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1 (1894) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie, l'idiotie et l'hydrocéphalie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1893
79 à 82 ans). -Tante maternelle crises nerveuses. Tante maternelle morte phtisique. Tante maternelle rhumatisante. - Cou
ions de l'enfance; très nerveuse, migraineuse, caractère irritable, morte en couches; paralysée du côté gauche. Grand-pèr
ée du côté gauche. Grand-père maternel aliéné. Cousine ger- mamie morte de méningite. Pas de consanguinité. Inéga- lité
e boisson, paralysé du côté gauche. : 11·rière-rancl'mèae maternelle, morte paralytique. Pas de consanguinité ; différence
ternelle, excès de boisson. Deuxième arrière- grand'mère maternelle morte d'un cancer du sein. - Pas de consanguinité. In
rale. SOMMAIRE. Père, caractère violent. Grand'mère mater- nelle, morte d'apoplexie. Mère, caractère emporté. - Pas de
hèmorrhagie cérébrale. - A1'1'iè7'G'-Jr21nCl'lnèl'e ? atL'7'12elle, morte d'un cancer uté- rin. Grand-oncle paternel; mor
ère maternel mort paralysé et aptta- sique. Grand' tante maternelle morte tuberculeuse. Grand-oncle maternel aliéné. Pas
rand-père pa te1'iw l, i excès de boisson. - Grand'mè1'e paternelle morte d'un çan- cer de l'utérus. - 011cle pate1'1wl,
apoplectique (hémiplégie gauche). - Cousine paternelle au te degré, morte épileptique. Mère, grande et forte, nez aquilin
-père paternel, mort de la pierre. Arrière-grand'mère z paternelle, morte de la rupture d'un anévrysme aortique. Grand-on
le paternel, mort de méningite traumatique ( ? ), Tante paternelle, morte phthisique. Mère, vive et coléreuse. Cousin idi
très violent. Grand-oncle paternel, alcoolique. - Tante paternelle, morte de la poitrine. Autre tante paternelle, TRAITEM
e la poitrine. Autre tante paternelle, TRAITEMENT CHIRURGICAL. 71 morte de méningite etdephlhisie. Autre tante paternelle
algies. Pas de consanguinité. 7nëga- lité d'âge de huit mois. Soeur morte de convulsions à 4 mois. Asphyxie complète à
ternel, fréquents excès de boisson, violent.- Grand'mère paternelle morte des chagrins occasionnés par les violences et l
ns occasionnés par les violences et l'ivrognerie de son mari. Mère, morte d'une affection cardiaque.-Renseignements insuf
ison. - Pas de consanguinité. - Inéga- lité d'âge de 5 ans. - Soeur morte de convulsions. - Soeur, colé1'cuse : -¡lut¡'e
Sommaire. - Enfant assisté : père mort de bronchite en 1879 ; mère morte de p)vtlcisie en 1879; - absence complète de re
la main attribué à la foudre. - Frère, convulsions internes. Soeur morte de méningite- Conception dans l'alcoolisme. -As
isson postérieurs à la naissance du malade, - Grand'mère paternelle morte paralytique. Renseignements insuffisants sur la
; pas de migraines. [Père, mort d'accident ; aucune maladie. Mère, morte à 78 ans, elle était paralysée depuis quatre an
père paternel, tué durant la guerre de 1870. Gran'd'mère paternelle morte à 74 ans ; elle avait joui d'une bonne santé. -
n membre ayant présenté des accidents nerveux.] Mère, domestique, morte il 53 ans d'une maladie du foie ; on n'a aucun
. Visage congestionné mais non cya- nosé. A 10 heures 1/2 le malade meurt brusquement. T.R. aussitôt après la mort, 36° ;
ère maternel, mort paralysé et apha- sique. Grand'lante maternelle, morte tuberculeuse. Grand-oncle maternel, aliéné. Pas
and-père paternel, mort à 47 ans du choléra. Grand'mère paternelle, morte à 99 ans, paralytique, aphasique, auparavant el
- Grand-père maternel, aucun renseignement. Grand'mère maternelle, morte à 59 ans, d'une maladie de coeur. Un oncle pate
ingite, à 4 ans, convulsions très légères à la dentition ; 3° Fille morte à 7 ans de méningite; - 4° Fille morte à 17 moi
es à la dentition ; 3° Fille morte à 7 ans de méningite; - 4° Fille morte à 17 mois de fièvre typhoïde ; à partir de 9 mo
ante, intelligente, petites convulsions à la dentition; - 6° Fille, morte à 3 ans 1/2 de fièvre typhoïde, intelligente ;
tralgie. [Père tué, en 186'2, par un bran- card de voiture. - Mère, morte du choléra à 49 ans, avait été atteinte d'alién
une punaisie. [Père, mort à 55 ans, de bronchite chronique. - Mère, morte d'une pleurésie iL 42 ans. Elle était peintre s
de détails. - Grand-père mater- nel, bègue. Grand'mère maternelle, morte asthmatique à 63 ans. Un frère, bègue ; un autr
Une fois, a la fin d'une crise, il râlait ; ou croyait qu'il allait mourir (8 ans). Dans sa huitième année (188G), il a eu
ternel mort d'une hémorrhagie cérébrale. Grand'mère mater- nelle, morte paralytique. Arrière-grand-père maternel, mort
ent à 87 ans. - Oncle maternel, convulsions jusqu'à 11 ans. - Soeur morte de rougeole auec complication cérébrale. - Pas
7 ans, d'une affection pul- monaire ; pas d'accidents nerveux. Mère morte à 83 ans ; elle avait eu, à 60 ans, une attaque
ait eu, à 60 ans, une attaque d'hémiplégie. Grand' mère maternelle, morte centenaire. Tante paternelle morte d'un cancer
légie. Grand' mère maternelle, morte centenaire. Tante paternelle morte d'un cancer de l'estomac. Il n'y a pas de trace d
e d'un caractère calme, mort à 53 ans, d'hémorragie cérébrale. Mère morte à 66 ans, d'une paralysie probable- INJECTIONS
enfants dont quatre bien portants, l'un mort en naissant, une fille morte de cholérine à 13 mois, une autre morte de roug
rt en naissant, une fille morte de cholérine à 13 mois, une autre morte de rougeole à 3 ans, avec complications cérébrale
orte de rougeole à 3 ans, avec complications cérébrales ; une autre morte de bronchite à G semaines. Sauf la rubéoli- que
ade, mort à 5 ans d'u- ne pneumonie. Mère, pas d'accidents nerveux, morte à 74 ans. Renseignements insuffisants sur le re
ours folle. [Père, mort d'une fluxion de poitrine à 52 ans. Mère, morte d'une maladie du foie à 67 ans. Pas d'autres mani
couché comme le précédent, dans le jardin où il travaillait. Rip.. meurt de la même façon que Boull.. étouffé par ses or
amarades, il est sombre, prétend que ses camarades veulent le faire mourir , que des ser- gents de ville ont voulu l'arrête
Deux grands oncles maternels morts de la poitrine. Tante maternelle morte diabétique. Pas de consanguinité. - Inégalité d
e, pas d'alcoolisme. Homme intelligent et de caractère calme. Mère, morte à 43 ans de tuberculose pulmonaire ; pas d'affe
avait le caractère «comme tout le mon- de. » Grand'mère maternelle, morte à 81 ans, de vieilesse, et ayant conservé «tout
ur la moindre chose et pleure facilement. Grand'mère pater- nelle morte à 77 ans, intelligente, de caractère calme. -Les
TOPSIE . M9 avec '38°,5, Le reste de la nuit, pas d'accès. L'enfant meurt à 2h.314. 170 HÉTÉROTOPIE CÉRÉBRALE. La dur
tier par ses camarades. Il faisait quelques excès de boisson. Mère, morte à 78 ans; elle n'était pas d'un tempérament ner
ses nouvelles. [Père, mort d'une fluxion de poitrine ; sobre. Mère, morte à 82 ans, de vieillesse. On n'a pas de renseign
chanteuse dans un concert, intelligente et bien portante; 2° fille morte à 11 ans d'une péritonite; elle était assez int
employé d'impri- merie, est d'une intelligence médiocre ; 5° fille morte à 7 mois de diarrhée ; -6° notre malade ; 7° fi
impression- née à la suite de la perte de sa fille, âgée de 11 ans, morte au moment où elle l'embrassait. - L'accollcheme
ne sait de quoi à 45 ans, cul- tivateur, excès alcooliques. - Mère, morte à 52 ans, hydropi- que ( ? ), ni alcoolique, ni
teau, il cul- tivait la terre, était sobre, et bien portant.- Mère, morte à 65 ans après deux mois d'unc maladie restée i
oir : 39, 2. 2 décembre. Dyspnée très intense. T.R. 40°. L'enfant meurt à 8 heures /.1' Mensurations de la tête. Hydr
r, ne pouvant à la suite de douleurs se servir d'une jambe. Mère, morte à 77 ans de pneumonie ; depuis longtemps elle sou
d-père maternel, mort à 80 ans d'accident. Grand'mère maternelle, morte à 82 ans, avait eu dans les deux ou trois dernièr
ernels, morts assez âgés, on ne sait de quoi. Une tante maternelle, morte à 38 ans, probablement tuberculeuse, a eu une f
ternelle, morte à 38 ans, probablement tuberculeuse, a eu une fille morte tuberculeuse. - Cinq frères, dont deux morts d'
nerveux, les deux autres sont morts jeunes.. Trois soeurs : une est morte tuberculeuse à 30 ans; une autre qui avait eu,
à 30 ans; une autre qui avait eu, étant jeune, des crises de nerfs, mourut à 25 ans il la suite de mauvaises couches. Elle
guinité. Inégalité d'âge de 3 ans et demi. Trois enfants : t fille, morte il 5 ans d'une maladie aiguë, intelligente, pas
e. Grand-père paternel, mort à 96 ans( ? ). -Grand'mère maternelle, morte d'un cancer au sein. Deux oncles et deux tantes
- Hydrocéphalie : DESCRIPTION DE la malade. '215 mère maternelle, morte de tuberculose pulmonaire chro- nique. Six oncl
t en pleine vigueur des suites d'une piqûre. Grand'mère paternelle, morte à 79 ans, durant le siège dont elle n'a pu supp
ts. Grand-oncle paternel mort il 8 ? ans. - Grand'tante paternelle, morte il 8 ! t ans.-Un oncle mater- nel est mort à un
e rougeole le lerjuin, qui se complique de broncho-pneumonie, et il meurt le 6 juin 1887. La température était montée pro
els, morts de bron- chite chronique ( ? ).- Grand'tante paternelle, morte de con- gestion cérébrale. Oncle paternel, mort
icidé. - Un oncle pater- nel, excès vénériens. illère, migraineuse, morte plitisi- que. Grand-père maternet, bègue. - A1'
d'âge de 8 aiis. - des quatre- 'membres à la suite de convulsions, morte phtisique. Premières convulsions iL un an. Seco
, faisait d'assez fré- quents excès de boisson (vin blanc). - Mère, morte à 74 ans. d'une bronchite catarrhale, était sob
oncles paternels sont morts tuber- culeux. Une tante maternelle est morte à 78 ans de conges- tion cérébrale. Deux tantes
s et d'esprit, mais aveugle depuis plu-. sieurs années; l'autre est morte plus que quadragénaire, on. ne sait de quoi.- O
et psychique dans le reste d3 la famille du père]. Mère, lingèrc, morte tuberculeuse à 45 ans, aurait eu à 5 ans une fi
mais présenté de troubles psychiques, sauf la grand'mère maternelle morte à 84 ans et atteinte de démence sénile. Un oncl
Inégalité d'âge : 8 ans. 4 enfants : 1° fille, née avant terme et morte à 6 jours, sans avoir eu de convulsions ; 2° fi
1) Des renseignements postérieurs nous ont appris que cette soeur est morte phtisique.. , ... Hydrocéphalie; contracture;
ec lui les tristes conséquences de la fatalité ancestrale; elle est morte phtisique et paralysée des quatre membres. Dès
à deux mois /2 de convulsions. - Soeur, intelligente. Autre soeur, morte de bronchite, à 5 ans. Va7'ioZoïde au 3me mois
ntre elles a des enfants : deux filles (du même amant) dont une est morte de la rougeole et l'autre est en bonne santé. P
calme et ne présente aucun trouble nerveux. Mère, enfant naturelle, morte à 67 ans, on ne sait de quoi. Grand- père pater
sait de quoi. Grand- père paternel inconnu. Grand'mère paternelle, morte d'un cancer au sein. Grand-père maternel, incon
ancer au sein. Grand-père maternel, inconnu. Grand'mère maternelle, morte à 78 ans, sans affection bien définie. Aucun au
ns, tête normale; instruite (a son certificat d'études) ; 3° fille, morte à 5 ans de bronchite, pas de convulsions, tête
s, limonadier, est marié en secondes noces, sa première femme étant morte tubercu- leuse. Il buvait beaucoup autrefois, s
e. [Famille du père. Père, mort à 83 ans, on ne sait de quoi. Mère, morte à 90 ans, après peu de jours de maladies, se po
u soeurs : 6 sont morts en bas âge de convul- sions ; Une soeur est morte à 7 ans, on ne sait de quoi. Une autre soeur es
ne soeur est morte à 7 ans, on ne sait de quoi. Une autre soeur est morte assez jeune, phtisique, elle n'avait pas d'enfa
le, est devenue folle à 37 ans, la folie n'était pas violente, elle mourut chez elle à 40 ans. - Deux frères : Un mort tub
mauvais ; la diarrhée réapparaît abondante le 12 janvier. L'enfant meurt le 18 janvier dans un état de maigreur extrême
rnel, bègue. Pas de consanguinité. Inégalité d'âge d'un an. Soeur morte de convulsions et deux autres de congestion céréb
i ne dura qu'un mois (thrombose cérébrale.) Pas de démence. Mère, morte il 56 ans, cl'ér5sipcle. Depuis l'âge de 41 ans,
s. Grand-père paternel, mort à 58 ans ( ? ). Grand'mère paternelle, morte à 81 ans, en 1870. du typhus. Le grand-père mat
int de paralysie et de démence sénile, et la grand'mère maternelle, morte à 82 ans, hydropique, étaient tous les deux alc
on- sanguinité. Différence d'âge d'un an. Onze enfants : I° fille morte à 5 mois de convulsions ; 2° fille mariée, bien
gers excès alcooliques. Mère, bien portante. Grand'mère maternelle, morte subitement ( ? ). Aïeul maternel, dément. Cousi
50 ans, sobre et bien Antécédents personnels. 291 portant. Mère, morte subitement à 39 ans, d'une rupture d'ané- vrysm
and-père maternel, pas de renseignements. Grand' mère paternelle, morte âgée, on ne sait de quoi. Un frère, bien portant,
ant naturel, 61 ans, scieur de long, sobre et hien portant. - Mère, morte avec une der- matose qualifiée d'eczéma ( ? ),
nement sur les grands-parents sauf sur la grand'mère maternelle qui mourut paralysée. Trois frères bien portants et sobres
e, monople- gie brachiale. Mère, bien portante. Tante maternelle, morte tuberculeuse. Pas de co11sa11yuinité. Frère ain
I1;. [Famille du père : Père, mort du choléra, était sobre. Mère, morte on ne sait de quelle affection, à l'époque de son
plus grande partie de son enfance dans les hôpitaux d'enfants, est morte à 15 ans, on ne sait de quoi. A part cela aucun
e, n'a jamais eu de convul- sions ; 3e .Votre malade. 4° Une fille, morte à 2 ans, d'an- gine couenneuse, était intellige
eu quelques légères convulsions internes. - 5° Une fille, chétive, morte à 14 mois, on ne sait de quoi. Elle n'a pas eu
sa santé antérieure. [Famille du père. Père, journalier, sobre ; il mourut à 75 ans de l'émotion de voir les Prussiens env
tion de voir les Prussiens envahir les Ardennes. Mère, migraineuse, morte des suites d'une chute accidentelle. - Grand-pè
sept enfants, sains de corps et d'esprit. - Trois soeurs, dont une morte d'un abcès du sein, les deux autres sont bien p
ortante, intelligente ; 4° fille, 14 ans, bien portante ; 5° fille, morte à 8 mois de la rougeole : - G° notre malade ; 7
inextensi- bles. Il n'en est plus de même des observations de tu- meurs du cervelet concernant des enfants ou des ado-
mphati- ques, la plupart tombent dans une cachexie progressive et meurent le plus souvent de congestion pulmo- naire. C
. Grand-père paternel, ivrogne. - Grand'mère paternelle, coléreuse, morte auec ascite ( ? ). Oncle paternel, ivrogne. Tan
rte auec ascite ( ? ). Oncle paternel, ivrogne. Tante paternelle, morte enfant de convulsions. - Têtes volumineuses dans
vec le père jusqu'à la mort de ce dernier et se maria ensuite. Elle mourut d'une affection probable- ment hépatique ou ova
s défauts de son père ; 2" le second, 28 ans, est sobre. - Une sur, morte à la suite de couches d'une affection aiguë, avai
enfants, l'on ne constata d'accidents nerveux; une demi- (de mère), morte à 3 ans 1/2 d'accidents méningitiques avec conv
, méchant, alcoolique, absinthique, battait souvent sa femme. Mère, morte à 62 ans, de bron- chite chronique ( ? ) ; migr
t poussés très loin par elle; elle regrette beaucoup sa grand'mère, morte récemment et qu'elle compare a au bon pain ». E
du manque d'activité de sa nutrition générale. Le plus souvent il meurt entre 3 et 6 ans de broncho-pneumo- nie ou de m
était très alcoolique, mais était vigoureux et bien portant. Mère, morte iL 60 ans, buvait aussi beaucoup, elle menait une
est mort tuberculeux à 31 ans, étant soldat engagé. - Une soeur est morte à 47 ans de tuberculose pulmonaire; une autre s
soeur est morte à 47 ans de tuberculose pulmonaire; une autre soeur mourut à 20 ans des suites d'une tumeur blanche du gen
présenté aucun accident satur- nin, ni nerveux, était sobre. Mère, morte d'un cancer uté- rin. Grand-père maternel, mort
presque aveugle. Un opéré d'Audry (Progrès médical, 1882, 17 fév.) meurt quelques heures après l'opération. Contentons-n
n L171CC('CLB171 héréditaire. Soeur à tête volumineuse. Autre soeur morte de méningite. Émotion 358 ' Hydrocéphalie chron
érieure ne se serait fermée qu'à -16 mois (Fig. 69, 70) ; 2° fille, morte à 29 mois, d'accidents méningitiques, après une
2 (1893) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1892
ère, convulsions de l'en- fance, suivies de strabisme ; alcoolisme; morte aliénée. - Grand-père maternel, méchant et viol
and-père alcoolique, mort des suites, d'une phlébite. La grand'mère morte d'une ascite ( ? ) vers 38 ans et une tante, so
rnelle, excès de boisson. - Deuxième arrière- grand'mère maternelle morte d'un cancer du sein. - Pas de consanguinité. -
connue du mari. Nerveuse, sans crises. Bon caractère. Intelligente. Morte le 23 octobre 1891 de péri- tonite après accouc
, suicidé ; on ignore la cause de ce suicide. Grand'mère paternelle morte à 60 ans. Elle commettait des excès de boisson
onque. - Grand-père paternel mort à 76 ans et grand'mère paternelle morte à 82 ans d'affections que l'on ne peut préciser
ns, < à la même époque, de fièvre typhoïde. - La quatrième est morte à 3 ans du croup. - Aucune n'avait présenté de tr
mais là se borne tous les renseignements. Grand.'mère paternelle morte à 73 ans d'une pleurésie ( ? ). Grand-père mate
rs des cuisses et du psoas-iliaque. Ces muscles, de couleur feuille morte , sont rétractés au point de ne permettre que pa
famille, le frère aîné de Sal... vint asphyxié à sa naissance et mourut deux heures après. Les convulsions liées sans d
n- guinité. - Inégalité d'âge de 10 ans. 4 enfants : 1° une fille morte de la variole à 20 jours, sans convulsions; - 2
ET FERMER. SOMMAIRE. - Père tuberculeux. - Grand'mère paternelle morte d'apoplexie cérébrale. - Arrière-grand-père pater
, mort à 73 ans, d'accident; pas d'excès de boisson. - Mère, sobre, morte à 70 ans d'apoplexie cérébrale sans hémi- plégi
Père violent, buveur, s'est noyé involontairement, à 66 ans. -Mère, morte à 73 ans, non nerveuse, sobre. - Pas de renseig
ires ; - 3° garçon, mort à deux ans de fièvre typhoïde; - 4o fille, morte à deux ans de convulsions prolongées ; la durée
es phénomènes de la maladie font penser à la méningite; - 5o fille, morte à deux ans d'angine diphtérique; - 6° garçon, m
térique; - 6° garçon, mort à deux ans avec convulsions; - 7° fille, morte du croup à 18 mois; - 80 garçon, mort à 13 mois
nfant est absolument immobile, ne fait aucun cri, gâte constamment, mourrait de faim si on ne la faisait manger régulièremen
atin, l'enfant mange encore un peu de soupe, et, il 10 heures, elle meurt , avec pâleur de la face, respiration de plus en
plus en plus rare, une par minute environ, de sorte qu'on l'a crue morte une dizaine de minutes avant l'heure réelle de
première fois assez jeune, il eut une fille de son premier mariage, morte aux Enfants Malades à l'âge de 3 ans 1/2 de mén
eu des convul- sions durant toute sa vie. Sa première femme serait morte subitement durant ses couches. D'après sa secon
ait «abusé de la vie)) et avait abandonné sa femme. - Mère aliénée, morte il 45 ans de la rupture d'un anévrisme à la Sal
rand-père pater- nel, pas de renseignements. Grand-mère paternelle, morte il y a 6 ans, on ne sait de quoi; auparavant el
. Un oncle maternel, mort à 29 ans subitement. - Deux soeurs, une morte à 2G ans de pneumonie; une autre, 38 ans, se port
pelons que le père de l'enfant a eu d'un premier mariage une fille, morte à 3 ans à l'hôpital des Enfants Mala- des, cle
e où il y aurait eu des aliénés ; nerveuse et un pou vive, elle est morte à G7 ans de la variole. - Une soeur morte folle
et un pou vive, elle est morte à G7 ans de la variole. - Une soeur morte folle après un séjour de 1-2 ans dans un asile
se croyait persécutée,. Elle a laissé une lille qui, elle-même, est morte folle après deux ans de mariage. Une 2° soeur e
re interner de nouveau. Une 3e soeul', saine d'esprit cette-ta. est morte tuberculeuse. Elle a eu 4 enfa Ils, 3 sont mort
e avancé on ne sait de quoi. - La ! ]'ëlJ1cl"mère r¡alerllelle, est morte très vieille sans jamais avoir donné de signe d
rt à 89 ans, sans jamais avoir été malade. - Grand'mère paternelle, morte à 75 ans. Elle est restée un an au lit avant de
e paternelle, morte à 75 ans. Elle est restée un an au lit avant de mourir . Elle était très faible, mais non paralysée. -
e. - Grand-père maternel mort tout jeune. - Grand' mère maternelle, morte en couches. Rieii comme maladies nerveuses ou m
rents paternels sont morts jeunes. La. grand'mère maternelle serait morte du choléra. - Un oncle paternel, mort à 67 ou G
se, la mère tomba de voiture : « on m'a ramenée chez moi, presque morte , dit-elle, à moitié tuée». On lui fit prendre de
ygène. Sulfate de quinine 0.30 centigrammes. Sinapismes. L'enfant meurt à une heure du matin. Température après la mort
oncle- paternel, convulsions de l'en- fanez Mère, excès de boisson, morte phlhisique. - ^Grand-père paternel mort phthisi
c sa canule, Antécédents héréditaires. 109 au bout de 3 jours. 11 mourut un mois après sans que la canule eut été enlevé
ux pour ses enfants. Pas de maladies nerveuses. Mère, non nerveuse, morte « de chagrin» » 58 ans également, 6 mois après
idiots, ni épileptiques, ni bègues, ni sourds-muets, etc.] Mère, morte phtisique, iL 3G ans, en 1891. On ignore si ell
. [Père, mort phtisique, à 50 ans. Mère, de 7 ans plus âgée, serait morte également phti- siqtte CI) a 74 ans. Tous deux
paternels, oncles et tantes mater- nels inconnus. Une soeur serait morte très jeu ne. Pas d'idiots, d'épileptiques, d'al
le paternel mort de méningite traumatique ( ? ). - Tante paternelle morte phthisique. - Mère, vive et coléreuse. - Cousin
convulsions. - Un autre frère mort du carreau, à 3 ans. - Une soeur morte de bronchite, - Pas de consanguinité. - Inégali
« très ner- veux » il faisait parfois des excès de boisson. - Mère, morte à 70 ans ( ? ). - Grands-parents paternels et m
41 ans, d'une chute de voiture, laboureur, était très sobre. Mère, morte à 66 ans, d'une « maladie de ven- tre ». n'a ja
nsanguinité. - Inégalité d'âge de 3 ans. 14 enfants : 10 Une fille, morte un quart d'heure après la nais- sance ; - 2° fa
, intelligente, pas de convulsions ; - 12° notre malade; 13° fille, morte à 2 ans d'une bronchite, sans avoir eu de convu
es, sirop d'é- tirer ; potion avec acide lactique, 5 gr. L'enfant meurt à 3 heures du matin. Son poids au moment 124 De
d'héii-Lo ? - ? ,hagie cérébrale. - Arrière-grand' mère paternelle morte d'un cancer uté- rin. - Grand-oncle paternel mo
, mort d'une hémarrhagie cérébrale à 54 ans. Grand'mère paternelle, morte à 38 ans, d'un cancer uté- rin. Arrière-grand-p
and-père paternel, 'mortà' 84 ans. - Arrière-grand'mère paternelle, morte à' 7f¡' ans. -'Grand- père maternel, mort à 77
i- gre, mais bien conservé et vigoureux. Grand'mère mater- nelle, morte à 28 ans, en couches, « de chagrin,' dit-on. »
cle paternel disparut à la guerre de Crimée. - Une tante maternelle mourut à 3 ans de convulsions Une soeur, 41 ans, est b
ns un chantier de bois, est sobre et jouit d'une bonne santé. Mère, morte à 74 ans, à la suite d'un long séjour au lit, d
'une gastrite ( ? ), vigne- ron, très sobre. Grand'mère paternelle, morte à 68 ans, d'accident ; robuste. Grand père mate
uparavant dénoté aucun trouble psychique. Grand' ' mère maternelle, morte à 88 ans. - Oncles ou tantes pater- nels : tous
é, sauf un oncle mort il 23 ans, par accident. Une tante maternelle morte en bas âge, à la suite d'un mauvais allaitement
rès violent. Grand-oncle paternel, alcoolique. Tante' z paternelle, morte de la poitrine. Autre tante paternelle, ' morte
te' z paternelle, morte de la poitrine. Autre tante paternelle, ' morte de méningite et de phtisie. Autre tante paternell
es. - Pas de consanguinité. I-négà- lité d'âge de huit mois. Soeur, morte de convulsions à 4 mois. Asphyxie complète à
né est mort à G semaines ; pas de renseignements. La 2°, fille, est morte à 21 ans de la poitrine; Antécédents personnels
Antécédents personnels. 1 149 hémoptysies ; non nerveuse. La 3e, morte à 15 ans d'une ménin- gite qui aurait duré un m
ée à 23 ans du choléra; aucun renseignement. Grand-mère paternelle, morte à 70 ans. Grand-père paternel, mort à 87 ans et
t qu'elle n'a marché qu'à 15 mois et parlé qu'à 20 mois; -3^ fille, morte à quatre mois de convulsions qui auraient duré
était en tout temps un alcoolique avéré. Une tante paternelle est morte de tuberculose des poumons et des méninges. Ces
and-père paternel, mort de lapierre. Arrière-grand'mère paternelle, morte de la rupture d'un anévrisme aortique. Grand-on
rt de méningite. Autre oncle paternel, suicidé. Tante paternelle, morte d'attaques d'éclampsie. Mère, soignée comme hysté
Hôtel-Dicu, après l'opération de la pierre. Gmml'mi : e paternelle, morte à 60 ans, de la rupture d'un anévrisme aortique
quoi. - Sur quatre soeurs, aucune n'est vivante. L'une d'elles est morte à 18 ans d'attaques d'éclampsie. - Dans le reste
a respiration est calme. Le pouls est encore assez fort. - Elle est morte à 7 heures du soir ce même jour, sans grimaces
nt la grossesse. - Grand- père maternel, mort asthmatique. Cousine, morte de méningite. Tante maternelle, très nerveuse.
point de vue nerveux. Aucun des enfants n'était névropathe. -Mère, morte à 53 ans de la fièvre typhoïde. Elle se portait
'attaques de nerfs, et n'a jamais fait d'excès de boisson. Elle est morte à 58 ans d'une maladie du foie qui paraît avoir
- Grand-père maternel, mort de pleurésie puru- lente. - Grand'mère. morte d'une maladie de matrice avec pertes. - Quatre
s de bègues, Toutefois, une cousine germaine a eu une fille qui est morte à 21 ans de méningite. - Un frère et ses trois
r à minuit : 4 accès. Pas d'accès le restant de la nuit. - L'enfant meurt le 22 décembre à 7 heures du matin. T.R. aussit
faciales qui ont nécessité l'emploi de la morphine. Une cousine est morte de méningite. II. La grossesse a été troublée p
ue; Par BOURNEVILLE et DAURIAC.. Sommaire. Grand' mère paternelle morte épileptique (en état de mal probablement). - Mè
fois. La première femme, qui n'est pas la mère de notre malade, est morte de la poitrine, il y a 20 ans. - [Famille du pè
rt d'une fièvre muqueuse et de scarlatine à l'âge de 57 ans. - Mère morte des suites d'accès d'épilepsie après la couche
Père, boulanger, mort à 78 ans, sobre, gai, un peu violent. - Mère, morte à 46 ans, hydropique, asthmati- que, probableme
Watt... La grand'm(\re paternelle était épileptique et parait être morte en état RÉFLEXIONS. 9<5 5 de mal. Chez le
DAURIAC. SomfAmE. - Père, caractère emporté. Mère, caractère vif, morte en couches. Grand'mère maternelle morte en cou-
porté. Mère, caractère vif, morte en couches. Grand'mère maternelle morte en cou- ches. - Pas d'antécédents héréditaires
re, femme de chambre, caractère un peu vif, sobre, non migraineuse, morte à 36 ans en oouc;hcs. E11· n'auraitjawais été m
i fièvre typhoïde. [Père, mort à 50 ans, on ne sa' de quoi. - Mère, morte en couches : 1 36 ans. Le reste de la famille e
, bien partante et très intel- ligente; 30 notre m dalle; 4° fille, morte en naissant. Notre H1 : llade. -An moment de la
éca, sulfate de quinine. - A 6 heures du soir : T R. lino. L'enfant meurt à Il heures 45. T. R. après le décès z,9; d'heu
e vin, était coléreux et brutal, n'avait jamais été malade. - Mère, morte subitement à 62 ans, était aliénée ; elle fut i
naît pas les grands-parents paternels.-La grand'mère maternelle est morte aussi d'une affection du coeur. - Il y a plusie
bulisme ; toutefois, elle ne semble pas être hystérique. - [Mère, morte à 5 ? ans, avait ordinairement une bonne santé. A
g. 6. 244 ECARTEMENT DES OS DU CRANE. 27 novembre, - L'enfant est morte ce matin à 8 heures, sans phénomènes particulie
, mort de convulsions. Soeur convulsions de t'e)tm.ce ? lutresceur, morte de convulsions. Conception durant l'ivresse. -
ue l'on exécutait sur lui pour la seconde fois. Mère, non nerveuse, morte à vingt-quatre ans d'une affec- tion pulmonaire
ude bien portant, ést mort à soixante-dix ans de pneumonie. - Mère, morte à cinquante-neuf ans avec de l'ictère, aurait c
». Cette maladie aurait duré deux jours. - La grand'mère maternelle morte assez âgée d'une fracture de jambe, aurait été
ernel parait avoir été diabéti- que. - La grand'mère maternelle est morte « asthmatique » . Dans le reste de la famille d
mporté, elle est mariée et a eu 2 filles : une de ces dernières est morte en ayant des convulsions, l'autre a tou- jours
), sobre et intelligent, n'a jamais eu de convulsions; 4° une fille morte à onze mois de méningite avec de nombreuses cri
était d'une très bonne santé habituelle. - Grand'mère maternelle morte à 86 ans. - Deux oncles paternels morts tous deux
n'auraient présenté rien de particu- lier. - Une tante paternelle, morte a ( ! 0 ans, n'aurait pas eu de maladie nerveus
mariage avec une femme phtisique, (il faut noter que sa mère était morte de la poitrine) laissant une fille bien portant
bonne santé. - Deux sceurs du 1er lit également, une des deux est morte sans avoir eu d'antécédents nerveux. L'autre soeu
ez vif, emporté. Pas de troubles men- taux. - Grand'mère maternelle morte vers 40 ans d'une maladie épidémique ( ? ) ; au
attention. En terminant, il exprime le désir que si son son enfant meurt , nous pratiquions l'autopsie et lui en fassions
eu.v. Grand-père puternel, excès de boisson. Grand'mère paternelle, morte d'un cun- SUTURES; DU. CRANE DANS L'IDIOTIE'. 3
ate1¡¡1el, mort de méningite traumatique ( ? ). - Tante paternelle, morte pthisique. Ti. 3à. Sutures du crâne dans l'id
de convulsions. Un autre frère, mort du carreau à 3 ans. Une soeur morte de bronchite. Pas de consanguinité. Inégalité d
BS. XII. - IDIOTIE méningitique. SOMMAIRE. - Grand'mère paternelle, morte épileptique (eu état de mal probablement). - Mè
e boisson. - Grand' tante maternelle, migraineuse. - Soeur de mère, morte de convulsions. - Enfant naturel : arrêt de dév
lsa7l- guinité ; mère plus âgée que le père de 14 mois. - Soeur, morte d'une méningite avec commis ions. Enfant normal j
suicidé par pendaison, ? ... 328 Idiotie. Grand'mère maternelle, morte d'une attaque d'apoplexie. Arrière-grand' tante
rnel mort d'un coup de sang. Oncle parternet mort phtisique. - Mère morte d'une péritonite un an après une couche. Pas de
ineuse. - Pas de consanguinité. Inégalité d'âge de deux ans. Soeur, morte de convulsions. Con- ception durant l'ivresse.
3 (1899) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1898
e et donna le coup de mort il son infortuné fondateur (le D'> G. mourut à Mon- treux à peine de 47 ans, peu après la fe
Grand-père paternel mort d'ataxie à Bicêtre. - Arrière grand'mère morte de paralysie. Cousine germaine, convulsions dan
paternel mort à 65 ans, on ne sait de quoi. - Grand'mère paternelle morte a 71 ans, après avoir été clouée au lit, pen- d
nel mort d'ennui d'avoir perdu sa femme. Grand'mère ma- ternelle, morte il 65 ans, on ne sait de quelle maladie. 8 gran
pas de renseignements circonstanciés. Une grand'- tante maternelle morte iL GO ans. Une tante paternelle, en bonne santé
es jambes avec complication infec- tieuse). - Grand'mère paternelle morte à 85 ans. Grand- père maternel mort il 75 ans.
ien portant, d'un carac- tère analogue à celui de son fils. - Mère, morte vers 60 ans, peut-être d'un cancer abdominal, p
t atteint de tremblement sénile de la tète et des membres. Sa mère, morte à GG ans, on ne sait de quoi, était ordinaireme
-père paternel aurait été bigame. La grand'mère mater- nelle serait morte en démence à 80 ans. - Un frère mort en naissan
plégie gauche. Très sobre; sans autre anté- cédent nerveux. - Mère, morte jeune, on ne sait de quoi. - Aucun renseignemen
lité d'âge d'un an (père plus âgé). Quatre enfants : 1° Une fille morte à 3 ans et demi, sans convulsions. Elle aurait
isparue. T. Il. : 37°,7 et 37°;S. L'enfant, en pleine connaissance, meurt à minuit. - Poids après décès : 38 kilogr.. e
s des deux cotés ; ils se produi- sent à la plus légère percussion. Morte le 13 mai 1836 dé tuberculose pulmonaire, - .1u
éralisées aux quatre, membres. Idiotie. Gâtisme. Marche impossible. Morte le 5 mars 1897 de broncho-pneumonie - Autopsie
d-père maternel, excès de boisson. - Arrière grand' mère maternelle morte subitement. Grand-oncle mater- nel suicidé par
traitant. Mère, obèse, porteuse d'une grosse hernie ombi- licale, morte il 47 ans à la suite de vomissements tenaces de
ntrariétés dues à l'inconduite de son fils. - Grand'mère maternelle morte à 67 ans, « usée par le travail » ; pas de para
bre, aurait eu une maladie du pylore ( ? ). - Grand'mère maternelle morte a 71 ans, sans paralysie. - Un grand-oncle pate
n bonne santé, ont des enfants non nerveux. - Une tante maternelle, morte vers 35 ans de variole, a eu trois enfants qui
ue de rhumatisme qui se complique d'une affection cardiaque et elle meurt iL 41 ans à la suite d'at- taques subiutrantes
urs souffert d'asthme, - Grand'mère paternelle, asthmatique aussi ; morte à l'âge de 60 ans ; elle aurait eu 12 enfants.
'une échelle avec traumatismes graves). - Grand'mère mater- nelle morte à 61 ans, subitement, a toujours été bien por-
obres et n'offrent rien à noter. Trois tantes paternelles : une est morte de pleurésie à 42 ans, les autres sont sobres e
ionnaire, se retourne, voit le visage pâle de sa filleule, la croit morte , s'en effraie et crie en pleine église : « Ah !
crie en pleine église : « Ah ! maman, j'ai peur que Jeanne ne soit morte ! » Rassurée par sa mère, elle continue il écou-
en- dant un mois, parlant sans cesse de la mort, s'imaginant voir mourir les uns ou les autres de sa famille. Puis elle co
point qu'elle s'ima- gine que sa lillcule qui l'accompagne vient de mourir . L'idée cle la mort l'obsède, elle ne dort plus
ux. - Mère, quarante-cinq ans, rien à signaler. - Tante paternelle, morte d'apoplexie. - Autre tante pater- nelle, morte
Tante paternelle, morte d'apoplexie. - Autre tante pater- nelle, morte des convulsions de l'enfance. Frère mort à dix-
ans, d'une entérite, sobre, jamais malade. - Grand'mère paternelle, morte à soixante-seize ans, d'une affection chro- niq
diabète. - Oncle paternel, mort d'une cholérine. Tante paternelle, morte asthmatique. - Alcoolisme DE l'enfance. 85 Au
sthmatique. - Alcoolisme DE l'enfance. 85 Autre tante paternelle, morte d'une attaque d'apoplexie en un jour. - Autre t
orte d'une attaque d'apoplexie en un jour. - Autre tante paternelle morte des convulsions de l'enfance. - Pas d'aliénés,
veuse : le corps s'est raidi, puis l'enfant s'est écrié : « Je vais mourir » ; il ouvrait les yeux démesuré- ment, se penc
, surtout dans la lignée maternelle. Du côté du père, une tante est morte d'une attaque d'apoplexie. Un frère aurait eu u
, 2. 5 décembre. T. IL 38° et le soir 38",6. 6 décembre. L'enfant meurt it 5 heures du matin. T. R. un quart d'heure ap
re emporté. Grand'tante pater- nelle paralysée. - Tante, maternelle morte tuberculeuse. Mère migraineuse, très nerveuse.
nel, caractère violent. - Grand'mère maternelle cancéreuse. - Soeur morte de convulsions. État syphilitique de la mère pe
s battements du pouls incomptables. Le malade tombe dans le coma et meurt le, 1l à 9 heures, du matin. T. R. après la mor
opathie progressive. Sommaire. Grand-père paternel alcoolique. Mère morte 'tuberculeuse. Grands-parents maternels tubercu
s,- Grand-père paternel alcoolique. Arriè- re-grand'mère paternelle morte en enfance. - Grand-oncle paternel mort d'apopl
rises nerveuses. Cousins morts de méningite : un est arriéré. soeur morte de méningite. - Pas de consanguinité. Pas de
t d'un cancer de l esto- nac. - Grand'mère maternelle intelligente, morte il 82 ans. - Ni frères ni saurs, - Une lanle ma
rte il 82 ans. - Ni frères ni saurs, - Une lanle maternelle jumelle morte en naissant. Pas d'autres renseignements sur le
ère paternelle très nerveuse, sujette à de fréquentes attaques, est morte du cho- léra. Grand-père maternel s'est suicidé
s'est suicidé après des affaire* de bourse. - Grand'mère maternelle morte à 78 ans d'une IDIOTIE congénitale. 123 fluxi
de poitrine. - Pas d'oncles paternels. - Une seule tante paternelle morte tuberculeuse. - Neuf oncles ou tantes maternels
ur; le troisième est mort d-s fièvres en Cochinchine. - Une soeur morte de la coqueluche à un âge peu avancé. Dans le r
vait conservé son intelligence. Une (11'ancl'l,1111c maternelle est morte il 88 ans, également en 1898, avec toute sa con
li- téré ; pas de lésions valvulaires, pas de coloration feuille- morte du muscle. Abdomen distendu par les gaz. Pas d'
nées. - [Famille du père. - Son père est mort tige, sa '1lIè1'e est morte à 74 anus ; pas d'autres renseignements non plu
grands parents que la mère n'a pas connus. - Deux soeurs dont l'une morte à 42 ans d'un cancer de l'utérus ; l'autre, âgé
h9 ans de tuberculose pulmonaire ; pas d'excès de boissons. - Mère morte à 42 ans, également tubet·cttleuse. - Grands, p
- Père, cultivateur, mort h 71 ans; peu de renseignements, sobre. - morte à 70 ans ; longtemps malade ; caractère acariât
ran- che, assez intelligente. [Sa famille. - Père, inconnu. Mère, morte à 54 ans ; Hydrocéphalie. 153 blanchisseuse,
'mère maternelle de l'enfant, et la conges- /ion cérébrale dont est morte une demi-soew' mater- nelle. Signalons en passa
Plusieurs cas de gémella1'ité dans la famille de la mère. Soeur, morte de convulsions. - Frère, mort a Bicêtre de sclé
fance. - Autre frère convulsions répétées de l'enfance. Autre soeur morte de convulsions. Pas de consanguinité. Inégalité
sa femme. - Grand'mère paternelle, bossue, avenante, intelligente, morte d'un asthme en»18-,3. -Arrière- grand-père pate
tins, très sobre, cultivateur. - Grand'mère maternelle, très calme, morte subitement d'une congestion au coeur. Arrière-g
rois enfants dont deux sont en bonne santé et dont la troisième est morte phthisique à 25 ans. - La tante ma- ternelle, s
ité d'âge de six ans. Dix enfants : 1° et 2°, deux jumelles : l'une morte à 20 jours, « s'est éteinte l'autre est morte à
deux jumelles : l'une morte à 20 jours, « s'est éteinte l'autre est morte à 2 mois de convulsions qui ont duré trois jour
i ont duré trois jours ; elles étaient nées à 8 mois ; - 3° fille morte à. 9 mois en 24 heures de la cholérine ; pas de c
sions assez fortes, est mort à 6 mois de la cholérine : - 10° fille morte à 6 mois, convulsions chaque semaine ; sa tête
premier que la mère nourrissait, con- trariée d'avoir vu les autres mourir en nourrice. Très cons- tipé, faisant tout vert
tie. SOMMAIRE. Père quelques excès de boisson. Arrière grand'mère morte d'une troisième attaque de congestion cérébrale
me attaque de congestion cérébrale. - Arrière grand'mère paternelle morte « un peu paralysée riz. - Gémellarité. Mère,
el mort vers 75 ans' on ne sait de d.ûoi. = Graa2tl'wére paternelle morte à sa troisième attaque de congestion cérébrale.
mort à 67 ans, on ignore de quelle maladie.. Grand' mère maternelle morte un peu paralysée, sans démence ; elle 2; eu deu
l'idiotie. Thèse de Paris. 1898. 13 : 1LLAItU. (J.). - Comment meurent les épileptiques. Thèse de Paris. Bellay (P.)
4 (1896) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1895
aut que la société ne per- mette pas qu'un être humain puisse ainsi mourir . » Et après avoir énuméré les points du problèm
e boissons hebdomadaires. [Père mort asthmatique à 88 ans. - Mère morte d'un « chancre rongeant » à la figure. - Une ni
nt a été conçu - 3" garçon mort à 8 jours de convulsions ; 4° tille morte à 15 jours de convulsions. Notre malade. - Ri
ible, régulier, à 10. - T. li. 41, 3. Pendant la visite, l'enfant meurt sans aucune agitation, et auec sa connaissance.
l'Orne, bien portant; ni alcoolisme, ni accidents nerveux.- Mère, morte à 55 ans ; peut-être a-t-elle succombé à une An
. Grand-père maternel, aucun ren- seignement. Grand'mère paternelle morte à la suite de couches. - Six oncles paternels ;
te. [En avril 1893, le père de l'enfant nous dit que sa femme est morte en couches de son quatrième enfant, un garçon, qu
gnent. La langue est couverte d'un enduit noir et coagulé. L'enfant meurt sans convulsions. MÉNIN60-ENCÊPHAI..ITE ; TUBER
fui à l'étranger après escroquèrie. - Arrière-grand'mère paternelle morte paralysée. Mère, paraplégie traumatique. - Doub
[Son père, également notaire, est mort du choléra en z Sa mère est morte d'une pneumonie à 81 ans.- Grand'père et grand'
ernel, mort de rétention d'urine à 91 ans; - grand'mère maternelle, morte paralysée à 78 ans. - Trois frères morts jqtine
typhoïde, l'autre du choléra, le troisième tuberculeux.- Une soeur morte jeune on ne sait de quoi.- Pas d'affections ner
e, très intelligente.- [père mort d'une affection cardiaque. - Mère morte à G6 ans d'une hydropisie consécutive à une mal
el, alcoolique, paraplégique. - Oncle paternel, alcoolique. Mère, morte de tuberculose pulmonaire. - Grand' tante ma- t
erculose pulmonaire. - Grand' tante ma- ternelle, fille entretenue, morte à 25 ans. - Une autre grand' tante, attaques de
e, attaques de nerfs, aliénée, alcoolique, hémi- plégique. - Soeur, morte de méningite. Pas de consanguinité. - Inégalité
e à 66 ans. Grand'mère, décédéc à 60 ans ; rien de spécial. - Mère, morte à 32 ans, d'une tumeur abdo- minale ; pas de rh
nerfs, peu émotionable ; pas de rhumatisme, ni d'affection cutanée, morte à 31 ans de tuberculose pulmonaire. [Famille de
° une fille, i i ans, bien portante, bonne écolière ; - 5° fil- le, morte àH ans, de méningite avec conUUl.,iotis, en quatr
gaucho chez une grand'tante paternelle. Une soeur de la malade est morte de méningite avec convul- sions. II. L'épilep
la suite d'un refroidissement ; habituellement bien portant. - Mère morte de vieillesse à 74 ans; elle avait une excellen
d'mère maternelle rien à signaler, à part un asthme avec bronchite; morte à 78 ou 80 ans. Aucun renseignement sur les aut
ntellectuelle et physique. Le 8 mars, série d'accès et, à 2 h. ? il meurt en ayant eu 25. Température pendant les accès.
siques ou mentales chez leurs enfants. - Une SOEur, religieuse, est morte à 83 ans. - Deux frères ont succombé vers 10 ou
d'âge de 10 ans. Six enfants et une fausse couche : 1° Une fille morte à 4 mois d'athrepsie ; 2° une fille, 10 ans, in
is d'athrepsie ; 2° une fille, 10 ans, intelligente ; -3o une fille morte à 18 mois d'une « fluxion de poitrine » ; - 4"
ge très modéré de l'alcool. - [Famille, de la mère. - Sa mère est morte à 76 ans, asthmatique. Son père, nerveux, violent
tion inconnue; - 2° fille bien constituée, née à 8 mois et (lui est morte de diphtérie à 3 mois; - 30 fille née à 8 mois,
s et (lui est morte de diphtérie à 3 mois; - 30 fille née à 8 mois, morte à un mois en nourrice on ne sait de quoi; - 4o
n nourrice on ne sait de quoi; - 4o -et 5", deux jumeaux, une fille morte en nourrice il 6 mois et demi avec de l'ictère,
oissons, mais buvait habituellement « comme tout le monde n.- Mère, morte à G5 ans d'hémiplé- gie droite avec aphasie. To
on- gue captivité en Espagne, très fort. - Grand'mère paternelle, morte à 99 ans, jamais malade. - Grand-père maternel, o
en portant, mort à 64 ans d'une pneumonie.- Grand'mère maternelle , morte on ne ne sait de quoi a la suite d'une violente
lement d'une affection pulmonaire. - Deux tantes pater- nelles, une morte de pneumonie à 57 ans, l'autre vivante, 55 ans,
°, 2. - Soir : T. R. 40°, 1. 8 mat. - Matin : T. R. 39°,4. L'enfant meurt dans la journée. La température après la mort a
i- . tique, mort de paralysie générale. - Grand'mère pater- nelle morte aliénée. Mère, très nerveuse, syphilitique. G)'
ère, très nerveuse, syphilitique. G)'a ? id')ne ? 'ema(e}' ? teHe , morte diabétique. - Arrière-grand-père maternel, excès
-père maternel, excès de boisson. - At·rière-grand' mère maternelle morte d'un cancer de l'estomac. - Deux oncles materne
ment sur sa famille. - Mai- tresse de musique, intelligente, sobre, morte d'une pleurésie à l'Aliile clinique (6 janvier
onnels; sobre, caractère assez emporté, est en bonne santé. - Mère, morte à 52 ans du diabète, n'a jamais eu d'accidents
de boisson dans la jeunesse, décédé 8'i ans, Grand'mère paternelle, morte également il. 84 ans. Grand-père maternel, mort
rnel, mort à 8 : 3 ans, sobre, asthutatique. Grand'mère maternelle, morte à 62 ans, d'un cancer de l'es- tomac. Les oncle
une fille de 11 ans. affectée de coxalgie. - Deux soeurs : une est morte phtlti.iqtte; l'au- tre, bien portante, n'a pas
s à 23 ans et avait eu de son mari, mort de néphrite aiguë, une f3lle morte d'asphyxie pendant l'accouchement. 102 Antécé
ra- lysie générale. - La (grand'mère paternelle de l'en- fant est morte aliénée. Tous renseignements nous font défaut s
- Grand-père paternel, pas de détails. - Grand'mère pater- nelle, morte à 95 ans. - Grand-père et grand'mère maternels
Antécédents personnels. 115 que. - Une ta ? ite maternelle serait morte de tuberculose à 18 ans. Un frère et deux sam1'
sion qui est apparue il y a quelques jours augmente ; l'en- fant meurt le matin du 28 sans convulsions. - La tempéra-
d'accidents né- vropathiques. (Nous avons appris depuis qu'elle est morte à 78 ans, d'affaiblissement progressif sans dém
iques ni psychiques inté- ressants sur la famille du père.] Mère, morte ia 29 ans en 1871 d'une affection chronique de
, à laquelle ressem- blait beaucoup, dit-on, sa fille, serait aussi morte poitrinaire. Elle n'aurait jamais eu d'accident
parvenus aux oreilles de la belle-mère de l'enfant, sa mère étant morte depuis longtemps ; aussi ne doit-on y ajouter q
igoureux, caractère doux, aucun excès, aucune tare nerveuse. - Mère morte à 75 ans d'affection pulmonaire ai- guë; jamais
rs bien portant, de caractère doux, sobre, sans troubles nerveux. - morte à 00 ans d'une hernie étranglée ; pas d'acciden
. - La mère a 4 ans de plus que son mari. Six enfants : '10 Fille morte des suites d'une chute il 5 ans, n'avait pas eu
ans, n'avait pas eu de convulsions ; - 2° notre malade ; 3" fille morte à 3 ans de convulsions ; - 4° fille de 8 ans, int
n âge. » A 2 ans et demi, il a éprouvé une émotion vive en voyant mourir sa sieur ainée. Il couchait clans la même chambre
lade. DESCRIPTION DU malade. 155 Soir : T. R. 38°, 8, - Le malade meurt à 11 heures du soir. La température après la mo
erculeux. - Soeur strabique à la suite de convulsions de l'enfance, morte tuberculeuse. (1) La malade qui a reçu le moins
, il est mort d'une attaque d'apo- plexie en une heure. Sa mère est morte « asthmatique » ; elle n'était ni nerveuse, ni
it continué longtemps l'alimentationlactée. - Sa grand'-tante étant morte « de vieillesse » (75 ans), sans accidents nerv
tion de la couleur des cheveux à chaque grossesse. Tante maternelle morte d'un cancer du sein. Pas de consanguinité. Inég
nte-sept ans, sobre, pas d'accidents nerveux. - llère, migraineuse, morte il cinquante-cinq ans de refroidissement; rien
santé ; l'autre, bien portant a un fils de même ; deux soeurs : une morte d'un cancer du sein, très intelligente, pas d'a
ix enfants et deux fausses couches : 1" et 2° jumeaux (gar- çon qui mourut à trois mois faute de soins, fille morte à quin
2° jumeaux (gar- çon qui mourut à trois mois faute de soins, fille morte à quinze jours ; était restée longtemps au pass
s de boisson. - Mère, rien de particulier. Grand'mère maternelle, morte d'apoplexie. - Tante maternelle, mi- graineuse.
5 (1901) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1900
même de ses enfants et de ceux du précédent. Une tante paternelle morte âgée. On ne sait rien des oncles et tantes mater-
es vénériennes, sobre, a été soldat, s'est marié il 29 ans. - Mère, morte en 1893, à 56 ans, d'une affection du coeur, n'
bre; est mort il 72 ans, usé par le travail. Grand'mère paternelle, morte à 77 ans de vieillesse, n'avait jamais eu de ma
ans de vieillesse, cultivateur, sobre. Grand'mère pater- nelle est morte jeune, on ne sait de quoi. - « Mon grand-père p
sième fois à 27 ans. » Grand-père maternel, mort jeune. Grand'mère, morte à 86 ans de vieillesse avec toutes ses facultés
ds-oncles paternels. Deux grand'lantes (pas de la même mère), l'une morte à 7S ans, l'autre à 75 ou 76 ans Un grand-oncle
ans et demi, sans accidents nerveux, a eu deux enfants : une fille morte du croup, pas de convulsions, l'autre, garçon,
qui consiste en une absence complète du cervelet chez une enfant morte à 11 ans et qui avait présenté aussi des troubl
intelligente. Oncle paternel mort de méningite. - Tante paternelle morte de convulsions. Malformations. Mère,.très impre
d-père mater- nel mort tuberculeux. Arrière-grand'mère maternelle morte d'une attaque apoplectique avec paralysie. - Plu-
de jambe, « était aussi dans les théâtres. » Grand'mère paternelle, morte à 72 ans d'une maladie du foie. Grand- père mat
aurait été commandant de la place de Verdun. Grand'mère maternelle, morte à 60 ans ; a eu 13 ou 14 enfants : «elle a eu m
ants qui sont presque tous morts de méningite ; une autre fille est morte de tuber- close pulmonaire à 35 ans. Tante mate
lle est morte de tuber- close pulmonaire à 35 ans. Tante maternelle morte à 76 ans d'une fluxion de poitrine laissant un
: Le frère est mort tout jeune de méningite ; La soeur ainée est morte étouffée clans le lit, la soeur cadette est morte
a soeur ainée est morte étouffée clans le lit, la soeur cadette est morte de convulsions. - Dans le reste de la famille,
ans, boucher, sobre, avait des doulours.-(sranrl-2nèt·e paternelle, morte âgée; avait des rhumatismes qui l'ont tenue lon
bre, avait eu un bras emporté il Sébastopol. Grand-mère maternelle, morte à 76 ans d'une congestion cérébrale avec paraly
te taille. Elle a eu 4 enfants : trois bien portants, une fille est morte de méningite. Les cinq tantes ont une bonne san
es foudroyantes ; Mort. Sommaire. Père alcoolique. Tante paternelle morte d'un abcès cérébral. Une autre tante aliénée. T
. - Un frère a eu des convulsions, un cousin a un pied bot. Mère, morte de tuberculose pulmonaire, alcoolique. - Un cou
tantes : l'une, âgée de 55 ans, est en parfaite santé, l'autre est morte d'un abcès cérébral consécutif à une otite moye
oisième, il la suite de revers de fortune, devint aliénée; elle est morte à 08 ans Sept soeurs et cinq frères, presque to
y a pas eu de suicides, ni de prostituées, ni de criminels. Mère, morte à 38 ans de tuberculose pulmonaire. Elle avait
la mère. - Père inconnu. Aucun rensei- gnements sur la mère qui est morte . - Un cousin a été pendu en Angleterre, pour cr
pisse encore au lit, va à l'école où il n'ap- prend rien; 70 fille, morte accidentellement à 11 mois en tom- bant dans un
el, mort de con- gestion cérébrale. -Arrière-grand'mère maternelle, morte à sa 3e attaque de paralysie. Bisaïeule aliénée
renseignements. Deux oncles morts vers l'âge de 70 ans et une tante morte vers 8-4 ans. Une cousine du père est entrée à
and- père paternel mort vers 72 ans, sobre. Grand'mère paternelle morte subitement de congestion cérébrale. - Grand-père
bre, a succombé à sa 3- attaque de paralysie. Grand'mère maternelle morte à 76 ans de pleurésie, pas d'accidents nerveux;
e pleurésie, pas d'accidents nerveux; la mère de cette dernière est morte aliénée. La grand'mère maternelle du malade aur
ien; on n'a aucun détail sur lui; sa mère était de Gand où elle est morte de vieillesse. z Le grand-père paternel est mor
assez rares. En général, ils ont été observés chez des enfants qui meurent peu après la naissance. Il est exceptionnel que
suggestionnable. Grand-père maternel', excès de boisson. - Soezti, morte de méningite. Pas de consanguinité. Inégalité d
res sont bien portantes ainsi que leurs enfants. Deux soeurs, l'une morte à dix-sept ans de tuberculose, l'autre, dix-neu
IDIOTIE 1111CROCEPHALIQUE. de deux ans. Deux enfants : 1° Une fille morte à six mois d'une méningite. 2° Notre malade.
T. R. 40°,5. 3. Dans la nuit, mêmes plaintes, mêmes cris, l'enfant meurt avec une T. R. de 40°,5. La température après l
, avec troubles intellectuels. Rappelons qu'une soeur du malade est morte de méningite à six mois. 96 Idiotie MICROCRPH
e 12 février 1892, est entrée à Bicétre, le 18 novembre 1899 et est morte le 22 mai 1900. Enfant assistée, sur laquelle l
es en 4 doses; iodure de potassium : 0,60, etc. 22 mai.- L'enfant meurt à 5 heures du matin, sans qu'on ait remarqué ri
rt à 62 ans d'un chaud et froid, a toujours été bien portant. Mère, morte à 52 ans «de son retour d'àge. » Elle s'était p
uberculeuse. Grand-père paternel, inconnu. Grand'mère paternelle, morte à 73 ans, de vieillesse, avait toujours eu une bo
é. Grand-père maternel, aucun renseignement. Grand'mère maternelle, morte à 82 ans, ni démente, ni para- lysée. Oncles et
à fi5 ans d'une maladie cachectisante, cancer ou tuberculose. Mère, morte à 70 ans, de vieillesse, n'a jamais eu aucune m
cès de boisson. Grande tante mater nelle migraineuse. Soeur de mère morte de convulsions. Enfant naturel : arrêt de dével
e boisson. Grande- tante maternelle migraineuse. - Soeur de la mère morte de convulsions : - Enfant naturel : arrêt de dé
nel tuberculeux, « plutôt bête que méchant ». Grand'mère paternelle morte à 59 ans d'une fluxion de poitrine. Grand'mère
eux excès de boisson. Mère, peu intelligente. Grand'mère maternelle morte à l'asile de Vaucluse de démence sénile. Grand'
e à l'asile de Vaucluse de démence sénile. Grand'tante paternelle morte folle dans un asile d'aliénés en Belgique. Deux
s âge. Pas de consanguinité. - Inégalité d'âge de 12 ans. Une soeur morte à 2 ans de la rougeole. Une fausse-couche à 6 s
e paternel mort de, ramollissement cérébral. Grand'mère parternelle morte d'un cancer utérin, sujette à de violentes colè
paternel, excès de boisson. Grand'lante paternelle, très coléreuse, morte d'accidents cérébraux. Autre grand' tante pater
léreuse, morte d'accidents cérébraux. Autre grand' tante paternelle morte d'un cancer de l'estomac. Oncle paternel mort d
e boisson. Cousin au 'le degré, strabisme. Autre cousine paternelle morte d'un cancer utérin. - Mère, un peu nerveuse, pa
cérébrale à 55 ans, sobre. Oncle paternel, noceur. Tante paternelle morte de tuberculose pulmonaire. - Renseignements ins
suffisants sur sa famille. - Mère ner- veuse. Grand'mère maternelle morte à 42 ans d'une péritonite à la suite de sa 14°
Tante maternelle nombreux excès de boisson. Autre tante maternelle morte d'un cancer de l'utérus après son onzième enfan
ment de l'idiotie. Thèse de Paris. 1898. Ballard. (J.). Comment meurent les épileptiques. Thèse de Paris. Rellay (P.)
6 (1903) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 18
uent votre suggestion ne peut les atteindre, elle est pour eux lettre morte . » Je réponds brièvement. Il est faux que les c
t là, menaçant le malheureux qui, pourtant n'a jamais été ivre. Il en mourra , peut-être demain, mais en attendant, il est déso
déchirer le filet. Quand on opère suivant les règles, on peut laisser mourir les gens. La satisfaction du devoir accompli perm
çons et 7 filles, dont Edward ?, qui noya un de ses frères, Ethelrede morte sans postérité, Elfiede et Ethelhide religieuses.
et fut enfermé dans l'abbaye de Corbie, d'où il s'échappa pour aller mourir à celle d'Epternach. Karl le Chauve, ayant perd
ns rien. Quant aux garçons, les deux premiers Pippin (PépinJ et Dreux moururent jeunes, le troisième Ludwig naquit et mourut la m
ppin (PépinJ et Dreux moururent jeunes, le troisième Ludwig naquit et mourut la même nuit, le quatrième Karl mourut à quelques
le troisième Ludwig naquit et mourut la même nuit, le quatrième Karl mourut à quelques mois. En résumé, sur les 11 enfants
aimond de Toulouse IV, qui fit une donation à l'abbaye de Conches, et mourut sans enfants bienque marié, et Guillaume de Toulo
'il dota richement; Eudes, un imbécile qui devint évêque d'Auxerre et mourut jeune ; et Hugues, mort à 19.ans. Mais peut-êtr
mmense qu'est l'humanité, il est à toutes les époques des rameaux qui meurent ), vous prierai-je de franchir avec moi les sept s
mé dans l'église des religieux de la Merci, et Marie-Louise de Rohan, morte à. 34 ans, mariée et sans enfants. Je pourrais
n traitant et aviser ensuite. Le malade me quitte, rentre chez lui et meurt subitement. Une autre fois, je devais aller en
eçus une dépêche me priant de prévenir M. X... que sa femme venait de mourir subitement. Si donc j'avais été ce jour-là faire
nce de suggestion à C... je n'aurais certes pas empêché cette dame de mourir et beaucoup auraient mis la mort subite sur le co
e de Paris, ce que le roi de France Philippe I" confirma à sa prière, mourut en 1087, et fut enterré dans l'église de St-Thoma
a en 1108 la fondation de l'abbaye de Notre-Dame de Noyon-sur-Andèle, mourut d'apoplexie le 18 avril 1118 sans enfants quoique
t en 1146 sacrer en sa présence son neveu Menasses, évêque d'Orléans, mourut le 14 janvier 1150, et fut enterré dans l'église
tait en ruine, se croisa en 1096 et partit pour la Terre-Sainte où il mourut avancé en ïge; Milsende, qui donna la Terre de Ve
du roi, le pape Raniéri de Bieda (Paschal II) à son entrée en France, mourut avant août 1108, et fut enterré au prieuré de Gou
e remords, l'habit de bénédictin dans la congrégation de Cluny, où il mourut sans enfants bien qu'ayant été marié ; Guy II, mo
nt Agnès de Gat&nde, qui épousa en 1120 Amaury de Montfort III et mourut vers 1143. Amaury de Montfort III et Agnès de G
après, il eut le crâne fracturé par une pierre lancée du rempart, et mourut en « se recommandant à Dieu et à la Sainte Vierge
t-Jean d'Angely et de Sl-Picrre de Chartres en 1083, 1085 et 1086, et mourut sans postérité vers 1090; Geoffroy, vivant en 108
on faite à la même abbaye de l'église de Stilly et d'autres biens, et mourut vers 1094. Il épousa Agnès d'Eu. Agnes d'Eu des
chartes accordées de son temps aux églises et abbayes de sa province, mourut le 17 juillet 1077, et fut enterré à l'abbaye de
à-Chaux, qu'il réunit à celui de Coincy où il voulut être enterré, et mourut le 1" mars 110» ; Renaud, qui donna un four banal
; Renaud, qui donna un four banal à l'abbaye de St-Jean-des-Vigncs et mourut le même jour que sa mère; et Agnès, femme d'Herué
slBirtK] it Be.; in ml faveur de l'abbaye de St-Denis en 1066, et mourut sans enfants, et Yves IL Yves de Beaumont II fo
lée des grands tenue à Etampes pour résoudre la deuxième croisade, et mourut en 1160. II épousa A tine d'Angleterre (1) et en
stantinople, fut ambassadeur des croisés près l'empereur d'Orient, et mourut en Terre-Sainte en 1204 ; et Bouchard V. Boucha
les pressoirs de Montmorency, se croisa pour là Terre-Sainte en 1189, mourut peu après, sans avoir fait le voyage, et fut ente
pas. Sa conviction demeurait inébranlable. Il était angineux, devait mourir subitement. Et, en effet, il succomba subitement
el se fit religieux en J0*i9 à l'abbaye de Ste-Vanne de Verdun, où il mourut peu après, il eut une fille, Richitde. Richilde
'évoque de cette ville, Gérard, qu'elle rétablit dans son siège. Elle mourut le 15 mars 1086, avancée en âge, et fut enterrée
et églises, entre autres à l'abbaye d'Afflinghen, où il futinhumé, et mourut le 25 janvier 1139; Adatberon, chanoine et primic
de St-Servais à Mons et à Bouchain et de St-Jean-Baptiste au Quesnoy, mourut le 8 novembre 1171 des suites d'une chute, et fut
secourut Lambert de Louvain contre Baudry de Los, évoque de Liège, et mourut sans enfants, et Albert L Albert de Namur I eut q
de la terre d'Andenne a l'abbaye de ce nom, alla en Terre-Sainte, et mourut sans enfants quoique marié; et Godefroy. Godefr
ection d'un nouvel abbé, brûla la ville à l'exception de l'abbaye, et mourut vers 1139. Il épousa Ermenson de Luxembourg. . Er
r, l'église de Floresties à St-Xorbert poury mettre des religieux, et mourut quelque temps après. Godefroy de A'amuretErmens
l'église de Ste-Wautrude ; Agnès, dite la Boiteuse, vivante en 1166, morte en avril 1173; Baudouin V, dit le Courageux, viva
culièrement à l'abbaye de Ste-Wautrude de Mons, où il fut enterré, et mourut le 17 décembre 1195; Guillaume, qui fut présent e
biens à l'abbaye de Ste-Sauve en 1199 ; et Laurence, vivante en 1160, morte le 9 août 1181, qui fit avec son mari beaucoup de
ois d'Erloy, se croisa la môme année contre les Cathares (Albigeois), mourut le 24 novembre 1230, et fut enterré dans l'abbaye
la pension de sa fille Perronelle qui s'y était faite religieuse, et mourut le 22 février suivant. . Simon de Montfort III
umont et son père Simon III. En 1239, il partit pour la Terre-Sainte, mourut au retour en 1341 d'un flux de sang, et fut enter
y, une donation à l'abbaye de St-Bénigne de Dijon, tua son beau-père, mourut dans l'église de Florcy-sur-Osch en 1075, et fut
e sa femme llélie, sœur de Hugues de Semur (3t Hugues), abbé dcCluny, morte le 29 avril 1109, il eut quatre garçons et une fi
étant veuf, religieux à l'abbaye de Cluny après 1078, devint aveugle, mourut vers 1032, et fut enterré dans la chapelle de Ste
ngres, qui assista au concile de Troycscn 1104, prit, un peu avant de mourir , l'habit religieux à (1) Voir Arabes d'Antlivof
gie criminelle, 1ô août 130Î. (2) Ibid. ilBur (o;tt- Molesme, mourut le 19 octobre 1110, et fut enterré dans la chapel
arte de son frère Eudes en faveur de l'abbaye de St-Benigne de Dijon, mourut ?? 1" novembre 1112, et fut enterré dans la cathé
a même année une charte en faveur de l'abbaye de St-Bénigne de Dijon, mourut en Cilicie le 23 mars 1103, et fut enterré sous l
s le portail de l'église de Citeaux. Il épousa Muthilde de Bourgogne, morte religieuse à l'abbaye de Fontevrault, et en eut d
ri de Bieda (Paschal II], donna une charte en faveur de cette abbaye, mourut en 1141, et fut enterré ù Citeaux près de son pèr
1172 plusieurs titres de faveur à l'abbaye de Saint-Bénigne de Dijon, mourut le 7 janvier 1179, et fut enterré dans la chartre
('), et en eut un garçon et deux filles dont : Alix, vivante en 1169, morte après 1201, qui, après s'être mariée deux fois, s
lucin-goli (Lucius III), repartit en 1191 pour la Terre-Sainte, où il mourut le 23 août de la même année, et d'où son corps fu
ils mordent dans la chair, la dose de venin est faible et l'animal ne meurt point. Le poids du cerveau et l'intelligence
l'église de Saint-Priest-en-Vallée à Saint Hugues, abbé de Cluny, et mourut le 19 janvier 11)80. Il eut un garçon, Guigues II
dépendances pour le repos de son âme et de celles de ses parents, et mourut en 1156 ; et Marguerite, femme de Guigues de Vien
, et mourut en 1156 ; et Marguerite, femme de Guigues de Viennois IV, morte le 8 février 1 l63,et enterrée dans l'abbaye de H
t avec sa femme Mathilde les moines blancs de l'abbaye de Châlons, et mourut en 1162, laissant une fille Beatrix. Beatrix de
tes aux chartreux de Seillon en Bresse et à l'abbaye d'Ambronay. Elle mourut le 15 décembre 1228, ayant élu sa sépulture dans
Oflf. it Ronrfofif. reconnu chanoine (*) de Lyon en janvier 1230, mourut le 5 mars 1236, et fut enterré dans sa chapelle d
Garcende de Forcatquier descendait de Guillaume de Forcatquier V qui mourut en 1139, laissant deux fils. L'un, Guigues, légua
nt en 1162, confirma des privilèges pour l'abbaye de Lure en 1191, et mourut en 1208. Il eut pour fille unique Garcende de For
i, accompagna Louis de France IX à son premier voyage d'outre-mer, et mourut dans l'ile de Chypre en 1249; Marguerite et Laure
Perronelle de Montfort, abbesse de l'abbaye de Port Royal des Champs, morte en 1175. II X, Pétronillb, Alix et Agnès de M
I donna à l'abbaye de Port-Royal des Champs la grange de Mortbois, et mourut en Terre-Sainte vers 1250. Il eut au moins deux f
ers mois de sa grossesse, la mère avait appris que son mari venait de mourir victime d'une explosion de chaudière. Les voisine
le cas d'un fils qui a hérité d'un geste caractéristique de sa mère, morte en le mettant au monde, en sorte qu'il ne peut êt
ré Vésale. Il est appelé en Espagne pour faire l'autopsie d'une femme morte d'une « suffocation de matrice » ; et la prétendu
d'une femme morte d'une « suffocation de matrice » ; et la prétendue morte se réveille, à la première incision. En dépit d
rapides progrès et emporta la malade, le 28 mai. Trois jours avant de mourir , elle s'est réveillée spontanément, mais petit à
te parole de Jésus, à propos de la fille de Jahire : « Elle n'est pas morte , elle n'est qu'endormie o. Voyez aussi Jean XI, 1
48à 68 heures. Dans la dernière de ces attaques, elle est prise pour morte , c'est-à-dire que les battements cardiaques et le
çus. On l'enterre. Le fossoyeur voulant s'emparer des vêtements de la morte ouvre, la nuit, le cercueil et l'inhumée revient
signe quelconque de la vie restent infructueux. On la considère comme morte . Au bout de 28 heures, on croit déjà sentir un pe
du, elle finit par se réveiller en disant : « Je suis trop jeune pour mourir ». « Ces divers états d'immobilité, d'insensi
teinte d'une fluxion de poitrine qui, non moins certainement, la fera mourir ; elle refuse de manger et de boire, elle est à l'
refuse de manger et de boire, elle est à l'agonie, elle se dispose à mourir , elle fait ses dernières recommandations, reçoit
(de Nancy) Le fondateur de l'Ecole de psychologie de Nancy vient de mourir . Né à Favlères (Meurthe-et-Moselle) le 16 septemb
renouilles en inanition, c'étaient les individus les plus émaciés qui mouraient toujours les premiers. Cependant j'ai pu conserve
er malgré les plus fortes secousses imprimées à son corps. La croyant morte , je la remis sous la cloche, mais, une heure plus
, comme chef de clinique du professeur Charcot. Le 12 février 1804, mourait à Kœnigsberg le célèbre Kant, que la pos,-lérîté
t, D.-M. Le 18 février, le D' Liébeault. doyen de l'Ecole de Nancy, mourait à Nancy, dans sa 8le année. Il avait étudié la
t les produits des alcooliques. La plus grande partie des enfants qui meurent de convulsions en bas âge sont aussi des enfants
ie et fondateur de la clinique de psychothérapie de La Haye, vient de mourir à l'âge de 56 ans. Dans notre prochain numéro, no
re jeune fille a 18 ans. Sa mère a eu des attaques hystériques et est morte de bacillose. Enfant, elle est impressionnable, m
les, elle esquisse quelques petites crises. Il y a deux ans, son père meurt et aussitôt apparaissent des séries de grandes cr
Nancy, le /9 Mars 1904· Monsieur le Maire, Le Dr Liébeault vient de mourir , après une longue et douloureuse maladie. La vi
ie du Dr Liébeault. Stanley, le grand explorateur anglais, vient de mourir à l'âge de 63 ans. Né à Denligh dans le Pays de G
7 (1898) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1897
se, placée en correction dans un couvent jusqu'à 18 ans, coléreuse, morte d'un cancer de la matrice. -Deux oncles paterne
ère, grande et belle femme, méchante, s'encolèrant pour un rien, « morte d'un ulcère de la matrice ». Dans sa jeunesse, el
ns sa famille. » - Grand'mère maternelle, « méchante au possible, » morte à 72 ans, on ne sait de quoi. Elle avait eu 14
» Deux oncles paternels, sobres, morts de la poitrine. - Une stt7' morte jeune de la poitrine. - Un frère, 28 ans, bien
érature. Sommaire. Père mort tuberculeux. Mère un peu ner- veuse, morte tuberculeuse. - Grand-père maternel hémi- plégi
tre enfants sains durant sa folie. - Soeur bizarre. - Autre soeur morte de mèn.in<7 : te. - Pas de consanguinité. -
oir un « fond de chagrin ». - 2° Une fille, sujette aux bronchites, morte de méningite à 5 ans ; - 3° notre malade ; 4° u
re maternel, excès de boisson; mort paralysé. Grand'mère maternelle morte paralysée. Deux soeurs mortes de coqueluche. Pa
, consécutivement à une chute de voiture. - Nul détail sur sa mère, morte à 77 ans. - 10 frères et suceurs. morts on ne s
, est mort paralysé à 70 ans. - Sa mère, intelligente et sobre, est morte à 77 ans, paralysée et en enfance. - 3 frères e
la famille.] - Pas de consanguinité. Quatre enfants : 1° une fille morte de coqueluche à 3 mois ; - 2° une fille, morte
fants : 1° une fille morte de coqueluche à 3 mois ; - 2° une fille, morte également de coqueluche à 3 mois; 3° Notre mala
s'embarrasse davantage, le malade se refroidit progressive- ment et meurt dans la nuit. Autopsie le 18 janvier. - Les pou
e un peu nerveuse. Cousin, danse de St-G2ep dans l'enfance. - Soeur morte de conoulsions. - Pas de consanguinité, - Inéga
nts héréditaires et personnels. mère, paralysée du côté gauche, est morte d'une pneumonie h la- Salpêtrière. - Aucun anté
la- Salpêtrière. - Aucun antécédent nerveux dans la famille ou l'on meurt très vieux on général.] : \I¡;l\E, 38 ans, cuisin
dent nerveux.] Pas de consanguinité. Deux enfants : 1° Une fille, morte à 22 mois à la suite de convulsions internes, d
ccidents ner- veux mal déterminés. - 9rrièe-grand'mére maternelle morte de la poitrine. - Grand-oncle maternel mort d'at-
ère paternel, mort à 82 ans, de vieillesse. - Grand'mère paternelle morte très jeune, on ne sait de quoi. Grand'mère mate
rnelle morte très jeune, on ne sait de quoi. Grand'mère maternelle, morte à 24 ans de la poitrine. Rien sur le grand père
cérébral, un grand-oncle est mort paralysé, une grand'tante serait morte alié- née. Peut-être l'hérédité est-elle plus c
-père maternel, nombreux excès de boisson. - Grand'mère maternelle, morte probablement de tuberculose pulmonaire. - Arriè
ères jumeaux qui ont vécu 48 heures (1). Des deux soeurs, l'une est morte à 2 ans; l'autre à 31 ans; cette dernière aurai
s années de maladie ; pas d'attaques de delirium tremens. - Mère, morte à 25 ans, après trois ans de maladie ; tuberculos
asionné par une de ses filles qui faisait des excès de boisson ; il mourut d'une crise, à l'âge de 81 ans. - Grand'mère pa
il mourut d'une crise, à l'âge de 81 ans. - Grand'mère paternelle, morte jeune. -Grands-parents maternels, peu connus. N
d'âge de 10 ans. Deux enfants et une fausse couche : 1° une fille, morte à l'âge de 6 mois, du carreau ; pas de convulsi
famille manquent. Son père est mort de cause inconnue. Sa mère est morte à 87 ans de vieillesse. 88 Antécédents hérédita
ditaires ET personnels. Il s'est marié deux fois. Sa première femme mourut d'acci- dent, il en eut trois enfants qui sont
re pater- nel, mort à 52 ans, asthmatique. Grand'mère paternelle, morte vers le même âge, également asthmatique. -- Grand
matique. -- Grand- père maternel, inconnu. - Grand'mère maternelle, morte il 83 ans de sénilité. - Plusieurs oncles et ta
ignements manquent. Une soeur avait épousé un sourd-muet ; elle est morte en couches à l'âge de 10 ans. - Un oncle patern
à ses moutons. Il se trouva mal, et on le porta dans son lit, où il mourut cinq minutes après. - II ne buvait pas. Antécéd
I ne buvait pas. Antécédents héréditaires ET PERSONNELS. 97 Mère, morte très âgée, on ne sait de quoi. - Grands parents
mettait quelques excès de boisson, tous les dimanches. - Grand'mère morte très âgée. Un seul oncle paternel, bien portant
emière dent ; elles auraient duré deux ou trois heures : elle était morte au bras ». Les membres se raidissaient, les yeu
maternelle cardiaque. Cousine naine et rachi- tique ( ? ). - Soeur morte avec des convulsions de l'enfance. - Autre soeu
is. Il était sanguin, puissant, calme et nullement nerveux. - Mère, morte à 47 ans, probablement d'une lésion organique d
s travailleur, pas d'autres renseignements. - Grand'mère paternelle morte à 88 ans, jusque-là bien Antécédents PERSONNELS
était fort et de bonne santé ordi- naire. - Grand' mère maternelle, morte à 71 ans, coléreuse, méchante et emportée. - De
as la tête grosse et tient beau- coup de son père. - La seconde est morte à 2 mois du choléra infantile. Elle a eu des co
tion. Affaiblissement progressif. 30 juin. - T. R. 41°, 4. L'enfant meurt à 8 heures du matin. Température après la mort.
nfant est parésiée du côté droit et, en outre, paraplégique. Elle meurt à la suite d'une amygdalite dans une sorte de c
seignements sur les grands-parents paternels. Une tante maternelle, morte à, 71 ans d'un cancer de l'utérus. Une sceur, a
cer de l'utérus. Une sceur, a0 ans, très violente, a eu une fille morte folle a2't ans; un autre du ses fils « a l'air d'
nte ; c'est la moins violente de la famille. Unj dernière soeur est morte aliénée it 38 ans. Dans le reste de la famille
oeur, était violent, mais ne buvait pas. z Sa mère, vigoureuse, est morte en couches 11. 33 ans. Grand-père paternel, en
leux ; second frère de 32 ans, grand buveur et débauché; une soew', morte il Il ans, cardiaque. Rien à signaler dans le r
hénomènes méninailiqucs s'ag- gravent dans l'après-midi et l'enfant meurt , sans nouveaux accès, à 5 h. et demie avec une
ncéreuse ; tantes paternelles, violentes, débauchées, l'une d'elles morte folle; oncle paternel buveur et emporté; cou-
é d'accidents nerveux ni de migraines, ainsi que sa mère, qui est morte en couches. - Il en serait de môme de ses oncles
e, pas de convulsions de l'enfance ( ? ), ni de migraines; elle est morte iL 36 ans, de la fièvre typhoïde. Le mari et la
nerveuse ; 4" garçon mort à 9 ans, de la fièvre typhoïde; 5° fille morte à 2 mois, de la fièvre typhoïde; - 6° notre mal
euse. - Pas de consanguinité. - Inéga- lité d'âge de 2 ans. - Soeur morte de convulsions. Conception dans l'alcoolisme. -
ge. Famille de la mère. - Père, sobre, en bonne santé (1). - Mère morte de l'influenza. Nul détail sur les grands-parents
arçon, 10 ans 1/2' intelligent, pas de convul- sions (2) ; 2° fille morte à 14 mois après avoir eu des con- (1) Mort en 1
8 (1905) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 20
x mois. A plusieurs reprises déjà le captif avait tenté de se laisser mourir de faim. Ace régime. Il était devenu d'une maigre
ppement. Marguerite d'Autriche était née à Bruxelles, en 1522; elle mourut à Ortonna (Italie), en 1586. Elle était fille nat
rès un certain nombre d'accès, la fausse angine, elle, ne fait jamais mourir . De plus elle présente ce caractère particulier d
roles et sur sa physionomie, les derniers instants d'un enfant qui se meurt . Quand il est épuisé, on le réveille par des pass
t. Le musée anatomique de Milan possède le corps d'une petite fille morte à l'âge de trois mois. La peau de celte enfant, d
l avait promis de croire en un Dieu créateur qui n'est pas mort et ne mourra point. Enfin, le supérieur l'avait baisé in ore;
eux ou moraux. « Ses forces tombèrent tout d'un coup » ('); et elle mourut le 28 mars 1646, après six ans de cécité. Carac
lée » (7). Il lui arriva de rester six mois au lit. Née en 1627, elle mourut le 21 avril 1689, à 62 ans. Suggestibilité. — E
ée fait l'objet de cette observation. Santé. — Elisabeth Maitteland mourut en sept jours d'une pleurésie, le 9 février 1656,
le est persuadée qu'elle a de la tuberculose pulmonaire et qu'elle en mourra . Il faut noter qu'il n'en est rien et que malgré
vec elle, miracles et pèlerins, mais la foule crédule et ignorante ne meurt pas; elle se perpétue, toujours prête à venir boi
t. L'Avenir de Lourdes. — Depuis longtemps la petite Bernadette est morte , sans peut-être s'être doutée du rôle considérabl
u chapitre de St-Etienne de Meaux de son fief de Magny-Saint-Loup, et mourut en 1608. H eut trois garçons. L'un d'eux, Théod
le 9 mars 1555, et enterré, ainsi que sa femme Françoise Cueillette, morte le 20 avril 1567. auprès de ses frères, eut cinq
colas, Denys, Guillaume, Anne et Guillemette morts jeunes, Madeleine, morte en 16U3, mariée et sans enfants, enterrée devant
e des Célestins de Paris, Françoise, abbesse de Long-champ-lès-Paris, morte en mai 1618, après avoir abdiqué, Françoise, abbe
s, Jeanne et Renée, religieuses, et Nicolas III. Nicolas Potier III mourut le 1" juin 1635, à 94 ans, encore plein de force
t, accorda à cette même abbaye plusieurs privilèges et exemptions, et mourut en 1177, fort âgé, et sans enfants, bien qu'ayant
accorda à cette dernière abbaye des privilèges et des franchises, et mourut en 1181 ou 1182, sans enfants, bien que marié ; J
ut à celle de Longpont, à la dédicace de laquelle il assista en 1227, mourut fort âgé, le 4 janvier 1236, et fut enterré à l'e
laquelle fit aussi du bien à l'abbaye de Orespin-en-Cbaye en 1190, et mourut en avril 1210. Il en eut trois filles, dont Comte
que son père lit à l'abbaye de Longpont, et Gertrude, mariée en 1196, morte le 26 septembre 1230. pftrtcj Mathieu de Montmo
-méme plusieurs aux religieux d'Erloy près Choisy en 1246 et 1248, et mourut en 1250, marié et sans enfants, et Bouchard VI.
y avaitdonnés, et en 1241 autorisa un don à la chapelle de Bezons. Il mourut le l«r janvier 1243, et fut enterré au prieuré de
mit en 1097 le monastère de Saint-Etienne à Hugues, abbé de Cluny, et mourut en 1100 ; Guy, religieux de la Chaise-Dieu en Auv
-Dame et Saint-Martin, et Ht en 1097 le voyage de Terre-Sainte, où il mourut vers 1098. Il eut quatre garçons et une fille, do
une etsans alliance, Robert, qui fit le voyage de Terre-Sainte, où il mourut vers 1110, et Renaud. Renaud de Craon fonda l'a
Maurice II fonda en 1196 le prieuré de la Haye-aux-bons-hommes, et mourut le 10 août 1215. Il épousa Isaoeau de Beaurnont.
