et régulatrice dans l'exécution d'un mouvement isolé tout en maintenant les autres muscles du
se de l'interruption des fibres centripètes de l'arc réflexe et les mouvements ont le caractère dysmétrique ; mais malgré ces
enues par l'excitation de la plante du pied. Quant aux troubles des mouvements volontaires, les malades avec lésion des voies
caractérisant tantôt par les secousses choréiformes, tantôt par les mouvements athétosiques, tantôt par les spasmes et la raideu
stérieures ou des voies pyramidales, Dans l'examen des troubles des mouvements actifs, j'ai étudié, en m'ins- truisant des don
parésie véritable des muscles. Dans le développement ultérieur des mouvements actifs, la perturba- tion des fonctions frénatr
onctions frénatrices attribue aux actes volontaires le type soit du mouvement vif et démesuré, soit du mouvement lent et irrégu
ctes volontaires le type soit du mouvement vif et démesuré, soit du mouvement lent et irrégulier. Nous avons insisté sur les
uvement lent et irrégulier. Nous avons insisté sur les troubles des mouvements périodiques en étudiant la perturbation du méca
accusée. La dystonie, se manifestant dans la désorganisation des mouvements DE LA DYSTONIE DANS LA DÉSORGANISATION DES MOUV
fait com- prendre qu'elle ne peut pas parler. La langue a tous ses mouvements libres. Dix minutes après elle commence à parle
mêmes précautions devront être prises pour vérifier l'abolition des mouvements de latéralité du poignet exécutés à l'état normal
à l'horizontale. En effet, Duchenne (de-Boulogne) a établi que les mouvements de latéralité dimi- nuent d'intensité à mesure
les doigts. ' Si les extenseurs des doigts sont paralysés, aucun mouvement de ce genre ne se produira au niveau des premiè
e dernier seul produit la supination. Dans la paralysie radiale, le mouvement de supination est aboli. Le court supinateur es
e sous-épineux notamment ; mais ces muscles ne font qu'esquisser le mouvement de su- pination. Le muscle long supinateur qu
ant quelques minutes après la blessure, les doigts ont présenté des mouvements de flexion spasmodique, puis ils ont pris défini-
(1) Henry MEIGE, Mme Alh. Benisty et Mlle LÉvy, Impotence de tous les mouvements de la main et des doigts, avec intégrité des ré
pouce qui reste toujours en griffe est impossible; tous les autres mouvements du pouce sont aisés. La flexion de toutes les p
t- bras et limite sa supination. 4. Motililé volontaire. Tous les mouvements du pouce sont possibles. Nouvelle Iconographie
phalanges avec douleur au niveau du dos de ces phalanges. Les mêmes mouvements provoqués dans l'index sont considérablement plus
encement de rétraction des ten- dons extenseurs.. La limitation des mouvements du poignet semble due à des adhérences de la ci
r l'autre. 4. Motilité volontaire actuelle. Spontanément tous les mouvements de l'avant-bras sont possibles, sauf l'extensio
o- sition. 4. Motilité volontaire actuelle. Spontanément tous les mouvements des doigts sont possibles. Seul le pouce est Ù
n et la protrusion de l'éminence thénar est assez considérable. Les mouvements des phalanges sont faciles à déterminer, sauf l'e
a- tion. 4. Motilité volontaire actuelle. - Spontanément tous les mouvements du pouce et de l'index sont normaux. Le blessé
u'au contact des trois pulpes digitales avec la paume, mais dans ce mouvement , les deuxième et troisième phalanges restent im
est très faihle. Les autres phalanges restent immobiles. Pendant ce mouvement d'extension vo- lontaire, on voit apparaître à
lité volontaire actuelle. - Spontanément le malade exécute tous les mouvements , sauf ceux de flexion des deux dernières phalange
ilité provoquée. - On peut faire exécuter à tout le membre tous les mouvements . Toutefois l'abduction du bras ne saurait dépasse
gérer la flexion. 5. Motilité provoquée. On peut obtenir tous les mouvements ; toutefois la flexion forcée des doigts déterm
à écrire. 4. Motilité volontaire actuelle. - Spontanément, tous les mouvements du pouce sont normaux, quoique l'adduction soit
me doigt est appréciable, celle du troisième est imperceptible. Les mouvements d'abduction et d'adduction, très 'nets pour les d
le. Spontanément la pronation et la supi- nation sont normales, les mouvements du poignet sont possibles dans une faible mesur
elle a actuellement et qui calmait la douleur causée par le moindre mouvement . Le malade fut traité par la mécano thérapie, l
itale des autres doigts, à cause de leur flexion incom- plète ; les mouvements d'abduction de ces quatre derniers doigts sont ex
t dans les premiè- res phalanges et moins dans les deux autres. Ces mouvements sont surtout accusés dans les deux derniers doi
t, son ad- duction, la flexion des doigts et leur extension par des mouvements incom- plets et tremblants. L'abduction et l'ad
Motilité provoquée. - On obtient sans peine l'exécution de tous les mouvements . 6. Sensibilité. Pas de troubles de la sensibil
dent à peine fléchis. - 4. Motilité volontaire actuelle. - Tous les mouvements du bras, de l'avant- bras et du poignet sont po
stacle, et on constate la contraction des muscles fléchisseurs. Les mouvements d'abduction et d'adduc- tion des doigts, l'oppo
pas tout à fait complète. 5. Motilité provoquée actuelle. Tous les mouvements sont possibles. 6. Sensibilité. Hypoesthésie en
d'extension s'accompagnent tou- jours d'une abduction légère. Les mouvements de flexion des quatre derniers doigts sont comple
ossibles. 5. Motilité provoquée actuelle. On peut réaliser tous les mouvements . Le plus difficile à obtenir est celui de porte
'avant-bras un angle rentrant. Le petit doigt accuse et continue ce mouvement , étant en abduction par ràp- 112 LAIGNEL-LAVAST
mplè- tement la contracture. - 5. Motilité volontaire. - Tous les mouvements sont possibles sauf : 1° ceux du pouce et du pr
ion de la main et d'adduction du petit doigt vers le 4°. Les autres mouvements spontanés sont possibles, mais limités à cause de
repos, tout contact, toute pres- sion, surtout tonte, tentative de mouvements passifs paraissent être très dou- lourez. ' A
très marquée et le système pileux est plus développé à droite. Les mouvements actifs sont presque nuls, à l'exception de la fle
la main qui ne sont qu'ébauchées (PI. XXVIII, 0). Passivement, les mouvements paraissent douloureux, mais on arriye à flé- ch
XVIII, D). Les doigts sont immobiles, à l'exception d'un très léger mouvement latéral des 4* et 5° doigts. La contracture s'o
n- sion, mais même dans cette position il peut à peine ébaucher des mouvements de flexion des doigts. L'écartement et le rappr
l'adduction de la main sont bonnes, mais sa flexion est nulle. Les mouvements de l'avant-bras s'exécutent normalement. Il y a
et il n'y a jamais eu de paralysie dans le domaine du radial ; les mouvements du poignet se font normalement, les doigts peuven
n II est pourvu d'un ongle bien formé; il n'est susceptible d'aucun mouvement d'extension ni de flexion. Le doigt de la main
résente également un ongle bien formé. Il n'est susceptible d'aucun mouvement . L'orteil supplémentaire n'est que très légèrem
. Il ne paraissait pas y avoir de paralysie des troncs nerveux. Les mouvements des doigts, quoi- que très affaiblis, étaient s
garde, du reste, que quelques semaines. Il commence, dès lors, des mouvements quotidiens de rééducation. Il fait de la gymnas
oir, à l'aide de sa'main gauche, il fait faire à son bras droit des mouvements en tous sens. Puis, il s'adresse à des haltères
e progressivement le poids et dont il associe le maniement avec des mouvements de balancement de l'avant-bras et des oscillati
L'oedème disparaît progressivement. Deux ans après la résection, le mouvement d'opposition du pouce aux quatre doigts de la m
nar de la main droite s'affirment en relief très saillant. Tous les mouvements de l'avant- bras sur le bras peuvent s'exécuter
us les mouvements de l'avant- bras sur le bras peuvent s'exécuter : mouvements de flexion, d'extension, de rotation et de pron
pitale et même le vertex. Elle est d'abord lancée légèrement par un mouvement global, puis l'avant-bras est fixé sur bras en
siveté. D. Mimique et langage. - Leur mimique est peu mobile. Les mouvements quoique lents sont plus accusés, plus complets qu
s les zones hépatique et épigastrique. Douleurs diffuses ; tous les mouvements sont douloureux. Soir : Malade affaissé. Céphal
ence complète des membres et des muscles ; réapparition de lé- gers mouvements dans la nuque. Sensibilité tactile et à la piqûre
Langue blanche. 6. Urine : 1.250 ; pas d'albumine. 7. Très légers mouvements de flexion des doigts ; très légers mouvements
mine. 7. Très légers mouvements de flexion des doigts ; très légers mouvements d'abduction. Vague ébauche de flexion des ortei
ment dans son lit, avec quelque difficulté. Arrive·à faire tous les mouvements de la tête. Il confectionne un petit panier en
alade élève difficilement les deux jambes jusqu'à la verticale. Les mouvements des membres inférieurs sont lents. Abo- lition
on, atrophiés. Pour remonter dans son lit, le malade grimpe plutôt. Mouvements très difficiles. Il peut à peine s'asseoir sur
lit. Lagophtalmos avec écart de un centimètre sans paralysie. Les mouvements de la tête sont faibles, mais pas tête en boule d
otuliens. Trépidation épilep- toïde du pied à droite et à gauche. Mouvements d'élévation des membres inférieurs difficiles du
plan du lit. Abduction et adduction assez faciles. Peut s'asseoir. Mouvements de tète faciles. Sensibilités normales, sauf
se maintenir en l'air assez facilement. A gauche, clonus indéfini. Mouvements contre-latéraux. Pas de température. 20. - Fl
me, sans aucune douleur. La contracture des jambes est moindre, les mouvements de flexion sont plus faciles. Les réflexes rotu
la fièvre, des douleurs très vives dans les jambes, empêchant tout mouvement , mais le malade aurait cependant pu se tenir de
mpérature, crise douloureuse des membres infé- rieurs, empêchant le mouvement . Aucune douleur ailleurs. 30. Réflexe rotulien
cement difficile des membres infé- rieurs sur le lit. 2 juin. Les mouvements d'abduction et d'adduction des membres infé- ri
ITES AIGUËS ÉPIDÉMIQUES. DEUX ÉPIDÉMIES MILITAIRES 207 empêchant le mouvement , et période d'amélioration avec température autou
pénible, hésitante avec flottement sur les jambes, sans douleur. Le mouvement d'élévation de la jambe au-dessus du plan du lit
e musculaire. Céphalée vive. Raideur douloureuse des lombes dans le mouvement de s'asseoir dans son lit. La nuque reste libre
ue de fièvre et dé douleurs très vives dans les jambes empêchant le mouvement ; dans l'observation VIII, le mai, douleur et f
e, caracté- risée par des douleurs extrêmement vives, empêchant les mouvements , le malade spécifiant qu'il aurait pu se tenir
otale : dans l'observation I, le malade ne peut faire le plus petit mouvement ni de la nuque (boule de bilboquet), ni du tron
oule de bilboquet), ni du tronc, ni des membres ; pas le plus petit mouvement de l'orteil ou d'un doigt. La paralysie peut n'
l'attention n'a été attirée que vers les troubles douloureux ; les mouvements ne paraissaient pas plus modifiés qu'au cours d'u
ion XI, vers le20ejour, nous avons très nettement noté d'énergiques mouvements dans les membres inférieurs, mouvements contro-
nettement noté d'énergiques mouvements dans les membres inférieurs, mouvements contro-latéraux d'abord, puis si l'excitation pér
rte, extension des contractions propagées aux membres supérieurs. Mouvements contro-latéraux également dans l'observation III,
s diffuses, dans le relâchement des muscles de la nuque donnant aux mouvements passifs imprimés à la tête un bizarre aspect' t
de raconte que depuis un mois il a des douleurs des jambes lors des mouvements ou des efforts, mais surtout des douleurs nocturn
aucune atrophie ni de diminu- tion de la sensibilité. La force des mouvements est normale. Les mouvements ne causent pas de d
u- tion de la sensibilité. La force des mouvements est normale. Les mouvements ne causent pas de douleurs ; pas de douleur à l
ations des membres inférieurs au degré normal, mais la force de ces mouvements est beaucoup réduite. Il y a une certaine agitati
'idée d'une polynévrite. En tous cas, on trouve la remarque : « Les mouvements réflexes exagérés ». Les symptômes en partie amél
e n'y pensa plus ; à aucun moment il n'eut la moindre gêne dans les mouvements . En décembre 1914, c'est-à-dire trois à quatre
saillants sous la peau que ceux du côté opposé. - Néanmoins, les mouvements de flexion et d'extension, d'abduction et d'ad-
extension, d'abduction et d'ad- duction du poiguet, de même que les mouvements de flexion et d'extension du coude se font très
uscles de l'éco- nomie paraissent tout à fait indemnes, et tous les mouvements de l'épaule s'exécutent très bien. ÉTUDE DES
le est nettement moins volumineux que du côté opposé ; dans le même mouvement , on constate aussi l'atrophie manifeste du long s
ente, de la partie externe de l'émi- nence thénar gauche ; tous les mouvements des doigts se font bien et avec force, mais l'o
e du Potain, pour 26 aux radiales). - Malgré l'atrophie, tous les mouvements segmentaires des deux membres inférieurs se fon
a flexion et l'ex- tension des pieds (de 90° à 130-140°). Seuls les mouvements des orteils sont très réduits ; à droite, il n'
rteils sont très réduits ; à droite, il n'y a pour ainsi dire aucun mouvement spontané des quatre derniers orteils et simplem
nt guère plus de mouve- ments passifs ; il gauche, il y a de légers mouvements d'extension et surtout de flexion des quatre de
'extension et surtout de flexion des quatre derniers orteils et des mouvements beaucoup plus forts du premier. Les membres s
ural avec un lourd marteau à réflexes ne détermine absolument aucun mouvement à droite, à peine une ébauche ÉTUDE DES ATROPHI
es lever, et avec une très légère pression, on arrive à empêcher le mouvement . Impossibilité de lever les bras antérieurement
vec le plus grand effort, jusqu'à la ligne horizontale : pendant le mouvement d'élévation antérieure, les omoplates se détach
é absolue de fermer complètement les paupières supérieures. Dans ce mouvement , celle-ci tombe inerte. La paupière infé ! 1,'lIr
s l'inspiration et l'expiration. Quand le malade essaie de faire ce mouvement , ce sont les zygomatiques qui ont l'air de se c
t intéresser et intéresser seulement les deux neurones centraux des mouvements de la face. Dans la sclérose cérébrale il y a p
ar sa paralysie. Il ne se rend pas compte qu'il existe pour lui des mouvements irréalisables. Et en effet il n'en existe pas.
façon pu- rement physiologique, subconsciente. Il exécute tous les mouvements , mais par un mécanisme différent de leur produc
eau, d'abord la petite racine, puis le nerf buccal, présidaient aux mouvements des lèvres et des joues associés aux mouvements
al, présidaient aux mouvements des lèvres et des joues associés aux mouvements de la mastication. Mayo, Magendie, Eschricht, L
la paupière et combinée à celle du releveur y détermine les légers mouvements que nous avons observés. Par suite des suppléan
t au commencement de la maladie. Ces douleurs augmentaient avec les mouvements et on ne pouvait la toucher, si grandes étaient
e dans celles-ci la faiblesse des muscles va de pair avec celle des mouvements vitaux (p. 338). - «... Elle diffère de la lass
us les muscles du corps, et par conséquent dans tous les organes du mouvement , [soit naturel ou volon- taire. C'est dans le c
e moteur de ce fluide, et quoiqu'il soit continuellement occupé des mouvements vitaux, qu'il les augmente ou les diminue, il n
ion avec flexion des doigts, mais elle peut exécuter la plupart des mouvements dont elle a besoin. La main, en saisissant les
es prendre. Elle mange seule et assez proprement. On ne constate ni mouvements choréiques, ni athétose. , L'enfant a une fig
II. Dysarthrie spasmodique. Diplégie cérébrale - . avec athétose et mouvements claoréiformes (PI. LVI). P... Angèle, 16 ans.
n que la raideur persiste. Ses membres supérieurs étaient agités de mouvements choréiques et on cons- tatait de l'athétose des
a un grand effort de volonté qui se traduit par des grimaces et des mouvements choréiques des membres supérieurs ; chaque syll
e P, ses avant-bras sont en demi-flexion, ses doigts sont agités de mouvements athétosiques ; cette attitude rappelle celle de
ue nous avons constaté une améliora- lion notable de la marche, des mouvements de la main et de la parole, survenue pendant le
t nos deux examens ; malheureuse- ment, il est peu probable que les mouvements anormaux du visage et des membres supérieurs s'
icke, Ilenschen, etc.), le siège de la représentation corticale des mouvements conjugués des yeux et de la tète est dans lepli
ères. La température du soir : 37°4. Le pouls : 92. 26. Perçoit les mouvements des doigts dans le champ visuel gauche. Nouvell
poreuse. Sous une piqûre d'aiguille, elle peut parvenir à faire des mouvements défensifs avec les bras et les jambes. Le signe d
rent et apathique, tardif aussi bien dans ses réponses que dans ses mouvements . Ses douleurs de tête se sont un peu diminuées.
is. Le sujet, auquel on avait recommandé au début de ne faire aucun mouvement et même de ne pas par- ler, vit à la longue ses
n myosis marqué et un enfoncement léger du globe oculaire. Tous les mouvements volontaires et réflexes de la musculature interne
ès clair, qui semblait couler plus de gauche que de droite, mais le mouvement était trop rapide pour permettre une affirmation.
ar les changements de tempéra- ture et surtout par le froid, par le mouvement et la fatigue. Elles n'ont jamais le caractère
lysie et l'atrophie des muscles périsca- pulaires est telle que les mouvements d'élévation et de rétropulsion du bras sont imp
e et de plus les muscles -sont plus mous que du côté sain, mais les mouvements normaux sont possibles quoique diminués de force.
de force. A l'avant-bras existe un peu d'atrophie. Au poignet, les mouvements de flexion-extension sont bons. Pour la main, l
t, les mouvements de flexion-extension sont bons. Pour la main, les mouvements de flexion des doigts paraissent très diminués
ès diminués de forcp, particulièrement pour les trois premiers. Les mouvements des muscles de l'éminence thénar sont également
une certaine force d'ailleurs, plier l'avant-bras sur le bras et ce mouvement , surtout difficile au milieu de sa course, prov
ont surtout les douleurs provoquées qui sont caractéristiques. Tout mouvement , par exemple la flexion de l'avant- bras sur le
al depuis le point d'Erb jusqu'au-dessous de la clavicule. Même les mouvements légers sont pénibles ; quand le blessé monte un
e peuvent se plier ni active- ment ni passivement. La limitation du mouvement est due non à une contrac- ture, mais à une ank
t et à larges oscillations avec deux maxima au début et à la fin du mouvement . Il est tel à gauche que pratiquement l'utilisati
oite et s'est installé insidieusement. Le malade arrive, lorsque le mouvement est terminé, à immobiliser à peu près sa main a
lonreuse ; elle consiste en une certaine gêne douloureuse dans les mouvements , sans douleurs spontanées, ni diurnes ni noctur
on superficielle et profonde ne décèle aucun point douleureux ; les mouvements provoqués les plus étendus restent par- faiteme
e, mais régulièrement et sans hyperostoses ni ostéophytes. Dans les mouvements spontanés ou provoqués, on perçoit quelques craqu
luxées sur la face dorsale des métacarpiens ; l'étendue de tous les mouvements passifs de flexion, exten- sion, latéralité, es
e et radiale sont augmentées de volume et le carpe est épaissi. Les mouvements sont libres et même un peu exagérés d'étendue, av
cune douleur ne s'est manifestée et la palpation profonde comme les mouvements les plus étendus restent indolores. Aussi, tant
le diagnostic est facile. Non seulement la flexion du tronc et les mouvements , de latéralité s'exé- cutent. mais encore 1 ext
e beaucoup, le blessé garde cette position de flexion et évite tout mouvement . Toute tentative d'extension exagère la souffra
lisé son troncpourcalmerla douleur, qui sait par expérience que les mouvements et surtout l'extension du rachis exagèrent cett
ète, et l'adduction provoque une douleur dans la hanche. Les autres mouvements sont normaux. Les réflexes rotuliens et achillé
au, la tète repose normalement sur la région occipitale. Tous les mouvements de la tête s'exécutent normalement avec souplesse
avec souplesse'et sans douleur. Du côté du troue, la flexion et les mouvements de latéralité sont indolores et se font bien ;
l cette fois, accompa- gnée d'exercices de rééducation, 1 savoir de mouvement , d'extension, de flexion et de latéralité du tr
ebout ou assise, est impossible volon- tairement. La flexion et les mouvements de latéralité sont normaux. La colonne vertébra
volontairement dans la station debout ni assise. La flexion et les mouvements de latéralité se font normalement. - On remar
les vertèbres, ni sur les masses musculaires sacro-lombaires. Les mouvements actifs et passifs delà tête se font normalement e
delà tête se font normalement et sans dou- leur. La flexion et les mouvements de latéralité du tronc sont normaux : l'ex- ten
sont normaux : l'ex- tension volontaire est seule impossible. Les mouvements et la-force des membres supérieurs sont normaux ;
i cependant il accuse une douleur dans la région lombaire, à chaque mouvement . Les réflexes rotuliens et achilléens sont norm
de cette séance électrique, on lui fait faire pendant une heure des mouvements de flexion et d'extension du tronc; il les fait
omo- plates et la tête touchent le sol. La flexion du tronc et les mouvements de laté- aralité se font bien et sans douleur.
mouvements de laté- aralité se font bien et sans douleur. Tous les mouvements de la tête se font normalement. Il en est de mê
es mouvements de la tête se font normalement. Il en est de même des mouvements des membres supérieurs et inférieurs. ) Pas d
Il souffrait, en outre, d'une céphalée occipitale, exagérée par les mouvements , qui a été vive pendant un mois et a ensuite di
uche. La flexion du tronc sur le bassin se fait très bien ; dans ce mouvement le 434 SOUQUES ET MÉGEVAND, Miles NAIDITCH ET R
gion dorso-lombairé une douleur qu'il compare à un tremblement. Les mouvements de latéralité se font également bien et pro- vo
extension. Debout, il peut se redresser, mais incomplètement, et ce mouvement s'accompagne d'une douleur dans le rachis, au n
xtension volontaire est incomplète, mais la passive est bonne ; les mouvements de latéralité et de flexion sont normaux. Dans le
301. Dystonie (Sur le rôle de la dans la dé- sorganisation des mouvements volonlai- res), par W. van 'VoEIIKmr, 37. 4
estion de la poly- névrite syphilitique ou -), par Pethex, 226. Mouvements volontaires (Sur le rôle de la dystonie dans la
O-0ERE0\I (W. van). Rôle de la dystonie dans la désorganisation des mouvements volontaires, 37. TABLE DES PLANCHES Adiposo
20 (1902) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 15]
L'innervation n'est pas segmentaire. « Ainsi le radial qui donne le mouvement à un seul muscle de ce segment (la main), à l'abd
c l'aspect d'une paralysie radiculaire supérieure bilatérale. Aucun mouvement de supination et de rota- tion en dehors de l'h
affaiblie ; la pronation, la flexion et l'extension des doigts, les mouvements dus aux muscles intero'sseux et aux muscles des
HUET sait l'extension et la flexion-des doigts et du poignet et les mouvements de pronation quand le coude et l'avant-bras éta
la flexion et l'extension de l'avant-bras sur le bras et les divers mouvements d'élévation de l'épaule. La contractilité électri
eps,brachial antérieur et triceps. Elle était revenue ainsi que les mouvements dans les muscles sus et sous-épineux et grand pec
ue sa deuxième phalange est faiblement fléchie sur la première; ces mouvements produits par le long fléchisseur du pouce sont t
le aussi, mais elle n'est qu'ébauchée et plus faible encore que les mouvements précédents. Les autres doigts se présentent dans
prononcée; c'est d'ail- leurs le seul des quatre doigts où quelques mouvements volontaires puissent être exécutés; ils consist
de l'ex- tension que dans celui de la flexion. Au poignet les seuls mouvements possi- bles sont ceux d'extension avec abductio
mplètement étendu sur le bras. A l'épaule, au contraire, les divers mouvements du bras s'accomplissent bien en tous sens et av
ntôt reparurent les mouve- ments du bras sur l'épaule ainsi que les mouvements de flexion et d'extension de l'avant-bras sur l
de la main, la motilité volontaire est à peu près nulle, les seuls mouvements qui peuvent être produits sont de très faibles mo
les seuls mouvements qui peuvent être produits sont de très faibles mouvements de flexion des doigts, ils sont très restreints
s radiaux et le triceps brachial avaient encore gagné en force; les mouvements produits par les fléchisseurs des doigts étaien
a famille, d'affection myopathique. L'enfant n'a jamais présenté de mouvements invo- lontaires ; le premier symptôme de sa mal
bientôt plus porter sa cuillère à la bouche ; puis rapidement tout mouvement du bras devenait impossible. Actuellement, son
impossible. Actuellement, son aspect extérieur, sa démarche et ses mouvements sont tout à fait caractéristiques de la myopath
éminences thénar, hypothénar et les interosseux sont conservés. Les mouvements d'élévation du bras et de flexion de l'avant-bras
es. Ses muscles ne présentent aucune ré- traction fibreuse et les mouvements pas- sifs imprimés à ses membres ne sont nul-
il n'est pas suffisant pour soutenir la tête ou lui faire subir des mouvements de rotation. On constate également que les grands
ir des mouvements de rotation. On constate également que les grands mouvements inspiratoires sont impossibles, fait important po
tte malade. Les muscles de la région hyoïdienne sont conservés, les mouvements d'as- cension et d'abaissement de l'os hyoïde s
ême que le rhomboïde et le trapèze la ramènent en arrière, mais ces mouvements se font sans énergie et la malade ne peut lutter
ne main. Les muscles abdominaux sont impuissants. Si on commande le mouvement de la position assise on ne voitaucune contract
s et obliques de l'abdomen, le thorax reste sur le plan du lit. Les mouvements des psoas-iliaques doivent être également suppr
appui sur les mem- bres inférieurs) et d'autre part,il n'y a pas de mouvements de rotation externe de la cuisse (psoas prenant
neux, grand rond et pe- tit rond, sous-scapulaire) démontre que les mouvements de ces muscles sont conservés mais considérable
de ces muscles sont conservés mais considérablement affaiblis. Les mouvements des muscles du bras, région antérieure et régio
a supina- tion de l'avant-bras s'opèrent assez bien. Enfin tous les mouvements de la main et des doigts sont conservés ; quoiq
st de même, à peu de chose près, pour les muscles de la cuisse, les mouvements de flexion et d'extension de la jambe sur la cuis
e pas de brides périarticulaires, au pourtour du genou limitant les mouvements . La gêne est exclusivement provoquée par les ré
facile : la cuisse peut s'appliquer contre la paroi abdpminale, ce mouvement se fait avec une énergie assez forte. Mais l'ex
ec force vers la plante du pied. Sont simplement un peu faibles les mouvements de relèvement de la totalité du pied (jambier a
t, 16 centimètres ; gauche, 17. La main est à peu près normale. Les mouvements exécutés par les petits muscles sont possibles
abduction des doigts, flexion et extension des dernières phalanges, mouvements du petit doigt et du pouce. Les éminences théna
Le long su- pinateur et le biceps sont bien mieux conservés. Les mouvements passifs du bras sur l'épaule ont conservé toute l
Les articulations ne présentent pas d'arthrites ; la limitation des mouvements est bien d'origine musculaire. Les réflexes oss
ression. Il n'existe pas de scoliose ou de lordose. D'ailleurs, les mouvements de flexion en avant et en arrière et surles côt
mollet et par la parésie des muscles antérieurs de la jambe. Les mouvements des orteils se font bien à droite et à gauche.
e du poignet et des doigts a conservé sa vigueur ; ainsi les petits mouvements des doigts (abduction, adduction, extension des d
n se dandinant pour déplacer son centre de gravité et faciliter les mouvements de la jambe oscillante; il présente une cyphose
bilité extrême de la colonne vertébrale, mais une rigidité dans les mouvements antéro-postérieurs et latéraux ; point de ven-
uns insistant sur la flaccidité et la nécessité de courbures et de mouvements anormaux du rachis pour garder l'équilibre à ch
vé intact, le fond aussi bien que les pupilles, la sensibilité, les mouvements , les réflexes. Les réflexes tendineux sont inta
is et maladroits, ce qui disparaissait ordinairement après quelques mouvements . Hérédité. Le père est mort à l'âge de 50 ans,
ientôt. La mimique est lente, ressemblant beaucoup à un masque. Les mouvements mimiques sont limités aux muscles du front. Le la
. Le gonflement des joues est libre. Membres supérieurs. Tous les mouvements des articulations de l'épaule sont libres et s'
s sont gênés par l'extrême tension des muscles, nécessaire pour ces mouvements . Les mouvements de flexion des bras sont affaib
l'extrême tension des muscles, nécessaire pour ces mouvements. Les mouvements de flexion des bras sont affaiblis, plus au bras
t d'une forte contrac- tion tonique, prononcée surtout aux premiers mouvements de flexion et dispa- raissant graduellement pen
après notre dynamo- mètre particulier). Membres inférieurs. - Les mouvements sont impossibles dans toutes les articulations
avec moins de force, surtout dans les régions périphéri- ques. Les mouvements de flexion et d'extension du genou sont plus affa
seur gauche de la cuisse. Les muscles du cou, qui participent aux mouvements de la tête en avant, en arrière aux mouvements
qui participent aux mouvements de la tête en avant, en arrière aux mouvements latéraux et ceux de rotation, manifestent au débu
l'hypertonie accompagnant les mouve- ments volontaires. Tous les mouvements du tronc sont libres, sauf la llexion après une e
'OTONIE atrophique (Rossolimo) DE LA MYOTONIE ATROPHIQUE 69 Les mouvements passifs des muscles examinés sont partout libres
orgement ; il ne pouvait plus retenir ses matières. La paralysie du mouvement subsistait, telle quelle, aux membres inférieur
pieds n'étaient pas tombants. Partout, aux membres inférieurs, les mouvements passifs conservaient leur amplitude normale ; n
e, des douleurs spontanées ou non, que réveillent ou exaspèrent les mouvements ; une anesthésie à distribu- tion tout à fait c
is supportables et transitoires, spon- tanées ou provoquées par les mouvements , s'observent indifféremment dans les cas d'affe
de, vous vous le rappelez, souffre seulement quand on im- prime des mouvements passifs à ses membres inférieurs; ces souffrances
us bas, spontanée ou exaspérée par la percussion du sacrum, par les mouvements , douleur irradiant vers les membres inférieurs,
s douleurs, si vives, éprouvées par le malade, quand on imprime des mouvements passifs à ses membres inférieurs (1). (1) Le
lunaire, avec une expression d'étonnement et de légère stupeur. Les mouvements sont lents, paresseux. Elle comprend les question
st à 140. On note de la céphalée, de l'agitation, quel- ques petits mouvements choréiformes, des sueurs, surtout au niveau des p
pression mimique, au cours de la conversation, elle marque certains mouvements émotifs, qui témoignent, lorsqu'on la traite en b
eux. L'absence des muscles pectoraux n'a jamais gêné le malade, les mouvements divers du membre supérieur n'en ont pas été troub
es pectoraux n'amène aucun trouble fonctionnel appréciable dans les mouvements du bras. C'est li une remar- (1) En, Neurolog.
, ainsi que nous l'avons déjà vu. Cette intégrité fonctionnelle des mouvements du membre supérieur, due à la suppléance des mu
omalie, faire leur service militaire. Cepen- dant, parfois certains mouvements , le tir au fusil, par exemple, peuvent être gên
ives, d'après les statistiques, sont infini- ment plus rares et les mouvements du bras n'en sont pas notablement troublés. I
se, et il établit un traitement qui est en résumé le massage et les mouvements passifs, sans toutefois faire intervenir l'élé-
nt con- sécutif. Le traitement consécutif consiste en massages et mouvements passifs, reproduisant exactement les mouvements
iste en massages et mouvements passifs, reproduisant exactement les mouvements que devrait faire normalement l'enfant pour mar
rs mois de sa vie aucun état de contracture ou d'incoordination des mouvements . Il n'existe pas de cas d'autopsie de maladie d
bras et des jambes. Les muscles étaient rigides et présentaient aux mouvements passifs une résistance spasmodique légère ; exa
es qui nécessiteront une intervention chirurgicale pro- chaine. Les mouvements volontaires des membres inférieurs ont reparu int
embres inférieurs ont reparu inté- gralement, Arthur peut faire les mouvements de marche, écarter les jambes, monter un escali
nuellement des secousses qui nuisent à la parfaite coordination des mouvements . L'explication de ce cas est malaisée à fournir
mais de tous les segments de notre corps, articulaires ou non. Les mouvements , gestes et déplacements, étant des variations d'a
lé les sensations kinesthésiques. De même qu'on a considéré tort le mouvement en lui-même au lien d'y voir une variation d'at
et de l'expulsion des produits devenus dangereux, au sein des mille mouvements articulaires, des contractions puissantes et so
nt de cette infinie pénétration de tant d'organes en activité et en mouvement le riche organe diffus de la tactilité profonde
calisées ; mais tout ce qui manifeste en lui une sensibilité est un mouvement , c'est-à-dire une variation d'attitude d'une pa
abituellement réunis dans le même office par l'exercice de certains mouvements , ont créé des centres dits moteurs pour lesquels
lesquels d'emblée le détail semble disparaître dans l'exécution du mouvement d'ensemble, coopératif et cohérent; -de même la
d'attitude du segment lui-même, considéré comme unité mobile. Nos mouvements sont segmentaires ; nos variations d'attitudes se
es importent directement à l'exercice de la motricité, et c'est aux mouvements segmentaires que correspondent les groupements
s un rapport immédiat avec les représentations d'at- titudes, et de mouvements , c'est-à-dire de variations d'attitudes segmentai
tude segmentaire som- meille volontiers, car c'est à l'occasion des mouvements que nous avons à mettre en conscience nos attit
a température de l'eau pour la retrouver im- médiatement au moindre mouvement ; qu'il s'agisse d'une équilibration entre la su
ans le champ de la conscience, mais les variations d'attitudes, les mouvements , sous l'action de la variation elle-même, seron
ndait plus sensibles les attitudes successives et par conséquent le mouvement , la plupart ont nié la perception^ des attitudes
mouvement, la plupart ont nié la perception^ des attitudes dans le mouvement et considéré la sensation de mouvement comme une
ption^ des attitudes dans le mouvement et considéré la sensation de mouvement comme une sensation primitive. Et ! 'on admet q
ouvement comme une sensation primitive. Et ! 'on admet que c'est le mouvement qui révèle l'attitude 1 . Prétendre que l'attit
itude 1 . Prétendre que l'attitude, la position sont connues par le mouvement , c'est- à-dire par la variation d'altitude, cel
, sinon un état succédant à un autre état ? '1 Qu'est-ce donc qu'un mouvement , sinon une attitude succédant à une autre attit
celle que provoque un état continu. Nous savons que la sensation du mouvement actif est plus vive que celle du mouvement passif
vons que la sensation du mouvement actif est plus vive que celle du mouvement passif, et que celle du mouvement passif est en
actif est plus vive que celle du mouvement passif, et que celle du mouvement passif est encore beaucoup plus intense que celle
onscience des attitudes et intégrité abso- lue de la conscience des mouvements , nous aurions il penser il une dissociation net
vu d'hémiplégique qui ait perdu complètement la notion primitive du mouvement , qui ne se rende nullement compte les yeux ferm
ne prouve nullement que les attitudes dont la succession figure le mouvement ont cessé de faire image au niveau des centres. L
ins prononcé pour les variations d'attitudes. Dans la figuration du mouvement , c'est-à-dire, je le répète, dans la repré- sen
ttitudes pourraient n'être plus assez fortes pour donner l'image du mouvement , et même ce cas, Verger ne l'a jamais rencontré
e la variation : il est donc naturel que le seuil des sensations de mouvement soit plus bas que celui de la sensation d'at- t
ntacts. « On ne comprendrait pas, dit M. Claparède, si la notion de mouvement était secondaire à celle de position, comment c
op de psychologie - ,dans la logique, c'est de vouloir supprimer du mouvement la notion d'espace; du geste la notion d'attitu
du mouvement la notion d'espace; du geste la notion d'attitude 1 Le mouvement est-il autre chose qu'une varia- tion d'attitud
'espace ? ` ? « Le fait est, dit M. Claparède, que la conscience du mouvement n'implique nullement des images de diverses att
inté- ressant. » Et qu'est-ce que cette sensation périphérique de mouvement ? Est-elle possible sans la sensation de déplac
déplacement et par suite de placement ? Conçoit- on la sensation de mouvement sans celle d'un changement de lieu ou d'atti- t
a psychologie. Il y a pour ces auteurs des sensations primitives de mouvement , elles seules sont spécifiques, les sensations
membres, on ne sau- rait en aucune façon considérer la sensation de mouvement comme leur suc- cession ou leur somme. La psych
ucoup de parapluies ? Si la sensation d'attitude et la sensation de mouvement sont qualitativement différentes, pourquoi la sen
vement révélera-t-elle mieux l'attitude que l'attitude ne révélera le mouvement ? ` ? Et la sensation visuelle n'est-elle pas a
-elle pas aussi un peu différente qualitativement des sensations de mouvement ou d'attitude ? Cette psychologie néo-association
mble un peu jeunette. Que peut bien être une sensation primitive de mouvement ? Sans orienta- tion, sans notion d'attitudes,
itudes, sans même de sensation de variation, peut-être aussi ? « Le mouvement est perçu immédiatement, grâce à des sensations s
immédiatement, grâce à des sensations spé- cifiques ; la notion de mouvement n'est pas le résultat de la perception d'une va
muscle et même de chaque faisceau ; et par conséquent celle de nos mouvements ac- tifs ou passifs, de leur étendue, de leur é
, etc. , « Si nous analysons une même attitude segmentaire, un même mouvement , selon qu'ils sont réalisés passivement ou acti
de notre propre activité musculaire, l'image d'attitude, l'image de mouvement seront les mêmes, puisqu'il s'agit d'une même a
t seront les mêmes, puisqu'il s'agit d'une même attitude, d'un même mouvement , mais les images tactiles élémentaires, superfi
sation d'activité musculaire qu'il faut dire ? Non, je sens que mon mouvement est actif et voulu, mais je ne sens rien de mus
du segment. Il y a en plus de l'activité dans l'attitude ou dans le mouvement , ou plutôt une sensation d'activité, mais pas plu
laire, si je ne l'ai appris autrement. Les images d'attitudes et de mouvements sont donc forcément localisées et tout en restant
veux me souvenir, retrouver une image, - quand je veux maîtriser un mouvement réflexe, un trouble moral ou orga- nique - ou q
des formes qui favorisent l'enregistrement sensoriel des principaux mouvements de la tête, et la variété de leurs formes corre
de progression, variété de locomotion des ani- maux, au port et aux mouvements de la tête, et, comme l'a montré Landen- bach (
« au degré d'habileté qu'ils ont à exercer dans la coordination des mouvements nécessités par la lutte pour l'existence u. Ils a
le développement des canaux semi-circulaires el la coordination des mouvements chez les oiseaux, Journal de physiol. et de patho
ttitude actuelle et nous représenter sa variation, c'est-al-dire un mouvement passif ou actif. Nous pouvons aussi imaginer un
la plus vigilante est de nous fournir les notions d'attitudes et de mouvements du seg- ment céphalique, et son rôle est énorme
e de la locomotion et de l'équilibration, et en général de tous les mouvements volontaires, les attitudes segmentaires se dist
la notion de durée, de temps ; il nous faut pour cela l'exercice du mouvement , d'une étendue parcourue selon une vitesse, d'u
is tandis qu'il peut fermer l'oeil gauche seul, il ne peut faire ce mouvement de l'oeil droit. t. Sensibilité objective. -L
constate pas le signe de Romberg ; mais on voit cependant, par les mouvements qui se font au ni- veau des orteils, que le mal
mbres du côté droit; lorsqu'on le pique du côté droit il ne fait de mouvements qu'avec la main gauche. 11. Le malade est dans
volume de l'encéphale, coexister avec une persistance relative des mouvements commandés par l'écorce cérébrale sous-jacente, qu
uemment pendant les 2 années suivantes. L'attaque commençait par un mouvement de rotation à droite de la tête, la moitié droi
- Il y a de la parésie faciale du côté droit, très visible dans les mouvements ; la langue est déviée à gauche. Par contre, il
endu sur son lit dans un état de torpeur complète, ne faisant aucun mouvement , le regard vague, la respiration faible. A l'ex
aralysé (seul), le malade ne peut ni siffler, ni souffler, dans les mouvements , la commissure labiale et l'aile du nez sont dé
rtie gauche se contracte seule. Membre supérieur d2-oit. - Tous les mouvements sont possibles, mais ils se font sans énergie,
eine serrer et le malade n'oppose qu'une très faible résistance aux mouvements passifs. Les réflexes sont un peu exa- gérés à
nt un peu exa- gérés à droite. Membre inférieur droit. - Tous les mouvements sont également possibles, mais le malade n'oppo
ent possibles, mais le malade n'oppose qu'une faible résistance aux mouvements paâsifs 4e >v flexion et d'extension. " ? '
ue les objets tournent autour de lui. Si on cherche à provoquer des mouvements des globes oculaires, on constate qu'il y a oph
la est parfaitement juste, l'acte de rester assis est un système de mouvement , d'images motrices exactement comme l'acte de r
ne manière quel- conque : il y a là beaucoup plus d'impulsion à des mouvements inutiles que de paralysie systématique ; 4° ce
'au- tres travaux, les sujets peuvent synchroniser rapidement leurs mouvements ; c'est le cas. Notons encore (et les courbes
on motrice est parfaite et grâce à une entente préalable dans leurs mouvements , les sujets peuvent exécuter des actes d'une soup
es, dans les fonctions de l'autre organisme, qui était étranger aux mouvements et modifications initiales. Il résulte alors de
érable d'efforts communs surtout quand les sujets surveillaient les mouvements de leur cage thora- cique. En même temps que le
sassociations brusques ; même à la simple inspection, l'unisson des mouvements respiratoires était visible. Cette vie biologiq
masse adipeuse (PI. XXXI). L'articulation de la hanche présente des mouvements normaux en tous sens, mais peu étendus, et ceci
que la malade doit couper de temps à autre. Ce pied garde quelques mouvements actifs par rapport à la jambe, dans le sens de
dans le sens de la torsion interne ou de la supination externe. Ces mouvements se font avec une certaine force grâce à quelques
du talon. Quant aux orteils, ils sont absolument dépourvus de tous mouvements spontanés. Il n'y a pas de troubles trophiques
cuisse. La jambe est for- tement. fléchie. Le genou, étroit, a des mouvements passifs très étendus. Le péroné s'articule sur
eurs. Pupilles immobiles à la lumière, mais se contractant dans les mouvements de convergence. Fond de l'oeil normal. Diplopie
parésie : la malade peut néanmoins exécuter encore quelques petits mouvements d'ailleurs mal coordonnés. Incoordination légèr
e, de symptomatologie assez com- mune. Au début, il y a souvent des mouvements spasmodiques, convul- sifs, arrivant par attaqu
repos, elle s'exagère dans la résistance opposée par le malade aux mouvements passifs, résistance dont il faut rapprocher le re
. XLI11, B). Lorsqu'il vient à l'abandonner pour accomplir quelques mouvements , ceux-ci présentent des caractères particuliers
blir. C'est ainsi que ces caractères ne sont pas constants dans les mouvements spontanés.Ils n'existent pas dans les mouvement
constants dans les mouvements spontanés.Ils n'existent pas dans les mouvements stéréotypés dont nous parlerons plus loin et qui
loin et qui semblent exécutés sans la moindre hésitation. Dans les mouvements non stéréo- typés mais' spontanés, ces caractèr
nt de la mise en train. 11 y a, à cet égard, un contraste entre les mouvements spontanés et ceux, tout à fait exceptionnels, qu'
esquisse à grands efforts, en fronçant énergiquement le sourcil, le mouvement commandé, comme s'il avait une lutte à soutenir,
ccentuent encore jusqu'au négativisme moteur dans les tentatives de mouvements provoqués. Dès que l'on fait le geste d'approch
n membre, un segment du corps quel qu'il soit, pour lui imprimer un mouvement quelconque dans quelque direction que ce soit,
bien encore si l'on fait dériver l'attention du malade sur un autre mouvement à exécuter. En insistant fortement, par exemple
pour lever le bras d'un côté, on peut, pendant qu'il s'oppose à ce mouvement , lever l'autre bras presque sans effort Quoi qu
er l'autre bras presque sans effort Quoi qu'il en soit, une fois le mouvement provoqué, P... s'immobilise dans la nouvelle po
moucher », pour que sa tendance à l'opposition lui fasse arrêter le mouvement com- mencé et l'immobilise le bras en l'air ave
lit, la tête basse, les mains sur les genoux, sans faire le moindre; mouvement pen- dant des journées entières. L'été, il se p
qu'il fasse, il ne consent à se chausser que de sabots. Tous ses mouvements , soit spontanés, soit exécutés au commandement, o
e saluer, demande un temps invraisemblable. Outre leur lenteur, ces mouvements sont comme 'affectés, maniérés jusqu'à l'absurd
elque peu en cela les gestes des dan- seuses javanaises. Dans les mouvements provoqués, passifs,on ne rencontre une certaine r
l'un de l'autre. Il ne présente pas d'ailleurs dans l'exécution des mouvements volontaires de troubles de l'équilibre ciné- ti
re ciné- tique (i). Echokinésie incomplète. Le malade ébauche les mouvements commencés devant lui, mais sans jamais les repr
rs diminuée, ainsi qu'en témoignent la paresse, la lenteur de leurs mouvements ,la tendance à garder souvent une immobilité presq
es stéréo- typies. Cetle tendance à la répétition d'attitudes, de mouvements , de paroles identiques montre bien ici le défau
r inhérente à la beauté du geste, à l'harmonie des attitudes ou des mouvements . Ce sens esthétique atrophié, sinon tué chez nous
igneurie. » Il leva les pieds, frappa le sol et marcha. Imitant les mouvements péni- bles de ceux qui se noient, il se dressa
scutable. « Désormais le sarougakou complétera la signification des mouvements rythmés et de la mimique par le chant des vers
leurs muscles devenaient « lourds » comme courbaturés, et que leurs mouvements commençaient à perdre leur souplesse; chez tous
s, nous avons pu constater, non seulement la lenteur et la gêne des mouvements , l'état figé des traits, qui constitue le masqu
isseurs, pour le membre supérieur ; parfois même (obs. 3 et 4), les mouvements d'extension des membres sont incomplets, et nette
nnelle, systématisée, sous forme de spasmes fonctionnels à certains mouvements complexes et coordonnés* tels que la marche et
ros orteil, et M. Ballet faisait remarquer la forme athétosique des mouvements du bras. Nous attirons l'attention sur ces deux
attirons l'attention sur ces deux phénomènes, en rappelant que les mouvements athétosiques font partie de la maladie de Friedre
érie (2). La maladie débute, vers 8 ou 9 ans, par une gêne dans les mouvements de l'écriture analogue à la crampe des écrivain
ogue à la crampe des écrivains, gêne qui existe aussi pour certains mouvements compliqués, tel le travail au crochet. A 16 ans
et disparaît dans la course, ou du moins ne semble pas entraver le mouvement des jambes à cette allure rapide. Elle monte et
riture, le bras et la jambe exécutent, avec force et souplesse, les mouvements les plus varies. (1) SocA, Th. Paris, 1888, p.
oniques qui se manifestent seulement pendant l'exercice de certains mouvements volon- taires ou instinctifs, et qu'il les ratt
entres nerveux. Nous constations encore qu'un certain nombre de ces mouvements convulsifs sont incontestablement de nature hys
déceler, bien longtemps avant tout autre symptôme, à l'occasion des mouvements complexes de l'écriture (3). Mais, dans ce cas,
d'une façon maladroite, rate plusieurs fois l'encrier ; des petits mouvements latéraux détournent tout le temps la main de sa
Friedreich (Cliniques, t896-9' ? , p. 352). (4) Il y a aussi des mouvements de la tête dans l'hérédo-ataxie pendant les diffé
es différents actes, mais elle reprend la situation fixe dès que le mouvement est accompli et que le sujet est suffisamment «
nalogie est encore frappante entre le torticolis spasmodique et les mouvements involontaires de la tête dans le Friedreich. Ce
t les mouvements involontaires de la tête dans le Friedreich. Ces mouvements consistent en oscillations ordinairement antéro-p
repos absolu dans le lit, mais qui apparaissent dès qu'il se met en mouvement . « Si le malade marche, dit Soca (1), la tête se
ut de suite, et cela jusqu'à ce qu'il s'arrête. S'il s'asseoit, les mouvements cessent au bout d'un certain temps; dans quelques
ouvements cessent au bout d'un certain temps; dans quelques cas, le mouvement est continu ou à peu près, que le malade soit ass
, il ne cesse que quand il est couché. Dans d'autres cas encore, le mouvement serait absolument continu et ne cesserait que pen
esserait que pen- dant le sommeil. » L'émotion exagère toujours ces mouvements . On ne saurait décrire avec plus de précision l
s spasmes fonctionnels, c'est de ne se produire qu'à l'occasion des mouvements vo- lontaires, et de disparaître quand la tête
i- dents ; Une attitude spéciale des pieds, dans la marche. Des mouvements involontaires de la tète et du tronc. Le pied-b
pied-bot ; La scoliose ; L'ataxie statique du bras droit ; Les mouvements involontaires de la face ; Les troubles de la p
gauche. Le bras et la main droits accomplissent, avec aisauce, les mouvements les plus variés. Il n'y a ni incoordination, ni
n'y a ni incoordination, ni tremblement, ni raideur, même pour les mouvements les plus délicats, par exemple, celui de se bouto
er sans hésitation et sans zig-zag, il esquisse même dans l'air les mouvements de l'écriture, avec la plus grande facilité. Mais
les se relâchent. Elles n'altèrent pas sensiblement la direction du mouvement ; il ne s'agit pas d'un tremblement intentionne
ie de Friedreich. L'étendue, la direction, la vitesse, l'énergie du mouvement sont conservées. L'occlusion des yeux reste san
yeux reste sans effet. , Nous avons fait la remarque suivante : les mouvements du bras sont d'au- tant plus marqués qu'il est
sont d'au- tant plus marqués qu'il est tenu immobile ou exécute des mouvements lents, ils disparaissent à mesure que les mouve
ou exécute des mouvements lents, ils disparaissent à mesure que les mouvements sont plus rapides. '-Pour manger, le malade se
. est couché ou assis, il peut faire exécuter à ses jambes tous les mouvements , sans trace de raideur ou d'incoordination. . L
arrière par une force que le malade a de la peine à vaincre. . Les mouvements se font à faux et par saccades, comme si la décon
par instant, exagérer encore cette flexion, et la jambe qui suit ce mouvement estentralnée trop haut ; l'équilibre en parait
moment donné, pour remettre un peu d'ordre dans cette anarchie des mouvements . En prenant le malade sous le bras, et en lui rec
core, par un effort de volonté, rendre à la jambe une partie de ses mouvements , et lui faire exécuter le pas, tout à l'heure i
plus de peine à se détacher du sol. Dans la marche à reculons, le mouvement des jambes est plus libre et se fait sans effor
froid, les émotions, les obstacles à éviter augmentent la gêne des mouvements . Empreintes. La méthode des empreintes nous rév
tre fait que les oscillations du bras gauche disparaissent dans les mouvements rapides. On retrouve inscrite sur le tracé cett
de loi « la répétition de l'acte semble diminuer l'incorrection du mouvement ». Les premiers pas sont plus courts, plus spas
un ébranlement de tout le membre, et des soubresauts des orteils. Mouvements involontaires au repos. - Au repos, la tête conve
- Au repos, la tête convenablement calée, on ne constate en fait de mouvements , et à part les contractions fascicu- laires déj
montrent quelques tiraillements de la commissure droite. - Dans les mouvements volontaires, quand le malade marche ou écrit, il
spasme tonique et persistant de tout le côté droit de la face. Les mouvements des lèvres sont normaux, dans l'acte de souffler,
fler, faire la moue, mais, dans la parole, il existe un trouble des mouvements bien systéma- tisé. Dans la prononciation des l
iagnostic de toutes les névropathies. Il n'y a point de ptosis. Mouvements de l'oeil, normaux, pas de diplopie, pas de strab
la décontraction redevient. normale, des ondulations semblables aux mouvements des vagues se dessinent sous la peau, lors du p
déviations ne sont point irréductibles, et ne suppriment point les mouvements actifs du tronc et du pied. L'action des antagoni
, la plante reste un peu excavée. Le bras droit est agité par des mouvements oscillatoires, dès que le malade s'efforce de l
'ataxie statique deFriedreich, phénomène propre à sa maladie. Les mouvements involontaires de la face chez Vig. consistent en
ralisé à tout le côté gauche de la face, survenant à l'occasion des mouvements , de la marche, de l'écriture, à l'occasion d'un
existence de contractions exagérées des muscles de la face dans les mouvements de la mimique, dans ceux de la parole, ou comme
ole, ou comme phénomène associé, pendant l'exécution des différents mouvements des membres » (Marie, hérédo-ataxie). « Aux lè-
le carré du menton. Quand le ma- lade est dans un calme absolu, les mouvements n'existent plus du tout. » Vig. présente encore
Soca : « Si l'on fait tirer la langue, on la voit agitée de petits mouvements fibrillaires, mais à part ce tremblement, la la
e dans le paramyoclonus, mais parfois un simple ébranlement, et des mouvements d'extension des orteils, qui n'ont pas, dans ce c
ticipe de la démarche tabétique par la dé- tente un peu brusque des mouvements , mais le talon ne frappe pas le sol en retomban
s lui serait difficile. On pourrait la qualifier d'asynergique, les mouvements se faisant à faux et par saccades, par suite du
marche du bassin. En même temps, la tête et le tronc sont agités de mouvements ,ce qui augmente encore la ressemblance. Ces m
agités de mouvements,ce qui augmente encore la ressemblance. Ces mouvements brusques, saccadés, sans harmonie ni souplesse, a
lus facilement qu'il ne marchait, comme si la succession rapide des mouvements supprimait la gêne et régula- risait la synergi
plus ou moins les premiers pas, puis elle diminue à mesure que les mouvements se répètent. 1 406 DESTAI1AC les troncs ner
che, quelques traces de titubation, et de l'incoordination dans les mouvements du bras. La seule différence,c'estque, dans ces
e remarque par laquelle VI. Brissaud (1) caractérise le trouble des mouvements dans la maladie de Friedreich et l'hérédo-ataxie
it dominant, c'est le trou- ble très spécial de la coordination des mouvements complexes destinés à des fonctions prévues tell
on des mots, etc.» , Ce trouble très spécial de la coordination des mouvements complexes des- tinés à des fondions prévues, n'
début de la ma- ladie, par conséquent, avant que la répétition des mouvements ait pu en- traîner quelque lésion des centres.
ychique ? - On ne voit pas trop à quelles lésions correspondent les mouvements de la tête dans la maladie de Friedreich, doit-
res, soit dans la station debout, soit dans l'exécution de certains mouvements complexes, avec conservation de la force muscul
s, avec conservation de la force musculaire. Au repos et dans les mouvements simples, le trouble disparaît. Or, nous savons,
e préside au maintien de l'équilibre pour chaque attitude et chaque mouvement , c'est l'action .stis//< ? Mt7tstc< ? . D
du même côté (Alen- zel). Ces phénomènes s'exagèrent pendant les mouvements , et cessent, ou sont beaucoup moins marqués, au
est réduit au mi- nimum, dit Thomas, il y a intégrité relative des mouvements isolés des membres. La force musculaire est c
1 " *' La manière propre de réagir de l'écorce cérébrale, c'est le mouvement volontaire ; la manière physiologique d'explore
ologique d'explorer son excitabilité c'est de mesurer l'énergie des mouvements volontaires. Ce qu'on ne peut obtenir d'un anim
n, était tout à fait en désaccord avec la conservation relative des mouvements que l'on observe dans la mala- die. Il n'exista
e exécutait facilement, avec ses membres inférieurs, les différents mouvements segmentaires physiologiques; seuls les mouvemen
s, les différents mouvements segmentaires physiologiques; seuls les mouvements de flexion et d'extension du pied sur la jambe, l
les mouvements de flexion et d'extension du pied sur la jambe, les mouvements de latéralité des pieds, les mouvements des ort
n du pied sur la jambe, les mouvements de latéralité des pieds, les mouvements des orteils s'exécutaient sans vigueur, et il é
e droit; vous allez voir qu'il est aussi moins vigoureux. Seuls les mouvements de la cuisse sur le bassin et les mouvements d'
s vigoureux. Seuls les mouvements de la cuisse sur le bassin et les mouvements d'adduction des cuisses s'opèrent encore avec u
des cuisses s'opèrent encore avec une vigueur manifeste. Les autres mouvements segmentaires sont très affaiblis, surtout ceux
st allée en augmentant; elle faisait contraste avec l'intégrité des mouvements segmentaires. Elle s'est compliquée d'un amaigr
ce, dans le sens strict du mot. Elle contraste avec l'intégrité des mouvements segmentaires. Elle se double d'une amyotrophie
la peine à fléchir et à relever les orteils de son pied gauche; les mouvements qu'il exécute ainsi sont empreints d'une grande
impossible de fléchir ou d'étendre ce pied, ou de lui imprimer des mouvements de latéralité. Les mouvements de flexion de la
dre ce pied, ou de lui imprimer des mouvements de latéralité. Les mouvements de flexion de la jambe sur la cuisse se font sans
isse se font sans vi- gueur, contrairement à ce qui a lieu pour les mouvements d'extension. Les mouvements d'adduction des cui
contrairement à ce qui a lieu pour les mouvements d'extension. Les mouvements d'adduction des cuisses paraissent être intacts.
pied gauche sont comme figés dans une immobilité per- manente. Les mouvements volontaires d'élévation, d'abaissement et de la
ied gauche sont abolis. Le malade ne peut pas davantage imprimer de mouvements volontaires à sa jambe gauche, qui est pendante
s à sa jambe gauche, qui est pendante comme une masse inerte. Les mouvements de flexion et d'extension de la cuisse sur le bas
début de la maladie n'a pas été que brusque; il a été marqué par un mouvement fébrile et par des phéno- mènes généraux tels q
la marche les membres inférieurs sont écartés l'un de l'autre) les mouvements élémentaires du membre infé- rieur gauche sont
ed gauche vient s'appliquer sur le sol d'une manière bruyante ; les mouvements du membre inférieur droit pré- sentent aussi ce
e dans sa position primitive, voici ce qu'on observe : à droite, le mouvement est à peu près normal, l'extension de la cuisse
ent et le talon glisse sur le sol d'arrière en avant ; à gauche, le mouvement est bien différent : dans un premier temps, la
dans le décubitus, cherche à se mettre sur son séant, il exécute un mouvement de rotation autour d'un axe passant par le côté
assant par le côté gauche du corps et on con- state, à droite, « le mouvement combiné de flexion de la cuisse et du tronc ».
, « le mouvement combiné de flexion de la cuisse et du tronc ». Les mouvements des membres supérieurs sont accomplis avec correc
malade reconnaît immédiatement le sens et l'étendue des plus petits mouvements imprimés à ses membres ; il reproduit fidèlement
l reproduit fidèlement les yeux fermés, avec ses membres sains, les mouvements imprimés à ses membres asynergiques. Aussi l'oc
blement généralisé de tout le corps exagéré par les émotions et les mouvements volon- taires. Il a des oscillations latérales
lade affirme qu'il ne perd pas connaissance, malgré la chute et les mouvements toniques et cloniques. Il n'a d'autre trouble s
du bras, la malade pousse un cri, tombe à terre n'importe où, a des mouvements toniques, puis cloniques, etc. Elle revient lente
t aussi de la tendance à se mettre en flexion. . Presque tous les mouvements sont possibles, mais il y a une raideur ma- nif
ements sont possibles, mais il y a une raideur ma- nifeste dans les mouvements provoqués. Il existe aux deux membres inférieur
alement. Seul le petit doigt a sa première phalange fléchie, et ses mouvements d'extension, actifs ou passifs, sont abolis.
ire au dynamomètre un peu diminuée. La marche, comme aussi tous les mouvements et gestes sont pénibles, le xv 37 570 LAUNOIS
ts et gestes sont pénibles, le xv 37 570 LAUNOIS ET ROY moindre mouvement coûtant une très grande fatigue. Le malade boite,
21 (1888) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1887
cés à la petite gymnastique (sys- tème Pichery) ; 136 exécutent les mouvements plus ou moins bien ; 14 pren- nent part en ou
augmentons la durée de leur travail manuel. III. STATISTIQUE. - MOUVEMENT DE LA POPULATION. Le le' janvier 1887, la secti
des enfants (4e section) (1). Nous ne nous occuperons donc que du mouvement : de la population des enfants en 1887 : XX D
tion. Un traitement naturel et nouveau, qui commence par de simples mouvements , et finit par l'école et l'atelier, éveille et
duisit - non pas en France, hélas ! mais à l'étranger, un véritable mouvement pour l'amélioration de cette classe de malheure
bien ils troublent la classe par leur instabilité, leur be- soin de mouvement , leurs contorsions, leurs crises convulsives ; on
re pour cela que le vertige^, ne puisse jamais être accompagné de mouvements automatiques ; l'absence elle-même peul consist
mais alors on n'a nullement affaire à une procursion véri- table, mouvement précipité de peu de durée, auto- matique si l'o
circumrntatoria, rotatoria, circumambulatoria,saltatoria, etc. Les mouvements invo- lontaires de Wicke, la musculation irrési
aput vi. · DE l'épilepsie PROCURSIVE. 5 ments de manège, soit des mouvements irréguliers. Il nous paraît intéressant de rapp
et d'un malade qui courait jour et nuit,' si rapidement et avec des mouvements du corps si ininterrompus que la sueur lui coul
evant ses jambes alternativement d'une manière assez uniforme. Ce mouvement singulier, qu'il est impossible de bien caracté-
ns de la face; au moindre effort pour les comprimer survenaient des mouvements involontaires de la mâchoire inférieure, des tr
tal, elle se caractérisait ainsi : Regard fixe, timidité, grimaces, mouvement anormal des mâchoires et de la langue ; quelque
ible. Balancement de la tète, tressaillement des muscles du cou, et mouvements involontaires, anormaux, de- tout le corps, en
l'amélioration fut sensible. Après quinze jours de traitement, les mouvements involontaires avaient entièrement disparu; il n
Berlin. Voici quel était son état : Taille élancée, air de santé, mouvements précipités et anxieux, pouls petit, contracté,
lait-il prendre quelque objet avec la main, c'était toujours par un mouvement circulaire qu'il y parvenait, et s'il ' Latl. -
tenir en repos ; il ne cessait de l'agiter. Au dire de la mère, ces mouvements con- vulsifs étaient par moments si violents, q
montait à pas 1res précipités, ne pouvant, dans sa hâte, régler ses mouvements . Si on le maintenait fortement, les mouvements
sa hâte, régler ses mouvements. Si on le maintenait fortement, les mouvements se changeaient en tressaillements, et le malade
. Au bout d'un quart d'heure ou d'une demi-heure de paroxysmes, les mouvements convulsifs s'affaiblissaient et ils finissaient
s minutes d'exer- cice à pied, quand, tout à coup, il sentit que le mouvement de ses jambes s'accélérait malgré sa volonté et
le mouvement de ses jambes s'accélérait malgré sa volonté et que ce mouvement rapide, qui l'entraînait droit devant lui, l'éc
vait d'un côté bordé de précipices. La terreur que lui cau- sait un mouvement si extraordinaire et le danger visible qu'y ajo
e fort lentement, monter à son appartement, diriger à sa volonté le mouvement des jambes, mais qu'il sentait et qu'on voyait
de l'oeil; bouche entr'ouverte, et sans torsion apparente; quelques mouvements dans la langue sans déviation permanente de sa
s mouvements dans la langue sans déviation permanente de sa pointe. Mouvements respiratoires fréquents, irréguliers, par momen
la pesanteur. Les seuls signes de la sensibilité générale furent un mouvement convulsif du bras droit au moment où l'on pinça
f du bras droit au moment où l'on pinça la peau de ce membre, et un mouvement semblable au moment où l'on incisa les tégument
ix-sept ans. - Mère et tante maternelle épileptiques. - Vertiges et mouvements convulsifs dès l'enfance, puis accès. - Aura pr
les soeurs de Notre-Dame. On nous raconte que déjà elle avait des mouvements nerveux dans les lèvres ; dès sa plus tendre en
n), son bras gauche ne pouvait rien saisir avec précision, tous les mouvements étaient irréguliers, involontaires ; au dire de
maladie a fait de rapides progrès; tous les membres sont agités de mouvements désordonnés, tous les muscles sont le siège de
épileptique, et, au rapport d'une de ses tantes, elle aurait eu des mouvements ir- réguliers des muscles de la face et des mem
La chorée de cette enfant était généralement caractérisée par des mouvements précipités qui l'entraînaient violemment à cou-
des accès procursifs, ceux-ci accompagnés parfois de sauts et de mouvements rotatoires, tous phénomènes qui se trouvent par
s les convulsions manquent entièrement et sont remplacées par des mouvements ambulatoires et des courses », cite briève- men
E PROCURSIVE, 27 guement de quelques autres phénomènes impulsifs, mouvements de manège, mouvements de rotation, observés éga
ment de quelques autres phénomènes impulsifs, mouvements de manège, mouvements de rotation, observés également sur des sujets
, porte la main droite à la joue du même côté qui présente quelques mouvements cloniques et qu'il frotte à différentes reprise
pas; on n'observe pas de période tonique, mais seulement de grands mouvements de rotation incomplète qui portent le corps de
ite, les deux mains appliquées devant la face et la frottant. Ces mouvements de rotation peuvent être accompagnés de sauts d
ni écume, ni incon- tinence d'urine. Autre variété d'accès. Mêmes mouvements des bras et de la tête; il se laisse alors tomb
te qu'il frotte à diverses reprises et qui est agitée de quelques mouvements cloniques; 2° Des accès se présentant sous deux
ndre chez lui à la période clonique - est rem- placée par de grands mouvements de rotation incom- plète de droite à gauche et
e à gauche et de gauche à droite; le côté droit est plus agité. Ces mouvements sont accompagnés du même bourdonnement labial,
en jouant, sans aura, perte de connaissance, chute et accès avec mouvements cloniques des bras. Le deuxième accès eut lieu
arole était saccadée ; cet état a duré une demi- heure. - Les mêmes mouvements choréiformes se sont reproduits quelques jours
aide, le bras droit presque souple ; il se produit ensuite quelques mouvements clo- niques dans les deux bras, mais surtout da
e minutes et se remet ensuite à son ouvrage. - Parfois, pendant les mouvements de trépidation, il demande son couteau pour s'o
l s'écoule quelques minutes, puis Vall... est pris d'une sorte de - mouvement automatique- qui le porte à gauche et en avan t,
arette, toujours tenue delà main gauche; le bras droit est agité de mouvements assez étendus. - Relevé, il est pris dans la po-
rts d'heure. Depuis son entrée à l'hospice nous avons observé des mouvements de trépidation, survenus en dehors de tout accè
emiers accès, il tombait comme une masse, était roide, avait des. mouvements convulsifs pendant un instant et de l'écume bucca
e sur le dos, sans cri, sans aura, sans écume à la bouche. Quelques mouvements convulsifs de la tête et des bras, qui manquent
on s'aperçoit qu'il a glissé à côté du fauteuil, puis. par un autre mouvement brusque sous le lit. Les membres inférieurs son
pupilles sont dilatées. Le pouls est très rapide, incomptable. Les mouvements respiratoires sont rapides, mais réguliers. 1
eurs sont en extension forcée. Tout le corps est ensuite agité de mouvements rapides. Le membre inférieur gauche se relève il
is à droite; la mâ- choire inférieure en abaissement forcé, avec un mouvement latéral qui la porte fortement à gauche, puis à
mangeant, en présence de son oncle, se lève brusquement et, par des mouvements désordonnés, mais non convulsifs, renverse les
82, à Bicêtre (service de M. Bourneville). Il s'agit dans ce cas de mouvements automatiques précédant immédiatement l'accès. -
'a frappé son père; il lui disait : « Papa attache-moi ! » Dans ses mouvements , les objets étaient brisés. A Bicêtre, le mal
ésentent sous la forme vertigineuse : pâleur de la face, chute sans mouvements convulsifs. Le pouls est accéléré et le malade
son droit dehors ». En par- lant au médecin, les mains, toujours en mouvement , sont placées devant lui ; il prononce tous les
s. Il s'agit ici d'actes automatiques précédant l'accès suivis de mouvements rotatoires, mais l'on ne saurait assimiler ces
paraît se masturber pendant l'examen ; il se frotte le gland par un mouvement circu- laire du pouce et de l'index 1. Les ex
s premiers temps, il ne pouvait porter la main à la bouche ; ce mouvement n'est devenu possible qu'au bout de cinq ou s
uvaient devant lui, puis il revenait s'asseoir; il pâlissait et les mouvements du coeur étaient tumultueux. Rien ne l'avertissai
Ot3snv.To : v LVI. - Epilepsie avec idées religieuses extatiques mouvement de manège forcé de gauche à droite. - Démarche va
che à droite. - Démarche va- cillante, impossibilité d'exécution de mouvements (fonctions) com- plaqués. - Altitude de la tête
ure, ou d'une marche d'un pas rapide dans le corridor; - 2° soit en mouvements de manège, c'est-à-dire locomotion en cercles d
ongitudinal (en attitude debout), également de gauche à droite. Ces mouvements duraient souvent une heure ; si l'on cherchait
e devait pas l'arrêter, qu'il courait pour délivrer le monde ». Ces mouvements circulaires étaient limités en étendue, environ
e dans l'épilepsie procursive, les accidents procur- sifs, certains mouvements de manège, de rotation, sont liés à une lésion
X. - Considérations générales SUR la physiologie ET L'ÉTIOLOGIE DES MOUVEMENTS PROCURSIFS. La plupart des physiologistes s'acc
ie procursive. Disons de suite que la propriété de coordonner les mouvements paraît devoir être exclusivement réservée à son
ns ou des excitations expérimentales du cervelet, nous citerons les mouvements de rotation et le tremblement. Chez les pigeons
observé, suivant la durée de la réfrigération par la rhigolène, un mouvement en avant, puis plus tard un mouvement de recul'
gération par la rhigolène, un mouvement en avant, puis plus tard un mouvement de recul'. Pour certains auteurs, les phénomène
rir en avant (ScélolYl'bc fcstinans), soit à accomplir une série de mouvements involontaires de la tête, du tronc ou d'un des me
, que les tendances procursives présentées par certains sujets, les mouvements rota- toires accomplis par d'autres, ne sont en
utres, ne sont en définitive que la répéti- tion, chez l'homme, des mouvements d'cnlraîncment latéral, des mouvements de rotat
i- tion, chez l'homme, des mouvements d'cnlraîncment latéral, des mouvements de rotation, des impulsions procursives variées,
diaire (épilepsie symptomatique réflexe)1. Pour M. Ilitzig'2, « les mouvements irrésistibles sont tous, dès l'origine, des mou
zig'2, « les mouvements irrésistibles sont tous, dès l'origine, des mouvements volontaires qui prennent un caractère irrésisti
iverses parties de l'organe. C'est ainsi qu'il peut se produire des mouvements en appa- rence irrésistibles quand l'individu s
and l'individu s'illusionne sur sa situation dans l'espace. » Les mouvements de rotation ont été également obser- vés à la s
avec une grande rapidité pen- dant un temps plus ou moins long. Ces mouvements de rotation, qui, pendant longtemps furent la c
sions secondaires auxquelles peut être attribué le remplacement des mouvements procursifs par des accès type d'épilepsie. Auss
épileptiformes et que la lésion d'un pédoncule cérébral produit un mouvement de manège du côté opposé à la lésion. « Dans ce
ure et externe du pédoncule cérébral, le même auteur a constaté des mouvements de rotation sur l'axe. lllagendie admettait d
dont l'excitation déterminait chez les animaux un , llesnet. - Des mouvements circulaires (Archives générales, mai SS'2)' , l
dition, p. S)9t). Paris. 1 Í¡¡. DE L'ÉPILEPSIE PROCURSIVE. loi) mouvement de recul ; après leur ablation, il y aurait une
action de recul du corps strié. - Richardson et llitchel ont vu des mouvements en avant très marqués par le refroidissement de
servé chez le chien, après l'ablation complète du noyau caudé, un mouvement de manège fort particulier (Carville et Dure !
hez le lapin un nodus c1l1'sorius dont l'excitation pro- duisait un mouvement de course irrésistible. D'autres auteurs, entre
stible. D'autres auteurs, entre autres M. Steiner, attribuent les mouvements irrésistibles à un défaut d'asymétrie de l'inne
huit ans. - Difficultés de la marche et chutes par exagération des mouvements des jambes. - Difficulté de man- ger et de boir
mouvements des jambes. - Difficulté de man- ger et de boire due aux mouvements désordonnés des membres supérieurs. - Contorsio
signes plus marqués du côté droit. - Parole scandée et embarrassée. Mouvements rares au repos; exagérés par la plus légère émo
aissance, parfois rigidité; écume san- glante, ronflement. Quelques mouvements de la tête, mais ne se débat pas. 11 aurait eu
pileptiques présumés. Cette dernière affection parait douteuse; les mouvements irréguliers dépendraient plutôt d'un état chlor
AVEC IMBÉCILLITÉ. 16t. les avant-bras un peu fléchis, les doigts en mouvement . Le corps se tortille, les genoux se touchent,
e pouce et l'index se détachent de la four- chette et exécutent des mouvements . Quand il a saisi le morceau de viande avec la
l a saisi le morceau de viande avec la fourchette, par une sorte de mouvement de bascule il appuie fortement sur la table l'a
éférence il se sert de la main gauche pour prendre son pain, et les mouvements d'élévation de l'avant- bras et d'abaissement d
e et le corps,, cou gonflé, pouls faible, lent, ré- gulier (60 p.). Mouvements respiratoires réguliers (20), soulevant les jou
t se rhabiller, mais tout cela se fait très lentement en raison des mouvements choréiformes. Urination normale. Moustaches châ
voix est nasonnée et gutturale. Les lèvres sont presque toujours en mouvement . Parfois la phrase se conti- nue sans arrêts :
commissionnaire... malade lui-même.» La parole est scandée par des mouvements . Il peut allonger la langue et la maintenir que
nserve assez longtemps cette position; parfois, cependant, il a des mouvements des doigts et du bras droit. C'est ce bras qui
faible - ainsi que la jambe correspon- dante - et qui présente les mouvements choréiques les plus accusés. Le malade peut se
oche les deux mains, les doigts très largement espacés, et avec des mouvements d'athé- those. Une' fois le vase saisi violemme
uelqu'un qui pousse son chariot. Il est plus vigou- reux ; mais ses mouvements chloréiformes sont les mêmes. Quand on le renco
nt les mêmes. Quand on le rencontre il soulève sa casquette avec un mouvement sac- cadé tout spécial. - Traitement : continue
un état satisfaisant au point de vue de la santé générale; mais les mouvements spasmodiques persistaient presque aussi intenses.
es, les genoux en contact, les jambes rejetées de côté. On note des mouvements des doigts de la main droite, des épaules, de l
la main droite, des épaules, de la tête et de la jambe droite. Ces mouvements sont à certains jours beaucoup plus prononcés,
me qu'elle ne roidit pas, qu'elle lui obéit et ne le gêne par aucun mouvement irrégulier. , Plusieurs expériences ont été fai
ces ont été faites pour étudier la préhension et les caractères des mouvements des bras dans cet acte. Quand le malade veut sa
'écartent, s'élèvent et se rapprochent vers le but en exécutant des mouvements choréiformes à large amplitude, tout en se diri-
partir du moment où D... soulève le verre, il n'y a plus de grands mouvements comme dans la première partie de l'acte, mais s
oscillations assez grandes, avec conservation de la direction du mouvement , puis la cuiller étant saisie énergiquement, il l
D'ATHÉTOSE DOUBLE AVEC IMBÉCILLITÉ. il 69 lions. Les caractères des mouvements dans ces deux actes doivent être retenus, car i
un effort considérable pour se mettre debout, effort accompagné de mouvements athétosiques de la face et des doigts. Dans la
uche le sol. Les jambes, surtout la droite sont agitées de quelques mouvements choréiformes qui ne sont en rien comparables au
uelques mouvements choréiformes qui ne sont en rien comparables aux mouvements de projection des ataxiques. La seule analogie
ticulations sont un peu roides, mais s'assouplissent après quelques mouvements . Elles ne sont le siège d'aucun cra- quement.
s qu'il y ait erreur de direction; il y a seulement quelques petits mouvements . 11 en est de même si on lui fait porter l'un o
levé et que les orteils, surtout ceux du pied droit, sont[animés.de mouvements d'athétose. Le signe de Rom- berg n'existe pas
, état paralytique, prédominant à droite. - Appa- rition des grands mouvements spasmodiques ci l'occasion des gestes et des mo
des grands mouvements spasmodiques ci l'occasion des gestes et des mouvements spontanés. - Contractures avec les mouvements p
n des gestes et des mouvements spontanés. - Contractures avec les mouvements provoqués. - Accès de colère. - Bave jusqu'à huit
er et de manger seul jusqu'en 1880. - Gâtisme. - Prédominance des mouvements du côté gauche, légèrement plus fort que le droit
avec une certaine force, à cause de la contracture musculaire. Les mouvements , même communiqués, sont impossibles dans les ar
en poussant le dos d'un fauteuil devant lui. Dans ce cas, tous ses mouvements sont exagérés et provoquent par tout son corps
s ses mouvements sont exagérés et provoquent par tout son corps des mouvements réflexes de la plus grande étendue. Quand il ve
ieurs qu'il étend pour se soutenir aux objets voisins dessinent des mouvements très étendus, les avant- bras se fléchissent su
des extrêmes. Au repos, nulle exagération des réflexes; parfois nul mouvement ; il reste accroupi dans son fauteuil, les membres
essaye de manger seul, avec une cuiller, mais à cause de ses grands mouvements , il répand la moitié du potage. Il s'essaye aus
ler lui-même, dit : « Attends » à l'infirmier qui veut l'aider. Les mouvements ont un peu diminué d'amplitude, mais ont conser
is ont conservé ce caractère d'être constants, à l'occasion de tout mouvement volontaire ou provoqué, et de tendre à se génér
es membres inférieurs qui sont soulevés, ainsi que les épaules, des mouvements dans les doigts, des grimaces de la face : la b
. veut prendre un verre, les membres supérieurs décrivent de grands mouvements . Le bras droit s'élève, et la main se porte à l
. Le bras gauche s'allonge et Lem... prend, après avoir exécuté des mouvements choréiformes à amplitude assez larges mais sans
orte le verre à sa bouche. Dans cette dernière phase de l'acte, les mouvements choréiformes sont très peu prononcés tandis qu'
t, inclinaison du tronc, etc.; puis, il saisit la cuillère avec des mouvements choréiformes qui la fontquelquefois sauter sur
oup plus imparfaite. Sous l'influence des émotions même légères les mouvements des membres et du tronc et les grimaces de la f
u'il en est de même de la force muscu- laire et de la direction des mouvements , même quand les yeux sont fermés. Ajoutons que
le droit, ne touchent pas le sol et que les orteils sont animés de mouvements d'athétose. La marche ne parait pas modifiée, l
tres muscles de la face. Lorsqu'ils sont assis, on observe quelques mouvements des membres, de la face ou de la tète. Ces mouv
erve quelques mouvements des membres, de la face ou de la tète. Ces mouvements augmen- tcnt lorsqu'ils se mettent debout, ce q
ctue à peu près en ligne droite et se complique presque toujours de mouvements d'athé- tose, qui sont très évidents aux orteil
e, la sensibilité spéciale, la notion de position, la direction des mouvements , la force musculaire sont conservées. Il en est
t et porté presque sans oscillations jusqu'à la bouche : en un mot, mouvements cho- réiformes prononcés dans la première parti
nces. Dans l'athétose double, l'émission des mots s'ac- compagne de mouvements convulsifs des lèvres et des autres muscles de
e et ne s'observent, au moins durant longtemps, qu'à l'occasion des mouvements , débutent par les jambes envahissent plus tard
(paraplégie). Dans l'athé- tose double, même au repos, on note des mouvements des doigts, des orteils, de la face, etc. ; les
mbes et souvent glisse de sa chaise. La brusquerie et l'étendue des mouvements du choréique, diffèrent tout à fait des mouveme
l'étendue des mouvements du choréique, diffèrent tout à fait des mouvements lents et circonscrits que l'on observe dans la
cogne contre les objets environnants, se contusionne, soit dans ses mouvements incohérents, contradictoires et illo- giques, s
ions violentes, contradictoires, troublent la direction générale du mouvement et font manquer le but, tandis que chez l'athé-
er le but, tandis que chez l'athé- tosique la direction générale du mouvement est conservée. Les troubles cardiaques, la diat
ns grande rapidité. La chorée l'hythmée, caractérisée aussi par des mouvements involontaires, impulsifs, cadencés, se reprodui
ncés, se reproduisant suivant un rhythme régulier, imitant certains mouvements d'expression, tels que ceux de la danse, ou bie
eux de la danse, ou bien certains actes profession- nels, comme les mouvements des rameurs ou des forgerons ', et liée d'ordin
pendant le sommeil : le nez, la bouche, les yeux étaient agités de mouvements qui duraient plusieurs minutes. Jamais de grand
trémité antérieure du quatrième métacarpien. Ce système n'a que des mouvements antéro-postérieurs très-limités, qui suivent ce
ferme la main ; mais chacun des doigts de ce groupement n'a pas de mouvements propres. Le petit doigt est uni au plus externe
t possède aussi un ongle mais mal conformé. 'l'out ce système a des mouvements de flexion et d'extension, d'adduction et d'abd
avec lo doigt externe. Le doigt ex- terne et le médian ont quelques mouvements propres très peu étendus. L'abdomen est très
cident : P. 72 ; T. R. 3G°,8 ; respiration plus régulière, quelques mouvements convulsifs des membres supérieurs ; agitation.
do nous ses locutions et fit tous les signes, nous forçant tous do mouvements . J'affirme, comme . idées DE persécution. ' 249
22 (1911) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 24] : iconographie médicale et artistique
ralysie traumatique du sciatique gauche. La malade exécute tous les mouvements , excepté ceux du territoire du scia- tique para
raction tendineuse diminue l'amplitude de certains d'entre eux. Les mouvements sont lents. La malade garde quelques instants l
e lui-même, la chute se fait lentement et en plusieurs temps. Les mouvements passifs dans l'articulation scapulo-humérale sont
éjà signalées. Si on essaie de dépasser une certaine amplitude, les mouvements deviennent douloureux et la malade gémit. Aux
et l'extension des cuisses est réduite. Il en est de même pour les mouvements d'abductiou et d'adduction qui sont douloureux.
es mouvements d'abductiou et d'adduction qui sont douloureux. Les mouvements passifs dans l'articulation du genou tibiotarsien
ils du côté droit sont limités. Du côté gauche (paralysé) ces mêmes mouvements passifs s'exécutent facile- ment. - La marche
ignements plus précis. Le réflexe rotulien est conservé bien que le mouvement de la jambe ne se produit pas à cause des rétra
eut ob- server des déviations ni de l'avant-bras ni de la main. Les mouvements de la main sont libres mais avec une certaine l
longueur, tandis que l'auriculaire a 7 cm. 5. Si l'on y imprime des mouvements passifs, on sent qu'il est formé de deux petits o
rticulés entre eux. Le sujet ne réussit à imprimer activement aucun mouvement à ce doigt surnuméraire. Les autres doigts ont
itue et, comme l'autre doigt surnuméraire, il est incapable de tout mouvement actif. Les autres doigts présentent les mêmes car
colonne vertébrale et de la tète, de douleurs et de difficulté des mouvements dans les articulations des épaules, et dans l'art
pour la première foi4 des douleurs irradiées et une difficulté des mouvements de la colonne verté- brale dans la région du co
bruit de frottement dans les articulations, une forte diminution de mouvements et un bruit de frottement dans l'articulation c
pas de douleurs spécifiques, mais des douleurs intenses au moindre mouvement ; dans la région lombaire surtout, il y a des dou
la tête au sacrum, des deux articulations du bassin, et limita les mouvements des articulations des épaules. Etat au moment d
t plus accentuée du côté droit ; il existe une faible limitation de mouvements dans l'articulation du genou droit. Toutes les
randes articulations ; elles surviennent seulement a l'occasion des mouvements . Les vertèbres ne sont pas douloureuses au touche
iation de la colonne verté- brale et de douleurs survenant à chaque mouvement dans la colonne verté- bra ! e et dans la jambe
de trois ans et demi se déve- loppa une limitation progressive des mouvements des articulations des épaules. Etat du malade a
st aplatie et reste immobile pendant la respiration; limitation des mouvements dans les articulationscoxo-fémnrales; absence d
rsion de la cage thoracique pendant la respiration ; limitation des mouvements et crépitation dans les articulations des genoux.
les et,aux articulations des épaules, qui ne sont ressenties qu'aux mouvements . Les systèmes musculaire et nerveux sont dans u
bdominal. Il existe un bruit de frottement et des douleurs à chaque mouvement dans les articulations des épaules et dans les
urs sponta- nées, les douleurs n'apparaissent ([n'il l'occasion des mouvements aux régions lombaire, dorsale, aux omoplates, a
région lombaire et aux articulations fémorales et une limitation de mouvements dans ces dernières. Un an et demi après se mani
ns dou- leurs spécifiques, enfin des douleurs et une limitation des mouvements dans les articulations des épaules. Etat du m
immobile pendant la respiration. Sensation douloureuse pendant les mouvements , et li- mitation de mouvements dans les articul
n. Sensation douloureuse pendant les mouvements, et li- mitation de mouvements dans les articulations des épaules (les bras s'él
cave. A 26 ans, sans aucune cause apparente, il ressentit, à chaque mouvement , des douleurs aiguës à la région lombaire, 5 mo
ce d'expsto- ses et de déformation des os. La faible limitation des mouvements des articu- lations de l'épaule gauche, du coud
e dégénérescence. Les douleurs n'apparais- sent qu'à l'occasion des mouvements ; la colonne vertébrale par elle-même ne fait p
nait d'une immo- bilité du dos, de douleurs et d'une limitation des mouvements de l'articulation de l'épaule droite et de l'ar
sans aucune cause apparente, apparaissent de faibles dou- leurs aux mouvements dans la région du sacrum ; deux ans après, dans l
e ver- tébrale dans les régions dorsale et lombaire. Limitation des mouvements et bruit de frottement dans les articulations d
nt dans les articulations des épaules ; d'autre pari, difficulté de mouvements et faible sensation douloureuse dans l'articulati
aignait de déviation et d'immobi- lité du cou, d'une difficulté des mouvements dans les articulations des épaules et du bassin
is un an seulement sont apparues des douleurs et une difficulté des mouvements dans les articulations des épaules ; depuis 5 m
t se sou- lever plus haut que la ligne horizontale ; difficulté des mouvements des han- ches (de la gauche surtout), gêne peu
culations des épaules et dans le genou droit ; faible limitation de mouvements dans les ar- ticulations coxo-fémorales. La cag
e courbe, dont la convexité est tournée en arrière ; limitation des mouvements de la colonne vertébrale et des articulations des
viation de la colonne verté- brale,de douleurs et de difficulté des mouvements dans les articulations du bassin et de douleurs
mouvements dans les articulations du bassin et de douleurs à chaque mouvement dans la colonne vertébrale. Il séjourna à l'hôp
du bassin. Quelque temps après, des douleurs et une difficulté des mouvements apparurent dans la région lombaire. Le malade p
giques aiguës, se développa, à l'insu du malade, une difficulté des mouvements de toute la colonne vertébrale, qui aboutit plu
colonne vertébrale, sauf dans la région cervicale. L'amplitude des mouvements n'est pas limitée dans les articulations des ép
s cuisses aussi bien que dans les autres articulations. La force du mouvement est diminuée et les mouvements sont douloureux
les autres articulations. La force du mouvement est diminuée et les mouvements sont douloureux dans l'articulation gauche du bas
Le système musculaire est normal. 11 existe des douleurs il chaque mouvement , au dos et aux articulations des han- ches, ces
nt d'une immobilité absolue. Les articulations des han- chesont des mouvements limités, toutes les antres articulations des jamb
ade se plaignait d'immobilité complète du dos, d'une limitation des mouvements dans les articulations des épaules et dans les
pour la première fois une arthralgie et une certaine difficulté des mouvements et, plus tard, une limitation dans les articulati
nt au sacrum et six mois plus tard se manifesta une difficultés des mouvements dans la région loin- haire, qui se propagea, da
ormale, sauf dans la région lombaire où la lordose est aplatie. Les mouvements de la tête sont limités; la colonne vertébrale
physiologiques sont aplaties. La cage tboracique est enfoncée, les mouvements de la respiration sont limités, la respiration es
tête sont dans une immobilité complète. Grande limitation dans les mouvements articulaires des épaules ; les autres articulat
u cou- de-pied ; un bruit de frottement s'y entend ; limitation des mouvements et douleurs à leur occasion dans les articulati
tension de quelques muscles de la région de l'épaule. Douleurs aux mouvements dans les articulations affectées. Le système
des genoux et des coxo-fémorales qu'il ressentait à l'occasion des mouvements , et de douleurs dans le dos, dans les côtes et
dorsale et lombaire du rachis ; le cou reste libre. Limitation des mouvements et douleurs aiguës pendant les mouvements dans le
ste libre. Limitation des mouvements et douleurs aiguës pendant les mouvements dans les articula- tions du bassin et des genou
douleurs spécifiques, lancinantes et aiguës s'accentuent au moindre mouvement à tel point que les malades sont obligés de con
ons des hanches et des épaules; il existe une faible limitation des mouvements avec bruit de frottement; il peut y avoir une a
de sa propagation, de la diffi- à'.IV 10 138 ELDAROFF culte des mouvements ou de l'immobilité des articulations des hanches
xcepté dans l'obs. VI où s'est manifestée une légère limitation des mouvements dans les articulations du coude, et dans )'obis
vements dans les articulations du coude, et dans )'obis. IX, où les mouvements des articulations des genoux ont été légèrement
ti- culations ankylosées, qui ont encore conservé la possibilité du mouvement . 19° Un des symptômes caractéristiques pour la
s spontanées ; les dou- leurs ne se manifestent qu'à l'occasion des mouvements . 21° Le toucher et la pression'n'éveillent, dan
alade n'a pu ni sortir, ni marcher. Celles-ci apparaissaient à tout mouvement de son membre malade et même spontanément, de sor
. Le membre inférieur droit est tout à fait immobile et, au moindre mouvement passif, le malade pousse des cris à cause des d
se au lieu de la proéminence normale des muscles de cette face. Les mouvements de tous les muscles innervés par le nerf péroni
ne immobi- lité absolue, le malade ne pouvant exécuter que'quelques mouvements de flexion de doigts seulement. La sensibilit
dans la région cervicale de la colonne vertébrale, de sorte que les mouvements de cette partie étaient douloureux et très rest
point de vue local qu'au point de vue général ; il faisait quelques mouvements avec son membre inférieur droit, les douleurs o
loureuses à la pression.Le moindre contact amène chez la malade des mouvements de défense et provoque des cris de douleur. L
F. n'est plus capable de se tenir debout, il tombe en arrière. Les mouvements des bras sont ataxiques ; il ne sait plus retro
on exercée par la boîte crânienne, l'influence beaucoup moindre des mouvements corporels sur le cerveau et peut-être aussi l'org
té moyenne : néanmoins les personnages ne manquent pas d'un certain mouvement et le dessin est bon. Mais ce qui en fait l'int
Le réflexe cutané plantaire se fait, à gauche, en flexion avec des mouvements de défense ; à droite, mouvement de défense ave
it, à gauche, en flexion avec des mouvements de défense ; à droite, mouvement de défense avec, par moments, extension de tous
on de tous les orteils difficile à différencier de l'en- semble des mouvements de défense, si bien que le signe de Babinski para
ucléose prédominante. Température : 39°. 12 avril. Il n'y a plus de mouvements convulsifs. Rien à la face. Pas de déviation co
a face regardant à droite et les yeux se déviant de ce côté. Pas de mouvements convulsifs dans les muscles de la face. La main
ce de stéréotypie : si on lui lève le bras ou la main, il répète ce mouvement trente fois, quarante fois de suite, et même dava
ie gauche. 3. Le malade présente dans le membre supérieur droit des mouvements convulsifs déplaçant les divers segments du mem
mouvements convulsifs déplaçant les divers segments du membre. Ces mouvements persis- tent toute la matinée puis disparaissen
es étouffements. On le trouve couché dans son lit, ne faisant aucun mouvement spontané, plongé dans un demi-coma dont il ne s
nd avec peine. La motilité n'est pas abolie. Il essaie de faire les mouvements qu'on lui or- donne, mais ces mouvements sont i
ie. Il essaie de faire les mouvements qu'on lui or- donne, mais ces mouvements sont incomplets et très lents. Quand il untr'oiiv
nt, et le signe de Babinski est impossible à affirmer en raison des mouvements de défense faits par cet homme. Incontinence
nées de vomissements, la main gauche était atteinte de parésie avec mouvement .-» athétosiques, et paresthésies. A 18 ans, apr
laire, amblyopie. Le malade compte à peine les doigts, faiblesse de mouvements , stupor. A l'autopsie on trouva un gliôme issu
droite de- venaient faibles et que les doigts n'obéissaient pas aux mouvements volontai- res qu'il désirait faire ; par exempl
s se faisait mal ; il ne pouvait écarter les doigts ou exécuter des mouvements un peu délicats ; cependant, tant bien que mal,
t du bras. Pas de tremblement intentionnel, pas d'ataxie dans les mouvements . Membre supérieur gauche. - Le membre supérieur
ant-bras, le bras nesont pas atrophiés ni modifiés de volume. Les mouvements des doigts, de la main, de l'avant-bras, du bras
i n'existe pas du côté droit. Vision. Le malade voit très bien. Les mouvements des globes oculaires sont bien exécutés. La f
e son altitude (en griffe), de l'état des muscles (atrophie) et des mouvements relatifs. Mais ce qu'il y a de singulier dans c
ule et région scapulaire). La notion de position, la perception des mouvements passifs et actifs, des sensations de poids et d
e, les yeux fixés en avant très légèrement baissés. On constate des mouvements de déglutition fréquents accompagnés d'un léger b
tension musculaire généralisée. Cepen- dant, il résiste à tous les mouvements qu'on veut imprimer à ses membres et fait des g
répond mieux aux questions. 11 août 1891. Lenteur et indécision des mouvements volontaires, pour se lever, pour prendre quelqu
vements volontaires, pour se lever, pour prendre quelque chose. Les mouvements sont plus rapides si on le commande énergiqueme
ute force coucher avec elle ? ) Len- teur et indécision de tous les mouvements : s'y prend à plusieurs reprises pour se lever
bresauts musculaires surtout du biceps droit. Même in- décision des mouvements pour s'habiller, se lever. A les mains froides, p
st-ce qu'il a donc, ce côté ? Pas de réponse. - Il se lève, fait un mouvement accompagné d'une grimace. D. Vous avez reçu un
votre tète. R. Pourquoi faire ? On répète l'ordre. Il exécute le mouvement . Il marche sur injonction, tou- jours avec la m
tend la main ; G hésite et finit par donner la sienne en faisant un mouvement décomposé par trois saccades Le surveillant lui
oitement et ont une capsule ligamenteuse courte qui ne permet qu'un mouvement court. Dans notre cas, tous les rangs des apophys
mala- des ou sur les épaules du malade et surtout à l'occasion des mouvements du rachis; elles s'apaisent par l'immobilité ou
ondylose rhizomélique à cause des dou- leurs etde la limitation des mouvements de la colonne vertébrale, mais le cours ultérie
s apparaissent dans le rachis, bientôt suivies d'une limitation des mouvements et d'une déformation. Dans cette période l'af-
longue où il existe des douleurs,1110dé- rées et une limitation des mouvements provoquée par ces douleurs, l'af- fection guéri
paules et des hanches; ces douleurs s'accentuaient à l'occasion des mouvements . Dans deux cas, le rachis constituait une colon
tie. Les muscles du dos et des hanches étaient contractures et. les mouvements volontaires du rachis. des articulations des ép
sous la narcose chloroformique, il fut possible d'obtenir tous les mouvements passifs. Il est donc évident que tous les phéno
résultaient de l'étatdes muscles et des douleurs provoquées par les mouvements . Une autre forme d'immobilité du rachis d'origi
s douleurs s'apaisaient, l'état général s'améliorait et parfois les mouvements devenaient un peu plus amples dans les articula-
l'oeil gauche. A l'état dynamique, ce strabisme s'exagère dans les mouvements vers la gauche. La mobilité de i'<.s : 7 g
noter en outre que la malade éprouve une grande gêne dans tous les mouvements de latéralité. Elle porte son cou en masse à droi
côté droit (voir plus loin l'examen ophtalmologique. Equilibre et mouvements commandés. Rien d'anormal dp ce côté. Pas d'ata
l'oeil gauche. A l'état dynamique : le strabisme s'exagère dans les mouvements vers la gauche. OD : motilité normale. Quel
tarse et du métatarse. Les cuisses sont admirablement charpentées, mouvements articulaires normaux. Le malade fait preuve d
l. Pas de cyphose. Pas de déformation qui attire l'oeil. Les divers mouvements de la colonne vertébrale s'accomplissent très bie
et une cyphose cervico-dorsale très prononcée, ce qui fait que les mouvements de la tête sont très lents et très maladroits.
érale. Les pupilles sont égales, réagissent bien à la lumière.* Les mouvements des globes oculaires sont limités. Le nerf trij
n grand affaiblissement intellectuel, on observe chez le malade des mouvements stéréotypés, des bizarreries, des grimaces; le
dans un globe luisant, dans la glace, en même temps il exécute des mouvements rythmiques et lents avec la main, tord sa mous-
es facultés intellectuelles, en même temps que la bizarrerie et les mouvements stéréotypés démontrent bien que nous avons affa
Ueurs CONTRIBUTION A l'ÉTUDE DES DIFFORMITÉS CONGENITALES 331 Les mouvements passifs offrent dans les divers segments du membr
une augmentation de résistance un peu supérieure à la normale. Les mouvements actifs sont tous un peu limités, surtout ceux d
n du bras gauche : 103° ; Flexion du bras droit : 130°. Lenteur des mouvements volontaires qui sont toujours incomplets. Impos-
jours incomplets. Impos- sibilité de manger seule. Tremblement et mouvements involontaires. Les doigts, la main, les avant-b
mis en évidence lorsque la malade ébauche ou s'efforce de faire un mouvement commandé ; il a alors l'allure d'un tremblement
à 150 oscillations. Minime et à courtes oscillations au début d'un mouvement , il prend des proportions de plus en plus forte
n plus fortes : les oscillations devenues très amples don- nent aux mouvements l'allure de la sclérose en plaques. xxiv 22 3
a sclérose en plaques. xxiv 22 338 ETIENNE ET GELMA Ce sont des mouvements rythmés, rapides, de flexiou et d'extension dans
: l'avant-bras sur le bras, la main sur l'avant- bras avec un léger mouvement rotatoire en dedans, les doigts sur la main ; l
re en dedans, les doigts sur la main ; le pouce est animé de petits mouvements de llexion et d'adduction avec le phénomène de
de la peau du bras ou d'un endroit quelconque du corps provoque les mouvements de flexion et d'extension décrits plus haut. Ré
s. La piqûre de la peau de la face interne des cuisses provoque des mouvements fasciculaires des adducteurs et des muscles de la
ions rapides et régulières sans augmentation d'amplitude lorsque le mouvement devient plus prononcé. Ce tremblement est mis e
moindre excitation psychique ou par une tentative d'exécution d'un mouvement commandé. En décembre 1884, rien de particulier
4, rien de particulier. En novembre 1885,bourdonnements d'oreille ; mouvements de trombone de la langue ; flexion des jambes s
et en particulier dans la nuit, où elle peut exécuter une série de mouvements qu'il lui devient impossible d'accomplir lorsque
extension on observe : que le membre oscille pendant l'exécution du mouvement ; et même s'il veut l'arrêter à une hauteur quel
un talon le genou opposé, on remarque que pendant l'exé- cution du mouvement , le talon oscille; et même s'il arrive à toucher
s, que le malade tien les yeux fermés pendant les exécutions de ces mouvements volontaires. Si nous demandons au malade de mar
rien d'anormal. Il n'existe pas d'hypotonie, car en lui faisant des mouvements passifs dans l'articulation coxo-fémorale, on n
e du fémur ne puisse plus se maintenir fixe pendant l'exécution des mouvements volontaires. Biais en examinant nos malades, co
homme normal, on voitque tous les muscles pendant l'exécution d'un mouvement volontaire, ou pendant que la jambe est simplemen
ontaires et volontaires n'apparaissent que pendant l'exécution d'un mouvement volontaire, car aussitôt que le malade laisse, pa
que nous observions aucune oscillation. Il peut exécuter les mêmes mouvements tout aussi bien avec les yeux- fermés, sans que
les yeux- fermés, sans que nous observions aucune oscillation. Les mouvements sont naturellement un peu gênés dans leur exécuti
NISME DE L'ATAXIE TABÉTIQUE 34H pas prévenu, en voyant exécuter ces mouvements au lit, on ne pourrait pas soupçonner que le ma
un peu gêné dans cet appareil qui lui semble rigide, mais quelques mouvements sur place, ou quelques pas dans la salle, et il
s court. Ce sont ces contractions qui impriment au tronc ces petits mouvements oscillatoires, brusques. « Ces contractions cep
tianquillement posés à plat sur le tapis, étaient agités de petits mouvements continuels, et que ses orteils étaient incessam
arrivait à cette conclusion que généralement, pour l'exécution d'un mouvement volontaire, nous avons besoin de mettre en jeu
culaires synergiques, destinées à imprimer à une partie du corps un mouvement volontaire vers une situation ou une attitude q
érales, parce qu'elles sont formées par les muscles qui assurent le mouvement , en empêchant la partie du corps qui se déplace
de sa direction. Ces dernières associations vien- nent en aide aux mouvements qui ont lieu seulement dans les articulations m
e la volonté du malade, c'est parce que, pendant l'exécu- tion d'un mouvement volontaire, les associations musculaires et surto
ions musculaires est absolument nécessaire dans l'exécution de tout mouvement simple. L'exemple classique d'ataxie, que nous
ant couché dans son lit, soulève le membre inférieur étendu, est un mouvement simple. Pour que ce mouvement s'exécute correct
ve le membre inférieur étendu, est un mouvement simple. Pour que ce mouvement s'exécute correctement et pour que la jambe'n'o
ntractions. Mais il n'est pas suffisant de saisir le mécanisme d'un mouvement simple, pour expliquer en même temps le mécanis
'un mouvement simple, pour expliquer en même temps le mécanisme des mouvements coordonnés, résultant de la réunion de plusieur
sme des mouvements coordonnés, résultant de la réunion de plusieurs mouvements simples. Certes, quand l'homme est debout, tout
mettra à osciller. Mais ici il s'agit seu- lement d'un trouble des mouvements nécessaires à l'équilibre statique et non pas d
sis sur une chaise, nous voulons nous relever, il faut, pour que ce mouvement puisse s'exécuter dans de bonnes conditions, qu
ns entrent en jeu ; mais si mon malade tabé- tique ne peut faire de mouvements qu'en se balançant involontai- rement, il ne s'
balançant involontai- rement, il ne s'agit pas ici d'un trouble des mouvements coordonnés, mais seulement d'un trouble d'équil
'il ne garde pas son équilibre, il a pu tout de même coordonner les mouvements nécessaires à l'action de se relever. Enfin u
s troubles de l'équilibre statique ou cinélique. Le mécanisme des mouvements coordonnés est plus délicat. Pour que l'homme p
e second groupe des phénomènes ataxiques, quel est le mécanisme des mouvements coordonnés et comment ce mécanisme étant troubl
culaire de la cuisse et du bassin est dure pendant qu'il exécute ce mouvement et pendant 'tout le temps qu'il maintient le me
se contracte. Celle contraction persiste pendant toute la durée du mouvement , et pendant tout le lemps qu'il maintient le me
aire postérieure de la cuisse, on sent alors dès le commencement du mouvement que celle masse durcit, et puis en continuantde l
u- laire des adducteurs est tout le temps flasque, sauf à la fin du mouvement , quand le membre est près d'arriver sur la surf
nte, n'ayant aucun rôle d'être contractés, et seulement à la fin du mouvement ils se contractent de nouveau, probablement par
, c'est-à-dire que tous les muscles se contractent au début de tout mouvement qui demande un certain effort. Avant d'aller plus
jamais voulu accepter le fait que pen- dant que l'homme exécute un mouvement avec certains muscles, les autres muscles, les
s'agit par exemple de fléchir sim- plement l'avant-bras sur le bras mouvement qui ne demande qu'un effort très faible, le mus
e le membre infé- rieur en l'air, nous avons vu que dès le début du mouvement les muscles postérieurs de la cuisse se contrac
le, et ne permettent pas au membre d'osciller.' La physiologie d'un mouvement simple comme celui de la flexion dn membre infé
ant de se rendre compte de ce qui se passe chez l'ataxique ; ici le mouvement s'exé- cute imparfaitement, à cause des oscilla
lève le membre et le maintient en l'air. Il est vrai qu'au début du mouvement , on sent une certaine raideur en Irain de se pr
re avec ce mot d'hypo- tonie, et il applique celui-ci seulement aux mouvements passifs qui dé- passent par leur étendue l'état
temps avant qu'on puisse constater de l'exagération d'amplitude des mouvements passifs. L'hypotonie telle que la définit Frenk
ère. Les acrobates qui se sont exercés dès leur enfance à faire des mouvements très étendus avec leurs membres, ne sont pas po
sont pas pour cela, des ataxiques. L'exagération de l'amplitude des mouvements volontaires et passifs lient chez eux, a l'élas
l a comme membres des bras de leviers courts, ce qui favo- rise les mouvements de force ; il a un ventre long, saillant en avant
des membres gauches, avec chute, rotation de la tête à gau- che et mouvements désordonnés des yeux. L'enfant ne perdit pas conn
er, mais n'est pas hypertro- phié ; apathie, frilosité, lenteur des mouvements . , , Pas de manifestations pigmentaires anormal
ne sait combien de temps dure la crise, et si elle s'accompagne de mouvements convulsifs. Il lui est arrivé d'uriner au lit s
être fatigué au moindre effort, il reste apathique et indolent, ses mouvements sont rares et lents. Il réagit mal aux excitati
-t-il de se lever ; il demeure constamment au lit, immobile, chaque mouvement (dont au reste l'exécution est des plus lentes),
de l'épaule. Les deux articulations du coude sont normales et leurs mouvements sont parfaitement libres. Les articulations d
vation, bien qu'il n'existe pas de limitation actuelle l'étendue du mouvement , l'omoplate commence à bas- culer plus tôt que
nt, l'omoplate commence à bas- culer plus tôt que normalement ; son mouvement de bascule est aussi plus grand que normalement
une crépitation fine, mais dis- tincte, peut être provoquée par les mouvements passifs imprimés à l'articu- lation. Il. Grah
; elles paraissent comme molles et pâteuses et elles permettent des mouvements d'une amplitude insolite, pres- que une luxatio
On perçoit quelque craquement dans les coudes lorsqu'on imprime des mouvements passifs à ces articulations qui semblent quelqu
rbés en çrochet. Dans le cas actuel, de même que dans le cas V, les mouvements des articu- lations des bras sont normaux et il
e (juin 1907) : Fracture de l'extrémité inférieure du ra- dius avec mouvement de bascule en dehors ayant entraîné toute la main
chent tout travail. La main est étendue sur l'avant-bras ; tous les mouvements de la main sur le poignet sont très limités (fl
sont placés dans l'extension à peu près complète et les différents mouvements de flexion sont très limités, seul le pouce a con
sont très limités, seul le pouce a conservé une certaine liberté de mouvements . La peau des quatre derniers doigts est épaissie,
tre les deux côtés. La force de préhension est à peu près nulle, le mouvement d'opposition en raison de l'ankylose en extensi
rés. En effet, la palpation était peu douloureuse; la réduction des mouvements n'était pas excessive, étant donnée la date rap
s du nez, quand il fallait, pour réussir, qu'il fasse simplement uu mouvement de llexion avec son index. Je lui demandai alor
lui fermant les yeux, nous avons pn réussir à lui faire exécuter le mouvement , en lui permettant de remplacer la vue par le t
contraire bien paralysé, car le malade peut à peine faire quelques mouvements limités de flexion et d'extension du genou, mai
rement de la surface du lit. Quant à la résistance qu'il oppose aux mouvements que nous voulons imprimer à cette jambe elle es
ments que nous voulons imprimer à cette jambe elle est nulle. Les mouvements actifs du membre inférieur gauche sont conservés,
lètement perdu sur la même surface que les autres sensibilités. Les mouvements de la tête sont conservés et bien sentis par le
il est utile aussi pour les qualités que nous voulons donner à ces mouvements . Parmi ces qualités,nous pouvons citer la vites
nez quand il a les yeux fermés, mais aussi que, s'il veut faire ce mouvement , il va très vite et alors il heurte sa figure d
per dans la planche, car il ne se rend pas compte de la longueur du mouvement , de la résistance qu'il rencontre, ni du grand
ces exemples il résulte que le malade ne peut graduer la vitesse du mouvement qu'il désire faire, et donne dès le début le maxi
ns laquelle se trouve aujourd'hui notre malade de faire beaucoup de mouvements isolés des doigts. Voici quelques exemples :
erniers doigts, car tous les cinq se fléchissent ensemble. 2° Les mouvements d'opposition du pouce à la main gauche se font av
yeux, ils sont encore plus accentués, car il ne peut plus faire de mouvement isolé avec aucun de ses doigts, ni même l'ébauche
se ferment et s'ouvrent à la fois, sans la moindre résistance. Les mouvements d'ensemble remplacent si impérieusement les mouve
istance. Les mouvements d'ensemble remplacent si impérieusement les mouvement isolés, que le malade ne peut pas même relâcher
s, on comprend très bien que même avec les yeux ouverts beaucoup de mouvements nécessaires à l'homme sont troublés chez notre ma
homme sont troublés chez notre ma- lade, à cause de cette perte des mouvements isolés des doigls. Nous allons citer quelques e
eulement du pouce et de l'index ce qui s'explique par l'absence des mouvements iso- lés et 2° tous, y compris le pouce et l'in
l s'agit de l'impossibililé dans laquelle il se trouve de faire des mouvements volontaires avec une seule main ou avec un doigt
une seule main ou avec un doigt d'une seule main, sans que le même mouvement ne se reproduise involontairement du côté oppos
mais si nous lui résistons un peu, ou s'il exécute sim- plement le mouvement avec les yeux fermés, le même mouvement se reprod
'il exécute sim- plement le mouvement avec les yeux fermés, le même mouvement se reproduit alors de l'autre côté involontaire
re côté involontairement, et sans que le malade le sache. Les seuls mouvements de l'épaule peuvent s'exécuter isolément. Nous ra
sens des attitudes était conservé. Il y a encore une autre série de mouvements que notre malade ne peul plus faire, et qui son
e nécessité que nous avons du sens profond, dans l'exécution de nos mouvements déli- cats el complexes de la main. C'est grâce
ce que nous avons fait autrefois, que nous pouvons exécuter tant de mouvements délicats avec noire main ; mais si un jour cett
uve chez tabétique, nous risquons de ne plus pouvoir faire tous ces mouvements . Voici quelques exemples : a) Je demande au mal
es phalanges étendues sur les métacarpiens correspondants. C'est un mouvement qui doit être fait par la contraction des muscl
. Le malade, avec la meilleure volonté, ne peut pas faire ce douhle mouvement : au début, on le voit fléchir toutes les phalang
abducteur du pouce (Duchenne). - Le malade, pour exécuter ce double mouvement , réussit à peine à opposer LE MÉCANISME DE LATA
es. Je pense que les fléchisseurs interviennent ici et troublent le mouvement , parce que le malade voulant approcher et serrer
hissant les doigts phalange sur phalange. Plus haut, en parlant des mouvements d'ensemble des doigts, nous avons dit que la ma
sur le dos des doigts et lui échappait. Il s'agissait là aussi d'un mouvement combiné à exécuter : d'un côté, les interosseux é
de tous les doigts se fléchissaient les unes sur les autres. 3° Un mouvement combiné est encore celui d'ouvrir la main, en éte
jeu pour leur propre compte. A l'état normal, nous faisons ces deux mouvements d'un seul coup, nous ouvrons la main en étendan
e avec notre ma- lade, car si du côté gauche il peut faire ces deux mouvements en un seul temps comme une personne saine, du c
toutes les phalanges étendues. Le patient est incapable de faire ce mouvement , parce que, en essayant de les rapprocher, il f
rapprocher, il fléchit les doigts en même temps. C'était encore un mouvement double que je lui demandais, car, pour approcher
généralisés qu'il ne se rendait compte qu'aux épaules et au cou des mouvements passifs qu'on lui faisait faire. Si je demandai
ambe, il ne pouvait pas le faire. Il n'était capable-d'exécuter ces mouvements que séparément, pas les deux à la fois. Le mala
ed renversé. Il ne réussissait à faire ce mouve- ment, ainsi que le mouvement précédent, que s'il relâchait le pied. Le malad
ssibilité dans laquelle se trouve notre malade de pouvoir faire les mouvements combinés avec le membre inférieur doit nous faire
nt. Nous' savons, depuis Duchesne, que la marche est une réunion de mouvements combinés que nous faisons avec nos membres inféri
la jambe en avant, quand on veut marcher, il faut, non pas faire un mouvement de pendule comme l'ont cru les frères Weber, mais
ule comme l'ont cru les frères Weber, mais il faut exécuter un vrai mouvement combiné : c'est-à-dire il faut fléchir la cuisse
étendre le genou, en tenant la pointe du pied en haut. Ce sont ces mouvements combinés qui manquent ce malade. A quoi peut teni
, comme nous l'avons vu aussi au membre supérieur, pour beaucoup de mouvements combinés ? Quoique nous n'ayons pas trouvé ch
autres malades, ataxiques des membres inférieurs, cette absence des mouvements .combinés, il n'empêche pas que nous avons trouv
ntes. Car, il ne suffit pas d'exécuter pen- dant la marche tous les mouvements combinés, coordonnés dans un but dé- terminé ;
mbinés, coordonnés dans un but dé- terminé ; il faut encore que ces mouvements soient exécutés avec une étendue, une vitesse e
tique du corps ne soit pas troublé, quand nous voulons exécuter des mouvements volontaires avec nos membres. Observation III
rs, et elle risque de tomber de ce côté-là, si le malade exécute ce mouvement avec les yeux fermés. Pour toucher avec un talo
e au toucher qui est conservé. Il lui arrive aussi, en exécutant ce mouvement , que la talon soit porté dès lo début en dehors
ette la jambe trop fort, et quand il veut s'asseoir ou se lever, ce mouvement se fait si brusque- ment, que dans le premier c
c'est l'absence de gradation, la brusquerie et la démesuration des mouvements volontaires. A quoi peut tenir ce trouble ? Si
e du sens articu- laire. La preuve est que, si le malade exécute ce mouvement avec les yeux ouverts, et s'il le fait avec gra
stes se contractent en même temps que les muscles qui vont faire le mouvement de flexion. Cette contraction des anta- goniste
odéré par les muscles postérieurs. Autrement dit, l'exagération des mouvements volontaires tient d'un côté à la perte du sens
et appuyent sur la surface du lit par leur bord externe. Tous les mouvements actifs sont conservés. Les mouvements passifs se
leur bord externe. Tous les mouvements actifs sont conservés. Les mouvements passifs se font LE MÉCANISME DE L'ATAXIE TABETI
air, celle-ci oscille latéralement, et tombe en dehors s'il fait ce mouvement avec les yeux fermés. Il touche un genou avec l
, mais le talon oscille même aqrès l'avoir mis dessus. S'il fait ce mouvement avec les yeux fermés, il commence à toucher la fa
suré d'être bien appuyé sur le bord du lit et sur sa canne. Mais ce mouvement de porter la jambe en avant, il ne fait pas com
mps en l'air, appuyé sur une seule jambe. Pendant l'exécution de ce mouvement , il surveille bien des yeux le membre qui se dépl
aintenant il met le pied plus en arrière, c'est qu en exécutant les mouvements toujours avec exagération, sans mesure à cause de
cause de la perte du sens musculaire nécessaires à la gradation du mouvement il étend trop sa jambe en avant, et puis, quand i
périphérique ; les muscles extenseurs ne sont pas atrophiés et les mouvements de renversement des pieds sur le dos des jambes
il donne de la dissociation musculaire, nous voyons que ce sont des mouvements r6ul- tant de la dissociation de mouvements plu
voyons que ce sont des mouvements r6ul- tant de la dissociation de mouvements plus compliqués, des mouvements coordonnés, com
ts r6ul- tant de la dissociation de mouvements plus compliqués, des mouvements coordonnés, comme il en est pour le mouvement c
plus compliqués, des mouvements coordonnés, comme il en est pour le mouvement coordonné de la marche, et tant de mouvements d
omme il en est pour le mouvement coordonné de la marche, et tant de mouvements délicats et fins que nous faisons avec nos mains.
uvements délicats et fins que nous faisons avec nos mains. Tous ces mouvements coordonnés résultent de la réunion de plusieurs
Tous ces mouvements coordonnés résultent de la réunion de plusieurs mouvements simples, que nous avons appris à combiner, penson
profond, il arrivera, alors, que nous ne pourrons plus associer les mouvements simples, et que par conséquent beaucoup de mouv
associer les mouvements simples, et que par conséquent beaucoup de mouvements coordonnés nous manqueront,ou bien qu'on les ex
at antérieur, quand étant enfants, nous étions maladroits pour tout mouvement nouveau coor- donné qu'on voulait nous apprendr
ns sa conscience de renseignements péri- phériques pour graduer ses mouvements . Pour la même raison, les mem- (1) Loc. cil., p
ent plus la direction qu'on veut leur donner, quand on exé- cute un mouvement volontaire. L'absence de mouvements isolés des
donner, quand on exé- cute un mouvement volontaire. L'absence de mouvements isolés des doigts, la présence de mouvements d'
lontaire. L'absence de mouvements isolés des doigts, la présence de mouvements d'ensemble des doigts et la présence de mouveme
, la présence de mouvements d'ensemble des doigts et la présence de mouvements bilatéraux sont en- core la conséquence de la p
roubles ou pertes des mou- vements isolés des doigts, présence 'des mouvements d'ensemble des doigts, présence des mouvements
oigts, présence 'des mouvements d'ensemble des doigts, présence des mouvements associés bilatéraux, absence de tous les mouvem
s, présence des mouvements associés bilatéraux, absence de tous les mouvements fins et délicats des mains, absence ou (rouble de
uvements fins et délicats des mains, absence ou (rouble de tous les mouvements coordonnés des membres supérieurs et inférieurs,
s coordonnés des membres supérieurs et inférieurs, etc. De plus,les mouvements volonlaires perdent leurs caractères de précision
23 (1878) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1878
mble moins développée que la gauche. Les yeux jouissent de tous leurs mouvements . R... voit moins bien à droite, ce qu'on doit san
attitude habituelle est celle qui est figurée sur la Planche i. Les mouvements de l'épaule sont gênés et s'accompagnent de craqu
. Le goût, Yodorat, la parole ne présentent rien de particulier.— Les mouvements du cou sont libres. Membre supérieur gauche. —
u pouce, il pend en dedans et est accolé à la paume de la main. Les mouvements de l'épaule sont assez étendus ; la malade peut é
II. — Il existe, au poignet, une contracture qui rend à peu près tout mouvement impossible. — Les articulations du pouce sont m
st libre ; le genou, roide, accomplit d'une façon passable les divers mouvements . Le pied n'est pas sensiblement déformé. Voici le
8e Lmarchese fait assez bien, sans trop de fatigue ; mais, dans les mouvements , le pied traîne un peu et se renverse parfois ; l
aboutir. » Cette douleur, lorsqu'elle est très-forte, s'accompagne de mouvements , de secousses de la main ; — c) la malade accuse
aravant, affaiblissement qui se traduit par de l'incertitude dans les mouvements du bras le renversement du pied dans la marche, e
porte la main au front. L'abduction et l'adduction sont gênées. — Les mouvements du coude sont plus étendus que chez Lecom....
et l'extension s'exécutent dune manière presque complète. — Quant aux mouvements du poignet, ils sont tout à fait abolis : c'est l
s mois se passent, alors elle marche en traînant la jambe et quelques mouvements redeviennent possibles au bras. Bras et jambe éta
« comme du chiffon, sans vie. » C'est à mesure du retour partiel des mouvements , c'est-à-dire vers le quatrième mois, que la roid
passer en revue, on voit souvent les membres paralysés être agités de mouvements cho-réiformes, en d'autres termes, l'hémiplégie e
a flaccidité était complète ; lorsque, vers la troisième semaine, les mouvements ont commencé à revenir, on a constaté leur irrégu
r... n'aurait pas eu d'accès, mais, de temps en temps, elle avait des mouvements convulsifs et sa langue se paralysait. — Les accè
n fant avait de la peine à téter.» Elle nous assure aussi que les mouvements choréiques sont moins prononcés depuis l'âge de 1
Lorsque les muscles de la moitié gauche de la face sont animés de ces mouvements , le sillon naso-labial gauche s'accentue très-for
astoïdien et peaucier du côté gauche sont pris, de temps en temps, de mouvements spasmodiques. Memdre supérieur gauche.— L'avant
e, sa paralysie la travaille. En effet, les doigts sont sans cesse en mouvement ; ils s'étendent et se fléchissent successivement,
épendamment les uns des autres. En même temps, le poignet exécute des mouvements variés d'extension, de pronation, d'adduction et
'élèvent ou se fléchissent, que le talon s'exhausse ou s'abaisse. Ces mouvements sont relativement rares. On observe encore très-n
-nettement chez Gr... la relation, signalée par M. Charcot, entre les mouvements choréiformes du pied, de la main et de la face. S
uvrir la main gauche ou de la fermer, le pied, chaque fois, se met en mouvement ; les orteils se fléchissent ou s'étendent, ensui
le premier, ensuite la pointe du pied. On ne remarque presque pas de mouvements choréiformes dans la marche. Gauche. Droit Ci
lle n'occupe pas les membres paralysés dans toute leur longueur : les mouvements anormaux sont circonscrits à la main, au pied, au
doigts et les orteils dans la position qu'on leur imprime et par leur mouvement continuel.» M. Charcot a fait remarquer que cette
arfaite pour les motifs suivants : « 1° Il faudrait y ajouter que les mouvements des doigts se font lentement et que ceux-ci ont u
u cou sont, en même temps que ceux de la main et des pieds, agités de mouvements cho-réiformes (2). » Or, la malade à laquelle M.
15 ou 20 jours après l'état de mal convulsif. On l'a notée quand les mouvements ont commencé à revenir ; le plus souvent, croyons
que pour la contracture, des renseignements précis font défaut. Les mouvements choréiques, dans Yathétose, différent des mouveme
nt défaut. Les mouvements choréiques, dans Yathétose, différent des mouvements de Yhémichorée post-hémiplégique non seulement pa
ouvoir s'y arrêter, par les positions intermédiaires. De là, pour ces mouvements involontaires, longuement réfléchis, destinés à a
u sol. » C'est sans doute à l'exagération et à la répétition de ces mouvements qu'il convient de rattacher la laxité toute parti
née chez notre malade (Fig. 1). L'influence de la volonté sur les mouvements dans l'athétose est la même que s'il s'agit de l'
fléchis sur la paume de la main (Pl. V.). S... peut exécuter certains mouvements avec le bras droit, porter, par exemple, la main
l'attitude du pied bot varus équin. On l'assouplit facilement par des mouvements provoqués. La malade plie, allonge, soulève la ja
ndre. En la rendant, la nourrice déclara que Jeanne avait parfois des mouvements nerveux, que ses yeux tournaient. Elle aurait dit
côté droit. — Quelquefois même, sans avoir eu d'accès, elle avait des mouvements convulsifs que l'on qualifie d'agitation, dans la
très-restreinte. Elle étend, mais imparfaitement, l'avant-bras. — Les mouvements spontanés du bras sont encore plus limités. Dro
Le gros orteil est dans l'extension. La malade exécute la plupart des mouvements ; ceux du pied sont plus circonscrits. — Pas de t
pliqué le long du tronc ; l'épaule est plus élevée que la gauche; ses mouvements sont assez limités; la malade ne peut écarter le
onsidérablement atrophiée, est à angle droit sur le bord cubital. Les mouvements du poignet sont très-limités. — Les doigts décriv
trophié à un moindre degré que le membre supérieur correspondant. Les mouvements des jointures de la hanche et du genou sont libre
'épaule correspondante. Les paupières, closes, sont animées de petits mouvements convulsifs ; si on les écarte, on constate que le
(Fig. 3). Au bout d'une, deux ou trois minutes, la malade décrit un mouvement de rotation en sens inverse du précédent, c'est-à
e et reprend, par conséquent, sa position primitive. Durant ce second mouvement de rotation, les battements des paupières cessent
jambe droite sont devenus plus forts et Vagitation, c'est-à-dire les mouvements convulsifs, s'étendit au bras correspondant. Enfi
e des cris étouflés, gémit. —La respiration se suspend parfois et des mouvements de déglutition se produisent. — La perte de conna
ace dirigée un peu à gauche. Les paupières sont agitées par de petits mouvements convulsifs; les yeux regardent en haut. Puis, la
périeur gauche. — Il est dans l'extension et la pronation forcée. Les mouvements provoqués de l'épaule, qui déterminent quelques c
inférieur gauche. — Lui aussi est dans l'extension complète. Les mouvements d'adduction se font bien, mais ceux d'abduction e
st tout à fait souple, même la main. Dès qu'on fait exécuter quelques mouvements au bras ou qu'on touche la main, celle-ci et les
enton sont animés de convulsions rapides. Bientôt on observe : a) des mouvements de déglutition; — b) une trépidation du membre in
un lien sur un fauteuil. Délivrée, elle saute, danse, rit. Malgré les mouvements spontanés ou provoqués, la contracture n'envahit
'on lui dit. — Contracture habituelle des membres du côté gauche. Les mouvements provoqués, la flexion du pied sur la jambe ne dét
flement interrompu de temps en temps par des : Aïe ! aïe ! et par des mouvements de déglutition. La période de stertor, peu accusé
On note des craquements très-fins dans l'épaule et le poignet. — Les mouvements spontanés sont normaux (ni tremblement, ni ataxie
l'hôpital, que la chorée aurait fait son apparition. Les troubles du mouvement prédominaient danj lo côté gauche. De plus, V
man ! maman 1 » et, bien que maintenue par la camisole, elle fait des mouvements , comme si, effrayée, elle voulait s'enfuir (Pério
nique est beaucoup plus accusée que dans la série décrite plus haut : mouvements du ventre qui se soulève brusquement , mouvements
décrite plus haut : mouvements du ventre qui se soulève brusquement , mouvements du tronc qui se fléchit et retombe plusieurs fois
ote quelques nouvelles particulari tés : tympanite très - prononcée ; mouvements onduleux du ventre ; petites plaintes, respiratio
nuit. P. 76 ; T. R. 37°,8. Rien à l'ophthal-moscope (Landolt). Les mouvements choréiques sont plus intenses qu'ils n'étaient av
lade avait envie de pleurer. Tout s'est terminé par des pleurs. Les mouvements choréiques persistent ; ils soût même plus forts,
me plus forts, au moins momentanément, après chaque série d'attaques. Mouvements brusques, assez rares, de la tête ; — mains sans
out à coup, en poussant un cri. Puis, elle exécute rapidement 8 ou 10 mouvements alternatifs de flexion et d'extension du tronc, d
er. Alors, elle cherche à mordre, mâchonne largement. On remarque des mouvements du ventre, des jambes et des bras qui s'allongent
se fléchissent. Durée : 15 à 30 secondes. — Quelquefois, les grands mouvements sont séparés par un repos très-court durant leque
s par un repos très-court durant lequel il y a du mâchonnement et des mouvements du ventre qui est moyennement ballonné. Ces derni
repos, auquel succède la seconde période. Période clonique : grands mouvements de balancement du tronc avec soulèvement alternat
purgative, puis un lavement purgatif, et cela sans aucun effet. Les mouvements choréiques, qui augmentent à l'approche des attaq
intes reprises : 1° période épileptûïde ; 2° p clonique ou des grands mouvements ; 3° p. de délire. D'autres fois, les attaques so
oignent quelquefois des vomissements ; enfin, en une augmentation des mouvements choréiques. Plusieurs fois, ces états de mal hy
aies tracées avec l'ongle. La sensibilité est normale à gauche; les mouvements réflexes et toutes les sensations se manifestent
h) Bouche largement ouverte ; bruits pharyngiens et abdominaux. — c) Mouvements de latéralité de la tète; — projection du ventre
gidité générale augmente : ceci constitue une première phase. — Puis, mouvements de latéralité de la tète, mouvements brusques des
itue une première phase. — Puis, mouvements de latéralité de la tète, mouvements brusques des bras et des jambes, ce qui constitue
t des jambes, ce qui constitue une seconde phase. — Enfin, elle a des mouvements du ventre, etc. Dans l'intervalle, des attaques
suivants: la parole devient brève; G... est impolie, irritable ; ses mouvements sont brusques;les yeux deviennent hagards, fixes;
les pupilles se dilatent davantage; la respiration est suspendue. —^ Mouvements létaniformes rapides, puis convulsions clo-niques
che. Quelquefois léger ronflement. Respiration assez rapide. Repos. Mouvements du ventre sur place, plaintes, grincement de dent
lonique. G... reporte le corps sur le milieu du litet a 5 ou 6 grands mouvements accompagnés de cris et dans lesquels elle s'asseo
septième attaque. La compression, pratiquée à 9 heures, a mis fin aux mouvements de la jambe. 5 décembre. — De minuit à 7 heures
eure. Elle a aussi des crampes très-douloureuses dans la jambe. Les mouvements de déglutition, les mouvements du ventre, ou si l
très-douloureuses dans la jambe. Les mouvements de déglutition, les mouvements du ventre, ou si l'on préfère les vagues abdomina
u es lourd!... Tu me fais mal.» En même temps, elle a quelques petits mouvements du bassin. Dans une autre attaque, elle s'asseo
.. a une attaque composée : a) de \pé-riode clonique, avec les grands mouvements ; — b) de la période de délire (1). Dans quelqu
reintes de quelqu'un. Dans une attaque, après la période des grands mouvements , elle est restée, pendant quelques instants, les
Je ne le veux pas... » (Nouveaux baisers... Elle sourit, exécute des mouvements du ventre, des jambes). «Tu recommences... Ça n'y
u-de-pied est extrêmement rigide ; les orteils sont souvent animés de mouvements . — X..... prétend « qu'on lui tire la jambe du
oidissent dans la flexion et, de même que les orteils, sont agités de mouvements . L... se plaint de sa langue qu'elle ne sen
afin... de... ne... pas... avoir... de nitrite d'amyle. » Il y a des mouvements de soulèvement du ventre ; un mâchonnement interm
le corps devient rigide ; les bras se roidissent, exécutant ou non un mouvement de circumduction plus ou moins parfait, puis se r
(1) Ce rapprochement plus ou moins prononcé est plus commun que le mouvement de circumduction. (Voir, tome I, Pl. XVII ; — tom
res, en particulier, s'abaissent et se relèvent alternativement ; ces mouvements , qui s'accomplissent avec une certaine lenteur, d
rapide, quelquefois bruyante. Repos : la respiration se régularise; mouvements de déglutition, bruits abdominaux, ondulations du
ux variétés qui, quelquefois, se succèdent dans la même attaque. a) Mouvements cloniques des membres, pour ainsi dire surplace;
nt; la rougeur de la face disparait peu à peu, malgré la rapidité des mouvements . b) L... ouvre largement la bouche, tire la lan
férentes. En même temps, les bras et les jambes sont animés de grands mouvements cloniques de flexion et d'extension. Nouveau re
la jambe se fléchit à son tour et exécute à cinq ou six reprises des mouvements rapides de flexion et d'extension. En un mot, il
bien, non. » Repos; regarde à gauche, sourit, fait de singuliers mouvements avec sa langue. « Tu as un serpent dans ta culo
e fléchit, la cuisse sur le bassin et la jambe sur la cuisse; dans ce mouvement , le talon seulement ou la plante du pied toute en
rate de morphine ; elle s'endort vers neuf heures a voulu exécuter un mouvement . 9, 10 nov. — La chorée ne cesse que durant le
horée ne cesse que durant le sommeil. Dans le jour, on compte 80 à 90 mouvements par minute. 11 nov. — 30 à 40 mouvements par mi
le jour, on compte 80 à 90 mouvements par minute. 11 nov. — 30 à 40 mouvements par minute. Sous l'influence de la compression
, pendant la nuit, on observe une immobilité complète. 8 nov. — Les mouvements choréiques n'ont pas reparu au moment même du rév
8, sont dues à M. P. Richer, interne du service. rienne droite, les mouvements désordonnés cessent; on note quelques plaintes, u
s plaintes, une tuméfaction de la région antérieure du cou, plusieurs mouvements bruyants de déglutition, la protrusion de la lang
« la compression est sus pendue, la contracture disparaît et les mouvements rhythmés du tronc et des membres tout à l'heure é
ysionomie, etc. Ce délire a persisté pendant deux heures environ; les mouvements choréiques étaient alors suspendus. T. V. 38°. Pu
r : T. R. 37°,5. 43 nov. — Nous retrouvons la jeune malade avec les mouvements que nous avons décrits. Le nitrite d'ample (l)
bavardage incessant. — Inhalations répétées de nitrite d'a-myle ; les mouvements choréiques s'arrêtent à onze heures et demie. D
heures à trois heures, trois petites attaques. Après la dernière, les mouvements choréiques ont reparu dans les membres du côté dr
... a été calme, n'a offert aucun accident. Ce matin, elle a quelques mouvements incoordonnés se rapportant non plus à la chorée h
ien. Depuis lors jusqu'à une heure de l'après-midi, 25 attaques : les mouvements qui caractérisent la chorée vulgaire ont complète
ue à gauche. 1er décembre. — Nouvelles attaques.Laj9^rio^?^? grands mouvements est annoncée par les particularités suivantes : X
nge la langue et pousse un cri rauque. — Surviennent alors les grands mouvements , au nombre de 7 ou 8. — Repos : physionomie immob
), position qu'ils prennent soit d'emblée, soit après avoir décrit un mouvement de circumduc-tion. A la phase tétanique (15 sec
ATTITUDES PASSIONNELLES CRUCIFIEMENT fois,on observe de légers mouvements de bercement ; — d'autres fois, elle presse l'ore
utres fois, elle presse l'oreiller. Puis, petites plaintes, sourires, mouvements du bassin ; paroles de désir ou d'en-couragement.
ileptoïde a donc duré 45'. — Repos. 2° Période clonique ou des grands mouvements : 25'. Après un repos de quelques secondes, att
s du xvue siècle ! b) Tous les médecins connaissent la violence des mouvements qu'exécutent les hystériques durant la période cl
de fixer leurs pieds, leurs bras et leur tronc. Cette exagération des mouvements , l'énergie que les malades y apportent, avaient f
s forte raison, stylerX... et lui apprendre à exécuter les singuliers mouvements qui caractérisent cette forme de chorée. L'influe
nesthésie, d'une parésie (engourdissement, lourdeur, irrégularité des mouvements , etc.) Vinfluence de la compression ovarienne s
ctus. (Pl. XXXIII). b) Phase clonique : Palpitations des paupières, mouvements des yeux, convulsions isolées de la face, petites
cousses des membres, auxquelles s'ajoutent, mais non constamment, des mouvements de flexion des jambes, et des contorsions sur pla
ue : Après un repos, d'ordinaire court, la malade est prise de grands mouvements cloniques de flexion et d'extension du tronc qui
tronc qui se fléchit en avant et retombe brusquement sur le lit, avec mouvements des jambes, etc. Parfois, le corps se met en arc,
ulève, se recouche, pousse des cris de joie, rit, s'agite, a quelques mouvements lubriques, et tombe dans un état extatique. (Pl.
examen de la partie suffit pour déterminer des tressaillements ou des mouvements du corps qui paraissent involontaires, mais qu'on
poitrine, les yeux fermés, immobile, sans tousser ni faire le moindre mouvement , « comme marbre » et «lafigure extasiée. » Elle a
24 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
n appareil qui, à l'aide de plusieurs engre- nages, communiquait le mouvement à l'une des roues du wagon. Telle était la mach
pondre à une question, c'est trouver une idée initiale qui mette en mouvement l'ensemble des chaînons antérieurement acquis o
e toute activité cogitative normale est liée à un léger degré de ce mouvement affectif intérieur. En dehors des émotions prop
uadrature du cercle; un autre, ingénieur, proclame sa découverte du mouvement perpétuel. Or, l'erreur d'un homme normal s'exp
rprenant, d'un mot, d'une conversation, ou bien, sous l'action d'un mouvement purement organique. Ainsi, dans le premier cas,
la poitrine. Cela fait, à l'aide de cordages préparés et de légers mouvements du corps, il fait trébucher la croix qui tombe
de début identique à celui de la chorée franche; 2° existence de mouvements complexes simulant un tic d'habitude. La jeune fi
ans et demi, cinq mois après avoir été atteinte d'un érysipèle. Les mouvements nerveux consistaient au début, en un simple clign
puis la malade se mit à tirer la langue, et, enfin, peu à peu, les mouvements se généralisèrent. Le diagnostic de chorée fran
M. Brissaud, les symptômes se modifièrent à diverses reprises ; les mouvements devinrent plus rares, plus brusques, plus limit
plus limités, se répétant tou- jours à peu près sous la même forme ( mouvements brusques de projection des bras en avant, de ha
use; elle est surtout attestée par la variété et la variabilité des mouvements choréiques. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 55
ur les agents du personnel de surveillance. Puis, M. Rey a donné le mouvement de l'aliénation mentale dans les Bouches- du-Rh
erviraient à désencombrer l'asile. Il y aura à procéder à de grands mouvements de terrains pour dégager le bâtiment d'administ
à l'intérieur du crâne, une clochette qu'il entend sonner à chaque mouvement . Voici com- ment il raconte les différents trou
indispositions, à toutes ses fatigues il suffirait même de quelques mouvements brusques (sauts par exemple) pour les rap- pele
aule plus longtemps que les autres membres, et moins actif dans ses mouvements . La jambe était tordue jusqu'à l'âge de cinq an
on étudie en détail les divers muscles et si l'on analyse leurs mouvements . Musculature. - Les mu=cles du cou paraissent
ortion tendineuse du muscle est égale à droite et à gauche. Dans ce mouvement on constate encore que les muscles de l'avant-b
tète, malgré une forte contrac- tion compensatrice du trapèze et un mouvement de bascule de l'omoplate. Le mouvement de mouli
mpensatrice du trapèze et un mouvement de bascule de l'omoplate. Le mouvement de moulinet est complet à droite; à gauche malg
en est de même pour la flexion et l'extension des poignets. - Les mouvements du tronc, du bassin, des membres inférieurs ne
sans aucune irrégularité. L'asymétrie reparait dans le détail des mouvements de la face. La fente palpébrale gauche paraît u
et l'expression du mépris. La langue n'est pas déviée au repos, ses mouvements sont normaux. La luette est un peu déviée à dro
ouvements sont normaux. La luette est un peu déviée à droite. Les mouvements réflexes peuvent être considérés comme nor- mau
ntaire, abdominal, crémastérien, rotulien, calcanéen, olécrânien. Mouvements involontaires. Il n'y a jamais eu chez Chen... de
ien. Mouvements involontaires. Il n'y a jamais eu chez Chen... de mouvements athétosiques ou choréiques, mais il lui arrive so
is il lui arrive souvent quand il est immobile, de sentir de petits mouvements involon- taires dans l'épaule gauche et dans le
côtés. De plus il y a il gauche une lésion ccrliculairs : dans les mouvements passifs de l'épaule on constate déjà une résist
céphalalgie presque constante dont le malade se plaint, les petits mouvements involontaires qu'on remarque parfois dans les m
i ont été améliorés ou -guéris par des séances d'im- mobilité et de mouvements appropriés, les auteurs concluent en disant que
normaux, mais au toucher on sent une raideur extrême. Le moindre mouvement produit des secousses tétamformes de tout le corp
tend des râles dans la poitrine, les ganglions sont t tuméfiés. Les mouvements passifs sont sans douleurs, mais les actifs pro
des glandes inguinales. Depuis un an remarque de l'ataxie dans les mouvements des membres inférieurs. Archives, 2° série, t
pporte évidemment à l'âge de la pre- mière enfance. L'exécution des mouvements faibles ou d'intensité moyenne ne présente pas
d'intensité moyenne ne présente pas de difficultés, mais celle des mouvements énergiques ou forts est difficile ou impossible
ques ou forts est difficile ou impossible au début; à mesure que le mouvement s'exécute l'obstacle disparait. Un morceau du m
s de la myotonie. En effet, le malade accuse la même difficulté des mouvements au début dans les muscles de la face et notamme
nstaté immédiatement après la crise, du côté qui était le siège dse mouvements convulsifs, tan- dis qu'en dehors des crises, l
sme intra- crânien et sujette à des actes caractérisés par quelques mouvements convulsifs généralisés par une perle de la conn
e. Un homme est atteint d'une hémiparésie gauche avec intégrité des mouvements de la face ; une anesthésie complète à la doule
meil, fugues, vagabondage ; troubles divers de la sensibilité et du mouvement ; troubles du langage reproduisant avec plus de n
nt : 1° Le rôle de la corlica- lité dans la physiologie normale des mouvements oculaires, tel que nous permettent de le concev
REMIER RÔLE DE LA CORTICALll'É 1) ? ÇS LA PHYSIOLOGIE NORMALE DES MOUVEMENTS OCULAIRES Les mouvements oculaires réflexes et
Lll'É 1) ? ÇS LA PHYSIOLOGIE NORMALE DES MOUVEMENTS OCULAIRES Les mouvements oculaires réflexes et inconscients, tels que le
t dans les noyaux gris de la base; l'écorce n'y a aucune part. I. Mouvements réflexes conscients involontaires. - L'oeil en
e conlracte au degré nécessaire, mon cristallin accommode. Tous ces mouvements ont été involontaires, réflexes, mais conscient
centraux, où par l'intermédiaire des oculo-moteurs s'est produit le mouvement de latéralité des yeux à droite, la con- vergen
ut-être des modifications au niveau de la rétine '. Voilà autant de mouvements dont le point de départ est le centre visuel co
uel cortical que celui-ci agit sur les noyaux oculo-mofeurs car ces mouvements se produisent encore lorsque les circonvolution
ui placent dans les noyaux gris de la base le centre réflexe de ces mouvements . \ 3 Ceci pour répondre à ceux qui prétendraien
La section de la couronne rayonnante du lobe occipital empêche ces mouvements de se produire (Munk). Même chez les oiseaux où
que est complet l'excitation d'un seul lobe occipital produit les mouvements des deux yeux (Steiner). L'expérimentation et l
.. Voilà donc une première zone corticale jouant un rôle dans les mouvements des globes oculaires et des paupières' : c'est
rieur. La zone de projec- 1 Toute cette élude nous montrera que les mouvements des paupières sont, au point de vue de leur phy
ns la cécité corticale, conservé dans certains cas de paralysie des mouvements des yeux (V. plus loin) dans la paralysie pseud
, en même temps qu'une sen- sation consciente pénible, une série de mouvements des pau- pières destinés à l'expulser. L'observ
rvation et l'anatomie nor- male nous permettent de supposer que ces mouvements ont pour centre la zone de projection sensitive
ig, Ferrier, Beevor et Horsley, Munk, Steiner ont aussi produit des mouvements des yeux par l'excitation de l'écorce du lobe f
'écorce du lobe frontal. Le temps perdu serait moindre que dans les mouvements produits par l'excitation du centre pos- térieu
C'est le centre oculo-moteur antérieur ou sensiliuo-7tolear'. 11. Mouvements conscients et volontaires. Pour simpli- fier ce
ts manifestement involontaires, réflexes, quoique cons- cients. Les mouvements dits volontaires ne sunt eux aussi que des mouv
cients. Les mouvements dits volontaires ne sunt eux aussi que des mouvements réflexes, mais plus compliqués. Au point de vue
arce que : 1° ils sont précédés de la représentation consciente des mouvements à exécuter ; 1 II est possible qu'au centre ocu
excite mon attention, éveille l'idée d'aller voir ; puis l'image du mouvement à exécuter se forme en moi, je me lève et dirig
parus ' les deux caractères que nous avons attribués plus haut aux mouvements dits volontaires. Ici une question se pose : ce
aut aux mouvements dits volontaires. Ici une question se pose : ces mouvements dits volontaires, dont l'excitation provient d'
s le premier cas, ils sont précédés de l'image sensitivo-mot'ice du mouvement à exécuter; dans le second cas d'une image sens
ler voir dans la rite, ai-je en même temps que la représentation du mouvement à exécuter, celle des sensa- tions qui résulter
mouvement à exécuter, celle des sensa- tions qui résulteront de ce mouvement , ou bien celle du spec- tacle que je m'attends
LOGIE Nous aurons à examiner successivement : I, les troubles des mouvements oculaires et palpébraux dans les lésions unilat
s haut, le regard est attiré du côté d'une vive lumière. Tous les mouvements que nous avons mis plus haut sous la dépendanee
que nous avons mis plus haut sous la dépendanee du lobe occipital ( mouvements de latéralité, convergence, pupille, accommodat
un seul est détruit, les autres suffisent à assurer l'intégrité des mouvements . Cette déviation stati- que des yeux' se rencon
rrationnel à prolonger jusqu'au pli courbe le centre postérieur des mouvements des yeux. 11 n'est pas prouvé, en effet, que ce
ibilité générale § 11. Troubles de la motilité des paupières. Les mouvements des paupières, avons-nous dit, sont, au point d
lées, les troubles sont peu appréciables, car peu nombreux sont les mouvements palpébraux ayant la rétine pour point de départ
voque plus l'occlusion des pau- pières. - C'est en second lieu le mouvement de la paupière supé- rieure, associé au mouveme
en second lieu le mouvement de la paupière supé- rieure, associé au mouvement d'élévation des globes occulaires '. Ces deux m
associé au mouvement d'élévation des globes occulaires '. Ces deux mouvements étant sous la dépendance de chacun des deux lob
ue la suppression de ce centre ' On sait que la dissociation de ces mouvements dans le goitre exophtalmique constitue le signe
onnions d'ouvrir les deux yeux, nous sentons manifeste- ment que le mouvement s'exécute avec moins de force du côté paralysé.
, 1 807. 1" mai. n° I. p. 4j. 192 PHYSIOLOGIE. . II. Troubles des mouvements oculaires dans les lésions hémisphériques bilat
s déterminent en même temps que la cécité corticale l'abolition des mouvements réflexes conscients étudiés plus haut (mouvemen
l'abolition des mouvements réflexes conscients étudiés plus haut ( mouvement réflexe de-latéralité, convergence, contraction
nne de la vision rapprochée, accommodation) avec conser- vation des mouvements réflexes inconscients (réflexe irien à la lumiè
convulsive suivie de mono- plégie gauche, de paralysie complète des mouvements volontaires de la langue, des lèvres, des muscl
u côté des yeux on note une « ophtalmoplégie ne portant que sur les mouvements volontaires avec conservation des mouvements ré
ne portant que sur les mouvements volontaires avec conservation des mouvements réflexes ». « La malade, dont l'intel- lect et
ent, sous une influence réflexe probablement, sont obtenus quelques mouvements peu accusés des globes oculaires et les yeux pe
ntairement être dirigés à droite, en haut ou en bas ; cependant ces mouvements peuvent se produire d'une façon involontaire. E
de Tournier il y avait une « ophtalmoplégie ne portant que sur les mouvements volon- taires, avec conservation des mouvements
portant que sur les mouvements volon- taires, avec conservation des mouvements réflexes ». La malade qui « ne peut mouvoir vol
, involontairement sous une influence réflexe probablement quelques mouvements peu accusés des globes oculaires et les yeux pe
côté des yeux pouvaient très facilement passer inaperçus. Tous les mouvements ayant pour origine une excitation de la rétine
Tous les mouvements ayant pour origine une excitation de la rétine ( mouvements de latéralité, conver- gence, constriction de l
du poing) s'exécutaient normalement. Nous savons maintenant que ces mouvements ont leur centre de réflexion«dans le lobe occip
n vain, alors qu'il suffisait d'approcher la main pour obtenir ce mouvement . Il en était de même si on lui demandait de reg
e même si on lui demandait de regarder à gauche ou iL : droite. Les mouvements oculaires et palpébraux, chez cette malade, ne
citation transmise par les centres d'as- sociations (V. plus haut : Mouvements volontaires) restaient inefficaces. L'observa
eurs postérieurs. Mais comme ceux-ci sont capables de provoquer des mouvements parfaitement C001'- donnés, adaptés à un but, d
eudo-bulbaire, à la suite de plusieurs ictus. En ce qui regarde les mouvements des yeux, nous citons textuellement. « Elle ne
mer les paupières ; mais comme le bulbe oculaire jouit de tous ses mouvements ( ? ) ainsi que l'élévateur de la paupière supéri
ns le sommeil les paupières sont aussi fermées parfaite- ment ; les mouvements de l'iris sont intacts. La malade ne peut DOUBL
gue, non atrophié, ne peut pas dépasser les arcades dentaires ; ses mouvements de latéralité sont complètement impossibles. Les
; ses mouvements de latéralité sont complètement impossibles. Les mouvements de la mâchoire inférieure sont très difficiles et
ts de la mâchoire inférieure sont très difficiles et limi- tés. Les mouvements des muscles jugaux sont abolis. Les réflexes de
isamment explorés ? ` ? Là encore nous trouvons une suppression des mouvements volontaires avec conservation des mouvements ré
ns une suppression des mouvements volontaires avec conservation des mouvements réflexes. Là encore il faut admettre une suppre
ralysie pseudo-bulbaire, et présentant une paralysie incomplète des mouvements de latéralité des yeux. Dans le second cas, un
ns, atteint également de paralysie pseudo- bulbaire, présentait des mouvements de latéralité des yeux incomplets à gauche. ' -
n tableau clinique tout particulier caractérisé par l'abolition des mouvements volontaires des globes ocu- {aires et des paupi
aires des globes ocu- {aires et des paupières, avec conservation de mouvements réflexes-variés, coordonnés, adaptés, pouvant e
réflexes-variés, coordonnés, adaptés, pouvant en imposer .pour des mouvements volontaires. C'est ici le lieu de revenir sur u
t de physiologie nor- male que nous avons laissé dans l'ombre. Tout mouvement est réflexe, avons-nous dit : le mouvement dit
aissé dans l'ombre. Tout mouvement est réflexe, avons-nous dit : le mouvement dit volontaire est celui qui dans son circuit c
i-ci apparaissent les deux faits de conscience qui caractérisent le mouvement volontaire : il est précédé de la représentatio
nt le mouvement volontaire : il est précédé de la représentation du mouvement à exécuter, et il s'accompagne de l'illusion de
il s'accompagne de l'illusion de la liberté. Nous savons qu'un tel mouvement peut passer par le centre oculo-moteur antérieu
e le nom d'ophtalmoplégie pseudo-nudéaire 3 : plaçant le centre des mouvements des yeux dans le lobule pariétal inférieur, il
ts, le centre uculo-motQUr postérieur puisse jouer un rôle dans les mouvements volontaires. Cela nous expliquerait pourquoi le
re : a) la déviation conjuguée des yeux; b) des troubles légers des mouvements palpébraux. 4° La lésion isolée du centre oculo
n tableau clinique tout particulier caractérisé par l'abolition des mouvements volontaires des yeux et des DE L'APOPLEXIE PROG
es DE L'APOPLEXIE PROGRESSIVE. 199 paupières avec conservation de mouvements réflexes coor- donnés, adaptés et conscients. C
ion de mouvements réflexes coor- donnés, adaptés et conscients. Ces mouvements sont sous la dépendance des centres oculo-moteu
pouvant s'accompagner de contractures des membres para- lysés et de mouvements convulsifs des membres sains, ces derniers phén
tement dévié en dehors, mais de temps à autre l'oeil revient par un mouvement très lent, dans l'axe antéro-postérieur. Pupill
blissement une rigidité passagère qui paraît aller de pair avec les mouvements convulsifs signalés dans le côté opposé. Cepend
ppareils d'où dépendent les différentes attitudes et les différents mouvements du corps. R. CHARON. VIII. De la porencéphalie
f. Ne1'- venheilk., XXII, N. F. X, 1899). - Nous ne percevons un mouvement circulaire auquel nous sommes soumis que s'il e
nous sommes soumis que s'il est accéléré en plus ou en moins ; tout mouvement uniforme nous parait être Je repos. Nous perdon
it être Je repos. Nous perdons même rapide- ment la sensation de ce mouvement circulaire accéléré, tandis que la sensation de
pport à la verticale. Breuer ajoute : L'accélération progressive du mouvement rotatoire n'exerce ancune influence sur le liqu
e liquide inclus dans les canaux semi-circulaires, la perception du mouvement en question n'est donc pas transmise par le lab
olithes sur les cils des cellules. Quand on imprime à l'individu un mouvement accéléré en avant, les otolithes sont déplacés
on dans le plan des canaux semi-circulaires antéropostérieurs. Un mouvement passif accéléré en avant n'excite que les otolith
, en déplaçant en arrière l'otolilhe sur les cils des cellules. Les mouvements accélérés circulaires, eux, pro- duisent un mou
ellules. Les mouvements accélérés circulaires, eux, pro- duisent un mouvement des otolithes et en même temps un dépla- cement
l'association des deux excitations qui forme l'image sensorielle du mouvement rotatoire, tandis que l'excitation de l'utricul
, tandis que l'excitation de l'utricule seule est ressentie comme mouvement de progression et donne la notion de la position
en arrière, à gauche ou à droite. il tombe du côté où il a fait ce mouvement ; si ces inclinaisons céphaliques sont exécutées
disparition de la force musculaire. Conservation des sensations des mouvements totaux passifs accompagnés de nystagmus rotatoire
nystagmus rotatoire. Fait-on tourner ce malheureux sur une plaque à mouvement cen- trifuge dans toutes les directions du plan
des canaux semi-circu- laires, il indique très bien la direction du mouvement , il la sent même plus que normalement. A l'arrê
ertige- de rotation ordinaire, c'est-à-dire la sensation opposée au mouvement de rotation du début. Conservation des mouvemen
nsation opposée au mouvement de rotation du début. Conservation des mouvements des yeux compensateurs. Diagnostic. Lésion de l
station; conser- vation des canaux semi-circulaires percepteurs des mouvements . Observation II. Femme atteinte de tabes bulbai
Diagnostic. Les canaux semi-circulaires chargés de perce- voir les mouvements passifs totaux et incitateuis de= mouvements de
gés de perce- voir les mouvements passifs totaux et incitateuis de= mouvements des yeux compensateurs sont détruits ; l'organe
bation toujours vers la -.gauche; l'occlusion des yeux détermine un mouvement de manège à gauche. Toute modification de la si
ent tantôt être perçues comme repos, tantôt être perçues comme un mouvement dont il est impossible à la malade de préciser la
ne faible diminution de l'acuité auditive à gauche, ne sent pas les mouvements de rota- tion pour les rotations de droite à ga
alors qu'au bout d'une heure et demie de forcipressure ils font des mouvements déjà accusés dès la première heure : cela tient
ellules aux muscles. Le neurone périphérique produit le reflexe, le mouvement volontaire dépend du central et de son action s
, le genou et l'articulation coxofémorale. Le massage est suivi des mouvements de chaque articulation. Le médecin veille sur t
ciale disparait tout d'abord, puis sur- vient le rétablissement des mouvements du poignet et de la main, de l'oeil, de la réac
s fourmillements, et parfois même de vives douleurs spontanées. Les mouvements du membre et en particulier ceux de l'articulat
main jusqu'à l'aiticulation scapulo-humérale du côté paralysé. Les mouvements imprimés aux articulations du 280 0 CLINIQUE NE
'une piqûre Ou d'un pincement un peu vifs, le malade réagit par des mouvements assez amples du côté malade ; mais il n'accuse
l'étendue du membre supérieur ; le malade ne réagit même pas par un mouvement ; au membre infé- rieur, la piqûre est suivie d'
st suivie d'une rétraction rapide, brusque, courte, parfois même de mouvements de flexion du membre inférieur sain ; mais il n
e mentale, peuvent faire penser à une influence plus forle de ces mouvements psychiques sur les vaso-moteurs ; et il est hor
. Mais la perception ne se faisant pas, nous devons admettre que le mouvement nerveux ne se transmet pas jusqu'à l'écorce cér
la sudation émotive, c'est-à-dire capable d'être influencé par les mouvements psychiques ? L'explication intime du phénomène
nge et dort bien. La sensibilité générale est un peu émoussée ; les mouvements s'accomplissent avec assez de souplesse ; les r
ées permanentes; on sait que les aboulies motrices respectent les mouvements physiologiques, respiration, digestion, etc., et
ose que de se sentir conti- nuellement fatigué, depuis deux ans. Le mouvement seul le tire de cet état, sans l'en débarrasser
chez les deux frères attirent l'attention en première ligne; les mouvements convulsifs rappellent bien la chorée infantile ma
fouet à la prédisposition latente. Il est bon d'insister sur les mouvements irréguliers en forme de tics (de la tête) des d
raissaient déjà au repos (obs. II). 11 faut tous les rapprocher des mouvements spontanés fréquemment associés à l'ataxie, inco
. (Gd..IICLDG2LfG2U, 1899.) L'auteur étudie le décadentisme comme mouvement littéraire et esthétique récemment passé d'Euro
ogique. 11 ne partage pas l'opinion de M. Nordau qui considère ce mouvement comme signe de décadence. Il pense que ces ten-
nces mystico-symbolistes forment une réaction naturelle con- tre le mouvement matérialiste utilitaire de notre fin de siècle.
ent matérialiste utilitaire de notre fin de siècle. Le succès de ce mouvement est dû à l'imitation. Les gens bien portants im
'on lui demande ou à ce que l'on lui dit de faire, il répond par un mouvement de tête, mais il est impossible d'obtenir de lui
exécution des ordres qu'on lui donne, ni aucune réponse for- melle. Mouvements continus mais plutôt doux. Expression du visage
r. Au réveil, quelque obtusion et quelque agitation dans les mains ( mouvements de préhension); mais il commence à parler, se r
ade présente une diplopie avec ptosis double et parésie de tous les mouvements oculaires. Figure en masque, parésie de la lang
t dans les cas de cysticerques peu- vent être mis sur le compte des mouvements actifs de ceux-ci ; la réaction inflammatoire d
dites. La spasticité, la paralysie, les troubles intellectuels, les mouvements bibliographie. 343 choréiques, athétosiques o
percevoir, accusent des mouve- ments, des sensations spéciales. Ces mouvements sont géné- ralement localisés dans la gorge, la
onçons des mots menta- lement, nous sentons à l'état d'ébauche, des mouvements musculaires d'articulation dans la gorge, sur l
deux phénomènes musculaires (expiration volontaire- ment réglée et mouvements phonateurs du larynx) qui pré- cèdent et prépar
ent. L'éréthisme du centre cortical moteur verbal produit aussi des mouvements réels d'articulation, de sorte que les individu
Ainsi l'éréthisme de ce centre détermine : 1° La représentation des mouvements : 1° Un courant nerveux centrifuge qui, suivant
ts d'arti- culation perceptibles seulement pour le malade; ou des mouvements réels, mais toujours sans qu'aucune parole soit
) Etat physiologique. L'enfant est très actif et bruyant ; tous les mouvements articulaires s'exécutent normalement. Dans la s
ou et de la hanche ne peu- vent, même passivement, exécuter que des mouvements très limités. Organe des sens ; vue, myopie ass
che menace de tomber on étend le malade de tout son long à terre. Mouvements tétaniformes limités aux membres supérieurs, se p
ête. Le corps est affaissé comme brisé de fatigue. 11 ne fait aucun mouvement . Cmq minutes après sans que l'enfant perde conn
ernant avec des pleurs et des gémissements plaintifs, de véritables mouvements coordonnées. Gabriel prend son mou- choir des m
triangle, le place sur la table et appuie son front dessus; dans un mouvement involontaire, il le fait tomber à terre, le ram
ses bras, la jambe de l'infirmier, une serviette, etc. Il fait les mouvements d'une personne qui se défend et qui attaque, le
ment la suspension à l'échelle convexe et horizontale, et tous les mouvements d'ensemble. I ? n classe il acquiert de nouveau c
'y a pas adhérence anato- mique. Impossible non plus de songer à un mouvement amiboïde puisque les arborescences terminales n
ans en même temps goutteux. Sous l'influence de ces pratiques, les mouvements involontaires disparurent presque complètement
de rééducation de la volonté et du pouvoir inhibiteur au moyen de mouvements lents des membres supérieurs. L'amélioration a ét
c hyperthermie considérable, céphalée intense, troubles gastriques, mouvements désordonnés et incoercibles, délire chaotique,
mence complète. Elle se meut encore assez facilement, mais avec des mouvements ataxiques et du tremblement des extrémités. Céc
iolente pendant vingt-quatre heures. Paroles et cris incohé- rents. Mouvements épileptiformes, plus accentués à droite. Hyper-
e, avec hyperthermie. Saburration et fétidité des voies digestives, mouvements convulsifs généralisés, mais plus accusés à gau
gauche plus accentuée pour le membre inférieur. Incoordination des mouvements avec maximum à gauche. Tremblement des extrémit
ccès d'agitation violente, avec cris et gesticulations incohérents. Mouvements convulsifs des membres à droite, plus accentués a
plus importante et la plus bienfaisante. Depuis quelques années un mouvement parait se dessiner en France en faveur de la vi
852, distingua la « sensibilité mus-' culaireD qui renseigne sur le mouvement en cours d'exécution et la « conscience muscula
cience musculaire » qui entre en fonction au moment d'exé- cuter ce mouvement . En même temps, du reste, d'autres auteurs rame
ns les muscles seuls, mais dans la peau et l'expression de sens des mouvements substituée à celle de sens musculaire ne s'appl
d'un complexus d'impressions périphériques perçues à l'occasion des mouvements et provenant de sources multiples. A ce complex
e l'idée de multiplicité d'ori- gine et celle de phénomènes liés au mouvement . 11 semblerait donc qu'elle dut avoir toutes ch
importance respective et le rôle qu'elles jouent dans la genèse des mouvements et la coordination volontaire tels sont à l'heu
odalités des sensations musculaires 6. C'étaient : 1° La notion des mouvements actils perçue à l'occasion 1 Abba. Elude cliniq
roduit au niveau des muscles fatigués. ' SENS MUSCULAIRE. 463 des mouvements volontaires et aussi des mouvements réflexes des
s. ' SENS MUSCULAIRE. 463 des mouvements volontaires et aussi des mouvements réflexes des membres toutes les fois que la con
membres toutes les fois que la contraction musculaire est cause du mouvement ; 2" La notion des mouvements passifs lorsque les
la contraction musculaire est cause du mouvement ; 2" La notion des mouvements passifs lorsque les membres sont mis en mouveme
2" La notion des mouvements passifs lorsque les membres sont mis en mouvement par une cause externe quelcon- que, et sans qu'
parties du corps, qu'ils aient été amenés à cette situation par des mouvements volontaires ou par des actions externes; 4° La
on de poids qui peut se con- fondre avec la notion de résistance au mouvement . l3ourdicault-Uumay et Claparède conservent cet
sant plus loin l'analyse examine successivement : la perception des mouvements passifs, la notion de position, la force muscul
au point de vue physiologique. Outre qu'il n'y est point parlé des mouvements actifs, le sens de l'orientation fait double em
seule espèce de sensa- tions périphériques perçues à l'occasion des mouvements . )t ramène tout le sens musculaire à une seule
'correspond à celle de notion de position des membres. La notion de mouvement actif ou passif serait une notion complexe, for
rie de notions de position en sorte qu'on aurait la perception d'un mouvement uniquement par la perception des déplacements s
s déplacements successifs. Outre que pour expliquer la sensation du mouvement actif et la ramener à la sensation des attitude
tion où ce déplacement l'avait amené. Puisque la sensation^brute de mouvement passif peut exister sans que la position défini
e-même perçue, il parait bien diflicile de faire de la sensation de mouvement la résultante de sensations de position qui en
hewski que la notion de position ne saurait exister en l'absence du mouvement . Cette assertion repose sur ce fait facile à vé
s comme cela arrive le matin au réveil, car il suffit du plus léger mouvement pour éveiller la notion absente. Tout en étant
e, cette explication ne saurait être généralisée. La sensation de mouvement passif est un élément irréductible qui précède
eur association même que nous avons été. habi- tués à rapporter aux mouvements des parties de notre corps. Chaque sensation él
f SENS MUSCULAIRE. 465 fort du biceps on n'a aucune sensation de mouvement , il croit pou- voir établir que les sensations
ement dites n'in- terviennent pas dans la formation de la notion de mouvement . Bien que faisant des réserves au sujet de cett
sujet de cette expérience, Clapa- rède admet que les sensations de mouvement proviennent pour la plus grande partie des arti
musculaires proprement dites. Dans la production de la notion du mouvement actif il faut faire intervenir les mêmes sensat
r la sensation centrale et d'activité cérébrale qu'à l'occasion des mouvements actifs =. Cherchewski a repris la même idée et
=. Cherchewski a repris la même idée et pour lui la sensation du mouvement actif est constituée par l'association de la sens
ion d'innervation c'est l'existence de la représentation mentale du mouvement précédant son exécution qui d'après Claparède d
mouvement précédant son exécution qui d'après Claparède donne à ce mouvement son caractère volon- taire. Et il montre commen
cilier les deux théories. « Dans la pratique, dit-il, cette idée de mouvement se trouve être consciente au moment même où le
te idée de mouvement se trouve être consciente au moment même où le mouvement s'exécute, et comme il arrive alors de la périp
nies par les organes périphériques sont de plus différentes dans le mouvement actif et le mouvement passif; les sensations mu
ériphériques sont de plus différentes dans le mouvement actif et le mouvement passif; les sensations musculaires et articulai
des deux notions dans la conscience. La notion de la direc- tion du mouvement est une résultante formée de la notion de mouve
irec- tion du mouvement est une résultante formée de la notion de mouvement propre, avec les notions des positions successive
pre, avec les notions des positions successives en- gendrées par ce mouvement même. La sensation ou notion de résistance que
de plusieurs éléments qu'il classe ainsi : « 1° Dans le cas où un mouvement actif rencontre.une certaine résistance les sen
laires et articulaires qui donnent lieu à la sensation primitive de mouvement acquièrent une inten- sité anormale; 2° La sens
aires et à l'image qui les pré- cède est absente puisque en fait le mouvement est empêché ; 3° La tension des muscles atteint
s atteint une importance considérable, bien plus grande que dans un mouvement non contrarié ; 4° La pression cutanée contre l
es de Claparède. Il n'y a en somme pour lui que des sensations de mouvement , éléments psychologiquement irréductibles. maiaph
tions' quali- SENS MUSCULAIRE. 467 Î tatives de ces sensations de mouvement , soit de leur association avec d'autres élément
é trop complètement écarté en tant que facteur de la sen- sation de mouvement . Pour notre part nous pensons que si dans la pr
art nous pensons que si dans la production de la sensation brute de mouvement le principal rôle est dévolu aux impressions ar
st pas de même dans la perception des variations quantitatives du mouvement actif, c'est-à-dire dans l'appréciation des résis
t actif des fibres musculaires'. Si l'on veut réfléchir que dans ce mouvement actif quel qu'il soit, il y a toujours une cert
la mémoire. Tout le monde est d'accord pour penser que les premiers mouvements du foetus comme aussi pro- bablement ceux du no
ts du foetus comme aussi pro- bablement ceux du nouveau-né sont des mouvements réflexes. Or, dit Claparède, pour passer du mou
-né sont des mouvements réflexes. Or, dit Claparède, pour passer du mouvement réflexe au mouvement volontaire on tourne dans
ts réflexes. Or, dit Claparède, pour passer du mouvement réflexe au mouvement volontaire on tourne dans un cercle vicieux car
on tourne dans un cercle vicieux car « si l'on veut com- prendre le mouvement volontaire il faut lui présupposer une image mo
ce, mais cette image motrice ne pourra se former qu'à la suite d'un mouvement conscient ». C'est que Claparède admet que le m
lexe en dehors de toute conscience, mais chez l'individu normal les mouvements réflexes des membres donnent lieu à une représe
donnent lieu à une représentation consciente au même titre que les mouvements pas- sifs. L'individu qui a les yeux fermés et
avant, encore que ce mouvemont soit parfaitement invo- lontaire. Le mouvement instinctif que Claparède admet après Wundt et q
manière possible et sans que la volonté puisse y prendre part et du mouvement volontaire proprement dit parce qu'il donne lie
dans la mémoire, nous parait donc un inter- médiaire superflu. Les mouvements du foetus sont certainement inconscients, mais
. Les mouvements du foetus sont certainement inconscients, mais les mouvements réflexes du nouveau-né donnent déjà lieu à des
t déjà lieu à des images motrices qui seront l'origine des futurs mouvements volontaires. (A suivre.) 1 RECUEIL DE FAITS.
qui présenta des hallucinations motrices verbales, accompagnées de mouvements involontaires de mastication ou de grincements
re compte si ces hallucinations psycho-motrices s'accom- pagnent de mouvements de la langue, l'affaiblissement intellectuel ét
nouveau type était caractérisé par la multiplicité, la variété des mouvements dans l'espace, par les rémissions et la variabi
le même caractère de tendance à la chronicité et de variabilité des mouvements , forment, par leur groupement, trois degrés int
mental. Paresthésies diffuses dans l'occiput et la tempe droite. Le mouvement des globes oculaires produit une douleur intens
ut se promener seul dans la chambre, reconnait très franchement les mouvements de la main de loin, déchiffre quel- ques grosse
artie postérieure de la même circonvolution, tout près du centre du mouvement de la queue. Le sphincter ne se détend pas quan
de l'épaule, ni mouvoir l'avant-bras vers le bras. Conservation des mouvements de la main et des doigts. Atrophie des muscles
s craniens. Atro- phie des muscles du bras et de la jambe gauches ; mouvements spasmodiques dans le bras gauche; peut-être que
auche, et cet affaiblissement n'existe évidemment pas toujours. Les mouvements passifs et ac- tifs de toutes les articulations
02 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. a pu continuer à exécuter tous les mouvements , que, seule la force nécessaire pour travailler
la paralysie par apoplexie ; ce sont ces spasmes qui entravent les mouvements et produisent la faiblesse. D'autre part, la di
application légère de la cathode au cou provoque des deux côtés des mouvements de dé- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 503 glut
chéance de toute une moitié de la langue exerce peu d'action sur le mouvement de cet organe; c'est que l'autre moitié peut la r
ermet bientôt l'élévation du bras gauche jusqu'à la verticale en un mouvement de fronde et son maintien en cette situation. O
rte le bras jusqu'à l'hori- zontale, le grand dentelé complétant le mouvement de l'horizontale à la verticale. Ici nous avons
us large que celle de gauche mais elle réagit bien) intégrité des mouvements de la tête, du facial, de la langue, de la parole
r les fesses. La colonne vertébrale, non déformée, est libre de ses mouvements et indolore à la pression. La température monte
réaction des pupilles. De temps à autre nystagmus intentionnel. Les mouvements de la tête deviennent douloureux ; la nuque est
après, les réactions pupillaires faisaient tout à fait défaut, les mouvements des yeux étaient extrêmement limités, mais l'ex
nergie mus- culuire. Cette asynergie s'observe encore dans d'autres mouvements volontaires des bras mais surtout des jambes, E
s'adresser à une fonction accessible à la discipline la fonction du mouvement si facilement entraînée par le rythme et par l'
aître en raison même de la répétition de l'acte. La gymnastique des mouvements atteint ce 'but à l'exclusion de tout autre pro
mouvements atteint ce 'but à l'exclusion de tout autre procédé. Les mouvements d'assou- plissement en outre qu'ils sont excell
outre qu'ils sont excellents au point 'de vue hygié- nique sont des mouvements d'ensemble par excellence. «'L'esprit 1 bibliog
ntelligences les plus obs- cures : elles fixent dans la mémoire les mouvements commandés. Le son du tambour ou d'une musique é
tions. Il s'attache princi- palement à démontrer la supériorité des mouvements d'assouplis- sement exécutés avec ensemble sur
25 (1909) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 22] : iconographie médicale et artistique
blent pas hyperostosées, mais elles doivent être soudées, car aucun mouvement ne peut être provoqué dans la colonne dorsale. Ni
ination motrice des membres supérieurs. Pas de paralysies. Tous les mouvements sont possibles, tant aux membres supérieurs qu'
E LA ROTULE CHEZ UNE TABETIQUE 29 De temps à autre, la malade a des mouvements de déglutition involontaires, parfois suivis d'
tif que l'on se rendit compte que le prétendu cal offrait de légers mouvements de latéralité et que l'on posa le diagnostic de
r la plupart réguliers et plus rarement rugueux. La tumeur suit les mouvements inspiratoires et semble se contracter pen- dant
endant l'expiration. La déglutition et la mastication ainsi que les mouvements du maxillaire in- férieur en général sont gênés
ièvre, paraît-il, avec la sensation d'une gêne douloureuse dans les mouvements de latéralité de la tète et une insuffi- sance
ans la position normale. En même temps que cette faiblesse dans les mouvements de la nuque s'ac- centuait, notre malade commen
omaine du nerf facial soit dans la position de repos, soit dans les mouvements mimiques du visage, les deux branches supérieure
donne à la malade d'ouvrir largement sa bouche, on peut voir que ce mouvement vient exécuté en deux temps. Dans un premier temp
s du larynx sont parfaitement symétriques, mais tandis que dans les mouvements d'inspiration les cordes se portent en abduction
les muscles sus-hyoïdiens et sous- hyoidiens sont valides. Dans les mouvements de la déglutition l'on peut voir l'os hyoïde fa
orizontal, elle est absolument impuissante à relever la tête. Les mouvements de rotation et d'inclinaison latérale à droite et
de l'avant-bras et de la main sont absolument indemnes. Tous les mouvements de la main : opposition des doigts et du pouce, f
de la main à droite donne 2f¡, kg. et 16 à gauche* Au contraire le mouvement d'élévation du bras est gèné, la malade difficile
POLIOMYÉLITE ANTÉRIEURE CHRONIQUE 49 lever plus haut. De même le mouvement d'adduction horizontale des bras ne peut s'exéc
ion des bras apparaissent les scapulée alatz' produits par un léger mouvement de bascule, et la saillie des acromions des deu
(1862) qui nièrent complètement l'influence de la X18 paire sur les mouvements des muscles du larynx. (1) L. Ferrio, Su di u
si l'on'ordonnait à la malade d'ouvrir com- plètement sa bouche, ce mouvement s'exécutait en deux temps. Dans un premier mome
sie*, qui se manifestent seulement pendant l'exercice de cer- tains mouvements volontaires ou instinctifs, et se localisent dans
libre entre les groupes musculaires antagonistes. Mais le véritable mouvement ataxique (de a, privatif, el -cdt, ordre) prése
itation choréi- que ou aux divers tremblements : car le désordre du mouvement , qu'on observe dans ces affections, résulte pri
résulte principalement de secousses convul- sives qui entravent le mouvement intentionnel en le déviant de sa direc- tion pr
secousses n'attendent pas toujours pour se produire l'occasion d'un mouvement suscité par la volonté, ou se prolongent bien a
nerveux irrégulièrement et occasionnerait des trem- blements ou des mouvements cloniques ; tantôt enfin cesserait de leur dist
paroxysme, survenant au mo- ment de l'exécution rapide de certains mouvements . Ces désordres cor- 80 , MACÉ DE LÉPINAY resp
ens qu'elles gênent la profession, tout en laissant l'intégrité des mouvements pour une grande partie des actes courants ; mai
des doigts ; et la main peut cependant exécuter un grand nombre de mouvements ; mais en examinant avec attention, on constate
rouvait ; il n'était pas au travail depuis un quart d'heure que les mouvements spasmodiques d'adduction du ponce et de flexion
le que le bec était renversé le dessus en dessous. En dehors de ces mouvements d'écriture, le malade pouvait se servir parfaite-
mpe professionnelle avec un torticolis mental; c'est l'existence de mouvements associés chez des sujets atteints d'un spasme fon
oit : la main deve- nait incapable de tenir la plume à cause de ses mouvements incoordon- nés et de ses spasmes. Chacune de ce
n- tière se renverse et se porte en supination. Cette succession de mouvements s'accompagne de douleurs dans les muscles de l'
lieu de remuer les phalanges, d'actionner la main tout entière par mouvements du poignet. Mais bientôt, même pour ces mouvement
tout entière par mouvements du poignet. Mais bientôt, même pour ces mouvements étendus, la crampe survint avec ses mêmes carac
as où la crampe des écrivains était associée avec un torticolis, un mouvement convulsif de la hanche, et un tic du pied. La c
consistent en contractures, parfois toniques, jamais cloniques, en mouvements désordonnés et, dans un cas, en mouvement de ma
es, jamais cloniques, en mouvements désordonnés et, dans un cas, en mouvement de manège. Presque toutes les souris ont succ
ertain degré de contracture qui se révèle quand on leur imprime des mouvements de flexion et d'extension. D'ailleurs leur atti
ension. D'ailleurs leur attitude même révèle cet état quoi- que les mouvements volontaires s'exécutent dans leur ensemble suffis
aussi fléchir sa cuisse gauche, sa jambe,son pied, leur donner des mouvements d'adduction et d'abduction, mais elle ne peut p
uvements d'adduction et d'abduction, mais elle ne peut pas faire de mouvements plus fins et la force est presque de moitié ré-
e l'état de contracture, révélé par l'atti- tude, la démarche et le mouvement imprimé par nous -même, on trouve les réflexes
S ET ANGLADA BETCHEREw, que le thalamus est le centre important des mouvements d'ex- pression innée (1). Le thalamus est rel
. Lorsqu'il se met en colère la parole devient normale ; dès que le mouvement violent a cessé les troubles reparaissent. A la
gler savamment avec lui. Demandez à un métaphysicien d'expliquer le mouvement d'une locomotive, en supposant, pure hypothèse
-à-dire par l'air atmosphérique qui a telle composition et dont les mouvements recon- naissent telle et telle cause précise.
s ou sur des objets sans réalité concevable. Pour elle, beaucoup de mouvements reconnaissent pour cause la volonté qui, en somme
us t'influence d'excitations extérieures, ayant par con- séquent du mouvement ,donc de la vie. D'autres conditions avaient réali
traits, l'origine des facultés humaines en montrant les causes des mouvements élémentaires et successivement plus compliqués du
stants des excitations qui la maintiennent en vie en lui donnant le mouvement c'est- à-dire en conditionnant l'instabilité de
renciée et que toutes étaient également douées de sensibilité et de mouvements . A vrai dire, il n'existait encore qu'une irrit
spéciale. Sous l'influence d'un excitant, le protoplasme exécute un mouvement caractérisé par un déplacement dans la position
se nourrit, s'accroît et prolifère. Déjà nous remar- quons que ces mouvements sont inconscients, involontaires,intelligents, c'
ouchant la matière réagissante, se transforme immé- diatement en un mouvement qui lui est adapté, de telle façon que celui-ci d
n présence de l'intelligence dont elle fait preuve et cependant ses mouvements sont inconscients et involontaires et ne sont q
ns ne se trouvent pins immédiatement en contact avec les organes du mouvement , de sécrétion ou de reproduction qui se sont dé
diaires, de sorte que, à ce moment, l'arc réflexe est constitué. Le mouvement est main- tenant commandé à distance, sans que
res termes et, éventuellement, reparaît à l'extérieur sous forme de mouvements communiqués au milieu am- biant par le corps ex
ls possédaient une organisation appropriée. Le réflexe qui donne le mouvement aux modes d'expression autre que la parole, pourr
la di- latation de la pupille sous l'influence de l'obscurité et le mouvement de la bouche, il n'y a que des différences et d
tion une modification biologique qui aurait pour effet d'inhiber le mouvement , mais du moment qu'elle ne l'empêche pas elle c
. Qui est responsable de cet acte ? Mais c'est un pur réflexe et le mouvement est déjà exécuté avant que vous n'ayez pensé à
ais que le groupement cel- lulaire qui a pour mission d'exécuter le mouvement est frappé d'inhibition, c'est-à-dire qu'il pré
a eu tort. Les deux centres II et III con- ditionnent seulement les mouvements d'ensemble, de telle sorte'que [les exci- tatio
nt susceptibles d'impressionner nos sens. Les gestes, les cris, les mouvements ne 180 LEFÈVRE £ sont pour nous qu'un complex
ectacle devient consciente dans l'étage supérieur, se transforme en mouvements et en cris appropriés (imitation) dans les cent
les idées tendent à se faire acte c'est-à-dire à se transformer en mouvements , en sensations ou en actes d'inhi- bition. Elle
n actes d'inhi- bition. Elle est démontrée par l'enregistrement des mouvements inconscients, par des expériences d'hypnotisme
ache à un vice de fonctionnement, à un trouble, à une inhibition de mouvements automatiques. Le retentissement de la fonction
ssivement viennent orner son intérieur. A ce moment l'excitation au mouvement peut provenir non pas seulement de l'ambiance,
(suite). PAR MACÉ de LÉPINAY 5° Crampes professionnelles avec mouvements associés. Les mouvements associés, chez les suj
LÉPINAY 5° Crampes professionnelles avec mouvements associés. Les mouvements associés, chez les sujets normaux ont été décrits
lades atteints de spasme professionnel chez lesquels existaient des mouvements associés. Chez l'un de ces sujets il y avait à
une flexion brusque de l'auriculaire et de l'annulaire droits, puis mouvements de tout le bras droit. Nous avons pu observer un
ès bien compte de cette contraction involontaire. La coexistence de mouvements associés avec la crampe des écrivains est fort
M. Pierre Marie à propos des observations d'Haskovec. En effet les mouvements associés ne peuvent être, dans ce cas, que d'or
agents provocateurs. En ce qui concerne l'origine périphérique des mouvements associés, il n'existe qu'une observation de Sen
st-hél1liplégiqlle, avec glossoplégie du côté droit; on observa des mouvements associés dans l'extrémité supérieure paralysée
uvements associés dans l'extrémité supérieure paralysée pendant les mouvements actifs ou pas- sifs de la langue. Or on constat
hial du cou une région douloureuse et endurcie et l'on expliqua les mouvements associés dans ce cas, ou bien par l'excitation de
mme le remarque M. Pierre Marie, si cette manière d'expli- quer ces mouvements associés était correcte, combien de fois devrait-
s associés était correcte, combien de fois devrait- on observer des mouvements associés dans les cas de traumatisme péri- phér
lexus nerveux ? : ' Il est beaucoup plus logique d'admettre que les mouvements associés n'ont pas lieu sans la participation d
né vers un but; mais par la répétition il prend les caractères d'un mouvement convulsif et intem- pestif, répété à l'excès';
t d'un mot ou d'une phrase. Souvent en même temps surviennent des mouvements convulsifs des muscles de la face, de la tête, du
acte fonctionnel coutumier ; par le défaut de coordination dans les mouvements préposés à la fonction : il y a asynergie fonct
on du pouce droit qui se portait en dedans et en opposition, et des mouvements désordonnés de la main. Il suivit sans succès d
es doigts, quoique la main, en général, exécute facilement lous les mouvements quand il s'agit d'un acte autre que l'é- critur
ontraction de l'extenseur propre du pouce. Dans cerlains cas il y a mouvements inverses dans l'un ou l'autre de ces deux doigt
trois premiers doigts qui se contractent sur lui et empêchent tout mouvement de la plume. Parfois le médius et les autres do
e : Duchenne a ainsi observé deux malades dont la main exécutait un mouvement de supination, par spasme du long supinateur, s
fléchisseurs. Les extenseurs viendraient surtout en aide quand les mouvements sont plus étendus, et leur action serait plu- t
s s'abat brus- quement sur le papier qu'elle égratigne ; alors, par mouvements saccadés qui se passent dans l'articulation de
iale de la main et de l'avant-bras qui ne lui permet pas le moindre mouvement . Un malade de Gallard (60) disait : « Mon porte-
les lettres ; ce tremblement est oscillatoire, et « consiste en un mouvement alternatif, en sens contraire, de la main droite;
alternatives d'adduction et abduction du bras ; c'est un véritable mouvement penduliforme (Wilde). Le tremblement est d'abor
la plume et veut tracer des lettres ; alors la plume est agitée de mouvements alternatifs très menus et très rapides, et l'éc
er du violon ; alors l'archet, tenu de la main droite, est agité de mouvements rapides d'al- lées et venues, qui empêchent abs
la nuit, il disparaît ; veut-on faire exécuter au commandement des mouvements du bras droit, on observe que tout le membre es
ouvements du bras droit, on observe que tout le membre est agité de mouvements rythmés de va et ÉTUDE SUR LES CRAMPES PROFESSI
trouble s'est localisé au membre supérieur droit. Il n'existe aucun mouvement choréique ni à la face, ni au tronc, ni aux mem
tte suppléant les doigts, de façon à ce que le poignet seul fit les mouvements d'extension et de flexion ; la contrac- ture av
'un bouton- La main doit donc exécuter une série non interrompue de mouvements de flexion et d'extension sur l'avant-bras ; ce
'extension sur l'avant-bras ; celui-ci ne peut être appuyé, car les mouvements devant se passer dans l'articulation radio-carpie
faisait mieux, mais cependant avec précipitation, et comme dans un mouvement d'élan. Peu à peu les autres lettres subirent s
er, plus les difficultés augmentaient. Lorsqu'il voulait imposer le mouvement au manipulateur, il éprouvait comme une sorte d
ectuer dans l'ap- pareil Morse, et chaque lettre ne nécessite qu'un mouvement de la main, au lieu d'exiger une succession de
r chasser les bulles d'air qui pouvaient se trouver interposées. Ce mouvement de l'index, très rapide, était répété 3 à 4 heu
ées son mé- tier, lorsque survint progressivement une gêne dans les mouvements du bras et de l'épaule, qui ne se manifestait q
bout d'un certain temps, toutes les fois qu'il voulait exécuter ce mouvement , il avait une brusque extension du troisième et
s l'exercice de leur profession mettent constam- ment une pédale en mouvement présentent assez souvent des dyskiné- sies fonc
uvoir son tour ; cependant ce phénomène n'apparaissait pas dans les mouvements de la marche ou dans les autres mouvements volont
pparaissait pas dans les mouvements de la marche ou dans les autres mouvements volontaires. La même crampe a été observée chez
la cuisse chez un fabricant d'argenterie qui mettait une pédale en mouvement .Stürtz (142) a vu une contraction des muscles p
e l'épaule tout très pris, et l'épaule est déta- chée du thorax.Les mouvements d'extension et de flexion du tronc sont presque
a main ne présente qu'une légère atrophie de l'éminence thénar. Les mouvements sont très limités ; le malade ne peut mettre la
r de tête, diamètre mento-maximum de 22 1/2. Face indemne, tous les mouvements de la mimique, de l'articulation des mots sont
es côtes paraissent soudées entre elles. A droite elles ont subi un mouvement de torsion qui les rapproche du plan postérieur d
. Les omoplates ne sont point saillantes. Troubles moteurs. - Les mouvements du tronc sont gênés dans leur am- plitude par l
tient compte de l'obstacle déterminé par ce facteur on voit que les mouvements d'extension, de flexion, d'inclinaison latérale,
namomètre est absolument rudimentaire. La flexion, l'extension, les mouvements de latéralité du poignet sont nor- maux, quoiqu
supination s'effectuent dans les conditions habi- tuelles. Tous ces mouvements sont possibles, mais le malade ne les produit q
alade ne les produit qu'avec une certaine lenteur. Par contre les mouvements de l'avant-bras sur le bras sont limités, et à pe
te au niveau de l'articulation scapulo-hu- mérale, il n'y a que les mouvements d'abduction qui persistent mais excessi- vement
-bras et la main. Il n'y a pas de contractures, de tremblements, de mouvements athétosi- formes. Le malade écrit mais en tra
joue un rôle dans la limita- tion de l'extension complète, dans les mouvements forcés l'empâtement prend une consistance plus
pes musculaires, et cela de façon très rudimentaire. Les quelques mouvements qu'il peut exécuter sans trop de peine, sonl l'ex
on des orteils qui se fait assez facilement. Le pied a conservé ses mouvements de latéralité, par rapport à la jambe il peut exa
uite de la rétraction du tendon d'Achille, tendu et saillant. Les mouvements de la cuisse sur le bassin, de la jambe sur la cu
signale de la lenteur de contraction à l'excitation faradique. Les mouvements se font bien : le seul élément nouveau est la t
n avant il y a atrophie et pseudo-hypertrophie des pecto- raux. Les mouvements sont pénibles, réduits, mais persistent à un degr
ellement bien restreinte quant aux membres inférieurs ; -, quelques mouvements limités persistent encore. A côté de la pseudo-
e gros orteil se présente un peu volumineux et il est gêné dans ses mouvements articulaires, du reste au- cune déformation n'e
ET BERTOLOTT1 altérations profondes. Le cou est très gêné dans ses mouvements d'extension en arrière, les autres mouvements d
st très gêné dans ses mouvements d'extension en arrière, les autres mouvements de flexion et de latéralité sont diminués. La f
vue est bonne, l'ouïe excellente, le goût très bien conservé. Les mouvements des muscles intrinsèques et extrinsèques des glob
cté que celui de gau- che ; le malade peut des deux côtés faire des mouvements de flexion et d'extension, plus facilement à ga
it parut embarrassé. En 1902, la dépression parut plus marquée, les mouvements furent plus limités; la contracture du doigt pr
gle droit par rapport à la paume de la main ce qui embarrassait les mouvements de la main, et pour cela on résolut de faire une
x semaines, guérison par première intention. Après l'opération, les mouvements de la deuxième phalange restent un peu limités.
laire qui est très accentuée est à noter cepen- dant ; les moindres mouvements sont pénibles; cette asthénie est de règle chez
êchaient la malade de dormir, de manger et s'aggravaient au moindre mouvement . Cependant, en détournant l'attention de la mal
nt, en détournant l'attention de la malade, on pouvait produire des mouvements passifs très éten- dus sans provoquer la moindr
e on voit des secousses particulières; ces secousses provoquent des mouvements convulsifs du pouce, éclatant spécialement alor
s existent dès ï en fance ; parfois ils ne s'observent que dans des mouvements déterminés SIEF- FER (1), Fischer (2), IEETLEr(
ni même par la main ou le poignet, mais bien par l'avant-bras, les mouvements nécessités par l'écriture» (Gallard) (V. fig. 6
ge, ils ne tardent pas à les abandonner, préférant suppléer à leurs mouvements défectueux par des combinaisons plus ou moins com
es méthodes pourront différer suivant les cas. La rééducation des mouvements , imaginée par Charcot, Leyden, Pierre Marie^ ma
ou 400. Chaque doigt sera soumis avec cet appareil à quatre ou cinq mouvements d'extension. b) Le sujet tenant le bras tendu e
s doigts exécuteront sur une canne, tenue en guise de vio- lon, les mouvements de la gamme, faite avec lenteur, et avec une pres
(257) conseille « d'écrire de grandes initiales, accompa- gnées de mouvements de l'avant-bras à partir du coude, et même du b
temps la main gauche écrit de droite à gauche, en faisant tous les mouvements symétriques, mais inverses, de la main droite;
ra en effet le gros avantage « de réduire le nombre et le siège des mouvements qui par leur exagération ou leur adultération c
d) L'écriture devra être grosse. Comme le dit Zabludowski, plus les mouvements graphiques auront une grande amplitude, moins les
tement ? En dehors de l'écriture, il n'éprouve aucune gêne dans les mouvements de la main, quels que soient les actes qu'il ex
r correctement sa main et à redevenir maître de la souplesse de ses mouvements dans l'écriture. " Mais - et ceci s'applique no
psycho- motrice est donc à la fois une éducation de l'esprit et du mouvement , de l'idée et de l'acte. Elle tend à supprimer
nt. Peut-être le cervelet, qui semble préposé à la coordination des mouvements , serait-il le siège de ces troubles phy- siolog
crivains. Ann. Soc. méd. phys. d'Anvers, 1903, 19-24 69. IlAsKovFc. Mouvements associés dans la crampe des] écrivains. Rev. neur
52. 223. Hartelius. Crampe des écrivains traitée par la méthode des mouvements . Hy- gieia, t. 38, 1816. 224. Hammond (traduc
encore et s'accompagne d'une série rythmique et ininter- rompue de mouvements d'élévation, de diduction et de mâchonnement du
es supérieur et inférieur du côté gauche sont animés d'une série de mouvements involontaires, petits, menus, rapides, rythmiques
ments. La main gauche présente une accentuation plus marquée de ces mouvements inconscients. La paralysie qui existait, la vei
et inférieur du côté gauche présentent toujours une série de petits mouvements involontaires semblables à ceux que l'on observ
ir la bouche et à tirer la langue par suite de la persis- tance des mouvements continus de mastication, de diduction et de mâcho
de la tête ; enfin, le membre supérieur gauche est animé de petits mouvements rythmiques concomitants. En janvier 1908, la pa
ier 1908, la paralysie faciale droite s'est encore accentuée; aucun mouvement des muscles de la moitié droite de la face n'est
edans ; il est atteint de stra- bisme convergent très prononcé; les mouvements de latéralité sont conser- vés, les mouvements
t très prononcé; les mouvements de latéralité sont conser- vés, les mouvements d'élévation et d'abaissement du globe oculaire so
eux globes ocu- laires, plus prononcé à gauche et s'accompagnant de mouvements latéraux et de nutation de la tête avec mouveme
'accompagnant de mouvements latéraux et de nutation de la tête avec mouvements rythmés du membre supérieur gauche. Troubles
du membre supérieur gauche. Troubles moteurs et sensitifs. - Les mouvements d'abaissement du maxillaire inférieur sont gêné
d'abaissement du maxillaire inférieur sont gênés et difficiles, les mouvements de diduction sont abolis. Les mouvements de l
gênés et difficiles, les mouvements de diduction sont abolis. Les mouvements de la langue sont impossibles, les mouvements de
on sont abolis. Les mouvements de la langue sont impossibles, les mouvements de pro- pulsion sont ébauchés. La langue présen
ements de pro- pulsion sont ébauchés. La langue présente des petits mouvements fibril- laires ; elle est légèrement atrophiée.
est con- sidérable. , Le voile du palais n'est pas paralysé, les mouvements de déglutition sont difficiles et parfois les l
a dyspnée d'effort est constante. La malade éprouve par moments des mouvements convulsifs très douloureux, gênant considérable
supérieur et inférieur gauches sont, parfois, agités de quel- ques mouvements convulsifs. La constipation est très rebelle, l
l'avant-bras gauche, qui n'était pas paralysé, présente des petits mouvements convulsifs se renouvelant par séries de quatre ou
se propageant au bras et il l'épaule gauches et coexistant avec un mouvement brusque,rythmi- que, connexe de mouvement latér
hes et coexistant avec un mouvement brusque,rythmi- que, connexe de mouvement latéral de la tête à gauche. Ces mouvements du
,rythmi- que, connexe de mouvement latéral de la tête à gauche. Ces mouvements du membre supérieur gauche et de la tête se rep
l'oc- casion et pendant la durée de cet effort, une série de petits mouvements spas- modiques passagers. Tli0lS CAS DE TUMEU
maintient ruz ; la paralysie des membres est flasque, complète, les mouvements convulsifs ont cessé, l'abattement et la somnol
on icthyosique, Il n'existe pas d'autres troubles trophiques. Les mouvements convulsifs du membre supérieur et ceux de latéral
. Pendant tout un mois l'état de la malade reste stationnaire ; les mouvements étendus des jambes restant impossible, les trou
vations détaillées sur l'extension de la parésie des muscles et des mouvements spéciaux, parce que cela a été étudié, déjà dep
échir la tête en avant, il éprouve des douleurs dans la nuque ; les mouvements latéraux et la rotation du cou s'effectuent libre
lle essaie de s'y soustraire. En tout cas, elle peut faire tous les mouvements avec le membre inférieur gauche, et s'il y a un
le du pied droit et des orteils du même pied ; mais pour les autres mouvements de ce membre il p a aussi une certaine diminu-
e du membre inférieur gauche qui s'étend à un assez grand nombre de mouvements du membre. Observation VIII. E. N..., fille, 18
e la nuque. Le 2 juin 1908, je constate qu'elle peut faire tous les mouvements avec le membre inférieur droit et peut marcher,
mais qu'elle boite un peu. Il y a une parésie légère pour quelques mouvements du membre inférieur droit, sur- tout de l'artic
bres inférieurs a apparu le 15 mars, et pendant le même jour chaque mouvement de ces mem- bres a complètement disparu. Depuis
ous révèle qu'il y a une certaine diminution de force pour quelques mouvements seulement. Cette diminution de force n'est d'aill
ts seulement. Cette diminution de force n'est d'ailleurs pour aucun mouvement considérable. La masse des muscles n'est pas sens
s des proportions normales, mais en tout cas le dernier stade de ce mouvement cause un peu de douleur. Il semble marquer touj
des muscles abdominaux Les réflexes abdominaux n'existent pas. Les mouvements respiratoires semblent maintenant ÉTUDES CLINIQ
semaines où il a été assis, il lui est devenu possible de faire des mouvements peu à peu un peu plus grands sans tomber. Par con
ntir avec certi- tude en touchant la paroi abdominale. La force des mouvements des pieds est maintenant assez améliorée, mais
ments des pieds est maintenant assez améliorée, mais la parésie des mouvements des genoux et des cuisses sur le bassin est enc
u dire du malade les membres inférieurs étaient alors raides et les mouvements qu'il faisait lui causaient des douleurs ; ces
droite et je ne peux constater aucune diminution de force pour les mouvements du membre inférieur droit. Observation XIII.
avec moins de force que de l'autre côté ; pourtant, la force de ces mouvements est loin d'être très petite, elle est seulement
ord opposer une certaine résistance et, en conséquence, exécuter le mouvement lentement, pourtant, quand elle a presque attei
aitée pendant quelques semaines par des exercices métho- diques des mouvements du tronc (comme de la faire lentement s'asseoir,
il avait une certaine difficulté à respirer et ne pouvait faire des mouvements respiratoires aussi profonds qu'auparavant, mais
mbre. - Pour les membres inférieurs, le malade ne fait que quelques mouvements minimes des pieds et des orteils. Il y a une paré
ls. Il y a une parésie du tronc. Le malade a perdu quelques-uns des mouvements de l'épaule droite; avec le bras gauche il peut
ents de l'épaule droite; avec le bras gauche il peut faire tous les mouvements , mais la force en est diminuée. Le malade a q
alescence a été très lente. Le 3 janvier 1909, il n'y avait que des mouvements minimes dans les membres inférieurs. On ne peut e
des membres supérieurs est encore très prononcée, surtout pour les mouvements des épaules. Le 18 janvier la malade est brus
. Pendant cette maladie il apparaît très nettement que la force des mouvements respiratoires est encore beaucoup affaiblie ; aus
l existe une paralysie complète de l'épaule droite, pendant que les mouvements de l'avant-bras droit sont en partie con- servé
élioration de la parésie a fait des progrès très remarquables ; les mouvements du membre inférieur gauche sont presque normaux
e le malade et je trouve une paralysie complète de quelques-uns des mouvements des membres inférieurs ; cette paralysie n'est
lant des racines vers les extrémités des membres : par exemple, les mouvements des cuisses sur le bassin sont plus affaiblis q
nt et ne sont pas affaiblis. Il a une paralysie de presque tous les mouvements des deux épaules avec une atrophie très prononc
e des muscles du dos. Il y a une parésie des deux épaules, mais les mouvements des doigts sont normaux. Pas de réflexes tendin
illet 1908, je vois le malade et constate qu'il peut faire tous les mouvements des membres inférieurs, sauf l'extension des geno
rs, sauf l'extension des genoux, mais la force de la plupart de ces mouvements est très faible. En général, les mou- vements d
en étudiant le pouvoir qu'a la malade de percevoir la direction des mouvements les plus petits possibles des articulations dif
face externe de' la jambe droite. En même temps la per- ception des mouvements minime des orteils se trouve uu peu incertaine à
impossible de mouvoir par la voulonlé se fléchissent avec de grands mouvements . Cette excitabilité pour des contacts même très l
essaye de fléchir la tête en avant ou aussi douleurs pour tous les mouvements de la tête, souvent aussi opisthotonos très pro
de la méningite (par exemple symptômes pupillaires ou troubles des mouvements des yeux ou convul- sions), nous ne les avons j
ui (deux mois après le début de la maladie), il y a encore quelques mouvements des jambes qui provoquent des douleurs. Si la rai
s le décubitus dorsal au plus haut degré possible et, par suite, un mouvement d'une partie de la colonne vertébrale dans la m
car l'ombilic ne se déplace jamais du côté de l'irritation, mais le mouvement de réflexe consiste toujours en une contrac- ti
iocre (comme on peut s'en rendre com- pte en essayant d'empêcher le mouvement ). Par conséquent, on peut faire le diagnostic d
que le réflexe abdominal se fait toujours identiquement par le môme mouvement , c'est-à-dire par une contraction des parties c
droits et jamais on ne voit, comme dans les conditions normales, de mouvement latéral de l'ombilic (néanmoins le grand obliqu
e éprouve une difficulté considérable à faire exécu- ter le moindre mouvement aux muscles du visage et ne peut froncer le front
rtie intérieure du cou la saillie du corps thyroïde mobile avec les mouvements d'élévation de la trachée. Les muscles du cou s
alade couchée, immobile, laisse sa tête reposer sur l'oreiller sans mouvements ; quand on l'assied sur son lit, la tête est ba
ombe en arrière. Cependant si on ordonne à la malade d'exécuter les mouvements de flexion et d'extension de la tête, elle peut
ments de flexion et d'extension de la tête, elle peut esquisser ces mouvements , mais bientôt la tête retombe lourdement en arr
x. La langue n'est pas paralysée et la malade lui fait exécuter des mouvements sans difficulté. Mais la déglutition est diffic
sur le bras offrent, quand on ordonne à la malade de s'opposer à un mouvement , une certaine résistance, qui rapidement est épui
; elle se plaint d'étouffer et demande qu'on la couche sur le côté, mouvement qu'elle ne peut exécuter elle-même. Au bout de qu
AS DE MYASTHÉNIE GRAVE D·Elt13-COLUFLA\L 135 cielle. Peu à peu, les mouvements respiratoires ont réapparu, et la malade qui av
nes d'ophtalmoplégie ex- terne. Il n'existe pas de ptosis, mais les mouvements d'abaissement et d'éléva. tion des globes ocula
ent et d'éléva. tion des globes oculaires sont à peu près nuls. Les mouvements dans le sens transversal sont très limités. Cet
urs aiguës aux jam- bes qui étaient faibles, incertaines dans leurs mouvements , de telle façon que la démarche était difficile
masses musculaires du tronc sont légèrement hypotoniques. Tous les mouvements sont possibles mais sont exécutés avec peu d'éner
statique ni dynamique; pas d'ataxie, pas d'asynergie. ' Tous les mouvements sont possibles. Les muscles sont flasques et hypo
taxie ni d'asynergie. En marchant il traîne les pieds comme si tout mouvement lui coûtait une grande fatigue : le type de la
géants sont souvent sans acti- vité, sans énergie, lents dans leurs mouvements , fuyant le travail, fatigués presque aussitôt q
tonie articulaire surtout marqué aux extrémités supé- rieures ; les mouvements passifs peuvent se faire dans une étendue très
ves générales de Médecine, 1900, i, p. 641. (2) Féré, Sensations el mouvements , Paris, 1887. (3\ JACQUI'I, Mémoires. Observati
n arrière, aux territoires des te, 3e, 4p racines dorsales ? ` ? Le mouvement de torsion que présente le naevus au niveau du br
était pas de même pour le muscle trapèze, de tonicité normale. Les mouvements actifs sont pos- sibles partout, à l'exception
ont pos- sibles partout, à l'exception de la colonne vertébrale. Le mouvement de la tête en bas est limité : le menton s'arrê
typie Berthaud ANKYLOSE DE LA COLONNE VERTÉBRALE ET DES CÔTES 495 mouvement de la tête de côté ou bien en arrière est limité
réflexes cutanés sont exagérés. Le ré- flexe plantaire provoque des mouvements répétés du pied ; ce phénomène est plus marqué
ratatiné. Chaque attouchement du corps provoque non seule- ment les mouvements des extrémités, mais aussi ceux des muscles respi
té gauche. Léger clonus plantaire. Du côté gauche, on observe des mouvements qui rappellent les mouvements cloniques de la r
taire. Du côté gauche, on observe des mouvements qui rappellent les mouvements cloniques de la rotule ; lorsqu'on la repousse
epousse eu bas, on provoque non pas le ré- flexe ordinaire, mais un mouvement lent de la rotule, en haut et en bas et se répé
il avait été tout à fait droit. En même temps qu'une gêne dans les mouvements de la colonne vertébrale, parurent des douleurs
rogressive antéro-interne du tibia droit et une limitation dans les mouvements de flexion du genou. Des phénomènes tout à fait s
sur le bras : pendant que la flexion se peut faire entièrement, le mouvement d'ex- tension reste limité à un angle à peu prè
ement d'ex- tension reste limité à un angle à peu près de 120°. Les mouvements de pro- nation et de supination sont exécutés p
r dans la cavité olécranienne de l'humérus ; c'est ce qui limite le mouvement d'extension de l'avant-bras ; il n'existe pas de
r d'une noisette. Rien d'important au malléole et au pied. Tous les mouvements sont possi- bles ; cependant au genou on perçoi
e : L'articulation du genou se présente énor- mément épaissie ; les mouvements donnent lieu à des craquements et sont en parti
s matières fécales ; On remarque chez lui de multiples attitudes et mouvements stéréotypés. C'est ainsi que pendant des heures
ccompagnés d'actes impulsifs. B... exécute au commandement tous les mouvements qu'on lui ordonne d'accomplir. Il fait le salut
faite, bien entendu, pour les parties supérieures du thorax où les mouvements d'inspiration peuvent être dus à l'action des i
t ; on peut l'incliner de côté ou lui faire des rotations, mais ces mouvements sont restreints et causent une douleur considér
s sont assez grandes, la réaction pour la lumière se maintient. Les mouvements de bulbes sont libres, le malade est apathique,
résie du bras droit. Etat le 30 septembre. Il ne reste que quelques mouvements extrême- érodes CLINIQUES SUR LA POLIOMYELITE A
cathétérisé. La respiration est très difficile et on ne voit aucun mouvement du thorax ; il est évident, que la respiration
on se fait seulement par le diaphragme, mais à en juger d'après les mouvements de l'abdomen pendant la respiration, il semble
mouvements de l'abdomen pendant la respiration, il semble ([use les mouvements du diaphragme soient assez faibles. La respiratio
t à 3 heures de l'après-midi, évidemment par suffocation à cause de mouvements respira- toires insuffisants et avec la conscie
qu'il n'y a pas la moindre trace d'une respiration abdominale- Les mouvements du thorax sont aussi très restreints, 550 PETRE
nt à cause d'une parésie musculaire; car on peut lui faire faire ce mouvement . L'insuffisance de la respiration semble augmen
malade reste par ailleurs tout à fait le même : il ne peut faire de mouvements respiratoires, si l'on in- terrompt la respirat
du thorax est restée immobile. En réalité, il y avait pourtant des mouvements des espaces intercostaux à chaque inspiration :
s inférieurs qu'une diminution très modérée de la force de quelques mouvements . Dans les muscles abdominaux et les muscles du
hode : c'est de faire exécuter systématiquement au malade les mêmes mouvements plusieurs fois en opposant au mouvement le degr
uement au malade les mêmes mouvements plusieurs fois en opposant au mouvement le degré de résistance que le malade peut encor
ut encore vaincre. Mais si le malade ne peut lui-même exécuter le mouvement , il faut que le médecin, en aidant lemalade à l
même si leur force ne leur permet pas d'accomplir par eux-mêmes les mouvements (parce que le poids des membres oppose une trop
r lieu. Ces exercices doivent être poursui- vis pour les différents mouvements qui montrent une force diminuée. Je regarde com
force de tous ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE A1GUE 563 les mouvements des membres atteints et de pratiquer l'exercice p
t une certaine force, mais qui n'en ont pas assez pour exécuter les mouvements quand le poids du membre (ou du tronc) forme un
obstacle. Cette méthode consiste à faire pratiquer aux malades les mouvements dans des bains d'eau. Quand on observe attentiv
a convalescence, on trouve en effet très souvent qu'il y a quelques mouvements que les malades peu- vent exécuter dans les bai
iliser ce fait pour le traitement et de faire faire aux malades ces mouvements dans des bains. D'après mon opinion, il est trè
aux malades d'exécuter continuellement pen- dant leur bain tous ces mouvements qu'ils ne peuvent faire que dans le bain. C'est
difficile d'arriver, par cette voie, à un exercice métho- dique des mouvements parétiques, ce qu'on atteint plus sûrement par la
amais à se servir du membre malade. Lorsqu'on lui commande certains mouvements , il les exécute de façon très maladroite et au
che ne peut ramener le globe oculaire vers l'extérieur. A droite le mouvement n'est que faiblement possible. Les autres mouveme
ur. A droite le mouvement n'est que faiblement possible. Les autres mouvements des globes oculaires sont conservés; il n'y a p
ude des membres supérieurs et inférieurs; il peut exécuter tous les mouvements , mais il fléchit et n'étend qu'avec une certaine
rs et dans les extenseurs des avant-bras et des jambes, pendant les mouvements passifs, un léger dégré de contracture. La fo
signe de Kernig. Du côté des yeux on observe une difficulté dans le mouvement latéral interne de l'oeil gauche, ce mouvement
e difficulté dans le mouvement latéral interne de l'oeil gauche, ce mouvement se fait avec lenteur et incomplètement. Le mouv
eil gauche, ce mouvement se fait avec lenteur et incomplètement. Le mouvement latéral externe des yeux se fait également avec u
aine difficulté. Quand il regarde en haut, il présente en outre des mouvements nys- tagmiformes verticaux. - Le malade souff
eux-ci ne se sont pas accrus en longueur pendant deux années. Les mouvements actifs dans les articulations des coudes, de l'ép
lète. Dans l'articulation tibio-tarsienne le malade n'exécute aucun mouvement , il prétend ne pas pouvoir le faire. Mouvements
de n'exécute aucun mouvement, il prétend ne pas pouvoir le faire. Mouvements passifs. On constate une difficulté, une résistan
haut. Le nys- tagmus n'existe pas toujours etil est peu accusé. Les mouvements des globes oculaires s'exécutent assez bien, ma
arche est très irrégulière et spasmodique. Le tronc ne fait pas les mouvements synergiques nécessaires, il reste en arrière. Il
: D. 47 centimètres ; C. 47 centimètres. Motilité. Les différents mouvements de la tête, du visage et du globe oculaire s'ex
a malade ne se sert pas bien des membres inférieurs, malgré que les mouvements de flexion et d'extension soient conservés. Elle
Fic, 4. DEUX CAS D'HYDROCÉPHALIE AVEC ADIPOSE GÉNÉRALISÉE 639 Les mouvements passifs s'exécutent avec facilité même aux membre
que changement atmosphé- rique. Examen de novembre 1907. Tous les mouvements des globes oculaires sont possibles. Des secous
s. Des secousses nystagmiformes horizontales se produisent dans les mouvements extrêmes surtout latéraux. En fermant les yeux il
l a de légers tremblements des paupières. Il n'y a aucun trouble du mouvement dans les muscles du territoire du nerf facial.
gluti- tion et la mastication sont normales. Pas de dysarthrie. Les mouvements du tronc sont normaux. Membres supérieurs. Le
peu flasques. Le trophisme de la peau est normal. La résistance aux mouvements passifs est légèrement diminuée. Tous les mouve
résistance aux mouvements passifs est légèrement diminuée. Tous les mouvements actifs depuis les plus simples jusqu'aux plus dél
niveau des pieds, elle est froide. II n'y a pas de tremblements ou mouvements fibrillaires. La résistance aux mouvements pass
a pas de tremblements ou mouvements fibrillaires. La résistance aux mouvements passifs est très diminuée surtout au genou ; la r
essive, de manière qu'elle peut ètre artificiellement subluxée. Les mouvements actifs de la cuisse sur le bassin sont tous possi
tion et l'adduction, dans le droit l'abduction est très faible. Les mouvements des doigts sont possibles et complets, l'extens
la cuisse est modérée; dans la jambe elle est presque nulle pour le mouvement d'extension et médiocre pour celui de flexion.La
est presque nulle ; celle de flexion est modique; la force pour les mouvements latéraux est très petite, excepté pour l'abductio
rieur gauche, si ce n'est une légère dimi- nution de résistance aux mouvements passifs. Dans le membre supérieur droit on n'ob
ieur droit on n'observe aucune attitude vicieuse, ni tremblement ou mouvement fibrillaire (au moment de l'examen). Tous les mou
bilatéral associé à un léger équin. Il n'y a pas de tremblements ou mouvements fibrillaires (au moment de l'examen). II y a une
conférence. Le patient ne peut opposer qu'une faible résistance aux mouvements passifs. Il peut accomplir, mais non dans toute
s passifs. Il peut accomplir, mais non dans toute leur étendue, les mouvements actifs de la cuisse dans les deux membres infér
rteils. La force musculaire que le patient peut développer dans les mouvements possibles (des cuisses et des jambes), est très
ladie de Friedreich par l'ab- sence de l'ataxie et des troubles des mouvements oculaires, comme aussi parce que dans cette mal
arésie des membres inférieurs et supérieurs. Il peut faire tous les mouvements des membres supérieurs, mais la force en est dimi
n s'augmentant vers la périphérie, est très considé- rable pour les mouvements des doigts, mais n'est qu'assez médiocre pour les
ur les mouvements des doigts, mais n'est qu'assez médiocre pour les mouvements des épaules. Aux membres inférieurs on a égalem
n a également une diminution très considérable de la force pour les mouvements des pieds et des orteils ; pour les mouvements
de la force pour les mouvements des pieds et des orteils ; pour les mouvements des genoux la diminution de la force est beauco
oux la diminution de la force est beaucoup moins grande et pour les mouvements des cuisses sur le bassin il n'y a pas de dininut
s des progrès lents, mais ré- guliers. Etat à la fin d'avril. Les mouvements des pieds sont possibles dans l'ex- tension nor
eux côtés. L'abduction des doigts est possible, mais la force de ce mouvement est très petite. Le malade peut exécuter l'oppo
rosseux ont conservé au moins en partie leurs fonctions. Les autres mouvements des doigts et les mouvements des poignets sont
en partie leurs fonctions. Les autres mouvements des doigts et les mouvements des poignets sont possibles, mais montrent une
des est diminuée, mais leur extension est à peu près nor- male. Les mouvements des épaules sont normaux. La marche est légèrem
les nerfs crâniens. Il y a presque une paralysie complète pour les mouvements des pieds et des orteils ; car ici il n'y a de
nts des pieds et des orteils ; car ici il n'y a de possible que des mouvements minimes. De même, on constate une parésie consi
nts minimes. De même, on constate une parésie considérable pour les mouvements des genoux et des cuisses sur le bassin. Il y
s cuisses sur le bassin. Il y a une parésie très marquée pour les mouvements des doigts et des mains. Pour les mouvements de
très marquée pour les mouvements des doigts et des mains. Pour les mouvements des épaules la force est diminuée, mais beaucoup
pour les orteils ; car le malade ne peut indiquer la direction des mouvements minimes faits avec les orteils. Aux doigts, auc
Le 28 décembre, nous avons constaté une paralysie complète pour les mouvements des pieds et des orteils. Les réflexes patellaire
tions métacarpo-phalangiennes sont étendues. Il ne peut faire aucun mouvement d'opposition avec le pouce, ni d'abduction des au
ble des mains et des doigts, c'est un certain degré de flexion. Les mouvements des coudes sont possibles dans une extension norm
es dans une extension normale, mais ils sont très faibles. Tous les mouvements des articulations scapulo-humérales sont possib
uand il va reprendre le décubitus dorsal, il peut au début faire le mouvement lentement ; puis la force des muscles abdominaux
peut se tenir assis sans difficulté et peut faire avec le tronc des mouvements assez grands dans le directions différentes san
vol. LXXIV, p. 207, 1908. 28. Duchenne (G. B.). - Physiologie des mouvements , Paris, 1867. 29. -- De l'électrisation localis
tendue que normalement, ce qui produit un obstacle considérable aux mouvements d'extension du coude. L'épiphyse distale de l'os
considère la vie intelligente ou végétative, soit qu'il s'agisse de mouvements conscients ou inconscients, soit que l'on étudie
t d'équilibre stable. La matière vivante estdonc perpétuellement en mouvement par suite de la décomposition et de la recompos
s et intérieures et qui actionnent et règlent tous les or- ganes du mouvement que l'être complet poursuit sa proie, la tue, la
ur les personnes de son en- tourage, il aperçut encore une fois des mouvements respiratoires et car- diaques ; il vit fonction
ns, testicules, etc., qui n'ont rien de commun avec l'idéation, les mouvements instinc- tifs de l'homme peuvent être comparés
le terme idée est un équivalent psychologique. Sous le rapport des mouvements instinctifs, la différence essentielle entre l'
sous leur influence des énergies qui y répondent en provoquant des mouvements spéciaux. Jusque maintenant, je ne suis pas par
s l'action réflexe, la sensibilité se transfor- me mécaniquement en mouvement , en sensation nouvelle ou en acte d'inhibition,
nce irritante. C'est la sensation elle-même qui a mis les pattes en mouvement grâce à l'existence de rouages intérieurs. L'éner
s. L'énergie libérée par le contact de l'acide s'est transformée en mouvement . Tel est l'acte réflexe. On frappe sur une louc
e contracter successivement et rapidement. Le résultat final fut un mouvement de rapprochement de tout le bras vers le tronc
as en dedans et demi-flexion de l'avant-bras sur le bras, véritable mouvement de défense qui projette la main du côté de la p
ISME ET RÉFLEXE 717 Chez les animaux inférieurs, la réalisation des mouvements instinctifs et habituels est très simple. Ils p
L'excitation lumineuse produit également des effets de direction de mouvements très prononcés tout à fait analogues aux précéd
e de lait, l'enfant, toutes choses égales, continuera néanmoins ses mouvements de succion, bien que le liquide ainsi absorbé n'a
eu intervention d'un élément d'ordre mental. Dans les deux cas, le mouvement physico-chimique de la matière correspondant à
s éma- nant du '( coup » qui actionnent l'acte de défense. C'est un mouvement réflexe simplement qui s'est déjà manifesté ava
endre. Le contact du doigt, de la tétine et du mamelon provoque les mouvements de succion. La sensibilité se transforme direct
mouvements de succion. La sensibilité se transforme directement en mouvement en se réfléchissant sur une cellule nerveuse, s
es ou cutanées qui déterminent les contrac- tions de la vessie, les mouvements de succion et de préhension. Et tou- INSTINCT,
caniques, chimiques, etc., qui entretenaient la vie c'est-à-dire le mouvement intra- moléculaire de la cellule où se réfugie
acement et le travail « intelligent » des molécules. Sans parler du mouvement brownien, on peut citer, entre autres faits, l'ac
osition intramo- léculaire dans les limites vitales leur donnent le mouvement , la vie, en font de la matière vivante primitiv
ous son regard de fortes portions d'humanité pour en apercevoir les mouvements d'en- semble et découvrir les ondes qui se comm
pensée con- sciente. La sensibilité se transforme mécaniquement en mouvement . Si INSTINCT, HABITUDE, AUTOMATISME ET RÉFLEXE
26 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 9. Hémorragie et ramollissement du cerveau, métallothérapie et hypnotisme, électrothérapie
oplexie avec hémiplégie droite. Perte absolue de la sensibilité et du mouvement au bras droit, sensibilité obtuse et conservation
vement au bras droit, sensibilité obtuse et conservation partielle du mouvement volontaire au membre inférieur droit. Mort le 29
oplexie ie 19 mars 1807, avec perte complète cle la sensibilité et du mouvement à droite et déviation de la face gauche. File meu
sse subitement; on constate une perte absolue de fa sensibiiité et du mouvement , fa face est d'une pâteur tivide, fa respiration
tre membres alternant avec un peu de rigidité. Insensibilité absolue. Mouvements réflexes conservés à la jambe droite, nuls à gauc
ce ; on constate alors une paralysie complète de la sensibilité et du mouvement au membre supérieur gauche. Le lendemain seulemen
e sans perte totale de connaissance, face pâle, pas de vomissements ; mouvements conservés dans les quatre membres; pas de différe
d'apoplexie avec hémiplégie gauche incomplète de la sensibilité et du mouvement . La malade se rétablit et meurt deux ans après, d
mot, qu'un nerf sensitif par exemple, étant excité, il y a un double mouvement : l'un qui va aux centres et qui est perçu, l'autr
existerait « dans les hémorragies cérébrales un peu considérables un mouvement fébrile sur lequel les auteurs classiques insiste
st-à-dire dans les cas où les contractions musculaires produisent des mouvements alternatifs plus ou moins étendus (contractions d
nstamment que la température centrale, quelque intense que soient les mouvements convulsifs, ne subit pas de déviation sensible du
ie après, elle est à 38°, 3 ; puis toute roideur ayant cessée, et les mouvements cloniques persistant seuls, la température descen
ndort. Il est impossible d'obtenir d'elle qu'elle tire la langue. Les mouvements et le sentiment sont conservés sur toute la moiti
0, pendant la visite, la malade est prise d'un accès con-vulsif ; des mouvements spasmodiques, saccadés, se succédant très rapidem
tirée violemment à gauche et en haut ; en même temps la tête subit un mouvement de rotation par suite duquel la face est portée à
mes une fois développés ont une grande tendance à devenir le siège de mouvements fluxionnaires, ce qui s'explique tant par l'état
tion. Parfois, sous des influences le plus souvent insaisissables, le mouvement fluxionnaire devient plus violent, et la néo-memb
inférieurs surtout, s'affaiblissent et perdent la certitude de leurs mouvements ; il se produit des paralysies incomplètes et par
ttaque a été caractérisée par une perte complète do connaissance avec mouvements convulsifs du côté droit de la face, du bras et d
la jambe du côté droit sont complètement paralysés du sentiment et du mouvement , et dans la résolution; les membres du côté gauch
quelques instants avant notre arrivée, La face est agitée de légers mouvements convulsifs qui tirent en dehors et en haut, comme
oment la tête sur l'épaule droite; puis le bras droit s'agite par des mouvements alternatifs de flexion et d'extension, de supinat
ènes sont devenus plus saillants. Le malade a eu un nouvel accès avec mouvements convulsifs de tout le côté droit ; la parole est
e -tombe dans le coma, avec paralysie in complète du côté gauche et mouvements convulsifs du bras droit. A l'autopsie, on reco
ns produire des phénomènes convulsifs ni aucun autre trouble, soit du mouvement , soit du sentiment. Peut-être, si la malade eût v
ait conservée à peu près intacte sur toutes les parties paralysées du mouvement . Chez cette femme, le langage articulé n'était pl
rroné ce point de physiologie, que le centre cérébral qui préside aux mouvements de coordination de la parole a son siège dans les
ne bonne partie de son intelligence et chez laquelle, d'ailleurs, les mouvements delà langue étaient restés libres ; elle est comp
épètent aujourd'hui à des intervalles très rapprochés. Cependant, les mouvements des mains et des bras sont libres et ne présenten
plaignit un matin, à son réveil, d'une gêne assez prononcée dans les mouvements du coude gauche, lequel d'ailleurs n'était le siè
Le tégument externe était lisse et tout à fait exempt de rougeur. Les mouvements de pronation ou de supination, cle flexion ou d'e
ressivement, mais sans jamais s'effacer, toutefois, complètement. Les mouvements de la jointure ont repris actuellement (mars 1807
époque un peu de liquide dans la cavité articulaire. D'ailleurs, les mouvements de flexion et d'extension de la jambe sur la cuis
e soit par la pression exercée sur les parties gonflées, soit par les mouvements imprimés aux membres. Les choses restèrent dans
tait restée volumineuse et était le siège de craquements aux moindres mouvements . En mars 1800, la malade put commencer à se lev
ps, et même dans le décubitus dorsal, lorsqu'on imprime à la jambe un mouvement qui la porte de dehors en dedans. Quand on fait
dehors en dedans. Quand on fait subira l'articulation du genou des mouvements successifs d'extension et de flexion, on perçoit
ougeur. D'ailleurs, pas de douleur à la pression non plus que par les mouvements spontanés ou provoqués. Il n'existe d'antre doule
e lieu qu'ils occupent dans le lit. D'ailleurs, elle peut imprimerdes mouvements de flexion et d'extension très-énergiques, aux di
eau des fausses côtes, dans les doigts des mains, etc. Cependant, les mouvements des membres supérieurs s'opèrent régulièrement, s
inLenses qui se produisent aujourd'hui sous l'influence des moindres mouvements , attestent suffisamment, même à défaut du contrôl
des ligaments et des craquements qui se produisent seulement lors des mouvements brusques de la jointure. Obs. IV.— M. B., âgé d
igaments, et, au dire du malade, il s'y produit quelquefois, dans les mouvements brusques, des craquements assez prononcés, En j
Ceux-ci cependant ne présentent pas traces d'incoordination dans les mouvements . Les douleurs fulgurantes occupent aussi quelquef
r une bonne partie du derme. La paraplégie ne fut que temporaire ; le mouvement reparut à droite, assez rapidement, et beaucoup p
t Bouchard. —Douleurs fulgurantes de l'ataxie sans incoordination des mouvements , sclérose commençante des cordons fn slcrieurs tU
uleurs du dernier genre ne se révèlent guère que sous l'influence des mouvements ou de la pression exercée sur les membres ; ou si
ment, elles sont néanmoins toujours exaspérées par la pression ou les mouvements ; elles dépendent d'une inflammation subaiguë des
bstitution d'un mot à un autre, pas d'aphasie, mais bien embarras des mouvements de la langue et des lèvres, qui gène la prononcia
nouveau à plusieurs reprises, dans la suite. Les jours suivants les mouvements deviennent progressivement plus libres, plus éten
appétit s'est complètement rétabli. Il n'y a jamais eu apparence d'un mouvement fébrile un peu intense. Vers le milieu du mois
habituellement plus chaudes que les mêmes parties du côté opposé. Les mouvements un peubrusques imposés à ces mêmes articulations
e, et elle existe même, bien qu'à un degré moindre, en dehors de tout mouvement spontané ou provoqué. En outre de ces douleurs
ns qu'il y ait eu perte de connaissance. Quelques jours plus tard, le mouvement qui, d'ailleurs, n'avait jamais été complètement
là elles se montrent spontanées, presque continues; mais les moindres mouvements imprimés aux jointures les exaspèrent, et les mou
les moindres mouvements imprimés aux jointures les exaspèrent, et les mouvements un peu brusques les rendent intolérables. Il exis
du connaissance. Bientôt, le membre inférieur gauche avait repris ses mouvements , au point que la malade pouvait marcher ; le memb
remarque pour la première fois qu'en faisan! exécuter à ce membre des mouvements passifs, la malade, bien qu'elle paraisse plongée
eur et prononce quelques paroles inintelligibles. Ce sont surtout les mouvements de l'épaule qui paraissent douloureux. Ceux du co
des lobes inférieurs. 14 et 15. — Les douleurs que déterminent les mouvements des diverses articulations du membre supérieur ga
l'épaule. Elles ne se montraient pas spontanément, mais les moindres mouvements imprimés à cette dernière articulation réveillaie
miplégie droite complète. Le membre supérieur droit est privé de tout mouvement . Il est flasque et retombe inerte quand on l'a so
re inférieur, demi-fléchi, repose sur le lit par sa face externe, les mouvements de flexion et d'extension imprimés à l'articulati
he. Ce dernier est considérablement tuméfié, douloureux, rigide ; les mouvements de l'articulation sont impossibles. Lors de l'ent
vir de ce membre. Elle ne peut plus, en effet, lui imprimer que des mouvements très-obscurs. 11 retombe presque inerte, lorsqu'o
ment plus chaudes que les parties correspondantes du côté opposé. Les mouvements provoqués dans les diverses articulations du memb
s douleurs articulaires obscures, tantôt seulement provoquées par les mouvements imprimés au membre, tantôt se manifestant en outr
r, assez exactement localisée dans la jointure, et s'exaltant par les mouvements qui déplacent les surfaces articulaires, fera dis
complète, les jointures affectées n'ont pas cessé d'exécuter quelques mouvements (Obs. I et II). Il est permis d'écarter également
une inspiration sifflante se fait entendre, acccompagnée de quelques mouvements bruyants de déglutition. Ces derniers signes et l
suspendue par moments. Il est fort difficile de compter le nombre des mouvements respiratoires. servent plus la situation qu'on
notable sur la moitié droite de la langue, sans provoquer le moindre mouvement . La moitié gauche de la langue est, au contraire,
ne façon plus générale aux diverses parties du corps font place à des mouvements plus ou moins complexes, parfaitement coordonnés,
la Nature, 1881. Nos recherches de 1878 marquent le commencement du mouvement actuel qui se poursuit en Allemagne et en France,
les bras comme le reste du corps ne participaient en aucune façon aux mouvements réflexes de la jambe sur laquelle portait l'excit
secousse qui suivait, avec un léger retardparfaitement appréciable,le mouvement de lajambe. Cail..., hystéro-épileptique, actue
classique. Le cylindre est animé d'une vitesse uniforme au moyen d'un mouvement d'horlogerie muni d'un régulateur Foucault. Pour
un régulateur Foucault. Pour le cas actuel, il est placé sur l'axe de mouvement moyen et exécute un tour complet en six secondes.
hoc brusque, porté sur le tendon rotulien provoque presqu'aussitôt un mouvement assez étendu de la jambe et à oscillations multip
de la deuxième rangée des os du carpe. La percussion donne lieu à un mouvement d'extension de la main et des doigts. Le tracé
la contraction réflexe des extenseurs s'arrêter à mi-chemin dans son mouvement de rechute, pour retomber ensuite d'elle-même com
u accusés pendant la veille. Le réflexe rotulien produit à la fois un mouvement dans les quatre membres et un soubresaut de tout
s se placent dans une extension forcée. En tous cas, ils subissent un mouvement latéral assez prononcé en vertu duquel ils s'écar
pas adducteur d'après Duchenne (de Boulogne). Il ne se produit aucun mouvement de pronation ou de supination, les muscles qui pr
vement de pronation ou de supination, les muscles qui président à ces mouvements , ne recevant aucun filet moteur du nerf cubital.
tain degré de flexion des articulations métacarpo-phalangiennes. — Le mouvement d'adduction ou d'abduction des interosseux ne peu
le fléchisseur sublime est le seul qui doive de meurer étranger au mouvement de flexion ; il reçoit ses filets moteurs du nerf
muscles de l'éminence hypothénar (adducteur et court fléchisseur). Le mouvement d'extension que ces derniers muscles (interosseux
ronateur. — Pronateur et fléchisseur de l'avant-bras sur le bras. (Le mouvement de flexion est assez énergique lorsque l'avant-br
ique lorsque l'avant-bras est maintenu en supination, mais lorsque le mouvement de pronation est fortement accusé la flexion se p
médian. A priori, l'excitation du tronc nerveux lui-même produira les mouvements suivants : Flexion de l'avant-bras sur le bras
n action (rond pronateur) et encore est-il peu fléchisseur lorsque le mouvement de pronation est énergique comme nous le verrons
vec flexion de la première phalange et peut-être de la deuxième. — Le mouvement d'opposition est exécuté par les faisceaux des mu
r le métacarpien et étendent la deuxième phalange sur la première. Ce mouvement de flexion de la première phalange s'exécute avec
balancé par aucun des muscles extenseurs ; il n'en est pas de même du mouvement d'extension de la deuxième phalange sur la premiè
l'emporter. En résumé, l'excitation du médian doit donner lieu aux mouvements suivants: 1° Pronation ; 2° Flexion de la mai
ous venons d'exposer. L'avant-bras se met en pronation forcée et ce mouvement de pronation est tellement intense que la flexion
bras ne saurait exister. Le poignet est fléchi. Le pouce, par un mouvement d'opposition, vient se placer dans la paume de la
poing fermé (FigA2). Si l'excitation a été intense ou prolongée, le mouvement de pronation forcée de l'avani-bras tend à s'exag
hère du médian, aux muscles de l'épaule rotateurs de l'humérus, et le mouvement de prona-fion est continué, pour ainsi dire, par
, et le mouvement de prona-fion est continué, pour ainsi dire, par un mouvement de rotation du bras de dehors en dedans, de telle
r le bras et par le court supinateur qui seul préside efficacement au mouvement de supination. Les autres muscles innervés par
bres, pour que ce muscle entre en contracture, imprimant à la tête le mouvement de rotation prévu d'après les données de la physi
nnées de la physiologie musculaire, et l'immobilisant au terme de son mouvement dans l'attitude figurée ci-contre (Pl. V, fig. 1)
à se placer sur la même verticale. 11 en résulte que la tête subit un mouvement de rotation, en vertu duquel la face se trouve di
ir l'omoplate solidement appliquée au thorax et qui lui fait subir un mouvement de bascule, en vertu duquel son angle inférieur e
inconnue, d'un certain nombre de muscles et doter la physiologie des mouvements d'importantes découvertes. Mais, ces points d'éle
les deux dernières phalanges restent étendues, et au bord cubital, le mouvement de l'abduction. Les interosseux ne sont accessi
e la propagation de l'excitation. Dans l'état d'hyperexcitabilité, le mouvement d'un muscle s'accompagne ordinairement de l'actio
oujours compter avec les actions synergiques ; mais, loin de nuire au mouvement que l'on cherche à obtenir, ces actions, dans la
la fois sur les deux muscles pairs, donnait lieu à une exagération du mouvement obtenu avec l'excitation unilatérale ; 5° II es
ent la partie supérieure du visage et im priment tous au sourcil un mouvement particulier. Ce sont : le frontal, l'orbiculaire
l'émotion de l'âme seule a le pouvoir de les mettre partiellement en mouvement ». (Duchenne, Mécanisme de la physionomie..., pag
scle intervienne en même temps et imprime à la paupière inférieure un mouvement particulier, c'est le muscle orbicu-laire palpébr
Grand zygomatique : Muscle du rire (Fig. 21). —Lignes fondamentales : mouvement oblique en haut et en dehors de la commissure lab
ation. C'est ce qu'on peut remarquer sur la figure 3, Planche VIT. Le mouvement de la lèvre supérieure représente assez bien l'ac
ile du nez, il est facile de se rendre compte de la part qui, dans le mouvement expressif de la première, doit être attribuée au
rieure et de l'aile du nez imprime à ces parties de la physionomie un mouvement bien caractéristique, que la figure 4 de la Planc
suffit de toucher le bord d'une narine ou sa face externe pour que le mouvement de dilatation s'accuse aussitôt avec énergie; et,
ssitôt avec énergie; et, le plus souvent, l'autre narine participe au mouvement mais à un degré moindre), bien que l'excitation a
pproche de la ligne médiane, comme sur la Fig. 3 de la Planche VI, le mouvement de dilatation est à peu près égal des deux côtés
que de cette expérience déjà délicate. Néanmoins, nous pensons que ce mouvement des narines s'est inscrit assez nettement sur not
ection indiqué par l'électrisation localisée {Fig. 16), on obtient un mouvement complexe de la lèvre résultant de la contraction
la houppe du menton. Ces muscles impriment aux téguments du menton un mouvement d'élévation, et les appliquent contre la symphyse
peaussier est inexpressive et ne produit qu'une grimace. Mais, si au mouvement des traits occasionnés par le peaucier vient s'aj
Néanmoins, s'il se produit alors de chaque côté de la physionomie un mouvement un peu complexe, la contraction unilatérale n'en
côtés à la fois, pendant que la malade est léthargique totale, et le mouvement d'ensemble qui en est la conséquence et représent
lanche IX, de soulever la paupière gauche, par exemple, pour que tout mouvement cesse de ce côté, malgré la persistance de l'exci
, notre malade est totalement incapable d'imprimer à ses oreilles les mouvements que, dans le sommeil provoqué, l'excitation mécan
gus, une zone fort limitée dont l'excitation amène infailliblement un mouvement brusque et assez accusé du pavillon de l'oreille,
e l'oreille, qui se trouve attiré en haut et un peu en arrière. Aucun mouvement ne se produit si l'excitalion n'est pas exactem
rtée au devant du tragus intéresse le rameau nerveux qui va donner le mouvement au muscle auriculaire supérieur, et qui ne saurai
isseurs de l'avant-bras. — F, friction des muscles antagonistes. — ( Mouvement lent.) 1° La contracture provoquée persiste tan
nous observons pour la première fois. Dans les deux mains, de petits mouvements fort légers s'opèrent à la fois ; mais, bientôt,
etits mouvements fort légers s'opèrent à la fois ; mais, bientôt, ces mouvements s'accusent dans un sens différent à chaque main.
ssent. Les mêmes doigts de l'autre main subissent au même moment un mouvement inverse, l'annulaire et le petit doigt entrent en
t nettement l'attitude de la griffe cubitale, mais il semble que le mouvement se soit arrêté en chemin, il demeure inachevé.
