79 à 82 ans). -Tante maternelle crises nerveuses. Tante maternelle
morte
phtisique. Tante maternelle rhumatisante. - Cou
ions de l'enfance; très nerveuse, migraineuse, caractère irritable,
morte
en couches; paralysée du côté gauche. Grand-pèr
ée du côté gauche. Grand-père maternel aliéné. Cousine ger- mamie
morte
de méningite. Pas de consanguinité. Inéga- lité
e boisson, paralysé du côté gauche. : 11·rière-rancl'mèae maternelle,
morte
paralytique. Pas de consanguinité ; différence
ternelle, excès de boisson. Deuxième arrière- grand'mère maternelle
morte
d'un cancer du sein. - Pas de consanguinité. In
rale. SOMMAIRE. Père, caractère violent. Grand'mère mater- nelle,
morte
d'apoplexie. Mère, caractère emporté. - Pas de
hèmorrhagie cérébrale. - A1'1'iè7'G'-Jr21nCl'lnèl'e ? atL'7'12elle,
morte
d'un cancer uté- rin. Grand-oncle paternel; mor
ère maternel mort paralysé et aptta- sique. Grand' tante maternelle
morte
tuberculeuse. Grand-oncle maternel aliéné. Pas
rand-père pa te1'iw l, i excès de boisson. - Grand'mè1'e paternelle
morte
d'un çan- cer de l'utérus. - 011cle pate1'1wl,
apoplectique (hémiplégie gauche). - Cousine paternelle au te degré,
morte
épileptique. Mère, grande et forte, nez aquilin
-père paternel, mort de la pierre. Arrière-grand'mère z paternelle,
morte
de la rupture d'un anévrysme aortique. Grand-on
le paternel, mort de méningite traumatique ( ? ), Tante paternelle,
morte
phthisique. Mère, vive et coléreuse. Cousin idi
très violent. Grand-oncle paternel, alcoolique. - Tante paternelle,
morte
de la poitrine. Autre tante paternelle, TRAITEM
e la poitrine. Autre tante paternelle, TRAITEMENT CHIRURGICAL. 71
morte
de méningite etdephlhisie. Autre tante paternelle
algies. Pas de consanguinité. 7nëga- lité d'âge de huit mois. Soeur
morte
de convulsions à 4 mois. Asphyxie complète à
ternel, fréquents excès de boisson, violent.- Grand'mère paternelle
morte
des chagrins occasionnés par les violences et l
ns occasionnés par les violences et l'ivrognerie de son mari. Mère,
morte
d'une affection cardiaque.-Renseignements insuf
ison. - Pas de consanguinité. - Inéga- lité d'âge de 5 ans. - Soeur
morte
de convulsions. - Soeur, colé1'cuse : -¡lut¡'e
Sommaire. - Enfant assisté : père mort de bronchite en 1879 ; mère
morte
de p)vtlcisie en 1879; - absence complète de re
la main attribué à la foudre. - Frère, convulsions internes. Soeur
morte
de méningite- Conception dans l'alcoolisme. -As
isson postérieurs à la naissance du malade, - Grand'mère paternelle
morte
paralytique. Renseignements insuffisants sur la
; pas de migraines. [Père, mort d'accident ; aucune maladie. Mère,
morte
à 78 ans, elle était paralysée depuis quatre an
père paternel, tué durant la guerre de 1870. Gran'd'mère paternelle
morte
à 74 ans ; elle avait joui d'une bonne santé. -
n membre ayant présenté des accidents nerveux.] Mère, domestique,
morte
il 53 ans d'une maladie du foie ; on n'a aucun
. Visage congestionné mais non cya- nosé. A 10 heures 1/2 le malade
meurt
brusquement. T.R. aussitôt après la mort, 36° ;
ère maternel, mort paralysé et apha- sique. Grand'lante maternelle,
morte
tuberculeuse. Grand-oncle maternel, aliéné. Pas
and-père paternel, mort à 47 ans du choléra. Grand'mère paternelle,
morte
à 99 ans, paralytique, aphasique, auparavant el
- Grand-père maternel, aucun renseignement. Grand'mère maternelle,
morte
à 59 ans, d'une maladie de coeur. Un oncle pate
ingite, à 4 ans, convulsions très légères à la dentition ; 3° Fille
morte
à 7 ans de méningite; - 4° Fille morte à 17 moi
es à la dentition ; 3° Fille morte à 7 ans de méningite; - 4° Fille
morte
à 17 mois de fièvre typhoïde ; à partir de 9 mo
ante, intelligente, petites convulsions à la dentition; - 6° Fille,
morte
à 3 ans 1/2 de fièvre typhoïde, intelligente ;
tralgie. [Père tué, en 186'2, par un bran- card de voiture. - Mère,
morte
du choléra à 49 ans, avait été atteinte d'alién
une punaisie. [Père, mort à 55 ans, de bronchite chronique. - Mère,
morte
d'une pleurésie iL 42 ans. Elle était peintre s
de détails. - Grand-père mater- nel, bègue. Grand'mère maternelle,
morte
asthmatique à 63 ans. Un frère, bègue ; un autr
Une fois, a la fin d'une crise, il râlait ; ou croyait qu'il allait
mourir
(8 ans). Dans sa huitième année (188G), il a eu
ternel mort d'une hémorrhagie cérébrale. Grand'mère mater- nelle,
morte
paralytique. Arrière-grand-père maternel, mort
ent à 87 ans. - Oncle maternel, convulsions jusqu'à 11 ans. - Soeur
morte
de rougeole auec complication cérébrale. - Pas
7 ans, d'une affection pul- monaire ; pas d'accidents nerveux. Mère
morte
à 83 ans ; elle avait eu, à 60 ans, une attaque
ait eu, à 60 ans, une attaque d'hémiplégie. Grand' mère maternelle,
morte
centenaire. Tante paternelle morte d'un cancer
légie. Grand' mère maternelle, morte centenaire. Tante paternelle
morte
d'un cancer de l'estomac. Il n'y a pas de trace d
e d'un caractère calme, mort à 53 ans, d'hémorragie cérébrale. Mère
morte
à 66 ans, d'une paralysie probable- INJECTIONS
enfants dont quatre bien portants, l'un mort en naissant, une fille
morte
de cholérine à 13 mois, une autre morte de roug
rt en naissant, une fille morte de cholérine à 13 mois, une autre
morte
de rougeole à 3 ans, avec complications cérébrale
orte de rougeole à 3 ans, avec complications cérébrales ; une autre
morte
de bronchite à G semaines. Sauf la rubéoli- que
ade, mort à 5 ans d'u- ne pneumonie. Mère, pas d'accidents nerveux,
morte
à 74 ans. Renseignements insuffisants sur le re
ours folle. [Père, mort d'une fluxion de poitrine à 52 ans. Mère,
morte
d'une maladie du foie à 67 ans. Pas d'autres mani
couché comme le précédent, dans le jardin où il travaillait. Rip..
meurt
de la même façon que Boull.. étouffé par ses or
amarades, il est sombre, prétend que ses camarades veulent le faire
mourir
, que des ser- gents de ville ont voulu l'arrête
Deux grands oncles maternels morts de la poitrine. Tante maternelle
morte
diabétique. Pas de consanguinité. - Inégalité d
e, pas d'alcoolisme. Homme intelligent et de caractère calme. Mère,
morte
à 43 ans de tuberculose pulmonaire ; pas d'affe
avait le caractère «comme tout le mon- de. » Grand'mère maternelle,
morte
à 81 ans, de vieilesse, et ayant conservé «tout
ur la moindre chose et pleure facilement. Grand'mère pater- nelle
morte
à 77 ans, intelligente, de caractère calme. -Les
TOPSIE . M9 avec '38°,5, Le reste de la nuit, pas d'accès. L'enfant
meurt
à 2h.314. 170 HÉTÉROTOPIE CÉRÉBRALE. La dur
tier par ses camarades. Il faisait quelques excès de boisson. Mère,
morte
à 78 ans; elle n'était pas d'un tempérament ner
ses nouvelles. [Père, mort d'une fluxion de poitrine ; sobre. Mère,
morte
à 82 ans, de vieillesse. On n'a pas de renseign
chanteuse dans un concert, intelligente et bien portante; 2° fille
morte
à 11 ans d'une péritonite; elle était assez int
employé d'impri- merie, est d'une intelligence médiocre ; 5° fille
morte
à 7 mois de diarrhée ; -6° notre malade ; 7° fi
impression- née à la suite de la perte de sa fille, âgée de 11 ans,
morte
au moment où elle l'embrassait. - L'accollcheme
ne sait de quoi à 45 ans, cul- tivateur, excès alcooliques. - Mère,
morte
à 52 ans, hydropi- que ( ? ), ni alcoolique, ni
teau, il cul- tivait la terre, était sobre, et bien portant.- Mère,
morte
à 65 ans après deux mois d'unc maladie restée i
oir : 39, 2. 2 décembre. Dyspnée très intense. T.R. 40°. L'enfant
meurt
à 8 heures /.1' Mensurations de la tête. Hydr
r, ne pouvant à la suite de douleurs se servir d'une jambe. Mère,
morte
à 77 ans de pneumonie ; depuis longtemps elle sou
d-père maternel, mort à 80 ans d'accident. Grand'mère maternelle,
morte
à 82 ans, avait eu dans les deux ou trois dernièr
ernels, morts assez âgés, on ne sait de quoi. Une tante maternelle,
morte
à 38 ans, probablement tuberculeuse, a eu une f
ternelle, morte à 38 ans, probablement tuberculeuse, a eu une fille
morte
tuberculeuse. - Cinq frères, dont deux morts d'
nerveux, les deux autres sont morts jeunes.. Trois soeurs : une est
morte
tuberculeuse à 30 ans; une autre qui avait eu,
à 30 ans; une autre qui avait eu, étant jeune, des crises de nerfs,
mourut
à 25 ans il la suite de mauvaises couches. Elle
guinité. Inégalité d'âge de 3 ans et demi. Trois enfants : t fille,
morte
il 5 ans d'une maladie aiguë, intelligente, pas
e. Grand-père paternel, mort à 96 ans( ? ). -Grand'mère maternelle,
morte
d'un cancer au sein. Deux oncles et deux tantes
- Hydrocéphalie : DESCRIPTION DE la malade. '215 mère maternelle,
morte
de tuberculose pulmonaire chro- nique. Six oncl
t en pleine vigueur des suites d'une piqûre. Grand'mère paternelle,
morte
à 79 ans, durant le siège dont elle n'a pu supp
ts. Grand-oncle paternel mort il 8 ? ans. - Grand'tante paternelle,
morte
il 8 ! t ans.-Un oncle mater- nel est mort à un
e rougeole le lerjuin, qui se complique de broncho-pneumonie, et il
meurt
le 6 juin 1887. La température était montée pro
els, morts de bron- chite chronique ( ? ).- Grand'tante paternelle,
morte
de con- gestion cérébrale. Oncle paternel, mort
icidé. - Un oncle pater- nel, excès vénériens. illère, migraineuse,
morte
plitisi- que. Grand-père maternet, bègue. - A1'
d'âge de 8 aiis. - des quatre- 'membres à la suite de convulsions,
morte
phtisique. Premières convulsions iL un an. Seco
, faisait d'assez fré- quents excès de boisson (vin blanc). - Mère,
morte
à 74 ans. d'une bronchite catarrhale, était sob
oncles paternels sont morts tuber- culeux. Une tante maternelle est
morte
à 78 ans de conges- tion cérébrale. Deux tantes
s et d'esprit, mais aveugle depuis plu-. sieurs années; l'autre est
morte
plus que quadragénaire, on. ne sait de quoi.- O
et psychique dans le reste d3 la famille du père]. Mère, lingèrc,
morte
tuberculeuse à 45 ans, aurait eu à 5 ans une fi
mais présenté de troubles psychiques, sauf la grand'mère maternelle
morte
à 84 ans et atteinte de démence sénile. Un oncl
Inégalité d'âge : 8 ans. 4 enfants : 1° fille, née avant terme et
morte
à 6 jours, sans avoir eu de convulsions ; 2° fi
1) Des renseignements postérieurs nous ont appris que cette soeur est
morte
phtisique.. , ... Hydrocéphalie; contracture;
ec lui les tristes conséquences de la fatalité ancestrale; elle est
morte
phtisique et paralysée des quatre membres. Dès
à deux mois /2 de convulsions. - Soeur, intelligente. Autre soeur,
morte
de bronchite, à 5 ans. Va7'ioZoïde au 3me mois
ntre elles a des enfants : deux filles (du même amant) dont une est
morte
de la rougeole et l'autre est en bonne santé. P
calme et ne présente aucun trouble nerveux. Mère, enfant naturelle,
morte
à 67 ans, on ne sait de quoi. Grand- père pater
sait de quoi. Grand- père paternel inconnu. Grand'mère paternelle,
morte
d'un cancer au sein. Grand-père maternel, incon
ancer au sein. Grand-père maternel, inconnu. Grand'mère maternelle,
morte
à 78 ans, sans affection bien définie. Aucun au
ns, tête normale; instruite (a son certificat d'études) ; 3° fille,
morte
à 5 ans de bronchite, pas de convulsions, tête
s, limonadier, est marié en secondes noces, sa première femme étant
morte
tubercu- leuse. Il buvait beaucoup autrefois, s
e. [Famille du père. Père, mort à 83 ans, on ne sait de quoi. Mère,
morte
à 90 ans, après peu de jours de maladies, se po
u soeurs : 6 sont morts en bas âge de convul- sions ; Une soeur est
morte
à 7 ans, on ne sait de quoi. Une autre soeur es
ne soeur est morte à 7 ans, on ne sait de quoi. Une autre soeur est
morte
assez jeune, phtisique, elle n'avait pas d'enfa
le, est devenue folle à 37 ans, la folie n'était pas violente, elle
mourut
chez elle à 40 ans. - Deux frères : Un mort tub
mauvais ; la diarrhée réapparaît abondante le 12 janvier. L'enfant
meurt
le 18 janvier dans un état de maigreur extrême
rnel, bègue. Pas de consanguinité. Inégalité d'âge d'un an. Soeur
morte
de convulsions et deux autres de congestion céréb
i ne dura qu'un mois (thrombose cérébrale.) Pas de démence. Mère,
morte
il 56 ans, cl'ér5sipcle. Depuis l'âge de 41 ans,
s. Grand-père paternel, mort à 58 ans ( ? ). Grand'mère paternelle,
morte
à 81 ans, en 1870. du typhus. Le grand-père mat
int de paralysie et de démence sénile, et la grand'mère maternelle,
morte
à 82 ans, hydropique, étaient tous les deux alc
on- sanguinité. Différence d'âge d'un an. Onze enfants : I° fille
morte
à 5 mois de convulsions ; 2° fille mariée, bien
gers excès alcooliques. Mère, bien portante. Grand'mère maternelle,
morte
subitement ( ? ). Aïeul maternel, dément. Cousi
50 ans, sobre et bien Antécédents personnels. 291 portant. Mère,
morte
subitement à 39 ans, d'une rupture d'ané- vrysm
and-père maternel, pas de renseignements. Grand' mère paternelle,
morte
âgée, on ne sait de quoi. Un frère, bien portant,
ant naturel, 61 ans, scieur de long, sobre et hien portant. - Mère,
morte
avec une der- matose qualifiée d'eczéma ( ? ),
nement sur les grands-parents sauf sur la grand'mère maternelle qui
mourut
paralysée. Trois frères bien portants et sobres
e, monople- gie brachiale. Mère, bien portante. Tante maternelle,
morte
tuberculeuse. Pas de co11sa11yuinité. Frère ain
I1;. [Famille du père : Père, mort du choléra, était sobre. Mère,
morte
on ne sait de quelle affection, à l'époque de son
plus grande partie de son enfance dans les hôpitaux d'enfants, est
morte
à 15 ans, on ne sait de quoi. A part cela aucun
e, n'a jamais eu de convul- sions ; 3e .Votre malade. 4° Une fille,
morte
à 2 ans, d'an- gine couenneuse, était intellige
eu quelques légères convulsions internes. - 5° Une fille, chétive,
morte
à 14 mois, on ne sait de quoi. Elle n'a pas eu
sa santé antérieure. [Famille du père. Père, journalier, sobre ; il
mourut
à 75 ans de l'émotion de voir les Prussiens env
tion de voir les Prussiens envahir les Ardennes. Mère, migraineuse,
morte
des suites d'une chute accidentelle. - Grand-pè
sept enfants, sains de corps et d'esprit. - Trois soeurs, dont une
morte
d'un abcès du sein, les deux autres sont bien p
ortante, intelligente ; 4° fille, 14 ans, bien portante ; 5° fille,
morte
à 8 mois de la rougeole : - G° notre malade ; 7
inextensi- bles. Il n'en est plus de même des observations de tu-
meurs
du cervelet concernant des enfants ou des ado-
mphati- ques, la plupart tombent dans une cachexie progressive et
meurent
le plus souvent de congestion pulmo- naire. C
. Grand-père paternel, ivrogne. - Grand'mère paternelle, coléreuse,
morte
auec ascite ( ? ). Oncle paternel, ivrogne. Tan
rte auec ascite ( ? ). Oncle paternel, ivrogne. Tante paternelle,
morte
enfant de convulsions. - Têtes volumineuses dans
vec le père jusqu'à la mort de ce dernier et se maria ensuite. Elle
mourut
d'une affection probable- ment hépatique ou ova
s défauts de son père ; 2" le second, 28 ans, est sobre. - Une sur,
morte
à la suite de couches d'une affection aiguë, avai
enfants, l'on ne constata d'accidents nerveux; une demi- (de mère),
morte
à 3 ans 1/2 d'accidents méningitiques avec conv
, méchant, alcoolique, absinthique, battait souvent sa femme. Mère,
morte
à 62 ans, de bron- chite chronique ( ? ) ; migr
t poussés très loin par elle; elle regrette beaucoup sa grand'mère,
morte
récemment et qu'elle compare a au bon pain ». E
du manque d'activité de sa nutrition générale. Le plus souvent il
meurt
entre 3 et 6 ans de broncho-pneumo- nie ou de m
était très alcoolique, mais était vigoureux et bien portant. Mère,
morte
iL 60 ans, buvait aussi beaucoup, elle menait une
est mort tuberculeux à 31 ans, étant soldat engagé. - Une soeur est
morte
à 47 ans de tuberculose pulmonaire; une autre s
soeur est morte à 47 ans de tuberculose pulmonaire; une autre soeur
mourut
à 20 ans des suites d'une tumeur blanche du gen
présenté aucun accident satur- nin, ni nerveux, était sobre. Mère,
morte
d'un cancer uté- rin. Grand-père maternel, mort
presque aveugle. Un opéré d'Audry (Progrès médical, 1882, 17 fév.)
meurt
quelques heures après l'opération. Contentons-n
n L171CC('CLB171 héréditaire. Soeur à tête volumineuse. Autre soeur
morte
de méningite. Émotion 358 ' Hydrocéphalie chron
érieure ne se serait fermée qu'à -16 mois (Fig. 69, 70) ; 2° fille,
morte
à 29 mois, d'accidents méningitiques, après une
ère, convulsions de l'en- fance, suivies de strabisme ; alcoolisme;
morte
aliénée. - Grand-père maternel, méchant et viol
and-père alcoolique, mort des suites, d'une phlébite. La grand'mère
morte
d'une ascite ( ? ) vers 38 ans et une tante, so
rnelle, excès de boisson. - Deuxième arrière- grand'mère maternelle
morte
d'un cancer du sein. - Pas de consanguinité. -
connue du mari. Nerveuse, sans crises. Bon caractère. Intelligente.
Morte
le 23 octobre 1891 de péri- tonite après accouc
, suicidé ; on ignore la cause de ce suicide. Grand'mère paternelle
morte
à 60 ans. Elle commettait des excès de boisson
onque. - Grand-père paternel mort à 76 ans et grand'mère paternelle
morte
à 82 ans d'affections que l'on ne peut préciser
ns, < à la même époque, de fièvre typhoïde. - La quatrième est
morte
à 3 ans du croup. - Aucune n'avait présenté de tr
mais là se borne tous les renseignements. Grand.'mère paternelle
morte
à 73 ans d'une pleurésie ( ? ). Grand-père mate
rs des cuisses et du psoas-iliaque. Ces muscles, de couleur feuille
morte
, sont rétractés au point de ne permettre que pa
famille, le frère aîné de Sal... vint asphyxié à sa naissance et
mourut
deux heures après. Les convulsions liées sans d
n- guinité. - Inégalité d'âge de 10 ans. 4 enfants : 1° une fille
morte
de la variole à 20 jours, sans convulsions; - 2
ET FERMER. SOMMAIRE. - Père tuberculeux. - Grand'mère paternelle
morte
d'apoplexie cérébrale. - Arrière-grand-père pater
, mort à 73 ans, d'accident; pas d'excès de boisson. - Mère, sobre,
morte
à 70 ans d'apoplexie cérébrale sans hémi- plégi
Père violent, buveur, s'est noyé involontairement, à 66 ans. -Mère,
morte
à 73 ans, non nerveuse, sobre. - Pas de renseig
ires ; - 3° garçon, mort à deux ans de fièvre typhoïde; - 4o fille,
morte
à deux ans de convulsions prolongées ; la durée
es phénomènes de la maladie font penser à la méningite; - 5o fille,
morte
à deux ans d'angine diphtérique; - 6° garçon, m
térique; - 6° garçon, mort à deux ans avec convulsions; - 7° fille,
morte
du croup à 18 mois; - 80 garçon, mort à 13 mois
nfant est absolument immobile, ne fait aucun cri, gâte constamment,
mourrait
de faim si on ne la faisait manger régulièremen
atin, l'enfant mange encore un peu de soupe, et, il 10 heures, elle
meurt
, avec pâleur de la face, respiration de plus en
plus en plus rare, une par minute environ, de sorte qu'on l'a crue
morte
une dizaine de minutes avant l'heure réelle de
première fois assez jeune, il eut une fille de son premier mariage,
morte
aux Enfants Malades à l'âge de 3 ans 1/2 de mén
eu des convul- sions durant toute sa vie. Sa première femme serait
morte
subitement durant ses couches. D'après sa secon
ait «abusé de la vie)) et avait abandonné sa femme. - Mère aliénée,
morte
il 45 ans de la rupture d'un anévrisme à la Sal
rand-père pater- nel, pas de renseignements. Grand-mère paternelle,
morte
il y a 6 ans, on ne sait de quoi; auparavant el
. Un oncle maternel, mort à 29 ans subitement. - Deux soeurs, une
morte
à 2G ans de pneumonie; une autre, 38 ans, se port
pelons que le père de l'enfant a eu d'un premier mariage une fille,
morte
à 3 ans à l'hôpital des Enfants Mala- des, cle
e où il y aurait eu des aliénés ; nerveuse et un pou vive, elle est
morte
à G7 ans de la variole. - Une soeur morte folle
et un pou vive, elle est morte à G7 ans de la variole. - Une soeur
morte
folle après un séjour de 1-2 ans dans un asile
se croyait persécutée,. Elle a laissé une lille qui, elle-même, est
morte
folle après deux ans de mariage. Une 2° soeur e
re interner de nouveau. Une 3e soeul', saine d'esprit cette-ta. est
morte
tuberculeuse. Elle a eu 4 enfa Ils, 3 sont mort
e avancé on ne sait de quoi. - La ! ]'ëlJ1cl"mère r¡alerllelle, est
morte
très vieille sans jamais avoir donné de signe d
rt à 89 ans, sans jamais avoir été malade. - Grand'mère paternelle,
morte
à 75 ans. Elle est restée un an au lit avant de
e paternelle, morte à 75 ans. Elle est restée un an au lit avant de
mourir
. Elle était très faible, mais non paralysée. -
e. - Grand-père maternel mort tout jeune. - Grand' mère maternelle,
morte
en couches. Rieii comme maladies nerveuses ou m
rents paternels sont morts jeunes. La. grand'mère maternelle serait
morte
du choléra. - Un oncle paternel, mort à 67 ou G
se, la mère tomba de voiture : « on m'a ramenée chez moi, presque
morte
, dit-elle, à moitié tuée». On lui fit prendre de
ygène. Sulfate de quinine 0.30 centigrammes. Sinapismes. L'enfant
meurt
à une heure du matin. Température après la mort
oncle- paternel, convulsions de l'en- fanez Mère, excès de boisson,
morte
phlhisique. - ^Grand-père paternel mort phthisi
c sa canule, Antécédents héréditaires. 109 au bout de 3 jours. 11
mourut
un mois après sans que la canule eut été enlevé
ux pour ses enfants. Pas de maladies nerveuses. Mère, non nerveuse,
morte
« de chagrin» » 58 ans également, 6 mois après
idiots, ni épileptiques, ni bègues, ni sourds-muets, etc.] Mère,
morte
phtisique, iL 3G ans, en 1891. On ignore si ell
. [Père, mort phtisique, à 50 ans. Mère, de 7 ans plus âgée, serait
morte
également phti- siqtte CI) a 74 ans. Tous deux
paternels, oncles et tantes mater- nels inconnus. Une soeur serait
morte
très jeu ne. Pas d'idiots, d'épileptiques, d'al
le paternel mort de méningite traumatique ( ? ). - Tante paternelle
morte
phthisique. - Mère, vive et coléreuse. - Cousin
convulsions. - Un autre frère mort du carreau, à 3 ans. - Une soeur
morte
de bronchite, - Pas de consanguinité. - Inégali
« très ner- veux » il faisait parfois des excès de boisson. - Mère,
morte
à 70 ans ( ? ). - Grands-parents paternels et m
41 ans, d'une chute de voiture, laboureur, était très sobre. Mère,
morte
à 66 ans, d'une « maladie de ven- tre ». n'a ja
nsanguinité. - Inégalité d'âge de 3 ans. 14 enfants : 10 Une fille,
morte
un quart d'heure après la nais- sance ; - 2° fa
, intelligente, pas de convulsions ; - 12° notre malade; 13° fille,
morte
à 2 ans d'une bronchite, sans avoir eu de convu
es, sirop d'é- tirer ; potion avec acide lactique, 5 gr. L'enfant
meurt
à 3 heures du matin. Son poids au moment 124 De
d'héii-Lo ? - ? ,hagie cérébrale. - Arrière-grand' mère paternelle
morte
d'un cancer uté- rin. - Grand-oncle paternel mo
, mort d'une hémarrhagie cérébrale à 54 ans. Grand'mère paternelle,
morte
à 38 ans, d'un cancer uté- rin. Arrière-grand-p
and-père paternel, 'mortà' 84 ans. - Arrière-grand'mère paternelle,
morte
à' 7f¡' ans. -'Grand- père maternel, mort à 77
i- gre, mais bien conservé et vigoureux. Grand'mère mater- nelle,
morte
à 28 ans, en couches, « de chagrin,' dit-on. »
cle paternel disparut à la guerre de Crimée. - Une tante maternelle
mourut
à 3 ans de convulsions Une soeur, 41 ans, est b
ns un chantier de bois, est sobre et jouit d'une bonne santé. Mère,
morte
à 74 ans, à la suite d'un long séjour au lit, d
'une gastrite ( ? ), vigne- ron, très sobre. Grand'mère paternelle,
morte
à 68 ans, d'accident ; robuste. Grand père mate
uparavant dénoté aucun trouble psychique. Grand' ' mère maternelle,
morte
à 88 ans. - Oncles ou tantes pater- nels : tous
é, sauf un oncle mort il 23 ans, par accident. Une tante maternelle
morte
en bas âge, à la suite d'un mauvais allaitement
rès violent. Grand-oncle paternel, alcoolique. Tante' z paternelle,
morte
de la poitrine. Autre tante paternelle, ' morte
te' z paternelle, morte de la poitrine. Autre tante paternelle, '
morte
de méningite et de phtisie. Autre tante paternell
es. - Pas de consanguinité. I-négà- lité d'âge de huit mois. Soeur,
morte
de convulsions à 4 mois. Asphyxie complète à
né est mort à G semaines ; pas de renseignements. La 2°, fille, est
morte
à 21 ans de la poitrine; Antécédents personnels
Antécédents personnels. 1 149 hémoptysies ; non nerveuse. La 3e,
morte
à 15 ans d'une ménin- gite qui aurait duré un m
ée à 23 ans du choléra; aucun renseignement. Grand-mère paternelle,
morte
à 70 ans. Grand-père paternel, mort à 87 ans et
t qu'elle n'a marché qu'à 15 mois et parlé qu'à 20 mois; -3^ fille,
morte
à quatre mois de convulsions qui auraient duré
était en tout temps un alcoolique avéré. Une tante paternelle est
morte
de tuberculose des poumons et des méninges. Ces
and-père paternel, mort de lapierre. Arrière-grand'mère paternelle,
morte
de la rupture d'un anévrisme aortique. Grand-on
rt de méningite. Autre oncle paternel, suicidé. Tante paternelle,
morte
d'attaques d'éclampsie. Mère, soignée comme hysté
Hôtel-Dicu, après l'opération de la pierre. Gmml'mi : e paternelle,
morte
à 60 ans, de la rupture d'un anévrisme aortique
quoi. - Sur quatre soeurs, aucune n'est vivante. L'une d'elles est
morte
à 18 ans d'attaques d'éclampsie. - Dans le reste
a respiration est calme. Le pouls est encore assez fort. - Elle est
morte
à 7 heures du soir ce même jour, sans grimaces
nt la grossesse. - Grand- père maternel, mort asthmatique. Cousine,
morte
de méningite. Tante maternelle, très nerveuse.
point de vue nerveux. Aucun des enfants n'était névropathe. -Mère,
morte
à 53 ans de la fièvre typhoïde. Elle se portait
'attaques de nerfs, et n'a jamais fait d'excès de boisson. Elle est
morte
à 58 ans d'une maladie du foie qui paraît avoir
- Grand-père maternel, mort de pleurésie puru- lente. - Grand'mère.
morte
d'une maladie de matrice avec pertes. - Quatre
s de bègues, Toutefois, une cousine germaine a eu une fille qui est
morte
à 21 ans de méningite. - Un frère et ses trois
r à minuit : 4 accès. Pas d'accès le restant de la nuit. - L'enfant
meurt
le 22 décembre à 7 heures du matin. T.R. aussit
faciales qui ont nécessité l'emploi de la morphine. Une cousine est
morte
de méningite. II. La grossesse a été troublée p
ue; Par BOURNEVILLE et DAURIAC.. Sommaire. Grand' mère paternelle
morte
épileptique (en état de mal probablement). - Mè
fois. La première femme, qui n'est pas la mère de notre malade, est
morte
de la poitrine, il y a 20 ans. - [Famille du pè
rt d'une fièvre muqueuse et de scarlatine à l'âge de 57 ans. - Mère
morte
des suites d'accès d'épilepsie après la couche
Père, boulanger, mort à 78 ans, sobre, gai, un peu violent. - Mère,
morte
à 46 ans, hydropique, asthmati- que, probableme
Watt... La grand'm(\re paternelle était épileptique et parait être
morte
en état RÉFLEXIONS. 9<5 5 de mal. Chez le
DAURIAC. SomfAmE. - Père, caractère emporté. Mère, caractère vif,
morte
en couches. Grand'mère maternelle morte en cou-
porté. Mère, caractère vif, morte en couches. Grand'mère maternelle
morte
en cou- ches. - Pas d'antécédents héréditaires
re, femme de chambre, caractère un peu vif, sobre, non migraineuse,
morte
à 36 ans en oouc;hcs. E11· n'auraitjawais été m
i fièvre typhoïde. [Père, mort à 50 ans, on ne sa' de quoi. - Mère,
morte
en couches : 1 36 ans. Le reste de la famille e
, bien partante et très intel- ligente; 30 notre m dalle; 4° fille,
morte
en naissant. Notre H1 : llade. -An moment de la
éca, sulfate de quinine. - A 6 heures du soir : T R. lino. L'enfant
meurt
à Il heures 45. T. R. après le décès z,9; d'heu
e vin, était coléreux et brutal, n'avait jamais été malade. - Mère,
morte
subitement à 62 ans, était aliénée ; elle fut i
naît pas les grands-parents paternels.-La grand'mère maternelle est
morte
aussi d'une affection du coeur. - Il y a plusie
bulisme ; toutefois, elle ne semble pas être hystérique. - [Mère,
morte
à 5 ? ans, avait ordinairement une bonne santé. A
g. 6. 244 ECARTEMENT DES OS DU CRANE. 27 novembre, - L'enfant est
morte
ce matin à 8 heures, sans phénomènes particulie
, mort de convulsions. Soeur convulsions de t'e)tm.ce ? lutresceur,
morte
de convulsions. Conception durant l'ivresse. -
ue l'on exécutait sur lui pour la seconde fois. Mère, non nerveuse,
morte
à vingt-quatre ans d'une affec- tion pulmonaire
ude bien portant, ést mort à soixante-dix ans de pneumonie. - Mère,
morte
à cinquante-neuf ans avec de l'ictère, aurait c
». Cette maladie aurait duré deux jours. - La grand'mère maternelle
morte
assez âgée d'une fracture de jambe, aurait été
ernel parait avoir été diabéti- que. - La grand'mère maternelle est
morte
« asthmatique » . Dans le reste de la famille d
mporté, elle est mariée et a eu 2 filles : une de ces dernières est
morte
en ayant des convulsions, l'autre a tou- jours
), sobre et intelligent, n'a jamais eu de convulsions; 4° une fille
morte
à onze mois de méningite avec de nombreuses cri
était d'une très bonne santé habituelle. - Grand'mère maternelle
morte
à 86 ans. - Deux oncles paternels morts tous deux
n'auraient présenté rien de particu- lier. - Une tante paternelle,
morte
a ( ! 0 ans, n'aurait pas eu de maladie nerveus
mariage avec une femme phtisique, (il faut noter que sa mère était
morte
de la poitrine) laissant une fille bien portant
bonne santé. - Deux sceurs du 1er lit également, une des deux est
morte
sans avoir eu d'antécédents nerveux. L'autre soeu
ez vif, emporté. Pas de troubles men- taux. - Grand'mère maternelle
morte
vers 40 ans d'une maladie épidémique ( ? ) ; au
attention. En terminant, il exprime le désir que si son son enfant
meurt
, nous pratiquions l'autopsie et lui en fassions
eu.v. Grand-père puternel, excès de boisson. Grand'mère paternelle,
morte
d'un cun- SUTURES; DU. CRANE DANS L'IDIOTIE'. 3
ate1¡¡1el, mort de méningite traumatique ( ? ). - Tante paternelle,
morte
pthisique. Ti. 3à. Sutures du crâne dans l'id
de convulsions. Un autre frère, mort du carreau à 3 ans. Une soeur
morte
de bronchite. Pas de consanguinité. Inégalité d
BS. XII. - IDIOTIE méningitique. SOMMAIRE. - Grand'mère paternelle,
morte
épileptique (eu état de mal probablement). - Mè
e boisson. - Grand' tante maternelle, migraineuse. - Soeur de mère,
morte
de convulsions. - Enfant naturel : arrêt de dév
lsa7l- guinité ; mère plus âgée que le père de 14 mois. - Soeur,
morte
d'une méningite avec commis ions. Enfant normal j
suicidé par pendaison, ? ... 328 Idiotie. Grand'mère maternelle,
morte
d'une attaque d'apoplexie. Arrière-grand' tante
rnel mort d'un coup de sang. Oncle parternet mort phtisique. - Mère
morte
d'une péritonite un an après une couche. Pas de
ineuse. - Pas de consanguinité. Inégalité d'âge de deux ans. Soeur,
morte
de convulsions. Con- ception durant l'ivresse.
e et donna le coup de mort il son infortuné fondateur (le D'> G.
mourut
à Mon- treux à peine de 47 ans, peu après la fe
Grand-père paternel mort d'ataxie à Bicêtre. - Arrière grand'mère
morte
de paralysie. Cousine germaine, convulsions dan
paternel mort à 65 ans, on ne sait de quoi. - Grand'mère paternelle
morte
a 71 ans, après avoir été clouée au lit, pen- d
nel mort d'ennui d'avoir perdu sa femme. Grand'mère ma- ternelle,
morte
il 65 ans, on ne sait de quelle maladie. 8 gran
pas de renseignements circonstanciés. Une grand'- tante maternelle
morte
iL GO ans. Une tante paternelle, en bonne santé
es jambes avec complication infec- tieuse). - Grand'mère paternelle
morte
à 85 ans. Grand- père maternel mort il 75 ans.
ien portant, d'un carac- tère analogue à celui de son fils. - Mère,
morte
vers 60 ans, peut-être d'un cancer abdominal, p
t atteint de tremblement sénile de la tète et des membres. Sa mère,
morte
à GG ans, on ne sait de quoi, était ordinaireme
-père paternel aurait été bigame. La grand'mère mater- nelle serait
morte
en démence à 80 ans. - Un frère mort en naissan
plégie gauche. Très sobre; sans autre anté- cédent nerveux. - Mère,
morte
jeune, on ne sait de quoi. - Aucun renseignemen
lité d'âge d'un an (père plus âgé). Quatre enfants : 1° Une fille
morte
à 3 ans et demi, sans convulsions. Elle aurait
isparue. T. Il. : 37°,7 et 37°;S. L'enfant, en pleine connaissance,
meurt
à minuit. - Poids après décès : 38 kilogr.. e
s des deux cotés ; ils se produi- sent à la plus légère percussion.
Morte
le 13 mai 1836 dé tuberculose pulmonaire, - .1u
éralisées aux quatre, membres. Idiotie. Gâtisme. Marche impossible.
Morte
le 5 mars 1897 de broncho-pneumonie - Autopsie
d-père maternel, excès de boisson. - Arrière grand' mère maternelle
morte
subitement. Grand-oncle mater- nel suicidé par
traitant. Mère, obèse, porteuse d'une grosse hernie ombi- licale,
morte
il 47 ans à la suite de vomissements tenaces de
ntrariétés dues à l'inconduite de son fils. - Grand'mère maternelle
morte
à 67 ans, « usée par le travail » ; pas de para
bre, aurait eu une maladie du pylore ( ? ). - Grand'mère maternelle
morte
a 71 ans, sans paralysie. - Un grand-oncle pate
n bonne santé, ont des enfants non nerveux. - Une tante maternelle,
morte
vers 35 ans de variole, a eu trois enfants qui
ue de rhumatisme qui se complique d'une affection cardiaque et elle
meurt
iL 41 ans à la suite d'at- taques subiutrantes
urs souffert d'asthme, - Grand'mère paternelle, asthmatique aussi ;
morte
à l'âge de 60 ans ; elle aurait eu 12 enfants.
'une échelle avec traumatismes graves). - Grand'mère mater- nelle
morte
à 61 ans, subitement, a toujours été bien por-
obres et n'offrent rien à noter. Trois tantes paternelles : une est
morte
de pleurésie à 42 ans, les autres sont sobres e
ionnaire, se retourne, voit le visage pâle de sa filleule, la croit
morte
, s'en effraie et crie en pleine église : « Ah !
crie en pleine église : « Ah ! maman, j'ai peur que Jeanne ne soit
morte
! » Rassurée par sa mère, elle continue il écou-
en- dant un mois, parlant sans cesse de la mort, s'imaginant voir
mourir
les uns ou les autres de sa famille. Puis elle co
point qu'elle s'ima- gine que sa lillcule qui l'accompagne vient de
mourir
. L'idée cle la mort l'obsède, elle ne dort plus
ux. - Mère, quarante-cinq ans, rien à signaler. - Tante paternelle,
morte
d'apoplexie. - Autre tante pater- nelle, morte
Tante paternelle, morte d'apoplexie. - Autre tante pater- nelle,
morte
des convulsions de l'enfance. Frère mort à dix-
ans, d'une entérite, sobre, jamais malade. - Grand'mère paternelle,
morte
à soixante-seize ans, d'une affection chro- niq
diabète. - Oncle paternel, mort d'une cholérine. Tante paternelle,
morte
asthmatique. - Alcoolisme DE l'enfance. 85 Au
sthmatique. - Alcoolisme DE l'enfance. 85 Autre tante paternelle,
morte
d'une attaque d'apoplexie en un jour. - Autre t
orte d'une attaque d'apoplexie en un jour. - Autre tante paternelle
morte
des convulsions de l'enfance. - Pas d'aliénés,
veuse : le corps s'est raidi, puis l'enfant s'est écrié : « Je vais
mourir
» ; il ouvrait les yeux démesuré- ment, se penc
, surtout dans la lignée maternelle. Du côté du père, une tante est
morte
d'une attaque d'apoplexie. Un frère aurait eu u
, 2. 5 décembre. T. IL 38° et le soir 38",6. 6 décembre. L'enfant
meurt
it 5 heures du matin. T. R. un quart d'heure ap
re emporté. Grand'tante pater- nelle paralysée. - Tante, maternelle
morte
tuberculeuse. Mère migraineuse, très nerveuse.
nel, caractère violent. - Grand'mère maternelle cancéreuse. - Soeur
morte
de convulsions. État syphilitique de la mère pe
s battements du pouls incomptables. Le malade tombe dans le coma et
meurt
le, 1l à 9 heures, du matin. T. R. après la mor
opathie progressive. Sommaire. Grand-père paternel alcoolique. Mère
morte
'tuberculeuse. Grands-parents maternels tubercu
s,- Grand-père paternel alcoolique. Arriè- re-grand'mère paternelle
morte
en enfance. - Grand-oncle paternel mort d'apopl
rises nerveuses. Cousins morts de méningite : un est arriéré. soeur
morte
de méningite. - Pas de consanguinité. Pas de
t d'un cancer de l esto- nac. - Grand'mère maternelle intelligente,
morte
il 82 ans. - Ni frères ni saurs, - Une lanle ma
rte il 82 ans. - Ni frères ni saurs, - Une lanle maternelle jumelle
morte
en naissant. Pas d'autres renseignements sur le
ère paternelle très nerveuse, sujette à de fréquentes attaques, est
morte
du cho- léra. Grand-père maternel s'est suicidé
s'est suicidé après des affaire* de bourse. - Grand'mère maternelle
morte
à 78 ans d'une IDIOTIE congénitale. 123 fluxi
de poitrine. - Pas d'oncles paternels. - Une seule tante paternelle
morte
tuberculeuse. - Neuf oncles ou tantes maternels
ur; le troisième est mort d-s fièvres en Cochinchine. - Une soeur
morte
de la coqueluche à un âge peu avancé. Dans le r
vait conservé son intelligence. Une (11'ancl'l,1111c maternelle est
morte
il 88 ans, également en 1898, avec toute sa con
li- téré ; pas de lésions valvulaires, pas de coloration feuille-
morte
du muscle. Abdomen distendu par les gaz. Pas d'
nées. - [Famille du père. - Son père est mort tige, sa '1lIè1'e est
morte
à 74 anus ; pas d'autres renseignements non plu
grands parents que la mère n'a pas connus. - Deux soeurs dont l'une
morte
à 42 ans d'un cancer de l'utérus ; l'autre, âgé
h9 ans de tuberculose pulmonaire ; pas d'excès de boissons. - Mère
morte
à 42 ans, également tubet·cttleuse. - Grands, p
- Père, cultivateur, mort h 71 ans; peu de renseignements, sobre. -
morte
à 70 ans ; longtemps malade ; caractère acariât
ran- che, assez intelligente. [Sa famille. - Père, inconnu. Mère,
morte
à 54 ans ; Hydrocéphalie. 153 blanchisseuse,
'mère maternelle de l'enfant, et la conges- /ion cérébrale dont est
morte
une demi-soew' mater- nelle. Signalons en passa
Plusieurs cas de gémella1'ité dans la famille de la mère. Soeur,
morte
de convulsions. - Frère, mort a Bicêtre de sclé
fance. - Autre frère convulsions répétées de l'enfance. Autre soeur
morte
de convulsions. Pas de consanguinité. Inégalité
sa femme. - Grand'mère paternelle, bossue, avenante, intelligente,
morte
d'un asthme en»18-,3. -Arrière- grand-père pate
tins, très sobre, cultivateur. - Grand'mère maternelle, très calme,
morte
subitement d'une congestion au coeur. Arrière-g
rois enfants dont deux sont en bonne santé et dont la troisième est
morte
phthisique à 25 ans. - La tante ma- ternelle, s
ité d'âge de six ans. Dix enfants : 1° et 2°, deux jumelles : l'une
morte
à 20 jours, « s'est éteinte l'autre est morte à
deux jumelles : l'une morte à 20 jours, « s'est éteinte l'autre est
morte
à 2 mois de convulsions qui ont duré trois jour
i ont duré trois jours ; elles étaient nées à 8 mois ; - 3° fille
morte
à. 9 mois en 24 heures de la cholérine ; pas de c
sions assez fortes, est mort à 6 mois de la cholérine : - 10° fille
morte
à 6 mois, convulsions chaque semaine ; sa tête
premier que la mère nourrissait, con- trariée d'avoir vu les autres
mourir
en nourrice. Très cons- tipé, faisant tout vert
tie. SOMMAIRE. Père quelques excès de boisson. Arrière grand'mère
morte
d'une troisième attaque de congestion cérébrale
me attaque de congestion cérébrale. - Arrière grand'mère paternelle
morte
« un peu paralysée riz. - Gémellarité. Mère,
el mort vers 75 ans' on ne sait de d.ûoi. = Graa2tl'wére paternelle
morte
à sa troisième attaque de congestion cérébrale.
mort à 67 ans, on ignore de quelle maladie.. Grand' mère maternelle
morte
un peu paralysée, sans démence ; elle 2; eu deu
l'idiotie. Thèse de Paris. 1898. 13 : 1LLAItU. (J.). - Comment
meurent
les épileptiques. Thèse de Paris. Bellay (P.)
aut que la société ne per- mette pas qu'un être humain puisse ainsi
mourir
. » Et après avoir énuméré les points du problèm
e boissons hebdomadaires. [Père mort asthmatique à 88 ans. - Mère
morte
d'un « chancre rongeant » à la figure. - Une ni
nt a été conçu - 3" garçon mort à 8 jours de convulsions ; 4° tille
morte
à 15 jours de convulsions. Notre malade. - Ri
ible, régulier, à 10. - T. li. 41, 3. Pendant la visite, l'enfant
meurt
sans aucune agitation, et auec sa connaissance.
l'Orne, bien portant; ni alcoolisme, ni accidents nerveux.- Mère,
morte
à 55 ans ; peut-être a-t-elle succombé à une An
. Grand-père maternel, aucun ren- seignement. Grand'mère paternelle
morte
à la suite de couches. - Six oncles paternels ;
te. [En avril 1893, le père de l'enfant nous dit que sa femme est
morte
en couches de son quatrième enfant, un garçon, qu
gnent. La langue est couverte d'un enduit noir et coagulé. L'enfant
meurt
sans convulsions. MÉNIN60-ENCÊPHAI..ITE ; TUBER
fui à l'étranger après escroquèrie. - Arrière-grand'mère paternelle
morte
paralysée. Mère, paraplégie traumatique. - Doub
[Son père, également notaire, est mort du choléra en z Sa mère est
morte
d'une pneumonie à 81 ans.- Grand'père et grand'
ernel, mort de rétention d'urine à 91 ans; - grand'mère maternelle,
morte
paralysée à 78 ans. - Trois frères morts jqtine
typhoïde, l'autre du choléra, le troisième tuberculeux.- Une soeur
morte
jeune on ne sait de quoi.- Pas d'affections ner
e, très intelligente.- [père mort d'une affection cardiaque. - Mère
morte
à G6 ans d'une hydropisie consécutive à une mal
el, alcoolique, paraplégique. - Oncle paternel, alcoolique. Mère,
morte
de tuberculose pulmonaire. - Grand' tante ma- t
erculose pulmonaire. - Grand' tante ma- ternelle, fille entretenue,
morte
à 25 ans. - Une autre grand' tante, attaques de
e, attaques de nerfs, aliénée, alcoolique, hémi- plégique. - Soeur,
morte
de méningite. Pas de consanguinité. - Inégalité
e à 66 ans. Grand'mère, décédéc à 60 ans ; rien de spécial. - Mère,
morte
à 32 ans, d'une tumeur abdo- minale ; pas de rh
nerfs, peu émotionable ; pas de rhumatisme, ni d'affection cutanée,
morte
à 31 ans de tuberculose pulmonaire. [Famille de
° une fille, i i ans, bien portante, bonne écolière ; - 5° fil- le,
morte
àH ans, de méningite avec conUUl.,iotis, en quatr
gaucho chez une grand'tante paternelle. Une soeur de la malade est
morte
de méningite avec convul- sions. II. L'épilep
la suite d'un refroidissement ; habituellement bien portant. - Mère
morte
de vieillesse à 74 ans; elle avait une excellen
d'mère maternelle rien à signaler, à part un asthme avec bronchite;
morte
à 78 ou 80 ans. Aucun renseignement sur les aut
ntellectuelle et physique. Le 8 mars, série d'accès et, à 2 h. ? il
meurt
en ayant eu 25. Température pendant les accès.
siques ou mentales chez leurs enfants. - Une SOEur, religieuse, est
morte
à 83 ans. - Deux frères ont succombé vers 10 ou
d'âge de 10 ans. Six enfants et une fausse couche : 1° Une fille
morte
à 4 mois d'athrepsie ; 2° une fille, 10 ans, in
is d'athrepsie ; 2° une fille, 10 ans, intelligente ; -3o une fille
morte
à 18 mois d'une « fluxion de poitrine » ; - 4"
ge très modéré de l'alcool. - [Famille, de la mère. - Sa mère est
morte
à 76 ans, asthmatique. Son père, nerveux, violent
tion inconnue; - 2° fille bien constituée, née à 8 mois et (lui est
morte
de diphtérie à 3 mois; - 30 fille née à 8 mois,
s et (lui est morte de diphtérie à 3 mois; - 30 fille née à 8 mois,
morte
à un mois en nourrice on ne sait de quoi; - 4o
n nourrice on ne sait de quoi; - 4o -et 5", deux jumeaux, une fille
morte
en nourrice il 6 mois et demi avec de l'ictère,
oissons, mais buvait habituellement « comme tout le monde n.- Mère,
morte
à G5 ans d'hémiplé- gie droite avec aphasie. To
on- gue captivité en Espagne, très fort. - Grand'mère paternelle,
morte
à 99 ans, jamais malade. - Grand-père maternel, o
en portant, mort à 64 ans d'une pneumonie.- Grand'mère maternelle ,
morte
on ne ne sait de quoi a la suite d'une violente
lement d'une affection pulmonaire. - Deux tantes pater- nelles, une
morte
de pneumonie à 57 ans, l'autre vivante, 55 ans,
°, 2. - Soir : T. R. 40°, 1. 8 mat. - Matin : T. R. 39°,4. L'enfant
meurt
dans la journée. La température après la mort a
i- . tique, mort de paralysie générale. - Grand'mère pater- nelle
morte
aliénée. Mère, très nerveuse, syphilitique. G)'
ère, très nerveuse, syphilitique. G)'a ? id')ne ? 'ema(e}' ? teHe ,
morte
diabétique. - Arrière-grand-père maternel, excès
-père maternel, excès de boisson. - At·rière-grand' mère maternelle
morte
d'un cancer de l'estomac. - Deux oncles materne
ment sur sa famille. - Mai- tresse de musique, intelligente, sobre,
morte
d'une pleurésie à l'Aliile clinique (6 janvier
onnels; sobre, caractère assez emporté, est en bonne santé. - Mère,
morte
à 52 ans du diabète, n'a jamais eu d'accidents
de boisson dans la jeunesse, décédé 8'i ans, Grand'mère paternelle,
morte
également il. 84 ans. Grand-père maternel, mort
rnel, mort à 8 : 3 ans, sobre, asthutatique. Grand'mère maternelle,
morte
à 62 ans, d'un cancer de l'es- tomac. Les oncle
une fille de 11 ans. affectée de coxalgie. - Deux soeurs : une est
morte
phtlti.iqtte; l'au- tre, bien portante, n'a pas
s à 23 ans et avait eu de son mari, mort de néphrite aiguë, une f3lle
morte
d'asphyxie pendant l'accouchement. 102 Antécé
ra- lysie générale. - La (grand'mère paternelle de l'en- fant est
morte
aliénée. Tous renseignements nous font défaut s
- Grand-père paternel, pas de détails. - Grand'mère pater- nelle,
morte
à 95 ans. - Grand-père et grand'mère maternels
Antécédents personnels. 115 que. - Une ta ? ite maternelle serait
morte
de tuberculose à 18 ans. Un frère et deux sam1'
sion qui est apparue il y a quelques jours augmente ; l'en- fant
meurt
le matin du 28 sans convulsions. - La tempéra-
d'accidents né- vropathiques. (Nous avons appris depuis qu'elle est
morte
à 78 ans, d'affaiblissement progressif sans dém
iques ni psychiques inté- ressants sur la famille du père.] Mère,
morte
ia 29 ans en 1871 d'une affection chronique de
, à laquelle ressem- blait beaucoup, dit-on, sa fille, serait aussi
morte
poitrinaire. Elle n'aurait jamais eu d'accident
parvenus aux oreilles de la belle-mère de l'enfant, sa mère étant
morte
depuis longtemps ; aussi ne doit-on y ajouter q
igoureux, caractère doux, aucun excès, aucune tare nerveuse. - Mère
morte
à 75 ans d'affection pulmonaire ai- guë; jamais
rs bien portant, de caractère doux, sobre, sans troubles nerveux. -
morte
à 00 ans d'une hernie étranglée ; pas d'acciden
. - La mère a 4 ans de plus que son mari. Six enfants : '10 Fille
morte
des suites d'une chute il 5 ans, n'avait pas eu
ans, n'avait pas eu de convulsions ; - 2° notre malade ; 3" fille
morte
à 3 ans de convulsions ; - 4° fille de 8 ans, int
n âge. » A 2 ans et demi, il a éprouvé une émotion vive en voyant
mourir
sa sieur ainée. Il couchait clans la même chambre
lade. DESCRIPTION DU malade. 155 Soir : T. R. 38°, 8, - Le malade
meurt
à 11 heures du soir. La température après la mo
erculeux. - Soeur strabique à la suite de convulsions de l'enfance,
morte
tuberculeuse. (1) La malade qui a reçu le moins
, il est mort d'une attaque d'apo- plexie en une heure. Sa mère est
morte
« asthmatique » ; elle n'était ni nerveuse, ni
it continué longtemps l'alimentationlactée. - Sa grand'-tante étant
morte
« de vieillesse » (75 ans), sans accidents nerv
tion de la couleur des cheveux à chaque grossesse. Tante maternelle
morte
d'un cancer du sein. Pas de consanguinité. Inég
nte-sept ans, sobre, pas d'accidents nerveux. - llère, migraineuse,
morte
il cinquante-cinq ans de refroidissement; rien
santé ; l'autre, bien portant a un fils de même ; deux soeurs : une
morte
d'un cancer du sein, très intelligente, pas d'a
ix enfants et deux fausses couches : 1" et 2° jumeaux (gar- çon qui
mourut
à trois mois faute de soins, fille morte à quin
2° jumeaux (gar- çon qui mourut à trois mois faute de soins, fille
morte
à quinze jours ; était restée longtemps au pass
s de boisson. - Mère, rien de particulier. Grand'mère maternelle,
morte
d'apoplexie. - Tante maternelle, mi- graineuse.
même de ses enfants et de ceux du précédent. Une tante paternelle
morte
âgée. On ne sait rien des oncles et tantes mater-
es vénériennes, sobre, a été soldat, s'est marié il 29 ans. - Mère,
morte
en 1893, à 56 ans, d'une affection du coeur, n'
bre; est mort il 72 ans, usé par le travail. Grand'mère paternelle,
morte
à 77 ans de vieillesse, n'avait jamais eu de ma
ans de vieillesse, cultivateur, sobre. Grand'mère pater- nelle est
morte
jeune, on ne sait de quoi. - « Mon grand-père p
sième fois à 27 ans. » Grand-père maternel, mort jeune. Grand'mère,
morte
à 86 ans de vieillesse avec toutes ses facultés
ds-oncles paternels. Deux grand'lantes (pas de la même mère), l'une
morte
à 7S ans, l'autre à 75 ou 76 ans Un grand-oncle
ans et demi, sans accidents nerveux, a eu deux enfants : une fille
morte
du croup, pas de convulsions, l'autre, garçon,
qui consiste en une absence complète du cervelet chez une enfant
morte
à 11 ans et qui avait présenté aussi des troubl
intelligente. Oncle paternel mort de méningite. - Tante paternelle
morte
de convulsions. Malformations. Mère,.très impre
d-père mater- nel mort tuberculeux. Arrière-grand'mère maternelle
morte
d'une attaque apoplectique avec paralysie. - Plu-
de jambe, « était aussi dans les théâtres. » Grand'mère paternelle,
morte
à 72 ans d'une maladie du foie. Grand- père mat
aurait été commandant de la place de Verdun. Grand'mère maternelle,
morte
à 60 ans ; a eu 13 ou 14 enfants : «elle a eu m
ants qui sont presque tous morts de méningite ; une autre fille est
morte
de tuber- close pulmonaire à 35 ans. Tante mate
lle est morte de tuber- close pulmonaire à 35 ans. Tante maternelle
morte
à 76 ans d'une fluxion de poitrine laissant un
: Le frère est mort tout jeune de méningite ; La soeur ainée est
morte
étouffée clans le lit, la soeur cadette est morte
a soeur ainée est morte étouffée clans le lit, la soeur cadette est
morte
de convulsions. - Dans le reste de la famille,
ans, boucher, sobre, avait des doulours.-(sranrl-2nèt·e paternelle,
morte
âgée; avait des rhumatismes qui l'ont tenue lon
bre, avait eu un bras emporté il Sébastopol. Grand-mère maternelle,
morte
à 76 ans d'une congestion cérébrale avec paraly
te taille. Elle a eu 4 enfants : trois bien portants, une fille est
morte
de méningite. Les cinq tantes ont une bonne san
es foudroyantes ; Mort. Sommaire. Père alcoolique. Tante paternelle
morte
d'un abcès cérébral. Une autre tante aliénée. T
. - Un frère a eu des convulsions, un cousin a un pied bot. Mère,
morte
de tuberculose pulmonaire, alcoolique. - Un cou
tantes : l'une, âgée de 55 ans, est en parfaite santé, l'autre est
morte
d'un abcès cérébral consécutif à une otite moye
oisième, il la suite de revers de fortune, devint aliénée; elle est
morte
à 08 ans Sept soeurs et cinq frères, presque to
y a pas eu de suicides, ni de prostituées, ni de criminels. Mère,
morte
à 38 ans de tuberculose pulmonaire. Elle avait
la mère. - Père inconnu. Aucun rensei- gnements sur la mère qui est
morte
. - Un cousin a été pendu en Angleterre, pour cr
pisse encore au lit, va à l'école où il n'ap- prend rien; 70 fille,
morte
accidentellement à 11 mois en tom- bant dans un
el, mort de con- gestion cérébrale. -Arrière-grand'mère maternelle,
morte
à sa 3e attaque de paralysie. Bisaïeule aliénée
renseignements. Deux oncles morts vers l'âge de 70 ans et une tante
morte
vers 8-4 ans. Une cousine du père est entrée à
and- père paternel mort vers 72 ans, sobre. Grand'mère paternelle
morte
subitement de congestion cérébrale. - Grand-père
bre, a succombé à sa 3- attaque de paralysie. Grand'mère maternelle
morte
à 76 ans de pleurésie, pas d'accidents nerveux;
e pleurésie, pas d'accidents nerveux; la mère de cette dernière est
morte
aliénée. La grand'mère maternelle du malade aur
ien; on n'a aucun détail sur lui; sa mère était de Gand où elle est
morte
de vieillesse. z Le grand-père paternel est mor
assez rares. En général, ils ont été observés chez des enfants qui
meurent
peu après la naissance. Il est exceptionnel que
suggestionnable. Grand-père maternel', excès de boisson. - Soezti,
morte
de méningite. Pas de consanguinité. Inégalité d
res sont bien portantes ainsi que leurs enfants. Deux soeurs, l'une
morte
à dix-sept ans de tuberculose, l'autre, dix-neu
IDIOTIE 1111CROCEPHALIQUE. de deux ans. Deux enfants : 1° Une fille
morte
à six mois d'une méningite. 2° Notre malade.