également dans sa cathédrale pour la fondation de son obit annuel, et mourut en 1076 ; et Adèle de Vexin. ,|tt? Robert de
ont il était le favori, certaines choses qu'ils désiraient de lui. Il mourut le 5 juin 1118, et fut enterré au chapitre de l'a
de l'empereur de Constantinople, retourna en Terre-Sainte en 1101, y mourut de blessures le 18 octobre 1101, et fut enterré d
nné roi d'Italie par l'archevêque Milan en 810 à douze ou treize ans, mourut le 17 avril 818 à la suite du supplice de l'aveug
1, et chassé par un synode comme intrus en 948 : Alix, mariée en 934, morte le 10 octobre 960 et enterrée (1) Voir D' Bi.xe
n, et eut deux garçons : Albert II, qui fonda l'abbaye de Bucilly, et mourut sans postérité quoique marié, et Otto. Otto de
142 pour avoir autorisé la dissolution du mariage de son frère Raoul, mourut en revenant de Terre-Sainte le 10 février 1148, e
caisc à Meullent, se fit moine sur la fin de ses jours à Préaux, et y mourut le 6 avril 1163. Il épousa Agnés de Monfort, qui
aval curent trois garçons et deux filles, dont Alix, vivante en 1260, morte fort âgée et sans alliance en 1301, enterrée dans
revenus que ses prédécesseurs y avaient donnés, se croisa en 1269, et mourut devant Tunis en 1270. De Jeanne, fille d'Erard de
St-Denis, Guillaume, chevalier de Temple, Catherine, vivante en 1282, morte le 15 avril 1327, enterrée dans l'abbaye de Lanno
de son sexe. * . J'ai connu personnellement Mme D.... Elle est morte récemment à l'âge de 66 ans. Elle m'avait permis
ivit Philippe-Auguste et Richard Cceur-dc-Lion en Terre-Sainte, où il mourut . Il avait un frère, Siger de Longueval, qui signa
me temps que lui. Baudouin accompagna de plus Louis IX en Afrique, et mourut sans hoirs. GuîHaume, mort en 1253, eut une fil
n 1309, mort sans postérité, et Jacques I. Jacques de Saint-Simon I mourut en 1328, et fut inhumé dans une chapelle qu'il av
dit aveu de la terre de Saint-Simon à l'abbé de Saint-Bertin en 1448, mourut peu après 1458, et fut enterré dans la chapelle q
aire, ety fit de grands biens » ?). Il fit rebâtir cette abbaye. Il y mourut le 26 février 1007, et y fut enterré. De sa fem
à son chapitre l'église de St-Merry et la moitié de l'Hôtel-Dieu, et mourut le 18 janvier 1020, et Elizabeth. Elizabeth de
III, p. 195. .Saint-Germain d'Auxerre le monastère de Dezise, et mourut en 1015 éiBMtfoïi* ou 1028- Il épousa Maihilde fi
urgogne fit plusieurs donations à l'abbaye de Saint-Bénigne de Dijon, mourut le 21 septembre 1027, et fut enterré dans cette a
onation que fit Hugues, évèquc d'Auxerre, à l'abbaye de Parcd en 999, mourut longtemps avant son père vers 1004, et fut enterr
ier la poursuit et lui cause toute espèce d'ennuis ; il veut la faire mourir de faim, lui met des vers dans ses aliments, lui
la tire par les pieds, se penche sur son chevet pour voir si elle est morte et la fait assister à des scènes terribles ; elle
notisme, numéro de juin 1904 et suivants. et deux fils, dont l'un mourut à l'âge de dix ans, ayant déjà une barbe de quatr
le était une des femmes delà société de Mlle de Scudéri. Née en 1580, morte en 1668, fille d'un procureur au Châtelet, elle é
Professeur à l'Ecole de psychologie. {suite) (') Pouques de Vendôme mourut le 22 novembre 1066. 11 épousa Perre-nelle, sœur
ye de la Trinité de Vendôme, du consentement de Bouchard son fils, et mourut le 1er novembre 1077. Il en eut deux garçons et d
onfirma la fondation de l'abbaye de la Trinité de Vendôme en 1075, et mourut sans alliance le 19 février 1085, et Eufrosine.
age de t St-Jacques de Galice en 1124, alla depuis en Terre-Sainte et mourut fcuta après 1134. En 1105, il épousa Ms.ha.ud d'A
ye de la Couture dans son diocèse, où il prit l'habit de St-Benoit, y mourut vers l'an 993 « ('], et y fut enterré. Yves dAl
interdit, fit bâtir un palais épiscopal, fit le voyage de Jérusalem, mourut le 17 octobre 1035, après avoir été évéque du Man
ers, assista en 1067 À la dédicace de l'église de St-Martin de Paris, mourut en 1074, et fut enterré i'AltD(0b-r?lm devant le
tagne. qui souscrivit à la fondation et aux donations précédentes, et mourut jeune, et Rotrou I. **rtifw Rotrou d'Alençon-Mort
t Dieu, qui protégea toujours l'église et les pauvres de J. C. » ('), mourut en octobre 1100, et fut enterré en habit fr rel
lat lui donna l'absolution en 1180, fit le voyage de Terre-Sainte, et mourut au retour dans le monastère de la Charité-sur-Loi
du prieuré de Lavardin pour son anniversaire et celui de sa femme, et mourut en 1202. Il eut deux garçons et une fille; Jean,
de ses filles, accompagna Louis IX au premier voyage d'outre-mer et y mourut le 29 mars 1249. Il épousa Gervaise de Mayenne, q
et eut un garçon et deux filles dont : Zsaèeau, religieuse à Poissy, morte le 14 février 1352, et Aiglantine de Vendôme-Char
de Maffiiers, que Charles leur oncle avait donnés à cette abbaye, et mourut vers 1414. Il eut trois filles et un garçon CnaWe
s, mort en 1461, épousa, par contrat du 11 mai 1447, Jeanne Ra.ta.ul, morte en 1491, fille de Bertrand Rataud et de Marguerit
Ceux-ci eurent quatre filles, dont : Jeanne, religieuse à Longchamp, morte avant 1490, et Catherine, femme de Philippe de Ro
e garçons et sept filles, parmi lesquels : Marie, mariée deux fois et morte sans enfants, Charles, né en 1467, mort sans alli
s : René, Augustin, Bernard et Magdeleine. René Potier, né en 1574, mourut le 4 octobre lb"i6, à 42 ans. Il avait la vue ext
it dans la dévotion, et, en 1616, il se retira dans son diocèse. Il y mourut , la même année, avec de grands regrets de sa cond
s quatre dernières années de sa vie dans une langueur continuelle, et mourut le 19 juin 1650. C'était un homme sincère, probe,
as Choart de Buzanval, et fut enterré dans son église. Bernard Potier mourut le 11 janvier 1610, à 32 ans. La sœur de René,
32 ans. La sœur de René, d'Augustin et de Bernard, Madeleine Potier mourut le 30 juillet 1671, à quatre-vingt-dix ans. Elle
gnement, et contracta, au cours d'une visite pastorale, celle dont il mourut . On constata d'abord qu'il avait la ¦ poitrine em
retraite et une confession générale à l'institution de l'Oratoire. Il mourut de la mort des saints. Il se levait tous les jo
veur de Beauvais, qui n'avoit point été en confesse depuis trois ans, mourut sans avoir demandé les sacrements dans sa dernièr
ion. L'aînée, Marie-Madeleine Choartde Buzanval, naquît en 1635, et mourut le 2'; avril 1692 à 57 ans. Elle fut élevée à Por
cadette, Marie-Aimée Choard de Buzanval, naquit en septembre 1636, et mourut le 3 avril 1697, à 68 ans et environ sept mois. E
Dr Liébeault, créateur et chef de l'Ecole psychothérapique de Nancy, mourait dans sa 81' année. A la nouvelle de cette mort,
'on aime, Plus grand que les Guerriers, plus fort que le Trépas. Tu mourus , dédaignant les rumeurs triomphales Et d'avoir fa
point grave. Paracelse, lui, commit toutes les sottises. Il finit par mourir dans la misère, une bouteille à la main. Van Helm
e solution approximative. Je ne puis vivre approximativement et si je meurs , ce n'est pas provisoirement.... » « Le contenu
9 (1903) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1902
bals et con- certs, (chanteurs, acteurs, instrumentistes, impri- meurs et menuisiers), nous leur faisons faire chaque
is, une nouvelle fatale nous attendait, M"1- Berthe Langlet était morte . Pour l'Administration, pour nous, pour les enf
and père paternel excès de boisson; mère, d'un caractère emporté, morte de tuberculose pulmonaire, ainsi qu'une tante m
père paternel, excès de boisson. Arrière grand' mère pater- nelle morte il 'J5 ans. Mère lymphatique, morte d'une attaq
ière grand' mère pater- nelle morte il 'J5 ans. Mère lymphatique, morte d'une attaque d'apoplexie. Grand père maternel,
rand père mat., très fort, sobre, mort du choléra. Grand'mère mat., morte de tuberculose pulmonaire ( ? ). - ltiett à sig
rveuse, aurait eu des humeurs froides avec cicatrices consécutives; morte ans. en 1895, d'un « transport au cerveau » peu
ns l'après-midi, elle per- dit connaissance, eut des convulsions et mourut en 7 heures. [Famille DE la mère : Père, excès
u- tition. Crise intense de dyspnée; syncopes répétées. La malade meurt à 3 heures du matin. poids après décès : la kil
rossesses. Grand- père maternel phtisique. Grand'mère maternelle, morte d'apoplexie cérébrale. - Oncle maternel, très ner
énériens. [Père, mort d'un coup d'apoplexie, à 65 ans, sobre. Mère, morte en couches, d'une hémorrhagie. Grand-père pater
vailleuse, « coeur d'or», [Père, mort poitrinaire à 39 ans. Mère, morte à G3 ans» d'une paralysie cérébrale, d'une apople
e paternel mort à 49 ans, on ne sait de quoi. Grand'mère paternelle morte assez âgée, subitement. Grand-père maternel mor
suite de chagrins dus à des pertes d'argent. Grand'mère maternelle morte à 55 ans, on ne sait de quoi ; aurait eu des pe
ur la famille. Mère, 46 ans, bien portante. Grand'mère maternelle morte à 50 ans d'un cancer du pylore. Rien ' de spéci
ne sait de quoi : les renseignements sont insuffisants. Sa mère est morte à 85 ans, " usée", elle n'était ni démente ni p
tellement dans une chute de montagne à l'âge de 60 ans. Sa mère est morte vers 50 ans, d'un cancer du pylore. Les grands
de convulsions ; 2° garçon, 20 ans, pas de convulsions , 3° fille, morte à dix mois de lluxion de poitrine. ; 4° Noire m
9- fille, 10 ans ; 10° fille, 9 ans : 110 fille, 8 ans; 12° fille, morte il 3 ans de rougeole, compliquée de broncho-pne
ielle et les tractions rythmées de la langue : tout fut inutile, il mourut quatre à cinq minutes après l'acci- dent. Tem
ternel, mort à 75 ans, pas de tare nerveuse. Grand'mère maternelle, morte à 52 ans d'un cancer abdo- minal, nerveuse, irr
e série de crises : Il devenait violacé, semblait - sur le point de mourir , ne faisait aucun mouvement. Au bout de trois m
erculeux. - Soeur strabique à la suite de convulsions de l'enfance, morte tuberculeuse. Renseignements incomplets sur les
antes ainsi que leurs enfants (un garçon et trois filles).] Mère, morte en 1877, à quarante-quatre ans, d'une maladie d
sa mort. Il avait des idées tristes, croyait toujours qu'il allait mourir , il était sujet à des attaques de nerfs avec ch
t marié et avait eu un enfant mort à deux ou trois mois; 2° Fille morte à dix ans, après quinze jours de maladie con- s
e du poumon gauche. Elle a succombé le 13 février (1) ; '10 Pille morte à cinq ans, au bout de quinze jours, d'un refro
et se raidissent; la respiration devient de plus en plus courte, il meurt en quelques minutes sans prononcer une seule pa
mort de paralysie du cerveau. - Grand'mère maternelle, alcoolique, morte d'une congestion céné- braie. - Deux cousins ge
uvait de tout et s'enivrait plu- sieurs fois par semaine, violente, morte d'une congestion cérébrale avec aphasie.Gr.-për
r maternel, pas de renseignements.- Grand'- mère maternelle, sobre, morte d'une tumeur de l'estomac. - Deux tantes matern
el mort d'une congestion cérd- brale. Arrière-grand'mère paternelle morte avec une hémiplégie. Grand-oncle paternel mort
t d'une attaque d'apoplexie. Mère : céphalalgies, sourde, caféisme, morte d'apoplexie cérc- brale. Grand-père maternel al
que, mort à si troisième attaque d'apoplexie. Grand'mère maternelle morte d'un cancer de l'utérus. Grand-oncle maternel b
nvulsions de l'enfance, mort de tuberculose. Demi-soeur paternelle, morte d'une affection du cerveau. Pas de consanguinit
e. Il s'est marié depuis et a eu deux enfants légi- times : une est morte , il dix-sept mois, de diarrhée ; la seconde est
gé de quatre-vingt-deux ans, sobre, est en bonne santé. Sa mère est morte à soixante-dix-huit ans, dix-huit mois après une
dé d'une congestion cérébrale, croit-on. - Grand'mère pater- nelle, morte à soixante-dix-neuf ans, en deux jours, avec une
ort asthmatique à soixante- dix-sept ans. -- Grand'mère maternelle, morte d'une pneumonie. - Un oncle paternel a succombé
és, de maladie inconnue. Un oncle maternel est bègue. Une soeur est morte à neuf ans de la lièvre typhoïde. Deux frères,
halalgies, . migraines, caractère emporté - Grand'mère maternelle morte de tuberculose. = Grand'oncle suicidé. Deux onc
ux fausses couches. Grand- père paternel ? . Grand'mère paternelle, morte à 85 ans. G).ancl-p(l.ema ! l.rllel. ? -Gl.iII1
e, grippe, pneumonie), le frère survivant, bien portant. Une sntur, morte jeune. Reste de la famille : pas d'idiots, d'al
attements de coeur. Mère, n'était pas migraineuse, elle parait être morte de I uberculose à 43 ans (était devenue sèche).
y en donna un traict de moc- queric par ce vers : ' Sylla est une meure asperse de farine. La coloration brunâtre de la
l, mort de tuberculose pulmonaire. Arrière grand'mère malernelle, morte aliénée. Consanguinité. - Inégalité d'âge de 6
oolique (absinthe), tombait alors dans des attaques de nerfs. Mère, morte à 53 ans de la rupture d'un anwry-smc de l'aort
à 5-6 ans, assez nerveuse, cépha- lalgies, ni syphilis, ni dartres, morte de tuberculose pulmo- naire en 1898. [Père, mor
epuis ce temps jamais bien portante.-Arrière grand'mère maternelle, morte aliénée après un séjour de 6-7 ans à la Maison
t conservé sa connaissance. Dans la soirée, état comateux, l'enfant meurt le 9 décembre il 4 h. du matin sans râle. Poids
de ses enfants et de ceux du précédent. Une tante paternelle est morte âgée. On ne sait rien des oncles et tantes mater-
adies vénériennes, sobre, a été soldat, s'est marié à 2J ans. Mère, morte en 18U3, à 56 ans, d'une affection du coeur, n'
bre ; est mort à 72 ans, usé par le travail. Grand'mère paternelle, morte à 77 ans de vieillesse, n'avait jamais eu de ma
85 ans de vieillesse, cultivateur, sobre. Grand'mère pater- nelle, morte jeune, on ne sait de quoi. - « Mon grand-père p
ème fois à 27 ans. » Grand-père maternel, mort jeune. - Grand'mère, morte à 86 ans de vieillesse avec toutes ses facultés
ds-oncles paternels. Deux grand'tantes (pas de la même mère), l'une morte à 78 ans, l'autre à 75 ou 76 ans. Un grand-oncl
ans et demi, sans accidents nerveux, a eu deux enfants : une fille morte du croup, pas de convulsions, l'autre, garçon,
il est pâle, a les mains, les bras, les pieds violacés et glacés et meurt dans cet état sans jeter une plainte, ni tousse
qui consiste en une absence complète du cervelet chez une enfant morte it 11 ans et qui avait présenté aussi des troub
intense, l'abattement complet. L'aspect est cadavérique. L'enfant meurt à cinq heures du soir, sans cri, ni râle, mais la
iété Médico-psychologique de Paris.) 1898. BALLARD. (J.). Comment meurent les épileptiques. Thèse de Paris. RELLA y (P.
10 (1891) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1890
erculeuses. Par BOURNEVILLE ET RAOUT., Sommaire. Tante paternelle morte d'apoplexie. Petit cousin et petite cousine pat
, cultivateur, mort à 87 ans d'affection cardia- que, sobre. -Mère, morte à 80 ans. Grands parents, sobres, pas de détail
d'une fièvre intermit- tente. 3 frères morts tout jeunes. Une soeur morte à 18 ans subitement. Une autre soeur morte à 70
s tout jeunes. Une soeur morte à 18 ans subitement. Une autre soeur morte à 70 ans subitement, d'une rupture d'un vaissea
6 ans, sourd, a une cataracte; pas d'accidents nerveux, sobre. Mère morte à 43 ans, phtisique sans doute ; elle avait qui
culose pulmonaire à 44 ans ; il était sobre. Grand'mère maternelle, morte à 70 ans; rhumatisante. Une soeur est morte d'u
Grand'mère maternelle, morte à 70 ans; rhumatisante. Une soeur est morte d'une péritonite à la suite d'une fausse couche
-Mère migrai- neuse, débauchée, alcoolique. Grand'mère paternelle morte d'une attaque d'apoplexie. Grand'mère mater- ne
. [Père, maçon, mort d'une bronchite à 67 ans, sobre. Mère sobre, morte d'une attaque apoplectiforme ; 4 ans aupara- va
de vieillesse, pas de dé- mence, travailleur. Grand'mère paternelle morte d'un épithé- lioma de la face à 67 ans. Grands
e boisson. Le 3° est bien portant; il a eu 3 enfants dont une fille morte à 17 ans de tuberculose pulmonaire. - Deux tant
e 5 an bien portante, intel- ligente, pas de convulsions; une fille morte à 7 mois de méningite. w Antécédents personne
e.-[Son père est mort accidentellement, il était sobre. Sa mère est morte de misère) ? ) à l'hospice de Mirecourt. Pas d'
'un caractère assez doux. [Père mort à 75 ans de vieillesse. Mère morte à 35 ans des suites d'une fausse couche. Pas d'an
malade; - 3° Un gar- çon mort d'athrepsie à 10 mois : 4° Une fille morte athrepsi- que à 8 mois. Notre malade. Les par
ort en 1880, d'une bronchite, faisait des excès de boisson. - Mère, morte on ne sait de quoi. Deux frères bien portants,
bonne santé, n'ayant jamais eu de convulsions. Deux SOJ1Jrs l'une, morte on ne sait do quoi, était bossue; l'autre est bie
ux scet4l·.e, bien portantes, non mariées sans enfants ; une 3° est morte à 15 jours d'une bronchite. Grand- père materne
e de 2 ans, bien conformée, n'a pas eu de convulsions; 4e Une fille morte en venant au monde proba- blement à la suite d'
elle migraineuse. Deux oncles paternels bu- veurs. Tante maternelle morte tuberculeuse. Pas de consanguinité. - Egalité d
te à des maux de tête; une autre atteinte de mal de Pott; une autre morte de méningite tuberculeuse avec convulsions. A
s les 15 jours. [Père : mort d'une hernie étranglée à 78 ans; mère, morte d'une tumeur fibreuse abdominale à 83 ans; aura
avec le duc de Bordeaux dont il était le valet de chambre). Mère morte à la suite de couches, n'aurait pas été nerveuse.
res, dont l'un de père seulement, sont bien portants; une soeur est morte de la poitrine à 33 ans]. Pas de consanguinité.
fille, 13 ans 1/2, délicate, souffre de maux de tête; 6° une fille morte à 3 ans 1/2 d'une méningite tuberculeuse avec c
s 1/2 d'une méningite tuberculeuse avec convulsions; - 7° une fille morte à 13 mois, en nourrice, de cholérine. Antécéd
on II. Sommaire. Renseignements insuffisants sur sa famille. Mère morte phlhisique. Pas de consanguinité. Inéga- lité (
rait jamais eu de nerveux). ' Mère : aucun accident nerveux, sobre, morte de phthisie à 31 ans : elle était de 10 ans plu
lus jeune que son mari. [Pas de détails sur le père; la mère serait morte à 72 ans d'un catar- rhe avec affection du coeu
ntécédents.] , . Pas de consanguinité. ' 3 enfants : 1° une fille morte en nourrice à quelques mois ;- 2° un fils, aura
malade qui est un enfant naturel et n'a connu que sa mère). -Mère : morte en 1871, à l'âge de 62 ans, à Sainte-Anne, où e
n ne sait de quoi. Grand- IICROCÉPH ? L'E. 1.21' mère paternelle, morte vers quatre-vingts ans, ni démence,- ni paralys
rnels bien portants de même que leurs enfants. Une tante maternelle morte on ne sait de quoi, sans enfants. Trois frères
lé des jambes; il n'avait jamais été malade.- Grand'mère maternelle morte vers soixante-quinze ans à la suite d'un trauma
I Ce cerveau peut, être rapproché de celui d'une idiote microcéphale, morte à onze ans, dont M. Fletcher Ueach a rapporté l
boissons; très rarement gris; mort d'une chute dans l'eau.- Mère, morte à soixante-seize ans « d'un asthme» ; pas de mala
ngt-deux ans, on'ne sait de quoi, iln'é- tait pas en enfance. Mère, morte à soixante- quatorze ans de cause inconnue; ell
éral. Deux soeurs bien portantes ainsi que leurs enfants. Une soeur morte hvdropique à quarante-deux ans. Pas d'épileptiq
° garçon mort à dix-huit mois à la suite d'une coqueluche; 4° fille morte à deux mois d'une «gourme ren- trée» ; pas de c
e convulsions ni de fièvre typhoïde. Une de ses soeurs, à elle, est morte à 63 ans d'une bronchite aiguë et son huitième
fois après la mort de sa femme et elle ne l'a jamais revu. Mère, morte un an après la naissance de la personne qui nous
ne fluxion de poitrine à soixan- te-huit ans. Grand'mère maternelle morte de chagrin et usée parce que son fils était par
as : Le premier est notre malade ; la seconde, d'un autre père, est morte on ne sait pas de quelle maladie ; elle aurait
Père, mort fou à Charentôn, à la suite de perles d'argent.- Mère, morte d'une fluxion de poitrine. Grands parents inconnu
sson. Mère, grand-père maternel, nul détail. Grand'mère maternelle, morte à qua- tre-vingt-sept ans. Pas de renseignement
squelles on n'a pas de détails. - [Père, bien portant, sobre. Mère, morte à vingt trois ans on ne sait de quoi.- Grand pè
paternel, mort d'accident à vingt- six ans. -Grand'mére paternelle, morte très âgée, en enfan- ce. Grands parents materne
rt usé par la boisson à soixante-trois ans. Grand' mère paternelle, morte très âgée d'usure » ; 13 enfants. Grand père pa
Antécédents. 171 i de quoi ; non paralysé. Grand'mère maternelle, morte âgée, de cause inconnue. - 3 sa urs, très bien
en augmentant, la, respiration est de plus en plus pénible et il meurt quatre heures après. Autopsie (6 octobre). Emph
aigreur croissantes. Eschai'es trochantériennes et sacrée. L'enfant meurt le 16 janvier. Autopsie le 18 janvier. Corps tr
isé du côté gauche sur lequel l'enfant repose. 17 mai. - L'enfant meurt de cachexie progressive. Autopsie le 18 mai. L'
s, qui ontlaissé l'intelligence absolument intacte. Une s<rLCa', morte à l'hôpital Saint-Louis à la suite de l'ablatio
t-quatre ans, sobre, encore très intelligent, bien portant. Mère, morte hémiplégique. Treize frères et soeurs : deux sont
ans la famille.] Pas de consanguinité. Douze enfants : 1" une fille morte à neuf mois, de convul- sions ; 2° une fille mo
s : 1" une fille morte à neuf mois, de convul- sions ; 2° une fille morte du croup à trois mois et demi ( ? ) ; 30, 4°, 5
laid, un peu courtaud et d'intelligence un peu moyenne. La mère est morte en janvier lStip; elle avait joui auparavant d'
11 (1890) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1889
offrent des changements notables en bien ou en mal. Quand un malade meurt , toutes ses photographies sont déposées au Musé
osition de pratiquer avec nous toutes les autopsies des malades qui mouraient dans notreservice. De làaussi la publication du
r pour autrui, notre ami est mort pauvre. « C'est lelot de ceux qui meurent jeunes, surtout de ceux qui se dévouent. « Si
itement d'une hernie étranglée à 84 ans, était sobre. Sa mère est morte à 35 ans, à la suite de couches. Aucune trace d'a
squ'à la ménopause (32 ans). - Père mort d'apoplexie à 52 ans. Mère morte d'une fluxion de poitrine à 66 ans. Grand'mère
ère morte d'une fluxion de poitrine à 66 ans. Grand'mère maternelle morte après avoir été paralysée pen- dant douze à qui
deux jumelles (1) mortes à 15 jours, et deux filles dont l'une est morte de convulsions à 9 mois, et l'autre bien portan
23 OBSERVATION IX Pas d'antécédents névropathiqzzes. - Une soeur morte de mé- ningite. - Premières convulsions à 8 moi
lères violentes. - Père, boulanger, bien por- tant, 72 ans. - [Mère morte subitement en apprenant àl'im- proviste les inf
te dérangée pendant quelque temps, après une perte d'argent. - Mère morte à 74 ans, après avoir été, durant 6 mois, paral
à 75 ans, on ne sait de quoi ; il s'adonnait à la boisson. - Mère morte à 65 ans, probablement de congestion pulmo- nai
rnel : pied bot consécutif ri. des convulsions. - Cousinf) germaine morte de méningite . - Picrotoxine. Kl... Charles, 8
ilepsie idiopathique. - Mère migraineuse. - Grand'mère 1 maternelle morte d'une fièvre cérébrale. - Grand-père maternel m
Oncle paternel aliéné. - Cousine paternelle épileptique. - Cousine morte de méningite. - Soeur morte de convulsions. Pre
usine paternelle épileptique. - Cousine morte de méningite. - Soeur morte de convulsions. Premières convulsions à 11 mois
ort d'une atta- que d'apoplexie il. 75 ans. - llère, blanchisseuse, morte , on ne sait de quoi, à 72ans ; elle était affai
emme de ménage, fréquents excès de boisson, d'eau-de-vie surtout, morte à 60 ans en 2'i heures : « on la croyait endormie
- Nul détail sur ses grands parents. Une tante paternelle bossue, morte on ne sait de quoi. Deux tantes maternelles morte
87 et 1889. ' 68 CLINIQUE. IDIOTIE myxoedémateuse. 69 te1'lwlle morte aliénée. Mère nerveuse. Grand'mère maternelle m
69 te1'lwlle morte aliénée. Mère nerveuse. Grand'mère maternelle morte de phtisie, ainsi que huit grands oncles matern
utrefois par Ricord d'un calcul de la vessie, bien portant. - Mère, morte d'un cancer de l'utérus. - Grand-père paternel
us. - Grand-père paternel mort de la goutte.- Grand'mère paternelle morte agence. Grand-père maternel, pas de détails. Gr
nce. Grand-père maternel, pas de détails. Grand'mère mater- nelle morte à 80 ans. - Deux frères et deux soew's bien por-
uoique anémique. [Père, grand, bien constitué, lym- phatique. Mère, morte phtisique, ainsi que ses huit frères. - Grands
leux. Grand-père paternel excès de boisson. - Grand'mère paternelle morte d'un cancer de l'utérus. - Oncle paternel, excè
nombreux excès alcooliques et vénériens. Mère très nerveuse, sobre, morte à 55 ans, probablement d'un cancer de l'utérus.
in, qui se sont terminées par la mort. AUTOPSIE. - L'enfant étant morte chez sa mère, en ville, il ne nous a pas été po
à huit mois. - Bron- chite. - Symptômes classiques du myxoedème. - Morte a l'âge de 7 ans. - Autopsie : Persistance de
hronique, laboureur, sobre. - Grand'mère paternelle, mi- graineuse, morte à 81 ans, d'un cancer de la face. - Grand- père
and- père maternel mort aliéné à 72 ans. - Grand' mère maternelle morte à 84 ans. - Un oncle et une tante paternels sont
dix ans, intelligente, nerveuse; jamais de convulsions; - 2° Fille morte de méningite à 2 ans; - 3° Fille morte à 3 ans
s de convulsions; - 2° Fille morte de méningite à 2 ans; - 3° Fille morte à 3 ans d'une fluxion de poitrine; pas de convu
sentait des convulsions allant jusqu'à un véritable état de mal. 11 mourut dans un de ces états de mal ; de broncho-pneumo
ier, sobre, mort vers soixante-dix ans, on ne sait de quoi. - Mère, morte vers soixante-cinq ans, domeslique dans un chât
ître, le père, en avait cinquante-cinq. On ne sait de quoi elle est morte . - Ni frères, ni soeurs. - Deux oncles maternels
ès de boisson, mais surtout après la naissance de sa fille. - Mère, morte de phthisje galopante à cinquante-sept ans ; ne
ternel, mort très âgé, on ne sait de quoi. - Grand'mère paternelle, morte très âgée, pas de détails. - Grands parents mat
soixante- dix et soixante-dix-sept ans, on ne sait de quoi. - Soeur morte du croup, à dix-huit mois. - Pas de frère. - Pa
é dans la chambre. Il n'avait pas bu, il ne boit jamais ; 5" Fille, morte d'une angine couenneuse( ? ), 111 STÎ : ftO-PIL
pas d'attaques de nerfs ni de migraines; intelligente; - il' Fille, morte il vingt et un mois, aux Enfants assistés ; z 8
t demi ; pas de convulsions, bien portant, intelligent; - 12° Fille, morte d'une variole noire en 1880, à un an. Notre mal
ux. - Scieur slz·ccbiqzvc à la suite de convul- sions de l'enfance; morte tuberculeuse. Renseignements incomplets sur les
rtantes ainsi que leurs enfants (un garçon et trois filles).] Mère, morte en 1877, à quarante-quatre ans, d'une maladie d'i
sa mort. Il avait des idées tristes, croyait toujours qu'il allait mourir , il était sujet à des attaques de nerfs avec ch
marié et avait eu un enfant mort à deux ou trois mois ; 2° Fille morte à dix ans, après quinze jours de maladie consé-
ec sa pipe et sa canne. CACHEXIE PACHYDERMIQUE. 175 0, 4° Fille morte à cinq ans, au bout de quinze jours, d'un refroi-
12 (1904) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1903
. Aucune maladie nerveuse. Pas de tabagisme. [Famille du père. Hère morte à 77 ans et père à 66 ans, on ne sait de quoi.
èse(1),était malade depuis 3 ans ; très nerveux; migraineux. - Mère morte 3 semaines après la naissance de sa fille. - So
ur la consanguinité. Cinq enfants : 1" notre malade ; 2° une fille, morte à huit jours chez une sage-femme (manque de soi
rt du choléra, à Lyon en 1804, habituelle- ment bien portant.- Mère morte à 78 ans, après huit jours de maladie. Aucune a
nsi que son enfant qui, toutefois, est très nerveux ; l'autre soeur morte à 26 ans tuberculeuse. - Dans le reste de la fa
u obtenir son certificat d'étude, travaille avec sa mère ; 2° fille morte à 15 jours d'une entérite ; 3° lille morte à 3
avec sa mère ; 2° fille morte à 15 jours d'une entérite ; 3° lille morte à 3 ans d'une rou- gcole. elle devenait bossue
d'une rou- gcole. elle devenait bossue ; 4° notre malade : 5" fille morte a 8 mois d athrepsie ; ilo fille mort-née. Aucu
ient sobres et qu'ils sont morts très âgés. Une tante pater- nelle, morte on ne sait de quoi. Elle était bien conformée et
ps avant sa mort. Il était sobre et n'avait jamais été malade. Mère morte à 4t1 ans, d'une affection pul- monaire aiguë.
de ; 4° garçon, 4 ans, pas de convulsions, enfant normal ; 5n fille morte à 14 mois de bronchite capillaire. Notre mala
umatisant. - Grand-père, paternel alcoolique. Gmllrl'mÚc paternelle morte lcémiplcrliyrc.-7'antc pater- nelle très petite
sme. 63 losc pulmonaire. - Grand'mère maternelle, très coléreuse, morte d'un cancer de l'utérus, - Deux cousins morts de
mille du père. Père mort à 72 ans, alcoolique. Mère, très nerveuse, morte après hémiplégie. Frères et soeurs au nombre de
t survivent. Parmi eux certains sont nerveux. Une de ses soeurs est morte folle à la Salpêtrière. Mère, 45 ans, blanchi
le de la mère. Père mort à 53 ans de tuberculose pulmo- naire. Mère morte à 40 ans d'un cancer de l'utérus ; coléreuse co
aïeul maternel mort d'une attaque d'apo- plexie ; aïeule maternelle morte aussi de sa deuxième atta- que d'apoplexie ; ta
é quatre ans; les deux autres vers 60 ans. - Deux soeurs, l'une est morte à 78 ans ; l'autre, vivante, a 80 ans. - Dans l
Père sobre, mort à 65 ans, d'une affec- tion pulmonaire aiguë. Mère morte à 75 ans d'une maladie du foie. - Grands-parent
rts jeunes, ainsi que le grand-père maternel. Gnand'mère maternelle morte vers 70 ans, sobre, pas d'accidents nerveux. De
endant un peu plus volumineuse que la droite. Pharynx, pas de tu- meurs adénoïdes. Goût normal. Langue, rien de particuli
mort à 75 ans. Asthmatique depuis l'adolescence, alcoolique. Mère, morte à un Age peu avancé d'une tumeur de l'abdomen;
e de la mère. Père alcoolique, mort à 59 ans. Mère enfant assistée, morte à 3fi ans du choléra en 1849. Grands- parents i
l'enfance, mort des suites d'une coxalgie. - Tante mater- nelle, morte tuberculeuse. Dans les deux familles aucun cas
alalgies. Grand-père paternel mort paralysé. Grand' mère paternelle morte sourde et démente. Mère morte tuberculeuse. Gra
mort paralysé. Grand' mère paternelle morte sourde et démente. Mère morte tuberculeuse. Grand-père maternel mort probable
el mort probablement tuberculeux. Grand'mère maternelle diabétique, morte de la «poitrine» ? - Un autre frère mort de con
gies, caféisme, coléreuse. Grand'mère, accidents hystéri- formes, morte d'un cancer de l'estomac. Plusieurs frères et s
l'estomac. Plusieurs frères et sceurs ont eu des convulsions. Soeur morte de méningite auec convulsions en 17 jours. - Gr
méningite auec convulsions en 17 jours. - Grand'tante maternelle morte d'un cancer du rectum. Pas de consanguinité, -
la suite d'une chute faite dans un escalier. Ethylisme léger. -Mère morte à 60 ans, d'une angine maligne, sobre. - Grands
mère, - Père, mort il 44 ans de tuberculose pulmonaire, sobre. Mère morte d'un cancer de l'esto- mac ; à partir de l'âge
t tantes paternels. Pas d'oncles maternels. Une tante maternellle morte d'un cancer du rectum. Un frère bien portant n'a
e qui a eu des accidents convulsifs.; - 2° Notre malade; - 3° Fille morte de méningite avec con- vulsions en 17 jours, à
re, migraineuse, conduite très irrégulière. Grand'mère, migraineuse morte d'un cancer utérin. Pas de cas de nanisme ni d'
illes. Aucune tare morale ni intellectuelle. Une soeur aveugle-née, morte de convulsions. Pas de consanguinité ; iazéga
- [Famille de la mère. Père sobre, de caractère violent. - Mère, morte à 43 ans, probablement d'un cancer utérin ? cri-
conjoints. Six enfants : 1° garçon 13 ans, bien portant; 2° fille morte il 21 mois de rougeole; 3° fille née aveugle, m
rtant; 2° fille morte il 21 mois de rougeole; 3° fille née aveugle, morte à six mois au cours de convulsions; 4° garçon d
sions. - Un autre frère et une autre soew' strabiques.- Autre soew' morte de convulsions. - Frère strabique à la nais- sa
[Son père, mort il 72 ans de pneumonie, ne buvait pas. Sa mère est morte à 82 ans, de cause inconnue. - Aucun renseignem
isson, « mais on ne peut pas dire qu'il tombait dans le vin u. - Sa morte il 65 ans, de cause inconnue (vieil- lesse, fat
s. Du côté maternel, 8 oncles et tantes; l'une de ces tantes serait morte de folie quelques jours après avoir accouché de
actuellement âgé de 13 ans, bien portant, et une fille « qui est morte en venant au monde. » Tous les enfants de ces frè
rtant; - 6° un garçon, âgé de 18 ans, rien iL noter ; 7° une fille, morte en naissant ; 8° une fille, âgée de 13 ans 1/2,
oir 40°,4, bain à 32°, elle tombe à 39° 5. A 8 h. du soir, l'enfant meurt brusquement, sans cris ni râles, sans secousses
rnel mort tuberculeux. - G ? aibd'la21te paternelle aliénée. - Mère morte tuberculeuse. - Grand'mère maternelle morte d'u
nelle aliénée. - Mère morte tuberculeuse. - Grand'mère maternelle morte d'un cancer utérin. Soeur arriérée ; autre soew'
e maternelle morte d'un cancer utérin. Soeur arriérée ; autre soew' morte de convulsions. - Pas de consanguinité. - Inéga
plus haletante, l'enfant tombe pour ainsi dire dans le coma et elle meurt à li h. du soir. Température après la mort.
i démence; ne voyait presque plus; sobre. - Grand' mère maternelle, morte à 64 ans, de fluxion de poitrine; - Oncles et t
, noyé accidentellement ; 200 Sclérose atrophique. sobre. - Mère, morte usée à 63 ans, on prétendait que c'était une ga
otier, mort à soixante-sept ans de pneumonie, était sobre. Sa mère, morte à soixante-dix-sept ans de vieillesse, ni démen
mère à soixante-huit; pas de détails sur eux. Une tante paternelle, morte on ne sait de quoi, aurait eu deux enfants bien
ccès. Dans le reste de la famille, rien autre à signa- ler. Mère, morte à quarante-cinq ans, il y a un an, de « chlorose
nt bien portants. Quatre sielt1's : l'une mariée, sans enfants, est morte usée par la bois- son; les trois autres sont bi
e. Mère : rien. - Arrière grand'mère, paralytique. - Une ScL'1lt· morte de méningite tuberculeuse. - Autre soeur morte
ue. - Une ScL'1lt· morte de méningite tuberculeuse. - Autre soeur morte de diarrhée verte avec convulsions. - Pas de con-
lité d'âge de 5 ans, (père plus âgé). Quatre enfants : Une fille morte en nourrice à la campagne avec de la diarrhée v
gne avec de la diarrhée verte, et des convulsions. - 2° Une fille morte à 11 ans de méningite tnbercuteuse; - 3° Notre
sobre, nerveux comme son fils et toujours bien portant. Sa mère est morte à la suite d'une laparotomie nécessitée par un
ce qu'on sait de lui. Quant à la grand'mère maternelle, elle serait morte à 86 ans, aveugle, ayant été frappée à diverses
en demi flexion. Diarrhée persistante. Cachexie tuberculeuse. Il meurt le 14 août à 2 h. 1[2 du soir. Température aprè
édico-psycholo- gique de Paris.) 1898. BALLARD. (J.). - Comment meurent les épileptiques. Thèse de Paris. RBLLA1 (P.)
13 (1888) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1887
s, se mita courir comme un (ou) se précipita hors de l'atelier et mourut ( ? ). » 1 ? )/t0) ! c)'. Kalur. curiosor., déc
involontairement deux ou trois fois autour après l'avoir saisi. Il mourut le 24 mars 1837. Autopsie. - A l'examen du cerv
e neurasthénique, sujet à des céphalalgies. - Grand'mère paternelle morte apoplectique {hémiplégie gauche), neuras- théni
ule mater- nelle aliénée. - Demi-frère mort de méningite. - Sam1' morte phtisique. Peurs de un ci, quatre ans.- Début d
homme de peine ; pas d'excès de boisson, pas de migraine. - Mère, morte à l'âge de soixante-dix-neuf ans, en douze jours,
'aîné, il n'est que frère de mère ; né avant le mariage. * Elle est morte en juin 1882, de bronchite avec dyspnée. DE l'é
.] Pas da consanguinité. Deux enfants du second mariage : 1° Fille, morte à vingt- deux ans de la poitrine ; 2° notre mal
père maternel, mort apoplectique. - Arrière-grand'mère paternelle, morte apoplectique; arrière-grand-père maternel, mort
quelques excès de boisson (vin). - Mère, maîtresse d'hôtel meublé, morte paralysée à l'âge de quarante-neuf ans; elle ét
Grand-père paternel, pas de détails. Grand'mère paternelle, sobre, morte à soixante-quinze ans d'une attaque d'apoplexie
t s'est tué; il avait quarante-cinq ans. - Grand'mère maternelle, morte d'une fluxion de poitrine, à l'âge de quatre-ving
poing ; 2° fille., vingt-quatre ans, bien portante, a eu une fille morte de coque- luche ; - 3° notre malade;. 4° garçon
uche à quatre mois, attribuée à un effort; - 6° fille intelligente, morte à dix-huit mois d'un a chaud et froid ( ? ) » 7
? ) » 7° garçon, intelligent, mort à trois ans du croup ; 8° fille, morte à vingt-six jours, du croup ( ? ); - 9° fausse
garçon intelligent, mort à trois ans de la coqueluche ; - 120 fille morte à dix mois, on ne sait de quoi; - 13e fausse co
u pour s'ouvrir le ventre et dit : « Je veux voir mon père avant de mourir . » 1885. 28 février - Ecchymose sous-conjonctiv
ci quatre-vingt et un ans d'une pneumonie ; - grand'mère maternelle morte à quatre-vingts ans d'une hémiplégie droite. As
, mort à trente et un ans. Mère, DE l'épilepsie PROCURSIVE. 71 Il morte à soixante-dix ans, sans qu'on puisse dire de que
malade. - [Père, mort à quatre-vingt-un ans d'une pneumonie. Mère, morte à quatre-vingts ans des suites d'une hémiplégie
ier, alcoolique, a succombé à une affection génito-urinaire. - Mère morte d'accidents pulmonaires sans aveir jamais eu d'
euse. Un frère bien portant, un autre mort de la poitrine, une saur morte subitement d'un anévrysme à trente-trois ans. N
sse. Une soeur ainée, bien portante et intelligente ; sa mère est morte quelque temps après sa naissance, à la suite d'ac
on. DE l'épilepsie PROCURSIVE. 87 le coma à 5 heures du matin, et meurt à 10 heures du matin. Traitement : Eau-de-vie a
ellement bien portante. [Père, pas de détails. - Mère, migraineuse, morte du choléra. - Une soew' et trois frères migrain
nes de l'épilepsie larvée. Observation XXV. - Grand'mère paternelle morte d'apo- plexie. - Grand-père maternel alcoolique
un refroidissement ( ? ) en trois jours ; tisserand, sobre. - Mère, morte à soixante-douze ans, d'une attaque d'apoplexie
r abdominale à soixante-cinq ans, sobre. - GI'and'mèl'e maternelle, morte de vieillesse il quatre-vingt-sept ans. - Pas d
r matin et soir. Symptômes de conges- tion méningitiquc. Le malade meurt à 7 h. 45 du matin. T. ft. immédiatement après
maternelle hystérique. - Une tante maternelle phthisique. - Soeur, morte de convulsions. - Gémellarité. Premières convul
lui. Observation XXXIV. Mère, nerveuse, inconduite, migraineuse, morte p/t</tM ? t<t ? Cousin germain idiot. - Frè
e en médecine légale est bien moindre. Observation XXXVI. - Mère, morte d'un cancer du sein. - Début de l'épilepsie ver
eur le soin de juger en dernier ressort. Observation XLII. - Mère morte maniaque. - Signes légers de dégénérescence. -
L DE l'épilepsie PROCURSIVE. 119 Son père vit encore, sa mère est morte maniaque à l'âge de quarante ans. Frères et soe
neuse. - Grand-père maternel alcoolique. - Grand'mère mater- nclle morte phthisique. Vertiges à cinq ans. - Accès procur
r, mort à l'âge de soixante et onze ans, on ne sait de quoi. - Mère morte de vieillesse ( ? ) à l'âge de soixante-dix ans
nt naturel, mort alcoolique, à l'âge de soixante ans environ. -Mère morte à trente-cinq ans de bronchite. - Pas d'aliénés
ent purgatif. - Potion de Todd et lait. Soir : T. R. 42°. Le malade meurt le 16 septembre à une heure du matin. Températu
un an ; nombreux excès de boisson. - Mère, pas de détails; elle est morte de la poitrine, dit-on, peu de temps après la nai
ait de quoi ; - 3° fille, mort-née ; - 4° notre malade; - 5° fille, morte à cinq mois, de la variole; 6° et 7° deux fille
nt difficile, l'intelligence s'altéra de plus en plus, et la malade mourut huit ans après le début de son affection. ' Si
pas nerveuse, aucun excès. [Père, mort on ne sait de quoi. - Mère, morte en couches à vingt-sept ans, pas de détails. -
est mort très âgé; on croit qu'il était sobre. - Mère, ménagère, morte de vieillesse. - Deux frères : l'un est mort étan
ne maladie vénérienne. - Une soeur, fille publique, alcoolique, est morte de la poitrine; elle aurait eu dans son pays, à
sons, mort à la suite d'une chute avec frac- ture de côtes. - Mère, morte à soixante-huit ans, « après avoir traîné » ; t
D'ATHÉTOSE DOUBLE AVEC IMBÉCILLITÉ. vulsions répétées. - Une soeur, morte à son retour d'âge, n'avait pas d'attaques. - P
édiocre : « il n'a pas trop de débouchés»;-30 fille bien conformée, morte à deux mois «d'une espèce de méningite, en quin
n ne sait de quoi, était né à terme; pas de convulsions; - 6° fille morte à quatre ans et demi de méningite, avec convulsio
demi de méningite, avec convulsions, en quatorze jours; - 70 fille, morte du croup à trois ans. Notre malade. Au moment d
pierres; mort d'excès de boisso2.-Mére, blan- chisseuse, sobre, est morte aux Petits-Ménages aissyvcrs 1872. - Un doses f
du choléra, vers 185t, carrier dans les monta- gnes, sobre. - Mère, morte hémiplégique. Un frère en bonne santé porte un
près de Chambéry). - Deux enfants : 1° Notre malade, 2° une fille morte à deux ans 1/2 du croup, elle était intelligente,
rnelle : mauvaise conduite. Grand'mère maternelle : emportée. Soeur morte de méningite avec convulsions.- Colères dans l'
it été seulement l'amant de la grand1 mère maternelle, laquelle est morte de vieillesse à 84 ans. De deux frères, l'un es
- Pas de consan. guinité. 4 enfants : 1° notre malade; - 2° fille morte en nour- rice, iL six semaines, d'athropsie, sa
- rice, iL six semaines, d'athropsie, sans convulsions ; 3° fille morte iL 9 jours, de diarrhée avec vomissements, sans
9 jours, de diarrhée avec vomissements, sans convulsions; -4° fille morte à 4 ans, d'une méningite consécutive à la coque
tu es une putain, je vais te botter. » - Il l'accusait d'avoir fait mourir sa soeur, de vouloir le faire mourir aussi. Il
» - Il l'accusait d'avoir fait mourir sa soeur, de vouloir le faire mourir aussi. Il a même essayé Bourneville, 1887. 16
e sa petite soeur. Celle-ci, qu'il paraissait aimer beaucoup, était morte quand il avait à peine 9 ans. Après sa mort et
je me trouve dans la nécessité de me faire rendre justice, devant mourir dans quelques mois. Veuillez agréer, Monsieur l
14 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 9. Hémorragie et ramollissement du cerveau, métallothérapie et hypnotisme, électrothérapie
la suite de cette attaque, on constate une hémiplégie droite. — Elle meurt trois jours après l'attaque le 14 mars 1866, A
(Jeanne), 62 ans). — Cette femme dont l'observation a été égarée, est morte d'hémorrhagie cérébrale le 24 mai 1806. L'autop
nance manifeste de la paralysie plutôt d'un côté que de l'autre. Elle meurt au bout de quatre heures le 2 juin 186(5. A l'a
Longueville, 77 ans. — Les renseignements manquent. Cette femme étant morte en octobre 1800, on trouva à l'autopsie une liémo
, la parole très embarrassée, l'intelligence obscurcie. — Cette femme meurt le 14 janvier 1867, un jour après l'attaque. A
es lors de l'entrée du malade à l'hôpital, il est pris d'érysipèle et meurt dix ou quinze jours après l'attaque, le 19 lévrie
ortée à l'Hôtel-Dieu en état de coma avec une hémiplégie droite. Elle meurt le 21 février 1867. A l'autopsie, un vaste épan
ibilité et du mouvement à droite et déviation de la face gauche. File meurt le 20 mars 1807. A Yautopsie, on constate un va
ée par M. Césari, interne des hôpitaux de Lyon. ques énergiques; il meurt sans convulsions vingt minutes après l'attaque, l
3 pée d'apoplexie le 30 avril 1807, avec hémiplégie du côté droit, meurt le 3 mai 18G7 avec une température rectale de 10°
t frappée d'apoplexie le 7 juillet 1867, avec hémiplégie droite. Elle meurt le 13 juillet 1867. A Yautopsie, on trouve une
uablement sains. Obs. XX. Salpêtrière. — Vulpian. C..., 74 ans. — Morte le 10 novembre 1867 d'hémorrhagie cérébrale clu l
atement de stertor, tombe en résolution complète, a un vomissement et meurt dix ou douze minutes après l'attaque. On trouve
vrier 1868. Elle présente une hémiplégie complète clu côté droit et meurt quelques heures après. A Yautopsie, on trouve u
entôt de secousses convulsives et de rigidité permanente. Cette femme meurt au bout de vingt-quatre heures le 8 mai 1868. 1
lsives clans les membres supérieurs, principalement à droite, et elle meurt dans le coma avec une température rectale qui s'e
ralysée à droite, est prise d'accidents convulsifs épileptiformes, et meurt le 16 août 1868. A Y autopsie, foyer d'hémorrag
ine quelques traces d'athérome. Cœur flasque, de coloration feuilîe morte . Valvutes aortiques, incrustées à ta base, mais s
ulement, le membre inférieur gauche paraît un peu paralysé. La malade meurt le 18 septembre 1800, sept jours après t'attaque.
our, une eschare commence à se former sur la fesse paralysée, et elle meurt asphyxiée le quatrième jour de la maladie, le 1er
taient sains. Obs. XXIX. Salpêtrière. —Vulpian. Lef..., 72 ans. — Morte le 12 janvier 1807 d'hémorrhagie cérébrale. Foyer
re des membres du côté gauche; on n'a sur lui aucun renseignement. 11 meurt le 5 mars 1867. A Vautopsie, on trouve un foyer
avant sa mort, cette femme tombe dans la somnolence et te coma; elle meurt le 17 mars 1807. A Yautopsie, on trouve un foye
le 280 grammes. Obs. XXXIII. Salpêtrière. — Vulpian. D., 02 ans. — Morte le 4 Avril 1807 d'hémorrhagie cérébrale. Foyer d'
ut plus marcher. Enfin, à la suite d'une troisième attaque, la malade meurt clans le coma, sept jours après le début des acci
t frappée d'apoplexie, le 2 février 1868 avec hémiplégie droite. Elle meurt dans la journée. On trouve à Vautopsie, dans l'
ieurs attaques et qui avait fréquemment des accès violents de colère, meurt , le 27 février 1808, à la suite d'une exaltation
lexie avec hémiplégie droite. Elle tombe dans le coma avec stertor et meurt dans la journée. A Yautopsie, on découvre un an
nouvelle attaque est frappé d'hémiplégie droite, le 20 mars 1808. II meurt le 2 avril 1808. On constate à Yautopsie un foy
une attaque apoplectique avec hémiplégie droite en janvier 1868. Elle meurt d'une pleurésie le 18 mai 1868. On trouve un foye
s de la pie-mère. Le cœur est petit, friable, de coloration feuille morte ; il est adhérent par toute sa surface au péricar
Siper (Catherine-Joséphine), 75 ans. Les renseignements font défaut. Morte le 3 octobre 1866. A Yautopsie, on trouve un fo
sur laquelle on n'a aucun renseignement, sinon qu'elle était gâteuse, meurt le 1er octobre 1866. On trouva à Yautopsie une
— Charcot. Taffin (Robertine), 80 ans. A l'autopsie de cette femme, morte de pneumonie le 25 oc tobre 1866, on trouve un
it pas hypertrophié, mais présentait seulement une coloration feuille morte . 11 y avait dans les deux genoux des traces d'art
u côté paralysé. A la suite d'une dernière série de convulsions, elle meurt , avec une élévation]considérable cle la températu
au lit, et qu'elle était sujette à des crises épilepti-i'ormes. Elle meurt à ta suite d'une de ces crises ie 21 mars 1807.
ère, Saint-Paul, 1. — Charcot. Cousin (Marguerite), 81 ans. — Femme morte pendant la convalescence d'une pneumonie le 27 ma
de 38 ans était depuis cette époque hémiplégique du coté droit. Elle meurt de phthisie granuleuse, le 3 avril 1867. À Vaut
te interstitielle. Obs. LU. Salpêtrière. — Vulpian. B.. , 60 ans. Morte le 22 avril 1867, de parotidite suppurée. Ancien
et athéromateuses. Obs.LUI. Salpêtrière. — Vulpian. M.., 76 ans. Morte , le 11 mai 1867, d'un ramollissement rouge du noy
e de l'encéphale. Obs. LIV. Salpêtrière. — Vulpian. B..., 70 ans. Morte le 1er juillet 1867. Ancien foyer d'hémorrhagie,
i présentait depuis longtemps une hémiplégie gauche avec contracture, meurt sans cause connue le 17 août 1867. A Yautopsie,
ans les derniers temps, elle eut quelques attaques épileptiformes, et mourut sans lésions nouvelles le 8 octobre 1867. A Vau
Alexandre, 0. — Charcot. Briquet (Françoise), 88 ans. — Cette femme meurt le 13 octobre 1807, sans qu'on ait eu des renseig
vie, attaques épileptiformes alternant avec de l'agitation. La malade meurt , dans une de ces recrudescences, avec une élévati
ncomplète de la sensibilité et du mouvement. La malade se rétablit et meurt deux ans après, de pneumonie, en décembre 1867.
mporale droite, l'artère est liée mais un érysipèle se déclare, et il meurt le 21 décembre. A Vautopsie, on trouve les lési
ture du côté droit; la face est assez fortement déviée à gauche. Elle meurt de pleuro-pneumonie le 2 janvier 1868. kYautops
c contracture du côté gauche qui datait de 9 ans environ, cette femme meurt cle pneumonie le 19 février 1868. On trouve à Y
ieurs et clans le bras paralysé, et enfin des abcès multiples. — Elle meurt le 25 février 1868. A Vautopsie, on trouve un a
années, éprouvait une certaine faiblesse dans les membres inférieurs, meurt de pneumonie le 27 mars 1868. Indépendamment de
, 10. — Charcot. Mannessoy t(Marguerite), 70 ans. — Cette femme étant morte de pneumonie, le 18 avril 1808, on trouve à l'a
59ans(l). — Cette femme,qui était atteinte de paralysie générale, est morte le 20 avril 1808. On trouve à Vautopsie, un foyer
miplégique du côté gauche et sujette à des accès épileptiformes. Elle meurt de gangrène pulmonaire le 5 mai 1868. On trouve
ments, elle avait une hémiplégie gauche avec contracture, et elle est morte avec une eschare, le 31 mars 1868. A Yautopsie,
raplégie ancienne, est frappée d'apoplexie avec hémiplégie droite, et meurt le lendemain, 18 mai 1808. Vautopsie révèle une
e avec hémiplégie droite et roideur clans les muscles paralysés. Elle meurt le lendemain 5 octobre 1808. A Vautopsie, on tr
Saint-Alexandre, 11. — Charcot. Taffin (Robertinre), 80 ans. Femme morte de pneumonie lo-baire le 25 octobre 1866. A Vau
ons, des couches optiques et de la protubérance. Coloration feuille morte du tissu musculaire du cœur ; végétations sur les
e gauche avec contracture permanente des membres paralysés. La malade meurt le 17 août 1867. A Yautopsie, on trouve dans la q
n appréciable. Obs. LXXXVII. Salpêtrière. — Vulpian. M. 87 ans. — Morte le 6 avril 1867. Deux foyers symétriques anciens
le quart des cas. Il nous est donc permis de dire que les sujets qui meurent d'hémorrhagie cérébrale ont les artères de l'encé
redescend en trois minutes, à 40°. On interrompt le courant. L'animal meurt . La température se maintient à 49° pendant dix mi
trois minutes et demie, la température est revenue à 39°, 2. L'animal meurt . Ces expériences tendent à démontrer que les co
her. Les attaques qu i nous venons de décrire ne cessent point, et il meurt dans cet état le même jour à quatre heures du soi
suivi de paralysie complète, et enfin quelques jours après le malade meurt ,après neuf heures d'un accès presque sans interru
t de plus en plus; la malade tombe bientôt dans un état adynamique et meurt le troisième jour. A Yautopsie, on trouve une g
15 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome premier
sente (Tab. I, fig. i) la membrane interne du jéjunum d'un enfant qui mourut pendant la digestion intestinale ; les vaisseaux
itesse extrême du pouls. Je demande où est la douleur : J'étouffe, je meurs , voilà tout ce que me répond la malade en portant
au : l'embonpoint de la malade dénotait d'ailleurs un état aigu. Elle mourut deux heures après son entrée. A l'ouverture, on
excessivement violente, la face devint pâle, le pouls très-petit. Il mourut quelques inslans après, on trouva dans le côté ga
dante de sang rutilant. Le malade était mourant à la visite du 29, et mourut quelques instans après. A l'ouverture du cadavr
s, affecté de phlegmon érysipélateux de toute l'extrémité supérieure, mourut avec tous les symptômes d'une lésion grave de la
a petitesse extrême du pouls dénotent assez l'imminence du danger. Il mourut le lendemain. On va aux renseignemens : cet indiv
© ovoïde parsemée de plaques cartilaginiformes, ossiformes. Le malade mourut subitement. Dans un autre cas que je dois à l'obl
ble (*). (planche iv, iiie livraison, figure 2 et 3.) Un individu meurt subitement en vomissant une grande quantité de sa
oûte du crâne, enlever le cerveau et les lobes du cervelet sans faire mourir l'animai; je pus agir sur toute la portion cervic
e douleur son bâton dorsal. Ce fut le dernier mot qu'il prononça : il mourut à l'instant. Ouverture du cadavre. Etat extérie
ès, invasion des symptômes mentionnés tellement brusque que le malade meurt en parlant. Chez ce dernier malade, la peau, le
m et à s'emparer de la moitié interne des muscles grands fessiers. Il mourut le 21 avril, épuisé probablement par cette énorme
ie du mouvement se propagèrent aux extrémités supérieures ; le malade mourut subitement. Il ne me fut pas permis d'en faire l'
elles il semble au malade que tout son corps se bouleverse ; il a cru mourir . Depuis lors il se trouve beaucoup mieux; mais l'
espiratoire. Le malade a recouvré toute sa raison et s'écrie qu'il va mourir si je ne le délivre pas sur-le-champ de cette ter
livre pas sur-le-champ de cette terrible suffocation. Et en effet, il meurt quelques instans après, asphyxié, avec toute sa c
après, dévoiement à la suite duquel il tombe dans le marasme et vient mourir à l'Hôpital Saint-Louis. A l'ouverture du cadav
ar hasard sur une femme de la Salpêtrière, âgée de cinquante-six ans, morte dans le service de l'infirmerie des aliénées. Le
u qu'un seul enfant à l'âge de dix-neuf ans. L'enfant vint à terme et mourut en naissant. L'accouchement avait été très-labori
t qu'a reproduit M. Lauth fils (***). Une jeune fille de dix-neuf ans mourut à l'Hôtel-Dieu de Strasbourg, en janvier i^5i. So
ujet de cette observation était une femme âgée de trente-six ans, qui mourut d'une pleuro-pneumonie aiguë. Je suis porté à pen
senta à la Société de la Faculté de Médecine (*) l'utérus d'une femme morte des suites d'un dixième accouchement. Cet utérus
x qui ne puisse devenir le siège d'une tuméfaction mortelle : on peut mourir de suffocation par la partie sous-glottique, comm
coup de raucité dans la voix sans gêne aucune dans la respiration. Il meurt sans accès de suffocation et comme par engouement
de la huitième paire au-dessous du nerf laryngé supérieur ; il devait mourir asphyxié. L'explication est ingénieuse, mais est-
soit pendant la déglutition, soit par oedème du larynx; en effet, il mourut au moment où on s'y attendait le moins, Ouvertu
la respiration s'accélère; une sueur excessive inonde le malade, qui meurt quelque temps après sans agitation, sans mouvemen
un peu. Le malade a toute sa raison. La déglutition est difficile. Il meurt dans la nuit. A l'ouverture, un peu de sérosité
cieuse. il était aisé de prévoir la fin prochaine de ce malade, qui mourut en effet cinq jours après son entrée avec une res
Le malade ne répond à aucune question. (Vésicatoire à la nuque. ) Il meurt le cinquième jour dans l'état comateux et adynami
mpanite abdominale et de la péritonite sur-aiguë. J'ai vu des malades mourir suffoqués par le seul fait de la tympanite abdomi
nostique une entérite folliculeuse. Vingt sangsues aux jugulaires. 11 meurt pendant la nuit. L'ouverture du cadavre nous a ap
ir, son état lui parut à peu près le même qu'à la visite du matin. Il mourut à onze heures. J'avais diagnostiqué une entérite
forces épigastriques est profondément affecté. On a vu des individus mourir dans le frisson. Suivent le mouvement centrifuge
gré de l'état d'ataxie; céphalalgie, soubresauts dans les tendons; il mourut le cinquième jour de son entrée à l'hôpital, et j
et tombe en faisant effort pour se lever. Même état le 4 et le 5. Il meurt pendant la nuit du 5 au 6 au milieu de l'agitatio
ne pleuro-pneumonie à la partie antérieure du poumon droit. Le malade mourut la nuit suivante. Ouverture du cadavre. Pleuro-
de quinine; pilules camphrées.) Le 25, délire; pouls grêle, lâche; il meurt pendant la nuit, vingt-unième jour de l'invasion.
de cantharides en frictions et à l'intérieur lui est administrée. Il meurt (*) Il y a lieu de s'étonner du silence des aut
érale du cerveau. Un autre élément de la question est celui-ci. On ne meurt pas par le seul fait d'une tumeur cancéreuse de l
s moyens devinrent inutiles, les symptômes augmentèrent, et le malade mourut le 16 août 1829. » « autopsie. L'état général d
de sa douleur : je fus surpris le lendemain d'apprendre qu'elle était morte dans la journée. Ouverture du cadavre. J'annonç
s moyens devinrent inutiles, les symptômes augmentèrent, et le malade mourut le 16 août 182g. » « Autopsie. L'état général d
ze ans, fut transférée peu de temps après aux Incurables, où elle est morte âgée de quinze ans, par suite d'un dévoiement chr
ita entre autres faits celui d'un maçon qui tomba d'un lieu élevé, et mourut quelques heures après. Parmi les lésions graves q
ravaillé et a toujours joui d'une santé parfaite. Cette femme étant morte le 6 novembre 1821 , M. Grellet, aidé de M. Dumas
. Quatre expériences sur les lapins, un fait observé sur un maçon qui mourut une heure après son repas par l'effet d'une viole
heures après un repas copieux où il avait bu beaucoup de vin, et qui mourut à l'instant, je trouvai la muqueuse ramollie fort
ement circonscrite à la grosse tubérosité. Toutes les fois qu'on fait mourir violemment un animal pendant le travail de la dig
t misérable du pouls m'annonçaient une fin prochaine ; et en effet il mourut en parlant, deux heures après ma visite. Ouvert
pique, tandis que la plupart des malades affectés de cancer au pylore meurent dans le marasme le plus complet, et pour ainsi di
estomac représenté fig. i (planche 4) a appartenu à une vieille femme morte à la Salpêtrière, dans un état de marasme dont la
e désespéré, il le fit transporter à la Maison royale de Santé, où il mourut trois heures après son entrée. Avant l'ouvertur
ouleur très-vive dans l'abdomen, accompagnée d'un malaise général. 11 mourut le lendemain. A l'ouverture , on trouva sur la fa
t et régulier; il a la conscience d'une lin prochaine, et en effet il mourut la nuit suivante au milieu d'une syncope et après
sième jour de la blessure, et qui n'avaient manifesté aucune douleur, mouraient avec un grand nombre d'abcès dans la substance du
é de la Suppuration, p. 344- ( C*n a quelquefois trouvé dans ceux qui meurent huit ou dix jours et même plus long-temps « après
out de trente-six heures, le membre malade se tuméfie, et si l'animal meurt ou est sacrifié, on trouve une multitude innombra
tige, de bas en haut, jusque dans la veine cave ascendante. L'animal mourut le sixième jour avec beaucoup d'oppression; l'ext
ielles soulevant la peau à la manière de cordons très-durs. Le malade mourut , et on trouva dans les veines du membre inférieur
ines, des faits tout-à-fait contradictoires : chez une vieille femme, morte , dit-on, subitement, j'ai rencontré la veine ilia
eur énergie, l'inspiration était entrecoupée et incomplète ; l'enfant mourut asphyxié soit par défaut d'action des puissances
LICATION DE LA FIGURE. Cette figure représente l'utérus d'une femme morte de péritonite puerpérale quelques jours après l'a
enté à la Société anatomique l'utérus d'une femme âgée de 33 ans, qui mourut de métrite quelques jours après l'accouchement (c
tte disposition avait fait croire à une grossesse composée. La malade mourut trois jours après l'accouchement, d'une métrite a
fig. ï, 2, 3, appartenait à une malade de la Maison royale de santé, morte phthisique, J'avais constaté, quelque temps aupar
mme de la Salpêtrière, couchée dans la division des incurables et qui mourut d'une pneumonie, je trouvai dans le vagin une vég
) La fig. 4 représente la face postérieure de l'utérus d'une femme morte six semaines après l'accouchement, des suites d'u
Société anatomique : une femme affectée de cancer aux deux mamelles, mourut suffoquée. A l'ouverture : hydrothorax; cancer de
atre à cinq jours, on lui administra deux grains de tartre stibié, il mourut le lendemain. Je fus curieux d'examiner les voies
figure 2, Planche 5 , appartenait à un enfant de cinq à six mois, qui mourut avec des tubercules dans les poumons. Il me fut d
de la muqueuse et de la musculeuse. Chez une femme de 72 ans environ, morte par suite de vomissemens continuels survenus seul
t dans l'accomplissement de cette douloureuse fonction. Peu de femmes meurent par le fait même de l'accouchement; un nombre con
de tout son éclat. 1° La planche I représente l'utérus d'une femme morte du typhus puerpéral, le 4e jour de l'invasion de
(( La poitrine se ferme, disait cette malheureuse, soulagez-moi ou je meurs faute d'air. » Facultés intellectuelles dans Péta
erne des cuisses, huit grains de kermès minéral dans une potion. Elle mourut dans la journée. D'après les renseignements cjue
leur intégrité. La malade fait toutes ses dispositions et s'apprête à mourir , en manifestant la plus grande indifférence sur l
ques gouttes d'ammoniaque dans une infusion de camomille. Le malade meurt une heure après son entrée, au milieu d'une cramp
sensibilité morale, telle qu'elle ne s'occupe point de son enfant qui meurt à côté d'elle, deux heures après son entrée. Touj
i perdit son mari du choléra le i5 avril, fut prise le 16, à midi, et mourut en douze heures: le liquide contenu dans l'intest
létère; le malade présente tous les symptômes de l'empoisonnement; il meurt asphyxié. Mais, si au lieu d'étudier tout d'abo
que si le malade n'avait pas le choléra, il avait été empoisonné; il mourut en ma présence, trois heures environ, après l'inv
gé de retirer bien vite le malade si l'on ne veut s'exposer à le voir mourir d'asphyxie. On a essayé sans succès les bains fra
on des stimulants intérieurs et des vomitifs. D'autres fois le malade meurt dans la stupeur et l'état typhoïde, et plus d'un
ant venu naturellement par la première position du sommet de la tête, mourut trois heures après sa naissance : l'abdomen volum
réussit en général assez bien dans des cas analogues en apparence. Il mourut le lendemain. A l'ouverture : arachnitis spinale
hydro-thorax, purpura hemorrhagicum, chez un fœtus de sept mois, qui mourut douze heures après la naissance. Un enfant de s
s sur toute la surface du corps et ijUr la muqueuse de la langue ; il mourut au bout de douze heures. Infiltration du tissu
arde, purpura hemorrhagicum, foie aVun vert-olive, chez un enfant qui mourut une heure après la naissance. Une femme qui ava
a grossesse, accouche heureusement d'un enfant infiltré, à terme, qui mourut au bout d'une heure de respiration assez complète
per-sécrétion. Enfin, chez un enfant nouveau-né, âgé de six mois, qui mourut dans le marasme, j'ai rencontré un thymus doublé
ne connais aucune observation plus curieuse que celle d'un enfant qui mourut immédiatement après sa naissance , après avoir po
p de peine; elle resta incomplète, très gênée, presque convulsive. Il mourut au bout de cinq jours. A l'ouverture : cœur éno
tus, que je ne crains pas d'avancer cette proposition, savoir : qu'il meurt autant d'enfants nouveau-nés que d'adultes, par l
près la rupture de la poche des eaux. Il respire quelques instants et meurt . Couleur vert-olive des poumons qui sont très vol
de sang et de sérosité. Un enfant né avec des pustules syphilitiques, mourut au bout de quelques heures. Le tissu du poumon ét
t à terme né d'une mère siphylitique. Il fait quelques mo uvements et meurt . L'insufflation avec le tube laryngien est inutil
IES DU CERVEAU. {Absence complète du cervelet, chez une jeune fille morte dans sa onzième année.) (Planche V, XVe livrais
aissance et qui ignorait néanmoins complètement sa fâcheuse position, mourut le même jour à une heure après midi. Ouverture
manifestèrent les premiers accidents du côté de l'estomac. Le malade mourut le 14 janvier 1833 avec tous les symptômes du squ
blitérée. J'ai cité ailleurs (1) l'observation d'une vieille femme, morte dans mon service à la Sal-pêtrière, qui portait d
cales, réduites à une vie végétative, immobiles dans leur lit, et qui meurent pour la plupart, par suite des escharres gangrene
hes anatomiques sur les hé-morrhagies) , l'observation d'un homme qui mourut le douzième jour de l'invasion d'un érysipèle phl
consultation. Le surlendemain, après une nuit très agitée, l'enfant mourut sans agonie. A Vouverture9 que je fis avec mon
a fig. 5 représente un double kyste pileux (1) observé chez une femme morte un mois après l'accouchement. L'utérus offre enco
du volume de la tête d'un enfant d'un an a été trouvé chez une femme morte à l'Hôpital Beaujon en 1831, par suite d'un ramol
encroûté de phosphate calcaire et momifié, chez une femme de 77 ans, morte 47 ans après une grossesse extra-utérine. Je do
té Pl.VI, 18e livraison. Ce fœtus a été trouvé chez une vieille femme morte à l'âge de 77 ans , qui le portait depuis sa 35e
et bien qu'elle fût très bien réglée, elle ne devint pas grosse. Elle mourut 32 ans après la conception. Le fœtus était couv
sement qui fit craindre pour sa vie, elle se rétablit parfaitement et mourut à l'âge de 61 ans d'une fluxion de poitrine. .A
ltration des membres abdominaux ; la malade s'épuisa graduellement et mourut dans le marasme sans avoir présenté aucun symptôm
mbre de cas dans lesquels il a été envahi. Ainsi chez un individu qui mourut avec une exostose douloureuse siégeant au tiers s
ente, je soupçonnai le ramollissement cancéreux de ces os : la malade mourut épuisée de douleurs. A l'ouverture je trouvai les
reil ; la mamelle non ulcérée offrait une couleur violacée. La malade mourut dans la soirée. Ouverture du cadavre. Les deux
le péricarde plein de sang d'une vieille femme de la Salpêtrière qui mourut subitement dans son emploi. On voit la couleur vi
plusieurs années tous les symptômes d'une maladie du cœur et qu'elle mourut à la manière des individus affectés de dilatation
parfaitement compte de son état, n'accuse aucune espèce de douleur et meurt immédiatement après la visite. Bien que cette mal
phère droit du cerveau d'une femme âgée, hémiplégique du côté gauche, morte à la Maison royale de santé. La cause de sa mort
ervation de la sensibilité et intégrité des facultés intellectuelles, meurt le i3 avril i833, par suite d'une pneumonie œdéma
Elle est rapporté à l'infirmerie dans les premiers jours de mars, et meurt au moment où on s'y attendait le moins. Ouvertu
ir les individus affectés de ramollissement du cerveau ou d'apoplexie mourir par les poumons. L'observation qui précède étab
tions générales..... --j Absence d i cervelet chez une jeune fille, morte dans sa onzième année. Maladies du 'cervelet et
16 (1908) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 23
tainement, me dit-elle, je ne supporterai pas l'accouchement, je vais mourir ». Ne sachant pas la date exacte de mon retour, j
ice aux suggestions de tous genres. Tant que l'intelligence n'est pas morte elle enregistre mécaniquement les excitations ext
Le sujet tressaillit, et se raidit dans l'état cataleptique, mais ne mourut pas malgré la suggestion, mais il aurait pu mouri
aleptique, mais ne mourut pas malgré la suggestion, mais il aurait pu mourir des suites de la terreur provoquée. Voici une e
iment tué que cinq ; tous les autres sont morts de peur ! » On peut mourir véritablement de peur, par exemple,lorsque l'on c
i l'invective et lui fait des menaces ; elle a tellement peur qu'elle meurt subitement. De même, un vieillard est poursuivi p
es coups de feu ont tellement ému notre vieillard qu'il s'affaisse et meurt . Un chirurgien-vétérinaire, à qui l'on se dispo
e a introduire le cathéter, le patient pâlit, tombe en défaillance et meurt . Pelletan devait, à sa clinique, procéder a une
Au moment où il plaça le fer sur le malade, celui-ci poussa un cri et mourut . Le Dr Witry (de Trèves-sur-Moselie) rapporte u
la lutte devient très émouvante, il tombe subitement à la renverse et meurt au bout de quelques instants. (Cooney). Un ince
é. D'après Feuchtersleben, Mmo de Guerchy, fille du comte de Fresque, mourut , en 1672, pour avoir eu, elle aussi, peur du feu.