é de petites oscillations brèves, saccadées et irrégulières. Puis, un mouvement d'ensemble se produit, l'index gauche qui, demi-f
t recouvert par les autres. Au bout de peu d'instants, nous voyons un mouvement se produire exclusivement dans le petit doigt q
ement. Puis, le médius seul se soulève un peu, il est agité de petits mouvements , et frappe la table de petits coups répétés. Peu
n extension forcée. En même temps que le médius gauche subissait un mouvement ascensionnel, le médius droit, par un mouvement i
s gauche subissait un mouvement ascensionnel, le médius droit, par un mouvement inverse, s'abaissait peu à peu, et au moment où l
us constatons de nouveau que les réflexes tendineux sont exagérés; le mouvement qui suit le choc est très étendu, il est brusqu
ture habituelle. A chaque froissement du nerf cubital répond un léger mouvement dans les doigts, mais aucune contraction nettemen
bout de quelques instants, rendre à la malade toute la liberté de ses mouvements . Voici le récit d'un de ces accidents : 22 déce
Et cette fois Witt... a recouvré en même temps que la connaissance le mouvement et la parole. Elle n'a qu'un souvenir confus de c
peu en haut. Au bout de cinq minutes environ, on remarque quelques mouvements cloniques dans les muscles de la face, surtout du
it que la sensibilité a reparu partout; chaque piqûre donne lieu à un mouvement réflexe, indice que l'impression est perçue parle
le corps; aux coudes et aux poignets le choc tendineux est suivi d'un mouvement bien plus étendu que pendant la veille. En somme,
persiste, et le pincement ainsi que la piqûre donnent naissance à des mouvements réflexes; la malade retire son membre, et la doul
complète. Les réflexes tendineux ont subi une exaltation notable. Le mouvement réflexe est étendu. La malaxation des masses mu
à cause de la fixité du regard, de la légèreté et de la souplesse des mouvements , de l'harmonie qui existe entre les gestes et l'e
ple. « L'excitation des antagonistes, dit M. Vulpian, dans les cas de mouvements volontaires de certains groupes de muscles, me pa
e de voir que ces muscles ne font, en somme, que continuer au bras le mouvement commencé à l'avant-bras par les muscles pronateur
appréciable de plusieurs secondes (2, 3, 4) entre l'excitation et le mouvement réflexe. Par instant l'hyperexcitabilité neuro-
entôt une agitation excessive se déclare, c'est la période des grands mouvements de la grande attaque. Nous avons peine à mainteni
e excitée. La cinquième loi de Pflûger sur les réflexes dit que les mouvements réflexes sont locaux ou généraux, et que ceux qui
ines sensilives excitées. Sanders-Ezn, dans des expériences sur les mouvements réflexes d'un membre postérieur de la grenouille,
, a indiqué des régions de la peau dont l'excitation donne lieu à des mouvements réflexes soit d'extension, soit de flexion, de te
ême courant appliqué de la même façon ne donne lieu chez elle à aucun mouvement . C'est par hasard que ce fait s'est présenté à
uelle les électrodes étaient appliqués, sont restés sans présenter de mouvement . Les secousses provoquées n'ont toujours eu lie
d'une façon plus ou moins directe, sur le passage du courant, et les mouvements observés dans cette région pourraient, à la rigue
passage du courant ainsi que les interruptions ou inversions ; aucun mouvement n'était observé soit à la face, soit aux membres.
dans F état léthargique avec hyperexcitabilité neuro-musculaire, des mouvements localisés sur le côté opposé du corps —face, bras
ts localisés sur le côté opposé du corps —face, bras et jambes. — Ces mouvements , i. Séance du 21 janvier 1882. {Progrès médical
e chez P... et jusqu'à dix chez B... Dans chacune de ces séances, les mouvements croisés et exclusivement croisés ont été provoqué
ont quelquefois varié d'une expérience à l'autre, mais, toujours, les mouvements des membres et de la face occasionnés par l'inter
corps. Il ne s'agit donc plus ici, comme dans le groupe précédent, de mouvements exclusivement hétéro-latéraux, mais, au contraire
vements exclusivement hétéro-latéraux, mais, au contraire, surtout de mouvements homo-latéraux par rapport au côté du crâne ou l'e
ée dans les mêmes conditions que précédemment, n'a donné lieu à aucun mouvement . L'une de ces malades présentait à peine le phéno
ient toutes en état de léthargie avec hyperexcitabilité. De plus, les mouvements observés chez elles, par l'excitation galvanique
ervés chez elles, par l'excitation galvanique du crâne, consistent en mouvements brusques, en secousses aussitôt, suivis de relâch
en mouvements brusques, en secousses aussitôt, suivis de relâchement, mouvements se produisant exclusivement au moment de l'ouvert
res, les larmes s'accumulent et s'écoulent bientôt sur les joues. Les mouvements respiratoires eux-mêmes s'affectent dans le sens
tudes fixes, artificiellement imprimées aux membres, font place à des mouvements plus ou moins complexes parfaitement coordonnés e
pneumographe appliqué sur la poitrine (Fig. 27) donne la courbe- des mouvements respiratoires. Fig.27. — Dispositif des expérie
mbre, on peut observer l'irrégularité dans le rythme et l'étendue des mouvements respiratoires, de profondes et rapides dépression
is il est difficile d'imprimer à un mannequin, si docile soit-il, des mouvements parfaitement expressifs, et le nombre des attitud
électrique avait imprimée à la physionomie. Au fur et à mesure que le mouvement des traits s'accentuait, on voyait, en quelque so
t pas franchement, le geste demeurait indécis. Une fois produit, le mouvement imprimé aux traits du visage ne s'efface pas, mal
nts pour réagir sur le centre nerveux. Au début de l'excitation aucun mouvement du corps ne se produit. Le sourcil se contracte é
sujet de l'influence que peuvent avoir, sur l'activité psychique, les mouvements expressifs de la physionomie ou du corps tout ent
, après la cessation de la rigidité musculaire, le rétablissement des mouvements et de la forme s'est-il fait sans nécessiter aucu
quefois la prédisposition est tellement accentuée que le moindre faux mouvement pourra compter comme un traumatisme et déterminer
ibro-tendineuses, qui exige, pour que soient rétablis la forme et les mouvements du membre, l'intervention ckirurgicale. Mais qu
par suggestion, que son pied se relâchât et reprit l'attitude et les mouvements normaux; mais, aussitôt réveillée, le pied-bot se
chappe de ses pointes se dépose sur le disque de caoutchouc. Puis, ce mouvement de rotation continuant, cette électricité positiv
et cesse presque immédiatement de donner des signes d'électricité. Ce mouvement continuel est d'ailleurs attesté de la façon la p
per une contracture du poignet avec paralysie de la sensibilité et du mouvement de tout le membre supérieur. Vous pouvez constate
main de la malade, et ce ne sera pas avant demain que la liberté des mouvements sera rétablie. Dans ce cas, le traitement consi
lèbres études de la Salpètrière sont devenues le point de départ d'un mouvement scientifique qui n'est sans doute pas près de s'a
pendant qu'un pneumographe fixé sur la poitrine donnera la courbe des mouvements respiratoires. Or, chez le cataleptique, pendant
Tous les caractères somatiques de l'attaque hystérique, contractures, mouvements convulsifs, grands mouvements, etc., peuvent fair
de l'attaque hystérique, contractures, mouvements convulsifs, grands mouvements , etc., peuvent faire défaut. L'attaque est consti
eppili (2) publiaient des recherches sur les phénomènes des sens, des mouvements de la respiration et de la circulation dans l'hyp
27 (1891) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 04] : clinique des maladies du système nerveux
de la sclérose multilo- culaire, c'est le tremblement à propos des mouvements voulus. Eh bien, ce tremblement intentionnel, o
ment, contraclurée et la pointe déviée à gauche en crochet. Dans ce mouvement le maxillaire illfé- rieur se met à trembler. A
ES SYNDROMES HYSTÉRIQUES « SIMULATEURS ». 21 1 s'arrête, dès que le mouvement est exécuté. Si on fait aussi étendre les mains
ste. Au dynamomètre : main droite, 80 et plus; main gauche, 35. Les mouvements actifs et passifs sont affaiblis de ce côté et
et présente des attaques hystériques classiques avec aura et grands mouvements qui durent quinze à vingt minutes et se répètent
; parfois il existe au repos quoiqu'il s'exa- gère toujours par les mouvements voulus ; parfois il s'atténue d'une ma- nière c
l porte un verre à sa bouche, son bras tremble d'autant plus que le mouvement est plus près de s'achever, la direction géné-
le mouvement est plus près de s'achever, la direction géné- rale du mouvement étant conservée et le but étant atteint. Dans la
ement s'exagère quand on fait lever la main à la malade et dans les mouvements voulus. Dans le membre supérieur gauche, il y a
ême elle remet ses jambes en place sans le secours de personne. Les mouvements d'élévation sont devenus plus faciles et plus é
la faradisation, au bout de cinq jours, la malade pouvait faire des mouvements spontanés de flexion et d'extension des jambes et
il était comme abruti. En 1874, il contracta la syphilis. Repos. Mouvement . (Action de porter un verre à la bouche). Fic.
st nul au repos et pendant le sommeil. Il apparaît à l'occasion des mouvements et s'exagère sous l'influence des émotions. Q
s membres supérieurs ne présentent aucun tremblement; mais dans les mouvements , dans l'action de saisir un verre, les oscillat
ux-mêmes, ils ont seulement des oscillations communiquées. Dans les mouvements que l'on imprime à ses membres, on sent une résis
et appuyés sur sa poitrine; ils ne peuvent exécuter que de faibles mouvements . Quand elle essaie de porter l'une ou l'autre m
he du tronc. Le D' Semon, qui a examiné son larynx, a dit que les mouvements en étaient normaux, et que, aux essais de phona
otence et d'inutilité durant plusieurs mois, avaient recouvré leurs mouvements et leur entière liberté; qu'elle pouvait s'ell se
ompagnée d'un tremblement intense « coarse tremor » à l'occasion de mouvements voulus. Ce tremblement, ajoute-t-il, rappelait
contraire, exagéré d'une façon notable. On provoque éga- lement des mouvements convulsifs avec trépidation des membres inférieur
rose en plaques. Il ne s'exagère pas quand cet homme veut donner au mouvement une direction précise. Qu'il ait, ou non, les yeu
éveil, il fut tout à coup complète- ment paralysé; perte absolue du mouvement ; abolition de la parole, dégluti- lion pénible
s nette comme auparavant. Le 12 avril 1881, trois mois après, « les mouvements étaient bien revenus, puisqu'il put faire deux
r. Il présen- tait des troubles du langage, du tremblement dans les mouvements volontaires, une expression hébétée du visage,
upérieurs, parle mieux. Il y a encore un léger tremblement dans les mouvements volontaires avec quelques troubles légers de la
élever ses membres au- dessus du plan du lit, assez haut, mais ces mouvements ne s'exécutent que lentement et en tremblant. C
sibles, mais lentes, hésitantes et accompagnées de tremblement. Les mouvements passifs sont raides et résistants. Les pieds so
tés et trépidation spéciale. Membres supé- rieurs. Si on ordonne un mouvement au malade, dès qu'il le commence, la main se me
t dès que le membre reprend la position de repos sur le thorax. Les mouvements des mains et des doigts sont lents et assez mal
ans la station debout ni dans la marche. Aux membres supérieurs les mouvements sont accompagnés de tremblement. Pas de nystagm
he est irrégulière, branlement de la tète et du cou exagéré par les mouvements volontaires dis- paraissant pendant le sommeil.
ement généralisé des mains et devras, même au repos, exagéré parles mouvements volontaires, comme dans la sclérose en plaques.
uel et de s'exagérer toutes les fois que le malade veut exécuter un mouvement intentionnel. Un traitement par les bains sul-
ent se reproduit avec des oscillations d'autant plus grandes que le mouvement se complète : il lui est impossible de boire sans
t marcher ou quand il se tient debout. Dans le décubitus dorsal les mouvements désor- donnés s'arrêtent. La trépidation spécia
quatrième concerne un homme de cinquante-sept ans qui au plus léger mouvement voulu montre un tremblement des mains. Lorsque
lu montre un tremblement des mains. Lorsque le malade veut faire un mouvement intentionnel, surviennent des secousses. L'emba
rfs est intacte. A cause de ce tremblement anormal ou plutôt de ces mouvements tremblants, on fit à la clinique d'Eichhorst le
s sont un fort tremblement dans les membres qui s'accentue lors des mouvements voulus. Il y a en plus une hémianesthésie compl
du côté droit. Son tremblement n'apparaissait qu'à l'occa- sion des mouvements et devenait plus intense à mesure que ceux-ci se
tout le monde. Mais il n'avait rien remarqué en ce qui concerne les mouvements des globes oculaires, et n'avait point souffert
issent à l'accommodation et à la lumière. Ophthalmoplégie. Tous les mouvements sont intéressés, mais d'une façon; incomplète.
s les mouvements sont intéressés, mais d'une façon; incomplète. Les mouvements latéraux vers la droite s'exécutent mieux; Le m
ie. Le champ visuel est nor- mal, ainsi que le fond de l'oeil : Les mouvements de la bouche et des lèvres s'exécutent parfaite
r elle-même en tuyau, mais laissant bien voir le. larynx dans les,, mouvements de phonation. Cordes vocales larges,un; peu. ro
s,, mouvements de phonation. Cordes vocales larges,un; peu. rouges. Mouvements normaux. Dans l'émission des sons un peu-élèves
de Pavant-bras sur le bras et dessine une corde fort nette dans ce mouvement . La supina- tion complète est également empêché
us affectées, surtout à gauche. Au point de vue de la motilité, les mouvements d'extension en arrière de la tête ne présentent
sion en arrière de la tête ne présentent presque point de force. Le mouvement de flexion au contraire, ainsi que celui qui ré
us et sous-épineux, des sous-scapulaires. Perte presque absolue des mouvements des deltoïdes. Les pectoraux conservent assez d
eltoïdes. Les pectoraux conservent assez de force relativement. Les mouvements d'extension de l'avant-bras sur le bras sont fort
bras sur le bras sont forts et présentent une grande résistance aux mouvements passifs contraires. La flexion au con- traire e
de ces diverses parlies qui est très faible et résiste à peine aux mouvements passifs con- traires. La supination existe à pe
mal, présente cependant une certaine énergie. Aucune force dans les mouvements d'opposition et d'ad- duction des pouces. Les
eur forme nor- male, ainsi que les jambes. La résistance à tous les mouvements de la cuisse, de la jambe et du pied est consid
trophiés. Le poignet s'abaisse et se redresse avec difficulté;, ces mouvements n'offrent aucune résistance. L'avant- bras .(en
xtension de l'avant-bras sur le bras n'oflre aucune résistance. Les mouvements du bras : adduction, abduc- tion, élévation, ab
musculature de la main ; ces crampes survenaient il l'occasion îles mouvements volontaires, surtout quand le malade voulait sais
index, on a tout àl'ait, quand le malade tremble, la position et le mouvement de la main d'un joueur de mandoline tenant entr
taxique de tabes, celui-ci pouvant d'emblée débuter par l'ataxie du mouvement , l'hystérie pouvant se manifester tout d'abord pa
prend l'expression du plaisir et de la joie. Il ne se produit aucun mouvement des membres. Verre bleu. Elle fronce les sourci
ment ses sourcils se froncent, ses lèvres se plissent comme dans un mouvement de dégoût prononcé. Elle fait avec les mains un
ciel, sa physionomie exprime un parfait contentement. Verre jaune. Mouvement de dégoût et de recul, bien plus accentué qu'av
certain nombre de modifications, mais nullement en rapport avec les mouvements d'accommodation nécessités par les diverses dis
secoue (Pl. VII, fig. 4.). Mais on comprend que l'interprétation de mouvements aussi spéciaux soit assez difficile. Cela peut êt
de tête, puis ainsi de suite. , Le sulfure de carbone provoque un mouvement assez banal. Sa face exprime le dégoût; elle se
r ce qu'il exécute. En même temps l'avant-bras. est animé de petits mouvements spasmodiques de très'petite étendue qui vont en
ée sont impossibles à fermer. On peut faire exécuter de très légers mouvements au poignet au niveau duquel les tendons fléchisse
iveau duquel les tendons fléchisseurs sont saillants. Au coude, les mouvements spontanés sont aussi libres que du côté opposé.
spontanés sont aussi libres que du côté opposé. Cependant, dans les mouvements passifs, on a plus .de raideuij à vaincre pour
aincre pour plier ou étendre l'avant-bras que de .l'autre côté. Les mouvements de l'épaule sont également libres des deux côté
remplacée par une ligne presque droite (fig. 24). L'amplitude des mouvements respiratoires, qu'on ne constate plus, ainsi qu
nutes. Le tracé pneumographique ci-dessus (fig. 25) accuse bien les mouvements res- piratoires, mais réduits à une si faible a
e quand le sujet est au repos. Il ne s'accroît sous l'influence des mouvements volontaires que d'une manière nulle ou insignif
ccomplissement des menus actes qui nécessitent la mise en oeuvre de mouvements précis et délicats de la main et des doigts.
les mo- difications qu'il présente sous l'influence du repos et des mouvements actifs, sont autant de caractères bien autremen
t à ce dernier, toujours il s'éveille et s'accroît à l'occasion des mouvements volontaires, il persiste dans certaines attitudes
genoux, voici ce que l'on peut constater : la tète oscille avec un mouvement de va-et-vient dans le sens antéro-posté- 110 N
LPÊTRIÈRE. rieur; les avant-bras et les mains sont animés de légers mouvements de flexion avec pronation et d'extension en sen
nverse qui se succèdent régulièrement; les doigts suivent aussi ces mouvements , mais d'une manière passive, ils ne tremblent p
qui nécessite de sa part de l'attention et de la précision dans les mouvements , si on lui ordonne, par exemple, de saisir un v
la vie journalière qui exigent tant soit peu de précision dans les mouvements de la main sont rendus très difficiles et souve
Blumlierg .. Malade couché. Tremblement nul au repos, provoqué par un mouvement t intentionnel du membre supérieur. ÉTUDE CLI
. Dans cette attitude, les membres inférieurs sont animés de légers mouvements de flexion et d'extension qui ont pour centre pri
re supérieur droit persiste au repos, s'accentue .t l'occasion d'un mouvement intentionnel. 112 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA S
rend la position couchée. Toujours il s'accentue à l'occa- sion des mouvements volontaires. C'est pourquoi il nous a paru mérite
des malades atteints de sclérose multiloculaire, quand ils sont en mouvement . Sans compter que l'élocution du sujet, souvent e
est nécessairement frappé par son accentuation sous l'influence des mouvements intentionnels; que l'on se borne à examiner le
, qui toujours s'accroît d'une manière frappante à l'occa- sion des mouvements intentionnels, rappelant ainsi le tremblement de
r une phase épileptoïde très courte; puis vient une série de grands mouvements (salutations), de contorsions, interrompus de t
cherche à se mordre les mains, déchire ses habits. Enfin les grands mouvements cessent, le malade sanglote et pleure pendant q
logr. ; pour la main droite, 45 kilogr. Et, dans l'expérience des mouvements provoqués avec résistance de la part du malade,
que le malade ne puisse exécuter avec son bras et sa jambe tous les mouvements qui lui sont prescrits, et cela avec précision
antéro-postérieur, le malade dit « oui ». Il ne s'agit nullement de mouvements passifs, communiqués, mais bien de secousses ac
étant assis ils repo- sent sur ses genoux, les mains exécutent des mouvements alternatifs de flexion et d'extension; ces mouv
exécutent des mouvements alternatifs de flexion et d'extension; ces mouvements paraissent avoir pour centre l'articu- lation d
oignet; les doigts à demi fléchis ou étendus sont entraînés dans le mouvement , mais ils ne paraissent pas être animés de secous
embres inférieurs, quand le sujet esl debout, sont animés de petits mouvements alternatifs de flexion et d'extension qui ont évi
i se déplacer au-dessus et au-dessous de cette ligne fictive. , Les mouvements de la marche s'exécutent à peu près normalement,
et alternativement, les avant-pieds restant appuyés sur le sol; ces mouvements sont assez analogues à ceux destinés à faire ma
oux. C'est ainsi que l'avant-bras, placé sur une table, exécute des mouvements de supination et de pronation successifs. Dans la
ortes et atteignent leur maximum d'inlcn- sité dans l'exécution des mouvements volontaires. « Ma femme d'ailleurs est obligée
intentionnel pur, c'est-à-dire n'apparais- sant qu'à l'occasion des mouvements volontaires et, partant, identique au trembleme
tremblement très violent, se produisant uniquement à l'occasion des mouvements volontaires. Lorsque le malade était au repos, da
d'avoir atteint la bouche. Le tremblement était moins fort dans les mouvements intentionnels du membre inférieur gauche, cepen-
nul au repos, il apparaît et se renforce seulement à l'occasion des mouvements inten- tionnels. Et comme tout concourt chez ce
rès étonné devoirquema jeune « sclérose en plaques » présentait des mouvements tiqueux analogues à ceux de sa voisine. Très ra
igine hystérique peut exister et existe assez souvent au repos. Les mouvements voulus augmentent son amplitude, mais n'accélèr
er de la raison suivante : l'hystérique reste immobile parce que le mouvement le gêne en réveillant chez lui le tremblement.
te survient. Février 1889. Nouvel examen minutieux. La paralysie du mouvement 1. ThQrnburn, A contribution to the surgery of
ophtalmoplégie externe, non tout à fait complète, mais les quelques mouvements qui persistent (abaissement) sont extrêmement res
le globe oculaire que le droit supérieur est impuissant à mettre en mouvement . On ne constate pas de signe bien net de paraly
ion ni d'atrophie manifeste des muscles. Ceux-ci ré- sistent peu au mouvement passif de flexion de la tête en avant. Au nivea
; elle est moins imparfaite dans le décubitus dorsal, néanmoins ce mouvement peut être arrêté en déployant une force très mi-
, au pourtour de la bouche, plis en patte d'oie exagérés par chaque mouvement de physionomie. Sous le menton, pli cutané flasqu
essante, sans se renforcer d'une façon notable sous l'influence des mouvements volontaires, il s'ensuit que les tremblements h
endant la malade peut exécuter avec ses membres supérieurs tous les mouvements qu'on lui commande de faire. Elle se sert de sa m
t est constamment agitée. Elle exécute d'une manière incessante des mouvements alternatifs de flexion et d'extension, d'une am
e assez grande, sur un rhythme lent et parfai- tement régulier. Les mouvements de flexion et d'extension reposent exclu- sivem
et les doigts se meuvent ensemble; ces derniers n'exécutent que des mouvements purement passifs. L'avant-bras et le bras ne pr
SALPÊTRIÈRE. ni lorsque la malade exécute avec ses mains lel ou tel mouvement . Sous l'influence des émotions, comme à l'occas
el mouvement. Sous l'influence des émotions, comme à l'occasion des mouvements volontaires, les oscillations deviennent un peu
affaiblissement musculaire existe aussi aux membres supérieurs. Les mouvements en sont lents, inhabiles. L'exploration dynanomét
alisé. Il prédomine aux membres in- férieurs. Là il consiste en des mouvements alternatifs de flexion et d'extension de la cui
dou- leur ; il avait conservé la liberté et l'exercice de tous ses mouvements . Les voyageurs qui se trouvaient couchés dans s
mes de courte durée, elle exécute en poussant des cris une série de mouvements de salutation inter- rompus de temps en temps p
mbre de 6 1/2 à 7 par seconde. La main décrit dans son ensemble des mouvements de flexion et d'extension combinés il des mou-
le avec le commencement de la ligne de descente, indiquant ainsi le mouvement elliptique que décrit le poignet. ' L'avant-bra
poignet. ' L'avant-bras placé en demi-pronation, exécute de légers mouvements alternatifs de flexion et d'extension'. Mais 'l
r saccades; la tête elle-même exécute de temps il autre de brusques mouvements d'exten- 188 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊT
blement qui existait pri- miliv ement seul sont venus s'ajouter des mouvements choréiformes. Le tremblement présente à peu prè
au plus, le tremblement cesse, puis reprend soit à l'occasion d'un mouvement , soit en plein état de repos. Dans ces moments
uses encore. Tantôt il existe au repos et s'efface à l'occasion des mouvements volontaires, tantôt au contraire, nul au repos,
volontaires, tantôt au contraire, nul au repos, il apparaît avec les mouvements intentionnels. Ce tremblement des mains consist
les mouvements intentionnels. Ce tremblement des mains consiste en mouvements de flexion et d'extension du poignet; que la ma
se produisent, le tremblement cesse, reprend, etc. L'influence des mouvements volontaires est aussi très incertaine. Nous l'a
la- tions. Il peut exister cependant soit au repos, soilpendant les mouvements actifs. Le tremblement de la tête est plus ré
ment hystérique localisé au membre supérieur droit et accompagné de mouvements choréi- ques. La nommée Desh... Eugénie, ling
malade recouvra « comme par enchantement » l'entière liberté de ses mouvements . L'année suivante, en 188G, après une période d
saisir un objet ou placer son bras dans l'attitude du serment. Les mouvements sont peu gênés en somme. Le malade peul rouler
ement d'énergie musculaire un peu considérable. Ce sont surtout les mouvements de la main qui sont gênés. Elle ne peut pas saisi
crire, entre aussi pour une bonne part dans l'inhabileté des autres mouvements , surtout de ceux que nécessitent les actes de c
rtout prononcées à l'extrémité du membre. La main exécute de petits mouvements incessants, régulièrement t rhythmés, dans le s
ues secondes, une minute ou deux, et reparaître ensuite, sans qu'un mouvement quelconque volontaire ou involontaire soit venu
s étaient fréquents et prolongés. Parfois, mais non toujours, les mouvements volontaires réveillent le trem- blement ou le f
sse, d'aucune oscillation, soit à l'état de repos, soit pendant les mouvements volontaires. La tôle oscille parfois, quand les
s prononcées, mais elle ne tremble pas par elle-même; il s'agit des mouvements passifs, communiqués. Les yeux, la langue, la f
dduction, tantôt dans le sens flexion-exten- sion, tantôt enfin les mouvements de la main sont composés et le poignet semble d
mouvements de la main sont composés et le poignet semble décrire un mouvement de rotation en ellipse. C'est autour du poignet
de secousses qui leur soient propres ; mais parfois, au départ des mouvements surtout, ils se fléchissent et s'étendent alter
n ou des doigts. Après une phase de repos plus ou moins longue, les mouvements reparaissent. Pour arrêter les secousses qui co
ant il arrive parfois que la main reste au repos, même étendue. Les mouvements du membre inférieur offrent les mêmes caractères
r l'autre. De môme avec le membre supérieur elle exécute tous les mouvements qu'on lui prescrit. Les mouvements de force sur
supérieur elle exécute tous les mouvements qu'on lui prescrit. Les mouvements de force surtout, car le tremble- ment entre en
ssez étendue dans certains cas pour annihiler complètement certains mouvements et faire du malade un véritable infirme. Les
détermine la gêne de la marche et de la station debout, la gêne des mouvements des doigts et de la main, au début de la maladie.
que la marche et la station debout devinrent impossibles et que les mouvements de la main et du bras se rédui- sirent au minim
t penchée en avant, elle tourne difficilement à droite et à gauche, mouvement que cepen- dant le malade est obligé d'exécuter
uelque sorte, 226 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. par un mouvement du tronc et des épaules. Si quelques mouvements
SALPÊTRIÈRE. par un mouvement du tronc et des épaules. Si quelques mouvements sont encore conservés dans un segment du membre
rer celle-ci dans le pantalon, bouton- ner un bouton sont autant de mouvements qu'ils ne peuvent pas faire ou qu'ils n'arriven
as faire ou qu'ils n'arrivent à exécuter qu'à l'aide d'artifices de mouvements que nous ne saurions décrire ici en détails, ma
les bras sont ballants et le malade est obligé deles lancer par un mouvement des épaules vers le but qu'il se propose d'attein
cclusion complète est même impossible. Mais ils sont vifs, doués de mouvements dans tous les sens. Ils ressemblent bien peu aux
un double ptosis; l'oeil gauche est dévié a droite, niais tous les mouvements des deux yeux sont extrêmement limités. Pas de di
n pupillaire était insuffisante. Strabisme divergent très prononcé; mouvements volontaires des yeux complètement abolis; vision
alpébrales. En outre, le pourtour de la bouche était agile par des' mouvements involontaires, consistant surtout en soulèvement
ent, paralysie presque complète de l'oculomoteur et du trochléaire. Mouvements alaxiques de la pointe de la langue, tremblemen
tion et le resserrement des pupilles. Atonie du système musculaire; mouvements sans énergie, impossibilité de se tenir debout, t
nt intéressante, consiste dans ce fait que, dans cette maladie, les mouvements sont gênés non seulement par la rétraction musc
urées, de les tirailler, de les assouplir par des " massages ou des mouvements forcés, pour rétablir complètement leur souples
aire disparaître l'attitude vicieuse et rendre à l'articulation ses mouvements . Par l'exercice méthodique et l'électrisation app
le lit une position accroupie qu'elle ne pouvait quitter. Tous les mouvements étaient impos- sibles. Les jambes demeuraient
it, résistant à toutes les trac- tions, il toutes les tentatives de mouvements , et à tous les traitements. La malade fut alors
re. J'avais constaté, au cours de ces dernières manoeuvres, que les mouvements articulaires étaient faciles et s'effectuaient
ngette et de la phalangine, par où le pus s'était donné issue; tout mouvement des phalanges était impos- sible : rectiligne,
é, d'une coloration rouge vineux, qui devient souvent violacée; les mouvements en sont aussi très limités. A la face interne d
roite. Nous avons dit que l'éminence thénar est un peu aplatie. Les mouvements volontaires du pouce et du petit doigt, l'abduc
blesse parétique des extrémités et troubles particu- liers dans les mouvements des yeux. Nous n'avons pu réunir que très peu d
violents; c'est à cette époque qu'on remarqua des troubles dans les mouvements des yeux; la santé du malade empira de plus en pl
n01 36 et 37. DE L'O1'llTIiALdI01'LIsGIE EXTERNE. 265 lincte, les mouvements des jambes sont possibles, mais très faibles; de
ils sont irréguliers : il y a jusqu'à un certain point ataxic. Les mouvements des bras sont libres, quoiqu'ils aient perdu de
que ceux des membres inférieurs, en raison de la grande quantité de mouvements superflus. La nutrition des muscles, des extrém
ur; celle de la colonne vertébrale donne le même résultat. Tous les mouvements de la langue sont possibles. On ne remarque rie
bes sont constamment déviés à la fois en haut et en dehors et leurs mouvements dans tous les sens sont très limités; dans le m
s et leurs mouvements dans tous les sens sont très limités; dans le mouvement en dedans, les yeux atteignent à peine jusqu'à
s yeux atteignent à peine jusqu'à la ligne médiane ; d'ailleurs les mouvements en haut et en bas sont aussi très limités, ceux
LA SALPÊTRIÈRE. tion '2\); pouls 120, presque insensible. Tous les mouvements sont beaucoup plus faibles. La chute des paupiè
lus accentuée. Les yeux dévient encore davantage au dehors et leurs mouvements sont toujours plus limités; quant aux pupilles,
s. Même rétraction de l'aponévrose pal- maire comme à gauche. Les mouvements d'opposition sont presque impossibles aux deux
ontaire est difficile et très incomplète, la flexion également. Les mouvements passifs sont raides. La force musculaire est di
en aux mou- vements passifs de flexion, mal à ceux d'extension. Les mouvements des orteils, du pied, de la hanche, sont égalem
e des membres inférieurs sont très réduites. Spontanément, ces deux mouvements sont peu accusés, ce qui donne à la démarche de l
lit. C'est une sorte d'attitude d'adaptation comme pour éviter tout mouvement , tout contact de la partie du dos hyperesthésié
out à gauche, une légère percussion du tendon rotulien provoque des mouvements spasmodiques prolongés. La raideur des membres
othérapie. La paraplégie est complète depuis la fin de juin ; aucun mouvement n'est possible. Les sphincters de la vessie et
s aux membres supérieurs il ne s'agit que d'une simple parésie; les mouvements sont hésitants, gauches, saccadés. Si on demande
eu de règles depuis le commencement de juillet. Chaque jour, les mouvements sont moins discordants et plus assurés aux memb
d'abord. Au membre inférieur gauche, y a, pour la jambe, un certain mouvement d'extension et de flexion. La malade est capabl
té étendue ; elle peut aussi opposer une résistance appréciable aux mouvements communiqués. Ces effets sont à peine indiqués a
les mains sont animées d'un tremblement menu, rapide, avec quelques mouvements choréiformes dans le bras droit. Les membres illf
leur position première dès qu'on les abandonne (PI. XIV). Tous les mouvements volontaires sont abolis sauf au niveau des orte
if; le malade qui en est atteint con- serve foute la liberté de ses mouvements , et les manifestations qui lui sont propres dem
sissement pachydermique de la peau, assez prononcé pour que les- mouvements en soient gênes. En général, cet état asphyxique
et dévié en dedans près du grand angle; il ne peut exécu- ter aucun mouvement de latéralité, l'élévation et l'abaissement se fo
uvert quand on le fait fermer. L'oeil droit, quand on sollicite les mouvements de latéralité, n'en exécute aucun ; il est dévi
res. En solli- citant la convergence, les deux globes se mettent en mouvement . La vision est conservée. » 21 février. Au po
t sont rigides et immobiles; seul le côté gauche est susceptible de mouvements actifs. L'intelligence est plus altérée qu'il y
légie brachiale droite complète sans troubles de la sensibilité. Le mouvement est revenu tout à fait dans le membre inférieur
ensibilité, de la force musculaire et de la coordination des autres mouvements des membres inférieurs », et qu'il a désigné so
e (Irch. gén. de méd., 1864). 4. Jaccoud, Paraplégies et ataxies du mouvement , Paris, 1861. . 5. Topinard, De l'ataxie locomo
epos, les jambes légèrement fléchies, les pieds en varus équin. Les mouvements de flexion et d'extension des orteils sont à pein
extension des orteils sont à peine ébauchés ; il en est de même des mouvements de flexion des jambes sur les cuisses et des cu
jambes sur les cuisses et des cuisses sur le bassin, ainsi que des mouvements d'extension, d'abduction et d'adduction. La mal
rvient cependantà les remuer et à les déplacer, mais en faisant des mouvements du tronc, les coudes appuyés sur le lit. En réa
mouvements du tronc, les coudes appuyés sur le lit. En réalité, les mouvements volontaires des membres inférieurs sont totalemen
ents volontaires des membres inférieurs sont totalement abolis. Les mouvements passifs au contraire s'exécutent normalement dans
4; main gauche, 9. La motricité volontaire est conservée. Tous les mouvements sont possibles, quoique plus faibles qu'à l'éta
ains, sans gêne appréciable, pour les divers besoins de la vie. Les mouvements passifs s'exécutent sans raideur, sans craquement
bes se dérober, rester immobiles et suivre mécaniquement les divers mouvements imprimés au tronc, comme les jambes d'un tabéti
nsister sur ce point. 2° Troubles moteurs. (a) L'incoordination des mouvements pré- sente, dans la grande majorité des cas de
TUDE DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES « SIMULATEURS ». 405 l'hystérie. Les mouvements choréiformes, les spasmes sallatoires, les tics
s tremblements, l'astasie-abasie amènent assurément de l'ataxie des mouvements , ataxie que l'occlusion des yeux, l'obscurité exa
z bien, qu'elle a remarqué que sa main droite avait maigri, que les mouvements du pouce étaient difficiles, et que la région d
uce est sur le même plan que les autres doigts (main de singe). Les mouvements de la main et des doigts (le pouce excepté) sont
lisées surtout au niveau des articulations, ce qui la priva de tout mouvement . Aucune autre région du corps ne fut touchée. É
ées, les espaces iiiterosseux marqués par des sillons profonds, les mouvements de la main et des doigts perdus. Progressive- m
bains sulfureux, de l'exercice, l'amyotrophie s'est amendée et les mouvements sont revenus, de telle sorte que, au mois de ma
ction. Depuis deux mois, sans cause connue, elle est agitée par des mouvements choréiques généralisés. Ces mouvements choréiques
nue, elle est agitée par des mouvements choréiques généralisés. Ces mouvements choréiques rappellent tout à fait la chorée de
ouvrir, la paupière droite se relève difficilement et est animée de mouvements spasmodiques. Il existe deux zones hystérogènes
dans le milieu de la colonne dorsale, l'autre sous le sein gauche. Mouvements choréiques, véritable chorée de Sydenham. Enfin
éger méplat; les espaces inter- rosseu ont leur relief normal ; les mouvements de la main et des quatre derniers doigts sont p
ion de dégénérescence. Puis, lentement, l'atrophie a rétrocédé, les mouvements de la main sont revenus et les réactions électriq
e la main droite, on lui a attaché .la gauche après sa robe, et les mouvements sont revenus mais sont restés un peu plus pénible
ied du lit; elle l'a vue aussitôt tomber sans connaissance, et sans mouvements , les membres raidis. Elle a essayé de la relever
. Dans la journée, elle a eu quatre crises analogues, toujours sans mouvements ni grimaces mais toujours raide et sans connais
as de paralysie faciale périphérique. Spasmes du côté droit, petits mouvements fibrillaires provoqués par le passage du courant.
iplégie est restée complète pendant trois mois, et, peu il peu, les mouvements sont revenus d'abord dans le membre inférieur, pu
servir de son membre inférieur droit et, quelques jours après, les mouvements revenaient incomplètement dans le membre supéri
Lorsqu'on plie la jambe du malade et qu'on lui dit de s'opposer au mouvement de flexion, il peut encore opposer une résistan
eux varus. Le malade ne peut imprimer à ses orteils gauches que des mouvements imper- ceptibles de flexion; l'extension est im
t le genou, et lorsqu'on vient à contrarier quelque peu l'un de ses mouvements , il devient impossible. Ici encore l'adipose sous
; le malade ne peut écarter les doigts les uns des autres; le seul mouvement qu'ait conservé le pouce est un léger degré d'a
léger degré d'abduction ; les autres doigts sont incapables d'aucun mouvement volontaire. De môme, tous les mouvements de la
gts sont incapables d'aucun mouvement volontaire. De môme, tous les mouvements de la main sur l'avant-bras sont abolis : prona
férence. Le bras droit mesure 22 cent. 1/2. (c) Face. A la face les mouvements sont bien conservés, sauf au niveau de certains
remière. La saillie des muscles pédieux a complètement disparu. Les mouvements de flexion des orteils sont conservés, mais l'ext
adipose sous-cutanée, moins prononcée qu'à gauche. A la cuisse, les mouvements d'extension et de flexion de la jambe sur la cuis
e ce côté des interosseux et des lombricaux que du côté gauche. Les mouvements du pouce sont con- servés, quoique affaiblis. L
t l'abduction qui est la plus difficile; au contraire, à gauche, ce mouvement est seul conservé. L'extension des doigts se fa
écarter les doigts, mais les rapproche difficilement; à gauche, ces mouvements sont totalement abolis. La pronation est conservé
onation est conservée ; la supination très difficile, ainsi que les mouvements de flexion et d'exten- sion. A l'avant-bras, le
de est parfaitement appré- ciable ; le biceps est encore capable du mouvement de flexion de l'avant-bras sur le bras; mais en
uvement de flexion de l'avant-bras sur le bras; mais en revanche le mouvement antagoniste dù au triceps a disparu; il se prod
supérieure paraît moins épaisse que celle du côté opposé. Tous les mouvements du membre supérieur se font bien, mais il est c
rrêter l'accès à ce moment en faisant de fortes inspirations ou des mouvements violents. Il est rare qu'il ne perde pas connaiss
lui-même fortement attiré en arrière. Puis il exécute une série de mouvements giratoires de gauche a droite. Au bout de quelq
ts giratoires de gauche a droite. Au bout de quelques secondes, ces mouvements cessent, ainsi que la rigidité du membre supéri
che. Quand il perd connaissance, ce qui arrive le plus souvent, les mouvements giratoires sont suivis de chute et de convulsio
- lière, il n'a pas de fièvre, pas de troubles gastriques, mais ses mouvements 1. Ch. Féré et L. Lamy, la Démographie (Noue. l
28 (1892) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 1
Salpêtrière. Sans compter les services intérieurs dans lesquels le mouvement est moins actif (infirmerie de l'hospice, enfants
partie à l'aide des ressources de la policlinique que j'entretiens le mouvement fort actif du service de la clinique proprement d
ement trop courte et ce raccourcissement peut aller jusqu'à gêner les mouvements de déglutition. Alibert, dans son style un peu
les néanmoins. Pas de troubles bien accentués dans la position et les mouvements des jambes. Le bras droit n'est pas agité pendant
avant-bras. L'épaule est légèrement prise, car elle résiste moins aux mouvements passifs que du côté sain, mais cela est fort peu
ant-bras. Il persiste au niveau du bras et le malade a conscience des mouvements que l'on fait exécuter à son épaule. Si, dans ces
, je remue trop brusquement la main, je risque de communiquer quelque mouvement à cette épaule, au niveau de laquelle le sens mus
astique du membre malade pour réveiller dans son cer- veau, par des mouvements tant passifs qu'actifs, l'idée de mouvement et le
son cer- veau, par des mouvements tant passifs qu'actifs, l'idée de mouvement et les représentations motrices. J'espère obtenir
s, il se dissipe spontanément. Chez très peu de malades ce trouble du mouvement reste permanent. Il se reproduit avec la plus gra
ure, Tremblements hystériques! A). Tremblement non exagéré parles mouvements volontaires. B). Tremblement I existant ou non
Tremblement I existant ou non au' repos, provoqué ou exagéré par les mouvements intention-1 nels, qui ne l'accélèrent pas, mais a
temps de repos, et de plus il n'est que peu ou pas influencé par les mouvements volontaires.Cette catégorie comprend deux sous-di
rie comprend les tremblements hystériques qui sont influencés par les mouvements volontaires. On peut établir ici encore une sous-
fait que le tremblement sera ou bien provoqué de toutes pièces par le mouvement « intentionnel », ou bien existant déjà dans le
repose. Il ne commence à trembler qu'au moment même où il exécute un mouvement volontaire. Le tremblement de l'intoxication merc
, mais dans lequel les oscillations sont énormément exagérées par les mouvements intentionnels. C'est ici le lieu de relever que l
le reconnaîtrez tout à l'heure, et qui se manifeste à l'occasion des mouvements intentionnels ; il a eu des attaques apoplectifor
sitôt que la main s'approche du verre, survenir dans le membre mis en mouvement un tremble- Fig. 14. — Tracé du tremblement du
, je ferai remarquer que, spontanément, même aù repos, alors qu'aucun mouvement volontaire n'est en cause, il se manifeste par mo
lement existe aussi au repos et est considérablement augmenté par les mouvements intentionnels (grandes oscillations de la partie
malade lui-même. Elles consistent en convulsions désordonnées, grands mouvements , cris, etc., et s'accompagnent de perte de la con
lement intentionnel de Mas*.*., avec ses larges oscillations dans les mouvements volontaires, sa cessation complète, le malade éta
est vibratoire, continu et nullement ou faiblement influencé par les mouvements intentionnels. De pareilles erreurs ne devront
mener la vision; paralysie de l'iris manifeste non seulement dans les mouvements de convergence des yeux, mais encore sous l'act
otrices de l'œil droit fait, il y a quelques jours, par M. Parinaud : mouvements imparfaits du droit interne, du droit inférieur,
rfaitement libre, il n'y a plus trace de ptosis, pas de diplopie, les mouvements de l'œil sont parfaits. Les pupilles se contracte
. Il n'y a pas non plus de strabisme manifeste quand on sollicite les mouvements du regard dans les différentes directions. Le mou
ollicite les mouvements du regard dans les différentes directions. Le mouvement d'adduction et d'élévation de l'œil droit est un
à la lumière, ni à l'accommodation. Au repos, pas de strabisme. Les mouvements de l'oeil droit s'exécutent un peu difficilement,
de l'oeil droit s'exécutent un peu difficilement, mais le trouble du mouvement n'est pas appréciable objectivement. — Pas de spa
0, la malade est dans l'état suivant: Pas de ptosis, pas de diplopie. Mouvements des yeux normaux. Les pupilles se contractent aus
ensibilité (anesthésie ou hyperesthésie), tantôt avec des troubles du mouvement (paralysies et contractures). Il s'agissait presq
t en pronation et la supination est impossible sans faire exécuter un mouvement de rotation à l'humérus. Les doigts, demi-fléchis
n est creusée en gouttière. Le poignet est également immobilisé. Tout mouvement spontané est impossible à exécuter avec cette mai
grandes attaques d'hystérie classiques avec phase épileptoïde, grands mouvements , attitudes passionnelles. De plus il a un rétréci
e poignet, si le gonfle- ment des tissus sous-cutanés ne gênait les mouvements en bridant la peau. La main est anesthésiée dan
n séjour à la Salpêtrière, un accident tout particulier, une sorte de mouvement con-vulsif de la tête, du cou, des épaules et des
lle compta parmi les victimes de la contagion et c'était chez elle de mouvements involontaires hystériques et non de tics convulsi
tériques et non de tics convulsifs qu'il s'agissait en réalité. Ces mouvements , qui avaient été très forts et très fréquents à u
eau de la face dorsale. Une ecchymose violette apparut et la gêne des mouvements s'accentua, la main se ferma davantage, au point
ec l'eau-de-vie camphrée. Puis, le gonflement continuant, la gêne des mouvements restant toujours la même, on commença à faire usa
e médius complètement étendus. Le pouce est à peu près libre dans ses mouvements . La face palmaire est comme creusée d'une sorte d
able, pas d'amyotrophie visible (Voir Fig. 20). Au point de vue des mouvements , le poignet est absolument libre dans les mouveme
point de vue des mouvements, le poignet est absolument libre dans les mouvements actifs et passifs, quoiqu'ils n'aient peut-être p
oute l'étendue qu'ils ont normalement, donc pas de paralysie dans les mouvements de cette articulation. Quant aux doigts, ils sont
ament latéral. Elle est spontanée et très fortement réveillée par les mouvements de flexion qui sont cependant possibles. La peau
ain qu'elle la met dans une sorte d'angoisse très particulière. Les mouvements de la hanche sont relativement moins douloureux q
d'ecchymose. La malade ne peut localiser exactement la douleur. Les mouvements sont douloureux comme précédemment. Douleur vive
ion a été obtenue, la raideur de la hanche et du genou a disparu. Les mouvements sont conservés intégralement. Tout est semblabl
étant redevenue normale, la gauche reste complètement paralysée; les mouvements de la cuisse se faisaient normalement. Fistule vé
et insensible. Au bout de quinze jours, l'électrisation ramène les mouvements dans la cuisse droite, la jambe restant paralysée
s dans l'abdomen avec irradiations dans le membre inférieur gauche. Mouvements possibles dans la hanche et la cuisse. Redresseme
lant prolonger l'axe de la jambe. Flexion possible et même énergique. Mouvements de latéralité nuls. Sensibilité au froicl, à la
tière, grâce à la chute du pied, qui devient presque vertical dans ce mouvement . En l'écoutant marcher, on n'entend pas le pied p
e précisément le double bruit habituel de se produire. L'examen des mouvements du pied démontre qu'il existe une paralysie très
ne paralysie très accentuée des extenseurs du pied et des orteils. Le mouvement d'extension est absolument impossible. Les péroni
nservent, sinon la totalité, du moins une partie de leur force. Leurs mouvements , s'ils ne sont pas très énergiques et sont facile
e steppe manifestement du côté gauche. Les essais de résistance aux mouvements passifs montrent qu'à gauche l'extension est null
Le pied tombant, la démarche de stepper, l'absence de résistance aux mouvements passifs de flexion sont des signes d'une valeur a
ier en vins ; aurait eu à quarante ans quelques attaques d'épilepsie ( mouvements convulsifs, écume à la bouche, morsures de la lan
n qu'inférieure à celle que présentent les muscles du côté opposé. Le mouvement et la résistance sont bien conservés dans les mus
le pied droit. Dans la progression de la jambe droite on voit bien le mouvement de steppage. L'examen électrique a été pratiqué
erche des points douloureux, la pression des muscles, l'exécution des mouvements du pied et delà jambe font apparaître des crampes
doigts du pied se relèvent et s'abaissent avec difficulté. Les autres mouvements ne sont pas plus faciles; ils exigent de la part
croise difficilement la cuisse droite sur celle du côté opposé. . Les mouvements de chaque segment du membre inférieur droit sont
u de raideur qui n'empêche pas néanmoins complètement l'exécution des mouvements . Le membre inférieur droit tout entier est atte
Guibout (1), qui insiste sur l'excitation génésique provoquée par le mouvement des jambes, et ce ne serait, pour cet auteur, que
la cuisse sur le bassin et la jambe sur la cuisse. La résistance aux mouvements de flexion et d'extension qu'on lui imprime est u
tié, d'aspect violacé, froid au toucher, et ne pouvait exécuter aucun mouvement ; il est encore inerte aujourd'hui. L'examen élec
n de dégénérescence n'est que partielle clans les mêmes muscles ; les mouvements du pied sont, il est vrai, plus faibles qu'à l'ét
nt affaiblis, alors que les groupes voisins sont respectés ; certains mouvements de la jambe et du pied sont compromis, tandis que
le domaine du plexus sacré, ni gibbosité, ni la moindre gene dans les mouvements du tronc en arrière. C'est en partie pour ces mot
saisir, même par une analyse sommaire -y elle consiste en ce que les mouvements des globes oculaires clans toutes les directions,
, ou, pour le moins, relativement peu altérée, de telle sorte que les mouvements d'accommodation et les réflexes pupillaires contr
la faculté photomotrice de l'iris n'est troublée, alors que tous les mouvements de l'œil sont paralysés. C'est là, comme on le
fficulté de la parole, tenant à une gêne à peine appréciable dans les mouvements des lèvres et de la langue. Mais ce phénomène éta
ulté de la déglutition ; voix nasonnée, un peu de parésie de certains mouvements de la langue. » 19 février 1890. Nouvelle consu
dents est à peine serré. Il ne peut faire à droite ni à gauche aucun mouvement de diduction de la mâchoire. On ne constate auc
suivants : Ophthalmoplégie externe double incomplète. — Tous les mouvements associés des yeux sont intéressés, principalement
es mouvements associés des yeux sont intéressés, principalement les mouvements de latéralité. Le mouvement d'élévation est incom
yeux sont intéressés, principalement les mouvements de latéralité. Le mouvement d'élévation est incomplet, l'abaissement s'exécut
n dans la leçon précédente. (V. p. 99). (G.G.)j table, car tous les mouvements , bien que faibles, sont conservés. La malade n'a
té de fermer les paupières complètement. Grande faiblesse et gêne des mouvements de plissement de front et de rapprochement des so
halmoplégie externe double, presque complète. Possibilité de quelques mouvements à droite et à gauche, en haut et en bas, mais trè
ements à droite et à gauche, en haut et en bas, mais très limités. Le mouvement du globe oculaire en haut ainsi que le relèvement
e tout le monde. Mais il n'avait rien remarqué en ce qui concerne les mouvements des globes oculaires, et n'avait point souffert d
sent à l'accommodation et à la lumière. Ophthalmoplégie. — Tous les mouvements sont intéressés, mais d'une façon incomplète. Les
Tous les mouvements sont intéressés, mais d'une façon incomplète. Les mouvements latéraux vers la droite s'exécutent mieux. Le mal
lopie. Le champ visuel est normal, ainsi que le fond de l'oeil. Les mouvements de la bouche et des lèvres s'exécutent parfaiteme
ue sur elle-même en tuyau, mais laissant bien voir le larynx dans les mouvements de phonation. Cordes vocales larges, un peu rouge
ns les mouvements de phonation. Cordes vocales larges, un peu rouges. Mouvements normaux. Dans l'émission des sons un peu élevés,
te del'avant-bras sur le bras et dessine une corde fort nette dans ce mouvement . La supination complète est également empêchée.
us affectées, surtout à gauche. Au point de vue de la motilité, les mouvements d'extension en arrière de la tête ne présentent p
ension en arrière de la tête ne présentent presque point de force. Le mouvement de flexion au contraire, ainsi que celui qui résu
sus et sous-épineux, des sous-scapulaires. Perte presque absolue des mouvements des deltoïdes. Les pectoraux conservent relativem
deltoïdes. Les pectoraux conservent relativement assez de force. Les mouvements d'extension de l'avant-bras sur le bras sont fort
t-bras sur le bras sont forts et présentent une grande résistance aux mouvements passifs contraires. La flexion au contraire est à
on de ces diverses parties qui est très faible et résiste à peine aux mouvements passifs contraires. La supination existe à peine;
ormal, présente cependant une certaine énergie. Aucune force dans les mouvements d'opposition et d'adduction des pouces. Les mem
vé leur forme normale, ainsi que les jambes. La résistance à tous les mouvements de la cuisse, de la jambe et du pied est considér
ulbaire supérieure, aucun autre noyau ne paraît avoir été envahi. Les mouvements de la face s'exécutent toujours normalement. On n
atrophiés. Le poignet s'abaisse ét se redresse avec difficulté ; ces mouvements n'offrent aucune résistance* L'avant-bras (en sup
'extension de l'avant-bras sur le bras n'offre aucune résistance. Les mouvements du bras : adduction, abduction, élévation, abaiss
ne vertébrale. Les pectoraux sont bien conservés. Cou. — Les divers mouvements de la tête et du cou, flexion, extension, rotatio
ophthalmoplégie externe, non tout à fait complète, mais les quelques mouvements qui persistent (abaissement) sont extrêmement res
r le globe oculaire que le droit supérieur est impuissant à mettre en mouvement . On ne constate pas de signes bien nets de para
région ni d'atrophie manifeste des muscles. Ceux-ci résistent peu au mouvement passif de flexion de la tête en avant. Au nivea
accentuée du côté du bulbe : le réflexe pharyngien était diminué, les mouvements des lèvres fort affaiblis, la parole difficile et
ent penchée en avant, elle tourne difficilement à droite et à gauche, mouvement que cependant le malade est obligé d'exécuter fré
faire parvenir au but voulu, de les lancer, en quelque sorte, par un mouvement du tronc et des épaules. Si quelques mouvements s
quelque sorte, par un mouvement du tronc et des épaules. Si quelques mouvements sont encore conservés dans un segment du membre,
rentrer celle-ci dans le pantalon, boutonner un bouton sont autant de mouvements qu'ils ne peuvent pas faire ou qu'ils n'arrivent
pas faire ou qu'ils n'arrivent à exécuter qu'à l'aide d'artifices de mouvements que nous ne saurions décrire ici en détails, mais
i les bras sont ballants et le malade est obligé de les lancer par un mouvement des épaules vers le but qu'il se propose d'attein
'occlusion complète est même impossible. Mais ils sont vifs, doués de mouvements dans tous les sens. Ils ressemblent bien peu aux
lté à se mettre en équilibre sur ses deux pieds. Quand il marche, ses mouvements ne sont pas incoordonnés du tout, mais il marche
on veut lui faire redresser la pointe du pied, il ne peut exécuter ce mouvement et le pied est véritablement tombant. On ne const
pieds sont tombants. Non seulement le malade ne peut pas résister aux mouvements passifs de flexion, mais même il est incapable de
e le malade aura les avant-pieds tombants, il sera obligé de faire ce mouvement anormal du step-page, destiné à empêcher dans la
ayant le caractère de la grande hystérie, avec arcs de cercle, grands mouvements , etc. Ces attaques ne s'accompagnent jamais de mo
lèvre inférieure, fonctionnent normalement. II en est de même pour le mouvement d'écartement de la commissure dans le plan horizo
clusion des lèvres et le sifflement (orbiculaire des lèvres). Mais le mouvement d'élévation de la commissure en dehors et en haut
acent de se dérober; au lieu de fuir le danger, incapable de faire un mouvement , il reste en place comme fasciné. En vain il ente
stigmates et en particulier de Tanesthésie superposée aux troubles du mouvement . — Dans le cas en question le ptosis est dû au sp
te : la chute de la paupière, le strabisme externe, la limitation des mouvements oculaires dans tous les sens, sauf en dehors, la
fut transformée en hémiplégie droite complète avec contracture. Tout mouvement était impossible ; l'avant-bras était fléchi pres
durant dix mois Ja malade est restée au lit sans pouvoir faire aucun mouvement du côté droit, toujours tourmentée par son hémi-h
pupille. — 4° Les pupilles sont égales et réagissent normalement; les mouvements des yeux sont normaux ; pas de diplopie, même ave
sorte que l'asymétrie sourcilière s'accuse encore davantage. Dans ce mouvement d'élévation volontaire des paupières, le frontal
lésion de la moelle, lésion des nerfs du plexus brachial, troubles du mouvement , troubles de la sensibilité suivant la dispositio
ette diminution de volume répond à une diminution fonctionnelle ; les mouvements de la main et des doigts sont affaiblis, sauf les
le ; les mouvements de la main et des doigts sont affaiblis, sauf les mouvements que commandent les muscles postérieurs de l'avant
aucun trouble fonctionnel, aucune douleur, aucune limitation dans les mouvements du cou. Il regagne la Salpêtrière le onzième jour
ressemblance grossière avec l'incoordination ataxique. Sans doute les mouvements ne sont plus subordonnés à la volonté ; ils ont u
chi qu'avec une grande difficulté ; au moment où il doit exécuter son mouvement de translation d'arrière en avant, il oscille dan
squ'à cette date, n'avait apporté que fort peu de troubles dans ses mouvements , se compliqua d'une faiblesse réelle, dont il s'a
ur le patin gauche, et il était tout emprunté du bras gauche dans les mouvements qui servent à garder l'équilibre. C'est aussi en
lanc gauche une raideur persistante, limitant d'une façon notable les mouvements de flexion du tronc de ce côté. Dans tout cela
ysé. Ce ne fut qu'une alerte ; des frictions énergiques ramenèrent le mouvement . « Depuis lors, dit M. X..., la contraction nerve
pied appuie sur le sol. Les réflexes plantaires sont exagérés. Les mouvements du bras et de l'épaule gauche sont très limités.
ons du poignet et des doigts, le malade peut encore exécuter certains mouvements , dont il s'acquitte, d'ailleurs, sinon avec adres
; puis elle jette en avant la jambe paralysée et lui fait décrire un mouvement de circumduction, d'arc de cercle. » C'est bien
membre paralysé après elle comme un corps inanimé, sans décrire aucun mouvement de circumduction, sans faire aucun effort pour le
s, la joue, la lèvre supérieure étaient constamment agitées de petits mouvements vibratoires ; sa langue, enfin, était tordue en c
arce qu'elle n'est jusqu'ici accompagnée d'aucun trouble permanent du mouvement dans les membres mis en jeu par les convulsions é
teur commun, 3 (toujours unilatérale et partielle). c). Parésie des mouvements associés, 3. d). Parésie de la convergence. 3. e)
epersista; toutes les fois que la malade voulait remuer un membre, le mouvement se faisait par saccades; la parole était lente, s
xion articulaire dura une huitaine de jours. Pendant cette crise, les mouvements choréiformes augmentèrent encore et ils persistèr
ible; il y avait une incoordination motrice très accusée, et tous les mouvements étaient irréguliers, exagérés, choréiques. Cet ét
nt en se tenant à une corde tendue au travers de la chambre, mais les mouvements des jambes étaient toujours très irréguliers, la
sont pas agités de secousses involontaires ; c'est seulement dans les mouvements actifs que Vagitation choréiforme apparaît. » V
ès cette époque la malade s'aperçut que l'œil n'accomplissait pas les mouvements vers l'angle externe. Depuis lors, jusqu'à aujo
u droit externe de l'œil droit soit à peu près complète. Examen des mouvements dans chaque œil séparément. Vautre étant fermé :
chaque œil séparément. Vautre étant fermé : Œil gauche. — Tous les mouvements s'exécutent normalement. Œil droit. — L'adducti
contraction du muscle droit externe, l'œil n'exécute qu'un très léger mouvement , sans s'écarter de la ligne médiane, puis, si l'o
uis, si l'on insiste, il se porte brusquement en dedans. Examen des mouvements , les deux yeux étant découverts. L'objet fixé est
tenu à la distance de trois mètres de manière à ne pas solliciter le mouvement de convergence. Quand l'objet est porté à la ga
ion, l'œil droit ne tarde pas à se porter en dedans, également par un mouvement brusque. La malade est alors en strabisme converg
nctionnelle des deux yeux et de leur innervation commune pour un même mouvement . Chez notre malade, il s'agit d'un trouble du m
ès d'innervation résulte d'un effort pour lutter contre l'obstacle au mouvement de l'œil droit. Mais là ne s'arrête pas le trou
ontraction du droit interne; et que, cependant, à la brusquerie de ce mouvement , il semble que la contraction de ce muscle droi
onnes qui la soignaient essayèrent à plusieurs reprises d'arrêter les mouvements choréiques en lui attachant les bras, mais ces ma
brusque, mais le plus souvent ils sont composés par deux ou plusieurs mouvements ^ inspiratoires successifs, séparés par une expira
sont moins fréquents et surtout il existe entre chaque bâillement des mouvements respiratoires ordinaires se rapprochant plus ou
ne apnée complète en expiration; mais entre la plupart des autres les mouvements respiratoires reparaissent; peu nombreux et super
tères, avec cette différence toutefois, qu'en plusieurs endroits, les mouvements respiratoires sont plus réguliers et se rapproche
nts respiratoires sont plus réguliers et se rapprochent davantage des mouvements respiratoires normaux, comme on peut s'en assurer
représente la respiration d'une autre hystérique du service. Ici les mouvements respiratoires sont normaux, plus fréquents cepend
œur et à l'estomac. De plus, les membres supérieurs étaient agités de mouvements convulsifs d'une certaine violence. Les crises re
la figure avec ses mains et pousse des cris aigus. En même temps des mouvements choréiformes rythmiques agitent les membres, en p
pied frappe violemment le sol. De temps en temps interviennent des mouvements de salutation rythmée, assez lents, d'une violenc
nt dans un véritable état de contracture. Puis surviennent quelques mouvements rythmiques des membres supérieurs et inférieurs,
ements rythmiques des membres supérieurs et inférieurs, ainsi que des mouvements lents de salutation. Le malade se penche en avant
térie caractérisée par un phénomène inusité, le bâillement, mais d'un mouvement involontaire presque continuel, dû à une sensatio
Souvent aussi, on note des pandiculations qui ne sont autres que des mouvements d'élévation et de rétraction en arrière des épaul
tigmates et en particulier de l'anesthésie superposée aux troubles du mouvement . —¦ Dans le cas en question, le ptosis est dû au
lésion de la moelle, lésion des nerfs du plexus brachial, troubles du mouvement , troubles de la sensibilité, suivant la dispositi
29 (1854) Journal du magnétisme [Tome XIII]
volontiers immobiles, si le magnétiseur ne leur fait pas exécuter des mouvements déterminés. Leur démarche est d’abord chancelante
/cm ), — par l'intermédiaire du fluide nerveux qui met les muscles en mouvement (Matteuci, de Humboldt). « Si la volonté pousse
comme le télégraphe électrique, soit en produisant une étincelle, un mouvement giratoire, etc. h Le monde spirituel étant uniq
vère (bien différent de son sommeil ordinaire, toujours agité par des mouvements nerveux très-fatigants) avait immédiatement amené
d est devenu moins railleur, ses poses perdent leur roideur, quelques mouvements convulsifs, précurseuis du succès, font frissonne
sciller, tantôt lui fit décrire un cercle ou une ellipse, et dans ces mouvements l’approcha de différentes parties du corps de M
ait éprouver une décharge électrique, quelquefois môme la violence du mouvement indiquait visiblement que la commotion était asse
j’ai attribué le vice. » « Peu après nous vîmes cet homme, par des mouvements de pieds presque imperceptibles, prendre de son t
gement de la base du triangle, et quand il fut au bout, par les mêmes mouvements nous le vîmes s’avancer perpendiculairement, mais
à environ un mètre, et reculant le fit reculer lui-même par les mêmes mouvements , en suivant les mêmes traits jusqu’au triangle. L
le triangle se tourner le dos à la chaise et, reculant par les mêmes mouvements , s’y diriger à reculons en suivant la ligne courb
c les autres spectateurs, et observa ce qui se passait. « Enfin les mouvements inquiétants du cordonnier se calmèrent, et il 11e
ntrent, et ne se sont jamais vues, éprouvent-elles à première vue des mouvements sympathiques, antipathiques ou indifférents? C’es
aits merveilleux, presque tous connus de nos lecteurs, concernant les mouvements des tables et leur langage, les divers genres de
nce. Fermant leurs yeux à la lumière, la vie n’a été désormais que le mouvement , l’arrangement des parties, des agrégations de mo
t-elle point? Qu'elle imite en cela ce philosophe ancien qui niait le mouvement . Que parlent-ils encore du libre arbitre, du moi,
m’aider à faire comprendre ma pensée, le sujet s’endort en faisant un mouvement comme s’il recevait une commotion électrique. Int
lé. En effet, il n'entend que moi. Si quelqu’un le touche, il fait un mouvement comme si on le brûlait. Je le réveille avec la mê
t sera obtenu si une dame prend votre main restée libre; et, quand le mouvement transversal sera ainsi parfaitement établi, si ce
, si celle-ci vient à donner son autre main à un monsieur, le premier mouvement se rétablira. « Cette expérience peut d'ailleur
s étranges illusions, à quelles . aberrations inouïes a donné lieu le mouvement des tables et autres objets. On croit ainsi se me
merveilles. « Or, les tables ne parlent nullement; elles entrent en mouvement , voilà tout. En elles point d’esprits d’aucune so
s, soumis à certaines influences expérimentalement démontrées. « Le mouvement des corps n’est pas toujours produit par des agen
11 faisait tourner les tables, à présent on les fait frapper du pied; mouvement de rotation, mouvement de bascule, c’est toujours
tables, à présent on les fait frapper du pied; mouvement de rotation, mouvement de bascule, c’est toujours le même ordre de phéno
e n’est que leur instrument passif. On produit ainsi toutes sortes de mouvements . J’ai vu deux personnes, superposant leurs doigts
celui d’entre eux qui a le plus d’influence produit magnétiquement ce mouvement du meuble, et cette prétendue réponse est accepté
. Alors encore la pensée d’une ou de plusieurs personnes détermine ce mouvement de la table, lors de l’appellation de telle ou te
fique. Rien ne l’embarrasse : les coups mystérieux, vibrations; les mouvements d’objets inanimés, vibra lions ; les apparitions,
ablement, des œuvres d’intelligence. Et quand ce discours résulte des mouvements d’une table, quand il exprime, comme cela s’est v
onnelle, on est apte aussi à jouir de l'intuition et à maîtriser tout mouvement nécessaire du corps à la volonté du concentrateur
ux et les oreilles avec ses mains, afin qu’il ne \oie ni n’entende le mouvement des opérateurs, ce qui, à mon avis, contrarierait
des expérimentateurs et la table, est parvenu, dit-il, à empêcher le mouvement de se produire. Puis, voulant confirmer ce résult
pas si sot, et que la manière habile dont j’ai réalisé mon éclipse de mouvement me donne quelque titre à m’asseoir près de vous a
terprétant seule à sa guise, suivant des conventions arbitraires, les mouvements qu’elle prétendait avoir été faits par sa table,
ments qu’elle prétendait avoir été faits par sa table, traduisait ces mouvements par des réponses qui souvent portaient atteinte à
isme. C’est elle qui parcourt le système nerveux et i, qui produit le mouvement volontaire ; c'est elle qui donne ii la vie aux
et de leur zèle, « A neutraliser le venin des vipères, à rendre le mouvement aux paralytiques, guérir les malades et soustrair
e de ce serpent infernal! D’abord, il ne préoccupe les esprits que du mouvement des tables, ce sont des expériences de physique r
és des milliers de fois. Le grand sympathique, qui préside à tous les mouvements intestinaux, ne se ramifie pas seulement dans les
ande quantité de sang à élaborer, ne doivent-ils pas précipiter leurs mouvements pour maintenir l'équilibre ? Dans cet étal de plé
uchon, une aiguille et une bandelette de papier, et qui ne devait son mouvement qu'à un courant d’au. « Tant que vous vous occu
gération et sans nous prononcer positivement surla cause véritable du mouvement et des réponses de ces tables, il est h craindre
érience nous aura dit quelles sont les vraies causes des rotations et mouvements que reçoivent ces tables, par le contact et l’act
ne aptitude extraordinaire pour produire les rotations de meubles. Le mouvement n’a eu lieu qu’au bout d’un quart d’heure, tandis
résultats au moyen de l’impulsion; nous n’avons pu obtenir le moindre mouvement , et nous nous sommes bien assurés que l’impulsion
Une matière brute sous forme humaine, obéissant aux lois générales du mouvement , ni plus ni moins que tout ce qui est dans la cré
chaîne, en invoquant mentalement Dieu ? «— Lorsque la table est en mouvement , l’un des coo-ro.vE XIII. — X" 181. — 45 HABS 185
ir vu, dans deux expériences solennelles, la table s’arrêter dans son mouvement rotatoire, cesser de frapper lorsqu’un crucifix é
de frapper lorsqu’un crucifix était placé sur elle, et reprendre son mouvement lorsque le crucifix était enlevé et qu'un autre o
; mais ce n'est ni le crucifix, ni le chapelet qui ont fait cesser le mouvement rotatoire : que l’on pose, sur la table qui tourn
e trouve coupée, le courant magnétique est interrompu, et dès lors le mouvement de la table se ralentit aussitôt que les coopérat
r sur l’objet placé sur la table, et celle-ci s’arrête bientôt. Si le mouvement continue , c’est que l'attention des personnes de
ement importantes que celles de la rotation des tables ; cependant le mouvement des objets se rattache directement au magnétisme,
portés par des roulettes. Une demi-heure se passa sans que le moindre mouvement se produisit, malgré le désir ardent et les injon
tenaient, que l’un d’eux s’écria : « 11 rage ! » La table fit un mouvement littéralement convulsif, et aussitôt cependant, a
bénite que par Bréguet; il suffisait de ma volonté pour paralyser ses mouvements . Il est vrai que je suis déclaré médium positif e
agnétisme, de. tables tournantes, etc., qui ont pour but de mettre en mouvement cette force, — fluide vital, nerveux ou magnétiqu
. Louisy l’exposer lui-même. Combattant les sceptiques qui nient le mouvement des tables et les croyants qui l'expliquent par l
urs, el qu’il y a seulement rotation, tout nous porte à croire que le mouvement est analogue à celui que produisent les forces na
s faits qui prouvent Y empire que peut prendre le magnétiseur sur les mouvements , la volonté, la fortune, Yhonneur et la vie du ma
é depuis lu main jusqu’au coude, la main ôtait fermée et incapable de mouvement . Je magnétisai chaque jour. Pendant les si\. prem
er glaner et vaquer à scs travaux. Il n’y a que l’indicateur dont les mouvements sonl restés un peu difficiles. Toue XIII — X» 1
mon action magnétique sur une couvée de sept perdrix qui étaient sans mouvement : je les ai ranimées et les ai élevées ; il m’en
relation de faits qui détruisent la plupart des objections faites au mouvement des meubles. Si de nouvelles épreuves confirment
out de quarante-trois minutes, les légers craquements, précurseurs du mouvement , se font entendre; de faibles oscillations se man
a marqué la mesure du morceau que nous chantions. Ayant précipité le mouvement , la table a continué de le suivre avec la même do
des décharges d’artillerie, et ces détonations sout accompagnées d’un mouvement oscillatoire dans les objets environnants, et que
édés et les principes reconnus de l'acoustique. Il y a évidemment des mouvements ondulatoires dans l'air qui viennent frapper les
male de nos facultés, suspendant la sensation, arrêtant le pouvoir du mouvement volontaire et la circulation des fluides animaux,
ons remarqué celle qui concerne les tables tournantes; il explique le mouvement par des impulsions involontaires ; selon lui, le
qu’un l’exprime, ce quelqu’un n'est pas moi. L'instinct détermine des mouvements , mais non des idées. Quand une série de mouvement
inct détermine des mouvements, mais non des idées. Quand une série de mouvements combinés produit une manifestation intellectuelle
at de surexcitation et d’hallucination dans lequel ils produisent des mouvements sans en avoir conscience, jouissent d'une lucidit
e deux personnes posaient l’extrémité des index, et qui se mettait en mouvement et écrivait les réponses aux questions posées par
es frictions ne sont nécessaires que dans les accès violents. u Les mouvements convulsifs cessent presque immédiatement, ainsi q
n n’est plus vrai et plus facile à démontrer que le fait matériel des mouvements imprimés aux tables. i Et l'on va chercher bien
t d'accord sur l’existence d'un principe qui donne la cohérence et le mouvement à la matière brute, c'est-à-dire la vie particuli
ssentielle nécessaire à la vie qui lui est propre, la cohérence et le mouvement invisible et sur place. Lorsque plusieurs individ
n lui imposant les mains ,_ils augmentent sa matière essentielle; son mouvement , d’invisible et sur place, devient visible ; il a
riser en rencontrant un obstacle sur le parquet, tant était rapide le mouvement imprimé à. la table. Voici un fait très-curieux d
«à supposer que le phénomène peut s’obtenir à distance, c'est que le mouvement , une fois imprimé par le contact à une table, se
ielle servent aux esprits d'instrument de manifestation, et que leurs mouvements remplacent la voix des somnambules ; j’ajouterai
re précise l’action favorable de deux métaux pour la détermination du mouvement de la table, ('.es deux métaux sont l’argent et l
oduite aussitôt avec une grande intensité. La fiole étant retirée, le mouvement s’est sensiblement ralenti. n Nous livrons ces
expériences de tables tournantes. Chacun adressait à la table mise en mouvement des questions plus ou moins inconvenantes. Enfin
ition que la communication suivante a été adressée à la Société. DU MOUVEMENT DES TABLES ET DES DICTÉES PAR LES TABLES. L D
r pris de mesure aussi formelle, est restée complètement étrangère au mouvement de l’opinion publique en faveur de la science nou
aitement les phénomènes dont il entreprend l’explication. Ce sont les mouvements de rotation et de soulèvement ou d’abaissement d’
doigts, soit même sans contact ; — et les changements de direction du mouvement de rotation. 11 admet que ces mouvements ont li
changements de direction du mouvement de rotation. 11 admet que ces mouvements ont lieu avec la parfaite bonne foi des opérateur
n ou plusieurs des coopérateurs, pour déterminer les modifications de mouvements du meuble. Ce sont les seuls faits qu’il ait co
a manifestation très-légère de la volonté suffisait pour renverser le mouvement , et que c’est un des phénomènes qu’il a pour but
l a pour but d’expliquer. 11 se demande même : « Quand on opère des mouvements « de bascule haut et bas, comment la volonté d’un
lle semble s’être glissée dans son œuvre « à son insu, par suite d’un mouvement intellec-« tuel involontaire, dont il semble qu’i
ordres de phénomènes, l’un mécanique, l’autre physiologique. — Il y a mouvement matériel, donc il y a une force, puisque tout c
a une force, puisque tout ce qui met ou tend à mettre les corps on mouvement s’appelle force. Ceci est indiscutable. M. Babi
ées par les opérateurs. Le- mode d’impulsion peut consister dans le mouvement des membres, déterminé, comme on sait, par la con
e genre. —L’auteur fait voir, par un grand nombre d’exemples, que ces mouvements (les extrémités ont à leur origine une très-grand
vue mécanique, dans l’espèce, cette grande vitesse au commencement du mouvement ou, pour parler plus juste, au bout d’un temps tr
, pour parler plus juste, au bout d’un temps très-court (car tous les mouvements commencent par être infiniment petits), cette gra
tent pas le meuble, qu’il n’y a pas de choc de la main à la table, ce mouvement de poussée a pour vitesse la vitesse môme du poin
’a décrit M. Babinet, sous le nom de première détente de muscles. Ces mouvements peuvent avoir une très-grande énergie, « surtout
haises par la demoiselle Cottin. 11 l’invoque aussi pour expliquer le mouvement des tables. Si un muscle se gonfle très-rapidem
ns fait observer, et comme nous venons de le reconnaître à propos des mouvements leur origine, qui n’ont pas d’autre sens que la p
le boulet, en sortant du canon, est animé d’une certaine quantité de mouvement , la pièce elle-même possède la même quantité de m
quantité de mouvement, la pièce elle-même possède la même quantité de mouvement (1) en sens contraire. Si donc un muscle en se
unique à un meuble une certaine vitesse, et par suite une quantité de mouvement , il devra imprimer à la main une vitesse en sens
in la main ne quitte pas la table, il faudra que le bras résiste à ce mouvement de recul, de manière à l’annihiler, c’est-à-dire
ort nécessaire en grandeur et en direction pour imprimer au meuble le mouvement dont il est animé. Ainsi l’explication du mouve
er au meuble le mouvement dont il est animé. Ainsi l’explication du mouvement des tables par la 'première détente de muscles n’
les n’est point en contradiction avec l’explication par l’énergie des mouvements à leur origine, elle a le même sens, cela veut di
menti lorsque Fr. Arago a découvert l’action des disques de cuivre en mouvement sur l'aiguille aimantée. Mais s’il s’agit d’adm
n mode d’action inconnu : 1° Une table saupoudrée de talc a pris le mouvement de rotation, moins vite il est vrai que si le boi
nent moites (ce qui arrive le plus souvent); si, en faisant de petits mouvements , elles balayent la poudre et la chassent de desso
st la puissance et le meuble à mouvoir la résistance. Dans ce cas, le mouvement cherché s’exécutera si l’impulsion est assez fort
e et j’étudie. M. Babinet ne se contente pas de ne pas admettre les mouvements autres que ceux qui sont produits par les impulsi
que si une force agit sur ini, puisqu’on appelle force la cause d’un mouvement , et qu’il n’y a pas d’effet sans cause. De sorte
sans cause. De sorte que, si des expériences démontrent clairement le mouvement d’une table ou d’un chapeau sans impulsion, il po
r, l’action magnétique. Répétons la citation : « Quand on opère des mouvements de bascule haut et « bas, comment la volonté d’un
abinet, dans un passage déjàcité en partie. « Au moment où tous ces mouvements agiront de concert, « surtout si les trépidations
admissible dans les « curieuses expériences qui ont été faites sur le mouvement « des tables où l’on impose les mains, est parfai
mains, est parfaitement ex-cc plicable par l’énergie bien connue des mouvements nais-■ sants de nos organes, pris à leur origine,
c représente l’effet total des actions individuelles. » Quant à ces mouvements naissants de nos organes, pris à leur origine, M.
Cette conclusion peut donc s’énoncer simplement sous la forme : Le mouvement des tables est dû aux impulsions des opérateurs a
évelopper, en commençant par examiner si l’on peut admettre, soit des mouvements involontaires dont on n’a pas conscience, soit mô
es mouvements involontaires dont on n’a pas conscience, soit môme des mouvements volontaires inconscients. III. De ta conscien
rsonnes ont de la répugnance à admettre que l’on puisse effectuer des mouvements volontaires sans en avoir la conscience, ou du mo
n, ou, pour parler plus juste, d’une perception attentive, et que les mouvements volontaires, comme les phénomènes extérieurs, ne
rité), ce que nous disons ici fait partie des vérités vulgaires. — Le mouvement volontaire qui ne laisse aucune trace dans l’espr
aucune trace dans l’esprit de celui qui l’a exécuté, a reçu le nom de mouvement machinal. Or, c’est à ce genre de mouvement qu’
écuté, a reçu le nom de mouvement machinal. Or, c’est à ce genre de mouvement qu’appartiennent les quatre-vingt-dix-neuf centiè
de mouvement qu’appartiennent les quatre-vingt-dix-neuf centièmes des mouvements volontaires. Pour marcher, vous exécutez tout une
s avez marché. — Pourquoi? — Parce, que c’est le seul résultat de vos mouvements volontaires sur lequel voire attention s'est port
n s'est portée. Dans l’acte de la manducation, quelle complication de mouvements volontaires! et cependant point de souvenir. Et
int de souvenir. Et en effet, qui fait attention, en mangeant, .aux mouvements de ses muscles masseters ou il ceux des zvgomatiq
sseters ou il ceux des zvgomatiques? On n’observe pas davantage les mouvements du pharynx dans la déglutition, et ces mouvements
e pas davantage les mouvements du pharynx dans la déglutition, et ces mouvements sont inconscients. Qu’on ait, au contraire, le mo
, le moindre mal de gorge, et la douleur causée par l’angine à chaque mouvement de déglutition, appelant l’attention sur le mouve
angine à chaque mouvement de déglutition, appelant l’attention sur le mouvement , fera qu’on en aura conscience et qu’on en garder
nous est pas indifférent. Mais, dira-t-on peut-être, ce sont là des mouvements instinctifs. •— Qu’importe ! ce sont des mouvemen
e, ce sont là des mouvements instinctifs. •— Qu’importe ! ce sont des mouvements volontaires. Et si l’on peut faire une catégorie
ouvements volontaires. Et si l’on peut faire une catégorie à part des mouvements résultant, sans le concours de la volonté, des fo
piration, circulation, digestion, etc., — il n’en est pas de même des mouvements qui ont pour effet la marche vers un but détermin
nté. Eh bien ! pour prendre mon exemple au plus près, sais-je quels mouvements mes doigts ont exécutés pour tracer les lignes qu
és pour tracer les lignes que je viens d’écrire ; — quels ont été les mouvements de mes yeux, contre-maîtres plus ou moins vigilan
a main dirige convenablement la plume sur le papier ? Et à part ces mouvements si multiples, dont je n’ai pas cou-science, dont
lement pas ce qu’il fait. Que chacun examine, non pas seulement ses mouvements , mais tous ses actes volontaires, il verra qu’il
. Lorsqu’on prête la moindre attention, il est facile d’observer un mouvement ; mais il y a un acte dont on se rend compte beau
use ; vos mains 11c la quittent pas. Il est impossible que dans votre mouvement , qui n’est pas continu, mais qui se compose d’une
suite de pas, vous n’exerciez pas, soit une pression dans le sens du mouvement , soit une résistance à la rotation ; et cependant
pas gêner les opérateurs ; que ceux-ci impriment à la petite table un mouvement de bascule alternatif de l’un à l’autre, et que l
’expérience, qu’il lui est impossible de savoir au juste s’il suit le mouvement ou s’il l’aide. Disposez un objet oscillant fac
ayant son centre au centre d'oscillation, pour y lire l’amplitude du mouvement ; qu’on mette l’appareil en branle, et qu’après l’
ude, on note de temps en temps les amplitudes auxquelles se réduit le mouvement . Pour fixer les idées, supposons les divisions
ains sur la barcelonnette, avec la consigne de ne faire que suivre le mouvement , sans exercer d’effort ni opposer de résistance ;
stance ; que celui qui dirige l'expérience donne à l’appareil le même mouvement que tout à l’heure, de 25 à 25, et qu’il l’abando
n chargé de ne rien opérer) est d'un tempérament nerveux, on verra le mouvement , au lieu de décroître régulièrement, avoir des al
11 peut avoir ses organes soumis à la volonté d’autrui, exécuter les mouvements voulus par une personne qu’il ne peut voir. Son m
her de faire remarquer que les trépidations musculaires résultant des mouvements de systole et de diastole du cœur doivent, au bou
rtain temps, se mettre en accord, d’après la loi mécanique des petits mouvements vibratoires, c’est-à-dire que le temps des pulsat
it battre le cœur plus vivement; une frayeur subite peut ralentir les mouvements du cœur au point de produire la syncope. IV.
ir les mouvements du cœur au point de produire la syncope. IV. Du mouvement des lubies. Si un certain nombre de personnes i
aux questions qu’on leur adressera. On pourra leur faire exécuter des mouvements comme ceux qu’exécutent les meubles. Presque tous
vée d’avance par scs succès sur les meubles), ceux-là exécuteront des mouvements que l’impulsion extérieure ne pourrait produire.
de faire embrasser l’un des opérateurs par le sujet. Après plusieurs mouvements de la tête vers l’opérateur désigné, mais non sui
avoir obtenu le résultat cherché. Nous avions seulement remarqué des mouvements presque convulsifs dans les membres inférieurs, e
la chaîne, les effets observés deviennent faciles à expliquer par des mouvements ou plutôt par des pressions dont ils n’ont pas la
s du corps qui presse sur les mains varie sensiblement à chaque léger mouvement du corps, sans qu’on y fasse attention, et par co
llement des expériences, quelle que soit la disposition des mains, le mouvement initial, différent de groupe à groupe, est toujou
haque expérience, sont parfaitement d’accord pour attendre tel ou tel mouvement . La cause de l’effet mécanique est donc tout enti
ue quelquefois un individu étranger à la chaîne, veuille ou désire un mouvement du meuble pour que le crisiaque produise les acte
r que le crisiaque produise les actes nécessaires à l’exécution de ce mouvement . Un nombre est-il indiqué secrètement à un membre
’on remarque dans l’état de crise. Avant de m’occuper d’un genre de mouvement des tables qui est regardé comme un phénomène d’u
tre ordre (les tables parlantes), je dois faire mention d’un genre de mouvement des tables dont il a été question plus ou moins s
ent touchés par personne. Je n’ai jamais eu occasion d’observer des mouvements de cette sorte, et je ne pense pas qu’il y en ait
des tables, m’a affirmé qu’elle avait eu des dictées par un guéridon ( mouvement de bascule), en ne le touchant qu’avec une feuill
uet d’une hallucination. J’ai, comme on le voit, mis à l’écart tous mouvements des objets qui auraient lieu sans contact. S’il y
i toujours cru que les att ractions magnétiques avaient pour cause un mouvement déterminé chez le sujet par la volonté du magnéti
science. Qu’il les formule par la parole, par l’écriture ou par les mouvements conventionnels d’un guéridon, il n’importe; seule
mentis compos, de distinguer si l’on produit ou si l’on suit un léger mouvement oscillatoire, le medium dans l’état de crise ne s
medium dans l’état de crise ne saura pas être la cause elficiente du mouvement . Ainsi donc, les mouvements d’un meuble, les ré
ne saura pas être la cause elficiente du mouvement. Ainsi donc, les mouvements d’un meuble, les réponses aux questions, les disc
rce que nous voulons qu’il lève le bras, saus que nous fassions aucun mouvement corporel ; lorsque, par la pensée, nous lui impri
U est certain, dans tous les cas, qu’un bruit réel consiste dans un mouvement vibratoire rapide du corps sonore, et à ce titre
ibratoire rapide du corps sonore, et à ce titre il se rapporterait au mouvement des objets matériels. Je dois môme avouer qu'il s
els. Je dois môme avouer qu'il se rapporterait spécialement au cas du mouvement des objets sans contact, cas dont j’ai repoussé j
nt constaté. L'analogie est, du reste, plus apparente que réelle, les mouvements vibratoires ne dépensant, pour ainsi dire, pas de
degré plus ou moins fort, il n’est point de corps assez isolé de tout mouvement pour qu’il ne soit continuellement on vibration.
ous distinguerions ces bruits, quand le parquet serait ébranlé par le mouvement d’un fauteuil, ou seulement par les trépidations
'art harmonie Dans chaque pas, dans chaque effort. Pour imprimer le mouvement , Il fallait plus qu'une parole, Plus qu'un sy
t en somnambulisme, on lui présente l’objet en question : son premier mouvement fut 1111 mouvement d’effroi, et il s’écria : « Vo
on lui présente l’objet en question : son premier mouvement fut 1111 mouvement d’effroi, et il s’écria : « Votre « enfant est no
rendent compte de la volonté instinctive qui préside aux milliers de mouvements locomobiles quenous faisons dans un seul jour? Co
ifeste par le soulèvement, le glissement, la suspension, enfin par le mouvement qu’elle communique aux corps pondérables, contrai
roduit, par suite de magnétisation réciproque, un commencement de ces mouvements involontaires et inconscients que, lorsqu’ils dev
la magnétisation, la malade éprouva à l'épi* gastre la sensation d’un mouvement (pii lui sembla produit par un corps paraissant d
te affection, qui existait depuis un mois, était caractérisée par des mouvements désordonnés et convulsifs, qui se succédaient plu
t que la malade s’abandonnât au repos, soit qu’elle exécutât quelques mouvements volontaires. Cette enfant faisait souvent des g
ez-vous me dire le nom de famille de ce Paul? » La table ne fit aucun mouvement . « Est-ce que ce Paul est le grand saint Paul?
tractent subitement et font plier nos articulations : c’est la vie de mouvement qui répond la première, et la vie organique de se
imité de deux corps animés, dans certaines positions et arec certains mouvements , n’ait un effet réel indépendant de l'imagination
’acceptation de ces idées. Si, d’après ces expériences, pas un de nos mouvements ne peut s’exécuter sans dégagement d’électricité,
ère, de la chaleur rayonnante et de l'électricité, sans recourir à un mouvement vibratoire. La force inconnue du système nerveux
. chez M. du Potet et à la Société du Mesmérisme dr Paris. Quant au mouvement vibratoire, le tiercelet, qui agite ses ailes par
s des eaux agitées par un choc, aux vibrations des cordes sonores, au mouvement du sable répandu à la surface d’un plateau ébranl
’éther, ou plus proprement le fluide nerveux, est mis dans un certain mouvement , lequel, arrivé au cerveau, produit la sensation,
e la répulsion de Descartes, pour expliquer la nature et l’origine du mouvement produit chez l’homme et dans l’univers. 11 voit d
ium enlevèrent la tumeur. La sensibilité tégumentaire revint, mais le mouvement resta perdu. L’électricité, les peaux, essayées t
esmérisme ramena la sensibilité complète de la peau et quelque peu le mouvement ; mais le malade mourut, six mois après, d’une pne
tournée et relevée, les pattes à demi fléchies et très-écartées ; les mouvements du bassin selon un rhythme très-lubrique, ne lais
t moral qui découvre déjà bien assez de couleurs brûlantes, il y a le mouvement irrésistible qui dégage de ta chaleur, des effluv
es à faire et quelques sous à extorquer. Des signes particuliers, des mouvements des mains ou des pieds, l’intonation de la voix,
nté. Nous avons toujours pensé, à la manière dont se produisaient les mouvements et les phénomènes, qu’ils n’étaient que le résult
ent bien croire que les tables tournaient par une autre cause que les mouvements nerveux et musculaires de nos doigts. Les savants
arlé, et c’était la cause qu’ils avaient attribuée à la production du mouvement . « La table tourne parce que vous la poussez , »
oumise à l’action d’une chaîne magnétique humaine tourne et obéit aux mouvements ordonnés par celui qui dirige l’expérience et en
tais contenté dans mes expériences de faire produire toutes sortes de mouvements aux objets soumis à l'action de la chaîne. Je n’e
roduire sur l’esprit du malade cette puissance dirigeant à son gré le mouvement ou l’inertie la plus complète chez un être pensan
erre, des Cbevreul et des Babinet en France, qui ont démontré que des mouvements assez étendus et assez forts peuvent s’effectuer
à produire. Et, chose singulière! ce frappement peut s’accomplir sans mouvement appréciable du pied ; seulement, lorsqu’on appuie
tinctement le déplacement alternatif et réitéré du tendon, animé d’un mouvement très-brusque d’élévation et d’abaissement. c M.
les enveloppait. Cinq minutes après, elle éprouve de 1 agitation, des mouvements nerveux et des bâillements, ses yeux se ferment;
fait de vains efforts, parce que la main est crispée et serrée ; les mouvements convulsifs sont trop violents. 0 Elle vous voit
oyez bien qu’il n’y a personne. ■t Pendant que M"10 de M... fail ce mouvement , M"K lî... se lève en criant : « — Marche ! mar
médiate de la personnalité étrangère, que les mêmes gestes, les mêmes mouvements se retrouvent dans les deux personnes ; la même p
isme leur paraît transparent, brillant de lumière, plein de vie et de mouvement . 11 s’ensuit qu’ils aperçoivent la désorganisatio
e que dans le titre; mais on voit par là que l’auteur lui attribue 1s mouvement des objets soumis à la chaîne. 11 n’y a l ien de
matin, à cinq heures, étant au lit, elle demeura sans parole et sans mouvement . On lui parle, elle ne répond pas ; je la pince
ct. » M. Strauss-Durcklieim nous a raconté autrefois que le premier mouvement des pauvres enfants sur lesquels ces expériences
impulsion involontaire, non perçue, qui met quelquefois les tables en mouvement , ne peut expliquer tous les cas observés. Et d’ai
pèces d'aimant, dont les pôles semblables, se repoussant, feraient le mouvement rotatoire. C’est là l’explication du D' Lœw, de V
héorie qui n’eût pas été comprise; je tenais seulement à dire que les mouvements obtenus avec les tables n’étaient pas dus à l’imp
ite, par M. du Potet depuis longtemps. Je m’explique : Pour moi, le mouvement des tables, l’électro-biologie, les visions des s
qui la faisaient mouvoir, et pourtant ç’eût été leurs bras, dont les mouvements étaient automatiques à la pensée d’un autre, qui
cartes glissent, se déplacent, et il est impossible de communiquer le mouvement à la table. Cela constaté, nous replaçons les paq
GRAPHIE. OBSERVATIONS SÜR LE FLUIDE ORGANO-ÉLECTRIQUE, et sur les Mouvements électrométriques des Baguettes et des Pendules; p
escend. Si le contact est donné à l’intérieur de la main gauche, le mouvement est inverse, c’est-à-dire descendant en cas de co
ans l’autre. Dans quelque sens que l’on marche, si c’est un filon, le mouvement de la baguette sera identique à lui-même; si, au
-même; si, au contraire, l’observateur est au-dessus d’un courant, le mouvement de la baguette, quand il remontera le courant, se
e moment où il s’arrête sur un point et celui où sa baguette entre en mouvement (page 12â). Il semble que l’appareil devait êtr
distance ; car M. de Morogues calcule la profondeur en détruisant le mouvement par une charge convenable (nous avons indiqué ce
rbaturée , ce qui me mettait dans l’impossibilité de faire le moindre mouvement ; par dèssus tout cela, une céphalalgie intense e
des bruits de tendons, des tours de ventriloquie, des vibrations, des mouvements instinctifs, etc. Bref, la conclusion fut que t
oi nouvelle. Il est du plus haut intérêt pour la science d’étudier ce mouvement intellectuel, et surtout de se rendre un compte e
parties ou sur la totalité du corps, qui recevaient instantanément le mouvement ou le repos, et presque la mort ou la vie ; soit
r le tronc, et le tronc entier s’affaisse, tous ses membres sont san3 mouvement , le pouls est à peine sensible ; un flacon d’ammo
in un peu et son pouls revient lentement, ses premiers signes sont un mouvement d’affaissement qui entraîne le corps au pied du l
’endormir; son sommeil est fréquemment interrompu par les cris et les mouvements brusques du corps. Pendant le sommeil, le sang
rie est un peu éloignée et occupée de sa couture. Ses yenx voient les mouvements du savetier improvisé ; bientôt ses membres suive
eux bras s’allongent régulièrement; elle semble craindre qu’un de ses mouvements ne soit pas en harmonie avec ceux qu’elle imite :
nt; "Le jeune homme ne continue qu'à demi son jeu ; mais n’importe le mouvement qu'il fasse, ce mouvement est toujours fidèlement
tinue qu'à demi son jeu ; mais n’importe le mouvement qu'il fasse, ce mouvement est toujours fidèlement copié. « Marie, lui dit
vit une étrange chose. Tous les livres de la bibliothèque ôtaient en mouvement . De l’un des manuscrits sortit le chiffre 8, de l
ncore vivantes et tout à fait dignes de foi, ont senti dans l’air les mouvements de son démon. Mm* Ludwigen, de Dessau, ayant lais
, être soulevés d’une manière sensible par la pointe du cœur dont les mouvements ont été non-seulement vus, mais perçus parles ass
nit un autre non moins sensible de la respiration ; je veux parler du mouvement d'élévation et d’abaissement des côtes. Ces phéno
ndant que je tenais la tôle, je crus trouver quelque rapport entre ce mouvement et celui des tables tournantes, et je me promis b
la hauteur d’environ cinq à six centimètres. Pour être certain que le mouvement qui venait de se produire n’était pas spontané, j
eurs fois, eut toujours le même succès, avec cette dilférence que les mouvements furent de plus en plus faibles et que le dernier
était garnie d’un tapis de corde pour empêcher le bruit des pas et du mouvement des sièges quand1 des malades donnent. Les murs e
puyé contre ces loges et a employé toute sa force pour empêcher leurs mouvements , mais sans pouvoir y réussir; qu’il a soulevé les
st assuré qu’il n’y avait personne h l’intérieur qui put produire ces mouvements . d Tous ces faits m’ont été certifiés par M. Du
sif. 11 arriva bientôt, à ma grande surprise, que ma main fut mise en mouvement et écrivit des caractères lisibles, puis des mots
ins d'Angleterre. Il arriva que les muscles de mes bras furent mis en mouvement , sans £>jcunc \ olonté de ma part, et produisi
uts de mes deux doigts ayant touché les deux côtés et ayant décrit un mouvement demi-circulaire, une ouverture se forma sous l'un
ce qu’il paraît; et dans les travaux des cures, il met mes membres en mouvement , indépendamment de ma volonté ou de mes désirs. I
er que nous ne pourrons jamais connaître de la force nouvelle que les mouvements qu’elle impose aux corps. Pourquoi n’en serait-il
acro-lombaire et très-long du dos devint le siège de douleurs que les mouvements de torsion et de flexion du tronc rendaient exces
assage, le malade se leva, et, à sa grande surprise, put exécuter des mouvements qui Tome XIII. — N° IOO. — 10 j>oyek»be 185t
instruments les changements qui s’opèrent dans la sensibilité et les mouvements volontaires; par exemple, un magnétisé accuse-t-i
. J’ignorais entièrement tout ce qui s’était passé. Ma main se mit en mouvement pour écrire, et la communication suivante eut lie
. Comme elle ne pouvait venir à bout de la retrouver, l’esprit mit en mouvement le bras de Mm* S..., dont le doigt se porta dans
t des discours en prose anglaise, les lèvres du tanneur se mettent en mouvement , et aussitôt il traduit ce qu'il entend en beaux
omme son ami. Aussitôt la main de la fille de M. Laurie a été mise en mouvement et a écrit les lettres M. B. Personne ne sut qu
en nous-mêmes le principe et la cause de la chaleur. Sans lui, aucun mouvement 11e peut avoir lieu, sa privation amène prompteme
s. Deux systèmes sont bien connus : les nerfs du sentiment et ceux du mouvement » 11 reste en ceci beaucoup à découvrir. — Cet a
n d’un stimulant particulier pour entretenir leur jeu, tandis que les mouvements locomoteurs, simples dans leur évolution, demande
ns les corps, il les meut. Il ne perd point sa qualité de principe de mouvement . — Peut-il être latent dans les organes et dans
— Non ; lorsque la volonté ou les passions ne lui impriment point un mouvement donné, il agite de lui-même la machine et détermi
un mouvement donné, il agite de lui-même la machine et détermine les mouvements involontaires. — Pourquoi l'appelle-t-on fluide
it de toutes les autorités. Les gens sérieux qui s’étaient occupés du mouvement des tables, qui avaient vu et produit des faits é
ignes au-dessus du plateau, s’arrange pour marcher dans le sens où le mouvement doit avoir lieu, les mains les plus rapprochées d
ues, etc. M. de Gasparin cherche à les expliquer. La force qui met en mouvement les tables sans contact, lui parait suffisante po
aissé à Wilmington. Elle donna ce dernier renseignement de son propre mouvement , avant que le visiteur ait eu le temps de rapport
écutent sans qu’il puisse empêcher leur jeu; il suspend un instant le mouvement , c’est tout. Le mécanicien est à côté de ses four
et l’ordre sera ainsi renversé. Que font les savants dans ce grand mouvement des esprits à la recherche de l’inconnu ? Les sav
ensables même. « 1° L’action physique ; les passes, le massage, les mouvements plus ou moins répétés et prolongés : elle produit
rmédiaire de l’âme et du corps», c’est «l'agent de la sensation et du mouvement . » L’état magnétique ne développe pas un sixième
on n’oublie pas alors que l’homme est un foyer de vie, de force et de mouvement , que le mouvement chez les jeunes gens et les enf
ors que l’homme est un foyer de vie, de force et de mouvement, que le mouvement chez les jeunes gens et les enfants surtout est t
près des papillons, après rien ; que tous nos membres obéissent à ces mouvements voulus; que tout ce qui est matière un nous est s
c unité, est toujours proportionnelle et peut facilement commander le mouvement comme il est commandé à nos organes, on ne devra
suive elle-même toutes les directions du courant qui l’a déjà mise en mouvement , et obeisse à la volonté. 11 paraît même qu’une s
suis très-heureux d’avoir vu se produire cette manière d’envisager le mouvement des corps inanimés produit par la chaîne. Il me s
ambulisme complet, il les fait obéir à sa volonté, à ses gestes et au mouvement de la baguette. M. de Chaste-net Puységur, son fr
naire, 753. Electro-magnétisme. —Vues scientifiques sur la cause du mouvement des tables, par MM. Petit- d’Ormoy, 257 ; Dr Char
rst, par M. le Dr Kerner, 601. Tables tournantes et parlantes. — Du mouvement des tables et des dictées par les tables; mémoire
1, 674. Rotation humaine. Partage d’avis sur le degré de vitesse du mouvement giratoire des personnes, 54. Spiritualisme. Mém
ds, 360. Tables tournantes. Diversité d’opi-pinions sur la cause du mouvement des tables, 55, 83,152, 235, 257, 531, 754. FAI
nette, 251. Observations sur le fluide organo-électrique et sur les mouvements électro-métriques des baguettes et des pendules,
30 (1907) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 20] : iconographie médicale et artistique
entraîne tout d'une pièce comme une statue de bois et il ne fait un mouvement des jambes que pour retrouver instinc- tivement
tudes cataleptiformes provoquées. De plus, il suffit d'exécuter des mouvements donnés devant lui pour qu'il les répète immédiate
stéréotypies variées sous les for- mes habituelles, stéréotypies de mouvement , d'attitude ; stéréotypies verbales. J'ai pub
il est exécuté des deux mains les bras élevés en l'air. Parfois le mouvement de la main est exécuté seul, le bras et l'avant
n est alors ouverte et fermée brusquement pendant que se produit le mouvement de rotation du poignet en dehors. Le claquement
un geste des deux bras rappelant celui du faucheur ; avec un léger mouvement de rotation de la tête à gauche. La seconde est u
léger mouvement de rotation de la tête à gauche. La seconde est un mouvement du bras gauche, comme si le malade jetait violemm
gner, bien que ses mains eussent conservé toute la liberté de leurs mouvements . Elle est restée ainsi cinq mois dans le servic
ui résulte de la fixation en ab- duction des deux hanches. C'est le mouvement de rotation qui est le plus limité ; il y a com
nt de rotation qui est le plus limité ; il y a comme une ébauche de mouvement d'adduction dans la cuisse gauche, mais si on c
ue léger degré de flexion et d'extension, surtout aujourd'hui ; ces mouvements expliquent que la malade puisse s'asseoir, et per
ce sont là des acquisitions toutes récentes. Il en est de même des mouvements des genoux ; ces articulations, presque entière
, ne laissaient qu'une amplitude très faible de quelques degrés aux mouvements de la jambe, qui étaient fort douloureux. Aujou
lement ; mais il résulte de la rotation externe de la cuisse que ces mouvements portent le pied d'un côté sur le genou opposé.
ouvements portent le pied d'un côté sur le genou opposé. Tous les mouvements du cou-de-pied et ceux des orteils ont toujours é
normaux, bien' que la malade n'éprouvant plus aucune gêne dans les mouvements habituels, les prétende cette fois absolument i
les coudes fonctionnent bien, les épaules, en particulier pour les mouvements d'abduction, sont loin de présenter l'amplitude e
d'abduction, sont loin de présenter l'amplitude et l'éner- gie des mouvements d'une articulation saine. Il y a donc une vérit
férentes. Lors- qu'on a sectionné les muscles périarticulaires, les mouvements articulaires sont impossibles. C'est que, au-de
douleurs localisées à telle ou telle jointure, puis peu à peu, les mouvements de cette jointure se limitent et l'ankylose s'é
st telle qu'on la briserait plutôt . que de lui imprimer le moindre mouvement . Elle immobilise le rachis en une cyphose spéci
n et en adduction, et il est impossible de leur imprimer le moindre mouvement . Les mouvements des épaules sont simplement lim
on, et il est impossible de leur imprimer le moindre mouvement. Les mouvements des épaules sont simplement limités, et il n'es
e qu'en réalité, les malades soient des mannequins en bois dont les mouvements des jambes s'effectueraient autour d'un axe tra
vancé. Les muscles de la main sont notablement atrophiés mais leurs mouvements , quoique faibles et peu étendus, sont encore poss
encore possibles. Les mus- cles de l'avant-bras donnent encore des mouvements limités de flexion et d'ex- tension du poignet
IOSSI bien l'épreuve de la diadococinésie avec la main droite ; les mouvements sont surtout lents. Il la fait beaucoup moins b
surtout lents. Il la fait beaucoup moins bien avec la gauche ; les mouvements sont un peu asyner ? iques. Il porte bien l'ind
es. Il porte bien l'index gauche sur le nez ; quand il fait le même mouvement avec l'index droit, il y a toujours quelques osci
rieurs et supérieurs. L'épreuve de la diadococinésie montre que les mouvements sont normaux à gauche, lents et maladroits à droi
nez on note que la direction du mouve- ment est juste, mais que le mouvement est un peu saccadé, des deux côtés. La recherch
du signe de l'agenouillement de Babinski permet de constater que ce mouvement se fait asynergiquement des deux côtés. Le malade
e genou de l'autre; on note, avant d'atteindre le but, une série de mouvements peu amples qui tiennent du tremblement et de l'
ibilité (superficielle et profonde : le sens des atti- tudes et des mouvements passifs est parfaitement conservé). La parole a
repose à terre avec violence. Il y a une raideur manifeste dans les mouvements . La démarche est en même temps titubante, de fa
debout il oscille quelquefois sur ses jambés, surtout au début des mouvements . Pas de latéropnlsion. Signe de Romberg. La f
auche et non dans le membre supérieur droit. On note aussi dans les mouvements de flexion et d'extension des membres inférieur
inférieurs à droite et à gauche, un certain degré d'asynergie : les mouvements sont décomposés. L'équilibre statique dans le d
ment, et pour les supérieures dans celle de la diadococinésie. Les mouvements intentionnels s'exécutent assez bien ; cependant
ntionnels s'exécutent assez bien ; cependant on note vers la fin du mouvement , près du but à atteindre quelques oscilla- tion
ons des poignets sont à leur tour doulou- reuses et tuméfiées ; les mouvements de l'épaule, à droite principalement, deviennen
- tre aucune modification des réactions normales. Dans les divers mouvements commandés des membres supérieurs et infé- rieur
ÉITE SYPHILITIQUE DÉFORMANTE, TYPE PAGET, CHEZ UNE TABÉTIQUE 87 Les mouvements de flexion sont presque impossibles ; ils détermi
oral interne. Il est en outre douloureux et augmenté de volume. Les mouvements de flexion très limités s'accompagnent de craque-
taient augmentées de volume, douloureuses à la pression et dans des mouvements provoqués ; aujourd'hui tout gonflement a dispa
ps, soit dans les diverses attitudes du repos, soit dans les divers mouvements . Je remarquerai à ce sujet que la détermination
formes extérieures du corps humain au repos et dans les principaux mouvements . Il lui donna le nom d'Anatomie artistique. En
onnelle de l'homme au repos, tantôt dans l'exécution des principaux mouvements . Assurément, il n'avait pas été possible de fig
corps humain ; mais la connaissance d'une série de positions et de mouvements élémentaires suffisait amplement pour en- seign
r les changements incessants que la vie, dans l'infinie variété des mouvements , imprime à toutes les parties du corps humain.
formes extérieures du corps humain au repos et dans les principaux mouvements , Paris. Plon-Nourrit, 1890. z UNE RÉVOLUTION AN
naissance de la forme humaine vivante, la Physiologie de l'homme en mouvement (1) est venue' compléter l'oeuvre anatomique de
tes de la vie de relation, la station, la marche, la course, et les mouvements simples des membres. A ce propos, Paul Richer a
les mêmes . (1) PAUL RICIIER, Physiologie artistique de l'homme en mouvement , Paris, Doin, 1895, ' UNE RÉVOLUTION ANATOMIQUE
s les plus divers. Cette recherche de la forme extérieure dans le mouvement , générale- ment négligée par les physiologistes
a publié également un article de Paul Richer : La forme du corps en mouvement (2), où l'on voit, étu- diées sur les chromo-ph
eurs détails les problèmes de la mécanique humaine : atti- tudes et mouvements . Lorsqu'il s'agit d'établir des comparaisons entr
e oculaire non dévié, mais presque immobile dans l'orbite ; seul le mouvement du globe en dehors est conservé. Front plissé des
goïdiens ne prennent part; mais le maxillaire inférieur exécute des mouvements peu étendus d'avant en arrière, qui pa- raissen
l'attirent un peu en arrière, avons nous dit. Or c'est ce der- nier mouvement qui est utilisé, semble-t-il, pour la mastication
t normale dans tous les segments. Il n'y a pas de rigidité dans les mouvements passifs ; pas d'atrophie musculaire. Le membre
pant également le triceps fémoral et les muscles postérieurs. Les mouvements passifs sont plus ou moins limités dans les diver
équin, s'oppose à la flexion dorsale et permet seulement des légers mouvements d'abduction et d'adduction. Les petites articul
s petites articulations des orteils sont relativement libres. Les mouvements passifs d'extension de la cuisse et de la jambe o
tion. La cuisse ne peut être complètement étendue passivement et le mouvement d'extension de la jambe est aussi arrêté avant
étraction tendineuse, le pied offre l'aspect du pied ballant et ses mouvements passifs ont une amplitude beaucoup plus marquée
out dans l'adduction et dans l'abduction. Aucune raideur dans les mouvements passifs au niveau de l'articulation de la hanch
hémiplégie spastique frappant surtout le membre supérieur (avec des mouvements choréo-athétosiques, exagération des réflexes ten
s. Les articulations de ce membre permettaient d'ailleurs tous les - mouvements . - Dans les deux dernières années les douleurs
mbre continua encore à augmenter au point de limiter la liberté des mouvements de ses différents segments. Voici ce qu'on trou
est sou- vent gâteuse. Les attaques épileptiques convulsives avec mouvements toniques et cloniques, peu fréquentes jusqu'ici
liefs musculaires. En résumé, « c'est là une oeuvre d'art pleine de mouvement , fort inté- ressante et fort curieuse, géniale,
nt de vue artistique une oeuvre de valeur,pleine d'harmo- nie et de mouvement ; et, au point de vue de l'exactitude anatomique,
mencer, Ce n'est qu'ensuite que les attitudes plus complexes et les mouvements peuvent être étudiés avec fruit. Comment se fait-
cience pour la faire accepter des artistes : une belle attitude, un mouvement intéressant faisant passer ce que peut avoir de d
de la main au niveau de la première et de la seconde phalange. Tout mouvement du membre supérieur est impossible sauf un léger
as agir ; le droit interne au contraire se contracte modérément. Le mouvement de l'oeil en dehors est normal. Le ma- lade est
minuit avec de l'excitation et délire ; l'excitation consistait en mouvements continuels à droite et à gauche de la tête la seu
ent pas assurer si, au début, il exista quelque difficulté dans les mouvements des bras et si elle pouvait rester assise ; d'apr
rale flaccide, totale et complète, douloureuse quand on imprime des mouvements aux segments supérieurs des extrémités abdomina
ite en tous sens et la soulever assez haut, et faire la plupart des mouvements avec l'extrémité gauche ; mais elle ne pouvait en
dant quarante jours : les douleurs diparurent au premier mois ; les mouvements actifs réapparurent lentement, spécialement aux
'on le changeait de position il se plaignait amèrement, comme si le mouvement passif provo- quait en lui des douleurs intense
s en se dandinant, et en faisant osciller le bassin en un continuel mouvement de bascule : démarche de canard typique. Pour
ncoz avaient signalé. Du fait de cette anomalie des clavicules, les mouvements volontaires du bras ne sont pas modifiés, il n'
ements volontaires du bras ne sont pas modifiés, il n'existe pas de mouvements anormaux ; mais l'on peut rapprocher fortement
e de 28 ans, de petite taille (1 m. 43), aux membres courts dont le mouvement de supination des deux avant-bras était très li
ses souliers. Au contraire lorsque le malade est couché les divers mouvements se font d'une façon spasmodique mais avec assez
ite est évidemment plus faible et on s'en aperçoit surtout dans les mouvements d'abduction et d'adduction du pied. Les réfle
é droit soit devenu beaueoup plus faible; et de fait tandis que les mouvements du côté gaucho s'accomplissent avec une vigueur
gaucho s'accomplissent avec une vigueur satisfaisante, à droite les mouvements de la racine du membre sont seuls normaux, la p
et la supination, la flexion et l'extension du poignet, les divers mouvements des doigts étant dimi- nués de force d'une faço
ité anormale et surtout gros craquements à la palpation et dans les mouvements : ces craquements avaient depuis plusieurs mois
ite de la déformation vertébrale, le thorax se trouve avoir subi un mouvement de torsion vers la droite, la moitié gauche est c
st rejeté en arrière, le gauche par contre entraîné en avant. Les mouvements de la ceinture scapulaire s'accomplissent assez m
uche ; le malade s'asseoit très péniblement sur son lit, les divers mouvements du thorax sont diminués. Par contre, les muscles
les du sens des attitudes aux doigts 1 et aux orteils. ' Dans les mouvements , on constate un certain degré d'ataxie au membre
t de la moitié droite du voile du palais, obligeant le malade à des mouvements forcés du cou lors de la déglutition et ame- na
Lorsque le malade veut serrer la main de quelqu'un il se produit un mouvement de trémolo très frappant. Par contre il n'exist
peler que le bras et la jambe droite du malade furent affectés d'un mouvement de trémolo très frappant. Ce tremblement accomp
mouvement de trémolo très frappant. Ce tremblement accompagnait les mouvements intentionnels ; il n'était pas associé à une di
vec force. Mais les saillies digitales ne sont susceptibles d'aucun mouvement . Il) MM. KLIPPEL et Er. RABAUD, llémil1lélie th
impossible, et, comme il n'y a pas d'obstacle osseux s'opposant aux mouvements passifs de flexion et d'extension à tous degrés
rouve de cicatrice. Le coude est bien conformé et jouit de tous les mouvements propres à cette articulation. Le bras est lon
de existait évidem- ment, car ce petit moignon était susceptible de mouvements rudimentaires. La peau, à l'extrémité du tronço
pour progresser, même assez vite, en les proje- tant en avant, d'un mouvement alternatif, comme les branches d'un compas. XI.
la tubérosité bici- pitale, de telle sorte que pendant la vie, les mouvements de supination étaient conservés. Le cerveau a
, avec le squelette du membre droit. Muscles et nerfs. - A droite ; mouvements de l'avant-bras sur le bras : la flexion est le
droite ; mouvements de l'avant-bras sur le bras : la flexion est le mouvement le mieux conservé et le plus étendu. L'extension
n active ou passive est notablement plus faible que la flexion. Les mouvements de rotation de l'avant-bras en dehors et en ded
tés, la pronation étant plus étendue que la supination. Actifs, ces mouvements sont beaucoup plus restreints que les passifs.
, ces mouvements sont beaucoup plus restreints que les passifs. Les mouvements de la main sur l'avant-bras sont très limités,
saillie assez nette, les trois derniers sont à peine visibles. Les mouvements de l'épaule et du coude sont normaux ; le rudimen
eur gauche. Le bras est normal, mais il y a ankylose du coude ; les mouvements de flexion de l'avant-bras sur le bras sont impos
flexion de l'avant-bras sur le bras sont impossibles tandis que les mouvements de pronation et de supination existent. Le cubitu
ve- ments volontaires de flexion de l'appendice sur le moignon. Les mouvements s'accompagnent de très petits craquements. Da
e de la main droite. Quant aux bourgeons digitaux, ils n'ont pas de mouvements partiels et ne se déplacent qu'en totalité avec
in- tenues solidement ; le petit moignon, animé dans sa totalité de mouvements volontaires, possède une sensibilité très dével
res, possède une sensibilité très développée, à tous les modes. Des mouvements délicats sont exécutés par ce membre frappé d'arr
ade pendant qu'elle avale son bol de lait, on peut as- sister à des mouvements bien étranges : en effet, B... pour faire passer
prédominance au niveau de la nuque et du front, déterminés par les mouvements , se présentant sous la forme d'élan- 366 souque
t réagissent à l'accommodation. Secousses nys- tagmiformes dans les mouvements provoqués du regard. L'ophtalmoscope mon- tre u
e, aucune parésie des nerfs moteurs crâniens. Pas d'ataxie dans les mouvements , pas de raideur de la nuque, pas de dévia- tion
odique des qua- tre membres, qui étaient un peu raides, et dont les mouvements segmentaires, quoique gênés et maladroits, se f
- role était lente et scandée : on constatait du nystagmus dans les mouvements extrêmes, en dehors, des deux globes oculaires
gainé par cette enveloppe rigide, le doigt perd la souplesse de ses mouvements [Pal (2), Roth (3)]. L'hypertrophie cutanée peut
cillité), en sorte qu'il y a peut- être lieu de rattacher ce double mouvement de dégénérescence au même processus foetal, enc
muscle ne devait pas disparaître en totalité, d'autant plus que les mouvements de pronation persistent dans toute leur étendue
rconvolutions motrices, et en particulier celles qui commandent les mouvements du membre supérieur, n'apparais- sent point à c
il est très possible qu'une petite portion de l'écorce préside aux mouvements de la main qui, en réalité, était le seul segment
des cellules motrices dans la portion de l'écorce correspondant aux mouvements de la main. Quoi qu'il en soit; l'atrophie du m
est un peu moins développée que la main droite. Les doigts dans les mouvements d'extension ne peuvent se juxtaposer dans toute
u genou. Examen du système nerveux. - Il n'y a pas d'altération des mouvements dans les muscles du visage- Le mouvement des gl
'y a pas d'altération des mouvements dans les muscles du visage- Le mouvement des globes oculaires est normal ; toutefois le
, elle n'offre rien de remarquable, excepté son volume exagéré. Les mouvements des membres supérieurs sont normaux et la force y
sychothé- rapie et les exercices de gymnastique comprenant tous les mouvements de l'extrémité céphalique selon la méthode de n
r un détail qui peut avoir eu son impor- tance dans la genèse de ce mouvement involontaire : les deux yeux ne voient pas égal
retiré, l'ouïe est devenue aussi bonne des deux côtés. Cependant le mouvement de ro- tation de la tête vers la gauche a persi
- core avec les préoccupations et les soucis. Pendant la nuit, le mouvement de rotation ne se produisait pas au début; n'a
rtes doses, sont restés sans effet. Mais, pendant le sommeil, aucun mouvement . Chose curieuse, et déjà observée chez.plusieur
le menton fut levé ; plus tard, la rotation s'est accompagnée d'un mouvement de renversement de la tête en arrière, le mento
onté, dès qu'il s'en aperçoit ou qu'on le lui demande. Lorsque le mouvement de rotation de la tête à gauche est très violent
ation de la tête à gauche est très violent on voit parfois quelques mouvements convulsifs des muscles de la face : la commissu
mais non toujours. outre .l'élévation de l'épaule droite, quelques mouvements rapides et successifs de flexion et d'extension
ent tournée à gauche ; cette dernière position semble solliciter un mouvement de rotation irré- sistible. LES PÉRIPÉTIES D'
tible. LES PÉRIPÉTIES D'UN TORTICOLIS MENTAL 467 Dans la rue, les mouvements s'exagèrent encore, et pour deux raisons. D'abo
x-ci le tournent en dérision ; il en est péniblement humilié. Les mouvements sont aussi exagérés lorsque le malade passe dans
que celui du côté gauche. Le malade est capable d'exécuter tous les mouvements qu'on lui com- mande avec correction, mais il n
chaque jour de 5 secon- des la durée de chaque immobilisation. 2° Mouvements . - Mouvements lents, réguliers, sans saccades.
5 secon- des la durée de chaque immobilisation. 2° Mouvements. - Mouvements lents, réguliers, sans saccades. Mouvements élé
ion. 2° Mouvements. - Mouvements lents, réguliers, sans saccades. Mouvements élémentaires de la tête : Rotation. Inclinaison à
Rotation. Inclinaison à droite et à gauche. Flexion et extension. Mouvements élémentaires des épaules, du torse, des bras. E
le plus raidi, je suis toujours capable d'exécuter correctement un mouvement commandé de rotation ou de flexion de la tête. »
e sans que sa tête tournât une seule fois vers la gauche ; tous les mouvements étaient aisés. A peine remarquait-on une légère
ient com- plètement droite. Aux exercices d'immobilisation et aux mouvements méthodiques sont ajoutés des exercices respirat
dinaire une raideur dans la nuque qui s'op- pose à la liberté de ce mouvement . Mais s'il maintient pendant quel- ques instant
s'endormir en position correcte ; mais, lorsqu'il se réveille, les mouvements de rotation de la tête ne tardent pas à reparaî
, se recouche et reste calme. S janvier 1903. - Depuis 3 jours, les mouvements de rotation de la tête à gauche sont devenus pl
la marche. Il a atteint 100 secondes d'immobilité ab- solue. Les mouvements respiratoires ne lui apportent plus le même soula
paule gauche, dans la région du trapèze, surtout lorsqu'il fait des mouvements de bras. L'état mental de Taurone s'est aussi
si venir en aide au patient en signalant les in- corrections de ses mouvements ou de ses attitudes, grâce à des rappels discre
progrès que j'avais faits. Je suis néanmoins moins maître de mes mouvements que dans les premiers jours de la semaine derni
tiqueurs qu'ils ne savent pas attendre; l'attente exas- père leurs mouvements convulsifs. 2° Il est rare de rencontrer dans l
colis est presque continuel ; je ne ramène la tête que par un grand mouvement de rotation de gauche à droite, je ne peux l'ar
finitif) complètement disparu. L'épaule droite n'accompagne plus le mouvement , la contraction du trapèze droit, sauf dans que
ouvement, la contraction du trapèze droit, sauf dans quelques rares mouvements , ayant cessé. 1 La tête a, pour ainsi dire, per
Au cours des exercices, des défaillances se produisent et certains mouvements restent inexécutables correctement, notamment l'i
part, j'ai fait une remarque que je crois devoir signaler. Dans le mouvement de torticolis, ma tête ne s'incline plus à droite
'omoplate et près du cou, me semblent jouer un rôle sérieux dans ce mouvement anormal ; le trapèze gauche agit en même temps
ieurs mois, il est fréquent d'observer des transformations dans les mouvements ou les atti- tudes forcées. Non seulement plusi
uis faire et encore il m'arrive quelque- fois de ne pas réussir les mouvements , même étant assis ; debout, depuis plu- sieurs
a vie courante, ces applications étant la répétition hors miroir de mouvements ou séries de mouvements, qui, très difficiles à o
ications étant la répétition hors miroir de mouvements ou séries de mouvements , qui, très difficiles à obtenir maintenant deva
'épaule et du côté gauche du cou ; aussitôt après cette détente, le mouvement de rotation devient plus facile ; bref, je n'ép
pression un peu douloureuse que j'éprouvais à gauche du cou dans le mouvement d'inclinaison de ce côté. 2° Au cours de mon
soir à 4 heures ; je réussis en majeure partie le matin surtout les mouvements assis ; mais je n'ai pas encore pu aller au delà.
igue. Après plusieurs efforts demeurés infructueux pour exécuter un mouvement correct, se reposer, et ne recommencer qu'à la
qu'à la séance suivante. Ne jamais se décourager d'un insuccès. Tel mouvement impossible aujourd'hui de- viendra possible dem
des efforts de détente et de rotation. Je me suis remis ensuite aux mouvements indiqués devant la glace ; mais en suivant une
sion très lente, et comme durée d'immobilisation et comme nombre de mouvements . Cela m'a réussi. 2° Il y a quelques jours j'ét
. De même ont reparu les oscillations de la tête de bas en haut. Le mouvement que je réussis le moins bien est la flexion en
olument tran- quille, mais les contractions reparaissent au moindre mouvement , même lorsque je veux parler ; les nuits sont m
mmobilité daus les diverses positions de la tête ; mais, au moindre mouvement , à la moindre vibration, je n'en étais plus maî-
utais cette dernière, car depuis quelques temps, lorsque j'étais en mouvement ou que je parlais, la tête se portait plus en a
ouvement ou que je parlais, la tête se portait plus en arrière, les mouvements de flexion et d'extension ne se faisaient pas dan
brusquement et violem- ment à gauche et en arrière. Après quelques mouvements , les contractions deviennent plus violentes et
u cou (torticolis-spasme) ; la quasi- impossibilité de réfréner les mouvements convulsifs, dans ces périodes aiguës, permet au
à tracer ainsi que quelques lettres dans l'intervalle des séries de mouvements pendant les exercices. LES PÉRIPÉTIES D'UN TORT
ercices. De 9 à 10, exercices avec, dans l'intervalle des séries de mouvements , essais de lecture ou tracés de quelques lettre
n, les contractions sont rares et peu violentes. Une parole ou un mouvement suffisent pour me faire perdre l'équilibre, mai
position, m'efforçant même d'être un peu en po- sition opposée aux mouvements de torticolis, afin d'habituer au relâchement l
cé les exercices ; ils se sont exécutés assez facile- ment pour les mouvements de rotation et pour l'immobilisation tête à droit
évie à gauche) ; mais j'ai été arrêté dès que j'ai'voulu passer aux mouvements des épaules (élévation et abaissement, propulsi
ons, je me suis arrêté, et depuis je marque le pas, m'en tenant aux mouvements de rotation, extension, flexion et inclinaison de
. J'ai cependant l'intention de faire deux fois par jour au lit des mouvements respiratoires et de passer ensuite à quelques e
s un peu plus dans la position couchée, cela pourrait faciliter mes mouvements dans d'autres positions. Remarques. - L'aliteme
de ce côté ; j'ai multiplié pendant et en dehors des exercices les mouvements de flexion, je me suis livré dans le but poursu
us étendue et la roideur du côté gauche de la nuque qui enrayait ce mouvement a faibli ; la douleur de l'épaule a sensi- blem
fficiles. J'ai pu aborder, quoique avec quelques incorrections, les mouvements des épaules et des bras. ' 2° Je suis loin en
eulement des soubresauts dans la région du larynx et des arrêts des mouvements respiratoires ; mais il existe encore de la roi
r couché en bonne position ; la tête est repartie avec, à la fin du mouvement de rotation à gauche, des oscillations de bas en
is, le séjour au lit entraînant le plus souvent une fatigue par les mouvements et, les résistances qui s'y produi- sent. Je re
cateurs les patients apportent plus d'attention à la correction des mouvements commandés, ils n'ont pas toujours une notion tr
renais la position bien directe, mais je ne la conservais pas et ce mouvement de va-et-vient faisait obstacle à une bonne imm
cran de départ et en rendait le maintien plus difficile au moindre mouvement . J'ai l'impression que c'est cette attitude défec
maîtriser. Les inclinaisons sont convenables, la flexion aussi. Les mouvements des épaules, des bras (surtout dans l'élévation
, mais j'avance toujours un peu, et, s'il ne survient pas un de ces mouvements de recul, comme j'en ai eu malheureusement déjà p
toute la série correctemeut. Je termine chaque séance par quelques mouvements respiratoires et une courte déclama- tion,ayant
pas de progrès encore; j'essaie bien quelques applications dans les mouvements usuels, mais je ne réussis guère ; l'attitude g
a marche et pour obtenir plus d'assouplissement, j'exécute tous les mouvements de la tête, des bras, des épaules et du buste ; c
t très difficile, quelquefois impossible, de lui faire exécuter les mouvements légers et délicats de l'écriture, tandis qu'ell
r les repas qui suivent immédiatement, le matin, une des séances de mouvements , et, le soir, un exercice de lecture. C'est à d
r. Même situation toutes les fois que je ne suis plus maître de mes mouvements , ce qui m'arrive assez rapidement après chaque ex
dans l'intervalle de ceux-ci. Dans deux ou trois jours je ferai les mouvements avec un poids d'un kilogramme à chaque main, puis
rait, parler, sans nuire à la régularité des immobilisations et des mouvements ; cela paraîtrait devoir favoriser la création de
aux effets de celle-ci encore in- complète, si on pense exécuter un mouvement dans la région atteinte ou à l'immobiliser, il
teinte ou à l'immobiliser, il est rare que ne se produisent pas les mouvements ou l'attitude défectueuse du torticolis ; si, a
éalisés les premiers se manifestent par une meilleure exécution des mouvements rééducateurs. 4° Le malade apprécie assez bien
ctes de façon à pou- voir facilement concentrer l'attention sur des mouvements simples. Nos gestes usuels sont si complexes qu
composent. Si on fait attentivement ce travail de dissociation des mouvements com- plexes en mouvements élémentaires, on arri
entivement ce travail de dissociation des mouvements com- plexes en mouvements élémentaires, on arrive vite à exécuter chaque mo
exécuter chaque mou- vement élémentaire avec correction, puis deux mouvements élémentaires successifs ou simultanés, puis tro
s successifs ou simultanés, puis trois, et ainsi de suite, enfin le mouvement com- plexe usuel lui-même, qui n'est que la suc
que l'étude de la succession précède celle de la superposition des mouvements . novembre 1903. 1° Monredoutable ennemi ne désa
e devant miroir pour me fixer un peu (réduit aux immobilisations et mouvements simples, 40 minutes environ). De 8 h. 1/4 progr
yeux, les joues, le nez, la bouche, le peaucier du cou, tout est en mouvement , et pour savoir ce qui bouge, j'ai plus tôt fai
miroir; les quelques rares difficultés que j'avais encore dans les mouvements simples ont persisté (contractions assez fortes
naison. 498 HENRY MEIGE de la tête à gauche est très aisée) ; les mouvements de rotation à droite com- binés notamment avec
nts de rotation à droite com- binés notamment avec la marche et les mouvements respiratoires sont très difficiles à obtenir, t
ue dans un mirage ? Les efforts que je faisais pour discipliner mes mouvements aux ordres de la volonté ne devaient pas aller
l'excitabilité nerveuse : les contractions s'exacerbent alors, les mouvements anormaux augmentent de violence ou d'amplitude,
sont arrivés à la res- cousse ; on tâtonne, on est surpris par des mouvements ou des attitudes nou- velles, désorienté, comme
- fications à l'état antérieur. Enfin, j'ai remarqué aussi que le mouvement de rotation à droite qui était limité dans son
ile, et rarement bien réussie, les immobilisations défectueuses, le mouvement demi à droite impossible à conserver, le retour d
nsion et la flexion ne suivent pas le plan vertical ; j'exécute des mouvements de rotation à droite et demi à droite la tête flé
ues jours de repos absolu au lit, les tentatives pour reprendre les mouvements de rééducation restaient vaines; le phénomène men
ble et utile. Il me reste seulement un peu de raideur du cou et les mouvements de la tête vers la droite sont très limités. Si
'est que la correction de l'automatisme précédait la correction des mouvements consciemment voulus; au moment par exemple où la
ecousses ou des contractions nettes qui empêchaient l'exécution des mouvements comman- dés ou les rendaient irréguliers ; les
ution des mouvements comman- dés ou les rendaient irréguliers ; les mouvements s'exécutaient d'autant plus facilement qu'ils é
n n'y insistant cas trop. J'exécute en ce moment toute la série des mouvements simples, sauf la rotation à droite, qui est ou
nt affirmer la coordination entre la volonté consciente et tous les mouvements . J'ai fait faire des frictions à l'huile d'oliv
s automatiques ont été les premiers à s'exécuter correctement ; les mouvements volontaires attenti- vement surveillés ne se so
s la journée, je m'observe souvent ; je m'efforce de faire quelques mouvements avec une régularité méthodique; je décontracte
ement de la roideur, de la gêne dans la dernière moitié de tous les mouvements de rotation de la tête, le début de ces mouveme
itié de tous les mouvements de rotation de la tête, le début de ces mouvements étant normal. La rotation complète à droite n'est
nt miroir je puis obser- ver un très léger flottement du corps. Les mouvements , au lieu d'avoir une régularité absolue de marc
as une influence favorable sur la régularité et la souplesse de mes mouvements . Puis ce serait toujours l'exécution de mouveme
souplesse de mes mouvements. Puis ce serait toujours l'exécution de mouvements commandés, lents, réguliers, conformes aux prin-
ement disparu, mais ils s'atténuent peu à peu ; la raideur dans les mouvements de la tête diminue ; de même les légères secousse
ssement qui les accompagnent, les difficultés dans quelques-uns des mouvements d'élévation des bras,de leur circonvolution autou
tout dans l'ordre et m'efforce d'avoir toujours une position et des mouvements cor- rects. 3° Voilà dans quel état je suis b
du torticolis convulsif sont une sensation de raideur dans certains mouvements de la tête et du cou, rai- deur qui peut persis
rieurs du cou, entrainant quelquefois de légères secousses dans les mouvements de rotation, j'exécute sans aucune difficulté t
s mouvements de rotation, j'exécute sans aucune difficulté tous les mouvements simples ; quelques mouvements combinés de la tê
écute sans aucune difficulté tous les mouvements simples ; quelques mouvements combinés de la tête et du bras droit surtout, c
xercices proprement dits ; je surveille seulement l'exé- cution des mouvements les moins aisés, et, de temps en temps, pendant d
re le plus d'ordre possible et dans les actes de sa vie et dans ses mouvements , à s'efforcer d'être attentif en toutes choses
rogressivement. A peine persiste-t-il une petite gène pour certains mouvements combinés de la tête et du bras droit, qui d'ail
osant les doigts sur les paupières supérieures on peut constater le mouvement caractéristique des bulbes oculaires que nous a
oins selon la distance de l'objet fixé. Ch. Bell a conclu que les mouvements qu'il adécrits remplissaient trois buts très im
la sortie des larmes des points lacrymaux (l'oeil reste pressé). Le mouvement des paupières inférieures vers le nez (elles se m
des corps étrangers). Celle déviation des yeux vers le haut est un mouvement combiné d'un très grand intérêt, car la paupièr
impor- tance pour la vision, peuvent être aussi mieux protégés. Ce mouvement de protection est utile non seulement contre le
ou clignait, les bulbes se tournaient promptement vers le haut. Ce mouvement dépendait de la paupière inférieure, car dès que
e restent pas toujours en cette position, mais ils font souvent des mouvements lents ou rapides dans toutes les directions, qu
e produit ce phéno- mène, c'est-à-dire quel rapport existe entre le mouvement de fermeture des paupières et le mouvement de d
rapport existe entre le mouvement de fermeture des paupières et le mouvement de dévialion en haut du bulbe oculaire. Pour l'
ours dans une paralysie avec réaction dégénérative. En examinant le mouvement des muscles du visage, le déplacement de l'oeil
'origine rhumatismale ou auriculaire on peut voir aisément les deux mouvements oculaires (déviation vers le haut et l'intérieu
. Dans ces étais nous pouvons le considérer comme un vrai et propre mouvement inconscient pour la défense des facultés visuel
31 (1899) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 12]
souffrait simplement au niveau des attaches du diaphragme, à chaque mouvement d'inspiration. Il n'a pas non plus présenté de si
ents, il a vu double et louché. Au dire de Ch...,la paralysie des mouvements est parvenue à son apogée dans les premiers jou
aintenait le genou fortement élevé, et le pied était tombant. Les mouvements des orteils, les mouvements de flexion et d'exten
élevé, et le pied était tombant. Les mouvements des orteils, les mouvements de flexion et d'extension du pied sur la jambe,
le bassin étaient conservés, mais ils s'exécutaient sans force. Les mouvements pby- - 1. 1 ? RAYMOND siologiques des différe
r et de manger seul, mais non sans difficulté. De même encore les mouvements qui nécessitent la contraction des muscles du t
uvait ouvrir largement la bouche, et les muscles, intéres- sés à ce mouvement , se contractaient avec vigueur; il pouvait serrer
les dents avec la force normale, il exécutait, sans difficulté, les mouvements de diduction qu'on lui commandait. Il pouvait m
e du palais se contractait normalement, aussi bien à l'occasion des mouvements de phonation que lorsqu'on l'excitait par le Fo
... était dans l'impossibilité de souiller, de siffler, de faire le mouvement que nécessite l'acte de donner un baiser. Il ne
ue, le malade a été traité par l'électrisation et le massage. Les mouvements ont commencé à revenir dans le membre inférieur,
urtout dans le groupe des muscles antéro-exlel'l1es. Il résiste aux mouvements d'extension générale ; cependant, il relève i p
n générale ; cependant, il relève i peine la pointe du pied, et les mouvements d'adduction et d'abduction qu'il lui imprime se
pendant l'examen, se dessiner des contractions fibrillaires. Les mouvements d'extension du tronc se font bien. D'ailleurs, le
s, les mus- cles du tronc et des épaules sont normaux. De même, les mouvements des bras sont revenus à l'état physiologique, à
nts des bras sont revenus à l'état physiologique, à l'exception des mouvements d'extension des mains. La pression au dynamomèt
usculaires provoquait des douleurs extrêmement vives ; de même, les mouvements inspiratoires déterminaient des douleurs, au nive
ète ; elle se conciliait avec la persistance d'un certain nombre de mouvements physiologiques, mais ceux-ci s'exécutaient sans
. Par contre, il y avait de la tachycardie et de l'accélération des mouvements respiratoires, sans signes stéthoscopiques conc
r- tains groupes de muscles. Aussi est-il exceptionnel que tous les mouvements physiologiques soient abolis.Elle ne s'accompag
de X... éprouvait une certaine difficulté à accomplir les premiers mouvements de mastication au commencement des repas. Ant
. Il éprouva d'abord une certaine difficulté il opérer les premiers mouvements de mastication. Cet accident ne se produisait q
ai, de cette raideur et de cette difficulté qui existe au début des mouvements voulus et qui est le signe pathognomonique de l
homsen. Ces accidents ne se produisent pas à l'occasion de tous les mouvements et ce n'est que de temps en temps qu'ils se man
e ou électrique, la raideur et la difficulté éprouvées au début des mouvements voulus, même si elle ne se montre que de temps en
- tonus musculaire à gauche : z,,5. lies. est normal. Le pied Les mouvements est normal. Les actifs sont libres et mouveme
mal. Le pied Les mouvements est normal. Les actifs sont libres et mouvements , pas- s'exécutent bien. sifs et actifs, s'ef- L
s et mouvements, pas- s'exécutent bien. sifs et actifs, s'ef- Les mouvements fectuent bien. Pas passifs ne sont pas d'inco
ROSS0L1M0 Olga S. Jliclcel . Nicolas S. que la coordination des mouvements . Réflexes tendi- manifestement exa- exagéré. fo
ence et de capacités bien mé- diocres ; toujours malhabile dans ses mouvements . A l'âge de 22 ans,subit t un traumatisme du ge
t aplati, petits doigts courts. Tremblement et gêne dans les petits mouvements des deux mains ; écriture irrégulière (ataxi- q
arche, plus tard il s'y ajouta également de l'incertitude dans' les mouvements des mains. A l'tige de 19 ans le strabisme, qui
cles droits oculaires internes des deux côtés. Gène dans les petits mouvements des mains; écriture irrégulière, légèrement ataxi
très irrégulière, 32 C. HI1SDOLIMO ataxique. Gêne dans les petits mouvements des mains. Instabilité. Démar- che ataxique, cé
nus du pied chez le 2e et le 3e malades ; 8° Gêne dans les petits mouvements des mains ; écriture ataxique ; 9° Affaiblissem
étaient calmées. Alors même qu'on n'observe pas de contracture les mouvements des membres supérieurs sont incomplets et lents
grande tension musculaire qui empêche l'interprétation complète des mouvements provoqués. La sensibilité élec- tro-musculaire
aire. Le rebord inférieur des côtes est un peu voussure à gauche. Mouvements Vof.OTT.1112GS.- Le malade ne fléchit l'avant-bra
bras est ainsi fléchi, son extension volontaire est impossible. Les mouvements d'ensemble du bras pour saisir le nez, pour por
et encore le malade est-il incapable de diriger et de soutenir ces mouvements . Pour porter la cuiller ou la fourchette il la bo
'appui ; la main est mise en pronation forcée (en supi- nation tout mouvement est impossible) et de cette façon, par saccades,
omoplate se place sur la paroi latérale du thorax : cet os subit un mouvement de bascule d'arrière en avant et de dedans en d
jours conservée dans tout le membre. Au bout d'un mois et demi, les mouvements de l'épaule redeviennent possibles. Ajoutons qu
x centimètres d'écartement entre les surfaces articulaires rend les mouvements extrêmement faciles dans toutes les directions.
ant basculer en dedans le sommet de l'omoplate tient, dans certains mouvements d'effort du membre supérieur, le scapulum en ar
ce thénar ; son sque- lette est pour ainsi dire sous la peau et les mouvements d'opposition quoique pos- sibles sont rendus tr
é glénoïde. L'articulation du coude est lâche et 'rend possible les mouvements anormaux de latéralité. Les extrémités articula
libre, manifestement moins serrée qu'une articulation normale. Les mouvements d'adduction ont une amplitude exagérée, de même
st impossible de percevoir le moindre craquement t quel que soit le mouvement qu'on imprime aux surfaces articulaires. Quand
ur l'omoplate droite (on dirait que le malade ne sait plus faire ce mouvement , tant il hésite avant de s'y essayer). Les mouv
lus faire ce mouvement, tant il hésite avant de s'y essayer). Les mouvements d'élévation de l'épaule sont bien conservés (haus
avec peine et seulement en conservant la main dans la pronation (ce mouvement n'est en somme qu'une pronation exagérée par le
Le malade ne peut porter la main en avant dans Pacte d'uriner. Les mouvements d'abduction du bras sont impossibles. Ceux qu'on
du bras sont impossibles. Ceux qu'on peut ob- tenir sont dus il un mouvement de latéralité du tronc qui vient buter contre le
. Pour l'obtenir, le malade est obligé de projeter le membre par un mouvement de bilboquet. Le bras est constamment en pronat
e, très limitée et ne s'obtient (à un très faible degré) que par un mouvement de flexion et d'adduction du muscle 'cubital an
la corde tendineuse du biceps qui se dessine sous la peau limite ce mouvement . La flexion des doigts dans la main est facile.
de sur un plan d'appui. D'ailleurs, même dans ces con- ditions, les mouvements sont très limités. Les mouvements d'opposition
même dans ces con- ditions, les mouvements sont très limités. Les mouvements d'opposition du pouce et du petit doigt sont poss
percute l'extrémité inférieure du radius, on provoque à droite des mouvements de flexion des doigts, et, a gauche, des secousse
lui donne un aspect étrange : traits mo- biles, grande volubilité, mouvements brusques du tronc, des membres infé- rieurs. Lo
qu'elle abandonne, se porte en avant, impri- mant ainsi au bras un mouvement de rotation en dehors et le col anatomi- que vi
urs, en exagérant suffisamment, dans des sens variables, les divers mouvements de l'épaule, ont même pu déterminer des ruptures
nes, mais des racines motrices seules. Il n'est pas douteux que les mouvements d'abaissement, par exemple, ainsi que l'avait m
même tendent la 7e cervicale (luxation sous-glénoïdienne). Dans les mouvements d'abduction (luxations en avant), lés 5e, 6e et 7
rtie le procédé de Mothe qui, quoique doux, doit forcément, dans le mouvement d'élévation exagérée, au 3e temps, entraîner un t
s et centrales du vertige, le nystagmus horizontal ou vertical, les mouvements incohérents .des globes sous les paupières clos
nsables non seulement à l'équilibration volontaire, mais à tous les mouvements appro- priés. C'est le sens des attitudes segme
images d'attitudes, et des variations d'attitudes, c'est-à-dire des mouvements passifs ou actifs, du segment céphalique. C'est d
de ce service sensoriel que réside le vertige proprement dit. Les mouvements de la tête jouent dans l'exercice de l'équilibrat
plus élevé du corps au-dessus de notre base de sustentation, et ses mouvements mesurent dans leur plus grande amplitude les mo
ohérence ou l'insuffi- sance de ses représentations d'attitude.Tout mouvement volontaire, coor- donné, de la vie de relation,
aire, coor- donné, de la vie de relation, et particulièrement, tout mouvement de lo- comotion, tout effort ayant pour but la
ou à la variation d'une ou de plusieurs attitudes segmentaires. Un mouvement est une variation d'attitude et n'est connu sub
n, de localisation. On a malheureusement trop intimement associé le mouvement à l'agent moteur, la variation d'attitude à l'a
s ou non. Prenons donc successivement les deux cas d'attitude ou de mouvement d'abord passifs, puis actifs. L'attitude pass
que nous ayions dépensé la moindre force pour la réalisation de ce mouvement . J'ai conscience d'une attitude passive,. je sa
ttention. C'est pourquoi nous avons plus facilement conscience d'un mouvement que d'une position, d'une variation d'attitude qu
e. C'est pourquoi aussi on s'est plus attaché à définir un sens des mouvements qu'un sens des attitudes. D'autre part, comme le
ens des mouvements qu'un sens des attitudes. D'autre part, comme le mouvement voulu est forcément plus conscient qu'un mouvemen
e part, comme le mouvement voulu est forcément plus conscient qu'un mouvement subi, comme le muscle est l'agent du mouvement
plus conscient qu'un mouvement subi, comme le muscle est l'agent du mouvement actif, il était assez naturel que l'on pensât p
e également et donne lieu aune autre représentation sensorielle. Un mouvement est re- présenté par une série ininterrompue d'
de notre propre activité musculaire, l'image d'attitude, l'image de mouvement seront les mêmes, puisqu'il s'agit d'une même att
t seront les mêmes, puisqu'il s'agit d'une même attitude, d'un même mouvement , mais les images tactiles élémentaires, superfici
segment. Il y a en plus de l'activité dans l'at- titude ou dans le mouvement ,ou plutôt une sensation d'activité, mais pas pl
ire, si je ne l'ai appris autrement. Les ima- ges d'attitudes et de mouvements sont donc forcément localisées et tout en resta
ux me sou- venir, retrouver une image, - quand je veux maîtriser un mouvement ré- flexe, un trouble moral ou organique ou qua
rices; il peut vouloir et imaginer toutes les attitudes et tous les mouvements , mais il ne les connaît plus objectivement par
te un sens musculaire, il ne pourrait naître que de la sensation du mouvement destiné il rétablir l'équilibre perdu. Or, ce m
ensation du mouvement destiné il rétablir l'équilibre perdu. Or, ce mouvement est dicté par la sensation d'une perte de l'équil
grâce à l'interception des voies médullaires. Quand j'exécute un mouvement volontaire, il me faut la notion cons- ciente d
ut sans contrôle, mais elle ne comporte pas d'incoordination, et le mouvement absurde de l'ataxique coordonne bien et appropr
phaliques : c'est l'appareil de la vision. Cyon avait créé pour les mouvements des globes associés aux mouvements de la tête le
vision. Cyon avait créé pour les mouvements des globes associés aux mouvements de la tête le nom de mouvements compensateurs,
mouvements des globes associés aux mouvements de la tête le nom de mouvements compensateurs, mais sa théorie inadmissible du se
Breuer a mieux compris le rôle de l'oculomotricité à l'occasion des mouvements passifs des globes pendant les déplacements de la
s et doivent naturellement apporter quelque indocilité à suivre les mouvements de la tète. Si, quand la tête tourne d'un certain
ète. Ce dernier fait a quelque chose de volontaire ; il s'agit d'un mouvement approprié appar- tenant à l'acte volontaire du
oculomotricité n'a ici rien de réflexe ni de compensateur. Quand le mouvement de la tête ne . permet plus à l'oeil de fixer l
certains sujets, le globe de l'oeil met un grand retard à suivre le mouvement de la tête, et il revient en position normale p
et il revient en position normale par,une véritable secousse; si le mouvement con- tinue, l'oeil fait ainsi une série de saut
retard du globe à se déplacer, l'oeil semble reculer par rapport au mouvement de la tète, et se déplacer en sens inverse. Les
sens inverse. Les objets que perçoit la rétine sont donc animés du mouvement rotatoire inverse de celui de l'oeil et par con
lement discutée par Delage, qui remarque qu'au moment de l'arrêt du mouvement de rotation de la tête, LE TABES LABYRINTHIQUE
ige visuel dePurkinje. Il se passe quelque chose d'analogue dans le mouvement de translation. En chemin de fer, si nous somme
rse n'est autre chose que l'indocilité que met le globe à suivre le mouvement de l'orbite. Mais ces phénomènes doivent s'ét
abaissées, en appuyant les doigts sur la cornée dont on perçoit les mouvements ; ou bien en faisant ouvrir les yeux du malade
uvements ; ou bien en faisant ouvrir les yeux du malade aussitôt le mouvement de la tête exécuté et en notant la position im-
PIERRE BONNIER Le tabétique présente ce retard du globe à suivre le mouvement et l'arrêt de l'orbite, quand le labyrinthe est
rêt de l'orbite, quand le labyrinthe est lésé dans ses centres, les mouvements dits, je ne sais pourquoi, compensateurs, dispa
et bilatérale, car l'oeil n'a plus à se re- prendre pour suivre ce mouvement qu'il ne connaît plus. Clinique. Dans la premiè
es d'une irritation sous-périto- néale, colique, hernie, etc. ? Tel mouvement , tel jeu de moire, tel contraste de couleurs qu
er dans notre orien- tation, sans tabes, et toute l'économie de nos mouvements de progression, la sécurité et la certitude de
sque constamment les cho- ses se passent ainsi. Le nystagmus est un mouvement spasmodiquc non pas de deux muscles antagoniste
5. 160 PIERRE BONNIER ducteur est relâché, par l'adducteur, et ce mouvement de retour beaucoup plus lent, montre au sujet l
ie des objets que rencontre successivement l'axe visuel. Comme ce mouvement de retour n'est pas plus conscient ni volontaire
rin- thique, je l'ai rencontré ; parfois, il était remplacé par des mouvements absolument incohérents des globes. A défaut de
es ocu- laires par défaut de fixation oculomotrice,à l'occasion des mouvements de la tête. Ce trouble est fréquent chez les la
atu- rellement revenir à l'état de repos, il semble évident que les mouvements et les attitudes absurdes des globes ne peuvent
lle on constatait, outre un ptosis du côté droit, une paralysie des mouvements de l'adducteur du même côté pour les mouvements
, une paralysie des mouvements de l'adducteur du même côté pour les mouvements conjugués de droite à gauche, l'adduc- teur res
conjugués de droite à gauche, l'adduc- teur restant actif dans les mouvements de convergence. C'est-à-dire que l'adducteur dr
conde i se- cousses amples, existant au repos, pas augmenté par les mouvements vo- lontaires, analogue à celui de la maladie d
s. PARALYSIE ISOLÉE DU MUSCLE GRAND DENTELÉ 179 que gène dans les mouvements du bras droit. Pendant toute l'évolution de sa
amais,' aupara- vant, le malade n'avait eu la moindre gêne dans les mouvements de ses bras. Palefrenier, il pansait les chevau
er ses chevaux de lever les bras jusqu'à la verticale et, dans* les mouvements nécessaires il l'étrillage notamment, il ne s'éta
ssus de l'horizontale sans atteindre la verticale. Pour exécuter ce mouvement , il a soin, il est vrai, d'in- cliner un peu le
dans les cas où le malade élève directement le bras en dehors. 1° Mouvements de l'épaule. L'élévation directe ci, haut des é
et en dedans (PI. XXV, 1) se fait avec une énergie normale. Dans ce mouvement , il n'y a pas de déformation évi- dente de la r
eurs vives dans l'épaule gau- che, avec notable difficulté dans les mouvements du membre inférieur correspondant. L'observat
ème côte. A la même époque, il constata un affaiblissement dans les mouvements du bras et la déformation de l'omoplate. Il n'a
membre supérieur. Il joue donc un rôle primordial, dans les divers mouvements du bras. La gène considérable de ces mouvements
al, dans les divers mouvements du bras. La gène considérable de ces mouvements , dans la paralysie isolée du grand dentelé, en
réfutable. Le muscle grand dentelé est donc soumis, dans les divers mouvements du bras et de l'épaule, à un exercice répété et
place, puis soulever la peau en se portant un peu en arrière par un mouvement de rotation de cet os sur son axe vertical. Cet
t avec l'attitude du scapulum du côté opposé, qui avait exécuté son mouvement normal. On remarque, en effet, dans la figure 1
vante, Duchenne explique ainsi le mécanisme de ce signe : « Dans le mouvement des épaules en avant, le grand dentelé entraîne e
re de l'humérus auquel il s'allache. Il est évident que si, dans ce mouvement volontaire, le grand dentelé vient à ne plus prêt
ortion abductrice du trapèze pourrait bien, il est vrai, pendant ce mouvement , maintenir le scapulum rapproché de la ligne médi
résiste moins que l'autre. On pourrait même imprimer au scapulum un mouvement de recul et faire saillir davantage son bord sp
Psych. und. Nerv., 12 décembre 1892. (2) Duchenne, Physiologie des mouvements , p. 40. (3) SEEI,10-,IULLEii, Neurolog. Central
enne, sur l'angle externe du scapulum fait exécuter à celui-ci deux mouvements : un mouvement de bascule par lequel )'acromion
e externe du scapulum fait exécuter à celui-ci deux mouvements : un mouvement de bascule par lequel )'acromion est déprimé, t
l'angle inférieur s'élève et se rapproche de la ligne médiane ; un mouvement de rotation sur un axe vertical, placé au nivea
ue, lors de l'élévation volontaire du bras, on ne voit pas ces deux mouvements qui engendrent l'omoplate ailée. Et cela parce
'omoplate, non maintenue par le grand dentelé, va exécuter les deux mouvements que nous venons de rappeler et se mettre en ail
st le muscle grand dentelé qui est chargé d'imprimer au scapulum ce mouvement de rotation. « L'intervention du grand dentelé
Ce muscle imprime, en outre, avec une grande puissance, à cet os le mouvement de rotation nécessaire à la dernière moitié de
majorité des observations. Cette paralysie sup- prime, en effet, le mouvement de rotation nécessaire à l'élévation verticale.
dentelé peuvent « se suppléer mutuellement dans la production de ce mouvement d'élévation du bras..... Ce fait électro-physiolo
ffet, avec le deltoïde, et sans l'intervention du grand dentelé, le mouvement volontaire de rotation de (1) DUCIIGNNE, Physio
196 A. SOUQUES ET .1. CASTAIGNE l'omoplate sur son angle interne, mouvement qui élève le bras au-dessus de la ligne horizon
e bras est diminuée, la résistance à l'extension est conservée. Les mouvements d'écartement et de rapprochement du bras du tro
e et des douleurs qu'accuse II... aussitôt qu'on imprime le moindre mouvement à ses membres inférieurs. Tels sont les renseig
crise de palpitations. La malade d'amour cher- che à comprimer le « mouvement dépravé et fréquent de son coeur et l'effort qu
x : il n'est même plus ridicule. La peinture y perd en réalisme, en mouvement , en vie ; elle y gagne en délicatesse et en sen
vancés, les malades se plaignent d'un poids dans l'hypochondre; les mouvements du tronc sont gênés et il existe un profond dég
ntaire est douloureuse ; il y a extension à droite, la direction du mouvement provoqué est douteuse à gauche. Il n'y a pas de
te, 4 dioptries environ, acuité visuelle 1/3. Quand on provoque des mouvements d'abduction, on constate qu'il existe quelques
réflexe plantaire provoque une sensation de brûlure sans donner de mouvements bien nets des orteils. Pas de trépidation spina
orticolis; il y a une foule de grimaces, de spasmes, de troubles du mouvement d'ap- parence plus ou moins compliquée, siégean
ude qui n'est aucu- nement permanente, mais qui se reproduit par un mouvement complexe et brusque dès que la malade essaie de
spasme des orteils. Cette jambe ne présente aucun autre trouble du mouvement ; si le malade est étendu, la force du membre e
nt ; si le malade est étendu, la force du membre est conservée, les mouvements des orteils sont libres, les réflexes sont norm
Si on dirige le ma- lade et si on lui commande avec fermeté chaque mouvement des jambes, il peut exécuter des pas gymnastiqu
vons soumis à une gymnastique portant, non pas précisé- ment sur le mouvement de la jambe, mais sur l'attention à ce mouvement.
écisé- ment sur le mouvement de la jambe, mais sur l'attention à ce mouvement . Ils devaient chercher à sentir exactement le s
er volontairement avec les orteils, à apprécier tous les détails du mouvement . Ce traitement, que proposait déjà l'un de nous
e en somme toujours du traitement des paralysies hystériques par le mouvement attentif tel que le recommandait Charcot. Nous
melles fort min- ces, et s'il faisait une attention continuelle aux mouvements de son pied droit, mais le tic recommençait dès
léchir au delà de la demi-flexion, ne peut imprimer au pouce, qu'un mouvement d'ab- duction de quelques centimètres. L'adduct
es. L'adduction ne se fait que lentement, jusqu'à l'index ; dans le mouvement d'opposition le pouce ne peut aller que jusqu'au
également limitée, et se fait par 360 G. RETIENNE contorsion. Les mouvements de pronation se font relativement bien. Les mou-
d'abord sur le front, et en la faisant glisser sur la tête. Tous ces mouvements sont douloureux. Les mouvements d'élévation p
ant glisser sur la tête. Tous ces mouvements sont douloureux. Les mouvements d'élévation par le deltoïde ne se font pas. Men
st presque nulle. Le malade s'assied et se recouche facilement. Les mouvements des bras et des jambes se font bien. Le malade
outeille en la serrant contre l'éminence hypothénar. Résistance aux mouvements passifs relativement conservée à droite. Sensat
ion, mais médiocrement ; pas de diplo- pie, pas de nystagmus. Les mouvements de l'oeil se font bien ; occlusion complète. La p
n complète. La parole est très nette. Le malade siffle bien. Pas de mouvements fibrillaires de la langue. Rien de particulier
complète du premier adducteur. Gouttières interosseu- ses. Tous les mouvements des doigts sont lents, la flexion presque impossi
bien, celle de l'avant-bras sur le bras Pst presque complète. Les mouvements de pronation et de supination se font lentement,
e, plus accentuée qu'à la main droite. Main droite. Actuellement le mouvement d'apposition se fait péniblement il peut cepend
fait péniblement il peut cependant arriver jusqu'à l'annulaire ; le mouvement d'écart des doigts est impossible La flexion
n sur le front et la laisse glisser par derrière. Du côté gauche le mouvement est encore plus diffi- cile ; il fléchit le cou
prend point d'appui sur le lit, puis s'appuie sur le coude, fait un mouvement d'extension et arrive à s'asseoir. Le malade ma
cilement, sans grande modification de la marche physiologique. Le mouvement pour amener la main sur le nez se fait par secous
secousses, par saccades, mais tombe exactement sur le lobule. Le mouvement se fait mieux à droite. Le malade étant assis,
se coucher, se laisse tomber en arrière. Aux membres inférieurs les mouvements se font bien. La résistance aux mouvements pass
x membres inférieurs les mouvements se font bien. La résistance aux mouvements passifs est conservée aux membres infé- rieurs.
ux membres infé- rieurs. Aux membres supérieurs la résistance aux mouvements passifs est absolu- ment nulle. Circonférence
onservés. Cependant les fosses sous-épineuses sont très marquées. Mouvements fibrillaires et fasciculaires existant partout. C
la rentrée du malade. Elles ne se produisent que quand il fait des mouvements . Pas de modification des muscles de la face. La
s de troubles du dévelop- pement des poils, ni arthropathies. Les mouvements sont douloureux mais seulement au niveau des musc
des picotements dans le .nains, de l'en- gourdissement, rendant les mouvements difficiles. A partir d ce moment com- mença l'a
Toutes ces dispositions sont plus marquées à droite qu'à gauche. Mouvements des membres supérieurs. - Le malade ne peut éleve
39.5 gauche 40 mollet droit 30 - gauche...... 29 Motilité. - Mouvements de la tête conservés. Le malade ne peut s'asseo
ent des muscles des éminences thénar et hypothénar des deux côtés ; mouvements d'opposition et d'abduction du pouce impossible
à demi fermée ; extension de la main et des doigts impossible ; les mouvements de pronation et de supination ne peuvent plus se
peine la main sur l'épaule opposée. - L'omoplate ne suit pas les mouvements de l'épaule. Atrophie légère des muscles sus et
utres doigts. \\ Le pouce peut se fléchir assez fortement, mais les mouvements d'oppositions sont presque nuls. Le malade pouv
sistance flasque. La force au dynamomètre est à peu près nulle. Les mouvements passifs des doigts ne sont possibles qu'incompl
s sur la tête et même d'arriver à le mettre horizontalement par les mouvements d'abduction. La flexion de l'avant-bras sur le
flexion de l'avant-bras sur le bras se fait bien. La résistance aux mouvements passifs est assez bien conservée. Membre supéri
, il l'écarte du tronc à peine de 20 centimètres. La résistance aux mouvements passifs d'extension est profondément diminué.
s passifs d'extension est profondément diminué. La résistance aux mouvements d'abduction est assez bien conservée. Dimension
atrophiés, toutefois le malade marche encore facilement : tous les mouvements sont possibles ; les réflexes rotuliens sont ex
siffler. ( Pas d'inégalité pupillaire, pas de nystagmus ; tous les mouvements de l'oeil se font bien. Le malade accuse une di
e des rabots à poignées. A dater de cette époque, la difficulté des mouvements augmenta lentement, progressivement et devint t
er à amener la main droite derrière la tête, il fait intervenir des mouvements de latéralité, mettant le coude horizontalement
main contre la joue, puis la faisant glisser derrière le cou. Les mouvements de pronation et de supination et tous les mouveme
re le cou. Les mouvements de pronation et de supination et tous les mouvements de la main sont possibles, mais le pouce droit
e, au moment où, en essayant de s'habil- ler, il avait fait un faux mouvement et était tombé. Cette tumeur est bleuâtre, ecch
mois de février, la malade, qui jusqu'alors avait conservé tous les mouvements dans le bras gauche, fit la constatation que so
des muscles ronds et grand dorsal. Le malade a conservé tous les mouvements de ses doigts et de la main. Il la l1échit et l
r l'avant-bras, il résiste très bien quand on s'oppose à ces divers mouvements . Normaux sont les mouvements de pronation et de
ès bien quand on s'oppose à ces divers mouvements. Normaux sont les mouvements de pronation et de supination de l'avant-bras.
t arriver fléchir l'a- vant-bras sur le bras, mais oppose-t-on à ce mouvement une légère résis- tance, alors la flexion est i
ltcurs. AMYOTROPHIE DOUBLE DU TYPE SCAPULO-UtIIIÉRAL 38D sont les mouvements maximum qu'il peut donner, il lui est impossible
épaules en arrière et malgré ses efforts- il n'y parvient pas. les mouvements de rotation de l'humérus sont très limités. L
mouvements de rotation de l'humérus sont très limités. Les divers mouvements du cou sont normaux, le slerno mastoïdien a con
, il continue à se servir de son bras. Un mois après l'accident les mouvements deviennent difficiles dans l'épaule droite et l
sensi- bilité, aucune douleur ni spontanée, ni provoquée. Tous les mouvements étaient faciles, seulement le malade était inca
as. Le malade qui fait le sujet de notre observation avait tous les mouvements de son bras normaux après son accident. Donc la
- Celle-ci s'est manifestée, il y a 8 ans, par de la gène dans les mouvements de la jambe gauche ; elle a éprouvé en même temps
ments dans les talons et la plante des pieds. Il y a trois ans, les mouvements de la jambe droite qui, jusque-là, était restés
un poli glacial gâtent dans ses meilleures oeuvres l'impression du mouvement 430 , HENRY MEIGE et de la vie. Trop de coups
n air de mo- querie, en disant, « celle-là ? » puis elle exécute le mouvement de la main gauche avec mille simagrées. Elle dé
remier cas, XII 30 IâQ TRÉNEL anguleux dans le second. Tous ses mouvements sont d'ailleurs maladroits, raides et saccadés.
ique. - La malade présente une raideur spasmodique généralisée; les mouvements sont maladroits, saccadés. La marche est très rai
he, l'extension et la flexion volontaires se font normalement ; les mouvements passifs sont obtenus sans résistance quand la m
ait remarquable, aucune douleur, ni spontanée, ni provoquée par les mouvements ou les attouchements. OEdème blanc, dur, bourso
extrêmement douloureuse : dou- leurs spontanées exaspérées par les mouvements , la pression, elles avaient débuté au pli de l'
o-tarsienne et aux orteils. Cet oedème permettait toute liberté aux mouvements des membres infé- rieurs. Au demeurant, cette f
. VIGOUROUX La motilité de la jambe est entièrement conservée ; les mouvements de flexion de la jambe sur la cuisse ne sont li
t, est plus lisse et moins épaisse au niveau du creux poplité : les mouvements du pied sur la jambe sont très libres. La malad
on spasmodique ne dura qu'un instant et ne produisit pas d'au- tres mouvements de la tête : il put se livrer le jour même et les
ute la journée. Lorsqu'on observe X... on voit sa tête exécuter des mouvements bi- zarres (flexion en avant, en arrière ; incl
lexion en avant, en arrière ; inclinaisons à droite combinées à des mouvements de rotation à droite ou il gauche avec prédominan
'il fait un effort, lorsqu'il saute, qu'il danse, ou se livre à des mouvements exigeant un effort musculaire, le spasme s'arrête
her, se mouvoir de toutes façons, faire exécuter à sa tête tous les mouvements sans que son torticolis se produise. Il n'est m
dien et trapèze, ceux-là mêmes qui chez notre malade sont animés de mouvements spasmodiques. Outre qu'on ne retrouve pas chez
cause l'irritation du spinal, qui anime les muscles présidant à ce mouvement ? assurément non, s'il y avait une compression qu
tête lui-même. C'est bien sa seule idée qui le force à exécuter ce mouvement (1). » Lorsque la tète est déviée chez X..., il
la répétition très fré- quente et consciente au début, de certains mouvements que le spasme des muscles qui participent à ces
certains mouvements que le spasme des muscles qui participent à ces mouvements se développe et devient invo- lontaire. « Le mo
ipent à ces mouvements se développe et devient invo- lontaire. « Le mouvement une fois exécuté, dit M. Brissaud, le malade ne
i son affection n'est pas le résultat de la répétition de ces mêmes mouvements . C'est là le premier caractère qui le différenc
de prédicateur). Dans l'attitude du serment on voit se produire des mouvements involontaires des doigts et des mains, mouvemen
t se produire des mouvements involontaires des doigts et des mains, mouvements irréguliers, de flexion, d'extension, de latéra
t adhérente sur le bord externe de ce doigt ; il existe de plus des mouvements anormaux à l'union de la première et de la deux
ras étant en extension aucune résistance active n'est op- posée aux mouvements imprimés de flexion. L'avant-bras, quand le ma-
nd le ma- 494 sabrazès lade est assis, se place en pronation; les mouvements spontanés de supi- nation sont très restreiiits
'avoir pour centrel'articulation du coude exige pour se produire un mouvement de rotation de tout le membre. Les mains ne son
de rotation de tout le membre. Les mains ne sont plus douées que de mouvements très rudimen- taires de flexion et d'extension;
un relief très apparent qui persiste toujours quels que soient les mouvements . Les ongles sont dystrophiés, particulièrement
32 (1853) Journal du magnétisme [Tome XII]
dont l’âme aurait abandonné le corps, parce qu’on n’y trouve plus ni mouvement , ni sentiment, ni pouls, ni aucune autre marque d
ent étaient transportées au creux de l’estomac. Ma tête conservait le mouvement et le sentiment, mais la faculté de raisonner ava
près Azaïs (2) : « Notre disposition au sommeil commence lorsque le mouvement du fluide nerveux se ralentit dans la partie du s
puisqu’elle veut essentiellement l’ordre, et qu’il existe en elle un mouvement réparateur qui tend sans cesse à le reproduire. C
urs la nature qui guérit, car si elle ne voulait pas guérir, et si le mouvement dont on parle n’existait pas dans son sein, nous
surtout dans le dos eiie cœur; étourdissements continuels au moindre mouvement . Ne pouvant absolument pas rester couchée, parce
ition horizontale, déplacer ses jambes et leur faire faire le moindre mouvement ; la sensibilité des membres inférieurs est entièr
t à huit heures et demie le globule de l'œil gauche se renverse ; des mouvements convulsifs agitent ses membres, elle les étend ou
, les muscles tic celle région énergiquement contractés; elle a un mouvement de déglutition bruyant, continuel. A neuf heures,
e put faire, les premiers pas, elle n’en avait pas la conscience. Les mouvements des jambes se faisaient sans que la sensibilité y
es ont pour cause une maladie corporelle inconnue, qui produirait des mouvements convulsifs et des spasmes nerveux périodiques, in
rue. Celui-ci, se sentant libre, essaya de fuir avec cette lenteur de mouvements particulière aux serpents venimeux. Il pouvait av
en de Thérèse a faites à M. le médecin Billot, en lui parlant par les mouvements du genou de cette malade. Je présume que cet ouvr
le toutes ces forces on arriverait à maîtriser et à, diriger certains mouvements vitaux, que l’on appelle involontaires ? On pourr
ois légèrement, avec les doigts. La sonnette se met à sonner, mise en mouvement par une main invisible. Le malin esprit en veut s
celle-ci fut tellement ballottée, qu’il était impossible d’arrêter ce mouvement , lequel ayant cessé, des coups violents se firent
itement immobiles : elle fut alors ballottée à droite et à gauche; ce mouvement ayant cessé, son corps était complètement raide,
e leur affection, des frayeurs de diver- ses espèces. Et, parmi les mouvements instinctifs qui se sont manifestés pendant leurs
n peu plus, un peu moins, ('.’est la paralysie à volonté des nerfs du mouvement ou de la volition» ce n’est rien enfin que ce que
at de veille, une reproduction presque parfaite et instantanée de mes mouvements , même la fermeture d’un œil et la contraction d’u
sévère, et les yeux sont fixes et lumineux ; cette tête ne fait aucun mouvement , mais elle a toute l’expression que donne la vie.
ce journal le 5 de ce mois, si j’ai bonne mémoire. Il s’agissait du mouvement de rotation qu’exécuterait spontanément une table
, qui varie d’un quart d’heure à une heure et demie, la table, par un mouvement brusque, se déplace dans la direction du nord, pu
ans la direction du nord, puis se met à exécuter autour de son axe un mouvement de rotation qui dure aussi longtemps que la chaîn
dure aussi longtemps que la chaîne est maintenue et suit elle-même le mouvement imprimé à la table. Dès que la chaîne est rompue,
pue, c’est-à-dire «lès qu’une des mains se retire, l’action cesse, le mouvement s’arrête. » Inutile de faire observer que la re
tation magnétique, le pôle sud de la table imprimant à cette table un mouvement vers le nord, celle-ci entre en rotation contin
énérale, une lutte à mort entre les partisans de l’inertie et ceux du mouvement , et grâce aux chevaliers de la table ronde, c’est
uvement, et grâce aux chevaliers de la table ronde, c’est le parti du mouvement qui triomphe. E pur si muove ! s’écrient d’emblée
ue analogues, mais isolés. Ce qui constitue la véritable nouveauté du mouvement , sans parallèle, qui se fait en ce moment aux Éta
mi les médecins, après avoir perdu haleine à nier et à ridiculiser le mouvement , se disposent enfin à l’étndier comme une épidémi
S. ÉLECTRO-MAGNÉTISME. Il n'est bruit dans toute la presse que du mouvement imprimé aux objets touchés par des personnes qui
u’au Danube, ont mis la chose hors de doute. Il s'agit de mettre en mouvement , sans moteur visible, une table légère construite
ts comme si on l’avait approchée trop près du feu, enfin elle fait un mouvement de rotation sur elle-même, un véritable demi-tour
tres personnes qui n’en ont pas encore fait partie, n’arrêtent pas le mouvement , si la substitution ou la retraite se fait rapide
e mouvement, si la substitution ou la retraite se fait rapidement. Ce mouvement , au contraire, est. arrêté net, du moment qu’une
nir de ce fluide des phénomènes qui consistent principalement dans un mouvement rotatoire imprimé aux corps inertes soumis à son
e éprouve comme des frémissements, et finalement elle est suivie d’un mouvement de rotation dirigé dans le sens du petit doigt su
doigt superposé. Intervertissez la disposition des petits doigts, le mouvement cesse ii2] ûisiant et puis recommence en sens i
ois que l’on intervertit les doigts. Rompez la chaîne des mains, tout mouvement cesse ; la même chose a lieu si vous touchez à vo
lie, tables et enfants ont été entraînés dans la même rotation. Les mouvements rotatoires obtenus en dehors de la mécanique, ne
faut, avant tout, faire construire des appareils faciles à mettre en mouvement , et s’entourer de personnes sérieuses, et désireu
ied d'un des participants; toujours même résultat : cessation de tout mouvement , et sa reprise après que le contact avec un non-
périmentateurs ne vient pas troubler celte tendance. De plus, avec ce mouvement de rotation, on observe encore que les objets obé
ouvement de rotation, on observe encore que les objets obéissent à un mouvement de progression sensible, et ce mouvement est diri
ue les objets obéissent à un mouvement de progression sensible, et ce mouvement est dirigé ostensiblement de l'est à l’ouest. Tel
roite, et en augmentant de vitesse. Dans ce moment, il faut suivre le mouvement , toujours les mains à plat, en appuyant très-légè
t.... A quatre, nous y apposâmes 110s mains en les juxtaposant, et le mouvement recommença pour nous aussi rapide, aussi étourdis
s et des muscles appuyés sur les points de eur attache ; sauf que les mouvements du mannequin sont désordonnés et capricieux à l’i
jours. Si les pierres ne client pas encore, les tables se mettent en mouvement , et c’est déjà un joli commencement. Le magnétism
passer dans des corps inertes, et leur communiquant momentanément le mouvement et une sorte de vie fantastique. Or, nous ne so
anger aussi le sens de la rotation. Quant à la suspension soudaine du mouvement lorsqu’une personne étrangère à la chaîne vient à
les unes avec les autres. « Après une attente de vingt minutes, le mouvement ro-tatoire s’est manifesté d’abord avec hésitatio
les opérateurs doivent suivre dans toutes ses évolutions diverses. Mouvement de rotation. « Une des personnes formant la cha
ite, » et après un temps d’arrêt, elle prend la direction indiquée. Mouvement de translation. « On dit à la table de se dirig
re le tour du salon, et elle fait le tour de cette pièce. « Dans ce mouvement se manifestent diverses particularités qui exclue
ridon osciller un instant, puis incliner b. droite ou à gauche par un mouvement d’évolution sur lui-mêine, et après avoir ainsi t
te fois pendant le cours de la soirée, le côté indiqué pour opérer ce mouvement a été fréquemment changé, lors même que les opéra
ol, grâce à un léger défaut d’équilibre , mais en parfaite mesure. Ce mouvement se ralentit ou s’accélère suivant le rhythme du m
mence sur une injonction contraire. On a vainement tenté de rendre le mouvement plus prononcé, et de produire simultanément la ro
ieuses et méthodiques. Déplorable tendance, en vérité, que ce premier mouvement du caractère national, de se laisser prendre touj
rde table sur laquelle on l’avait placé. Voyez-vous encore ce brusque mouvement que, obéissant à l'injonction de M. du Potet, il
pesanteur spécifique énorme, et à l’emporter victorieusement dans son mouvement circulaire. Courage ! appuie forme ! mords-la! s’
complet les expériences du guéridon. Un meuble semblable s’est mis en mouvement après vingt-deux minutes d’imposition manuelle. N
anges, des triangles, trapèzes et autres figures, entraînant dans ses mouvements M'“' L..., haletante, qui ne voulait pas quitter
ion, et dut. dejguerre lasse, abandonner la partie. A la vue de ces mouvements étonnants et dos figures singulières qu’ils traça
ssais de volition attractive et répulsive, sans contact, au moyen des mouvements usuels dans ces sortes d’expériences sur les suje
s l’intention de l’arrêter, et il s’arrêta tout court. Par un petit mouvement brusque je portai la main en avant, et il recula
en avant, et il recula ; je poursuivis ce même geste en avant, et le mouvement de recul continua, et toujours en raison de l’int
un cheval se cabrant à la vue d’un objet redouté, et, par un dernier mouvement brusque de ma main dans l’air, fut renversé du cô
lacé entre les faces palmaires de M“e 1,..., le guéridon s’est mis en mouvement ; mais qu’on a cru devoir appliquer à ce phénomèn
, sans doute, mais non moins hypothétique pourtant, de la tendance au mouvement des impulsions musculaires exercées sans une cons
temps, ces aspirations vers l'infini qui soulèvent nos poitrines, ces mouvements pleins de frissons et de délice où notre ¡une, dé
ée dans son lit et dans une immobilité complète, redoutant le moindre mouvement , parce qu’il augmentait beaucoup ses douleurs.
ement, lorsque je suis arrivé. L’attaque était caractérisée par des mouvements violents et alternatifs d’extension, deflexión, d
é la sensation de la boule dite hystérique. La face était le siège de mouvements spasmodiques, mais ne présentait pas la lividité,
stre. A cette agitation extraordinaire succéda un calme parfait les mouvements convulsifs cessèrent totalement, ainsi que la gên
de vie, émanations de Dieu lui-même. La volonté met cette force en mouvement et lui imprime des qualités nouvelles. C’est alor
aritables, bienveillants et doux les uns pour les autres. 2” Que le mouvement des tables sous des chaînes de mains est détermin
la fois la phase émouvante de la révolution française et la phase du mouvement astral qui se produisit à son époque comme à la n
lementaire. Le beau temps! où les esprits sont plus préoc- cupés du mouvement de rotation d'un meuble, qu’ils ne l’étaient d’un
éternelles de l’attraction. Ainsi donc, une loi suprême entretient le mouvement au sein de ce qui est, et la vie coule à plein bo
dée d’une puissance générale universellement répandue et imprimant le mouvement à toute la matière conformément aux lois d’une ha
es de ces phénomènes, pour les distinguer de celles qui président aux mouvements analogues chez les êtres inorganisés et que l’on
ne, dans le sens qui leur est prescrit, et exécutent de môme d’autres mouvements très-variés, s’inclinent de tel ou tel côté, lève
ridon ; que l’une d’elles lui ordonne mentalement d’exécuter certains mouvements ; si les mouvements ont lieu, comme il arrive jou
elles lui ordonne mentalement d’exécuter certains mouvements ; si les mouvements ont lieu, comme il arrive journellement, celui qu
us le supposons, avec une entière bonne foi, il s’est abstenu de tout mouvement de mains, il s’est mis en garde contre tout ce qu
n telle qu’on ne pourrait pas, quand même on le voudrait, produire le mouvement indiqué. Il n’y a donc pas d’illusion possible.
agir sur la table par votre action musculaire, au lieu de réaliser le mouvement que vous désirez, vous y feriez obstacle ; vous n
pour qu’elle se lève de votre côté. Eh bien, dans ces conditions, les mouvements ont lieu, la table frappe des coups, non pas au h
ence , une personne dont vous pouvez étudier le carac- 1ère. Si les mouvements de la table provenaient de votre impulsion, les r
la corbeille en posant leurs mains dessus ; quand ils ont obtenu des mouvements d’oscillation , ils se sont bornés à toucher le h
vient ordinairement les visiter. Aussitôt la corbeille s’est mise en mouvement , et, à l’aide du crayon, a écrit sur la feuille d
uvement, et, à l’aide du crayon, a écrit sur la feuille de papier. Le mouvement était très-rapide, et l’écriture très-nette. La c
, et que j’ai décrite, de faire écrire le meuble en lui imprimant des mouvements . L’expérience est donc parfaitement convaincante.
n posa du papier sur la chiffonnière, elle s’agita violemment par des mouvements de droite et de gauche, elle oscillait avec une i
missement moléculaire ; on aurait dit que sa tablette, poussée par un mouvement irrésistible, eût voulu tour- lier sur son axe
é arrêtée par les pieds arc-boutés vigoureusement sur le parquet. Ces mouvements vibratoires durèrent deux minutes, accompagnés de
mentateurs étaient entraînés et avaient une peine infinie à suivre le mouvement . « Nous tentâmes plusieurs épreuves qu’il est b
ment de position des quatre petits doigts -changeait immédiatement le mouvement .circulaire, qui, de gauche à droite, par exemple,
e ceux-ci ne se touchassent plus immédiatement, ne modifia en rien le mouvement , ni en intensité, ni en direction ; « 3° Un dis
urs se touchant bout à bout par leur pulpe, n’arrêtèrent nullement le mouvement ; a 7° Si, les doigts étant appliqués l’un sur
comme à l’ordinaire, on détruisait le contact seulement d'un côté, le mouvement du meuble ne cessait pas, mais il devenait beauco
mis sous les quatre mains des expérimentateurs ne modifia en rien le mouvement : carreau et table coururent dans la chambre ;
cette pauvre table comme je viens de le dire, nous l’avons remise en mouvement , de droite à gauche, en avant, en arrière, et pui
eur a obéi à droite, à gauche, en avant, en arrière ; pendant que ces mouvements s’exécutaient, j ai de nouveau rompu la chaîne, e
, ma femme et moi. « La table a eu beaucoup de peine à se mettre en mouvement . Ce n’est qu’au bout d’une heure qu’elle a commen
ent. Ce n’est qu’au bout d’une heure qu’elle a commencé à tourner. Le mouvement , très-contrarié d'ailleurs par les inégalités du
e réussirais diflicilement à vous peindre le caractère étrange de ces mouvements , de ces coups frappés avec une netteté, une solen
» n Après chaque commandement, la table obéissait. Elle opérait des mouvements qu’aucune complicité involontaire ou volontaire n
s, il frappait également avec le pied, mais plus doucement et par des mouvements réguliers et cadencés ; et tout cela était d’une
N’est-ce pas le magnétisme qui a fait dire aussi à Descartes que le mouvement du flux et du reflux de la mer se réglait sur la
mis à l’influence magnétique ; à cette première impression succède un mouvement onduleux qui donne à l’objet inanimé une véritabl
mander des choses connues. « Le temps nécessaire à la production du mouvement d'une table, d’un chapeau ou de tout autre objet,
qui forment la chaîne. C’est ainsi que des meubles ont pu être mis en mouvement au bout de trois ou quatre minutes, tandis que d’
ient de quitter, la reprise de la chaîne le remet presque de suite en mouvement . On a prétendu que l’action musculaire, volonta
n général, et de la danse des tables en particulier. « — Le fait du mouvement de certains corps inertes sous l’influence du mag
reuves en sa faveur. L’obéissance passive de ces corps à exécuter les mouvements qu’on leur commande, la précision et l’exactitude
odification ou une généralisation de l’électricité, du galvanisme, du mouvement , de la lumière ou de la vie, semble devoir condui
t d’un quart d’heure, le meuble se mit à tourner et exécuter tous les mouvements qu’on lui ordonna. Mais tout à coup, une dame qui
n. Elle n’en avait pas franchi la porte qu’elle tombe de nouveau sans mouvement , soutenue heureusement dans sa chute. Alors on s’
e de la chaîne, se plaignit d’un violent mal à la tôte après quelques mouvements très-rapides de la table. Deux autres jeunes pers
: « La chaîne magnétique appliquée au corps humain produit le même mouvement de rotation que lorsqu’elle est appliquée aux tab
ieds; les pieds eux-inêmes subissent l’entraînement et ils suivent le mouvement de rotation imprimé au corps. Cette rotation pers
le dimanche la malade tombe dans une prostration comateuse ; plus de mouvements , plus de délire, plus de paroles, respiration ste
Python. Enfin je m’en allai, en me disant : C’est peut-être un de ces mouvements de détente qui précède le terme fatal, et où le m
tte à goutte dans la bouche ; de temps en temps il survenait bien des mouvements de contraction dans le côté droit de la face, mai
ar des gens pourtant sensés. « On nous raconte qu’une table mise en mouvement par la vertu magnétique, dans une maison de notre
table montée sur pivot, et qui, au moyen d’un mécanisme, imprimera le mouvement aux roues. « On calcule que la force magnétique
pensai, pouvant là disposer de nombreux expérimentateurs, à mettre en mouvement le billard. Nous formâmes une chaîne de vingt-deu
ui, en tombant, aurait atteint un chien, lequel aurait été saisi d’un mouvement de rotation; ce qui fournit.à l'auteur un rapproc
écipite sur un sofa comme s’il plongeait dans la rivière, et fait les mouvements comme pour nager; tantôt il veut faire la cabriol
noux aussi rapidement que sur ses pieds; ses yeux étaient ouverts; le mouvement des paupières était à l’ordinaire, les pupilles é
t la nature et les effets. Est-ce une vibration dans le nerf, ou un mouvement de quelque fluide subtil contenu dans le nerf, ou
arche ascendante de l’intelligence humaine. « A ceux qui niaient le mouvement , on disait de marcher. A ceux qui douteront, nous
Vain combat ! Le professeur triomphe. Ainsi il commande ou arrête le mouvement . 11 double ou il paralyse l’action d’un organe.
vous ne pouvez vous asseoir, vous courber ; il imprime à vos bras un mouvement de rotation accélérée que vous ne pouvez faire ce
a tête, et la table se lève au niveau des yeux. Alors le lama fait un mouvement en avant, et la table le suit ; le lama marche en
onté, fait ensuite tourner en sens contraire, accélère ou ralentit le mouvement , ou le fait cesser, attire le sujet en arrière, l
are que ce n’est point l’impulsion des mains qui a produit ces divers mouvements , mais qu’il a été subjugué par une puissance qu’i
poussées par les mains, ou si une autre force a été la cause de leurs mouvements . Ici, au contraire, on peut étudier la nature de
parmi les plus rebelles à l’action magnétique, la plupart sont mis en mouvement par une chaîne. Une fois qu’un sujet est action
érimentateurs peuvent lui imposer par leur volonté un grand nombre de mouvements , faire qu’il s’agenouille, s’asseye, se lève, etc
st qu’un instrument passif; sa volonté est complètement étrangère aux mouvements de son corps ; les réponses qu’il sert à transmet
e de papier. On lui met entre les doigts un crayon. La main se met en mouvement et trace plusieurs mots en réponse à nos question
tent encore de nos jours dans ce pays. E. ÏIOUTTE.T. 3“ CAUSES DU MOUVEMENT DES TABLES. Le Mémorial de Vaueluse a publié un
énomène se produit ? .! Après un instant de pause, suivi d’un léger mouvement convulsif, le somnambule répond : Parfaitement.
a table et l’a mise en mouvemeut. « — Dites-nous comment s’opère ce mouvement ? « — C’est le fluide vital qui, mis en action p
sprit malin y est, forcé de fuir par la présence des exorcismes, tout mouvement et tapage doit nécessairement cesser en vertu du
és, les pouces tournés en dedans; les membres étaient alors agités de mouvements convulsifs. Cet état durait pendant huit à dix mi
matiquement qu’une action musculaire inconsciente ne détermine pas le mouvement . Sans doute cela est infiniment peu probable, et
ois pieds distants entre eux «le 55 centimètres. Elle a 6t6 mise en mouvement ; puis l’expérience décisive a commencé. «Je di
e qui connaissait seule le chiffre ne pût pas déterminer elle-même le mouvement par une pression involontaire ou volontaire, 011
es, persuadées que le pied devait se lever, 11e lui ont imprimé aucun mouvement , par cela seul que la dixième personne (sans acti
te. Lorsque les autres membres de la chaîne cherchaient à imprimer le mouvement , ils y parvenaient sans doute; mais alors le mouv
à imprimer le mouvement, ils y parvenaient sans doute; mais alors le mouvement avait lieu même quand le nombre pensé était zéro.
elles. « On dirait vraiment, à entendre certaines personnes, que le mouvement des tables se rattache à des maléfices, à une i
le, il suffît de rapprocher d elle un morceau de verre pour gêner ses mouvements , et de poser ce verre sur elle pour l’arrêter tou
port quelconque entre le miracle qui rend la vie ou la santé, et le mouvement momentané imprimé à nn meuble passif qui retombe
palement par quelques-uns d’entre eux; supposons que ce lluide ait un mouvement , la rotation n’en résultera-t-elle pas? Supposons
èvera-t-il pas ? Supposons que le fluide luie le contact du verre, le mouvement ne cessera-t-il pas lorsque le verre sera placé a
sans dire, et cela ne prouve rien : d’abord parce que l’obliquité du mouvement n’en résulte en aucune manière ; ensuite parce qu
tion, après quoi les expérimentateurs la suivent dans la direction du mouvement commencé, et la rotation s’effectue avec une vite
la lassitude de l’une ou l’autre des personnes faisant la chaîne, un mouvement involontaire de l’une d'elles; peut-être même la
lle à un effort exercé par l’un des opérateurs, qui, désirant voir le mouvement s’effectuer dans un certain sens, incline, sans l
rimentation nous paraît défectueux. « Lorsqu’on cherche à suivre le mouvement commencé, il est certain qu’on le devance. En eff
lisser la table sous leurs mains, sans chercher ît la suivre dans son mouvement . Malheureusement nous n’avons jamais pu réussir e
ses se réfutent d’elles-mêmes. « Examinons donc ce que c’est que ce mouvement imprimé à des corps inanimés. « Incontestableme
exactement comparable. Il paraît qu’à l’époque, cette découverte des mouvements d’un pendule avait produit quelque émotion, puisq
on ne saurait résister; cet état est caractérisé par une tendance au mouvement qui nous porte irrésistiblement à sui\ re le mouv
ne tendance au mouvement qui nous porte irrésistiblement à sui\ re le mouvement produit sous nos yeux. C’est cette tendance qui f
pierre lancée, etc. « Ainsi voilà deux causes bien précisées : des mouvements musculaires en dehors de la conscience communique
et correspondent parfaitement aux pulsations du cœur et du pouls. Les mouvements de projection en avant ont une certaine puissance
petit tube oscille ; elle monte et descend alternativement, et chaque mouvement d’ascension correspond à, une pulsation du pouls.