T. R. 40°,5. 3. Dans la nuit, mêmes plaintes, mêmes cris, l'enfant
meurt
avec une T. R. de 40°,5. La température après l
, avec troubles intellectuels. Rappelons qu'une soeur du malade est
morte
de méningite à six mois. 96 Idiotie MICROCRPH
e 12 février 1892, est entrée à Bicétre, le 18 novembre 1899 et est
morte
le 22 mai 1900. Enfant assistée, sur laquelle l
es en 4 doses; iodure de potassium : 0,60, etc. 22 mai.- L'enfant
meurt
à 5 heures du matin, sans qu'on ait remarqué ri
rt à 62 ans d'un chaud et froid, a toujours été bien portant. Mère,
morte
à 52 ans «de son retour d'àge. » Elle s'était p
uberculeuse. Grand-père paternel, inconnu. Grand'mère paternelle,
morte
à 73 ans, de vieillesse, avait toujours eu une bo
é. Grand-père maternel, aucun renseignement. Grand'mère maternelle,
morte
à 82 ans, ni démente, ni para- lysée. Oncles et
à fi5 ans d'une maladie cachectisante, cancer ou tuberculose. Mère,
morte
à 70 ans, de vieillesse, n'a jamais eu aucune m
cès de boisson. Grande tante mater nelle migraineuse. Soeur de mère
morte
de convulsions. Enfant naturel : arrêt de dével
e boisson. Grande- tante maternelle migraineuse. - Soeur de la mère
morte
de convulsions : - Enfant naturel : arrêt de dé
nel tuberculeux, « plutôt bête que méchant ». Grand'mère paternelle
morte
à 59 ans d'une fluxion de poitrine. Grand'mère
eux excès de boisson. Mère, peu intelligente. Grand'mère maternelle
morte
à l'asile de Vaucluse de démence sénile. Grand'
e à l'asile de Vaucluse de démence sénile. Grand'tante paternelle
morte
folle dans un asile d'aliénés en Belgique. Deux
s âge. Pas de consanguinité. - Inégalité d'âge de 12 ans. Une soeur
morte
à 2 ans de la rougeole. Une fausse-couche à 6 s
e paternel mort de, ramollissement cérébral. Grand'mère parternelle
morte
d'un cancer utérin, sujette à de violentes colè
paternel, excès de boisson. Grand'lante paternelle, très coléreuse,
morte
d'accidents cérébraux. Autre grand' tante pater
léreuse, morte d'accidents cérébraux. Autre grand' tante paternelle
morte
d'un cancer de l'estomac. Oncle paternel mort d
e boisson. Cousin au 'le degré, strabisme. Autre cousine paternelle
morte
d'un cancer utérin. - Mère, un peu nerveuse, pa
cérébrale à 55 ans, sobre. Oncle paternel, noceur. Tante paternelle
morte
de tuberculose pulmonaire. - Renseignements ins
suffisants sur sa famille. - Mère ner- veuse. Grand'mère maternelle
morte
à 42 ans d'une péritonite à la suite de sa 14°
Tante maternelle nombreux excès de boisson. Autre tante maternelle
morte
d'un cancer de l'utérus après son onzième enfan
ment de l'idiotie. Thèse de Paris. 1898. Ballard. (J.). Comment
meurent
les épileptiques. Thèse de Paris. Rellay (P.)
uent votre suggestion ne peut les atteindre, elle est pour eux lettre
morte
. » Je réponds brièvement. Il est faux que les c
t là, menaçant le malheureux qui, pourtant n'a jamais été ivre. Il en
mourra
, peut-être demain, mais en attendant, il est déso
déchirer le filet. Quand on opère suivant les règles, on peut laisser
mourir
les gens. La satisfaction du devoir accompli perm
çons et 7 filles, dont Edward ?, qui noya un de ses frères, Ethelrede
morte
sans postérité, Elfiede et Ethelhide religieuses.
et fut enfermé dans l'abbaye de Corbie, d'où il s'échappa pour aller
mourir
à celle d'Epternach. Karl le Chauve, ayant perd
ns rien. Quant aux garçons, les deux premiers Pippin (PépinJ et Dreux
moururent
jeunes, le troisième Ludwig naquit et mourut la m
ppin (PépinJ et Dreux moururent jeunes, le troisième Ludwig naquit et
mourut
la même nuit, le quatrième Karl mourut à quelques
le troisième Ludwig naquit et mourut la même nuit, le quatrième Karl
mourut
à quelques mois. En résumé, sur les 11 enfants
aimond de Toulouse IV, qui fit une donation à l'abbaye de Conches, et
mourut
sans enfants bienque marié, et Guillaume de Toulo
'il dota richement; Eudes, un imbécile qui devint évêque d'Auxerre et
mourut
jeune ; et Hugues, mort à 19.ans. Mais peut-êtr
mmense qu'est l'humanité, il est à toutes les époques des rameaux qui
meurent
), vous prierai-je de franchir avec moi les sept s
mé dans l'église des religieux de la Merci, et Marie-Louise de Rohan,
morte
à. 34 ans, mariée et sans enfants. Je pourrais
n traitant et aviser ensuite. Le malade me quitte, rentre chez lui et
meurt
subitement. Une autre fois, je devais aller en
eçus une dépêche me priant de prévenir M. X... que sa femme venait de
mourir
subitement. Si donc j'avais été ce jour-là faire
nce de suggestion à C... je n'aurais certes pas empêché cette dame de
mourir
et beaucoup auraient mis la mort subite sur le co
e de Paris, ce que le roi de France Philippe I" confirma à sa prière,
mourut
en 1087, et fut enterré dans l'église de St-Thoma
a en 1108 la fondation de l'abbaye de Notre-Dame de Noyon-sur-Andèle,
mourut
d'apoplexie le 18 avril 1118 sans enfants quoique
t en 1146 sacrer en sa présence son neveu Menasses, évêque d'Orléans,
mourut
le 14 janvier 1150, et fut enterré dans l'église
tait en ruine, se croisa en 1096 et partit pour la Terre-Sainte où il
mourut
avancé en ïge; Milsende, qui donna la Terre de Ve
du roi, le pape Raniéri de Bieda (Paschal II) à son entrée en France,
mourut
avant août 1108, et fut enterré au prieuré de Gou
e remords, l'habit de bénédictin dans la congrégation de Cluny, où il
mourut
sans enfants bien qu'ayant été marié ; Guy II, mo
nt Agnès de Gat&nde, qui épousa en 1120 Amaury de Montfort III et
mourut
vers 1143. Amaury de Montfort III et Agnès de G
après, il eut le crâne fracturé par une pierre lancée du rempart, et
mourut
en « se recommandant à Dieu et à la Sainte Vierge
t-Jean d'Angely et de Sl-Picrre de Chartres en 1083, 1085 et 1086, et
mourut
sans postérité vers 1090; Geoffroy, vivant en 108
on faite à la même abbaye de l'église de Stilly et d'autres biens, et
mourut
vers 1094. Il épousa Agnès d'Eu. Agnes d'Eu des
chartes accordées de son temps aux églises et abbayes de sa province,
mourut
le 17 juillet 1077, et fut enterré à l'abbaye de
à-Chaux, qu'il réunit à celui de Coincy où il voulut être enterré, et
mourut
le 1" mars 110» ; Renaud, qui donna un four banal
; Renaud, qui donna un four banal à l'abbaye de St-Jean-des-Vigncs et
mourut
le même jour que sa mère; et Agnès, femme d'Herué
slBirtK] it Be.; in ml faveur de l'abbaye de St-Denis en 1066, et
mourut
sans enfants, et Yves IL Yves de Beaumont II fo
lée des grands tenue à Etampes pour résoudre la deuxième croisade, et
mourut
en 1160. II épousa A tine d'Angleterre (1) et en
stantinople, fut ambassadeur des croisés près l'empereur d'Orient, et
mourut
en Terre-Sainte en 1204 ; et Bouchard V. Boucha
les pressoirs de Montmorency, se croisa pour là Terre-Sainte en 1189,
mourut
peu après, sans avoir fait le voyage, et fut ente
pas. Sa conviction demeurait inébranlable. Il était angineux, devait
mourir
subitement. Et, en effet, il succomba subitement
el se fit religieux en J0*i9 à l'abbaye de Ste-Vanne de Verdun, où il
mourut
peu après, il eut une fille, Richitde. Richilde
'évoque de cette ville, Gérard, qu'elle rétablit dans son siège. Elle
mourut
le 15 mars 1086, avancée en âge, et fut enterrée
et églises, entre autres à l'abbaye d'Afflinghen, où il futinhumé, et
mourut
le 25 janvier 1139; Adatberon, chanoine et primic
de St-Servais à Mons et à Bouchain et de St-Jean-Baptiste au Quesnoy,
mourut
le 8 novembre 1171 des suites d'une chute, et fut
secourut Lambert de Louvain contre Baudry de Los, évoque de Liège, et
mourut
sans enfants, et Albert L Albert de Namur I eut q
de la terre d'Andenne a l'abbaye de ce nom, alla en Terre-Sainte, et
mourut
sans enfants quoique marié; et Godefroy. Godefr
ection d'un nouvel abbé, brûla la ville à l'exception de l'abbaye, et
mourut
vers 1139. Il épousa Ermenson de Luxembourg. . Er
r, l'église de Floresties à St-Xorbert poury mettre des religieux, et
mourut
quelque temps après. Godefroy de A'amuretErmens
l'église de Ste-Wautrude ; Agnès, dite la Boiteuse, vivante en 1166,
morte
en avril 1173; Baudouin V, dit le Courageux, viva
culièrement à l'abbaye de Ste-Wautrude de Mons, où il fut enterré, et
mourut
le 17 décembre 1195; Guillaume, qui fut présent e
biens à l'abbaye de Ste-Sauve en 1199 ; et Laurence, vivante en 1160,
morte
le 9 août 1181, qui fit avec son mari beaucoup de
ois d'Erloy, se croisa la môme année contre les Cathares (Albigeois),
mourut
le 24 novembre 1230, et fut enterré dans l'abbaye
la pension de sa fille Perronelle qui s'y était faite religieuse, et
mourut
le 22 février suivant. . Simon de Montfort III
umont et son père Simon III. En 1239, il partit pour la Terre-Sainte,
mourut
au retour en 1341 d'un flux de sang, et fut enter
y, une donation à l'abbaye de St-Bénigne de Dijon, tua son beau-père,
mourut
dans l'église de Florcy-sur-Osch en 1075, et fut
e sa femme llélie, sœur de Hugues de Semur (3t Hugues), abbé dcCluny,
morte
le 29 avril 1109, il eut quatre garçons et une fi
étant veuf, religieux à l'abbaye de Cluny après 1078, devint aveugle,
mourut
vers 1032, et fut enterré dans la chapelle de Ste
ngres, qui assista au concile de Troycscn 1104, prit, un peu avant de
mourir
, l'habit religieux à (1) Voir Arabes d'Antlivof
gie criminelle, 1ô août 130Î. (2) Ibid. ilBur (o;tt- Molesme,
mourut
le 19 octobre 1110, et fut enterré dans la chapel
arte de son frère Eudes en faveur de l'abbaye de St-Benigne de Dijon,
mourut
?? 1" novembre 1112, et fut enterré dans la cathé
a même année une charte en faveur de l'abbaye de St-Bénigne de Dijon,
mourut
en Cilicie le 23 mars 1103, et fut enterré sous l
s le portail de l'église de Citeaux. Il épousa Muthilde de Bourgogne,
morte
religieuse à l'abbaye de Fontevrault, et en eut d
ri de Bieda (Paschal II], donna une charte en faveur de cette abbaye,
mourut
en 1141, et fut enterré ù Citeaux près de son pèr
1172 plusieurs titres de faveur à l'abbaye de Saint-Bénigne de Dijon,
mourut
le 7 janvier 1179, et fut enterré dans la chartre
('), et en eut un garçon et deux filles dont : Alix, vivante en 1169,
morte
après 1201, qui, après s'être mariée deux fois, s
lucin-goli (Lucius III), repartit en 1191 pour la Terre-Sainte, où il
mourut
le 23 août de la même année, et d'où son corps fu
ils mordent dans la chair, la dose de venin est faible et l'animal ne
meurt
point. Le poids du cerveau et l'intelligence
l'église de Saint-Priest-en-Vallée à Saint Hugues, abbé de Cluny, et
mourut
le 19 janvier 11)80. Il eut un garçon, Guigues II
dépendances pour le repos de son âme et de celles de ses parents, et
mourut
en 1156 ; et Marguerite, femme de Guigues de Vien
, et mourut en 1156 ; et Marguerite, femme de Guigues de Viennois IV,
morte
le 8 février 1 l63,et enterrée dans l'abbaye de H
t avec sa femme Mathilde les moines blancs de l'abbaye de Châlons, et
mourut
en 1162, laissant une fille Beatrix. Beatrix de
tes aux chartreux de Seillon en Bresse et à l'abbaye d'Ambronay. Elle
mourut
le 15 décembre 1228, ayant élu sa sépulture dans
Oflf. it Ronrfofif. reconnu chanoine (*) de Lyon en janvier 1230,
mourut
le 5 mars 1236, et fut enterré dans sa chapelle d
Garcende de Forcatquier descendait de Guillaume de Forcatquier V qui
mourut
en 1139, laissant deux fils. L'un, Guigues, légua
nt en 1162, confirma des privilèges pour l'abbaye de Lure en 1191, et
mourut
en 1208. Il eut pour fille unique Garcende de For
i, accompagna Louis de France IX à son premier voyage d'outre-mer, et
mourut
dans l'ile de Chypre en 1249; Marguerite et Laure
Perronelle de Montfort, abbesse de l'abbaye de Port Royal des Champs,
morte
en 1175. II X, Pétronillb, Alix et Agnès de M
I donna à l'abbaye de Port-Royal des Champs la grange de Mortbois, et
mourut
en Terre-Sainte vers 1250. Il eut au moins deux f
ers mois de sa grossesse, la mère avait appris que son mari venait de
mourir
victime d'une explosion de chaudière. Les voisine
le cas d'un fils qui a hérité d'un geste caractéristique de sa mère,
morte
en le mettant au monde, en sorte qu'il ne peut êt
ré Vésale. Il est appelé en Espagne pour faire l'autopsie d'une femme
morte
d'une « suffocation de matrice » ; et la prétendu
d'une femme morte d'une « suffocation de matrice » ; et la prétendue
morte
se réveille, à la première incision. En dépit d
rapides progrès et emporta la malade, le 28 mai. Trois jours avant de
mourir
, elle s'est réveillée spontanément, mais petit à
te parole de Jésus, à propos de la fille de Jahire : « Elle n'est pas
morte
, elle n'est qu'endormie o. Voyez aussi Jean XI, 1
48à 68 heures. Dans la dernière de ces attaques, elle est prise pour
morte
, c'est-à-dire que les battements cardiaques et le
çus. On l'enterre. Le fossoyeur voulant s'emparer des vêtements de la
morte
ouvre, la nuit, le cercueil et l'inhumée revient
signe quelconque de la vie restent infructueux. On la considère comme
morte
. Au bout de 28 heures, on croit déjà sentir un pe
du, elle finit par se réveiller en disant : « Je suis trop jeune pour
mourir
». « Ces divers états d'immobilité, d'insensi
teinte d'une fluxion de poitrine qui, non moins certainement, la fera
mourir
; elle refuse de manger et de boire, elle est à l'
refuse de manger et de boire, elle est à l'agonie, elle se dispose à
mourir
, elle fait ses dernières recommandations, reçoit
(de Nancy) Le fondateur de l'Ecole de psychologie de Nancy vient de
mourir
. Né à Favlères (Meurthe-et-Moselle) le 16 septemb
renouilles en inanition, c'étaient les individus les plus émaciés qui
mouraient
toujours les premiers. Cependant j'ai pu conserve
er malgré les plus fortes secousses imprimées à son corps. La croyant
morte
, je la remis sous la cloche, mais, une heure plus
, comme chef de clinique du professeur Charcot. Le 12 février 1804,
mourait
à Kœnigsberg le célèbre Kant, que la pos,-lérîté
t, D.-M. Le 18 février, le D' Liébeault. doyen de l'Ecole de Nancy,
mourait
à Nancy, dans sa 8le année. Il avait étudié la
t les produits des alcooliques. La plus grande partie des enfants qui
meurent
de convulsions en bas âge sont aussi des enfants
ie et fondateur de la clinique de psychothérapie de La Haye, vient de
mourir
à l'âge de 56 ans. Dans notre prochain numéro, no
re jeune fille a 18 ans. Sa mère a eu des attaques hystériques et est
morte
de bacillose. Enfant, elle est impressionnable, m
les, elle esquisse quelques petites crises. Il y a deux ans, son père
meurt
et aussitôt apparaissent des séries de grandes cr
Nancy, le /9 Mars 1904· Monsieur le Maire, Le Dr Liébeault vient de
mourir
, après une longue et douloureuse maladie. La vi
ie du Dr Liébeault. Stanley, le grand explorateur anglais, vient de
mourir
à l'âge de 63 ans. Né à Denligh dans le Pays de G
se, placée en correction dans un couvent jusqu'à 18 ans, coléreuse,
morte
d'un cancer de la matrice. -Deux oncles paterne
ère, grande et belle femme, méchante, s'encolèrant pour un rien, «
morte
d'un ulcère de la matrice ». Dans sa jeunesse, el
ns sa famille. » - Grand'mère maternelle, « méchante au possible, »
morte
à 72 ans, on ne sait de quoi. Elle avait eu 14
» Deux oncles paternels, sobres, morts de la poitrine. - Une stt7'
morte
jeune de la poitrine. - Un frère, 28 ans, bien
érature. Sommaire. Père mort tuberculeux. Mère un peu ner- veuse,
morte
tuberculeuse. - Grand-père maternel hémi- plégi
tre enfants sains durant sa folie. - Soeur bizarre. - Autre soeur
morte
de mèn.in<7 : te. - Pas de consanguinité. -
oir un « fond de chagrin ». - 2° Une fille, sujette aux bronchites,
morte
de méningite à 5 ans ; - 3° notre malade ; 4° u
re maternel, excès de boisson; mort paralysé. Grand'mère maternelle
morte
paralysée. Deux soeurs mortes de coqueluche. Pa
, consécutivement à une chute de voiture. - Nul détail sur sa mère,
morte
à 77 ans. - 10 frères et suceurs. morts on ne s
, est mort paralysé à 70 ans. - Sa mère, intelligente et sobre, est
morte
à 77 ans, paralysée et en enfance. - 3 frères e
la famille.] - Pas de consanguinité. Quatre enfants : 1° une fille
morte
de coqueluche à 3 mois ; - 2° une fille, morte
fants : 1° une fille morte de coqueluche à 3 mois ; - 2° une fille,
morte
également de coqueluche à 3 mois; 3° Notre mala
s'embarrasse davantage, le malade se refroidit progressive- ment et
meurt
dans la nuit. Autopsie le 18 janvier. - Les pou
e un peu nerveuse. Cousin, danse de St-G2ep dans l'enfance. - Soeur
morte
de conoulsions. - Pas de consanguinité, - Inéga
nts héréditaires et personnels. mère, paralysée du côté gauche, est
morte
d'une pneumonie h la- Salpêtrière. - Aucun anté
la- Salpêtrière. - Aucun antécédent nerveux dans la famille ou l'on
meurt
très vieux on général.] : \I¡;l\E, 38 ans, cuisin
dent nerveux.] Pas de consanguinité. Deux enfants : 1° Une fille,
morte
à 22 mois à la suite de convulsions internes, d
ccidents ner- veux mal déterminés. - 9rrièe-grand'mére maternelle
morte
de la poitrine. - Grand-oncle maternel mort d'at-
ère paternel, mort à 82 ans, de vieillesse. - Grand'mère paternelle
morte
très jeune, on ne sait de quoi. Grand'mère mate
rnelle morte très jeune, on ne sait de quoi. Grand'mère maternelle,
morte
à 24 ans de la poitrine. Rien sur le grand père
cérébral, un grand-oncle est mort paralysé, une grand'tante serait
morte
alié- née. Peut-être l'hérédité est-elle plus c
-père maternel, nombreux excès de boisson. - Grand'mère maternelle,
morte
probablement de tuberculose pulmonaire. - Arriè
ères jumeaux qui ont vécu 48 heures (1). Des deux soeurs, l'une est
morte
à 2 ans; l'autre à 31 ans; cette dernière aurai
s années de maladie ; pas d'attaques de delirium tremens. - Mère,
morte
à 25 ans, après trois ans de maladie ; tuberculos
asionné par une de ses filles qui faisait des excès de boisson ; il
mourut
d'une crise, à l'âge de 81 ans. - Grand'mère pa
il mourut d'une crise, à l'âge de 81 ans. - Grand'mère paternelle,
morte
jeune. -Grands-parents maternels, peu connus. N
d'âge de 10 ans. Deux enfants et une fausse couche : 1° une fille,
morte
à l'âge de 6 mois, du carreau ; pas de convulsi
famille manquent. Son père est mort de cause inconnue. Sa mère est
morte
à 87 ans de vieillesse. 88 Antécédents hérédita
ditaires ET personnels. Il s'est marié deux fois. Sa première femme
mourut
d'acci- dent, il en eut trois enfants qui sont
re pater- nel, mort à 52 ans, asthmatique. Grand'mère paternelle,
morte
vers le même âge, également asthmatique. -- Grand
matique. -- Grand- père maternel, inconnu. - Grand'mère maternelle,
morte
il 83 ans de sénilité. - Plusieurs oncles et ta
ignements manquent. Une soeur avait épousé un sourd-muet ; elle est
morte
en couches à l'âge de 10 ans. - Un oncle patern
à ses moutons. Il se trouva mal, et on le porta dans son lit, où il
mourut
cinq minutes après. - II ne buvait pas. Antécéd
I ne buvait pas. Antécédents héréditaires ET PERSONNELS. 97 Mère,
morte
très âgée, on ne sait de quoi. - Grands parents
mettait quelques excès de boisson, tous les dimanches. - Grand'mère
morte
très âgée. Un seul oncle paternel, bien portant
emière dent ; elles auraient duré deux ou trois heures : elle était
morte
au bras ». Les membres se raidissaient, les yeu
maternelle cardiaque. Cousine naine et rachi- tique ( ? ). - Soeur
morte
avec des convulsions de l'enfance. - Autre soeu
is. Il était sanguin, puissant, calme et nullement nerveux. - Mère,
morte
à 47 ans, probablement d'une lésion organique d
s travailleur, pas d'autres renseignements. - Grand'mère paternelle
morte
à 88 ans, jusque-là bien Antécédents PERSONNELS
était fort et de bonne santé ordi- naire. - Grand' mère maternelle,
morte
à 71 ans, coléreuse, méchante et emportée. - De
as la tête grosse et tient beau- coup de son père. - La seconde est
morte
à 2 mois du choléra infantile. Elle a eu des co
tion. Affaiblissement progressif. 30 juin. - T. R. 41°, 4. L'enfant
meurt
à 8 heures du matin. Température après la mort.
nfant est parésiée du côté droit et, en outre, paraplégique. Elle
meurt
à la suite d'une amygdalite dans une sorte de c
seignements sur les grands-parents paternels. Une tante maternelle,
morte
à, 71 ans d'un cancer de l'utérus. Une sceur, a
cer de l'utérus. Une sceur, a0 ans, très violente, a eu une fille
morte
folle a2't ans; un autre du ses fils « a l'air d'
nte ; c'est la moins violente de la famille. Unj dernière soeur est
morte
aliénée it 38 ans. Dans le reste de la famille
oeur, était violent, mais ne buvait pas. z Sa mère, vigoureuse, est
morte
en couches 11. 33 ans. Grand-père paternel, en
leux ; second frère de 32 ans, grand buveur et débauché; une soew',
morte
il Il ans, cardiaque. Rien à signaler dans le r
hénomènes méninailiqucs s'ag- gravent dans l'après-midi et l'enfant
meurt
, sans nouveaux accès, à 5 h. et demie avec une
ncéreuse ; tantes paternelles, violentes, débauchées, l'une d'elles
morte
folle; oncle paternel buveur et emporté; cou-
é d'accidents nerveux ni de migraines, ainsi que sa mère, qui est
morte
en couches. - Il en serait de môme de ses oncles
e, pas de convulsions de l'enfance ( ? ), ni de migraines; elle est
morte
iL 36 ans, de la fièvre typhoïde. Le mari et la
nerveuse ; 4" garçon mort à 9 ans, de la fièvre typhoïde; 5° fille
morte
à 2 mois, de la fièvre typhoïde; - 6° notre mal
euse. - Pas de consanguinité. - Inéga- lité d'âge de 2 ans. - Soeur
morte
de convulsions. Conception dans l'alcoolisme. -
ge. Famille de la mère. - Père, sobre, en bonne santé (1). - Mère
morte
de l'influenza. Nul détail sur les grands-parents
arçon, 10 ans 1/2' intelligent, pas de convul- sions (2) ; 2° fille
morte
à 14 mois après avoir eu des con- (1) Mort en 1
x mois. A plusieurs reprises déjà le captif avait tenté de se laisser
mourir
de faim. Ace régime. Il était devenu d'une maigre
ppement. Marguerite d'Autriche était née à Bruxelles, en 1522; elle
mourut
à Ortonna (Italie), en 1586. Elle était fille nat
rès un certain nombre d'accès, la fausse angine, elle, ne fait jamais
mourir
. De plus elle présente ce caractère particulier d
roles et sur sa physionomie, les derniers instants d'un enfant qui se
meurt
. Quand il est épuisé, on le réveille par des pass
t. Le musée anatomique de Milan possède le corps d'une petite fille
morte
à l'âge de trois mois. La peau de celte enfant, d
l avait promis de croire en un Dieu créateur qui n'est pas mort et ne
mourra
point. Enfin, le supérieur l'avait baisé in ore;
eux ou moraux. « Ses forces tombèrent tout d'un coup » ('); et elle
mourut
le 28 mars 1646, après six ans de cécité. Carac
lée » (7). Il lui arriva de rester six mois au lit. Née en 1627, elle
mourut
le 21 avril 1689, à 62 ans. Suggestibilité. — E
ée fait l'objet de cette observation. Santé. — Elisabeth Maitteland
mourut
en sept jours d'une pleurésie, le 9 février 1656,
le est persuadée qu'elle a de la tuberculose pulmonaire et qu'elle en
mourra
. Il faut noter qu'il n'en est rien et que malgré
vec elle, miracles et pèlerins, mais la foule crédule et ignorante ne
meurt
pas; elle se perpétue, toujours prête à venir boi
t. L'Avenir de Lourdes. — Depuis longtemps la petite Bernadette est
morte
, sans peut-être s'être doutée du rôle considérabl
u chapitre de St-Etienne de Meaux de son fief de Magny-Saint-Loup, et
mourut
en 1608. H eut trois garçons. L'un d'eux, Théod
le 9 mars 1555, et enterré, ainsi que sa femme Françoise Cueillette,
morte
le 20 avril 1567. auprès de ses frères, eut cinq
colas, Denys, Guillaume, Anne et Guillemette morts jeunes, Madeleine,
morte
en 16U3, mariée et sans enfants, enterrée devant
e des Célestins de Paris, Françoise, abbesse de Long-champ-lès-Paris,
morte
en mai 1618, après avoir abdiqué, Françoise, abbe
s, Jeanne et Renée, religieuses, et Nicolas III. Nicolas Potier III
mourut
le 1" juin 1635, à 94 ans, encore plein de force
t, accorda à cette même abbaye plusieurs privilèges et exemptions, et
mourut
en 1177, fort âgé, et sans enfants, bien qu'ayant
accorda à cette dernière abbaye des privilèges et des franchises, et
mourut
en 1181 ou 1182, sans enfants, bien que marié ; J
ut à celle de Longpont, à la dédicace de laquelle il assista en 1227,
mourut
fort âgé, le 4 janvier 1236, et fut enterré à l'e
laquelle fit aussi du bien à l'abbaye de Orespin-en-Cbaye en 1190, et
mourut
en avril 1210. Il en eut trois filles, dont Comte
que son père lit à l'abbaye de Longpont, et Gertrude, mariée en 1196,
morte
le 26 septembre 1230. pftrtcj Mathieu de Montmo
-méme plusieurs aux religieux d'Erloy près Choisy en 1246 et 1248, et
mourut
en 1250, marié et sans enfants, et Bouchard VI.
y avaitdonnés, et en 1241 autorisa un don à la chapelle de Bezons. Il
mourut
le l«r janvier 1243, et fut enterré au prieuré de
mit en 1097 le monastère de Saint-Etienne à Hugues, abbé de Cluny, et
mourut
en 1100 ; Guy, religieux de la Chaise-Dieu en Auv
-Dame et Saint-Martin, et Ht en 1097 le voyage de Terre-Sainte, où il
mourut
vers 1098. Il eut quatre garçons et une fille, do
une etsans alliance, Robert, qui fit le voyage de Terre-Sainte, où il
mourut
vers 1110, et Renaud. Renaud de Craon fonda l'a
Maurice II fonda en 1196 le prieuré de la Haye-aux-bons-hommes, et
mourut
le 10 août 1215. Il épousa Isaoeau de Beaurnont.
également dans sa cathédrale pour la fondation de son obit annuel, et
mourut
en 1076 ; et Adèle de Vexin. ,|tt? Robert de
ont il était le favori, certaines choses qu'ils désiraient de lui. Il
mourut
le 5 juin 1118, et fut enterré au chapitre de l'a
de l'empereur de Constantinople, retourna en Terre-Sainte en 1101, y
mourut
de blessures le 18 octobre 1101, et fut enterré d
nné roi d'Italie par l'archevêque Milan en 810 à douze ou treize ans,
mourut
le 17 avril 818 à la suite du supplice de l'aveug
1, et chassé par un synode comme intrus en 948 : Alix, mariée en 934,
morte
le 10 octobre 960 et enterrée (1) Voir D' Bi.xe
n, et eut deux garçons : Albert II, qui fonda l'abbaye de Bucilly, et
mourut
sans postérité quoique marié, et Otto. Otto de
142 pour avoir autorisé la dissolution du mariage de son frère Raoul,
mourut
en revenant de Terre-Sainte le 10 février 1148, e
caisc à Meullent, se fit moine sur la fin de ses jours à Préaux, et y
mourut
le 6 avril 1163. Il épousa Agnés de Monfort, qui
aval curent trois garçons et deux filles, dont Alix, vivante en 1260,
morte
fort âgée et sans alliance en 1301, enterrée dans
revenus que ses prédécesseurs y avaient donnés, se croisa en 1269, et
mourut
devant Tunis en 1270. De Jeanne, fille d'Erard de
St-Denis, Guillaume, chevalier de Temple, Catherine, vivante en 1282,
morte
le 15 avril 1327, enterrée dans l'abbaye de Lanno
de son sexe. * . J'ai connu personnellement Mme D.... Elle est
morte
récemment à l'âge de 66 ans. Elle m'avait permis
ivit Philippe-Auguste et Richard Cceur-dc-Lion en Terre-Sainte, où il
mourut
. Il avait un frère, Siger de Longueval, qui signa
me temps que lui. Baudouin accompagna de plus Louis IX en Afrique, et
mourut
sans hoirs. GuîHaume, mort en 1253, eut une fil
n 1309, mort sans postérité, et Jacques I. Jacques de Saint-Simon I
mourut
en 1328, et fut inhumé dans une chapelle qu'il av
dit aveu de la terre de Saint-Simon à l'abbé de Saint-Bertin en 1448,
mourut
peu après 1458, et fut enterré dans la chapelle q
aire, ety fit de grands biens » ?). Il fit rebâtir cette abbaye. Il y
mourut
le 26 février 1007, et y fut enterré. De sa fem
à son chapitre l'église de St-Merry et la moitié de l'Hôtel-Dieu, et
mourut
le 18 janvier 1020, et Elizabeth. Elizabeth de
III, p. 195. .Saint-Germain d'Auxerre le monastère de Dezise, et
mourut
en 1015 éiBMtfoïi* ou 1028- Il épousa Maihilde fi
urgogne fit plusieurs donations à l'abbaye de Saint-Bénigne de Dijon,
mourut
le 21 septembre 1027, et fut enterré dans cette a
onation que fit Hugues, évèquc d'Auxerre, à l'abbaye de Parcd en 999,
mourut
longtemps avant son père vers 1004, et fut enterr
ier la poursuit et lui cause toute espèce d'ennuis ; il veut la faire
mourir
de faim, lui met des vers dans ses aliments, lui
la tire par les pieds, se penche sur son chevet pour voir si elle est
morte
et la fait assister à des scènes terribles ; elle
notisme, numéro de juin 1904 et suivants. et deux fils, dont l'un
mourut
à l'âge de dix ans, ayant déjà une barbe de quatr
le était une des femmes delà société de Mlle de Scudéri. Née en 1580,
morte
en 1668, fille d'un procureur au Châtelet, elle é
Professeur à l'Ecole de psychologie. {suite) (') Pouques de Vendôme
mourut
le 22 novembre 1066. 11 épousa Perre-nelle, sœur
ye de la Trinité de Vendôme, du consentement de Bouchard son fils, et
mourut
le 1er novembre 1077. Il en eut deux garçons et d
onfirma la fondation de l'abbaye de la Trinité de Vendôme en 1075, et
mourut
sans alliance le 19 février 1085, et Eufrosine.
age de t St-Jacques de Galice en 1124, alla depuis en Terre-Sainte et
mourut
fcuta après 1134. En 1105, il épousa Ms.ha.ud d'A
ye de la Couture dans son diocèse, où il prit l'habit de St-Benoit, y
mourut
vers l'an 993 « ('], et y fut enterré. Yves dAl
interdit, fit bâtir un palais épiscopal, fit le voyage de Jérusalem,
mourut
le 17 octobre 1035, après avoir été évéque du Man
ers, assista en 1067 À la dédicace de l'église de St-Martin de Paris,
mourut
en 1074, et fut enterré i'AltD(0b-r?lm devant le
tagne. qui souscrivit à la fondation et aux donations précédentes, et
mourut
jeune, et Rotrou I. **rtifw Rotrou d'Alençon-Mort
t Dieu, qui protégea toujours l'église et les pauvres de J. C. » ('),
mourut
en octobre 1100, et fut enterré en habit fr rel
lat lui donna l'absolution en 1180, fit le voyage de Terre-Sainte, et
mourut
au retour dans le monastère de la Charité-sur-Loi
du prieuré de Lavardin pour son anniversaire et celui de sa femme, et
mourut
en 1202. Il eut deux garçons et une fille; Jean,
de ses filles, accompagna Louis IX au premier voyage d'outre-mer et y
mourut
le 29 mars 1249. Il épousa Gervaise de Mayenne, q
et eut un garçon et deux filles dont : Zsaèeau, religieuse à Poissy,
morte
le 14 février 1352, et Aiglantine de Vendôme-Char
de Maffiiers, que Charles leur oncle avait donnés à cette abbaye, et
mourut
vers 1414. Il eut trois filles et un garçon CnaWe
s, mort en 1461, épousa, par contrat du 11 mai 1447, Jeanne Ra.ta.ul,
morte
en 1491, fille de Bertrand Rataud et de Marguerit
Ceux-ci eurent quatre filles, dont : Jeanne, religieuse à Longchamp,
morte
avant 1490, et Catherine, femme de Philippe de Ro
e garçons et sept filles, parmi lesquels : Marie, mariée deux fois et
morte
sans enfants, Charles, né en 1467, mort sans alli
s : René, Augustin, Bernard et Magdeleine. René Potier, né en 1574,
mourut
le 4 octobre lb"i6, à 42 ans. Il avait la vue ext
it dans la dévotion, et, en 1616, il se retira dans son diocèse. Il y
mourut
, la même année, avec de grands regrets de sa cond
s quatre dernières années de sa vie dans une langueur continuelle, et
mourut
le 19 juin 1650. C'était un homme sincère, probe,
as Choart de Buzanval, et fut enterré dans son église. Bernard Potier
mourut
le 11 janvier 1610, à 32 ans. La sœur de René,
32 ans. La sœur de René, d'Augustin et de Bernard, Madeleine Potier
mourut
le 30 juillet 1671, à quatre-vingt-dix ans. Elle
gnement, et contracta, au cours d'une visite pastorale, celle dont il
mourut
. On constata d'abord qu'il avait la ¦ poitrine em
retraite et une confession générale à l'institution de l'Oratoire. Il
mourut
de la mort des saints. Il se levait tous les jo
veur de Beauvais, qui n'avoit point été en confesse depuis trois ans,
mourut
sans avoir demandé les sacrements dans sa dernièr
ion. L'aînée, Marie-Madeleine Choartde Buzanval, naquît en 1635, et
mourut
le 2'; avril 1692 à 57 ans. Elle fut élevée à Por
cadette, Marie-Aimée Choard de Buzanval, naquit en septembre 1636, et
mourut
le 3 avril 1697, à 68 ans et environ sept mois. E
Dr Liébeault, créateur et chef de l'Ecole psychothérapique de Nancy,
mourait
dans sa 81' année. A la nouvelle de cette mort,
'on aime, Plus grand que les Guerriers, plus fort que le Trépas. Tu
mourus
, dédaignant les rumeurs triomphales Et d'avoir fa
point grave. Paracelse, lui, commit toutes les sottises. Il finit par
mourir
dans la misère, une bouteille à la main. Van Helm
e solution approximative. Je ne puis vivre approximativement et si je
meurs
, ce n'est pas provisoirement.... » « Le contenu
bals et con- certs, (chanteurs, acteurs, instrumentistes, impri-
meurs
et menuisiers), nous leur faisons faire chaque
is, une nouvelle fatale nous attendait, M"1- Berthe Langlet était
morte
. Pour l'Administration, pour nous, pour les enf
and père paternel excès de boisson; mère, d'un caractère emporté,
morte
de tuberculose pulmonaire, ainsi qu'une tante m
père paternel, excès de boisson. Arrière grand' mère pater- nelle
morte
il 'J5 ans. Mère lymphatique, morte d'une attaq
ière grand' mère pater- nelle morte il 'J5 ans. Mère lymphatique,
morte
d'une attaque d'apoplexie. Grand père maternel,
rand père mat., très fort, sobre, mort du choléra. Grand'mère mat.,
morte
de tuberculose pulmonaire ( ? ). - ltiett à sig
rveuse, aurait eu des humeurs froides avec cicatrices consécutives;
morte
ans. en 1895, d'un « transport au cerveau » peu
ns l'après-midi, elle per- dit connaissance, eut des convulsions et
mourut
en 7 heures. [Famille DE la mère : Père, excès
u- tition. Crise intense de dyspnée; syncopes répétées. La malade
meurt
à 3 heures du matin. poids après décès : la kil
rossesses. Grand- père maternel phtisique. Grand'mère maternelle,
morte
d'apoplexie cérébrale. - Oncle maternel, très ner
énériens. [Père, mort d'un coup d'apoplexie, à 65 ans, sobre. Mère,
morte
en couches, d'une hémorrhagie. Grand-père pater
vailleuse, « coeur d'or», [Père, mort poitrinaire à 39 ans. Mère,
morte
à G3 ans» d'une paralysie cérébrale, d'une apople
e paternel mort à 49 ans, on ne sait de quoi. Grand'mère paternelle
morte
assez âgée, subitement. Grand-père maternel mor
suite de chagrins dus à des pertes d'argent. Grand'mère maternelle
morte
à 55 ans, on ne sait de quoi ; aurait eu des pe
ur la famille. Mère, 46 ans, bien portante. Grand'mère maternelle
morte
à 50 ans d'un cancer du pylore. Rien ' de spéci
ne sait de quoi : les renseignements sont insuffisants. Sa mère est
morte
à 85 ans, " usée", elle n'était ni démente ni p
tellement dans une chute de montagne à l'âge de 60 ans. Sa mère est
morte
vers 50 ans, d'un cancer du pylore. Les grands
de convulsions ; 2° garçon, 20 ans, pas de convulsions , 3° fille,
morte
à dix mois de lluxion de poitrine. ; 4° Noire m
9- fille, 10 ans ; 10° fille, 9 ans : 110 fille, 8 ans; 12° fille,
morte
il 3 ans de rougeole, compliquée de broncho-pne
ielle et les tractions rythmées de la langue : tout fut inutile, il
mourut
quatre à cinq minutes après l'acci- dent. Tem
ternel, mort à 75 ans, pas de tare nerveuse. Grand'mère maternelle,
morte
à 52 ans d'un cancer abdo- minal, nerveuse, irr
e série de crises : Il devenait violacé, semblait - sur le point de
mourir
, ne faisait aucun mouvement. Au bout de trois m
erculeux. - Soeur strabique à la suite de convulsions de l'enfance,
morte
tuberculeuse. Renseignements incomplets sur les
antes ainsi que leurs enfants (un garçon et trois filles).] Mère,
morte
en 1877, à quarante-quatre ans, d'une maladie d
sa mort. Il avait des idées tristes, croyait toujours qu'il allait
mourir
, il était sujet à des attaques de nerfs avec ch
t marié et avait eu un enfant mort à deux ou trois mois; 2° Fille
morte
à dix ans, après quinze jours de maladie con- s
e du poumon gauche. Elle a succombé le 13 février (1) ; '10 Pille
morte
à cinq ans, au bout de quinze jours, d'un refro
et se raidissent; la respiration devient de plus en plus courte, il
meurt
en quelques minutes sans prononcer une seule pa
mort de paralysie du cerveau. - Grand'mère maternelle, alcoolique,
morte
d'une congestion céné- braie. - Deux cousins ge
uvait de tout et s'enivrait plu- sieurs fois par semaine, violente,
morte
d'une congestion cérébrale avec aphasie.Gr.-për
r maternel, pas de renseignements.- Grand'- mère maternelle, sobre,
morte
d'une tumeur de l'estomac. - Deux tantes matern
el mort d'une congestion cérd- brale. Arrière-grand'mère paternelle
morte
avec une hémiplégie. Grand-oncle paternel mort
t d'une attaque d'apoplexie. Mère : céphalalgies, sourde, caféisme,
morte
d'apoplexie cérc- brale. Grand-père maternel al
que, mort à si troisième attaque d'apoplexie. Grand'mère maternelle
morte
d'un cancer de l'utérus. Grand-oncle maternel b
nvulsions de l'enfance, mort de tuberculose. Demi-soeur paternelle,
morte
d'une affection du cerveau. Pas de consanguinit
e. Il s'est marié depuis et a eu deux enfants légi- times : une est
morte
, il dix-sept mois, de diarrhée ; la seconde est
gé de quatre-vingt-deux ans, sobre, est en bonne santé. Sa mère est
morte
à soixante-dix-huit ans, dix-huit mois après une
dé d'une congestion cérébrale, croit-on. - Grand'mère pater- nelle,
morte
à soixante-dix-neuf ans, en deux jours, avec une
ort asthmatique à soixante- dix-sept ans. -- Grand'mère maternelle,
morte
d'une pneumonie. - Un oncle paternel a succombé
és, de maladie inconnue. Un oncle maternel est bègue. Une soeur est
morte
à neuf ans de la lièvre typhoïde. Deux frères,
halalgies, . migraines, caractère emporté - Grand'mère maternelle
morte
de tuberculose. = Grand'oncle suicidé. Deux onc
ux fausses couches. Grand- père paternel ? . Grand'mère paternelle,
morte
à 85 ans. G).ancl-p(l.ema ! l.rllel. ? -Gl.iII1
e, grippe, pneumonie), le frère survivant, bien portant. Une sntur,
morte
jeune. Reste de la famille : pas d'idiots, d'al
attements de coeur. Mère, n'était pas migraineuse, elle parait être
morte
de I uberculose à 43 ans (était devenue sèche).
y en donna un traict de moc- queric par ce vers : ' Sylla est une
meure
asperse de farine. La coloration brunâtre de la
l, mort de tuberculose pulmonaire. Arrière grand'mère malernelle,
morte
aliénée. Consanguinité. - Inégalité d'âge de 6
oolique (absinthe), tombait alors dans des attaques de nerfs. Mère,
morte
à 53 ans de la rupture d'un anwry-smc de l'aort
à 5-6 ans, assez nerveuse, cépha- lalgies, ni syphilis, ni dartres,
morte
de tuberculose pulmo- naire en 1898. [Père, mor
epuis ce temps jamais bien portante.-Arrière grand'mère maternelle,
morte
aliénée après un séjour de 6-7 ans à la Maison
t conservé sa connaissance. Dans la soirée, état comateux, l'enfant
meurt
le 9 décembre il 4 h. du matin sans râle. Poids
de ses enfants et de ceux du précédent. Une tante paternelle est
morte
âgée. On ne sait rien des oncles et tantes mater-
adies vénériennes, sobre, a été soldat, s'est marié à 2J ans. Mère,
morte
en 18U3, à 56 ans, d'une affection du coeur, n'
bre ; est mort à 72 ans, usé par le travail. Grand'mère paternelle,
morte
à 77 ans de vieillesse, n'avait jamais eu de ma
85 ans de vieillesse, cultivateur, sobre. Grand'mère pater- nelle,
morte
jeune, on ne sait de quoi. - « Mon grand-père p
ème fois à 27 ans. » Grand-père maternel, mort jeune. - Grand'mère,
morte
à 86 ans de vieillesse avec toutes ses facultés
ds-oncles paternels. Deux grand'tantes (pas de la même mère), l'une
morte
à 78 ans, l'autre à 75 ou 76 ans. Un grand-oncl
ans et demi, sans accidents nerveux, a eu deux enfants : une fille
morte
du croup, pas de convulsions, l'autre, garçon,
il est pâle, a les mains, les bras, les pieds violacés et glacés et
meurt
dans cet état sans jeter une plainte, ni tousse
qui consiste en une absence complète du cervelet chez une enfant
morte
it 11 ans et qui avait présenté aussi des troub
intense, l'abattement complet. L'aspect est cadavérique. L'enfant
meurt
à cinq heures du soir, sans cri, ni râle, mais la
iété Médico-psychologique de Paris.) 1898. BALLARD. (J.). Comment
meurent
les épileptiques. Thèse de Paris. RELLA y (P.
erculeuses. Par BOURNEVILLE ET RAOUT., Sommaire. Tante paternelle
morte
d'apoplexie. Petit cousin et petite cousine pat
, cultivateur, mort à 87 ans d'affection cardia- que, sobre. -Mère,
morte
à 80 ans. Grands parents, sobres, pas de détail
d'une fièvre intermit- tente. 3 frères morts tout jeunes. Une soeur
morte
à 18 ans subitement. Une autre soeur morte à 70
s tout jeunes. Une soeur morte à 18 ans subitement. Une autre soeur
morte
à 70 ans subitement, d'une rupture d'un vaissea
6 ans, sourd, a une cataracte; pas d'accidents nerveux, sobre. Mère
morte
à 43 ans, phtisique sans doute ; elle avait qui
culose pulmonaire à 44 ans ; il était sobre. Grand'mère maternelle,
morte
à 70 ans; rhumatisante. Une soeur est morte d'u
Grand'mère maternelle, morte à 70 ans; rhumatisante. Une soeur est
morte
d'une péritonite à la suite d'une fausse couche
-Mère migrai- neuse, débauchée, alcoolique. Grand'mère paternelle
morte
d'une attaque d'apoplexie. Grand'mère mater- ne
. [Père, maçon, mort d'une bronchite à 67 ans, sobre. Mère sobre,
morte
d'une attaque apoplectiforme ; 4 ans aupara- va
de vieillesse, pas de dé- mence, travailleur. Grand'mère paternelle
morte
d'un épithé- lioma de la face à 67 ans. Grands
e boisson. Le 3° est bien portant; il a eu 3 enfants dont une fille
morte
à 17 ans de tuberculose pulmonaire. - Deux tant
e 5 an bien portante, intel- ligente, pas de convulsions; une fille
morte
à 7 mois de méningite. w Antécédents personne
e.-[Son père est mort accidentellement, il était sobre. Sa mère est
morte
de misère) ? ) à l'hospice de Mirecourt. Pas d'
'un caractère assez doux. [Père mort à 75 ans de vieillesse. Mère
morte
à 35 ans des suites d'une fausse couche. Pas d'an
malade; - 3° Un gar- çon mort d'athrepsie à 10 mois : 4° Une fille
morte
athrepsi- que à 8 mois. Notre malade. Les par
ort en 1880, d'une bronchite, faisait des excès de boisson. - Mère,
morte
on ne sait de quoi. Deux frères bien portants,
bonne santé, n'ayant jamais eu de convulsions. Deux SOJ1Jrs l'une,
morte
on ne sait do quoi, était bossue; l'autre est bie
ux scet4l·.e, bien portantes, non mariées sans enfants ; une 3° est
morte
à 15 jours d'une bronchite. Grand- père materne
e de 2 ans, bien conformée, n'a pas eu de convulsions; 4e Une fille
morte
en venant au monde proba- blement à la suite d'
elle migraineuse. Deux oncles paternels bu- veurs. Tante maternelle
morte
tuberculeuse. Pas de consanguinité. - Egalité d
te à des maux de tête; une autre atteinte de mal de Pott; une autre
morte
de méningite tuberculeuse avec convulsions. A
s les 15 jours. [Père : mort d'une hernie étranglée à 78 ans; mère,
morte
d'une tumeur fibreuse abdominale à 83 ans; aura
avec le duc de Bordeaux dont il était le valet de chambre). Mère
morte
à la suite de couches, n'aurait pas été nerveuse.