cière de ce kiosque est prise d'une telle frayeur qu'elle tombe raide morte . * s s Qu'un spectacle soit terrifiant par
. l'effet peut être également néfaste. Peutemann. peintre allemand, mourut , en 1641, de la frayeur qu'il ressentit en voyant
des squelettes agités par un tremblement de terre. Louis de Bourbon mourut à la vue des ossements de son père qu'il avait fa
vait fait exhumer. J. L. Petit a vu un homme, blessé à la main, qui mourut subitement en voyant ses tendons à nn. Une jeun
ez ses parents ; en leur racontant sa mésaventure, elle s'affaisse et meurt d'émotion. Dans le cas suivant, le danger n'éta
de cornes ; ce rêve fait tant d'impression sur son esprit qu'elle en meurt le lendemain. * ß * Voir mourir quelqu'un,
ession sur son esprit qu'elle en meurt le lendemain. * ß * Voir mourir quelqu'un, apprendre la mort d'un proche, assiste
d'être broyé par une machine ; il est tellement impressionné qu'il en meurt . Un boucher, du nom de Filbey, mourut à Twicken
ellement impressionné qu'il en meurt. Un boucher, du nom de Filbey, mourut à Twickenham, après avoir été témoin de la mort d
otion. D'après M. Clark Bell, un capitaine, il est vrai centenaire, mourut après qu'il eut lu dans un journal une notice néc
mier gredin qui voudrait me faire mettre en colère ». Et, en effet il mourut dans un accès de colère. Une violente colère fi
a Foureroy et Chaussier. En 1547. François Foscari, doge de Venise, mourut subitement en entendant la cioche de Saint-Marc a
ter tumnlte ; il n'y eut, en ce temps ià, qu'un sot de Lepidus qui en mourut d'angoisse. » Parlant de la mort d'Isocrate, Mi
a liberté, qui tua cet homme éloquent. » « Diodorus le dialecticien mourut sur le champ, esprins d'une extrême passion de ho
n argument qu'on luy avait faict. » (Montaigne). Une jeune personne mourut dans l'espace d'une heure, se croyant déshonorée
té pillée ; il sent si violemment le poids de sa responsabilité qu'il meurt dans les vingt^quatre heures. Un soldat breton,
at breton, qui ne pouvait se consoler de rester éloigné du sol natal, meurt le jour même où on lui refuse son congé. Une re
stence ; elle en est tellement émotionnée qu'elle tombe en syncope et meurt quelques heures après. * La joie peut tuer to
posa une tragédie qui fut couronnée ; le succès en fut si grand qu'il mourut do joie. Denys, second tyran de ce nom, mourut
n fut si grand qu'il mourut do joie. Denys, second tyran de ce nom, mourut en apprenant que sa tragédie avait remporté le pr
remporté le prix aux jeux olympiques. Diagoras, athlète de Rhodes, mourut en voyant ses trois fils revenir couronnés des je
ctions de grace. Montaigne a rapporté le fait en ces termes : « Talva mourut en Corsègue (Corsica. Corse), lisant les nouvelle
souhaitée, entra en tel excez de joye que la fièvre l'en print, et en mourut . » (Montaigne). Valère Maxime raconte que deux
t en mourut. » (Montaigne). Valère Maxime raconte que deux romaines moururent de joie en voyant leur fils revenir sain et sauf
sain et sauf du combat livré près du lac de Trasimène ; l'une d'elles mourut en embrassant son fils, l'autre en voyant arriver
voir pressé sa fille dans ses bras, elle a une attaque d'apoplexie et meurt douze heures après. Des forçats irlandais, cond
enant qu'ils étaient graciés. Pouquet, au dire de quelques auteurs, mourut subitement en apprenant que Louis XIV l'avait ren
annonce qu'un parent éloigné, dont il est le seul héritier, viout de mourir en lui laissant une somme de 600.000 francs. En a
du plaidoyer de son avocat que la joie la tue. La nièce de Leibnitz mourut subitement de joie en voyant ouvrir les coffres d
s d'or et dont elle héritait. C. T. A. Charpentier raconte avoir vu mourir subitement un fori de la halle de la joie d'avoir
t de posséder l'objet de ses désirs, ressentit une joie si vive qu'il mourut subitement. (A suivre). PSYCHOLOGIE MILITAI
Après lui avoir bandé les yeux, on lui annonça qu'on allait le faire mourir en lui onvrant les veines. Fendant que l'on faisa
on de sang sortant de ses veines. Croyant qu'il était sur le point de mourir , ce malheureux fut pris de syncopes, de sueurs fr
malheureux fut pris de syncopes, de sueurs froides, de convulsions et mourut au bout de 'it «? \ heures et demie : ses piqûres
; ses blessures sont insignifiantes ; mais il les croit mortelles et meurt sur le champ. Dans les deux cas suivants l'hété
un pied dans la tombe ! ». Bouleversé par cette apostrophe, M. L. G. meurt subitement quelques instants après. Voici des c
e à un pauvre mendiant, celui-ci s'en vengea en lui annonçant qu'elle mourrait dans six mois. Quand ce temps fut écoulé, elle fu
s fut écoulé, elle fut tellement obsédée par cette prédiction qu'elle mourut . Quelques faux prophètes annoncent, de temps en
ra tel jour déterminé. Or, le premier novembre 1899 une femme est morte de peur à l'heure même qu'un certain docteur Palb
urai plus besoin. » Le 22 décembre, à midi et demi, elle s'affaise et meurt dans les bras de sa bonne. Chose singulière, les
es sauvages, lorsqu'ils sont las de la vie, prennent la résolution de mourir , se couchent, ferment les yeux et cessent de vivr
'écrie : « Oh ! c'est merveilleux ! » et cesse de respirer : elle est morte ! Marcelin Berthelot avait, plusieurs fois, d
uand on lui apprit que sa femme venait de succomber, il s'affaissa et mourut sur le champ. Le célèbre chirurgien anglais, Jo
ant son ventre devenu tout noir, il tombe immédiatement en syncope et meurt . Or. le domestique s'était trompé de flacon et av
nte. Tant que cela dure, le coupable souffre. Si la ficelle casse, il meurt . Mais, c'est presque de la sorcellerie, cela, e
ée du petit est liée à celle de l'arbre : si celui-ci sèche, l'enfant mourra . U peut se faire aussi que l'enfant malingre, q
rendre une taupe vivante et l'étouffer dans sa main. Lorsqu'elle sera morte , les coliques seront passées. D'ailleurs, si. la
suggestion La grande cantatrice allemande, Pauline Lucca, vient de mourir . La i.Neue Freîe Presse » raconte à son sujet l'a
s d Aqcis. Avant que AYestphal, le célèbre psychiatre berlinois qui mourut morphinomane, eut décrit ce qu'il a appelé si heu
ène se reproduit, ainsi que la nuit suivante, au cours de laquelle il meurt , subitement, de la rupture de son anévrysme, pend
immédiatement, prise d'une hémorragie pulmonaire abondante, dont elle meurt en Quelques minutes. Pour ce qui concerne les é
au cours d'une discussion, saisie à la gorge par son contradicteur et meurt . Un expert de province conclut à la strangulation
s doute, si elle n'avait pas été prise k la gorge, elle ne serait pas morte , mais il n'y a pas eu strangulation. Le meurtre e
aim. Le moyen qu'elle cherche depuis longtemps est enfin trouvé, elle mourra d'inanition. Ce genre de mort concilie tout, il a
rand étonne-ment, l'idée de suicide persistait. Et pourquoi veut-elle mourir '? parce que la vie lui fait peur. La pensée de r
d'anxiété et d'angoisse qui avait disparu du jour où la résolution de mourir avait été prise et avait reçu un commencement d'e
ne longue expérience. Que d'ailleurs le médecin qui n'a jamais laissé mourir un patient jette donc la première pierre à ceux q
nt-Pétersbourg, dans la Grande Morskaïa, un général très célèbre a vu mourir , coup sur coup, deux de ses filles. Son fils aîné
; il prie d'abord, puis il pose cette double question a celui qui va mourir : — Crois-tu ? Veux-tu croire ? Comme un souf
alck tombent en son pouvoir, il entra en Bulgarie, jusqu'au Volga; il mourut a son retour. — Qui ne connaît Yuen-T'ai-Tsoung e
le ressusciterait le troisième jour après sa mort. La dame Boiler mourut en 1895. Ses disciples attendirent le miracle de
er s'était mariée une première fois, sans avoir des enfants. Son mari mourut subitement vers I860. Elle épousa, quelques année
gner ensuite dans ce sang versé devant ses adeptes. Dorothée Boiler mourut en février 1895 et ses fidèles en furent très ému
fit des préparatifs pour fêter le miracle, mais Dorothée Boiler resta morte dans son cercueil comme tout autre mortel et dut
s vinrent réclamer leur argent au mari survivant. ? le leur rendit. ? mourut en novembre 1895 et laissa la maison de résurrect
upperzel, étant le dix-huitième enfant du prince Charles Albrecht qui mourut dans une maison de santé. Il lit ses études ?
à l'assiéger ; 11 voyait souvent jusqu'à 200 personnes par jour. Il mourut le 14 novembre 1849. Son œuvre suggestive continu
sa mort, consulté par des malades des quatre coins du inonde. Forster mourut curé de Ifuttenheim. à l'Age de 85 ans en 1875. O
ont laissé une infirmité d'un des membres inférieurs et sa mère étant morte à vingt-sept ans de tuberculose. Lui-même a eu, i
17 (1883) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1882
de svncones. \Père. marchand de vins, sobre, bien portant ; mère. morte du choléra, en 18G;) ; une soeur bien portante a
(Cousins germains). Deux enfants : 1° 0 Iotre ? lade, 2" une fille, morte a 3 ans de broncho-pneumonie copjié- cutive à l
qu'il ait eu de maladies vénériennes. [Père mort à 76 ans ; - mère morte à 40 ans ; « de chagrins cau- sés par des perte
dies. [Père mort à 87 ans d'une ma- ladie de l'estomac,sobre ; mère morte à 88 ans de vieillesse; grands parents maternel
trois sont bien portantes ainsi que leurs enfants, la quatrième est morte de la poitrine vers 30 ans. Ni aliénés, etc.] Pas
aud et froid à 28 ans après 18 mois de maladie (phthisie); 2° fille morte à 32 ans, trois se- maines après un accouchemen
2 ans, trois se- maines après un accouchement ; 3° fille de 18 mois morte du choléra en 1849 ; 4° et 5 2 autres filles bi
ue (absinthe, étourdissements).- Grand'mère paternelle alccoolique, morte folle. Mère et soeur nerveuses. - Frére idiot.
onnier, mort à 60 ans d'un catharre pulmonaire. - Mère, alcoolique, morte folle à la Salpêtrière à 60 ans. - Un frère, bi
ts verdâtres ; la mort ne survint qu'au bout do 4 semaines. - Mère, morte à 40 ans, assassinée par un indi- vidu, qui, ap
Grand' mère maternelle bien portante, 67 ans : - 4 soeurs, l'une morte de la poitrine, sans enfants ; les trois autres s
rice de convulsions au moment de la dentition à 14 mois. - 2° Fille morte des suites d'une chute. - 3° Garçon mort à 10 m
intelligente, bien portante, a eu des convulsions. - 11° Une fille morte en deux jours, à 18 mois, du croup. Notre malad
e, émailleur, mort à 50 ans, d'une maladie de poitrine; sa mère est morte à 78 ans; - mère; bro- deuse morte à 50 ans d'u
maladie de poitrine; sa mère est morte à 78 ans; - mère; bro- deuse morte à 50 ans d'un asthme, peu nerveuse, son père est
u nerveuse, son père est mort de paralysie, en un jour; sa mère est morte jeune; une tante maternelle est devenue folle à
paralysie, ni démence, il ne faisait pas d'excès de boisson. Mère morte à 81 ans, on ne sait de quelle maladie, travailla
uns : l'aînée a une bonne santé ainsi que son garçon ; la seconde morte il y a un an, on no sait de quelle maladie, a lai
de suicides dans la famille.] Mère, couturière, de taille moyenne, morte le 10 février 1879, à l'hôpital de la Charité «
eau, ni maladies vénériennes. [Père : pas de renseignements. - Mère morte à 71 ans, on ne sait de quoi; n'était pas paral
peler l'attention de la Société. Observation. Consanguinité . Soeur morte de con- vulsions. - Premières convulsions il qu
(Les pa- rents sont cousins germains.) Trois enfants : 1° Fille, morte à un an; elle aurait eu peur d'un orage et aura
né, un autre épileptique. - Mère, enfant trouëe, ? zg'rameusc.Soeur morte de convulsions. Convulsions à 4 ans. - Rachitis
[Père, menuisier, mort on ne sait de quoi, à 72 ans : sobre. - Mère morte à 68 ans ; était paralysée d'un côté du corps.
consanguinité (père de Sedan, mère de Paris). 4 enfants : 1° Fille morte à 5 ans d'une fièvre cérébrale : intelligente,
étails sur les grands parents ni sur la famille paternelle]. Mère morte le 24 janvier 1880 d'un cancer du sein, qui a s
es de nerfs ; pas d'excès de boisson. [Père, pas de détails. - Mère morte il y a 6 ans, on ne sait de quoi, âgée de 93 an
[Père, tué dans une carrière, alcoolique; - mère, blanchisseuse, morte de la poitrine à 33 ans; un frère, mort à Sainte-
6 ans, maçon, fait quelques excès alcooliques. Mère, blanchisseuse, morte à 58 ans, en 8 jours, d'une affection cérébrale
nes ; fumeur. [Père et mère morts on ne sait de quoi ; une soeur, morte de la poitrine, avait eu 12 ou 13 enfants dont un
alade. [Père, mineur, mort à la Pitié il y a plus de 30 ans ; mère, morte « d'être usée ; » a eu un frère enlevé par le c
en venant au monde ; « c'était clans la tête »; une autre fille est morte de convulsions, à 6 se- maines ; les autres son
18 (1905) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1904
Mayenne (La Rochc-G andon) 3 3 • 2 1 9 Pas de méthode spéciale. Meurt .-et-Mos. (Marêvillc) 24 14 5 7 50 Depuis 26 a
arcons morts en bas-âge. 2 garçons bien portants. » en cuivre. I f, morte à 4 ans d'un mal N. m., idiot, épileptique. de
urulente. Père excès de valsions. 1 g. détraqué. boisson. 1 fille morte on ne sait de 1 g. très faible de constitu-quoi.
on; syphilis. te. Mère syphilis. Redl............. Peintre » 5 f. morte à 3 ans 1/2 de 2 g. bien portants. Père excès de
ossesses. décédés. vivants. Bru............. Polisseur » 11 1 Fille morte à 14 mois de 1 Garçon et 1 Fille bien père alcool
alcoolique sur métaux. la coqueluche. portants. invétéré. I Fille morte à 18 mois de N. m., Epilepsie, la rougeole. I gar
» en bâtiments. d'entérite. Harp............ Fondeur » 1 I Fille morte à 2 ans de 1 Fille bien portante. » en caractèr
et 1 f. bien portants. » cho-pneumonie. N. m., épileptique. I f. morte à 5 jours de ca-chexie. Languill......... « Man
mort de tuberculose pulmonaire. Davi............ Tourneur » 5 I f. morte de péritonite. 2 g. et 1 f. bien portants. » su
ellec- Mère syphilitique en caraotères. tuelle, perversion des ins- morte de paralysie tincts, onanisme. générale. Pai.
ssesses. décédés. vivants. I Noe............. » Gaînière. 4 I Fille morte à 4 mois, tuber- 1 Garçon bien portant. » culcu
er- 1 Garçon bien portant. » culcuse. N. m., Imbécillité. I Fille morte à 3 mois, on ne sait de quoi. Fria............
, imbécillité. » sur cuivre Lanf............ Polisseur » 2 Ifille morte à 6 mois du JV. m., idiotie. Père alcoolique su
coolique sur métaux. croup. Madel........... Teinturier. » 7 1 f. morte à 28 jours. 1 g. et 1 f. bien portants. Père alco
tants. Père alcoolique 1 g-mort d'entérite. N.m., épilepsie. 1 f. morte à 12 jours (?) I g. mort de la rougeole. Gœur..
ausse couche à 4 mois. 1 garçon bien portant. » sur cuivre. I fille morte de méningite. N. m., idiotie mongolienne. Man .
m., imbécile. » en bâtiments. Roug........... Peintre » 5 1 fille morte du choléra. 1 fille bien portante. Père alcooliqu
i ï. mort de conuulsions à •15 mois. Jjumeaux morts à i3 mois. i f. morte de convulsions à 8 jours. iY. m., mort de tub
en portants. Père alcoolique. sur cuivre. mois. N. m., idiot. If. morte de coqueluche à ¡1 ans. March.......... Plombie
é. — Inégalité d'âge d'un an (Père plus âgé). 10 enfants : 1° Fille morte d'entérite à 33 jours ; — 2° gar-çon né à 6 mois
sans convulsions ; — 6° fille (17 ans en 1905), normale ; — 7° fille morte à 7 mois d'entérite ainsi que deux autres filles,
let 1885, a Paris, entrée le 17 juillet 1899 a la fondation Vallée, morte le 21 août 1899. Antécédents. (Renseignements f
dure pas; point de migraines. — [Père mort on ne sait de quoi. — Mère morte à 63 ans, de la rupture d'un anévrysme (?). — N'a
ût. — L'enfant, qui était très abattue cette nuit et causait peu, est morte à II heures du matin, sans spasme, sans crises, a
antes paternelles myopes. — Mère migraines. — Grand'rnère maternelle, morte d'une tumeur abdominale. — Pas de consanguinité.
ses grands-parents, pas de renseignements. — Une tante paternelle est morte aveugle; sa cécité ne datait pas de l'enfance. —
x de ces accidents. Son pè?*e a 73 ans, bien portant. — Sa mère est morte à 70 ans d'une tumeur dans le ventre. — Grand'par
affaiblit de plus en plus, les escarres se creusent et s'étendent. Il meurt le 30 mars 1905. Nous avons transcrit plus haut
souffrances inutiles — sans compter les dépenses — on l'aurait laissé mourir tranquillement à l'hôpital. VII. Les symptômes
ves, le D1' Ballard, dans sa thèse parue en 1898, intitulée : Comment meurent les éjrileptiques; — 2° de citer quelques autres
et aurait par périodes abusé des boissons alcooliques. — Sa mère est morte à 50 ans d'une maladie de cœur. On ne possède auc
encore vivante, âgée de 66 ans, jouit d'une santé parfaite. L'autre, morte à 78 ans n'avait jamais présenté d'accidents nerv
ant; 3° un garçon mort en nourrice à 11 mois du muguet ; 4° une fille morte au cours d'un mal de Pott; 5° notre malade; G0 un
demain. En Juin 1904 l'état de l'enfant était stationnaire quand il mourut le 12 de ce mois, à 4 heures du matin, asphyxié d
n accès, et asphyxié. C'est un de ces cas décrits par Trousseau. « Il meurt de suite comme si on lui serrait violemment et br
'aperçut bientôt que tous les soins étaient inutiles, la petite était morte axphyxiée. On doit donc recommander aux mères d
— Grande-tante paternelle épileptique.— Tante })aternelle épileptique morte dans un accès. — Oncle jater-nel excès de boisson
fracture de cuisse), atoujours été sobre. — Sa mère, migraineuse, est morte à 75 ans de vieillesse. — Grands-parents paternel
garçon mort d'un chaud et froid en 15 jours. On ne sait, si elle est morte dans un accès. Un frère, buvait avec excès, sur
de maladie incon-nue. — Une sœur (tante de notre malade) èpileptique, morte à 41 ans dans un accès. Dans cet accès, elle a fa
84 ans, ayant été toujours bien portant, la grand-mère maternelle est morte à 60 ans. Dix lajites ou oncles, sont tous sains
d'elles a eu 10 enfants vivants et bien portants, l'autre paraît être morte d'un coup de soleil. — Pas de convulsions parmi l
é Médico-psycholo-giquo de Paris.) 1898. Ballard. (J.). — Comment meurent les épileptiques. Thèse de Paris. Rellay (P.).
19 (1882) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1881
n I. Père peu intelligent. Mère et bis- aïeule alcooliques. - Soeur morte de convulsions. Frère mort de maladie bleue. --
coeur à 32 ans; maçon; alcoolique ; a bu « tant qu'il a pu. » Mère, morte de fièvre typhoïde. Pas de manifestations nerve
es; alcoolique; s'est mariée à 25 ans. [Père mort à 70 ans; mère, morte à 72 ans d'une tumeur au bras, un an après avoi
énériens.] Pas de consanguinité. Treize grossesses : 1° une fille morte de convulsions a 4 mois; bien conformée; 2° gar
; 2° garçon, âgé de 13 ans, intelli- gent et bien portant; 3° fille morte à 1 mois, de diarrhée, sans convulsions ; 4° ga
Un de ses frères a eu deux jumeaux bien constitués et valides. Mère morte à 56 ans, asthmatique, atteinte de cyphose cong
ent pendant plus de 15 ans une éruption dartreuse aux jambes. Mère, morte subitement à 66 ans; était très nerveuse. Quatr
esse n, l'autre à six semaines, de convul- sions internes; 3° fille morte à 9 mois, de diarrhée cholé- riforme ; 4° notre
elle n'avait cependant jamais été sujette à des attaques de nerfs ; morte percluse de douleurs,aveugle et atteinte d'ana-
étrangla à 60 ans et fut opérée avec succès. [Grand'mère maternelle morte d'un carcinome à la cuisse ; grand-père mort de
urs, l'une bien portante, mère de 7 enfants en bonne santé; l'autre morte en couches à 47 ans. Un frère mort de fièvre ty
la mère de notre malade serait devenue enceinte de lui. Une soeur, morte idiote. Deux frères bien constitués, mais d'une
ans,d'une fluxion depoitrine; ni excès, ni troubles nerveux. Mère, morte à 49 ans, à la ménopause, d'une affection qui a
é six mois, accompagnée d'oedème des extrémités. Deux soeurs, l'une morte à 18 mois, d'un choc sur la tête ; l'autre à 4
du frère et de la soeur. Cinq enfants : 1° Notre malade; 2° fille, morte d'une méningite à 9 mois ; - 3° garçon, âgé de
de 60 ans ; il était grand et fort; nul autre renseignement. Mère, morte à 68 ans, on ne sait de quoi; elle était d'une
belle-soeur (1). Père, cultivateur, mort on ne sait de quoi. Mère, morte quand notre malade était en bas âge. Deux soeur
largeur de la main; le parenchyme est déprimé, d'une teinte feuille morte à la surface ; il existe en outre trois ou- ver
est mort, à l'âge de 65 ans, on ne sait de quelle ma- ladie. [Mère morte après 60 ans, on ne sait de quoi. Deux de ses s
veuse. Son père est mort du choléra en 1832, à 48 ans ; sa mère est morte à 89 ans, elle était tombée 3 fois en para- lys
° gar- çon, convulsions dans l'enfance, vivant, 25 ans; 5° fille, morte du croup, avait eu des convulsions; 6° fille, 23
qui ont nécessité une surveillance continue. Grand'mère maternelle morte à 62 ans, d'un cancer utérin. Pas do consanguin
uche : 1° fausse couche à 4 mois, à la suite d'un effort ; 2° fille morte à deux mois, sans convulsions; 3° notre malade;
ment do plus en plus pro- noncé. Tuberculose pulmonaire. - L'enfant meurt le 18 avril. Autopsie faite 30 heures après l
(j ans, garçon d'hôtel, ne présente pas de troubles nerveux. [Mère, morte phtisique; pas d'accidents névro- pathiques dan
des et nerveuses. [Père, mort d'une affection de la poitrine. Mère, morte asthmatique. Un frère a eu des convulsions et e
8 ans. - [Mère, ner- veuse, a eu la fièvre intermittente; une tante morte d'un cancer au sein. Pas d'affections nerveuses
d'épilepsie. Il avait des « idées noires. » Trois tantes, dont une morte à 18 ans do fièvre cérébrale. Un grand oncle ma
15, sirop diacode 30 gr.) Soir : T. R. 40°. 15 janvier. L'enfant meurt au moment de la visite. La ROUGEOLES COMPLIQUÉE
re typhoïde : il s'est marié à 22 ans. [Père mort phthisique; mère, morte asth- matique ; 10 frères dont 8 survivants en
matique ; 10 frères dont 8 survivants en bonne santé; une soeur est morte phthisique.] Mère, 34 ans, très nerveuse, sujet
mort do convulsions à l'âge de 4 mois; 2° notre malade : 3" fille, morte en nourrice a 8 mois, d'une affection qui dura
l'appareil respiratoire; la température s'élève à 41°, le malade meurt et, à l'autopsie, nous trouvons les lésions d'u
elle. Nul antécédent morbide. [Père, mort on ne sait de quoi. Mère, morte de cholérine, il y a5 ans. Pas d'affections ner
ois de se trouver mal. [Père, bien portant, homme de peine. - Mère, morte d'une « hydropisie au ventre »; était très nerv
neumonie. Observation XVI. Père alcoolique. Grand'mère maternelle morte phtisique. - Pas de consanguinité. - Rapports s
1° un garçon de 12 ans, bien portant, in- telligent ; 2° une fille morte à onze mois d'une méningite, après avoir eu des
20 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome second
uleurs et la tuméfaction persistèrent les jours suivans, et la malade mourut le ier octobre, cinquième jour de la fracture, sa
du col du fémur observée chez une vieille femme delà Salpé-trière qui mourut ^4 jours après la fracture, d'une maladie étrangè
e livraison, appartenaient à une vieille femme de la Salpêtrière, qui mourut d'une maladie étrangère à l'objet qui nous occupe
x dont elle aurait été tourmentée dès sa jeunesse. Cette malade étant morte , je trouvai toutes les articulations dépourvues d
embre 1834, mademoiselle Phi....., après avoir dîné comme de coutume, mourut sans agonie. Elle fut ouverte le lendemain en p
déjà existantes ne s'accrurent pas d'une manière sensible. La malade mourut dans le marasme, épuisée par une fièvre vive avec
survenue après la naissance: ainsi j'ai vu l'œsophage d'un enfant qui mourut par défaut de nutrition peu de jours après sa nai
gures et de descriptions particulières. Ainsi, chez une femme âgée, morte infiltrée, et sur laquelle je n'ai eu d'ailleurs
par du sang étaient à bords rosés et à fond grisâtre. Sur une femme morte avec deux cancers mammaires, et qui, le jour même
s étaient en voie d'accroissement. Enfin, chez une femme de 5o ans, morte de phthisie pulmonaire avec dévoiement chronique,
nt une douzaine dans l'estomac d'une vieille femme de la Salpêtrière, morte de pneumonie, et qui n'avait accusé aucun symptôm
figure i représente l'estomac d'une vieille femme de la Salpétrière, morte d'une maladie chronique dont je n'ai pas tenu not
s quelques jours de régime suffirent pour la rétablir. Cette dame est morte à l'âge de quatre-vingt-quatre ans d'un cancer de
tomac. La malade conserva sa gaîté presque jusqu'au dernier moment et mourut dans le marasme le plus complet. Ouverture du c
caduque. J'ai observé un cas tout-à-fait semblable chez une femme qui mourut d'hémorrhagie par suite de la rupture de la poche
âgée de quarante-six ans et neuf mois, d'une constitution très forte, mourut le 6 mai 1839, des suites d'une hernie étranglée,
alcaire et momifié y observé chez une femme de soixante-dix-sept ans, morte quarante-sept ans après une grossesse extra-utéri
la sœur de salle que son ventre vient de grossir considérablement. Il meurt pendant la nuit. Ouverture, 32 heures après la
e d'un tissu cellulaire séreux extrêmement délié. Cette femme étant morte d'une maladie tout-à-fait étrangère à l'éventrati
nter d'opération, tant l'état de la malade lui paraît désespéré. Elle mourut la nuit suivante. Avant de procéder à l'ouvertu
pouvaient pas appartenir à des cerises de l'année : car la malade est morte le i3 juillet, et les fruits de cette espèce ne s
'un dévoiement abondant avec accroissement considérable d'appétit. Il mourut au bout d'un temps assez long, sans que rien eût
au fond d'une ulcération ardoisée : t Chez un sujet tuberculeux qui mourut de péritonite suraiguë, nous trouvâmes une périt
aissé, selles continuelles et involontaires; point de vomissemens. Il mourut au bout de deux jours avec sa parfaite connaissan
malheureux, qui entraient dans cette maison pleins de vigueur, et qui mouraient au bout de quelque temps, ou phthisiques, ou dyse
ieu constamment par l'anus ; la douleur n'était pas vive. Cette femme mourut d'une maladie étrangère à l'affection du rectum.
s la longueur du gros intestin. Réflexions. — Cette malade est donc morte avec les symptômes de l'étranglement : il est pro
dégénération cancéreuse du bas-fond de la vessie elle-même. Le malade mourut dans les douleurs les plus vives et le marasme le
issemens continuels, et qu'on croyait affecté de cancer du pylore. Il mourut dans le marasme le plus complet. Pour toute lésio
qui, au dire des infirmières, allait régulièrement à la selle et qui mourut avec une rétention énorme de matières fécales. L'
ne perforation et un étranglement interne : ce malheureux jeune bomme mourut trois heures après notre visite, et l'ouverture d
eptembre i832 , lorsque je pris le service de l'infirmerie : elle est morte phthisique le 4 décembre 1838. Cette femme me dit
t d'ailleurs parfaitement exemptes d'induration. Cette malade étant morte , je dus m'assurer de l'état de l'intestin rectum,
raitement fut continué pendant cinq jours, au bout desquels le malade mourut de péritonite. A l'ouverture du corps, on trouv
1 est, d'ailleurs, probable que c'est la présence de la bile qui fait mourir les acéphalocystes, irrite les parois du kyste et
r à la Salpétrière, ayant rencontré sur le corps d'une vieille femme, morte de toute autre maladie, un foie à la surface conv
acéphalocystes. 3° Sur le corps d'une femme âgée de la Salpêtrière, morte de toute autre maladie, je trouvai un kyste hydat
indéterminé. Goitre latéral osseux et celluleux.—Sur unefemme âgée, morte d'uneattaque d'apoplexieet qui m'avait offert . n
ération représentée figure i appartenait à une femme de la Maternité, morte en i83/, pendant l'épidémie du typhus puerpéral,
s pour long-temps, lorsque cette expulsion a eu lieu. La malade étant morte peu de temps après pendant une quinte de toux con
rez, dit-on, les deux plèvres sur un animal vivant et. vous le verrez mourir incontinent de suffocation. J'ai répété cette exp
irmant que les cinq sixièmes de nos vieilles femmes de la Salpétrière meurent de pneumonie. Quand viennent les froids humides
adynamique. On nous apporte souvent à l'infirmerie des malades qui meurent immédiatement après leur entrée. D'autres meure
e des malades qui meurent immédiatement après leur entrée. D'autres meurent , dit-on , subitement dans leurs dortoirs , et ces
t aucun danger. Malheureusement, je ne me suis pas trompé : le malade mourut dans la nuit du sixième ou du septième jour. So
l'interprétation des symptômes. La malade dont il est question était morte dans un état d'anasarque. Je regarde comme un f
yez article Phlébite déjà cité. (2) M. le docteur Olivieri vient de mourir à Marseille. Sa dissertation, quelques observatio
lication des figures. Chez une femme affectée de cancer utérin, qui mourut avec un œdème peu douloureux des membres inférieu
ques externes, fémorales et saphènes , d'une femme de la Salpêtrière, morte par suite d'une phlébite capillaire hémorrhagique
ésenté à la Société anatomique par M. Cazalis. Chez une vieille femme morte par gangrène sénile, il y avait oblitération, par
, la gangrène avait frappé graduellement la moitié du pied. Le malade mourut cachectique, A l'ouverture, artère iliaque prim
ent pomper en quelque sorte tous les liquides contenus dans la partie morte et la dessécher avec une extrême rapidité. On con
t encore très forte en bas, en avant et à droite du thorax. Le malade meurt dans la nuit du 1er au 2 novembre avec toute son
me de la Salpêtrière, âgée de 75 ans environ, d'une excellente santé, meurt subitement sur les lieux d'aisance. Ouverture d
matoire probable au sommet du cœur. (\) Une femme de la Salpêtrière meurt subitement. On rapporte qu'elle avait fait une ch
i et i, a appartenu à une vieille femme de quatre-vingt-six ans, qui mourut subitement. Le sternum enlevé, je trouvai le pé
se, que j'ai rencontrée à la Maternité chez un enfant nouveau-né, qui mourut le sixième jour de sa naissance. Le cœur est enve
ans le journal de médecine de Hufeland(i), qu'un homme de 68 ans, qui mourut après avoir éprouvé des souffrances très vives, p
de toutes parts, impose d'étroites limites à l'épanchement. Le malade meurt , non d'hémorrhagie, non du trouble subit qu'appor
m aortœ) chez un homme de qualité, d'une constitution athlétique, qui mourut subitement à côté de sa femme; genre de mort, dit
ut de quelques jours, la malade demanda à retourner à son dortoir, et mourut subitement. A l'ouverture, péricarde plein de s
i d'ulcères aux jambes, devint sujet à des douleurs rhumatismales, et mourut subitement A l'ouverture, scissure du cœur longue
rgien distingué de Clermont-Ferrand (1). Il s'agit d'un vieillard qui mourut subitement par suite de cette rupture; les valvul
mblottant, mou, incertain, mais régulier et égal des deux côtés. Il mourut pendant la nuit, le cinquième jour de son entrée,
, la malade ne paraissait pas plus mal que les jours précédens : elle mourut suffoquée dans la journée. Ouverture du corps.—
é des masses cancéreuses dans le foie et dans les poumons d'une femme morte de cancer utérin, je vis quatre ou cinq ganglions
e n'en était pas troublée. Il entra à l'hôpital le 20 février 1837 et mourut subitement le 22 février, après un repas assez co
-à-coup de suffocation : il demande à manger, disant qu'il a faim, et meurt asphyxié quelques instans après. Ouverture du c
d, en compagnie d'un de ses camarades qui conduisait ses chevaux ; il mourut subitement après avoir fait une trentaine de lieu
ité. — Mort dans un état d'adynamie. ( i ) Une femme de 55 à 60 ans mourut , en 181/1, à l'Hôtel-Dieu, dans la salle Sainte-J
de soixante-trois ans , paraplégique du sentiment et du mouvement qui mourut presque subitement d'une hémorrhagie cérébrale. I
rise de pneumonie latente avec oppression, fièvre, assoupissement, et mourut le quatrième jour. Ouverture du cadavre. Moelle
Une femme paraplégique incomplètement et du sentiment et du mouvement meurt d'une maladie étrangère à la paralysie. Plusieurs
Une jeune fille amaurotique , paraplégique du mouvement seulement, mourut de je ne sais quelle maladie. A l'ouverture, atro
imer ainsi, mais sans bruit. Je soupçonnai une péricardite. La malade mourut avec toute son intelligence,dans un état de suffo
, pneumonie lobulaire, pneumonie œdémateuse, bronchite. La malade est morte par les poumons. Etat de la moelle (fig. 4, pl.
n'y a pas d'augmentation dans les phénomènes paralytiques. La malade meurt asphyxiée par engouement des bronches dans la nui
ent à droite avec impossibilité d'articuler les sons, la malade étant morte six ans après l'attaque, je trouvai en dehors des
u tissu propre de la protubérance. Cinq ou six mois après, cet enfant mourut comme asphyxié, avec toute son intelligence, sans
tuellement lent et apathique, on le traitait de malade imaginaire. Il mourut subitement. A l'ouverture, on trouva (fîg. a),
bral. Tel était encore le cas d'une jeune fille de 17 a 18 ans, qui mourut d'une phthisie pulmonaire, sans avoir jamais offe
ectée de cancer de l'utérus, fut prise subitement d'hémiplégie : elle mourut au bout de quelques jours. Je trouvai au centre d
iner le cerveau représenté fig. i,une vieille femme de la Salpétrière mourut dans un état comateux, vingt-quatre heures après
é, lavement purgatif, vésicatoire sur le sommet de la tête. La malade mourut le soir, le vingt-et-unième jour des couches, le
i pas à la possibilité d'un double ramollissement cérébral. La malade mourut dans la journée. A Y ouverture du cadavre, je tro
ait. Chez un enfant qui n'avait donné aucun signe d'intelligence, qui mourut à l'âge de huit mois, au milieu de convulsions qu
diot, âgé de trois ans, dont le crâne était extrêmement petit, et qui mourut dans les convulsions. Voici ce que j'ai observé :
la main et il la serre avec une égale force à droite et à gauche. Il mourut le soir. Je ne m'attendais pas à une fin aussi pr
sans symptômes cliniques correspondans. Une femme de la Salpétrière mourut d'une pneumonie. La veille de sa mort, elle renda
dure-mère. « Un invalide ivrogne, sujet à des attaques d'épilepsie, mourut de je ne sais quelle maladie. « On me présenta la
le malade tomba tout-à-coup dans la somnolence, puis dans le coma et mourut au bout de trois jours. A l'ouverture, on trouv
pectateurs voulaient toucher cette excroissance. De Thou assure qu'il mourut peu de temps après. Une épitaphe en harmonie avec
la malade disait qu'elle se trouverait mal ou peut-être même qu'elle mourrait si on lui arrachait un de ces étuis cornés. Du
l'Hôtel-Dieu dans un état d'affaissement porté au plus haut degré, et meurt le lendemain du jour de son entrée. M. Honoré vou
n n'a nullement été modifié. Nos femmes cancéreuses de la Salpétrière meurent assez souvent de toute autre maladie que le cance
e représente'e pl. n, xxne livr. (ij, appartenait à un homme qui vint mourir à l'hôpital Beaujon, où on ne l'observa que 24 he
6 livraison , représente une phlébite rénale, observée chez une femme morte à la Maternité pendant une épidémie de typhus pue
tat que le malade quitta Paris pour retourner dans sa province, où il mourut quelques mois après. La fig. i représente un fu
nsi relativement à l'utérus, j'ai vu une fille publique de 11 ans qui mourut par suite d'un cancer gangreneux ; et, d'une autr
eçues. respiration devint fréquente; son pouls un peu aceéléré. EUe mourut au bout de quelques jours. A Vouverture : pleur
tous les caractères du cancer le plus aigu, le plus douloureux. Elle mourut d'une maladie étrangère au cancer, de l'inévitabl
ruelle maladie est circonscrite entre 35 et 5o ans. Cependant j'ai vu mourir du cancer utérin une fille de mauvaise vie âgée d
livraison, appartenait à une femme de la Salpêtrière, âgée de 78 ans, morte d'une maladie tout-à-fait étrangère à la lésion d
appartenu à une femme qu'on croyait enceinte de six mois et qui était morte deux jours après son entrée à l'hôpital. Il s'agi
us: cette pièce anatomique appartenait à une femme de 5o ans environ, morte à la Sal-pêtrière dans le marasme le plus complet
résente la coupe verticale antéro-postérieure de l'utérus d'une femme morte à la Salpêtrière avec un écoulement d'une horribl
strique, douleurs sur lesquelles l'opium n'avait aucune prise, et qui mourut dans le marasme le plus grand, je trouvai l'utéru
es successives. — Mort lente. Sur une femme réputée cancéreuse, qui mourut dans un dépérissement progressif et sans douleur
Grand, 21 ans, née d'un père dont la santé fut toujours bonne et qui mourut aux armées , et d'une mère qui succomba à l'âge d
l et vus par leur surface externe , la vessie et l'utérus d'une femme morte avec tous les symptômes d'un cancer utérin. Le re
de l'utérus, de la vessie et du rectum appartenant à une autre femme morte également avec tous les symptômes du cancer utéri
extraire l'enfanta l'aide d'une incision, ce qui fut fait. La malade mourut inopinément le vingtième jour. L'enfant vécut neu
t extraire l'enfant par une incision pratiquée sur l'utérus. La femme mourut le troisième jour, et l'enfant au bout de quelque
répondait à l'anneau, conservait assez de mollesse. Cette femme étant morte d'une maladie de poitrine à lâge de soixante-et-o
extrémités ; absence du pouls ; altération profonde des traits': elle meurt le lendemain du jour de son entrée. D'après les c
cides végétaux, tels furent les principaux moyens employés. La malade mourut plus promptement que je ne le croyais, le 21 nove
hes qui furent faites pour atteindre le fond de cet organe. La malade mourut le lendemain. A l'examen du museau de tanche (
aits qui établissent la vérité de cette proposition. i°Chez une femme morte à la Salpétrière, la dégénération du corps utérin
térin était parfaitement sain. •2° Chez une autre femme de l[5 ans, morte subitement à la Salpétrière par suite d'un hydrot
succédèrent à de courts intervalles. Son pouls devint misérable; elle mourut dans la prostration et dans la stupeur. Al'ouve
ait d'extirpation du museau de tanche, pratiqué à une jeune femme qui mourut de spasme vingt-deux heures après l'opération. J'
s figures 3 et 3' représentent les organes génitaux d'une jeune fille morte phthisique. Les trompes (fig. 3) sont flexueuse
enue cette malade. 4° Dans d'autres cas, le produit delà conception meurt dans l'ovaire à une époque plus ou moins avancée
idement, des vomissemens survinrent, le malade dépérit à vue d'œil et mourut subitement dix jours après la ponction. Ouvertu
e je pus néanmoins reconnaître une tumeur hypogastrique. Cette malade mourut le 22 août par suite des progrès de l'ascite, qui
les, qui m'avaient présenté les mêmes caractères cliniques. La malade mourut le lendemain matin. Ouverture. Plusieurs litres
as plus mal que le jour de son entrée. Le lendemain matin, elle était morte . On me raconta que toute la journée s'était bien
à l'infirmière qu'elle allait se mettre sur le côté, et qu'elle était morte dans cette attitude. Ouverture. Un litre enviro
arde, purpura, hemorrhagicum, foie d'un vert-olive chez un enfant qui mourut une heure après la naissance. 15e liv., pl. 11, p
ro-lhorax, de purpura hemor-rhagicum, chez un fœtus de sept mois, qui mourut douze heures après la naissance. 15e liv., pl. 11
arde, purpura hemorrhagi-cum, foie d'un vert-olive chez un enfant qui mourut une heure après la naissance, 15e liv., pl. 11, p
e hydrocéphalique : Absence complète du cervelet chez une jeune fille morte dans sa 1 Ie année. 15e liv.,pl.v,p. /.— Maladies
m, iv, v, p. 3g. — Absence complète du cervelet chez une jeune fille morte dans sa onzième année. 15e liv., pl. v, p. i. — R
e, hydrothorax, purpura hemorrhagicum chez un fœtus de sept mois, qui mourut douze heures après la naissance. 15e liv., pl. n,
de phosphate calcaire et momifié, observé chez une femme de kl ans , morte 18 ans après une grossesse extra-utérine. 37e liv
scite, purpura hemorrhagicum, foie d'un vert-olive chez un enfant qui mourut une heure après la naissance. 15e liv., pl. n, p.
que, d'as-cite, de purpura hemorrhagicum, chez un fœtus de 7 mois qui mourut douze heures après la naissance. 15e liv., pl. n,
laques blanchâtres et ulcérées de l'intestin grêle chez un enfant qui mourut immédiatement après sa naissance. 15e liv., pl. n
osphate calcaire et momifié, chez une femme de soixante-dix-sept ans, morte quarante-sept ans après une grossesse extra-utéri
carde, purpura hemorrhagicum, foie d'un vert-olive chez un enfant qui mourut une heure après la naissance. = Inflammation chro
l des poumons; plaques ulcérées dans l'intestin grêle d'un enfant qui mourut Immédiatement après sa naissance. 15e liv., pl. i
encroûté de phosphate calcaire et momifié, chez une femme de 77 ans, morte 47 ans après une grossesse extra-utérine. 18e liv
n. 15e liv., pl. n, p. 3. — Induration du pancréas chez un enfant qui mourut immédiatement après sa naissance. 15e liv., pl. n
é de phosphate calcaire et momifié, observé chez une femme de 47 ans, morte 18 ans après une grossesse extra-utérine. 37e liv
on. 15e liv., pl. n, p 3. — Induration des poumons chez un enfant qui mourut immédiatement après sa naissance. = Fréquence des
sarque , d'ascite et d'hy-dro-thorax, chez un fœtus de sept mois, qui mourut douze heures après la naissance. 15e liv., pl. 11
rque, ascite, hydropéricarde, foie d'un vert olive chez un enfant qui mourut uneheure après sa naissance. 15° liv., pl. 11, p.
21 (1902) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1901
lui passa sur le corps. Tranportée à l'hôpital Necker, elle y est morte en arrivant. Le sieur Léon Gauthier, 43 ans, jo
vive et emportée. [Père : sobre, mort il cinquante-neuf ans. Mère : morte à quarante-cinq ans, de cause inconnue. Grands
re plus âgé). Dix enfants : 4° garçon, dix-neuf ans, sain; 2" fille morte en venant au monde, à terme ; la mort a été att
garroii, lièvre typhoïde à sept ans et demi, intelligent.; 0° tille morte à six semaines de cholérine ; 7° notre malade ; 8
ans, rien à signaler; 9° fille, sept ans, otite suppurée; 10° fille morte à deux mois et demi de méningite. EPILEPSIE VER
vralgies. - Bien de particulier dans le reste de la famille. SleU1' morte probablement de tuberculose. - Pas de consanguini
l'un, ni chez l'autre. Deux enfants. 1° Notre malade; 2° une tille morte à huit ans et demi de péritonite tuberculeuse a
ère et grand'- tante paternels suicidés. Tante paternelle nerveuse, morte phtisique. Mère, convulsions de l'enfance, mo
rnelle nerveuse, morte phtisique. Mère, convulsions de l'enfance, morte phtisique. Grand-oncle maternel mort de morphin
la suite de chagrins intimes. -'l'ante pater- nelle très nerveuse, morte phtisique à trente-neuf ans ; ses enfants sont
s, très nerveux, surtout l'ainé, qui a eu des con- mulsions. Mère morte phtisique à trente-quatre ans; convulsions de l'e
ans. - Arrière grand'mère pater- nelle, aucun renseignement. Mère morte à l'âge de quarante-sept ans; rhumatisme chroniqu
a M... dans le service de M. Delasiauve, Leur mère, alcoolique, est morte de tubercu- lose. Alice était devenue elle-même
nt, mort probablement d'une rupture du coeur. Grand'mère paternelle morte de la poitrine. Arrière-grand-père paternel mor
mort de la rupture d'un anëurt/sme. Arrière-grand'mère paternelle morte de fièvre cérébrale. Oncle paternel mort de la
ainages ; sobre ; aurait eu un rhumatisme articulaire aigu. - Mère, morte à 36 ans de la poitrine (en 3 ou 4 ans), pas d'
se promenant, sobre, pas d'autres détails. - Grand'mère paternelle morte iv une trentaine d'années d'une fièvre céré- br
brale, était « extrêmement intelligente ». Grand'mère ma- ternelle, morte un ou deux mois après son mari de chagrin ; ava
60 ans, d'un anévrysme ( ? ) en voyage. Grancl'rt2ère pa- ternelle, morte « d'une hydropisie de poitrine » à 12 ans. Gran
exie (en avait eu deux), à 74 ans, sobre. - Grand'mère maternelle morte il 91 ans, était en enfance. Deux frères ayant eu
-père paternel mort de bronchite chronique. -Gmnd'mè1'e maternelle, morte d'un cancer de l'estomac. - Arrière-grands-pare
parents des deux côtés, morts vieux sans accidents nerveux. Mère, morte hémiplégique et aphasique. Renseignements [insu
s grands et arrière-grands-parents, morts vieux ? Tante' maternelle morte d'un cancer du .foie. Pas de consanguinité. -
e. Son père est mort à 52 ans de bronchite chronique. - Sa mère est morte à 58 ans d'un cancer de l'esto- marc. - La soeu
très bien portants,' pas de convulsions. Trois soeurs : L'aînée est morte à 55 ans d'une maladie clans le ventre ( ? ), a
ve rien à noter, et en particulier aucun cas de tuberculose. MÈRE morte à 53 ans, d'une hémiplégie droite, ayant débute
e n'avait jamais été malade aupara-1 vaut. Notons aussi qu'elle est morte il y a 19 mois et que notre malade aurait donné
antes maternelles et paternelles, toutes mortes âgées; l'une serait morte en 18 ! )(i iL 99 ans. ' Trois frères : L'ainé,
(15 ans, marié sans ('.i7fLLIIIS. - L)I11t1't' S ! l'IGI'.s : L'une morte it 72 ans, une autre, 70 ans, mariée, n'a jamai
autre, 70 ans, mariée, n'a jamais eu d'enfants : - La troisième est morte à Ii5 ans d'un cancer du foie; La qua- trième,
a dernière fois, dit-elle, désire qu'on l'embrasse parce qu'elle va mourir . Sur ce, elle rend le dernier soupir, sans agon
ésenté une hémiplégie droite avec aphasie. Une tante maternelle est morte d'un cancer du foie. Ni d'un côté, ni de l'autr
" et 37",8 ; du 31 janvier au 7 février entre 330,8 et 36°, 6. Elle meurt le 7 avec une température de 35°,3. VI. La tube
heures. [Son père, 67 ans,- sobre, est en bonne santé.- Sa mère est morte à 35 ans de fièvre typhoïde.- Un oncle paternel
age. Sa mère, enfant assistée, qu'on a connu par hasard et peu, est morte d'une congestion pulmonaire à 60 ans; elle n'av
ans, n'était ni dément, ni paralytique. - Grand mère maternelle, morte d'une affection cardiaque. Pas de renseignements
. A .1 heures du matin, l'inter- ne de garde, appelé, voit l'enfant mourir sous ses yeux «aussi simplement qu'on s'endort.
asque; le coeur gauche est peu épais, le myocarde un peu feuille- morte . Pas de lésion valvulaire, pas de persistance du
lu Fcld ? idiote microcéphale à un haut degré, âgée de cinq ans, morte avec des symptômes de broncho- pneumonie avec u
l'autopsie); 2° Thom... (Louise), deux ans, idiote myxccclémateuse, morte de broncho-pneu- monie (autopsie) avec 3 ? 1 ;
° Bivin.. (Germaine), cinq ans et demi, imbécilité hydrocéphalique, morte de brûlures superficielles, avec 350,2; - 4° Gl
ices des aliénés de Bicêtre et de la Salpêtrière. Note adressée à M. Mouriez , directeur de l'Admi- nistration générale de l'
de Bicêtre et de la Salpêtrière de la façon suivante : RÉPONSE DE M. MOURIR . - 191 Des recherches auxquelles j'ai fait proc
été imputée sur 3 articles différents : savoir : 192 REPONSE DE M. mourir . RÉFLEXIONS. Voeux. 193 cèdent. Donc, à l'ave
iété Médico-psychologique de Paris.) 1898. BALLARD. (J.). Comment meurent les épileptiques. Thèse de Paris. RELLAY (P.)
22 (1892) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1891
ans, présente des fausses membranes de la gorge. Opérée le 23, elle meurt le 25. Le "3, deux autres fillettes, 5.... {Mar
e, convulsions de l'enfance. Soeurs nerveuses. Frère débile. Scieur morte d'accidents céré- braux consécutifs à une rouge
ladie de coeur; pas d'excès de boisson. Marchand de bestiaux. Mère, morte à soixante-huit ans on ne sait de quoi ; pas de
t de quoi; n'était ni dément ni paralytique. Grand'mère paternelle, morte à quatre-vingt-huit ans; pas de démence ni de p
quatre-vingt-neuf ans, rien de particulier. Grand'mère maternelle, morte d'un cancer vers soixante-dix ans.- Deux frères,
ortante, intelligente, travailleuse, pas de convulsions ; 11° fille morte à vingt-six mois de fièvre cérébrale ayant compli
a femme deux ans aupa- ravant. Sobre; très fumeur.Mère, couturière, morte quand il avait dix ans; il ne sait de quoi; ell
enseignements ni sur le grand-père maternel. Grand'mère maternelle, morte de vieillesse à quatre-vingt-cinq ans, non para
se, « c'est comme un tonneau D. Calme, sans accidents nerveux. Mère morte il y a longtemps, d'une affec- tion abdominale;
une, paralysé à la suite d'excès de boisson. Grand'mère paternelle, morte subitement à soixante-cinq ans. - Grands parents
ée maugré eux, puis tellementrejettée contre terre qu'elle sembloit morte . » Un point commun aux deux observations, c'est
en telle sorte que le devant estoit droitement derrière; dont il ne mourut pas toutefois, mais vesquit depuis longtemps ay
dd. Limonade citrique. Lotions vinaigrées. - Soir : 39°,6. L'enfant meurt dans la nuit. Tem- pérature après la mort, 37°,
xcès de boisson. Cousine paternelle épileptique. - Tante maternelle morte de conoulsions, - Tante paternelle morle phth i
riennes; fumeur. [Père et mère morts on ne sait de quoi; une scieur morte de la poirine, avait eu 12 ou 13 enfants dont u
alade. [Père, mineur, mort à la Pitié, il y a plus de 30 ans. Mère, morte «usée ». Un frère enlevé par le choléra en 1865.
s en venant au monde; « c'était dans la tête. » Une autre fille est morte de convulsions à 6 semaines; les autres sont sa
rt. Il dit à sa mère qui vient le voir vêtue de noir : « Tu es donc morte , tu veux donc mourir.» Parfois il répète les mê
qui vient le voir vêtue de noir : « Tu es donc morte, tu veux donc mourir .» Parfois il répète les mêmes paroles pendant t
eur; mais bientôt la prostration augmente et à 2 heures Schad ? ; meurt . Immédiatement avant de mourir il a eu une secous
tion augmente et à 2 heures Schad ? ; meurt. Immédiatement avant de mourir il a eu une secousse assez forte qui a brisé un
cho-pneumonie n'est d'ailleurs pas rare chez les épilepti- ques qui meurent en état de mal, mais nous ne croyons pas lui av
ien portants tous, n'ayant pas eu de convulsions. Tante paternelle, morte il y a longtemps, on ne sait de quoi. - Un oncl
persistent. 7 juin. Il y a une épistaxis pendant la nuit et le 8 il meurt à 8 heures 1/2 du matin. T. R. 41^ après la mor
ait tou- jours ivre; on le ramassait souvent dans les rues. Mère, morte en couches du père de la malade. Grands- pas de
hes du père de la malade. Grands- pas de renseignements. Une soeur, morte de la poitrine à 20 ans. La mère de la malade n
-or-- maine a été dans une maison publique; une autre cousine est morte idiote. Pas d'autres idiots ou débauchés, pas d'
ements ainsi que sur le grand-père maternel. Grand'mère maternelle, morte à 8G ans, on ne sait de quoi. Une faute materne
nelle, morte à 8G ans, on ne sait de quoi. Une faute maternelle est morte d'une fluxion de poitrine, une autre tante mate
fins de la commune de Ville- juif. , Impulsions génitales. i 12 morte le 8 février dernier, dans le service de M. le Dr
ées, il avait une affection chronique de l'estomac. Mère, nerveuse, morte à 71 ans d'un cancer de l'estomac ( ? ). Pas d'
assez en retard pour la parole et la marche étant jeune. [.llè e morte à 38 ans de la poitrine. Un oncle mort de la poit
35 ans. [Père, gazier, sobre, mort d'un cancer de l'intestin. Mère morte du choléra. Trois soeurs sur lesquelles manquen
u malgré elle. [Père, grainetier, sobre, mort d'une gastrite. Mère, morte d'une hernie étranglée. Un frère et une soeur b
880 " et 4 en 1882. Jusqu'en 1891, époque à laquelle notre malade meurt d'une néphrite tuberculeuse, on n'observe aucun p
23 (1886) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1885
a famille. - Les accouchements ont été naturels. - Une petite fille morte à cinq ans ne différait en rien des enfants de
oire que la famille s'est éteinte en elle. Sur quatre enfants, l'un meurt à cinq ans ; les trois autres idiots, strabique
ropres qu'à exécuter des travaux manuels qu'il faut leur commander, mourront sans avoir été capables de se reproduire. Dan
ndant il battait souvent sa femme quand il était ivre. Mère, serait morte enflée après avoir été longtemps malade. - Troi
uoi.- Cinq soeul's dont quatre sont mortes jeunes; la cinquième est morte vers quarante ans, on ne sait de quoi; elle n'é
éjà sentir dans la famille du père qui voit plusieurs de ses neveux mourir de convulsions en bas âge et qui lui-même, faib
raineuse et goitreuse, elle voit aussi sept de ses frères et soeurs mourir jeunes, l'un de tuberculose. Avec de pareils an
ns rapportés en détail pour deux d'entre eux, et qui, lorsqu'ils ne meurent pas jeunes, en font des épileptiques, des ivrog
'excès d'aucune sorte. Mère, ménagère, n'a jamais été nerveuse, est morte d'un mal de jambe. - -Deux frères, qui étaient
choléra en 1866, l'autre tué en 1871 2. Deux soeurs, dont l'une est morte en couches; leurs enfants sont bien portants. I
nfant dont elle est accouchée à l'hôpital Saint-Antoine, et qui est morte à trois mois. Après cette troisième couche, ell
n garçon, Des... (OBs. V);-2° fausse couche de sept mois ; 3° fille morte à sept mois de convulsions ; 4° Horni... Consta
nérations. Aussi de ces cinq malheureux enfants venus à terme, deux meurent , à quel- ques mois, de convulsions, deux sont i
ade; aucun accident ',nerveux ; quelques excès de boisson. Mère : morte de la rupture d'une anévrysme ; pas d'affection n
urs deux mères portaient le même nom. Onze enfants : 1° une fille morte à un an sans avoir eu de con- vulsions ; parais
eorges), idiot, est encore actuellement à Maréviile; - 6° une fille morte à huit mois de la variole, quoi- qu'elle eût, d
et que le vaccin eût bien pris ; 7° une fille (Henriette), idiote, morte à la Salpêtrière à dix ans le 1 cr décembre 187
Le 10 avril 1872, l'enfant est atteint de bronchite généralisée, il meurt le 30 avril. A l'autopsie, on trouve un ramolliss
mplète. Gui... (Henriette), entrée à la Salpêtrière le 9 juin 1873, morte le 4 décembre 1875 (service de M. Moreau). Le
ire. Père : excès de boisson; eczéma; migraines. - Tante paternelle morte d'apoplexie. -DTèi·e usée, aspect misérable, in
Père mort, à 70 ans, d'une enflure des jambes, il était sobre. Mère morte à 72 ans de fatigues et d'usure. - Grands -pare
exempts de tout accident nerveux. De ses trois soeurs, l'aînée est morte d'une apoplexie foudroyante à 35 ans ; une autre
if, à 30 ans. [Père mort de la poitrine iL li-2 ans ; sobre. -Mère, morte de fatigue à 75 ans,ellen'était ni paralysée ni
tante ; elle a une fille de 10 ans en bonne s : l ! 1té; - 2" Fille morte sans enfants, à 25 ans, d'une angine ; - 3° Gar
coolique, violent et migraineux ; une de ses tantes paternelles est morte d'apoplexie. Sa mère n'a qu'une intelligence au
24 (1885) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 188
section, leurs enfants idiots et épileptiques dont les parents de- meurent à Paris (1). C'est donc pour faire face aux bes
et maternel alcooliques. - illére zerveuse. - Grand'mère maternelle morte d'une affection pulmonaire. - Scezvr morte de c
Grand'mère maternelle morte d'une affection pulmonaire. - Scezvr morte de convulsions.- Frère mort d'une imperforation d
il buvait beaucoup d'eau-de-vie; il avait quitté sa femme. - Mère morte à soixante-six ans, en 1852, d'un catarrhe pulmon
faisait des excès de boisson (bière et eau-de-vie). Mère, ménagère, morte à soixante-sept ans, d'une affection pulmonaire
pt ans, d'une affection pulmonaire avec ascite; quatre soew's : une morte à quarante ans, de la poitrine, les autres bien
aliénés, etc.]. - Pas de con- sanguinité. Cinq enfants : 1° fille morte à trois ans de convulsions en trois jours; elle
éreux. Grand-père maternel alcoolique. - Mère migraineuse. - Deux Meurs mortes de méningite. Vertiges à six ans. - Accè
ns, d'un cancerdu pylore, faisait quelque excès de boisson. - Mère, morte en 1831, écrasée par une voiture; n'a jamais eu
6° fille, six ans et demi. bien portante, va à l'école; '7° fille, morte à dix-huit mois d'une méningite après trois moi
des quan- tités de marchandises et avoir trouvé le secret de ne pas mourir . Il était fabricant de toiles dans le départeme
ue, sur les livres de l'asile, il y avait beaucoup de Cr... - Mère, morte toute jeune des suites de 40 DU CURARE mauvai
ouvent où mon mari m'a prise parce que j'étais orpheline ». - Mère, morte en cou- ches « quand je suis venue au monde, di
tique.-Père et grands-pères paternel et maternel alcooliques. Salir morte de méningite. - Cousine germaine : convulsions.
nal du Loiret; menuisier, il faisait des excès de- boisson. - Mère, morte vers vingt-huit ans, on ne sait de quoi ; laiss
il est mort de la poitrine, il n'avait pas d'enfants. La soeur est morte du choléra en 1849, laissant un fils qui est mo
il était bien portant ; il buvait un peu. - Grand'mère maternelle, morte vers soixante ans, on ne sait de quoi. -Grand-
- père paternel, mort du choléra en 832. - Grand'mère maternelle, morte d'une tluxion de poitrine. Un frère est mort du c
Pas de consan- guinité. Trois enfants : 4° notre malade; 2o fille morte à sept ans d'une méningite; elle était très int
mois. - Grand-père maternel mort de phthisie. Grand'mère maternelle morte de cancer utérin. - Frère jumeau mort à trois j
e nombreux excès de boisson : « lui, c'était des alcools. » - Mère, morte il y a deux mois; a été atteinte d'une hémiplég
en 8 jours ; il n'était ni paralysé, ni dément ; la grand'mère est morte des suites d'une fracture compliquée à l'âge de
Pas de consanguinité. Le père du malade a eu d'une première femme, morte poitrinaire, deux enfants qui sont morts à 2 mo
ans, intelligent, bon ouvrier, n'a pas eu de convulsions; 2° fille, morte à neuf jours « d'une esquinancie dans la gorge
gouttes. T. R. 3J°,1. - Soir : 39°,7. 30 avril. T. R. 39°. L'enfant meurt à deux heures de l'a- près-midi sans convulsion
, est mort on ne sait de quoi; on ignore s'il buvait. - Sa mère est morte à G3 ans; la cause de la mort est inconnue. - Q
ement morts sans qu'on sache de quelle maladie. Une autre soeur est morte en couches, laissant une fille âgée aujourd'hui
ttaque de para- lysie, en quatre heures; il étaitsobre. Sa mère est morte d'une frayeur qui « arrêta le sang( ? ) »; elle
e sang( ? ) »; elle n'était. pas ner- veuse. Grand'mère maternelle, morte à 90 ans des suites d'une chute. Pas de renseig
t l'un de convulsions; le quatrième est en bonne santé.- Une soeur, morte à 16 ans et demi « ne pou- vait être réglée ».
onsanguinité (père breton, mère marseillaise). 3 enfants : 1° Fille morte à 14 mois, de convulsions; 2° notre malade, né
e. - Grand-père pater- nel, excès de boisson. Grand'mère paternelle morte d'une congestion cérébrale. Grand'tante paterne
royant qu'on vou- 166 ANTÉCÉDENTS PERSONNELS. lait le tuer. Mère, morte probablement d'une congestion dérébrale, était
. [Père, alcoolique, mort du choléra en 1849. - Mère, non nerveuse, morte à 51 ans d'une fluxion de poi- trine. Une sceur
ine. Une sceur. paralysée du côté droit depuis l'âge de 30 ans, est morte à la Salpêtrière en 1883. Pas d'aliénés, etc.]
n frère et trois soeurs, dont une seule a présenté des convulsions ( morte à 6 mois); une autre est morte à 3 ans du croup
seule a présenté des convulsions (morte à 6 mois); une autre est morte à 3 ans du croup. Les autres 'sont bien conform
a été aliéné, il a fini par succomber. L'une de ses grand'mères est morte d'une congestion cérébrale; l'une de ses grand'
25 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
auche paraissait normal. L'affection évolua rapidement et le malade mourut dans le marasme le 16 avril 1902. Vautopsie, pr
and, entre à l'asile d'Armentières le 13 décembre 1901. Sa mère est morte de « fièvre cérébrale ». Lui même est alcoo- li
iblit rapidement, présente de nombreuses attaques épileptiformes et meurt dans le marasme le 2 avril 1902. L'autopsie n
u'il revint, une demi-heure après, il trouva sa femme couchée raide morte dans sa chambre, au pied de son lit. Elle avait
cycliste, et tenant un balai à la main. « Mon père, s'écriait-elle, meurt ce soir à l'Hôtel des Invalides, par la volonté d
premières familles produisirent ensemble 57 enfants. 25 de ceux-ci moururent pendant la première semaine de faiblesse, convu
ormal. Les 10 familles tempérantes eurent 61 enfants. De ceux-ci, 5 moururent en bas-âge de faiblesse, 4 eurent dans les derniè
ents héréditaires. Son père est mort à quatre-vingt ans Sa mère est morte à quarante-neuf ans de tuberculose pulmonaire.
e soeur s'est suicidée (asphyxie au charbon); une autre soeur est morte à quarante ans d'affection indéterminée. Dans l
e des nouvelles de sa fille qu'on martyrise, et qui est peut-être morte là-bas. On la rassure et on la distrait facilemen
is en colère, mais il avait la force de se maintenir. La mère est morte à l'âge de vingt-huit ans à la suite d'une flux
ère pour céder la. place à sa soeur. Peu de temps après, son père mourut , et la malade souffrant énormément, rentra à Pa
e poitrine. Sa mère vit, est bien portante, nerveuse. Une soeur est morte à la suite d'une paralysie survenue subitement.
rsailles) ; elle y resta sans manger pen- dant cinq jours, espérant mourir de la sorte. Des gendarmes l'ayant rencontrée e
édents une morbidité bien manifeste. Une tante maternelle vésanique morte dans un asile à Rennes; 'la mère morte paralysé
e tante maternelle vésanique morte dans un asile à Rennes; 'la mère morte paralysée. Son père, faible d'esprit, mort^à la s
idées noires et restait des semaines entières sans parler. Sa mère, morte à quatre-vingts ans à la suite d'une attaque d'
s et à la suite d'une de ces crises elle s'est noyée. Une autre est morte phtisique. La malade ne commença à parler qu'à
ouise F... avait des idées vagues de tristesse et ne demandait qu'à mourir . A dix-sept ans, elle eut ses règles pour la pr
leptique vulgaire avec délire, ce qui nécessite son internement. Il meurt enfin en état de mal sans avoir jamais pré- sen
cavitaire, dans un état tel que tout examen devient impossible.- Il meurt le 13 mars 1900. L'examen histologique, pratiqu
iter comme aliénés, des malades qui doivent guérir à l'hôpital ou y mourir . L'un de nous a cité ailleurs des cas de délira
urs des cas de délirants d'hôpital venus à l'asile comme aliénés, y mourir parfois rapidement, ou guérir quand il lui avai
comme atteinte de psychose post-opératoire puerpérale et qui y est morte au bout de vingt-quatre heures en pleine septic
, elle est indigne de vivre. Comme le Dieu des chrétiens, elle va mourir sur la croix, elle l'a lu dans les journaux. El
M. le Dr FeBvRE, le 30 juin 1899. Le père était normal; la mère est morte d'un cancer, s'enivrait. La malade a eu à l'âge d
xie cancéreuse (cancer de l'estomac). Pas de troubles mentaux. Mère morte à soixante-treize ans, cardiaque, tombait fréqu
soixante-treize ans, cardiaque, tombait fréquemment en syncope. Est morte hémiplégique et aphasique. Pas de troubles ment
eur aînée encore vivante, cinquante-trois ans, cardiaque. Une soeur morte à qua- rante-sept ans de broncho pneumonie. Un
monie) et son frère (pleurésie tuberculeuse). Sa soeur et son frère moururent à onze jours d'intervalle (décembre 1889 et jan-
taires. Père, mort à soixante-dix ans, traumatisme crânien. Mère, morte de fièvre typhoïde, cinq ans après la naissance d
ventre. Ce qu'ils m'ont fait, ou rien, c'est la même chose. Je vais mourir , ajoutait-il; je ne reverrai plus la Bastille.