11 est important que la respiration soit calme; car, dans les grands mouvements de respiration, le liquide peut déborder, et dans
a respiration devient très-claire; alors on se rappelle forcément les mouvements puisai ifs du cerveau et les oscillations (io la
omplètes. « 11 est donc infiniment plus rationnel de rapporter le mouvement de la jambe à une turgescence des parties molles
it par suite d’une cause ou d’une autre, le corps entier est agité de mouvements oscillatoires sous l’influence des contractions d
ments oscillatoires sous l’influence des contractions du cœur, et ces mouvements oscillatoires sont amplifiés par la respiration;
des oscillations de la partie supérieure du corps, et on sent que le mouvement est involontaire et qu’il vous entraîne alternati
résistant sur lequel on appuie légèrement l’extrémité des doigts, le mouvement oscillatoire de tout le tronc se trahit par une l
Cette force oscillatoire doit donc aussi concourir à la production du mouvement giratoire. « Dans les explications données ces
ant de la fatigue que produit une tension trop prolongée ; « 3° Des mouvements oscillatoires déterminés par la force aortique du
Chevreul d'(lut particulier déterminant la disposition ou tendance au mouvement qui nous porte, malgré nous, à exagérer et à cont
u mouvement qui nous porte, malgré nous, à exagérer et à continuer le mouvement commencé par les trois autres. > » Lorsque d
c le premier qui serait désigné sous le nom de système individuel. Un mouvement d’abord vague est communiqué, puis ce mouvement p
ystème individuel. Un mouvement d’abord vague est communiqué, puis ce mouvement prend un sens plus précis. C’est alors que l’on c
agnant le phénomène, doivent-ils être discutés sérieusement? Quand le mouvement des tables aura été étudié, de façon à ce que tou
sairo. Seulement, qu'on se rappelle bien que toutes les conditions du mouvement des corps ne sont pas encore parfaitement connues
la théorie de l’action du cœur, en voici une autre qui fait partir le mouvement des muscles. Los auteurs de cette hypothèse dis
s organes, et surtout dans nos mains et au bout de nos doigts, que ce mouvement est déterminé. « Chacun des individus composant
a Revue médicale : « MM. de Castelnau et Corvisart affirment que le mouvement imprimé à une table n’a d’autre cause que les vib
rations, et devenant un tremblement visible, imprimerait à l’objet le mouvement ro-tatoire. « Nous allons présenter quelques di
t produire une vibration de la table ou du chapeau sur place, mais de mouvement circulaire et de translation, point. « 2° La su
d’un contact à notre insu. « 3° Le changement de direction dans le mouvement ro-latoire, par le fait du simple changement dans
écidé qu’elle ne s’occuperait jamais de la quadrature du cercle ni du mouvement perpétuel. « Avec lui nous croyons que l’Académ
ent avec une remarquable précision, pendant le cours de l’extase, les mouvements qu’elles étaient en voie d’exécuter. « Nous pou
it, elle poursuivait sa tâche, et exécutait d’une manière précise des mouvements automatiques qui, à n’en pas douter, s’accompliss
urnantes. « J'ai poussé ce phénomène à ses dernières limites, et le mouvement de la table s’est changé en voix qui m’a inspiré
is de son organisation. C’est par sa volonté qu’il met ses membres en mouvement , c’est par elle aussi qu’il commande à l’agent m
s impressions qui peuvent modifier leur manière d’être. Bien qu’aucun mouvement extérieur ne dénote son action, il n’en agit pas
omme possède un agent magnétique qui, d’après sa volonté, d’après les mouvements de ses passions, peut acquérir un degré plus ou m
t eu assez d’empire sur ses organes pour leur imprimer à l’avance des mouvements qui, au moment où ils s’accomplissaient, avaient
nnes, nous opérons sur des corps inanimés, et nous leur imprimons des mouvements . Le premier ordre de phénomènes fait un sujet d
é. Leurs mains continuant à être seulement posées sans imprimer aucun mouvement , la volonté de l’un des expérimentateurs suffira
es sciences occultes. Quant au pouvoir qu’exerce la volonté dans le mouvement des tables ou autres objets inanimés, il est démo
ci, il ne s’agit que de vérifier si l’homme peut, sans imprimer aucun mouvement par son action musculaire, faire mouvoir la table
On dit seulement que ce ne sont pas les mains qui poussent, et que le mouvement est dû à une autre force. C’est là toute la que
les seconds ciseaux, et entraînent la main dans cette direction. Le mouvement a lieu en ligne droite, jusqu'à ce que les premie
du tranchant. Dès que la personne cesse de toucher les ciseaux, le mouvement cesse aussi : c’est donc à elle que l’attraction,
"c Pigné déclarait que l'attraction était plus faible, et en effet le mouvement était plus lent. Avec le cuivre, la difficulté a
lus lent. Avec le cuivre, la difficulté a été encore plus grande ; le mouvement a été intermittent et s’est exercé en ligne courb
au centre de l’espace formé par la réunion du pouce et de l’index, le mouvement de rotation de la bande de papier commence immédi
as, comme quelques personnes le prétendent, une cause déterminante du mouvement giratoire du zoo-magnétoscope, puisque les mains
ducteur d’électricité et de calorique fait éprouver à l’instrument un mouvement de rotation plus vif que la main ; si l’on mouill
e le verre, l’effet se continue ; si, au contraire, on le chauffe, le mouvement se trouve suspendu et ne reprend que lorsque le v
les mains, que le même effet se reproduisit, il jeta l’image avec un mouvement convulsif. Arrivé chez moi, j’expérimentai sur le
s avons regardé, étudié, écouté le magnétisme. « La table, quand le mouvement s’opère, ne glisse pas sous les doigts de ceux qu
le plus souvent suivi de regrets ; au bout de cinq minutes on sent le mouvement , on le suit, on marche, on court, on ordonne, et
de voir se prolonger, et les deux vieilles qui ont très-bien senti le mouvement sont ravies d’avoir encore du fluide. « L’expér
une chose et d’agir dans un sens opposé. Si le pendule que le moindre mouvement , même involontaire, agite, va du nord au sud sous
ne ne paraît pas satisfaite et quand elle dît: Ah! voilà..., alors le mouvement s’accélère. La rfoigsitp paraît complète, à moins
ble que sur le doigt de son voisin, et cette pression inégale aide le mouvement à droite. « Ajoutons à cela que la chaîne formé
du magnétisme est de donner, à ceux qui sont sous son influence, des mouvements soumis à la volonté du magnétiseur. Pendant le so
tres magnétisés; la volonté de tous est de faire tourner la table, le mouvement involontaire s’opère, et des gens qui ne croient
ntre une incrédulité digne d’un académicien. 11 veut bien admettre le mouvement des tables sous l’action de la chaîne formée par
iennent de soulever, ont voit quatre personnes ayant mis une table en mouvement se réunir toutes quatre d’un côté de la table, y
ant vers le côté opposé, entièrement libre et où, par conséquent, nul mouvement de bascule ne peut avoir lieu, aller tomber sur l
faire avancer la table qu’elles ont devant elles, forcées de subir un mouvement de recul invincible que leur imprime le meuble et
Chevreul à’ctnt particulier déterminant la disposition ou tendance au mouvement qui nous porte, malgré nous, à exagérer et à cont
u mouvement qui nous porte, malgré nous, à exagérer et à continuer le mouvement commencé par les trois autres, j’ai pu souvent l’
érience de la table glissant sous les mains sans être suivie dans son mouvement , expérience qu’à son grand regret n’a pu faire ré
est que dans nos premiers essais que nous nous levions pour suivre le mouvement ; plus tard, au simple commandement, le meuble res
tement en sens contraire, pour arrêter la rotation ou lui imprimer un mouvement opposé ; je n’ai pas réussi. AEG. GATHY. 2° E
ement, dans deux expériences solennelles, la table s’arrêter dans son mouvement rotatoire ou cesser de frapper, lorsqu’un crucifi
de frapper, lorsqu’un crucifix était placé sur elle, et reprendre son mouvement lorsque le crucifix était enlevé, et qu’un autre
e les Foucault, les Faraday, les Babinet, etc., ont voulu empêcher ce mouvement . — Ce n’est rien! s’écrièrent-ils en se tordant,
c’est le calorique humain, ce sont des vibrations, une continuité de mouvement de la machine vivante transmis par le contact. —
puissante de toutes les forces. Elle est la cause primordiale de tout mouvement ; car c'est par la force de la volonté du Créateur
tu de ce corps? Nouvelles convulsions; mais d’un geste j’arrêtai ce mouvement désordonné et commandai de nouveau. .le cn's en
-vous des tables tournantes? Comment peut-on donner à une table les mouvements de rotation et d’oscillation ? — Les tables son
blit un courant magnétique qui donne à la table qu’on expérimente, le mouvement de rotation. Le mouvement d’oscillation s’effectu
qui donne à la table qu’on expérimente, le mouvement de rotation. Le mouvement d’oscillation s’effectue par la direction donnée
es expérimentateurs, comme l’ont prétendu quelques enthousiastes; les mouvements de la table, comme je l’ai déjà dit, ne peuvent ê
fluide émis paila volonté des expérimentateurs : si la table fait un mouvement soit à droite, soit à gauche, c’est par l’effet d
— 11 a été constaté et affirmé, cependant, que les tables mises en mouvement par la chaîne avaient deviné l’âge de plusieurs m
Je le magnétise de nouveau pendant une heure et demie, après quoi les mouvements du bras se reproduisent. Dans la magnétisation
ions, les événements nés ou à naître des tables et des meubles mis en mouvement par l’apposition des mains. Comme on le voit, c’e
i entouré cette boussole de mes mains, et la bandelette s’est mise en mouvement , mais sans régularité. Je l’ai placée ensuite a
par la réunion du pouce et de l’index, comme le fait M. Weier, et le mouvement de rotation de la bande de papier a acquis une vi
mis à tourner avec une vitesse plus merveilleuse encore. D’abord le mouvement de rotation eut lieu de droite ii gauche; je disp
e autour du prétendu zoo-magnétoscope, je suis parvenu à le mettre en mouvement à ma volonté, soit de droite à gauche, soit de ga
is, 167Î . chez Claudg Barbin. 3 vol. in-12. — Tomo III, page 1253. mouvement ; et cela par le procédé suivant, qui était en usa
onnaîtrez. Pensez à l’esprit de John C. « Calhoun. » « J'entends un mouvement rapide. Je regarde sous le tiroir, trouve mon cra
33 (1890) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 03] : clinique des maladies du système nerveux
helles, etc. Il avait donc recouvré ses forces et la liberté de ses mouvements , lorsqu'il fut pris trois mois après d'une séri
gauche; le malade ne peut se tenir debout sur son : pied droit. Les mouvements de flexion et d'extension des divers segments d
a moitié droite de la langue. i La partie atrophiée est le siège de mouvements vermiculaires. 2° Une atrophie notable des émin
ied sont aug- mentés de volume et sensiblement ankyloses ; quelques mouvements limités peuvent encore être provoqués dans tout
ffets du traitement employé au point de vue du réta- blissement des mouvements et de la marche, de la diminution de volume des
s ses aspects dans l'attitude du repos et aussi dans les principaux mouvements . Nous pensons être agréable à nos lecteurs en l
meut, dès qu'on l'examine, par exemple lorsqu'elle veut exécuter un mouvement volontaire, surtout lorsqu'elle essaie de marcher
e femme qui, à la suite d'une attaque, avait été prise à la fois de mouvements choréiques étendus à toute la moitié gauche du
ments pendulaires de la totalité du membre supérieur s'ajoutent des mouvements alternatifs de pronation et de supination de la m
lternatifs de pronation et de supination de la main, accompagnés de mouvements de flexion et d'extension du poignet. Tous ces
pagnés de mouvements de flexion et d'extension du poignet. Tous ces mouvements sont d'une faible amplitude et se succèdent avec
ontanément. Il est très peu de malades chez lesquels le trouble des mouvements reste permanent, mais il se reproduit avec une
de la maladie de Basedow. Il ne s'exagère pas sous l'influence des mouvements volontaires. Le malade peut se servir de sa mai
nt. » Et ailleurs, dans la leçon qui a pour titre : Tremblements et mouvements choréiformes (t. III, p. 212), M. Charcot, après
gers qu'ils ne gênent en rien les malades dans l'exécution de leurs mouvements , et qu'il faut, pour les constater, placer les
és intermédiaires. Il en est qui n'apparaissent qu'à l'occasion des mouvements volontaires. Laplupart persistent à l'état de r
volontaires. Laplupart persistent à l'état de repos et pendant les mouvements actifs, mais ils subissent parfois, sous l'infl
. de rhythme moyen), il en est qui n'apparais- sent que pendant les mouvements volontaires et d'autres qui, tout en persistant
ant à l'état de repos, s'exagèrent notablement sous l'influence des mouvements actifs. Il convient de ranger ces cas dans une ca
PÊTRIÈRE. tion, leur rhythme, leur exagération sous l'influence des mouvements volontaires, etc., impriment aux malades qui en
quelquefois assez intenses pour déter- miner de légers et brusques mouvements des doigts. Parfois même, quand ce tremblement
roduisent surtout dans le sens vertical ; la main exécute de petits mouvements alternatifs de flexion et d'extension qui ont é
les consistent unique- ment, à ce qu'il nous a semblé, en de légers mouvements de flexion et d'extension de l'articulation du
ne certaine intensité, les membres inférieurs exécutent parfois des mouvements rhythmiques analogues à ceux que présentent les
la phase de calme qui dure jusqu'à l'attaque suivante à moins qu'un mouvement de colère, une contrariété, une émotion quelcon
relatif, ce tremblement n'apporte aucune gêne dans l'exécution des mouvements . La démarche des malades est ferme et assurée.
surée. Aux membres supérieurs, seuls, les actes qui nécessitent des mouvements précis et délicats, tels que celui de l'écritur
ement altérée dans sa forme, et parfois même impossible; les autres mouvements d'un tour plus grossier sont également troublés;
difficile, les genoux du malade fléchissaient fréquem- ment par un mouvement brusque dans lequel il perdait parfois l'équi-
e assis ou couché, en ce qui concerne la force et la précision, les mouvements d'ensemble ou partiels des membres inférieurs ne
cylindre noirci du polygraphe. Nous avons toujours fait usage comme mouvement de l'axe lent du régulateur Foucault. Nous nous
apier sensible ou bien une plaque qui glisse sur des roulettes d'un mouvement uniforme et dans le sens transversal. Les choses
prime le front, chaque tempe et l'occiput, et il ressent au moindre mouvement du cou des craquements. Les fonctions génitales
n'agiraient plus, se met en marche, le tronc absolument rigide, les mouvements de la marche se passant exclusivement dans Nouv
s possible. Cette absence de participation des muscles du tronc aux mouvements de la marche lui donne l'air de marcher comme u
tement dans les jambes et les cuisses, sauf pour la résistance au mouvement passif d'extension de la jambe sur la cuisse. Cel
faiblesse des fléchisseurs, mais de ce fait que la résis- tance aux mouvements passifs d'extension entraîne un certain travail
lombes, lequel travail étant douloureux, la malade préfère céder au mouvement passif que d'essayer de résister. Les réllexes
ce changement de direc- tion, le bassin est projeté en avant par un mouvement de rotation autour d'un axe fictif qui passerai
HÉMIPLÉGIE SPASMODIQUE INFANTILE ÉPILEPSIE PARTIELLE GÉNÉRALISÉE MOUVEMENTS ATII);TOSIQUES DE LA MAIN ET DU PIED CONTRACTIO
MAIN ET DU PIED CONTRACTIONS FASCICULAIRES DES MUSCLES LARGES Les mouvements anormaux qui se passent dans les membres du côt
e, l'athétose ont donné lieu à des études détaillées. Cependant les mouvements anormaux qui ont particulièrement frappé l'atte
émités. C'est à peine si dans quelques faits M. Oulmont signale des mouvements des muscles de l'épaule2, et encore ces mouveme
mont signale des mouvements des muscles de l'épaule2, et encore ces mouvements de rotation ou d'abduction dont la localisation
localisation n'est pas précisée, paraissent coïncider avec d'autres mouvements des membres. Il existe quelquefois d'autres mou
vec d'autres mouvements des membres. Il existe quelquefois d'autres mouvements anormaux qui ne sont pas sans intérêt, mais que l
observer que lorsque le malade est complètement à nu : ce sont des mouvements spasmodiques plus ou moins lents qui atteignent n
ôté ; il tombe dans une sorte de contracture généralisée, suivie de mouvements cloniques plus ou moins intenses, mais prédo- m
asymétrie, et elle paraît mobile dans tous les sens; cependant ses mouvements sont d'une fai- blesse remarquable, la résistan
eH de t )MC, (C. r. oc. de 1. Cli. Féré, Note sur l'exploration des mouvements de la langue, (C. r. Soc. de biologie, 13 avril
C. r. Soc. de biologie, 13 avril 1889). L'énergie et la vitesse des mouvements volontaires (flev. philoso- phique, juillet 188
l'avant-bras fléchi etlamain « droppe ». Les doigts sont animés de mouvements involontaires, lents, qui leur donnent momentan
trique est de 18 à droite, elle est à peu près nulle à gauche. Les mouvements athétosiques les plus marqués se font dans le pou
toucher la paume de la main. Le poignet fait de temps en temps des mouvements d'abduction. La percussion du tendon du triceps
tion de l'équin varus. Les orteils s'ani- ment de temps en temps de mouvements lents de flexion et d'exten- sion, et prennent
ment nu, on constate qu'il ne se passe dans les membres aucun autre mouvement que ceux qui ont été signalés au niveau des ext
nvulsives et vertigineuses sont devenues beaucoup plus rares et les mouvements athétosiques ont aussi notablement diminué d'in
e des spasmes athétosiques des doigts qui s'agitent isolément : les mouvements isolés des doigts trahissent en effet des contr
nous ont été fournis par la femme du malade). Les cris, les grands mouvements , les convulsions continuèrent jusqu'à sept heur
nombre de 9 à 9 1/2 par seconde. Il existe au repos et pendant les mouvements volontaires, il semble s'accroître un peu. Ce t
ndis que dans les périodes de calme il ne gêne que peu ou point les mouvements du sujet, il apporte alors un trouble notable d
ble notable dans l'accomplissement des actes usuels qui exigent des mouvements précis ou délicats (écriture, action de rouler
rhythme s'accroît à un tel point que, dans les tracés pris dans les mouvements de vive agitation, le nombre des oscillations s
: 1° d'une phase épileptoïde très courte; 2° d'une phase de grands mouvements (salutations, arcs de cercle, contorsions) accom-
cependant, lorsqu'il était couché sur son lil, d'exécuter tous les mouvements possibles avec force et précision. L'abasie-ast
nes qui la soignaient essayèrent à plusieurs reprises d'arrêter les mouvements choréiques en lui attachant les bras, mais ces
que, mais, le plus souvent, ils sont composés par deux ou plusieurs mouvements ins- piratoires successifs, séparés par une exp
ns fréquents et sur- ' 1 tout il existe entre chaque bâillement des mouvements respiratoires ordinaires se rapprochant plus ou
apnée complète en expiration; mais entre, la plupart des autres les mouvements respiratoires reparaissent; peu o " .2 '5'
res, avec celle différence toutefois, qu'en plusieurs endroits, les mouvements respiratoires sont plus réguliers et se rapproc
eprésente la respiration d'une autre hystérique du service. Ici les mouvements respiratoires sont normaux, plus fréquents cepe
r et à l'estomac. De plus, les membres supérieurs étaient agités de mouvements convulsifs d'une. certaine violence. Les crises r
a figure avec ses mains et pousse des cris aigus. En même temps des mouvements choréiformes rhythmiques agitent les membres, en
pied frappe violemment le sol. De temps en temps interviennent des mouvements de salutation rhythmés, assez lents, d'une viol
nt dans un véritable état de contracture. Puis surviennent quelques mouvements rhythmiques des membres supérieurs et inférieur
nts rhythmiques des membres supérieurs et inférieurs, ainsi que des mouvements lents de salutation. La malade se penche en ava
frait la même résistance, si on voulait l'arrêter quand il était en mouvement . Au mois de janvier 1890, il a présenté pendant
e caractérisée par un phénomène inusité, le bâille- ment, mais d'un mouvement involontaire presque continuel, dû à une sensat
ouvent aussi, on note des pandiculations qui ne sont autres que des mouvements d'élévation et de rétraction en arrière des épaul
il lui faut toujours très longtemps pour se décider il se mettre en mouvement , il faut des ordres réitérés pour le tirer de s
en ce qui concerne la sculpture, la première impulsion de ce grand mouvement artistique dont l'épanouissement, deux siècles
uche est complètement paralysé, la jambe droite a conservé quelques mouvements de l'articulation coxo- fémorale. Les membres s
TE SUR LA RÉTRACTION NÉVROPATIIIQUE DE LA PAUPIÈRE SUPÉRIEURE Les mouvements des paupières sont encore parmi les points obscur
ment l'orbiculaire qui l'emporte; mais si, au moment de la mort, le mouvement d'élévation conserve plus longtemps son éner- g
pébrale s'effectuent le plus souvent d'une manière réflexe : si ces mouvements peuvent s'exécuter aussi sous l'influence de la
l'action de l'orbiculaire restant normale, l'anomalie porte sur les mouvements d'élévation. L'élévation exagérée de la paupi
ION W\'It01'.1TIIIQUE DE LA PAUPIÈRE SUPÉRIEURE. 157 dans lequel le mouvement de la paupière supérieure s'associe aux mouveme
dans lequel le mouvement de la paupière supérieure s'associe aux mouvements du maxillaire inférieur et particulièrement aux m
ste encore par un autre phénomène, c'est l'ab- sence de synergie du mouvement de la paupière supérieure et du globe oculaire
que le sujet dirige son oeil en bas, la paupière supérieure suit le mouvement , mais avec une lenteur remarquable, laissant mo
iculation, la langue paraît capable d'exécuter normalement tous les mouvements , ce n'est qu'une apparence. L'examen des mouve-
érale qui doit s'appliquer à l'exploration scientifique de tous les mouvements . L'examen dynamométrique et l'étude du temps de
rbale permanente, chez laquelle, malgré une intégrité apparente des mouvements de la langue, l'affaiblissement était tel qu'el
récédée ou suivie (Charcot, I. Cli. fur, Note sur l'exploration des mouvements de la langue (C. r. Soc. biologie, 188J, p. 127
e (C. r. Soc. biologie, 188J, p. 1278 - L'énergie et la vitesse des mouvements volontaires (Revue philos.. 1889, t. \\1111, p.
nt dans les impotences en général entre l'énergie et la vitesse des mouvements volontaires. La figure 45 donne la représentati
re que, malgré sa bonne volonté, le sujet est incapable de faire un mouvement simultané des deux mains, la main paralysée agi
troubles dits fonctionnels d'origine indéterminée. La faiblesse des mouvements de la langue et leur lenteur se retrouvent auss
é de ceux de la motilité du thorax. La connaissance des défauts des mouvements les plus simples paraît en effet indiquer la vo
ercices qui ont pour but de développer l'énergie et la rapidité des mouvements les plus simples de flexion et d'exten- sion. C
oyen d'arriver graduellement à augmenter la force et l'habileté des mouvements les plus complexes. Le sourd- muet ou le bègue
1U1'I : LLP II : U\UGIS.\Pllll's I)l : LA S A L l'È ! R 1 1, 1 ! C. mouvements . complexes d'articulation, cette faiblesse se mon
'articulation, cette faiblesse se montre surtout .évidente dans les mouvements les plus simples.qu'il faudrait perfec- tionner
oubles de la parole coïncident avec une faiblesse très évidente des mouvements de la langue qui, cependant, est capable de rempl
es les directions, et par une lenteur très remarquable de ces mêmes mouvements . Ces carac- tères physiologiques s'exagèrent à
ouble permanent de la prononciation. La faiblesse et la lenteur des mouvements peuvent s'ob- jectiver non seulement par la pes
et 47) et muni d'un pivot sur lequel la langue vient buter dans son mouvement de propulsion, permettant ainsi d'inscrire la r
il résulte des observations multipliées de ceux qui ont étudié les mouvements des paralytiques généraux que, jusqu'à une péri
nt intéressants à comparer entre eux. L'ÉNERGIE ET LA VITESSE DES MOUVEMENTS DE L\ LANGUE. LE NARGHILÉ ET SES FUMEURS EN O
des releveurs de la paupière, intégrité de l'accommo- dation et des mouvements pupillaires. Les jours suivants, on constata succ
868, de Grade comparait un cas d'ophthalmoplégie avec intégrité des mouvements de l'iris et du muscle ciliaire à la paralysie
ation du globe de l'oeil, ou tout au moins par la limitation de ses mouvements dans toutes les directions : d'où cette fixité
e de tous les muscles des yeux. Les pupilles avaient conservé leurs mouvements normaux et l'accom- modation ne paraissait pas
scles du bras et de l'avant- bras. Les jambes jouissent de quelques mouvements . Insomnie presque continuelle. Lorsqu'elle dort
01wements. - Côté droit : presque tous sont conservés dans le bras. Mouvements de l'avant-bras sur le bras conservés, sauf ceu
NÉVRITES. 201 d'argent. Digestions plus faciles, moins de diarrhée; mouvements plus faciles. Depuis quelques jours très grande
ce de plus en plus et l'équilibre s'établit. - Les progrès dans les mouvements du bras gauche continuent, et les deux bras son
tat général, embonpoint relatif. Novembre. - Léger progrès dans les mouvements de la main. POLIOMYÉLITES ET POLYNÉVRITES. 203
ouvrages de ménage ou autre qui n'exigent pas de précision dans les mouvements . L'atro- phie s'est surtout plus accentuée aux
phalangines et les phalangettes sont fléchies (Fig. 60 et 61). Les mouvements du poignet (flexion et extension) sont possible
membres inférieurs soit considérable, le malade résistant bien aux mouvements de flexion et d'extension de la jambe et du bra
cette époque la malade s'aperçut que l'oeil n'accomplissait pas les mouvements vers l'angle externe. Depuis lors jusqu'aujourd
tionnelle des deux yeux et de leur innervation commune pour un même mouvement . '\ Chez notre malade il s'agit d'un trouble
'innervation résulte d'un effort pour lutter 1 contre l'obstacle au mouvement de l'oeil droit. Mais là ne s'arrête pas le tro
brusquerie de ce 228 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA S,1LPETRI1;R1;. mouvement , il semble que la contraction de ce muscle droit
se; de même, quand il voulait étendre le membre inférieur droit, ce mouvement d'extension réveillait dans la fesse une assez
eine réveillée par la marche, qui n'est pas sensiblement gênée; les mouvements du membre ne la provoquent pas davantage, à l'e
coucher sur le côté droit sans réveiller aussitôt la douleur. Les mouvements de la hanche sont normaux et indolents : la flexi
quement. L'exten- sion est pénible et incomplète. A la jambe, les mouvements volontaires et provoqués de flexion s'exécutent
ause du hanchement excessif. Cette déformation du tronc résiste aux mouvements passifs, si on veut essayer de la redresser. Ce
est aisée et indolore. SUR DEUX CAS DE GUÉRISON COMPLÈTE. 239 Les mouvements actifs et passifs dans la hanche, le genou et le
que le talon vienne toucher la fesse. Il en est de même des autres mouvements , à l'exception de l'extension. Celle-ci est tou
l est droit et parallèle à son congénère du côté opposé. Tous les mouvements du tronc et du bassin ont retrouvé leur ampli-
MM. Charcot et Babinski : . '. . Au début de la sciatique, par un mouvement instinctif, dans le seul but d'atténuer la doul
ne= '... scène qui contraste avec la précédente. Elle est pleine de mouvement -* et d'effroi. Un père amène son fils possédé
l existe une douleur exquise que la moindre pression, le plus petit mouvement , exaspèrent au point d'arracher des cris à la mal
mpotence absolue. Depuis huit ans elle n'a pas quitté le lit : sans mouvements , à demi assise sur son lit, les jambes écartées
'exception du releveur, qui fonctionne normalement. L'ana- lyse des mouvements oculaires permel de constater ce qui suit : OEi
egardant en avant, les yeux « parais- sant sortir de la tête ». Les mouvements des yeux sont absolument impos- sibles dans tou
tée bonne et le fond de l'oeil normal. Aucune donnée sur l'état des mouvements de la pupille et de l'accommodation. 1. De Grae
a maladie l'iris et le sphincter pupillaire con- servèrent tous les mouvements . L'accommodation demeura normale. Dresgen rappo
du voile du palais; le 30 avril, difficulté de la parole, gêne des mouvements de la langue. Elle est reçue à la clinique le G
ralysie du voile du palais, la difficulté de la parole, la gêne des mouvements de la langue. La phase intercalaire peut même f
alysés (plus à gauche qu'à droite), ainsi que les trochlëaires. Les mouvements des globes oculaires étaient très faibles dans to
s axes oculaires étaient parallèles. Pas de diplopie, sauf dans les mouvements en dehors tout à fait forcés. En ce qui concern
iculté de la parole, tenant à une gêne à peine appréciable dans les mouvements des lèvres et de la langue. Mais ce phénomène éta
lté de la déglutition; voix nasonnée, un peu de parésie de certains mouvements de la langue. » 19 février 1890. Nouvelle consu
ents est à peine serré. Il ne peut faire à droite ni à gauche aucun mouvement de dé- duction de la mâchoire. On ne constate
ts suivants : Ophthalmoplégie externe double incomplète. Tous les mouvements associés des yeux sont intéressés, principaleme
es mouvements associés des yeux sont intéressés, principalement les mouvements de laté- ralilé. Le mouvement d'élévation est i
sont intéressés, principalement les mouvements de laté- ralilé. Le mouvement d'élévation est incomplet, l'abaissement s'exécut
difficiles, sans être complètement abolis. Il en était de même des mouvements des lèvres, d'où résultait l'impossibilité absolu
amélioration existait déjà : la parole était moins embarrassée, les mouvements de la langue beaucoup plus faciles, la chute de
ente des urines, la faiblesse du bras droit principalement dans les mouvements d'extension. Ce qui fatigue le plus la malade, c'
de fermer les paupières complètement. Grande faiblesse et gêne des mouvements de plissement du front et de rapprochement des
lmoplégie externe double, presque complète. Possibilité de quelques mouvements à droite et à gauche, en haut et en bas, mais trè
ents à droite et à gauche, en haut et en bas, mais très limités. Le mouvement du globe oculaire en haut ainsi que le relèvement
34 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
si le malade n'a pas su se modérer à son repas du soir. Tous les mouvements des membres se font aussi bien à droite qu'à gauc
onservée. L'incoordination motrice est générale. En particulier les mouvements de la tête sont gênés, raides. Après le vertige
ion). Pas de déviation conjuguée de la tête et des yeux. Tous les mouvements des extrémités sont possibles (mouvements actifs
ête et des yeux. Tous les mouvements des extrémités sont possibles ( mouvements actifs et passifs) et assez forts. La force mus
ite, à tel point que le malade était incapable d'écrire (ataxie des mouvements coordonnés pour l'écriture, agraphie cérébelleu
r assis dans son lit, ni se tenir de- bout. A côté de cela tous les mouvements étaient possibles dans les extré- mités, et acc
érantielle(ataxie cérébelleuse, chute du corps à gauche, ataxie des mouvements et analgé- sie il droite, troubles de la sensib
ce, c'est-à-dire avant tout l'ataxie cérébelleuse, les troubles des mouvements des yeux, ceux de la sensibilité dans la région
mement prononcée, démarche ébrieuse ; vertiges intenses; ataxie des mouvements dans la main droite, qui se ma- nifestait surto
ifestèrent après la seconde atta- que du 25 août 1895, l'ataxie des mouvements à droite et l'hémianesthésie dissociée du même
par suite de l'accroissement graduel de l'anévrysme. L'ataxie des mouvements combinée à l'hémianalgésie dissociée à droite e
sé, nous pouvons rattacher avec une grande probabilité l'ataxie des mouvements il la lésion de ce ruban, ainsi qu'à celle de l
debout, pouvait cependant exécuter sûrement et avec force tous les mouvements de ses extrémités. 1 Conformément à l'intégri
... reste définitivement confiné au lit ; on le trouve étendu, sans mouvement , comme une masse inerte et inintelligente par s
sur le segment sternal supérieur, mobilité qui est produite par les mouvements d'inspiration et d'expiration. Dans la fosse st
UNARD UN CAS DE TYMPANISME ABDOMINAL D'ORIGINE HYSTÉRIQUE G3 tout mouvement du larynx, du thorax, des muscles abdominaux pouv
lité pendant la mé- téorisation ; on a recueilli des graphiques des mouvements respiratoires du thorax (pneumographe sur l'hor
ainsi que nous l'avons dit, l'examen radiographique et le tracé des mouvements respiratoires sont en opposition avec l'hypothèse
al, p. 767). 17. E. Wertiieiuer. Inhibition réflexe du tonus et des mouvements de l'estomac. Archives de physiologie, p. 379,
oins se mettre ni rester debout.Dans son lit elle conserve tous les mouvements des bras, des jambes et même du tronc, mais la
ligence et de la sensibilité, réso- lution musculaire et absence de mouvements volontaires. Trois degrés dans le coma, toujour
rs d'après Mayet : le' degré, coma léger. Le malade est étendu sans mouvements , la respi- ration profonde; les facultés abolie
ouleur est perçue confusément et se traduit par des plaintes et des mouvements réflexes.- te degré : intelligence abolie, aucune
gourdissement des facultés intellectuelles, de la sensibilité et du mouvement , souvent une forme de coma léger ou même le som
pond pas, ne réagit t pas quand on la pince. Main droite et jambes, mouvements spontanés. Main gauche inerte, trismus, atrophi
luxées. On peut porter les cuisses dans tous les sens sans que les mouvements en soient limités comme ils le sont à l'état no
coxo-fémorales droite et gauche. Luxation double de la hanche avec mouvements très étendus des têtes fémorales et râclements ar
és 130 JEAN ABADIE et peuvent être portés dans tous les sens. Les mouvements provoqués ne déter- minent pas de douleurs, mai
ent conservée : pas de craquements articulaires vertébraux dans les mouvements . Pas de douleurs vertébrales spontanées ou à la p
ugeur et sans le moindre symptôme fébrile. Depuis cette époque, les mouvements de l'articulation correspondante devinrent très
la hanche droite : gros craquements articulaires indolents dans les mouvements provoqués de la hanche : raccourcissement du memb
tuation manifeste, la rotule nage dans le liquide et peut subir des mouvements de latéralité d'une amplitude de deux à trois cen
s, mais présentent toutes des cra- quements articulaires dans leurs mouvements . Il existe un léger degré d'in- 140 JEAN ABADIE
d'une mobilité extrême, la tête fémorale se luxe en arrière et les mouvements com- muniqués se fout en tous sens : la laxité
s. L'articulation coxo-fémorale gauche est saine en apparence : ses mouvements sont possibles et peuvent même un peu s'exagére
membres inférieurs. L'incoordination est très grande, même dans les mouvements les plus simples. La force musculaire est très di
: elle n'a jamais été non plus le siège de douleurs spontanées. Les mouvements de redressement et d'affaissement de la colonne
e, lisse, globuleuse, indolente, du volume d'une grosse orange. Les mouvements de l'articulation se font dans toute leur étend
rotule est refoulée en avant par du liquide intra-articulaire. Les mouvements de latéralité sont très marqués. La cuisse est
ssent améliorer la paralysie de la main droite qui récupère quelque mouvement tandis que la pa- ralysie de la main gauche per
te de la rétention d'urine pen- dant deux jours. Le 15 octobre, les mouvements reviennent dans le bras gau- che qui était d'ai
marche sans steppage mais se fatigue facilement ; la résistance aux mouvements passifs est très diminuée surtout à droite. Les r
upière supérieure recouvrait une partie du globe oculaire; tous les mouvements de l'oeil étaient affaiblis sauf le mouvement e
e oculaire; tous les mouvements de l'oeil étaient affaiblis sauf le mouvement en bas et le mouvement en dedans. Il y avait do
uvements de l'oeil étaient affaiblis sauf le mouvement en bas et le mouvement en dedans. Il y avait donc, chez cette malade,
ngourdis, et par suite elle ne pouvait pas mar- cher ni faire aucun mouvement du bras droit. La paralysie des membres lui don
osséder, pourtant quelques jours après, elle a pu imprimer quelques mouvements au bras cependant que la jambe restait engourdi
CAS D'HÉMIPLÉGIE HYSTÉRIQUE 177 vait s'en servir que pour quelques mouvements très restreints. La force de pression au dynano
ts. La force de pression au dynanomètre était nulle, malgré que les mouvements de flexion des doigts existassent et la résista
segments des membres paralysés était considérablement diminuée. Les mouvements d'extension et de flexion de l'articulation tib
ler particulièrement votre atten- tion sur le caractère spécial des mouvements de la jambe paralysée lorsque la malade marche,
le pas simple d'avec le. double pas (1).Le premier se rapporte aux mouvements qu'un pied fait en se mettant devant l'autre po
mettant devant l'autre pour marcher, le second embrasse la série de mouvements qui s'exécutent entre deux positions semblables d
s la plupart des pas, cette articulation ne présente pas le moindre mouvement . Il y a parfois dans le pas postérieur de la ja
80 M. G. 1\L-\RINESCO respondant de la pointe du pied. Donc, pas de mouvements propres dans l'articulation tibio-tarsienne pen
la jambe oscillante présentant un très léger degré de flexion. Les mouvements du torse sont très caractéristiques depuis le com
'HÉMIPLÉGIE HYSTÉRIQUE l8l le tronc commence à se pencher en avant, mouvement qui arrive à son maximum à la fin du pas antéri
devenu facile de la pousser en avant, et de lui faire accomplir le mouvement de translation comme par un mécanisme de glisse
llation de la jambe normale le tronc commence à se pencher en avant, mouvement qui arme soir maximum à la firi'tlu pas antérie
ptus significative pour traduire la manière dont le pied est mis en mouvement pour se mettre en avant de la jambe portante, c
organique et t'homiptégio hystérique. Ainsi, nous ne voyons pas de mouvements propres du membre paralysé dans les différentes
ralysé dans les différentes phases de la marche, mais seulement des mouvements passifs qui lui sont imprimés par le haut du co
mouvements passifs qui lui sont imprimés par le haut du corps; les mouvements normaux du torse sont la conséquence de celle a
, no sont plus lourds, qu'elle commence à les sentir, les mettre en mouvement , enfin qu'elle peut marcher (fig. IV).Le résult
sont apparues d'abord sur le côté gauche puis sur le côté droit. Le mouvement des bras est gêné. Pas de lésions viscérales. Le
ent pas autant qu'à l'état normal. Si l'on oppose une résistance au mouvement , le malade tourne mieux la tête et avec plus de
tracture est telle qu'il faut beaucoup de force pour la vaincre. Les mouvements actifs sont abolis dans ce membre. Cependant, l
le malade peut augmenter la flexion de l'avant-bras sur le bras.Le mouvement d'abduction ne va pas jusqu'à l'horizontale, l'
encore, la propul- sion en arrière est impossible, tous les autres mouvements actifs sont suppri- més. Par les mouvements pas
ssible, tous les autres mouvements actifs sont suppri- més. Par les mouvements passifs, on ne peut pousser l'abduction jusqu'à
endon d'A- chille, les orteils de ce pied sont un peu fléchis', les mouvements actifs moins forts que du côté droit sont cepen
e série de secousses. Il y a parfois pen- dant la période aiguë des mouvements épileptoïdes du côté paralysé, mais ils cessent
cependant la jeune malade s'est remise à marcher. Actuellement les mouvements de la jambe gauche sont bien revenus, elle saut
avec la main gauche, les doigts, à droite, n'ont que de très légers mouvements sans direction particulière d'ailieurs. Les réf
cune nota- ble différence entre les deux côtés. Au point de vue des mouvements , il n'y a pas d'altération du sens musculaire.
es du côté gauche, il en est ainsi pour le biceps, le deltoïde; les mouvements d'extension de l'avant-bras sur le bras et les
oïde; les mouvements d'extension de l'avant-bras sur le bras et les mouvements de rotation du poi- gnet sont conservés. Le gra
onservés. Le grand dorsal et le sus-épineux sont également bons. Le mouvement d'extension du carpe sur l'avant-bras est en reva
e, le poignet se fléchit et s'étend alternativement sans aboutir au mouvement demandé. La main gauche ayant pris une attitude
e supérieur droit estlesiège d'une paralysie motrice complète,aucun mouvement des doigts de la main, de l'avant-bras, du bras e
lution. Le membre inférieur droit est presque complètement privé de mouvement , mais il présente un certain degré de con- trac
il présente un certain degré de con- tracture dans l'extension. Les mouvements réflexes sont complètement abolis dans le membr
ans les membres supérieur et inférieur gauches qui ont repris.leurs mouvements dans leur in- tégralité, la contracture a dispa
mbe et du pied droits. Le membre su- périeur peut exécuter quelques mouvements , principalement de l'épaule et du bras, le pouc
onnées dans la plupart des observations. Apparaissent également des mouvements athétosiques et des mouvements rythmiques, Brow
rvations. Apparaissent également des mouvements athétosiques et des mouvements rythmiques, Browning en cite un cas, Abel et Co
membre supérieur, la main en particulier. Ce sont par exemple, des mouvements de flexion et d'extension des doigts, lents. No
e trau- matique sur le développement des enfants. Il y a encore des mouvements associés, comme celui qui est décrit dans l'obs
que temps (2 à 3 semaines), on s'aperçut qu'il avait de ce côté des mouvements particuliers involontaires. C'était le commenceme
ner la main en avant et saisir les objets. Cette main est animée de mouvements très caractérisés d'athétose, ce sont des mouve
est animée de mouvements très caractérisés d'athétose, ce sont des mouvements lents d'extension et d'écartement des doigts av
, c'est au repos qu'ils se produisent le plus nettement. Dans les mouvements volontaires il se fait autre chose ; la main se f
tendance marquée du pied à se tourner en dehors ou en dedans et des mouvements de flexion des orteils qui sont évidemment une
sez accentué, deux années encore après l'accident, et avec elle des mouvements d'athélose. DE L'HÉMIPLÉGIE TRAUMATIQUE 229 A
l'autre les réflexes du genou sont exagérés, surtout à droite. Les mouvements de l'épaule sont maintenant satisfaisants, ceux
ndre à nos questions. Il avait de fréquentes con- tractions, et des mouvements saccadés des lèvres surtout à gauche. Les jambe
cavité buccale (v. figures 2 et 3). Après l'extraction du tube les mouvements saccadés violents ont cessé....... mais on a co
is sur la paume. De temps en temps on observait dans les doigts des mouvements simples, rythmiques et lents de flexion, cela dur
ait de quelques minutes à une heure. C'était une répétition du même mouvement simple. Il n'y avait pas de mouvements complexe
'était une répétition du même mouvement simple. Il n'y avait pas de mouvements complexes comme dans l'athétose. Ils n'étaient as
bre supérieur gauche est raidi en demi-flexion et incapable d'aucun mouvement . C'està peine si le malade peut soulever le moign
marche, le malade porte son membre en avant fout d'une pièce par un mouvement d'élévation du bassin. Les hémiplégiques hystériq
tumeur elle-même. Pas de varices lymphatiques. La tumeur n'a pas de mouvements d'expansion, elle ne suit pas le larynx dans se
pas de mouvements d'expansion, elle ne suit pas le larynx dans ses mouvements d'élévation et d'abaissement. A la palpation, c
it moins favorable à un exercice actif de la main déformée (car les mouvements d'opposition s'exercent de manière moins aisée),
ôté interne,et le métacarpe semblait en grande partie conservé. Les mouvements d'opposition étaient faciles, et le malade pouv
ice de communication de la bouche avec le sinus et lui imprimer des mouvements de rotation sans éprouver de douleurs. Par la piq
Depuis deux ans la malade ne peut se tenir sur ses jambes dont les mouvements sont tout à fait incoordonnés et dont les masses
du corps. L'articulation tibio-tarsienne droite est bridée dans ses mouvements par la rétraction du tendon d'Achille (véritabl
ur variable. Dans le décubitus latéral, en cherchant à produire des mouvements passifs du rachis, on s'aperçoit que la colonne
ne lombaire peut aisément subir un glisse- ment de va-et-vient. Ces mouvements , même exagérés, ne provoquent aucune douleur :
te mais vite disparue dans la région sacrée. En 1881, apparition de mouvements vacillants des jambes dans la marche, marche les
es douloureux. Abolition du phénomène du genou. Ataxie confir- mée. Mouvements convulsifs des extrémités et du tronc. Déformatio
lumière abolie : pupille droite un peu plus dilatée que la gauche. Mouvements des yeux normaux, léger nystagmus dans le regar
otrice. LES OSTÉO-ARTHROPATH1ES VERTÉBRALES DANS LE TABES 265 Les mouvements sont également faciles aux membres inférieurs, qu
ant du corps, pendant t la station debout, s'accentue alors, et des mouvements ataxiques s'y ajoutent. Le bassin ne fait que d
on des réflexes cutanés. La vessie et le rectum sont sains. Les mouvements actifs des membres tant supérieurs qu'inférieurs
rd le sol, les semelles y appuient à peine. L'exécution brusque des mouvements forme un contraste frappant avec les pe- tits p
vraisemblablement un fragment de vertèbre détaché et ayant subi un mouvement de rotation de gauche à droite. On ne rencontre
es épaissies, saillan- tes. Corps vertébraux augmentés de volume. Mouvements de flexion de la colonne seuls possibles. Conserv
Mouvements de flexion de la colonne seuls possibles. Conservation des mouvements d'extension et de latéralité dans la portion lo
: les articulations peuvent être tiraillées, tordues, sans que ces mouvements fassent apparaître une sensation douloureuse quel
étendue. La flexion du tronc au contraire peut s'exagérer. Dans les mouvements de latéralité, la co- lonne vertébrale se meut
e seule pièce et uniquement sur sa portion lom- baire. Aucun de ces mouvements ne s'accompagne de craquement articulaire. Les
ut d'une arthropathie vertébrale. Craquements articulaires dans les mouvements du tronc. Déviation vertébrale à la suite. Sign
ovoquées . Correction des déviations dans le redressement du tronc. Mouvements d'extension exagérée seuls abolis. Râclements a
aquements articulaires, au niveau de la région lombaire et dans les mouvements de flexion et d'exten- sion de la colonne verté
le ne s'accom- pagne d'aucun phénomène douloureux quelconque. Les mouvements de la colonne vertébrale sont conservés et même é
e malade : il peut même se redresser avec peine, mais dans tous ces mouvements , on entend très nette- ment au niveau des artic
manière lente mais continue, sans ap- porter une gêne nouvelle aux mouvements de locomotion. Insensiblement le malade devint
qu'il tient de préférence de sa main gauche : il est sans cesse en mouvement . L'épaule gauche est relevée, l'épaule°droite e
le malade n'a éprouvé à ce niveau de douleurs spontanées. Enfin les mouvements de redressement et d'affaissement des vertèbres l
reils craquements perceptibles au palper et à l'ouïe dans les divers mouvements de l'épaule. Les ligaments de cette articulatio
s aperçu des modifications anatomiques survenues à cet endroit. Les mouvements des articulations de l'occipital avec l'axis et
ula- tions des vertèbres entre elles paraissent plus souples et les mouvements plus étendus qu'à l'état normal. En aucun point
rmaux des apophy- ses ou des corps vertébraux. Mobilité anormale. Mouvements de la colonne tous abolis, sauf légère extension
ligaments sont relâchés et des craquements apparaissent dans chaque mouvement imprimé il l'articulation. L'extension complète e
même s'exagérer notablement. La flexion est très diminuée. Quelques mouvements de latéralité limités peuvent être produits. L'ar
uches successives avec un canif au moins tous les huit jours. Les mouvements des membres inférieurs sont conservés. Le malade
ut d'une voussure de son dos, il n'é- prouvait aucune gêne dans Ips mouvements du rachis, il pouvait même se re- dresser volon
titude penchée en avant, et le défaut de redressement du tronc. Les mouvements vertébraux devenaient en effet de moins en moin
us les efforts du malade pour mouvoir son tronc sont vains. Dans le mouvement de flexion, il fléchit fortement la tète sur la
t le bassin, la cyphose dorsale ne variant pas de courbure. Dans le mouvement d'extension, il rejette sa tète en arrière, pou
sin en avant et ne réussit nullement à corriger sa bosse. Enfin les mouvements d'inclinaison latérale, de torsion des vertèbre
le sens latéral sur le bassin ; celui-ci est même entraîné quand le mouvement s'exagère. La marche est possible, le malade prés
té et soudé, à la façon du début de la paralysie agitante. Dans les mouvements du rachis ou dans la marche, il est impossible de
ement sur ces variétés de pa- ralysies unilatérales accompagnées de mouvements surajoutés. Même réclamation de priorité et d'i
de la victime dont la main grand' ouverte s'apprêtait à arrêter le mouvement de l'opérateur. Comme dans le tableau de Rombou
sourcils. Il n'y a pas de paralysie des muscles de l'oeil, tous les mouvements isolés et synergiques des globes oculaires sont
est d'ailleurs très nette, il n'y a jamais eu de diplopie. ' Les mouvements des lèvres sont assez bien conservés (élévation d
a bouche, action de faire la moue), mais il est à remarquer que ces mouvements se font lentement et avec peu d'énergie, principa
e ; la malade parle un peu entre les dents, mais sans efforts ; les mouvements des lèvres sont alors de faible amplitude, et l
ible amplitude, et la mimique est extrêmement peu développée. ' Les mouvements d'inclinaison et de rotation de la tête sur le co
ement la résistance qu'on oppose à leur activité : malgré cela, les mouvements qu'exécute la tête, en dehors du commande- ment
tête, en dehors du commande- ment, sont lents comme tous les autres mouvements du corps. Ajoutons que la sensibilité de la fac
ême, il na pas été fait d'expériences sur le vertige rotatoire, les mouvements de compensation du corps et le nystagmus pendan
un objet lourd, ou qu'elle le manie, elle devient mala- droite, ses mouvements sont hésitants et lents ; lorsqu'elle veut rempli
lâ min ? Aux membres inférieurs, la motilité est parfaite, tous les mouvements , ex- tension, abduction, flexion sont exécutés
abduction, flexion sont exécutés avec énergie et la résistance aux mouvements passifs est considérable. Il n'y a pas d'atrophie
e l'équilibre, pour cela il a été prescrit au malade d'exécuter des mouvements , soit pendant la position assise, soit pendant
oubles de la marche et les troubles de la sta- tion consécutifs aux mouvements passifs (antépulsion, rétropulsion). Position a
crit au malade de croiser les cuisses l'une sur l'autre, à peine le mouvement est-il exécuté que la cuisse qui est sur l'autre
ude pas plus que celle des genoux rapprochés. Si, dans ce dernier mouvement , il essaie de passer une cuisse brusquement par
s encore de lever les deux jambes en extension et en adduction ; ce mouvement provoque des oscillations de grande amplitude dan
issent le tronc, puis les mem- bres inférieurs ; ce sont des petits mouvements de flexion et d'extension pen- dant lesquels la
de s'aider de ses mains; enfin il se relève difficilement, tous ses mouvements sont extrêmement lents et hésitants, mais il n'
teur et l'incertitude ; le malade semble calculer d'avance tous ses mouvements : il avance rapidement son pied par peur de tombe
éviations latérales du tronc sont plus larges ; la coordination des mouvements des mem- bres inférieurs n'est par contre nulle
il sent venir la fatigue, et surtout dans les muscles des mollets. Mouvements passifs. - La propulsion détermine de grandes osc
randes oscillations de l'extrémité supérieure du tronc, ce sont des mouvements rapides de flexion et d'extension, mouvements d
du tronc, ce sont des mouvements rapides de flexion et d'extension, mouvements de balancier ; la rétropulsion ou la latéropulsio
e apparaître. Le malade a été soumis sur un appareil tournant à des mouvements de ro- tation ; même à une très faible vitesse
te- ment les oscillations horizontales des globes oculaires ' Les mouvements compensateurs sont normaux : pendant la rotation
on nez ou sur les oreilles, : mais pendant l'occlusion des yeux, le mouvement est moins régulier et le but moins bien atteint
n'est pas sûr de bien le tenir, aussi se produit-il quelques petits mouvements de latéralité qui font dévier la main du but pour
nt de la plante du pied détermine, comme chez l'individu normal, un mouvement de flexion du gros orteil. Aux membres supérieu
ros orteil. Aux membres supérieurs et inférieurs, la résistance aux mouvements pas- sifs est très grande et peut persister plu
tremblement de la tête, soit au repos, soit pendant l'exécution des mouvements de la tête et du cou, ou même pendant l'exécuti
es mouvements de la tête et du cou, ou même pendant l'exécution des mouvements du tronc. L'expression générale de la physionom
suel. Pas de dyschromatopsie. Il y a une certaine incertitude des mouvements des yeux dans les mouve- ments rapides des glob
lent un peu, quand il saisit un objet ou le porte à sa bouche ; les mouvements sont plus lents, plus hésitants, plus incertains.
de l'équilibre dans la station el dans la marche ou mieux dans les mouvements auxquels participe tout le corps, et sur l'inté
els participe tout le corps, et sur l'intégrité presque absolue des mouvements isolés des membres. Tous les mouvements d'ensem
tégrité presque absolue des mouvements isolés des membres. Tous les mouvements d'ensemble du corps sont profondément altérés,
gue apparaît rapidement. Il y a une intégrité presque absolue des mouvements isolés des mem- bres exécutés dans la position
ans la position assise ou couchée, car dans la station de- bout les mouvements des membres supérieurs d'une assez grande ampli-
es sont signalées par Rojet et Collet : chez la malade de Arndt les mouvements isolés des membres inférieurs n'étaient pas lib
ÉRÉBBLLI;USIz. 355 par l'incoordination des membres inférieurs, les mouvements choréiformes des bras et des jambes, le tremble
rale et monotone. Le tremble- ment de la tête s'exagère pendant les mouvements , pendant l'émotion et dans la station debout. L
la marche était incertaine, la parole altérée, la vue troublée, les mouvements des bras et des mains étaient tremblants et inc
de,après avoir écarté les bras, de faire toucher les deux index, ce mouvement ne peut davantage être exécuté les yeux ou- ver
tubation cérébelleuse n'est pas produite par l'incoorcliua·tiou des mouvements , mais par le vertige : « c'est pour- quoi, dit-
e s'explique seulement par la perte de la faculté de coordonner les mouvements ; « c'est pourquoi, dit-il, je l'ai appelée titu-
culaire est plus grande ; en outre lorsqu'on soumet le malade à des mouvements passifs de rotation ou de translation, l'orien-
ments passifs de rotation ou de translation, l'orien- tation de ces mouvements n'est plus perçue, le vertige et le nystagmus ro-
rappelant ceux d'un cérébelleux, mais la notion de la direction du mouvement et les mouvements compensateurs des yeux dans l
'un cérébelleux, mais la notion de la direction du mouvement et les mouvements compensateurs des yeux dans les mouvements pass
tion du mouvement et les mouvements compensateurs des yeux dans les mouvements passifs de rotation étaient conservés chez ce mal
es de l'équilibre et de la locomotion et l'in- tégrité relative des mouvements isolés des membres sont particulière- ment favo
s l'intervention du cervelet et son rôle coordinateur dans tous les mouvements dans lesquels l'équilibre du corps est en jeu.
mbres supérieurs n'existe pas au repos, il appa- raît à propos d'un mouvement intentionnel, mais le plus souvent avec une trè
assez grande, pour que le malade pût se servir de sa main pour les mouvements de force, mais pas pour les mouvements délicats
e servir de sa main pour les mouvements de force, mais pas pour les mouvements délicats. En juin 1891, il vint à la polycliniq
el il réclamait une indemnité. On ne constata qu'une perversion des mouvements de la main. En novembre 1892, il se représenta,
e la paupière supérieure gauche. La langue tirée, était droite, les mouvements du bras paralysé étaient satisfaisants sauf ceux
du même côté, tandis que les membres gauches peuvent exé- cuter des mouvements , surtout quand d'11 provoque de la douleur à leur
ant-bras gauche fléchi à angle droit sur le bras et contracture Les mouvements passifs sont encore possibles Les muscles ne se
s le répétons c'est en dehors de toute maladie infectieuse, de tout mouvement fébrile, de toute affection vénérienne qu'il se
re est impossible non pas à cause de la douleur, mais parce que les mouvements ne se font plus. Il n'y a guère que six mois qu
souples du côté opposé. Cependant ils se contractent bien pour les mouvements volontaires et leur exploration électrique pratiq
ra d'étudier avec beaucoup de précision. Di- sons seulement que les mouvements imprimés à l'articulation du coude s'accompagne
r ou s'écarter par la pression perpendiculaire ou latérale. ' Les mouvements de l'épaule se font très bien et avec vigueur.
Les mouvements de l'épaule se font très bien et avec vigueur. Les mouvements du coude limités dans l'extension se font avec én
l'extension se font avec éner- gie dans le sens de la flexion. Le mouvement de supination ne peut s'exécuter qu'à moitié et s
et s'accom- pagne de craquements du coude. Il y a encore quelques mouvements dans le poignet, mais à peine mar- qués. la mai
obéissent en- core à la volonté, mais qui a perdu naturellement le mouvement d'oppo- sition. La sensibilité objective au t
entraînent une grande fatigue, d'où une paresse ac- centuée. Les mouvements partiels, localisés, qu'il nous semble intéressan
e leur dos, l'attitude vicieuse du tronc, la perte de souplesse des mouvements du rachis. Préoccupés sans cesse de fai- blesse
plus grande, c'est l'existence de craquements articulaires dans les mouvements de la colonne vertébrale. Chez notre malade, il
Il est à remarquer en effet, que dès le début de cette période, les mouvements intrinsèques de la colonne vertébrale tendent à
plitude et à s'établir successivement les uns après les autres. Les mouvements d'ex- xiii 28 430 ABADIE tension disparaiss
ment le malade s'aperçoit qu'il est devenu bossu (obs. Il). Dans un mouvement intempestif, la nuit, au lit apparaît tout à coup
gment inférieur delà colonne pousse sur le sacrum et lui imprime un mouvement de bascule, tantôt d'avant en ar- rière, tantôt
le promontoire s'é- loigne du pubis, le coccyx se rapproche par un mouvement inverse du cen- tre du bassin. Les articulation
le dire à cette période. Une seule observation fait mention de ces mouvements : ils étaient, dans ce cas, tous conservés et p
s savons qu'il peut exis- ter du fait des lésions des vertèbres des mouvements anormaux dans un ou plusieurs segments vertébra
nc, son inclinaison en avant ou par côté, la perte de souplesse des mouvements du rachis. Ces phénomènes initiaux passent inap
exie, d'autres tombent dans la stupeur et sont privés de sens et de mouvement . Mais, s'écrie notre auteur, qui pour- rait tou
i est im- possible de retenir la paupière levée. Et môme, ce faible mouvement , elle ne le fait qu'en serrant fortement les de
pau- pière malade ; on n'éprouve aucune résistance en exécutant ce mouvement . La malade peut encore ouvrir l'oeil gauche, ma
ouvrir l'oeil gauche, mais pas autant que l'oeil droit; pendant ce mouvement , il y a dans la paupière quelques secousses fibri
upière baissée, la malade, au lieu de contracter le muscle frontal, mouvement qu'elle ne peut pas exécuter à cause de la parési
se de la parésie du nerf facial, serre fortement les dents; sans ce mouvement elle est absolument incapa- ble d'ouvrir l'oeil
le est absolument incapa- ble d'ouvrir l'oeil gauche. Ayant fait ce mouvement , la paupière ne reste éle- vée qu'un instant;'
tôt il sa situation régulière (Pl. LXX). Pas de troubles dans les mouvements de l'oeil droit ; à gauche, ce sont seule- ment
les mouvements de l'oeil droit ; à gauche, ce sont seule- ment les mouvements produits par les muscles droit externe et grand o
e parésie nette et distincte de la septième paire gauche ; tous les mouvements des mus- cles, innervés par le nerf facial gauc
; il y a des lésions bien nettement isolées, mais aucun trouble des mouvements associés. Il s'agit incontestablement chez notr
s sont moins étendus il droite et quand la malade regarde en bas,le mouvement d'abaissement de la paupière supérieure droite su
abaissement de la paupière supérieure droite suit plus lentement le mouvement de l'oeil. La région cervicale antérieure ne pr
lgurantes. Quelques années plus tard, un peu de maladresse dans les mouvements délicats des doigts, quelque difficulté à se co
diminution de volume de la jointure,qui, étant devenue le siège de mouvements anormaux de latéralité, fut mise dans un appare
tson positif : papilles inégales, déformées. Légère ataxie dans les mouvements délicats des doigts : difficile à ap- précier d
: certains métiers, pénibles ou assidus, impliquent la nécessité de mouvements étendus ou répétés du tronc, d'at- titudes vici
his en une longue courbe antéro-posté- rieure. La répétition de ces mouvements professionnels aura pour résultat de transforme
bes, il se déplace en se soulevant sur ses bras, mais aussi par des mouvements de reptation du bassin qui se répercutent le lo
e dorsale, de l'incurvation du rachis, de la perte de souplesse des mouvements du tronc, il est subitement de- venu bossu, à l
n notable de l'inflammation. Alors surviennent surtout à droite des mouvements convulsifs avec cris vio- lents... La suppurati
ière, cordon postérieur droit et antérieur gauche et ce, pendant un mouvement de flexion de la tête du tronc d'inclinaison ve
se porte à gauche. Tandis que l'oeil gauche peut exécuter tous les mouvements , l'oeil droit esquisse à peine, que l'autre oei
il droit esquisse à peine, que l'autre oeil soit ouvert ou non, les mouvements en haut et en dehors, ou en haut et en bas. Il
est impossible de se porter en dedans. S36 RENÉ MARTIAL Les seuls mouvements bien conservés sont ceux en dehors, et en bas et
rence d'un demi-centimètre en 'faveur du côté droit Au lit tous les mouvements des membres sont possibles et aussi bien exécutés
r la jambe gauche et sur la pointe du pied est impossible. Tous les mouvements propres au membre inférieur gauche seul sont impo
extenseurs et adducteurs n'ont encore que peu d'ac- tion, mais les mouvements de la hanche sont conservés presque sans troubles
xion, tout à fait comme dans une paralysie obstétricale. Il y a des mouvements méthéméplégiques associés lors- qu'elle bâille
méplégiques associés lors- qu'elle bâille en étendant.les bras, des mouvements du bras droit lorsqu'elle sai- sit quelque chos
x voilés, la respiration était stertoreuse et courte. Il était sans mouvement et insensible à toute excitation, de la narine ga
é leur motilité,mais le bras droit restait inerte. Seuls quel- ques mouvements des doigts étaient possibles. La sensibilité au
sujet porte difficilement la main droite derrière la tête. Dans ce mouvement il ne peut dépasser la ligne médiane pos- térie
mension, par exemple une 544 RENÉ martial-' épingle, par gêne des mouvements d'addition du pouce... La prise est in- certain
du mollet, la mensuration donne 31 centimètres des deux côtés. Les mouvements sont conservés dans toute leur intégrité. Le su
as avoir été fracturé. Cependant on constata dans le bras droit des mouvements cloniques Il y a une paralysie complète et isol
ordonna l'enveloppement glacé. Le 31 janvier, il eut trois fois des mouvements convulsifs dans la main droite, qui se continuè
affaissée. La langue et la luette légèrement déviées à droite. Les mouvements actifs et passifs des membres sont normaux. La
mplètement inerte et ne réagit pas du tout. Il ne fait que quelques mouvements pour écarter quand on le pince vigoureusement d
dire le mot couteau. 14 La paraphasie dure toujours.... 16. - Les mouvements actifs reviennent progressivement dans les mem-
ur le plancher de DF L'HÉMIPLÉGIE traumatique 549 la bouche et le mouvement de déglutition, il n'y a pas de troubles dans les
e et le mouvement de déglutition, il n'y a pas de troubles dans les mouvements de celle-ci. Le bras gauche montre à l'épaule et
n gauche était surtout surprenante dans l'action de serrer dans les mouvements . C'est avec peine qu'il la soulevait, elle retomb
sur le bras, avec rotation en dedans, également corrigible par les mouvements passifs. Les mouvements actifs du coude et de l
ion en dedans, également corrigible par les mouvements passifs. Les mouvements actifs du coude et de l'épaule sont extrêmement
vements actifs du coude et de l'épaule sont extrêmement limités, le mouvement d'élévation du bras et d'ab- duction n'atteint
vation du bras et d'ab- duction n'atteint pas l'horizontale; pas de mouvements associés. ' Le malade ne peut marcher saus une
mars. La paralysie de la jambe gauche [a complètement disparu, les mouvements commencent à revenir dans le membre supérieur gau
uaires, qui doivent accentuer davantage les muscles qui causent les mouvements des membres, plus que ceux qui ne s'emploient p
ouvements des membres, plus que ceux qui ne s'emploient pas dans ce mouvement . Représente le bras, depuis l'épaule jusqu'au c
eprésente le bras, depuis l'épaule jusqu'au coude, quand il fait le mouvement circulaire, en arrêtant l'épaule contre le mur, e
on autour de cette épaule, le bras étant étendu, et il fera, par ce mouvement circulaire, toutes les actions des muscles qui
aque membre, qui sont symétriques par rapport à l'axe du corps ; un mouvement d'adduction du pouce et de l'index de la main d
ion du pouce et de l'index de la main droite ne correspond pas à un mouvement parallèle (c'est-à-dire d'abduc- tion) du pouce
ire d'abduc- tion) du pouce et de l'index du côté opposé, mais à un mouvement de sens 'inverse qui rapproche de l'axe du corp
ient à dire que si, par rapport à cet axe, ligne d'orientation, les mouvements physiologiques symétriques des deux membres son
onté, pour ne laisser subsister que le souvenir de l'impression des mouvements musculaires associé au souvenir de l'impression d
hacune de ces formes devient ainsi la représentation graphique d'un mouvement : si bien que notre petite fille n'a fait très vr
petite fille n'a fait très vraisemblablement d'abord que copier les mouvements de sa soeur, soit les mouvements de la L'ÉCRITU
mblablement d'abord que copier les mouvements de sa soeur, soit les mouvements de la L'ÉCRITURE DE LÉONARD DE VINCI 613 main
roite directement observés, soit la représentation graphique de ces mouvements , constitués par les parties élémentaires des lett
t ex- terne du côté opposé. 3° Le ptosis congénital associé à des mouvements anormaux d'ouver- ture de la mâchoire quand la
ible d'expliquer la conservation de la conver- gence avec perte des mouvements de latéralité qu'il avait remarqués chez son ma
5e la pupille : celle-ci se découvre d'une façon complète dans les mouvements d'élévation complète de la paupière supérieure
s les mouvements d'élévation complète de la paupière supérieure (Ce mouvement est peut- être un peu moins marqué à droite qu'
une façon plus marquée que 620 CABANNES ET BARNEFF le gauche. Les mouvements en haut, en dehors et en bas sont entièrement s
porte à droite et converge par conséquent, comme l'oeil droit. A ce mouvement d'adduc- tion se joint encore, mais à un degré
ment d'adduc- tion se joint encore, mais à un degré plus faible, un mouvement de rota- tion du globe oculaire (sous la forme
elle rit, elle cligne les yeux un peu plus que norma- lement. Les mouvements des membres se font très convenablement. La mar
autres fois un seul oeil diverge, le droit (Lawford). L'étude des mouvements des yeux montre que les muscles extrinsèques so
e nom- bre des muscles atteints et l'intensité de la paralysie, les mouvements res- tants seront plus ou moins limités. Tantôt
és. Tantôt, et c'est le cas le plus ordinaire, on n'obtient que des mouvements de convergence, quelleque soitla direction du r
irection du regard (à droite ou à gauche) ; dans ces conditions les mouvements asso- ciés de latéralité ne peuvent être obtenu
é ne peuvent être obtenus. Le plus ordinairement la paraly- sie des mouvements de latéralité se complique de celle de la converg
Cabannes et Lucanus) est suffisante pour la vision de près. A ces mouvements de convergence s'associent le plus souvent, lorsq
orsque les obliques sont partiellement ou complètement intacts, des mouvements de rotation du globe oculaire : ainsi dans 5 ca
e de petites contractions, presque nystag- miformes (Cabannes). Ces mouvements sont dus à l'action du petit oblique. Dans deux
use de la conservation delà fonc- tion du grand oblique. Ces divers mouvements surajoutés sont plutôt es- quissés que nettemen
cle atteint. Ces secousses surve- nant dans les efforts ou dans les mouvements extrêmes ne sont en réalité que des mouvements
efforts ou dans les mouvements extrêmes ne sont en réalité que des mouvements nystagmiformes. Le vrai nystagmus est assez rare
e sens horizontal (5e cas de Gourfein) ou bien encore consistent en mouvements de divergence alternant avec des mouvements con
en encore consistent en mouvements de divergence alternant avec des mouvements convulsifs de convergence. Il existe de l'inéga
upérieurs ; tout au plus existe-t-il une légère indécision dans les mouvements de la main, lorsqu'on commande au malade de tou
ue modérée. Aux membres supérieurs, même maladresse légère dans les mouvements de la main. Les troubles de la sensibilité ther
e la résistance, c'est-à-dire de la dent à enle- ver ; puis, par un mouvement du poignet qui suit la courbe de la demi- roue,
35 (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
le carac- tère de la grande hystérie, avec arcs de cercle, grands mouvements , etc. Ces attaques ne s'accompagnent ja- mais d
vre inférieure, fonctionnent normalement. Il en est de même pour le mouvement d'écartement de la commissure dans le plan hori
ion des lèvres et le siffle- ment (orbiculaire des lèvres). Mais le mouvement d'é- lévation de la commissure en dehors et en
ent de se dérober; au lieu de fuir le danger, incapable de faire un mouvement , il reste en place comme fasciné. En vain il en
et il n'en sort aucun son. Je comprends ce que les voix disent aux mouvements de la langue sans prononcer rien ni haut, ni ba
'elles aient pu être, aient jamais été accompagnées chez M. X... de mouvements de la langue. » Les deux observations que je vi
. A 8 heures du soir, attaque convulsive avec arc de cercle, grands mouvements . ' Le 28, à 7 heures, nouvelle attaque, suivie
elques centimètres au-dessus du lit ; on empêche très facilement ce mouvement . La station debout est impossible : les genoux
rise de secousses brèves, qui la font brusquement tressaillir ; ces mouvements convulsifs portent plus spécialement sur la têt
e soulèvement des jambes encore plus difficile et plus limité. 7. Mouvements très limités des mains. 44. -- La paraplégie pe
eg- ments. Les deltoïdes, les biceps peuvent' à peine ébaucher un mouvement ; l'épaule est soulevée, mais par le trapèze; les
sont en pronation, les doigts fléchis ne sont susceptibles que d'un mouvement d'extension très limité. La tête est mobile dans
muscles et des nerfs des membres inférieurs ne donne Jieu qu'à des mouvements insignifiants et reste ignorée de la malade. L'
5. Fig. (5. 42 ? PATHOLOGIE NERVEUSE. 26. Traitement psychique. Mouvements très limités des orteils et des pieds. Ébauch
st devenue insensible. 4° octob1'e.- Progrès journaliers dans les mouvements des or- teils. SEN5mILIT. - Une modification
ite comme à gauche. L'électrisa- tion du triceps crural produit des mouvements de jour en jour plus étendus. 7. Modification
nt psychique ayant été suspendu pendant dix jours, D... a perdu les mouvements des membres inférieurs antérieurement récupérés
ge d'un courant électrique. Elle était caractérisée par de subits mouvements du tronc, de la tète, de flexion des avant-bras e
haient du tronc. Dans les cuisses, on remarquait également quelques mouvements , peut-être par contre-coup de l'ébranle- ment g
r les hallucinations était telle, qu'il a fallu, pour maîtriser les mouvements désordonnés de D..., que deux hommes se missent
eut-on admettre que cette conten- tion brutale des membres dont les mouvements ont été rendus ainsi subitement et complètement
é assez heureux pour voir nos eflorts donner des résultats et les mouvements revenir lentement aux membres supérieurs et inf
tant le nom de para- lysie de Brown-Séquard; c'est la paralysie des mouvements avec hypéresthésie dans les parties postérieure
ujours les mêmes; c'est-à-dire qu'il y avait paralysie complète des mouvements dans la patte posté- rieure du côté de la secti
uellement et en même temps assez rapidement se rétablis- saient les mouvements de la patte paralysée, et dans cinq à six semai
pécial. Quant à l'historique de la question du rétablissement des mouvements après une lésion partielle de la moelle épinière,
essus de la moitié de la moelle, destinée à être sec- tionnée; d'un mouvement rapide de la main de haut en bas, j'y faisais u
te droite postérieure est allon- gée en arrière et ne produit aucun mouvement volontaire ; dans la patte gauche au contraire
n mouvement volontaire ; dans la patte gauche au contraire tous les mouvements volontaires se produisent volontairement. Du cô
cements des pincettes. 20 n;a1's.' - Pendant le repos et pendant le mouvement , on re- marque la possibilité des mouvements
le repos et pendant le mouvement, on re- marque la possibilité des mouvements du côté gauche et la paralysie com- plète du
ande partie du cordon antérieur reste intacte et en même temps, les mouvements de l'extrémité pos- térieure, du côté de la sec
sitôt après l'opération, on peut faire les observations suivantes : Mouvements ; une parésie très pro- noncée de l'extrémité p
postérieure du côté droit, que le cobaye traîne lorsqu'il le met en mouvement ; mais il peut s'y appuyer quoique avec peine. M
s'y appuyer quoique avec peine. Mais dans l'extrémité opposée, les mouvements volontaires sont parfaitement conservés. La sen
nés de la patte droite postérieure sont exagérés. 1er mars. - Les mouvements de l'extrémité droite postérieure sem- blent
pération, et dans les opérations du même genre, la conservation des mouvements dépend d'un groupe de fibres du cordon antérieu
de la moitié de la moelle épinière au bout d'un certain temps, les mouvements devaient absolument se rétablir dans la patte p
insi, lorsqu'il y avait possibilité d'un rétablissement complet des mouvements dans la patte chez le cobaye dont la moelle épi
intérêt pour nous, en étudiant la question du rétablis- sement des mouvements après l'hémisection. Les opérations réussies so
qui donnèrent le résultat suivant : pendant le repos et pendant le mouvement , le bassin est tant soit peu alfaissé; on remar
ant soit peu alfaissé; on remarquait en même temps la paralysie des mouvements volou- taires de l'extrémité gauche postérieure
nsion ; cette extrémité pendant la marche ne montre aucun signe des mouvements volontaires. Le cobaye se sert moins énergiquem
gaux des deux côtés. ' En percutant l'os sacré, on remarque que les mouvements ré- flexes (réflexes du périoste) sont plus exa
ins satisfaisant. Le bassin reste suspendu avec diffi- culté. - Les mouvements sont abolis dans le pied- gauche posté- rieur e
ioré. La position du corps et du bassin est plus satisfaisante. Les mouvements de l'extrémité gauche sont devenus normales. L'
OELLE ÉPINIÈRE. 59 23 avril. - L'état général est satisfaisant. Les mouvements de d'extrémité droite sont parfaitement libres.
ont parfaitement libres. L'extrémité gauche ne donne aucun signe de mouvements volontaires, elle est bien plus maigre que cell
acture de l'extrémité gauche postérieure est moins distincte et les mouvements sont plus libres, quoique beau- coup plus diffi
pération se manifestèrent les premiers signes du rétablissement des mouvements volontaires dans la patte gauche inférieure, qu
un certain temps on observait presque un rétablissement complet des mouvements de l'extré- mité paralysée, - l'absence complèt
ctions motrices, ces dernières, pour atteindre l'extrémité dont les mouvements sont rétablis, doivent sans aucun doute cherche
l'opération une restauration peu marquée de la sensibilité et des mouvements volontaires; dans la cicatrice de la moelle épi
on dorsale de la moelle épinière, où au bout d'uu certain temps les mouvements vo- lontaires furent complètement rétablis; l'e
t un écrasement; dans les cas où il y avait une simple section, les mouvements volontaires se rétablis- saient beaucoup plus l
geon, chez lequel on trouva plus tard un certain rétablissement des mouvements dans l'ex- trémité paralysée, n'étaient jamais
épinière dans la région dorsale, il ne se développa aucun signe de mouvements volontaires dans les extrémités postérieures, e
p de temps (après trois cent quatre-vingt-dix-sept jours), d'autres mouvements que des mouvements réflexes. Dans là cicatrice,
is cent quatre-vingt-dix-sept jours), d'autres mouvements que des mouvements réflexes. Dans là cicatrice, formée à l'endroit d
plémentaires, un fait devint clair, c'est que les voies pour les mouvements régénérés se concentrent dans le même cordun la
e ces chiens n'y survécut point, l'autre restait tout le temps sans mouvements volontaires et l'on ne put découvrir dans la ci
elque temps après l'opération d'hémi- section, une régénération des mouvements . Quoique, malheu- reusement, il ne donne la des
circonstance très importante dans ce cas : comment ne pas mêler les mouvements volontaires avec les réflexes et ne pas méprend
'est pourquoi il est beaucoup plus facile de les confondre avec les mouvements volontaires. Je pense, en outre, que le fait ma
ickhorst (1. c. p. 230) n'est pas en fa- veur de la restitution des mouvements volontaires; ce fait dé- montre que les meilleu
eurs sur des chiens âgés, on n'a pu constater ni la restitution des mouvements volontaires ni la régénération d'é- léments ner
e du même côté que celle-ci, ne doit avoir aucune influence sur les mouvements DE L'APPAREIL NERVEUX CENTRAL DE L'OLFACTION. 6
de contractures. Couchée, la malade jouit de la liberté de lous ses mouvements et la force musculaire est à peu près normale dan
r seule et sauter loche-pied d'une chaise à l'autre. Peu à peu, les mouvements devinrent plus faciles et au bout d'un mois de
ents associés de la station debout et de la marche, tous les autres mouvements étant parfaitement conservées. Après un certain
s retrouvons, chez nos deux malades, l'impotence abso- lue pour les mouvements associés de la station 'debout et de la marche,
sé, relié fonctionnel- lement au corps strié et en rapport avec les mouvements musculaires. D. Ferrier, Cxperim. Researches in
firmer, touchant la nature fonctionnelle des centres corticaux du mouvement , que ce ne sont pas de vrais centres moteurs au
nt pas de vrais centres moteurs autonomes, qu'ils ne provoquent des mouvements que par action réflexe, et que cette action s'e
t ceux qui correspondent aux muscles les plus habituellement mis en mouvement . Inversement, les centres qui perdent le plus r
citation du gyrus angulaire répond au sti- mulus électrique par des mouvements des bulbes oculaires et des paupières, et que,
paupières, et que, loin de voir, dans ces réactions mo- trices, des mouvements réflexes provoqués par des sensations subjectiv
Les associations multiples d'idées, de souvenirs, de sensations, de mouvements , qui rentrent dans la physiologie cérébrale, on
'est ainsi que les coordinations psychiques de la sensibiliié et du mouvement croissent en complexité, des ganglions de la mo
t donc, écrit Bianchi, aux aires corticales de la sensibilité et du mouvement ce que sont ces centres aux thalamus opticus et
kow ayant établi que la moelle allongée est le siège d'un centre de mouvements réflexes généraux ? La théorie bulbaire ne saur
chiasma et de la moitié antérieure de la protubérance, provoque des mouvements de course impétueux avec loco- motion et cris :
ur est suivie de l'accélération de la respiration, de nystagmus, de mouvements impétueux de la locomo- tion ; 3" l'excitation
étaniques qui survivent de plusieurs minutes a l'excita- tion, sans mouvements de locomotion. Ces convulsions sont plus fortes
hénomènes sont d'ordre réflexe. Le tractus sensitif qui préside aux mouvements de course et de locomotion occupe la bandelette
la bandelette optique. La genèse des convulsions tétaniques sans mouvements de locomotion n'a rien à voir avec le pied du p
nexion avec les tractus sensibles de la calotte, et d'ailleurs, les mouvements se produisent surtout du côté de l'excitation.
ons latéraux qui ne sont pas reliées aux ascendantes (exemple : les mouvements saccadés). Les ascendantes sont unies aux hémis
les fonctions musculaires (depuis la station jusqu'aux plus légers mouvements des doigts, à la suite de mouvements choréiform
station jusqu'aux plus légers mouvements des doigts, à la suite de mouvements choréiformes continuels des muscles du tronc et
s choréiformes continuels des muscles du tronc et des extrémités, mouvements qui s'accentuent encore davantage lorsque la mala
diagnostic du rapporteur et ne trou- vent pas que les troubles des mouvements aient chez la malade le caractère de la chorée.
dans une chute faite d'assez haut : hémiparésie droite; ataxie des mouvements de la jambe et du bras droits ; démarche SOCIÉT
la sensibilité dans les extrémités droites; absence com- plète des mouvements mimiques dans la moitié droite de la face avec
nts mimiques dans la moitié droite de la face avec conservation des mouvements spontanés. Exitus letalis. A l'autopsie, on a t
t que les couches optiques ont un rapport intime avec l'origine des mouvements mimiques et avec le sens musculaire. M. Korni
nt principalement celles qui ont pour facteurs les sensations des mouvements de l'articulation verbale; la pensée en un mot es
i- nution de volume répond à une diminution fonction- nelle ; les mouvements de la main et des doigts sont affaiblis, sauf l
; les mouvements de la main et des doigts sont affaiblis, sauf les mouvements que commandent les muscles postérieurs de l'ava
cun trouble fonctionnel, aucune douleur, aucune limitation dans les mouvements du cou. Il regagne la /Salpêtrière le onzième j
de rolandique, vers le sommet de la pariétale ascendante, centre du mouvement des membres inférieurs en arrière, et plus en a
oisine de l'extrémité de la scissure parallèle temporale, centre du mouvement des yeux, était attaquée. Le pus fusait alors v
respond, d'arrière en 188 CLINIQUE NERVEUSE. avant, au centre des mouvements des membres inférieurs, vers celui des membres
embres inférieurs, vers celui des membres supérieurs ; 3° Que les mouvements des yeux sont bien localisés au sommet de la de
ôt après l'opération, l'extrémité postérieure gauche, pen- dant les mouvements et pendant le repos, est inerte et dans l'état
ne extension complète, tandis que la droite est libre dans tous ses mouvements . La sensibilité de cette extrémité et des parties
nomènes sont tous les mêmes, excepté un certain affaiblissement des mouvements volon- taires dans le pied droit postérieur.
mouvements volon- taires dans le pied droit postérieur. 19. - Les mouvements sont plus libres. Les réflexes cutanés ainsi qu
mité postérieure droite. L'extrémité postérieure gauche, reste sans mouvement et semble amaigrie. La sensibilité est sans cha
ostérieure, on aperçoit les pre- miers signes du rétablissement des mouvements volontaires. Les mouvements de l'extrémité droi
e- miers signes du rétablissement des mouvements volontaires. Les mouvements de l'extrémité droite sont tout à fait normaux. L
droite postérieure se détache par grandes couches. 20 juin. - Les mouvements volontaires de l'extrémité posté- rieure [gauch
é- rieure [gauche sont presque complètement rétablis ; pendant le mouvement , le cobaye traîne cette extrémité et boite légère
celui de droite. Il semble aussi plus maigre que le pied droit; les mouvements volontaires sont assez libres ainsi qu'il est d
r reste un peu en arrière ; on remarque une certaine difficulté des mouvements dans les deux extrémités postérieures. Les réfl
euxième hémisection. Les organes pelviens sont en bon état. 30. Les mouvements des deux extrémités postérieures sont plus libr
mois et deux se- maines durant lesquels (après le premier mois) les mouvements volontaires dans le pied gauche postérieur se s
osition première : on ne vit point de nou- veaux désordres dans les mouvements des extrémités postérieures. Notre dernière opé
au bout d'un certain temps un réta- blissement presque complet des mouvements volon- taires. Afin de prouver plus définitiv
ôt après l'opéra- tion, on remarque les phénomènes suivants : Les mouvements sont affaiblis c'est-il-dirc l'extrémilé gauche
conde hé- misection dans l'observation n° '1S est restée pour les mouvements rétablis de l'extrémité gauche postérieure sans
23. DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 195 postérieure et la conservation des mouvements volontaires du côte gauche. 2. Les phénomènes
niveau dans la ré- gion supérieure les voies du rétablissement des mouvements devaient passer du cerveau dans la moitié non a
plus près possible du bulbe rachidien, après le rétablissement des mouvements paralysés à cause de l'ancienne hémisection de
trois pieds : le pied gauche postérieur est tendu et immobile. Les mouvements volontaires de l'extrémité droite postérieure son
sin est couché du côté gauche. La jambe gauche postérieure est sans mouvement ; elle est plus maigre et plus froide que la jam
ement; elle est plus maigre et plus froide que la jambe droite. Les mouvements volontaires du côté droit sont affaiblis. Les r
t à la sensibilité, elle est sans changement. 2 janvier 1886. Les mouvements volontaires de la jambe gau- che postérieure co
se rétablir. Un léger fléchissement de la cuisse est possible. Les mouvements de l'extrémité droite sont normaux. L'anesthési
ilôt après l'opération. Les organes pelviens sont normaux. 5. Les mouvements de la jambe gauche postérieure sont plus libres
tendue et pendant la marche reste un peu en arrière, quoique les mouvements volontaires y soient rétablis. Evidemment une cer
é vers le côté gauche. L'extrémité gauche de devant est privée de mouvements volontaires. Dans celle de droite, les mouvements
ant est privée de mouvements volontaires. Dans celle de droite, les mouvements volontaires sont intacts; quand aux extrémités
s volontaires sont intacts; quand aux extrémités de derrière, les mouvements volontaires en sont aussi libres qu'avant l'opé
droit. Les deux extré- mités droites ne présentent aucune trace de mouvements volontaires ; les mouvements des extrémités gau
droites ne présentent aucune trace de mouvements volontaires ; les mouvements des extrémités gauches, le cobaye faisant de gr
tations nous ont permis d'affirmer que les nouvelles voies pour les mouvements rétablis de l'extrémité paralysée par une hémis
semaines plus tard, il s'est produit un rétablissement complet des mouvements des extrémités para- lysées, après quoi, on a f
l'opération, on remarque chez le cobaye une paralysie complète des mouvements volontaires de la jambe gauche postérieure, tan
gauche postérieure, tandis qu'il n'y a aucun changement dans les mouvements de la jambe droite. La sensibilité est annulée da
oite postérieure et un peu exagérée dans celle de gauche. 30. Les mouvements de la patte droite postérieure ; dans la patte
ements. , 5 février. Le cobaye est faible. Pendant la marche, les mouvements de l'extrémité gauche postérieure sont un peu a
eu affaiblis. On ne remarque pas d'hyperesthésie cutanée. 12. Les mouvements du côté droit sont tout à fait libres. Dans laj
out à fait libres. Dans lajambe gauche, on remarque des traces de mouvements volontaires. Hyperesthésie du côté gauche et an
e du côté droit. Les organes pelviens sont en ordre. 28. Dans les mouvements de la jambe gauche postérieure, on ne remarque
t du cobaye aussitôt après l'opération : conserva- tion de tous les mouvements volontaires dans les deux extrémités postérieur
nouveau la Fig. 27. DE LA. MOELLE ÉPINIÈRE. 201 possibilité des mouvements volontaires, passent à l'endroit destiné dans l
de la commissure doit être suivie d'une nouvelle paraly- sie des mouvements volontaires restitués de l'extré- mité qui avai
Brown-Séquard, outre l'anesthésie bilatérale, la conservation des mouvements volontaires dans les extrémités posté- rieures.
sont plus propres. Fig. 28. 202 ANATOMIE. La conservation des mouvements volo Maires, obtenus comme résultat de cette op
restait qu'à vérifier, si effectivement après l'hémisec- tion, les mouvements dans l'extrémité paralysée se régénèrent à l'ai
mité droite; dans la jambe gauche elle est normale. 17 mal's. Les mouvements de la patte droite sont tout à fait libres; dan
ée; du côté gauche, il y a une faible hypéresthésie. 28 mirs. Les mouvements volontaires dans l'extré- mité gauche postérieu
nulée, la jambe gauche postérieure est étendue sans aucune trace de mouvements volontaires, dans la jambe frotte, on remarque
les acquit de nouveau au bout d'un cer- tain temps, tandis que les mouvements de l'autre patte sont restés sans changements s
ue chez un animal soumis à l'hémisection de la moelle épinière, les mouvements volontaires de l'extrémité paralysée reviennent
. Cette phase convulsive dure une heure ou deux; elle se compose de mouvements épileptiformes, tétanoïdes, ou irrégulièrement
ntre le tiers moyen et le tiers inférieur de la jambe. Paralysie du mouvement et de la sensibilité cutanée. M. SPERLING.- D
du pied, ataxie légère. Réaction pupillaire prompte; intégrité des mouvements des yeux ; rien d'anormal à l'ophtalmoscope. Pa
t du dehors produit l'échappement involontaire des attitudes et des mouvements les plus différents, l'auto-suggestion engendre
résiste à toute sollicitation, ou la répétition stéréotypée du même mouvement dépourvu de sens. Et cependant ces deux genres
lbaum, Kroepelin). En tout cas, la stéréotypie des attitudes et des mouvements , nous la rencontrons de préférence, même sans l
es centres corticaux de la sensibilité cutanée, muscu- laite et des mouvements volontaires, les découvertes histologiques sur
de ce livre, qui demande a être lu et relu. Charpentier. VI. Des mouvements de salut et des secousses de la tète, souvent as-
observation de douze cas, décrit une affection caractérisée par des mouvements de la tête associés le plus souvent à du nystag
ouvements de la tête associés le plus souvent à du nystagmus. Les mouvements de la tête sont des mouvements cloniques plus o
le plus souvent à du nystagmus. Les mouvements de la tête sont des mouvements cloniques plus ou moins brusques et rapides, se
se présentant sous forme de crises. Parfois, ce sont uniquement des mouvements de salut, mouve- ments d'assentiment; plus fréq
de salut, mouve- ments d'assentiment; plus fréquemment, ce sont des mouvements de latéralité, mouvements de négation - le plus
ssentiment; plus fréquemment, ce sont des mouvements de latéralité, mouvements de négation - le plus souvent, du reste, il y a
e semble alors agitée de tremblements, l'énergie et la rapidité des mouvements sont très variables. Ses mouvements sont exagér
s, l'énergie et la rapidité des mouvements sont très variables. Ses mouvements sont exagérés par les tenta- tives faites pour
n rencontre toujours, présente une indépen- dance relative avec les mouvements de la tête. Pouvant survenir avant eux, il peut
iste plus longtemps. De plus, il est beaucoup plus ra- pide que les mouvements de la tête (cinq à six mouvements par seconde).
st beaucoup plus ra- pide que les mouvements de la tête (cinq à six mouvements par seconde). Comme eux, il se présente par acc
attention de l'enfant ou qu'on cherche à arrêter vigoureusement les mouvements de la tête. Quelquefois le nystagmus est unilat
ne parait pas, du reste, y avoir de relation entre la direction du mouvement des yeux et celle du mouvement de la tête. ,
ir de relation entre la direction du mouvement des yeux et celle du mouvement de la tête. , A côté des deux symptômes essenti
e, l'enfant restant comme stupide et regardant dans le vide avec un mouvement des yeux plus rapide) que jamais. Enfin, lorsqu
, il en cherche la nature réelle en faisant appel à l'évolution des mouvements volontaires chez l'enfant : parmi les mouvement
à l'évolution des mouvements volontaires chez l'enfant : parmi les mouvements volontaires,- les premiers acquis sont ceux de
du cou, mais ce n'est guère que vers le qua- ' trième mois que les mouvements de la tête et des yeux deviennent harmonieuseme
i se produirait dans cette affection où il y aurait un désordre des mouvements , une perte pas- sagère de leur coordination.
points de ressemblance ne manquent pas entre les deux affections : mouvements de salut de la tête, nystagmus, changement de c
: « M., révélateur de Dieu, du levier vital, du levier éternel, des mouvements perpétuels à puis- sances illimitées, gratuites
t moindre que la gauche, et son aile est un peu plus mince. Lors de mouvements mimiques, l'asymétrie de la face augmente encor
lument abolis, de même que ceux de l'épaule jusqu'à concurrence des mouvements produits par le trapèze et peut-être par des m.
ressaient le plexus cervical, on aurait à constater des troubles du mouvement et de la sensibilité dans des régions autres qu
de la sensibilité de certaines parties de la peau. Par exemple, les mouvements passifs des doigts et de la main, là où la peau
lité absolue de l'articulation du coude, le malade a conscience des mouvements passifs de l'avant-bras ; d'une part, parce qu'
e, de l'autre parce que les muscles du bras qui prennent part à ces mouvements sont recouverts par une peau ayant conservé sa
u premier espace iuterosseux, avec laxilé des ligaments du pouce et mouvements exagérés de ce doigt. - Depuis son entrée le ma
e seconde fois il crie « mort, mort ! "; il se débat avec de grands mouvements cloniques. Puis un repos avec une respiration fré
à demi et regarde à droite. Puis apparaissent de nouveau les grands mouvements à la suite desquels nouveau repos avec respirat
écume abondante, san- glante. - Repos : même attitude. Puis grands mouvements ; il crie : « chouette, chouette ! » Repos avec
ses. Il se relève brusquement, s'asseoit, appelle, puis a de grands mouvements tout à lait classiques avec flexion des jambes,
projection des membres en l'air, puis il retombe sur le lit. Petits mouvements surplace des membres inférieurs. - Repos puis d
nts surplace des membres inférieurs. - Repos puis de nouveau grands mouvements qui commencent par la llexion des jambes sur le
nte. - Puis il s'asseoit la figure souriante, retombe, présente des mouvements du bassin et de grands mouvements du tronc. Enf
souriante, retombe, présente des mouvements du bassin et de grands mouvements du tronc. Enfin repos prolongé dans lequel le m
ue; rigidité et battements des paupières. Il retombe et a de petits mouvements télaniformes. Repos puis grands mouvements, tan
l retombe et a de petits mouvements télaniformes. Repos puis grands mouvements , tantôt sur le venlre, tantôt sur le dos. Ou bi
ds. Il profère des obscénités, puis s'as- seoit, est pris de grands mouvements , résiste, cherche à mordre. Repos. Cris prolong
urant l'attaque la tête est dans l'extension; le malade est pris de mouvements convulsifs latéraux, la bouche est déviée à dro
es après avoir bu, les yeux se dévient en bas et à droite. Il a des mouvements de mastication, puis du tremblement de la mâcho
he le malade qui était camisolé. On constate alors dans la main des mouvements identiques à ceux de l'athétose. A 8 h. 12, nou
secousses tétaniformes de plus en plus fortes.- Enfin arrivent des mouvements cloniques assez étendus dans les quatre membres
ec : 1° rigidité; 2° phase tétani- forme ; 3° période clonique avec mouvements étendus; 4° stertor. A 10 h. et demie placé dan
ement apparaissent de nouvelles convul- sions cloniques avec grands mouvements , après quoi il tombe en résolution pendant sept
comme endormi, Je visage un peu coloré, la respiration faible, sans mouvements . 9.- A 7 h. et demie, se trouvant au premier ra
t à coup en fermant les yeux et exécute avec sa tête et ses bras le mouvement du morceau joué. La face est pâle, les mains so
quatre minutes on constate un peu de fatigue du malade, avec des mouvements de déglutition et du larmoiement. A plusieurs rep
ure après son administration, des troubles dans la coordination des mouvements du train postérieur, puis dans les membres anté
ncher ventriculaire P. IIEtiA\'AL. 1 XXXIII. Sphère auditive ET mouvements DE l'oreille ; par 1. BACmsl.v. (Neurol. Celzl1
du lobe temporal, on provoque l'élévation de la paupière ;et des mouvements du pavillon de l'oreille du côté opposé. P. K.
sement progressif des facultés et de la mémoire, incoordination des mouvements , tituba- tion, parole pâteuse indistincte, fina
paralytiques 'généraux déjà cités consista en : affermissement des mouvements et sûreté de la démarche, disparition du gâtism
déjà en Angleterve. Il serait peut-être préférable de commencer ce mouvement en s'attirant les sympathies du clergé et celle
sme, par Legrain, 152;- Fonc- tions du cerveau, par Soury, 285; - Mouvements de salut et se- cousses de tête chez les enfant
f - dans les lésions du lobe occipital, par Moeli, 'F00. Oreille, mouvements de 1'- et sphère auditive, par Baginsky, 400.
36 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
prouva de nou- veau de la difficulté à parler. En quinze jours, les mouvements de la langue devinrent si difficiles, queC... s
ma- lade reproduit exactement avec le membre supérieur gauche les mouvements passifs communiqués au membre droit et réciproque
x de chaque main à l'extrémité du nez, il exécute cor- rectement le mouvement avec la main droite; au contraire, il est oblig
de la langue, du pharynx et probablement du larynx sont affectés de mouvements spasmodiques évidents et animés de con- tractio
cimens de sa parole : Jeee vous l'ai dili - Où j'éêtais rêçû Pas un mouvement . 11 n'y a pas de nasonnement, le malade prononc
s muscles chez les sujets atteints de sclérose en plaques. Tous les mouvements de la langue sont [normaux, abolition des réflexe
alade prononce mieux certains mots. La langue présente toujours des mouvements spasmodiques rapides, plus étendus que les mouv
toujours des mouvements spasmodiques rapides, plus étendus que les mouvements fibrillaires. Pas de troubles de la DU BÉGAIEME
tesse, causée par des chagrins particuliers eut une attaque, sans mouvements convulsifs et sans perte de connais- DU BEGAIEM
a tire hors de sa bouche, on ne constate pas de déviation, tous les mouvements sont possibles, niais elle est animée d'un lége
langue, du pharynx et probablement du larynx étaient affectés de mouvements spasmodiques évidents et animés de contractions
nnement de l'appareil cortical, mais bien dans l'incoordination des mouvements des organes d'émission de la voix. Nous ne re
e service une jeune fille qui présente, dans la tèle et le cou, des mouvements curieux et presque incessants ; le diagnostic e
ls elle vient consulter attirent d'eux-mêmes Je regard. Ce sont des mouvements brusques, à grand déplacement, localisés dans c
alternance régulière et qui sont, par rang d'importance : '10 des mouvements de salutation ; 2° des mouvements de projection
, par rang d'importance : '10 des mouvements de salutation ; 2° des mouvements de projection de la tête en arrière ; 3° des mo
on ; 2° des mouvements de projection de la tête en arrière ; 3° des mouvements d'élévation de l'épaule droite. Les mouvement
n arrière ; 3° des mouvements d'élévation de l'épaule droite. Les mouvements de salutation sont à la fois les plus fré- quen
e et médiane, la tète revenant aussitôt à son point de départ. Le mouvement d'élévation de l'épaule droite a une étendue mo
par rapport à l'axe du corps n'étant nullement modifiée. Ces divers mouvements se succèdent sans régularité et à intervalles i
ouvements se succèdent sans régularité et à intervalles inégaux. Le mouvement d'élévation de l'épaule ne se combine jamais av
ées, on peut évaluer en moyenne aux chiffres suivants le nombre des mouvements exécutés par la malade. En une minute, elle exé
le (chiffres approximatifs). En temps ordinaire, la fréquence des mouvements anormaux s'abaisse environ des deux tiers. Voilà
s suivant que le symptôme apparait exclusi- vement à l'occasion des mouvements volontaires ou au repos. On subdivise ainsi les
sion des mouvements volontaires ou au repos. On subdivise ainsi les mouvements anormaux en quatre catégories : z11, tremblemen
ent au repos (type paralysie agi- tante); - 2° tremblement dans les mouvements volontaires (type sclérose en plaques) ; ;- 3°
(type sclérose en plaques) ; ;- 3° contractions anormales dans les mouvements (type ataxie locomotrice) ; - 4° contractions a
atrième type : c'est une chorée. Il ne s'agit pas, en effet, d'un mouvement oscillatoire régu- lier de part et d'autre d'un
ns apparaissent .et dispa- raissent, la lenteur et la gaucherie des mouvements volon- taires, les contrastes que présente le f
nt brusque, subite et unique. 11 y a bien trois types différents de mouvements , mais chacun d'eux est nettement limité, toujou
ant une longue période. Aucune lenteur et aucune gauoherie dans les mouvements volontaires qui sont absolument normaux. C'est
ctoires et bizarres, qui appartiennent à la chorée de Sydenham. Les mouvements involontaires im- pulsifs, qui constituent le s
u moins fidèlement des actes voulus, logiques, intentionnels. Les mouvements anormaux de notre malade rentrent bien dans ce
toujours les mêmes et très rapprochés. Ici, rien de cela. Il y a un mouvement isolé de salutation, un seul; puis un repos com
fois ou alternativement ; elles sont quelquefois accompagnées d'un mouvement corres- pondant du membre, d'autres fois pas ;
jamais on ne peut comparer les déplacements qu'il provoqne à des mouvements intentionnels. Les travaux sur le paramyoclonus
. 33 tantané; il ne se développe, dans la majorité des cas, aucun mouvement ayant l'apparence d'un mouvement voulu ; à peine
e, dans la majorité des cas, aucun mouvement ayant l'apparence d'un mouvement voulu ; à peine est-il commencé qu'il est fini
as des gestes ni des mouve- ments rappelant en quoi que ce soit des mouvements volon- taires. Ce signe encore est constant; il
lonus, puisqu'elle réalise des gestes logiques et comparables aux mouvements volontaires. S'il fallait un complément d'infor
s membres inférieurs sont à peu près indemnes, à part toutefois des mouvements d'élé- vation et d'abaissement de la rotule; le
on et d'abaissement de la rotule; le tronc, au contraire, offre des mouvements de torsion et des oscillations diverses, en mêm
e temps que les membres supérieurs sont constamment agités. » Les mouvements du paramyoclonus atteignent donc leur plus haut
plusieurs leçons du mardi 1. Guinon définit le tic (p. 555) : * Un mouvement convulsif, habituel et conscient, résultat de l
nt nous nous occu- pons : la salutation de notre malade est bien un mouvement convulsif habituel, il reproduit aussi un acte
te. 11 résulte très nettement de l'interrogatoire que chacun de ces mouvements est séparé des mouvements convulsifs analogues
ent de l'interrogatoire que chacun de ces mouvements est séparé des mouvements convulsifs analogues par un certain intervalle,
ar une série de contractions du même ordre. En un mot, il s'agit de mouvements isolés. Ultérieurement, la malade a traîné pend
symptomatologie' 36 CLINIQUE NERVEUSE. variée, sont survenus les mouvements de salutation et d'élévation de l'épaule qui vo
Dictionnaire proclame cette distinction : « La seconde catégorie de mouvements involontaires, que nous considérons comme n'ent
comme n'entrant pas dans le cadre des tics convulsifs, comprend ces mouvements , devenus inconscients à force d'être répétés, e
t sur les boutons des vêtements de son inter- locuteur. Ce sont ces mouvements , devenus involontaires, puis réellement inconsc
la projection de sa tète en avant et en arrière,- pour effectuer le mouvement de salutation. Dès ce moment, la névrose est co
t d'isolement complet, sans quelque grimace de la face ou quelque mouvement involontaire du cou. Déjà les mouvements du mem
ace de la face ou quelque mouvement involontaire du cou. Déjà les mouvements du membre supérieur sont peu fré- quents : bien
aille en diminuant de haut en bas du corps. D'après Guinon, « les mouvements involontaires qui animent les membres inférieur
est obligé de répéter 2,3, 10 fois le même 14 CLINIQUE NERVEUSE. mouvement , de tourner dix fois le bo Uou d'une porte avant
il y a au contraire diminution d'action des centres modérateurs des mouvements réflexes, centres admis par Ferrier et aussi pa
nistre sous forme de granules. 70 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. mouvements de manège, tendance au recul, chutes dans un sens
he une chorée rhu- matismale (Ohs. IV), une paralysie générale avec mouvements choréiques (Obs. V), - une chorée avec angoisse
paralysie des deux yeux en haut, mais intégrité de tous les autres mouvements des yeux ; nul trouble de la vision. Impossible
petite partie d'entre eux. Elle apparaît chez le nouveau-né j à ses mouvements , à la façon dont il ferme les yeux quand on le
un court accès de crampe, prédomine une para ! y- sie, un arrêt des mouvements . Dans les muscles du cou et de la face, c'est p
nt tourne sa page lui-même ; ce fut le commencement du retour des mouvements . Ajoutons que le malade, après sa morsure, avait
animal adulte. Ces animaux sont nés avec des organes des sens et du mouvement complètement développés. Dans chacune des zones
itants vaso-moteurs et trophiques, des contractions musculaires, le mouvement du pouls, l'entrée en jeu- des centres sous-cor
pas d'aphasie et Je malade était demeuré cumpiëtement/maitre des mouvements de sa langue, du moins des mouvements les moins
meuré cumpiëtement/maitre des mouvements de sa langue, du moins des mouvements les moins compliqués. Le rôle des corps olivaie
pondérance qui serait corrélative à la complexité plus grande des mouvements de la main droite chez la majorité des individus.
nt redevenue nurmale, -la gauche reste complètement paralysée ; les mouvements de la cuisse se faisaient normalement. Fistule
et insensible. Au bout de quinze jours, l'électrisation ramène les mouvements dans la cuisse droite, la jambe restant paralys
dans l'abdomen avec irradiations dans le membre inférieur gauche. Mouvements possibles dans la hanche et la cuisse. Redresseme
nt prolonger l'axe de la jambe. Flexion possible et même énergique. Mouvements de latéralité nuls. Sensibilité au froid, à la
ère, grâce à la chute du pied, qui devient presque vertical dans ce mouvement . En l'écoutant marcher, on n'entend pas le pied p
récisément le double bruit .habituel de se produire. L'examen des mouvements du pied démontre qu'il existe une ,paralysie tr
,paralysie très accentuée des extenseurs du pied et des orteils. Le mouvement d'extension est absolument impossible. Les péroni
ervent, sinon la totalité, du moins une partie de leur force. Leurs mouvements , s'ils ne sont pas très éner- giques et sont fa
ôté gauche. 168 PATHOLOGIE NERVEUSE. Les essais de résistance aux mouvements passifs montrent qu'à gauche l'extension est nu
en vins; aurait eu à quarante ans, quelques attaques d'é- pilepsie ( mouvements convulsifs, écume à la bouche, morsures de la l
qu'inférieure à celle que présentent les muscles du côté opposé. Le mouvement et la résistance sont bien conservés dans les m
e des points douloureux, la pression des muscles, ' l'exécution des mouvements du pied et de la jambe font apparaître des cram
igts du pied se relèvent et s'abaissent avec difficulté. Les autres mouvements ne sont pas plus faciles; ils exigent de la part
difficile- ment la cuisse droite sur celle du côté opposé. 1 Les mouvements de chaque segment du membre inférieur droit son
de raideur qui n'empêche pas néanmoins complètement l'exécution des mouvements . Le membre inférieur droit tout entier est atte
et qui présente, principalement dans la tête et les membres, des mouvements très bizarres et difficiles à analyser. Je dois d
nt y a trois ans que la malade a constaté pour la première fois les mouvements qui motivent son entrée. Ces mou- vements ont,
LEMENT. '189 fille n'a pu bientôt lire et coudre qu'avec peine. Les mouvements , légers à l'origine, ont augmenté peu à peu d'i
longues, dont je vous ai communiqué certains passages. Quant aux mouvements anormaux, qui constituent le symptôme prédomina
scille d'une façon continuelle, aussi bien au repos que pendant les mouvements . Les bras et les jambes, surtout à gauche, sont
Les bras et les jambes, surtout à gauche, sont également animés de mouvements anormaux, mais ceux-ci ne se produisent guère q
nts anormaux, mais ceux-ci ne se produisent guère que pendant les mouvements volontaires ou bien lorsque le membre n'est pas
ments volontaires ou bien lorsque le membre n'est pas soutenu ; les mouvements du bras sont beaucoup plus marqués que ceux du
sont beaucoup plus marqués que ceux du membre inférieur. Tous ces mouvements ont le caractère rythmique; ce sont tou- jours
part et d'autre d'une position d'équilibre. La tête est animée d'un mouvement d'oscil- lation verticale qui, chez une personn
me temps que cette trépidation d'ensemble de la tête, il existe des mouvements partiels provoqués par la contraction de certai
provoqués par la contraction de certains muscles, en particulier un mouvement oscillatoire, indépendant, du cuir chevelu et des
ulièrement intermittente des muscles frontaux et sourciliers. Les mouvements des membres ont également un caractère rythmé.
'exa- gèrent jamais, même après la répétition fréquente d'un même mouvement voulu, au point de rendre l'acte impossible. Ce d
ermet l'exécution d'actes divers, au lieu que le degré habituel des mouvements oscilla- toires dans le bras gauche rend, de ce
violent tremblement, mais c'est encore au niveau de la tête que les mouvements prédominent. La malade sent le sol en marchant,
ns au diagnostic. Ce qui domine chez notre malade, ce sont donc des mouvements anormaux prédominant au niveau de l'extrémité c
e que la chorée de Sydenham, commune, le plus souvent cependant les mouvements sont plus lents et dans la plupart des cas auss
coup plus grande et produit l'arrêt ou la diminution momentanée des mouvements intentionnels. Cette influence de la volonté n'
nt divers caractères l'en rapprochent : le développement tardif des mouvements anormaux, à. l'âge de vingt-huit ans; la chroni
fait, dans notre cas, entièrement défaut. De plus et surtout, les mouvements de la malade ne présentent en aucune façon les
ments de la malade ne présentent en aucune façon les caractères des mouvements choréiques. La caractéristique des chorées, que
il en existe ! ), c'est l'irrégularité, l'arythmie, le désordre des mouvements . Or, les mouvements . de notre malade sont ryth
est l'irrégularité, l'arythmie, le désordre des mouvements. Or, les mouvements . de notre malade sont rythmiques et réguliers.
s la chorée rythmique est habituellement caractérisée par de grands mouvements oscilla- toires. Or, les oscillations qui tradu
es grandes salutations comme celles de notre première malade, les mouvements de pédale et de saut, classiques en pareil cas,
le tremblement de la malade semble bien se manifester en dehors des mouvements . Une analyse plus complète des phénomènes'perme
ts en premier lieu, les, pieds peuvent' l'être aussi. De plus les mouvements anormaux qui, je viens de vous le dire, se pro-
les, d'émietter du pain, de rouler une cigarette, ils exécutent des mouvements de pédale, etc. - : Ici, rien de pareil : la
ion de la main ne prête à aucune comparaison de ce genre;' c'est un mouvement d'os- cillation verticale, et pas plus. En outr
le, font ici défaut. La malade, en marche, n'est point animée de ce mouvement de propulsion qui lance les Parkinsonniens la t
observe : la tête est surtout et presque exclusivement animée- de mouvements anormaux. Cet ensemble de preuves suffit, je le
es membres peu marqué au repos, apparaît nettement à l'occasion des mouvements , il est naturel de songer à la sclérose en plaq
s reprises et vivement un verre à sa bouche. La première fois, le mouvement s'exécute assez bien; mais, à la quatrième ou c
e ceux-ci se répètent. Quand la malade exécute une série de fois un mouvement volontaire, la trépidation se manifeste dès le
itions précédentes, nous notons habituellement la per- sistance des mouvements de la tête. Au lieu que si l'extrémité céphaliq
Il ne reste plus alors que la contraction rythmique du frontal avec mouvement oscillatoire des sourcils; ce tremblement local
la contraction musculaire et ne s'exagérant en aucune façon par les mouvements constitue un troisième type dont notre cas démo
pour maintenir une. attitude fixe, soit surtout pour exécuter,. un mouvement voulu ; le tremblement augmente d'inten- sité s
,. un mouvement voulu ; le tremblement augmente d'inten- sité si le mouvement exécuté est délicat, si un effort est nécessaire
ent affirmatif (B. Saunders) ; par- fois la combinaison de ces deux mouvements imprime à la tête 'des oscillations obliques. '
assez intenses pour'simuler comme dans la .paralysie agitante , des mouvements de métier. Si, pendant que le ' bras est étendu
, on ordonne au malade de saisir un objet quelconque, d'exécuter un mouvement déter- .miné, on n'observe pas le temps d'arrêt
r- .miné, on n'observe pas le temps d'arrêt momentané au début du mouvement intentionnel, si caractéristique de la.maladie de
a.maladie de Par- >kinson ; on n'observe pas non plus pendant le mouvement inten- .tionnel une augmentation graduelle et p
but déterminé comme il arrive dans la sclérose 'en plaques. Ici- le mouvement augmente - bien d'amplitude'pendantque lamain e
s augmentent brusquement d'in- '.tensité au début de l'exécution du mouvement voulu et restent uui- .furmément;également, aug
ept secousses par seconde), ,la même;uniformité de- rythme. » Ces mouvements ne se produisent souvent que dans une position.
' : En général, ils n'empêchent pas absolument l'exécution des - mouvements volontaires ; ils déterminent seulement un peu de
tremblements en général sur la succession plus ou moins rapide des mouvements : il dis- tingue de la sorte les tremblements à
anger le. tremblement alcoolique, la trépidation hydrargyrique, les mouvements rythmés de la- maladie de Basedow et de la para
e avec peine; elle ne peut sans difficulté souffler une bougie. Les mouvements de la langue sont gênés; ce n'est pas l'envie d
. L'antipyrinc est vantée par divers auteurs dans le traitement des mouvements anormaux- Legroux et Dupré (Académie de Médecin
l ne peut remuer le bras gauche ni le porter sa tête. A l'examen, mouvements d'abduction et d'élévation du bras presque impo
re tout entier divers troubles transitoires de la sensibilité et du mouvement , tels que sensation de lourdeur, parfois anesth
exes tendineux. P. K. XXXVI. UNE FORME particulière DES troubles DU mouvement DE la PUPILLE; par SALGO. (Centr. f. Nervenh.,
topsie confirmative. P. K. XLIX. Sur UN phénomène TOUT particulier ( MOUVEMENT associé) QUI SE PRÉSENTE dans LE tabès dorsal;
lement; rien du côté de l'articulation du genou ni de la jambe. Ces mouvements coïncident exactement avec la contraction des m
s'agissait pas le moins du monde d'accidents réflexes, puisque les mouvements naturels de la lan- gue, fussent-ils exagérés à
émission de larmes et bouche démesurément ouverte; en même temps, mouvement convulsif indolent de la langue qui vient, en se
neuf ans : toutes les fois qu'il joue avec animation et se donne un mouvement très actif, en quelques minutes apparaît le ble
PATHOLOGIE NERVEUSE. 249 réactions tendineuses diffèrent des vrais mouvements réflexes des muscles volontaires en ce sens qu'
vocablement altéré. P. K. LXIII. D'UNE ESPÈCE TOUTE particulière DE mouvement associé de la paupière SUPÉRIEURE EN état DE pa
intervalles de complète lucidité. En même temps grimaces, et divers mouvements irrésistibles non choréiques. Hy- drothérapie.
quelconques. P. K. XXXIV. LES CENTRES DU cerveau qui commandent au mouvement delà vessie ; par W. BECHTEREw et N. MISSLA WSK
jambes de côté et d'autre comme une ataxique. Une fois couchée, les mouvements des membres inférieurs sont absolument normaux;
ndant d'une tabopara- lysie à laquelle l'influenza avait imprimé un mouvement de pro- gression des plus rapides. En revanche,
étudier les différents troubles de la marche, de la sensibilité, du mouvement , des réflexes, du langage, les troubles trophiq
sser ensuite à ceux de la sensibilité, pour revenir après à ceux du mouvement ? Si, tel qu'il est, cet ouvrage ne peut être c
erait trois dents sans douleur et qu'elle ne devrait faire d'autres mouvements que ceux com- mandés par M. Carter, l'opérateur
lir le diagnostic, on en est réduit à l'obser- vation exclusive des mouvements convulsifs, le dia- gnostic ne peut être immédi
de tombe à terre, privé de connaissance, ses membres sont agités de mouvements convulsifs peu intenses, et il a une tendance à
attements dans les tempes, sensation de constriction dans la gorge, mouvement d'abaissement et d'élévation de la paupière droit
es douleurs sont-fugi- tives et gênent la respiration et les divers mouvements . Cinq jours DE LA MIGRAINE OPHTHALMIQUE HYSTÉRI
n de constriction dans la gorge et la paupière droite est animée de mouvements rapides d'élévation et d'abaissement. Il se dév
du pa- lais sans provoquer de nausées, sans donner naissance à un mouvement réflexe quelconque ; des attaques hystériques car
aques hystériques caracté- risées par des contractures et de grands mouvements avec ou sans perte de connaissance; des points
ure nous paraît incontestable ; les battements dans les tempes, les mouvements rapi- des d'élévation et d'abaissement de la pa
plus grande précision-imprimé à 368 PHYSIOLOGIE. l'ombre un léger mouvement ; or, l'excitant en mouve- ment agit plus énergi
ofonde est con- servée, ainsi que lé sens musculaire, sauf pour les mouvements du pied et des orteils. Ainsi, lorsqu'on lui to
de la sensibilité, prédominant surtout à gauche, et les troubles du mouvement . Le caractère même de la malade facilement sugg
ts de mémoire organique les plus caractéristiques c'est celui des mouvements des membres inférieurs pendant la locomotion, e
ait de couture : elle ne faisait plus, pour coudre, qu'une série de mouvements incoordonnés. Voici donc des symptômes qui nous
urd'hui bien mis en lumière. Dans la locomotion par exemple, chaque mouvement exige la mise en jeu d'un certain nombre de mus
tre considérées comme la cause première de son amnésie relative aux mouvements de la station debout et de la marche. Comment l
debout et de la marche. Comment les représenta- tions mentales des mouvements de la marche pourraient-elles être restées inta
, nous avons d'abord tâché de réveiller les images motrices par des mouvements passifs re- produisant ceux de la marche. Mais
e qui est facile, étant donné son désir extrême de marcher, sur les mouvements de locomotion. Etant donné que les images les p
n de s'adresser tout d'abord, en lui recommandant de regarder les mouvements de la marche chez les autres personnes, ceux qu
s et motrices s'associent pour rendre à la malade le sou- venir des mouvements de locomotion et le résultat sera encore plus f
animal est tranquille daus le bassin où on l'a remis, provoquer des mouvements de locomotion en approchant un corps de ses yeu
, choisir entre les différentes sortes de nourriture, diriger leurs mouvements avec précision, et en fait se conduire avec tou
er tranquilles. En fait il serait difficile de distinguer par leurs mouvements et les réponses aux excitants les grenouilles n
nget trouva que les animaux paraissaient voir assez pour suivre les mouvements d'une flamme tenue en face de leurs yeux à une
atants comme celui d'un pistolet tiré près d'eux; et, d'après leurs mouvements et leurs gestes, ils paraissaient ressentir les i
si les animaux voient, c'est-à-dire sont capables de diriger leurs mouvements d'après leurs impressions rétiniennes. -- Macke
ui, sans aucun doute, conservent le sens de la vue et guident leurs mouvements malgré l'ablation complète des hémisphères céré
frotte ses narines avec ses pattes. Non seulement il répond par des mouvements au pincement de ses pattes ou de sa queue, mais
omme les lapins normaux, ils sont toujours capables de guider leurs mouvements suivant leurs impressions rétiniennes. D'un aut
t aucune attention à tout ce qui se passait autour de lui. Tous ses mouvements étaient maladroits, irréguliers; cependant' il
nombreuses et variées ont montré qu'il était capable de guider ses mouvements par là vue. Il ne courait pas contre les obstac
us deux avaient conservé de la sensibilité cutanée et faisaient des mouvements avec tous leurs muscles. Ils ne montraient aucu
avec la vie, il y aurait une paralysie si complète et si durable du mouvement et une altération de tous les sens qu'à peine il
vons cependant dans beaucoup de cas, sinon dans tous, rapporter ses mouvements soi-disant spontanés aux impressions périphériq
cit., p. 99. Archives, t. XX. 27 418 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. mouvements spontanés et instinctifs, ils ne pouvaient reconn
faite en premier lieu par Fritsch et Hitzig en 1870 2, que certains mouvements définis pouvaient être produits par l'applicati
agit pas à cette forme de stimulant, cependant il a pu produire des mouvements dans les membres opposés en irritant les parois
par les excitants mécaniques et peut répondre non seulement par des mouvements partiels des membres opposés, mais aussi par un
caux. Quand un animal est suffisamment endormi pour abolir tous les mouvements spontanés, l'anesthésie ne doit pas être poussé
emier orteil. - Toes, orteils. 424 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. le mouvement exact qui se produira chez les animaux de la même
robable que l'irrégularité des effets de l'excitation était due aux mouvements spontanés de l'animal. Il peut se présenter quelq
l'excitation minima, d'après leurs récentes recherches, produit les mouvements respectifs indiqués en marge. Mais il ne s'ensu
V. DU TEMPS DE réaction D'UNE IMPULSION volontaire ET D'UN ARRÊt du mouvement volontaire; par ORSCHAr)SKY.(eU7'0/. Ce ? ! <r
volontaire; par ORSCHAr)SKY.(eU7'0/. Ce ? ! <r6[M., 1887.) Les mouvements que nous exécutons volontairement, nous pou- vo
ion est tendue ou relâchée, ainsi que la rapidité correspondante du mouvement de l'accom- modation. P. K. XLVIII.DE l'irrit
es associer; on aura soin de les suivre, de les soutenir pendant le mouvement d'élévation du membre et de ne les laisser exer
mme un sens de la force qui fait partie intégrante du processus des mouvements normaux; chaque muscle ou chaque partie de musc
a notion de position de sa tête, puisque les images sont animées de mouvements correspondants aux déplacements de la tête. Exp
moglobine du sang, par Benezur et Catsary, 546. BLÉPH.\ROPTOSE, mouvement associé dans la congénitale unilatérale, par
- de la grenouille, par Koepen, 265;- centres du commandant aux mouvements de la vessie, par Mi- tanski, 266, fibres nerve
a, 73 ; rapports entre le et le diabète sucré, par Fischer, 239 ; mouvement as- socié dans le -, par Stristzing. 243; -di
sie, par Haig, 255. Vessie, centres du cerveau comman- dant aux mouvements de la -, par 1111sslawsl¡y, 266. Vision, cham
37 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
scia lata en dehors, le long des nerfs crural et fémoro-cutané. Les mouvements actifs et passifs de l'articulation de la hanch
ochantérien, poplité, péronier et dorsal du pied. D'autre part, les mouvements actifs et passifs de l'ar- ticulation de la han
tronc, le rire, la toux. La marche augmente aussi la douleur. Les mouvements provoqués des articulations du cou-de-pied et d
se droite; l'abduction de la cuisse est un peu douloureuse; mais ce mouvement peut être aussi étendu de ce côté que du côté o
ossible de modifier l'attitude en cherchant à imprimer au tronc des mouvements passifs, et que la déformation persiste lorsque
ulèvement du pied du côté malade. Il s'agit donc là simplement d'un mouvement instinctif effectué dans le but d'atténuer la s
ibilité, de la force musculaire, et de la coordination des autres mouvements des membres inférieurs. En dépit des néologisme
ara- lysie de synergies musculaires déterminées, c'est-à- dire de mouvements systématisés, comparable à ce qui se passe dans
me on sait, l'impuissance motrice n'est pas due à une paralysie des mouvements ordinaires, puisque le malade se sert très bien
s, puisque le malade se sert très bien de sa main pour exécuter les mouvements vulgaires et même certains mouvements systémati
e sa main pour exécuter les mouvements vulgaires et même certains mouvements systématisés, comme pour dessiner, dans quelque
ur dessiner, dans quelques cas, mais il a perdu le sou- venir des mouvements spécialisés nécessaires pour tracer l'écriture.
cas, ou «marcher à quatre pattes », mais il a perdu le souvenir des mouvements spécialisés néces- saires pour se tenir debout
ts négatifs de l'épreuve des yeux et par l'adaptation régulière des mouvements au but voulu. Cette forme, très rare, n'a été v
urbation des irradiations spinales. Ce qui le prouve, c'est que les mouvements sont .normaux lors- qu'ils sont exécutés dans l
eut se tenir debout ou marcher; . Jaccoud. Paraplégies et ataxie du mouvement . Paris, 18G}, p. 653. 2b PATHOLOGIE NERVEUSE.
é a conservé l'intégrité de la force musculaire et la précision des mouvements des membres. On observe quelques variétés; parf
t sur le bassin, ou encore, lors des essais de marche, il y a des mouvements désordonnés, il arrive enfin que la progression
réflectivité spinal, mais d'un simple défaut de coordination des mouvements spéciaux relatifs à la station et à la marche'.
forme intéres- sante d'incoordination est relative seulement aux mouvements complexes et n'apparaît pas dans les cas de mou
lement aux mouvements complexes et n'apparaît pas dans les cas de mouvements volontaires d'un membre; la faiblesse n'y est p
he reflexlcra.nap fe, les convulsions qui sont mises en jeu par les mouvements de locomotion du corps et les distingue des spa
aleur discutable. La convulsion statique est relative seulement aux mouvements du corps, tandis que la convulsion fonctionnell
e ces crises, l'hyperesthesie ne se révèle que sous l'influence des mouvements et des attouchements. Il y a eu aussi quelques
porte aisément dans toutes les directions. On ne peut im- primer de mouvements passifs en raison de l'hyperesthésie qui rend d
droit se détache cependant et se porte en avant, mais le reste des mouvements ne se produit pas. Lorsqu'on lui dit de sauter,
t. Il est à remarquer que, lorsqu'on la fait lever, il n'y a pas de mouvements contradictoires. L'examen ophthalmoscopique, fa
et remarqua que, couché, Charles pouvait imprimer à ses membres des mouvements de flexion et d'extension assez rapides. Les
s la colonne vertébrale. Etendu sur un lit, le malade essayait de-- mouvements variés avec les pieds, il allongeait et ramenai
commence pour la première fois à marcher..le lui fis essayer divers mouvements , non seulement en se tenant sur son lit, mais e
s yeux et je remarquai la même faiblesse, le même désordre dans les mouvements . Leréllcxerotulicn n'était ni exagéré ni diminu
malie consistant dans le manque d'énergie et de coordination des mouvements de la marche. Il ne s'agissait pas d'une lésion a
range. Sur un lit, on voyait un jeune enfant vigou- reux, a)ant les mouvements des membres inférieurs bien coor- donnés, lorsq
musculaire des membres inférieurs est con- sidérable, toutefois les mouvements se font par secousses. Debout, elle oscille à d
il se tient les genoux fléchis. Il montre qu'il est capable par un mouvement de ressort de sauter sur un fauteuil, mais il m
tésie considérable. Le doigt promené sur cette région provoque des mouvements de défense énergiques, sans sensations d'aura.
essus le lit, mais elles re- tombent rapidement. Dans l'épreuve des mouvements communi- qués avec résistance dela part du suje
reprit la marche peu à peu. Deux mois après surviennent d'étranges mouvements des mem- bres inférieurs. Pendant la marclie or
ement parler c'était un saut sur place, mais en raison de ce que ce mouvement survenait alors que le corps était lancé en ava
est momentanément projelé en arrière. Pour empêcher la chute que ce mouvement amènerait, DE L'ASTASIE ET DE L'ABASIE. 43 le
ment amènerait, DE L'ASTASIE ET DE L'ABASIE. 43 le malade fait un mouvement compensateur en avant, et comme le saut survien
exemple dans le lit contre les barreaux, ne produit également aucun mouvement . Au contraire, quand le malade est debout, on p
se, un ne remarque rien d'anormal : elle exécute très bien tous les mouvements qu'on lui commande; mais elle dit que de temps
ait la malade elle se baisse et se redresse alternativement par des mouvements brusques et rapides; à mesure qu'elle avance ce
r son équilibre. Les secousses ne consistent pas seule- ment en des mouvements d abaissement du corps; si on cherche à les ana
fléchit sur le bassin, la tête éprouve, par rapport au tronc, un mouvement de flexion et de rotation, et les avant-bras se f
'il n'y a pas d'atrophie; la force musculaire est conservée, et les mouvements sont coordonnés. La sensibilité cutanée est lég
blent un peu aux saccades qu'elle présente dans la marche, mais les mouvements de la tête sont beaucoup plus accentués, et sa
et état de complète impo- tence dura deux mois, au bout desquels le mouvement revint complètement dans les membres supérieurs
L'ABASIE. 49 s'irradiant parfois à l'épigastre, exagérées parles mouvements , non par la pression. , Fi ? S.. Archives,
a puissance musculaire est très diminuée; la malade résiste mal aux mouvements qu'on im- prime à ses membres inférieurs, et ne
érieurs, et ne peut garder la jambe éten- due horizontalement : les mouvements qu'elle fait sont toutefois coordonnés et assez
ur les cuisses et des cuisses sur les jambes. Pendant la marche ces mouvements s'exagèrent considérablement : la malade iléchi
e à l'aide de deux cannes, les yeux fixés constamment à terre : les mouvements paraissent plutôt maladroits que désor- donnés
ensée d'aliments sapides fissent apparaître la sueur à la face. Les mouvements violents sont également sans influence. Quand i
éveillé, parle ou mange. Elle n'augmente pas sous l'influence des mouvements de mastication, des émotions ou des mouve- ment
on s'aperçoit qu'il a glissé à côté du fauteuil, puis, par un autre mouvement brusque sous le lit. Les membres inférieurs son
ir. D. Vous avez cependant votre liberté ? R. La pensée, c'est le mouvement , c'est la violence, elle se porte hors des murs;
dont le moindre attouchement provoquait une attaque convulsive.-Les mouvements limités d'abord au tronc, qui paraissait par de
ns de latonicité musculaire; 3° phénomènes mo- teurs paradoxaux; 4° mouvements intentionnels et motilité en rapport avec les c
ments intentionnels et motilité en rapport avec les conceptions; 5° mouvements automa- tiques. Enfin, il existerait une clas
tendre enfance de l'exophthalmie, un défaut de concordance entre le mouvement de la paupière et l'abaissement du regard, une
e soude, puis les douleurs re- prennentde plus belle empêchant tout mouvement ; angoisse; l'em- ploi du salicylate de soude e
r de l'avant-bras; à l'extension passive maxima se produisaient des mouvements convulsifs dans le médius. Depuis l'âge de trei
face, autant qu'on puisse en juger, ne présentent pas d'atrophie. Mouvements . -Le bras droit ne peut être soulevé; des mouve-
s gauche ne se produisent qu'à un angle de o ; dans ces limites, le mouvement est assez énergique, quoique un peu affaibli. L
ites, le mouvement est assez énergique, quoique un peu affaibli. Le mouvement du bras gauche en arrière se fait avec une cert
e est quand même au-dessous de la normale. Du côté droit tous ces mouvements ne sont que peu affaiblis. A la flexion du coude
la flexion du coude : à DE LA GLIOMATOSE MÉDULLAIRE. 1 65 droite, mouvement limité; à gauche, la flexion est étendue, mais
ten- due ; à droite, elle manque complètement; à gauche, tous les mouvements de la main et des doigts sont normaux et assez
ent limitée ; sa flexion radiale est assez considérable; les autres mouvements delà main et des doigts sont assez faibles. L'opp
d'altérations motrices. Point de crampes, ni de contractures. Des mouvements fibrillaires s'observent dans les muscles du bras
oite et plus lourde subjectivement. Membres supérieurs : les petits mouvements de la main sont moins adroits, l'écriture est r
piré, le foie aug- menté, le coeur faibli. Membres supérieurs : les mouvements de l'articulation de l'épaule sont plus faibles
se de l'articulation de l'épaule gauche, craquement, limitation des mouvements passifs par la tension des muscles. Point d'épa
on ne remarque non plus aucune réaction de dégénéres- cence. Les mouvements ne sont troublés que dans le membre supé- rieur
ils provoquent. La parésie parait manquer. De temps en temps, des mouvements convulsifs et des spasmes se produisent dans les
embre supérieur droit, surtout dans la main. Toute secousse, tout mouvement actif, l'effroi, l'émotion, la toux provoquent
répétait à un degré plus élevé et de temps en temps survenaient des mouvements convul- sifs dans les doigts. Tantôt la douleur
des nerfs périphériques : 1) La sensibilité est altérée plus que le mouvement ; 2) des degrés différents d'anesthésie et la s
l'inflammation). Après la guérison de l'abcès (au prin- temps), les mouvements de la main étaient encore parfaitement normaux,
ù le pouce 180 PATHOLOGIE NERVEUSE. commença à être gêné dans ses mouvements , il y a deux ans de cela, que le malade s'aperç
e com- mencèrent à se produire simultanément aux contractions des mouvements fibrillaires : le malade les sent; ils ne se prod
première articulation et ramené vers la paume de la main, mais ces mouvements sont absolument impuissants. La flexion dans l'
tion métacarpo-phalangienne et manque de force dans les autres. Les mouvements des articulations radio-carpiennes et les autre
igts sont légèrement affaiblis en comparaison de l'état normal. Les mouvements de la main sont libres et forts, de même que to
ements de la main sont libres et forts, de même que tous les autres mouvements du membre supérieur droit. Souvent se produisen
res mouvements du membre supérieur droit. Souvent se produisent les mouvements fibrillaires décrits plus haut dans les extense
ans le courant de l'année suivante. 8 Janvier 1883. Les troubles du mouvement et de la sensibi- DE LA GLIOMATOSE MÉDULLAIRE.
soubresauts persistent ; pendant l'examen on observe une série de mouvements de flexion et d'extension non rythmés et non
te pas de fluctuation. La peau est rougeâtre, point de douleur, les mouvements sont peu limites Fig. 19. Fig. 20. 184 path
commencement d'atrophie du premier muscle interosseux ; tous les mouvements du pouce sont conservés ; objectivement on n'ob-
tielle diffuse confirme le diagnostic définitivement; les petits mouvements spasmodiques des muscles sont très typiques et
mne ; enfin, le malade exécute, avec force et préci- sion, tous les mouvements qu'on lui ordonne. Ainsi ' Tome XV, n° 13, p. 2
désigne, etc. De plus, les membres inférieurs ne présentent ni mouvements involontaires, ni secousses. Ce n'est que lorsq
à l'autre sans raideur, les pieds se détachant à peine du sol ; ces mouvements n'ont de la marche que l'alternance des actes d
rche à l'aide de deux aides ou de béquilles, on constate di- vers mouvements contradictoires et incoordonnés : les jambes pa
pas moins caractéristiques. Pendant la station, il se produit des mouvements de brusque flexion des genoux suivis d'une exte
s- pond une flexion du tronc sur le bassin et, aussitôt après, un mouvement d'extension du corps. L'en- semble de ces actes
re étant dans l'extension. Ces contorsions capitales entraînent des mouvements secondaires compensateurs des membres supérieur
ojeté à quelques cen- timètres au-dessus du sol. En tout cas; ces mouvements sont irréguliers et non rythmés; quelquefois, i
» Assez fréquemment (5/11 de nos observations), les désordres du mouvement sont accompagnés des phé- nomènes révélateurs d
malade au repos offre toujours de l'incoordination pour tous les mouvements des membres inférieurs. Enfin, il existe d'autr
n se présente sous sa dernière forme, c'est-à-dire qu'il existe des mouvements désor- donnés et contradictoires, pendant la st
thmée offre comme caractères spéciaux le rythme et la cadence des mouvements , leur intermittence sous forme d'ac- cès ; de p
que la malade est couchée; enfin, lors de l'accès, tous les autres mouvements (saut, marche à cloche- pied) sont empêchés. L'
atorisch Reflexkrampf). Il s'agit de sujets chez lesquels aussi les mouvements anor- maux nuls dans la station assise, et si l
ied. Dans la majorité des cas, le malade étant assis ou couché, les mouvements des membres infé- rieurs reparaissent de nouvea
s. Aussi bien n'existe-t-il pas d'autre affection dans laquelle les mouvements parti- culiers normaux quand le malade est couc
pourrait citer en grand nombre des exemples qui prouvent que des mouvements qui, au début, ont coûté de grands efforts de v
Demandons-nous maintenant comment s'opère cette transformation du mouvement volontaire en mou- vement automatique ? Lorsque
vement automatique ? Lorsque nous faisons pour la première fois des mouvements compliqués notre cerveau est le siège d'une gra
ntaires, il les accomplisse réguliè- rement. Lorsque l'ensemble des mouvements a enfin été associé, leur exécution simultanée
ture de la moelle épinière et y subsiste à titre de substratum d'un mouvement potentiel ou abstrait. Il en résulte pour l'ave
e fait que, longtemps déjà avant de mar- cher, les enfants font des mouvements alternants avec leurs jambes lorsqu'on les tien
le même ressort a, dans l'orgue, la double fonction de suspendre le mouvement et de changer l'air. C'est ainsi que, dans le c
ériences qui démontrent que, chez certains animaux, le centre des mouvements coordonnés pour la marche est dans la moelle.-S
ur de la baguette en rampant '. Il s'agit bien là évidem- ment de mouvements dont le mécanisme est dans la moelle épinière ,
ment de mouvements dont le mécanisme est dans la moelle épinière , mouvements automatiques et non raisonnés. Physiologiquem
on unique de la volonté suffit pour provo- quer une longue série de mouvements périodiques qui se succèdent jusqu'à ce qu'une
cune des cellules du groupe spi- nal, que, par suite, le centre des mouvements coor- donnés pour cet acte subsistait intact da
entres spinaux où seule réside désormais la mémoire des détails des mouvements associés qui doivent réaliser et objectiver la
le second, désharmonie, incoordination plus ou moins prononcée des mouvements . .C'est ainsi que, dans la station, alors que l
et de divers autres modes de progression; on comprend aussi que les mouvements spécialisés pour la marche et la station soient
és pour la marche et la station soient seuls affectés alors que les mouvements généraux des mem- bres inférieurs, quant à la f
fait asseoir, et on constate que, étant assise, la résis- tance aux mouvements provoqués est considérable et la direction des
tance aux mouvements provoqués est considérable et la direction des mouvements parfaite. Réveillée, la marcheest pendant quelque
dynamométrique des membres inférieurs, ni de la coordina- tion des mouvements . Elle progresse très bien en marchant à quatre
rès invariable, l'éphidrose ne se produit que sous l'influence d'un mouvement ou lorsque tout le corps est en sueur ; -le mal
pupilles sont dilatées. Le pouls est très rapide, incomptable. Les mouvements respiratoires sont rapides, mais réguliers. '
eurs sont en extension forcée. Tout le corps est ensuite agité de mouvements rapides. Le membre inférieur gauche se relève à
is à droite; la mâ- choire inférieure en abaissement forcé, avec un mouvement latéral qui la;porte fortement à gauche, puis à
mangeant, en présence de son oncle, se lève brusquement et, par des mouvements désordonnés, mais non convulsifs, renverse les
à Bicêtre (service de I. BOU1\NEVJLLi : ), Il s'agit dans ce cas de mouvements automatiques précédant immédiatement l'accès. -
n'a frappé son père; il lui disait : « Papa attache-moi ! «Dans ses mouvements , les objets étaient brisés. A Bicêtre, le mal
ésentent sous la forme vertigineuse : pâleur de la face, chute sans mouvements convulsifs. Le pouls est accéléré et le malade
son droit dehors ». En par- lant au médecin, les mains, toujours en mouvement , sont placées devant lui ; il prononce tous les
s. Il s'agit ici d'actes automatiques précédant l'accès suivis de mouvements rotatoires, mais l'on ne saurait assimiler ces
ourriture même dans le stade de manie, par peur du changement ou du mouvement , mais généralement sans raison, délirante ou no
dans les cuisses, sans qu'elle se montrât sensible par le moindre mouvement de contractilulité à des épreuves aussi douloureu
riques nettement convulsifs, les salutations rappelant les grands mouvements comme l'a montré M. Charcot', etc. « A des inte
riables, disent MM. Bourneville et Regnard (p. 138), on observe des mouvements automatiques. Ces malades semblent lutter, fair
fet, le jour suivant, comme j'étais auprès de son lit, elle fait un mouvement , se relève, se jette sur moi comme 1 Vizioli. -
raire, quel fut mon étonnement lorsque je crus apercevoir un faible mouvement de respiration je l'observai de nouveau, et je
et assez générales. P. S. VARIA ASILES D'ALIÉNÉS DE LA SEINE : MOUVEMENT DE LA POPULATION EN 1887 I. Asile Sainte-Amie.
lant du malade, à savoir : les vertiges, le tremblement pendant les mouvements intentionnels, le nystagmus, les paralysies ass
il voulait isoler. « Abolition progressive de la coordination des mouvements et paralysie apparente contrastant avec l'intég
douleurs fulgurantes, de crises gastralgiques, d'incoordination des mouvements , etc. Au point de vue symptomatique, c'étaient
avril 4881, pour des crises douloureuses et de l'incoordination des mouvements des membres inférieurs. Antécédents héréditaire
de l'hystéro-épilepsie : période épileptiforme, période des grands mouvements , etc. Les faits dont il vient d'être question m
paraît se masturber pendant l'examen ; il se frotte le gland par un mouvement circu- laire du pouce et de l'index'. Les ext
périence. La dilatation commence une demi-minute après le début des mouvements . Le tremblement se produit après la première mi
offert de la viande immédia- tement avant l'expérience. Dès que les mouvements commencent, il avale quelques morceaux. Mais le
que les mouvements commencent, il avale quelques morceaux. Mais les mouvements du bateau aug- mentant, l'animal renonce à mang
is monté sur la barque. Nous le plaçons à la cale. Aussitôt que les mouvements de la barque commençant, l'animal prend la même
s les pupilles mirent deux minutes à se remettre. Avec les premiers mouvements , l'animal commence à perdre son équilibre; son
ience, la dilatation a commencé une demi- minute après le début des mouvements , et le tremble- ment après la première minute.
ertige marin ? Il fallait inventer un appareil' qui nous donnât des mouvements sem- blables à ceux d'un navire. Mais en attend
la table à vivisection, en y attachant l'animal et en imprimant des mouvements antéro- postérieurs, les seuls réalisables avec
ostérieurs, les seuls réalisables avec cette table. D'ailleurs, ces mouvements nous faciliteraient beau- coup l'étude ultérieu
beau- coup l'étude ultérieure, car nous aurions ainsi étudié les mouvements du roulis isolé, et n'étant pas influencé par l
les mouvements du roulis isolé, et n'étant pas influencé par les mouvements du tangage ou par les mou- vements mixtes du ba
de plus en plus profondes et moins fréquentes. Pendant les grands mouvements avec descente DU VERTIGE MARIN. 401 brusque d
lus vastes que le tracé tho- racique. Cela provient de l'action des mouvements intestinaux sur le diaphragme, lequel monte du
flé les poumons par la trachée, que nous avons alors bien liée. Les mouvements de balance- ment ont donné des tracés diaphragm
e et sa contractibilité, subit cette influence, surtout quand les mouvements intestinaux sont brusques, comme cela a lieu da
des bateaux en tempête. D'ailleurs, pour bien nous assurer de ces mouvements du diaphragme, après avoir insufflé les poumons
sur l'accommo- DU VERTIGE MARIN. 405 dation de la respiration aux mouvements de l'appareil ou du navire en tangage ou roulis
ce dont nous venons de rapporter le tracé (u° 30), on verra que les mouvements respira- toires s'accommodent aux mouvements de
30), on verra que les mouvements respira- toires s'accommodent aux mouvements de la table, sur laquelle repose l'animal, pend
E PATHOLOGIQUE. un peu brusquement; nous avons ainsi la chute. Ce mouvement est marqué sur le tracé par une ligne droite
ry. 42. - Ttacé des trois respirations . dont l'inférieur donne les mouvements diapliragmatiques directes. Faradl- salin et
diaphragme, la fa- radisation continuant, subit le premier des mouvements pathéti- ques par les secousses intestinales
essant sur le diaphragme. Donc, l'influence des intestins sur les mouvements du diaphragme est prouvée par nos expériences e
- lançons, alors, malgré la faradisation, le diaphragme subit des mouvements pathétiques par la pression intes- tinale, qui
net et Cl. Féré. - Recherches expérimentales sur la physiologie des mouvements chez les hystériques, in Arch. de physiolog., le'
autour d'elle. Secousses dans le bras droit imprimant au membre un mouvement à peu près rythmé qu'on pourrait comparer a cel
ervant cependant ses idées mélancoliques, travaille un peu. Plus de mouvements du bras. 20 octobre. - Redevient hallucinée et
« Afes pauvres enfants, mes pauvres enfants. » Marche ci reculons; mouvements saccadés du bras droit. Novembre. - Mu0 C..., s
ut l'aspect d'une maniaque : cris, gémissements; continuellement en mouvement , elle a la démarche chancelante d'une personne
ton pathétique toutes les petites circonstances de sa vie. - Mêmes mouvements saccadés du bras droit, presque con- tinuels.
ysie générale et de catatonie. M. Sage 2 a, de son côté, étudié les mouvements choréiformes chez les paralytiques généraux.
lsion centrale motrice (paracinèse, tels que raideurs au début d'un mouvement ), ces désordres eux-mêmes peuvent se rencontrer
tres muscles de la face. Lorsqu'ils sont assis, on observe quelques mouvements des membres, de la face ou de la tète. Ces mouv
erve quelques mouvements des membres, de la face ou de la tète. Ces mouvements augmen- tent lorsqu'ils se mettent debout, ce q
e, la sensibilité spéciale, la notion de position, la direction des mouvements , la force musculaire sont conservées. Il en est
t et porté presque sans oscillations jusqu'à la bouche : en un mot, mouvements cho- réiformes prononcés dans la première parti
nces. Dans l'athétose double, l'émission des mots s'ac- compagne de mouvements convulsifs des lèvres et des autres muscles de
e et ne s'observent, au moins durant longtemps, qu'à l'occasion des mouvements , débutent par les jambes envahissent plus tard
(paraplégie). Dans l'athé- tose double, même au repos, on note des mouvements des doigts, des orteils, de la face, etc. ; les
mbes et souvent glisse de sa chaise. La brusquerie et l'étendue des mouvements du choréique, diffèrent tout à fait des mouveme
l'étendue des mouvements du choréique, diffèrent tout à fait des mouvements lents et circonscrits que l'on observe dans la
cogne contre les objets environnants, se contusionne, soit dans ses mouvements incohérents, contradictoires et illo- giques, s
ions violentes, contradictoires, troublent la direction générale du mouvement et font manquer le but, tandis que chez l'athé-
er le but, tandis que chez l'athé- tosique la direction générale du mouvement est conservée. Les troubles cardiaques, la diat
ins grande rapidité. La chorée rhythmée, caractérisée aussi par des mouvements involontaires, impulsifs, cadencés, se reprodui
ncés, se reproduisant suivant un rhythme régulier, imitant certains mouvements d'expression, tels que ceux de la danse, ou bie
eux de la danse, ou bien certains actes profession- nels, comme les mouvements des rameurs ou des forgerons ', et liée d'ordin
. 258 ; XI, 81, etc. (Rédaction.) REVUE DE PATHOLOGE MENTALE. 443 mouvements automatiques divers; 4° l'excitation maniaque, dé
phé- nomènes étaient apparus trois semaines après l'apparition de mouvements choréiques du côté gauche à l'âge de seize ans.
parler, a prétendu ne pas le faire habituellement et expliquait ce mouvement par le besoin d'humecter, en ce moment, la bouche
a raideur ont succédé des crises de tremble- ments à l'occasion des mouvements voulus et d'une émotion, et même de violentes s
des membres supérieurs, surtout dans les extenseurs. Pas d'ataxie. Mouvements automatiques. Anesthésie associée à de l'hypéra
euls excitables. Ce sont d'avant en arrière : 1° un centre pour les mouvements bilatéraux d'ouverture des paupières et de dila
s paupières et de dilatation de la pupille; 2° un centre pour les mouvements du membre antérieur du côté opposé ; 3° un cent
uvements du membre antérieur du côté opposé ; 3° un centre pour les mouvements des deux membres du côté opposé; 4° un autre po
es mouvements des deux membres du côté opposé; 4° un autre pour les mouvements du membre posté- rieur du même côté; 5° enfin u
s du membre posté- rieur du même côté; 5° enfin un dernier pour les mouvements de l'oreille du côté opposé. Si maintenant on
vements de l'oreille du côté opposé. Si maintenant on analyse les mouvements d'origine céré- brale provoqués par les excitat
hamptou et les moralistes qui, dès le principe,s'étaient opposés au mouvement comme étant un « effort infidèle » pour diminue
r termine son article par les conclusions suivantes : L'histoire du mouvement qui s'est produit en Amérique pour la fondation
ations et promotions dans les), 157, 333,191;-(anglals), 957 ; - ( mouvement de la popu- lation dans les - de la Seine), 3
38 (1908) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 21] : iconographie médicale et artistique
mposés, y compris l'adaptation à un but de XXI 1 2 TCHIRIEV ces mouvements ; ensuite les mouvements de la respiration et les
ation à un but de XXI 1 2 TCHIRIEV ces mouvements ; ensuite les mouvements de la respiration et les réflexes y attenant, l
l'âme », c'est-à-dire des taeniac thalmor optic., ne provoque aucun mouvement . Magendie crut avoir prouvé, par ces opérations
e. Mais si on expose l'animal à une excitation, il montre les mêmes mouvements compliqués que l'animal auquel on aurait enlevé l
nimal eut perdu connaissance et après prostration com- plète et des mouvements forcés réitérés, il devint tranquille le jour sui
et en métal, qu'on tenait à son oreille gauche, ne provoquait aucun mouvement de cette oreille; en second lieu l'animal enten
, si on le tenait au niveau de l'oleille droite, im- médiatement un mouvement de l'oreille, l'animal tournait vite la tête vers
ttention de l'animal, qui cherchait à les éviter. Avec le temps les mouvements de manège et le nystagmus cessèrent peu à peu e
rent dans une mesure considérable, et l'animal cessa d'exécuter des mouvements de manège en cercle vers la gauche. Comme manifes
s sons plaintifs, tout en exécutant avec les jambes antérieures des mouvements saccadés. Il vivait ainsi encore à jours, sans
tel muscle, aussitôt ces muscles se contractent par l'exécution du mouvement qui a été désiré. Si, au contraire, cette action
scence des faisceaux PY1 anidaicx. Passons maintenant à l'étude des mouvements associés. qui présente les plus grands rapports
urs membres restent mous et flexibles. Hitzig donne des exemples de mouvements associés : Chez un malade avec une contracture
et alors il arrive à cette conclusion : « Il est bien clair que ces mouvements involontaires apparaissent dans les membres plus
sés el ce que nous appelons contracture doit être consi- déré comme mouvements associés. » L'auteur observe que les hémiplégie
ue les hémiplégies infantiles sont très favorables pour l'étude des mouvements associés. Ces mouvements apparaissent sur- tout
iles sont très favorables pour l'étude des mouvements associés. Ces mouvements apparaissent sur- tout pendant la marche et dan
t com- plètement par suite d'un repos absolu. D'un autre côté ces mouvements associés peuvent être renforcés égale- ment par
la main. Plus lourds sont ces poids, plus grande est l'étendue des mouvements associés, anormaux, ainsi que leur intensité. O
associés, anormaux, ainsi que leur intensité. Où sont localisés ces mouvements ? où est leur siège de production ? ' Hitzig et
par l'extirpalion du cerveau chez le chien, que la coordination des mouvements volontaires est en corrélation avec l'intégrité
me des troubles de la motilité volontaire chez l'homme. Mais si ces mouvements volontaires sont perdus chez l'homme par une lé
omme par une lésion du cerveau, nous voyons qu'il existe encore des mouvements asso- ciés, comme chez les animaux ; d'où il su
animaux ; d'où il suit que l'homme doit aussi avoir des centres de mouvements associés, qui doivent être situés au- dessous d
at d'excitalion quelconque dans les organes centraux des- tinés aux mouvements associés, par lesquels la distribution des impuls
somme Hitzig en vient, après avoir montré que la contracture est un mouvement spasmodique associé, à se dire qu'il est des cent
aient également Charcot et Bouchard. Mais Hitzig ne constate pas de mouvements associés chez les adultes et croit que c'est pa
s lésions des ganglions centraux, qui sont pour lui les centres des mouvements associés. Par contre Westphal a publié une obse
Westphal a publié une observation d'hémiplégie chez un adulte avec mouvements associés (1) et rappelle dans son article de 18
27 septembre 1873 dans la Gazette médicale. Pitres parle aussi des mouvements chez les hé- miplégiques (3) et fait faire là d
hémiplégies il existe chez les adultes, comme chez les enfants, des mouvements asso- ciés, mais Westphal, Onimus, Pitres et Ca
Pitres et Camus ne parlent pas, comme Hitzig, du rapport entre ces mouvements et la contracture. Mais les mou- vements associ
faire comprendre tout le mécanisme de la contracture, parce que les mouvements associés se trouvent chez des personnes malades
égiques. Archives de Neuro- logie, n° 10, 1882. (4) Camus A., Des mouvements involontaires provoqués dans les membres paralysé
ires provoqués dans les membres paralysés des hémiplégiques par les mouvements volontaires des muscles non paralysés. Thèse de
e Bordeaux, 188o. 32 - NOICA Parmi les auteurs qui ont étudié ces mouvements il l'état normal un des premiers fut Millier (1
al un des premiers fut Millier (1 ). Quant au centre qui produitces mouvements , cet auteur parait le considérer comme médullai
nous apprend à isoler l'influence nerveuse quand nous exécutons un mouvement volontaire, de telle sorte qu'elle ne se concentr
une certaine somme de fibres primitives partant du cerveau... - Le mouvement associé se remarque surtout chez les personnes qu
an- quent d'exercice, et le but de l'exercice ou de l'éducation des mouvements musculaires est en partie d'apprendre à isoler
ers des fibres. Le résultat de l'exercice est donc, par rapport aux mouvements associés, d'éteindre la tendance à leur repro-
l'opinion de Vulpian (2) : « Il est clair que, du côté où a lieu le mouvement volontaire, l'excitation part de l'encéphale, et
e de l'autre moitié de la moelle... » * Unverricht montre que les mouvements bilatéraux, symétriques, asso- ciés, des extrém
n écrit de la main droite, il ne se passe dans la main gauche aucun mouvement appréciable ni pour celui qui écrit ni pour ceu
s assistants peuvent les constater. » Damsch a rapporté deux cas de mouvements associés, chez des sujets dont la motilité étai
ets dont la motilité était intacte. Kônig (Daldorf) a observé les mouvements associés chez les enfants (1) MuLLER, Manuel de
Katz (1) a fait les mêmes observations. En résumé la présence des mouvements associés chez des personnes non atteintes de lé
ons du faisceau pyramidal, était la preuve la plus évidente que les mouvements associés n'expliquaient pas la contracture, et
fin que la con- tracture existe, il faut que le malade présente des mouvements associés, et qui dit mouvements associés par mo
il faut que le malade présente des mouvements associés, et qui dit mouvements associés par mouvement volontaire du côté sain,
résente des mouvements associés, et qui dit mouvements associés par mouvement volontaire du côté sain, dit excitation, dit li
ré d'hy- peresthésie des membres inférieurs ; d'autre part dans les mouvements passifs et dans la marche, le malade se plaint
scendent de cette région externe ; ainsi s'explique l'intégrité des mouvements du membre supé- rieur. En suivant sur la séri
une dé- monstration très évidente de la localisation corticale des mouvements du membre inférieur dans la région rolandique s
saillie dans la paume de la main. Malgré cette déformation tous les mouvements de la main et des doigts sont possibles mais pl
é était conservée quoi- que la force musculaire fût diminuée et les mouvements d'extension un peu limités; et en somme, celte
ominant à l'avant-bras et à la main et entravant en particulier les mouvements fins des doigts ; en ou- tre l'absence de contr
lésée, en partie à ]'action de l'hémisphère opposé. L'intégrité des mouvements du membre inférieur est due évidemment à la con
'étude des paralysies pseudo- bulbaires chez l'homme prouve que les mouvements de la face et de la cavité bucco-pharyngée sont
n peut lui attribuer avec quelque vraisemblance la conservation des mouvements du membre supérieur; mais elle n'a pas empêché
membre est difficile à examiner, les douleurs et la limitation des mouvements concourant à rendre l'examen impossible ; il est
men du systèmo nerveux n'a décelé que les anomalies suivantes : les mouvements de flexion et d'extension du genou gauche se font
ésireux de paraître solennel ; le militarisme rappelle les idées du mouvement , du bruit, de l'impériosilé indiscutable, de la l
ivité ; à la commodité offerte par les vêtements masculins pour les mouvements ; et, plus encore, au grotesque présenté par le
normales. Elles ont leur raison physiologique d'être : l'humeur, le mouvement du corps et de l'esprit, la conscience de notre
ossibilités de l'oeuvre sainement géniale : le sentiment exquis, le mouvement prompt et vigoureux, la dignité personnelle haute
et tendue en arrière par un effort inouï et subit. Mais, à tous les mouvements et à l'expression, on devinait dans l'auteur un
juvénile débauchée et presque sauvage, dans son besoin ardent d'un mouvement infini. Mais, si de ce « Prin- temps » s'exhala
rt aux mille nuances, le plaisir du chant ; l'irréfrénabilité de ce mouvement attestait que les oeuvres les plus sereines et
chumann's Kmnkheit. Halle, 1906, Marhold, ed. 84 GAETANO BOSCHI mouvement avec laquelle, dans les dernières années, les imp
de l'art est abandonné. Les yeux chassieux ne sont plus beaux ; le mouvement incohérent, la gaieté illo- gique du vrai mania
l'avant-pied droit. La force musculaire, nulle à droite pour les mouvements actifs et passifs du pied et de la jambe, est c
st impossible, tandis que si on relève la main con- venablement, le mouvement d'extension de la seconde et de la troisième pha-
ils s'atrophient rapidement. Tout le membre est tombant, sans aucun mouvement de flexion ou d'extension dans ses différents s
touchés que les autres. En effet la malade peut encore exécuter des mouvements de flexion et résister un peu aux mouvements pas-
ut encore exécuter des mouvements de flexion et résister un peu aux mouvements pas- sifs d'extension de la jambe sur la cuisse
MÉCANISME DE LA CONTRACTURE 153 tendon et sans qu'il en résulte de mouvement du membre. On trouve néanmoins par une observat
le bras en avant. Le réflexe osseux de l'épitrochlée représente le mouvement qui étend le coude et porte en arrière le membr
mou- vement d'adduction du bras en avant et en dedans ; le premier mouvement est produit par la contraction des muscles long
raction des muscles long supinateur et biceps bra- chial, le second mouvement est produit par la contraction des fibres anté-
hénomène. Et comme l'attitude du membre supérieur indique plutôt un mouvement coordonné pour un but déterminé, celui de prend
le porter à la bouche, et l'altitude du membre inférieur indique le mouvement de s'appuyer sur la pointe du pied pour marcher
férieur, quand nous examinions plus minutieusement nos malades. Ces mouvements involon- taires, syncinésiques du côté malade,
, la paralysie la plus fréquente est « celle de la supination et du mouvement de rotation en dehors de la totalité « du bras
n en dehors de la totalité « du bras qui=s'allie le plus souvent au mouvement de supination et est « produit par le sous-épin
ntroduire avec la main saine dans la main paralysée. Au coude les « mouvements de flexion sont altérés ; dans les hémiplégies tr
lexion sont altérés ; dans les hémiplégies très pronon- « cées, les mouvements d'extension le sont aussi. L'élévation du bras es
mécanismes musculaires ayant pour sujet la production de tel ou tel mouvement . » Il s'en suit pour Mann, que tous les autres
écanismes musculaires, ayant pour sujet la production de tel ou tel mouvement coordonné (2).' (1) CLAVEV, Thèse de Paris, 189
des mouve- ments du pied. LE MÉCANISME DE LA CONTRACTURE 15U ' Mouvements associés. Nous n'avons pas l'intention ici d'ex
n'avons pas l'intention ici d'exposer toutes nos recherches sur les mouvements associés, car nos conclusions concordent dans l'e
ons les reproduire bientôt, nous tenons à dire que, en étudiant ces mouvements , nous avons 'été frappé dès le début par leur r
elles qu'on voit dans les états de contracture. L'importance de ces mouvements pour l'étude du mécanisme de la contracture n'a
présence de mouve- ments associés. Pitres et Camus, étudiant les mouvements associés chez les hémiplégi- ques, arrivent à c
namomètre de la main gauche saine, on constate du côté paralysé les mouvements associés suivants (1) : « Dans ces' mouvements
du côté paralysé les mouvements associés suivants (1) : « Dans ces' mouvements associés, le membre inférieur reste dans l'ex-
le bassin. Au membre supérieur il se produit tout d'abord un léger mouvement de pro- nation de l'avant-bras ; ce segment se
bouche (2). Ces mouve- ments associés se produisent encore quand le mouvement volontaire se passe dans un segment quelconque
côté sain : avant-bras, bras, jambe ou cuisse non paralysés, que ce mouvement soit énergique d'emblée ou que sa force croisse
a même établi une loi, d'après laquelle se fait l'extension de ces mouvements associés : « Quand on lit les observations qui
t les observations qui précèdent,on voit en effet qu'à la suite des mouvements volontaires d'un membre sain, l'association se pr
avec beaucoup plus de netteté, quand on oppose de la résislance aux mouvements volontaires que le malade doit, faire avec les
ndant que nous lui retenons l'avant- bras pour l'en empêcher. Les mouvements volontaires du membre inférieur sain, provoquent
uvements volontaires du membre inférieur sain, provoquent aussi des mouvements associés et qui se répandent d'après la loi précé
trop faibles, ou trop contracturés. Dernière- ment en étudiant ces mouvements chez une malade, atteinte d'une hémi- parésie i
n, préalablement un peu fléchi, il se produisait du côté malade les mouvements associés décrits plus haut. Mêmes phénomènes se
igne de Babinski). Il est important de remarquer que tous ces trois mouvements volon- taires du membre inférieur qui provoquen
, appuyer avec la plante du pied et appuyer avec le talon, sont les mouvements subconscients que l'homme exécute pour marcher,
g, ou la flexion du coude, sont les mouve- ments de préhension, les mouvements les plus habituels de l'homme. Ces mouvements s
ts de préhension, les mouvements les plus habituels de l'homme. Ces mouvements sont produits par les muscles les plus forts du m
est pas très paralysé, que là contracture n'est pas très forte, les mouvements volontaires qu'il fait alors avec un membre sai
ts volontaires qu'il fait alors avec un membre sain, provoquent des mouvements associés dans le membre malade du même côté ; s
la contracture chez les spasmodiques . Nous avons vu nettement ces mouvements associés pour la première fois, chez deux malad
sur la corticalité de l'hémisphère droit. Ce malade présentait les mouvements associés décrits par Pitres et Camus, mais il n
ire ni écrire, faisait sans cesse, de- puis qu'il était malade, des mouvements de gymnastique dans la salle,avec ses membres d
contre le membre inférieur est très contracture ; en extension les mouvements actifs et pas- sifs sont très limités, la march
fauche. Le fait intéressant est celui-ci : ce malade présentait les mouvements as- sociés de Pitres et Camus au membre supérie
otilité volontaire, tandis qu'au membre supérieur il présentait des mouvements associés; mais pas de contracture; ce qui coïnc
qu'il se pro- duise de la contracture, il ne suffit pas d'avoir des mouvements associés de Pitres et Camus, - leur présence es
venons de dire, au point de vue qui nous occupe. Les phénomènes de mouvements associés et de troubles de motilité vo- lontair
nce de deux phénomènes, qui doivent exister toujours ensemble : les mouvements associés et les troubles graves de la motilité
nous réservons, dans un avenir prochain, de revenir sur l'étude des mouvements associés et sur le mécanisme de la contracture,
onvulsions dans son enfance. Il est lent dans sa parole et dans ses mouvements , mais il se porte bien. Alfred est normal.
s droit s'oedématiait et que la force musculaire diminuait dans les mouvements d'abduction; il ressent, de plus, me dit-il, qu
épétition, hallucinations, mo- difications du caractère, apathie ou mouvements anormaux. Blum trouva même que ce « thyroïdisme
sée et l'acte. Il a un grand besoin de se déplacer, est toujours en mouvement , ne peut facilement rester en place. Il sort de
appeler particulièrement l'attention sur le ca- ractère spécial du mouvement de la jambe paralysée, lorsque le malade marche
écial du mouvement de la jambe paralysée, lorsque le malade marche, mouvement qui, dans mon opinion, est caractéristique de l'a
d'une façon presque constante. Mais ce n'est pas seulement sur les mouvements du membre inférieur que nous devons porter notr
constate alors que tandis que l'hémiplégique flasque vrai fait des mouvements du tronc compensateurs constants et rationnels po
ique hystérique au contraire, ou bien, reste passif, n'ayant pas de mouvements compensateurs, ou bien, cherche à compenser ses t
eurs, ou bien, cherche à compenser ses troubles locomoteurs par des mouvements exagérés et absurdes qui extériorisent un effor
onstater dans sa démarche quelque chose de paradoxal, l'une par ses mouvements exagérés, l'autre par sa grande passivité. Le
presque normalement après avoir pré- serité,pendant trois mois,les mouvements les plus absurdes et paradoxaux, soit en ce qui
soit en ce qui regarde son tronc. Il va sans dire' qu'aucun de ces mouvements ne ressemblait même de la manière la plus éloig
de paralysie disparaissent, et il accomplit dans cette position des mouvements égale- ment actifs avec ses jambes. En le faisa
de marcher sur la pointe des pieds, il accomplit sans difficulté ce mouvement , conservant toujours à son pied la position d'a
e même but, il exécute simultanément avec le membre su- périeur des mouvements de flexion et de balancier tout à fait caractéris
nte de sciati- que. La malade, dit-il, faisait de petits pas et des mouvements d'équili- bre avec ses bras et inclinait fortem
r des contractures dans une certaine mesure et à imprimer de petits mouvements à l'articulation ; or, vous ne parviendrez jama
ayez d'obtenir le même résultai dans la coxotuberculose; au moindre mouvement , la malade éprouvera de vives douleurs et refuser
servant bien, on trouvera toujours quelque chose d'absurde dans les mouvements . Les mouvements de claudication ne seront pas exé
trouvera toujours quelque chose d'absurde dans les mouvements. Les mouvements de claudication ne seront pas exé- cutés avec p
marche contraste avec l'intégrité plus ou moins complète des autres mouvements que peuvent exécuter les membres inférieurs, les
ture hystérique soit pas l'exagération soit par l'énormité de leurs mouvements , en somme par leur paradoxalité, qui quelquefois
consul- tation en marchant tout à fait normalement. ' Ce sont ces mouvements rythmiques et absurdes à la fois qui nous frap-
: « la ma- lade progresse, avec un balancement rythmé du corps, un mouvement cadencé du membre du côté droit qui rappellent
tographe, Bukarest, 1900. Jiccoud. - Les paraplégies et l'alaxie du mouvement . BENON. - Affections péri-arliculaires de la ha
durant toute la journée précédente, les dou- leurs persistent. Les mouvements les augmentent. C'est ainsi, raconte le malade,
te-' ments fibrillaires agitent les paupières inférieures. ` Tout mouvement d'élévation et d'abaissement des globes oculaires
ie est moins marquée pour l'oeil droit que pour roeiÍ 1 gauche. Les mouvements de latéralité sont fortement diminués, 'mais le d
dex- trogyre paraît un peu moins atteint que le levogyre. ' ' Les mouvements de convergence sont de même diminués d'amplitude,
e la langue est tota- lement conservée, elle exécute facilement des mouvements de latéralité, de propulsion, de rétraction, d'
gênée et l'alimentation difficile.D'une manière générale, dans les mouvements comman- dés, la figure demeure inerte ; c'est a
vées. L'extension de la tête sur le rachis est facile ainsi que les mouvements de rotation à droite et à gauche et d'inclinaison
s sont impossibles ainsi que son élévation. Le malade tente-t-il un mouvement , il essaie de l'exécuter en traînant son membre i
nt-bras droit et gauche sont en demi-flexion et en pronation ; tout mouvement de rotation est impossible. Quelques essais de mo
nences thénar et hypothénar sont flasques et grêles ; tout essai de mouvement est fort lent et souvent sans résultat appréciabl
t impossibles, par contre, la flexion est esquissée. De même, les mouvements d'opposition sont lents mais possibles, surtout
es autres doigts. Au 5e doigt, toute motilité est abolie. Enfin les mouvements de déduction sont nuls. Dimensions des membres
ments d'abduction sont plus prononcés à gauche. Cependant dans les mouvements d'élévation, les globes oculaires ne dépas- sen
ligne transversale passant par la commissure palpébrale. 12. - Les mouvements de latéralité des yeux sont plus étendus. Par c
Néanmoins les membres supérieurs ne peuvent se déplacer que par des mouvements de reptation ; tou- tefois ceux-ci sont plus ra
paume à paume et en levant les bras. Les yeux sont mobiles,mais les mouvements demeurent limités. L'élévation des globes ocula
laires seuls ne sont que très légèrement améliorés, surtout dans le mouvement d'abduction, où, à la limite du regard, existent
oir dans son lit, se lever, se diriger vers sa baignoire. 29. Les mouvements oculaires paraissent normaux ; ils sont limités u
bduction ; dans le regard en dehors, on constate des deux côtés des mouvements nystagmiformes. Diplopie horizontale et homonyme
r de la contraction du muscle du côté excité. Il a vu également des mouvements controlatéraux succéder à l'excitation de la pl
s qu'une très légère e ébauche de flexion ; parfois au contraire ce mouvement est assez mar- qué ; dans un certain nombre de
tre autres orteils ; ceux-ci pouvaient être les seuls à exécuter le mouvement de flexion, ou bien ils pouvaient exécuter ce m
exécuter le mouvement de flexion, ou bien ils pouvaient exécuter ce mouvement un peu avant' que le gros orteil n'ait commencé l
du côté irrité, les orteils de l'autre pied n'exécutant alors aucun mouvement . Nous ne retiendrons, parmi les nombreux malade
ire controlatéral. Nous avons évidemment essayé de bien séparer les mouvements de défense, qui ne nous intéressent pas, des mo
séparer les mouvements de défense, qui ne nous intéressent pas, des mouvements réflexes sur lesquels seuls nous voulons attirer
chez lui, sur un point limité le mini- mum d'excitation, le premier mouvement réflexe ne portera plus seule- ment sur les mus
il y aura irradiation du mou- vement, et selon certaines lois : les mouvements seront d'abord bilaté- raux ; ce n'est que si l
s forte, ou que si l'excitabilité médullaire est très grande que le mouvement sera accompagné ou suivi d'autres mouvements du
est très grande que le mouvement sera accompagné ou suivi d'autres mouvements du côté irrité. Chez nos malades tuberculeux la
dis que cet orteil s'étend, ceux du côté opposé ne présentent aucun mouvement . Si au contraire on excite chez ces malades non
e parfois on observe en outre, du côté paralysé et du côté sain, un mouvement de flexion du pied sur la jambe. Ce phénomène h
4 KLIPPEL ET WEIL volontairement il ne pouvait faire exécuter aucun mouvement à ses or- teils. Ces constatations, nous les
nt être éliminées, car l'excitation plantaire provoque chez eux des mouvements trop vifs pour pouvoir être analysés; restent d
urités qui entourent, actuellement encore, le mécanisme de tous les mouvements réflexes, et (d'autre part les divergences des
ndis que l'excitation de la plante du pied gauche ne provoque aucun mouvement du côté droit. 276 KLIPPEL ET WEIL Ces consta
dire l'extension n du gros orteil du côté paralysé, et l'absence de mouvement du pied du côté sain. L'autre faisceau pyramida
l de flexion ; là il est très malade, et son irritation provoque un mouvement controlatéral d'extension, un « signe de Babinski
de Babinski controlatéral », incomplet il est vrai, puisque, si le mouvement des orteils rappelle le mode pathologique, celu
ppelle le mode pathologique, celui du pied rappelle au contraire le mouvement réflexe normal. Nous croyons donc pouvoir avanc
XES CONTROLATÉRAUX 277 ments de flexion des orteils des deux pieds, mouvements réflexes, et non de défense. Or ces sujets sont
éral l'extension du gros orteil du côté malade, et ne suscite aucun mouvement des orteils du côté sain. L'excitation de la plan
n. L'excitation de la plante du côté sain au contraire provoque les mouvements bilatéraux de flexion des orteils, mettant ains
la plante du pied du côté gauche, très paralysé, ne provoque aucun mouvement controlatéral ; celle du côté droit, très peu l
ant peut être à peine soulevé au-dessus du plan du lit, provoque un mouvement controlatéral d'extension, avec exten- sion éga
int de douleurs dans la nuque. Peu à peu la tête s'infléchit et les mouvements deviennent de plus en plus dif- ficiles. L'état
absolue de la colonne vertébrale. La tête ne peut exécu- ter aucun mouvement , elle est fortement fléchie, mais le malade ne pe
9 282 ODDO quand on secoue le malade par l'épaule, on imprime des mouvements au corps tout entier comme s'il était d'un seul
au des jointures des orteils. Les coudes sont un peu gros, mais les mouvements y sont libres comme aux poignets et aux orteils
même sans boiterie, mais il avait une sensation de raideur dans les mouvements de la hanche. Il devient bon marcheur, fait des
entes, ÉTUDE D'UNE COLONNE VERTÉBRALE 291 continues, empêchant le mouvement : il entre à l'hôpital de la Conception où il d
te fléchie en avant, ne pouvant se relever et très limitée dans les mouvements de laté- ralité. On lui donne alors le surnom d
kylose est totale à droite, elle est presque complète à gauche. Ces mouvements , très limi- tés, déterminent des craquements tr
entués, ressentis par le malade. Aux genoux, aux cous-de-pieds, les mouvements se font bien, mais ils sont dou- loureux, il y
rachis s'infléchit brusquement, la tête étant portée en avant. Les mouvements sont entièrement supprimés dans la région lombair
alement suppri- mée, la flexion de la tête est très incomplète, les mouvements de latéralité sont très limités, surtout à droi
he, un certain degré d'arthrite sèche, elle est douloureuse, et les mouvements passifs qui ne sont pas limités déterminent des
canne, et avance sans que le tronc ni les cuisses n'exécutent aucun mouvement : tout se passe dans les jam- bes. Il étend com
ît avoir diminué depuis 18 mois, la hanche gauche peut exécuter des mouvements d'une certaine amplitude, la hanche droite prés
normale' dans toutes les branches, soit dans les 308 ETTORE LEVI mouvements spontanés, soit dans les mouvements commandés, so
soit dans les 308 ETTORE LEVI mouvements spontanés, soit dans les mouvements commandés, soit enfin dans les mouvements d'ori
spontanés, soit dans les mouvements commandés, soit enfin dans les mouvements d'origine réflexe. Les points d'émergence des b
tés ; J. dynamomètre donne 17 à droite et 16 à gauche. · Dans les mouvements passifs on ne sent aucune résistance. Tous les mo
onie musculaire qui donne une sensation de vive résistance dans les mouvements passifs' brusques de flexion et d'exten- sion d
be sur la cuisse ; cette résistance disparaît complètement dans les mouvements lents et doux. Pas de douleur à la pression soit
a pression soit des masses musculaires soit des troncs nerveux. Les mouvements actifs sont possibles dans toutes les direction
téréognosie normale. La reconnaissance des attitudes, même pour les mouvements passifs minimes, est parfaitement conservée. La
e la mémoire. Le caractère est triste. La marche est difficile, les mouvements lents et les membres raides ; les pas petits et
n des plus fréquents. , Le strabisme divergent. La limitation des mouvements des globes. La diminution d'ouverture de la fen
stagmus. Dans un autre Tucker : strabisme externe et limitation des mouvements dans certaines di- rections. « Nous ne pouvons
la fentepal- pébrale, du strabisme externe et de la limitation des mouvements du globe DEUX cas d'oxycéphalie 357 dans tous
tions, Mme G... tomba sans connaissance. Le mari aurait observé des mouvements convulsifs, surtout du bras et de la jambe gauc
nt de malaise y donne le cachet pénible et le vertige leur prête le mouvement . Anatomie et examen des coupes. Je me bornera
re physico-chimique en perpétuel état d'instabilité c'est-à-dire de mouvement . Un agrégat de corps inanimés réuni en com- bin
arce qu'il cesserait de recevoir les excitations qui lui donnent le mouvement , la vie, en provoquant des changements dans son
imique instable en une au- tre stable ; la mort est la cessation du mouvement . L'introduction dans la structure vitale d'un é
riété d'inertie de la matière, même de la matière ' vivante dont le mouvement est, non pas spontané, mais provoqué, la mo- di
pas s'observer pendant quelque temps, sans se découvrir quantité de mouvements que l'on n'a pas expressément commandés et qui
de, tel celui de passer la main au-dessus d'un poële sans feu. Tout mouvement effectué une ou plusieurs fois a une ten- dance
s cir- constances qui l'ont provoqué une première fois. Et tous ces mouvements habituels ne représentent pas toujours des acte
en être les conséquences. Dès lors, de même que la répétition d'un mouvement , d'une attitude ou d'une occupation crée une ha
tion d'existence envisagée. Déjà tantôt, nous avons vu que certains mouvements , attitudes ou occupations, que certains troubles,
on s'aperçoit qu'elle consiste dans la répétition de quelque chose, mouvement ou symptôme qui a existé auparavant, qu'il y a
de leurs lésions, aussi bien que la tendance à la perpétuation des mouvements exécutés une première fois, sont des répétition
e, une imitation de gastrite, une reproduction de ses symptômes. Un mouvement habituel n'est qu'une répétition du mouve- ment
pensée, elles rompent l'équili- bre et déterminent une direction de mouvement conforme à leur nature. Examinons avec un peu p
pro- longé, en quelque sorte, jusque dans les centres nerveux. Le mouvement de propagation ne s'arrête pas là ; nous n'avons
guer du précédent, de l'excitation consi- (1) FÉnH : , Sensation et mouvement ; - Mosso, La peur. DE LA PATHOGÉNIE DES NÉVROSE
ysique, ce qui domine, c'est l'inertie, la passivité, la rareté des mouvements volontaires, la prédominance manifeste des mouvem
la rareté des mouvements volontaires, la prédominance manifeste des mouvements automatiques. 11 n'y a ni état catatonique, n
sumée, photographiée pour ainsi dire dans la série régulière de ses mouvements suc- cessifs. .' . Pierre se tient debout, to
vec le mou- choir d'abord, puis vides. Nous avons noté ainsi treize mouvements alternatifs d'une régularité absolue, se reprod
se trouver à angle droit avec l'avant bras. Elle est susceptible de mouvements sur l'avant- bras mais seulement dans un angle
ppé, grêle, court, uni il la base au médius par un pli cutané ; ses mouvements propres sont très peu étendus, et le malade s'e
n droite ; même déviation vers le bord radial ; même limitation des mouvements ; même disposition de la paume de la main (fig.
ême quand on demande au malade de faire contracter ses muscles. Les mouvements de flexion du coude sont limités à l'angle droi
us-épineu- ses sont un peu excavées et l'omoplate un peu ailée. Les mouvements de l'épaule sont limités, surtout à gauche ; de
uvements de l'épaule sont limités, surtout à gauche ; de ce côté le mouvement d'élévation du bras, en avant ou latéralement,
ire d'un sujet normal, ne présente pas d'incurvation latérale ; les mouvements de flexion et d'extension des phalanges dont tr
sujet la contracte, être écartée par une traction énergique. Les mouvements des phalanges sont très limités. SOCIÉTÉ DE NEU
le tremblement fait défaut sauf à la langue où l'on a noté quelques mouvements fibrillaires. Les troubles intellectuels, sauf
39 (1883) Archives de neurologie [Tome 05, n° 13-15] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE SPASME MUSCULAIRE AU DÉBUT DES MOUVEMENTS VOLON- TA ! HHS (Elude d'un trouble fonctionnel
que nous désignons sous le nom de « spasme musculaire au début des mouvements volontaires » (nous expliquerons plus tard, et
indemnes, du moins il n'a conservé aucun souvenir de gène dans les mouvements des bras avant sa quinzième année ; et ce n'est
s subjectifs, nous devons citer encore une gêne assez prononcée des mouvements de la langue SPASME MUSCULAIRE. 3 semblant si
malade présente les caractères suivants : Lorsqu'il veut faire un mouvement , lorsqu'un groupe de muscles entre en action, o
présente ce caractère particu- lier de ne survenir qu'au début des mouvements ; lorsque ceux-ci ont été répétés un certain no
es était pris d'une telle raideur des muscles au commencement des mouvements , qu'il était forcé de prier quelqu'un de lutter
s dans différents muscles. Ré- sistance assez considérable dans les mouvements pas- sifs du genou. Le second cas est fourni
des raideurs semblables à des crampes dès qu'il voulait faire un mouvement , se lever de sa chaise, etc.. Lorsqu'il tenait
quand il allait à l'école, il éprouvait de la raideur au début des mouvements ; actuellement, il a de la peine à se lever d'un
peut marcher plusieurs heures sans se fatiguer; de même pour les mouvements des bras; quand il tient un objet il ne le lâch
ideur dans les muscles des mâchoires et dans ceux de la bouche. Les mouvements de la langue sont libres, mais ne s'exécutent p
nce des émotions morales, de l'attention exagérée du malade sur ses mouvements , du refroidissement, de la fatigue, etc.. au co
ssement, de la fatigue, etc.. au contraire elles cessent lorsque le mouvement a été accompli cinq ou six fois, et disparaisse
nous avons observé sous le nom de : Spasme musculaire au début des mouvements volontaires; il ne préjuge rien, il résume les
ommotion du labyrinthe, soit par suite de l'amplitude anormale du mouvement communiqué, soit parce que la fenêtre ronde a r
ve de Valsalva faillit le précipiter en avant. Le moindre effort ou mouvement provoque le vertige. Après un mois de traitemen
distendu, avait perdu tout ressort, et possédait une amplitude de mouvements insolites, grâce au relâche- ment de son tissu,
alement intéressés. Les supérieurs sont presque indemnes ; tous les mouvements volontaires existent et sont facilement exécuté
tremblement, pas plus pendant le repos que pendant l'exécution d'un mouvement . Notons que par suite de l'inactivité, la force
malade, réduit au séjour au lit, ne peut leur imprimer le moindre mouvement . Relevés au-dessus du plan du lit, ils figurent
à vaincre la résistance que les muscles opposent à l'exécution des mouvements provoqués. Parla percussion patellaire, de même
ersiste pendant cinq à dix minutes; puis il fait place à de rapides mouvements convulsifs (phase clonique), à brèves oscillati
et des grands moMuemeH<s. Bientôt tous les membres sont pris de mouvements lents et très désordonnés. La face grimace, les
n flexion, extension, pronation et supination ; le bras exécute des mouvements de circumduction. Les extrémités inférieures sont
pied est le plus souvent dans l'attitude de l'équin-varus. Tous ces mouvements sont asymétriques et asyner- giques. Ainsi on v
alles très courts, parfois même en se précipitant. Après les grands mouvements et l'arc de cercle, la malade repassait sans tran
lsivement fermés, le corps contusionné et les extrémités agitées de mouvements les plus vio- lents et les plus divers. En même
i se produisaient alors. Ensuite survint une agitation telle et des mouvements si violents, qu'il fallut quatre personnes pour
ue j'enlevais le pouce et que j'attendais un instant seulement, les mouvements convulsifs recommençaient, pour être de nouveau
eraient les symptômes de la deuxième période, contorsions et grands mouvements . Le gonflement du cou est un trait bien spécial
rs d'une attaque s'en suivirent, spasme et distension de l'abdomen, mouvements fréquents de déglutition, roulement d'yeux, mou
e l'abdomen, mouvements fréquents de déglutition, roulement d'yeux, mouvements convulsifs de la face, et perte momentanée de c
ne dura pas longtemps. Une série encore plus remarquable de grands mouvements commença. Après une suc- cession de soulèvement
'entourait. Parfois il semblait à ceux qui l'obser- vaient, que ses mouvements étaient prémédités et volontaires, mais je fus
out le corps, correspondant vraisemblablement à la phase des grands mouvements . Laëoae des attitudes passion- nelles était trè
N" 14. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE PARALYSIE DES MOUVEMENTS ASSOCIÉS DES YEUX; Par M. Il. PARINAUD. Dans
pelé l'attention (Société de Biologie, 1880), et les paralysies des mouvements associés des yeux qui font l'objet de ce travai
mouvements associés des yeux qui font l'objet de ce travail. Les mouvements de l'oeil, comme la plupart de ceux qui sont so
Ces centres de coordination deviennent surtout nécessaires dans les mouvements associés des deux yeux, qui se font à l'aide de
alé les connexions qui les expliquent. - La paralysie conjuguée des mouvements de latéralité peut nous servir d'exemple. C'est
ae sans intérêt de rappeler que le point de départ de PARALYSIE DES MOUVEMENTS ASSOCIÉS DES YEUX. 147 ces travaux a été dans l
- tions ingénieuses et de déductions pratiques. L'association des mouvements de latéralité ne cons- titue, on le conçoit, qu
préoccupé les physiologistes, celle de l'association dans un même mouvement de deux muscles, le droit interne d'un côté et
nerfs moteurs de ]'oei), pour se rendre compte de l'innervation des mouvements associés. Les physiologistes ont regardé comm
s physiologistes ont regardé comme plus naturelle l'association des mouvements qui relèvent de muscles innervés par un même ne
me nerf dans les deux yeux. La difficulté au fond est la même : ces mouvements suppo- sent, entre les noyaux de la troisième p
nerf; par celles de Vulpian qui démontrent que l'association des mouvements réflexes des paupières se fait par des fibres c
fibres commissurantes; car une incision, même super- PARALYSIE DES MOUVEMENTS ASSOCIÉS DES YEUX. 149 ficielle, pratiquée sur
es yeux et que l'on possède l'explication du mécanisme immédiat des mouvements associés binocu- laires, la question ne sera pa
ociés binocu- laires, la question ne sera pas encore résolue. Ces mouvements se produisent par influence réflexe ou volontai
Gudden, Ferrier, etc. L'in- fluence des couches corticales sur les mouvements ocu- laires est établie par les expériences de
le rôle du cervelet, et en particulier du vermis inférieur, sur les mouvements associés des yeux. On voit par cette énumératio
ai-je à citer des exemples de paralysie des prin- cipales formes de mouvements associés binoculaires, en signalant seulement l
ce genre seront surtout re- connues par l'exploration objective des mouvements oculaires. Les faits de paralysie des mouveme
on objective des mouvements oculaires. Les faits de paralysie des mouvements conjugués latéraux commencent d'ailleurs à se m
de rappeler en les rapprochant de mes propres observations. Les' mouvements associés des yeux sont de plusieurs espèces; il
lusieurs espèces; ils sont parallèles ou non parallèles. Dans les mouvements parallèles, les yeux se déplacent dans le même
le même sens, par rapport à l'axe du corps. Ils sont PARALYSIE DES MOUVEMENTS ASSOCIÉS DES YEUX. 151 très nombreux, les pupil
s muscles droits, et qui, envisagés dans les deux yeux, donnent les mouvements horizontaux à gauche et à droite, verticaux en
orizontaux à gauche et à droite, verticaux en haut et en bas. Les mouvements non parallèles ont pour but de modifier les rap
mais les faits pathologiques tendent à le faire considérer comme un mouvement ac- tif, ayant une innervation spéciale. Il y
vement ac- tif, ayant une innervation spéciale. Il y a encore les mouvements de rotation autour de l'axe antéro-postérieur q
les formes plus com- plexes. J'étudierai donc les paralysies des mouvements sui- vants : a) Mouvements parallèles horizon
J'étudierai donc les paralysies des mouvements sui- vants : a) Mouvements parallèles horizontaux ; b) Mouvements parallèl
uvements sui- vants : a) Mouvements parallèles horizontaux ; b) Mouvements parallèles verticaux , c) Mouvements de converg
parallèles horizontaux ; b) Mouvements parallèles verticaux , c) Mouvements de convergence ; . c Mouvements de divergence.
vements parallèles verticaux , c) Mouvements de convergence ; . c Mouvements de divergence. 152 CLINIQUE NERVEUSE. A. Mouv
e aliéné. Après plusieurs mois de cépha- lalgie s'exagérant par les mouvements , le malade est pris subi- tement, dans les dern
ulté à regarder du côté gauche ; il a de la tendance à suppléer aux mouvements oculaires par un dépla- cement;de la tête, qu'i
e dans la vision binoculaire. Le droit interne, paralysé pour les mouvements parallèles, exécute au contraire assez bien le
our les mouvements parallèles, exécute au contraire assez bien le mouvement de convergence. Tous les autres mouvements ont
contraire assez bien le mouvement de convergence. Tous les autres mouvements ont leur amplitude normale. La paralysie conjug
m'ont été fournis par son médecin M. le Dur Girou. PARALYSIE DES MOUVEMENTS ASSOCIÉS DES YEUX. 153 diane.) Les pupilles son
prononcée; elle s'accompagne d'une déviation des yeux à droite. Le mouvement de convergence s'exécute encore assez facilemen
u palais qui est intéressé ; il est forte- ment dévié à gauche. Les mouvements de la langue s'exécutent régulièrement. Le 28
suel où la vision était meilleure. Ces attitudes sont PARALYSIE DES MOUVEMENTS ASSOCIÉS DES YEUX. 155 fréquentes dans les para
chromatique normale. Décoloration atro- phique des deux papilles. Mouvements associés : Impossibilité de porter le regard à
; les pupilles ne dépassent pas la ligne médiane. L'am- plitude des mouvements du côté gauche ne semble pas très réduite ; mai
de ce côté développe un nystagmus très prononcé. Tous les autres mouvements , élévation, abaissement, con- vergence, et fixa
ion unioculaire. Mêmes résultats sous le rapport de l'amplitude des mouvements : l'oeil gauche et l'oeil droit ne peuvent se p
éresse le muscle droit externe droit et le droit interne gauche. Le mouvement est plus complètement aboli dans le premier que
nt aboli dans le premier que dans le second, suivant la règle. Le mouvement de convergence s'exécute d'une manière rela- ti
développe du nys- tagmus surtout prononcé dans l'oeil gauche. Les mouvements d'élévation et d'abaissement sont ceux qui s'ex
a face. La malade a seulement une tendance marquée à suppléer aux mouvements des yeux par un déplacement de la tète quand on
Cette coïncidence n'est pas propre à cette affection, PARALYSIE DES MOUVEMENTS ASSOCIES DES YEUX. 157 et nous la retrouvons no
est causé par une lésion des noyaux de substance grise préposés aux mouvements associés binoculaires. Il n'y a pas lieu dès lo
lieu dès lors de s'étonner qu'il coïncide avec la paralysie de ces mouvements . Lorsque la paralysie conjuguée latérale est pe
s particularités suivantes : D'abord on aura soin dans l'examen des mouvements , de tenir l'objet fixé à une certaine distance
nce du malade, de manière à faire intervenir le moins possible ce mouvement de convergence. Dans les cas douteux, le diagno
vation et de l'abaissement dans les deux yeux avec conservation des mouvements de laté- ralité. Paralysie de la convergence.
l' abaissement dans les deux yeux. L'impotence fonc- PARALYSIE DES MOUVEMENTS ASSOCIÉS DES YEUX. 1 .}'J tionnelle est la même
our rabaissement, dans l'éléva- tion, l'oeil droit exécute un léger mouvement qu'il importe de noter pour se rendre compte de
te dans les directions diagonales. Par un contraste remarquable les mouvements de latéralité a gauche ou à droite ont leur amp
yeux. On remarque seulement quand le regard se porte à gauche, un mouvement de torsion des globes autour de l'axe antéro-po
droits internes conservent leur intégrité fonc- tionnelle dans ces mouvements associés de latéralité, le mou- vement de conve
s associés de latéralité, le mou- vement de convergence est nul. Le mouvement des paupières n'est pas intéressé. La diplopie
La diplopie n'est pas en rapport avec un trouble aussi profond des mouvements ; elle n'offre rien de ca- ractéristique. Elle e
ième ventricule. L'absence de paralysie du droit interne pour les mouvements de latéralité s'explique très bien PARALYSIE DE
our les mouvements de latéralité s'explique très bien PARALYSIE DES MOUVEMENTS ASSOCIÉS DES YEUX. 161 par le filet que le noya
n de la double innervation du droit interne (sixième paire pour les mouvements de latéralité, troisième paire pour les mouveme
paire pour les mouvements de latéralité, troisième paire pour les mouvements de convergence) sur lesquels 11111T. Duval, Lab
même type de paralysie moins complet. Observation V. Paralysie du mouvement de convergence et d'élévation dans les deux yeu
fait de la paralysie complète du mou- vement de convergence. Les mouvements parallèles horizontaux ont leur amplitude norma
issement des pupilles s'exécute également assez bien, tandis que le mouvement d'élévation est à peu près nul dans les deux ye
s d'une même forme de paralysie ainsi constituées : PARALYSIE DES MOUVEMENTS ASSOCIÉS DES YEUX. 163 peut, lire plus facileme
uin, je constate les symptômes oculaires suivants : L'amplitude des mouvements examinés dans chaque oeil séparément, est norma
chaque oeil séparément, est normale. Dans la vision associée, les mouvements parallèles conservent également toute leur ampl
ments parallèles conservent également toute leur amplitude, mais le mouvement de con- vergence est nul. La fixation rapproché
alternativement chacun des yeux, celui que l'on découvre exécute un mouvement de redressement très prononcé pour fixer l'obje
faible pour la lumière, nulle quand on cherche à faire exécuter le mouvement de con- vergence. Amblyopie surtout caractéri
yeux ont également de la tendance à se porter de ce côté. Tous les mouvements oculaires s'exécutent lentement et incomplèteme
u pédoncule. Il est aplati à son origine et divisé en PARALYSIE DES MOUVEMENTS ASSOCIÉS DES YEUX. 165 quatre 'ou cinq faisceau
une locali- sation précise telle que la comporte la paralysie du mouvement de convergence. Nous devons cependant signaler
but de son affection un exemple de para- lysie bien circonscrite du mouvement de convergence et de l'accommodation. Donders
tion suivante. Observation VII. Sclérose en plaques. Paralysie du mouvement de convergence. 11-e Ane.... cinquante ans (Ser
er t88L». Léger nystagmus dans la direction du regard à droite. Les mouvements associés parallèles ont leur amplitude à peu pr
nts associés parallèles ont leur amplitude à peu près normale. Le mouvement de convergence se fait très incomplètement; au
ant normalement. Acuité visuelle normale dans les deux yeux. D. - Mouvement de divergence. Les .observations suivantes appa
genre du nom un peu incorrect de paralysie du mouve- PARALYSIE DES MOUVEMENTS ASSOCIÉS DES YEUX. 167 Î ment de divergence, j'
la contre-partie, et de les sé- parer des lésions unilatérales des mouvements d'abduc- tion. Cette forme de paralysie est e
rès légère d'un muscle, quand on porte la bougie, dans le sens du mouvement qui est intéressé. OBSERVATION VIII. M. Tenth.,
rononcée le matin. Le 12 avril je constate l'état suivant : Les mouvements des yeux se font avec un peu d'incertitude et s
res plus prononcé à certaines époques, ne s'exagérant pas quand les mouvements se précisent pour un but déterminé. Les réflexe
s directions du regard. Cette diplopie, imputable à la paralysie du mouvement de divergence, est ici d'autant plus remarquabl
, est ici d'autant plus remarquable qu'elle est asso- PARALYSIE DES MOUVEMENTS ASSOCIÉS DES YEUX. IG9 ciée à une insuffisance
trente centimètres pour devenir croisés au delà. L'amplitude des mouvements parallèles n'est pas modifiée, mais on remarque
guilles d'une montre, à gauche ; dans le sens opposé, à droite. Les mouvements parallèles ont d'ailleurs leur amplitude normal
tandis que les globes, dans cette direction, ne présen- tent pas de mouvements semblables. Diplopie honvmyne avec peu d'écarte
on qui explique celle que je viens de décrire par une paralysie des mouvements parallèles, lesquels ayant une grande amplitude
nt d'une manière manifeste quand on porte la bougie dans le sens du mouvement intéressé. On se rend très bien compte au contr
. On se rend très bien compte au contraire de cette PARALYSIE DES MOUVEMENTS ASSOCIÉS DES YEUX. 171 forme de diplopie par la
ïe, mais aussi et surtout par la vue. Or, c'est précisément par les mouvements de convergence des yeux que nous acquerrons la
plai- dent, on le voit, en faveur d'un centre de coordination des mouvements oculaires pour la convergence des axes ayant so
nt nettement établi l'influence du cervelet sur la coordination des mouvements oculaires, et, fait important au point de vue q
es des osselets à la paroi supérieure de la caisse, et s'oppose aux mouvements en dedans de la cloison, l'effet est le même :
comme en état de syncope, assourdie, hébétée, vomissant au moindre mouvement . Cela dura quatre à cinq heures : premier accès
aussi c'est la fenêtre ronde qui est raidie ou immobilisée, et les mouvements transmis à l'étrier, compriment le labyrinthe e
nt et devint une véritable paralysie ren- dant impossibles tous les mouvements volontaires des membres du côté gauche. De plus
largement ouverte que la droite, mais elle exécute assez bien les mouvements volontaires et les mouvements de clignement. Il
ite, mais elle exécute assez bien les mouvements volontaires et les mouvements de clignement. Il n'y a pas de rotation de la t
s sphincters. 24. Même état. Le malade exécute cependant quelques mouvements volontaires du côté droit. Le 25 il semble sortir
ontre la deuxième période, ou période des contorsions ou des grands mouvements , a toujours fait dé- faut. La malade présentait
trecoupée, par monosyllabes; sa respiration est très accélérée. Les mouvements se font lentement et par secousses successives.
ficile et entrecoupée. Sensation de boule à la gorge et fré- quents mouvements de déglutition. Au bout de trois à quatre minut
rrêt de la respiration. En même temps, les mains se fermeiitpal. un mouvement lent. Les poignets se renversent légèrement en
t progressif des doigts. La période des contorsions et des grands mouvements fait abso- lument défaut et la malade entre imm
otale de huit à dix mi- nutes. Les globes oculaires se mettent en mouvement , puis se dirigent lentement en haut et à droite
nt, puis se dirigent lentement en haut et à droite. La tête sent le mouvement des yeux. La physionomie exprime la terreur. Le
ndes. Les mains se séparent ensuite et, sans s'abaisser, opèrent un mouvement de croisement. Elles sont rame- nées ainsi croi
que. (Oscillations sensibles seulement à la main. On ne voit pas de mouvements , mais on perçoit une trépidation légère, une sort
e épileptoïde dure environ quarante secondes. La période des grands mouvements fait tou- jours défaut. Le tétanisme est immédi
ndant celle longue attaque il n'y a pas eu trace de catalepsie. Les mouvements sont restés libres. La parole n'était plus sacc
pour cela. Dans l'exemple précédent, les contorsions et les grands mouvements qui caractérisent la deuxième période ne se mon
u violet rouge. ' R. BL11\cunnD et J. Pignol. III. Sur la cause DES mouvements DHH respiration ordinaire. Ces mouvements sont-
. III. Sur la cause DES mouvements DHH respiration ordinaire. Ces mouvements sont-ils RÉFLEXES ? par AUSTIQ Flint. (The Bi-aii
ce travail combat l'opinion généralement acceptée sur l'origine des mouvements respiratoires ordinaires. Prenant un chien étli
e respirer, c'est-à-dire le stimulus qui est le point de départ des mouvements respiratoires, est dû purement et simplement au
une série d'excitations qui produisent à intervalles réguliers, les mouvements inspiratoires. Ces mouvements ne sont pas des r
oduisent à intervalles réguliers, les mouvements inspiratoires. Ces mouvements ne sont pas des réflexes au vrai sens dumot; 3°
chien), dans un ordre qui est précisément l'ordre de succession des mouvements que l'animal exécute pour chercher sa nourritur
e la scissure de Rolando. Le premiei- (1 2c de Ferrier) préside aux mouvements des yeux et de la tête; le second, l'extension
qui se dirige vers la proie signalée par l'oeil; le troisième, aux mouvements qui doivent porter la nourriture à la bouche, l
n'y a dans son voisinage immédiat que les centres qui président aux mouvements des yeux et aux mouvements de course. Le centre
médiat que les centres qui président aux mouvements des yeux et aux mouvements de course. Le centre des mouvements des mâchoir
aux mouvements des yeux et aux mouvements de course. Le centre des mouvements des mâchoires est comme relégué dans une autre
que ceux que peut fournir un simple examen des contractions ou des mouvements produits par l'excitation électrique. Quoiqu'
tête, qu'agitent verticalement, horizontalement ou obliquement des mouvements rhythmiques, isochrones. 11 peut frapper, simul
Presque aussi fréquent aux membres supérieurs, il consiste en des mouvements de flexion et d'extension, peu étendus, réguliers
dus, réguliers, non simultanés dans les diverses articulations. Ces mouvements ne sont pas comparables a des mouvements de mét
iverses articulations. Ces mouvements ne sont pas comparables a des mouvements de métier. Ils ne cessent pas quand le sujet sa
à l'effort tenté, mais non progressivement àmesure que la partie en mouvement approche du but. Le polygraphe enregis- treur d
une fièvre typhoïde avec hyperthermie, la malade est prise à chaque mouvement qu'elle tente d'un tremblement pareil à celui d
supérieurs exécutent, au-dessus et au-dessous de la trajectoire du mouvement , des oscillations d'autant plus mar- quées que
oire du mouvement, des oscillations d'autant plus mar- quées que le mouvement approche de son terme. Aucun symptôme adynamiqu
e les doigts du disciple, afin de lui faire palper les positions et mouvements indispensables aux articulations voulues. Ces s
e devient que par un enseignement « spécial, capable d'exécuter les mouvements nécessaires à l'arti- « culation. L'absence de
« sens du toucher et du sens musculaire, l'infirme s'exerce aux « mouvements exigés pour la parole et apprend il les exécuter
quelle est la limite exacte 'et le siège 'précis du centre pour les mouvements isoles du membre inférieur ». Cette limite exac
absolue. Tout au plus la malade peut-elle exécuter^ quelques légers mouvements de flexion avec l'articulation du genou. Les 'a
ers mouvements de flexion avec l'articulation du genou. Les 'autres mouvements , ceux de'la cuisse sur le bassin; : de''la"jamb
com- mencement de circulation collatérale, est incapable de tout mouvement .. Il semble qu'il, y a commeiune subluxation para
e membre supérieur est inerte. Cependant la malade exécute quelques mouvements peu étendus d'adduction, d'abduction et de flex
membre supérieur gauche est complètement indemne. Il fait tous les mouvements ? ' . , ' , Elle se plaint d'une sensation d'en
férieur gauche qui est tout à fait impotent. Il n'existe plus aucun mouvement volontaire d'aucun segment du membre, qui est c
étendu ! flasClllC,le,l;nb,du corps et(il net s'y passe plus' aucun mouvement , i même, daris-lestdoigts. Rien de nouveau* à'l
ieure et aussi la partie anté- rieure de la muqueuse des joues. Les mouvements de la lèvre et des muscles du menton sont intac
, les douleurs' de tetc'ct'dcs , lombes augmentent, surtout par les mouvements . L'ulcération labiale reste stauonnaire; il se
QUES NON TRAUMATIQUES. 295 rendues plus vives encore par le moindre mouvement . L'écou- lement du sang par le bord libre des .
lesser eYtre",mes; il ,peine peut-il,.parler,'ou faire,le,, moindre mouvement ; les téguments sont très-paies..L'hémorrhagie par
i.titequaytité' de liqwde, et on lieut imprimer 'à'Ila jambe des mouvements de latéralité'et'dé rotation'beaucoup plus'étendu
l alors percuter violemment le ten- îidon. sans, délenniner.,aucun. mouvement delà ïambe. , îv( fL application. d une,, épong
surola.facelantériettré"de la lcujsse, et ela genou, provoque un al/ mouvement , hrusque, d'eŸtéusi,ôn yë la-ïambe; et ce rellexe
i'M' <îlAj I/iO î.iliiinii' ? uopercussion dUitondpn njdomlieaau mouvement de la 1 -Mijambc-.îiq 97)(LLOcrv9lfltrr'1 fil
;u , La, cinquième, loi de Pflü-ersurjles réflexes,, dit que. les mouvements ,réflexes sont locaux .ou généraux : et, que ce
on- ,n." ».. li .i .» « O doi,la peau doiiti » donne, lieu à des, mouvements .réflexes, soit d'extension- soit de, flexion,;
n'peutavec'u ? peudeforce,mat'gré'a raideur, fair0ée.1fté quelques' mouvements a la ïambe, qui reste dans 1 extension sur la c
raidéù'r ? s6uteriir un ! o bi e p- i-ésente dans 1 execulion'des mouvements un léger tremblement; analogue, au tremblement
er,l'excita : .r. tion mécanique, pt nous n'avons jamais,obtenu des mouvements ri parfaitement, semblables dans /les diverses,
chez'riiomme'au m-'oins,' 1 Iles'oiiduéteÙis'dé ? l'excitation'des' mouvements ? synër'giquës né'sônt pôilitl'ëôils ? tamment'
tA.W 4'1 . 1. svstématiftue des fibres nerveuses- incitatrices .des mouvements , " ,. v,n ? ,, t'If , tfï litijlàu ) , J. '41 ?
citation galvanique des plexus et des troncs nerveux engendre des mouvements convulsifs inconscients. Elle s'étend à toute la
trophie, s'accompagnant d'une contrac- ture légère, exacerbeeparlos mouvements , decontractions fibril- laires et fascictilaire
développement du germe ; 2° Le sperme a pour fonction d'exciter le mouvement de ce développement propre à l'oeuf, en même te
e, ni adynamie), de la précipitation et des tremblements dans les mouvements . Crises alternant avec des rémissions et inter-
ulations rhythmiques survenant sous la forme d'accès, à propos d'un mouvement intentionnel ou d'une émotion morale. Ch. F.
que avec anesthésie alterne, par Senator, 10 ! 1. Paralysie des mouvements associés des yeux, par l'arinaud, 145. Paraly
(centres des), par James, 234. Respiration ordinaire (cause des mouvements de la), par Flint, 233. Santé intellectuelle
ne, 124. 430 TABLE DES MATIÈRES. Spasme musculaire au début des mouvements volontaires, par Bal- let et Marie, 1 . Surdi
40 (1892) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 1. Leçons sur les maladies du système nerveux
veux qui viennent s'appliquer sur les fibres musculaires. La cause du mouvement de nutrition est dans les éléments anatomiques eu
érieures, au frottement sur un sol dur et rugueux, le membre privé de mouvements et de sensibilité par suite de la section du scia
n ce qui concerne la nutrition des parties privées de sentiment et de mouvement par le fait des opérations dont il s'agit. Lorsqu
sion traumatique portant sur le trajet d'un nerf, on voit parfois les mouvements persister pen-dant quelque temps et ne s'affaibli
rs après, je me suis aperçu que le sciatique coupé ne causait plus de mouvements quand je le galvanisais. Les muscles se contracta
uence de l'inertie fonctionnelle à laquelle les membres pa-ralysés du mouvement se trouvent condamnés. A ce point de vue, ily a l
gne d'incoordination motrice. La malade marchait sans em-barras, sans mouvement de projection des jambes, sans frap-per le sol du
siège 1. Douleurs fulgurantes de l'ataxie, sans incoordination des mouvements , sclérose commençante ,des cordons postérieurs de
arties au-dessus delà fracture étaient privées delà sensibilité et du mouvement . Le lendemain, érections continuelles ; « il surv
, ainsi que nous l'avons vu, l'anesthésie, des par-lies paralysées du mouvement n'est pas un fait constant, et quant à l'élévatio
lessures de ce genre, il se produit chez les animaux une paralysie du mouvement dans le membre inférieur du côté où siège la lési
de la moelle épinière. Il seproduisit immédiate-ment une paralysie du mouvement qui, d'abord étendue aux deux membres inférieurs,
aire, une obnubilation très marquée de la sensibilité, tandis que les mouvements y ont en grande partie reparu. Les symptômes allè
é latérale de la moelle épinière à la région dorsale, la paralysie du mouvement survenir dans le membre inférieur correspondantau
resthésiemanifeste, tandis que celui du côté opposé, indemne quant au mouvement , est le siège d'une diminution notable de tous le
crée,, la fesse du membre, privé de sensibilité, mais non paralysé du mouvement , devient le siège d'une eschare (2). 1. Gazette
moment déjà le membre inférieur gauche était complètement paralysé du mouvement , tandis que le membre correspondant de l'autre cô
on note ce qui suit : Membre inférieur gauche : paralysie complète du mouvement . Le membre est dans la flaccidité complète, il n'
n'y a pas trace de contracture, de rigidité, il n'est pas de siège de mouvements spasmodiques, de soubresauts.— Au contraire, la s
casionnerait une série de piqûres. — Membre inférieur droit. Tous les mouvements volontaires sont parfaitement normaux ; mais, par
essous ; mais, de plus, on constate que la jambe gauche (paralysée du mouvement ) est plus chaude que la droite. Le malade accuse
(décubitus acu-tus). — Déjà, le 24 février, on avait remarqué que les mouvements imprimés au genou gauche (côté de la paralysie mo
de plus elle est le siègeïle douleurs spontanées s'exagérant par les mouvements (arthropathie spinal.) 24 mars. Une ulcération,
présenté tous les symptômes de la myélite subaiguë. La para-lysie du mouvement avait commencé à se prononcer dans les membres in
t douloureuses soit spontanément, soit seulement sous l'influence des mouvements . Le genou, le coude, le poignet, la main, le pied
uleurs du dernier genre ne se révèlent guère que sous l'influence des mouvements ou de la pression excercée sur les membres ; ou s
ment, elles sont néanmoins toujours exaspérées par la pression ou les mouvements ; elles dépendent d'une inflammation subaiguë des
arthropathies avaient conservé, en grande partie, la liberté de leurs mouvements et, d'un autre côté, la lésion de la sub-stance g
té chimique pour la paroi du tube que l'autre liquide, il s'ensuit un mouvement , lequel s'opère de telle façon que le liquide don
sé. Il suffirait, dans cette hypothèse, pour accroître l'intensité du mouvement , d'activer le processus chimique de la nutrition,
n'aurait, au contraire, d'autre effet que d'amoindrir l'intensité du mouvement nutritif, et Xatrophie circonscrite est citée com
mittent. — Tremblement continu. Influence du sommeil, du repos et des mouvements volontaires. — Distinction établie par'.Van Swiet
formation des mains et des pieds. Ralentissement dans l'exécution des mouvements . — Perversions de la sen-sibilité. — Crampes; sen
s, les unes ne tremblent que dans le temps même où elles exécutent un mouvement d'ensemble à l'aide de leurs membres, comme dans
u, permanent , il agite les membres sans cesse, sans trêve, et si les mouvements intentionnels l'exagèrent par ins-tants, le repos
tte première distinction, établie d'après l'influence du repos ou des mouvements volontaires, sur la production du tremblement, il
mprendra ceux où le trem-blement ne se manifeste qu'à l'occasion d'un mouvement intentionnel, tandis que les malades chez lesquel
le tremblement qui se manifeste exclu-sivement pendant l'exercice des mouvements volontaires dépendrait d'un défaut de stimulus, r
s certains cas, le tremblement consiste, non pas en une succession de mouvements contraires, soustraits à la volonté, mais bien en
andis que, dans la seconde, elles ne surviennent qu'à l'occa-sion des mouvements voulus. Nous venons de signaler un trait distinct
au et de la moelle, le tremblement ne se manifestait qu'à la suite de mouvements que le malade voulait exécuter, mais jamais à l'é
te tôt ou tard une diminution apppa-rente de la force musculaire. Les mouvements sont lents et paraissent faibles, bien que l'expé
voit ses divers segments osciller les uns sur les autres, animés d'un mouvement presque pa-thognornonique. Le malade rapproche le
présent l'exagèrent. Telles sont les émotions morales, l'exercice des mouvements volontaires. On observe, de plus, des espèces de
lontaires de diverses parties de la main rappeler l'image de certains mouvements coordonnés. Ainsi, chez quel-ques malades, le pou
de rouler un crayon, une boulette de pa- pier , chez d'autres, les mouvements des doigts sont plus com-plexes encore et rappell
dit-elle, mais alors les paupières supérieures sont animées de petits mouvements convulsifs qui sembleraient plutôt faire supposer
tenir dans cette position à mesure que l'expérience se pro-longe, les mouvements convulsifs (sorte de clignotement rapide) augment
éprouve, dans l'exécution de ce dernier acte, une résistance due aux mouvements convulsifs des paupières supérieures, mouvements
e résistance due aux mouvements convulsifs des paupières supérieures, mouvements que la malade ne saurait maîtriser. Le regard est
ertaine difficulté. Les genoux sont rapprochés l'un de l'autre par un mouvement d'adduction : les pieds sont raides, étendus et d
nombre de muscles contribue certes, pour une bonne part, à rendre les mouvements laborieux ; mais ce n'estpas là, croyons-nous, l'
degré déjà, l'attitude du corps et des membres, la difficulté âîins^ mouvements , enfinla démarche caractéristique (1 v^es^as a®(l
nifester, les malades ont senti depuis longtemps, dans l'exercice des mouvements , une gêne nolable qui aune autre cause. Vous re
des que je vous ai présentés, cet embarras dans l'accomplissement des mouvements , qui ne dépend ni du tremblement ni delà rigi-dit
ignificatif, il y a plu-tôt ralentissement dans l'accomplissement des mouvements qu'affaiblissement réel des puissances motrices.
re mis enjeu qu'après des efforts inouïs et, en réalité, les moindres mouvements déterminentune fatigue extrême. Cet ensemble de p
te existaient, moins le tremblement, qui esta peine apparent dans les mouvements . (B). (Note de la 2e édition). (Voyez I'Appendice
liés sou-vent aux vertiges, tandis que dans la paralysie agitante les mouvements de propulsion ou de rétropulsion ne surviennent p
te, par sa jnpe, pour que, aussitôt, elle marche en arrière et que le mouvement rétrograde se précipite très vile et soit promplc
ttaque épileptique; les autres, dynamiques, ou avec prédo-minance des mouvements cloniques, n'affectent pas la tempé-rature d'une
iode terminale. L'affection pour-suivant sa marche, la difficulté des mouvements augmentant, les malades sont obligés de rester to
pes : l'un dans lequel le tremblement ne survient qu'à l'occasion des mouvements voulus. Puis, partant de cette no-tion, je vous a
siteur. — Peut-être, répliqua mon collègue ; mais que pensez-vous des mouvements rythmiques dont la tête et les membres supérieurs
eu dans la paralysie agi-tante ordinaire, ne se montrait que lors des mouvements volon-taires pour cesser à l'état de repos (1 ).
ne se produisait que sous Finfluence des émotions ou à l'occasion des mouvements volontaires. Ces exemples suffisent, je pense,
rits par la volonté, le tremblement est d'autant plus prononcé que le mouvement exécuté a plus d'étendue. Ainsi, quand la malade
n. Ce grand désordre ne se manifeste,je le répète, que dans le cas de mouvements d'une certaine amplitude. S'il s'agit de petits o
mé, le tremblement dont il s'agit ne se manifeste qu'à l'occasion des mouvements intentionnels d'une certaine étendue ; il cesse d
ssibienà l'état de repos des membres, que lorsque ceux-ci sont mis en mouvement par la volonté. Je vous présente une femme chez l
le repos qu'il se manifeste, pour cesser lorsque ceux-ci sont mis en mouvement par la volonté. Vous pouvez reconnaître chez une
sie choréiforme. Il est toujours facile cependant de distinguer les mouvements désordonnés et bizarres de la chorée proprement d
, dans l'acte de porter la main à la bouche, la direction générale du mouvement persiste en dépit des obstacles occasionnés par l
t à atteindre. Au contraire, dans la chorée, la direction générale du mouvement serait, dans l'accomplissement de ce même acte, t
s l'accomplissement de ce même acte, troublée', dès\l'origine,par des mouvements contradictoires, d'une étendue tout à fait dispro
à fait disproportionnée, et qui font manquer le but. Ajoutons que les mouvements de la chorée se montrent tout à coup, inopinément
t affectés, il s'y produit, à l'occasion des actes intentionnels, des mouvements incoordonnés qui rappellent jusqu'à un certain po
s étendus. Etudiez avec soin, chez la malade que je vousprésente, les mouvements de la main, dans l'acte de la préhension d'un o
.., ainsi que vous pouvez le constater, une certaine lenteur dans les mouvements de la langue ; vous reconnaissez même que, tirée
bjets tournent avec une grande rapidité et que l'on subit soi-même un mouvement circulaire : menacé de perdre l'équilibre, le mal
fondre avec le tremblement par-ticulier qui survient à l'occasion des mouvements voulus, ne reste pas toujours bornée aumembredont
ctéristique et qui, alors même que le trem- blement provoqué parles mouvements et laparésie des membres ne viendrait pas tôt ou
e manifeste dans cer-taines attitudes du corps et dans l'exercice des mouvements x^olontaires. J'ai exprimé l'opinion que la longu
ainsi se produiraient les oscilla-tions qui troublent l'exécution des mouvements intentionnels. Cette résistance des cylindres a
Un malade, observé par M. Baerwinkel, s'aperçut d'une difficulté des mouvements de la jambe droite trois jours après avoir fait u
et therm., etc., p. 175, et la traduction du travail de AI. Roberts m Mouvement médical, 1871. 3. J Pajet. — Case of suppressio
rie"! etchez laquelle on aurait observé, au réveil, une hémiplégie du mouvement plus ou moins complète. C'est là un ensemble de c
souvent aussi la langue est tirée du côté paralysé. A la paralysie du mouvement se surajoute une paralysie des nerfs vaso-moteurs
t l'abou-tissant du tractus moteur et en rapport avec l'exécution des mouvements volontaires : il serait l'analogue des cornes ant
1858, hémiplégie gauche. Bientôt la mo-tilité reparaît. — 12 nov. Les mouvements du membre supérieur gauche sont énergiques et rap
uïe est normale des deux côtés.— 26 fév. L'ancsthésie a diminué : les mouvements sont plus énergiques. — 15 mars. Amélioration tem
a réso-lution des phénomènes convulsifs commence à se produire. Des mouvements de déglutition plus ou moins nombreux, et parfois
persistera, l'excitation des membres inférieurs ne sera pas suivie de mouvements réflexes. C'est du moins ce que démontre une expé
t ensuite et est très accentuée. Souvent l'attaque se termine par des mouvements de bassin, avec constriction laryngée, pleurs, ur
s: 1° convulsions épileptiformes, écume et stertor; — 2° puis, grands mouvements des membres et de tout le corps; — 3° enfin, pé
ihre Heilung. Voir l'extrait publié dans les numéros de juin 1872 du Mouvement médical. 2. Nous avons publié l'observation de
pilep- tiformes et télaniformes; après quoi se produisent de grands mouvements , à caractère intentionnel, dans lesquels la malad
i, soit spontanément du moins en apparence, soit sous l'influence des mouvements que fait le malade pour se dresser dans son lit,
hase clonique. Alors, tout est hystérie ; on voit survenir les grands mouvements à caractère intentionnel, des contorsions, qui ex
aisrienà droite. Le chatouillement de la plante des pieds suscite des mouvements réflexes plus intenses à gauche qu'à droite. Tand
maire. — Symptômes. —¦ Caractères des troubles moteurs. — Analyse des mouvements du tronc, des membres, de la tète, de la langue.
i vous frappe le plus, certainement, tout d'abord, ce sont les grands mouvements dont la tête, le tronc et les membres d'un côté d
s, ceux du côté droit, sont sans cesse agités. Au premier aperçu, ces mouvements paraissent désordonnés ; il semble difficile de l
raux. Ainsi, Vagitation peut-être décom-posée, pour chaque partie, en mouvements alternatifs, surtout de flexion et d'extension, t
gure un demi-cercle parcouru tout à l'heure, en sens inverse, dans le mouvement de flexion, si bien qu'au dernier terme, le dos,
resque aussitôt le mou-vement de flexion recommence, suivi bientôt du mouvement d'extension et ainsi de suite {Fig. 28). On dirai
nt, puisse fléchissent alternativement, suivant le même rythme. Les mouvements des diverses parties méritent, d'ailleurs, d'être
ade est couchée ; étendu sur le bras, l'avant-bras' subit en outre un mouvement de pronation, en vertu duquel la paume de la main
cée des membres ne dure qu'un instant, car elle fait bientôt place au mouvement d'extension. Celui-ci s'accuse de plus en plus, à
nstant. Les membresqui, durant la veille, sont incessamment agités de mouvements alternatifs de flexion et d'extension, se montren
ransitoire, de très courte durée, et bientôt re-commence la série des mouvements d'extension et de flexion. Remarquez que les me
on. Remarquez que les membres du côté droifsont seuls agités de ces mouvements ; ceux du côté gauche restent tout à fait libres.
que la pointe de l'organe se porte très fortement vers la droite. Des mouvements involontaires de la langue, dans cette même direc
e étude descriptive faite sur nature, prier lamaladede se lever ; les mouvements invo-lontaires sont, vous le voyez, tout aussi pr
n avant ; elle progresse alors avec un balancement rythmé du corps,un mouvement cadencé des membres du côté droit qui rappellent
es affections de nature diverse où il existe des gesti-culations, des mouvements involontairesà grand rayon,mouve-ments permanents
e la première, afin de mieux accuser le contraste. Chez Alten..., les mouvements involontaires se rap-portent au type classique et
chorée — qui dans le cas particulier est une hémichorée, puisque les mouvements , pour les membres du moins, sont limités à un côt
re malade, en effet, la chorée peut être dite ry-thmique, puisque les mouvements pathologiques affectent un rythme très régulier.
me très régulier. Elle peut être dite aussi systématique, puisque ces mouvements , à chaque temps du rythme,se repro-duisent d'aprè
urrions chercher à préciser encore plus les termes et montrer que les mouvements pathologiques que nous étu-dions doivent être rat
« malléatoire y signifie que les gesticulations sont comparables aux mouvements ca-dencés que décrit le bras du forgeron qui frap
hysiologiques ou professionnels, on pourrait,envisageant sur-tout les mouvements du bras et de la jambe du côté droit, dire que ch
carac-tériser la situation, de relever que, d'une façon générale, les mouvements involontaires dont il s'agit reproduisent, tant b
t aussi les membres du côté droit qui sont aujouf=-' d'hui agités des mouvements choréiformes rythmiques. 1. Leçons sur les mala
ur résultat certain, constant chez notre malade, l'ar-rêt complet des mouvements rythmiques. Je pratique la manœuvre en question
ncent que le résultat prévu va se produire. Vous voyez, en effet, les mouvements rythmés du tronc et des membres s'arrêter brusque
la série des affections hystériques ? Cet arrêt si remarquable des mouvements choréiformes, sous l'influence de la compression
celle-ci est suspendue, vous voyez la contracture disparaître et les mouvements ryth-més du tronc et des membres, tout à l'heure
nifestent très ordinairement les paralysies et les con-tractures, les mouvements choréiformes devront-ils, comme cela a lieu si fr
môme des accidents , à savoir surtout : l'harmonie, la régularité des mouvements choréiformes ; il paraît attacher une certaine im
ort de leur volonté, à atténuer ou même a suspendre momentanément ces mouvements . On ne sauraitvoir là, Messieurs, un caractère un
tionnai nervous disorders" (2). Dans ce cas, comme dans le nôtre, les mouvements choréiques se montraient limités à un côté du cor
tatez, l'agitation cho-réique rentre évidemment, quant à la forme des mouvements pathologiques, dans la description de la chorée v
le tronc, les mem-bres des deux côtés, sont sans cesse agités par des mouvements contradictoires. Debout, elle ne peut se soutenir
stant ; si elle marche, elle est à tout moment menacée de tomber. Les mouvements en question sont irréguliers, désordonnés au pre-
tanément des deux côtés, a pour effet de suspendre momen-tanément les mouvements choréiques, tout comme elle arrêle les attaques (
etc. Ce délire a persisté pendant deux heures environ, et alors, les mouvements choréiques, étaient suspendus. Puis G... a eu tro
t endormie. 13 novembre. — Nous retrouvons la jeune malade avec les mouvements que nous avons décrits. Le nitrite d'amyle est ad
d'amyle y met fin encore une fois. 14 novemhre. — G... n'a plus de mouvements choréiques, mais nous offre une contracture du me
qu'elle est d'ordinaire. ^novembre. — Aujourd'hui G... présente des mouvements choréiformes ir-réguliers qui ressemblent beaucou
compagne AV... dont il est parlé dans la leçon. 18 novembre. — Les mouvements choréiques irréguliers persistent et sont même pl
25 attaques jus-qu'à une heure de l'après-midi. — A partir de là, les mouvements choréiques ont définitivement cessé. (B.) APPEN
u menton ; malgré cette précaution, les lèvres sont animées de petits mouvements qui rappellent, selon la comparaison de la ma-lad
ts mouvements qui rappellent, selon la comparaison de la ma-lade, les mouvements des lèvres du lapin. Môme dans la bouche la langu
timètre, tremblantes et laissent voir la langue qui est sans cesse en mouvement . Le cou est très rigide ; les muscles trapèze, si
d., 6 mai.) Il faut donc répéter que, dans la paralysie agitante, les mouvements qui animent quelquefois la tête lui sont communiq
hénomène de transmission à celui qu'éprouve le cavalier qui subit les mouvements que lui communique sa monture. Pour prouver que
inson que, quand les malades sont libres, le plumet est sans cesse en mouvement . Mais si, à l'aide d'un artifice quelconque, par
e, par exemple en élevant fortement le tronc et les bras, onarrêteles mouvements des membres supérieurs, on suspend du môme coup c
immédiatement de la lenteur de sa marche et, en général, de tous ses mouvements . Son attitude et sa physionomie présen-taient éga
était moins alerte, elle se sen-tait raide, incapable d'exécuter des mouvements rapides et par conséquent fort gênée dans ses exe
et, à un moment, il survint de tremblement de la main droite dans les mouvements volontaires. En 1874, les symptômes sont les mê
ns le membre supérieur droit ; — absence de tout tremblement dans les mouvements vo-lontaires. La sensibilité est conservée. — La
ebout ; on observe le tremble-ment spécial des mains à l'occasion des mouvements . Quand on veut la lever, le corps entier est agit
ent, mais celui-ci se manifeste dans les membres supérieurs dès qu'un mouvement est exécuté. C'est principalement dans l'acte de
taques apoplectiformes. —La parole est scandée et la langue animée de mouvements vermicu-laires. Cettesituationresteàpeuprèslamê
uir le contact. De fait, si on les interroge touchant le motif de ces mouvements im-prévus, elles racontent qu'elles ont cru voir
ases : a) Phase tonique.— Elle débute le plus souvent par quel-ques mouvements de circumduction des membres supérieurs, en même
des secous-ses généralisées. Les muscles de la face, animés des mêmes mouvements , la rendent horriblement grimaçante. e) Phase d
ensuelle, septembre 1878). 2° Période des contorsions et des grands mouvements . Clownisme. — Après un moment de calme assez cour
r deux ordres de phénomènes distincts : les contorsions-et les grands mouvements . Les contorsions consistent en des attitudes biza
ls sur le lit, le ventre formant le sommet de la courbe. Les grands mouvements consistent le plus souvent en des oscillations ra
renverse brusquement en arrière, heur-tant violemment l'oreiller. Ce mouvement se répète jusqu'à vingt fois de suite; il est sou
rçant rappelle le sifflet de chemin de fer. D'autres fois, ces grands mouvements sont complètement désordonnés, la malade semble l
es auteurs la succession des diverses phases: épileptique, des grands mouvements , des attitudes passionnelles, etc., etc. L'influe
clonique) ; les muscles des parois abdo-minales sont agités des mêmes mouvements que ceux de la poitrine. » M. Bernutz est peut-
'ailleurs, lui aussi, les cris de fureur qui accompagnent souvent les mouvements désordonnés de cette seconde période : « Il est
que : ( Au moment, dit-il, où, après un certain temps de durée, les mouvements convulsifs ont perdu de leur énergie, et où la fi
yeux qui, jusque-là étaient couverts par les paupières ou animés d'un mouvement de clignotement, et parfois en même temps de nyst
onvulsifsapparfenantplus particulièrement à l'hystérie; tels sont les mouvements de circumduction du commencement de la phase toni
par la prédominance des phénomènes de la 2e période, clownisme,grands mouvements , et l'atténuation des autres périodes. Les contor
ralement par quelques phénomènes épileptoïdes (inspiration sifflante, mouvements de déglutition bruyants, écume à la bouche...), q
e,la maindeMlle X... s'estou-verte tout à coup et a récupéré tous ses mouvements . Obs. II. — Le 17 avril 1877, la nommée Hortens
ère toujours et devient atroce lorsque la malade essaye d'exécuter un mouvement et aussi lorsqu'on vient à exercer la plus légère
nu une paralysie complète portante la fois sur le sentiment et sur le mouvement et occupant, dans toute son étendue, le membre su
u'à l'aisselle, puis au même côté du cou et de la tête. Le plus petit mouvement du membre, même l'action de soulever l'avant-bras
mittent. — Tremblement continu. Influence du sommeil, du repos et des mouvements volontaires. — Distinction établie par Van Swiete
formation des mains et des pieds. Ralentissement dans l'exécution des mouvements . — Perversions de la sen-sibilité. — Crampes; sen
Sommaire. — Symptômes. — Caractères des troubles moteurs. Analyse des mouvements du tronc, des membres, de la tête, de la langue.