res, dont l'un de père seulement, sont bien portants; une soeur est
morte
de la poitrine à 33 ans]. Pas de consanguinité.
fille, 13 ans 1/2, délicate, souffre de maux de tête; 6° une fille
morte
à 3 ans 1/2 d'une méningite tuberculeuse avec c
s 1/2 d'une méningite tuberculeuse avec convulsions; - 7° une fille
morte
à 13 mois, en nourrice, de cholérine. Antécéd
on II. Sommaire. Renseignements insuffisants sur sa famille. Mère
morte
phlhisique. Pas de consanguinité. Inéga- lité (
rait jamais eu de nerveux). ' Mère : aucun accident nerveux, sobre,
morte
de phthisie à 31 ans : elle était de 10 ans plu
lus jeune que son mari. [Pas de détails sur le père; la mère serait
morte
à 72 ans d'un catar- rhe avec affection du coeu
ntécédents.] , . Pas de consanguinité. ' 3 enfants : 1° une fille
morte
en nourrice à quelques mois ;- 2° un fils, aura
malade qui est un enfant naturel et n'a connu que sa mère). -Mère :
morte
en 1871, à l'âge de 62 ans, à Sainte-Anne, où e
n ne sait de quoi. Grand- IICROCÉPH ? L'E. 1.21' mère paternelle,
morte
vers quatre-vingts ans, ni démence,- ni paralys
rnels bien portants de même que leurs enfants. Une tante maternelle
morte
on ne sait de quoi, sans enfants. Trois frères
lé des jambes; il n'avait jamais été malade.- Grand'mère maternelle
morte
vers soixante-quinze ans à la suite d'un trauma
I Ce cerveau peut, être rapproché de celui d'une idiote microcéphale,
morte
à onze ans, dont M. Fletcher Ueach a rapporté l
boissons; très rarement gris; mort d'une chute dans l'eau.- Mère,
morte
à soixante-seize ans « d'un asthme» ; pas de mala
ngt-deux ans, on'ne sait de quoi, iln'é- tait pas en enfance. Mère,
morte
à soixante- quatorze ans de cause inconnue; ell
éral. Deux soeurs bien portantes ainsi que leurs enfants. Une soeur
morte
hvdropique à quarante-deux ans. Pas d'épileptiq
° garçon mort à dix-huit mois à la suite d'une coqueluche; 4° fille
morte
à deux mois d'une «gourme ren- trée» ; pas de c
e convulsions ni de fièvre typhoïde. Une de ses soeurs, à elle, est
morte
à 63 ans d'une bronchite aiguë et son huitième
fois après la mort de sa femme et elle ne l'a jamais revu. Mère,
morte
un an après la naissance de la personne qui nous
ne fluxion de poitrine à soixan- te-huit ans. Grand'mère maternelle
morte
de chagrin et usée parce que son fils était par
as : Le premier est notre malade ; la seconde, d'un autre père, est
morte
on ne sait pas de quelle maladie ; elle aurait
Père, mort fou à Charentôn, à la suite de perles d'argent.- Mère,
morte
d'une fluxion de poitrine. Grands parents inconnu
sson. Mère, grand-père maternel, nul détail. Grand'mère maternelle,
morte
à qua- tre-vingt-sept ans. Pas de renseignement
squelles on n'a pas de détails. - [Père, bien portant, sobre. Mère,
morte
à vingt trois ans on ne sait de quoi.- Grand pè
paternel, mort d'accident à vingt- six ans. -Grand'mére paternelle,
morte
très âgée, en enfan- ce. Grands parents materne
rt usé par la boisson à soixante-trois ans. Grand' mère paternelle,
morte
très âgée d'usure » ; 13 enfants. Grand père pa
Antécédents. 171 i de quoi ; non paralysé. Grand'mère maternelle,
morte
âgée, de cause inconnue. - 3 sa urs, très bien
en augmentant, la, respiration est de plus en plus pénible et il
meurt
quatre heures après. Autopsie (6 octobre). Emph
aigreur croissantes. Eschai'es trochantériennes et sacrée. L'enfant
meurt
le 16 janvier. Autopsie le 18 janvier. Corps tr
isé du côté gauche sur lequel l'enfant repose. 17 mai. - L'enfant
meurt
de cachexie progressive. Autopsie le 18 mai. L'
s, qui ontlaissé l'intelligence absolument intacte. Une s<rLCa',
morte
à l'hôpital Saint-Louis à la suite de l'ablatio
t-quatre ans, sobre, encore très intelligent, bien portant. Mère,
morte
hémiplégique. Treize frères et soeurs : deux sont
ans la famille.] Pas de consanguinité. Douze enfants : 1" une fille
morte
à neuf mois, de convul- sions ; 2° une fille mo
s : 1" une fille morte à neuf mois, de convul- sions ; 2° une fille
morte
du croup à trois mois et demi ( ? ) ; 30, 4°, 5
laid, un peu courtaud et d'intelligence un peu moyenne. La mère est
morte
en janvier lStip; elle avait joui auparavant d'
offrent des changements notables en bien ou en mal. Quand un malade
meurt
, toutes ses photographies sont déposées au Musé
osition de pratiquer avec nous toutes les autopsies des malades qui
mouraient
dans notreservice. De làaussi la publication du
r pour autrui, notre ami est mort pauvre. « C'est lelot de ceux qui
meurent
jeunes, surtout de ceux qui se dévouent. « Si
itement d'une hernie étranglée à 84 ans, était sobre. Sa mère est
morte
à 35 ans, à la suite de couches. Aucune trace d'a
squ'à la ménopause (32 ans). - Père mort d'apoplexie à 52 ans. Mère
morte
d'une fluxion de poitrine à 66 ans. Grand'mère
ère morte d'une fluxion de poitrine à 66 ans. Grand'mère maternelle
morte
après avoir été paralysée pen- dant douze à qui
deux jumelles (1) mortes à 15 jours, et deux filles dont l'une est
morte
de convulsions à 9 mois, et l'autre bien portan
23 OBSERVATION IX Pas d'antécédents névropathiqzzes. - Une soeur
morte
de mé- ningite. - Premières convulsions à 8 moi
lères violentes. - Père, boulanger, bien por- tant, 72 ans. - [Mère
morte
subitement en apprenant àl'im- proviste les inf
te dérangée pendant quelque temps, après une perte d'argent. - Mère
morte
à 74 ans, après avoir été, durant 6 mois, paral
à 75 ans, on ne sait de quoi ; il s'adonnait à la boisson. - Mère
morte
à 65 ans, probablement de congestion pulmo- nai
rnel : pied bot consécutif ri. des convulsions. - Cousinf) germaine
morte
de méningite . - Picrotoxine. Kl... Charles, 8
ilepsie idiopathique. - Mère migraineuse. - Grand'mère 1 maternelle
morte
d'une fièvre cérébrale. - Grand-père maternel m
Oncle paternel aliéné. - Cousine paternelle épileptique. - Cousine
morte
de méningite. - Soeur morte de convulsions. Pre
usine paternelle épileptique. - Cousine morte de méningite. - Soeur
morte
de convulsions. Premières convulsions à 11 mois
ort d'une atta- que d'apoplexie il. 75 ans. - llère, blanchisseuse,
morte
, on ne sait de quoi, à 72ans ; elle était affai
emme de ménage, fréquents excès de boisson, d'eau-de-vie surtout,
morte
à 60 ans en 2'i heures : « on la croyait endormie
- Nul détail sur ses grands parents. Une tante paternelle bossue,
morte
on ne sait de quoi. Deux tantes maternelles morte
87 et 1889. ' 68 CLINIQUE. IDIOTIE myxoedémateuse. 69 te1'lwlle
morte
aliénée. Mère nerveuse. Grand'mère maternelle m
69 te1'lwlle morte aliénée. Mère nerveuse. Grand'mère maternelle
morte
de phtisie, ainsi que huit grands oncles matern
utrefois par Ricord d'un calcul de la vessie, bien portant. - Mère,
morte
d'un cancer de l'utérus. - Grand-père paternel
us. - Grand-père paternel mort de la goutte.- Grand'mère paternelle
morte
agence. Grand-père maternel, pas de détails. Gr
nce. Grand-père maternel, pas de détails. Grand'mère mater- nelle
morte
à 80 ans. - Deux frères et deux soew's bien por-
uoique anémique. [Père, grand, bien constitué, lym- phatique. Mère,
morte
phtisique, ainsi que ses huit frères. - Grands
leux. Grand-père paternel excès de boisson. - Grand'mère paternelle
morte
d'un cancer de l'utérus. - Oncle paternel, excè
nombreux excès alcooliques et vénériens. Mère très nerveuse, sobre,
morte
à 55 ans, probablement d'un cancer de l'utérus.
in, qui se sont terminées par la mort. AUTOPSIE. - L'enfant étant
morte
chez sa mère, en ville, il ne nous a pas été po
à huit mois. - Bron- chite. - Symptômes classiques du myxoedème. -
Morte
a l'âge de 7 ans. - Autopsie : Persistance de
hronique, laboureur, sobre. - Grand'mère paternelle, mi- graineuse,
morte
à 81 ans, d'un cancer de la face. - Grand- père
and- père maternel mort aliéné à 72 ans. - Grand' mère maternelle
morte
à 84 ans. - Un oncle et une tante paternels sont
dix ans, intelligente, nerveuse; jamais de convulsions; - 2° Fille
morte
de méningite à 2 ans; - 3° Fille morte à 3 ans
s de convulsions; - 2° Fille morte de méningite à 2 ans; - 3° Fille
morte
à 3 ans d'une fluxion de poitrine; pas de convu
sentait des convulsions allant jusqu'à un véritable état de mal. 11
mourut
dans un de ces états de mal ; de broncho-pneumo
ier, sobre, mort vers soixante-dix ans, on ne sait de quoi. - Mère,
morte
vers soixante-cinq ans, domeslique dans un chât
ître, le père, en avait cinquante-cinq. On ne sait de quoi elle est
morte
. - Ni frères, ni soeurs. - Deux oncles maternels
ès de boisson, mais surtout après la naissance de sa fille. - Mère,
morte
de phthisje galopante à cinquante-sept ans ; ne
ternel, mort très âgé, on ne sait de quoi. - Grand'mère paternelle,
morte
très âgée, pas de détails. - Grands parents mat
soixante- dix et soixante-dix-sept ans, on ne sait de quoi. - Soeur
morte
du croup, à dix-huit mois. - Pas de frère. - Pa
é dans la chambre. Il n'avait pas bu, il ne boit jamais ; 5" Fille,
morte
d'une angine couenneuse( ? ), 111 STÎ : ftO-PIL
pas d'attaques de nerfs ni de migraines; intelligente; - il' Fille,
morte
il vingt et un mois, aux Enfants assistés ; z 8
t demi ; pas de convulsions, bien portant, intelligent; - 12° Fille,
morte
d'une variole noire en 1880, à un an. Notre mal
ux. - Scieur slz·ccbiqzvc à la suite de convul- sions de l'enfance;
morte
tuberculeuse. Renseignements incomplets sur les
rtantes ainsi que leurs enfants (un garçon et trois filles).] Mère,
morte
en 1877, à quarante-quatre ans, d'une maladie d'i
sa mort. Il avait des idées tristes, croyait toujours qu'il allait
mourir
, il était sujet à des attaques de nerfs avec ch
marié et avait eu un enfant mort à deux ou trois mois ; 2° Fille
morte
à dix ans, après quinze jours de maladie consé-
ec sa pipe et sa canne. CACHEXIE PACHYDERMIQUE. 175 0, 4° Fille
morte
à cinq ans, au bout de quinze jours, d'un refroi-
. Aucune maladie nerveuse. Pas de tabagisme. [Famille du père. Hère
morte
à 77 ans et père à 66 ans, on ne sait de quoi.
èse(1),était malade depuis 3 ans ; très nerveux; migraineux. - Mère
morte
3 semaines après la naissance de sa fille. - So
ur la consanguinité. Cinq enfants : 1" notre malade ; 2° une fille,
morte
à huit jours chez une sage-femme (manque de soi
rt du choléra, à Lyon en 1804, habituelle- ment bien portant.- Mère
morte
à 78 ans, après huit jours de maladie. Aucune a
nsi que son enfant qui, toutefois, est très nerveux ; l'autre soeur
morte
à 26 ans tuberculeuse. - Dans le reste de la fa
u obtenir son certificat d'étude, travaille avec sa mère ; 2° fille
morte
à 15 jours d'une entérite ; 3° lille morte à 3
avec sa mère ; 2° fille morte à 15 jours d'une entérite ; 3° lille
morte
à 3 ans d'une rou- gcole. elle devenait bossue
d'une rou- gcole. elle devenait bossue ; 4° notre malade : 5" fille
morte
a 8 mois d athrepsie ; ilo fille mort-née. Aucu
ient sobres et qu'ils sont morts très âgés. Une tante pater- nelle,
morte
on ne sait de quoi. Elle était bien conformée et
ps avant sa mort. Il était sobre et n'avait jamais été malade. Mère
morte
à 4t1 ans, d'une affection pul- monaire aiguë.
de ; 4° garçon, 4 ans, pas de convulsions, enfant normal ; 5n fille
morte
à 14 mois de bronchite capillaire. Notre mala
umatisant. - Grand-père, paternel alcoolique. Gmllrl'mÚc paternelle
morte
lcémiplcrliyrc.-7'antc pater- nelle très petite
sme. 63 losc pulmonaire. - Grand'mère maternelle, très coléreuse,
morte
d'un cancer de l'utérus, - Deux cousins morts de
mille du père. Père mort à 72 ans, alcoolique. Mère, très nerveuse,
morte
après hémiplégie. Frères et soeurs au nombre de
t survivent. Parmi eux certains sont nerveux. Une de ses soeurs est
morte
folle à la Salpêtrière. Mère, 45 ans, blanchi
le de la mère. Père mort à 53 ans de tuberculose pulmo- naire. Mère
morte
à 40 ans d'un cancer de l'utérus ; coléreuse co
aïeul maternel mort d'une attaque d'apo- plexie ; aïeule maternelle
morte
aussi de sa deuxième atta- que d'apoplexie ; ta
é quatre ans; les deux autres vers 60 ans. - Deux soeurs, l'une est
morte
à 78 ans ; l'autre, vivante, a 80 ans. - Dans l
Père sobre, mort à 65 ans, d'une affec- tion pulmonaire aiguë. Mère
morte
à 75 ans d'une maladie du foie. - Grands-parent
rts jeunes, ainsi que le grand-père maternel. Gnand'mère maternelle
morte
vers 70 ans, sobre, pas d'accidents nerveux. De
endant un peu plus volumineuse que la droite. Pharynx, pas de tu-
meurs
adénoïdes. Goût normal. Langue, rien de particuli
mort à 75 ans. Asthmatique depuis l'adolescence, alcoolique. Mère,
morte
à un Age peu avancé d'une tumeur de l'abdomen;
e de la mère. Père alcoolique, mort à 59 ans. Mère enfant assistée,
morte
à 3fi ans du choléra en 1849. Grands- parents i
l'enfance, mort des suites d'une coxalgie. - Tante mater- nelle,
morte
tuberculeuse. Dans les deux familles aucun cas
alalgies. Grand-père paternel mort paralysé. Grand' mère paternelle
morte
sourde et démente. Mère morte tuberculeuse. Gra
mort paralysé. Grand' mère paternelle morte sourde et démente. Mère
morte
tuberculeuse. Grand-père maternel mort probable
el mort probablement tuberculeux. Grand'mère maternelle diabétique,
morte
de la «poitrine» ? - Un autre frère mort de con
gies, caféisme, coléreuse. Grand'mère, accidents hystéri- formes,
morte
d'un cancer de l'estomac. Plusieurs frères et s
l'estomac. Plusieurs frères et sceurs ont eu des convulsions. Soeur
morte
de méningite auec convulsions en 17 jours. - Gr
méningite auec convulsions en 17 jours. - Grand'tante maternelle
morte
d'un cancer du rectum. Pas de consanguinité, -
la suite d'une chute faite dans un escalier. Ethylisme léger. -Mère
morte
à 60 ans, d'une angine maligne, sobre. - Grands
mère, - Père, mort il 44 ans de tuberculose pulmonaire, sobre. Mère
morte
d'un cancer de l'esto- mac ; à partir de l'âge
t tantes paternels. Pas d'oncles maternels. Une tante maternellle
morte
d'un cancer du rectum. Un frère bien portant n'a
e qui a eu des accidents convulsifs.; - 2° Notre malade; - 3° Fille
morte
de méningite avec con- vulsions en 17 jours, à
re, migraineuse, conduite très irrégulière. Grand'mère, migraineuse
morte
d'un cancer utérin. Pas de cas de nanisme ni d'
illes. Aucune tare morale ni intellectuelle. Une soeur aveugle-née,
morte
de convulsions. Pas de consanguinité ; iazéga
- [Famille de la mère. Père sobre, de caractère violent. - Mère,
morte
à 43 ans, probablement d'un cancer utérin ? cri-
conjoints. Six enfants : 1° garçon 13 ans, bien portant; 2° fille
morte
il 21 mois de rougeole; 3° fille née aveugle, m
rtant; 2° fille morte il 21 mois de rougeole; 3° fille née aveugle,
morte
à six mois au cours de convulsions; 4° garçon d
sions. - Un autre frère et une autre soew' strabiques.- Autre soew'
morte
de convulsions. - Frère strabique à la nais- sa
[Son père, mort il 72 ans de pneumonie, ne buvait pas. Sa mère est
morte
à 82 ans, de cause inconnue. - Aucun renseignem
isson, « mais on ne peut pas dire qu'il tombait dans le vin u. - Sa
morte
il 65 ans, de cause inconnue (vieil- lesse, fat
s. Du côté maternel, 8 oncles et tantes; l'une de ces tantes serait
morte
de folie quelques jours après avoir accouché de
actuellement âgé de 13 ans, bien portant, et une fille « qui est
morte
en venant au monde. » Tous les enfants de ces frè
rtant; - 6° un garçon, âgé de 18 ans, rien iL noter ; 7° une fille,
morte
en naissant ; 8° une fille, âgée de 13 ans 1/2,
oir 40°,4, bain à 32°, elle tombe à 39° 5. A 8 h. du soir, l'enfant
meurt
brusquement, sans cris ni râles, sans secousses
rnel mort tuberculeux. - G ? aibd'la21te paternelle aliénée. - Mère
morte
tuberculeuse. - Grand'mère maternelle morte d'u
nelle aliénée. - Mère morte tuberculeuse. - Grand'mère maternelle
morte
d'un cancer utérin. Soeur arriérée ; autre soew'
e maternelle morte d'un cancer utérin. Soeur arriérée ; autre soew'
morte
de convulsions. - Pas de consanguinité. - Inéga
plus haletante, l'enfant tombe pour ainsi dire dans le coma et elle
meurt
à li h. du soir. Température après la mort.
i démence; ne voyait presque plus; sobre. - Grand' mère maternelle,
morte
à 64 ans, de fluxion de poitrine; - Oncles et t
, noyé accidentellement ; 200 Sclérose atrophique. sobre. - Mère,
morte
usée à 63 ans, on prétendait que c'était une ga
otier, mort à soixante-sept ans de pneumonie, était sobre. Sa mère,
morte
à soixante-dix-sept ans de vieillesse, ni démen
mère à soixante-huit; pas de détails sur eux. Une tante paternelle,
morte
on ne sait de quoi, aurait eu deux enfants bien
ccès. Dans le reste de la famille, rien autre à signa- ler. Mère,
morte
à quarante-cinq ans, il y a un an, de « chlorose
nt bien portants. Quatre sielt1's : l'une mariée, sans enfants, est
morte
usée par la bois- son; les trois autres sont bi
e. Mère : rien. - Arrière grand'mère, paralytique. - Une ScL'1lt·
morte
de méningite tuberculeuse. - Autre soeur morte
ue. - Une ScL'1lt· morte de méningite tuberculeuse. - Autre soeur
morte
de diarrhée verte avec convulsions. - Pas de con-
lité d'âge de 5 ans, (père plus âgé). Quatre enfants : Une fille
morte
en nourrice à la campagne avec de la diarrhée v
gne avec de la diarrhée verte, et des convulsions. - 2° Une fille
morte
à 11 ans de méningite tnbercuteuse; - 3° Notre
sobre, nerveux comme son fils et toujours bien portant. Sa mère est
morte
à la suite d'une laparotomie nécessitée par un
ce qu'on sait de lui. Quant à la grand'mère maternelle, elle serait
morte
à 86 ans, aveugle, ayant été frappée à diverses
en demi flexion. Diarrhée persistante. Cachexie tuberculeuse. Il
meurt
le 14 août à 2 h. 1[2 du soir. Température aprè
édico-psycholo- gique de Paris.) 1898. BALLARD. (J.). - Comment
meurent
les épileptiques. Thèse de Paris. RBLLA1 (P.)
s, se mita courir comme un (ou) se précipita hors de l'atelier et
mourut
( ? ). » 1 ? )/t0) ! c)'. Kalur. curiosor., déc
involontairement deux ou trois fois autour après l'avoir saisi. Il
mourut
le 24 mars 1837. Autopsie. - A l'examen du cerv
e neurasthénique, sujet à des céphalalgies. - Grand'mère paternelle
morte
apoplectique {hémiplégie gauche), neuras- théni
ule mater- nelle aliénée. - Demi-frère mort de méningite. - Sam1'
morte
phtisique. Peurs de un ci, quatre ans.- Début d
homme de peine ; pas d'excès de boisson, pas de migraine. - Mère,
morte
à l'âge de soixante-dix-neuf ans, en douze jours,
'aîné, il n'est que frère de mère ; né avant le mariage. * Elle est
morte
en juin 1882, de bronchite avec dyspnée. DE l'é
.] Pas da consanguinité. Deux enfants du second mariage : 1° Fille,
morte
à vingt- deux ans de la poitrine ; 2° notre mal
père maternel, mort apoplectique. - Arrière-grand'mère paternelle,
morte
apoplectique; arrière-grand-père maternel, mort
quelques excès de boisson (vin). - Mère, maîtresse d'hôtel meublé,
morte
paralysée à l'âge de quarante-neuf ans; elle ét
Grand-père paternel, pas de détails. Grand'mère paternelle, sobre,
morte
à soixante-quinze ans d'une attaque d'apoplexie
t s'est tué; il avait quarante-cinq ans. - Grand'mère maternelle,
morte
d'une fluxion de poitrine, à l'âge de quatre-ving
poing ; 2° fille., vingt-quatre ans, bien portante, a eu une fille
morte
de coque- luche ; - 3° notre malade;. 4° garçon
uche à quatre mois, attribuée à un effort; - 6° fille intelligente,
morte
à dix-huit mois d'un a chaud et froid ( ? ) » 7
? ) » 7° garçon, intelligent, mort à trois ans du croup ; 8° fille,
morte
à vingt-six jours, du croup ( ? ); - 9° fausse
garçon intelligent, mort à trois ans de la coqueluche ; - 120 fille
morte
à dix mois, on ne sait de quoi; - 13e fausse co
u pour s'ouvrir le ventre et dit : « Je veux voir mon père avant de
mourir
. » 1885. 28 février - Ecchymose sous-conjonctiv
ci quatre-vingt et un ans d'une pneumonie ; - grand'mère maternelle
morte
à quatre-vingts ans d'une hémiplégie droite. As
, mort à trente et un ans. Mère, DE l'épilepsie PROCURSIVE. 71 Il
morte
à soixante-dix ans, sans qu'on puisse dire de que
malade. - [Père, mort à quatre-vingt-un ans d'une pneumonie. Mère,
morte
à quatre-vingts ans des suites d'une hémiplégie
ier, alcoolique, a succombé à une affection génito-urinaire. - Mère
morte
d'accidents pulmonaires sans aveir jamais eu d'
euse. Un frère bien portant, un autre mort de la poitrine, une saur
morte
subitement d'un anévrysme à trente-trois ans. N
sse. Une soeur ainée, bien portante et intelligente ; sa mère est
morte
quelque temps après sa naissance, à la suite d'ac
on. DE l'épilepsie PROCURSIVE. 87 le coma à 5 heures du matin, et
meurt
à 10 heures du matin. Traitement : Eau-de-vie a
ellement bien portante. [Père, pas de détails. - Mère, migraineuse,
morte
du choléra. - Une soew' et trois frères migrain
nes de l'épilepsie larvée. Observation XXV. - Grand'mère paternelle
morte
d'apo- plexie. - Grand-père maternel alcoolique
un refroidissement ( ? ) en trois jours ; tisserand, sobre. - Mère,
morte
à soixante-douze ans, d'une attaque d'apoplexie
r abdominale à soixante-cinq ans, sobre. - GI'and'mèl'e maternelle,
morte
de vieillesse il quatre-vingt-sept ans. - Pas d
r matin et soir. Symptômes de conges- tion méningitiquc. Le malade
meurt
à 7 h. 45 du matin. T. ft. immédiatement après
maternelle hystérique. - Une tante maternelle phthisique. - Soeur,
morte
de convulsions. - Gémellarité. Premières convul
lui. Observation XXXIV. Mère, nerveuse, inconduite, migraineuse,
morte
p/t</tM ? t<t ? Cousin germain idiot. - Frè
e en médecine légale est bien moindre. Observation XXXVI. - Mère,
morte
d'un cancer du sein. - Début de l'épilepsie ver
eur le soin de juger en dernier ressort. Observation XLII. - Mère
morte
maniaque. - Signes légers de dégénérescence. -
L DE l'épilepsie PROCURSIVE. 119 Son père vit encore, sa mère est
morte
maniaque à l'âge de quarante ans. Frères et soe
neuse. - Grand-père maternel alcoolique. - Grand'mère mater- nclle
morte
phthisique. Vertiges à cinq ans. - Accès procur
r, mort à l'âge de soixante et onze ans, on ne sait de quoi. - Mère
morte
de vieillesse ( ? ) à l'âge de soixante-dix ans
nt naturel, mort alcoolique, à l'âge de soixante ans environ. -Mère
morte
à trente-cinq ans de bronchite. - Pas d'aliénés
ent purgatif. - Potion de Todd et lait. Soir : T. R. 42°. Le malade
meurt
le 16 septembre à une heure du matin. Températu
un an ; nombreux excès de boisson. - Mère, pas de détails; elle est
morte
de la poitrine, dit-on, peu de temps après la nai
ait de quoi ; - 3° fille, mort-née ; - 4° notre malade; - 5° fille,
morte
à cinq mois, de la variole; 6° et 7° deux fille
nt difficile, l'intelligence s'altéra de plus en plus, et la malade
mourut
huit ans après le début de son affection. ' Si
pas nerveuse, aucun excès. [Père, mort on ne sait de quoi. - Mère,
morte
en couches à vingt-sept ans, pas de détails. -
est mort très âgé; on croit qu'il était sobre. - Mère, ménagère,
morte
de vieillesse. - Deux frères : l'un est mort étan
ne maladie vénérienne. - Une soeur, fille publique, alcoolique, est
morte
de la poitrine; elle aurait eu dans son pays, à
sons, mort à la suite d'une chute avec frac- ture de côtes. - Mère,
morte
à soixante-huit ans, « après avoir traîné » ; t
D'ATHÉTOSE DOUBLE AVEC IMBÉCILLITÉ. vulsions répétées. - Une soeur,
morte
à son retour d'âge, n'avait pas d'attaques. - P
édiocre : « il n'a pas trop de débouchés»;-30 fille bien conformée,
morte
à deux mois «d'une espèce de méningite, en quin
n ne sait de quoi, était né à terme; pas de convulsions; - 6° fille
morte
à quatre ans et demi de méningite, avec convulsio
demi de méningite, avec convulsions, en quatorze jours; - 70 fille,
morte
du croup à trois ans. Notre malade. Au moment d
pierres; mort d'excès de boisso2.-Mére, blan- chisseuse, sobre, est
morte
aux Petits-Ménages aissyvcrs 1872. - Un doses f
du choléra, vers 185t, carrier dans les monta- gnes, sobre. - Mère,
morte
hémiplégique. Un frère en bonne santé porte un
près de Chambéry). - Deux enfants : 1° Notre malade, 2° une fille
morte
à deux ans 1/2 du croup, elle était intelligente,
rnelle : mauvaise conduite. Grand'mère maternelle : emportée. Soeur
morte
de méningite avec convulsions.- Colères dans l'
it été seulement l'amant de la grand1 mère maternelle, laquelle est
morte
de vieillesse à 84 ans. De deux frères, l'un es
- Pas de consan. guinité. 4 enfants : 1° notre malade; - 2° fille
morte
en nour- rice, iL six semaines, d'athropsie, sa
- rice, iL six semaines, d'athropsie, sans convulsions ; 3° fille
morte
iL 9 jours, de diarrhée avec vomissements, sans
9 jours, de diarrhée avec vomissements, sans convulsions; -4° fille
morte
à 4 ans, d'une méningite consécutive à la coque
tu es une putain, je vais te botter. » - Il l'accusait d'avoir fait
mourir
sa soeur, de vouloir le faire mourir aussi. Il
» - Il l'accusait d'avoir fait mourir sa soeur, de vouloir le faire
mourir
aussi. Il a même essayé Bourneville, 1887. 16
e sa petite soeur. Celle-ci, qu'il paraissait aimer beaucoup, était
morte
quand il avait à peine 9 ans. Après sa mort et
je me trouve dans la nécessité de me faire rendre justice, devant
mourir
dans quelques mois. Veuillez agréer, Monsieur l
la suite de cette attaque, on constate une hémiplégie droite. — Elle
meurt
trois jours après l'attaque le 14 mars 1866, A
(Jeanne), 62 ans). — Cette femme dont l'observation a été égarée, est
morte
d'hémorrhagie cérébrale le 24 mai 1806. L'autop
nance manifeste de la paralysie plutôt d'un côté que de l'autre. Elle
meurt
au bout de quatre heures le 2 juin 186(5. A l'a
Longueville, 77 ans. — Les renseignements manquent. Cette femme étant
morte
en octobre 1800, on trouva à l'autopsie une liémo
, la parole très embarrassée, l'intelligence obscurcie. — Cette femme
meurt
le 14 janvier 1867, un jour après l'attaque. A
es lors de l'entrée du malade à l'hôpital, il est pris d'érysipèle et
meurt
dix ou quinze jours après l'attaque, le 19 lévrie
ortée à l'Hôtel-Dieu en état de coma avec une hémiplégie droite. Elle
meurt
le 21 février 1867. A l'autopsie, un vaste épan
ibilité et du mouvement à droite et déviation de la face gauche. File
meurt
le 20 mars 1807. A Yautopsie, on constate un va
ée par M. Césari, interne des hôpitaux de Lyon. ques énergiques; il
meurt
sans convulsions vingt minutes après l'attaque, l
3 pée d'apoplexie le 30 avril 1807, avec hémiplégie du côté droit,
meurt
le 3 mai 18G7 avec une température rectale de 10°
t frappée d'apoplexie le 7 juillet 1867, avec hémiplégie droite. Elle
meurt
le 13 juillet 1867. A Yautopsie, on trouve une
uablement sains. Obs. XX. Salpêtrière. — Vulpian. C..., 74 ans. —
Morte
le 10 novembre 1867 d'hémorrhagie cérébrale clu l
atement de stertor, tombe en résolution complète, a un vomissement et
meurt
dix ou douze minutes après l'attaque. On trouve
vrier 1868. Elle présente une hémiplégie complète clu côté droit et
meurt
quelques heures après. A Yautopsie, on trouve u
entôt de secousses convulsives et de rigidité permanente. Cette femme
meurt
au bout de vingt-quatre heures le 8 mai 1868. 1
lsives clans les membres supérieurs, principalement à droite, et elle
meurt
dans le coma avec une température rectale qui s'e
ralysée à droite, est prise d'accidents convulsifs épileptiformes, et
meurt
le 16 août 1868. A Y autopsie, foyer d'hémorrag
ine quelques traces d'athérome. Cœur flasque, de coloration feuilîe
morte
. Valvutes aortiques, incrustées à ta base, mais s
ulement, le membre inférieur gauche paraît un peu paralysé. La malade
meurt
le 18 septembre 1800, sept jours après t'attaque.
our, une eschare commence à se former sur la fesse paralysée, et elle
meurt
asphyxiée le quatrième jour de la maladie, le 1er
taient sains. Obs. XXIX. Salpêtrière. —Vulpian. Lef..., 72 ans. —
Morte
le 12 janvier 1807 d'hémorrhagie cérébrale. Foyer
re des membres du côté gauche; on n'a sur lui aucun renseignement. 11
meurt
le 5 mars 1867. A Vautopsie, on trouve un foyer
avant sa mort, cette femme tombe dans la somnolence et te coma; elle
meurt
le 17 mars 1807. A Yautopsie, on trouve un foye
le 280 grammes. Obs. XXXIII. Salpêtrière. — Vulpian. D., 02 ans. —
Morte
le 4 Avril 1807 d'hémorrhagie cérébrale. Foyer d'
ut plus marcher. Enfin, à la suite d'une troisième attaque, la malade
meurt
clans le coma, sept jours après le début des acci
t frappée d'apoplexie, le 2 février 1868 avec hémiplégie droite. Elle
meurt
dans la journée. On trouve à Vautopsie, dans l'
ieurs attaques et qui avait fréquemment des accès violents de colère,
meurt
, le 27 février 1808, à la suite d'une exaltation
lexie avec hémiplégie droite. Elle tombe dans le coma avec stertor et
meurt
dans la journée. A Yautopsie, on découvre un an
nouvelle attaque est frappé d'hémiplégie droite, le 20 mars 1808. II
meurt
le 2 avril 1808. On constate à Yautopsie un foy
une attaque apoplectique avec hémiplégie droite en janvier 1868. Elle
meurt
d'une pleurésie le 18 mai 1868. On trouve un foye
s de la pie-mère. Le cœur est petit, friable, de coloration feuille
morte
; il est adhérent par toute sa surface au péricar
Siper (Catherine-Joséphine), 75 ans. Les renseignements font défaut.
Morte
le 3 octobre 1866. A Yautopsie, on trouve un fo
sur laquelle on n'a aucun renseignement, sinon qu'elle était gâteuse,
meurt
le 1er octobre 1866. On trouva à Yautopsie une
— Charcot. Taffin (Robertine), 80 ans. A l'autopsie de cette femme,
morte
de pneumonie le 25 oc tobre 1866, on trouve un
it pas hypertrophié, mais présentait seulement une coloration feuille
morte
. 11 y avait dans les deux genoux des traces d'art
u côté paralysé. A la suite d'une dernière série de convulsions, elle
meurt
, avec une élévation]considérable cle la températu
au lit, et qu'elle était sujette à des crises épilepti-i'ormes. Elle
meurt
à ta suite d'une de ces crises ie 21 mars 1807.
ère, Saint-Paul, 1. — Charcot. Cousin (Marguerite), 81 ans. — Femme
morte
pendant la convalescence d'une pneumonie le 27 ma
de 38 ans était depuis cette époque hémiplégique du coté droit. Elle
meurt
de phthisie granuleuse, le 3 avril 1867. À Vaut
te interstitielle. Obs. LU. Salpêtrière. — Vulpian. B.. , 60 ans.
Morte
le 22 avril 1867, de parotidite suppurée. Ancien
et athéromateuses. Obs.LUI. Salpêtrière. — Vulpian. M.., 76 ans.
Morte
, le 11 mai 1867, d'un ramollissement rouge du noy
e de l'encéphale. Obs. LIV. Salpêtrière. — Vulpian. B..., 70 ans.
Morte
le 1er juillet 1867. Ancien foyer d'hémorrhagie,
i présentait depuis longtemps une hémiplégie gauche avec contracture,
meurt
sans cause connue le 17 août 1867. A Yautopsie,
ans les derniers temps, elle eut quelques attaques épileptiformes, et
mourut
sans lésions nouvelles le 8 octobre 1867. A Vau
Alexandre, 0. — Charcot. Briquet (Françoise), 88 ans. — Cette femme
meurt
le 13 octobre 1807, sans qu'on ait eu des renseig
vie, attaques épileptiformes alternant avec de l'agitation. La malade
meurt
, dans une de ces recrudescences, avec une élévati
ncomplète de la sensibilité et du mouvement. La malade se rétablit et
meurt
deux ans après, de pneumonie, en décembre 1867.
mporale droite, l'artère est liée mais un érysipèle se déclare, et il
meurt
le 21 décembre. A Vautopsie, on trouve les lési
ture du côté droit; la face est assez fortement déviée à gauche. Elle
meurt
de pleuro-pneumonie le 2 janvier 1868. kYautops
c contracture du côté gauche qui datait de 9 ans environ, cette femme
meurt
cle pneumonie le 19 février 1868. On trouve à Y
ieurs et clans le bras paralysé, et enfin des abcès multiples. — Elle
meurt
le 25 février 1868. A Vautopsie, on trouve un a
années, éprouvait une certaine faiblesse dans les membres inférieurs,
meurt
de pneumonie le 27 mars 1868. Indépendamment de
, 10. — Charcot. Mannessoy t(Marguerite), 70 ans. — Cette femme étant
morte
de pneumonie, le 18 avril 1808, on trouve à l'a
59ans(l). — Cette femme,qui était atteinte de paralysie générale, est
morte
le 20 avril 1808. On trouve à Vautopsie, un foyer
miplégique du côté gauche et sujette à des accès épileptiformes. Elle
meurt
de gangrène pulmonaire le 5 mai 1868. On trouve
ments, elle avait une hémiplégie gauche avec contracture, et elle est
morte
avec une eschare, le 31 mars 1868. A Yautopsie,
raplégie ancienne, est frappée d'apoplexie avec hémiplégie droite, et
meurt
le lendemain, 18 mai 1808. Vautopsie révèle une
e avec hémiplégie droite et roideur clans les muscles paralysés. Elle
meurt
le lendemain 5 octobre 1808. A Vautopsie, on tr
Saint-Alexandre, 11. — Charcot. Taffin (Robertinre), 80 ans. Femme
morte
de pneumonie lo-baire le 25 octobre 1866. A Vau
ons, des couches optiques et de la protubérance. Coloration feuille
morte
du tissu musculaire du cœur ; végétations sur les
e gauche avec contracture permanente des membres paralysés. La malade
meurt
le 17 août 1867. A Yautopsie, on trouve dans la q
n appréciable. Obs. LXXXVII. Salpêtrière. — Vulpian. M. 87 ans. —
Morte
le 6 avril 1867. Deux foyers symétriques anciens
le quart des cas. Il nous est donc permis de dire que les sujets qui
meurent
d'hémorrhagie cérébrale ont les artères de l'encé
redescend en trois minutes, à 40°. On interrompt le courant. L'animal
meurt
. La température se maintient à 49° pendant dix mi
trois minutes et demie, la température est revenue à 39°, 2. L'animal
meurt
. Ces expériences tendent à démontrer que les co
her. Les attaques qu i nous venons de décrire ne cessent point, et il
meurt
dans cet état le même jour à quatre heures du soi
suivi de paralysie complète, et enfin quelques jours après le malade
meurt
,après neuf heures d'un accès presque sans interru
t de plus en plus; la malade tombe bientôt dans un état adynamique et
meurt
le troisième jour. A Yautopsie, on trouve une g
sente (Tab. I, fig. i) la membrane interne du jéjunum d'un enfant qui
mourut
pendant la digestion intestinale ; les vaisseaux
itesse extrême du pouls. Je demande où est la douleur : J'étouffe, je
meurs
, voilà tout ce que me répond la malade en portant
au : l'embonpoint de la malade dénotait d'ailleurs un état aigu. Elle
mourut
deux heures après son entrée. A l'ouverture, on
excessivement violente, la face devint pâle, le pouls très-petit. Il
mourut
quelques inslans après, on trouva dans le côté ga
dante de sang rutilant. Le malade était mourant à la visite du 29, et
mourut
quelques instans après. A l'ouverture du cadavr
s, affecté de phlegmon érysipélateux de toute l'extrémité supérieure,
mourut
avec tous les symptômes d'une lésion grave de la
a petitesse extrême du pouls dénotent assez l'imminence du danger. Il
mourut
le lendemain. On va aux renseignemens : cet indiv
© ovoïde parsemée de plaques cartilaginiformes, ossiformes. Le malade
mourut
subitement. Dans un autre cas que je dois à l'obl
ble (*). (planche iv, iiie livraison, figure 2 et 3.) Un individu
meurt
subitement en vomissant une grande quantité de sa
oûte du crâne, enlever le cerveau et les lobes du cervelet sans faire
mourir
l'animai; je pus agir sur toute la portion cervic
e douleur son bâton dorsal. Ce fut le dernier mot qu'il prononça : il
mourut
à l'instant. Ouverture du cadavre. Etat extérie
ès, invasion des symptômes mentionnés tellement brusque que le malade
meurt
en parlant. Chez ce dernier malade, la peau, le
m et à s'emparer de la moitié interne des muscles grands fessiers. Il
mourut
le 21 avril, épuisé probablement par cette énorme
ie du mouvement se propagèrent aux extrémités supérieures ; le malade
mourut
subitement. Il ne me fut pas permis d'en faire l'
elles il semble au malade que tout son corps se bouleverse ; il a cru
mourir
. Depuis lors il se trouve beaucoup mieux; mais l'
espiratoire. Le malade a recouvré toute sa raison et s'écrie qu'il va
mourir
si je ne le délivre pas sur-le-champ de cette ter
livre pas sur-le-champ de cette terrible suffocation. Et en effet, il
meurt
quelques instans après, asphyxié, avec toute sa c
après, dévoiement à la suite duquel il tombe dans le marasme et vient
mourir
à l'Hôpital Saint-Louis. A l'ouverture du cadav
ar hasard sur une femme de la Salpêtrière, âgée de cinquante-six ans,
morte
dans le service de l'infirmerie des aliénées. Le
u qu'un seul enfant à l'âge de dix-neuf ans. L'enfant vint à terme et
mourut
en naissant. L'accouchement avait été très-labori
t qu'a reproduit M. Lauth fils (***). Une jeune fille de dix-neuf ans
mourut
à l'Hôtel-Dieu de Strasbourg, en janvier i^5i. So
ujet de cette observation était une femme âgée de trente-six ans, qui
mourut
d'une pleuro-pneumonie aiguë. Je suis porté à pen
senta à la Société de la Faculté de Médecine (*) l'utérus d'une femme
morte
des suites d'un dixième accouchement. Cet utérus
x qui ne puisse devenir le siège d'une tuméfaction mortelle : on peut
mourir
de suffocation par la partie sous-glottique, comm
coup de raucité dans la voix sans gêne aucune dans la respiration. Il
meurt
sans accès de suffocation et comme par engouement
de la huitième paire au-dessous du nerf laryngé supérieur ; il devait
mourir
asphyxié. L'explication est ingénieuse, mais est-
soit pendant la déglutition, soit par oedème du larynx; en effet, il
mourut
au moment où on s'y attendait le moins, Ouvertu
la respiration s'accélère; une sueur excessive inonde le malade, qui
meurt
quelque temps après sans agitation, sans mouvemen
un peu. Le malade a toute sa raison. La déglutition est difficile. Il
meurt
dans la nuit. A l'ouverture, un peu de sérosité
cieuse. il était aisé de prévoir la fin prochaine de ce malade, qui
mourut
en effet cinq jours après son entrée avec une res
Le malade ne répond à aucune question. (Vésicatoire à la nuque. ) Il
meurt
le cinquième jour dans l'état comateux et adynami
mpanite abdominale et de la péritonite sur-aiguë. J'ai vu des malades
mourir
suffoqués par le seul fait de la tympanite abdomi
nostique une entérite folliculeuse. Vingt sangsues aux jugulaires. 11
meurt
pendant la nuit. L'ouverture du cadavre nous a ap
ir, son état lui parut à peu près le même qu'à la visite du matin. Il
mourut
à onze heures. J'avais diagnostiqué une entérite
forces épigastriques est profondément affecté. On a vu des individus
mourir
dans le frisson. Suivent le mouvement centrifuge
gré de l'état d'ataxie; céphalalgie, soubresauts dans les tendons; il
mourut
le cinquième jour de son entrée à l'hôpital, et j
et tombe en faisant effort pour se lever. Même état le 4 et le 5. Il
meurt
pendant la nuit du 5 au 6 au milieu de l'agitatio
ne pleuro-pneumonie à la partie antérieure du poumon droit. Le malade
mourut
la nuit suivante. Ouverture du cadavre. Pleuro-
de quinine; pilules camphrées.) Le 25, délire; pouls grêle, lâche; il
meurt
pendant la nuit, vingt-unième jour de l'invasion.
de cantharides en frictions et à l'intérieur lui est administrée. Il
meurt
(*) Il y a lieu de s'étonner du silence des aut
érale du cerveau. Un autre élément de la question est celui-ci. On ne
meurt
pas par le seul fait d'une tumeur cancéreuse de l
s moyens devinrent inutiles, les symptômes augmentèrent, et le malade
mourut
le 16 août 1829. » « autopsie. L'état général d
de sa douleur : je fus surpris le lendemain d'apprendre qu'elle était
morte
dans la journée. Ouverture du cadavre. J'annonç
s moyens devinrent inutiles, les symptômes augmentèrent, et le malade
mourut
le 16 août 182g. » « Autopsie. L'état général d
ze ans, fut transférée peu de temps après aux Incurables, où elle est
morte
âgée de quinze ans, par suite d'un dévoiement chr
ita entre autres faits celui d'un maçon qui tomba d'un lieu élevé, et
mourut
quelques heures après. Parmi les lésions graves q
ravaillé et a toujours joui d'une santé parfaite. Cette femme étant
morte
le 6 novembre 1821 , M. Grellet, aidé de M. Dumas
. Quatre expériences sur les lapins, un fait observé sur un maçon qui
mourut
une heure après son repas par l'effet d'une viole
heures après un repas copieux où il avait bu beaucoup de vin, et qui
mourut
à l'instant, je trouvai la muqueuse ramollie fort
ement circonscrite à la grosse tubérosité. Toutes les fois qu'on fait
mourir
violemment un animal pendant le travail de la dig
t misérable du pouls m'annonçaient une fin prochaine ; et en effet il
mourut
en parlant, deux heures après ma visite. Ouvert
pique, tandis que la plupart des malades affectés de cancer au pylore
meurent
dans le marasme le plus complet, et pour ainsi di
estomac représenté fig. i (planche 4) a appartenu à une vieille femme
morte
à la Salpêtrière, dans un état de marasme dont la
e désespéré, il le fit transporter à la Maison royale de Santé, où il
mourut
trois heures après son entrée. Avant l'ouvertur
ouleur très-vive dans l'abdomen, accompagnée d'un malaise général. 11
mourut
le lendemain. A l'ouverture , on trouva sur la fa
t et régulier; il a la conscience d'une lin prochaine, et en effet il
mourut
la nuit suivante au milieu d'une syncope et après
sième jour de la blessure, et qui n'avaient manifesté aucune douleur,
mouraient
avec un grand nombre d'abcès dans la substance du
é de la Suppuration, p. 344- ( C*n a quelquefois trouvé dans ceux qui
meurent
huit ou dix jours et même plus long-temps « après
out de trente-six heures, le membre malade se tuméfie, et si l'animal
meurt
ou est sacrifié, on trouve une multitude innombra
tige, de bas en haut, jusque dans la veine cave ascendante. L'animal
mourut
le sixième jour avec beaucoup d'oppression; l'ext
ielles soulevant la peau à la manière de cordons très-durs. Le malade
mourut
, et on trouva dans les veines du membre inférieur
ines, des faits tout-à-fait contradictoires : chez une vieille femme,
morte
, dit-on, subitement, j'ai rencontré la veine ilia
eur énergie, l'inspiration était entrecoupée et incomplète ; l'enfant
mourut
asphyxié soit par défaut d'action des puissances
LICATION DE LA FIGURE. Cette figure représente l'utérus d'une femme
morte
de péritonite puerpérale quelques jours après l'a
enté à la Société anatomique l'utérus d'une femme âgée de 33 ans, qui
mourut
de métrite quelques jours après l'accouchement (c
tte disposition avait fait croire à une grossesse composée. La malade
mourut
trois jours après l'accouchement, d'une métrite a
fig. ï, 2, 3, appartenait à une malade de la Maison royale de santé,
morte
phthisique, J'avais constaté, quelque temps aupar
mme de la Salpêtrière, couchée dans la division des incurables et qui
mourut
d'une pneumonie, je trouvai dans le vagin une vég
) La fig. 4 représente la face postérieure de l'utérus d'une femme
morte
six semaines après l'accouchement, des suites d'u
Société anatomique : une femme affectée de cancer aux deux mamelles,
mourut
suffoquée. A l'ouverture : hydrothorax; cancer de
atre à cinq jours, on lui administra deux grains de tartre stibié, il
mourut
le lendemain. Je fus curieux d'examiner les voies
figure 2, Planche 5 , appartenait à un enfant de cinq à six mois, qui
mourut
avec des tubercules dans les poumons. Il me fut d
de la muqueuse et de la musculeuse. Chez une femme de 72 ans environ,
morte
par suite de vomissemens continuels survenus seul
t dans l'accomplissement de cette douloureuse fonction. Peu de femmes
meurent
par le fait même de l'accouchement; un nombre con
de tout son éclat. 1° La planche I représente l'utérus d'une femme
morte
du typhus puerpéral, le 4e jour de l'invasion de
(( La poitrine se ferme, disait cette malheureuse, soulagez-moi ou je
meurs
faute d'air. » Facultés intellectuelles dans Péta
erne des cuisses, huit grains de kermès minéral dans une potion. Elle
mourut
dans la journée. D'après les renseignements cjue
leur intégrité. La malade fait toutes ses dispositions et s'apprête à
mourir
, en manifestant la plus grande indifférence sur l
ques gouttes d'ammoniaque dans une infusion de camomille. Le malade
meurt
une heure après son entrée, au milieu d'une cramp
sensibilité morale, telle qu'elle ne s'occupe point de son enfant qui
meurt
à côté d'elle, deux heures après son entrée. Touj
i perdit son mari du choléra le i5 avril, fut prise le 16, à midi, et
mourut
en douze heures: le liquide contenu dans l'intest
létère; le malade présente tous les symptômes de l'empoisonnement; il
meurt
asphyxié. Mais, si au lieu d'étudier tout d'abo
que si le malade n'avait pas le choléra, il avait été empoisonné; il
mourut
en ma présence, trois heures environ, après l'inv
gé de retirer bien vite le malade si l'on ne veut s'exposer à le voir
mourir
d'asphyxie. On a essayé sans succès les bains fra
on des stimulants intérieurs et des vomitifs. D'autres fois le malade
meurt
dans la stupeur et l'état typhoïde, et plus d'un
ant venu naturellement par la première position du sommet de la tête,
mourut
trois heures après sa naissance : l'abdomen volum
réussit en général assez bien dans des cas analogues en apparence. Il
mourut
le lendemain. A l'ouverture : arachnitis spinale
hydro-thorax, purpura hemorrhagicum, chez un fœtus de sept mois, qui
mourut
douze heures après la naissance. Un enfant de s
s sur toute la surface du corps et ijUr la muqueuse de la langue ; il
mourut
au bout de douze heures. Infiltration du tissu
arde, purpura hemorrhagicum, foie aVun vert-olive, chez un enfant qui
mourut
une heure après la naissance. Une femme qui ava
a grossesse, accouche heureusement d'un enfant infiltré, à terme, qui
mourut
au bout d'une heure de respiration assez complète
per-sécrétion. Enfin, chez un enfant nouveau-né, âgé de six mois, qui
mourut
dans le marasme, j'ai rencontré un thymus doublé
ne connais aucune observation plus curieuse que celle d'un enfant qui
mourut
immédiatement après sa naissance , après avoir po
p de peine; elle resta incomplète, très gênée, presque convulsive. Il
mourut
au bout de cinq jours. A l'ouverture : cœur éno
tus, que je ne crains pas d'avancer cette proposition, savoir : qu'il
meurt
autant d'enfants nouveau-nés que d'adultes, par l
près la rupture de la poche des eaux. Il respire quelques instants et
meurt
. Couleur vert-olive des poumons qui sont très vol
de sang et de sérosité. Un enfant né avec des pustules syphilitiques,
mourut
au bout de quelques heures. Le tissu du poumon ét
t à terme né d'une mère siphylitique. Il fait quelques mo uvements et
meurt
. L'insufflation avec le tube laryngien est inutil
IES DU CERVEAU. {Absence complète du cervelet, chez une jeune fille
morte
dans sa onzième année.) (Planche V, XVe livrais
aissance et qui ignorait néanmoins complètement sa fâcheuse position,
mourut
le même jour à une heure après midi. Ouverture
manifestèrent les premiers accidents du côté de l'estomac. Le malade
mourut
le 14 janvier 1833 avec tous les symptômes du squ
blitérée. J'ai cité ailleurs (1) l'observation d'une vieille femme,
morte
dans mon service à la Sal-pêtrière, qui portait d
cales, réduites à une vie végétative, immobiles dans leur lit, et qui
meurent
pour la plupart, par suite des escharres gangrene
hes anatomiques sur les hé-morrhagies) , l'observation d'un homme qui
mourut
le douzième jour de l'invasion d'un érysipèle phl
consultation. Le surlendemain, après une nuit très agitée, l'enfant
mourut
sans agonie. A Vouverture9 que je fis avec mon
a fig. 5 représente un double kyste pileux (1) observé chez une femme
morte
un mois après l'accouchement. L'utérus offre enco
du volume de la tête d'un enfant d'un an a été trouvé chez une femme
morte
à l'Hôpital Beaujon en 1831, par suite d'un ramol
encroûté de phosphate calcaire et momifié, chez une femme de 77 ans,
morte
47 ans après une grossesse extra-utérine. Je do
té Pl.VI, 18e livraison. Ce fœtus a été trouvé chez une vieille femme
morte
à l'âge de 77 ans , qui le portait depuis sa 35e
et bien qu'elle fût très bien réglée, elle ne devint pas grosse. Elle
mourut
32 ans après la conception. Le fœtus était couv
sement qui fit craindre pour sa vie, elle se rétablit parfaitement et
mourut
à l'âge de 61 ans d'une fluxion de poitrine. .A
ltration des membres abdominaux ; la malade s'épuisa graduellement et
mourut
dans le marasme sans avoir présenté aucun symptôm
mbre de cas dans lesquels il a été envahi. Ainsi chez un individu qui
mourut
avec une exostose douloureuse siégeant au tiers s
ente, je soupçonnai le ramollissement cancéreux de ces os : la malade
mourut
épuisée de douleurs. A l'ouverture je trouvai les
reil ; la mamelle non ulcérée offrait une couleur violacée. La malade
mourut
dans la soirée. Ouverture du cadavre. Les deux
le péricarde plein de sang d'une vieille femme de la Salpêtrière qui
mourut
subitement dans son emploi. On voit la couleur vi
plusieurs années tous les symptômes d'une maladie du cœur et qu'elle
mourut
à la manière des individus affectés de dilatation
parfaitement compte de son état, n'accuse aucune espèce de douleur et
meurt
immédiatement après la visite. Bien que cette mal
phère droit du cerveau d'une femme âgée, hémiplégique du côté gauche,
morte
à la Maison royale de santé. La cause de sa mort
ervation de la sensibilité et intégrité des facultés intellectuelles,
meurt
le i3 avril i833, par suite d'une pneumonie œdéma
Elle est rapporté à l'infirmerie dans les premiers jours de mars, et
meurt
au moment où on s'y attendait le moins. Ouvertu
ir les individus affectés de ramollissement du cerveau ou d'apoplexie
mourir
par les poumons. L'observation qui précède étab
tions générales..... --j Absence d i cervelet chez une jeune fille,
morte
dans sa onzième année. Maladies du 'cervelet et
tainement, me dit-elle, je ne supporterai pas l'accouchement, je vais
mourir
». Ne sachant pas la date exacte de mon retour, j
ice aux suggestions de tous genres. Tant que l'intelligence n'est pas
morte
elle enregistre mécaniquement les excitations ext
Le sujet tressaillit, et se raidit dans l'état cataleptique, mais ne
mourut
pas malgré la suggestion, mais il aurait pu mouri
aleptique, mais ne mourut pas malgré la suggestion, mais il aurait pu
mourir
des suites de la terreur provoquée. Voici une e
iment tué que cinq ; tous les autres sont morts de peur ! » On peut
mourir
véritablement de peur, par exemple,lorsque l'on c
i l'invective et lui fait des menaces ; elle a tellement peur qu'elle
meurt
subitement. De même, un vieillard est poursuivi p
es coups de feu ont tellement ému notre vieillard qu'il s'affaisse et
meurt
. Un chirurgien-vétérinaire, à qui l'on se dispo
e a introduire le cathéter, le patient pâlit, tombe en défaillance et
meurt
. Pelletan devait, à sa clinique, procéder a une
Au moment où il plaça le fer sur le malade, celui-ci poussa un cri et
mourut
. Le Dr Witry (de Trèves-sur-Moselie) rapporte u
la lutte devient très émouvante, il tombe subitement à la renverse et
meurt
au bout de quelques instants. (Cooney). Un ince
é. D'après Feuchtersleben, Mmo de Guerchy, fille du comte de Fresque,
mourut
, en 1672, pour avoir eu, elle aussi, peur du feu.