. Soupirs profonds, gémissements, accablement, air effrayé. Peur de mourir . Angoisse. « Je n'ai fait de mal il personne...
stème nerveux pro- duits par la commotion. G. D. X\,TII1. Comment meurent les épileptiques; par W. SpRATUNG {Médical News
nous avons fait dresser par l'un de nos élèves (Ballard, Comment meurent les épileptiques, thèse de Paris, 1900). Nous rel
des animaux. Tous ceux auxquels on injecta de l'iodure de potassium moururent . Le gaïacol fut mieux sup- porté. M. B. Séanc
estion l'ataxie dis- parut et le malade commença à bien marcher. 11 mourut à la suite d'une maladie physique occasionnelle
grand trouble »1. « Elle étoit alors malade et elle craignoit de mourir dans une désobéissance criminelle »6. « Elle sign
t 1666 (trente-trois ans), elle tomba dangereuse- ment malade. Elle mourut le 1 ? avril 1684, vers 8 heures du matin, à l'
ssa à l'abbaye de Sainte-Perrine de la Villette- lès-Paris, où elle mourut dans des grands sentiments de piété et fut ente
ers, la syphilis et l'alcool, dont quelques-uns vivent et dont tous meurent , évoluent librement devant une société complice.
ns. Père mort à soixante- cinq ans d'une congestion pulmonaire Mère morte à soixante- six ans de coma diabétique. Antéc
s qu'il se trouve seul, l'an- goisse devient aiguë, et il a peur de mourir . Au début de décembre 1900, M. F... a la douleu
soula- gement qu'on lui promettoit' », il se prépara à la mort. Il mourut ce même mois. Il était « d'un naturel vif et bo
cé dans ses études, et qui promettoit beaucoup selon le monde 7 » mourut jeune, au commencement de 1650, « en huit jours d
de Beaupuis, prêtre. Le second, Henri-Thomas du Fossé, né en 1631, mourut « d'une mort précipitée... qui l'enleva tout d'
isoit la plus grande perte à la mort de M. Le Maître ] . » Celui-ci mourut eu effet deux jours après, le 4 novembre 1658.
es termina en 1658 (vingt-quatre ans), c'est-à-dire l'année même où mourut Antoine Le 1«istre. L'auteur de la biographie de
coup une bonne nuit. Tout le Carême se passa de cette sorte »'. 11 mourut le 4 novembre 1698, à soixante-quatre ans, après
aire, à deux siècles de distance, le diagnostic de l'affection dont mourut Pierre- Thomas du Fossé qu'on ne le ferait peut
onies de déglutition, comme celle à ce qu'il semble dont il faillit mourir aux eaux de Bourbon. L'intelligence reste intacte
Saci l'engagea à ne pas prendre la charge de son père qui venait de mourir , et à continuer à mener la vie dévote. La même
. 433 de piété' ». Il se distingua « par une piété singulière ». Il mourut le 26 mai 1701, et fut enterré dans l'église de
un grand attrait pour la solitude, le silence et la prière ? » Elle mourut le 20 janvier 1731. L'autre fils de Gentien Tho
urut le 20 janvier 1731. L'autre fils de Gentien Thomas II du Fossé mourut jeune, au commencement de 1660, dans le séminai
Archives, 2e série, t. XV. 28 434 HISTOIRE ET CRITIQUE. Royal, et mourut jeune, le 1 ? juillet 1661, après dix ou douze an
et d'une dévote ; ayant cinq frères, dont le premier et le second moururent jeunes, dont le troisième, faible « de poitrine e
s des palpitations et des syncopes qui guérirent par suggestion, et mourut de para- lysie labio-glosso-larynrée, après avo
dont le quatrième mena aussi la vie dévote, dont le cinquième enfin mourut jeune, dans un séminaire, au moment où il se prép
dont l'autre, atteinte d'une carie du tibia, mena la vie dévote et mourut quatre' ans avant sa mère ; comptant encore par
pitait au néant. Elle naquit en 1628, et, comme son frère Pierre, mourut par le ' Pierre Thomas du Fossé. Loc. cil,, 367
ité des mou- cherons qui la piquoient au visage durant l'été » Elle mourut de cette quadriplégie le 25 octobre 1696. Int
de «.parens très chrétiens 1 », avait deux frères et une soeur, qui mourut au moins huit ans avant elle. L'un des frères, Ju
cevait et servait les hôtes et les ecclésiastiques de la maison. Il mourut le 27 avril 1659 (trente- trois ans environ), e
dessus de son mérite · », et qu'il la conserva vingt-quatre ans. 11 mourut « avec humilité et les sentimens d'une amère péni
is presque manger de tout ce qu'on donnoit au réfec- toires ». Elle mourut le 12 septembre 1691, à quatre-vingts ans. Inte
515. ! Ibid. ni. 27t. PHYSIO-PSYCHOLOGIE DES RELIGIEUSES. 441 et mourut en cinq jours d'une «oppression de poitrine » ave
ns l'âge de la mort, la première (Anne-Marie de Flècelles de Brégy) mourut à cin- quante et un ans, la seconde (Madeleine
qui étaient morts en bas âge. Sa mère était fille unique, elle est morte à trente-huit ans d'une affection aiguë de poitri
u un litre de pétrole sur ses vêtements et y a mis le feu. Elle est morte dans d'atroces souffrances. - - Pendant une a
vation de la mémoire chez les -. par lion- hoell'er, 202. Comment meurent les épileptiques, par Spratling, 275. Les idé
26 (1887) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1886
des modifications im- portantes, en bien ou en mal. Quand le malade meurt , ses photographies sont déposées au musée et, c
un nouvel di-ysipèle accompagné de glos- site et de stomatite. Elle mourut dans le marasme six mois après le début de la m
lle tomba ma- lade quelque temps après, refusa toute nourriture, et mourut dans les convulsions le 7 décembre 1849. Auto
st mort d'une fluxion de poitrine; sa mère, de taille ordinaire est morte à soixante-quinze ans « de vieillesse ». Une so
ur qui nous donne les renspignements est intelligente; une deuxième morte poitri- naire. Pas de nerveux ni de difformes,
rveux ni de difformes, etc., dans la famille.] 111ère, née à Lille, morte en 1877, à trente-neuf ans, de tuberculose pulm
, mort vers soixante-treize ans, d'une attaque d'apoplexie. - Mère, morte jeune du choléra. Un frère bien portant, pas d'
quatre- vingts ans, d'une chute; il n'était pas en enfance. - Mère, morte d'une bronchite à soixante-douze ans ; intellig
produisent aucune évacuation. Mort à 10 heures 35 du soir. Avant de mourir , le Pacha a ouvert les yeux tout grands et a po
e consti- tution robuste et sa taille est de 9 m. 70. - La mère est morte à l'âge de 40 ans, dix-huit mois après être acc
parti de faire admettre son enfanta la Salpêtrière. La malade est morte un mois après la publication de cette observati
taient en pleine santé au moment de sa naissance. Le père cependant mourut douze ans et la mère seize ans plus tard de pll
sus de la moyenne; pas de maladies nerveuses, ni de goitre. - Mère, morte à quatre-vingt-sept ans, on ne sait de quoi; el
depuis vingt-sept ans, charpentier, sobre. - Grand'mère maternelle, morte paralysée à soixante-dix-huit ans, ménagère, so
e, sobre. - Un frère mort à l'âge de six ans, du croup. - Une soeur morte à quarante-trois ans, on ne sait de quoi, a eu
t n'a jamais présenté d'accidents nerveux. - Mère, ménagère, sobre, morte à quatre-vingt-huit ans sans paralysie, ni déme
e convulsions; 2° fille, née à terme, bien conformée, intelligente, morte à trois ans de convulsions; 3° fille mort-née à
ort-née à terme (présentation des pieds), bien conformée; 4° fille, morte à treize ans d'un abcès du foie ; elle était née
. - Crétinisme (Falret). En novembre 4872, le malade s'affaiblit et mourut en janvier 1873, d'une congestion pulmonaire.
tismales dans les bras; pas de migraines. - Grand'mère maternelle : morte presque centenaire avait eu des douleurs rhumat
eu des douleurs rhumatismales ; pas de nodosités·des mains. Soeur : morte à sept ans de co ? t'UMSïo ? s ? Frr ? g. vingt
y a un an, elle avait des « crises d'idées noires, » elle pensait à mourir . Cet état durait depuis la naissance de son der
rt à vingt mois de convulsions de la dentition. Une soeur aînée est morte d'un cancer utérin]. Pas de con- sanguinité -
alblatt., ii° 8, Avril 1886). - Arthur Gloeckner, 2 ans 1/2. - Mère morte de tuberculose pulmo- naire ; une soeur coxalgi
iarrhée. T. R. 38°,S. P. 144. Resp. 30. Cheyne-Stoc- kes. Le malade meurt le 28 octobre. Anatomie pathologique. - Le corp
t, à 4 centimètres en avant d'elle, est une autre tumeur. Ces tu- meurs ne soulèvent pas la première, et cette dernière n
de petites cellules rondes analogues à celles du sarcome. Les tu- meurs protubérantielles sont caséeuses et formées de pe
umatisme ni de dermatoses. [Père, 70 ans, sobre, bien portant; mère morte on ne sait de quoi, 130 IMBÉCILLITÉ ; ANTÉCÉDEN
èvre typhoïde à 15 ans, variole à 18 ans, réglée à 20 ans. Elle est morte à l'hôpital le 23 mai 1886, d'un cancer de l'ut
voir eu de névropathes ni de tuberculeux. Rappelons que la mère est morte d'un cancer de l'utérus. Les antécédents pers
umatisante . Mère, fièvre typhoïde à 19 ans, avec délire.- Soeur, morte de convulsions internes consécutives il la coque-
Pas de consanguinité. Deux enfants : 1° notre malade ; 2° une fille morte à 9 mois, de convulsions internes,à la suite d'
ents excès de boissons ; il n'offre pas d'accidents nerveux. - Mère morte du charbon. Grand-père paternel mort on ne sait
d'un asthme; il faisait,dit-on, quelques excès de boissons. - Mère morte , à l'âge de 63 ans, d'une maladie du coeur.- Pa
-père maternel mort de vieil- lesse à 84 ans. Grand'mère maternelle morte asthmati- que à 64 ans. Pas d'aliénés, de nerve
d'abord, notons-le : précisément dans les myélites les cellules qui meurent de cette façon nous ont montré les trois états
tant, cultivateur, sobre, pas d'accidents nerveux. - Mère, sobre, morte à 61 ans,en 8 jours,d'une affection cérébrale don
t vers l'âge de 40 ans, on ne sait de quoi. Grand'mère paternelle morte à un âge avancé sans qu'on puisse préci- ser de
ser de quelle affection. - La grand'mère maternelle est également morte âgée; on ne peut fournir aucun rensei- gnement
27 (1893) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 2
e mouillée ; l'air devenait irrespirable, elle étouffait, elle allait mourir . Voilà tout ce qu'elle avait vu et toutes ces cho
ges qui la poursuivent, des bêtes, rats, crapauds, araignées, sa mère morte , telles sont les conceptions délirantes les plus
e l'ai pas à droite comme les gendarmes... Alors vous voulez me faire mourir ?... Quelles souffrances, mon Dieu! Ah! si Charles
un plat ! Oh ! non, vrai ! Seulement sans m'endormir... Monsieur, je meurs , allez chercher mon père... C'est long comme tout
Ce n'est pas du lard salé qu'on lui a vendu, c'est du sel au lard. Il meurt de soif. Sirop de groseilles. — Il est au café.
bonne santé, mais il est vif, coléreux et emporté. (La mère du père, morte à 84 ans, était aussi vive et nerveuse; elle a pe
père est mort à 51 ans, en 1882, d'une hernie étranglée. Une sœur est morte sans que nous ayons pu savoir de quelle maladie.
s l'âge de 10 ans ; elle paraît avoir eu une coxalgie). Sa mère est morte à 35 ans, de suites de couches. Elle était un peu
atientait facilement. (Le père de la mère est mort jeune. La mère est morte à 71 ans, d'une attaque d'apoplexie. Une sœur de
œur de la mère, âgée de 40 ans, est très nerveuse. Une autre sœur est morte de la poitrine). La malade est la 3e de 5 enfan
ne me tuez pas, je vous en supplie. Grâce ! grâce ! Oh ! je vais donc mourir ? Otez-moi ce couteau qui me perce la poitrine. A
qu'ils m'ont mis. Ah ! cela va mieux, soigne-moi bien. Je ne veux pas mourir . « ..... Je ne veux pas que vous me chatouillie
Dieu! Comment faire? Je suis entourée de flammes. Non, je ne veux pas mourir ainsi. Je suis trop jeune encore. Voyons, un peu
e met à courir). Mais j'ai toujours le feu à mes jupons. Je vais donc mourir tout de même. Ah ! quelle souffrance de mourir br
s jupons. Je vais donc mourir tout de même. Ah ! quelle souffrance de mourir brûlée. Ah ! je meurs, je meurs. Adieu, adieu, me
mourir tout de même. Ah ! quelle souffrance de mourir brûlée. Ah ! je meurs , je meurs. Adieu, adieu, mes parents, mes amis, v
t de même. Ah ! quelle souffrance de mourir brûlée. Ah ! je meurs, je meurs . Adieu, adieu, mes parents, mes amis, vous ne me
eu, adieu, mes parents, mes amis, vous ne me reverrez plus jamais. Je meurs à 20 ans. C'est trop jeune, et j'ai beaucoup souf
intenant. (Elle devient toute rouge et est prise de suffocations.) Je meurs , Alexis, sauve-moi. Cette sale bête me serre trop
t se noyer. Ah ! mets-moi dans le bateau, Alexis, je sens que je vais mourir .... « ..... Alexis, tu me permets de danser ave
nnent à moi. Au secours. Ils vont me tuer. Mon sang coule ; je vais mourir ; je meurs. (Un instant après elle dit qu'elle
u secours. Ils vont me tuer. Mon sang coule ; je vais mourir ; je meurs . (Un instant après elle dit qu'elle veut s'empois
père. Mon Dieu, c'est la guerre. Ils vont se tuer, les voilà qui vont mourir . Pourquoi les laissez -vous faire? ils vont se bl
quelqu'un). Tiens-moi bien dans tes bras, mon Paul chéri. Nous allons mourir ensemble. Oh ! que je suis heureux, tu ne peux pa
amais aimé. Hier, on m'a dit que tu étais malade; j'avais peur que tu meures ; mais, tu sais, cela n'empêche pas de t'aimer, ma
pas à droite, comme les gendarmes... Quoi? alors vous voulez me faire mourir ... Quelle souffrance, mon Dieu!... Ah! si Charles
ur un plat! Oh! non, vrai, seulement sans m'en-dormir... Monsieur, je meurs . Allez chercher mon père... C'est long comme tout
ien de plus. Pas de maladies nerveuses non plus chez la mère, qui est morte d'une affection hépatique, ni chez les parents ma
suite être de lui, la condition d'un écrivain malheureux qui, près de mourir , fait sa confession générale. Cette tirade dure e
é au chemin de fer du Nord et demeurait boulevard Ornano. Sa mère est morte tuberculeuse. Sa sœur a des enfants qui sont très
es se rapportaient sans doute à l'hystérie ou à l'épilepsie. Sa mère, morte également des suites d'une phthisie pulmonaire, é
ticulière. Une jeune myopathique du service, nommée L..., venait de mourir . Marguerite, qui l'aimait beaucoup, en était tout
« Qu'est-ce qu'être mort?» R. « C'est ne plus respirer. » (L... était morte phthisique avec delà dyspnée comme symptôme prédo
ire, on lui fait écrire sous dictée les lignes suivantes : a L... est morte et enterrée. On la mettra dans le cimetière. On
rop lui demander de détails. Cléopâtre, « c'est une femme qui se fait mourir avec un serpent. » Marc-Antoine, « c'est un monsi
ui était très nerveux, est mort d'un ulcère de l'estomac. Sa mère est morte poitrinaire à Lariboisière. Elle a une sœur, mari
ois de tomber à terre à la suite de discussions de famille ; elle est morte d'ictus apoplectique. Son père serait, paraît-il,
de mort.) Mère. Nerveuse. Fils. Epilepsie typique. Fille. Morte de diabète à 16 ans. TABLEAU V MÈRE Diabète
vésanie. (Mort dans le coma.) Petite-fille. Epilepsie. Diabète. ( Morte dans le coma. -1 Petit-fils. Diabète. (Mort
tique. TABLEAU XIII Mmo F... (Famille israélite) a eu 4 filles. Morte diabétique. i Gravelle. Tics. Arriérée. Mélanco
de ses tantes du côté paternel a toujours été excentrique ; elle est morte aliénée dans une maison de santé en avril 1891. E
ite fort irrégulière : c'est un impulsif. La mère de notre malade est morte d'une tuberculose pulmonaire. Une tante maternell
mère, atteinte d'asthme avec emphysème depuis de longues années, est morte à soixante-trois ans d'étranglement herniaire. Il
st mort dans la démence sénile ; il avait des hématuries. Sa mère est morte âgée; elle était, paraît-il, coléreuse et emporté
mort à un âge avancé. A eu 4 enfants. 1° Fille aînée. A taxiquc. Morte à 56 ans de pneumonie. Mariée à un goutteux actue
AMILLE BER... (Dr Latil. d'Aix) GRAND-PÈRE GRAND'mÈRE Mort à 74 ans Morte à 79 ans d'une attaque. d'une affection de l'es
. I I I-1 Oncle. Père. Mère. Oncle maternel. Mort. Asthmatique. Morte en couches. Diabète. d'une affection cérébrale
t diabétique, (d'unefamilled'apoplectiqucs) Suicidé Mort d'anthrax. Morte d'apoplexie. (coup de pistolet). I_I _L Mère.
ar une contraction spasmodique du sterno-mastoïdien gauche. La malade mourut un mois après son entrée à l'hôpital, et à l'au
e (prolapsus du rectum ?); il était atteint de cataracte. La mère est morte de suites de couches; elle était malade de la poi
re sont morts en bas âge d'affections inconnues de lui. Une soeur est morte Charcot, t. il. 24 à 18 ans de la fièvre typh
ns la famille, au point de vue névropathique, qu'une tante maternelle morte aliénée, et une sœur qui (1) P. Le Noir et P. B
28 39 31 21 24 21 11 16 16 40 14 25 32 60 19 » » » » » Mère morte d'une peur. Grand'mère épileptique. » Mère nerv
28 (1884) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1883
mac était unique et très dilaté. Observation II. Quant au moine, il mourut à trente-huit ans, dans un état de maigreur exc
III. Observation 1V'. - Cette observation a trait à un soldat qui mourut à Toulouse à l'âge de cinquante-neuf ans. Dès sa
naturel. Il disparut cependant dans le cours de la maladie dont il mourut (cancer du pylore). A l'autopsie, rien d'anor
en 1798, eut, à la suite d'une orgie, une indigestion dont il pensa mourir . Puis survint après chaque repas un hoquet ramena
E. Deux enfants : 1° notre malade ; 2° une fille, bien conformée, morte à treize jours, en nourrice, de convulsions. No
ien portant. Pas de maladies ner- veuses, excès de boisson. - Mère, morte subitement à cinquante- neuf ans de la rupture
. Deux enfants : -1° notre malade; 2° une fille, bien constituée, morte à cinq semaines d'une diarrhée cholériforme. No
excès alcooliques, ni d'affections nerveuses. - Mère : asthmatique, morte à soixante ans d'une fièvre typhoïde ; impressi
nquante-trois ans, après avoir eu le choléra; aucun excès. - Mère : morte à soixante-deux ans d'un cancer utérin.- - Un f
rte. -- Deux tantes du côté paternel n'ont jamais marché; l'une est morte à six ans. - Une cousine germaine du côté mater
qui se terminent spontanément par la guérison, le mérycole vit et meurt avec son affection. En meurt-il ? non. Le prono
par la guérison, le mérycole vit et meurt avec son affection. En meurt -il ? non. Le pronostic du mérycisme est, au con-
envi- ron deux fois par mois. [Père, mort à soixante-six ans, mère, morte à soixante-sept ans, on ne sait de quoi. Deux f
ssance de notre malade. [Père, mort d'une fluxion de poitrine; mère morte d'une hydropisie ; un frère a trois enfants ; une
la famille]. - Pas de cjnsanguinité. Six enfants : 1° une fille, morte à douze ans de fièvre typhoïde : elle était int
, mort-née par strangulation (circulaires du cordon); 3° une fille, morte de convulsions à treize mois; - 4° une fille, mor
; 3° une fille, morte de convulsions à treize mois; - 4° une fille, morte de convulsions à un mois; - 5" une fille, âgée
e la même névrose; on l'avait constatée aussi chez une autre soeur, morte à treize mois; cette malformation consiste en u
s, bien portante, pas d'attaques de nerfs. - Grand'mère maternelle, morte paralysée.- Pas d'aliénés, etc., dans la famill
riétés. [Père, soixante-quatre ans, fruitier, en bonne santé. Mère, morte de la poitrine à vingt-huit ans. Un frère est m
garçon, quatorze ans, intel- ligent, pas de convulsions;- 2° fille, morte à neuf ans d'accidents pulmonaires ayant duré h
convulsions jusqu'à quatre ans, était très intelligente ; 3° fille, morte en nourrice à deux mois, on ne sait de quoi; au
à trois ans; 6° fausse couche à six mois, sans motifs ; - 7° fille, morte à deux ans et demi de méningite, avait déjà eu
de Bicêtre, où il est entré pour un rhumatisme chronique. - Mère- morte à 31 ans, en couches.- Grand'mère paternelle mort
ronique. - Mère- morte à 31 ans, en couches.- Grand'mère paternelle morte en 1878, à la Salpêtrière, était atteinte de rh
re, était atteinte de rhumatisme chro- nique. Grand'mère maternelle morte de paralysie.- De 12 frères et soeurs, il n'y a
ulsions à 2 ans ainsi que deux filles jumelles, et enfin, une fille morte à 13 ans, à l'hôpital Sainte-Eugénie, d'une fiè
e temps à disparaître. Le même jour, à six heures du soir, l'enfant meurt , sans que cette mort ait été précédée de convul
Père alcoolique, mort phtisique . Mère en bonne santé. Une scieur morte phtisique, laissant un enfant arriéré.] Consang
tant, intelligent, sans convulsions; 5° une fille bien con- formée, morte à 15 jours d'une bronchite. Notre malade. Lors
29 (1892) Archives de neurologie [Tome 23, n° 67-69] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
DES IDÉES DE GRANDEUR CHEZ LES PERSÉCUTÉS. 39 maîtresse n'est pas morte , elle est tout près d'ici, il l'entend, elle vi
vec son père, qui était du reste un homme singulier. Quand celui-ci mourut , il fit un testament par lequel il avantageait
lques mois, il renvoya sa femme, sans motif sérieux; la malheureuse mourut de chagrin. Plus tard B... devint aveugle, et c
e tous ses faits et gestes. La femme avec laquelle il vivait vint à mourir : B... prétendit qu'on l'avait assassinée par l
e, atteinte d'asthme avec em- physème depuis de longues années, est morte à soixante-trois ans d'étranglement herniaire.
mort dans la démence sénile; il avait des hématuries. Sa mère est morte âgée; elle était, parait-il, coléreuse et emporté
ents héréditaires. Père mort aliéné dans un asile de Lausanne. Mère morte à quarante-sept ans d'une tuberculose pull mona
ectrique méthodique et prudent ne produit pas de résultat. L'enfant meurt de bronchite à l'age de huit mois et demi. On t
sque les enfants bien portants du peuple qui paie tous ces millions meurent par- tout de faim et de misère ? » Ainsi s'ex
à sa portée. Son père est mort fou il y a un an, sa grand'mère est morte folle, ses oncles et ses tantes, côté paternel,
, depuis quelque temps, de toute sa raison. Elle craignait toujours mourir de faim. Une dépêche de Saint-Etienne en date d
a jamais eu d'accidents syphilitiques. Côté maternel. La mère est morte d'une fluxion de poitrine à l'âge de quarante-n
qui a quatre-vingts ans est encore d'un bon conseil. ' Une soeur morte d'apoplexie à soixante-dix ans. Un frère mort d
jet pour qu'il la jette à l'eau. Elle voulait aussi que ses enfants mourussent avec elle, parce que leur avenir ne lui semblai
de feu dans l'estomac. « Mon Dieu, dit-elle, vaudrait mieux que je meure que de supporter cela. » Enfin elle a eu l'id
s eu le courage de se suicider. Etat actuel. - Elle aurait désiré mourir . c Tout le monde me regarde, dit-elle, je fais
nq ans d'un refroidissement. Sa mère n'était pas nerveuse. Elle est morte à quatre-vingt-trois ans à la Salpêtrière. Elle
monde. C'est peut-être joué contre moi. Ma mère n'est peut-être pas morte . J'y ai été franchement parce que je suis un ân
mortes autre- fois. Elle semble aussi depuis avoir reconnu sa soeur morte à huit ans. Nille Dupont (l'ancienne surveillan
soeur morte à huit ans. Nille Dupont (l'ancienne surveillante) est morte dans ses fonc- tions, mais elle n'est pas morte
e surveillante) est morte dans ses fonc- tions, mais elle n'est pas morte . Ses fils sont mariés, elle ne sait pas comment
e des voix (mais des voix bien spéciales) qui lui disent qu'il faut mourir , qu'on va la tuer. Ces voix sont très loin, ell
ce, Quand on lui demande si elle a eu des chagrins, elle répond : « Mourir d'amour ! Il y a bien des façons de mourir d'a-
hagrins, elle répond : « Mourir d'amour ! Il y a bien des façons de mourir d'a- mour. Faire vivre quelqu'un par caractère,
urir d'a- mour. Faire vivre quelqu'un par caractère, c'est le faire mourir à petit feu. On peut faire des canailleries en
ures plus ou moins profondes, mais dont aucune n'était mortelle. Il mourut quelques jours après et l'autopsie démontra qu'
elle dormit deux jours, à telle enseigne qu'un médecin la tint pour morte , son mari s'opposa aux préparatifs de l'inhumat
y était devenue totale; un glaucome aigu était développé. La malade mourait un an après l'embolie, des suites de son affectio
ités inférieures et supérieures, chez une femme de cinquante ans, morte de dysenterie, une demi-année après le début de l
ait intéressant de savoir si les malades albuminuriques d'ordinaire meurent plus facilement que les autres épileptiques d'é
qu'on lui a ordonnés. Alors il est perdu, il est empoisonné, il va mourir . Il pense que peut-être, en priant, il sera déliv
nt, il gémit, ou bien il répète sans cesse cette phrase : « Je veux mourir . » - Pourquoi ? « Pour échapper à la justice, il
mourir. » - Pourquoi ? « Pour échapper à la justice, il faut que je meurs . » On arrive pourtant à lui faire raconter les
commence à geindre et il revient bientôt à son monotone : a Je veux mourir , il faut que je meurs. » Eu dehors de son quadr
l revient bientôt à son monotone : a Je veux mourir, il faut que je meurs . » Eu dehors de son quadruple assassinat, dont
ne. On ne peut tirer de lui que ses paroles habituelles : « Je veux mourir , il faut que je meure. On veutme faire du mal,
lui que ses paroles habituelles : « Je veux mourir, il faut que je meure . On veutme faire du mal, on veut m'empoisonner !
il voudrait bien les voir, que e c'est malheu- reux, qu'il voudrait mourir , qu'on lui envoie un prêtre pour se confesser »
a tuées. Il répète encore que « c'est malheureux, qu'il faut qu'il meure , qu'il était fou, qu'il croyait que c'était M..
rbante de la pensée de l'acte qu'il a commis ; et enfin, désir de mourir et tendance prononcée au suicide. Au- jourd'hui
s gaie ; je suis tout à fait changée. Cela m'a pris par une peur de mourir . Quelque chose me saisissait à la poitrine et c
Quelque chose me saisissait à la poitrine et cela m'a donné peur de mourir . Voyez ma figure comme elle est; voyez comme ce
On a l'air d'être folle. Je ne suis plus rien. Je sens que je vais mourir bientôt. Je sens cela dans mon corps. Le diable
jà. Vous verrez mon coeur à l'autopsie. Je suis un monstre. Je vais mourir comme une damnée et c'est pour l'éternité. On
mère. Elle ne voulait pas manger à table disant que cela la ferait mourir . Puis elle mangeait en cachette quantité de pai
ste. Elle est incer- taine sur ce qu'elle doit faire. Voudrait bien mourir et en même temps qu'elle craint l'avenir, elle
pouls radial gauche et 120 pulsa- tions de la radiale droite. Elle meurt le soir. On pense à une hémor- rhagie méningée.
l n'y eut jamais de perte de connaissance. Le malade s'affaiblit et mourut sept mois après le début de ces accidents. A l'
de dents. A la suite d'une nouvelle attaque con- vulsive, la malade meurt dans le coma. A l'autopsie, on a tout d'abord q
mbreuses et les plus fréquentes; ils ne devien- nent pas déments et meurent rarement dans les asiles; ils finissent toujour
e montre, et, huit jours après le début de cette psychose aiguë, il meurt par épuisement cérébral. A l'autopsie, on const
en plus complet, on résolut de lui donner le chlo- roforme. Mais il mourut subitement le lendemain. Voici ce que révéla l'
-quelques jours, ont fait ouvrir sa porte et ont trouvé leur mère morte . - L'ancienne bonne du curé de l'hôpital du Per
30 (1900) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1899
de ch1'Y- san tl7.ène· et à l'F,.v°psi.tioi. d'horticulture. Les meurs , sous la conduite de leur maître, ont visité dans
et migraineuse. - Grand-père et oncle maternels, alcooliques. -sur, morte de méningite. -Au11'e soeur un peu arriérée. -
paternel alcoolique. - Grand'mère maternelle hémiplégique. - Soeur morte de convulsions . Accouchement long el diffici
- Grandes tantes maternelles 'sujettes à des tremblements. Soew' morte de convulsions. Grossesse gémellaire. - Accouch
A]HE. Père mort tuberculeux. Grand-père paternel alcoolique. - Mère morte tuberculeuse, caractère violent. - Grand-père m
E. Père : rhumatismes, migraines, névralgies. Grand'mère maternelle morte tuberculeuse, mère migrai- neuse, nerveuse, mor
d'mère maternelle morte tuberculeuse, mère migrai- neuse, nerveuse, morte de fièvre typhoïde. - Soeur, convulsions. Chu
aissance. - Grand-père maternel alcoolique. Cratid'met'e maternelle morte d'apoplexie. A uriné au lit jusqu'à l'âge de se
eu près tous lesjeudis. Fumait beaucoup, caractère violent. - Mère, morte à 53 ans, après un an de maladie ( ? ). - Très
- A 5 heures du matin, l'état empira considé- rablement et l'enfant mourut à 9 heures. Température après décès. 78 : Idi
de renseignements sur la famille paternelle. - Mère, ner- veuse, morte à trente-deux ans d'une affection cardiaque. -
sans cependant avoir des attaques de nerfs. Caractère peu commode. Morte onze jours après son mari d'une affection cardi
entrique, très alcoolique, mort de ses excès. Grand'mère maternelle morte d'un cancer du sein. - Pas de consanguinité. -
n verre ; » mort de ses excès de boisson.. - Grand'mère maternelle, morte à cinquante ans d'un can- cer du sein. Pas de
seraient indemnes d'accidents nerveux. La grand'mère paternelle est morte en 1892, a la Maison texan- terre, de sénilité
17 7 l'asile d'Armentières, où il est mort en 1867. - Sa mère est morte à 71 ans, d'une affection cardiaque. « Une cousin
eu une crise de nerfs. Elle s'est mariée, n'a pas eu d'enfants, est morte en quelques jours d'un chaud et froid. » - Aucune
convul- sions, laborieuse, intelligente; - 8" fille née il 7 mois, morte il. 3 jours sans convulsions 90 fille, 8 ans, p
x enfants dont l'un a succombé il la tuber- culose. - Une soeur est morte il 35 ans de la même maladie. Une autre soeur,
re maternel mort vieux, on ne sait de quoi. - Grand'mère maternelle morte de dysenterie. - Deux frères et deux soeurs n'o
e- juif. - Grand'père maternel, saturnin. - Grand'mère maternelle morte délirante à 48 ans. -Grand'oncle pater- nel car
- quents excès alcooliques (vin blanc et absinthe). - Sa mère est morte d'une maladie dans le ventre. ( ? ) : elle buvait
paralysies saturnines,m ais pas d'attaques d'éclampsie. Sa mère est morte de la poitrine à l'âge de 48 ans, elle était un
ls ni sur le; grand-père maternel. La grand' mère maternelle serait morte « asthmatique. » - Un onde paternel, cardiaque,
e diarrhée ( ? ), avait toujours été robuste et sobre. - Grand'mère morte à 68 ans, peu après son mari ; c'était une femm
sur le grand'père maternel ; la grand'mère maternelle serait aussi morte d'af- faiblissement sénile à 78 ans. Une grand'
d'tante paternelle a 98 ans, est valide. - Une tante maternelle est morte le lendemain d'une couche de deux jumeaux. - La
nte légèrement de la variole et son second enfant frappé à son tour meurt . Le cha- grin de cette perte - et sans doute au
xcès de boisson attribués « aux mauvaises affaires». - Sa mère, est morte très âgée de maladie inconnue. Deux frères bien
oulement, était bien portant, sobre, mais assez nerveux. - Sa mère, morte à la suite d'une couche, est restée alitée un a
omie assez agréable, intelligente, n'a pas l'air d'une (1) Elle est morte à l'Age de si semaines. VIE sexuelle : traumati
s éveillée, intelligente, la parole facile. 15 juin. - L'enfant est morte à l'hôpital Trousseau le 3 juin, du croup, aprè
s très bien « car elle est trop joueuse », dit sa mère. 7° Renée, morte à un an de cholérine ; pas de convulsions. 8° M
n état de faiblesse extrême avec des symptômes de bronchite. Elle mourait deux mois plus tard, par athrepsie et aggravation
s reprises, des hallucinations, des sensations vertigineuses et est morte de la dipthérie. - La sixième, une fille', asse
de l'idiotie. Thèse de Paris. 1898. UALLAllD. (J .1. - Comment meurent les épileptiques. Thèse de Paris. Rellay (P.)
31 (1897) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1896
'angine. La première en est sortie le 1 : ) août, la deuxième y est morte de .stomate oran- gréneuse avec infection génér
ie due à l'accès est complétée par cette com- pression et la malade meurt . Ces raisons purement médicales n'ont pas appor
de boisson. - Grand-oncle paternel suicidé. Grand tante paternelle morte de congestion cérébrale. - Autre grand'tante pa
nd-oncle paternel suicidé par pendaison. - Grand' tante' paternelle morte de congestion cérébrale à soixante-quatorze ans.-
rnelle morte de congestion cérébrale à soixante-quatorze ans.- Mère morte à soixante-dix ans en trois jours, on ne sait de
d'épileptiques, etc., dans la famille]. Mère, blanchisseuse, sobre, morte à quarante-six ans en 1883 d'une tumeur blanche
t. - L'ophtalmie ne s'accentue pas davantage. 13 inti. - L'enfant meurt à 11 heures et demie du soir, sans grimaces, ni
quatre ans d'un coup de sang. - Arrière-grand'mère mater- nelle, morte à soixante-dix-huit ans, paralysée. - Autre arr
te-dix-huit ans, paralysée. - Autre arrière-grand' mère maternelle, morte d'un cancer au sein. Cousine, à un degré éloign
éné. - Arrière- grand-père, excès de boisson. - Arrière-grand'mère, morte poitrinaire (' ? ).- Second arrière-grand-père
abondantes. Oppression extrême. P. à 100 ; R. à 56. Coma. L'enfant meurt le 19 mai, à 6 heures du matin. T. R. 390. - Po
n coup de sang à l'âge de 82 ans, sobre. - Grand'mère paternelle, morte à 78 ans de paralysie. - Grand-père maternel, mor
d-père maternel, mort à 99 ans d'accident. - Grand'mère maternelle, morte d'un cancer du sein à l'âge de 56 ans. - Une de
cte) sans accidents nerveux. - Arrière-cousine maternelle arriérée, morte à 15 ans. - Dans le reste de la famille, ni ali
l faisait de fré- quents excès de boisson. - Grand'mère paternelle, morte poitrinaire à 35 ans. - Grand-père maternel, so
sont sains, mais violents et colé- reux. Trois soeurs, dont une est morte à 11 ans de la scar- latine, les deux autres so
er. - Grand'mère paternelle, est restée six mois paralysée avant de mourir Grands-parents maternels : pas de renseignement
de syphilis. - [Père, inconnu, Mère, faisait des excès de boisson, morte à 72 ans. Une soeur, bien portante, mère d'enfa
e mère seulement), nerveux, fait des excès de boisson. - Une soeur, morte idiote à 19 ans, sans avoir parlé, ni marché. -
. 3 accès. T. It. 37°, 9. - Soir : T. Il. 38 ? ). 7 août L'enfant meurt à 7 h. 15 du matin avec une tem- pérature de 41
de la mère. - Père, mort à 25 ans, pas de rensei- gnements. - Mère, morte à 62 ans d'une affection cardiaque, assez nerve
te à 62 ans d'une affection cardiaque, assez nerveuse. - Une soeur, morte jeune durant la guerre après avoir subi toutes
a famille de la mère]. Quatre enfants : 1" Notre malade ; 2" lille, morte à 3 ans, d'une congestion pulmonaire consécutiv
pa1'ents paternels, aucun rensei- gnement. - Grand'mère maternelle, morte à 74 ans, à. la -i suite d'une fracture de jamb
es maternels, nombreux excès de boisson. - Grand'- tante maternelle morte d'un cancer du sein. Deux oncles maternels, mor
. Grand-père paternel, pas de renseignements. Grand'mère paternelle morte à 76 ans, on ne sait de quoi; elle avait toujou
équents excès alcooliques, mort étant ivre. - Grand'mère maternelle morte à 82 ans. - Deux oncles paternels étaient buveu
iques. Il en était de même de deux de ses tantes; une troisième est morte d'un canceJ' du sein. Quatre oncles et trois ta
isfai- sait beaucoup d'excès de boisson. - Grand'mère maternelle, morte it 72 ans d'une maladie de coeur; ni démence, ni
nées de sa vie, il était « tombé en enfances Grand'mère paternelle, morte à 8G ans, avait joui jusqu'alors d'une bonne sa
[Famille de la mère. Père; 58 ans, se porte bien, sobre. - La mère, morte à 54 ans, d'une maladie de coeur, était très em
s T. R. 39 ? 4 et 400, 5. - 13 cléc. 'l'. R. 3Je et 40". - L'enfant meurt le Il décembre à 3 heures 1/2 du matin (390, ù)
it de nom- breux excès de boisson, est mort à 70 ans. - Sa mère est morte à 70 aus un an après avoir eu une hémiplégie dr
57 ans ; il faisait tous les mois des excès de bois- son. Sa mère, morte à 82 ans, avait toujours joui d'une bonne santé
32 (1895) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1894
, excès de boisson. Grand'mère mater- nelle sans accidents nerveux, morte d'une fluxion de poi- trine. Arrière-grand'mùre
x, morte d'une fluxion de poi- trine. Arrière-grand'mùre maternelle morte paralysée et démente. Cousine maternelle morte
rand'mùre maternelle morte paralysée et démente. Cousine maternelle morte folle. Grand- oncle maternel, perversité morale
l, perversité morale. Cousins arriérés. Pas de consanguinité. Soeur morte de convulsions. Frère, convulsions suivies d'id
ormées et intelligentes. « Dans ma famille, dit le père d'Ét..., on meurt de maladie de l'esto- mac et du foie. » Mère
n, antérieurs à son mariage, Sa mère, qui n'était pas nerveuse, est morte jeune d'une fluxion de poitrine. Une grand'mère
euse, est morte jeune d'une fluxion de poitrine. Une grand'mère est morte à 83 ans. paralysée et démente. Deux frères mor
mente. Deux frères morts jeunes on ne sait de quoi. Une cousine est morte folle à 25 ans. Un oncle maternel était d'une m
uinité. Inégalité d'âge de quatre ans. [Cinq enfants : 1° Une fille morte à 3 semaines des convulsions ; 2° notre malade
fant placé dans cette position est pris d'un accès, il est exposé à mourir asphyxié, la face étant collée contre l'oreil-
piqûre dans les bourses par un éclat de bois (septicémie). Mè ? 'e, morte à 68 ans, assez rapidement après 8 jours de mal
enseigne- ment sur les grands-parents paternels. Tante maternelle morte à 90 ans, de vieillesse. Un frère, 57 ans, marié,
rmi lesquels était une fille idiote et paralysée. Celte fille est morte d'accident à 10 ans : « elle est tombée dans le f
t à 80 ans, sobre, ni dément, ni paralytique. Grand'mèrepalcrnelic, morte à 78 ou 80 ans. Grand-père maternel, mort presq
maternel, mort presque subite- ment à 80 ans. Grand'mère maternelle morte à 52 ans d'une affection de la jambe ( ? ). Deu
enfants, qui sont actuellement très bien portants. Tante paternelle morte à 00 ans ? Cette tante a eu deux filles : l'une
sse coucha do 3 mois survenue à la suite d'un effort ; 2° Une fille morte à 10 jours de diarrhée Infantile. 3° Notre ma
e apoplectique (hémiplégie gauche). Cousine paternelle au 4° degré, morte èpileptique. Mère, grande et forte, ne : aquili
ines maternelles, mortes de la poitrine. Petite cousine maternelle, morte de la poitrine. Tante maternelle, hystérique. F
instituteur, sobre, mort à 72 ans d'une attaque de paralysie. Mère, morte d'une pneumonie, à la suite d'un refroidissemen
enfants, 3 bien portants, 3 morts on ne sait de quoi. Une soeur est morte à 15 jours. Deux oncles paternels, morts à 98 e
ans d'une fluxion de . poitrine ; une des filles de ce dernier est morte à 25 ans de la poitrine. Pas de -lante paternel
ernel, sobre, morl hydropique vers .V.l ans. Grand'mère maternelle, morte noyée par accident. Un oncle paternel est mort
elle. Un frère mort à 2 mois, on ne sait de quoi. 3 .sn'itcs, l'une morte à il ou 4 mois, l'autre à 27 ans après avoir él
âtre autour de l'anus sans prolapsus. P. 140 : H. 00; T. H. 38°, 9. Morte à 1 heure 1/2 de l'après-midi. Poids après décè
33 (1901) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 16
a matinée, a été opérée d'un cancer et que l'on croit sur le point de mourir . Notre jeune liile en éprouve une émotion considé
tte maison de santé, elle ne va guère mieux. Sa mère, qui n'est point morte et jouit d'une rémission, reprend sa fille auprès
uits, se fatigue, se surmène, et s'alimente insuffisamment. La malade meurt en septembre. Sa fille en éprouve une désolation
gauche un métronome et tient dans sa main droite qui doit être comme morte , une des deux extrémités d*un balancier. Va écran
la peur de ne pouvoir digérer ce qu'elle mange et qui a la crainte de mourir par le fait de l'absorption des aliments. Cette m
s chaque séance d'hypnotisme mange très bien et n'a aucune crainte de mourir pendant plusieurs jours, mais au bout de 8 à 10 j
hetaient à vil prix le bonheur de jouir de Dieu, et « je désirai de mourir ainsi. C'est pourquoi je me mis à me concerter
e suicide indirectement obtenu. Un être qui, par désespoir, se laisse mourir de faim, par exemple un chien, un oiseau ne comme
it tort de penser qu'il ne mange pas avec l'intention bien arrêtée de mourir . Cette mort par désespoir pourrait s'observer c
, robuste, de grande taille, est née à Lausanne (Suisse). Sa mère est morte d'apoplexie ; elle-même est hystérique. Chaque
er ancêtre connu s'appelait Robert. Jacques Ier dit d'Angennes, qui mourut en 1562, eut I2enfants, parmi lesquels 5 sont à s
is et Philippe. Charles I" d'Angennes naquit le 30 octobre 1530, et mourut le 23 mars 1587, à 56 ans, 4 mois et 24 jours.
is religieuses dont les noms suivent : 1° Clarice-Diane d'Angennes, morte le 9 mars 1670, abbesse d'Hières. 2° Isabelle-L
te le 9 mars 1670, abbesse d'Hières. 2° Isabelle-Louise d'Angennes, morte en 1707, dans un âge avancé. Abbesse de Saint-Eti
e 9 septembre 1657. 3° Charlotte-Catherine d'Angennes, née en 1623, morte le 21 mai 1691, dans sa 69° année. Elle avait fai
sœur Clarice-Diane. \ Claude d'Angennes naquit le 26 août 1538, et mourut le lo mai 1601, à 62 ans, 8 mois et 20 jours. E
nit, le 18 mars de la même année, l'église des Carmélites de Caen. Il mourut dans son prieuré de Monstiers. Philippe d'Angen
s de Halhvin, évoque d'Amiens, mort en 1537. Philippe de Halhvin, qui mourut avant son père et qui eut pour fils unique : An
prieur de Sausseuse et Éertin de Silli, qui eût trois enfants. L'un mourut jeune, un autre sans alliance et avant son père.
me était Charles de Silli. Des quatre enfants de ce dernier, l'un mourut sans postérité. Le deuxième était Louis de Siili.
novembre 1613, tué le 2 août 1640 ; 2° Marie d'Angennes du Fargis, morte jeune; 3° Henriette-Marie d'Angennes du Fargis,
ue lui causa l'affaire du formulaire, qu'elle tomba malade et faillit mourir . (1) Vies intéressantes et édifiantes des relig
ût 1640 (21 ans), son frère Charles fut tué. Sa sœur Marie était déjà morte , et son père, n'ayant plus qu'elle d'enfant, voul
leurésie exsudative purulente dont il ne voulut pas se soigner, et il mourut le 25 juillet 1889. La sitophobie dura dans ce
es d'occupations, et d'appliquer son esprit à quoique ce fut » Elle mourut à la chute des feuilles. En effet, le 29 septem
t il est question plus haut détermina chez elle une « appréhension de mourir », parce que, disait-elle, « elle n'étoit pas enc
, et, « toutes les fois qu'elle le sentoit venir, son appréhension de mourir redoubloit » (5). Mais plus tard, et alors que
lui-même eut la même pensée, puisqu'il dit : la jeune fille n'est pas morte mais elle dort (Mat-, IX, 24 ; Marc, V, 39). Il e
urs, très violentes, ne lui laissoient pas de relâche » (*). • Elle mourut le 21 avril 1706, à 67 ans. intelligence et éne
une inflammation du poumon, et de jeûner si rudement qu'il en faille mourir . C'est une espèce de folie de se traiter si cruel
e mourir. C'est une espèce de folie de se traiter si cruellement pour mourir jeune. Tantum Religio potuit suadere malùrum, dit
moient autant que la résurrection d'un mort » (*). Cette religieuse mourut le 24 juin 1662, à 20 ans, d'une maladie inconnue
roi fit sortir de Port-Royal les pensionnaires et les novices. Elle mourut « dans une maison séculière où elle avoit vécu co
bservation V. — Marie-Antoinette Le BLOND Marie-Antoinette Le Blond mourut le 6 janvier 1654, d'une maladie qui datait de si
ilité chez toutes ; 10° Deux.dontnous connaissons le genre de mort, moururent , (1) Viesint. III, 267. (2) Nécrologe de Port
'un érysi-pèle; 11° Quatre, dont nous connaissons l'âge de la mort, moururent : la premièreà 17 ans (Marguerite d\Angennes) ; l
d'Essènes, établie à quelque distance du rivage occidental de la Mer Morte . Us étaient distribués en divers groupes de cénob
la voie publique'. Notre malade est fils d'une mère hypocondriaque, morte à la Salpé-trière: un de ses cousins-germains pré
ius de Tyanef3) : Ce thaumaturge qui naquit sous le règne de Néron et mourut à Ephèse en 97, exécuta de nombreux miracles que
t enfin employer un raisonnement serré : Vous aurez plus de chance de mourir en reculant, frappés à la fols par les balles des
re préoccupation, exaspèrent son tremblement. Jadis, lorsque son mari mourut , elle se trouva désemparée ; elle crut même qu'el
seule « supporter le fardeau de l'existence » et elle désira vivement mourir aussi. Toute sa vie elle a été une inquiète. Aujo
en qu'elle en ait eu un il y a 12 ans, de son premier mariage, et qui mourut peu après sa naissance. Elle me consultait pour
et une femme décident de se suicider par l'oxyde de carbone; la femme meurt ; le mari survit, mais on l'accuse d'avoir voulu d
alade à la médication broinurée intensive. Depuis, la jeune fille est morte tuberculeuse. La tuberculose, s'élant greffée sur
de cette malade : Son père est sommelier et éthylique ; sa mère est morte à la suite de couches. Réglée pour la lre fois il
stifs et de l'anorexie. A 19 ans, elle devient enceinte. Son enfant meurt à l'âge de huit mois ; pendant quelque temps elle
ion révélée, aussi sûr que jamais de la puissance de la raison. Et il mourut en évoquant les grandes images de ceux qui surent
34 (1885) Archives de neurologie [Tome 10, n° 28-30] : revue des maladies nerveuses et mentales
les notes qui suivent. Antécédents. La grand'mère paternelle serait morte hémiplégique ; sa mère est morte de chagrin ( ?
s. La grand'mère paternelle serait morte hémiplégique ; sa mère est morte de chagrin ( ? ) à l'âge de trente-six ans. Son
'd'intermittences cardiaques. La malade s'affaiblit rapidement et mourut dans la nuit du 27 novembre, probablement par s
erf sciatique. Une grande amélioration s'en était suivie. Le malade mourut accidentellement cinq mois après. A l'examen mi
s où une grande amélioration avait suivi ce traitement. Le malade mourut deux mois après. A l'autopsie, on 1 V. t. IX; 1
élongea les quatre nerfs intercostaux inférieurs à un malade qui mourut le lendemain. La moelle épinière et les nerfs s
er : Un malade soumis à la traction bilatérale des nerfs sciatiques mourut le neuvième jour d'une hémorragie de la moelle.
le pus se fraya un chemin le long de la gaine du nerf, et le malade mourut un mois après l'opération. L'au- topsie fut fai
e crochet ne dépassait pas 600 gr. Sur six expériences, deux lapins moururent . Comme le poids de 600 gr. nous paraissait trop
es nerfs. Sur quarante lapins soumis à l'expérience, onze seulement moururent de mort spon- tanée ou à la suite de divers acc
our avec lui. Du côté maternel, nous trouvons que la grand'mère est morte d'un cancer à la bouche; la mère est très nerve
t bien portantes, mais trop petites pour leur âge, une autre serait morte de convulsions. Le malade en question a mar- ch
donc jamais retrouver cela, que vais-je devenir ? Je voudrais être morte / je suis folle et vous allez m'enfermer, etc. »
sa famille. - Les accouchements ont été naturels. Une petite fille morte à cinq ans ne dilférait en rien des enfants de
oire que la famille s'est éteinte en elle. Sur quatre enfants, l'un meurt à cinq ans ; les trois autres idiots, strabique
ropres qu'à exécuter des travaux manuels qu'il faut leur commander, mourront sans avoir été capables de se reproduire. - D
ant il battait souvent sa femme quand il était ivre.-11fère, serait morte enflée après avoir été longtemps malade. Trois
quoi.- Cinq soeurs dont quatre sont mortes jeunes; la cinquième est morte vers quarante ans, on ne sait de quoi; elle n'é
raineuse et goitreuse, elle voit aussi sept de ses frères et soeurs mourir jeunes, l'un de tuberculose. Avec de pareils an
ns rapportés en détail pour deux d'entre eux, et qui, lorsqu'ils ne meurent pas jeunes, en font des épileptiques, des ivrog
commerce de son père ; ? ? ? 3° Le troisième enfant était une fille morte de plitisie pulm'o- t\âirë' ! I'j'J Il 1 111J '
firmant qu'on vient de tuer la vipère : « Tiens, la voilà, elle est morte ! » Aussitôt sa physionomie se rassure. 14 fé
ion antécédente de l'appareil urinaire. Trois juurs après le malade mourut brusquement de syncope. 11 était alité depuis t
atteintes de psychoses puerpérales ; deux furent amélio- rées, une mourut , huit demeurèrent malades ; cinq d'entre elles
Micbot qui à déjà eu son heure de triste célébrité et qui vient de mourir à l'àsiio d'Orléans. En 1875, après plusieurs c
; mêriië au début, il était complètement incapable d'éducatiôii. 11 mourut de tuberculose. Aztt6psie. résidus dé léptoméni
né prématurément six mois ; entré à l'a- sile à l'âge de 4 ans, il mourut peu après de pneumonie càtar'rhale. 11 n'a jama
hospice, sans cesse occupé d'améliorer le sort de ses malades; il y mourut , le 25 octobre 1826, âgé de plus de quatre-ving
arut de la diarrhée, des escharres et le 28 février 1883, la malade mourut . Nous n'avons pas pu obtenir le protocole de l'
dorsale on remarqua un état maladif à la région lombaire. Le malade mourut de la thrombose 1 Idiopalhic latéral sclerosis.
Lapos..., sa cousine germaine, dont le père fut grand buveur, était morte aliénée à l'asile de Dijon. En ce qui le concer
tout le monde. Toutefois il était vrai qu'une demoiselle Lapos... , morte aliénée, était sa cousine germaine, et qu'en 18
seigner sur elle. D'un autre côté, une cousine germaine aliénée est morte à l'asile; le père de cette malade buvait, c'es
ès d'aucune sorte. - Dï'ére, ménagère, n'a jamais été nerveuse, est morte d'un mal de jambe. - -Deux frères, qui étaient
choléra en 1866, l'autre tué en z1 ? - Deux soeU1'S, dont l'une est morte en couches; leurs enfants sont bien portants. I
nfant dont elle est accouchée à l'hôpital Saint-Antoine, et qui est morte à trois mois. Après cette troisième couche, ell
rçon, Des... (Ons. V); -°2° fausse couche de sept mois ; - 3° fille morte à sept mois de convulsions ; - 4° Horni... Cons
nérations. Aussi de ces cinq malheureux enfants venus à terme, deux meurent , à quel- ques mois, de convulsions, deux sont i
de; aucun accident .nerveux ; quelques excès de boisson. - Mère : morte de la rupture d'une anévrysme ; pas d'affection n
urs deux mères portaient le même nom. Onze enfants : 1° une fille morte à un an sans avoir eu de con- vulsions ; parais
eorges), idiot, est encore actuellement à Maréville; - 6° une fille morte à huit mois de la variole, quoi- qu'elle eût, d
t que le vaccin eût bien pris ; - 7° une fille (Henriette), idiote, morte à la Salpêtrière à dix ans le 1er décembre 18 i
Le 10 avril 1872, l'enfant est atteint de bronchite généralisée il meurt le 30 avril. A l'autopsie, on trouve un ramolliss
MPLÈTE. Gui... (Henriette), entrée à la Salpêtrière le 9 juin 1873, morte le 4 décembre 1875 (service de M. llot.au). L
ains fais de sa vie antérieure. Se plaint de son ventre et voudrait mourir , mais pas avant d'avoir vu son mari. - Trois at
ntanée et l'hyperesthésie du vertex ont dis- paru. Ne parle plus de mourir . 27. - Attaque de léthargie suivie de contractu
vation LXXVIII, il précéda de très peu l'issue fatale, et la malade mourut délirante. Bien qu'on puisse tou- jours, chez u
us de son premier mari : voici le sort des sept autres : le premier meurt phthisique à quatre ans et demi, le second succ
jusqu'à vingt ans, elle était sourde, avait eu de la chorée, et est morte aliénée dans un asile : le sixième enfant a dû
lésions intestinales qui furent constatées après la mort; le malade mourut d'une méningite tuberculeusesiégeant, comme d'h
s. L'épidémie, d'une énorme densité, se montra bénigne puisqu'il ne mourut personne ; en revanche, on constata une fièvre
car, si la théorie était vraie, aucun de nos cinq malades n'eût dû mourir . En résumé, trois pratiques sont en présence :
ur passif et systéma- tique de l'inanitiation; 2° s'il doit laisser mourir un sitiophobe obstiné ; 3° s'il doit l'alimente
a vie. Les malades qui succombent malgré l'alimentation à la soude, meurent par inassimilatiou des parois digestives, par d
35 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
it, se lève parfois et marche tout endormi. - Grand'mère maternelle morte à quatre- vingt-huit ans; elle était paralysée
18 mai, état stationnaire. - Le malade mange un peu. Le 19 mai, il meurt subitement. - Ses voisins n'ont pas remarqué qu
ubitement. - Ses voisins n'ont pas remarqué qu'il ait fait avant de mourir le moindre mouve- ment. 68 CLINIQUE NERVEUSE.
tuellement bien portante. [Père, pas de détails. Mère, migraineuse, morte du choléra. Une saur et trois frères DE L EPILE
Les régions modérées. U. Etes-vous marié' ? - R. La terre n'est pas morte , on peut vivre encore; c'est un pava perdu. I
us votre père ? E<=t-il mort ? R.fH'et cer- tainement ; si on ne mourait plus, c'est preuve qu'ily aurait cause à cela.
gne, fut mandé pour ouvrir une femme de maison qu'on estimoit eslre morte par une suffocation de matrice. Le deuxiesme co
t DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTERIQUE. 93 optant exilé, tost après mourut de desplaisir : qui n'a esté sans une grande pe
'hystérie, mais A. Paré a bien soin de spécifier que la femme était morte on le croyait tout au moins d'une 1( suffocatio
vre, chap. uv, p. 976 : Les signet pour cognoistre si une femme est morte ou non par une suffocation de matrice. OEuvre
maître la nappait à coups tte verges, et, pour savoir si elle était morte , on Jui lit mettre le feu aux parties les plus
u aux parties les plus sensibles; elle ne s'éveilla pas. On la crut morte et on l'aban- donna; le lendemain on la trouva
. On l'enferma dans une chambre; aussitôt elle se coucha et parut morte : on la remua, elle ne le sentit point; on lui ap
te en février 1884; on l'apportait à la clinique le H juin 1884; il mourait le 9 juillet dans le collapsus, le coma, la cya
ngs jeûnes; mais tous ont été entretenus par la viscosité des hu- meurs et une douce chaleur. Dans cet homme si patient,
de la pathologie du système nerveux, né à liouen en 1830, vient de mourir à Paris. Il était inspecteur général des établi
Mathieu se maria à vingt-un ans et devint père de six enfants, qui moururent dans la première enfance, à la suite de diarrhé
erver dans le service de M. Moutard- Martin le fait d'une femme qui mourut dans le coma après avoir présenté tous les symp
faisant l'autopsie d'une malade atteinte d'eczéma gé- néralisé et morte de bronchite. Il n'y avait eu d'ail- leurs aucu
s de l'épilepsie larvée. Observation XXXVI. Grand'mère paternelle morte d'apoplexie. Grand-père ma- ternel alcoolique.
un refroidissement ( ? ) en trois jours ; tisserand, sobre. - Mère, morte à soixante-douze ans, d'une attaque d'apoplexie
umeur abdominale à soixante-cinq ans, sobre. Grand'mère maternelle, morte de vieillesse à quatre-vingt-sept ans. Pas d'al
°, matin et soir. Symptômes de conges- tion méningitique. Le malade meurt à 7 h. 45 du matin. T. R. immédiatement après l
re maternelle hystérique. - Une tante maternelle phthisique. Soeur, morte de convulsions. - Gémellarité. , Premières conv
à lui. Observation XLV. Mère, nerveuse, inconduite, migraineuse, morte phthisique.- Cousin germain idiot. Frères, morts
ce en médecine légale est bien moindre. Observation XLVII - Mère, morte d'un cancer au sein. Début de l'épilepsie vers
ecteur le soin de juger eu dernier ressort. Observation LUI. Mère morte maniaque. Signes légers de dégénérescence. Débu
t un individu pâle, un peu chétif. Son père vit encore, sa mère est morte maniaque à l'âge de quarante ans. Frères et soe
videmment autre que la léthargie hystérique. Elle fut veillée comme morte et partant ne dut pas manger; cependant elle re
première fois qu'elle fut prise de cet etonnaut sommeil, on la crut morte ; comme elle était infiniment pieuse, son corpsfu
ction ne se manifestant, il transpira parmi le peuple qu'elle était morte en odeur de sainteté : cette opinion devint uni
de faits, une anesthésie complète. Dans les cas légers, les dor- meurs peuvent encore par action réflexe mise en oeuvre
e la malade montrât quelque contractilité. M. Frank même la jugea morte , mais en conseillant toutefois de la laisser dans
nt à la connaissance et me dit en riant : « Je suis trop jeune pour mourir . » On la trans- porta de suite dans un autre ap
ent n'eut pas de suites fâcheuses, mais six semaines après elle est morte dans l'espace de six heures. Mon absence ne m'a
tique et état syucopal. Elle s'affaisse sans proférer une parole et meurt vers onze heures dans un coma apoplectique. »
rs 1887, p. 25t. DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. 128-1 i lade mourut de pneumonie et l'examen le plus minutieux ne r
complète, le malade tire sa jambe après lui, comme si elle était morte , balayant le sol'. » Si la description de Todd
t heures, mais dans une des dernières attaques, elle fut prise pour morte ; déjà enterrée le fossoyeur voulant s'emparer des
res Pare, mort en 1856, de la fièvre jaune dans les colonies. Mère, morte d'un accès de fièvre pernicieuse, contractée à
tc. Ces acci- dents persistent pendant près de dix ans. Le malade meurt d'une affection tuberculeuse aiguë intercurrente
e. Un oncle maternel est épileptique, une sceccr de la malade est morte de méningite à l'âge de cinq ans. Antécédents p
, qui souffrait habituellement de mi- graines et de névralgies, est morte , il y a huit ans, après être restée hémiplégiqu
iplégique du côté droit pendant trois ans. Grand'mère mater- nelle, morte aliénée. Un frère de S... est paralysé depuis son
soixante ans à la suite d'une maladie de coeur. Mère épileptique morte il y a neuf ans; un frère de la malade est choréi
nous consulter le 1 octobre 1887. Antécédents héréditaires : Mère morte phtisique, père ataxique. La malade a trois soe
ataxique à l'âge de cinquante-huit ans, mère, très nerveuse, est morte à l'âge de soixante ans à la suite d'un cancer ut
achait dans la famille; grand' mère maternelle très nerveuse ; mère morte diabétique ; une tante maternelle migraineuse et
veuse ; mère morte diabétique ; une tante maternelle migraineuse et morte hémiplégique ; un cousin germain de la mère mor
e, a eu souvent des crises hystériques ; une sceun de la malade est morte à la suite de l'opération d'un bec de lièvre doub
i- neuse. Grand-père maternel alcoolique. Grand'mère mater- nelle morte phthisique. Vertiges à cinq ans. Accès procursi
ier, mort à l'âge de soixante et onze ans, on ne sait de quoi. Mère morte de vieillesse ( ? ) à l'âge de soixante-dix ans
nt naturel, mort alcoolique, à l'âge de soixante ans environ.- Mère morte à trente-cinqans de bronchite. Pas d'aliénés, p
ement purgatif. Potion de Todd et lait. Soir : T. R. 42°. Le malade meurt le 16 septembre à une heure du matin. Températu
36 (1891) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 04] : clinique des maladies du système nerveux
a jamais eu d'autre maladie qu'une fluxion de poitrine. Sa mère est morte à cinquante-neuf ans : elle était hémiplégique
morts : trois en bas âge, de convulsions ; une de ses soell1'S est morte à vingt- six ans de septicémie puerpérale; elle
s été malade. C'était un homme sobre mais très violent. Sa mère est morte à quarante-deux ans ; elle était épileptique ;
eu dix frères ou soeurs morts en bas âge pour la plupart. L'une est morte dans un accès d'épilepsie; une autre avait des
sives. Un oncle paternel s'est suicidé ; une tante pater- nelle est morte d'aliénation mentale dans une maison de santé.
e marie et devient en quelques années père de quatre enfants : deux meurent en bas âge, deux sont vivants : l'une a des attaq
héréditaires. Père mort accidentellement; n'était pas nerveux. Mère morte d'apoplexie cérébrale suivie d'hémiplégie gauche.
s pupilles dilatées étaient immobiles. Quatre jours après, l'enfant mourut , et l'autopsie ne révéla aucune altération appréc
ssance sous le coup d'une violente émotion; la première fois, quand mourut sa femme; la seconde fois, quelques mois plus t
avec des symptômes identiques et une évolution analogue. Le malade mourut le 2 mars 1881 et l'autopsie resta négative. Ca
ebauer entre à la Charité le 4 août 186(i, à l'âge de dix-huit ans, meurt le 5 octobre 1875. Antécédents héréditaires. Pè
out celui de sclérose en plaques. Plusieurs années après, ce malade mourut dans son service. Dans le cerveau, dans la moelle
ne retrouve absolument rien dans les antécédents. La mère, qui est morte d'une pleurésie à trente- sept ans, avait toujo
le 15 avril 1890, salle Prüs, n° 10. Antécédents héréditaires. Mère morte iclérique à soixante-deux ans. Père en bonne sa
mouillée; l'air devenait irrespirable, elle étouffait, elle allait mourir . Voilà tout ce qu'elle avait vu et toutes ces c
e son fils et est mort d'accident. Sa mère était migraineuse et est morte d'un cancer utérin. Un oncle maternel est sourd-m
Charcot le 26 juin 1889. Antécédents héréditaires Mère épileptique, morte en état de mal, a l'âge de trente-six ans. Père
mort de la fièvre jaune à la Nouvelle-Orléans en 1858; sa mère est morte d'une paralysie qui commença par les pieds et d
ré- tend-on, à Louis le Débonnaire, à qui il avait été prédit qu'il mourrait empoisonné par une hostie. Mais, à dater de Lou
er que Charles IX et François II qui gué- rissaient les écrouelles, moururent eux-mêmes tuberculeux ? GILLES DE la TOURETTE.
inière de grande maison qui abandonnait ses enfants el qui « se fit mourir » en s'adonnant il la boisson, lorsque son fils eu
s, elle s'attriste de son état qu'elle croit incurable et a peur de mourir à la moindre indisposition. Sauf cet état menta
cédents héréditaires. Père, mort d'accident, pas nerveux. -1}1 ère, morte d'une affection cardiaque (quarante-neuf ans), rh
pas connu de la malade. Grand'- mère pas nerveuse, sanlé parfaite, morte à quatre-vingt-deux ans. Mère su- jette à des a
deux mois et qui a disparu brusquement. Sept soeurs : l'une d'elles, morte de méningite tuberculeuse; deux sont hystérique
tremblement hystérique. Or, dans la nuit du 6 septembre, la malade mourut subitement. A l'autopsie nous avons pu constate
orté par la malade. Quatre jours après avoir quitté l'hôpital, elle mourut subitement avec des phénomènes de dyspnée. La p
son tour : c'est ce qui est arrivé chez la malade de Seeligmùller, morte d'accidents pulmonaires d'origine cen- DE L'OPH
; des râles emplirent la poitrine; finalement il devint délirant et mourut d'asphyxie pulmonaire. Autopsie. Cerveau normal
es se montrent accidentellement. Aucun symptôme cérébral. Le malade meurt subitement, trois mois après son entrée l'hôpital
réquent, petit. Le lendemain, il tomba dans une torpeur profonde et mourut deux jours après. Bcetticr fait remarquer que l
te, elle a eu sept enfants, dont trois sont morts jeunes (une fille morte onze ans de méningite, un garçon de sept ans mort
técédents. - Le père de la malade était très irascible; sa mère est morte hémiplégique. Trois soeurs non nerveuses. Elle-mê
taires. Père mort, il y a cinq ans, de tuberculose pulmonaire. Mère morte de ( ? ). Une soeur hystérique (attaques convul-
ce diagnostic, à cause des antécédents, resta en suspens. La malade mourut , et, à l'autopsie, en dehors des lésions intestin
semble qu'elle comporte un enseigne- ment précieux. La malade était morte de fièvre typhoïde; les divers viscères, le cer
enseignements inconnus. Oncles et tantes, .une tante paternelle est morte à quarante-sept ans, de tuberculose pulmo- nair
é des grands-parents, rien d'inléres- sant il signaler. Sa mère est morte à l'âge de soixante ans; elle était aliénée dep
u sa mère; il a un frère qui est bien portant 'et une soeur qui est morte d'apoplexie cérébrale. Quant à ses oncles, tant
au point de vue nerveux. Il les a peu connus. Une de ses tantes est morte d'hé- morrhagie apoplectique. Antécédents per
deux ans, un exemple fort curieux d'ataxie locomotrice. Son malade mourut , et, à l'autopsie, on ne trouva aucune lésion m
symp- tômes classiques de l'hystérie et de troubles psychiques; qui mourut de tuberculose. Au lieu d'une autopsie négative
incrimine l'alcoolisme. Il est admis en effet jusqu'ici qu'on ne meurt pas d'hystérie, et nous croyons que, chez ce ma
au dire de son mari, mais son facies était si altéré qu'on l'a crue morte pendant quinze minutes. On lui a fait boire de la
Le 27 juin 1885, la malade éprouve une violente émotion, en voyant mourir de tuberculose un de ses frères qu'elle affecti
ort à soixante-douze ans d'un cancer du sein. Grand'mère maternelle morte il soixante-dix ans. Grand-père maternel mort à
1. UNE ANOMALIE MUSCULAIRE UNILATÉRALE. 157 Grand'mère maternelle morte d'un cancer de l'estomac à l'âge de quarante- q
six ans, atteint de bronchite chronique; 2° fille, née avant terme, morte à un mois; 3° notre malade; 4° fille morte de con
fille, née avant terme, morte à un mois; 3° notre malade; 4° fille morte de convulsions à dix-sept mois; 5° fils mort ph
ions à dix-sept mois; 5° fils mort phthisique à vingt ans; Go fille morte à quatre mois de méningite; 7° fille âgée de vi
eux et de mort9. Erb rapporte un cas analogue : le malade tabétique mourut subite- ment le cinquième jour du traitement, a
naire, aux seconds on attachait encore des poids. Les premiers ne mouraient pas, et qnand on les sacrifiait on ne trou- vai
système nerveux. Quant il ceux qui avaient des poids attachés, ils mouraient généralement après la dixième séance. 480 NOUVE
'une « hydropisie des jambes ». Le malheur fut que Court de Gébelin mourut quelque temps après avoir annoncé sa guérison, ur
it part de son décès en ces termes : « M. Court de Gébelin vient de mourir guéri par le magnétisme animal. » Un anonyme co
e des premières et des plus ferventes adeptes du magné- tisme. Elle mourut également chez Mesmer des suites d'une paralysie
, femme d'un huissier-priscur. Atteinte d'un carcinome utérin, elle mourut , elle aussi, comme Court de Gébelin, comme la m
37 (1899) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 14
très chargée. Marié h l'âge de 19 ans, il n'a eu qu'une petite Allé, morte de convulsions, et un fils, qui C3t précisément l
sçais le respect qui est dû aux premières puissances de l'Eglise ; je mourrais d'aussi bon cœur pour le conserver inviolable, co
d'aussi bon cœur pour le conserver inviolable, comme je suis prête à mourir , avec l'aide de Dieu, pour la confession de ma fo
issement déterminé par la douleurque ces événements lui causèrent, et mourut le i octobre 1661, a l'âge do trente-six ans. L
Nicole enfin parle à Gilberte, * de la piété non discontinue » de la morte , de sa « dévotion sans éclat et toute solide, acc
y a une ballade irès populaire en France : la jeune fille qui fait la morte pour son honneur garder. Trois capitaines, enlève
pitaines vous passerez la nuit ». Au milieu du festin, la belle tombe morte , et on l'enterre « dessous des fleurs de lis ».
ez ces portes. — Mon père si vous m'aimez. — J'ai fait trois jours la morte . — Pour mon honneur garder. * Georges Doncieux
xistence (poly-zoisme). Tous ces travaux restèrent longtemps lettre morte . En ces dernières années, d'autres savants les re
est qu'il a eu le rare bonheur de vivre vieux. Combien ont semé qui meurent sans voir les récoltes ! D* Félix IÎEGNAULT.
au monde, il dît simplement : « Dieu nous fasse la grâce d'aussi bien mourir , » a Non seulement il n'avoit point d'attache pou
«qu'il en versait des larmes, » le viatique et l'extrême-onction, il mourut , le 19 août 1662, à une heure du matin, âgé de tr
sut à son tour la détourner du mariage. Sur ces entrefaites, Singlin mourut , et Gilberte quitta Paris. C'était en quelque sor
nstituée et fréquemment malade, ne se mariât point. Un de ses enfants mourut en bas âge. Un autre naquit contrefait. Un troisi
vec Port-Royal, fut "agent des religieuses pendant la persécution, et mourut en odeur de dévotion, le ? octobre 1696. Déjà F
me plusieurs années pour surveiller l'éducation de ses enfants, était morte comme lui de mort subite, le 25 avril 16»7, à l'â
peu cependant sa volonté se dégagea, et il put se marier en 1677. Il mourut moins d'un an après, âgé de trente-huit ans. Se
n 1679, époque où Arnauld et Nicole quittaient Paris. Biaise Périer mourut sous-diacre, le 15 mars 1684, âgé de trente ans e
Pierre-de-Clermont, puis chanoine de la cathédrale de celte ville. Il mourut le 13 octobre 1713, âgé de soixante-trois ans.
vec sa mère et Marguerite. Continuellement accablée de maladies, elle mourut le 9 avril 1695, après uno vie malheureuse et sol
mais, ici et là, elle observait la retraite et la pénitence. Sa sœur morte elle se fixa définitivement à Clermont chez son f
mbée malade/page> page n="82"> de la complication dont elle mourut , elle demanda la communion. Maie, avant de la lui
s, les évûques de Senez et de Montpellier. Elle s'y refusa, et serait morte san3 sacrements, si Massillon, évequede Clermont,
ement tenté d'adoucir le curé, ne lui avait envoyé un vicaire. Elle mourut le 14 avril de cette année, à l'Age de quatre-vin
prits, nous dit-elle elle-même, elle divague un peu et elle a peur de mourir . — Elle n'a donc pas en ce moment tcute sa lucidi
à grand tapage. Elle disait qu'elle était malhem-eufe, qu'elle allait mourir . Elle criait, mais ne perdait pas connaissance ;
nne des époux Norman, condamnés par le juge Riddley pour avoir laissé mourir , faute de soins, leur fille Grace, âgée de cinq a
o l&amp;HJ./page> page n="164"> Plusieurs de nos dévots moururent jeunes : Antoine Le Maistre à 50 ans. Catheri
(5) Sécrologe de P. R./page> page n="165"> et Pierre Moreau moururent de cette affection. Florin Périer et Gilberte Pas
Moreau moururent de cette affection. Florin Périer et Gilberte Pascal moururent de mort subite. Mlle do Montpensier(1) trouvait
corps a comme un squelette » (*) (Suzanne Robert), et parfois ils en meurent (Antoine Singlin) C'en est assez pour définir l
C'est la continuation et le renouvellement essentiel de la vie. Nous mourons en détail à tous les instants {quotidie morior, d
nt en Amérique de la Société des Recherches psychiques de Londres. II mourut à trente-deux ans, d'une chute de cheval. Cinq se
par malheur, un malade chloroformé dans un but de suggestion vienne à mourir entre nos mains. Les experts, avec les dispositio
e que la vie actuelle lui est impossible. Puisqu'elle est certaine de mourir , elle aime autant en Unir do suite. A plusieurs r
danum : elle me prie de lui indiquer uu poison plus efficace, alin de mourir avec son amant, auquel elle a du reste proposé uu
aire dont l'évolution continua lente mais progressive. Lo malade vint mourir dans une de ses propriétés aux environs de Paris.
ueline Pascal écrivait, dans la Méditation citée plus haut : «Je dois mourir au monde par amour envers Dieu »; et, parlant de
se bien marier, elle s'adonna à la poésie religieuse. « Je dois faire mourir en moi la chair et tous ses désirs » écrira-t-ell
t je l'ai compris. • • * Mme B... est âgée de 34 ans. Sa mère est morte albuminurique à 67 ans, son père est eczémateux,
lle chérissait beaucoup et auquel son mari devait sa situation vint à mourir : elle en éprouva un très grand chagrin. Notons q
roie à une idée fixe : on la poursuit, on veut lu frapper et la faire mourir ! Elle entend des menaces; elle connaît les gens q
e modifient et évoluent. Tantôt Mme B .. s'écrie : ß Nous allons tous mourir ! » Tantôt des hallucinations visuelles survienne
900. Une femme avait une passion pour son chat; comme celui-ci vint à mourir , elle en fut tellement affectée qu'elle ne tarda
n. Observation.—Antécédents héréditaires.— La mère de la malade est morte il y a 13 ans, après avoir souffert pendant deux
38 (1899) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 12]
; il exerce la profession de maçon. Sa mère, une « nerveuse », est morte phtisique. Son père vit encore et se porte bien
ans, qui, elle aussi, a eu des convulsions. Il a perdu une soeur, morte , à l'âge de 7 ans, d'une maladie dont il ignore
hie s'empare des muscles dans lesquels la paralysie s'établit à de- meure . L'atrophie musculaire, qu'on voit survenir dans
me; la première ne criait pas, ne remuait presque pas, était mal et mourut le 15e' jour par débilité; trois jours après, sa
t mourut le 15e' jour par débilité; trois jours après, sa soeur est morte de diarrhée.A l'autopsie, le système nerveux cent
uefois seulement l'autopsie. Cas III. La fillette venue à terme est morte avec une hydrocéphalie très marquée. Les os du
écu jusqu'à ,1 81 ans ; il travaillait encore à 70 ans. Sa mère est morte à 60 ans asthma- tique. Ni dans les ascendants
; pourtant, ce mal n'était pas sans attraits. Au surplus, l'on n'en mourait guère. Nécessairement, la Faculté en fut émue.
r son médecin. « Ah ! Docteur..... C'en est fait de moi. Je me sens mourir ! ... Tous vos bons soins ne sauraient me tirer
enfants le 23 février 1899. Père âgé de 37 ans, tubercu- leux. Mère morte tuberculeuse à l'âge de 27 ans, 8 mois après la n
se, migraineuse, goitreuse. 2 fausses cou- ches. 6 enfants dont une morte de scarlatine à 7 ans. Antécédents personnels.
été obèse, mais ne présentait aucune anomalie ni déformation. Mère morte en 1884 à t'age de 62 ans d'une maladie de coeur
de sang, cela régulièrement tous les trois mois. Une soeur aînée morte phtisique à 26 ans, laissant des enfants bien por
; elle fut prise alors de convulsions violentes suivies de coma, et mourut au bout hérédité SYPHILITIQUE A TRÈS LONG TERME
elle me disait que, exactement comme ses autres enfants, elle était morte le 14 octobre dernier à l'âge de 18 mois ; elle
ite ; l'enfant était restée trois jours sans connaissance, et était morte , comme ses 4 soeurs et ses deux frères du premi
is amatoria, laquelle est engendrée, comme chacun sait, par des hu- meurs pntrides et conglutineuses qui sont recuites dans
ingt ans d'une union d'où naquirent plusieurs enfants, Marga- rethe mourut . Jan Steen resta veuf pendant quatre années,, pui
van Egmont, dont le mari avait été imprimeur et libraire. Il devait mourir lui-même, six ans plus tard, en février 1679.
xer dans sa ville natale où il ouvrit un atelier très fréquenté, et mourut prévôt de la Monnaie. Il peignait dans tous les
La figure 4 montre une femme atteinte de cachexie strumiprive. Elle mourut trois jours après que fut prise cette photographi
culs biliaires. Elle a toujours eu des règles profuses. Sa mère est morte d'un calcul hépatique enclavé ; son grand-père
t articulaires très intenses, attribuées au rhumatisme. Sa mère est morte d'albuminurie. Le traitement commence en avril
cachectique, qu'on était obligé de le porter. J'ai cru qu'il allait mourir dans mon cabinet. Ce gamin fume ses quatre cigare
être fortement affai- blie. Son père est encore en vie; sa mère est morte d'albuminurie à l'âge de retour. Notre patiente
ieurs fausses couches avant de porter à terme des jumeaux dont l'un mourut quelques heures après sa venue. La troi- sième
x rhumatismes que la douche lui a con- férés. Une de ses soeurs est morte tuberculeuse. Ses deux frères sont sujets à la
ensible, et un gros ovaire se trouve dans le Douglas. Sa mère est morte de tuberculose. Trois de ses tantes du côté pater
nts. Le père est mort à 57 ans, d'une maladie de coeur, la mère est morte à 30 ans de suite de couches. Une soeur est mor
ur, la mère est morte à 30 ans de suite de couches. Une soeur est morte à 35 ans, il en reste une autre, mariée, bien por
Antécédents . - Son père est mort à 60 ans subitement, sa mère est morte à 70 ans de tuberculose pulmonaire probablement
à 65 ans des suites d'un accident de che- min de fer ; sa mère est morte subitement à 60 ans ; une soeur est morte à 15
min de fer ; sa mère est morte subitement à 60 ans ; une soeur est morte à 15 ans pendant une fièvre typhoïde ; il reste
, lit n° 14. , Antécédents. Le père est mort à 84 ans ; la mère est morte du choléra en 1849, à 32 ans. Elle a un frère
le. La pauvre fille se croit sûrement condamnée ; elle se prépare à mourir saintement, soutenue (1) N° 1381, B. Il, 43. L,
Antécédents héréditaires. Père mort à 61 ans, cause inconnue; mère morte à 71 ans ; a eu 2 frères et 1 soeur. Les deux
eure, l'autre à 14 ans. Le fils de 37 ans, marié, a perdu sa femme, morte tuberculeuse à l'hôpital de Nancy. Remarié. D
erveuse ni d'atrophie muscu- laire. . Père mort il 80 ans. Mère morte à 45 ans. A encore une soeur de 58 ans bien por
7 juillet 1888 (PI. LXI, fig. E). Antécédents héréditaires. Mère morte à 57 ans après une maladie qui aurait duré 7 an
aurait duré 7 ans ; elle était sans force dans les membres et serait morte dans un grand état d'amaigrissement. Père mor
dité ET parenté. Les grands-parents ont atteint un âge avancé; mère morte à 57 ans, asthmatique; père mort d'accident. Un
'une bonne santé, serait mort en 1870 de la variole. Sa mère serait morte en 1882 d'une maladie qu'il ne peut spécifier. Il
ions. Dans la première, le père est triste et mélancolique, la mère meurt d'apoplexie ; sur dix en- fants, deux se suicid
eu de buveurs. - Thomas (33) signale une acromégalique dont la mère mourut mélanco- lique dans un asile d'aliénés. Le ma
r- veux, bizarre et exalté. Le père d'un malade d'Uzverricht (34) meurt d'apoplexie. Un autre malade d'Haskovec (13) a
suicide par submersion, et qui, retiré de l'eau par des bateliers, meurt le surlendemain dans le coma après deux jours d
técédents. Son père est mort à 63 ans accidentellement, sa mère est morte à 74 ans d'une affection pulmonaire aiguë. Elle
7 ans. Elle a eu deux filles ; l'une est bien portante, l'autre est morte il 24 ans, ayant présenté pendant 5 ans, de gra
Le père est mort à 72 ans, d'une fluxion de poitrine ; la mère est morte à 40 ans, un an après avoir accouché de sa fille,
. tout ce que vous voudrez, c'est fini... Bien mieux quand je serai morte . » Elle regarde à peine les ima- ges et les obj
que vous voudrez, c'est fini, c'est fini, bien mieux quand je serai morte . Question : Avez-vous des enfants ? Réponse :
plus fréquentes, l'intelligence a baissé rapidement. La malade est morte avec des symptômes d'une hémorrhagie cérébrale
es-le Monsieur. Peut pas dire, il n'y a que moi, peux pas dire ; je meures ! (elle se fâche.) Vous appelez-vous Martin...