, 435. — Période épileptoïde, 537; P. des contorsions et des grands mouvements , 437 ; — P. des atti-tudes passionnelles, 438 ; —
ptômes, 387. — Parole, 391. — Démarche, 391. — Nature, 392. Arrêt des mouvements , 399. — Fréquence, 402. — Influence de la volonté
ante, 166, 229 : — dans la sclérose en plaques, 226. — In-fluence des mouvements , 227. — Caractères qui le distinguent de la chlor
41 (1905) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 18] : recueil consacré à l'iconographie médicale et artistique
as exagérer l'occlu- sion des paupières, rend difficiles les divers mouvements . Comme aux membres inférieurs, la sensibilité o
rice que vous venez d'observer,mais un tremblement provoqué par les mouvements intentionnels. Tandis que chez Louise V..., l'i
re par une perte de l'équilibre cynétique, constaté dans les divers mouvements . mais avec conservation de l'équilibre stati- q
un étau de bois, de marbre, de coton, sensations déterminées par un mouvement ou seulement l'idée d'un mouvement. L'effort po
n, sensations déterminées par un mouvement ou seulement l'idée d'un mouvement . L'effort pour chercher à se soulever dans son fa
, etc., qui sont senties assez normalement à gauche. La motilité, mouvements de flexion, d'extension, d'adduction, d'abduction
és sont nuls ou indécis. Il n'y a pas d'atrophie musculaire, pas de mouvements fibrillaires. Pas de lésions trophiques. Sphinc
' de motilité. Le talon ne glisse plus sur le lit. Il y a quelques mouvements voulus, amélioration qui va toujours s'accentua
à depuis quelque temps à la face postérieure. Le fait du retour des mouvements à gauche et de la diminution des perver- tions
me de la jambe droite qui avait été indemne jusque-là. L'essai d'un mouvement quelconque exaspère ces douleurs et réveille ce
par une section transversale de la moelle, retrouvait déjà quelques mouvements au bout de huit jours et mar- chait quatre mois
ques. Il n'a pas de troubles intellectuels, pas de vertiges, pas de mouvements incoercibles, pas de tremblement céphalique, pas
ieurs, mais seulement de la maladresse et de la lenteur mêlée à des mouvements brusques de détente, une écriture brisée et tro
une écriture brisée et troublée. « Quand l'individu est au lit, les mouvements volontaires sont absolument normaux, il n'y a pas
s capitaux, parole scandée, troubles de l'équilibre dans la marche, mouvements en détente brusque, asthénie précoce, rappelle ce
y a pas de clonus du pied, il n'y a pas la moindre raideur dans les mouvements passifs, du moins quand le malade est couché et
ibration si gravement compromises. Il exécute parfaitement tous les mouvements , quand il est couché. Les mouvements de préhens
exécute parfaitement tous les mouvements, quand il est couché. Les mouvements de préhension des membres supérieurs sont imparfa
er chez lui, c'est l'impossibilité, étant debout, de faire un autre mouvement associé. Toute son attention est concentrée sur
est incapable, en marchant, d'exécuter, sans s'arrêter d'abord, un mouvement de rotation de la tête. Il est obligé de s'arrête
dococynésie a décrit chez les cérébelleux un trouble particulier du mouvement , qui consiste dans l'impossibilité de faire suc
, qui consiste dans l'impossibilité de faire successivement le même mouvement avec rapidité. Ce trouble est, par com- paraiso
le recherche en faisant par exemple exécuter au sujet une série de mouvements rapides de pronation et de supination. D... les f
er caractère est d'ailleurs un fait constant chez D... pour quelque mouvement que ce soit. Il a une asthénie rapide et Lucian
et sta- biliser sur celui-là les muscles péri-scapulaires. Mais ce mouvement de contrac tion ne peut durer ; rapidement un b
térieures qu'en- traine leur contraction. L'inscription directe des mouvements musculaires à l'aide de tambours appliqués à la
tation », parce que c'est le même qui, dans la station, s'oppose au mouvement du tronc en avant, et qu'il est le principal agen
l l'opinion de Gerdy que nous venons de rapporter. Il a inscrit les mouvements des muscles sacro-lom- baires en se servant d'u
ation du bassin du côté oscillant ne saurait se produire que par un mouvement de rotation autour d'un axe antéro-postérieur p
la jambe suspendue, au moins dans les trois premiers quarts de son mouvement . C'est une nécessité pour que la jambe oscille
colonne vertébrale, le sacrum a subi un véritable renversement, un mouvement de bascule tel que sa convexité, au lieu d'être d
des différents segments du rachis est habituellement diminuée, les mouvements de flexion se font assez bien surtout dans la rég
sées d'origine profes- sionnelle sont compensées uniquement par des mouvements qui se passent dans les articulations coxo-fémo
t facile de déduire, en raisonnant sur ces faits, qu'il y aurait un mouvement de bascule général du bassin, se traduisant du
d'un certain degré de flexion des autres, a bien les caractères du mouvement indépendant de la volonté, que l'on produit nor
, comme l'a montré M. Babinski. Certes, on connaît la fréquence des mouvements d'extension des or- teils chez les bébés ; il é
Madrid, peut s'expliquer de deux façons. Ou bien l'extension est un mouvement spontané, comme on en voit t de si souvent repr
gnée d'une abduc- tion des autres orteils du même pied. Mais là, le mouvement général de l'Enfant indique des gestes spontané
offre un des adorateurs. Ses pieds ne subissent aucun contact. Les mouvements des orteils sont, dans ce cas, des mouvements as-
nt aucun contact. Les mouvements des orteils sont, dans ce cas, des mouvements as- sociés, en rapport avec l'effort. Ils diffè
orteils sont presque toujours immobiles, quelquefois étendus [aucun mouvement dans l'Angelico (Of- fices), dans Hugo Van der
t quelquefois seulement esquissée, indiquée tout à fait au début du mouvement comme dans une Adoration des Mages de Ghirlandajo
offices, salle de l'Angelico), où l'on voit le pied de l'enfant, sans mouvement des orteils, reposant sur une serviette dans la
'extension des orteils se fond dans des mou- vements plus gracieux, mouvements spontanés d'extension volontaire, comme beaucou
g ; jamais il n'a éprouvé de vertiges auriculaires. Dans les autres mouvements des membres inférieurs, il n'existe pas d'asynerg
en zigzag, et les lignes droites sont incurvées. Il n'existe pas de mouvements choréo-athétosiques, mais, et surtout par l'occ
CII ET llÉnÉDO-.\TAXOE CÉRÉBELLEUSE 125 un tremblement marqué ; les mouvements sont imprécis ; le malade, vous le voyez, arriv
ariable, qui est ordinairement de un à trois ans, l'incertitude des mouvements atteint aussi les mains (ce dé- but par l'incer
e cette faiblesse que de l'ataxie motrice. Toute précision dans les mouvements était impossible ; la malade n'arrivait que trè
...a de la peine à détacher les pieds du sol. En même temps ataxie, mouvements exagé- rés, Romberg. Réflexes patellaires très
e et sensée. Motilité. Les bras ne furent jamais paralysés mais les mouvements devin- rent de moins en moins sûrs, le malade r
ent en riant ; pourtant, couché dans son lit, il exécutait tous les mouvements qu'on lui commandait, dépassant presque toujour
rts du malade pour le mouvoir ne réussissent qu'à produire quelques mouvements de nystagmus Réaction pupillaire minime la lumi
ble ; démarche extrêmement spastique. Le ma- lade étant couché, les mouvements des jambes s'exécutent sans difficulté. Gâ- tis
E DE LA MUSCULATURE INTERNE DES YEUX ET CONSERVATION PARFAITE DES MOUVEMENTS ASSOCIÉS DE LA 131LATÉRALITÉ PAR ETTORE GRUNE
Mitiard-Gùbler ; il est caractérisé d'un côté par une paralysie des mouvements de latéralité des globes oculaires, et de l'aut
stant, au contraire, par du tremble- ment, de l'incoordination, des mouvements athétosiformes et de l'asyner- gie cérébelleuse
tant sur la coordina- tion, sur l'équilibre et sur la direction des mouvements . Si l'on ordonne au malade de prendre son verre
éritable trem- blement intentionnel qui s'exagère beaucoup dans les mouvements exécutés. A gauche la force musculaire et les m
p dans les mouvements exécutés. A gauche la force musculaire et les mouvements volontaires sont normaux. Il n'y a pas de trace
ade se plaint d'une céphalée très violente qui s'exagère au moindre mouvement et qui est localisée à la nuque. Examen des y
yeux étant paralysés, il y a propulsion des globes oculaires. Les mouvements de l'élévation et de l'abaissement font absolumen
nt font absolument défaut, la convergence est absolument nulle, les mouvements obliques en haut, en bas et en dehors sont abol
ments obliques en haut, en bas et en dehors sont abolis ; les seuls mouvements de latéralité à droite et à gauche sont conserv
que des deux côtés, abolition de la convergence et conservation des mouvements de latéralité avec intégrité partielle des mus-
suite, eu regardant le malade, que sa main droite est le siège des mouvements lents, reptiformes, involontaires, tout à fait se
nts lents, reptiformes, involontaires, tout à fait semblables à des mouvements athétosiques. A part cela, on ne constate ni tr
rections latérales (PI. XXVI, B). Par un contraste remarquable, les mouvements de latéralité à gauche et à droite ont leur amp
es droits internes conservent leur intégrité fonctionnelle dans les mouvements associés de latéralité, le mouvement de convergen
égrité fonctionnelle dans les mouvements associés de latéralité, le mouvement de convergence est nul. Les deux yeux sont en s
cas elle n'est pas en rapport avec le strabisme et les troubles des mouvements des globes oculaires. D'après les caractères de c
urs très fortes dans l'épaule et tout le côté droit du corps. 15. Mouvements conjugués horizontaux toujours bien conservés. Cé
t ; en soulevant les deux paupières on fait exécuter facilement les mouvements de la bilatéralité des yeux. 12. Le malade a
ments de la bilatéralité des yeux. 12. Le malade a eu un accès de mouvements spasmodiques dans le bras et la jambe droite sa
la conver- gence des globes oculaires, avec l'intégrité absolue des mouvements de la bilatéralité, lorsqu'elle se présente com
ie motrice ou sensitivo-motrice vienne s'associer une paralysie des mouvements conjugués des yeux. Il s'agit alors d'un syndro
mes pas encore fixés d'une façon très exacte sur la physiologie des mouvements (1) PARI\.1UU, Paralysie des mouvements associé
acte sur la physiologie des mouvements (1) PARI\.1UU, Paralysie des mouvements associés des yeux, Arch. de neurologie, 1883, p
yeux et sur le siège des lésions qui entraînent la paralysie de ces mouvements d'ensemble des deux globes oculaires. » C'est l
e pour Von Monakow l'existence de centres supra-nucléaires pour les mouvements associés des yeux, placés dans les tubercules qua
einland), les centres ou les voies d'association, qui régissent les mouvements conjugués des yeux, se- raient placés dans la p
lévation, de l'abaissement et de la convergence, plutôt que sur les mouvements de latéralité. Il y a dans la littérature des c
imitées aux tubercules quadrijumeaux antérieurs, sans paralysie des mouvements associés des yeux ; tels sont les cas de Nothna
ubercules quadrijumeaux antérieurs, peut produire une paralysie des mouvements associés de la bilatéralité ; il suffit en effet
t constitué par une hémiplégie sensitivo- motrice avec troubles des mouvements volontaires, de la coordination et de la synerg
ique de tous les mus- cles de la IIIe et de la IV' paire; les seuls mouvements conjugués de laté- ralité étaient bien conservé
rplus dans un cas on put assister à la conservation parfaite de ces mouvements jusqu'aux derniers jours de la vie du malade.
nterne y comprise, mais comment alors expliquer la conservation des mouvements associés de la bilatéralité ? Les physiologis
ogistes se sont occupés depuis longtemps du mécanisme qui régit les mouvements conjugués de latéralité des yeux; on avait admis
oyau externe, parcourent (1) DUVAL ET LABORDE, De l'innervation des mouvements associés des yeux. Journal de l'anat., 1880.
histologique, nous voyons bien que pour expliquer le mécanisme des mouvements as- sociés de latéralité, nous sommes forcé d'a
réflexes très courtes ? » Or il est certain que le mécanisme de ces mouvements associés, qui ont une fonction primordiale, un rô
es, ou pour mieux dire, des voies d'as- sociation qui régissent les mouvements associés de latéralité des yeux. Cette donnée e
ux de la calotte protubérantielle, peut entraîner une paralysie des mouvements conjugués de latéralité. Pour ce qui est des mo
lysie des mouvements conjugués de latéralité. Pour ce qui est des mouvements associés de l'élévation, de l'abaisse- ment et
pourrait peut-être s'expli- quer le mécanisme physiologique de ces mouvements conjugués^ ? ' un simple entrecroisement de fib
alysie des muscles des yeux porte de préférence sur tous les autres mouvements et non sur ceux de la latéralité, on y trouve l
, tordus sur eux-mêmes, entraînent l'extrémité du sternum dans leur mouvement . (1) PETTIT et G1RARD, Soc. de biologie et Arch
es veines épisclérales sont dilatées el sinueuses par places. Les mouvements des globes sont normaux. La tension intra-oculair
note au niveau d'un entrecroisement d'une veine et d'une artère un mouvement de progression du sang dans la veine qui est tr
trop faible pour donner nettement l'impression du pouls veineux. Ce mouvement de progression du sang se voit aussi dans les art
ation des fausses membranes qui se rétractent, entraînant dans leur mouvement espaces intercostaux et colonne vertébrale. Ce
par des douleurs siégeant dans tout le côté droit, exagérées par le mouvement et la toux et qui avaient apparu 5 ou 6 jours a
manifeste chez les tabétiques au moment de l'exécution des certains mouvements . Comme chez les tabétiques l'ataxie présente pl
ant le degré d'ataxie, se déclare pendant l'exécution de tel ou tel mouvement , de même la crampe profes- sionnelle aurait plu
te que ses doigts se crispent, le porte-plume se met à exécuter des mouvements désordonnés, en traçant des véritables hiéroglyph
egré que la marche ataxique du tabétique est une incoordination des mouvements des membres inférieurs pendant la marche. Nous
rosseux. Il employa le procédé du Dr Schotte qui con- siste : 1° en mouvements passifs, exécutés par le malade ( ? ) ; 2° en mou
» et de le baisser sous le commandement « baissez ». Quatre ou cinq mouvements de va et vient rythmique suffisent ; on attache l
estion. La rééducation de l'écriture agit par la régularisation des mouvements de l'écriture, l'alterna- tive graduelle des co
ujours dans la main gauche, nous leur faisons exécuter une série de mouvements analogues aux déplace- ments de la main sur les
-SCIATIQUE DROITE 237 ment du corps demeure immobile pendant divers mouvements des.autres segments. C'est le cas de notre mala
ras tout le poids du haut de son corps lorsqu'il veut effectuer son mouvement de bascule donnerait à entendre que dans la pos
outes les maladies douloureuses du membre inférieur. « En dehors dû mouvement instinctif d'inclinaison vers le côté sain, qui
tudes correcteurs, ayant même origine el même destina- tion que les mouvements de la main destinés à ramener la tête vers la r
mbre 1900. Il est très affaibli, amaigri et gâteux. Il présente des mouvements spasmodiques de la mâchoire et de la langue, de t
res sont en flexion, les réflexes crémas- tériens sont faibles. Les mouvements spasmodiques sont généralisés au point de rendr
tre très affaibli, sa voix est éteinte ; il fait pourtant de grands mouvements de la tête et des membres. On observe que la ma
(1) progressive, abolition des sens spéciaux, parésie des membres, mouvements de manège de gauche à droite. - Autopsie : Atro
manifester aucune satisfaction. Le chien, qu'il soit au repos ou en mouvement , paraît être dans un état de stupeur absolue. I
es des physiologistes sont contradictoires sur bien des points. Les mouvements de manège et de ro- tation paraissent provoqués
ntéro-externes du lobe cérébelleux gauche d'un chien, a provoqué un mouvement de manège qu'il fut possible d'observer depuis so
d une tendance à tourner de gauche à droite et, progressivement, un mouvement de manège dont le rayon se fit de plus en plus
des fibres antérieures de la protubérance du même côté, entraîna un mouvement de manège de gauche à droite. Cette constatatio
nfluence d'une piqûre, s'écartait sans témoigner aucune douleur, ni mouvements de colère. Il convient de faire remarquer que
riées : aux extrémités en particulier, qui sont souvent le siège de mouvements athétosiques, les déformations impriment aux do
domaine du facial inférieur, plus marquée quand la malade fait des mouvements de la face, et tenant à la contracture dans le
XXXV). Le coude est dans la demi-flexion, on peut lui imprimer des mouvements très limités d'extension. L'avant-bras est dans
sthésie ; s'il faut en juger par les cris que pousse la malade, les mouvements provoqués, surtout les mouvements de l'é- paule
es cris que pousse la malade, les mouvements provoqués, surtout les mouvements de l'é- paule, s'accompagnent de vives douleurs
par rapport au côté sain. Le membre inférieur droit est le siège de mouvements fort limités. C'est à peine si la malade peut l
er légèrement au-dessus du plan du lit. Elle ne peut imprimer aucun mouvement à sa jambe, à son pied, il ses orteils. Cela ti
e, donne lieu à des modifications intéressantes dans les différents mouvements coordon- nés. La marche est difficile, lente,
és. La marche est difficile, lente, et s'effectue avec une sorte de mouvement de roulis du bassin, les pieds étant très peu s
comme des corps étrangers, et achève de se coucher par une série de mouvements de torsion du tronc aidés par le soulèvement du
provoqués, de la vie courante. La malade se comporte, dans tous ses mouvements , comme une myopathe (action de se le- ver, de m
ts articulaires . Cette hypotonie permet à la malade d'exécuter des mouvements provoqués d'une amplitude d'excursion tout à fait
circulation veineuse du membre se fait mal, faute l'impuissance aux mouvements . Mais ces lypes là ne sont pas envi- sagés par
re sur une table ou sur un mur, la main vide ou avec un crayon, les mouvements sont normaux, il n'y a pas de secousses. Tort
anormal tant que saeur llLf.... lisait la page de gauche ; le léger mouvement de la tête et des yeux nécessaires pour passer
imprévue d'une personne amie le faisaient apparaître aussitôt. Les mouvements antagonistes employés ont été nombreux. Au débu
e et la dépasse un peu en avant. A genoux, pendant les prières, les mouvements étaient si fréquents et si violents qu'ils abso
aient toute l'attention de la malade. Pour arrêter les 288 BONNUS mouvements de la tête et éviter les distractions, elle plaça
ront ; d'au- tre fois le simple fait de pencher la tête arrêtait le mouvement . Pendant la marche, il suffisait d'un ouvrage e
urner vers la gauche. Au bout de quelque temps elle constate que le mouvement vers la gauche se fait involontairement. D'in
s la gauche se fait involontairement. D'intentionnel au début, le mouvement était devenu involontaire. L'examen attentif qu
u contraire, la malade est distraite, ils ne se produisent pas. Les mouvements de la main et du cou sont irrésistibles, mais e
ne sens pas si ma tête est droite ». De plus, avant de commencer ce mouvement , elle tourne les yeux à gauche et fixe le bord
tourne les yeux à gauche et fixe le bord de la cornette tant que le mouvement n'est pas terminé. Les moyens de guérison mis
n'ayant que 1 m. 60 de taille. Une de ses soeurs a été atteinte de mouvements choréiques passagers à l'âge de cinq ans. Leurs
hent l'un sur l'autre, l'interne étant supérieur et antérieur ; les mouvements qu'on leur imprime sont très limités. Le moignon
avicules rend possible chez les deux premiers en- fants de nombreux mouvements anormaux qui sont identiques chez l'un et chez
os, etc., etc. (XV. Pl. XXXIX, XLI, LU). Il semble de plus qu'aucun mouvement normal ne soit entravé chez ces sujets ; ils pe
compa- gnes. Elle présente du fait de son aplasie claviculaire des mouvements anormaux spontanés et provoqués des membres sup
(décubilus dorsal). On y remarque la gracilité des différents os, le mouvement de sonnette des omoplates surtout de la droite,
er nos trois cas de saillie exagérée du tubercule du trapèze. Les mouvements volontaires ne sont guère modifiés ; tous les aut
1 de MM. Pierre Marie et Sainton qui est trop gras. Ces différents mouvements anormaux peuvent amener la pro- duction de bour
Sachs (1), on dit qu'il se fait parallèlement avec le libre jeu des mouvements des membres antérieurs; là où cette liberté est
tion dé- fectueuse, elle n'a aucune action sur le développement des mouvements du bras qui sont normaux ou plus que normaux. »
it supposer au premier abord, la tête ne suit pas nécessairement le mouvement de la partie supérieure du rachis ; quel que so
, lorsqu'il y a projection antérieure de la colonne cervi- cale, un mouvement de redressement inverse de celui de la colonne, t
tre deuxième malade. 3° Fille, elle a été prise à l'âge de 7 ans de mouvements choréiformes, insi- (1) Ces malades ont été pré
lisé qui, aux membres supérieurs, s'exagère après la répétition des mouvements . Conservation de la force musculaire. Pas d'ata
. Le malade ne suit pas avec ses yeux le doigt ; mais il existe des mouvements spontanés des yeux. 15 décembre 1904. Même ta
passifs. Seule la flexion dorsale des pieds est défectueuse. Tout mouvement un peu fort provoque un tremblement, à oscillatio
sé. Il existe un certain degré de contracture qui augmente dans les mouvements passifs, mais qu'on arrive à vaincre complèteme
des deux côtés. Réflexe abdominal vif. Réflexe crémastérien vif. Mouvements continuels d'ascension et de descente du testic
gauche qu'à droite, ayant les mêmes caractères qu'aux jambes. Les mouvements spontanés sont très lents et maladroits. Pas d'
nétie intenses. Réflexes très forts. Cou. Raideur. Difficulté des mouvements . Face. Contracture permanente du facial droit.
scles du front. La ? igue. - Ne peut être prolabée, mais les autres mouvements se font bien. Voile du palais. Se soulève bien
à bout de souffle et la voix est un peu nasonnée. Langue : quelques mouvements fibrillaires et un peu d'ataxie. Démarche : ell
raide, elle marche lentement, frottant les talons par terre. Les mouvements des membres et la force musculaire sont conservés
existe un léger degré de contracture, qui n'apparaît que dans le.¡; mouvements passifs, mais qui n'est pas du négativisme. L
fort longue, elle n'est pas suffisamment intense pour empêcher les mouvements actifs AFFECTION SPASTIQUE BULBO-SPINALE FAMILI
MILIALE 409 des membres inférieurs ou pour s'opposer grandement aux mouvements passifs. Comme toujours dans les états de ce ge
me toujours dans les états de ce genre, elle ne s'accompagne pas de mouvements paralytiques, si ce n'est au niveau des muscles e
ques ; car, contrairement à celui-ci, il ne se produit pas dans les mouvements ayant un but déterminé (tels que dans l'action
. Cette contracture s'exagère d'ailleurs dans la parole et dans les mouvements de la mâ- choire, rappelant ainsi la contractur
cture qu'on observe dans l'hérédo-ataxie cérébelleuse sous forme de mouvements associés. Cette contracture n'est pas limitée à
possible que celte der- nière en soit responsable, quoique dans les mouvements de rotation de la tête, les yeux suivent le mou
que dans les mouvements de rotation de la tête, les yeux suivent le mouvement . Peut-être cette contracture n'existe- t-elle q
ue dans les mouvemeuts isolés des globes oculaires, et non dans les mouvements associés. C'est encore dans la contracture de l
..., 18 ans. Début de l'affection il y a un an et demi. En 1866 : mouvements des jambes possibles, mais lents et tremblants.
possibles, mais lents et tremblants. Tremblement des bras dans les mouvements . Expression stupide de la face. Les paupières s
s un certain degré 412 ' BALLET ET ROSE de torpeur cérébrale. Les mouvements de la mimique sont impossibles ou lents. La par
role est difficile, nasonnée, monotone. Parésie du voile du palais. Mouvements oculaires lents, pas de nystagmus. Pas de trouble
x bras. 1874. Impossibilité de tirer la langue hors de la bouche. Mouvements faciaux associés pendant la parole. Les mouveme
rs de la bouche. Mouvements faciaux associés pendant la parole. Les mouvements des bras se font lentement, par secousses ; ils
e rapide des mains. Tremblement même au repos, s'exagérant dans les mouvements intentionnels. Les mouvements délicats sont diffi
t même au repos, s'exagérant dans les mouvements intentionnels. Les mouvements délicats sont difficiles et s'accom- pagnent de
els. Les mouvements délicats sont difficiles et s'accom- pagnent de mouvements associés. Réflexes tendineux vifs. Aux membres
, se généralisent ensuite à tout son côté gauche, donnent lieu à un mouvement de la commissure labiale en haut et en arrière, à
duit, d'abord non tétanisant, puis tétanisant. On peut dire que ces mouvements anormaux de la figure se composent de convulsions
é des crises; on peut dire cependant que la fatigue générale et les mouvements volontaires des muscles de la face accentuent o
quelques muscles, à quelques portions de muscles dans lesquels les mouvements convulsifs restent par- fois cantonnés. e) Ce
t et en arrière, ou encore on observe une association de ce dernier mouvement à un mouvement du pavillon de l'oreille en haut
, ou encore on observe une association de ce dernier mouvement à un mouvement du pavillon de l'oreille en haut et en arrière
e trouvent les caractères en question : ce sont l'unilatéralité des mouvements anormaux, leur aspect fasciculaire ou parcellai
signe de l'é- ventail des deux côtés, mais plus marqué à droite, le mouvement combiné de flexion de la cuisse et du bassin à
n les carac- tères du spasme facial et il est bien possible que les mouvements convulsifs (1) Bmssnun, Leçons sur les maladies
eut-être, au moins dans bien des cas de cette dernière affection de mouvements d'un tout autre ordre. Mon ami M. Meige, il est v
ce et se répétant toutes les cinq ou dix minutes ; or l'analyse des mouvements convulsifs m'a montré qu'ils diffé- raient esse
arfaitement possible ; mais elle apparaît nettement encore dans les mouvements volontaires au niveau de la moitié droite du fr
peut voir les contractions volontaires de la face s'accompagner de mouvements d'élévation de l'épaule, et inversement. 11 ne
étaient continuelles et devenaient encore plus terribles au moindre mouvement de l'échine dorsale au lit, et surtout lorsqu'i
ervir de ses bras par suite de leur fai- blesse et parce que chaque mouvement lui était terriblement douloureux. Les douleurs
ensuite elles ont disparu et le malade pouvait effectuer de légers mouvements avec ses membres inférieurs. Donc, son état était
nt quitter le lit, il pouvait tout de même exécuter quelques légers mouvements avec le corps et les membres, tandis qu'à l'hôp
elles réagissent très bien à la lumière et à l'accommodation ; les mouvements des 432 NOICA globes oculaires sont exécutés
: DEUX FRÈRES ATTEINTS DE MYOPATHIE PRIMITIVE PROGRESSIVE 433 des mouvements à droite, à gauche, en avant avec beaucoup de fac
sa longueur), à droite 16 cent. 5, et à gauche 17 centimètres. Les mouvements actifs aux membres supérieurs sont réduits, le ma
ne et encore moins les étendre. Avec le pouce il effectue de légers mouvements d'adduction et d'abduction, mais aucun mouvemen
ffectue de légers mouvements d'adduction et d'abduction, mais aucun mouvement d'extension, de flexion et d'opposition. Le rappr
s difficilement avec la droite. Il ne peut boutonner son habit. Les mouvements de flexion et d'extension dans l'articulation du
nsion dans l'articulation du poignet s'effectuent assez bien et les mouvements de pronation et de supination se fout également
lation du coude et dans l'articulation de 434 NOICA l'épaule, les mouvements sont réduits des deux côtés, mais surtout à droit
mouvements sont réduits des deux côtés, mais surtout à droite. Les mouvements passifs s'effectuent facilement, n'existant pas d
ilieu est de 27 centimètres à droite et de 27 cent. 5 à gauche. Les mouvements passifs sont conservés dans toutes les articula
ouvements passifs sont conservés dans toutes les articulations. Les mouvements actifs des orteils et de l'articulation tibio-tar
ent. L'extension s'exécute très difficilement surtout à droite. Les mouvements de rotation en dedans et en dehors s'exécutent
ts de rotation en dedans et en dehors s'exécutent assez bien. Les mouvements d'adduction et d'abduction sont bien conservés.
ance est assez bien conservée lorsque nous voulons nous opposer aux mouvements d'extension et de flexion ; au contraire, la rési
e flexion ; au contraire, la résistance est très ré- duite pour les mouvements d'adduction et d'abduction. Les réflexes tendin
une rétraction du pied et même du membre tout entier, un véritable mouvement de défense, lorsque nous prome- nons la pointe
but de sa maladie. A cet âge il commença à perdre petit à petit les mouvements des doigts. Plus tard il pouvait encore effectu
s. Plus tard il pouvait encore effectuer la flexion du coude et des mouvements dans l'articulation scapulo- humérale, tandis q
es mouvements dans l'articulation scapulo- humérale, tandis que les mouvements des doigts et du poignet étaient abolis. Enfin
439 Avec l'articulation scapulo-humérale il peut exécuter quelques mouvements : relever le bras jusqu'au plan horizontal à dr
bras jusqu'au plan horizontal à droite, moins à gauche ; faire des mouvements assez satisfaisants d'adduction, d'abduction et d
otation. Dans l'articulation du coude, du poignet et des doigts"les mouvements sont interdits. On doit lui donner à manger, à
in et même l'appliquer sur l'abdomen, mais il ne peut l'écarter. Le mouvement d'extension de la jambe sur la cuisse ne se fait
sur la cuisse ne se fait plus, il existe seu- lement un très léger mouvement de flexion. Il peut faire quelques légers mou-
ues légers mou- vements d'adduction et d'abduction des cuisses. Les mouvements actifs dans l'articulation tibio-tarsienne, dan
les articulations des pieds et des orteils sont abolis. Tous les mouvements passifs des segments des membres supérieurs se fo
paule, où elle est seulement diminuée. Aux membres inférieurs les mouvements ne se font ni facilement, ni complè- tement par
musculaire. Si on excite la plante des pieds, on voit seulement un mouvement de flexion de la cuisse sur le bassin. La mal
de la douleur, spontanée et surtout provoquée par les tentatives de mouvement . Le même fait est noté dans assez bon nombre de c
resque toujours on observe une période où la sim- plelimitation des mouvements précède de loin l'attitude vicieuse, quel- quef
ec impossibilité de la mettre dans la rectitude. Toute tentative de mouvement devient très douloureuse. L'anamnèse de l'enfan
icale, soit aiguë, soit chro- nique. Si l'on vient à imprimer des mouvements de la tête sur le cou, la douleur est intense,
leur contracture à tout redressement. Dans l'attitude acquise, les mouvements de rotation peuvent être associés, et sont presqu
douleur toute espèce d'aliments. mais il a grand'peine à boire, les mouvements qu'il tente de faire pour relever la tête étant
4 semaines environ. A cette époque l'en- fant, à la suite d'un faux mouvement , est tombé d'une voiture, et ce furent la tête
, était dès lors constituée. L'enfant ne pouvait plus faire un seul mouvement de la tête sans ressentir de grandes douleurs ;
mblait même immobilisé quant à la par- tie supérieure du tronc. Les mouvements de mastication et de déglutition n'étaient null
tes du côté gauche sont légèrement douloureuses. Toute tentative de mouvement est particulièrement douloureuse et semble augm
semble augmenter encore la contracture des masses musculaires. Les mouvements de flexion exagérée sont possibles, ceux de rot
exe pharyngien est émoussé. Les monvements spontanés sont nuls, les mouvements provoqués déterminent de grandes douleurs,et d'
endre davantage la corde que forme le muscle sterno-mastoïdien. Les mouvements de déglutition sont nor- maux. Aucun phénomène
les s'accompagnent ainsi d'un torticolis lorsque, à l'occasion d'un mouvement brusque, s'éveille une douleur vive et subite dan
a tête dans la position de torticolis et rendant toute tentative de mouvements douloureuse et presque impossible. Le phénomène
nce volontaire; toutefois,on ne provoque pas de souf- france. Les mouvements provoqués de l'articulation de la hanche sont abs
c le point dévié, et surtout elles contrastent avec l'indolence des mouvements actifs et passifs du tronc ou des membres. Car, e
nts actifs et passifs du tronc ou des membres. Car, en som- me, les mouvements sont conservés, et l'on s'en rend facilement comp
ure, et le sujet se raidit ; mais qu'on lui fasse exécuter quelques mouvements spéciaux des membres supérieurs, avec flexion d
e eux. Aucune atrophie muscu- laire à la cuisse, ni à la jambe. Les mouvements provoqués sont normaux à la hanche et indolores
ents provoqués sont normaux à la hanche et indolores. Au genou, les mouvements de flexion sont rendus diffi- ciles par une lég
, d'ailleurs il n'existe aucune raideur articulaire de ce côté. Les mouvements de la colonne lombaire et dorsale sont parfaiteme
L'enfant ne s'est jamais plainte de la vue, aucun trouble dans les mouvements du globe oculaire, aucun trouble au- riculaire.
où toujours la rigidité est plus -difficile à démontrer puisque les mouvements normaux sont à peu près nuls. Toutefois, des ir
droplasie et du rachitisme congénital ont été le sujet d'un curieux mouvement de va-et-vient, aussi exagéré dans un sens que da
tôt qu'il le tient il s'agite en tous sens. Sa tête est ani- mée de mouvements de latéralité. Il est impossible au malade de por
u'il arrive à le tenir entre ses deux mains. Du reste dans tous les mouvements volontaires, le tremblcmcii '' r ? ¡,If' comme un
qui l'étrangle à la partie supérieure du cou. La langue possède des mouvements en masse de va et vient, cependant ne change pa
ses jambes que très difficilement, mais les bras ont conservé leurs mouvements . Le tremblement est très marqué aux mains : le
sirent aucun effet. Peu à peu la faiblesse du pouce augmenta, les mouvements d'opposition du pouce devinrent difficiles, pui
deux épaisseurs de la peau. Il n'offre aucune ré- sistance dans les mouvements de flexion forcée. La région antérieure du bras
que le triceps. Le malade fléchit le bras et résiste assez bien aux mouvements d'extension, mais dans ses contractions le biceps
ie atteint son maximum. C'est à peine si le pouce a encore quelques mouvements de latéralité. L'éminence thénar a presque tota
ent manifestement mieux, sauf les deux derniers ; il peut faire des mouvements d'opposition qui avaient disparu depuis longtem
e respiratoire du type Cheynes-Stockes, des crises convulsives, des mouvements provoqués ou spontanés suivis de contractures d
s le cours des grossesses ayant abouti à un pseudencé- phalien, les mouvements actifs des foetus ont été plus intenses qu'à l'or
nts actifs des foetus ont été plus intenses qu'à l'ordi- naire. Ces mouvements sont convulsifs ; ce sont des vibrations spasmodi
bservation, il est noté que l' « enfant remuait beaucoup, avait des mouvements brusques et très rapides ». Ces mouvements ont
uait beaucoup, avait des mouvements brusques et très rapides ». Ces mouvements ont cessé huit jours avant l'accouchement ; leu
nt été recherchés ; mais, quand ils font défaut, ce ne sont pas des mouvements actifs normaux que révèle la palpation, c'est l
uvements actifs normaux que révèle la palpation, c'est l'absence de mouvements actifs. Cette absence résulte, non de la mort d
elle résulte simplement de ce fait, observé par Laulaigne, que les mouvements amortis, masqués par un hydramnios abondant, ce
u- ront d'autre effet que de tendre ces fibres sans provoquer aucun mouvement squelettique ; d'ailleurs, la violence des cont
ifs qui réunissent les ébauches cartilagineuses. De toute façon, le mouvement de rotation des lames vertébrales s'effectue' à
de l'aine, une tumeur très volumineuse, gênant considérablement les mouvements d'abduc- tion et de flexion de la cuisse. Il at
du corps ; en même temps, m'assurent toujours mes informateurs, les mouvements des articulations deve- naient de plus en plus
rapports et avec la direction dans laquelle il avance (embarras aux mouvements de la cuisse, oedème, etc.). » Dans notre cas,
doit pour regarder avec le seul oeil gauche imprimer à la tête des mouvements de renversement et de torsion qui lui donnent u
ment dans ses parties latérales, est lisse à la région médiane. Les mouvements de froncement et d'élévation des sourcils sont
pas de paralysie ou d'atrophie ; le frontal ce- pendant exécute des mouvements très limités. Le crâne est légèrement aplati da
t- teint environ 50° à gauche et Õ5° à droite. On peut provoquer un mouvement t d'adduction dans chaque oeil isolément sur un
n dans chaque oeil isolément sur un parcours de 25 à 30 degrés. Les mouvements d'élévation, et d'abaissement sont absolument imp
ent supprimés. Il persiste au contraire dans le sens horizontal des mouvements d'environ 20 degrés en dedans et en dehors. Les
l gauche est en divergence de 50 degrés ; il ne semble pas avoir de mouvements de convergence. Les deux yeux présen- tent égal
ant de l'observation IV. On peut faire la même observation pour les mouvements de latéralité, qui à peu près nuls chez la gran
z la fille et s'ac- centuent encore chez la petite-fille. Seuls les mouvements d'élévation et d'abaissement font défaut chez t
estfrappédela mobilité anormale de ses deux épaules; il exécute des mouvements extraordinaires de rota- tion des omoplates en
es en arrière; il accomplit, à la barre fixe ou avec une canne, des mouvements d'assouplissement des membres supérieurs exi- g
te subit tout à coup, avec son angle supéro-interne comme pivot, un mouvement de bascule qui porte sa partie supérieure en haut
ieur est fortement projeté en arrière, en haut et en dehors, et son mouvement d'élévation et d'extension n'est limité que par
la dis- tance qui les sépare est de 27 centimètres. L'ensemble des mouvements de rotation des omoplates en haut et en dehors
'ar- ticulation scapulo-humérale, et l'omoplate parait exécuter son mouvement de rotation avec l'angle supéro-interne comme a
es représentent la déformation des épaules sous d'autres aspects. Mouvements de l'articulation scapulo-hnntérale. En dehors de
70 RUDLER ET RONDOT malie fonctionnelle ci-dessus décrite, tous les mouvements de l'épaule se font avec une souplesse extrême.
t prétendre. En particu- lier, il exécute en se jouant une série de mouvements des bras et des épaules à la barre fixe ou à l'
lier, on reconnaît que chez tous elle est nor- male (1). Tous les mouvements du deltoïde sont normaux, aussi bien ceux que c
ctionne régulièrement; il n'existe aucune gêne de l'écriture ni des mouvements complexes du membre supérieur. Le trapèze a con
btenu ; de même l'élévation des bras se fait sans difficulté. Les mouvements auxquels concourent les rhomboïdes sont conservés
e 25 ans, d'une santé excellente et ne s'inquiétant nul- lement des mouvements originaux qu'il imprime à ses épaules dans des co
es épaules ne se produit chez le brigadier M.... qu'à l'occasion de mouvements volontaires. Sur la photo- graphie du sujet au
volonté la déformation sur chaque épaule ; il ne s'agit donc pas de mouvements synergiques. Qu'arrive-t-il, au contraire dan
plus éloignée, c'est l'angle inférieur par conséquent qui aura les mouvements les plus éten- dus. Toutefois, la production de
les mouvements les plus éten- dus. Toutefois, la production de ces mouvements exige l'immobilisation totale de l'humérus et s
ension des tendons scapulaires, l'attitude spé- ciale du sujet. Les mouvements de l'omoplate redeviennent normaux dès que le b
tabilité excito-motrice capable, sans aucun doute, de provoquer des mouvements d'ensemble nettement coordonnés et peut-être auss
nce que lui accorde Roux, aussi bien pour diriger et coordonner les mouvements que pour régler la croissance et la différencia
libre, le rôle du névraxe fut limité à provoquer et coordonner les mouvements . Ceux-ci sont nécessaires aussi bien pour la re
foetus qui s'est déplacé pour venir s'accoler à son annexe. Or, les mouvements spontanés d'un individu sain sont notoirement i
ent aux foetus des mouve- ments d'une amplitude très supérieure aux mouvements spontanés d'un foetus sain. Le méningitique vie
ons correspondent des signes fonctionnels qui se traduisent par les mouvements spontanés du foetus et par diverses dispositions
42 (1895) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 08] : clinique des maladies du système nerveux
t et qu'il veut l'exprimer par la parole, il a perdu la mémoire des mouvements de la langue et des lèvres nécessaires pour art
t de même pour ce qui concerne les troubles de la sensibilité et du mouvement et enfin de l'aphasie. L'aphasie transi- toire
la troisième circonvolution fron- tale la. où siège la mémoire des mouvements qu'il faut faire pour arti- . culer les mots l'
t l'aphasie motrice; une artériole pour le centre de la mémoire des mouvements nécessaires il la formation des mots par l'écri
rythmées, non systématisées. C'est un vulgaire tic, c'est-à-dire un mouvement habi- tuel, devenu inconscient à force d'être r
malade peut exécuter avec ses mains, avec ses avant-bras, tous les mouvements qu'on lui commande et qu'il les exécute avec ré
e que lorsque le sujet élève le bras, ou bien lorsqu'on provoque un mouvement d'élévation au moyen de la farà- disation local
la farà- disation localisée. On voit alors le scapulum exécuter un mouvement de basculé et de rotation, en vertu duquel l'an
ane, tandis que son bord spinal s'écarte de la paroi thoracique. Ce mouvement fera défaut, si la paralysie du grand dentelé s
ion syner- gique du deltoïde et du grand dentelé intervient dans le mouvement de projection des épaules en avant. Quand on ex
e mouvement de projection des épaules en avant. Quand on exécute ce mouvement , le bord spinal de l'omoplate se trouve porté e
ouve le sujet d'imprimer, à son avant-bras fléchi sur la table, les mouvements de dedans en dehors, grâce auxquels la plume se d
int d'origine à leur point de terminaison ; de telle sorte que si les mouvements dépassent leurs limites accoutumées, les nerfs
(2) Actuellement la guérison est pour ainsi dire complète. Les divers mouvements des bras ont retrouvé une étendue et une énergi
ne le soutenant pas (PI. l'et II). Vers )'age de 12 à 14 mois, les mouvements des bras s'améliorèrent et devin- rent presque
da- vantage lorsqu'on l'emmaillottait. Mais, parallèlement avec les mouvements , apparut une raideur qui devint de plus en plus
nt peut-être un peu raides (surtout le droit), possèdent tous leurs mouvements . Quant aux membres inférieurs, si on les consid
ait sur les membres les plus raides, c'est-à-dire sur ceux dont les mouvements physiologiques nécessaires à la bonne nutrition
lion débute, dans le mode chronique, par la moelle épinière, où les mouvements et la sensibilité sont d'abord seuls altérés, où
allèle à son axe est gravée une ligne assez longue. En imprimant un mouvement circulaire à la partie renflée de l'appareil, o
ration, au point de vue de la motilité, est appréciable. Les divers mouvements du bras sont très nettement esquissés. L'abduct
pprochait de son lit pour le découvrir, des gestes pudibonds et des mouvements de défense comme un animal peureux. Assez doc
it d'une paralysie des ex- tenseurs du pied. Quant au reste,, les mouvements actifs du pi dsont très limités; le redresse-
que l'on fait pour s'opposer à ce mouve- ment d'élévation. i Les mouvements d'extension et de flexion de la jambe sur la cuis
n s'exécutent également sans difficulté, mais non sans douleur. Les mouvements d'adduction et d'abduction de la cuisse, de rota-
ance fonctionnelle relative très manifeste. L'exécution de tous ces mouvements provoque des douleurs ainsi qu'un état de contr
pieds restant immobiles, le tronc avait à exécuter, sans cesse, un mouvement de rota- tion de droite à gauche. , i Au mois
droit. 1. - A son entrée, les douleurs étaient atroces; le moindre mouvement les augmentait. Il fallut mille précautions pou
une douleur sourde, profonde, pénible, qu'exagéraient les moindres, mouvements . De plus, très fréquemment, à dès intervalles v
cris et par les contractions du visage de la malade. Le plus petit mouvement du membre, le moindre attouchement à la surface
r le maintien du corps dans une même attitude, mais surtout par les mouvements , par les efforts de toux ou autres. Un malade d
fait crier. Par- fois, le seul fait de palper l'organe produit des mouvements de tout le corps ressemblant beaucoup à ceux de
détourner complètement l'attention de la malade, non seulement ces mouvements ne se produisent pas, mais, c'est à peine si el
côté gauche ; depuis ce tems,il lui a été impossible de faireaucun mouvement de son bras ni de sa main gauche, qui demeurère
re. ' ÉTUDES DE PHYSIOLOGIE MORPHOLOGIQUE DE LA FORME DU CORPS EN MOUVEMENT (1). PAR PAUL RICHER L'on sait quel rôle im
PAUL RICHER L'on sait quel rôle important le muscle joue dans les mouvements du corps. C'est le véritable moteur- de la mach
oute l'importance qu'acquiert, au point de vue de la morphologie du mouvement , l'état physiologique des muscles. Cet état se tr
r une modification de la forme extérieure correspon- dante, et tout mouvement musculaire correspondra extérieurement à des for-
cette (1) Extrait d'un ouvrage Physiologie artistique de l'homme en mouvement par le Dr Paul Richer, qui doit paraître procha
raître prochainement à la libraire 0. Doin. DE LA FORME DU CORPS EN MOUVEMENT 123 forme vivante ne dépend pas seulement du mo
compose, et par un relief des fibres char- DE LA FORME DU CORPS EN MOUVEMENT 125 nues variable avec le degré de la distensio
maine, que pour l'artiste qui veut repré- senter le corps humain en mouvement , c'est que la saillie que fait un muscle ne sau
SIOLOGIQUE. D'après ce qui précède, on pourrait croire que, dans un mouvement quel- conque, les muscles contractés sont toujo
tractés sont toujours ceux qni se trouvent du côté où se produit le mouvement , par exemple les fléchisseurs, si la flexion se p
n va plus de même. Il ne faut pas oublier, en effet, que tous les mouvements du corps résultent du conflit ou du concours de
tème, suivant sa position dans l'espace et suivant la direction des mouvements . D'autres fois, contraction musculaire et pesan
e même sens et s'ajoutent. Prenons un exemple : ' Considérons les mouvements de llexion et d'extension de l'avant-bras sur le
ents de llexion et d'extension de l'avant-bras sur le bras. Dans le mouvement de flexion, le système représente un levier du z
as, les muscles contractés sont toujours les fléchisseurs, bien que mouvement soit d'extension, mais leur rôle est changé ; i
s dans les fléchisseurs, elle est dans Y extenseur qui précipite le mouvement . La contraction musculaire se présente donc ici
ur ; dans le second, elle remplit le rôle d'un frein qui retarde le mouvement . Il est encore un troisième cas, c'est celui da
qui intervient. En un mot, elle existe dans une des phases de tout mouvement d'une vitesse lente ou modérée, se produisant d
ractère de siéger dans les muscles dont l'action est antagoniste du mouvement exécuté, dans les fléchisseurs, par exemple, lo
e du mouvement exécuté, dans les fléchisseurs, par exemple, lors du mouvement d'extension, dans les élévateurs, lors de l'aba
rès nette, entre ces deux formes de la con- DE LA FORME DU CORPS EN MOUVEMENT 127 traction musculaire, une petite différence
varient 'certainement avec la,vitesse dû-mouvement exécuté. Plus le mouvement sera lent, plus ces différences s'atténueront; el
ténueront; elles s'aécen- tueront au contraire avec la- rapidité du mouvement . ,, . , 1 En effet,' si le. mouvement- de' flex
à la descente, Nouv. ICONOGR DE L... SnLPGTRIIRh T. VIII PL. XVI. MOUVEMENTS DE FLEXION ET D'EXTENSION DE LAVANT-BRAS SUR LE
é A l.uudr.) L BATTAILLE ET C" ÉDITFURS DE LA FORME DU CORPS EN MOUVEMENT 129 tendent à se rapprocher de l'effort statiqu
s toutefois y atteindre jamais, du moins théoriquement, tant que le mouvement existe. Lorsqu'au contraire, le mouvement augme
héoriquement, tant que le mouvement existe. Lorsqu'au contraire, le mouvement augmente de rapidité, l'effort du muscle qui re
re est d'autant moindre qu'il la retarde moins, c'est-à-dire que le mouvement du membre se rapproche davantage de celui que l
ant plus de celles du même membre qui se fléchit que la rapidité du mouvement sera plus grande. - L'expérience nous montre, e
ra plus grande. - L'expérience nous montre, en effet, que, dans les mouvements très rapides, l'opposition est complète entre l
grande importance au point de vue de la morphologie des membres en mouvement . Il en résulte qu'il n'est point toujours vrai qu
t toujours vrai que la forme d'un membre dilfère suivant le sens du mouvement . Cela n'est vrai que dans certaines conditions
avant-bras sur le bras, celui-ci demeurant vertical. C'est un des mouvements les plus simples de l'économie. La flexion est
obtenue par la photographie instantanée du membre au milieu de son mouvement de llexion, ne diffère pas essentiellement de cel
diffère pas essentiellement de celle qui est obte- nue au milieu du mouvement d'extension. Dans l'une comme dans l'autre, le
nsiste dans ce fait due, dans cet exemple, quel que soit le sens du mouvement , ce sont toujours les muscles fléchisseurs qui
n frénatrice). Il est bien entendu que ceci n'a lieu que lorsque le mouvement est lent ou modéré, en tous cas, moins rapide q
a pesanteur. Si au lieu de soulever un poids, la main, dans ce même mouvement , opérait une traction sur un poids par l'interméd
nettement sur nos photographies. Mais les apparences changent si le mouvement est exécuté avec une grande rapidité. Dans la f
a, en outre, d'autres remarques fort intéressantes à faire sur ces mouvements rapides. Nous y reviendrons plus loin en parlan
as, les muscles antagonistes se contractent simultanément et due le mouvement DE LA FORME DU CORPS EN MOUVEMENT 131 produit
ntractent simultanément et due le mouvement DE LA FORME DU CORPS EN MOUVEMENT 131 produit est la résultante' des contractions
arler du second cas, dans lequel un des muscles reste immobile ; le mouvement étant produit par la contraction d'un seul muscle
sque les deux muscles antagonistes se contractent simultanément, le mouvement n'aura lieu que si les deux contractions ne sont
tes peuvent s'observer chez l'homme dans le jeu régulier des divers mouvements . Nous verrons que nos observations confirment au
en partie les expériences de M. Beaunis. Considérons il nouveau un mouvement très simple, la flexion de l'avant-bras sur le
très simple, la flexion de l'avant-bras sur le bras. \ Dans le mouvement lent, la main n'étant chargée d'aucun poids, on r
istes entreraient à la fois en contrac- tion, l'un pour exécuter le mouvement , l'autre pour le modérer. Le résultat obtenu es
le extenseur, mais qui se comprend, si l'on songe que, dans ce cas ( mouvement lent), le muscle actif dans l'extension est enc
lourd, le corps charnu du triceps est plus ramassé que dans le même mouvement de flexion Ù vide, ce qui indique un état de co
aintenant à l'étude fort curieuse de ce qui se passe dans les mêmes mouvements de flexion et d'extension de l'avant-bras sur. le
cles cesse son action subitement avant que le membre ait achevé son mouvement qui se continue en vertu de la seule inertie de
st fort instructive. Toutes les deux sont prises sur le mem- bre en mouvement , sur l'une (5), le membre se meut lentement, sur
- Nouv. ILOA'O(.f(, fit Ln S ALPÊ 1 Kl lv R f. T. vrn. PL. XVII Mouvement .mec traction. Mouvement rapide. Mouvement le
n S ALPÊ 1 Kl lv R f. T. vrn. PL. XVII Mouvement .mec traction. Mouvement rapide. Mouvement lent. MOUVEMENTS DE FLEXION
. T. vrn. PL. XVII Mouvement .mec traction. Mouvement rapide. Mouvement lent. MOUVEMENTS DE FLEXION ET D'EXTENSION DE L
II Mouvement .mec traction. Mouvement rapide. Mouvement lent. MOUVEMENTS DE FLEXION ET D'EXTENSION DE L'AVANT-BRAS SUR L
1l1lr.) L BATTAILLE ET C" FOIT' un . DE LA .FORME DU CORPS., EN MOUVEMENT 133 traction énergique du triceps nullement ent
biceps qui est complète- ment relâché (ce qui n'a pas lieu dans le mouvement lent). Mais, avant que le membre arrive ;i l'ex
lâché et la photographie fig. Il de la planche II, prise pendant le mouvement très rapide nous montre. un mem- bre étendu a l
vec un extenseur absolument flasque, ce qui, n'a point lieu pour de mouvement lènt'(fîg. 6, PI. XVII), sur lequel nous voyons l
rand dentelé. Mais le mus- cle ne concourt pas.dans son entier à ce mouvement d'élévation, ses -deux tiers antérieurs sont él
membres, lequel descend et lequel monte.' . Si le membre, dans ce mouvement , au lieu de porter un poids, exerce une tractio
sera donc très facile sur. l'imagé du membre saisi au milieu de son mouvement de dire dans quel sens s'exécute ce mouvement.
aisi au milieu de son mouvement de dire dans quel sens s'exécute ce mouvement . De 'même sur l'image du' membre arrivé'à son'
, tandis 134 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE que, dans le mouvement rapide, elle n'existe plus bien avant que le memb
dans une direction et cesse bien avant que le membre ait achevé son mouvement . Nous venons de constater, dans le mouvement ra
embre ait achevé son mouvement. Nous venons de constater, dans le mouvement rapide, sur le bras qui monte, un relâchement d
e qui précède, tirer quelques conclusions intéressantes A. Dans les mouvements lents, il faut distinguer deux cas : 1° Ceux qu
teur n'est pour rien. Dans les premiers, quel que soit le sens du mouvement , l'action musculaire est dirigée toujours du mê
'extenseur triceps fémoral, qui entre encore en contraction dans le mouvement de la jambe en sens inverse, etc., etc... Dan
orme du membre en action ne changera guère quel que soit le sens du mouvement . ' Dans la deuxième série des mouvements lents,
quel que soit le sens du mouvement. ' Dans la deuxième série des mouvements lents, ceux qui se passent dans le plan horizon
ent et l'action musculaire se produit du côté même oÙ s'effectue le mouvement . Exemple : si le membre supérieur étendu horizo
ce sont des muscles différents qui entrent en action dans les deux mouvements ; mus- cles situés en avant de l'épaule (tiers
antérieur du deltoïde, partie supérieure du grand pectoral) pour le mouvement en avant, muscles situés en arrière (tiers post
t, muscles situés en arrière (tiers postérieur du deltoïde) pour le mouvement en ce sens. Les mouvements de rotation des memb
(tiers postérieur du deltoïde) pour le mouvement en ce sens. Les mouvements de rotation des membres sur leur axe obéissent au
autres muscles que la rotation en dedans. DE LA FORME DU CORPS EN MOUVEMENT 135 Dans les mouvements lents, j'ajouterai que
otation en dedans. DE LA FORME DU CORPS EN MOUVEMENT 135 Dans les mouvements lents, j'ajouterai que les antagonistes du mouvem
135 Dans les mouvements lents, j'ajouterai que les antagonistes du mouvement sont généralement légèrement contractés. ' B.
mouvement sont généralement légèrement contractés. ' B. Dans les mouvements très rapides, il 11' ! J a pas de catégorie à éta
à établir; dans tous ces cas, les choses se passent comme dans les mouvements qui ne sont pas influ- encés par la pesanteur.
a pesanteur. L'action musculaire existe toujours du côté du sens du mouvement par exemple, dans les fléchisseurs lors de la fle
t quelques lignes (fig. 21), sans souffrance et sans autre gêne des mouvements que celle résultant des atrophies consécutives
eu depuis la veille, la moindre douleur spontanée ou provoquée. Les mouvements ne se faisaient plus par saccades, mais réguliè
n" DORSALE DROITES.) QUATRE MOIS APRÈS L'OPÉRATION . . ¡'tel1due lk mouvements de Iltxioli et d'extension de la tête, cicatrice
illaire ni d'altération du fond de l'oeil; il n'y a aucune gène des mouvement du cou qui peut se fléchir et s'étendre aussi a
s de mouvoir sa main et ses doigts, véritablement stupéfait que ces mouvements puissent s'accomplir sans douleur. Cette guéris
arquer tout d'abord que,1, du côté des membres inférieurs, tous les mouvements sonl normaux et s'exécutent avec une force et une
e, par ce fait que les cen- tres trophiques des muscles, organes du mouvement , sont situés, avec les centres trophiques des n
peau sont toujours liées à des troubles de la sensibilité et non du mouvement (James Rassel et autres). Enfin, certaines rech
if avait disparu depuis onze jours, la malade a présenté un certain mouvement fébrile ressortissant à un léger embarras gastriq
e de la Vle et Vlle paires et concernait un enfant, chez lequel les mouvements delà langue étaient difficilement appréciables.
e de volume et d'é- passeur elle est amincie, plissée et animée des mouvements fibrillaires, qui n'existent pas au côté droit,
volume normal. (Pl. XXVIII) Il est remarquable de constater que les mouvements commandés s'exécutent assez bien dans toutes le
normal, la jambe a un peu perdu de sa force, mais a gardé tous ses mouvements . Du côté droit il y a hémiplégie complète des m
es emprison- nés dans des menottes en l'et- qui paralysent tous ses mouvements . Je si- gnale en passant ce document nouveau qu
les artères carotides à la teste, et remplit le cerveau, faisant un mouvement des humeurs et esprits contenus en iceluy, lequ
i tourne comme une roue, ou l'eau courante, ou autre chose ayant un mouvement subit. Si la cause vient du cerveau, les malade
il veut fuir, mais en vain : les liens et les aides paralysent ses mouvements . Cependant l'opérateur saisit delà main droite
euil de bois fixé par les pieds à un large socle pour empêcher tout mouvement de bascule, et il y est solidement maintenu par
oigts un peu fort pour empêcher que le patient ne se blesse dans un mouvement inopportun. Derrière elle, une jeune femme an v
syncope complète s'accompagnera il de résolu- tion musculaire; les mouvements volontaires cessent même avant la perte de conn
l'oeil droit dévié en dehors. Dans l'oeil gauche, IF , , . 9 les mouvements de latéralité étaient totalement perclus, l'éléva
nouveaux étaient survenus, à savoir, un nystagmus provoqué par les mouvements d'élévation des globes oculaires et un tremblemen
aires et un tremblement du membre supérieur droit, provoqué par les mouvements volontaires. Ce tremblement, en effet, n'exista
t-il beaucoup moins prononcé qu'à l'origine. Dans l'oeil droit, les mouvements de latéralité et d'abaissement sont normaux; se
éd. de 1862, p. 112. 278 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA^SALPÊTRIÈRE mouvements des doigts et des orteils, qui n'ont plus leur li
te. ' - 1 ils, , Elle était agitée par un besoin irrésistible -lie. mouvements ; elle se levait, marchait,' se recouchait, rem
s visible sur son visage, demandant : \son'mari s'il apercevait ces mouvements désordonnés qui étaient purement imaginaires. T
6 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPETRIÈRE plus au lit depuis un an, mouvements convulsifs la nuit. On l'a trouvée une ou deux
ouveau à l'hôpital. L'ulcération est re- venue sous l'influence des mouvements , de la marche et du frottement du pan- talon, l
ion tant souhaitée. Cette scène grotesque, pleine de réalisme et de mouvement , est bien dans le goût des compositions de P. B
squiver le tranchant du fer; la vieille imperturbable suit tous ses mouvements et continue sans broncher son opération. Le pat
salle Trousseau. La paraplégie est flasque et complète, le moindre mouvement volontaire des membres inférieurs est impossibl
aralysés; il est impossible à la malade de leur imprimer le moindre mouvement volontaire ; elle ne peut pas mouvoir ses doigt
de pied si peu que ce soit. Néanmoins il se produit quelquefois des mouvements spasmodiques involontaires des jambes, surtout
. La il aurait eu de grandes attaques avec perte de connaissance et mouvements désordonnés ; sur ces attaques lui-même ne sait
n. Ces douleurs deviennent de plus en plus vives, en même temps les mouvements surtout ceux du bras gauche deviennent difficil
anée très vive au niveau des gaines, douleur que la pression et les mouvements de la main exagéraient fortement, et en : outre p
ce. A gauche au contraire on ne ,voit pas la saillie du trapèze, le mouvement d'élévation de l'épaule est absolument impossib
'épaule est absolument impossible, le malade supplée vaguement à ce mouvement en inclinant vers la droite sa colonne vertébrale
ital, mais toute inclinaison sur le bord radial est impossible : le mouvement de supination ne peut se faire qu'après avoir f
de sail- lante, mais lorsque l'avant-bras est étendu sur le bras le mouvement de supi- nation est impossible. A gauche au con
le bord cubital, elle s'incline très facilement sur le bord radial, mouvement ab- solument impossible du côté opposé, le mouv
e bord radial, mouvement ab- solument impossible du côté opposé, le mouvement de supination est difficile mais beaucoup ' moi
auche les masses musculaires sont bien conservées partout. Tous les mouvements se font assez facilement excepté le mouvement d
es partout. Tous les mouvements se font assez facilement excepté le mouvement de flexion de la jambe sur la cuisse, couché le
orteils. Les mou- vements de ceux-ci sont conservés aussi bien les mouvements d'extension que ceux de flexion. L'atrophie des
ible, tandis que le malade résiste assez bien lorsqu'on s'oppose au mouvement d'extension. Enfin le malade rapproche plus fac
nte tombe légèrement est porté fortement en dehors par une sorte de mouvement de circumduction et très souvent la pointe accr
bilité qu'affectent ces sortes de malades et de la lenteur de leurs mouvements . Quant au facies, « L'immobilité des traits, et
iquement' localisées au côté droit du corps. ' Peu à peu tous les mouvements , et en particulier la marche, sont deve- nus tr
ure s'ac- cétëre, lespas se-précipitent, retardant cependant sur le mouvement du corps, si bien que la chute en avant sembler
es quatre membres et la tête tremblent; le tronc n'est agité que de mouvements communiqués; le côté gauche tremble moins que l
rande ; elles ne sont pas très rapides et disparaissent pendant les mouvements . Tout le membre oscille mais d'autant plus qu'o
ex- trémité. ? ? A la main, et surtout adroite, ce sont de petits mouvements alternatifs, rythmés, de flexion et d'extension
se le pouce. La malade « file de la laine ». - Aux pieds c'est le « mouvement de édccle o. A la face, la lèvre inférieure, et
niveau des muscles un certain degré de contracture, qui entrave les mouvements spontanés et provoqués, et crée une impotence t
st pas fortement appuyé, le tremblement lui fait battre le sol d'un mouvement rythmique, synchrone au reste des secousses don
pour un temps plus ou moins long, suffisant pour permettre tous les mouvements volontaires. L'effort, il est vrai, ne peut pas ê
peut cesser sous le plus léger attouche- ment, sous l'influence des mouvements communiqués ou du massage, mais pour renaître p
ns nerfs du cerveau, ou certaines veines des membranes, soit par un mouvement violent, soit par une chute ou un coup avec une
bien close ». D'autre part on évitera les mouve- ments du malade, « mouvements qui agitent les tumeurs ».On ne cessera pas la
ease (maladie de Savill), par T. D. SAvu.L, 48. Forme du corps en mouvement , par P. RICHEH, 14. Gangrène cutanée d'origin
colonne vertébrale chez les sujets sains, 158. Forme du corps en mouvement , 121. RICIIER (Paul) et HENRY MEME. Étude mor
xtérieur, VII. - Coupes de la peau, V et VI. Formes du corps en mouvement . Flexion et extension de l'avant-bras, XVI et
43 (1894) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 9
poids (gravitation) d'une table suspendue à un dynamomètre. II. Les mouvements des objets qui ne sont pas touchés par le médium.
mouvements des objets qui ne sont pas touchés par le médium. a) le mouvement des tablettes — observé par 5 personnes ; (1) b
ettes enlevées aux personnes présentes (obscurité). 8 personnes; k) mouvement d'une très petite table (lumière). 6 personnes ;
k) mouvement d'une très petite table (lumière). 6 personnes ; l) mouvement d'une sonnette derrière le rideau. 14 personnes;
rte tension et comme un effort, reprimé à toute force, d'effectuer le mouvement correspondant (au soulèvement de la table), mouve
d'effectuer le mouvement correspondant (au soulèvement de la table), mouvement , qui pourtant n'a jamais eu lieu. L'effort parais
e était en haut, éloignée du genou d'un quart d'aune, exécuta le même mouvement Le genou s'éleva d'environ 15 centimètres, et la
ment tranquille pendant les séances : Ainsi elle avait la liberté des mouvements , mais il lui était absolument impossible de se se
le contact de la robe, puis Eusapia, qui est debout, exécute quelques mouvements involontaires, comme un homme qui se garde de tom
ux pieds de la table par les mains. Dans ces conditions et sans aucun mouvement en arrière ou en avant, la table, que Eusapia ne
arusewicz, et constaté que la sonnette n'était pas facile à mettre en mouvement et qu'il était impossible de le faire en soufflan
et en arriére à la hauteur de la sonnette ; celle-là exécuta le même mouvement , comme si un fil invisible passait par ses doigts
ternativement perpendiculaire ou parallèle par rapport au médium; les mouvements extérieurs des mains étaient identiques dans les
du médium sur les siens. Après une attente d'une demi-heure et divers mouvements de la table devant le médium, Eusapia tombe dans
nouveau paroxysme de de rire spasmodique, Eusapia fait dans l'air un mouvement repoussant de sa main avec la mienne (puis avec c
timètres environ. La sonnette tomba par terre pendant un des premiers mouvements de la table, mais malgré le désir d'Eusapia elle
qui pendait vis-à-vis d'elle à 3 à 4 aunes de distance, exécutait un mouvement . La table suivante montrera cette corrélation :
s contrôleurs d'Eusapia et les couvre presque entièrement. Repos. Mouvement du rideau. Fort gonflement du rideau. De cette
(qui était en ce cas Mlle X..,) et le travail mécanique du rideau en mouvement . Le général Starynkiewicz me disait le lendemain,
n mouvement. Le général Starynkiewicz me disait le lendemain, que les mouvements du rideau faisaient une telle impression, comme s
u les sons d'une harmonie tirée à main, que l'on ne pouvait mettre en mouvement qu'à l'aide de deux mains. L'instrument s'approch
: frissons, tremblements généraux, agitation, convulsions cloniques, mouvements désordonnés consistant à déranger et à casser tou
installe devant elle, sur une table, un miroir rotatif que je mets en mouvement sans prononcer aucun mot. Au bout de 50 secondes,
ucun appareil, on peut faire d'utiles recherches. Les sensations, les mouvements , l'attention, la mémoire, la volonté, l'idéation,
comme auparavant, sur mon pied ; après quelques moments j'entendis le mouvement de la chaise du médium et vis un léger mouvement
oments j'entendis le mouvement de la chaise du médium et vis un léger mouvement de sa jambe droite, et un moment après le médium
deux mains, un homme qui aurait non seulement une grande liberté des mouvements , mais encore une grande habileté et la vue d'un o
ément, que personne de nous ne s'était levé de table ni exécuté aucun mouvement suspect ; chacun contrôlait son voisin. » VI. —
l'avant-bras sur le bras, et à partir de ce moment, elle retrouva ses mouvements de l'épaule et une partie de ceux du coude. A p
à la raideur articulaire et à la douleur qui en résultait au moindre mouvement . L'atrophie musculaire fut alors combattue effi
d'emblée, après avoir hypnotisé la malade, lui suggérer le retour au mouvement , n'eut certainement obtenu aucun résultat. De plu
le symptôme hystérique contracture, mais ne pas pour cela ramener les mouvements . La marche normale du traitement devait donc être
normale du traitement devait donc être ici, non pas pour suggérer le mouvement , mais pour faire disparaitre la sensibilité et se
n d'aller à la selle et l'impulsion qui doit aboutir à l'exécution do mouvements pérîstal-tiques, et cela pour une heure déterminé
publiques d'hypnotisme? 32° La transformation de la force neurique en mouvement , lumière, etc. existe-t-elle (Lombroso). Croyez-v
chette d'un des assistants un signe rouge, en faisant à la lumière un mouvement de main à la distance de 2 aunes. » (Matuszewski)
je demandai si elle se sentait très fatiguée. Eusapia fit soudain un mouvement et, regardant d'un œil égaré alternativement ma m
xtérieur. Enfin, le genou s'éleva, je sentis dans son articulation un mouvement qui révélait le balancement du tibia; puis tout r
t la table soulevée. Le genou gauche s'éleva, et la rotule exécuta un mouvement en arrière ne laissant pas de doute sur le soulèv
ts sur le mien. Je considère donc comme prouvé que pendant ses divers mouvements Eusapia délivre un de ses pieds sans que les cont
sapia sur le leur avant le commencement des phénomènes et pendant les mouvements mentionnés, fut plusieurs fois remarquée par dive
et 13) a remarqué que, lorsque le côté gauche du rideau exécutait des mouvements et que les attouchements avaient lieu, Eusapia s'
lever ma jambe à la hauteur de la tête d'un des voisins. Pendant les mouvements de la table, derrière le rideau, Eusapia se retou
me touchât à la hanche, j'ai va la jambe gauche d'Eusapia exécuter un mouvement en arrière ; tout son corps s'inclina alors à dro
3° J'ai constaté, en tâtant de ma main gauche, qu'un moment avant le mouvement de la table derrière le rideau, Eusapia avait dél
a main d'Eusapia. » — M. Ochorowicz (N° 23), ajoute là-dessus : « Les mouvements du tambourin qui, ayant passé de derrière le ride
out de la table, et dont les contractions des muscles répondaient aux mouvements du tambourin ; Eusapia se reposait alors, et pous
affirmaient n'avoir lâché la main d'Eusapia pas un seul moment. » Les mouvements de la jambe pendant les phénomènes, nous en citer
veau : léthargie, hypnose complète. 2° Activité isolée du centre du mouvement sub-cortical : position cataleptique. 3° Activi
ité isolée du centre visuel sub-cortical : imitation incons-cientedes mouvements chez les cataleptiques et les hystériques anes-th
une salpingite, elle perd la conscience pendant trois jours, avec des mouvements convulsifs. Tandis qu'elle est incapable de rien
ations extrêmement intenses et qui se manifeste par la mimique et les mouvements des patients. La forme du délire varie d'un cas à
de l'œil droit la sensation lumineuse et détermine en même temps les mouvements réflexes, la moitié nasale de la rétine ne reçoit
moitié nasale de la rétine ne reçoit que des faisceaux permettant les mouvements réflexes ; le faisceau croisé du nerf optique dro
e l'œil droit avec ceux qui fournissent la sensation lumineuse et les mouvements réflexes, et à la moitié temporale seulement par
et à la moitié temporale seulement par les fibres qui produisent les mouvements réflexes. Les intéressantes observations de Sch
minute. La figure exprime une grande agitation ; tout le corps est en mouvement ; les jambes se lèvent et les bras battent l'air;
., âgé de 22 ans. Mêmes effets sur le pouls et la respiration. Pas de mouvements du corps cependant, ni de modifications dans l'ex
— Suggestion. Sur le terrain psychique très étendu des deux grands mouvements pensants qui,l'un, dans le système de la vie végé
onsécutivement de la lassitude : il sent alors le besoin d'arrêter le mouvement de sa pensée et, en même temps, de ses sens et de
erté et d'acuité. Tant que, au contraire, pendant la veille, par un mouvement initial centrifuge, l'attention s'exerce dans tou
en dépend, la veille est la manifestation de la pensée consciente en mouvement dans le cerveau et tout l'organisme, ainsi qu'il
inuée de la volonté, soit une suspension, soit un amoindrissement des mouvements de la pensée, et partant, de la conscience ; ou,
de la fatigue, et, par cela même, un besoin pressant de ralentir les mouvements de son esprit et de son corps. Alors, prenant une
nt l'affirmation de dormir, immobilisaient encore plus, chez eux, les mouvements de la pensée et la rendait inactive. Maintenant q
meil provoqué, tels que : ralentissement ou arrêt de la pensée et des mouvements consécutifs du corps, amortissement des sens, fer
en idée fixe d'un coté, continue de l'autre, avec subconscience, ses mouvements pensants de la veille. C'est que, par suite de l'
rents qu'ils se présentent, sont une vraie prolongation amoindrie des mouvements psychiques de la veille. Il y a dans ce dédoublem
de l'idée qui fixe cet état, et cela pour un certain temps et par un mouvement centripète de cette force accourant de tous les c
s mains, approcha les doigts et faisait de ceux de la main droite des mouvements , comme si elle tâchait de saisir un cheveu tenu d
heveu ou de quelque chose de pareil ; le Dr Harusewicz ajoute que les mouvements des mains d'Eusapia étaient égaux des deux côtés
réglets, faiblement collés, s'étaient décollés grâce aux pressions et mouvements . La lumière était très faible. « Eusapia — écrit
sapia se mit à balancer la main en haut et en bas. Comprenant que ces mouvements étaient destinés à enfoncer l'aiguille dans la pl
supérieur de l'aiguille entre les doigts de la main gauche, et fit un mouvement violent en arrière, vers ses pieds. J'ai crié : «
ent toutes les activités du corps (abstraction faite des symptômes de mouvement du corps, hors de l'état de repos et de ce qu'on
produit dans le cas spécial la transformation des idées suggérées en mouvements et en actes. A ces trois conditions s'ajoute co
suffisante. L'innervation musculaire comme condition préliminaire des mouvements péristaltiques de l'intestin est insuffisante. 11
du besoin d'aller à la selle), éveilla au moyen de l'imagination les mouvements péristaltiques et écarta ainsi l'habitude patholo
ou auto-suggestions directes ou indirectes. L'idée est génératrice du mouvement et de la sensation. II suffit donc de provoquer l
lui inconnus et qu'il a pu lire en entier, appliquant, de son propre mouvement , le système d'enseignement de la lecture générale
scission se fait entre la pensée de l'état de veille qui continue ses mouvements et la pensée actuelle qui se fixe : un état passi
'esprit des fascinés, on arrête à son gré leur pensée ou on la met en mouvement : ils sont, en ceci, comparables à une bille qui,
face plane, ne peut s'ébranler d'elle-même, ni modifier et arrêter le mouvement qu'elle a reçu. La fascination de Braid a joué
u pôle actif, par contre-coup : isolement, immobilité, insensibilité, mouvements irrésistibles, stigmates, oubli, etc., tous signe
ressort, se détend tout à fait même et ne peut se ressaisir dans ses mouvements pensants, comme elle le faisait auparavant ; si l
lle est en définitive l'expression de l'attention et de la volonté en mouvement par l'élaboration et le remuement des idées : com
eur tour, sont des effets du ralentissement ou de l'arrêt de tous les mouvements pensants de la veille. C'est que, pour cela, il s
apia exécutait, comme ordinairement, de sa main sur la mienne, divers mouvements , et'il arriva enfin un moment, où je n'avais sur
tions, et les lévitations avec l'appareil contrôleur électrique ; les mouvements d'une table éloignée ; les attouchements, lorsque
nts, les soulèvements des meubles sur la table ; le Dr Higier : les mouvements de la sonnette à l'archet, le nuage phosphorescen
nts simultanés de deux contrôleurs; M. Szadkowski : la lévitation, le mouvement du rideau qui enveloppe la tête d'un des assistan
, le nuage ; le Dr Watraszewski : les attouchements et la plupart des mouvements des objets éloignés ; même le sceptique Dr Heryng
rt, presque tous les membres des séances ont constaté l'existence des mouvements suspects du médium, mouvements dirigés vers le bu
s séances ont constaté l'existence des mouvements suspects du médium, mouvements dirigés vers le but de l'expérience donnée ; etda
même en toute conscience. Pour faire comprendre la possibilité des mouvements involontaires du médium ayant l'apparence de trom
que la pensée, quoi qu'elle soit par elle-même, est en même temps un mouvement de l'éther, et comme l'éther n'est pas limité par
rmulée par lui dans un travail intitulé : « La force considérée comme mouvement ('} et appelée loi de réciprocité, savoir : si da
e B peut causer la force A, loi vérifiée dans un grand nombre de cas ( mouvement — chaleur, procédé chimique — lumière, paroles
e) Varsovie, an 1879, septembre, décembre. — signes mécaniques (1), mouvements — lumière (2), — et pouvant être élargie en cas e
ertaine extériorisation. Rappelant l'existence de toute une sphère de mouvements inconscients, qui sont étroitement liés avec la c
par exemple, le « John Kir.g » d'Eusapia. Une partie des inconscients mouvements pyscho-physiologiques, provoqués par diverses imp
à l'adoucir et à s'épargner le plus de douleurs possible à l'aide des mouvements involontaires et instinctifs exécutés par ses mem
r la question remarquera à l'aise que souvent, par exemple, malgré le mouvement du genou vers la table que le médium doit souleve
tis avec M. Ochorowicz en tête, et les sceptiques, qui, remarquant un mouvement suspect, laissaient Eusapia faire, pour la prendr
nt et crient; ils marchent sur les mains et les genoux et imitent les mouvements de la béte. Ils dépècent les animaux vivants et e
arfaitement éveillée, se retourna dans son lit, elle eut une sorte de mouvement de recul dont elle ne put se défendre; ses traits
rant complètement son rêve, elle eut, à la vue de M. Escande, le même mouvement de recul qu'elle avait eu la veille pour M. Sabra
nes intentions, pour vous faire du bien. » — « Oh ! dit-elle, avec un mouvement d'humeur, il pouvait bien rester où il était, ce
u fait que l'on constate une tension des muscles du médium ou même un mouvement de son membre dans la direction de l'objet de l'e
aladroite au premier coup d'ceil ; mais au moment de l'animation, ses mouvements deviennent élastiques, son corps et ses membres a
, non seulement dans le sourire caractéristique, mais encore dans les mouvements . Cela dure encore un certain temps après la séanc
iers. Voici ce qu'elle rapporte de ses sensations, lorsqu'elle met en mouvement la sonnette à l'archet. Toutd'abord elle désire a
a lieu. Elle éprouve des sensations analogues, en exécutant tous les mouvements à distance. Après les séances réussies elle a le
aissent jamais en repos complet, mais sont accompagnés d'une foule de mouvements divers), justifiera le conseil donné par le Dr Hi
de prétexte pour délivrer les mains et les pieds qui entrent alors en mouvement . Enfin, l'obscurité est la condition qui gêne le
des assistants. Les bras nus jusqu'aux coudes, il fit quelques lents mouvements dans Pair, et un moment après la table, qu'il ne
ès intéressants); h) douleurs lancinantes du tabès chez la femme ; i) mouvements choréiformes et très rythmiques : j) bégaiement p
égère de la nuque et des membres, exagération des réflexes rotuliens, mouvements d'antépulsion et de rétropulsion). Il y avait en
sitiviste allemande, à l'Académie de Berlin, le 8 juillet 1880 : « Le mouvement n'étant pas essentiel à la matière, le besoin de
essentiel à la matière, le besoin de causalité exige ou l'éternité du mouvement , et alors il faut renoncer à rien comprendre, dif
mal gré, pour comprendre l'harmonie qui résulte de la corrélation des mouvements et de la constance de la force. Il y a, dans les
ation des mouvements et de la constance de la force. Il y a, dans les mouvements volontaires, la manifestation d'une force extérie
s lois contingentes, entre tous ces phénomènes, ces arrangements, ces mouvements d'atomes que nous pouvons concevoir autrement, il
ion telle qu'ils semblent avoir pour caractère l'incalculabilité. Les mouvements orbitaires des planètes sont évidemment calculabl
es et calculés d'avance avec la plus rigoureuse exactitude. .Mais les mouvements météorologiques ne le sont pas : ils se produisen
ues, préparent une publication destinée à enregistrer chaque année le mouvement des études de psychologie. Le premier volume do
t, lui répète : Tue ta femme, tue tes enfants; il y va. poussé par un mouvement irrésistible, et un somnambule, toujours disposé
mauvaise action, avouera de bonne foi l'avoir accomplie de son propre mouvement ? Qui sait si des faits semblables, ne se sont pas
marque pas que son camarade a le regard fixé sur lui et suit tous ses mouvements avec la plus vive curiosité. A peine ai-je fait s
e blesse jamais, malgré la violence et l'étourderie apparentes de ses mouvements . Il conserve aussi à tout le moins une certaine
ne sont pas immobiles, mais présentent des changements de forme, des mouvements amceboïdes. D'autre part les cellules olfactives
ues des prolongements dits de protoplasma d'un neurone, sont doués de mouvements . L'hypothèse (I) Communication faite à la Socié
édés grâce auxquels il arrive à percevoir chez diverses personnes les mouvements inconscients qui lui permettent de deviner leur p
Le professeur Bouchard commence par définir la nutrition « un double mouvement d'assimilation et de dénassimilation qui s'exécut
t profond, les rêves somnam-buliques pendant lesquels s'exécutent des mouvements commandés du corps, des opérations compliquées de
ractère suivant : Perte de connaissance, chute à terre, tremblements, mouvements convulsifs saccadés surtout dans les membres droi
'arrêt vous donnera le temps de vous ressaisir, d'avoir conscience du mouvement que vous alliez exécuter et de faire intervenir v
i dans l'avant-bras une sensation de pesanteur qui avait contrarié le mouvement . Cette sensation de pression était telle qu'il ép
t où le docteur dit : Essayez donc de vous ronger les ongles ? II y a mouvement pour exécuter l'acte, la volition se développe ;
'accomplirez pas. En effet, quand après cela l'idée vient, c'est un mouvement commencé qui suit la voie que l'on vient de trace
acer et qui se heurte à l'image qui a fixé la puissance d'arrêt où le mouvement vient se perdre. — Il y a là répétition exacte de
'arrêt qui caractérise l'acte volontaire, c'est lui qui constitue les mouvements volontaires. — Chaque fois qu'il manque, l'action
e d'inconscience ; car la conscience constante et adéquate à tous les mouvements ou fraction de mouvement rendrait toute solution
conscience constante et adéquate à tous les mouvements ou fraction de mouvement rendrait toute solution impossible et équivaudrai
cours normal et il ne se serait pas rongé les ongles. Mais, dans son mouvement centrifuge, l'idée première subissait un nouvel a
bération, puisque l'acte peut être la terminaison d'une succession de mouvements nécessaires et inconscients, et la délibération u
u'elle est : la conscience intensive d'un arrêt prépondérant, dans un mouvement à direction déterminée, dont la fin est présumée
ec notre personnalité psychique. C'est ainsi qu'on peut dire que ce mouvement est exécuté cérébrale ment avant sa terminaison p
ssession par la conscience d'un état ou d'une succession d'états d'un mouvement en marche vers une solution nécessaire. Il peut
rmale de la pensée; d'aucuns perfectionnent un procédé inhabituel: un mouvement quelconque. Ainsi les tressaillements, contractio
on entraine la surdité verbale; enfin le centre d'em-magasinement des mouvements d'articulation, nécessaires à effectuer pour pron
, puisque sa destruction entraîne l'agraphie ou perte du souvenir des mouvements indispensables à l'acte d'écrire. Dans le phéno
enir de ses réactions verbales; il a une mémoire très développée, des mouvements nécessaires à effectuer pour prononcer les mots e
ire même des modifications occasionnées sur le système nerveux par ce mouvement . Je dis moteurs les sujets pour lesquels ce phéno
ans bouger ni faire agir aucun muscle de votre bras droit, pensez un, mouvement de ce bras, vous aurez alors par la mémoire le so
e de transmission ; l'inducteur sans bouger pense, tend à exécuter un mouvement , sans cependant remuer, et l'induit non seulement
ans cependant remuer, et l'induit non seulement pense mais exécute ce mouvement , le bras ou la main de l'induit agissant comme s'
vouliez les mettre en croix (sans les remuer) et l'induit exécute le mouvement . g) — L'induction graphique motrice sera celle
mien contenu, retenu à ce moment, pour ne point exécuter lui-même le mouvement , que je me commandais si fortement en dedans. Il
né (de même que la dernière des billes d'ivoire d'une série se met en mouvement sous l'influence de celui de la première) au moin
dirigée par l'influence de l'inducteur, qui fait mentalement le même mouvement , commande mentalement le pied de l'induit. M. Pic
rale de la pensée en deux parts, l'une fixe et l'autre continuant son mouvement . Je considère les somnambules, et ils sont rare
s sont en mo-noïdéïsme ; tandis que les seconds présentent encore des mouvements de la pensée. C'est que, je le répète, chez ces
il y a deux ans que le nombre des étudiants augmentait rapidement. Le mouvement ne s'est pas ralenti. Dans toutes les Facultés de
oportionnée. Elles pensent que leurs enfants trouveront dans ce grand mouvement honneur et profit. On les étonnerait beaucoup si
d'une vision d'ensemble, mais décomposée mentalement en une série de mouvements consécutifs simplifiés jusqu'à la dernière limite
liseur ; Secondement, de n'avancer ni reculer que conformément aux mouvements du liseur, et de ne pas l'arrêter par une résista
sez vite a deviner et reproduire des séries longues et compliquées 4e mouvements qui avaient été, en son absence naturellement, co
é selon leur degré de perfectionnement, mais sans jamais exécuter ces mouvements brusques et en apparence désordonnés, qui sont si
ent aussi les pensées du sujet sans avoir besoin de les décomposer en mouvements simples et successifs ; il en est qui ne peuvent
oser au médium l'exécution de sa pensée, qui consiste en une série de mouvements simples et voulus successivement : par exemple, d
nt et constamment de la tendance inconsciente du sujet vers le'but du mouvement qui occupe sa pensée. Je fais exprès mon demi cer
tion choisie, indiquera déjà cette direction. Je fais exprès tous ces mouvements brusques dans toutes les directions, car la main
ou des petites tables se mouvant sur le parquet sous l'influence des mouvements inconscients et infiniment petits des mains qui r
idemment beaucoup plus embarrassés pour dire quelle est la nature des mouvements correspondant aux pensées du sujet guide et perçu
ue. D'abord, pour « lire » nos pensées, il ne s'est pas adressé aux mouvements infiniment petits de telle ou telle essence, mais
ne de ses nombreuses agitations; et cette résistance, qui présente un mouvement unique, isolé, il l'observe avec le plus, scrupul
autres. Mais, comme dans le cas, particulièrement intéressant, des mouvements complexes, il doit refaire son raisonnement à cha
nfluence des besoins vitaux. L'instinct, je je veux dire une série de mouvements coordonnés vers un but défini et se reproduisant
son attention, puis j'ai imprimé au membre, insensiblement, de petits mouvements de flexion et de rotation ; et, quand j'ai compri
44 (1910) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 23] : iconographie médicale et artistique
digne de remarque est qu'on peul imprimer à la main et au pied des mouvements beaucoup plus amples qu'à l'ordinaire : ainsi par
l'hu- mérus, du genou et de la cuisse; pour ces articulations, les mouvements sont beaucoup plus limités que d'ordinaire. Ain
sur le bras, la jambe sur la cuisse et de même on n'obtient que des mouvements limités en voulant lever le bras ou porter la c
tés en voulant lever le bras ou porter la cuisse sur l'abdomen. Les mouvements actifs du sujet sont généralement limités pour
r le Dr Apert, il est un , prestidigitateur et jongleur nomade. Ses mouvements sont agiles et pleins ,d'adresse. Il court avec
end inerte le long du corps. La main et les doigts conservent leurs mouvements . La partie supérieure de l'avant-bras et le bra
rs sont parésiés ' surtout celui du côté droit. Hier il y avait des mouvements actifs dans le mem- t.bre inférieur gauche (la
eur gauche (la malade ne pouvait pas le lever tout entier, mais les mouvements de flexion du genou, du pied et des orteils étaie
re pos- sibles). Le membre inférieur droit a perdu toute faculté de mouvement (la hanche aussi bien que la jambe et le pied).
droite. La peau de la région fessière est tout à fait flasque. Les mouvements de tous les muscles de celte région sont affaib
appréciable des masses musculaires fessières et diminution de leurs mouvements . Diagnostic : tumeur de la colonne vertébrale dan
e marche difficile- ment à cause des douleurs qui augmentent-par le mouvement . Il y a 6 ans, la malade a subi une opération :
roit. La trépidation épileptoïde du pied droit (à gauche quel- ques mouvements classiques). Le réflexe plantaire a une tendance
normaux des deux côtés. Les membres inférieurs, au point de vue des mouvements , sont normaux. Quanta leur force, le membre gauch
il est possible que la douleur plus forte du côté droit explique ce mouvement affaibli). Réflexes abdominaux droits abolis, g
aires sont exagérés : un faible coup donné, la rolule provoque des - mouvements classiques plus forts à droite qu'à gauche. Réf
és à tel point qu'une faible percussion de la rotule provoquait des mouvements cloniques de la jambe (du côté droit ce réflexe
e même, on constate une tumeur bien dou- loureuse la palpation. Les mouvements de la colonne vertébrale sont limités, le malad
colonne vertébrale sont limités, le malade la ménage (douleurs 1). Mouvements de la tète exécutés avec atten- tion et avec pe
res supérieurs et inférieurs ne présen- tent aucun trouble dans ces mouvements et dans la sensibilité. La force muscu- laire d
fortes douleurs de la nuque. Le malade reste toujours couché. Tout mouvement lui est pénible. L'examen du sang (Dr Klein) mont
l'immobilisation de la colonne 60 FLATAU vertébrale pendant les mouvements , l'irradiation des douleurs étaient produites s
in- complète. La cuisse ne peut surmonter aucune résistance dans le mouvement d'élévation. L'extension de la cuisse est assez
ou gauche est assez bonne, la flexion visiblement plus faible.- Les mouvements du pied sont bons (la flexion dorsale aussi bon
u pied sont bons (la flexion dorsale aussi bonne que la plantaire). Mouvements des orteils nor- maux. Atrophie visible sur la
ambe. La jambe droite ne présente rien de notable par rapport à ses mouvements mais le malade dit qu'il est devenu plus faible
e membre inférieur gauche a la force mus- culaire diminuée dans les mouvements de l'articulation de la hanche et du genou, tan
le côté droit. La jambe droite lui fait mal mainte- nant au moindre mouvement . La malade ne la laisse pas toucher. Depuis une
venue plus faible et depuis 2 jours le pied gauche a perdu tous ses mouvements . Etat actuel. -Tout le sacrum est douloureux su
âniens et les membres supérieurs ne présentent rien de notable. Les mouvements du membre inférieur droit sont conservés,avec u
c une force et amplitude normales. Le membre inférieur gauche a les mouvements très limités. Les mouvements de l'articulation de
ales. Le membre inférieur gauche a les mouvements très limités. Les mouvements de l'articulation de la hanche sont conservés m
es douleurs accompagnent l'abduction de ce membre. Au genou gauche, mouvements limités et fai- bles. Les mouvements du pied et
de ce membre. Au genou gauche, mouvements limités et fai- bles. Les mouvements du pied et des orteils sont abolis. Les réflexes
t rester debout sans s'appuyer. Il chancelle. Couché il exécute des mouvements minimes avec les membres inférieurs, surtout avec
timètres au-dessus du lit,la gauche à 3 centimètres. Après quelques mouvements le membre gauche retombe inerte. La flexion des
re gauche retombe inerte. La flexion des genoux est incomplète. Les mouvements du pied et des orteils sont plus faibles que norm
s membres gauches, quoique faibles pouvaient bien exécuter tous les mouvements . Il y a 5-6 semaines et malade fut renversé ave
lié prochainement par MM. les D' Bornstien et Sterling. 68 FLATAU Mouvements actifs : le membre supérieur droit dispose seulem
immobiles. Quand le malade fait des efforts, on voit apparaître des mouvements associés de la tête et de la main gauche. Le me
à l'épaule, éloigné du tronc et très lentement fléchi au coude. Ces mouvements sont ac- compagnés des mouvements de la main dr
ès lentement fléchi au coude. Ces mouvements sont ac- compagnés des mouvements de la main droite et de la tête. Le tronc est imm
oite immobile absolument. La gauche peut encore exécuter de faibles mouvements des doigts et une flexion minime du genou. Mouv
de faibles mouvements des doigts et une flexion minime du genou. Mouvements passifs : Le membre supérieur droit peut être éle
peut être élevé en haut jusqu'à la ligne horizontale, plus loin le mouvement est impossible à cause d'un obstacle insurmonta
la cuisse résistent de même. Le pied et les orteils conservent des mouvements passifs suffisants. La jambe gauche a les muscl
he a les muscles adducteurs contractures aussi bien que le genou. Mouvements automatiques : le malade se plaint que le membre
t a les réflexes du triceps et périos- tal très vifs, à gauche, ces mouvements sont même cloniques. Les réflexes patel- laires
ation (il pouvait lever sa main droite vers la hanche, exécuter des mouvements plus amples avec sa jambe gauche. Pendant son séj
malade étant dans le coma ) faire les recherches méthodiques des t mouvements du membre inférieur. Voici en quoi consiste le ph
adriceps. Il y a donc deux conditions nécessaires pour que, dans ce mouvement , les jambes restent raides. Dans un premier t
le long supinateur était atteint comme les extenseurs, la perte du mouvement était complète et il n'y avait pas atrophie app
'oeil, les réflexes à la lumière et à l'accommodation sont bons,les mouvements associés des mus- cles de l'oeil se font parfai
sque complète de la papille. Amaurose très avancée. - Paralysie des mouvements associés des globes oculaires dans le plan vert
domaine du nerf facial, soit dans la position de repos, soit dans les mouvements mimiques du visage ; l'occlusion des paupières
nt très mal à la lumière et à l'ac- commodation. En examinant les mouvements associés des yeux, on est frappé par le fait qu
est frappé par le fait qu'il existe une limitation énorme dans les mouvements des globes oculaires en haut. Cette paralysie d
ns les mouvements des globes oculaires en haut. Cette paralysie des mouvements associés des yeux est à peu pi-ès corn- plète p
et pour la convergence, tandis qu'elle est très incomplète pour les mouvements de latéralité à droite et à gauche et pour les
pour les mouvements de latéralité à droite et à gauche et pour les mouvements en bas. Il n'existe aucune trace de nystagmus n
tête à droite et à gauche, en haut et en bas et très rapidement. Le mouvement d'élévation des épaules est normal. Les mouveme
ès rapidement. Le mouvement d'élévation des épaules est normal. Les mouvements inspiratoires du thorax paraissent aussi tout à
ormaux. La respiration se fait avec le type costal supérieur. r. Le mouvement de pronation et de supination des bras se fait d'
n et la supination de la main sont à peu près impossibles. Tous les mouvements de la main : opposition des doigts et du pouce, f
et atrophiques, de couleur livide et très froids au toucher. Les mouvements actifs de la main sont réduits à l'extension 'et
ment abolies de même que l'adduction et l'abduction, tandis que les mouvements d'extension et de flexion du poignet sont encor
ause de la position ea varus, est profondément excavé. 1 Tous les mouvements actifs-des orteils sont complètement abolis, de m
mouvements actifs-des orteils sont complètement abolis, de même les mouvements d'extension, flexion, abduction et adduction des
ur le bassin est normale, l'extension est affaiblie de même que les mouvements d'adduction et d'abduction. Les mouvements de f
ffaiblie de même que les mouvements d'adduction et d'abduction. Les mouvements de flexion et d'extension de la jambe sur la cu
percutant en effet sur la grande tubérosité du tibia on observe un mouvement brusque d'adduction de la, cuisse ; de même il ex
qu'en percutant sur le tendon rotulien d'un côté, l'on provoque un mouvement d'adduction dans la cuisse du côté opposé. Le
hilléen est aboli. Le réflexe cutaué plantaire est absent. Tous les mouvements passifs des membres inférieurs sont assez faciles
bilatérale de la papille avec amaurose complète. Troubles dans les mouvements associés des globes oculaires.- Strabisme diver
lexes cornéen et conjonctival sont encore présents. En étudiant les mouvements associés des globes oculaires, on peut déceler la
es oculaires, on peut déceler la présence d'un nys- tagmus dans les mouvements du plan horizontal. Les mouvements associés de
ésence d'un nys- tagmus dans les mouvements du plan horizontal. Les mouvements associés de latéralité à droite et à gauche ont
amplitude normale, tandis qu'il existe une véritable paralysie des mouvements conjugués vers le haut. Les mouvements associés
une véritable paralysie des mouvements conjugués vers le haut. Les mouvements associés en bas sont encore possibles. La conve
que de la tête avec balancement régulier à droite et il gauche. Les mouvements volontaires sont empreints d'une certaine incoord
rsale de la main présente, elle aussi, une atrophie très grave. Les mouvements actifs de la main et des doigts sont très réduits
tement abolie. L'opposition du pouce fait complètement défaut ; les mouvements d'adduction et d'abduction des doigts sont limi
es os de la main semblent aussi avoir participé à l'atrophie. Les mouvements de pronation et de supination de la main, quoique
supination de la main, quoique limités, sont encore possibles ; les mouvements d'adduction et d'abduction de la main sont asse
-bras sur le bras, la ro- tation de l'avant-bras et tous les autres mouvements des bras et de l'épaule sont parfaitement conse
ont assez bien conservés et la force musculaire développée daus les mouvements du moignon de l'épaule est encore considérable.
ie musculaire et à cause aussi du varisme très prononcé. Tous les mouvements des orteils sont abolis, la rétraction des fléchi
rs chez Aurélie est pourtant moins avancée que chez la soeur. Les mouvements des pieds sur la jambe sont complètement abolis,
ules,dans ces mêmes groupements musculaires qui dévelop- paient des mouvements volontaires à peu près normaux. Cette diminutio
ille. - Acuité visuelle encore assez con- servée. ' Paralysie des mouvements conjugués des globes oculaires vers le haut. -
, le réflexe si l'accommodation est bien conservé. En examinant les mouvements associés des globes oculaires, on note une di-
tendineuse des fléchis- seurs n'est pas encore établie et, dans les mouvements passifs, cette flexion est très facile à vaincr
'accomplissent d'une façon parfaitement normale. Il n'y a que les mouvements des muscles intrinsèques de la main qui soient
ine et qui est la cause de l'attitude paralytique de ses pieds. Les mouvements de flexion des orteils sont encore possibles, sau
r le bassin est normale, l'extension est affaiblie, de même que les mouvements d'abduction et d'adduction. Le réflexe rotulien
e. ÉTUDE CLINIQUE SUR TROIS CAS DE MALADIE FAMILIALE 121 Tous les mouvements passifs sont complètement libres. Les troubles
tat spasmodique des mem- bres avec atrophie musculaire, bradylalie, mouvements athétosiques et idiotie. Cette observation es
rcutant à droite le tendon du quadriceps fémoral on provo- quait un mouvement brusque d'adduction de la cuisse du même côté.
cutives ; la durée des crises était de deux minutes en moyenne. Les mouvements convulsifs, d'abord très limités, étaient local
a aphasique. Ces troubles persistèrent pendant cinq jours, puis les mouvements réapparurent progressivement au point que M. A.
age de ses mem- bres ; il ne persista que de la difficulté dans les mouvements du pouce et de l'aphasie motrice avec agraphie.
andée ; le sujet éprouve de la difficulté à trou- ver ses mots. Les mouvements de la langue sont moins étendus du côté droit.
isse ; les ongles sont cas- sants et incurvés à leur extrémité. Les mouvements des doigts sont très limi- tés. Même état menta
très diminuée ; celle du membre inférieur l'est beaucoup moins. Les mouvements du bras sur l'épaule et de l'avant-bras sur le
eux. La main et les doigts ne peuvent accomplir que quelques légers mouvements . Les mou- vements de la face du côté droit sont
secousses convulsives continues aussi bien au repos que pendant les mouvements ; les secousses sont plus étendues et plus rapi
nt moins accusés. 30. - Les secousses spasmodiques ont disparu. Les mouvements de l'avant- hras sur le bras et du bras sur l'é
rale et au niveau de la main du côté droit sont très atténuées. Les mouvements du membre supérieur sont plus faciles. M. A. co
lexes patellaires sont encore exagérés ; la parole est scandée. Les mouvements des articulations du médius droit sont très lim
; la parole est encore un peu scandée ; l'écriture est normale. Les mouvements du membre supérieur droit et la force musculaire
n occipitale. En même temps, gon- flement de la face et du cou. Les mouvements de la tête sont limités et doulou- reux. La mal
se gonflèrent. Peu à peu le membre s'affaiblissait davantage. Les mouvements sont devenus impossibles dans l'articulation de l
érieurs étaient paralysés. Les inférieurs conservaient encore leurs mouvements . Une heure après, la malade s'est endor- mie et
érieures sont douloureuses à la pression. La tête peut exécuter des mouvements bien limités sans provoquer de douleurs. Les fe
pupilles sont normales. La réaction à la lumière est conservée. Les mouvements des globes oculaires sont bons. Les membres sup
xes du muscle tri- ceps sont faibles ; les périostaux, abolis ; les mouvements du tronc, nuls. La malade se compare à « une pâ
c, nuls. La malade se compare à « une pâte », elle reste sans aucun mouvement . Les réflexes abdominaux sont abolis. Les mem
resque complètement paralysés. Il ne reste que de faibles traces de mouvements (la mieux conservée est l'extension et l'adduct
et couverte de sueur. Il ne persiste aux mem- bres inférieurs qu'un mouvement d'adduction minime de la cuisse gauche, de rota
che, de rotation de la cuisse droite, d'extension des genoux et des mouvements à peine perceptibles des orteils droits. Le réf
niens sont normaux. Les pupilles réagissent bien à la lumière. Les mouvements des globes oculaires sont bons. Pouls 132. Les
56 FLATAU inférieurs est complète et fiasque. Pas même de traces de mouvements (ni à l'articulation de la hanche, ni dans cell
e des muscles deltoïde, splénius et sus-épineux du côté gauche. Les mouvements de la tête sont normaux. Le membre supérieur ga
en même temps et l'omoplate se sépare du tronc comme une aile. Les mouvements de ce membre : la flexion et l'extension du coude
iculté d'avaler les solides, elle avale mal aussi les liquides. Les mouvements de la tête sont très restreints, elle peut seul
e peut seulement faire une minime flexion latérale et en avant. Les mouvements pas- sifs s'accompagnent d'une forte douleur de
est possible seulement du côté droit et avec une force moyenne. Le mouvement des épaules en arrière vers la ligne médiane est
lates (surtout la gauche) n'adhèrent pas à la cage tho- racique. Le mouvement des bras en haut est possible seulement du côté d
soulève passivement se fait très faiblement surtout du côté gauche. Mouvements du coude droit très limités, à gauche impossibl
uche. Mouvements du coude droit très limités, à gauche impossibles. Mouvements des mains et des doigts 166 FLATAU limités et
s inférieurs sont très affaiblis. Dans la position couchée tous les mouvements sont possibles mais limités et faibles, surtout d
plantaire). Le grand orteil reste le plupart du temps immobile. Les mouvements du tronc sont faibles, mais la malade peut quand
tète. Rétention d'urine. Fièvre. Rien aux poumons. 8 septembre. - Mouvements de la tête impossibles. Dans le membre supérieu
s de la tête impossibles. Dans le membre supérieur gauche, l'unique mouvement qui a persisté est une extension légère des doi
qui a persisté est une extension légère des doigts. Dans le droit, mouvements minimes au coude, à la main et extension et fle
e. Rétention de l'urine et des matières fécales. Fièvre. 2'l. Les mouvements de la tête sont limités (elle tient la tête toujo
inférieurs à l'état de paralysie flasque. Dans le droit, il ya des mouvements minimes dans l'articulation du genou, de la han
tà peine perceptibles aux orteils. A gauche, ces faibles restes des mouvements n'existent presque pas. Réflexes patellaires asse
oujours (surtout à gauche), en même temps que s'affaiblissaient les mouvements des membres supérieurs. La sensibilité A cette
ilité A cette époque était intacle. Quelques semaines plus tard les mouvements de la tête sont devenus impossibles, aux membre
rt la crise, à quelques paralysies, quelques contractures, certains mouvements anormaux, quelques troubles de la sensibilité.
aumatismes : des crises, des paralysies, des contractures, certains mouvements anormaux, des anes- thésies, des hyperesthésies
, il imagine sa crise : ce ne sont alors que contorsions, grimaces, mouvements désordonnés, tremblements con- vulsifs, soubres
t moins brutale, les phases cloniques et toniques moins nettes, les mouvements plus désordonnés, comme si le malade voit- lait
demi-flexion, ordonnez au malade de l'étendre en vous opposant à ce mouvement ; lorsque le malade paraîtra donner tout son effor
tés (signe de Hosslin) (1). 7° La volonté ne sait pas commander aux mouvements associés, parce qu'elle les ignore : dans l'hys
ouvements associés, parce qu'elle les ignore : dans l'hystérie, ces mouvements persistent dans des muscles soi-disant paralysé
ez à quelqu'un de fléchir la tête avec force, en vous opposant à ce mouvement par une main sous le menton ; vous verrez, s'il s
muscles paralysés en apparence, se contractent très bien, dans les mouvements associés, ignorés du malade. Celui-ci se comporte
xe so i t i IIdi IT éren t, c'est-à-d ire ne s'ac- compagne d'aucun mouvement du gros orteil. 9" Signalons enfin que presque
la possi- bilité de déterminer dans l'articulation douloureuse des mouvements , sans que le sujet s'en doute, par exemple, en
lésion pour les ex- pliquer rendent ce diagnostic facile. S" Les mouvements anormaux, - Ils sont extrêmement variables selon
ce sont des pseudo-.cho- rées, constituées le plus souvent par des mouvements rythmiques, quel- (t) Ils ont été donnés surtou
m'incliner. L'un d'eux' est entré à la Charité comme incurable. Les mouvements rythmiques, ont chez la femme une prédilec- tio
tribution heureuse qui assure à cer- tains individus l'harmonie des mouvements , la mesure dans les réactions et la décision ra
a périphérie qu'il est caché, c'est au centre ; car ce n'est pas le mouvement qui embarrasse le timide, c'est l'action. Qu'il
s. Dans la station debout, le tronc incline un peu à droite, et les mouvements mettent en évidence la raideur de tout ce côté.
rrégulières pendant les trois premiers mois de sa gros- sesse ; les mouvements actifs ne furent perçus qu'à cinq mois et beaucou
ntre les épaules, se trouve habituellement pen- chée en avant : les mouvements de rotation et d'extension sont nettement limi-
considérées comme légèrement et unifor- mément hypertrophiées. Le mouvement d'abaissement de la mâchoire inférieure se montre
extrémités épiphy- saires. Leur surface est normale. Les différents mouvements des articulations sont bien conservés et ils se
nt ni albumine, ni sucre. Poids 59 kil. 700. Examen neurologique. - Mouvement des yeux normal. Léger tremblement dans le mouv
eurologique. - Mouvement des yeux normal. Léger tremblement dans le mouvement des paupières. En fronçant le front, les- plis de
ormale. Pas de trou- bles de la déglutition ou de la phonation. Les mouvements actifs ou passifs du cou sont à l'état normal.
de l'avant- bras à 8 centimètres de l'épitrochlée : 22 cent. 5. Les mouvements actifs et passifs s'accomplissent normalement.
eau qui n'est pas de beaucoup supérieur à l'horizontale. Les autres mouvements du membre, bien qu'assez étendus, ne peuvent pas
uvements du membre, bien qu'assez étendus, ne peuvent pas s'appeler mouvements complets. Les mouvements passifs opposent dans to
qu'assez étendus, ne peuvent pas s'appeler mouvements complets. Les mouvements passifs opposent dans tous les seg- ments du me
ètres de la pointe de la rotule : 30 centimètres. Etat nor- mal des mouvements actifs ou passifs. Force musculaire bien conservé
male. Circonférence de la cuisse et de la jambe comme à droite. Les mouvements actifs sont tous possibles, mais si le patient
e celui de droite, et que le malade l'abaisse avant ce dernier. Les mouvements passifs opposent une résistance plus grande que
Le sens stéréognostique est bien conservé, pour la position et les mouvements passifs. La percussion sur le crâne éveille de
un'peu plus mobiles. Le membre gauche peut mieux exécuter tous ces mouvements , quoique là aussi on voit un notable affaibliss
es. Celles-ci ne sont douloureuses ni à la pression, ni pendant les mouvements de la colonne vertébrale. Pas d'atrophies muscu
La paralysie des membres inférieurs est presque complète. Les seuls mouvements qui persistent, sont une faible extension des gen
persistent, sont une faible extension des genoux et de très faibles mouvements des gros orteils. Contractions involontaires des
s des gros orteils. Contractions involontaires des jambes. Pour les mouvements passifs des genoux, la tonicité musculaire est
même. Les douleurs lombaires sont très fortes, .surtout pendant les mouvements volontaires. A ces derniers s'ajoutent les mouv
t pendant les mouvements volontaires. A ces derniers s'ajoutent les mouvements involontaires. Les réllexes rotuliens sont exagér
pas indiquer dans quel sens. Il ne se rend pas compte non plus des mouvements des pieds, des genoux et des cuisses. Les vertè
ceinture au-dessous des côtes. Les douleurs augmentent pendant les mouvements . Les vertèbres ne sont pas douloureuses à la pr
est indolore. Membres supérieurs. La malade peut exécuter tous les mouvements avec facilité. La sensibilité tactile, douloure
ait lentement avec un grand effort. Le moindre obstacle empêche les mouvements de se produire. Quant au mem- bre inférieur dro
ctue très lentement et difficilement ; le moindre obstacle rend les mouvements impossibles. Les mouvements des pieds sont égal
cilement ; le moindre obstacle rend les mouvements impossibles. Les mouvements des pieds sont également lents et limités, la f
a flexion dorsale, mais dans les deux cas elle est très petite. Aux mouvements répétés, la force du pied droit s'épuise. La ma
'épuise. La malade peut mouvoir tous les orteils en masse, mais ces mouvements sont très faibles. La tonicité-musculaire dans
ension ne se fait que grâce à la pesanteur du membre,qui tombe. Les mouvements du pied droit et de ses orteils sont un peu meill
eu meilleurs et plus étendus, le moindre obstacle pourtant rend ces mouvements impossibles. L'ab- duction de la cuisse droite
laire est un peu troublé : la malade ne sait pas définir les petits mouvements des orteils. ' , 7 juin. La malade est transpor
E ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 325 la malade ne sent ni les mouvements de tous les doigts en masse, ni ceux de l'artic
ien portante et le second matin elle ne pouvait déjà exécuter aucun mouvement dans toutes les articulations des deux membres
inférieurs sont paralysés presque complètement). Il ne reste qu'un mouvement minime d'extension dans les articulations des han
ans les genoux. La paralysie est complète. Les dernières traces des mouvements sont dispa- rues. Hypertonicité dans les mouvem
ères traces des mouvements sont dispa- rues. Hypertonicité dans les mouvements passifs. Les réflexes tendineux sont très exagé
u cou-de- pied ; la malade se trompe souvent en ce qui concerne les mouvements des genoux ; aux articulations des cuisses les
cerne les mouvements des genoux ; aux articulations des cuisses les mouvements sont bien perçus. Escarre au début sur la fesse
u'il forme avec le bord interne du pied un angle presque droit. Les mouvements actifs des membres inférieurs manquent complèteme
en dehors du lit ; elle doit pour- tant s'aider avec les mains. Les mouvements passifs rencontrent un obstacle : l'hypertonici
: l'hypertonicité musculaire dans le genou, elle disparaît dans les mouvements successifs. Cette tonicité est plus exagérée da
définiti- vement. Ensuite ont disparu les faibles traces mêmes des mouvements des jambes. Il faudrait aussi attirer l'atten
hé, il peut assez bien mouvoir ses membres inférieurs. La force des mouvements est assez bonne. De temps en temps, courts tres
ion et l'opposition du gros doigt droit est impossible (à gauche ce mouvement persiste, mais peu énergique). L'extension de l
tension de la main droite est abolie, à gauche elle est faible. Les mouvements des articulations du coude et de l'épaule sont
ait asseoir le malade, les douleurs dans les bras apparaissent. Les mouvements de la tête sont peu étendus. Pas de rigidité de
droit et la hanche droite. La jambe droite était assez' raide. Les mouvements dans l'articulation de la hanche sont limités dep
ente palpébrale droite est toujours plus étroite que la gauche. Les mouvements du globe ocu- laire sont limités en dehors, abo
ans le fonctionnement des nerfs crâniens. Membres supérieurs. Les mouvements du membre droit sont normaux. Il vainc avec 'di
é même jusqu'à la ligne horizontale à cause des douleurs. D'autres* mouvements de ce membre (au coude, à la main et aux doigts)
marche en boitant du côté droit, comme si elle avait la coxite. Les mouvements dans l'articulation de la hanche sont presque c
). Le cou-de-pied droit se meut avec facilité. Du côté gau- che les mouvements de la hanche et du genou sont beaucoup plus large
ine à cause de douleurs dans l'articulation de l'épaule. Les autres mouvements dans ce membre sont aussi plus lents que du côt
e. L'avant-bras et le bras gauche sont très douloureux ; le moindre mouvement ou faible toucher provoque des douleurs. Les réfl
ied et des doigts à droite sont plus faibles qu'à gauche.- Tous ces mouvements , la malade les exécute lentement, avec peine, e
état. Les membres inférieurs ne sont plus doulou- reux pendant les mouvements . Les mouvements passifs démontrent une moin- dr
es inférieurs ne sont plus doulou- reux pendant les mouvements. Les mouvements passifs démontrent une moin- dre mobilité de l'
é de l'articulation de la hanche droite, une certaine rigidité. Les mouvements dans d'autres articulations sont normaux. Le réfl
elle a perdu connaissance ; son membre supérieur droit fut pris de mouvements convulsifs, l'écume est apparue dans la bouche. C
sa démarche rappelait celle des malades coxalgiques. En effet, les mouvements de l'articulation de la hanche droite étaient p
LRE. 1. \Y111. NI. \\1\'ll RAPPORTS DES CELLULES DE BETZ AVEC LES MOUVEMENTS VOLONTAIRES . - PAR a ." G. MARINESCO Profe
s pyramidales géantes de la zone dite motrice dans le mécanisme des mouvements volontaires. Voici ce qui a déterminé ces au- t
llules de Betz ne sont pas néces- saires pour l'accomplissement des mouvements volontaires. Avant d'entrer dans l'étude des re
es. -41 ans, début lent trois ans avant l'exitus. Voix éteinte. Les mouvements des membres du côté droit sont réduits. Atro- p
-bras, des régions scapulo-humérales et thénars et hypothénars, les mouvements des membres supérieurs, également abolis immédi
e spasmodique extrêmement accusée, le malade ne pouvait faire aucun mouvement avec ses membres inférieurs. Durée de la maladi
embres supérieurs, avec lesquels elle ne pouvait t plus faire aucun mouvement . Durée de la maladie 5 ans. Examen microscopiqu
lules de Betz avec le faisceau pyramidal et par conséquent avec les mouvements volontaires. Plus encore, la réaction cellulair
llules de Betz ne sont pas nécessaires pour l'accomplis- sement des mouvements volontaires. D'ailleurs, Horsley ne met pas en
e assez bien avec mes constatations anatomo-cliniques. En effet les mouvements volontaires ne sont pas revenus complètement ch
eux épilep- (1) MARINIOECO, Contribution à l'élude du mécanisme des mouvements volontaires et des fonctions du faisceau pyrami
lement insisté sur le fait que, malgré la conservation relative des mouvements des différents doigts, le patient est absolumen
atient est absolument incapable de faire avec ses doigts le moindre mouvement isolé. J'ai expliqué ce phénomène par le fait q
ne par le fait que l'écorce cérébrale présiderait à l'exécution des mouvements spécialisés et j'ai cité à cette occasion les e
inage il n'y a pas eu de cellules géantes ayant donné naissance aux mouvements provo- qués par l'excitation électrique. Et pui
de la circonvolution fron- tale ascendante laquelle correspond aux mouvements de la main, zone excisée dans le cas de Brodman
n peu plus près de ce dernier. Le noevus présente donc un quadruple mouvement : descendant en arrière, Fic. 4 (Obs. III) FI
tive de la moelle pendant la phase embryologi- que, mais avec trois mouvements marqués, notamment pour le 8° intercostal, par
nues, en ceinture, et s'exaspèrent avec la station verticale et les mouvements du tronc. A peu près à l'époque de l'apparition
aillant que le gauche ; en outre, il a une tendance à converger. Le mouvement des yeux est normal à gauche. A droite, on note
t des yeux est normal à gauche. A droite, on note une limitation du mouvement de rota- tion du bulbe oculaire vers l'extérieu
sente plus mince, et où l'empreinte des dents est plus marquée. Les mouvements latéraux s'accomplissent un peu mieux de gauche
i l'on fait prononcer à la malade la voyelle a, on remarque que les mouvements sont mieux accomplis par la moi- tié droite du
sarthritique, ni dysphasique, ni dysphonique. Bien con- servés, les mouvements passifs et actifs de la tête, du cou et du tronc.
présentent pas de troubles ataxi- ques ou diadococinésiques. Les mouvements passifs sont tous possibles et complets. Légère d
es et complets. Légère diminu- tion de la tonicité musculaire. (Les mouvements de complète flexion de la cuisse sur le bassin,
sur la cuisse, et d'byperextension des pieds sont possibles aussi.) Mouvements actifs tous bien conservés des deux côtés ; mai
HIES TABETIQUES DE LA COLONNE VERTÉBRALE 4<9 Dans la marche, les mouvements sont un peu incertains et incoor- donnés ; la m
s bien conservée; la mobilité est un peu gênée mécanique- ment, les mouvements des doigts et des mains sont un peu maladroits. A
mmeil est bon, parfois entrecoupé de cris.Elle présentait alors des mouvements athétoso-choréiformes (agitation de la 'tête, gri
hétoso-choréiformes (agitation de la 'tête, grimaces inces- santes, mouvements faibles des membres) ; la chorée avait débuté à t
table et s'abaisse à droite. Le ser- rement d'une main provoque des mouvements associés de l'autre main, du cou et de la face.
jusqu'au IIIe espace inter- costal. Absence de réflexes abdominaux. Mouvements du membre supérieur droit un peu affaiblis. Rét
Deux jours après l'opération, le pied droit peut exécuter de petits mouvements , de même que le genou droit et le pied gauche.
es. Fortes dou- leurs surtout dans le pied et le genou gauches. Les mouvements des membres inférieurs deviennent plus faciles,
ade tient toujours la tête penchée un peu en avant et à droite. Les mouvements de la tête en avant sont bons, en arrière * imp
en arrière * impossibles (douleurs), la rotation est conservée, les mouvements latéraux sont accompagnés d'une douleur dans la
raux sont accompagnés d'une douleur dans la tempe et l'occiput. Les mouvements des membres supérieurs sont normaux. Les réflex
anne de l'autre. La jambe gauche est plus faible que la droite. Les mouvements de la jambe gauche provoquent des contractions
réagissent bien 1 la lumière. Les nerfs crâniens sont normaux. Les mouvements des membres su- périeurs sont normaux quant à l
diculaires, la raideur de la colonne, les douleurs accompagnant les mouvements ac- tifs, l'éternûment et la toux. On peut cite
s instants, le malade revient à lui et commence à exécuter quelques mouvements avec le membre supérieur gau- che, consistant e
'avant-bras. L'examen objectif relève ce qui suit : tous les autres mouvements de la moitié gauche du corps sont impossibles ;
07. - La parésie de la moitié gauche du corps a un peu diminué. Les mouvements du membre supérieur gauche restent très limités
er la jambe gauche sans pourtant soulever le talon. Tous les autres mouvements sont impossibles. Le malade ne réussit à articu
aucoup de commandements. Etat, le 26 février 1907. Rien du côté des mouvements passifs et actifs du facial et des membres du c
ments passifs et actifs du facial et des membres du côté droit. Les mouvements volontaires dans le membre supérieur gauche son
membre supérieur gauche très limités ; forte résistance à tous les mouvements passifs. Le malade est capable de soulever un peu
ieur gauche. Le membre inférieur présente une faible résistance aux mouvements passifs. Réflexe rotulien plus marqué à gauche
de la bouche, tend à dévier vers la gauche. Rien d'anormal pour les mouvements actifs et passifs des membres du côté droit dont
présente aucune attitude vicieuse et n'oppose aucune résistance aux mouvements passifs. Le malade est incapable d'accomplir un
ance aux mouvements passifs. Le malade est incapable d'accomplir un mouvement actif quelconque avec quelque segment que ce soit
roubles trophiques ni d'attitudes vicieuses ; aucune résistance aux mouvements passifs. Quant aux mouvements actifs, il réussi
des vicieuses ; aucune résistance aux mouvements passifs. Quant aux mouvements actifs, il réussit à exécuter la Oexion initiale
dents. Alza il braccio destro. (Lève le bras droit.) Il exécute le mouvement . ' Levati il berreJio. (Ote ton bonnet.) Il ne
onicité musculaire est normale ; l'énergie musculaire dans tous les mouvements est absolument remarquable; notre petit homme e
notre petit homme est très fort et très fier de sa force. Tous ses mouvements sont vifs, prompts et bien exécutés ; pas de tr
notre petit patient peut développer est remarquable. Dans tous ces mouvements il est extrêmement vif et prompt ; il court et
énergie motrice sont absolument normales ; notre sujet exécute tout mouvement avec une grande agilité : c'est un cycliste con
ux noyaux les plus antérieurs sont considérés comme les centres des mouvements de l'iris et du muscle ciliaire (centre photo-m
ensibilité tac- tile et douloureuse des jambes normales, retour des mouvements des or- teils à droite et du gros orteil gauche
he était possible. Une malade de Schullze pouvait exécuter quelques mouvements des pieds le second jour après l'opération, etc
adococinésie est lente, l'action du facial droit prédomine dans les mouvements . La puberté commence à peine. L'enfant a prés
; elle est flaireuse ; très souvent elle tourne sur elle-même : ce mouvement s'exécute de droite à gauche et d'avant en arri
; mais quand l'enfant vire d'un côté, il est impossible d'amener le mouvement contraire ; l'enfant évolue en piétinant, ayant
er, 233, 429, 571, 685. Cellules de Betz (Rapports des - avec les mouvements volontaires) (2 pl.), par Marinbsco, 369. Cha
raire (Elude anatomique d'un-du .TVIII°siècle), par B. Wiki, 104. Mouvements volontaires (Rapports des cel- lules de Betz av
n (1 pl.), 135. llnmnssco. Rapports des cellules de Belz avec les mouvements volontaires (2 pi.), 369. Meige (Henri). Le P
45 (1888) Archives de neurologie [Tome 16, n° 46-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
in. Avec la table à vivisection nous avons obtenu seule- ment des mouvements antéro-postérieurs. Mais ce n'était pas suffisa
pas suffisant, attendu que notre but était d'étu- dier surlout les mouvements d'un navire au moment de tempête pendant laquel
ppa- reil, dont voici l'ensemble. On voit par ces croquis que les mouvements cher- chés sont entièrement obtenus par la rotu
yen desquelles on imprime à l'appareil les mou- vements imitant les mouvements du bateau. Notre appareil a été construit en bo
culation sphérique à l'extré- mité inférieure de la rotule, mise en mouvement par une transmission à angle droit sortant par
est supporté par la traction des tubes en caoutchouc opposés aux mouvements que nous exécutons, et par conséquent le maniem
cage dans laquelle nous avons placé un lapin. Après cinq minutes de mouvements d'évolution complète de l'appareil, le lapin ne
u très sensible et qu'au moindre tâtonnement ils réagissent par des mouvements . Le lapin reste dans cet état de stupeur pendan
iste; les pupilles ne ,se contractent plus à la lumière pendant les mouvements , ni après. b). Cobayes. ? Nous les plaçons dans
cage ; nous les balançons; ils étaient inquiets ; ils faisaient des mouvements de mastication. Mais, en somme, ils n'avaient p
r. c). Chiens. Enfin, nous avons balancé des chiens.' Pendant les mouvements , un petit chien 'gémissait tout doucement ; il ét
avons observé les mêmes phénomènes. Nous voyons de plus, après des mouvements de vingt à trente minutes, une salivation abond
des ravalements. Ces trois signes sont très importants. Après des mouvements d'une heure les chiens étaient abattus; ils fer
la fin de l'expérience. La température rectale, même après de longs mouvements , n'a pas été abaissée au-dessous de 3 ? elle re
xpériences sur notre appareil prouvent que les animaux soumis à des mouvements finissent par avoir les symptômes du vertige ex
st que l'animal se met, quant à sa respi- ration, au rythme des mouvements de /'<7/)/M- reis. En augmentant la' vites
en ligne horizontale; la Fig. 3. Trace» du même ctucit au deuui des mouvements sur notre appareil. Le tracé diaphragmatique se
ent jusqu'à la limite Fig. 5. - Tracés pris en repos et après les mouvements de quarante minutes. La cour- bure supérieure i
nt en brisant les flots, indispose l'animal plus que tout autre mouvement . Ainsi, il commence à crier pendant les vingt
moments du balancement, nous avons constaté qu'avec le début des mouvements de l'appareil la respiration change et commence
e l'appareil la respiration change et commence à s'accommoder à ces mouvements ; plus l'expérience avance, plus les deux respir
vons fait l'analyse des gaz du sang d'un chien avant et pendant les mouvements sur notre appareil, en retirant de la fémorale
ux lignes verticales, il va une évolution complète de l'appareil en mouvement . DU VERTIGE MARIN. il SAIGNÉE GÉNÉRALE ET BAL
demi-fermés, dans une com- plète immobilité, malgré tous les grands mouvements qu'on donne a l'appareil. Apres la un de l'ex
la salivation a été produite presque inz- médiatement au début des mouvements ; d'où nous con- cluons que l'anémie prédispose
alançons le chien et nous prenons les deux pressions au début des mouvements . Les tracés de deux artères ont été les mêmes e
'ailleurs, en voici ci-dessus un des tracés relatifs. Influence des mouvements de notre appareil sur les mouvements du cerveau
acés relatifs. Influence des mouvements de notre appareil sur les mouvements du cerveau et du liquide céphalo-rachidien. - -
le liquide céphalo-rachi- dien. Nous avons essayé d'enregistrer les mouvements de ce liquide par la membrane occipito-atloïdie
t du liquide cé- DU VERTIGE MARIN. 17 phalo-rachidien pendant les mouvements de notre ap- pareil. La solution de cette quest
nos expériences faites sur des animaux placés sur notre appareil en mouvement . a). Lapins. Quelques minutes après le début de
areil en mouvement. a). Lapins. Quelques minutes après le début des mouvements , les lapins ne peuvent plus se tenir sur les pa
regard inquiet. b). Cobayes. Ils paraissent inquiets et font des mouvements de mastication ; ils ont de plus les autres sig
s et les ravalements. 1 Vingt à trente minutes après le début des mouvements , ils ont une salivation qui rarement a manqué,
les expériences que le sys- tème de la respiration s'accommode aux mouvements de l'appareil ; ainsi, en augmentant la vitesse
aux mouvements de l'appareil ; ainsi, en augmentant la vitesse des mouvements , les respirations augmentent aussi proportionne
nt été influencés par la respiration, laquelle a été accommodée aux mouvements de l'appareil. Nous n'avons pas pu étudier l'in
Nous n'avons pas pu étudier l'influence du balance- ment sur les mouvements du cerveau et du liquide céphalo-rachidien, car
7e. Commccause essentielle du vertige marin nous ac- ceptoiis les mouvements spéciaux du navire, dont nous parlerons plus lo
ager à sentir plus ou moins selon son individua- lité, l'action des mouvements et des secousses du na- vire, en diminuant la r
voyageurs commencent à sentir les pre- miers symptômes au début des mouvements spéciaux que le bateau subit par la tempête. Ai
le dynamomètre, est égale à 43 kil. (65 du côté droit); les autres mouvements du membre supérieur gauche sont de force normal
serve de la faiblesse que dans l'élévation de l'épaule ; les autres mouvements sont normaux. Membres inférieurs. La malade mar
nt pas subi de DE LA GLIOMATOSE MEDULLAIRE. 25 changements. Des mouvements convulsifs ne se produisent que dans deux derni
ression sur les apophyses épineuses est douloureuse par places. Les mouvements de la colonne vertébrale ne provoquent pas de d
ers est conservée ; le clonus de la mâchoire inférieure manque. Les mouvements de la langue et la déglutition sont libres et i
re ; par mo- ments, il lui semble qu'elle ne peut mâcher, que les mouvements de la langue et des mâchoires sont 30 ' - PATHO
ément et n'augmentait pas à la pression faite sur les épaules et au mouvement . Il n'y a pas eu de dystrophies cutanées, à l'e
at présent. Pas de troubles du côté des nerfs crâniens, excepté les mouvements fibrillaires de la langue au moment où le malad
malade la tirait hors de la bouche. Membres supérieurs. Tous les mouvements sont possibles, étendus et suffisamment forts,
es muscles et les nerfs ne sont pas douloureux à la pression. Les mouvements des membres inférieurs sont normaux en étendue
mblements cloniques de la jambe à la flexion du genou gauche, si le mouvement a surmonté un obstacle considérable. On n'obser
crural. A l'extension passive du genou on observe fré- quemment des mouvements convulsifs des muscles fléchisseurs du genou. L
e guéri. Il présente à cette époque les phénomènes suivants : Les mouvements sont tous bons, à l'exception de la main gauche
uels de faisceaux volumineux isolés. La langue pré- sente aussi des mouvements fasciculaires. L'augmentation de réflexes'tendi
(III) et la surdité ver- bale (IV) ; la localisation corticale des mouvements du membre supérieur (V), du membre inférieur (y
oisième frontale, est en rapport intime avec le centre cortical des mouvements de l'organe de la parole (grand hypoglosse) et
en France par 'Autre définition : Perte plus ou moins complète des mouvements coordonnés communiqués à la main pour exprimer
'est pas encore absolue. La détermination des centres corticaux des mouvements des membres, dont nous allons maintenant nous o
ure actuelle de toutes les zones corticales. Le centre cortical des mouvements du membre supérieur est situé sur la partie moy
ied de la deuxième circonvolution frontale'. Le centre cortical des mouvements du membre supérieur fut d'abord déterminé par l
propos de la localisation de l'agraphie que le centre cortical des mouvements du membre supérieur au milieu de la frontale as
immédiat avec le centre d'expression verbale motrice graphique des mouvements coor- donnés communiqués a la main pour exprime
rches sur les fonctions motrices du cerveau. Le centre cortical des mouvements du membre supé- rieur eut son siège véricié-dès
. enseignent qu'il existe des cen- tres corticaux spéciaux pour les mouvements de chaque articulation, (pour ceux de l'épaule,
ie centre cortical du membre inférieur), et analysent chacun de ces mouvements . Ces différents faits expérimentaux rendent com
les efforts du clinicien. » DE l'axe cérébro-spinal. 47 siège des mouvements du membre supérieur au point ou nous l'avons in
de la circonvolution frontale ascendante' ». Le centre cortical des mouvements du membre inférieur occupe une région plus éten
meau avec le centre d'expression verbale motrice d'articulation des mouvements coordonnés communi- qués à la langue et à la fa
ttaques de catalepsie, de léthargie, de contractures, d'extase, les mouvements choréiformes, sans compter la simple hyperexcit
le, les bras gar- dent absolument leur position. ne suivant que les mouvements de totalité du corps. Léger tremblement des ext
dant sur le système moteur et non sensitif - quatre observations de mouvements associés chez des ataxiques, prouvant que l'inc
ion est d'origine purement motrice une observation montrant que les mouvements spontanés peuvent jouer un rôle important dans
preuve, ajoute-t-il, c'est que l'on observe chez les tabétiques des mouvements associés et des mouvements spontanés paraissant e
que l'on observe chez les tabétiques des mouvements associés et des mouvements spontanés paraissant en rapport avec les troubl
bserve une véritable incoordination motrice dans cette maladie. Les mouvements involontaires qu'exécutent les malades ne sont
l qu'on peut les dire véritablement systéîizatiques (Cliarcot). Les mouvements involontaires systématiques, toujours les mêmes
cs proprement dits, c'est-à-dire par les grimaces de la face ou les mouvements involontaires des membres. Lors- qu'elle attein
sans cause connue, d'une paralysie complète des quatre membres. Le mouvement reparut rapidement dans les membres inférieurs
ès le cinquième jour qui suivit l'apoplexie; les OBS. II, 111, IV : mouvements associés, à REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 71
éparé du cerveau le pédoncule cérébral gauche, exécute de fréquents mouvements de manège vers la gauche; ce ne sont pas là des
réquents mouvements de manège vers la gauche; ce ne sont pas là des mouvements irrésistibles, car l'animal peut parfaitement p
ir un chemin étendu en ligne droite ; il est rare qu'il exécute des mouvements de manège vers la droite. Si on le fait sauter,
blement. Il aboie comme un autre, et témoigne son affection par des mouvements delà queue tout à fait symétriques. Donc aucune
violemment les pattes à droite, il hurlera. Intégrité complète des mouvements locomoteurs. Aucune propension aux .mouvements
s vaisseaux du fond de l'oeil, notamment des artères. Intégrité des mouvements associés des yeux, pas de strabisme, mydriase m
névropathes. Une fillette de dix ans présente dès sa naissance des mouvements bilatéraux dans les quatre extrémités, aux main
Les altérations articulaires en question ne sont pas telles que les mouvements en soient troublés. M. Schultze. Il est possibl
ès intenses dans la-tête, le tronc, les extrémités à l'occasion des mouvements et sous l'influence des émotions; tremblement dan
ces trois états sur le corps, c'est-à-dire sur les sensations, les mouvements et les fonc- tions organiques, les sens spéciau
tait si complète, qu'elle ne lui permettait pas de faire le moindre mouvement . Au début de la quatrième semaine, des secousse
malade de marcher sur un plan incliné, sous peine de tomber. Les mouvements réflexes provoqués par diverses excitations de
quelques jours après, re- couvrait intégralement la liberté de ses mouvements . Mais il n'a pas été aussi heuteux pour sa para
l'autre membre : toutefois le malade marche sans appui. Tous les mouvements réflexes provoqués par les diverses excita- tio
lus intense à son membre droit. Il y a une exagération manifeste de mouvements réflexes facile- ment constatable par les diver
réflexe corres- pondant, et à chaque coup, le membre droit fait un mouvement d'adduction. La sensibilité se trouve émoussé
sol de la pointe de ses souliers, qui s'use rapidement. Tous les mouvements réflexes, provoqués par diverses excitations et
coup du marteau percuteur fait 2 à 3 projections, accompagnées d'un mouvement d'adduction de la jambe opposée. On observe a
par exemple, on voit que l'autre suit le membre tiré, en faisant un mouvement dans le même sens. Quand on lire, au contraire la
on lire, au contraire la jambe droite, la gauche fait aussi le même mouvement en suivant la droite dans la même direction.
che toujours sans bâton; sa démarche est fortement spasmodique. Les mouvements réflexes examinés par les procédés habituels so
sent une résis- tance considérable sans opposition de sa part. Les mouvements réflexes sont presque tous exaltés. Il y a une
ambe gauche sont bien plus paralysés que les extenseurs. Tous les mouvements réflexes du membre inférieur gauche sont exagér
rcevait aussi un bruit semblable à un craquement, pendant les rares mouvements qu'il faisait ; pas de fièvre. La durée de ces
eurs sont complètement paralysés. Ils ne pouvaient faire le moindre mouvement . La sensibilité non seulement au niveau des mem
très marquée des réflexes rotuliens, plus grande à droite. Tous les mouvements réflexes sont un peu exagérés. DES ACCIDENTS PA
firment d'une manière catégorique qu'ils n'ont jamais présenté de mouvements convulsifs. Vertiges. Parmi les symptômes cépha
atement que le bateau monte dans l'air, suivant lui-même aussi ce mouvement d'ascension; à ce moment, il perd l'équi- libre
tournaient autour de lui, mais sans que lui aussi prît part à ce mouvement en d'autres termes sans qu'il perdît l'é- quili
des Observations V et VII avaient perdu tout à fait la mémoire des mouvements qu'il faut faire pour parler, car ils ne pouvai
our ces deux malades ni mémoire visuelle des mots, ni mémoire des mouvements graphiques, car ils ne savaient ni lire ni écri
encore plus gênée. Enfin, pour le malade de l'Observation XII les mouvements respiratoires sont gênés par le grand poids que
ement à la région épigastrique un grand poids gênant la liberté des mouvements respiratoires. Ce symptôme a été très fugitif ;
la main et des scapulaires ; celle-ci est moindre. La faiblesse des mouvements des membres supérieurs est légèrement supérieur
luxations et surtout des fractures des os survenant en dehors d'un mouvement mécanique suffisant avaient été observées assez
atteint parfois un degré élevé. (4). Les troubles par étiques des mouvements se loca- lisent surtout dans les membres supéri
, au moment d'une forte contraction exagérée de ces derniers. Les mouvements fibrillaires et fascieullaires sont loin d'être
compris le capitaine, ont vomi. Nous avons dit déjà que ce sont des mouvements spéciaux du navire qui marquent le point de dép
ur un vapeur, alors celui-ci fait plusieurs DU VERTIGE MARIN. 223 mouvements latéraux ; avant de pouvoir se mettre en équili
équilibre, un nouveau flot se brise sur lui et alors des nouveaux mouvements de roulis apparaissent. Quand au contraire un f
es cabines étant à l'avant et à l'arrière du na- vire subissent des mouvements dont les courbures sont plus élevées que celles
ent tantôt d'un côté, tantôt de l'autre. Pour Longet le trouble des mouvements est dû à la section des muscles de la nuque; lo
Béclard la section des muscles de la nuque provoque le trouble des mouvements très pro- bablement par la suppression brusque
XVI. 15 226 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. de la, respiration sur les mouvements du liquide céphalo-rachidien. Pour le système n
iquide dans l'inspiration, et augmentation dans l'expi- ration. Ces mouvements se montrent surtout quand la respiration s'exag
gion céphalique et réciproquement. En tempête, le navire fait des mouvements brus- ques, de sorte que l'enfoncement du batea
subite dans l'inclinaison que dans le soulève- ment du navire ; ces mouvements de la tête sont suivis par de pareils mouvement
nt du navire ; ces mouvements de la tête sont suivis par de pareils mouvements d'ascension et de descente du liquide céphalo-r
s'ils existent déjà. Le cervelet se comprime aussi et subit par les mouvements brusques du cerveau un ébranlement et un léger
émiques, zzeuropatlaes et dyspeptiques, toutes les fois que par les mouvements spé- ciaux d'2cz navire en tempête, et surtout
deux résultats : d'abord nous diminuons et même nous empêchons les mouvements des viscères abdominaux, qui exercent une grand
RIN. 231 la contrée à tempête; car ainsi l'aorte se comprime, les mouvements du diaphragme diminuent, la circu- lation céréb
ine, en serrant bien la ceinture du ventre ; tâcher de suivre les mouvements du bateau, car on évite ainsi les se- cousses q
pendus, d'après le système des lampes marines. En évitant ainsi les mouvements du bateau, on empêcherait la manifestation des
s premiers temps, il ne pouvait porter la main à la bouche ; ce mouvement n'est devenu possible qu'au bout de cinq ou s
uvaient devant lui, puis il revenait s'asseoir; il pâlissait et les mouvements du coeur étaient tumultueux. Rien ne l'avertissai
grande partie de la région fronto-pariétale avec «. paralysie des mouvements et diminution de la sensibilité 2 D, permettent d
es la propriété possible de commander également à la répression des mouvements , ni celle delà représentation du siège à l'écor
mpossibilité absolue de porter l'oeil en de- hors. Conservation des mouvements de l'aeil gauche en bas, en haut et en 'dehors.
bas, en haut et en 'dehors. Parésie du muscle droit interne, les mouvements du globe oculaire en dedans ne dépassant pas la
a force, exagération excessive des réflexes, incerti- tude dans les mouvements quand on lui ferme les yeux, pas d'hyperesthési
u délire chez les dégénérés. Paris, 1886. 326 PATHOLOGIE MENTALE. mouvements de l'opinion, de ces grandes passions po- litiq
centres cérébro-spinaux. Constamment, ses membres sont agités de mouvements bizarres, rappelant les contorsions des convulsio
ts bizarres, rappelant les contorsions des convulsion- naires ; ces mouvements sont essentiellement automatiques, et la malade
'autres fois, le visage est grimaçant ; d'au- tres fois encore, les mouvements sont accompagnés de l'émission de sons laryngés
sons laryngés, sans aucune signification. La malade interprète ses mouvements irrésistibles en disant que c'est l'esprit malin
point de vue médico-légal, Paris, 1887. 334 PATHOLOGIE MENTALE. mouvements , et elle dit immédiatement : « Voyez-vous, c'est
de percevait aussi un bruit semblable à un craquement pendant les mouvements qu'il faisait, fort rares d'ail- leurs, afin de
e, le malade étant dans l'impossibilité absolue de faire le moindre mouvement . Les paralysies des membres supérieurs, qui acc
mbe gauche p. e., lorsque le tendon rotulien gauche est percuté, un mouvement d'adduction de la cuisse droite. Tous les aut
té, un mouvement d'adduction de la cuisse droite. Tous les autres mouvements réflexes provoqués par diverses excitations de
s motrices ou pyramidales, c'est-à-dire myathro- phies, absence des mouvements réflexes, n'ont jamais existé. On a pu facileme
otre examen, nous affirme que le malade n'était pas pris du moindre mouvement couvulsif; au bout de trois heures, le malade r
t était condamné à l'immobilité absolue, tandis que quelques petits mouvements étaient possibles au membre gauche, la sensi- b
complète qu'aucune de ses extrémités ne pouvait exécuter le moindre mouvement ; il ne remuait que la tête. La sensibilité à so
persiste ; on continue l'emploi de la sonde et des purgatifs. Aucun mouvement n'est possible aux membres inférieurs. Le 15
at; nous disons presque, car il ne faisait dans le lit que quelques mouvements très faibles, très limités de ses membres, qui,
, de préférence la nuit; la droite surtout s'agite fréquem- ment de mouvements convulsifs rythmiques, qu'on peut facilement pr
urs au point qu'il était impossible au malade de faire le moindre mouvement . L'anesthésie était complète dans tous ses modes
est assez marquée ; grâce à elle, si on communique aux membres des mouvements passifs, on sent une résistance notable. Tous
e, tout d'un coup, le malade a recouvré complètement la mémoire des mouvements de l'articulation des mots et il parle comme av
s une fatigue des membres in- férieurs et une certaine faiblesse de mouvements . Dans les membres su- périeurs la force est con
la force est conservée, l'écriture est devenue plus difficile, des mouvements accessoires involontaires se produisent facilemen
s. Observation LVI. Epilepsie avec idées religieuses extatiques,- mouvement de manège forcé de gauche à droite. Démarche va-
auche à droite. Démarche va- cillante, impossibilité d'exécution de mouvements (fonctions) com- pliqttés. Altitude de la tète
heure, ou d'une marche d'un pas rapide dans le corridor; 2° soit en mouvements de manège, c'est-à-dire locomotion en cercles d
ongitudinal (en attitude debout), également de gauche à droite. Ces mouvements duraient souvent une heure; si l'on cherchait à
e devait pas l'arrêter, qu'il courait pour délivrer le monde ». Ces mouvements circulaires étaient limités en étendue, environ
e dans l'épilepsie procursive, les accidents procur- sifs, certains mouvements de manège, de rotation, sont liés à une lésion
III. Considérations générales sur la physiologie ET l'ÉTIOLOGIE DES MOUVEMENTS PROCURSIFS. La plupart des physiologistes s'acc
ie procursive. Disons de suite que la propriété de coordonner les mouvements paraît devoir être exclusivement réservée à son
ns ou des excitations expérimentales du cervelet, nous citerons les mouvements de rotation et le tremblement. Chez les pigeons
observé, suivant la durée de la réfrigération par la rhigotène, un mouvement en avant, puis plus tard un mouvement de recul
gération par la rhigotène, un mouvement en avant, puis plus tard un mouvement de recul \ Pour certains auteurs, les phénomène
urir en avant (Scélolyrbe festinans), soit à accomplir une série de mouvements involontaires de la tête, du tronc ou d'un des me
, que les tendances procursives présentées par certains sujets, les mouvements rota- toires accomplis par d'autres, ne sont en
utres, ne sont en définitive que la répéti- tion, chez l'homme, des mouvements d'entraînement latéral, des mouvements de rotat
i- tion, chez l'homme, des mouvements d'entraînement latéral, des mouvements de rotation, des impulsions procursives variées,
médiaire (épilepsie symptomatique réflexe)'. Pour M. Hitzig2, « les mouvements irrésistibles sont tous, dès l'origine, des mou
tzig2, « les mouvements irrésistibles sont tous, dès l'origine, des mouvements volontaires qui prennent un caractère irrésisti
iverses parties de l'organe. C'est ainsi qu'il peut se produire des mouvements en appa- rence irrésistibles quand l'individu s
and l'individu s'illusionne sur sa situation dans l'espace. » Les mouvements de rotation ont été également obser- vés à la s
avec une grande rapidité pen- dant un temps plus ou moins long. Ces mouvements de rotation, qui, pendant longtemps furent la c
sions secondaires auxquelles peut être attribué le remplacement des mouvements procursifs par des accès type d'épilepsie. Auss
épileptiformes et que la lésion d'un pédoncule cérébral produit un mouvement de manège du côté opposé à la lésion. « Dans ce
nd nombre de Cibres » » (l3eaunis). Dans trois cas de 1 Mesnet. Des mouvements circulaires (Archives générales, mai 1882). °-
ure et externe du pédoncule cérébral, le même auteur a constaté des mouvements de rotation sur l'axe. Magendie admettait dan
triés un centre dont l'excitation déterminait chez les animaux un mouvement de recul ; après leur ablation, il y aurait une
l'action de recul du corps strié. Richardson et Mitchel ont vu des mouvements en avant très marqués par le refroidissement de
servé chez le chien, après l'ablation complète du noyau caudé, un mouvement de manège fort particulier (Carville et Duret)
chez le lapin un nodus cursorius dont l'excitation pro- duisait un mouvement de course irrésistible. D'autres auteurs, entre
stible. D'autres auteurs, entre autres M. Steiner, attribuent les mouvements irrésistibles à un défaut d'asymétrie de l'inne
n peu les objets avec les mains. Il est gâteux, fiileux, résiste au mouvement et aime beaucoup le lit. La peau est pâle, cire
ur, il y en auraitquatre degrés caractérisés par de l'hébétude, des mouvements de la tête, des mouvements des yeux, la mobilit
grés caractérisés par de l'hébétude, des mouvements de la tête, des mouvements des yeux, la mobilité apparente des objets. Ainsi
ouvre le circuit c'est vers le lieu de la cathode que s'effectue le mouvement , cette fois plus fort qu'au moment de la fermet
e et anLéro-posLérieur. Dans les mêmes conditions il se produit des mouvements des yeux qui transverses, qui horizontaux, qui
us rotatoii-e se traduit au moment de la fermeture du circuitpar un mouvement qui porte brusquement l'extrémité supérieure du
l'anode; le nystagmus horizontal commence, à la fermeture, par un mouvement de convergence très énergique qui se porte uni-
ntribution A la genèse DU tremblement qui survient A l'occasion DES mouvements volontaires; par B. H. Stephan. (A)'c/t. f. Psy
triques des extrémités, ne cessant que pendant le sommeil et les mouvements volontaires, avec faible amplitude de l'excursion
que de dix-huit ans présentant toule espèce d'ano- nialies dans les mouvements musculaires, un vrai musée de mo- utilité patho
consécutifs aux mauvais), par Iluberty, 452. Tremblement dans les mouvements I volontaires,par Steptmn, 437. Urticaire gra
46 (1902) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 17
re. — N° 1. Juillet 1902. BULLETIN L'Ecole de psychologie-et le mouvement psychologique. Au commencement du mois de janvi
n publiera le plus grand nombre. Ainsi, chaque année, s'accentue le mouvement psychologique à laquelle la Revue de rHypnotisme
aient 1 opération sans proférer le moindre cri, sans faire le moindre mouvement , sans avoir la moindre contraction du visage, dan
int d'un bandeau humide, les membres décharnés, incapable de faire un mouvement et que deux hommes soulèvent avec d'infinies préc
as pour cela complètement absente, ce que prouvent surabondamment les mouvements réflexes des dormeurs et les actes compliqués des
ressent ou nous occupent le plus. Santé de Sanctis a constaté que les mouvements de l'âme d'intensité moyenne se reproduisent beau
corder: si l'un des sujets veut se déplacer, l'autre doit exécuter un mouvement exactement correspondant, et il le fait d'une faç
er un ballon au vol, ou se baissait brusquement pour le ramasser, ses mouvements imprévus étaient suivis d'une façon parfaite par
cquis. La force pour être normale doit être dirigée dans le sens d'un mouvement à effectuer et bien proportionnée au but à attein
produira qu'une contraction musculaire insuffisante pour effectuer un mouvement donné, ne dépassant pas le taux de production d'u
é n'agissant pas sur les groupes musculaires les plus favorables à un mouvement voulu, il y a aura déperdition de force dans le t
C'est ce qui se rencontrera dans certains genres d'incoordination des mouvements . Au contraire, il y aura anomalie par exagérati
s les forces, d'être mise en équation avec la chaleur, la lumière, le mouvement , l'électricité. Elle est justiciable des instru
ertains centres d'enraiement seraient excités au point d'empêcher les mouvements réflexes qui, sans cela, auraient dû se produire.
produisent d'elles-mêmes quand l'animal est saisi rudement et que ses mouvements spontanés sont réprimés par la force. Il n'y a ri
res sont très atrophiés. La main droite peut encore exécuter quelques mouvements ; mais la malade ne peut pas du tout remuer les ja
rticulations malades et des bains hydroélectriques. Dans le bain, des mouvements actifs et passifs des régions malades rendent les
ont à tel point modifiés que la malade peut exécuter toutes sortes de mouvements dans son lit. De même les extrémités inférieures
définitivement le porche de l'église, mais en exécutant une série de mouvements tournants. L'immense trainée lumineuse vient se r
est le conducteur de tout ce qui se fait en nous, quand il se met en mouvement — c'est encore ce qu'il appelle -° ev^u^. T« ev
-° ev^u^. T« eviûp(iov?a. C'est lui enfin qui donne l'initiative des mouvements locaux et de translation. C'est lui qui est mis e
s comme sous l'influence du délire psychique, imprimait à la table un mouvement d'inclinaison vers elle. Lui-même en étendant la
en ce moment. Votre bras sera absolument paralysé pour l'exécution du mouvement qui consiste à porter un verre à votre bouche et
parviens à faire exécuter au pied, à la jambe et à la cuisse tous tes mouvements physiologiques de flexion, d'extension, d'abducti
ue coin « à l'écart, sans me laisser de repos que je n'eusse suivi ce mouvement ; « ensuite cet esprit me faisait mettre en prière
t obligée de courir derrière ses bétes, l'époux la suit dans tous ses mouvements : « il me tenait une si fidèle « compagnie que to
n appelle protoplasma vivant ou bioprotéon, présente quatre sortes de mouvements : 1° Des mouvements circulatoires ; 2° Des mouvem
a vivant ou bioprotéon, présente quatre sortes de mouvements : 1° Des mouvements circulatoires ; 2° Des mouvements assimilatoires
uatre sortes de mouvements : 1° Des mouvements circulatoires ; 2° Des mouvements assimilatoires et désassimilatoires ; 3° Des mouv
ires ; 2° Des mouvements assimilatoires et désassimilatoires ; 3° Des mouvements ontogénétiques ou de croissance ; 4° Des mouvemen
latoires ; 3° Des mouvements ontogénétiques ou de croissance ; 4° Des mouvements en masse (expansion, rétraction, vibrations cilia
Des mouvements en masse (expansion, rétraction, vibrations ciliaires, mouvements de préhension, de locomotion, etc.). Tous ces m
ciliaires, mouvements de préhension, de locomotion, etc.). Tous ces mouvements résultent eux-mêmes de mouvements physico-chimiqu
n, de locomotion, etc.). Tous ces mouvements résultent eux-mêmes de mouvements physico-chimiques encore indéterminés. J'appell
J'appelle sommeil bioprotéique du premier degré l'arrêt momentané des mouvements du bioprotéon après rétraction préalable, et somm
ble, et sommeil bioprotéique du second degré l'arrêt momentané de ces mouvements , sans rétraction préalable du bioprotéon. Dans
re, les causes du sommeil seront rangées sous les chefs suivants : 1° Mouvements non classés (causes mécaniques) ; 1. Ondulation
ents non classés (causes mécaniques) ; 1. Ondulations sonores. 2* Mouvements physiques (causes physiques) 2. Ondulations lum
neuses. 3. Ondulations thermiques. 4. Ondulations électriques. 3a Mouvements chimiques (causes chimiques). I LE SOMMEIL CH
imiques). I LE SOMMEIL CHEZ LES ÊTRES MONOPLASTIDAIRES - 0 I. — Mouvements non classés. Sous l'influence d'un choc ou d'un
assés. Sous l'influence d'un choc ou d'une pression suffisante, les mouvements circulatoires de la plasmodie d'Œthalium septicum
-objet du microscope suffit à provoquer ce phénomène de choc. II. — Mouvements physiques 1. Ondulations lumineuses. — Il exist
les plus refrangibles qui agissent le mieux sur ce microbe (6). Les mouvements de reptation et de natation des bactéries pourpré
vive ou suffisamment maintenue. Baclérium pholométricum exécute des mouvements très vifs à la lumière du jour. Il s'immobilise d
ilise dans l'obscurité. Pelomyxa palustris exécute dans l'ombre des mouvements pseudopodiques énergiques. Or, si l'on projette s
podes et se ramasse en boule. Si on le replonge dans l'obscurité, les mouvements pseudopodiques reparaissent au bout d'un certain
t suspendu. Aux températures inférieures à leur optima de veille, les mouvements circulatoires des plas-modies de Myxomycètes se r
'est-à-dire une sorte de fixation du bio-protéon pendant laquelle ses mouvements sont suspendus, et qui persiste jusqu'à ce que la
d'une fibre musculaire. De faibles chocs d'induction suspendent les mouvements circulatoires et pseudopodiques des Amibes. Si le
organismes. Après la fermeture du circuit, on voit d'abord cesser les mouvements circulatoires de leur bioprotéon, puis celui-ci s
pour se porter du côté de la cathode. Si l'on renverse le courant, le mouvement se fait en sens inverse. III. — Mouvements chim
n renverse le courant, le mouvement se fait en sens inverse. III. — Mouvements chimiques Les microbes s'endorment, et les réac
es sont restées plus longtemps en contact avec ce bouillon (1). Les mouvements du Vibrion butyrique et la fermentation qu'il pro
l'Institut Pasteur, 1887, f. 1, p. 445. a agi plus longtemps. Les mouvements des spermatozoïdes de la grenouille diminuent gra
ineux s'est manifestée de bonne heure. Lejeude la balançoire, dans le mouvement de descente, provoquait chez lui de véritables ve
e plus simple comme un moyen de suggérer la foule, de lui inspirer le mouvement , le courage et quelquefois la tristesse; la tonal
epsie, étendue sur son lit, sans connaissance, ne pouvant faire aucun mouvement , insensible à la douleur, avec des membres inerte
contracture de la main. Je lui fis subir une forte friction, avec des mouvements répétés d'extension et de flexion des doigts;
s guérie, » elle le fut véritablement; inutile de dire que frictions, mouvements , application d'électricité, ont agi surtout par s
s des plastides isolées. C'est ce qui a lieu quant au sommeil. 1. — Mouvements non classés Si l'on vient à ébranler, à comprim
une plante appartenant aux genres Chara, Nitella ou Tradescantia, les mouvements circulatoires se ralentissent ou s'arrêtent dans
variqueux. Si le traumatisme est d'intensité suffisante, l'arrêt des mouvements circulatoires a lieu dans toutes les cellules de
traction du bioprotéon des cellules des glandes de la feuille II. — Mouvements physiques I. — Ondulations thermiques.—Il exist
mpérature optima de veille. Dans les cellules de Nitella flexilis les mouvements circulatoires cessent à 0°5 et un peu au-dessous
t Cucurbita à 10 ou 11°, et à 49°. Chez Chlamydococcus pluvialis, les mouvements ciliaircs cessent à 5° et à 43°. Si on laisse T
e de Virginie) pendant plusieurs heures à la température de —14°, les mouvements bioprotéiques s'arrêtent dans les cellules des po
lantes insectivores, 1877. brusquement refroidi de 40° à 16°, les mouvements circulatoires s'arrêtent au bout d'une minute. Il
oduites sont elles-mêmes le résultat d'un changement de direction des mouvements bioprotéiques de croissance. Or, si l'on soumet d
les par des excitations électriques. Becquerel (1) a montré que les mouvements bioprotéiques des cellules des Chara s'arrêtaient
sen a vu, dans les cellules de Vallisneria spiralis (vallisnère), les mouvements se ralentir puis cesser sous l'influence d'un cou
olarisables et qu'on les soumette a de faibles chocs d'induction, les mouvements circulatoires du bioprotéon s'arrêtent subitement
on momentanés (1). Les excitations galvaniques suspendent aussi les mouvements bioprotéiques des poils staminaux des Chara. 4°
constaté que des pressions de 600 à 1000 atmosphères suspendaient les mouvements cellulaires qui déterminent la germination des gr
ents cellulaires qui déterminent la germination des graines. III. — Mouvements chimiques La dessiccation produit le même effet
mmergées dans l'eau depuis fort longtemps. D'une façon générale les mouvements circulatoires des cellules végétales sont suspend
e par l'hydrogène ou l'anhydride carbonique. Dans ce dernier gaz, les mouvements cessent au bout de quarante-cinq minutes à une he
lules de Tradescantia vir-ginica. Jean Demoor a vu de son côté, les mouvements bioprotéiques des cellules des poils staminaux de
us l'aspect de petites masses sphé-riques où l'on constate encore des mouvements circulatoires. Mais si, dès le début, la solution
latoires. Mais si, dès le début, la solution est très concentrée, les mouvements circulatoires s'arrêtent dans les sphérules. L'
ou partielle, à laquelle il faut ramener plusieurs perturbations des mouvements volontaires. En effet, si l'image d'actes antérie
'esprit et le corps prend nécessairement les attitudes et exécute les mouvements qui correspondent à cette idée. Les symptômes h
n acte qui y répond et devenir ainsi réalité. Toute représentation du mouvement porte à exécuter le mouvement dont elle est l'ima
ainsi réalité. Toute représentation du mouvement porte à exécuter le mouvement dont elle est l'image ; pour que cela n'ait pas l
t à cet effet un appareil vibratoire constitué par un diapason mis en mouvement par une bobine électrique. Dans le cours de ses a
éel progrès, en ce sens qu'il fonctionne toujours et peut être mis en mouvement à l'aide d'une simple pédale. Il est possible aus
e trépidation spinale n'est que du tremblement ; de même, ce sont des mouvements de défense qui simulent l'extension des orteils.
ont jamais arrivés, à l'aide de facultés qui n'existent pas, mises en mouvement par des motifs qui n'existent pas davantage. Des
t ses dévoués collaborateurs ont prouvé en marchant la possibilité du mouvement . C'est la meilleure démonstration. Sans bruit, sa
protéon de ces cellules qui détermine, dans les organes végétaux, les mouvements de sommeil. I. — SOMMEIL DES FEUILLES. I. — M
ont la moitié environ appartient à la famille des Légumineuses. Les mouvements que j'étudierai tout d'abord ne sont pas compris
que j'étudierai tout d'abord ne sont pas compris d'ordinaire dans les mouvements de sommeil. C'est à tort. II n'y a pas lieu de le
le-ment à l'intérieur « comme le pavillon d'une oreille humaine ». Ce mouvement s'effectue de 1 h. à 1 h. 30 après l'excitation.
'excitation. Le redressement se produit au bout de 10 à 48 heures. Ce mouvement n'a lieu que du côté excité. Mais si l'excitation
ulgaris s'inclinent en arrière si on les saisit un peu rudement. Le mouvement de sommeil des feuilles bilobées d'Aldovrandia ve
celles de Paul Bert et de Van Tieghem. Paul Bert supposait que les mouvements de sommeil de la feuille de Mimosa pudica étaient
gescence. Cette turgescence serait, selon lui, la cause immédiate des mouvements en question. La théorie de Van Tieghem ne diffè
du soleil. Mais cette prétendue turgescence n'est pas la cause de ces mouvements , pour cette excellente raison qu'elle n'existe pa
ue et pauvre en eau. D'ailleurs Paul Bert lui-même a constaté que ces mouvements s'effectuaient dans l'eau aussi bien qu'à l'air l
a contraction du bioprotéon, mais seulement comme cause indirecte des mouvements nyctitropiques, pourrait à la rigueur s'appliquer
elles est une présomption de fausseté. Je crois, quant à moi, que les mouvements de sommeil des feuilles ne sont que l'effet imméd
'amplitude et la durée vont en diminuant jusqu'au repos définitif. Ce mouvement consiste dans le reploiement des surfaces foliair
inia, Glycyrrhiza, Cassia, Glycine, Phaséolus, Oxalis, Averrhoa. Le mouvement des folioles par rapport aux pétiolules peut être
celui des pétiolules par rapport au pétiole, et celui-ci différent du mouvement du pétiole par rapport à la tige. Par exemple, le
ans la série phylogénique.Les feuilles qui dorment le mieux, dont les mouvements de sommeil sont le plus étendus, sont en effet le
quelques chiffres que j'emprunte à Darwin : Redressement dans les mouvements de sommeil Desmodium gyrans jeune feuille feu
t de 12° redressement de 30 à 34° Bacchinia jeunes pétioles ( mouvement \ ( pétioles âgés ( à peine sensible Chez Acaci
érale) : écorce de la région périrolan-dique. K : Centre kinétique ( mouvements généraux): écorce de la région périrolandique.
... Ee, Mm, Kk ; voies centrifuges de l'écriture, de la parole, des mouvements ... EA, EV, ET, MS, MK, MV, MA, MT, KV, KA.KT...
La spontanéité complète et vraie est un non-sens scientifique, tout mouvement étant une transformation d'un mouvement antérieur
n non-sens scientifique, tout mouvement étant une transformation d'un mouvement antérieur ; mais dans le mouvement automatique il
ment étant une transformation d'un mouvement antérieur ; mais dans le mouvement automatique il y a apparence de spontanéité parce
ompues : le sujet n'a aucune conscience(1) du rêve que démontrent ses mouvements ou ses cris. D'autres fois, 0 assiste au rêve san
e, c'est la vie mentale tout entière, avec la tension, l'effort et le mouvement corporel en moins... Ce qui exige de l'effort, c'
réalités. D'autres rêves (démontrés au spectateur par des cris ou des mouvements ) ne laissent aucun souvenir au sujet. Mais ces
que les cellules nerveuses ne sont pas immobiles, mais présentent des mouvements amiboïdes. Dès lors, on conçoit que les connexion
emar, le rêve actif ou parlé (2) . A ce même groupe appartiennent les mouvements automatiques, involontaires ou inconscients, qui
ent Cependant nous poussions certainement; seulement il s'agissait de mouvements involontaires et inconscients. C'étaient des mouv
s'agissait de mouvements involontaires et inconscients. C'étaient des mouvements polygonaux. (1) Divers auteurs (Cajal. KoLLiner
se met à partir : la table tourne. Au même groupe appartiennent les mouvements involontaires et inconscients qui font mouvoir la
de Psychologie. [Suite). II. — Causes du sommeil des fouiUes I. — Mouvements non classés Les feuilles d'Aldrovandia vesiculo
meil de la feuille de Mimosa pudica. Chez cette dernière plante, le mouvement de sommeil est surtout marqué, lorsque le traumat
outes les feuilles de la plante prennent la position de sommeil. Le mouvement se propage de la manière suivante : 1° Foliole
es chez les animaux. Dans la même feuille et sur le même rameau, le mouvement se propage toujours plus facilement de haut en ba
en certaines feuilles, qui ne s'endorment que plus tard. * II. — Mouvements physiques 1° Ondulations thermiques.— II existe
mps dans l'obscurité Oxalis acelosella. Mimosa púdica ou une plante à mouvements nyctitropiques des genres Acacia et Phaseolus, ce
lante à mouvements nyctitropiques des genres Acacia et Phaseolus, ces mouvements continuent pendant un certaintemps(Du Hamel, Sach
t en résolution. Si on transporte ensuite la plante à la lumière, les mouvements reparaissent, mais seulement au boutde plusieurs
té aussi observé chez Hedysarum gyrans dont la feuille perd ainsi ses mouvements périodiques. III. — Mouvements chimiques Les
yrans dont la feuille perd ainsi ses mouvements périodiques. III. — Mouvements chimiques Les feuilles de Pinguicula vulgaris r
fusions de viande crue et des solutions de carbonate d'ammoniaque. Le mouvement ne se produit pas lorsqu'on emploie des solutions
es forment parfois un renflement moteur (Légumineuses, Oxalis). Leurs mouvements de sommeil se font le plus souvent selon le premi
itiva, Géranium rotundifolium. Les cotylédons peuvent présenter ces mouvements alors que les feuilles en sont dépourvues (Brassi
Enfin ces deux organes étant sommeillants dans une même plante, leurs mouvements peuvent n'être pas du même mode. C'est ce qui a l
ées. I. — SOMMEIL des sepales. Les sépales présentent parfois des mouvements de sommeil. Ces mouvements sont dus à la rétracti
ales. Les sépales présentent parfois des mouvements de sommeil. Ces mouvements sont dus à la rétraction de phytoblastes ami-boïd
se plissent longitudinalement. Causes du sommeil des pétales. I. — Mouvements physiques. Io Ondulations thermiques. — Il exis
uence de l'obscurité prolongée dans le sommeil au second degré. Leurs mouvements nyctitropiques disparaissent au bout d'environ vi
ngt-quatre heures, la fleur restant ouverte et en résolution. II. — Mouvements chimiques. — Il existe pour les fleurs un état hy
rétraction de phytoblastes amiboïdes situés sur leur face interne. Ce mouvement est analogue aux précédents. Son effet fréquent e
ts imbus du préjugé finaliste. Si donc l'on donne à ceux-là le nom de mouvements de sommeil, il faut le donner aussi à celui-ci. C
re affaire de convention. La nature ne fait pas de saut, et entre les mouvements de sommeil et les autres il n'y a pas de limite t
de Berberis vulgaris (Epine-vinette) et d'autres Mahonia exécutent ce mouvement sous l'influence des causes mécaniques. Chez le
ment le soir, les étamines se rapprochent en même temps du pistil. Ce mouvement s'effectue avec lenteur et, comme chez les feuill
ses rythmiques. Si les causes mécaniques s'ajoutent à l'obscurité, le mouvement devient brusque. Le sommeil produit sous l'influe
, Opuntia, Portulaca, etc. Chez les étamines de Ruta graveolens les mouvements alternatifs de veille et de sommeil continuent à
On a aussi observé chez les étamines le sommeil au second degré. Les mouvements de flexion de celles des Mahonia deviennent de mo
précèdent il est permis de tirer les conclusions suivantes : 1° Les mouvements circulatoires, assimilatoires, désassimilatoires,
des végétaux sont modifiés tous ensemble et dans le même sens par les mouvements du milieu ambiant. Leur diminution d'ampli- l
2° Il existe, pour chaque cellule, à l'égard des différents modes du mouvement , un optimum de vitalité ou de veille, marqué à la
de vitalité ou de veille, marqué à la fois par l'intensité maxima des mouvements bioprotéiques et par l'expansion máxima du biopro
ur aboutir, d'une part à la diminution ou à la cessation complète des mouvements bioprotéiques, d'autre part à la contraction ou à
ée chez les autres. 4° C'est à cette contractilité que sont dus les mouvements de sommeil des feuilles, des cotylédons, des sépa
douleur, ni variations de température, ni sensations d'attitude ou de mouvement ; d'autres conservent totalité ou partie de ces se
; ¡1 ignore les révoltes souvent bruyantes du phtisique. Le besoin de mouvement ne le tourmente pas; il n'éprouve nul besoin de v
'autant plus en lui qu'elle n'est pas étouffée par la distraction des mouvements , des promenades, des voyages. Le cardiaque -est u
hiques, marque d'une exception la loi formulée par Péré (Sensation et mouvement , 2e édit., p. 149). « La dépression, dit notre co
tremblement et de peur et des sentiments altruistes qu'inspirent des mouvements de bonté et de charité envers le prochain. Les ca
feu. La perception aiguë et fine des choses ne s'acquiert pas dans le mouvement . C'est par la réflexion et dans la solitude. Les
veaux, des agitations dans les bras et les jambes; ce sont tantôt des mouvements désordonnés, tantôt des alternatives continuelles
sciemment, il garde la même direction. Il semble alors qu'il y ait un mouvement imprimé à ces images harmoniques et à ces idées-s
imprimé à ces images harmoniques et à ces idées-sons et que c'est ce mouvement , non arrêté par le sommeil qui continue et se rés
ssociation des idées et toutes les fonctions psychologiques, étant en mouvement pendant la cérébration inconsciente ont pour résu
t obligée de courir derrière ses bétes, l'époux la suit dans tous ses mouvements . » Texte de M. le Dr Rouby. Il me tenait une
y constate de la contracture ; d'ailleurs celle-ci disparait dans les mouvements qu'il fait automatiquement. C'est de mutisme hy
92. formation inconsciente, à l'insu de la volonté, de l'idée en mouvement , sensation ou image, par suite de l'inertie des c
t s'y rend pour uriner. La conscience commence à revenir. — Après les mouvements automatiques de la marche, le besoin d'uriner est
'il ne peut: il a de l'aphasie d'abord par défaut de coordination des mouvements de la langue ; puis, lorsque celle-ci reprend sa
suivante : par ordre chronologique. Ictus; contractures, perte des mouvements et résolution générale; retour de la motilité ave
conscience ; aphasie par paralysie des muscles linguaux ; réveil des mouvements de la langue ; amnésie des mots; retour de la par
chait l'âme ; mais ces grands transports « d'amour ne sont pas de ces mouvements de dévotion qui prennent assez « souvent aux âmes
« souvent aux âmes pieuses, non, le tempérament peut se mêler à ces a mouvements et il est à craindre que les sens n'y aient une t
psychologie), par Kova lewsky, p. 153. Ecole de Psychologie et le mouvement psychologique (L')( p. 1. Ecole de Psychologie.
47 (1903) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 16]
a de la peine à fermer la main, à serrer un objet ou à exécuter un mouvement de pronation et de supination. Il ne laisse cep
CROCYANOSE CHRONIQUE HYPERTROPHIANTE 11 Le malade peut exécuter les mouvements , mais la force musculaire est no- tablement dim
en arrière. Cordes vocales présentent de la con- gestion chronique. Mouvements se font bien. 10. - Pression artérielle. Avec
ire jusqu'à l'âge de dix-neuf ans, le « gros doigt » conservait ses mouvements ; quelques années plus tard, il commençait à s'enr
me employé dans un bureau comme copiste. Cependant la recherche des mouvements provoqués montre une certaine impotence fonctio
ire,peuvent être placées en extension très prononcée; il existe des mouvements de latéralité tout à l'ait anor- maux ; on peut
gues, pour désigner l'ensemble des modalités perceptives (position, mouvement , résistance,poids) que concou- rent à créer nos
rer un peu partout» (p. 181). Il embrasse, en effet, les notions de mouvement ,de force, de temps, de moi, de non-moi, de pers
nt tous être conçus comme situés dans l'espace, comme un composé de mouvements , les phénomènes de conscience sont irréductible
é de mouvements, les phénomènes de conscience sont irréductibles au mouvement , n'ont aucune grandeur et ne sont situés nulle
ation : la localisation peut en effet se faire par description, par mouvement , par contact, avec ou non les yeux ouverts,'sur
L. 1902, p. 365 : « Lorsque je dis que différentes positions ou des mouvements des doigts, des bras, etc., parviennent des art
ltés, déclare ingénument que tout est si simple... ! Sensation de mouvement . La question de la perception du mouve- ment, t
de certains biologistes et même de certains psycho- logues : « Les mouvements , gestes et déplacements, étant des variations d
a majeure (attitude) que dans la mineure {variation d'attitude). Le mouvement n'est pas (ni objectivement, ni subjectivement)
c deux sens. En fait, d'ailleurs, la connaissance que nous avons du mouvement est quelque chose de subjectivement différent d
001. (3) Dans Avons-nous..., p. 261, j'avais écrit : « La notion du mouvement n'est donc pas le résultat de la perception d'u
au point de vue objectif, c'est-à-dire comme désignant simplement le mouvement du membre, et comme n'impliquant pas de la part
sance des états qui ont varié, on pourra dire que le fait psychique mouvement répond à une variation objective) d'uttitude. M
as spé cifique et immédiat. 58 ED. CLAPARÈDE avoir sensation de mouvement indépendamment de toute connaissance des états
ble du célèbre sophis- me de Zénon d'Elée que d'avoir montré que le mouvement répond à une intuition sensible primordiale et
perdu la notion d'attitude, ont conservé cependant la sensation de mouvement passif de leurs membres. A quoi M. Bonnier, qui
titudes successives) de leur membre lorsqu'on soumet celui-ci à des mouvements , mais non qu'ils sentent un mouvement (sans not
squ'on soumet celui-ci à des mouvements, mais non qu'ils sentent un mouvement (sans notion d'attitude) comme c'est parfois le
sensation spécifique. Ce n'est donc pas « l'attitude qui révèle le mouvement ». Mais alors, demande M. Bonnier, « si la sens
mande M. Bonnier, « si la sensation d'attitude et la sen- sation de mouvement sont qualitativement différentes, pourquoi la sen
nous rappelle le sophisme de Zenon d'Elée, qui niait la réalité du mouvement en le définissant comme une série de repos succ
01, p. 7). A PROPOS DU SOI-DISANT « SENS DES ATTITUDES » zou de mouvement révélera-t-ellemieux l'altitudeque l'attitude ne
vement révélera-t-ellemieux l'altitudeque l'attitude ne révélera le mouvement ? » (p. 165). Mon honoré contradicteur parait cro
st le résultat d'une association ou d'une addition de sensations de mouvement . Or, je tiens à faire remarquer que je n'ai jam
normité pareille. Je n'ai jamais prétendu que c'est la sensation de mouvement qui engendre la perception de l'attitude, mais
tion de mouvement qui engendre la perception de l'attitude, mais le mouvement , ce qui est loin d'être la même chose. On voit co
ésigner l'un et l'au- tre ; on arrive à ne plus se comprendre. « Le mouvement d'un membre est une circonstance très favorable
M. Bonnier reconnaît lui-même (p. 161) que « c'est à l'occasion des mouvements que nous avons il mettre en conscience nos atti
e suivante déjà (p. 162) ajoute-t-il : « Et l'on admet que c'est le mouvement qui révèle l'attitude ! ». Ma conclusion sera b
e l'os, disloquée et mobilisable en tous sens, est énorme. Tous les mouvements produisent de forts craquements qu'on (1) Commu
1902). .\vi 6 74 BliISSAUD ET BHUANDET entend à distance. Aucun mouvement , soit actif, soit passif, ne détermine la moind
présentaient un arrêt de développement très prononcé. Il avait des mouvements constants de flexion et d'extension des doigts et
ur le bras et d'abduction et d'adduction du bras sur le thorax. Des mouvements spasmodiques du peaucier du même côté inclinaie
mes se répé- taient avec la même fréquence, parfois accompagnées de mouvement fébrile passager. Plus tardivement apparurent
iphérique. Les pupilles sont égales et réagissent à la lumière. Les mouvements des yeux se font dans tous les sens et sont syn
segments sont impossibles à redresser les uns sur les autres et les mouvements communiqués rencontrent très vite une résistanc
e des mou- vements. Aux cuisses cette atrophie est totale. Tous les mouvements sont impossibles ; à gauche, il persiste une lé
nts sont impossibles ; à gauche, il persiste une légère ébauche des mouvements .d'ab- duction et d'adduction. Au niveau des m
conserve quelques mouve- ments des doigts de pied et une ébauche du mouvement , d'extension du pied sur la jambe. Au moment où
ement, d'extension du pied sur la jambe. Au moment où se produit ce mouvement on voit un bourrelet transversal saillant se de
derniers. La motilité est en rapport avec le degré d'atrophie. Les mouvements de l'é- paule sont impossibles ; ceux de flexio
de supination sont également impossibles. Seuls persistent quelques mouvements au niveau du poignet et des doigts. La flexion
et peu puissante; cependant le malade arrive à fermer sa main ; les mouvements d'opposition du pouce se font bien. en sorte qu
n sorte que le malade a encore la faculté de préhension. Dans les mouvements composés du membre supérieur, on reconnaît bien
oignet, mais dans l'impossi- bilité de soulever le bras, s'aide des mouvements du tronc et de la nuque pour porter - non pas s
fibrillaires. Pas de tremblement. Pas d'incoordination. - Pas de mouvements cboréïques ou atliétosiques. Pas de trouble des
que des contractions peu apparentes, se traduisant surtout par des mouvements de flexion de la main et des doigts, surtout de
à la hanche. Au genou, il y a un peu de laxité, permettant quelques mouvements latéraux; dans la flexion de la jambe sur la cu
aux; dans la flexion de la jambe sur la cuisse, la jambe exécute un mouvement de rotation prononcé et sa face interne va s'ap
de-pied est très mobile. L'enfant imprime facilement à sa jambe des mouvements étendus de flexion et d'extension, d'adduction
s égales, régulières, d'une largeur moyenne et réagissent bien. Les mouvements des yeux sont libres, le fond des yeux est sain
me dans le repos, la bouche est toujours tirée à gauche. Pendant le mouvement le coin droit de la bouche reste en arrière. La c
conde. Le tremblement est conti- nuel ; il ne cesse pas pendant les mouvements intentionnels, comme cela arrive sinon toujours
deux malades, nous arrivons à la même conclusion : le trou- ble du mouvement , spasme ou tremblement, rentre, pour nous, dans u
n diffuse, des phobies spéciales au lieu de l'an- goisse, enfin des mouvements spéciaux au lieu de l'agitation motrice. Des mo
, enfin des mouvements spéciaux au lieu de l'agitation motrice. Des mouvements particuliers ont attiré l'attention, ou bien sont
c une pensée qui revient toujours dans la- rumination ; ce sont des mouvements plus faciles, plus automatiques, ou plus signif
e. Chez la femme, le tonnerre en tombant à gau- che a déterminé des mouvements de ce côté, mouvements de surprise, d'attention
nnerre en tombant à gau- che a déterminé des mouvements de ce côté, mouvements de surprise, d'attention ou de défense. Les poi
éveille l'idée d'un petit mouve- ment bref, rapide, et que ce petit mouvement doit être la reproduction plus ou moins complèt
il soutenu et suivi du membre supérieur droit. La répétition de ces mouvements n'a toutefois jamais déterminé de fatigue dans
tôt L... éprouve de la gêne, sans aucune douleur, dans une foule de mouvements du membre supérieur droit, en particulier dans le
t, en particulier dans les mouve- ments de flexion et de pronation, mouvement de porter un objet à la bouche ; cette gêne, au
es usages journaliers du membre supérieur 'gauche. La gêne dans les mouvements est accompagnée d'un tremblement de tout le mem
remblement de tout le membre, et d'une façon inconstante, de grands mouvements brusques et involontaires à l'occasion d'un mou
e, de grands mouvements brusques et involontaires à l'occasion d'un mouvement professionnel donné. Le malade n'a jamais resse
calisés au membre supérieur droit. L... a essayé de régulariser les mouvements de son hras droit en se servant d'une canne pen
employés ; les contractions musculaires sont brèves et rapides. Le mouvement horizontal des bras sans flexion de l'avant-bras
'une exagéra- tion du creux sous-claviculaire du même côté; dans le mouvement d'élévation des bras sur la tête, le bras droit
it l'avant-bras sur le bras et veut exécuter dans cette position un mouvement d'abduction du membre supé- rieur, le mouvement
s cette position un mouvement d'abduction du membre supé- rieur, le mouvement de rotation de l'humérus en dehors s'effectue dif
e étant debout, s'il élève le bras en arrière le long du rachis, le mouvement est moins complet à droite qu'à gauche ; de plus,
fond de la dépression. L... veut-il porter la main à la bouche, le mouvement s'exécute autour de l'épaule et non pas autour du
il tient la plume régulièrement entre l'index et le médius, mais le mouvement de rotation en dedans se reproduisant, la main
biceps se contracte, l'avant-bras est douloureux et sans force; au mouvement de reposer l'arme, le mousqueton part brusquement
ment, il est diffi- cilement ressaisi de la main droite. Dans aucun mouvement L... n'a pu conserver le coude au corps. Les
Dans aucun mouvement L... n'a pu conserver le coude au corps. Les mouvements provoqués du coude sont tous possibles ; la flexi
laire ne justifie cette attitude. Il n'y a pas d'incoordination des mouvements les yeux fermés. Les troubles moteurs cessent p
a peau du visage et le cuir chevelu ; il imprime à ses oreilles des mouvements bizarres de va-et-vient; il exécute ainsi des gri
pas de crampes à l'état de veille ou de sommeil, à l'occasion d'un mouvement ou d'un effort; le ma- lade accuse seulement un
iculier lorsque L... se sentant observé, exécute avec maladresse un mouvement commandé; la maladresse dans les mouvements com
écute avec maladresse un mouvement commandé; la maladresse dans les mouvements complexes du membre supérieur droit et la gêne
ion se porte sur lui. après un examen prolongé par exemple, par des mouvements brusques, saccadés, un peu d'agitation, de trép
es, saccadés, un peu d'agitation, de trépignement, l'exagération du mouvement de rotation signalé du membre supérieur droit.
ions. Il n'y a enfin chez le malade pas d'anesthésie laryngée ; les mouvements respiratoires sont normaux, rien à l'auscultati
eau clinique, l'idée de névrite des diabétiques. L'irrégularité des mouvements du membre supérieur droit (maladresse pour port
objet à la bouche, secousses involontaires à l'occasion de certains mouvements ), doit faire examiner l'hypothèse de chorée ; il
thésie de la face palmaire de certains doigts et la suppression des mouvements du pouce ; - du cubital, avec sa main en griffe
- du cubital, avec sa main en griffe ; enfin du radial, puisque les mouvements de flexion et d'extension de tous les segmenls
on de rotation, la gêne de l'écriture et aussi celle d'une foule de mouvements complexes du membre supérieur » (1). La. pertur
et rotation du bras en dedans, gêne de l'écriture et d'une foule de mouvements complexes du membre supérieur), et du grand dorsa
es tremblements, les secousses involon- taires à propos de certains mouvements , les attitudes vicieuses pour certains actes dé
ental reconnaît parfois ce mode de début ; il arrive même que « les mouvements convulsifs du bras droit » aient été «précédés d'
et absolument indépen- dantes de la profession ; en particulier, le mouvement de rotation de la main ne se produit pas seulem
le trouble moteur est double en quelque sorte, et constitué par un mouvement convulsif de l'épaule qui élève la main au-dessus
ule qui élève la main au-dessus de la ligne écrite, et par un autre mouvement du bras qui fait tourner la main en dedans sur
e l'amplitude des mouve- ments convulsifs. Ces trois caractères : mouvements convulsifs en dehors de l'écriture, déplacement
plusieurs mots. Or, notre malade, au contraire, est« surpris par le mouvement convulsif » (1) à l'oc- casion même de l'écritu
le mouvement convulsif » (1) à l'oc- casion même de l'écriture. Les mouvements de son bras sont trop fréquents pour permettre
d'un mot. Les caractères sont tremblés et dé- formés par le double mouvement convulsif que nous avons décrit : élévation de
re, dans notre observation, par la réunion d'autres caractères. Les mouvements du membre supérieur droit sont coordonnés, on o
rectifie ; devant un miroir. L... réap- prend la régularité de ses mouvements . - La distraction et l'attention exercent une a
a distraction et l'attention exercent une action frénatrice sur ses mouvements convulsifs; un spasme n'obéirait pas à ces inte
t facilement, chez notre malade, sous l'influence de la volonté, le mouvement de rotation du bras en dedans est assez fort po
oint est intéressant. La maladresse dans l'exécution d'une foule de mouvements du membre supérieur droit qui semblait relever de
us sont déjà satisfaisants. Les deux procédés, l'immobilisation des mouvements et les mouvements d'immobilisation ont été empl
faisants. Les deux procédés, l'immobilisation des mouvements et les mouvements d'immobilisation ont été employés simultanément
bras en croix et dans l'élévation des membres supé- rieurs. Dans le mouvement du salut militaire, le malade conserve assez lo
conserve assez longtemps et sans effort la main droite au képi. Les mouvements d'éléva- tion de l'épaule droite sont aussi moi
paules restent désormais très sensiblement à la même hauteur. Les mouvements d'immobilisation qui « tendent à régulariser les
tats plus appréciables. Nous avons fait exécuter au malade tous les mouvements des membres supérieurs « len- teinent, régulièr
idérablement diminué ; en particulier, L... exécute correctement le mouvement d'élévation des bras et celui de rotation autou
ale du corps. Dans la vie civile,le malade cherchait à corriger les mouvements intempestifs du bras en mettant la main dans la
ellement porter la main droite à la bouche 15 à 20 fois sans que le mouvement de rotation se reproduise ; il peut se servir de
l'écriture, et la tâche était lourde en raison du tremblement et du mouvement de rotation de la main. Avant d'employer l'écri
légèrement bouffi ; un oeil bleu, terne, au regard indifférent, aux mouvements paresseux; sans gaieté, sans vie. Cependant les
aralysie ni aucune atrophie musculaire à droite. A gauche, tous les mouvements du bras et de la main se font avec aisance. D
oitié environ du volume habituel ; il est un flottant, incapable de mouvements spontanés, re- tombant de son propre poids suiv
aduit pas une absence complète de la masse musculaire, car tous les mouvements du doigt sont conservés avec leur ampleur habitue
aux extenseurs et fléchisseurs se révélerait par la possibilité des mouvements spontanés que ces muscles imprimeraient au pouc
grande et on est tout surpris de voir le malade conserver tous ses mouvements et même marcher, sans souffrir en se plaignant
articulations du tarse postérieur sont absolument disloquées ; les mouvements les plus étendus peuvent s'y passer ; le tarse
retard considérable. Il n'y a pas là non plus de' dissociation. Les mouvements , dans l'articulation ne sont pas douloureux du
bles sensitifs et trophiques. Pas d'incoordination motrice dans les mouvements commandés. Mais les mouvements dans la marche s
as d'incoordination motrice dans les mouvements commandés. Mais les mouvements dans la marche sont désordonnés, presque ataxique
nt, et la nouvelle articulation tibio-calcanéenne n'exécute que des mouvements de flexion, déjà assez limités. On fait un nouv
son départ, il s'appuyait sur son pied, et marchait facilement; les mouvements de l'articulation sont minimes ; la voûte plantai
nt différents. Sokoloff a réséqué un coude et lui a rendu ainsi des mouvements . Rotier, Schlange, Muller, Kirmisson ont cherché
alade fait mieux ou moins mal, et avec un peu plus de précision les mouvements réduits qu'elle exécute. » Comme on le voit, da
xtrémités osseuses très éloignées l'une de l'autre. Sans doute, les mouvements et la force du pied ne sont pas bien éten- dus
ceux qui appartiennent au tabes vrai : Klippel ajoute que dans les mouvements des sujets tabétiformes il y a un ensemble de c
n ensemble de caractères qui ne font ni un simple tremblement ni un mouvement choréique, ni un trouble de l'équilibre ataxiqu
duite : elle ne restait jamais en place, exécutant toutes sortes de mouvements automatiques, collectionnant les débris de papi
observer un syn- drome, inconnu jusqu'ici. Ce syndrome consiste en mouvements réitérés, involontaires et irrésistibles, se ma
ité et timide. Le volume de tous ses muscles était normal. Tous ses mouvements passifs et actifs de la tête, du tronc et des e
sautait brusquement et involontai- rement se rasseyait de même. Ces mouvements faisaient l'impression de mou- vements automati
aires, forcés, et le malade les considérait aussi comme tels. Ces mouvements forcés qui l'obligeaient de quitter la position a
mment qu'ils rendaient presque impos- sible la position assise. Ces mouvements s'exécutaient avec la parfaite connais- sance d
contre sa volonté. Il n'y avait aucun autre symptôme pen- dant ces mouvements . Alors je préférai m'entretenir avec le malade en
ie et je considérai le phéno- mène précité comme une variété de ces mouvements différents et bizarres que l'on a décrits sous
le. L'excitabilité électrique des nerfs moteurs nor- male. Tous les mouvements actifs et passifs sont normaux. La sensibilité cu
ai pas réussi. Pourtant j'attire l'attention sur cette variété des mouvements forcés qui em- pêchent l'état normal de la posi
. » Théori- quement juste, l'acte de rester assis est un système de mouvement , d'images motrices exactement comme l'acte de r
ne manière quelconque : il y a là beaucoup plus d'im- pulsion à des mouvements inutiles que de paralysie systématique ; 4" ce qu
t dans la position assise, tandis que dans mes cas il s'agissait de mouvements forcés sans phénomènes phobiques concomi- tants
la ma- nière involontaire et forcée avec laquelle se faisaient les mouvements ayant pour cause l'akathisie. z. En comparant
ices causées par l'amnésie ou par la paraly- sie, mais aussi divers mouvements forcés, coordonnés et systématiques. Or, il ne
ait suffisamment voir dans mes deux cas le caractère impulsif deces mouvements ayant pour cause l'akathisie (j'ai fait remarquer
use. En 1898,elle était mollasse, légèrement fluctuante, suivait le mouvement des tendons fléchisseurs avec production d'un b
ement de M. J. Séglas, « les stéréotypies sont des at- titudes, des mouvements , des actes de la vie végétative, qui sont coordon
par jour. La réaction motrice de l'habitude de lécher représente un mouvement , un acte coordonné,qui n'a rien de convulsif. L
ou basse, le sujet sort et rentre alternativement la langue dans un mouvement régulier, presque rythmé ; il n'y a cependant pas
mé ; il n'y a cependant pas là l'équivalent d'un tic rythmique, les mouvements ne se répétant pas né- cessairement à intervall
alles égaux ; les lèvres se ferment pour l'acte de déglutition. Les mouvements de la langue sont rapides ; leur fréquence est
us nos chevaux présentent des accès quotidiens. La stéréotypie du mouvement de lécher se distingue donc objectivement t de
lques instants pour mâchonner. Mais, dans ces cas particuliers, les mouvements des mâchoires appartiennent au trouble moteur l
irritation très grande et frémissement des muscles chez Mirabelle, mouvement de défense chez Notus et Gade, fouaillement de
uet, impatient; tou- TICS ET STÉRÉOTYPIES DE LÉCHAGE 379 jours en mouvement dans la stalle et trottine continuellement sur ro
ifficultés au dressage ; affolement au moindre bruit, au plus léger mouvement de la main ou des jambes du cavalier ; vers 6 a
lement, il lèche ses voisins, en sueur ou non,et la mangeoire, d'un mouvement rapide, régulier ; les accès sont quo- tidiens,
ient, très chaud à l'obstacle. L'examen est rendu difficile par des mouvements de défense violents. Colère, entêté, peureux. E
a mangeoire et le mur de fond ; accès quotidiens, assez fréquents ; mouvement rythmé, rapide, interrompu à intervalles inégau
ès grande du rein ; seule, la sensibilité exa- gérée de l'encolure ( mouvements de défense au pincement du mastoïdo-humé- ral d
Accès fréquents, quotidiens, prolongés, exaspérés par la fatigue ; mouvements rapides, présentant une certaine régularité ; cha
les objets variés et sans saveur d'une écu- rie de fortune, que le mouvement de léchage est, chez tous, fréquent, quotidien,
un caractère convulsif. « La manifestation objective du tic est un mouvement convulsif, de forme clo- nique ou tonique. Il r
e voudrions pas pousser plus loin les analogies cliniques entre les mouvements stéréotypés des chevaux lécheurs (stéréotypies du
causes efficientes. On ne saurait, en effet, qualifier de tic ou de mouvement stéréotypé, l'acte de lécher, même immodérément
Et cette autre chose, la voici : L'acte de lécher est au début un mouvement volontaire, coordonné, adapté à un but qui est
ie aiguë séro-fibrineuse. Un frère aîné présente une stéréotypie du mouvement que nous signalons plus loin. On ne relève guèr
douleur et le gonflement ayant disparu, F. continua à faire le même mouvement de langue. Le léchage inten- tionnel, volontair
enant en détail l'acte moteur habituel. La langue, cons- tamment en mouvement dans la bouche au dire du malade, va se placer pa
uche au dire du malade, va se placer par son bord libre gauche d'un mouvement rapide entre la canine gauche inférieure et la
arcade dentaire et la face interne de la joue. Elle est le siège de mouvements brefs,toujours les mêmes, visibles il l'extérieur
usieurs fois de suite, et le roulement ainsi exercé s'accompagne de mouvements d'ampliation et de retrait de la joue, de déforma
échage, mais alors F... signale lui-même cette particula- rité ; le mouvement de la langue est différent ; a F... enfonce cet o
uleur et contre le froid. TICS ET STÉRÉOTYPIES DE LÉCHAGE 387 Les mouvements , produits exclusivement par la langue, sont très
utes à plusieurs heures. La distraction et la volonté suspendent ce mouvement qui ne se produit jamais pendant le sommeil, et q
ues rêvasseries. F... interrompt son léchage sans douleur, mais les mouvements se reproduisent sans le consentement du sujet q
du râteau, il défait l'oeuvre commencée, et regrette aus- sitôt son mouvement d'impatience en se remettant à l'ouvrage. F... n'
le droit, la paume de la main en avant, le corps animé de lé- gers mouvements de déplacement à gauche et à droite. L'un de nous
droite sur les tempes correspondantes en rebroussant les cheveux ; mouvement fréquent, quotidien, involontaire. Enfin F... l
rce qu'il n'a rien de convulsif et qu'il re- produit exactement les mouvements analogues, mais volontaires, dusujet au début d
déséquilibre mental : mais il a des habitudes motrices vicieuses : mouvements stéréotypés pendant le chant, la lecture, etc.,
amp; Ch, Editeurs LE MAILLOT DE L'ENFANT 409 peut, d'un bien joli mouvement , s'incliner vers la tête chauve du vieillard po
uché dans un berceau duquel il ne manquera pas de tomber au moindre mouvement , si tant est qu'il puisse en commettre ; en tou
48 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
objets «le petite dimension. Ils suppléent à leur inhabilité par «les mouvements compliqués qui leur sont particuliers et habituel
atiques instinctives ou réflexes, prédisposés à l'accomplissement des mouvements in- eonseieiils.ollreiil un terrain favorable a
a maison, étonnée elle-même «lu changement qui S'était Opéré dans ses mouvements . Elle revint le soir, comme je lui avais dit. J
; elle avait certainement diminue de plus de moitié en épaisseur. Les mouvements étaient restés aussi libres que le matin, mais, l
de la patiente, que je l'avais hypnotisée, que je lui avais rendu ses mouvements , que je n'avais pas l'ait disparaître toute doule
voyant le genou «le la jeune lille et en constatant la liberté de ses mouvements , s'étaient écriés qu'elle n'avait plus rien : que
attention qui était répartie partout ailleurs dans l'organisme que le mouvement de la pensée se dédouble. Dans le sommeil, par ex
il reste encore au dormeur quelque peu de force nerveuse libre et en mouvement . Par l'effet de relie distribution île l'attent
le nom île pôle actif donné aux autres parties de l'organisme, où les mouvements de l'action nerveuse diminués continuent toujours
le la forée nerveuse d'attention, il arrive que. dans le sommeil, les mouvements nerveux habituels étant devenus beaucoup moins ac
mouvements nerveux habituels étant devenus beaucoup moins actifs, ces mouvements ne causent el n'entretiennent presque plus dans l
veuse en excès et arrêtée d'abord siu L'idée de dormir, force mise en mouvement par une impulsion toujours communiquée: et les se
fixe de reposer prise en eulranl dans le sommeil. Contrairement aux mouvements actifs de leur pensée, lors de la veille, les mou
airement aux mouvements actifs de leur pensée, lors de la veille, les mouvements de l'esprit de ceux qui rêvent, sans rester dans
aniaque où l'incohérence «les idées est portée â l'extrême, et où les mouvements délirants de la pensée dépassent toute mesure, ta
au pôle d'activité, pendant le sommeil léger, où se produisaient les mouvements pensants de la veille, ces mouvements pensants, d
l léger, où se produisaient les mouvements pensants de la veille, ces mouvements pensants, devenus allaihlis par diminution de for
psychiques de la sensibilité, de la mémoire, de l'intelligence et des mouvements volontaires, à moins qu'il n'y soit porté par sug
première attaque caractérisée par une demi-perte de connaissance : mouvements Désordonnés des '1 membres : se roule à terre, je
e que ce médecin a crée, par ses quelques publications, ce formidable mouvement de psychologie physiologique qui, loin de s'étein
ux-mêmes l'aire des cllorts assez grands de volonté pour exécuter les mouvements fonctionnels de la pensée el du corps, tant ils s
t ils sont comme isolés ; il continue a se développer chez eux par un mouvement intestin de l'esprit, mais sans aide de la volont
in de l'esprit, mais sans aide de la volonté ni de la suggestion, des mouvements fonctionnels latents -de leurs facultés impressiv
écialement plus loin. Dans ce qui va suivre, au lieu d'examiner les mouvements de la pensée des rêveurs en ce qu'ils ont d'invol
le d'inertie, un signe manifeste de la division qui s'établit dans le mouvement de l'esprit, lorsqu'on s'endort el pendant que le
uggestion ou par autosuggestion, ils écrivent, parlent, se mettent en mouvement , etc. En entrant dans leur concentration psychiqu
de l'autre machinalement el en aveugle. Cette dissociation dans le mouvement de la pensée est plus complète, lorsqu'un expérim
esl chère. Tandis que cel opérateur cherche a surprendre des yeux le mouvement de rotation de cet objet, mouvement qu'il attribu
cherche a surprendre des yeux le mouvement de rotation de cet objet, mouvement qu'il attribue à une cause autre que lui-même, il
euse quelconque involontaire, et même à des êtres hyperphysiques. les mouvements que. sans se douter qu'ils en sont la cause pensa
squ'à ce que ecl effet ail son accomplissement exact. Pendant que les mouvements intimes de la vie passent et s'exécutent de toute
ine de la vie. On peut dire que. dans le cours des états passifs, les mouvements dits inconscienls sont pour la pensée, la règle ;
s mouvements dits inconscienls sont pour la pensée, la règle ; et les mouvements conscients, l'exception. Ce qui, dans la pensée,
chauffe, devient lumineuse puis disparait. Mais parallèlement â ces mouvements inconscients qui ont lieu dans les états passifs,
tiennent le corps, comme il y en a qui servent á le défendre ; et les mouvements quels qu'ils soient, qui se passent dans l'économ
à la fois d'impressions senties. de perceptions dans un centre et de mouvements communiqués, sont des signes de la pensée dans le
priétés: impression dans un nerf des sens, réception dans un centre, - mouvement communiqué ; ils doivent être, pour l'une comme p
, ce même nerf veille à la fois et séparément, par la pensée, sur les mouvements alternatifs et réguliers du cœur, des vaisseaux s
cœur, des vaisseaux sanguins, de l'œsophage, des intestins : sur les mouvements spéciaux de chaque glande, etc. Et ces mouvements
intestins : sur les mouvements spéciaux de chaque glande, etc. Et ces mouvements pour chaque fonction, se font comme dans des sphè
repos qui. dans le système de la vie organique, alternent avec chaque mouvement qui s'y passe, ainsi qu'il arrive dans le système
is il est beaucoup plus sensoriel, plus mémoriel. plus libre dans ses mouvements . Il y a peu de mes rêves qui aient quelques c
e, si par autosuggestion, il s'est présenté dans leurs cours quelques mouvements intellectuels coordonnés et transmis de la veille
bruits lels que le tic-lac d'une pendule, le roulement d'un train, le mouvement alternatif d'abaissement el de soulèvement de la
ement après la sortie du sommeil. Et loin d'être la continuation d'un mouvement intellectuel allant de la veille au sommeil : loi
ents ; maïs associées très souvent à de plus anciennes images. Par un mouvement intestin et involontaire de l'esprit, les images,
observations très intéressantes. Mais avant tout, il faut le dire, le mouvement désordonné des rêves, à quelles lois secondaires
ce qui me parait en songe, sont vagues, décolorées. A leur tour, les mouvements qui les accompagnent sont tantôt instantanés et s
porté mollement en l'air, illusionné que j'étais par la sensation des mouvements delà! paillasse elastique de mon lit. Et quant à
. Elle refusa et comme j'insistai elle eut une attaque d'hystérie aux mouvements convulsifs. Après deux ou trois jours, je la forç
le exige de tous les savants un credo où ton! est phénomène soumis au mouvement et à l'énergie et qu'elle ne voit dans l'humanité
ne fille parût sortir de son sommeil léthargique, sans que le moindre mouvement :iit pu être perçu dans le lit. sous les couvertu
eil : soit en bien plus grande partie, les effets de ce qui reste des mouvements libres de la pensée de la veille, pensée se reflé
pensant ; mais même il y a un courant continu d'inconscience dans les mouvements des organes sensibles du corps ; à mesure que. da
ent sont absents, lorsqu'on rêve. Il n'y a plus de direction dans les mouvements de la pensée; la pensée va à la dérive et ballott
é; les sens gagnent plus d'acuité, la pensée plus de liberté dans ses mouvements , et les dormeurs, moins engourdis d'esprit et de
ns les voies nerveuses qui conduisent du centre où se forme l'idée du mouvement aux organes moteurs, la suggestion diminue ou enl
estion diminue ou enlève totalement la conduction parce que l'idée du mouvement se forme complètement et que la volonté de résist
o-tarsienne et du genou absolument flasques, la malade a conservé les mouvements de flexion et d extension de la cuisse. En même
lui persuadant avec autorité que cet acte allait peu à peu ramener le mouvement . Et effectivement au bout d'une demi-heure l'une
nce la malade pouvait remuer les doigts de pied: il existait quelques mouvements limités du cou-de-pied et du genou, Enfin elle re
que les fourmillements se sont produits dans tout cet intervalle. Les mouvements limités ont persisté. Enfin elle m'avertît que se
s secondes, se déclaraient des convulsions épileptiformes (agitation, mouvements cloniques violents) qui durèrent deux minutes, su
e, la diminution de la pression artérielle, la suspension brusque des mouvements du cœur et la perte du sentiment et des mouvement
ension brusque des mouvements du cœur et la perte du sentiment et des mouvements volontaires. Fréquence. — L'hématophobie se ren
, comme le provoqué, sous une domination étrangère qui lui impose son mouvement et ses actes. agit de lui-même, sous l'impulsion
rès du somuambuh' provoqué il sera l'agent essentiel et nécessaire du mouvement : il déterminera la crise à son heure, à sa conve
ouvent fort remarquable et agir dans leurs combinaisons et dans leurs mouvements avec une indépendance complète du milieu dans leq
ur qui le commande mentalement, et qui le commande en détail, presque mouvement par mouvement, en concentrant sur chaque mouvemen
ande mentalement, et qui le commande en détail, presque mouvement par mouvement , en concentrant sur chaque mouvement loutr sa vol
en détail, presque mouvement par mouvement, en concentrant sur chaque mouvement loutr sa volonté. Si. par exemple, il s'agit d'al
paraissait être tombé dans un étal assez proche du somnambulisme. Ses mouvements devenaient automatiques, il marchait raide el tou
pensées les plus fugitives se traduisent par une multitude tic petits mouvements musculaires, inconscients el imperceptibles — sau
.... la dernière fois, lorsqu'il s'est tenu a quatre. Plus le moindre mouvement -. les pieds et le corps tout entier tournés du c
les spectateurs vibrent avec le sujet, multipliant autour de lui les mouvements inconscients qui le guident. Rien ne prouve que d
s les expériences inaugurées dimanche, n'eussent pas réussi. Mais les mouvements inconscients de l'opérateur et de l'assistance n'
carte dans la poche du docteur I).... Il semble qu'il n'y ait pas de mouvement inconscient, intelligible pour le sujet, qui pût,
e l'éveillai, la main droite était aussi souple et aussi libre de ses mouvements que la gauche et elle est restée ainsi depuis. La
tion de» pouvoirs publics aurait du être appelée non seulement sur le mouvement scientifique dont M. Liêbault. par ses travaux, a
— De l'anesthésie généralisée. Son influence sur la conscience et le mouvement (Rev: de méd.. juillet). Tabcowla. — Trouble de l
de la réminiscence volontaires. En ce qui concerne la direction des mouvements , le rôle de la volonté a été réduit depuis longte
irage d'un numéro de loterie parmi des millions d'autres numéros, Les mouvements d'une feuille emportée par le vent échappent eux
and, après la réception «l'une impression complexe, les phénomènes de mouvement appropriés naissent, mais ne peuvent passer à l'a
immédiate à cause de l'antagonisme île certain» autres phénomènes de mouvement , également naissants et appropriés à quelque impr
nditions, il se produit un conflit entre deux séries de phénomènes de mouvement à l'étal naissant, dont l'une finalement prévaut,
mènes actuels de mou veulent. Chaque série de phénomènes naissants de mouvement guise produit dans te cours de ce conflit est une
forme faible de Cêtut de conscience qui accompagne des phénomènes de mouvement pareils, quand ils s'accomplissent actuellement ;
omplissent actuellement ; — c'est une représentation de phénomènes de mouvements pareils, tels qu'ils se sont déjà produits dans d
es circonstances semblables; c'est une itlée de pareils phénomènes de mouvement . Mous avons donc un conflit entre certains phénom
de mouvement. Mous avons donc un conflit entre certains phénomènes de mouvement idéaux I Principes de Psychologîe, irait. Ribt
t il arrive à un seul de le devenir ; et ce passage d'un phénomène de mouvement idéal à la réalité est ce que nous distinguons so
e d'une délibéralion. De plus, elle n'est coûté de n'en. Los actes et mouvements qui la suivent résultent directement dos tendance
t à un état de conscience, la volition. d'autre part à un ensemble de mouvements ou d'arrêts. Le « Je veux » constale une situatio
s la tendance naturelle des sentiments et des imagos à se traduire en mouvements que le secret dos actes produits doil être cherch
spécial réservé aux faits île conscience. Mais son influence sur les mouvements serait nulle puisque cette influence appartient,
e semble pas que cet auteur admette une distinction entre l'idée d'un mouvement et la tendance â la reproduction actuelle de ce m
l'idée d'un mouvement et la tendance â la reproduction actuelle de ce mouvement . De même dans le passage suivant où est expliquée
ement absente de nombreux processus phvsiolo-giques aboutissant a des mouvements , et que des mouvements qui ont été précédés de vo
ux processus phvsiolo-giques aboutissant a des mouvements, et que des mouvements qui ont été précédés de volonté arrivent â se pro
s actes restent toujours déterminés comme la chute d'une pierre ou le mouvement d'une aiguille aimantée, encore que l'on reconnai
ment d'ailleurs l'existence d'une relation étroite entre l'idée et le mouvement [Op. cit.. p. 7 et S. H admet formellement que da
Bain, il admet que si, « lorsque nous voyons réellement un objet, le mouvement est un élément essentiel, il doil jouer le même r
t de la sensibilité musculaire el. à ce titre, sont des sensations de mouvement plutôt que des mouvements proprement dits : ce so
laire el. à ce titre, sont des sensations de mouvement plutôt que des mouvements proprement dits : ce sont des éléments constituti
cette relation étroite, établie par la physiologie entre l'idée et le mouvement , nous laisse entrevoir comment Tune produit l'aut
e chose de plus qu'une fusion entre des idées et des se risa lions de mouvement . Il faut admettre el pouvoir expliquer une relati
uer une relation plus intime encore, plus directe, entre l'idée et le mouvement , entre un événement psychique et un mouvement act
cte, entre l'idée et le mouvement, entre un événement psychique et un mouvement actuel. Or cela est possible : on peut, au moins
au moins hypo-thétiquement, identifier la conscience, l'idée pure de mouvement avec un processus moteur, el l'on peut justifier
question embarrassante ; comment une idée peut-elle donner lieu à un mouvement , c'est-à-dire à un phénomène d'un ordre opposé. O
ysique on n'évitera pas la nécessité d'identifier l'idée pure avec un mouvement moléculaire. Pourquoi donc imaginer un mouvement
l'idée pure avec un mouvement moléculaire. Pourquoi donc imaginer un mouvement moléculaire spécial pour la conscience, en dehors
ence, en dehors des processus physiologiques qui sont, eux aussi, des mouvements moléculaires? Si un mouvement moléculaire peut co
hysiologiques qui sont, eux aussi, des mouvements moléculaires? Si un mouvement moléculaire peut constituer la conscience el si u
s? Si un mouvement moléculaire peut constituer la conscience el si un mouvement moléculaire peut se traduire par un courant nerve
nt le doigt auriculaire dans le tuyau d'une de mes oreilles, lors des mouvements de mastication, qu'on sent, tout autour de ce doi
laquelle constitue à la fois une représentation plus ou moins vive de mouvements et une tendance à l'exécution de ces mouvements.
plus ou moins vive de mouvements et une tendance à l'exécution de ces mouvements . La désintégration moléculaire des éléments céréb
égration commençante est une tendance au passage ;"i l'étal actuel du mouvement représenté par l'état de conscience résultant de
antes, plusieurs états de conscience naissants par là même, plusieurs mouvements représentés et tendant à devenir actuels. Suivant
s ou moins nette, plus ou moins vive, et la tendance à l'exécution du mouvement sera plus ou moins iorte corrélativement. Parmi t
de physionomie résultant de contractions des muscles de la face, des mouvements tibrillaires, etc., indiquant la vivacité de la d
on. La forte excitation de motifs opposés peut même donner lieu ù des mouvements plus généralisés. J'interpréterais ainsi le tremb
mage de punition, également associée à celle du lièvre et a celle des mouvements à faire pour le saisir eût été moins vive et alor
présente physiologique ment la volonté. La volonté est donc cause des mouvements , en ce sens qu'elle est cause du courant nerveux
». Ou. du moins, en considérant la volonté comme une force a titre de mouvement donnant Heu à un autre mouve-monl, l'on ne fait q
ainsi pourquoi la volonté se distingue des autres représentations de mouvement coexistantes par une propriété impulsive. Ce n'es
as, constitue simplement un désir ou une crainte. Pour que l'image de mouvement prédominante soil volonté, il faut qu'elle soit e
touche In tête, s'efforce de saisir le sens de la direction dans les mouvements qu'il recueille. On se demandait avec M. le doc
plication, qui emprunterait moins nu merveilleux, ce serait celle des mouvements inconscients. Ils ont été étudiés par M. Chevre
xpérience, à quel point des individus de bonne foi. indiquent par des mouvements de la main, la pensée intérieure qui les anime. S
t ils sont lout étonnés eux-mêmes du resultal obtenu, tellement leurs mouvements échappent à leur appréciation, » Le liseur de p
ploite cette circonsiancc qu'une pensée est toujours accompagnée d'un mouvement . Chaque fois qu'une émotion ou qu'une image se pr
changement dans la pression du sang, dans la tension des muscles. Ce mouvement est involontaire; presque toujours inconscient ;
mon ami, mais nous avons réduit au strict nécessaire la somme de nos mouvements . « C'est là le malheur, ripostait avec son ingénu
llée, ignore la violence dont elle a été victime jusqu'au jour où les mouvements du fœtus lu! révéleront qu'elle est devenue mëre.
ncore produite »: il s'agit simplement du résultat d'un conflit entre mouvements divers, et ce résultat n'a rien de plus élevé ni
ience exprimé par le « je veux », consistant en une représentation de mouvements , en une tendance motrice plus forte que celles qu
droite: un autre tend à me faire porter la main à gauche. L'image du mouvement à droite prédomine : je porte la main â droite, e
ge du mouvement à droite prédomine : je porte la main â droite, et ce mouvement est exécuté parce que je l'ai voulu. Le chien don
hose qu'une résultante d'images motrices composantes, qu'une image ou mouvement nerveux conscient prépondérant parmi d'autres ima
que cet étal nerveux lui-même, alors elle apparaît comme une idée île mouvement discutée, délibérée, victorieuse, présentant à un
dos ou même si on lance brusquement la main en avant de façon que ce mouvement provoque un léger bruit ou déplace un courant d'a
es individus réunis ont une tendance automatique à exécuter les mêmes mouvements et cet automatisme s'étend aux idées, avec d'auta
de légers tremblements musculaires, l'impossibilité de maîtriser les mouvements suggérés, l'altération delà sensibilité musculair
resque sans nous en ¦percevoir, nous accomplirons bien malgré nous ce mouvement absolument dépourvu de grâce (1). Que nous sortio
uche, qui depuis la veille la fait souffrir dès qu'elle veut faire un mouvement , et l'a empechee de bien reposer la nuit. Elle s'
dormait profondément, tout son corps obéissant automatiquement à tout mouvement imprimé. Sa mère et sa sœur sont présentes : je
Certaines sensations ont une action dépressive et inhibitive sur les mouvements : d'autres, au contraire, rendent ceux-ci plus vi
de les excitations des sens, tandis qu'un acte de volonté précède les mouvements conscients. Avant que nos sens perçoivent quelque
ence n'a aucune Idée de ce qu'ils percevront ; au contraire, avant le mouvement musculaire, une image de ce mouvement s'est dessi
evront ; au contraire, avant le mouvement musculaire, une image de ce mouvement s'est dessinée dans le cerveau. Nous sentons donc
essinée dans le cerveau. Nous sentons donc clairement que la cause du mouvement est en nous-méme tandis qu'elle est en dehors de
uire à leur aspect le plus simple. L'aspect le plus simple : c'est le mouvement . Le mouvement peut être conçu ¦ non comme une cau
pect le plus simple. L'aspect le plus simple : c'est le mouvement. Le mouvement peut être conçu ¦ non comme une cause en sol; mai
tantes inlinics des actions et réactions incessantes des forces en « mouvement que nous retrouvons en tout et partout. ¦ Suiva
ble; car, souvent on le voit insister et revenir sur l'importance des mouvements tro-phiques. Le phénomène de dialyse qui consis
bration, c'est à-dire de la tendance nécessaire des • forces et des mouvements à se contrebalancer, h s'équilibrer, d'où « résul
des mouvements à se contrebalancer, h s'équilibrer, d'où « résulte un mouvement perpétuel de va-et-vient, do composition et de «
e la ville celle émule de Donato. Mais, dit le .New-York Herald, le mouvement se continue, malgré cette expulsion, et on ne sai
rzième jour, l'hypersalivaiion coïncidait presque avec celle-ci. Le mouvement s'est accentué dans ce sens et, après un mois, l'
49 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 10, n° 55-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ète : des excitations cutanées un peu fortes déterminent encore des mouvements dans le membre supérieur droit, et même ce memb
ents dans le membre supérieur droit, et même ce membre présente des mouvements sponlané., le malade l'étend et cherche à saisi
par Babinski : l'excitation plantaire déter- mine des deux côtés un mouvement d'extension des orteils. La respiration est irr
re intérieure, puis s'étendant au membre supérieur qui est agité de mouvements cloniques étendus, assez souvent descen- dant a
ées facilement par des excitations diverses et spécialement par des mouvements imprimés au membre supérieur gauche. Elles peuv
rga- niques-du système neuro-moteur central et consistant dans un mouvement d'extension des orteils sous l'influence d'une
réhension est nulle. Les membres inférieurs sont incapables de tout mouvement . Les cuisses sont fléchies sur le bassin, les j
bras sur sa couverture et on enveloppe le tronc dans une alèze. Les mouvements sont limités à ce que nous venons de dire. Ie
rs apyrétique ; 4° l'excitation mentale se calmait à mesure que les mouvements choréiques augmentaient d'intensité ; 3° après la
e, car elle s'est effectuée en un mois à partir de la cessation des mouvements choréiques. H. M. C. VI. Note sur l'influence d
tibles avec l'épanouissement de la névrose. A. M. III. Du rôle des mouvements dans la thérapeutique des névroses ; par le Dr
à dire qu'une de ses caractéristique est l'emploi systématique des mouvements forcés d'une part et la mise en jeu de l'attent
bre de 178, actuelle- ment ils sont plus de 200. De 1892 à 1899, le mouvement de la population se décompose ainsi : entrées 5
impos- sible de rattacher à l'hystérie ou aux tics. Paralysie du mouvement associé de l'abaissement des yeux. M. 13.\BINSK
erve cependant que le malade peut encore abaisser les yeux dans les mouvements automatiques quoique ne le pou- vant pas volont
ement et consciemment. M'. Babinski montre encorel'impossibilité du mouvement d'abais- sement associé chez son malade, malgré
ou- vrement d'une partie de la cornée par la paupière inférieure, mouvement qui dépend de l'orbiculaire seul et auquel dans c
es exercices des enfants; b) L'ensei- gnement professionnel ; c) Le mouvement de la population illustré du tableau des lésion
mure de camphre, l'idiotie hydrocéphalique, l'athétose double, avec mouvements convulsifs cloniques de la face simulant les ti
rieurs à ceux de la cure bromurée simple. Méthode d'exercices et de mouvements proposée comme cure de maladies de nerfs ; Pa
s y exerçant petit à petit, que vous avons acquis la plupart de nos mouvements journaliers, par exemple la démarche droite, le
a natalion. La perfection à laquelle nous pouvons parvenir dans ces mouvements dépend toujours de la méthode et des exercices
de- cins, par exemple, qui essaient par un système d'exercices du mouvements , de remettre sur pieds un malade quiaurail perdu
elles persuasions. Néanmoins, l'emploi méthodique d'un système de mouvements pour exercer notamment les groupes de muscles d
en arrière et la tendre jusqu'à former presque un angle de 180°. Ce mouvement ne lui était pourtant possible qu'avec un poids
ulie à 10 centimètres ou 20 centimètres plus haut que le siège, les mouvements devenaient impossibles. Ajoutons qu'il faut, po
ularités dans le jeu de la poulie, et ces irrégularités rendent les mouvements de l'exercice difficiles et même impossibles. -
un quart d'heure ; puis de nouveau cinq minutes d'exercices. Les mouvements réussirent beaucoup mieux quand on eut placé un
eurs, soit leur faiblesse empëchentle3maladesde faire eux-mêmes des mouvements avec résistance de contre-poids ; par exemple l
es des mouvements avec résistance de contre-poids ; par exemple les mouvements actifs sont parfois absolument impossibles dans
frant, l'autre est mise en activité par le membre bien portant. Ces mouvements passifs con- viennent très spécialement au trai
la main gauche, et invitez la ma- lade à mettre sa main infirme en mouvement en tirant la poulie de la main gauche; cela réu
t graduellement, ainsi, sans qu'elle s'en rende compte, glisser des mouvements passifs aux mouve- ments actifs. Je ferai obs
s presque désespérés, une motilité très suffisante, à l'aide de mes mouvements passifs. Je n'ai pas encore publié en entier ce
la Revue centrale de médecine générale, 1897, sous la rubrique : « Mouvements employés comme cure des inflammations articulai
lade est d'une très grande importance dans tout ce traite- ment de mouvements gymnastiques, il me semble que nos collègues en
puis le poignet jusqu'à l'aisselle, à ce moment elle tombait et les mouvements convulsifs se produi- ARCIlI\"ES, 1° ;éiie, t.
ngs fermés, la tête et les yeux déviés à gauche, après une série de mouvements cloniques arrivait une période de stertor avec
fant se rappelait ensuite. Le côté gauche présentait tou- jours des mouvements convulsifs plus intenses que le droit, dans les
es qui durent chacune une minute sans perte de con- naissance ; les mouvements volontaires sont impossibles dans les membres d
par MM. Pozzi et Picqué. Les centres corticaux correspondant aux mouvements convulsifs ÉPILEPSIE ET TRÉPANATION. 99 initi
ut. 11 n'existe ni atrophie musculaire, ni troubles trophiques. Les mouvements volontaires des mains s'exécutent sans tremblem
erg. Absence d'atrophie mus- culaire et de troubles trophiques. Les mouvements volontaires des mains s'exécutent sans tremblem
consécutive à une chute. Les pieds sont plats. Les réflexes et les mouvements volontaires sont normaux. L'enfant résiste bien a
es mouvements volontaires sont normaux. L'enfant résiste bien aux mouvements provoqués. Puberté : aisselles, poils noirs ass
ions de ce travail peuvent être résumées de la façon suivante : Les mouvements associés tels qu'on les a décrits jus- qu'ici d
ii,(iliyi2ésies. Dans la première catégorie il faut ranger tous les mouvements associés et substitutifs, tant homolatéraux qu'
duction ou l'irradiation réflexe. La seconde catégorie renferme les mouvements associés par trouble de l'association idéo-motr
uelques diffé- rences quant à la marche : incoordination légère des mouvements des jambes. Après une étude microscopique ass
rante-cinq ans, morte de diarrhée tuberculeuse ; incoordination des mouvements des membres inférieurs, plus maltraités que les
ce, et tout fut dit. Quant aux nouveaux entrants ils suivirent le mouvement , d'aucuns même faisant entrer l'alitement dans le
u- veur ; bonne santé. En novembre 95 perte de connaissance, avee mouvements spasmodiques desbras etdesjambes. En revenante lu
A. MuMt'oRu. (Brain, vol. XX, p. 290.) L'auteur donne ce nom aux mouvements inconscients du premier âge, auxquels il attrib
xquels il attribue une origine ancestrale lointaine. L'étude de ces mouvements le conduit à y voir les vestiges des mouvements
ine. L'étude de ces mouvements le conduit à y voir les vestiges des mouvements propres à la vie aquatique et arboricole (mouve
s vestiges des mouvements propres à la vie aquatique et arboricole ( mouvements de simple progression aquatique, terrestre ou a
mouvements de simple progression aquatique, terrestre ou aérienne ; mouvements de préhension arboricole; mouvements de manipul
tique, terrestre ou aérienne ; mouvements de préhension arboricole; mouvements de manipulation pour la recherche ou le dépouil
hérédité, un trauma- tisme du dos. Il y a ankylose incomplète ; les mouvements des vertèbres sont encore possibles. La région
On constate alors une ataxie extrêmement intense de la parole, des mouvements du tronc et des membres contrastant avec l'inté
, à parler, à marcher. L'analyse des symptômes indique l'ataxie des mouvements du tronc, des membres, de la parole, de la phys
passagères. Il a aussi des tics coordonnés dans le bras droit; d'un mouvement lent il porte l'avant-bras à l'oreille et se fr
tics ont dû se produire au début volontairement pour arrêter les mouvements choréiques de la tête; ils sont ensuite devenus a
ils sont ensuite devenus auto- matiques comme il arrive à bien des mouvements d'habitude. En somme, chorée héréditaire légère
ractère progressif, sans démence ni altération de l'intelligence, à mouvements relati- vement faibles qui, tout en rendant dif
t pupillaire qui accompagne l'occlusion active des paupières est un mouvement synergétique de l'iris, qui accom- pagne la con
biculaire et la rotation en haut et en dehors du globe oculaire. Ce mouvement synergétique est une manifestation physiologiqu
nts isolés dont l'excitation produisait sépa- rément les différents mouvements de l'oeil en haut, en bas, en dedans, en dehors
ents de l'oeil en haut, en bas, en dedans, en dehors, ainsi que les mouvements de rotation du globe oculaire. Les résultats de
ne du lobe pariétal, dont l'excitation électrique donne -lieu à des mouvements associés des yeux. Cette partie occupe la porti
Muni, par conséquent du lobe pariétal. 3° L'on sait enfin que des mouvements des yeux peuvent être provoqués par l'excitatio
uages, et ici, de la disposition de ses molé- cules, transforme les mouvements qui la traversent. D'une part. elle est impress
ments qui la traversent. D'une part. elle est impressionnée par des mouvements qu'on peut rapporter à la mécanique (froissemen
ale de notre force. On peut dire que la machine nerveuse reçoit ces mouvements . Mais d'autre part, les lois de la conservation
ts, la machine nerveuse rend des contractions muscu- laires, et des mouvements physiques et chimiques d'un autre ordre (chaleu
x n'est qu'un lieu de passage et l'origine de notre énergie, de nos mouvements , est dans les impressions sensorielles conscien
n'y a pas un instant de la vie ou le système nerveux ne reçoive du mouvement , et il n'y a pas un instant où il n'en rende. L
rée trois fois par jour. La douleur disparut complètement, et les mouvements de la tête purent se faire très librement. A. P
lement suivent avec attention et se mêlent pour la plupart au grand mouvement qui a déjà fait tant progresser la médecine gén
s cliniques restés jusqu'ici obscurs. Ce n'est pas tout, le grand mouvement scientifique provoque par les admirables découv
les exigences budgé- taires ont provoqué depuis quelques années un mouvement d'opi- nion qui ne tend pas sans doute à la des
smodiques, des contractures, qui sont la vraie cause de la gêne des mouvements . Ceux qui meurent debout ne présentent pas ces
des réactions multiples. Les unes s'extériorisent sous la forme de mouvements qui d'abord ont pour unique but la conservation
t. Les réactions extériorisées ne sont plus réduites à de simples mouvements réflexes qui visent la satisfaction de nos besoin
moins prémédités. De mieux en mieux, nous apprenons à adapter les mouvements et les actes aux buts à atteindre. Mouvements et
prenons à adapter les mouvements et les actes aux buts à atteindre. Mouvements et actes éveillent des réactions internes ; à l
nation fit accourir sa domestique qui trouva son maître étendu sans mouvement sur sa descente de lit, au milieu d'une mare de
féremment avec lui : tantôt il est isolé, mais ayant la liberté des mouvements dans sa chambre, tantôt il est main- tenu au li
t des maladies somatiques on s'adresse souvent aux exercices et aux mouvements appro- priés. Ceux de nos collègues, qui prenne
ur les échanges, on peut admettre théoriquement que l'absence des mouvements ne reste pas sans influence sur les os et la mo
it une tuméfaction assez appré- ciable, suivant la trachée dans les mouvements de déglutition. 11 ne fut pas possible de savoi
Pas de douleur spontanée ou provoquée par la palpa- tion ni par les mouvements dn cou. Pas de réseau veineux super- ficiel; au
jusqu'à la fin du séjour de B... à l'hôpital, in- terrompu par les mouvements intentionnels. Les réflexes étaient conservés,
iphérie et les centres et où il se décharge en partie sous forme de mouvements réflexes, par exemple. Je ne me suis donc pas b
ant la période aiguë, de combiner l'alitement avec le travail et le mouvement en plein air, ce qu'on peut faire du reste de plu
de l'appareil de la phonation. Il existe ici, comme pour les autres mouvements volon- taires, deux groupes au moins de neurone
urs, le centre auditif verbal, le centre visuel des mots, celui des mouvements de la main éduquée pour l'écriture, et les cent
monde est d'accord pour admettre un centre cortical qui préside aux mouvements de l'écriture. La discussion porte seulement su
le pied de F2, ou si son centre cortical se confond avec celui des mouvements de la main droite dans la région moyenne de Fa
la fissure calcarine. Hémiplégie sensiliuo-molrice, accompagnée de mouvements ctllvéto.i- formes et ({taxi/ormes et d'une par
ouvements ctllvéto.i- formes et ({taxi/ormes et d'une paralysie des mouvements associés des yeux ; néoplasie tuberculeuse, au
ations sensorielles. L'hémiparésie du côté gauche s'accompagnait de mouvements incessants athéto- siformes, avec une certaine
ouvements incessants athéto- siformes, avec une certaine ataxie des mouvements intentionnels. La démarche du malade était ince
par moment titubante. Enfin le malade présentait une paralysie des mouvements associés de latéralité des deux yeux. A l'état
terruption de ces dernières fibres qu'était due la paralysie des mouvements associés de latéralité vers la droite, constatée
tubercules qua- drijumeaux postérieurs des paralysies associées des mouvements de latéralité des globes oculaires. Un cas de
s sont sujets à de grandes variations et s'accentuent à la suite de mouvements répétés : il existe, en somme, un épuise- ment
diflérentes. C/H'0) ! op/;o<o)'«p/tt[; appliquée ci l'étude des mouvements normaux et pathologiques. MM. Paul Riciiiiii
aux et pathologiques. MM. Paul Riciiiiii et LoNDE (de Paris). Les mouvements d'en- semble de la marche se présentent sous de
e la catatonie, le négativisme avec persistance de la lucidité, les mouvements stéréotypés et les grimaces, les actes impulsif
mécanothérapique des hémiplégiq ? =FfC C (massage, rééducation des mouvements et mécanothérapie compensatrice) ; -, " Par l
e de trois parties : du massage méthodique, de la rééducation des mouvements et de la mécanothérapie compensatrice. C'est du
de la force muscu- laire et que le membre est capable d'exécuter un mouvement quelconque, nous commençons les exercices ratio
ue, nous commençons les exercices rationnels par la rééducation des mouvements . Nous apprenons d'abord au malade à se lever su
nkel 1, l'hémiplégique présente la perte absolue de l'exécution des mouvements du membre paralysé. Souvent l'hémiplégique hési
articulations. Ce qui lui manque, c'est la notion de l'exécution du mouvement . On est donc forcé, lorsqu'on s'occupe du trait
du traitement des hémiplégiques, dé chercher patiemment quel est le mouvement qui se trouve conservé chez ces malades, même e
accomplir. Pour prouver à nos malades qu'ils peuvent exécuter les mouvements indiqués, nous cherchons à leur donner un point
erchons à leur donner un point d'appui sûr, afin que l'exécution du mouvement ne soit pas entravée par'la crainte de tomber,
te qui domine tant chez les hémiplégiques. Mais avant d'ordonner un mouvement quelconque, on doit être persuadé de la possibi
- Les premiers exercices de la marche consistent en exécution des mouvements cardinaux des membres inférieurs : la flexion,-
re, nécessaire pour activer et faciliter l'exécution des différents mouvements - c'est la mécanothérapie compensatrice du trai
n et Jacob dans le trai- tement des ataxiques. La rééducation des mouvements du membre supérieur exige plus de temps et de s
s de temps et de sagacité, que la rééducation de la marche, car les mouvements du membre supérieur sont plus étendus que ceux
que ceux du membre inférieur. Ici, nous commençons toujours par les mouvements actifs et nous faisons peu de mouvements passif
mençons toujours par les mouvements actifs et nous faisons peu de mouvements passifs. Les mouvements passifs seuls ont peu d
es mouvements actifs et nous faisons peu de mouvements passifs. Les mouvements passifs seuls ont peu d'importance dans la rééd
uvements passifs seuls ont peu d'importance dans la rééducation des mouvements du membre supérieur. On peut tourner le bras pa
, du matin au soir, l'hémiplégique n'acquerra pas pour cela plus de mouvements qu'il n'en possède : le bras reste immobile ou
il n'en possède : le bras reste immobile ou contracture, malgré les mouvements répé- tés. Les mouvements passifs, par contre,
reste immobile ou contracture, malgré les mouvements répé- tés. Les mouvements passifs, par contre, agissent bien, comme agent
chez les hémiplégiques. Dans un de nos cas on lit matin et soir des mouvements passifs du bras dès le début de l'hémiplégie et
fin de la deuxième année à peine bouger son bras. Néan- moins, ces mouvements ont fait disparaître complètement les arthrites
ns du membre atteint. Par consé- quent, si on veut obtenir quelques mouvements du membre supérieur, c'est aux mouvement» actif
on veut obtenir quelques mouvements du membre supérieur, c'est aux mouvement » actifs qu'il faut donner pré- férence. Nous fa
nce. Nous faisons apprendre à l'hémiplégique la façon d'exécuter le mouvement indiqué, quitte à le faire irréguliè- rement. P
guliè- rement. Plus tard, quand le malade est capable de faire le mouvement , nous lui indiquons la correction à faire, pour
mouvement, nous lui indiquons la correction à faire, pour que le mouvement soit exécuté régulièrement. Il faut d'abord che
soit exécuté régulièrement. Il faut d'abord chercher à activer les mouvements de chaque articulation séparément, en passant p
uve- ments de flexion et d'extension ; puis on s'approche vers le mouvement réel de l'articulation. Parmi les articulations'
elle que nous commençons la rééducation du bras. Toute une série de mouvements , ayant pour but de provoquer la mobilité de l'a
mou- 366 . THÉRAPEUTIQUE. vements actifs positifs pour passer aux mouvements réels. Nous appelons mouvement actif positif- l
nts actifs positifs pour passer aux mouvements réels. Nous appelons mouvement actif positif- le mouvement cons- taté, tel qu'
ser aux mouvements réels. Nous appelons mouvement actif positif- le mouvement cons- taté, tel qu'il se présente devant nous,
- le mouvement cons- taté, tel qu'il se présente devant nous, et le mouvement actif réel, -.celui qui devrait être en réalité
alysé du corps qu'en fléchissant l'avant-bras sur le bras, c'est un mouvement positif; le mouvement sera réel quand le malade
léchissant l'avant-bras sur le bras, c'est un mouvement positif; le mouvement sera réel quand le malade écartera son bras en
n de ce doigt, que nous obtenons, en massant pendant l'exécution du mouvement d'abduction les muscles abduc- teurs et opposan
sir des différents objets, etc. Pour faciliter la rééducation des mouvements du membre supérieur, nous employons comme appar
ducation TRAITEMENT MÉCANOTHÉRAPIQUE DES HÉMIPLÉGIQUES. 367 Î des mouvements des membres atteints de paralysie. La gym- nast
nd nous constatons que l'hémiplégique peut arriver à exécuter les mouvements voulus et ordonnés, quelle que soit la vitesse de
- on peut presque dire leur moitié est en rapport immédiat avec les mouvements musculaires, tandis que l'autre portion n'a évi
'il y aurait à attribuer des fonctions aussi simples que celles des mouvements de la colonne vertébrale à l'énorme masse de su
autres assistants et un médecin stagiaire (17oloiiiii-tti,zt). Le « mouvement » de la population avait été, pour l'année 1897,
ices vraies, c'est-à-dire avec exécution plus ou moins parfaite des mouvements d'articulation correspondants) ; ou encore d'aprè
e l'hallucination ne semblent guère être absolument comparables aux mouvements convulsifs de l'épilep- sie. Plus que d'autres,
rrait expliquer la différence qui existe entre la représentation de mouvements déterminés, combinés, systématisés, de paroles
nde extérieur ; sa nature même s'y oppose. Mais, qu'il y ait ou non mouvement concomi- tant, elle est du moins reportée excen
(une variation négative) de l'in- tensité du courant produit par le mouvement volontaire du bras et que l'intensité de la déc
ont réduits à tel point que le malade ne puisse plus exécuter aucun mouvement . Uans d'autres cas où la contracture naissante
sculaire, on observe une augmentation du courant qui -accompagne le mouvement du bras. Cette augmentation suif le développeme
paraître enfin quand la contraction atteint son maximum et que tout mouvement devient par ce fait impossible. La clinique l
s atteints d'hyperhydrose unilatérale d'on- gine cérébro-spinale le mouvement du bras du côté affecté n'a pas accusé un coura
s marquée, l'effort cérébral que le malade faisait pour exécuter un mouvement sans y aboutir, se traduisait au galvanomètre p
i et sont toujours en rapport direct avec l'énergie et l'étendue du mouvement que le bras peut encore exécuter. Dans la contr
ns. Ainsi, dans un bras paralysé qui ne peut exécuter presque aucun mouvement volontaire mais dont les muscles ont conservé l
e ainsi conduite il n'y a plus du tout de déplacement du membre, ni mouvement actif, ni mouvement passif. La pression cutanée
y a plus du tout de déplacement du membre, ni mouvement actif, ni mouvement passif. La pression cutanée est nulle (fil tenu e
sens des attitudes de Cherechevsky), pas seulement la sensation des mouvements actifs ou passifs (sens du mouvement de Bain et
seulement la sensation des mouvements actifs ou passifs (sens du mouvement de Bain et de Bastian) ; mais nous avons aussi, d
faites. Il suffit de défendre aux personnes à examiner de faire des mouvements , ce que je leur ai défendu régulièrement. M.
endu régulièrement. M. le Dr Caoc (de Bruxelles). N'y a-t-il pas un mouvement actif du bras dans l'effort que fait le malade
au moment où le muscle revient à l'état de repos, il se produit un mouvement qui consiste dans un déplace- ment de la chair
côté gauche, les yeux clos; mais il imitait très exactement chaque mouvement passif du côté droit. 420 0 CONGRÈS INTERNATION
IONAL DE MÉDECINE. Alors il y avait du côté gauche : destruction du mouvement volon- taire, conservation du mouvement imitati
ôté gauche : destruction du mouvement volon- taire, conservation du mouvement imitatif. Ce syndrome ne se trouve décrit dans
yer de transformer le schéma de Lichtheim-Wernicke de l'aphasie aux mouvements volontaires des extrémités, essai qui est d'aut
nscorticale de la branche motrice on doit supposer : destruction du mouvement volontaire, conservation du mouvement imitatif,
oit supposer : destruction du mouvement volontaire, conservation du mouvement imitatif, c'est-à-dire le même syn- drome que l
. Pick conclut alors que ce syndrome constitue pour les troubles du mouvement des extrémités un phé- nomène analogue de l'aph
ie et la perle des mou- vements intentionnels avec conservation des mouvements automa- tiques et réflexes des yeux. M. Fried
; elle monte par l'effet d'une vis micrométrique qui est mise en mouvement àchaque coupe par le mouvement de retour du rasoi
ne vis micrométrique qui est mise en mouvement àchaque coupe par le mouvement de retour du rasoir. Une disposition spéciale p
on oublie assez aisément ce qui n'a eu de place que dans le fugitif mouvement de nos idées ; on oublie moins ce qui a pris ra
r peu qu'elle acquière quelque intensité, devient représentative du mouvement correspondant et plus ces représen- tations men
esprit de ceux qu'il veut guérir, un ressort, un levier qui, mis en mouvement , redonne à l'entendement, l'énergie ou la recti
plante du pied pro- voque au contraire l'extension des orteils ; ce mouvement est surtout marqué pour les premiers orteils et
emiers orteils et en parti- culier pour le gros orteil. De plus, le mouvement d'extension se fait plus lentement que le mouve
il. De plus, le mouvement d'extension se fait plus lentement que le mouvement de flexion et devient plus fort pour une excita
quoique nettement marquée, est en général peu intense. En outre, le mouvement d'extension est beaucoup plus marqué pour les q
e cas, la concomitance de l'exagération du réflexe rotulien avec un mouvement d'extension des orteils. 2' Quoique, d'une fa
. JEKDRASSIE (de Budapest). 1° Les réflexes tendineux sont de vrais mouvements réflexes, dont la voie mène directement à trave
xes tendineux en général ne peuvent être identifiés avec les autres mouvements réflexes ; les réflexes cutanés ordinaires sont
e jusqu'au cerveau, probablement jusqu'à l'écorce, tandis que les mouvements réflexes qu'on observe chez les paraplégiques myé
a jambe et une flexion dorsale du pied, rarement une autre forme de mouvement , sont des réflexes pathologiques résultant d'un
ovoquer l'inhi- bition de la « secousse du genou » est d'exciter le mouvement réflexe du membre postérieur dans une portion d
et dans lesquels le moindre attouche- ment de la peau est suivi de mouvements réflexes étendus aux deux membres inférieurs, e
thologique. C'est cette réflectivité anormale qui est exagérée. Ces mouvements réflexes anormaux ne sont pas liés à une irrita
produisait plus de secousse de toute la jambe, mais simplement un mouvement des orteils et une contraction du fascia lata. En
s le second, exagération de la volonté ou exagéra- tion ataxique du mouvement . Le phénomène du genou enregistre ces modificat
quand la tonicité est nulle ou quand il y a exagération ataxique du mouvement . Mais le phénomène du genou est, comme tous les
sensibles intratendineuses. Un facteur physique : c'est la forme du mouvement produit par le réflexe. La transmission du ré
on du réflexe dépend de l'intégrité de la voie réflexe; le genre du mouvement réflexe dépend de la tension de l'appareil musc
s l'intimité trop grande des centres d'évacuation de l'urine et des mouvements de l'expression qui occupent la même place dans
our produire l'hypnose. M. L ? 1ESLE. Cet appareil comporte : 1° un mouvement d'hoilo- gerie qui actionne un miroir rotatif;
thargie pendant 25 jours. M. Voisin. Les léthargiques ne font aucun mouvement quand on ne les alimente pas. La fameuse dormeu
parvenu à les réveiller partiellement et à leur faire exécuter des mouvements purement automatiques. Ces expé- riences mérite
, mais un pauvre malheureux qui est hors d'état de faire le moindre mouvement . Voici ce qui s'est passé le jour où le brigadi
de la Tourelle, 65. Cn01\OPHOTOGRAPHIE appliquée à l'é- tude des mouvements , par P. ni- cher et [.onde, 334. Clinique des
otte, 426. - Moelle émnunE. Géographie de la , par Benoit, 126. Mouvements de l'enfant, par Mum- ford, 151, J\hOGRAPIlE.
onnexions nerveuses, par van Gehuchten. 125. Névrose . Rôle des mouvements dans la thérapeutique des -, par Sollier, 46.
plantaire daus la -, par Delteil et Bouvière, 52t. Paralysie du mouvement associé de l'abaissement des yeux, par Babins
50 (1895) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 10
fants qui présentent des stigmates hystériques, et en particulier des mouvements choréiques, sont tantôt très facilement bypnotisa
e, de produire la cécité amaurotique, la surdité, l'insensibilité, le mouvement irrépressible, de provoquer le vomissement et la
sur le mécanisme musculaire de certains phénomènes suggestionnels de mouvement une appréciation précise fournissant matière aune
'est pour prouver que l'impression mentale a la vertu de restituer le mouvement au paralytique ; si par l'impression mentale nous
aux techniques, il n'avait jamais cessé de prendre une part active au mouvement psychologique. Président de la Société d'anthropo
répond pas à mes questions et à mes recommandations et ne fait aucun mouvement de lèvres qui indique qu'elle entend ma voix. De
avons fait à cet enfant, aussitôt que vous dites : dormez, le premier mouvement du sujet est de fermer les yeux et de rester un i
goudron. Tu vas le boire. Il fait en effet le geste de boire avec le mouvement de déglutition. C'est une suggestion sensorielle.
qui y surgissent et qui sont acceptées par lui. Ces idées deviennent mouvements , sensations, images, émotions, actes ; la transfo
que dans le traitement de cette affection, pour faire disparaître les mouvements choréi-ques, il était utile de faire exécuter à l
a bon, après avoir provoqué l'anesthésie de la région, d'imprimer des mouvements à l'arti-culation en même temps qu'on fera lasugg
du propre des femmes », s'approcha de Nicole étendue sur son lit sans mouvement , probablement en catalepsie. C'est en vain qu'il
uvert les paupières, sans qu'il s'en soit apparu quelque apparence de mouvement . Enfin, avons esté d'avis de luy tirer du sang du
ercuriale et marjolaine, et n'avons néanmoins aperçu aulcun effort de mouvement , sentiment, action ou meilleure disposition, étan
il apprend en premier lieu à voir les objets qui l'entourent et leurs mouvements . Au seizième mois, d'après Garbini, le sens chrom
e siège de vives douleurs et ne pouvaient exécuter ni supporter aucun mouvement . Sur toute la hauteur du rachis, particulièrement
; de plus, les genoux sont sensibles ; ils ne sont pas tuméfiés ; les mouvements de l'articulation sont libres et ne révèlent pas
timent passager ne constituent pas le caractère; on peut éprouver des mouvements ^de colère, de jalousie, d'ambition, sans avoir un
sse dans la cellule nerveuse quand elle fait des idées, du délire, du mouvement , quand elle perçoit de la sensibilité, des sensat
ales ? Les articulations ne sont ni gonflées, ni sensibles dans leurs mouvements . Les douleurs sont fixes, non mobiles, ni erratiq
s, ni erratiques comme celles du rhumatisme ; elles ne gênent pas les mouvements et ne sont pas exagérés par eux. Sont-elles névra
rimer la potion suggestive ; 1 gramme de phénacétine pour empêcher le mouvement fébrile léger du soir. Je suggère de dormir toute
és, ils retombent lourdement lorsqu'on les abandonne à eux-mêmes. Les mouvements respiratoires se montrent profonds, d'ailleurs as
au contraire amoindrie pour les impressions reçues du _dehors. Les mouvements ]du cœur ne sont pas modifiés, la respiration est
n membre et à une certaine distance de ce membre. On obtient ainsi le mouvement , l'élévation, la flexion du membre qui obéit d'un
l'élévation, la flexion du membre qui obéit d'une manière absolue aux mouvements de la main directrice, et l'on peut ainsi, en déc
vements de la main directrice, et l'on peut ainsi, en décomposant les mouvements , provoquer des actes assez compliqués. C'est da
ns l'acte à accomplir. Mais il reste encore, dans ces conditions, des mouvements du bras qui peuvent être transmis par le contact
es mouvements du bras qui peuvent être transmis par le contact et les mouvements fibrillaires des sujets qui peuvent se communique
e pas arrêter le sujet dans sa marche, de ne pas le précéder dans les mouvements et le guider ainsi dans l'acte qu'il doit accompl
bsolument aucun point de contact, on ne peut donc pas objecter ici de mouvements , même inconscients. J'ai pu observer que l'expéri
conditions qu'avec le contact de la main. Je reviens maintenant aux mouvements dont j'ai parlé tout à l'heure, que l'on obtient
-à-dire en faisant de nouveau mouvoir les doigts dans la direction du mouvement que l'on veut obtenir. Cette observation est d'
ombe immédiatement dans sa position normale. L'état du membre, mis en mouvement par les passesJaites à distance, n'est donc plus
n'est donc plus le même que celui du membre soulevé avec la main. Ces mouvements de translation peuvent s'obtenir pour la totalité
er. Ainsi je me place à une certaine distance du sujet, et, par les mouvements de la main dirigée vers lui, je puis lui faire pe
a direction que j'allais faire suivre au sujet, et que ces différents mouvements étaient exactement ceux que je lui avais suggéré
sujet pendant cet état, et de savoir pourquoi et comment il obéit aux mouvements que l'on veut lui communiquer. Pour cela j'ai pri
à déclarer qu'ils ressentent une impulsion bien nette dans le sens du mouvement qui s'accomplit, « Nous éprouvons, m'ont-ils tous
avant, malgré lui, d'une manière irrésistible, et c'était en effet le mouvement que je lui avais imprimé au début de l'expérience
e personne les avait tirés par la manche de leur vêtement. Dans les mouvements de locomotion totale, tous affirment se sentir po
masquer complètement. Tout d'abord on observe un ralentissement des mouvements respiratoires qui deviennent en même temps très p
lions, état de souffrance visible, tremblement des membres et parfois mouvements convulsifs. La crise étant ainsi caractérisée p
on, ou, si l'on veut, l'impression du fluide qu'il émet sous forme de mouvements d'attraction ou de répulsion, ou encore de sensat
ses impulsions, à distance plus ou moins considérable, sous forme de mouvements d'attraction ou de répulsion, ou encore de soulèv
toute cette longue opération, ne proféra un seul cri, ne fit un seul mouvement . C'était, en apparence, un cadavre. La plaie fu
traver les progrès du fléau, M. Puteaux fait une étude approfondie du mouvement antialcoolique en Suisse et de l'œuvre féconde en
vre féconde en résultats des Sociétés d'abstinence. Les promoteurs du mouvement ont été des pasteurs protestants qui, vers 1837,
e, mais la phrase est arrêtée au moment du paroxysme. La main suit un mouvement automatique, les caractères de l'écriture sont re
uent à leur tour. Je chercherai à le démontrer plus loin. La peur des mouvements , non pas comme exercices musculaires, mais en tan
incessamment par terre, de marcher droit, de coordonner une foule de mouvements en vue de la station, de la marche, ne soit étudi
ch. de Neurologie, nos 43 et 44, 1888. état, couchée presque sans mouvement , faible, pâle, un peu anémiée ; le mot de phtisie
s le 14 février 1894. Couchée ou assise au lit, elle exécute tous les mouvements dos membres inférieurs avec une parfaite précisio
u à marcher, l'incoordination apparaît. Elle imprime à ses jambes des mouvements bizarres, caractérisés spécialement par des brusq
. En quelques jours Marie V... a recouvré l'intégrité complète de ses mouvements . J'ai fait disparaître par le même procédé la tou
entement par les vibrations des cloches. On ressent la sensation d'un mouvement de roulis très lent. C'est le rocking attendu.
ur découvrir que le système de machine à coudre employé comportait un mouvement de jambes ayant pour effet de soumettre certains
de la fatigue peut être oblitéré à un tel point qu'ils recherchent le mouvement , qu'ils marchent, qu'ils se livrent aux exercices
lié au réveil peut réapparaître à l'état de veille par association de mouvement , c'est-à-dire par rappel de mémoire. Un rêve pe
ux jambes, on la porta dans sa chambre, on lui prodigua des soins, le mouvement revint, mais les chevilles étaient enflées et les
e au composé, j'arrivai ainsi et progressivement à faire produire des mouvements assez nombreux. J'utilisai surtout la course à pi
nts assez nombreux. J'utilisai surtout la course à pied ainsi que les mouvements d'équilibre par des attitudes sur le plancher et
, mais des applications diverses et [d'autant plus délicates que tout mouvement agit sur les centres psycho-moteurs et que toute
git sur les centres psycho-moteurs et que toute idée se transforme en mouvement . Dans ce traitement, il faut comprendre l'hydro
ais n'agit pas. On doit, toutes les fois qu'on le peut, provoquer des mouvements volontaires. Ils sont multiples. Il faut que l'
onc pas d'effort qui congestionne en supprimant la respiration. Les mouvements du train inférieur activent surtout la inspiratio
spiration, et par ce fait même ils reposent l'esprit. On sait que les mouvements respiratoires modifient ou suppriment l'attention
du simple au composé en s'appli-quant au début à ne provoquer que des mouvements automatiques. Il ne faut user qu'avec une extrê
sées cet effet se produit surtout lorsque l'action est prolongée ; 4° Mouvements attractifs par lesquels la partie visée se rappro
oche graduellement et irrésistiblement de la main de l'opérateur. Ces mouvements se produisent spontanément chez certains sujets,
et il s'établit alors une correspondance quasi mathématique entre les mouvements de l'opérateur et ceux du sujet ; 5° Sensation di
tème de la volonté, la conscience de la volonté, actions volontaires, mouvements expressifs, faits éthiques. — Conscience personne
n la plus étendue pour exprimer le sens par lequel nous percevons les mouvements et les positions de nos membres, sens dont l'appa
l s'agirait seulement de la position du membre ; dans le second, d'un mouvement actuel. La solution de cette question n'est pas a
e, qu'on ne se souvient pas des rêves qui ont été accompagnés par des mouvements actuels. Pour cette raison, si l'on se souvient d
e assez nettement. Il est naturel de rapporter au sens musculaire les mouvements rêvés ; au sens cutané, au contraire, la chaleur
ion joue un rôle prépondérant ; le membre présente — en rêve — un mouvement tel qu'une de ses positions dans ce mouvement cor
ente — en rêve — un mouvement tel qu'une de ses positions dans ce mouvement correspond à sa position actuelle. Par exemple :
lante d'un pied courbée; il réve qu'il danse, court, ou fait un autre mouvement , dans lequel a lieu une flexion plantaire. Ici,
la différence entre le membre fléchi, mais immobile, et le membre en mouvement n'est pas conçue ; en conséquence, la personne en
ce la plus fréquente et comme elle exécute tous les jours beaucoup de mouvements où a lieu une flexion plantaire, tandis qu'elle s
s immobiles où a lieu une telle flexion, elle se réve surtout dans un mouvement où le membre (actuellement courbé) joue un rôle i
ainsi on exagère la sensation isolément conçue. Or, la sensation d'un mouvement d'un membre est, sans doute, celeris paribus, plu
paribus, plus marquée que la sensation d'une tension musculaire sans mouvement ; donc, la conscience fatiguée qui aime à exagére
membre fléchi, mais immobile) comme si elle dépendait d'un membre en mouvement . Je suppose toujours ce que je regarde comme le
cause de la flexion plantaire. II y a dans ces cas une irradiation du mouvement d'une partie des organes centraux aux parties voi
ui réve voit une autre personne (ou un animal) dans la position ou le mouvement en question. Voici les faits psychiques qui rende
i rendent possible un tel changement de la personnalité : La vue d'un mouvement ou d'une position d'une autre personne est très s
tat statique et ceux où il se meut ? Lorsque le membre se présente en mouvement à celui qui dort, il faut croire que les parties
le croyait jouer du piano, une autre continuer à l'état de veille des mouvements coordonnés, mouvements nécessaires à son travail
no, une autre continuer à l'état de veille des mouvements coordonnés, mouvements nécessaires à son travail auquel elle avait rêvé
concentrique du champ visuel, la paralysie conjuguée gauche pour les mouvements volontaires. Le fond de l'œil est normal. L'état
d'une maladie qui amena bientôt la paralysie de la sensibilité et du mouvement dans les membres inférieurs, ainsi que celle du r
s, elle était paralysée des membres droits et y éprouvait, au moindre mouvement , de vives douleurs. Elle ne pouvait élever son br
e soutien au corps, et elle la traînait derrière l'autre à l'aide des mouvements propulseurs du tronc. Disons encore que les deux
igureje le lui mets autour du cou comme si elle devait se laver ; les mouvements se font presque sans difficulté et sans douleur !
séance durait un bon quart d'heure — il apprenait à faire tel ou tel mouvement ou à prendre telle ou telle attitude qui lui étai
es muscles se remuer complètement comme dans l'autre jambe au moindre mouvement . De la hanche au milieu de la cuisse, la jambe es
ou moins d'hésitation, le membre soulevé. D'autres essaient quelques mouvements avec les doigts ou la main, laissant le reste du
rotatoire. En tournant les deux avant-bras l'un autour de l'autre, ce mouvement tend à continuer spontanément plus ou moins longt
s ï'axatie. Dans ces cas, les bras soulevés retombent ou s'agitent en mouvements désordonnés. Pour que la catalepsie s'obtienne, i
nuant sans résistance cérébrale à tourner, gardant automatiquement le mouvement , comme l'attitude, imprimés. Enfin, que se pass
ulsions automatiques ou réflexes, prédisposés à l'accomplissement des mouvements inconscients, offrent un terrain remarquable au d
ctes accomplis inconsciemment, à appeler l'attention du sujet sur ses mouvements exécutés automatiquement, à éveiller sa conscienc
il voit, il possède des cylindraxes émissifs qui permettent .certains mouvements réflexes : tels les mouvements de tête, les clign
axes émissifs qui permettent .certains mouvements réflexes : tels les mouvements de tête, les clignements d'yeux, les mouvements d
s réflexes : tels les mouvements de tête, les clignements d'yeux, les mouvements de répulsion. La destruction de l'œil et du ner
mier accès complet d'épilepsie (dents serrées, perte do connaissance, mouvements cloniques, amnésie après l'attaque}. Plus tard, i
esque immédiatement et furent remplacées par des mâchonnements et des mouvements automatiques pour avaler. C'était tout ce qui res
s malgré son malaise, mais, une fois arrivé chez lui, il tombe, a des mouvements cloniques, et, à son réveij, il est amnésique : c
t la bouche, mais il lui est impossible de projeter ou d'exécuter des mouvements avec la langue. 11 ne peut pas prononcer un mot,
s'il avait un corps étranger dans la bouche. L'aphonie persiste ; les mouvements étendus de la langue sont impossibles. Séance
l on le plonge avec la plus grande facilite. Immédiatement après, les mouvements de la langue sont devenus normaux et l'aphonie a
thénoïdiens postérieurs, muscles respiratoires, ont pour fonction des mouvements involontaires. Leur seul centre d'innervation se
, dont l'irritation produit l'adduction des cordes, sans provoquer de mouvements respiratoires. Ce qui confirme l'origine cérébral
sur un plan résistant rêvera par exemple qu'on lui coupe le bras. Les mouvements volontaires et spontanés sont abolis de même, mai
mouvements volontaires et spontanés sont abolis de même, mais non les mouvements automatiques. Or, quel est le siège physiologiq
ntretien de la vie ; l'individu plongé dans cet état est incapable de mouvements même automatiques. Or, le centre de toutes les ac
les réflexes vitaux eux-mêmes sont abolis : de là, la suspension des mouvements respiratoires, suspension plus ou moins absolue,
ambule existe quant à Tordre psychique seul : il y a conservation des mouvements automatiques, tandis que la sensibilité conscient
s, en étudiant les phénomènes de plus près, vous reconnaîtrez que les mouvements plus ou moins compliqués qu'exécute le somnambule
un sommeil qui paraît aller du bulbe au cerveau, de la sensibilité au mouvement ; le sommeil ainsi produit commence par la narcose
encore persistance des moyens automatiques de défense ; peu à peu les mouvements de défense diminueront en intensité et en fréquen
sensibilité consciente disparaîtra à son tour. Ce sommeil s'étend du mouvement à la sensation. La deuxième période de la chlor
suspension de. la sensibilité d'abord et bientôt par la paralysie du mouvement . Il existe donc une distinction entre les hypno
ions qui dominent et règlent tout, se transformant sans cesse, ici en mouvement , là en chaleur, ailleurs encore en lumière, en él
s, comme dans un service télégraphique ou téléphonique, et arrêter le mouvement automatique ; quand nous voyons bâiller, boire ou
cellules névrogliques un rôle qui parait beaucoup moins établi). Les mouvements automatiques inconscients des convulsions, des ch
acile, au degré d'électricité vitale produite, et à la - rapidité des mouvements des pseudopodes, que ces différences sont dues. —
s étaient rétractées ou détruites; mais on a démontré en outre que le mouvement des cellules nerveuses n'est pas une simple hypot
ind, a vu que chez cet animal les cellules nerveuses présentèrent des mouvements amiboïdes absolument nets. (Anatom. Aôçg. 1890) «
ues des prolongements dits de protoplosma d'un neurone, sont doués de mouvements . » C'est sans doute pour ce motif que la faculté
rées par l'examen des découvertes de MM. Golgi et Cajal, touchant les mouvements automatiques de certaines maladies, les troubles
use ; le membre était ballant, inerte, et plus froid que l'autre ; le mouvement actif n'allait pas jusqu'à l'angle droit; en quel
ngle droit; en quelques séances, cette dame récupéra presque tous les mouvements , après avoir inutilement employé le massage, l'él
ements tels que ceux qu'émettent les Amibes. Ce, sont en tous cas des mouvements ou déplacements de protoplasma ; c'est ce que nou
lacements de protoplasma ; c'est ce que nous désignons sous le nom de mouvements amas-boïdes. Mais, dans cette articulation, il
rone sensitif central. Ces deux ordres de rameaux présentent-t-ils ce mouvement quelconque que nous désignons, pour abréger, sous
de protoplasma ; nous devons donc supposer qu'elles sont le siège des mouvements (rétractions ou oscillations) ama>boïdes. Ma
les prolongements protoplas-miques de certains neurones sont doués de mouvements . Ces neurones sont les éléments connus sous le
r un filament unique- ou par deux filaments en forme de cils doués de mouvement . « Les mouvements qu'ils présentent, dit Raxvier
que- ou par deux filaments en forme de cils doués de mouvement. « Les mouvements qu'ils présentent, dit Raxvier (Technique, éditio
r. La seule idée qui nous paraisse essentielle, c'est qu'il s'agit de mouvements protoplasmiques, semblables à ceux que l'on peut
connus pour les cellules les plus diverses. Pseudopodes amœboïdes ou mouvement de cils vibratiles, peu nous importe; et du reste
lamelle, en laissant pénétrer l'oxygène et sortir l'acide carbonique; mouvements pseudopodiques, mouvement vibratiles, arrêtés par
er l'oxygène et sortir l'acide carbonique; mouvements pseudopodiques, mouvement vibratiles, arrêtés par l'asphyxie, reparaissent
de carbonique réveillent ces leucocytes, c'est-à-dire leur donnent le mouvement . 1. Marie de MaHaceine. Le sommeil. Trad. du ru
nelles. Mais l'idée, quelle qu'elle soit — idée de sensation, idée de mouvement , idée d'émotion, — une fois acceptée par un cerve
mplète de sa connaissance, la chute à terre, des cris très forts, des mouvements convulsifs désordonnés, des actes violents comme
ettes très curieuses au point de vue dc l'étude dc la vérité dans les mouvements . On remarque, parmi les sujets choisis, trois cou
ar des attitudes auxquelles la vue n'est point habituée, que tous ces mouvements produisent une impression esthétique très réelle.