cière de ce kiosque est prise d'une telle frayeur qu'elle tombe raide
morte
. * s s Qu'un spectacle soit terrifiant par
. l'effet peut être également néfaste. Peutemann. peintre allemand,
mourut
, en 1641, de la frayeur qu'il ressentit en voyant
des squelettes agités par un tremblement de terre. Louis de Bourbon
mourut
à la vue des ossements de son père qu'il avait fa
vait fait exhumer. J. L. Petit a vu un homme, blessé à la main, qui
mourut
subitement en voyant ses tendons à nn. Une jeun
ez ses parents ; en leur racontant sa mésaventure, elle s'affaisse et
meurt
d'émotion. Dans le cas suivant, le danger n'éta
de cornes ; ce rêve fait tant d'impression sur son esprit qu'elle en
meurt
le lendemain. * ß * Voir mourir quelqu'un,
ession sur son esprit qu'elle en meurt le lendemain. * ß * Voir
mourir
quelqu'un, apprendre la mort d'un proche, assiste
d'être broyé par une machine ; il est tellement impressionné qu'il en
meurt
. Un boucher, du nom de Filbey, mourut à Twicken
ellement impressionné qu'il en meurt. Un boucher, du nom de Filbey,
mourut
à Twickenham, après avoir été témoin de la mort d
otion. D'après M. Clark Bell, un capitaine, il est vrai centenaire,
mourut
après qu'il eut lu dans un journal une notice néc
mier gredin qui voudrait me faire mettre en colère ». Et, en effet il
mourut
dans un accès de colère. Une violente colère fi
a Foureroy et Chaussier. En 1547. François Foscari, doge de Venise,
mourut
subitement en entendant la cioche de Saint-Marc a
ter tumnlte ; il n'y eut, en ce temps ià, qu'un sot de Lepidus qui en
mourut
d'angoisse. » Parlant de la mort d'Isocrate, Mi
a liberté, qui tua cet homme éloquent. » « Diodorus le dialecticien
mourut
sur le champ, esprins d'une extrême passion de ho
n argument qu'on luy avait faict. » (Montaigne). Une jeune personne
mourut
dans l'espace d'une heure, se croyant déshonorée
té pillée ; il sent si violemment le poids de sa responsabilité qu'il
meurt
dans les vingt^quatre heures. Un soldat breton,
at breton, qui ne pouvait se consoler de rester éloigné du sol natal,
meurt
le jour même où on lui refuse son congé. Une re
stence ; elle en est tellement émotionnée qu'elle tombe en syncope et
meurt
quelques heures après. * La joie peut tuer to
posa une tragédie qui fut couronnée ; le succès en fut si grand qu'il
mourut
do joie. Denys, second tyran de ce nom, mourut
n fut si grand qu'il mourut do joie. Denys, second tyran de ce nom,
mourut
en apprenant que sa tragédie avait remporté le pr
remporté le prix aux jeux olympiques. Diagoras, athlète de Rhodes,
mourut
en voyant ses trois fils revenir couronnés des je
ctions de grace. Montaigne a rapporté le fait en ces termes : « Talva
mourut
en Corsègue (Corsica. Corse), lisant les nouvelle
souhaitée, entra en tel excez de joye que la fièvre l'en print, et en
mourut
. » (Montaigne). Valère Maxime raconte que deux
t en mourut. » (Montaigne). Valère Maxime raconte que deux romaines
moururent
de joie en voyant leur fils revenir sain et sauf
sain et sauf du combat livré près du lac de Trasimène ; l'une d'elles
mourut
en embrassant son fils, l'autre en voyant arriver
voir pressé sa fille dans ses bras, elle a une attaque d'apoplexie et
meurt
douze heures après. Des forçats irlandais, cond
enant qu'ils étaient graciés. Pouquet, au dire de quelques auteurs,
mourut
subitement en apprenant que Louis XIV l'avait ren
annonce qu'un parent éloigné, dont il est le seul héritier, viout de
mourir
en lui laissant une somme de 600.000 francs. En a
du plaidoyer de son avocat que la joie la tue. La nièce de Leibnitz
mourut
subitement de joie en voyant ouvrir les coffres d
s d'or et dont elle héritait. C. T. A. Charpentier raconte avoir vu
mourir
subitement un fori de la halle de la joie d'avoir
t de posséder l'objet de ses désirs, ressentit une joie si vive qu'il
mourut
subitement. (A suivre). PSYCHOLOGIE MILITAI
Après lui avoir bandé les yeux, on lui annonça qu'on allait le faire
mourir
en lui onvrant les veines. Fendant que l'on faisa
on de sang sortant de ses veines. Croyant qu'il était sur le point de
mourir
, ce malheureux fut pris de syncopes, de sueurs fr
malheureux fut pris de syncopes, de sueurs froides, de convulsions et
mourut
au bout de 'it «? \ heures et demie : ses piqûres
; ses blessures sont insignifiantes ; mais il les croit mortelles et
meurt
sur le champ. Dans les deux cas suivants l'hété
un pied dans la tombe ! ». Bouleversé par cette apostrophe, M. L. G.
meurt
subitement quelques instants après. Voici des c
e à un pauvre mendiant, celui-ci s'en vengea en lui annonçant qu'elle
mourrait
dans six mois. Quand ce temps fut écoulé, elle fu
s fut écoulé, elle fut tellement obsédée par cette prédiction qu'elle
mourut
. Quelques faux prophètes annoncent, de temps en
ra tel jour déterminé. Or, le premier novembre 1899 une femme est
morte
de peur à l'heure même qu'un certain docteur Palb
urai plus besoin. » Le 22 décembre, à midi et demi, elle s'affaise et
meurt
dans les bras de sa bonne. Chose singulière, les
es sauvages, lorsqu'ils sont las de la vie, prennent la résolution de
mourir
, se couchent, ferment les yeux et cessent de vivr
'écrie : « Oh ! c'est merveilleux ! » et cesse de respirer : elle est
morte
! Marcelin Berthelot avait, plusieurs fois, d
uand on lui apprit que sa femme venait de succomber, il s'affaissa et
mourut
sur le champ. Le célèbre chirurgien anglais, Jo
ant son ventre devenu tout noir, il tombe immédiatement en syncope et
meurt
. Or. le domestique s'était trompé de flacon et av
nte. Tant que cela dure, le coupable souffre. Si la ficelle casse, il
meurt
. Mais, c'est presque de la sorcellerie, cela, e
ée du petit est liée à celle de l'arbre : si celui-ci sèche, l'enfant
mourra
. U peut se faire aussi que l'enfant malingre, q
rendre une taupe vivante et l'étouffer dans sa main. Lorsqu'elle sera
morte
, les coliques seront passées. D'ailleurs, si. la
suggestion La grande cantatrice allemande, Pauline Lucca, vient de
mourir
. La i.Neue Freîe Presse » raconte à son sujet l'a
s d Aqcis. Avant que AYestphal, le célèbre psychiatre berlinois qui
mourut
morphinomane, eut décrit ce qu'il a appelé si heu
ène se reproduit, ainsi que la nuit suivante, au cours de laquelle il
meurt
, subitement, de la rupture de son anévrysme, pend
immédiatement, prise d'une hémorragie pulmonaire abondante, dont elle
meurt
en Quelques minutes. Pour ce qui concerne les é
au cours d'une discussion, saisie à la gorge par son contradicteur et
meurt
. Un expert de province conclut à la strangulation
s doute, si elle n'avait pas été prise k la gorge, elle ne serait pas
morte
, mais il n'y a pas eu strangulation. Le meurtre e
aim. Le moyen qu'elle cherche depuis longtemps est enfin trouvé, elle
mourra
d'inanition. Ce genre de mort concilie tout, il a
rand étonne-ment, l'idée de suicide persistait. Et pourquoi veut-elle
mourir
'? parce que la vie lui fait peur. La pensée de r
d'anxiété et d'angoisse qui avait disparu du jour où la résolution de
mourir
avait été prise et avait reçu un commencement d'e
ne longue expérience. Que d'ailleurs le médecin qui n'a jamais laissé
mourir
un patient jette donc la première pierre à ceux q
nt-Pétersbourg, dans la Grande Morskaïa, un général très célèbre a vu
mourir
, coup sur coup, deux de ses filles. Son fils aîné
; il prie d'abord, puis il pose cette double question a celui qui va
mourir
: — Crois-tu ? Veux-tu croire ? Comme un souf
alck tombent en son pouvoir, il entra en Bulgarie, jusqu'au Volga; il
mourut
a son retour. — Qui ne connaît Yuen-T'ai-Tsoung e
le ressusciterait le troisième jour après sa mort. La dame Boiler
mourut
en 1895. Ses disciples attendirent le miracle de
er s'était mariée une première fois, sans avoir des enfants. Son mari
mourut
subitement vers I860. Elle épousa, quelques année
gner ensuite dans ce sang versé devant ses adeptes. Dorothée Boiler
mourut
en février 1895 et ses fidèles en furent très ému
fit des préparatifs pour fêter le miracle, mais Dorothée Boiler resta
morte
dans son cercueil comme tout autre mortel et dut
s vinrent réclamer leur argent au mari survivant. ? le leur rendit. ?
mourut
en novembre 1895 et laissa la maison de résurrect
upperzel, étant le dix-huitième enfant du prince Charles Albrecht qui
mourut
dans une maison de santé. Il lit ses études ?
à l'assiéger ; 11 voyait souvent jusqu'à 200 personnes par jour. Il
mourut
le 14 novembre 1849. Son œuvre suggestive continu
sa mort, consulté par des malades des quatre coins du inonde. Forster
mourut
curé de Ifuttenheim. à l'Age de 85 ans en 1875. O
ont laissé une infirmité d'un des membres inférieurs et sa mère étant
morte
à vingt-sept ans de tuberculose. Lui-même a eu, i
de svncones. \Père. marchand de vins, sobre, bien portant ; mère.
morte
du choléra, en 18G;) ; une soeur bien portante a
(Cousins germains). Deux enfants : 1° 0 Iotre ? lade, 2" une fille,
morte
a 3 ans de broncho-pneumonie copjié- cutive à l
qu'il ait eu de maladies vénériennes. [Père mort à 76 ans ; - mère
morte
à 40 ans ; « de chagrins cau- sés par des perte
dies. [Père mort à 87 ans d'une ma- ladie de l'estomac,sobre ; mère
morte
à 88 ans de vieillesse; grands parents maternel
trois sont bien portantes ainsi que leurs enfants, la quatrième est
morte
de la poitrine vers 30 ans. Ni aliénés, etc.] Pas
aud et froid à 28 ans après 18 mois de maladie (phthisie); 2° fille
morte
à 32 ans, trois se- maines après un accouchemen
2 ans, trois se- maines après un accouchement ; 3° fille de 18 mois
morte
du choléra en 1849 ; 4° et 5 2 autres filles bi
ue (absinthe, étourdissements).- Grand'mère paternelle alccoolique,
morte
folle. Mère et soeur nerveuses. - Frére idiot.
onnier, mort à 60 ans d'un catharre pulmonaire. - Mère, alcoolique,
morte
folle à la Salpêtrière à 60 ans. - Un frère, bi
ts verdâtres ; la mort ne survint qu'au bout do 4 semaines. - Mère,
morte
à 40 ans, assassinée par un indi- vidu, qui, ap
Grand' mère maternelle bien portante, 67 ans : - 4 soeurs, l'une
morte
de la poitrine, sans enfants ; les trois autres s
rice de convulsions au moment de la dentition à 14 mois. - 2° Fille
morte
des suites d'une chute. - 3° Garçon mort à 10 m
intelligente, bien portante, a eu des convulsions. - 11° Une fille
morte
en deux jours, à 18 mois, du croup. Notre malad
e, émailleur, mort à 50 ans, d'une maladie de poitrine; sa mère est
morte
à 78 ans; - mère; bro- deuse morte à 50 ans d'u
maladie de poitrine; sa mère est morte à 78 ans; - mère; bro- deuse
morte
à 50 ans d'un asthme, peu nerveuse, son père est
u nerveuse, son père est mort de paralysie, en un jour; sa mère est
morte
jeune; une tante maternelle est devenue folle à
paralysie, ni démence, il ne faisait pas d'excès de boisson. Mère
morte
à 81 ans, on ne sait de quelle maladie, travailla
uns : l'aînée a une bonne santé ainsi que son garçon ; la seconde
morte
il y a un an, on no sait de quelle maladie, a lai
de suicides dans la famille.] Mère, couturière, de taille moyenne,
morte
le 10 février 1879, à l'hôpital de la Charité «
eau, ni maladies vénériennes. [Père : pas de renseignements. - Mère
morte
à 71 ans, on ne sait de quoi; n'était pas paral
peler l'attention de la Société. Observation. Consanguinité . Soeur
morte
de con- vulsions. - Premières convulsions il qu
(Les pa- rents sont cousins germains.) Trois enfants : 1° Fille,
morte
à un an; elle aurait eu peur d'un orage et aura
né, un autre épileptique. - Mère, enfant trouëe, ? zg'rameusc.Soeur
morte
de convulsions. Convulsions à 4 ans. - Rachitis
[Père, menuisier, mort on ne sait de quoi, à 72 ans : sobre. - Mère
morte
à 68 ans ; était paralysée d'un côté du corps.
consanguinité (père de Sedan, mère de Paris). 4 enfants : 1° Fille
morte
à 5 ans d'une fièvre cérébrale : intelligente,
étails sur les grands parents ni sur la famille paternelle]. Mère
morte
le 24 janvier 1880 d'un cancer du sein, qui a s
es de nerfs ; pas d'excès de boisson. [Père, pas de détails. - Mère
morte
il y a 6 ans, on ne sait de quoi, âgée de 93 an
[Père, tué dans une carrière, alcoolique; - mère, blanchisseuse,
morte
de la poitrine à 33 ans; un frère, mort à Sainte-
6 ans, maçon, fait quelques excès alcooliques. Mère, blanchisseuse,
morte
à 58 ans, en 8 jours, d'une affection cérébrale
nes ; fumeur. [Père et mère morts on ne sait de quoi ; une soeur,
morte
de la poitrine, avait eu 12 ou 13 enfants dont un
alade. [Père, mineur, mort à la Pitié il y a plus de 30 ans ; mère,
morte
« d'être usée ; » a eu un frère enlevé par le c
en venant au monde ; « c'était clans la tête »; une autre fille est
morte
de convulsions, à 6 se- maines ; les autres son
Mayenne (La Rochc-G andon) 3 3 • 2 1 9 Pas de méthode spéciale.
Meurt
.-et-Mos. (Marêvillc) 24 14 5 7 50 Depuis 26 a
arcons morts en bas-âge. 2 garçons bien portants. » en cuivre. I f,
morte
à 4 ans d'un mal N. m., idiot, épileptique. de
urulente. Père excès de valsions. 1 g. détraqué. boisson. 1 fille
morte
on ne sait de 1 g. très faible de constitu-quoi.
on; syphilis. te. Mère syphilis. Redl............. Peintre » 5 f.
morte
à 3 ans 1/2 de 2 g. bien portants. Père excès de
ossesses. décédés. vivants. Bru............. Polisseur » 11 1 Fille
morte
à 14 mois de 1 Garçon et 1 Fille bien père alcool
alcoolique sur métaux. la coqueluche. portants. invétéré. I Fille
morte
à 18 mois de N. m., Epilepsie, la rougeole. I gar
» en bâtiments. d'entérite. Harp............ Fondeur » 1 I Fille
morte
à 2 ans de 1 Fille bien portante. » en caractèr
et 1 f. bien portants. » cho-pneumonie. N. m., épileptique. I f.
morte
à 5 jours de ca-chexie. Languill......... « Man
mort de tuberculose pulmonaire. Davi............ Tourneur » 5 I f.
morte
de péritonite. 2 g. et 1 f. bien portants. » su
ellec- Mère syphilitique en caraotères. tuelle, perversion des ins-
morte
de paralysie tincts, onanisme. générale. Pai.
ssesses. décédés. vivants. I Noe............. » Gaînière. 4 I Fille
morte
à 4 mois, tuber- 1 Garçon bien portant. » culcu
er- 1 Garçon bien portant. » culcuse. N. m., Imbécillité. I Fille
morte
à 3 mois, on ne sait de quoi. Fria............
, imbécillité. » sur cuivre Lanf............ Polisseur » 2 Ifille
morte
à 6 mois du JV. m., idiotie. Père alcoolique su
coolique sur métaux. croup. Madel........... Teinturier. » 7 1 f.
morte
à 28 jours. 1 g. et 1 f. bien portants. Père alco
tants. Père alcoolique 1 g-mort d'entérite. N.m., épilepsie. 1 f.
morte
à 12 jours (?) I g. mort de la rougeole. Gœur..
ausse couche à 4 mois. 1 garçon bien portant. » sur cuivre. I fille
morte
de méningite. N. m., idiotie mongolienne. Man .
m., imbécile. » en bâtiments. Roug........... Peintre » 5 1 fille
morte
du choléra. 1 fille bien portante. Père alcooliqu
i ï. mort de conuulsions à •15 mois. Jjumeaux morts à i3 mois. i f.
morte
de convulsions à 8 jours. iY. m., mort de tub
en portants. Père alcoolique. sur cuivre. mois. N. m., idiot. If.
morte
de coqueluche à ¡1 ans. March.......... Plombie
é. — Inégalité d'âge d'un an (Père plus âgé). 10 enfants : 1° Fille
morte
d'entérite à 33 jours ; — 2° gar-çon né à 6 mois
sans convulsions ; — 6° fille (17 ans en 1905), normale ; — 7° fille
morte
à 7 mois d'entérite ainsi que deux autres filles,
let 1885, a Paris, entrée le 17 juillet 1899 a la fondation Vallée,
morte
le 21 août 1899. Antécédents. (Renseignements f
dure pas; point de migraines. — [Père mort on ne sait de quoi. — Mère
morte
à 63 ans, de la rupture d'un anévrysme (?). — N'a
ût. — L'enfant, qui était très abattue cette nuit et causait peu, est
morte
à II heures du matin, sans spasme, sans crises, a
antes paternelles myopes. — Mère migraines. — Grand'rnère maternelle,
morte
d'une tumeur abdominale. — Pas de consanguinité.
ses grands-parents, pas de renseignements. — Une tante paternelle est
morte
aveugle; sa cécité ne datait pas de l'enfance. —
x de ces accidents. Son pè?*e a 73 ans, bien portant. — Sa mère est
morte
à 70 ans d'une tumeur dans le ventre. — Grand'par
affaiblit de plus en plus, les escarres se creusent et s'étendent. Il
meurt
le 30 mars 1905. Nous avons transcrit plus haut
souffrances inutiles — sans compter les dépenses — on l'aurait laissé
mourir
tranquillement à l'hôpital. VII. Les symptômes
ves, le D1' Ballard, dans sa thèse parue en 1898, intitulée : Comment
meurent
les éjrileptiques; — 2° de citer quelques autres
et aurait par périodes abusé des boissons alcooliques. — Sa mère est
morte
à 50 ans d'une maladie de cœur. On ne possède auc
encore vivante, âgée de 66 ans, jouit d'une santé parfaite. L'autre,
morte
à 78 ans n'avait jamais présenté d'accidents nerv
ant; 3° un garçon mort en nourrice à 11 mois du muguet ; 4° une fille
morte
au cours d'un mal de Pott; 5° notre malade; G0 un
demain. En Juin 1904 l'état de l'enfant était stationnaire quand il
mourut
le 12 de ce mois, à 4 heures du matin, asphyxié d
n accès, et asphyxié. C'est un de ces cas décrits par Trousseau. « Il
meurt
de suite comme si on lui serrait violemment et br
'aperçut bientôt que tous les soins étaient inutiles, la petite était
morte
axphyxiée. On doit donc recommander aux mères d
— Grande-tante paternelle épileptique.— Tante })aternelle épileptique
morte
dans un accès. — Oncle jater-nel excès de boisson
fracture de cuisse), atoujours été sobre. — Sa mère, migraineuse, est
morte
à 75 ans de vieillesse. — Grands-parents paternel
garçon mort d'un chaud et froid en 15 jours. On ne sait, si elle est
morte
dans un accès. Un frère, buvait avec excès, sur
de maladie incon-nue. — Une sœur (tante de notre malade) èpileptique,
morte
à 41 ans dans un accès. Dans cet accès, elle a fa
84 ans, ayant été toujours bien portant, la grand-mère maternelle est
morte
à 60 ans. Dix lajites ou oncles, sont tous sains
d'elles a eu 10 enfants vivants et bien portants, l'autre paraît être
morte
d'un coup de soleil. — Pas de convulsions parmi l
é Médico-psycholo-giquo de Paris.) 1898. Ballard. (J.). — Comment
meurent
les épileptiques. Thèse de Paris. Rellay (P.).
n I. Père peu intelligent. Mère et bis- aïeule alcooliques. - Soeur
morte
de convulsions. Frère mort de maladie bleue. --
coeur à 32 ans; maçon; alcoolique ; a bu « tant qu'il a pu. » Mère,
morte
de fièvre typhoïde. Pas de manifestations nerve
es; alcoolique; s'est mariée à 25 ans. [Père mort à 70 ans; mère,
morte
à 72 ans d'une tumeur au bras, un an après avoi
énériens.] Pas de consanguinité. Treize grossesses : 1° une fille
morte
de convulsions a 4 mois; bien conformée; 2° gar
; 2° garçon, âgé de 13 ans, intelli- gent et bien portant; 3° fille
morte
à 1 mois, de diarrhée, sans convulsions ; 4° ga
Un de ses frères a eu deux jumeaux bien constitués et valides. Mère
morte
à 56 ans, asthmatique, atteinte de cyphose cong
ent pendant plus de 15 ans une éruption dartreuse aux jambes. Mère,
morte
subitement à 66 ans; était très nerveuse. Quatr
esse n, l'autre à six semaines, de convul- sions internes; 3° fille
morte
à 9 mois, de diarrhée cholé- riforme ; 4° notre
elle n'avait cependant jamais été sujette à des attaques de nerfs ;
morte
percluse de douleurs,aveugle et atteinte d'ana-
étrangla à 60 ans et fut opérée avec succès. [Grand'mère maternelle
morte
d'un carcinome à la cuisse ; grand-père mort de
urs, l'une bien portante, mère de 7 enfants en bonne santé; l'autre
morte
en couches à 47 ans. Un frère mort de fièvre ty
la mère de notre malade serait devenue enceinte de lui. Une soeur,
morte
idiote. Deux frères bien constitués, mais d'une
ans,d'une fluxion depoitrine; ni excès, ni troubles nerveux. Mère,
morte
à 49 ans, à la ménopause, d'une affection qui a
é six mois, accompagnée d'oedème des extrémités. Deux soeurs, l'une
morte
à 18 mois, d'un choc sur la tête ; l'autre à 4
du frère et de la soeur. Cinq enfants : 1° Notre malade; 2° fille,
morte
d'une méningite à 9 mois ; - 3° garçon, âgé de
de 60 ans ; il était grand et fort; nul autre renseignement. Mère,
morte
à 68 ans, on ne sait de quoi; elle était d'une
belle-soeur (1). Père, cultivateur, mort on ne sait de quoi. Mère,
morte
quand notre malade était en bas âge. Deux soeur
largeur de la main; le parenchyme est déprimé, d'une teinte feuille
morte
à la surface ; il existe en outre trois ou- ver
est mort, à l'âge de 65 ans, on ne sait de quelle ma- ladie. [Mère
morte
après 60 ans, on ne sait de quoi. Deux de ses s
veuse. Son père est mort du choléra en 1832, à 48 ans ; sa mère est
morte
à 89 ans, elle était tombée 3 fois en para- lys
° gar- çon, convulsions dans l'enfance, vivant, 25 ans; 5° fille,
morte
du croup, avait eu des convulsions; 6° fille, 23
qui ont nécessité une surveillance continue. Grand'mère maternelle
morte
à 62 ans, d'un cancer utérin. Pas do consanguin
uche : 1° fausse couche à 4 mois, à la suite d'un effort ; 2° fille
morte
à deux mois, sans convulsions; 3° notre malade;
ment do plus en plus pro- noncé. Tuberculose pulmonaire. - L'enfant
meurt
le 18 avril. Autopsie faite 30 heures après l
(j ans, garçon d'hôtel, ne présente pas de troubles nerveux. [Mère,
morte
phtisique; pas d'accidents névro- pathiques dan
des et nerveuses. [Père, mort d'une affection de la poitrine. Mère,
morte
asthmatique. Un frère a eu des convulsions et e
8 ans. - [Mère, ner- veuse, a eu la fièvre intermittente; une tante
morte
d'un cancer au sein. Pas d'affections nerveuses
d'épilepsie. Il avait des « idées noires. » Trois tantes, dont une
morte
à 18 ans do fièvre cérébrale. Un grand oncle ma
15, sirop diacode 30 gr.) Soir : T. R. 40°. 15 janvier. L'enfant
meurt
au moment de la visite. La ROUGEOLES COMPLIQUÉE
re typhoïde : il s'est marié à 22 ans. [Père mort phthisique; mère,
morte
asth- matique ; 10 frères dont 8 survivants en
matique ; 10 frères dont 8 survivants en bonne santé; une soeur est
morte
phthisique.] Mère, 34 ans, très nerveuse, sujet
mort do convulsions à l'âge de 4 mois; 2° notre malade : 3" fille,
morte
en nourrice a 8 mois, d'une affection qui dura
l'appareil respiratoire; la température s'élève à 41°, le malade
meurt
et, à l'autopsie, nous trouvons les lésions d'u
elle. Nul antécédent morbide. [Père, mort on ne sait de quoi. Mère,
morte
de cholérine, il y a5 ans. Pas d'affections ner
ois de se trouver mal. [Père, bien portant, homme de peine. - Mère,
morte
d'une « hydropisie au ventre »; était très nerv
neumonie. Observation XVI. Père alcoolique. Grand'mère maternelle
morte
phtisique. - Pas de consanguinité. - Rapports s
1° un garçon de 12 ans, bien portant, in- telligent ; 2° une fille
morte
à onze mois d'une méningite, après avoir eu des
uleurs et la tuméfaction persistèrent les jours suivans, et la malade
mourut
le ier octobre, cinquième jour de la fracture, sa
du col du fémur observée chez une vieille femme delà Salpé-trière qui
mourut
^4 jours après la fracture, d'une maladie étrangè
e livraison, appartenaient à une vieille femme de la Salpêtrière, qui
mourut
d'une maladie étrangère à l'objet qui nous occupe
x dont elle aurait été tourmentée dès sa jeunesse. Cette malade étant
morte
, je trouvai toutes les articulations dépourvues d
embre 1834, mademoiselle Phi....., après avoir dîné comme de coutume,
mourut
sans agonie. Elle fut ouverte le lendemain en p
déjà existantes ne s'accrurent pas d'une manière sensible. La malade
mourut
dans le marasme, épuisée par une fièvre vive avec
survenue après la naissance: ainsi j'ai vu l'œsophage d'un enfant qui
mourut
par défaut de nutrition peu de jours après sa nai
gures et de descriptions particulières. Ainsi, chez une femme âgée,
morte
infiltrée, et sur laquelle je n'ai eu d'ailleurs
par du sang étaient à bords rosés et à fond grisâtre. Sur une femme
morte
avec deux cancers mammaires, et qui, le jour même
s étaient en voie d'accroissement. Enfin, chez une femme de 5o ans,
morte
de phthisie pulmonaire avec dévoiement chronique,
nt une douzaine dans l'estomac d'une vieille femme de la Salpêtrière,
morte
de pneumonie, et qui n'avait accusé aucun symptôm
figure i représente l'estomac d'une vieille femme de la Salpétrière,
morte
d'une maladie chronique dont je n'ai pas tenu not
s quelques jours de régime suffirent pour la rétablir. Cette dame est
morte
à l'âge de quatre-vingt-quatre ans d'un cancer de
tomac. La malade conserva sa gaîté presque jusqu'au dernier moment et
mourut
dans le marasme le plus complet. Ouverture du c
caduque. J'ai observé un cas tout-à-fait semblable chez une femme qui
mourut
d'hémorrhagie par suite de la rupture de la poche
âgée de quarante-six ans et neuf mois, d'une constitution très forte,
mourut
le 6 mai 1839, des suites d'une hernie étranglée,
alcaire et momifié y observé chez une femme de soixante-dix-sept ans,
morte
quarante-sept ans après une grossesse extra-utéri
la sœur de salle que son ventre vient de grossir considérablement. Il
meurt
pendant la nuit. Ouverture, 32 heures après la
e d'un tissu cellulaire séreux extrêmement délié. Cette femme étant
morte
d'une maladie tout-à-fait étrangère à l'éventrati
nter d'opération, tant l'état de la malade lui paraît désespéré. Elle
mourut
la nuit suivante. Avant de procéder à l'ouvertu
pouvaient pas appartenir à des cerises de l'année : car la malade est
morte
le i3 juillet, et les fruits de cette espèce ne s
'un dévoiement abondant avec accroissement considérable d'appétit. Il
mourut
au bout d'un temps assez long, sans que rien eût
au fond d'une ulcération ardoisée : t Chez un sujet tuberculeux qui
mourut
de péritonite suraiguë, nous trouvâmes une périt
aissé, selles continuelles et involontaires; point de vomissemens. Il
mourut
au bout de deux jours avec sa parfaite connaissan
malheureux, qui entraient dans cette maison pleins de vigueur, et qui
mouraient
au bout de quelque temps, ou phthisiques, ou dyse
ieu constamment par l'anus ; la douleur n'était pas vive. Cette femme
mourut
d'une maladie étrangère à l'affection du rectum.
s la longueur du gros intestin. Réflexions. — Cette malade est donc
morte
avec les symptômes de l'étranglement : il est pro
dégénération cancéreuse du bas-fond de la vessie elle-même. Le malade
mourut
dans les douleurs les plus vives et le marasme le
issemens continuels, et qu'on croyait affecté de cancer du pylore. Il
mourut
dans le marasme le plus complet. Pour toute lésio
qui, au dire des infirmières, allait régulièrement à la selle et qui
mourut
avec une rétention énorme de matières fécales. L'
ne perforation et un étranglement interne : ce malheureux jeune bomme
mourut
trois heures après notre visite, et l'ouverture d
eptembre i832 , lorsque je pris le service de l'infirmerie : elle est
morte
phthisique le 4 décembre 1838. Cette femme me dit
t d'ailleurs parfaitement exemptes d'induration. Cette malade étant
morte
, je dus m'assurer de l'état de l'intestin rectum,
raitement fut continué pendant cinq jours, au bout desquels le malade
mourut
de péritonite. A l'ouverture du corps, on trouv
1 est, d'ailleurs, probable que c'est la présence de la bile qui fait
mourir
les acéphalocystes, irrite les parois du kyste et
r à la Salpétrière, ayant rencontré sur le corps d'une vieille femme,
morte
de toute autre maladie, un foie à la surface conv
acéphalocystes. 3° Sur le corps d'une femme âgée de la Salpêtrière,
morte
de toute autre maladie, je trouvai un kyste hydat
indéterminé. Goitre latéral osseux et celluleux.—Sur unefemme âgée,
morte
d'uneattaque d'apoplexieet qui m'avait offert . n
ération représentée figure i appartenait à une femme de la Maternité,
morte
en i83/, pendant l'épidémie du typhus puerpéral,
s pour long-temps, lorsque cette expulsion a eu lieu. La malade étant
morte
peu de temps après pendant une quinte de toux con
rez, dit-on, les deux plèvres sur un animal vivant et. vous le verrez
mourir
incontinent de suffocation. J'ai répété cette exp
irmant que les cinq sixièmes de nos vieilles femmes de la Salpétrière
meurent
de pneumonie. Quand viennent les froids humides
adynamique. On nous apporte souvent à l'infirmerie des malades qui
meurent
immédiatement après leur entrée. D'autres meure
e des malades qui meurent immédiatement après leur entrée. D'autres
meurent
, dit-on , subitement dans leurs dortoirs , et ces
t aucun danger. Malheureusement, je ne me suis pas trompé : le malade
mourut
dans la nuit du sixième ou du septième jour. So
l'interprétation des symptômes. La malade dont il est question était
morte
dans un état d'anasarque. Je regarde comme un f
yez article Phlébite déjà cité. (2) M. le docteur Olivieri vient de
mourir
à Marseille. Sa dissertation, quelques observatio
lication des figures. Chez une femme affectée de cancer utérin, qui
mourut
avec un œdème peu douloureux des membres inférieu
ques externes, fémorales et saphènes , d'une femme de la Salpêtrière,
morte
par suite d'une phlébite capillaire hémorrhagique
ésenté à la Société anatomique par M. Cazalis. Chez une vieille femme
morte
par gangrène sénile, il y avait oblitération, par
, la gangrène avait frappé graduellement la moitié du pied. Le malade
mourut
cachectique, A l'ouverture, artère iliaque prim
ent pomper en quelque sorte tous les liquides contenus dans la partie
morte
et la dessécher avec une extrême rapidité. On con
t encore très forte en bas, en avant et à droite du thorax. Le malade
meurt
dans la nuit du 1er au 2 novembre avec toute son
me de la Salpêtrière, âgée de 75 ans environ, d'une excellente santé,
meurt
subitement sur les lieux d'aisance. Ouverture d
matoire probable au sommet du cœur. (\) Une femme de la Salpêtrière
meurt
subitement. On rapporte qu'elle avait fait une ch
i et i, a appartenu à une vieille femme de quatre-vingt-six ans, qui
mourut
subitement. Le sternum enlevé, je trouvai le pé
se, que j'ai rencontrée à la Maternité chez un enfant nouveau-né, qui
mourut
le sixième jour de sa naissance. Le cœur est enve
ans le journal de médecine de Hufeland(i), qu'un homme de 68 ans, qui
mourut
après avoir éprouvé des souffrances très vives, p
de toutes parts, impose d'étroites limites à l'épanchement. Le malade
meurt
, non d'hémorrhagie, non du trouble subit qu'appor
m aortœ) chez un homme de qualité, d'une constitution athlétique, qui
mourut
subitement à côté de sa femme; genre de mort, dit
ut de quelques jours, la malade demanda à retourner à son dortoir, et
mourut
subitement. A l'ouverture, péricarde plein de s
i d'ulcères aux jambes, devint sujet à des douleurs rhumatismales, et
mourut
subitement A l'ouverture, scissure du cœur longue
rgien distingué de Clermont-Ferrand (1). Il s'agit d'un vieillard qui
mourut
subitement par suite de cette rupture; les valvul
mblottant, mou, incertain, mais régulier et égal des deux côtés. Il
mourut
pendant la nuit, le cinquième jour de son entrée,
, la malade ne paraissait pas plus mal que les jours précédens : elle
mourut
suffoquée dans la journée. Ouverture du corps.—
é des masses cancéreuses dans le foie et dans les poumons d'une femme
morte
de cancer utérin, je vis quatre ou cinq ganglions
e n'en était pas troublée. Il entra à l'hôpital le 20 février 1837 et
mourut
subitement le 22 février, après un repas assez co
-à-coup de suffocation : il demande à manger, disant qu'il a faim, et
meurt
asphyxié quelques instans après. Ouverture du c
d, en compagnie d'un de ses camarades qui conduisait ses chevaux ; il
mourut
subitement après avoir fait une trentaine de lieu
ité. — Mort dans un état d'adynamie. ( i ) Une femme de 55 à 60 ans
mourut
, en 181/1, à l'Hôtel-Dieu, dans la salle Sainte-J
de soixante-trois ans , paraplégique du sentiment et du mouvement qui
mourut
presque subitement d'une hémorrhagie cérébrale. I
rise de pneumonie latente avec oppression, fièvre, assoupissement, et
mourut
le quatrième jour. Ouverture du cadavre. Moelle
Une femme paraplégique incomplètement et du sentiment et du mouvement
meurt
d'une maladie étrangère à la paralysie. Plusieurs
Une jeune fille amaurotique , paraplégique du mouvement seulement,
mourut
de je ne sais quelle maladie. A l'ouverture, atro
imer ainsi, mais sans bruit. Je soupçonnai une péricardite. La malade
mourut
avec toute son intelligence,dans un état de suffo
, pneumonie lobulaire, pneumonie œdémateuse, bronchite. La malade est
morte
par les poumons. Etat de la moelle (fig. 4, pl.
n'y a pas d'augmentation dans les phénomènes paralytiques. La malade
meurt
asphyxiée par engouement des bronches dans la nui
ent à droite avec impossibilité d'articuler les sons, la malade étant
morte
six ans après l'attaque, je trouvai en dehors des
u tissu propre de la protubérance. Cinq ou six mois après, cet enfant
mourut
comme asphyxié, avec toute son intelligence, sans
tuellement lent et apathique, on le traitait de malade imaginaire. Il
mourut
subitement. A l'ouverture, on trouva (fîg. a),
bral. Tel était encore le cas d'une jeune fille de 17 a 18 ans, qui
mourut
d'une phthisie pulmonaire, sans avoir jamais offe
ectée de cancer de l'utérus, fut prise subitement d'hémiplégie : elle
mourut
au bout de quelques jours. Je trouvai au centre d
iner le cerveau représenté fig. i,une vieille femme de la Salpétrière
mourut
dans un état comateux, vingt-quatre heures après
é, lavement purgatif, vésicatoire sur le sommet de la tête. La malade
mourut
le soir, le vingt-et-unième jour des couches, le
i pas à la possibilité d'un double ramollissement cérébral. La malade
mourut
dans la journée. A Y ouverture du cadavre, je tro
ait. Chez un enfant qui n'avait donné aucun signe d'intelligence, qui
mourut
à l'âge de huit mois, au milieu de convulsions qu
diot, âgé de trois ans, dont le crâne était extrêmement petit, et qui
mourut
dans les convulsions. Voici ce que j'ai observé :
la main et il la serre avec une égale force à droite et à gauche. Il
mourut
le soir. Je ne m'attendais pas à une fin aussi pr
sans symptômes cliniques correspondans. Une femme de la Salpétrière
mourut
d'une pneumonie. La veille de sa mort, elle renda
dure-mère. « Un invalide ivrogne, sujet à des attaques d'épilepsie,
mourut
de je ne sais quelle maladie. « On me présenta la
le malade tomba tout-à-coup dans la somnolence, puis dans le coma et
mourut
au bout de trois jours. A l'ouverture, on trouv
pectateurs voulaient toucher cette excroissance. De Thou assure qu'il
mourut
peu de temps après. Une épitaphe en harmonie avec
la malade disait qu'elle se trouverait mal ou peut-être même qu'elle
mourrait
si on lui arrachait un de ces étuis cornés. Du
l'Hôtel-Dieu dans un état d'affaissement porté au plus haut degré, et
meurt
le lendemain du jour de son entrée. M. Honoré vou
n n'a nullement été modifié. Nos femmes cancéreuses de la Salpétrière
meurent
assez souvent de toute autre maladie que le cance
e représente'e pl. n, xxne livr. (ij, appartenait à un homme qui vint
mourir
à l'hôpital Beaujon, où on ne l'observa que 24 he
6 livraison , représente une phlébite rénale, observée chez une femme
morte
à la Maternité pendant une épidémie de typhus pue
tat que le malade quitta Paris pour retourner dans sa province, où il
mourut
quelques mois après. La fig. i représente un fu
nsi relativement à l'utérus, j'ai vu une fille publique de 11 ans qui
mourut
par suite d'un cancer gangreneux ; et, d'une autr
eçues. respiration devint fréquente; son pouls un peu aceéléré. EUe
mourut
au bout de quelques jours. A Vouverture : pleur
tous les caractères du cancer le plus aigu, le plus douloureux. Elle
mourut
d'une maladie étrangère au cancer, de l'inévitabl
ruelle maladie est circonscrite entre 35 et 5o ans. Cependant j'ai vu
mourir
du cancer utérin une fille de mauvaise vie âgée d
livraison, appartenait à une femme de la Salpêtrière, âgée de 78 ans,
morte
d'une maladie tout-à-fait étrangère à la lésion d
appartenu à une femme qu'on croyait enceinte de six mois et qui était
morte
deux jours après son entrée à l'hôpital. Il s'agi
us: cette pièce anatomique appartenait à une femme de 5o ans environ,
morte
à la Sal-pêtrière dans le marasme le plus complet
résente la coupe verticale antéro-postérieure de l'utérus d'une femme
morte
à la Salpêtrière avec un écoulement d'une horribl
strique, douleurs sur lesquelles l'opium n'avait aucune prise, et qui
mourut
dans le marasme le plus grand, je trouvai l'utéru
es successives. — Mort lente. Sur une femme réputée cancéreuse, qui
mourut
dans un dépérissement progressif et sans douleur
Grand, 21 ans, née d'un père dont la santé fut toujours bonne et qui
mourut
aux armées , et d'une mère qui succomba à l'âge d
l et vus par leur surface externe , la vessie et l'utérus d'une femme
morte
avec tous les symptômes d'un cancer utérin. Le re
de l'utérus, de la vessie et du rectum appartenant à une autre femme
morte
également avec tous les symptômes du cancer utéri
extraire l'enfanta l'aide d'une incision, ce qui fut fait. La malade
mourut
inopinément le vingtième jour. L'enfant vécut neu
t extraire l'enfant par une incision pratiquée sur l'utérus. La femme
mourut
le troisième jour, et l'enfant au bout de quelque
répondait à l'anneau, conservait assez de mollesse. Cette femme étant
morte
d'une maladie de poitrine à lâge de soixante-et-o
extrémités ; absence du pouls ; altération profonde des traits': elle
meurt
le lendemain du jour de son entrée. D'après les c
cides végétaux, tels furent les principaux moyens employés. La malade
mourut
plus promptement que je ne le croyais, le 21 nove
hes qui furent faites pour atteindre le fond de cet organe. La malade
mourut
le lendemain. A l'examen du museau de tanche (
aits qui établissent la vérité de cette proposition. i°Chez une femme
morte
à la Salpétrière, la dégénération du corps utérin
térin était parfaitement sain. •2° Chez une autre femme de l[5 ans,
morte
subitement à la Salpétrière par suite d'un hydrot
succédèrent à de courts intervalles. Son pouls devint misérable; elle
mourut
dans la prostration et dans la stupeur. Al'ouve
ait d'extirpation du museau de tanche, pratiqué à une jeune femme qui
mourut
de spasme vingt-deux heures après l'opération. J'
s figures 3 et 3' représentent les organes génitaux d'une jeune fille
morte
phthisique. Les trompes (fig. 3) sont flexueuse
enue cette malade. 4° Dans d'autres cas, le produit delà conception
meurt
dans l'ovaire à une époque plus ou moins avancée
idement, des vomissemens survinrent, le malade dépérit à vue d'œil et
mourut
subitement dix jours après la ponction. Ouvertu
e je pus néanmoins reconnaître une tumeur hypogastrique. Cette malade
mourut
le 22 août par suite des progrès de l'ascite, qui
les, qui m'avaient présenté les mêmes caractères cliniques. La malade
mourut
le lendemain matin. Ouverture. Plusieurs litres
as plus mal que le jour de son entrée. Le lendemain matin, elle était
morte
. On me raconta que toute la journée s'était bien
à l'infirmière qu'elle allait se mettre sur le côté, et qu'elle était
morte
dans cette attitude. Ouverture. Un litre enviro
arde, purpura, hemorrhagicum, foie d'un vert-olive chez un enfant qui
mourut
une heure après la naissance. 15e liv., pl. 11, p
ro-lhorax, de purpura hemor-rhagicum, chez un fœtus de sept mois, qui
mourut
douze heures après la naissance. 15e liv., pl. 11
arde, purpura hemorrhagi-cum, foie d'un vert-olive chez un enfant qui
mourut
une heure après la naissance, 15e liv., pl. 11, p
e hydrocéphalique : Absence complète du cervelet chez une jeune fille
morte
dans sa 1 Ie année. 15e liv.,pl.v,p. /.— Maladies
m, iv, v, p. 3g. — Absence complète du cervelet chez une jeune fille
morte
dans sa onzième année. 15e liv., pl. v, p. i. — R
e, hydrothorax, purpura hemorrhagicum chez un fœtus de sept mois, qui
mourut
douze heures après la naissance. 15e liv., pl. n,
de phosphate calcaire et momifié, observé chez une femme de kl ans ,
morte
18 ans après une grossesse extra-utérine. 37e liv
scite, purpura hemorrhagicum, foie d'un vert-olive chez un enfant qui
mourut
une heure après la naissance. 15e liv., pl. n, p.
que, d'as-cite, de purpura hemorrhagicum, chez un fœtus de 7 mois qui
mourut
douze heures après la naissance. 15e liv., pl. n,
laques blanchâtres et ulcérées de l'intestin grêle chez un enfant qui
mourut
immédiatement après sa naissance. 15e liv., pl. n
osphate calcaire et momifié, chez une femme de soixante-dix-sept ans,
morte
quarante-sept ans après une grossesse extra-utéri
carde, purpura hemorrhagicum, foie d'un vert-olive chez un enfant qui
mourut
une heure après la naissance. = Inflammation chro
l des poumons; plaques ulcérées dans l'intestin grêle d'un enfant qui
mourut
Immédiatement après sa naissance. 15e liv., pl. i
encroûté de phosphate calcaire et momifié, chez une femme de 77 ans,
morte
47 ans après une grossesse extra-utérine. 18e liv
n. 15e liv., pl. n, p. 3. — Induration du pancréas chez un enfant qui
mourut
immédiatement après sa naissance. 15e liv., pl. n
é de phosphate calcaire et momifié, observé chez une femme de 47 ans,
morte
18 ans après une grossesse extra-utérine. 37e liv
on. 15e liv., pl. n, p 3. — Induration des poumons chez un enfant qui
mourut
immédiatement après sa naissance. = Fréquence des
sarque , d'ascite et d'hy-dro-thorax, chez un fœtus de sept mois, qui
mourut
douze heures après la naissance. 15e liv., pl. 11
rque, ascite, hydropéricarde, foie d'un vert olive chez un enfant qui
mourut
uneheure après sa naissance. 15° liv., pl. 11, p.
lui passa sur le corps. Tranportée à l'hôpital Necker, elle y est
morte
en arrivant. Le sieur Léon Gauthier, 43 ans, jo
vive et emportée. [Père : sobre, mort il cinquante-neuf ans. Mère :
morte
à quarante-cinq ans, de cause inconnue. Grands
re plus âgé). Dix enfants : 4° garçon, dix-neuf ans, sain; 2" fille
morte
en venant au monde, à terme ; la mort a été att
garroii, lièvre typhoïde à sept ans et demi, intelligent.; 0° tille
morte
à six semaines de cholérine ; 7° notre malade ; 8
ans, rien à signaler; 9° fille, sept ans, otite suppurée; 10° fille
morte
à deux mois et demi de méningite. EPILEPSIE VER
vralgies. - Bien de particulier dans le reste de la famille. SleU1'
morte
probablement de tuberculose. - Pas de consanguini
l'un, ni chez l'autre. Deux enfants. 1° Notre malade; 2° une tille
morte
à huit ans et demi de péritonite tuberculeuse a
ère et grand'- tante paternels suicidés. Tante paternelle nerveuse,
morte
phtisique. Mère, convulsions de l'enfance, mo
rnelle nerveuse, morte phtisique. Mère, convulsions de l'enfance,
morte
phtisique. Grand-oncle maternel mort de morphin
la suite de chagrins intimes. -'l'ante pater- nelle très nerveuse,
morte
phtisique à trente-neuf ans ; ses enfants sont
s, très nerveux, surtout l'ainé, qui a eu des con- mulsions. Mère
morte
phtisique à trente-quatre ans; convulsions de l'e
ans. - Arrière grand'mère pater- nelle, aucun renseignement. Mère
morte
à l'âge de quarante-sept ans; rhumatisme chroniqu
a M... dans le service de M. Delasiauve, Leur mère, alcoolique, est
morte
de tubercu- lose. Alice était devenue elle-même
nt, mort probablement d'une rupture du coeur. Grand'mère paternelle
morte
de la poitrine. Arrière-grand-père paternel mor
mort de la rupture d'un anëurt/sme. Arrière-grand'mère paternelle
morte
de fièvre cérébrale. Oncle paternel mort de la
ainages ; sobre ; aurait eu un rhumatisme articulaire aigu. - Mère,
morte
à 36 ans de la poitrine (en 3 ou 4 ans), pas d'
se promenant, sobre, pas d'autres détails. - Grand'mère paternelle
morte
iv une trentaine d'années d'une fièvre céré- br
brale, était « extrêmement intelligente ». Grand'mère ma- ternelle,
morte
un ou deux mois après son mari de chagrin ; ava
60 ans, d'un anévrysme ( ? ) en voyage. Grancl'rt2ère pa- ternelle,
morte
« d'une hydropisie de poitrine » à 12 ans. Gran
exie (en avait eu deux), à 74 ans, sobre. - Grand'mère maternelle
morte
il 91 ans, était en enfance. Deux frères ayant eu
-père paternel mort de bronchite chronique. -Gmnd'mè1'e maternelle,
morte
d'un cancer de l'estomac. - Arrière-grands-pare
parents des deux côtés, morts vieux sans accidents nerveux. Mère,
morte
hémiplégique et aphasique. Renseignements [insu
s grands et arrière-grands-parents, morts vieux ? Tante' maternelle
morte
d'un cancer du .foie. Pas de consanguinité. -
e. Son père est mort à 52 ans de bronchite chronique. - Sa mère est
morte
à 58 ans d'un cancer de l'esto- marc. - La soeu
très bien portants,' pas de convulsions. Trois soeurs : L'aînée est
morte
à 55 ans d'une maladie clans le ventre ( ? ), a
ve rien à noter, et en particulier aucun cas de tuberculose. MÈRE
morte
à 53 ans, d'une hémiplégie droite, ayant débute
e n'avait jamais été malade aupara-1 vaut. Notons aussi qu'elle est
morte
il y a 19 mois et que notre malade aurait donné
antes maternelles et paternelles, toutes mortes âgées; l'une serait
morte
en 18 ! )(i iL 99 ans. ' Trois frères : L'ainé,
(15 ans, marié sans ('.i7fLLIIIS. - L)I11t1't' S ! l'IGI'.s : L'une
morte
it 72 ans, une autre, 70 ans, mariée, n'a jamai
autre, 70 ans, mariée, n'a jamais eu d'enfants : - La troisième est
morte
à Ii5 ans d'un cancer du foie; La qua- trième,
a dernière fois, dit-elle, désire qu'on l'embrasse parce qu'elle va
mourir
. Sur ce, elle rend le dernier soupir, sans agon
ésenté une hémiplégie droite avec aphasie. Une tante maternelle est
morte
d'un cancer du foie. Ni d'un côté, ni de l'autr
" et 37",8 ; du 31 janvier au 7 février entre 330,8 et 36°, 6. Elle
meurt
le 7 avec une température de 35°,3. VI. La tube
heures. [Son père, 67 ans,- sobre, est en bonne santé.- Sa mère est
morte
à 35 ans de fièvre typhoïde.- Un oncle paternel
age. Sa mère, enfant assistée, qu'on a connu par hasard et peu, est
morte
d'une congestion pulmonaire à 60 ans; elle n'av
ans, n'était ni dément, ni paralytique. - Grand mère maternelle,
morte
d'une affection cardiaque. Pas de renseignements
. A .1 heures du matin, l'inter- ne de garde, appelé, voit l'enfant
mourir
sous ses yeux «aussi simplement qu'on s'endort.
asque; le coeur gauche est peu épais, le myocarde un peu feuille-
morte
. Pas de lésion valvulaire, pas de persistance du
lu Fcld ? idiote microcéphale à un haut degré, âgée de cinq ans,
morte
avec des symptômes de broncho- pneumonie avec u
l'autopsie); 2° Thom... (Louise), deux ans, idiote myxccclémateuse,
morte
de broncho-pneu- monie (autopsie) avec 3 ? 1 ;
° Bivin.. (Germaine), cinq ans et demi, imbécilité hydrocéphalique,
morte
de brûlures superficielles, avec 350,2; - 4° Gl
ices des aliénés de Bicêtre et de la Salpêtrière. Note adressée à
M. Mouriez
, directeur de l'Admi- nistration générale de l'
de Bicêtre et de la Salpêtrière de la façon suivante : RÉPONSE DE
M. MOURIR
. - 191 Des recherches auxquelles j'ai fait proc
été imputée sur 3 articles différents : savoir : 192 REPONSE DE M.