ématié des deux mem- lires inférieurs, pieds, jambes et cuisses. Il mourut brusquement, parait-il, en 48 heures « l'enflur
Le grand'père paternel se porte bien, la grand'mère paternelle est morte a la suite de couches, les grands-parents mater
t adonné il la boisson qu'après la naissance du malade. La mère est morte ci 48 ans hydropique. Un frère a été emporté pa
39 (1910) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 23] : iconographie médicale et artistique
il paraît qu'il était un homme assez vigoureux et bien portant. Il mourut à de Go ans d'une maladie de coeur après une qu
lle assez élevée pour une femme, sans toutefois être anormale. Elle mourut à l'âge de 70 ans d'hydropisie. Michel eut ci
atuellemellt deux frères et deux soeurs sont encore vivants. L'aîné mourut à l'âge de 61 ans à la suite d'une maladie épid
rande taille : 1 m. 85. Le troisième des frères alla en Amérique et mourut à Rosario d'une attaque de choléra, il atteigna
ôt agrandie. Après quelques mois de séjour à l'Hôpital, le malade mourut , on fit l'autopsie qui confirma l'existence d'u
s semblaient être les testicules. Le premier de ces deux cas vint à mourir en conséquence de la maladie de Banti qui avait
de réactions (perte de connaissance). Le ' même soir, la malade est morte . 1 , A l'autopsie, on a trouvé de nombreuses mé
eur fut impossible ; le malade gravement atteint quitta Varsovie et mourut bientôt après. RÉSUMÉ,- Dans ce cas,les symptôm
tendon d'Achille très vifs. Phénomène de Babinski (1) La malade est morte . L'autopsie a démontré l'existence d'un sarcome d
lor-Waterman, cas de cancer). Exceptionnellement les foyers des tu- meurs métastatiques se produisent au sein de la moelle
'issue des maladies. En effet pour savoir si un malade va guérir ou mourir , il suffit de lui présenter un charadrios. Si l
calandre sauvage. Elle a détourné de lui son regard ; aussi va-t-il mourir : - « ..... Mais jou ne puis trouver Fors que
eu neuf enfants tous vivants et bien portants. Aucun de ses fils ne mourut en bas âge ; une fille seule est morte à la sui
tants. Aucun de ses fils ne mourut en bas âge ; une fille seule est morte à la suite d'un accouchement, et un des fils, q
aiblis chez les vieillards. Son mari, le grand-père de nos malades, mourut en 1898 à l'âge de 70 ans d'une maladie pulmona
neur, il tomba malade d'anthra- cose pulmonaire, revint chez lui et mourut dans sa chaumière en 9 : )OU., à l'îige de 50 a
e l'observation II. 1892. Marie (naissance à terme, sans dystocie), morte à 2 ans, après une coqueluche très grave. 189
aires. - Père mort de congestion cérébrale à l'âge de 79 ans ; mère morte à l'âge de 78 ans. Un frère est mort à 40 ans à l
e ; il ne peut pas vivre avec si peu de sang. Il pré- tend qu'il va mourir dans quelques moments ; il nous supplie à genoux
ac ; il peut vivre sans manger et est immortel ; il- est condamné à mourir dans 8000 ans.Depuis quelques jours, M. A. fait
volume d'un oeuf de poule passait sur la cage thoracique. La malade meurt le 12 octobre 1903. L'autopsie (Dr Steinhaus) m
la vertèbre. Sur les IIe, IVe vertèbres dorsales on trouve des tu- meurs ressemblant à des queues d'écrevisses et qui par
d'urine. Dans l'urine pas de sucre, pas d'albumine. La malade est morte le 10 septembre dans la nuit. La moelle épinièr
ds.Incontinence de l'urine et des matières fécales. La malade est morte le 29 septembre. A l'autopsie on a trouvé : les
mbres inférieurs et supérieurs. Sensibilité troublée. La malade est morte un an à peu près après le début de la maladie.
nit aux tumeurs intravertébrales et il a tort à notre avis. Ces tu- meurs ont un point de départ en dehors de la colonne ve
canal rachidien, alors nous avons affaire à une combinaison de tu- meurs extra et intravertébrales. Mais comme forme typiq
arents, marchands d'al- cool en Normandie, buvaient immodérément et moururent tuberculeux. Des trois oncles maternels, tous g
d'mère, normale, eut sept enfants : deux sur trois d'un premier lit moururent tuberculeux. Du deuxième lit naquirent le père de
s ivre, et très violent. Le grand-père paternel était alcoolique et mourut gâteux ; la grand'mère est méchante, hargneuse
s, plus de la moitié tous les garçons sont bègues ; une cousine est morte de convulsions, Fic. 1 LA BRACHYMltLIE iIITAP
Notre malade est née la troisième de cette union malheureuse. L'aîné mourut à dix ans de méningite ; le deuxième est violen
e haute taille, bien bâti et n'avait jamais été malade. La mère est morte , il y a 29 ans, après une longue maladie, qu'on n
otre malade. Elle n'eut jamais de fausses couches. Deux des enfants moururent tout de suite après l'accouchement, l'un d'asphy-
asphy- xie et l'autre d'ictère (il était né ictérique) ; les autres moururent en bas âge à cause de maladies intercurrentes ;
que ou chlorotique naissent des enfants de complexion délicate, qui meurent peu après leur naissance ou, s'ils vivent, ont
s de choléra ; ses aïeuls sont morts tous très vieux. Une soeur est morte à 79 ans Nouvelle Iconographie de la Salpûtrii'
, jus- qu'au moment où, quatorze mois après l'infection, le patient mourut . L'autopsie fit relever une forme vasculaire de
loniques, à la suite desquelles se manifesta une parésie droite. Il mourut en janvier 1899. A la section, on trouva une mé
ite avec aphasie et symptômes de paralysie du nerf vague ; le sujet mourut . A l'autopsie, on trouva des altérations ' éten
s membres de droite, une parésie de l'abducteur de gauche. Le sujet mourut d'une pulmonie. L'autopsie permit de relever un
du processus mastoïdien. Un an environ après l'infection, le malade mourut . L. 2° (Obs. 145). Homme de 30 ans, pris, trois
gré la continuation d'une cure iodo-mercurielle intense, le patient mourut quelques mois après. Il s'agit donc dans les
pseudobulbaire rebelles à tout trai- tement, si bien que le malade mourut en peu de temps. Donc, la raison pour laquelle,
lysie persista après l'opération, la fièvre prit place et le malade mourut quelques jours après l'opéralion. Dans la moell
juin. Etat fiévreux. Pouls petit, accéléré. 27 juin. La malade est morte . Autopsie. La dure-mère incisée à l'opération s
complètement paralysées et sont devenues insensibles. La malade est morte neuf jours après l'opération en présentant des
a malade ne réagit point ou faiblement quand on l'appelle. Elle est morte le 25 juin 1907. Autopsie. Déjà avant l'incis
la suite des lésions de la capsule interne. Chez une hémiplégique, morte six semaines après un ictus causé par une embol
diviser en deux branches, l'une sur la face interne du bras venant mourir vers le bord postéro-interne du bras, l'autre cro
térieure du bras, descendant parallèlement à cette ligne pour venir mourir au-dessus du pli du coude. Ce groupe de taches
amillaire (fig. 6), jusqu'au bord inférieur de la 7e côte, pour venir mourir sans estompage sur la ligne médiane antérieure
environ, femme de service, mariée. Père mort de pneumo- nie ; mère morte paralytique à 86 ans. Deux soeurs mortes en bas-â
che ; il 22 ans, un accouchement normal, à terme, d'une fillette qui mourut au bout d'un mois. Pas de signe d'Ar4,yll ; réf
fait plusieurs fausses couches. Cinq enfants sont plus jeunes; deux moururent de convulsions ; les autres sont strabiques. En
sa tête était de 48 centimètres, sa taille mesurait 1 m. 020. Elle mourut d'une angine diphtérique enjuin 1873, à l'âge d
e taille moyenne et de constitution parfaitement normale ; elle est morte il y a deux ans d'une > pneumonie. Cette u
e son frère aîné, et comme lui d'ailleurs absolument normale ; elle mourut à l'âge de 10 ans d'une pneu- monie croupale, e
de fausses couclies, mit au monde 8 enfants, dont deux jumeaux qui moururent à trois ans ; les 5 autres frères de notre nain
aire et du trijumeau ainsi que du ganglion de Gasser. La malade est morte à l'âge de 55 ans, après avoir présenté la plupar
avant que les troubles visuels ne fussent très accusés. Elle est morte dans la démence et le gâtisme en 1908. Le diagn
Jusqu'à présent on intervenait chirurgicalement dans les cas de tu- meurs extra-vertébrales, soit intra, soit extra-durales
de vomit, son ventre se ballonne, le pouls s'affaiblit et le malade meurt (Bregman). Dans notre 1VIIIe ob- servation, nou
e- ments, pouls à 420), la tumeur n'a pas été éloignée et la malade mourut , trois semaines après l'opération sans phénomèn
l suggère, le texte de la chronique : « En l'an du Seigneur 1482, mourut le frère convers Hugues, qui avait fait ici pro
des plaques de sclérose. Il s'agissait cliniquement d'un malade qui mourut à t'age de 35 ans, la maladie ayant duré huit ans
nt l'admission : 1 mois. Durée de la maladie à l'asile : 2 mois. Il meurt dans un ictus paralytique. Diagnostic clinique
buveur et noceur. Elle fut malade quelques mois avant l'admission, mourut à l'asile après trois ans de séjour, dans le ma
40 (1904) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 19
l'a réclamé h la Société de médecine légale en termes éloquents. « Mourir chargé d'années, quand la vie a été bien remplie,
'années, quand la vie a été bien remplie, c'est la loi naturelle; mourir jeune encore, à l'heure où toutes les promesses n
a définition suivante : ¦ Bacille de la tuberculose, petite bùlc dont meurent beaucoup de malades, mais qui fait vivre et surto
les mois et lémoignait d'un penchant marqué pour le sexe fort. Elle mourut le 27 mars 1732. L'examen anatomique révéla qu'el
uer son mariage, à l'âge de dix-sept ans, avec un Améri- cain qui mourut à Saint-Pétersbourg en 1384. Un enfant naquit de
tersbourg en 1384. Un enfant naquit de cette union. Il était blond et mourut à l'âge de sept ans. La gravure que nous publio
le, par Georges Hoefnagel, peintre flamand, né à Anvers, en 1547, qui mourut à Vienne en 1600. (') I! habita longtemps Inspruc
mère l'avait repris, persuadée, selon les dires de tous, qu'il devait mourir . Même le médecin qui l'assistait à son retour ava
à dire, tout ce qu'on pourra faire ne servira de rien : votre enfant mourra , un peu plus tôt, un peu plus tard, mais il mourr
ien : votre enfant mourra, un peu plus tôt, un peu plus tard, mais il mourra ! » Ces paroles me furent confirmées par plusieurs
point que la mère y voyait l'état d'un enfant en délire et qui devait mourir bientôt. Porter le diagnostic de changement de
hysionomie de Barbara Urslerin. On ne connaît pas l'âge auquel elle mourut . On sait seulement qu'elle vivait encore en 1668.
n'en est pas moins femme. Il en résulta la naissance d'un enfant qui mourut trente-six heures après sa naissance. Le portrait
paillé. Il en fut d'ailleurs de même de celui de la more. Lorsqu'elle mourut , son imprésario la fit momifier et pendant quelqu
Le soir même, la situation ayant empiré, la malade entre en agonie et meurt le lendemain jeudi, 28 mai, à sept heures du mati
mme a un signal, tous les oiseaux se jetèrent sur elle. La bote tomba morte sur le sol. Le jugement était exécuté. Exisle-t-i
onné lieu à un grand nombre de reproductions. Cela tient à ce qu'elle mourut (!] Voyei Rerue de hoIijim, numéros de Juillet,
narrateur, eut quatre enfanta, tous du sexe féminin; les deux aînées moururent , la première à trois ans et la seconde à onze moi
urgmestre. Ses frères et sœurs sont également bien portants. Sa mère, morte depuis plusieurs années, était normale. On ne sai
ment que si elle l'avait vue la veille; on lui répond que sa mere est morte depuis plusieurs années et elle se met à pleurer
que la conclusion. La l'este étant entrée dans une ville pour y faire mourir cinq personnes, le voyageur compta, le lendemain,
n féminine. Le premier de ces cas fut celui de Margarita Mullcrin qui mourut le '21 mars 1733 à l'hôpital de Dresde. Nous avon
vons citer en première ligne Marie-Madeleine Lefort, née en 1799, qui mourut en 1864, âgée de 6.î ans. Ce qu'il y a de parti
ent et enflammé propre à ces fous mystiques, le grand-prêtre de faire mourir ses fils, il eut une nuit, dans le silence et la
pour le pauvre moujyk il est son Dieu sur terre; il lui doit sa vie, meurt heureux pour lui. La suggestion ancestrale étouff
sorcier de près. Mais là, un vrai, un de la campagne. Et puis on n'en mourra pas, nous autres gens de Paris, on ne nous en imp
rand étaient boiteux ; bossu. Alexandre Pope et difforme, Swift, qui mourut dément; Scarron était cul-de-jatte; David Hume et
Victor Hugo, qui a'amusait à manger le homard avec sa carapace et qui mourut , k 83 ans. après uno carrière véritable-mont exce
St-Pierrc. y travailla avec acharnement jusqu'* son dernier jour; 11 mourut a 89 ans. Le Titien mourut du choléra a 98 ans et
c acharnement jusqu'* son dernier jour; 11 mourut a 89 ans. Le Titien mourut du choléra a 98 ans et les tableaux qu'il peignai
qu'il peignait alors oui la même valeur i:t ! ¦!. itesa vie ¦ Pascal mourut à 39 ans, paraplégique!?} depuisqufozeannéca; Spi
39 ans, paraplégique!?} depuisqufozeannéca; Spinoza, toujours malade, mourut pbtisique & 45 ans: tous les deux étaient des
tisie pulmonaire; Alfred de Musset, dont les excès abrégèrent la vie, mourut à 47 ans. Moururent par le poumon : Molière, &
Alfred de Musset, dont les excès abrégèrent la vie, mourut à 47 ans. Moururent par le poumon : Molière, & 52 ans, d'une hémo
phe DcscarUs. a 54 ans. succombent * une pérlpneumonie ; Scbopcnhaûcr meurt , a 72 ans. d'apoplexie pulmonaire, Velpeau, k 71
nnée; Caroline Herschell, assistante et colla-boiatrice de son frère, mourut à 98 ans; Cassinî, à 97; Sir E. Sabine, à 94; JJ.
ne pas entraver la puissance intellectuelle. Si Alexandre le Grand mourut accidentellement à 33 ans et Jules César tragique
. M. Moffit avait déjà été marié une première fois à la Vénus géante, morte en IS80, et àla Belle Ciicassienne, décédée l'été
aturellement délicate, ne devait pas résistera tant de fatigues. Elle mourut dans l'année de son dernier passage à Paris. Elle
vre, s'éteignit phthisique vers 36 ans, mais il était convaincu qu'il mourrait empoisonné et que ce serait par des Italiens. Rob
ses ambitions. Quant à la vieillesse, ses rêves sont finis; elle voit mourir tous ceux qu'elle aime ; elle est entourée de
rouva une telle frayeur qu'elle fut atteinte de convulsions dont elle mourut au bout de quarante-huit heures. Cette mort inatt
ou 11 faut qu'elle compte jusqu'à cinquante, sinon son père pourrait mourir , car il a cinquante ans... etc. Si, par exemple
rse le fourneau, en disant : « Vous allez me damner... ou mon père va mourir ! » Pendant dix jours, sa famille n'a mangé que du
einte de carie osseuse et d'eschares dans la région lombaire, et elle mourut d'infection en 1901. Cette malade présentait to
e tragiquement : « Mon Dieu ! Qu'est-ce qui va m'arrîvcr ?... Je vais mourir !... Promettez-mol que je ne vais pas mourir!... »
va m'arrîvcr ?... Je vais mourir!... Promettez-mol que je ne vais pas mourir !... » Son excitation cérébrale et musculaire est
n, cite un cas très extraordinaire d'une Jeune fille de quatorze ans, morte l'année dernière, qui, depuis sept ans, était par
41 (1846) Journal du magnétisme [Tomes II et III]
sement chassé de l’hôpital Saint-Jacques POUR AVOIR FAIT PARLER UNE MORTE . Air de Fualdcs. Dans la ville capitale Du dé
ha De sa griffe ensorcelée ; On ne sait ce qu’il lui di», Mais la morte répondit. Au bruit de celle aventure, line sœur
e est consigné. Bonne sœur ne pensez plus; Que le malheureux exclus Meure dans l’impénilence, Et puis qu’il aille en enfer
par un mystère que nous connaissons, s’il lui a été donné de se voir mourir , il sentira vraiment, il verra même autre chose q
Le lendemain elle s’ordonna encore une saignée semblable pour no pas mourir ou devenir folle; j’accédai à son désir. Le soi
x grains d’opium, mais « je ferai comme d’autres en pareil cas, je ne mourrai « pas; cela pourra arrêter l’avortemcnt. J’aurai
que cette nuit avait été fatale à son enfant, qui ne tarderait pas à mourir , que le 1er octobre serait son dernier jour, et
l’escalier, dans laquelle je me ferai beaucoup de mal ; mais je n’en mourrai pas. Je ne saurais dire ce qui me fera tomber; ma
e ne connais et ne vois aucun remède à sa mala-« die. Il faut qu’elle meure . « Elle aura bien de la peine à passer le mois
nt, et dans huit jours elle n’existera plus. » Elle est effectivement morte avant-hier dimanche, à huit heures du soir, à l’â
le génie. Celui donc enfin qui enrichit le domaine de la science doit mourir sans être récompensé de son labeur Rappelez-vous
uvrit le Nouveau-Monde? Socrate ne J, pas ,a cîSuë? 3é™*> enfin, mourut sur la croix te sont des savants qui ont laissé m
é™*> enfin, mourut sur la croix te sont des savants qui ont laissé mourir Kepler dans la pauvreté; ce sont des savants qui,
mort, Viterbé, est «le* plus remarquables. Ayant résolu de se laisser mourir de faim, il dicia Ir» détails de son horrible et
il faut lù-bas Hevenir, pauvre enfant, revenir à Ta vie.... * Non, mourir est ma seule enviej Ne me réveillez pas! A.....
eau-de-vie, la vapeur s’en répandit autour du corps du malade. Chapus mourut le surlendemain, et fut inhumé. « Voici donc le
terme seront déclarés être de mauvais citoyens. Et, quant à ceux qui mourront en cherchant un soulagement à leurs longues doule
5 tous quatre étaient alors pleins de vie et de santé, et tous quatre moururent avant le roi. Ce fut la même chose de M. le Princ
et, selon qu’elle est accueillie ou rejetée, ils « vivent admirés ou meurent malheureux. Mais quoi-« qu’ils tentent pour recou
ie; plus de soins, plus d’ennuis; que le malade souffre, languisse ou meure , que lui importe ? il ne mérite aucun reproche, i
’est avisé de faire parler devant elle une cataleptique qu’on crovait morte ! Que voulez-vous? le diable est si malin qu’il no
nt en aide; sans leur secours elle aurait élé contrainte de rester et mourir faute d’aliments. Cependant elle est guérie; voic
nsi à la mort. « Le peuple voulait s’emparer du moine et le faire mourir ; mais le clergé se saisit de lui et le fit enferm
Thilorier avait abouti à un résultat négatif. Peu après M. Thilorier mourut , et les choses en sont restées là, la commission
ourmenté, par ses contemporains, échappa au bûcher, mais il se laissa mourir de faim en 1576, parce qu’il avait prédit, dans s
rappait dessus à grands coups de verges; et pour savoir si elle était morte , on lui fit mettre le feu aux parties les plus se
t la maîtresse la laissèrent étendue en la place, pensant qu’elle fût morte . «Au matin, elle se trouva en son lit couchée;
Alors elle se frotta toute nue de certaine graisse, puis tomba comme morte , sans aucun sentiment; cinq heures après elle se
re et autres breuvages narcotiques, en sorte que la personne sembleru morte , et môme il y en a qu'on endort si bien qu'ils ne
le est fausse, elle est, selon l’expression même de l’apôtre, une foi morte , par la prétention absurde qu’elle a d’imposer la
uable. Fruit de suppositions, ils s’ultè-rent en voyant la lumière et meurent du vivant de leurs auteurs. Leur existence éphémè
s, sa femme, qu’il aimait tendrement et qu’il ne revit plus. Avant de mourir , il reçoit une dernière lettre de madame Desmouli
moires, raconte comment un jeune homme s'éprit d’amour pour une femme morte , sur la description qu’on lui en lit, devint fou,
une femme morte, sur la description qu’on lui en lit, devint fou, et mourut lui-même de sa passion. Il ne faut pas oublier qu
onne un coup de pied et le jette en bas de la scène; et, pourvu qu’il meure à terre, il n’en est pas parlé. On voit là des ho
nous citerons les suivantes : « Quant à la vieille médecine, elle se meurt , elle est morte : les passes magnétiques l’ont
es suivantes : « Quant à la vieille médecine, elle se meurt, elle est morte : les passes magnétiques l’ont fuit trépasser..
A 16 ans, « j’eus la petite vérole... heureusement, car sans cela «je mourais à cette époque. Cette maladie créa un « émonctoir
célébrité. » Voilà un gouvernement paternel qui n’v vu pas de main morte . Les novateurs doivent y regarder à deux fois ava
s d’Auxcrre croyaient avoir assomme le magnétisme ; mais la vérité ne meurt pas. Aussi vit-on bientôt une dame Lemoine, depui
les approchent habituellement uno partie de vie nécessaire ; ceux-ci meurent -ils, ceux-là languissent et meurent bientôt. Il e
artie de vie nécessaire ; ceux-ci meurent-ils, ceux-là languissent et meurent bientôt. Il est une multitude d’enfants qui n’ont
sit enfin, il est furieux , mais n’en veut qu’à celle qui git presque morte à ses pieds. Éveillé, il ne sait rien, tout est
cette vérité. Ah ! vous êtes les plus fous des hommes : une vérité ne meurt point, elle triomphe parce qu’elle est, et vous d
fallait revenir à des preuves plus à leur portée. Mesmer venait de mourir ; de Puységur déclinait rapidement; l’espoir des m
42 (1889) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1888
des modifications im- portantes en bien ou en mal. Quand un malade meurt , toutes ses photographies sont déposées au Musé
e Mil. Jobey, debout, adossé à une échelle dressée au mur. Est-elle morte de congestion ou d'inanition ? cela n'a pas été
re a. souffert longtemps d'un éléphantiasis de la jambe gauche ; il mourut épuisé à soixante-huit ans. La mère est une fem
: deux garçons vigoureux et sept filles. Parmi celles-ci, l'une est morte jeune, succombant à une affection que l'on n'a
ulement vaginal sanguinolent mani- feste. Celte pauvre enfant est morte dans le marasme, âgée de trente- deux ans. L'ou
u père, sourd-muet. Grand'mère DE LA CONSANGUINITÉ. 23 paternelle morte d'apoplexie. Mère migraineuse. Grand-père mater
père paternel alcoolique et mort d'apoplexie. Grand'mère maternelle morte subitement. Oncle paternel para- lytique, génér
psie. Parents : cousins germains. Père sa- turnin. Tante paternelle morte aliénée. Mère migraineuse et accidents hystérif
suites d'une attaque d'apoplexie. Oncle maternel alcoolique. Soeur morte d'accidents cé- rébraux. Développement physique
re, anglais, cocher de maison, écrasé par sa voiture ; sobre. Mère, morte à 73 ans, il y a 6 mois, on ne sait de quoi, fa
ale, à 73 ans; tourneur en cuivre ; n'avait pas eu le choléra. Mère morte à 34 ans, pro- bablement de phthisie, après une
rnel mort vers 30 ans, on ne sait de quoi.- Grand'mère paternelle morte à 80 ans; elle était en enfance. - Grand-père mat
sique à 25 ans, à la suite d'excès de tous genres. Deux soeurs, une morte d'une chute du haut des fortifications, l'autre
mois, mort à 4(i jours; pas de convulsions. 2° Fille née à 7 mois, morte au bout d'une heure; pas de convulsions. 3° Fil
orte au bout d'une heure; pas de convulsions. 3° Fille née à terme, morte en naissant. 4° Fille, morte à 28 mois, d'accid
de convulsions. 3° Fille née à terme, morte en naissant. 4° Fille, morte à 28 mois, d'accidents cérébraux comateux, qui
tant, intelligence ordinaire; violent; pas de convulsions. 6° Fille morte à 1S ans, cette année, de la fièvre typhoïde, à
, mort d'un cancer delà face. Cousine, idiote épileptique, gâteuse, morte en 1880, âgée de 36 ans, à l'Asile de Dole. Pas
), mort à deux jours après avoir eu quelques convulsions ; 2° fille morte à trois ans de convulsions; 3° notre malade ; 4
43 (1885) Archives de neurologie [Tome 09, n° 25-27] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
se ; le malade ne pouvait respirer et croyait, dit-il, qu'il allait mourir . A huit heures du matin, la température est à 4
es, induite en erreur. Elle n'avait que vingt ans lorsqu'elle est morte ; si elle avait vécu plus longtemps, il est pro
de résoudre. Dans la seconde moitié de janvier,le mari de la malade mourut ; comme l'avait prévu l'auteur, l'impression de
pour la centième fois qu' « il n'avait qu'un mot il dire et qu'elle mourrait ». ,. G... était, pour tous ceux qui l'approchai
ts. Le 10 novembre, sommeil prolongé et profond; la malade ne de- meure que quelques heures par jour éveillée, elle estal
la douleur du dos augmenta, l'amélioration générale s'arrêta, et il mourut quatre mois après l'accident. L'autopsie révéla
peine articulées. Les sens et l'ititelli- gence étaient intacts. Il mourut près de quatre ans après l'accident. Ce cas,
ussi d'un anévrysme ( ? ) ; l'autre accidentellement. Sa mère est morte à soixante-deux ans hydropique ( ? ), elle n'ét
frère, ni soeur. De ce mariage sont nés sept enfants : 1° une fille morte à trente-deux ans, poitrinaire, non nerveuse; 2
NERVEUSE. qu'elle atteint n'est pas menacé dans son existence; il mourra dans un âge avancé s'il ne contracte pas d'autres
ant sur un lapin des doses progressives de curare, jusqu'à ce qu'il meure ; l'avant-dernière dose injectée sera la dose li
ans. d'un cancer du pylore, faisaitquelque excès de boisson. Mûre, morte en 1Spl, écrasée par une voiture; n'a jamais eu
; 6° fille, six ans et demi, bien portante, va à l'école; 7° fille, morte à dix-huit mois d'une méningite après trois moi
des quan- tités de marchandises et avoir trouvé le secret de ne pas mourait . Il était fabricant de toiles dans le départeme
que, sur les livres de l'asile, il y avait beaucoup de Cr... 7e)'c, morte toute jeune des suites de DU CURARE DANS L'&
couvent où mon mari m'a prise parce que j'étais orpheline ». Mère, morte en cou- ches « quand je suis venue au monde, di
assez grand nombre de maladies, ces recherches sont restées lettre morte dans beaucoup de cas. L'hystérie, l'épilepsie,
cès d'épi- lepsie se montrent à l'âge de six à huit ans; le patient meurt à seize ans de tuberculose; il y avait, dans l'
sen. (Arch. f. Psych., XIV, 3.) Il s'agit d'une idiote épileptique, morte à l'âge de trente ans, dont le développement so
e trois ans. Ce malade s'agite tout à coup pendant sept semaines et meurt subi- tement. On trouve à l'autopsie une pachym
une abs- tinence prolongée, quoique non absolue, fait dépérir, puis mourir , les aliénés. Ce sont, la plupart du temps, de
a peur de manger parce qu'elle a peur de mal digérer, elle apeur de mourir ; elle a peur du bruit de la sonnerie de la pend
es choses, les individus qui y entrent avec un simple rhume peuvent mourir d'une maladie contractée à l'hôpi- tal lui-même
niture arriver à l'à,e, mûr; si ce n'est pas un mort-né, le produit meurt ordinaire- ment pendant l'enfance. L'idiot micr
dans l'extrémité supérieure et une réci- dive de cancer. La malade mourut à la suite d'un éry- sipèle survenu pendant le
e d'une blessure l'un au doigt, l'autre à la main. Les deux malades moururent . Czerny4 (1879) fit subir plusieurs fois l'élon
. Quarante-huit heures après l'élongation du nerf médian, le malade mourut , La deuxième observation concerne un homme de q
un soulagement momentané; les convulsions revinrent et le malade mourut quinze jours après l'opération. Bird' (1877) am
les paraissent aucunement intéressées. Quatre jours après ,la femme meurt , et, à l'autopsie, on trouve au centre de l'axe
uite d'un coup violentsur les trois vertèbres inférieures le blessé mourut en quatre heures. On trouva du sang extravasé d
t;jfMe.Père et grands-pères paternel et maternel alcooliques. Soeur morte de méningite. Cousine germaine : convulsions. P
anal du Loiret; menuisier, il faisait des excès de boisson. Afët'e, morte vers vingt-huit ans, on ne sait de quoi; laissa
il est mort de la poitrine, il n'avait pas d'enfants. La soeur est morte du choléra en 1819, laissant un fils qui est mo
il était bien portant ; il buvait un peu. - Grand' mère maternelle, morte vers soixante ans, on ne sait de quoi. -Grand-
père paternel, mort du choléra en 1832. - Grand'mère maternelle, morte d'une fluxion de poitrine. Un frère est mort du c
Pas de consan- guinité. Trois enfants : 4° notre malade; 2o fille morte à sept ans d'une méningite; elle était très int
x mois. Grand-père maternel mort de phthisie. Grand'mère maternelle morte de cancer utérin. Frère jumeau mort « trois jou
le, distraite, fantasque. La soeur de sa mère, devenue aliénée, est morte dans un asile de Varsovie, et une autre tante m
l'hallucination colorée; elle dure peu de temps, s'efface, seperd, meurt , comme disent les malades ; elle a bien les all
recours en grâce, il fut interné à l'asile de Stephansfeld, où il mourut bientôt de pneumonie caséeuse. De semblables rigu
si l'on fait tourner le tout, au bout d'un certain temps, l'animal meurt . La force centrifuge a provoqué de l'liype- rém
anémiés. Un second chien soumis le même jour à la force centripète mourait en 3 mi- nutes ; les centres encéphaliques sont
à l'asile de Toulouse. Nécrologie. Le D''Prosper Lucas, vient de mourir à J'âge de soixante-dix-sept ans, Aleunecy (Sei
44 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nt pas de liquide. Le coeur est mou et flas- que, de teinte feuille morte , avec des îlots graisseux. Epreuve de l'eau, né
rs hémorrhagies, le malade resta vivant pendant assez longtemps, et mourut ensuite subilement. Toute la région bul- baire
tre plus fou que sa suur », dit l'enquête. Une soeur aînée aliénée, morte dans un asile. Le père, original, était atteinte
htisique appartenant à une famille de phtisiques. Une soeur jumelle morte à cinq ans du croup. La mère a des enfants normau
ice. Le sorcelage, lui envoie toutes sortes de maladies ; elle doit mourir de la poitrine. Quand elle se sent trop travaillé
une maladie de langueur. Il a eu une soeur aliénée. ' La mère est morte à soixante-six ans de variole hémorrhagique. Il
arties, dans laquelle certains éléments de la cellule succombent et meurent , tandis que d'autres survivent et 124 ' REVUE C
ement ou par les réactifs. Il n'est pas douteux que dans la cellule morte la substance chromophile prend' Í1¿ fOl'me et une
inations auxieuses agressives). Il séjourne à l'hôpital deux ans et meurt de fièvre typhoïde. Autopsie. Sclérose névrogliqu
s n'ont pas de paroi propre ; ils sont constitués par une substance morte déchue ; ceux qui ont un contenu sont formés de
mplète se pro- duisent ; et la malade, enfin, après dix à douze ans meurt contrac- turée, complètement démente, emportée
e, diffèrent par cette circonstance que la femme, tout en se disant morte n'accuse personne de sa mort, alors que l'homme
istèrent tels quels : pendant tout ce temps, la jambe était « comme morte » et le sujet était dans l'impossibilité de la
vint de la rigidité mus- culaire avec état spasmodique, et l'enfant mourut à l'âge de deux mois et demi. Il. de Musghave C
nalogie avec celles que l'on observe chez les animaux que l'on fait mourir en les privant de sommeil. Il en 200 BIBLIOGRAP
ormes et haute température à la fin. Entré le 6 octobre, le patient meurt le 3 décembre. A l'outopsie : les recherches ne
ssaillie par deux rôdeurs qui l'ont violée, frappée et laissée pour morte . (Le Bonhomme Normand, du 28 décembre 1900 au 1
it un papier sur lequel était écrite cette phrase : « Le plaisir de mourir sans peur vaut bien la peine de vivre sans plai
assez rares. En général, ils ont été observés chez des enfants qui meurent peu après la naissance. Il est exceptionnel que
suggestionnable. Grand-père maternel, excès de boisson. oe ! <)' morte de méningite. ' Revue de médecine, 1888, p. 462
res sont bien portantes ainsi que leurs enfants. Deux soeurs, l'une morte à dix-sept ans de tuberculose, l'autre, dix-neu
276 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. de deux ans. Deux enfants : 1° Une fille morte à six mois d'une méningite. 2° Notre malade.
, avec troubles intellectuels. Rappelons qu'une soeur du malade est morte de méningite à six mois. 288 ANATOMIE PATHOLO
CERVEAU. 293 a L'étal soporeux persiste toute la nuit et le malade meurt le len- demain 3 novembre à 8 heures du matin.
Charcot et Pitres citent entre autres l'observation d'une femme qui mourut à quatre-vingt-un ans d'un cancer du sein, et à
d'excitation très marquée, le malade tombe dans le coma complet, et meurt , trente heures après le début des accidents. 1
dans 10 à 1 p. 100 des cas) de la chromotolyse chez les malades qui meurent dans les hôpitaux généraux, et l'étudient enfin
ourquoi me faites-vous souffrir; je ne puis supporter cela, je veux mourir ! Une souffrance terrible agitait son pied et s
expérience objective me dit que cette femme était perdue et allait mourir . Si je cédai à cette impression, la malade alla
et allait mourir. Si je cédai à cette impression, la malade allait mourir en effet : je rassemblai toute mon énergie subj
e présentait ce cas, c'est que la malade, convaincue qu'elle allait mourir , combattait mes suggestions par son auto-sugges-
utte, le manchon de cuir, il fut pris d'un tremblement convulsif et mourut . R. DE IUSGR.1VE-CLAT. XXIII. Acromégalie ave
e avec autopsie. M. Ferrand présente les pièces d'une acromégalique morte à Bicètre dans le service de M. Pierre-Marie. L
lade était deve- nue acromégalique à la suite d'une chute. Elle est morte diabéti- que et albuminurique. On a trouvé l'au
lusieurs observations de chiens et de che- vaux qui se sont laissés mourir de chagrin ; il traite à nouveau la question du
es épilepti- formes depuis l'âge de douze ans, démence progressive, morte à vingt-deux ans. Atrophie des circonvolutions
note du pape Léon XIII, l'informant que le président liruger allait mourir dans les vingt-quatre heures, après avoir fumé
sonienne. Trépanation qui laisse passer l'abcès inaperçu. Le malade meurt le surlendemain. A l'autopsie : abcès frontal,
e. Le lendemain matin surviennent des nausées, et le soir le malade meurt à la suite de convulsions généralisées. On po
tuberculose. Peut-être s'apercevra-t-on à l'avenir que pour les tu- meurs cérébrales, comme pour les néosplasmes des autres
illir' chez elle en raison de la grande insuffisance mentale ; elle mourut de péritonite. A l'autopsie, la dure-mère était
ion de ces crises, il était obsédé par l'idée que son bétail allait mourir ; en 1897, il eut, toujours dans les mêmes circo
ellules, en sorte que sous cette influence des systèmes de neurones meurent prématu- rément. Il développe longuement et ing
pés dans le cours des onze et douze dernières années. La malade est morte avec des phénomènes bulbaires. A l'aulovsie, on
ents cérébraux, vésaniques ou névropathiques du côté maternel. Mère morte à trente-neuf ans d'une maladie de matrice (can
ée comme très probablement de nature syphilo-tuberculeuse; 4° fille morte , brûlée par accident, à cinq ans ; 50 enfant mort
ent, à cinq ans ; 50 enfant mort-né à terme ; 6° fille née à terme, morte à huit jours. De son second mariage, le père eu
ile. -Son père et sa mère n'ont souffert d'aucune maladie, son père mourut de la variole en l'année 1898. Sa mère est une
s-patents maternels vivent en bonne santé. La grand'mère paternelle mourut de cancer à la mamelle. Quand ce petit malade a
ts de la jambe gauche, exagération des réflexes tendineux. L'enfant mourut à l'âge de huit ans et demi de tuberculose pulm
ns, laquelle ayant souffert la trépa- nation à l'âge de treize ans, mourut en élat de mal, et dont l'orifice de trépanatio
illes se dilatent, la respiration devient stertoreuse, et la malade meurt en un quart d'heure. A l'autopsie, on trouve l'es
la maladie, quelques-uns même n'étaient entrés à l'hôpital que pour mourir . Mais chez 23 malades, la tuberculose a été enr
45 (1848) Journal du magnétisme [Tomes VI et VII]
its sans songer que ce sont ceux de la nature ; vous avez le droit de mourir si cela vous plait et Celui de vous traiter comme
tisme et de ses plus simples conséquences? — La Revue Gallicane est morte , mais avec promesse de ressusciter dans..... l’av
en ce moment aux oreilles; si on lni applique ces sangsues, elle sera morte dans trois jours. Ma belle- sœur effrayée accou
omber lorsque ma belle-sœur entra. Trois jours après mon enfant était morte ! (Sensation prolongée.) Je crois de toute mon âme
et qui l’affaiblit tellement, que ses parents crurent qu’il allait mourir . Mais on ne m'avait point prévenu de cet accident
d’un petit écrit sur le magnétisme publié à Nantes en 1842, vient de mourir à Montmartre. 11 avait de volumineux manuscrits s
ns le magnétisme, nul remède n’aurait été efficace, et qu’elle serait morte dans six mois. Recevez, Monsieur, mon tribut de
de la couronne, le duc de Boideaux. I 4. Sou père, le duc de Berry, meurt assassiné, I 5. I* 13 février 18Ï0. 6. Dans l
r de la ronronne, le comte de Paris. 4. Sou père, le duc d’Orléans, meurt par un occident, 5. Iæ 13 juillet 1842. 6. Da
en accusation des ministres de Charles X. 81. Le chef de la famille meurt sur la terre étrangère. donne lieu à des attrou
— M. le docteur Guersent, membre de l’académie de médecine, vient de mourir dans un âge assez peu avancé. Membre de la commis
l boit encore de l’eau quelquefois, languit de plus en plus, bave, et meurt ordinairement dans la quinzaine qui suit la premi
ussi; l’expérience a eu plusieurs fois du succès sur des lapins : ils meurent ordinairement le même jour. De l’ensemble de ce
e, à la mort des magnétisés. N’a-t-on pas déjà dit que les magnétisés mouraient dans l’année, et mille autres folies que l'homme
V. (Après une longue hésitation et parlant comme avec effort.) J’en mourrai . P. Cette idée de mort vous afflige-t-elle ?
tte perspective vous plaît—elle ? V- Si j’étais éveillé, j’aimerais mourir . Mais maintenant, il n’y a pas lieu à le désirer.
; voici comment les choses se passeraient. La comtesse de Chain-bord mourrait bientôt, et le comte, veuf, épouserait la fille d
ation d’intrigants qui sont le fléau des sciences nouvelles. «Si je mourais demain, on verrait une vingtaine d’intrigants lit
. L’éclatant succès des opérations n’empêche point que ces malheureux meurent presque tous du même accident consécutif, la réso
varde et menteuse, chirurgie incomplète et impuissante ! Vous laissez mourir les gloires de la France et de l’armée, non sur l
s initie-t-on pas au magnétisme ? Généraux habiles, cœurs généreux! mourez ; telle est la règle du codex. Mais nous éprouvons
que vous pouviez vivre encore, et que l’ignorance seule vous a laissé mourir . ljiUre de Deieuze. — Nous publions cette lettr
sire, il peut le posséder; point d’entraves 1 C’est presque à désirer mourir tout de suite pour s’affranchir de la douleur et
ogie — Le prince de la chimie moderne, le célèbre Berzélius, vient de mourir en Suède, sa patrie. Le magnétisme perd en lui un
édecin peut choisir, et le malade ne peut plus souffrir : il ne devra mourir que de vieillesse. Mais hélas! ce luxe de sys
ureuse et malheureuse! car, comme je le disais en commençant, il faut mourir ! ! Quelle est donc la meilleure médecine, dema
retienne d’une manière invariable une organisation qui est créée pour mourir et par conséquent pour souffrir. A mes yeux, le
que |leur ont portés Broussais et Hahnemann, se verraient dépérir e( mourir de langueur! Comment, toutes les drogues, qui cha
bien des philosophes ont soutenu cette maxime : Il faut que beaucoup meurent ; la race humaine est trop féconde. Si on prouve l
de Puységur (Jac-ques-Maxime-Paul), né le 15 septembre 1755, vient de mourir à Bordeaux. Il était général de division. Sa ca
l aîné, membre de la Société Magnétolo-gique de Paris, vient aussi de mourir . Chronique. — L’état du magnétisme, à Paris, s
nal (les Théâtres, du 11 octobre, dit que M. de Puységur qui vient de mourir , « composa plusieurs pièces de théâtre. Sa naissa
dont j’avais sous les yeux le tableau hideux. • Ceitëenfant n'est pas morte , dit-il; mais là persistance des symptômes contre
chaine d’une personne qui jouissait alors d’une parfaite santé et qui mourut deux jours après. Cardan (de Varielate rerum, 1
t en extase à volon té, et voyait alors ce qui devait lui arriver. 11 mourut à soixante-quinze ans, après avoir prédit longtem
el (Curios. inoui., p. 60 ), avait un signe presque semblable ; il ne mourait jamais un de nos parents qu’elle ne songeât en do
739 ), un sexagénaire prédire le jour de sa mort un mois d’avance. Il mourut d’une fièvre épiale au jour indiqué. » Ce célèb
s qui les premières ont persécuté Galilée, Copernic et Harvey. Vésale mourut de faim dans une île déserte. La découverte du va
la tille Samson, elle rentrait dans les salles de l’Hôtel-Dieu pour y mourir . Or, le 12 novembre 1822, il était mort dans ce
ne quinzaine ; je ne puis encore vous en fixer le jour et l’heure. Je mourrai si vous ne pouvez me porter secours. 11 faudra m’
m’eussiez soulagée beaucoup plus promptement. Je serais certainement morte au bout de troii heures si vous n’étiez venu à mo
tait son'sang qui coulât; le cœur s’arrêta bientôt : il crut qu’il se mourait , et il mourut, quoiqu’on ne lui eût pas tiré une
ui coulât; le cœur s’arrêta bientôt : il crut qu’il se mourait, et il mourut , quoiqu’on ne lui eût pas tiré une goutte de sang
présidé la Société Magnélologique de Paris pendant cinq ans, vient de mourir à l’âge de cinquante-six ans. Voué spécialement à
ce saignées. Elle tomba bientôt dans une irrémédiable consomption, et mourut un an après la guérison de son épilepsie par le m
mme les précédentes, les remèdes qui lui conviennent, sc guérit, puis meurt de phthisie. » Là se bornent les récits du doct
elle point également l’esprit de celui qui, plein de santé, consent à mourir auprès de son trésor, dans la crainte d’en distra
46 (1847) Journal du magnétisme [Tomes IV et V]
ait à lui que comme une superlluité. L’eùt-elle d'ailleurs empêché de mourir ? Non sans doute; mais elle eut pu prolonger le le
e Samson, sujet des expériences de l'Iiôtel-Dieu, parce qu’elle était morte dans scs salles quelques semaines après. Des rech
médecin de l’Hôtel-Dieu, dit alors » que « cette même jeune fdle est morte dans son service « quelque temps après le départ
te à l’assertion du docteur Duval. Mais pendant qu’à Reims on déclare morte la pauvre jeuno fille, on proclame à Paris sa gué
magnétique, une seule, Mm' Plantin, magnétisée par M. Chapelain, est morte à la suite. Chez les autres, on remarque que la p
e noter; car dans tous les services de chirurgie, beaucoup de malades meurent des suites de l’opération. Onneditpascequesontd
lui propose son ancien ami, le comte Annibal. Mais aller se battre et mourir peut-être avant d’avoir revu encore une fois Irèn
à notre fantaisie, de le tuer même, si cela nous plaît, en tant qu’il meurt selon les règles de l’art. 11 faut donc pour cela
. Ce droit, que nous exerçons daus les hôpitaux sur quiconque y vient mourir , doit être étendu au dehors. Le préjugé qui a con
ns se soucier de cet avenir où il gémira, où, s’il est pauvre, il ira mourir dans un hôpital ; s’il'est riche, il n’en sera pa
r, et les malades qui avaient le mieux supporté de grandes opérations mourir de résorption purulente. A l’Académie on ne parle
ent général. Ayant fait observer à un grand chirurgien que les opérés mouraient tous de la même maladie, il nous fut répondu que
rpent passerait dans le feu de préférence. » D'où vient qu’un chêne meure à côté d’un olivier, et la fougère dans les rosea
e de toutes nos calamités et de celte enfance des êlrcs qui vivent et meurent sans se connaître, dominés par des terreurs et. d
au. La mort était aux prises avec la vie, et la malade ne voulait pas mourir . Sentant qu’il s’opérait dans sa gorge une destru
sphyxie progressive; c’est une fin atroce, car on se voit, on se sent mourir ! Témoin constant de cetteagonie, jene désespéra
t venants s’approchaient pour la coutemplcr, craignant qu’elle ne fût morte . Certain désormais que son état ne pouvait inspir
Il y avait déjà plus de quatre mois que la princesse de Condé était morte et enterrée à l’abbaye de Saint-Ger-main-des-Prés
l n’y avait que six mois qu’ils étaient mariés, lorsque ce roi vint à mourir ; qu’on brûla son corps, qu’on en mit les cendres
à lutter contre lui, etc. ■> Nécrologie. — Lorsqu’un académicien meurt , c’est un concert de plaintes le pins souvent fau
sa tombe la couronne réservée à la vertu. Mais qu’un homme modeste meure après avoir consacré son temps, ses lumières, sa
onchard, éditeur de l’ancien journal de magnétisme l'Hermès, vient de mourir aux environs dcBlois, où elle s’était retirée.Ell
n de toute nation et « de tout peuple, pose base de fruit sans fin et meurt . » «Joséphine, surprise de ce qu’elle venait de l
va (c’est la véritable expression) une petite fille de dix ans qui se mourait de faim et de froid; il en fit sa compagne, son
oble caractère trop longtemps méconnu, génie persécuté! Mesmer devait mourir sans voir la renommée proclamer son nom, sans rec
incomplète, quelque chose échappe à leur sagacité : aussi leur parole meurt après avoir louché nos oreilles. Je ne puis ici
Mille! pére. Rousseau. Millet tils. Itousselet. Morot. Roustan. Mourez . Ilovf.re (J. de). Ni va it. Sanici. Orsay (I
table survint quelques heures après, une rechute eut lieu et l’enfant mourut . Tels sont les faits dont la dame Ponson vient ré
ille notre sympathie, nos instincts sommeillent toute la vie, et nous mourons comme des êtres iuûrncs, accusant Dieu d’injustic
ésigne les idées; elle a un langage énigmatique : ainsi, elle traduit mourir par 6ter, etc.) venir se ranger à la file transve
ourant dit, dans une notice sur l’académicien Ballanche, qui vient de mourir , qu’il écrivait toujours dans une sorte d’extase
’avaient pu lui apporter aucun soulagement, eurent déclaré qu’elle en mourrait : deux magnétisations ont suffi pour la guérir.
èrent la somnambule, qui prescrivit un traitement fort doux. L’enfant mourut . « Sans doute le fait d’homicide involontaire n
, près de Stein, est le lieu de naissance de notre maître. M. Aubry mourut sur ces entrefaites, et M. F. Mesmer, continuant
lle, en date du 9 septembre dernier, etc.....» M. Christophe Mesmer mourut au bout de deux ou trois ans de mariage, laissant
e fit bien tout ce qu’elle put, mais elle y perdit son lalin. « lille mourra dans une de ces crises, » avait-on dit. Je !a mag
inquiète; quand elle souffrait beaucoup, dit-elle, elle avait peur de mourir ; aujourd’hui elle se trouve malheureuse de ne pou
it. « M. Mochez, propriétaire de l’hôtel Rubens, à Anvers, vient de mourir en quelques heures malgré la constitution la plus
« L’autopsie a eu lieu, et l’on dit que le corps de madame Mochez, morte il y a quelques mois, sera exhumé pour en faire é
.—A'» 54.-25 SEPTEMBRE 18/|7. 0 médecin également célèbre me voyant mourir de faim me fit prendre des aliments; ma mère s’ép
l'un d’eux, qui traitait spécialement les maladies nerveuses, et qui mourut d’une affection de la moelle épinière, me donna s
es, quand même ils feraient des miracles, ordonnant en outre de faire mourir tout faux prophète partout où il se trouverait (D
et lui amener des défenseurs. Chronique. — Frédéric Soulié vient de mourir . Nous aurions voulu trouver dans cet homme, disti
aucun préservatif, et nous les verrons envahis par le mal, sc laisser mourir comme le simple vulgaire. 0 ignorance coupable!
, ainsi que tous les enfants, je ne songeais pas même que ma mûre dût mourir un jour ! — Comment veut-on que mon cœur ne soit
e-même dans scs salons. Arrivée au cinquième acte, M",e Haensel tomba morte , frappée d’uncaltaque d’apoplexie. » Depuis ce
a toujours promis qu’elle viendrait me prendre sur la » terre si elle mourait avant moi. » » Deux mois après Mendelsohn est m
en un mot, la magnificence de la création serait demeurée une lettre morte , une énigme sans mot, le néant revêtu d’une forme
nne somnambule du docteur Dupuytren, M** Clotilde Saint-Marc, qui est morte maintenant, queje crois au somnambulisme. Je ne d
47 (1887) Archives de neurologie [Tome 14, n° 40-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
técédents de famille : Père, soixante-cinq ans, bien portant ; mère morte , il y a quatre DE LA PARALYSIE FACIALE. 5 ans
i font l'objet de cette triple observation : Grand' mère maternelle morte à la suite d'une affection men- tale après avoi
érébrale à l'âge de cinquante- cinq ans, une tante du côté paternel morte à la suite d'une paraplégie. Mère rhumatisante,
roforme qui devait, disait-il, 22 . pathologie NERVEUSE. le faire mourir . Aussitôt que je lui mis la compresse sur le ne
entre autres à l'hôpital de Mustaffa un des ces Aissaouas qui vint mourir après avoir avalé des clous. Je ne voudrais p
s, se mita courir comme un fou, se précipita hors de l'atelier et mourut ( ? ). » ' Ephenaer. 1'atur. curiosor., déc. I,
involontairement deux ou trois fois autour après l'avoir saisi. Il mourut le 3t mars 1837. Autopsie. A l'examen du cervea
l'organisme soient perdus, un par un, pour que le paralysé général meurt . Il n'y a donc rien d'étonnant à ceque je four-
criait pas, ne prenait pas le sein, ne remuait pas les jambes. Elle mourut LI ente-six heures après sa naissance. S. V. No
e. On ne put recueillir du liquide s'écoulant par le nez. Le malade mourut le cinquième jour avec tous les signes du mal d
des phénomènes de mélancolie; sa mère était paralytique et son père mourut d'apoplexiependant la durée de l'observation. E
ans dix ans ! Il n'y a qu'à attendre. Mais si d'aventure, le malade meurt après avoir rabâché pendant trente ou quarante
oseriez pas imposer l'obligation et qui, ou bien resteraient lettre morte si, comme cela m'a semblé ressortir des dernièr
femme, ce qui lui causa un profond chagrin. Entré en mars 1881, il mourut dans le marasme en août 1884, et, chose bien ex
choc violent, sou- dain, dont le malade ne se relève plus. J'ai vu mourir à Maréville un négociant qui, conseiller munici
- huit ans; depuis ce moment le dérangement mental s'accentue. Il meurt dans le marasme en janvier 1877. ' En résumé, c
acun arrivait presque sûrement à son but; généralement il vivait et mourait , non seulement dans la ville ou le village, mai
EUSE. " vingt et un ans d'une pneumonie ; - grand'mère maternelle morte à quatre-vingts ans d'une hémiplégie droite. -
ies. [Père, fabricant de chapeaux, mort à trente et un ans. Mère, morte à soixante-dix ans, sans qu'on puisse dire de que
malade. - [Père, mort à quatre-vingt-un ans d'une pneumonie. Mère, morte à quatre-vingts ans des suites d'une hémiplégie
estée quelque temps paralysée. Un frère bien portant; une soeur est morte paralysée consécutivement aune attaque d'apople
nier, alcoolique, a succombé à une affection génito-urinaire. Mère morte d'accidents pulmonaires sans avoir jamais eu d'
euse. Un frère bien portant, un autre mort de la poitrine, une smur morte subitement d'un anévrysme à trente-trois ans. N
sse. Une soeur aînée, bien portante et intelligente ; sa mère est morte quelque temps après sa naissance, à la suite d'ac
t mère morts âgés (quatre-vingts ans).] Mère mariée à trente ans, morte à soixante-cinq ans, phthisique, un peu nerveus
n. DE l'épilepsie PROCURSIVE. 265 le coma à 5 heures du matin, et meurt à 10 heures du matin. Traitement : Eau-de-vie a
au bout de trois semaines il fut pris de bronchite; et finale- ment mourut de coma-urémique, par suite d'un mal de Bright le
ère était très nerveuse, elle est restée quatorze ans malade et est morte d'une maladie de poitrine à l'âge de quarante et
ndant, de treize enfants il ne leur en reste que quatre; les autres mouraient avant l'âge de deux ans. Le malade n'offre pas
st pas nerveuse, aucun excès. [Père, mort on ne sait de quoi. Mère, morte en couches à vingt-sept ans, pas de détails. -
e, est mort très âgé; on croit qu'il était sobre. Mère, ménagère, morte de vieillesse. Deux frères : l'un est mort étant
'une maladie vénérienne. Une soeur, fille publique, alcoolique, est morte de la poitrine; elle aurait eu dans son pays, à
ns, mort à la suite d'une chute avec- frac- ture de côtes. - Mère,' morte à soixante-huit ans, « après avoir traîné»; tra
a deux enfants qui ont eu des con- valsions répétées. - Une soeur, morte à son retour d'âge, n'avait pas d'attaques. Poi
BLE AVEC IMBÉCILLITÉ. 397 I débouchés»; - 3() fille bien conformée, morte à deux mois «d'une espèce de méningite, en quin
on ne sait de quoi, était né à terme; pas de convulsions; 6° fille morte à quatre ans et demi de méningite, avec convulsio
t demi de méningite, avec convulsions, en quatorze jours; 7° fille, morte du croup à trois ans. Notre malade. Au moment d
it amené le malade à demander son admission à l'hôpital, et dont il mourut au bout d'une semaine. A l'autopsie, il fut déc
1886, il eut une attaque d'hémiplégie droite et quelque temps après mourut de tuberculose pulmonaire. ' A l'autopsie, on t
tion de fermer les yeux complètement, leurs efforts convulsifs de- meurent vains et la comédie de tout à l'heure recommence;
00 du nombre des admissions, les transferts non compris. 24 malades moururent , 20 fois l'autopsie fut pratiquée. La mortalité
48 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e et emportée. [Père : sobre, mort à cinquante-neuf f ans. 31èi-e : morte à quarante-cinq ans, de cause inconnue. Grands
re plus âgé). Dix enfants : 1° garçon, dix-neuf ans, sain; 2° fille morte en venant au monde, à terme ; la mort a été att
°`garçon, fièvre typhoïde à sept ans et demi, intelligent; 60 fille morte à six semaines de cholérine ; 7° notre malade ; 8
ans, rien à signaler; 9° fille, sept ans, otite suppurée; 10° fille morte à deux mois et demi de méningite. r ÉPILEPSIE V
vralgies. Rien de particulier dans le reste de la famille. SoeMr morte probablement de tuberculose . - Pas de consanguin
l'un, ni chez l'autre. Deux enfants. 1° Notre malade; 2° une fille morte à huit ans et demi de péritonite tuberculeuse a
ent, et l'avait grièvement blessée. La malheureuse institutrice est morte après d'horribles souffrances. (Bonhomme Norman
) Alcoolisme de l'enfance. A Ivry, une fillette de quatre ans est morte dans d'atroces souffrances, après avoir bu le con
e de plus en plus du côté de la troisième paire droite et le malade meurt le 20 mars 1901, quatre mois environ après le d
oeurs bien portants. , La grand-mère maternelle, bien portante, est morte du choléra à l'âge de quarante ans. Marche. L
et soeurs, un est mort du croup à trois ans et demi, une soeur est morte à trois ans et demi de méningite, un troisième
; le père est mort à l'étranger d'accidents paludéens ; sa mère est morte des suites d'une affection cardiaque à cinquant
te à de grandes, infirmités qui la firent beaucoup souffrir; elle mourut à trente-trois ans. » Notons cet état maladif e
it-on pas entendre ces nerveuses qui semblent accablées et prêtes à mourir , et qui se réveillent sans cesse pour accom- pl
u'il y a de rameaux de nerfs dans le corps humain; toujours prêts à mourir , ils vivent de longues années. C'est ainsi qu
crénelées dominent encore le couvent. C'est là que sainte Thérèse mourut en 1582 à l'âge de 67 ans ; c'est là que se trouv
oton, je ne pouvais en remuer aucune partie non plus que si j'étais morte ». 5° Des paralysies hystériques A un moment, T
on croyait à toute heure, ou plutôt à chaque instant, que j'allais mourir , et on ne faisait plus rien que de réciter aupr
apôtres, comme si je l'eusse entendu. Quelquefois on me tenait pour morte , et lorsque je revins à moi, je trouvai sur mes
. Mon diagnostic était fait ; je déclarai que la malade n'était pas morte , et qu'elle serait guérie dans la nuit, si on l
jours; la syncope fut telle à certain moment qu'on crût voir une morte véritable; je ne venais pas assez vite pounempê-
ligé, à un moment donné, de le nourrir avec la sonde, pour qu'il ne mourût pas de faim, or l'opération se faisait sans auc
d'heures après, elle tombe en état d'inconscience, puis de coma et meurt . A l'autopsie, on trouve les sinus de la dure-m
ives subsin- trantes, s'alite, devient galeux, a des,escha ? -es et meurt (décem- bre 1901). Autopsie : hémisphère gauc
nterrompues par l'éveil d'une relative conscience : tantôt se croit morte et se laisse aller à terre de toute sa hauteur
leurs ou de rares paroles empreintes de son délire mobile (elle est morte , martyre, ne veut pas faire pénitence plus long
assez bonne santé et n'ayant jamais rien présenté d'anormal ; mère morte à l'âge de quarante- neuf ans, d'affection indé
pendue. On a éteint rapidement l'incendie, mais la pauvre folle est morte . (Le Bonhomme Normand du 27 septembre au 3 octobr
é du poison dans la soupe que devait consommer la famille. Elle est morte ainsi qu'une de ses fillettes; son mari et un aut
lessés ont été transportés à l'hôpital, où la femme Mi-" nodier est morte ce matin. (Le Temps du 21 février 1902.) , Dram
ous avons vécu sous l'aile de notre mère. Depuis que notre mère est morte , nous sommes toujours sorties ensemble..., nous
tinué d'habiter l'ap- 300 CLINIQUE MENTALE. partement où elle est morte , en reprenant le bail à notre nom. L'aînée a si
UEIL DE FAITS. Poumons, rien de spécial. Coeur, mou, teinte feuille morte , sans lésions valvulaires. Aorte souple. Reins
ice qu'une vieille femme, d'ailleurs mendiante de son métier, étant morte dans la maison qu'il habi- tait, le concierge l
re des deux malades, était épileptique depuis son enfance. Elle est morte complètement démente à l'âge de quarante- huit
doit être relativement fréquente chez les dé- ments des asiles qui meurent brusquement mais dont l'autopsie est souvent né
nuit, il voulut être tiré de son lit et,étendu sur la cendre. Il y mourut , tenant toujours les bras en croix. (Miche)et,
nt avait eu lieu dans l'intervalle. L'une des trois, Annette, était morte . Il est permis de penser que l'extraordinaire r
, comme en témoigne l'histoire de sa vie. « Ma mère, nous dit-elle, morte de la poitrine à vingt-deux ans, était une femm
mais on les lui vola et il ne put jamais en tirer prolit. Ma soeur, morte aussi de la poi- trine, était une femme de salo
tite pension, elle vécut à Paris où elle éleva ses trois fils. Deux moururent encore jeunes. Le chagrin qu'elle en éprouva, l
a M... dans le service de M. Delasiauve, Leur mère, alcoolique, est morte de tubercu- lose. Alice était devenue elle-même
is 1895. Interrogée par la supérieure, elle répondit : « Je voulais mourir . Vous m'avez em- pêchée de faire mon bonheur co
encha sur le lit de l'enfant. Elle put constater que celle-ci était morte . Elle portait au cou des traces violacées de st
conseil. Celle-ci lui apprit que le coeur était destiné à le faire mourir , mais que s'il parvenait à couper la ficelle qu
de la mort; mais on peut légitimement admettre que les malades qui meurent après quarante-cinq ans ont pour la plupart fai
e. Son père souffrit pendant onze mois d'une affection cérébrale et mourut quand il avait cinq ans. Olla Hausson nous appren
; la guérison paraissait donc de nouveau obtenue, lorsque l'enfant mourut subitement par asphyxie d'origine bulbaire, ave
49 (1881) Études cliniques sur l'hystéro-épilepsie, ou Grande hystérie
des visions dans lesquelles Th. L..., une de ses anciennes compagnes, morte depuis un an, venait pour la chercher, et lui pos
ment et s'écrie avec effroi «Oh! c'est affreux... Dieu! mais ils vont mourir ... » Puis après un moment de silence avec un gest
et je suis en colère... je voudrais que tout cela finisse... Fais-moi mourir ... Personne n'en saura rien... Donne-moi quelque
... Personne n'en saura rien... Donne-moi quelque chose pour me faire mourir ... » Puis, après un moment de calme: « Et dire qu
, jamais un homme ne me sera rien... Ah! Camille, Camille! ...je veux mourir dans ma dou-leur! » Parfois ce délire triste re
et le parquet. Elle criait : « Ah! malheureuse que je suis! — Je veux mourir . » Trois ou quatre infirmières avaient beaucoup d
e bronchite, elle est morose, elle est fatiguée de la vie et voudrait mourir . Elle songe beaucoup à une de ses anciennes compa
e beaucoup à une de ses anciennes compagnes du service, Thérèse L..., morte depuis un an. Elle est prise d'attaques dont le
gure... Je te reconnais bien... Je te vois assez souvent les nuits... Morte d'une bronchite négligée! — Moi, je veux bien mou
vent les nuits... Morte d'une bronchite négligée! — Moi, je veux bien mourir comme ça! — Je voudrais aller au cimetière... Pap
.. Je ne le vois pas souvent... Qui voulez-vous que j'aime? Maman est morte à vingt-sept ans... J'ai vécu un an de trop (Marc
écu un an de trop (Marc... a vingt-huit ans)... Voilà ce que c'est de mourir dans un hospice!... Au moins, chez soi, on a des
-dais seulement dire : la poitrine est prise... Souffrir et ne jamais mourir !... Avoir une vie dure comme la mienne!... Je sui
en as pas donné autant que je voulais... Tu m'as dit que je te ferais mourir , etc.. » D'autres fois le délire est remplacé p
t puis, non, tiens, je me mettrai religieuse. Adorer le bon Dieu ! je mourrai toute jeune... je verrai Dieu... j'irai au ciel.
nt où, dans une scène d'amour, la malade menaça son amant de se faire mourir en s'étranglant. D'autres attaques se succèdent
e! — vous me fai...tes du mal. — Laissez-moi... m'en aller... je veux mourir , etc.. » elle ne veut pas surtout qu'on maîtrise
elle lui refusait tout, qu'elle était lasse de vivre, qu'elle voulait mourir , qu'elle se jetterait sous le Pont-Neuf. En effet
OBSERVATION1. C... (Fanny), âgée de vingt ans. Mère très irritable, morte il y a cinq ans; père bien portant; pas de frère
maine de son père est épileptique et idiote; mère hystéro-épileptique morte il y a dix ans; deux frères, morts aujourd'hui, é
ment vêtue de noir et a les yeux bleus. Parfois c'est sa petite sœur, morte depuis quinze ans, qui vient, dit-elle, l'ennuyer
s de prédisposition héréditaire à l'alié-nation, mais que la mère est morte d'une fièvre cérébrale et que la malade a éprouvé
à personne, refusant toute espèce de nourriture et parlant souvent de mourir . Depuis deux ans environ, mademoiselle X.... pa
Père mort subitement à l'âge de quatre-vingt-deux ans. La mère est morte « de la poitrine » ; elle avait été sujette à des
ne, une partie du monde qui était entré dans Paris... Il s'était fait mourir pour s'atténuer le complément, car la fm du mois
^, et il ne recouvra connais-sance qu'au bout de plusieurs heures. Il mourut peu de temps après, sans être revenu à la santé {
que la malade montrât quelque contractilité ; M. Frank même la jugea morte , mais en conseillant toutefois delà laisser dans
ient à la connaissance et me dit en riant : « Je suis trop jeune pour mourir . » On la transporta de suite dans un autre appart
... emmenez-le... je ne veux pas le voir... des allumettes... je veux mourir , etc.. » Elle est prise, de temps à autre, de l
ins pendant quatre heures ; à la suite d'un de ces accès, cette femme mourut subitement, et l'autopsie faite par nous avec le
ne parlant point, étant sans mouvement et sans sentiment, on la crut morte . Elle ne revint qu'à cinq heures du soir qui étai
ontinuant ses battements ordinaires, faisait voir qu'elle n'était pas morte . » Si on lui ployait un doigt ou plusieurs, ils
s'écriant : « Laissez-les-moi ! laissez-les-moi!,.. Ne les faites pas mourir !... Ces affreuses bêtes vont les dévorer! » Et el
objet de ses hallucinations, la malade me répond qu'elle voit sa mère morte depuis quelques années, dans l'état où elle est e
re. Lors de son arrivée à Paris, elle apprit que son frère venait d'y mourir ; elle en fut vivement frappée, et c'est à partir
tée, capricieuse, emportée. En juin 1850, maladie du grand-père qui meurt le 9 juillet. Sa petite fille l'aimait passionném
iblie, le dis-cours incohérent. Elle n'est pas gâteuse. 3. Sabatin, morte dans le service de M. Charcot au mois de juin der
es comme elle de rendre un culte au démon. La mallieureuse sage-femme mourut au sortir de la question qu'on lui avait appliqué
ir, ni poisson, ni oeufs, ni boire de vin, pour la dégoiîter et faire mourir de faim, ou au moins la faire rétracter de sa dép
ment.....La torture finie, l'assoupirent tellement qu'elle semblait morte . Retournant à soi et voulant recommencer â souper
res que les diables ; qu'ds les avaient forcées d'accuser et de faire mourir un homme innocent, qu'elles priaient la justice e
, le père Lactaiice et le père Tranquille, deux autres exorcistes qui moururent en proie au délire de la démonopathie ; le père L
et, danscctte opération, avait montré une dureté de cœur peu commune, mourut en proie à un violent délire pendant lequel il ét
eur fait plus de grâces qu'ils ne méritent (il est tout prêt encore â mourir pour eux, et à ne rien faire pour nous : il enrag
le qui avait failli se noyer. (Quelques heures après elle tombe comme morte ; on la rapporte chez elle et cet état dure plusie
le dit à son tour que le père de Perronne l'aurait aussi, et qu'il en mourrait . » Une sœur de iMarie, âgée de neuf ans, est pr
is, diacre de l'Eglise de Paris, défenseur des doctrines jansénistes, meurt en odeur de sainteté et est enterré le 2 mai 1727
à longs traits toutes les horreurs de la mort sans cependant pouvoir mourir . » Malgré ces symptômes alarmants, il y avait d
t d'une voix faible et entrecoupée : je suis bien basse, mais je n'en mourrai point. Ayant prononcé ces mots, elle retombe en a
jours dans une faiblesse léthargique pendant laquede elle paraissait morte , n'ayant aucun sentiment et ne faisant aucun mouv
t ces faiblesses léthar-giques jeté le drap sur le visage, la croyant morte . » Le 16 juidet au moment du départ pour le tom
s mouvements pendant près d'une heure ayant tout l'air d'une personne morte ; mais elle reprit ensuite ses esprits... » Ce j
postats! Écoute, écoute, ô Jésus! lorsque j'avais quinze ans, ma mère mourut et j'apostasiai. 0 Jésus! j'apostasiai ! Réunis-m
orrible vision, e'ie tomba enfin, sans force et sans mouvement, comme morte . » « Presque toutes les jeunes filles, en ce mo
à la mère, et volontiers faisait leurs mandements. Quand la mère fut morte , ils se transportèrent à Hyères, et désormais y h
voir pour certain. Après un peu de temps, quand la sainte femme fut morte , ne se remembrant (ressouvenant) pas de la craint
ut tant travaillé et eut tant de douleur que le cœur lui partit et il mourut déshérité et rejeté de son royaume. marh-: de M
mervedieuse, qui coule comme la source du rocher; et si Marie deMœrl mourait en réalité dans de pareilles circonstances, elle
ie deMœrl mourait en réalité dans de pareilles circonstances, elle ne mourrait pas autrement. » Quelque absorbée que soit l'Ex
trine, les yeux se ferment, le nez s'effile, la face prend une pâleur morte , elle se couvre d'une sueur froide; les mains son
50 (1882) Archives de neurologie [Tome 04, n° 10-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
elle n'avait cependant jamais été sujette à des attaques de nerfs ; morte percluse de douleurs, aveugle et atteinte d'ana
une s'étrangla à soixante ans et fut opérée avec succès. maternelle morte d'un carcinome de la cuisse; grand-père mort de
, l'une bien portante, mère de sept enfants en bonne santé; l'autre morte en couches à quarante-sept ans. Un frère mort d
s : une trop longue durée, dix-neuf ans (à Pétersbourg, ces malades meurent au bout de trois à cinq ans), et un affai- blis
iénés. La mère du père était paralysée de la langue, quand elle est morte . La mère est morte d'une tumeur abdominale, ell
e était paralysée de la langue, quand elle est morte. La mère est morte d'une tumeur abdominale, elle avait eu deux attaq
réflexes tendineux, etc. Le deuxième enfant était une fille qui est morte à dix ans d'une affection fébrile. Le troisième
mptômes peuvent aussi s'ag- graver au point d'amener la mort. Ainsi mourut à l'hôpital de Dresde une couturière, qui, priv
ires delà première sema"te n'atteint que 41 p. 100, tandis qu'il ne meurt que 21,8 p. 100 malades en proie aux accidents
amène à l'asile beaucoup d'a- liénés âgés et décrépits plutôt pour mourir que pour être traités. Il dit que si les parent
présentée à la Société médico-psychologique, s'imaginent qu'ils ne mourront jamais. Cette idée d'im- mortalité se rencontre
sentent alternativement l'idée d'être morts ou l'idée de ne pouvoir mourir , suivant leurs n 162 L> CLINIQUE MENTALE.
rait avoir complètement perdu sa fortune et se croyait menacée de mourir de faim) un intervalle parfaitement lucide d'en
aire, entrée à l'asile de Marseille le 12 octobre 1881. La mère est morte à cinquante-six ans d'une attaque d'apoplexie.
u fragment, la réduction n'avait pu être maintenue et la ma- lade mourut des suites de cette fracture exposée. Les deux
ut plus être heureux, qu'il est maudit, qu'il est souillé, qu'il va mourir bientôt. Aprèsen avoir rapproché les descriptio
té droit. Hyper- thermie et fréquence du pouls exagérée. Le patient meurt trois jours et demi après l'attaque. L'autopsie
l'avortement et à la mort des enfants en bas âge. Les absinthiques meurent presque fatalement de tuber- culose pulmonaire;
de refermer le robinet. Peu d'instants après, on trouvait la malade morte : elle avait buc- combé à une congestion pulmon
nle E... est perdue, elle n'a plus de tète, plus de corps; elle est morte . Mmo E... pousse des cris perçants, répète les
qu'elle est perdue, ruinée, qu'elle est cause que ses enfants vont mourir de faim. Elle refuse les aliments sous prétexte
M-0 E... ne consent à manger qu'à la table des domestiques. Elle meurt en 1876 sans que le délire ait subi la moindre
ns négatives tout à fait absurdes. M"° S... prétend que personne ne meurt plus, que personne 286 CLINIQUE MENTALE. ne s
subir les plus affreux supplices et cependant elle ne pourra jamais mourir . Fréquents paroxysmes pendant lesquels Mmc J...
tiré, qu'elle n'a plus d'estomac, qu'elle n'a plus de sang; elle ne mourra jamais, elle n'est ni morte ni vivante, elle es
mac, qu'elle n'a plus de sang; elle ne mourra jamais, elle n'est ni morte ni vivante, elle est une personne surnaturelle,
e tirer un coup de pistolet. Je demanderais bien à Dieu de me faire mourir , mais Dieu DU DÉLIRE DES NEGATIONS. 291 n'exi
.. dit qu'il est à moitié mort et qu'il ne pourra jamais achever de mourir ; il prend son bras, sa jambe, son mollet en dis
e; aujourd'hui - il n'est plus qu'un petit crétin et du reste il va mourir . En mai 1882, M. C... en est réduit à un état d
ien d'humain et est comme une bête immonde. M ? G... vou- dra) être morte , elle gémit et fait des tentatives de suicide,
mmortelle, on pour- rait la hacher en petits morceaux sans la faire mourir . En mai 1882, la situation est toujours la même
le demande la mort, et cependant elle sait qu'elle ne pourra jamais mourir . Au mois de septembre de la môme année, Mme IL.
ve.iu,ptusd'estomac,piusdecoeur, etc. Ils sont morts ou bien ne mourront jamais. Transformation de la personnalité. Quel
ation devint irré- gulière, l'oedème du poumon survint et le malade mourut . D'après la marche de la maladie, il n'était pa
ainsi on guérit parfois le malade; en tous cas on ne le laisse pas mourir de faim. Pour- quoi donc n'agirait-on pas de mê
51 (1894) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 07] : clinique des maladies du système nerveux
de la Tourelle, hôpital Cochin. A. H. Père mort à 74 ans ( ? ) mère morte vers 32 ans de refroidis- sement ( ? ) 3 frères
) 3 frères et 1 soeur : les frères sont bien portants; la soeur est morte en bas-Age. On ne note dans la famille ni cancer,
e relativement bonne. Pas de trouble de l'intelligence. Le malade meurt emporté par l'asystolie le 14 décembre 1893. Au
s dilaté, surtout au niveau de l'oreillette droite ; teinte feuille morte du myocarde ; pas de lésions valvulaires. Quelque
Grand-père, instituteur, mort à 76 ans d'une maladie inconnue. Mère morte a 86 ans. Grand'mère maternelle morte à 104 ans.