Il peut aussi arrêter comme il veut les battements de son rœur et le mouvement de la circulation. Enseignement de Phypnotism
état. L'acheminement vers le réveil se manifestait déjà par plusieurs mouvements du malade. Je lui commandai alors d'ouvrir les ye
rit l'habitude de saisir l'une des poules et d'effectuer sur elle les mouvements du coït. D'abord la poule se défendit, puis, peu
alytiques de marcher et de faire faire à leurs membres atteints des mouvements de flexion; il imitait en cela Jésus. Le nombre
ventre la fraîcheur du drap, tandis qu'on exécute avec les jambes les mouvements du nageur en pleine Seine. Il paraît que cette po
cins français d'avoir pris la plus grande part dans l'évolution de ce mouvement scientifique et philosophique. BULLETIN BIBLIOG
51 (1889) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 02] : clinique des maladies du système nerveux
tal ne fait pas saillie dans les efforts de flexion; à la main, les mouvements de l'annulaire et du petit doigt sont impossibl
s mouvements de l'annulaire et du petit doigt sont impossibles; les mouvements de rappro- chementdes doigts ne peuvent s'effec
euvent s'effectuer, pas plus que l'adduction du pouce. A gauche les mouvements des muscles de l'hypothénar sont encore possibles
qu'il put se relever et se remettre au travail, il remarqua que les mouvements des deux derniers doigts de sa main droite étai
uls sont rétractés dans la même situation que du côté opposé. Les mouvements de rapprochement des doigts et d'adduction du pou
impossibles il droite. Des deux côtés le malade ne peut exécuter de mouvement d'opposition du petit doigt. Sensibilité. Le ma
emblablement hystériques (accès de raideur généra- lisée, et grands mouvements convulsifs durant deux heures) pendant une diza
it atrophiée. L'amaigrissement est plus marqué à droite. A part les mouvements du pouce, tous les mouvements des doigts sont g
est plus marqué à droite. A part les mouvements du pouce, tous les mouvements des doigts sont gênés, et ceux des deux dernier
e des déformations semblables mais beau- coup moins accusées. Les mouvements d'abduction et d'adduction des doigts ne s'exécut
s trois premiers doigts des deux côtés en étaient exempts. Tous les mouvements des extrémités supérieures, même ceux de l'arti
mains, peut rarement se livrer à ses occupations habi- tuelles. Les mouvements du petit doigt sont impossibles, et ceux des "a
résentent la même déformation mais à un faible degré (pl. I). Les mouvements de flexion ou d'extension des deux derniers doigt
d'extension des deux derniers doigts sont impossibles : de même les mouvements de rapprochement et d'écartement des doigts.
gèrement rapprochés, les uns' des z 'autres; il ne peut faire aucun mouvement du petit doigt. 11 existe en somme .une. paraly
culation est augmentée de volume dans son diamètre transversal, les mouvements d'extension seuls .sont limites. 'L;é'piCii(1 v
ccident, qu'on traita pour une luxation, trois mois à recouvrer les mouvements de celte articulation. Depuis, jusqu'à il y avait
ation des muscles thoraciques; puis on le voit se modifier à chaque mouvement respiratoire et cesser définitivement avec le s
ocalisé aux membres, avait envahi la tête agitée dès lors de petits mouvements d'oscillation d'avant en arrière. Les deux dessin
it être en aucune façon modifiée par le malade, elles tentatives de mouvements communiqués étaient inutiles et douloureuses. C
s inférieurs, puis les membres supérieurs, purent exécuter quelques mouvements volontaires. Ni le cou ni le tronc n'étaient ri
signale les douleurs extrêmement vives qu'il éprouvait aux moindres mouvements de la tête, douleurs qui furent soulagées par l
te très difficilement et avec quelques saccades la main gauche. Ces mouvements provoquent une certaine douleur dans la partie
nir son verre et le porter à sa bouche. Du côté des jambes tous les mouvements sont possibles, mais sans force. Aussi la march
phalange. L'articulation phalangino-phalan- gettienne présente des mouvements de latéralité assez prononcés. La peau de la cu
aux deux membres inférieurs. La malade marche difficilement et les mouvements des membres inférieurs manquent de force; ceux
oduire dans la hanche. Elle accuse, comme autre trouble moteur, des mouvements involontaires des orteils qui coïncideraient av
la jambe gauche, qui est plus spasmodique que la droite, décrit un mouvement de circumduction, en même temps que, pendant la
rd : hémiplégie droite presque complète, sauf il la cuisse pour les mouvements associés. Il faut noter que celte paralysie hém
ussi la moitié du diaphragme, qui est, sinon complètement privée de mouvements actifs, du moins notablement parésiée. La jam
de la déformation qu'elle a constituée, une certaine gêne dans les mouvements du rachis, un léger endolorissement de- la régi
troubles du langage. On en retrouve la trace lorsque l'on écrit les mouvements du thorax2. La dépression de la force dynamomét
T DES FORCES. l'intensité des tremblements et l'affaiblissement des mouvements vo- lontaires. Cette connexité vient en effet à
rvalles des décharges se 'prolongent et s'affai- blissent, plus les mouvements volontaires sont faibles. Chez plusieurs épilep
épileptiques atteints d'hémiplégie avec hémichorée, j'ai étudié les mouvements anormaux comparativement à l'état normal et à l
; on voit qu'il reste encore après trois heures une exagération des mouvements qui est beaucoup plus forte à une époque plus r
e après un accès. 12 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTtUËRE. des mouvements choréiques peut être exagérée dans d'autres circo
que dix minutes après le choc du tendon du triceps (ng. 11, b) les mouvements sont encore exagères en intensité et en fréquen
s sur les membres du côté choréique qui sont capables d'exciter les mouvements anormaux; les efforts même peu violents faits a
déchargé par un accès récente. Je ferai encore remarquer que les mouvements hémichoréiques spon- tanés ou provoqués ne sont
i signalés ailleurs (Bull. Soc. biol., 1885, p. 590; - Sensation et mouvement , Bibliothèque de philosophie contemporaine, 188
ouver d'assez larges. Sa parole devint un peu épaisse el lente, ses mouvements plus lents qu'auparavant. Excepté des sensation
a conjonctive, la cornée et l'iris étaient dans un état normal. Les mouvements des yeux étaient bons. A droite la lumière seul
lumière et à la convergence mais d'une façon un peu paresseuse; les mouvements des yeux se font aisément. . La langue est gros
chiffre normal). ' Les petits muscles des mains exécutent tous les mouvements ; quoiqu'un peu faibles, ils sont assez volumine
isaient en 1784 les commissaires du roi, sont caractérisées par des mouvements précipités, involontaires de tous les membres e
férant guère de la mélancolie commune. Au début, il y a souvent des mouvements spasmodiques, convulsifs, arrivant par attaques
1. Binet et Féré, Recherches expérimentales sur la physiologie des mouvements chez les hystériques (Arch. de Physiologie, 188
tion qu'ils vont sup- porter. Il engage le malade à ne pas faire de mouvements , souvent in- volontaires, quand il sentira qu'i
'il quitte le sol, de façon à éviter les déplacements latéraux, les mouvements de torsion. Le malade a quitté le sol, de telle
non plus de petit pectoral. Le malade ne sent pas de gêne dans les mouvements d'adduction; mais il n'en est pas de même lors-
astrique. Elle est à prédominance clonique et a lieu avec de grands mouvements : il y a projection du bassin en avant, mais sans
. Du reste, de temps en temps, la paupière supérieure est animée de mouvements convulsifs spontanés, de frémissements qui s'af
s appréciable. 112 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. ' Les mouvements dévolus aux muscles extrinsèques de l'oeil s'effe
oeil gauche. En promenant un papier sur la cornée, on détermine des mouvements réflexes et du larmoiement, sans qu'il y ait de
la malade a une attaque convulsive à six heures du soir avec grands mouvements et très vive agitation. Après cette attaque, elle
ain (28 décembre), les douleurs augmentent d'intensité : le moindre mouvement des articulations de l'épaule et du coude et la
ies du membre supérieur droit : ce membre est incessamment agité de mouvements malléatoires de chorée rhythmée. L'état de la s
ndemne, car jusqu'au mois de juillet, le bras gauche a été animé de mouvements involon- taires, en l'absence des attaques de c
jonctive n'est pas sentie, mais produit du larmoiement et de légers mouvements palpé- braux. Ces constatations faites à l'ét
s en haut, la face grimaçante, les membres étaient agités de petits mouvements de flexion et d'extension. La sensibilité et l'in
sont fermés, les membres raidis; il n'y a pas de convulsion, pas de mouvement . La respiration est pénible, l'inspiralion siff
bes légèrement écartées, le pouce serré dans la main fermée, pas de mouvement , ni écume, ni morsure de la langue; l'urine s'é
u prépuce se trouve ainsi situé sur face gauche. La verge a subi un mouvement de torsion qui fart que sa face inférieure regard
rge a sa direction normale, mais toute, cette portion qui a subi le mouvement de torsion se porte oblique- mont, droite de fa
la langue est mordue quelque- fois, les bras sont agités de petits mouvements de peu d'étendue ; les jambes légèrement écarté
est dévié vers la gauche, le front fuyant. On ne constate pas de mouvements fibrillaires de la face, si ce n'est au niveau
u côté droit. Les lèvres à l'état de repos ne sont le siège d'aucun mouvement , mais dès qu'il veut les remuer pour parler ou
u'on dit au malade de projeter l'organe hors des arcades dentaires, mouvement qu'il accomplit d'ailleurs avec la plus grande
s nous ne constatons s de tremblements fibrillaires, mais, dans les mouvements de ces derniers, nous notons un certain degré d
s extrémités articulaires des deux os, phalange et phalangine'. Les mouvements volontaires ou provoqués sont possibles et n'év
oit pend flasque le long du corps;. il ne reste que quelques légers mouvements dans le pouce. Il existe de la paraly- sie faci
menus objets : les lèvres sont aussi, sans cesse, agitées de petits mouvements convulsifs que l'on voit quel- quefois aussi au
se. Malgré cette atrophie, la déviation de la langue est nulle. Les mouvements de déglutition se font assez réguliè- rement. C
de cette immobilité impassible des malades, de la lenteur de leurs mouvements , de leur allure raidie et scandée qui les fait re
t ressem- bler, lorsqu'ils se mettent en marche, à des automates en mouvement . Ils vont ainsi, à petits pas, avec une tendanc
ements, des rai- deurs dans la nuque. A partir de cette époque, les mouvements de la tête et du cou devinrent difficiles; peu
bres du côté droit sont indemnes de tout trouble fonctionnel. Leurs mouvements sont rapides cl'précis, tandis que les bras et la
tenu. La tête et le tronc restent également figés en extension. Les mouvements de latéralité, de rotation, de flexion sont len
malade avance en balançant ses hanches et décrivant à chaque pas un mouvement de faux avec sa jambe gauche; elle frotte le so
, la langue ne pouvait faire moins que de se trouver gênée dans ses mouvements et de réagir sur les os maxillaires cl principa
nçait les pointes acérées dans les chairs lorsqu'il lui prenait des mouvements de vanité; fait en sorte de goûter le moins pos
le diapason vibrant au-dessous du menton et en lui faisant subir un mouvement de rotation, j'ai pu faire subir à la langue ti
on, j'ai pu faire subir à la langue tirée hors de la bouche un même mouvement de rotation tel que la langue se plaça de champ
e le pied contracturé, pendant un temps assez long, on remarque des mouvements très lents d'élévation et d'abaissement de la p
e modifier légèrement. Elle s'exagère toujours sous l'influence des mouvements communiqués et de l'atten- tion du sujet. b)
tion inconscient qui se traduit par une résistance énergique à'tout mouvement imprimé au membre malaxé, d'où équilibre musculai
et la trépidation reparaît. Parfois le malade tombe, tandis que les mouvements oscillatoires recommencent plus forl». On voit al
toires recommencent plus forl». On voit alors le tronc exécuter des mouvements d'oscillation d'avant en arrière comme dans l'att
mbre à la partie interne, pen- dant que, du côté opposé, il suit le mouvement du bassin qui penche, descend plus bas et tend
ané et le bassin, une connexion intime ' qui fait que l'un suit les mouvements de l'autre. On peut constater en effet que si l
omme je l'ai déjà dit, la table interne suivant le cerveau dans les mouvements s'éloigne de la table externe, produisant l'agran
le moyen de se traîner jusque dans une maison voisine où elle a des mouvements convulsifs si violents qu'ils lui ôtent de nouv
que quelques demi-mois mal articulés qui, joints à ses gestes et au mouvement de ses lèvres, donnent plutôt a deviner qu'à en
r le bras et sur le reste de ce côté. Aussi conserva-t-elle quelque mouvement dans le bras gauche qui même se fortifia un peu
son côté gauche par une violente secousse. Mais, pour lui donner ce mouvement forcé, elle étoit obligée de se renverser en ar
et sa jambe gauche restèrent toujours dans'le même état sans aucun mouvement et sans aucune sensibilité, jusqu'à ne pas s'en
u des transports de son ardente prière elle sent un serrement et un mouvement dans le talon de sa jambe paralytique qui est l
a plus entière ; ce bras privé de tout sentiment et de presque tout mouvement agit avec facilité et avec force ; cette cuisse,
; huit jours plus tard nouvelle attaque cette fois accompagnée de « mouvements convulsifs, très violents'». Puis une hémiplégi
dans le spasme glosso- labié hystérique, car ici la contracture, le mouvement actif, a fait place à la paralysie, à la passiv
des transports de son ardente prière, elle sent un serrement et un mouvement dans le talon de sa jambe paraly- tique...» La
alisées, écume aux lèvres, congestion intense de la face. 2' Grands mouvements , salutations, contorsions interrompues de temps
que recom- mence soit par la phase épileptoïde, soit par les grands mouvements et ainsi de suite. Etat mental. - Le malade e
sacrum. Au bout de quatre mois, les jambes allaient mieux, mais le mouvement ne revenait que très lentement, au point que, c
; le thénar et l'hypothénar sont plats. Le pouce est agité par des mouvements fibrillaires surtout marqués il la face externe
ents fibrillaires surtout marqués il la face externe du thénar. Ces mouvements fibrillaires se retrouvent sur tout le bras gau
e. Aussitôt elle remarqua au niveau de l'éminence thénar droite des mouvements fibrillaires qu'il fut aisé de cons- tater. M.
a paralysie delà main droite. Description de la paralysie. Tous les mouvements de la main et des doigts sont abolis. La main p
malade ne peut ni étendre ni fléchir les doigts et le poignet. Les mouvements d'adduction et d'abduc- tion du poignet sont su
poignet ; les fléchisseurs du poignet ne sont paralysés que pour le mouvement de flexion isolé du poignet. Quand le malade fa
space de deux heures sous les yeux du malade et des assistants. Les mouvements de- viennent plus difficiles. Le soir du même j
l peut remuer un peu les doigts. Le soir, à quatre heures, tous les mouvements des doigts s'accom- plissent rapidement et sans
e peut se déboulonner, couper sa viande, accomplir presque tous les mouvements usuels. Cependant il ne faut pas que ces mouvem
resque tous les mouvements usuels. Cependant il ne faut pas que ces mouvements exigent un certain effort musculaire, car il ne
dans l'état de la main s'est accentuée : Dyn. = 15 kilos. Tous les mouvements sont possibles. 3-4 juillet. - Même état. Dyn.
TEI'11-l. 'il Les 12-13-14 août. L'oedème de la main s'atténue, les mouvements rede- viennent plus libres; le malade est très
reste violacée et insensible à la douleur et il la température. Les mouvements des doigts reparaissent. Dyn = 1 i 1 : . La par
uge, \iolac6a; il n'écume pas et ne se mord pas la langue. Grands mouvements . - Puis il jette sa tète à la renverse, et brusqu
s. - Puis il jette sa tète à la renverse, et brusquement, après des mouvements de circumduction des bras, à grande amplitude, il
ourné il droite, les bras et la tête rejetés en arrière. Ces grands mouvements se répètent une ou deux fois, puis le malade se
es passionnelles, avec quelques dé- placements de la tête, quelques mouvements des jambes et des bras d'ordre banal, il se met
il ne m'a rien fait. » Deuxième attaque. Phase épileptoïde; grands mouvements , arc de cercle, le délire continue. « Alors don
la ! la ! ce qu'il fait chaud ! on étouffe dans c'te cambuse. (Ici, mouvements répétés de déglution, ébauche d'attaque, effort
bain salé; l'oedèmc disparaît en grande parlie et ramène un peu de mouvement . Examiné de nouveau le mardi, on constate que l
faisant. L'oedème de la main gauche a reparu. Vendredi 27.' - Les mouvements reviennent dans les deux mains mais la'force es
s la zone hystérogène de la région sternale. Les périodes de grands mouvements qui entrecoupaient le sommeil, sans amener tout
s salutations. « Vous reconnaîtrez - dit M. Charcot dans ces grands mouvements de salutation un des épisodes les plus vulgaire
ns marquée de l'avant-bras du même côté où existent encore quelques mouvements de pronation et de supination. Biceps très amai
tient en flexion et les empêche de s'étendre. Il existe là quelques mouvements de flexion complètement abolis du côté opposé.
..i10. FIG, 87. - Arc de cercle. Emprostbotonos. o a FiG. 88. - Mouvements de salutation. 3"U NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA
, que Charcot caractérise si bien sous le nom de période des grands mouvements , période des contorsions, clownisme, qui se sé-
n la plus bizarre; on observe égale- ment pendant cette période les mouvements de salutation et l'arc de cercle (emprosthotono
un ennemi invisible, le terrasse; il exécute admirablement tous les mouvements du combat à la bayonnette, il met en joue, etc.
52 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ment synergique, est parésie, considéré au contraire comme muscle à mouvement dissocié, il est paralysé. » Telles sont les im
ÉTAT DU FACIAL SUPÉRIEUR. 5 se montre paralysé, tandis que dans les mouvements volon- taires le facial supérieur se montre bie
ait confirme d'une façon évidente l'importance de la synergie des mouvements dans la motilité du facial supérieur et explique
et revient moins sur lui-même dans l'expiration; l'amplitude de ses mouvements est en d'autres termes diminuée. La para- lysie
iable, et cependant il s'agit de muscles jouissant uniquement des mouvements synergiques. Si pour le facial supérieur on emp
ents étaient suffisamment précis. Quand le malade fait exécuter des mouvements aux mus- cles innervés par le facial supérieur,
r le facial supérieur, ce n'est pas seulement à l'existence même du mouvement qu'il faut s'attacher ; il faut en étudier tous
étendu du côté paralysé que du côté sain ? est-il aussi rapide ? le mouvement s'accomplit-il d'une façon régulièrement progre
s droits que de la diminution de la force musculaire, mais tous les mouvements sont possibles, bien que plus faibles. Léger mo
is tous les mouvements sont possibles, bien que plus faibles. Léger mouvement de faux de la jambe droite. Les rétlexes roluli
ôtés; les sourcils occu- pent la même position; leur résistance aux mouvements passifs est égale ; les sourcils se relèvent et
Le facial supérieur est à peine touché. La malade exécute tous les mouvements , à volonté, sans aucune différence d'un côté à
és, la queue du sourcil droit est plus abaissée que la gauche ; les mouvements des sourcils sont égaux et symétriques des deux
nt contractés L'ÉTAT DU FACIAL SUPÉRIEUR. 13 ils présentent aux mouvements passifs la même résistance. Le malade ferme iso
ales. Le sourcil droit semble offrir une plus grande résistance aux mouvements passifs. Ce sourcil se relève moins vite et moi
s que le droit, son champ d'excursion est limité. La résistance aux mouvements passifs semble égale des deux côtés. N'a jamais
'hémiplégie gauche à quarante-sept ans. Contracture très accentuée. Mouvements du bras presque totalement abolis ; ne peut mar
égales. Le malade abaisse et élève facilement les sourcils, mais le mouvement s'exécute moins vite à gauche : le sourcil gauc
îne et retarde sur le sourcil droit. La résistance des sourcils aux mouvements passifs est moindre à gauche qu'à droite. Le ma
cles innervés par ce nerf jouissent presque de l'intégrité de leurs mouvements , et sont seulement parésiés, le facial supérieu
nnue de Broadbent et et Charcot : dans l'hémiplégie les muscles des mouvements associés sont affectés à un degré beaucoup moin
ssociés sont affectés à un degré beaucoup moindre que les muscles à mouvements asyuergiques. Les muscles innervés par le facia
seul sourcil, de relever et rider le front d'un seul côté. Le seul mouvement asynergique qui dépende du facial supérieur est
n oeil, et encore beaucoup d'individus ne peuvent-ils exécuter ce mouvement . Rien d'étonnant donc à ce que les muscles du f
e côté paralysé pendant ces mou- vements on est frappé de ceci : le mouvement commence plus . vite du côté sain que du côté p
uffit de faire répéter au malade, sans inter- ruption, une série de mouvements d'abaissement et d'éléva- tion des sourcils. *D
. cle paralysé sur son congénère et la différence d'amplitude des mouvements des muscles des deux côtés. Quand les sourcils
e du côté sain. Le sourcil est relevé, sa courbe est accentuée. Les mouvements d'élévation et d'abaissement du sourcil sont tr
on, servir de document unique pour la détermi- nation du centre des mouvements de la face chez l'homme, il faudrait conclure q
r, et moins encore que ce dernier puisque celui-ci possède quelques mouvements asynergiques, tandis que le moteur oculaire ne
ments asynergiques, tandis que le moteur oculaire ne jouit que de mouvements synergiques ? Nerf synergique, le moteur ocu- l
nergique, le moteur ocu- laire conserve l'intégrité complète de ses mouvements volon- taires ; mais sa tonicité, par suite de
culaire opposé supplée son homologue du côté paralysé pour tous les mouvements synergiques des yeux; mais celui du côté hémipl
a moitié du corps ; complè- tement les muscles des membres dont les mouvements sont asynergiques, moins complètement le facial
ont asynergiques, moins complètement le facial inférieur dont les mouvements sont au moins autant synergiques que asyner- gi
omplètement le facial supérieur comme les muscles du tronc dont les mouvements sont essentiellement synergiques, bien qu'on pu
plement la tonicité du moteur oculaire commun dont presque tous les mouvements sont synergiques. Nous rentrons ainsi dans la g
ot, qui veut que l'hémiplégie respecte relati- vement les muscles à mouvements associés. D'autres symp- tômes font encore adme
Le moteur oculaire commun ne présente qu'un seul muscle dont les mouvements ne soient pas absolument synergiques. Les globe
paupière supérieure. Celui-ci reprend le premier l'intégrité de ses mouvements ; le facial supérieur peut aussi reprendre tout
éral ; lloeil et le regard brillant et hagard, continuellement en mouvement et agitation, discourant sans trêve, incohérent d
es et actes, incohérents dans leurs discours, et continuellement en mouvement ; le contraire arrive dans la mélancolie où il
mélancolie avec stupeur. Le regard est terne, fixe immobile; les mouvements du globe oculaire et surtout le mouvement d'élé
erne, fixe immobile; les mouvements du globe oculaire et surtout le mouvement d'élévation se font très lentement et difficile
yeux et le regard troubles, dirigés en bas. On note aussi un léger mouvement fébrile. Observation II. Le nommé C. Putride, m
ficile. Les extrémités supérieures offrent des tremblements, les .5 mouvements des membres sont lents. La force musculaire est
remblement presque continuel de la tête, nous observons de même des mouvements continuels de la langue, comme s'il était à goû
on. Les traits de la figure sont altérés, le regard est éteint, les mouvements sont lents. Tout son extérieur dénote une dégra
e; cela s'observe surtout quand nous lui com- mandons d'exécuter un mouvement , qu'elle exécute très tardive- ment et lentemen
u corps ; les articulations exécutent passivement et activement les mouvements les plus étendus. Les fonctions respiratoires e
illant à ce qu'il ne se fasse pas de mal, on le laisse libre de ses mouvements . Il reste un moment étendu sur le gazon, les ja
s font des éloges sur sa bonne tenue et sa docilité. 'Février. Un mouvement de colère, le 1 ? veut se précipiter sur un de
ices de gymnastique (échelle convexe, échelle horizontale, anneaux, mouvements d'ensemble). Au jardin, travaille avec goût; to
progrès. Le caractère s'est bien amélioré, l'enfant n'a eu aucun mouvement de colère, bien qu'il ait été plusieurs fois taqu
ndre la démarche anormale et il y aurait lieu de rechercher dans le mouvement dit ataxique, ce qui dépend de l'hypotonie musc
nsion de la chorée à la face et à la langue s'exagérant pendant les mouvements et cessant pen- dant le sommeil. Yeux et pupill
rienter le malade sur la situation de ses membres avant le début du mouvement , puis sur leur état pendant chaque phase du mou
t le début du mouvement, puis sur leur état pendant chaque phase du mouvement ; c'est ainsi qu'il peut dans certaines limites
es renseignements correcteurs, aussi n'est-il ataxique que pour les mouvements difficiles. C'est en réagissant sur le trouble
la sensibilité objectivement mesurable, pas plus la rééducation des mouvements coordinateurs perdus de l'ataxique n'améliore néc
s parties physiques, mais encore quelques caractéris- tiques de ses mouvements organiques aussi bien que de ses quali- tés int
et plus encore que la con- tracture met obstacle tout au moins aux mouvements provoqués. Cette arthrite est due simplement à
ra chercher par des exer- cices répétés à rééduquer si possible les mouvements et au besoin l'aphasie, besogne toujours longue
erf : flexion des premières phalanges et extension des der- nières, mouvements d'adduction du pouce, et mouvements du petit do
s et extension des der- nières, mouvements d'adduction du pouce, et mouvements du petit doigt dépendant de l'action des muscle
un autre, et dont l'unique cause est la sensation douloureuse. Ces mouvements ne sont pas le moins du monde une réponse spéci
nse spécifique à l'excitation du cubital ; ce sont au contraire des mouvements de défense dans le sens le plus large du mot. I
ion aussi délicate, qui peuvent exécuter pendant l'expérience des mouvements variés et troubler ainsi le jugement de l'expér
ît bien les couleurs et distingue les nuances. Légère ovarie. Les mouvements respiratoires lents. Le pouls très faible et à
ur, un manque d'énergie et de volonté est mani- feste dans tous ses mouvements et tous ses actes. Il répond à nos questions, m
que nous lui disons. Le malade doit être forcé pour manger. Ses mouvements sont très lents, en imprimant divers mouve- men
avail notable dans son cer- veau, pour pouvoir mettre ses lèvres en mouvement et pour parler. Observation XXVII. La nommée Sm
re exact des racines rachidiennes dont l'excitation détermine des mouvements de la tête sur le tronc ; 2° la position exacte d
commandé par plu- sieurs racines. Les racines en relation avec les mouvements de la tête sont toutes les cervicales et les de
s les quatre premières) thoraciques. Les premières commandent les mouvements directement, les dernières indirectement. Après l
nières indirectement. Après la destrulion complète d'une racine, le mouvement d'abord aboli se rétablit rapidement dans un mu
l'auteur quelques hypothèses : la cellule corticale commandant les mouvements de ce muscle lui envoie son influx par l'intermé-
Les suites opératoires furent très bonnes. Le malade recouvra le mouvement dans le côté gauche six jours après l'opéra- ti
orpions, grande excitabilité musculaire : le malade est toujours en mouvement , il s'arrache les cheveux, s'égratigne; il peut
qui, soit momentanément, soit d'une manière continue, exécutent des mouvements ou des actes violents et rapides, ou bien à ceu
cette hypo- thèse et préfère provisoirement se rallier à celle des mouvements cellulaires du. neurone. 1. Il. REVUE DE PA
gliome a pu au début, étant sous- cortical, comprimer le centre des mouvements du bras ou une des artères qui l'alimentent el
e cornéenne. La constatation des signes suivants : provoca- tion de mouvements fibrillaires par la percussion des muscles para-
tement, toujours d'une intelligence médiocre et peu habile dans ses mouvements . A l'âge de vingt- deux ans, traumatisme violen
ncertaine et vacillante. Plus tard, tremblement et mala- dresse des mouvements des mains. Depuis quelques mois seule- ment, di
ts courts. Tremblement des mains avec incertitude dans leurs petits mouvements ; écriture irrégulière (ataxique) avec tremblem
e laquelle la démarche devint vacillante, plus tard, maladresse des mouvements des mains. A l'âge de dix-neuf ans, le strabisme
(oculaire) des deux côtés. Maladresse dans l'exécution des petits mouvements des doigts, écriture légèrement ataxique. Faculté
ment ; voix de tête, aiguë. Rire facile. Maladresse dans les petits mouvements des mains. Ecriture ataxique. Instabilité des j
réthisme moteur fait qu'il attribue à des volontés étrangères ses mouvements en quelque sorte imaginaires et virtuels, ou ses
décrit cette excitation pathologique que porte à la fois sur les mouvements extérieurs, sur la parole et sur les mouve- men
onnels. Le malade est d'une activité exubérante, il est toujours en mouvement , parle sans cesse, ne connaît ni le repos ni la
ux à tares héréditaires moins nombreuses coor- ' Feré. Sensation et mouvement . 278 PATHOLOGIE MENTALE. donnent plus soign
de La Rochelle qui eut pour effet, nous l'avons vu, de corriger le mouvement com- mencé et de l'aiguiller désormais dans sa
ntraire Y agitation LES psychoses d'auto-intoxication. 283 avec mouvements coordonnés d'actions imaginaires, souvent profe
ge phonétique au moyen de l'écriture, il nous faut avoir l'idée des mouvements de la main nécessaires pour représenter l'image
mprimés)1; 4° les images motrices des mots parlés, c'est-à-dire des mouvements nécessaires pour reproduire oralement les image
centre d'articulation A passe, dans l'intervalle, parle centre des mouvements B. La voie u-r-y qui va de l'image graphique Sch
on mécanique de l'écriture A' passe par le centre intermédiaire des mouvements de l'écriture B'. La voie zz est la voie de per
l'écriture B'. La voie zz est la voie de perception par l'ceil des mouvements que font les organes de la parole pendant l'act
acte de la parole, elle passe par le centre 111 des conceptions des mouvements de l'instrument de la parole qui accompagnent l
- tenant nettement au pneumogastrique n'ont aucune action sur les mouvements de l'estomac. Les racines bulbaires du spinal exc
l'estomac. Les racines bulbaires du spinal excitées provoquent des mouvements de l'estomac qui sont de plus en plus énergique
s que le signe de Groefe persista, c'est-à-dire la dissociation des mouvements d'a- baissement de la paupière et de l'oeil. L'
se présente sous deux formes dis- tinctes ; il est aigu avec léger mouvement fébrile ou chronique d'emblée; 8° la maladie dé
L'articulation de l'épaule gauche est tuméfiée et limitée dans ses mouvements . Mort. A l'autopsie on trouve : Leptoméningite
crise convulsive complète avec secousses toniques et cloniques. Les mouvements terminés, la malade tombe dans un état de sommeil
estions qu'on lui pose; en même temps, elle se livre à une série de mouvements désor- donnés : lève les jambes en l'air, montr
elle repousse violemment les personnes qui l'ap- prochent, par des mouvements brusques, malcoordonnés, véritableg Archives, 2
mes caractères que lors de l'entrée de la malade : cris de frayeur, mouvements désordonnés, actes de vio- lence. Néanmoins, gr
ieds sont tom- bants et les jambes n'opposent aucune résistance aux mouvements passifs de flexion et d'extension. Sensibilit
le membre inférieur droit que dans le gauche, et dans les deux, les mouvements ont com- mencé d'abord à la racine, puis aux ex
'abord à la racine, puis aux extrémités. On a observé aussi que les mouvements de flexion ont été plus faciles et plus énergiq
n. En octobre 1896, le membre abdominal droit jouissait de tous ses mouvements , tandis que le gauche pouvait à peine faire ceu
pendant son sommeil la malade pouvait communiquer à son membre des mouvements de flexion et d'extension dont il ne jouissait
gauche est contracté ainsi que tous ses segments en extension. Les mouvements d'extension dorsale du pied et des doigts sont
eure. Les paupières sont parfois rouges à leurs bords libres. Les mouvements du globe de l'oeil se font difficilement, surtout
mouvements du globe de l'oeil se font difficilement, surtout les mouvements d'élévation. Cette immobilité est plutôt l'effe
out en bas, les mouve- ments de latéralité se font avec lenteur, le mouvement d'élé- vation se fait aussi comme nous l'avons
n se fait aussi comme nous l'avons vu, avec beaucoup de lenteur, le mouvement d'abaissement de l'oeil est prédomi- nant et pe
d'attention, auparavant consacrée à la production de sensations, de mouvements et d'idées. Que cette attention, ainsi rendue dis
de fatigue. La marche est pénible ; il me semble, dit-elle, que les mouvements de mes bras se font moins facilement. Ces quelq
angulaires. Le bras finit par être appliqué contre le tronc et les mouvements devinrent impossibles. Rien ne put arrêter l'év
re, la malade avait de la dyspnée, dès qu'elle essayait de faire un mouvement quelconque ou dès qu'on la remuait ; au repos,
ocondres, au moment de l'inspiration, et dilatation de la poitrine; mouvements opposés pendant l'expiration). Il y avait donc
otamment à iatëte qui, lorsqu'elle n'est pas appuyée, est agitée de mouvements de oui, de non et de latéralité. Dans les membr
nt intentionnel ; il n'apparaît jamaisau repos. Quand on ordonne le mouvement classique de poiler le verre à la bouche, de bo
de la bouche, elle cherche à faire les 396 - SOCIÉTÉS SAVANTES. mouvements nécessaires pour boire, le tremblement reparaît;
es caractères classiques ; toutefois, ce tremblement est limité aux mouvements des doigts et de la main sur Pavant- bras, de s
main sur Pavant- bras, de sorte qu'il apparaît nettement quand ces mouvements interviennent pour saisir le verre ou pour le v
s il ne se montre pas du tout lorsque, le verre une fois saisi, les mouvements de l'avant-bras et du bras interviennent seuls
quence de ses oscillations à la minute et de l'influence que les mouvements exercent ou non sur son intensité, mais on ne s'o
us montrera le nombre des aliénés s'élevant, tous les jours, d'un mouvement plus rapide que celui de la population ; et cet a
et interstitielles de l'écorce permet d'expliquer la production des mouvements cho- réiques et des troubles mentaux dans la ma
vention et aux relations de notre collègue, le docteur Boubila, un mouvement rapidement généralisateur qui s'est propagé des c
s. conseil municipal, à démontrer que rien de ce qui intéresse le mouvement scientifique ne vous était indifférent et vous av
directe du cervelet se rapportent exclusivement à la fonction du mouvement ; 2° Les phénomènes moteurs sont de la même natur
cervelet se trouve en rapport avec les muscles de la peau ; 5° Les mouvements oculaires se trouvent sous le contrôle direct d
ien déterminés de l'écorce céré- bellense commandent les différents mouvements des globes ocu- laires ; 0°Les mouvements ocula
commandent les différents mouvements des globes ocu- laires ; 0°Les mouvements oculaires sont des mouvements associés ; 410
ements des globes ocu- laires ; 0°Les mouvements oculaires sont des mouvements associés ; 410 SOCIÉTÉS SAVANTES. '7" L'exc
410 SOCIÉTÉS SAVANTES. '7" L'excitation du cervelet produit des mouvements nystagmi- formes des globes oculaires; ces mouv
t produit des mouvements nystagmi- formes des globes oculaires; ces mouvements très variés se pro- duisent principalement dans
e- ments nystagmiformes sont toujours bilatéraux ; 8° En plus des mouvements oculaires habituels, on observe encore de la prop
omènes spasmodiques, mais plus tard, et ils leur succèdent ; 4° Les mouvements ataxiques de la tête et du tronc qu'on observe
cervelet, de même que le tremblement qui augmente à l'occasion des mouvements volontaires et porte le caractère du tremblement
ate une certaine faiblesse des membres et de l'incertitude dans les mouvements surtout en ce qui concerne les jambes. Les réfl
op vague, trop peu aperceptive, trop incomplète pour déterminer des mouvements normaux. Ce n'est pas seulement par des inhibit
le qui a fait disparaître l'aperception nette de la finalité de ces mouvements et de leur rapport avec l'excitation psychique qu
é, associer consciemment cer- tains sons et .bruits (mots) avec des mouvements appropriés de l'appareil articulateur, afin d'a
sensibilité rendent les services suivants : 1° font exécuter divers mouvements nécessaires pour l'articulation des sons ou l'é
moyen ou postérieur). C'est ce qui empêche ou supprime, tantôt les mouvements des organes articulateurs, tantôt l'excitation
ts sous les arcades dentaires au moyen de la langue, bien que les mouvements de cet organe ne fussent en rien altérés. Il s'
généralement accouplé ou en chaînettes de 3-'r-5 éléments, doué de mouvements oscillatoires lents et peu étendus, se colorant
ité réllexe, difficulté considérable à reprendre l'équilibre perdu, mouvements ataxico-parético-spasmodiques des membres, épui
une paralysie des quatre membres, présente une abolition totale des mouvements phonétiques de la langue et divers troubles tro
resse, saute et danse, jette oreiller, couverture et traversin; ces mouvements désordonnés sont d'habitude de courte durée et
sements et constipation. Cette poussée méningitique s'accompagne de mouvements jack- sonniens convulsifs localisés aux membres
lsifs localisés aux membres supérieur et inférieur droits. Le 2 ces mouvements sont lents, désordonnés, arythmi- ques, choréif
membre supérieur droit. Les doigts de la main droite sont animés de mouvements at/tfMttfes étendus, analogues à ceux des danse
our, la main se fléchit sur l'avant-bras qui exécute à son tour des mouvements successifs de pronation, de supination, de flex
surtout la région frontale, s'irradient parfois vers l'occiput. Les mouvements du membre inférieur droit sont moins étendus, m
s étendus, moins fréquents, plus lents ; les oileils esquissent des mouvements athétosiques ; ce sont leurs mouvements d'exten
les oileils esquissent des mouvements athétosiques ; ce sont leurs mouvements d'extension qui sont surtout accentués. Les diver
Il existe aussi quelques troubles vaso-moteurs. Le 2 septembre. Les mouvements cliorëiformes, jaclaonniens, du membre supérieu
membre supérieur et de la moitié droite de la face persistent ; les mouvements athétosiques de la main droite ont cessé ; la j
la main droite ont cessé ; la jambe droite est le siège de quelques mouvements spontanés clioréiformes; le pied droit exécute
lques mouvements spontanés clioréiformes; le pied droit exécute des mouvements incessants de flexion, d'extension avec écartem
40°, tandis que, le matin, le thermomètre descend à 38°. Le 3, les mouvements athétosiques de la main droite reparaissent ave
araissent avec une nouvelle intensité. Le poignet droit exécute des mouvements successifs de 496 SOCIÉTÉS SAVAKTLS. flexio
agérée ; enfin le membre supérieur présente, dans son ensemble, des mouvements de reptation, de torsion, augmentés encore par
exes rotuliens abolis, pupilles dilatées. Le 5, la tête exécute des mouvements d'oscillation, d'inclinaison, de rotation vers la
s paupières ont des oscillations convulsives, parallèles. Le 6, les mouvements cho- réiformes sont tels que la malade tombe de
tombe de son lit. Trismus, mâchonnement, raideur de la nuque. Le 8, mouvements athéto- siques de la main gauche exagération de
on de l'hyperesthésie cutanée et musculaire. Le 10, disparition des mouvements athétosiques, on constate les signes d'une cave
e, elle ne peut conserver ni ses urines ni ses matières. Le 14, les mouvements athétosiques prédominent à gauche, paralysie co
es supérieurs sont moins contracturés; ils n'exécutent que quelques mouvements maladroits, après une certaine éducation. A sep
ainsi dire, à chaque pas. Les pieds s'entrecroisent, exécutent des mouvements de rotation autour l'un de l'autre sans pouvoir
glisse péniblement son pied qui. en décrivant autour de l'autre un mouvement de spire, racle le sol qu'il ne quitte pas. Depui
enfin que les doigts étaient repliés dans la paume de la main. Tout mouvement SOCIÉTÉS SAVANTES. 501 spontané de ce membr
s qu'il veut faire exécuter à ses membres contractures le moindre mouvement , ils sont pris d'un tremblement rapide. La face a
étions chargé. Le membre supérieur gauche peut exé- cuter quelques mouvements brusques, saccadés, sans atteindre le but visé.
tabilité électrique normale, pas de réaction de dégénérescence. Les mouvements du membre inférieur gauche sont très brusques e
t placé légèrement en équerre. Le membre inférieur gauche décrit un mouvement spiroïde, s'appuie à peine sur le talon, est pl
ésultat favorable. Après une trentaine de séances de pendaison, les mouvements des membres supérieurs et inférieurs gauche sont
articulation coxo- fémorale est toujours tuméfiée, douloureuse, les mouvements sont fort difficiles. L'atrophie des membres in
teur qui a exposé le pro- gramme des cours. Puis, M. Rey a donné le mouvement de l'alié- nation mentale dans les Bouches-du-R
uifs dans l'évolution écono- mique et à la part qu'ils ont prise au mouvement général de la civilisation. L'ouvrage est précé
53 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 21, n° 121-126] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
lle exécute 8 CLINIQUE NERVEUSE. assez bien avec ses jambes les mouvements commandés. Elle n'éprouve pas de douleurs dans
pas d'albuminurie. Elle a senti remuera 5 mois, mais, dit-elle, les mouvements étaient moins forts qu'a ma seconde grossesse.
e plus marqué à droite, mais on arrive facilement à la vaincre. Les mouvements des jointures sont limités; on ne peut arriver
e sur le bassin. Le membre droit est plus fléchi que le gaucho. Les mouvements spontanés sont possibles, mais lents. Réflexes
20 CLINIQUE NERVEUSE. excite la plante du pied, mais ne fait aucun mouvement des orteils en flexion ou en extension. Contrac
00 par an, ce qui fait 65 par médecin ! Ne voilà-t-il pas bien ce « mouvement de population intense, sans ana- logue dans les
tée de ces chiffres, car beaucoup d'asiles de pro- vince offrent un mouvement plus considérable. Ainsi je trouve, pour 1904 :
té la cause du tremblement qui prenait naissance à l'occasion des mouvements du bras gauche. G. D. VI. - Lesvertiges par sym
cas est le pavillon de la trompe d'Eustache dont la position et les mouvements sont modifiés et par suite les fonctions compro
psychiatrie, dans tous les pays, un tel effort scientifique, un tel mouvement d'idées et d'opinions, que cette spécialité méd
açon progressive. La malade fut d'abord capable d'exécuter quelques mouvements de plus en plus éten- dus, déplus en plus énerg
ucun lover pneumonique et les sommets sont normaux. Motilité. Les mouvements spontanés des cui,.c·, et des jam- bes sont pos
on de cette force dans les autres segments varie beaucoup avec le mouvement considéré. Ainsi la flexion de la jambe sur la cu
même au bout de quelques mois on peut espérer une amélioration des mouvements , malgré une paralysie sphinctérienne totale; au
rabattue et déviée vers le cubitus, les doigts sont en flexion, les mouvements ne peuvent être provoqués, les masses musculair
ontracture est moindre qu'au mem- bre supérieur, il existe quelques mouvements dans les articula- tions du genou et de la hanc
excitation démesurée, une exagération des réflexes et de tous les mouvements , ou bien par une diminution de la sensibilité,
es réflexes lendineux augmentés : trem- blement des mains il chaque mouvement ; les réflexes pharyn- giens et oculaires étaie
l : le malade affirme nette- ment avoir toujours été raide dans les mouvements , mais celte raideur s'est encore accentuée vers
ents du malade, il existe chez lui une raideur au début de tous les mouvements volon- taires tant aux brasqu'au tronc et aux j
ux brasqu'au tronc et aux jambes. Une fois les mus - des bien misen mouvement , cette raideur disparaît. Le malade sent parfai
e, soulever une lourde planche, la gêne qui caractérise le début du mouvement rend lesoulevemcnt dillicile et quand il y est
cher, il y a ordinairement, mai, pas toujours, une gêne visible des mouvements , puis, après avoir fait deux en [rois pas,il éc
Sauf la gêne spéciale décrite plus haut, il n'y a aucun trouble des mouvements volontaires, la force est normale ; la pression
istance variable : tantôt plus forte que la normale. Les principaux mouvements réflexes sont absents : nous n'avons pu obtenir
dans le cordon latéral des py- ramides. " 1'. -KERAVAI.. 1.- Des mouvements de compensation ou de remplacement dans les aff
émiparétiques à la suite d'ictus cérébraux n'exé- cutent jamais les mouvements qu'on leur demande de faire du côté parésié. bi
us rarement, les abducteurs de la jambe entrent en jeu. Souvent les mouvements sont très lents. Il se peut aussi que la zone r
des fibres musculaires sur leurs enveloppes ; il est indépendant du mouvement du sang. Dans les paralysies fiasques complètes
s atteints, absolument rien quand on invite les malades à faire des mouvements . Dans les paralysies flasques incomplè- tes, le
e réaction dégénérative partielle fourni'- sent un son pourvu qu'un mouvement musculaire soit possible. L'excitation faradiqu
e du nerf, il y a un son musculaire comme dans la tétani- sation du mouvement volontaire, pourvu que le L·Lanos soitsuf- fisa
instantanément apparu quand les patients ont réussi à exécuter un mouvement volontaire. Le mécanisme de l'innervation volon-
ment l'extrémité inférieure de ce ligament, vous obtenez un lé- ner mouvement de projection de la jambe, ou au moins la main
usculaires et leurs nerfs. Mais il y a plus, l'exercice de certains mouvements nécessite une action motrice 'le stabilisation,
ut considérer : a) chaque arti- culation en particulier ; b) chaque mouvement simple ; c) la force de la contraction ;d) la f
il va être soumis, il ne peut guère invariable- ment commander aux mouvements réflexes de ses paupières, ou tout au moins il
es, notam- ment dans l'hystérie. Afin d'éviter de mettre l'air en mouvement par le claquement t des mains, on peut frapper
ètre à l'échelle de 1 il volts, voici que l'aiguille fait de grands mouvements , pour se fixera l'index de 3 volts environ quand
itales, ou d'autres parties de la main, on voit l'aiguille faire un mouvement vers le zéro : il semble qu'une partie de la ch
roné, on provoque rotation et adduction en dedans de la cuisse avec mouvement en dehors do la jambe. 4° Le heurt de la mall
dans la suite. Plus tard,les membres supérieurs furent attcints,les mouvements actils ont peu d'amplitude mais les mou- vement
eurs fort légère. Point de trouble du senti- ment de position et de mouvement des membres, probablement à raison de la stabil
développés des signes d'impotence motrice à l'occasion de certains mouvements volontaires. Ainsi s'il peut cligner des paupiè
uscles différant de la myotonie pure, d'autant que la difficulté du mouvement , loin de n'exister qu'au début delà mise en tra
artyrs que ceux pour lesquels l'auto- rité judiciaire a été mise en mouvement , ces cas sont peut-être assez rares, eu qui n'e
de con- seils do guerre. Jean Abadie. VARIA Asiles d'aliénés. Mouvement de janvier 190G.- )1. le I)1' Leroy, médecin adjo
catatonique, négutiv is- me-mutisme, stéréotypies d'altitudes et de mouvements (assis dans la salle, se couvre la tête de ses
le avait des attitudes cataleptiques, s'immobilisant au milieu d'un mouvement . Elle étaiten état de demi-stupeur, avec confus
er pour la faire manger, elle décomposait en quelque sorte tous les mouvements nécessaires pour prendre de la viande dans son
centuèrent. Elle avait un peu de négativisme, et, nu faisait pas un mouvement spontané. On était obligé de lui donner sa nour
s épaules et venir s'asseoir sur la.chaise pour le gavage. Tous ces mouvements spontanés et nouveaux sont, ilest vrai, extrême
e empruntés : ils contrastent, comme toujours dans ce cas, avec les mouvements stéréotypes, lesquels s'accomplissent sans effo
'accomplit de plus en plus facilement, mais la malade ne fait aucun mouvement de dégluti- lion et laisse couler hors de sa bo
t introduit. Quelques jours après, elle commence à faire un léger mouvement de déglutition, puis le fait de mieux en mieux ju
constances. Peu de temps après cette première crise, apparurent des mouvements cloniques involontaires, cho- réiformes, instal
rs. L'attaque était annoncée par une exagéra- tion très marquée des mouvements choréiformes durant deux GROSSESSE ET PUEI21'
ire d'urine ou de matières fécales. Après l'attaque, diminution des mouvements choréifor- mes en intensité et fréquence pendan
fs, elle devient irritable, el soutire de ne pouvoir exécuter aucun mouvement volontaire. Son affectivité est très affaiblie
tente se produit, tou- jours très courte. Les intervalles entre les mouvements convul- cifs onf une durée des plus variables,
ce maximum d'une minute, et qui est d'autant plus courte que les mouvements choréiques sont plus violents. La succession de c
es mouvements choréiques sont plus violents. La succession de ces mouvements est irrégulière, grâce il l'apparition fréquente
Dans les moments où l'agitation mo- trice est la plus violente, les mouvements se succèdent avec une grande rapidité, coup sur
istent il d'autres, très courts et toujours de durée inégale. Les mouvements convulsifs apparaissent brusquement, saisis- sa
gée sur son lit, en résolution musculaire, elle est surprise par un mouvement involontaire, qui, dans un soubresaut généralis
tion (altitude habituelle), elles sont violemment disjointes par un mouvement de projection en avant de tout le membre ; en m
restent dans celle position, sans raideur ; on n'observe jamais ni mouvements alhélosiques, ni culte attitude 'de contracture
e de la contraction. C'est la face qui est la plus atteinte par les mouvements cho- réiformes : tous ses appareils musculaires
, avec prédomi- nance du côté droit, par suite de l'adjonction, aux mouvements choréiques que nous décrivons, d'un tic convuls
n arrière en masse, et la tête retombe sur l'oreiller. - Quand le-, mouvements involontaires saisissent la malade, pen- liant
t la malade, pen- liant son repas ou pendant l'accomplissement d'un mouvement volontaire, celui-ci est brusquement interrompu
n primitivement- voulue est. totalement modifiée par exagération du mouvement : si la malade portait la main sur sa tête. la
ête. la main est projetée latéralement et dépasse le but. Quand les mouvements musculaires la surprennent debout, elle est obl
embres inlérieurs sonl souvent le siège, même dans l'intervalle des mouvements convulsifs, de tremblements qui déterminent la
nts convulsifs, de tremblements qui déterminent la chule, Quand les mouvements choréiques sont trop intenses et rapprochés, la
n tolérés, mais restent sans effet sédatif bien marqué soit sur les mouvements choréiformes, soit sur les crises. Régime lacté
ours, la malade présente un calme absolu, et n'est agitée par aucun mouvement choréique involontaire. Pas de crise GROSSESS
erçoit d'abord la bouche et la langue de l'enfant, qui exercent des mouvements de succion ; peu à peu se dégagent le nez, puis
ontaires jus- qu'au 18e jour. A partir de ce moment (22 avril), les mouvements choréiques reprennent leur intensité et leur Ir
inexistant dans les précédentes : émission d'urine et de fèces. Les mouvements choréiques persistent après l'at- laque avec un
par sa forme clinique que par son évolution. Chez notre malade, les mouvements sont du type choréique, semblables aux secousse
n dans le jeune Age de la malade : c'est, d'une part, l'analogie du mouvement avec la secousse électri- que ; d'autre part, l
ctoires comme dans la chorée vulgaire. Ici chaque membre-exécute un mouvement dans sa totalité, et l'on ne voit pas de gestes
ts d'un môme membre. Il existe enfin une certaine symétrie dans les mouvements de deux membres ho- monymes, qui sont simultané
a tranché la question. Le caractère des secousses électriques des mouvements choréiformes, rapides, instantanés, de notre ma
communs des chorées électriques ». Ce sont bien les caractères des mouvements choréiformes de notre ma- lade. Dans notre ca
es mouvements choréiformes de notre ma- lade. Dans notre cas. les mouvements involontaires sont généralisés, sans la localis
formes de chorée électrique. Néanmoins, il y a prédominance de ces mouvements sur la face, où ils sont plus fréquents que dan
i, quia duré ^ jours entiers, ne s'est accompagné que de très rares mouvements involontaires, localisés unique- ment il la fac
s du travail, chaque contraction utérine augmentant le désordre des mouvements . Le travail, il défaut de la grossesse, a donc
: CHEZ UNE 1 : 1'ILLI'CIQIrI·;. 185 une influence évidente sur les mouvements choréiques. Comment expliquer cette action ? Là
agents toxiques ont imprégné les centres nerveux pour provoquer un mouvement con- vulsif spécial, on ne s'expliquerait pas q
orie nerveuse explique facilement pourquoi le travail a atténué les mouvements choréiques, au lieu que l'auto-intoxication les
symétrique des muscles in- nervis par les 3e et 4° paires (périodes mouvements associés d'é- lévation, d'abaissement, de conve
teinte de la musculature interne et conservation parfaite des seuls mouvements conjugués de latéralité. Dans les deux cas qu'i
thétique. - D'une part la conservation, cliniquement constatée, des mouvements asso- ciés de latéralité des yeux, d'autre part
et des conditions toniques et trophiques des centres nerveux. Le mouvement est prompt, ample, de brève durée, et cesse bru
traînante, sans troubles intellectuels. Tremblement de la langue et mouvements brusques de la tête et des muscles sourciliers.
fois par jour. Chaque séance doit comporter : l'immobilisation des mouvements puis les mouvements d'immo- bilisation. Leur du
ue séance doit comporter : l'immobilisation des mouvements puis les mouvements d'immo- bilisation. Leur durée doit être variab
tionnelles des ophtalmoplégies organiques par la conserva- lion des mouvements automatiques et réflexes. Celte dissociation ar
rchives, 2- série 1006, t. XXI. la 22G SOCIÉTÉS SAVANTES. entre mouvements volontaires ut réflexes se rencontre aussi dans
'"tel' eL de ne satisfaire aucun besoin, Gesine s'agite et, par des mouvements appropriés, manifeste sa faim, sa soif, ainsi quu
dans lu Progrès médical. 1902. p. 271. VARIA , Asiles d'aliénés. Mouvement de février. Nominations et promotions I. le 1)
ef à l'asile d'aliénés de Vauclusu, porté la 1re classe du cadre. Mouvement de mars 1000. - NI. le 1)" Jolrniac médecin un
exécute à la gym- nastique des échelles de corde les trois premiers mouvements . 1896. - Passe à l'écriture, fait des barres et
seul, marche et court librement. Il exécute bien les trois premiers mouvements de la gymnastique des échelles. La parole s'est
ym- 252 THÉRAPEUTIQUE PÉDAGOGIQUE. nastique les deux premiers mouvements (assis, debout) et commence à sauter. 1892. -
c.), toutes les couleurs et les surfaces,et fait très bien tous les mouvements à la gymnastique (Fig, 6 et 1 ) 1896. - Commenc
dre compte s'il enter.dait le bruit; le résultat a été nul et aucun mouvement de sa part n'a prouvé qu'il entendait. L'en- fa
vient plus fixable, il peut maintenant exécuter les deux premiers mouvements à la gymnastique des échelles, sauter à l'esca-
défectueuse. Phy- sionomie niaise, air craintif, attitude lourde et mouvements embarrassés pour tout faire. Manie de sucer les
les couleurs, les lettres et les surfaces. Il exécute bien tous les mouvements à la gymnastique. La parole est libre, l'enfant
l commence à lacer, à nouer et boutonner. Exécute les deux premiers mouvements à la gymnastique, saute 2 degrés de l'escabeau,
tonner. A la gymnastique, il exécute aujourd'hui les trois premiers mouvements et saute trois degrés de l'escabeau. A la proje
on absolues, il était impossible de le tenir en classe; toujours en mouvement , il. n'avait qu'une pensée, taquiner ses camara
faces : place bien les bâtonnets dans le casier, exécute bien les mouvements de la petite gymnastique. Dans le courant de 18
commence à former quelques lettres et chiffres en 1895. Toujours en mouvement , Fél ? se balançait d'avant en arrière dès qu'o
d'urine. Elle était triste, ne se donnait aucun exercice, tous ses mouvements étaient lents. Elle n'était capable d'aucun tra
e donne de l'exercice, joue, saute et court avec ses compagnes; ses mouvements sont moins lents. Elle est devenue plus gaie. E
che de pair, elle exécute avec agilité et souplesse, les différents mouvements . Elle procède fort bien aux soins de sa toilett
eau- coup d'aptitudes pour la gymnastique, exécute les différents mouvements avec une agilité et une souplesse étonnantes. Ell
gymnastique ne le cède en rien à la classe, N ? exécute tous les mouvements avec beaucoup d'agilité. Elle s'y prend fort hi
t n'avait aucune notion. Elle commande tous les exercices, tous les mouvements et au besoin remplace le Professeur quand il es
upation préférée; il faut à cette enfant des travaux qui exigent du mouvement . Elle fait bien la gymnastique, elle a réalisé
centre spinal réflexe. P. KERAVAL. XXXIV. Troubles congénitaux des mouvements des yeux; par AtENFELD. {Centralbl. ? Nervenhei
conjonctive rigide qui, si elle empêche le strabisme, restreinte mouvement du globe. S'il n'existe ni fixation élastique, ni
e raideur du ligament qui remplace le muscle. Souvent aussi dans ce mouvement d'abduction, on voit se produire une rétraction
tion automatique des hé- miplégiques ; par llario Bertolotti. Les mouvements d'extension des membres associés au bâille- men
re soumis à l'influence directe des voies motrices volontaires. Les mouvements automatiques associés au bâillement, au prurit,
sceau pyramidal est cliniquement plus évi- dente et plus grave. Les mouvements associés automatiques sont absents dans les cas
s mouvements associés automatiques sont absents dans les cas où les mouvements associés d'ordre ration- REVUE DE PATHOLOGIE
ence progressive, abolition des sens spéciaux, parésie des membres, mouvements de manège de gau- che à droite, atrophie du lob
des fibres antérieures de la protubérance du même côté, entraîna un mouvement de manège de gauche à droite. Chez le chien,
à la lumière n'existe pas. Enfin la pupille droite est le siège de mouvements alternatifs de dilatationet de resserrement dur
de dilatationet de resserrement durant chacun quinze secondes ; ces mouvements sont indépendants des excitations de la lumière
ccommodation ont peu à peu régressé, au point de permettre quelques mouvements pupillaires. On pourrait assimiler cet hippus p
ière administrés par l'Assis- t ance publique. Asiles d'aliénés Mouvement d'avril. - M. le Dr Thivet, médecin en chef il
s enfants arriérés ou retardés dans leur dévelop- pement, agités de mouvements involontaires, débiles muets, non sourds, bègue
intellectuelle. Oscillations pupillaires et réflexes très exagérés. Mouvements automatiques au lit la nuit (croit travailler à
n spécialiste), mollesse et nonchalance 374 REVUE CRITIQUE. des mouvements , irritabilité exagérée des vasomoteurs avec lé-
lentes, ne tenait pas conversation, sa démarche était lourde, ses mouvements pachy dermiques. Elle n'était capable ni de s'h
ses mains et ses pieds n'ont plus cette teinte violacée; enfin les mouvements et la démarche sont devenus vifs et empressés.
e était indifférente avec tout le monde. Le teint était cireux, les mouvements très embarrassés, très lourd.s. Harb ? résumait
ée, le teint s'est éclairci, 382 THÉRAPEUTIQUE PÉDAGOGIQUE. les mouvements de l'enfant sont devenus plus vifs. A mesure qu
cices de gymnastique avec plaisir et cherche à bien imiter tous les mouvements . L'enfant aime tous les soins de toilette, essa
pprend par coeur des petites fables. Elle est vive, alerte dans ses mouvements ; marche, court, saute avec agilité; parle facil
as moins rapides, elle suit tous les exercices et tous les nouveaux mouvements avec une très grande facilité. (Fig ? 1 j, 48 e
a appris à faire de la dentelle. Elle exécute facilement tous les mouvements de la gymnastique, elle qui n'avait aucune notion
à faire la gymnastique, exé- ci-te parfaitement les quatre premiers mouvements , sait de même lacer, boutonner, agrafer, se prê
onciation moins accusé. Elle est devenue vive, agile et exécute les mouvements de gymnastique sans difficulté. Tout porte à cr
e gymnastique, elle est beaucoup plus souple et plus agile dans ses mouvements . - En résumé les progrès de cette enfant sont t
ue. Amé- lioration sous bien des rapports. LXXV. Imbécillité avec mouvements choréiques. - Lasso ? (Gabrielle), 13 ans, née
ude, son regard était timide et indifférent avec tout le monde. Les mouvements brusques des bras et des jambes ne lui permetta
enfant sera courante. Elle aime la gymnastique, sait faire tous les mouvements , y est devenue très agile. Elle se livre avec p
lysie de l'oculogyrie latérale des deux côtés avec conservation des mouvements de convergence, d'élévation et d'abaissement de
s observations de deux . malades qui présentaient une paralysie des mouvements asso- ciés des yeux pour l'élévation, l'abaisse
e, l'atrophie des phalanges. M. EGGER relate un cas de troubles des mouvements conjugués de la tète et des yeux dans une fract
BONCOUR, VARIA Asiles d'aliénés. Nominations etp2,oniotions. - Mouvement de mai 1906. - lI. L'IÉRY, directeur de l'asile
hale, par M. GI : rÉNIOT. Pendant le travail, l'enfant présenta des mouvements convul- sils qui firent croire à un cas d'anenc
s enfants arriérés ou retardés dans leur dévelop- pement, agités de mouvements involontaires, débiles, nmets, non sourds, bègu
l, et en traînant le droit. La langue est très atrophiée, animée de mouvements vermiculaires cons- tants ; le malade a la plus
es membres inférieurs, embarras de la parole, inégalité pupillaire, mouvements fibrillaires multiples, exagération énor-' me d
- sente une liémiatrophie gauche très marquée, elle est animée de mouvements à la fois fibrillaires et ataxiques (mouvement de
elle est animée de mouvements à la fois fibrillaires et ataxiques ( mouvement de trombone) la parole .est très embarrassée, p
rès prononcé, avec strabisme très accusé, nystagmus intermittent et mouvements choréiformes. D'après ce diagnostic, il est f
vec beaucoup de difficultés à s'ha- biller et à se déshabiller, les mouvements choréiques se renou- velant très souvent y mett
état elle n'avait pas fréquenté l'école; sa vue aussi bien que ses mouvements opposaient de grandes difficultés à son avan- (
toute sa personne, sous le rapport physique comme intellectuel. Les mouvements choréiques et désordon- nés ont disparu petit à
de nouveau mentionnés. Elle va bien sous le rapport physi- que, ses mouvements choréiformes ont disparu, mais sa vue est toujo
ts tels que : papa, maman, oui, non. Elle était très lente dans ses mouvements mettait un temps infini pour manger sa soupe. E
t la gymnastique des grandes avec facilité et exécute bien tous les mouvements . ' 190. - Sa lecture est maintenant très couran
end facilement les escaliers : elle exécute même très bien tous les mouvements de la gymnastique des échelles et des TRAITEM
t, c'était sa toilette. Elle était lente dans sa marche et dans ses mouvements . En classe, elle ne connaissait aucune lettre e
tie. Elle fait très bien la gymnastique et est très souple dans ses mouvements . Elle n'a pas eu d'accidents épileptiques depui
gna, 327. Vitiligo et tumeur centrale de la -, par Ferrio, 499. Mouvements de compensation. Des - - ou de remplacement,
cau- sés par la foudre, par Rosen- thal, 230. - congénitaux des mouvements des yeux, par Axenfeld, 329. de la sen- sibil
54 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
de corriger dans une large mesure un grand nombre des troubles des mouvements , mais bien peu parmi eux se font de la rééducat
appris à connaître les diverses variétés de la thérapeutique par le mouvement et par l'exercice, leurs effets, leurs modes d'
de la physiologie nor- male et pathologique et du mode d'action des mouvements méthodiques; elle a pu s'adresser à un grand no
ses différences avec les autres variétés de la thérapeutique par le mouvement ; nous dirons à quel groupe de maladies elle s'
'hygiène mais aussi la médecine ; désormais la thérapeutique par le mouvement était fondée. Elle devait bientôt se préciser,
'énergie. Si, au contraire, le même individu a répété assidûment un mouvement déterminé, si complexe et délicat soit-il, il d
à écrire, à manier les objets les plus variés, à exécuter tous nos mouvements , les mouvements professionnels par exemple. C
r les objets les plus variés, à exécuter tous nos mouvements, les mouvements professionnels par exemple. C'est en tenant com
miplégiques, par exemple, lorsqu'ils recouvrent partiellement leurs mouvements ; les médecins ont souvent aidé ce travail de r
édecins ont souvent aidé ce travail de réparation en provoquant les mouvements volontaires, mais, s'ils faisaient ainsi jusqu'
en France, les auteurs qui se sont occupés de thérapeutique par le mouvement régularisèrent quelque peu ces tentatives, et s
omplètement de la fonc- tion, qu'en prescrivant à leurs malades les mouvements volontaires, la gymnastique ou la mécanothérapi
éducation sont maintenant bien établies. Etant donné que tous les mouvements coordonnés nor- ' maux n'ont été obtenus chez l
eut s'appliquer aussi bien aux centres supérieurs qui commandent le mouvement qu'aux centres inférieurs qui en règlent le méc
n second, qui étend notablement encore notre champ d'action : aucun mouvement n'est réalisé que grâce au concours simultané d
raplégies. L'ex- périence, en effet, a montré que la répétition des mouvements 56 THÉRAPEUTIQUE. volontaires est un bon moye
tablir non plus seulement les adaptations fonction- nelles mais les mouvements eux-mêmes, et en même temps d'agir sur les lési
st étendu jusqu'à résumer tous les moyens de thé- rapeutique par le mouvement propre à rétablir les fonctions motrices altéré
ar elle nous conduirait à passer en revue toute la pathologie des mouvements ; pourtant il est indispensable de rappeler les
clusions pratiques au point de vue de la rééducation. Exécuter un mouvement coordonné volontaire, c'est dépla- cer par un m
Exécuter un mouvement coordonné volontaire, c'est dépla- cer par un mouvement régulier dans un sens et une mesure appropriés
partition de ce tonus modifie forcément les attitudes et altère les mouvements ; d'autre part, sachant que le tonus musculaire
nséquences pratiques importantes, mais il reste alors à étudier les mouvements à proprement parler et notamment la coordinatio
ues- tion. Or, jamais un muscle n'entre en action isolément, tout mouvement , si simple qu'il paraisse, exige le concours simu
isolées ne sont pas dans la nature. » On a pu distinguer parmi les mouvements coordonnés deux sortes de coordinations : la co
ons motrices. Nous rappellerons que les pre- mières, concernant des mouvements simples, tels que les flexions ou les extension
ez le jeune enfant; les secondes, au con- traire, se rapportant aux mouvements plus complexes ou à l'adaptation des premières
le même, elles n'exigent pas l'intervention des mêmes neurones. Les mouvements simples, tels que ceux du nouveau-né serrant le
d, au contraire, l'enfant apprendra à exécuter volontairement les mouvements simples, à les mesurer et à les associer entre
n but déterminé ; c'est alors l'influence corticale qui en fera des mouvements coor- donnés, quitte à se désintéresser de leur
tion quand l'habitude les aura rendus automatiques. Selon que les mouvements simples, les associations motrices, seront alté
onnaître la cause : pour comprendre la physiologie pathologique des mouvements , nous n'ignorons pas qu'ii faut tenir compte de
le rôle. Or, ce long travail d'analyse des diverses anomalies des mouvements ne saurait être fait avec trop d'exactitude pour
ainsi soigneusement en revue les divers facteurs des anomalies des mouvements pour toutes les affections justiciables de la r
nité en même temps qu'on s'efforce de les grouper pour rétablir les mouvements coordonnés normaux. 3° La rééducation se propos
tout sujet, sain ou malade, lorsqu'il s'agit pour lui d'exécuter un mouvement difficile ou de réaliser un équilibre dangereux
cours de la rééducation, on peut être amené à modifier le type des mouvements normaux, mais ce n'est là qu'un moyen accessoir
néraux de la rééducation motrice, la physiologie patholo- gique des mouvements , les nombreuses anomalies qu'ils peuvent présen
ore que le rééducateur n'ignore .rien de la mécanique normale des mouvements qu'il veut rétablir : il lui faut connaître exact
effets de chaque contraction musculaire, le méca- nisme de tous les mouvements , les actions toniques des muscles, l'harmonie d
ngs développements en nous forçant à analyser tous les troubles des mouvements et à discuter la pathogénie de chacun, elle sup
son étude devrait être reprise à part. 1° Station et locomotion ( mouvements des membres inférieurs et du tronc) : chez les
affections cérébelleuses ( ? ), la sclérose en plaques ( ? ). 2° Mouvements des membres supérieurs (préhen- sion, écriture,
ion. b). Troubles d'origine organique : dysarthries, aphasies. 4° Mouvements de la face et du cou. Chez les tiqueurs, chez l
iques, dans le torticolis mental. LA RÉÉDUCATION MOTRICE. 65 5° Mouvements des globes oculaires. Dans le strabisme (méthod
ts des globes oculaires. Dans le strabisme (méthode de Javal). 6° Mouvements respiratoires. a). Troubles fonctionnels; chez
que : chez les cardiaques, les emphysémateux, les tuberculeux. 7° Mouvements du coeur (Lagrange Revue de Méde- cine, 1900).
d'étude, mais aussi de théra- peutique, répéter et décomposer leurs mouvements aux ataxiques de son service et tâchant de les
ucation des membres supérieurs, ima- ginés pour rétablir les divers mouvements des mains. Exercices de rééducation des membres
fois qu'il existe des troubles de l'équilibre, la statique et les mouvements du tronc sont anormaux, et qu'un médecin qui ne
l'ataxie, à accueillir plusieurs procédés accessoires tels que les mouvements d'opposition douce, indispensables pour la réal
taient toujours les mêmes et aboutissaient aux mêmes anomalies de mouvements : c'est pourtant une règle sans exceptions que
éléments du système moteur. 2° Les divers facteurs d'anomalies des mouvements dont l'ensemble constitue l'ataxie, leur pathog
altérée et ne saurait être rendue responsable des incorrections des mouvements : ces moyens pourront, dans certaines circonsta
gularités, des à-coup qui se produisent fatalement à l'occasion des mouvements , puisque les diverses pièces de la machine huma
ent réalisées par le même effort. Les premières corres- pondant aux mouvements simples, tels que la flexion ou l'extension d'u
et d'une thérapeutique spéciale. Si maintenant on se souvient qu'un mouvement simple n'est correct que quand certains muscles
pour voir reparaître plus ou moins complè- tement l'automatisme des mouvements fonctionnels. LA RÉÉDUCATION MOTRICE. 13 Il e
ociation de leurs contractions synergiques, et enfin, du défaut des mouvements nécessaires à l'équilibre et la locomotion de l
e, les seconds destinés à grouper ces contractions pour obtenir des mouvements à peu près réguliers, les troi- sièmes enfin as
peu près réguliers, les troi- sièmes enfin associant entre eux ces mouvements pour satis- faire aux conditions de l'équilibre
oordinations quelconques et sans intérêt pratique, mais surtout les mouvements qui trouvent leur application dans la marche et
t eux qui restaurent les fonctions partielles sans lesquelles les mouvements d'ensemble sont évidemment impossibles. Ce n'es
ors possible dans la station debout de lui commander d'exécuter tel mouvement ou tel effort partiel qu'il sera capable de don
ions de la mécanique du corps humain. Les exercices de détails, les mouvements partiels sont LA RÉÉDUCATION MOTRICE. '0 régl
er. La compréhension exacte du trouble que l'on veut corriger et du mouvement que l'on veut restaurer est. au point de vue th
ils rendront donc des services à con- dition de correspondre à des mouvements physiologiques. Dans un deuxième groupe on peut
'encontre du but proposé en remplaçant par un soutien artificiel un mouvement volon- taire et en faisant par conséquent illus
é : nous savons que l'incoordi- nation même très accentuée, que les mouvements les plus désordonnés se corrigent bien, alors q
ion d'un petit nombre seulement de groupes musculaires : quelques mouvements retrouvés suffisent alors à rétablir l'équilibre.
une application facile, si on remarque que tout déplace- ment, tout mouvement même peut, à condition d'être fait méthodiqueme
à son malade les indications les plus minutieuses relativement aux mouvements qu'il exécu- · LA RÉÉDUCATION MOTRICE. 79 ter
mative. Ce serait peu de chose, en effet, que d'obtenir dans les mouvements des succès de détails si la fin du traitement n
er encore le service, ce n'est plus que pour perfectionner certains mouvements spéciaux. Cas. VI. M. 1,.... cinquante-un ans,
es mains sont à peu près indemnes et il continue à entretenir leurs mouvements en même temps que ceux des membres inférieurs.
ourd'hui, quand il s'observe, il marche tout à fait bien. Seuls les mouvements de flexion du genou gauche pendant la descente
thétiques dont les principales sont : 10 Qu'il pourrait exister des mouvements spontanés ou asso- ciés, malgré une absence tot
l'aide de l'ergographe de Mosso, desquelles il résulte que : 1° les mouvements associés et synchromes de la mâchoire, des fléc
l est profond et continu, il résiste au bruit le plus intense et au mouvement sans que la sensibilité ni les réflexes ne soie
cune douleur, alors que la sensibilité tactile était conservée. Les mouvements de l'articulation du coude faisaient entendre d
r les maladies nerveuses est mort hier à Gratz. Asiles d'aliénés. Mouvement en novembre. -NI. GUILLOT, direc- teur de l'Asi
up en fonction, isolément, sans y être sollicité par le besoin du mouvement ; et une impuissance momentanée de la volonté à
ventre : elle dit qu'à ce moment sa matrice a dû faire un énorme mouvement de recul. A dater de ce moment, elle tomba dans
dans les centres corticaux moteurs. Si le foyer purement mental du mouvement volontaire semble intact, la paralysie musculaire
e générale. La destruction de la région corticale qui préside aux mouvements du bras droit chez un manoeuvre, un musicien, nn
même type de nystagmus avec oscillations rythmiques horizontales et mouvements de la tête. Il ne diffère chez les deux malades
queau insiste sur trois faits intéressants : 1° L'hérédité ; 2° Les mouvements associés de la tête et des yeux ; L'ab- .sence
ultera un vice d'innervation centrale en vue de la coordination des mouvements oculaires; le nystagmus pourra devenir ainsi fr
mblement, de rai- deur des membres et de la colonne vertébrale. Les mouvements débutèrent par la main droite et s'étendirent e
langue et le maxi- llaire inférieur tremblent. Il ne s'agit pas de mouvements trans- mis mais bien de mouvements propres à ce
r tremblent. Il ne s'agit pas de mouvements trans- mis mais bien de mouvements propres à ces régions. - Les membres supérieurs
ri Meige, présentent une malade de cinquante- neuf ans, atteinte de mouvements singuliers de la tête, du tronc et des membres.
e de mouvements singuliers de la tête, du tronc et des membres. Ces mouvements , à première vue, semblent indescrip- tibles et
et n'avoir aucune signification; cependant, il s'agit de tics et de mouvements stéréotypés en relation avec un état mental parti
ignement a persisté sous forme de tic. Plus tard, sont survenus des mouvements grimaçants du visage, des hochements de tête et
e tête et toutes sortes de contorsions du tronc et des membres. Ces mouvements sont tantôt convulsifs, de forme tonique ou de
xistence chez un même sujet, de tics toniques et cloniques avec des mouvements stéréo- typés, et enfin, avec des phénomènes de
troublé par des préocupations nosophobiques, aujourd'hui, tous ses mouvements sont compréhensibles et n'ont qu'un but, tradui
La langue ne semble pas animée de tremblement fébrilaire, mais ses mouvements sont très indécis. Quand on commande au malade
es- malades la regardaient comme étant trop sensible. A Noël, les mouvements foetaux et les battements cardiaques cessèrent d'
u qu'une interruption brusque dans le circuit,, soit du fait d'un mouvement du malade, soit du fait d'un contact défectueux
'hyperexcitabilité de la peau et des parties profondes, puisque les mouvements intenses, le massage, la pression sur les branc
ression sur les branches nerveuses au niveau de leur émergence, les mouvements de la parole, de la mastica- tion ne provoquent
yeux où elle est pâle, les pupilles sont larges, continuellement en mouvement , il a l'air de chercher quelque chose. L'accès
musculo-tendineux complexes qui se manifestent sous l'influence des mouvements d'extension et de la compression que l'on fait
tement, comme s'il s'agissait d'un groupe de muscles exé- cutant un mouvement déterminé. J3. Moins constant, mais néanmoins f
ité. En quelques cas la flexion dorsale du pied le déter- mine : ce mouvement produit d'abord l'extension des gastrocné- mien
obligé de juger de l'intensité de ces sensations par toute sorte de mouvements réflexes dont le caractère dépend de diverses par
lles elle donne naissance, si l'on en juge d'après les diffé- rents mouvements réflexes qui les traduisent. P. Keraval. XX. Tu
OLOGIE NERVEUSE. 277 7 XXXVIII. Trois observations de paralysie des mouvements associés des globes oculaires; par les Drr RaYM
vec participa- tion du facial inférieur gauche, d'une paralysie des mouvements associés de latéralité des deux yeux. A l'autop
postérieurs et s'étant tra- duit cliniquement par une paralysie des mouvements associés de latéralité vers la droite et vers l
s à symptômes transitoires et récidivants. Paralysie temporaire des mouvements associés des yeux pour la vision binoculaire à
n des accidents, cette fois sous la forme de paralysie associée des mouvements de latéralité des yeux à droite. Aggravation pr
En suivant la main de celui qui écrit, il peut deviner d'après les mouvements le mot écrit. Il lit mieux les mots imprimés en
al 89. Au cours de 1901, il y a eu foi9 sorties et 72 entrées. c Ce mouvement considérable, dit M. Charron, correspond aux pr
ge, M. de Frumerie s'est proposé de vulgariser un certain nombre de mouvements raisonnes de gymnastique de chambre, que chacun
dique de la gymnastique de cham- bre, sur la distinction du but des mouvements , sur leur sélection, et sur les précautions pré
moins combinées les unes avec les autres. La partie consacrée aux mouvements est naturellement beau- coup plus étendue que l
st naturellement beau- coup plus étendue que la précédente, car ces mouvements sont nombreux, variés, et l'auteur, après les a
t enfin par une sorte de table d'ordonnances ou d'indi- cations des mouvements plus particulièrement appropriés à un certain n
êt. B. FAITS DIVERS. Asiles d'aliénés. Nominations et promotions. Mouvement de jan- vier 1903. M. le Dr CosTA, médecin-adjo
heures du soir à deux heures du matin. A deux heures, « elle fit un mouvement de tête, comme pour se retourner sur le côté, e
er la région, mais on observe en outre au moment des accès quelques mouvements involontaires. La durée de chaque accès est de
. Ces accès ne cessent pas la nuit d'une façon complète. Le moindre mouvement pendant le sommeil en PARTICULARITÉS CLINIQUES
es surviennent pendant le repos aussi bien qu'à la suite du moindre mouvement . Un effort quelconque, soit pour se baisser, so
anger, ni parler, en raison des douleurs aiguës que soulevaient ces mouvements ; actuellement elle prend facilement quelques al
que, douleurs abdominales, sortes de coliques, ressenties comme des mouvements péristaltiques « ana- logues à des serpents, di
devenue impossible, et que le moindre attou- chement ou le moindre mouvement amenait des douleurs atroces. A ce moment le
out au moins une recrudescence très mar- quée rendant à nouveau les mouvements douloureux et la masti- cation très pénibles. T
qui s'étendent dans son cerveau où il y aurait une plaie que chaque mouvement de la figure, le rire, le bâillement, l'action
au bout de quelques instants, elle revient à elle et se livre à des mouvements automatiques comme de chercher dans ses poches,
idienne du sujet. Deux groupes sont à distinguer, a : Sensations et mouvements gou- vernés par le sentiment d'une direction et
et la connaissance d'un point de repère constant. 6 : Sensations et mouvements que ne guide pas l'idée d'une direction précise
. Le tonus musculaire-est exagéré. Point de paralysies, quoique les mouvements se fassent sans force suffisante à la suite de
Pendant le repos on ne remarque point de tremblement, mais dans les mouvements ce dernier apparaît, comme dans la sclérose dis
er nystagmus, lorsque la malade tourne les yeux du côté droit ; des mouvements comme ataxiques, lorsque la malade tire la lang
membres supérieurs droit et gauche, en faveur du membre droit. Les mouvements actifs sont libres et égaux des deux côtés. Dan
Les mouvements actifs sont libres et égaux des deux côtés. Dans les mouvements passifs on ne remarque point ni rigidité, ni co
, ni contractures. Point d'ataxie, ni de ' SOCIÉTÉS SAVANTES. 387 mouvements choréiques involontaires, point de tiraillements
ne présentent rien de particulier. La sensibilité est normale. Les mouvements volontaires sont un peu limités encore dans les
ticulations brachiale et cubitale et plus dans la main. Pendant les mouvements passifs on remarque des contractures dans les f
nt surtout à l'état mental du liqueur. Le tic a son origine dans un mouvement vo- lontaire qui a sa raison d'être, qui devien
s notre thèse, que, en se cantonnant dans la simple observation des mouvements convulsifs chez les idiots, on pouvait, par des
Le diagnostic des tics se fera avec les gestes habituels, avec les mouvements des aliénés que M. Séglas appelle stéréolypies, d
M. Séglas appelle stéréolypies, dans ces dernières, il n'y a pas de mouvements convulsifs, ce sont des actes souvent professio
dent sur les moyens d'obtenir la discipline de l'im- mobilité et du mouvement , sur-les séances d'immobilité et d'exer- cices
veillance du tic. Ils insistent sur l'utilité que peuvent avoir les mouvements en miroir, c'est-à-dire faits dans les sens opp
mouvements en miroir, c'est-à-dire faits dans les sens opposés des mouvements du tic à corriger. Le repos au lit, l'isolement
per à la fatalité qui pesait sur sa famille et fut emportée dans le mouvement de dégénérescence qui la précipitait au néant.
r la loi dite de 1' « accommo- dation de Pajot ». « En dehors des mouvements actifs qui n'ont rien de perma- nent, le foetus
les en se fléchissant... chaque pression qu'il supporte... cha- que mouvement qui lui est imprimé ont pour résultat, non de le
tre la position des yeux et celle des paupières, ainsi qu'entre les mouvements de l'oeil et ceux des paupières. 454 REVUE D'
ent la mort. Alors que la chorée chronique est caractérisée par des mouvements sans but défini et continus, que le sommeil n'a
ut défini et continus, que le sommeil n'arrête pas tout à fait, ces mouvements ont cessé complètement quelques jours avant la
ouvée brisée et les sujets ont acquis la fonction parfaite de leurs mouvements automatiques, réflexes et volontaires. Ce fait
ralysie d'origine traumatiqne presque exclusi- vement sensitive, le mouvement et la force musculaire étant très peu touchés,
ion, de manifestations exté- rieures (tremblement, accélération des mouvements cardio-respi- ratoires, troubles vaso-moteurs)
les deux cas, perte complète de la perception des attitudes et des mouvements passifs dans l'extrémité supérieure gauche. Dan
nt de l'hémianesthésie pour l'extrémité inférieure droite. Tous les mouvements sont conservés dans les membres anesthésiés. Il
ion remarquable. Elles exécutent dans un ordre parfait une série de mouvements succes- sifs, elles savent faire des mouvements
arfait une série de mouvements succes- sifs, elles savent faire des mouvements isolés, elles savent ralentir et accélérer le m
faire des mouvements isolés, elles savent ralentir et accélérer le mouvement . Dans les deux cas, il existe un tremblement ab
deux cas, il existe un tremblement abasique, bien visible, quand le mouvement s'adresse aux grands leviers. Mais l'oscillatio
e attitude est chose impossible.il en est de même ponr une série de mouvements consécutifs. L'ordre de la succes- sion se trou
ents consécutifs. L'ordre de la succes- sion se trouve troublé. Les mouvements isolés deviennent dès 476 SOCIÉTÉS SAVANTES.
ublé. Les mouvements isolés deviennent dès 476 SOCIÉTÉS SAVANTES. mouvements d'ensemble. Il manque en outre la fixation statiq
es coordinateursncse trouve renseigné des exigences de la part d'un mouvement en puissance d'exécution. L'impulsion motive pa
ou piquait. Sur moninvitation pressante, elle accomplit même divers mouvements . Malgré cela, elle se déclarait incapable de qu
- bres supérieurs. La malade restait capable d'accomplir tous les mouvements , mais après un long retard. Elle mettait environ
r saisir et porter à sa bouche une cuillère d'aliment. De plus, les mouvements ne pouvaient être exécutés que si le poids des
ordinaire, le front légère- ment froncé, les sourcils soulevés, les mouvements mimiques menus sontabolis. Dans la musculature
u malade rappelle au premier coup d'oeil la paralysie agitante. Les mouvements sont lents et maladroits; le malade ne peut pas
vements sont lents et maladroits; le malade ne peut pas courir. Les mouvements complexes réussis- sent avec peine à cause de l
ine à cause de l'enchaînement et du tremblement, s'associant chaque mouvement volontaire et augmentant, lorsque la tension mu
ion volontaire de la musculature, ayant pour but de suppri- mer les mouvements supplémentaires. Le malade, malgré le trem- ble
e à diriger l'appareil du discours, prin- cipalement à la suite des mouvements involontaires continuels, auxquels il doit touj
s. Point de paralysie, de convulsions, ni de contractures. Dans les mouvements passifs, on observe partout une légère rigidité
qu'a elles. Il a procédé comme un physicien qui, voulant définir le mouvement , commence par définir les corps qui se meuvent.
pilles à l'accomodation et à la convergence; par J. Strasburger. Du mouvement myotonique des pupilles : parA.SAENGER. De la l
e- ment myotonique des pupilles ; par J. STHASBURGER. Du terme de mouvement myotonique des pupilles; par A. Saenger. (Neuro
D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. que Saenger appelle le mouvement myotonique des pupilles, déjà observé par Piltz
centrifuge de l'arc réflexe : il croit à une altération tonique du mouvement de convergence des pupilles immobiles à la lumi
hérique et musculaire. M. Strasburger n'accepte pas l'expression de mouvement myoto- nique des pupilles pour les raisons suiv
ement atteints tandis qu'ici ils sont seuls affectés. Le décours du mouvement des pupilles a, avec la maladie de Thomsen, le
ersiste, la dilatation s'effectue infiniment lentement; le terme de mouvement tonique consigne précisément la conlraction ton
Nonne, auquel il attribue deux caractères : une certaine paresse du mouvement de la pupille, une remarquable persistance ulté
ologiques dans le tissu même de l'iris et où la forme myotonique du mouvement des pupilles apparaît à l'examen des réflexes p
m commun de réaction tonique, mou- vement tonique, forme tonique du mouvement des pupilles. P. IiERAVAL. Conférences de méd
système de la vie de relation ce sont les muscles striés dont les mouvements sont les plus délicats qui sont les premiers atte
du côté droit. Lenteur musculaire du côté du nerf facial droit. Les mouvements des extrémités sont normaux. Douleurs dans la m
ce du trijumeau du coté droit et du nerf pathétique. Dysphagie. Les mouvements des extrémités sont normaux. Affaiblissement du
é, lorsque le malade regarde à gauche. Point d'affaiblissements des mouvements volontaires. Affaiblissement du réflexe cornéal
ca- nisme de chaque muscle pris à part, pour analyser ensuite les mouvements expressifs de chaque trait et de chaque région de
iller. FAITS DIVERS. AGILES d'aliénés. Nominations et promotions. Mouvement d'avril. AI. le D1' RODIET, médecin-adjoint à M
symptômes transitoires et récidi- vants. Paralysie temporaire des mouvements associés des yeux pour la vision binoculaire à
55 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 12, n° 67-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
lucination serait aux altérations des centres sensoriaux ce que les mouvements épileptoïdes sont à celles des centres moteurs.
eurones. Le sujet se reconnaît alors objet de sensation et cause de mouvement . 1 L'usure fonctionnelle qui résulte du phénomè
'manifestes, sa langue est animée de tremblement fibrillaire et de mouvements de trombone; il a une dissociation mimique nett
arras de la parole mani- feste, sa langue tremble en masse et a des mouvements vermicu- laires, il a un ptosis à gauche et un
llabes, mais la lecture trahit un achoppement de la parole, que les mouvements vermiculaires constatés sur la langue expliquen
dant une demi-heure; quand il sort de son coma, il a de la gêne des mouvements dans tout le côté gauche. Le 13, l'hémiparésie
s, il serre les dents pour ne pas parler, mais il parle malgré lui. Mouvements de pandiculations. Le 25 juillet, marmotte touj
squels des impressions reçues, sont conservées et transformées en mouvements . L'étude physiologique, expérimentale, des fonc
t représentés dans l'écorce, et, si l'innervation qui préside à ces mouvements est soustraite â la volonté, on doit admettre q
mains et aux pieds, diminuant sous l'influence de la volonté ou des mouvements volontaires ; 2° Des contractions fibrillaires
état d'incoordination spasmodique qui se manifeste à l'occasion des mouvements volontaires. D'après l'auteur, tous ces trouble
sance. La femme était à terre, éveillée, mais incapable de faire un mouvement . Tous deux furent transportés à l'hôpital Saint
erception consciente soit nécessaire à la production d'une foule de mouvements combinés par lesquels le corps s'adapte aux var
inférieurs encore irréductibles à des facteurs con- nus : tels les- mouvements de fuite, manifestés déjà chez les embryons de
ons adaptées ? Les observations et expériences portant même sur des mouvements de nature assez compliquée incli- nent Edinger
la décapitation, ne fût-ce que durant quel- ques minutes, certains - mouvements bien organisés s'exécu- tent encore : les lapin
, les sensations reçues ou perçues, mais d'arrêter ou d'inhiber ces mouvements . Que l'écorce télencéphalique ou toute autre pa
: « La grenouille ne cherche pas le ver; c'est le ver qui, par ses mouvements , s'il est perçu à distance convenable, par la v
la plupart de ces animaux ne s'emparent que de ; mouvantes, que le mouvement de ces proies soit natu aitificiel, et que, com
Port-Royal-des-Champs. Toutes les analogies sont trom- peuses : les mouvements de fuite ou de défense qui, chez l'homme» et le
y a des circonstances où, par l'effet des mêmes excitations, des mouvements identiques à ceux que provoque la douleur s'acc
absolument aucune sensation. Peut-être convient-il de citer ici les mouvements de défense qu'exécutent les malades opérés dura
THOLOGIQUES. 115 les formations et les associations successives des mouvements de l'enfant dans leurs rapports bien définis av
nergie nerveuse de nature encore inconnue, mais qui, comme tous les mouvements physiques sont influencés par les états physiqu
vail qui s'exécute d'habitude avec la main droite, et qui exige des mouvements dans une seule direction, comme de tourner la m
nsée, à notre aide les leçons de notre main droite : les images des mouvements cor- respondants nous servent de guides pour me
s mouvements cor- respondants nous servent de guides pour mettre en mouvement la main gauche. C'est alors qu'apparaît l'aptit
- liser correctement ou nonces images. Celui-ci se représente les mouvements de la main droite dans leurs rapports avec le t
l ne leur donne pas la direction néces- saie. Celui-là emprunte ces mouvements à sa main droite, non dans leurs rapports avec
dans leurs rapports avec l'espace, il se rappelle, non pas tant les mouvements de la main que le résultat de ces mouvements, c
elle, non pas tant les mouvements de la main que le résultat de ces mouvements , c'e.1-à-(Iire le sens dans lequel, par la pens
n'ont pas besoin du guide immédiat de- la main droite, car tous ses mouvements , nécessaires à l'écriture, de même que les imag
aussitôt qu'il s'en souvient, il contrôle donc rigoureusement les mouvements de sa main gauche, chaque trait, chaque lettre. C
t non pas tant les mouve- ments de la main que les résultats de ces mouvements par la pen- sée, les motifs intellectuels.de ce
de ces mouvements par la pen- sée, les motifs intellectuels.de ces mouvements : leur écriture est normale. Ce raisonnement ex
atement après l'accident, le blessé s'aper- çut d'une gêne dans les mouvements de la main et d'une insensi- bilité au niveau d
tions douloureuses, les pupilles ne répondent pas à la lumière. Les mouvements n'ont pas l'indécision, la nonchalance de ceux
le couche. Lui met-on- entre les mains une cuiller, il exécute les mouvements propres à l'homme qui mange, quoiqu'il n'ait ri
qui mange, quoiqu'il n'ait rien à manger devant lui. Aucun de ces mouvements n'est ni indolent, ni indécis ; ils rappellent un
érieurs); dans la manie aiguë avancée, impossibilité d'exécuter des mouvements complexes autres que ceux qui sont purement aut
utres que ceux qui sont purement automatiques : dans 1n démence les mouvements se restreignent à quelques actes bien : anisés (v
git sur la faculté du langage en abaissant l'énergie des centres du mouvement et dela mémoire. Ordinairement, les malades, bi
ordre d'importance la notion de position des doigts et l'ataxie du mouvement ; 3° la seule conservation de l'aptitude à percevo
e du sens de la pesanteur, de la position des doigts ou l'ataxie du mouvement sans aucun signe d'affection nerveuse périphéri
e sclérose en plaques étendu à tout le névraxe, ayant déterminé des mouvements choréïques sans nystagmus; il insiste sur la co
situées sur. un plan pos- térieur ; la langue est étalée, tous ses mouvements s'exécutent parfaitement. La voûte palatine est
d'effroi, qu'il y a anesthésie de la muqueuse laryngée gauche. Les mouvements de la tête se font d'une façon aisée ; le cou e
e supérieur droit n'offre rien de particulier à signaler : tous les mouvements en sont faciles ; il n'y a pas de diminution de
ain, elle ne dépasse pas 2 kilos. De plus, on remarque que tous les mouvements s'exécutent avec une certaine hésitation et une
les muscles de l'épaule gauche sont parcourus un instant de petits mouvements fibrillaires, mais l'épaule reste inerte, alors
aule droite, on voit la gauche se hausser, quoique très légèrement, mouvement qui se produit encore, avec la même intensité a
ement à la malade de ne soulever que cette épaule-là. Divers autres mouvements commandés s'exécutent d'une manière imparfaite
aire. Les réflexes musculaires et tendineux sont conservés. Que les mouvements soient actifs ou qu'ils soient effectués pas- s
n dos sur une table, un poids suffisamment lourd pour empêcher tout mouvement des phalanges digitales, puis on lui dit de fer
ntaire. Si maintenant on enlève le poids, et qu'on commande le même mouvement , la main ne se ferme pas complètement mais la f
ulaires du membre inférieur droit sont bien conformées ; les divers mouvements s'exécutent parfaitement. La circonférence de l
au-dessus du plan du lit ou d'écarter la cuisse, elle fait tous ces mouvements , quoique avec lenteur et d'une manière très imp
s qu'elle en éprouve la moindre sensation. La résistance aux divers mouvements de flexion, d'extension, d'adduction, etc., imp
rés moins accentués,' la malade pouvant maintenant surveiller ses mouvements par le regard, caractère sur lequel a insisté M.
ole devenait nécessaire. M. Voisin ne lui rendait la liberté de ses mouvements qu'après l'avoir plongée dans le sommeil hypnot
ent, touche-t-on, pince-t-on la malade, même faiblement, elle a des mouvements de défense exagérés, qui ne se produisent pas n
ents de défense exagérés, qui ne se produisent pas normalement. Ces mouvements res- semblent à des mouvements de crainte qu'el
e se produisent pas normalement. Ces mouvements res- semblent à des mouvements de crainte qu'elle fait pour se protéger, et en
u moins intense ou bien aucune réaction ne se produit, ou bien le mouvement de défense est exagéré, et cette exagération es
pupillaire, mais elles ne troublent en rien l'évolution complexe du mouvement de l'iris. Le réflexe oculo-pupillaire qui se d
qui se distingue du-réflexe sensitif - ordinaire par la lenteur du mouvement de l'iris et par la localisa- tion du stimulus
lexe oculo-iridien, est la conariction. Pour constater le premier mouvement du réflexe oculo-pupillaire (dilatation), il co
postéro-interne des extrémités postérieures. 2° De la paralysie du mouvement des deux pattes postérieures, avec réaction dég
s même, sur la face antérieure de la jambe. ,u.° De la paralysie du mouvement aux extrémités inférieures, avec modification d
e ce qui vienl'd'ètre dit. t. P. Klraval. lI.VI : Du souvenir des mouvements passifs ; par M.-N. JOUKOwsKY. (Obo : rénié psi
bleaux, il résulte que l'pmmagasi- nement des sensations issues des mouvements passifs se fait remarquer par une grande précis
s ne commence à s'af- faiblir que lorsque les intervalles entre des mouvements séparés varient au moins de deux minutes ; quan
and ces intervalles sont moindres, les sensations correspondant aux mouvements revien- nent assez fidèlement. Quand les interv
assez fidèlement. Quand les intervalles de temps qui séparent deux mouvements sont de cinq minutes, le sujet met deux fois pl
hologiques. 227 presque identiquement pour les grands et les petits mouvements . L'augmentation d'un mouvement passif est perçu
ement pour les grands et les petits mouvements. L'augmentation d'un mouvement passif est perçue bieu plus exact tement que sa
ieu plus exact tement que sa diminution. La limite de perception du mouvement croît avec 'la grandeur du mouvement effectué.
on. La limite de perception du mouvement croît avec 'la grandeur du mouvement effectué. La disposition d'esprit exerce une in
uelques orteils (les externes en général) de l'autre côté; d) aucun mouvement des deux côtés (10 p. 100 des cas) ; e) flexion
es orteils (généralement les externes) d'un côté, avec absence de mouvement de l'autre côté (au moins 10 p. 100 des cas); /)
100 des cas); /) quel- quefois, chez les individus très sensibles, mouvements rapides semi-volontaires, indéterminés, tantôt
lexion, tantôt d'ex- tension ; 2° Dans la première enfance, aucun mouvement constant ou caractéristique des orteils ne peut
suivante : Il interprète la force d'inhibition dans les termes d'un mouvement moléculaire qui n'est pas sans analogie avec la
uveau. Laissez-moi du- moins vous rappeler que, parmi les causes du mouvement remarquable qui a si largement accru le champ d
sociale, jouent leur rôle - j'allais dire ont leur utilité dans ce mouvement d'évolution continu en vertu duquel les - couch
té la sienne au siècle dernier ? Souhaitons-le, sans oublier que le mouvement créé par les grands initiateurs qui s'appellent
n par première' intention fut tentée sans succès, il y eut un léger mouvement fébrile. A partir du 22 sep- tembre, le malade
la rééducation du système musculaire par la suggestion à l'aide du mouvement . On constata d'abord une amélioration très rapi
olis dont ils sont porteurs. Chez ces malades, la suggestion par le mouvement est beaucoup plus facile à entreprendre que che
En somme, le traitement du torticolis mental par l'éducation des mouvements n'est pas applicable dans tous les cas et on aura
comme sensation de chatouil- lement, mais elle ne provoque plus de mouvements réflexes. Elle peut même persister pendant tout
tre intermittent et les crises sont provoquées alors par le moindre mouvement du malade. Enfin il peut gagner le tronc, les m
n épileptoïde; 4° Dans une observation, il est noté l'apparition de mouvements fibrillaires dans les muscles des membres infér
membres inférieurs, surtout apparents aux mus- cles du mollet. Ces mouvements n'ont duré que quelques minutes ; 5° Au début d
st cependant capable d'exé- cuter, quoique plus lentement, tous les mouvements volon- taires ; 6° Dans tous les cas où elle a
e contracture des membres, de REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 297 7 mouvements fibrillaires ; 6° Nous avons toujours noté la c
ents fibrillaires ; 6° Nous avons toujours noté la conservation des mouvements volontaires, de la force de résistance, la poss
ique des muscles, de l'émotion. En ce dernier cas se produisent des mouvements forcés, qui changent le caractère de la contrac
étique précoce du malade hémiplégique. Ce sont là des troubles du mouvement post-hémiplégiques, puisque les convulsions pré
igidité des extrémités gauches ; 3° Désordre de la coordination des mouvements à gauche, surtout des mains ; 4° Diminution de
pour le blanc, nettement marqué pour les couleurs. Il s'y joint des mouvements spasmodiques des muscles extrinsèques du globe
tion latérale monoculaire ou binoculaire, avec tremblement dans les mouvements palpébraux ; parésie légère de la convergence;
ns but, la pupille contractée, l'absence du réflexe lumineux, les mouvements de l'iris qui deviennent de plus en plus incertai
onsécutive : ce ne sont pas les muscles qui sont affectés, mais les mouvements d'ensemble, c'est-à-dire les actes : ce sont les
stérie : c'est celle dans laquelle, malgré l'abolition complète des mouvements volontaires, le malade peut néanmoins maintenir
onnaît que ces malades sont tous des abouliques, qu'il s'agisse des mouvements ou des idées. L'élude des mouvements volontaire
abouliques, qu'il s'agisse des mouvements ou des idées. L'élude des mouvements volontaires est, à cet égard, très instruc- tiv
surfaces; place bien les bâtonnets dans le casier; exécute bien les mouvements de la petite gymnastique.-Dans le courant de 1899
commence à former quelques lettres et chiffres en 1895. Toujours en mouvement , Fél... se balançait d'avant en arrière dès qu'
ne excitation anormale. Le malade est pris d'un besoin impérieux de mouvement et d'excitation désordonnée avec bouffées délir
musique, la suggestion augmente la précision et la - souplesse des mouvements ; elle donne la maîtrise de soi; elle 358 SOCIÉT
fets dépressifs Il n'agit pas plus heureusement sur la rapidité des mouvements que sur leur énergie, sur le temps de réaction
s enfants faibles d'esprit , l'Autriche se prononce en faveur de ce mouvement , et, dans ses dernières Recherches cliniques et
tales de nature non progressive, de la paraparésie spasmodique, des mouvements athétoïdes des muscles de la bouche et des orte
en biologie (1" article). GoBLOT. La musique descriptive. BLU.11. L mouvement pédotogique et pédago- gique. Analyses et compt
l avec confusion complète des idées, agitation, désordre des actes, mouvements de fuite, impulsions inconscientes ». Les jours
e avec impulsions à l'homicide et au suicide. Angoisse incoercible, mouvements déses- pérés ; il cherche à se briser la tête c
de l'autre, font seuls exception. Le pre- mier dit : « ce sont des mouvements automatiques, de longue - durée, qui consistent
delà d'un besoin quelconque ». Brugia et Marzocchi les appellent « mouvements systémati- sés » et disent que ce sont « des mo
appellent « mouvements systémati- sés » et disent que ce sont « des mouvements circonscrits, souvent rythmiques et coordonnés,
orrespondent à aucun but extérieur, quoiqu'ils aient l'apparence de mouvements intentionnels, et qui servent à suppléer à l'ab
Ricci est trop vague et trop large, puisqu'elle comprend « tous les mouvements qui se répètent longtemps »; celle de Brugia et
s la définition suivante : Les stéréotypies sont des altitudes, des mouvements , des actes de la vie de relation ou de la vie v
. 481 les unes comme les autres se rapportent en définitive à des mouvements qui ne diffèrent que par leur caractère plus ou
° Les attitudes stéréotypées ou stéréotypies akyné- tiques ; 2° Les mouvements stéréotypés ou stéréotypies pai-aky2zéliqîtes.
ES P.RAKYNÉTIQUES. Non moins variées sont les stéréotypies dans les mouvements ou stéréotypies para- kynétiques. Elles sont tr
citer ici quelques exemples pris dans le service de M. Séglas. '1° Mouvement stéréotypé d'une' partie déterminée du corps. Q
aille pour faire marcher la terre par les aiguilles, etc... ». 2° Mouvements slérolypés de tout le corps. R... vingt- six an
ment précoce. En fait on voit que le malade exécute constamment des mouvements habituels aux gymnastes. Nous avons vu plus hau
ers, grimper après les arbres, les colonnes, les grilles, faire des mouvements rythmiques et réguliers avec ses bras, et dans
e des mouvements rythmiques et réguliers avec ses bras, et dans ces mouvements on reconnaît encore des exercices de gymnastiqu
e thème délirant principal. 1 On pourrait supprimer cette classe de mouvements stéréotypés et la faire rentrer dans les mouvem
cette classe de mouvements stéréotypés et la faire rentrer dans les mouvements d'une partie du corps. Nous mainte- nons toutef
tant dans la marche et surtout parce que la marche est à la fois un mouvement partiel et un mouvement total du corps. 484 PAT
urtout parce que la marche est à la fois un mouvement partiel et un mouvement total du corps. 484 PATHOLOGIE NERVEUSE. Une
l'autre était un tic aéro- phagique, caractérisé par un ensemble de mouvements de déglutition très rapides, accompagnés d'un b
en et suivis d'une éructation sonore et prolongée. Ces différents mouvements se produisaient plusieurs fois par minute pen-
une sorte de décharge convulsive. La malade prétendait exécuter ces mouvements malgré elle, en dehors de sa volonté. Ce sont,
rtaines positions, les bras immobiles ou bien animés d'une sorte de mouvement cadencé, les yeux fixés à une certaine hau- teu
e délirante. Cette idée est à ce moment pleinement consciente et le mouvement ou l'acte, corrélatifs sont aussi conscients. L
Mais alors, les aliénés ne pourront plus dire le pourquoi de leurs mouvements , de leurs paroles. Ils continueront seulement à
persécuté. A cette époque on n'a pas remarqué qu'il présentait des mouvements ou des actes bizarres. Un peu plus tard, on a v
d'un axe idéal. A ce moment quand on lui demandait la raison de ce mouvement , il répon- dait : « Je fais tourner le soleil »
t « une excitation périphérique d'un nerf sensible qui détermine un mouvement de réponse ». Or, les stéréotypies ne sont certai
, seconde nature, tient lieu de volonté et de raison les actes, les mouvements pour boire, manger, aller, venir se reproduisen
- nie), sont passagères et que par conséquent les attitudes,, les mouvements , les actes changent avec ces périodes ; d'autre
onvulsivement le pan de son habit. Le bras droit continuellement en mouvement répondait au rythme qu'il imprimait à son pied
'est-à-dire deux mois après son entrée, il s'est mis à exécuter des mouvements bizarres, au pre- mier abord. Ces mouvements ét
est mis à exécuter des mouvements bizarres, au pre- mier abord. Ces mouvements étaient localisés à la tête. Le plus fréquent e
regarde en haut. D'autres fois, cela dépend des jours, il fait des mouvements de latéralité. En tous cas, dès que la projecti
oute la durée du mou- vement, les yeux sont fixés au plafond. Les mouvements sont exécutés brusquement et rapidement, mais i
l'arrêter quand on le désire. Quand on lui demande la raison de ce mouvement , il répond : « C'est que ma tête est trop gross
» et l'on avait cru comprendre à ses explications qu'il faisait son mouvement pour regarder « sa petite tête ». Nous n'avons
tite tête ». Nous n'avons pu obtenir de réponse catégorique pour cè mouvement qui se répète encore fréquemment. Quoi qu'il en
ui n'ait dans le commerce ordinaire de la vie un geste habituel, un mouvement de pré- dilection'. » Brugia etllarzocchi ont d
mouvement de pré- dilection'. » Brugia etllarzocchi ont dit que ces mouvements ne se produisaient que chez des gens tarés, déb
ement concevables. Aussi ne croyons-nous pas que l'origine de ces mouvements doit être cherchée là. . Comme M. Letulle l'a f
lesquels il faut faire le diagnostic. Nous éliminerons d'abord les mouvements athétosiques. Évidemment la différenciation est
égulières, limitées aux mains et aux pieds. Lorsqu'au contraire les mouvements athé- tosiformes sont généralisés, ils peuvent
pas même à leur apparition, et enfin parce que ordinairement les mouvements athétosiques ne revêtent pas la forme de mouvem
nairement les mouvements athétosiques ne revêtent pas la forme de mouvements intentionnels. , Ce sont ces mêmes caractères q
i's,,ils se différencient facilement des stéréotypies. .Ce sont des mouvements ou des actes brusques, explosifs, se produisant
la journée, pendant des mois et des mois, exécutant constamment un mouvement identique. Un confus ou un maniaque frotte perp
qui place le grincement de dents des para- lytiques généraux et les mouvements automatiques des idiots dans les stéréotypies.
dans les stéréotypies. Pour notre part, nous ne le croyons pas. Ces mouvements répondent bien en effet à la première partie de
me faciles, il nous reste à aborder des points plus délicats, les mouvements automatiques des hystériques, des épileptiques
ut dans les chorées et dans certains tics qu'on peut rencontrer des mouvements pouvant en imposer pour des [stéréotypies. En r
t en effet, il y a chez l'hystérique de longues périodes sans aucun mouvement , fait rare dans les stéréoty- pies ; en second
mouvement, fait rare dans les stéréoty- pies ; en second lieu, les mouvements choréiformes rythmi- ques ou les tics se trouve
e toujours chez des hysté- riques ayant des stigmates ; de plus ces mouvements se pro- duisent ou tout au moins s'exagèrent so
ues du sujet qui ne com- prend et n'assimile que les actes, tics ou mouvements divers . auxquels elle peut donner naissance sa
ée déterminée, dont le sujet a conscience provoque l'exécution d'un mouvement , d'un acte également conscient, voulu, systémat
s'efface, elle n'est plus nécessaire à l'exécution de l'acte ou du mouvement qui continue à s'ac- complir par une sorte d'ha
mblent : l'aura est presque toujours le même, la généralisation des mouvements se fait d'une façon identique, les stades toniq
grande similitude dans les différents accès ainsi que les actes ou mouvements automatiques accomplis dans la période d'hébétu
3. 504 - PATHOLOGIE NERVEUSE. '\ tique de l'acte épileptique. Des mouvements de ce genre, se produisant en rapport avec la d
pensée qui se traduisent par des tics du corps... Les tics sont des mouvements systématisés, qui reparaissent toujours les mêm
us le tic mental, il y a une idée inconsciente qui fait exécuter le mouvement . - Mais faisons remarquer que, d'abord, en règl
de la tourner de temps en temps à gauche. Le malade affirme que les mouvements de rotation furent d'abord voulus et qu'il les
é à sereproduire involontairement et constamment. Il consiste en un mouvement de rotation de la tête à gauche. En un mois et
ariété du genre spasme », a dit M. Brissaud. Or, par définition les mouvements stéréo- typés ne le sont pas. Ils pourront bien
de l'ouïe aux efforts que faisait Gilbert en creusant la terre. Le mouvement , qu'il se donnait en travaillant, agitait le sa
arcot : « Bien que le malade ait conservé l'exécution intégrale des mouvements vulgaires de la langue et des lèvres, qu'il pui
lus est, même en y apportant la plus grande attention, d'imiter les mouvements d'articulation, qu'il voit faire devant lui. Le
à la région de l'estomac et elle ne pouvait se donner le moin- dre mouvement sans perdre presque la respiration. Elle était bi
s-ocETS. La sensibilité chez les -, par Ferrai, 223. Souvenir des mouvements passifs, par d0ulcowshy, 226. Stéréotypies. C
56 (1901) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 14]
oix et de la toux est assez fort. Les cordes vocales ainsi que leur mouvement , sont normales. La difficulté de la prononciation
gauche. Le voile du palais est plus large à droite qu'à gauche. Les mouvements du voile du palais sont très peu prononcés pendan
re conséquence de la paralysie de la langue, c'est que bien que les mouvements de la mâchoire inférieure soient bons, et que les
liquides amers ou salés. Le contact de la luette ne produit pas le mouvement réflexe du voile du pa- lais, il faut une excit
is douze ans ; 4° Troubles du sens tactile à côté des paralysies du mouvement . Voici des symptômes qui ne peuvent être bien e
rs, le cinquième, les membres supérieurs n'exé- cutèrent plus aucun mouvement . La mort fut causée par la paralysie des muscle
sieurs autres constituées par une perte subite de connaissance, des mouvements con- vulsifs généralisés, du stertor avec écume
t la marche permet de constater l'ankylose de la hanche droite, les mouvements compensateurs du bassin, et naturellement une boi
ouleur, pas de modification cutanée, pas d'oedème. La recherche des mouvements décèle quelques craquements articulaires, mais
'une dis- tance de 13 centimètres. · Il existe, de plus, un léger mouvement de latéralité de la jambe en dedans, vers la li
tions : résistance vigoureuse aux efforts tentés pour s'opposer aux mouvements des divers segments des membres. Il n'y a pas d
tes), ou d'une disposition naturelle, propre à certains individus : mouvements des doigts, subluxation volon- taire du pouce,
t présente, en outre de sa déviation angulaire antérieure, quelques mouvements de latéralité que la palpation décèle facilement
ait jouer le principal rôle, sinon l'unique, dans la limitation des mouvements articulaires, à la tension des ligaments et de
out, de façon à diminuer cette flexion dans la mesure possible ;-ce mouvement ne peut s'obtenir que par la bascule du bassin
opinion des Astrologues qui prétendent que tout est gouverné par le mouvement et l'aspect des astres. Les infirmités qui atte
fluides et de solides ; une bonne et saine constitution partant des mouvements dispos des uns et de la libre circulation des aut
s autres il n'est pas moins certain que cette libre disposition des mouvements , ainsi que celle de la circulation dépendent ré
s dont le rêve était la découverte des trois secrets cardinaux : le mouvement perpétuel, la transmutation des 80 BEAUVOIS m
crise hystérique, cet artiste était hors de pair. Savoir, dans ces mouvements complexes, non connus et non décomposés, savoir d
rquables que nous avions constatées au XIe siè- cle. D'ailleurs les mouvements deviennent raides, la figure humaine est souven
tion évi- dente ; la contracture spasmodique est moins intense, les mouvements des membres inférieurs sont plus étendus. Mais
e 11 centimètres à droite et 9 cm. 1/2 à gauche. Des deux côtés les mouvements de l'avant-bras sur le bras sont très limités, co
mettant en contact avec elle par sa partie externe. Dans les divers mouvements du coude elle glisse sur cette partie interne de
I ? ¡I"llltallll,l'aI'IS DESCRIPnON D'UN ECTROMÉLIEN HÉMIMÈLE 133 Mouvements , muscles ET NERFS.- Si maintenant nous étudions l
, voici ce que nous cons- tatons : Membre supérieur droit. -- Les mouvements du bras sur l'épaule se font très bien dans les
s. Ainsi, on constate une grande liberté et une grande facilité des mouvements de projection du bras en avant, en dehors et en
nts de projection du bras en avant, en dehors et en arrière, de ses mouvements d'élévation verticale et de ses mouvements de r
rs et en arrière, de ses mouvements d'élévation verticale et de ses mouvements de rotation en dedans ou en de- hors. Ces derni
ehors surtout, sont même plus étendus que dans l'état normal. Les mouvements de l'avant-bras sur le bras sont au contraire mod
il forme toujours un angle aigu. La flexion de l'avant-bras est le mouvement le mieux conservé et le plus étendu ; l'avant-b
nt-bras peut être en effet amené presqu'au contact avec le bras. Ce mouvement se fait avec une force assez grande, 'grâce au bo
a levé notamment devant nous un seau plein de charbon de terre. Le mouvement d'extension actif ou passif est beaucoup plus res
surtout dans ses deux parties inférieures, interne et externe. Les mouvements passifs de rotation de l'avant-bras en dehors et
rotation de l'avant-bras en dehors et eu dedans, c'est- à-dire les mouvements qui correspondent à la supination et à la pronati
és, la pronation étant plus étendue que la supi- nation. Actifs ces mouvements sont beaucoup plus restreints que passifs. Les
ctifs ces mouvements sont beaucoup plus restreints que passifs. Les mouvements de la main sur l'avant-bras sont aussi très limit
sur le bras ; il entre également en contraction à l'oc- casion des mouvements du poignet. Sur le bord interne de l'avant-bras o
omme à droite la musculature de l'épaule gauche paraît normale. Les mouvements de l'articulation scapulo-humérale sont très ét
G... ne peut sou- lever de ce côté des fardeaux aussi lourds. Les mouvements de l'avant-bras sur le bras se comportent aussi à
comportent aussi à peu près comme à droite ; le plus étendu de ces mouvements est la flexion ; l'extension est au contraire t
ts est la flexion ; l'extension est au contraire très limitée ; les mouvements volontaires de pronation et de supination sont
res de pronation et de supination sont presque nuls, tandis que ces mouvements passivement commu- niqués peuvent être produits
ments passivement commu- niqués peuvent être produits. Les divers mouvements actifs de la main sur l'avant-bras sont presque n
que l'extension ou que les mouve- ments de latéralité. Passifs ces mouvements peuvent être beaucoup plus éten- dus. Il en est
ts peuvent être beaucoup plus éten- dus. Il en est de même pour les mouvements de la première phalange sur le métacarpien ; ta
vements de la première phalange sur le métacarpien ; tandis que les mouvements passifs de flexion, d'extension et de latéralit
fs de flexion, d'extension et de latéralité sont assez étendus, les mouvements actifs de latéralité-se font seuls assez bien,
léchisseur du pouce, doit aussi être bien développé, en raison' des mouvements de la dernière pha- lange du doigt. Les autres
araissent bien développés, leur action se manifeste surtout par les mouvements de latéralité imprimés a la pre- mière phalange
us leur permettions, par notre trai- tement, de continuer ces mêmes mouvements qui assurent le pain quotidien de la plupart d'
ceux dont la profession nécessite la répétition continuelle du même mouvement . Après avoirétudié quelques cas typiques de ces a
et fort incommodes. Dans la genèse de l'affection, la difficulté du mouvement , et la force employée (celle-ci étant sou- vent
la répétition, et, si l'on peut s'exprimer ainsi, la maladresse du mouvement . La principale cause est la prolongation dans u
er malade a été amélioré par le repos ; il a complètement cessé les mouvements spéciaux, cause première de son affection : il se
s et du pouce. Ce tremblement, petit et rythmé, apparaît au moindre mouvement de la main. De temps en temps, la malade ressen
car maintenant elle apparaît aussi à l'occasion de tous les autres mouvements : la faiblesse de la main gauche est perma- nen
d'actionner avec sa main droite le transmetteur télégraphique ; ce mouvement détermine une douleur aiguë. Généralement cette
loyés y sont obligés de transmettre environ 25 mots à la minute. Le mouvement effectué consiste à presser simplement, mais tr
'atrophie ; elle peut se ser- vir de ses deux membres pour tous les mouvements , sauf pour ceux spécifiés plus haut. Cependant
s'étendre aux autres groupes musculaires, et à empêcher ainsi tout mouvement . Par ordre de fréquence et d'apparition, ces sy
C'est la présence de ces deux symptômes qui occasionne la gêne des mouvements . La douleur est probablement due à la contracti
les difficul- tés qu'ils éprouvent dans l'accomplissement de leurs mouvements : mais au point de vue du traitement, il est de
t au malade de se servir d'une cuillère ou d'allumer sa pipe ; tout mouvement délicat, en un mot, augmentait ou provoquait le
fection ne se montraient pas exclusivement à l'occasion de certains mouvements spé- ciaux, nécessités par l'exercice de la pro
es progrès. Nous permettons ainsi au malade de ré- cupérer tous ses mouvements par la suppléance fonctionnelle des autres cell
favorable que quand elle se manifeste sous l'influence de tous les mouvements du membre. Les cas les plus graves sont ceux qui
smodique. Par repos, il ne faut pas entendre l'interdiction de tout mouvement , mais seulement de celui qui a donné naissance
s premiers temps de l'affection. Lorsqu'on autorisera de nouveau le mouvement interdit, on tirera un très bon béné- fice de l
nécessité du changement de méthode dans la perpétration de certains mouvements combinés, trouve aussi ici son application. Le
ture ou mutilation. Un peu plus loin, Jésus bénit un homme dont les mouvements bizarres pourraient être ceux d'un possédé. Il
représenter une crise démoniaque vue par lui,il n'a pas su,dans les mouvements compliqués de cette crise, saisir le mouvement
n'a pas su,dans les mouvements compliqués de cette crise, saisir le mouvement caractéristique, toujours identique dans toutes
ue ; tremblement irrégulier, saccadé, intermittent, exagéré par les mouvements vo- lontaires, dans le membre supérieur droit,
ons émotives, il manifeste, à chaque fois que nous 1 approchons. un mouvement sentimental évident. Ces manifestations psychiq
ctivement par : l'immobilité relative du sujet avec persistance des mouvements d'habitude, l'inertie du masque facial, une att
itte sa place habituelle et se rapproche de la périphérie. Dans son mouvement de translation il peut aller occuper ou une ext
nstata l'issue hors des vaisseaux des leucocytes, qui grâce à leurs mouvements amiboïdes pénétraient dans les cellules nerveus
e phénomènes à distance, troubles intellectuels, pseudo-méningites, mouvements choréi formes, convulsions, attaques hystérifor
; 6° des neurones de la sensibilité visuelle ; 7° des neurones des mouvements de la vie de relation ; 8° des neurones de la mic
végétales et animales, un optimum de veille par rapport à tous les mouvements (mécaniques, physiques el chimiques) qui peuven
e. Des ondulations nerveuses qui résultent de la transformation des mouvements de toutes sortes (mécaniques, physiques ou chim
s légères et qui n'ont pas été exactement mesurées. 7° Neurones des mouvements complexes (dits volontaires). Nous n'avons pas
i, car nous savons que les neurones de sensation et les neurones de mouvement qui commandent une même région du corps, sont s
ains réflexes n'est que le corollaire de la lésion des neurones des mouvements volontaires, et l'interprétation que j'ai donnée
effet à la présence des neuro-diélectriques entre les neurones des mouvements volontaires et les neurones des mouvements réflex
s entre les neurones des mouvements volontaires et les neurones des mouvements réflexes situés sous la dépendance de ceux-ci q
ucteurs vaso-constricteurs sont intercalés dans les conducteurs des mouvements volontaires depuis l'écorce cérébrale jusqu'aux
a lieu de rapprocher du ralentissement du coeur l'accélération des mouvements respiratoires, due évidemment à l'hypooxygénie de
La douleur était parfois telle que la malade ne pouvait faire aucun mouvement avec la tête. Depuis l'âge de 17 ou 18 ans les cé
s difficile de fixer l'attention du sujet qui réagit à peine par un mouvement de défense à une piqûre même énergique, tant ses
cinq ans, une épingle. Cet accident provoqua de la toux et gêna les mouvements de la poitrine. Cet état obligea notre malade à r
l'ensemble du souffle, de la vie, et un sentiment très énergique du mouvement . Nous allons en donner tout à l'heure la preuve
tibia sont déformés. Le fémur droit semble avoir subi une sorte de mouvement de rotation en ar- rière autour de son axe. La
es. Pas de frémissement, pas de ré'ductibilité, pas de souffle. Les mouvements spontanés sont très limités. L'enfant ne peut d
dduction s'effectuent d'une façon normale. Du côté gauche, tous les mouvements du globe sont abolis sauf l'élévation. Lorsqu'on
stant. Le malade ne peut pas siffler; il souffle difficilement. Les mouvements de la lan- gue sont limités, surtout la project
es rémissions, d'abord peu mar- quées. Il n'était pas accru par les mouvements volontaires, mais il était assez vif dans les m
s et des jambes qui se produisaient spontanément et troublaient ses mouvements volontaires. Aslasie-abasip. Il n'avait aucune
janvier 1901 tous les troubles présentés par W... se réduisent à un mouvement spasmodique rythmé et symétrique des membres su
s sa « danse de Saint-Guy » qu'il l'ait abaudonné une seule minute. Mouvements spasmodiques. W... présentant ses deux mains en p
et juste suffisante, des extenseurs de l'avant-bras ou du bras. Ce mouvement très brus- que mais immédiatement retenu n'amèn
en apparence, une importance inattendue.W... ne pouvant réussir un mouvement un peu minutieux et un peu soutenu a dû 320 BER
difie pas. Quand il cause assez longtemps pour être distrait de ces mouvements , - ce qui est facile, car il ne s'en préoccupe
ns fré- quentes c'est que W... écrivait plus vite, autrement dit le mouvement de l'ap- pareil enregistreur était plus rapide.
peu apparent du reste. C'est, par moment surtout quand il parle, un mouvement de distorsion des lèvres vers la droite, une so
ain droite 70, main gauche 40) ; le malade est droi- tier. Tous les mouvements sont aisés et précis. Les réflexes tendineux (s
asymétriques, cependant le regard est un peu vague. Quelques petits mouvements fibrillaires dans la paupière inférieure gauche,
istence de réflexes soit simples soit associés, la coordination des mouvements même compliqués (flexion des jambes, retrait du
dire dictée par les faits. I. - Il semble qu'il puisse y avoir des mouvements spontanés ou as- sociés malgré une absence tota
dynamogène à peu près exclusive dans le méca- nisme fonctionnel des mouvements au faisceau pyramidal.D'autres au con- traire p
isceau sensitif. Quels seraient alors l'origine et le mécanisme des mouvements spontanés ou associés observés chez notre sujet
uses ainsi lésées marchent ordinairement de pair avec l'absence des mouvements . A quoi faut-il attribuer la genèse du mécanism
ient sensiblement normaux. avaient conservé la persistance de leurs mouvements et ne présentaient aucune atrophie appré- ciabl
s nettement observées expliqueraient, croyons-nous, la synergie des mouvements rencontrés dans notre cas en particulier, malgré
de la con- tracture des poignets,etc.Une malade de Brodie avait des mouvements res- semblant à la chorée. La superposition de
on; tendons des longs extenseurs très visibles sur la face dorsale; mouvements d'adduction et d'abduction abolis; flexion volo
olie ; impossibilité de joindre les bouts des doigts, par manque de mouvement , spécialement dans l'annulaire et le petit doig
ière l'influence croisée de l'éducation (1). Mais l'influence des mouvements d'un membre sur ceux de son congé- nère n'est p
ns pro- longé, elle peut se montrer immédiatement ; l'influence des mouvements d'une autre partie du corps n'est pas moins évi
que le travail du médius droit se relève s'il a été précédé par des mouvements du médius gauche; qu'un relèvement analogue peu
par des mouve- ments préalables du membre inférieur gauche, par des mouvements d'arli- culation avec ou sans émission de sons.
ation avec ou sans émission de sons. J'avais relevé l'influence des mouvements du membre supérieur droit sur les mouvements d'ar
relevé l'influence des mouvements du membre supérieur droit sur les mouvements d'articulation et la fonction verbale. M. Krone
eureux effets de la marche sur l'accommodation. J'ai montré que les mouvements des yeux agissent sur le travail de la main (4)
tion (ibid., 1898, VI, p. 6). (2) Contribution à la physiologie des mouvements volontaires, etc.(C.R. de la Soc. de biologie,
de la Soc. de biologie, 1885, p. 223, 242, 253, etc.). Sensation et mouvement , Etudes expérimentales de psycho-mécanique, 2e
(L'année psychologique, 1901, p. 130). (4) Le plaisir de la vue du mouvement (C. R. de la Soc. de biologie, 1901, p. 930). (
ment (C. R. de la Soc. de biologie, 1901, p. 930). (5) Sensation et mouvement , p. 6. Note sur l'influence réciproque du travail
ntrée de nouveau à la série suivante malgré l'association des mêmes mouvements . Lauder Brunton admet que la mastication comme
ius droit. - Pendant toutes les reprises du travail, on associe aux mouvements de flexion du médius des mouvements de masticatio
ises du travail, on associe aux mouvements de flexion du médius des mouvements de mastication sur un tube de caoutchouc tenu e
dius gauche. Pendant toutes les reprises du travail, on associe aux mouvements de flexion du médius des mouvements de masti- c
ises du travail, on associe aux mouvements de flexion du médius des mouvements de masti- cation sur un tube de caoutchouc tenu
il normal. Fic. 2 b. - Travail du médius gauche avec association de mouvements de mastica- tion du côté gauche : 88 k. 23. - D
il normal. FiG. 3 A. - Travail du médius gauche avec association de mouvements de mastica- tion du côté droit : 96 k. 72. - Dé
l normal. FiG. 4 b. - Travail du médius gauche, avec association de mouvements de flexion des doigts de la main droite : 128 k
il normal. FiG. 5 b. - Travail du médius gauche avec association de mouvements de flexion et d'extension de la jambe gauche, 1
il normal. FIG. 6 b. - Travail du médius gauche avec association de mouvements de flexion de la jambe droite : 98 k. 22. La de
On voit que lorsque la fatigue est arrivée avec l'association- des mouvements de mastication, l'association de mouvements du
avec l'association- des mouvements de mastication, l'association de mouvements du membre inférieur du côté correspondant au mé
evenu moindre. Dans les deux expériences suivantes on a associé aux mouvements du médius des mouvements de flexion sans poids
eux expériences suivantes on a associé aux mouvements du médius des mouvements de flexion sans poids des doigts de la main du
able du travail. Et on voit que quand la fatigue est venue avec les mouvements associés de l'autre main, la mastication du côté
dius droit. - Pendant toutes les reprises du travail on associe aux mouvement de flexion du médius droit des mouvements de fl
du travail on associe aux mouvement de flexion du médius droit des mouvements de flexion des doigts de la main gauche. L'IN
SCLES 447 448 FÉRÉ Dans les deux séries suivantes, on associe aux mouvements de flexion du médius droit des mouvements de ma
suivantes, on associe aux mouvements de flexion du médius droit des mouvements de mastication sur un tube de caout- chouc tenu
c'est une jambe ou l'autre qui agit. Dans le cas d'association des mouvements de la jambe droite, quand la fatigue arrive, ce
ts de la jambe droite, quand la fatigue arrive, ce sont d'abord les mouvements du médius qui deviennent pénibles et impossible
que la jambe peut encore se mouvoir ; dans le cas d'association des mouvements de la jambe gauche,c'estla fatigue de la jambe
possibilité de s'étendre, et pour un moment la représentation de ce mouvement est impossible. Quand il redevient possible, il
xp. XI) qui représentent le tra- vail exécuté en même temps que des mouvements de la jambe du même côté montrent une excitatio
conséquent une excitation momentanée. L'intervention ultérieure des mouvements de mastication provoque encore dans ces quatre ex
s considérable. En résumé ces expériences montrent que : 1° Les mouvements associés et synchrones de la mâchoire, des fléchi
a qu'une exception, c'est dans le cas où le travail associé est le mouvement du membre infé- rieur gauche qui constitue un t
r les neuf séries d'ergogrammes du médius droit sous l'influence de mouvements associés de mastication est de 148 k. 68, et de
e mastication est de 148 k. 68, et de 182, 87 ; sous l'influence de mouvements associés de la main gauche, 183, 99; sous l'inl
mouvements associés de la main gauche, 183, 99; sous l'inlluencedes mouvement associés du membre inférieur droit 161, 99, sou
ent associés du membre inférieur droit 161, 99, sous l'influence de mouvements associés du membre inférieur gauche, 133, 86, s
re peut-être légè- rement abaissée, n'a jamais été douloureux ; les mouvements sont faciles et l'enfant, florissante de santé,
gération à faire remonter à la période fébrile initiale, le débutdu mouvement bypertrophique dont la jambe est le siège ; en
de convulsions, la période fébrile ne sort pas de la banalité d'un mouvement pyrétique ordinaire, aussi le souvenir pourrait
es inférieurs ne sont pas atteints de paralysie complète et que les mouvements , s'ils sont difficiles, sont possibles. Ainsi X
impossible et en soutenant la malade sous les bras, on voit que les mouvements de locomotion des deux jambes sont à peu près n
impotence fonctionnelle du segment inférieur avec conservation des mouvements dans la position étendue et suppression presque
vements dans la position étendue et suppression presque absolue des mouvements dans la station debout. t. - De plus, symptôm
lité est aussi forte à gauche qu'à droite. A ce premier examen, les mouvements des membres droits nous ont paru avoir une ampl
eut pas voir sur les photographies, c'est la limitation extrême des mouvements de toutes les articulations de cet homme, telle
ez lui de disposition des surfaces osseuses entravant fortement les mouvements des articula- tions, et les limitant à une excu
aucheraucun 'mouvement d'extension au delà de la verticale ni aucun mouvement de rota- tion ; il a conservé seulement le mouv
icale ni aucun mouvement de rota- tion ; il a conservé seulement le mouvement de flexion, assez étendu pour que .son menton v
num. , : La mâchoire inférieure se meut à peu près normalement. Les" mouvements de flexion, d'extension, de torsion du tronc sont
le ma- lade a la plus grande peine à passer ses vêtements; dans les mouvements pro- voqués, le bras, latéralement, ne peut pas
l'horizon- tale, mais l'excursion en arrière est très limitée. Ces mouvements du reste ne -se font que grâce à un déplacement
un déplacement en bascule de l'omoplate, qui suit constam- ment les mouvements de l'humérus, en sorte que l'ankylose scapulo-hum
sorte que l'ankylose scapulo-humérale parait presque complète ; les mouvements de rotation de l'humérus sont impos- sibles.
; les mouvements de rotation de l'humérus sont impos- sibles. Les mouvements de flexion et.d'extension des coudes sont très li
ras et l'avant-bras est de 110°, l'angle mi- nimum de 50°. " -Les mouvements du carpe sont plus limités encore. L'extension au
ritures du service. Le' bassin paraît complètement ankylosé et sans mouvement possible sur le tronc ; les cuisses sont égalem
t assez étendue et l'angle minimum descend aux environs de dos. Les mouvements du pied sur la jambe et des orteils sur le pied s
t des orteils sur le pied sont aussi très limités. Nulle part les mouvements provoqués ne causent aucune sensibilité anor- m
de la main gauche qui s'ap- puie nerveusement sur son genou, et le mouvement involontaire de dé- fense par lequel il arrête
57 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
suggestion aidée de la fixation du regard, catalepsie suggestive, mouvements automatiques; suggestion de ne plus pisser au lit
vulseut en haut et les paupières se ferment. Catalepsie suggestive. Mouvements auto- matiques. Suggestion de ne plus pisser au
et atteignent l'ex- trême limite de l'excursion articulaire. Ces mouvements s'apaisent pendant le repos et cessent complè-
par l'usage d'un bâton (fig. 4) qui lui assure la stabilité que les mouvements incoordonnés des membres rendent très précaire.
rtout au ventre, des douleurs persistantes, s'exaspérant à certains mouvements . Les douleurs abdominales forcent le patient à
rieures empêchent le malade de mar- cher, à fortiori de courir, les mouvements volontaires exaspérant les douleurs. Pour se me
a fait cesser les convulsions, diminué les douleurs, amé- lioré les mouvements , mais d'une façon toute passagère. P. KERAVAL.
n, cercles irisés aulour des objets lumineux, dou- leur pendant les mouvements de l'oeil, tout cela dû à la congestion passagè
la détermination de la courbe que trace le membre inférieur dans le mouvement de pendule. Il considère cette détermination co
RAITEMENT DE L'ATAXIE DANS LE TABES DORSALIS PAR LA RÉÉDUCATION DES MOUVEMENTS (méthode de rrcakel); Par le D' Roueres HIRSCHB
le D" Frenkel fit une courte communication sur le trai- tement des mouvements ataxiques '. Cette communication paraît avoir p
destin, que les deux méthodes la suspension et la rééduca- tion des mouvements qui jusqu'à présent ont seules donné des résult
ue à Horn (Suisse), -de ses idées sur le traitement de l'ataxie des mouvements et nous montra un malade, chez lequel il a obte
ée, voulant dire par là que le malade devait comprendre le sens des mouvements . Nous nous ren- dons à la critique du D1' Frenk
maître le professeur Raymond se sert : méthode de rééducation des mouvements . Cette dénomination a encore le grand avan- tag
le principe même du traitement. III. La méthode de rééducation des mouvements a pour but de corriger l'incoordination motrice
capable de réapprendre par des efforts de volonté à coordonner ses mouvements . Pour y arriver, l'ataxique devra exécuter des
nt oublié quels muscles il faut contracter pour exécuter tel ou tel mouvement . On est donc 'obligé de lui enseigner, comment
ons musculaires simples : flexion, extension, abduc- tion, etc. , Mouvements coordonnés simples : lever la jambe à une cer-
c. 1) j 1 Leytlell. - I,nc. cil. ' 164 ' " CLINIQUE NERVEUSE. Mouvements coordonnés compliqués : marcher, s'asseoir, écr
cuter successivement dans l'ordre de leur complexité la série des mouvements suivants : .- 1° Flexion, extension, abduction
, et puis simultanément le même mou- vement avec les deux pieds; 2° Mouvement de rotation du pied dans l'articulation tibio-t
un cercle avec le bout du pied; 3° Flexion du genou. - Pendant ce mouvement la cuisse ne doit pas faire d'oscillations à gauc
plan du lit, le bassin est immobilisé. Le malade doit exécuter le mouvement sans saccades et en quatre temps : abduction, r
ligne médiane. ? 6° Lever la jambe d'une seule pièce, sans faire de mouvements de zigzag; 7° la jambe étant levée faire des mo
ns faire de mouvements de zigzag; 7° la jambe étant levée faire des mouvements d'ad- duction et d'abduction dans l'articulatio
on coxo-fémorale ; 8° la jambe étant levée, faire avec celle-ci des mouvements de rota- tion dans l'articulation coxo-fémorale
ppuyer sur ses mains et sans que les jambes bougent ; 10° le même mouvement avec cette différence que le malade est couché da
s musculaires et par conséquent arriver à pouvoir exécuter tous ces mouvements TRAITEMENT DE L'ATAXIE DANS LE TABES DORSALIS.
. Au début le, malade surveillera avec les yeux attentivement ses mouvements , mais au sur et à mesure qu'il les fera plus ré
nts ; 3° étant debout les pieds écartés, exécuter avec les bras des mouvements de gymnastique (projection des bras en avant, e
; 15° en se tenant t les genoux fléchis exécuter avec les bras des mouvements de 166 . ' CLINIQUE NERVEUSE. gymnastique; z,
venons d'énumérer contiennent, comme on le voit les éléments de nos mouvements usuels. Néanmoins le médecin ne devra pas se te
ons utile d'exposer ici la théorie de la méthode de rééducation des mouvements . Mais d'abord éliminons la part qui revient à l
r par quel mécanisme se fait chez le tabétique la réé- ducation des mouvements . On est loin d'être fixé sur la nature et le si
'est pas une fonction peur se, mais un arrangement harmo- nieux des mouvements pour atteindre un but voulu. C'est une fonction
emesure par des exercices spéciaux récupérer la coordination de ses mouvements . L'intégrité des fonctions cérébrales est même
nous apprenons à rester debout, à marcher, courir, nager, faire des mouvements coordonnés ' 'Jendrassik. Detils. klin. Med., t
onne au contraire sera prudente, raisonnera, se fera une théorie du mouvement coordonné, qu'elle aura à apprendre. Demandez à
oup d'exercices, d'attention et de bonne volonté. - L'analyse des mouvements coordonnés démontre que ce ne sont pas des mouv
L'analyse des mouvements coordonnés démontre que ce ne sont pas des mouvements automatiques, mais conscients et intentionnels.
ais conscients et intentionnels. L'habitude seule fait que dans les mouvements que nous répétons journellement, l'intervention
se rappelle ce que nous avons dit de la méthode de rééducation des mouvements et on comprendra facilement que les exercices r
IE DANS LE TABES DORSALIS. 173 surveiller par la vue l'extrémité en mouvement . Pour la même raison les mouvements de l'ataxiq
eiller par la vue l'extrémité en mouvement. Pour la même raison les mouvements de l'ataxique sont de grande amplitude, car ce
concentration de l'attention, puisque pour arriver à coordonner les mouvements avec une sensibilité affaiblie, le cerveau devr
de sa sensibilité musculo- articulaire et arriver à coordonner ses mouvements avec une sensibilité défectueuse. Les limites d
de d'aggravation rapide des phénomènes ataxiques la rééducation des mouvements ne doit pas être appliquée. En voici la raison
que le malade avait déjà obtenu une très grande amélioration de ses mouvements . Cette amélioration de la sensibilité s'expliqu
ut être tellement affaiblie que le malade n'aura conscience que des mouvements de très grande amplitude, qu'on imprimera aux a
ni de se retourner dans son lit. Désordre le plus complet dans les mouvements des jambes. Les deux pieds dans la position de
e de l'OBSERVATION I est par- venu à pouvoir si bien coordonner ses mouvements que sa démarche a presque complètement perdu le
ent. Quelques-uns de nos malades sentaient certainement mieux les mouvements qu'on imprimait à leurs articulations. Cepen- d
cachectisés par la maladie. Le traitement par la rééducation des mouvements n'est in- diqué que dans la période d'ataxie du
quelle importance est le concours de la vue dans la rééducation des mouvements . On comprendra ainsi facilement pourquoi les av
. Dans le tabes à évolution aiguë, trop rapide la rééducation des mouvements n'est d'aucune utilité. Si on se trouve en pré-
ulo-articulaire et cutanée pour que le malade puisse coordonner ses mouvements avec le concours d'une sensibilité défectueuse.
era inutilement dans la lutte sans pou- voir arriver coordonner ses mouvements . Même dans le tabes chronique à évolution lente
'est aperçu qu'en descendant une côte il ne pouvait pas modérer ses mouvements . Au mois d'août de la même année il marchait dé
s articulations des genoux et des hanches il ne sent que les grands mouvements . Incoordination motrice. Le malade exécute asse
Debout. Quand le malade est debout ses pieds sont agités par des mouvements continuels. Il ne peut pas se tenir debout les
ent il se sert d'une canne pour marcher. La jambe gauche a tous les mouvements plus incoordonnés que la droite. Le malade a
e, a} anl1es yeux fermés, sent maintenant parfaitement les moindres mouvement , qu'on imprime aux genoux et aux articu- lation
cliligne avec l'avant-bras, qui, lui, est en pronation légère. Tout mouvement qui tendrait à l'extension de l'articulation du
a main ave; une telle vigueur que « la peau en aurait craqué ». Les mouvements bien restreints cependant de la main ont déterm
eau de l'articulation métacarpo-pha- 1.`nôienne du troisième doigt. Mouvements normaux. T. G. 24°,6 ; T. D. 25°,6. ' . 5. La
ut prononcée du côté droit. La bouche s'ouvre normalement, mais les mouvements de mastication sont considérablement gênés. Les
mais les mouvements de mastication sont considérablement gênés. Les mouvements de diduction et antéro-postérieurs du maxillair
postérieurs du maxillaire inférieur sont dou- loureux ainsi que les mouvements de haut en bas, particulièrement à droite. La m
emblements au repos (paralysie agitante) ; 2° tremblements dans les mouvements volontaires (sclérose en pla- ques) ; 3° contra
anormales au repos (chorées); 4° contrac- tions anormales dans les mouvements (ataxie).. , SOCIÉTÉS SAVANTES. 227 7 On peut
fin l'étude des tremblements associés entre eux ou combinés à des mouvements anormaux. En résumé, la valeurséméiologique des
mblements atypiques ou les associa- tions des tremblements avec des mouvements ataxiformes et cho- réiformes signalés par M. L
résentait, en dehors du tremblement typique de cette affection, des mouvements aryth- miques, j'ai pu faire disparaître par la
ents aryth- miques, j'ai pu faire disparaître par la suggestion les mouvements anormaux surajoutés au tremblement de la scléro
siste à la suggestion; on peut cependant dimi- nuer \'amplitude des mouvements choréiques ; on fait disparaître ce qui est név
ite l'habitude de manger. Ils en arrivent même à ne plus savoir les mouvements nécessaires à la mastication et à la déglutitio
ents convulsifs d'au- cune sorte et n'a jamais présenté non plus de mouvements cho- réiformes. La sensibilité générale est int
une série de [flexions et de déflexions saccadées et rapides ; les mouvements de l'avant-bras droit ont pour effet de faire p
convulsive'. ' Il est toutefois possible d'obtenir le transfert des mouvements spas- modiques à gauche, il suffit de tenir le
che, il suffit de tenir le bras droit du malade sans le serrer, les mouvements de flexion et d'extension se montrent alors dans
même debout, peuvent faire complètement défaut. Ils con- sistent en mouvements de flexion et d'extension peu marqués et de trè
eds s'étendent et se fléchissent alternativement, l'ampli- tude des mouvements cloniques du bras droit s'exagère; en vain, dan
oit s'exagère; en vain, dans ce cas, le malade essaie de modérer ce mouvement si carac- ;. téristique en appliquant le plus f
irait et surtout après quelques essais de gymnas- tique vocale, les mouvements spasmodiques montrèrent une ten- dance à diminu
ences durant lesquelles le malade peut par- ler sans effort et sans mouvements convulsifs semblent se faire depuis quelque tem
xplosit; en second lieu, elles représentent tou- jours l'ébauche de mouvements volontaires ou réflexes, elles restent souvent
st en général respectée; le pouvoir qu'a la volonté d'arrê- ter les mouvements lorsqu'on l'ordonne au malade et enfin le fait
s mouvements lorsqu'on l'ordonne au malade et enfin le fait que les mouvements volontaires font cesser immédiate- ment les con
dernière affection ils ont un sens et expri- ment la tendance à des mouvements coordonnés. Le terrain sur lequel se sont dével
ots, il sera logique de supposer qu'après avoir gagné le centre des mouvements de la face qui lui est contigu, l'onde spasmodi
e des membres inférieurs, il survenait parfois des soubresauts, des mouvements brusques spontanés dans ces extrémités, le même
y sont peu fréquentes. Le tremblement cesse pendant le sommeil, les mouvements intention- nels l'exagèrent. Zone d'anesthésie
culation des mots impossible. Sia- lorrhée excessive. Abolition des mouvements de l'orbiculaire des lèvres, paralysie presque
s ses symptômes qui donne à la physionomie un aspect étrange. Les mouvements réflexes et d'accommodation de la pupille sont co
les avant-bras, doigts à demi fléchis, le pouce en adduc- tion. Les mouvements d'extension des mains et des doigts impos- sibl
tat de stupeur. Il n'y a aucun phénomène paralytique, cependant les mouvements intentionnels sont lents et un peu incer- REVUE
s auteurs (Moebius, Littré, Picot), M. Pieraccini le définit : « Un mouvement involontaire permanent ou venant par accès d'as
RAITEMENT DE L'ATAXIE DANS LE TABES DORSALIS PAR LA RÉÉDUCATION DES MOUVEMENTS (méthode de ]j'reniieZ) 1; Par le D' RUBENS HIR
orce muscu- laire sont intactes. Il y a un peu d'incoordination des mouvements dans les doigts de la main gauche visible surto
DANS LE TABES DORSALIS. 339 Les yeux fermés, elle exécute tous les mouvements régulièrement sans saccades. Jambe gauche. Ic
aux articulations de la jambe. Les yeux fer- més, elle exécute les mouvements très irrégulièrement. Phénomène plantaire. Une
ouble d'incoordination dans celte jambe. La malade exécute tous les mouvements avec une régularité absolue, les yeux ouverts a
avec beaucoup de peme que la malade arrive à redresser le pied. Les mouvements de cette jambe sont fortement incoordonnés. Cet
incoordination apparaît sur- tout quand la malade doit exécuter des mouvements tant soit peu compliqués. L'incoordination est
leurs qui étaient atroces. Ces douleurs n'augmentaient pas avec les mouvements . Ces crisesdeve- naient de plus en plus fréquen
nde (articulaire et musculaire) est à peine troublée. Cependant les mouvements des doigts présentent un certain degré d'incoor
'a aucune notion de la position qu'on leur donne dans l'espace. Les mouvements sont fortement incoordonnés. Les deux pieds se
and orteil, sont fortement fléchis. Le moindre effort pour faire un mouvement quelconque augmente encore davantage le varo-éq
rière qui s'enchevêtrent. Debout elle n'est pas capable de faire un mouvement quelconque avec ses jambes. Réflexes. Les réfle
ait comme très peu favorable au traitement par la réédu- cation des mouvements . D'abord la malade ne marchait plus du tout dep
ndait pendant six semaines tout traitement impos- sible. Pour les mouvements au lit cela allait encore. Dans l'espace d'un m
ige bien la position vicieuse des pieds, et même quand elle fait un mouvement coor- donné compliqué, par exemple, fléchir le
peut plus bien mesurer la hauteur des marches, ni proportionner ses mouvements , aussi lui arrive-t-il de tomber fréquemment. L
cute les yeux ouverts avec les jambes, très régulièrement, tous les mouvements qu'on lui ordonne. L'incoordination motrice est
eut le 29 avril 1895. La malade faisant très régulièrement tous les mouvements au lit, no us limitons ce traitement aux exerci
ment grâce aux exercices, plus rapidement refait l'éducation de ses mouvements . Il est certain que sans notre traitement la pé
avait pas comment s'y prendre pour restaurer la coordination de ses mouvements . Maigre la disparition presque complète de l'in
pied droit est légèrement renversé en varo- équin. Les différents mouvements des jambes au lit ^flexion, extension, TRAITEME
hanger de direction, elle se retient à un lit voisin pour opérer ce mouvement . Elle marche en frappant du talon le sol et en dé
lité profonde est normale. Il n'y a pas d'incoordina- tion dans les mouvements usuels. Cependant le malade se plaint qu'il écr
e notion des contractions musculaires. Motilité. Couche. Tout les mouvements , même les plus sim- ples, sont fortement incoor
i aide, on constate que ses genoux se redressent brusquement par un mouvement de ressort et son corps est projeté en avant. U
n avant. Une fois debout, les jambes du malade sont agilées par des mouvements continuels. Le corps se balance dans tous les s
corps reste en arrière. Brusque- ment le corps est repoussé par un mouvement de ressort en haut et en avant. On dirait que l
sort en haut et en avant. On dirait que le malade est agité par des mouvements de la grande chorée. Les jambes se croisent, le
de cet âge, qu'il est peu il. peu parvenu à exécuter les différents mouvements dont se composent nos exercices. Aussitôt que l
jambe gauche obéissait moins et restait plus désordonnée dans ses mouvements que la jambe droite. Le traitement a eu chez ce
é. Couché. L'incoordination motrice est considérable, même pour les mouvements les plus simples (flexion, extension, adduction
échissent brusquement et les pieds sont con- tinuellement agités de mouvements . Le pied gauche a des ten- dances à se renverse
ans l'articulation coxo- fémorale le malade apprécie assez bien les mouvements qu'on im- prime dans ces articulations, pourvu
s mouvements qu'on im- prime dans ces articulations, pourvu que ces mouvements soient d'une grande amplitude. Dans l'articulat
s articulations de la jambe gauche le malade sent qu'on imprime des mouvements à ses articulations, mais il ne sait pas quels
mouvements à ses articulations, mais il ne sait pas quels sont ces mouvements et il se ,trompe continuellement. Le signe de R
s, mais surtout à la main gauche. Le ma- lade n'a aucune notion des mouvements qu'on imprime aux doigts dans les deux dernière
des muscles des jambes (les yeux fermés naturellement). Tous les mouvements des jambes au lit, même les plus simples, sont tr
t l'état du malade avant son départ. Il exécute assez bien tous les mouvements au lit. Au lit le pied gauche ne se renverse pl
igts de cette main dans toutes les articulations des doigts, ni les mouvements qu'on imprime à la main sur l'avant-bras. Les m
s mouvements qu'on imprime à la main sur l'avant-bras. Les moindres mouvements dans l'articu- lation cubitale et scapulo-humor
tement sentis. Il y a un certain degré d'incoordination dans les mouvements de la main gauche. De temps en temps la malade a
; excepté à l'articulation des pieds, où le malade ne senl pas les mouvements qu'on leur fait prendre. Aux genoux le malade s
ements qu'on leur fait prendre. Aux genoux le malade sentie moindre mouvement . Aux hanches le malade ne sent que les mouvemen
e sentie moindre mouvement. Aux hanches le malade ne sent que les mouvements à grande amplitude. Les petits écarts sont mal
grande amplitude. Les petits écarts sont mal appréciés, surtout les mouvements d'adduction et d'abduction de la cuisse. Ces tr
le malade lève la jambe droite d'une seule pièce, il se produit un mouvement de rotation en dehors dans l'articulation coxo-
adductions avec la cuisse, le genou étant fléchi, il se produit des mouvements d'oscillation du genou à gauche et à droite que
ter debout les pieds joints. Les jambes et les pieds sont agités de mouvements . Le pied gauche tourne, malgré le malade, sur l
tes doses, ont des effets marqués pour augmenter la fréquence des mouvements respiratoires. Aussi, la mélancolie et certaine
porte de signaler l'ou- vrage du Dr H. Baraduc : L'âme humaine, ses mouvements , ses lumières, et l'iconographie de l'invisible
l'esprit. M. BARADuc présente son nouveau livre l'Ame humaine, ses mouvements et ses lumières. De cette double étude expérime
édent ouvrage sur la Force vitale, il avait en effet montré que les mouvements d'attraction et de répulsion de l'ai- guille de
son appareil biométrique, en présence de la main, déce- laient les mouvements invisibles à notre élat d'âme vitale, et don- n
, il a trouve avec la plaque une nouvelle méthode d'enregistrer les mouvements de l'âme par leur propre lumière et d'avoir la
ère et d'avoir la signature personnelle respective de chacun de ces mouvements . La plaqne dans ses mains est devenue le loyal
e, la plaque photographique ordinaire est un agent de réception des mouvements lumineux invisibles à l'oeil, obtenus dans l'ob
nc l'expérience même prouve que l'Orne humaine, l'âme psychique est mouvement , lumière et création. - Selon toute probabilité
es. S'il existait un centre d'agraphie permettant de coordonner les mouvements nécessaires pour tracer des lettres, les malade
atteints d'agraphie pourraient former des mots avec ces cubes, les mouvements destinés à tracer les lettres n'étant plus néce
isposition cérébrale qui nous fait attribuer une origine externe au mouvement centripète des sensations doit nous faire attri
des sensations doit nous faire attribuer une origine interne, au mouvement centrifuge des volitions. Cette origine entrevue,
de l'être surnaturel. Dans ces cas, on peut parfois observer des mouvements faibles de la langue et des lèvres, qui lèvent t
'observateur, ni même par le malade qui, inconscient de ses propres mouvements imperceptibles d'articulation, parle alors de v
chis qui s'exaspérait quand le malade marchait ou faisait de grands mouvements . Peu après la marche devint difficile, et l'enf
ovoquer il faut une excitation très forte, douloureuse même. Tout mouvement volontaire est impossible, on peut provoquer des
. Tout mouvement volontaire est impossible, on peut provoquer des mouvements réflexes en pinçant la peau de la plante des pied
tes douleurs dans la partie postérieure des deux jambes. Le moindre mouvement des membres, la moindre pression les exas- père
ons dans le sens antipéristaltique. Dans le cas actuel, ce sont les mouvements du bateau qui troublent le fonc- tionnement des
a miction se fait à moitié, tandis que sur un navire en marche, les mouvements étant étendus et nombreux, la miction est tout à
e réveil, dans le som- meil simple. Dans le rêve, les impulsions au mouvement , si elles provoquent l'acte provoquent en même
ctue qu'avec le secours de la rampe et d'un bâton : à noter que les mouvements sont bien coordonnes. Douleurs dans les membres
roubles moteurs vulgairement et vague- ment désignés sous le nom de mouvements nerveux. La similitude des cas a engagé l'auteu
. Or, chez 19 de ces malades, l'examen n'a révélé aucun trouble des mouvements des cordes vocales; chez 4 seulement il y avait
art, il y a paralysie du droit interne gauche, comportant aussi les mouvements nécessités pour la convergence et blépharoptose
au, se rendent à des muscles synergiques, et concourent ainsi à des mouvements associés. -2° Ces mouvements associés dus à la
synergiques, et concourent ainsi à des mouvements associés. -2° Ces mouvements associés dus à la contraction simultanée de plu
provoque au moyen de l'excitation d'une racine motrice unique, ces mouvements associés, dis-je, coustiluent toujours un mouve
ce unique, ces mouvements associés, dis-je, coustiluent toujours un mouvement complet ou bien exécutent une fonction donnée.
une fonction donnée. - 3° C'est ainsi qu'une racine unique met en mouvement des muscles antagonistes, mais concourant à un mo
mple : excitation de la seconde racine sacrée du chien ; résultat : mouvements latéraux de la queue, habituels aux chiens qui
que généial qui, en outre des symptômes habituels, a présenté des mouvements parliculiers de la tête et de la partie supérieur
néral. La lecture à chacuue de nos séances, par notre président, du mouvement de la population de nos asiles nous rap- pelle
58 (1897) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 10]
tion de la moelle entraine une paralysie croisée du sentiment et du mouvement ; en d'autres termes, il avait démontré que dans
6. - Cas de perle de la sensibilité d'un côté du corps et de perte du mouvement de Vautre côté. lIéd. Exp., 1853, p. 288. - Rec
s les articulations de l'épaule, du poignet et des doigts, tous les mouvements physiologiques sont possibles, aussi bien les mou
, tous les mouvements physiologiques sont possibles, aussi bien les mouvements provoqués que les mouvements spontanés; ces der
ogiques sont possibles, aussi bien les mouvements provoqués que les mouvements spontanés; ces derniers s'exécutent avec vigueu
mbé en arrière ; il lui était devenu impossible de faire le moindre mouvement . Il n'a pas positivement perdu connaissance; to
attouchements ne les inlluen- çaient pas ; au contraire, le moindre mouvement spontané ou provoqué les exaspérait. Aussi, pen
e dos, il pouvait exécuter avec son membre inférieur droit tous les mouvements physiologiques. De même, il soulevait facilement
ssible de maintenir la jambe élevée et fixe. Celle-ci exécutait des mouvements os- cillatoires et ne tardait pas à retomber su
os- cillatoires et ne tardait pas à retomber sur le lit. Puis, les mouvements de flexion de la jambe sur la cuisse étaient tr
t pas à porter le talon au contact de la fesse. De même encore, les mouvements de flexion et d'extension du pied gau- che étai
d'extension du pied gau- che étaient très limités. Par contre, les mouvements d'abduction et d'ad- duction étaient conservés.
it normandes deux côtés ; de même l'acuité visuelle. Seulement, les mouvements d'élévation et les mouvements'de latéralité à gau
est notablement affaiblie au membre inférieur gauche. En outre,les mouvements de ce membre s'exé- cutent lentement, entravés
nsporte son mem- bre inférieur gauche tout d'une pièce, grâce il un mouvement de bascule de bas en haut,qu'il imprime au bass
ment. Vous voyez que le malade ramène son pied gauche à terre, d'un mouvement 10 l'. RAYMOND brusque, et que la plante vien
hors de propos. Elle s'est introduite jusque dans la figuration des mouvements , et en particulier de la marche, qu'elle a étra
ations provoquées par les exercices physiques, ce ne sont point les mouvements qui déforment, mais bien les attitudes. La statio
hanche qui par contre est abaissée. Il faut signaler, en outre, un mouvement de rotation dans le plan hori- zontal des deux
rondie, vrai- semblablement l'extrémité inférieure du radius. Les mouvements de flexion et d'extension du coude se font facile
flexion et d'extension du coude se font facilement. Il n'y a pas de mouvements de pronation ou de supination. Le moignon qui r
GTEN 41 chet, et inversement s'allonger et s'étendre; cependant ses mouvements sont toujours commandés par ceux du cinquième d
e polydactylie cubitale, le doigt surnuméraire ne peut exécuter les mouvements d'adduction et d'abduction, le rapprochant ou l
tes recommencèrent, et cette fois encore on aurait remarqué que les mouvements convulsifs étaient plus prononcés dans les memb
ge de la sphère 'motrice déterminait sans doute la prédominance des mouvements conv'ulsifs'du côté gauche. Peut-être aussi fau
laire. Les extrémités des membres supérieurs sont libres dans leurs mouvements et non tuméfiées, la main est surtout tuméfiée
tendineuses. On peut les rapprocher et les écarter facilement. Les mouvements d'extension ou de flexion des doigts sont très
és, mais il y a à ce point de vue quelques différences à faire. Les mouvements du pouce ont tous disparu, excepté une légère e
ements du pouce ont tous disparu, excepté une légère extension. Les mouvements de flexion des doigts ne sont guère possibles q
ue pour l'index et le doigt du milieu du côté droit. A gauche, tout mouvement de flexion des doigts a disparu. L'extension et
e d'une atrophie marquée de ces muscles. Cependant par l'examen des mouvements dus à ce muscle et l'excitation électrique on se
rieure du cubitus droit est légère- ment hypertrophiée, et dans les mouvements on perçoit de la crépitation et quelques craque
igaments latéraux de l'index, ce qui permet d'imprimer au doigt des mouvements anor- maux. Atrophie considérable des émiuences
droit. Les sus et sous-épineux sont atrophiés des deux côtés. Les mouvements d'élévation du bras dépassent l'horizontale, mais
'attiré son attention en première ligne, c'est une parésie dans les mouvements du pouce, parésie qui ne lui per- mettait pas d
- phiée, mais elle est également complètement paralysée. Aussi tout mouvement de flexion du bras est impossible ; par contre
s pouces des deux côtés sont tournés vers l'axe de main. L'état des mouvements des membres supérieurs est le suivant : le mala
mé Gass..... (d'après une photographie). 9û G. MARINESCO Tous les mouvements de l'épaule sont abolis; on peut imprimer à celle
ouvements de l'épaule sont abolis; on peut imprimer à celle-ci des. mouvements passifs dans toutes les directions ; on ne trouve
le et du bras, on retrouve ici le type du bras de polichinelle. Les mouvements qui persistent à l'avant-bras consistent en un
n de prédicateur. Chez lui, comme chez Jacq... ? toute tentative de mouvement dans le membre supérieur s'accompagne de l'exag
ides, en extension et adduction. Ils ne peuvent exécuter le moindre mouvement . La peau est lisse et luisante, et comme collée à
rtie médiane de l'éminence thénar. Par suite de cette atrophie, les mouvements de flexion du pouce, d'abduction et d'oppositio
et d'opposition sont limités. Ainsi la malade ne peut pas faire le mouvement d'opposition du pouce avec le petit doigt. Elle
u pouce avec le petit doigt. Elle parvient cependant à accomplir ce mouvement avec le médius, un peu moins nettement avec l'ann
erosseux de la main gauche, cons- tatable surtout par le défaut des mouvements d'abduction et d'adduction des doigts. La face
trois derniers doigts sont légèrement rétractés en flexion et leurs mouvements d'adduction et d'ab- duction sont très limités.
ne main sans force. Si on dit au malade de fermer la main, quand ce mouvement est possible, possibilité qui n'existait que chez
ent ce re- lâchement de ligament, grâce auquel on peut imprimer des mouvements anormaux à leurs doigts ; c'est également ce re
s d'un fourneau tournant, une camarade d'atelier imprima un violent mouvement de rotation au fourneau. Sa main fut entraînée
nt mouvement de rotation au fourneau. Sa main fut entraînée dans le mouvement giratoire. Il en résulta une déformation du radiu
échi sur le bras et ne peut s'étendre au delà de l'angle droit. Les mouvements sont douloureux, ainsi que la pression au niveau
on du genou ne peut guère être portée au delà de l'angle droit. Les mouvements de l'articulation s'accompagnent de craquements.
bas et de dehors en dedans comme si l'os avait subi sur lui-même un mouvement de torsion. L'ex- trémité inférieure très hyper
en rien la notion de rallongement vrai de la moelle pendant le même mouvement . c) Il résulte encore de nos mensurations que l
it. A gauche, il y avait de l'hyperesthésie cutanée; l'abolition du mouvement subsistait encore en grande partie. Les troubles
l'accident : son membre inférieur droit était un peu amaigri ; les mouvements de ce membre étaient incoordonnés et sans force
près l'attentat, le malade était en état de marcher sans appui; les mouvements de la jambe droite étaient un peu incoordon- li
isme médul- laire les membres supérieurs présentent dcs troubles du mouvement et du sentiment, mais à titre purement transito
entamée, l'envahissement des membres supérieurs par les troubles du mouvement et du sentiment est un fait obligatoire. Il en
L'articulation radio-carpienne est tout à fait normale et tous les mouvements en sont parfaitement libres. Les doigts seuls p
pination, etc. (Ferrier, Beevor et IIorsley, etc.). Les cenlres des mouvements de la main n'ont pu encore être suffisam- ment
ant David Ferrier a isolé chez le singe le centre de la préhension ( mouvements individuels combinés des doigts et du poignet a
ir, sans grande 192 EMILE BOIX témérité, l'existence du centre du mouvement opposé, c'est-à-dire du mouvement d'extension d
émérité, l'existence du centre du mouvement opposé, c'est-à-dire du mouvement d'extension de la main, mouvement réalisé au maxi
mouvement opposé, c'est-à-dire du mouvement d'extension de la main, mouvement réalisé au maximum dans le geste du magnétiseur
dans quelque livre, c'est la prédominance de force et d'étendue des mouvements de flexion sur les mouvements d'extension. La f
rédominance de force et d'étendue des mouvements de flexion sur les mouvements d'extension. La flexion est la position naturel
la posi- tion de la faiblesse et de la crainte ; et tandis que tout mouvement de flexion n'exige qu'un effort minime, et le p
ent assez bien leur relief et déploient une certaine force dans les mouvements passifs. Les muscles de la ceinture scapulo-hum
n par l'ankylose de l'épaule et peut-être aussi du pouce. Les seuls mouvements possibles sont l'exten- sion du médius et de l'
pulo-humérale. L'avant-bras et la main sont en pronation forcée. Le mouvement d'extension de la main sur l'avant-bras est possi
ent d'extension de la main sur l'avant-bras est possible ; mais les mouvements des doigts pris individuellement sont impossibles
ion relative et divers segments de la moelle, mais ils subissent un mouvement en vertu duquel ils abandonnent leur position p
main, constatables non seulement par les attitudes vicieuses et les mouvements anormaux qu'on peut impri- mer aux doigts, mais
chorée de Sydenham. La névrose de Sydenham est caractérisée par des mouvements incoor- donnés, irréguliers, au repos, se produ
sions apparaissent et disparaissent, la lenteur et la gaucherie des mouvements volontaires, les contrastes que présente le fac
s la chorée rythmée une succession régulière et fré- quente du même mouvement que nous ne retrouvons pas ici. - A-t-il un par
tionnellement le déplacement d'un segment de membre, comme un léger mouvement de l'avant-bras, un léger mouvement de supinati
gment de membre, comme un léger mouvement de l'avant-bras, un léger mouvement de supination du pouce... et vous ver- rez que
forme bénigne par des tics propre- ment dits (grimaces de la face, mouvements brusques et involontaires des membres), « tandi
involontaires des membres), « tandis que, dans la forme grave, ces mouvements involon- taires s'accompagnent des phénomènes c
tômes sans avoir la maladie correspondante. On peut 1 présenter des mouvements choréiques sans avoir la chorée de Sydenham, de
estion de savoir si, au point de vue de l'analyse symptomatique, le mouvement anormal (1) Gilles DE la TOURETTE. Arch. de neu
taires, c'est d'abord clans le groupe des chorées que se placera le mouvement pathologique de notre sujet. Ce classement (1)
° l'influence exercée sur eux par la position du malade (maximum de mouvements quand le malade est couché).- Notre malade ne p
arence de coordination, ils sont quelconques et ne simulent pas des mouvements volontaires. Donc, la convulsion de notre malad
vision spéciale des cho- rées. 1 Guinon (2) définit le tic : « un mouvement convulsif, habituel et cons- cient, résultant d
et dé- veloppe clans le passage suivant : « ce qui caractérise les mouvements .des tics, c'est que, malgré leur complexité et
on nasale un corps étranger engagé dans le nez ; les autres, par un mouvement d'occlusion rapide des paupières, semblent voul
était un des deux hommes les plus singuliers de son siècle. » Le mouvement anormal de notre malade présente tous ces caractè
nham, ni de maladie des tics, notre homme présente cette variété de mouvements choréiques que l'on appelle un tic. Cette pre
les recherches contemporaines qui tendent à établir que chacun des mouvements associés a pour origine un centre dans les masses
t Bain, c'est déjà ce fait qui s'accomplit. Lorsque nous pensons au mouvement de l'extension de la main, nous esquissons déjà
ons au mouvement de l'extension de la main, nous esquissons déjà ce mouvement , et si l'idée est trop forte, nous l'exécutons.
ulbomédullaire sert de centre non seulement aux réflexes sim- ples ( mouvements simples succédant à une impression centripète sim
uccédant à une impression centripète simple), mais aussi à de vrais mouvements associés : telles, la déviation conjuguée de la
er groupe de tics non mentaux c'est-à-dire de tics reproduisant des mouvements associés d'origine bulbomédullaire. Mais ce gro
pouvez concevoir une seconde catégorie de tics, corres- pondant ces mouvements associés polygonaux : ce sont les tics polygonaux
c, il y arrive dans beaucoup de cas : directement, en produisant un mouvement inverse, ou bien en rete- nant sa tête avec un
- terrogatoires : mineur. Rien ne justifiait ce tic dans les divers mouvements du mineur dans la mine et encore moins dans le
de suite paru un renseignement important. Vous savez en effet qu'un mouvement répété, une fonction longtemps remplie, une pro
communs de se manifester seulement pen- dant l'exercice de certains mouvements volontaires ou instinctifs, et de se (1) Chapit
r les spasmes se produisant à l'occasion d'une fonction. Or, ici le mouvement est spontané : c'est un tic. C'est là à mon sen
n effet curieux que notre homme réalise précisément dans son tic le mouvement qu'il devait faire pour soulever et porter son ba
ce que fait notre sujet ; il ne pourra pas au contraire réaliser ce mouvement complexe, quand il voudra le faire, pour soulever
nel, fait à tout bout de champ sans motif et à contre-coeur ce même mouvement de colporteur. Donc, dans le spasme intraprof
onnel voulu; dans le spasme post-professionnel on fait trop le même mouvement professionnel non voulu. Vous voyez que notre c
ie, à se livrer à des exercices gymnastiques" com- prenant tous les mouvements de l'extrémité céphalique. Cette gymnastique su
-même, quoique de très faibles dimensions, est perceptible dans les mouvements de dégluti- tion. Ce n'est pas de l'atrophie de
non suivi d'amélioration. Ankylose de l'épaule gauche limitant les mouvements à moitié course, atro- phie très marquée du del
entimètres. Pas d'adi- pose. Douleurs de l'épaule gauche dans les mouvements provoqués ; douleurs spontanées. Arthrite de
ccinctement, les résul- tats de ce premier examen : A droite, les mouvements passifs du membre inférieur étaient libres ; le
te, les mouvements passifs du membre inférieur étaient libres ; les mouvements volontaires étaient supprimés; la sensibilité éta
rie s'est dissipée dans la suite. Un peu plus tard, la paralysie du mouvement subsistait à droite; elle intéressait dans une
ps. La vessie et le gros intestin fonctionnaient normale- ment. Les mouvements des membres supérieurs et du tronc s'effectuaient
et sueurs. A ce moment, il n'avaitplus la force d'exécuter quelques mouvements avec les bras : on lui donnait à manger comme à u
t t avec la jambe un angle de 130° environ ouvert en dehors. .Les mouvements spontanés sont limités, surtout à gauche. Dece cô
ou à quelques centimètres au-dessus du plan du lit, et exé- cute un mouvement de la cuisse de dehors en dedans. A droite, les
cute un mouvement de la cuisse de dehors en dedans. A droite, les mouvements du pied s'accomplissent tous. La jambe droite é
fléchie, le malade la met en extension, mais il ne peut produire le mouvement inverse. Des mouvements de rotation se pas- sen
et en extension, mais il ne peut produire le mouvement inverse. Des mouvements de rotation se pas- sent à la cuisse. RADIOGR
sse. RADIOGRAPHIE DES OS DANS LA PARALYSIE INFANTILE 327 Pour les mouvements provoqués, ils sont, en général, tous possibles d
s, ils sont, en général, tous possibles du côté droit. A gauche les mouvements du pied sont limités, l'extension de la jambe n
d'environ 150° ouvert en arrière. L'abduction est peu marquée. Les mouvements de la cuisse gauche sur le bassin'sont ceux d'u
. IL Paralysie spinale infantile limitée au membre supérieur droit, mouvements atéthoïdes des doigts par contractions fibrillair
petit doigt. L'atrophie de l'éminence thénar est très marquée. Les mouvements de flexion des 3° et 2" phalanges sont possibles,
légère qu'elle soit. Quant à l'épaule, elle peut exécu- ter un seul mouvement . L'attitude du membre supérieur malade est cons-
flexes rotuliens sont normaux. Il est encore à noter l'existence de mouvements involontaires, dys- chrones, souvent exagérés,
laire. Ces mouve- ments qui rappellent dans une certaine mesure les mouvements d'athétose, dont ils n'ont d'ailleurs pas la le
cer, maintenant que nous lui avons fait remarquer le phénomène, le mouvement de ses doigts quand il sent venir puis augmenter
il de Balle[ et Dutil. C'est l'existence, chez le second malade, de mouvements en quelque sorte athétoïdes qui pourraient éveil-
duisant* au niveau de divers groupes musculaires et en traînant des mouvements particuliers des doigts. Le réflexe tendineux d
ce avec cri et consistant en une période tonique suivie de quelques mouvements clo- niques et d'une très courte période de ste
. OBs. XVIII. Hémiplégie gauche spasmodique permettant encore les mouvements du membre. Absence d'ankylose et d'atrophie. Co
le. En juin 1895, hémiplégie gauche permettant encore en partie les mouvements ; exagération des réflexes sans contracture. Amai
e de la main gauche, quo- tidiennement et à plusieurs reprises, des mouvements aussi étendus que pos- sible. Absence d'arthrit
articulations du coude, du .poignet. Quelques craquements dans les mouvements extrêmes en arrière. de l'articulation scapulo-
as d'arthrite de l'épaule si ce n'est quelques craquements dans les mouvements extrê- mes qu'il lui est difficile d'effectuer
e, quoiqu'il y ait eu un traumatisme antérieur, mais il y avait des mouvements athétosiques. Lésions trophiques de la peau et de
e tenir debout, mais ses jambes étaient encore capables de quelques mouvements dans le lit. Il y eut au contraire ag- gravatio
tre le le sterno-mastoïdien droit et le trapèze gauche. En somme le mouvement de rotation de la tête (sterno-mastoïdien) peut
'un centre fonc- tionnel dont l'action aboutit à la production d'un mouvement complexe par la mise en jeu simultanée de muscl
'on s'occupe d'elle, et qu'on cherche à oublier grâce à de certains mouvements de défense. Ces mouvements sont exécutés vingt fo
on cherche à oublier grâce à de certains mouvements de défense. Ces mouvements sont exécutés vingt fois, cent fois par heure;
tourne à droite, d'abord légèrement; au bout de quelques jours, ce mouvement échappe de plus en plus à la vo- lonté et s'exa
mois environ, toujours avec les mêmes exercices d'immobilité et de mouvements ; à la séance du matin, nous faisons un peu d'é
avons, dans nos prescriptions, plutôt insisté sur les exercices de mouvements que sur les exercices d'immobilité. Au bout du
avant que nous ne l'ayions interrogé sur ce point, que les premiers mouvements de rotation de la tète avaient été volontaires. A
nu- que ; pour reposer sa tête », il tournait celle-ci à gauche. Ce mouvement , d'abord volontaire, qu'il se souvient avoir ré
en exercices très simples : exercices d'immobilité, et exercices de mouvements . I. Les exercices d'immobilité de la tète sont
l'emploi du campimètre nous parait très utile. II. Les exercices de mouvement seront eux aussi peu compliqués au début : On
icultés à mesure que l'amélioration devient plus marquée ; mais les mouvements simples du début sont en partie répétés à chaqu
ts simples du début sont en partie répétés à chaque séance, et tout mouvement mal fait est recommencé et travaillé à nouveau
séances suivantes jusqu'à ce qu'il soit parfaitement exécuté. Les mouvements doivent être faits lentement, doucement, sans sec
ser 10 minutes. Dans la même séance,, on entremêle les exercices de mouvement , aux exercices d'immobilité. Les séances seront
eint, car la main droite esquisse un geste de salut : cependant les mouvements en semblent limités, car le bras reste collé au
'atro- phie qui, suivant sa localisation, laisse persister certains mouvements , imprime aux divers segments du membre une atti
atrophique des interosseux. « Enfin, si le poignet est inerte, le mouvement de flexion de l'avant-bras sur le bras persiste
; or, nous savons aujourd'hui qu'un des muscles qui président à ce mouvement , le long supinateur, est justement un des derni
atteints par la maladie. Depuis la déformation de la main jusqu'au mouvement limité que le patient exécute avec ce mem- LA L
59 (1877) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1877
res sont closes, les pupilles dilatées; par instants, on remarque des mouvements de déglutition ; le ventre est quelquefois volumi
a ligne médiane (Pl. III). g) Après un court repos, surviennent les mouvements de balancement: Th. fléchit violemment le tronc,
ent: Th. fléchit violemment le tronc, puis le rejette en arrière; ces mouvements se répètent cinq ou six fois avec une grande rapi
cette position durant quelques secondes. On observe ensuite quelques mouvements légers du bassin. d) La tète se place sur l'épa
épaule droite, la face est tournée vers la gauche (Pl. IV). De petits mouvements tétaniques envahissent tout le corps et surtout l
e. La tète et le corps se reportent sur la ligne médiane; de nouveaux mouvements de balancement apparaissent et sont suivis de mou
de nouveaux mouvements de balancement apparaissent et sont suivis de mouvements cloniques très-étendus des bras, des jambes et du
our qu'il soit inutile de les décrire. On observe ensuite de grands mouvements avec prédominance de la projection du bassin en a
après avoir | fléchit ; le bras se porte en exécuté quelques grands mouvements oscillatoires, se ¿5%. 2. arrière ; l'avant-bra
t précédées d'ordinaire par de l'agitation, un hoquet fatigant et des mouvements de déglutition. Bientôt, la tète se porte en arri
e en arrière ; }es paupières sont entr'ouvertes et parfois animées de mouvements convulsifs très-rapides ; elles laissent voir les
, arrondie, comme gonflée, est soulevée momentanément par de bruyants mouvements de déglutition. Les muscles du cou sont durs, ten
es attaques. Les paupières sont animées de battements rapides. Par un mouvement brusque, le bras gauche, puis le droit se placent
olument immobile. La respiration semble suspendue. On n'observe aucun mouvement des narines, des lèvres, des muscles supé -rieurs
ion persiste près de deux minutes ; ensuite on voit se produire des mouvements légers et rapides du diaphragme. Le crucifiemen
Rigidité générale; attitude variable des membres ; crucifiement. Mouvements cloniques très-éten-dus, très-variables, projecti
e, 1875. ment, chez elle, s'effectue ainsi qu'il suit: Elle fait un mouvement brusque, les bras se mettent en croix et devienne
bouche est presque fermée. Le cou est tendu, gonflé et on entend des mouvements bruyants de déglutition. (l) Nous avons rapport
vertes ; les yeux dirigés en haut. Les paupières ne battent plus. Les mouvements de déglutition ont cessé. — A 11 heures 40 tout e
ume. (Planche XVII). "i0 Période cloni que.-Cris perçants, répétés, mouvements désordonnés des bras, des jambes; rotation rapide
es jambes; rotation rapide de la j tète; projection du bassin. Un des mouvements qui se sura-i joutent d'habitude aux pré-i cédent
g, roulant sous les doigts; c'est quand on comprime ce corps que tout mouvement convulsif cesse, que la respiration redevient cal
ésultat que de l'exciter davantage et de lui faire exécuter de grands mouvements des bras et des jambes, comme si elle voulait se
e inférieur tout entier est rigide ; il est impossible d'imprimer des mouvements aux jointures; le pied a l'attitude du pied bot v
un matin, sous le coup d'une attaque : elle a un besoin incessant de mouvement , saute partout, danse, se tient debout sur le pie
hystérie, p. 52. face est envahie par une pâleur extrême et par des mouvements convulsifs. Geneviève prend ma main et la place s
ange. Sous l'influence de la compression ovarienne, il se produit des mouvements de déglutition, des contractions de la face ; pui
ÉPILEPTOÏDE Planche XVIII. ATTAQUE ; PÉRIODE TERMINALE mées de mouvements rapides, les muscles des joues et des lèvres sont
ement sur le lit et exécute, plusieurs fois, avec rapidité les grands mouvements de balancement. Bientôt, elle reste dans le décub
de tonique ou épileptoïde (Pl. XVII) ; 2° d'une période clonique avec mouvements de balancement ; — 3° d'une période de délire, qu
fois, les deux bras sont secoués brusquement. Puis, la scène change : mouvements de déglutition, pâleur, convulsions de la face ;
son poignet droit qui est médiocrement gonflé et constater, dans les mouvements provoqués, quelques craquements. Soit dans le r
de tonique. La respiration devient ensuite fréquente: on entend des mouvements de déglutition; les paupières s'entr'ouvrent. G..
En même temps, il s'écoule delà bouche une écume sanguinolente. Ces mouvements cloniques sont moins étendus et moins violents qu
pupilles s'élargissent; ;la face regarde à gauche. On note aussi des mouvements de déglutition, après un arrêt passager de la res
. G... conserve cette position durant une trentaine de secondes. c) Mouvements cloniques modérés, comme tout à l'heure ; soulève
tonique est complète. Bientôt éclate la période clonique avec grands mouvements du tronc, projection du bassin, agitation des bra
ris parfois de secousses violentes; on note enfin des plaintes et des mouvements de déglutition. Repos : la physionomie est un p
e lui leva souvent le nez (2) en signe de dérision. Elle fit voir des mouvements lascifs à tous les spectateurs et prononça plusie
égaux et le corps tout entier devient roide. Bientôt surviennent des ¦ mouvements de rotation de la tète, surtout à droite, s'ef-fe
ans les oreilles, mais plus intenses à gauche, sensations lumineuses, mouvements convulsifs de l'œil gauche « qui saute »). Ces de
quand elle a exécuté plusieurs fois et plus ou moins rapide-ments ces mouvements , elle s'écrie avec satisfaction: « Çà y est! » La
s, le plaisir est peint sur son visage et de nouveau reparaissent les mouvements de bassin qui, parfois, alternent avec de grands
ssent les mouvements de bassin qui, parfois, alternent avec de grands mouvements de balancement dans lesquels la tète et le tronc
s contorsions). Des bruits pharyngiens et buccaux, accompagnant des mouvements de déglutition ou des efforts de vomissement, sép
e de la seconde. 8° Période clonique. — La malade exécute de grands mouvements : elle s'assied tout d'un coup et laisse retomber
mber brusquement la tète et le tronc sur le lit qu'elle ébranle ; ces mouvements , entre lesquels on observe des mouvements de soul
e lit qu'elle ébranle ; ces mouvements, entre lesquels on observe des mouvements de soulèvement du ventre, se répètent cinq ou six
regarde soit à droite,, soit à gauche ; le ventre est soulevé par des mouvements onduleux, avec borborygmes très-bruyants. Pério
, ou bien un « Oh! là là !» déchirant ; elle se tortille, exécute des mouvements latéraux de la tète. Au bout de quelques instants
tracture ; le genou et la hanche avaient conservé la liberté de leurs mouvements . M... n'aurait pas eu d'attaques (?). A part quel
ied est en varus équin ; les orteils sont énergiquement fléchis. Tout mouvement spontané ou provoqué est impossible. Membre sup
idement en soulevant et laissant retomber la tète et le tronc [grands mouvements clo-niques, déjà décrits). Dans les intervalles
u soir, la malade étant couchée voulut s'asseoir sur son lit. Dans le mouvement qu'elle fit, elle sentit « quelque chose » qui, d
x sont pris ; le toucher est indolore ; les paupières sont animées de mouvements rapides ; la lumière fatigue la malade qui a enco
s incline la tète à droite, regarde à gauche, exécute quelques légers mouvements auxquels succède, 2° la période clonique : elle f
, par un brusque changement, le bonheur. On observe, à ce moment, des mouvements du ventre; les jambes s'infléchissent, M... retom
s s'infléchissent, M... retombe sur son lit et exécute de nouveau des mouvements cloniques. D'un mouvement rapide, elle porte le
be sur son lit et exécute de nouveau des mouvements cloniques. D'un mouvement rapide, elle porte le corps sur le côté droit du
s, tout en conservant sa position lubrique (Pl. XXXVI), M... fait des mouvements de bassin. Elle se redresse ensuite et a ses gran
it des mouvements de bassin. Elle se redresse ensuite et a ses grands mouvements cloniques. Enfin, elle grimace, pleure, parait vi
surveiller les malades, afin qu'elles ne se blessent pas. sent des mouvements rapides du bassin, des tortillements, et M... rep
t ingrate, rechignante (Pl. XXXVIII). Après avoir accompli quelques mouvements rapides, Mv.. allonge les jambes et demeure tranq
n d'une inhala-lion d'éther (230 gr.) : Physionomie souriante; petits mouvements du ventre. M... est tantôt couchée, tantôt assise
Çà fait du mal! ...Des bêtes! des bêtes!...» Elle sourit, exécute des mouvements de ventre ; puis, elle s'accroupit sur son lit, p
t heureuse, se tortille légèrement: « Viens !... A la bonne heure ! » Mouvements du bassin, se tortille, se soulève, regarde à dro
s draps. Repos : physionomie heureuse : « Viens donc!... Encore!... » Mouvements du bassin. « Faut en profiter. » — La sécrétion v
mbrasser son interlocuteur. Ether : voit Ernest ; exécute de légers mouvements du bassin : « Faut pas que je bavarde, dit-elle,
se produit, chez M..., comme chez la plupart des autres malades, des mouvements onduleux du ventre qui se soulève et s'abaisse al
leux du ventre qui se soulève et s'abaisse alternativement ; mais ces mouvements sont accompagnés de bruits intestinaux qui, souve
curiosité. souvent pendant plusieurs minutes , succèdent les grands mouvements de balancement sur lesquels nous n'avons pas à in
60 (1894) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 07] : clinique des maladies du système nerveux
ffet des deux côtés. L'effet de la suggestion de la surdité sur les mouvements associés de l'oeil est aussi très intéressant.
é suggérée à droite, le diapason du côté droit ne pro- duisit aucun mouvement des yeux; mais ils se tournèrent promptement du
e, et aussi s'explique qu'un bruit subit et inat- tendu produise un mouvement réflexe clonique, et non une contracture to- ni
l'effusion du sang, il va de soi qu'elle eût trouvé répugnants les mouvements irréfléchis, les visages grimaçants, les gestes h
qu'il n'y a rien d'irrationnel à rapporter à la grande hystérie les mouvements rythmés de la dansomanie(1) ». Tous ces faits s
ils les voyaient se produire dans les cérémonies religieuses où ces mouvements étranges passaient pour un signe de la possessi
le, ou une pose cataleptique ? Ou même ne serait-ce qu'un stade des mouvements désordonnés qui ont reçu le nom de salutations ?
pompe dionysiaque y est rendue avec une expression de vérité et de mouvement surprenants : et ce monument est un des plus préc
on des formes humaines, il fallait étudier les modifications que le mouvement imprime à ces formes, chercher la raison et les
était en outre indispensable d'utiliser pour l'étude de l'homme en mouvement , les procédés de photographie qui fournissent auj
0 G Ii .\ l' 1111.; 11 ¡.; L.\ S.H l' ¡ : ; T Il II Il E. d'un même mouvement à intervalles très rapprochés (1). L'examen de ce
jamais ces saillies en forme de cordes qu'on observe dans certains mouvements , comme dans l'action de résister il une force q
esl situé à bipartie antérieure de l'articulation et'qui limite les mouvements d'extension dont elle est susceptible. Peut-êtr
sienne ne possède aucun appareil ligamenteux qui puisse limiter les mouvements soit en avant, soit en arrière. en ré- sulte qu
le totale diminuera, s'ils s'ouvrent au contraire davantage par des mouvements inverses, la taille augmentera. C'est pourquoi
dans l'articulation tibio-tarsienne (Fig. 24). La vérité est que le mouvement de soulèvement sur la pointe des pieds peut s'e
e la ligne de gravité, mais qu'il n'existe de stabilité que dans le mouvement exécuté d'après le mécanisme du levier du '1 or g
é passe par la nouvelle base de sustentation, mais, au moment où le mouvement va s'exécuter, qu'arri- ve-t-il ? Il est faci
'arri- ve-t-il ? Il est facile de démontrer qu'avant d'opérer son mouvement d'élévation, le corps tout entier incline légèr
era la nouvelle base de sustentation. Et ce n'est qu'ensuite que le mouvement d'élévation sur la pointe des pieds a lieu. E
a règle sera repoussée ». Et il vous sera impossible de réaliser le mouvement sans repousser la règle, ce qui montre bien que
lté sur la pointe des pieds. Nous re- marquons en même temps que ce mouvement ne s'accomplit la con- dition que le mur suppor
ed sur lequel porte le poids du corps, c'est elle qui par de légers mouvements contribue à l'y ramener (Fig. 28). La jambe sur
e du grand ligament ilio-fémoro-tibial dont la distension limite le mouvement . Celle distension est manifeste sur le nu et in
ale qui ne peut s'infléchir sur le côté sans subir en même temps un mouvement de rotation dû à la rencontre des surfaces obli
accentuée de la colonne vertébrale. Il nous faut ajouter encore un mouvement de rotation en sens inverse des deux axes trans
celle des membres su- périeurs qui sont absolument subordonnées aux mouvements spéciaux qu'on fera prendre il ces parties, mai
age et cette station ne peut guère être maintenue que grâce il leur mouvement de balancier dont l'effet est encore augmenté p
s allonger facilement, sauf que l'extension est arrêtée à la fin du mouvement par une résistance qui parait due il la rétract
pinateur est conservé. Ces muscles fonctionnent par- faitement ; le mouvement d'extension du poignet a lieu très bien par les
une situation plus voisine de la pronation que de la supination. Le mouvement de supination complète est rendu impos- sible p
ainsi que les fosses scapulaires. Le malade ne peut exécuter qu'un mouvement très incomplet d'élévation du bras. Les mouveme
ut exécuter qu'un mouvement très incomplet d'élévation du bras. Les mouvements imprimés à l'articulation de l'épaule sont très
s à la percussion. La raideur de la nuque est assez mar- quée : les mouvements de flexion et de redressement de la tête sont lim
de redressement de la tête sont limités, douloureux, ainsi que les mouvements de rotation à droite et à gauche. Le malade évi
otation à droite et à gauche. Le malade évite toujours de faire ces mouvements . La région cervicale n'est pas déformée, mais i
'y opposer. Le membre pelvien du côté droit peut accomplir tous les mouvements ; il n'est nullement atteint par la paralysie.
qui émer- gent en ce point. A droite, c'est-à-dire du côté où le mouvement est intact, la sensibilité au frôlement, au con
ur conformation extérieure, de leurs attitudes, de leurs différents mouvements , et en particulier de leur marche, des irrégula
tude complète de la morphologie des amyolrohllicloes au repos ou en mouvement comporterait plusieurs longs chapitres : je me co
ur les leviers osseux qu'ils sont destinés il mouvoir. L'examen des mouvements actifs ou passifs, confirmé par l'étude des réa
able. Les memhres inférieurs si faibles pour accomplir les moindres mouvements remplissent très convenablement dans la station
eds, le poids du corps reposant alors uniquement sur les talons. Ce mouvement s'exécute avec la plus grande facilité chez les s
nsi dans le langage ordinaire un pas est constitué par la série des mouvements qui se produisent entre l'action d'un pied et c
devait être étendue et qu'il fallait désigner par pas la série des mouvements qui s'exécutent entre deux positions semblables
ations sont doubles des oscillations verticales. Il y a encore un mouvement d'inclinaison du torse en avant et en ar- rière
ière, mais il est fort peu accentué dans la marche normale. Puis un mouvement de rotation sur son axe, conséquence du mouvement
normale. Puis un mouvement de rotation sur son axe, conséquence du mouvement en sens opposé des épaules et du bassin, aux mo
nséquence du mouvement en sens opposé des épaules et du bassin, aux mouvements desquels j'ai hâte d'arriver parce qu'ils nous
m au moment du double appui. En somme il se produit là un véritable mouvement de rotation autour d'un axe vertical. Le centre
ble mouvement de rotation autour d'un axe vertical. Le centre de ce mouvement parait être à l'articulation coxo-fémorale de l
n le bassin s'élève du côté de la jambe oscil- lante. Il dit que ce mouvement d'élévation du bassin est nécessaire pour perme
normale, je dois encore signaler un mou- vement du torse, c'est un mouvement d'inclinaison latérale qui se produit à chaque
duit à chaque pas du côté de la jambe portante. En somme tous ces mouvements du torse et en particulier les derniers dont il
oscil- lant, entraîné par le membre qui y est suspendu. Quand au mouvement du torse, il est la conséquence directe du mowe-
pés et les jambes hypertro- phiées, les modifications spéciales des mouvements , la démarche de canard enfin, sont, dans celte
ue et de tristesse (Voy. Gn ? 7). On ne peut provoquer que peu de mouvements sur ce visage atone. Il est très difficile, sin
s sens et peut se mettre en gouttière. Enfin, l'étude de ces divers mouvements prouve : il que la motilité de la face est atte
ébut. Les muscles du cou sont pris également. La résistance dans le mouvement d'élévation des épaules (trapèze) se laisse fac
pen- chée en avant qu'elle prend quand la malade est au repos. Les mouvements de Fig. /17. 152 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA
en avant ou de flexion latérale sont faibles aussi, de même que le mouvement de rotation. Le sterno-cléido-mastoidien est cert
postérieure ayant subi une atrophie beaucoup plus prononcée. Les mouvements d'adduction du hras sont trop faibles pour s'oppo
ras sont trop faibles pour s'opposer à une abduction provoquée. Les mouvements de rotation, quoique possibles, sont pareilleme
r est un peu douloureuse la pression. D'une façon générale tous les mouvements difficiles provoquent une douleur qui empêche l
iciles provoquent une douleur qui empêche la malade de continuer le mouvement . Réflexes tendineux ou périostiques des membres
- ment apparent de ce segment du membre inférieur. (Fig. 48). Les mouvements du pied sont également très faibles. Les extenseu
n ne pourrait juger du degré de faiblesse des muscles, tant dans le mouvement de flexion de la jambe sur la cuisse que dans le
dans le mouvement de flexion de la jambe sur la cuisse que dans le mouvement d'abais- sement du pied (jumeaux et soléaire).
culaire a envahi rapidement tous les muscles du corps; l'examen des mouvements spontanés et provoqués ainsi que l'exploration
que est plus faible à droite qu'à gauche; de même, à l'occasion des mouvements volontaires, l'épaule est plus facilement soule
gnet sont également très faibles et la malade ne peut s'opposer aux mouvements passivement com- tuniqués ; il en est de même p
loyer de courants plus forts à cause des douleurs provoquées et des mouvements réflexes qui empêchent dese rendre compte s'il y
s épaules et ses bras devenaient faibles, particulièrement dans les mouvements d'élévation. Dans ces mouvements ses omoplates
faibles, particulièrement dans les mouvements d'élévation. Dans ces mouvements ses omoplates devenaient saillantes. Ses camarade
st lisse et ne peut être ridé : c'est il peine s'il y a esquisse de mouvement des muscles fron- taux ; les sourciliers se con
spectés, de même que les muscles de la région postérieure. Tous les mouvements s'exé- cutent ; le malade résiste bien à la fle
ulum est consi- dérablement élevé en même temps qu'il subit un fort mouvement de bascule qui le rejette en arrière, il se tro
flexion de l'avant-bras sur les bras, mais ne peut opposer dans ce mouvement qu'une résistance très minime. Long supinateur,
rve d'hyperlrophie. Enfin, il existé dans les mains et les pieds un mouvement continuel qui ressemble à de l'athétose. Mais o
diminués des deux côtés, OEil. Le fond de l'oeil est normal, et les mouvements du globe ocu- laire se font naturellement. Se
ndant aux poignets et aux chevilles on peut faire exécuter tous les mouvements passifs. L'ensellure dorsale me paraît due en p
rophies. Mais la malade a toujours eu, sauf pendant son sommeil des mouvements incessants, difficiles à préci- ser, lesquels s
examinait ou qu'elle était émue. Cela ressemble beaucoup plus à des mouvements choréifol'mes qu'à tout autre espèce de tremble
il semblait frappé de leur polymorphisme. Mais il supposait que les mouvements violents des ataxiquos (rapportés par Duchenne
ida il demander il mon collègue, M. Chaput, le remède immédiat. Les mouvements passifs qu'on imprimait à l'articulation étaien
ormations sont absolument semblables. J'imprime à ses jointures des mouvements passifs et vous en entendez les craquements il di
ans ces dernières années, il est survenu un phénomène nouveau : des mouvements involontaires cboréiformos dans les membres, infé
cboréiformos dans les membres, inférieurs (cuisses et jambes).- Ces mouvements amyotaxillties sont assez étendus et se montrent
tion motrice (qui a condamné la malade au lit depuis un an 1/2) des mouvements chôréifor- mes, etc... ' : Les réflexes rotul
pertrophiées et déformées, l'hydarthrose est considérable. Tous les mouvements volontaires sont possibles. La flexion provoqué
sibles. La flexion provoquée est normale, l'extension exagérée; les mouvements de latéralité sont très marqués. Ces mouvements s
nsion exagérée; les mouvements de latéralité sont très marqués. Ces mouvements sont accompa- gnés de craquements d'une grande
st moins abondante, les saillies anormales moins considérables; les mouvements volontaires et provoqués sont normaux. Les mensur
consulter le médecin. D'abord'en effet il n'est pas 'gêné clans ses mouvements et la dou- leur, nous le verrons, est ordinaire
observation I de Graf le point de départ de l'arthropathie a été un mouvement d'élévation du bras. Dans l'observation XII de G.