mourir
. RÉFLEXIONS. Voeux. 193 cèdent. Donc, à l'ave
iété Médico-psychologique de Paris.) 1898. BALLARD. (J.). Comment
meurent
les épileptiques. Thèse de Paris. RELLAY (P.)
ans, présente des fausses membranes de la gorge. Opérée le 23, elle
meurt
le 25. Le "3, deux autres fillettes, 5.... {Mar
e, convulsions de l'enfance. Soeurs nerveuses. Frère débile. Scieur
morte
d'accidents céré- braux consécutifs à une rouge
ladie de coeur; pas d'excès de boisson. Marchand de bestiaux. Mère,
morte
à soixante-huit ans on ne sait de quoi ; pas de
t de quoi; n'était ni dément ni paralytique. Grand'mère paternelle,
morte
à quatre-vingt-huit ans; pas de démence ni de p
quatre-vingt-neuf ans, rien de particulier. Grand'mère maternelle,
morte
d'un cancer vers soixante-dix ans.- Deux frères,
ortante, intelligente, travailleuse, pas de convulsions ; 11° fille
morte
à vingt-six mois de fièvre cérébrale ayant compli
a femme deux ans aupa- ravant. Sobre; très fumeur.Mère, couturière,
morte
quand il avait dix ans; il ne sait de quoi; ell
enseignements ni sur le grand-père maternel. Grand'mère maternelle,
morte
de vieillesse à quatre-vingt-cinq ans, non para
se, « c'est comme un tonneau D. Calme, sans accidents nerveux. Mère
morte
il y a longtemps, d'une affec- tion abdominale;
une, paralysé à la suite d'excès de boisson. Grand'mère paternelle,
morte
subitement à soixante-cinq ans. - Grands parents
ée maugré eux, puis tellementrejettée contre terre qu'elle sembloit
morte
. » Un point commun aux deux observations, c'est
en telle sorte que le devant estoit droitement derrière; dont il ne
mourut
pas toutefois, mais vesquit depuis longtemps ay
dd. Limonade citrique. Lotions vinaigrées. - Soir : 39°,6. L'enfant
meurt
dans la nuit. Tem- pérature après la mort, 37°,
xcès de boisson. Cousine paternelle épileptique. - Tante maternelle
morte
de conoulsions, - Tante paternelle morle phth i
riennes; fumeur. [Père et mère morts on ne sait de quoi; une scieur
morte
de la poirine, avait eu 12 ou 13 enfants dont u
alade. [Père, mineur, mort à la Pitié, il y a plus de 30 ans. Mère,
morte
«usée ». Un frère enlevé par le choléra en 1865.
s en venant au monde; « c'était dans la tête. » Une autre fille est
morte
de convulsions à 6 semaines; les autres sont sa
rt. Il dit à sa mère qui vient le voir vêtue de noir : « Tu es donc
morte
, tu veux donc mourir.» Parfois il répète les mê
qui vient le voir vêtue de noir : « Tu es donc morte, tu veux donc
mourir
.» Parfois il répète les mêmes paroles pendant t
eur; mais bientôt la prostration augmente et à 2 heures Schad ? ;
meurt
. Immédiatement avant de mourir il a eu une secous
tion augmente et à 2 heures Schad ? ; meurt. Immédiatement avant de
mourir
il a eu une secousse assez forte qui a brisé un
cho-pneumonie n'est d'ailleurs pas rare chez les épilepti- ques qui
meurent
en état de mal, mais nous ne croyons pas lui av
ien portants tous, n'ayant pas eu de convulsions. Tante paternelle,
morte
il y a longtemps, on ne sait de quoi. - Un oncl
persistent. 7 juin. Il y a une épistaxis pendant la nuit et le 8 il
meurt
à 8 heures 1/2 du matin. T. R. 41^ après la mor
ait tou- jours ivre; on le ramassait souvent dans les rues. Mère,
morte
en couches du père de la malade. Grands- pas de
hes du père de la malade. Grands- pas de renseignements. Une soeur,
morte
de la poitrine à 20 ans. La mère de la malade n
-or-- maine a été dans une maison publique; une autre cousine est
morte
idiote. Pas d'autres idiots ou débauchés, pas d'
ements ainsi que sur le grand-père maternel. Grand'mère maternelle,
morte
à 8G ans, on ne sait de quoi. Une faute materne
nelle, morte à 8G ans, on ne sait de quoi. Une faute maternelle est
morte
d'une fluxion de poitrine, une autre tante mate
fins de la commune de Ville- juif. , Impulsions génitales. i 12
morte
le 8 février dernier, dans le service de M. le Dr
ées, il avait une affection chronique de l'estomac. Mère, nerveuse,
morte
à 71 ans d'un cancer de l'estomac ( ? ). Pas d'
assez en retard pour la parole et la marche étant jeune. [.llè e
morte
à 38 ans de la poitrine. Un oncle mort de la poit
35 ans. [Père, gazier, sobre, mort d'un cancer de l'intestin. Mère
morte
du choléra. Trois soeurs sur lesquelles manquen
u malgré elle. [Père, grainetier, sobre, mort d'une gastrite. Mère,
morte
d'une hernie étranglée. Un frère et une soeur b
880 " et 4 en 1882. Jusqu'en 1891, époque à laquelle notre malade
meurt
d'une néphrite tuberculeuse, on n'observe aucun p
a famille. - Les accouchements ont été naturels. - Une petite fille
morte
à cinq ans ne différait en rien des enfants de
oire que la famille s'est éteinte en elle. Sur quatre enfants, l'un
meurt
à cinq ans ; les trois autres idiots, strabique
ropres qu'à exécuter des travaux manuels qu'il faut leur commander,
mourront
sans avoir été capables de se reproduire. Dan
ndant il battait souvent sa femme quand il était ivre. Mère, serait
morte
enflée après avoir été longtemps malade. - Troi
uoi.- Cinq soeul's dont quatre sont mortes jeunes; la cinquième est
morte
vers quarante ans, on ne sait de quoi; elle n'é
éjà sentir dans la famille du père qui voit plusieurs de ses neveux
mourir
de convulsions en bas âge et qui lui-même, faib
raineuse et goitreuse, elle voit aussi sept de ses frères et soeurs
mourir
jeunes, l'un de tuberculose. Avec de pareils an
ns rapportés en détail pour deux d'entre eux, et qui, lorsqu'ils ne
meurent
pas jeunes, en font des épileptiques, des ivrog
'excès d'aucune sorte. Mère, ménagère, n'a jamais été nerveuse, est
morte
d'un mal de jambe. - -Deux frères, qui étaient
choléra en 1866, l'autre tué en 1871 2. Deux soeurs, dont l'une est
morte
en couches; leurs enfants sont bien portants. I
nfant dont elle est accouchée à l'hôpital Saint-Antoine, et qui est
morte
à trois mois. Après cette troisième couche, ell
n garçon, Des... (OBs. V);-2° fausse couche de sept mois ; 3° fille
morte
à sept mois de convulsions ; 4° Horni... Consta
nérations. Aussi de ces cinq malheureux enfants venus à terme, deux
meurent
, à quel- ques mois, de convulsions, deux sont i
ade; aucun accident ',nerveux ; quelques excès de boisson. Mère :
morte
de la rupture d'une anévrysme ; pas d'affection n
urs deux mères portaient le même nom. Onze enfants : 1° une fille
morte
à un an sans avoir eu de con- vulsions ; parais
eorges), idiot, est encore actuellement à Maréviile; - 6° une fille
morte
à huit mois de la variole, quoi- qu'elle eût, d
et que le vaccin eût bien pris ; 7° une fille (Henriette), idiote,
morte
à la Salpêtrière à dix ans le 1 cr décembre 187
Le 10 avril 1872, l'enfant est atteint de bronchite généralisée, il
meurt
le 30 avril. A l'autopsie, on trouve un ramolliss
mplète. Gui... (Henriette), entrée à la Salpêtrière le 9 juin 1873,
morte
le 4 décembre 1875 (service de M. Moreau). Le
ire. Père : excès de boisson; eczéma; migraines. - Tante paternelle
morte
d'apoplexie. -DTèi·e usée, aspect misérable, in
Père mort, à 70 ans, d'une enflure des jambes, il était sobre. Mère
morte
à 72 ans de fatigues et d'usure. - Grands -pare
exempts de tout accident nerveux. De ses trois soeurs, l'aînée est
morte
d'une apoplexie foudroyante à 35 ans ; une autre
if, à 30 ans. [Père mort de la poitrine iL li-2 ans ; sobre. -Mère,
morte
de fatigue à 75 ans,ellen'était ni paralysée ni
tante ; elle a une fille de 10 ans en bonne s : l ! 1té; - 2" Fille
morte
sans enfants, à 25 ans, d'une angine ; - 3° Gar
coolique, violent et migraineux ; une de ses tantes paternelles est
morte
d'apoplexie. Sa mère n'a qu'une intelligence au
section, leurs enfants idiots et épileptiques dont les parents de-
meurent
à Paris (1). C'est donc pour faire face aux bes
et maternel alcooliques. - illére zerveuse. - Grand'mère maternelle
morte
d'une affection pulmonaire. - Scezvr morte de c
Grand'mère maternelle morte d'une affection pulmonaire. - Scezvr
morte
de convulsions.- Frère mort d'une imperforation d
il buvait beaucoup d'eau-de-vie; il avait quitté sa femme. - Mère
morte
à soixante-six ans, en 1852, d'un catarrhe pulmon
faisait des excès de boisson (bière et eau-de-vie). Mère, ménagère,
morte
à soixante-sept ans, d'une affection pulmonaire
pt ans, d'une affection pulmonaire avec ascite; quatre soew's : une
morte
à quarante ans, de la poitrine, les autres bien
aliénés, etc.]. - Pas de con- sanguinité. Cinq enfants : 1° fille
morte
à trois ans de convulsions en trois jours; elle
éreux. Grand-père maternel alcoolique. - Mère migraineuse. - Deux
Meurs
mortes de méningite. Vertiges à six ans. - Accè
ns, d'un cancerdu pylore, faisait quelque excès de boisson. - Mère,
morte
en 1831, écrasée par une voiture; n'a jamais eu
6° fille, six ans et demi. bien portante, va à l'école; '7° fille,
morte
à dix-huit mois d'une méningite après trois moi
des quan- tités de marchandises et avoir trouvé le secret de ne pas
mourir
. Il était fabricant de toiles dans le départeme
ue, sur les livres de l'asile, il y avait beaucoup de Cr... - Mère,
morte
toute jeune des suites de 40 DU CURARE mauvai
ouvent où mon mari m'a prise parce que j'étais orpheline ». - Mère,
morte
en cou- ches « quand je suis venue au monde, di
tique.-Père et grands-pères paternel et maternel alcooliques. Salir
morte
de méningite. - Cousine germaine : convulsions.
nal du Loiret; menuisier, il faisait des excès de- boisson. - Mère,
morte
vers vingt-huit ans, on ne sait de quoi ; laiss
il est mort de la poitrine, il n'avait pas d'enfants. La soeur est
morte
du choléra en 1849, laissant un fils qui est mo
il était bien portant ; il buvait un peu. - Grand'mère maternelle,
morte
vers soixante ans, on ne sait de quoi. -Grand-
- père paternel, mort du choléra en 832. - Grand'mère maternelle,
morte
d'une tluxion de poitrine. Un frère est mort du c
Pas de consan- guinité. Trois enfants : 4° notre malade; 2o fille
morte
à sept ans d'une méningite; elle était très int
mois. - Grand-père maternel mort de phthisie. Grand'mère maternelle
morte
de cancer utérin. - Frère jumeau mort à trois j
e nombreux excès de boisson : « lui, c'était des alcools. » - Mère,
morte
il y a deux mois; a été atteinte d'une hémiplég
en 8 jours ; il n'était ni paralysé, ni dément ; la grand'mère est
morte
des suites d'une fracture compliquée à l'âge de
Pas de consanguinité. Le père du malade a eu d'une première femme,
morte
poitrinaire, deux enfants qui sont morts à 2 mo
ans, intelligent, bon ouvrier, n'a pas eu de convulsions; 2° fille,
morte
à neuf jours « d'une esquinancie dans la gorge
gouttes. T. R. 3J°,1. - Soir : 39°,7. 30 avril. T. R. 39°. L'enfant
meurt
à deux heures de l'a- près-midi sans convulsion
, est mort on ne sait de quoi; on ignore s'il buvait. - Sa mère est
morte
à G3 ans; la cause de la mort est inconnue. - Q
ement morts sans qu'on sache de quelle maladie. Une autre soeur est
morte
en couches, laissant une fille âgée aujourd'hui
ttaque de para- lysie, en quatre heures; il étaitsobre. Sa mère est
morte
d'une frayeur qui « arrêta le sang( ? ) »; elle
e sang( ? ) »; elle n'était. pas ner- veuse. Grand'mère maternelle,
morte
à 90 ans des suites d'une chute. Pas de renseig
t l'un de convulsions; le quatrième est en bonne santé.- Une soeur,
morte
à 16 ans et demi « ne pou- vait être réglée ».
onsanguinité (père breton, mère marseillaise). 3 enfants : 1° Fille
morte
à 14 mois, de convulsions; 2° notre malade, né
e. - Grand-père pater- nel, excès de boisson. Grand'mère paternelle
morte
d'une congestion cérébrale. Grand'tante paterne
royant qu'on vou- 166 ANTÉCÉDENTS PERSONNELS. lait le tuer. Mère,
morte
probablement d'une congestion dérébrale, était
. [Père, alcoolique, mort du choléra en 1849. - Mère, non nerveuse,
morte
à 51 ans d'une fluxion de poi- trine. Une sceur
ine. Une sceur. paralysée du côté droit depuis l'âge de 30 ans, est
morte
à la Salpêtrière en 1883. Pas d'aliénés, etc.]
n frère et trois soeurs, dont une seule a présenté des convulsions (
morte
à 6 mois); une autre est morte à 3 ans du croup
seule a présenté des convulsions (morte à 6 mois); une autre est
morte
à 3 ans du croup. Les autres 'sont bien conform
a été aliéné, il a fini par succomber. L'une de ses grand'mères est
morte
d'une congestion cérébrale; l'une de ses grand'
auche paraissait normal. L'affection évolua rapidement et le malade
mourut
dans le marasme le 16 avril 1902. Vautopsie, pr
and, entre à l'asile d'Armentières le 13 décembre 1901. Sa mère est
morte
de « fièvre cérébrale ». Lui même est alcoo- li
iblit rapidement, présente de nombreuses attaques épileptiformes et
meurt
dans le marasme le 2 avril 1902. L'autopsie n
u'il revint, une demi-heure après, il trouva sa femme couchée raide
morte
dans sa chambre, au pied de son lit. Elle avait
cycliste, et tenant un balai à la main. « Mon père, s'écriait-elle,
meurt
ce soir à l'Hôtel des Invalides, par la volonté d
premières familles produisirent ensemble 57 enfants. 25 de ceux-ci
moururent
pendant la première semaine de faiblesse, convu
ormal. Les 10 familles tempérantes eurent 61 enfants. De ceux-ci, 5
moururent
en bas-âge de faiblesse, 4 eurent dans les derniè
ents héréditaires. Son père est mort à quatre-vingt ans Sa mère est
morte
à quarante-neuf ans de tuberculose pulmonaire.
e soeur s'est suicidée (asphyxie au charbon); une autre soeur est
morte
à quarante ans d'affection indéterminée. Dans l
e des nouvelles de sa fille qu'on martyrise, et qui est peut-être
morte
là-bas. On la rassure et on la distrait facilemen
is en colère, mais il avait la force de se maintenir. La mère est
morte
à l'âge de vingt-huit ans à la suite d'une flux
ère pour céder la. place à sa soeur. Peu de temps après, son père
mourut
, et la malade souffrant énormément, rentra à Pa
e poitrine. Sa mère vit, est bien portante, nerveuse. Une soeur est
morte
à la suite d'une paralysie survenue subitement.
rsailles) ; elle y resta sans manger pen- dant cinq jours, espérant
mourir
de la sorte. Des gendarmes l'ayant rencontrée e
édents une morbidité bien manifeste. Une tante maternelle vésanique
morte
dans un asile à Rennes; 'la mère morte paralysé
e tante maternelle vésanique morte dans un asile à Rennes; 'la mère
morte
paralysée. Son père, faible d'esprit, mort^à la s
idées noires et restait des semaines entières sans parler. Sa mère,
morte
à quatre-vingts ans à la suite d'une attaque d'
s et à la suite d'une de ces crises elle s'est noyée. Une autre est
morte
phtisique. La malade ne commença à parler qu'à
ouise F... avait des idées vagues de tristesse et ne demandait qu'à
mourir
. A dix-sept ans, elle eut ses règles pour la pr
leptique vulgaire avec délire, ce qui nécessite son internement. Il
meurt
enfin en état de mal sans avoir jamais pré- sen
cavitaire, dans un état tel que tout examen devient impossible.- Il
meurt
le 13 mars 1900. L'examen histologique, pratiqu
iter comme aliénés, des malades qui doivent guérir à l'hôpital ou y
mourir
. L'un de nous a cité ailleurs des cas de délira
urs des cas de délirants d'hôpital venus à l'asile comme aliénés, y
mourir
parfois rapidement, ou guérir quand il lui avai
comme atteinte de psychose post-opératoire puerpérale et qui y est
morte
au bout de vingt-quatre heures en pleine septic
, elle est indigne de vivre. Comme le Dieu des chrétiens, elle va
mourir
sur la croix, elle l'a lu dans les journaux. El
M. le Dr FeBvRE, le 30 juin 1899. Le père était normal; la mère est
morte
d'un cancer, s'enivrait. La malade a eu à l'âge d
xie cancéreuse (cancer de l'estomac). Pas de troubles mentaux. Mère
morte
à soixante-treize ans, cardiaque, tombait fréqu
soixante-treize ans, cardiaque, tombait fréquemment en syncope. Est
morte
hémiplégique et aphasique. Pas de troubles ment
eur aînée encore vivante, cinquante-trois ans, cardiaque. Une soeur
morte
à qua- rante-sept ans de broncho pneumonie. Un
monie) et son frère (pleurésie tuberculeuse). Sa soeur et son frère
moururent
à onze jours d'intervalle (décembre 1889 et jan-
taires. Père, mort à soixante-dix ans, traumatisme crânien. Mère,
morte
de fièvre typhoïde, cinq ans après la naissance d
ventre. Ce qu'ils m'ont fait, ou rien, c'est la même chose. Je vais
mourir
, ajoutait-il; je ne reverrai plus la Bastille.
. Soupirs profonds, gémissements, accablement, air effrayé. Peur de
mourir
. Angoisse. « Je n'ai fait de mal il personne...
stème nerveux pro- duits par la commotion. G. D. X\,TII1. Comment
meurent
les épileptiques; par W. SpRATUNG {Médical News
nous avons fait dresser par l'un de nos élèves (Ballard, Comment
meurent
les épileptiques, thèse de Paris, 1900). Nous rel
des animaux. Tous ceux auxquels on injecta de l'iodure de potassium
moururent
. Le gaïacol fut mieux sup- porté. M. B. Séanc
estion l'ataxie dis- parut et le malade commença à bien marcher. 11
mourut
à la suite d'une maladie physique occasionnelle
grand trouble »1. « Elle étoit alors malade et elle craignoit de
mourir
dans une désobéissance criminelle »6. « Elle sign
t 1666 (trente-trois ans), elle tomba dangereuse- ment malade. Elle
mourut
le 1 ? avril 1684, vers 8 heures du matin, à l'
ssa à l'abbaye de Sainte-Perrine de la Villette- lès-Paris, où elle
mourut
dans des grands sentiments de piété et fut ente
ers, la syphilis et l'alcool, dont quelques-uns vivent et dont tous
meurent
, évoluent librement devant une société complice.
ns. Père mort à soixante- cinq ans d'une congestion pulmonaire Mère
morte
à soixante- six ans de coma diabétique. Antéc
s qu'il se trouve seul, l'an- goisse devient aiguë, et il a peur de
mourir
. Au début de décembre 1900, M. F... a la douleu
soula- gement qu'on lui promettoit' », il se prépara à la mort. Il
mourut
ce même mois. Il était « d'un naturel vif et bo
cé dans ses études, et qui promettoit beaucoup selon le monde 7 »
mourut
jeune, au commencement de 1650, « en huit jours d
de Beaupuis, prêtre. Le second, Henri-Thomas du Fossé, né en 1631,
mourut
« d'une mort précipitée... qui l'enleva tout d'
isoit la plus grande perte à la mort de M. Le Maître ] . » Celui-ci
mourut
eu effet deux jours après, le 4 novembre 1658.
es termina en 1658 (vingt-quatre ans), c'est-à-dire l'année même où
mourut
Antoine Le 1«istre. L'auteur de la biographie de
coup une bonne nuit. Tout le Carême se passa de cette sorte »'. 11
mourut
le 4 novembre 1698, à soixante-quatre ans, après
aire, à deux siècles de distance, le diagnostic de l'affection dont
mourut
Pierre- Thomas du Fossé qu'on ne le ferait peut
onies de déglutition, comme celle à ce qu'il semble dont il faillit
mourir
aux eaux de Bourbon. L'intelligence reste intacte
Saci l'engagea à ne pas prendre la charge de son père qui venait de
mourir
, et à continuer à mener la vie dévote. La même
. 433 de piété' ». Il se distingua « par une piété singulière ». Il
mourut
le 26 mai 1701, et fut enterré dans l'église de
un grand attrait pour la solitude, le silence et la prière ? » Elle
mourut
le 20 janvier 1731. L'autre fils de Gentien Tho
urut le 20 janvier 1731. L'autre fils de Gentien Thomas II du Fossé
mourut
jeune, au commencement de 1660, dans le séminai
Archives, 2e série, t. XV. 28 434 HISTOIRE ET CRITIQUE. Royal, et
mourut
jeune, le 1 ? juillet 1661, après dix ou douze an
et d'une dévote ; ayant cinq frères, dont le premier et le second
moururent
jeunes, dont le troisième, faible « de poitrine e
s des palpitations et des syncopes qui guérirent par suggestion, et
mourut
de para- lysie labio-glosso-larynrée, après avo
dont le quatrième mena aussi la vie dévote, dont le cinquième enfin
mourut
jeune, dans un séminaire, au moment où il se prép
dont l'autre, atteinte d'une carie du tibia, mena la vie dévote et
mourut
quatre' ans avant sa mère ; comptant encore par
pitait au néant. Elle naquit en 1628, et, comme son frère Pierre,
mourut
par le ' Pierre Thomas du Fossé. Loc. cil,, 367
ité des mou- cherons qui la piquoient au visage durant l'été » Elle
mourut
de cette quadriplégie le 25 octobre 1696. Int
de «.parens très chrétiens 1 », avait deux frères et une soeur, qui
mourut
au moins huit ans avant elle. L'un des frères, Ju
cevait et servait les hôtes et les ecclésiastiques de la maison. Il
mourut
le 27 avril 1659 (trente- trois ans environ), e
dessus de son mérite · », et qu'il la conserva vingt-quatre ans. 11
mourut
« avec humilité et les sentimens d'une amère péni
is presque manger de tout ce qu'on donnoit au réfec- toires ». Elle
mourut
le 12 septembre 1691, à quatre-vingts ans. Inte
515. ! Ibid. ni. 27t. PHYSIO-PSYCHOLOGIE DES RELIGIEUSES. 441 et
mourut
en cinq jours d'une «oppression de poitrine » ave
ns l'âge de la mort, la première (Anne-Marie de Flècelles de Brégy)
mourut
à cin- quante et un ans, la seconde (Madeleine
qui étaient morts en bas âge. Sa mère était fille unique, elle est
morte
à trente-huit ans d'une affection aiguë de poitri
u un litre de pétrole sur ses vêtements et y a mis le feu. Elle est
morte
dans d'atroces souffrances. - - Pendant une a
vation de la mémoire chez les -. par lion- hoell'er, 202. Comment
meurent
les épileptiques, par Spratling, 275. Les idé
des modifications im- portantes, en bien ou en mal. Quand le malade
meurt
, ses photographies sont déposées au musée et, c
un nouvel di-ysipèle accompagné de glos- site et de stomatite. Elle
mourut
dans le marasme six mois après le début de la m
lle tomba ma- lade quelque temps après, refusa toute nourriture, et
mourut
dans les convulsions le 7 décembre 1849. Auto
st mort d'une fluxion de poitrine; sa mère, de taille ordinaire est
morte
à soixante-quinze ans « de vieillesse ». Une so
ur qui nous donne les renspignements est intelligente; une deuxième
morte
poitri- naire. Pas de nerveux ni de difformes,
rveux ni de difformes, etc., dans la famille.] 111ère, née à Lille,
morte
en 1877, à trente-neuf ans, de tuberculose pulm
, mort vers soixante-treize ans, d'une attaque d'apoplexie. - Mère,
morte
jeune du choléra. Un frère bien portant, pas d'
quatre- vingts ans, d'une chute; il n'était pas en enfance. - Mère,
morte
d'une bronchite à soixante-douze ans ; intellig
produisent aucune évacuation. Mort à 10 heures 35 du soir. Avant de
mourir
, le Pacha a ouvert les yeux tout grands et a po
e consti- tution robuste et sa taille est de 9 m. 70. - La mère est
morte
à l'âge de 40 ans, dix-huit mois après être acc
parti de faire admettre son enfanta la Salpêtrière. La malade est
morte
un mois après la publication de cette observati
taient en pleine santé au moment de sa naissance. Le père cependant
mourut
douze ans et la mère seize ans plus tard de pll
sus de la moyenne; pas de maladies nerveuses, ni de goitre. - Mère,
morte
à quatre-vingt-sept ans, on ne sait de quoi; el
depuis vingt-sept ans, charpentier, sobre. - Grand'mère maternelle,
morte
paralysée à soixante-dix-huit ans, ménagère, so
e, sobre. - Un frère mort à l'âge de six ans, du croup. - Une soeur
morte
à quarante-trois ans, on ne sait de quoi, a eu
t n'a jamais présenté d'accidents nerveux. - Mère, ménagère, sobre,
morte
à quatre-vingt-huit ans sans paralysie, ni déme
e convulsions; 2° fille, née à terme, bien conformée, intelligente,
morte
à trois ans de convulsions; 3° fille mort-née à
ort-née à terme (présentation des pieds), bien conformée; 4° fille,
morte
à treize ans d'un abcès du foie ; elle était née
. - Crétinisme (Falret). En novembre 4872, le malade s'affaiblit et
mourut
en janvier 1873, d'une congestion pulmonaire.
tismales dans les bras; pas de migraines. - Grand'mère maternelle :
morte
presque centenaire avait eu des douleurs rhumat
eu des douleurs rhumatismales ; pas de nodosités·des mains. Soeur :
morte
à sept ans de co ? t'UMSïo ? s ? Frr ? g. vingt
y a un an, elle avait des « crises d'idées noires, » elle pensait à
mourir
. Cet état durait depuis la naissance de son der
rt à vingt mois de convulsions de la dentition. Une soeur aînée est
morte
d'un cancer utérin]. Pas de con- sanguinité -
alblatt., ii° 8, Avril 1886). - Arthur Gloeckner, 2 ans 1/2. - Mère
morte
de tuberculose pulmo- naire ; une soeur coxalgi
iarrhée. T. R. 38°,S. P. 144. Resp. 30. Cheyne-Stoc- kes. Le malade
meurt
le 28 octobre. Anatomie pathologique. - Le corp
t, à 4 centimètres en avant d'elle, est une autre tumeur. Ces tu-
meurs
ne soulèvent pas la première, et cette dernière n
de petites cellules rondes analogues à celles du sarcome. Les tu-
meurs
protubérantielles sont caséeuses et formées de pe
umatisme ni de dermatoses. [Père, 70 ans, sobre, bien portant; mère
morte
on ne sait de quoi, 130 IMBÉCILLITÉ ; ANTÉCÉDEN
èvre typhoïde à 15 ans, variole à 18 ans, réglée à 20 ans. Elle est
morte
à l'hôpital le 23 mai 1886, d'un cancer de l'ut
voir eu de névropathes ni de tuberculeux. Rappelons que la mère est
morte
d'un cancer de l'utérus. Les antécédents pers
umatisante . Mère, fièvre typhoïde à 19 ans, avec délire.- Soeur,
morte
de convulsions internes consécutives il la coque-
Pas de consanguinité. Deux enfants : 1° notre malade ; 2° une fille
morte
à 9 mois, de convulsions internes,à la suite d'
ents excès de boissons ; il n'offre pas d'accidents nerveux. - Mère
morte
du charbon. Grand-père paternel mort on ne sait
d'un asthme; il faisait,dit-on, quelques excès de boissons. - Mère
morte
, à l'âge de 63 ans, d'une maladie du coeur.- Pa
-père maternel mort de vieil- lesse à 84 ans. Grand'mère maternelle
morte
asthmati- que à 64 ans. Pas d'aliénés, de nerve
d'abord, notons-le : précisément dans les myélites les cellules qui
meurent
de cette façon nous ont montré les trois états
tant, cultivateur, sobre, pas d'accidents nerveux. - Mère, sobre,
morte
à 61 ans,en 8 jours,d'une affection cérébrale don
t vers l'âge de 40 ans, on ne sait de quoi. Grand'mère paternelle
morte
à un âge avancé sans qu'on puisse préci- ser de
ser de quelle affection. - La grand'mère maternelle est également
morte
âgée; on ne peut fournir aucun rensei- gnement
e mouillée ; l'air devenait irrespirable, elle étouffait, elle allait
mourir
. Voilà tout ce qu'elle avait vu et toutes ces cho
ges qui la poursuivent, des bêtes, rats, crapauds, araignées, sa mère
morte
, telles sont les conceptions délirantes les plus
e l'ai pas à droite comme les gendarmes... Alors vous voulez me faire
mourir
?... Quelles souffrances, mon Dieu! Ah! si Charles
un plat ! Oh ! non, vrai ! Seulement sans m'endormir... Monsieur, je
meurs
, allez chercher mon père... C'est long comme tout
Ce n'est pas du lard salé qu'on lui a vendu, c'est du sel au lard. Il
meurt
de soif. Sirop de groseilles. — Il est au café.
bonne santé, mais il est vif, coléreux et emporté. (La mère du père,
morte
à 84 ans, était aussi vive et nerveuse; elle a pe
père est mort à 51 ans, en 1882, d'une hernie étranglée. Une sœur est
morte
sans que nous ayons pu savoir de quelle maladie.
s l'âge de 10 ans ; elle paraît avoir eu une coxalgie). Sa mère est
morte
à 35 ans, de suites de couches. Elle était un peu
atientait facilement. (Le père de la mère est mort jeune. La mère est
morte
à 71 ans, d'une attaque d'apoplexie. Une sœur de
œur de la mère, âgée de 40 ans, est très nerveuse. Une autre sœur est
morte
de la poitrine). La malade est la 3e de 5 enfan
ne me tuez pas, je vous en supplie. Grâce ! grâce ! Oh ! je vais donc
mourir
? Otez-moi ce couteau qui me perce la poitrine. A
qu'ils m'ont mis. Ah ! cela va mieux, soigne-moi bien. Je ne veux pas
mourir
. « ..... Je ne veux pas que vous me chatouillie
Dieu! Comment faire? Je suis entourée de flammes. Non, je ne veux pas
mourir
ainsi. Je suis trop jeune encore. Voyons, un peu
e met à courir). Mais j'ai toujours le feu à mes jupons. Je vais donc
mourir
tout de même. Ah ! quelle souffrance de mourir br
s jupons. Je vais donc mourir tout de même. Ah ! quelle souffrance de
mourir
brûlée. Ah ! je meurs, je meurs. Adieu, adieu, me
mourir tout de même. Ah ! quelle souffrance de mourir brûlée. Ah ! je
meurs
, je meurs. Adieu, adieu, mes parents, mes amis, v
t de même. Ah ! quelle souffrance de mourir brûlée. Ah ! je meurs, je
meurs
. Adieu, adieu, mes parents, mes amis, vous ne me
eu, adieu, mes parents, mes amis, vous ne me reverrez plus jamais. Je
meurs
à 20 ans. C'est trop jeune, et j'ai beaucoup souf
intenant. (Elle devient toute rouge et est prise de suffocations.) Je
meurs
, Alexis, sauve-moi. Cette sale bête me serre trop
t se noyer. Ah ! mets-moi dans le bateau, Alexis, je sens que je vais
mourir
.... « ..... Alexis, tu me permets de danser ave
nnent à moi. Au secours. Ils vont me tuer. Mon sang coule ; je vais
mourir
; je meurs. (Un instant après elle dit qu'elle
u secours. Ils vont me tuer. Mon sang coule ; je vais mourir ; je
meurs
. (Un instant après elle dit qu'elle veut s'empois
père. Mon Dieu, c'est la guerre. Ils vont se tuer, les voilà qui vont
mourir
. Pourquoi les laissez -vous faire? ils vont se bl
quelqu'un). Tiens-moi bien dans tes bras, mon Paul chéri. Nous allons
mourir
ensemble. Oh ! que je suis heureux, tu ne peux pa
amais aimé. Hier, on m'a dit que tu étais malade; j'avais peur que tu
meures
; mais, tu sais, cela n'empêche pas de t'aimer, ma
pas à droite, comme les gendarmes... Quoi? alors vous voulez me faire
mourir
... Quelle souffrance, mon Dieu!... Ah! si Charles
ur un plat! Oh! non, vrai, seulement sans m'en-dormir... Monsieur, je
meurs
. Allez chercher mon père... C'est long comme tout
ien de plus. Pas de maladies nerveuses non plus chez la mère, qui est
morte
d'une affection hépatique, ni chez les parents ma
suite être de lui, la condition d'un écrivain malheureux qui, près de
mourir
, fait sa confession générale. Cette tirade dure e
é au chemin de fer du Nord et demeurait boulevard Ornano. Sa mère est
morte
tuberculeuse. Sa sœur a des enfants qui sont très
es se rapportaient sans doute à l'hystérie ou à l'épilepsie. Sa mère,
morte
également des suites d'une phthisie pulmonaire, é
ticulière. Une jeune myopathique du service, nommée L..., venait de
mourir
. Marguerite, qui l'aimait beaucoup, en était tout
« Qu'est-ce qu'être mort?» R. « C'est ne plus respirer. » (L... était
morte
phthisique avec delà dyspnée comme symptôme prédo
ire, on lui fait écrire sous dictée les lignes suivantes : a L... est
morte
et enterrée. On la mettra dans le cimetière. On
rop lui demander de détails. Cléopâtre, « c'est une femme qui se fait
mourir
avec un serpent. » Marc-Antoine, « c'est un monsi
ui était très nerveux, est mort d'un ulcère de l'estomac. Sa mère est
morte
poitrinaire à Lariboisière. Elle a une sœur, mari
ois de tomber à terre à la suite de discussions de famille ; elle est
morte
d'ictus apoplectique. Son père serait, paraît-il,
de mort.) Mère. Nerveuse. Fils. Epilepsie typique. Fille.
Morte
de diabète à 16 ans. TABLEAU V MÈRE Diabète
vésanie. (Mort dans le coma.) Petite-fille. Epilepsie. Diabète. (
Morte
dans le coma. -1 Petit-fils. Diabète. (Mort
tique. TABLEAU XIII Mmo F... (Famille israélite) a eu 4 filles.
Morte
diabétique. i Gravelle. Tics. Arriérée. Mélanco
de ses tantes du côté paternel a toujours été excentrique ; elle est
morte
aliénée dans une maison de santé en avril 1891. E
ite fort irrégulière : c'est un impulsif. La mère de notre malade est
morte
d'une tuberculose pulmonaire. Une tante maternell
mère, atteinte d'asthme avec emphysème depuis de longues années, est
morte
à soixante-trois ans d'étranglement herniaire. Il
st mort dans la démence sénile ; il avait des hématuries. Sa mère est
morte
âgée; elle était, paraît-il, coléreuse et emporté
mort à un âge avancé. A eu 4 enfants. 1° Fille aînée. A taxiquc.
Morte
à 56 ans de pneumonie. Mariée à un goutteux actue
AMILLE BER... (Dr Latil. d'Aix) GRAND-PÈRE GRAND'mÈRE Mort à 74 ans
Morte
à 79 ans d'une attaque. d'une affection de l'es
. I I I-1 Oncle. Père. Mère. Oncle maternel. Mort. Asthmatique.
Morte
en couches. Diabète. d'une affection cérébrale
t diabétique, (d'unefamilled'apoplectiqucs) Suicidé Mort d'anthrax.
Morte
d'apoplexie. (coup de pistolet). I_I _L Mère.
ar une contraction spasmodique du sterno-mastoïdien gauche. La malade
mourut
un mois après son entrée à l'hôpital, et à l'au
e (prolapsus du rectum ?); il était atteint de cataracte. La mère est
morte
de suites de couches; elle était malade de la poi
re sont morts en bas âge d'affections inconnues de lui. Une soeur est
morte
Charcot, t. il. 24 à 18 ans de la fièvre typh
ns la famille, au point de vue névropathique, qu'une tante maternelle
morte
aliénée, et une sœur qui (1) P. Le Noir et P. B
28 39 31 21 24 21 11 16 16 40 14 25 32 60 19 » » » » » Mère
morte
d'une peur. Grand'mère épileptique. » Mère nerv
mac était unique et très dilaté. Observation II. Quant au moine, il
mourut
à trente-huit ans, dans un état de maigreur exc
III. Observation 1V'. - Cette observation a trait à un soldat qui
mourut
à Toulouse à l'âge de cinquante-neuf ans. Dès sa
naturel. Il disparut cependant dans le cours de la maladie dont il
mourut
(cancer du pylore). A l'autopsie, rien d'anor
en 1798, eut, à la suite d'une orgie, une indigestion dont il pensa
mourir
. Puis survint après chaque repas un hoquet ramena
E. Deux enfants : 1° notre malade ; 2° une fille, bien conformée,
morte
à treize jours, en nourrice, de convulsions. No
ien portant. Pas de maladies ner- veuses, excès de boisson. - Mère,
morte
subitement à cinquante- neuf ans de la rupture
. Deux enfants : -1° notre malade; 2° une fille, bien constituée,
morte
à cinq semaines d'une diarrhée cholériforme. No
excès alcooliques, ni d'affections nerveuses. - Mère : asthmatique,
morte
à soixante ans d'une fièvre typhoïde ; impressi
nquante-trois ans, après avoir eu le choléra; aucun excès. - Mère :
morte
à soixante-deux ans d'un cancer utérin.- - Un f
rte. -- Deux tantes du côté paternel n'ont jamais marché; l'une est
morte
à six ans. - Une cousine germaine du côté mater
qui se terminent spontanément par la guérison, le mérycole vit et
meurt
avec son affection. En meurt-il ? non. Le prono
par la guérison, le mérycole vit et meurt avec son affection. En
meurt
-il ? non. Le pronostic du mérycisme est, au con-
envi- ron deux fois par mois. [Père, mort à soixante-six ans, mère,
morte
à soixante-sept ans, on ne sait de quoi. Deux f
ssance de notre malade. [Père, mort d'une fluxion de poitrine; mère
morte
d'une hydropisie ; un frère a trois enfants ; une
la famille]. - Pas de cjnsanguinité. Six enfants : 1° une fille,
morte
à douze ans de fièvre typhoïde : elle était int
, mort-née par strangulation (circulaires du cordon); 3° une fille,
morte
de convulsions à treize mois; - 4° une fille, mor
; 3° une fille, morte de convulsions à treize mois; - 4° une fille,
morte
de convulsions à un mois; - 5" une fille, âgée
e la même névrose; on l'avait constatée aussi chez une autre soeur,
morte
à treize mois; cette malformation consiste en u
s, bien portante, pas d'attaques de nerfs. - Grand'mère maternelle,
morte
paralysée.- Pas d'aliénés, etc., dans la famill
riétés. [Père, soixante-quatre ans, fruitier, en bonne santé. Mère,
morte
de la poitrine à vingt-huit ans. Un frère est m
garçon, quatorze ans, intel- ligent, pas de convulsions;- 2° fille,
morte
à neuf ans d'accidents pulmonaires ayant duré h
convulsions jusqu'à quatre ans, était très intelligente ; 3° fille,
morte
en nourrice à deux mois, on ne sait de quoi; au
à trois ans; 6° fausse couche à six mois, sans motifs ; - 7° fille,
morte
à deux ans et demi de méningite, avait déjà eu
de Bicêtre, où il est entré pour un rhumatisme chronique. - Mère-
morte
à 31 ans, en couches.- Grand'mère paternelle mort
ronique. - Mère- morte à 31 ans, en couches.- Grand'mère paternelle
morte
en 1878, à la Salpêtrière, était atteinte de rh
re, était atteinte de rhumatisme chro- nique. Grand'mère maternelle
morte
de paralysie.- De 12 frères et soeurs, il n'y a
ulsions à 2 ans ainsi que deux filles jumelles, et enfin, une fille
morte
à 13 ans, à l'hôpital Sainte-Eugénie, d'une fiè
e temps à disparaître. Le même jour, à six heures du soir, l'enfant
meurt
, sans que cette mort ait été précédée de convul
Père alcoolique, mort phtisique . Mère en bonne santé. Une scieur
morte
phtisique, laissant un enfant arriéré.] Consang
tant, intelligent, sans convulsions; 5° une fille bien con- formée,
morte
à 15 jours d'une bronchite. Notre malade. Lors
DES IDÉES DE GRANDEUR CHEZ LES PERSÉCUTÉS. 39 maîtresse n'est pas
morte
, elle est tout près d'ici, il l'entend, elle vi
vec son père, qui était du reste un homme singulier. Quand celui-ci
mourut
, il fit un testament par lequel il avantageait
lques mois, il renvoya sa femme, sans motif sérieux; la malheureuse
mourut
de chagrin. Plus tard B... devint aveugle, et c
e tous ses faits et gestes. La femme avec laquelle il vivait vint à
mourir
: B... prétendit qu'on l'avait assassinée par l
e, atteinte d'asthme avec em- physème depuis de longues années, est
morte
à soixante-trois ans d'étranglement herniaire.
mort dans la démence sénile; il avait des hématuries. Sa mère est
morte
âgée; elle était, parait-il, coléreuse et emporté
ents héréditaires. Père mort aliéné dans un asile de Lausanne. Mère
morte
à quarante-sept ans d'une tuberculose pull mona
ectrique méthodique et prudent ne produit pas de résultat. L'enfant
meurt
de bronchite à l'age de huit mois et demi. On t
sque les enfants bien portants du peuple qui paie tous ces millions
meurent
par- tout de faim et de misère ? » Ainsi s'ex
à sa portée. Son père est mort fou il y a un an, sa grand'mère est
morte
folle, ses oncles et ses tantes, côté paternel,
, depuis quelque temps, de toute sa raison. Elle craignait toujours
mourir
de faim. Une dépêche de Saint-Etienne en date d
a jamais eu d'accidents syphilitiques. Côté maternel. La mère est
morte
d'une fluxion de poitrine à l'âge de quarante-n
qui a quatre-vingts ans est encore d'un bon conseil. ' Une soeur
morte
d'apoplexie à soixante-dix ans. Un frère mort d
jet pour qu'il la jette à l'eau. Elle voulait aussi que ses enfants
mourussent
avec elle, parce que leur avenir ne lui semblai
de feu dans l'estomac. « Mon Dieu, dit-elle, vaudrait mieux que je
meure
que de supporter cela. » Enfin elle a eu l'id
s eu le courage de se suicider. Etat actuel. - Elle aurait désiré
mourir
. c Tout le monde me regarde, dit-elle, je fais
nq ans d'un refroidissement. Sa mère n'était pas nerveuse. Elle est
morte
à quatre-vingt-trois ans à la Salpêtrière. Elle
monde. C'est peut-être joué contre moi. Ma mère n'est peut-être pas
morte
. J'y ai été franchement parce que je suis un ân
mortes autre- fois. Elle semble aussi depuis avoir reconnu sa soeur
morte
à huit ans. Nille Dupont (l'ancienne surveillan
soeur morte à huit ans. Nille Dupont (l'ancienne surveillante) est
morte
dans ses fonc- tions, mais elle n'est pas morte
e surveillante) est morte dans ses fonc- tions, mais elle n'est pas
morte
. Ses fils sont mariés, elle ne sait pas comment
e des voix (mais des voix bien spéciales) qui lui disent qu'il faut
mourir
, qu'on va la tuer. Ces voix sont très loin, ell
ce, Quand on lui demande si elle a eu des chagrins, elle répond : «
Mourir
d'amour ! Il y a bien des façons de mourir d'a-
hagrins, elle répond : « Mourir d'amour ! Il y a bien des façons de
mourir
d'a- mour. Faire vivre quelqu'un par caractère,
urir d'a- mour. Faire vivre quelqu'un par caractère, c'est le faire
mourir
à petit feu. On peut faire des canailleries en
ures plus ou moins profondes, mais dont aucune n'était mortelle. Il
mourut
quelques jours après et l'autopsie démontra qu'
elle dormit deux jours, à telle enseigne qu'un médecin la tint pour
morte
, son mari s'opposa aux préparatifs de l'inhumat
y était devenue totale; un glaucome aigu était développé. La malade
mourait
un an après l'embolie, des suites de son affectio
ités inférieures et supérieures, chez une femme de cinquante ans,
morte
de dysenterie, une demi-année après le début de l
ait intéressant de savoir si les malades albuminuriques d'ordinaire
meurent
plus facilement que les autres épileptiques d'é
qu'on lui a ordonnés. Alors il est perdu, il est empoisonné, il va
mourir
. Il pense que peut-être, en priant, il sera déliv
nt, il gémit, ou bien il répète sans cesse cette phrase : « Je veux
mourir
. » - Pourquoi ? « Pour échapper à la justice, il
mourir. » - Pourquoi ? « Pour échapper à la justice, il faut que je
meurs
. » On arrive pourtant à lui faire raconter les
commence à geindre et il revient bientôt à son monotone : a Je veux
mourir
, il faut que je meurs. » Eu dehors de son quadr
l revient bientôt à son monotone : a Je veux mourir, il faut que je
meurs
. » Eu dehors de son quadruple assassinat, dont
ne. On ne peut tirer de lui que ses paroles habituelles : « Je veux
mourir
, il faut que je meure. On veutme faire du mal,
lui que ses paroles habituelles : « Je veux mourir, il faut que je
meure
. On veutme faire du mal, on veut m'empoisonner !
il voudrait bien les voir, que e c'est malheu- reux, qu'il voudrait
mourir
, qu'on lui envoie un prêtre pour se confesser »
a tuées. Il répète encore que « c'est malheureux, qu'il faut qu'il
meure
, qu'il était fou, qu'il croyait que c'était M..
rbante de la pensée de l'acte qu'il a commis ; et enfin, désir de
mourir
et tendance prononcée au suicide. Au- jourd'hui
s gaie ; je suis tout à fait changée. Cela m'a pris par une peur de
mourir
. Quelque chose me saisissait à la poitrine et c
Quelque chose me saisissait à la poitrine et cela m'a donné peur de
mourir
. Voyez ma figure comme elle est; voyez comme ce
On a l'air d'être folle. Je ne suis plus rien. Je sens que je vais
mourir
bientôt. Je sens cela dans mon corps. Le diable
jà. Vous verrez mon coeur à l'autopsie. Je suis un monstre. Je vais
mourir
comme une damnée et c'est pour l'éternité. On
mère. Elle ne voulait pas manger à table disant que cela la ferait
mourir
. Puis elle mangeait en cachette quantité de pai
ste. Elle est incer- taine sur ce qu'elle doit faire. Voudrait bien
mourir
et en même temps qu'elle craint l'avenir, elle
pouls radial gauche et 120 pulsa- tions de la radiale droite. Elle
meurt
le soir. On pense à une hémor- rhagie méningée.
l n'y eut jamais de perte de connaissance. Le malade s'affaiblit et
mourut
sept mois après le début de ces accidents. A l'
de dents. A la suite d'une nouvelle attaque con- vulsive, la malade
meurt
dans le coma. A l'autopsie, on a tout d'abord q
mbreuses et les plus fréquentes; ils ne devien- nent pas déments et
meurent
rarement dans les asiles; ils finissent toujour
e montre, et, huit jours après le début de cette psychose aiguë, il
meurt
par épuisement cérébral. A l'autopsie, on const
en plus complet, on résolut de lui donner le chlo- roforme. Mais il
mourut
subitement le lendemain. Voici ce que révéla l'
-quelques jours, ont fait ouvrir sa porte et ont trouvé leur mère
morte
. - L'ancienne bonne du curé de l'hôpital du Per
de ch1'Y- san tl7.ène· et à l'F,.v°psi.tioi. d'horticulture. Les
meurs
, sous la conduite de leur maître, ont visité dans
et migraineuse. - Grand-père et oncle maternels, alcooliques. -sur,
morte
de méningite. -Au11'e soeur un peu arriérée. -
paternel alcoolique. - Grand'mère maternelle hémiplégique. - Soeur
morte
de convulsions . Accouchement long el diffici
- Grandes tantes maternelles 'sujettes à des tremblements. Soew'
morte
de convulsions. Grossesse gémellaire. - Accouch
A]HE. Père mort tuberculeux. Grand-père paternel alcoolique. - Mère
morte
tuberculeuse, caractère violent. - Grand-père m
E. Père : rhumatismes, migraines, névralgies. Grand'mère maternelle
morte
tuberculeuse, mère migrai- neuse, nerveuse, mor
d'mère maternelle morte tuberculeuse, mère migrai- neuse, nerveuse,
morte
de fièvre typhoïde. - Soeur, convulsions. Chu
aissance. - Grand-père maternel alcoolique. Cratid'met'e maternelle
morte
d'apoplexie. A uriné au lit jusqu'à l'âge de se
eu près tous lesjeudis. Fumait beaucoup, caractère violent. - Mère,
morte
à 53 ans, après un an de maladie ( ? ). - Très
- A 5 heures du matin, l'état empira considé- rablement et l'enfant
mourut
à 9 heures. Température après décès. 78 : Idi
de renseignements sur la famille paternelle. - Mère, ner- veuse,
morte
à trente-deux ans d'une affection cardiaque. -
sans cependant avoir des attaques de nerfs. Caractère peu commode.
Morte
onze jours après son mari d'une affection cardi
entrique, très alcoolique, mort de ses excès. Grand'mère maternelle
morte
d'un cancer du sein. - Pas de consanguinité. -
n verre ; » mort de ses excès de boisson.. - Grand'mère maternelle,
morte
à cinquante ans d'un can- cer du sein. Pas de
seraient indemnes d'accidents nerveux. La grand'mère paternelle est
morte
en 1892, a la Maison texan- terre, de sénilité
17 7 l'asile d'Armentières, où il est mort en 1867. - Sa mère est
morte
à 71 ans, d'une affection cardiaque. « Une cousin
eu une crise de nerfs. Elle s'est mariée, n'a pas eu d'enfants, est
morte
en quelques jours d'un chaud et froid. » - Aucune
convul- sions, laborieuse, intelligente; - 8" fille née il 7 mois,
morte
il. 3 jours sans convulsions 90 fille, 8 ans, p
x enfants dont l'un a succombé il la tuber- culose. - Une soeur est
morte
il 35 ans de la même maladie. Une autre soeur,
re maternel mort vieux, on ne sait de quoi. - Grand'mère maternelle
morte
de dysenterie. - Deux frères et deux soeurs n'o
e- juif. - Grand'père maternel, saturnin. - Grand'mère maternelle
morte
délirante à 48 ans. -Grand'oncle pater- nel car
- quents excès alcooliques (vin blanc et absinthe). - Sa mère est
morte
d'une maladie dans le ventre. ( ? ) : elle buvait
paralysies saturnines,m ais pas d'attaques d'éclampsie. Sa mère est
morte
de la poitrine à l'âge de 48 ans, elle était un
ls ni sur le; grand-père maternel. La grand' mère maternelle serait
morte
« asthmatique. » - Un onde paternel, cardiaque,
e diarrhée ( ? ), avait toujours été robuste et sobre. - Grand'mère
morte
à 68 ans, peu après son mari ; c'était une femm
sur le grand'père maternel ; la grand'mère maternelle serait aussi
morte
d'af- faiblissement sénile à 78 ans. Une grand'
d'tante paternelle a 98 ans, est valide. - Une tante maternelle est
morte
le lendemain d'une couche de deux jumeaux. - La
nte légèrement de la variole et son second enfant frappé à son tour
meurt
. Le cha- grin de cette perte - et sans doute au
xcès de boisson attribués « aux mauvaises affaires». - Sa mère, est
morte
très âgée de maladie inconnue. Deux frères bien
oulement, était bien portant, sobre, mais assez nerveux. - Sa mère,
morte
à la suite d'une couche, est restée alitée un a
omie assez agréable, intelligente, n'a pas l'air d'une (1) Elle est
morte
à l'Age de si semaines. VIE sexuelle : traumati
s éveillée, intelligente, la parole facile. 15 juin. - L'enfant est
morte
à l'hôpital Trousseau le 3 juin, du croup, aprè
s très bien « car elle est trop joueuse », dit sa mère. 7° Renée,
morte
à un an de cholérine ; pas de convulsions. 8° M
n état de faiblesse extrême avec des symptômes de bronchite. Elle
mourait
deux mois plus tard, par athrepsie et aggravation
s reprises, des hallucinations, des sensations vertigineuses et est
morte
de la dipthérie. - La sixième, une fille', asse
de l'idiotie. Thèse de Paris. 1898. UALLAllD. (J .1. - Comment
meurent
les épileptiques. Thèse de Paris. Rellay (P.)