d'une maladie inconnue. Mère morte a 86 ans. Grand'mère maternelle morte à 104 ans. Ni al- coolisme, ni goutte, ni syphi
te au point de vue de l'interprétation médicale. « Elle n'est pas morte , dit Welcker comme on a pu le croire ; mais elle
nsversalement par rapport il lui. Un fil à plomb est installé à de- meure sur le côté du sujet de manière qu'il rencontre l
ofesseur Charcot, à la Salpêtrière (Salle Prus. 10). Hérédité. Mère morte d'un cancer du soin à 63 ans, très nerveuse, im
de hacquebute qu'il recul sur l'os pariétal, dont le troisième jour mourut apoplectique. Dont advint que pour l'envie que
de ce genre, « de faire trépanation, plustôt que laisser le patient mourir » après avoir appelé conseil « tant de docteurs
peur, qu'on ne se trouve empêché si d'avanlure le patient vient à mourir : car ce sera chose plus aisée a quatre de le p
ans les cas les plus simples, le pronostic fort incertain ; «Aucuns meurent de bien petites fractures,' les autres réchappe
ce qui est à raison de la douleur de la plaie, et aussi que les hu- meurs et esprits naturellement courent vers la partie b
res de l'Empire pendant 13 ans. Après une vie assez aventureuse, il mourut à l'hôpital d'Elbeuf, à l'âgede80 ans environ,
douleurs et de rhumatismes ». Il laissait trois garçons. L'un deux, mourut jeune, de la poitrine. Des deux autres enfants,
el de la malade) homme très doux, faible de caractère, bon ouvrier, mourut à l'âge de 68 ans, broyé dans une scierie. L'
(grand-mère maternelle de la malade) née de la première fem- me H. mourut il 24 ans des chagrins et des mauvais traitements
tre enfants : deux filles, dont la mère de la malade, et une autre, morte il 4 aus « d'humeurs froides » ; deux lils (onc
la famille. L'autre est le père même de notre malade. Clém. P. est morte il la suite d'une grande frayeur. Ainsi le père
as de Pauline L. obéit encore il cette loi. Une de ses soeurs est morte dans les convulsions. Une autre a eu une chorée
ents héréditaires n'offrent rien d'intéressant à noter. Sa mère est morte à 51 ans de tuberculose pulmonaire. Son père, âgé
pas de troubles mentaux. Elle a eu 8 grossesses : 1° Une fille morte à 20 ans de « bronchite » ; elle était née sourde
8 ans (en 1859) ; un an après, elle accouche d'une petite fille qui meurt il 11 mois, après avoir présenté une éruption sus
). « Le monde, dit la malade, l'appelait un original ». Sa mère est morte d'affection cardiaque : elle n'avait pas de manif
tôt le changer de place. Il est mort subitement. Sa grand' mère est morte , à 60 ans, paralysée des quatre membres. Parm
22 ans, elle se marie et devient veuve au bout de six mois (son mari meurt de tuberculose pulmonaire) sans avoir eu d'enfa
ère syphilitique mort d'une affection pulmonaire indéterminée. Mère morte à 68 ans d'apoplexie cérébrale. Le malade a peu
u, près de la vallée des Aygalades, aux environs de Marseille. Il y mourut en 1883, laissant le souvenir d'un artiste honn
ns peine, la transportèrent il Azpeitia, tremblant qu'elle ne vînt il mourir en route. Quand ils arrivèrent, le saint prêcha
sciente. Ici c'est le désir déraisonna- ble de maigrir, là celui de mourir .... C'est toujours un véritable déliro. Il va s
e quelques jours on la ramène comme définitivement perdue et devant mourir prochainement. Les vomissements sont devenus abso
le sera damnée. Il lui est donc inutile de manger. Elle se laissera mourir de faim tout simple- ment, lentement, mais n'at
ayante, il tel point qu'elle fut deux ou trois fois sur le point de mourir . Une première fois, dans un accès d'exaltation
La Vierge l'avait trouvée indigne de pardon et de gué- rison. Elle mourrait donc en état de péché mortel, elle serait damnée.
limites sont dépassées. Et la mort s'ensuit inévitablement. Ainsi moururent quatre malades dont parle Charcot (1) ; ainsi mou
ment. Ainsi moururent quatre malades dont parle Charcot (1) ; ainsi mourut cette malade de P. Janet (2), pour avoir trop r
52 (1892) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 7
malheureux de tuer un homme pour si peu... . Ce n'est pas drôle de mourir comme cela... » Je change le cours de ses idées
poursuivi par son idée de persécution; il t'imagine qu'on veut faire mourir sa famille de faim. Arrivé chez lui, il se couche
de congestion hépatique, rénale, pulmonaire, etc. « On m'empêcha de mourir , ajoute-t-elle, mais on ne me guérit pas, et quan
« Je me révoltai alors et ne voulus plus voir de médecin, préférant mourir . Cependant, force me fut d'y avoir recours pour m
laitai jusqu'à sept mois et demi, ce qui roc fut nuisible. Mon enfant mourut quelque temps après ; le profond chagrin que j'en
rison ensuite. Je vous dois la vie, car je sentais bien que je devais mourir , et peut-être à brève échéance. » Je constatai
fasci-natoire. Il se débattra comme une bète fauve dans sa cage; il y mourra de faim, mais restera quand même cloué sur place.
ais augure hasarda : « Vous ne croyez pas pourtant, docteur, que j'en mourrai ? — Non, répondit le médecin, vous n'avez pas à cr
uo, et il se frotte les mains, de temps à autre, en se redisanl qu'il mourra vieux, et qu'il aura une belle pierre avec des le
deux mois elle a eu encore des sensations très pénibles : crainte de mourir , état d'esprit lamentable à certains moments: mai
dant la route, lepère marcha sans le vouloir sur la main de la petite morte étendue sur le plancher de la voiture et Angélina
ue ; ta grand'-mère est très bien portante; une sœur de la malade esl morte de convulsions à l'Age de deux ans. Nous ne som
. Son père est mort à quarante-deux ans; il était buveur. Sa mère est morte a vingt-trois ans; elle était nerveuse. Chez elle
contenu en icelles garder et observer; en foy de quoy nons avons but meure notre scel à cesdites présentas, « Donné à Vers
endu, survinrent de* attaques syncopales. La vision disait : « Tu vas mourir ». et la malade, perdant l'usage de tous les sens
uérirai jamais la vie m'est à charge ; adieu. D. — Vous pensez donc mourir cette nuit pour parler ainsi ? H. — Pals-moi le
lement la production? La malade, d'après son système délirant, devant mourir dans l'atttaque, l'abolition des sens est le prem
constatant que cette volonté morale et saine n'était pas tout à lait morte , elle verrait renaître en elle l'espoir et le cou
étériorer et à détruire, cet organisme naît, se développe, décline et meurt . L'histoire naturelle de l'homme comprend toutes
se trouve sur ce globe avec d'autres êtres vivants qui naissent et meurent comme lui. D'où vient-il ? Nous l'ignorons. Que d
plit dans les organismes, qui naissent, croissent, se reproduisent et meurent : ce sont les cellules ou éléments microscopiques
dit ce dernier, avec ses mœurs, ses pas-dons, ses misères, l'homme ne meurt pas, il se tue. » Le plus souvent, en effet, 1a m
as, il se tue. » Le plus souvent, en effet, 1a machine est frappée et meurt avant d'être usée par l'âge. Fragile, elle peut ê
ée, vint à Lourdes et demanda à la Vierge de la guérir ou de la faire mourir . Elle contracta une pneumonie double, à la suite
Elle contracta une pneumonie double, à la suite de son immersion, et mourut . C'était toujours cela! Lassé d'attendre et ne vo
religieux, elle est croyante. J'ai pensé qu'il serait intéressant de meure en . présence ce» impressions subie» par deux ind
, sa volonté assez ferme. Elle a des idées noires et elle craint de mourir d'une maladie du cœur comme sa mère. Sueurs penda
ne un dimanche matin; elle allait seule à la messe. Il lui propose de mourir ensemb'e, et elle accepte tout naturellement, nou
nté à ma belle-mère qui lui avait répondu que j'étais trop lâche pour mourir . « Je restai dans cette triste situation un moi
decin qui soigna l'enfant; quand je le vis sauvé, je ne voulus plus mourir , mais vivre pour lui. Mon beau-père me ramena à
« Baraques, neuf heures du soir. Joséphine, c'est pour toi que Je meurs . Je t'avais élevée si haut dans mon cœur que po
te est mort à trente-deux ans, de tuberculose pulmonaire, sa mère est morte à trente-quatre ans du croup, un frère est mort e
9. Son père est bien portant; il a cinquante-trois ans. Sa mère est morte à trente-deux ans de tuberculose pulmonaire. Un f
ivrognerie à trente-cinq ans. Sa mère est bien portante. Une sœur est morte en bas âge. Un frère est buveur. Marie P... n'a j
'hôpital de Molenbeck. Ses parents sont bien portants. Une sœur est morte à huit ans du croup. Un frère vil encore; il est
esseur Rommelaere. Elle occupe le lit 8 de la salle 37. Sa mère est morte de cause inconnue. Son père est bien portant: il
s cinq frères et sœurs ont toujours été dune bonne Santé. Sa mère est morte au mois de mars 1892 de démence paralytique ayant
. NÉCROLOGIE M. le Dr Marrotte. M. le Dr Marrotte, qui vient de mourir dans un âge avancé, était médecin honoraire des h
t, M. le Dr Delasiauve, médecin honoraire de la Salpêtrière. vient de mourir à l'âge de 89 ans. Reçu médecin en 1813, il fit
53 (1858) Journal du magnétisme [Tome XVII]
dissiper et se con-« sumer d’eux-mêmes dans la basse région de l’àme. Mourez « dans l’extase et dans l’union de l’esprit avec
la parfaite obéissanco dans le monastère, de faire, comme il disait, mourir le péché par le péché (similia, simili-bus curant
s si étranges établies par le prêtre David au monastère de Lou-viois. mourut en odeurde sainteté. On a même écrit sa légende.
e, prenant naissance au moment où les opérateurs font la chaîne, pour mourir à la fin de la séance, sauf à revivre et. à remou
r dans la ville leur réputation de sainteté, lorsque u leur directeur mourut . » Bientôt après les bruits reparurent. « On en
nt demeurées si longtemps le privilège de cet Irlandais. « Sullivan mourut en 1810 ; son fils lui succéda ; mais, soit qu’ij
rompre par la inarcbe, car autrement, dans dix-huit mois, elle serait morte dca jambes. Le dernier jour de sa marche, dans
is l’oiseau en revenait; pas toujours cependant ; parfois le vôlatile mourait , sans blessure aucune, de terreur qu’il avait épr
it été jusqu’ici sceptique quant à l’immortalité de l’âme, et qui est morte dernièrement après avoir légué au célèbre médium
e le spectre d'un de ses parents morts; elle le toucha, elle crut, et mourut peu de temps après ; et elle fit le legs dont nou
d’eux, et forma une véritable caverne; ce ne fut qu’au moment où ils moururent que la congélation 'Se fit entièrement. Ce n’es
cette apparition, un mois après jour pour jour, cette jeune personne mourait , et depuis lors, comme si quelque malédiction ava
onde, dans la Bible ; et comme une religion qui vient de Dieu ne peut mourir , quand le judaïsme a disparu sous l’action de la
omme le faisait Jean-Jac-ques par la comparaison des deux manières de mourir de Jésus et de Socrate, en disant comme lui : « O
lut récompensé de sa découverte par le dédain et les persécutions, et mourut dans une maison d’aliénés. Celui qui imagina d'ap
là qu’il faut chercher la véritable gloire d’un homme ; car, avant de mourir , c’est là que nos beaux génies ont blasonné leu
ait tant de bruit, C'est qu'il prouva que, sur la terre Si le corps meurt , l'âme survit. A du Potet, l'apôtre digne Du gr
ent plus éclatants qu’à aucune époque de l'histoire. Si l'homme 11e meurt pas tout entier, si son esprit lui survit, quoi d
L’enfant s’était fourré la tête entre ses genoux et criait : Je veux mourir ainsi ! Nous sommes morts ! Je lui dis alors : Ce
es vieux savants des immortels. Quant à vous, mon cher baron, vous ne mourrez que quand vous cesserez de magnétiser. Votre pile
on les hémisphères cérébraux, le cerveau proprement dit; (l’animal ne meurt pas .pour cela.) (Voyez Académie des Sciences, 5*
ard, signale l’action de deux métaux sur les muscles d'une grenouille morte ; et on en tire cette conséquence qui se vérifie,
uisse et reçut plusieurs autres blessures. Transporté à l’hôpital, il mourut le lendemain matin des suites de sa chute. Le cor
ens qu'on appelle dignes de foi m’avaient dit que la dame châtelaine, morte en ÜOO, qui, depuis cinquante ans, ne paraissait
e troubla ; je ne compris pas comment mon nom pouvait être su par une morte , par un fantôme 1 Un instinct machinal me fit aba
Pauvre étranger qui s’étonne que son nom soit sorti des lèvres d’une morte ! pauvre curieux, qui ignore que la femme qui a l
tout partir, tout se sauver du gîte précédemment choisi; cette terre morte n’est plus propre à leur vie, d’autres génération
lui-ci,... vous en tirez quelques palettes, l’individu languit ou meurt ;... il n’avait pas trop de ce fluide, seulement c
dement l’aide-de-camp. « — Je serais fort curieux de voir, avant de mourir , une re- « présentation d’une scène de voyant
oche. Mais au moins mon départ de ce monde servira à te convertir. Je mourrai dans une heure et on m’enterrera demain. Mais aie
s subirent une détente. Je marchais dans la chambre, croyant ma fille morte ; le3 personnes qui entouraient le berceau dirent
t vivement frappé de la nécessité de remplir un devoir sâoré avant de mourir . — Toulouse es* une des vflle&'de France of
ance. — II faudra me fixer pour toujours à Buénos-Ayres? — Vous y mourrez ... Non, non , vous n’y mourrez pas , si vous voul
ur toujours à Buénos-Ayres? — Vous y mourrez... Non, non , vous n’y mourrez pas , si vous voulez suivre fidèlement le conseil
une glace, vous mettez tant de blanc que vous êtes pâle comme une morte . Prenez garde ! cela gâte la peau, et peut à la l
ire un travail sur ce sujet. » Ce travail est encore à faire, Georget mourut à la veille de le commencer. Maintenant laiss
; nos dieux ne peuvent rien contre elle; mais c'est toi qui la feras mourir . » Toute cette scène appartient à la magie dont n
ieu immortel. Certes, il y a un dévouement sublime chez le martyr qui meurt plutôt que de manquer à ce qu’il regarde comme un
tte et sonna l’hal-lali du magnétisme devant l’Académie. — La bête se mourait , la bête était morte, le magnétisme n’était pins.
du magnétisme devant l’Académie. — La bête se mourait, la bête était morte , le magnétisme n’était pins..... Puis, le bouil
s, le 18 novembre 1858. Monsieur le baron, En rêve, je me sentais mourir , toutes mes forces me quittaient à la fois, et ce
agitait encore souvent. Je me demandais : En quel état suis-je? si je mourais à l’instant même, serais-je damné? Selon les jans
ns la Vie privée du maréchal (le Richelieu. On lui avait prédit qu'il mourrait au mois de mars, et si, dans la jeunesse où l’on
mporte lequel il prit, elle lui disait toujours la même chose : qu’il mourrait jeune et de mort violente (2). » 11 s’agit, sans
ssement, se figura entendre la voix d’un esprit qui lui annonça qu’il mourrait dans trois jours. A. l’approche du terme fatal, i
inez ! — Oh ! que non, je parle sérieusement. Dans huit jours ma mère mourra et cet événement sera pour nous le commencement d
54 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ièrement sur elle, pour la tuer à coups de mar- teau et, la croyant morte , tenta ensuite de se suicider. L'auteur a pu ét
rier la malade devint apathique et som- nolente ; le 1er mars, elle mourut avec des phénomènes d'oedème cérébral. A l'au
ours passa en une hémiplégie avec une aphasie ; bientôt la malade mourut dans un état comateux. A l'autopsie on constata
phalalgie, vomissements et strabisme; le jour même de son entrée il mourut subitement, ce qui empêcha de faire un examen d
soixante-neuf ans, entra à l'hôpital avec une hémiplégie gauche et mourut dans un mois après un état comateux. A l'autops
de croyait avoir subi une opération, puis avoir été décapitée, être morte , etc., etc. Dans les intervalles de tranquillit
ont bien por- tants. Six frères et soeurs en bonne santé. Une soeur morte de la diphtérie. Il ne parait y avoir aucune ta
nd qu'un des élèves militaires lui a coupé la tête, elle croit être morte . Elle a aussi des hallucinations de la vue : elle
ort avec instance. 5 mars. Cachexie de plus en plus prononcée. Elle meurt sans présenter d'autres symptômes. Autopsie.
Malheureusement il fut pris d'un ictus apoplectiforme foudroyant et mourut en quelques heures. A l'autopsie nous trouvâmes
ellectuelle, 9 furent améliorées, li ne furent pas modi- fiées et 3 moururent des suites de l'opération. A. V. L'analyse des
130 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. la paralysie générale. Le malade meurt d'ailleurs dans le marasme avec escarres, et l'
ur compétence ! Voici, en exemples, des cas qu'il cite : un Italien meurt dans un hôpital à la suite d'une rixe. L'expert,
cients. Embarras de la parole, habitudes alcooliques. » La mère est morte après une paralysie de dix ans. Syphilis ? De
un rôle phagocytique : il les considère comme de véritables écu- meurs du cerveau qui absorbent et enlèvent les matériau
hystériques. D'un père phtisique naissent des enfants dont les uns meurent en bas âge de méningite tuberculeuse, tan- dis
idation épileptoïde du pied. Cet élat alla s'aggravant et le malade mourut par cachexie au bout de cinq mois. A l'autopsie
s tard, a succombé aux convulsions à t'àge de six mois. La mère est morte d'accidents puerpéraux en accou- chant de cette
pira pas d'inquiétude. Quelques heures plus, tard, on la retrouvait morte dans un puits abandonné. La mère ne connaissa
morte dans un puits abandonné. La mère ne connaissait à sa fille morte pas plus qu'à sa fille vivante aucune anomalie
humatisme chronique depuis l'âge de quarante- huit ans; la mère est morte d'un cancer utérin, à cinquante-cinq ans; elle
n cancer utérin, à cinquante-cinq ans; elle avait une soeur jumelle morte l'année suivante de la même affection. Un oncle
e il y a plusieurs jumeaux. , Elle-même est jumelle, sa soeur est morte du croup à trois ans, de même qu'un frère d'un
maternelle cardia- que. Cousine naine et rachilique ( ? ). Scezc1· morte avec des convulsions de l'enfance. Azetre oe«)'
is. Il était sanguin, puissant, calme et nulle- ment nerveux. Mère, morte à quarante-sept ans, probablement d'une lésion
s travailleur, pas d'autres renseignements, Grand'mère maternelle morte à quatre-vingts-huit ans, jusque-là bien portante
il élait fort et de bonne santé ordinaire. Grand'- mère maternelle, morte à soixante-et onze ans, coléreuse, méchante et
'a pas la tête grosse et tient beaucoup de son père. La seconde est morte à deux mois du choléra infantile. Elle a eu des
ul- tation. Affaiblissement progressif. 30. T. R. 41°,4. L'enfant meurt à 8 heures du matin. Température après la mort.
édical Journal, 11 juillet 90.) La malade, âgée de trente-cinq ans, mourut après huit ans de maladie avec pieds, mains et
es avec dyspnée, cyanose et élévation de la température. L'enfant meurt dans des conditions analogues aux cas d'état de m
entir ; je ne sais pas d'où cela vient ! 1 Il me semble que je suis morte ... ; il est vrai que je parle, que je marche, q
portions nucléées continuent seules a vivre, les parties anucléées meurent bientôt, sans doute par suite d'une nutrition d
t Makinesco. Des coupes minces de la moelle d'une femme diabétique, morte dans le marasme, ont montré après coloration pa
rit aux journaux qu'il se voit obligé de quitter Baixas pour ne pas mourir de faim. » Ajoutons que le meurtrier Puy a été
la cheminée et aimi par lui serrer la gorge jusqu'à ce qu'elle fût morte . Cette horrible scène s'est passée devant les c
rs même qu'ils se croient morts, ou dans l'impossibilité de 'jamais mourir , ils n'en cherchent pas moins à se détruire ; l
ntent alternati- vement l'idée d'être morts ou l'idée de ne pouvoir mourir , suivant leurs états alternatifs d'agitation an
e magique et la médecine noire. C'est surtout le soir qu'on la fait mourir après qu'elle est couchée. Elle continue ainsi
n'y est pour rien ; elle a bien cinquante trois ans, mais elle est morte depuis dix ans. Chaque matin elle apprend à mar
La pensée du mal l'emporte toujours. » La soeur de la malade est morte à l'asile après plusieurs années d'un délire abso
démon est dans son corps qui la torture de mille manières; elle ne mourra jamais. La deuxième n'a ' Séglas. L'hallucinati
ortalité rétrospective.) La cinquième a le coeur déplacé, elle ne mourra jamais ; cependant, en même temps, elle sentie di
. c Je suis damnée, perdue; je suis tourmentée, j'ai volé ! Je ne mourrai jamais. Je suis morte; je ne suis plus comme les
rdue; je suis tourmentée, j'ai volé ! Je ne mourrai jamais. Je suis morte ; je ne suis plus comme les autres, je ne puis p
pavé. Grâce aux soins qui lui furent prodigués, le pauvre petit ne mourut pas, mais demeura à demi fou, car une dépressio
tenu dans le tiroir-caisse et prit la fuite .1-o veuve Leturque est morte dans la soirée des suites de ses bles- sures. S
55 (1905) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 18] : recueil consacré à l'iconographie médicale et artistique
t positif. Le père est âgé de 78 ans et se porte bien ; la mère est morte à 53 ans d'une affection car- diaque sans avoir
and elle cherche un mot qui lui échappe. Elle a un peu de paraphasie. Morte à la suite d'une hémorragie cérébrale de la rég
t avoir vu au cimetière des Innocents le tombeau d'une dame Yolande morte à 88 ans, qui a pu voir, avant son trépas, 295
; et jetant le sang par les oreilles, nez, bouche, par le siège. Il mourut misérablement, criant qu'il eut mieux valu être m
r leur faire dire de quelle maison ils étaient, et comme on faisait mourir cruellement ceux qu'on croyait incapables de se
ls en veulent. Que s'il advenait, que les patients qui en demandent mourussent sans en avoir pris, les parents don- neraient t
lly-sur-Rose. Il y vécut de la charité publique et ne tarda pas à y mourir . Mais là encore il avait accompli des miracles.
ns, au cours d'une polynévrite éthylique. Sa mère, grande nerveuse, mourut à l'époque de la ménopause d'un ictus apoplecti
1900). OBS. 1. - Nous nous bornons à rappeler que demoiselle F..., morte accidentel- lement à l'âge de 28 ans, avait pré
petites hémorragies de date encore récente. Bien que Mlle M... soit morte à l'âge de SI ans, nous estimons que l'artérioscl
oite et à gauche. Hémoptysie. 21. Le malade retombe dans le coma et meurt le 23 février. Pendant son séjour à l'hôpital,
un cas d'acromégalie 177 Antécédents héréditaires, - Sa mère est morte d'affection cardiaque avec hydropisie. Son pè
e processus doit exister, il ne persiste pas, car chez notre malade morte acromégalique depuis 6 ans, il n'y avait aucune
s : 1° garçon bien portant, actuellement âgé de 13 ans ; 2° fille morte de diarrhée infantile à 10 mois ; 3° notre mala
degré bien moindre. Il grince des dents ; la nuque est raide. Il meurt le 30 mars, en hypothermie 36°4. (1) A. VIGOURO
et restè- rent épidermiques. Le malade maigrit progressivement et meurt le 4 juin 1904. A l'autopsie, on trouve une adh
rce, est entré à l'asile de Vaucluse, le 5 juin 1897. Sa mère est morte à 64 ans, trois jours après un ictus apoplectique
ÉDULLAIRES DES PARALYTIQUES GÉNÉRAUX 213 santé et a perdu une soeur morte jeune de tuberculose pulmonaire. Sa femme ne sa
e l'a- sile, se croyant capable de pouvoir gagner sa vie, etc. Il meurt le 13 janvier 1904, après s'être affaibli progres
mps le talon gauche est également le siège d'une eschare. Le malade meurt sans avoir repris connaissance, avec une températ
s hypochondriaques et de négation ont persisté jusqu'à la fin. 11 mourut le 13 mai 1904. A l'aulopsie du cerveau on trou
se contractèrent. Il était dans un état de profonde cachexie. Il mourut le 17 août. A l'autopsie, une pachy-méningite é
ans d'hé- morragie cérébrale, mais il est à retenir que sa mère est morte à la Salpêtrière après y avoir été hospitalisée
nté au cours de son affection qu'un minimum de symptômes bulbaires, meurt tout à coup par le bulbe. C'est cette discordance
s dissemblable ; et, d'autre part, des lésions musculaires. Les tu- meurs observées ont été soit un kyste de l'ovaire (Dres
e termina par un accouchement prématuré à 7 mois et demi ; l'enfant mourut au bout de cinq jours. A la deuxième, l'enfant
t au bout de cinq jours. A la deuxième, l'enfant vint à terme, mais mourut à 21 mois, tuberculeux , Ces deux enfants qui n
ner sur sa famille que des renseignements assez vagues. Sa mère est morte depuis longtemps. Elle ignore de quoi. Son père
es os des membres étaient mous et sans consis- tance et la fillette mourut à 15 ans d'ostéomyélite aiguë. Ces tares peuvent
être ; la dyspnée n'existe pas toujours, puisque nombre d'individus meurent avant d'avoir respiré. Quant au rétrécissement
bulbaire, affection dont souffrait également une autre soeur qui est morte . Le tableau clinique présenté par ces malades n
nez. Pas de troubles sphinctériens. Intelligence normale. Elle est morte brusquement à l'âge de 11 ans, de dilatation ca
ents héréditaires. Le père du patient est bien portant. La mère est morte il y a deux ans, elle aurait souffert de violents
inconnue, la mère souffre de « crises nerveu- ses » ; une soeur est morte de méningite tuberculeuse. Quant à notre malade
ents héréditaires. - Père bien portant, légèrement alcoolique, mère morte de tuberculose pulmonaire ; pas d'autre enfant.
aires nous apprennent que le père est bien portant, que la mère est morte d'accident ; elle avait paraît-il, craché à plusi
érieur quelques trabécules osseuses développées sur place, mais de- meurent nettement délimitées du cartilage environnant qui
ans, bien conformée, mère de 4 enfants bien portants. L'enfant, qui mourut au bout de 24 heures en cyanose, avait un poids d
itza-Dolj). Son père vit, et il est de stature moyenne. Sa mère est morte , nous n'avons pu savoir de quoi. Eu tout cas elle
lui pose. 30. - Etat subcomateux, respiration difficile. Le malade meurt le lende- main. Résumé CLINIQUE. Raideur prog
édicales, 1899 et Province Médicale, 1900. (3) Ce malade vient de mourir (25 oct : 1905) et l'autopsie a permis de constat
r ses antécédents héréditaires. Il sait seule- ment que sa mère est morte à 23 ans de fièvre puerpérale 17 jours après sa
que tu as fait. » Au même instant, le mort ressuscita et la vipère mourut . Puer iste vivet et bellua moritur... (3) Dès
ere Klag ? Schon das dritt halb hundert in einem Grab... » Ils ne moururent pas tous... Par un phénomène curieux d'égoïsme hu
ise. Ses parents étaient bien portants et bien conformés. Sa mère est morte des suites de couches au moment de sa naissance
umine, ni sucre. L'asphyxie fait des progrès rapides et le malade meurt le lendemain même de son entrée dans notre serv
ES Dans un autre, rapporté par Reulos (l),on lit que Mme X., née R., morte à 79 ans, était née avec des exostoses siégeant
lique. Sa mère fut toujours bien portante ; son grand-père paternel mourut d'aplo- plexie ; sa grand'mère paternelle mouru
rand-père paternel mourut d'aplo- plexie ; sa grand'mère paternelle mourut , paraît-il, de paralysie cardiaque. (1) WALTER,
ES OSTÉOGÉNIQUES DE DÉVELOPPEMENT 637 Enfin son grand-père maternel mourut aussi d'apoplexie; sa grand'mère maternelle mou
nd-père maternel mourut aussi d'apoplexie; sa grand'mère maternelle mourut d'une maladie mal précisée; il semble qu'elle ait
en ligne directe. En ligne collatérale, deux frères de notre malade moururent en jeune âge, l'un à 1 an de pneumonie, l'autre
che. Tous ces malheureux vécurent plusieurs années : le premier qui mourut avait 12 ans ; le dernier 26 ans ; les autres m
le premier qui mourut avait 12 ans ; le dernier 26 ans ; les autres moururent à un âge intermédiaire. Un frère de la mère de
années on ne sait préciser on commença à observer sur elle deux tu- meurs de mêmes caractères que celles des cas précédents
ns ses antécédents nous trouvons : en ligne ascendante, sa mère qui mourut à 35 ans d'une maladie à long cours qui dura un
long cours qui dura un an et commença par une pneumonie ; son frère mourut à un âge avancé, de marasme; un de ses oncles p
rère mourut à un âge avancé, de marasme; un de ses oncles paternels mourut à 40 ans à peu près, d'une maladie indéterminée
urs mortes, 3 de phtisie (10, 12 ans, 25 ans) ; la quatrième serait morte de pneumonie franche. Antérieurement, celle-ci
s du même père, dont l'aînée était une fille normalement conformée, morte à trois mois de méningite. Le second enfantest
dernier cesse d'assurer la nutrition générale du couple, l'acéphale meurt ; son système nerveux tombe le premier en dégén
56 (1907) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 22
r ce génie. Prononcez polon et penanggalane. (3) Esprit d'une femme morte en couches. Cet esprit tourmente les femmes en -
voir de te transformer en animai. (9) Mauvais esprit d'une personne morte . (10) Ogre, animal fabuleux, gorgone ou dragon
garde les fontaines), Lang souyar (est l'esprit d'une femme impudique morte enceinte). Nous lirons ces noms et leurs explic
eut nuire, partout où ils se trouvent. Les gens qu'elle attaque ainsi meurent . Le sang et le liquide qui dégouttent de ses entr
roire. Quant au Polong, il provient, dit-on, du sang d'une personne morte de mort violente. On introduit ce sang dans une f
re du Polong. Il en est ainsi pendant un jour ou deux, puis le malade meurt . Une fois mort le sang lui sort à flots de la bou
, voilà à quoi parait se réduire toute son activité. Quand son mari meurt , ses deux filles se partagent son bien, comme si
'argent ! » » A Céry, quelqu'un nous dit que c'était là qu'était venu mourir lamentablement un des maîtres respectés de la neu
, que l'on naît hystérique, on aura toutes les chances de vivre et de mourir hystérique, quel que soit le traitement. Si, au c
eur Pitres (de Bordeaux) « on naît hystérique », j'ajoute : « et l'on meurt hystérique ». (1) Communication au Congrès inte
a mort qui fut causée par une mauvaise plaisanterie qu'on lui fit. Il mourut dans son magasin après qu'on lui eût dit qu'il mo
'on lui fit. Il mourut dans son magasin après qu'on lui eût dit qu'il mourrait ce jour-là et qu'il eût lu dans un journal une no
sa mort. Cela lui donna un choc mental si violent qu'il succomba. Il mourut donc d'une impression mentale. Ce fait nous pro
s enfants : « Maintenant que je suis couché pour dormir, si je devais mourir avant de m'éveiller », etc., etc. 11 disait que
illesse. Nous avons lu récemment la mort d'un enfant en bas âge qui mourut de sénilité. La jeunesse est affaire non d'anné
Marocco Browman son 108°, à Brooklyn, en août 1907 ; et dernièrement mourait , à Schenectady, John Kelderman, à Tàge de 107 ans
sait que sa mère n'avait atteint que 76 ans, mais sa grand'mère était morte à 90 ans. Il travaille tous les jours, se promè
vice-présidente de la Société médico-légale de New-York, qui vient de mourir , dans toute l'activité de son intelligence, à 85
, reçoivent le télégramme suivant : - Votre fille, Marie Kehvitz, est morte », signé : « Muller ». Très affligés, comme bie
n excursion en Asie-Mineure. Quand le glorieux sultan Abd-uI-Medjid mourut , son frère, Abd-ul-Aziz, lui succéda. Il n'était
rétablissement du gouvernement de la République. D'ailleurs quand il mourut , les musulmans se trouvant embarrassés, l'un d'eu
peuple et l'autorité devait résider dans la loi. Lorsque Ebou Békir mourut , Orner lui succéda. Il n'était pas plus parent de
ême temps son épouse, et se fit involontairement une blessure dont il mourut . Le seul fait de son existence qui témoigne peu
rs ébats. Il ordonna de murer la porte de l'établissement, et elles y moururent de faim. Pour pouvoir se promener à son aise da
es prières spéciales réservées aux morts sont refusées à un homme qui meurt en tombant d'un tel cheval (*). Le malade, Mour
rmir assez profondément aux séances d'hypnolisation. Il avait peur de mourir ou de ne pas se réveiller, venait aux séances ave
plus utilement possible. « Le soldat doit apprendre, lui, surtout à mourir , — à être prêt au bon marché de sa vie, pour serv
non aux prophètes ; aussi, après avoir langui pendant deux années, il mourut . (2 Chr., VI). L'orgueil est la conséquence de
dre sagement : « Je n'admets pas que l'on dise à un malade qu'il va mourir , cela pour deux raisons principales : 1° parce qu
ur mon cou. » 1 Le fils du Calife lui répondit : « Quand je devrais mourir , je ne ferai pas une telle chose. » Le Sultan rep
consulté aussi bon nombre de moribonds des classes inférieures ; ils mouraient tous avec un certain stoïcisme que j'ai trouvé ra
que sa fille se lamente d'une façon inquiétante ; elle va, dit-elle, mourir en quelques heures d'une méningite, elle fait ses
alade se tord dans son lit. implore mon aide et me déclare qu'elle va mourir dans le délai d'une heure. Je l'examine : pas de
le le deuxième jour. La malade ne veut pas de médecins puisqu'elle va mourir ; elle me demande cependant de l'aider devant l'h
ive et me déclare qu'il est très surexcité, qu'il a une peur folle de mourir » parce que l'on ne sait pas, s'il y a tout de mê
57 (1884) Archives de neurologie [Tome 07, n° 19-21] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
? V..., quinze ans, hystérique. - Grand'more maternelle persécutée, morte à la Salpêtrière. Mère hystérique (a deux frère
ndes crises et secousses) ? Oncles maternels originaux.- Une soeur, morte de convulsions. Une autre soeur et deux frères
iginal. La fille d'une tante maternelle était épi- leptique, et est morte en démence. Observation XXXVIII. Trima S..., at
Observation XL VI. - fil. C..., ataxique. - Mère méhlll. colique, morte à la suite de refus d'aliments. Frère paraly- t
communiqué à la Société anatomique l'observa- tion d'une tabétique, morte en 1880, dans le service de M. Charcot, à la Sa
envi- ron deux fois par mois. [Père, mort à soixante-six ans, mère, morte à soixante-sept ans, on ne sait de quoi. Deux f
sance de notre malade. [Père, mort d'une fluxion de poitrine ; mère morte d'une hydropisie ; un frère a trois enfants; une
s la famille]. -Pas de consanguinité. Six enfants : Il une fille, morte à douze ans de fièvre typhoïde : elle était int
ort-née par strangulation (circulaires du cordon) ; - 3° une fille, morte de convulsions à treize mois; 4° une fille, morte
; - 3° une fille, morte de convulsions à treize mois; 4° une fille, morte de convulsions à un mois; 5° une fille, âgée de
e la même névrose; on l'avait constatée aussi chez une autre soeur, morte à treize mois; celte malformation consiste en u
d'excès alcooliques, ni d'affections nerveuses. Mère : asthmatique, morte à soixante ans d'une fièvre typhoïde; impressio
cinquante-trois ans, après avoir eu le choléra; aucun excès. Mère : morte à soixante-deux ans d'un cancer utérin. Un frèr
sorte. Deux tantes du côté paternel n'ont jamais marché; l'une est morte à six ans. - Une cousine germaine du côté mater
oit donc qu'à part certains cas exceptionnels, le me- rycole vit et meurt avec son affection. En meurt-il ? non. Le prono
exceptionnels, le me- rycole vit et meurt avec son affection. En meurt -il ? non. Le pronostic du mérycisme est, au con-
aient, se promener dans sa chambre. Il pouvait écrire très bien. Il mourut de marasme et de bronchite. , Autopsie. - Sur
s héréditaires. - Père, mort tuberculeux à vingt- neuf ans. Mère, morte à quarante-deux ans d'un érysipèle de la face.
re, morte à quarante-deux ans d'un érysipèle de la face. Une soeur, morte folle. Pas d'autres maladies nerveuses dans la
la Salpêtrière le 3 août 1870. Née d'un père bu- veur et d une mere morte a cinquante et un ans d'une .tu- meur du vent
. L'oncle est mort d'une cirrhose du foie. Une tante paternelle est morte d'une « maladie noire » ; elle était mélancoliq
otif. La grand'mère paternelle du malade tombait du haut mal et est morte dans une de ses attaques. - Plusieurs des membr
n- contrer dans la paralysie générale et dans certains cas de tu- meurs du mésocéphale en particulier. Certains malades,
nt ingt-trois mois. Il s'agit d'une femme, âgée de trente-cinq ans, morte après trois ans de maladie. Pendant la vie, ell
milles : arrivé au terme du voyage il tombe sans con- naissance et meurt dans le collapsus en six heures. De même dans l
vacillante; le goitre était plus gros et plus résistant. La malade meurt subitement cette nuit même en quelques minutes
n'avait plus de sang, que tout son corps était pourri, qu'il allait mourir , qu'il était mort. Le même délire hypocondriaqu
lara, suivie d'une prostration des forces; et le 26 mars, la malade mourut dans un état de collapsus. L' \UTOPSOE, ne se b
qui se terminent spontanément par la guérison, le mérycole vit et meurt avec son affection. En meurt-il ? non. Le prono
par la guérison, le mérycole vit et meurt avec son affection. En meurt -il ? non. Le pronostic du mérycisme est, au con-
hes Arch. f. Kliii. Med., 1883. p. 360.) Femme de vingt-cinq ans. morte plithisique, avait, à la suite d'une paralysie
actuelle, la médecine mentale était, pour ainsi dire, « une branche morte de la médecine générale ». 11 n'en est pas de m
injustes dont elle a été l'objet seraient sans doute restées lettre morte si le décret de décentralisation de 1852, en am
L'infirmière respirait encore, mais deux heures après elle était morte . (La Paix.) Asile DE PRËMONTRË. M. le Dr BELLAT
58 (1895) Archives de neurologie [Tome 29, n° 95-100] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tait un homme de constitution robuste, sans nervosisme. Sa mère est morte à trente ans d'une infection puerpérale. Sa s
de trouver sa fille malade, la vue de cette enfant qu'elle croit morte ,.le retour de son mari blessé, etc. A ce sujet, o
devient manifeste pendant l'hyp- nose. La crainte que sa fille est morte détermine au bout de quelques minutes une crise
e. A vingt-neuf ans, elle perd le seul enfant qu'elle ait eu et qui meurt âgé de quatre ans et demi, de méningite. Elle e
as, il y a chronicité irrépa- rable. Quelques-uns de ces malades en meurent dans un état d'agitation permanent, c'est pourq
use ni mentale, pas de déformations congénitales ; tous ses parents meurent vieux, valides jusqu'aux derniers jours. Mari
est atteint de tic. Un autre oncle est mort fou. Enfin une soeur, morte actuellement, aurait éprouvé à la suite de contra
la malade apprit qu'une de ses soeurs qu'elle voyait rarement était morte en la déshéritant. Trois à quatre heures après,
RVEUSE. Dans l'observation V, il s'agit d'une jeune fille qui vit mourir son père phtisique, le veilla après sa mort et en
sive. Tous les symptômes allèrent rapidement en s'aggravant et elle mourut dans l'espace de deux ans. L'aspect clinique ét
s ayant plus ou moins subi la dégénéresence graisseuse. Le malade mourut dans la nuit en plein collapsus. On trouva à l'au
demie. Quand il revint en France, M. le Dr Archambault venait de mourir (1863); son gendre, M. le Dr Mesnet, proposa à M.
eux reprises, dans le cou, la lame d'un petit canif. La pauvre bête mourut . Hier enfin, il s'emparait de petits oiseaux dans
t s'abîmer sur le pavé de la rue. Transportée à l'hôpital, elle est morte sans avoir pu prononcer une parole. Quand les
nêtre, mais elle ne s'est peut-être pas tuée. Elle ne doit pas être morte , elle n'était pas assez hardie pour se jeter pa
Il avait un tempérament très nerveux. La graud'mère paternelle est morte à vingt-sept ans de tuber- 1 Lire pour les rapp
est mort à quarante-six ans de la rupture d'un anévrisme. Sa mère mourut à cinquante-trois ans d'une affection du foie q
lmonaire. Il était vif, emporté, pleurant facilement. Une soeur est morte tuberculeuse. Elle était irascible, était sujette
e camarade mou- rut. On l'obligea à embrasser le corps de la petite morte . Elle éprouva une impression intense de dégoût,
alade. Quand elle se réveillait dans la nuit, l'idée qu'elle allait mourir sous peu venait la surprendre. Elle se levait a
jour, allant faire son marché, elle est prise de l'idée qu'elle va mourir dans quelques instants et rentre chez elle précip
quelques instants et rentre chez elle précipitam- ment pour ne pas mourir dans la rue. Dans ces circonstances, quand elle
e était alors effrayée de la voir s'amaigrir à vue d'oeil. Sa soeur mourut le 16 avril, elle l'ap- prit le soir même et vi
lle l'ap- prit le soir même et vint le lendemain. Elle alla voir la morte qu'elle eut de la peine à reconnaître. Elle pas
le souvenir du pensionnat lui revenait, elle se rappelait la petite morte qu'elle avait dû embrasser. L'en- terrement eut
la nuit elle ne dormit pas, eut devant les yeux l'image de sa soeur morte . Le lendemain 19 avril, vers 11 heures du matin
n, la malade était dans son lit, en proie à son idée, ayant peur de mourir , quand elle ressentit les premières douleurs qu
est évi- dente. A neuf ans, l'enfant embrasse une petite camarade morte , éprouve une émotion des plus vives, et garde d
e sa soeur, après avoir passé la nuit dans une chambre à côté de la morte , qu'étant au lit en proie à l'idée de la mort e
toute leur vie, à la condi- tion que le médecin qui les observe ne meure pas lui-même, tant pour établir la notion de la
s- paraît emportant l'état dépressif et l'angoisse, le délire de- meure et s'organise. Les formes mixtes sont représent
Journal, 1745.) Statistique de 33 cas de craniectomie : 14 malades moururent , de 1 à 6 ans, peu de jours après l'opération,
e- ment ou peu de temps après suivi de délire fébrile vrai. Il ne mourut que 6 malades sur les 17 ; la fièvre typhoïde a p
e se renversait en arrière, etc. C'est dans un de ces accès qu'elle mourut . Puisqu'il n'y a pas de lésions, il s'agit, en pa
et du rectum. ' < Il fut impossible de poser un diagnostic. Il mourut le 19 dé- cembre 1892 dans le même état; pendan
ions terrifiantes de la vue, s'est arrachée les deux yeux. Elle est morte deux jours après, soit d'hémorrhapie céré- bral
épilepsie. Antécédents héréditaires. Père alcoolique, emporté. Mère morte tuberculeuse. Soeur de la malade a des secousse
e d'histologie pathologique sur une femme âgée de trente- neuf ans, morte à Charing Cross Hospital. " ' ' 388 .REVUE DE P
aissance de leurs enfants, et surtout au grand nombre d'enfants qui meurent en bas âge à la suite de con- vulsions. Dans ce
aires. Père alcoolique mort à soixante-cinq ans, mère bien portante morte à soixante-trois ans. Frère mort de méningite.
. Frère mort de méningite. Soeur a eu des fugues inconscientes, est morte à l'asile des aliénés de Vaucluse. Antécédent
i une grande épreuve. En 1882, son fils aîné, William- Samuel Tuke, mourut à Bournemoutb. Cela porta un terrible coup au D
ordinaire. Le Dr Tuke était président de cette association quand.il mourut . ASILES D'ALIÉNÉS. XII. Nouveau formulaire DE
59 (1871) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 3ème année
iarrhée a continué ; F eschare s'est un peu agrandie et la malade est morte après avoir eu du délire pendant les deux dernier
ccombé, à 45 ans, au moment de la ménopause. De deux sœurs, l'une est morte « de la poitrine » à l'hôpital Necker; l'autre, p
par éclat d'obus : pris de convulsions tétaniques le sixième jour, il mourut le neu-vième, malgré le traitement, qui consista
toutes les deux heures ; son état sembla s'améliorer un peu, mais il mourut cependant le quatrième jour, sans que les convul-
es symptômes n'ont pas changé. Il en est de même le soir. — La malade meurt le 24 octobre à six heures. Autopsie le 25 octo
de Verheyen, publié en 1856, n'est qu'un abrégé par trop sommaire. mourir en deux jours. A l'autopsie, on observa une perfo
lswood, rapporte le fait d'un idiot, employé chez un matelassier, qui mourut d'une obstruc-tion et d'une péritonite, et dans l
nt, ayant nécessité l'amputation de la cuisse, fut pris de tétanos et mourut au bout de six jours2. Après être restée pendan
ouleurs intolérables ; des phénomènes typhoïdes surviennent; l'enfant meurt au 3e jour. (Boeckel.) Un garçon de 16 ans tombe
et de constater des signes avancés de tuberculisation pulmo-naire. Il meurt dans la nuit. Autopsie. On trouve les poumons,
matières fécales. 11 se produisit du décubitus au sacrum et la malade mourut d'une pneu-monie. — Pas d'autopsie2. —L'arthrop
M. Hardy), présentait des symptômes indubitables de péritonite. Elle mourut sans accoucher douze jours après le début d* s ac
es urines, exlraites par la sonde, contiennent de l'albumine). — Elle meurt , sans avoir accouché, à onze heures du soir. Au
ssement de 0,05, l'opération césa-rienne a été pratiquée; la mère est morte et l'enfant a vécu. Si nous additionnons les ré
gluti-tion difficile. P.80, très-petit; R. 16 ; T. 36°,8. — La malade meurt dans la matinée du 21 novembre. Autopsie. — Tou
pus cessent tout à fait de le nourrir, et le tissu osseux, abandonné meurt . On voit de suite la relation intime qui existe e
gère exfoliation ; si la moelle centrale a suppuré, toute la diaphyse meurt . Entre les deux se rencontrent tous les degrés.
n'y a pas de consanguinité. —Ils ont eu quatre enfants : l'aînée est morte en bas-âge, étant en nourrice ; la seconde est ce
nde est celle qui fait l'objet de notre observation; la troisième est morte à dix-huit ans, d'une fièvre typhoïde (?); elle é
avec la même intensité; il s'y joignit même de la diarrhée. Le malade mourut le 7 mars sans avoir eu ni somno-lence, ni tendan
té, si l'on en juge par le peu d'étendue de l'endroit mouillé. R... meurt à midi 45 minutes. La température prise cinq mi-n
20; T. R. 51°,8 à peine. 24 février ; une heure. Le malade vient de mourir . A la main, les membres sont un peu moins froids
lammé trouvé accidentellement par Scanzoni sur le cadavre d'une femme morte de pneumonie. Quant au quatrième degré, on ne le
e, d'une santé robuste, est mort par suite d'un accident; sa mère est morte du choléra. Quant à lui, il a eu, dans son enfanc
nombre de cas, la marche est surai-guë. Un enfant observé par Bœckel meurt au troisième jour. Dans le cas de Coîson, où la p
put se rendre maître assez rapidement. Une des malades ne tarda pas à mourir et la seconde succomba peu de jours après par inf
70 dans la quatrième division de médecine de l'hôpital de Hambourg et meurt deux jours après, le 26 à midi. Renseignements
60 (1891) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 6
ions avait débuté après qu'elle eût Uni de donner ses soins à sa mère morte d'un anthrax ; chez l'homme les symptômes se sont
e et autant de fois du pied droit. S'il ne le faisait pas. son père mourrait . Si des occupations le retenaient le jour, il fai
ptômes d'une diathèse hémorrhagique et hémophilique. Une de ses sœurs mourut en I88U, à l'âge de onze ans, de la même maladie.
de soixante-douze ans et se porte bien. Sa grand'mère maternelle est morte à cent deux ans, après avoir eu dix-neuf enfants.
d Jo la vis, elle avait perdu toute pudeur; son unique désir éiail de mourir Immédiatement. Je lui procurai un logement, la pl
tait en proie au désespoir et buvait sans cesse, dans le but avoué de meure fin le plus tôt possible à sa misérable existence
l avaithéritéde cette tendance de son père, et une de ses sœurs était morte d'alcoolisme. Il était susceptible jusqu'au trois
été faite. Sans doute on a dit à l'enfant qu'il deviendrait malade et mourrait jeune, s'il persévérait dans cette pratique ; on
e dans le service des maladies du nez et dû larynx du Dr Johnson, qui mourut fort peu de temps après que celte malade fut sort
malade revint; elle sortit guérie, et quelques jours après le Dr Pond mourut subitement. Dix-huit mois se passèrent. Mercredi
e «e montra encore à la * Métropolitain Médical Society »; il alla se meure au lit en annonçant qu'il ne se trouait pas bien.
il alla se meure au lit en annonçant qu'il ne se trouait pas bien. Il mourut dans la nuit d'accidents cardiaques, à l'Age de t
lade sans ta moindre crainte. Mais ?? '.minislraiion de l'hôpital rit meure sur les registre-, à côté du nom de celle-ci, la
Le musée anato-mique de Milan possède un spécimen d'une petite fille morte à l'âge de trois mois. La peau de cette enfant es
lorsqu'on vint me prendre à la hâte parce que, me dit-on, elle allait mourir . Elle avait tout simplement une belle crise d'hys
89, dont il avait été un des adhérent». M. Matbia» Roth, qni vient de mourir à un âge avancé, avait conservé pendant toute sa
ensuite pour une idée obsédante (elle était persuadée qu'elle devait mourir tel jour déterminé). Aussi u'ai-je pas bésité s
tel-Dieu). • M»* F..., 22 ans. Pas d'antécédents héréditaires. Mère morte d'une piqûre de serpent il y a douze ans. Père, 4
lui avaient fait embrasser le cadavre de sa grand'mère qui venait de mourir . Elle avait alors quinze ans et demi. Elle avait
ontinent se trouva affligée de maladie incogneue et demeurait parfois morte ». La pauvre femme, au debut d'une grossesse, ava
ersonne, en entendit la parole en français (car elle était Française, morte il y a vingt ans». La môme chose fut observée p
visage du sujet, sa tête était tombée de côté. Un instant je la crus morte ; celte pensée venait de traverser mon esprit comm
se de palpitations fréquentes qui lui causaient une grande frayeur de mourir . Ces palpitations étaient dues à sa profession, à
après l'avoir acheptée et soupçonnant que ledit Pierre ne l'eust fait mourir , il battit fermement ladite chèvre morte avec des
ledit Pierre ne l'eust fait mourir, il battit fermement ladite chèvre morte avec des bistons de coudre, et depuis a sçeu par
Dr A. de Fleury (de Bordeaux). M. le DF A. de Fleury, qui vient de mourir après avoir été pendant trente-deux ans médecin d
le Dr Prosper Despine (de Marseille). Prosper Despine. qoi Tient de mourir plus qu'octogénaire à Marseille, avait publié un
: On loi fait croire que l'on est le mari. De là l'air souriant de la morte . Chambige est peut-être sincère quand il affirme
sorciers : « Honorable Jean Painbis croyl que ledit greffier a fait mourir sa femme soit environ huit ans, comme aussi une s
ois ans et devint touto seiche et sadito fille aveugle, et finalement moururent ; de quoy, luy qui dépose, se complaignant à ses v
le démon la tourmente? R. Qu'ouy, et qu'aujourd'huy à midy elle fusl morte sans le secours d'elle. /. Qui luy a appris qu'
R. Qu'estant assise seule près du feu, il le luy dit et qu'elle tomba morte (attaque syocopale hystérique). 'Comment il parla
uy a dit. Si elle en apperceust rien ? R. Qu'ouy et qu'elle demeura morte après qu'il luy cust pris un vomiscmcnt. Qu'ell
e mêle pas de deviner? R. Qu'elle ne devine pas. Si elle est tombée morte d'autres fois ? R. Qu'ouy. Si d'autres Tout int
si souvent. Que c'est qu'ils luy disent lors ? R. Qu'elle tomberoit morte et qu'ils l'estran-gleroyent parce qu'elle se fio
Ne luy avoir jamais rien deviné d'autre. Si elle demeura longtemps morte ? R. Une heure, et que les autres fois elle ne de
es fois elle ne devinait pas. Comment elle scavoit qu'eue tomberoit morte ? JÍ. Qu'il le luy dit lors, et qu'il perla à ell
s ? /t. Qu'ouy, et que lors le démon luy fait mal, et qu'elle demeure morte . La dessus a récité l'oraison de Nostre Père. E
61 (1888) Archives de neurologie [Tome 16, n° 46-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
déclamatoire, comme pathé- thique; elle répète toujours qu'elle est morte , qu'elle n'est plus elle. Les membres restent p
çue à droite ; rien à la face. ' Elle répète toujours qu'elle est morte , qu'elle n'a plus de corps. Il lui resle une ja
Antécédents héréditaires. La grand'mère du père de la ma- lade est morte démente, ainsi que son fils, grand-père paternel
ncolique; elle a peur de devenir malade, elle a le choléra, elle va mourir , demande pardon de ses fautes à tout le monde,
lière. Le 22 du même mois elle écrit : a Il est question de me voir mourir d'un moment à l'autre, on veut me tuer par rapp
xpier ses fautes. Dieu lui disait de ne rien manger, qu'elle derait mourir , car elle n'était pas digne de vivre. Quand elle
ières. Telle est la situation jusqu'en 1885, époque à la- quelle il meurt de tuberculose pulmonaire. Anatomie patholo- gi
subit sans succès l'élongation des deux nerfs sciatiques, lorsqu'il mourut deux ans après, on trouva les deux sciatiques,
congédiés, deux au bout d'un an étaient repris de la maladie et en mouraient ; deux succombaient, l'un à une attaque d'apoplex
terminé des accidents psychiques. Le malade congédié comme amélioré mourait subitement au bout de quatre ' Voy. Arch. de Ne
, elle était atteinte de sur- dité suivie de mutisme. Elle vient de mourir de tuberculose, ce qui permet de pratiquer l'au
u tous les deux, se paralysent, la dyspnée s'aggrave et le plongeur meurt . Enfin, le qua- trième et plus grand degré « co
e des muscles. Plusieurs années peuvent s'é- couler, le malade peut mourir sans avoir présenté la totalité ou la plupart d
'un an ; nombreux excès de boisson. Mère, pas de détails ; elle est morte de la poitrine, dit-on, peu de temps après la nai
n ne sait de quoi ; 3° fille, mort-née ; 4° notre malade; 5° fille, morte à cinq mois, de la variole; 6° et 7° deux fille
éristiques d'une intoxica- tion arsenicale aiguë. Le 16 décembre il meurt . Nous repro- duisons ci-dessous le protocole de
leur façon. Sans aller jusqu'à penser comme M. Briand que ceux qui meurent sim- plement persécutés seraient peut-être deve
- tion détaillée en faveur de l'admission; mais, si le malade de- meure dans l'établissement, il faut que l'observation j
int continuellement, exclusivement de-ses battements de coeur) ; il meurt dans un accès (respiration difficile, stridente,
statuerait d'après l'avis conforme du médecin inspecteur... (Ru- meurs à gauche.) Permettez, je ne parle que de l'argume
e pendent dans leur écu- rie. D'eux d'entre eux, privés de secours, meurent ; le troisième, secouru par sa femme, a pu racon
tal, pour régler des affaires d'intérêt, et on apprend, qu'elle est morte par pendaison. Cette mort semble inexplicable.
ju- rieux, des camouflets à son adresse. Il y a six ans, son père meurt aussi de mort violente. Après une longue maladi
isse deviner l'énigme. Elle a entendu son propriétaire dire : on ne meurt qu'une fois ! Enfin, à deux reprises, elle a eu d
r de son mari et de son enfant égal au sien, elle caresse l'idée de mourir en leur compagnie. Pendant un mois, elle harcèl
le son mari pour l'engager dans cette voie; celui-ci ne voulait pas mourir et résistait. Enfin elle triomphe de toutes les
de lui, après avoir été chercher sa fille qui, elle, ne voulant pas mourir . s'était tenue à l'écart et s'était couchée. El
nt typiques : « Je me suis gendarmée, je ne voulais pas que ma mère meure , mais elle le voulait absolument. Elle voulait
ma mère meure, mais elle le voulait absolument. Elle voulait qne je meure avec elle ; elle ne voulait pas que je reste su
rir pour faire plaisir à ma mère; ça lui faisait quelque chose de mourir ; il ne voulait pas. Je disais à ma mère : Au moin
disais à ma mère : Au moins vis pour moi. » Elle répondait : - Nous mourrons tous les trois; tous trois dans le même cimetiè
nt difficile, l'intelligence s'altéra de plus en plus, et la malade mourut huit ans après le début de son affection. L'aut
et à l'assemblée des préparations d'écorce céré- Loale d'une malade morte de délire aigu. Femme mariée, sans enfants, âgé
pendant ces huit jours, on lui passe la sonde oesophagienne. Elle meurt néanmoins à 1 heure et demie après-midi. Autopsie
deux chiens et une chienne, le premier animal est chétif, le second meurt après quelques jours d'athrepsie le troisième m
étif, le second meurt après quelques jours d'athrepsie le troisième meurt le lendemain de la mise bas; il a des anomalies
nt manifestement près d'un gramme de moins que le droit. Le dernier meurt de péritonite probablement tuberculeuse. L'hémi
rale, par Zacher, 9. Délire aigu (écoroe cérébrale d'nne malade morte de), par Snell, 450. Délire chronique, par Ségl
62 (1880) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1880
t été transféré en province, au moment de la guerre. Mère, lingère, morte il y a quatre ans d'une affection chronique de la
ne boîte : « Ote-moi ces serpents!... Mon Dieu!... Oh! oh!... Je veux mourir ... Ah! c'est fort... » Tantôt elle se débat, tant
maternelle épileptique et alcoolique. — Pas de consanguinité. — Sœur morte de convulsions. — Une autre mise en correction ju
2° fille, âgée de 22 ans, bien portante;— 3° notre malade; — 4° fille morte du croup à 17 ans, — 5° fille, 13 ans et demi; ch
se n'ont remarqué rien de particulier. Le matin on a trouvé Marcil... morte dans son lit. Autopsie. — L'examen des différen
ogne : il boit le lendemain ce qu'il a gagné la veille. — Sa mère est morte en couches. — D... a eu 4 frères ou sœurs, deux s
, D... n'entendait rien, glissait parfois de sa chaise, était « comme morte ». On la couchait et, à son réveil, elle était tou
duré environ 15 minutes : elle était pâle, immobile, semblable à une morte . Consécutivement congestion de la face. Enjuin,
. Aujourd'hui, elle est triste, verse des larmes : « Je voudrais être morte . » Bientôt, elle rit. 1878. 15 avril. — Depuis
frappoit deffus à grands coups de verge, pour fçauoir fi elle eftoit morte , on lui fift mettre le feu aux parties les plus f
la maiftreiïe la laifferent eftendue en la place, penfant quelle fuft morte . Au matin elle fe trouue en fon lit couchée. De q
pour des maladies terribles. La femme même de Teste prédit qu'elle va mourir tel jour. Quelle anxiété pour le malheureux obser
r arrive, tous les adeptes se réunissent, l'heure passe, Mme Teste ne meurt pas. Croyez-vous que l'auteur est démonté ? Nulle
Croyez-vous que l'auteur est démonté ? Nullement : si elle n'est pas morte , c'est qu'elle avait pris une léthargie pour la m
, magnétiseur célèbre, qui montrait ses somnan-bules en spectacle, et mourut avec la plus belle réputation 21 de charlatan
gore, autres breuuages narcotiques, en forte que la perfonne (emblera morte , et neantmoins il y en a qu'on endort fi bien, qu
solide qui avait fait des excès de boisson dans sa jeunesse. — Mère, morte à 75 ans, d'une attaque d'apoplexie ; auparavant
s la dernière aflemblee, et ceux là font les mieux venus qui ont fait mourir le plus de perfonnes de beftes, qui ont baillé le
pourront, de nuire à leurs voi-fins, de les rendre malades, de faire mourir leur besftail, de fe venger de leurs ennemis, ufa
63 (1878) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1878
t sujette à des palpitations cardiaques, à des étouffements. Elle est morte presque subitement. R... n'a ni frères, ni sœurs,
convulsions à un seul côté du corps. Quand les enfants résistent et meurent deux, trois jours ou davantage après la fin des c
n'y a pas de consanguinité. — Us ont eu quatre enfants : l'aînée est morte en bas âge, étant en nourrice ; la seconde est ce
de est celle qui fait l'objet de notre observation ; la troisième est morte à 18 ans, d'une fièvre typhoïde (?) : elle était
le ; pas d'alcoolisme , etc. [Père , pas de renseigne -ments. — Mère, morte à 75 ans, d'un érysipèle. Aucun parent de ce côté
on mort à 6 semaines, on ne sait de quoi ; 3° notre malade ; 4° fille morte à 10 ans (hôpital Sainte-Eugénie), elle avait la
, mort d'une fièvre typhoïde à 42 ans ; il n'était pas nerveux. Mère, morte à 68 ans, on ne sait de quoi ; elle était très-ne
— Aucun parent n'aurait offert d'affections nerveuses, etc.] Mère, morte à 36 ans, d'une pneumonie. Jamais de phénomènes n
st mort hydropique en 1861. — Sa mère, sujette à des hémoptysies, est morte à la Salpètrière, en 1875, d'une « bronchite chro
ée par sa mère qui, alors, l'a abandonnée, ainsi que sa sœur jumelle, morte quelques semaines plus tard. Elle a été recueilli
i vu tout... Oh! là! là! » (Elle se débat). « Va-t-en !... Faites-moi mourir ... Maintenant vous ferez... Qu'avez-vous à me dir
pour... Jamais on ne saura cela... Colonel X... Votre dame n'est pas morte ... Votre fils... Maxime !... Je vois bien que tu
stomach me crève le cœur ! Je vous prie, priez » Dieu pour moi. Je me meurs ! » Ce qui me fut incon-» tinent récité, dit Desp
Elle me dit : « Je dis adieu à mon-» sieur l'évêque et à vous, je me meurs . Priez Dieu » pour moi, je m'en vais mourir. » Pu
l'évêque et à vous, je me meurs. Priez Dieu » pour moi, je m'en vais mourir . » Puis inclina la tête » et ne parla plus. Ce qu
arla plus. Ce qui nous donna grande tristesse, » car elle était comme morte , n'ayant ni pouls ni sen-» timent... » Le mardi
es reprirent la malade. Comme on la portait sur son lit, « elle tombe morte , sans pouls, ni sentiment... Il semblait qu'elle
mie du matin. « Je croyais, dit la sous-surveillante , qu'elle allait mourir . » La compression faite par plusieurs personnes a
, à demander au commissaire de police de lui confier sa nièce. [Mère, morte asthmatique à 68 ans. — Père mort aux Invalides
ajoute que M. X... lui a promis de l'épouser dès que sa femme serait morte . Sur les dénégations ironiques de M. X..., elle s
64 (1857) Journal du magnétisme [Tome XVI]
i manquent, c’est-à-dire un extrait de toutes les forces de la nature morte et vivante, l’agent enfin qu’on appelle magnétism
nt le privilège le laissent paisiblement dormir et l’aideraieu même à mourir . a Néanmoins on y a publié de bons livres sur
isme serait accusé, non d’avoir tué le malade, mais de l’avoir laissé mourir , ce qu’on aurait évité par l’administration du su
i les mouvements du cœur ne rétablissent pas la circulation, le sujet mourra infailliblement. Il faut donc tâcher de réveiller
-il? C’est que le somnambule , en évoquant le souvenir d’une personne morte , parvient à la voir comme si elle était encore vi
. De ce qu’on imaginera et se représentera comme vivante une personne morte , il ne s’ensuit aucunement que celle-ci continue
ne dame, la comtesse de L..., demande que l’esprit de telle personne, morte depuis longtemps, vienne lui effleurer la main.
les mains des dames et des hommes ; — 2° que l’esprit d’une personne morte depuis longtemps a été évoqué à la demande d’une
Un homme dont l’horoscope montre qu’il est né pour une longue vie ne meurt pas dans l’enfance, et celui dont la naissance ma
eurs mœurs, les habitudes -qu'ils eurent, les maladies qui les firent mourir , etc., et ces phénomènes, parfaitement constatés,
e voiture, il leur communiqua une fièvre putride si grave que deux en moururent . Mais quelque ingénieuse que soit cette théorie
êve un homme qui, plaçant une main sur sa joue, lui annonça qu’il mourrait bientôt. Il jouissait alors d’une parfaite santé;
e Paolo, âgé de quatorze ans, était à l’agonie ; l’enfant, se sentant mourir , demanda qu’on envoyât chercher Philippe de Néri,
a couche funèbre au grand saisissement de l’assistance. « Voulez-vous mourir ou vivre ? lui demanda le saint. — J’ai entrevu a
nda le saint. — J’ai entrevu au ciel ma mère et mi sœur, j’aime mieux mourir , répondit l’enfant. » Et il retomba inanimé dans
e c’était la maladie régnante du pays, et qu’il fallait que le cheval mourût . A la vérité , c’était une maladie du sang produi
m’avait accompagné. La réponse fut que c’était ma sœur Anne qui était morte depuis vingt-deux ans. Je lui demandai s’il y ava
randes affaires l’étincelle sacrée que vous m’avez transmise, loin de mourir en moi, est digne encore de votre perpétuelle jeu
ne delà maladie qui gît dans l’intérieur du corps, sans cela l’enfant mourrait ; il faut lui faire prendre d’abord intérieuremen
’arrache l’estomac, on me déchire les boyaux, disait-elle, je me sens mourir . Sa figure était livide et décomposée ; elle vomi
e; Aimons, adorons son auteur : En paix, le sage les contemple Et meurt sans douter... du bonheur. Dieu seul est Maître
e. Tel un charbon s’enflamme, s’il est approché d’un foyer ardent, et meurt dès qu’on l’en éloigne... u Tout est en mouveme
e animé par le mouvement universel de l’âtne du monde, mais destiné à mourir lentement, absorbé par les puissances astrales qu
r ce qu’elle vous redisait... bien avant d’être malade. — « Qu’elle mourrait jeune 1 — « Madame ajoute que (comme vous devez
rait de son vivant), bien que le sang vous tourmente parfois, vous ne mourrez pas de cela. Cependant elle vous engage à vous so
ne fille. Elle ne tarda pas, en effet, à nous apprendre qu’elle était morte à quinze ans et neuf mois ; qu’elle était née à N
hyogènes (2) de l’île de Chypre, les faisaient de même s’engourdir et mourir . D’où ce vers de Lucain : « Humnnoque cadit ser
Humnnoque cadit serpens aCIlata veneno. » (Phars.,1. 6.) Le serpent meurt au souffle empoisonné de l'homme (3). Un autre
nt le corps de son grand'père, de la mort prochaine de ce parent, qui mourut dans la semaine. La voyante disait qu'une envel
en Turquie, en Perse et aux Indes, 1G79. Tavernier était de Paris; il mourut en Russie, en 1G89. « Ces Voyages sont regardés «
à son art. Combien de médecins, et même des plus savants, ont laissé mourir leurs malades faute d’avoir eu recours aux pratiq
onner par derrière et tout près de l’anus, le coup de couteau dont il mourut après s’être débattu un court instant. Tremblant
étaient animés que du désir de sauver une pauvre créature condamnée à mourir jeune ; ce n’était pas même la pensée de s’éclair
les plus violents, et elle en fixa la dose : il y avait de quoi faire mourir un grand nombre de personnes. Cette substance à f
chaise après pour lui faire lâcher sa proie, et la pauvre bête tomber morte du coup. Le cafetier et sa femme, désolés, se dem
us alors appelé : qu’avait-on à craindre? la malade était condamnée à mourir de par la Faculté de médecine. O11 me mit donc en
les bras dans d'afireuses convulsions , sa mère qu'elle venait devoir mourir , disait-elle, devant ses yeux. « Après avoir de
dimanche à lundi, entre deux et trois heures du matin, sa mère était morte des suites d’une chute qu’elle avait faite en tom
Cet officieux personnage se retira en débitant la tirade d’habitude, morte d’une fièvre cérébrale amenée par un appauvrissem
ue celui de l’intelligence, mais il parait que ce dernier ne fait pas mourir aussi vite. Voilà , mon cher maître, le récit s
chaient à percer d’impénétrables mystères. « Le premier de « nous qui mourra , se dirent-ils maintes fois, reviendra don-« ner
ette célébré tragédienne avait repoussé les hommages d’un M. S"‘, qui mourut de désespoir amoureux, et qui, en mourant, déclar
65 (1895) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 08] : clinique des maladies du système nerveux
proprement dite, mais les paroles qu'il entend sont pour lui lettre morte , il n'en comprend pas le sens. Il est atteint de
rapport avec l'idée correspondante et le mot prononcé reste lettre morte , on ne le comprend pas ; la branche qui irrigue
Après 10 mois de mariage, il est né, à terme; une fillette qui est morte à l'âge de 17 mois d'une hroncho-pneumonie. `
it pas ; vers le 3 mois elle avait eu sa première dent. Lorsqu'elle mourut , elle en avait 17, toutes en bon état. , Sa s
nt qui est atteint manifestement de ma- ladie de Little. Cet enfant meurt de broncho-pneumonie. Deux ans plus tard, naiss
testable d'association de tabes et de paralysie générale. Le malade meurt les circonstances me permettent de faire l'autops
st mort subitement à 53 ans. Sa mère d'inlelli- gence ordinaire est morte encore jeune d'une tumeur ( ? ). Son grand-père
constata les signes d'une vive congestion pulmonaire et le ma- lade mourut le 28 janvier 1894. Autopsie. Les méninges sont
héréditaires ne présentent rien d'intéressant à noter. Sa mère est morte de suites de couches. Son père est bien portant.
s, elle fit une grossesse, accoucha à terme d'un enfant vivant, qui mourut quelques heures après la naissance. Jamais de fau
ir par cette opération, elle étoit bien aise de la lui épargner, et mourir pour mourir, il falloit autant qu'elle ne souff
opération, elle étoit bien aise de la lui épargner, et mourir pour mourir , il falloit autant qu'elle ne souffrît pas. »
ns, ne présente aucun antécédent héréditaire important. Sa mère est morte , il un âge assez avancé, de tuberculose pulmona
xer dans sa ville natale où il ouvrit un atelier très fréquenté, et mourut prévôt de la Monnaie. Il peignait dans tous les
ifique, applicable l'affection décrite par M. P. Maire. Le malade mourut d'asystolie ainsi qu'il arrive si souvent en pare
connaît pas la date de début de ses attaques. Une de ses soeurs est morte aliénée. Les attaques d'épilepsie ne sont pas
e avoir vécu la plus grande partie de sa vie dans cette ville où il mourut en 1G1G (1). Jérôme Bosch a été le créateur d'u
e son premier maître, Marie Coecke, beaucoup plus jeune que lui. Il mourut six ans après, en 1569, laissant deux fils, Pierr
médicale de ce curieux document a été magistralement faite. Il de- meure avéré que Pierre Bruegel a rendu avec une vérité
année où l'ar- tiste vivait à Bruxelles et à la fin de laquelle il mourut . Une procession du même genre a lieu de temps i
nviron 3/4 d'heure pendant lesquels on croirait que l'intéressée va mourir . Elle sort de sa crise courbaturée pendant 2 à
jours, d'une fluxion de poitrine. , La grand'mère maternelle est morte à 60 ans de fatigues et de sénilité précoce.
terme normalement, d'une fille qui ne, fut pas allaitée au sein et mourut à 6 mois de convulsions, en nourrice. Les crise
sent avec ceux de van der IIelst. Sa première femme Anneke Iiarmens mourut en 16-16. L'année suivante, il épousa Lijs- bet
nt de lui quelques bons tableaux de genre et des natures mortes. Il mourut 1 IIaarleln en 1659. .. Frans liais le Jeune
zip4.0 se fixer dans sa ville natale, à Utrecht. Il y fil école, et mourut en 1652. Ses Paysages italiens sont répandus dans
répandus dans presque tous les musées de l'Europe. - Andries Both mourut d'une façon tragique; à Venise, en 1650. A la sui
ndes et fonda- l'académie des Beaux-Arts d'Anvers. Teniers le Jeune mourut à Bruxelles en 1690, âgé de 80 ans. Ce grand ar
rie de Délit; il séjourna quelque temps à Leyde, puis à Ilaarlem où mourut sa femme. ' , Jan Steen revint à Leyde vers 167
épousa en secondes noces, Maria van Egmond, veuve d'un libraire. Il mourut dans sa ville natale, le 3 février 1679. r On
emps malade.'Sa mère est bien portante. Elle a eu une soeur qui est morte de la poitrine. On ne trouve aucune lare névropat
ec de grandes oscil- lations,la malade tombe dans le subdélirium et meurt le -1 er décembre 1892, emportée par des compli
grande frayeur. Ou lui a annoncé subitement que sa fille venait de mourir . Il n'en était rien. Celle-ci, vrai- semblablem
66 (1849) Journal du magnétisme [Tome VIII]
erveilles ; tout nous l’indique. Mais que de travaux, et que d’hommes mourront à la peine! Le ciel ne s’escalade point, on ne pa
té enseigne le secret d’une eau minérale qui fait reverdir une plante morte qui a sa racine, et qui la met en même état que s
onclut en ces termes : Ce secret nous apprend qu’encor que le corps meure , Les formes font pourtant aux cendres leur deme
té de la Philos, nat. longtemps prolongée de la main d’une personne morte de maladie lente, pour la cure des engorgements c
atique pouvait être irréligieuse, il éloigna ces jeunes personnes, et mourut dans un état de consomption trois mois après leur
e intimité, et à plusieurs années d’intervalle , avec deux femmes qui moururent des suites d’une affection tuberculeuse; pendant
vaux mesniéricns n’ont plus d’écho dans notre ville. Notre Société se meurt d’inanition. La curiosité du merveilleux est le p
et le chaud, les irritants et les émollients, guérissent et laissent mourir tour à tour, sans qu’aucune cause, aucun phénomèn
e décompose ; tout le corps prend l’aspect d’un cadavre, et le malade meurt au bout de quelques heures. D’autres fois la ma
t; ces symptômes se succèdent plus 011 moins rapidement, et le malade meurt presque toujours en parfaite connaissance, parfoi
un état nerveux qui lui donne presque des moments de fureur, puis il meurt habituellement après un mouvement brusque, des fo
. Enfin la malade aussi est guérie de tous ses maux, dont elle serait morte en août prochain, s’il faut ajouter foi à sa préd
a mémoire, et regretteront d’avoir été ingrats : cela lui suffit ; il meurt s’en rapportant au temps et à l’histoire, qui pla
û Mesmer ! d’âge en âge, Je vois grandir ton image : La vérité no meurt pas I Un tout jeune homme, avenir du magnétisme
— Le docteur Lcdure, qui s’occupait un peu du magnétisme, vient de mourir du choléra. Il a été traité par l’homéopathie , à
in on chercha vainement à l’endormir; c’était d’un mauvais augure: il mourut , en effet, le jour suivant. (La suite prochaine
: « Ce n’est pas une chose, c’est une « pensée (2). — L’âme peut-elle mourir , lui défi) Les paroles de ce jeune homme sont cit
ouchait à sa fin lorsqu’il fut soudainement atteint du choléra, il en mourut le i3 novembre. Vingt-sixième observation. Hu
nulle puissance ne peut mettre en défaut....... » Court de Gébelin mourut au moment même où il affirmait sa guérison ; cl c
léance qu’elle adressait à une de ses parentes dont le mari venait de mourir . Quand je m’élève assez pour contempler su gloi
s les accidents propres à cette maladie. On a même vu des personnes mourir à la suite d’une perturbation morale? « Je ne t
peut la séparer Complètement du fluide nerveux ; et c’est ainsi qu’on meurt de doiileur oii de plaisir. La sytteope proltingé
deux infortunés, donna des larmes à leur fin tragique, et crut qu’ils mouraient innocents. 11 fut encore confirmé dans cette nouv
s d’une petite chienne qui était à Théobon : cette petite ohieqne est morte enragée; de sorte que Ludre, Coëtlogon et Rouvroi
e Dentu, éditeur des ouvrages de MM. de Puységur et Deleuze, vient de mourir subitement. Le magnétisme perd en lui un ardent p
t, sans lui témoigner quelque reconnaissance de ses beaux travaux. Il mourut sans être encouragé par ceux dont il préparait l’
t si courageusement notre art, et dont la mémoire sera impérissable , mourut sans qu’on daignât faire quelque chose pour lui.
avait faitjouer, selivrèrentauplus profond désespoir ; plusieurs même moururent de chagrin. D' Alvïid PERRIER. (La suite proc
Ammien Marccllin (3) nous fait connaître que l’empereur Valens fit mourir une vieille femme qui avait la réputation de guér
dans le silence, guérissent les êtres que la fausse science laissait mourir . Attendant cette heure, qui viendra pour nous-mêm
i forment le faisceau de la science officielle représentent la nature morte ; l’autre, au contraire , connue seulement encore
Constance , à lage de 81 ans. Un « somnambule lui avait dit qu’il ne mourrait qu’à « l’âge de 84 ans. • {Journal de l'Empire
fuis vile ! c’est ici que le mensonge a des autels ! c’est ici qu’on meurt en l’adorant, et qu’on lui tresse des couronnes!