être à volonté luxées ou tout au moins subluxées et tandis que les mouvements actifs sont possibles ou impossibles, les mouve
tandis que les mouvements actifs sont possibles ou impossibles, les mouvements passifs ont une éten- due anormale. Touscesphén
peuvent se rejoindre : ils n'arrivent même pas au parallélisme. Les mouvements de flexion et d'extension du poignet se font bi
ns cette attitude une symétrie excessive qui nuit il la vivacité du mouvement . Une esquisse antérieure, vraisemblablement fai
La flexion volontaire de la main est nulle ; seuls quelques petits mouvements des doigts sont possibles ; l'extension est limit
étendus ; l'abduction du bras atteint il peine un angle de 45°. Les mouvements passifs sont libres dans tous les sons. En élev
est sentie en dehors et en arrière (PL XXXIII et XXXIV). Tous les mouvements du membre supérieur gauche sont libres, sauf l'él
N G 0 l Y ÉLI ATYPIQUE 267 10 kilogrammes avec la main gauche; les mouvements contrariés démontrent une force normale des mas
mée et élargie. On entend des craquements très manifestes il chaque mouvement du bras. Il n'y a aucune douleur ni spontanée,
alangette de l'index droit; la phalangette^ du médius et épaissie : mouvements anormaux dans l'articulation de 2e et 3e - plil-
toux; on peut exagérer, et redresser la courbure dorsale ; dans les mouvements latéraux du tronc le malade déploie une force s
ments latéraux du tronc le malade déploie une force suffisante; ces mouvements n'occasionnent aucune douleur. Etat général : A
ier. Je marche en vous parlant, mais mon cerveau ne calcule pas les mouvements que vous me voyez faire; ma moelle, une fois l'
URGICAL 301 le tout était absolument indolore même au palper et aux mouvements \o- lontaires ou provoqués (les uns et les autr
de ces poussées aiguës, il gardait seulement une gène légère des mouvements de pronation et de supination, en rapport avec
thropathies ankylosantes par traumatisme des nerfs, le massage, les mouvements articulaires longtemps répétés seront nécessair
ucie peu, n'en souffrant pas, et qu'il expose sans cesse à des faux mouvements , à des fractures parcellaires, à des luxations
RAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE lent et exposent l'articulation a des faux mouvements perpétuels. Par une telle intervention, tout à
ie », un résultat réellement assez satisfaisant, et l'amplitude des mouvements de l'articulation augmenta très-notablement après
ence d'un abcès apparu et incisé depuis quelques jours. Lorsque des mouvements spasmodiques désunissent les surfaces rappro- c
tivement bien conservées. Elle marche comme tout le monde, avec des mouvements un peu lents cependant, mais sans se fati- guer
ont aucune base objective. Elle fournit des images d'attitude et de mouvement dans un espace qui n'a aucune signification obj
à rectifier l'attitude aussitôt qu'elle varie. Mais il cherche les mouvements de ses jambes comme l'aphasique cherche l'articul
, ses gastro- cnémiens se contractent, le talon se lève, etc. ; les mouvements des pieds n'ont aucunement les caractères outré
erdu ou cru perdre comme on le cherche sur des échasses, par petits mouvements tendant il placer la base de sustentation sous
qu'il cherche à corriger avec une grande logique. L'incohérence des mouvements dans la marche et l'attitude ébrieuses n'est qu'a
rt lui-même. c) Les variations d'attitude de la tète commandent des mouvements compensateurs des globes oculaires; comme les t
, de surperception, d'illusion ou d'hallucination d'attitudes ou de mouvements , de la nausée, des palpi- tations et d'autres p
est resté paralysé quelques jours seulement et ensuite a repris ses mouvements peu à peu. Le membre su- périeur, au contraire,
enne (contours irréguliers et vaisseaux amincis). Impossibilité des mouvements d'adduction, d'élévation et d'abaissement. La v
f pour la lumière. Dans l'oeil gauche, il n'y a aucune paralysie du mouvement ; sa situation est normale. La pupille est un pe
porté en avant avec une certaine raideur. La jambe résiste peu aux mouvements provoqués. L'avant-bras droit est fléchi à angl
ine et impotent. Le membre supérieur droit est raide et résiste aux mouvements provoqués. La main est beaucoup moins forte que
ire commun gauche consistant en chute de la paupière, mydriase; les mouvements du globe oculaire sont à peu près im- possibles
rcil gauche. Riv. Henri malgré son air étonné, et la lenteur de ses mouvements , malgré 368 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTR
sourcil est élevé. L'oeil est fixé on dehors quand on sollicite les mouvements . On constate que l'élévation, l'abaissement et
obe de l'oeil quand on provoque le regard en haut. Dans ce sens les mouvements du globe sont limités ; dans les autres ils sont
bre inférieur gauche était entièrement paralysé, sauf pour quelques mouvements minimes du couturier; les muscles de la fesse g
urs entre eux. Or l'in- fluence des perceptions ampullaires sur les mouvements compensateurs des globes oculaires est aujourd'
nimal sur les attitudes et variations d'attitudes, c'est-à-dire les mouvements passifs ou actifs, du segment qui porte l'appar
grammes par litre. L'état général est très satisfaisant. 29. Les mouvements recommencent à progresser : le malade lève les ta
à progresser : le malade lève les ta- lons du lit et fait quelques mouvements d'extension du pied. L'anesthésie a presque tot
le retour il la normale. Pendant la première quinzaine de juin, les mouvements du membre inférieur gauche reprennent toute leu
e-pied. La région lombaire est d'une souplesse extraordinaire : les mouvements de flexion et d'extension vo- lontaires y sont
coliose compensatrice, était en effet considérable, et, de plus les mouvements de l'épaule et du bras gauche restaient restreint
e gauche, qui accomplissait avec une souplesse déjà plus grande les mouvements d'abduction et d'adduction de l'épaule, de flexio
61 (1885) Archives de neurologie [Tome 09, n° 25-27] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
arrêtant brusquement le tronc a lieu, la moelle épinière suit le mouvement acquis dans le canal qu'elle ne remplit qu'en p
peu de renversement de la tète en arrière, mais sans rigidité ; les mouvements de la tète s'exécutent assez facilement, mais p
dou- leur dans le cou. Les membres supérieurs présentent quelques mouvements d'ensemble, un peu plus étendus à gauche qu'à d
ve un peu plus, mais sans pouvoir cependant atteindre le front. Ces mouvements sont exécutés uniquement par les muscles des ép
est complètement immobile, la base droite du thorax pré- sente des mouvements bornés d'expansion. La paralysie du mouvement e
rax pré- sente des mouvements bornés d'expansion. La paralysie du mouvement est complète aux membres inférieurs. La sensibi
it coussin. Le cathétérisme est renouvelé le soir. 2° jour. - Les mouvements des membres supérieurs sont un peu plus étendus
hragmatique ; le membre infé- rieur gauche présente quelques légers mouvements . La sen- sibilité cutanée a reparu dans une zon
dans une zone de quatre travers de doigts au-dessous de l'ombilic. Mouvements réflexes, comme la veille. Rétention d'urine pe
Il y adel'hy- peresthésie cutanée sur le côté droit du thorax. Les mouvements sont un peu plus étendus aux membres supérieurs
té, étendre et fléchir l'avant-bras sur le bras. Du côté droit, ces mouvements font défaut. Il commence à fléchir très légèrem
e quantité d'urine qui est neutre ou légèrement acide. 4e jour. Les mouvements sont les mêmes. Il se produit de temps en temps
sme. La contracture des adducteurs signalée la veille persiste. Les mouvements passifs provoquent de vives douleurs. L'inconti
ux cuisses ; le chatouillement est perçu à la plante des pieds. Les mouvements sont un peu plus étendus au membre supé- rieur
aux adducteurs des cuisses, une miction volontaire. Se jour. Les mouvements de flexion des pieds et d'exten- sion des ortei
à l'abdomen ; elle s'est étendue à la face antérieure des cuisses. Mouvements réflexes très accen- tués. 10° jour. L'hypere
face antérieure de la cuisse droite, moins à la cuisse gauche. Les mouvements continuent à s'accentuer dans le membre inférie
de sommeil. Les cuisses sont devenues douloureuses comme les bras. Mouvements de flexion et d'ex- tension de l'index droits,
x litres et demi. 13e jour. Trois litres d'urine. 1 fi- jour. Les mouvements volontaires s'accentuent davantage dans les doi
tension légère de l'index et de l'auriculaire droits. A gauche, les mouvements ont gagné en étendue dans l'index et l'auricula
l'axe de l'avant-bras. Il existe aussi, de ce côté, quelques légers mouvements de pronatiou et de supination. L'avant-bras se
la flexion de l'avant-bras peut seule s'exécuter faiblement. Les mouvements des membres inférieurs continuent à augmenter d
e jour. - Moins de douleurs depuis l'administration de l'opium. Les mouvements gagnent sensiblement en étendue : il peut éleve
la main dans l'axe de l'avant-bras. Il commence à exécuter quelques mouvements très lents et très bornés d'extension de l'avan
érieur se contracte, mais faiblement et pas assez pour imprimer des mouvements au pied ; l'exten- seur commun ne se contracte
douleurs très vives dans les articulations phalangiennes, dans les mouvements passifs, plus à droite qu'à gauche. L'attitude
tour des douleurs autour du bassin et de la racine des cuisses avec mouvement fébrile et frissons. Température à 3cJ°,4.. C
matin, la raideur des membres inférieurs est plus pro- noncée, les mouvements plus limités. La pression sur la partie inférie
u soir, 38°,7. 56° jour. La raideur des membres a augmenté et les mouvements sont encore plus limités, lout en restant un peu
ouvel accès, sans oppression. Le malade ne peut imprimer le moindre mouvement aux bras ni aux jambes. Température du soir, 39
i-flexion. Impossibilité pour le malade de soulever ses jambes, les mouvements passifs y sont très douloureux. Sensation de ch
té d'imprimer des mou- vements volontaires aux membres inférieurs ; mouvements très limités aux bras et aux avant-bras, surtou
péra- ture du matin, 37°, du soir, 38 ? 1.. 125° jour. - Quelques mouvements volontaires dans les membres supérieurs, surtou
uement sa main des caractères qu'elle traçait. Après cet écart, les mouvements de sa main devenaient de nouveau réguliers et s
ande et de punition. Mais bientôt, on acquit la certi- tude que ces mouvements étaient involontaires et convulsifs et on vit y
qui servent à l'émission et à l'articulation des sons. Parmi les mouvements continuels et désordonnés qu'amènent ces con- t
et le bras droits étaient de temps en temps soulevés par de petits mouvements brusques et involontaires. Peu de temps après,
eu de temps après, il entra dans un bureau et put écrire malgré ces mouvements jusqu'au mois de janvier- février 1881, époque
évrier 1881, époque à laquelle il dut interrompre tout travail. Les mouvements tendaient à se généraliser; ils avaient envahi
lpêtrière (salle Bouvier, service de M. le professeur Charcot), les mouvements ne firent que s'accroître de môme que des phéno
e rhumatismes. Sans incitation appréciable, S. exécute une série de mouvements tout particuliers, localisés et généralisés, se
tôt d'un seul côté du corps, tantôt des deux côtés à la fois. Ces mouvements sont rapides : à la tête ils occupent les muscles
rennent aucune part. A ces grimaces s'associent le plus souvent des mouvements très rapides de balancement et d'élévation des
t frapper le sol avec force. Au moment de l'acmé de cet ensemble de mouvements bi- zarres S... pousse un crirauque et inarticu
vement et levant en même temps assez haut la jambe droite. Puis les mouvements s'arrêtaient ou même s'ils ne s'étaient pas mon
ue, il ne manque que rarement de répéter son propre nom. Les grands mouvements désordonnés ont également disparu : il n'existe
ements désordonnés ont également disparu : il n'existe plus que des mouvements limités du membre supé- rieur droit dans son en
e moment, la mère remarqua que son enfant exécutait fréquemment des mouvements inusités et particuliers, consistant en mouveme
fréquemment des mouvements inusités et particuliers, consistant en mouvements rapides de flexion et d'extension de la tète et
cles de la face exécutèrent des gri- maces variées; il existait des mouvements des bras, d'élévation alternative des épaules.
genoux, se relevait et exécutait des contorsions variées. Tous ces mouvements disparaissaient pendant le sommeil. La croissan
et vite, accompagnèrent désormais les plus fortes manifestations de mouvements . A partir de ce moment, tous les traitements, t
ant, vers le milieu de mai, une sédation semble se produire : les mouvements sont moins fréquents, moins accentués : le mot
tre jours; pendant cette affection, qui s'accompagna de fièvre, les mouvements furent beaucoup moins intenses et beaucoup moin
, sans cause appréciable, sont 3t CLINIQUE NERVEUSE. survenus des mouvements involontaires dans les muscles de la face, du t
involontaires dans les muscles de la face, du tronc et des membres, mouvements qui n'ont fait que s'accroître et devenir plus
articulières qui le tourmentaient et dont nous allons parler. Ces mouvements involontaires qui chez lui existent depuis si l
es séries composées de deux ou trois sauts sur place accompagnés de mouvements alternatifs d'abaissement et d'élévation des de
orsqu'il doit porter un acte il peut se contenir et ne pas faire de mouvements pen- dant le temps nécessaire pour remettre le
mettre le papier dont il est chargé; mais après qu'il l'a remis les mouvements s'exagèrent, il répète le mot qu'il a en tète ;
ient, il nous dit ne pas se rappeler si, pendant cette période, les mouvements qui étaient alors beaucoup moins intenses et be
'à plusieurs reprises, ayant eu de légères affections fébriles, ces mouvements se seraient amendés pen- dant leur durée. Obs
ace auxquels on ne fit pas at- tention tout d'abord. Peu à peu, ces mouvements incoordonnés se généralisèrent, ils envahirent
droit se porte à plusieurs reprises rapidement en pronation. Ces mouvements ont du reste beaucoup diminué, surtout en inten
incoordonnés poussait des nula ! oula ! ouh ! stridents. Un de ses mouvements les plus ordinaires consistait à se relever viv
croit se rappeler que, pendant la période aiguë de la maladie, les mouvements , s'ils n'ont pas cessé, se sont du moins produi
moi, dit le père, je me souviens aussi comme elle, qu'à la fin, les mouvements existaient assez peu prononcés, et, nous avons
s. Il changeait involon- tairement de pas en marchant, bien que les mouvements fussent relativement modérés. Ses mouvements ét
marchant, bien que les mouvements fussent relativement modérés. Ses mouvements étaient variés, changeaient de forme. Pendant
vinrent moins brusques et moins fréquents ; du reste, dès 1878, les mouvements des bras et des jambes avaient déjà disparu : l
ournée sera bonne ou mauvaise. Il sent du reste très bien lorsqu'un mouvement va venir; il peut le retarder par un effort de
nsibles par un effort intense de volonté. Pendant le sommeil, les mouvements spasmodiques cessent complètement, et il n'y a
rgantua en carton, dont la bouche s'ouvrait et se fer- mait avec un mouvement régulier, engouffrant tout ce qu'on lui présent
rveux et sur le système nerveux sensitif, et qui, en abolissant les mouvements volontaires, ne saurait agir que sur l'effet et
observe soit l'arc de cercle, typiquement réalisé, soit des grands mouvements désordonnés dans lesquels les membres sont éloi
éternuer. De temps en temps les membres thoraciques sont agités de mouvements rapides et rhytmiques qui ont une courte durée
droit, elle retire sur-le-champ cette partie du corps ou exécute un mouvement de défense, cela à un moment quelconque de l'at
ès d'éternuments et de toux de courte durée et présente très peu de mouvements aux membres; les attaques de celte catégorie ne
thermique et du tact, les symptômes vaso-moteurs. Les troubles du mouvement sont toujours peu importants. Dans les stades tar
la carie de quelques vertèbres dorsales. - Quant à la fréquence des mouvements respiratoires son méca- nisme fait aussi l'obje
brusquement en activité, et c'est à leur activité .que sont dus les mouvements maniaques. Dans l'ordre physique, ' il y a pert
ondance avec eux. En cer- tains cas, les muscles sont le théâtre de mouvements associés produits par le transport brusque de l
areils centraux profonds, revue de pathologie Mentale. 8t car ces mouvements se manifestent encore après la section transverse
musculaires ; c'est tout au plus si l'on voit se produire alors des mouvements associés. Une ablation bilatérale anéantit égal
agir : «Il voit l'ouvrière sortir des cabinets d'aisance et, par un mouvement tout automatique, porter sa main derrière elle et
atique de l'écriture développe le centre E (centre commémoratif des mouvements de l'écriture), et, par suite, la voie de commu
culons.En prenant les précautions nécessaires, on provoque aussi ce mouvement chez une grenouille indemne ; par conséquent, i
era la patte de derrière. Cet acte n'est pas irrésistible; c'est un mouvement linéaire, parce qu'il s'installe à ! a suite d'un
. SOCIETES SAVANTES. 99 Discussion : M. 1W zcc. « Pour moi, les mouvements irrésistibles sont tous, dès l'origine, des mou
our moi, les mouvements irrésistibles sont tous, dès l'origine, des mouvements volontaires qui prennent un carac- tère irrésis
iverses parties de l'organe. C'est ainsi qu'il peut se produira des mouvements en apparence irrésistibles quandl'individu s'il
ple excitation réflexe par laquelle certaines parties sont mises en mouvement inégalement. M. S usiner ne croit pas que ce mo
ont mises en mouvement inégalement. M. S usiner ne croit pas que ce mouvement soit effectué contre la volonté. A l'inverse d'
ce mouvement soit effectué contre la volonté. A l'inverse d'autres mouvements irrésistibles, il a lieu symétriquement des deu
vements irrésistibles, il a lieu symétriquement des deux côtés. Les mouvements irrésis- tibles résultent de l'asymétrie de l'i
ormément que possible la pression de la barre sur les téguments, le mouvement de cette barre sur l'épidémie, la température d
t son augmentation anor- male ; cette augmentation existe quand les mouvements imprimés au membre par le clinicien lui donnent
l du même côté, de l'm- puisance de la jambe à porter le corps (les mouvements en sont possibles, mais ils sont limités comme
nt faits les examens stéréognos- tiques : 1" influence de l'état de mouvement des corps sur la fa- cilité à les reconnaître ;
, sens de la pesanteur, sens de l'espace, sens de pression, sens du mouvement des jointures, sens d'orientation); 3° influenc
ilable à« l'état de ta fatigue » produit par une « innervation» des mouvements volontaires. Cette dernière doit être beaucoup
'il est possible de rattacher la perte de fonctions conductrices du mouvement et de 1 Loc. czi., p. b4. commotion DE la moe
ion prémonitoire qui puisse ressembler à une aura; il était pris de mouvements tantôt dans unejambe, tantôt dans les deux jamb
t dans un bras et une jambe, tantôt dans les quatres membres. Ces mouvements rhythmés se manifestaient toujours sous forme d
màisinui arrive ilê'se'mcirdré lü.lâriûe, ce qui tient à ce que les mouvements rhythmés se' propagent alors à la' mâchoire et
isse apprécier dans ses crises convulsives est dans l'étendue des mouvements qui peuvent être limités à un membre, ou se mon
outé un autre symptôme. De temps en temps, soit pendant la crise de mouvements rhythmés. soit en dehors de ces crises, il épro
tours, puis la main se secoue vivement sept ou huit fois. Les mêmes mouvements se répètent dans le bras, droit. Le malade seco
zut » et tout est fini. En dehors de cela il a de temps en temps un mouvement choréique isolé d'un bras ou d'une jambe, de so
rieurs, ni de paroles invo- lontaires ; tout s'est borné à quelques mouvements choréi- formes du bras. Il semble en outre que
lques mouvements choréi- formes du bras. Il semble en outre que les mouvements isolés aient presque disparu, il peut aider sa
prises de nouveau, mais au lieu d'être comme autrefois le siège de mouvements tout à fait incoordonnés susceptibles d'amener
donnés susceptibles d'amener la chute, il ne s'agit que de quelques mouvements cadencés qui se répètent sept ou huit fois et c
ourdement, sans paraître influencer la santé générale du sujet. Ces mouvements incoordon- nés ou plutôt ces secousses musculai
es- seur ou les parents s'aperçoivent qu'un des bras est agité de mouvements convulsifs : les doigts s'allongent et se fléch
ets-ap- paraissent, s'ils n'ont pas été les premiers en date, des mouvements incoordonnés des muscles de la face. Ce sont, l
l'incoordination y revêt un mode particulier : ce ne sont plus des mouvements limités comme précédemment à des groupes muscul
à la fois. Le malade frappe du pied, se baisse, se relève; mais, le mouvement qu'il accomplit le plus souvent est le saut qui
e ne sais quel trouble de l'inner- vation, cet enfant était pris de mouvements bizarres, de contractions musculaires involonta
N'oublions pas encore que, dans un grand nombre de cas, tous ces mouvements se combinent entre eux, ou, mieux encore, s'exé
de chaque malade un carac- tère objectif tout particulier. Si ces mouvements peuvent varier dans leur forme d'un individu à
s de fréquence et le plus d'intensité. Lorsqu'il s'a- git de grands mouvements , de sauts par exemple, leur i Trousseau. Loc. c
QUE NERVEUSE. tirer. Il est fort probable que l'énorme dépense de mouvements qu'ils ont faite pendant la journée ne con- tri
'INCOORDINATION MOTRICE. 173 faire disparaître la violence de leurs mouvements sont parfois mais temporairement couronnés de s
si celle-ci était très brève, il pouvait mettre un frein à tous ses mouvements inso- lites et les arrêter complètement. Mais,
s'obtenait qu'au prix de la plus violente contention d'esprit, les mouvements revenaient avec une violence inaccoutumée; il g
'excitation que nous avons signalées, subitement, à l'occasion d'un mouvement désordonné, et au moment où l'incoordination es
tenant de vaisseau avec lequel il avait navigué, qui était animé de mouvements couvnisifs. à l'occasion desquels il prononçait à
sses musculaires brusques, affectant divers muscles, produisant des mouvements variés et assez souvent ceux qui produisent le
s musculaires qui agitent nos malades. Alors que le choréique a des mouvements assez lents, que les doigts se tordent, que la
jamais les malades ne sont confinés au lit par la vio- lence des mouvements . Enfin, jamais on ne voit appa- raître ces para
peu de mémoire ; parle difficilement. Gymnastique : ne fait que les mouvements . Traitement : Bromure de potassium avec sirop d
un enfant de huit ans, par du strabisme interne de toit droit, des mouvements incessants dans la langue, de temps à autre des
es deux jambes. Les deux extrémités supérieures sont constamment en mouvement ; intégrité de la sensibilité; signe de Romberg.
rs et fléchisseurs de la jambe, etc.. (flaccidité et atrophie); les mouvements d'ensemble sont encore possibles, mais ils sont
s de la motilité qui se rattachent aux attaques congestives. 10 Les mouvements automatiques coordonnés, adaptés, conformes au
, conformes au but proposé, qui présentent en somme le caractère de mouvements voulus, intentionnels, et se rattachent d'ordin
le des urines et d'escarres graves de décubi- tus. Ajoutons que les mouvements réflexes disparais- sent rapidement et que l'ex
t graduelle- ment décroissante. Nous voyons le rétablissement des mouvements commencer dès le deuxième jour, et s'accentuer
autant aujourd'hui qu'à son entrée. Le bras u'arécupéré quelques mouvements qu'au bout de deux à trois mois. Depuis qu'il est
ectrisé pen- dant un an, mais cela « n'a pas faitgrand'chose ». Les mouvements cl'athétose se seraient montrées vers le deuxiè
nginienne en arrière, ne peut être fléchi et reste étendu. Tous ces mouvements peuvent être exécutés volontairement, et il n'e
peuvent être exécutés volontairement, et il n'existe en somme aucun mouvement invo- 324 THÉRAPEUTIQUE. lontairo dans la mai
lonné. L'expression du visage est ani- mée et très mobile; tous les mouvements sont extrêmement énergiques, variés, saccadés;
s de la tête et de la face. Disparition des convulsions pendant les mouvements inten- tionnels ; le malade peut donc courir vi
igidité de presque tous les muscles. La raideur accompagne tous les mouvements actifs ou passifs, tous les changements de posi
ymnase, où on complète l'assou- plissement de leurs membres par des mouvements d'ensemble cadencés et rhythmés jusqu'à ce qu'i
il se produit un amendement on passe sans abandonner le massage aux mouvements de flexion et d'ex- tension, successifs, lents,
ndre son empire, la gymnastique de- vient active : aux marches, aux mouvements d'assouplissement succèdent le maniement des ha
62 (1889) Archives de neurologie [Tome 18, n° 52-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e cavalier est lancé en avant, pique une tête, et reste étendu sans mouvement : amnésie complète (Ann. méd.psych., 1886, III,
dernière chose qu'il se rappelât, c'est que la jument exécutait un mouvement de rotation et baissait les oreilles en arrière
ur, relié, en avant, par les frontale et pariétale ascendantes, aux mouvements de la face, de la bouche et des lèvres; en arri
obule pariétal inférieur lui paraissant être le siège du centre des mouvements oculo-palpébraux, la partie postérieure, ou pli
s de la vue, de l'ouïe, etc., que manifestent les animaux par des mouvements correspondants ? Dans les deux cas, l'excitatio
Une excitation électrique, portée sur Ti du singe, dé- termine un mouvement de l'oreille du côté opposé, qui se dresse ; le
illes se dilatent, la tête se tourne elle aussi du côté opposé. Ces mouvements d'étonnement et de surprise qui ressemblent à c
t : 'a't<f, 1879, V, 1 sq.). ' LES FONCTIONS DU CERVEAU. 63 mouvements observés. Sans nier absolument que ces réaclion
s observés. Sans nier absolument que ces réaclions représentent des mouvements réflexes consé- cutifs à des sensations subject
emier degré qui, selon M. Dubois, d'Amiens, n'est autre chose qu'un mouvement fluxionnaire pré- curseur de la congestion, son
es pattes et sa queue sont insensibles. Con- servation relative des mouvements réflexes de la queue. Paralysie véscale et anal
pporter. On doit engager le malade à éviter autant que possible les mouvements qui se produisent instinctivement, au moment où
quitte le sol; on devra éviter aussi les déplacements latéraux, les mouvements de torsion qui pourraient se produire. Le mal
DANS L'ATAXIE LOCOMOTRICE. '133 - Fig. 6. Le malade s21sl)e7z(lii : mouvements latéraux des bras. - trois ou quatre minutes; c
i montre le point exact de l'exci- tation produisant les différents mouvements des membres ou de la face, et de plus l'ordre d
uant les parties mises en mou- vement sont placées dans l'ordre des mouvements successifs. c, cheville. Y, 'eu'\ : . - y. yeux
a région psychomotrice. L'opi- nion de Ferrier d'après laquelle les mouvements oculaires observés dans l'excitation du lobe oc
exacte, car après la suppression totale de la substance grise, ces mouvements se produisent, avec une identité parfaite, sous l
de cinq mois, la région psychomotrice est dépourvue de la zone des mouvements oculaires J. HOUlll : -10VITCII. III. Sur LES
t en plaçant la seconde bobine à 1-I centimètres de la première, un mouvement de l'angle de la bouche. En excitant ce point a
8 centimètres ; deux à quatre secondes après, on -n'obtient plus de mouvement , même lorsque la deuxième bobine recouvre la pr
recouvre la première. Lorsqu'on cesse la compression, on obtient un mouvement , la bobine étant à 9 centimètres, mais après un
mais en arrière de l'extrémité antérieure du sillon précentral, les mouvements latéraux de la tête et des yeux, décrits par Fcrr
certain nombre de départements qui sont chacun en rapport avec les mouvements d'une partie spéciale d'un membre. L'aire du br
la rétraction de l'épaule et du bras. L'aire de la face donne les mouvements non seulement de la face, mais de toute la part
a plus reculée, près de la scissure intra- pariétale produisant les mouvements du pied et des orteils. Sur le gyrus marginal,
l'ablation des aires externes. Mais d'autre part, la complexité des mouvements gouvernés par les aires externes est beaucoup p
r- çons sont atteints d'atrophie du nerf optique, avec nystagmus, mouvements ehoréiformes du côté de la face et des extrémités
54 SOCIÉTÉS SAVANTES. de la langue. Diminution de la force motrice. Mouvements et dé- marche incertains. Persistance normale d
, le nombre des admissions à opérer ayant doublé et l'ensemble de mouvements de chiffres révélant une progression géométrique,
dans ce chapitre. L'énergie nerveuse, dit-il, n'est qu'une forme de mouvement ; elle obéit donc à la loi commune d'aprèb laque
e mouvement; elle obéit donc à la loi commune d'aprèb laquelle tout mouvement se propage suivant la ligne delà moindre résist
1612 BIBLIOGRAPHIE. tion de la personnalité psychique, de lous ses mouvements sim- ples ou compliqués, de tous ses modes de r
simples pratiquées sur les terminaisons nerveuses et il étudie les mouvements réflexes (inconscients). Il fait ensuite l'élud
s réflexes (inconscients). Il fait ensuite l'élude des actes et des mouvements conscients. Il analyse, en outre, un troisième
là elle passe par les centres automa- tiques en se transformant en mouvement inconscient qui ne de- vient conscient que plus
ès avoir été déjà accompli. C'est ce qu'on appelle vulgairement les mouvements et les actes 11'I'éflé- chis ; notre conscience
res pour la transforma- tion d'une excitation en acte réflexe ou en mouvement conscient, l'auteur observe qu'il existe relati
II. 13 194 PATHOLOGIE MENTALE. paralysé du côté droit; il eut des mouvements épilep- tiques, mais l'esprit se rétablit entiè
ômes cardinaux du myx- oedème les phénomènes suivants : lenteur des mouvements , altération des facultés mentales, température
veuse présentait des symptômes ner- veux, comme du tremblement, des mouvements convulsifs, des contractures temporaires, des c
à l'état normal, le véritable régulateur entre les sensations, les mouvements et les actes psychiques purs. M. KORSAKOFF (de
vail concernant l'inconscience de SOCIÉTÉS SAVANTES. 285 CERTAINS MOUVEMENTS ET EN PARTICULIER DE L'ÉCRITURE AUTOMATIQUE Il
(de Londres) les cas de médiums écrivains des faits de ce genre les mouvements de l'écriture automatique étant seu- lement plu
lus compliqués. M. BLNET a pu constater par lui-même la réalité des mouvements automatiques de l'écriture en conduisant la mai
innervation motrice centrifuge, il n'en est pas moins vrai que tout mouvement est précédé d'une représentation men- tale de c
que tout mouvement est précédé d'une représentation men- tale de ce mouvement , ce qui permet aux anésthésiques d'exé- cuter e
mouvement, ce qui permet aux anésthésiques d'exé- cuter encore des mouvements volontaires. ni. DE VAIiIGNYdonne lecture d'un
uel apparaissent des taches diversement colorées et animées d'un. mouvement continuel que le malade compare à un essaim de-
CENTRÉS CORTICAUX DE LA SENSIBILITÉ CUTANÉE ET MUSCULAIRE ET DES MOUVEMENTS VOLONTAIRES. I. On convient généralement aujo
excito-motrices de l'écorce cérébrale, et auquel les paralysies du mouvement et de la sensibilité générale doivent être rapp
quelle nature sont ces phénomènes de parésie ou de paralysie des mouvements ? Le chien auquel on a enlevé les deux gyrus si
mpêcherait-elle cet animal de courir, de nager, d'exécuter tous les mouvements possibles, - à l'exception toutefois de ceux do
obstacles, broyer et déglutir ses aliments, bref, exécuter tous les mouvements auto- matiques et réflexes, tous les mouvements
, exécuter tous les mouvements auto- matiques et réflexes, tous les mouvements associés et profondément organisés, dont l'inté
rtains actes ». Mais encore quelle est la nature de ces troubles du mouvement volontaire consécutifs aux destructions de la z
destruction des images motrices de telles ou telles catégories de mouvements volontaires. Si donc l'animal opéré n'exécute p
vements volontaires. Si donc l'animal opéré n'exécute plus certains mouvements , ou ne le fait que d'une façon défectueuse, ce
és : c'est parce qu'il ne peut plus se représenter idéalement ces mouvements . Voilà une solution, mais ce n'est qu'une solut
nnervation des régions correspondantes du corps, ne détermine des mouvements ni directement ni d'une façon réflexe, mais par
images ou représentations mentales de la sensibilité générale et du mouvement . Il y a la théorie, absolument motrice, de Davi
ations motrices qui précèdent nécessairement l'accomplissement d'un mouvement volontaire, tandis que le sens musculaire, ou p
ce appa- raissent comme des centres de représentations des divers mouvements qui déterminent la véritable action motrice, pa
ue à de véritables appareils moteurs. « En envisageant, dit-il, les mouvements produits par l'excitation de points déterminés
inés de l'écorce céré- 366 PHYSIOLOGIE. brale comme analogues aux mouvements réflexes, la différence essentielle entre les m
logues aux mouvements réflexes, la différence essentielle entre les mouvements ainsi provoqués et les réflexes ordinaires cons
éprouvée comme motrice, F. Franck et Pitres ont vu se conserver les mouvements dépendant de la section corticale circonscrite, e
es moteurs conservent tout au moins une influence directrice sur le mouvement , malgré leur séparation du reste de l'écorce ».
s » ont ou n'ont point par eux-mêmes d'influence directrice sur les mouvements , si leur activité est subordonnée à celle des a
e de sensations musculaires, si bien que la vue seule d'un objet en mouvement ne saurait faire naître en nous aucune idée mot
une idée motrice : pour qu'elle naisse, il nous faut reproduire ces mouvements avec ou sans conscience; les résidus de ces sen
l cherche à arrêter cette sensation musculaire, l'image du nuage en mouvement s'arrête aussitôt : la nuée paraît immobile '.
ils ne le font qu'à la manière des sensations qui déterminent des mouvements réflexes '. Quant à la théorie que Tam- burini,
énie éclectique des Italiens. Loin de subordonner les troubles du mouvement aux altérations des organes centraux de la sens
t recueilli des cas de paralysie de la sensibilité générale et du mouvement , ou de la sensibilité générale seule, dans les
iv. « La destruction des centres corticaux entraîne une parésie des mouvements qui en dépendent habituellement, » p. 135. Les
de mouve- ments automatiques (Ferrier), mais de vrais centres- de mouvements volontaires. Du même coup, ces au- 1 Ricel'che
cier. Ferrier, on lésait, voit dans le corps strié un centre où les mouvements primitivement volontaires et appris tendent à s
té, ce chien a perdu tout ce qu'il y avait de volontaire dans ses mouvements : il n'a conservé que ce qu'il y avait encore d
es auteurs. Mais Luciani n'est pas convaincu du pur automatisme des mouvements du chien, soit avant toute éducation, soit aprè
et nous demander comment un physiologiste, en distinguant ainsi les mouvements volontaires des mouvements automatiques ou réfl
hysiologiste, en distinguant ainsi les mouvements volontaires des mouvements automatiques ou réflexes, peut laisser croire q
hologie physiologique. Par volontaire, il en- tend naturellement un mouvement qui résulte de l'in- tensité actuelle d'un grou
volontaire. Rien de plus évident. Luciani l'entend bien ainsi. Les mouvements exci- tés par les centres corticaux, dit-il, on
exci- tés par les centres corticaux, dit-il, ont le caractère de mouvements purement volontaires; ils sont l'expres- sion o
Toutefois, pour conserver le caractère intentionnel et voulu aux mouvements des mammifères privés de leurs centres moteurs
Noth- nagel, - l'impulsion irrésistible à courir, à accomplir des mouvements de manège, les paralysies totales des extrémité
de Pavie, a réussi à provoquer, sur des grenouilles décapitées, des mouvements il tel point variés et coordonnés, qu'ils revêt
vraisemblance, et a contre elle la persistance de la paralysie des mouvements volontaires chez l'homme et chez les animaux- q
faisceau pyramidal, a des limites : elle permet la restitution des mouvements associés des membres dans la locomotion; « elle
bres dans la locomotion; « elle ne va pas jusqu'à la réparation des mouvements compliqués, véritable- ment volontaires'. » E
ence- témoignait qu'il suffit d'être familier avec la nature- des mouvements que présentent les animaux après la- perte de l
e du côté opposé à la lésion, cérébrale, ce n'est pas l'énergie des mouvements musculaires, mais, avec les sensations de tact
d'un rap- port existant entre la zone excitable et les organes du mouvement , avait donné aux phénomènes observés le nom de
arc réflexe, grâce auquel les sensations tactiles, qui règlent nos mouvements , pro- voquent cet ensemble de contractions musc
cessaires à la direction, à la coordination et à l'équilibre de ces mouvements . Le point où ces deux faisceaux de fibres ascen
et Tamburini lui faisaient cette autre critique : L'hypothèse de « mouvements réflexes » se heurte contre le fait de la décom
e fait de la décomposition, de la coordination, de la constance des mouvements isolés, qu'on obtient par des excitations local
citations localisées de l'écorce. Ni la forme ni les caractères des mouvements réflexes ne présen- tent rien de semblable. Au
oint de celle de Hitzig : tous deux rappor- tent les altérations du mouvement à des troubles de la sensibilité générale. On p
juillet, 1882. · LES FONCTIONS DU CERVEAU. 391 identité entre les mouvements dus à l'irritation des cordons postérieurs de l
it, ce sont des réflexes communs des membres, dans le second, des mouvements complètement différenciés des différents groupe
Pour Bechterew, l'aire corticale dont l'excitation détermine ces mouvements est, on le sait, purement motrice. Là sont « le
, on le sait, purement motrice. Là sont « les centres véritables du mouvement », au sens de David Ferrier. Jamais il n'a obse
devait renfermer à la fois des éléments nerveux en rapport avec les mouvements volontaires des différents groupes musculaires~
explicite de cette interprétation de sa pensée. La constance des mouvements localisés produits par l'excitation électrique
e, allant aux muscles de cette partie » '. La production directe de mouvements localisés s'expli- querait alors aussi bien que
observe en excitant les centres moteurs de la zone-de Hitzig». Les mouvements du pavillon de l'oreille et des muscles oculo-p
surface du cerveau ne doit pas être divisée en zones distinctes du mouvement et de la sensibilité. « Nous croyons que les ce
cal ne consistent pas uniquement en une paralysie ou une parésie du mouvement , mais aussi en une altération plus ou moins net
présentations psychiques qui doivent précéder l'exécution de tout mouvement volontaire ou intentionnel, bref, à des paralys
que ceux de cette région, dont l'excitation provoque toujours des mouvements des yeux, des oreilles, du nez et des joues. L'
ée, quelquefois aussi du même côté, etc. Quand Ferrier a décrit ces mouvements , il les attribuait, on le sait, à des réactions
fait Luciaui et Tamburini, comme l'a fait Datiillol, parce que ces mouvements , toujours uniformes et localisés à un groupe de
mes et localisés à un groupe de muscles, ' Danillo a prouvé que les mouvements des yeux observés dans l'ex- citation du lobe o
es, car, après l'ablation totale de l'écorce du lobe occipital, ces mouvements se produisent avec une parfaite identité lorsqu
r i. LES FONCTIONS DU CERVEAU. 399 n'ont rien qui ressemble à des mouvements réflexes généraux. Or ces points excito-moteurs
où se distribuent uniquement les fibres du faisceau pyramidal. Les mouvements que ces centres déterminent ne sont point dus n
ar si on isole ces centres par la méthode des circonvallations, les mouvements en ré- ponse persistent. Outre qu'ils sont situ
on n'entraîne pas de troubles manifestes de la motilité; enfin, les mouvements qu'ils provoquent ne sont pas aussi bien différ
es points facilement excitables du gyrus sigmoïde provoque déjà des mouvements des membres, alors que celle des centres moteur
rices des membres, dues à l'excitation du gyrus sigmoïde. Quant aux mouvements conjugués des yeux, déterminés par l'excitation
l que soit le centre de la zone motrice extirpé, les altérations du mouvement et de la sensibilité ne se limitent pas, suivan
ion du centre cortical du membre postérieur gauche, la paralysie du mouvement et de la sensibilité s'étendrait plus ou moins
ve- ments volontaires. La vie psychique, qui se manifeste par les mouvements les plus variés, n'a-t-elle pas pour substratum
aient don qu'indirectement motrices : elles ne provoqueraient des mouvements que par l'intermédiaire des centres directement
'écorce, on échouera. Cette extension des lésions fonctionnelles du mouvement et de la sensibi- lité générale dépend-elle de
ion unilatérale de l'écorce chez le lapin et le chien est suivie de mouvements bilatéraux, c'est-à-dire du côté opposé et du c
ble. Exner professe que chaque zone motrice est en rapport avec les mouvements des deux côtés du corps, doctrine qui est aussi
e mutilé, les deux membres du côté opposé demeurent inertes et sans mouvement , tandis que les membres du côté sain s'agitent,
es, la locomotion peut être considérée comme un de ces complexus de mouvements coor- donnés qui, ainsi que la succion, n'ont b
uvel arc de cercle, après lequel il retombe. Flexion violente, puis mouvements désordonnés des jambes, en même temps qu'il se
deux ou trois reprises. Résolution musculaire. Rigidité avec légers mouvements convulsifs des mains et des pieds qui frappent
mbe lourdement en arrière. Extension puis repos. 10 h. 17. - Légers mouvements convulsifs des mains et des pieds. Quelques arc
èrement colorée. Paupières closes. Arc de cercle. Tortillement avec mouvements de translation qui le portent à 2 ou 3 mètres p
es en haut et en dedans et les paupières s'abaissent. Il a quelques mouvements de déglutition. Pas de stertor. La tête elle-mê
ture très prononcée des doigts. 11 se réveille sponta- nément, sans mouvements spasmodiques, sans attaque à 10 h. 50 et parait
inze centimètres de distance l'une de l'autre) on voit survenir des mouvements de mastication, des contractions fibrillaires d
tale et impétueuse agilalion de l'animal, qui se met à exécuter des mouvements de course excessifs, la locomotion est des plus
i la porte en arrière et du même côté. Il est rare d'assister à des mouvements isolés, sur place, qui figurent la marche et la
uadrijumeaux antérieurs contient des centres moteurs destinés à des mouvements coordonnés d'une certaine valeur. 11 est probable
culaire : parole scan- dée, nyslagmus, tremblement à l'occasion des mouvements in- tentionnels. C'est là cependant des cas de
leur fit plaisir ou non. Les vingt-cinq autres exécutaient quelques mouvements en rapport avec les sollicita- [toits auditives
s démonstrations des sauvages; six tapent des mains exécu- tent des mouvements de balancement rhythmés, vont et viennent dans
se joint en l'espèce à la musique pour exciter la coordination des mouvements . Enfin l'aphasie motrice, qui généralement n'es
rale peut simuler l'hémiplégie, mais n'est pas une hémiplégie ; les mouvements ne sont que difficiles par la roideur des artic
; guéries par suggestion hypnotique, par 'Pissié, 279. Oculaires ( mouvements ), par Da- nillo, 445. Uphthalmoplégie (lésion
63 (1912) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 25] : iconographie médicale et artistique
talmie, le strabisme, le nystagmus et quelquefois la limitation des mouvements des globes ocu- laires. \ 1) Boltoeville et B
et elles réagissent très peu à la lumière. Nystagmus horizontal, mouvements des globes limités à droite. Examen du fond de
oit à l'accommodation. Pas de nystagmus, aucune limitation dans les mouvements des globes ocu- laires. Examen du fond de l'o
re ha- bituelle de son magasin et pendant qu'il dinait, il sent des mouvements con- vulsifs dans les muscles du côté droit de
ues instants le membre inférieur droit est éga- lement pris par les mouvements convulsifs et le malade tombe par terre. Les co
uant le liquide arrivait dans la gorge, faisait incons- ciemment le mouvement de déglutition. A présent le lait reste dans la g
t de déglutition. A présent le lait reste dans la gorge et suit les mouvements de la respiration, qui est stertoreuse. Pour prév
e à s'améliorer malgré que le xxv - 4 50 MARINESCO ET GOLDSTEIN mouvement fébrile persiste. Il est toujours gâteux, mais l'
a faiblesse et de la parésie dans les membres du côté gauche. Léger mouvement fébrile : 37"6. Le malade est congestionné et a
ne lui fait des sortilèges, que son lit exécute pendant la nuit des mouvements DEUX CAS DE PSEUDO-TUMEUR CÉUÉBIIALE 51 d'asc
squ'à une hauteur d'environ 30 centimètres pour pouvoir exécuter ce mouvement . La vue a beaucoup diminué. L'examen ophtalmosc
and il regarde dés objets plus lointains il les voit doubles. Les mouvements des globes oculaires sont libres mais il présente
l'existence d'un processus inflammatoire il doit exister un certain mouvement fébrile dans les cas de méningite séreuse. Cepen-
e température élevée. Dans notre premier cas nous avons constaté un mouvement fébrile, non pas dès les premiers jours, mais à
ant son séjour à l'hôpital fut normale. Les cas où on a constaté un mouvement fébrile ne sont pourtant pas bien rares. C'est
auf quand il est en résolution musculaire, le malade est animé d'un mouvement con- tinuel. Toute attitude active entraîne une
; les orteils sont en extension. Il n'y a pas d'incoordination des mouvements volontaires; les yeux étant fermés, le malade p
on, la main et les doigts restent étendus et ceux-ci sont animés de mouvements athétoïdes. Pas de signes de Romberg. La parole
relrouve ici : * le début dans le jeune âge, l'ataxie statique, les mouvements athétoïdes, l'absence de troubles sensitifs, la
r aux régions de la moelle où l'influx centripète est transformé en mouvement et pour déclancher le réflexe normal ? De telle
laisse à d'autres percevoir; il est filiforme et très ra- pide. Les mouvements passifs des bras'et des jambes s'effectuent sans
résultats suivants : l'acuité visuelle de B... est égale a 9 ; les mouvements bulbaires ont lieu dans des proportions normale
presque sans modulations, parfois avec une légère gêne et avec des mouvements paramimiques. Sa conversation spontanée coule d
ombreuses. Les cas absolument exceptionnels où B. a pu, grâce à des mouvements d'écriture, trouver le nom d'une lettre ne méri
tre, la supposition de Bas- tiano d'un centre cénestésique pour les mouvements des bras et des mains nous paraît aussi plausib
on âge ; il trouve à cette époque leurs jeux trop brusques et leurs mouvements trop violents. Constamment il répète à son entour
rd, pas plus que sa soeur du reste), n'apporte aucune gêne dans les mouvements du membre supérieur gauche. Celui-ci, ainsi que
e. Celui-ci, ainsi que le membre supérieur droit, peut exécuter des mouvements plus étendus que normalement, en particulier dans
le réflexe comme absent que lorsque l'excitation ne donne jamais ni mouvement ni contraction musculaire. Dans un certain no
expli- quer dans le fonctionnement du corps humain par les lois du mouvement . L'organe qui reçoit de l'ensemble du corps et
sions venues du monde extérieur, l'organe qui, d'autre part, met en mouvement toute « la machine de [notre] corps» doit nécessa
[esprits animaux n'y restent pas. Ils sont en effet constamment en mouvement (3) et ils réalisent dans le cerveau la moelle
ui a servi à expliquer le sommeil et les rêves) et d'autre part des mouvements mus- culaires, volontaires et réflexes. Le se
j'ay dit cy- dessus, pourront donner occasion à l'âme de sentir le mouvement , la gran- deur,la distance, les couleurs, les s
r légèrement celles-ci de diver- ses manières suivant leurs propres mouvements et la disposition antérieure des fibres, « en s
pour ce que je l'ai sentie autrefois eu le voyant » (1). Enfin le mouvement des muscles est déterminé par la glande et soumis
ent des muscles est déterminé par la glande et soumis à ses propres mouvements . Nous avons vu comment ceux-ci sont possibles g
peuvent influencer la glande et répondent à diverses catégories de mouvements . En premier lieu il faut placer les mouvements
verses catégories de mouvements. En premier lieu il faut placer les mouvements réflexes, de beaucoup les plus importanls,Desca
s extérieurs que de nos appétits intérieurs excitent aussi quelques mouvements en nos nerfs, qui passent par leur moyen jusqu'
à cause que la machine de notre corps est tellement composée que le mouvement de notre main vers nos yeux excite un autre mou
mposée que le mouvement de notre main vers nos yeux excite un autre mouvement en notre cerveau qui con- duit les esprits anim
t réflexe que Descartes admet une action directe des objets sur les mouvements , sans la participation de Lime. Il en étend, en
principalement comme dans le coeur (1). » Une seconde catégorie de mouvements est constituée par ceux qui dé- pendent d'une i
encher tantôt d'un costé tantôt d'un autre » (2). Or « l'idée de ce mouvement des membres ne consiste qu'en la façon dont les
s esprits sortent pour lors de cette glande » (3). Enfin il est des mouvements à proprement parler volontaires, produits par l
s nous adresserons à une certaine conception sensible de la mise en mouvement d'une masse par quelque chose qui n'est pas mat
s réelles qui meuvent la matière. Mais il y a bien un domaine où le mouvement est imprimé au mobile, comme nous croyons qu'il
es corps pesants. Et si nous avons conçu cette opinion erronée d'un mouvement imprimé à la matière par une pesanteur essentie
ion colloïdale nous montre que les parti- cules se trouvent dans un mouvement continuel. Chaque particule éprouve une suite d
sont nom- 196 MARINESCO breuses, on voit qu'elles sont toutes en mouvement dans le champ du microscope. C'est un fourmille
eil. Lorsque des particules unt un diamètre inférieur à 1 tz, leurs mouvements s'observent très bien, ils cessent au contraire l
striée ordinairement. Dans une émulsion semblable se produisent des mouvements actifs qui peuvent persister plusieurs jours et
contré que d'une façon tout à fait exceptionnelle l'exis- tence des mouvements browniens dans le cytoplasma. de leurs cellules.
, nous avons affaire à un sol ou à un gel, c'est la présence de ces mouvements . Déjà leur absence nous permet de conclure que
en diminuant par conséquent sa viscosité, nous voyons paraître les mouvements browniens et leur intensité est due dans une cer-
L'eau distillée, l'ammonia- que, etc., produisent l'apparition des mouvements browniens. Les faits essentiels qui se dégagent
'offrent jamais, tout au moins la tem- pérature du laboratoire, des mouvements amoeboïdes, malgré que nous ayons prolongé l'ex
es phénomènes d'ordre gé- néral. C'est,d'une part, l'apparition des mouvements browniens et de l'au- tre les changements de to
ans la région cytolysée et périphérique des granulations animées de mouvements browniens; mais pour que ces mouvements se prod
des granulations animées de mouvements browniens; mais pour que ces mouvements se produisent, il faut un certain degré de dilu
taines granula- tions très lumineuses persistent et sont animées de mouvements browniens. Il y a des cellules résistantes dans
s ; ensuite, il y a l'apparition d'une cytolyse périphérique et des mouvements browniens dans quelques cellules au niveau de la
d'arcs lumi- neux du côté de la membrane, cytolyse périphérique et mouvements browniens. La cytolyse peul être partielle, une
Cependant, la dissolution des granula- tions n'est jamais suivie de mouvements browniens ou de cytolyse. Lors- qu'il y a eu fo
apophyse épineuse. Et ceci nous explique la limitation relative des mouvements : les mouve- ments d'avant en arrière, imprimés
ensation d'une arti- culation formée de deux pièces, et non plus le mouvement ample et limpide d'une colonne flexible. Ces
on plus le mouvement ample et limpide d'une colonne flexible. Ces mouvements sont assez restreints ; Sens anléro-poslérieur.
mal, ce chiffre est près de trois fois supérieur. Sens latéral. Les mouvements sont encore plus réduits ; leur amplitude très
litude très faible n'a pas été mesurée. 228 KLIPPEL ET FEIL Les mouvements de la tête sont seuls limités ; les bras et les j
s bras et les jambes sont légèrement atrophiés, mais conservent des mouvements normaux. Côtes. La cage thoracique est formée d
; donc pas d'apophyse odontoïde qui puisse servir de pivot dans les mouvements de la tête sur le tronc. (1) Ce large orifice
)) ABSENCE DES VERTÈBRES CERVICALES 233 Si, chez notre malade, ces mouvements .quoique limités, existaient en partie, nous pou
t orifice se trouve une ébauche d'articulation qui per- mettait les mouvements limités que l'on constatait sur le vivant. 2° C
s été attirée par trois signes importants : La limitation nette des mouvements de la tête. L'implantation basse des cheveux, v
ou peu développé, cheveux implantés bas, et qui sont gênés dans les mouvements de la tête, des gens ayant une diminution des v
lanciers, les mains dans les attitudes anormales, produites par les mouvements athétosiques. Nous avons observé que celle déri
pposé à celui vers lequel s'incline le tronc. Pour ce qui est des mouvements de ce dernier, il s'incline chaque pas du côté
va et commença à prendre part au travail do- mestique, bien que ses mouvements fussent encore un peu hésitants. Ses proches dé
déjà ru- gueuses par suite du travail domestique. Bien que par ses mouvements et par sa manière d'être, elle semblât une femm
siologiques normales. La musculature était peu développée, mais les mouvements vifs et harmonieux ; sans en éprou- ver la moin
oit passer fré- quemment des contractions librillaires rapides. Les mouvements du pouce sont limités à une légère adduction ou
hiée, mais depuis quelques semaines, elle est moins habile dans les mouvements fins, notamment dans la palpation. Les réflexes
bolis, et le cha- touillement de la plante du pied ne produit aucun mouvement des orteils. Réflexes pupillaires normaux. L'
e : elle sert encore pour les ouvrages grossiers, mais non pour les mouvements préris, tels que boutonner des vêtements ou att
ts restent fléchis et le ma- lade est incapable de les étendre. Les mouvements d'adduction et d'opposition du pouce sont très
t pas être écartés en éventail. Le triceps brachial résiste mal aux mouvements passifs. Le mouvement de flexion de l'avant-bra
ventail. Le triceps brachial résiste mal aux mouvements passifs. Le mouvement de flexion de l'avant-bras sur le bras est beau
des segmentaires sont conser- vées ; il n'y a pas d'ataxie dans les mouvements , pas de signe de Romberg. Comme pendant son séj
est depuis quelques mois qu'il a perdu la possibilité d'écrire. Les mouvements des muscles du bras et de l'é- paule sont parti
s se sont considérablement accrus. Le pied ne peut exécu- ter aucun mouvement volontaire, il est tombant et ballant, la jambe n
contre elle peut être étendue avec force ; de même à la cuisse,les mouvements d'extension sur le bassin, d'abduction et de rota
321 moins de force dans le bras droit que dans le bras gauche. Les mouvements de son bras droit étaient si embarrassés qu'il
e massé- ter de droite est moins développé que celui de gauche. Les mouvements laté- raux de la mâchoire inférieure sont presq
tracter le peaucier ni à droite ni à gauche. Aucun trouble dans les mouvements passifs de la tète. Le sujet est en me- sure de
s passifs de la tète. Le sujet est en me- sure de bien accomplir le mouvement d'extension de la tète; le mouvement de flexion
me- sure de bien accomplir le mouvement d'extension de la tète; le mouvement de flexion ne se produit que d'une manière inco
e se trouve qu'à une distance d'environ deux doigts du sternum. Les mouvements latéraux vers la droite et vers la gauche ne se
ère à faire décrire à son corps un arc de cercle très marqué. Les mouvements latéraux du tronc sont aussi très difficiles et i
r- gie qu'il y emploie. Aucun trouble affectant le trophisme, les mouvements passifs et les mou- vements actifs des muscles
ment; il lui fait atteindre jusqu'au pavillon de l'oreille. Dans ce mouvement , le moignon de l'épaule se trouve un peu en dehor
ut soulever le membre supérieur droit tout entier, mais c'est là un mouvement qu'il ne peut exécuter complètement. Il peut égal
lètement. Il peut également appli- quer à ce membre tout entier les mouvements d'adduction et d'abduction. Il ne fléchit l'ava
autres doigts. S'il essaie d'étendre la main, le cinquième doigt un mouvement d'extension exagéré, surtout dans la première f
'extension exagéré, surtout dans la première flexion, le pouce a un mouvement d'adduc- tion. En outre, dans cette position, l
n du toucher, de la douleur, du chaud, du froid, de la position des mouvements , le sens pallastbésique, le sens stéréognostique
t une grimace très forte quand on le pince, mais il n'exécute aucun mouvement de défense. On note de la flexibilité cireuse des
fus. D. Quel jour sommes-nous ? - R. Le 15 août 1911. Toujours en mouvement , il rit, se retourne dans tous les sens, puis se
e du côté gauche. Pas de perle du sens de position des membres. Les mouvements des membres supérieurs et inférieurs sont normaux
ypothénar et des muscles de la face antérieure de l'avant-bras. Les mouvements du bras gauche sont bien conservés dans toutes
ut la gauche ; on constate cependant un certain affaiblissement des mouvements . Tension musculaire insensiblement augmentée. L
exion du coude et de la main est plus forte que leur extension. Les mouvements des doigts de la main gauche sont lents et faib
la position couchée le malade exécute lentement et avec effort tout mouvement avec ses membres inférieurs. L'étendue de ces mou
effort tout mouvement avec ses membres inférieurs. L'étendue de ces mouvements est beaucoup moindre qu'en temps normal et à po
genou droit, immobilité du pied droit. Les orteils exécu- tent des mouvements limités. Le membre inférieur gauche conserve des
utres indices de la lésion, comme raideur du cou, douleurs dans les mouvements actifs ou passifs de la tête, de la ceinture sc
té droit ont commencé à trembler, mais seule- ment à l'occasion des mouvements , de la marche, après une fatigue. Les trois doi
s été comme ça et il n'a pas de pho- tographie à nous donner. Les mouvements des yeux sont parfaits. L'examen du fond de l'oei
symptôme traduisant une lésion quelconque des nerfs crâ- niens. Les mouvements de la tête et du cou sont libres et ils ne causen
la flexion de l'avant-bras sur le bras qui est moins énergique, Les mouvements volontaires de ce même côté sont souveut troubl
as du côté droit des contractions fibrillai- res. Il n'y a pas de mouvements involontaires des membres et les réflexes cuta-
'minime des radiaux et d'autres muscles voisins, qui ne donne aucun mouvement appréciable. b) En percutant sur l'apophyse sty
lexion des doigts, sans flexion de l'avant-bras, mais associée à un mouvement de pronation de la main. c) Si, maintenant, l'a
vant-bras, sur le muscle extenseur commun des doigts, on obtient un mouvement d'extension de la main et de flexion des doigts
lexe ostéo-radial, il se produit toujours la même inversion. Ici le mouvement est plus fort, plus brusque que du côté gauche. Q
entraîne pourtant une flexion appréciable de l'avant-bras. b) Le mouvement de flexion des doigts est plus énergique quand la
u sur l'extrémité inférieure du cubitus, et il est alors associé au mouvement de pronation de la main. c) En percutant sur la
ois l'ex- tension du gros orteil, mais toujours associée à d'autres mouvements des orteils, du pied, de la jambe. Le signe d
peut se pen- cher et ramasser un objet placé devant ses pieds : le mouvement de la colonne vertébrale paraît tout à fait lib
que le tronc se voûte moins bien, surtout en bas. Pendant tous ces mouvements , il n'accuse jamais aucune douleur. Il n'y a
ger que d'après les radiographies, mais nous rappelons que tous les mouvements de la tête étaient parfaitement libres. Ce ne pou
sses et les cuisses, et ne lui permettaient pas de faire le moindre mouvement , car alors, elles devenaient lancinantes et int
moins violentes que les premières, mais toujours exagérées par les mouvements ; de ces régions elles ont bientôt disparu, pour
la tête. Quelque temps après l'épaule gauche est aussi prise et ses mouvements limi- tés, - Dès le commencement, la malade s'é
ées, forment avec cet arc rachidien un angle faiblement obtus ; les mouvements propres du rachis, flexion et exten- sion, incl
nt et demi-ankylosée, ne permet qu'un court écart des bras et aucun mouvement d'élévation ; la main ne dépasse pas l'épaule o
s, les mains, les genoux, les pieds sont intacts et libres de leurs mouvements . La malade a seulement un décubitus pour dormir
part, comme c'est le membre droit qui conserve le mieux les petits mouvements , c'est lui seul qui fait les frais de la marche
te est douloureuse, sans enflure, mais avec des craquements, et ses mouvements sont déjà restreints. 1898. - L'inflexion de
pas de déviation oblique ovalaire de la bouche (Pitres). Les divers mouvements du visage s'effectuent avec régularité des deux c
droite ou à faire la convergence, le droit interne gauche fait des mouvements , mais ils sont t moins intenses qu'ils ne devra
te sans s'en apercevoir. Le tremblement de la main droite, dans les mouvements , est plus intense. L'épreuve de recherche d'u
maient lentement les yeux. La paupière dioite n'accompagnait pas le mouvement de des- cente de la paupière gauche et s'arrêta
erf droit est pris à droite chez la seconde malade avec parésie des mouvements conjugués de l'autre ceil. Normal dans les deux a
ce fonctionnelle avait augmenté en même temps, et la difficulté des mouvements d'opposition l'em- pêchaient de prendre le port
seux avec amaigrisse- ment et dépression au niveau des espaces. Les mouvements des petits muscles delà main se font sans force
pouce surtout est très mal exécu- tée. Il en est de même des autres mouvements du pouce et des muscles inter- osseux. A l'ex
MUSCLES 433 3 par suite de l'atrophie des membres interosseux. Les mouvements de la main se font sans force, surtout l'opposi
de la main se font sans force, surtout l'opposition du pouce et les mouvements d'écarte- ment des doigts. A droite la main est
flexion des deux genoux. L'extension des jambes est impossible. Les mouvements des hanches sont relativement libres, cependant
gts paraissent saines. Les coudes sont un peu raides, mais tous les mouvements sont faciles. Examen du système nerveux. - Rend
alade accuse une faiblesse dans la façon dont il serre la main. Les mouvements des interos- seux sont très gênés, le malade éc
et 3e phalanges se fait mais sans force. Il en est de même pour les mouvements du pouce qui se fout sans force, le malade est in
une épingle sur une surface plane. Mais la malade y supplée par un mouvement d'adduction du pouce. 440 P. MARIE ET FOIX. L
es et égales d'un côté à l'autre. Au niveau de l'éminence thénar,le mouvement d'adduction du pouce se fait bien, malgré que s
e suspecter un tabes incipiens. Réflexes cutanés plantaires, pas de mouvement d'un côté ni de l'autre. Ré- flexe abdominal ex
droite serre la main beaucoup moins fort que la a main gauche. Les mouvements du pouce se font sans force, l'opposition est ce-
ouce se font sans force, l'opposition est ce- pendant possible. Les mouvement d'écartement des doigts sont également très gên
es de la sensibilité. Pas de signe Rien du côté de la sensorialité. Mouvements commandés bien exécutés. En résumé chez un ma-
maladroite et, notamment, le pouce gauche était dénué de force, les mouvements d'opposition très difficiles. Elle sait qu'elle
t, le reste nor- mal. La force est normale à droite pour tous les mouvements des membres supé- rieurs. A gauche, la flexio
alade serre également un peu moins fort à gauche qu'à droite. Les mouvements des doigts sont plus touchés : tout d'abord l'éca
n du petit doigt qui se fait moins bien qu'à droite, et surtout les mouvements de l'éminence thénar. L'abduction du pouce est
mouve- ment d'adduction. L'adduction se fait relativement bien. Les mouvements de latéralité de l'avant-bras se font bien, la
ême temps d'une diminution de la force et d'une maladresse dans les mouvements . Il peut écrire mais est obligé de s'arrêter au
n est indemne. Du côté de la main droite on note une diminution des mouvements de latéralité des doigts, qui sont cependant po
vements de latéralité des doigts, qui sont cependant possibles. Les mouvements du pouce notam- ment l'opposition sont possible
des deux côtés. Radial paraît aboli à gauche. L'ou n'observe pas de mouvement , mais en regardant attentivement on voit une co
é gau- che au contraire la masse musculaire est bien conservée. Les mouvements d'ab- duction et d'opposition se font sans forc
llaires. L'excitation de la plante du pied droit ne détermine aucun mouvement . L'excitation de la partie interne du pied gauc
t une flexion du pied; l'excitation de sa partie moyenne produit un mouvement d'adduction. La sensibilité et la motilité sont
a 7eaizersale) qui vllilie l'aine, qui dirige la croissance et tout mouvement , qui devient avec les organes l'âme vivante du
64 (1901) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 16
ée — ? 1. Juillet 1901. BULLETIN La Revue de l'hypnotisme et le mouvement psychologique. La Revue de rhypnotisme, fondée
e l'hypnotisme peut revendiquer une part des plus importantes dans le mouvement psychologique qui s'accomplit. Les idées aujourd'
enait difficilement un objet ù la main. Les lèvres étaient agitées de mouvements , ainsi que la mâchoire inférieure ; quand la mala
u une ébauche d'attaque d'hystérie avec strangulation, cris et grands mouvements des bras, sans chute, ni perte de connaissance le
ec un instrument trop volumineux, devait le plus souvent provoquer le mouvement réflexe, et empêchait de constater un trouble de
is de décembre 1900. Son bras droit et sa jambe droite sont animés de mouvements choréiques, involontaires, rapides, irréguliers,
mourir. Notre jeune liile en éprouve une émotion considérable et les mouvements choréiques apparaissent dans la jambe ainsi que d
s tout à fait dociles à sa volonté, qu'ils ne présenteront plus aucun mouvement irrésistible, qu'elle aura recouvré son adresse m
et se sentira tout à fait guérie. Je la réveille et l'observe : les mouvements chorciques ont totalement disparu. Je lui présent
une parésie de la région en question ; la température s'abaisse, les mouvements respiratoires diminuent de nombre et d'amplitude,
e centre en question, au lieu d'être engourdi, se trouve excité ; les mouvements respiratoires s'accélèrent et très rapidement, co
r... mez..., dor... mez..., je m'applique à les rendre synchrones aux mouvements respiratoires du sujet; en d'autres termes, chaqu
Lorsqu'ainsi j'ai pu agir indirectement et comme à volonté sur les mouvements respiratoires du sujet, j'estime qu'il se trouve
era nettement distincte des autres et articulée suivant le rythme des mouvements respiratoires. Grâce à cette règle du synchronism
état de fascination ou de somnambulisme, imitent servilement tous les mouvements , les gestes et les paroles (écholaliej de l'opéra
le à la main et qu'on le fixe avec attention, on lui communiquera des mouvements oscillatoires dont on n'aura pas conscience. Ce
et en tenant par la main celui qui Ta cache : on se guide sur les mouvements inconscients de la main, qui sont d'autant plus f
sourciers. Recherche des sources et des trésors : on se guide sur les mouvements de la baguette divinatoire tenue dans la main. Ce
sur les mouvements de la baguette divinatoire tenue dans la main. Ces mouvements sont communiqués par le sourcier lui-môme bien qu
ience psychologique très complexe. Nous avons examiné plus haut les mouvements automatiques; ceux-ci peuvent se répéter et deven
saisissant l'extrémité du balancier, il accompagne ces battements de mouvements isochrones. Après avoir ainsi amorcé le mouvement
ces battements de mouvements isochrones. Après avoir ainsi amorcé le mouvement , il abandonne le balancier. La main de l'enfant q
le balancier. La main de l'enfant qui serre ce dernier, accoutumée au mouvement , peut continuer à le produire d'une façon inconsc
uvement, peut continuer à le produire d'une façon inconsciente. Ces mouvements varient chez le môme sujet suivant les expérience
; ils sont d'autant plus constants que le sujet est plus jeune. Ces mouvements automatiques, répétés par habitude, sont bien dif
ouvements automatiques, répétés par habitude, sont bien différents de mouvements analogues qu'on obtendrait par suggestion : car c
n. Cette main doit être molle, on la prend et on lui imprime quelques mouvements graphiques, puis on l'abandonne doucement à elle-
ouillis est formé de jambages tous semblables; il est produit par des mouvements de la main automatiques et se répétant par habitu
nt automatiques ; aucun ordre ne les a suggérées. La répétition des mouvements s'observe également à un certain degré d'hypnose.
du sujet et on les fait tourner en cercle l'un autour de l'autre: ce mouvement continue indéfiniment. C'est là un acte passif et
un enfant imite une grande personne ; il sait faire avec sa main des mouvements que les enfants de son âge sont d'ordinaire incap
r.u moment où sa gueule passerait au-dessus de l'appât. Or, tous ces mouvements ont été exécutés par le lion, sans hâte, d'une fa
aîne à la réalisation de l'acte; et l'être ainsi obsédé accomplit les mouvements nécessaires à la chiite ('). Ce n'est pas un su
aussi de l'amnésie et, fait plus curieux, une perte de la mémoire des mouvements et de la sensibilité musculaire. Au Heu de poser
tirant son fil elle le cassait, car elle ne savait plus calculer ses mouvements , mais elle accusait le fil d'être mauvais. M. B
t le thorax, très légèrement en avant et en arrière, et lentement; ce mouvement alternait avec un mouvement latéral; bientôt, les
en avant et en arrière, et lentement; ce mouvement alternait avec un mouvement latéral; bientôt, les deux se conjuguèrent; la mu
oup fermaient les yeux. La musique reprit plus fort et plus vive, les mouvements de flexion et d'extension des jambes commencèrent
t et devinrent de plus en plus rapides. A un coup de tambour tous les mouvements cessèrent, tandis que le premier chanteur égratig
cessèrent, tandis que le premier chanteur égratignait sa mélopée. Les mouvements reprirent avec toujours des intermittences et des
naient à dix en même temps. C'était un désordre général : hurlements, mouvements désordonnés ; scène de cabanon de furieux. « La
ut cela tend à expliquer la rapidité avec laquelle s'est développé le mouvement boxeur dans le Nord de la Chine. (1) Une questi
ture musicale exige que le musicien reconnaisse simultanément : Io Le mouvement , c'est-â dire la mesure et la cadence propres au
ière générale se subdiviser encore en deux groupes : 1° L'agilité des mouvements des doigts ; 2° La combinaison de mouvements diff
oupes : 1° L'agilité des mouvements des doigts ; 2° La combinaison de mouvements différents de l'une et de l'autre main. A cela
utre main. A cela vient s ajouter, pour les instruments à vent, les mouvements des lèvres et de la langue ; pour l'orgue en part
uvements des lèvres et de la langue ; pour l'orgue en particulier les mouvements des pieds, qui peuvent être chargés d'un jeu spéc
yen des instruments, elle est surtout le résultat de la souplesse des mouvements ; elle peut concerner les deux mains, comme dans
dans les instruments à cordes et spécialement à archet ; ou enfin, le mouvement des lèvres et de la langue, comme dans les instru
On sait quelle part considérable revient à l'automatisme, dans les mouvements exécutés pour le jeu des divers instruments. Le p
ianiste, le violoniste, ne peuvent arriver à l'agilité surprenante de mouvements qui leur est nécessaire, que par une habitude acq
une habitude acquise par de longs exercices, et grâce à laquelle ces mouvements s'exécutent sans que la volonté consciente ait à
s'exécutent sans que la volonté consciente ait à intervenir. Or, les mouvements automatiques sont essentiellement ceux sur lesque
rs les plus célèbres. Mais, depuis plusieurs années, les troubles des mouvements , résultat de la maladie pour laquelle il était en
tendu, pendant cette suggestion, je veillais à ce qu'il n'y eut aucun mouvement , même involontaire, des doigts. Le dixième jour
en temps, ne s'accompagnant pas de véritables, convulsions, mais les mouvements des orbites quand elle entr'ouvrait les paupières
présente, en outre, à gauche, dans le bras, la jambe et la face, des mouvements qui ont débuté par le bras, il y a quatre ans.
ait en cela preuve de grande ignorance. Dans la chorée, en effet, les mouvements sont incohérents, absurdes, illogiques, tandis qu
des maladies du système nerveux a la Salpétriere. l'éducation des mouvements , surtout en apprenant au malade à faire les mouve
'éducation des mouvements, surtout en apprenant au malade à faire les mouvements inverses de ceux qui lui sont habituels. Si la
aucune façon, se tenir sur les piez ayant la jambe et les genoux sans mouvement et soudez avec les cuisses, les nerfs de derrière
e la plante et les doigts des piez courbés en dessous, roides et sans mouvement , beaucoup d'humeurs pétrifiées et durcies aux deu
ommeil naturel. par m. le docteur Bourdon (de Méru). Au milieu du mouvement psychologique qui s'accomplit et auquel la Sociét
dont dispose la pédagogie ont échoué. » i Troubles du caractère, mouvements impulsifs. — La suggestion pédagogique dans le so
aires et dans le but de créer un centre d'arrêt psychique, contre ces mouvements impulsifs et pour le redressement de ce caractère
e et, outre les suggestions précédentes, inhibitrices, concernant les mouvements impulsifs et les troubles du caractère, je lui ré
autre chose qui ne lui appartient pas, sa main ne pourra se mettre en mouvement et je lui mets sur la table une pièce de monnaie
aie en lui disant de la prendre sans qu'on la voie ; elle esquisse un mouvement pour le faire, à plusieurs reprises, mais elle ne
abes et en observant le synchronisme de l'articulation verbale et des mouvements respiratoires, selon la technique indiquée par le
is la secousse avait été telle que le canari gisait sans voix et sans mouvement , sur le plancher de la cage. On ne put le rappele
complètement anesthésiés aussi bien que la queue qui avait perdu tout mouvement . On n'observa pas l'atrophie des muscles et les s
siste et bientôt j'observe le clignotement des paupières ainsi que le mouvement des globes oculaires. Je suis convaincu que le ma
econnaît que ces malades sont tous des abouliques, qu'il s'agisse des mouvements ou des idées. L"¿tude des mouvements volontaires
s abouliques, qu'il s'agisse des mouvements ou des idées. L"¿tude des mouvements volontaires est, à cet égard, très instructive ch
tobre IG59, « elle dit que depuis quelques jours elle avoit senti des mouvements d'impatience et de promptitude, qui auroient éié
erf. L'un d'eux attendait près d'une source thermale intermittente le mouvement de l'eau : car un ange descendait à un certain mo
traitement de toutes les affections caractérisées par l'apparition de mouvements involontaires et en particulier de la chorée, des
écanique consistera essentiellement à neutraliser ou à contrarier les mouvements involontaires. On arrivera à ce but, soit en impo
it en imposant l'immobilité, soit en faisant exécuter passivement des mouvements antagonistes. L'immobilité d'abord difficile à
ateur qui s'appliquera h fixer avec les mains les muscles atteints de mouvements involontaires. Après quelques séances on diminuer
r l'immobilité sans aucun concours extérieur. Pour la production de mouvements passifs, l'opérateur saisira fortement le membre
fortement le membre du malade et lui imprimera, au commandement, des mouvements réguliers bien rythmés. L'état de passivité du su
rriver à ce résultat, on invite le sujet à exécuter volontairement le mouvement musculaire anormal qu'il présente habituellement
onsciente, et on s'applique par la force à neutraliser l'exécution du mouvement . En môme temps, par une suggestion appropriée on
cho-mécanique sont immédiats. Ainsi, chez un enfant de H ans, que les mouvements incessants d'une chorée généralisée, mettaient de
ent d'écrire, fut guéri en une seule séance, après l'exécution de mouvements passifs dans l'état d'hypnose ('). Le but de ce
é des faits identiques chez des chattes et chez des vaches; (1) Les mouvements passifs dans l'état d'hypnose peuvent porter mieu
pension; les seins ont ¦ grossi; ily a eu desnausées: elle sent des mouvements , mais le ventre, - assez gros, est sonore dans
regards en amont. Si l'on suit en aval l'eau qui coule, l'idée de son mouvement excite à l'imiter et on quitte le gué pour suivre
rice en exécutant devant lui et suivant un rythme approprié les mêmes mouvements que ceux qu'il doit produire. gique le plus int
ralysie du nerf facial ; il sera incapable aussi de dissocier dans le mouvement deflexión de l'avant-bras sur le bras l'action du
, mais de ses cuisses qu'elle rapproche sans cesse à l'aide de petits mouvements d'adduction. Dans l'intervalle de ses crises, la
ée a une tendance naturelle à passer à l'acte; la représentation d'un mouvement , pour peu qu'elle soit intense et que rien ne vie
a contrarier, entraine l'exécution ou, tout au moins, l'ébauche de ce mouvement . Revenons à l'expérience de Chevreul. Soit un c
si son attention est entièrement concentrée sur la représentation des mouvements qu'il veut faire accomplir, il ignore si ses musc
réalité il donne aussi et surtout une espèce d'ordre musculaire. Ces mouvements fibrillaires s'accomplissent le plus naturellemen
s affinée : il est fort intelligent ; non seulement il enregistre les mouvements musculaires," mais il les interprète ; avec de l'
rouver d'abord la personne désignée? 11 s'essaie dans divers sens.Aux mouvements fïbrillaires ùu conducteuril comprend qu'il va da
e sujet m'entraîne ;je recule, s'il me fait reculer; je ne fais aucun mouvement spontané ; je supprime consciemment toute espèce
et a échoué, c'est que j'ai systématiquement supprimé en moi tous ces mouvements minuscules qui accompagnent d'ordinaire la représ
lusieurs fois de suite, suivant que je pratiquais l'inhibition de mes mouvements tibrillaires ou que je leur laissais leur libre d
cteurs. Les uns ont une volonté molle, leur représentation mentale du mouvement est faible ; ils n'ordonnent pas avec tout le
ui se mettent sur la défensive, s'observent, inhibent toute espèce de mouvement , ils sont aussi de mauvais conducteurs : je l'ai
er deux facteurs à savoir la suggestion mentale pure, d'une part, les mouvements musculaires de l'autre. Les conducteurs véritable
ise de toutes ses forces, mais, inconsciemment, je l'accorde, par des mouvements musculaires plus intenses, par des oui et des non
récepteur merveilleux et involontaire, lui transmettant les moindres mouvements , les moindres impressions, mouvements etimpressio
, lui transmettant les moindres mouvements, les moindres impressions, mouvements etimpressions qui lui permettaient de deviner. Et
ieds de Robert et s'engagèrent à se repentir. Il pro-« fita de ce bon mouvement et, les faisant sortir de la ville, les amena a t
stème digestif, ou de « rumination volontaire » et d'accélération des mouvements péristaltiques. On connaît l'histoire du colonel
sens horizontal, disparait pendant le sommeil et s'exaspère dans les mouvements volontaires ; il affecte aussi la langue et les l
st bien sûre d'être enceinte, puisqu'elle sent de temps en temps" les mouvements de l'enfant. En même temps, elle ne manifeste auc
r origine. Il se peut aussi que tous ces processus qui commencent aux mouvements amiboïdes de la cellule primitive, aient été acco
ation, de rigidité, cette théorie d'un raccourci que prendrait le mouvement nerveux expliquerait comment une action est exécu
tion corrélative du cerveau. Qu'y a-t-il d'extraordinaire à ce que ce mouvement se transmette à une certaine distance, comme dans
on est précisément celle où se percevront avec le plus de netteté les mouvements musculaires desquelsdépendrala réussite des expér
ent tout travail, musculaire ou intellectuel. Une idée produite ou un mouvement produit sont des résultantes qui ont pour origine
'endorment qu'après avoir eu plusieurs spasmes, tels que bâillements, mouvements de déglutition, clignottement des paupières ; d'a
déglutition, clignottement des paupières ; d'autres exécutent divers mouvements , se tournent et se retournent dans leur lit. L'ap
r, car ils se passent sous les yeux de l'observateur, sont : 1. Des mouvements alternatifs de resserrement et de dilatation de f
lignotement répété et de plus en plus précipité des paupières. A. Des mouvements de déglutition. 5. Des mouvements spasmodiques
s précipité des paupières. A. Des mouvements de déglutition. 5. Des mouvements spasmodiques des muscles de la face et en parti-
remblement, des secousses dans les membres, des contractures et des mouvements automatiques, qui peuvent gagner tout le corps.
eut des clignotements des paupières, des tremblements des lèvres, des mouvements choréiques de différentes parties du corps, et no
si, au début de l'anesthésie par l'acide carbonique, on constate ces mouvements réflexes. Réflexes généraux pendant l'état d'hy
, ni de ptosis, ni de nystagmus ; elle n'a pas de conjonctivite ; les mouvements des globes oculaires se font régulièrement. Quand
e la malade. Je provoquai l'hypnose, et elle supporta sans le moindre mouvement un examen qui dura près de trois quarts d'heure.
a visite. Depuis cette secousse, elle présente une agitation avec des mouvements à faire croire à la danse de Saint-Guy. Insomnie
s oscillations ont lieu d'avant en arrière et sont constitués par des mouvements d'extension et de flexion, de petite étendue et d
augmentent d'étendue et diminuent de nombre quand la malade fait des mouvements intentionnels. Nous voyons alors de véritables se
s secousses qui rappellent celles de la chorée ou de l'ataxie. Pas de mouvements du côté de lu langue et des lèvres. Dans la posit
la position horizontale, c'est-à-dire quand la malade est couchée ces mouvements diminuent cl même cessent, tout à fait quand (1
ras ; elle ne le reconnaît qu'au bout de 5 à 6 secondes mais après un mouvement intentionnel. Le sens musculaire et articulaire s
. 1° « Pendant la prière, disent ses prospectus, le poumon prend un mouvement lent et vibratoire, qui, comme tout genre de gymn
ladies et par suite de la phtisie. 3° « Pendant la prière, grâce au mouvement lent et vibratoire, aussi bien que dans la toux,
2. Réformatoire d'Elmira (Le),p. 375. Revue de l'hypnotisme et le mouvement psychologique (La), par E. B. p. 1. Rétrécissem
65 (1900) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 15
d’hystérie : la respiration devient alors plus rapide, haletante, les mouvements du cœur sont tumultueux, le pouls est petit, irré
écordiale ; peu à peu la scène s'aggrave de secousses générales et de mouvements cho-réiques irrésistibles, quelquefois très viole
mois après, abccs osseux du bras gauche avec gêne prolongée dans les mouvements du coude. Le cœur est normal; l’estomac est dilat
cusait à l’endroit touché une sensation de chaleur très manifeste, le mouvement en arrière se prononçait et s’accentuait jusqu'à
on de la volonté ; hygiène générale comme hydrothérapie, et le matin, mouvements actifs méthodiques; hygiène spéciale en rapport a
ortifier ce temps d’automatisme cérébral, j’imprimais aux membres des mouvements réguliers ou je commandais au malade des attitude
e comprennent que quelques pauvres et ignorants disciples. Quand un mouvement obtient la faveur des classes Cultivées et influe
ort mal et rêvasse. Un beau jour, à la campagne, à la suite d’un faux mouvement , elle se fait une petite entorse du pied droit; i
de vivacité ; leur promptitude à agir fait l’incoordination de leurs mouvements . Or, la parole exige une coordination complèted
plèted'élémentsdivers, comme, par exemple, des images motrices ou des mouvements très compliqués du larynx, du palais, de la bouch
gique qui veut que toute idée exige par elle-raéme la réalisation des mouvements qu’elle représente. Mais il peut arriver que les
a parole; s’attacher à faire disparaître successi-vementchacun de ses mouvements convulsifs; s'attaquer à son instabilité; détruir
tion d’un groupe de neurones éveillant l’idée correspondante; 3° Un mouvement centrifuge ou acte. Dans l’acte voulu, au contr
as, et ainsi de suite. Ce trouble ce la marche s'accompagne de petits mouvements dans les muscles de la face. Notez que celte mala
possibilité de la marche; ce qui est perdu, c’est la coordination des mouvements et cette incoordination peut revêtir l’une des tr
caractéristique de l’akinesia algera est la douleur à l’occasion des mouvements . La douleur n'est pas confinée aux muscles qui fo
des mouvements. La douleur n'est pas confinée aux muscles qui font le mouvement ; elle s’étend aux articulations et peut avoir des
e antérieure du géniteur et transmis au descendant. Ainsi un rêve, un mouvement peuvent chez un individu se reproduire, pendant l
pales sont: Influence réciproque de la pensée, de la sensation et des mouvements végétatifs ( 1802 ; Essais de physiologie philoso
à son père que le docteur pour-rail peut-être réussir à paralyser ses mouvements (on pouvait le mettre en catalepsie), mais que lu
e du ventriloque qui, lui, parle en réalité, reste impassible et sans mouvements . Le témoignage de notre œil nous enseigne que c'e
triloque doit encore prendre soin d'articuler uniquement au moyen des mouvements invisibles de sa langue, sans remuer les lèvres n
marquable livre sur les Lois de l’imitation, établissait que tous les mouvements de la vio sociale sont influencés par des interve
athiques, les dédoublements, l’extériorisation de la sensibilité, les mouvements d’objets sans contact et le flottement dans l’air
tion très viv ', pendant laquelle la personne que Ton endort fait des mouvements de défense et cherche à repousser le masque ou la
entendus ou parce qu’il lui sera impossible de lutter contre les mouvements de défense, qui, vous le savez, sont parfois tell
upières. Presque aussitôt, je sentis les globes occulai-res agités de mouvements convulsifs, portés en haut et en dedans, en 6trab
l’acte réflexe médullaire, une sensation peut amener non seulement un mouvement mais une série de mouvements qui aboutissent à un
ne sensation peut amener non seulement un mouvement mais une série de mouvements qui aboutissent à un acte coordonné : comme la gr
e les hémisphères en conservant les ganglions de la base, possède des mouvements très compliqués. Une grenouille à laquelle on a
Elle voit et évite les obstacles, attrape les mouches (Schrader); ses mouvement sont donc coordonnés, pourtant ils sont purement
ère, sa pupille reste contractile, il suit des yeux et de la téte les mouvements d'une bougie allumée, il se détourne à la vue du
il n'y a plus appréciation psychique des objets vus, il n'y a plus de mouvements spontanés. Le pigeon décérébré est un automate, l
ables, toujours les mêmes, par rapport au même excitant. De plus, ces mouvements ne sont jamais spontanés, il leur faut un excitan
re définie : la reproduction directe et machinale de l'acte perçu. Le mouvement s’exécute avec la sponta- (•) Pour plus de déta
s comme son père. Le bébé rit et pleure par contagion, il imite les mouvements et, à l’exemple du perroquet et de l’idiot, répèt
cédent, cette transmission s’est faite par l’expression des émotions ( mouvements , cris) qui constitue un langage naturel. L’homm
ychiques 7 et c’est le neurone, qui vibre le plus, ÿ ' qui fournit le mouvement . (Fig. 4.) Aussi l’acte volontaire a-t-il été r
ériques). Nous avons vu comment ces sujets réagissent parfois par des mouvements exagérés ou opposés à ceux qu'on voulait leur fai
ignée en cet état se laisse disséquer et brûler sans faire le moindre mouvement (Darwin) ; plus rarement il s'agit d'une ruse; —
rapeaux. On entre, enfin, dans un petit parloir. Tout d’un coup, un mouvement ; le docteur Voisin entre : petit, carré, un peu
disme n’avait pas encore paru. Supposons que la représentation d’un mouvement possède la conscience d’une manière intense et ex
u’elle se soutient, sans que rien s’y oppose, « passe à l’acte» et le mouvement imaginé s’accomplit. De même quand un individu, p
ne tarde pas à être pris de vertige et à se laisser choir. Ainsi, le mouvement dont la représentation se prolonge, et n’est pas
in, pendant la léthargie, l’animal serait capable d’exécuter quelques mouvements automatiques. Le loir, en léthargie sur un arbre,
e du haschich et autres drogues connues de lui seul. Il supprime tous mouvements , arrête sa pensée et la borne à la prononciation
vous engagerez votre malade à ne se préoccuper que des bruits et des mouvements de l’appareil, à concentrer toute son attention s
des altérations ou dans la physionomie ou dans les poses ou dans les mouvements des membres: vous n’êtes pas loin, j’imagine d'av
e se compose d'une suite de notes, d’une suite de rythmes; elle a son mouvement ; elle a son timbre ; elle a sa mesure. Sans vari
succession mélodique, faites varier ou le timbre, ou la mesure, ou le mouvement , ou le rythme. Obtiendrez-vous des variations dan
té des attitudes, la mobilité de la physionomie, l'harmonie entre les mouvements du corps et ceux du visage, le sujet de M. de Roc
ent instructives. Que ces sujets soient lents à se mouvoir, que leurs mouvements aient une grâce douteuse, il n’importe. La questi
e évoque ou suggère, il est à prévoir que la nature des images ou des mouvements sera en raison composée de la nature de l’excitan
e, une confiance, une crédibilité, une suggestibilité dont la mise en mouvement est d’ordre variable. D'autre part le domaine de
allucinations télépathiques, l’extériorisation de la sensibilité, les mouvements d’objets sans contact et le llottement dans l’air
aître le rôle que jouent les interventions d’ordre suggestif dans les mouvements de la vie sociale, c’est pourquoi je constate ave
ies. Mais c’est à la condition de penser constamment et fortement aux mouvements que l’on exécute : le professeur a toujours grand
ur entrer dans un accès de folie furieuse, avec hallucinations, cris, mouvements désordonnés. — Il fallut sept hommes pour le main
u pain ! » Rien de plus. Le sixième jour, nouvelle parole, c’est un mouvement de défense. On veut le faire lever : « Je ne veux
reur, évitez le modèle d’atelier, car il ne pourrait vous fournir des mouvements qu'il ignore; il vous en donnerait de fan::. Pren
tout en admettant l’origine utérine de l’hystérie, ne croyait pas aux mouvements de la matrice. Aétios (vi8 siècle) pensait que
(2) Aétios : Sei\e livres de médecine, 4“* partie, Ch. 5S. ü ou mouvement irrégulier des esprits animaux, lesquels se porta
t ici de la disposition de ses molécules) ne fait que transformer les mouvements qui la mettent en branle. Elle est formée par ¡’i
eurone de sensation ; 3° Un neurone de mémoire ; 4° Un neurone do mouvement volontaire; 5° Un certain nombre de neurones co
ain nombre de neurones constituant la voie centrifuge de l'arc. Les mouvements qui impressionnent le premier neurone de la voie
ses sont elles-mêmes tranformées, dans la seconde partie de l’arc, en mouvements d’un autre ordre : contractions musculaires, ondu
diélectriques normaux, elles se transforment, en amont de ceux-ci, en mouvements chimiques, comme il arrive pour les ondulations l
de substance a*. Ils entraînent au contraire une dépense appréciable ( mouvement musculaire, thermogenèse, trophisme), si cette se
donnent lieu aux phénomènes hystériques. Tout plastide est doué de mouvement . Ce mouvement résulte des phénomènes physico-chim
aux phénomènes hystériques. Tout plastide est doué de mouvement. Ce mouvement résulte des phénomènes physico-chimiques qui se p
de est susceptible de se mouvoir dans cette enveloppe, encore que ces mouvements intimes ne soient pas toujours perceptibles avec
le sans enveloppe rigide est susceptible de se déformer par suite des mouvements intimes de son proto-plasma. Du moins cela est
asc. 7, 1853.) (7) Robert Qdier : Recherches expérimentales sur les mouvements de la cellule nerveuse de la moelle épinière. (Ge
monde, sans heurter personne, mais il méditait sur son système : ses mouvements étaient subconscients. Balzac avait l’attitude
, mais presque constamment et pas beaucoup plus quand il accomplit un mouvement volontaire. Il parle difficilement, mais son débi
de femme, car on sait que la femme est en retard sur l'homme dans le mouvement d’évolution, et qu'elle ressemble à l’enfant à di
u prolongé) de la vision (lumière vive), ou de ceux qui président aux mouvements des yeux (fixation prolongée), suffira à faire en
leurs, pour ce qui est do la crainte, il n’est pas inconcevable qu’au mouvement de défense de tout l’organisme, corresponde u
le qu’au mouvement de défense de tout l’organisme, corresponde un mouvement de défense du neurone : la rétraction de ses prol
tion (dis îrahere), mot remarquablement exact, en tant qu’il peint le mouvement des neurones de sensation distraits momentanément
le neurone s, les ondes nerveuses résultant de la transformation des mouvements extérieurs au système nerveux, n’en continuent pa
qu’un hystérique anesthésique des membres supérieurs puisse faire les mouvements nécessaires pour retenir dans sa main un objet qu
ie cutanée, c’est que la peau, étant sans cesse impressionnée par les mouvements de l’espace, les neurones de sensation, qui lui c
sme déterminera une anesthésie; mais des frictions, des massages, des mouvements actifs et passifs feront reparaître la sensibilit
nts et les actes sont contagieux sur des êtres réunis en société. Les mouvements dûs à la colère, à la peur... se communiquent à c
ses talons au-dessus du plan du lit, mais lutte néanmoins contre les mouvements communiqués d’extension et de flexion, les troubl
ans, présente tout un ensemble de symptômes tels que : limitation des mouvements ocuiaires dans tous les sens, démarche parétique,
e produisit une nouvelle décharge. Hyperamiboïsme des neurones de mouvement . I. — Les paralysies hystériques. Dans le réfle
de sensation 5, et le neurone de mémoire mé, arrivent aux neurones de mouvement . Il existe toute une pyramide de ces neurones.
t que j'appelle neurones supérieurs de mouvementfmo.s.) président aux mouvements lesplus complexes, les mieux coordonnés, aux acte
ccupent la partie inférieure, et que j’appelle neurones inférieurs de mouvement (mo.iprésident à des mouvements plus simples. Les
t que j’appelle neurones inférieurs de mouvement (mo.iprésident à des mouvements plus simples. Les neurones supérieurs de mouvemen
.iprésident à des mouvements plus simples. Les neurones supérieurs de mouvement commandent les neurones inférieurs, comme on le v
un système d'ondulations nerveuses résultant de la transformation des mouvements chimiques qui ont lieu dans l’ovaire. Supposons q
d’images et d’idées, qu’il atteigne enfin les neurones supérieurs de mouvement , qu’il y devienne conscient et qu’il détermine de
ons, n’étant devenues conscientes que dans les neurones supérieurs de mouvement , ceux-ci, c’est-à dire le moi actuel (car le moi
e. Ce qu’on appelle l’aboulie hystérique n’est qu'une paralysie des mouvements complexes. Elle correspond à la rétraction des ne
complexes. Elle correspond à la rétraction des neurones supérieurs de mouvement . On conçoit que ces neurones puissenl être en éta
te que les muscles qui sont paralysés, lorsqu’il s’agit d'exécuter un mouvement complexe, ne le sont plus lorsqu'il s'agit d’exéc
un S chime G. vU, neurone de mémoire. vio. s. neurone supérieurs de mouvement . mo. i* neurones inférieurs de mouvement. mou
io. s. neurone supérieurs de mouvement. mo. i* neurones inférieurs de mouvement . mouvement plus simple ou une simple contract
supérieurs de mouvement. mo. i* neurones inférieurs de mouvement. mouvement plus simple ou une simple contraction. Suivant le
une simple contraction. Suivant le nombre des neurones supérieurs de mouvement qui sont en état de rétraction, on a une paralysi
la position horizontale, faire exécuter à ses membres inférieurs des mouvements coordonnés, et que tel autre malade qui ne saura
ent plus en apprendre d’autres.C'est que leurs neurones supérieurs de mouvement non encore impressionnés sont en état de rétracti
action porte sur les neurones moteurs inférieurs, ce ne sera plus les mouvements complexes qui auront disparu mais les mouvements
ce ne sera plus les mouvements complexes qui auront disparu mais les mouvements simples, et l’on aura une paralysie portant tantô
nt déterminés par des décharges qui, frappant un neurone supérieur do mouvement , font entrer en branle tous les neurones moteurs
ints hystérogènes aboutissent au voisinage des neurones supérieurs de mouvement qui commandent l’a'.taque. Les impressions portée
iques. Les ondulations nerveuses résultant de la transformation des mouvements extérieurs au système nerveux ne parviennent pas
est douloureuse. S’ils siègent au-dessus d'un neurone supérieur de mouvement , tous les muscles que ce neurone tient sous sa dé
ent sous sa dépendance c’est-à-dire tous les muscles corroborant à un mouvement complexe, à un acte sont contracturés ; de telle
eux méthodes. Les derviches tourneurs tournent sur eux-mèmes par un mouvement souple et de plus en plus rapide, les yeux en
, car, pour couper avec un rasoir, il faut imprimer à l’instrument un mouvement de scie, de va et vient. Une simple pression, si
pouvait être pratique. La peur qu'avait le coupable occasionnait des mouvements brusques, ou le paralysait, et il se brûlait ; se
aralysait, et il se brûlait ; seul l’innocent gardait l’assurance des mouvements qui le préservait. Caractère psychique du vagin
igt serré d’abord par le sphincter anal put bientôt exécuter tous les mouvements que je lui imprimai, grâce à un léger massage du
n faisant causer la malade et lui recommandant d’exécuter de profonds mouvements d’expiration. Je parvins ainsi à pratiquer un tou
te de l’église, avec une petite corde de lin ou de soie. Attentif aux mouvements du prêtre, il faisait un nœud à sa corde et se si
tèmes de neurones supérieurs (neurones de sensation, de mémoire et de mouvement ). En général des neurones de divers ordres sont e
rones de sensation se trouvant en amont des neurones de mémoire et de mouvement , la rétraction de ceux-là entraîne la rétraction
rte du sens musculaire détermine une indécision et une maladresse des mouvements qui peut aller jusqu’à l’ataxie ; 3° L’occlusio
e dans l'impossibilité de tirer la langue ou d’exécuter quelque autre mouvement , et peut même entraîner une rétraction des neuron
ura, est suivi à l’instant même d’une demi-rétraction des neurones de mouvement aboutissant à une attaque ; tandis que la rétract
er ces accidents en entraînant la rétraction complète des neurones de mouvement à demi-rctractés. C’est ce qu'a bien vu Paul Soll
lle de la mémoire et de la motilité. La réextension des neurones de mouvement se fait avec la même vitesse que la réextension d
suite les décharges sensitives ont cessé, l’extension des neurones de mouvement l’est également et les secousses ne se produisent
nesthésie. Car il se peut très bien que les neurones de mémoire ou de mouvement se rétractent avant les neurones de sensation, ou
être réduit aux portions de circuits nécessaires à la production des mouvements respiratoires et circulatoires, comme il arrive d
bulisme. Dans l’automatisme verbal, tandis que N préside aux autres mouvements de la vie, N\ qui contient des images verbales, c
tions nerveuses, qui proviennent elles-mêmes de la transformation des mouvements extérieurs au système nerveux. D’automatisme poin
veux. D’automatisme point, là pas plus qu'ailleurs dans la nature, le mouvement initial ne pouvant même se concevoir. On compre
xécu ter des suggestionsindépendamment, et d’autre part s'étonner des mouvements et des actes résultant du fonctionnement de l’aut
66 (1893) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 2
modifications anatomo-physiologiques qui président à l'exécution des mouvements volontaires vulgaires du membre inférieur. Quan
termination exacte, chez l'homme, des centres moteurs pour les divers mouvements , est l'œuvre de la méthode anatomo-clinique. Ce n
le, quelle est la limite exacte et le siège précis du centre pour les mouvements isolés du membre inférieur. » Mais, cinq ans plus
es crurales, en d'autres termes que la région corticale présidant aux mouvements du membre inférieur d'un côté du corps se trouve,
acentral. » C'est ainsi que le rôle du lobule paracentral, dans les mouvements des membres inférieurs, s'est trouvé enfin fixé.
n aujourd'hui aller plus loin? Y a-t-il des centres spéciaux pour les mouvements du pied, pour les mouvements de tel ou tel orteil
? Y a-t-il des centres spéciaux pour les mouvements du pied, pour les mouvements de tel ou tel orteil ? C'est là une question qui,
ie comme la monoplégie brachiale désignerait une lésion du centre des mouvements du bras ; de même, enfin, l'épilepsie à début fac
lepsie à début facial voudrait dire altération du centre cortical des mouvements de la face. Remarquez toutefois, je vous prie,
n appoint fort sérieux à la doctrine de la localisation cérébrale des mouvements du membre inférieur au niveau de la région du lob
e prend l'expression du plaisir et de la joie. Il ne se produit aucun mouvement des membres. Verre bleu. — Elle fronce les sour
tement ses sourcils se froncent, ses lèvres se plissent comme dans un mouvement de dégoût prononcé. Elle fait avec les mains un g
iel, sa physionomie exprime un parfait contentement. Verre jaune. — Mouvement de dégoût et de recul, bien plus accentué qu'avec
n certain nombre de modifications, mais nullement en rapport avec les mouvements d'accommodation nécessités par les diverses dista
amphre et qu'elle le secoue. Mais on comprend que l'interprétation de mouvements aussi spéciaux soit assez difficile. Cela peut êt
mal de tête, puis ainsi de suite. Le sulfure de carbone provoque un mouvement assez banal. Sa face exprime le dégoût ; elle se
nt pas donné de résultat bien net. Elle se recule et se défend par un mouvement banal qui ne dit rien sur ce qui se passe dans so
flexe rotulien, on provoque une attaque de nerfs qui commence par des mouvements épilep-toïdes, et continue par des grands mouveme
commence par des mouvements épilep-toïdes, et continue par des grands mouvements désordonnés, arc de cercle caractéristique, etc.
puis se met à rire. Verre bleu. — Hallucination donnant lieu à des mouvements de tremblement dans tous les membres. Il crie, il
salue, donne une poignée de mains, il rit, chuchote. On note quelques mouvements du pavillon de l'oreille. A l'oreille gauche, il
lon de l'oreille. A l'oreille gauche, il ferme les poings et fait des mouvements d'escrimes du sabre. Transporté à l'oreille droit
lucination précédente se reproduit. Bruit du tambour. — Il fait des mouvements comme s'il tenait un fusil, arme, met en joue.
eur. Puis il pleure, tire la langue ; la la face est animée de petits mouvements . Le lendemain de cette seconde série d'expérien
, il était à l'exercice militaire, sur un champ couvert de gazon. Les mouvements étaient exécutés au commandement du tambour. C'ét
avia zjelaem (1) ! » Verre vert. — Il quitte son lit, fait quelques mouvements des lèvres, incline la tête et chuchote plusieurs
ot : « Oui. » Verre orange. — Il se jette sur quelqu'un et fait des mouvements de jambe et de main comme s'il était à cheval. (L
ents. Puis il sourit, croise ses bras, fait la planche et exécute des mouvements de natation. Puis il prend la couverture et s'en
s do fatigue. Essence de térébenthine. — Il fixe quelqu'un, fait le mouvement de tirer des cartouchos de sa giberne, se met à l
quelque animal. Ouïe. — Sonnette. Il est agité, se fâche, fait des mouvements comme s'il était à cheval au galop, il crie. (En
eille avec un tire-bouchon (1). Puis boit. Vert rouge. — Il fait le mouvement d'enflammer une allumette, allume une bougie, pui
éprouve de violentes douleurs. Verre bleu de nouveau. — Il fait des mouvements d'escrime du sabre. Le lendemain matin, le mala
galons jaunes, répond à l'application des verres orange ou rouge. Les mouvements qui s'exécutent au son du tambour, ce sont les ex
aques d'hystérie classique avec période épileptoïde, phase des grands mouvements et arcs de cercle, attitudes passionnelles. Cette
foncé. — Tristesse, solitude, comme ci-dessus. Ici, une reprise des mouvements convulsifs arrête le délire, qui reprend ensuite
rdin. Je sors un peu. » Sulfure de carbone. — « Oh ! c'est infect. ( Mouvement de dégoût.) Où sommes-nous, dis? Il ne sent pas,
ous, je n'en prendrai pas... Oh I il m'en fait prendre de force. » ( Mouvements de vomissement, crachement de glaires.) Pince
uée, après avoir laissé passer les périodes épileptoïde et des grands mouvements , nous abandonnons un instant le malade à son déli
cesomnambulique. Lorsque l'attaque survient, elle débute par quelques mouvements épileptoïdes de peu de durée, puis apparaît la ph
. Charcot, t. il 5 lude-t-il à la scène qu'il va jouer par quelques mouvements de torsion des mains, qui représentent, en raccou
, en quatre périodes : lô période épileptoïde ; 2° période des grands mouvements ; 3° période des attitudes passionnelles ; 4° pér
s périodes peut manquer et l'attaque se borner par exemple aux grands mouvements et aux attitudes passionnelles. D'autres fois ce
antile (Soc. de mèd. prat., 1890). terre, il était pris de quelques mouvements convulsifs des membres, véritable esquisse de la
nt quatre heures, et caractérisées par l'aura classique et des grands mouvements violents. A l'époque où nous avons pu l'examiner,
it sans transition bien accusée, soit par l'intermédiaire de quelques mouvements spasmodiques. Dans la suite, après quelque temp
s connaissance. Pendant 1 h. 1/4 elle eut des convulsions, des grands mouvements , interrompus de temps en temps par un arc de cerc
e d'attaques convulsives, précédées d'une aura classique, avec grands mouvements , arc de cercle, etc., mais sans délire accompagna
n peu grimaçants, le regard maintenant est mobile, en accord avec les mouvements de la tête et les déplacements de la malade ; le
ment, les globes oculaires à se renverser. Pendant ce temps, quelques mouvements de déglutition survenaient. Puis l'oo-clusion com
ontinuant de vibrer, et aussitôt le malade se mit à exécuter quelques mouvements convulsifs consistant en : flexion de la tête en
t parfois d'un soulèvement du bassin au-dessus du plan du lit. Par ce mouvement , le malade esquissait comme un arc de cercle inco
ment, le malade esquissait comme un arc de cercle incomplet. Tous ces mouvements ont duré quelques secondes à peine. Aussitôt le m
iquer avec ceux qui l'entourent, et il sort de là en faisant quelques mouvements précipités de respiration. Une des caractéristi
idents d'hystérie manifeste. (G. G.) Le lendemain elle fut prise de mouvements choréiques qui s'étendaient aux 2 côtés du corps
ire, puis le lendemain la chcrée reparut. Au bout de 3 à 4 jours, les mouvements choréiques se cantonnèrent sur le côté droit. Q
une scène délirante. A d'assez longs intervalles, elle est prise de mouvements choréiques analogues à ceux qu'elle présente dans
ques analogues à ceux qu'elle présente dans son état normal, mais ces mouvements choréiques durent peu et ne présentent pas l'inte
Elle chante plusieurs chansons, en battant la mesure, puis elle a des mouvements choréiques dans les bras et les jambes.) « ....
es. Moi aussi, je veux brûler avec toi, mon ange, tiens (elle fait un mouvement , comme si elle se jetait dans les bras de quelqu'
d'abord on assistait à la phase épileptoïde, puis à celle des grands mouvements et arcs de cercle. Puis arrivait la phase des att
rre bleu, la vue de sa mère dans le ciel. A ce moment une reprise des mouvements convulsifs interrompt un instant le délire, qui r
as... Oh ! il m'en fait prendre de force. » A ce moment elle fait des mouvements de vomissement et se met à cracher quelques glair
onique, stertor, écume à la bouche, etc. ; 2° d'une période de grands mouvements , salutations, arcs de cercle, attitudes illogique
lade commençait à renverser la tête en arrière et à exécuter quelques mouvements de déglutition. Si on arrêtait là l'épreuve, le m
eptoïde de l'attaque, suivie à bref délai des autres périodes, grands mouvements et attitudes passionnelles. Il existait donc au n
lques détails. Etendu par terre, tout à coup, au milieu de ses grands mouvements il s'arrête, redresse le tronc tout en restant as
bes oculaires. Au bout de quelques secondes, le malade présente des mouvements de déglutition et de régurgitation assez prononcé
e se frotte les yeux, comme quelqu'un qui s'éveille; il a de nouveaux mouvements de déglutition et de régurgitation, puis il ouvre
vulsifs se bornaient à quelques tiraillements des membres et quelques mouvements de déglutition. Mais il fallait les interpréter j
u malade, qui retombe aussitôt dans son attaque. On observe les mêmes mouvements de régurgitation et de déglutition; puis les memb
On comprime la région pseudo-ovarienne droite. Le malade a quelques mouvements de régurgitation, puis il s'éveille. Le lendema
oculaires. Après quelques secondes de tiraillements des membres et de mouvements de déglutition, il se met à réciter, à voix basse
i..., allez-vous-en!... » Le malade se renverse en arrière : quelques mouvements convulsifs ; puis, résolution musculaire ; le mal
peur que nous le dénoncions, etc., etc. Après bien des révoltes, des mouvements d'indignation, des hésitations, il se laisse enfi
ène qu'il porte dans le flanc gauche. Il revient à lui après quelques mouvements con-vulsifs et on lui met sous les yeux le manusc
u bout d'un certain temps, nous voyons notre malade exécuter quelques mouvements de déglutition, se renverser légèrement en arrièr
hez certaines somnambules hypnotiques. Autrement elle ne se mettra en mouvement que si nous l'y invitons par la parole. Nous somm
udes les plus diverses, et aussi à l'aide de légers frôlements, ou de mouvements à distance, la contracture somnambulique. Tous ce
toïde, est généralement la plus courte; la deuxième, celle des grands mouvements convulsifs, est de toutes les trois la plus longu
dans la petite attaque d'hystérie consistant principalement en grands mouvements , ou bien prendre un développement prépondérant, a
perexcitabilité neuro-musculaire. Vient ensuite une phase de grands mouvements , arcs de cercle, suivie d'attitudes passionnelles
'on ne saurait lui rapporter. Par exemple les convulsions, les grands mouvements , l'arc de cercle de la seconde période, ainsi que
d'attitudes passionnelles, mais une phase de contracture ou de grands mouvements d'une violence modérée, au milieu desquels on ret
prise d'une attaque hystérique parfaitement typique avec cris, grands mouvements , arcs de cercle, etc.. Quand les convulsions cess
udes les plus diverses, et aussi, à l'aide do légers frôlements ou de mouvements à distance, la contracture somnambulique. Tous ce
e peut mouvoir son bras, tout à l'heure paralysé, suffit pour que les mouvements volontaires se rétablissent. » A partir de ce m
rie vulgaires, classiques, avec phase épileptoïde, période des grands mouvements et arcs de cercle, phase d'attitudes passionnelle
nuèrent et aujourd'hui, tout se borne à un cri accompagné de quelques mouvements des bras et d'un arc de cercle caractéristique.
alade de Camuset est encore ici le plus caractéristique, libre de ses mouvements dans tel état, paraplégique clans tel autre, hémi
e frayeur et caractérisées par une perte absolue de connaissance avec mouvements convulsifs et délire de parole. Dans ce délire, e
rce musculaire dans les membres inférieurs est normale; il oppose aux mouvements passifs une résistance énergique. Au reste, la dé
ortes le jour que la nuit, lancinantes par momenls, exagérées par les mouvements de la tête et l'obligeant à tenir sans cesse sa m
de, tolérable, mais s'exagère par Ja pression, par la marche, par les mouvements . Du côté de la sensibilité viscérale il nous fa
aire est intacte et le malade résiste vigoureusement, normalement aux mouvements passifs effectués sur les divers segments des mem
mener les yeux, le gauche surtout, jusqu'à la ligne médiane. Mais les mouvements en dedans de l'œil droit étaient conservés pour l
très net de ce côte pour le bras et pour la jambe ; la résistance aux mouvements passifs dans tous les sens est notablement diminu
'oeil duoit et le droit interne de l'œil gauche n'exécutaient aucun mouvement quand on sollicitait le regard à droite. Donc : p
nterne de l'œil gauche se contractait pour la convergence. Les autres mouvements s'exécutaient normalement. Diplopie homonyme dans
mitée au côté droit, est actuellement double. Toutefois, le défaut de mouvement est moins complet à gauche qu'à droite, où la par
visuel. Au résumé, dans l'état actuel, le malade a une paralysie des mouvements horizontaux, dans les déplacements du regard à sj
es déplacements du regard à sjauche et à droite avec conservation des mouvements de la convergence, de l'élévation et de l'abaisse
ertain degré de congestion pulmonaire à la base du poumon gauche. Les mouvements respiratoires sont très accélérés (vingt-trois à
l'œil droit et le droit interne de l'œil gauche n'exécutaient pas de mouvements quand on sollicitait le regard à droite, tandis q
s difficile. De dix à douze ans (1878-1880) daterait une gêne des mouvements des doigts, en particulier du pouce, et de la mai
niveau des fléchisseurs de l'avant-bras et de l'abducteur du pouce. Mouvements . — Au bras l'abduction est faible, mais peut être
ment. La flexion ne dépasse pas 45°; l'extension est très faible. Les mouvements de rotation de l'humérus sont possibles. A l'av
ension. L'adduction et l'abduction sont limitées. Au pouce gauche, le mouvement d'opposition n'est obtenu qu'après flexion préala
ème et troisième phalanges peuvent être étendues sur la première. Les mouvements de latéralité sont en partie conservés. Quelque
lité sont en partie conservés. Quelquefois après l'exécution de ces mouvements , on voit se produire des mouvements fibrillaires
lquefois après l'exécution de ces mouvements, on voit se produire des mouvements fibrillaires dans les muscles. Le membre supéri
ent. 32 cent. Mollet (partie la plus large) ... 33 cent. 25 cant. Mouvements . L'extension et la flexion de la cuisse sur le ba
r de Vabdomen, principalement à gauche, notable surtout dans certains mouvements . Pas de troubles respiratoires imputables à la
l'aspect lordosique. Les mains reposent sur le rachis, par suite d'un mouvement d'adduction et de rotation du membre supérieur. L
ace, localisations spéciales de l'atrophie, évolution. D'ailleurs ces mouvements fibrillaires étaient loin d'être aussi accentués
1889 de 4 à 5 millimètres, est aujourd'hui d'un centimètre environ. Mouvements des lèvres impossibles. Méplat latéral en arrière
ans la portion inférieure, du rhomboïde et du grand dentelé, dont les mouvements ne s'exécutent plus. Conservation relative des au
orizontale, transversalement, est obligé de le lancer en l'air par un mouvement du tronc, et une fois cette position atteinte, il
ent varier du simple au compliqué, depuis un simple tremblement ou un mouvement involontaire d'un membre ou d'un segment de membr
hebdomadaires. Accès caractéristiques, souvent en séries. Aura : Mouvements involontaires de salutation, d'une violence telle
u'elle serait renversée par terre si elle ne se faisait attacher. Ces mouvements présentent quelquefois le caractère de v éritable
ule remontant à la gorge, fourmillements et tortillements des bras et mouvements de la tête. Accès de délire post-épileptique de
début lingual. La langue se tortille dans la bouche, puis suivent des mouvements de la face, des yeux et de la tête. Quelquefois
ons particulièrement, parmi ces auras motrices, celle qui consiste en mouvements de salutations involontaires, d'une violence tell
en outre l'aura pouvant se transformer en prodrome éloigné, les mêmes mouvements de sensation se produisant quelquefois la veille
la n'a manqué qu'une seule fois, et, ce jour-là, l'aura a consisté en mouvements de manège. 5° auras psychiques. (Trois cas.)
. Début à 11 ans par des accès de petit mal accompagnés de quelques mouvements convulsifs et de miction involontaire. Les grands
onnements dans les oreilles. Puis les globes oculaires sont agités de mouvements involontaires et elle voit, surtout de l'œil gauc
t l'abdomen se soulève, et en même temps les épaules. Quelques petits mouvements concomitants de la tête et du tronc en arrière dé
a jambe gauche; perte de connaissance quelques instants après; pas de mouvements violents; cependant, parfois, le malade ne portan
ais les malades, dans ce cas, ne décrivent d'arc de cercle dans leurs mouvements , comme cela se présente parfois chez K... L'épile
le qui devrait siéger dans ou vers le lobule paracentral, puisque les mouvements convulsifs prédominent dans le membre inférieur,
ambe droits devinrent insensibles, presque complètement incapables de mouvements . L'œil droit fut frappé d'amaurose incomplète (
droite, céphalalgie, constriction du cou, convulsions toniques, puis mouvements de salutation, arc de cercle, enfin attitudes pas
67 (1870) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 2è année
jusqu'à la partie antérieure du muscle sur le bord postérieur. Les mouvements sont intéressants à étudier. A propos du dia¬gnos
un point très-important pour déter¬miner le mode de traitement. Les mouvements d'élévation sont complètement impossibles. Le mal
aire en môme temps, et encore il a peine à le détacher du corps. Le mouvement d'abduction en dehors est atrophié, car le deltoï
ns qu'il ne fonctionne plus. Ce n'est pas à lui qu'est dû le reste de mouvement du moignon scapulaire, c'est au trapèze qui tend
ossible parce que le deltoïde est collé aux tissus profonds; quant au mouvement d'élévation de l'épaule, il est dû au trapèze.
épaule, du côté malade, est plus élevée que celle du côté sain. Les mouvements antérieurs et postérieurs sont encore un peu poss
malade peut avancer le bras et le porter en arrière un peu, mais ces mouvements ne se passent pas dans l'articulation. Quand on f
um avec la main, tandis qu'un aide fait mouvoir l'humérus, on voit un mouvement de glissement entre la tête numérale et la cavité
mouvement de glissement entre la tête numérale et la cavité glénoïde, mouvement qui n'est pas bien étendu, car, si on le porte un
u des miasmes, il a conservé une très-bonne santé. Mais, comme tout mouvement de bras lui est impossible, qu'il ne peut que le
on. Cela était important à établir, Une autre preuve, c'est que les mouvements de l'articula', même ne peuvent plus se faire. S'
us les cartilages? Nous avons vainementeherché s'il y avait de petits mouvements de glissement entre la tête de l'humérus et la ca
par analogie. C'est à cause de l'impossibilité d'exé¬cuter de grands mouvements que nous sommes conduits à dire que I©3 1 issus f
s ce que j'ai dit antérieurement. Il est certain qu'il y a encore des mouvements entre la tête de l'humérus et la cavité glénoïde,
mouvements entre la tête de l'humérus et la cavité glénoïde, mais ces mouvements sont très-restreints. D'autre part, la capsule sê
é pour mobiliser la tête de l'os et faire la résection. Il existe des mouvements , mais ils sont peu étendus, ce qui prouve qu'il y
elon moi, peut améliorer l'état du malade. En ce moment il n'a pas de mouvement de l'articulation, il a le bras collé au corps, i
privé de son membre. La résec¬tion peut rendre à ce membre de grands mouvements . J'espère vous montrer un de ces jours un des mal
s un des malades qui ont été opérés, et vous jugerez de l'étendue des mouvements du bras qui en est résultée. Nous débarrasseron
seule dans la chambre où elle est, disant qu'elle a peur. Le moindre mouvement dans la pièce suffit pour lui donner des accès de
ue inquiétude, malgré que cela n'incommodât en rien la miction et les mouvements . 11 se décida à entrer à l'hôpital du Midi, où
ouleur vive et continue, avec exaspération pendant les efforts et les mouvements , causait chez le malade une insomnie très-fatigan
nt. Durant ces trois années, il resta dans un état stationnaire : ses mouvements élaient toujours gênés, mais il n'éprouvait que p
rs la fin de l'année 1867, l'état du malade alla en s'aggravanl : les mouvements devinrent de plus en plus difficiles. Au mois de
de entra à la Pitié, il était dans un assez triste état : la gêne des mouvements était complète, et le malade ne pouvait remuer le
, sinon très-vives, au moins presque continuelles, surtout au moindre mouvement . Deux fistules, situées à la partie postérieure d
e contractant, faisait exécuter au moignon de l'épaule et au bras des mouvements relativement assez étendus et très-utiles au mala
a configuration, aux aspérités et à la direction des barbes, tous les mouvements , toutes les pressions s'exerçant sur ce corps don
enlevée; un trait de scie pratiqué à ce niveau permet, au moyen d'un mouvement de torsion qui fracture l'apophyse coronoïde gauc
la bouche, se continue sous la langue, embarrasse, non-seulement les mouvements de cet organe, mais, en outre, l'a repoussé à dro
regards et fixer, par des tracés d'une sensibilité extrême, tous les mouvements in¬times de l'organisme, savoir : A. Les battem
trouvent établies les diverses par¬ties constituantes, savoir : I. MOUVEMENT . Un mouvement d'horlogerie de 5 à 5 centimètres
es les diverses par¬ties constituantes, savoir : I. MOUVEMENT. Un mouvement d'horlogerie de 5 à 5 centimètres de diamètre, à
se termine en bas par une roue dentée, qui s'engrène sur le pignon du mouvement , et reçoit ainsi une marche circulaire qu'il comm
de cuivre qui s'élève à côté du cylindre ; dans ce tube, glisse, avec mouvement d'ascension ou de descente, une tige recourbée en
xant assez pour qu'elle puisse marquer et pas assez pour empêcher ses mouvements d'ascension ou de descente. C'est à cet organe in
r. Ce tube de verre constitue en outre une artère transparente où les mouvements du sang ou de l'organe sont rendus visibles à l'œ
urface toutes les variations d'une courbe qui reproduit fidèlement le mouvement inté¬rieur que l'on veut étudier. Si l'on écrit
sensation de tournoiement, tous les objets environnants semblaient en mouvement , un voile lui couvrait les yeux. Toutefois ces ét
antage, nous voyons qu'on ne peut aujourd'hui lui faire faire un seul mouvement , qu'il est impossible de le mettre à l'air, de le
tre dure et élastique elle est molle et fluctuante, on n'y perçoit ni mouvement d'expansion, ni battements, ni crépitation, et, s
par la pression, par l'exploration avec le stylet et surtout par des mouvements un peu étendus imprimés aux doigts. Les doigts
engourdissement continu. Le malade fait de lui-même observer que les mouvements qu'il imprime à son bras gauche dans l'exer¬cice
main avait disparu, que les trajets fistuleux étaient oblitérés ; le mouvement d'opposition du pouce, impossible au début, pouva
ent l'un dans l'autre à frottement très-doux. Le miroir M possède des mouvements d'oscillation qui ont pour effet de réfléchir exa
outon F; on a ainsi un parallélogramme dont le but est d'imprimer des mouvements d'oscillation à la len¬tille, de manière à déplac
Quelques jours après, le pied se détachait spontanément pendant un mouvement du malade. — La pièce fut présentée à la Société
e de Calabar, 1865 ; Bourneville et E. Teinturier, revue ana¬lytique ( Mouvement médical, 1866, p. 256 ; — 1867, p. 161, 2.52, 281
e. — 10h35: les convulsions sont plus intenses. Paralysie complète du mouvement . Dysphagie. Respiration lente, pénible, surtout d
ni de larmoiement, ni de salivation. — 10h55 à 11M5 : la paralysie du mouvement a diminué peu à peu, l'animal essaye démarcher. P
s les convulsions sont moins fré¬quentes. — 7 heures : immobile ; nul mouvement spontané ou pro¬voqué. — 7b20: lorsqu'on excite l
même de plusieurs autres plus pelites. Dans cette théorie, tous ces mouvements successifs seraient pro¬duits par l'élasticité de
promotrice pour l'Enseignement libre, N. Pascal, rédacteur en chef ân Mouvement médical, E. Boursin, Cam. Bocquet, Lcclerc, etc.
xécutent d'une manière convenable, La malade a moins de répugnance au mouvement . Face. Outre ies lésions oculaires, indiquées p
minence thénar est plus large et plus volumineuse que d'habitude. Les mouvements de cet appendice digital sont très-bornés. La m
t la phalange, laquelle est un peu inclinée vers le bord cubital. Les mouvements de la deuxième articulation métacarpo-phalangienn
ébris digital, moins long que la phalange de l'index dont il suit les mouvements , est le siège de cicatrices et d'ulcérations cach
le adhère, de telle sorte qu'elle fait un angle droit avec le médius. Mouvements nuls ; mêmes lésions cutanées. — L'auriculaire po
atarsien, sur la face antérieure duquel il est couché. Pas le moindre mouvement spontané. Ces mutilations si considérables reco
ièle —-le repas — l'émotion — la fatigue — le sommeil — le repos — le mouvement ; on peut dire que le cœur change pour ainsi dire
trouve-t-on aucune ondulation secondaire ni tertiaire, mais un simple mouvement de soufflet, avec écarternent et rapprochement de
un irrigateur. Le liquide passe derrière le corps étranger et, par un mouvement de remous, le ramène au dehors. Ce mode opératoir
es l'année dernière à l'hospice de la Salpêtrière et publiées dans le Mouvement médical (juin, juillet, août), M. Charcot a tracé
s, qui sont parfaitement exemptes de douleur : ni la pression, ni les mouvements , n'y réveil¬lent aucune sensation pénible; seulem
'au début de l'artbropathie, il n'y avait guère d'incoordi¬nation des mouvements dans le membre supérieur droit. Le bras gauche, a
ras droit présente, à son tour, une incoordination très-prononcée des mouvements . 27 nov. Le gonflement du poignet et de l'avant
s craquements persistent et se font sentir, pour ainsi dire, à chaque mouvement . 30 nov. Le gonflement du bras s'est à peu près
ière. La fluctuation se perçoit très-nettement. Lorsqu'on imprime des mouvements au bras, on reconnaît que la tête de l'humérus se
que la tête de l'humérus se luxe en avant ou en arrière, suivant les mouvements qu'on lui imprime. Elle revient très-facilement à
: la notion de position est tout à fait abolie ; l'incoordination des mouvements très-accusée. Les douleurs fulgu¬rantes seraient
'extrémité supérieure de l'humérus est probablement atro¬phiée. Les mouvements , indolores, s'exécutent avec assez de facilité :
un déplacement du membre à droite, tandis qu'à gauche elle suscite un mouvement d'abduc¬tion de la totalité du membre. Les grands
au-devant du trocart que j'enfonçai au travers des tégu¬ments par un mouvement de percussion. 11 s'échappa du trocart un liquide
s le pouls (100) n'offrait pas une fréquence en rapport avec elle. Le mouvement fébrile, coïncidant avec la turgescence des gland
ne fréquence du pouls. A quoi faut-il attribuer cette absence de tout mouvement fébrile? Pour notre compte, nous l'ignorons, car
. — Brûlure à 5 ans. — Cicatrices vicieuses du cou. — Difficultés des mouvements . — État de l'enfant avant et après l'opé¬ration.—
sser à découvert l'arcade dentaire inférieure et enfin d'entraver les mouvements de la face vers la gauche et les mouvements d'ext
e et enfin d'entraver les mouvements de la face vers la gauche et les mouvements d'extension de la tête. Aux accidents qui précède
Cette première opération modifia avantageusement la difformité : les mouvements de la tête s'exécutaient avec plus de facilité ;
poser, autant que possible, à la rétraction cicatricielle. Le 18, les mouvements étaient plus libres encore; l'aspect de la petite
te cicatrice et l'aisselle; la peau est lisse, unie, quel que soit le mouvement imprimé à la tête. 2° Une seconde cicatrice au
4° La lèvre inférieure n'est plus renversée en dehors, même dans les mouvements les plus exagérés, de sorte que l'on ne voit plus
elles l'étaient avant l'opération. 6° U extension de la tête et les mouvements de latéralité à gauche sont plus faciles qu'autre
hez i'.ne ataxiqbe (Déformation) difficilement l'incoordinalion des mouvements dans le récit de cette malade; mais elle décrit t
ntes. " Aux membres supérieurs, il n'y a point d'incoordination des mouvements , point de troubles articulaires.—Aux membres infé
troubles articulaires.—Aux membres infé¬rieurs, l'incoordination des mouvements est, au contraire, très-marquée. Il faut noter ic
est complètement luxé en arrière et on peut aisément lui imprimer des mouvements de latéralité. (Voir planche XXXI.) " D'une man
ngle droit. Mais, en dehors, elle ne dépasse pas la ligne droite. Les mouvements , soit spontanés, soit provoqués, ne déterminent a
e de l'autre par le liquide épanché, de sorte qu'on peut produire des mouvements en tous sens, bien plus étendus que dans les cond
e dans les conditions normales, principalement en ce qui concerne les mouvements de latéralité. Du reste, au repos, la jambe gauch
c facilité et à un degré inaccoutumé les jambes sur les cuisses ; les mouvements de latéralité en dedans pour la jambe droite, en
s qu'à l'état nor¬mal, surtout pour la jambe gauche. En revanche, les mouvements de latéralité dans le sens opposé à celui que nou
es spasmes avaient cessé, la roideur des mâchoires avait disparu, les mouvements de la nuque s'exécutaient librement ? Est-ce une
68 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
(de Boulogne), soit dans le cervelet, centre de la coordination des mouvements , soit, selon Brown- Séquard, en d'autres centre
rité de la sensibilité est nécessaire à la coordination normale des mouvements ; 5. La gravité des troubles de l'ataxie est, d
ignent de l'importance de la sen- sibilité pour la coordination des mouvements . Bien des années après, à plus de trente ans de
otrice, sur laquelle a fort insisté Frenkel dans la rééducation des mouvements , Graupner ajoute les effets résultant de l'acti
it pas seulement, il entend s'il a exécuté, du bout des pieds'; des mouvements correspondants à la représentation mentale voul
mis en activité. » Le rôle du laby- rinthe dans la coordination des mouvements a été mis hors de doute. Goldscheider se demand
irement à l'opinion selon laquelle les anta- gonistes sont, dans un mouvement , innervés simultanément avec les agonistes (Duc
s animaux, « les antago- nistes se relâchent, dans l'exécution d'un mouvement , dans le sens des agonistes » (Hering et Sherri
ntraction, l'exagération, la direction et la rapidité anormales des mouvements ataxiques, ainsi que leur incoordination. Les h
extré- mité postérieure droite ; elle traînait dans l'exécution des mouvements un peu rapides; l'animal ne s'en servait que d'
de son extrémité para- lysée ; celle-ci n'exécutait plus que des « mouvements associés » mais incoordonnés, rappelant les mou
us que des « mouvements associés » mais incoordonnés, rappelant les mouvements semblables des tabétiques gravement atteints. C
uvements semblables des tabétiques gravement atteints. Cependant un mouvement adapté peut encore être exécuté après la sectio
our saisir. Toutefois, pendant que l'extrémité gauche exécutait ses mouvements sans trouble apparent, il en était autrement de
souvent avec la main gauche. Bref, il n'exécutait pas à droite les mouvements spé- cialisés ou « Sonderbewegungen » de Munk;
te de grimper, contrairement à ce qui à lieu dans l'exécu- tion des mouvements isolés et distincts, une extrémité ne laisse pa
édent. En outre, ce singe présentait un trouble de coordination des mouvements des doigts pour les opérations de la préhension.
motrice ; on doit entendre par là que pour l'exécution correcte des mouvements , non seule- ment les sensations cutanées et cel
GIQUES DU TABES. 11 nécessaires, mais que l'exacte coordination des mouvements dépend aussi de courants nerveux centripètes, i
u'ils ne sont qu'une forme des 2-égii- lations inconscientes de nos mouvements dues ci un travail rl'élobo- ration sous-cortic
ibles ont une part consi- dérable dans l'exécution régulière de nos mouvements , celles de la vue surtout. La sûreté, la coordi
ts, celles de la vue surtout. La sûreté, la coordination exacte des mouvements subit le contre-coup des troubles de ces foncti
e résultant de la perte de la régulation inconsciente, réflexe, des mouvements . » Si l'on applique ces données à l'ataxie du t
uent, toutes les fonctions centripètes sont troublées, l'ataxie des mouvements doit en résulter. Mais c'est là un cas relative
erve plutôt l'ataxie des extré- mités inférieures, surtout dans les mouvements des articulations du pied et du genou, accompag
et sur la motilité a surtout une importance particulière pour les mouvements des extrémités inférieures. Si donc, dans le tabe
it peut bien, jusqu'à un certain degré, être compensée, lorsque les mouvements sont dirigés et réglés par d'autres organes des
admettre qu'ici les fibres servant à la régu- lation centripète des mouvements ont plus souffert que celles qui servent aux fo
Le nombre des lits ne doit pas dépasser 100 à 120, et même, si le mouvement est assez actif, 60 à 80. « C'est, en effet, dit
t construire un appareil qui permet d'enregistrer graphiquement les mouvements de la main et des doigts dans l'espace à trois
uses. Son appareil lui permet aussi de faire une étude complète des mouvements inconscients volontaires qui ont tant d'importa
e rendre les molé- cules du tissu nerveux plus aptes à répéter leur mouvement dans la même direction sous l'influence d'une s
-même, et à offrir une moindre résistance à la force qui les met en mouvement . C'est de cette manière qu'ont pris naissance l
des nictitations des paupières et une diminution de l'amplitude des mouvements tho- raciques de la respiration normale ; l'aut
lancolie, et il ne s'attendait pas d'ailleurs à les rencontrer, ces mouvements étant involontaires et sans point de départ cér
ations de M. Bevan Lewis, à savoir, que dans l'écorce cérébrale les mouvements des grandes articulations sont représen- tés pa
es articulations sont représen- tés par les grandes cellules et les mouvements des petites articu- lations par les petites cel
commencent à marquer leur empreinte sur l'enfant, et à mettre en mouvement les premières variations accentuées de sa vie sen
tout à fait flasque, sans contracture, sans trépidation spinale. Le mouvement associé de flexion de la cuisse sur le bassin e
morbides assez peu connus. Les membres inférieurs sont le siège de mouvements myocloniques, apparaissant sous forme de crises
muscles du corps et des membres; elle s'accom- pagne des différents mouvements , des plaintes, des soupirs jus- qu'à gémissemen
uisent surtout par DEUX NOUVEAUX CAS DE FOLIE GÉMELLAIRE. 105 des mouvements automatiques : elle marche avec animation, s'ac-
ribue à une sensation d'ordre musculaire, àla vague conscience d'un mouvement du pharynx, de l'oesophage, ' Voir le beau Mémo
34 " ;, : « ' 'REVUE CRITIQUE. -- ? qui se fait en sens inverse des mouvements normaux. Ainsi, une perversion du sens musculai
a lésion convulsive de décharge : quand cet épuisement a cessé, les mouvements ont spontanément disparu. R.'DE Musgrave CLAY.
Nouvelles expériences dont voici les conclusions : I. Il existe des mouvements des pupilles associés à des phéno- mènes physiq
igne du regard (phénomène pupillaire de Piltz). - II. Il existe des mouvements pupillaires qui sont l'effet de simples concept
ntes du télencéphale. G. D. XXIV. Contribution à la physiologie des mouvements du tronc et à la théorie de la scoliose sciatiq
\1 Ai' : N. (Centmlbl, y. 1\'erucnlccilk. XXII, NF, X, 1899.) Les mouvements qui ont lieu dans le sens de la pesanteur n'ont
de ces deux causes. Nous avons reproduit sur le cadavre les divers mouvements qui avaient amené ces paralysies en clinique. N
actères cliniques de l'idiotie complète, il était incapable d'aucun mouvement spontané usuel, la marche lui était impossible.
ure, mais étaient susceptibles, après une certaine résis- tance, de mouvements provoqués. Les réflexes étaient légèrement exag
longtemps. Parfois cette diminution ne se manifeste que dans les mouvements volontaires, taudis qu'elle n'apparaît pas dans l
es mouvements volontaires, taudis qu'elle n'apparaît pas dans les mouvements réflexes, inconscients, ou même si le malade suit
faciale peut être « systé- matique » et ne se montrer que dans les mouvements mimiques. Dans l'hémiplégie hystérique, la para
fauchant au lieu de la démarche de Todd des hystériques). 5. Les mouvements involontaires associés des extrémités paraly- s
sement du courant d'action malgré que le bras n'ait exécuté aucun mouvement appréciable. La courbe se présente alors comme
olontairement, à la suite de la percussion du tendon rotu- lien, un mouvement plus énergique du côté malade que du côte sain
e, et un certain nombre d'observations montrent avec netteté que le mouvement spasmodique dérive de l'éducation d'un mou- vem
nt mécanothérapique des Hémiplégiques (ntussuge, j'INdu- cation des mouvements et mécunolhérapie compensatrice) ; par le Dr P.
t le mollet ; pied bot varus équm/paraty- tique ; impossibilité des mouvements des pieds, difficulté des mou- vements des jamb
- chant l'autre du sol. Dans cette position, il se produisait des mouvements alternatifs de flexion et d'extension, à raison d
tifs de flexion et d'extension, à raison de 60 à 80 par minute; ces mouvements étaient à rythme égal et d'une amplitude assez
attitude de demi-flexion, il lui était impossible de ralentir ses mouvements ; mais ces derniers s'arrêtaient aussitôt qu'il re
liarsionn et CESTAN ont observé chez deux malades une paralysie des mouvements de latéralité des yeux et une hémiplégie sensit
ux ci provoquent une fatigue intense des yeux. En outre, grâce à un mouvement d'horlogerie,'un volant produit un ronflement q
nt conservé toute leur force muscu- laire. Ils ne présentent pas de mouvements intentionnels, les yeux étant ouverts ou fermés
rticulaires, pas de perte du sens musculaire ou articulaire, pas de mouvements intentionnels des muscles des membres supérieur
d. Le sujet étant debout ne peut fléchir le pied sur la jambe. Ce mouvement est surtout à peine esquissé du côté droit, tandi
du côté gauche. Il est à peu près impossible de faire esquisser des mouvements aux orteils. Tous les mouvements de flexion et
impossible de faire esquisser des mouvements aux orteils. Tous les mouvements de flexion et d'extension se passent dans l'art
t fléchit et étend le pied plutôt qu'il ne fait exécuter de pareils mouvements aux orteils. En outre, la force musculaire est
eds, en particulier au pied droit où, si le malade résiste bien aux mouvements de flexion, il n'oppose qu'une résistance médio
riture du malade, le 20 oct. 99. MALADIE NERVEUSE FAMILIALE. 20 l mouvement , il éprouverait une douleur localisée au niveau d
lésion rappelle la griffe cubi- tale, avec cette différence que les mouvements des doigts se font assez facilement. En outre,
e les mouvements des doigts se font assez facilement. En outre, les mouvements des articulations pha- lango-phalanginiennes so
olescence ; tout' au plus constate-t-on chez lui une limitation des mouvements ordinaires des orteils et une démarche assez bi
qui séparent actuellement l'asile d'aliénés des autres hôpitaux. Le mouvement plus rapide et plus libre des malades, qui est
rvations choisies parmi les plus démonstratives (névralgie faciale; mouvements athé- toïdes de la main' droite ; mélancolie ;
étroite. Dans la bouche, la langue exécute sans difficulté tous les mouvements : hors de la bouche, ses mouvements de droite à
xécute sans difficulté tous les mouvements : hors de la bouche, ses mouvements de droite à gauche s'arrêtent à la ligne médian
rieurs étaient complète- ment paralysés et on n'y remarquait pas de mouvements invo- lontaires. La sensibilité était complètem
, et qui présentait le tableau incomplet d'une paralysie croisée du mouvement du côté droit avec douleurs et sensations, ther
ire se termine par quelques considérations sur la trans- mission du mouvement et de la sensibilité dans la moelle. · R. de il
antécédents nerveux personnels. Chorée depuis un mois; actuellement mouvements intenses, rendant la marche impossible, amenant
cture. - DilUé- vie ; pieds bols. - Trépidation épileptoïde par les mouvements pro- coqtsés. Idiotie complète. Ophtalmie purul
obtuse. Son père a remarqué que lorsqu'on le pinçait il y avait un mouvement de flexion de la jambe. Si on le cognait, il y
n mouvement de flexion de la jambe. Si on le cognait, il y avait un mouvement réflexe qu'on attribue plutôt aiacommotion qu'à
a douleun. Des piqûres d'épin- gle ne paraissaient déterminer qu'un mouvement réflexe. On ne peut rien préciser quant au froi
rès huit jours de convulsions, la trépidation épileptoïde clans les mouvements provoqués, enfin l'idiotie complète. III. L'h
ion, la tête est lourde, les mou-. vements sont pénibles, seuls les mouvements de latéralité se font plus facilement et sans r
yses épineuses de la colonne cervicale. Cependant à l'occasion' des mouvements de la tète, il y a là un point douloureux. Ces-
n' des mouvements de la tète, il y a là un point douloureux. Ces- mouvements sont tous possibles, mais le mouvement d'extensio
à un point douloureux. Ces- mouvements sont tous possibles, mais le mouvement d'extension est très limité et la rotation à ga
nettement diminuée et presque nulle à gauche. La coordination des " mouvements est suffisante, pas de tremblements. Aucune parti
nt et il faut une piqûre bien profonde pour provoquer un très léger mouvement de la jambe gauche. A droite, la force musculai
t toujours la même, la raideur de la nuque est moins prononcée, les mouvements de la tète sont plus amples, sans doute parce q
t les bras et lesjambes. A chaque instant, il esquisse une sorte de mouvement de fuite, comme pour éviter un danger. Il se dé
prolongements cellulaires se rétracteraient pour subir un nouveau mouvement d'expansion dans les périodes plus actives de con
un argument en faveur de leur contractilité,et par suite, de leurs mouvements . Ces théories, si elles étaient reconnues exact
ux mourir ! Une souffrance terrible agitait son pied et sa jambe de mouvements spasmodiques. Le docteur ne riait plus, disant
osition en arc de cercle du clownisme hystérique, et se livre à des mouvements acroba- tiques : puis il se met à rire, ramasse
. L'attaque convulsive était très nettement épileptique, mais les mouvements qui l'ont suivie correspondent exactement à ceur
orts contiennent de nombreux tableaux de statistique, concernant le mouvement de la population, les entrées, les sorties, les
l 3M SOCIÉTÉS SAVANTES. au repos et apparaissant à l'occasion des mouvements . C'est un tremblement intentionnel analogue à c
intentionnel analogue à celui de la sclérose en pla- ques. - Les mouvements élémentaires des divers serments du membre infé
ui consiste en une perturbation dans la faculté d'asso- ciation des mouvements élémentaires dans les actes complexes, perturba
E a vu à Angers un malade identique absolument impotent du fait des mouvements choreïtbrmes et athétosiques, mais dont l'intel
e foule considérable de curieux suivant avec anxiété les moin- dres mouvements de la folle. M. Bacot, accompagné de M. Flory j
, t. XI. 24 .370 CLINIQUE NERVEUSE. muscles, préposé à tel ou tel mouvement intentionnel : con- traction isolée du pouce, d
ropre du mot, dans le sens de la perte de la faculté d'exécuter des mouvements . Ils con- sistent surtout dans une maladresse e
par l'ensemble du membre supérieur;' elles sont entraînées dans les mouvements associés L'ÉPILEPSIE PARTIELLE. PATHOGÉNIE ET T
un centre moteur cortical entraîne l'impossibilité de provoquer des mouvements con- vulsifs dans le ou les groupes de muscles
débutaient par un spasme de la commissure labiale droite et par des mouvements convulsifs dans l'articulation du poignet droit
itables attaques d'épilepsie par- tielle. Elles commençaient par un mouvement d'écartement des doigts. Puis l'avant-bras, en
roduisait des contractions du pouce et 376 CLINIQUE NERVEUSE. des mouvements dans l'articulation du poignet. On extirpa ces
on aspect normal. L'excitation directe de l'écorce donna lieu à des mouvements du pouce et de l'index de la main droite. On ex
n territoire de l'écorce, dont l'excitation faradique détermina des mouvements des doigts et de la main, à gauche, mais pas de
mina des mouvements des doigts et de la main, à gauche, mais pas de mouvements de l'avant-bras. L'ou- verture crânienne fut él
ne faiblesse dans l'épaule gauche, et d'une certaine maladresse des mouvements du membre supérieur gauche. La sensibilité étai
. Le centre cortical dont l'excitation électrique détermi- nait des mouvements des doigts et de la main fut excisé. Au mois de
des doigts et de la main, à droite; ensuite survenaient de violents mouvements de supination de la main et des secousses dans le
on de -la substance blanche sous-jacente a provoqué également des mouvements du bras droit, mais ils cessèrent en même temps q
, à droite ; cette paralysie prédominait dans les fléchisseurs. Les mouvements qui se passent dans les jointures du coude et d
nne épaissie, à l'endroit où l'excitation électrique provoquait des mouvements dans le membre supérieur du côté opposé. A la s
novembre 1890, con- sista dans l'extirpation du centre cortical des mouvements de la 382 ) CLINIQUE NERVEUSE. main gauche. D
es vomissements. Avec le temps tout s'atténue, sauf le désordre des mouvements . Le malade oscille d'un côté à l'autre, même au
contraint de s'accrocher à quoi que ce soit pour ne pas tomber. Les mouvements séparés des membres n'ont rien d'ataxique, sauf
ndiqués, il constate que la jambe droite est inca- pable du moindre mouvement , que la sensibilité existe sur toute la surface
é que l'irritation des méninges spinales ou cérébrales provoque des mouvements convulsifs. La mort soudaine parait due à une p
ne amélioration considérable de l'état général, de la parole et des mouvements de la jambe. Mais ultérieurement il se développ
hésique à droite. En une seule séance de suggestion hypnotique, les mouvements choréiques sont suppri- més, le rêve obsédant i
ânonnement et accrocs caractéristiques. 3° Tremblement saccadé (en mouvement de trombone) de la langue, particulièrement mar
ens qui en prenaient. » Son ventre gontlait. Elle sentait comme des mouvements , « mais pas forls. » Un chi- rurgien, un gynéeo
ait en même temps que* la perte de connaissance ou avec le début du mouvement automa- tique ; 2° toutes se sont accompagnées
utes se sont accompagnées d'inconscience ; 3° elles ont consisté en mouvements rapides, plus ou moins compliqués d'as- pect in
il voit devant lui se meut droit sur lui, ne voit en réalité pas ce mouvement ; celui qui est obsédé du mouvement derrière lu
lui, ne voit en réalité pas ce mouvement ; celui qui est obsédé du mouvement derrière lui d'un cheval, de son sosie, n'enten
cter les bras derrière le dos pour résister à ce qu'il appelait ses mouvements nerveux. Or un jour il sentit son bras s'allonger
s de~rester absolument convaincu que, dans tous les antres cas, les mouvements qu'il croyait exécuter n'étaient pas également
e qu'il avait fait pen- dant ce temps. Illusion kinesthésique des mouvements nécessaires à l'accom- plissement de l'acte qu'
st ventriloque) accompagnées de sialorrhée, de mâ- chonnement et de mouvements 'plus ou moins conscients de la main droite. Le
avis confirmé par M. Parinaud), il se serait agi d'une paralysie du mouvement associé d'abaissement, paralysie de nature orga
ment suivre un doigt qu'on abaisse et cela sans baisser la tête, le mouvement en bas des globes oculaires est donc possible.
interprétation, cependant reprenant le mécanisme physiologique des mouvements de roeil, il localiserait la lésion supposée co
, le malade .est en mesure d'accomplir dans des moments de calme un mouvement opposé à celui que le spasme fait exécuter, tan
vement opposé à celui que le spasme fait exécuter, tandis qu'ici le mouvement opposé à l'éléva- tion, c'est-à-dire l'abaissem
, car en plaçant la tête du malade dans une cer- taine attitude, ce mouvement seiait exécuté d'une manière cor- recte. Je-vie
permette de séparer ce cas des autres observations de paralysie des mouvements associés des yeux qui ont été publiées jusqu'à
quatre membres sont impotents; le thorax est pris au point que les mouvements respiratoires ont été fortement compromis au co
arcades dentaires et le maxillaire inférieur est pendant, seuls les mouvements d'abaissement et de latéralité persistent. Sa l
e à sa pointe conserve presque tous ses sociétés savantes. ' .515 mouvements mais au repos elle fait saillie sur la lèvre infé
ts au même degré d'intensité, et les muscles sont très faibles. Les mouvements rapides des globes oculaires sont tout à fait i
ement ou s'effectuent dans un milieu très visqueux. L'amplitude des mouvements est très limitée, surtout dans la direction à g
ouvements est très limitée, surtout dans la direction à gauche. Les mouvements s'exécutent mieux, lorsque le malade suit des y
lleurs et presque normaux lors- qu'en même temps la tête exécute un mouvement dans le sens contraire. Les mouvements latéraux
même temps la tête exécute un mouvement dans le sens contraire. Les mouvements latéraux s'exécutent mieux que ceux de la conve
ique (regard dans l'une ou l'autre direction) sont impossibles; les mouvements lents des globes oculaires suivant un objet dép
encore possibles,- mais bien limités. Enfin l'amplitude normale des mouvements latéraux peut être atteinte par une rotation si
s droits supérieurs et une parésie des droits inférieurs ; quelques mouvements des globes en haut et en bas peuvent être exécu
lésion de quelques arcs réflexes qui s'y rendent. La paralysie des mouvements en haut et en bas peut être expliquée par une l
is il cligne des yeux et les ferme lorsqu'on approche le doigt. Les mouvements volontaires des yeux, à gauche, à droite, eu ha
alade fixe un objet qu'on déplace lentement, les yeux exécutent des mouvements assez étendus dans tous les sens. Les mouvement
yeux exécutent des mouvements assez étendus dans tous les sens. Les mouvements oculaires devien- nent même tout à fait normaux
Malgré l'action suffi- sante des muscles dioits internes, lors des mouvements latéraux, la convergence est impossible. Dans c
mouvements latéraux, la convergence est impossible. Dans ce cas les mouvements réflexes des globes oculaires sont plus ou moin
s globes oculaires sont plus ou moins bien conservés, mais plus les mouvements portent le caractère des mouvements volontaires,
s bien conservés, mais plus les mouvements portent le caractère des mouvements volontaires, plus ils deviennent limités et dif
résulta le tableau ordinaire de la para- lysie pseudo-bulbaire. Les mouvements des globes oculaires sont possibles lorsque le
garder, par exemple, la suspension, il réussit à mettre les yeux en mouvement dans la direction voulue. Dans ce cas il existe
motionnels, lui font émettre l'hypothèse du retentissement, sur les mouvements de l'iris, des troubles fonctionnels de l'écorc
342. Forma- tion de cavités dans la -, par l'reobrajensky. 436. Mouvements Physiologie des du tronc, par Mann, 146. 1)1)
69 (1880) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1880
étaniques. Période clonique. — Après un court repos, on observe des mouvements de balancement de la tête qui, bientôt, se soulèv
— Respiration plus fréquente ; pupilles dilatées ; petites plaintes ; mouvements des lèvres ; la malade parle bas, sans qu'on l'en
ains, pousse des cris redoublés, bat l'oreiller avec la tête et a des mouvements alternatifs de flexion et d'extension des membres
membres inférieurs. (C'est, en quelque sorte, une ébauche des grands mouvements que M. Charcot a décrits sous le nom de clownisme
croît, et, après un repos de quelques secondes, la malade a de grands mouvements cloniques, fléchissant et laissant retomber viole
tent largement : « J'étouffe... j'étouffe! » dit la malade, qui a des mouvements de déglutition. Elle soulève la tête, regarde d'u
précipitée (phase de stertor incomplète). Période clonique : grands mouvements du tronc, des jambes. avec soulèvement du ventr
s faible à droite qu'à gauche. Les pupilles réagissent également. Les mouvements des globes oculaires sont normaux. Nulle différen
écume blanche. Période clonique. — Après un repos momentané, grands mouvements eloniques, puis cri modulé, repos. Période de d
Sans qu'il y ait de repos appréciable, on voit se produire les grands mouvements (clownisme). C. — Période de délire. — W... rem
caractères. — b) Période clonique. — Petits cris précédant les grands mouvements alternatifs de flexion et d'extension qui ébranle
it en dehors ; les poignets fléchis. De temps en temps, on entend des mouvements de déglutition. Cette attitude est conservée pend
riode clonique. —Petits cris et vagues abdominales, suivis des grands mouvements habituels, dont le nombre varie de cinq à dix; pa
— Caractères ordinaires ; dans aucune de ces attaques, il n'y a eu de mouvement de moulinet. b) Période clonique. — Grands mouv
il n'y a eu de mouvement de moulinet. b) Période clonique. — Grands mouvements , durant quatre secondes. c) Période de délire.
souriante. Elle le cherche. 2° Visage souriant. Paupières fermées. Mouvements des jambes : « Mais non, je ne sens rien. » Rit,
t en général annoncées par des secousses, des vagues abdominales, des mouvements de déglutition et quelquefois par une dilatation
nt d'entendre, ou un mot à elle : « Palapalapola... » en exécutant le mouvement du moulinet avec les bras. Elle s'endort définiti
nt la ligne horizontale, puis brusquement; et, à ce moment, il y a un mouvement de déglutition, accompagné d'un petit bruit phary
Pendant le sommeil, on observe parfois des secousses des bras et des mouvements de déglutition. Au réveil, — qu'il s'opère par
e sont accusées davantage, et, aujourd'hui, nous observons les grands mouvements cloniques et une période de délire bien plus long
repos; puis W... pousse un grand cri, se soulève, exécute les grands mouvements de la période clonique, suivis d'un nouveau momen
ractères ordinaires. La période cIonique n'est constituée que par des mouvements de la tête, qui se soulève et retombe brusquement
clate : période épi-leptoïde habituelle ; — période clonique à petits mouvements . Alors, W... se tourne sur le côté droit; la figu
ttaque se produit : période épilep-toïde; — période clonique à grands mouvements . Ensuite, W... esquisse l'arc de cercle antérieur
avec les attitudes de la malade elle-même, mais avec les gestes, les mouvements de l'expérimentateur, ou la forme des objets. Apr
de, M. Regnard fait, avec les doigts, dans le voisinage des yeux, des mouvements rapides, simulant ceux des ailes d'un oiseau; P..
Ah ! il est envolé ! On fixe son attention en bas et on exécute le mouvement d'écraser promptement quelque chose. Alors, P...
tout le corps.) Somnambulisme. — P... est réendormie par surprise : mouvement de déglutition accompagné d'un petit bruit ; pas
e se gonfle considérablement, est le siège de « bouillonnements », de mouvements onduleux ; la face se décompose : « j'ai le bas d
tion est suspendue. — Les bras, rigides, s'allongent, sans décrire de mouvement de moulinet, se rapprochent de l'axe du corps en
voir la langue, dont la pointe est relevée vers le palais, agitée de mouvement de torsion. On note encore des bruits pharyngiens
On note encore des bruits pharyngiens, une respiration saccadée, des mouvements tétaniformes des quatre membres, également très p
r, on observe un court repos, durant lequel le ventre est le siège de mouvements et de bruits, et les seins ballotés ; puis la mal
que produisent les rapports réels et que décèlent d'ailleurs certains mouvements . « Je ne devrais pas dire cela » répète-t-elle ap
ve, haute, souvent irrespectueuse, contrairement à ses habitudes. Ses mouvements sont brusques. Elle cause en quelque sorte malgré
halange. b) Phase clonique. — Puis surviennent du mâchonnement, des mouvements de protraction et de rétraction de la langue, des
a langue, des secousses tétaniformes dans les membres supérieurs, des mouvements de latéralité de la tête et quelques convulsions
it à se faire un costume pour le bal du 1 Jamais nous n'avons vu le mouvement de moulinet : les bras, placés le long du corps,
la région frontale, l'autre sur la région ovarienne. La malade a des mouvements de déglutition et reprend connaissance à peu près
'action du chloroforme. — Les alternatives du courant déterminent des mouvements de déglutition, une contraction des muscles de la
avant l'attaque, le ventre se ballonne (tympanite) et est le siège de mouvements de soulèvement accompagnés de bruits faciles à en
veut pas qu'on l'endorme. On observe quelques soubresauts, de petits mouvements de déglutition. « Je ne veux pas. » R... ferme le
Phénomènes consécutifs. — Les réveils se sont opérés sans stertor, ni mouvements de déglutition. P... se plaignait de fatigue, de
!.. » Après quelques instants de calme, elle exécute rapidement des mouvements alternatifs d'extension et de flexion du tronc, e
res étaient souples, mais se raidissaient par moments. Elle avait des mouvements de déglutition, cherchait à se tirer les cheveux.
sans provoquer le retour de la connaissance. Pas d'écume ni de grands mouvements . La parole est revenue au bout de 22 heures et D.
er). D... pleure, sanglotte, se fourre la tête dans l'oreiller, a des mouvements de déglutition, se tord les bras. « Oui, elles me
impatiente, chante, crie, bavarde, rit bruyamment, est sans cesse en mouvement , se plaint d'une douleur à la région cardiaque. —
l'excitation, rires sans motif, hallucinations et illusions variées, mouvements nerveux, secousses, enfin tendance au sommeil, à
Contracture. — Signes qui annoncent la fin des attaques de sommeil : mouvements cloniques, délire. Description de l'att;ique de
rincipalement à gauche, et rendent les attaques plus violentes. Les mouvements des bras sont libres ; H... serre moins bien de l
sie est incomplète en ce sens que la malade exécute, au lit, quelques mouvements , mais il lui est impossible de se tenir debout. L
nze heures. Le corps est rigide, la tête dans l'extension. H... a des mouvements cloniques très violents ; la respiration est sacc
e, le dos, le ventre*, etc., la malade ne perçoit rien, ne fait aucun mouvement . Les muqueuses n'ont pas perdu toute sensibilit
lité obtuse et le contact de la tête d'une épingle suscite quelques mouvements réflexes. Le chatouillement des narines, des lèvr
palais et de la base de la langue, le contact du doigt détermine des mouvements réflexes et des efforts de vomissements. — Le tit
e à l'adduction. Le chatouillement de la plante des pieds produit des mouvements réflexes, rares et lents à gauche, assez multipli
R. 16; T. V. 37°, 3. 5 mai. — P. 92; R. 20; T. V. 37°, 8. Parfois, mouvements de déglutition, et vagues abdominales accompagnée
s assistons à un accès de rire bruyant, avec congestion de la face et mouvements latéraux de la tête. 24 mai. — P. 84 ; T. V. 37
dantes. La tympanite est très considérable. Le ventre est le siège de mouvements onduleux. Les autres symptômes n'ont pas changé.
yait et laissait retomber brusquement le tronc sur le lit. Ces grands mouvements se répétaient 5 ou 6 fois de suite. Les crises ét
IL 5 avril. — La respiration semble gênée ; la malade rejette, par mouvements bruyants d'expuition, une salive mousseuse. Elle
t entre 36°,9 et 37°,4. A des intervalles variables, on observe des mouvements automatiques; les malades semblent lutter, faire
fluide et de le chasser et il termine par des passes médiatrices sans mouvements dirigées vers le siège du mal avec la volonté de
ni trop chaud ni trop froid, à ce que rien ne gêne la liberté de vos mouvements , et prenez des précautions pour n'être pas interr
telle façon que leur face dorsale regarde le magnétisé pendant mon mouvement d'ascension, et leur face palmaire pendant les pa
s. La résolution est complète, la face est immobile. On note quelques mouvements très fins des cils. Le bruit subit et fort, dét
puie sa main contre un mur, elle ne peut se retirer. Pour exécuter ce mouvement de retrait, une personne saine est obligée de fai
raser l'animal qui l'épouvante, saisit une chaise pour l'écraser. Ses mouvements sont si violents, qu'on est obligé de la remettre
nts des paupières, déviation des yeux, perte de la connaissance, sans mouvements convulsifs. Du 8 mars à son arrivée à la Salpèt
e pour le motif le plus léger , ne veut plus travailler , a besoin de mouvement , elle a des secousses (aura médiate),puis se mont
n ovarienne gauche, et, au bout de 8 à 10 secondes, il se produit des mouvements de déglutition et S... recouvre la connaissance.
70 (1876) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie et l'hystérie : Compte rendu des observations recueillies à la Salpêtrière de 1872 à 1875
illement, le pincement (bras, tronc, jambes), ne pro- duisent aucun mouvement réflexe. Il existe une rougeur médiocre des fes
- nent pas. Le chatouillement de la plante des pieds détermine un mouvement réflexe peu accusé, égal d'ailleurs des deux cô
veaux a : cès; même état. De temps à autre, on note quelques petits mouvements convulsifs dans les membres. Nulle trace de con
affectée que la piqûre et le pincement ne se traduisaient par aucun mouvement réflexe, La malade, en un mot, était dans un co
apoplectique, il est enfin des cas dans lesquels il s'y adjoint des mouvements épileptiformes, surtout marqués à la face, avec
intes, s'agite, tourne sur elle- même, sans se rendre compte de ses mouvements . On dit, dans le service, « qu'elle fait son tr
8°, 6. 4 le. 15. Langue violette, s'allongeant et rentrant à chaque mouvement respiratoire. Regard fixe; pupilles moyennement
et le nez ont une couleur violette. La langue est agitée des mêmes mouvements que tout à l'heure et se met en gouttière. T. R.
. La bouche reste constamment ouverte et s'ouvre davantage à chaque mouvement respiratoire. 4 lz. 26. Le palais est violacé,
dent La bouche, d'habitude entr'ouverte, s'ouvre largement à chaque mouvement respiratoire. f h. 46, Les cornées semblent s'a
Respiration à 22, ne s'accompagnant plus, comme tout à l'heure, de mouvements d'extension des pattes antérieures ni d'écartemen
tôt il n'est en quelque sorte qu'ébauché. D'autres fois , il y a un mouvement bruyant des lèvres, analogue à celui que l'on p
on produit quand on goûte une substance quelconque, ou encore des mouvements de mâchonnement, de déglutition, etc. Ces phéno
ous les signes habituels de l'approche d'un accès, c'est-à-dire des mouvements de tète et des sanglots continus ; la garde- ma
nitrite d'amyle fut immédiatement ordonnée et grâce à cet agent les mouvements de tète et les sanglots s'arrêtèrent, la malade
, on ne fit pas d'inhalations. A quatre heures de l'après-midi, les mouvements de tête et les sanglots reparurent. Alors, pour
de 10 gouttes. La face devint rouge, noirâtre; les plaintes et les mouvements de la tète s'accentuèrent davantage. Durant la
vient rouge ou violacée. Les yeux sont dirigés en haut et à droite. Mouvements de dégluti- tion, soulèvement du corps. Après a
enir la compresse au-devant de la bouche et du nez, par suite des mouvements qu'elle exécute daus le but de se soustraire aux
ions, les convulsions s'arrêteut, la face rougit, il se produit des mouvements de déglutition. La malade, revenue à elle, assu
e ce qu'on lui a fait. A la suite d'une autre inhalation, outre les mouvements de dé- glutition, nous avons remarqué, chez cet
10 février 1875, à 8 heures du matin, d'attaques hystériques. Les mouvements cloniques sont violents et exigent, pour mainteni
fait autour d'elle. Puis, elle s'assied sur son lit et a encore des mouvements de lappe- ment et de déglutition. Dix minutes a
tenues par des liens. Les attaques ont les caractères suivants : a) Mouvements de déglutition, hoquet, bruits abdominaux, cris
cris aigus : oh ! là là ! suivis de cris pharyngiens étouffés, de mouvements des bras, et d'un léger soulèvement du ventre.
ait les yeux et la langue et dit qu'elle ne pouvait s'opposer a ses mouvements . 1er février. - Nitrite d'amyle. 9 février. -
outefois, il est quelques points qu'il importe de relever. 1" Les mouvements des mâchoires, le frémissement des lèvres, le m
r l'inhala- tion. -Chez Gen..., lier..., Mar..., par exemple, des mouvements de déglutition, des nausées, ou des vomisse- (1
ination, elle se place bientôt dans une pronation exagérée. Dans ce mouvement , le deuxième elle troisième doigts sont écartés
se réveille en quelque sorte brusquement et a une attaque à grands mouvements , avec prédominance de la projection du bassin e
ques convulsions dans les muscles de la mâchoire, déter- minant des mouvements de latéralité dans lesquels la mâ- choire est a
attaques de Louis[) Lateau, I. Imbert- Gourbeyre a remarqué que les mouvements respiratoires étaient ralentis (p. 198-199). M.
bitude, à un léger strabisme qui laisse libres, cependant, tous les mouvements des globes oculaires, à une traction très- marq
ongitudinale. La malade est impuis- sante à lui imprimer le moindre mouvement . La sensibilité de la langue, à la douleur, est
rines. La sonde, par- venue à l'arrière-bouche, suscite de violents mouvements ré- flexes, une vive anxiété et du larmoiement.
qui dure quelques minutes, Ler... se ré- veille, exécute de grands mouvements pendant lesquels la jambe droite elle-même se f
ule. La seconde attaque a .rendu au bras gauche la liberté de ses mouvements . Ce soir, les membres du côté droit sont toujou
est fléchi et HYSTÉRO-ÉPILEPSIE. 127 exécute de temps en temps un mouvement d'abduction du bras avec extension et pronation
observe une turgescence énorme de la face et du cou, accompagnée de mouvements de projection du bassin, de mouvements bruyants
et du cou, accompagnée de mouvements de projection du bassin, de mouvements bruyants de déglutition ; d'autres fois, la res
s'étendent au cou en amenant des 1 L) i II STÎ : RO-ÉPILl';PSIL . mouvements de la tête et à la face, où elles produisent des
soulève le membre inférieur gauche. Le pied est normal quant à ses mouvements ; mais la face plantaire est le siège de fourmi
nérale; - 3° période démoniaque sui- vie de secousses cloniques, de mouvements brusques des pieds qu'elle projette violemment
, presque toujours le sein droit. Aussi, dès qu'on voit arriver ces mouvements , s'empresse-t-on de placer un coussin sur la ré
scènes, qui sont effrayantes, font place à d'autres phé- nomènes : mouvements de déglutition bruyants, mouvements de lappemen
place à d'autres phé- nomènes : mouvements de déglutition bruyants, mouvements de lappement, hoquet. Ler ? prétend qu'on lui t
li qu'avec un effort et en faisant exécuter au petit instrument des mouvements de rotation... D'autres fois, j'enfonçais vivem
asse inerte ; le pincement ne produit aucun signe de douleur, aucun mouvement réflexe ; de temps à autre, il est animé de que
ucun mouvement réflexe ; de temps à autre, il est animé de quelques mouvements convulsifs. La face est aussi le siège de convu
u marquée, qu'on ne peut compter le nombre des ins- pirations ; les mouvements sont en outre fort irréguliers; par- fois, resp
vase à sa bouche. - Le membre inférieur droit a récupéré quelques mouvements . 16 6 octobre. La malade urine spontanément. El
choréiforme dans le bras droit, ou mieux dans l'avant-bras, car les mouvements de l'épaule sont pour ainsi dire nuls. (l) Ce
as de son lit) et qui s'est accompagnée de convulsions et môme de mouvements du bassin. A la fin de l'attaque, écume -et ron-
nt de l'épaule au coude. - La malade remue le bras droit ; dans les mouvements , on note encore l'agitation choréiforme déjà si
abondantes. J mars. Le membre supérieur droit est agité, dans les mouvements , d'un tremblement qui disparait pendant le repos.
s'en rendre compte dans une certaine mesure en faisant exécuter des mouvements à son épaule, qui semble moins anesthésiée. Lor
contente de fléchir le coude, la malade ne parait pas se douter du mouvement qui se produit ; mais, dès qu'on soulève le bras
bras et que l'articulation de l'épaule entre en jeu, elle sent le mouvement . - Si on place un objet entre les doigts, elle sa
pour la maintenir. Les membres du côté droit, seuls, exécutent des mouvements violents d'exten- tion ou de flexion qu'on ne p
, la main s'élève vers l'épaule; la jambe exécute à peine de légers mouvements de totalité ou de flexion. Après un court repos
ulsions cloniques : la jambe et le bras du côté droit exécutent des mouvements violents ; le bassin est projeté en avant; par
rtes d'absences se répètent assez souvent et se compliquent : 1° de mouvements des lèvres et des muscles peaucier et bucci- na
rines relativement abondantes. L'épaule droite est douloureuse. Les mouvements du bras correspon- dant sont tremblants. 18 m
gue n'est pas contracturée, elle est molle et exécute même quelques mouvements ; la malade parvient à la faire avancer jusque s
bras, main). - Ces dou- leurs sont rappelées ou exaspérées par les mouvements que l'on cherche à imprimer aux membres pour co
e coude, le poignet, les doigts sont devenus à peu près libres. Les mouvements sont assez étendus. L'épaule ne con- serve qu'u
ée tout d'un coup pour ètre placée devant la jambe droite, dont les mouvements , d'ailleurs, sont bien plus libres. Tous les
dont les mouvements, d'ailleurs, sont bien plus libres. Tous les mouvements du bras gauche s'exécutent aisément, et la mala
ondes ; le chatouille- ment de la plante des pieds ne produit aucun mouvement ré- flexe, la sensibilité au contact est obtuse
les, elle a voulu lever la tète ; mais celle-ci, au lieu d'obéir au mouvement qu'elle désirait (l) Vers huit heures et demie,
a donné les résultats suivants : oeil gauche. Etch... reconnaît les mouvements delà main à 60 centimètres ; mais elle ne peut
s actuel, à diverses reprises, la paralysie de la sensibilité et du mouvement envahirent le côté droit. L'hy- peresthésie ova
rvenir dans la moitié droite du corps, l'anesthésie.la paralysie du mouvement et la contracture. La connaissance de ces accid
71 (1893) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 06] : clinique des maladies du système nerveux
pied mais les jambes sont lourdes et il ne peut courir. Les divers mouvements des deux membres inférieurs sont du reste bien co
et la para- lysie diminue. Les membres supérieurs recouvrent leurs mouvements ; la mar- che bien qu'encore difficile et hésit
plus difficile. De dix à douze ans (1878-80) daterait une gène des mouvements des doigts, en particulier du pouce, et de la m
e, localisations spéciales de l'atrophie, évolution. D'ailleurs ces mouvements fibrillaires étaient loin d'être aussi accentué
89 de à à 5 millimètres, est aujourd'hui d'un centimètre environ. Mouvements des lèvres impossibles. Méplat latéral en arrière
on- tale, transversalement, est obligé de le lancer en l'air par un mouvement du tronc et une fois cette position atteinte, i
mbres paralysés, en même temps qu'une plus grande facilité de leurs mouvements . M. le professeur Charcot est alors appelé en c
sir son origine, quand la contracture commençait à céder et que les mouvements disparus revenaient du côté de l'hémiplégie, ap
la grande attaqne (1). Quand existe seulement la période des grands mouvements et de l'arc de cercle, cette période suffit en
sence des autres phénomènes de la grande attaque d'hystérie (grands mouvements , poses plastiques, hallucinations), on conçoit
culation des mots qui est produite par des troubles divers dans les mouvements combinés des lèvres, de la langue et du voile du
dans la pratique. Il est évident en effet que tous les troubles des mouvements ou du sens de la vision ne relèvent pas de lésion
le si elle est faite du côté opposé à la lésion ; elle facilite les mouvements du membre affecté et supprime le sentiment de l
t qui souffrait d'une coxalgie gauche. Les séances facilitaient les mouvements et calmaient à un certain degré la douleur ; l'
cteur du pouce, mais leur action est insuffisante pour entraîner le mouvement . Pour terminer cet examen clinique, nous nous a
le pouce, l'index, et surtout le médius peuvent exé- cuter quelques mouvements étendus; 2° que les doigts, bien qu'ils soient
les muscles de l'éminence thénar parais- sent se contracter dans le mouvement d'opposition, qui s'exécute assez bien; mais, s
attention) à mesure que le pouce se laisse écarter,' il subit un \ mouvement de rotation et de renversement, qui le place sur
80 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. lages sont érodés. Les mouvements actifs sont en partie possibles, mais limités d
s limités du côté de la flexion par le gonflement articulaire. Le mouvement de flexion ainsi que celui de l'extension se fait
sur son axe longitu- dinal. Dans l'extension totale, il existe des mouvements de latéralité sur un arc de 45°. Dans la statio
45°. Dans la station, le membre se met en varus ou valgus. Tous ces mouvements ne provoquent aucune douleur. L'articulation ti
partie inférieure du tibia, sans craquements, ni hydar- throse, ni mouvements anormaux, ni douleur. L'articulation tibio-tars
. Il n'ya pas d'hy- darthrose, pas de douleurs, pas de rougeur. Les mouvements passifs sont accompagnés de froissements. Dans
me la station sont complètement impossibles. Au lit il y a quelques mouvements de flexion et d'extension, mais très limités ;
n effet si cet enfant est ataxique, puisqu'il est paraplégique. Les mouvements dont il dispose sont trop faibles et trop limit
commissurales) produisent aussi des ophthalmoplégies avec perte des mouvements associés, mais involontaires des yeux. Un fait de
existent vraisemblable- ment d'autres centres commandant aussi aux mouvements associés des yeux, mais, seulement aux mouvemen
mandant aussi aux mouvements associés des yeux, mais, seulement aux mouvements volontaires. Pour les Italiens (Angelucci) et l
'eeil ; 2° Dans les lésions purement corticales de la motilité, les mouvements involontaires des yeux sont conservés. Le jeu d
IQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES ENFANTS 105 est en même temps doué de mouvements volontaires et prend part à la mimique faciale.
dit au malade d'ouvrir l'oeil, il ne le peut pas ; mais à certains mouvements et dans l'obscurité, le jeu des paupières se fait
n sent une raideur assez marquée des deux côtés ; la résistance aux mouvements communiqués est la même dans toute l'étendue des
imensions démesurées. La peau était hyperesthésique. En même temps, mouvements involontaires incessants et choréiformes des do
sans occasionner de douleur, et s'accompagnaient parfois d'un léger mouvement fébrile; le malade, par suite de son insensibil
infléchis vers la paume, sur- tout par leur dernière phalange. Les mouvements sont encore possibles sauf l'adduction et l'abd
mbres supérieurs, placés dans l'attitude du serment, présentent des mouvement lents des doigts qui s'agitent dans divers sens
t de vin de 134 litres sur le chariot, dans sa cave, il fit un faux mouvement d'abduction brusque et forcée de la cuisse gauc
apidement du gonflement. Il continua à marcher pendant 8 jours ; le mouvement de llexion de la cuisse sur le bassin étant très
iquée par un craquement et un ressaut très net dû probablement à un mouvement d'échappement de tètes fémorales hors des cavit
vité. En effet ici il ne s'agit pas de cambrure lombaire; il y a un mouvement de rotation du bassin autour de son axe transve
feste. Quand on a saisi le grand trochanter on peut lui imprimer un mouvement de va et vient assez étendu d'avant en arrière
be gauche, un peu diminuée à la jambe droite. Moindre résistance au mouvement d'extension à droite. 4 Pas d'atrophie musculai
IÈRE. tracturés, les jambes demi-fléchies sur les cuisses. Quelques mouvements de flexion et d'extension des pieds seulement s
mbres inférieurs ; mais les excitations éner- giques provoquent des mouvements convulsifs du pied. Persistance de la réten- ti
ssement de certaines émotions et de leurs substratums, les au- tres mouvements expressionnels acquièrent une intensité qu'ils n'
e bien portant, au contraire, le sou- rire produit immédiatement un mouvement général de la peau, depuis le coin de la bouche
eds, elle s'affaisse immédiatement. Au lit, elle exé- cute quelques mouvements , mais très lentement et très incomplètement. Aucu
ns la région dorsale inférieure. , Raideur marquée de la nuque, les mouvements de la tête sont gênés. Du côté des yeux : nysta
la tête sont gênés. Du côté des yeux : nystagmus très prononcé. Les mouvements des globes oculaires s'exécutent bien ; mais le
cé. Les mouvements des globes oculaires s'exécutent bien ; mais les mouvements réflexes de l'iris sous l'in- fluence de la lum
ec douleurs irradiées dans le cou, dans les membres supérieurs. Les mouvements communiqués ou spontanés provoquent des élancemen
ie. Le bras gaucho est un peu moins paralysé : il persiste quelques mouvements d'adduction de l'avant-bras. Pas d'insensibilit
bout de quinze jours. En novembre 1891 la jambe gauche recouvre ses mouvements . A mesure qu'ils reviennent la malade res- sent
un état à peu près stationnaire, tout en s'améliorant lentement. Le mouvement est bien revenu, surtout dans les mem- bres sup
cette fois-ci partant très net- tement de la région cervicale. Les mouvements de flexion et de torsion du cou étaient très pé
le. Elle se présente dans l'état suivant. Raideur de la nuque ; les mouvements sont limités et douloureux - occlusion complète
de la région du cou. Pas de déformation ni de déviation ; mais les mouvements de la colonne cervicale sont limités et pénibles.
la colonne cervicale sont limités et pénibles. Ce sont surtout les mouvements de flexion de la tête qui sont limités. Il est
le menton de la région sternalc. Si l'on veut lui faire exécuter ce mouvement d'une façon passive, on éprouve une ré- sistanc
rs la région sternale. DE LA MÉNINGO-MYÉLITE SYPHILITIQUE 229 Les mouvements de torsion du cou, d'extension de la tête sont li
5°; la malade est incapable de rapprocher les doigts sans faire un mouvement de flexion complète. On peut donc conclure qu'il
x, marquée surtout pour les deux derniers dorsaux. Ajoutons que les mouvements passifs sont libres ; que la flexion des doigts
nt libres ; que la flexion des doigts s'exécute bien, ainsi que les mouvements du pouce. Au bras et à l'avant-bras gauche on n
du côté de la peau et des ongles. État de la motilité.- - Tous les mouvements sont possibles dans les membres supérieurs (sau
les mouvements sont possibles dans les membres supérieurs (sauf les mouvements sus-indiqués des doigts de la main gauche) ; ma
. Au dire de la malade elles ne se produiraient qu'à l'occasion des mouvements , quand elle se lève par exemple, quand elle mar-
, quand elle mar- che. Il semble que ce soient particulièrement les mouvements delà colonne ver- tébrale qui les provoquent. E
e énorme avec immobilité complète du globe de l'oeil, sauf pour les mouvements en dehors. Il y a donc paralysie totale de la 3
le ; seulemement la langue est mani- festement déviée à gauche. Les mouvements de la langue se font bien ; mais la malade trou
ie de l'oculo-moteur gauche n'est pas tout à fait dis- parue. Les mouvements du cou sont parfaitement libres et non douloureux
la main gauche a disparu entièrement; les doigts exécutent tous les mouvements , se rapprochent, s'écartent, s'étendent et se flé
uis dans les deux épaules. Le cou est rigide, la tète fléchie : les mouvements d'extension, de rotation sont impossibles. Il e
1893. 2g) NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. brachial ; les mouvements des épaules sont impossibles à cause des dou- l
ent : il persiste seulement un peu de raideur de la nuque, mais les mouvements de latéra- lité sont possibles maintenant. Gold
- qu'il est soulevé, la jambe retombe de son propre poids. Tous les mouvements sont possibles, mais d'une grande faiblesse et
de garder le lit pendant près d'une semaine ; au lit d'ailleurs les mouvements des membres inférieurs étaient parfaitement lib
droit. DE LA MÉNINGO-MYÉLITE SYPHILITIQUE 355 motilité. Tous les mouvements sont possibles aux membres inférieurs : ils son
3 secousses. Les membres supérieurs ne présentent aucun trouble du mouvement et de la sensibilité ; les réflexes tendineux y
ait d'intensité et gagnait toute la région cervicale du rachis. Les mouvements de la tête étaient très gênés et très douloureu
outre cette jambe est raide, elle se plie diffi- cilement dans les mouvements de la marche. Par instants, on observe une légère
yeux n'augmente pas les oscillations. Au lit, dans un fauteuil, les mouvements des membres inférieurs sont parfai- tement libr
ermit de découvrir une paralysie de l'accommodation, avec perte des mouvements réflexes de l'iris dans un des deux yeux. Grâce à
oubles ocu- laires légers (inégalité pupillaire, anomalies dans les mouvements réflexes de l'iris) dans cinq observations de p
892 : paraplégie spasmodique ; dilatation pupillaire avec perle des mouvements réflexes de l'iris pour l'oeil gauche. Men... E
n qui tient ici sous sa dépendance l'abolition presque complète des mouvements réflexes de l'iris : nous nous contentons de re
llet pour pouvoir produire le phénomène de l'épilepsie spinale. Les mouvements volontaires (flexion, extension des jambes, abduc
alade oppose une grande résis- tance lorsqu'on le lui commande, aux mouvements provoqués dans les différents segments des memb
e la force musculaire il la pression de la main droite. De plus les mouvements de la main droite se font avec beaucoup moins d
rfs crâniens, il n'existe pas d'autre anomalie que la suivante. Les mouvements réflexes de l'iris ne se produisent pas du tout s
s ne se produisent pas du tout sous l'influence de la lumière : les mouvements réflexes de l'accommodation se pro- duisent trè
sicaux sont si légers, qu'ils méritent il peine qu'on en parle. Les mouvements réflexes de l'iris sont toujours nuls pour la lum
ableau clinique est singu- lièrement plus accentué. Les troubles du mouvement sont assez importants pour condamner le malade
es mem- bres inférieurs que sur l'autre, tandis que la paralysie du mouvement est plus profonde du côté opposé il celui où l'
RIÈRE. de paraplégies syphilitiques. C'est une paralysie absolue du mouvement que l'on observe ici le plus souvent : le malad
de la société, de gens qui sont poussés par un perpétuel besoin de mouvement , et dont la vie se passe en déplacements continue
anche et du genou, anesthésie en manchon de la hanche au genou. Les mouvements sont douloureux, mais pas d'inflammation. Pas d
celui de l'attaque d'hystéro-épilepsie type : arc de cercle, grands mouvements , attitudes passionnelles, etc. C'est ainsi du m
out le supérieur qui présente une sorte de raideur élastique. Les mouvements passifs sont difficiles à cause de la douleur et
passifs sont difficiles à cause de la douleur et de la raideur. Les mouvements actifs ne dépassent pas l'angle droit dans la fle
la flexion et l'horizon- tale dans l'élévation. La résistance aux mouvements est presque nulle, et douloureuse pour le coude,
e coude, l'épaule, le poignet. La jambe gauche est traînante. Les mouvements du genou douloureux et liz mités. T m. PL. XX
LE JUIF-ERRANT A LA SALPÊTRIÈRE 291 A droite la résistance et les mouvements sont bien conservés. - Pas d'atrophie musculair
rique (par M. le Dr Yigouroux). Réactions électriques normales. Les mouvements sont seulement limités par la raideur des muscles
campim8tre comme dans la recherche du champ visuel nous mettons en mouvement un petit papier'blanc dans les différents méridie
e tourne en dehors ; cet oeil reste en arrière dans tous les autres mouvements . L'amblyopie est survenue chez la malade après
sent comme pour sifller. Cette contracture de la face est suivie de mouvements des doigts de la main droite ; ils se fléchis-
rieur droit. Cette rigidité tonique débute dans les orteils par des mouvements pareils à ceuxque nous venons de voir se produi
t en adduction. Nous voyons donc, que la contracture débute par des mouvements dans les petits mus- cles ; les doigts de la ma
urés, la disparition commence à se manifester au pied par les mêmes mouvements de flexion et d'extension, que nous venons de d
la face se con- tractent les premiers (après une période de petits mouvements ) et sont suivis par ceux du bras et du membre i
s tactiles. Le son du diapason a un effet assez intéressant sur les mouvements des yeux; si nous le posons au-dessus du front,
arrivé à peu près à 80 de- grés, la moitié droite du corps fait un mouvement convulsif et devientrai- de. Nous avons produit
éveiller des sensations de lumière, mais suffisent à effectuer des mouvements ré- flexes. Cette interprétations'accorde avec
ts nerveux éveillant des sentiments de lumière et en même temps des mouvements , des réflexes ; la moitié nasale de la rétine p
l la moitié temporale avec des filets nerveux donnant seulement des mouvements réflexes. Mêmes conclusions pour les parties
mant une concavité antérieure; le ventre est en forme de voûte. Les mouvements passifs dans les articulations radio-car- pienn
beaucoup de lenteur, sans flexion des articulations du genou ; les mouvements passifs dans les articulations coxo-fémorale et t
et la sensibilité de l'articulation cubitale diminuent aussi et les mouvements passifs y deviennent possibles. La température de
côté externe de l'articulation cubitale disparaît; l'é- tendue des mouvements passifs s'accroît davantage. 8. - L'codème des
12. La tension des muscles apparaît de nouveau des deux côtés, les mouvements passifs dans les articulations de l'épaule et du
uban et du compas d'épaisseur, fournit des chiffres identiques. Les mouvements de flexion et d'extension redeviennent possible
turbe ; pendant des journées entières elle danse en exé- cutant des mouvements rythmiques. 29-31. Elle urine sous elle. 1-14
et se masturbe. 19-31. Elle chante plus rarement; elle exécute des mouvements ca- dencés et continue à prendre des poses. Ell
de plus en plus frustes, durant deux à trois minutes il peine. Les mouvements des membres paralysés, quoique pénibles et diff
. Pas de rétrécissement du champ visuel, pas d'achromatopsie. Les mouvements se font bien ; quelquefois limités pour les bras
vite : on dirait qu'ils ont peur de réveiller cette douleur par un mouvement trop brusque. Ils accusent aussi des sensations
ge (boule hystérique), perte de connaissance, arc de cercle, grands mouvements , attitudes pas- sionnelles. Au réveil, sensatio
72 (1893) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 4. Leçons sur les maladies du système nerveux
occipital ; — l q r, lobeorbitaire. Situation des centres pour les mouvements volontaires sur le cerveau du singe, d'après Ls d
eau du singe, d'après Ls descriptions de Ferrier :A, centres pour les mouvements volontaires du membre antérieur ; —B, centres pou
du membre antérieur ; —B, centres pour le membre postérieur : — C, mouvements de rotation de la tête et du cou ; — D, mouvement
ostérieur : — C, mouvements de rotation de la tête et du cou ; — D, mouvements des muscles de la face ; — E, mouvements de la la
de la tête et du cou ; — D, mouvements des muscles de la face ; — E, mouvements de la langue, des mâchoires, etc. ; — F, certai
; — E, mouvements de la langue, des mâchoires, etc. ; — F, certains mouvements des yeux, vision ; — G, centre en rapport avec le
ertains mouvements des yeux, vision ; — G, centre en rapport avec les mouvements des oreilles et l'audition^ ce qui concerne les
auteur, la partie postérieure du deuxième étage serait le centre des mouvements de la face, D. — 3° Enfin, dans le troisième étag
roisième étage serait placé, chez le singe, un centre qui préside aux mouvements des lèvres et de la langue, E\ c'est là que l'on
: 1° Le lobule pariétal supérieur (Ippa), qui est le cen-tre (B) des mouvements du membre inférieur, d'après Fer-mer ; 2° le lobu
onque aurait détruits. Ainsi s'expliquerait, par exemple, comment les mouvements volontairespeuvent se reproduire dans un mem-bre,
t. Un mois après, en janvier 1873, M. Duret a publié une note dans le Mouvement médical (1) concernant la partie de ses recherche
appée d'aphasie. 11 n'a-vait existé aucune trace de paralysie soit du mouvement , soit de la sensibilité. L'aphasie, dans ce cas,
dante, qui, chez le singe, est le siège, selon Ferrier,-du centre des mouvements du membre supérieur et, pour une partie, du mem
nes (ce sont les antérieures) sont centrifuges et en rapport avec les mouvements des mem-bres, tandis que les autres (les postérie
, la paralysie liée aux lésions des noyaux gris centraux porte sur le mouvement seul; les troubles de la sensibilité, se présenta
l'artère lenticulo-striée, la paralysie portera exclusivement sur le mouvement ; aucun trouble durable de la sensibilité ne vien
u lenticulaire tient sous sa dépendance, à la fois le sentiment et le mouvement volon-taire du côté opposé du corps?Cette conclus
quelquefois, en outre, diverses modifications de la sensibilité ou du mouvement dans les membres du côté droit du corps (2). Ces
ectés pendent flasques, iner-tes, et ne sont plus susceptibles que de mouvements pure-ment réflexes. En somme, vous le voyez, Me
nfluence des di-verses parties d'un hé- L mi sphère du cerveau sur le mouvement des membres du côté opposé du corps, cette contra
partielles du noyau caudé, produi-sent toujours, quoiqu'on fasse, des mouvements d'ensemble dans le côté opposé du corps et jamais
des mouvements d'ensemble dans le côté opposé du corps et jamais des mouvements dis-sociés, localisés par exemple dans un membre
ltmann et Tarchanoff sur es cerveaux des animaux nouveau-nés doués de mouvements volontaires. — Chez l'homme, à la naissance le ce
'excitation électrique des régions dites psychomotrices détermine des mouvements dans les membres ou les autres parties du côté op
oins prononcé dans ces mêmes membres, qui tout à l'heure entraient en mouvement sous l'influence des excita-tions. Eh bien, Messi
archanoff, chez les animaux qui naissent les yeux ouverts et doués de mouvements volontaires. En même temps, d'après ces mêmes rec
nta les symptômes suivant : à gau-che, anesthésie et conservation des mouvements ; à droite, hyperesthésie et paralysie du membre
s faisceaux postérieurs et de la substance grise laisse persister les mouvements volontaires dans les pattes postérieures. B. Le
-naître l'influencedes faisceaux spinaux sur l'exécution de quel-ques mouvements volontairesd'une analyse facile (saut, courses ma
dal. 1° La section des faisceaux postérieurs ne modifie en rien les mouvements volontaires (Fig. 76) (2). 2° Il est très remar
onnée, sans qu'il s'en suive aucune modification dans l'exécution des mouvements volon-taires. On voit par là que la moitié postér
éraux subsistant, sans qu'il se produise aucune modification dans les mouvements volontai-res. (Fig. 78). 4° Si, au contraire, l
u-vements du nouveau-né sont entièrement d'ordre réflexe. IV. Les mouvements réflexes sont mis au contraire sur le deu-xième p
ememt des faisceaux pyrami-daux est accompti, et ce sont dès lors les mouvements volon-taires qui prédominent. L'influence modér
lui-même. Le malade, d'ailleurs, est inca-pable d'imprimer le moindre mouvement aux diverses par-ties de ce membre ; il en est de
s frappés d'hémiplégie. Très certaine-ment, alors, l'intégrité de ces mouvements est définitivement compromise. C'est qu'en effe
ovoque une série de secousses dont l'en-semble constitue une sorte de mouvement rhytmé, de trem-blement à oscillations plus ou mo
n-tracture. Chez les hémiplégiques qui jouissent encore de quelques mouvements , cette même trépidation, qui s'étend dans cer-tai
cas au membre tout entier, peut aussi se manifester à l'occasion d'un mouvement volontaire. Il s'agit là d'un phénomène réflexe
rs. Enfin, chez les hémiplégiques qui jouissent encore de quel-ques mouvements , cette même trépidation du pied, qui, quel-quefoi
à toutes les parties du membre, peut se ma-nifester à l'occasion d'un mouvement volontaire. Provoquée ou spontanée, la trépidat
uer le phénomène du genou, il se produit quelquefois simultanément un mouvement d'ad-duction de la cuisse opposée. Dans un cas de
ant-bras sur le bras ; la percussion du tendon du triceps provoque un mouvement inverse ; et, de même, on arrive aisément à produ
un mouvement inverse ; et, de même, on arrive aisément à produire des mouvements de flexion des doigts, de flexion et de pronation
de l'avant-bras les tendons des divers muscles qui accomplis-sent ces mouvements . IV. J'en aurais fini, Messieurs, avec l'étud
Je parlerai, en premier lieu, des phénomènes connus sous le nom de mouvements associes, syncinésies, comme les nomme M. Vulpian
t, d'un éternuement, il se produit parfois chez les hé-miplégiques un mouvement automatique dans le membre su-périeur, alors même
que nous envisageons, l'occlusion de la main du côté non paralysé, le mouvement individuel de l'un quelconque des doigts entraîne
ve-ments semblables dans la main ou les doigts du côté para-lysé. Ces mouvements provoqués par association sont, je le répète, tou
ent l'effet du médicament, qu'elles sont plus complètement privées du mouvement .... Voilà, ajoute-t-il, des faits qu'il nous sera
peine accentuée, contracture en flexion, rendant fort douloureux les mouvements spontanés ou provoqués. Au-jourd'hui, six semaine
s muscles paralysés, lesquels sont à la fois privés de tonicité et de mouvements volontaires. 2° Il serait également facile de d
asion d'une émotion, quand le malade se lève ou cherche à exécuter un mouvement . Nous verrons comment on a proposé d'expliquer ce
quer ce phénomène qui a été rattaché par M. Hitzig à la catégorie des mouvements associés. B. Un mot encore sur les attitudes de
urfaces articulaires s'accommodent à leur situation nou-velle, et les mouvements volontaires, s'ils devaient reparaître, resteraie
ois dans lacontractureunamendement notable et que, par ce fait, des mouvements volontaires peuvent être accomplis à nouveau. C'e
ontaires sur l'intensité de la contracture. — Syncinésies. — Rôle des mouvements associés dans les variations de la contracture. —
ibles ; mais aussitôt que le malade se lève, ou s'il veut imprimer un mouvement soit au membre malade, soit au membre sain, aussi
té. Cette augmentation, ce retour de la rigidité sous l'influence des mouvements volon-taires est surtout bien mis en relief si, c
à juste titre comme rentrant dans la catégorie de ces syncinésies ou mouvements associés dont je vous ai déjà dit quelques mots.
s particulières ; et ce sont ces groupes cellulaires qui exécutent le mouvement voulu. Il y a, du reste, des groupes élémentaires
ocalisations. 22 ments élémentaires ; des groupes associés pour les mouvements plus compliqués* les mouvements d'ensemble. Ces g
aires ; des groupes associés pour les mouvements plus compliqués* les mouvements d'ensemble. Ces groupes sont répartis de chaque c
pes sont répartis de chaque côté de la moelle ; les uns président aux mouvements du côté droit, les autres à ceux du côté gau-che.
omologues. Dans l'état normal, ces con-nexions n'empêchent pas que le mouvement voulu conserve son indépendance, son individualit
es, le moindre ébranlement qui se produit d'un côté et y détermine un mouvement volontaire peut se communiquer de l'autre côté et
y provoquer, suivant les cas* soit un mouve-ment volontaire, soit un mouvement spasmodique qui n'est autre que la contracture, l
ès éloignés les uns des autres, et on comprend que, dans ces cas, les mouvements volontaires exécutés par les membres du côté sain
aire comprendre pourquoi la contracture s'aggrave sous l'inflence des mouvements volontaires, mais il ne nous a pas fait comprendr
longtemps gardée, et, en somme, malgré le retour possible de quelques mouvements volontaires, la déformation per-siste. II. Ac
e incontestablement pour une bonne part à donner à la démarche et aux mouvements des membres, les-quels conservent d'ailleurs pend
plus violentes, restent sans résultat; elles ne sont suivies d'aucun mouvement réflexe (voy. Fig. 87). 3° Au contraire, dans l
les nerfs centripètes mus-culaires. 3° Enfin, dans la catégorie des mouvements associés, nous sommes en mesure d'interpréter ais
réter aisément l'aggravation de la contracture sous l'influence des mouvements volontaires im-primés au membre sain. Il suffit d
s'est répandue d'une corne grise à l'autre, on comprendra comment les mouvements volontaires qui (1) Arch. f. Pstjch., VI Bd., S
té réflexe. C'est en effet dans le cas de compression spinale que les mouvements réflexes sont le plus intenses ; ils sont alors
introduction d'un ca-théter déterminent des secousses énergiques, des mouvements convulsifs involontaires dans les membres paralys
ue, complète, a pu être constatée. L'état spasmodique se dissipe, les mouvements Volontaires s'exécutent de nouveau ; seulement le
is possible au malade de les appuyer à terre. Enfin, dès les premiers mouvements de marche, « le tronc se redresse et se renverse
ale, complète, il y a à signaler des cas de guérison imparfaite ; les mouvements reparaissent dans les membres inférieurs, grâce à
at normal, et la trépidation spinale survient à l'occasion du moindre mouvement volontaire. Lorsqu'il s'assied sur un siège un pe
ire agite avant qu'il soit appuyé de nouveau sur le sol. » Dans ces mouvements de progression, tantôt la pointe du pied est abai
origine, et aussi les muscles striés auxquels ceux-ci transmettent le mouvement . C'est qu'en effet, Messieurs, les diverses par
be tressaute et même, parfois, reste animée pendant quelque temps des mouvements rapides de l'épilepsie spinale. Enfin, ces deux m
e émet un son monotone, nasillard, à chaque instant interrompu par un mouvement de déglutition pénible. Elle peut cepen-dant fair
ndue plus pénible par une trépidation spinale spontanée, qui gêne ses mouvements à tout instant, et qui lui donne une attitude sau
t dans les muscles adducteurs de la cuisse. La tête est immobile. Les mouvements des yeux sont libres, mais le visage est inerte,
s le visage est inerte, surtout à droite. Le cou a con-servé quelques mouvements de latéralité, mais toujours la tête s'abandonne,
exion, avec quelques mou-vements de trépidation. Cependant de faibles mouvements vo-lontaires sont encore possibles. Les membres
Dans le même genre, M. Leyden signale la trépidation à l'occasion des mouvements de progression, cette trépidation sur laquelle M.
-dissement du même côté; contracture de la main (les doigts fermés) ; mouvements associés ; commissure buccale droite rele-vée; la
e, mais il ne sait pas qu'on soulève ou qu'on écarte les doigts ; les mouvements forcés desjointuressont douloureux; diminution de
tmann et Tarchanoff sur les cerveaux des animaux nouveau-nés doués de mouvements volontaires. — Chez l'homme, à la naissance le ce
.. 320 QUATORZIÈME LEÇON. Hémiplégie spasmodique de l'enfance. -- Mouvements associés. --Indépendance des arcs diastaltiques p
ontaires sur l'intensité de la contracture. — Syncinésies. — Rôle des mouvements associés dans les variations de la contracture. —
l, 182,275. Méningite spinale hypertrophique, 378. Migraine, 148. Mouvements associés, 317 ; — per-manents, théorie de Hitzig,
n, 328, 345. Suppléance fonctionnelle, 100, 157. Syncinésies. (v. Mouvements as-sociés.) Syphilitique (Myélite), 359, 361.
73 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
onstate facilement 10 CLINIQUE NERVEUSE. une paralysie absolue du mouvement dans les membres supé- rieur et inférieur du cô
e jour après l'accident, au 10 avril, pour voir reparaître quelques mouvements assez faibles d'ailleurs dans les membres paral
ièrement; cet état dura quelques semaines, puis peu à peu de légers mouvements revinrent dans les paupières et, dix semaines a
a para- lysie on ne pouvait plus remarquer aucun trouble dans les mouvements des muscles de l'oeil, mais la mydriase subsistai
de vision à gauche, l'oeil n'atteignait pas la position moyenne, le mouvement en haut et en dehors faisant complètement défau
eur moyenne, notablement plus large qu'à gauche; elle n'avait aucun mouvement . L'acuité visuelle (examinée avec un diaphragme
phénomènes d'hémi- plégie et d'aphasie (mais avec conservation des mouvements de la langue); nous avons vu dans ces symptômes
zie, qui fait des contractures tardives des hémiplégiques un simple mouvement associé exces- sif, provoqué par le moindre mou
ues un simple mouvement associé exces- sif, provoqué par le moindre mouvement volontaire exécuté par le côté sain. Pourtant,
langue est déviée d gauche. des zones cékébralks motrices. 35 Les mouvements du membre supérieur sont possibles mais lents,
conservée. Mais toute excita- tion est infructueuse à provoquer un mouvement ; les membres soulevés retombent flasques et in
fais- sement fit place à un état comateux, accompagné de quelques mouvements convulsifs du membre supérieur droit. Ce coma s
uvelaient quinze à vingt fois par jour, sous l'influence du moindre mouvement volontaire, du moindre contact. L'in- telligenc
d'accès névralgiques ; grande lourdeur dans les membres pendant les mouvements ; les muscles du mollet gauche semblent tendus et
et des sensations anormales dans l'extré- mité supérieure dont les mouvements sont faiblement ralentis. P= 160, à peine sensi
roscopiques 11 l'appui. SOCIÉTÉS SAVANTES. 103 M. Gaasnsr. Sur le mouvement du sang dans le crâne. Il est généralement reco
a bouche se trouvait tiraillée par des grimaces en rapport avec les mouvements respiratoires. Il suffisait de sou- mettre le p
servera ce nom à ceux qui deviennent plus intenses à l'occasion des mouvements intentionnels ; ils émanent de l'irradia- tion
ne), que cette sollicitation soit d'o- rigine psychique ou motrice ( mouvements voulus), ils n'ont rien à voir avec la chorée.
ts voulus), ils n'ont rien à voir avec la chorée. L'association aux mouvements respiratoires de convulsions pathologiques plai
res cervicales pour qu'elle revienne aussitôt, précédée de quelques mouvements de mâchonnement et de déglutition. Il est donc
u niveau de la fosse temporale gauche, batte- ment qu'il compare au mouvement du balancier d'une pendule. Cet homme mange auj
mentale, cette cause ne peut l'avoir pro- duite qu'en provoquant un mouvement fltixioniiaire ou congestif 'que peut seul expl
état fébrile sous l'influence duquel' était B... en ce moment. Ce mouvement fluxionnairf, reflétant en cela sa nature, s'es
. Les muscles sont mous, lâches et n'opposent aucune résistance aux mouvements qu'on veut imprimer aux membres. » Nous verrons
on lit. Allongé dans son lit, il fait, les yeux ouverts, tous les mouvements qu'il veut avec ses membres inférieurs et il les
plus qu'une barre rigide avec les membres gros et durs. Certains mouvements sont du reste remarquablement con- servés. Ains
l porte la main à son nez, sur l'épaule opposée, etc. Cependant les mouvements précis des doigts sont très difficiles ou même
dit Leyden, sont mous, lâches et n'opposent aucune résistance aux mouvements qu'on veut imprimer aux membres ; on n'a pas ob
rte la main à l'épaule ou au nez, mais les contractures rendent les mouvements précis très difficiles, sinon impossibles. Ains
sens mus- culaire ; le malade, les yeux fermés, sent très bien les mouvements passifs que l'on imprime à ses doigts et reconn
des muscles buc- caux. Les deux mains présentaient des désordres du mouvement , du tremblement choréiforme et à gauche une lég
emblement choréiforme et à gauche une légère alaxie dans les grands mouvements . Souvent M. D... se plaignait de froid et d'eng
oduisent des troubles de la vue sans troubles des autres sens ni du mouvement . 2° La seule lésion qui produise la perte compl
isuel, avec hémianesthésie et troubles ataxiques ou choréiformes du mouvement dans une moitié du corps, sans hémiplégie nette
'au bout de quel- ques heures qu'elle accuse une faiblesse dans ses mouvements et une forte envie de se coucher; alors elle es
tissus qui entourent les articu- lations affectées, de même que les mouvements communiqués à ces mêmes articulations provoquen
e le 8. Le 12, diminution du gonflement du genou gauche, dont les mouvements causent moins de douleur; contracture léthargique
herchant les contractures du membre inférieur de ce côté, de petits mouvements répondent à l'excitation des extenseurs des ort
rmant ainsi mille dessins changeant à divers endroits du noyau; ces mouvements sont, quant à leur rapidité, comparables aux mo
noyau; ces mouvements sont, quant à leur rapidité, comparables aux mouvements amiboïdes des globules blancs; cette vitesse va
lancs; cette vitesse varie; mais elle ne dépasse pas les limites du mouvement protoplasmique. Une longue observation ou la com-
ve reliée plus haut ou plus bas qu'à son point de départ. Outre ces mouvements visibles que le sujet en expérience et l'expéri
is longtemps de ce fait, que nous n'avions aucune conscience de ces mouvements lents, même lorsqu'ils nous ont fait parcourir
résultats. Nous avons conscience des mou- vements rapides, mais les mouvements lents, tout en passant dans tous les muscles vo
ous les muscles volontaires, échappent à notre conscience. Dans les mouvements volontaires rapides, nous savons exacte- ment q
olontaires rapides, nous savons exacte- ment qu'il s'est produit un mouvement et quel en a été le trajet, ce qui nous échappe
nous échappe, c'est le moment précis de l'arrêt. Ces études sur les mouvements peuvent être nommés pho ? ,oly- tiques, de l'an
, de l'ancien mot plcoronomie, qui veut dire étude sur les lois des mouvements . De là l'analyse des mouvements chez l'homme vi
ui veut dire étude sur les lois des mouvements. De là l'analyse des mouvements chez l'homme vivant a été nommée phorolyse. Deu
vements chez l'homme vivant a été nommée phorolyse. Deux espèces de mouvements échappent à notre conscience : I, ceux qui sont
dont les détails ne peuvent être saisis par nous; un exemple de ce mouvement nous présente le pouls; nous avons recours au s
it cette immobilité abso- lue, impossible, le bras prenant part aux mouvements de projec- tion du thorax. Avant d'entrer dans
je les plaçais devant le kymographe et je prenais le tracé de leurs mouvements . La ligne de ce tracé était presque droite, et
; l'homme ne peut en faire autant. Si, en faisant abstraction des mouvements respiratoires, nous observons la courbe que nou
lue que celle de la grenouille, pour toutes sortes de raisons, les mouvements respiratoires, entre autres. Il y a cependant des
ui, par sa régularité, se rapprochait de celle des grenouilles; ces mouvements respira- toires même avaient peu d'influence. L
cette nature, chez qui les désordres s'observent plutôt dans leurs mouvements que dans leurs discours. La méthode sert à lais
85, nous revoyons cet enfant. Il a été pris, il y a- huit jours, de mouvements choréiques. Sa mère avait remarqué que, depuis
oncée aujourd'hui qu'hier : parole difficile, grimaces incessantes, mouvements continuels des bras, des jambes. La marche est
moment, sans cause connue, l'agitation a reparu tout d'un coup : mouvements de la tête, des yeux , des membres, envie de
enfant parait à peu près guéri : parole libre, absence de grimaces, mouvements des membres réguliers, marche na- turelle : cep
toujours employer sa main gauche; en même temps il se pro- duit un mouvement associé dans la main droite. Immobilité des mem
férieurs; le déplacement forcé d'une de ces extrémités détermine un mouvement associé dans l'autre. Diminution de la sensibil
ndineux; le chatouillement de la plante des pieds se traduit par un mouvement associé du côté opposé; réflexes cornéens et na
ni. Portes à serrures (Dsiotsuki no To`; n. Puits (Ido). 4 MOUVEMENT DE LA POPULATION DE L'ASILE DE TOKIO SOCIÉTÉS S
lors, il se plaignit parfois, notam- ment à l'occasion de certains mouvements ou d'efforts, de dou- leurs occipitales etrachi
se, parmi ses malaises antérieurs, de violentes cépha- lalgies, des mouvements choréiformes, des tremblements convul- sifs, s'
coïter : ataxie extrêmement accentuée des membres inférieurs et des mouvements de préhension. Le troisième ataxique présentait
lui fait exécuter dans une baignoire des SOCIÉTÉS SAVANTES. 299 9 mouvements circulaires; il n'est, pour le reste, ataxiqueque
axiqueque quand on lui obture les yeux, sa vue rectifiant assez ses mouvements pour qu'il puisse presque se passer d'une canne
filets sensitifs contenus dans ce nerf, qui règlent le-rhythme des mouvements respira- toires, se rendent à la moelle allongé
ls n'ont pu avaler coup sur coup. M. l3a : uur.ea. Remarquait-on un mouvement ondulatoire dirigé de la cathode à l'anode, ou
cli- nique, on n'y rencontre pas le tremblement à l'occasion des mouvements voulus, le nystagmus et le trouble de la parole,
teints, ainsi que les cir- constances qui arrêtent ou exagèrent les mouvements anormaux. A l'aide du poiygraphedeMarey, il a p
Friedmann (de Stephansfeld). Contribution à l'étude du sopor et des mouvements automatiques dans les états d'hébétude. Si l'on
tion sensorielle apparente, mai il répond encore aux appels par des mouvements du regard, sans cependant fixer; la spontanéité
ard, sans cependant fixer; la spontanéité ne se traduit que par des mouvements automati- ques d'un bras, mouvements presque in
éité ne se traduit que par des mouvements automati- ques d'un bras, mouvements presque ininterrompus, et toujours égaux à eux-
eu de cet état que sur- vient un soir le sommeil; alors cessent les mouvements automa- tiques ; pupilles étroites, mouvements
l; alors cessent les mouvements automa- tiques ; pupilles étroites, mouvements des globes oculaires propres au sommeil 1; si o
té, c'est-à-dire que les pupilles se dilatent au maximum et que les mouvements automatiques reparaissent; au bout de quelque t
e sortir le malade de sa somnolence. On y constate du myosis et les mouvements continus des yeux propres au sommeil (par absen
els élevés et par le défaut d'action psychique proprement dite. Les mouvements soporeux des yeux ' peuvent se joindre à ces ét
éra- tion fonctionnelle du système moteur, qui se traduit par des mouvements automatiques. Généralement ils offrent nettement
Ils portent l'empreinte d'une action bornée; ce sera par exemple un mouvement de préhension effectuée sans interruption, ni m
es automatiques par voie réflexe, on note la même répéti- tion d'un mouvement sans but, ou une durée démesurément longue de l
es à l'aide de sollicitations extérieures, relativement faibles, le mouvement exagérant en somme l'intensité de l'excitation.
plus grande, puisqu'ils entrent plus facilement en jeu, puisque le mouvement qu'ils produisent dure plus longtemps, et leur
ieur du cerveau, comme en témoigne l'uniformité du,mouve- ment ; un mouvement monotone prouve le cantonnement de l'ex- citati
péri- phérie : déficit de la motilité par ce mécanisme. Les mêmes mouvements automatiques exagérés, empreints des mêmes cara
consécutives à des fatigues corporelles ou psychiques graves. Ces mouvements apparaissent môme au début, les uns sous la forme
ues relativement violents sans but déterminé. Une modalité de ces mouvements est constituée par les gestes de rejet. Si on les
nts est constituée par les gestes de rejet. Si on les com- pare aux mouvements automatiques du sopor, il appert que les facult
t à l'impossibilité de se tenir debout et de marcher; intégrité des mouvements isolés. Diminu- tion très accentuée de la sensi
4 et 5). P. Ki'.RAVAL. FAITS DIVERS Asile d'aliénés de la Seine : mouvement de la population en 1885. Sauf quelques placeme
iles, annexe de l'asile Clinique (Sainte-Anne). Voici quel a été le mouvement de la po- pulatioti du bureau d'admission en 18
vives au niveau de l'épaule et manifestement exagérées soit par les mouvements , soit par la pression des muscles; la sensibili
ysie du bras et de la jambe droits commence à s'a- mender, quelques mouvements deviennent d'abord possibles dans les doigts et
urs persistent toujours du côté gauche. La main a recouvré quelques mouvements limités. Les ulcérations développées an niveau
gestion, et quand enfin M. Hôgyes a vu des symptômes semblables aux mouvements asso- ciés ; ce serait vraiment un hasard étran
oulever mon bras, lorsque quel- qu'un le retient, il n'y aura aucun mouvement visible malgré tous les efforts; dans ce cas, j
hain supposent que les cellules ganglionnaires sont dans un certain mouvement moléculaire pendant leur vie; si ce mouvement a
ont dans un certain mouvement moléculaire pendant leur vie; si ce mouvement augmente d'abord l'irritabilité devient plus co
ar une vibration molécu- laire d'une direction contraire à celle du mouvement . S'il y a des centres d'inhibition, leur action
aut qu'elle soit d'une certaine force , et elle doit supprimer un mouvement totalement, il faut qu'elle soit encore plus fo
ler une irritation dans le temps. Et puis, comme on peut finir un mouvement quand on le veut, on peut le re- produire aussi
a touche, parce qu'il semble être sûr qu'au moins la sensibilité du mouvement est loca- lisée aux zones motrices ; or, nous s
ient que l'hypothèse deMeynert, Munk et Wernicke, sur l'origine des mouvements , est insou- tenable. Cette hypothèse dit, comme
tenable. Cette hypothèse dit, comme on le sait, que les images des mouvements sont emmagasinées dans les zones motrices. Comm
nt-ils, que, tandis que les courants forts provoquent les images du mouvement , les courants faibles provoquent ceux du repos.
trices par l'électricité agit aussi par l'évocation des images du mouvement . En effet, en appliquant les rhéophores sur l'é
XI. 4 370 pathologie nerveuse. plus fort évoquera une image d'un mouvement plus intense; un courant faible, au contraire,
ur raison que l'homme ne fait pas attention à chaque pas aux petits mouvements dont la marche est composée; même on dépasse le
caux : l'extrémité correspon- dante ne pourra jamais exécuter aucun mouvement volontaire. A peine peut-on considérer quelque
extrémités, il faut se rappeler que la plus grande partie de leurs mouvements est DE l'hypnotisme. 373 innée. De même, en p
innée. De même, en parlant, nous ne cherchons pas péniblement les mouvements nécessaires pour-pro- noncer les syllabes, pour
endineux. Je crois qu'on peut prouver qu'ils ont eu affaire à des mouvements réflexes de nature tout à fait différente. A qu
'heure. Tandis que ceux-là se manifestent seu- lement par un simple mouvement , ceux-ci ont pour effet des mouvements plus com
t seu- lement par un simple mouvement, ceux-ci ont pour effet des mouvements plus complexes , dont on a acquis l'habitude pa
este dans la proportion qui est entre l'extension et l'intensité du mouvement produit. Cela exige une explication un peu plus
malaxation des antagonistes. On sait depuis Duchenne qu'à chaque mouvement , outre les muscles qui l'exé- cutent, encore le
rs aux premiers détermine la sûreté, la direction et la grandeur du mouvement . Cela arrive de même dans les contractures pend
e, quand 1 Voy. t. XI, p. 156. DU TABES COMBINÉ. 381 il fait un mouvement avec la jambe du même côté. Tombe assez souvent
st signalé à un moindre degré : mala- dresse, oscillations dans les mouvements , indécision, marche incertaine et chancelante,
né. On a noté des contractures, des crampes, des se- cousses, des mouvements involontaires, de la raideur, de la résistance
de ce mode d'électrisation à l'élon- gation des conducteurs par les mouvements forcés ainsi produits, ainsi qu'à l'excitation
s'est affaibli; il est devenu insaisissable juste au moment où les mouvements musculaires allaient com- mencer. Deux ou trois
uation de calme chez une hallucinée dont l'esprit est sans cesse en mouvement et dont les globes oculaires, lorsqu'on cherche
qu'on cherche à les immobiliser avec les doigts, sont sans cesse en mouvement sous les paupières abaissées ? Comment obtenir
plaques : paralysie avec contractures, tremblement à l'occasion des mouvements volontaires, exagéra- tion des réflexes tendine
iode de dépression. Quelquefois on observe une incoordination des mouvements analogues à celle du labes ataxique. Ce pseudo-
, par Hasse, 88. Asiles de Saxe, par Pcetz, 9G ; - z de la Seine ( mouvement de la population en 1 SS5), 333 ; - (ius- pec
rayonnante, par Meynert, 116. Criminalité et folie, 123. Crâne ( mouvement du sang dans le), Gi,asli( ? 103. Curarine (a
74 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
es ongles poussent bien plus rapidement et sont plus brillants. Les mouvements sont plus vifs, la parole est moins lente, le m
e un lobe tous les deux jours jusqu'à la date du 30 septembre : les mouvements et la parole sont plus vifs, l'intelligence est
ka. 500. Wathi... parait plus agile ; elle a moins de répugnance au mouvement et essaie, ce qu'on ne lui avait jamais vu fair
s est encore mal assuré. Elle a une assez grande répugnance pour le mouvement , préfère demeurer assise. La physionomie est do
ur la faire marcher sans soutien. Aujourd'hui sa répugnance pour le mouvement a disparu; elle essaie de marcher spontané- men
sa teinte jaune de cire, diarrhée au lieu de constipation. Tous les mouvements s'assouplissent : la préhension est moins lente
motrice. La simulation est grossière. L'ataxique, quand il fait des mouvements , dépasse le but ou ne l'atteint pas, aussi, qua
même suivi un traitement. En même temps que la régularité dans les mouvements , Delannoy a recouvert la mémoire, mais il se pl
ne saurait y avoir de doute à cet'égard. Quant aux- troubles des mouvements présentés par Delannoy pendant trois semaines,
te du crâne, opéré du trépan, il présentait au niveau du centre des mouvements de la face et du bras dans l'hémisphère gauche
années avec persistance de phénomènes hémiparétiques à eauche avec mouvements choréiques. Emotivité spéciale persistante comme
m de lalah une maladie dans laquelle le malade parle ou exécute des mouvements malgré lui. Ces mouvements accompagnent ou suiv
laquelle le malade parle ou exécute des mouvements malgré lui. Ces mouvements accompagnent ou suivent des sons ou des mots, g
rait d'un affaiblissement de la volonté, impuissante à empêcher des mouvements ou des paroles qu'on ne désire pas. Cet affaiblis
sociation existant entre les mots et les sensations musculaires des mouvements de l'écriture, ces derniers pouvant quelquefois
rire, dit l'auteur, surtout le rire franc, procède de l'action des mouvements respiratoires, de la tension des cordes vocales,
vocales, de la sécrétion des larmes, de phénomènes vaso-moteurs, de mouvements des muscles de la physionomie (mimique). Or,
ymale, des centres vaso-moteurs, des centres moteurs commandant aux mouvements volontaires de la face et à la mimique. D'autre
; la couche optique, en particulier, participe à la réalisation des mouvements affectifs ou de l'expression. Quand on excite la
u'on lui disait, mais ne pouvait pas parler : il avait de fréquents mouvements spasmodiques affectant surtout le bras, l'avant
recouvre progressivement et à peu près complètement la parole et le mouvement ; mais les crises spasmodiques subsistent environ
t dans un délai rigoureux de quinze secondes on voit apparaître des mouvements convulsifs de nature alternativement tonique et
à tout le côté droit de la face. Au bout de cinq minutes, tous les mouvements musculaires disparaissent, et il subsiste de la p
sphère cérébral droit. La douleur et la pares- thésie ainsi que les mouvements convulsifs initiaux débutent par les doigts, il
e ne sont pas modifiés; le bras gauche se meut plus librement ; ses mouvements d'élévation, de flexion et d'exlen- REVUE DE TH
sont plus faciles, mais ils demeurent très affaiblis, ainsi que les mouvements de pronation. Les doigts sont ordinairement dans
igts sont ordinairement dans l'extension ; mais il existe de légers mouvements de flexion, d'ad- duction et d'abduction : en s
mouvements de flexion, d'ad- duction et d'abduction : en somme les mouvements du bras sont améliorés. La douleur, l'hyperal
tée, et chez laquelle les hallucinations devinrent provocatrices de mouvements divers, en rapport avec la conception délirante.