'angine. La première en est sortie le 1 : ) août, la deuxième y est
morte
de .stomate oran- gréneuse avec infection génér
ie due à l'accès est complétée par cette com- pression et la malade
meurt
. Ces raisons purement médicales n'ont pas appor
de boisson. - Grand-oncle paternel suicidé. Grand tante paternelle
morte
de congestion cérébrale. - Autre grand'tante pa
nd-oncle paternel suicidé par pendaison. - Grand' tante' paternelle
morte
de congestion cérébrale à soixante-quatorze ans.-
rnelle morte de congestion cérébrale à soixante-quatorze ans.- Mère
morte
à soixante-dix ans en trois jours, on ne sait de
d'épileptiques, etc., dans la famille]. Mère, blanchisseuse, sobre,
morte
à quarante-six ans en 1883 d'une tumeur blanche
t. - L'ophtalmie ne s'accentue pas davantage. 13 inti. - L'enfant
meurt
à 11 heures et demie du soir, sans grimaces, ni
quatre ans d'un coup de sang. - Arrière-grand'mère mater- nelle,
morte
à soixante-dix-huit ans, paralysée. - Autre arr
te-dix-huit ans, paralysée. - Autre arrière-grand' mère maternelle,
morte
d'un cancer au sein. Cousine, à un degré éloign
éné. - Arrière- grand-père, excès de boisson. - Arrière-grand'mère,
morte
poitrinaire (' ? ).- Second arrière-grand-père
abondantes. Oppression extrême. P. à 100 ; R. à 56. Coma. L'enfant
meurt
le 19 mai, à 6 heures du matin. T. R. 390. - Po
n coup de sang à l'âge de 82 ans, sobre. - Grand'mère paternelle,
morte
à 78 ans de paralysie. - Grand-père maternel, mor
d-père maternel, mort à 99 ans d'accident. - Grand'mère maternelle,
morte
d'un cancer du sein à l'âge de 56 ans. - Une de
cte) sans accidents nerveux. - Arrière-cousine maternelle arriérée,
morte
à 15 ans. - Dans le reste de la famille, ni ali
l faisait de fré- quents excès de boisson. - Grand'mère paternelle,
morte
poitrinaire à 35 ans. - Grand-père maternel, so
sont sains, mais violents et colé- reux. Trois soeurs, dont une est
morte
à 11 ans de la scar- latine, les deux autres so
er. - Grand'mère paternelle, est restée six mois paralysée avant de
mourir
Grands-parents maternels : pas de renseignement
de syphilis. - [Père, inconnu, Mère, faisait des excès de boisson,
morte
à 72 ans. Une soeur, bien portante, mère d'enfa
e mère seulement), nerveux, fait des excès de boisson. - Une soeur,
morte
idiote à 19 ans, sans avoir parlé, ni marché. -
. 3 accès. T. It. 37°, 9. - Soir : T. Il. 38 ? ). 7 août L'enfant
meurt
à 7 h. 15 du matin avec une tem- pérature de 41
de la mère. - Père, mort à 25 ans, pas de rensei- gnements. - Mère,
morte
à 62 ans d'une affection cardiaque, assez nerve
te à 62 ans d'une affection cardiaque, assez nerveuse. - Une soeur,
morte
jeune durant la guerre après avoir subi toutes
a famille de la mère]. Quatre enfants : 1" Notre malade ; 2" lille,
morte
à 3 ans, d'une congestion pulmonaire consécutiv
pa1'ents paternels, aucun rensei- gnement. - Grand'mère maternelle,
morte
à 74 ans, à. la -i suite d'une fracture de jamb
es maternels, nombreux excès de boisson. - Grand'- tante maternelle
morte
d'un cancer du sein. Deux oncles maternels, mor
. Grand-père paternel, pas de renseignements. Grand'mère paternelle
morte
à 76 ans, on ne sait de quoi; elle avait toujou
équents excès alcooliques, mort étant ivre. - Grand'mère maternelle
morte
à 82 ans. - Deux oncles paternels étaient buveu
iques. Il en était de même de deux de ses tantes; une troisième est
morte
d'un canceJ' du sein. Quatre oncles et trois ta
isfai- sait beaucoup d'excès de boisson. - Grand'mère maternelle,
morte
it 72 ans d'une maladie de coeur; ni démence, ni
nées de sa vie, il était « tombé en enfances Grand'mère paternelle,
morte
à 8G ans, avait joui jusqu'alors d'une bonne sa
[Famille de la mère. Père; 58 ans, se porte bien, sobre. - La mère,
morte
à 54 ans, d'une maladie de coeur, était très em
s T. R. 39 ? 4 et 400, 5. - 13 cléc. 'l'. R. 3Je et 40". - L'enfant
meurt
le Il décembre à 3 heures 1/2 du matin (390, ù)
it de nom- breux excès de boisson, est mort à 70 ans. - Sa mère est
morte
à 70 aus un an après avoir eu une hémiplégie dr
57 ans ; il faisait tous les mois des excès de bois- son. Sa mère,
morte
à 82 ans, avait toujours joui d'une bonne santé
, excès de boisson. Grand'mère mater- nelle sans accidents nerveux,
morte
d'une fluxion de poi- trine. Arrière-grand'mùre
x, morte d'une fluxion de poi- trine. Arrière-grand'mùre maternelle
morte
paralysée et démente. Cousine maternelle morte
rand'mùre maternelle morte paralysée et démente. Cousine maternelle
morte
folle. Grand- oncle maternel, perversité morale
l, perversité morale. Cousins arriérés. Pas de consanguinité. Soeur
morte
de convulsions. Frère, convulsions suivies d'id
ormées et intelligentes. « Dans ma famille, dit le père d'Ét..., on
meurt
de maladie de l'esto- mac et du foie. » Mère
n, antérieurs à son mariage, Sa mère, qui n'était pas nerveuse, est
morte
jeune d'une fluxion de poitrine. Une grand'mère
euse, est morte jeune d'une fluxion de poitrine. Une grand'mère est
morte
à 83 ans. paralysée et démente. Deux frères mor
mente. Deux frères morts jeunes on ne sait de quoi. Une cousine est
morte
folle à 25 ans. Un oncle maternel était d'une m
uinité. Inégalité d'âge de quatre ans. [Cinq enfants : 1° Une fille
morte
à 3 semaines des convulsions ; 2° notre malade
fant placé dans cette position est pris d'un accès, il est exposé à
mourir
asphyxié, la face étant collée contre l'oreil-
piqûre dans les bourses par un éclat de bois (septicémie). Mè ? 'e,
morte
à 68 ans, assez rapidement après 8 jours de mal
enseigne- ment sur les grands-parents paternels. Tante maternelle
morte
à 90 ans, de vieillesse. Un frère, 57 ans, marié,
rmi lesquels était une fille idiote et paralysée. Celte fille est
morte
d'accident à 10 ans : « elle est tombée dans le f
t à 80 ans, sobre, ni dément, ni paralytique. Grand'mèrepalcrnelic,
morte
à 78 ou 80 ans. Grand-père maternel, mort presq
maternel, mort presque subite- ment à 80 ans. Grand'mère maternelle
morte
à 52 ans d'une affection de la jambe ( ? ). Deu
enfants, qui sont actuellement très bien portants. Tante paternelle
morte
à 00 ans ? Cette tante a eu deux filles : l'une
sse coucha do 3 mois survenue à la suite d'un effort ; 2° Une fille
morte
à 10 jours de diarrhée Infantile. 3° Notre ma
e apoplectique (hémiplégie gauche). Cousine paternelle au 4° degré,
morte
èpileptique. Mère, grande et forte, ne : aquili
ines maternelles, mortes de la poitrine. Petite cousine maternelle,
morte
de la poitrine. Tante maternelle, hystérique. F
instituteur, sobre, mort à 72 ans d'une attaque de paralysie. Mère,
morte
d'une pneumonie, à la suite d'un refroidissemen
enfants, 3 bien portants, 3 morts on ne sait de quoi. Une soeur est
morte
à 15 jours. Deux oncles paternels, morts à 98 e
ans d'une fluxion de . poitrine ; une des filles de ce dernier est
morte
à 25 ans de la poitrine. Pas de -lante paternel
ernel, sobre, morl hydropique vers .V.l ans. Grand'mère maternelle,
morte
noyée par accident. Un oncle paternel est mort
elle. Un frère mort à 2 mois, on ne sait de quoi. 3 .sn'itcs, l'une
morte
à il ou 4 mois, l'autre à 27 ans après avoir él
âtre autour de l'anus sans prolapsus. P. 140 : H. 00; T. H. 38°, 9.
Morte
à 1 heure 1/2 de l'après-midi. Poids après décè
a matinée, a été opérée d'un cancer et que l'on croit sur le point de
mourir
. Notre jeune liile en éprouve une émotion considé
tte maison de santé, elle ne va guère mieux. Sa mère, qui n'est point
morte
et jouit d'une rémission, reprend sa fille auprès
uits, se fatigue, se surmène, et s'alimente insuffisamment. La malade
meurt
en septembre. Sa fille en éprouve une désolation
gauche un métronome et tient dans sa main droite qui doit être comme
morte
, une des deux extrémités d*un balancier. Va écran
la peur de ne pouvoir digérer ce qu'elle mange et qui a la crainte de
mourir
par le fait de l'absorption des aliments. Cette m
s chaque séance d'hypnotisme mange très bien et n'a aucune crainte de
mourir
pendant plusieurs jours, mais au bout de 8 à 10 j
hetaient à vil prix le bonheur de jouir de Dieu, et « je désirai de
mourir
ainsi. C'est pourquoi je me mis à me concerter
e suicide indirectement obtenu. Un être qui, par désespoir, se laisse
mourir
de faim, par exemple un chien, un oiseau ne comme
it tort de penser qu'il ne mange pas avec l'intention bien arrêtée de
mourir
. Cette mort par désespoir pourrait s'observer c
, robuste, de grande taille, est née à Lausanne (Suisse). Sa mère est
morte
d'apoplexie ; elle-même est hystérique. Chaque
er ancêtre connu s'appelait Robert. Jacques Ier dit d'Angennes, qui
mourut
en 1562, eut I2enfants, parmi lesquels 5 sont à s
is et Philippe. Charles I" d'Angennes naquit le 30 octobre 1530, et
mourut
le 23 mars 1587, à 56 ans, 4 mois et 24 jours.
is religieuses dont les noms suivent : 1° Clarice-Diane d'Angennes,
morte
le 9 mars 1670, abbesse d'Hières. 2° Isabelle-L
te le 9 mars 1670, abbesse d'Hières. 2° Isabelle-Louise d'Angennes,
morte
en 1707, dans un âge avancé. Abbesse de Saint-Eti
e 9 septembre 1657. 3° Charlotte-Catherine d'Angennes, née en 1623,
morte
le 21 mai 1691, dans sa 69° année. Elle avait fai
sœur Clarice-Diane. \ Claude d'Angennes naquit le 26 août 1538, et
mourut
le lo mai 1601, à 62 ans, 8 mois et 20 jours. E
nit, le 18 mars de la même année, l'église des Carmélites de Caen. Il
mourut
dans son prieuré de Monstiers. Philippe d'Angen
s de Halhvin, évoque d'Amiens, mort en 1537. Philippe de Halhvin, qui
mourut
avant son père et qui eut pour fils unique : An
prieur de Sausseuse et Éertin de Silli, qui eût trois enfants. L'un
mourut
jeune, un autre sans alliance et avant son père.
me était Charles de Silli. Des quatre enfants de ce dernier, l'un
mourut
sans postérité. Le deuxième était Louis de Siili.
novembre 1613, tué le 2 août 1640 ; 2° Marie d'Angennes du Fargis,
morte
jeune; 3° Henriette-Marie d'Angennes du Fargis,
ue lui causa l'affaire du formulaire, qu'elle tomba malade et faillit
mourir
. (1) Vies intéressantes et édifiantes des relig
ût 1640 (21 ans), son frère Charles fut tué. Sa sœur Marie était déjà
morte
, et son père, n'ayant plus qu'elle d'enfant, voul
leurésie exsudative purulente dont il ne voulut pas se soigner, et il
mourut
le 25 juillet 1889. La sitophobie dura dans ce
es d'occupations, et d'appliquer son esprit à quoique ce fut » Elle
mourut
à la chute des feuilles. En effet, le 29 septem
t il est question plus haut détermina chez elle une « appréhension de
mourir
», parce que, disait-elle, « elle n'étoit pas enc
, et, « toutes les fois qu'elle le sentoit venir, son appréhension de
mourir
redoubloit » (5). Mais plus tard, et alors que
lui-même eut la même pensée, puisqu'il dit : la jeune fille n'est pas
morte
mais elle dort (Mat-, IX, 24 ; Marc, V, 39). Il e
urs, très violentes, ne lui laissoient pas de relâche » (*). • Elle
mourut
le 21 avril 1706, à 67 ans. intelligence et éne
une inflammation du poumon, et de jeûner si rudement qu'il en faille
mourir
. C'est une espèce de folie de se traiter si cruel
e mourir. C'est une espèce de folie de se traiter si cruellement pour
mourir
jeune. Tantum Religio potuit suadere malùrum, dit
moient autant que la résurrection d'un mort » (*). Cette religieuse
mourut
le 24 juin 1662, à 20 ans, d'une maladie inconnue
roi fit sortir de Port-Royal les pensionnaires et les novices. Elle
mourut
« dans une maison séculière où elle avoit vécu co
bservation V. — Marie-Antoinette Le BLOND Marie-Antoinette Le Blond
mourut
le 6 janvier 1654, d'une maladie qui datait de si
ilité chez toutes ; 10° Deux.dontnous connaissons le genre de mort,
moururent
, (1) Viesint. III, 267. (2) Nécrologe de Port
'un érysi-pèle; 11° Quatre, dont nous connaissons l'âge de la mort,
moururent
: la premièreà 17 ans (Marguerite d\Angennes) ; l
d'Essènes, établie à quelque distance du rivage occidental de la Mer
Morte
. Us étaient distribués en divers groupes de cénob
la voie publique'. Notre malade est fils d'une mère hypocondriaque,
morte
à la Salpé-trière: un de ses cousins-germains pré
ius de Tyanef3) : Ce thaumaturge qui naquit sous le règne de Néron et
mourut
à Ephèse en 97, exécuta de nombreux miracles que
t enfin employer un raisonnement serré : Vous aurez plus de chance de
mourir
en reculant, frappés à la fols par les balles des
re préoccupation, exaspèrent son tremblement. Jadis, lorsque son mari
mourut
, elle se trouva désemparée ; elle crut même qu'el
seule « supporter le fardeau de l'existence » et elle désira vivement
mourir
aussi. Toute sa vie elle a été une inquiète. Aujo
en qu'elle en ait eu un il y a 12 ans, de son premier mariage, et qui
mourut
peu après sa naissance. Elle me consultait pour
et une femme décident de se suicider par l'oxyde de carbone; la femme
meurt
; le mari survit, mais on l'accuse d'avoir voulu d
alade à la médication broinurée intensive. Depuis, la jeune fille est
morte
tuberculeuse. La tuberculose, s'élant greffée sur
de cette malade : Son père est sommelier et éthylique ; sa mère est
morte
à la suite de couches. Réglée pour la lre fois il
stifs et de l'anorexie. A 19 ans, elle devient enceinte. Son enfant
meurt
à l'âge de huit mois ; pendant quelque temps elle
ion révélée, aussi sûr que jamais de la puissance de la raison. Et il
mourut
en évoquant les grandes images de ceux qui surent
les notes qui suivent. Antécédents. La grand'mère paternelle serait
morte
hémiplégique ; sa mère est morte de chagrin ( ?
s. La grand'mère paternelle serait morte hémiplégique ; sa mère est
morte
de chagrin ( ? ) à l'âge de trente-six ans. Son
'd'intermittences cardiaques. La malade s'affaiblit rapidement et
mourut
dans la nuit du 27 novembre, probablement par s
erf sciatique. Une grande amélioration s'en était suivie. Le malade
mourut
accidentellement cinq mois après. A l'examen mi
s où une grande amélioration avait suivi ce traitement. Le malade
mourut
deux mois après. A l'autopsie, on 1 V. t. IX; 1
élongea les quatre nerfs intercostaux inférieurs à un malade qui
mourut
le lendemain. La moelle épinière et les nerfs s
er : Un malade soumis à la traction bilatérale des nerfs sciatiques
mourut
le neuvième jour d'une hémorragie de la moelle.
le pus se fraya un chemin le long de la gaine du nerf, et le malade
mourut
un mois après l'opération. L'au- topsie fut fai
e crochet ne dépassait pas 600 gr. Sur six expériences, deux lapins
moururent
. Comme le poids de 600 gr. nous paraissait trop
es nerfs. Sur quarante lapins soumis à l'expérience, onze seulement
moururent
de mort spon- tanée ou à la suite de divers acc
our avec lui. Du côté maternel, nous trouvons que la grand'mère est
morte
d'un cancer à la bouche; la mère est très nerve
t bien portantes, mais trop petites pour leur âge, une autre serait
morte
de convulsions. Le malade en question a mar- ch
donc jamais retrouver cela, que vais-je devenir ? Je voudrais être
morte
/ je suis folle et vous allez m'enfermer, etc. »
sa famille. - Les accouchements ont été naturels. Une petite fille
morte
à cinq ans ne dilférait en rien des enfants de
oire que la famille s'est éteinte en elle. Sur quatre enfants, l'un
meurt
à cinq ans ; les trois autres idiots, strabique
ropres qu'à exécuter des travaux manuels qu'il faut leur commander,
mourront
sans avoir été capables de se reproduire. - D
ant il battait souvent sa femme quand il était ivre.-11fère, serait
morte
enflée après avoir été longtemps malade. Trois
quoi.- Cinq soeurs dont quatre sont mortes jeunes; la cinquième est
morte
vers quarante ans, on ne sait de quoi; elle n'é
raineuse et goitreuse, elle voit aussi sept de ses frères et soeurs
mourir
jeunes, l'un de tuberculose. Avec de pareils an
ns rapportés en détail pour deux d'entre eux, et qui, lorsqu'ils ne
meurent
pas jeunes, en font des épileptiques, des ivrog
commerce de son père ; ? ? ? 3° Le troisième enfant était une fille
morte
de plitisie pulm'o- t\âirë' ! I'j'J Il 1 111J '
firmant qu'on vient de tuer la vipère : « Tiens, la voilà, elle est
morte
! » Aussitôt sa physionomie se rassure. 14 fé
ion antécédente de l'appareil urinaire. Trois juurs après le malade
mourut
brusquement de syncope. 11 était alité depuis t
atteintes de psychoses puerpérales ; deux furent amélio- rées, une
mourut
, huit demeurèrent malades ; cinq d'entre elles
Micbot qui à déjà eu son heure de triste célébrité et qui vient de
mourir
à l'àsiio d'Orléans. En 1875, après plusieurs c
; mêriië au début, il était complètement incapable d'éducatiôii. 11
mourut
de tuberculose. Aztt6psie. résidus dé léptoméni
né prématurément six mois ; entré à l'a- sile à l'âge de 4 ans, il
mourut
peu après de pneumonie càtar'rhale. 11 n'a jama
hospice, sans cesse occupé d'améliorer le sort de ses malades; il y
mourut
, le 25 octobre 1826, âgé de plus de quatre-ving
arut de la diarrhée, des escharres et le 28 février 1883, la malade
mourut
. Nous n'avons pas pu obtenir le protocole de l'
dorsale on remarqua un état maladif à la région lombaire. Le malade
mourut
de la thrombose 1 Idiopalhic latéral sclerosis.
Lapos..., sa cousine germaine, dont le père fut grand buveur, était
morte
aliénée à l'asile de Dijon. En ce qui le concer
tout le monde. Toutefois il était vrai qu'une demoiselle Lapos... ,
morte
aliénée, était sa cousine germaine, et qu'en 18
seigner sur elle. D'un autre côté, une cousine germaine aliénée est
morte
à l'asile; le père de cette malade buvait, c'es
ès d'aucune sorte. - Dï'ére, ménagère, n'a jamais été nerveuse, est
morte
d'un mal de jambe. - -Deux frères, qui étaient
choléra en 1866, l'autre tué en z1 ? - Deux soeU1'S, dont l'une est
morte
en couches; leurs enfants sont bien portants. I
nfant dont elle est accouchée à l'hôpital Saint-Antoine, et qui est
morte
à trois mois. Après cette troisième couche, ell
rçon, Des... (Ons. V); -°2° fausse couche de sept mois ; - 3° fille
morte
à sept mois de convulsions ; - 4° Horni... Cons
nérations. Aussi de ces cinq malheureux enfants venus à terme, deux
meurent
, à quel- ques mois, de convulsions, deux sont i
de; aucun accident .nerveux ; quelques excès de boisson. - Mère :
morte
de la rupture d'une anévrysme ; pas d'affection n
urs deux mères portaient le même nom. Onze enfants : 1° une fille
morte
à un an sans avoir eu de con- vulsions ; parais
eorges), idiot, est encore actuellement à Maréville; - 6° une fille
morte
à huit mois de la variole, quoi- qu'elle eût, d
t que le vaccin eût bien pris ; - 7° une fille (Henriette), idiote,
morte
à la Salpêtrière à dix ans le 1er décembre 18 i
Le 10 avril 1872, l'enfant est atteint de bronchite généralisée il
meurt
le 30 avril. A l'autopsie, on trouve un ramolliss
MPLÈTE. Gui... (Henriette), entrée à la Salpêtrière le 9 juin 1873,
morte
le 4 décembre 1875 (service de M. llot.au). L
ains fais de sa vie antérieure. Se plaint de son ventre et voudrait
mourir
, mais pas avant d'avoir vu son mari. - Trois at
ntanée et l'hyperesthésie du vertex ont dis- paru. Ne parle plus de
mourir
. 27. - Attaque de léthargie suivie de contractu
vation LXXVIII, il précéda de très peu l'issue fatale, et la malade
mourut
délirante. Bien qu'on puisse tou- jours, chez u
us de son premier mari : voici le sort des sept autres : le premier
meurt
phthisique à quatre ans et demi, le second succ
jusqu'à vingt ans, elle était sourde, avait eu de la chorée, et est
morte
aliénée dans un asile : le sixième enfant a dû
lésions intestinales qui furent constatées après la mort; le malade
mourut
d'une méningite tuberculeusesiégeant, comme d'h
s. L'épidémie, d'une énorme densité, se montra bénigne puisqu'il ne
mourut
personne ; en revanche, on constata une fièvre
car, si la théorie était vraie, aucun de nos cinq malades n'eût dû
mourir
. En résumé, trois pratiques sont en présence :
ur passif et systéma- tique de l'inanitiation; 2° s'il doit laisser
mourir
un sitiophobe obstiné ; 3° s'il doit l'alimente
a vie. Les malades qui succombent malgré l'alimentation à la soude,
meurent
par inassimilatiou des parois digestives, par d
it, se lève parfois et marche tout endormi. - Grand'mère maternelle
morte
à quatre- vingt-huit ans; elle était paralysée
18 mai, état stationnaire. - Le malade mange un peu. Le 19 mai, il
meurt
subitement. - Ses voisins n'ont pas remarqué qu
ubitement. - Ses voisins n'ont pas remarqué qu'il ait fait avant de
mourir
le moindre mouve- ment. 68 CLINIQUE NERVEUSE.
tuellement bien portante. [Père, pas de détails. Mère, migraineuse,
morte
du choléra. Une saur et trois frères DE L EPILE
Les régions modérées. U. Etes-vous marié' ? - R. La terre n'est pas
morte
, on peut vivre encore; c'est un pava perdu. I
us votre père ? E<=t-il mort ? R.fH'et cer- tainement ; si on ne
mourait
plus, c'est preuve qu'ily aurait cause à cela.
gne, fut mandé pour ouvrir une femme de maison qu'on estimoit eslre
morte
par une suffocation de matrice. Le deuxiesme co
t DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTERIQUE. 93 optant exilé, tost après
mourut
de desplaisir : qui n'a esté sans une grande pe
'hystérie, mais A. Paré a bien soin de spécifier que la femme était
morte
on le croyait tout au moins d'une 1( suffocatio
vre, chap. uv, p. 976 : Les signet pour cognoistre si une femme est
morte
ou non par une suffocation de matrice. OEuvre
maître la nappait à coups tte verges, et, pour savoir si elle était
morte
, on Jui lit mettre le feu aux parties les plus
u aux parties les plus sensibles; elle ne s'éveilla pas. On la crut
morte
et on l'aban- donna; le lendemain on la trouva
. On l'enferma dans une chambre; aussitôt elle se coucha et parut
morte
: on la remua, elle ne le sentit point; on lui ap
te en février 1884; on l'apportait à la clinique le H juin 1884; il
mourait
le 9 juillet dans le collapsus, le coma, la cya
ngs jeûnes; mais tous ont été entretenus par la viscosité des hu-
meurs
et une douce chaleur. Dans cet homme si patient,
de la pathologie du système nerveux, né à liouen en 1830, vient de
mourir
à Paris. Il était inspecteur général des établi
Mathieu se maria à vingt-un ans et devint père de six enfants, qui
moururent
dans la première enfance, à la suite de diarrhé
erver dans le service de M. Moutard- Martin le fait d'une femme qui
mourut
dans le coma après avoir présenté tous les symp
faisant l'autopsie d'une malade atteinte d'eczéma gé- néralisé et
morte
de bronchite. Il n'y avait eu d'ail- leurs aucu
s de l'épilepsie larvée. Observation XXXVI. Grand'mère paternelle
morte
d'apoplexie. Grand-père ma- ternel alcoolique.
un refroidissement ( ? ) en trois jours ; tisserand, sobre. - Mère,
morte
à soixante-douze ans, d'une attaque d'apoplexie
umeur abdominale à soixante-cinq ans, sobre. Grand'mère maternelle,
morte
de vieillesse à quatre-vingt-sept ans. Pas d'al
°, matin et soir. Symptômes de conges- tion méningitique. Le malade
meurt
à 7 h. 45 du matin. T. R. immédiatement après l
re maternelle hystérique. - Une tante maternelle phthisique. Soeur,
morte
de convulsions. - Gémellarité. , Premières conv
à lui. Observation XLV. Mère, nerveuse, inconduite, migraineuse,
morte
phthisique.- Cousin germain idiot. Frères, morts
ce en médecine légale est bien moindre. Observation XLVII - Mère,
morte
d'un cancer au sein. Début de l'épilepsie vers
ecteur le soin de juger eu dernier ressort. Observation LUI. Mère
morte
maniaque. Signes légers de dégénérescence. Débu
t un individu pâle, un peu chétif. Son père vit encore, sa mère est
morte
maniaque à l'âge de quarante ans. Frères et soe
videmment autre que la léthargie hystérique. Elle fut veillée comme
morte
et partant ne dut pas manger; cependant elle re
première fois qu'elle fut prise de cet etonnaut sommeil, on la crut
morte
; comme elle était infiniment pieuse, son corpsfu
ction ne se manifestant, il transpira parmi le peuple qu'elle était
morte
en odeur de sainteté : cette opinion devint uni
de faits, une anesthésie complète. Dans les cas légers, les dor-
meurs
peuvent encore par action réflexe mise en oeuvre
e la malade montrât quelque contractilité. M. Frank même la jugea
morte
, mais en conseillant toutefois de la laisser dans
nt à la connaissance et me dit en riant : « Je suis trop jeune pour
mourir
. » On la trans- porta de suite dans un autre ap
ent n'eut pas de suites fâcheuses, mais six semaines après elle est
morte
dans l'espace de six heures. Mon absence ne m'a
tique et état syucopal. Elle s'affaisse sans proférer une parole et
meurt
vers onze heures dans un coma apoplectique. »
rs 1887, p. 25t. DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. 128-1 i lade
mourut
de pneumonie et l'examen le plus minutieux ne r
complète, le malade tire sa jambe après lui, comme si elle était
morte
, balayant le sol'. » Si la description de Todd
t heures, mais dans une des dernières attaques, elle fut prise pour
morte
; déjà enterrée le fossoyeur voulant s'emparer des
res Pare, mort en 1856, de la fièvre jaune dans les colonies. Mère,
morte
d'un accès de fièvre pernicieuse, contractée à
tc. Ces acci- dents persistent pendant près de dix ans. Le malade
meurt
d'une affection tuberculeuse aiguë intercurrente
e. Un oncle maternel est épileptique, une sceccr de la malade est
morte
de méningite à l'âge de cinq ans. Antécédents p
, qui souffrait habituellement de mi- graines et de névralgies, est
morte
, il y a huit ans, après être restée hémiplégiqu
iplégique du côté droit pendant trois ans. Grand'mère mater- nelle,
morte
aliénée. Un frère de S... est paralysé depuis son
soixante ans à la suite d'une maladie de coeur. Mère épileptique
morte
il y a neuf ans; un frère de la malade est choréi
nous consulter le 1 octobre 1887. Antécédents héréditaires : Mère
morte
phtisique, père ataxique. La malade a trois soe
ataxique à l'âge de cinquante-huit ans, mère, très nerveuse, est
morte
à l'âge de soixante ans à la suite d'un cancer ut
achait dans la famille; grand' mère maternelle très nerveuse ; mère
morte
diabétique ; une tante maternelle migraineuse et
veuse ; mère morte diabétique ; une tante maternelle migraineuse et
morte
hémiplégique ; un cousin germain de la mère mor
e, a eu souvent des crises hystériques ; une sceun de la malade est
morte
à la suite de l'opération d'un bec de lièvre doub
i- neuse. Grand-père maternel alcoolique. Grand'mère mater- nelle
morte
phthisique. Vertiges à cinq ans. Accès procursi
ier, mort à l'âge de soixante et onze ans, on ne sait de quoi. Mère
morte
de vieillesse ( ? ) à l'âge de soixante-dix ans
nt naturel, mort alcoolique, à l'âge de soixante ans environ.- Mère
morte
à trente-cinqans de bronchite. Pas d'aliénés, p
ement purgatif. Potion de Todd et lait. Soir : T. R. 42°. Le malade
meurt
le 16 septembre à une heure du matin. Températu
a jamais eu d'autre maladie qu'une fluxion de poitrine. Sa mère est
morte
à cinquante-neuf ans : elle était hémiplégique
morts : trois en bas âge, de convulsions ; une de ses soell1'S est
morte
à vingt- six ans de septicémie puerpérale; elle
s été malade. C'était un homme sobre mais très violent. Sa mère est
morte
à quarante-deux ans ; elle était épileptique ;
eu dix frères ou soeurs morts en bas âge pour la plupart. L'une est
morte
dans un accès d'épilepsie; une autre avait des
sives. Un oncle paternel s'est suicidé ; une tante pater- nelle est
morte
d'aliénation mentale dans une maison de santé.
e marie et devient en quelques années père de quatre enfants : deux
meurent
en bas âge, deux sont vivants : l'une a des attaq
héréditaires. Père mort accidentellement; n'était pas nerveux. Mère
morte
d'apoplexie cérébrale suivie d'hémiplégie gauche.
s pupilles dilatées étaient immobiles. Quatre jours après, l'enfant
mourut
, et l'autopsie ne révéla aucune altération appréc
ssance sous le coup d'une violente émotion; la première fois, quand
mourut
sa femme; la seconde fois, quelques mois plus t
avec des symptômes identiques et une évolution analogue. Le malade
mourut
le 2 mars 1881 et l'autopsie resta négative. Ca
ebauer entre à la Charité le 4 août 186(i, à l'âge de dix-huit ans,
meurt
le 5 octobre 1875. Antécédents héréditaires. Pè
out celui de sclérose en plaques. Plusieurs années après, ce malade
mourut
dans son service. Dans le cerveau, dans la moelle
ne retrouve absolument rien dans les antécédents. La mère, qui est
morte
d'une pleurésie à trente- sept ans, avait toujo
le 15 avril 1890, salle Prüs, n° 10. Antécédents héréditaires. Mère
morte
iclérique à soixante-deux ans. Père en bonne sa
mouillée; l'air devenait irrespirable, elle étouffait, elle allait
mourir
. Voilà tout ce qu'elle avait vu et toutes ces c
e son fils et est mort d'accident. Sa mère était migraineuse et est
morte
d'un cancer utérin. Un oncle maternel est sourd-m
Charcot le 26 juin 1889. Antécédents héréditaires Mère épileptique,
morte
en état de mal, a l'âge de trente-six ans. Père
mort de la fièvre jaune à la Nouvelle-Orléans en 1858; sa mère est
morte
d'une paralysie qui commença par les pieds et d
ré- tend-on, à Louis le Débonnaire, à qui il avait été prédit qu'il
mourrait
empoisonné par une hostie. Mais, à dater de Lou
er que Charles IX et François II qui gué- rissaient les écrouelles,
moururent
eux-mêmes tuberculeux ? GILLES DE la TOURETTE.
inière de grande maison qui abandonnait ses enfants el qui « se fit
mourir
» en s'adonnant il la boisson, lorsque son fils eu
s, elle s'attriste de son état qu'elle croit incurable et a peur de
mourir
à la moindre indisposition. Sauf cet état menta
cédents héréditaires. Père, mort d'accident, pas nerveux. -1}1 ère,
morte
d'une affection cardiaque (quarante-neuf ans), rh
pas connu de la malade. Grand'- mère pas nerveuse, sanlé parfaite,
morte
à quatre-vingt-deux ans. Mère su- jette à des a
deux mois et qui a disparu brusquement. Sept soeurs : l'une d'elles,
morte
de méningite tuberculeuse; deux sont hystérique
tremblement hystérique. Or, dans la nuit du 6 septembre, la malade
mourut
subitement. A l'autopsie nous avons pu constate
orté par la malade. Quatre jours après avoir quitté l'hôpital, elle
mourut
subitement avec des phénomènes de dyspnée. La p
son tour : c'est ce qui est arrivé chez la malade de Seeligmùller,
morte
d'accidents pulmonaires d'origine cen- DE L'OPH
; des râles emplirent la poitrine; finalement il devint délirant et
mourut
d'asphyxie pulmonaire. Autopsie. Cerveau normal
es se montrent accidentellement. Aucun symptôme cérébral. Le malade
meurt
subitement, trois mois après son entrée l'hôpital
réquent, petit. Le lendemain, il tomba dans une torpeur profonde et
mourut
deux jours après. Bcetticr fait remarquer que l
te, elle a eu sept enfants, dont trois sont morts jeunes (une fille
morte
onze ans de méningite, un garçon de sept ans mort
técédents. - Le père de la malade était très irascible; sa mère est
morte
hémiplégique. Trois soeurs non nerveuses. Elle-mê
taires. Père mort, il y a cinq ans, de tuberculose pulmonaire. Mère
morte
de ( ? ). Une soeur hystérique (attaques convul-
ce diagnostic, à cause des antécédents, resta en suspens. La malade
mourut
, et, à l'autopsie, en dehors des lésions intestin
semble qu'elle comporte un enseigne- ment précieux. La malade était
morte
de fièvre typhoïde; les divers viscères, le cer
enseignements inconnus. Oncles et tantes, .une tante paternelle est
morte
à quarante-sept ans, de tuberculose pulmo- nair
é des grands-parents, rien d'inléres- sant il signaler. Sa mère est
morte
à l'âge de soixante ans; elle était aliénée dep
u sa mère; il a un frère qui est bien portant 'et une soeur qui est
morte
d'apoplexie cérébrale. Quant à ses oncles, tant
au point de vue nerveux. Il les a peu connus. Une de ses tantes est
morte
d'hé- morrhagie apoplectique. Antécédents per
deux ans, un exemple fort curieux d'ataxie locomotrice. Son malade
mourut
, et, à l'autopsie, on ne trouva aucune lésion m
symp- tômes classiques de l'hystérie et de troubles psychiques; qui
mourut
de tuberculose. Au lieu d'une autopsie négative
incrimine l'alcoolisme. Il est admis en effet jusqu'ici qu'on ne
meurt
pas d'hystérie, et nous croyons que, chez ce ma
au dire de son mari, mais son facies était si altéré qu'on l'a crue
morte
pendant quinze minutes. On lui a fait boire de la
Le 27 juin 1885, la malade éprouve une violente émotion, en voyant
mourir
de tuberculose un de ses frères qu'elle affecti
ort à soixante-douze ans d'un cancer du sein. Grand'mère maternelle
morte
il soixante-dix ans. Grand-père maternel mort à
1. UNE ANOMALIE MUSCULAIRE UNILATÉRALE. 157 Grand'mère maternelle
morte
d'un cancer de l'estomac à l'âge de quarante- q
six ans, atteint de bronchite chronique; 2° fille, née avant terme,
morte
à un mois; 3° notre malade; 4° fille morte de con
fille, née avant terme, morte à un mois; 3° notre malade; 4° fille
morte
de convulsions à dix-sept mois; 5° fils mort ph
ions à dix-sept mois; 5° fils mort phthisique à vingt ans; Go fille
morte
à quatre mois de méningite; 7° fille âgée de vi
eux et de mort9. Erb rapporte un cas analogue : le malade tabétique
mourut
subite- ment le cinquième jour du traitement, a
naire, aux seconds on attachait encore des poids. Les premiers ne
mouraient
pas, et qnand on les sacrifiait on ne trou- vai
système nerveux. Quant il ceux qui avaient des poids attachés, ils
mouraient
généralement après la dixième séance. 480 NOUVE
'une « hydropisie des jambes ». Le malheur fut que Court de Gébelin
mourut
quelque temps après avoir annoncé sa guérison, ur
it part de son décès en ces termes : « M. Court de Gébelin vient de
mourir
guéri par le magnétisme animal. » Un anonyme co
e des premières et des plus ferventes adeptes du magné- tisme. Elle
mourut
également chez Mesmer des suites d'une paralysie
, femme d'un huissier-priscur. Atteinte d'un carcinome utérin, elle
mourut
, elle aussi, comme Court de Gébelin, comme la m
très chargée. Marié h l'âge de 19 ans, il n'a eu qu'une petite Allé,
morte
de convulsions, et un fils, qui C3t précisément l
sçais le respect qui est dû aux premières puissances de l'Eglise ; je
mourrais
d'aussi bon cœur pour le conserver inviolable, co
d'aussi bon cœur pour le conserver inviolable, comme je suis prête à
mourir
, avec l'aide de Dieu, pour la confession de ma fo
issement déterminé par la douleurque ces événements lui causèrent, et
mourut
le i octobre 1661, a l'âge do trente-six ans. L
Nicole enfin parle à Gilberte, * de la piété non discontinue » de la
morte
, de sa « dévotion sans éclat et toute solide, acc
y a une ballade irès populaire en France : la jeune fille qui fait la
morte
pour son honneur garder. Trois capitaines, enlève
pitaines vous passerez la nuit ». Au milieu du festin, la belle tombe
morte
, et on l'enterre « dessous des fleurs de lis ».
ez ces portes. — Mon père si vous m'aimez. — J'ai fait trois jours la
morte
. — Pour mon honneur garder. * Georges Doncieux
xistence (poly-zoisme). Tous ces travaux restèrent longtemps lettre
morte
. En ces dernières années, d'autres savants les re
est qu'il a eu le rare bonheur de vivre vieux. Combien ont semé qui
meurent
sans voir les récoltes ! D* Félix IÎEGNAULT.
au monde, il dît simplement : « Dieu nous fasse la grâce d'aussi bien
mourir
, » a Non seulement il n'avoit point d'attache pou
«qu'il en versait des larmes, » le viatique et l'extrême-onction, il
mourut
, le 19 août 1662, à une heure du matin, âgé de tr
sut à son tour la détourner du mariage. Sur ces entrefaites, Singlin
mourut
, et Gilberte quitta Paris. C'était en quelque sor
nstituée et fréquemment malade, ne se mariât point. Un de ses enfants
mourut
en bas âge. Un autre naquit contrefait. Un troisi
vec Port-Royal, fut "agent des religieuses pendant la persécution, et
mourut
en odeur de dévotion, le ? octobre 1696. Déjà F
me plusieurs années pour surveiller l'éducation de ses enfants, était
morte
comme lui de mort subite, le 25 avril 16»7, à l'â
peu cependant sa volonté se dégagea, et il put se marier en 1677. Il
mourut
moins d'un an après, âgé de trente-huit ans. Se
n 1679, époque où Arnauld et Nicole quittaient Paris. Biaise Périer
mourut
sous-diacre, le 15 mars 1684, âgé de trente ans e
Pierre-de-Clermont, puis chanoine de la cathédrale de celte ville. Il
mourut
le 13 octobre 1713, âgé de soixante-trois ans.
vec sa mère et Marguerite. Continuellement accablée de maladies, elle
mourut
le 9 avril 1695, après uno vie malheureuse et sol
mais, ici et là, elle observait la retraite et la pénitence. Sa sœur
morte
elle se fixa définitivement à Clermont chez son f
mbée malade/page> page n="82"> de la complication dont elle
mourut
, elle demanda la communion. Maie, avant de la lui
s, les évûques de Senez et de Montpellier. Elle s'y refusa, et serait
morte
san3 sacrements, si Massillon, évequede Clermont,
ement tenté d'adoucir le curé, ne lui avait envoyé un vicaire. Elle
mourut
le 14 avril de cette année, à l'Age de quatre-vin
prits, nous dit-elle elle-même, elle divague un peu et elle a peur de
mourir
. — Elle n'a donc pas en ce moment tcute sa lucidi
à grand tapage. Elle disait qu'elle était malhem-eufe, qu'elle allait
mourir
. Elle criait, mais ne perdait pas connaissance ;
nne des époux Norman, condamnés par le juge Riddley pour avoir laissé
mourir
, faute de soins, leur fille Grace, âgée de cinq a
o l&HJ./page> page n="164"> Plusieurs de nos dévots
moururent
jeunes : Antoine Le Maistre à 50 ans. Catheri
(5) Sécrologe de P. R./page> page n="165"> et Pierre Moreau
moururent
de cette affection. Florin Périer et Gilberte Pas
Moreau moururent de cette affection. Florin Périer et Gilberte Pascal
moururent
de mort subite. Mlle do Montpensier(1) trouvait
corps a comme un squelette » (*) (Suzanne Robert), et parfois ils en
meurent
(Antoine Singlin) C'en est assez pour définir l
C'est la continuation et le renouvellement essentiel de la vie. Nous
mourons
en détail à tous les instants {quotidie morior, d
nt en Amérique de la Société des Recherches psychiques de Londres. II
mourut
à trente-deux ans, d'une chute de cheval. Cinq se
par malheur, un malade chloroformé dans un but de suggestion vienne à
mourir
entre nos mains. Les experts, avec les dispositio
e que la vie actuelle lui est impossible. Puisqu'elle est certaine de
mourir
, elle aime autant en Unir do suite. A plusieurs r
danum : elle me prie de lui indiquer uu poison plus efficace, alin de
mourir
avec son amant, auquel elle a du reste proposé uu
aire dont l'évolution continua lente mais progressive. Lo malade vint
mourir
dans une de ses propriétés aux environs de Paris.
ueline Pascal écrivait, dans la Méditation citée plus haut : «Je dois
mourir
au monde par amour envers Dieu »; et, parlant de
se bien marier, elle s'adonna à la poésie religieuse. « Je dois faire
mourir
en moi la chair et tous ses désirs » écrira-t-ell
t je l'ai compris. • • * Mme B... est âgée de 34 ans. Sa mère est
morte
albuminurique à 67 ans, son père est eczémateux,
lle chérissait beaucoup et auquel son mari devait sa situation vint à
mourir
: elle en éprouva un très grand chagrin. Notons q
roie à une idée fixe : on la poursuit, on veut lu frapper et la faire
mourir
! Elle entend des menaces; elle connaît les gens q
e modifient et évoluent. Tantôt Mme B .. s'écrie : ß Nous allons tous
mourir
! » Tantôt des hallucinations visuelles survienne
900. Une femme avait une passion pour son chat; comme celui-ci vint à
mourir
, elle en fut tellement affectée qu'elle ne tarda
n. Observation.—Antécédents héréditaires.— La mère de la malade est
morte
il y a 13 ans, après avoir souffert pendant deux
; il exerce la profession de maçon. Sa mère, une « nerveuse », est
morte
phtisique. Son père vit encore et se porte bien
ans, qui, elle aussi, a eu des convulsions. Il a perdu une soeur,
morte
, à l'âge de 7 ans, d'une maladie dont il ignore
hie s'empare des muscles dans lesquels la paralysie s'établit à de-
meure
. L'atrophie musculaire, qu'on voit survenir dans
me; la première ne criait pas, ne remuait presque pas, était mal et
mourut
le 15e' jour par débilité; trois jours après, sa
t mourut le 15e' jour par débilité; trois jours après, sa soeur est
morte
de diarrhée.A l'autopsie, le système nerveux cent
uefois seulement l'autopsie. Cas III. La fillette venue à terme est
morte
avec une hydrocéphalie très marquée. Les os du
écu jusqu'à ,1 81 ans ; il travaillait encore à 70 ans. Sa mère est
morte
à 60 ans asthma- tique. Ni dans les ascendants
; pourtant, ce mal n'était pas sans attraits. Au surplus, l'on n'en
mourait
guère. Nécessairement, la Faculté en fut émue.
r son médecin. « Ah ! Docteur..... C'en est fait de moi. Je me sens
mourir
! ... Tous vos bons soins ne sauraient me tirer
enfants le 23 février 1899. Père âgé de 37 ans, tubercu- leux. Mère
morte
tuberculeuse à l'âge de 27 ans, 8 mois après la n
se, migraineuse, goitreuse. 2 fausses cou- ches. 6 enfants dont une
morte
de scarlatine à 7 ans. Antécédents personnels.
été obèse, mais ne présentait aucune anomalie ni déformation. Mère
morte
en 1884 à t'age de 62 ans d'une maladie de coeur
de sang, cela régulièrement tous les trois mois. Une soeur aînée
morte
phtisique à 26 ans, laissant des enfants bien por
; elle fut prise alors de convulsions violentes suivies de coma, et
mourut
au bout hérédité SYPHILITIQUE A TRÈS LONG TERME
elle me disait que, exactement comme ses autres enfants, elle était
morte
le 14 octobre dernier à l'âge de 18 mois ; elle
ite ; l'enfant était restée trois jours sans connaissance, et était
morte
, comme ses 4 soeurs et ses deux frères du premi
is amatoria, laquelle est engendrée, comme chacun sait, par des hu-
meurs
pntrides et conglutineuses qui sont recuites dans
ingt ans d'une union d'où naquirent plusieurs enfants, Marga- rethe
mourut
. Jan Steen resta veuf pendant quatre années,, pui
van Egmont, dont le mari avait été imprimeur et libraire. Il devait
mourir
lui-même, six ans plus tard, en février 1679.
xer dans sa ville natale où il ouvrit un atelier très fréquenté, et
mourut
prévôt de la Monnaie. Il peignait dans tous les
La figure 4 montre une femme atteinte de cachexie strumiprive. Elle
mourut
trois jours après que fut prise cette photographi
culs biliaires. Elle a toujours eu des règles profuses. Sa mère est
morte
d'un calcul hépatique enclavé ; son grand-père
t articulaires très intenses, attribuées au rhumatisme. Sa mère est
morte
d'albuminurie. Le traitement commence en avril
cachectique, qu'on était obligé de le porter. J'ai cru qu'il allait
mourir
dans mon cabinet. Ce gamin fume ses quatre cigare
être fortement affai- blie. Son père est encore en vie; sa mère est
morte
d'albuminurie à l'âge de retour. Notre patiente
ieurs fausses couches avant de porter à terme des jumeaux dont l'un
mourut
quelques heures après sa venue. La troi- sième
x rhumatismes que la douche lui a con- férés. Une de ses soeurs est
morte
tuberculeuse. Ses deux frères sont sujets à la
ensible, et un gros ovaire se trouve dans le Douglas. Sa mère est
morte
de tuberculose. Trois de ses tantes du côté pater
nts. Le père est mort à 57 ans, d'une maladie de coeur, la mère est
morte
à 30 ans de suite de couches. Une soeur est mor
ur, la mère est morte à 30 ans de suite de couches. Une soeur est
morte
à 35 ans, il en reste une autre, mariée, bien por
Antécédents . - Son père est mort à 60 ans subitement, sa mère est
morte
à 70 ans de tuberculose pulmonaire probablement
à 65 ans des suites d'un accident de che- min de fer ; sa mère est
morte
subitement à 60 ans ; une soeur est morte à 15
min de fer ; sa mère est morte subitement à 60 ans ; une soeur est
morte
à 15 ans pendant une fièvre typhoïde ; il reste
, lit n° 14. , Antécédents. Le père est mort à 84 ans ; la mère est
morte
du choléra en 1849, à 32 ans. Elle a un frère
le. La pauvre fille se croit sûrement condamnée ; elle se prépare à
mourir
saintement, soutenue (1) N° 1381, B. Il, 43. L,
Antécédents héréditaires. Père mort à 61 ans, cause inconnue; mère
morte
à 71 ans ; a eu 2 frères et 1 soeur. Les deux
eure, l'autre à 14 ans. Le fils de 37 ans, marié, a perdu sa femme,
morte
tuberculeuse à l'hôpital de Nancy. Remarié. D
erveuse ni d'atrophie muscu- laire. . Père mort il 80 ans. Mère
morte
à 45 ans. A encore une soeur de 58 ans bien por
7 juillet 1888 (PI. LXI, fig. E). Antécédents héréditaires. Mère
morte
à 57 ans après une maladie qui aurait duré 7 an
aurait duré 7 ans ; elle était sans force dans les membres et serait
morte
dans un grand état d'amaigrissement. Père mor
dité ET parenté. Les grands-parents ont atteint un âge avancé; mère
morte
à 57 ans, asthmatique; père mort d'accident. Un
'une bonne santé, serait mort en 1870 de la variole. Sa mère serait
morte
en 1882 d'une maladie qu'il ne peut spécifier. Il
ions. Dans la première, le père est triste et mélancolique, la mère
meurt
d'apoplexie ; sur dix en- fants, deux se suicid
eu de buveurs. - Thomas (33) signale une acromégalique dont la mère
mourut
mélanco- lique dans un asile d'aliénés. Le ma
r- veux, bizarre et exalté. Le père d'un malade d'Uzverricht (34)
meurt
d'apoplexie. Un autre malade d'Haskovec (13) a
suicide par submersion, et qui, retiré de l'eau par des bateliers,
meurt
le surlendemain dans le coma après deux jours d
técédents. Son père est mort à 63 ans accidentellement, sa mère est
morte
à 74 ans d'une affection pulmonaire aiguë. Elle
7 ans. Elle a eu deux filles ; l'une est bien portante, l'autre est
morte
il 24 ans, ayant présenté pendant 5 ans, de gra
Le père est mort à 72 ans, d'une fluxion de poitrine ; la mère est
morte
à 40 ans, un an après avoir accouché de sa fille,
. tout ce que vous voudrez, c'est fini... Bien mieux quand je serai
morte
. » Elle regarde à peine les ima- ges et les obj
que vous voudrez, c'est fini, c'est fini, bien mieux quand je serai
morte
. Question : Avez-vous des enfants ? Réponse :
plus fréquentes, l'intelligence a baissé rapidement. La malade est
morte
avec des symptômes d'une hémorrhagie cérébrale
es-le Monsieur. Peut pas dire, il n'y a que moi, peux pas dire ; je
meures
! (elle se fâche.) Vous appelez-vous Martin...