s seront aussi habiles qu’ils l’ont été lors de ses deux invasions. Mourez , pauvres humains ! La science est impuissante; ma
es mes expériences , j’entonnerai le cantique d’actions de grâces, je mourrai le cœur content. » L’attention du ministère pub
67 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
écédents héréditaires. -- Père, âgé de 74 ans, bien portant. - Mère morte aphasique et hémiplégique droite à l'âge de 64 an
dit Guinon (p. î 1), peur de tout et de rien en même temps, peur de mourir , de devenir fous, de perdre connaissance. En ré
ns : on lui vole son bien, on le trompe, etc. Ainsi, sa femme étant morte depuis qu'il est à l'asile, il n'a pas voulu le
our lui prendre son bien. 11 ne veut pas croire que sa femme soit morte , parce qu'on n'aurait pas pu faire les affaires s
et, il fut repris plus tard et amélioré de la même façon. 11 vint à mourir de la phtisie pulmonaire dont il était atteint.
dont il s'agitest une femme âgée de cinquante-six ans, épileptique, morte le 18 septembre 1884 à l'asile de Rainhill d'une
relatée dans tous ses détails : 1. Excentricité du père ; la mère meurt avec abaissement pro- gressif physique et menta
très prononcé. Jamais de paralysie ni d'autres accidents physiques. Meurt à soixante-quatorze ans, en juin 1886, de maras
des accès de lièvre, si bien qu'en onze mois au plus, les patients moururent . On put pratiquer quatre autopsies; on trouva l
rt dans la prochaine séance. 11. Brie montre le cerveau d'une femme morte de paralysie géné- rale syphilitique ( ? ) Le s
n grand- père est mort d'une attaque d'apoplexie, sa grand'mère est morte , très vieille avec une paraplégie de nature in
c une paraplégie de nature inconnue, de durée courte. Une tante est morte poitrinaire. - Dans la ligne mater- nelle : le
ière, est âgée de quarante ans. Antécédents héréditaires. -- Mère morte à soixante-trois ans d'une tumeur fibreuse. Gra
- Mère morte à soixante-trois ans d'une tumeur fibreuse. Grand'mère morte hydropique. Une tante est morte à soixante-quin
d'une tumeur fibreuse. Grand'mère morte hydropique. Une tante est morte à soixante-quinze ans. Elle avait été atteinte pe
B..., âgée de 57 ans, couturière. Antécédents héréditaires. - Mère morte à cinquante-huit ans d'une hernie étranglée opé
hemin de fer, est mort d'un accident, et deux soeurs dont l'une est morte à trente-sept ans, d'une affection du rectum ( ?
des renseignements incomplets. Une soeur, la seule d'ailleurs, est morte d'une affection chronique ( ? ) qui a duré un a
tous les tubes nerveux. - Autre observation. Un ma- lade d'Alberti mourut de pyohémie après avoir pré- senté une paralysi
travers la plaie, il s'y produisit de nouveaux foyers, et le malade mourut . Excellentes descriptions, parfaite dis- cussio
hagie; bientôt impossibilité de mouvoir la tête, elle étouffe, elle meurt . La maladie a duré 3 jours. On trouve un cysticer
n degré d'intelligence. Accès d'épilepsie, intervalles irréguliers. Meurt dans un accès le 15 mai 1886. Autopsie. Fracture
hésitante, peu intelligente, mais sans lacunes mentales grossières, meurt d'urémie (néphrite parenchymateuse chronique bi
urs accès d'épilepsie partielle. Au commencement de 1890, le malade mourut de phtisie pul- monaire. Au point de vue intell
; le malade est déprimé, hypochondriaque, il a une peur horrible de mourir , la fréquence et l'intensité de ce syndrome sur
éjà fait anté- rieurement deux tentatives de suicide. - La mère est morte à l'Hôtel-Dieu d'une attaque de paralysie. '
lade, qui eut lieu le 24 août 1889 et d'une façon normale. L'enfant mourut au bout de quinze jours. Quant t à la malade, q
iait les personnes qui le faisaient d'attendre au moins qu'elle fût morte . Elle les traitait de voyous et disait qu'elles
sseur. Elle s'inquiétait beaucoup de ce qu'é- tait devenue sa mère, morte depuis longtemps. Elle demandait où elle était,
p demandait toujours à rentrer chez elle, prétendait qu'elle allait mourir . Au bout de six semaines elle rentra chez elle.
u'est-ce que j'ai donc fait pour souffrir ainsi ; faites-moi plutôt mourir . » Elle disait voir un grand trou, dans lequel
de jeter son fils et sa mère. Quand on lui disait que sa mère était morte , elle répondait qu'elle venait de la voir, qu'e
rdu la faculté de satisfaire ses besoins physiques au point qu'elle meurt au milieu de l'abondance. Cepen- dant les expér
s- faisante, parce que contrairement aux vertébrés inférieurs ils meurent rapidement après l'opération. Cependant les centr
quinze jours, la soeur de Bellet, une petite fille de cinq ans, est morte à la suite d'un mal inexpliqué, et que l'enquêt
68 (1859) Journal du magnétisme [Tome XVIII]
étendue sur le seuil, toute mouillée, froide et inanimée. On la crut morte ... Plus tard, interrogée par le médecin, toujou
uissant génie, qui, après avoir un moment rempli le monde de son nom, mourut pauvre et ignoré sur les bords de ce même Rhin, o
ande porte d’entrée dans la vie spirituelle; mais on peut commencer à mourir dès ici-bas ; tout le monde subit même cette tran
ernel ; c'est, là probablement qu’habitent les justes. Mais cc soleil mourra et s'éteindra. 11 est ce que saint Pierre appelle
r à l’écarté, et au dernier restant, quel serait celui des troisi qui‘ mourrait île premier. Le plus jeune s’opposait vivement à
une, celui qui avait d’a-bOfd1 refusé'dë jbuer, perdit la seconde, et mourut dix jours après son frère, c’est -à -dire le 26 f
, un médecin arrive et celui-ci constate que la pauvre femme est bien morte , mais qu elle vient à l’instant même de rendre le
foi vive et simple qui s’est perdue au fur et à mesure que la science morte l’a remplacée et vouée au ridicule, à défaut de p
ui'demandai-je. « — Du docteur M. « — Mais le docteur M. vient de mourir . « — C’est précisément parce qu'il est moit qu’
et son conseiller intime jusqu'au jour où elle l’oublia et le laissa mourir de misère. » Notre dernière citation est extrai
Par pitié, Monsieur, dites-moi ce qu’il faut faire à mon mari qui se meurt de la poitrine? — Donnez-lui de l’eau de riz !
esprit est dans l’espace, et si vous voulez évoquer quelque personne morte , vous la verrez. A l’instant même, elle joignit
mencé, tombe à genoux, et, fondant en larmes, s éciie . « Ma mère est morte il y a six mois ! » Sa douleur était tellement pr
ays pour qu’elle fût déposée sur le tombeau de sa mère, effectivement morte , comme nous l’apprîmes ensuite, à peu près àl’épo
aire accroire, mais bien pour votre enfant que la médecine va laisser mourir , parce qu’elle n’a pas su remonter à la source du
au huitième mois de votre grossesse? N’avez-vous pas alors manqué de mourir et n’avez-vous pas été obligée d'avoir recours à
put continuer son voyage , comprit, non sans désespoir, qu’il allait mourir , et témoigna un désir ardent de voir le roi de Pr
travers la forêt. Au point du jour, mon cheval s’abattit sous moi et mourut . Je tombai moi-même sans connaissance; mes gens,
ent au pied d’un arbre, sous mon cheval et la tête brisée. Je faillis mourir , et ce ne fut qu’après trois semaines de fièvre c
uit sonnait. Le feld-maréchal Gerhart Lebrecht de Blücher venait de mourir . « Sam. MAGNÉTISATION DES OISEAUX. Nous t
s mois, que M. Louis d’Assas, l’auteur de la Vénus de Milo, venait de mourir subitement. On sait peut-être que M. L. d’Assas
s voies de la Providence » en retenant ici bas des gens qui autrement mourraient en paix et d’une manière respectable. Au nombre
NS d’OUTRE-TOMBE. Une tante de Mm* ***, se trouvant sur le point de mourir , était fort affligée de laisser sur la terre une
le reviendrait la chercher. Trois mois après, la jeune personne était morte . En rapportant ce fait d’une de ses parentes, M
ave maladie chronique et qui sentait sa position, ajouta que, si elle mourait , elle reviendrait chercher un de ses enfants quel
endrai le chercher. » Quelque temps après cette conversation, M“' *** mourut un mercredi et ne put être enterrée que le vendre
cessive rapidité et en dépit de tous les soins possibles. L’enfant mourut uu mercredi et ne put être enterré que le vendred
ing, à neuf milles de sa demeure, dans la maison de son père, où elle mourut le 4 juin 1691. La veille de sa mort, elle ressen
on mari de louer un cheval, pour qu’elle puisse aller à Rochester, et mourir près de ses enfants. On lui fait observer qu'elle
ncore vers dix heures du soir. Elle se montre parfaitement résignée à mourir et pleine de confiance dans la miséricorde divine
ut donc que la malade était évanouie, et ne savait trop si elle était morte ou vivante. Lorsqu'elle revint à elle, elle racon
res; ces songes m’affligeaient au delà de toute expression ; ma femme mourut un an après sa couche, et le fils ne vécut que tr
ts, je leur dis: notre cousin l’officier viefit chercher son père. Il mourut trois jours après, à Fontenville, (Belgique), à c
puis plusieurs semaines, ne donnant plus signe de vie, fut tenue pour morte par ses parents et amis, qui s’empressèrent de l’
ce qui s’était fait autour d’elle depuis l’instant où on l’avait crue morte . Elle nomma la personne qui lui avait couvert les
un lama bokte fera éclater sa puissance ; il se tuera, sans pourtant mourir ... » Je cite maintenant les propres paroles du
lé, elle m’a dit: «Tu tardes bien I prends garde ! quelquefois on meurt de la guerre sans aller à la guerre ! » J'ai voul
Le jeune officier 11e douta pas un seul instant que sa fiancée ne fût morte ; il étendit la main, prit un de ses pistolets et
out à coup à sa femme : e Va me chercher ma fille, car je suis sûr de mourir cette nuit, je l'ai rêvé la nuit dernière. » En v
d'une personne de New-York parfaitement digne de foi. Un homme âgé mourut dernièrement après avoir passé huit ans dans un é
achant, alla quérir un médecin, qui, après avoir rassuré la mère plus morte que vive, fit subir à l'enfant un traitement appr
nsacrait tous ses instants à ses malades. 11 n a jamais été marié; il mourut en 1771, et longtemps après sa mort, beaucoup de
rits, comme on m’appelait : mais elle répondit qu’elle aimerait mieux mourir que d'être guérie par le diable. Elle appartenait
69 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ux. Quelque temps après, il se persuada que Dieu lui ordonnait de mourir sur la croix ; il réfléchit pendant deux ans sur
l'hospice des insensés; il s'y épuisa par des jeûnes volontaires et mourut phtisique le 8 avril 1806. ' Bibliothèque méd
apparurent à l'oeil droit et la cécité devint complète. La malade mourut dans le coma, dix-huit mois environ après le débu
ntisyphilitique énergique auquel il fut sou- mis, il ne tarda pas à mourir , après avoir présenté une agitation violente bi
temps, le malade dépérit, devient déprimé, peureux, croit qu'il va mourir , se sent abattu, tour- menté d'angoisse cardiaq
présenté à plusieurs reprises des manifestations rhumatismales. Il mourut d'hémorragie céré- brale à soixante et un ans.
e à soixante et un ans. Sa mère était parfaitement équili- brée, et mourut de pneumonie. Elle a trois frères et une soeur :
s jours auparavant, alors qu'il était encore à Paris. Le soir, elle mourait ayant auprès d'elle sa famille qui s'était empa
Ses persécuteurs ne lui épargnent aucune souffrance ; on « le fait mourir à petit feu ». Les hallucinations de l'ouïe ont
. Georges L : ..., vingt-huit ans. bijoutier. Père alcoolique, mère morte de diabète. Le malade se disait toujours bien p
s symptômes de la para- SOCIÉTÉS SAVANTES. ibis lysie générale et meurt trois mois après et cependant les lésions histo
un enfant ayant subi une infection grave eut des convulsions, puis mourut . On trouva, à l'autopsie, des lésions manifestes
illante fut renversée et, le pauvre petit fut tellement brûlé qu'il mourut peu de temps après. Devant le tribunal, Martin
lsl20. Bientôt survient du stertor. Le malade entre dans le coma et meurt vers 4 heures de l'après-midi avec 40°,5. Aut
cters. Le soir, température 40°,8 il à gauche, 40°,0 à droite. Elle meurt à 7 heures, sans convulsions. Autopsie. Bras dr
on est plus forte au réveil ; enfin le malade tombe dans le coma et meurt , avec ou sans convulsions, La mort est, en effe
ant ses clients, elle s'écria brusquement : « Oh ! ma tête, je vais mourir ! » et elle tomba. Après sa chute, elle ne put
de lui porter secours; mais il était trop tard. La malheureuse est morte dans d'atroces souf- frances. (Le Journal, l8 j
ure détermine une paralysie des extrémités postérieures et l'animal meurt quelques heures plus tard de lésions intestinal
es grands créateurs sont souvent, non des insensés, mais des dor- meurs éveillés perdus dans leur abstraction subconscien
ment chirurgical du pied bot paralytique. Ballard (Julien). Comment meurent les épi- leptiques. Ballet (Victor). De la para
i aux poumons, si ce n'est quelques signes d'emphysème. La malade meurt subitement le lendemain, à 7 heures du matin. V
adapter aux nouvelles conditions de la vie et que certains éléments meurent tandis que d'autres survivent et continuent à p
'observation se rapporte aune enfant entrée à l'Asile à onze ans et morte à dix-sept et présentant tousles symptômes de la
t continue de s'aggraver, la température monte à 40°,0 et le malade meurt dans la nuit. Autopsie, le 10 avril. Cerveau. -
une polynévrite antérieure plus ou moins accusée et que le malade meurt avec des lésions étendues à tout son neurone mo
0 CLINIQUE MENTALE. Père alcoolique, mort; s'enivrait souvent. Mère morte ; pas de renseignements. Deux frères et trois so
enseignements. Deux frères et trois soeurs bien portants. Une soeur morte tuberculeuse. Antécédents personnels. Aucune ma
ans. - Grand-père paternel mort aliéné à Bicêtre. Tante paternelle morte à Sainte- Anne. Père presque en démence, alcool
e en démence, alcoolique, boit du rhum tous les matins à jeun. Mère morte d'une affection cérébrale, encépha- lite ( ? )
ires. Père alcoolique fieffé, mort en prison; arrêté pour vol. Mère morte également, pas de renseignements sur la cause d
s plusieurs années dans un asile d'aliénés en pro- vince. Une soeur morte , nous ne savons de quelle maladie. Antécédents
as de renseignements sur la famille ¡Jutemelle. -1llèl'e, nerveuse, morte ci trente-deux ans d'une affection cardiaque. -
sans cependant avoir des attaques de nerfs. Caractère peu commode. Morte onze jours après son mari d'une affection cardi
elle n'étant ni enserrée ni modifiée dans sa consistance. Le malade mourut de septicémie. Autopsie. Ramollissement de la m
matin seulement, à mon réveil, que je me suis aperçu qu'elle était morte . M. Kien a ouvert immédiatement une enquête, et
côté (chute de la paupière supérieure). En octobre 1893, la malade meurt dans une attaque apoplectiforme. L'aulolJsie
uvoir, sa sortie qui est décidée. Au moment de quitter l'asile elle meurt subitement par rupture du coeur, six semaines a
HO-MOTRICES. 471 qu'il attribuait à « du monde dans l'estomac ». Il mourut de cancer de l'estomac et ses méninges présenta
idiotie avec cécité. Le malade eut dix frères et soeurs. La plupart moururent en bas Age, sauf un frère paraissant jouir actu
ram- mes ; petit, flasque, libres musculaires de coloration feuille morte ; surcharge graisseuse du ventricule droit, les
ons électriques (signe d'Erb), réalisait le tableau classique. Elle mourut au bout de vingt-cinq jours. A l'autopsie, l'exam
tive. ' X. NÉCROLOGIE. Le D'CALES. Le D1' J.-G. Calés vient de mourir à l'âge de soixante et onze ans à l'asile des a
70 (1895) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 10
âge, à en manger, mais il eut de l'insomnie, une fièvre cérébrale et mourut (Journal de médecine, août 1760). Un accusé cri
e de rhumatisme déformant avec ankyloses multiples. Un frère vient de mourir de phtisie galopante à l'âge de dix-sept ans. Une
s plus intéressantes. Il y a quelques mois une dame, veuve Guindrand, mourait laissant par testament une somme de 300,000 franc
sans peine, la transportèrent à Azpeitia, tremblant qu'elle ne vint à mourir en route. Quand ils arrivèrent, le saint prêchait
vice le 24 novembre. Bien constitué, lymphatico-nerveux, d'une mère morte tuberculeuse, il a fait 5 ans de service militair
ainsi sur la trace des autres. Ils marchaient à peine; un d'entre eux mourut le même jour. Tous étaient excessivement maigres
yait jamais; elle était nerveuse et probablement hystérique, elle est morte à 27 ans, de pyoémie, dit-on. Son père, remarié
sser s'emparer de lui complètement, parce que, disait-il encore, il « mourrait sûrement s'il avait peur jusqu'au bout ». Cet hom
de corps » et qu'elle ressentait en même temps « une peur affreuse de mourir subitement si elle se laissait aller à y penser »
l'appropriation, l'orientation motrice, etc., de crainte do les voir mourir sans baptème. Et cette autre fonction qui fait
échargé de son péché. « Ou bien, il doit boire, jusqu'à ce qu'il en meure , de l'urine de vache, de l'eau, du lait, du beurr
deviennent terrifiants, l'idée de la mort la poursuit. Elle a peur de mourir toute seule dans sa chambre ou dans la rue avant
e éprouve un chagrin de famille et aussitôt l'état empire. La peur de mourir la pousse à se précipiter par la fenêtre ou dans
tement qu'elle ne pouvait faire autrement que de dormir. On la trouva morte subitement dans son lit un matin. Elle avait succ
se présente à celui qui rêve sous la forme d'un animai ou d'une chose morte qui a quelque analogie avec le membre. Ce cinquiè
s. Pourquoi, je n'en sais rien ; je vous assure que je ne pense pas à mourir , et je commence môme à avoir peur, mais j'ai beau
ant cette malade en état d'hypnotisme, on apprend que sa mère qui est morte lui apparaît pendant ses rêves, lui fait des repr
me lever encore ; mais plus moyen de me tenir debout. La jambe était morte . On fit mander en toute hâte le docteur Lambrecht
Une femme, émotive et d'une affectivité exagérée, dont la sœur est morte paralytique et dont le mari, également mort depui
isme chronique; la mère, après des accidents de manie hystérique, est morte dans un asile d'aliénés. L'aîné s'est suicidé à
nts sont peu intenses, l'organisme s'étiole, s'affaiblit et finit par mourir ; quand la vitalité est puissante, c'est que ces
eur de Ramier, si la cellule constituante de la fibre qui est blessée meurt ). Si la section a lieu sur une racine postérieure
ou non du roi des enfers. Dans un conte annamite, une femme de Sadec meurt . Après une nuit de catalepsie, elle revient à ell
Je venais de commencer à pratiquer l'hypnotisme à Lausanne quand elle mourut , et c'est alors que j'appris son secret. « Lors
sait-elle pas: « Si un bœuf frappe un homme ou une femme et qu'ils en meurent , lé bœuf sera lapidé et sa chair ne sera pas mang
ue; sa vie ne nous donne rien d'important à signaler. La mère est morte de phthisic pulmonaire ; sa maladie a duré fort l
aussettes, avec des vêtements déguenillés, et, de plus, il paraissait mourir de faim. Une nuit, il alla dormir dans une écurie
au donné par un chirurgien fera revenir à la vie un malade condamné à mourir sans cela. Je ferai cependant l'observation que,
ps attablé chez ses amis ou dans les cabarets de l'endroit. Cet homme mourut après une courte maladie. A partir de ce moment,
rriture. Peu à peu, ce chien s'amaigrît. Au bout de quelques mois, il mourut dans le marasme. L'action de la peur chez les a
lètement. A vingt ans, elle se marie, elle a un enfant, mais celui-ci meurt il y a dix-huit mois et elle en éprouve un chagri
esse d'injurier la Providence, il arrivera des malheurs, que son mari mourra , etc. De sorte qu'elle est sans cesse balancée en
71 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
rté. Mère un peu nerveuse, sans attaques. Grand'mère mater- nelle morte après deux attaques d'apoplexie. Père alcoolique
ue ce soit sous l'influence directe de la tuberculose dont elle est morte . Quant à l'observation de Gubler, citée par Wei
ement de la face à gauche et dans la moitié de la langue; la malade mourut subitement ou du moins très rapidement, l'autop
es lèvres en particulier), la peau desséchée et terreuse, le malade meurt dans le marasme le 21 mars, à 6 heures du soir.
'a jamais été totalement abolie, la parole n'est jamais revenue. Il meurt le 19 mai, à six heures du soir. Autopsie (prat
ut, nous trouvons : Du côté paternel : une cousine germaine du père morte folle dans un asile. La l'orme d'aliénation men
enues. La grand'- mère du grand-père maternel a été folle. Elle est morte dans une maison de santé. Parmi les collatéraux
un voyage de douze milles, de somnolence bientôt suivie de coma, et mourut en six heures. II. Intoxication et coma acéto
rébral; par M. MAYET. (Lyon méd., 1884, t. XLV.) Chez une femme qui mourut après trente-six heures de coma, on trouva l'ar
même temps elle s'affaiblit d'une façon rapidement progres- sive et meurt le 18 février. Les constatations faites à l'aut
mes ; sept semaines après son admission, il se calme tout à coup et meurt une demi-heure après. A l'autopsie, on trouve l
irer. Après dix jours d'une agitation violente et conti- nuelle, il meurt rapidement. A l'autopsie, on ne trouve aucune t
atrophie partielle du nerf lui-même. Le ganglion ventral postérieur meurt après le faisceau de Vicq d'Azyr correspondant;
, en arrière du grand entrecroisement de la calotte ; en même temps meurt le faisceau de la calotte. L'ablation d'un hé-
inconnue, mais ne se rattachant pas au système nerveux ; grand'mère morte à soixante-dix ans d'Une maladie inconnue, étai
5°, âgé de cinquante-huit ans, se porte bien. Côté maternel. Mère morte de consomption, à l'âge de cinquante-quatre ans
le système nerveux. Collatéraux. Six frères ou soeurs : il,, soeur, morte à cinq ans du croup ; 2° soeur morte à dix-huit
frères ou soeurs : il,, soeur, morte à cinq ans du croup ; 2° soeur morte à dix-huit ans d'athrepsie ; 3°, mort-né ; 4°,
avail. 23 septembre 1885, M. G..., âgé de quarante-neuf ans. Mère morte d'une attaque d'apoplexie; père rhumatisant, es
sements ; il n'est pas très obèse. Grand mère maternelle génoise, morte à soixante-dix ans, à la suite d'une paralysie
e, eut des convulsions épileptiformes par hémorrhagie cérébrale, et meurt paralysée longtemps après. Grand-père paterne
oyaux de l'écorce. Quant à la pneumonie dite alimentaire, la malade mourait dans la nuit du samedi au dimanche; or, dès le
ses compagnons, devientsitiophobe, parce que « ses pauvres enfants meurent de faim », prend une physionomie déprimée, gémi
paralysie générale n'évolua pas du tout rapidement, la malade n'est morte qu'après quatre ans de séjour à l'établissement
l'intégrité psychique était assurée. Quelques années plus tard, il mourait de son affection thoracique et de l'abus des in
e, un accès de délire pendant lequel elle s'écriait qu'elle voulait mourir . Pendant son séjour à l'Antiquaille jusqu'à son
che, tantôt à droite. L'examen des urines est impossible. La malade meurt dans l'as- phyxie le 30 décembre à 3 heures du
succombé à une affection pulmonaire à un âgé in- déterminé. Mère morte de chagrin de la perte de sa petite fille. Pas de
L DE FAITS. à ce qu'on la place dans le décubitus latéral gauche et meurt sans présenter de convulsions. t.. Autopsie
nt dilatées. On n'observe pas de relâche- ment des sphincters. Il meurt le soir sans présenter de convulsions. L'autops
it. Père mort à soixante ans d'une pneumonie. Mère rhuma- tisante morte à quatre-vingts ans. Il a sept enfants bien porta
à son entrée à l'asile est celui de démence paralytique. Le malade mourut dix mois après son entrée : à l'autopsie on not
héréditaires, est assurément un fait rare. La mère à la vérité est morte d'une affection cérébrale, mais qui parait avoi
Fournier, médecin de l'Institut national des sourds-muets, vient de mourir à l'àge de cinquante-deux ans. Parmi ses nombre
72 (1851) Journal du magnétisme [Tome X]
es. Le droit d'y assister étant personnel, restait presque une lettre morte pour nos abonnés des départements et de l’étrange
l’instrument de la Providence pour accomplir une tâche difficile; il meurt en dirigeant son regard vers le Ciel, pensant que
cadémiciens occupent un nid commun; et lorsqu’un de ces rares oiseaux meurt , la place qu’il quitte est aussitôt prise, et gar
es plus épris des doctrines Swedenborgiennes, M. A. Doisnel, \ient de mourir à Briquebec (Manche), dans un âge peu avancé. Tou
smer, qui se résigna à quitter Paris, fit place à Cagliostro, et alla mourir à peu près oublié dans son village germanique, au
iez-vous y faire?— R. Tâcher d’y gagner nia vie. D. Voire femme est morte dans un hôpital ? — R. Oui, monsieur; mais je lui
— Et puis des prêtres..... des cierges..... un cercueil..... 11 va mourir quelqu’un dans cette maison. — Peux-tu désigner
Le magnétiseur tremblait que ce ne fût lui. — C’est moi qui vais mourir , éclata tout à coup la somnambule. — Dans comb
ion seule des bonnets de ces deux enfants, répondit : « L’une d’elles mourra dans deux jours, l’autre sera sauvée si on la mag
la magnétise. En effet, on la magnétisa et elle fut sauvée; l'autre mourut , ainsi que l’avait dit la somnambule. Le témoin n
peut-être le premier exemple offert au monde d’un malade qui, près de mourir , refuse le remède qui pourrait le sauver. Cet ave
d qui tombe à côté de lui, la feuille que le vent emporte, la branche morte précipitée sur le sol, il a vu tout cela; mais il
oment où il va s’épanouir au jour, il abâtardit les races, et puis il meurt lui-méme, comme meurent les bêtes, avec leur stup
uir au jour, il abâtardit les races, et puis il meurt lui-méme, comme meurent les bêtes, avec leur stupide indifférence. Un bon
ngé, ou, poursuivre l’analogie d'une manière frappante à l’esprit, il meurt à sa forme originelle et à son mode d’existence.
t, 011 lit dans cet ouvrage que J. Davis cul un ami nommé Wilson, qui mourut en 18/17; qu’avant son décès il promit de revenir
je me rappelais la doctrine de la résurrection de l’âme des bons qui meurent pour vivre à jamais dans un séjour céleste et bea
amis et leur raconter les maladies de mon âme. Je supposais que je ne mourrais pas el que j’avais seulement passé par une métamo
que j’ava~,enl moi-même porté. J’essayai de leur dire que cette dvin’ meure déserte n’était rien; que je possédais un corj601
e... « Tu vois maintenant quel noble et simple progrès ;’est que de mourir ; tu vois qu’il n’y a aucune « val-ée des ombres »
nts de la terre verront maintenant, quoiqu ils ne le croient pas, que mourir c’est naître de nouveau.....» Cette révélation
le dans votre chambre, vous vous dites en pleurant : J’aimerais mieux mourir que de perdre la vue. » Tout cela était exact.
sept ans j’étais toujours malade, les médecins m’avaient laissée pour morte . Mme Rose m’a guérie en quelques jours. igo Mme
sera pas permis d’en profiter ! Nous serons condamnés à souffrir et à mourir , par respect pour la sainte routine ! le malade a
ur la sainte routine ! le malade aura, ¡1 est vrai, la consolation de mourir dans les régies. Mais on sc demande alors si l’hu
nt mortes; car on ne prétend pas avoir trouvé le secret d'empêcher de mourir . Puis qu’on nous apporte un relevé semblable de l
nt la destruction des membres el des sens du corps ; t’être, l’âme ne meurt point. » « La terre n’est que corruption et gén
d’heure, et une dame de ses amies , en arrivant, m’a dit ; « Elle est morte . » Après avoir donné quelques paroles d’espoir, j
nnemis mortels du magnétisme ils l’auraient tué si une vérité pouvait mourir . Les hommes de bien pourront sans inquiétude se l
es poitrinaires, dont le cerveau s’exalte à mesure que la poitrine se meurt , comprendront le plaisir que je lui fis en la vis
ci que je ne vois plus... Je n’entends plus rien.... Soutenez-moi; je meurs ... » Et la malade s'affaissait dans mes bras. E
es qu’on a pu mobiliser pour l’é- thérée.....La souche est toujours morte , quand elle est stérile..... « Vous, aimez-mo
aime la harpe, parce qu’il chanta nos amours sur ses cordes; avant de mourir , tout à l’heure, je vous donnerai la preuve matér
n tapage, en le menaçant de le faire poursuivre si le malade venait à mourir . La nuit suivante le charron dormait paisiblement
u doigt, et dont la pierre ovale, souvenir d’une personne aujourd’hui morte , est un lapis-lazuli. Alexis examina attentivemen
, et qu’enfin Mme ***, de qui mon ami Collia tenait ce présent, était morte ... Tout cela était vrai. « Une autre personne,
nt, on démolit les temples où elle apparaissait, souvent aussi on fil mourir de mort cruelle les hommes qui osèrent la révéler
ts liquides, et même avec la plus grande difficulté ; il craignait de mourir de faim. « Un cas très-remarquable est celui d’
l faut qu’il lue lui-mème cette couleuvre ; il l’écor-chera, une fois morte .... Il la coupera en dix morceaux, après l’avoir
73 (1909) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 22] : iconographie médicale et artistique
ant des signes d'insuffisance aortique. 11 décembre 1905. La malade meurt à la suite d'une pleuro-pneumonie gauche. Aut
hénomènes de parésie, d'ataxie et des convulsions, tous les animaux meurent , la souris plus rapidement que les autres (l'aute
4, p. 9, no 3. ; ' xxii 8 110 ALQUIER ET FAURIi-BEAULIEU Toutes meurent au bout de 3 à 4 jours. A l'autopsie, les unes et
ont commencé à faire des préparatifs comme pour une personne qui va mourir . La malade se rappelle seulement avoir fait dan
s ne semble pouvoir être invoquée, et nous pouvons particulièrement meure de côté l'influence de la syphilis soit hérédit
en des dénégations de la part des métaphysiciens qui géné- ralement meurent impénitents, victimes de l'autorité aveuglante et
ur l'existence. Hé- las nous n'en sommes pas là encore et les idées meurent en même temps que les hommes qui les défendent
cellente santé, elle eu 12 enfants parmi lesquels 10 vivants ; elle mourut à l'âge de 60 ans à la suite d'une maladie intest
nts héréditaires.- Père mort à 73 ans d'une maladie de coeur ; mère morte à 52 ans de la variole. Une tante paternelle est
coeur ; mère morte à 52 ans de la variole. Une tante paternelle est morte d'une maladie de foie ; une tante maternelle es
ternelle est morte d'une maladie de foie ; une tante maternelle est morte d'une fluxion de poitrine. Un frère, plus âgé q
ue instant ce que deviendraient ses en- fants et sa famille si elle mourait . Des voix lui disaient qu'elle était damnée ; q
leurs rhumatismales ; son frère est en excellent état, sa soeur est morte d'une affection qu'elle ne peut pré- ciser. H
escarre au membre inférieur droit ; au bout de deux mois la malade meurt , sans que l'atrophie musculaire n'ait rétrocédé
sent exposer. - t1. - Examen macroscopique : Myocarde : Feuille morte . Mou et friable. 1 NOUVELLE Iconographie DE la
n aussi nette. Malgré une fièvre médiocre (entre 38° et 39°2), elle meurt au bout de 4 jours. Observation XX. J. L..., él
exemple, parésie que d'un seul membre ; mais alors les malades n'en meurent pas. Mais, pour tous les cas où nous - avons un
es abdominaux était cette fois encore complète (la malade est alors morte d'une pneumo- nie lobaire). Dans tous les aut
te sur l'état des muscles du dos. Dans le cas XIX, où la malade est morte d'une pneumonie lohaire, nous n'avons jamais eu
ort à l'âge de 57 ans. Sa mère était de taille moyenne ; elle est morte à 55 ans. Ils habitaient la Suisse, aux environ
ns, de Florence, sans profession. Antécédents héréditaires. Le père mourut à 52 ans à la suite d'une cys- tite ; depuis 20
it un homme intelligent et artiste d'une certaine renommée. La mère mourut à 70 ans d'une cardiopathie. Notre géant a été
e n'eutjamais de fausse couche. Les aïeuls paternels et maternels moururent à un âge très avancé de mala- dies non précisée
embre, atteint l'avant-bras dont il longe le bord interne, il vient mourir au ni- veau de la paume de la main entre son ax
is un garçon bien portant qui vit encore; puis uu second garçon qui mourut à 23 mois, de convulsions, et un dernier, il y
marié dePisa. Il entre à la clinique le 27 janvier 1909. Son père mourut à l'âge de 73 ans d'une maladie de coeur ; la mèr
Son père mourut à l'âge de 73 ans d'une maladie de coeur ; la mère mourut après une opération subie pour l'extirpation d'
pération subie pour l'extirpation d'un kyste de l'ovaire ; un frère mourut à 14 mois de la rougeole ; une soeur utérine mour
aire ; un frère mourut à 14 mois de la rougeole ; une soeur utérine mourut à 45 ans de cancer ovarieu, semble-t-il. Le m
Un fils est marié et a, lui aussi, des enfants sains. Sa femme est morte il y a 18 mois, à l'âge de 51 ans, à la suite d'u
ent, mais il n'y eut ja- mais de fièvre. Le malade ne voulant pas mourir dans la clinique nous quitta aux premiers jours
é prononcée à parler, qui est due à la respiration insuffisante. Il meurt à 3 heures de l'après-midi, évidemment par suff
a conscience troublée, le malade a la sensation très nette qu'il va mourir d'une suffocation causée par la paralysie des mou
ralysie des mou- vements respiratoires et il déclare lui-même qu'il mourra « dans 5 minutes ». Dans cette situation tragiq
S SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 551 pouls devient plus mauvais. Puis il meurt , d'une paralysie du coeur, semble- t-il, entre
escendante. Wickman remarque que la paralysie, chez les malades qui meurent de la maladie, peut être soit ascen- dante, soi
ord avec no- tre observation XXXII que le malade était tout près de mourir d'une pure suffocation sans aucun trouble de la
vec un résultat heureux pour plusieurs mois. Cependant l'enfant est morte plus tard d'une tumeur solide du cervelet, comme
me semble à peu près sûr que cette malade était alors très près de mourir par un arrêt de la respiration. Ces observation
ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYELITE AIGUË z) XIX, où la malade est morte au bout de 5 mois d'une pneumonie lobaire, car
publics. Son père est mort alors qu'il avait six ans ; sa mère est morte à Hanoï où, après le décès de son mari, elle av
m- mes. On lit enfin une inscription sur la poitrine : « Vaincre ou mourir . » Le « Tigre » a des habitudes pédérastiques,
cette malade n'était pas atteinte de sclérose en plaques. La malade mourut en septembre 1907. Examen anatomique. (PI. LXII
parents paternels : vivants, bien portants. Grand'mère maternelle : morte d'affection inconnue. Grand-père maternel : bie
Nous avons vu le volume considérable que peuvent atteindre ces tu- meurs et la tolérance extraordinairementprolongée d'un
es deux derniers jours la température s'est maintenue à 39° 8 et il meurt avec 39° 9 le matin du 21 février 1908. A l'a
des médecins de Vienne les résultats de 5 cas opérés, pour des tu- meurs de l'hypophyse dont 4 ont guéri et un est mort. U
ulpteur. Son père a bonne santé, mais grand buveur de vin. Sa mère, morte à 48 ans, peut-être d'une mé- ningite cérébro-s
ient de taille assez élevée, jouissaient d'une santé florissante et moururent à un âge très avancé. On ne peut découvrir dans
lui imposent la nature de ses idées comme elles le font maigrir ou mourir . Il faut voir par la pensée les équivalents méc
omme le véritable substratum de la vie et qui diffère de l'albumine morte en ce que sa molécule possède une constitution
production ont survécu à tous les changements, parce que la matière meurt par inanition ou par stérilité, lorsque les excit
74 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
que. Antécédents héréditaires. - Père mort de fièvre typhoïde, mère morte aveugle. Antécédents personnels. A t'age de 1
elu. FI ... de plus en plus cachectique s'éteint progressivement et meurt le 16 mars 1899. Autopsie. Le cadavre a été
n autre point assez mal connu de la question est l'existence de tu- meurs fibreuses dans les viscères et en particulier sur
pas constaté d'une façon indiscutable l'origine nerveuse de ces tu- meurs intestinales, mais il fonde sa croyance en cette
licat de la question. Quel est le point de départ de toutes ces tu- meurs fibreuses ? Nous ne parlons pas bien entendu de f
rd, Delore etc. en France, ont publié des cas dans lesquels les tu- meurs cutanées ne semblent pas avoir pour point de dépa
nouveau sur la gravité qu'il pré- sente lorsqu'il est méconnu : on meurt d'anorexie hystérique. Le cas que nous publions
la maintenir, elle crie et se débat et « toujours veut voir sa mère morte ». La crise dura de 6 heures à minuit, elle dor
te et peut-être un peu neurasthénique.-La grand'mère maternelle est morte à 83 ans. S... ne sait rien de son grand-père mat
'intervention à main armée. Cependant, dans le cas actuel, elle de- meure sans effet, et le fumeur s'en étonne : Puisque
c intitulée Misocapnos. Il menaça même de faire pendre tous les fu- meurs , et Raweigh, qui, dit-on, avait introduit la pipe
ar le Dr Jaboulay. La malade quitte le service, améliorée. Revenue, meurt dans le coma le 18 février. Autopsie. Cicatrice d
hie de la papille. La malade rentre de plus en plus dans le coma et meurt . L'autopsie a montré une tumeur de l'hypophyse
aux une deuxième colonne vertébrale, ayant appsrk-M a un3 tabétique morte à l'âge de soixante-six ans et atteinte elle auss
morts plus que septuagénaires. Il a eu deux soeurs, dont l'une est morte à 60 ans, tandis que l'autre jouit d'une bonne sa
98, la ma- lade eut un ictus, tomba dans le coma le plus profond et mourut deux jours après. L'autopsie, pratiquée vingt
1889. A l'âge de 38 ans, elle se marie, elle eut deux enfants; l'un meurt en naissant, l'autre né en 1880 est en excellente
fs. Sa mère aurait souffert de varices aux membres inférieurs, elle meurt à 82 ans. La malade aurait eu dix frères on soe
ue dont il ne sortait que pour se livrer à un travail opiniâtre. Il mourut à Leyde à peine âgé de trente- neuf ans. L'Ar
ération des réflexes rotuliens et de la trépidation épileptoïde. Il meurt à l'Infirmerie de la maison de Nanterre d'une pne
lume d'une grosse orange, mollasses, assez mobiles. Deux autres tu- meurs , symétriques, un peu étalées, paraissant sous-mus
lle duquel il y avait eu des grossesses doubles et même triples est morte à 35 ans de suites de couches ; elle avait eu s
s, nouvel accouchement gémellaire avec même résultat : le gar- çon " mourut à 15 jours, la jumelle à peu près au même âge.
halalgie. Son second mari était bien portant et très vigoureux ; il mourut encore jeune d'un accident de travail. Veuve un
à l'âge de soixante-dix ans d'une affection pulmonaire. Sa mère est morte de vieillesse à quatre-vingt-deux ans. Il a une s
es facultés intellectuelles avaient passablement baissé. Elle est morte brusquement le 11 avril 1898. AUTOPSIE. - Exame
st mort à 46 ans, mais il ignore de quelle maladie ; sa mère serait morte à 70 ans subitement d'une attaque d'apoplexie :
bitement d'une attaque d'apoplexie : il n'a eu qu'une soeur qui est morte jeune et il ne sait de quelle affection. In- te
les suivants : la mère hystérique à grandes crises devint folle et mourut dans un asile ; un cousin germain est aliéné depu
temps ils présentaient des signes de paralysie, ils s'alitèrent, et moururent . A l'autopsie on trouva chez chacun d'eux une f
tes, la langue est chargée et large..... le malade amené le 8 janvier meurt le 14 Température 40°8. Autopsie. Adhérence c
an plus tard environ il était pris de violentes douleurs de tète et mourait d'un abcès cérébral ; Geschwind et Koeler, cité
engea en lui tirant un coup de revol- ver. Le magistrat guérit mais mourut un an plus tard d'un abcès cérébral ayant le pr
elles doivent cependant exister. Une de nos tabétiques obs. IX) est morte de congestion pulmonaire rapidement emportée en
crure costo-iliaque et très pro- fonds à leur origine, ils viennent mourir autour de l'ombilic en avant; i, ils se perdent
de ses extrémités, on devine que ce dentiste-là n'y va pas de main morte et que, coûte que coûte, il emportera le morceau.
t le malade abandonné par eux tomba dans un épuisement com- plet et mourut . Le cadavre fut ouvert et montra la cause du mal
n'essaiera pas d'éclaircir et de purger son cerveau ? A la veille de mourir , les malades en voudront encore. N'a-t-on pas v
grand désir. . Si bien aux femmes que filles elle plaît fort, Je meure si je ne suis de leur accord. Et notre auteur.s
TRE LE TABAC 469 que le livre de .1. H. Cohausen, maintenant oeuvre morte , mais il ce mo- ment en pleine actualité, a dû
re, mort à 60 ans, faisait de grands excès alcooliques, que sa mère morte à 75 ans à la Salpê- trière, d'accidents cérébr
fance, la plupart de convulsions. Elle survit seule : une soeur est morte à 25 ans d'une affection aiguë de poitrine et u
nts héréditaires : sa mère, atteinte d'une affection cardiaque, est morte à 55 ans, d'une hémiplégie par embolie. Son grand
nze jours après l'acci- dent on le ramena de nouveau paralysé et il mourut rapidement.A l'examen post- mortem on'trouva un
onne santé également, deux soeurs, une de 37 ans bien portante et une morte à 33 ans. Antécédents personnels. - 43 ans, a
guste, peintre en bâtiments, 76 ans. Antécédents héréditaires. Mère morte paralytique à 95 ans(serait restée longtemps da
n et demi après, elle eut une petite fille, assez petite et chétive, morte l'an passé de broncho-pneumonie rubéolique. Pas d
e ouvre les dents joinctes et fort serrées à fin que le ma- lade ne meure de faim. « La deuxiesme oste la vilainie et pua
75 (1906) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 19] : iconographie médicale et artistique
r embolies pulmonaires, nous apprend que le malade de M. Bris- saud mourut 5 à 6 mois après l'opération, avec une méningite
nt, par le procédé de Calot. A la suite de ce traitement, le malade mourut d'un méningite. Voici le résumé de trois cas pe
la clinique, l'étude de la spondylose n'a guère pro- gressé. On ne meurt pas de cette affection et les autopsies en sont r
gie antérieure, une tuberculose pulmonaire actuelle, dont le malade mourut , pouvaient dans ce cas être invoquées comme cau
lle était assez développée, et qu'elle marchait à l'époque normale. Morte à l'âge de S ans. Tante : Née ,d'une même cou
e travers et il était nécessaire de lui choisir la nourriture. Elle mourut à 44 ans. Oncle : A été toujours déséquilibré ;
rs la fin de sa vie, elle avait des hallucinations visuelles et est morte en démence. Père : Le père du malade était un m
issant, monte des deux côtés, encadre et arrondit la face, et vient mourir au niveau de l'arête du maxillaire, qu'elle eff
aînés sont atteints de surdité, ainsi que le frère du père. La mère mourut en 1898 à l'âge de 48 ans, de tuberculose, le gra
ne apoplexie. Le grand-père maternel était toujours bien portant et mourut très âgé; la grand' mère est morte de tuberculo
était toujours bien portant et mourut très âgé; la grand' mère est morte de tuberculose ; un neveu est actuellement en tra
nces de l'extirpation de la glande eomme telle. Du reste, les animaux meurent presque tous peu de temps après l'opération. Le
n ne peut les parcourir sans émotion en songeant que le grand homme mourut presque aveugle : Io parto a mano a mano Cres
la tuberculose pulmonaire du père, infirmier, et de la mère qui est morte de cette affection. Ni frères, ni soeurs. La jeun
ouillaud no 11, à l'hôpital Tenon. Antécédents héréditaires. Mère morte à 43 ans d'hyperthophie du foie ; fut très nerv
à ce qu'il semble, et deux soeurs cadettes jumelles dont l'une est morte dans les premiers mois après sa naissance tandis
ort à 96 ans, grand- père maternel à 82 ans ; grand'mère maternelle morte subitement à 47 ans. R... a trois frères et une
ent et non pas dans le coma, mais l'état s'aggrave rapidement et il meurt au bout de deux jours. A l'examen anatomique
conservées. Cas. II. Tabes amyottophique, chez une femme de 38 ans, morte dans le service de 111. Babinski. Ce cas est id
s. V. Névrite radiculaire à polynucléaires chez une femme de 63 ans morte d'un cancer du rectum. Parmi les pièces de compar
s, de la bronchoplégie, une hypothermie de quelques 1/10, le malade meurt le 4 octobre, un mois après le début des phénom
café. Entré le 19 février 1904. Décédé le 16 mai 1904. Une soeur morte poitrinaire ; pas d'hérédité nerveuse. B... est g
de particulier. Le malade est dans un état de torpeur profonde et meurt au bout de 36 heures environ, sans en être jama
ons se traduisent macroscopiquement par une couleur « pâle, feuille morte » (Vulpian). Dans tous les cas exa- minés, Vulp
vons pas de rensei- gnements précis sur sa famille ; sa mère serait morte il y a un an seulement. Lui-même a eu la rougeo
sait pas de quoi. Sa femme n'a pas fait de fausses cou- ches ; est morte à l'âge de 22 ans, d'une embolie, dit-il ; elle n
n'avait pas de phlébite, elle n'a pas craché de sang, mais « elle est morte vivement » ; c'est tout ce que le malade donne
osseuse et profite de l'intervention pour enlever trois petites tu- meurs , sous-cutanées qui s'étaient développées en même
terie, l'appétit cependant conservé et même exagéré ; il maigrit et meurt le 12 octobre 1904, à 5 heures du soir. Autop
. - Section des 10°, 1 la et zu racines thoraciques postérieures. - Meurt le 10e jour. Chat de 4 k. 500, opéré le 4 mai 1
l'animal une paraplégie du train postérieur. . Il ne mange pas et meurt le 14 mai, après une survie de 10 jours. Observ
dent aux 2 premières racines sacrées postérieures gauches. L'animal meurt le 27 décembre de méningite suppurée, après une s
01. Antécédents. Père mort à 71 ans des suites d'un accident ; mère morte à 54 ans de tuberculose pulmonaire. Il a un frè
n 1889 très âgé : il avait été un grand buveur de vin ; la mère est morte en 1884 d'une cachexie qu'on ne peut pas préciser
il y est ramené en pleine urémie,à forme pulmonaire surtout, et il meurt le soir même de son arrivée. Autopsie. Elle a é
es de broncho-pneumonie à la base gauche. Pendant la nuit, l'enfant meurt brusquement de syncope. AUTOPSIE.- La moelle et
e cyphoscoliose et un état hypertrophique des nerfs. La soeur étant morte dans le courant de l'année 1892, l'autopsie futpr
ulmonaire. Il entre à la Pitié dans le service de M. Babinski où il meurt en janvier 1901. M. Babinski eut la grande amab
hypertrophie des nerfs. Au contraire; en effet chez cette femme qui mourut à l'âge de cinquante ans, après trente années d
NFANCE 50j dans le cas de Dejerine et Armand-Delille, la malade est morte trente ans après le début de l'atrophie muscula
jour; le malade se cachectise, une escarre fes- sière apparaît ; il meurt de broncho-pneumonie 7 mois après le début. Aucun
lombaire et sacré, avec signes d'une névralgie sciatique double. Il mourut au bout de 6 mois de tuberculose pulmonaire, avec
s autres Arabes aliénés de ce pays; Que deviennent-ils ? Une partie meurent dans les quartiers de gâteux, comme le font les
aux villages d'origine, et s'éteignent au loin. Quant à ceux qui meurent à l'asile, et dont l'autopsie est presque tou-
76 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 21, n° 121-126] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
let 1885, à Paris, entrée le 17 juillet 1899 à la fondation Vallée, morte le 21 août 1899. Antécédents. (Renseignements f
re pas; point de migraines. [Père mort on ne sait de quoi. - Mère morte à 63 ans, de la rupture d'un anévrysme ( ? ).-N'a
ût. L'enfant, qui était très abattue cette nuit et causait peu, est morte à 11 heures du matin, sans spasme, sans crises,
tantes paternelles myopes. Mère migraines. G1'and'1Íure maternelle, morte d'une tumeur abdominale. - Pas de consanguinité
ses grands-parents, pas de renseignements. Une tante paternelle est morte aveugle; sa cécité ne datait pas de l'enfancc.
neux de ces accidents. Son père a 73 ans, bien portant. Sa mère est morte il 70 ans d'une tumeur dans le ventre.-Grands p
faiblit de plus en plus, les escarres se creusent et s'étendent. Il meurt le 30 mars 1905. Nous avons transcrit plus haut
uffrances inutiles - sans compter les dépenses on l'aurait laissé mourir tranquillement à l'hôpital. VII. Les symptômes
estion, car l'Hindou est éminemment sugges- tionnable. Si le malade meurt , on explique la mort par un arrêt du destin ou,
e, minée par une lièvre hectique il S ! 1'alllles oscillations, est morte des progrès de la cachexie, sans aucun accident
ue difficilement, à ses occupations. Quatre ans après, elle vient mourir à l'hôpital d'une infection partie de nouvel- l
tation n'a d'ailleurs qu'un in- térêt relatif, puisqu'il finira par mourir des progrès de laméningo -myélite, d'une escarr
ux de Nancy. Les observations d'imbécillité consécutive à des tu- meurs endocraniennes en général sont assez rares. C'est
ts : un fils, le malade en question, et trois filles dont l'une est morte à ! 'age de cinq ans elles deuxautresse portent
yphilitique depuis l'âge de 28 ans idécédé à 42 ans). Sa mère était morte d'affection du coeur. Il avait 4 enfants bien p
Antécédents héréditaires. - Père mort de pleurésie. Mère goitreuse, morte quelques années après ? Fils unique, marié ; de
les avantages que l'humanité devait retirer de sa découve .'te ; il mourut sans avoir pu se faire compiendre ; après sa mo
vivre malgré lui à la sonde pen- dant des mois, il se serait laissé mourir et qu'il ne serait pas en train du souffrir à (
ré- ditaires presque nuls : père asthmalique, mort à G7 ans. Mère morte de pneumonie il 45 ans ; trois soeurs en bonne sa
généralisée. Trépidation plantaire. L'aspect est celui de la rage. Morte le 2G mai avec température de 42°. Granulie pul
. Ponction de Quincke au 26e jour sans résultai. Injection d'air. Morte au 28c jour. Adénopathie trachéo-bronchirlue casé
médecin en chef du l'asile Saint-Pierre à Marseille où il vient du mourir . C'était un médecin habile ut très dévoué à sus
ce des crises, sans empê- cher la démence commençante, et le malade mourut dans le coma qui suivit une série de crises ave
ait, mais avait conservé la teinte mégalomaniaque de son délire, il meurt galeux, paralysé, avec une escharre. L'autopsie
ransféré à Tournai, avec le certificat : Pseudo-P.G. alcoolique. 11 meurt dans cet asile peu de temps après son entrée, 2
e de l'humérus une amputation au tiers supérieur du bras gauche. Il meurt 4 mois après de tuber- culose pulmonaire. Les
berg, signe de Babinski, réflexes patellaires exa- gérés. La malade meurt de bronchite chronique en juillet 1903. A l'aut
fureur ; sa grand'mère était anormale ; une sieur de celle dernière mourut dans une maison d'aliénés ; une autre se jeta à
erie; car le lézard était effroyablement gourmand. Elle craignit de mourir de faim : elle vint à Paris où les grands mé- d
elle vint à Paris où les grands mé- decins sauraient bien le faire mourir . Un de ses parents, crémier, la conduisit à l'h
malade les renseignements sui- vants : Père mort épileptique. Mère morte à 74 ans d'une affec- tion indéterminée Jusqu'à
, il a eu trois enfants ; un garçon vivant, bien portant, une fille morte subitement à 11 ans, une autre morte de méningi
ant, bien portant, une fille morte subitement à 11 ans, une autre morte de méningite à 11 mois. Sa femme est morte il y a
ment à 11 ans, une autre morte de méningite à 11 mois. Sa femme est morte il y a une douzaine d'années, probablement de t
nt jusqu'à douze litres de vin par jour sans compter l'alcool. Mère morte à 64 ans, d'une tumeur. Un frère, idiot, mort d
té. Des deux dont la cause de la mort a pu être déterminée, l'une mourut d'une affection pulmonaire, probablement d'une
77 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
l'enfance, pas de convulsions, dentition facile. Mère migraineuse, morte a 56 ans, d'apoplexie. Père mort à 10 ans environ
te, facilement vaincue par les impulsions, leur sensibilité affective morte on étroite, on pourrait croire que, me rangeant à
séjour d'un mois qu'il fit à l'hôpital pour cause de fièvre, sa fille mourut , et cette mort devint le point de départ d: ces c
r un médecin arriver pris de boisson auprès d'une mère de famille qui mourait d'hémorrhagie intestinale, survenue au cours d'un
ses pa- trons, auquel Mlle V.... témoignait beaucoup d'affection, mourut subitement. Elle eut à ce moment une attaque de n
r certaines maladies, et aussi celui de les produire et même de faire mourir , par des pratiques surnaturelles, bêtes et gens.
cellerie plus ou moins diaboliques, il se retire. Le soir, la succude meurt de péritonite foudroyante. C'était un cas malheur
t jeté un sort sur son adversaire et sa famille leur annonçant qu'ils mourraient dans l'année. Pour réaliser ce maléfice, il prit
ersonnes, présenta des accidents typhoïdes : le père et les deux fils moururent ; la mère et la servante s'en tirèrent à grand pei
à cinquante-six ans des suites dune hémiplégie avec aphasie. La mère, morte à cinquante-cinq, ans était également hémiplégiqu
ut récemment elle s'est pendue sans bruit, sans éclat; on l'? trouvée morte un malin dans . son lit. L'occasion me parait f
xie avec ses deux sœurs ; une se précipite d'un troisième étage et en meurt le lendemain ; une se noie. Celles-là au moins ne
un flacon de laudanum. Elle dormit pendant deux jours entiers, maisne mourut pas. Enfin, il y a un an, elle se maria avec un
ouchement. En réalité elle voulait le voir une dernière fois avant de mourir . Il arriva et, après les effusions du premier mom
irement elle ne sont pas préméditées. Les mélancoliques qui veulent mourir choisissent longtemps à l'avance le moment et tes
udoyée par son amant achète un revolver et des balles pour le tuer et mourir après lui. Mais en rentrant le coupable lui dit q
e sembait q'un espace vide existait dans le cerveau et que j'allais mourir . Quand je marche et que les mauvaises idées me pr
ies, a été réglée à 13 ans et dès lors très régulièrement. S mère est morte d'un dépérissement à 44 ans. Le père peu d'années
toutes mortes. La malade se souvient très bien qu'une de ses tantes ( morte à 60 ans) était bizarre. Elle ne sortait jamais,
'est le tour des idées sur la mort et l'immortalité. Quand quel-qu'un meurt pourquoi ne voit-on pas son âme? Quand l'âme sort
rps, pourquoi ne la voit-on pas? Ya-t-il une âme? Pourquoi le corps meurt -il? etc.Peut-être ne ne meurt-on que pour un cert
s? Ya-t-il une âme? Pourquoi le corps meurt-il? etc.Peut-être ne ne meurt -on que pour un certain temps?I Y a-t-il une aut
aladie au Ci ire), fut débarrassé de son habitude en quinze jours. Il mourût plus tard d'une pneumonie. Mon expérience m'a ens
victime, que ce misérable vient de m'empoisonner, » Effectivement il mourut quelques minutes plus tard, avec tous les symptôm
e dose exagérée d'alcool. Son enfant lui avant dit qu'il aimait mieux mourir que de vivre avec son père, elle accepte'cette ré
ents qui auraient dù lui venir en aide. Son fils lui aurait demandé à mourir avec elle et rien ne s'oppose, étant données l'ex
uand elle retombait en condition seconde. Une de ses parentes étant morte pendant une de ses crises, elle-assista à ses fun
oit par celle de Nancy. Petelin naquit à Lons-le-Saunier en 1744 et mourut à Lyon en 1808. D fit ses étude* à Lyon, les cont
ute per un certain nombre de lecteurs de la feuille viennoise. Pour meure tin à leur incertitude, le rédacteur adressa au s
aladie qui s'est accompagnée de délire. La fille d'un autre oncle est morte d'une « maladie nerveuse ». Une tante paternelle
é trois ou quatre mois, pendant laquelle elle gâtait et dont elle est morte . La mère, encore vivante, migraineuse, âgée de qu
causer toute seule. D y a quatorze ans, son fis, âgé de quinze ans, meurt ; cette mort la plonge dans un désespoir profond ;
n en émoi, ou des exclamations de désespoir: « Mon Dieu! j'aime mieux mourir ! Quel malheur! » tout en éprouvant des sensations
le demande qu'on l'en débarrasse, elle en souffre au point de vouloir mourir . Les troubles génésiques de notre malade se produ
78 (1896) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 09] : clinique des maladies du système nerveux
nlevé par une pneumonie. Sa mère, d'une bonne santé habituelle, est morte accidentellement à l'âge de 61 ans ; elle a été t
tout lorsque le plus grand nombre des enfants issus de tels parents mouraient jeunes. Elle-même présente des signes précis de
cédents héréditaires. Père mort des suites d'un traumatisme. Mère : morte il y a un an de cardiopathie, ayant eu de son mar
t a toujours été bien portante. Notre malade est veuf, sa femme est morte il y a un an de granulie. Ils avaient eu un enf
Naples, et non loin de Pompéi se trou- vaitson tombeau. Le poète mourut en l'an 19 avant notre ère, ayant composé ]'ElIéÙ
a 8e cervicale, c'est-à-dire en deçà et au delà des limites des tu- meurs , ont été colorées par les différentes méthodes cl
faisceaux postérieurs sont les moins atteints; dans l'étage des tu- meurs , ils ne présentent, sur les coupes colorées par l
en respectant scrupuleusement la topographie et le siège de nos tu- meurs , tels que nous les ont révélés les examens histol
icu- lier, il n'existait pas de troubles de la motilité. L'enfant mourut de diphtérie. Outre des lésions osseuses attribua
tableau, Egide van Moysene (mort en 1510) et Catherine van Nethene ( morte en 1566), représentés à genoux dans l'attitude de
ndéterminée ; marié depuis peu de temps, pas d'enfants. Une soeur morte il 26 ans d'une maladie indéterminée ; elle avait
il 26 ans d'une maladie indéterminée ; elle avait eu 2 enfants qui moururent , l'un à 5 ans, l'autre à 8 ans : son mari était a
" 112 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE 1 ches : 1° Pille morte de méningite à 1 an 1/2 ; 2° garçon mort en nourr
ition. Le 3 avril 1883, elle est frappée d'un ictus apoplectique et meurt le 18 avril sans avoir repris connaissance, apr
n° 28. " A. II. Père mort il 61 ans d'un cancer de l'estomac. Mère morte il 79 ans avec de l'ascite et un oedème général
que nous avons vu et dont nous di- rons quelques mots. 1 Un frère mourut du choléra a 38 ans, en 1891 ; un autre tubercule
ts héréditaires. Père mort il 75 ans, de congestion cérébrale. Mère morte à 42 ans de la variole qu'elle contracta en soign
tions parfaites de l'espèce humaine », la naine de Mlle d'Orléans, morte en 1653, et un nain, Babet Schl'eier, né à Pieg
voix d'un enfant d'un an. Louis Crâne, nain de 78 centimètres, qui mourut à IIayneville, en Nor- mandie, à l'àe de 21 ans
ntation, qui'est liquide, doit être forcée. Le 3 octobre, la malade meurt d'une paralysie du coeur, malgré les excitants
r des Invalides, puis devint profes- seur d'anatomie, etc., etc. Il mourut à Paris, àgé de 16 ans, en 1773. 228 NOUVELLE I
Louise- Adéfaïde-Justine de Marine, fille d'un agent de change. Il mourut à Paris, le 13 août 1784. LA MALADIE DE LA FI
on. 16 à 18 mois après, elle est frappée d'un ictus apoplectique et meurt sans avoir repris connaissance, après avoir pré
ésions qu'il dé- crit chez la petite malade qu'il a observée et qui mourut à l'âge de 12 ans après avoir pendant huit ans
27 octobre 1895 (Cochin). Foetus de 5 mois. Mère non-syphilitique, morte de granulie (autopsie). Le foetus extrait imméd
hin). Deux foetus jumeaux de 5 mois environ. Mère non syphilitique, morte d'asys- tolie. Nulle trace de macération. C
Broca). 1 Foetus à-terme, né vivant, de mère spécifique. L'enfant meurt deux jours après la naissance de convulsions. O
e oblique à droite qui coupant le col de la corne postérieure vient mourir dans la substance blanche de ce côté. Il n'y a
'enfant présente des phénomènes convulsifs dès les premiers jours, il meurt le 8° jour après sa naissance. Organes viscér
XXII, juin 1896 (Cochin). Foetus de 7 mois 1/2. Mère non spécifique morte en asystolie. Opération césarienne, l'enfant es
79 (1906) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1905
garçons morts en bas-âge. 2 garçons bien portants. » en cuivre. f. morte à 4 ans d'un mal N. m., idiot, épileptique. de
e purulente. Père excès de misions. 1 g. détraqué. boisson, fille morte on ne sait de 1 g. très faible de constitu-quoi.
isson; syphilis. te. Mère syphilis. RedI............. Peintre » 5 morte a 3 ans 1/2 de 2 g. bien portants. Père excès de
ES. DÉCÉDÉS. VIVANTS. ~ I Bru............. Polisseur » 11 1 Fille morte à H mois de 1 Garçon et 1 Fille bien Père alcooli
coolique sur métaux. ]a coqueluche. portants. invétéré. : 1 Fille morte ,,à.J8 mois de N. m-;-,-Epilepsie. la rougeole,
. » en bâtiments. d'entérite. Harp............ Fondeur » 1 (Fille morte à 2 ans de! Fille bien portante. » en caractère
et 1 f. bien portants. » cho-pneumonie. N. m., épileptique. 1 f. morte à 5 jours de ca-ohexie. Languill......... «. Ma
mort de tuberculose pulmonaire. Davi............ Tourneur » 5 1 f. morte de péritonite. 2 g. et 1 f. bien portants. » su
tellec- Mère syphilitique en caractères tuelle, perversion des ins- morte de paralysie tincts, onanisme. générale. Eai.
ROSSESSES. DÉCÉDÉS. VIVANTS. Noe............. » Gaînière. 4 1 Fille morte à 4 mois, tuber-1 Garçon bien portant. « ouleus
ber-1 Garçon bien portant. « ouleuse. N. m., Imbécillité. 1 Fille morte à 3 mois, on ne sait de quoi. Fria............
imbécillité. » sur cuivre Lanf............ Polisseur » 2 1 fille morte à 6 mois du N. m., idiotie. Père alcoolique sur
coolique sur métaux. croup. Madel.........., Teinturier. » 7 1 f. morte à 28 jours. 1 g. et 1 f. bien portants. Père alco
nts. Père alcoolique 1 g. mort d'entérite. N. m., épilepsie. 1 f. morte à 12 jours (?) 1 g. mort de la rougeole. Gœur..
ausse couche à 4 mois. 1 garçon bien portant. » sur cuivre. 1 fille morte de méningite. N. m.. idiotie mongolienne. Man .
m., imbécile. » en bâtiments. Roug........... Peintre » 5 1 fille morte du choléra. 1 fille bien portante. Père alcooliqu
g. mort de conuulsions à •15 mois. 2 jumeaux morts à 3 mois.' 1 f. morte dc convulsions à 8 jours. N. m., mort dc tuberc
portants. Père alcoolique. sur cuivre. mois. N. ni., idiot. 1 f. morte de coqueluche à 5 ans. Mardi.......... Plombier
diarrhée. i g. et 1 f. bien portants. Père alooolique. --.-..---1 f. morte de méningite. N- m- "nbécilc.__ Bourne ville, B
é Médico-psycholo-gique de Paris.) 1898. Ballard. (J.). — Comment meurent les épileptiques. Thèse de Paris. Rellay (P.).
80 (1855) Journal du magnétisme [Tome XIV]
s êtres dont la réputation est loin d’égaler le mérite et qui souvent meurent avant d’avoir occupé la renommée. Est-ce le savoi
u du poison. J’ai vu par milliers des martyrs de la fausse science, mourir sans proférer une parole de malédiction contre l’
l’excentricité d’un écrit censé dicté par l’àme de la terre, vient de mourir . Il avait précédemment adhéré à la doctrine magné
es plus sombres; de terribles catastrophes les attendent. La duchesse mourra empoisonnée ; Maria, si douce, si bonne, si aiman
réflexon très-importante. Maria Fauveau, à laquelle on prédit qu’elle mourra sur l’échafaud, commence par rire de cette prédic
st l’objet, elle perd la tète; elle déclare qu’elle sait bien qu’elle mourra sur l’échafaud, que c’eut sa destinée, que rien n
pui de cette thèse, il cite l’exemple d’une dame de Chambéry, qui est morte à la suite d’abus de cette nature. « Elle se li
ertitude ! Vous vîtes la mort s’enfuir des parties envahies, la chair morte revivre au seul jet de ma pensée, à l’injonction
avait soignée affectueusement dans sa dernière maladie, et qui était morte un mois auparavant d’une congestion cérébrale. Em
rises : Viens ! viens avec moi ! 11 lui semblait en même temps que la morte l’entraînait vers elle. La violence de l’émotio
, et que sans le secours de la magnétisation de son mari, elle serait morte . Elle demanda qu’on la laissât dans cet état jusq
romis dans les troubles de la Croix-Rousse et gracié depuis, vient de mourir à Essequebo, ancienne colonie hollandaise, appart
èrement celui d’une de mes malades, Maria de la Crux Marquez, qui est morte il y a plus de quinze ans. Quand il se présente d
la fin de ses Éléments de la science de l'homme : «Lorsque l’homme meurt , son corps est rendu aux éléments matériels, son
eusement de son tombeau, comme le Christ, et ressusciter pour ne plus mourir . S’il ne lui fut pas donné d’assister à ce triomp
re les eaux de Vichy, ce champ de repos où ils envoient hénignement mourir loin d’eux ceux qu’ils savent ne pouvoir guérir.
fait à l’Académie par le Dr Husson en 1831, ce sont également lettre morte pour M. Segond, auquel nous ne pouvons nous refus
n anatomie. » Les termes sont durs, et M. Segond n’y va pas de main morte , 011 le voit ; mais à qui s’appliquent-ils? C’est
quant à l’argent en question, il l’avait donné au P. Mario, avant de mourir , pour être distribué aux pauvres et que, pour me
cljcz lui, annonce qu’il va être pris de la rage, et le lendemain il meurt dans (l’affreux accès d’hydrophobie. Oh ! je vous
se manifestant parfois par des exclamations et exprimant le désir de mourir ; enfin, dans des cas excessivement rares, auditio
ur la ressusciter. IX, 2 t. « Eloignez-vous, car l'enfant n’est pas morte , mais elle dort ! » 25. « Et dès que la foule s
au lieu d’être empruntées à la nature ellc-mèine, elles restent littn morte , parce qu’elles n’ont point de sanction ; tandis
ta à sa mère ; et elle, l’ayant tenu sur ses genoux jusqu'il midi, il mourut . f 21. « Elle monta ensuite(à la chambre de l'h
Ses amis, ses parents et tous les médecins, avaient pronostiqué qu’il mourrait bientôt comme son frère aîné qui, trois ans plus
tandis qu’ici nous avons l’action d’un organisme vivant sur la nature morte . Il doit nécessairement exister une différence es
rsule, ton amie de Condoni. » — Ursule M...? — « Oui !... Je suis morte hier à quatre heures de l’après-midi. Dans quel é
ondateurs de tous tes cultes de la RELIGION DIVINE. Non! l’homme-ne meurt pas; il ne peut, il ne doit mourir !!! Et s’il co
RELIGION DIVINE. Non! l’homme-ne meurt pas; il ne peut, il ne doit mourir !!! Et s’il continue à vivre (dans des phases dif
ouché dans la pièce voisine); mais non, le pauvre garçon aimera mieux mourir que d’avoir recours à lui. Je me disposai néanmoi
doute l’ignorance leur plaît ; ils vivent dans un épais brouillard et meurent comme la bête ou le savant d’école, sans rien sav
nuyer d’occuper de lui le public. 11 retourna en Hollande en 16(37 et mourut oublié en 1680. Le siècle suivant vit naître un
ait croissant pour sa personne. Gassner se retira à Bondorff, où il mourut le 4 avril 1779. Depuis son départ de Ratisbonne,
ut consoler la famille, qu’on aille le chercher, mais c’est une femme morte . Après un temps un peu long, le magicien arriva e
c’était dans un comté «appelé Pike, dans l’État de l’Illinois ; qu’il mourut étant en route pour Washington. Il invita son fds
gauche la branche d’amandier fleuri, voit Dieu face à face, et, sans mourir , converse familièrement avec les sept génies qui
n certaine, cher-« cher le bonheur dans un autre monde. « Adieu, je meurs heu»eux. » Un lien mystérieux unit, sur la terr
81 (1856) Journal du magnétisme [Tome XV]
Entre autres renseignements, voici ceux que j’obtins. Sa mère était morte folle à la Salpêtrière ; elle-même était sujette
e jeune personne au cimetière de Montmartre où repose sa tante Marie, morte depuis quatre ans. Dès qu’elle approcha de sa tom
nel suisse, il naquit à Bordeaux, proteste-t-il. Ayant perdu sa mère, morte très-jeune, ii partit pour Venise, sous la tutell
terme de sa vie, et l’enfant ne fut reconnu qu'à sa dixième année. 11 mourut à Paris, sous Louis XV, à l'âge de dix-huit ans.
fatiguée de souffrir, et, désespérant de guérir jamais, elle voulait mourir . Nous voulûmes savoir si la vision s’exerçait p
. » Ces trois joyaux sont mieux venus que la dernière produc- (1) Mourir , pour nous, c’est la métamorphose do l'insecte s’
t à partir sans délai pour Nancy : le secoud de mes frères venait d’y mourir le jour même. (i) Chardel, ouvrage cité. (S)
e suivante : « Une jeune personne, tendrement aimée de ses parents, mourait à quatorze ans, après avoir épuisé tous les secou
s plus faible. Dans cet état, elle a toute l’apparence d’une personne morte , et 011 peut la placer dans telle position que l’
s partagée par bon nombre de ses visiteurs, qu’elle est littéralement morte pendant vingt-quatre heures, au bout desquelles e
pendant vingt-quatre heures, au bout desquelles elle ressuscite pour mourir de nouveau. « Aussi la mort réelle n’est pour e
, en cas de mort, la critique du voisinage de dire que j’avais laissé mourir mon enfant, j’appelai à 111011 secours l’honorabl
ercurielles sur la tête, au point que le 1 h juin, cette chère enfant mourut , plutôt victime de la violence d’un traitement in
on seulement pour nos insuccès, mais encore pour tous les malades qui meurent , soit parce que le médecin n’a pas connu la malad
les louanges de Dieu. Il ajouta que pendant son extase, il avait vu mourir trois hommes, et il rapporta les diverses circons
t. Il répondit affirmativement, et il ajouta qu’il avait vu son nègre mourir pendant qu’il était en transe. Elle demanda où ce
aucoup de somnambules, elle ne veut pas employer le mot de mort ou de mourir ). C’était du choléra. Après quelques instants, el
vision. Quatrième fait. — Un jour, à Rome, elle vit une demoiselle morte à Edimbourg. Elle ne pouvait dire le nom de cette
vision. A l’époque de la vision de la mort, elle venait justement de mourir subitement, quoiqu’elle eût été longtemps souffra
e textuellement : * « II est bien difficile de dire aux gens qu’ils mourront dans « l’année ; en leur disant : Vous vous mar
une danscinqmois cl demi, et l’autre un an après, si la première doit mourir dans quatre mois et la seconde dans cinq?... Pour
s action sur l’économie animale, votre sujet homœopathiquement traité mourra bel et bien. On ne manquerait pas de faire des
de « donner aucun signe de vie. Merveille ! 011 croyait la relever « morte , et on la releva guérie : la tumeur avait totalem
lusieurs évolutions de sa maladie, elle annonça à M. Cervello qu’elle mourrait le 31 octobre, et elle décrivit minutieusement to
es fonctions vitales suspendues, elle est saisie d’horreur et se voit morte : on peut juger, par cet exemple et d’autres semb
us le marché, les accusant dans un libelle de le lui avoir dérobé. Il mourut ignoré dans sa ville natale en 1815. » Pauvre m
, monsieur, je vais arracher ce chanve ; à quoi bon garder une plante morte ? — Non, madame, de grâce, interrompit M. G...,
e lui avait dressée un seigneur du voisinage, Isaac de Berlaimont, et mourut percé de coups. On rapporte qu’Ade de Roue y, son
ours. On eut le talent de ne pas l’y laisser respirer longtemps. Elle mourut quelques mois après, emportant toutes ses révélat
immortalité. —Rien n’intéresse autant l’homme que de savoir s’il doit mourir à la dissolution de son corps terrestre. Les preu
ntis également quelque chose qui ressemblait à la main d’une personne morte : c'était froid et pâteux. Je sentis distinctemen
ndation de guérir par l’imposition des mains n’est plus qu’une lettre morte ou comme le souvenir de merveilles exceptionnelle
s, ma pensée n’ait été aucunement dirigée vers le souvenir de ma mère morte depuis près de douze ans, ni sur mon frère éloign
le 30 mai avec la même fermeté que sur les remparts d’Orléans. Ainsi mourut , à dix-neuf ans, cette fille sublime que nul n’ég
tte fille sublime que nul n’égala dans les fastes de l’humanité. Elle mourut martyre, mais son sang, plus que ses exploits enc
alphabet fut Capitana. C’était celui d’une dame de Ka-naka, qui était morte quelques années auparavant, dans un fige fort ava
e à se débarrasser entièrement. On m’a raconté qu’une pauvre dame est morte en couches, sui- vant la prédiction d’un guérid
82 (1889) Archives de neurologie [Tome 18, n° 52-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
et lui cloua son casque sur la tête. Comme on croyait qu'il allait mourir sur l'heure, on envoya chercher un prêtre qui l
ans. Violent coup de sabre sur la tête en 1870. Paralysie générale. Meurt à Charenton en septembre 1883, après un séjour de
artage cette opinion, car il rapporte l'exemple d'une vieille femme morte quelques mois après reçu un violent coup de bât
orté couvert de brûlures, à la clinique du professeur Ehrmann. Il y mourut de tétanos. A l'autopsie on trouva une esquille
Ce qui, joint au défaut de respiration, pouvait contribuer à faire mourir les animaux dans le vide de la machine pneuma-
LE. '111 cancer de la face. - Cousine, idiote épileptique, gâteuse, morte en 1880, âgée de 36 ans, à l'Asile de Dôle. - P
), mort à deux jours après avoir eu quelques convulsions-; 2° fille morte à trois ans de convulsions; - 3° notre malade ;
cédcnts héré- ditaires : père, quatre-vingt ans, bien portant. Mère morte à cin- quante-cinq ans d'une affection du coeur
port médico- légal invalides et pensionnés comme tels. Le troisième mourut pendant son instance. M. Wernicke. De l'assis
sentait des convulsions allant jusqu'à un véritable état de mal. Il mourut dans un de ces états de mal; de broncho-pneumon
61) cite un homme qui, après une chute sur la tète, resta sourd. Il mourut après 6 ans de souffrances. Dans le numéro du
erdit le sens du goût et de l'odorat 2. Observation XXIV. - J'ai vu mourir à Charenton un persécuté, âgé de cinquante-quat
un tintement d'oreilles. Six ans après, il devint épi- leptique, et mourut en peu de temps. A l'autopsie, dure-mère gangre
ser- vice, mais souffrant beaucoup de céphalalgies : en 1880, il mourait de paralysie générale. L'autopsie ne me révéla
atteint de paralysie générale, dut être placé dant un asile, où il mourut subitement en 1874, de la rup- ture d'un anévri
ès, il perd son fils unique, tombe dans une profonde mélancolie, et meurt para- 200 PATHOLOGIE MENTALE. lytique général
cience, avril 1886). Cetle observation est relative à un malade qui mourut à la suite de vomissements rebelles et d'indige
m ». L'incurie est telle dans cet établissement que les malades qui meurent dans la nuit sont trouvés mangés des rats le le
aires. Grands parents : paternels. Grand- père inconnu; grand'mère, morte à quatre-vingt-seize ans; grand' tante épilepti
Au bout de la première année, elle accouche à terme d'un enfant qui meurt au bout de trois semaines (sans éruptions). La
seconde année, elle accouche à terme' d'un enfant bien portant, qui meurt d'étranglement herniaire au bout de quinze mois.