éprouverait des troubles de la sensibilité générale déterminant des mouvements , provoquant eux-mêmes l'hallucination. Congrè
me de la volonté, la conscience de la volonté, actions volontaires, mouvements expressifs, faits éthi- ques. Conscience person
lgique. 1891. CAU\IVE.1U. Un nouveau type de paralysie associée des mouvements horizon/aux des yeux. Brochure m-8" de 11 pages
et il les interprétait d'une manière erronée en les attribuant aux mouvements de vers qui s'agi- taient et sortaient de sa pe
nt sa vie des hallucinations psycho-motrices verbales ainsi que des mouvements de mastication, l'existence d'adhé- rences méni
on de la fonction : à de la contracture, à des convulsions, à des mouvements choréiques s'il s'agit d'un centre moteur, à des
être étroitement liée à la danse. Chez tous les peuples, certains mouvements , comme ceux de ramer, de bercer, sont accompagnés
, avec des contractions du muscle tenseur du tympan, avec de légers mouvements de la gorge ou du larynx. Quelquefois la musiqu
cilement compte de beaucoup d'altérations de la sen- sibilité ou du mouvement couramment observés dans la paralysie générale
s troubles moteurs sont de la catalepsie et l'exécution monotone de mouvements automati- ques. La sensibilité générale paraît
toire de la circonvolution pariétale ascendante (cor- respondant au mouvement des doigts), l'autre plus étendue, sié- geant d
tômes suivants : a) Idées obsédantes; - h) Sensation obsédantes; c) Mouvements 144 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. obsédants (i
ar les auteurs sont des plus démonstratives et montrent combien les mouvements , tout REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 147 d'abor
est généralisé à l'épaule et au bras : le point de, départ a été un mouvement des- tiné à atténuer une douleur de la nuque. V
- tiné à atténuer une douleur de la nuque. Volontaire d'abord, ce mouvement devient involontaire par habitude et le torticoli
ontaire à son tour, et au tic du cou s'ajouta le tic du bras. Les mouvements spasmodiques se sont compliqués chaque jour de
t des vaches, le bêlement des moutons. Elle présentait en outre des mouvements involontaires qui d'abord limités à la tête s'é
es violentant au besoin. Devenue enceinte, elle éprouvait à| chaque mouvement de l'enfant plus de jouissance qu'à l'accomplis
ti- tion automatique des mêmes mots, des mêmes phrases, des mêmes mouvements ; ces phénomènes stéréotypés et dénués de toute
siles, et les proportions inouïes qu'atteignent la population et le mouvement des services, le traitement des sujets atteints
tat de légère parésie comparativement au côté gauche; dans tous les mouvements mimiques la moitié gauche tire de son côté. La
s comparativement que les muscles de l'avant-bras et du bras. Les mouvements actifs de la main droite sont faibles, mal coor-
Les membres inférieurs se trouvent dans la situation suivante : les mouvements actifs des cuisses sont pos- sibles quoique fai
pieds sont presque tout à fait impossibles, et dans les doigts les mouvements actifs manquent totalement. Les réflexes patell
pieds plus que dans la région de la jambe et de la cuisse. Certain mouvement des pieds, leur toucher et le déplacement du ma
esse. Très sensible au froid. Pas de mouve- ments spasmodiques. Les mouvements volontaires s'accomplis- sent normalement. - Le
ique, Camille C... a eu une violente crise de colère accompagnée de mouvements convulsifs. Ses parents durent le quitter à l'imp
s son INSTABILITÉ MENTALE. 203 corps se raidit et parait agile de mouvements convulsifs. Il ne s'arrête pas de crier. Grossi
t en outre distraire le malade soit par des questions, soit par des mouvements imposés des membres supé- rieurs pour se mettre
s presque tous les cas une améliora- tion plus ou moins notable des mouvements ; quelquefois, au bout d'un mois et demi, il y
e circonvolution (Landois), immédiatement au-dessus du centre des mouvements de la déglutition, accélère la respiration en pro
xpiratoire. Assez souvent cette dyspnée expiratoire est suivie d'un mouvement de déglutition, ce qui prouve l'extrême vicinit
L'INFLUENCE DE l'écorce CÉRÉ- BRALE ET DES COUCHES OPTIQUES SUR LES mouvements DE la DÉGLU- TITION ; par W. DE Bechterew. (Neu
du centre cortical des extrémités, dont l'exci- tation produit des mouvements de mastication, suivis de l'acte de la déglutit
le .chien, dans l'écorce, le centre de la déglutition de celui des mouvements des maxillaires et de la langue, de celui de l'
HYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 227 centre. Le centre de coordination des mouvements nécessaires à l'opération de manger serait la c
de Bechterew trouve dans les couches optiques un centre pour les mouvements de l'estomac et de l'intestin ; elles sont bien l
stin ; elles sont bien le lieu où prennent naissance l'ensemble des mouvements nécessaires à la nutrition de l'organisme, depu
ateurs qui font du cervelet tantôt un organe de la coordination des mouvements et de l'équilibre (Flourens, Ferrier), tantôt u
symptôme unilatéral. B... n'a jamais présenté ni incoordination des mouvements , ni vertiges, ni troubles de la sensibilité gén
fut ouvert vidé et guéri. Quelque temps après l'enfant fut pris de mouvements spasmodiques, intéressant d'abord les muscles d
paralysé, sans pouvoir faire agir un seul muscle des extrémités. Le mouvement revint d'abord à la main droite, puis au bras g
groupes musculaires qui ont coutume de s'associer pour exécuter un mouvement intentionnel : elles peuvent être passagèrement
rement maîtrisées par un effort volon- taire et cessent pendant les mouvements intentionnels. Au point de vue mental on note l
nt partiellement maî- trisés par les efforts volontaires. De légers mouvements persistent pendant le sommeil. Les mouvements c
olontaires. De légers mouvements persistent pendant le sommeil. Les mouvements convulsifs sont d'ordre clo- nique et intéresse
arrive quand l'attention est fixée sur ce point, ou encore dans les mouvements intentionnels. - Si la lésion des couches motri
n d'un tremblement aux mains s'accen- tuant surtout dans les petits mouvements (écriture) : à dix-neuf ans, tremblement des pi
tion, un peu de trem- blement du visage et de la langue. Les petits mouvements de pré- cision n'augmentent pas le tremblement
pour admettre que le tremblement dans cette maladie accompagne les mouvements , et pour mettre en doute la possibi- lité de sa
mois ; 3° après l'ablation complète du cervelet, chez l'animal, les mouvements des extrémités infé- rieures sont entravés et l
n ; 4° le cervelet exerce une certaine action sur la régulation des mouvements mus- culaires, soit de coordination, soit de co
et, considéré comme centre nerveux, préside à la coordination des mouvements musculaires, laquelle a pour résultat de mainteni
ontrent qu'il n'y a pas là de règle absolue, mais que cependant les mouvements du sujet se dirigent généralement du côte sain
y a jamais ni chute, ni morsure de ]" langue, ni incoordination des mouvements musculaires. Sou visage s'altère durant l'accès
dans la sclérose disséminée, où elle se manifeste à l'occasion des mouvements volontaires des muscles des membres et de ceux
générale des aliénés, où elle modifie à la fois la démarche et les mouvements de la langue, et aussi dans la névrite : elle e
de répit dans le jour que s'il concentre toute son attention sur un mouvement réel ou voulu exécuté dans l'espace avec la mai
des réflexes, sans lequel du reste la vie ne serait qu'un chaos de mouvements musculaires entraînant une déperdition constant
s divers types d'aliénés est aussi diffé- rent : le maniaque est en mouvement perpétuel; le mélancolique accroupi, les yeux b
êchent le sommeil. Le degré de faiblesse du membre est tel que tout mouvement est impossible. Parfois des convulsions se mont
normale. Rétrécissement concentrique du champ visuel des deux yeux. Mouvement des globes oculaires conservé, acuité de la vue
e modification, elle est seulement un peu lente et traînante. Les mouvements du membre supérieur droit sont normaux; le memb
de, de pronation et de supination, remuer les doigts; mais tous ces mouvements soutirés limités. Les mouvements passifs sont l
, remuer les doigts; mais tous ces mouvements soutirés limités. Les mouvements passifs sont libres, on ne sent aucune résistan
t le malade n'éprouve aucune douleur pendant la pro- duction de ces mouvements . Aux membres inférieurs on ne note aucune modif
Accès de manie aiguë avec désordre extrême des actes et des idées. Mouvement incoercible. Violences (sujet très vigoureux). Né
ins vers l'intestin, et qui est encore aidée par l'augmentation des mouvements péristaltiques. Cette paralysie vaso-motrice es
st une paralysie centrale qui porte sur des formes déter- minées du mouvement mais non sur quelques muscles isolés. Dans ces
ment mais non sur quelques muscles isolés. Dans ces paralysies, les mouvements sont suspendus exactement dans l'ordre où l'exe
y avoir perte fonctionnelle de tout un membre aussi bien que d'un mouvement isolé. En d'autres termes, les mouvements volonta
membre aussi bien que d'un mouvement isolé. En d'autres termes, les mouvements volontaires sont l'expression extérieure de cer
ière et en quel lieu s'effectue le travail mental correspondant aux mouvements acquis par l'expérience ? D'après la théorie de
élémentaires constitutives du groupe conceptuel. Les conceptions du mouvement forment, ainsi, les anneaux de ces innombrables
e psychique nécessaire aux mouve- ments. En ce cas, il y a arrêt de mouvements , paralysie psychique pour l'ensemble du territo
ue observée par Maeautey, c'est que la, société, tout en suivant un mouvement progressif en avant, a une tendance générale à
uche, tendance à tomber à gauche pendant la marche, ataxie dans les mouvements des membres du côté gauche, parésie de la moiti
és. Excitez en effet l'écorce occipitale, vous pourrez produire des mouvements des globes ocu- laires ; excitez le centre céré
laires ; excitez le centre cérébral de l'ouie, vous engendrerez des mouvements du pavillon de l'oreille. De même les noyaux mo-
vertiges ; vomissements ; troubles de la déglutition, paralysie du mouvement du plan du regard à gau- che ; parésie avec hyp
iaires sont caractérisées par des troubles de coordination dans les mouvements des muscles des membres, de la tête, du tronc,
la phonation et du langage arti- - culé. - - On trouve aussi des mouvements anormaux du globe oculaire, mais la fonction de
- En elle[, avec les premiers phénomènes d'asyslolie ont apparu les mouvements choréiques; avec la disparition de l'asystolie
rition de l'asystolie sous l'influence du traitement approprié, les mouvements ont diminué et disparu; ils sont revenus avec l
, l'action chimique, etc. ; la force nerveuse n'est qu'une forme du mouvement . Les stimuli qui l'ex- citent sont les équivale
ange oxhydrique : chacun de ces faits n'est qu'un enchaînement de mouvements . L'action nerveuse n'est aussi que de l'éuergie m
prendre brusquement leur groupement normal aussitôt libres de leurs mouvements . 400 REVUE d'anatomie ET DE PHYSIOLOGIE patholo
r l'image. Mais si l'on évalue, con- formément aux autres formes du mouvement , la somme d'énergie dégagée dans un ensemble d'
dynamie, perte absolue d'ini- tiative, répugnance invincible à tout mouvement volontaire; 2° dyspnée, respiration courte, bru
oit on note la perte du réflexe lumineux et de la réaction dans les mouvements de conver- gence. Pas de troubles de la parole.
uchant à la fois les neurones LES NEURONES. 427 d'association, de mouvement , de sensibilité, etc. D'ailleurs, au point de v
tème nerveux en donnant lieu aux phéno- mènes de la sensibilité, du mouvement , de la pensée, est tou- jours la même, mais seu
la même, mais seulement transformée, par exemple, de sensibilité en mouvement . Les expériences des physiologistes n'ont-elles
lis du front, les sillons naso-labiaux soit au repos, soit dans les mouvements provoqués, le rire, etc., sont égaux. Les angle
flexion des coudes est normale, mais l'extension est exagérée. Les mouvements de rotation de l'avant-bras ne s'opèrent que par
sse arrondie sur laquelle s'implante un petit fragment d'ongle. Les mouvements de flexion et d'extension sont peu étendus. Le
n des doigts est incomplète. Rétraction de la phalangette du pouce; mouvements très limités. La peau des deux mains est le siè
ion complète est possible. Le genou ne semble pas déformé, mais les mouvements sont très circonscrits. La jambe est iléchie à
n et de rotation en dedans. Il est possible de pro- voquer quelques mouvements très peu étendus dans tous les sens. Les mouvem
voquer quelques mouvements très peu étendus dans tous les sens. Les mouvements des orteils sont faciles. A gauche, les mouveme
les sens. Les mouvements des orteils sont faciles. A gauche, les mouvements de la cuisse sont un peu limités dans le sens d
l'extension complète de la jambe sur la cuisse est impossible; les mouvements du pied et des orteils ont peu d'amplitude. L
ntimètres au-dessus et au-dessous de l'interligne articulaire. Tout mouvement de l'articulation déter- mine une vive souffran
faire le malade, mais avec uce certaine résistance. A gauche, les mouvements de l'épaule et du coude sont libres; parfois, i
redresser le pouce, ni fléchir la phalangette; par conséquent, les mouvements de flexion et d'extension sont limités. L'index
n tout petit fragment d'ongle. L'os de la phalange seul existe. Les mouvements provoqués sont très limités, et encore plus les
e. Les mouvements provoqués sont très limités, et encore plus les mouvements spontanés. Le médius est composé d'une phalange e
'une phalangine bien développées, d'une phalangette raccourcie. Les mouvements provoqués sont presque complets dans l'articula-
ns sont assez roides. Tandis que les doigts précédents n'ont pas de mouvements spontanés de laté- ralité, ils existent à l'aur
ité moyenne du genou; flexion presque totale, extension imparfaite. Mouvements de latéralité très limités. B... soulève la jam
orteil est étendu sur la face dorsale du pied (contrac- ture). Les mouvements spontanés sont assez étendus. Les ongles sont r
musculaires et tendineuses, qui res- treignent considérablement les mouvements , et l'ensemble de ces lésions, qui répond aux a
de se tenir debout et de marcher quoiqu'il conserve la liberté des mouvements de ses membres. Une simple, lésion du tubercule
omber de côté, à tituber, à prendre des attitudes ou à exécuter des mouvements irrésistibles, parfois avec du nys- tagmus, ou
ces du tubercule quadrijumeau postérieur, vous obtenez toujours des mouvements convulsifs bila- téraux et assez souvent un cri
u niveau des points les plus atteints. P. K. LXXX. Conservation DES mouvements DE flexion A l'articulation BUMERO-CUBITALE DAN
s axillaires, musculo-culané, radial. Le malade ne peut faire aucun mouvement qui ait pour centre l'articulation de l'épaule,
u bras et porter celui-ci dans le dos. L'avant- bras a conservé ses mouvements d'extension, de supination, de pronation, mais
t les coudes, et fermant les poings, la cage thoracique exécuté des mouvements d'inspiration à plusieurs reprises, si bien que
s sectionnés et ensuite suturés. En janvier 1895, se produisent des mouvements actifs de la main ; la position anor- male des
(mai 1895) le petit malade, âgé de vingt mois, a récupéré tous les mouvements des trois derniers doigts; ceux du pouce et de
es troubles de la marche qui ne se produisent qu'au début de chaque mouvement et qui font penser à certains modes de bégaieme
observe plus souvent des convulsions limitées (cho- rée rythmique, mouvements de salutation). Bruus a relevé aussi des cas de
s et fugaces, soit des névroses simulatrices et des névrites. Des mouvements involontaires au repos chez les ataxiques. L'au
du tonus. Dans le tabès à côté des contractions anormales dans les mouvements volontaires, il existe une autre espèce de mouv
ales dans les mouvements volontaires, il existe une autre espèce de mouvements , anormaux également, mais ayant lieu au repos e
, mais ayant lieu au repos et par suite rentrant dans la classe des mouvements choréiformes. La malade observée remue spontané
; la jambe se déplace aussi, fléchit légèrement sur la cuisse. Ces mouvements , peu étendus, sont inconscients et n'ont pas le
et depuis l'attention des cliniciens a été fixée sur ce point. Ces mouvements involon- taires au repos dans le tabès sont soi
s du système cérébro-spinal, par Marc Cartie, 277. - Ataxiques. Mouvements involon- taires au repos chez les - par Grass
75 (1893) La photographie médicale : application aux sciences médicales et physiologiques
. Donnadieu à Lyon, du Dr Doyen à Reims et du D1' Bernard à Lille. Ce mouvement ne s'arrêtera pas et, d'ici peu d'années, il est
es hypothèses dans lesquelles l'œil lui-même ne saurait percevoir les mouvements par trop rapides; il en est ainsi dans les crises
très vaste, les aliénés ayant souvent un faciès, des attitudes et des mouvements tout à fait caractéristiques. Il en est de même d
scendant verticalement et portant un fort contrepoids. Si l'on met en mouvement celui-ci, on comprend facilement que tout l'appar
'une nouvelle impulsion, donnée de temps en temps, pour entretenir le mouvement . L'utilité de l'agitation du bain durant le dév
es à la couche et occasionner autant de points non développés, car le mouvement imprimé constamment au bain les chasse. Enfin, le
Molleni. Tous les appareils bien conditionnés permettent ce double mouvement , mais, si l'on fait faire un appareil, on exigera
rdent qu'imparfaitement l'immobilité; les plus grandes, de saisir les mouvements les plus rapides, soit dans la marche, la course,
ire que la planchette supérieure qui porte la chambre puisse avoir un mouvement de bascule, aussi grand que possible, afin de pou
ncore pour garder l'image de la forme soit dans le repos soit dans le mouvement . Dans le premier cas, bien qu'il y ait repos, i
es formes extérieures du corps humain au repos et dans les principaux mouvements , et ses explications, accompagnées de 110 planche
aphie est intervenue pour fixer la forme exacte dans l'attitude ou le mouvement observé. Ce qui augmente encore la valeur de ces
de photochronographique, il a pu faire facilement l'étude de certains mouvements rapides ; c'est une belle application de cette mé
ctionnée par notre éminent collègue et permet l'analyse rigoureuse du mouvement . Nous voyons donc que, soit qu'il s'agisse d'an
es formes extérieures du corps humain au repos et dans les principaux mouvements . E. Pion et C", Paris, 1890. Les modifications
ou d'une partie seulement de celui-ci, puis celles dans lesquelles le mouvement du sujet nécessite des dispositifs spéciaux. 1.
es, il sera indispensable d'opérer avec une très belle lumière. Si le mouvement n'est pas rapide, qu'il s'agisse par exemple de s
e. Mais cette épreuve prise au hasard ne représentera qu'une phase du mouvement , phase qui peut même ne pas être perçue par notre
ar notre œil. Celui-ci voit, en effet, une série non interrompue de mouvements très l'approchés, ce qui constitue en somme la se
ouvements très l'approchés, ce qui constitue en somme la sensation du mouvement et non pas tel ou tel de ces mouvements dissocié
titue en somme la sensation du mouvement et non pas tel ou tel de ces mouvements dissocié en quelque sorte ou pris au hasard. Pr
ue cette épreuve, si intéressante qu'elle soit, puisse représenter le mouvement en question, c'est là une erreur absolue, et cet
e idée suffisante de la réalité; mais seulement des documents sur des mouvements qui s'exécutent avec très grande rapidité et par
e donnera une succession d'images reproduisant toutes les phases d'un mouvement . Pour obtenir la représentation d'un mouvement
utes les phases d'un mouvement. Pour obtenir la représentation d'un mouvement quelconque, c'est donc une erreur de vouloir cher
nné qu'une épreuve instantanée rapide donnera une phase quelconque du mouvement observé, phase qui n'est peut-être pas d'ailleurs
1), mais nous serons incapables de dire si tel ou tel membre était en mouvement . Aucontraire, posons un temps pluslong, de second
, mais les membres affectés seront flous et ceci d'autant plus que le mouvement aura été plus rapide. C'est ce que montrent très
alade atteinte de chorée rythmée (Jîg- 27); elle exécute une série de mouvements combinés du corps et des membres, mouvements qui
lle exécute une série de mouvements combinés du corps et des membres, mouvements qui se reproduisent à intervalles réglés, mais n'
ra naturellement. Il est évident que, au point de vue de l'analyse du mouvement observé, il sera toujours plus avantageux d'obten
tante très instructifs, car sur l'épreuve on a la constatation d'un mouvement et l'indication même de son intensité. Nous cro
valeur de ce flou sera réglée d'après le plus ou moins de rapidité du mouvement observé. (fig. 28) \ on remarque son altitude c
mastoïdien, ce muscle entre en contraction et il imprime à la tête un mouvement de rotation qui est conforme absolument aux lois
nt la partie supérieure du visage et ils impriment tous au sourcil un mouvement particulier; ce sont le frontal, l'orbiculaire pa
ulté à reproduire l'attitude du malade. Dans la phase clonique, les mouvements ont une certaine lenteur, car la tétanisation des
n dessin schématique de Richer qui donne une idée parfaite des grands mouvements cloniques (fig. 43). Dans l'espèce, il sera avant
hronographique. Après un court repos commence la période des grands mouvements que M. Charcot a appelé non sans raison la périod
ownisme; en effet, la malade effectue une série de tours de force, de mouvements illogiques qui rendraient jaloux l'acrobate le pl
e moindre si l'on veut montrer sur l'épreuve les parties affectées de mouvements plus ou moins rapides. Dans la phase tonique, a
obilité tétanique, la malade exécute avec les membres quelques grands mouvements Fig. 42. Fig. 43. Fig. 44. c'est celle de
. Fig. 46. Vient alors une nouvelle phase, c'est celle des grands mouvements , qui diffèrent des précédents en ce qu'ils n'ont
t surtout prendre des épreuves successives. En effet, certains de ces mouvements sont si rapides que l'œil ne peut en faire qu'une
faite. Nous donnons (fig- 47) une variété très remarquable des grands mouvements , la malade passant successivement par les trois p
e voir dans ce qui précède que, en ce qui concerne la reproduction du mouvement , les épreuves isolées sont loin d'être suffisante
un nombre pareil d'épreuves. En effet, comme il arrive souvent, si le mouvement dure plusieurs secondes, on risque de ne pas le r
suffisantes pour donner une idée convenable des diverses phases d'un mouvement quelconque. Or, la durée du mouvement à reproduir
enable des diverses phases d'un mouvement quelconque. Or, la durée du mouvement à reproduire pouvant être excessivement variable,
us nous posons consiste à répartir nos douze épreuves sur la durée du mouvement à reproduire, quel qu'il soit. Dans certains ca
nière partie nous y arrivons de la manière suivante : le grand axe du mouvement d'horlogerie qui correspond à celui du disque obt
ne indéfiniment. Comme nous avons affaire à un sujet endormi et à des mouvements dont la durée totale est de plusieurs minutes, no
cédés variables, soit la tête en avant, soit en arrière. La série des mouvements qu'il exécutait était curieuse à conserver et il
rés de l'instantanéité. Nous avons eu plus en vue la reproduction des mouvements rapides et, Fig. 52. est fort difficile de ré
ue la marche normale, mais où, dans certaines périodes, on trouve des mouvements très rapides. Troisième cas : Petites vitesses,
alles courts. — Reproduction de certains tics à courte distance : les mouvements du sujet peuvent n'être pas très rapides, mais êt
vec assez de précision : c'est ainsi qu'on étudie la respiration, les mouvements du cœur, les efforts musculaires, les tremblement
moyen d'un miroir placé sur la partie à étudier, en recevoir tous les mouvements si faibles qu'ils soient. On peut encore placer s
agnésium et surtout à cause des variations de la flamme. En effet, un mouvement trop brusque, un simple courant d'air amèneront d
ité si médiocre que les malades en question se les brisent au moindre mouvement . La reproduction de ces déformations sera faite
rossissements, il sera indispensable d'utiliser les platines à double mouvement . Grâce à elles, on peut explorer mathématiquement
et imperméable à la lumière. Ce détail est important, car le moindre mouvement de l'appareil pourrait se transmettre au microsco
tantanées, ce qui peut être très précieux pour l'étude des animaux en mouvement . Nous citerons également l'appareil de M. Yvon,
rouve ainsi à portée de la main et permet d'imprimer à l'objectif des mouvements extrêmement petits, ce qui donne d'autant plus de
un côté ou de l'autre au moyen d'une poire pneumatique, on obtient le mouvement de la turbine dans un sens ou dans-l'autre et, pa
'autre et, par suite, on commande à distance avec grande précision le mouvement de la vis micrométrique. L'appareil de M. Duche
ortantes. Si le microscope de Duboscq comportait une platine à double mouvement et une vis micrométrique pour l'objectif, il suff
ntalement. Nous emploierons un modèle à platine tournante et à double mouvement ; de cette manière on disposera la préparation dan
76 (1872) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 4è année
ions de la sub-stance grise, d'où il résulte que la sensibilité et le mouvement sont, de toute nécessité, altérées simultanément.
conservée des deux côtés ; pas de contractures. Chaleur normale. Les mouvements se font bien; la sensibilité est intacte. —Les ma
côtés, au pincement, à l'électricité, à la température sur la peau. Mouvements en partie détruits, en partie conservés, suivant
ed est à peu près abolie; à peine les orteils reçoivent-ils de légers mouvements de flexion et d'extension. Les fléchisseurs de la
Toutefois il s'étend. Membre inférieur droit. Il y a un très-petit mouvement des flé-chisseurs du pied, mais très-petit (tandi
dix ans qui fut admise à Withworth Hospital, le 13 fé-vrier 1845. Les mouvements choréiques étaient généralisés; la langue pouvait
ebout, sans être soutenue ; les paupières étaient continuel-lement en mouvement . Immédiatement, on prescrivit la teinture de Cann
que les doigts de sa main et de son pied gauches étaient le siège de mouvements involontaires : elle devint bientôt incapable de
e de la face, du bras et de la jambe gauches, étaient dans un état de mouvement continuel, excepté pendant le sommeil, et lorsque
moment, les muscles des membres supérieurs étaient continuellement en mouvement ; ceux des membres inférieurs étaient moins affec
é-dent héréditaire, ni antécédent de rhumatisme ou de scarlatine. Les mouvements choréiques s'aggravèrent rapidement : la malade p
torsions de la face, du strabisme, de la difficulté de la parole, des mouvements désordonnés des mem-bres, des contractions doulou
ée à l'hôpital, ses jambes, ses bras, et le tronc étaient le siège de mouvements spasmodiques plus marqués du côté droit, et augme
t très-dilatées, égales, mais non contractiles. Il n'avait plus aucun mouvement anormal, ni tressaillement d'aucune sorte. Trois
nsomnie et d'inappétence. Tout le côté gauche du corps est agité de mouvements convulsifs saccadés : les mouvements sont surtout
ôté gauche du corps est agité de mouvements convulsifs saccadés : les mouvements sont surtout marqués au membre supé-rieur ; la fa
t marqués au membre supé-rieur ; la face est à peu près normale ; les mouvements du membre abdominal sont moins accentués que ceux
'eut d'autre effet que de provoquer des vomissements, sans calmer les mouvements con-vulsifs. Le 5 septembre, on a recours à l'e
nts; le 15 septembre,elle est très accen-tuée. — Le 22 septembre, les mouvements choréiques ont à peu près disparu ; la malade se
constance, il dit qu'il exerce une action spécifique sur les nerfs de mouvement . Quoi qu'il en soit de cette explication, toute h
la longue, des attitudes vicieuses répondant à la direction de leurs mouvements . C'est d'ailleurs vers le huitième ou dixième moi
se mouvoir qui se traduisait d'abord par une plus grande légèreté des mouvements , puis par des sauts impétueux; après quelques heu
Tours). D'après MM. A. Voisin et H. Liouville, chez des cobayes, les mouvements sont devenus mal assurés, incoordonnés : l'incoor
trois heures, du sommeil, de l'abattement et de l'incoordination des mouvements dans lefrain postérieur qui persista pendant douz
MM. A. Voisin et H. Liou-ville ont noté d'abord une augmentation des mouvements respira-toires, puis de la gêne de l'inspiration
membres, quelquefois du tremblement (Murray), de la lenteur dans les mouvements . Il y a un affaiblissement physique aussi bien qu
les, ont de la diarrhée. A la longue, on note de l'incoordination des mouvements dans le train postérieur, des frissonnements, et
nt la tension artérielle et le nombre des pulsations, accé-lèrent les mouvements de l'intestin, déterminent une légère augmentatio
ntracter, et porter légèrement látete vers le côté droit, bien que ce mouvement soit très-limité. Le même résultat s'obtient par
s les doigts, même des deux derniers, sont mobiles et exécutent leurs mouvements de flexion et d'extension comme à l'état normal.
métacarpiens. Or nous avons vu que, pour tous les doigts, ce dernier mouvement était conservé : mais il n'en était plus de même
r mouvement était conservé : mais il n'en était plus de même pour les mouvements des deux dernières phalanges. L'im-mobilité était
nclinés vers l'axe de la main, il n'y avait là que l'exagération d'un mouvement normal qu'il est facile de constater quand on flé
rmal qu'il est facile de constater quand on fléchit les phalanges. Ce mouvement est produit par le fléchisseur profond qui, en se
rrées, difficultés pour avaler, spasmes tétani-ques provoqués par h s mouvements de déglutition, tendance à l'opisthotonos. La rés
e vue psycho-pathologique, dégagé de toute appréciation politique, le mouvement communal ne manque certes pas d'intérêt. Des caus
ient mises alors en plus grand relief. Mais ce qui est particulier au mouvement qui s'est appelé la Commune, c'est l'influence ré
rien ne prouve surtout que l'alcoolisme était, la cause efficiente du mouvement ; tout au plus pour nous en a-t-il été une cause
arter est celle-ci : la sonde doit être poussée dans Vurèthre par des mouvements continus et saccades. Quelles sont maintenant l
térieur de la paroi vésicale ou touche le talon du lithotribe dans le mouvement direct de va-et-vient. De là la po-sition couchée
par aucun moyen rétablir les fonctions digestives, faire cesser le mouvement fébrile aux exacerbations fréquentes, c'est là un
gorge. La masse morbide ne jouissait d'aucune mobilité propre, et les mouvements qu'on lui imprimait se transmettaient manifesteme
PHOTOGRAPHIQUE DES HOPITAUX CHONDROME CALCIFIÉ quelques faibles mouvements . Dans tous les points accessibles, elle fournissa
'accélération du cours du sang ; — 6° l'augmentation du chiffre des mouvements respiratoires ; — 7° augmentation de la températu
our. Six mois après le début de ces accidents, il s'aperçut que les mouvements de l'articulation du genou devenaient limités et
ue par la difficulté qu'elles appor-taient dans l'accomplissement des mouvements de flexion et d'ex-tension de la jambe sur la cui
e l'ex-trémité du levier que le malade doit mouvoir pour accomplir ce mouvement . Dans les efforts qu'il fait alors, on voit disti
glisser à la surface de la masse morbide et lui communiquer de légers mouvements de latéralité.-s—'Le droit antérieur se dévie lég
si, déplacée dans cette direction. — Il est inutile d'ajouter que les mouvements de l'articulation du genou sont tout à fait aboli
t encore faire quelques pas en s'aidant de fortes béquilles. Dans ces mouvements , il commence par incliner le bassin du côté du me
roit de quelques centimètres en avant. Ce résultat est atteint par un mouvement de glissement, le soulève-ment du pied étant abso
isparut et que l'opération put être continuée. Toutefois, pendant les mouvements violents que l'on avait dû imprimer au malade, l'
e étendue. La fausse articulation ainsi constituée ne possède que des mouvements fort restreints. Le pied, constamment fléchi su
de M. Fontaine, dont nous avons donné le compte rendu aux lecteurs du Mouvement médical. L'opinion de M. Bernutz n'est pas plus s
in Revue, 1871. p. 111, et la traduction du tra-vail de M. Roberts in Mouvement médical, 1871. 4 J. Paget, Case of suppression
ssion of urine. In the Lancet, 1868, may 23 et 30; — 1870, june 18. — Mouvement méil, 1871, p. 22, 32 et 128. REVUE PHOTOGRAPHI
met duquel on voit deux ongles rudimentaires. (Voy. planche XVIII.) Mouvements . — H... se traîne plutôt qu'il ne marche; encore
e de la respiration par une suspension volontaire ou in-stinctive des mouvements de la poitrine, de même qu'il n'admet pas que, da
nsidérable, à savoir que la grossesse imprime à toutes les tumeurs un mouvement hyper-trophique qui fait place, aussitôt après l'
ines d'entre elles, explique ce développement. Dans cer-tains cas, le mouvement rétrograde que subissent les tumeurs aus-sitôt ap
tumeur après chaque accouchement n'a jamais été aussi accusée que le mouvement hypertrophique pendant chaque grossesse, eh sorte
ar M. Bourneville, tant des faits qu'il a rapportés dans son travail ( Mouvement médical, numéros des 14 et 28 janvier 1872), que
hotogi^ des hôpitaux, etc., 1871, p. 85. le thermomètre, puisque le mouvement de la colonne de mercure se fait en sens directem
rande tension passera à travers les corps interposés et imprimera des mouvements moléculaires considérables, sans que la quantité
eurs présente trois phases distinctes, l'état initial, alors que le mouvement commence dans le conducteur, l'état définitif qua
parcours, le courant élec-trique détermine des modifications dans les mouvements des molé-cules et cela même dans les corps conduc
ent les deux excita-tions ; et elles sont d'autant plus nettes que le mouvement du ba-lancier est plus lent, c'est-à-dire qu'il s
jointures ne sont du reste le siège d'aucune déformation; pendant les mouvements légers qu'on leur imprime, on ne perçoit pas de c
Kôlliker, entre 0,011 et 0,067. REVUE ANALYTIQUE CHIRURGIE 1 Au mouvement de rénovation qui va s'emparer de la nation, surp
In-8° de 104 pages. Paris, Ad. Dela-haye, éditeur. Les lecteurs du Mouvement médical ont eu, en 1870, la primeur du travail qu
e impose, pour ainsi dire, son orientation aux autres 4e année, 8 mouvements secondaires des tissus et il empêche les irritati
de cours d'eau moins rapides et de sens divers, il imprime à tous son mouvement , et entraîne tous les courants secondaires dans s
se les tissus, il faut encore qu'il puisse agir énergiquement sur les mouvements moléculaires des tissus qu'il traverse, et son ac
tte dans un filet nerveux, il faut toujours ramener ce phénomène à un mouvement moléculaire. On conçoit ainsi que toute cause ext
homogènes, vibrant facilement et surtout n'ayant pas par eux-mêmes de mouvements propres. Aucune de ces conditions ne se trouve da
nir le courant, selon l'expression de Faraday, une action chimique en mouvement . Ces faits nous montrent en même temps combien
s ou moins long la même orientation moléculaire ; ils déterminent des mouvements de transport, ils impriment leur di-rection aux c
ations qu'elle éprouve en traversant les corps. Comme toute espèce de mouvement moléculaire, l'électricité subit une série de mét
forme, par des mécanismes spéciaux, en travail méca-nique, de même le mouvement moléculaire chimique de la pile se transforme à l
E 0m,52 0m,ô5 0m,28 0m,20 0m,38 0»,59 0m,59 0m,Gö 0m,60 0m,31 Les mouvements de l'articulation tibio-tarsienne sont très-limit
constate aucune trace de contusion, pas de douleurs notables dans les mouvements communiqués, mais une déformation des deux hanche
fet de pousser en avant le col de la matrice : celle-ci, éprouvant un mouvement de bascule, doit avoir une tendance à la rétrover
développements. • Voy. la leçon sur l'Hyper est hésie ovarienne in Mouvement médical, nos 3, i et 5. 4e année. 9 I. A s'en
hase clonique. Alors, tout est hystérie : on voit survenir les grands mouvements à caractère in-tentionnel qui expriment parfois l
it l'attaque d'épilepsie vraie. C'est là un résultat 1 Yoy. dans le Mouvement médical (nouvelle série, n°3 3, 4 et 5) la leçon
que directement sur les organes périphériques. C'esj; ainsi que les mouvements des intestins sont influencés bien plus énergique
'il nous semblait qu'il y avait un léger trouble fonctionnel dans les mouvements oculaires. Mais le malade nous affirma si énergi-
En saisissant la tumeur à pleine main, on peut lui communiquer des mouvements de totalité, limités sans doute, dans tous les se
dis que la corde du tympan agit périphériquement. » Relativement au mouvement du cœur, il y a des nerfs accéléra-teurs et des n
angues, d'où son nom de nerf con-stricteur ; il modère et ralentit le mouvement nutritif, et mérite le nom de nerf refrénateur. »
and sympathique, et donne ainsi le signal qui ralentit et accélère le mouvement de nutrition. » XXXVIII. Influence du grand sym
Lorsque le malade est couché, la têie seule tremble en présentant des mouvements de latéralité ; dès qu'il se lève, le tremblement
été légèrement amélioré, la main gauche est plus ferme et exécute des mouvements avec assez de précision. On prescrit : extrait
née à lire. Le tremblement a diminué; la marche est assez facile, les mouvements des bras sont plus réglés, et il commence à trace
llucinations, des cauchemars ; ses mains ne furent plus aptes à aucun mouvement pré-cis, en raison du tremblement continuel qui l
à fait calme; mais, quand elle n'est plus soutenue, elle exécute des mouvements de laté-ralité involontaires. La marche est diffi
ît diminué.—27 mars. On constate une amé-lioration très-sensible. Les mouvements saccadés des membres supérieurs ont beaucoup dimi
ous les points, si ce n'est au niveau du lobule, des battements et un mouvement d'expansion également synchrones au pouls radial.
-mastoïdien, on fait cesser les battements en masse de la tumeur, les mouvements d'expansion disparaissent et la malade cesse de p
jections coup sur coup ont produit un peu d'œ-dème collatéral, et les mouvements de déglutition deviennent dou-loureux. 28 avril
lon de l'oreille est dure, lisse, ne bat plus, ne présente plus aucun mouvement d'expansion et peut être considérée comme absolum
assez promptement, mais il lui restait un peu de difficulté dans les mouvements , de la pesan-teur du membre et de la faiblesse. L
ui ont été améliorés : la sensibilité des jambes est plus grande, les mouvements lorsqu'elle est couchée sont plus faciles et plus
t la maladie n'a plus fait de progrès, mais elle peu t faire quelques mouvements plus étendus : elle peut par exempl e porter son
teuse, nous sommes parvenus à donner aux articulations un peu plus de mouvements , mais nous n'avons pas obtenu de gué-rison complè
rve les mêmes caractères et la même intensité, quand il veut faire un mouvement et est préoccupé. — 24 janvier. Sécheresse de la
La céphalalgie s'est calmée sous l'in-fluence de ce traitement ; les mouvements convulsifs n'ont pas été modifiés ; de plus, l'in
de la vision sont les mêmes que la veille ; 5 pilules. 7 août. Les mouvements sont plus fréquents pendant la nuit, et plus marq
efois être très-réservé, et nous dirons avec M. Sédillot : « Si les mouvements imprimés au membre ne font entendre au-cune crépi
u................ 57 — Pas de goitre. Menstruation régulière. Les mouvements sont lents, lourds ; la sensibilité est très-faib
ant : « Le fœtus renfermé dans un vase clos, sans cesse agité par des mouvements , doit, non pas instinctivement, mais mécani-queme
re primitive soit droite ou gauche, s'exécute peu à peu par de légers mouvements de va-et-vient, suivant la direction d'une spiral
des conditions suffisan-tes d'ampleur et que la tète aura exécuté un mouvement de descente assez prononcé, de mettre en usage un
sortit facilement par la tète. Elle poussa un petit cri, fit quelques mouvements et mourut au bout de deux ou trois minutes, sans
ase de celle-ci, ne peut percevoir aucun battement et encore moins un mouvement d'expansion. Ainsi5 dans l'observation suivante
du système nerveux cérébro-spinal d'après l'analyse physiologique des mouvements de la vie, par le Dr Edouard Fournie, médecin-adj
e du système nerveux cérébro-spinal : analyser phy-siologiquement les mouvements de la vie, et de celte analyse, dé-duire les fonc
pitre est, tout entier, consacré à résumer les idées nouvelles sur le mouvement ; celui-ci est envisagé et dans les corps bruts e
les corps organisés. Le deuxième comprend l'analyse physiologique des mouvements de la vie. Le développement de l'ovule est rappel
t rappelé ; puis, dans l'article suivant, l'auteur passe en revue les mouvements de la vie organique. Il les divise ainsi : 1° mou
en revue les mouvements de la vie organique. Il les divise ainsi : 1° mouvements de la vie organique ; 2° mouvements de la vie fon
ganique. Il les divise ainsi : 1° mouvements de la vie organique ; 2° mouvements de la vie fonc-tionnelle. A propos de la méthod
juste raison, attache une importance très-grande à sa distinction des mouvements . « Nous avons reconnu dans tous les organes, sans
s avons reconnu dans tous les organes, sans exception, deux ordres de mouvement : les uns continus, se rattachant à la vie propre
honora-bles collègues, et dans un article que nous publiâmes dans le Mouvement médical, nous demandions de nouvelles expérimenta
77 (1885) Archives de neurologie [Tome 10, n° 28-30] : revue des maladies nerveuses et mentales
ensibilité intacte au toucher, à la douleur et à la température. Le mouvement d'élévation des bras est impos- sible. Le fac
u côté droit est un peu moins volumineuse que du côté gauche; les mouvements d'opposition du pouce sont lents, difficiles, de
emblements fibrillaires dans les régions thénar des deux côtés. Ces mouvements n'ont pu être constatés. Les contractions pri
nences s'atrophient avec une grande rapidité, en même temps que les mouvements du pouce se restreignent de plus en plus chaque
léchies, la main est presque continuellement dans la pronation, les mouvements de supination sont très limités et presque impo
très marqués, par suite de l'état de contracture des muscles ; les mouvements d'élévation du bras sont impossibles, et lorsqu
ents d'élévation du bras sont impossibles, et lorsqu'on imprime des mouvements de flexion ou d'extension au membre au niveau d
écarter les commissures labiales assez facilement'; mais, dans ce mouvement , la commissure droite est attirée en dehors plu
i baigne les lèvres, fait entendre un glou-glou très prononcé. -Les mouvements de diduction de la mâchoire sont conservés. -
s des autres. Il lui est impossible d'étendre son pouce, tous les mouvements qu'elle peut lui imprimer sont des mouvements d
e son pouce, tous les mouvements qu'elle peut lui imprimer sont des mouvements de flexion. Elle n'a plus aucune force dans les
auche est un peu moins atrophiée et capable de quelques très légers mouvements . mais présente en somme un aspect tout à fait a
le fait avec le cou tous les mou- vements qu'on lui commande. Les mouvements du grand dorsal existent aussi' dans une 10 PAT
ans les masses musculaires du bras et de l'avant-bras droits, des mouvements fibrillaires; il en est de même à gauche. Les d
'articulation scapulo-humérale, et à la douleur que déterminent les mouvements un peu amples dans cette articulation. On voit
mouvements un peu amples dans cette articulation. On voit aussi des mouvements fibrillaires au niveau des deltoïdes et des pec
ème, de dire s'il y a ou non atrophie musculaire. D'ailleurs, les mouvements du pied sont très limités; la malade peut, cepen-
flexion dorsale est plus difficile; il existe aussi quelques légers mouvements d'adduction, et quelques mouvements de la jambe
il existe aussi quelques légers mouvements d'adduction, et quelques mouvements de la jambe; ainsi, la malade parvient à croise
nsi, la malade parvient à croiser un peu un pied sur l'autre. Les mouvements du pied gauche semblent beaucoup plus restreint
et la malade peut encore s'en servir pour un assez grand nombre de mouvements . Légère résistance des membres supérieurs aux m
nombre de mouvements. Légère résistance des membres supérieurs aux mouvements passifs. La main droite est plus rouge et peut-
obligée de remuer presque tout le tronc pour imprimer à sa tête le mouvement désiré. On constate aussi une atrophie très not
s mucosités au niveau du larynx. Pouls, 40'N; respirations, 24; les mouvements du diaphragme pendant la respiration semblent u
ou. moins longtemps. C'est ainsi que le tremblement, pendant les mouvements intentionnels, aujourd'hui intense et très marqué
urs étaient parétiques, surtout, le gauche; tremblement pendant les mouvements intentionnels des bras, tels que la petite mala
core amoindrie, la paralysie de la convergence persiste pendant les mouvements qu'il faut faire pour écrire; il se développe un
s difficile à lire. Amélioration notable du tremblement pendant les mouvements intentionnels des bras; les membres inférieurs
intentionnels des bras; les membres inférieurs peuvent faire des mouvements , mais ils sont pris quelquefois de secousses invo
a marche un peu titubante. D'ailleurs, pas de tremble- ment, pas de mouvements involontaires, pas de traces de nystag- mus ; l
it que ce droit interne de l'oeil que l'on. découvrait exécutait un mouvement très marqué de redressement en dedans. Aussi, s
n résulte une paralysie complète de la queue, un trouble évident du mouvement dans les extrémités pestérieures, une parfaite
der- nières lombaires, on remarque en outre un trouble marqué du mouvement dans les deux extrémitéspostérieures, le train po
s doigts; de grands efforts ou l'aide de l'autre main produisent le mouvement voulu qui, alors, s'effectue brusquement en dét
e la somnolence, de l'hébétude, de la fatigue, de l'incertitude des mouvements , de la difficulté de parler : doses progressive
sans pouvoir se retenir. « Est-on bête, dit-elle, de faire tous ces mouvements , et que je dois être ridicule ! « mais tout aussi
ête est tirée en arrière et à gauche; l'enfant fait toute espèce de mouvements avec les muscles du visage et de la langue quan
t parler; les convulsions reprennent de plus belle à l'occasion des mouvements intentionnels; cet état cesserait pendant le so
it, de l'hypoglosse gauche ; la parole est indistincte à raison des mouvements choréiformes (asynergie) de la langue et des lè
e la personne en expérience peut préparer d'avance l'impulsion au mouvement qu'il lui faudra faire, et que, grâce à cela, l
des mêmes muscles qui doivent se contracter pendant l'exécution du mouvement même. Il a paru vraisemblable que cette tension
du contenu du problème (mou- vements de locomotion); 2° quand des. mouvements de main font partie du contenu du problème. San
lecteur, dans une partie de ces expériences se laisse guider par le mouvement du corps du suggesteur, et dans les autres, par
ar le mouvement du corps du suggesteur, et dans les autres, par les mouvements de sa main, auxquels le corps prend toujours un
eur, ne connaissant pas le but, fasse un 150 PHYSIOLOGIE. premier mouvement à droite, c'est-à-dire dans la direc- tion cont
à peu dévier de la route prise d'abord, parce que, à chaque nouveau mouvement faux, il rencontre ces tensions qui le font, fi
e ces tensions qui le font, finalement,- entrer dans le courant des mouvements du suggesteur. Chaque mouvement du lecteur déga
ent,- entrer dans le courant des mouvements du suggesteur. Chaque mouvement du lecteur dégagera de la part du suggesteur de
pulsions préparées d'avance dans l'exemple donné des impulsions aux mouvements vers la fenêtre, et ces impulsions seront. perç
r quoi il obtient les conditions nécessaires pour décou- vrir les mouvements préparés du suggesteur, - ce qui se passe d'une
t de pression exercée par l'un sur l'autre. En cas de désaccord des mouvements , le lecteur se heurte contre le mouvement prépa
En cas de désaccord des mouvements, le lecteur se heurte contre le mouvement préparé du. suggesteur qui devient obstacle. Co
ces obstacles fait entrer peu à peu le lecteur dans le courant des mouvements intentionnés du suggesteur. Votre sensation sub
que le lecteur se déconcerte bientôt après le commen- cement des mouvements , perd la conscience de l'en- droit où il se tro
scles opposent à la main du lec- teur grandissent parallèlement aux mouvements de la main de ce dernier, tout de même que la t
ments du lecteur. A proprement parler, le suggesteur ne fait pas de mouvements ; il ne fait que remettre ses membres dans le mê
dubitable dans le fait, qu'entre l'acte de volonté ayant préparé le mouvement et l'exécution de ce même mouvement se passe un
e de volonté ayant préparé le mouvement et l'exécution de ce même mouvement se passe un laps de temps indéfini, plus ou moi
, de manière que la liaison immédiate entre l'acte de volonté et le mouvement s'efface dans l'esprit. 3) Enfin, il résulte
ne se manifestera, dans le premier cas, par la tendance de faire un mouvement de bras en avant, tandis que, dans le second ca
second cas (c'est-à-dire quand le nombre choisi est 7), le premier mouvement doit être un mouvement d'abduction pour tracer
quand le nombre choisi est 7), le premier mouvement doit être un mouvement d'abduction pour tracer la première ligne horiz
duction et d'adduction, et je m'a- perçus que le bras exécutait ces mouvements opposés avec la même facilité. Alors j'essayai
iffres choisis n'étaient pas peut-être 7 ou 1, après quoi je fis un mouvement rapide, qui formait la diago- nale des deux pre
s un mouvement rapide, qui formait la diago- nale des deux premiers mouvements d'essai, et alors il devint facile de détermine
areilles (il est connu que Bishop a recours au même expédient), les mouvements du bras devinrent bien plus précis, certainemen
s devinrent bien plus précis, certainement sous l'in- fluence des mouvements associés du bras et des yeux, qui a lieu dans c
son enfance de raideurs musculaires qui se produisent au début des mouvements volontaires et qui nous ont, paru reproduire tr
nts qu'elle nous donne à ce sujet sont assez confus. Cette gêne des mouvements volontaires aurait disparu au bout de deux ou t
ts à des' degrés"divers de raideurs, musculaires .à l'occasion des' mouvements volontaires, ressemblent tous trois à leur mère
, cependant.nous pouvons dire 4u : 11 'csl'll1oills'gûn<dans,ses mouvements ., D'un autre côté 1'liy- MALADIE DE THOMSEN. :
ze ou seize ans, elle a ressenti une certaine gêne à l'occasion des mouvements volontaires; depuis cette époque ? la gêne a di
difficile de savoir exactement à quelle époque a débuté la gêne des mouvements qui préoccupe aujourd'hui M. M... Il est probab
tement. M. affirme qu'il a toujours été gêné pour exécuter certains mouvements . Etant en pension, il pouvait quand il était éc
es deux muscles, dans leur contraction, gênent considérablement les mouvements de la tête. La mensuration des membres donne le
voulue. Cette résistance musculaire ne se produit qu'au début des mouvements vo- lontaires ; elle s'atténue et disparaît p
s'atténue et disparaît par le fait seul de la répétition du même mouvement . Si, par exem- ple, on dit à M. M... de fléchir
nt l'avant- bras sur le bras plusieurs fois de rang, les premiers mouvements sont lents, difficiles, pénibles; puis, quand
avec un peu d'at- tention la façon dont notre malade exécute les mouvements volontaires les plus simples, tels que l'exten-
hardiesse et rapidité le mouvementde flexion des doigts, puis, ce mouvement exécuté, il éprouve une peine extrême à éten-
serrer et de lâcher cette boule aussi rapidement que -possible. Ces mouvements s'inscrivent sur le cylindre enre- gistreur en
on a été portée sur le muscle reposé. MALADIE DE THOMSEN. 209 Les mouvements de la tête et du tronc sont gênés de la même fa
uvements de la tête et du tronc sont gênés de la même façon que les mouvements des membres. M.M...,sot)icité détourner rapidem
rapidement la tête à droite ou à gauche, exécute tout d'abord ce mouvement avec une extrême difficulté, puis, à mesure qu'il
aucune difficulté pourvu qu'il ait déjà répété cinq ou six fois ce mouvement . Le face n'est pas épargnée; les mouvements d'o
pété cinq ou six fois ce mouvement. Le face n'est pas épargnée; les mouvements d'occlusion et d'ouverture rapides des paupières,
euvent être exécutés facilement qu'après un exercice préalable. Les mouvements des lèvres et des globes ocu- laires paraissent
muscles contractés et immobilisés. Comme la face est toujours en mouvement et exposée directement aux variations de tempéra-
s des lèvres et des joues. L'attention portée par le malade sur les mouvements à accomplir est une cause de gêne plus grande d
nti- ment de gêne ne se manifeste que lorsqu'il faut commencer un mouvement . Si M. M... est assis, il éprouve de la difficult
aire se fait de nouveau sentir au moment du départ seulement. Les mouvements de la langue n'ont jamais présenté les troubles
respiration atlribuable à la rigidité des muscles du thorax. Les mouvements passifs, communiqués aux membres sont faciles.
ite. En dehors de la sensation de gêne qui se produit au moment des mouvements volontaires, il n'y a aucune douleur l' spontan
stants. Il se remet à respirer lentement et profondément ; puis les mouvements d'ex- tension thoracique s'accélèrent peu à peu
d'apnée ne se limite pas ici à quarante ou cinquante secondes; les mouvements d'inspiration ne reprennent pas spontanément. A
sie. Pas de prodromes à l'attaque. Stade épileptoïde, puis grands mouvements , contorsions, arc de cercle. Cl'ucificmcnt, Point
he s'est contracture. 20. A la visite, le bras droit a recouvré ses mouvements et sa sensibilité. Le côté gauche est hémi-anes
c, ancien interne des hôpitaux (Fr. méd., 4 884, 1.) 1 Limitée au mouvement , cette paralysie ne dure guère que vingt- quatr
nt dans les derniers jours qui précèdent la mort, s'accom- pagne de mouvements oculaires coordonnés d'une unifor- mité et d'un
e d'un pronostic fâcheux ; il y aurait lieu de les rapprocher des mouvements coordonnés des yeux d'une précision régulière q
on d'une tel)e masse alimentaire s'effectue grâce à l'exclusion des mouvements musculaires actifs et grâce à l'excita- tion de
04° Admission ! provisoire de cinq jours. , r. D'où vient ! tout ce mouvement ? Pourquoi cet abaissement des idées en,France
fréquemment au plus léger èontact et se traduisent par de courts mouvements d'extension avec opisthotonos : Autopsie. Circonf
' , iqi ' - '; 1 ... ? <1 1t « i v t - , ni t' il . , ..1 Les mouvements comateux des yeux déjà décrits (Arch. f. Psych. X
comateux des yeux déjà décrits (Arch. f. Psych. XI) , consistent en mouvements oculaires d'une uniformité toute spé- ciale, .d
produisent jamais ;. on constate au , contraire sans exception des mouvements oculaires dépourvus de . type et bien plus,lent
trent cependant isolémentcons- tituant une forme intermédiaire aux, mouvements comateux et aux mouvements .normaux. du, regard
- tituant une forme intermédiaire aux, mouvements comateux et aux mouvements .normaux. du, regard. Donc les mouvements ocu-
ouvements comateux et aux mouvements .normaux. du, regard. Donc les mouvements ocu- laires du sommeil ont une, certaine spécif
Evidemment il est difficile de constater sûre- ment des troubles du mouvement . Il existe aussi fréquemment des morsures de la
a limiter un petit endroit, dont l'excitation produit'un arrêt des mouvements du diaphragme dans l'inspiration ou accélère la
peuvent plus, après la destruction de ce centre, coor- donner leurs mouvements nécessaires pour marcher ou pour prendre une po
« Esprit profondément émancipé, il était intimement mêlé au grand mouvement philosophique du dix-huitième siècle : il avait
constamment' dans ces deux asiles une centaine de malades, avec un mouvement très considérable (100 au plus par an). Ce sont
sphère motrice que se montrait le plus grand dérangement. Tous les mouvements soit actifs, soit passifs devinrent difficiles
t être placés qu'au second plan, comparativement aux troubles des mouvements comme nous le voyons justement chez notre malad
ste. 11 connaît les diffé- rentes parties du corps, sait nommer les mouvements , les couleurs, tous les objets contenus dans le
s, pas d'écume ni de stertor. - Arrive ensuite la période de grands mouvements , parmi lesquels l'arc de cercle antérieur dorsa
commotion la jette à terre sans connaissance ; puis surviennent des mouvements désordonnés des membres, comme un tremblement e
ormes, s'interrompant par ntervalles pendant quelques secondes. Les mouvements volon- taires exagèrent l'amplitude des tremble
leurs jambes, ou dont la force baissait rapidement, par suile de mouvements exagérés, et qui, au bout d'un temps même res-
u'une nouvelle attaque se soit produite, on constate, un matin, des mouvements choréiformes les mieux réussis dans les extrémi
, du pli courbe; l'habileté, la dextérité des mains, l'harmonie des mouvements , ne peuvent s'obtenir qu'avec une région psycho
perd, par moments, en pleine conscience, la libre direction de ses mouvements . Ce sont d'abord des mouvements analogues à de
nscience, la libre direction de ses mouvements. Ce sont d'abord des mouvements analogues à de simples réflexes, se passant dans
mettre en jeu qu'une région limitée de la moelle : tels sont les mouvements de flexion ou d'extension de la main sur l'avant-
ou bien encore l'élévation d'une épaule; d'autres fois, ce sont des mouvements plus étendus, le frottement d'une main contre l
elle éprouverait un très grand malaise si elle résistait. Tout ces mouvements sans utilité, sans objet, s'effectuent en dehor
à s'échapper, et de même que des centres médullaires partaient des mouvements irrésistibles, de même de ces centres perceptif
roit paralysé, un barreau d'acier, le transfert se produit bientôt. Mouvement , sensibilité dans ses divers modes, tout a pass
ement saisissant, accompagnant le transfert de la sensibilité et du mouvement de gauche à droite, nous pensons tout d'abord q
complet. Sur le tabou- ret électrique disparaît toute paralysie du mouvement et de la sensibilité; en même temps, le sujet s
u système nerveux l'intégrité de ses fonctions de sensibilité et de mouvement , et, du même coup, a transporté l'état de conscie
père avec une symétrie parfaite. La paralysie de la sensibilité, du mouvement , a passé de droite à gauche ; en plus, existe u
l'ombilic. Toute la partie supérieure jouit de la sensibilité et du mouvement . La zone hystérogène a abandonné l'hypo- chondr
l'état précédent, le malade est débarrassé de tous les troubles du mouvement et de la sensibilité. Essais dyna- mométriques
éré. Bull. soc. Biologie. Avril, mai, juin, juillet. - Sensation et mouvement . (Revue philosophique, octobre 1885.) 3 A la su
nétiseurs hypnotisaient en fatigant les organes visuels à l'aide de mouvements de doigts. Cette pra- tique ne lui a pas fourni
78 (1889) Archives de neurologie [Tome 17, n° 49-51] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
lit et frappe bien avec son pied où on lui dit, mais il a un peu un mouvement de ressort, et le pied est lancé avec une certa
peu le sol et chaque fois qu'un pied louche le sol, il y a un léger mouvement de ressort en même temps qu'un, peu d'incertitu
appe le sol. Toutes les fois que ses pieds touchent le sol, il a un mouvement de ressort. Le malade oscille tellement, les yeux
rojette plus brusquement ses jambes et il ne frappe pas le sol ; le mouvement de ressort est très léger; il sent ses jambes p
ut à fait paraplégique de ses membres inférieurs, au point qu'aucun mouvement n'était possible. Rien aux membres supérieurs n
des éponges) et le médecin, dit-il, a constaté qu'il avait un léger mouvement fébrile, 38°. Le médecin a appliqué le cathéter
e concomitant les douleurs à l'apophyse xyphoïde qui gênaient les mouvements thoraciques. b). Toux quinleuse. Les quintes, s
rale, coups du talon sur le sol, incorrection caractéristique des mouvements , enfin rien ne manque au tableau. Par contre, l
car il ne projetait plus ses jambes, il ne frappait plus le soi, le mouvement de ressort était très léger, il sentait ses jam
in matin, 17 juillet, il a commencé à pouvoir faire quelques petits mouvements . D'une heure à l'autre l'amélioration marchait
soleil, à une paralysie complète, le malade ne pouvant faire aucun mouvement . La sensibilité aurait été abolie au niveau de
projeter deux, trois fois Ja jambe, parfois même provoque un petit mouvement d'adduction du membre inférieur opposé. Le memb
sagères sont encore assez fréquentes. Quant on veut communiquer des mouvements aux arti- culations du membre inférieur droit,
utes. 5). Dyscampsie articulaire. Quand on fait com- muniquer des mouvements passifs au membre paraly- tique du malade de t'
nter le malade. De son membre paralysé, il pouvait faire quelques mouvements . A ce moment, son membre aurait commencé à deve
t de l'épaule. Le trapèze et le sterno-mastoï- dien sont sains, les mouvements de rotation de la tête sur le cou et l'élévatio
e- ment. Les rhomboïdes et les grands dorsaux sont normaux, leurs mouvements s'accomplissent physiofogiquonont. Le grand DES
raît avoir un certain degré de paré- sie, car l'accomplissement des mouvements de supination est im- parfait aussi bien quand
. Nous remarquons la même chose pour le brachial anté- rieur. Les mouvements physiologiques régis par les muscles de l'avant-
oir les doigts et de les écartorsansta moindre difficulté, tous ces mouvements étaient impossibles au début. Le triceps est tr
ntré aussi bien par l'accom- plissement bien plus régulier de leurs mouvements physiologiques que par l'examen faradique. La c
on- DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 83 sidérable. Les mouvements physiologiques régis par les muscles grand dent
bres études de la Salpètrière sont devenues le point de départ d'un mouvement scientifique qui n'est sans doute pas près de s
ant qu'un pneumographe fixé sur la poitrine donnera la courbe des mouvements respiratoires. Or, chez le cataleptique, pen- d
façon plus générale aux diverses parties du corps font place à des mouvements plus ou moins complexes, parfaitement coordonné
les caractères somatiques de l'attaque hystérique, con- tractures, mouvements convulsifs, grands mouvements, etc., peuvent fa
l'attaque hystérique, con- tractures, mouvements convulsifs, grands mouvements , etc., peuvent faire défaut. L'attaque est cons
une observation attentive permet assez souvent de trouver, avec les mouvements dus à l'agitation de la manie, des mouvements c
de trouver, avec les mouvements dus à l'agitation de la manie, des mouvements choréiques. Voici ce qui les différencie. Les m
manie, des mouvements choréiques. Voici ce qui les différencie. Les mouvements choréiques se traduisent : l°par. l'atteintede
ement fonctionnel, partiel ou total, d'un organe, à l'occasion d'un mouvement voulu dans un but déterminé, sous l'influence d'u
iné, sous l'influence d'une émotion. 3° Ils sont involontaires. Les mouvements de l'agitation maniaque, volontaires, se distin
le fonds même de l'idée se montre, en l'espèce, tout accessoire; du mouvement lui-même la connaissance n'éprouve que des chocs,
elle ignore de quels muscles nous nous servons. La concep- tion du mouvement est par suite bien rudimentaire (Meynert). 2° T
du mouvement est par suite bien rudimentaire (Meynert). 2° Tous ces mouvements se répètent fréquemment, ils sont stéréo- typés
ont presque détachés de la connaissance. On peut les compa- rer aux mouvements par habitude, souvent complexes, que l'homme sa
e rattachent au groupe précédent. Il va de soi d'ailleurs que les mouvements choréiques sont convulsifs. L'influence de l'acti
poser des règles pour l'internement des aliénés qui, de leur propre mouvement , se présentent à la porte d'un asile pour récla
rique. Nous signalerons plus particuliè- rement les paralysies, les mouvements anormaux (ataxie, trem- blements, convulsions f
es, mouve- ments irrésistibles, associés, choréiques; athétose),les mouvements de la pupille, l'électro-diagnostic et l'exposé
lomoteur de l'oeil gauche; ptosis, strabisme divergent, absence des mouvements en haut, en bas et en dedans ; les autres nerfs
che sur son genou droit et ne peut pas non plus exécuter les divers mouvements que, dans le but de faire ressortir l'ataxie, n
t symptôme d'Ar(, 1-Robert- son dans les deux yeux. Ataxie lors des mouvements des jambes, la malade étant au lit; cette derni
Contractilité électrique intacte. Ataxie très prononcée dans les mouvements au lit. Se tient debout tant bien que mal et en v
mot à un autre. L'hémiplégie avait graduellement dimi- nué, et les mouvements de la main étaient assez revenus pour qu'il put
ciable, ni' dans les perceptions visuelles de l'animal, ni dans ses mouvements oculaires, ou dans la sensibilité du globe de l
mais il' ne peut y arriver; il a perdu tout à fait la mémoire des mouvements spécialisés qu'il faut faire pour articuler les m
e. DftMS l'après- midi, commencement du retour de la mémoire et des mouvements spécialisés pour l'articulation des mots. Subst
té modi- fiée que dans un de ses éléments à savoir la mémoire des mouvements coordonnés qu'il faut faire pour articuler les
ons XXXIII et XXXIV, la mémoire visuelle des mots et la mémoire des mouvements graphiques ne peuvent pas être prises en consid
hez lui, il n'y avait ni mémoire visuelle des mots, ni mémoire- des mouvements gra- phiques. Il n'avait jamais appris ni à lir
sous plusieurs rapports. 11 avait perdu tout à fait la mémoire des mouvements coordonnés qu'il faut faire pour articuler les
uvait pas lire, mentalement, ce qui était écrit; c), la mémoire des mouvements graphiques : il n'était pas capable d'écrire; d
ais le droit, le malade étant dans l'incapacité de faire le moindre mouvement . La bouche n'était pas cette fois-ci de travers
he. Le 17 juillet, il a commencé à pouvoir exécuter quelques petits mouvements . Sa paralysie faciale aurait été améliorée. Ses
Seppilil publiaient des recherches sur les phénomènes des sens, des mouvements de la respiration et de la circulation dans l'h
e un peu à gauche. Pas de troubles de la déglutition ni du côté des mouvements de la langue. Orhicu- laire des paupières paral
e osseux qui était ainsi obstrué. Différenciation des centres des mouvements volontaires et des mouvements expressifs des mê
ué. Différenciation des centres des mouvements volontaires et des mouvements expressifs des mêmes muscles. Le Di- Rosenbach
causés par ces lésions. Voies conductrices de la sensibilité et du mouvement dans la moelle. - M. Rossolimo, dans des expéri
atin il se réveillait étendu sur le dos, sans pou- voir faire aucun mouvement , jamais de paralysie des muscles de le face ni
lectrique des muscles et des nerfs. Au bout de quelques heures, les mouvements se rétablissaient par seg- ments de membres, en
ne gène en rien les fonctions de l'ani- mal, celui-ci ne fait aucun mouvement pour l'enlever. Réflexe anassétéarien. Ce réfle
n portants. M. Iliballçine prétend n'avoir jamais vu se produire de mouvements cloniques en cherchant ce réflexe à l'état de s
la méthode graphique ci l'élude de lap2essioi intra-oculaire et des mouvements de la pupille. Le procédé, découvert par Siboul
e la moelle et la pupille. L'enregistrement graphique simullané des mouvements de la pupille et des modifications de la pressi
au, et le point de l'espace, d'où elles par- tent. IL DE quelques mouvements associés anormaux qui se montrent FRÉQUEMMENT D
et de l'extenseur commun des doigts. II n'est pas rare de voir ces mouvements associés, apparaître à l'occasion de rotations si
L'auteur les signale surtout dans les cas d'hémiplégie céré- brale ( mouvement associé bilatéral), quelle que fût la nature de
ombinées des cordons); dans les lésions hémilatérales de la moelle ( mouvement associé unilatéral du côté paralysé). Dans la p
, si l'on fait fléchir la cuisse sur le bassin, on voit survenir le mouvement associé décrit ci-dessus ; mais. quand le pied
Issue rapidement mor- telle. ' ' P. K. XVIII. DE LA PARALYSIE DU MOUVEMENT DE CONVERGENCE DES YEUX AU début du tabès dorsa
.M. MEYOERT. Mécanisme de la physionomie. Darwin considérait les mouvements delà physionomie comme un fruit de l'hérédité d
on par l'intermédiaire des images commémoratives lais- sées par ces mouvements au sein du cerveau. Le même excitant qui déterm
du hamac comme lieu de repos, remplirait les conditions voulues du mouvement passif. Bien entendu, on joindra à ces manoeuvr
un centre cortical, la sphère d'une fonction donnée, par exemple du mouvement volontaire d'un membre, il réunit tous les cas
ent limitées, enfin leurs effets sur les différents sens et sur les mouvements volontaires peuvent être étudiés avec soin pend
parfaitement normaux ; rien d'anormal dans les nerfs crâniens. Les mouvements des yeux dans toutes les directions s'opèrent n
e. Le malade se plaint souvent de maux de tête et de vertige. Les mouvements dans les extrémités supérieures sont parfaitement
énérale, peut surmonter dans toutes les directions et dans tous les mouvements les plus grands obstacles, de sorte qu'il ne pe
sque I... est couché, il accomplit avec l'une et l'autre jambes les mouvements actifs par saccades, par secousses; cela se remar
ne secousse : il étend d'abord la jambe avec effort, puis, quand le mouvement d'extension est à moitié effectué, il la redres
marche est très caractéristique : ses. jambes, font une quantité de mouvements superflus, se jettent de tous côtés; dans les gen
ent pas s'il se produit dans l'articulation tibio-tarsienne quelque mouvement et si ses muscles se contractent. ÉTUDE DE L'
à la quinine. Du côté du système nerveux, nous trouvons dans les mouvements une ataxie violente que nous voyons progresser
, en désordre. Ses habits sont déchirés. Ses membres sont'agités de mouvements incessants. Le malade a un besoin de mouvemen
es sont'agités de mouvements incessants. Le malade a un besoin de mouvement impérieux; il s'agite, se remue, il va et vient
vement impérieux; il s'agite, se remue, il va et vient. Parfois ses mouvements deviennent violents et dange- reux pour ceux qu
, soit du côté droit, ou bien dès qu'on lui communiquait le moindre mouvement ou qu'on le touchait simplement, les vertiges a
pour se sou- tager. Le moindre changement de position, le moindre mouvement communiqué par autrui, même le simple attouchem
levant brusquement l'avant-pied. Il est facile de cons- taterparles mouvements passifs communiqués aux membres qu'il va une dy
rieur et inférieur du côté gauche, ne pouvaient exécuter le moindre mouvement . Cet état, accompagné d'un certain degré de cép
f; ainsi pendant quelques jours, son état semblait s'améliorer : le mouvement des doigts des pieds avait déjà commencé, mais
ches le long de la colonne vertébrale, que le malade, par de petits mouvements , montrait qu'il sentait. Puis toute sa tête se
que avec une certaine difficulté. Mais tout à coup le malade fit un mouvement forcé de tout son corps pour embrasser son beau
sonde ou à ouvrir la bouche avec une cuiller, elle exécute quelques mouvements de latéralité pour éviter l'instru- ment ; et,
atéralité pour éviter l'instru- ment ; et, aussitôt, commencent des mouvements précipités, des tremblements des bras, des jamb
cependant, s'il faut. pincer assez fort la peau pour provoquer des mouvements , un mot suffit quelque- fois pour donner lieu à
par dénutrition ; le sens musculaire est presque aboli. De là, des mouvements nullement en harmonie avec l'effort à vaincre,
RVICE OPIITIIALNIOLOGIQUE. Il Il li Nous trouvons quatre cas où les mouvements des globes oculaires sont intéressés. Dans le c
particulière. Les images homonymes ou croisées suivant que c'est le mouvement de convergence ou de divergence qui fait défaut
cas actuel, si le défaut de divergence tient à de la contracture du mouvement de convergence ou à une paralysie proprement di
e du mouvement de convergence ou à une paralysie proprement dite du mouvement de divergence. Le n° 43 est un exemple de paral
à ce qui se passe dans la paralysie de la divergence, le défaut de mouvement est appréciable objectivement; il y a parfois u
ormes. Dans cette ophthalmoplégie hys- térique, ce sont surtout les mouvements volontaires qui sont intéressés. Les malades so
é de regarder à gauche, à droite, en haut, en bas, tandis que les mouvements réflexes ou inconscients paraissent s'exé- cute
s paraissent s'exé- cuter assez . facilement. Il se passe dans les. mouvements des globes oculaires quelque chose d'analogue à
ne gauche avec strabisme. Ce malade présente en outre un trouble du mouvement des paupières assez singulier. Il semble y avoi
re. Si on lui commande d'ouvrir l'oeil, la paupière n'exécute aucun mouvement . Si on lui dit Arciiines, t. \\11 : 29 50 REV
ara- dique, sans changement de l'excitabilité galvanique ; pas de mouvements fibriNaircs, ni d'incoordination; sphincters norm
e pour les raisons suivantes : la paralysie de la sensibilité et du mouvement augmentent du centre vers la phériphérie et la
es inférieurs et des membres supé- rieurs jusqu'aux épaules; pas de mouvements fibrillaires ni de troubles du côté des sphinct
uit à la tête et le long des os. Au bout de quelques* semaines, les mouvements commen- cent à reparaitre aux avant-bras, puis
et le centre trophique des muscles ne répondrait pas au centre des mouvements . Il est plus probable qu'il s'agissait d'une né
s dans le but d'étudier les modifications de la sen- sibilité et du mouvement volontaire chez les animaux hypno- tisés. Il so
te, elle cherche à fuir. Cette expérience montre la suppression des mouvements volontaires dans l'hyp- notisme. La grenouille
sthésie, ni de retard dans les mou- vements réflexes. Le retard des mouvements réflexes varie d'une grenouille à l'autre, mais
ns coercitifs, on veut leur faire com- prendre l'inutilité de leurs mouvements . Action de l'aimant sur le système nerveux. Le
it le son de-la trompette, il croyait être au combat et faisait des mouvements appropriés. Il était robuste, âgé d'une cinquan
Beliarminoff. L'application de la méthode graphique à l'étude des mouvements de la pupille. Thèse inaugurale. Saint-Pétersbo
absente. 11 n'y avait pas de lenteur de la parole, de la pensée, du mouvement , ni d'imbécillité. M. le Dr C.-K. Mills relate
s savons bien que l'on parle couramment de maladies de la vue, du mouvement ; encore ces expressions, que nous n'aimons guère
i d'acte volontaire, il n'y a que transformation des excitations en mouvements . Plus tard, le désir, première esquisse du cara
Enfin viennent les idées abstraites, avec lesquelles la tendance au mouvement est au minimum, à moins qu'elle n'éveille XII
générale sur le fait, suivant lui, fondamental qu'il n'y a point de mouvement d'activité psychologique sans mouvement molécul
mental qu'il n'y a point de mouvement d'activité psychologique sans mouvement moléculaire corrélatif des éléments nerveux. 11
ve. Il établit ainsi : 1° Que la face psychique se trouve avec le mouvement moléculaire nerveux dans une corrélation telle
it son existence à un mou- vement qui expire en produisant un autre mouvement , ce qui prouve qu'elle ne peut être elle-même a
ent, ce qui prouve qu'elle ne peut être elle-même autre chose qu'un mouvement ; 2° Que toute cette psychique consiste en une t
e impulsion extérieure, c'est-à-dire en une forme parti- culière de mouvement (Première partie : notion de l'activité psychique
Première partie : notion de l'activité psychique). Aussi comme tout mouvement , l'activité psychique est-elle liée à la produc
ations, les efforts pour se servir du membre malade, au moment d'un mouvement associé. Il en résulte une incoordination des m
moment d'un mouvement associé. Il en résulte une incoordination des mouvements volontaires, ressemblant à l'hémiataxie décrite
. Le Dr lnapp pro- pose de donner à cette forme le nom de spasme du mouvement . - A. R. X% La psychologie physiologique; par
ymptomatique type avec troubles psychiques, anesthésie, lenteur des mouvements , exa- gérations des réflexes dus sans doute à u
e la- dans l'écorce cérébrale), par Buchholx, 131. Névropathes ( mouvements anormaux associés des pieds et des orteils ch
362; sensibilité dans le -, par Binswanger, 288 ; paralysie des mouvements de convergence des yeux, au début du), par Watt
(trajet central des nerfs), par Hehvig, 108. Yeux (paralysie des mouvements de convergence des - au début du tabes) par W
79 (1891) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 6
présenteront un grand intérêt I pour tous ceux qui suivent de près le mouvement philosophique I contemporain. Les jurisconsultes,
ble, dés qu'on les leur commande. Ils reproduisent instantanément les mouvements qu'ils voient exécuter, répètent d'eux-mêmes le»
iale des grandes fonctions nerveuses : les sens, l'intelligence et le mouvement ; puis il fait l'application spéciale des précepte
s encore que suggestivement s'améliorent ou guérissent, a l'aide d'un mouvement nerveux en sens contraire de ces phénomènes, un t
as où des hémiplégiques, sous l'influence de la suggestion, mirent en mouvement leurs membres paralysés depuis de longues années.
tre système nerveux central, du cerveau et de la moelle épinière. Les mouvements plus ou moins compliqués de nos muscles sont d'au
s médullaires motrices régissant les dits muscles; et, par suite, les mouvements qui en dépendent sont exécutés beaucoup moins fac
une inactivité prolongée, le sujet oublie comment il faut exécuter un mouvement compliqué ou prendre une position du corps déterm
l'hypnose, le comment revient en mémoire. 11 n'est pas rare que tels mouvements oubliés reviennent sous l'influence de quelque ch
le principe de la maladie provient de ce que les malades oublient les mouvements spéciaux qui sont nécessaires pour la station dro
que les malades ne savent plus comment s'y prendre pour les mettre en mouvement . Dans ces cas, l'hypnose peut ramener dans la mém
nacer, approcher un instrument piquant de son œil sau* qu'il fasse un mouvement . Et cependant ce sujet a perçu ce quo je lui fais
bandeau, là où elle souffrait. Mais aussitôt qu'elle eut accompli ce mouvement involontaire, elle s'aperçut, avec éionnement, qu
fants qui présentent des stigmates hystériques, cl en particulier des mouvements choreiques, sont tantôt très facilement hypnotisa
e sur ce fait, « que le lecteur des pensées saisit toute la série des mouvements musculaires inconscients exécutés par l'inducteur
appelé cette lecture, non point lecture des pensées, mais lecture des mouvements musculaires (muscle-reading.) Brown inaugura se
lire les pensées comme Brown, en se guidant seulement sur les faibles mouvements inconscients de leurs inducteurs. C'est par ce pr
Si l'inducteur fermait les yeux et n'était plus en état de suivre les mouvements du lecteur des pensées et de les rectifier, si Bi
isser guider, pendant qu'il cherchait un objet ou un endroit, par les mouvements involontaires, inconscients que produisait l'indu
de Biscbopp et de Cumber'and chez nous, en Russie, a provoqué un vif mouvement d'intérêt pour les phénomènes de la lecture des p
e ce ne sont pas les pensées proprement dites qui se lisent, mais les mouvements musculaires dont s'accompagnent les pensées chez
ent la participation, dans le mécanisme de la lecture des pensées, de mouvements musculaires inconscients produits pendant une att
festent pas leur impatience, leurs désirs sous la forme de tel ou tel mouvement , sont de mauvais inducteurs avec lesquels les exp
areils simples pour faire inscrire sur un cylindre enfumé les faibles mouvements que produisent les doigts de la main de l'homme d
la question principale, et précisément pour mettre en lumière et les mouvements inconscients effectués par l'inducteur pendant la
des pensées, et les modifications provoquées dans la direction de ces mouvements inconscients sous l'influence de telle ou telle r
perdaient toujours de vue la nécessité d'illustrer graphiquement ces mouvements inconscients, et ne les admettaient que comme la
es se guide, dans la résolution des problèmes qu'on lui pose, sur ces mouvements inconscients de l'inducteur et les petits coups q
e personnes quant à sa confirmation expérimentale. Il faut saisir ces mouvements , les inscrire d'une manière graphique au moyen d'
re graphique au moyen d'appareils délicats, et prouver que, là ou ces mouvements sont nuls, la lecture des pensées n'est plus poss
lesse. Les yeux sont fermés. A mes demandes, il ne répond qu'avec des mouvements de tète; il ne peut presque se bouger. Selon le r
gestion. Le sujet me donne la main : il transforme l'idée acceptée en mouvement ; la suggestion est réalisée. Elle peut ne pas se
r ; le sujet refuse de me donner la main : ce refus se traduit par un mouvement de recul. Alors j'ai éveillé dans son cerveau une
lais réaliser, n'en est pas moins une ; elle se traduit par un acte : mouvement de recul de la main. Car c'est le cerveau du suje
ntervient et neutralise l'idée, que la volonté la rejette, le premier mouvement , involontaire, réflexe, aura toujours été une ten
Nul doute que si on pouvait inscrire par un tracé graphique tous les mouvements musculaires du sujet, on constaterait un tracé co
res du sujet, on constaterait un tracé correspondant à une ébauche de mouvement commandé, mais arrêté par la volonté, alors quo s
ur, tristesse, etc., réalisent, en dehors de la volonté du sujet, des mouvements , des contractions, des altitudes complexes; le co
nsitif, le phénomène suggestion existe; c'est une idée transformée en mouvement , acte, sensation, éraotiou, image. On a dit : « P
a me croire tout d'abord. Mais la paralysie ne se fait pas comme le mouvement par la volonté seule actionnée par l'idée. Il fau
es, sensitives, sensorielles, qui fait la transformation de l'idée en mouvement , sensation, image, est réfréné par les facultés d
dans ses rapports avec le sommeil provoqué et avec les troubles du mouvement . (Rev. de méd„ mai et juillet.) Richter. — Ps
IV L'absence d'investigations semblables indiquant clairement ces mouvements et les mettant à nu, conduit à ce résultat fâcheu
qui constituent nos idées, nos pensées, se trouve, comme on sait, un mouvement moléculaire des particules du protoplasma de ces
uvement moléculaire des particules du protoplasma de ces centres ; ce mouvement se propage sur les cordons nerveux qui sont liés
provoque ou la projection des sensations, des représentations, ou le mouvement des membres, la contraction des vaisseaux, la séc
la contraction des vaisseaux, la sécrétion de sucs spéciaux, etc. Ce mouvement moléculaire, nommé excitation nerveuse, se manife
s la forme soit de sensations, de représentations, soit de différents mouvements musculaires; celui qui admet la possibilité de l'
d'un cerveau  un autre, est obligé, par cela même, d'admettre que ce mouvement moléculaire peut se passer des centres nerveux de
pensées; et dans le cas où l'inducteur et le lecteur se touchent, ce mouvement moléculaire de l'excitation nerveuse devrait se t
les autres catégories de sensations, ainsi que de toute une série de mouvements généraux, qui écarteraient la possibilité d'une a
'excitation nerveuse ne se transforme en aucune des formes connues de mouvement lumineux ou calorifique, non plus qu'en travail m
otre conscience, se trouvent les muscles de notre squelette; mais les mouvements que nous remarquons le mieux sont ceux qui s'exéc
e mieux sont ceux qui s'exécutent par notre volonté, c'est-à-dire les mouvements purement volontaires. Pourtant il existe, en deho
ires. Pourtant il existe, en dehors d'eux, une nombreuse catégorie de mouvements exécutes par le corps et de mouvements inconscien
ux, une nombreuse catégorie de mouvements exécutes par le corps et de mouvements inconscients. Premièrement, il existe toute une
mouvements inconscients. Premièrement, il existe toute une série de mouvements réflexes, qui ne se compliquent d'aucun élément p
t dans le • Messager de l'Europe • (en russe), 18S4. citer tous les mouvements très conformes au but et effectués par les centre
motrices, et provoquent, par cela môme, toute une série de différents mouvements purement réflexes. Ces mouvements sont possibles
môme, toute une série de différents mouvements purement réflexes. Ces mouvements sont possibles dans l'absence complète de la cons
e après la décapitation. Secondement, il y a une autre catégorie de mouvements involontaires qui accompagnent différentes formes
. Enfin la troisième et, pour nous, la plus importante catégorie de mouvements inconscients, c'est celle qui est déterminée par
e représentations, puissent servir de motifs et d'impulsions pour les mouvements , sans aucune participation de la conscience et de
ence et de la volonté, c'est ce que démontrent jusqu'à l'évidence les mouvements compliqués et variés qu'exécutent les hypnotiques
es et les somnambules sous l'influence des idées prédominantes. Ces mouvements ont déjà été, depuis longtemps, appelés par Carpe
Ces mouvements ont déjà été, depuis longtemps, appelés par Carpenter mouvements idéo-moteurs, et il est facile de prouver qu'ils
ritation de centres nerveux déterminés, qui président précisément aux mouvements capables de contribuer a l'accomplissement da rés
la première période de l'attaque : respiration précipitée (80 resp.), mouvements de soulèvement du ventre, stertor, rougeur de la
-,-.jrg. Suite et fin (1) VII Nous voyons, ainsi, que grâce â ces mouvements idéo-moteurs Taries et inconscients, le lecteur d
se met en communication avec lui au moyen de cette langue muette des mouvements idéo-moteurs; mais puisque l'inducteur n'a presqu
urs; mais puisque l'inducteur n'a presque aucune cons-. cience de ces mouvements accomplis par lui-même, et que le problème qu'il
e, il suffit au lecteur des pensées d'étudier cette langue muette des mouvements idéo-moteurs, de se bien rendre compte quand on l
éter (1) V. Revue de l'Hypnotisme, p. 65 et 101. correctement les mouvements les plus faibles des rênes, à devenir l'obéissant
ur des pensées avec son inducteur pour sentir cette langue muette des mouvements idéo-moteurs? Les expériences se font sous troi
ns toutes naturelles. Le lecteur doit se guider, dans ce cas, sur les mouvements idéo-moteurs inconscients de son inducteur, mouve
e cas, sur les mouvements idéo-moteurs inconscients de son inducteur, mouvements qu'il ressent sous la forme de sensations cutanée
ses sensations cutanées et musculaires, au moyen desquels ¡1 suit les mouvements inconscients idéo-moteurs de son inducteur, et s'
ontenant pas do représentations motrices, ne s'accompagnent jamais de mouvements idéo-moteurs déterminés, qui pourraient servir de
, des idées abstraites, et dans ce cas il se guide simplement sur les mouvements involontaires des lèvres, ainsi que sur le chvxta
ée que Ton médite. Autrement dit, le lecteur des pensées, suivant les mouvements des lèvres et le chuchotement, reproduit les mots
très limité de problèmes, qui ont toujours plus ou moins rapport aux mouvements de nos membres. Puisque nous avons vu que le le
aine position dans l'espace, et dans tous ces cas il se guide sur les mouvements idéo-moteurs inconscients de son inducteur, que c
ple que nous avons présentée ici, ont besoin, pour leur réussite, des mouvements idéo-moteurs que nous avons constatés, les expéri
nt au but proposé, ne pourront, à plus forte raison, se passer de ces mouvements inconscients de l'inducteur. Cette conclusion est
servée entre le lecteur des pensées et l'inducteur s'explique par les mouvements idéo-moteurs inconscients que produit celui-ci, e
, des résistances de la part de l'inducteur, et que c'est grâce à ces mouvements qu'il arrive au but, c'est-à-dire jusqu'à l'endro
c'est-à-dire jusqu'à l'endroit où se trouve tel ou tel objet. Si ces mouvements sont nuls, il n'est plus capable de réussir. Bi
'ils reçoivent de l'inducteur. Et dès que celui-ci ne produit pas ces mouvements , ils se refusent net à faire avec loi aucune expé
que les lecteurs découvrent, non les pensées de l'inducteur, mais les mouvements inconscients produits par ce dernier, et dont l'i
cteurs des pensées exercés et forcés d'étudier le langage muet de nos mouvements ïdéo-moteurs; ils commencent bientôt à le compren
grand hypnotisme, nous voyons qu'ils se réduisent à des phénomènes de mouvement , puisqu'il est facile de reconnaître que les phén
lons de Vhyperexci-labilité neuro-musculaire qui se manifeste par des mouvements nettement localisés, d'après les lois anatomo-phy
de suggestion ni consciente, ni inconsciente, qui puisse indiquer les mouvements qui doivent être exécutés, lorsqu'on excite mécan
del 18SS. Milano, 1889. en suggérant, après chaque excitation, les mouvements qui devaient être exécutés; mais il n'est jamais
ractions des muscle» ou des faisceaux musculaires, aussi bien que les mouvements correspondants, d'après les lois physiologiques.
e jeune fille, et leur durée est d'an moins une heure. La période des mouvements de elonisme est très inten«e : il faut cinq perso
l'empêcher de se faire du mal. Elle pousse des aboiements, décrit des mouvements en arc de cercle très étendus, cherche à mordre l
érique. Elles ont débuté à l'âge de neuf ans et consistent dans des mouvements tumultueux très intense» avec perle de connaissan
main froide placée sur la paroi de l'abdomen produit immédiatement un mouvement du fœtus, et l'on sait que le corps n'est pas un
il de la mère aussi bien qu'un bruit inattendu produisent de violents mouvements convulsifs (3), et Perez (4) constate qu'une femm
t par des convulsions doniques, et, vers la fin de l'attaque, par des mouvements passionnels du ventre et du thorax et par la camb
ncliner en avant. Depuis sept à huit mois, U ne pouvait plus faire ce mouvement , ni ramasser par exemple un objet à terre. L'aspe
membres inférieurs ne présentent aucune atrophie musculaire; tous les mouvements s'accomplissent ; la sensibilité est normale ; ni
e telle qu'elles sont dues par exemple à un effort de toux, à un faux mouvement , à une contraction musculaire pour aller à la sel
é et la disparition de la raideur. faisant exécuter à la malade les mouvements du bras, tous les jours davantage, en l'encourage
e suggérer que l'hypnotisme n'enlevait ses douleurs qu'en rendant les mouvements plus difficiles, chaque séance aurait répété et c
ment une belle crise d'hystérie avec tout son tableau symptomatique : mouvements convulsifs, propulsion en avant, grincements de d
ans son liés intéressent et très suggestif travail sur : Sensation et Mouvement . Vous savez avec quel déterminisme expérimental p
trj>sic ; tpasmcs oesophagiens; accès partant de l'estomac; grands mouvements ; hémia-nesthesie à gauche ; hallucinations de la
ongtemps, près de deux heures, pendant lesquelles elle se livre à des mouvements tantôt limités, tantôt étendus. La nuit, elle a d
es attaques d'hystérie, avec perte complète de connaissance et grands mouvements . Elle fut bientôt guérie de ces crises par l'empl
généralisée dans ses rapports avec le sommeil et avec les troubles du mouvement .. (Revue de médecine, n°'5, 10 mai 1891 Ringie
videmment, dans une certaine condition qu'on trouve bien rarement, ce mouvement cortical dans lequel la pensée consiste se transm
de substance nerveuse, centres moteurs qui président précisément aux mouvements , et que, quand ils sont irrités, comme chez les é
and ils sont irrités, comme chez les épileptiques, ils provoquent des mouvements très violents aux extrémités. Mais on dira que
t des mouvements très violents aux extrémités. Mais on dira que ces mouvements spiritiques n'ont pas pour intermédiaire le muscl
diaire le muscle, qui est le moyen le plus commun de transmission des mouvements . C'est vrai ; mai> la penst'-e aussi, dans les
emuer le fer sans autre intermédiaire? Dans ces faits spiritiques, le mouvement prend une forme plus semblable au vouloir, plus i
e que le cerveau soit l'organe de la pensée, et que la pensée soit un mouvement ; du reste, en physique, admettre que les forces s
d'une autre personne. Cet étnt d'activité inconsciente explique les mouvements et les gestes que peut faire une main sans que le
, et transmet sa pensée au médium, lequel, l'exprime ensuite avec ses mouvements et quelquefois le réfléchit dans l'une des person
des personnes présentes. C'est qu'en effet, dès que la pensée est un mouvement , non seulement elle se transmet, mats aussi elle
onsternation, je ne pus rien entendre, mes yeux ne constataient aucun mouvement respiratoire. Une pâleur particulière envahit le
rder mes yeux et me mis à fixer les siens à mon tour sans faire aucun mouvement des lèvres. Au bout d'une minute, ses paupières s
bras. Us restèrent comme je les plaçais; je fis tourner les mains, le mouvement se continua. Mais quand je la pinçais, elle faisa
les répéta comme elle le fait à l'état de veille, quand elle voit les mouvements des lèvres. Ici elle avait les yeux fermés et j'é
Si on fait tourner les deux bras du sujet l'un autour de l'autre, ce mouvement de rotation se continue automatiquement. La const
ni l'initiative ni la volonté de modifier à son gré l'attitude ou le mouvement habituellement suggéré, dans ce cas simplement au
ec la plus grande facilité les suggestions des phénomènes relatifs au mouvement , se contracturent et se paralysent au commandemen
s. L'hypnotisée, malgré la douleur éprouvée, ne fit pas le plus léger mouvement et ne manifesta pas le moindre signe de souffranc
racine avançant de 3 millimètres ; cette opération se fit sans aucun mouvement d'impatience de sa part; elle n'avait éprouvé qu'
ngourdissement et une complète impuissance dans la pensée et dans les mouvements . Ce qui esl plus curieux, c'est que malgré le rés
l, je lui arrachai deux molaires de la mâchoire inférieure sans aucun mouvement musculaire dans sa physionomie. Dans l'espace de
le. Aujourd'hui encore, lorsqu'on voit quelqu'un qui se litre à des mouvements désordonnés, on dit qu'il est piqué de la tarentu
dinaire, et donner la mode, le langage, les mœurs; produit les grands mouvements d'enthousiasme, les grandes manifestations. L'i
tance de se» travaux. Prosper Despine était resté un peu en dehors du mouvement psychologique contemporain, et sa mort est passée
crises nerveuses avec pleurs, agitations, sueurs, convulsions, grands mouvements , délire, congestion de la face, salivation, grinc
80 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 17, n° 97-102] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
phtalmologie externe et interne presque totale : la recher- che des mouvement oculaires est rendue, il est vrai, difficile pa
tous les autres muscles sont pa- ralysés, cependant quelques légers mouvements sont encore possibles dans les muscles droits i
nettes; je puis la mettre en évidence facilement dans les di- vers mouvements provoqués (succion, action de siffler, gon- fle
chée pour le moment; il faut savoir attendre. Asiles d'aliénés. - Mouvement de novembre 1903. -- M. le De Marchand, médecin
ore plus fortement, lorsqu'on essaie de les lui ouvrir, il fait des mouvements de rotation avec ses bulbes ocu- laires et tâch
à ses membres, et il la garde assez longtemps. Chaque tentation aux mouvements passifs est suivie d'opposition. Il existe des
ATONIQUE. -2't région psychomotrice. Le malade ne fait jamais aucun mouvement correspondant à la demande qu'on lui adresse. D
à la demande qu'on lui adresse. De sou gré il ne peut faire aucuns mouvements . Par exemple, il mange lui-même, mais toujours
e. On observe chez le malade un négativisme très marqué et dans ses mouvements une grande indécision ; des journées entières i
é générale, mais de pair avec cela, il ma- nifeste quelquefois- des mouvements impulsifs : par exemple, tout à coup il se jett
fenêtre voulant casser la vitre ; le malade a une inclination à des mouvements automatiques ; en se tenant debout à quelque di
ondait rien, en souriant seulement d'un air hébété. Quelquefois les mouvements impulsifs se manifestent en poses stéréotypes,
ine tension des .muscles mimiques. Ses mains font assez souvent des mouvements impulsifs particuliers. L'épaule se tourne dans
as dans l'articulation du coude et remue légèrement les doigts. Ces mouvements , par leur type, rap- pellent le plus les mouvem
les doigts. Ces mouvements, par leur type, rap- pellent le plus les mouvements choréiformes; ils sont égaux dans les deux main
mènes de négativisme et de mutisme, parfois une k catalepsie et des mouvements impulsifs. ' es Comme on le voit, d'après les r
stater, est affai- blie, vu l'affaiblissement de l'attention. Les mouvements actifs ont conservé leur force. La sensibilité
te avec catalepsie, après quoi survint l'excitation habituelle avec mouvements stéréotypes. En septembre l'état de la malade é
re changer de pose. Parfois elle fait des grimaces ou sourit. Les mouvements de la malade sont toujours tout aussi stéréotypes
s contre cela, que peut-être, une certaines partie des poses et des mouvements , peut être expliquée par des hallu- cinations,
l'application de l'opinion de Meynert concernant la dépendance des mouvements automatiques des ganglions corticaux.- , En p
symptômes d'innervation corticale incomplète, c'est-à- dire que les mouvements impulsifs des catatoniques, par leur essentiel
locomoteur et non un acte. psychomoteur. Le catatonique commet des mouvements rapides, uniformes, des sauts, frappe, déchire
, des sauts, frappe, déchire les habits, casse des objets, etc. Ces mouvements se font sans la parti- cipation de la conscienc
rticale ici, mais, en tout cas, vu la rapidité et l'impétuosité des mouvements et vu leur uni-, formité, nous avons affaire ic
. ' D'ici provient l'impulsion, et en même temps l'uniformité des mouvements . En cela, entre autre consiste la différence, e
En cela, entre autre consiste la différence, essentielle entre les mouvements impétueux des catatoni- ques et les mouvements
ssentielle entre les mouvements impétueux des catatoni- ques et les mouvements maniaques. Les derniers sont très forts, énergi
dire de l'excitation de différents centres corticaux. Dans les 1 mouvements catatoniques, nous voyons au contraire une, exc
viennent des illusions par la voie réflexe. Si même, concernant les mouvements complexes, on peut admettre encore une origine
ière d'inhibition sur- les ganglions sous-corticaux, communique aux mouvements la régularité et l'égalité. Ensuite, les expéri
à par elle-même sur une fonction amoindrie de l'écorce, puisque les mouvements corticaux sont toujours motivés et variables en
sième, quatrième et sixième paires : -. ainsi s'expliquent tous les mouvements réflexes des muscles des REVUE D'ANATOMIE ET DE
xerce ainsi son influence sur l'équilibre : il y a coordination des mouvements réflexes qui dépendent des impressions lumineuses
notion tout à fait hypothétique de la substance et sur celle de son mouvement s'édifie le monde des sciences naturelles, de l
t sur l'apo- physe coracoïde, on obtient, à l'état normal, un léger mouvement de flexion de l'avant-bras, parfois une légère
s trous condy- liens antérieurs. G. D. , IX. Sclérose en plaques. Mouvements au repos; par le or BOUCHAUD, de Lille. (Journ.
er l'existence chez son malade d'une sclérose en plaques malgré les mouvements involontaires des membres qu'il présentait au r
nelle, systématisée, sous forme de spasmes fonctionnels, à certains mouvements complexes et coordonnés tels que la marche'et l
oordonnés tels que la marche'et l'écriture : attitudes vicieuses et mouvements involontaire des membres, du tronc et de la têt
les jambes, puis monte et finit par rendre à peine possi- bles les mouvements de la tête. On constate un degré variable d'ane
symptômes ordinaires sont les vomissemenis, l'incoor- dination des mouvements , et la torpeur mentale, avec prostration consid
os, puis, après avoir croisé les bras sur la poitrine, exécuter des mouvements alternatifs de flexion et d'extension du tronc
et d'extension du tronc sur le bassin, comme pour la recherche du « mouvement combiné de flexion du tronc et de la cuisse. Pe
bduction réflexe, mais il faut remarquer que si ces deux espèces de mouvement coexistent par- fois ils peuvent aussi exister
s délire du toucher. BIBLIOGRAPHIE. I. Mécanisme et éducation des mouvements ; par G. DEMENY, vol. in-8° de 524 pages, avec
é de gymnastique. Après avoir décrit et ex- pliqué le mécanisme des mouvements , l'auteur expose les règles générales il suivre
ersellement employés et il en fait une judicieuse cri- tique. Aucun mouvement , aucune attitude n'est laissé de côté, le patin
wallérienne indirecte; Fritz de BEULr : A propos du mé- canisme des mouvements respiratoires de la glotte chez le chien; Profe
e jour), ne restaient pas deux minutes à la même place, avaient des mouvements désordonnés des membres supérieurs, verbiageaie
étaient apparus, caractérisés par un affaiblissement de tous les mouvements , en particulier de son appareil locomoteur. Peu à
le), écorce de la région périrolandique : : ^ . K. centre kinéique ( mouvements généraux), écorce de la région pértrolandultue;
le'; Ee, Mw, Kk, voies centrifuges de l'écriture, de la parole, des mouvements ; EA, EV, ET; ME, MK, MV, MA. MT; KV, KA, KT, ,
e cette paralysie. (A ce moment, le centre 0, le « mot commande aux mouvements de la jambe gauche). 5° Je n'ai qu'à souffler
pour la paralyser de nouveau. Voyez ! (Le moi ne commande plus aux mouvements de la jambe). Je vais vous réveiller complèteme
Jamais la suggestion, ni la volonté, n'ont pu inhiber le centre du mouvement réflexe lumineux. Nous avons tenté l'expérience
riations pupillaires, le second groupe est formé par les cas où les mouvements pupillaires sont altérés d'une manière persista
on accroche sarespiration. Sensi- bilité viscérale : , sensation de mouvement et de torsion dans l'ab- domen ; on lui entre u
tristesse empreinte sur le visage, lenteur de la démarche et des mouvements , parole lente et monotone, accablement physique e
nstables, impatientes, ont l'esprit de contradiction présentent des mouvements impulsifs, frappent les femmes. Les tentatives
entoure, il laisse tomber sa tête et exécute avec ses mem- bres des mouvements sans but : l'auteur l'examine et pense à l'hydr
rêté. L'enfant est anémique, les muscles sont mous et flasques, les mouvements spontanés cessent progressive- ment : l'aspect
erve en mangeant, appréhende d'avaler, éprouve de l'angoisse à tout mouvement de déglutition : cette anxiété trouble l'acte m
taines excitations cutanées produisent généralement dans ce cas des mouvements réflexes des divers segments des membres inféri
s des divers segments des membres inférieurs et en particulier un mouvement de flexion de la cuisse sur le bassin plus pronon
ification dans la forme est particulière- ment remarquable dans les mouvements réflexes des orteils, dans l'extension (phénomè
, troubles' très légers de la parole ; aucun trouble de la lecture, mouvements fibrillaires des lèvres. Ecriture tremblée. Pup
de la parole; pas de tremble- ment dés mains, ni de la langue, mais mouvements fibrillairesrapi- des des lèvres; pupilles dila
xamen du 7 septembre 1903. Troubles de la parole très ac- centués : mouvements de trombone de la langue en même temps un peu d
est très consciente de son état. . Signes physiques très marqués : mouvements de trombone de la langue; parole très embarrass
t immobile; la pupille gauche semble réagir encore mais faiblement. Mouvements de trombone de la langue. Tremblement des membr
ux en expérience, les pertes de sang favorisent la pro- duction des mouvements réflexes et des convulsions ». A-t-on, du reste
deur, l'ambition, parce que dans tous ces cas, nous développons des mouvements centrifuges et ascendants; tandis que dans le c
le chagrin, la maladie, le découragement, la grande timidité, nos mouvements sont centripètes et déprimés. Comme dans la vie
lésions du faisceau extra-pyramidal et doit être rangé à côté des mouvements hyperkinétiques (chorée. myoclonie). G. D. , XL
ire s'obtient en frappant l'os de la pommette; il se traduit par un mouvement en arrière et en haut de la commis- sure des lè
en avant de l'insertion du masséter de façon à produire un brusque mouvement de descente de cette mâchoire; on peut aussi fr
plus, du côté malade, cette occlusion est moins incomplète dans le mouvement isolé que dans le mouvement synergique par le f
occlusion est moins incomplète dans le mouvement isolé que dans le mouvement synergique par le fait de l'intensité plus gran
période d'excitation. - 5. Il faut la ranger dans la catégorie des mouvements stéréotypés, automatiques, car elle présente av
tal, elle avait des maux de tête avec vomissement et du trouble des mouvements associés des yeux il gauche et à droite, tandis
uvemens des yeux en haut et en bas étaient normaux, de même que les mouvements associés des yeux en dehors. En mai 1901, on co
ec quelles précautions on l'apporte dans cet amphithéâtre. Tous les mouvements communiqués, les moin- dres trépidations sont v
ez l'état de cachexie profonde dans lequel elle se trouve. Tous les mouvements actifs, même ceux de la tête sont presqu'imposs
s éminences thénar et hypo- thénar sont flasques et atrophiées. Les mouvements actifs de flexion et d'extension des doigts son
l en est de même de l'adduction et de l'abduction du pouce. Aucun mouvement n'est possible au niveau de l'articula- tion ra
ble au niveau de l'articula- tion radio-carpienne. N'était un léger mouvement d'exten- sion de l'avant-bras sur le bras, on p
gauche, il y a de la faiblesse, de l'impotence fonctionnelle; les mouvements de l'épaule sont.douloureux et difficiles, les
s vives, la malade arrive à faire exécuter à ses orteils quelques mouvements , à fléchir ou à étendre son pied. Le trajet du
llements, en douleurs lancinantes, spontanées ou provoquées par les mouvements et les con- tacts ; tout ceci, dis-je, montre s
s'atrophier. Non seulement la marche, mais encore presque tous les mouvements sont impossibles. C'est dans ces conditions qu'
les mains sont tombants, les extenseurs ont perdu toute action. Les mouvements volontaires sont d'ailleurs à peu près supprimé
té droit par rap- port au côté opposé est à peu près de 1 à 10. Les mouvements des quatre derniers doigts sont presque normaux
normaux ; quant au pouce, 1 abduction est diminuée, tandis que les mouvements d'extension et de flexion des phalanges ne s'él
autres doigts : tout au plus arrive-t-il à toucher l'index. . Les mouvements de flexion du poignet sont normaux de même "que
vite son travail, fait à noter, car dans le type Aran-Duchenne les mouvements sont sou- vent longs à revenir et l'atrophie pe
côté physiologique de la question ? G. Carrier. XXXI. Troubles du mouvement chez un hystérique simulant la maladie de Thoms
tal les parents avaient remar- qué quelque chose d'anormal dans les mouvements de leur enfant qui continuait néanmoins' ses oc
sentiellement le retard qu'il met à réagir quand on lui commande un mouvement volontaire et la brusquerie et le ressaut qui c
deur musculaire pen- dant le temps de réaction, pouvant entraver le mouvement . Les mouvements automatiques et les mouvements
en- dant le temps de réaction, pouvant entraver le mouvement. Les mouvements automatiques et les mouvements de défense s'opère
, pouvant entraver le mouvement. Les mouvements automatiques et les mouvements de défense s'opèrent avec le temps de réaction
ploration mécanique et électrique ; pas de réaction myotonique. Les mouvements passifs s'effectuent normalement et sans raideu
traitement hydrothérapique, douche écossaise, avec rééducation des mouvements volontaires l'ont amélioré. En comparant ces di
devant la constatation de l'intégrité complète des réflexes et des mouvements automatiques, MM. Leclerc et Angiel concluent q
et le neurone moteur périphériquefonc- tionne normalement. Tous les mouvements qui peuvent s'effectuer sans le concours du neu
ileptiformes généralisées, qui rapidement se transforment en grands mouvements du corps entier, mouvements de fronde, arcs-de-
ui rapidement se transforment en grands mouvements du corps entier, mouvements de fronde, arcs-de-cercle, sans que la connais-
a dernière période, état de stupeur avec résistance des muscles aux mouvements passifs. 2° Même au début de la maladie, il y a
re certaines lois, par lesquelles se répète toujours l'ensemble des mouvements provoqués par l'acte exécuté. Un groupe de musc
ent de l'acte la mise en jeu du groupe symétrique ; peu à peu les mouvements gagnent tout le corps, se généralisent, s'ac- c
dont le coefficient intellectuel est très appauvri Une sensation de mouvement , d'une part, provoque par association presque s
ouvement, d'une part, provoque par association presque spontanée un mouvement exécuté et déjà fini, et, de l'autre, produit l
fini, et, de l'autre, produit la répétition involontaire de ce même mouvement , le tout commandé par l'évolution d'une image m
non définie, pour ainsi dire, le sujet exécutait toute une série de mouvements stéréotypés sur le même cliché initial, mouveme
e une série de mouvements stéréotypés sur le même cliché initial, mouvement croissant de force et de vitesse jusqu'à en arr
l y avait cependant cette différence, que l'exécution physique du mouvement était la résultante inconsciente et immédiate d
mmédiate de l'avalanche mentale de l'image motrice. Et lorsque le mouvement augmentait, les excitations qui en parvenaient
tre la position des yeux et celle des paupières, ainsi qu'entre les mouvements de l'oeil et ceux des paupières ; 1° Que 1'liyp
. Et, lorsque nous disons fatigue motrice, c'est l'image mentale du mouvement que nous voulons désigner. C'est l'image motric
it plus intense a mesure que la fatigue muscu- laire rendait chaque mouvement plus difficile dans son exécution et dans son a
ressemblent beaucoup aux flagella de certaines bactéries douées de mouvement ; elles se colorent par les mêmes méthodes hist
oublier que' Spina et Vejnar ont vu des cellules de la névroglie en mouvement , ainsi que les mouvements en apparence ciliaires,
nar ont vu des cellules de la névroglie en mouvement, ainsi que les mouvements en apparence ciliaires, de leur réseau fibrilla
387 souvent on nota des formes arythmiques et allorythmiques des mouvements respiratoires. Le centre respiratoire est beaucou
terne ou dans les lésions qui intéres- sent surtout le cervelet, le mouvement se fait du côté sain vers le côté opéré, dans l
illère superposée. Parésie des deux membres supérieurs avec ataxie, mouvements choréiformes, soubresauts des tendons, et anest
ier de verrier. 11 avait de l'engourdissement de l'auriculaire; les mouvements de ce doigt étaient difficiles et les sensation
uveret a décrit en 1891 une névrose du pharynx caractérisée par des mouvements de ' déglutition incessants, convulsifs, entraî
dant toute la durée du repas. Il doit s'efforcer de discipliner ses mouvements de déglutition et de les soumettreà l'empire de
étranger entre ses dents, l'écartement des mâchoires arrê- tant les mouvements pathologiques de déglutition. On doit joindre l
, de Belgique, 1903, n° 112). LXI. Sur un cas de tabès compliqué de mouvements choréiques et de paranoïa; par le De de Buck. (
ll, de la Soc. de méd., men- tale de Belgique, 1903, n° 112.) Les mouvements choréiques n'étant survenus chez le malade, don
rie, l'auteur pense (en l'absence d'examen microscopique) que ces mouvements se sont développés sous l'influence de l'irritati
analogue. Et comme la sensa- tion est beaucoup plus complexe que le mouvement ,, il n'est pas REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 405
ble- ment prononcé de la langue et des mains, brusquerie dans ses mouvements , le langage un peu indistinct, la sensibilité gén
ation d'énergie nerveuse ? Ou bien devons-nous penser que, dans les mouvements semi-automa- tiques et sub-conscients, le stimu
fort mental qui implique l'attention et la masse musculaire mise en mouvement et par conséquent les impressions cinethétiques
pport proportionnel entre la surface cor- ticale qui correspond aux mouvements spécifiques et la masse des muscles mis en acti
ui considère le cerveau comme le grand or- gane de coordination des mouvements en série, et le cervelet comme l'organe de coor
vements en série, et le cervelet comme l'organe de coordination des mouvements simultanés. Mais si l'on admet que les cellules
rps inorganiques : ils ajoutent continuellement à leur provision de mouvement , et de ces additions continuelles il résulte à la
tions continuelles il résulte à la fin une surcharge. La tension du mouvement contenu atteint un degré tel que la résistance
er, et elle éclate, peut-être sous la provocation d'une addition de mouvement , certainement sous une provocation minime. »
maux semblent indiquer que le grand ressort qui met en jeu tous les mouvements est purement automatique, mais avec un contrôle
ont les bases principales du contrôle volition- nel, mais aussi les mouvements acquis ; or, la destruction soit de l'écorce Ro
nt à la question du rôle joué par la volition dans l'exécution du mouvement que l'auteur étudie longuement. On pourrait sup
tres inférieurs une plus grande liberté d'action, aboutissant à des mouvements , ou même à des convulsions; mais REVUE D'ANATOM
gane préposé à l'exécution de la vo- lition et son influence sur le mouvement est semblable à celle des mains du cocher sur l
he de la voiture : elle fait tout, en ce qui touche la direction du mouvement , rien en ce qui touche l'énergie à lui communiq
tabes, mais avec cetle différence que la notion des attitudes et du mouvement passif n'est pas affectée. A deuxépoques différ
ngue et la main droite ; ces contrac- tions se renforçaient par les mouvements volontaires, et par les émo- tions. Les muscles
de muscles (attitudes stéréoty- pées) ou de la répétition d'un même mouvement (mouvements stéréotypés). Les états de stupeu
(attitudes stéréoty- pées) ou de la répétition d'un même mouvement ( mouvements stéréotypés). Les états de stupeur catatoniqu
ste en une agitation stéréotypée (reproduction incessante des mêmes mouvements , des mêmes paroles, verbiuération) coupée de br
es mouvements, des mêmes paroles, verbiuération) coupée de brusques mouvements automa- tiques, violence*, impulsion*, fugues,
te en ce sens et adopté les mêmes vues en prin- cipe. C'est te même mouvement d'idées qui en France c'est mani- festé dans le
.MOIlI'IIJ1\O,\1 II\IF., otes sur quelques cas rie ; par .)on,76. Mouvements . Mécanisme et éduca- tion Iles -, l;lr Urmeny,
du dans l'épilepsie, par Gl11liarov.kv, 510. Sclérose en plaques. Mouvements au repos, par Bouchaud. H8. combinés médullai
us. 171. Pathogénie du - dorsalis. Sur un cas de - compliqué de mouvements choréiques et de paranoïa, par de Buck, 399.- S
trophiques dans la paralysie générale, par IIAJÏs- sey. 177. - du mouvement chez ull Imnfridue simulantl,lll1aladle de Th
81 (1892) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 7
t, ce sont les esprits qui entrent ici en Jeu, en produisant tous les mouvements des objets et les attouchements des personnes. Le
s le texte : Direction. ouvertement (1) à cet avis et croit que les mouvements du système nerveux central peuvent se transmettre
re-vingt-cinq pigeons emportés do Toulouse. Toute la troupe, après un mouvement de giration, partit comme un trait, et presque to
cceur; on provoque, si l'on concentre les rayons sur l'intestin, des mouvements péristaltiques violents. » C'est donc d'un sens
rticulés. Je m'approchai de lui et je vis que sa tête était agitée de mouvements saccadés; en même temps ses mains se soulevaien
st une traduction tout aussi immédiate ou presque aussi rapide. Des mouvements inconscients se produisent dans la main du sujet,
égers et à peine perceptibles, ils suffisent à l'expérimentateur. Ces mouvements ne sont après tout que des gestes en raccourci, e
les articulations du poignet et surtout de la main que se passent ces mouvements . Il y a des mouvements d'extension et de flexion,
ignet et surtout de la main que se passent ces mouvements. Il y a des mouvements d'extension et de flexion, puis différents petits
y a des mouvements d'extension et de flexion, puis différents petits mouvements de liaison. Tous ces mouvements contribuent par
de flexion, puis différents petits mouvements de liaison. Tous ces mouvements contribuent par leur action aux mouvements de la
nts de liaison. Tous ces mouvements contribuent par leur action aux mouvements de la plume dans leur ensemble, tout en ayant cha
'élévation continue et il y a formation d'un niveau secondaire ou les mouvements nécessités pour la formation des caractères se su
sommes habitués à écrire avec la main droite, il est évident que les mouvements nécessaires pour l'action d'écrire doivent se tro
us pouvons écrire avec la main gauche ; alors la question s'étend aux mouvements de l'écriture en général et se concentre à la fin
inoculaire transmise par les yeux et de l'impression inconsciente des mouvements exécutés par le membre droit. Les images se produ
sur les expériences de Woroschiloff, qui, étudiant chez le chien les mouvements associés des extrémités antérieures et postérieur
e volitions distinctes, et pour expliquer le degré d'inconscience des mouvements de l'écriture, il admet que ces impulsions volont
, devra produire une môme action sur l'écriture. En donnant un même mouvement à la main, le résultat sera une môme forme de let
as et arrive, pour peu que la suggestion soit prolongée, a imiter les mouvements et les rugissements de l'animal. Parvenu à ce par
main droite sous l'aisselle gauche et en imprimant à celle-ci un vif mouvement de compression brusque. Je ressentis un tel sou
ur la psychologie du toucher. Horsley. — Le degré de localisation des mouvements et les sensations correspondantes. Pierre Janet.
mais, comme nous l'avons vu plus haut, sa position dans l'air et ses mouvements rapides lui donnent nécessairement des notions de
pleine lumière, le medium assis et lié. une table éloignée se mit en mouvement dam la direction de celui-ci. Une question va s
ortical de l'hypoglosse : les muscles de la langue ont recouvré leurs mouvements . B... est invitée à tirer la langue. Si la percus
ts dans la région postérieure de la tête, on détermine facilement des mouvements des yeux qui ne peuvent naturellement être produi
t savant aurait obtenu avec ces deux méthodes d'excitation, outre des mouvements d'ensemble, des mouvements isolés des membres et
ces deux méthodes d'excitation, outre des mouvements d'ensemble, des mouvements isolés des membres et de la face. Dès 1886, un
une série de phénomènes paralytiques très nets. Outre la paralysie du mouvement et de la sensibilité du bras, de la jambe et de l
ntifique. Il rappelle la part qui revient aux diverses écoles dans le mouvement psycho-physiologique actuel et il les convie à l'
agissant tout a la fois par leur éclat des plus brillants et par leur mouvement régulier et continu. Les avantages de ce procéd
t à l'état de repos et qui s'accentuent quand le malade veut faire un mouvement . La main gauche tremble aussi un peu, d'un mouv
veut faire un mouvement. La main gauche tremble aussi un peu, d'un mouvement qui augmente aussi dans les gestes voulu*. La d
i augmente aussi dans les gestes voulu*. La direction générale d'un mouvement commandé est bien conservée, mais le malade n'arr
e tremblent plus du tout. Un léger tremblement existe encore dans les mouvements voulus, mais il n'est pas comparable a celui qui
sur le bras gauche ou tout autre point de ce côté, lui fait faire un mouvement involontaire et presque pousser un crî. Les dou
ans, entre à l'hôpital pour de la difficulté de la marche, due à des mouvements involontaires et Incoordonnés du membre inférieur
ente des signes d'alcoolisme et quelques stigmates hystériques. Ses mouvements chorélques ont débuté il y a un mois et, à celle
he. Elle entre une première fois à l'hôpital à cette époque, et les mouvements involontaires disparurent presque complètement du
Actuellement on constate que le membre intérieur gauche ?? agité de mouvements incoordonnés et presque continus. Ces mouvements
r gauche ?? agité de mouvements incoordonnés et presque continus. Ces mouvements augmentent des qu'on approche de la malade ou des
motionnée. Le membre supérieur est encore le siège de quelques petits mouvements , particulièrement ???» l'épaule. Cette malade e
a période du petit hypnotisme; cependant, dès la première séance, les mouvements du membre inférieur gauche deviennent beaucoup mo
s aide et retourner seule à son lit. Quoique la. Jambe ait encore des mouvements involontaires, elle est devenue plus ferme et la
e, car il répond tres bien par écrit, et comprend même â peu prêt, au mouvement des lèvres, un de tes voulut de lit. Il faut rema
à écrire en dormant, les parétiques endormis sont invités à faire des mouvements , ceux qui souffrent des yeux exerceront leur vue
tale que de parler d'une force de bataille on de la force d'État. Les mouvements d'une bataille, la constitution d'un État dépende
s larges... Je pense qu'il se défendra bien, si quelqu'un l'attaque. [ Mouvement de Mathis.) Le songeur. — Qu'avez-vous? Mathi
s le traîneau... s'il y a des pistolets !... (Les juges se regardent, mouvement dans l'auditoire.) II n'a rien... je ferai le cou
e étonnant que l'Allemagne soit restée si longtemps indifférente à ce mouvement et que l'idée de publier un Journal spécial sur c
tait ensellée et elle n'avançait qu'en imprimant aux deux hanches des mouvements a latéralité analogues à ceux que présentent les
ment manifestées produira ce qu'on appelle dans les comptes rendus un mouvement (sensation). Mais ce mouvement sera ressenti par
'on appelle dans les comptes rendus un mouvement (sensation). Mais ce mouvement sera ressenti par tous à la fois, car l'auditeur
le, mieux nous nous prêterons à ses moindres intentions Notre premier mouvement sera de tenir pour vrai tout ce qu'elle nous dit.
e, pourrait le reproduire exactement avec toutes ses nuances. Dans ce mouvement , qui tantôt se précipite, tantôt se ralentit, se
r métaphoriquement, en quelque sorte, par la cadence de la parole, le mouvement des idées et des sentiments. Le rythme, dit excel
t au cri animal qu'elles arracheraient; à la nature, au caractère, au mouvement des actions qu'on se propose de rendre; et cet ar
in droite, avant-bras droit collé au corps, la douleur empêchant tout mouvement d'abduction du membre. Trois semaines après l'acc
parce que je voulais aller trop vile et qu'en imprimant moi-même des mouvements un peu brusques à la tète du malade, je réveillai
ayant pris la précaution d'agir lentement et progressivement dans les mouvements imprimés à la tête pendant le sommeil de suggesti
âtée par la première séance d'hypnotisation, au cours de laquelle des mouvements brusques avaient été imprimés à la tète? M. Ber
ant quelle position prendre |>our diminuer sa souffrance. Dans ses mouvements inconscients et désordonnés, on la voyait à chaqu
epos, il a fréquemment les muscles supérieurs et les doigts agités de mouvements inconscients. Sous l'influence d'une contrariété,
lits dans la chambre. A ce mot de chambre, je fais immédiatement un mouvement de surprime et elle se reprend aussitôt en disant
eut rester tranquille dans la position assise. Il n'existe que peu de mouvements spasmodiques dans la jambe droite, mais la face e
a téte est inclinée vers l'épaule droite cl entraînée à gauche par un mouvement de rotation. Puis l'épaule est portée en haut el
e en haut el en avant. Le bras, lavant-bras el la maiu sont agités de mouvements de pronation et de supination incessants. Le memb
té gauche, au dite de la mère de la malade, n'a jamais été atteint de mouvements convulsifs, mais la marche fatigue l'enfant et il
ses leçons; elle ne peut rester en place ; elle touche à tout, et les mouvements spasmodiques de la main droite ne lui permettent
fant nous dit qu'il n'y a jamais eu d'amélioration notable et que les mouvements spasmodique n'ont jamais cessé complètement. De
mue plus, votre épaule, votre bras, votre main ne sont plus agiles de mouvements . Vous dormez bien tranquillement ; vous êtes heur
de dormir ainsi et, lorsque je vous réveillerai, vous n'aurez plus de mouvements dans la ligure, dans le bras, et vous serez guéri
dans la figure, dans les bras, et de porter sa tète sans éprouver de mouvements con-vulsifs. Le lendemain, j'appris de la mère
la mère que son enfant était restée deux grandes heures sans avoir de mouvements spasmodiques, qu'elle avait bien mangé, qu'elle a
tinée. Bientôt, c'est-à-dire le huitième jour, il n'y avait plus de mouvements choréiques ; l'expression de la figure disait le
il n'y aura pas de rechute, et il est convenu qu'au moindre retour de mouvements spasmodiques, quelque légers qu'ils fussent, on m
ent, à la suite d'une altitude vicieuse, d'un refroidissement ou d'un mouvement brusque. J'endormis de nouveau la malade et, ap
s sur le slerno-clèldo-mastoïdien fortement contracture, j'oblins des mouvements de la tèle non douloureux. J'insiste, et à dessei
arurent très douloureux, puis peu à peu tout rentra dans l'ordre, les mouvements de la tète dans tous les seas devinrent faciles e
t-Guy, dans sa forme la plus violente. « De nuit comme de jour, les mouvements Incoordonnés sont incessants. C'est alors que j'a
orps.sont pris. Los jambes, les bras, sont, perpétuellement agités de mouvements violents incoordonnés. La chorée a gagné les musc
egarder en face, je lui commande de rester deux minutes sans faire un mouvement . EI!c obéit, et subitement tout son corps reste a
reste absolument immobile; mais au bout de quatre secondes, tous ses mouvements recommencent. Je lui dis alors que si elle ne m'o
berté. Je recommence, et cette fois je l'oblige à rester debout, sans mouvement , ce qu'elle fait. Puis enfin, pour terminer la sé
ersonne ne fit attention à elle, et que, faisant ou ne faisant pas de mouvements , on n'y prit pas garde. « La guérison fut rapid
ce électro-organique, vibratoire, créatrice et stimulante, issue d'un mouvement vital considérable du cerveau et do notre imagina
ts qu'on lui mettait sous les yeux en exécutant de la main droite les mouvements nécessaires à la reproduction de ces mots par l'é
u'elle était aveugle; il ne restait que l'écriture, on plutôt que les mouvements de la main nécessaires à cette opération. Ce sont
les mouvements de la main nécessaires à cette opération. Ce sont ces mouvements que le hasard conduisit à utiliser pour entrer en
privée do l'usage de la bouche et du pharynx et ne peut accomplir les mouvements de déglutition. (?) Trompée par ce qui s'est pa
té et du mutisme est complètement retranchée du inonde extérieur. Les mouvements de l'écriture que l'on fait exécuter a sa main ré
eut l'idée de s'en servir pour réveiller dans son cerveau l'image des mouvements de l'écriture et les idées associées à ces images
t choréiforme du membre supérieur droit continu, consistant en petits mouvements rythmés d'élévation de ce membre jour et nuit et
leur. Mme N... se tint admirablement bien, elle ne fit pas le moindre mouvement , ne poussa pas un seul cri et l'opération faite e
n croix, semblables à des chefs d'or-chestre, enlèvent d'un vigoureux mouvement d'épaules les répons des fidèles. Ce bourdonnemen
moulent comme des courroies élastiques les muscles qui le mettent en mouvement . Dans ses cavités, les divers appareils : celui d
ysie psychique. Spectacle douloureux ! Elle git inerte, stupide, sans mouvement , avec des yeux qui ne voient pas, des oreilles qu
de cette observation avait une aptitude très marquée à l'imitation du mouvement . Un petit garçon qui fréquentait la maison le pla
uentait la maison le plaçait en face de lui et lui faisait imiter des mouvements alternatifs d'élévation des mains ou de projectio
qui lui donne sans doute l'illusion d'un large espace, il est pris de mouvements convulsifs et tombe en poussant des cris; sa malt
paraissaient les phénomènes épileptoïdes, l'arc de cercle, les grands mouvements , les hallucinations de la vue (elle voit la mort
lité excessive dès que la suggestion porte sur l'accomplissement d'un mouvement . Je réalisai encore plus facilement les mêmes e
commander a ses muscles et de résister à l'impulsion de les mettre en mouvement . Ce danseur impulsif nous parait présenter, en
ait une crise pendant laquelle elle sautait sur son fauteuil, et d'un mouvement saccadé se frottait vivement la tète où elle para
é extrême, était le siège d'une sorte de spasme qui s'opposait i tout mouvement de déglutition, et je dus faire usage d'une sonde
matin, moment où elle ouvrait la bouche, la petite V... restait sans mouvement , les yeux grands ouverts et fixes, et ne faisait
a, e, i,o, u, ni le» mots papa, maman. Après m'étre assuré que les mouvements de déglutition se faisaient avec facilité, j'essa
Beaucoup de patients de cette catégorie ne peuvent exécuter certains mouvements , signe qu'ils sont vraiment dans l'hypnose. Che
cabinet du juge instructeur, en ont remarqué tes traits principaux : mouvements désordonnés, position fréquente les bras en croix
sées par une chute presque brusque, avec perte de connaissance, cris, mouvements désordonnés, bras en croix, le corps se mettant e
les plus énergiques sur la nécessité de ne jamais céder a son premier mouvement et de toujours réfléchir avant de parler ou d'agi
e de pondération voulue et réfléchie qui met plus de lenteur dans ses mouvements . E... reçoit fréquemment la visite de sa femme
guérit dès qu'elle fut mise en vacances. Un petit garçon simulait un mouvement rotatoire de la tète, il fut guéri quand on l'eut
roit; elle est au contraire assez vive à gauche et provoque de grands mouvements . Les muscles excites réagissent peu du coté droit
bdomen, so:t aux membres, elle est prise de violents soubresauts avec mouvements de tout le tronc, tendance â l'arc de cercle, fle
malade reste tranquille, a peine fait-elle de temps à autre quelques mouvements des doigts; elle parle a haute voix, disant qu'el
épète les mots que Ton prononce; de plus, si l'on fait devant lui des mouvements rythmés, il les imite. Souvent, le sens musculair
les paupières supérieures; quelquefois les paupières sont agitées de mouvements ftbrîllaires; mais ce n'est pas constant. Nous ne
e de la résolution des membres avec inertie ou inaptitude à faire des mouvements spontanés; d'autres gardent les attitudes imprimé
t paraphrenique est caractérisé par une sorte de délire accompagné de mouvements d'attitudes, de paroles en rapport avec les corru
nq semaines. A la suite d'une grande frayeur, elle te vit atteinte de mouvement » désordonnés dont le caractère est nettement chor
re durant fort longtemps en dehors des attaques, elle est atteinte de mouvements cholériformes avec tremblement, surtout localisé
ssez satisfaisants, elle n'avait pas réussi à guérir à bref délai les mouvements choréiques. Du reste le grand nombre de médicamen
rtaine mobilité, tandis qu'il est impossible d'imprimer le plus léger mouvement au genou. Le triceps crural et ses antagonistes s
se tenir debout. Sa jambe droite, indemne de contracture, exécute des mouvements incoordounés (aslasie-abasie), et la malade tombe
sont réalisées. Tous les jours, à ma visite, je lui taisais faire des mouvements coordonnés de gymnastique, et, vers la fin du moi
; il était complètement insensible et ne pouvait exécuter le moindre mouvement . Celle paralysie dura un mois et demi et dispar
vante, la malade simula une attaque d'hystérie ; elle simula quelques mouvements convulsifs et se jeu au bas de son lit. I,e lende
82 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
. L'amyotrophie ne tarde pas et s'atténuer à la suite du retour des mouvements . Cab..., àgé de vingt et un ans, israélite, ent
le long du corps; il était raide, les doigts dans l'extension; tout mouvement était impossible; la sensibilité à la piqûre av
ue : '. Le membre supérieur gauche est complètement paralysé; les mouvements de l'épaule, du coude, du poignet et des'doigts
ionnée, pendant quelques mi- nutes ; puis on voit survenir quelques mouvements cloniques. mais peu accentués; enfin le malade
arriver ; on fait faire alors aux doigts et à la main paralysée des mouvements passifs en disant au malade de regarder ce que
igts et à la main du côté opposé les mêmes 1 2 CLINIQUE NERVEUSE. mouvements ; au bout de quelques instants, quelques mouve-
du membre supérieur peuvent se mouvoir spontanément ; pourtant ces mouvements sont loin d'être aussi étendus que du côté oppo
s mouvements sont loin d'être aussi étendus que du côté opposé; les mouvements de l'épaule sont en particulier très limités ;
rieure de l'avant-bras on fait exécuter aux doigts et a la main des mouvements passifs, et les mouvements spontanés revien- ne
ait exécuter aux doigts et a la main des mouvements passifs, et les mouvements spontanés revien- nent avant que la sensibilité
ibilité ait gagné le bras ; on lait exécuter ce jour à l'épaule des mouvements passifs avec plus de persis- tance que la veill
mouvements passifs avec plus de persis- tance que la veille, et les mouvements spontanés arrivent à ètre plus étendus que la v
et, lorsqu'il revient à lui, la motilité persiste encore. 6. - Les mouvements spontanés du membre supérieur gauche persistent
rophie simple; sous l'influence . de l'application d'un aimant, les mouvements reviennent en partie dans le côté paralysé et i
auche, violacé, insen- sible et paralysé. Pendant quatre mois, tout mouvement fut impossible du côté gauche, mais la face sem
uand il revint à lui, il était, comme en Allemagne, hémiplégique du mouvement et de la sensibilité à gauche. La plaie se cica
es poses différentes du corps et la correspondance de la mine aux mouvements des extrémités, et vice versa, prouve bien que
r à la frontale ascendante dans son tiers inférieur le centre des mouvements de la face. G. D. VIII. UN cas d'hémianesthésie
a face. G. D. VIII. UN cas d'hémianesthésie DE cause cérébrale avec MOUVEMENTS anormaux du bras ET DE la jambe; par le Dr RAYM
ne rigidité tonique : il faut donc rayer ce cas de la catégorie des mouvements choréi- formes consécutifs à une lésion des fib
sous le nom d'hémi-ataxie, le sens muscu- laire et la direction des mouvements étant parfaitement conservés. L'auteur signale
LLEB. (Allg. Zeisschr. f. Psych., XLII, 1.) C'est-à-dire examen des mouvements volontaires ou conscients dans des formes psych
ui, une fois au lit et dans le bain, ne voudra plus en sortir), les mouvements occasionnés par des hal- lucinations, les troub
ubles de la motilité chez de très jeunes aliénés (trois exemples de mouvements automatiques chez des enfants de moins de dix-h
utomatiques chez des enfants de moins de dix-huit ans), l'action du mouvement des muscles sur la conscience (l'activité muscu
du goût du côté droit ; l'oeil, du même côté, percevait encore les mouvements de la main ; l'acuité de l'oeil gauche était ég
t, les endroits piqués sont douloureux et légèrement tuméfiés ; les mouvements déterminent des douleurs sur la face postérieure
la sensibilité et de la motilité, si ce n'est en ce qui concerne le mouvement volontaire et l'excitation gal- vanique et fara
erbock; il y avait paralysie flasque complète du fa- cial. Mais les mouvements associés se manifestent dans les para- lysies f
grissement des membres infé- rieurs sans atrophie, même partielle ; mouvements volontaires limités, faibles et tremblés, l'ext
t très notable de la force des mains, tremblements à l'occasion des mouvements voulus, et même souvent au repos. Démarche circ
cles des adducteurs ; les muscles du larynx ne sont pas affectés de mouvements choréiques. Syphilis spinale (un cas), immobili
tances de l'occurrence d'une véritable ataxie des cordes vocales ; mouvements spasmodiques de ces rubans qui occupent une situa
e place qu'on le mette. 11 se tient rarement debout,de : son propre mouvement . Un air de contentement stupide le caractérise'
vue des progrès : à la gymnastique ; il connaît maintenant tous les mouvements d'ensemble. . 31 juillet. Poids : 29 kilog. 900
pières sont toujours légèrement bouffies. Gr.. a delà répugnance au mouvement , surtout à la marche, ainsi il n'aime pas les p
connaissance et se serait réveillé paralysé de la sensibilité et du mouvement dans tout le côté droit ; cette paralysie aurai
atdeR... : le membre supérieur gauche est absolument flasque; aucun mouvement n'est possible de ce côté; il en est de même du
racturent, t, puis le côté droit est agité de secousses rapides, de mouvements cloniques ; enfin le'malade revient à son état
xécuter à son épaule, son coude, son poignet et ses doigts quelques mouvements , mais ceux-ci sont très limités. Le membre infé
faisant reposer tout son poids sur le côté sain; et alors, par un mouvement de circumduction, projette en avant la jambe pa
es du côté malade s'atrophient . Puis la contracture disparaît; les mouvements reparaissent progressivement et l'atrophie s'at
t complètement paralysé; il lui était imposible de faire le moindre mouvement . Le membre inférieur était simplement affaibli.
une nouvelle phase, la contracture diminua d'intensité; puis les mouvements spontanés qui jusqu'alors avaient été abolis au
à droite. Le membre supérieur était complète- tement paralysé : les mouvements des doigts, de la main, de l'avant-bras et du b
traction sur les doigts, on provoque une légère douleur ; quant aux mouvements de la main sur l'avant-bras, de l'avant-bras su
upérieur gauche n'est plus para- 168 CLINIQUE NERVEUSE. lysé; les mouvements des divers segments sont possibles, mais ils so
s environ après l'accident; la contracture persiste toujours, les mouvements du membre supérieur sont presque complètement a
e de dix minutes, la contracture s'atténue très notablement, et les mouvements reviennent en partie. Dem..., garçon boucher,
s la main, l'ongle incrusté sur la face externe de l'index. , Les mouvements volontaires sont très limités, pour ainsi dire
imités, pour ainsi dire nuls, dans toute l'étendue du membre. Les mouvements passifs ne sont guère plus étendus. Lorsque l'o
ntanément à ses doigts, son poi- gnet, son coude et son épaule, des mouvements relativement assez étendus. A cause des douleur
de massage de dix minutes a suffi pour ramener en grande partie les mouvements dans un membre qui, depuis plus de deux mois, é
La paralysie du membre supérieur droit est complète et flasque. Les mouvements de l'épaule, du coude, du poignet, des doigts,
rapide comme son développement, et elle coïncide avec le retour des mouvements . Dans l'Ob- servation I, dix jours après la dis
é à la clinique, le 5 novembre 1884, en se plaignant de la perte du mouvement des membres supérieurs et inférieurs. Quant aux
te ancienne. Le bras absolument inerte était in- capable du moindre mouvement : l'avant-bras dans la demi-flexion le poignet
xposé à ces secousses. Ces secousses surviennent aussi à tout autre mouvement des doigts pour prendre ou tenir quelque chose
vite, mais s'il le serre un peu, elles surviennent. D'ailleurs, les mouvements des doigts sont libres. S'il applique ses deux
oigt l'un de l'autre, les doigts de la main gauche peuvent faire un mouvement un peu plus pro- noncé que ceux de la droite. A
ONS FONCTIONNELLES DU CERVEAU. 207 et du bras, examen consistant en mouvements et en exercices les plus différents, rien d'ano
de la parole et les secousses des doigts de la main droite à chaque mouvement où ceux-ci sont employés pour tenir quel- que c
ons réflexes statiques sont celles qui surviennent à l'occasion des mouvements de locomotion du corps; c'est pour- quoi elles
hie grise brunâtre, trem- blement modéré des mains à l'occasion des mouvements inten- tionnels, oscillations pendant la statio
e trouble de l'équilibre (sans vertiges) et le tremblement dans les mouvements synergiques se rattachent très probablement à l
ieurs quand on obstrue les yeux du patient. Enfin il attribue à des mouvements incoercibles des doigts des mains le diagnostic
. (Neurol. Centralbl., 1885.) Toutes les fois qu'il y a ataxie de mouvements pour lesquels, à raison d'une longue habitude e
quinze ans atteints de cette maladie. La diminution de l'énergie du mouvement volontaire est chez eux manifeste; elle contras
e muscle frontal remplace l'élévaleur de la paupière supé- rieure ; mouvements d'élévation, d'adduction, d'abduction de la pup
ndineux; démence; trouble de la parole; tremblement à l'occasion de mouvements voulus; cou . vulsions ; et, particularité cara
wenfeld. Cependant l'exis- tence dans les extrémités supérieures de mouvements spasmo- diques, de sautillements tendineux, de
critique l'expression d'athétose que Loewenfeld a appliquée* à des mouvements irrésis- tibles, mais de peu d'ampleur, découve
e son gré, à des intervalles de quel- ques secondes, soit de légers mouvements spasmodiques, soit des mouvements de flexion, d
- ques secondes, soit de légers mouvements spasmodiques, soit des mouvements de flexion, d'extension et d'abduction de tels ou
té, à travers la protubérance et le bulbe, d'où la pa- résie et les mouvements choréiformes postparétiques du côté droit. Héma
nystagmus daterait de l'âge de trois mois; à l'âge de six mois, les mouvements parurent maladroits; l'enfant ne présentait pas
des élancements zoniformes, de la raideur et de l'embarras dans les mouvements , de l'affai- blissement du sens génésique, de l
malade queje vous ai présentée. Elle ne pouvait réprimer certains mouvements , ni retenir certains mots grossiers; elle riait o
lui imprime des secousses tandis qu'il exécute avec les jambes des mouvements de fronde, enfin, la raideur croissant, il cons
rands pas et imprime à ses mains rap- prochées l'une de l'autre des mouvements perpétuels de torsion. Sa trompe buccale exécut
ents perpétuels de torsion. Sa trompe buccale exécute également des mouvements de masti- cation. Après une durée de quatre ans
e de salive qu'elle SOCIÉTÉS SAVANTES. 255 exécutait une série de mouvements de déglutition, mais la gorge demeurait sèche;
emple, c'est de l'Association médico-psychologique, qu'est parti le mouvement en faveur de la création dans les asiles d'un e
état paralytique qui ne dure pas. Le 11 mai, tous les troubles du mouvement et de la sensibilité ont disparu. Après cela, le
es balance en marchant. Toutes les singularités de sa démarche, aux mouvements spontanés, sont causées par une certaine rigidi
'aphonie et de la paraplégie, le manque évident de volonté pour les mouvements spontanés, l'instabilité des symptômes maladifs
ouloureuse dans la par- tie supérieure et inférieure du thorax; les mouvements de la tète et du tronc sont douloureux; la vess
la faradique parait plus forte. Le bras gauche garde sa faculté de mouvement ; le dynamomètre marque 60; le ma- 274 CLINIQUE
es les articulations, et il est en état de la soulever un peu ; les mouvements de la droite sont plus restreints; on y aperçoi
exion active du genou n'est possible qu'à un degré très minime; les mouvements de l'articulation coxo-fémorale sont un peu plu
t sur les genoux pour ne pas le faire sauter en l'air par un de ces mouvements convulsifs, chose qui était déjà arrivée une fo
enicalis Fowleri, galvanisation du dos et faradisation des jambes ; mouvements passifs des jambes. Sous l'influence de ce trai
en avant, donne des coups de tête contre le chevet. La force des mouvements est si violente que quatre serviteurs ont de la
nes spasmodiques qui se faisaient surtout voir à toute tentative de mouvement : les pieds glissent, ne se soulèvent pas du pl
s, de tressaillements de tout le corps, de tremblements pendant les mouvements volon- taires et de véritables accès hystéro-ép
ontraction tonique des muscles de tout le corps qu'interrompent des mouvements extrême- ment violents, sous la forme d'opistho
rs reprises, etc. En un mot, cette période est caractérisée par des mouvements violents et exces- sivement désordonnés. Cela d
pas encore revenu à lui que survient une nouvelle attaque de grands mouvements , tout à fait semblable à.la précédente. L'accès
dans tous les cas de paraplégie, j'excitais les malades à faire des mouvements actifs et passifs avec les membres paralysés, j
eux se faisait voir tout de suite. La rigidité des muscles dans les mouvements volontaires appartient aux symptômes les plus o
faire que quelques pas. Outre qu'ils sont peu énergiques, tous ses mouvements se font remarquer par leur peu d'activité. L'
andir, mais elle devint plus grosse et plus flasque, lente dans ses mouvements et si stupide que toutes les tentatives pour lui
du corps et cèdent tout d'un coup aux chevilles ou aux genoux. Les mouvements des bras sont libres, mais elle fait tout lente
r 'de plaisir traverse sa figure. Autrement sa physionomie est sans mouvements , dure et quelque peu triste. La vue est bonne e
IE AVEC CACHEXIE PACHYDERMIQUE. 339 main derrière la tête, mais les mouvements sont lents ; la parole est redevenue distincte.
tic particulier consistant en une sorte de grimace produite par des mouvements des lèvres et des ailes du nez. L'abdomen était
iltrés; l'abdomen était très gros. II n'existait pas de goitre; les mouvements étaient lents, lourds; la sensibilité et la for
parole lente, physionomie stupide, perte de la mémoire, lenteur des mouvements , etc. Trachée réduite de volume ; en 1886, le m
ire est posé à la nuque et amène un grand soulagement; pourtant les mouvements sont encore assez pénibles, et il est difficile
le, les parties de chaque centre de façon que la représentation des mouvements des articulations ne soit pas entièrement détru
- tion totale implique naturellement une paralysie permanente des mouvements du côté opposé. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 3
inférieur, le membre supérieur, la face et le cou; le caractère des mouvements était d'abord l'extension, en- suite une certai
jours après la dernière attaque, mais il pouvait accomplir tous les mouvements dans les membres droits, quoiqu'avec moitié moi
fréquent du commencement de l'attaque. Etal actuel (très abrégé). - Mouvement . La force de la main gauche était égale à 45; c
le à 45; celle de la main droite à 85. Il pouvait exécuter tous les mouvements avec.le membre supérieur gauche; ceux de la mai
gique). Diagnostic. Le Dr Beevor et moi nous avons montré que les mouvements d'opposition du pouce et des doigts peuvent être
ue l'étreinte de la main était moins forte qu'auparavant et que les mouvements des doigts étaient un peu gênés. De plus, les r
er a mon- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 397 tré que le centre des mouvements de la tête et du cou est au- dessous de ce sill
laignait de faiblesse dans tout le membre inférieur droit. Tous les mouvements étaient atteints, surtout ceux de la main. Cett
systèmes de fibre.-) ; l'un sert à la vision, l'autre commande aux mouvements de la pupille, par voie réflexe; peut-être y a-
83 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
à terre, après chute, mais qui n'est pas le cas ordinaire, que les mouvements sont cloniques et toniques, quelquefois cloniqu
t congestionnée, de la raideur généralisée et de temps en temps des mouvements convulsifs dans les membres, les bras comme con
48, t. VIII, 461, 1899. SENS MUSCULAIRE 33 et quantitatifs de nos mouvements , leur étendue et leur direction et.la résistanc
notre mémoire, elles nous permettent de contrôler incessamment les mouvements exécutés à la suite du réveil conscient de ces
otrices antérieures, mais ne peut plus contrôler l'exécution de ses mouvements volontaires, et d'autre part les troubles consé
ataxie des mou- vements. Dans le second si l'on veut admettre qu'un mouvement volontaire est toujours et nécessairement précé
s, on aura une im- puissance plus ou moins complète de concevoir un mouvement et par suite de l'exécuter; cliniquement on con
ont le principal symptôme est une impuis- sance totale à dirigerles mouvements volontaires, coïncidant avec la conservation in
tement dans quel rapport sont atteintes les différentes notions de mouvements actifs, de position et de résistance. Dans la plu
tement altérée tandis que les malades conservent la notion brute du mouvement actif et passif. Cette perte est plus marquée p
complète; les malades parétiques ont encore la sensation brute du mouvement qu'ils exécutent, mais ils n'en perçoivent nettem
ces serait le pl'imllm moues que nous avons trouvé à l'ori- gine du mouvement volontaire. Charles Féré a montré à ce pro- pos
mple phénomène psychique conscient non suivi d'effet apparent et le mouvement volontaire il n'y avait qu'une différence d'inten
Le traitement a consisté en une série d'exercices (combinaisons de mouvements de flexion et d'extension de l'avant-bras sur l
dant à établir une association étroite entre le geste vicieux et un mouvement antagoniste destiné à le corriger, de telle sor
récisément dans le sens où l'émotivité vient lui faire obstacle. Le mouvement ou le système de mouvements qu'ils ne peuvent p
l'émotivité vient lui faire obstacle. Le mouvement ou le système de mouvements qu'ils ne peuvent pas accomplir, nous le leur f
° desquamation de la paume des mains et de la plante des pieds ; 2° mouvements choréiques fréquents des lèvres, du nez et des
t pris soudain d'attaques d'épilepsie partielle s'annonçant par des mouvements de l'index gauche ; l'attaque intéresse tout le
non seulement par des bonds, des appels de voix, des caresses, des mouvements des membres ou de la queue, mais encore par des
Lacessaguc et G. Tarde, directeurs; années 1898 et 1899 1. 1° Le mouvement de la criminalité en Russie (1874-1891); par E.
(1874-1891); par E. Tarnowsky. -Au total, il n'y a pas en Russie un mouvement bien net d'ascension de la criminalité générale
n mariage, sans qu'on puisse bien en préciser la date. Il avait des mouvements nerveux, faisait des grimaces et devenait de pl
et devenait de plus en plus susceptible et colérique. Peu à peu les mouvements choréiques se générali- sèrent et les crises d'
que 48 kg. 500. Je n'ai pas l'intention de décrire avec détails les mouvements desordonnés et incessants dont il est agité. Qu
s la chorée vulgaire. La parole très difficile, entrecoupée par les mouvements incoor- donnés de la bouche et de la langue. Le
la bouche, même après qu'on lui a dit de cesser de la tirer. Pas de mouvements fibrillaires. Les mouvements des yeux sont norm
ui a dit de cesser de la tirer. Pas de mouvements fibrillaires. Les mouvements des yeux sont normaux. La démarche du malade
e réprimer jusqu'à un certain point et pendant un court instant les mouvements choréiques, surtout lorsqu'on lui com- mandait
t les mouvements choréiques, surtout lorsqu'on lui com- mandait des mouvements intentionnels (donner la main, et lorsqu'il éta
ovo- quer de l'excitation mentale augmentait considérablement les mouvements choréiques. Ces mouvements cessaient com- plète
mentale augmentait considérablement les mouvements choréiques. Ces mouvements cessaient com- plètement pendant le sommeil. Il
d la paralysie des musclcs du pharynx vint s'ajouter à l'ataxie des mouvements . Les réflexes patellaires étaient très exagérés
et capricieuse. Le malade avait les exigences d'un enfant gâté, ses mouvements de colère étaient puérils; il était devenu boud
e pouvait plus sortir de son lit; il s'affaiblit graduellement; ses mouvements choréiques diminuaient de plus en plus et s'arr
1T1'E. 111 frir pendant le siège de Paris. Il fut atteint de petits mouvements choréiques involontaires depuis l'àge de trente
suivies de véritables tentatives, et qui sont simplement ducs à des mouvements de colère. Ce n'est pas dans l'intention de s'ô
qu'à celui des chorées, car sa maladie datait de l'en- fance et les mouvements involontaires avaient un caractère coordonné. L
lle, de la liberté relative dont y jouissent quelques colons. Et le mouvement inhérent aux asiles correspon- dants (tableaux)
gion de la nuque et de l'occiput, qui s'exaspéraient par le moindre mouvement , par la pression des deux premières vertèbres c
4° le malade en s'asseyant et en se couchant soutenait sa tête. Les mouvements de flexion et de rotation de la tête autour de la
e qui se contracte soit affaiblie. Par suite les com- posants de ce mouvement sont passagèrement déséquilibrés; le mouvement
com- posants de ce mouvement sont passagèrement déséquilibrés; le mouvement perd de son uniformité et de sa rondeur; il s'exé
n interrompue. C'est précisément là le tremblement intentionnel. Le mouvement intentionnel résulte d'un trouble de la contrac
bles de la déglutition. Parfois cepen- dant M. Gumpertz a obtenu un mouvement certain de la langue du côté excité, mais exclu
au chatouillement; il suffit t d'un simple attouchement mettant en mouvement les poils de la surface de la peau sans détermi
ans d'autres parties du membre inférieur et j'ai constaté les mêmes mouvements réflexes. Les membres de la Société peuvent vér
nant des régions sensitives et sensorielles. Qu'il s'agisse'donc de mouvements réflexes, auto- matiques ou volontaires, le méc
te du mouve- ' ment des yeux, de la face, de la locomotion, etc. Le mouvement volontaire proprement dit est précédé d'une rep
ns sensitives ou sensorielles soient les antécédents nécessaires du mouvement , c'est ce que démontre assez la surdi- mutité,
accourut cou- rageusement pour tenter de désarmer le fou. Mais les mouvements de ce dernier étaient tellement furieux que le
également bien à la lumière, à l'accommodation et à 'a douleur. Les mouvements des paupières, ceux du globe oculaire sont tous
it : elle les fléchit aussitôt, les étend sans avoir conscience des mouvements qu'elle exécute. Elle réssent quelques douleurs
ville + On dirait que çà va craquer + Elle fait toutes sortes de mouvements du pied sur la jambe + ça va craquer + ça craque.
le que je sens la peau. Sentez la chair, votre mollet. Zoé fait des mouvements de flexion et d'extension des orteils, du pied,
ton z Tiens, je n'ai plus de boules + ma jambe devient petite + Les mouvements sont très peu accen- tués + ça ne me fait plus
Je me sens mieux. Sentez votre jambe en plein : Elle fait quelques mouvements de reptation. Sentez depuis le genou non compri
: Il brûle + 11 est gros + Il me fait mal en dedans - Elle fait des mouvements de flexion de la jambe sur la cuisse - Ça craqu
sse. La malade fléchit la cuisse sur le bassin, accomplit aussi des mouvements de rotation en dedans, en dehors, d'adduction e
e interne. A la séance du 31 mars, Zoé n'accuse plus que quelques mouvements de reptation du membre inférieur droit qui, dit-e
a tête, dans la région rolandique. Lui demandant le pourquoi de ces mouvements , elle nous a répondu que la tête lui faisait ma
et fourmillements des organes génitaux externes. Elle fait quelques mouvements de va- et-vient du bassin, de soulèvement et d'
uinale. 6 et 7. Resensibilisation du membre supérieure droit. Les mouvements ouvrent toujours la scène : petits mouvements des
supérieure droit. Les mouvements ouvrent toujours la scène : petits mouvements des doigts qui se fléchissent, s'étendent, s'éc
étendent, s'écartent, distension brusque du membre supérieur droit; mouvements de flexion et d'extension 216 Ô THÉRAPEUTIQUE.
ue. 8. Resensibilisation du dos : La malade réagit par de faibles mouvements en arc de cercle; elle s'étire, allonge les jambe
i la tête lourde + Je ne sais pas quel âge j'ai. Elle fait quelques mouvements avec son bras droit. Pourquoi ces mouvements ?
. Elle fait quelques mouvements avec son bras droit. Pourquoi ces mouvements ? Mon bras droit est crispé. Je lui fais sentir
, dit-elle, après avoir fait une grande inspiration -) Elle fait un mouvement de sursaut du tronc. Pourquoi ? On m'a piqué da
t dans la tête + Je suis agacée des bras + et elle ébauche quelques mouvements z Je sens mes bras + La tête me fait mal là (po
nervée, endolorie; elle la sent, elle la réveille, le tout a\ec des mouvements appropriés qu'elle exécute avec conscience et tou
ujours la même : la vue de son ami mort. Les membres sont agités de mouvements convulsifs : ni cris ni miction involontaire.
ésie ; la force musculaire est bien conservée, et la résistance aux mouvements passifs est nor- male. Cependant le bras droit
se en trois groupes : 1° attitudes ou stéréotypies akinésiques ; 2° mouvements ou stéréotypies paraki- nésiques ; 3" actes ou
ions de l'exci- tabilité et de la contractilité électriques) et des mouvements fibrillaires. Les formules hématologiques et ur
t remonte à quatre ans et qui occupe le côté gauche du corps. Les mouvements spasmodiques apparaissent à tout instant quand le
soulever, la tête se porter en arrière et exécuter en même temps un mouvement de rotation de gauche à droite ; on observe aus
de rotation de gauche à droite ; on observe aussi parfois quelques mouvements spasmodiques peu marqués dans le membre inférie
palement le trapèze et le sterno- mastoïdien gauches ; la forme des mouvements , leur mode de succession, l'attitude à laquelle
. Il n'est pas rare, du reste, que le spasme du cou s'associe à des mouvements spasmodiques du bras. Ce qui fait la rareté de
Malgré cette ressemblance, il n'y a pas identité absolue entre les mouvements de la main de ce malade et ceux de l'athétose d
econde a éprouvé une chorée généralisée étendue même à la face avec mouvements athéto- siques, réflexes exagérés, secousses de
paralysie. On obtient un phénomène comparable à l'interférence des mouvements ondula- toires. Dans la deuxième phase de l'acc
té des sphincters. Paralysie complète des muscles des yeux pour les mouvements d'en haut et d'en bas, tandis que les mouvements
des yeux pour les mouvements d'en haut et d'en bas, tandis que les mouvements latéraux des yeux s'effectuent bien mais, avec
et de la titubation. Un mois plus tard commença l'amélioration des mouvements des yeux en bas, plus tard encore on nota une a
yenne et de nutrition suffisante : Scoliose. Certaine faiblesse des mouvements volontaires des membres supérieurs, et notammen
i a été donnée par un sort. Traits tirés, yeux hagards, toujours en mouvement . Voix enrouée. Pas d'anesthésie ni de stigmates
CUEIL DE FAITS. la région est déprimée, et subit toujours de légers mouvements d'expansion. Etat général bon. Le malade que
; par Carlcraxt. (Ann. di ne) ? fasc. 1-11, 1899.) XLI\. Sur les mouvements auxiliaires des hémiplégiques ; par Serafino AR
acture des fléchisseurs des doigts et de l'avant-bras, au moyen des mouvements auxiliaires. La contrac- ture chez les hémiplég
- bition s'exerçant sur les muscles atteints. Selon l'auteur, les mouvements auxiliaires pourraient dépendre non d'un fait sim
es musculaires jusque-là inactifs, mais de la concomitance entre le mouvement de ces groupes musculaires et la diminution de
rtonicité des fléchisseurs. La fonction corticale qui préside à ces mouvements agit directe- ment sur l'hypertonicité des fléc
ecte- ment sur l'hypertonicité des fléchisseurs. L'apparition des mouvements auxiliaires et la diminution de l'hypertonicité
a contraction vigoureuse de l'orbiculaire. Ce myosis serait donc un mouvement associé de l'orbiculaire, tout comme la rotatio
Forel) qui est non point un réflexe lumineux mais le résultat d'un mouvement associé de la fermeture volontaire des yeux.
laire par la paupière permettrait, en quelques cas, tous les autres mouvements des pupilles étant perdus, de distinguer une pa
on sen- sible d'origine réflexe, c'est celui qui est produit par un mouvement associatif résultant de la même impulsion volon
uropile et les racines nerveuses. On verrait si et à quel point les mouvements réflexes ont souffert. Bethe y aurait réussi troi
g, leur forme définitive, et que la substance intermédiaire suit le mouvement d'adaptation quantitatif par rapport aux cellul
econdes, succède une période de respiration composée de dix à douze mouvements respiratoires. Le premier est tout à fait super
blement égale à la précédente. Pendant le sommeil il n'existe aucun mouvement choréique. G. D. X. Un cas d'épilepsie jacksoni
rice représente le mécanisme nerveux qui préside à l'exécution d'un mouvement ; mais cette expression de mécanisme nerveux doi
ou visuel, qui interviennent dans la représentation corticale d'un mouvement . L'usage même a con- sacré le terme « image mot
fet, que se réalise la combinaison dynamique qui caractérise chaque mouvement . Ainsi, « en ce qui concerne le mot parlé, c'es
s et celle de l'écriture par exemple. Nul doute que toute espèce de mouvements coordonnés et adaptés à une cer- taine fonction
ses images composantes. L'idée se fait, selon sa nature, sensation, mouvement , émotion, quand ses images constituantes acquière
ler) devint impossible ; strabisme des deux yeux, et limitation des mouvements de l'oeil dans toutes les directions; larmoieme
ns toutes les directions; larmoiement. Examen. - Yeux fixes, sans mouvement . Un léger degré de pro- trusion oculaire. Larmo
tifs superficiels ou profonds. L'ophtalmoplégie externe complète ( mouvements pupillaires sont intacts) démontre la prise des t
hissant la région lombaire, sans que les cuisses prissent part à ce mouvement . J'appris alors qu'il avait fait autrefois une ch
pense, qui cependant est peu élevée. Le compte médical indique le mouvement de la population et contient de nombreux tablea
télescopes sans cesse braqués sur elle, pour observer ses moindres mouvements . Des hommes qu'elle appelle des sténographes, e
produit une commotion et des contorsions de tout le corps, avec des mouvements de défense, et le malade exprime une véritable
chement sur la poitrine ou sur les bras, par exemple, produit un mouvement de recul avec sur la figure une expression de dou
urtout suivant l'axe transversal, on voit d'abord' sur le vivant le mouvement s'étendre à tous les muscles, mais après ce mou
le vivant le mouvement s'étendre à tous les muscles, mais après ce mouvement d'ensemble on remarque qu'un renflement persist
ans les fièvres grades et quelque temps après la mort lorsque les mouvements d'ensemble ont diminué ou cessé complète- ment
1898.) La conception de l'espace ne dépend pas exclusivement des mouvements des yeux ; elle est liée il chaque mouvement musc
pas exclusivement des mouvements des yeux ; elle est liée il chaque mouvement muscu- laire. L'appréciation de l'impulsion qui
rice de l'écorce du cerveau est l'organe d'une conception isolée du mouvement . Pour organiser les idées complexes qui constit
reuses cellules, c'est-à-dire la combinaison de nombreuses idées de mouvement . Les fibres arciformes en question sont les vec
es. Toute conception motrice procède de l'association entre eux des mouvements appris et de leur combinaison avec les impressi
u- venirs antérieurs jouent un grand rôle dans l'appréciation des mouvements passifs en rapport avec la sensibilité cutanée et
té cutanée et la sensibilité musculaire. Il en est de même pour les mouvements appris. Pour qu'on arrive à bien percevoir la q
is. Pour qu'on arrive à bien percevoir la qualité et la quantité du mouvement effectué, il faut que les centres cérébraux fonct
disséminés dans le torrent circulatoire ; ainsi est-il préservé des mouvements ondulatoires violents et des variations de la p
nstate : céphalées sans localisation précise, ver- tiges légers aux mouvements de la tête ; névrite des nerfs opti- ques, paré
ions successives, travail qui insère le passé sur le présent par un mouvement se pro- pageant de proche en proche sur un véri
de était hors d'état de travailler. D'abord cantonnés aux bras, les mouvements choréiques se montrèrent aux jambes, puis à la
ins dans les membres droits. Les temps humides exerceraient sur ces mouvements très nette- ment choréiques, une réelle influen
s, une réelle influence. La volonté est impuis- sante à arrêter ces mouvements qui persistent même pendant le sommeil (comme c
ent bien, il n'y a pas de nystagmus, les yeux sont constamment en mouvement . La sensibilité est intacte dans tous ses modes.
, et, quatre ans après le début, la tête est également le siège des mouvements . Non modifiés par la volonté, ces mouvements chor
également le siège des mouvements. Non modifiés par la volonté, ces mouvements choréi- ques existaient pendant la nuit, et, du
ni d'alcoo- lisme. Mais ce qui frappe surtout chez lui, ce sont les mouvements ince-sants qui agitent toutes les parties de so
s mouvements ince-sants qui agitent toutes les parties de son être, mouvements incoordonnés, sans aucun rythme, se produisant
le corps en avant. Les jambes et les bras sont conti- nuellement en mouvement , les genoux s'écartent ou se rappro- chent tout
Les membres supérieurs en flexion et rapprochés du tronc ont des mouvements moins fréquents. Les doigts cependant sont tou-
ôt s'élèvent et cela ensemble on isolement. La tête est animée de mouvements de rotation, de flexion, d'ex- tension dans tou
é le plus favorable, les membres sont également dans un perpétuel mouvement . La flexion l'emporte en énergie sur l'extension,
offrent ces mou- vements de flexion et d'extension qui semblent des mouvements d'impatience. A noter particulièrement les mouv
semblent des mouvements d'impatience. A noter particulièrement les mouvements des arti- culations métacarpo et métatarso-phal
éra- tinisée recouvrant le derme rouge, infiltré de sérosité. Les mouvements choréiques perdent leur énergie, ils sont moins
conducteurs une cause de perpétuelle excita- tion que traduirait le mouvement choréique ? En résumé : Altération des cellules
, mais ne satisfait pas tout le monde. Ne peut- on pas produire des mouvements plus ou moins convulsifs dans tel ou lel membre
n supination et se fléchit sur la face dorsale de l'avant-bras. Les mouvements spontanés existent à droite, mais sont affaiblis
our s'habiller, se laver, etc. A gauche. résistance plus grande aux mouvements provoqués. Les membres inférieurs sont assez bi
bles; au dixième jour, on peut, en excitant l'écorce^ provoquer des mouvements dans le membre antérieur; le treizième jour, le
uer des mouvements dans le membre antérieur; le treizième jour, les mouvements se propagent aux membres éloignés; le seizième
ant les ver- tiges. Parésie de l'arcade gauche du voile du palais ; mouvements choréiformes de la langue ; accélération de pou
choréiformes de la langue ; accélération de pouls; maladresse des mouvements délicats des doigts et des orteils à droite ; ata
roit ; tremblement intentionnel de la main droite, surtout pour les mouvements compliqués tels que ceux de l'écriture ; hypoex
contre la religion en ltnssie par Tarnwvslu, 91. Criminalité. Le mouvement de la- en Itusste, par 'l'arnowsla, 88. Dégén
224. droite avec aphasie, par Marie, 348. Hémiplégiques. Sur les mouvements auxiliaires des -, par Amant, 311. IIÉAl15P
84 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
de grands accès épi- leptiques, mais bien d'accès incomplets, avec mouvement d'élévation du bras et de flexion de la jambe.
nts ne s'accompagneraient pas de phénomènes convulsifs (rigidité, mouvements ) ce qui les fait compter comme vertiges par le
.\NOFF, (Xeurolog. Centralbl., XX, 1901.) Résumé de la question des mouvements amoého'ides des pro- longemenls protoplasmiques
mine les zones de l'écorce du cerveau dont l'excitation produit des mouvements 18 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGI
le territoire du centre du facial, dont l'excitation provoque des mouvements associés des yeux (Fritsch et Ilitzi). Il occupe
extrémités supérieures : le visage est cependant un peu bouffi, les mouvements do la physionomie sont faibles. GO REVUE D'ANAI
ène sui gencris : ce n'est pas il vrai dire du nystagmus. C'est, un mouvement associé (i-émulant de muscles synergiques. Il é
bles fonctionnels les plus graves. Peut-être avait-on affaire à des mouvements anlipéristalliques (Kothnagel, Cruetz- ner, Kir
du membre inférieur avec pied en varus érittin, d'autre pari, dus mouvements involontaires du membre supérieur, venant par a
ctuel ou physique. Les muscles de la face sont aussi agités parités mouvements spasmo- diques. Les mouvements volontaires, nul
de la face sont aussi agités parités mouvements spasmo- diques. Les mouvements volontaires, nuls pendant les spasmes, sont con
ard ordinairement long entre l'incitation volontaire el le début du mouvement . Les réflexes tendineux, peu exagérés au membre
embre inférieur, sonl normaux au membre supérieur. On note enfin le mouvement de flexion combinée de la cuisse et du tronc ad
s hypertrophiés ; une gêne dans l'accomplissement de la plupart des mouvements (de l'extension de la main par atro- phie des m
on de la main par atro- phie des muscles correspondants, des autres mouvements par exagération de la synergie physiologique, d
Semeur de l'Oise, 15 janvier.) FAITS DIVERS Asiles lo.\f.fENES. - Mouvement de décembre. - 31. le Dr Ma- rie, médecin en ch
l'exagération poussée aux dernières limites, et à continuer par les mouvements stéréotypés de défense et. les exclamations mon
ans l'expression delà terreur la plus profonde, gémissements, cris, mouvements auto- matiques de défense et de fuile. Un uni
e profondément troublée ; elle a contracté un tic consistant en des mouvements de flexion et d'extension des jambes et des pie
surfout, ces troubles n'ont fait clu'aunlo·nlur : il s'excite, des mouvements dé-ordonnés, chimie, iiiauifesle un délire reli
rée. 20 juin. Délire religieux incohérent ; monologues ; chants ; mouvements désordonnés comme de'faire l'exercice militaire.
lier, contiennent des noyaux qui président à la vaso-motricité, aux mouvements du coeur et de la respiration, aux sécrétions d
ait parloi et o c1C·battail, grinyant clo· dents, faisant de grands mouvements , devant être maintenu par plusieurs personnes.
priés de fournir certains renseignements sur la popula- tion, les mouvements , les personnels médical et secon- daire, la sit
, ne voudront plus que la France reste bien loin en arrière dans le mouvement qui a déjà transformé tant d'autres nations. Ce
OMIE Er DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 125 XIX. Les vrais centres du mouvement ; parA. Adamkievvicz. (Xeurolog. Centralblatt, X
son écorce cérébrale conserve le mécanisme brut de tous <<es mouvements , mais il en perd l'initiative men- tale. L'écor
incipaux résultats abrégés. Le cervelet est 1 organe principal du mouvement , comme le cerveau est celui des tondions mental
t disparaître les fonctions psvehiques »an- altérer la mécanique du mouvement , de même l'altération du cervelet supprime la n
ns mo- tricea. Le cervelet contient les centres de l'ensemble des mouvements du corps soumis a la volonté : tète, tronc, mem
, ''Ce dernier, sur la limite de la région motrice, participe aux mouvements volontaires. Le centre postérieur, à raison de sa
la vue et, comme tel, accessi- hIe il. (l'auLl'Cs associations des mouvements de l'oeil, il rentre dans les centres des mouve
sociations des mouvements de l'oeil, il rentre dans les centres des mouvements involontaires ou réflexes ceci- tés par les rep
nces qui prouvent l'association bilatérale des centres frontaux des mouvements des yeux avec les noyaux des nerfs abducteurs.
e contre fonctionne, de même que d'autres contres d'association des mouvements oculaires, par l'intermé- diaire de ce tubercul
ordre, la convergence volontaire est liée au sort des centres des mouvements des veux des Ucusllémispltères. impossible de dou
probablement une impor- lance et une influence énorme dans tous les mouvements des masses populaires, La psychologie de la f
, Le patient pouvant, écrire sous la dictée, le cenlre mo- teur des mouvements de l'écriture est situé en dehors de la cir- co
verbale n'est pas nécessairement totale. N'ou- b ! ious pas que les mouvements de l'écriture sont aptes à ressus- ci ! er le s
'S. En ce qui concerne le centre des représentations mentales des mouvements des mots, il existe des syndromes de transition e
pour l'automatisme, les phénomènes de répétition el d'échos, les mouvements calalcp6oules ; mais ils seraient moins la manife
eval à percevoir les, moindres signes des paupières ou les moindres mouvements résultant d'un jeu de physionomie. Les expérien
acte de saluer, la flexion de la colonne vertébrale s'accompagne du mouvement associé du re- dressl'lJ1enL des membres inféri
u déjà l'occasion, propos de son livre '.Mécanisme et éducation des mouvements (1),de constater avec quelle méthode scrupuleus
n physique, el avec quelle science il groupait les altitudes et les mouvements en en prouvant les avantages ou les dangers. No
s qui e,\i[enl entre la ]1l'- dagogie générale c·L le mécanisme des mouvements ; iL analyc le" conditions physiologiques et les
ique comprend, entre autres )na- nifestations, des altitudes et des mouvements se prolon- geant ou se répétant il satiété, tou
, toujours de la même façon et sans aucun huez ces altitudes et ces mouvements , les auteurs ont attribué un nom générique, qu'
192 clinique mentale de l'activité musculaire, aussi bien que le mouvement ; mais au lieu de se traduire par des changement
ve avec accentuation des plis transversaux; les sourcils suivent ce mouvement d'ascension et la phy- sionomie prend l'express
sur certains traits du visage, la malade exécute parfois un double mouvement d'incli- nation et de rotation de la tête. Cell
de telle sorte qu'on ne saurait mieux se représenter l'ensemble du mouvement qu'en imaginant une série de menues affirmation
es, alors qu'il nc prononce pas une parole. Chez d'autres, c'est un mouvement favori revenant par inter- valles : Mme G....,
cet égard. D'autres, comme 1\1 nie 0..., ou Mlle C..., ébauchent un mouvement plus vague, comme pour at- teindre et toucher c
Mlle B..., se traînait à quatre pattes et exécu- tait de véritables mouvements de reptation lors de son entrée. Plus tard et p
ère plus ou moins com- plexe, qui, en raison de la multiplicité des mouvements constituants ne peuvent trouver place dans les
nte d'un certain groupe de muscles, ou de la répétition d'un même mouvement p (1), parait avoir en vue les actes musculai-
processus morbide dont témoignent les attitu- des prolongées ou les mouvements répétés du sujet. Or. ne semble-t-il pas d'autr
chose quand ils ont désigné sous le même nom « Des attitudes. des mouvements , des actes de la vie de relation ou de la vie v
éotypie » chez le dément précoce, les attitudes pro- longées et les mouvements répétés de la période active d'une part, les at
és de la période active d'une part, les attitudes prolongées et les mouvements répétés de la période résiduelle d'autre part ;
autres ». ' 1° Stéréotypies primitives. (Attitudes prolongées et mouvements répétés d'origine CATATONIQUE.) - L'un des trai
e Psychiatrie, n^ 2, lévrier 1001. 1. 204 clinique mentale. mêmes mouvements monotones pendant la période de début n'est qu'
ce groupe d'accidents primitifs, appartiennent les attitudes et les mouvements catatoniques proprement dits, qui marquent si s
s gestes sans rondeur qui se répètent avec monotonie, rappelant les mouvements anguleux et cassants de certains jouets mécaniq
ouce en dehors et accolé à la main. -- Ces attitudes fixes et ces mouvements monotones qui prennent place dans la phase acti
siduelle d'affaiblissement. Il semble donc que les attitudes et les mouvements en question. 203 CLINIQUE MEN1AL1Î. contempor
clinique qu'au point de vue psychologique, des atti- tudes et des mouvements que nous allons désigner main- tenant. l' z
tenant. l' z Stéréotypies secondaires. (Attitudes prolongées et MOUVEMENTS RÉPÉTÉS d'oRIGINE DEMENTIELLE ) Sili- vant la c
puis plu- sieurs mois et même plusieurs années. Ici, attitudes et mouvements sont empreints d'une aisance et d'un un- S IIRÉ
tée, consciente et volon- taire dans le passé. Les attitudes et les mouvements qui la représentent ont été engendrés autrefois
t pendant un temps avec une persistance désespérante ; là, c'est un mouvement banal qui, ayant eu sa raison d'être un beau jo
actif ct la deuxième d'un processus résiduel : les altitudes elles mouvements cata- STÉRÉOTYPIE DES DÉMENTS PRÉCOCES. 213 t
atatoniques. après avoir présenté de la fixité des attitudes et des mouvements durant la période active de l'affection, perden
ontaire et conscient : voilà ce dont il -faut bien se pénétrer. Les mouvements qu'exécutent, cer- tains malades sous J'influen
héc ; c'est un luxe inouï dans les gcsLes, un inépuisable défilé de mouvements . Il ne s'agit, plus ici d'unc excitation unifor
coce agité se reconnaît à la monotonie et à la répétition des mêmes mouvements , effectués sans aucun rapport avec un substratu
l'on appelle « stéréotypie » toute attitude qui per- siste ou tout mouvement qui se répète chez un aliéné, ce mot ne représe
vons la fréquence toute parti- culière des attitudes fixes et, clos mouvements monotones clans la forme catatonique de l'affec
laquelle nous ne saurions trop insister. Les altitudes fixes eL les mouvements répétés ne sont pas exclusivement réalisés sous
les stéréotypies eco7 ? ! r.c cst-a-dire les attitudes fixes et les mouvements répétés de la période résiduelle, qui témoignen
ment à lui qu'appartiennent la plupart des altitudes fixes et des mouvements répétés du catatonique. Mais il faut remar- que
aut remar- quer qu'eu pareille circonstance, les attitudes et les mouvements en question sont généralement escortés de phéno
cette notion générale, à savoir que : si les altitudes fixes et les mouvements répétés s'accompagnent de phénomè- nes catatoni
lui l'ont escorte ; si, au contraire, la fi- xité d'altitude ou de mouvement s'installe progressive- ment, d'une façon torpi
ue, tandis qu'elle se met avec la plus grande aisance au service de mouvements suffisamment simples et se répétant en séries.
sensitives passeraient dans la capsule interne mêlées aux libres de mouvement dans toute la branche postérieure ; et, conserv
ctales des nerfs optiques et des détermi- nantes excitomolrices des mouvements oculaires dans la sphère du noyau sensitif du t
tre incri- miner une infection de I;at t·af;mco restée inaperçue. Mouvements associés en dehors de l'hémiplégie. jDI. URISSA
lll ulle femme atteinte depuis plusieurs aimées de svncinésie. Tout mouvement , acte ou geste, conscient ou non, accompli par
lle se dénote pour le plérygoidicn externe, par l'impossibilité des mouvements de diduction du côté opposé. Le myélo-byoïdien
erait toujours plusieurs heures ; elle serait .caractérisée par des mouvements convulsil's violents, accompagnée souvent, mais
- ' école. 288 ASSISTANCE ET PEDAGOGIE gymnastique élémentaire, mouvements , ressorts, échelles, etc.. La femme les habitue
était parétique du côte du ré- flexe. Ne pas le confondre avec les mouvements musculaires con- vulsifs, émanant des manoeuvre
'est l'hébétude : le patient reste parfois plu- sieurs minutes sans mouvement , l'oeil hagard, la tête penchée, puis le train
ns des fibrilles musculaires de la paupière infé- rieure, et non le mouvement des paupières, qui constituent le ré- flexe. Le
vulsions palpébrales ou l'occlusion convul- sine de l'oeil sont des mouvements volontaires ou à demi-volon- taires déterminés
eiiLeoiiiiiioti(3 et portatif. F. KERAVAL. LX\I. - Le Mécanisme des mouvements volontaires ; par E. Storch. (Cerxtralbl..., f.
albl..., f. \'enaerxlzeill;..., \\1', N, Il., XIII, 1902.) Chaque mouvement volontaire a l'aspect d'une combinaison de 298
binaison de 298 revue d'anatomie ET DE physiologie pathologiques. mouvements élémentaires à chacun desquels correspond un méca
son des phases élémentaires du mécanisme moteur propre ala forme du mouvement exécuté. Elle provient d'une modification préci
l existe un appareil coordinateur de tous les muscles propres il un mouvement d'ensemble en une direction déterminée : c'est
variations d'intensité de celle vibration for- ment le sentiment du mouvement en tel ou tel sens. Le stéréo- psul : 3 dans la
lantaire peut se décomposer, au point de vue ana- tomirlue.en (rois mouvements distincts : )'<'/7'etM(;tH-.(yttf{X, sié- ge
physiologique et clinique.. L'a- nalyse graphique de ces différents mouvements réflexes montre que l'extension du gros orteil
en rapport a\ecl'impos- sibilité où sont les malades de faire aucun mouvement pour expri- mer les impressions perçues ; 3° un
n peu en haut : le malade ne peut tourner l'oeil en dehors, et. les mouvements du globe en bas sont. limites. Rien à gauche. L
se tiansporler d'un lieu à un autre : ces attaques suspendaient les mouvements choréiques ou les affaiblis- saient. . On lui
ntale ascendante. L'excitation de ces centres moteurs détermine les mouvements variés qui d'ordinaire précèdent chez lepatient
itation de la région motrice du cerveau a cha- que ibis exagéré les mouvements du malade, tandis que l'ablation de petits morc
it disparaî- tre les convulsions choréiques, ce qui [trouve que les mouvements conv ulsifs permanents interparox)'stiques de l
u sein. Ces cruelles exaspérations primitivement provoquées par les mouvements , se montrent ensuite sous l'influence du contac
pérations ne se montrent que rarement. Le sommeil est meilleur, les mouvements sont plus libres. La santé générale se, rétabli
ote d'atrophie musculaire dans aucun des points du corps ; tous les mouvements s'exécutent parfaitement. Ilya cependant une tr
sceptible de se contracter sous l'influence des différents modes du mouvement . Cette contractilité, je l'ai relevée chez 43 e
ie spasmodique des jambes dont la raideur spasmodique empêche les mouvements passifs imprimés à l'articulation des genoux, les
les mouvements passifs imprimés à l'articulation des genoux, les mouvements des pieds demeurant libres. P. Keraval. (1) Les
de ces deux variétés de stupeur. L'opposition du premier malade aux mouvements était, dit-il, une opposition particulière, anx
faut parfois cinq ou six excitations répétées pour obtenir un léger mouvement , mais celui-ci finit par être exécuté. En un mo
cond malade au contraire, oppose une résistance invinci- ble à tout mouvement passif. Il arrête le mouvement, il ne veut pas
e une résistance invinci- ble à tout mouvement passif. Il arrête le mouvement , il ne veut pas ou ne sait plus vouloir. Un bar
t, lenteur ou retard dans la formation des images conscientes et du mouvement spontané, tandis que chez le se- cond il y a un
des cris inarticulés, ne se tenant pas sur ses jambes et ayant des mouvements constants de rotation de la tète et des mains.
s pour d'autres cau- ses, 153 sont morts. BIBLIOGRAPHIE. 401 Le mouvement spécial du quartier des enfants arriérés et épi-
é que chez beauconp de chiens l'excitation de l'écorce provoque des mouvements francs nettement déterminés. L'excitation de l'
. L'excitation de l'écorce se traduirait donc, avant tout, par du mouvement , puis par des phénomènes respiratoires, enfin, à
e de 3 mois. 'P. 11ERAVAL. XCVI. Contribution à la connaissance des mouvements de l'iris; par L1mIKE, (Centmlblatt. f. 1\Temun
puis en cocamisant légèrement la cornée et la conjonctive. C'est un mouvement associé qui ne possède pas de valeur diagnostiq
sens qu'il constitue une source d'erreurs quand on observe d'autres mouvements pupillai- res. P. Keraval. .\C\'n. Perte du s
ai sur la physiologie pathologique du mouve- ment : disparition des mouvements dans la chorée chro- nique ; par V ASCHIDE et V
droite et meurt après trois jours de maladie pendant les- quels les mouvements choréiformes ont disparu. A l'autopsie, uu cons
ffection inflammatoire chronique qui au premier degré détermine des mouvements désordonnés et au second de la parésie. L. Wahl
lequel une synergie paradoxale impos- sible dans le tic ou dans le mouvement volontaire caractérise bien le spasme. M. de
édico-chirurgica- les, août 1905.) FAITS DIVERS Asiles d'aunes. Mouvement d'avril et de yn.ai 100. - Jl. le Dr Rogues de
ri- son par auto-suggestion, par Caziot, 317. Asiles d'aliénés. Mouvement de décembre, 79. de laClw- rité-sur-Loire. Vo
dans un 3G3. (Per- sonnel médical). Lettre de M. Anglade,4SS ? Mouvements de février et mars 1905, 416. de Moisselles,
a théra- peutique de la- rythmique, par Jaroschewsky, 313. Voir Mouvements . - familiale, par Brissaud, Bauer et Hathery,
cel liourneville, 491. Iris. Contribution à la connais- sance des mouvements de 1 ? par Bumke, 444. - Isolement. L'- des a
rale par la franktinisa- tion, par Schatzky, 323. Mécanisme. Voir Mouvements vos lontaires. Médecins ministres, 335. Fixa-
trices. Morphine. Voir Contracture. Morphinomane. Voir Aphasie. Mouvements associé-». Voir Hémiplégie. Le mécanisme des
85 (1881) Archives de neurologie [Tome 01] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
la tradition se sont accrues du fruit des nouvelles conquêtes. Le mouvement considérable qui a conduit à ces ré- sultats n'
s que celle-ci est la cause de celle-là. ',1 En effet; pour qu'un mouvement se produise, il faut l'action i'synergique d'un
faut avoir présent a , . rt · '- , r 1 'W · 1·ttl 1 esprit qu un mouvement régulier r de flexion, par ., 1 C ... , l' , 1
tenseurs qui modèrent , .' , . -. ,. , ·xA115, et régularisent le mouvement ; or, chez les ataxiques, l'inégale tonicité doi
de tonus, il ne contrebalance plus l'action des antagonistes et les mouvements de ceux-ci deviennent désordonnés. Si, : par ex
arfaite harmonie avec ceux dé l'autre mem- bre postérieur, pour les mouvements de nage et de 'saut ? ' La marche elle-même ne
s'exécute plus avec une 'entière régularité. C'est surtout dans les mouvements de saut que la modification est considérable. »
s muscles sont tendus; il contribue puis- samment à régulariser les mouvements et à prévenir la projection des membres. On peu
les racines postérieures ; or, on produit bien ainsi un trouble des mouvements , mais non une incoordination semblable à celle
t bien démontré qu'elles ne sont nulle- ment parallèles à celles du mouvement . Il y a même eu, à ce sujet, des confusions tel
e la maladie. L'inégale tonicité empêche donc la coordination des mouvements , mais elle n'empêche nullement les muscles de s
qui précède que l'incoordination devra être très marquée pour un mouvement n'exigeant qu'une contraction modérée des muscl
n'exigeant qu'une contraction modérée des muscles, moindre pour un mouvement exigeant une contraction énergique. Continuons
ion énergique. Continuons l'hypothèse précé- dente, et supposons un mouvement pour lequel il faut une excitation nerveuse pro
é de leurs muscles, que les ataxiques sont obligés, dans tous leurs mouvements , de déployer une force hors de proportion avec
qu'il contracte ensuite ses fléchisseurs au maximum. De tous les mouvements étudiés chez les ataxiques, ceux de la marche s
ut être atténuée leur inégale tonicité. Voyons en détail chacun des mouvements de la jambe oscillante. Lorsqu'un ataxique veut
avec une énergie moindre que sa pro-. jection. La brusquerie des mouvements des ataxiques n'a DÉLIRES MULTIPLES. 49 pas é
actérise essentiellement, dit-il, dans son intéressant travail, les mouvements incoor- donnés de l'ataxique c'est la brusqueri
ique c'est la brusquerie de mouve- ment et surtout l'exagération du mouvement voulu.1 » » Nous croyons pouvoir résumer notre
me mélancolique dipso- mane, dont M. Briant a publié l'observation ( Mouvement Më- dical, 8 novembre 1879, n° 45) les excès ba
faire faire quelques pas. Elle remue les bras, les jambes; mais les mouvements sont faibles. Traitement tonique. 1 Novembre.
t raides, les genoux rigides. Oud... allonge les jambes, mais ces mouvements sont très limités. 12 mai. - L'enfant mange moi
petit cri. Dans les accès les plus forts, la langue est animée d'un mouvement de va-et-vient; les membres du côté gauche sont
l-Dieu (service de .M. OuLMpNT), salle Saint-Augustin, n° 11. Les mouvements du membre inférieur gauche sont très limités; l
conséquent, une paralysie alterne ; mais il n'en est rien, car les mouvements de la face sont conservés du côté droit et tota
iste néanmoins tant que subsiste l'anesthésie. La restauration du mouvement et de la sensibilité a suivi de si près l'emplo
V1'il.-La température est redevenue normale. - 80 pul sations. -Les mouvements reviennent peu à peu.-La cépha- lalgie a cessé.
; il lui est impossible de se tenir debout. Le bras accom- plit des mouvements d'une certaine étendue, mais sans force et surt
esthésie et l'analgésie reparaissent au même degré. 8 avril. - Le mouvement et la force musculaire ont fait beaucoup de pro
adie, qu'une certaine inhabileté, une sorte d'hésitation dans les mouvements . Dans l'observation qu'on vient de lire, une hé
ètre sensible. L'aiguille du galvanomètre était presque toujours en mouvement , même quand le sujet était au repos physique et
a- tions cérébrales. Partant de ce principe, que l'exécution d'un mouvement volontaire doit entraîner la congestion physiolo-
lors au sujet de faire vigoureusement et plusieurs fois de suite un mouvement volon- taire, tel, par exemple, que la contract
el, par exemple, que la contraction du biceps. On fait continuer ce mouvement pendant cinq à dix minutes. On note les tempéra
ote les températures nouvelles cinq minutes après la cessation du mouvement . Si l'on s'aperçoit d'une élévation thermique pro
ire du maximum de température qui correspondra à l'exécu- tion d'un mouvement volontaire donné. L'auteur considère comme négl
le et de ce qui dépend de ses antago- nistes dans une succession de mouvements volontaires forcés : ainsi, pour prendre un exe
ements volontaires forcés : ainsi, pour prendre un exemple, dans le mouvement répété de flexion, il faut tenir compte du bice
stable. Dans ces expériences même où l'on cherche à contrarier le mouvement d'un muscle pour éviter l'action des antagonistes
aires dont Duchenne, de Boulogne, donnait dans sa « Physiologie des mouvements » de si remarquables exemples. Pour qu'un muscl
du crâne et du cerveau. REVUE D'ANATOMIE I. DE l'innervation DES mouvements associés DES globes oculaires ; ÉTUDES d'anatom
es propres à éclairer cette difficile question de l'innervation des mouvements associés des yeux. Reprenant d'une manière plus
u côté opposé, contraction associée des deux obliques) assurent les mouvements associés ou conjugués des deux yeux dans la vis
le bulbe, au niveau du noyau d'origine de la sixième paire, que les mouvements associés des globes oculaires paraissent avoir
st dans le cervelet que semble résider le principe coordinateur des mouvements oculaires en général ; III. Qu'il y a possibili
des nerfs cervicaux. Ils président aux impressions visuelles et aux mouvements de la tête et du cou; c'est en vertu de leur ex
té de l'hémisection peut 134 REVUE DE PHYSIOLOGIE. faire quelques mouvements et les progrès s'accomplissent dès lors avec un
emaine, la paralysie n'est plus guère reconnaissable, sauf dans les mouvements rapides. A la même époque, il n'y a rien de par
ivisés. Aussitôt après le réveil de l'ani- mal, on constate que les mouvements sont très nets dans le membre postérieur gauche
la sensibilité est intacte des deux côtés. Après douze jours, les mouvements volontaires de la patte gauche s'exécutent très
e- ment placée dans l'adduction, peut exécuter également quelques mouvements volontaires. Enfin, le 19° jour, la patte droite
aires. Enfin, le 19° jour, la patte droite accomplit la plupart des mouvements volontaires. L'animal se tient sur ses quatre p
ir- pation, des points dont l'excitation électrique détermine des mouvements de parties isolées de la moitié opposée du corps;
célibat, la claustration, les préjugés religieux, en lutte avec les mouvements sensuels, sus- citèrent, quelquefois épidémiquc
es, soit qu'il se manifeste spontanément, soit qu'il accompagne des mouvements volontaires ou qu'il apparaisse à la suite de c
longe- ment égal au raccourcissement du premier. Pour produire ce mouvement du levier osseux, on PATHOGÉNIE DES TREMBLEMENT
savant maître a bien voulu mettre à notre disposi- tion. " Chaque mouvement de flexion de l'avant-bras, c'est- à-dire chaqu
" époque. Il est limité aux mains et aux avant-bras,.et consiste en mouvements ^ flexion et' d'extension du poignet, combinés à
e en mouvements^ flexion et' d'extension du poignet, combinés à des mouvements de supination et de pronation : IUSI l' iig , '
et il faut souvent, p,01. ! r1H,qL ! h,e produise, ¡une, prel}1Íer¡ mouvement volontaire ? puis, la machine une fois misé enn
étendre les bras. On voit alors que les oscillations consistent en mouvements de flexion et d'extension de l'avant-bras ; on
'extension de l'avant-bras ; on peut facilement reconnaître que ces mouvements sont dus à l'action du biceps et du triceps; au
t qui n'apparaît que dans certaines positiorÍs ! 'A la tête,' petit mouvement oscillatoire de droite à gauche, ~et, de. gauche
és recueillis chez ce malade. 1 On voit que, à part l'amplitude des mouvements , ce tracé est identique à celui pris sur Urspri
lysie incomplète'' permet encore à ces malades un certain nombre^de mouvements . La^ con- traction du biceps, par. exemple, s'i
quand l'avant- bras'n'est .pas appuyé : 'La'main' est' le siège de mouvements alternatifs, de flexion et d'extension, combiné
s alternatifs, de flexion et d'extension, combinés avec de légers mouvements de, rotation; les doigts, surtout le pouce, sont
on; les doigts, surtout le pouce, sont tout le temps agités par des mouvements de flexion et d'exten- sion dont' l'amplitude v
on variable, par rapport ¡ à son antagoniste. Il est d'abord mis en mouvement par une première contraction volontaire, par un
s dans son oreille gauche et les répète tout1'haut."Parfois; grands mouvements des bras dans lesquels elle semble repousser de
, la sensitive, qui n'a pourtant pas de système nerveux, perd les mouvements de ses feuilles; que la germination cesse dans le
tence en conservant au coeur et aux organes de la respiration leurs mouvements . Mais, il importe qu'à aucun instant l'agent an
pendant la narcose complète, par intoxication chlo- roformique. Les mouvements respiratoires se suspendent ordi- nairement les
tale, faite sur des chiens et surtout sur des singes, sont, que les mouvements pro- revue DE physiologie. 281 duits par la f
al du sciatique, et il est logique de chercher à ces deux ordres de mouvements une origine commune dans les mêmes éléments bul
lui permet- tent de conclure : 1° Que les troubles persistants du mouvement doivent être attribués à une parésie persistant
que ceux de la motilité, ne jouent aucun rôle dans les désordres du mouvement ; 3° que les troubles fonctionnels, occasionnés
u moins marqué, et qu'enfin ils ne produisent ja- mais d'ataxie des mouvements . Ces recherches présentent encore de l'intérêt
tenseurs, etc. On y constate une fois de plus jusqu'à quel point le mouvement volontaire des muscles et la conductibilité des
enfant avait, dès les premiers jours de son existence, présenté des mouvements choréiques caractéristiques de la face et du co
é. Durant un assez long séjour (1875-76) à l'hôpital général, les mouvements choréiques diminuèrent beaucoup d'intensité, de
ue la marche et la parole furent améliorés d'autant. Il restait des mouvements convulsifs dans les extrémités et dans la face
dans les extrémités et dans la face ; la parole était gênée parles mouvements involontaires de la langue, de la face et des m
n'était pas due à un trouble apporté dans la circulation par les mouvements choréiques, car elle manquait dans des cas où c
les mouvements choréiques, car elle manquait dans des cas où ces mouvements étaient plus intenses. La chorée du coeur ne se
Ju lit '111'11 ! 1f ' pourtant timide. Santé générale parfaite. Les mouvements de la T' ' l'-i-i, < ? - -i, i°n ..)' n1 ' f
tf ? t.t ? t' Il. n,ll,m u hu 1 1,11 Il 1 semble vouloir faire des mouvements de déglutition comme pour., se défaire ,de la c
r.bilaire. Elçn-t jf u.a{9.n4u JS^ facial (Hûter) ;, cessation des0 mouvements , T,con- xjiulsifs, mafs, p'a ? çÛY.iercon.fcu.(
sl'obscuritéIinâis·lalurllièe;"de même que le^vent,8 le, contactées mouvements de'la=mâçhoirepour'parler ou 'fr1a-" cher augme
à''peine là' malade1 sortait-'1 elle duisommeibanesthésique quelles mouvements 'de' la lfacel recommençaient, ! bien' que' l'a
membres Il' Mai j¡ 1suivie' d'à uCUll trouble de sensibilité ou dei mouvement ni'I de suite' après l'oiéràtibm ni-plus tard.1
l ? Gge ! q. position.horizontale,'à moins de, faire] exécuter un ? mouvement , d'incurvation dUJtronc, ,destiné à amener; l'élé
arc le,s, genRx en,dedans, le pi ? 9auche r)é4lui'n'' ' Quand d les mouvements Eontpréeipités;teIIe' en-varus éqmn. Quand les
and d les mouvements Eontpréeipités;teIIe' en-varus éqmn. Quand les mouvements sont précipites; ! elle. ni "' le"'ur les ortei
te,J -^I.^j.m.t .... 1 ? m · * ' ' i .. , a j t s ? J- t J- ? les mouvements sont normaux. Toute,; tentative pour) écarter-» J
lus'petits à 'droite qu'à gauche. Sensibilité intacte : la'perte du mouvement n'est pas complète ; mais les mouvements dediff
ilité intacte : la'perte du mouvement n'est pas complète ; mais les mouvements dediffi- cileslet si faibles, que le ! membre i
e peut se coiffer, ni se servir d'un couteau ? pour' manger.'OLes mouvements de la pointe de la langue sont exécutés 1 avec7di
ou moins rapidement; en général un léger degré de désordre dans les mouvements ou de contractions spasmodiques sera un des pre
ors en dedans et fait exécuter aux osselets de l'oreille moyenne un mouvement en vertu duquel l'étrier, s'enfonçant dans la c
des circonvolu- tions centrales s'accompagnaient de paralysie des mouvements volontaires et de contractures, sur les deux cô
LES. 359 corps : le bras droit pouvait à peine effectuer quelques mouvements volontaires, et très faiblement; les doigts res
rs d'une bonne mémoire, et d'une pleine conscience d'elle-même. Les mouvements se faisaient d'une façon convenable, étaient co
ît cepen- dant un peu obtuse du côté droit. Aucune paralysie. Les mouvements des mains sur la couverture continuent; pas de so
de ce côté touche l'épaule correspondante. Les yeux sont agités de mouvements constants et tendent, malgré des alternatives d
périeur gauche nous a paru un peu hy- poresthésié ; il est agité de mouvements incessants auxquels ne participent pas les autr
ents incessants auxquels ne participent pas les autres membres. Ces mouvements con- sistent dans la flexion des quatre dernier
mplètement pour recommencer bientôt à se refermer en exé- cutant ce mouvement plus comparable à celui de l'athétose qu'à celu
e fugace, qui ont été observés, et à cause de la contracture et des mouvements du bras gauche, en pré- sence de la rémission q
'organe central d'où partent alors les réflexes coordina- teurs des mouvements . L. L. VII. SUR LES NERFS DE la MOELLE DES os ;
que, par exemple, la rigidité musculaire, le trem- blement dans les mouvements volontaires, etc., fassent défaut. Ailleurs, la
: 1°les hémiplégiques peuvent exécuter, dans l'état hypnotique, des mouvements impossibles hors de cet état : 2° les tabétique
mme dans l'état normal, ce qui prouve bien que la régulation de nos mouvements au moyen de la vue n'est aucunement consciente
de para- lysie des membres, d'origine périphérique, exécutent des mouvements plus énergiques pendant le sommeil hypno- tique
omme pour l'homme décapité, la mort du cerveau est instantanée. Les mouvements qui persistent encore dans la face et les modif
eur excitabilité, ce sont les nerfs du système ganglionnaire. Les mouvements vermiculaires de l'intestin existent encore plus
l'exagération de la contracture est mentionnée comme résultant des mouvements volontaires exécutés par les membres du côté sa
e la Salpêtrière, plusieurs femmes hémiplégiques chez lesquelles un mouvement borné à quelques muscles du côté sain entraînai
ement borné à quelques muscles du côté sain entraînait après lui un mouvement iden- tique dans les parties malades. La diffus
cérébrale par association, on devrait voir toujours se produire des mouvements associés dans les cas bénins, alors que la rigi
chan- gement de position des membres. Or, cela n'a pas lieu. Les mouvements associés ne peuvent être constatés que dans un
» est par conséquent tout à fait bien appliqué. Sans doute quelques mouvements peuvent repa- raître, et, si la dégénération es
et ayant après quelques années récupéré une grande partie de ses mouvements volontaires, retomba subitement contracturée à
les ; elle n'est pas douloureuse mais pénible et oblige à faire des mouvements brusques des jambes, que le malade ne peut répr
e courante que soudain, sans causes, se manifestèrent chez elle des mouvements bizarres, inexplicables, des mains et des jambe
cles de la face et des extrémités (grimaces les plus extravagantes, mouvements les plus bizarres). Rotation des globes oculair
e les membres opposés. Il y a sou- vent quelque diminution dans les mouvements dont sont animées les extrémités, telles les ma
érisée par la projection à l'aveugle des membres animés en outre de mouvements de flexion et d'extension successives, de prona
t l'artifice employé par elle pour arrêter presque tota- lement les mouvements pathologiques. Parole très difficile, parfois m
rotubérance, ce centre convulsif des auteurs, explique en effet les mouvements choréiques ainsi que les troubles de la parole
. XLV. SUR UNE FORME ENCORE PEU CONNUE d'altération TEMPORAIRE DU MOUVEMENT DANS LES MEMBRES INFÉRIEURS, LIÉE A LA SURDITÉ
rconvolution pariétale inférieure se reliant en avant au centre des mouvements faciaux, labiaux et oraux, et en arrière avec l
térieure de cette circonvolution semble être le siège du centre des mouvements oculo-palpébraux et la partie postérieure ou pl
in nombre de symptômes communs, à savoir : 1° les troubles dans les mouvements de l'oeil; 2° le spasme glottique; 3° la contra
le larynx ne présentant aucune para- lysie de la sensibilité et du mouvement . M. Mulhall fait, à propos de cette malade, une
gue de neurosthénie. H. D'O. LXIV. Cas d'épilepsie accompagnée DE mouvements ET DE CONCEPTIONS IRRÉSISTIBLES : Sclérose D'UN
ie accompagnée de conceptions délirantes religioso-extatiques et de mouvements circulaires violents de gauche à droite. Démarche
même au milieu d'un intervalle de rémittence que l'on observait des mouvements de locomotion répétés dans une duec- tion déter
des allées et venues à pas précipités dans le corridor, tantôt le mouvement de manège circulaire exécuté de gauche à droite,
délire fixe spécial, caractérisé par des conceptions d'espace, de mouvement universels associés à sa personnalité, ainsi qu'e
urrait être la pathogénie et des conceptions psycho-motrices et des mouvements somatiques qui ont en effet pour caractère comm
rganisme vivant. Les fonctions d'équilibration du cervelet pour les mouvements sur place, et l'importance de cet organe comme
. A fortiori doit-il en être de même quand les incita- tions et les mouvements prennent leur origine au centre, quand les impu
rconvolutions psychiques et motrices. M. XL. NOTE CLINIQUE SUR UN mouvement anormal QU'ON OBSERVE CHEZ QUELQUES ALIÉNÉS ET
de leur profes- sion. Mais vouloir rattacher en quoique ce soit ces mouvements à ceux de l'atéthose, c'est faire là un étrange
la forme parétique. Dans l'une, les premiers signes sont de petits. mouvements spasmodiques des doigts, causant une irrégulari
la maladie, quand elle est peu avancée, de gêner seulement certains mouvements , tandis que d'autres mouvements, réclamant la c
vancée, de gêner seulement certains mouvements, tandis que d'autres mouvements , réclamant la contraction des mêmes muscles en
une contracture réelle. Puis, vient une étude très intéressante des mouvements associés dans l'hémiplégie et de la transformat
d^ et une sensation ''de'clapotement daiïsPrârti1 culation lors des mouvements . Ces douleurs furent considérées par, les médec
net. Cette sensation empêche le malade d'exécu- le xé ? 5ter tout mouvement précis ; de compter par exemple des pièces 4»,
ut dans - ? f ? ....1 ? ...,. UtÛH.) jj i)f.'u)) ! '<rgq.)n; le. mouvement revint a son. tour., Quoi- qu il en soit, la gu
localisée sur une région quelconque, rétablit très rapide- ment le mouvement et la sensibilité dans tout le côté malade. M.
application ; d'autre part, des hémiplégies de la sensibilité ou du mouvement , dues, selon toute apparence, à des lésions cér
, en effet, après le retour rapide de la sensibilité générale et du mouvement , il reste encore à obtenir 1 Pour être tout à f
ication, etc., la même connexion entre la sensibilité cutanée et le mouvement , les mêmes modifications de tempéra- ture, de c
e utilisée à l'occasion. Chez un maladehémichoréiquedeM.Debove, les mouvements furent enregistrés dès le commencement d'une sé
nfant venu au monde à terme et présentant une parésie accentuée des mouvements . On'constate chez lui 584 REVUE d'anatomie path
endue. Il n'y avait pas de pâleur extraordinaire, ni le moindre, -, mouvement convulsif. Au bout de trois secondes, elle releva
ies violentes, vertiges, distractions, oublis, incertitude dans les mouvements des bras et des jambes, parésie des extrémités
franchir le seuil; se tient au milieu d'une chambre avec un absurde mouvement automatique de pendule de tout le corps ou d'un
atteinte de chorée depuis le 5 juillet. Le 21 août, il y avait des mouvements choréiques de tous les membres et des muscles d
liqués le 22 à une heure et demie. A une heure cinquante-cinq, tout mouvement choréique avait cessé. A une heure cinquante-se
e, et l'autre sur la région cervicale. Au bout de onze minutes, les mouvements avaient cessé; pas de re- chute. Dans deux ca
ie. Dans le premier cas, la guérison fut complète ; la paralysie du mouvement aussi bien que de la sensibilité disparut. Dans
- ment exécutés, permet de voir pour ainsi dire la succession des mouvements . Cette galerie pathologique contient déjà plus de
e peu à peu et il ne reste plus qu'une parésie avec incertitude des mouvements ; ? t z ! H \ 628 bibliographie. puis, au, b
mé- rique, en Nouvelle-Zélande même, partout il avait été mêlé au mouvement scientifique, partout il avait laissé le souvenir
des centres neneux, chez les Calmariens, par C. Ch,l- tin, 432. Mouvements associés (innervation des), des globes oculaire
86 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome second
frottement des parois, par de la sérosité, et les espaces vides sans mouvement , par du tissu adipeux. Pusieurs faits me porten
ui était extrêmement prononcée; la saillie du grand trochanter et son mouvement d'ascension qui le rapprochait de la crête iliaqu
vement d'ascension qui le rapprochait de la crête iliaque, saillie et mouvement d'ascension qui étaient moins considérables que d
à chevaucher l'un sur l'autre, d'où le peu de saillie et le défaut de mouvement d'ascension du grand trochanter. Comment se ren
vant, son bord externe en arrière; on dirait que le fémur a décrit un mouvement de quart de rotation sur son axe. La figure 2 r
des vieilles femmes, la pneumonie surtout. Aussitôt que survient un mouvement fébrile avec respiration fréquente, sécheresse de
chantérienne est combattue par des cataplasmes émolliens. Le i3mai, mouvement fébrile, rigidité des membres; tendance à l'assou
obliquité du fémur sont beaucoup plus prononcés. Il en est de même du mouvement de rotation qu'a subi ce membre inférieur. Ainsi
ment qui, d'ailleurs, pourrait bien n'être qu'apparent et dépendre du mouvement d'ascension du bassin. Dans le second cas, la têt
nière que le bord externe du fémur est antérieur : il résultait de ce mouvement de rotation autour de l'axe que le tendon du psoa
olontaires. L'hémiplégie porte sur le sentiment aussi bien que sur le mouvement . Cette hémiplégie est, dit-elle, survenue subit
tés que les membres inférieurs. La paralysie porte à-la-fois sur le mouvement et sur le sentiment; mais elle est incomplète : l
ourquoi la malade était pendant sa vie presque complètement privée du mouvement d'extension des doigts. Le déplacement en avant d
anément ou successivement : i° à une force qui leur aurait imprimé un mouvement de rotation sur leur axe de dedans en dehors, et
x pieds, sont distincts; mais les deux membres inférieurs ont subi un mouvement de quart de rotation en sens opposé, de telle sor
deux élémens bien distincts dont se compose la monopodie, savoir, le mouvement de rotation des membres inférieurs autour de leur
sur les grands trochanters, ferait exécuter aux membres inférieurs un mouvement de rotation en même temps qu'elle les appliquerai
s quelques cas, la cause comprimante bornera son action à produire le mouvement de demi-rotation, sans opérer de fusion. Ce mouve
n à produire le mouvement de demi-rotation, sans opérer de fusion. Ce mouvement de rotation peut lui-même être incomplet et s'arr
r la formation de ces monstruosités, et plus particulièrement pour le mouvement de rotation. M. Isidore Geoffroy Saint-Hilaire
se comprimante puisse cesser d'agir lorsque le membre aura exécuté un mouvement de quart de rotation ou une demi-rotation, et alo
résente le fémur écarté de la cavité cotyloï-dienne. Cet os a subi un mouvement de demi-rotation, tel que sa face antérieure rega
ue la moitié supérieure du tibia. Ce tibia a, comme le fémur, subi un mouvement de demi-rotation. L'extrémité supérieure de cetos
des deux fémurs, en admettant qu'en même temps qu'ils ont exécuté un mouvement de rotation, ils se sont croisés en x (i) Réfle
appeler que, dans toute syrénie , les membres inférieurs subissent un mouvement de rotation plus ou moins considérable autour de
mouvement de rotation plus ou moins considérable autour de leur axe, mouvement de rotation qui peut être porté jusqu'à un demi-t
usqu'à un demi-tour. Or, ici, le membre inférieur gauche a éprouvé un mouvement de quart de rotation, et le membre inférieur droi
vé un mouvement de quart de rotation, et le membre inférieur droit un mouvement de trois huitièmes de rotation. Cette différence
ctine et les adducteurs ire A, 2e A, 3e A, ont également participé au mouvement de rotation , si bien que les demi-membraneux DM,
antérieurs. Les fémurs ne présentent de particulier que le quart du mouvement de rotation qu'ils ont subi. N'oublions pas que l
quart du mouvement de rotation qu'ils ont subi. N'oublions pas que le mouvement de rotation subi par le fémur droit est un peu pl
ens ne diffèrent pas de l'état normal. Il est bon de remarquer que le mouvement de rotation subi par les jambes et les pieds est
imprimerait aux fémurs, et par conséquent aux membres inférieurs, un mouvement de rotation qui peut aller jusqu'à un demi-tour,
aller jusqu'à un demi-tour, mais qui ne peut pas le dépasser : or, le mouvement de rotation, qui semble au premier abord échapper
ion bilatérale puisse s'épuiser dans la production d'un demi-quart de mouvement de rotation, à plus forte raison dans celle d'un
tation, à plus forte raison dans celle d'un quart, trois huitièmes de mouvement de rotation ; et alors le vice de conformation ou
cquis un grand développement , elle a dû y rester engagée , malgré le mouvement péristaltique et antipéristal-tique de l'estomac
le cadavre, et qui paraissent le résultat de la perturbation dans le mouvement péristaltique qui a lieu dans l'agonie. C'est enc
— i° L'état comateux avec perte complète et générale du sentiment, du mouvement et de l'intelligence, dépend soit d'une apoplexie
, sont prises d'une paralysie complète et générale du sentiment et du mouvement , d'une abolition complète de la perception et de
tins. Bientôt, pouls petit, hoquets, vomissemens, syncopes au moindre mouvement , soif vive d'eau froide, symptômes d'étranglement
e; sentiment de défaillance tel, qu'il ne pouvait exécuter le moindre mouvement sans tomber en syncope ; pouls filiforme, misérab
e, et même un dégoût des alimens, des nausées, un malaise général, un mouvement fébrile, qui résistèrent à la diète, aux bains, a
malade éprouvait une douleur très prononcée, qu'elle exprimait par un mouvement ou par une plainte. Je diagnostiquai donc un abcè
lise, après l'accomplissement d'un acte religieux,elle avait senti un mouvement extraordinaire dans son ventre, bientôt suivi d'u
e sang. Cataplasmes, bains, lavemens. Sérum ; limonade citrique. Le mouvement fébrile disparaît; à sa place, sentiment de débil
elé constata, avec l'augmentation de volume du foie, l'existence d'un mouvement fébrile habituel : quelques sangsues furent appos
ment que de coutume. Il est plus ou moins sensible à la pression : le mouvement fébrile, dit fièvre de lait, ne se dissipe pas en
ièrement ; ou bien, après avoir cessé pendant deux ou trois jours, ce mouvement fébrile se réveille avec plus ou moins d'intensit
es malades qui n'accusent aucune douleur locale et chez lesquelles le mouvement fébrile est la seule expression morbide : il en e
iqueuse? Cette malade avait depuis quelques jours du dévoiement et un mouvement fébrile très prononcé que je crus pouvoir rapport
mps infiltration sanguine du tissu cellulaire sous-cutané. Le moindre mouvement , la moindre pression sont extrêmement douloureux.
e. Il y avait en même temps douleurs vives, exaspérées par le moindre mouvement , par la plus légère pression. Sous la seule influ
t le membre inférieur. Ces douleurs étaient exaspérées par le moindre mouvement et avaient beaucoup d'analogie avec les douleurs
stans après, mort du membre, manifestée par la paralysie immédiate du mouvement et du sentiment, et par la décomposition putride
eau ou de la moelle, parce qu'il y avait paralysie du sentiment et du mouvement sans changement de couleur à la peau et sans doul
dien, en ce que, dans le premier cas, la paralysie du sentiment et du mouvement est aussi complète que possible, tandis qu'il est
tômes que je notai : algidité, avec perte complète du sentiment et du mouvement dans tout le membre inférieur du côté droit. La
squ'au coude du même côté (côté gauche); paralysie du sentiment et du mouvement de la main : la malade rapporte cet état à la sai
ain, il\, je constatai l'existence d'une paralysie du sentiment et du mouvement limitée à la main gauche. La malade était dans l'
miplégie faciale ; pourquoi une paralysie complète du sentiment et du mouvement avec douleur; pourquoi ce mélange de paralysie et
gne d'une oppression très grande,pour peu qu'il exécute le plus petit mouvement , soit au lit, soit levé. Très souvent pendant la
impulsion brusque et forte qui soulève le thorax et s'accompagne d'un mouvement de projection de gauche à droite : on dirait qu'u
on sentait à la main, on voyait à l'œil nu le thorax se soulever avec mouvement de projection violente vers la droite, et nous ne
aire ce sang devait éprouver une impulsion qui donnait à la tumeur le mouvement d'expansion brusque et vif qui nous a permis de d
de cette paraplégie, qui portait à-la-fois sur le sentiment et sur le mouvement . C'était le sentiment qui avait été intéressé en
le sentiment qui avait été intéressé en premier lieu; la paralysie du mouvement n'était venue que plus lard. Sentiment. La para
gauches, qui rendent douloureux les mouvemens du bras du même côté. Mouvement . La myotilité, ai-je dit, est moins profondément
hai à déterminer s'il y avait simple soulèvement de la tumeur ou bien mouvement d'expansion : la distinction était impossible à é
En même temps, diminution notable de la paralysie, sous le rapport du mouvement ; diminution notable des douleurs. Le malade peut
a cause qui la comprimait. Mais cette diminution dans la paralysie du mouvement et dans les douleurs, ne fut pas de longue durée.
let. La main , appliquée sur la tumeur, est fortement soulevée par un mouvement qui paraît être une percussion plutôt qu'un mouve
soulevée par un mouvement qui paraît être une percussion plutôt qu'un mouvement d'ampliation. La tête, appliquée contre cette mêm
isé, de telle façon qu'il a perdu une grande partie de sa quantité de mouvement quand il frappe la portion compacte des parois ve
ariétal et du feuillet viscéral. De cette adhérence résulte un double mouvement de traction opéré par les fausses membranes, l'un
nifeste de toute la moitié gauche de la région antérieure du thorax ; mouvement d'ondulation extrêmement sensible dans les sixièm
d'oppression, lorsqu'il reste immobile dans son lit ; mais le moindre mouvement hors du lit détermine des accidens de suffocation
iltration, le bruit très sourd du cœur, l'étendue de la matité, et le mouvement d'ondulation, me font souvent revenir à l'idée qu
, on eût dit qu'il jouissait delà meilleure santé; mais le plus léger mouvement réveillait un sentiment de malaise précordial, et
par une gêne dans la région précordiale que provoquait le plus léger mouvement , par un sentiment insurmontable de tristesse, d'i
mais comment admettre, pendant la vie. une analyse spontanée avec le mouvement dont le sang est agité? Comment cette analyse spo
ue ce pédicule a été déchiré par suite des contractions du cœur et du mouvement du sang qui les suit : doit-on penser avec M. Leg
uméfaction douloureuse avec rougeur. La moindre pression , le moindre mouvement exaspéraient la douleur ; le pouls était large et
mort, comme le seul terme à ses souffrances. Point de paralysie du mouvement . De temps en temps, contraction convulsive des
chaque circonvolution reçue dans son empreinte crânienne et animée du mouvement qu'impriment les artères à la masse encéphalique
elligence est pleine et entière : aucune paralysie du sentiment et du mouvement autre que celle de la vue. La malade est irritabl
mmissure gauche déprimée , hémiphlégie du côté gauche; portant sur le mouvement et sur le sentiment. Le membre supérieur est dans
agités de secousses si violentes et si pénibles par l'exagération du mouvement de flexion, que la malade y porte les mains pour
lièrement encore du genou. Dans le mois de décembre i834, survient un mouvement fébrile; la langue devient sèche et rouge; sueurs
ppliquer élastiquement contre les fesses. Du reste, la paralysie du mouvement volontaire est complète dans les membres inférieu
dans les mêmes membres inférieurs. Du reste, intégrité parfaite du mouvement et du sentiment dans les membres supérieurs: les
ait un coussin interposé à la plante des pieds et au sol. La perte du mouvement a commencé par l'extrémité inférieure droite. J
exerçait sur la moelle une compression suffisante pour intercepter le mouvement , mais non suffisante pour intercepter le sentimen
e la sensibilité; i° intégrité des excrétions alvines; 3°paralysie du mouvement volontaire; 4° flexion permanente avec rigidité ;
ans le lieu de la compression. La sensibilité était conservée et le mouvement était détruit; or, la tumeur occupait la région a
un vieillard de soixante-trois ans , paraplégique du sentiment et du mouvement qui mourut presque subitement d'une hémorrhagie c
ndividu affecté depuis un temps assez long de paralysie incomplète du mouvement des extrémités inférieures avec douleurs excessiv
ui des idées sur l'affectation exclusive des racines antérieures au mouvement et des racines postérieures à la sensibilité. L
attitude et l'immobilité des pieds, l'augmentation du sentiment et du mouvement à mesure qu'on s'élevait vers le tronc. La comp
sement douloureux du membre inférieur gauche: il y avait paralysie du mouvement et exaltation de la sensibilité. Le moindre conta
t néanmoins couronnée du plus heureux succès. Du moment où le premier mouvement put être exécuté dans les parties jusque-là par
it pas long-temps attendre. En quelques jours , la malade recouvra le mouvement , en même temps que disparut la sensibilité morbid
Cependant, à force de volonté, la malade parvient à imprimer un léger mouvement aux orteils du pied gauche; car le côté gauche a
t ceux où elle est dans l'immobilité la plus absolue; mais le moindre mouvement volontaire ou involontaire, la moindre secousse,
autant que possible, contre le sommeil. Elle appréhende tellement le mouvement , que, lorsqu'on s'approche de son lit,elle crie d
tait, pour ainsi dire, en surveillance pour s'opposer à ce qu'aucun mouvement ne fût imprimé à son lit ; que le bruit cle la po
alysie et la douleur marchent toujours simultanément. La paralysie du mouvement paraît être l'effet de la douleur musculaire, et
te. Le moindre contact du membre paralysé est douloureux ; le moindre mouvement provoque une douleur vive ; le moindre bruit, une
issent par être envahis. Il y a paralysie complète du sentiment et du mouvement du membre inférieur droit. Du reste, même état,co
par méningite rachidienne me paraît consister dans l'impossibilité du mouvement à cause de la douleur, et dans la possibilité d'e
ndre sa position première. La paralysie complète du sentiment et du mouvement du membre inférieur droit subsiste. Evacuations a
me gutte, qui donne lieu à des selles très abondantes. 15 juin : le mouvement est revenu la nuit dernière dans le membre supéri
t de la contraction volontaire ou non volontaire, et par le fait d'un mouvement communiqué. En luttant contre la douleur, un gran
ion. Je croyais que, chez mademoiselle Gault, il y avait paralysie du mouvement et exaltation du sentiment en général, et ce n'es
vait son siège dans les muscles paralysés, qu'il y avait paralysie du mouvement par exaltation de la sensibilité musculaire. Vo
Le Ier novembre i832 et sans doute par suite des eschares au sacrum, mouvement fébrile, sueur:1a respiration s'embarrasse, devie
s bien et répond à voix basse. Bientôt elle ne répond plus que par un mouvement des lèvres: elle s'éteint le 16 novembre. Ouver
at le 2 décembre, jour de son entrée. Paralysie presque complète du mouvement dans les membres inférieurs: la malade exécute [q
purulentes , que j'attribue à un catarrhe de vessie. La paralysie du mouvement est toujours la même; la paralysie du sentiment s
tre indépendante et survenir primitivement. Paralysie incomplète du mouvement , paralysie presque complète de la sensibilité tac
vec rigidité des membre» inférieurs. La malade ne peut exécuter aucun mouvement . La sensibilité est intacte, le chatouillement es
les muscles ne se contractaient pas, que la malade n'exécutait aucun mouvement volontaire, bien que les genoux eussent été amené
mme dans tous les lieux où il y a atrophie d'un organe susceptible de mouvement . La sérosité, ici comme ailleurs, est destinée à
prolongés, les piqûres profondes, ne peuvent déterminer le plus léger mouvement , exciter la plus légère sensibilité. J'étudie ave
masses disséminées TG, TG. Paraplégie incomplète du sentiment et du mouvement . — Danse de Saint-Guy chronique. — Dégénération
ques cuillerées de potage ; mais la cuillère fut renversée au premier mouvement qu'elle fit pour la porter à la bouche. Elle pris
s infructueuses, saisissant en quelque sorte le coup de temps, par un mouvement combiné et brusque de la tête, et, du membre supé
'aux narines, qui l'aspiraient en quelque sorte avec vivacité. Tout mouvement volontaire exigeait de la part de cette malheureu
dans les racines postérieures des nerfs spinaux et sur le siège du mouvement dans les cordons antérieurs et dans les racines a
it de l'influence des cordons médians postérieurs de la moelle sur le mouvement , aussi bien que sur le sentiment, n'est pas le se
logues. Une femme paraplégique incomplètement et du sentiment et du mouvement meurt d'une maladie étrangère à la paralysie. Plu
ostérieurs et les racines postérieures^des nerfs spinaux président au mouvement tout aussi bien qu'au sentiment. A quelle espèce
partie historique, est bien remarquable ; car il y avait paralysie du mouvement seulement, et la transformation ou dégénération g
it limitée aux cordons médians postérieurs. Amaurose.—Paraplégie du mouvement seulement.—Dégénération grise des cordons médians
médians postérieurs. Une jeune fille amaurotique , paraplégique du mouvement seulement, mourut de je ne sais quelle maladie. A
e de l'encéphale. Paraplégie complète du sentiment et incomplète du mouvement .—Dégénération grise des cordons postérieurs de
la vie. Paraplégie complète du sentiment et seulement incomplète du mouvement . —Transformation gris-jaunâtre des cordons post
u dos des pieds un engourdissement qui se dissipait en général par le mouvement , mais qui donnait à sa démarche quelque chose d'a
es avec des épingles ne sont pas perçus. 2° Paralysie incomplète du mouvement dans ces mêmes membres inférieurs. Au lit, elle e
doigts à celle qu'elle ressentait, dans le principe, aux pieds. a0 Mouvement . Intégrité à-peu-près parfaite du mouvement aux m
principe, aux pieds. a0 Mouvement. Intégrité à-peu-près parfaite du mouvement aux membres supérieurs, érosion. Aucune douleur s
xions. Dans le cas précédent, il y avait paralysie du sentiment et du mouvement ; mais la paralysie avait beaucoup plus porté sur
is la paralysie avait beaucoup plus porté sur le sentiment que sur le mouvement ; de même que, dans d'autres cas, nous avons vu l
énération grise des cordons médians postérieurs affecter bien plus le mouvement que le sentiment.Toujours est-il que, même dans c
mbres paralysés : paralysie complète des membres inférieurs, quant au mouvement volontaire. La myotilité ne s'y trahit en quelque
u la dévore. L'action de soulever les membres inférieurs , le moindre mouvement qui leur est imprimé sont extrêmement douloureux.
plante des pieds, mode d'exploration si important, ne provoque aucun mouvement , ce qui suppose, non l'absence de sensibilité, ma
s déplacées ici. Dans l'hémiplégie, suite d'hémorrhagie cérébrale, le mouvement seul est intéressé, et j'ai eu souvent l'occasion
te entre l'intégrité parfaite du sentiment et l'abolition complète du mouvement . Il y a en ce moment, dans mon service de la Salp
ne femme âgée de cinquante ans environ, qui est entièrement privée du mouvement dans le membre supérieur et le membre inférieur d
est pas sensiblement déviée; mais la langue se refuse à l'exercice du mouvement nécessaire pour l'articulation des sons: elle fai
ègle que l'hémiplégie, suite de l'hémorrhagie cérébrale, intéresse le mouvement , et jamais le sentiment. Il est bien entendu qu'i
lysent, en quelque sorte, le cerveau sous le rapport du sentiment, du mouvement et de l'intelligence. La paraplégie , au contra
u contraire, intéresse essentiellement le sentiment aussi bien que le mouvement , soit en l'exaltant comme dans la paraplégie doul
ladie, la lésion du sentiment apparaît en même temps que la lésion du mouvement . C'est à Paide de ces données que j'ai pu diagnos
it; mais l'hémiplégie portait sur le sentiment, aussi bien que sur le mouvement . J'ai noté comme circonstance fort remarquable qu
me, la coexistence d'une paralysie du sentiment et d'une paralysie du mouvement , m'éclairerait de suite sur le siège de la maladi
lleurs l'analyse de l'état des membres quant au sentiment et quant au mouvement : Membres inférieurs. — Insensibilité presque c
ement, mais encore, ce pincement et cette piqûre ne déterminent aucun mouvement . Le chatouillement à la plante des pieds ne provo
ve douleur du membre par l'effet de la moindre pression et du moindre mouvement , la peau a conservé son insensibilité : je ne pui
ffets de cette dégénération grise de la moelle sur le sentiment et le mouvement , ils sont tout-à-fait confirmatifs de la doctrine
es colonnes et racines du sentiment et sur les colonnes et racines du mouvement . Le sentiment était beaucoup plus profondément lé
mouvement. Le sentiment était beaucoup plus profondément lésé que le mouvement (i) ; or, l'altération des cordons postérieurs et
la malade me dit qu'il était dépourvu de tout sentiment comme de tout mouvement . Tous les élèves qui suivaient habituellement la
e i84o, dans l'état suivant: Paraplégie complète du sentiment et du mouvement .—La malade, Allemande d'origine, ne connaît pas l
s mouvemens quelquefois énergiques, la volonté est impuissante. Aucun mouvement , quelque léger qu'il soit, ne peut être sollicité
supérieur gauche; ces douleurs sont permanentes et augmentées par le mouvement . Le 21 , à la fréquence de la respiration, à la
aux postérieurs , c'est-à-dire d'arrière en avant, le sentiment et le mouvement sont également affectés, puisque la compression p
ine tantôt des mouvemens brusques plus ou moins énergiques, tantôt un mouvement léger des orteils, d'autres fois une simple contr
, de quelques faisceaux musculaires de la jambe ou de la cuisse, sans mouvement appréciable. Ces mouvemens attestent-ils la sensi
dite? Non, le malade ne sent pas si on l'a touché, il ne voit que le mouvement , c'est comme si une étincelle électrique avait pa
asion d'une impression faite sur les nerfs du sentiment, les nerfs du mouvement correspondans produisissent des contractions sans
pas conscience de ces divers modes de stimulation. D'ailleurs , aucun mouvement volontaire ; quelquefois il semble à notre malheu
centrant sa volonté sur le gros orteil, par exemple, il produisait un mouvement dont il disait avoir la conscience; il veut souve
s il ne réussit à le produire devant moi, et j'imagine qu'il prend un mouvement spasmodique, produit par hasard à la suite d'un e
ique, produit par hasard à la suite d'un effort de sa volonté pour un mouvement volontaire. Il me dit souvent qu'il a le sentimen
ec abolition subite et complète de l'intelligence, du sentiment et du mouvement . La protubérance (fig. i) est convertie en une
erva. Perte absolue de connaissance; perte absolue du sentiment et du mouvement ; les membres sont dans un état de résolution comp
nte une respiration ster-toreuse; abolition complète du sentiment, du mouvement et de l'intelligence; point d'affaissement dans l
des foyers apoplectiques de la protubérance. Hémiplégie complète du mouvement , incomplète du sentiment à droite; impossibilité
tobre i832. Hémiplégie adroite, aussi complète que possible pour le mouvement , et s'accompagnant de rigidité dans les membres p
celui précédemment indiqué. Amaigrissement, escarre large au sacrum, mouvement fébrile, toux, et engoûment pulmonaire. Je consid
sensibilité morale, qu'elle détermine des phénomènes hémiplégiques du mouvement et du sentiment; qu'elle rend souvent Varticulati
êtrière. Ainsi, dans un cas d'hémiphlégie complète du sentiment et du mouvement , avec impossibilité complète d'articuler les sons
convexité de l'hémisphère opposé. Dans un autre cas d'hémiplégie du mouvement à droite avec impossibilité d'articuler les sons,
tre de l'hémisphère. Dans un troisième cas d'hémiplégie complète du mouvement , incomplète du sentiment à droite, avec impossibi
rance (i). Le collapsus général, la perte complète du sentiment et du mouvement , l'abolition complète de l'intelligence, la mort
ne différentiel entre l'apoplexie et le ramollissement : en effet, le mouvement est seul ou principalement affecté dans l'apoplex
ntiment sont intéressés en même temps et souvent au même degré que le mouvement . Je ne mentionne pas la rigidité ou les contracti
observations suivantes pourront y suppléer. Hémiplégie complète du mouvement , à droite. — Intégrité parfaite du sentiment et d
an. Point de commémoratifs. Hémiplégie aussi complète que possible du mouvement à droite ; liberté des mouvemens à gauche; imposs
c, n° 1 (division dite des Gâteuses). Hémiplégie gauche complète du mouvement avec rigidité très prononcée du membre supérieur;
intellectuelles; urines involontaires, paralysie presque complète du mouvement à gauche. Peu de jours après son entrée, le 21
igidité très prononcée du membre supérieur du même côté : bien que le mouvement y soit aboli, j'ai vu ce membre rigide se déplace
re supérieur. Le pincement des membres paralysés détermine un léger mouvement , mais ce mouvement est automatique : je veux dire
pincement des membres paralysés détermine un léger mouvement, mais ce mouvement est automatique : je veux dire qu'il n'est pas la
dans les facultés intellectuelles, et affaiblissement notable dans le mouvement . C'est une des causes de la démence sénile. La
épinière,et cela chez nos vieilles femmes,affaiblies du sentiment, du mouvement et de l'intelligence. Le coexistence de foyers
dans des élancemens extrêmement violens, qui augmentaient au moindre mouvement .Pour la première fois, ce symptôme fixe mon atten
e des sinus de la dure-mère. Paralysie graduelle du sentiment et du mouvement . — Ramollissemens multiples des circonvolutions d
égie gauche, manifestée par une diminution notable du sentiment et du mouvement dans le membre supérieur de ce côté. La malade re
Le membre inférieur gauche, in filtré, était complètement paralysé du mouvement et considérablement affaibli pour le sentiment. L
la plante du pied est faiblement perçu et détermine à peine un léger mouvement dans les orteils. En général, le sentiment est ex
oi : i° que la paralysie porte sur le sentiment aussi bien que sur le mouvement ; que cette paralysie présente de notables variati
cis, elle tombe dans un état comateux avec abolition complète de tout mouvement , de tout sentiment et de toute intelligence. A la
atouillement de la plante des pieds n'est pas perçu ; cependant léger mouvement de l'orteil gauche par l'effet de ce chatouilleme
ler quelques gouttes d'eau dans la bouche: elles déterminent un léger mouvement de déglutition. Diagnostic. Cet état d'abolitio
it d'ailleurs de l'intégrité de toutes ses facultés. Le sentiment, le mouvement , l'intelligence ne présentent aucune altération n
uleur très vive à la tempe et à la région sus-orbitaire du même côté. Mouvement fébrile. L'œdème et la céphalalgie existaient dep
résentait des alimens. Point de lésion appréciable du sentiment et du mouvement . La lésion cérébrale est enfin diagnostiquée; j
nte et souvent suspirieuse; pouls lent, petit, qu'accélère le moindre mouvement la moindre émotion morale; paresse, torpeur toujo
mélioration semblable, non moins qu'en exemples d'absence complète de mouvement fébrile et de tout symptôme de paralysie, si bien
amollissement, et cependant point de paralysie, ni du sentiment ni du mouvement . Le lobe antérieur a été incapable de fonctions
la je réponds qu'ils ne se suppléent pas pour le sentiment et pour le mouvement , et que rien ne prouve qu'ils se suppléent pour l
ée ; les muscles fronto-palpébraux sont contractiles. La paralysie du mouvement est complète dans le membre supérieur droit : ell
eschares au sacrum se manifestent. Le 12 octobre, je m'aperçois d'un mouvement fébrile. Point de toux, point d'oppression, point
, point de dévoiement. Les eschares peuvent à la rigueur expliquer le mouvement fébrile. Affaiblissement croissant, pouls fébrile
affaiblies à-peu-près également de l'intelligence, du sentiment et du mouvement . Ces femmes ont le cerveau labouré par des cicatr
promptement que possible dans la vessie , en imprimant à la sonde un mouvement de bascule beaucoup plus considérable que pour le
ascule beaucoup plus considérable que pour le cathétérisme ordinaire; mouvement de bascule par lequel l'extrémité vésicale de la
a abolition de l'intelligence, abolition de tout sentiment et de tout mouvement : c'est un homme agonisant. Le cerveau est le sièg
veloppement de l'organe et l'accroissement considérable qu'a subi son mouvement nutritif. On voit encore que les mamelons du ca
ux. La malade qui jouissait d'une très bonne santé , fut prise d'un mouvement fébrile avec vomissement et dépérissement dont je
ives répétées dans une moitié du corps avec diminution progressive du mouvement . Ces accidens appartiennent, non pas à une attaqu
llectuelles, et qui sont suivies d'un affaiblissement graduel dans le mouvement et dans le sentiment. Des secousses convulsives é
ne commence que lorsque se manifeste la paralysie du sentiment et du mouvement . La tumeur encéphaloïde du cerveau est-elle lié
ssent par s'atrophier, toutefois après avoir éprouvé préalablement le mouvement d'hypertrophie. Comme type de corps fibreux multi
rin. LTn fait fort remarquable, mais qui est constant, c'est que le mouvement fluxionnaire dont le corps de l'utérus est le s
dans la portion de vessie déplacée, pour être ensuite portée, par un mouvement de bascule, dans la portion de vessie restée en p
ncives, l'état général avait fléchi, la face était devenue jaunâtre ; mouvement fébrible"; anorexie; insomnie. Quelques sangsues
l'apoplexie capillaire. 32e liv., pl. 1, 11,p. Hémiplégie complète du mouvement à droite. ; intégrité parfaite du sentiment et de
p.y ; 37e liv., pl. v,p. 2. — Paralysie: graduelle du sentiment et du mouvement . Ramollissemens; multiples des circonvolutions du
de la protubérance. Mort le quatrième jour. = Hémiplégie complète du mouvement , incomplète du sentiment à droite; impossibilité
e de la protubérance. Mort le quatrième jour.= Hémiplégie complète du mouvement , incomplète du sentiment adroite; impossibilité d
vité des ventricules. 33e liv., pl. 11, p. 4.— Hémiplégie complète du mouvement à droite. Intégrité parfaite du sentiment et de l
veau. 36e liv., pl. i, p. s. — Paralysie graduelle du sentiment et du mouvement . Ramollissemens multiples des circonvolutions du
et ei les fonctions génératrices^ Céphalalgie occipiiale Paralysie du mouvement de la moitié gauche du corps. Diminution notable
de la moelle. Observations. Paraplégie incomplète*du sentiment et du mouvement . Danse de Saint-Guy chronique. Degeneration grise
— Indépendance des faisceaux de la moelle. = Amaurose. Paraplégie du mouvement seulement. Degeneration grise des cordons médians
ians postérieurs. = Paraplégie complète du sentiment et incomplète du mouvement . Dégénération grise des cordons postérieurs de la
, p. 22. — Paraplégie complète du sentiment et seulement incomplètedu mouvement . Transformation gris-jaunâtre des cordons postéri
de la moelle? Les effets de celle degeneration sur le sentiment el le mouvement confirment la doctrine moderne sur les colonnes e
nt la doctrine moderne sur les colonnes et racines du sentiment et du mouvement . 38e liv., pl. v, p. 4.— Atrophie complète d'un m
mots. 33e liv., pl. u, p. 3. MOUVE VIENT. Paraplégie incomplète du mouvement et du sentiment. Dégénération grise du^cordon pos
eur de la moelle. 32nliv., pl. i, u, p. ig.— Paraplégie incomplète du mouvement eldu sentiment. — Paraplégie du mouvement seuleme
.— Paraplégie incomplète du mouvement eldu sentiment. — Paraplégie du mouvement seulement. Degeneration grise des cordons médians
ion grise des cordons médians postérieurs. = Paraplégie incomplète du mouvement et complète du sentiment. Degeneration grise des
s postérieurs de la moelle. = Erreur des idées reçues sur le siège du mouvement . 32e liv-, pl. i, n, p. at.— Paraplégie complète
p. at.— Paraplégie complète du sentiment "et seulement incomplète du mouvement . Transformation gris-jaunâtre des cordons postéri
des cordons postérieurs de la moelle. 32e liv., pl. i, n, p. a3. — Le mouvement est seul ou principalement affecté dans l'apoplex
s mouvemens convulsifs. 8e liv., pl. 1, n, ni, p. 6. — Paralysie du mouvement de la moitié gauche du corps, résultant de tuberc
de la moelle. = Observation. Paraplégie incomplète du sentiment et du mouvement . Danse de Saint-Guy chronique. Dégénération grise
e la [moelle. 32» liv., pi. i, ii, p. 49. — Amaurose. Paraplégie du mouvement seulement. Dégénération grise des cordons médians
ians postérieurs. = Paraplégie complète du sentiment et incomplète du mouvement . Dégénération grise des cordons postérieurs de la
p. 22. — Paraplégie complète du sentiment et seulement incomplète du mouvement . Transformation gris jaunâtre des cordons posté -
laire. 36e liv., pl. i ,p. i.— Paralysie graduelle du sentiment et du mouvement . Ramollis-semens multiples des circonvolutions du
érique. 33e liv., pl. m, p. 5.—Paralysie graduelle du sentiment et du mouvement . Ramollissemens multiples des circonvolutions du
iv., pl. v,p. 10. SENTIMENT. Paraplégie incomplète du sentiment et du mouvement . Dégénération grise des cordons postérieurs de la
. 32e liv., pl. 1,11, p. 20.—Paraplégie incomplète du sentiment et du mouvement .^Paraplégie complète du sentiment et incomplète d
nt et du mouvement.^Paraplégie complète du sentiment et incomplète du mouvement . Degeneration grise des . cordons postérieurs de
p. 21. — Paraplégie complète du sentiment et seulement incomplète du mouvement . Transformation gris jaunâtre des cordons postéri
87 (1903) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1902
ndre compte s'il entendait le bruit; le résultat a été nul et aucun mouvement de sa part n'a prouvé qu'il entendait. L'enfant
illait ses vêlements, soit maladresse des mains, soit len- teur des mouvements , aujourd'hui nous pouvons le mettre en pantalon
haltères, soit les mains libres. Ces exercices sont les suivants : mouvements ver- ticaux des bras en 2 temps; mouvements lat
ces sont les suivants : mouvements ver- ticaux des bras en 2 temps; mouvements latéraux des bras en 2 temps. Les enfants au li
unies d'haltères. En dehors des exercices de respiration, clans les mouvements où les enfants comp- tent eux-mêmes les temps,
chelles de cordes, les ressorts, etc., mais de la gymnastique des mouvements d'ensemble cl aux agrès. Les exer- Société de g
essons do le redire, nous don- nons la préférence aux exercices des mouvements avec ou sans haltères, barres Ù sphères, etc. P
vertiges seuls). Les bains, les douches, ajoutés à la gymnastique [ mouvements , agrès), il la danse, à 1 escrime, au travail m
l'affaire de 1\1. l'économe et de ill. l'architecte. Statistique, mouvement DE la population. lui III. Statistique. Mouve
Statistique, mouvement DE la population. lui III. Statistique. Mouvement de la Population. Le premier janvier 1902, il y
tile; enfin 13 étaient athétosiques. Le tableau suivant résume le mouvement de la population en 1902. DÉCÈS. SORTIES, ÉVA
aucune fatigue, aime faire la gymnastique, elle est souple dans ses mouvements . En classe, les progrès sont également très not
à faire la gymnastique, exécute par- faitement les quatre premiers mouvements , sait de même lacer, boutonner, agrafer, se prê
ches en 1902. XGI' Mouvement de la population. II. Statistique. Mouvement DE la population. 0 Le '1 ? janvier 1902, il
de hernie ombilicale. Membres supérieurs et inférieurs réguliers ; mouvements souples, réflexes normaux. Organes génitaux.
a gymnastique, on a beaucoup de peine à lui faire exécuter quelques mouvements . -1\It : me traitement et douches. Etat station
pre vers 10 ans Caractère irritable. Affectivité, esprit d'ordre. Mouvements lents, maladroits. Tendance ât'itnitation. Régl
Marcelle est assise. Le saut est impos- sible, la course aussi. Les mouvements sont limités, même exercés passivement, les art
t est assez développé, M.. aime les odeurs, est flaireuse. Pas de mouvements involontaires et spasmodiques; grima- ces de la
e. - Les manies n'ont pas reparu. Décembre. Fait en gymnastique les mouvements d'en- semble. Marche le corps droit. Donne sur
lecture et écriture; fait d'après modèles des 1 et des 2. Quelques mouvements de colère à l'adresse de ses camarades. Juin.
plusieurs fois de frapper ses compagnes sans raison. Décembre. - Mouvement de oolère parce qu'on l'a changée de dortoir, a
tête de son maître. Un infirmier lui retient la main, maîtrise ses mouvements et le calme un peu. L'enfant est alors placé da
supporte très bien la gestation même pendant les périodes ultimes. Mouvements indolents du foetus ressentis à 4-5 mois. Acc
: les lèvres ne pouvaient se rapprocher. Après les convulsions les mouvements auraient - été sinon abolis du moins diminués d
venait violacé, semblait - sur le point de mourir, ne faisait aucun mouvement . Au bout de trois minutes, il devenait rouge, p
inclinaison de la Description DU malade. . 55 tête sur la gauche, mouvements de flexion de la main). Ces crises ont été au n
E complète ; diplégie. 57 Î Les doigts sont légèrement fléchis. Les mouvements provo- qués de flexion dans les articulations d
en position normale sur la jambe. Orteils, voûte plantaire normaux. Mouvements volontaires iL peu près nuls, provo- qués facil
e la dépression qui tient la place de l'éminence thénard. Les mouvements des trois doigts normaux (index, médius et an
éminences thénar et hypothénar sont également bien développées. Les mouvements d'opposition du pouce sont normaux. Mensurati
percute alors le tendon rotulien. Le réflexe se perçoit : a) par le mouvement de propulsion du pied; b) par la contraction vi
ndon du triceps brachial au-dessus de l'olécràne : il se produit un mouvement d'extension de l'avant-bras sur le bras. Les
à regarder le plafond. C'est au gros orteil que se voit le mieux le mouvement d'extension ou de flexion : c'est donc sur lui
es orteils, phénomène réflexe indépen- dant de la volonté, avec les mouvements de défense du pied d'un malade craintif qui, au
ionné sur ce qu'il faisait avant son entrée à l'hospice, il a eu un mouvement d'impatience, a levé les épaules et tourné le d
ongles poussent bien plus rapide- ment et sont plus brillants. Les mouvements sont plus vifs, la parole est moins lente, le m
e un lobe tous les deux jours jusqu'à la date du 30 septembre : les mouvements et la parole sont plus vifs, l'in- telligence e
ment les cartons sur le tableau de couleur, à exécuter les premiers mouvements de gymnastique et saute les deux premiers degré
urfaces, un plus grand nombre d'un plus petit. Exécute les premiers mouvements de la gymnastique des échelles. . Décembre. E
naît les lettres, les chiffres, les couleurs. Exécute bien tous les mouvements de petite gymnastique. Décembre. Tout à fait pr
Conception, rien de particulier. Grossesse, ennuis et idées noires; mouvements violents du foetus ci cinq mois. Rien d'anormal à
emuer à cinq mois, d'une manière exagérée, par comparaison avec les mouvements de ses deux premiers enfants. Accouchement à te
s à relever un changement du caractère qui devint violent, et des mouvements désordonnés à la maison et dans la rue. Au début,
se. Les membres supérieurs sont constamment agités, exécutant des mouvements de préhension, se portant au visage, etc. L'enfan
nière convjlsive. Souvent aussi les avant- bras font tout à coup un mouvement de pronation. , Les membres inférieurs, eux aus
t de pronation. , Les membres inférieurs, eux aussi, sont animés de mouvements brusques, violents. La malade frappe des pieds,
un cheval impatient qui piaffe. Au moment même où s'ac- complit ce mouvement de la jambe, un des bras ou les deux. sont port
signalées plus haut. Les paupières clignent, les dents grincent, un mouvement respiratoire bruyant a lieu soudain. Tous ces m
rincent, un mouvement respiratoire bruyant a lieu soudain. Tous ces mouvements sont incoordonnés, rapides, involontaires, se r
e geste de la main vers les yeux qu'elle frotte vigoureusement. Les mouvements de la main n'ont pas eu, devant nous, la brus-
ts de la main n'ont pas eu, devant nous, la brus- querie des autres mouvements tiqueux. Elle l'ait entendre un bruit d'aspirat
bruit ressemblant à celui d'un baiser. Tous ces bruits et tous ces mouvements sont brusques, rapides, involontaires et ont bi
indre la tète qui s'a- baisse en même temps. On note également un mouvement de rotation de la tête, le menton se portant à
es. Mai's. L'enfant est plus agitée, plus excitée que jamais. Ses mouvements sont de plus en plus brusques et fréquents. A rel
DES tics; guérison. 159 très divers, compliqués de coprolalie. Les mouvements étaient brusques, rapides, impulsifs, involonta
uplet fini, ils se manifestaient. Les exercices de gymnastique, les mouvements divers, par exemple, ne suspendaient pas les ge
ommencement de juin, les tics se sont éloignés de plus en plus, les mouvements des mem- bres et du corps ont disparu presque s
ment, contente de se voir enceinte, pas d'idées noires, a senti les mouvements du foetus à 4 mots et demi comme les autres et
mbres inférieurs, rien à noter; la station et la marche régulières. Mouvements volontaires et provoqués s'exé- cutent bien ; v
souvenir des images de cire qu'elle avait vues au Musée-Grévin. Les mouvements actifs du foetus perçus par la mère vers le qua
e de lui faire faire de la gymnastique; elle ne veut exécuter aucun mouvement et on ne peut arriver iL la faire plier, elle n
ment est correct. Les réponses sont toujours lentes de même que les mouvements . Elle s'habille, se déshabille, se donne tous l
u'on la laissait assise sur un banc, ce qui est inexaet. Tous ses mouvements sont lents, sa démarche n'est pas assu- rée. So
qui lui sont posées elle répond franchement, sa parole et tous ses mouvements sont moins lents, sa démarche qui laissait à dé
quelques irrégularités de caractère, des absences d'amabilité, des mouvements d'humeur ; elle est plutôt exubérante. Elle a e
or- mal. Amygdales, un peu hypertrophiées. Langue, peu épaisse, à mouvements ditliciles ; pas de déviation, ni de trem- blem
guliers ; cicatrices de vaccin aux deux bras ; pas de malformation. Mouvements volontaires et provoqués, affaiblis. Les mains
oignée. Les ongles ne sont pas rongés. Membres inférieurs, normaux; mouvements volontaires et provoqués, diminués ; « il march
as d'ennuis, pas d'envies. Deux ou trois faiblesses. Ni André Mouvements il 4 mois; rien de particulier. Chute de voit
- 238 DESCRIPTION de MALADES. René gâteaux à sa bouche. Les mouvements de ses mains sont assez sûrs. Ne tire la lang
objet, et quand il l'a saisi le crispe entre ses doigts. A des mouvements ner- veux des mains, de la face et des orteil
: avant-bras en flexion permanente avec pronation sur le bras.Les mouvements spontanés sont peu étendus et paraissent surt
peut tendre les bras aux personnes qui s'approchent de lui. Les mouvements provo- qués sont limités : dans l'ar- ticulat
l'avant-bras fléchi sur le bras, les mains en prona- tion. Les mouvements spon- tanés sont peu étendus ; le malade est
eu près iner- te. Il ne peut pas manger ni s'habiller seul. Les mouvements provo- qués révèlent une certaine résistance
né. - prononcé des deux côtés, les orteils sont en crochet. Les mouvements sponta- né ? n'existent pas ou peu. André.