ématié des deux mem- lires inférieurs, pieds, jambes et cuisses. Il
mourut
brusquement, parait-il, en 48 heures « l'enflur
Le grand'père paternel se porte bien, la grand'mère paternelle est
morte
a la suite de couches, les grands-parents mater
t adonné il la boisson qu'après la naissance du malade. La mère est
morte
ci 48 ans hydropique. Un frère a été emporté pa
il paraît qu'il était un homme assez vigoureux et bien portant. Il
mourut
à de Go ans d'une maladie de coeur après une qu
lle assez élevée pour une femme, sans toutefois être anormale. Elle
mourut
à l'âge de 70 ans d'hydropisie. Michel eut ci
atuellemellt deux frères et deux soeurs sont encore vivants. L'aîné
mourut
à l'âge de 61 ans à la suite d'une maladie épid
rande taille : 1 m. 85. Le troisième des frères alla en Amérique et
mourut
à Rosario d'une attaque de choléra, il atteigna
ôt agrandie. Après quelques mois de séjour à l'Hôpital, le malade
mourut
, on fit l'autopsie qui confirma l'existence d'u
s semblaient être les testicules. Le premier de ces deux cas vint à
mourir
en conséquence de la maladie de Banti qui avait
de réactions (perte de connaissance). Le ' même soir, la malade est
morte
. 1 , A l'autopsie, on a trouvé de nombreuses mé
eur fut impossible ; le malade gravement atteint quitta Varsovie et
mourut
bientôt après. RÉSUMÉ,- Dans ce cas,les symptôm
tendon d'Achille très vifs. Phénomène de Babinski (1) La malade est
morte
. L'autopsie a démontré l'existence d'un sarcome d
lor-Waterman, cas de cancer). Exceptionnellement les foyers des tu-
meurs
métastatiques se produisent au sein de la moelle
'issue des maladies. En effet pour savoir si un malade va guérir ou
mourir
, il suffit de lui présenter un charadrios. Si l
calandre sauvage. Elle a détourné de lui son regard ; aussi va-t-il
mourir
: - « ..... Mais jou ne puis trouver Fors que
eu neuf enfants tous vivants et bien portants. Aucun de ses fils ne
mourut
en bas âge ; une fille seule est morte à la sui
tants. Aucun de ses fils ne mourut en bas âge ; une fille seule est
morte
à la suite d'un accouchement, et un des fils, q
aiblis chez les vieillards. Son mari, le grand-père de nos malades,
mourut
en 1898 à l'âge de 70 ans d'une maladie pulmona
neur, il tomba malade d'anthra- cose pulmonaire, revint chez lui et
mourut
dans sa chaumière en 9 : )OU., à l'îige de 50 a
e l'observation II. 1892. Marie (naissance à terme, sans dystocie),
morte
à 2 ans, après une coqueluche très grave. 189
aires. - Père mort de congestion cérébrale à l'âge de 79 ans ; mère
morte
à l'âge de 78 ans. Un frère est mort à 40 ans à l
e ; il ne peut pas vivre avec si peu de sang. Il pré- tend qu'il va
mourir
dans quelques moments ; il nous supplie à genoux
ac ; il peut vivre sans manger et est immortel ; il- est condamné à
mourir
dans 8000 ans.Depuis quelques jours, M. A. fait
volume d'un oeuf de poule passait sur la cage thoracique. La malade
meurt
le 12 octobre 1903. L'autopsie (Dr Steinhaus) m
la vertèbre. Sur les IIe, IVe vertèbres dorsales on trouve des tu-
meurs
ressemblant à des queues d'écrevisses et qui par
d'urine. Dans l'urine pas de sucre, pas d'albumine. La malade est
morte
le 10 septembre dans la nuit. La moelle épinièr
ds.Incontinence de l'urine et des matières fécales. La malade est
morte
le 29 septembre. A l'autopsie on a trouvé : les
mbres inférieurs et supérieurs. Sensibilité troublée. La malade est
morte
un an à peu près après le début de la maladie.
nit aux tumeurs intravertébrales et il a tort à notre avis. Ces tu-
meurs
ont un point de départ en dehors de la colonne ve
canal rachidien, alors nous avons affaire à une combinaison de tu-
meurs
extra et intravertébrales. Mais comme forme typiq
arents, marchands d'al- cool en Normandie, buvaient immodérément et
moururent
tuberculeux. Des trois oncles maternels, tous g
d'mère, normale, eut sept enfants : deux sur trois d'un premier lit
moururent
tuberculeux. Du deuxième lit naquirent le père de
s ivre, et très violent. Le grand-père paternel était alcoolique et
mourut
gâteux ; la grand'mère est méchante, hargneuse
s, plus de la moitié tous les garçons sont bègues ; une cousine est
morte
de convulsions, Fic. 1 LA BRACHYMltLIE iIITAP
Notre malade est née la troisième de cette union malheureuse. L'aîné
mourut
à dix ans de méningite ; le deuxième est violen
e haute taille, bien bâti et n'avait jamais été malade. La mère est
morte
, il y a 29 ans, après une longue maladie, qu'on n
otre malade. Elle n'eut jamais de fausses couches. Deux des enfants
moururent
tout de suite après l'accouchement, l'un d'asphy-
asphy- xie et l'autre d'ictère (il était né ictérique) ; les autres
moururent
en bas âge à cause de maladies intercurrentes ;
que ou chlorotique naissent des enfants de complexion délicate, qui
meurent
peu après leur naissance ou, s'ils vivent, ont
s de choléra ; ses aïeuls sont morts tous très vieux. Une soeur est
morte
à 79 ans Nouvelle Iconographie de la Salpûtrii'
, jus- qu'au moment où, quatorze mois après l'infection, le patient
mourut
. L'autopsie fit relever une forme vasculaire de
loniques, à la suite desquelles se manifesta une parésie droite. Il
mourut
en janvier 1899. A la section, on trouva une mé
ite avec aphasie et symptômes de paralysie du nerf vague ; le sujet
mourut
. A l'autopsie, on trouva des altérations ' éten
s membres de droite, une parésie de l'abducteur de gauche. Le sujet
mourut
d'une pulmonie. L'autopsie permit de relever un
du processus mastoïdien. Un an environ après l'infection, le malade
mourut
. L. 2° (Obs. 145). Homme de 30 ans, pris, trois
gré la continuation d'une cure iodo-mercurielle intense, le patient
mourut
quelques mois après. Il s'agit donc dans les
pseudobulbaire rebelles à tout trai- tement, si bien que le malade
mourut
en peu de temps. Donc, la raison pour laquelle,
lysie persista après l'opération, la fièvre prit place et le malade
mourut
quelques jours après l'opéralion. Dans la moell
juin. Etat fiévreux. Pouls petit, accéléré. 27 juin. La malade est
morte
. Autopsie. La dure-mère incisée à l'opération s
complètement paralysées et sont devenues insensibles. La malade est
morte
neuf jours après l'opération en présentant des
a malade ne réagit point ou faiblement quand on l'appelle. Elle est
morte
le 25 juin 1907. Autopsie. Déjà avant l'incis
la suite des lésions de la capsule interne. Chez une hémiplégique,
morte
six semaines après un ictus causé par une embol
diviser en deux branches, l'une sur la face interne du bras venant
mourir
vers le bord postéro-interne du bras, l'autre cro
térieure du bras, descendant parallèlement à cette ligne pour venir
mourir
au-dessus du pli du coude. Ce groupe de taches
amillaire (fig. 6), jusqu'au bord inférieur de la 7e côte, pour venir
mourir
sans estompage sur la ligne médiane antérieure
environ, femme de service, mariée. Père mort de pneumo- nie ; mère
morte
paralytique à 86 ans. Deux soeurs mortes en bas-â
che ; il 22 ans, un accouchement normal, à terme, d'une fillette qui
mourut
au bout d'un mois. Pas de signe d'Ar4,yll ; réf
fait plusieurs fausses couches. Cinq enfants sont plus jeunes; deux
moururent
de convulsions ; les autres sont strabiques. En
sa tête était de 48 centimètres, sa taille mesurait 1 m. 020. Elle
mourut
d'une angine diphtérique enjuin 1873, à l'âge d
e taille moyenne et de constitution parfaitement normale ; elle est
morte
il y a deux ans d'une > pneumonie. Cette u
e son frère aîné, et comme lui d'ailleurs absolument normale ; elle
mourut
à l'âge de 10 ans d'une pneu- monie croupale, e
de fausses couclies, mit au monde 8 enfants, dont deux jumeaux qui
moururent
à trois ans ; les 5 autres frères de notre nain
aire et du trijumeau ainsi que du ganglion de Gasser. La malade est
morte
à l'âge de 55 ans, après avoir présenté la plupar
avant que les troubles visuels ne fussent très accusés. Elle est
morte
dans la démence et le gâtisme en 1908. Le diagn
Jusqu'à présent on intervenait chirurgicalement dans les cas de tu-
meurs
extra-vertébrales, soit intra, soit extra-durales
de vomit, son ventre se ballonne, le pouls s'affaiblit et le malade
meurt
(Bregman). Dans notre 1VIIIe ob- servation, nou
e- ments, pouls à 420), la tumeur n'a pas été éloignée et la malade
mourut
, trois semaines après l'opération sans phénomèn
l suggère, le texte de la chronique : « En l'an du Seigneur 1482,
mourut
le frère convers Hugues, qui avait fait ici pro
des plaques de sclérose. Il s'agissait cliniquement d'un malade qui
mourut
à t'age de 35 ans, la maladie ayant duré huit ans
nt l'admission : 1 mois. Durée de la maladie à l'asile : 2 mois. Il
meurt
dans un ictus paralytique. Diagnostic clinique
buveur et noceur. Elle fut malade quelques mois avant l'admission,
mourut
à l'asile après trois ans de séjour, dans le ma
l'a réclamé h la Société de médecine légale en termes éloquents. «
Mourir
chargé d'années, quand la vie a été bien remplie,
'années, quand la vie a été bien remplie, c'est la loi naturelle;
mourir
jeune encore, à l'heure où toutes les promesses n
a définition suivante : ¦ Bacille de la tuberculose, petite bùlc dont
meurent
beaucoup de malades, mais qui fait vivre et surto
les mois et lémoignait d'un penchant marqué pour le sexe fort. Elle
mourut
le 27 mars 1732. L'examen anatomique révéla qu'el
uer son mariage, à l'âge de dix-sept ans, avec un Améri- cain qui
mourut
à Saint-Pétersbourg en 1384. Un enfant naquit de
tersbourg en 1384. Un enfant naquit de cette union. Il était blond et
mourut
à l'âge de sept ans. La gravure que nous publio
le, par Georges Hoefnagel, peintre flamand, né à Anvers, en 1547, qui
mourut
à Vienne en 1600. (') I! habita longtemps Inspruc
mère l'avait repris, persuadée, selon les dires de tous, qu'il devait
mourir
. Même le médecin qui l'assistait à son retour ava
à dire, tout ce qu'on pourra faire ne servira de rien : votre enfant
mourra
, un peu plus tôt, un peu plus tard, mais il mourr
ien : votre enfant mourra, un peu plus tôt, un peu plus tard, mais il
mourra
! » Ces paroles me furent confirmées par plusieurs
point que la mère y voyait l'état d'un enfant en délire et qui devait
mourir
bientôt. Porter le diagnostic de changement de
hysionomie de Barbara Urslerin. On ne connaît pas l'âge auquel elle
mourut
. On sait seulement qu'elle vivait encore en 1668.
n'en est pas moins femme. Il en résulta la naissance d'un enfant qui
mourut
trente-six heures après sa naissance. Le portrait
paillé. Il en fut d'ailleurs de même de celui de la more. Lorsqu'elle
mourut
, son imprésario la fit momifier et pendant quelqu
Le soir même, la situation ayant empiré, la malade entre en agonie et
meurt
le lendemain jeudi, 28 mai, à sept heures du mati
mme a un signal, tous les oiseaux se jetèrent sur elle. La bote tomba
morte
sur le sol. Le jugement était exécuté. Exisle-t-i
onné lieu à un grand nombre de reproductions. Cela tient à ce qu'elle
mourut
(!] Voyei Rerue de hoIijim, numéros de Juillet,
narrateur, eut quatre enfanta, tous du sexe féminin; les deux aînées
moururent
, la première à trois ans et la seconde à onze moi
urgmestre. Ses frères et sœurs sont également bien portants. Sa mère,
morte
depuis plusieurs années, était normale. On ne sai
ment que si elle l'avait vue la veille; on lui répond que sa mere est
morte
depuis plusieurs années et elle se met à pleurer
que la conclusion. La l'este étant entrée dans une ville pour y faire
mourir
cinq personnes, le voyageur compta, le lendemain,
n féminine. Le premier de ces cas fut celui de Margarita Mullcrin qui
mourut
le '21 mars 1733 à l'hôpital de Dresde. Nous avon
vons citer en première ligne Marie-Madeleine Lefort, née en 1799, qui
mourut
en 1864, âgée de 6.î ans. Ce qu'il y a de parti
ent et enflammé propre à ces fous mystiques, le grand-prêtre de faire
mourir
ses fils, il eut une nuit, dans le silence et la
pour le pauvre moujyk il est son Dieu sur terre; il lui doit sa vie,
meurt
heureux pour lui. La suggestion ancestrale étouff
sorcier de près. Mais là, un vrai, un de la campagne. Et puis on n'en
mourra
pas, nous autres gens de Paris, on ne nous en imp
rand étaient boiteux ; bossu. Alexandre Pope et difforme, Swift, qui
mourut
dément; Scarron était cul-de-jatte; David Hume et
Victor Hugo, qui a'amusait à manger le homard avec sa carapace et qui
mourut
, k 83 ans. après uno carrière véritable-mont exce
St-Pierrc. y travailla avec acharnement jusqu'* son dernier jour; 11
mourut
a 89 ans. Le Titien mourut du choléra a 98 ans et
c acharnement jusqu'* son dernier jour; 11 mourut a 89 ans. Le Titien
mourut
du choléra a 98 ans et les tableaux qu'il peignai
qu'il peignait alors oui la même valeur i:t ! ¦!. itesa vie ¦ Pascal
mourut
à 39 ans, paraplégique!?} depuisqufozeannéca; Spi
39 ans, paraplégique!?} depuisqufozeannéca; Spinoza, toujours malade,
mourut
pbtisique & 45 ans: tous les deux étaient des
tisie pulmonaire; Alfred de Musset, dont les excès abrégèrent la vie,
mourut
à 47 ans. Moururent par le poumon : Molière, &
Alfred de Musset, dont les excès abrégèrent la vie, mourut à 47 ans.
Moururent
par le poumon : Molière, & 52 ans, d'une hémo
phe DcscarUs. a 54 ans. succombent * une pérlpneumonie ; Scbopcnhaûcr
meurt
, a 72 ans. d'apoplexie pulmonaire, Velpeau, k 71
nnée; Caroline Herschell, assistante et colla-boiatrice de son frère,
mourut
à 98 ans; Cassinî, à 97; Sir E. Sabine, à 94; JJ.
ne pas entraver la puissance intellectuelle. Si Alexandre le Grand
mourut
accidentellement à 33 ans et Jules César tragique
. M. Moffit avait déjà été marié une première fois à la Vénus géante,
morte
en IS80, et àla Belle Ciicassienne, décédée l'été
aturellement délicate, ne devait pas résistera tant de fatigues. Elle
mourut
dans l'année de son dernier passage à Paris. Elle
vre, s'éteignit phthisique vers 36 ans, mais il était convaincu qu'il
mourrait
empoisonné et que ce serait par des Italiens. Rob
ses ambitions. Quant à la vieillesse, ses rêves sont finis; elle voit
mourir
tous ceux qu'elle aime ; elle est entourée de
rouva une telle frayeur qu'elle fut atteinte de convulsions dont elle
mourut
au bout de quarante-huit heures. Cette mort inatt
ou 11 faut qu'elle compte jusqu'à cinquante, sinon son père pourrait
mourir
, car il a cinquante ans... etc. Si, par exemple
rse le fourneau, en disant : « Vous allez me damner... ou mon père va
mourir
! » Pendant dix jours, sa famille n'a mangé que du
einte de carie osseuse et d'eschares dans la région lombaire, et elle
mourut
d'infection en 1901. Cette malade présentait to
e tragiquement : « Mon Dieu ! Qu'est-ce qui va m'arrîvcr ?... Je vais
mourir
!... Promettez-mol que je ne vais pas mourir!... »
va m'arrîvcr ?... Je vais mourir!... Promettez-mol que je ne vais pas
mourir
!... » Son excitation cérébrale et musculaire est
n, cite un cas très extraordinaire d'une Jeune fille de quatorze ans,
morte
l'année dernière, qui, depuis sept ans, était par
sement chassé de l’hôpital Saint-Jacques POUR AVOIR FAIT PARLER UNE
MORTE
. Air de Fualdcs. Dans la ville capitale Du dé
ha De sa griffe ensorcelée ; On ne sait ce qu’il lui di», Mais la
morte
répondit. Au bruit de celle aventure, line sœur
e est consigné. Bonne sœur ne pensez plus; Que le malheureux exclus
Meure
dans l’impénilence, Et puis qu’il aille en enfer
par un mystère que nous connaissons, s’il lui a été donné de se voir
mourir
, il sentira vraiment, il verra même autre chose q
Le lendemain elle s’ordonna encore une saignée semblable pour no pas
mourir
ou devenir folle; j’accédai à son désir. Le soi
x grains d’opium, mais « je ferai comme d’autres en pareil cas, je ne
mourrai
« pas; cela pourra arrêter l’avortemcnt. J’aurai
que cette nuit avait été fatale à son enfant, qui ne tarderait pas à
mourir
, que le 1er octobre serait son dernier jour, et
l’escalier, dans laquelle je me ferai beaucoup de mal ; mais je n’en
mourrai
pas. Je ne saurais dire ce qui me fera tomber; ma
e ne connais et ne vois aucun remède à sa mala-« die. Il faut qu’elle
meure
. « Elle aura bien de la peine à passer le mois
nt, et dans huit jours elle n’existera plus. » Elle est effectivement
morte
avant-hier dimanche, à huit heures du soir, à l’â
le génie. Celui donc enfin qui enrichit le domaine de la science doit
mourir
sans être récompensé de son labeur Rappelez-vous
uvrit le Nouveau-Monde? Socrate ne J, pas ,a cîSuë? 3é™*> enfin,
mourut
sur la croix te sont des savants qui ont laissé m
é™*> enfin, mourut sur la croix te sont des savants qui ont laissé
mourir
Kepler dans la pauvreté; ce sont des savants qui,
mort, Viterbé, est «le* plus remarquables. Ayant résolu de se laisser
mourir
de faim, il dicia Ir» détails de son horrible et
il faut lù-bas Hevenir, pauvre enfant, revenir à Ta vie.... * Non,
mourir
est ma seule enviej Ne me réveillez pas! A.....
eau-de-vie, la vapeur s’en répandit autour du corps du malade. Chapus
mourut
le surlendemain, et fut inhumé. « Voici donc le
terme seront déclarés être de mauvais citoyens. Et, quant à ceux qui
mourront
en cherchant un soulagement à leurs longues doule
5 tous quatre étaient alors pleins de vie et de santé, et tous quatre
moururent
avant le roi. Ce fut la même chose de M. le Princ
et, selon qu’elle est accueillie ou rejetée, ils « vivent admirés ou
meurent
malheureux. Mais quoi-« qu’ils tentent pour recou
ie; plus de soins, plus d’ennuis; que le malade souffre, languisse ou
meure
, que lui importe ? il ne mérite aucun reproche, i
’est avisé de faire parler devant elle une cataleptique qu’on crovait
morte
! Que voulez-vous? le diable est si malin qu’il no
nt en aide; sans leur secours elle aurait élé contrainte de rester et
mourir
faute d’aliments. Cependant elle est guérie; voic
nsi à la mort. « Le peuple voulait s’emparer du moine et le faire
mourir
; mais le clergé se saisit de lui et le fit enferm
Thilorier avait abouti à un résultat négatif. Peu après M. Thilorier
mourut
, et les choses en sont restées là, la commission
ourmenté, par ses contemporains, échappa au bûcher, mais il se laissa
mourir
de faim en 1576, parce qu’il avait prédit, dans s
rappait dessus à grands coups de verges; et pour savoir si elle était
morte
, on lui fit mettre le feu aux parties les plus se
t la maîtresse la laissèrent étendue en la place, pensant qu’elle fût
morte
. «Au matin, elle se trouva en son lit couchée;
Alors elle se frotta toute nue de certaine graisse, puis tomba comme
morte
, sans aucun sentiment; cinq heures après elle se
re et autres breuvages narcotiques, en sorte que la personne sembleru
morte
, et môme il y en a qu'on endort si bien qu'ils ne
le est fausse, elle est, selon l’expression même de l’apôtre, une foi
morte
, par la prétention absurde qu’elle a d’imposer la
uable. Fruit de suppositions, ils s’ultè-rent en voyant la lumière et
meurent
du vivant de leurs auteurs. Leur existence éphémè
s, sa femme, qu’il aimait tendrement et qu’il ne revit plus. Avant de
mourir
, il reçoit une dernière lettre de madame Desmouli
moires, raconte comment un jeune homme s'éprit d’amour pour une femme
morte
, sur la description qu’on lui en lit, devint fou,
une femme morte, sur la description qu’on lui en lit, devint fou, et
mourut
lui-même de sa passion. Il ne faut pas oublier qu
onne un coup de pied et le jette en bas de la scène; et, pourvu qu’il
meure
à terre, il n’en est pas parlé. On voit là des ho
nous citerons les suivantes : « Quant à la vieille médecine, elle se
meurt
, elle est morte : les passes magnétiques l’ont
es suivantes : « Quant à la vieille médecine, elle se meurt, elle est
morte
: les passes magnétiques l’ont fuit trépasser..
A 16 ans, « j’eus la petite vérole... heureusement, car sans cela «je
mourais
à cette époque. Cette maladie créa un « émonctoir
célébrité. » Voilà un gouvernement paternel qui n’v vu pas de main
morte
. Les novateurs doivent y regarder à deux fois ava
s d’Auxcrre croyaient avoir assomme le magnétisme ; mais la vérité ne
meurt
pas. Aussi vit-on bientôt une dame Lemoine, depui
les approchent habituellement uno partie de vie nécessaire ; ceux-ci
meurent
-ils, ceux-là languissent et meurent bientôt. Il e
artie de vie nécessaire ; ceux-ci meurent-ils, ceux-là languissent et
meurent
bientôt. Il est une multitude d’enfants qui n’ont
sit enfin, il est furieux , mais n’en veut qu’à celle qui git presque
morte
à ses pieds. Éveillé, il ne sait rien, tout est
cette vérité. Ah ! vous êtes les plus fous des hommes : une vérité ne
meurt
point, elle triomphe parce qu’elle est, et vous d
fallait revenir à des preuves plus à leur portée. Mesmer venait de
mourir
; de Puységur déclinait rapidement; l’espoir des m
des modifications im- portantes en bien ou en mal. Quand un malade
meurt
, toutes ses photographies sont déposées au Musé
e Mil. Jobey, debout, adossé à une échelle dressée au mur. Est-elle
morte
de congestion ou d'inanition ? cela n'a pas été
re a. souffert longtemps d'un éléphantiasis de la jambe gauche ; il
mourut
épuisé à soixante-huit ans. La mère est une fem
: deux garçons vigoureux et sept filles. Parmi celles-ci, l'une est
morte
jeune, succombant à une affection que l'on n'a
ulement vaginal sanguinolent mani- feste. Celte pauvre enfant est
morte
dans le marasme, âgée de trente- deux ans. L'ou
u père, sourd-muet. Grand'mère DE LA CONSANGUINITÉ. 23 paternelle
morte
d'apoplexie. Mère migraineuse. Grand-père mater
père paternel alcoolique et mort d'apoplexie. Grand'mère maternelle
morte
subitement. Oncle paternel para- lytique, génér
psie. Parents : cousins germains. Père sa- turnin. Tante paternelle
morte
aliénée. Mère migraineuse et accidents hystérif
suites d'une attaque d'apoplexie. Oncle maternel alcoolique. Soeur
morte
d'accidents cé- rébraux. Développement physique
re, anglais, cocher de maison, écrasé par sa voiture ; sobre. Mère,
morte
à 73 ans, il y a 6 mois, on ne sait de quoi, fa
ale, à 73 ans; tourneur en cuivre ; n'avait pas eu le choléra. Mère
morte
à 34 ans, pro- bablement de phthisie, après une
rnel mort vers 30 ans, on ne sait de quoi.- Grand'mère paternelle
morte
à 80 ans; elle était en enfance. - Grand-père mat
sique à 25 ans, à la suite d'excès de tous genres. Deux soeurs, une
morte
d'une chute du haut des fortifications, l'autre
mois, mort à 4(i jours; pas de convulsions. 2° Fille née à 7 mois,
morte
au bout d'une heure; pas de convulsions. 3° Fil
orte au bout d'une heure; pas de convulsions. 3° Fille née à terme,
morte
en naissant. 4° Fille, morte à 28 mois, d'accid
de convulsions. 3° Fille née à terme, morte en naissant. 4° Fille,
morte
à 28 mois, d'accidents cérébraux comateux, qui
tant, intelligence ordinaire; violent; pas de convulsions. 6° Fille
morte
à 1S ans, cette année, de la fièvre typhoïde, à
, mort d'un cancer delà face. Cousine, idiote épileptique, gâteuse,
morte
en 1880, âgée de 36 ans, à l'Asile de Dole. Pas
), mort à deux jours après avoir eu quelques convulsions ; 2° fille
morte
à trois ans de convulsions; 3° notre malade ; 4
se ; le malade ne pouvait respirer et croyait, dit-il, qu'il allait
mourir
. A huit heures du matin, la température est à 4
es, induite en erreur. Elle n'avait que vingt ans lorsqu'elle est
morte
; si elle avait vécu plus longtemps, il est pro
de résoudre. Dans la seconde moitié de janvier,le mari de la malade
mourut
; comme l'avait prévu l'auteur, l'impression de
pour la centième fois qu' « il n'avait qu'un mot il dire et qu'elle
mourrait
». ,. G... était, pour tous ceux qui l'approchai
ts. Le 10 novembre, sommeil prolongé et profond; la malade ne de-
meure
que quelques heures par jour éveillée, elle estal
la douleur du dos augmenta, l'amélioration générale s'arrêta, et il
mourut
quatre mois après l'accident. L'autopsie révéla
peine articulées. Les sens et l'ititelli- gence étaient intacts. Il
mourut
près de quatre ans après l'accident. Ce cas,
ussi d'un anévrysme ( ? ) ; l'autre accidentellement. Sa mère est
morte
à soixante-deux ans hydropique ( ? ), elle n'ét
frère, ni soeur. De ce mariage sont nés sept enfants : 1° une fille
morte
à trente-deux ans, poitrinaire, non nerveuse; 2
NERVEUSE. qu'elle atteint n'est pas menacé dans son existence; il
mourra
dans un âge avancé s'il ne contracte pas d'autres
ant sur un lapin des doses progressives de curare, jusqu'à ce qu'il
meure
; l'avant-dernière dose injectée sera la dose li
ans. d'un cancer du pylore, faisaitquelque excès de boisson. Mûre,
morte
en 1Spl, écrasée par une voiture; n'a jamais eu
; 6° fille, six ans et demi, bien portante, va à l'école; 7° fille,
morte
à dix-huit mois d'une méningite après trois moi
des quan- tités de marchandises et avoir trouvé le secret de ne pas
mourait
. Il était fabricant de toiles dans le départeme
que, sur les livres de l'asile, il y avait beaucoup de Cr... 7e)'c,
morte
toute jeune des suites de DU CURARE DANS L'&
couvent où mon mari m'a prise parce que j'étais orpheline ». Mère,
morte
en cou- ches « quand je suis venue au monde, di
assez grand nombre de maladies, ces recherches sont restées lettre
morte
dans beaucoup de cas. L'hystérie, l'épilepsie,
cès d'épi- lepsie se montrent à l'âge de six à huit ans; le patient
meurt
à seize ans de tuberculose; il y avait, dans l'
sen. (Arch. f. Psych., XIV, 3.) Il s'agit d'une idiote épileptique,
morte
à l'âge de trente ans, dont le développement so
e trois ans. Ce malade s'agite tout à coup pendant sept semaines et
meurt
subi- tement. On trouve à l'autopsie une pachym
une abs- tinence prolongée, quoique non absolue, fait dépérir, puis
mourir
, les aliénés. Ce sont, la plupart du temps, de
a peur de manger parce qu'elle a peur de mal digérer, elle apeur de
mourir
; elle a peur du bruit de la sonnerie de la pend
es choses, les individus qui y entrent avec un simple rhume peuvent
mourir
d'une maladie contractée à l'hôpi- tal lui-même
niture arriver à l'à,e, mûr; si ce n'est pas un mort-né, le produit
meurt
ordinaire- ment pendant l'enfance. L'idiot micr
dans l'extrémité supérieure et une réci- dive de cancer. La malade
mourut
à la suite d'un éry- sipèle survenu pendant le
e d'une blessure l'un au doigt, l'autre à la main. Les deux malades
moururent
. Czerny4 (1879) fit subir plusieurs fois l'élon
. Quarante-huit heures après l'élongation du nerf médian, le malade
mourut
, La deuxième observation concerne un homme de q
un soulagement momentané; les convulsions revinrent et le malade
mourut
quinze jours après l'opération. Bird' (1877) am
les paraissent aucunement intéressées. Quatre jours après ,la femme
meurt
, et, à l'autopsie, on trouve au centre de l'axe
uite d'un coup violentsur les trois vertèbres inférieures le blessé
mourut
en quatre heures. On trouva du sang extravasé d
t;jfMe.Père et grands-pères paternel et maternel alcooliques. Soeur
morte
de méningite. Cousine germaine : convulsions. P
anal du Loiret; menuisier, il faisait des excès de boisson. Afët'e,
morte
vers vingt-huit ans, on ne sait de quoi; laissa
il est mort de la poitrine, il n'avait pas d'enfants. La soeur est
morte
du choléra en 1819, laissant un fils qui est mo
il était bien portant ; il buvait un peu. - Grand' mère maternelle,
morte
vers soixante ans, on ne sait de quoi. -Grand-
père paternel, mort du choléra en 1832. - Grand'mère maternelle,
morte
d'une fluxion de poitrine. Un frère est mort du c
Pas de consan- guinité. Trois enfants : 4° notre malade; 2o fille
morte
à sept ans d'une méningite; elle était très int
x mois. Grand-père maternel mort de phthisie. Grand'mère maternelle
morte
de cancer utérin. Frère jumeau mort « trois jou
le, distraite, fantasque. La soeur de sa mère, devenue aliénée, est
morte
dans un asile de Varsovie, et une autre tante m
l'hallucination colorée; elle dure peu de temps, s'efface, seperd,
meurt
, comme disent les malades ; elle a bien les all
recours en grâce, il fut interné à l'asile de Stephansfeld, où il
mourut
bientôt de pneumonie caséeuse. De semblables rigu
si l'on fait tourner le tout, au bout d'un certain temps, l'animal
meurt
. La force centrifuge a provoqué de l'liype- rém
anémiés. Un second chien soumis le même jour à la force centripète
mourait
en 3 mi- nutes ; les centres encéphaliques sont
à l'asile de Toulouse. Nécrologie. Le D''Prosper Lucas, vient de
mourir
à J'âge de soixante-dix-sept ans, Aleunecy (Sei
nt pas de liquide. Le coeur est mou et flas- que, de teinte feuille
morte
, avec des îlots graisseux. Epreuve de l'eau, né
rs hémorrhagies, le malade resta vivant pendant assez longtemps, et
mourut
ensuite subilement. Toute la région bul- baire
tre plus fou que sa suur », dit l'enquête. Une soeur aînée aliénée,
morte
dans un asile. Le père, original, était atteinte
htisique appartenant à une famille de phtisiques. Une soeur jumelle
morte
à cinq ans du croup. La mère a des enfants normau
ice. Le sorcelage, lui envoie toutes sortes de maladies ; elle doit
mourir
de la poitrine. Quand elle se sent trop travaillé
une maladie de langueur. Il a eu une soeur aliénée. ' La mère est
morte
à soixante-six ans de variole hémorrhagique. Il
arties, dans laquelle certains éléments de la cellule succombent et
meurent
, tandis que d'autres survivent et 124 ' REVUE C
ement ou par les réactifs. Il n'est pas douteux que dans la cellule
morte
la substance chromophile prend' Í1¿ fOl'me et une
inations auxieuses agressives). Il séjourne à l'hôpital deux ans et
meurt
de fièvre typhoïde. Autopsie. Sclérose névrogliqu
s n'ont pas de paroi propre ; ils sont constitués par une substance
morte
déchue ; ceux qui ont un contenu sont formés de
mplète se pro- duisent ; et la malade, enfin, après dix à douze ans
meurt
contrac- turée, complètement démente, emportée
e, diffèrent par cette circonstance que la femme, tout en se disant
morte
n'accuse personne de sa mort, alors que l'homme
istèrent tels quels : pendant tout ce temps, la jambe était « comme
morte
» et le sujet était dans l'impossibilité de la
vint de la rigidité mus- culaire avec état spasmodique, et l'enfant
mourut
à l'âge de deux mois et demi. Il. de Musghave C
nalogie avec celles que l'on observe chez les animaux que l'on fait
mourir
en les privant de sommeil. Il en 200 BIBLIOGRAP
ormes et haute température à la fin. Entré le 6 octobre, le patient
meurt
le 3 décembre. A l'outopsie : les recherches ne
ssaillie par deux rôdeurs qui l'ont violée, frappée et laissée pour
morte
. (Le Bonhomme Normand, du 28 décembre 1900 au 1
it un papier sur lequel était écrite cette phrase : « Le plaisir de
mourir
sans peur vaut bien la peine de vivre sans plai
assez rares. En général, ils ont été observés chez des enfants qui
meurent
peu après la naissance. Il est exceptionnel que
suggestionnable. Grand-père maternel, excès de boisson. oe ! <)'
morte
de méningite. ' Revue de médecine, 1888, p. 462
res sont bien portantes ainsi que leurs enfants. Deux soeurs, l'une
morte
à dix-sept ans de tuberculose, l'autre, dix-neu
276 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. de deux ans. Deux enfants : 1° Une fille
morte
à six mois d'une méningite. 2° Notre malade.
, avec troubles intellectuels. Rappelons qu'une soeur du malade est
morte
de méningite à six mois. 288 ANATOMIE PATHOLO
CERVEAU. 293 a L'étal soporeux persiste toute la nuit et le malade
meurt
le len- demain 3 novembre à 8 heures du matin.
Charcot et Pitres citent entre autres l'observation d'une femme qui
mourut
à quatre-vingt-un ans d'un cancer du sein, et à
d'excitation très marquée, le malade tombe dans le coma complet, et
meurt
, trente heures après le début des accidents. 1
dans 10 à 1 p. 100 des cas) de la chromotolyse chez les malades qui
meurent
dans les hôpitaux généraux, et l'étudient enfin
ourquoi me faites-vous souffrir; je ne puis supporter cela, je veux
mourir
! Une souffrance terrible agitait son pied et s
expérience objective me dit que cette femme était perdue et allait
mourir
. Si je cédai à cette impression, la malade alla
et allait mourir. Si je cédai à cette impression, la malade allait
mourir
en effet : je rassemblai toute mon énergie subj
e présentait ce cas, c'est que la malade, convaincue qu'elle allait
mourir
, combattait mes suggestions par son auto-sugges-
utte, le manchon de cuir, il fut pris d'un tremblement convulsif et
mourut
. R. DE IUSGR.1VE-CLAT. XXIII. Acromégalie ave
e avec autopsie. M. Ferrand présente les pièces d'une acromégalique
morte
à Bicètre dans le service de M. Pierre-Marie. L
lade était deve- nue acromégalique à la suite d'une chute. Elle est
morte
diabéti- que et albuminurique. On a trouvé l'au
lusieurs observations de chiens et de che- vaux qui se sont laissés
mourir
de chagrin ; il traite à nouveau la question du
es épilepti- formes depuis l'âge de douze ans, démence progressive,
morte
à vingt-deux ans. Atrophie des circonvolutions
note du pape Léon XIII, l'informant que le président liruger allait
mourir
dans les vingt-quatre heures, après avoir fumé
sonienne. Trépanation qui laisse passer l'abcès inaperçu. Le malade
meurt
le surlendemain. A l'autopsie : abcès frontal,
e. Le lendemain matin surviennent des nausées, et le soir le malade
meurt
à la suite de convulsions généralisées. On po
tuberculose. Peut-être s'apercevra-t-on à l'avenir que pour les tu-
meurs
cérébrales, comme pour les néosplasmes des autres
illir' chez elle en raison de la grande insuffisance mentale ; elle
mourut
de péritonite. A l'autopsie, la dure-mère était
ion de ces crises, il était obsédé par l'idée que son bétail allait
mourir
; en 1897, il eut, toujours dans les mêmes circo
ellules, en sorte que sous cette influence des systèmes de neurones
meurent
prématu- rément. Il développe longuement et ing
pés dans le cours des onze et douze dernières années. La malade est
morte
avec des phénomènes bulbaires. A l'aulovsie, on
ents cérébraux, vésaniques ou névropathiques du côté maternel. Mère
morte
à trente-neuf ans d'une maladie de matrice (can
ée comme très probablement de nature syphilo-tuberculeuse; 4° fille
morte
, brûlée par accident, à cinq ans ; 50 enfant mort
ent, à cinq ans ; 50 enfant mort-né à terme ; 6° fille née à terme,
morte
à huit jours. De son second mariage, le père eu
ile. -Son père et sa mère n'ont souffert d'aucune maladie, son père
mourut
de la variole en l'année 1898. Sa mère est une
s-patents maternels vivent en bonne santé. La grand'mère paternelle
mourut
de cancer à la mamelle. Quand ce petit malade a
ts de la jambe gauche, exagération des réflexes tendineux. L'enfant
mourut
à l'âge de huit ans et demi de tuberculose pulm
ns, laquelle ayant souffert la trépa- nation à l'âge de treize ans,
mourut
en élat de mal, et dont l'orifice de trépanatio
illes se dilatent, la respiration devient stertoreuse, et la malade
meurt
en un quart d'heure. A l'autopsie, on trouve l'es
la maladie, quelques-uns même n'étaient entrés à l'hôpital que pour
mourir
. Mais chez 23 malades, la tuberculose a été enr
its sans songer que ce sont ceux de la nature ; vous avez le droit de
mourir
si cela vous plait et Celui de vous traiter comme
tisme et de ses plus simples conséquences? — La Revue Gallicane est
morte
, mais avec promesse de ressusciter dans..... l’av
en ce moment aux oreilles; si on lni applique ces sangsues, elle sera
morte
dans trois jours. Ma belle- sœur effrayée accou
omber lorsque ma belle-sœur entra. Trois jours après mon enfant était
morte
! (Sensation prolongée.) Je crois de toute mon âme
et qui l’affaiblit tellement, que ses parents crurent qu’il allait
mourir
. Mais on ne m'avait point prévenu de cet accident
d’un petit écrit sur le magnétisme publié à Nantes en 1842, vient de
mourir
à Montmartre. 11 avait de volumineux manuscrits s
ns le magnétisme, nul remède n’aurait été efficace, et qu’elle serait
morte
dans six mois. Recevez, Monsieur, mon tribut de
de la couronne, le duc de Boideaux. I 4. Sou père, le duc de Berry,
meurt
assassiné, I 5. I* 13 février 18Ï0. 6. Dans l
r de la ronronne, le comte de Paris. 4. Sou père, le duc d’Orléans,
meurt
par un occident, 5. Iæ 13 juillet 1842. 6. Da
en accusation des ministres de Charles X. 81. Le chef de la famille
meurt
sur la terre étrangère. donne lieu à des attrou
— M. le docteur Guersent, membre de l’académie de médecine, vient de
mourir
dans un âge assez peu avancé. Membre de la commis
l boit encore de l’eau quelquefois, languit de plus en plus, bave, et
meurt
ordinairement dans la quinzaine qui suit la premi
ussi; l’expérience a eu plusieurs fois du succès sur des lapins : ils
meurent
ordinairement le même jour. De l’ensemble de ce
e, à la mort des magnétisés. N’a-t-on pas déjà dit que les magnétisés
mouraient
dans l’année, et mille autres folies que l'homme
V. (Après une longue hésitation et parlant comme avec effort.) J’en
mourrai
. P. Cette idée de mort vous afflige-t-elle ?
tte perspective vous plaît—elle ? V- Si j’étais éveillé, j’aimerais
mourir
. Mais maintenant, il n’y a pas lieu à le désirer.
; voici comment les choses se passeraient. La comtesse de Chain-bord
mourrait
bientôt, et le comte, veuf, épouserait la fille d
ation d’intrigants qui sont le fléau des sciences nouvelles. «Si je
mourais
demain, on verrait une vingtaine d’intrigants lit
. L’éclatant succès des opérations n’empêche point que ces malheureux
meurent
presque tous du même accident consécutif, la réso
varde et menteuse, chirurgie incomplète et impuissante ! Vous laissez
mourir
les gloires de la France et de l’armée, non sur l
s initie-t-on pas au magnétisme ? Généraux habiles, cœurs généreux!
mourez
; telle est la règle du codex. Mais nous éprouvons
que vous pouviez vivre encore, et que l’ignorance seule vous a laissé
mourir
. ljiUre de Deieuze. — Nous publions cette lettr
sire, il peut le posséder; point d’entraves 1 C’est presque à désirer
mourir
tout de suite pour s’affranchir de la douleur et
ogie — Le prince de la chimie moderne, le célèbre Berzélius, vient de
mourir
en Suède, sa patrie. Le magnétisme perd en lui un
édecin peut choisir, et le malade ne peut plus souffrir : il ne devra
mourir
que de vieillesse. Mais hélas! ce luxe de sys
ureuse et malheureuse! car, comme je le disais en commençant, il faut
mourir
! ! Quelle est donc la meilleure médecine, dema
retienne d’une manière invariable une organisation qui est créée pour
mourir
et par conséquent pour souffrir. A mes yeux, le
que |leur ont portés Broussais et Hahnemann, se verraient dépérir e(
mourir
de langueur! Comment, toutes les drogues, qui cha
bien des philosophes ont soutenu cette maxime : Il faut que beaucoup
meurent
; la race humaine est trop féconde. Si on prouve l
de Puységur (Jac-ques-Maxime-Paul), né le 15 septembre 1755, vient de
mourir
à Bordeaux. Il était général de division. Sa ca
l aîné, membre de la Société Magnétolo-gique de Paris, vient aussi de
mourir
. Chronique. — L’état du magnétisme, à Paris, s
nal (les Théâtres, du 11 octobre, dit que M. de Puységur qui vient de
mourir
, « composa plusieurs pièces de théâtre. Sa naissa
dont j’avais sous les yeux le tableau hideux. • Ceitëenfant n'est pas
morte
, dit-il; mais là persistance des symptômes contre
chaine d’une personne qui jouissait alors d’une parfaite santé et qui
mourut
deux jours après. Cardan (de Varielate rerum, 1
t en extase à volon té, et voyait alors ce qui devait lui arriver. 11
mourut
à soixante-quinze ans, après avoir prédit longtem
el (Curios. inoui., p. 60 ), avait un signe presque semblable ; il ne
mourait
jamais un de nos parents qu’elle ne songeât en do
739 ), un sexagénaire prédire le jour de sa mort un mois d’avance. Il
mourut
d’une fièvre épiale au jour indiqué. » Ce célèb
s qui les premières ont persécuté Galilée, Copernic et Harvey. Vésale
mourut
de faim dans une île déserte. La découverte du va
la tille Samson, elle rentrait dans les salles de l’Hôtel-Dieu pour y
mourir
. Or, le 12 novembre 1822, il était mort dans ce
ne quinzaine ; je ne puis encore vous en fixer le jour et l’heure. Je
mourrai
si vous ne pouvez me porter secours. 11 faudra m’
m’eussiez soulagée beaucoup plus promptement. Je serais certainement
morte
au bout de troii heures si vous n’étiez venu à mo
tait son'sang qui coulât; le cœur s’arrêta bientôt : il crut qu’il se
mourait
, et il mourut, quoiqu’on ne lui eût pas tiré une
ui coulât; le cœur s’arrêta bientôt : il crut qu’il se mourait, et il
mourut
, quoiqu’on ne lui eût pas tiré une goutte de sang
présidé la Société Magnélologique de Paris pendant cinq ans, vient de
mourir
à l’âge de cinquante-six ans. Voué spécialement à
ce saignées. Elle tomba bientôt dans une irrémédiable consomption, et
mourut
un an après la guérison de son épilepsie par le m
mme les précédentes, les remèdes qui lui conviennent, sc guérit, puis
meurt
de phthisie. » Là se bornent les récits du doct
elle point également l’esprit de celui qui, plein de santé, consent à
mourir
auprès de son trésor, dans la crainte d’en distra
ait à lui que comme une superlluité. L’eùt-elle d'ailleurs empêché de
mourir
? Non sans doute; mais elle eut pu prolonger le le
e Samson, sujet des expériences de l'Iiôtel-Dieu, parce qu’elle était
morte
dans scs salles quelques semaines après. Des rech
médecin de l’Hôtel-Dieu, dit alors » que « cette même jeune fdle est
morte
dans son service « quelque temps après le départ
te à l’assertion du docteur Duval. Mais pendant qu’à Reims on déclare
morte
la pauvre jeuno fille, on proclame à Paris sa gué
magnétique, une seule, Mm' Plantin, magnétisée par M. Chapelain, est
morte
à la suite. Chez les autres, on remarque que la p
e noter; car dans tous les services de chirurgie, beaucoup de malades
meurent
des suites de l’opération. Onneditpascequesontd
lui propose son ancien ami, le comte Annibal. Mais aller se battre et
mourir
peut-être avant d’avoir revu encore une fois Irèn
à notre fantaisie, de le tuer même, si cela nous plaît, en tant qu’il
meurt
selon les règles de l’art. 11 faut donc pour cela
. Ce droit, que nous exerçons daus les hôpitaux sur quiconque y vient
mourir
, doit être étendu au dehors. Le préjugé qui a con
ns se soucier de cet avenir où il gémira, où, s’il est pauvre, il ira
mourir
dans un hôpital ; s’il'est riche, il n’en sera pa
r, et les malades qui avaient le mieux supporté de grandes opérations
mourir
de résorption purulente. A l’Académie on ne parle
ent général. Ayant fait observer à un grand chirurgien que les opérés
mouraient
tous de la même maladie, il nous fut répondu que
rpent passerait dans le feu de préférence. » D'où vient qu’un chêne
meure
à côté d’un olivier, et la fougère dans les rosea
e de toutes nos calamités et de celte enfance des êlrcs qui vivent et
meurent
sans se connaître, dominés par des terreurs et. d
au. La mort était aux prises avec la vie, et la malade ne voulait pas
mourir
. Sentant qu’il s’opérait dans sa gorge une destru
sphyxie progressive; c’est une fin atroce, car on se voit, on se sent
mourir
! Témoin constant de cetteagonie, jene désespéra
t venants s’approchaient pour la coutemplcr, craignant qu’elle ne fût
morte
. Certain désormais que son état ne pouvait inspir
Il y avait déjà plus de quatre mois que la princesse de Condé était
morte
et enterrée à l’abbaye de Saint-Ger-main-des-Prés
l n’y avait que six mois qu’ils étaient mariés, lorsque ce roi vint à
mourir
; qu’on brûla son corps, qu’on en mit les cendres
à lutter contre lui, etc. ■> Nécrologie. — Lorsqu’un académicien
meurt
, c’est un concert de plaintes le pins souvent fau
sa tombe la couronne réservée à la vertu. Mais qu’un homme modeste
meure
après avoir consacré son temps, ses lumières, sa
onchard, éditeur de l’ancien journal de magnétisme l'Hermès, vient de
mourir
aux environs dcBlois, où elle s’était retirée.Ell
n de toute nation et « de tout peuple, pose base de fruit sans fin et
meurt
. » «Joséphine, surprise de ce qu’elle venait de l
va (c’est la véritable expression) une petite fille de dix ans qui se
mourait
de faim et de froid; il en fit sa compagne, son
oble caractère trop longtemps méconnu, génie persécuté! Mesmer devait
mourir
sans voir la renommée proclamer son nom, sans rec
incomplète, quelque chose échappe à leur sagacité : aussi leur parole
meurt
après avoir louché nos oreilles. Je ne puis ici
Mille! pére. Rousseau. Millet tils. Itousselet. Morot. Roustan.
Mourez
. Ilovf.re (J. de). Ni va it. Sanici. Orsay (I
table survint quelques heures après, une rechute eut lieu et l’enfant
mourut
. Tels sont les faits dont la dame Ponson vient ré
ille notre sympathie, nos instincts sommeillent toute la vie, et nous
mourons
comme des êtres iuûrncs, accusant Dieu d’injustic
ésigne les idées; elle a un langage énigmatique : ainsi, elle traduit
mourir
par 6ter, etc.) venir se ranger à la file transve
ourant dit, dans une notice sur l’académicien Ballanche, qui vient de
mourir
, qu’il écrivait toujours dans une sorte d’extase
’avaient pu lui apporter aucun soulagement, eurent déclaré qu’elle en
mourrait
: deux magnétisations ont suffi pour la guérir.
èrent la somnambule, qui prescrivit un traitement fort doux. L’enfant
mourut
. « Sans doute le fait d’homicide involontaire n
, près de Stein, est le lieu de naissance de notre maître. M. Aubry
mourut
sur ces entrefaites, et M. F. Mesmer, continuant
lle, en date du 9 septembre dernier, etc.....» M. Christophe Mesmer
mourut
au bout de deux ou trois ans de mariage, laissant
e fit bien tout ce qu’elle put, mais elle y perdit son lalin. « lille
mourra
dans une de ces crises, » avait-on dit. Je !a mag
inquiète; quand elle souffrait beaucoup, dit-elle, elle avait peur de
mourir
; aujourd’hui elle se trouve malheureuse de ne pou
it. « M. Mochez, propriétaire de l’hôtel Rubens, à Anvers, vient de
mourir
en quelques heures malgré la constitution la plus
« L’autopsie a eu lieu, et l’on dit que le corps de madame Mochez,
morte
il y a quelques mois, sera exhumé pour en faire é
.—A'» 54.-25 SEPTEMBRE 18/|7. 0 médecin également célèbre me voyant
mourir
de faim me fit prendre des aliments; ma mère s’ép
l'un d’eux, qui traitait spécialement les maladies nerveuses, et qui
mourut
d’une affection de la moelle épinière, me donna s
es, quand même ils feraient des miracles, ordonnant en outre de faire
mourir
tout faux prophète partout où il se trouverait (D
et lui amener des défenseurs. Chronique. — Frédéric Soulié vient de
mourir
. Nous aurions voulu trouver dans cet homme, disti
aucun préservatif, et nous les verrons envahis par le mal, sc laisser
mourir
comme le simple vulgaire. 0 ignorance coupable!
, ainsi que tous les enfants, je ne songeais pas même que ma mûre dût
mourir
un jour ! — Comment veut-on que mon cœur ne soit
e-même dans scs salons. Arrivée au cinquième acte, M",e Haensel tomba
morte
, frappée d’uncaltaque d’apoplexie. » Depuis ce
a toujours promis qu’elle viendrait me prendre sur la » terre si elle
mourait
avant moi. » » Deux mois après Mendelsohn est m
en un mot, la magnificence de la création serait demeurée une lettre
morte
, une énigme sans mot, le néant revêtu d’une forme
nne somnambule du docteur Dupuytren, M** Clotilde Saint-Marc, qui est
morte
maintenant, queje crois au somnambulisme. Je ne d
técédents de famille : Père, soixante-cinq ans, bien portant ; mère
morte
, il y a quatre DE LA PARALYSIE FACIALE. 5 ans
i font l'objet de cette triple observation : Grand' mère maternelle
morte
à la suite d'une affection men- tale après avoi
érébrale à l'âge de cinquante- cinq ans, une tante du côté paternel
morte
à la suite d'une paraplégie. Mère rhumatisante,
roforme qui devait, disait-il, 22 . pathologie NERVEUSE. le faire
mourir
. Aussitôt que je lui mis la compresse sur le ne
entre autres à l'hôpital de Mustaffa un des ces Aissaouas qui vint
mourir
après avoir avalé des clous. Je ne voudrais p
s, se mita courir comme un fou, se précipita hors de l'atelier et
mourut
( ? ). » ' Ephenaer. 1'atur. curiosor., déc. I,
involontairement deux ou trois fois autour après l'avoir saisi. Il
mourut
le 3t mars 1837. Autopsie. A l'examen du cervea
l'organisme soient perdus, un par un, pour que le paralysé général
meurt
. Il n'y a donc rien d'étonnant à ceque je four-
criait pas, ne prenait pas le sein, ne remuait pas les jambes. Elle
mourut
LI ente-six heures après sa naissance. S. V. No
e. On ne put recueillir du liquide s'écoulant par le nez. Le malade
mourut
le cinquième jour avec tous les signes du mal d
des phénomènes de mélancolie; sa mère était paralytique et son père
mourut
d'apoplexiependant la durée de l'observation. E
ans dix ans ! Il n'y a qu'à attendre. Mais si d'aventure, le malade
meurt
après avoir rabâché pendant trente ou quarante
oseriez pas imposer l'obligation et qui, ou bien resteraient lettre
morte
si, comme cela m'a semblé ressortir des dernièr
femme, ce qui lui causa un profond chagrin. Entré en mars 1881, il
mourut
dans le marasme en août 1884, et, chose bien ex
choc violent, sou- dain, dont le malade ne se relève plus. J'ai vu
mourir
à Maréville un négociant qui, conseiller munici
- huit ans; depuis ce moment le dérangement mental s'accentue. Il
meurt
dans le marasme en janvier 1877. ' En résumé, c
acun arrivait presque sûrement à son but; généralement il vivait et
mourait
, non seulement dans la ville ou le village, mai
EUSE. " vingt et un ans d'une pneumonie ; - grand'mère maternelle
morte
à quatre-vingts ans d'une hémiplégie droite. -
ies. [Père, fabricant de chapeaux, mort à trente et un ans. Mère,
morte
à soixante-dix ans, sans qu'on puisse dire de que
malade. - [Père, mort à quatre-vingt-un ans d'une pneumonie. Mère,
morte
à quatre-vingts ans des suites d'une hémiplégie
estée quelque temps paralysée. Un frère bien portant; une soeur est
morte
paralysée consécutivement aune attaque d'apople
nier, alcoolique, a succombé à une affection génito-urinaire. Mère
morte
d'accidents pulmonaires sans avoir jamais eu d'
euse. Un frère bien portant, un autre mort de la poitrine, une smur
morte
subitement d'un anévrysme à trente-trois ans. N
sse. Une soeur aînée, bien portante et intelligente ; sa mère est
morte
quelque temps après sa naissance, à la suite d'ac
t mère morts âgés (quatre-vingts ans).] Mère mariée à trente ans,
morte
à soixante-cinq ans, phthisique, un peu nerveus
n. DE l'épilepsie PROCURSIVE. 265 le coma à 5 heures du matin, et
meurt
à 10 heures du matin. Traitement : Eau-de-vie a
au bout de trois semaines il fut pris de bronchite; et finale- ment
mourut
de coma-urémique, par suite d'un mal de Bright le
ère était très nerveuse, elle est restée quatorze ans malade et est
morte
d'une maladie de poitrine à l'âge de quarante et
ndant, de treize enfants il ne leur en reste que quatre; les autres
mouraient
avant l'âge de deux ans. Le malade n'offre pas
st pas nerveuse, aucun excès. [Père, mort on ne sait de quoi. Mère,
morte
en couches à vingt-sept ans, pas de détails. -
e, est mort très âgé; on croit qu'il était sobre. Mère, ménagère,
morte
de vieillesse. Deux frères : l'un est mort étant
'une maladie vénérienne. Une soeur, fille publique, alcoolique, est
morte
de la poitrine; elle aurait eu dans son pays, à
ns, mort à la suite d'une chute avec- frac- ture de côtes. - Mère,'
morte
à soixante-huit ans, « après avoir traîné»; tra
a deux enfants qui ont eu des con- valsions répétées. - Une soeur,
morte
à son retour d'âge, n'avait pas d'attaques. Poi
BLE AVEC IMBÉCILLITÉ. 397 I débouchés»; - 3() fille bien conformée,
morte
à deux mois «d'une espèce de méningite, en quin
on ne sait de quoi, était né à terme; pas de convulsions; 6° fille
morte
à quatre ans et demi de méningite, avec convulsio
t demi de méningite, avec convulsions, en quatorze jours; 7° fille,
morte
du croup à trois ans. Notre malade. Au moment d
it amené le malade à demander son admission à l'hôpital, et dont il
mourut
au bout d'une semaine. A l'autopsie, il fut déc
1886, il eut une attaque d'hémiplégie droite et quelque temps après
mourut
de tuberculose pulmonaire. ' A l'autopsie, on t
tion de fermer les yeux complètement, leurs efforts convulsifs de-
meurent
vains et la comédie de tout à l'heure recommence;
00 du nombre des admissions, les transferts non compris. 24 malades
moururent
, 20 fois l'autopsie fut pratiquée. La mortalité
e et emportée. [Père : sobre, mort à cinquante-neuf f ans. 31èi-e :
morte
à quarante-cinq ans, de cause inconnue. Grands
re plus âgé). Dix enfants : 1° garçon, dix-neuf ans, sain; 2° fille
morte
en venant au monde, à terme ; la mort a été att
°`garçon, fièvre typhoïde à sept ans et demi, intelligent; 60 fille
morte
à six semaines de cholérine ; 7° notre malade ; 8
ans, rien à signaler; 9° fille, sept ans, otite suppurée; 10° fille
morte
à deux mois et demi de méningite. r ÉPILEPSIE V
vralgies. Rien de particulier dans le reste de la famille. SoeMr
morte
probablement de tuberculose . - Pas de consanguin
l'un, ni chez l'autre. Deux enfants. 1° Notre malade; 2° une fille
morte
à huit ans et demi de péritonite tuberculeuse a
ent, et l'avait grièvement blessée. La malheureuse institutrice est
morte
après d'horribles souffrances. (Bonhomme Norman
) Alcoolisme de l'enfance. A Ivry, une fillette de quatre ans est
morte
dans d'atroces souffrances, après avoir bu le con
e de plus en plus du côté de la troisième paire droite et le malade
meurt
le 20 mars 1901, quatre mois environ après le d
oeurs bien portants. , La grand-mère maternelle, bien portante, est
morte
du choléra à l'âge de quarante ans. Marche. L
et soeurs, un est mort du croup à trois ans et demi, une soeur est
morte
à trois ans et demi de méningite, un troisième
; le père est mort à l'étranger d'accidents paludéens ; sa mère est
morte
des suites d'une affection cardiaque à cinquant
te à de grandes, infirmités qui la firent beaucoup souffrir; elle
mourut
à trente-trois ans. » Notons cet état maladif e
it-on pas entendre ces nerveuses qui semblent accablées et prêtes à
mourir
, et qui se réveillent sans cesse pour accom- pl
u'il y a de rameaux de nerfs dans le corps humain; toujours prêts à
mourir
, ils vivent de longues années. C'est ainsi qu
crénelées dominent encore le couvent. C'est là que sainte Thérèse
mourut
en 1582 à l'âge de 67 ans ; c'est là que se trouv
oton, je ne pouvais en remuer aucune partie non plus que si j'étais
morte
». 5° Des paralysies hystériques A un moment, T
on croyait à toute heure, ou plutôt à chaque instant, que j'allais
mourir
, et on ne faisait plus rien que de réciter aupr
apôtres, comme si je l'eusse entendu. Quelquefois on me tenait pour
morte
, et lorsque je revins à moi, je trouvai sur mes
. Mon diagnostic était fait ; je déclarai que la malade n'était pas
morte
, et qu'elle serait guérie dans la nuit, si on l
jours; la syncope fut telle à certain moment qu'on crût voir une
morte
véritable; je ne venais pas assez vite pounempê-
ligé, à un moment donné, de le nourrir avec la sonde, pour qu'il ne
mourût
pas de faim, or l'opération se faisait sans auc
d'heures après, elle tombe en état d'inconscience, puis de coma et
meurt
. A l'autopsie, on trouve les sinus de la dure-m
ives subsin- trantes, s'alite, devient galeux, a des,escha ? -es et
meurt
(décem- bre 1901). Autopsie : hémisphère gauc
nterrompues par l'éveil d'une relative conscience : tantôt se croit
morte
et se laisse aller à terre de toute sa hauteur
leurs ou de rares paroles empreintes de son délire mobile (elle est
morte
, martyre, ne veut pas faire pénitence plus long
assez bonne santé et n'ayant jamais rien présenté d'anormal ; mère
morte
à l'âge de quarante- neuf ans, d'affection indé
pendue. On a éteint rapidement l'incendie, mais la pauvre folle est
morte
. (Le Bonhomme Normand du 27 septembre au 3 octobr
é du poison dans la soupe que devait consommer la famille. Elle est
morte
ainsi qu'une de ses fillettes; son mari et un aut
lessés ont été transportés à l'hôpital, où la femme Mi-" nodier est
morte
ce matin. (Le Temps du 21 février 1902.) , Dram
ous avons vécu sous l'aile de notre mère. Depuis que notre mère est
morte
, nous sommes toujours sorties ensemble..., nous
tinué d'habiter l'ap- 300 CLINIQUE MENTALE. partement où elle est
morte
, en reprenant le bail à notre nom. L'aînée a si
UEIL DE FAITS. Poumons, rien de spécial. Coeur, mou, teinte feuille
morte
, sans lésions valvulaires. Aorte souple. Reins
ice qu'une vieille femme, d'ailleurs mendiante de son métier, étant
morte
dans la maison qu'il habi- tait, le concierge l
re des deux malades, était épileptique depuis son enfance. Elle est
morte
complètement démente à l'âge de quarante- huit
doit être relativement fréquente chez les dé- ments des asiles qui
meurent
brusquement mais dont l'autopsie est souvent né
nuit, il voulut être tiré de son lit et,étendu sur la cendre. Il y
mourut
, tenant toujours les bras en croix. (Miche)et,
nt avait eu lieu dans l'intervalle. L'une des trois, Annette, était
morte
. Il est permis de penser que l'extraordinaire r
, comme en témoigne l'histoire de sa vie. « Ma mère, nous dit-elle,
morte
de la poitrine à vingt-deux ans, était une femm
mais on les lui vola et il ne put jamais en tirer prolit. Ma soeur,
morte
aussi de la poi- trine, était une femme de salo
tite pension, elle vécut à Paris où elle éleva ses trois fils. Deux
moururent
encore jeunes. Le chagrin qu'elle en éprouva, l
a M... dans le service de M. Delasiauve, Leur mère, alcoolique, est
morte
de tubercu- lose. Alice était devenue elle-même
is 1895. Interrogée par la supérieure, elle répondit : « Je voulais
mourir
. Vous m'avez em- pêchée de faire mon bonheur co
encha sur le lit de l'enfant. Elle put constater que celle-ci était
morte
. Elle portait au cou des traces violacées de st
conseil. Celle-ci lui apprit que le coeur était destiné à le faire
mourir
, mais que s'il parvenait à couper la ficelle qu
de la mort; mais on peut légitimement admettre que les malades qui
meurent
après quarante-cinq ans ont pour la plupart fai
e. Son père souffrit pendant onze mois d'une affection cérébrale et
mourut
quand il avait cinq ans. Olla Hausson nous appren
; la guérison paraissait donc de nouveau obtenue, lorsque l'enfant
mourut
subitement par asphyxie d'origine bulbaire, ave
des visions dans lesquelles Th. L..., une de ses anciennes compagnes,
morte
depuis un an, venait pour la chercher, et lui pos
ment et s'écrie avec effroi «Oh! c'est affreux... Dieu! mais ils vont
mourir
... » Puis après un moment de silence avec un gest
et je suis en colère... je voudrais que tout cela finisse... Fais-moi
mourir
... Personne n'en saura rien... Donne-moi quelque
... Personne n'en saura rien... Donne-moi quelque chose pour me faire
mourir
... » Puis, après un moment de calme: « Et dire qu
, jamais un homme ne me sera rien... Ah! Camille, Camille! ...je veux
mourir
dans ma dou-leur! » Parfois ce délire triste re
et le parquet. Elle criait : « Ah! malheureuse que je suis! — Je veux
mourir
. » Trois ou quatre infirmières avaient beaucoup d
e bronchite, elle est morose, elle est fatiguée de la vie et voudrait
mourir
. Elle songe beaucoup à une de ses anciennes compa
e beaucoup à une de ses anciennes compagnes du service, Thérèse L...,
morte
depuis un an. Elle est prise d'attaques dont le
gure... Je te reconnais bien... Je te vois assez souvent les nuits...