ier, sobre, mort vers soixante-dix ans, on ne sait de quoi. - Mère, morte vers soixante-cinq ans, domestique dans un chât
ître, le père, en avait cinquante-cinq. On ne sait de quoi elle est morte . - Ni frères, ni soeurs. - Deux oncles militaires
ès de boisson, mais surtout après la naissance de sa fille. - Mère, morte de phthisie galopante à ciuquante-sept ans ; ne
ternel, mort très âgé, on ne sait de quoi. - Grand'mère paternelle, morte très âgée, pas de détails. - Grands parents mat
soixante- dix et soixante-dix-sept ans, on ne sait de quoi. - Soeur morte du croup, à dix-huit mois. - Pas de frère. Pas
dans la chambre. Il n'avait pas bu, il ne boit jamais ; - 5° Fille, morte d'une angine couenneuse( ? ), à quatre mois. Pa
s d'attaques de nerfs ni de migraines ; intelligente; - - 10 Fille, morte à vingt et un mois, aux Enfants assistés ; - 8°
demi ; pas de convulsions, bien portant, intelligent; - '12° Fille, morte d'une variolenoireon 1880, à un an. Notre malad
ffrirent aucune modification; quarante-neuf furent améliorés ; cinq moururent à la clinique; vingt-quatre guérirent. Et cepen-
e), qui, sans avoir jamais présenté d'affection somatique sérieuse, moururent brus- Archives, t. XVIII. 30 ` 466 BIBLIOGRAP
83 (1908) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 21] : iconographie médicale et artistique
des chiens et des chats. Dans le cas le plus favorable les animaux mouraient au bout de 10-46 jours sous des phénomènes d'apat
es frictions de mercure, mais il était probablement trop tard et il mourut . A l'autopsie l'on vit, près des laminae septi pe
els de deux sortes : des monades formants qui forment de la matière morte certains organes, et des monades dirigeants, qui
la prostration de l'animal. reste dans cet état 3-24 heures, et il meurt sans avoir repris connaissance. Chez des animau
s. Il vivait ainsi encore à jours, sans avoir repris conscience; il mourut dans la nuit du ae au 6° jour. La section du
ouvait constater chez lui une perte complète de la conscience et il mourut aussi dans cet état inconscient. En terminant m
de Genève le 31 janvier 1902, en état rl'asystolie et de délire, et morte le lendemain sans avoir pu être interrogée. Ell
8 frères et soeurs : 7 sont vivants et bien portants, une soeur est morte à 54 ans d'un cancer de l'estomac. Marié, il
n cupule, l'épider- me est très épaissi, blanchâtre, la peau semble morte , la sensibilité tactile est émoussée, l'ongle e
l'enfance, ses trois soeurs se marièrent, n'eurent pas d'enfant et moururent à un âge avancé (80 ans, 72 ans, 73 ans). Quant
e, siégeant à la partie moyenne. Il ne fut pas alcoolique. Sa femme mourut de tumeur abdominale il y a vingt ans; il eut de
riage deux enfants, nés a terme, tous deux : le premier, une fille, mourut à trois mois ; le second, un garçon, bien const
et ne prend presque plus de nour- riture. 1" septembre. La malade meurt sans de nouveaux symptômes. Autopsie. Tuberculo
mbes très enflées ; mais nous n'avons pas pu savoir davantage. , Il mourut en 1854 à un âge avancé. Enfants de William Tuc
était atteint des « jambes enflées » et il eut des « attaques ». Il mourut en 1870. Hannah aussi eut les « jambes enflées »
. Hannah aussi eut les « jambes enflées » et des « attaques ». Elle mourut en 1864 à l'âge de 70 ans. Elle avait épousé un
ttaques ». Elle se maria, mais elle n'eut pas d'enfant, et elle est morte en 1860 de la fièvre scarlatine. Alfred est enc
attaques aiguës » (V. ci-dessous). William n'eut pas d'oedème ; il mourut phtisique, sans enfant. Harriet eut dès sa jeun
a jeunesse les~ « jambes enflées » et les « attaques aiguës ». Elle mourut à sa première couche et l'enfant était mort-né.
enseignements sur aucune d'elles. Elle se maria, se mit à boire, et mourut en 1901, laissant cinq enfants dont l'un, une f
r,tachycardie émotive, transpirations faciles, angoisse, crainte de mourir pouvant aller jusqu'à l'anxiété paroxystique de
lades, il est vrai, traînent la jambe paralysée comme si elle était morte et n'accomplissent pas le pas antérieur; d'autr
est âgé de 16 ans environ. Son père est bien portant ; sa mère est morte , il y a une dizaine d'années. Il a une soeur et
bre 1905. Père, scieur de bois, serait souvent malade ( ? ). Mère morte à 37 ans après 8 jours de maladie. , Trois enfa
dans un mémoire récent (1), les autopsies en sont rares, car on ne meurt pas de cette affection. (1) PIERRE Marie et L
ait normalement et jouissent d'une excellente santé. Un petit frère mourut d'une entérite peu après sa naissance ; un autr
peu après sa naissance ; un autre fit de l'hémiplégie infantile et mourut âgé de 7 mois. La-mère n'eut jamais de fausses
n bâtiments, de Galluzzo.. " ' Antécédents héréditaires . Sa mère mourut de cardiopathie à de 40 ans ; son père est viva
e aussi jouit d'une bonne santé ; des cinq enfants qu'il en eut, un mourut dans les premiers mois de sa vie, un autre à l'âg
entaux à des produits toxiques sécrétés en quelque sorte en ces tu- meurs . C'est à la même conclusion que m'avaient conduit
ons. Séparé de tou mi- lieu, isolé dans la nature, l'élément de vie mourrait aussitôt, parce qu'il cesserait de recevoir les
situation nou- velle, la matière vivante s'y habitue, s'y adapte ou meurt . Cette proposi- tion mille fois démontrée, cont
it la raison, il expliqua qu'il était malade et qu'il avait peur de mourir . Dès ce moment il se confina dans sa chambre et
nés, était un alcoolique. Il aurait actuellement 62 ans. Sa mère, morte de péritonite il y a 22 ans, aurait actuellement
le;, ;, en 1906, la paralysie générale vint compliquer le tabes. Il mourut cette même année. Syphilisée également en 189
t à la suite de crises plus violentes que les précédentes, l'enfant mourut le 31 août. A l'autopsie, on constata des lésio
chirurgicale ; les forces baissent rapidement peu 1 : peu, la malade meurt à dix heures du soir. La jeune fille étant mo
: peu, la malade meurt à dix heures du soir. La jeune fille étant morte chez elle, il nous a été impossible de pratiquer
84 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
père avait soixante-deux ans, la mère quarante-six. Cette dernière mourut à quarante-neuf ans ; la cause de son décès est
il hypnotique. L'expérience n'a pu être poursuivie, la malade étant morte trois semaines après. 3° Observation VI. Femm
avait fait le diagnostic de syringomyélie et d'hydrocéphalie et qui mourut à l'âge de trente-six ans. Les points les plus in
ans reçoit dans l'abdomen un coup de couteau. Amené à l'hôpital, il meurt au bout de trois jours. L'autopsie dénota une b
atre générations. Première génération. La grand'mère paternelle est morte choréique, après bien des années de maladie. Il
ie dans sa famille. Deuxième génération. - Le père était paysan. Il mourut cho- réique et paralysé à cinquante-deux ans, a
tante a été, m'a-t-on dit, choréique pendant trente ans, elle est morte octogénaire. Quant à la mère de notre malade, e
est morte octogénaire. Quant à la mère de notre malade, elle est morte à quatre-vingt- deux ans d'un catarrhe bronchiq
ge d'affections cérébrales (méningites ? ) ; une fille (bye enfant) morte subitement à vingt-trois ans dans un accès d'ép
s, sa femme l'a trouvé un cou- teau à la main, disant qu'il voulait mourir et se couper la gorge, mais sans faire mine de
e suicide. Une emme de trente-huit ans (Obs. IV) voulait se laisser mourir de faim et refusait pendant quelques jours les
aration de leur pro- longement périphérique ; elles s'atrophient ou meurent ; d'autres font preuve d'énergie-et survivent à
de vingt-huit ans, atteint d'épilepsie depuis dix-huit moi,. Il en meurt et l'on constate une calcification très étendue
goureux coups de pied dans l'abdomen de son père, qui s'affaissa et mourut presque sur-le-champ. (L'Indicateur de Cognac, 23
e 68 ans, de Saint-Germain-de-la-Coudre, qui est épileptique, est morte au cours d'une crise de cette terrible maladie. (
elle a manifesté un peu d'excitation, s'est imaginée qu'elle allait mourir , a réclamé de l'eau bénite, faisait des génu- f
père, âgé de soixante-dix ans, est un ivrogne invétéré. Sa mère est morte à trente ans de fièvre puerpé- rale. Rien à not
dées de damna- tion : le malin esprit s'est emparé d'elle, elle est morte , le diable va l'emmener en enfer ; elle entre d
gérer, que le sang l'étouffera, que le médecin lui a prédit qu'elle mourrait par le sang. La langue demeure légère- ment sab
eter sous un train : « Je suis damnée, je suis perdue, j'aime mieux mourir que d'appartenir au démon. » 2 janvier 1900. Ve
apoplexie, après deux ictus qui l'avaient laissé hémiplé- gié. Mère morte ci soixante-quinze ans de phtisie galopante; deux
e généralisée avec titubation, diffi- culté de la parole, etc. Elle mourut dans le coma et à l'autopsie on trouva à la fac
l'on devine ; un de ses parents qu'elle chérissait beaucoup vint à mourir , et elle en éprouva un grand chagrin. Au mois d
oie à une idée fixe; on la poursuit, on veut la frapper et la faire mourir ! Elle entend des menaces ; elle connaît les ge
dement déroulés devant ses yeux, il a pu se dire à juste titre : Je meurs , sans laisser d'ennemis. Si heureusement doué d
ent payé votre dette à la Patrie, Mais vous avez eu la tristesse de mourir sans avoir vu, se réaliser « les réparations co
réditaires. - Père mort, d'hémorrhagie cérébrale, très buveur. Mère morte d'une maladie de poitrine ' ? Une soeur bien po
inistratif de l'asile départemental de Cadillac (Gironde), vient de mourir . Il avait été précédemment conseiller de préfec
ns après le début et il dut entrer à l'hôpi- tal d'Hazebroucq, il y mourut cinq ans après y être entré; il était resté au
moins sensibles. Le 3 novembre, à 10 heures 15 du matin, le malade meurt , les membres en résolution. Autopsie. Examen
erie du Dépôt. Sorti le 27 juin. . Antécédents héréditaires. Mère morte d'une maladie de coeur. Père, jardinier, buveur
urs de vin. Père, marchand de vin, mort d'une maladie de foie. Mère morte d'une attaque de paralysie. Un frère et une soe
tuel, d'une susceptibilité irraisonnée, émotif et irritable. - Mère morte , avait des attaques très fréquemment, surtout des
tions multiples ; misan- thrope, ne causant jamais à personne. Mère morte d'un cancer, était d'humeur égale. - Un frère,
et finalement d'hémianopsie du quart inférieur gauche ; elle est morte dans ce dernier état. L'observation a duré du 9 j
écissement. Le cinquième jour de son arrivée à l'hôpital, le malade meurt dans les convulsions cloniques et une perte de
ourna alors dans son pays, comptant y exercer son art, y vivre et y mourir . Mais la destinée en avait disposé autrement. P
la pensée que sa femme, éloignée et dangereusement malade, pouvait mourir sans qu'il lui fut donné de la revoir. Enfin da
85 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
sans se modifier sensiblement jusqu'au mois de septembre. Le malade meurt -le 28 de ce mois au cours d'une petite épidémie
ges escarres au-dessus des articulations coxo-fémorales. L'enfant mourut peu après à l'âge de huit ans,etlafigure (don-
nté, gémissait. Une heure plus tard, le beau-père trouvait sa fille morte sur le lit près du mur ; à côté d'elle gisait s
ois de maladie caractérisée par de la céphalée et de la somnolence, meurt subitement. A l'autopsie on trouve la périphé-
ue. Lorsque sans nouveau coma la parole s'embarrassa et le malade mourut dans une invasion graduelle de coma incomplet. A
dents héréditaires. - N'a pas connu ses grands parents. Sa mère est morte à trente-quatre ans, de suite de couches. Le pè
squement la résistance du système nerveux disparaît et les neurones meurent . simon. III. Fonctions de l'écorce et psychol
oixante-neuf ans est apporté il l'hôpital dans un état comateux, il meurt douze heures après sans avoir repris con- naiss
errogée, la femme G... répondit en riant que sa victime n'était pas morte et qu'avec un peu d'eau sucrée on la ramènerait
e) [troubles gastriques, migraines]. Ma grand'- mère maternelle est morte d'une maladie de foie ( ? ). Ma grand'- mère ma
ents + Où je suis, où je suis ? M. P.... tu vois, encore un peu, je mourais . Eh ! i parle français. Ici, nous sommes Arabes
uinze ans. Père syphilitique. Soeur paralytique générale à dix ans, morte à dix-sept. Mort à dix-neul ans de tuberculose
tale. Père alcoo- lique ; mère ayant eu plusieurs fausses couclies. Morte à vingt- deux ans après des convulsions. Lésion
tc. La ma- 232 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. lade croit qu'elle va mourir Un tremblement à petites oscillations accompagn
t depuis quatre ans déjà, je demande à Dieu avec ardeur de me faire mourir ; j'ai même tenté un suicide raffiné; je 284 -i
284 -il CLINIQUE MENTALE. . voulais me rendre malade, me ruiner et mourir ainsi, mais cela n'a pas réussi. Ce désir intim
uiner et mourir ainsi, mais cela n'a pas réussi. Ce désir intime de mourir , s'est souvent représenté à moi, je redoutais d
ains, mais repoussait tout secours et il me supplia « de le laisser mourir tranquille car il n'avait plus à compter sur au
connaissance, entra en délire, eut quelques convulsions rapides et mourut six heures après, des blessures mortelles qu'il
re et grand' - tante paternels suicidés. Tante paternelle nerveuse, morte phtisique. Mère, convulsions de l'enfance, mo
rnelle nerveuse, morte phtisique. Mère, convulsions de l'enfance, morte phtisique. Grand-oncle maternel mort de morphin
la suite de chagrins intimes. -'l'ante pater- nelle très nerveuse, morte phtisique à trente-neuf ans, ses enfants ' sont
'est développé un état cachectique assez accusé, au cours duquel il mourut , à la suite de deux attaques congestives accomp
d'une démence sénile très accusée et remontant à dix-huit mois. Il mourut de pneumonie. A l'autopsie, on trouva. une tume
ie cérébrale infantile avec maximum à gauche, idiotie et épilepsie, morte en état de mal. Il y a agénésie complète de l'hé-
nglée.Malgré un traitement énergique mercuriel et ioduré, le malade mourut au bout de cinq jours de son entrée à l'hôpital
une fille de treize ans, un garçon de deux ans et demi. Sa femme meurt le 30 mai 1888 ; à partir de cette époque, ses
ent, l'affaiblissement physique fit de rapides progrès et le malade mourut le 20 jan- vier 1889 dans le marasme paralytiqu
teinte de paralysie générale après l'internement de son mari, était morte au mois de janvier de la même année. 372 RECUEI
fut pris brusquement d'une dyspnée intense avec cornage et faillit mourir . Actuellement la corde vocale gauche est parési
able (près d'un litre et demi, et peut-être davantage) : la blessée mourut deux heures . . après. Elle était consciente et
s). Pronostic très grave. La maladie évolua rapidement et le malade mourut dans le gâtisme le 27 septembre 1896. Sa femm
malade constamment agitée, déchirant ses effets, criant sans cesse, meurt le 31 décembre 1899 de cachexie paralytique. Ob
e atteint de démence paralytique avancée. Il se cachectise, gâte et meurt le 22 mars 1897. Sa femme, âgée de quarante-neu
, de forme mélancolique. L'affection évolue rapidement et la malade meurt le 1er mai 1897. Observation IV. Homme de trent
est mort le premier dans les observations I, III, IV. La femme est morte la première dans l'observation V. Rappelons enf
t Parisien du 11 novembre 1901). . VARIA. 531 ' Une femme trouvée morte . Ces jours, derniers M. Brunet, cul- tivateur à
fois après cinq ou six jours d'absence. Il est probable qu'elle est morte de froid et d'inanition. (Progrès de l'Eure, du
86 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 17, n° 97-102] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
técédents héréditaires, je relève ce fait important que sa mère est morte de bacillose pulmonaire. Elle-même a eu une cox
piquer à la machine. Mariée à vingt ans, notre malade a vu son mari mourir de tuberculose au bout de quelques mois; après
te malade, triple soupçon de tuberculose : héréditaire, sa mère est morte de bacillose pulmonaire ; per- sonnelle, elle a
ire qui accompagne la compression cérébrale. 1 La malade vient de mourir ; l'examen macroscopique montre bien bien qu'il
egardant les muscles contractés : « Pourquoi faites-vous de moi une morte ? » Une hyperhémie par slase appa- rait très fa
sujet, une femme de cinquante ans, après trente ans de maladie est morte d'une crise d'asystolie due à une sthénose aort
es qu'elle a manifestés lors de son réveil, quelques jours avant de mourir , après un som- meil ininterrompu de vingt ans.
facultés intellectuelles, quelquesjours ou quelques heures avant de mourir . LEGRA : vD du Saule a signalé des cas de cette
urs mois de suite, s'est aussi réveillée quelques instants avant de mourir . J'ai vu jadis moi aussi, la dormeuse de Thénel
asphyxier et de se pendre (Progrès de l'Eure, 12 septembre 1903). Morte de faim. Une femme Com, âgée de trente-trois ans,
oups, mais l'examen de l'estomrc a établi que la pauvre femme était morte de faim. Depuis qu'elle était tombée dans une m
Mort d'Auberlin. L'attentat contre Jules Ferry. - Aubertin vient de mourir dans un modeste logement de la rue de Valois. C
de période. Ses antécédents héréditaires sont assez vagues : mère morte d'anémie à la suite de métrorrhagie; un oncle alc
ournal of Insanity, juillet 1902, p. 83-89). Les mélancoliques ne meurent pas tant de leur affection men- tale, que souve
onstances analogues, sa tante transpercée par un morceau de bois et mourir en quelques instants. Mais il n'en va pas toujo
é pour qu'il puisse sortir, il lèsent se gonfler de plus en plus il meurt . - papal, quarante-deux ans..... Un monstre se
l enfonce dans la poitrine du malheureux et le fait ainsi tomber il meurt . Il est probable, comme l'indiquent MM. Vaschid
onvulsifs, dont beau- coup, près des deux tiers d'après Echeverria, meurent en bas âge de convulsions, l'autre tiers restan
fini : sur trois chiens, l'un ne présenta aucune modification, deux moururent très éma- ciés, l'un d'eux après' avoir présent
re, elle reste presque toujours dans la pratique à l'état de lettre morte ; et ces enfants, simplement faibles d'esprit, d
ux jambes et ouvert le crâne. Transportée à fHbtel-Dieu, elle y est morte quatre heures après. (Le Bonhomme Normand, 12-1
de la vue, et finalement, au début du mois de juin dernier, Busche mourait après de grandes souffrances. Peu de temps avan
Busche mourait après de grandes souffrances. Peu de temps avant de mourir , il avait raconté à son père l'odieux traite- m
L'autopsie ne tarda pas d'ailleurs à nous donner raison. Le malade mourut subitement. On trouva un cancer de l'es- tomac
oujours on la trouva absente. La malade se cachectisa rapidement et mourut . A l'autopsie, on trouva un athérome très prono
alité le 10 octobre ayant déjà de l'incontinence urinaire. Elle est morte le 14 février 1902 à la clinique infantile. M.
omènes de rappel, étudiés par Pierret, fit du délire d'inanition et mourut d'urémie. L'auteur, se basant sur ces différent
ment, est sujette à des hallucinations de l'ouïe et de la vue. Elle meurt au bout d'un mois, en pleine déchéance, et l'au
ellule corticale se développe, se charge d'énergie, se détériore et meurt conformément il la loi de vitalité qui lui est
rocureur de la répu- blique de ses amis dans laquelle il dit : « Je meurs assassiné. ),Il II demande à être conduit chez
ans un de ses aliments. Il a alors des idées noires, croit qu'il va mourir : en proie à ses idées, il entre à l'hôpital Du
nourriture, prétendant qu'il n'a pas besoin de manger puisqu'il va mourir , il se rétablit un peu, sort de l'hôpital et re
a mordit à plusieurs reprises au poignet'. La pau- ire femme en est morte . » Voici ce qu'il éclit après quelques recherch
ce qu'il éclit après quelques recherches : « Lapuuvre femme en est morte . 1't ¡liqnée au poignet par une vipère. mouil
ère mort à l'âge de cinquante-cinq ans (d'un refroidissement). Mère morte emphysémateuse à l'àge de soixante ans. Une soeur
est intéressée, il peut y avoir des troubles de la parole. Les tu- meurs cérébrales doivent être différenciées de la démen
mtewention instrumentale. Deux semaines après les couches la malade mourut , et à l'autopsie on constata une myélite luétiq
aroles des autres. Il pouvait écrire lui-même et sous la dictée. Il mourut d'une cause accidentelle. A l'autopsie a été co
87 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ni démence; ne voyait presque plus; sobre. Grand' mère maternelle, morte à 64 ans, de fluxion de poitrine; Oncles et tan
ille. - Père, mort à 3G ans, noyé accidentellement : sobre. - Mère, morte usée à 63 ans, on prétendait que c'était une ga
a périphérie parles voies qui h'y rendent. Ces cellules naissent et meurent continuellement. Ces deux facteurs échappent co
ront au système nerveux central, les cellules nerveuses naîtront et mourront . Les processus ly- chiques sont tous des propri
es de saisissement pl d'anxiété panuphobique avec la peur unique de mourir . Trouble- nhropa- ibiques protéiformes, surtout
c mieux ? « Un peu ». « Vous n'avez donc plus peur qu'on vous fasse mourir ' ! » « Oh ! si : encore parfois o. - « EL voir
agitations motrices continuelles. Puis -elle se lamente, a peur de mourir ou de voir mourir son mari. L'agitation el l'an
es continuelles. Puis -elle se lamente, a peur de mourir ou de voir mourir son mari. L'agitation el l'angoisse deviennent
ieux des plus violents : « Il faut lui couper le cou ; sa mère est. morte ; il est perdu ; il faut l'immoler, le crucifie
peut aller a la selle. Un \eut le perdre, on l'accuse pour le faire mourir . Par- lois, il parle du paradis, gémit, voudrai
oséole (sic), de sorte que la vérole nlail Uut à l'ail certaine. Il mourut 8 jours après son hospilali-alion, par suile d'
ans un fau- teuil, et elfe vécut de la sorte moins d'un mois, étant morte le 1 juiu, par suite de connestion cérébrale. L
dans l'évolution morbide des acci- dents cérébraux, puisque le mari mourut paralytique un peu plus de deux ans avant que s
ut-il tenir compte, pour.l'interprétalion de ces faits qu'elle-même mourut assez jeune de tuberculose pul- monaire. Le m
obe frontal. Il .'a;;iL, en l'espèce, .d'une jeune fille de 25 ans, morte brusquement dans un accès. L'écorce du cerveau,
gion calcarine ; Par le professeur \\'1;13rR (1). Mme G. F. est morte en juillet 1902, âgée de 7G ans. Nous ne pos- s
ranse erse cle la moelle, au niveau du premier segment dor- sal. Il meurt 2 mois 1/2 après d'infection urinaire et de décub
l's uhi(el1lenl d'attaques eonvulsives. La plupart des épilepliques meurent de celle façon. » A 131cêtl'e nous n'avons qu'a
le nom de C.. ; c'est qu'en effet, elle se figurait qu'elle était morte , qu'elle était devenue sa propre cousine, et se
g- ments auparavant. Ils sont ainsi désagrégés. Ceux qui sont de- meures massifs restent sur le tamis : on les secoue viol
is et demi, et présente les symptômes combinés en question. Elle en meurt . Autopsie impossible. L'au- leur, en raison de
de tuberculose à partir de 7 ans, âge qu'elle avait quand son frère mourut de bacillose : elle a été depuis envoyée quatre
de bonheur, un peu plus de la joie de vivre et de l'insouciance de mourir , nous livrons encore les jeunes générations aux
le malade, qui avait avalé pendant la nuit des dents artificielles, mourut quelques jours après d'une hématémèse foudroyan
dical du 29 juin 1 ',)0 1. Ce malade, atteint d'i- diotie complète, mourut en moins de quarante-huit heu- res après avoir
ttincN-ille, le pre- mier concerne un malade dément épilcptiquc qui mourut dans de semblables conditions. A l'autopsie, on
que est- prise de grippe avec pleurésie séro-libri- neuse droite et meurt après trois jours de maladie pendant les- quels
s sur le sol; peu à peu, il devient impotent, est confiné au lit et meurt cachectique ; signes généraux des contractures
cters, ni nystag- mus. Le facies est ahuri et pleurard. Une soeur morte était atteinte du même syndrome qui est intermé
référable, dit-il, pour ces deux dernières ma- lades de les laisser mourir à l'hôpital plutôt que de les interner à l'Asil
is de no- tre excellent maître, et l'image du docteur Garnier de- meure empreinte d'innombrables regrets dans le sou- v
tion à Berlin et en Ecosse, et les Plans d'un asile moderne. . Il meurt sans avoireu la satisfaction d'inaugurer l'asile-
reuse a eu les maxillaires détachés et la langue arrachée. Elle est morte après d'horribles souffrances. Pierre Momies a
to- logie des altérations par com-. pression de la dans les tu- meurs vertébrales, par Biels- chow-sky, 42. Contribut
88 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 22, n° 127-132] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ble après quelques bouchées ; la parole, après quelques mots : elle mourut dans le coma quelques jours après son entrée à l'
liments, et entrecoupé de périodes d'exci- tation et de dépression; morte au bout de six semaines. L'exa- men histologiqu
on chronique, au cours duquel survint une hémiplégie gauche, et qui mourut après dix-huit ans d'inter- nement d'un ictus a
progres- sent, mais le malade conserve la vue presque intacte. Il meurt avant d'être aveugle (1). Tel est le tableau (1
amollissements rapidement mortels. Les artério- scléreux lacunaires meurent plus souvent par le cerveau que par les reins o
Il avait, de temps à autre, des accès de démence et prédisait qu'il mourrait en se brûlant. Les individus qui ont reçus des
ours d'une confession, d'où terreurs religieuses, peur obsédante de mourir en état de péché mortel, et d'èti'e assassiné au
i. » .le suis convaincu que 181 ' CLINIQUE MENTALE. ma mère est morte et. que mon absence à Paris en est la cause. (D
n'est guère possible car la très grande majorité des mon- goliens meurt avant 25 ans, tandis que des myxoedémateux dépa
lésions inflammatoires chroniques et quelquefois présente des tu- meurs tuberculeuses. La puberté est plutôt précoce ch
voir les photographies d'un nouveau cas de mon- golisme (Cotto ? ) morte récemment, dans son service, de tuberculose gén
nt latente comme la tuberculose, d'autant plus que les épileptiques meurent le plus souvent au cours d un état de mal et qu
ur nos conseils, a pris pour sujet de sa thèse inaugurale : Comment meurent les épileptiques ? Elle comprend : de 1880 à 18
r il fut à 23 ans le dernier interne d'Esquirol à Charenton, devait mourir de la mort glorieuse du sol- dat sur le champ d
table, sujet à de fréquentes colères, vite passées du reste. Mère morte à 74 ans, non alcoolique, pas nerveuse. Pas d'ant
ernel que maternel. D ? avait 2 frères et 3 soeurs. Une soeur est morte à 27 ans, elle toussait, n'était pas nerveuse.
s, se marie. Il fut heu- reux en ménage, eut 5 enfants ; le premier mourut du croup ; les quatre autres sont bien portants
nd 11 et demi, le troisième 8 ans, le dernier 3 ans. Sa femme est morte il y a environ 2 ans, d'une pleurésie. D ? n'eu
quo le mé- decin avait déclaré que la femme Chény était réellement morte des coups qui lui avait portés Richard. Le juge
quelques excès de boisson.- Grand-oncle maternel, aliéné.- Tante, morte de méningite. Soeur, morte de tuberculose. Pas
.- Grand-oncle maternel, aliéné.- Tante, morte de méningite. Soeur, morte de tuberculose. Pas de consanguinité. -- Inégal
73 ans de vieillesse, s'était toujours très bien porté. Sa mère est morte lorsqu'il avait 7, ans, après une courte maladi
paternels et le grand-père maternel ; la grand-mère maternelle est morte « d'usure », à 87 ans. Un oncle pa- ternel aura
cles et tantes mater- nels, si ce n'est qu'une tante maternelle est morte à 13 ans « on ne sait de quoi ». Trois frères :
ions dans l'enfance mais est cependant très nerveuse ; la troisième morte à 7 ans de méningite, n'avait pas eu de convuls
fille de 8 ans, bien portante, pas de con- vulsions ; la cinquième morte d'une pneumonie tubercu- leuse à l'âge de 4 ans
1 désirer. Signalons un grand oncle maternel mort fou, une tante morte de méningite, une soeur de tuberculose. 4 :
ion d'une jeune malade de 15 ans atteinte de maladie de Friedreich, morte de congestion pulmonaire el qui présentait en o
e de 23 ans atteinte depuis quelques mois du syndrome rl'Erh et qui mourut brusquement au cours de l'affection dans un acc
, une ponction lombaire donna issue à un liquide louche et l'enfant mourut de méningite. 462 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUS
in. L'arthritisme ou mieux le neuro-artliritisme n'est pas une idée morte ; pour M..1. Lépine, il se retrouve dans les dive
es continuent la vie de leurs parents, de sorte que l'in- dividu ne meurt pas en entier, il continue à vivre dans ses desce
89 (1902) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 17
la Ville naquit à Bordeaux en 1680 : son père était avocat ; sa mère mourut peu de temps après sa naissance ; elle eût une en
formule expressément. C'est, par exemple, un parent, un ami qui se meurt , et qui, pendant son agonie, nous implore, ou nou
, il y a quelques années, payé une forte somme qu'il devait. Quand il meurt , on la réclame de nouveau à son fils. Celui-ci sa
ie de guéri-son, tantôt guéri, tantôt encore moribond. Avant qu'il ne meure réellement, nous avons rêvé de sa mort un très gr
C'était le dernier et le plus chétif de ses frères et sœurs. Son père mourut en 1580, alors qu'il n'avait que trois ans. Il fi
elques expectorations. Mais la fièvre persistait, etc. » Il guérit et mourut quelques années plus tard d'une maladie qui début
it jouer un si grand rôle aux ferments. Il eut deux autres fils qui moururent de la peste et une fille atteinte de la lèpre (?)
il écrit assis devant sa table. Un malade veut, pour sauver le monde, mourir sur la croix comme Jésus-Christ, mais les portes
a Ville naquit à Bordeaux vers la fin de l'année 1680, d'une mère qui mourut jeune et d'un père auquel ses occupations d'avoca
on de Ménélas, son oncle : « Que ressens-tu ? Quel est le mal dont tu meurs ? » Il répond : « La conscience, la conscience qu
ons, a remarqué que sur le côté malade, la peau restait pâle et comme morte , tandis que les mêmes frictions sur le côté sain
e hypocondriaque, l'irascibilité, l'émotivité, l'angoisse, la peur de mourir , différentes phobies, l'excitation ou la froideur
ne veux point d'autre but à mes coups que ton cœur, je veux le faire mourir ». Il lança en même temps trois flèches dans ce c
portée ainsi au cher petit! Ont-ils pensé qu'il valait mieux pour lui mourir que rester prisonnier? C'est une morale bien haut
érosynerotème familial suivant : Michelle de Vitry), vivante en 1386, morte le 12 juin 1456, « fut enterrée dans une chapelle
lièrement immodéré pour le petit verre et surtout pour le grand. Elle mourut en 1827, à l'âge de cinquante et un ans. Sa des
de leur mal est très inégale. L'un court un danger réel et l'autre ne meurt jamais. Les sentiments affectifs se sont éteints,
ide, n'a pas le temps de changer le caractère du sujet. Ces jours-ci, mourait dans le service de M. Widal, à l'hôpital Cochin,
re éclairait ses lèvres. Un matin, peu de mois après son entrée, elle mourut subitement. Depuis longtemps, elle avait préparé
demi-inconscience, n'avait plus qu'un pouls filiforme. « Laissez-moi mourir en paix, » murmura-t-il à M. Huchard qui le voula
sait signe. Il désirait aller dans son cabinet de travail : « Je veux mourir debout et au milieu de mes livres », avait-il déc
is l'idée - fixe de la mort l'obsède perpétuellement. — « Si j'allais mourir , se dit-elle, que deviendrait mon enfant? » Ou bi
'un Monsieur qui devient son amant. Elle l'aime avec passion. Mais il meurt , il y a cinq ans, et elle en éprouve une désolati
ipathie, de l'animosité, de la répulsion. Il y a deux ans, son père meurt . Ce gros chagrin la démonte encore plus. Dès lors
ières. Peu de temps après, il perd sa place ; puis sa femme vient à mourir . Il en est bouleversé; il se demande ce qu'il va
de ce qu'il va devenir et cherche à savoir de quelle maladie elle est morte . II se met alors à écrire involontairement et, da
dit-il, sont en chair et en os, comme nous ; les mauvais ont la peau morte . Ceux-ci lui jouent de méchants tours : ils l'emp
Je ne sais pas lire ». Alors Gabriel l'étreignit si fort qu'il pensa mourir . Trois fois l'ange répéta son ordre, trois fois i
90 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
à ces malades ; ils n'existent plus, n'ont plus d'organes ; ils ne mourront plus jamais , ces délires apparaissant tardivem
est une pécheresse, une malheureuse, qu'elle regrette de n'être pas morte lorsqu'elle s'est coupé le cou, qu'elle ne doit
cou, qu'elle ne doit pas manger, pour plusieurs rai- sons : 1° pour mourir ; 21 parce que son estomac est trop plein d'alim
eux. Mère, quarante-cinq ans, rien ci signaler. Tante paternelle, morte d'apoplexie. - Autre tante paternelle, morte des
ler. Tante paternelle, morte d'apoplexie. - Autre tante paternelle, morte des convulsions de l'enfance- Frère mort ci dix
s, d'une entérite, sobre, jamais malade. - Grand'mère paternelle, morte à soixante-seize ans, d'une affection chronique d
e diabète. Oncle paternel, mort d'une cholérine ? Tante paternelle, morte asthmatique. Autre tante paternelle, morte d'un
ne ? Tante paternelle, morte asthmatique. Autre tante paternelle, morte d'une attaque d'apoplexie en un jour. Autre tante
orte d'une attaque d'apoplexie en un jour. Autre tante pater- nelle morte des convulsions de l'enfance. Pas d'aliénés ni de
erveuse : le corps s'est raidi, puis l'enfant s'est écrié : tjevais mourir » ; il ouvraitles yeux démesurément, se penchait
, surtout dans la lignée maternelle. Du côté du père,~une tante est morte d'une attaque d'apoplexie. Un frère aurait eu.
iverses familles, 38 furent atteintes à un âge moyen de 33,3 ans et moururent à un âge moyen de 41,2 ans. Les hommes sont plus
elle a 42 accès et 30 vertiges, se cachectise progressi- vement et meure . A l'autopsie, on trouve un épaississement cons
t aux yeux. Sur le plancher, la femme Mondane était étendue raide morte , une bouteille de rhum à la main. Elle avait succ
le forte, à la glu, que tous ses organes sont malades, qu'elle veut mourir parce qu'elle a commis un péché devant Dieu, avec
fert et souffre encore beaucoup à cause de ce péché et qu'elle veut mourir à cause de cela. Elle nous dit encore que le pl
ne maladie con- tagieuse, qu'elle doit être désinfectée, qu'elle va mourir , qu'elle est perdue. L'expression de sa figur
t au moment de l'auto-accusation : quand elle nous dit qu'elle doit mourir pour son nom, quoiqu'elle ne sait pas ce qu'ell
: Où aller ? Quoi faire pour échapper, quoiqu'elle sache qu'elle va mourir . Elle sait et sent qu'elle va périr; elle sent qu
ne pénétrant dans la chambre où dormait Henriette Faldein la trouva morte , baignant dans une mare de sang. Elle alla auss
t d'une bouteille de rhum. Les deux garçons en burent une partie et moururent peu de temps après, malgré les soins qui leur f
sanguin d'épilep- tique, est injecté à une souris de 12 gr. Souris morte . Expérience V. 25 avril, 1 ce. de sérum sanguin
ons (a 5 h. 1/2), elle est toujours dans la même position. Elle est morte dans la nuit du 11 au 12 avril. L'autopsie ne
trois observations personnelles de délire aigu. Deux de ses malades moururent : l'une au bout de deux semaines, l'autre au bo
à la base de la troisième phalange du gros orteil gauche. La malade meurt de pyémie. m 0 A l'autopsie on trouve à l'int
nt. La mère de notre malade, qui était également très nerveuse, est morte de tuberculose pulmonaire. Une tante mater- nel
rte de tuberculose pulmonaire. Une tante mater- nelle est également morte tuberculeuse. Antécédents personnels. Mmc H...
ulièrement douloureuses, il eut le malheur de voir successive- ment mourir ses deux filles, ce dont il demeura inconsolable.
parait aujourd'hui sous le nom de confusion mentale. Le D'' Sauze mourait prématurément en 1884, à l'âge de cin- quante-s
dant son séjour à l'hôpital le malade contracte la dysenterie et en meurt . A l'examen microscopiqne on trouve une dégénér
laissez sortir, je tuerai ma femme et je me tuerai ensuite, je veux mourir . » Envoyé à l'infirmerie spéciale de la préfect
extrême, subdélire, elle essaye de manger ses excré- mentis ; elle meurt le 23. Autopsie. Caverne au sommet du poumon ga
it pas l'opération par crainte d'une nouvelle hémorragie. Le malade meurt dans la soirée et, à l'autopsie, on trouve un c
sques, glacés. Elle ne perd pas connaissance, assiste à son agonie, meurt à 2 heures du matin. Autopsie.- Coeur sain, c
instants. Je suis un secrétaire général in extremis, mais avant de mourir , je tiens à vous remercier d'avoir répondu si n
91 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 20, n° 115-120] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s de supporter ces peines et. si je ne me rétablis pas, je devrai mourir . La maladie a commencé l'été passé ; mais au co
forte décision d'attendre les premières gelées pour me refroidir et mourir . Avant tout je devrais fuir le milieu qui m'ent
rieurs), il était très éthylique, très nerveux el rhumatisant. Mère morte à 58 ans, cardiaque. Deux frères morts à 3.1 et
morts à 3.1 et 38 ans de laryngite ulcéreuse chronique ; une soeur morte en couches. Antécédents personnels. Pas d'autre
rouve les signes d'une broncho-pneumonie au poumon droit. Le malade meurt le 9 mars 1903. Autopsie : Les deux poumons, su
nerf optique (en particulier à la base), tandis que les petites tu- meurs de même structure qui occupent la fosse postérieu
re et du Morbihan, cette circu- laire est restée à l'état de lettre morte . Tout cela et bien d'autres choses dans le même
; la marche de- vient incertaine : amaigrissement rapide. Le malade meurt en janvier 1905. Al'autopsie : Dilatationdes
té de même pour les travaux d'intérieur ou de la culture. Le malade meurt à 19 ans. On constata à l'autopsie : une méning
t superposable : il s'agit encore d'une jeune idiote aveu- gle-née, morte dans le service de la clinique du professeur Pi
ions qui tuent l'homme, il serait sujet aux lois de la nature et ne mourrait que de mort naturelle. La vieillesse et la mo
a guerre, les vieux rois de France « sont morts, tous les gens vont mourir de faim par ma faute». En mars même état de con
daptés aux impulsions vitales en puissance dans leur organisme. Ils meurent au moment où l'ordre intervient chez les êtres
0 sept,, p. 594), ils guérissent, sortent, s'évadent, se suicident, meurent comme les autres malades de Bretagne, du Langue
. Inégalité d'âge d'un an (Père plus ;îjé). 10 enfants : 1° Fille morte d'entérite à 33,jours ;- 2° gar- çon né à 6 moi
e sans convulsions ; (j° fille (17 ans eu 1905), normale ; 7° fille morte il 7 mois d'entérite ainsi que deux autres fill
, Cholémie. (Résumée). L. Clémenline, 38 ans, journalière. Mère morte hydropique (ascite). Père mort cardiaque il 59 an
ique). In frère atteint d'affection hépatique. Une tante maternelle morte aliénée. .Maria a eu deux lièvres typhoïdes, l'
(l{ésumée). Louise IL. 3fi ans. Père mort de 11 re typhoïde ; mère morte à la suite de couches. Grand'mère maternelle ôp
vide dans la tète, avec angoisses ; il lui semblait qu'elle allait mourir ; elle voyait tout le monde en noir, « les gens
mais il n'y a pas eu nécessité d'internement. Mère se portait bien, morte subitement. Un frère, d'un autre lit, mort do flu
. manche S..., u4 ans. Père mort d'une affection cardiaque ; mère morte aliénée dans un asile. Planche S..., a eu la lièv
olémie. Louis F..., 3 ? ans. Père mort à 44 ans d'apoplexie. Mère morte également d'apoplexie il 66 ans ; elle était vive
, une voisine lui annonce brusquement que sa femme et son enfant se meurent . A partir de cette époque, il eut de violents m
ade ne sait pas la mort de son père) ; il était un peu buveur. Mère morte il y a 18 mois : plusieurs mois avant sa mort,
deptimee. mélancolique et avait dcb idées de persécution. Elle est morte dans cet état il la suite d'une congestion céré
oupable, sera arrêté. Elle empoisonne tout le monde, aussi eut-elle mourir . Elle a essayé de se frapper la tête contre les
lui, je trouvai l'enfant souffrant d'une, llroncltu-ltneunutnie. Il mourut enfin d'épuisement (rois mois après mon premier
ic de l'affection doit toujours être réservé, les mala- des pouvant mourir de paralysie des nerfs crâniens dans les atta-
é qu'étant venues au inonde en même temps, elles avaient à coeur de mourir ensemble. (Petite Gironde, 27 sept.) ' Un liPfL
n au cours du mal de l'ott, mais même celle provoquée par des tu- meurs ou d'autres causes mécaniques est de i-iatureinll
ar Kahler sont trouvés par K1JDRI- : \VTSKI (1) dans 3 cas de tu- meurs de la colonne vertébrale (myélome, myxome, sar-
développement de la parole est la plupart du temps défectueux. Ils meurent d'habitude de bonne heure, de maladies intercur-
me sujet atteint de cancer mélaniquc du crewsus-claviculaire gauche mourut en asystolie avec des lé- ,ions du poumon et du
du syndrome d'hypertension céphalo-rachidienne causé par les tu- meurs cérébrales, mais on peut hésiter quand il n'exist
92 (1901) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 14]
Angleterre, Cobbold prétend que chaque année plus de 400 personnes meurent d'hydatide. La maladie serait moins fréquente e
année précédente elle avait été gravement malade, elle avait failli mourir , mais ne peut fournir d'autre renseignement à c
e est prise d'un vomissement s'accompagnant d'effort. Le 16, elle meurt subitement pendant la visite. L'autopsie révèle
e de tissu fibreux qui empêche le futur toenia de se développer. Il mourra sur place, laissant la capsule rétractée avec u
Son père est mort à 78 aus, après 10 ans de paralysie ; sa mère est morte à 34 ans, probablement de tuberculose pulmo- na
t des exemples. Citons, d'après Cohausen les noms suivants : Attila mourut à 124 ans ( ? ). Prastus, roi de Pologne à 128.
ns obtenues en soufflant dans la bouche d'individus qui venaient de mourir . Il est fréquent de voir les sages-femmes ranim
l'image de Jésus-Christ. C'est seulement à la fin du 1VI siècle que mourut une religieuse milanaise, célèbre par ses austéri
ais, se pencha si fort qu'elle en tomba. De cette chute elle allait mourir et les meilleurs méde- cins du pays désespéraie
tiques. Cet auteur insiste sur la différence qui les sépare des tu- meurs cancéreuses : leurs caractères histologiques, et
anatomique, fait un rapport très détaillé sur celle variété de tu- meurs . A l'encontre de Lebert, Bouchard n'aclmet pas qu
cellule constitutive à propos de l'observation de Bouchard. Ces tu- meurs n'ont pas de vaisseaux proprement dits, mais des
guérir, il y a du gonflement, si au contraire elles sont destinées à mourir , la phase de chromatolyse poursuit son évolutio
couchement fut difficile, nécessita l'em- ploi des fers et l'enfant mourut au bout de 3 heures. S'il faut en croire la mère
bligé de la faire accompagner par un enfant partout où elle allait. Morte subitement au milieu de son travail, à 59 ans env
suite d'un accident (chute dans un escalier). 3o S'ceur du père. - Morte à 30 ans. Elle était, au dire du malade, livide
lle de notre malade semble avoir eu des attaques d'épilepsie et est morte de mort subite. (1) Le champ visuel étant le ch
'une attaque d'apoplexie à 69 ans. Il était alcoolique. La mère est morte tuberculeuse à 32 ans. Un frère et deux soeurs
bondante qu'elle avait considérée comme une fausse couche. Son mari mourut de phtisie galopante à 29 ans, sept mois après
trique de cause incertaine. Au commencement de mars 1901, la malade meurt des progrès de la phti- sie pulmonaire dont ell
a cyanose. ' Antécédents héréditaires . Sa mère, très nerveuse, est morte , à 68 ans, d'une maladie du coeur qui était de
qui vient on ne sait pas comment, tu peux y rester » et il a peur de mourir dans un de ces soubresauts. Il n'a « d'idées
ion du liquide céphalo-rachidien tel qu'on le constate dans les tu- meurs cérébrales par exemple. Il y aurait donc lieu de
ession cérébrale, et l'évolution clinique des symptômes dus aux tu- meurs cérébrales, et attribués par hypothèse à la compr
ance, capable d'expliquer beaucoup des éléments du syndrome des tu- meurs cérébrales ; ce facteur pathogénique est l'intoxi
t d'une bonne santé pendant plusieurs années, au bout desquelles il meurt d'une fièvre mali- gne. N'ayant jamais oublié l
été brisé en plusieurs pièces. Obs. II. Un homme de soixante ans mourut d'une fluxion de poitrine ; dix ans auparavant,
robablement, contractures ; forte flexion des doigts dans la paume. Morte à 50 ans, 13 ans après le début. Mort précédée d'
t mort à 69 ans de l'influenza : il était très nerveux. Sa mère est morte à 53 ans d'une entérite et était également très'
analyse avec soin un mémoire de Fowler portant sur sept cas de tu- meurs du sein pour lesquelles des chirurgiens connus av
s les urines prélevées à la sonde. Le lendemain, 7 avril, la malade meurt à 11 heures du matin. Autopsie. L'autopsie a ét
e fut atteinte de la petite vérole, en même temps qu'une sceur qui en mourut . Réglée à 14 ans, elle s'aperçut à cette époque
te. N'oublions pas que l'administration de la thyroïdine desséchée, morte , provenant de la race ovine est un procédé prim
a retraite aux environs de Rome. Il lui fut ordonné de s'apprêter à mourir . Pauline voulut partager le sort de son époux.
se plonger dans l'eau chaude. Stagt2tnt calidæ aquæ introiit. Il mourut peu de temps après. Quant à Pauline, sa femme,
93 (1890) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 03] : clinique des maladies du système nerveux
nt, est mort de vieillesse àquatre- vingt-dix-sept ans. Sa mère est morte en couches à quarante-six ans. Il était très je
jeunesse, par un maladroit, que les femmes atteintes de sa maladie mouraient à la ménopause. Vingt ans plus tard, au moment
t des premières manifestations de l'âge critique, elle se prépare à mourir , étouffe, et serait peut-être morte si nous n'a
ge critique, elle se prépare à mourir, étouffe, et serait peut-être morte si nous n'avions fini par découvrir son secret
ent de se séparer de leur enfant. Celle-ci continue à dépérir et va mourir 1. Leçons sur les mal. du sus. nerveux, (luu. c
SUR LES ECCHYMOSES SPONTANÉES. 65 d'inanition, car les hystériques meurent parfaitement d'anorexie quoi qu'on en ait dit;
ement eut lieu. Du côté maternel : grand'mère « nerveuse » ; serait morte d'hémorrhagie cérébrale. Le grand-père n'a pas
iste dramatique; elle abu- sait des boissons alcooliques : elle est morte , à l'âge de 57 ans, à l'hôpital Saint-Antoine.
e-huit ans, rhumatisante, aurait eu des attaques étant jeune. Soeur morte il dix-neuf ans de la fièvre typhoïde. Elle a eu
de métier où il pût être soumis à aucune intoxication. Sa mère est morte à l'âge de cinquante-cinq ans, à la suite d'un
euse, sujette à des colères violentes. La grand'mère maternelle est morte paralysée; mais on ne peut avoir de renseigneme
en la matière. OBs. I (Rissler'). Résumé. Femme de vingt et un ans, morte huit jours après le début de la maladie. A la s
, salle Duchenne, de Boulogne, dans le service de M. Charcot, y est morte six mois après, en novembre. A son entrée, Ha
90) de délire des persécutions; il a dû être interné. Une tante est morte d'apoplexie à quarante ans. La grand'mère mater
hémianesthésie droite sensitivo-sensorielle et hémiplégie droite, mourut incidemment de bronchite, et que l'autopsie resté
s ses mains maigrissaient. Le 5 octobre 987, ayant vu deux ouvriers mourir , elle se décida à entrer à Saint-Louis. L'un de
pisie probablement cardiaque, avec crachements de sang. Sa mère est morte d'une peur survenue pendant le sac de Bazeilles
utre n'avaient eu de maladies nerveuses. Une soeur de la malade est morte de la poitrine à vingt-sept ans; une petite fil
de la poitrine à vingt-sept ans; une petite fille de cette soeur est morte quelque temps avant sa mère d'une méningite. Po
notre malade ne présentent rien d'inté- ressantà noter. Sa mère est morte cette année même, à l'âge de quatre- vingts ans
affirme. La malade ne peut bientôt plus parler ni avaler et finit par mourir d'une syncope en février 1880. On ne put faire
se des jambes. La malade quitte la clinique. (.(Evidemment, elleest morte de paralysie bul- baire progressive peu de temp
94 (1854) Journal du magnétisme [Tome XIII]
i. Dieu a donc « béni mes œuvres, et je les rapporte toutes à lui. Je meurs » en remerciant mou divin maître ; je n’ai rien t
menacé d’excommunication, assista nombreux à son enterrement. Ainsi mourut notre vieil ami. Chacun de ses jours fut marqué p
tre fiers de posséder dans leurs rangs des hommes qui savent vivre et mourir ainsi, car ils préparent le triomphe de leur caus
ourds, et Herminie continue ses plaintes. Vafrin lui dit : « Il ne se meurt pas ; secourons-le donc avant de «pleurer. » Il l
e Presse. Par charité, plaignez-les ; mais, par raison, laissez-les mourir ! Mesmer n’a été que le premier rationaliste et
in niais la somnambule qu’on faisait appeler. Le malade guérissait ou mourait en dehors des règles légales. Les tribunaux, soll
ion cérébrale, qui a irait laissé des traces d’aliénation mentale. 11 mourut à q mtre-vingt cinq ans, des suites d’une attaque
; la lumière ne fut point faite pour leurs \ eux, la nature doit être morte pour leur entendement. La faveur du ciel est pour
n Laforgue, tu nous appelais tes frères. Puissions-nous tous vivre et mourir dans ta foi douce et sincère ! « Ollivier, cœur
lambeau, et toute vérité a par elle-même l’immortalité. « Celui qui meurt en laissant un champ couvert d’épis est l’homme s
esclave, tu doviens maitro, Ta volonté rompt ses carcans I Le tyran meurt sous tes effluves, Comme Alexandre vers les cuves
aux procédés ordinaires pour plaire à sa femme; mais Gemma, décidée à mourir plutôt que de céder, court à une fenêtre, l’ouvre
et revint, assurant qu’il avait blessé l’esprit malfaisant. La malade mourut quelques jours après : le bruit et la frayeur l’a
calorique maternel ou artificiel qui fomentait l'embryon, et celui-ci meurt encore trompé par l’analogie. Quand nous recevo
ilité complète de la peau et quelque peu le mouvement; mais le malade mourut , six mois après, d’une pneumonie. L’autopsie prou
; car elle serait de l’électricité volontaire et non de l’électricité morte . Si l’on consulte Dioscoride, on trouve, à l’ar
di ; j’ai été condamné à mort un lundi ; et vous « verrez tous que je mourrai un lundi, à la même heure où « j’ai tué le pauvre
heure où, délaissé, abandonné des médecins impuissants, il se voyait mourir ? Et comment ne pas être surpris en voyant la volo
était suggérée son opinion ; ils refusèrent de l’admettre. Le malade mourut quelque temps après; on ouvrit son corps, et, au
dans un puits à charbon. Je vais le faire. Je la vois; elle n'est pas morte ; elle est dans un cottage avec des gens qui sont
ration nulle. Le3 parents, réunis à l’entour de son lit, la croyaient morte . Cette fille, âgée de vingt-deux ans, d’une const
spoir d’une survivance de soi-même a cessé d’exister. La religion est morte , l’homme n'est plus qu’un animal mû par une sorte
i les consultants n’accomplissaient pas ses prescriptions , le malade mourait infailliblement. Il en arrivait autant, disait-on
il vous plaira de m’imposer, docteur; je consens à tout plutôt que de mourir à chaque heure. — Tu n’as donc pas été effrayé
e te donne deviendra une partie de toi-même ; elle croîtra, mûrira et mourra avec toi. Y consens-tu ? — Comment donc I sans
à fait inconnue, et finit par s’endormir de telle façon qu’on la crut morte . La langue inconnue était apparemment celle d’un
ures du soir, elle se sentit magnétiser par l’esprit de sa grand’mère morte ; elle l’aperçut seule; mais, au su et vu de plus
e que sa mère était venue y suppléer. Ce furent ses seuls mots, et il mourut . Un autre enfant, raconte Horst dans sa Bibliothè
et lui-même rêvèrent plusieurs fois de suite qu’il était noyé, et il mourut de cette manière, non sans avoir parlé à ses amis
828, jour de la mort de son père, à quatre lieues d’elle, elle le vit mourir et s’écria : «ü Dieu ! » et dans le môme instant,
re qui n’est peut-être point impénétrable. Qui vivra verra. Non ; qui mourra verni, cela est plus certain. J'arrive, moi, sa
e avec certitude : Celui-ci est malade ou bien portant ; cet autre va mourir ou est déjà mort, en raison de l’éclat extérieur
ces particularités de sa famille. Peu de temps après, ce particulier mourut . » Le correspondant qui transmet ces faits au T
onde, car tu n’y resteras pas longtemps. « Vis en juste si tu désires mourir en paix, et ne méprise pas « le remords, c’est le
nseigneur, pour-« suivit le prince de Ligne? « — Elle prouve que je mourrai jeune, monsieur..... «.........................
importe lequel il prît, elle lui disait toujours la même chose, qu’il mourrait jeune et de mort violente.......................
Dieu, madame, me dit-il après, très-sim-« plement, ma mère en serait morte de chagrin, et vous * voyez ! » «11 nous racont
s-mnêine d’ici à bien peu de mois? « — D’ici à bien peu de mois! Je mourrai d’ici à peu de • mois? Je ne verrai donc pas tout
u « déshonneur, ii la perte de la France. J’en remercie le ciel. « Je mourrai dans mon lit? n— Oui, répliqua-t-elle d’une voi
me ou une femme aura l’esprit de Py-• thon et sera devin, on les fera mourir de mort, on les as-t sommera de pierres ; leur sa
95 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
re heures à la suite d'une atta- que d'apoplexie. - Soeur du malade morte à la suite de con- vulsions à l'àge de quatre a
maladies progressives, très difficilement curables et desquelles on meurt . Mais en combien de temps mourra le sujet ? Il
ilement curables et desquelles on meurt. Mais en combien de temps mourra le sujet ? Il y a des temps d'arrêt, même des r
rée, il com- mence à avoir des séries d'attaques épileptiformes, et meurt vers le sixième mois. A l'autopsie, on constate
'un nouvel érysipèle accompagné de glos- site et de stomatite. Elle mourut dans le marasme six mois après le début de la m
lle tomba ma- lade quelque temps après, refusa toute nourriture, et mourut dans les convulsions le 7 décembre 1849. Auto
st mort d'une fluxion de poitrine; sa mère, de taille ordinaire est morte à soixante-quinze ans « de vieillesse ». Une bO
1' qui nous donne les renseignements est intelligente; une deuxième morte pmtri- naire. Pas de nerveux ni de difformes, e
nerveux ni de difformes, etc., dans la famille.] Mère, née à Lille, morte en ! 877, a trente-neuf ans, de tuberculose pul
orts âgés. Père, mort à cinquante ans, d'une maladie aiguë. Mère, morte à quarante-six ans; pas nerveuse. Un frère de la
tteints de la syphilis. Le père est mort paralytique et la mère est morte par suite de l'impossibilité de déglutition (st
se complète ; le pneumo-gastrique cesse de fonctionner, le patient meurt le 11 novembre. L'examen anatomo-pathologiquc d
abinone l'air lui manque complètement, elle se sent sur le point de mourir ; ces plaintes persistent tout le lendemain : il
re, mort vers soixante-treize, ans d'une attaque d'apoplexie. Mère, morte jeune du choléra. Un frère bien portant, pas d'
quatre- vingts ans, d'une chute; il n'était pas en enfance. 111ère, morte d'une bronchite à soixante-douze ans ; intellig
produisent aucune évacuation. Mort à 10 heures 35 du soir. Avant de mourir , le Pacha a ouvert les yeux tout grands et a po
e consli- tution robuste et sa taille est de 1 m. 70. - La mère est morte à l'âge de 40 ans, dix-huit mois après être acc
arti de faire admettre son enfant à la Salpêtrière. La malade est morte un mois après la publication de cette observati
taient en pleine santé au moment de sa naissance. Le père cependant mourut douze ans et la mère seize ans plus tard de pht
essus de la moyenne; pas de maladies nerveuses, ni de goitre. Mère, morte à quatre-vingt-sept ans, on ne sait de quoi; el
depuis vingt-sept ans, charpentier, sobre. - Grand'mère maternelle, morte paralysée à soixante-dix-huit ans, ménagère, so
ère, sobie. - Un frère mort à l'âge de six ans, du croup. Une soeur morte a quarante-trois ans, on ne sait de quoi, a eu
t n'a jamais présenté d'accidents nerveux. - Hère, ménagère, sobre, morte à quatre-vingt-huit ans sans paralysie, ni déme
e convulsions; 2° fille, née à terme, bien conformée, intelligente, morte à trois ans de convulsions; 3° fille mort-née à
t-née à terme (présentation des pieds), bien conformée; - 40 fille, morte à treize ans d'un abcès du foie; elle était née
, - Crétinisme (ralret). En novembre 1872, le malade s'affaiblit et mourut en janvier 1873, d'une congestion pulmonaire.
res; rien d'important à noter, à l'exception d'une tante paternelle morte phthisique. Antécédents personnels. Il a eu plu
96 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ntéressèrent, mais elle n'assista jamais à aucune séance, son oncle mourut et elle ne revint pas de longtemps sur ce sujet
certains détails, il reconnut formellement celle de sa mère à lui, morte depuis quelques années. Ce fut un nou- veau tra
n allait; qu'elle s'éteignait complètement dans un immense désir de mourir , mais Rarahu lui ordonna de vivre, il lui décla
eprochait d'être indifférent, impuissant même. Elle se plaignait de mourir d'amour inassouvi. Sa femme de chambre la surprit
e divine dans « chaque âme; elle prit par erreur l'âme d'une étoile morte , « nommée depuis Siloë, fille de la beauté et d
hôpital le 1. or mars de 1901 en état d'excitation très marquée, et mourut quelques heures après son entrée à l'hô- pital.
que le lapin, , BIBLIOGRAPHIE. 89 comme le chien, le chat, etc., meurt après'avoir présenté des accidents analogues.
hé à nou- veau. 11 se porta un second coup.de rasoir puis tomba. Il mourut peu après. (L'Aurore, 7 juin 1904.) , Hospice
crâniens sont en ordre. Douze heures après son entrée, la malade mourut . A l'autopsie on constata : une hématomyélie et u
urs enfants ; au bout de peu de temps, les petits s'étio- laient et mouraient d'épuisement. Ceux qui en sortaient, portaient
e, en pleine salle d'étude, au milieu de deux cents élèves. Je crus mourir de honte. Que n'avais-je lu alors le « Rouge et l
pes de l'encéphale et des viscères d'une femme de vingt-trois ans morte tuberculeuse chronique à l'asile des aliénés d'Ev
lésions plus graves de l'oeil gauche et des voies optiques gauches, morte de tuberculose dans le service du Dr Viallon.
les abcès des régions ganglionnaires se multiplient, et la malade meurt de cachexie septicémique. ° Autopsie : Tubercul
rophique ou sensitif faisant penser à la syringo- myélie. Le malade mourut subitement quelques jours après son entrée. Les
her de la normale. L'évolution est souvent grave, le malade pouvant mourir , en deux années environ, d'une sorte de tabes a
de cet état mental et la douloureuse réalité des choses. Le malade meurt dans un coma asphyxique graduel et rapide. Nécr
88, des Sociétés de Chirurgie, médico-psychologique, etc., vient de mourir au Mans. M. le Dur Mordret avait été reçu docte
nt qui avait fini par nécessiter une opération dont il avait failli mourir . Y... ne put s'empêcher de penser que ses quatr
réveilla en sursaut, inondé de sueurs, au moment même où il allait mourir ; sans y attacher d'importance il se ren- dormi
vue ; celle-ci disparue elle perd toute notion et croit qu'elle va mourir parce que « je n'y vois plus, je ne saispas où
s où je suis, je ne sens plus rien, je tombe, je m'étouffe, je vais mourir ». Lés yeux fermés elle est incapable d'une pen
tion IL Elle concerne une petite malade entrée à l'asile en 1893 et morte l'année dernière de tuberculose pulmo- naire. C
a rage expérimentale doivent être attribuées au fait que l'animal meurt sidéré avant que ces alternatives aient eu le tem
e atteinte d'un neurone du poignet qui avait subi cinq ans avant de mourir une résection du nerf médian depuis la paume de
ant elle môme. Le drame a dû être terrible. L'idiote ne voulait pas mourir et voulait s'échapper de l'étreinte de sa mère;
, directeur de l'asile départemental d'alié- nés du Hhône, vient de mourir à l'âge de soixante-deux ans. M. ltaoul fut suc
tier, mort il soixante-sept ans de pneumonie, était sobre. Sa mère, morte à soixante-dix-sept ans de vieillesse, ni démen
mère à soixante-huit; pas de détails sur eux. Une tante paternelle, morte on ne sait de quoi, aurait eu deux enfants bien
ccès. Dans le reste de la famille, rien autre à signa- ler. MÈRE, morte à quarante-cinq ans. il y,a un an, de « chlorose
ont bien portants. Quatre sce7crs : l'une mariée, sans enfants, est morte usée par la bois- son ; les trois autres sont b
nique restreint, montre la grande difficulté dû diagnostic des tu- meurs intramédullaires qui, surtout lorsqu'il survient
présente les signes classiques de laparaly- sie générale. Le malade mourut après avoir présenté les symptômes du délire ai
d'applaudir o,u de hurler contre quelqu'un. Qu'il vive ! et qu'il meure ! sont les mots qu'ils aiment à jeter. Si l'un
97 (1845) Journal du magnétisme [Tome I]
e nje retirai, et cinq ou sixjours après j’appris que la malade était morte . Je borne ici ces citations qu’il me serait fac
ayant cessé de magnétiser cettedame, j’appris plus tard qu’elle était morte de dyssenterie dans le mois d'août suivant. ACC
de toute action coupable. Ici n’en est-ce pas une quand un infortuné meurt par impuissance du médecin qui a voulu rester imp
chassé le froid de la mort et donné de la vie à l’être qui se voyait mourir ; n’est-ce point pourtant un chef-d’œuvre capable
es de Paris-, lui a prédit que son père, qu’il a laissé bien porlanl, mourrait avant quinze jours. Quand ce monsieur arriva chez
e. Hôtel-Dieu , asile de l’infortune, où le malheureux va souffrir et mourir , c’est là que mon âme expansive a pour la premièr
fle du Créateur, tous les hommes le possèdent, ils vivent par toi, et meurent quand tu leur échappes! allons justifier de ton e
squ’ici, a été funeste, l’ablation d’un sein cancéreux; la malade est morte , non pendant l’opération, mais quelques jours apr
mes épouvanté. (I) Il n'eslpas rare, à l'armée, de voir des soldais mourir subitement au moment d'une bataille, sans qu’on p
ux qui en font usage sont lourds, hébétés, stupides, et finissent par mourir dans un état d'idiotisme complet. Pour les Malais
des charges, et tu reviendras ensuite gouverner cette province, ou lu mourras . Tout arriva comme elle l’avait prédit; on conte
connaissez peu les hommes! Tenez : une princesse souffre, languit, se meurt ; vous croyez qu’on va essayer de la soulager; vou
t trop tard. Malgré tous les soins dont elle a été entourée, elle est morte après deux jours d’horribles souffrances. » En
qui est en lui. Suivant reci, alors, l’âme d’un tout petit enfant qui meurt pourrait bien n’être qu'à la fin d’une punition c
appuyer celte pensée. Ne dit-oo pas tous les jours d'un enfant qui meurt au berceau : C’est an ange de pim au ciel! Phrase
permis, après les cérémonies (le la religion, de venir jcler quelques Meurs sur la lon.be «l’un ami. Il était auss:, lui, i
ure; les uns devront avancer en se traînant jusqu’à un certain âge et mourir jeunes encore; d’autres, tout en vivant, éprouver
ez-vous d’où vient la lumière. Il est des hommes qui veulent vivre et mourir dans les ténèbres, ne soyez point comme eux; ils
t cc qui s’en dit, ils se promirent l’un à l’autre que le premier qui mourrait en viendrait apporter des nouvelles a son compagn
eur Condorcet, vous «expirerez étendu sur le pavé d’un cachot; vous « mourrez du poison que vous aurez pris pour vous « dérober
rez les veines do vingt-deux coups de rusoir, et « pourtant vous n’en mourrez que quelques mois « après. » On sc regarde et on
u d’un accès « de goutte, pour être plus sûr de votre fait, et vous « mourrez dans la nuit. Vous, Monsieur Nicolaï, vous ■ mour
fait, et vous « mourrez dans la nuit. Vous, Monsieur Nicolaï, vous ■ mourrez sur F échafaud ; vous, Monsieur Railly, sur «l'éc
re une terrible exécution ; el moi, grâces « au ciel !... —Vous? vous mourrez aussi sur l’écha-« faud. — Oh! c'est une gageure,
2° Comme vous l’avez dit, le maréchal Bugeaud ne rc-« viendra pas; il mourra hors du combat. « 3° La cause libérale triomphe
98 (1892) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 1
portant. Son pore, d'une bonne sa'nté, est mort à 97 ans. Sa mère est morte en couches à 46 ans. Il était très jeune (9 ans)
nt fort intéressants à signaler. Sa mère était épileptique : elle est morte en état de mal. Il a un frère atteint également d
, 35 ans, brocheuse. Antécédents héréditaires, côté maternel : Mère morte à 71 ans d'une maladie du foie. Grand-père mort d
ns d'une maladie du foie. Grand-père mort devieillesse. Une tante est morte d'une maladie du foie; e^e a été prise de trouble
son grand-père est mort d'une attaque d'apoplexie, sa grand'mère est morte très vieille avec une paraplégie de nature inconn
vec une paraplégie de nature inconnue, de durée courte. Une tante est morte poitrinaire. — Dans la ligne maternelle : le gran
turière, est âgée de quarante ans. Antécédents héréditaires. — Mère morte à soixante-trois ans d'une tumeur fibreuse. Grand
. — Mère morte à soixante-trois ans d'une tumeur fibreuse. Grand'mère morte hydropique. Une tante est morte à soixante-quinze
ans d'une tumeur fibreuse. Grand'mère morte hydropique. Une tante est morte à soixante-quinze ans. Elle avait été at teinte
B..., âgée de 57 ans, couturière. Antécédents héréditaires. — Mère morte à cinquante-huit ans d'une hernie étranglée opéré
e chemin de fer, est mort d'un accident, et deux sœurs dont l'une est morte à trente-sept ans d'une affection du rectum (?) e
thal-moplégie, de gêne de la parole, de paralysie glosso- laryngée, morte par syncope), de Rosenheim (femme de 41 ans attei
on ne retrouve absolument'rien dans les antécédents. La mère, qui est morte d'une"pleurésie à trente sept-ans, avait toujours
15 avril 1890, salle Prus, n° 10. Antécédents héréditaires. — Mère morte ictérique à soixante-deux ans. Père en bonne sant
ais incapable de tout labeur régulier, ne se voie réduit, pour ne pas mourir de faim, à exercer quelque métier interlope, et à
beaucoup et quand il avait bu, il était sujet à des crampes. — Mère, morte hydropique, pas nerveuse. — 5 frères et sœurs, do
certains cas très exceptionnels où la cécité peut s'installer à de- meure et devenir permanente. La raison de cet état amau
ropisie probablement cardiaque, avec crachements de sang. Sa mère est morte d'une peur survenue pendant le sac de Bazeilles p
l'autre n'avaient eu de maladies nerveuses. Une sœur de la malade est morte de la poitrine à vingt-sept ans ; une petite fill
de la poitrine à vingt-sept ans ; une petite fille de cette sœur est morte quelque temps avant sa mère d'une méningite. Poin
ante-huit ans, rhumatisante, aurait eu des attaques étant jeune. Sœur morte à dix-neuf ans de la fièvre typhoïde. Elle a eu d
é de métier où il piît être soumis à aucune intoxication. Sa mère est morte à l'âge de cinquante-cinq ans, à la suite d'un ac
rveuse, sujette à des colères violentes. La grand'mère maternelle est morte paralysée ; mais on ne peut avoir de renseignemen
99 (1888) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 5. Maladies des poumons et du système vasculaire
lle était véritablement réduite à la seule contemplation de la lésion morte . Dans la situation 1 Laënnec. — Dictionnaire de
du souffle caverneux. On pense à l'existence d'une vomique, la malade meurt dans le marasme, A l'autopsie, tout le poumon g
urbe ther-mique. Le premier est celui d'une malade nommée Coudraux, morte à l'âge de 76 ans. Elle entra pour la première fo
tion d'après un cas observé par M. Olivier, chez une femme de 20 ans, morte en couches, un an après le début des accidents pu
stiques n'ont pas les poumons noirs, ce qui tient à deux causes : ils meurent jeunes, et ils vivent en plein air. A plus forte
e l'élémentpneumonique, dans la phtisie et que les phtisiques peuvent mourir par le fait de la pneumonie, M. Charcot est d'avi
respiration stertoreuse, et bien-tôt râle laryngo-lrachéal. Le malade meurt une heure environ après la chute. Autoi'Sie fai
, Anat. pat/iol., 28° livr.) Obs. VII. — Chez une femme de 45 ans., morte avec une hyper-trophie du cœur, on rencontre dans
heures, la malade descend de son lit; elle tombe aussitôt à terre et meurt subitement. Autopsie faite le (î avril, à 9 h.
e l'on avait d'abord formulé avec une assez grande réserve. Le malade meurt treize jours après le début. A l'autopsie, on c
me tomba par terre, et avant qu'on pût appeler du se-cours elle était morte . L'autopsie n'a pas été faite ; mais d'après les
de dix-sept ans, qui n'était ni grosse ni récemment accouchée, et qui mourut subitement après avoir éprouvé des syncopes répét
tiré de la veine est couenneux. Le lendemain de son entrée, le malade meurt subitement. Autopsie. Les artères pulmonaires s
is envi-ron. Le 25 août, dyspnée et orlhopnée ; le 27 août, la malade meurt subitement. Les artères pulmonaires des deux côté
ulsifs du bras, fait quelques inspirations bruyantes et profondes, et meurt au bout de quelques minutes. Autopsie. Ulcérati
, prononça quelques mots d'une voix faible, se renversa sur le dos et mourut . Tout cela dura à peine quelques secondes. A l'ex
situa-tion horizontale, elle pâlit tout à coup et s'écria: « Oh ! je meurs ! » Un médecin du voisinage fut immédiatement appe
que complètement isolé dans la science : il s'agissait d'un homme qui mourut subitement et chez lequel on trouva, pour toute l
e, à l'origine de l'artère ; il s'ouvrit à l'inté-rieur, et le malade mourut d'infection purulente.— La qua-trième est .person
et laisser vivre le malade pendant un assez long espace de temps. Il mourut à la suite d'une hémoptysie foudroyante, occasion
e du sujet fut prolongée pendant cinquante et un jours ; et lorsqu'il mourut , on put constater que sur deux points, dans une é
prouva, quelques mois après sa guérison, des douleurs à ce niveau. Il mourut quelques années plus tard, et l'on trouva, au-dev
tion de ce genre fut observée par Nicholls chez le roi George II, qui mourut d'une rupture du cœur en 1760 ; et Maunoir (de Ge
e, peu après le début des accidents. Sur les deux autres, le pre-mier mourut assez rapidement, par rupture de l'oreillette dro
d'une affection du cœur. — Des 20 cas, rassemblés par Rokitansky, 15 moururent presque subitement ; 1 au bout de 5 à 6 heures ;
lobules graisseux, nageant dans un liquide séreux. Chez une femme qui mourut à la Salpêtrière, des suites d'un ramollissement
vorise le détachement. L'un de nous (M. Charcot) a vu chez une femme, morte de phlhisie pulmonaire, une concrétion fibrineuse
ent, elles aussi, subir ce travail régressif. Chez une femme âgée qui mourut à la Salpêtrière avec des symp-tômes typhoïdes tr
omènes que nous avons recon-nus et discutés chez le cheval. Le malade meurt tout à coup d'hémorragie gastro-intestinale. A l'
lle avait des syncopes, et c'est pen-dant une de ces syncopes qu'elle mourut . A Y autopsie, le foie paraît, à la coupe, semé
100 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ns, après quelques jours de maladie; homme doux, tran- quille. Mère morte à soixante-quatre ans, hémiplégique; ni migrai-
inq ans; l'autre, en bonne santé, a perdu une fille, enfant unique, morte à trente ans hydropique. Antécédents personnels
en secondes noces, il a épousé deux soeurs; sa pre- mière femme est morte de tuberculose pulmonaire à vingt-deux ans, ne
ce de M. le professeur Charcot). Antécédents DE famille. Son père mourut à l'âge de cin- quante-huit ans à la suite d'un
ngt-trois ans, Bo... se maria, il n'eut pas d'enfants. Sa femme est morte il y a deux ans à la suite d'une opération qu'on
aussitôt qu'ils sont soulevés, retombent lourdement comme une chose morte . La résistance que le malade peut opposer au mouv
tière ! Pourquoi cela ? Et s'il était démontré encore que ces tu- meurs et ces ulcères autour desquels on mène tant de br
ir par cette opération, elle étoit bien aise de la lui épargner, et mourir pour mourir, il falloit autant qu'elle ne souff
opération, elle étoit bien aise de la lui épargner, et mourir pour mourir , il falloit autant qu'elle ne souffrit pas. JI
avaient presque complète- ment disparu depuis huit mois, lorsqu'il mourut presque subite- ment à la suite de crises épile
l'introduisit dans le nez et l'avala dans un but de suicide : elle meurt dix-huit jours plus tard : perforation stomacal
lpêtrière en 1884, y séjourna jusqu'en 1891, époque à laquelle elle mourut de phtisie pul- monaire, et elle fut pendant ce
de convulsions. Soell1', con- vulsions de l'enfance. - Autre saur, morte de convulsions . Conception durant l'ivresse. N
e qu'on exécutait sur lui pour la seconde fois. Mère, non nerveuse, morte à vingt-quatre ans, d'une affection pul- monair
tude bien portant, est mort à soixante-dix ans de pneumonie. Mère morte à cinquante-neuf ans avec de l'ictère, aurait con
». Cette maladie aurait duré deux jours. La grand'- mère maternelle morte assez âgée à la suite d'une fracture de jambe a
ale1'1lel paraît avoir été diabétique. La grand'mère maternelle est morte « asthmatique z Dans le reste de la famille de
emporté elle est mariée et a eu 2 filles, une de ces dernières est morte en ayant des convulsions, l'autre a toujours jo
s),sobre et intelligent, n'a jamais eu de convulsions; 4° une fille morte à onze mois de méningite avec de nombreuses cri
d mal liées qu'elle finit ensuite par formuler, en se donnant comme morte depuis plusieurs années. Aujourd'hui, elle s'ét
e. La chose la plus heureuse du monde serait que le petit malade ne mourût pas. M. le Dr BREMER expliqua que le Dr Tuholsk
de sept ans, et on lui enleva un grand morceau d'os; mais l'enfant mourut de pyrexie, que M. Horsley croit être due à la
ent qu'elle a cherché à parer les coups. Mo- reau, croyant sa femme morte , se pendit. (Radical, : 1. or juillet 1891.) UN
a toujours eu une santé très forte; mais une de ses soeurs vient de mourir , présentant depuis quelques années des arthrite
ille qui a dû sup- porter les atteintes de la maladie. Il a déjà vu mourir un de ses frères d'atrophie musculaire. Celle-c
ique chronique qui cessa de délirer dès le début de l'at- taque, et mourut avec une grande frayeur de la mort. 5° Idiotie,
ose générale aboutit géné- ralement àla démence vraie, et le malade meurt , le plus souvent, d'une affection intercurrente
la Clinique des maladies mentales; Erythème symptomatique des tu- meurs cérébrales (Encéphale, 1881); - Mal perforant du
l'ataxie locomotrice (Congrès de Londres, 1881; en anglais); - Tu- meurs et abcès du cerveau, en collaboration avec le Dr
nale un cas de superstition rare : c Dans la commune de Spatla, est morte ces jours-ci une vieille paysanne qui avait une
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