Les mouvements sponta- né ? n'existent pas ou peu. André. Les mouvements sponta- nés sont nuls : il ne peut se tenir d
ments sponta- nés sont nuls : il ne peut se tenir debout. - Les mouvements provo- qtcS-sout limités : on obtient assez f
(Juillet 1897.) André. Description des malades. 243 René. Les mouvements provo- qués sont à peu près tous possibles, m
dans l'arti- culation de la hanche; l'abduction parait être le mouvement le plus limité. On peut obtenir la flexion co
t une énergique résistance à l'ex- tension. Dans les pieds, les mouvements sont très limi- tés et on ne peut redresser l
dans cet état sans jeter une plainte, ni tousser, ni faire aucun mouvement . La température prise aussitôt après la mort étai
acture du poignet peut être vaincue ainsi que celle des doigts. Ces mouvements provoqués sont douloureux Hypothermie. 255 et
88 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 1
quoi est-elle toujours après moi à m'ennuyer ? J'avoue que j'ai eu un mouvement de colère, je n'ai pas été maîtresse de moi. Je l
i de huit millimétres environ de section. Je m'exerçai a. rythmer mes mouvements de manière a laisser le fer appliqué sur la peau
rès un laps de temps d'un quart d'heure environ, M. D... fit quelques mouvements , se réveilla comme d'un sommeil normal et se dres
celui-ci fera mouvoir l'aiguille , souvent dans un sens contraire au mouvement qui devrait résulter de l'action magnétique (1).
sur le système nerveux du sujet, soit par la fatigue 1) Ce sont cet mouvements qui expliquent comment on a été amené i dire que
J'ajouterai : que l'entraînement des bras ou des mains dans un mouvement de rotation, ou de la tête dans ce même mouvement
s mains dans un mouvement de rotation, ou de la tête dans ce même mouvement , persiste aussi longtemps qu'on veut !e faire dur
es correspondants. Au moment où commence le déroulement, V... a les mouvements libres dans tous les membres, sa jambe droite est
st là qu'apparente et on peut les expliquer : par une idéoplastie des mouvements ou suggestion mécanique. Ce qui importe, c'est qu
er dynamique ; 2° Un foyer dynamique cherche toujours à propager le mouvement qui lui; est propre ; 3° Un mouvement propage s
herche toujours à propager le mouvement qui lui; est propre ; 3° Un mouvement propage se transforme suivant le milieu qu'il tra
la loi de reversibilité. Etant donnée une pensée accompagnée de son mouvement dynamique, elle se transporte en dehors de son fo
quelques jours après que sa femme est plus calme qu'elle n'a plus de mouvements d'impatience et qu'il n'a rien observé qui ressem
us occuperez de voire ménage, de vos enfants ; vous n'aurez plus » de mouvements brusques ; vous ne serez plus énervée ; votre car
de ses enfants ; elle est douce avec eux ; elle ne manifeste plus de mouvements de brusquerie. Elle dort bien et sans cauchemars
régions émotives de notre être, vivement sollicitées, s'associent aux mouvements du drame et trahissent par des troubles respirato
, il les ouvre. Il peut causer avec moi, se rendre compte de tous mes mouvements . Il dit, exécute, pense et oublie même tout ce qu
l'extrémité du doigt indicateur de ma main droite, de manière que le mouvement que j'opère, déjà très limité, se passe exclusive
lleurs ne se trompe jamais, a eu connaissance directe ou indirecte du mouvement de mes paupières..., à moins d'admettre une trans
est la propriété que possède toute cellule vivante de répondre par un mouvement à une force extérieure. Selon M. Rîchet, le mot d
tions de la cellule aux irritations extérieures. Ces réactions et les mouvements qui les caractérisent constituent les mouvements
Ces réactions et les mouvements qui les caractérisent constituent les mouvements réflexes, et c'est par leur analyse qu'il arrive
r analyse qu'il arrive à formuler cette proposition générale : « Sans mouvement , pas d'intelligence. » Etudiant pas à pas les p
premier abord par son extrême simplicité. Le chapitre consacré aux mouvements réflexes constitue la partie la plus intéressante
, cette érection est un réflexe psychique. Le rire, les larmes, les mouvements provoqués par l'amour, la colère, le dégoût, la p
out à fait minime. Ainsi, M. Richet appelle réflexes psychiques les mouvements involontaires résultant d'une irritation qui a pr
âge. (Adopté.) Marches, courses, sauts, formations, développements, mouvements réglés et prescrits, gymnastique avec appareils,
e et de malaise, appliquée du côté gauche, détermine de la joie et un mouvement général d'expansion. En même temps que les régi
bouche béante, les yeux hagards, complètement aphone, avec arrêt des mouvements inspiratoires de la cage thoracique et du diaphra
ction terrifiée qu'il exprime avec sa physionomie, c'est un véritable mouvement de colère, suscité par l'instinct de sa protectio
ofonds dans les grands rouages de la machine organique, suspendre les mouvements respiratoires, congestionner les centres nerveux,
sibilité d'écrire correctement. Il était impossible de coordonner les mouvements des doigts, mais la sensibilité de la peau ne par
été d'impressionner spécialement l'organisme vivant, la vibration, le mouvement intime partant de cette substance se transmet enc
terminé pour lequel la substance se trouve avoir de l'affinité, et le mouvement réflexe se passe dans l'estomac, s'il s'agit d'un
semblables : période tétanique, période classique, période de grands mouvements , puis les hallucinations et les poses plastiques.
t les jambes si lourds qu'il m'eût été presque impossible de faire un mouvement , et cependant j'entendais le tic tac de la montre
suis plus constamment en fièvre comme par le passé ; je n'ai plus de mouvement d'humeur à propos de tout. Est-ce la suggestion d
ilité. Les contractions du diaphragme sont à peu près supprimées. Les mouvements respiratoires sont extrêmement fréquents, 60 à So
ronna ses efforts. Bientôt l'hémianesthésie gauche disparait, puis le mouvement rythmique du diaphragme reprend graduellement son
aitement. Un sujet de 13 ans présentait, lors de son admission, des mouvements choréiques tellement prononcés qu'on était obligé
rie, mouvait les bras l'un autour de l'autre. Venait-on à empêcher ce mouvement convulsif, c'étaient les jambes qui s'agitaient a
pourtant s'endormir d'un sommeil bien profond. On vil réapparaître le mouvement convulsif des bras, mais peu de temps, et, en les
peu de temps, et, en les maintenant, on ne vit point se renouveler le mouvement des membres inférieurs. A chaque reprise de l'exp
C'est vers l'âge de six ans que la malade a commencé à présenter des mouvements dans les yeux et à loucher. Peu à peu les grimace
les yeux et à loucher. Peu à peu les grimaces sont apparues, puis des mouvements dans la tête et dans le cou. C'était au début des
puis des mouvements dans la tête et dans le cou. C'était au début des mouvements d'avant en arriére et aussi des mouvements de lat
cou. C'était au début des mouvements d'avant en arriére et aussi des mouvements de latéralité avec projection de la langue au deh
au dehors, comme si elle se léchait l'épaule, puis sont survenus des mouvements dans les bras. Vers l'âge de douze ans, on a comm
a permis de noter bien des points nouveaux. A son arrivée, elle a des mouvements incessants dans la tête, dans le cou et dans les
ipaux. On peut dire qu'il n'y a pas une seconde d'intervalle dans les mouvements et chacun d'eux est accompagné par l'explosion d'
ée qui traverse le cerveau. Ce n'est pas de l'incoordination, car les mouvements voulus sont très précis; c'est plutôt une véritab
adant qu'elle serait calme et qu'elle aurait la volonté d'arrêter ses mouvements et ses paroles, qu'elle n'aurait plus ses impulsi
mbres. Soumise à cette influence, elle était beaucoup plus calme, les mouvements moins violents et les mots prononcés avec moins d
nce à répéter et à dire des mots sales, mais ils sont dissimules, les mouvements dans les bras ont disparu et le caractère s'est c
on ; 2° Une moitié de l'encéphale peut servir a la sensibilité, aux mouvements volontaires et aux actions vaso-motrices pour les
re de trois chiffres que je pensais : et je n'avais pas conscience du mouvement involontaire que ma pensée imprimait à ma main po
fet, toute idée qui arrive au cerveau tend à devenir acte, sensation, mouvement ou image. Plus récemment encore, M. te Dr Ladam
, on fait avec les deux pouces, au devant de ses paupières, de légers mouvements de haut en bas. Les paupières, fatiguées par la f
qu'il ne peut plus les abaisser. On peut aussi imprimer aux bras un mouvement de rotation l'un autour de l'autre, en affirmant
tour de l'autre, en affirmant que l'enfant va continuer à exécuter le mouvement maigre lui. Le plus souvent, en effet, il le cont
es gens. (Dans ce cas, si l'on a soin de faire exécuter au malade des mouvements gymnastiques réguliers pendant l'état d'hypnolism
ds ne se tiennent pas, autant qu'on pourrait le croire, au courant du mouvement scientifique. Elles prouvent aussi que l'éruditio
poursuivies avec un contrôle rigoureux, qu'empêche nécessairement le mouvement d'une affluence considérable. M. Luys se propose
grés divers : la catalepsie suggestive, la contracture provoquée, les mouvements automatiques, la suppression de douleurs, etc.. d
l naturel : même attitude passive des membres, dite catalepsie, mêmes mouvements automatiques, mêmes illusions, mêmes hallucinatio
es sans contrôle et transformées par le cerveau en actes, sensations, mouvements , images. La modalité psychique ainsi modifiée, l'
strument. Durant cette expérience la fillette n'a pas fait le moindre mouvement , si ce n'est un roulement de ses gros yeux, grand
lexe inconscient ; mais, si cette adaptation est provoquée ainsi, les mouvements et déplacements qui la constituent sont des phéno
de 33 ans, était « manifestement hystérique » (attaques convulsives, mouvements désordonnés, perversion de la vision, affaiblisse
et des lèvres, d'articuler un mot, même à voix basse, ou d'imiter les mouvements d'articulation exécutés par un tiers. Une viole
i-paralysie, est en particulier un obstacle à la libre exécution, des mouvements d'expansion et de retrait du thorax. Cette parési
errassé, s'il n'y a garde, par un sommeil qu'interrompent d'abord des mouvements convulsifs, que domine plus tard le coma et qui s
sychologiques relatifs au magnétisme. Tels sont îes sensations et les mouvements , les actions réflexes automatiques et volontaires
urée du phénomène, qui n'est qu'une attaque avortée, quelques-uns des mouvements spasmodiques de l'attaque véritable, complète. En
sa théorie, il a rapporté l'observation d'une femme chez laquelle les mouvements du poignet étaient très difficiles et presque imp
dans le premier cas, le poignet et l'avant-bras seuls participent au mouvement , tandis que dans le second c'est le bras tout en
e les nerfs périphériques, mais que ce sont les centres présidant aux mouvements de l'épaule, du coude, etc., qui se trouvent grou
ui se trouvent groupés ensemble. Dans ces paralysies psychiques, le mouvement et le sentiment sont intéressés en même temps. Ce
traumatisme n'agit que comme auto-suggestion, et l'idée d'absence de mouvement entraine la suppression du mouvement, absolument
ggestion, et l'idée d'absence de mouvement entraine la suppression du mouvement , absolument comme l'idée du mouvement est déjà le
ment entraine la suppression du mouvement, absolument comme l'idée du mouvement est déjà le commencement du mouvement. On peut, d
ent, absolument comme l'idée du mouvement est déjà le commencement du mouvement . On peut, du reste, se faire une idée de ce qui s
linique et nosographique, déterminent vers les études d'hypnotisme un mouvement d'opinion considérable. VARIÉTÉS L'HYSTERIQUE
minante qui, elle-même, a la plus grande tendance a se transformer en mouvement paroles, actes et impulsions). — Ne semble-t-il p
de l'hypnotisme, octobre 1887. une intensité extraordinaire. Les mouvements étaient incessants et d'une grande étendue, les c
s, et c'est â peine si on la voit exécuter de temps à autre de légers mouvements . Ce changement s'est produit sous les yeux de la
yeux de la population de Rochefon, surprise au début de remarquer des mouvements si extraordinaires et d'entendre des mots si gros
si extraordinaires et d'entendre des mots si grossiers. On a vu les mouvements disparaître à peu près complètement. Il n'existe
près complètement. Il n'existe plus de gesticulations des bras ni de mouvements d'épaule et de tête: très neu de grimaces. A vrai
te: très neu de grimaces. A vrai dire, il existe bien encore quelques mouvements de lèvres et une tendance a répéter certains mots
tion, mais les cris et les mots obscènes ont tout a fait disparu. Les mouvements des yeux sont également moins fréquents et le str
mbres. Je lui faisais la suggestion d'être calme, de ne plus faire de mouvements , de ne plus répéter et de ne plus dire de mots. S
rivait : plus de 100 par minute. Parfois je lui disais de compter les mouvements qu'elle surprendrait; elle n'arrivait pas au même
es fois, je me plaçais devant elle pendant une heure, surveillant ses mouvements et les comptant, en lui faisant remar- quer d
brusque le chiffre que l'on obtenait, en cinq minutes. Peu à peu, les mouvements ont diminué de fréquence, et, de 100 à la minute,
e zéro. J'inventais des raisons pour l'engager à ne pas faire un seul mouvement en cinq minutes. Je suis parvenu à la longue à la
u à la longue à la faire se maintenir pendant une heure sans faire un mouvement et sans dire un mot. Je la plaçais souvent dans u
s mains étendues sur les genoux, et la forçant à ne pas faire un seul mouvement . J'avais aussi imaginé, pour l'engager à se sugge
volonté de me dominer toute seule;—je n'aurai plus envie de faire de mouvements ; — je ne serai plus poussée à dire de vilains mot
dant un temps très long sans dire un vilain mot et sans faire un seul mouvement . Cette gymnastique morale a produit des modific
et organisme. Il a fallu bien des mois pour obtenir l'absence de tout mouvement pendant une heure. A mesure que la maladie diminu
t mouvement pendant une heure. A mesure que la maladie diminuait, les mouvements se spécialisaient, pour ainsi dire; ainsi, quand
pour ainsi dire; ainsi, quand elle se retenait de dire des mots, les mouvements dans les bras étaient plus violents: il se produi
ts: il se produisait une sorte de balancement. On semait un besoin de mouvement qui devait se manifester d'une façon ou d'une aut
ne façon ou d'une autre. Toutefois on notait aussi que l'impulsion au mouvement diminuait dans son ensemble. Et quand elle avait
pes de cellules sont habitués à agir de concert depuis longtemps, les mouvements qu'ils servent à exécuter se font avec une grande
donnéesà elle-mêmes, obéissent à leur liberté d'allure naturelle; tel mouvement est toujours reproduit de la même manière. Ainsi
pire avec force les parfums dont la fumée l'enivre. 11 s'échauffe, le mouvement s'accélère: A'ari a'lik ya ben Aïssa, k'olbi me
uelles, un autre avec des images sonores, un autre avec des images de mouvement . Cette analyse, que je ne puis qu'indiquer très g
problèmes. A mon avis, on n'y a pas assez puisé. La psychologie des mouvements a donné une riche moisson. Des expériences ingéni
he moisson. Des expériences ingénieuses ont montré que la quantité de mouvement produit dépend de la nature des sensations et des
ugmentation de force, une dynamogénie dont la puissance croissante du mouvement est l'indice. Mais, entre tous les mouvements
ssance croissante du mouvement est l'indice. Mais, entre tous les mouvements , ceux-là surtout ont une valeur intellectuelle qu
ons, ses enquêtes lancées dans le public, pris déjà une place dans le mouvement contemporain. Et maintenant si vous voulez bien
médiatement, quoique le malade ne fût pas en état de faire le moindre mouvement avec ses membres, que l'on se trouvait en présenc
oir fait acte de vulgarisation utile, les magnétiseurs ont retardé le mouvement scientifique. Ils ont inspiré aux hommes sérieux
e: elle eût été sans excuse dans un livre où 1 auteurest libre de ses mouvements . Je consacre deux chapitres fort étendus à l'hist
passer une limite prudente et de blesser l'enfant sans le vouloir. Un mouvement instinctif de celui-ci pour échapper au coup qui
ipline est le plus généralement chez l'enfant le signe d'un besoin de mouvement :, Donnez satisfaction a ce besoin et vous le rend
sie est complète ; ni les piqûres, ni les pincements ne provoquent de mouvements . On obtient facilement des phénomènes cataleptoïd
nce mystérieuse et puissante qui priverait l'homme de sentiment et de mouvement , qui lui enlèverait le libre arbitre et la notion
de l'ignorer. L'Espagne, jusqu'à ce jour, s'est trop désintéressée du mouvement scientifique général pour qu'il nous semble néces
89 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 2
quoi est-elle toujours après moi à m'ennuyer ? J'avoue que j'ai eu un mouvement de colère, je n'ai pas été maîtresse de moi. Je l
i de huit millimétres environ de section. Je m'exerçai a. rythmer mes mouvements de manière a laisser le fer appliqué sur la peau
rès un laps de temps d'un quart d'heure environ, M. D... fit quelques mouvements , se réveilla comme d'un sommeil normal et se dres
celui-ci fera mouvoir l'aiguille , souvent dans un sens contraire au mouvement qui devrait résulter de l'action magnétique (1).
sur le système nerveux du sujet, soit par la fatigue 1) Ce sont cet mouvements qui expliquent comment on a été amené i dire que
J'ajouterai : que l'entraînement des bras ou des mains dans un mouvement de rotation, ou de la tête dans ce même mouvement
s mains dans un mouvement de rotation, ou de la tête dans ce même mouvement , persiste aussi longtemps qu'on veut !e faire dur
es correspondants. Au moment où commence le déroulement, V... a les mouvements libres dans tous les membres, sa jambe droite est
st là qu'apparente et on peut les expliquer : par une idéoplastie des mouvements ou suggestion mécanique. Ce qui importe, c'est qu
er dynamique ; 2° Un foyer dynamique cherche toujours à propager le mouvement qui lui; est propre ; 3° Un mouvement propage s
herche toujours à propager le mouvement qui lui; est propre ; 3° Un mouvement propage se transforme suivant le milieu qu'il tra
la loi de reversibilité. Etant donnée une pensée accompagnée de son mouvement dynamique, elle se transporte en dehors de son fo
quelques jours après que sa femme est plus calme qu'elle n'a plus de mouvements d'impatience et qu'il n'a rien observé qui ressem
us occuperez de voire ménage, de vos enfants ; vous n'aurez plus » de mouvements brusques ; vous ne serez plus énervée ; votre car
de ses enfants ; elle est douce avec eux ; elle ne manifeste plus de mouvements de brusquerie. Elle dort bien et sans cauchemars
régions émotives de notre être, vivement sollicitées, s'associent aux mouvements du drame et trahissent par des troubles respirato
, il les ouvre. Il peut causer avec moi, se rendre compte de tous mes mouvements . Il dit, exécute, pense et oublie même tout ce qu
l'extrémité du doigt indicateur de ma main droite, de manière que le mouvement que j'opère, déjà très limité, se passe exclusive
lleurs ne se trompe jamais, a eu connaissance directe ou indirecte du mouvement de mes paupières..., à moins d'admettre une trans
est la propriété que possède toute cellule vivante de répondre par un mouvement à une force extérieure. Selon M. Rîchet, le mot d
tions de la cellule aux irritations extérieures. Ces réactions et les mouvements qui les caractérisent constituent les mouvements
Ces réactions et les mouvements qui les caractérisent constituent les mouvements réflexes, et c'est par leur analyse qu'il arrive
r analyse qu'il arrive à formuler cette proposition générale : « Sans mouvement , pas d'intelligence. » Etudiant pas à pas les p
premier abord par son extrême simplicité. Le chapitre consacré aux mouvements réflexes constitue la partie la plus intéressante
, cette érection est un réflexe psychique. Le rire, les larmes, les mouvements provoqués par l'amour, la colère, le dégoût, la p
out à fait minime. Ainsi, M. Richet appelle réflexes psychiques les mouvements involontaires résultant d'une irritation qui a pr
âge. (Adopté.) Marches, courses, sauts, formations, développements, mouvements réglés et prescrits, gymnastique avec appareils,
e et de malaise, appliquée du côté gauche, détermine de la joie et un mouvement général d'expansion. En même temps que les régi
bouche béante, les yeux hagards, complètement aphone, avec arrêt des mouvements inspiratoires de la cage thoracique et du diaphra
ction terrifiée qu'il exprime avec sa physionomie, c'est un véritable mouvement de colère, suscité par l'instinct de sa protectio
ofonds dans les grands rouages de la machine organique, suspendre les mouvements respiratoires, congestionner les centres nerveux,
sibilité d'écrire correctement. Il était impossible de coordonner les mouvements des doigts, mais la sensibilité de la peau ne par
été d'impressionner spécialement l'organisme vivant, la vibration, le mouvement intime partant de cette substance se transmet enc
terminé pour lequel la substance se trouve avoir de l'affinité, et le mouvement réflexe se passe dans l'estomac, s'il s'agit d'un
semblables : période tétanique, période classique, période de grands mouvements , puis les hallucinations et les poses plastiques.
t les jambes si lourds qu'il m'eût été presque impossible de faire un mouvement , et cependant j'entendais le tic tac de la montre
suis plus constamment en fièvre comme par le passé ; je n'ai plus de mouvement d'humeur à propos de tout. Est-ce la suggestion d
ilité. Les contractions du diaphragme sont à peu près supprimées. Les mouvements respiratoires sont extrêmement fréquents, 60 à So
ronna ses efforts. Bientôt l'hémianesthésie gauche disparait, puis le mouvement rythmique du diaphragme reprend graduellement son
aitement. Un sujet de 13 ans présentait, lors de son admission, des mouvements choréiques tellement prononcés qu'on était obligé
rie, mouvait les bras l'un autour de l'autre. Venait-on à empêcher ce mouvement convulsif, c'étaient les jambes qui s'agitaient a
pourtant s'endormir d'un sommeil bien profond. On vil réapparaître le mouvement convulsif des bras, mais peu de temps, et, en les
peu de temps, et, en les maintenant, on ne vit point se renouveler le mouvement des membres inférieurs. A chaque reprise de l'exp
C'est vers l'âge de six ans que la malade a commencé à présenter des mouvements dans les yeux et à loucher. Peu à peu les grimace
les yeux et à loucher. Peu à peu les grimaces sont apparues, puis des mouvements dans la tête et dans le cou. C'était au début des
puis des mouvements dans la tête et dans le cou. C'était au début des mouvements d'avant en arriére et aussi des mouvements de lat
cou. C'était au début des mouvements d'avant en arriére et aussi des mouvements de latéralité avec projection de la langue au deh
au dehors, comme si elle se léchait l'épaule, puis sont survenus des mouvements dans les bras. Vers l'âge de douze ans, on a comm
a permis de noter bien des points nouveaux. A son arrivée, elle a des mouvements incessants dans la tête, dans le cou et dans les
ipaux. On peut dire qu'il n'y a pas une seconde d'intervalle dans les mouvements et chacun d'eux est accompagné par l'explosion d'
ée qui traverse le cerveau. Ce n'est pas de l'incoordination, car les mouvements voulus sont très précis; c'est plutôt une véritab
adant qu'elle serait calme et qu'elle aurait la volonté d'arrêter ses mouvements et ses paroles, qu'elle n'aurait plus ses impulsi
mbres. Soumise à cette influence, elle était beaucoup plus calme, les mouvements moins violents et les mots prononcés avec moins d
nce à répéter et à dire des mots sales, mais ils sont dissimules, les mouvements dans les bras ont disparu et le caractère s'est c
on ; 2° Une moitié de l'encéphale peut servir a la sensibilité, aux mouvements volontaires et aux actions vaso-motrices pour les
re de trois chiffres que je pensais : et je n'avais pas conscience du mouvement involontaire que ma pensée imprimait à ma main po
fet, toute idée qui arrive au cerveau tend à devenir acte, sensation, mouvement ou image. Plus récemment encore, M. te Dr Ladam
, on fait avec les deux pouces, au devant de ses paupières, de légers mouvements de haut en bas. Les paupières, fatiguées par la f
qu'il ne peut plus les abaisser. On peut aussi imprimer aux bras un mouvement de rotation l'un autour de l'autre, en affirmant
tour de l'autre, en affirmant que l'enfant va continuer à exécuter le mouvement maigre lui. Le plus souvent, en effet, il le cont
es gens. (Dans ce cas, si l'on a soin de faire exécuter au malade des mouvements gymnastiques réguliers pendant l'état d'hypnolism
ds ne se tiennent pas, autant qu'on pourrait le croire, au courant du mouvement scientifique. Elles prouvent aussi que l'éruditio
poursuivies avec un contrôle rigoureux, qu'empêche nécessairement le mouvement d'une affluence considérable. M. Luys se propose
grés divers : la catalepsie suggestive, la contracture provoquée, les mouvements automatiques, la suppression de douleurs, etc.. d
l naturel : même attitude passive des membres, dite catalepsie, mêmes mouvements automatiques, mêmes illusions, mêmes hallucinatio
es sans contrôle et transformées par le cerveau en actes, sensations, mouvements , images. La modalité psychique ainsi modifiée, l'
strument. Durant cette expérience la fillette n'a pas fait le moindre mouvement , si ce n'est un roulement de ses gros yeux, grand
lexe inconscient ; mais, si cette adaptation est provoquée ainsi, les mouvements et déplacements qui la constituent sont des phéno
de 33 ans, était « manifestement hystérique » (attaques convulsives, mouvements désordonnés, perversion de la vision, affaiblisse
et des lèvres, d'articuler un mot, même à voix basse, ou d'imiter les mouvements d'articulation exécutés par un tiers. Une viole
i-paralysie, est en particulier un obstacle à la libre exécution, des mouvements d'expansion et de retrait du thorax. Cette parési
errassé, s'il n'y a garde, par un sommeil qu'interrompent d'abord des mouvements convulsifs, que domine plus tard le coma et qui s
sychologiques relatifs au magnétisme. Tels sont îes sensations et les mouvements , les actions réflexes automatiques et volontaires
urée du phénomène, qui n'est qu'une attaque avortée, quelques-uns des mouvements spasmodiques de l'attaque véritable, complète. En
sa théorie, il a rapporté l'observation d'une femme chez laquelle les mouvements du poignet étaient très difficiles et presque imp
dans le premier cas, le poignet et l'avant-bras seuls participent au mouvement , tandis que dans le second c'est le bras tout en
e les nerfs périphériques, mais que ce sont les centres présidant aux mouvements de l'épaule, du coude, etc., qui se trouvent grou
ui se trouvent groupés ensemble. Dans ces paralysies psychiques, le mouvement et le sentiment sont intéressés en même temps. Ce
traumatisme n'agit que comme auto-suggestion, et l'idée d'absence de mouvement entraine la suppression du mouvement, absolument
ggestion, et l'idée d'absence de mouvement entraine la suppression du mouvement , absolument comme l'idée du mouvement est déjà le
ment entraine la suppression du mouvement, absolument comme l'idée du mouvement est déjà le commencement du mouvement. On peut, d
ent, absolument comme l'idée du mouvement est déjà le commencement du mouvement . On peut, du reste, se faire une idée de ce qui s
linique et nosographique, déterminent vers les études d'hypnotisme un mouvement d'opinion considérable. VARIÉTÉS L'HYSTERIQUE
minante qui, elle-même, a la plus grande tendance a se transformer en mouvement paroles, actes et impulsions). — Ne semble-t-il p
de l'hypnotisme, octobre 1887. une intensité extraordinaire. Les mouvements étaient incessants et d'une grande étendue, les c
s, et c'est â peine si on la voit exécuter de temps à autre de légers mouvements . Ce changement s'est produit sous les yeux de la
yeux de la population de Rochefon, surprise au début de remarquer des mouvements si extraordinaires et d'entendre des mots si gros
si extraordinaires et d'entendre des mots si grossiers. On a vu les mouvements disparaître à peu près complètement. Il n'existe
près complètement. Il n'existe plus de gesticulations des bras ni de mouvements d'épaule et de tête: très neu de grimaces. A vrai
te: très neu de grimaces. A vrai dire, il existe bien encore quelques mouvements de lèvres et une tendance a répéter certains mots
tion, mais les cris et les mots obscènes ont tout a fait disparu. Les mouvements des yeux sont également moins fréquents et le str
mbres. Je lui faisais la suggestion d'être calme, de ne plus faire de mouvements , de ne plus répéter et de ne plus dire de mots. S
rivait : plus de 100 par minute. Parfois je lui disais de compter les mouvements qu'elle surprendrait; elle n'arrivait pas au même
es fois, je me plaçais devant elle pendant une heure, surveillant ses mouvements et les comptant, en lui faisant remar- quer d
brusque le chiffre que l'on obtenait, en cinq minutes. Peu à peu, les mouvements ont diminué de fréquence, et, de 100 à la minute,
e zéro. J'inventais des raisons pour l'engager à ne pas faire un seul mouvement en cinq minutes. Je suis parvenu à la longue à la
u à la longue à la faire se maintenir pendant une heure sans faire un mouvement et sans dire un mot. Je la plaçais souvent dans u
s mains étendues sur les genoux, et la forçant à ne pas faire un seul mouvement . J'avais aussi imaginé, pour l'engager à se sugge
volonté de me dominer toute seule;—je n'aurai plus envie de faire de mouvements ; — je ne serai plus poussée à dire de vilains mot
dant un temps très long sans dire un vilain mot et sans faire un seul mouvement . Cette gymnastique morale a produit des modific
et organisme. Il a fallu bien des mois pour obtenir l'absence de tout mouvement pendant une heure. A mesure que la maladie diminu
t mouvement pendant une heure. A mesure que la maladie diminuait, les mouvements se spécialisaient, pour ainsi dire; ainsi, quand
pour ainsi dire; ainsi, quand elle se retenait de dire des mots, les mouvements dans les bras étaient plus violents: il se produi
ts: il se produisait une sorte de balancement. On semait un besoin de mouvement qui devait se manifester d'une façon ou d'une aut
ne façon ou d'une autre. Toutefois on notait aussi que l'impulsion au mouvement diminuait dans son ensemble. Et quand elle avait
pes de cellules sont habitués à agir de concert depuis longtemps, les mouvements qu'ils servent à exécuter se font avec une grande
donnéesà elle-mêmes, obéissent à leur liberté d'allure naturelle; tel mouvement est toujours reproduit de la même manière. Ainsi
pire avec force les parfums dont la fumée l'enivre. 11 s'échauffe, le mouvement s'accélère: A'ari a'lik ya ben Aïssa, k'olbi me
uelles, un autre avec des images sonores, un autre avec des images de mouvement . Cette analyse, que je ne puis qu'indiquer très g
problèmes. A mon avis, on n'y a pas assez puisé. La psychologie des mouvements a donné une riche moisson. Des expériences ingéni
he moisson. Des expériences ingénieuses ont montré que la quantité de mouvement produit dépend de la nature des sensations et des
ugmentation de force, une dynamogénie dont la puissance croissante du mouvement est l'indice. Mais, entre tous les mouvements
ssance croissante du mouvement est l'indice. Mais, entre tous les mouvements , ceux-là surtout ont une valeur intellectuelle qu
ons, ses enquêtes lancées dans le public, pris déjà une place dans le mouvement contemporain. Et maintenant si vous voulez bien
médiatement, quoique le malade ne fût pas en état de faire le moindre mouvement avec ses membres, que l'on se trouvait en présenc
oir fait acte de vulgarisation utile, les magnétiseurs ont retardé le mouvement scientifique. Ils ont inspiré aux hommes sérieux
e: elle eût été sans excuse dans un livre où 1 auteurest libre de ses mouvements . Je consacre deux chapitres fort étendus à l'hist
passer une limite prudente et de blesser l'enfant sans le vouloir. Un mouvement instinctif de celui-ci pour échapper au coup qui
ipline est le plus généralement chez l'enfant le signe d'un besoin de mouvement :, Donnez satisfaction a ce besoin et vous le rend
sie est complète ; ni les piqûres, ni les pincements ne provoquent de mouvements . On obtient facilement des phénomènes cataleptoïd
nce mystérieuse et puissante qui priverait l'homme de sentiment et de mouvement , qui lui enlèverait le libre arbitre et la notion
de l'ignorer. L'Espagne, jusqu'à ce jour, s'est trop désintéressée du mouvement scientifique général pour qu'il nous semble néces
90 (1903) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 18
ccès croissant a dû convaincre les plus incrédules de l'importance du mouvement scientifique qui entraine les médecins vers les a
spéciaux-Dans les tables tournantes, ? n'agit pas directement par des mouvements volontaires et conscients; mais il influe puissam
t ou piquait. Sur mon invitation pressante, elle put accomplir divers mouvements . Malgré cela, elle se déclarait incapable de quit
ux membres supérieurs. La malade restait capable d'accomplir tous les mouvements , mais après un très long retard. Elle mettait env
minute pour saisir et porter à sa bouche une cuillerée d'aliment. Les mouvements ne pouvaient être exécutés que si le poids des ob
ui avait confectionné toute une collection d'objets en aluminium. Les mouvements de pression étaient aussi difficiles et la malade
us sommes dans une période d'accalmie et je la somnofor-mise pour des mouvements choréiformes survenus à la suite de quelques chag
sitôt, il est harcelé par le remords de m'avoir, en accomplissant ces mouvements , envoyé de la boue; il est très malheureux de m'a
nt, et, au fur et à mesure qu'ils se déroulent, ils s'accompagnent de mouvements , de gestes, d'actes, de paroles. Ils sont donc co
n'avoir pas rêvé du tout. Et, cependant, certaines paroles, certains mouvements survenus au cours de son sommeil prouvent clairem
e se présentent pas comme dans le cas actuel, ils augmentent avec les mouvements , ne s'accompagnent d'aucun trouble de la sensibil
ue ; complètement immobile et inerte, il est incapable de faire aucun mouvement ; il respire par le diaphragme. Mais la sensibili
'aurait chance de germer l'élite qui imprime l'impulsion et dirige le mouvement , il en résulte que cette élite se trouve de plus
ts accomplissaient, d'une manière automatique, à ce qu'il semble, des mouvements des doigts, de la main, de la jambe ou du pied, t
Cependant, au cours de la somnoformisation, certains actes, certains mouvements , certaines paroles ont clairement dénoté que tout
orte que, même en l'absence de l'accompagnement de la conscience, les mouvements et les actions qui résultent de ce qui se passe d
contenu est un concept vide de sens, de même que ceux de force ou de mouvement sans matière, et ce que l'on attribue à l'action
'est faire fausse route que de vouloir expliquer la conscience par le mouvement , car conscience et mouvement sont deux notions hé
e vouloir expliquer la conscience par le mouvement, car conscience et mouvement sont deux notions hétérogènes ( La conscience ne
nte pas non plus une force spéciale, puisqu'elle n'est qu'un état fie mouvement ne se transforme pas en conscience, mais certains
ement ne se transforme pas en conscience, mais certains phénomènes de mouvement dans le système nerveux central sont accompagnés
e ce qui touche. A cela viennent se joindre l'expérience organique de mouvements actifs que l'on a accomplis, les images du souven
cident, il avait eu une attaque convulsive caractérisée par de grands mouvements cloniques. M. JoffroY, prenant la parole à prop
s communications dans la Reçue de l'hypnotisme pour être convaincu du mouvement scientifique que provoque notre Société. C'est el
l'hémiplégie hystérique, il y a un trouble cérébral; le souvenir des mouvements est perdu. De plus, la tonicité, la motricité et
ce ; à l'heure actuelle, elle a recouvré à peu près la liberté de ses mouvements ; elle tire bien la langue et peut marcher; les ré
as commençaient à trembler; le tremblement ressemblait à une suite de mouvements lançants. Ce tremblement gagnait déjà la muscul
x jours, ce temps écoulé, le pansement est enlevé, et en général tout mouvement cho-réïforme a disparu. Mais s'il persistait quel
l tout mouvement cho-réïforme a disparu. Mais s'il persistait quelque mouvement , si minime soit-il, de nouveau les membres attein
malade ne voit plus ses membres, il oublie donc de bouger. La vue des mouvements choréîques chez l'hystérique en appelle d'autres,
pas à le replacer de nouveau en gouttière s'il existe encore quelques mouvements , si minimes soient-ils, persuadés qu'ils seraient
ureux amenant la tête en inclinaison latérale droite. Le 5 janvier, mouvements choréïformes d'abord notés à la main, avant-bras
s supérieurs, tronc, membres inférieurs, douleur survenant au moindre mouvement et privant la malade de tout repos, les mouvement
urvenant au moindre mouvement et privant la malade de tout repos, les mouvements choréïques augmentèrent d'intensité à droite. Tri
. — A son entrée à l'hôpital, le torticolis existe toujours, mais les mouvements de la tète sont plus faciles, mouvements toujours
is existe toujours, mais les mouvements de la tète sont plus faciles, mouvements toujours identiques, et répondant à une déviation
éviation suivie presque aussitôt de retour vers la ligne médiane. Les mouvements du bras consistent en un léger écarte-ment du tro
in se balance à l'extrémité du membre, puis le poignet se ferme et le mouvement s'arrête subitement pour reprendre aussitôt après
scles de la face, globes oculaires, glotte néant. Cessation de tout mouvement pendant le sommeil. A gauche, parésie flasque,
et spécial fait de bandes et d'ouate> mais il ne peut résister aux mouvements continus. 28 mai. — Tout mouvement choréiforme
t; mais il ne peut résister aux mouvements continus. 28 mai. — Tout mouvement choréiforme a disparu à droite. Le tronc est agit
nt donc isolés, et la vue ne put s'exercer pour rééduquer de nouveaux mouvements ou pour entretenir ceux qui existaient déjà, la m
En conséquence, l'immobilisation amène dans la chorée la sedation des mouvements , nous croyons en outre que dans les états nerveux
é à redescendre, les ligaments et toutes les annexes avaient suivi le mouvement , les culs-de-sac étaient perceptibles, le col uté
aisant sur une partie du corps une pression pour obtenir la perte des mouvements volontaires et l'absence de la réaction. Danilews
u noir, et qui reste fascinée pendant plusieurs minutes sans faire un mouvement et sans détacher ses yeux de cette ligne blanche.
e parfaitement éveillés, et chez lesquels, il n'y a pas abolition des mouvements ni de la plus grande partie des réflexes. En somm
re considéré essentiellement comme un ensemble de réflexes ; mais ces mouvements seuls ne suffisent pas à rendre compte du fonctio
t primitif. Elle coexiste avec lui chez les animaux supérieurs et les mouvements nouveaux qu'elle commande, souvent répétés, tende
libre, elle continue à rester immobile durant plusieurs minutes sans mouvement ni volonté. Il observa en même temps que les diff
ns ce qui se passe chez l'homme : la peur arrête souvent chez lui les mouvements . Et, quoique nous ignorions quelles sensations
s cérébraux et les régions sous-jacentes cessent de fonctionner ; les mouvements volontaires n'apparaissent point ; l'animal perd
tivité de la moelle allongée se montre sensiblement abaissée, car les mouvements respiratoires deviennent plus faibles, le nombre
es deviennent plus faibles, le nombre et surtout la profondeur de ces mouvements s'abaissent énormément. Les battements du cœur so
tion anormale par le fait même que nous mettons obstacle à tous leurs mouvements . L'animal éprouve une forte impression d'avoir ét
chez elle la torpeur est caractérisée surtout par la suppression des mouvements volontaires, par l'abaissement de la sensibilité
à notre langue, parfois même un souffle suffisent pour provoquer des mouvements réflexes chez la grenouille sans hémisphères. On
Danilewsky, les recherches ont fourni la preuve que l'inhibition des mouvements volontaires dans l'hypnose est due à ce fait
'il heurte de la main la racine du nez que souvent il contusionne. Ce mouvement ne se reproduit pas toutes les nuits; il est indé
s parties essentielles sont constituées par : 1° Un moteur; soil un mouvement d'horlogerie, à marche silencieuse, dissi'mulé da
acier qui traverse la paroi supérieure de cette boite et transmet le mouvement à la partie principale, l'appareil de reflexion;
allucinations télépathiques, l'extériorisation de la sensibilité, les mouvements d'objets sans contact et le flottement dans l'air
question, la contractilité musculaire, les battements cardiaques, les mouvements respiratoires accusent une vie très manifeste. D'
cher s'ils sont contractures ; de plus, les battements de cœur et les mouvements respiratoires sont imperceptibles, même pour l'or
t prise pour morte, c'est-à-dire que les battements cardiaques et les mouvements respiratoires ne sont plus perçus. On l'enterre.
nt la carrière devait être si brillante, ont été les initiateurs d'un mouvement qui emporte toute la philosophie moderne et dont
fait que les impulsions motrices sont insuffisantes pour produire ces mouvements . Ses expériences prouvent qu'à chaque excitation
un grand effort pour combattre l'obstacle qui l'empêche de faire des mouvements . Contrairement à l'opinion de Preyer, Heubel et
venir simplement de l'état de fatigue de l'animal, occasionné par les mouvements musculaires énergiques. C'est probablement à de t
n abondante ayant pour effet de rendre leurs muscles vigoureux, leurs mouvements vifs et rapides. La résistance à l'hypnose des
s, elles étaient encore très vigoureuses, à muscles bien fournis, aux mouvements alertes. Mais ces grenouilles se distinguaient au
lus sauter et rampaient à la manière des crapauds. A la fin même, ces mouvements étaient gênés, et les grenouilles avaient complèt
mment et fortement, comme si elle était excitée ; chez les mâles, ces mouvements respiratoires renforcés produisent l'apparition r
quelques minutes, la respiration redevient normale, puis bientôt les mouvements respiratoires s'affaiblissent, deviennent plus su
affaiblissent, deviennent plus superficiels et il ne persiste que les mouvements de déglutition. C'est le signe que le sommeil arr
caractérisé par une respiration ralentie et très faible ; parfois ces mouvements deviennent à peine perceptibles. Il arrive même q
t être mesurée par le degré de l'affaiblissement respiratoire; si les mouvements respiratoires sont très forts, on a la certitude
evant les yeux largement ouverts de l'animal, sans qu'il fasse un mouvement ; on peut même toucher sa pupille avec un bout de
ne aiguille, chatouiller les lèvres et les narines, sans provoquer un mouvement dans beaucoup de cas ; une petite pluie artificie
valle. / Première piqûre ... 50 divisions (tour du cadran) pas de mouvement . Cuisse ! Deuxième piqûre. . . 50 — —, — ' Troi
rience B (15 juillet). — Grenouille endormie depuis quelques minutes. Mouvements respiratoires bien manifestes. ? Première piqûr
rétrécies et allongées. Cuisse : Piqûre..... 50 divisions pas de mouvement . Jambe : Piqûre..... 45 — réveil. La peau pré
e suivant lequel les impulsions données s'arrêtent à mi-chemin, et le mouvement exécuté manque ainsi son but, car l'animal, au li
t, les grenouilles en inanition prolongée, mais conservant encore les mouvements alertes, sont essuyées avec du papier buvard et p
de succès. Après des alternatives d'amélioration et de rechutes, les mouvements convulsifs et l'émission des cris ont diminué pro
ent constituée. Elle permet non seulement à la malade de réprimer ses mouvements , de contenir l'émission des cris et des mots inju
yen de la force nerveuse accumulée dans cet organe et mise ensuite en mouvement par les idées suggérées à l'esprit. Ainsi agit un
mour de la méthode poussée à l'excès. Ce souci de régler les moindres mouvements de la vie, aide à mieux comprendre l'enchaînement
; cependant elles ont continué à dormir tranquillement, sans faire un mouvement . L'abaissement de la température paraît même av
nt été plongées dans de l'eau à 7°. Pendant la première minute, leurs mouvements se ralentissent beaucoup ; elles paraissent lasse
e ; au bout de quelques secondes, la grenouille se met à exécuter des mouvements très vifs avec les globes oculaires, qui dans l'h
'hypnose étaient absolument immobiles, puis elle commence à faire des mouvements avec les membres antérieurs, tout en restant enco
s membres postérieurs étant encore inertes. Cependant, après quelques mouvements maladroits et fébriles, la grenouille se retourne
rmale. Réveillé brusquement, l'animal recouvre aussitôt l'agilité des mouvements ; il parait souvent surexcité et fuit rapidement d
ves qui le précèdent. On voit d'abord que la grenouille fait quelques mouvements légers pour se relever, mais ne parvient pas à le
yen de la force nerveuse accumulée dans cet organe et mise ensuite en mouvement par les idées suggérées à l'esprit. Ainsi agit un
a contracture du poignet est telle qu'on ne peut faire exécuter aucun mouvement de torsion, de pronation, de supination, d'adduct
ne de son caractère, s'élève à plus de mille francs. Encouragé par le mouvement qui porte tant d'esprits généreux à reconnaître l
vec l'initié. Celui-ci suit, dans une impassibilité hypnotisante, les mouvements de l'adversaire pour lui porter au moment propice
lui porter au moment propice tel ou tel coup favorisé par tel ou tel mouvement . Jamais la pratique du Yiujutsu n'a été aussi p
t religieuse qu'elles découvrent un élément religieux dans chacun des mouvements de leur âme, cela ne sance de Tart de l'hypnoti
toujours les mêmes, qui n'offrent point de canaux suffisants à maint mouvement de l'âme et à maint sentiment de nature morale, c
chell recommande, pendant le repos au lit, de faire du massage et des mouvements passifs, mais encore faut-il même que ceux-là soi
andant de Raoul. Grâce à la chronophoto-graphie on put décomposer les mouvements et les analyser : nous dénommâmes, par suite, du
er des leçons de dix minutes un quart d'heure au plus. Puis quand les mouvements sont connus, augmenter progressivement, tout en r
ir la tête haute et bien dégagée, il est bon, au début, d'exagérer ce mouvement en regardant le ciel. Pour maintenir les épaule
ofondément, on se trouvera bien de faire accompagner l'inspiration de mouvements circulaires des bras étendus en croix. III. — O
son travail ; mais il en est tout autrement de l'artiste, que les mouvements de l'âme portent, inspirent, enflamment ; aussi l
scène, permet à l'artiste de dépeindre avec l'objectivité voulue les mouvements de leurs âmes, et de conserver pour lui-même une
re. La jouissance esthétique du spectateur le met en contact avec des mouvements intérieurs que lui-même ne serait pas en état d'e
tingue l'illusion visuelle, l'illusion du sentiment, et l'illusion du mouvement ou de la force. La première se présenterait surto
un mois après, elle avait commencé à lui faire mal et à maigrir, les mouvements des doigts devenaient de plus en plus difficiles:
et les cartilages des cotes sont atteints de lésions tabétiques ; les mouvements des jambes sont tout à fait ataxiques ; il éprouv
les bruits du cœur sont nets, le pouls est mou et bat à 96. Après les mouvements , il monte facilement jusqu'à 114 et même 120. Au
91 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
re part. Les autres phénomènes irritatifs, tels que tremblements, mouvements choréiques, rares il est vrai aussi dans les au
t;e ? A. Motilité.- Lebras et l'avant-bras droit exécutent tous les mouvements et- avec une force normale. La paralysie est lo
eurs et les interrosseux ; la malade est inca- pable d'esquisser un mouvement de flexion. Elle relève encore le poignet et le
légèrement dévié. Cependant cette para- lysie est incomplète : les mouvements des lèvres s'exécutent assez facilement, la mal
excursion est extrêmement limitée du côté externe. Tous les autres mouvements s'exécutent normalement. La motilité de l'oeil
gueur inégale; la direction rectiligne ne peut être conservée ; les mouvements sont irréguliers et spasmodiques, les pieds por
re pas ce défaut d'équi- libre. La malade résiste bien à tous les mouvements . La force semble normale aux membres inférieurs
s fibres anatomiques. Il admet bien qu'elles servent à associer les mouvements du droit interne avec ceux du droit externe opp
interne avec ceux du droit externe opposé, mais seulement dans les mouvements réflexes. Dans les mou- vements volontaires, l'
posé. Il fait remarquer à juste litre que si l'on admettait pour ce mouvement l'intervention des filets anastomotiques de Duv
xtrémité supérieure (surmontée d'un point de repère) mar- quera les mouvements du bassin. Vous pourrez aussi mesurer les mouve
r- quera les mouvements du bassin. Vous pourrez aussi mesurer les mouvements passifs imprimés à la cuisse et au bassin par des
ion passive maxima de l'extrémité inférieure étendue; B, l'angle du mouvement du bassin; C, la différence entre ces deux angl
es muscles (droit supérieur et oblique inférieur) qui concourent au mouvement simple d'élévation du globe de l'oeil ont leur
es, due à l'intervention opératoire expliquerait, à l'occasion, les mouvements d'aiguille, de manège, de rotation du côté lésé
, une sorte de gêne, comme si l'on m'y avait placé un appareil; les mouvements et le moindre contact y déterminaient les sensa
otion est toujours d'origine périphérique. E. BLIN. XX. UN cas DE mouvements DU membre inférieur droit associés A l'exercice
un aphasique; par M. SAIXTON. Certains hémiplégiques présentent des mouvements spéciaux désignés sous le nom de mouvements ass
légiques présentent des mouvements spéciaux désignés sous le nom de mouvements associés. Tel ce malade paraphastque dont l'obs
e dont l'observation est [apportée par M. Sainlon, qui présente des mouvements associés toujours les mêmes, se produisant à l'
inférieur du côté droit paralysé est animé, pendant qu'il parle, de mouvements particuliers : la cuisse se soulève, la jambe s
alon est animé d'oscillations latérales en dedans et en dehors. Ces mouvements , peu marqués au début de la conversation, augme
versation, augmentent et, de temps à autre, sont accompa- gnés d'un mouvement subit d'extension de la jambe sur la cuisse qui
aie, à se livrer à des exercices de gymnastique comprenant tous les mouvements de l'extrémité céphalique. Celle gymnastique, s
une aveugle ; ses pupilles ne réagissent pas à la lumière, mais les mouvements des yeux sont normaux ; le fond des yeux l'est
ue = 0, la réaction à la lumière conservée, le fond des yeux et les mouvements sont normaux. A la suite d'un traitement antisy
r quitté laclinique enété 1896, la malade se sentit pire ; tous ses mouvements devinrent encore plus faibles, la fatigue aug-
rière la joue, la malade devait l'en retirer à l'aide du doigt. Les mouvements de la langue étaient très limités : la malade p
s marquée. Le palais, mou, restait tout à fait immobile pendant les mouvements volontaires ainsi qu'à l'excitabilité réflexe;
lopie. La convergence des yeux n'est pas assez suffisante, mais les mouvements des yeux en haut et en bas sont normaux. L'épui
auser toute la journée jusqu'au soir, beaucoup et à haute voix. Les mouvements des yeux s'améliorèrent aussi. Mais ce qui est
i est le plus grave et le plus inté- ressant à noter, c'est que les mouvements de la langue devinrent bien plus libres; les ri
de syphilis cérébrale. Tout ce que nous pouvons dire, c'est que le mouvement fébrile parait relativement fréquent dans la sy
nts, sans autres troubles objectifs de la sensibilité générale. Les mouvements passifs, la pression sur les os et les masses m
e n'accuse aucune diminution de force, elle résiste bien à tous les mouvements ; la marche n'est pas troublée, mais il y a une
é les yeux ouverts ou fermés. La coordination se fait bien pour les mouvements exé- cutés au lit. Il n'y a pas de paralysie
non- 120 CLINIQUE NERVEUSE. cée; la malade résiste assez bien aux mouvements qu'on imprime à ses membres. Pas de paralysie f
sterno-claviculaire. Elle est immobilsée dans cette position ; les mouvements actifs sont impos- sibles, les mouvements passi
dans cette position ; les mouvements actifs sont impos- sibles, les mouvements passifs sont empêchés par la douleur. La pressi
mes concomitants disparurent spontanément et subite- ment. Tous les mouvements de la tête et du cou redevinrent faciles. Par
exostose. Il y a un peu de tachycardie. Dyspnée assez prononcée : mouvements respiratoires rapides, irréguliers, avec des pé
ement augmenté. Hier soir crise épileptiforme, sans aura; début des mouvements convulsifs dans la main droite, opposition du p
ste habituellement inerte et pendant; cependant il exécute tous les mouvements prescrits, mais sans forces. Il ne semble pas y
lexes rotuliens sont toujours abolis. Asthénie assez prononcée, les mouvements s'exécutent sans force et provoquent rapidement
tant de désavantages que de profits. Tout en voyant avec plaisir le mouvement féministe actuel, tout en approuvant l'émancipa
de causes ordinai- rement banales, telles qu'un bruit inattendu, un mouvement im- prévu d'un assistant, un contact brusque, u
ions en générations tout en se soumettant, pour se con- server, aux mouvements nutritifs, sans que ceux-ci puissent néan- moin
omine au membre supérieur; il augmente d'amplitude à l'occasion des mouvements volontaires; son rythme est moyen . : cinq ou s
son rythme est moyen . : cinq ou six oscillations par seconde. Les mouvements athétosiques sont aussi limitées au côté droit.
notamment lorsqu'il s'agit des manières de voir d'un époque, d'un mouvement révolutionnaire, etc.... En tout cas; à notre a
ue progresser dans la suite. A l'examen actuel, on constate que les mouvements des doigts et des poignets sont faibles et limi
ait sans doute déterminée à se débarrasser coûte que coûte, dans un mouvement affolé, de l'autre qui, lui-même menacé d'être
ns à partir du 1 ? janvier 1898. Par suite de cette retraite et des mouvements qui en ont été la conséquence parmi le personne
eau de la région dorsale de la moelle. G. D. XLVI. LE mécanisme DES mouvements réflexes; UN cas DE compression DE la moelle do
phale interviennent d'une façon incontestable dans le mécanisme des mouvements réflexes. G. DERNY. XLVII. SUR L'ENTRE-CROISEME
) n'est pas rare de se convaincre, en fréquentant des cheffesses du mouvement d'émancipation des femmes, que la femme de cette
difficulté de marcher convenablement est due à l'incoordination des mouvements et non à la paralysie ; dans les deux, enfin, l
ait pas avoir un'caractère répressif. Magistrat tout à fait dans le mouvement , il fait volontiers litière des vieilles doc- t
t à la face et au cou qu'on le ren- contre le plus fréquemment. Les mouvements sont soudains, brus- ques, arythmiques, indolor
on à peu près complète, n'était pas sans inquiétude ; on épiait ses mouvements particulièrement la nuit. Mais le troisième jou
u quatre, mais la mère pense que beaucoup passaient inaperçues, les mouvements étant fort limités et l'enfant criant peu. Sc
la respiration est plus rude à droite. 12 juin. Perte de l'appétit. Mouvements fébriles assez fré- quents. 12. T. R. 37°,4.
rai que dans beaucoup de pays, nombre de médecins sont à la tête du mouvement abstinent. L'Angleterre, l'Allemapne comptent d
la chorée; par le Dr Wallace 13HEIN. On est habitué à regarder les mouvements de la chorée comme maladroits, incoordonnés et
comme caractéristique de la maladie, si bien qu'on a attribué à ces mouvements le qualificatif de folie des muscles. Cinq cas
vent à démontrer que dans certains cas, il existe, asso- ciés à ces mouvements ordinaires de la chorée, ou même pouvant les re
vements ordinaires de la chorée, ou même pouvant les remplacer, des mouvements rythmiques vibratoires ayant tous les signes d'
périphériques. (Revue neurologique, août 1897.) E. BLIN. XL. DES mouvements involontaires spontanés CHEZ LES tabétiques; pa
neurologique, décembre 189î.) Depuis deux ans, l'auteur étudie les mouvements involontaires chez les tabétiques, dans le rich
ail sont les suivantes : REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 315 1° Les mouvements involontaires qu'on rencontre dans le cours du
du tabes une place à part et ne doivent pas être confondus avec les mouvements passifs, ni avec les secousses, ni avec les mou
dus avec les mouvements passifs, ni avec les secousses, ni avec les mouvements associés, dont la relation avec l'incoordina- t
intime; 2° Comme l'incoordination motrice tabétique en général, les mouvements involontaires ne se rencon- trent jamais sans t
la sensibilité niusetilo-artielil aire des organes atteints de ces mouvements ; 3° Comme le signe de Romberg dans les cas peu
3° Comme le signe de Romberg dans les cas peu avancés d'ataxie, les mouvements involontaires ne se montrent que quand le malade
axie avancée, le contrôle de la vue ne suffit plus pour arrêter les mouvements involontaires ; 4° Les mou- vements involontair
Tremblement léger au repos continuant sans exagération pendant les mouvements intentionnels. Pas d'atrophie. Réflexe patellai
cérébelleuse caractéristique (ébrieuse) ; tremble- ment pendant les mouvements . Pas de signe de Romberg ; force musculaire int
aut éloigner de ce dernier toute cause d'émotion ; lui défendre les mouvements brusques et prolongés, etc. L'auteur a obtenu d
e l'élévation du bras, l'omoplate s'éloigne davantage du corps. Les mouvements sont très limités dans ce membre, surtout le mo
corps. Les mouvements sont très limités dans ce membre, surtout le mouvement d'élévation. Le malade est porteur de stigmates
t la cenesthèse ou conscience organique de l'ensemble de tous nos mouvements vitaux. Notre individualité n'est, en effet, qu
fuso des impres- sions produites sur tous les points vivants par le mouvement incessant des fonctions, apportée au cerveau pa
ls diminue de force et de fréquence, et ne concorde plus avec les mouvements respiratoires (Marcé). Sans insister sur les tr
agonet et Duhamel. ' Couard, p. 31-2. -Biiiet et Fe. Sensation el mouvement , ch. \v. ' ' LE DÉLIRE MÉLANCOLIQUE. 359 sonn
, un automate incapable de souvenir, de sentiment, de volonté et de mouvement par moi-même '. » Il se fait comme une atmosp
iques assistent au courant des excitations sen- sorielles comme aux mouvements automatiques réflexes qui en sont les résultats
isme. Enfin, comme l'a dit Costard « De même que dans l'ordre des mouvements apparents il y a des paralysies, des convul- si
, etc., de même il peut se produire des troubles analogues dans les mouvements de ces membres intérieurs par lesquels nous rem
isposition cérébrale qui nous fait attribuer une origine externe au mouvement centripète des sensations devait nous faire att
te des sensations devait nous faire attribuerune origine interne au mouvement centrifuge des volitions. Cette origine interne
manie. A un degré plus avancé, le malade perçoit avec terreur les mouvements de ses propres viscères ; mais, ne les percevant
pli d'eau et de poissons; les gargouillements de son estomac et les mouvements de ses viscères le confirment dans cette idée.
tures et les crampes muscu- laires, ou encore par le sentiment d'un mouvement convulsif qu'ils ne peuvent dominer. C'est alor
que sorte se le mimer intérieurement, s'en esquisser à soi-même les mouvements *. ' Esquirol. Traité des maladies mentales, Pa
'aliénation, Amsterdam, 18` ? G. ' Voir Binet et Féré. Sensation el mouvement . THÉORIE DES NEURONES 371 Par suite de. la pe
y trouve une source d'impul- sions involontaires d'où naissent des mouvements automa- tiques ; de la des raptus qui se produi
u contact, de Ramon y Cajal, qui « apporta la lumière, la vie et le mouvement » dans les schémas de Golgi. « On ne saurait pré-
l'activité de la cellule piriforme et la ro; duction consécutive du mouvement musculaire, arrive à cetteteet- lule par les co
liquait les rapports physiologiques des fibres de sensibilité et de mouvement par les anastomoses reliant, dans son réseau ne
ant à la nalure anatomique et fonctionnelle du protoplasma. * Des mouvements moléculaires inconnus, des transformations chim
allèlement à «l'événement psychique P, et cela sous la forme d'un « mouvement se propa- 388 REVUE CRITIQUE. géant sous la f
on est d'élever les bras, de les porter en avant et en arrière. Ces mouvements étaient cependant possibles, d'une manière très
deltoïde surtout était pris. Le malade ne pouvait exécuter tous les mouvements dépendants de ce muscle ; il mettait seulement le
-moteur commun et oculo-moteur externe, il faut concevoir (pour les mouvements latéraux) deux nerfs hémioculo-moteurs : l'hémi
ns contre les traumatismes, les chutes réitérées, l'incohérence des mouvements qui expose ces articulations à des tiraillement
mains une méthode puissante, celle de la rééducation méthodique des mouvements . Le traitement se fait d'une façon plus rapide
Séance du 22 janvier 1898. W. MouRATOv. Contributionà l'étude des mouvements impulsifs (Zwangsbewegungen). M. Mouratow pré
mements athétosiques qui augmentent facile- ment d'étendue avec les mouvements volontaires de façon à rap- peler l'hémichorée.
plégie gauche, la deuxième de trouble de l'équilibre du corps et de mouvements hémichoréiques du côté pa- ralysé, principaleme
maux des hémiplégiques d'après leur pathogénie : 1° tremblement aux mouvements volontaires et spasmes,dégéné- ration et irrita
ofesseur KojEwmxow et le Dr Minor s'oppo- sent à la désignation des mouvements convulsifs du malade comme mouvements choréique
- sent à la désignation des mouvements convulsifs du malade comme mouvements choréiques. M. MOURAWIEFF ne croit pas que la l
fondée. Quant à l'autre observation de M. MOUBAVIEFF, la cause des mouvements convulsifs n'est pas suffisamment élucidée. M.
s n'est pas suffisamment élucidée. M. SEMSEY trouve que le terme de mouvements impulsifs (Zwangsbewegungen) est dé- placé et i
leptoide du pied et de la rotule. Le malade résiste bien à tous les mouvements qu'on essaye d'imprimer aux membres inférieurs,
ntaire totalement abolie : le malade ne peut exécuter le plus léger mouvement des orteils. Réflexes rotuliens très exagérés;
lument abolie dans tous ses modes : tact, douleur, température. Les mouvements iinpii- i- més passifs provoquent dans tout le
c force, et on sent se durcir le deltoïde et le grand pectoral. Les mouvements de projection en avant et en arrière se font fa
e le tronc et en position normale : il bascule normalement dans les mouvements d'élévation du bras. Les épaules se soulèvent a
chisseurs de la main et des doigts peuvent encore ébaucher quelques mouvements . Les extenseurs des doigts sont aussi para- lys
<fetco : t.Intégrité absolue des muscles innervés par le bulbe : mouvements de la mimique, de la mastication, de la dégtu-
, il sent quelque chose, mais ne peut préciser. Il a conscience des mouvements passifs imprimés à ses membres. Il conserve tou-
oureuse; la notion de position était parfaite- ment conservée ; les mouvements passifs imprimés aux mem- bres étaient douloure
ns musculaire s'altère ensuite. Le négateur mécon- naît ses propres mouvements , les attribuant à d'autres ou à un mécanisme in
n, arrive à avoir une existence tout à fait indépendante, il met en mouvement de lui-même le mécanisme de la parole, il prend
s poumons et tout l'appareil vocal, pour produire les sons et les mouvements les plus étrange S 2. » Nous n'en finirions pas
e, Elle a vainement essayé de lutter, en s'efforçant d'empêcher ces mouvements involontaires sans y réussir : elle sent qu'ell
ordinaires, entend des voix intérieures lui parler : « Ce sont des mouvements qui se font en moi qui me disent tout cela. » O
ix épigastrique : « C'est comme si c'était moi qui parle ; j'ai des mouvements dans les lèvres, comme un lapin qui broute, et
ui se croit possédée par l'esprit malin. Ses membres sont agités de mouvements bizarres rap- pelant les contorsions des convul
ents bizarres rap- pelant les contorsions des convulsionnaires; ses mouvements sont purement automatiques, et la malade n'y pe
D'autres fois, le visage est grimaçant; d'autres fois encore, les mouvements sont accompagnés de sons laryngés sans aucune s
e sons laryngés sans aucune signification. La malade interprète ses mouvements irrésistibles en disant que c'est l'esprit mali
ns qu'il soit en ma puissance de les retenir. Quand je veux, par le mouvement de l'une de ces deux âmes, faire le signe de cr
tte du même côté. Comme les faisceaux précédents, ils président aux mouvements associés des pupilles. Enfin, entre les noyaux
e défibres d'asso- ciation, qui ont certainement une action sur les mouvements synergiques des pupilles. DRDEL. REVUE D'AN
directement concourir à la dactylologie, n'est autre que celui des mouvements de la main et des doigts : « C'est, selon moi,
un encadrement bleu foncé net. P. 11ERAVAL. LXXXVH. Observation DE mouvements associés TYPIQUES DE l'extré- mité supérieure d
PATHOLOGIQUES. 487 dans les cas de parésies de la jambe, les mêmes mouvements se peuvent produire dans le membre supérieur, d
sie; pas de pertur- bation dans le facial. Quelque lenteur dans les mouvements du bras droit; rieu du côté des phénomènes tend
lade parle, le bras droit, fléchi et un peu étendu, est le siège de mouvements d'ouverture et de fermeture alternatifs de la m
bras lui-même parti- cipe aux mêmes troubles de la locomotion. Les mouvements vo- lontaires commandés de la main gauche provo
e. L'atteinte fonc- tionnelle des fibres d'association explique les mouvements associés sus-décrits. P . K 1,. It.\ V.% L. L
supérieur. L'excitation indépen- dante de ce centre engendrera des mouvements convulsifs comme ceux qui surviennent à la suit
la tient probablement à ce que, bien qu'on ait enlevé le centre des mouvements initiaux de l'accès, le centre excisé n'était p
e la page 370, doit être modifiée ainsi : Féré (Ch.), Sensations et Mouvements (au lieu de Binet et Féré). BULLETIN BIBLIOGRAP
171. Anthropométrie. Remarques sur l ? tirdllcka, 402. Aphasie. Mouvements associés de l'extrémité supérieure droite dans
l'extrémité supérieure droite dans l ? par Remak, 486. Aphasique. Mouvements du membre inférieur droit associés à la parole
ment post-morteln (le la moelle, par Schleslnner, iOO. Impulsifs. Mouvements -, par llollratow, 40. Induction. Appareil d'
07 838 TABLE DES AUTEURS ET. DES COLLABORATEURS. 'l'.11;ÉTIfIUCS. Mouvements invoton- taires spontanés chez les -, par Ili
92 (1887) Archives de neurologie [Tome 13, n° 37-39] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
émoglobine. De l'aveu du malade, calme musculaire marqué, besoin de mouvement moins considérable, perversions sensorielles mo
ues ont une fonction motrice, qu'elles servent de centre moteur aux mouvements coordonnés, dits expressifs, par lesquels les a
s toucher aux couches optiques, on prive l'animal de la faculté des mouvements spon- tanés et expressifs; mais ceux-ci peuvent
es et des couches optiques prive l'animal non seulement de tous les mouvements sponta- nés et expressifs, mais ceux-ci ne peuv
(les hémisphères enlevés ou non indifféremment) a pour effet des mouvements dans diverses parties du corps, surtout dans le
V. L'irritation directe des couches optiques produit parfois des mouvements choréiformes, ce qui peut servir à confirmer la
2 Voy. id., t. XII, p. t09. 108 SOCIÉTÉS SAVANTES. Les nerfs des mouvements des yeux, le facial; l'hypoglosse, le plexus br
un peu somnolent, et en même temps dépourvu de pondération dausses mouvements , il subit un arrêt de développe- ment physique
tégrité; l'élément psychique s'y montre encore de même que dans les mouvements . Un a produit des imbéciles bien plus que des i
n d'un hémisphère entier n'exerce pas le plus petit trouble sur les mouvements . Prenons un animal adulte (lapin ou chat) enlev
de Goltz, réduit à l'idiotie inconsciente avec lour- deur dans les mouvements , par suite d'ablations profondes et étendues de
s s'appliquer de but en blanc à l'homme, parce que chez l'homme les mouvements volontaires jouent un rôle infiniment plus gran
mier cas, on s'explique le fait par l'inté- grité de la mémoire des mouvements de la parole ; dans le second cas, par le défau
onctionnement de cette mémoire. Mais qu'est-ce que la mémoire des mouvements de la parole ? On donne généralement ce nom au
ayant une fonction centripète, celle de présider au souvenir des mouvements de la parole accomplis, sans cesser de la consi
ne fonction centrifuge, celle de présider à l'accomplissement des mouvements de la parole. Je pense qu'on a tort, de désigne
Un fait hors de contestation, c'est que le centre io préside aux mouvements de la parole : c'est donc un centre d'impulsion
ue la substance grise de la moelle est le siège de la mémoire des mouvements généraux de l'organisme, parce qu'elle préside'
sorielle, rien ne prouve qu'il soit destiné à la percep- tion des mouvements musculaires qui s'accomplissent à la périphérie
nt à la périphérie. 11 ne mérite donc pas le nom de mé- moire des mouvements de la parole, mais plutôt celui de mémoire des
a pourtant lieu d'admettre l'existence d'une véritable mémoire des mouvements de la parole. Pour la mettre en évidence, il su
er d'autre intervention, en pareil cas, que celle de la mémoire des mouvements de la parole. Et ce que je dis de la parole e
uxième circonvolution frontale gauche, il y a aussi une mémoire des mouvements de l'écriture, dont le rôle est de contrôler le
l'on nous fait tracer passivement, en imprimant à notre main des mouvements appropriés. 1 10% Grâce à cette mémoire des mou
e main des mouvements appropriés. 1 10% Grâce à cette mémoire des mouvements de l'écri- ture, il est facile d'expliquer les
cot, qui «ne lisait qu'en écrivant; de même, grâce à la mémoire des mouvements de la parole, il est facile de comprendre les f
e nom de mémoire des impulsions orales affectée à la production des mouvements de la parole, l'autre véritable mémoire des mou
oduction des mouvements de la parole, l'autre véritable mémoire des mouvements de la parole, destinée à la perception, au cont
la parole, destinée à la perception, au contrôle de ces derniers mouvements . Cela posé, doit-on considérer ces deux ordres
e pense pas. J'insiste sur ce point : la formation des images des mouvements de la parole est une fonction spéciale, parfait
n fonctionnelle n'est guère admissible. D'ailleurs la mémoire des mouvements de la parole, au sens où je la considère, est u
e pas possible de contester la réalité. Il y a donc une mémoire des mouvements musculaires, comme une mémoire de chacun des se
mémoire du sens musculaire que l'on doit rattacher les mémoires des mouvements de la pa- role et de l'écriture. Malheureusemen
t pas s'en- tendre parler, se reprennent aussi ; leur mémoire des mouvements de la parole a donc fonctionné correcte- ment,
tème nerveux. Paris, 1886. 198 PATHOLOGIE NERVEUSE. mémoire des mouvements de la parole (écholaliques de Voisin, de Béhier
par quelques autres empruntés à l'écriture. Quand on imprime des mouvements à ma main, pour lui faire tracer passivement de
ainsi tracés : il y a dans ce cas fonctionnement de la mémoire des mouvements de l'écriture avec repos de la mémoire des impu
s, est un exemple, évident du défaut d'action de la mé- moire des mouvements de l'écriture avec fonctionne- ment persistant
les au- teurs. Enfin le fonctionnement conservé de la mémoire des mouvements de l'écriture en l'absence de mé- moire des imp
semble pouvoir conclure de cette discussion : 1° que la mémoire des mouvements de la parole est distincte comme fonction et co
le nom de mémoire des impulsions orales et non celui de mémoire des mouvements de la parole; 3° que la mémoire des mouvements
celui de mémoire des mouvements de la parole; 3° que la mémoire des mouvements de la parole, dont la localisation est encore i
entre des im- pulsions orales : c'est le centre de la mémoire des mouvements de la parole. Grâce à cette conception, il devi
t de repos, tandis qu'elles étaient provoquées et augmentées par le mouvement , surtout un travail pénible, des émotions ou un
d'être brusquement interrompu par un hoquet souvent bruyant ; les mouvements de la langue sont libres, comme on le constate
ses, toujours étendues sur tout le muscle, sont souvent smvies d'un mouvement correspondant, parfois assez violent. Le meille
que l'objet est fortement projeté à quelque distance par un brusque mouvement de supination. Les secousses sont souvent isolé
e succession, jusqu'à cent et plus par minute, et accom- pagnées de mouvements d'extension correspondants, de façon que le bas
surtout aux extenseurs' du dos, ce qui fait faire au patient des mouvements saccadés en arrière, comme s'il cherchait à s'emp
uelquefois une secousse très étrange de tout le corps, semblable au mouvement que l'on fait en recevant un coup dans l'epigas
re dans un bain à 35° centigrades ; mais tout son corps fut pris de mouvements si désordonnés, les bras et les jambes se proje
ion), il se produisit des secousses si fortes, et en particulier un mouvement brusque de flexion et de redressement des genou
ois ou alternativement ; elles sont quelquefois accompagnées d'un mouvement correspondant du membre, d'autres fois, pas ; n
servations ; ainsi elles n'étaient généralement pas accompagnées de mouvements dans celles de Friedreich et de Lôwenfeld, tand
ont constatées de préférence quand le malade était en repos ; les mouvements volontaires les supprimaient ou les diminuaient.
maient ou les diminuaient. Dans notre observation, au contraire, le mouvement parait ' les favoriser, au moins celles des ext
tteinte», et que, « les secousses du paramyoclonus cessent dans les mouvements volontaires et ne les troublent donc nul- lemen
et de la nôtre, car dans les deux cas la face était affectée et le mouvement volontaire paraissait exa- cerber les secousses
s cette dernière affection, comme le fait ressortir Guinon 2, « les mouvements présentent dans leur ensemble et dans leur répé
tiques » (Charcot), et que « tous ou presque tous les gestes et les mouvements dont souffrent les malades sont la reproduction
s dont souffrent les malades sont la reproduction des gestes et des mouvements de la vie ordinaire », tandis que les contracti
isées dans un seul muscle et ne sont pas toujours accompagnées d'un mouvement ; celui-ci, quand il se produit, est tout à fai
ne, à la suite d'un refroidissement, il fut pris de toux avec léser mouvement fébrile, ce qui le détermina à demander son adm
e la jambe fléchie du malade, après lui avoir dit de s'opposer à ce mouvement . que la force musculaire est parfaitement conse
cette position, il ne peut y arriver et le membre décrit de grands mouvements que le malade ne peut empêcher. On ne peut fair
porter son index à son nez, il ne peut y arriver sans une série de mouvements désordonnés, exagérés aussi à gauche. Aussi ne
i fait-on tourner la tête à gauche, il l'incline et décrit un léger mouvement de va-et-vient. De plus, lorsque la tête même a
ête même au repos n'est pas appuyée, elle est constamment animée de mouvements tout à fait semblables à ceux d'une personne qu
ors que le globe oculaire fait au milieu de sa course un très léger mouvement de recul, puis reprend sa marche. Il n'existe
'01. Centrabl., 1885). Observation caractérisée par l'existence de mouvements irrésistibles. Un syphilitique présente pendant
la hanche. La parésie des membres supérieurs augmente; cer- tains mouvements des doigts disparaissent complètement, d'autres
extrémités, le tremblement qui se montra au début à l'occasion des mouvements voulus, un certain degré de rai- deur dans cert
3.) Affection remontant à l'âge de six mois, caractérisée par des mouvements choréiques, accompagnés de contractions tétani-
retrouve dans l'exagération de la motilité en général, et dans les mouvements associés surajoutés aux mouvements inten- tionn
motilité en général, et dans les mouvements associés surajoutés aux mouvements inten- tionnels,; contractions intempestives de
endineux. Le contact et la volonté développent, en même temps qu'un mouvement cor- respondant, des contractions spasmodiques
ui augmentent jusqu'à provoquer le heurt du sol par le calcanéum en mouvement ; ces oscillations échappent si bien à l'influe
Rev. pliilosopa.; octobre 1885, mars et juillet 1886. Sensation et' mouvement , études de psycho-mécanique. Alcan, édit. 246
e et à droite l'aiguille restait à 0. Je lui fais faire cinq ou six mouvements passifs de la main et de l'avant-bras gauche, c
fais faire tous les jours, pendant quelques minutes seulement, des mouvements du bras et de la jambe du côté droit. Au bout d
sont confirmatifs des expériences de M. Féré, qui a montré que les mouvements d'un membre, réveillant les images motrices des
ient un effet identique quoique moins accusé si l'on fait faire les mouvements du côté opposé. J'ai moi-même contrôlé plusieurs
res voisins et l'on peut, à notre avis, rapprocher ces faits et les mouvements associés que l'on observe chez les hémiplégiques
observe chez les hémiplégiques par lésions cérébrables chez qui un mouvement volontaire détermine un mouvement associé dans
lésions cérébrables chez qui un mouvement volontaire détermine un mouvement associé dans les membres paralyses. Quoi qu'il en
ralysie hystérique où l'on pourra obtenir de bons résultats par les mouvements actifs ou passifs, l'exercice ou le massage des
its ont déjà été cités à l'appui de mes recherches sur l'action des mouvements passifs'. Quanta à ceux que vient de signaler M
. XIV. Révision nosographique des amyotrophies. XV. Tremblements et mouvements choréiformes;. chorée rhythmée. XVI. Spiritisme
émentaires, telles, par exemple, que notions du sens musculaire, et mouvement volontaire,- guérison soudaine d'une hémiplégie
re pour cela que le vertige1, ne puisse jamais être accompagné de mouvements automatiques; l'absence elle-même peut consiste
mais alors on n'a nullement affaire à une procursion véri- table, mouvement précipité de peu de durée, auto- matique si l'o
I. Considérations générales sur la Physiologie et l'Etiologie des mouvements procursifs. - VIII. Traitement. I. Epilepsie PR
, porte la main droite à la joue du même côté qui présente quelques mouvements cloniques et qu'il frotte à différentes reprise
pas; on n'observe pas de période tonique, mais seulement de grands mouvements de rotation incomplète qui portent le corps de
ite, les deux mains appliquées devant la face et la frottant. Ces mouvements de rotation peuvent être accompagnés de sauts d
ni écume, ni incon- tinence d'urine. Autre variété d'accès. Mêmes mouvements des bras et de la tète; il se laisse alors tomb
te qu'il frotte à diverses reprises et qui est agitée de quelques mouvements cloniques ; 2° Des accès se présentant sous deu
pondre chez lui à la période clonique est rem- placée par de grands mouvements de rotation incom- plète de droite à gauche et
te à gauche et de gauche adroite; le côté droit est plus agité. Ces mouvements sont accompagnés du même bourdonnement labial,
en jouant, sans aura, perte de connaissance, chute et accès avec mouvements cloniques des bras. Le deuxième accès eut lieu
parole était saccadée ; cet état a duré une demi- heure. Les mômes mouvements choréiformes se sont reproduits quelques jours
aide, le bras droit presque souple ; il se produit ensuite quelques mouvements clo- niques dans les deux bras, mais surtout da
de minutes et se remet ensuite à son ouvrage. Parfois, pendant les mouvements de trépidation, il demande son couteau pour s'o
rette, toujours tenue delà main gauche ; le bras droit est agité de mouvements assez étendus. - Relevé, il est pris dans la-po-
uarts d'heure. Depuis son entrée à l'hospice nous avons observé des mouvements de trépidation, sur- venus en dehors de tout ac
e répond même pas par signes, mais ses yeux sui- vent très bien les mouvements . Comprend bien ce qu'on lui dit. Doit avoir des
s et de la raideur dans toutes les articula- tions. On lui fait des mouvements communiqués pour éviter l'ankylose. Cet exercic
bre. Même état de mélancolie stupide. Etat général assez bon. Aucun mouvement , aucune parole pendant la journée. Rigidité des
articuler les mots. Je vis bien d'ailleurs que ce n'était ni les mouvements du visage ni ceux des lèvres qui l'aidaient à c
ve.) Par la oie P a ef mo IV, l'entendement perçoit et apprécie les mouvements de la parole. (La lésion d'un point quelconque
jambe dans l'adduction forcée à droite de la jambe droite, mais le mouvement d'abduction est extrêmement limité et il sent des
t à peu près de même pour le membre inférieur droit. Les différents mouvements isolés du pied adduction, abduction, flexion, e
i fléchir ou étendre la jambe, quand on lui a dit de résister à ces mouvements , tant la force des iléchiseurs et des extenseur
rès appréciable au niveau du bord interne du creux axillaire. Les mouvements des bras et des avant-bras présentent un léger de
e d'élévation de l'épaule. Il subsiste à peine quelques très légers mouvements d'extension de la première phalange des doigts.
doigts. Réflexes tendineux très exagérés aux membres supérieurs. Le mouvement de supination est presque impossible, celui de
ifficulté porté dans la position due à l'action du grand dorsal. Le mouvement d'élévation des épaules est à peu près normal.
ition de se mettre sur le bord du lit les jambes pen- dantes. Les mouvements du cou s'accomplissent à peu près normalement s
qui semble un peu pénible et accom- pagnée d'une certaine raideur. Mouvements fibrillaires, palpita- tions dans presque tous
persister quelques secondes après que le rire est terminé. Tous les mouvements des lèvres (rire, baiser, moue, etc., s'exécute
me, sauf peut-être un peu dans sa moitié droite. Elle est animée de mouvements fibrillaires très nets : Le malade la tire bien
l'articu- lation est nettement spasmodique. La mastication et les mouvements de diduction de la mâchoire se font normalement
plaques. Dans les cas pré- sents, il n'existait ni tremblement aux mouvements intentionnels, ni nystagmus, ni parole franchem
décider dans quelle mesure cet affaiblissement, le tremblement aux mouvements intentionnels, les contractures, dépendent de l
aujourd'hui encore, parmi les travailleurs laissés libres de leurs mouvements , il existe une notable quantité d'individus de
la théorie de la suggestion, les hallucina- tions hypnotiques, les mouvements et actes suggérés, lespa- ralysies par suggesti
Les infirmiers de Ward's Island ont un uniforme. Actuellement ce mouvement semble s'étendre de plus en plus aux Etats-Unis.
5 figures. lena, 1887. Nertag G. Fischer. FÉnÉ (Ch.). Sensation et mouvement . (Etudes expérimentales de psrl- cho-niécanique
93 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
sible qu'avec l'appui d'un bâton; elle est entravée parfois par les mouvements cloniques du pied droit. Dans son lit, le malad
dès que celui-ci s'appuie sur ses pieds, le clonus lui imprime des mouvements saltatoires. Perte du som- meil et de l'appétit
la volonté est complètement abolie; le malade est incapable de tout mouvement dans ses membres para- lysés ». Peut-être M. Va
seille. Le principal objet de cette étude a été la localisation des mouvements choréiques Elle l'a amené à constater que la gé
; les uns dans leur localisation sont sans aucune relation avec les mouvements choréiques (algies parachoréiques), les autres
tés, ordinairement localisés dans les membres qui sont le siège des mouvements choréiques. Suit une étude très complète sur l'
des réflexes dans la chorée. Les réflexes peuvent donner lieu à des mouvements con- tradictoires (réflexe' paradoxal). Quelque
senic à doses progressives ont à vue d'oeil légèrement amélioré les mouvements des petits muscles des mains. P. KER\V\L. XLI
les douleurs les plus vives, qui le privent presque complètement du mouvement . Il est probable, d'après ce qui a été noté sur
s. Comment comprendre qu'une extrémité, qui hier se brisait dans un mouvement tout à fait ordinaire, fournisse à l'endroit de
e d'affections nerveuses. A côté de l'influence de la répétition du mouvement , il faudrait tenir le plus grand compte de la m
uvement, il faudrait tenir le plus grand compte de la maladresse du mouvement . L'évolution patho- gémque pourrait se résumer
roite à des troubles primitifs. » Torticolis mental surajouté à des mouvements hémichoréiformes. MM. I'EIt`DEL et 111EIGE rapp
s d'une intelligence débile, présentant depuis l'âge de dix ans des mouvements spasmodiques choréiformes du bras droit. Récemm
dant deux mois a suffi pour corriger le torticolis et améliorer les mouvements choréiformes du bras. Quant à l'état mental de
confiné au lit; à partir de ce mo- ment on a pu le lever; mais les mouvements de presque toutes ses articulations étaient tel
lomètres sans trop de fatigue. La tête est presque immobilisée, les mouvements de rotation et d'ex- tension sont impossibles,
le bras ne peut être élevé au- dessus de l'horizontale, encore les mouvements ne se passent-ils qu'entre l'omoplate et le tro
ait immobilisées, aux genoux l'excur- sion est de 1000 environ; les mouvements du pied et des orteils sont très limités. 1 I
à aucune idéa- tion provocatrice; il rentrerait dans la classe des mouvements automatiques, bien que sa complexité soit assez
e de pensée; le sujet ne faisait qu'interpréter très habilement les mouvements subconscients des personnes qui lui servaient d
os voisins s'ils y échappent. B. FAITS DIVERS. Asile d'aliénés. Mouvement de novembre 1901 : M. DENIzET, directeur en l'a
droite. Il était incapable de fléchir ou d'étendre les doigts. Les mouvements de l'avant-bras sur le bras et ceux de l'épaule
te depuis quarante-huit heures. En l'examinant^ on constate que les mouvements de flexion et d'extension des doigts sont impos
instants, la sensibilité reparait dans tout l'avant-bras, puis les mouvements des doigts et de la main redeviennent possibles
l'avant-bras et de l'avant-bras sur le bras sont presque nuls : les mouvements d'extension conser- vés ; les mouvements de l'é
as sont presque nuls : les mouvements d'extension conser- vés ; les mouvements de l'épaule ne sont pas atteints. Malgré tout,
e s'il jouait du piano, l'on s'aperçoit nettement de la lenteur des mouvements de la main gauche. Le mouvement d'opposition du
erçoit nettement de la lenteur des mouvements de la main gauche. Le mouvement d'opposition du pouce et de l'index est à- pein
disparaissent bientôt, mais peu à peu le malade s'aperçoit que les mouvements de sa main sont de plus en plus gênés; il conti
roublée, et ces troubles vont s'accentuant de plus en plus. - Les mouvements de flexion des doigts sont nuls. Le malade ne p
ifiant placé sur la main à plat pour l'empêcher de se produire. Les mouvements de flexion de l'avant-bras sur le bras se produ
ser avec l'index l'avant-bras fléchi pour l'étendre de force. Les mouvements de l'épaule sont conservés. La sensibilité au c
, nu jusqu'à la ceinture, en face du grand cylindre de Marey mis en mouvement . Nous mettons en action le trembleur de l'insta
lité normale (obs. 1 et VI). Dans lés segments atteints, tous les mouvements volon- taires nous ont paru être également comp
e des membres inférieurs (deux fois par jour) et la rééducation des mouvements . Trois jours plus tard nous commencions l'exten
e : c'est donc bien l'écorce de la zone qui agit. Agit-elle par les mouvements de l'es- tomac exerçant une expression mécaniqu
ce cérébrale de centres indépendants : centres présidant à tous les mouvements possibles du corps, centres sensitifs régis- sa
, ce qui lui permet de réagir vis-à-vis du monde exté- rieur. Les mouvements sont consécutifs aux perceptions sensorielles.
ts compliqués qu'exige l'écriture; la troisième frontale, siège des mouvements perfectionnés de la parole, est immédiate- ment
fectionnés de la parole, est immédiate- ment en avant du centre des mouvements communs des lèvres, de la face, de la langue, d
tionnelle bien supérieure à celle de la zone motrice destinée aux mouvements ordinaires des muscles de la face, de la langue,
rynx, des membres : le pied de la troisième fron- tale commande aux mouvements des mêmes muscles adaptés, par perfectionnement
de craie d'un morceau de sucre, conserve les images isolées et les mouvements correspondants, mais il n'a plus la faculté de
parole et paralysie oculaire très marquée rendant presque nuls les mouvements de latéralité vers la gauche des deux yeux. On
ovrr (de Prague) envoie l'observation d'un homme qui présentait des mouvements associés des bras . lien déduit l'origine corti
érence. In-18. PLcmN et ALLAIID. Paralysie faciale et paralysie des mouvements associés de latéralité des globes oculaires du
wilh lhe fine arts, 1841. - 3 Gratiolet. De la physionomie et des mouvements d'expression, 1865. Darwin. L'expression des ém
élération des battements du coeur, augmentation ou irrégularité des mouvements respiratoires; ce qui est exact et ce que confi
d'une minute. Je lui fais sentir la jambe droite qui exécute des mouvements de flexion et d'extension, le corps qui prend l'a
étend sur la jambe, la cheville craque, la plante brûle un peu. Les mouvements de flexion et d'extension s'étendent à la jambe
la jambe droite et à la cuisse. Je constate en même temps quelques mouvements du membre supérieur droit dont la main fermée e
ntagu. , 204 RECUEIL DE FAITS. Sentez les orteils du pied droit : mouvements de flexion et d'extension des orteils- sur la p
ement latéral du membre supérieur droit. De temps à autre, quelques mouvements de flexion du membre inférieur. Les orteils son
libres au bout de dix minutes. - Sentez la peau du cou-de-pied : mouvements de flexion et d'extension du pied et de latéral
est pleine de fourmis-)- Quelques craquements dans la cheville + Mouvements de flexion du pouce de la main droite, puis de to
nutes après, la peau du cou-de-pied est réveillée. Sentez le pied : mouvements assez étendus de flexion et d'exten- sion,du me
te. Durée de dix minutes. Sentez la cheville : craquements à chaque mouvement d'exten- sion du pied sur la jambe -(-Mouvement
raquements à chaque mouvement d'exten- sion du pied sur la jambe -(- Mouvements très intimes de flexion des quatre derniers doi
se débloque au bout de cinq minutes. - Sentez la peau de la jambe : mouvements de flexion, d'exten- sion, d'abduction et d'add
et d'adduction de la jambe. Le membre supé- lieur droit exécute des mouvements semblables et isochrones + Le frottement du dra
ttement du drap est perçu. Durée de dix minutes. Sentez le mollet : mouvement de flexion et d'extension de la jambe et de la
disparait au bout de dix mi- nutes. ' - Sentez l'os de la jambe : mouvements de flexion et d'extension aux membres inférieur
t est libre au bout de huit minutes. Sentez le pied et la jambe : mouvements de flexion et d'exten- sion des membres inférie
près soixante-quinze minutes de travail. 7. Sentez le genou droit : mouvements de flexion et d'exten- sion de la jambe sur la
craque et se débloque Cinq minutes. Sentez la peau de la cùisse : mouvements très étendus de flexion de la cuisse sur le bas
PARAXYSTIQUES, ETC. 205 Sentez la chair, les muscles de la cuisse : mouvements de flexion et d'extension de la cuisse + Les ti
me fait mal. Il est libre. Sentez les membres inférieurs : grands mouvements de flexion et d'extension des membres inférieur
exion et d'extension des membres inférieurs qui s'accompagnent de mouvements de rotation du membre supérieur droit. Sentez l
u membre supérieur droit. Sentez la hanche, les fesses, le bassin : mouvements alternatifs de rotation et de propulsion du bas
fs de rotation et de propulsion du bassin. Le tronc participe aux mouvements +-j- Tout est débloqué. Sentez la verge et les
les qui, bientôt après, ne brûlent plus. Sentez le derrière : mêmes mouvements que pour la resensibi- lisation du bassin + On
du bassin + On le brûle z- Tout disparaît. Sentez la main droite : mouvements de flexion et d'extension des doigts qui piquen
ouce reste presque immobile, en demi-flexion. Sentez le poignet : mouvements de flexion et d'extension de la main sur l'avan
n, les doigts à demi- fléchis, sauf le pouce. Il y a de très légers mouvements extenseurs de la jambe et du pied. Sentez le
nseurs de la jambe et du pied. Sentez le membre supérieur droit : mouvements de flexion en demi-supination et d'extension.
par le nombril. Louis exécute une véritable danse du ventre parles mouvements de projection qu'il imprime aux intestins de ba
intestins de bas en haut et en avant. Sentez l'estomac : les mêmes mouvements se produisent, mais très lents et décomposés en
estomac est plein -E- C'est là qu'est tout le mal + Louis lait des mouvements de projection en haut, esquisse l'arc de cercle
e débloque + Je sens l'air là dedans. Sentez la poitrine : larges mouvements respiratoires. Sentez le cou-j- Mouvements de s
tez la poitrine : larges mouvements respiratoires. Sentez le cou-j- Mouvements de salutation qui amènent rapi- dement la resta
. 9. Sentez votre nez : Louis renifle et ses lèvres exécutent des mouvements de latéralité. Sentez les oreilles : Louis ente
te qui brûle (pariétal droit). Sentez les paupières et les yeux : mouvements d'élévation du frontal et du releveur de la pau
ntez votre tête, votre cerveau : Ça me brûle sur la tète ? Crise de mouvements toniques -f- Ma tête est toute souffrante + Ell
est plus libre ? Je sens de l'air dans le cerveau qui est dégagé + Mouvements de salutation de la tête et de rotation du memb
lui a claqué dans la tète. Sentez votre tête : ma tête est libre + Mouvements de salutation qui se terminent par une crise de
.. dit que je ne suis pas mort z- Longue crise de contracture, dé mouvements toniques avec nombreux craquements + Où je suis,
se met à bégayer. J'ai frappé fort de l'échine, elle me fait mal. - Mouvements de réveil, d'étirement, en arc de cercle. - Vou
en deux, de l'épine dorsale qui s'est cassée; il exécute quelques mouvements en arc de cercle, fait deux soubresauts et tout r
par semaine et, au sur et à mesure, les crises de contractures, de mouvements toniques, les soubresauts, la paralysie de la l
ont et de Tournay, du l" janvier 1875 au 31 décembre 1899. II. Le mouvement italien moderne en faveur du traitement et de l
sier. Il n'a a 234 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. pu en arrêter les mouvements . Depuis l'animal ronge son intérieur. ' Il en s
on motrice, qui permet aux malades de retrouver la coordination des mouvements et, par suite de se mouvoir, de reprendre ses o
ce spasme sphinc- 246 sociétés savantes. térien et' réveiller les mouvements musculaires de l'intestin ; le soir même et le
Bonhomme Normand, 10 octobre). FAITS DIVERS. Asiles D'ALIÉ1É. - Mouvement de janvier 1902. M. le Dr Nicou- LAN, médecin e
banale que certaines joies comme certaines tristesses gênent les mouvements respiratoires ; que l'on pleure de joie, de tri
finissent rien, ils n'aboutissent pas, qu'il s'agisse d'idées ou de mouvements . En dehors même des crises angoissantes, jusque
lectuelle, hésitation de la volonté, hésitation et dif- ficulté des mouvements musculaires. A cet égard, l'étude 268 PATHOLOGI
nts musculaires. A cet égard, l'étude 268 PATHOLOGIE MENTALE. des mouvements offre, chez les obsédés, un intérêt consi- déra
es d'arrêt, c'est- à-dire de troubles moteurs volontaires. Dans les mouvements en général, il y a défaut d'impulsion et de sûr
oulie, admetque « la volonté, considérée comme faculté de mettre en mouvement les membres, et l'intelligence, considérée comm
rtains cas d'aboulie avec obsessions in lerrogalives et trouble des mouvements . (Folie du doute avec délire du toucher). Annal
urais pu employer plus utilement. Dans mes luttes, je me donnais du mouvement , ce qui en faisait accroire à mes camarades, ce
it aucun plaisir. Nous retournâmes à Berlin et, de façon à avoir du mouvement sous les yeux et à me distraire, j'allai occupe
1897, n° 14. ' a REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 299 Un dynamo est mis en mouvement par un moteur au pétrole de 6 chevaux, charge 3
ts arrivent à la langue maladroite ; celle- ci ne peut à l'aide des mouvements d'articulation maitriser cette masse : l'exécut
tion ne suit pas l'intention. Inversement, l'incoor- . dination des mouvements nécessaires pour parler peut tenir à ce que l'i
. PILTZ. (Neurolog. Centralbl., XIX, 1900.) Ce myosis tient-il à un mouvement associé de l'iris dû à l'excita- tion simultané
emps le globe se dirige en haut et en dehors ou' - en dedans; 2° ce mouvement associé de l'iris est un phénomène . physiologi
pénibles entraînent une diminution du pou- voir d'exécuter le même mouvement volontaire. Ces effets variant selon l'état du
lignotement des paupières, convulsion des globes oculaires en haut, mouvement des muscles de la face, hila- rité, modificatio
ires suivants : clignotement des paupières, tremblement des lèvres, mouvements choréiques, etc. Avec M. Bérillon, je considère
jours apparition d'accès d'épilepsie corticale qui débutent par des mouvements conjugués de la tête et des deux yeux à gauche,
gués de la tête et des deux yeux à gauche, auxquelles succèdent des mouvements cloniques du facial gauche et un spasme tonique
ment où il voulait se lever de table, le malade tomba et resta sans mouvements pendant une heure environ, puis tous les phénom
e à la bouche. Puis convulsions cloniques des bras et des jambes, mouvements de rotation de la tête, avec violentes secousses
de troubles cérébraux. Exploré par moi, il avait une abolition des mouvements réflexes et des mouvements associés de la moiti
loré par moi, il avait une abolition des mouvements réflexes et des mouvements associés de la moitié de la face paralysée. A l
n trouble trophique; il y aurait hypertrophicité comme il y a des mouvements anormaux. La même cause d'excitation produirait
lexion dorsale, pour que se produise la flexion de l'avant-bras, le mouvement s'effectue aussi bien quand la main est totalem
la répétition de ce que décrit Duchenne, dans la Physio- logie des mouvements (1867) p. 160. « Les muscles fléchisseurs de la
e l'avant-bras, pouvaient encore, quoique faiblement, exécuter ce mouvement . Après avoir mis leur main en pronation, ils la t
nt à l'épitrochlée, et dont on sentait la contraction énergique. Ce mouvement , bien qu'il fût exécuté avec faiblesse, leur ét
, exécute généralement tous REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 3Í9 les mouvements possibles, sans autre inconvénient qu'une fatigue
adie de Thomsen d'une espèce particulière. Le trouble myotonique du mouvement est limité aux avant-bras et aux mains. Les mus
es, de moyenne dimension, réagissant convenablement à la lumière. Mouvements des bras et vigueur des mains parfaits, pouls nor
et horizontales du grand dorsal. Eh bien, lorsqu'on frappe là, le mouvement du bras (adduction avec rotation en dehors) est s
ément des bègues de la parole. En exerçant le malade à régler ses mouvements et sa respiration on guérit presque complètemen
les deux bras étaient paralysés : il ne subsistait qu'un très léger mouvement des doigts de la main droite. Les bras et les a
s et les rattachent à une cause unique. Quelle est la nature de ces mouvements convulsifs un grand nombre appartiennent incont
t enfoui dans le cou de sa victime, -et avec lequel elle faisait le mouvement de -cie. L'arrivée du docteur ne l'interrompit
i. J'ai d'ailleurs, pour mon compte, des raisons de croire que ce mouvement si menaçant de la criminalité juvénile, se modifi
érieur correspondant est atrophié, la main .est en griffe, tous les mouvements sont incomplets, la sensibilité est notablement
uscles radiculaires infé- rieurs ne présentent pas d'altérations. Mouvements choréiformes. M. P. Marie présente deux malades
ormes. M. P. Marie présente deux malades dont l'un est atteint de mouvements involontaires et constants de la tête et des memb
our le SOCIÉTÉS SAVANTES. 421 premier malade. Le second, dont les mouvements sont plus lents et qui peut les arrêter plus on
ieu que le tic le laisse le plus souvent indifférent et n'est qu'un mouvement conservé par habitude et non déterminé par une
nces de Paulesco et de Polis le phénomène de dissociation entre les mouvements respira- toires et les hattements cardiaques, q
tanés, muqueux, tendineux. Chacun varie pour son propre compte. Des mouvements anormaux « contractions toniques » se produisen
e. (Le Journal 5 février 1902.) . FAITS DIVERS. Asiles d'aliénés. Mouvement de mars et distinctions honorifi- classe except
es yeux ne révélait rien de pathologique, à cela près que, dans les mouvements de laté- Fig. 24. f CLINIQUE NERVEUSE. rali
e sans expression, inégalité pupillaire, trem- blement de la langue mouvement de trombone manifeste embarras de la parole, tr
régulière. Il se lève en éprouvant une grande faiblesse dans les mouvements et remarque qu'il a vomi ; il passe dans son cabi
otypie de la pensée s'accompagne de stéréotypie du lan- gage et des mouvements : certaines attitudes bizarres se fixent dans l
motrice déterminée s'impose à l'esprit et évoque im- médiatement le mouvement correspondant. Des tics moteurs, des tics du la
ous les actes qu'on ordonne, ou résistance dès membres du malade au mouvement qu'on veut lui faire exécuter. Les troubles du
caractères du tremblement et spécialement, son exagération, par les mouvements volontaires et par sa persistance pendant ie repo
naissance il s'agit d'absence d'images motrices et d'ignorance des mouvements , puisque l'enfant n'a jamais su parler. L'auteu
e caco- dylate de soude, par Lannols, . 301; par lletctlell, 523. Mouvements choréiformes, par P. Marie, 420. J3Ô TABLE DE
chroniques, par Dufour. 86. Torticolis mental surajouté il des mouvements hélmchoréiformes , par Feindel et Meige, 83.- s
94 (1904) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 19
Beaunis, a rappelé l'influence exercée sur la thérapeutique et sur le mouvement psychologique contemporain par les travaux des ch
tesques sur lesquelles il est inutile d'insister. Les sensations de mouvement (images motrices) sont un des éléments les plus i
prononce jamais mentalement; cette tendance motrice, cette ébauche de mouvement ne se montre chez moi que pour les chiffres, et t
nt surtout des rêves visuels (paysages, villes, etc.) et des rêves de mouvement , parmi lesquels je mentionnerai ce rêve de vol aé
e9 polémiques, tous les faits uulcs à. enregistrer pour l'histoire du mouvement scientifique ; 8- Un index bibliographique do t
orme un recueil des plus précieux pour tous ceux qui s'intéressent au mouvement psychologique conleuiuoraiQ. Le prix est de 100 f
nombreux graphiques, l'action régulatrice du sommeil provoqué sur les mouvements respiratoires et cardiaques.ee qui constitue une
ans, Il est pris d'une attaque soudaine avec perte presque totale des mouvements du bras et de la jambe gauche ; il ne peut se ten
mbres à dcml-par.ilysés est combattue par la suggestion ainsi que des mouvements actifs et passifs. Les mouvements reviennent grad
tue par la suggestion ainsi que des mouvements actifs et passifs. Les mouvements reviennent graduellement et, dix jours après, le
glissait comme si l'on eût poussé une statue. 5« Elle n'avoit aucun mouvement , ni volontaire, ni naturel, qui fût sensible, pas
as même celui que l'on fait en dormant pour avaler la salive; le seul mouvement du cosur et des artères se falsoit sentir, encore
ont quelque douleur ou autre sensation, cette fille qui n'avoit aucun mouvement , ne donnoit non plus aucun signe de sentiment; le
désigner sous des noms inventés, accompagnant le tout de gestes et de mouvements des yeux qu'elle avoit ouverts, enfin avec toutes
ion, cette vivacité des pensées et cette promptitude à faire tous les mouvements volontaires? Il faut que l'état des cataleptiques
des polémiques, tous lea faits uules a enregistrer poor l'histoire du mouvement scientifique; 8' Un Index bibliographique de lo
orme un recueil des plus précieux pour tous ceux qui s'intéressent au mouvement psychologique contemporain. Le prix est de 100 fr
d'Amérique et d'Europe. Partout sur non passage elle suscita un grand mouvement de curiosité, autant par la barbe hirsute qui rec
, dont le moindre attouchement provoquait une attaque convutsive. Les mouvements , limités d'abord au tronc qui paraissait par des
r la pression de la région présternale, on est amené à considérer ces mouvements cloniques comme étant de même essence. is'cidrn
de quelques dixièmes de degré et s'élevait légèrement à la suite des mouvements de contracture provoquée. Le pouls battait envi
men, la sensibilité de la malade qui opposait à mes investigations un mouvement de défense très marqué lorsque j'arrivais à la so
pendant se mouvoir et se soulever sur son lit. Le lundi 2h mal, les mouvements convutsifs ne se renouvellent pas. M. b. parait e
ses sur ses paupières. Je la pinceau bras et comme elle réagit par un mouvement de défense je lui demande ce que je viens de fair
rusquement la p!aie du bras que je venais de découvrir, elle a un vif mouvement de surprise el demande ce que c'est. L'applic
a déclaration que je vais lui faire une nouvelle piqûre, clic fait un mouvement énergique de protestation. — n Cependant je ne
orme un recueil de* plus précieux pour tous ceux qui s'intéressent au mouvement psychologique contemporain. Le prix est de 110 Ir
courants d'induction ne provoquent comme réaction que de très légers mouvements . Le goût est tout à fait conservé. Lorsqu'on pr
ant plus de quatre ans, a souffert de ce trouble de l'association des mouvements , dénommé Astasic-Abasio par Charcot et par ses él
basic choréiforme dans laquelle les membres inférieurs effectuent des mouvements ataxiques. Charcot a observé cette dernière for
x et musculaire sont peu développés; et les téguments très pâles. Les mouvements des yeux sont normaux. Les pupilles ont une grand
'explication se rapprocherait assez de celle que j'ai donnée pour les mouvements qu'exécutent pendant l'hypnose les membres paraly
nt fini par disparaître, mais les malades ont oublié le mécanisme des mouvements et c'est pour cette seule raison qu'ils restent p
a mémoire aussi, les malades se rappellent de nouveau le mécanisme du mouvement , malheureusement pas pour longtemps. Pour ce qui
. Pour ce qui concerne les paralysies fonctionnelles, le mécanisme du mouvement , reconstitué dans la mémoire par la suggestion, p
suivent dans leur course et dans leurs déformations. Mais commo les mouvements des passagers dans l'espace sont solidaires de ce
du vaisseau, ta direction du regard est constamment modifiée par ces mouvements ; il en résulte des efforts d'accommodation qui ne
a chaque instant, et toute la masse subit un va-ct-vient anormal. Les mouvements de tangage et de roulis faisant déplacer dans l'e
ou en voiture, surtout quand elles tournent le dos à la direction du mouvement }. Il suffît d'avoir fait une seule traversée, l
la trie ou au creux de l'estomac, sensation qui disparait dès que le mouvement inverse se produit; et alors, c'est une sensation
'organisme se sera habitué au milieu ambiant et aux irrégularités des mouvements de roulis et de tangage. Il faut, tout d'abord,
des polémiques, tons les faits nules a enregistrer pour l'histoire du mouvement scientifique; 8* Un index bibliographique de to
orme un recueil des plus précioux pour tous ceux qui s'intoressonL au mouvement psychologique contemporain. Le prix est de 110 fr
faire prévoir qu'il puisse être appelé à jouer un rôle actif dans le mouvement psychologique contemporain. Cela lui arriva cepen
l faut qu'on superpose à la suggestion hypnotique une rééducation des mouvements , rééducation dont la durée est toujours longue, t
istant à l'état de repos, exaspéré à l'occasion d'une émotion ou d'un mouvement volontaire. Vous voyez qu'il ne peut faire parven
que ou d'un trouble dynamique? Le tremblement s'acoroltà propos des mouvements , par exemple quand il s'agit de prendre un verre
er, il descend dans l'un de ces fûts; celui-ci est tout à coup mis en mouvement par un ouvrier qui passe; subitement roulé dans c
des polémiques, tous les faita uules â enregistrer pour l'histoire du mouvement scientifique; 8* Uo index bibliographique de to
orme un recueil dos plus précieux pour tous ceux qui t'intéressent au mouvement psychologique contemporain. Le prix est de 110 Ir
e furent les moustaches qui apparurent les premières. A seize ans, un mouvement de croissance se manifesta dans le système pileux
la grande campagne. Il arrive à l'un d'eux un léger accident. Un faux mouvement de la main amène une certaine gêne dans l'articul
cc cl un rien, l'idée étant essentiellement motrice et productrice de mouvement , un rien suffit pour les faire passer à la réalis
rogressif de toutes les facultés : mémoire, jugement, parole, vision, mouvements , tout a disparu pour aboutir au gâtisme et à la m
devait à lui-même de participer dans la mesure du possible à ce beau mouvement qui anime notre pays. Aussi sa directrice a-t-cll
des polémiques, tous les faits uUles k enregistrer pour l'histoire du mouvement scientifique; &• Un index bibliographique d
orme un recueil des plna précieux pour tous ceux qui s'intéressent au mouvement psychologique contemporain. Le prix est de 110 fr
x de Mme Augeard est très douce ; sa physionomie est sympa-tique. Ses mouvements avaient tout le caractère de la grâce féminine. A
ien, — le haschich, savamment et spécialement préparé pour inciter au mouvement en avant. Les hommes en absorbent, mais il est in
loierons l'exercice automatique sans travail des centres nerveux, les mouvements faciles, la marche-promenade, toute seule, pour a
es polémiques, tous les faits utiles à enregistrer pour l'histoire du mouvement scientifique; 8* Un Index bibliographique de to
orme un recueil des plus précieux pour tous ceux qui s'intéressent au mouvement psychologique contemporain. \. prix est de 110 1
isément à un clinicien de génie que nous devons, en grande partie, le mouvement scientifique, non moins intense que le précédent,
t, il disait : * Puisqu'on peut, avec un peu d'industrie, changer les mouvements du cerveau dans les animaux dépourvus de raison,
er sa force sur certains objets à distance, c'est-à-dire de mettre en mouvement ces objets sans contact. S'il est difficile de
l'existence d'une force extériorisée, ou la possibilité de mettre en mouvement un objet sans aucun contact avec lui, il est très
médiums comme Eusapia Paladino, Sambor, Politi, qui peuvent mettre en mouvement de gros objets sans les toucher, sont excessiveme
et que nous entendons souvent dire : montrez-nous seulement mettre en mouvement un petit objet, une feuille de papier, un crayon,
ossède une force capable de s'extérioriser, c'est-à-dire de mettre en mouvement le moindre objet, sans contact, on pourra toujour
s conditions normales sur des objets légers. L'électricité qui met en mouvement les feuilles de l'électroscope n'est-elle pas la
ur un pivot. Oes premières expériences permirent de constater que des mouvements d'attraction et de répulsion se produisaient dans
iné à être influencé par la force nerveuse, complètement à l'abri des mouvements de l'air, sans mettre obstacle pour cela à l'acti
bord d'un globe de verre l. qui sertà mettre l'aiguille à l'abri des mouvements de l'air. Pour se servir de l'appareil, on plac
n constate, au bout de quelques minutes, dans lu majorité des cas, un mouvement d'attraction de l'aiguille très accusé. Ce mouvem
rité des cas, un mouvement d'attraction de l'aiguille très accusé. Ce mouvement est suffisant pour déplacer l'aiguille de 15, 20
iguille de 15, 20 et parfois jusqu'à 45 et 50 degrés. C'est donc un mouvement bien visible et facile à constater. L'amplitude d
donc un mouvement bien visible et facile à constater. L'amplitude du mouvement varie, ainsi que nous le verrons tout à l'heure,
les personnes, et peut même, avec certains sujets, se transformer en mouvement de répulsion. Quoi qu'il en soit, examinons le
sformer en mouvement de répulsion. Quoi qu'il en soit, examinons le mouvement le plus habituellement constaté, l'attraction, et
e poussée ou un appel d'air. On peut certainement arriver à éviter ce mouvement ; mais, comme nous l'avons dit plus haut, cela de
pareil d'un globe qui ferme hermétiquement et le met à l'abri de tout mouvement atmosphérique. Une seconde objection, s'adressa
able de modifier l'équilibre de l'appareil et de mettre l'aiguille en mouvement . Nous pourrions d'abord répondre à celte object
appareil, ni le dispositif de l'expérience de donner naissance an mouvement de l'aiguille. Il restait donc constaté que, av
ci, on observe, au bout de quelques Instants que l'aiguille se met en mouvement . Puisque l'aiguille bouge, il est évident qu'une
corps, et donner à un objet inerte un ébranlement qui lui imprime un mouvement . Ces forces sont : le son, la chaleur, la lumière
ssivement et voir si leur action peut être invoquée pour expliquer le mouvement qui se produit dans notre appareil. Le son d'ab
placée entre la main et l'appareil. Au bout de quelques instants, le mouvement de l'aiguille se produisît malgré cette interposi
ppareil avec la même interposition d'ouate et l'aiguille ne fit aucun mouvement . Puisque la chaleur rayonnante du fer rouge n'agi
sant d'une façon quelconque, était la force qui mettait l'aiguille en mouvement . L'expérience fut faite le soir, dans une chambre
nouveau, et l'on put constater que l'aiguille avait avancé de 28*. Le mouvement s'était donc produit dans l'obscurité absolue et
si c'était elle qui, dans les conditions de l'expérience, mettait en mouvement l'aiguille de l'appareil. On sait que tout corp
pareil. Dans ces conditions, on constata que l'aiguille se mettait en mouvement de la même façon que lorsque la main était présen
corps léger dont on l'approche. Nous pouvons ajouter du reste, que le mouvement ainsi obtenu au moyen de l'électricité est un mou
reste, que le mouvement ainsi obtenu au moyen de l'électricité est un mouvement brusque et désordonné, qui ne ressemble en rien a
é est un mouvement brusque et désordonné, qui ne ressemble en rien au mouvement de l'aiguille du sthénomètre sous l'influence de
ns la contre-expérience en question, après avoir constaté ce genre de mouvement au moyen d'une tige reliée à une puissante machin
rement à sa direction, on constate, au bout de peu d'instants, un mouvement de l'aiguille, ordinairement dans le sens de l'at
dinairement dans le sens de l'attraction vers la main présentée. Ce mouvement se fait lentement, progressivement et d'une maniè
de l'aiguille produit par une secousse communiquée à l'appareil. Le mouvement ainsi communiqué à l'aiguille a une amplitude suf
es polémiques, tous les faits utiles a enregistrer pour l'histoire du mouvement scientifique ; 8- Un index bibliographique de t
orme un recueil des plus précieux pour tous ceux qui s'intéressent au mouvement psychologique contemporain. Lo prix est de 110 fr
do» polémiques, tous les fait* mil.- à enregistrer pour l'histoire du mouvement icieuliGque ; 8* Un index bibliographique de to
forme un recueil de» plu* précieux pour tous coux qui intéressent au mouvement psychologique contemporain. Le prix est de 110 fr
son action cello du caïqut vibrant Imaginé autrefois par Charcot. Ce mouvement vibratoire rapido provoque un effet sédatif sur l
uite par le mal de cœur. Elle est très anémiée et ne peut faire aucun mouvement dans son lit, sous peine de s'évanouir; les yeux
provoquer chez elle le sommeil hypnotique avec calalepsie suggérée et mouvements automatiques. Je lui suggère que son mal de cœur
hypnotisme. Le sommeil hypnotique, malgré la catalepsie suggérée, les mouvements automatiques et des suggestions appropriées, n'av
oyen simple de la dépister. Il consiste à faire exécuter au malade le mouvement de flexion de la colonne vertébrale comme dans l'
tébrale comme dans l'acte de saluer. Cette flexion, s'accompagnant du mouvement associé au redressement des membres inférieurs, i
s polémiques, tous les faits util» s à enregistrer pour l'histoire du mouvement scientifique; 8* Un index bibliographique de to
rs d'apparence féminine aussi bien au point de vue de la voix que des mouvements et des gestes. En 1886, au cours d'un accès de
ue, accompagné de catalepsie et même, chez plusieurs d'entre eux, des mouvements automatiques. Quand j'ai commencé à appliquer l'h
de ces attaques qu'elle manifeste une perte complète de la vue et des mouvements des membres inférieurs. Nombre de confrères se so
aru, cite peut déjà articuler quelques mots et, surtout, exécuter les mouvements de déglutition. Lasse et brisée, elle demande à
lacon-tractilité musculaire : - Voilà, Mademoiselle, lui dis-je, les mouvements revenus 1 » En effet, elle peut déjà fléchir le p
ternatif des muscles) suivie de la même sensation auditive (voilà les mouvements revenus). Or, ces impressions transmises au cer
es polémiques, tous les (ails utiles à enregistrer pour l'histoire du mouvement scientifique; 8* Un Index bibliographique de to
orme un recueil des ploa précieux pour tous ceux qui s'intéressent au mouvement psychologique contemporain. Le prix est do 110 fr
aux de paille. Bien entendu, ce cheval exprime ces réponses par des mouvements de la tête ou en frappant le sel avec son pied an
, ni calculer; les réponses qu'il doit faire lui sont diotées par des mouvements à peine perceptibles. Il est guidé uniquement par
cheval à percevoir les moindres signes des paupières ou les moindres mouvements résultant d'un jeu de physionomie. Les expérience
t généra], un état d'asthénie tel que la malade ne peut plus faire un mouvement ; elle passe toutes les journées étendue sur une
figé. Le ventre est énorme comme celui d'une femme enceinte ; chaque mouvement respiratoire est accompagné de contractions spasm
ui se passe en elle; à toutes les exhortations de se donner un peu de mouvement et de vie, elle répond : « Je ne le puis pas, il
Lorsque dans un morceau un thème reparaît et que ce thème a changé de mouvement , de mesure et de rythme, le certificat d'identité
des polémiques, tous les faits uUles à enregistrer pour l'histoire du mouvement scientifique; 8' Un indox bibliographique do to
orme un reenell des pins précieux pour tous ceux qui s'intéressent au mouvement psychologique contemporain. Le prix est de 110 fr
95 (1845) Journal du magnétisme [Tome I]
les couvertures ou linges qui recouvrent l’enfant; puis, cessant mes mouvements , et approchant un seul de mes doigts d’une surfac
termine dans les muscles de cette partie de légères contractions. Des mouvements se manifestent dans les doigts si c’est la main q
nt sur M. Petit, âgé de trente-deux ans, instituteur à Athis, que les mouvements convulsifs ont été déterminés avec le plus de pré
er par la parole, par la seule approche de ses doigts, déterminer des mouvements convulsifs apparents. Il fut endormi très-prompte
fin vers la tôte. Ces trois parties furent presque aussitôt prises de mouvements convulsifs. M. Du Potet dirigea sa jambe gauche v
gita; puis il porta son pied vers le coude et la main gauches, et des mouvements convulsifs très-forts se développèrent dans tous
nt les doigts sur diverses parties du corps, et provoquèrent quelques mouvements convulsifs. Ainsi M. Petit a toujours eu, par l'a
vulsifs. Ainsi M. Petit a toujours eu, par l'approche des doigts, des mouvements convulsifs, soit qu’il ait eu ou qu’il n’ait pas
es manières, les essais d’action à distance, et constamment les mêmes mouvements se manifestèrent dans les parties vers lesquelles
ssement sans sommeil, un agacement prononcé des nerfs de la face, des mouvements convulsifs dans les ailos du nez, dans les muscle
ns et tâchons toujours d’être un peu plus élevé que lui, pour que les mouvements que nous avons à faire ne deviennent pas trop fat
gne droite, nous la descendons ainsi jusqu’au bassin, et, répétant ce mouvement d’une manière identique pendant un quart d’heure
ons d’elle. Après cinq ou dix minutes de repos, nous recommençons les mouvements de nos mains comme précédemment pendant un nouvea
ration de la machine; il garde ce qu’il a de forces pour entretenirlc mouvement et la vie, car quelquefois il est môme insuffisan
e me reculai un peu pour lui laisser de la latitude et considérer ses mouvements . Il marcha dans ma direction, lentement, sans que
ière salutaire sur la substance des nerfs, le principal instrument du mouvement et des sensations, pour en rétablir l’harmonie lo
ue sans que lo magnétiseur, placé à huit pieds de distance, fit aucun mouvement de ses mains. Depuis ce jour on n’a plus employé
sultat du travail qui se fait par vos efforts et de l’augmentation du mouvement nécessaire. Dans ces cas votre magnétisation es
, produire des crises-, je ne veux pas parler de convulsions, mais de mouvements dans les fluides. Il faut que le malade soit repl
ares. Il faut alors doser votre magnétisme de manière à entretenir le mouvement imprimé; bien voir ensuite où se dirigent les mat
és comme de ceux qui l’environnent; qu’il est susceptible d’un ton de mouvement qui lui donne encore des propriétés analogues à c
les plus conformes à la vérité. «Une aiguille non aimantée, mistfen mouvement , ne répondra que par hasard à une direction déter
ue ne dérangea personne et je m’approchai de ma malade qui était sans mouvement ; je m’assis en silence à côté d’elle et contempla
issait ; c’était le calme précurseur du néant. La malade fit un léger mouvement ; je lui pris la main et lui fis connaître que j’
est cependant d’une de ces séries de la matière k plus divisée par le mouvement intestin dont je veux parler ici. On peut compa
qu’il a été dit, que l’ensemble de la matière la plus divisée par le mouvement intestin. En cet état, il remplit les interstices
., c’est-à-dire qu’il reçoit les impressions et les modifications (lu mouvement , qu’il les transmet, qu’il les transfère, qu’il l
si qu’il produit des effets, et ces effets ne sont que le résultat du mouvement et de l’organisation des corps. Ce fluide, par
st un milieu indifférent à toutes les impressions et modifications du mouvement . On peut encore leconsidérer comme l’eau dirigée
re leconsidérer comme l’eau dirigée sur un moulin; pour déterminer le mouvement et modifier les fonctions de cette machine, d’une
qu’elle soit le véhicule d’un autre fluide, qu’elle soit agitée d’un mouvement intestin et particulier. L’eau ne contribue à l’e
oulin que par la communication d’une plus ou moins grande quantité de mouvement , c’est-à-dire par une application plus ou moins c
é à les recevoir. L’air, dans ce cas, n’est donc que le conducteur du mouvement vers l’ouïe, do même qu’un autre fluide, plus dél
t ne peut êlrc agent qu’autant qu’il est appliqué comme conducteur du mouvement aux corps organisés, et qu’il en détermine par là
s pmpriétés sont le résultat combiné de torganisation des corps et du mouvement du fluide dans lequel ils sont plongés. On comp
é, deviennent l’origine de nouvelles organisations ; comment enfin le mouvement est la cause du repos, et le repos, à son tour, a
mouvement est la cause du repos, et le repos, à son tour, accélère le mouvement de la matière fluide pour opérer de nouvelles com
re le modèle du mécanisme de l’univers ; que ce n’esl que 1 'effet du mouvement dans Le plein. Comme toutes les vérités se tien
le répète, sont le résultat combiné de l’organisation des corps et du mouvement du fluide dans lequel ils se trouvent plongés.
idérée comme appliquée au corps animal, elle y devient le principe du mouvement et des sensations. La nature et la qualité de t
contiennent, ce sont eux qui les élaborent, on dirigent et règlent le mouvement , les mélanges, les proportions, les sécrétions, l
ui s’y opposent. Mais il reste à déterminer quel est le principe du mouvement et le ressort commun des fonctions des différente
sculaire qui, par son mécanisme particulier, est l’instrument de tout mouvement et le principe de toute action des solides sur le
fibre est Y irritabilité. C’est à cette faculté que nous devons le mouvement de systole et de diastole du cœur et de toutes le
action en arrête le cours. Aussitôt que les humeurs sont privées du mouvement local et intestin elles s’épaississent et se cons
ant, il est nécessaire, d’après une loi géné- raie, que la cause du mouvement soit toujours un effort contre la résistance, et
point troublé dans les sensations délicieuses qu’il éprouve; il a des mouvements spasmodiques des membres, du diaphragme; il sou
èche; il crachote souvent: les extrémités inférieures sont agitées de mouvements convulsifs légers. L’expérimenté en fait lui-même
FACULTÉS DE l’amB. Un être, c’est tout ce qui est susceptible de mouvement ; et comme le mouvement ne peut s’effectuer sans c
Un être, c’est tout ce qui est susceptible de mouvement; et comme le mouvement ne peut s’effectuer sans changer de pièce, il s’e
r de pièce, il s’ensuit que tout ce qui se meut ou est susceptible de mouvement occupe de la place. ( s. nriniAr I la Volonté d
de nier que, dans chacun de nous, la volonté ne soit une source de mouvement , qu’il m’est impossible de concevoir que le mouve
t une source de mouvement, qu’il m’est impossible de concevoir que le mouvement en général, le mouvement universel, puisse émaner
, qu’il m’est impossible de concevoir que le mouvement en général, le mouvement universel, puisse émaner de toute autre source qu
_ Alom„ f eiislant en j le sens concret, physique, réel, j = Atomc } mouvement . Carrière sans lerme | _ j Atome existant en mo
j = Atomc } mouvement. Carrière sans lerme | _ j Atome existant en mouvement ad sternum | = ( ad œlernuni. Donc l’atome an
ns le néant : il est donc éternel; car, supprimant la circonstance du mouvement comme accidentelle, il restera toujours: atome ex
me accidentelle, il restera toujours: atome existant ad œternum. Le mouvement étant un mot abstrait qui n’exprime qu’une manièr
ait qui n’exprime qu’une manière accidentelle d’être de l’atome, le mouvement enfin n’étant rien sans l’atome, ¡1 est évident q
présent existant, appartient essentiellement à l’atome, et non pas au mouvement . Dire: « le mouvement existe dans l’atome, » c’es
rtient essentiellement à l’atome, et non pas au mouvement. Dire: « le mouvement existe dans l’atome, » c’est se servir d’une expr
irement, quoique tacitement, impliqué ; car, s’il n’y avait pas eu de mouvement , le corps partant serait toujours resté inerte au
t avoir d’autre signification, car nous avons plus haut prouvé que le mouvement n’est qu’un mot abstrait, ne signifiant rien cons
; mais avant qu’il en soit ainsi, que de trouble! que de cris! que de mouvements ! que de sensations bizarres et singulières éprouv
nerveuse vers les extrémités, et il est même facile d'y constater des mouvements qui n’y avaient point lieu avant cette simple opé
même il survient de la transpiration aux pieds. On aperçoit de légers mouvements convulsifs sur le trajet que parcourt le fluide q
anquille. On lui mit une cuvette sous le menton, mais il ne fit aucun mouvement pour rejeter le sang qui coulait par la commissur
heure avec soin, et, ce temps précisément écoulé, le magnétisé fit un mouvement des yeux, mais ne put les ouvrir, et l’état magné
soil semblable. « (i\ole du direclntr.) sont à l’instant privés do mouvement et de sentiment. Alors la chaleur diminue dans ce
nnent, les nerfs agissent aussi, et ce concours d’action imprimant un mouvement aux liquides, la transpiration s’établit. Pendant
en avant fut Faite, sans déterminer, de la part du malade, le moindre mouvement ; seulement il dit : « Vous me faites mal. » Chaqu
aitement isolée, fut enlevée, sans que le patient exécutât le moindre mouvement . Je rapprochai les lambeaux, et un pansement méth
t est profondément endormi, tandis que les quatre autres sens sont en mouvement ; car lorsqu’il a commencé à être somnambule, il y
ion, mais que le bras, collé le long du corps, ne pouvait exécuter de mouvements sans de vives douleurs, résolut de le magnétiser.
damment. « Vous n’avez, dit M. Roslan, qu’à vouloir inter-« dire le mouvement à un membre : deux ou trois gestes « le jettent d
e « qu’on me désignait ; un spectateur mis en rapport «commandait les mouvements : impossibilité absolue « de mouvoir le membre par
ise en somnambulisme par M. Kuhnholtz, sans qu'elle fit le plus léger mouvement indiquant qu'elle avait ressenti de la douleur. »
la suite des impressions qu’elle recevait de la conversation ; aucun mouvement dans la circulation. L’opération, que le chirurgi
t attentivement les préparatifs du chirurgien, et en suivait tous les mouvements . Son angoisse cl ses appréhensions étaient grande
prise pour un cadavre si l’on n’avait vu la tête se balancer à chaque mouvement des porteurs; deux officiers tenaient des plateau
e six personnes est impuissante pour les contenir dans leurs brusques mouvements ; il faut des liens et des camisoles de force, et,
sser sans être aperçue, elle a touché ce membre devant vous; un léger mouvement vient de vous l'indiquer, et la poitrine se gonfl
e deux systèmes nerveux. Tout à l’heure, pour vaincre ces cris et ces mouvements désordonnés, bannissant toute crainte d’insuccès,
on regard, endormait dans un fauteuil 1111 jeune homme pàlc, dont les mouvements nerveux causaient aux spectateurs une pénible sen
par les yeux de véritables étincelles de feu, sans parler des affreux mouvements de sa tête, non plus que des autres agitations de
spilal of iVellow (near Ollcrton, Nottinghamshire), « Le plus léger mouvement de l’articulation était accompagné des douleurs l
st vrai, toujours les mêmes douleurs que faisait naître le plus léger mouvement de 1 articulation, et malgré cette amélioration d
s, devraient la rassurer sur vous, mais elle tremble et suit tous mes mouvements . Que sa crainte se calme; mon pouvoir magnétique
pprocher de moi; la voyez-vous, les traits immobiles, se lever par un mouvement presque insensible? Le sommeil magnétique engourd
avance, il avance aussi, mais malgré lui. H repèle de même tous les mouvements qu'il me plaît d'exécuter. Si on lui donne à teni
approche ou l'éloignemeni de la main imprime au paquet intestinal un mouvement de va el vient assez semblable à celui d'un souff
insi être utiles. Déposés sur une partie malade, ils entretiennent un mouvement tonique fort sensible, et on peut obtenir la réso
ns les causes premières, comme celui de la lumière, de la chaleur, du mouvement , de la vie, ce principe existe; nous en trouvons
ongue épingle d'or; lu sang coule el l’enfant n’a pas fait le moindre mouvement qui pût déceler la plus légère émotion. Son somme
eux traitée que celle de la vaccine, de la circulation du sang, cl du mouvement de la terre autour du soleil? Toutes ces immortel
Habitant les Antilles depuis vingt ans, ce médecin, resté étranger au mouvement ascensionnel de la science magnétique en France,
urs rhumatismales dans la partie rénale. M. Possin, comme preuve du mouvement qui s’opère dans les esprits, lit différents extr
ient celui qui devait les suppléer, alin de lui communiquer le ton de mouvement qu’ils avaient eux-mémes. Cette précaution, alo
is la pratique que je viens d’indiquer empêche un trop grand vide. Lo mouvement imprimé continue, plus faiblement il est vrai ; m
ne, on l’influence davantage en y portant un surcroît de forces et de mouvement ; mais on ne doit jamais chercher à se mettre en c
fardeaux, où les bras de plusieurs personnes ne peuvent contenir ses mouvements multipliés ? Le temps manque pour aviser. Les méd
dort pas. » Les conversations s’établissent d’abord à petit bruit, le mouvement des chaises commence, les rires se font entendre;
é de la résistance des plus opiniâtres; ils m’éeoutent, examinent mes mouvements , et doutent bientôt s'ils sont eux-mêmes bien éve
rin-« cesses du sang?.... — De plus grandes dames en-« core. » Ici un mouvement très-sensible dans la compagnie, el la figure du
96 (1881) Archives de neurologie [Tome 02, n° 05-06] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
la Nature, 1881. Nos recherches de 1878 marquent le commencement du mouvement actuel qui se poursuit en Al1et11a11C et en Fra
qui suivait, avec un léger retard parfaitement appré- ciable, le mouvement de la jambe. Cail..., hystéro-épileptique, actu
assique. Le cylindre est animé d'une vitesse uniforme au moyen d'un mouvement d'hor- logerie muni d'un régulateur Foucault. P
régulateur Foucault. Pour le cas actuel, il est placé sur l'axe de mouvement moyen et exécute un tour complet en six seconde
rusque, porté sur le tendon rotulien, provoque presqu'aussitôt un mouvement assez étendu de la jambe et à oscillations mult
e la deuxième rangée des os du carpe. La percussion donne lieu à un mouvement d'extension de la main et des doigts. Le tracé
contraction réflexe des extenseurs s'arrê- ter à mi-chemin dans son mouvement de rechute, pour retom- ber ensuite d'elle-même
accusés pendant la veille. Le réflexe rotulien produit à la fois un mouvement dans les quatre membres et un sou- bresaut de t
placent dans une extension forcée. En tous cas, ils subissent un mouvement latéral assez prononcé, en vertu duquel 1,'ig.
ment de pronation ou de supination, les muscles qui président à ces mouvements , ne recevant aucun filet moteur du nerf cubital
le fléchisseur sublime est le seul qui doive demeurer étranger au mouvement de flexion ; il reçoit ses filets moteurs du ne
les de l'éminence hypothénar (adducteur et court fléchisseur). Le mouvement d'extension que ces derniers muscles (interosse
ronateur. Pronateur et fléchisseur de l'avant-bras sur le bras. (Le mouvement de flexion est assez énergique lorsque l'avant-
lorsque l'avant-bras est maintenu en supination, mais lorsque le mouvement de pronation est fortement accusé la flexion se
. A priori, l'excitation du tronc nerveux lui-même pro- duira les mouvements suivants : Flexion de l'avant-bras sur le bras
action (rond pronateur) et encore est-il peu fléchisseur lorsque le mouvement de pronation est éner- gique comme nous le verr
vec flexion de la première phalange et peut-être de la deuxième. Le mouvement d'opposition est exécuté par les faisceaux des
le métacarpien et étendent la deuxième phalange sur la première. Ce mouvement de flexion de la première phalange s'exécute av
lancé par aucun des muscles extenseurs ; il n'en est pas de même du mouvement d'extension de la deuxième phalange sur la prem
'emporter. En résumé, l'excitation du médian doit donner lieu aux mouvements suivants : 1° Pronation; 2° Flexion de la mai
bras ne saurait exister. Le poignet est fléchi. Le pouce, par un mouvement d'opposition, vient se placer dans la paume de
u mé- dian, aux muscles de l'épaule rotateurs de l'humérus, et le mouvement de pronation est continué, pour ainsi dire, par
et le mouvement de pronation est continué, pour ainsi dire, par un mouvement de rotation du bras de dehors en dedans, de tel
UE. et par le court supinateur qui seul préside efficace- ment au mouvement de supination. Les autres muscles innervés par
s d'incoordination des membres supérieurs et ils exécutent tous les mouvements avec l'exacti- tude que permettent les lésions
oite. Avant l'accident, l'ar- ticulation paraissait saine, tous les mouvements en étaient libres, le malade n'y avait pas ress
ot; elle n'existe pas spontanément, elle n'existe pas même lors des mouvements exagérés que font les malades et qu'on imprime
ces, malgré la médication employée, étaient telles que les moindres mouvements provoquaient des douleurs atroces et que le som
t dans certains milieux scientifiques, et surtout en Angleterre, un mouvement très singulier d'opinion. A priori, on niait le
mant sur l'organisme. M. Maggiorani communique aubarreau aimanté un mouvement rapide de rotation, par un mécanisme très simpl
ne manivelle et un système de roues dentées qui lui communiquent un mouvement très rapide, de l'autre avec une sorte de mâcho
ser, entre les formes connues des agents physiques, des variétés de mouvement de la matière, éthérée ou pondérable, qui n'ent
la tonicité des muscles. E. B. II. RECHERCHES graphiques SUR LES mouvements DU cerveau chez l'homme ; par L. RAGosiNet M. M
où il a été possible de recueillir des inscriptions graphiques des mouvements du cerveau chez l'homme vivant, il s'agissait d
Salathé, Brissaud et François- Franck, Mosso et Jiacomini, que les mouvements d'expansion et de retrait de la surface encépha
paraissent prouver, en outre, qu'il existe une troisième sorte de mouvements cérébraux, complètement indépendants de toute a
es que les physiologistes ont étudiées et décrites sous le nom de mouvements rhythmiques des artères, et dont Schiff le premie
de ce groupe cellulaire est celui dans lequel Ferrier à localisé un mouvement d'écartement des lèvres et une ouver- ture part
conjonctive, sur la réaction de la pupille à la lumière ou sur les mouvements de clignement. CH. FkR. REVUE DE PATHOLOGIE M
chai légè- rement sans qu'il s'en aperçut et chaque fois il fit des mouvements d'épaule ou lança le bras en avant; et, bien qu
ur de ces tracasseries, il ne put éviter à chaque fois de faire ces mouvements assez accentués. 4° Il tenait un vase à la main
ser à l'épilepsie. 11 est fort difficile de faire de sang-froid les mouvements violents qu'ils exécutent. C'est 148 VARIA. u
de la phy- siologie musculaire, et l'immobilisant au terme de son mouvement dans l'attitude figurée ci-contre (PL. IX, fig.
se placer sur la même verticale. Il en résulte que la tête subit un mouvement de rotation, en vertu duquel la face se trouve
moplate so- lidement appliquée au thorax et qui lui fait subir un mouvement de bascule, en vertu duquel son angle in- férie
tion ou l'opposition du pouce, mais, il s'y ajoute souvent un mouvement de flexion de la phalangette dû vraisemblab
ernières pha- langes restent étendues, et au bord cubital, le mouvement de l'abduction. ÉTUDE DE L'HYPNOTISME CHEZ LE
la propagation de l'excitation. Dans l'état d'hyperexcitabilité, le mouvement d'un muscle s'accom- pagne ordinairement de l'a
ours compter avec les actions synergiques; mais, loin de nuire au mouvement que l'on cherche à obtenir, ces actions, dans l
peuvent faire rencontrer une branche nerveuse destinée à mettre en mouvement un Plus ou moins grand nombre de muscles, ce qu
la partie su- périeure du visage et impriment tous au sourcil un mouvement particulier. Ce sont : le frontal, l'orbicu- la
rand zygomatique : Muscle du rire (Fig. 31). Lignes fondamentales : mouvement oblique en haut et en dehors de la commissure l
le du nez, ibesl facile de se'rendre compte' de la part qui, dansée mouvement expressif de. la première, doit être attribuée
e ET DE l'aile DU NEZ imprime- à ces parties de la physionomie un mouvement . bien caractéristique, que. la Figure 4 t de la
ffit de toucher le bord d'une narine ou sa face externe pour que le mouvement de dilatation s'accuse aussitôt avec énergie; e
itôt avec énergie; et, le plus souvent, l'autre narine participe au mouvement (mais à un degré moindre)/ bien que l'excitatio
proche de la ligne médiane, comme sur la Figure de la Planche X, le mouvement de dilatation est à peu près égal des deux côté
e'de cette expérience déjà délicate. Néanmoins, nous pensons que ce mouvement des narines s'est ' inscrit assez nettement sur
ection indiqué par l'électrisation localisée (7. 16), on obtient un mouvement complexe de ladèvre résul- tant de la. contract
égu- tg - 11 t l 1 - . 14 11 t1 ? 1 el ? , , - ments du menton un mouvement d élévation, et les ' . t . ! ' lfllv(,tl 'el 1
une grimace. ..1; 411- 'Il '1) 1 &i "t ...." '" ? Mais, si au mouvement des traits occasionnés par le peaucier vient s'
moins ? s'ilnse produit alors' de chaque côté, de la physionomie un mouvement un peu com- plexe, la contraction unilatérale»
és* à ,1a fois, pendant que la malade est léthargique totale, et le mouvement d'ensemble qui en est la conséquence et représe
malade est totalement)- incapable d'imprimer'à'ses oreilles les- mouvements que, dans le sommeil provo- qué, l'excitation m
reille, qui se trouve attiré en haut et un peu en arrière; Aucun mouvement ne se produit si l'excitation n'est pas exactem
, devant du tragus intéresse le rameau nerveux- qui iva donner le mouvement au muscle auriculaire supérieur, et , qui 'ne s
us observons pour la pre- mière fois. Dans les deux mains de petits mouvements fort légers s'opèrent à la fois ; mais, bientôt
ent. Les mêmes doigts de l'autre main subissent au même moment un mouvement inverse, l'annulaire et le petit doigt entrent
petites oscillations brèves, sac- cadées et irrégulières. Puis, un mouvement d'ensemble se produit, l'index gauche qui, demi
recouvert par les autres. Au bout de peu d'instants, nous voyons un mouvement se produire exclusivement dans le petit doigt q
ent. Puis, le médius seul se soulève un peu, il est agité de petits mouvements , 'et frappe la table de petits coups répétés. P
ue le médius gauche subissait un 212 ? PHYSIOLOGIE 'PATHOLOGIQUE. mouvement ascensionnel, le médius droit, par un mou- veme
, mais sans les comprendre. Il saisit bien les gestes et même les mouvements de la bouche et des lèvres. Il ne sait écrire s
his, et presque complètement paralysés. A peine y avait-il un léger mouvement volontaire d'extension dans l'articulation du p
ain de polichinelle. Le malade peut seule- ment augmenter un peu le mouvement de flexion, et sa main ne lui sert guère que co
rd'hui un relief appréciable. Toutefois, quand le malade faisait le mouvement d'extension du poignet sur l'avant-bras, il ne
mi- nences thénars et même des espaces interosseux, mais tous les mouvements sont exécutés par X..., et, en somme, il a recouv
e son état général, à la réapparition des masses musculaires et des mouvements volontaires, sous l'in- fluence évidente du rep
e la -diminution de la 'sensibilité cutanée,, dans quatre aussi des mouvements convul- sifs ;'quatre'cas' encore'de respiratio
i à la peau, tant elle est mince et exactement adhérente àl'os. Les mouvements de la face sont moins libres du côté gauche ; l
16 243 REVUE DE pathologie NERVEUSE. dans ses lignes et dans ses mouvements , fait un singulier con- traste avec la joue gau
leùr's'étendait le longdel'épinecervicale, etétaitaggravée par les' mouvements ; dans l'autre; il y'eut de la raideur, de la nu
vénements personnels qui font époque dans la vie, de la lenteur des mouvements , de l'incertitude dans la démarche, de la glout
de] la tête, du côté où a,été,faite l'injection, souvent aussi des mouvements de roulement et de manège. Plus la pression est
érébrale deux ans auparavant.1 Il était resté, une grande' gêne des mouvements et'-ilne perte'presqilelcolnplète de la'sensibi
gauche étaient fléchis et n'étaient capables que de quelques petits mouvements . Les orteils se fléchissaient en marchant' et e
iolentes, occupant la partie^ supérieure de l'épine et gênant t les mouvements du bras gauche. Jamais elle n'avait vomi, n'avait
ectuls), 261. Cérébrotomie méthodique, par Bi- tot, 1. Cerveau ( mouvement du) par Ra- gosin et Mendeissohn, 191. Cervea
vaisseau dans la région cervicale . de la moelle),, 260. -11" 1 Mouvements ,(reeherc])es.graplu- F ques sur les) du, cervea
97 (1899) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 14
la luette, peut être considéré comme extraphysiologique si la mise en mouvement du spasme diaphrag-matique détermine un hoquet du
ciaux. L'écriture automatique se ramène aussi à des sensations ou des mouvements perçus mais devenus cryptoides, tels « ces cours
recueillant avec soin les changements de physionomie, les gestes, les mouvements , de même que les rêves faits à haute voix et les
on d'un point, chez les moines du mont Athos et chez les Fakirs. 2° Mouvements automatiques rhythmés, mélodies monotones et inha
époque ses parents ont remarqué qu'elle remuait la tête comme dans le mouvement que nous faisons pour dire non; cela était fréque
l réapparaissait rapidement et coup sur coup, comme pour suppléer aux mouvements manques. Elle avait alors de l'angoisse et ne pou
ence (1), mais il serait exagéré dédire qu'un seul symptôme, comme ce mouvement spasmodique puisse constituer ou déceler une dégé
nous serions plus ou moins dégénérés, plus ou moins hystériques. Le mouvement que notre malade faisait était celui de la négati
Gomme Charcot le disait, ces secousses aboutissent à la production de mouvements usuels ; « Le mouvement complexe du tic, dit-il,
ces secousses aboutissent à la production de mouvements usuels ; « Le mouvement complexe du tic, dit-il, n'est pas absurde en soi
ans motif apparent, o. Du reste tous les auteurs ont remarqué que les mouvements des tiqueurs ne sont pas sans signification et sa
on et sans but, comme ceux de choréiques ; ils offrent l'apparence de mouvements exécutés dans une intention donnée. Comme vous
. Comme vous le savez, Guinon a défini le tic convulsif comme ·. un mouvement convulsif, habituel et conscient, résultant de la
ractères dans notre cas, excepté le dernier; notre malade présente ce mouvement d'une manière continue.Les mouvements voulus sont
ernier; notre malade présente ce mouvement d'une manière continue.Les mouvements voulus sont tout à fait normaux, tandis que les m
ntinue.Les mouvements voulus sont tout à fait normaux, tandis que les mouvements convulsifs sont involontaires, mais conscients. J
aires, mais conscients. Je la prie de faire effort pour suspendre ces mouvements convulsifs; elle n'y parvient qu'au prix d'uue an
emière séance et nous lui avons suggéré qu'elle cesserait d'avoir ces mouvements une fois réveillée ; pendant la durée de son somm
éveillée ; pendant la durée de son sommeil elle ne fit pas le moindre mouvement . Â la deuxième séance qui eut lieu deux jours apr
lier, nous lui avons suggéré que, chaque fois qu'elle accomplirait le mouvement involontaire du tic, elle se rappellerait notre s
ce. A la troisième séance elle était déjà tellement améliorée que les mouvements devinrent très rares et nous n'avons pas pu en vo
et nous raconta qu'à son grand étonnement elle ne faisait plus aucun mouvement et qu'elle est complètement guérie. Elle était si
mple, chez les syringonyéliques ; les troubles de la coordination des mouvements ne sont pas proportionnels uux altérations des se
r en avant. Chez quelques-uns de ses malades. M. Launois a observé un mouvement inverse; l'un d'eux, atteint de petits vertiges,
trouver en présence d'une peinture n'était pas éveillée. Un centre du mouvement palpebral ayant, par expérience, éprouvé la vue d
ement esquisser. C'est de Liébeault qu'il faut faire partir tout le mouvement médical contemporain, si remarquable par ses résu
ses résultats, vers l'étude des maladies nerveuses ; et aussi tout le mouvement contemporain, encore faible, vers le traitement d
en indiquant l'importance et l'intimité des rapports qui unissent ce mouvement médical au mouvement littéraire et philosophique,
tance et l'intimité des rapports qui unissent ce mouvement médical au mouvement littéraire et philosophique, ou, pour mieux dire,
ent littéraire et philosophique, ou, pour mieux dire, à l'ensemble du mouvement intellectuel de notre pays à celte époque. En e
ale contribuèrent puissamment à continuent â accroître l'influence du mouvement médical sur les autres 'branches du mouvement int
ccroître l'influence du mouvement médical sur les autres 'branches du mouvement intellectuel. Ouand Claude Bernard avait procla
organique de cetle machine à la fois simple et complexe qui n'est que mouvement . Dans la seconde enfance, jusqu'à 6 ou 7 ans, m
e qu'il soit, car si le corps a besoin de repos, il lui faut aussi du mouvement , d'autant qu'un excès de sommeil favorise la prod
té pour l'enfant, et elle n'est pas sans inconvénients. En etict, ces mouvements oscillatoires et les incanlalions monolones qui l
avail en question, le ventriloque en parlant ne doit pas présenter de mouvements apparents d'articulation, qui feraient disparaîtr
ue.de prononcer le plus grand nombre de voyelles et do consonnes sans mouvement externe, seulement les s et les ch sont difficile
tte raison remplacés io plus souvent pnrun / ; en ce qui concerne les mouvements de la langue, la régis générale paraît être que l
régis générale paraît être que le ventriloque essaie de produire ces mouvements avec la p;.rtie de la langue la plus profonde pos
vements avec la p;.rtie de la langue la plus profonde possible. ; les mouvements de la glotte sor.i cachés le plus souvent au publ
entriloque la même personne a besoin do 9(1 fi centimètres cubes. Los mouvements respiratoires diffèrent dans Ja voix de ventriloq
re produire aussi profondeiae il que possible; ce sont les différents mouvements de la glotte, des cordes vocales et de la partie
de la langue ; les secondes qui ont pour but de rendre invisibles les mouvements apparents de l'articulation. A quoi donc est du
abitude, en entendant une personne parler, de lui voir faire certains mouvements des lèvres et des autres parties du visage ; le v
parties du visage ; le ventriloque, au contraire, ne présente pas ces mouvements apparents, ses lèvres restent immobiles, sur sou
t surpris par les paroles d'une autre personne; il fait, de plus, des mouvements de tête vers la ligure d'où le son parait venir,
parait venir, et enfin l'attention des auditeurs est attirée par des mouvements souvent comiques des poupées ; on est donc condui
> lité de nombreux amis, et se mêle, d'une façon active, à notre mouvement scientiiique. Onpeutlerencontreral'Institut hypno
tion, elle sent toujours une impulsion motrice, ses doigts entrent en mouvement comme pour saisir un crayon et accomplir l'acte d
sœur cadette qui, comme vous lo voyez, a une chorée rythmée à grands mouvements . Pareil accident ne doit pas vous surprendre. La
ue choréique. II y a trois semaines quand je vous l'ai présentée, ses mouvements , rythmés consistaient en violents mouvements succ
vous l'ai présentée, ses mouvements, rythmés consistaient en violents mouvements successifs de rotation et de supination des deux
e l'imiter cl il m'a obéi ponctuellement, reproduisant exactement les mouvements choréiques qu'il voyait. Prenant alors les électr
Encore une fois j'ai été obéi et les bras peu à peu ont cessé leurs mouvements . — Pendant le môme temps, j'excitais la vraie cho
ant qu'elle aussi allait être guérie. Au bout de quelques passes, les mouvements rythmés diminuaient de grandeur, puis s'éteignaie
omatique. Tous les phénomènes produits durant l'hypnose (conceptions, mouvements , sensations, images) doivent leur origine à cette
, au cours de l'extraction, pendant la prise de la dent et durant les mouvements de luxation, dont la durée, si courte qu'elle soi
ut mieux ne point être distraits de notre travail par des cris et des mouvements intempestifs qui ne sont point la traduction d'un
une véritable souffrance qui, ajoutée à la sensation désagréable des mouvements de luxation, laisse dans son esprit une impressio
tion. Vous avez fait comme ce philosophe qui marcha pour démontrer le mouvement . Grâce à l'hypnotisme et à la suggestion, vous av
et de manière.à ce qu'elle entende bien, qu'elle « va guérir, que les mouvements disparaissent, qu'ils ne se produisent c plus. No
tourons ensuite de bandes les membres atteints. « Le lendemain, les mouvements choréiques du membre inférieur « ont disparu; ceu
ociation d'idées dans la quelle intervenait la main. Par exemple, les mouvement ;; de préhension et surtout le fait de donner la m
de tous les ani-« maux rit ; car le chatouillement est un ris par le mouvement de la « partie qui accomplit l'esselle ». i Il
semble, que la vie de l'animal n'est pas constituée par une série de mouvements réflexes automatiques, que, d'autre part, il y a
n et l'autre se comporteront de !a môme manière, produiront le3 mêmes mouvements impulsifs, auront des gestes similaires. Le tra
it commun, î'idée-force, comme dirait M. Fouillée, pour expliquer ces mouvements impulsifs, serait l'appétit, su sens le plus larg
écouvrir les dents, à dilater le cœur, bref, à provoquer la série des mouvements qui constituent le rire ? M. Edouard Cuyer, qui
besoin de manger, Yappétit, la félicité du palais, a dû provoquer ce mouvement des lèvres, des dents, ce rire-A l'époque où ce v
eté à sa manière par des bonds, des appels de voix, des caresses, des mouvements de membres ou de la queue; il en manifeste ù uotr
persistait, bien que moins accusée. Le bras droi n'exécutait que des mouvements restreints; la main, tout en eonservan le mouveme
xécutait que des mouvements restreints; la main, tout en eonservan le mouvement des doigts, ne développait aucune pression sensib
ade accusait une sensation d'engour dissementet de fourmillement; les mouvements de flexion du genou c de la cheville étaient à pe
écute d'une manière automatique et, pour ainsi dire inconsciente, les mouvements de la marche, comme les hypnotisés réalisent, tou
s d'Ilippo-crate et de Galien, les médecins se tiennent au courant du mouvement thérapeutique ; ils n'hésitent pas à se montrer p
de paralysies, hémiplégies, névrites, contractures, accès convulsifs, mouvements choréiformes, astasie-abasie, tremblements, l'exp
vîté psychique, la capacité intellectuelle, est en raison inverse des mouvements des lèvres dans la prière. ' La prière agît d'a
sible, leur oraison continuelle « en priant tantôt par pensées et par mouvements , tantôt par paroles, tantôt dans l'office, tantôt
l a été provoqué. Lorsque la malade est dans l'état d'excitation, ses mouvements automatiques et ses actes impulsifs ont, pour un
e spinal. Le deltoïde, innervé par le circonflexe participe aussi aux mouvements convulsifs. Contrairement à l'opinion courante
lonté et du-pouvoir inhibiteur, par une gymnastique consistant en des mouvements lents des membres supérieurs. Le tic du slerno-
de Bruxelles, 1899, IV, p. 70. Un homme, âgé de 44 ans, présente des mouvements coniques et toniques dans toute l'étendue du memb
enièvre. Quelques jours après, il a fait avec sa main gauche quelques mouvements auxquels il n'était pas habitué ; à la même époqu
sion mentale associée â une déviation constante dans la direction des mouvements nécessaires à l'écriture./page> page n="287"
e), Simeray (de Melun). Ouvrages reçus Dr Fernand Lagrange. — Les Mouvements mécaniques et la « Méca-nothérapie -, 470 p., pri
n adjuvant de la suggestion religieuse. Cette influence hypnogène des mouvements rhythmiques et lents est connue. Il suffit de sui
ant du site de Port-Royal-des-Champs, qu'on y ressentait « un certain mouvement de dévotion qu'on ne ressent pas ailleurs ». Or c
ient pouvait retenir l'eau dans la bouche, sans manifester le moindre mouvement spasmodique s'il ne se forçait pas d'avaler cette
qu'il respirait mieux et qu'il avalait l'eau encore plus facilement : mouvements fébriles moins fréquents, pouls moins agité, érup
veut l'examiner, il manifeste une agitation musculaire extrême ; des mouvements incohérents, non systématisés, s'étendent jusqu'a
motion violente, cet homme présenta une agitation du même genre : ses mouvements étaient si intenses, qu'il lui était très diffici
rogressivement. Cette fois, il a éprouvé de vives contrariétés et des mouvements analogues ont reparu, revêtant la forme d'une cho
ce de l'émotion. Tout porte à croire que cette fois, comme jadis, les mouvements vont s'atténuer progressivement ; ils cesseront t
e café, le tabac, et l'alcool ou l'opium. Le troisième comprend les mouvements mécanique». Il renferme les danses et les divers
prend les mouvements mécanique». Il renferme les danses et les divers mouvements par lesquels, instinctivement, les -enfants s'amu
tats psychiquee sur les sens. Sur les organes de la sensibilité et du mouvement . 6 Juin. — Delaméthoded'expérimentationdesphénomè
ltant de la transformation, dans les voies nerveuses centripètes, des mouvements du milieu ambiant; 2° L'image simple, ou souven
se transforment, dans les muscles de la mimique ou de l'écriture, en mouvements mécaniques qui donnent lieu à des ondulations lum
voies centrifuges se transforment, dans les muscles de la parole, en mouvements mécaniques qui donnent lieu à des ondulations son
la faculté d'écrire et de se servir de sa main. Sous l'influence des mouvements , les doigts s'étaient pour ainsi dire effilés et
impulsion irrésistible à accomplir un acte ou une série d'actes ; 2e mouvements compliqués et bien coordonnés, en rapport avec le
e considérées comme hystériques en raison de leur longue durée et des mouvements bien coordonnés qu'elles ont comportés. II a eu,
poignet et du coude des deux côtés, mais la parole était nette et les mouvements de la langue normaux. L'intelligence était intact
es, la spas-modicitése constitue avec raideur musculaire, lenteur des mouvements , exagération des réflexes, trépidation épîleptoîd
se... » « La langue, tirée hors de la bouche, reste dehors sans aucun mouvement , comme contracturée pendant une demi-minute, puis
ntement pour l'articulation du mot; elles sont bien plutôt animées de mouvements fibril-laires, ainsi, d'ailleurs, que la langue;
tions internes. — L'hypnotisme et la psychologie de la douleur. — Les mouvements inconscients cl l'écriture automatique. — Les fon
ent, en passant d'un cerveau A à un cerveau B, une transformation (en mouvements mécaniques et en ondes lumineuses ou en ondes son
s'abstient de marcher parce qu'il existe chez lui, au point de vue du mouvement , une inhibition créée et entretenue par la douleu
rticulations tibio et médio-tarisienne très extensibles; 3" entin aux mouvements très étendus du gros orteil : extension, flexion,
os orteil : extension, flexion, adduction, abduction, mais jamais d(* mouvements d'opposition. Ce fait est d'autant plus importa
98 (1906) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 21
ts d'une façon intermittente : le tic n'apparaissait qu'avec certains mouvements ; c'étaient donc des cas bénins qui devaient guér
ivai à lui procurer une amélioration notable et à lui faire faire des mouvements gymnasti-ques sans douleur, ni tic. Je viens de
'Bérillon ; nul n'apprécie plus que moi la part qu'il a prise dans le mouvement psychologique actuel et j'ai déjà saisi avec empr
t de suivre son chanteur, celui-ci étant le maitre des nuances et des mouvements . Pour employer une expression courante, cet accom
mémoire automatique, et mon esprit toute sa mémoire de nuances et de mouvement . J'en avertis la chanteuse ; nous répétons, et au
la sonde. Surveillance continue. Le 20 juillet elle fait le premier mouvement en portant la main à la bouche. Le 21, elle se co
e le lit. En faisant entrer la sonde, on provoque maintenant quelques mouvements de déglutition. Dans la journée la malade reste i
nerveuses, désignées sous le nom de neurones, étaient susceptibles de mouvements capables d'établir des contacts entre les cellule
Pourquoi la justice réparatride a-t-clle été si longue à se mettre en mouvement ? Pourquoi ceux qui innocentent M"e Heuster aujour
du moins une fois endormis occasionnellement. » (S. L., p. 62.) 10) Mouvement musculaire : Augmentation et diminution de mouvem
., p. 62.) 10) Mouvement musculaire : Augmentation et diminution de mouvement musculaire. Braid : « Je vais entrer, dans quel
s quelques détails an sujet de l'augmentation et de la diminution des mouvements musculaires sous l'influence de la suggestion. »
ité physique. » (p. 252.) « Ma volonté était étrangère à ce fait. Les mouvements du patient sont instinctifs et automatiques, et d
, par conséquent l'impression mentale ne prouvait qu'une tendance aux mouvements . » (p. 252.) Faria : Voyez a» paragraphe Méth
t enfin Giseh, la ville des Pyramides, vers 30/30. Je profite de ce mouvement de surprise de votre part pour vous annoncer que,
ans toutes, en obligeant les élèves à prendre la droite dans tous les mouvements de circulation qui ont lieu pendant les classes e
ondent à ces neuf directions sont tout naturellement dessinées par le mouvement du bras indicateur. Nous avons illustré cette d
Enfin, l'inattention d'un enfant, son agitation, ses grimaces, ses mouvements bizarres peuvent relever de la chorée. que l'on r
Un homme de sa haute valeur ne peut se méprendre sur l'importance du mouvement qui se manifeste aujourd'hui. Il doit se dégager
Lépixay et Grollet, médecin s-vétérinaires. Littré définit le tic : mouvement convulsif local et habituel, contraction convulsi
nt différent à notre avis du tic : c'est le tic douloureux qui est un mouvement réflexe occasionné par la douleur, tandis que le
mouvement réflexe occasionné par la douleur, tandis que le tic est un mouvement produit sans aucun mouvement périphérique. Le t
par la douleur, tandis que le tic est un mouvement produit sans aucun mouvement périphérique. Le tic chez les animaux revêt un
certain nombre de formes différentes. Chez eux on appelle tic soit un mouvement spasmodique d'une partie du corps, contraction mu
action de balancer une jambe pendant la station assez prolongée. Ce3 mouvements cessent généralement quand l'attention est fixée
quand un exercice physique quelconque est effectué. Il semble que ces mouvements automatiques soient la manifestation d'un besoin
la cause des troubles gastro-intestinaux. Ce serait donc une sorte de mouvement réflexe et à notre point de vuo ce ne serait pas
animaux, il existe un assez grand nombre de tics. Ce sont d'abord des mouvements spasmodiques d'un membre ou d'une partie d'un mem
chorée, ils se sont en partie guéris, mais il est resté cependant des mouvements de certaines parties du corps. Ces tics pourraien
ignorons pas cependant qu'il existe chez l'homme un certain nombre de mouvements , de contractions dont l'origine ne peut vraisembl
s en temps une ou les épaules, et l'on peut retrouver l'origine de ce mouvement dans la préoccupation de remettre en place un vêt
en place un vêtement qui a tendance à glisser. — Telle femme fait des mouvements de renvoi de la tète en arrière très fréquents lo
e la tète en arrière très fréquents lors même que rien ne justifie ce mouvement . Dans un assez grand nombre de cas, l'origine en
eur de nourriture leur parvient. D'autres chiens produisent le même mouvement sans qu'il y ait la même raison, à tel point que
re approche, et même hors de votre présence sans que rien justifie ce mouvement . Il suffit d'ailleurs dans l'espèce humaine de pa
us avons observé que par exemple le fait de masser un membre animé de mouvements involontaires, de placer normalement ce membre, d
ements involontaires, de placer normalement ce membre, d'empêcher ces mouvements , le fait de fixer la mâchoire d'un chien qui para
e son maître ne pouvait se lever, était aussitôt parti, de son propre mouvement , pour chercher du secours à la bergerie, à un kil
allucinations télépathiques, l'extériorisation de la sensibilité, les mouvements d'objets sans contact et le flottement dans l'air
il m'a accordés. Messieurs, vous êtes actuellement les témoins d'un mouvement d'opinion considérable qui pousse les membres du
nous sommes heureux de le proclamer, a devancé de plusieurs années ce mouvement réformateur. Ses professeurs ont réalisé, bien av
évolutionnaires. Sans oublier les bienfaits des religions, le grand mouvement de pitié et de charité dont elles soulevôrentle m
professionnelles, quand le sujet exerce un métier manuel exigeant des mouvements d'une certaine énergie. Mais souvent la recherche
sse le renouveler que cinq fois. Le nombre de kilos soulevés à chaque mouvement indiquera le degré de sa force et celui des mouve
ulevés à chaque mouvement indiquera le degré de sa force et celui des mouvements qu'il peut répéter sans se reposer marquera la li
cherchant à augmenter le poids de l'haltère soulevé et le nombre des mouvements effectués, nous aurons le tableau d'une expérienc
nce de la graisse peut entraver la contraction du muscle et gêner les mouvements . Il s'est donc produit, dans les organes qui ex
à l'heure pour exemple, le poids de l'haltère est assez lourd et les mouvements du bras assez rapides; car c'est la forme que rev
nt le rôle de la volonté dans le travail musculaire. Klle commande le mouvement , le détermine et l'arrête à son gré; elle en règl
gent physique et provoquer chez un animal, ou même chez un homme, des mouvements involontaires au moyen de l'électrisation. On peu
oir excito-moteur de sa volonté. Non seulement la volonté commande le mouvement , mais encore elle assure aux muscles actionnés la
que celui de la volonté. Le jugement intervient dans l'exécution des mouvements , non pour en augmenter l'énergie mais pour en per
t à la fois l'esprit et le corps et qu'on appelle là coordination des mouvements . C'est grâce aux perfectionnements qu'apporte l'e
re que l'attaque peut se traduire soit par une agitation extrême, des mouvements désordonnés, ou bien par des douleurs violentes,
es, palpitations, tremblement des membres, ou, au contraire, arrêt du mouvement , impression de vide du cerveau, absences de mémoi
par M. le Dr LaGhange (de Vichy) {suite et fin) La coordination des mouvements est une véritable opération intellectuelle. Il
avant chaque acte musculaire, aussi rapide que soit la succession des mouvements , un travail de l'Esprit, à défaut duquel le mouve
succession des mouvements, un travail de l'Esprit, à défaut duquel le mouvement serait irrégulier, désordonné, manquerait son but
gulier, désordonné, manquerait son but. Cette préparation mentale des mouvements est l'acte le plus intéressant, le plus curieux à
e. Ainsi rien n'est plus réfléchi, plus attentivement calculé que les mouvements d'un bon escrimeur qui fait assaut. Mais tous ces
que les mouvements d'un bon escrimeur qui fait assaut. Mais tous ces mouvements si précis, si intelligents, si raisonnes, se succ
cultés intellectuelles est très apparent, parce qu'on sait que chaque mouvement de la main fait partie d'une combinaison parfois
ors il a pour objectif, l'économie des forces et non la précision des mouvements . Et le résultat du perfectionnement de la coordin
, — vient au secours des muscles pour leur faciliter l'exécution d'un mouvement . Pour soulever un gros haltère et l'élever au-des
choisir, parmi les muscles très nombreux qui pourraient accomplir le mouvement voulu, ceux dont l'association permet d'exécuter
plir le mouvement voulu, ceux dont l'association permet d'exécuter ce mouvement avec la plus grande économie de force. Cette apti
e. Une des grandes causes de l'essoufflement est le dérèglement des mouvements respiratoires. Dans les exercices de vitesse, il
ultiplier nos respirations ; mais quand on cède trop à ce besoin, les mouvements respiratoires deviennent tellement rapides qu'ils
l'esprit. Chez les enfants arriérés, par exemple, l'apprentissage des mouvements pourrait être une préparation à celui des matière
douteau, la qualité des aliments n'a-t-elle pas une influence sur les mouvements et la manière de se comporter de l'animal ? « —
articulièrement désagréables, il manifeste son mécontentement par des mouvements brusques, et il se venge en m'enfonçant ses griff
e et elle a remué, comme cela, voyez », et la malheureuse esquisse un mouvement de tête et de tronc, de droite à gauche. « Main
annonçait que tout n'était pas terminé et qu'elle sentait encore des mouvements spéciaux qui lui prouvaient qu'il y avait encore
t la grande tenue, panaches, plumets, pelisses, kolbacks ; couleur et mouvement dans tout. Parade théâtrale si l'on veut, mais qu
s suggestifs produits par les lignes, les volumes, les couleurs elles mouvements . • Aux premières époques guerrières, les hommes
vêtements, avait un effet nettement agressif, exprimait l'action, le mouvement , la vie intense et contribuait à entretenir un se
ical et instable. On devine qu'il faut peu de chose pour la mettre en mouvement . Ce mouvement, cette action possible que nous lui
le. On devine qu'il faut peu de chose pour la mettre en mouvement. Ce mouvement , cette action possible que nous lui pressentons,
de départ, il y a chute lente, c'est-à-dire que la droite est en mouvement dans son intensité vivante ; au delà de 55°, on e
at de sentir et de vibrer, lèvera spontanément ses bras vers le ciel, mouvement ascenlionnel vertical, qui traduit l'aspiration i
urent; il peut, soit exciter et inciter à l'action, soit enrayer tout mouvement et déprimer. Une autre loi de suggestion, corolla
s nette quand il s'appliquait à s'abstenir de tout geste, de tout mouvement qui eussent pu être soumis à une interprétation.
s. Dans la verticale, l'effet vivant augmente lorsqu'on pressent un mouvement ascendant; par exemple, chez le peuplier dont les
le ciel. Inversement, l'effet de tristesse, l'impression d'absence de mouvement est augmentée par l'inclinaison vers le sol des b
en chute circulaire, donnent une sensation de tristesse, d'absence de mouvement , que n'ont pas les plumets de nos casques droits
roits et évasés vers le haut. Une autre manifestation suggestive du mouvement simulé est dans la direction de l'angle aigu, com
lui. Dans la nature, le squelette des animaux indique nettement le mouvement probable. Ainsi chez le poisson, les arêtes, les
qui sont autant d'indications de direction et la forme expressive de mouvement possible. Dans la coiffure, cette partie si ess
corrigés, dans la coiffure principalement, par des indications de mouvement et d'action (ornements, attributs, visières, bord
t dans les airs, donnent une impression nette de gaielé, de vie et de mouvement ; la coupole au contraire, avec sa masse et sa for
e au moyen d'un plumet, afin de recouvrer un caractère d'action et de mouvement qui lui manquait totalement. Le casque aussi, c
'éclatement gai de la partie supérieure ? L'absence d'indication de mouvement , l'écrasement de la forme, la tristesse de la lig
après les principes posés par les lois de suggestion. Le maximum de mouvement et d'effet nous parait être dans le chapeau à bor
oupole sur un plan horizontal, racheté il est vrai, en partie, par !e mouvement d'un plumet à effet très intense et le port incli
ait agir le courant, le médecin t attire l'attention du malade sur le mouvement qui se produit et lorsqu'il lui a fait constater
ectrodes sur les muscles, l'effort mental nécessaire pour produire le mouvement ». (') Au fur et à mesure que cette double manœuv
l'est également pour bien d'autres procédés tels que le massage, les mouvements passifs communiqués, la gymnastique suédoise d'op
foie, la rate, les ganglions et le système nerveux qui participe à ce mouvement rétrograde et subit une forte diminution de volum
Zélande, j'ai assisté à une danse dramatique des Maori qui, par leurs mouvements extatiques, tâchaient de représentera la fois, la
ent de représentera la fois, la guerre, les sacrifices religieux, les mouvements d'un bateau et les autres phénomènes de la vie. A
xtase, la joie extatique qu'ils cherchaient et obtenaient grâce à ces mouvements . Dans cette même race, mais au nouveau monde, d
dans l'enthousiasme causé par une symphonie musicale, par les grands mouvements de l'esprit révolutionnaire, par des actes de dév
ération, une apparence de raideur et, par suite, indique un manque de mouvement et d'action qui est à rejeter absolument. (à su
e la suggestibilité par M. le Df Bérillon. Un acte réflexe est un mouvement involontaire succédant immédiatement à l'excitati
n en arrière que vous avez annoncée se manifeste immédiatement par un mouvement de recul. Si le bruit est renouvelé, à chaque cho
uvelant l'expérience, on constate une tendance à l'accentuation de ce mouvement de recul. Il se réalise chez le sujet comme une s
d'hypnotisme. Dans la recherche du réflexe de la suggestibilité, le mouvement involontaire succède à l'excitation du nerf audit
ut à coup, le mot * garel » retentit soudainement à son oreille, d'un mouvement brusque et automatique, il se jettera de côté. Or
automatique, il se jettera de côté. Or, on peut inférer de ce simple mouvement réflexe qu'il est doué d'une suggestibilité très
volonté. Ceux qui, dès leur enfance, ont été habitués à réfréner ces mouvements spasmodiques, savent très bien les dominer et c'e
c'est au traitement spécial qu'il faut recourir. Num conseille des mouvements , inspirations forcées contre les insomnies qui su
99 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ons, à sept mois, l'enfant, au dire de sa mère, 'aurait conservé un mouvement spasmodique de l'épaule droite. De trois à neuf
it pas exactement àquelle époque elle a senti remuer l'enfant ; les mouvements étaient modérés. Accouchement à terme, travail
rigidité générale, poings fermés, pouces en dedans ; pas de grands mouvements , pas d'arc de cercle, mais perte d'urine et écu
bonne volonté à la gymnastique, mais n'est pas très agile dans ses mouvements à cause de son embonpoint. Très affectueuse env
nt, sans cri, il tombe en arrière. Nous le voyons alors qu'il a des mouvements cloniques des paupières (les yeux sont portés d
vements de la respiration et du coeur, qui, après la cessation des mouvements respiratoires, s'arrête en diastole. Hélène Sik
e 1 1-t et au-dessous, isolés ou réunis en diplocoques, animés d'un mouvement très vif et virevol- tant constamment sur eux-m
est son prénom. Les troubles de l'équilibre s'accentuent pendant le mouvement et l'attirent en oscillations en avant et en ar
ospitalisés sans difficulté. B. FAITS DIVERS. Asiles d'aliénés. Mouvement d'avril. M. GRUIIIER, directeur de l'asile d'al
eurologique. Pechin et ALL\RD. - Paralysie faciale et paralysie des mouvements 80 AVIS A NOS ABONNES. associés de la latéral
l a donc semblé qu'il existait à ce moment une légère paralysie des mouvements associés de latéralité (examen de M. Sauvineau)
rce musculaire est bien conservée à droite et à.'gauche..Les divers mouvements segmentaires de la main, de l'avant-bras, du br
voir une grosse influence sur ce trouble de l'équi- libre. c) Les mouvements des mains présentent une légère incoordina- tio
in droite plane au-dessus des objets à saisir et présente alors des mouvements irréguliers qui rappellent ceux de la sclé- ros
rréguliers qui rappellent ceux de la sclé- rose en plaques. d) Le mouvement associé de flexion de la cuisse sur le bassin e
ade de se relever tout seul ; il est pris de titubation avec grands mouvements incoordonnés de la jambe droite. coup à celle
jambe droite pendant la marche, enfin en asynergie dans les divers mouvements de cette jambe analogue à-la description donnée
la sclérose en plaques, ils ne se produisent qu'à l'occa- sion des mouvements voulus, que lorsque l'équilibre des segments de
un syndrome de Weber avec tremblement post-hémiplégique. Ainsi les mouvements ataxi- formes présentés par notre malade ne nou
ensitives cérébrales, ne s'accompagnaient pas forcément d'ataxie de mouvements et de troubles d'incoordination semblables à ce
nce des troubles sen- sitifs favorise l'apparition. de l'ataxie des mouvements , du moins la lésion d'un autre appareil est ind
pouvons analyser ici, à maintenir l'équilibre et à régulariser les mouvements volontaires. C'est donc à la lésion du noyau ro
quinze jours, l'enfant remuait la tête dans le sens horizontal. Ces mouvements rappellent ceux présentés par le frère aîné mor
idents méningitiques et ont débuté à peu près à la même époque. Ces mouvements , d'abord peu marqués, se sont exagérés peu à pe
pas de nystagmus. Du côté des membres supérieurs, on observe des mouvements athétosiques analogues à ceux des autres enfant
te et bien définie : ses symptômes principaux consistent dans des mouvements involontaires de la tête avec nystagmus ocu- .
. laire. Ce dernier peut manquer quelquefois. La relation entre les mouvements de la tête et le nystagmus est démon- trée par
réflexes, inégalité pupillaire) qui les accompagnaient. Parmi les mouvements de la tête que l'on rencontre très fréquemment
la tête que l'on rencontre très fréquemment avec le nystagmus, les mouvements lents d'inclinaison ne sont pas assimilables à
nt pas assimilables à des tremblements. Il n'en est pas de même des mouvements que nous avons qualifiés de pendu- laires et qu
e tremblements oscillatoires pen- dulaires absolument analogues aux mouvements nystag- miques. ' - A. Nystagmus essentiels s
t ni d'oscillations (mouve- ments pendulaires) de la tête, mais des mouvements lents de la tête qui s'exagèrent, disent les pa
cillations remar- quable par sa plus grande fréquence dans tous les mouvements commandés. Ce nystagmus s'accompagne de mouveme
ce dans tous les mouvements commandés. Ce nystagmus s'accompagne de mouvements pendu- laires de la tête caractérisés par de pe
- ment, n'a pas de Romberg. Cependant la mère signale qu'il a des mouvements incoordonnés, qu'il bouge constamment, la force
l. Emmétrope, vision normale. Pas d'ano- malies dans l'oeil. Pas de mouvements de la tète. Asymétrie faciale. Héllexes normaux
de la sensibilité. D'après le dire de la mère, l'enfant aurait des mouvements désordonnés dans les bras et dans les jambes, m
d'oeil. Pas de strabisme. Ilm z- 0,75 V = -^-. Lec- ture facile. Ni mouvements ni tremblements de la tête. Réflexes normaux (p
ag- mus présentant les mêmes caractères que chez le frère. Pas de mouvements ni de tremblements de la tête. Bonne vision. Le j
même chez le frère cadet. Examen des yeux. - Nystagmus horizontal. Mouvements pen- dulaires de la tête à amplitude assez gran
. Mouvements pen- dulaires de la tête à amplitude assez grande. Ces mouvements semblent être compensateurs de ceux des globes
ec malformation diverses : inégalité pupillaire, asymétrie faciale, mouvements incoordonnés des membres. Plus élevés dans la s
a famille pleurait autour du lit, le corps était insensible et sans mouvement , la respira- tion lente, le pouls filiforme, le
ale périphérique dont l'histoire est rapportée dans cette note, les mouvements du globe oculaire, lorsqu'on lui disait de ferm
frictions stimulantes, le repos prolongé, etc. XVIII. Analyse des mouvements et de la sensibilité dans l'anes- thésie par l'
arrive à pro- duire une analgésie complète sans porter atteinte aux mouvements volontaires. La disparition de la sensibilité à
citation un peu plus énergique et qui n'est que le premier stade du mouvement de défense ; b) Le réflexe dé fensif complet, p
entrer dans la catatonie toutes les manifestations psychomotrices : mouvements impulsifs, tics, grimaces, bizarre- ries de man
lèvres, de la lan- gue et des cordes vocales, avec conservation des mouvements des yeux, des membres et du tronc. L'auteur bas
oelle ianée ; 2° une sensation générale de fatigue exagérée par les mouvements et le travail intellectuel ; 3° une exhaustibilit
les communes sont donc coupables. FAITS DIVERS. Asiles d'aliénés. Mouvement de juin. 11. le Dr Bonne, médecin-adjoint à l'a
. La face a l'aspect d'un masque. La malade mar- che assez mal; ses mouvements sont atactiques ; tremblement de la langue, des
face a un aspect d'un masque, elle marche mal, en chancelant ; ses mouvements sont maladroits, la langue et les mains tremble
blessures ne dépassait pas 50 grammes. La perte du sentiment et des mouvements était totale; seules, quelques contractions fibri
Tantôt les yeux sont fixes, tantôt ils sont très mobiles, agités de mouvements convulsifs ; ils se portent avec une telle rapidi
Il agitait son corps sans qu'elle fût maîtresse d'en arrêter les mouvements ; quelquefois alors, elle se donnait malgré elle
les forces, d'être mise en équation avec la chaleur, la lumière, le mouvement , l'élec- tricité. Elle est justiciable des inst
, rapporteur. Au cours de ces dernières années, il s'est dessiné un mouvement très net qui tend à unir la psychologie à la cl
'asthénie motrice, le tremblement musculaire, l'incoordination des' mouvements volontaires, les troubles de l'élocution, le ve
ne considérons pas comme des tics, mais bien comme des spasmes, les mouvements anormaux dont l'origine organique a été démontr
du tic, l'on voit que, pour la majorité des auteurs, le tic est un mouvement involontaire que néanmoins la volonté peut modi
ant par la clinique; les tiqueurs réprimeraient en- tièrement leurs mouvements intempestifs s'ils étaient capables de vouloir,
n tic de la pensée; ne pourrait-on dénommer le tic une obsession du mouvement ? Le rapporteur estime que l'ana- logie est sur
iée, siégeant dans un territoire nerveux anatomiquement défini; les mouvements du tic sont coordonnés, systématiques, reprodui
ic peut offrir quelques difficultés; il en sera parfois de même des mouvements athétosiques; nous avons déjà indiqué que les c
ge et Feindel insistent dans leur dernier travail sur l'utilité des mouvements en miroir pour corriger cer- ÂRCuivEs, 2° série
sychique et qui n'est pas un mental est un polygonal. Sans doute le mouvement du tiqueur a été volon- taire avant d'être auto
our soulever sa balle : mais à ce moment il n'était pas tiqueur. Le mouvement n'est devenu tic que quand il a constitué une hab
rs possible de reconnaître une systé- matisation fonctionnelle, des mouvements reproduisant, par con- séquent, un acte physiol
nvulsion ; 2° il est essentiellement clonique et caractérisé par un mouvement ou un groupe de 7 ? ioz&Le- ments reproduis
i se renversaient brus- quement en arrière ; le troisième enfin, un mouvement de grattage des narines qui, à force d'être rép
rps étranger et de la sensation qu'avait provoquée celui-ci, que ce mouvement est devenu un tic, c'est-à- dire un acte involo
aire, inconscient, lié à l'activité du psychisme inférieur; mais le mouvement en lui-même n'a pas changé. On ne peut donc adm
ue complètement ignorées du sujet ? De là son étonnement de voir le mouvement continuer à se produire. A côté de cette questi
e mes malades, hallucinée de l'odorat, exécutait continuellement un mouvement de sputation associé à une grimace de la face ;
un groupe musculaire déterminé. Quand je vois un malade atteint de mouvements involontaires de rotation de la tête et du cou,
tation de la tête et du cou, je commence par observer la nature des mouvements qui se produisent. S'ils sont brusques, irrégul
t les spasmes et, cependant, ils admettent que ces deux variétés de mouvements ont une origine différente, les premiers étant
ire quelques auteurs, il faudrait accorder le nom de tic à tous les mouvements systéma- tisés, coordonnés et répétés plus ou m
ée, toutes les habitudes vicieuses, tons les spasmes et beaucoup de mouvements exécutés SOCIÉTÉS SAVANTES. 269 par les alién
ieu de faire des catégories distinctes de chacune de ces espèces de mouvements . Le tic doit être considéré comme un trouble de
it être considéré comme un trouble delà représentation mentale d'un mouvement qui est repro- duit consciemment d'abord, autom
ise, de l'angoisse, etc. Les véritables tics sont donc toujours des mouvements volontaires ; les mouvements réellement involon-
véritables tics sont donc toujours des mouvements volontaires ; les mouvements réellement involon- taires sont des spasmes. .
que ce qu'on prend chez eux pour un tic n'est le plus souvent qu'un mouvement en rapport avec une hallucination, une interpré
La majorité des tiqueurs sont capables d'exécuter convenablement un mouvement bien défini dans leur esprit et commandé par un
gisse de faire observer l'immobilité absolue, de faire exécuter des mouvements méthodiques ou des exercices respiratoires, en
leur apprendre à - reproduire volontairement et très lentement les mouvements élé- mentaires dont ils se composent. Le jour o
uit se passe. Le lende- main, l'enfant est incapable de faire aucun mouvement dans son lit ; le moindre attouchement lui fait
uche sans qu'il s'en aperçoive, puis à provo- quer toutes sortes de mouvements de flexion, d'extension, d'abduc- tion, et d'ad
e au lit, étendu sur le dos, les yeux fermés, avec toujours le même mouvement latéral de la tête qui lui use les cheveux. Ces
ents continuels, du bredouillement, de l'agitation incohérente, des mouvements d'ap- parence automatique. Le 9 juillet, nouvel
314 L'HYSTERIE DE SAINTE THERESE ports d'amour ne sont pas de ces mouvements de dévotion qui prennent assez souvent aux âmes
uvent aux âmes pieuses, non, teiii- pércenaent peiet se mêler à ces mouvements , et il est craindre que les sens n'y aient une
ce n'est pas brusquement complète ; durant l'attaque on observe des mouvements désordonnés de tout le corps, parmi lesquels le
vent être absolument proscrites chez le tabétique ; tels sont : les mouvements passifs exécutés avec plus ou moins de force et
ue, et peuvent être dangereux. Il n'a pas à connaître davantage des mouvements volontaires qui, employés sans méthode, ne donn
peu accentuée, secousses convulsives dans la langue au début des mouvements , paralysie légère du voile du palais; diminution
urrait qu'augmenter la contracture. La gymnastique sous la forme de mouvements actifs on passifs rend des services, à la condi
qu'on ne dépasse jamais le moment du système le moins favorisé. Les mouvements faits avec effort doivent être soigneusement év
pourrons ainsi com- prendre que le protoplasma ait existé avant son mouvement , son existence dérivant du seul jeu des actions
e gauche est plus ou- verte que normalement. Simultanément, violent mouvement d'ins- piration, ou plutôt de reniflement d'air
ôt ralenti, tantôt accéléré ; tachycardie de posi- tion, le moindre mouvement produisant une accélération de 20 à 30 pulsatio
e, et qui dépend d'une perturbation de la faculté d'association des mouvements , la sy- nergie musculaire : en raison de son or
tout à fait spécial : la partie supérieure du corps ne suit pas le mouvement du membre inférieur et reste en arrière. . M. B
'acte complexe de la marche se compose de deux ordres principaux de mouvements donnant lieu, l'un au soulève- ment du pied au-
rmale de la marche implique l'intégrité des muscles qui opèrent ces mouvements et la synergie entre ces deux ordres de mouveme
qui opèrent ces mouvements et la synergie entre ces deux ordres de mouvements . En résumé, d'une part, les lésions cérébelleus
fréquemment par la déglutition d'une faible quantité de salive ; le mouvement se répétait environ toutes les cinq minutes : le
de suite. Ce conseil était basé sur ce fait phy- siologique que le mouvement de déglutition n'est possible que la bouche fer
celle inconscience (hic) pour me rendre bien compte que je fais les mouvements de la marche. Si bien qu'à un moment, pendant c
ée soit en avant, soit en arrière du thorax, fait entendre à chaque mouvement respiratoire un souffle correspondant à l'entré
he des cordons antéro-laléraux engendre, par le courant minimum, un mouvement de l'extrémité supérieure homonyme, limité aux
de, biceps, long supina- teur, ainsi qu'aux muscles de l'épaule. Ce mouvement s'accentue à mesure que l'on se rapproche des r
gions indiquées, on provoque, même par l'excitation unilatérale, un mouvement bilatéral symé- trique, qui se propage ensuite
postérieur et sur n'importe quel faisceau de ce cordon, engendre un mouvement bilatéral symétrique des deux bras ; les bras s
du bras à gauche; si le courant est fort, les deux bras entrent en mouvement , mais surtout à gauche. Résultat semblable, mula-
, par la graduation de la quantité de l'excitation, on voit que les mouvements sont dus à l'excitation des fibres radicu- lair
res, et paraissent servir à conduire les sensations'de position, de mouvements , en un mot la sensibilité des parties profondes
ns musculaire ; leur atteinte entraîne aussi l'incoordi- nation des mouvements . Mais il est, d'autre part, établi qu'une parti
pas sensitives, ne sont pas destinées à expédier les sensations de mouvements et de position. Une partie de ces fibres, tout en
oie centripète du cervelet, celui-ci ne pouvant régulariser qne les mouvements dont il est informé ; la destruction de ce syst
Sous le nom de réflexes plantaire contra-latéral, on désigne- le mouvement des orteils qui se produit à la suite de l'excita
urs l'humanité que comme une période pu- rement transitoire dans le mouvement ascensionnel de l'évolution. Lichtenberger nous
ison, avec impossi- bilité de se relever : il resta deux jours sans mouvement et sans parole. Quand il revint à lui, il se pa
nsation réelle de chute dans l'espace et commençant à esquisser les mouvements ; l'idée de chute exerçant un rôle inhibiteur et
ans lns actes Colitio ? 721els nécessitant une succession rapide de mouvements . J. Babinski. Je désire attirer l'attention de
individu normal des mouve- élémenfaires, tels que, par exemple, le mouvement de pronation ou le mouvement de supination de l
lémenfaires, tels que, par exemple, le mouvement de pronation ou le mouvement de supination de la main, est incapable d'ac- c
complir un acte volitionnel nécessitant une succession rapide de mouvements . Il ne sera pas en mesure, pour reprendre l'exemp
ure, pour reprendre l'exemple précédent, de faire avec rapidité des mouvements successifs de pronation et de supination. Voi
elles aussitôt après; ce n'est en effet qu'à ces conditions que les mouvements peuvent se succéder avec rapidité. La titubatio
sme tiré de deux mots grecs, dont l'un veut dire successif, l'autre mouvement . F. Gotssma. SOCIÉTÉ D'HYPNOLOGIE ET DE PSYCH
ulier appelé catatonique et pouvant se distinguer en : u) besoin de mouvement (actes sans but, mouvements clioréi- formes ou
pouvant se distinguer en : u) besoin de mouvement (actes sans but, mouvements clioréi- formes ou épileptiformes de Kdhfbaum ;
ou épileptiformes de Kdhfbaum ; b) impulsion aux mou- vements ; c) mouvements et attitudes stéréotypés (mouvements automatiqu
mpulsion aux mou- vements ; c) mouvements et attitudes stéréotypés ( mouvements automatiques, verbigération, écholalie, altitud
ureusement la loi sur l'ivresse. FAITS DIVERS. Asile d'Aliénés. Mouvement d'octobre. M. le De Chaussinaud, directeur-méde
repos au lit, par Clau- salles, 185. en liberté, 190. Asile d' -. Mouvement de juin. 191. Dans un asile d' , 191. Les en
100 (1846) Journal du magnétisme [Tomes II et III]
onstitution, magnétisé, éprouvait un besoin irrésistible de suivre le mouvement des mains du magnétiseur. Il s’inclinait comme s’
, puis du bras ; deux ou trois moments après le corps participait au mouvement convulsif et s’arquait en arrière. Le magnétisé p
e. Plus tard la pointe du pied s’abaisse, le talon s’élève, et tout mouvement de flexion devient impossible. Une troisième opér
la fréquence; la respiration se fait avec un calme si parlait que les mouvements de la poitrine sont à peine perceptibles. Un inst
ransformée en volonté, fluide qui est l’attribut de tout être doué du mouvement . En l’homme, la volonté devient une force qui lui
rallumer, le froid de ces membres où la vie ne va plus va cesser, le mouvement va revenir, et ces affreuses attaques épileptique
mes pendant trente heures presque sans respiration , sans pouls, sans mouvement . La nature avait donc besoin de ce repos? II étai
sirs, j’éprouve moins de besoins. » Serait-ce, par hasard, quelques mouvements de mains qui produiraient les faits que je viens
ment la partie paralysée, au lieu de s’adresser à l’organo central du mouvement . La discussion devenant bientôt générale, chacun
rent bientôt la tourmenter; elle s’agita, elle poussa des cris, et le mouvement ne tarda pas à réveiller les contractions elles d
s de chêne, qu’elle touche seulement avec son tablier ou sa robe , un mouvement tellement violent qu’une chaise tombe, et qu’un c
u’un fil de soie ou l’extrémité de ses vêtements , de son tablier, un mouvement de répulsion qui les déplace et tend à les renver
en plus fort, un coffre sur lequel trois hommes sont assis est mis en mouvement d»la même manière. Avant-hier on s’aperçut qu’u
ciale est à la veille, elle-même, d’en subir l’influence. J’admire ce mouvement magnifique qui, en déplaçant les vieilles forces
; si elle veut coudre, elle s’eufonce l’aiguille dans les chairs. Le mouvement qu’elle imprime aux objets qu'elle louche et surt
e touchant un chenet, celui-ci fut dé- « placé, et dans son brusque mouvement pour le re-« tenir elle faillit tomber dans le fe
s de savoir et de moralité offertes par les observateurs : le premier mouvement de la raison est hostile, et le désir de voir par
irement une table, des chaises, sans que ces meubles éprouvassent les mouvements annoncés ; à quoi il me fut répondu que les effet
s d'abord m'assurer de l'état du pouls. Mais impossible, à cause d’un mouvement rotatoire, convulsif, sorte de trismus choréique
érifier l'expérience de la chaise, dans laquelle nous reconnûmes deux mouvements , l’un d’attraction, l’autre de répulsion, mais se
tinguer le parcours du fluide émis; tous les fils étaient agités d’un mouvement singulier : ils ondulaient, si l’on peut s’exprim
casionnait. Nous avons surveillé avec une attention soutenue tous ses mouvements , jusqu’à son souffle, et rien ne nous a échappé.
lle fût violemment déplacée. La main de la jeune fille aidait-elle au mouvement ? en aucune manière. Nous avions trop d’intérêt à
-bras gauche, rarement ailleurs. Cette déviation imprime au membre un mouvement presque convulsif et détermine un surcroîtde chal
pter. Lorsque l’avant-bras était placé près d’uno bougie allumée, les mouvements de la flamme, son espèce d’oscillation indiquaien
ulièrement et indirectement au commencement, est prise de spasmes, de mouvements convulsifs, qui ne cessent que par l’éloignement
me une barre de 1er, les mâchoires serrées et les membres agités de mouvements convulsifs. Je la transportai sur son lit, je l
était diminuée, la terminaison s’nnnonçait par le retour de certains mouvements isochrones. Ainsi la malade soulevait successivem
air sombre et menaçant à sa physionomie. Enfin, il survenait quelques mouvements convulsifs, et elle se réveillait sans conserver
que durait l’accès elle était comme paralysée, ne pouvait faire aucun mouvement , à l’exception de ceux que nous venons de décrire
ue, durant cette suspension, les organes vocaux seuls cessaient leurs mouvements et se paralysaient. « Durant la deuxième périod
e seul fait an-« noncé qui se soit réalisé devant elle est celui de « mouvements brusques et violents, éprouvés par les « chaises
yait. Des « soupçons sérieux s’étant élevés sur la manière dont « ces mouvements s’opéraient, la commission décida « qu’elle les s
s yeux parfaitement clos; quand je déchaussai la dent, pas le moindre mouvement d’opposition, pas le plus léger tressaillement ne
s'incline: la pointe du V, dirigée en haut, se tourne en bas. Plus ce mouvement de la baguette est brusque et complet, plus la so
eux constamment fermés, sans qu’on ait jamais pu remarquer le moindre mouvement des paupières. Cette remarque me paraît utile pou
gestes de manière à ce que je pusse remarquer que c’étaient les mômes mouvements de rotation et d’attraction qui sont employés par
e supérieure. L’opération a eu un plein succès; on n’a remarqué aucun mouvement musculaire non plus que le plus petit signe de do
lectrique a tout à fait perdu ses propriétés. Le 10 avril au soir, le mouvement du bras gauche, qui avait seul persisté durant le
ris spontanément une position équatoriale, et quand on les mettait en mouvement ils oscillaient autour de cette position. Tous ét
s étaient suspendus par un paquet de fil de cocon,et mis à l’abri des mouvements de l’air par une cage de verre. La répulsiop ef
rce à laquelle elle est soumise qu’elle entraîne deux hommes dans son mouvement . Les personnes qui assistaient à la séance d’hier
des des organes et de toutes les parties qui composent le corps et le mouvement : la vie de l’homme ? « Du reste, la chirurgie
mmade ammoniacale de Gondret, qui n’excite ni sécrétion de larmes, ni mouvement palpébral. Précédemment on choisissait les voies
tés de ceux qui la subissent. « Femmes ! vous qu’on éloigne de tout mouvement scientifique et humanitaire, vous qu’on a réduite
us des bateaux, qu’il s’y était accroché; puis que de nouveau, par le mouvement d’autres bateaux, il avait subi un déplacement, e
s du pont des Arts, qu’il était am'lé. mais non accroché, et que le mouvement de l’eau le faisait balancer; elle dépeignit exac
a vue; mais, plus obstinée que vous, je ne dormirai pas. » Mais les mouvements se ralentissent; la magnétisée sent l’engourdisse
d’un jeune ecclésiastique d’un bon caractère, qui se donnait tous les mouvements chez ses parents et les voisins pour délivrer sa
i vous faites attention aux « effets de la déclamation et de tous les mouvements « de la musique théâtrale sur les spectateurs qui
actions. Après avoir reçu sur les organes des sens une impulsion du mouvement , pour laquelle l'homme est absolument pasiif, il
l'arbre. Son imagination et sa mémoire, par les modifications que le mouvement de la première impression vient d’éprouver dans l
u fruit, la propriété qu’il a d’éteindre la soif et la faim ; ce môme mouvement primitivement imprimé, ainsi modifié, est communi
n l'état de passivité de l’expérimentateur. Si l’aiguille est mise en mouvement , sa direction sera constamment de gauche à droite
position. « Si maintenant l’opérateur détermine dans son cerveau le mouvement d’une volonté énergique, à l’instant, en quelques
, et que l’air extérieur ou toute autre cause ne puisse les mettre en mouvement ; «3° Remarquez de quel côté ces corps mobiles
lui. Conlrac-iée d’abord, elle se dilate et s’épanche dans ce second mouvement . Et celte réaction projette au dehors la lumière
même cause essentielle, l’exaltation de la sensibilité, et par son mouvement d’expansion , la projection excentrique de la lum
endre du monde; mais c’est la substance même du monde que, clans le mouvement , de réaction de noire sensibilité, nous pénétrons
ntier. — Et alors:1— Alors. le corps 'd’expérimentation faisait ses mouvements oscillatoires, allait, venait, se fixait, comme i
seulement sur eux-mêmes, malgré la résistance que leur oppose dans ce mouvement étrange la torsion du fil auquel ils sont suspend
re que plus une suspension est délicate et précise, plus longtemps un mouvement , même très-faible, s’v conserve, à la grande impa
fléau de la balance pour compenser cette petite rotation du centre de mouvement . « C'est-à-dire, pour sortir un peu de cette th
rce connue, universelle dans la nature, par laquelle les velléités de mouvement perpétuel seraient promptement réprimées dans ces
on pourrait l'aire en attribuant au calorique rayonnant delà main les mouvements de l’aiguille que je viens de dire, objection, ce
e de gélatine (papier glacé) à volonté. « Voilà pour la quantité de mouvement mesurée par l'ouverture des angles décrits parla
e innervante (magnétique), même chez les anciens(l). « L’ampleur de mouvements , exagérée par la distance de son ombre, sa situat
les replis d’une couleuvre, qui se disposait à l’avaler. Son premier mouvement fut de les jeter tous deux dans l’eau, où elles s
é à en recevoir des impressions et à subir des changements pur chaque mouvement qui lui est communiqué. La môme/ organisation qui
rigées que par les motifs. Le motif est soumis aux lois communes du mouvement . Il agit en raison composée de la puissance et de
en équilibre, il no faut pas moins que vingt livres; pour décider son mouvement vers le côté opposé, il faut quelque chose de plu
a pas la demi-livre; et, dans tous les cas, la force qui détermine le mouvement de la balance est égale à la différence entre les
pluralité des voix est prise pour la volonté générale, de même qu’en mouvement nne plus grande force l’emporte sur une faible ré
n seul point, a dit un ingénieux écrivain (1), quand elle'est mise en mouvement par un consensus énergique, par un besoin commun
nifie beaucoup à toutes les époques, le mot de Dieu : sur-le-champ un mouvement inexprimable circula dans l’auditoire, et le cour
deux!... » Mais ce dernier, calme et jle sang-froid , épiant tous ses mouvements pour se préserver de ses coups, dirigea l’action
volonté, il s’ensuit qu’elle rencontre partout des incrédules. « Le mouvement ondulatoire du bras gauche est passé au droit; c’
le lut soulevé très-haut et retomba vivement et avec bruit. Le second mouvement est tellement rapproché du premier qu’il est impo
figure, ses mains, qui un instant auparavant paraissaient privées de mouvement et insensibles aux piqûres assez vives qu’on lui
ce cas, l’effet de la passe circulaire est do détruire ou changer le mouvement établi entre le pôle formé par la brûlure elle pô
e que la brûlure avait formé, et m’oppose à son rétablissement par le mouvement circulaire que j’imprime au fluide par la premièr
r quelque liquide; la constriction du gosier est souvent telle que le mouvement de déglutition est impossible, et l’on pourrait r
lution complète des membres s’opéra; la contracture musculaire et les mouvements tumultueux cessèrent simultanément, et les person
ien magnétise M'"L‘ Froidcour, l’attire et lui imprime, à volonté, un mouvement de rotation sur elle-même semblable à une valse.
l’impression ; 2° A développer et à exercer successivement tous les mouvements dont ses membres sont susceptibles. La perfecti
tes les combinaisons possibles de leur usage (1). La perfection des mouvements de ses membres consiste : 1° Dans la facilité ;
végétation de l’homme est soumise, comme son existence, à l’action du mouvement de l’influence générale et particulière ; et il s
s circonstances telles qu’il ait la liberté entière de faire tous les mouvements et tous les essais possibles de ses membres ; 3
ées par sa propre expérience. Comme dans toute la nature les grands mouvements enveloppent,, rectifient et dirigent les mouvemen
nature les grands mouvements enveloppent,, rectifient et dirigent les mouvements particuliers, il faut de bonne heure accoutumer l
s, une immobilité qui ressemblerait à la mort, en faisant cesser tout mouvement intestin, dans lequel consiste la vie de la socié
Autriche, où les rigueurs d’un gouvernement paternel, en étouffant le mouvement libre des idées et des sentiments, jettent une so
certains qu’il ajoutera leurs noms à la suite de ceux qui ont nié le mouvement de la terre, la circulation du sang, et mille aut
d’activité de l’opérateur et de le suivre, éprouve, au contraire, un mouvement de rotation tout à fait semblable, mais en sens i
ent avec une vitesse égale d’abord ; mais bientôt ce dernier perd son mouvement rotatoire et tend à s’éloigner en décrivant une c
expériences faites par M. Derrien, j’ai remarqué particulièrement les mouvements de rotation et d’attraction imprimés à la personn
t d’attraction imprimés à la personne magnétisée; j'ai observé que le mouvement de rotation avait lieu dans un sens contraire à c
er la raison de certains phénomènes astronomiques : je veux parler du mouvement diurne de la terre et de sa révolution annuelle a
e et de sa révolution annuelle autour du soleil. Le fait de ce double mouvement est parfaitement démontré depuis l’admirable théo
ments dans les célèbres lois qui portent son nom. Quant à la cause du mouvement , il faut pour l’expliquer recourir à une impulsio
est le centre et le régulateur; s’il est reconnu qu’il est doué d’un mouvement de rotation sur son axe, on concevra sans peine q
u’il puisse imprimer aux fluides qui entourent chaque planète un même mouvement de rotation, mais dans un sens inverse. Or les no
que le soleil tourne sur son axe en vingt-cinq jours environ, que ce mouvement , relativement aux planètes, a lieu d’orient en oc
ccident; on sait aussi que toutes les planètes sont douées de ce même mouvement , et que toutes, chose remarquable, se meuvent d’o
nètes par la communication des fluides, est la cause probable de leur mouvement diurne, de même que la roue principale d’une mach
ipale d’une machine met en jeu d’autres rouos secondaires. Quant au mouvement de translation ou de révolution annuelle, l'expli
u anéantir cette vitesse? Ne peut-on pas encore ici admettre que ce mouvement est le résultat d’une attraction dont l’effet se
rce supérieure, elle serait précipitée immédiatement vers lui, et son mouvement cesserait aussitôt; mais elle doit être attirée a
vec une vitesse quatre fois plus grande que la terre, imprime ce môme mouvement aux planètes qui l’entourent; de ce mouvement de
terre, imprime ce môme mouvement aux planètes qui l’entourent; de ce mouvement de rotation résulte un déplacement dans l’espace
ement de rotation résulte un déplacement dans l’espace qui produit le mouvement orbiculaire des planètes. Pour rendre plus sens
tenant on suppose dans le plus rapproché, soit le point de centre, un mouvement de rotation assez puissant pour se communiquer au
ouvement de rotation assez puissant pour se communiquer au mobile, ce mouvement ne devra-t-il pas, connue la roue d’un bateau à v
est dû à des causes analogues, et que l'attraction est le principe du mouvement ; qu’il existe un fluide qui remplit tout l’univer
n, et se trouvant sur la place où avait été le marchand, fut prise de mouvements dans les membres; son cou éprouva aussi un vif mo
ut prise de mouvements dans les membres; son cou éprouva aussi un vif mouvement de rotation, et sa frayeur était grande. Le charr
lle no put y parvenir, quoiqu'ellcsentîl et indiquât parfaitement les mouvements du fœtus. Ce fait incroyable est pourtant réel,
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