Morte
d'une bronchite négligée! — Moi, je veux bien mou
vent les nuits... Morte d'une bronchite négligée! — Moi, je veux bien
mourir
comme ça! — Je voudrais aller au cimetière... Pap
.. Je ne le vois pas souvent... Qui voulez-vous que j'aime? Maman est
morte
à vingt-sept ans... J'ai vécu un an de trop (Marc
écu un an de trop (Marc... a vingt-huit ans)... Voilà ce que c'est de
mourir
dans un hospice!... Au moins, chez soi, on a des
-dais seulement dire : la poitrine est prise... Souffrir et ne jamais
mourir
!... Avoir une vie dure comme la mienne!... Je sui
en as pas donné autant que je voulais... Tu m'as dit que je te ferais
mourir
, etc.. » D'autres fois le délire est remplacé p
t puis, non, tiens, je me mettrai religieuse. Adorer le bon Dieu ! je
mourrai
toute jeune... je verrai Dieu... j'irai au ciel.
nt où, dans une scène d'amour, la malade menaça son amant de se faire
mourir
en s'étranglant. D'autres attaques se succèdent
e! — vous me fai...tes du mal. — Laissez-moi... m'en aller... je veux
mourir
, etc.. » elle ne veut pas surtout qu'on maîtrise
elle lui refusait tout, qu'elle était lasse de vivre, qu'elle voulait
mourir
, qu'elle se jetterait sous le Pont-Neuf. En effet
OBSERVATION1. C... (Fanny), âgée de vingt ans. Mère très irritable,
morte
il y a cinq ans; père bien portant; pas de frère
maine de son père est épileptique et idiote; mère hystéro-épileptique
morte
il y a dix ans; deux frères, morts aujourd'hui, é
ment vêtue de noir et a les yeux bleus. Parfois c'est sa petite sœur,
morte
depuis quinze ans, qui vient, dit-elle, l'ennuyer
s de prédisposition héréditaire à l'alié-nation, mais que la mère est
morte
d'une fièvre cérébrale et que la malade a éprouvé
à personne, refusant toute espèce de nourriture et parlant souvent de
mourir
. Depuis deux ans environ, mademoiselle X.... pa
Père mort subitement à l'âge de quatre-vingt-deux ans. La mère est
morte
« de la poitrine » ; elle avait été sujette à des
ne, une partie du monde qui était entré dans Paris... Il s'était fait
mourir
pour s'atténuer le complément, car la fm du mois
^, et il ne recouvra connais-sance qu'au bout de plusieurs heures. Il
mourut
peu de temps après, sans être revenu à la santé {
que la malade montrât quelque contractilité ; M. Frank même la jugea
morte
, mais en conseillant toutefois delà laisser dans
ient à la connaissance et me dit en riant : « Je suis trop jeune pour
mourir
. » On la transporta de suite dans un autre appart
... emmenez-le... je ne veux pas le voir... des allumettes... je veux
mourir
, etc.. » Elle est prise, de temps à autre, de l
ins pendant quatre heures ; à la suite d'un de ces accès, cette femme
mourut
subitement, et l'autopsie faite par nous avec le
ne parlant point, étant sans mouvement et sans sentiment, on la crut
morte
. Elle ne revint qu'à cinq heures du soir qui étai
ontinuant ses battements ordinaires, faisait voir qu'elle n'était pas
morte
. » Si on lui ployait un doigt ou plusieurs, ils
s'écriant : « Laissez-les-moi ! laissez-les-moi!,.. Ne les faites pas
mourir
!... Ces affreuses bêtes vont les dévorer! » Et el
objet de ses hallucinations, la malade me répond qu'elle voit sa mère
morte
depuis quelques années, dans l'état où elle est e
re. Lors de son arrivée à Paris, elle apprit que son frère venait d'y
mourir
; elle en fut vivement frappée, et c'est à partir
tée, capricieuse, emportée. En juin 1850, maladie du grand-père qui
meurt
le 9 juillet. Sa petite fille l'aimait passionném
iblie, le dis-cours incohérent. Elle n'est pas gâteuse. 3. Sabatin,
morte
dans le service de M. Charcot au mois de juin der
es comme elle de rendre un culte au démon. La mallieureuse sage-femme
mourut
au sortir de la question qu'on lui avait appliqué
ir, ni poisson, ni oeufs, ni boire de vin, pour la dégoiîter et faire
mourir
de faim, ou au moins la faire rétracter de sa dép
ment.....La torture finie, l'assoupirent tellement qu'elle semblait
morte
. Retournant à soi et voulant recommencer â souper
res que les diables ; qu'ds les avaient forcées d'accuser et de faire
mourir
un homme innocent, qu'elles priaient la justice e
, le père Lactaiice et le père Tranquille, deux autres exorcistes qui
moururent
en proie au délire de la démonopathie ; le père L
et, danscctte opération, avait montré une dureté de cœur peu commune,
mourut
en proie à un violent délire pendant lequel il ét
eur fait plus de grâces qu'ils ne méritent (il est tout prêt encore â
mourir
pour eux, et à ne rien faire pour nous : il enrag
le qui avait failli se noyer. (Quelques heures après elle tombe comme
morte
; on la rapporte chez elle et cet état dure plusie
le dit à son tour que le père de Perronne l'aurait aussi, et qu'il en
mourrait
. » Une sœur de iMarie, âgée de neuf ans, est pr
is, diacre de l'Eglise de Paris, défenseur des doctrines jansénistes,
meurt
en odeur de sainteté et est enterré le 2 mai 1727
à longs traits toutes les horreurs de la mort sans cependant pouvoir
mourir
. » Malgré ces symptômes alarmants, il y avait d
t d'une voix faible et entrecoupée : je suis bien basse, mais je n'en
mourrai
point. Ayant prononcé ces mots, elle retombe en a
jours dans une faiblesse léthargique pendant laquede elle paraissait
morte
, n'ayant aucun sentiment et ne faisant aucun mouv
t ces faiblesses léthar-giques jeté le drap sur le visage, la croyant
morte
. » Le 16 juidet au moment du départ pour le tom
s mouvements pendant près d'une heure ayant tout l'air d'une personne
morte
; mais elle reprit ensuite ses esprits... » Ce j
postats! Écoute, écoute, ô Jésus! lorsque j'avais quinze ans, ma mère
mourut
et j'apostasiai. 0 Jésus! j'apostasiai ! Réunis-m
orrible vision, e'ie tomba enfin, sans force et sans mouvement, comme
morte
. » « Presque toutes les jeunes filles, en ce mo
à la mère, et volontiers faisait leurs mandements. Quand la mère fut
morte
, ils se transportèrent à Hyères, et désormais y h
voir pour certain. Après un peu de temps, quand la sainte femme fut
morte
, ne se remembrant (ressouvenant) pas de la craint
ut tant travaillé et eut tant de douleur que le cœur lui partit et il
mourut
déshérité et rejeté de son royaume. marh-: de M
mervedieuse, qui coule comme la source du rocher; et si Marie deMœrl
mourait
en réalité dans de pareilles circonstances, elle
ie deMœrl mourait en réalité dans de pareilles circonstances, elle ne
mourrait
pas autrement. » Quelque absorbée que soit l'Ex
trine, les yeux se ferment, le nez s'effile, la face prend une pâleur
morte
, elle se couvre d'une sueur froide; les mains son
elle n'avait cependant jamais été sujette à des attaques de nerfs ;
morte
percluse de douleurs, aveugle et atteinte d'ana
une s'étrangla à soixante ans et fut opérée avec succès. maternelle
morte
d'un carcinome de la cuisse; grand-père mort de
, l'une bien portante, mère de sept enfants en bonne santé; l'autre
morte
en couches à quarante-sept ans. Un frère mort d
s : une trop longue durée, dix-neuf ans (à Pétersbourg, ces malades
meurent
au bout de trois à cinq ans), et un affai- blis
iénés. La mère du père était paralysée de la langue, quand elle est
morte
. La mère est morte d'une tumeur abdominale, ell
e était paralysée de la langue, quand elle est morte. La mère est
morte
d'une tumeur abdominale, elle avait eu deux attaq
réflexes tendineux, etc. Le deuxième enfant était une fille qui est
morte
à dix ans d'une affection fébrile. Le troisième
mptômes peuvent aussi s'ag- graver au point d'amener la mort. Ainsi
mourut
à l'hôpital de Dresde une couturière, qui, priv
ires delà première sema"te n'atteint que 41 p. 100, tandis qu'il ne
meurt
que 21,8 p. 100 malades en proie aux accidents
amène à l'asile beaucoup d'a- liénés âgés et décrépits plutôt pour
mourir
que pour être traités. Il dit que si les parent
présentée à la Société médico-psychologique, s'imaginent qu'ils ne
mourront
jamais. Cette idée d'im- mortalité se rencontre
sentent alternativement l'idée d'être morts ou l'idée de ne pouvoir
mourir
, suivant leurs n 162 L> CLINIQUE MENTALE.
rait avoir complètement perdu sa fortune et se croyait menacée de
mourir
de faim) un intervalle parfaitement lucide d'en
aire, entrée à l'asile de Marseille le 12 octobre 1881. La mère est
morte
à cinquante-six ans d'une attaque d'apoplexie.
u fragment, la réduction n'avait pu être maintenue et la ma- lade
mourut
des suites de cette fracture exposée. Les deux
ut plus être heureux, qu'il est maudit, qu'il est souillé, qu'il va
mourir
bientôt. Aprèsen avoir rapproché les descriptio
té droit. Hyper- thermie et fréquence du pouls exagérée. Le patient
meurt
trois jours et demi après l'attaque. L'autopsie
l'avortement et à la mort des enfants en bas âge. Les absinthiques
meurent
presque fatalement de tuber- culose pulmonaire;
de refermer le robinet. Peu d'instants après, on trouvait la malade
morte
: elle avait buc- combé à une congestion pulmon
nle E... est perdue, elle n'a plus de tète, plus de corps; elle est
morte
. Mmo E... pousse des cris perçants, répète les
qu'elle est perdue, ruinée, qu'elle est cause que ses enfants vont
mourir
de faim. Elle refuse les aliments sous prétexte
M-0 E... ne consent à manger qu'à la table des domestiques. Elle
meurt
en 1876 sans que le délire ait subi la moindre
ns négatives tout à fait absurdes. M"° S... prétend que personne ne
meurt
plus, que personne 286 CLINIQUE MENTALE. ne s
subir les plus affreux supplices et cependant elle ne pourra jamais
mourir
. Fréquents paroxysmes pendant lesquels Mmc J...
tiré, qu'elle n'a plus d'estomac, qu'elle n'a plus de sang; elle ne
mourra
jamais, elle n'est ni morte ni vivante, elle es
mac, qu'elle n'a plus de sang; elle ne mourra jamais, elle n'est ni
morte
ni vivante, elle est une personne surnaturelle,
e tirer un coup de pistolet. Je demanderais bien à Dieu de me faire
mourir
, mais Dieu DU DÉLIRE DES NEGATIONS. 291 n'exi
.. dit qu'il est à moitié mort et qu'il ne pourra jamais achever de
mourir
; il prend son bras, sa jambe, son mollet en dis
e; aujourd'hui - il n'est plus qu'un petit crétin et du reste il va
mourir
. En mai 1882, M. C... en est réduit à un état d
ien d'humain et est comme une bête immonde. M ? G... vou- dra) être
morte
, elle gémit et fait des tentatives de suicide,
mmortelle, on pour- rait la hacher en petits morceaux sans la faire
mourir
. En mai 1882, la situation est toujours la même
le demande la mort, et cependant elle sait qu'elle ne pourra jamais
mourir
. Au mois de septembre de la môme année, Mme IL.
ve.iu,ptusd'estomac,piusdecoeur, etc. Ils sont morts ou bien ne
mourront
jamais. Transformation de la personnalité. Quel
ation devint irré- gulière, l'oedème du poumon survint et le malade
mourut
. D'après la marche de la maladie, il n'était pa
ainsi on guérit parfois le malade; en tous cas on ne le laisse pas
mourir
de faim. Pour- quoi donc n'agirait-on pas de mê
de la Tourelle, hôpital Cochin. A. H. Père mort à 74 ans ( ? ) mère
morte
vers 32 ans de refroidis- sement ( ? ) 3 frères
) 3 frères et 1 soeur : les frères sont bien portants; la soeur est
morte
en bas-Age. On ne note dans la famille ni cancer,
e relativement bonne. Pas de trouble de l'intelligence. Le malade
meurt
emporté par l'asystolie le 14 décembre 1893. Au
s dilaté, surtout au niveau de l'oreillette droite ; teinte feuille
morte
du myocarde ; pas de lésions valvulaires. Quelque
Grand-père, instituteur, mort à 76 ans d'une maladie inconnue. Mère
morte
a 86 ans. Grand'mère maternelle morte à 104 ans.
d'une maladie inconnue. Mère morte a 86 ans. Grand'mère maternelle
morte
à 104 ans. Ni al- coolisme, ni goutte, ni syphi
te au point de vue de l'interprétation médicale. « Elle n'est pas
morte
, dit Welcker comme on a pu le croire ; mais elle
nsversalement par rapport il lui. Un fil à plomb est installé à de-
meure
sur le côté du sujet de manière qu'il rencontre l
ofesseur Charcot, à la Salpêtrière (Salle Prus. 10). Hérédité. Mère
morte
d'un cancer du soin à 63 ans, très nerveuse, im
de hacquebute qu'il recul sur l'os pariétal, dont le troisième jour
mourut
apoplectique. Dont advint que pour l'envie que
de ce genre, « de faire trépanation, plustôt que laisser le patient
mourir
» après avoir appelé conseil « tant de docteurs
peur, qu'on ne se trouve empêché si d'avanlure le patient vient à
mourir
: car ce sera chose plus aisée a quatre de le p
ans les cas les plus simples, le pronostic fort incertain ; «Aucuns
meurent
de bien petites fractures,' les autres réchappe
ce qui est à raison de la douleur de la plaie, et aussi que les hu-
meurs
et esprits naturellement courent vers la partie b
res de l'Empire pendant 13 ans. Après une vie assez aventureuse, il
mourut
à l'hôpital d'Elbeuf, à l'âgede80 ans environ,
douleurs et de rhumatismes ». Il laissait trois garçons. L'un deux,
mourut
jeune, de la poitrine. Des deux autres enfants,
el de la malade) homme très doux, faible de caractère, bon ouvrier,
mourut
à l'âge de 68 ans, broyé dans une scierie. L'
(grand-mère maternelle de la malade) née de la première fem- me H.
mourut
il 24 ans des chagrins et des mauvais traitements
tre enfants : deux filles, dont la mère de la malade, et une autre,
morte
il 4 aus « d'humeurs froides » ; deux lils (onc
la famille. L'autre est le père même de notre malade. Clém. P. est
morte
il la suite d'une grande frayeur. Ainsi le père
as de Pauline L. obéit encore il cette loi. Une de ses soeurs est
morte
dans les convulsions. Une autre a eu une chorée
ents héréditaires n'offrent rien d'intéressant à noter. Sa mère est
morte
à 51 ans de tuberculose pulmonaire. Son père, âgé
pas de troubles mentaux. Elle a eu 8 grossesses : 1° Une fille
morte
à 20 ans de « bronchite » ; elle était née sourde
8 ans (en 1859) ; un an après, elle accouche d'une petite fille qui
meurt
il 11 mois, après avoir présenté une éruption sus
). « Le monde, dit la malade, l'appelait un original ». Sa mère est
morte
d'affection cardiaque : elle n'avait pas de manif
tôt le changer de place. Il est mort subitement. Sa grand' mère est
morte
, à 60 ans, paralysée des quatre membres. Parm
22 ans, elle se marie et devient veuve au bout de six mois (son mari
meurt
de tuberculose pulmonaire) sans avoir eu d'enfa
ère syphilitique mort d'une affection pulmonaire indéterminée. Mère
morte
à 68 ans d'apoplexie cérébrale. Le malade a peu
u, près de la vallée des Aygalades, aux environs de Marseille. Il y
mourut
en 1883, laissant le souvenir d'un artiste honn
ns peine, la transportèrent il Azpeitia, tremblant qu'elle ne vînt il
mourir
en route. Quand ils arrivèrent, le saint prêcha
sciente. Ici c'est le désir déraisonna- ble de maigrir, là celui de
mourir
.... C'est toujours un véritable déliro. Il va s
e quelques jours on la ramène comme définitivement perdue et devant
mourir
prochainement. Les vomissements sont devenus abso
le sera damnée. Il lui est donc inutile de manger. Elle se laissera
mourir
de faim tout simple- ment, lentement, mais n'at
ayante, il tel point qu'elle fut deux ou trois fois sur le point de
mourir
. Une première fois, dans un accès d'exaltation
La Vierge l'avait trouvée indigne de pardon et de gué- rison. Elle
mourrait
donc en état de péché mortel, elle serait damnée.
limites sont dépassées. Et la mort s'ensuit inévitablement. Ainsi
moururent
quatre malades dont parle Charcot (1) ; ainsi mou
ment. Ainsi moururent quatre malades dont parle Charcot (1) ; ainsi
mourut
cette malade de P. Janet (2), pour avoir trop r
malheureux de tuer un homme pour si peu... . Ce n'est pas drôle de
mourir
comme cela... » Je change le cours de ses idées
poursuivi par son idée de persécution; il t'imagine qu'on veut faire
mourir
sa famille de faim. Arrivé chez lui, il se couche
de congestion hépatique, rénale, pulmonaire, etc. « On m'empêcha de
mourir
, ajoute-t-elle, mais on ne me guérit pas, et quan
« Je me révoltai alors et ne voulus plus voir de médecin, préférant
mourir
. Cependant, force me fut d'y avoir recours pour m
laitai jusqu'à sept mois et demi, ce qui roc fut nuisible. Mon enfant
mourut
quelque temps après ; le profond chagrin que j'en
rison ensuite. Je vous dois la vie, car je sentais bien que je devais
mourir
, et peut-être à brève échéance. » Je constatai
fasci-natoire. Il se débattra comme une bète fauve dans sa cage; il y
mourra
de faim, mais restera quand même cloué sur place.
ais augure hasarda : « Vous ne croyez pas pourtant, docteur, que j'en
mourrai
? — Non, répondit le médecin, vous n'avez pas à cr
uo, et il se frotte les mains, de temps à autre, en se redisanl qu'il
mourra
vieux, et qu'il aura une belle pierre avec des le
deux mois elle a eu encore des sensations très pénibles : crainte de
mourir
, état d'esprit lamentable à certains moments: mai
dant la route, lepère marcha sans le vouloir sur la main de la petite
morte
étendue sur le plancher de la voiture et Angélina
ue ; ta grand'-mère est très bien portante; une sœur de la malade esl
morte
de convulsions à l'Age de deux ans. Nous ne som
. Son père est mort à quarante-deux ans; il était buveur. Sa mère est
morte
a vingt-trois ans; elle était nerveuse. Chez elle
contenu en icelles garder et observer; en foy de quoy nons avons but
meure
notre scel à cesdites présentas, « Donné à Vers
endu, survinrent de* attaques syncopales. La vision disait : « Tu vas
mourir
». et la malade, perdant l'usage de tous les sens
uérirai jamais la vie m'est à charge ; adieu. D. — Vous pensez donc
mourir
cette nuit pour parler ainsi ? H. — Pals-moi le
lement la production? La malade, d'après son système délirant, devant
mourir
dans l'atttaque, l'abolition des sens est le prem
constatant que cette volonté morale et saine n'était pas tout à lait
morte
, elle verrait renaître en elle l'espoir et le cou
étériorer et à détruire, cet organisme naît, se développe, décline et
meurt
. L'histoire naturelle de l'homme comprend toutes
se trouve sur ce globe avec d'autres êtres vivants qui naissent et
meurent
comme lui. D'où vient-il ? Nous l'ignorons. Que d
plit dans les organismes, qui naissent, croissent, se reproduisent et
meurent
: ce sont les cellules ou éléments microscopiques
dit ce dernier, avec ses mœurs, ses pas-dons, ses misères, l'homme ne
meurt
pas, il se tue. » Le plus souvent, en effet, 1a m
as, il se tue. » Le plus souvent, en effet, 1a machine est frappée et
meurt
avant d'être usée par l'âge. Fragile, elle peut ê
ée, vint à Lourdes et demanda à la Vierge de la guérir ou de la faire
mourir
. Elle contracta une pneumonie double, à la suite
Elle contracta une pneumonie double, à la suite de son immersion, et
mourut
. C'était toujours cela! Lassé d'attendre et ne vo
religieux, elle est croyante. J'ai pensé qu'il serait intéressant de
meure
en . présence ce» impressions subie» par deux ind
, sa volonté assez ferme. Elle a des idées noires et elle craint de
mourir
d'une maladie du cœur comme sa mère. Sueurs penda
ne un dimanche matin; elle allait seule à la messe. Il lui propose de
mourir
ensemb'e, et elle accepte tout naturellement, nou
nté à ma belle-mère qui lui avait répondu que j'étais trop lâche pour
mourir
. « Je restai dans cette triste situation un moi
decin qui soigna l'enfant; quand je le vis sauvé, je ne voulus plus
mourir
, mais vivre pour lui. Mon beau-père me ramena à
« Baraques, neuf heures du soir. Joséphine, c'est pour toi que Je
meurs
. Je t'avais élevée si haut dans mon cœur que po
te est mort à trente-deux ans, de tuberculose pulmonaire, sa mère est
morte
à trente-quatre ans du croup, un frère est mort e
9. Son père est bien portant; il a cinquante-trois ans. Sa mère est
morte
à trente-deux ans de tuberculose pulmonaire. Un f
ivrognerie à trente-cinq ans. Sa mère est bien portante. Une sœur est
morte
en bas âge. Un frère est buveur. Marie P... n'a j
'hôpital de Molenbeck. Ses parents sont bien portants. Une sœur est
morte
à huit ans du croup. Un frère vil encore; il est
esseur Rommelaere. Elle occupe le lit 8 de la salle 37. Sa mère est
morte
de cause inconnue. Son père est bien portant: il
s cinq frères et sœurs ont toujours été dune bonne Santé. Sa mère est
morte
au mois de mars 1892 de démence paralytique ayant
. NÉCROLOGIE M. le Dr Marrotte. M. le Dr Marrotte, qui vient de
mourir
dans un âge avancé, était médecin honoraire des h
t, M. le Dr Delasiauve, médecin honoraire de la Salpêtrière. vient de
mourir
à l'âge de 89 ans. Reçu médecin en 1813, il fit
dissiper et se con-« sumer d’eux-mêmes dans la basse région de l’àme.
Mourez
« dans l’extase et dans l’union de l’esprit avec
la parfaite obéissanco dans le monastère, de faire, comme il disait,
mourir
le péché par le péché (similia, simili-bus curant
s si étranges établies par le prêtre David au monastère de Lou-viois.
mourut
en odeurde sainteté. On a même écrit sa légende.
e, prenant naissance au moment où les opérateurs font la chaîne, pour
mourir
à la fin de la séance, sauf à revivre et. à remou
r dans la ville leur réputation de sainteté, lorsque u leur directeur
mourut
. » Bientôt après les bruits reparurent. « On en
nt demeurées si longtemps le privilège de cet Irlandais. « Sullivan
mourut
en 1810 ; son fils lui succéda ; mais, soit qu’ij
rompre par la inarcbe, car autrement, dans dix-huit mois, elle serait
morte
dca jambes. Le dernier jour de sa marche, dans
is l’oiseau en revenait; pas toujours cependant ; parfois le vôlatile
mourait
, sans blessure aucune, de terreur qu’il avait épr
it été jusqu’ici sceptique quant à l’immortalité de l’âme, et qui est
morte
dernièrement après avoir légué au célèbre médium
e le spectre d'un de ses parents morts; elle le toucha, elle crut, et
mourut
peu de temps après ; et elle fit le legs dont nou
d’eux, et forma une véritable caverne; ce ne fut qu’au moment où ils
moururent
que la congélation 'Se fit entièrement. Ce n’es
cette apparition, un mois après jour pour jour, cette jeune personne
mourait
, et depuis lors, comme si quelque malédiction ava
onde, dans la Bible ; et comme une religion qui vient de Dieu ne peut
mourir
, quand le judaïsme a disparu sous l’action de la
omme le faisait Jean-Jac-ques par la comparaison des deux manières de
mourir
de Jésus et de Socrate, en disant comme lui : « O
lut récompensé de sa découverte par le dédain et les persécutions, et
mourut
dans une maison d’aliénés. Celui qui imagina d'ap
là qu’il faut chercher la véritable gloire d’un homme ; car, avant de
mourir
, c’est là que nos beaux génies ont blasonné leu
ait tant de bruit, C'est qu'il prouva que, sur la terre Si le corps
meurt
, l'âme survit. A du Potet, l'apôtre digne Du gr
ent plus éclatants qu’à aucune époque de l'histoire. Si l'homme 11e
meurt
pas tout entier, si son esprit lui survit, quoi d
L’enfant s’était fourré la tête entre ses genoux et criait : Je veux
mourir
ainsi ! Nous sommes morts ! Je lui dis alors : Ce
es vieux savants des immortels. Quant à vous, mon cher baron, vous ne
mourrez
que quand vous cesserez de magnétiser. Votre pile
on les hémisphères cérébraux, le cerveau proprement dit; (l’animal ne
meurt
pas .pour cela.) (Voyez Académie des Sciences, 5*
ard, signale l’action de deux métaux sur les muscles d'une grenouille
morte
; et on en tire cette conséquence qui se vérifie,
uisse et reçut plusieurs autres blessures. Transporté à l’hôpital, il
mourut
le lendemain matin des suites de sa chute. Le cor
ens qu'on appelle dignes de foi m’avaient dit que la dame châtelaine,
morte
en ÜOO, qui, depuis cinquante ans, ne paraissait
e troubla ; je ne compris pas comment mon nom pouvait être su par une
morte
, par un fantôme 1 Un instinct machinal me fit aba
Pauvre étranger qui s’étonne que son nom soit sorti des lèvres d’une
morte
! pauvre curieux, qui ignore que la femme qui a l
tout partir, tout se sauver du gîte précédemment choisi; cette terre
morte
n’est plus propre à leur vie, d’autres génération
lui-ci,... vous en tirez quelques palettes, l’individu languit ou
meurt
;... il n’avait pas trop de ce fluide, seulement c
dement l’aide-de-camp. « — Je serais fort curieux de voir, avant de
mourir
, une re- « présentation d’une scène de voyant
oche. Mais au moins mon départ de ce monde servira à te convertir. Je
mourrai
dans une heure et on m’enterrera demain. Mais aie
s subirent une détente. Je marchais dans la chambre, croyant ma fille
morte
; le3 personnes qui entouraient le berceau dirent
t vivement frappé de la nécessité de remplir un devoir sâoré avant de
mourir
. — Toulouse es* une des vflle&'de France of
ance. — II faudra me fixer pour toujours à Buénos-Ayres? — Vous y
mourrez
... Non, non , vous n’y mourrez pas , si vous voul
ur toujours à Buénos-Ayres? — Vous y mourrez... Non, non , vous n’y
mourrez
pas , si vous voulez suivre fidèlement le conseil
une glace, vous mettez tant de blanc que vous êtes pâle comme une
morte
. Prenez garde ! cela gâte la peau, et peut à la l
ire un travail sur ce sujet. » Ce travail est encore à faire, Georget
mourut
à la veille de le commencer. Maintenant laiss
; nos dieux ne peuvent rien contre elle; mais c'est toi qui la feras
mourir
. » Toute cette scène appartient à la magie dont n
ieu immortel. Certes, il y a un dévouement sublime chez le martyr qui
meurt
plutôt que de manquer à ce qu’il regarde comme un
tte et sonna l’hal-lali du magnétisme devant l’Académie. — La bête se
mourait
, la bête était morte, le magnétisme n’était pins.
du magnétisme devant l’Académie. — La bête se mourait, la bête était
morte
, le magnétisme n’était pins..... Puis, le bouil
s, le 18 novembre 1858. Monsieur le baron, En rêve, je me sentais
mourir
, toutes mes forces me quittaient à la fois, et ce
agitait encore souvent. Je me demandais : En quel état suis-je? si je
mourais
à l’instant même, serais-je damné? Selon les jans
ns la Vie privée du maréchal (le Richelieu. On lui avait prédit qu'il
mourrait
au mois de mars, et si, dans la jeunesse où l’on
mporte lequel il prit, elle lui disait toujours la même chose : qu’il
mourrait
jeune et de mort violente (2). » 11 s’agit, sans
ssement, se figura entendre la voix d’un esprit qui lui annonça qu’il
mourrait
dans trois jours. A. l’approche du terme fatal, i
inez ! — Oh ! que non, je parle sérieusement. Dans huit jours ma mère
mourra
et cet événement sera pour nous le commencement d
ièrement sur elle, pour la tuer à coups de mar- teau et, la croyant
morte
, tenta ensuite de se suicider. L'auteur a pu ét
rier la malade devint apathique et som- nolente ; le 1er mars, elle
mourut
avec des phénomènes d'oedème cérébral. A l'au
ours passa en une hémiplégie avec une aphasie ; bientôt la malade
mourut
dans un état comateux. A l'autopsie on constata
phalalgie, vomissements et strabisme; le jour même de son entrée il
mourut
subitement, ce qui empêcha de faire un examen d
soixante-neuf ans, entra à l'hôpital avec une hémiplégie gauche et
mourut
dans un mois après un état comateux. A l'autops
de croyait avoir subi une opération, puis avoir été décapitée, être
morte
, etc., etc. Dans les intervalles de tranquillit
ont bien por- tants. Six frères et soeurs en bonne santé. Une soeur
morte
de la diphtérie. Il ne parait y avoir aucune ta
nd qu'un des élèves militaires lui a coupé la tête, elle croit être
morte
. Elle a aussi des hallucinations de la vue : elle
ort avec instance. 5 mars. Cachexie de plus en plus prononcée. Elle
meurt
sans présenter d'autres symptômes. Autopsie.
Malheureusement il fut pris d'un ictus apoplectiforme foudroyant et
mourut
en quelques heures. A l'autopsie nous trouvâmes
ellectuelle, 9 furent améliorées, li ne furent pas modi- fiées et 3
moururent
des suites de l'opération. A. V. L'analyse des
130 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. la paralysie générale. Le malade
meurt
d'ailleurs dans le marasme avec escarres, et l'
ur compétence ! Voici, en exemples, des cas qu'il cite : un Italien
meurt
dans un hôpital à la suite d'une rixe. L'expert,
cients. Embarras de la parole, habitudes alcooliques. » La mère est
morte
après une paralysie de dix ans. Syphilis ? De
un rôle phagocytique : il les considère comme de véritables écu-
meurs
du cerveau qui absorbent et enlèvent les matériau
hystériques. D'un père phtisique naissent des enfants dont les uns
meurent
en bas âge de méningite tuberculeuse, tan- dis
idation épileptoïde du pied. Cet élat alla s'aggravant et le malade
mourut
par cachexie au bout de cinq mois. A l'autopsie
s tard, a succombé aux convulsions à t'àge de six mois. La mère est
morte
d'accidents puerpéraux en accou- chant de cette
pira pas d'inquiétude. Quelques heures plus, tard, on la retrouvait
morte
dans un puits abandonné. La mère ne connaissa
morte dans un puits abandonné. La mère ne connaissait à sa fille
morte
pas plus qu'à sa fille vivante aucune anomalie
humatisme chronique depuis l'âge de quarante- huit ans; la mère est
morte
d'un cancer utérin, à cinquante-cinq ans; elle
n cancer utérin, à cinquante-cinq ans; elle avait une soeur jumelle
morte
l'année suivante de la même affection. Un oncle
e il y a plusieurs jumeaux. , Elle-même est jumelle, sa soeur est
morte
du croup à trois ans, de même qu'un frère d'un
maternelle cardia- que. Cousine naine et rachilique ( ? ). Scezc1·
morte
avec des convulsions de l'enfance. Azetre oe«)'
is. Il était sanguin, puissant, calme et nulle- ment nerveux. Mère,
morte
à quarante-sept ans, probablement d'une lésion
s travailleur, pas d'autres renseignements, Grand'mère maternelle
morte
à quatre-vingts-huit ans, jusque-là bien portante
il élait fort et de bonne santé ordinaire. Grand'- mère maternelle,
morte
à soixante-et onze ans, coléreuse, méchante et
'a pas la tête grosse et tient beaucoup de son père. La seconde est
morte
à deux mois du choléra infantile. Elle a eu des
ul- tation. Affaiblissement progressif. 30. T. R. 41°,4. L'enfant
meurt
à 8 heures du matin. Température après la mort.
édical Journal, 11 juillet 90.) La malade, âgée de trente-cinq ans,
mourut
après huit ans de maladie avec pieds, mains et
es avec dyspnée, cyanose et élévation de la température. L'enfant
meurt
dans des conditions analogues aux cas d'état de m
entir ; je ne sais pas d'où cela vient ! 1 Il me semble que je suis
morte
... ; il est vrai que je parle, que je marche, q
portions nucléées continuent seules a vivre, les parties anucléées
meurent
bientôt, sans doute par suite d'une nutrition d
t Makinesco. Des coupes minces de la moelle d'une femme diabétique,
morte
dans le marasme, ont montré après coloration pa
rit aux journaux qu'il se voit obligé de quitter Baixas pour ne pas
mourir
de faim. » Ajoutons que le meurtrier Puy a été
la cheminée et aimi par lui serrer la gorge jusqu'à ce qu'elle fût
morte
. Cette horrible scène s'est passée devant les c
rs même qu'ils se croient morts, ou dans l'impossibilité de 'jamais
mourir
, ils n'en cherchent pas moins à se détruire ; l
ntent alternati- vement l'idée d'être morts ou l'idée de ne pouvoir
mourir
, suivant leurs états alternatifs d'agitation an
e magique et la médecine noire. C'est surtout le soir qu'on la fait
mourir
après qu'elle est couchée. Elle continue ainsi
n'y est pour rien ; elle a bien cinquante trois ans, mais elle est
morte
depuis dix ans. Chaque matin elle apprend à mar
La pensée du mal l'emporte toujours. » La soeur de la malade est
morte
à l'asile après plusieurs années d'un délire abso
démon est dans son corps qui la torture de mille manières; elle ne
mourra
jamais. La deuxième n'a ' Séglas. L'hallucinati
ortalité rétrospective.) La cinquième a le coeur déplacé, elle ne
mourra
jamais ; cependant, en même temps, elle sentie di
. c Je suis damnée, perdue; je suis tourmentée, j'ai volé ! Je ne
mourrai
jamais. Je suis morte; je ne suis plus comme les
rdue; je suis tourmentée, j'ai volé ! Je ne mourrai jamais. Je suis
morte
; je ne suis plus comme les autres, je ne puis p
pavé. Grâce aux soins qui lui furent prodigués, le pauvre petit ne
mourut
pas, mais demeura à demi fou, car une dépressio
tenu dans le tiroir-caisse et prit la fuite .1-o veuve Leturque est
morte
dans la soirée des suites de ses bles- sures. S
t positif. Le père est âgé de 78 ans et se porte bien ; la mère est
morte
à 53 ans d'une affection car- diaque sans avoir
and elle cherche un mot qui lui échappe. Elle a un peu de paraphasie.
Morte
à la suite d'une hémorragie cérébrale de la rég
t avoir vu au cimetière des Innocents le tombeau d'une dame Yolande
morte
à 88 ans, qui a pu voir, avant son trépas, 295
; et jetant le sang par les oreilles, nez, bouche, par le siège. Il
mourut
misérablement, criant qu'il eut mieux valu être m
r leur faire dire de quelle maison ils étaient, et comme on faisait
mourir
cruellement ceux qu'on croyait incapables de se
ls en veulent. Que s'il advenait, que les patients qui en demandent
mourussent
sans en avoir pris, les parents don- neraient t
lly-sur-Rose. Il y vécut de la charité publique et ne tarda pas à y
mourir
. Mais là encore il avait accompli des miracles.
ns, au cours d'une polynévrite éthylique. Sa mère, grande nerveuse,
mourut
à l'époque de la ménopause d'un ictus apoplecti
1900). OBS. 1. - Nous nous bornons à rappeler que demoiselle F...,
morte
accidentel- lement à l'âge de 28 ans, avait pré
petites hémorragies de date encore récente. Bien que Mlle M... soit
morte
à l'âge de SI ans, nous estimons que l'artérioscl
oite et à gauche. Hémoptysie. 21. Le malade retombe dans le coma et
meurt
le 23 février. Pendant son séjour à l'hôpital,
un cas d'acromégalie 177 Antécédents héréditaires, - Sa mère est
morte
d'affection cardiaque avec hydropisie. Son pè
e processus doit exister, il ne persiste pas, car chez notre malade
morte
acromégalique depuis 6 ans, il n'y avait aucune
s : 1° garçon bien portant, actuellement âgé de 13 ans ; 2° fille
morte
de diarrhée infantile à 10 mois ; 3° notre mala
degré bien moindre. Il grince des dents ; la nuque est raide. Il
meurt
le 30 mars, en hypothermie 36°4. (1) A. VIGOURO
et restè- rent épidermiques. Le malade maigrit progressivement et
meurt
le 4 juin 1904. A l'autopsie, on trouve une adh
rce, est entré à l'asile de Vaucluse, le 5 juin 1897. Sa mère est
morte
à 64 ans, trois jours après un ictus apoplectique
ÉDULLAIRES DES PARALYTIQUES GÉNÉRAUX 213 santé et a perdu une soeur
morte
jeune de tuberculose pulmonaire. Sa femme ne sa
e l'a- sile, se croyant capable de pouvoir gagner sa vie, etc. Il
meurt
le 13 janvier 1904, après s'être affaibli progres
mps le talon gauche est également le siège d'une eschare. Le malade
meurt
sans avoir repris connaissance, avec une températ
s hypochondriaques et de négation ont persisté jusqu'à la fin. 11
mourut
le 13 mai 1904. A l'aulopsie du cerveau on trou
se contractèrent. Il était dans un état de profonde cachexie. Il
mourut
le 17 août. A l'autopsie, une pachy-méningite é
ans d'hé- morragie cérébrale, mais il est à retenir que sa mère est
morte
à la Salpêtrière après y avoir été hospitalisée
nté au cours de son affection qu'un minimum de symptômes bulbaires,
meurt
tout à coup par le bulbe. C'est cette discordance
s dissemblable ; et, d'autre part, des lésions musculaires. Les tu-
meurs
observées ont été soit un kyste de l'ovaire (Dres
e termina par un accouchement prématuré à 7 mois et demi ; l'enfant
mourut
au bout de cinq jours. A la deuxième, l'enfant
t au bout de cinq jours. A la deuxième, l'enfant vint à terme, mais
mourut
à 21 mois, tuberculeux , Ces deux enfants qui n
ner sur sa famille que des renseignements assez vagues. Sa mère est
morte
depuis longtemps. Elle ignore de quoi. Son père
es os des membres étaient mous et sans consis- tance et la fillette
mourut
à 15 ans d'ostéomyélite aiguë. Ces tares peuvent
être ; la dyspnée n'existe pas toujours, puisque nombre d'individus
meurent
avant d'avoir respiré. Quant au rétrécissement
bulbaire, affection dont souffrait également une autre soeur qui est
morte
. Le tableau clinique présenté par ces malades n
nez. Pas de troubles sphinctériens. Intelligence normale. Elle est
morte
brusquement à l'âge de 11 ans, de dilatation ca
ents héréditaires. Le père du patient est bien portant. La mère est
morte
il y a deux ans, elle aurait souffert de violents
inconnue, la mère souffre de « crises nerveu- ses » ; une soeur est
morte
de méningite tuberculeuse. Quant à notre malade
ents héréditaires. - Père bien portant, légèrement alcoolique, mère
morte
de tuberculose pulmonaire ; pas d'autre enfant.
aires nous apprennent que le père est bien portant, que la mère est
morte
d'accident ; elle avait paraît-il, craché à plusi
érieur quelques trabécules osseuses développées sur place, mais de-
meurent
nettement délimitées du cartilage environnant qui
ans, bien conformée, mère de 4 enfants bien portants. L'enfant, qui
mourut
au bout de 24 heures en cyanose, avait un poids d
itza-Dolj). Son père vit, et il est de stature moyenne. Sa mère est
morte
, nous n'avons pu savoir de quoi. Eu tout cas elle
lui pose. 30. - Etat subcomateux, respiration difficile. Le malade
meurt
le lende- main. Résumé CLINIQUE. Raideur prog
édicales, 1899 et Province Médicale, 1900. (3) Ce malade vient de
mourir
(25 oct : 1905) et l'autopsie a permis de constat
r ses antécédents héréditaires. Il sait seule- ment que sa mère est
morte
à 23 ans de fièvre puerpérale 17 jours après sa
que tu as fait. » Au même instant, le mort ressuscita et la vipère
mourut
. Puer iste vivet et bellua moritur... (3) Dès
ere Klag ? Schon das dritt halb hundert in einem Grab... » Ils ne
moururent
pas tous... Par un phénomène curieux d'égoïsme hu
ise. Ses parents étaient bien portants et bien conformés. Sa mère est
morte
des suites de couches au moment de sa naissance
umine, ni sucre. L'asphyxie fait des progrès rapides et le malade
meurt
le lendemain même de son entrée dans notre serv
ES Dans un autre, rapporté par Reulos (l),on lit que Mme X., née R.,
morte
à 79 ans, était née avec des exostoses siégeant
lique. Sa mère fut toujours bien portante ; son grand-père paternel
mourut
d'aplo- plexie ; sa grand'mère paternelle mouru
rand-père paternel mourut d'aplo- plexie ; sa grand'mère paternelle
mourut
, paraît-il, de paralysie cardiaque. (1) WALTER,
ES OSTÉOGÉNIQUES DE DÉVELOPPEMENT 637 Enfin son grand-père maternel
mourut
aussi d'apoplexie; sa grand'mère maternelle mou
nd-père maternel mourut aussi d'apoplexie; sa grand'mère maternelle
mourut
d'une maladie mal précisée; il semble qu'elle ait
en ligne directe. En ligne collatérale, deux frères de notre malade
moururent
en jeune âge, l'un à 1 an de pneumonie, l'autre
che. Tous ces malheureux vécurent plusieurs années : le premier qui
mourut
avait 12 ans ; le dernier 26 ans ; les autres m
le premier qui mourut avait 12 ans ; le dernier 26 ans ; les autres
moururent
à un âge intermédiaire. Un frère de la mère de
années on ne sait préciser on commença à observer sur elle deux tu-
meurs
de mêmes caractères que celles des cas précédents
ns ses antécédents nous trouvons : en ligne ascendante, sa mère qui
mourut
à 35 ans d'une maladie à long cours qui dura un
long cours qui dura un an et commença par une pneumonie ; son frère
mourut
à un âge avancé, de marasme; un de ses oncles p
rère mourut à un âge avancé, de marasme; un de ses oncles paternels
mourut
à 40 ans à peu près, d'une maladie indéterminée
urs mortes, 3 de phtisie (10, 12 ans, 25 ans) ; la quatrième serait
morte
de pneumonie franche. Antérieurement, celle-ci
s du même père, dont l'aînée était une fille normalement conformée,
morte
à trois mois de méningite. Le second enfantest
dernier cesse d'assurer la nutrition générale du couple, l'acéphale
meurt
; son système nerveux tombe le premier en dégén
r ce génie. Prononcez polon et penanggalane. (3) Esprit d'une femme
morte
en couches. Cet esprit tourmente les femmes en -
voir de te transformer en animai. (9) Mauvais esprit d'une personne
morte
. (10) Ogre, animal fabuleux, gorgone ou dragon
garde les fontaines), Lang souyar (est l'esprit d'une femme impudique
morte
enceinte). Nous lirons ces noms et leurs explic
eut nuire, partout où ils se trouvent. Les gens qu'elle attaque ainsi
meurent
. Le sang et le liquide qui dégouttent de ses entr
roire. Quant au Polong, il provient, dit-on, du sang d'une personne
morte
de mort violente. On introduit ce sang dans une f
re du Polong. Il en est ainsi pendant un jour ou deux, puis le malade
meurt
. Une fois mort le sang lui sort à flots de la bou
, voilà à quoi parait se réduire toute son activité. Quand son mari
meurt
, ses deux filles se partagent son bien, comme si
'argent ! » » A Céry, quelqu'un nous dit que c'était là qu'était venu
mourir
lamentablement un des maîtres respectés de la neu
, que l'on naît hystérique, on aura toutes les chances de vivre et de
mourir
hystérique, quel que soit le traitement. Si, au c
eur Pitres (de Bordeaux) « on naît hystérique », j'ajoute : « et l'on
meurt
hystérique ». (1) Communication au Congrès inte
a mort qui fut causée par une mauvaise plaisanterie qu'on lui fit. Il
mourut
dans son magasin après qu'on lui eût dit qu'il mo
'on lui fit. Il mourut dans son magasin après qu'on lui eût dit qu'il
mourrait
ce jour-là et qu'il eût lu dans un journal une no
sa mort. Cela lui donna un choc mental si violent qu'il succomba. Il
mourut
donc d'une impression mentale. Ce fait nous pro
s enfants : « Maintenant que je suis couché pour dormir, si je devais
mourir
avant de m'éveiller », etc., etc. 11 disait que
illesse. Nous avons lu récemment la mort d'un enfant en bas âge qui
mourut
de sénilité. La jeunesse est affaire non d'anné
Marocco Browman son 108°, à Brooklyn, en août 1907 ; et dernièrement
mourait
, à Schenectady, John Kelderman, à Tàge de 107 ans
sait que sa mère n'avait atteint que 76 ans, mais sa grand'mère était
morte
à 90 ans. Il travaille tous les jours, se promè
vice-présidente de la Société médico-légale de New-York, qui vient de
mourir
, dans toute l'activité de son intelligence, à 85
, reçoivent le télégramme suivant : - Votre fille, Marie Kehvitz, est
morte
», signé : « Muller ». Très affligés, comme bie
n excursion en Asie-Mineure. Quand le glorieux sultan Abd-uI-Medjid
mourut
, son frère, Abd-ul-Aziz, lui succéda. Il n'était
rétablissement du gouvernement de la République. D'ailleurs quand il
mourut
, les musulmans se trouvant embarrassés, l'un d'eu
peuple et l'autorité devait résider dans la loi. Lorsque Ebou Békir
mourut
, Orner lui succéda. Il n'était pas plus parent de
ême temps son épouse, et se fit involontairement une blessure dont il
mourut
. Le seul fait de son existence qui témoigne peu
rs ébats. Il ordonna de murer la porte de l'établissement, et elles y
moururent
de faim. Pour pouvoir se promener à son aise da
es prières spéciales réservées aux morts sont refusées à un homme qui
meurt
en tombant d'un tel cheval (*). Le malade, Mour
rmir assez profondément aux séances d'hypnolisation. Il avait peur de
mourir
ou de ne pas se réveiller, venait aux séances ave
plus utilement possible. « Le soldat doit apprendre, lui, surtout à
mourir
, — à être prêt au bon marché de sa vie, pour serv
non aux prophètes ; aussi, après avoir langui pendant deux années, il
mourut
. (2 Chr., VI). L'orgueil est la conséquence de
dre sagement : « Je n'admets pas que l'on dise à un malade qu'il va
mourir
, cela pour deux raisons principales : 1° parce qu
ur mon cou. » 1 Le fils du Calife lui répondit : « Quand je devrais
mourir
, je ne ferai pas une telle chose. » Le Sultan rep
consulté aussi bon nombre de moribonds des classes inférieures ; ils
mouraient
tous avec un certain stoïcisme que j'ai trouvé ra
que sa fille se lamente d'une façon inquiétante ; elle va, dit-elle,
mourir
en quelques heures d'une méningite, elle fait ses
alade se tord dans son lit. implore mon aide et me déclare qu'elle va
mourir
dans le délai d'une heure. Je l'examine : pas de
le le deuxième jour. La malade ne veut pas de médecins puisqu'elle va
mourir
; elle me demande cependant de l'aider devant l'h
ive et me déclare qu'il est très surexcité, qu'il a une peur folle de
mourir
» parce que l'on ne sait pas, s'il y a tout de mê
? V..., quinze ans, hystérique. - Grand'more maternelle persécutée,
morte
à la Salpêtrière. Mère hystérique (a deux frère
ndes crises et secousses) ? Oncles maternels originaux.- Une soeur,
morte
de convulsions. Une autre soeur et deux frères
iginal. La fille d'une tante maternelle était épi- leptique, et est
morte
en démence. Observation XXXVIII. Trima S..., at
Observation XL VI. - fil. C..., ataxique. - Mère méhlll. colique,
morte
à la suite de refus d'aliments. Frère paraly- t
communiqué à la Société anatomique l'observa- tion d'une tabétique,
morte
en 1880, dans le service de M. Charcot, à la Sa
envi- ron deux fois par mois. [Père, mort à soixante-six ans, mère,
morte
à soixante-sept ans, on ne sait de quoi. Deux f
sance de notre malade. [Père, mort d'une fluxion de poitrine ; mère
morte
d'une hydropisie ; un frère a trois enfants; une
s la famille]. -Pas de consanguinité. Six enfants : Il une fille,
morte
à douze ans de fièvre typhoïde : elle était int
ort-née par strangulation (circulaires du cordon) ; - 3° une fille,
morte
de convulsions à treize mois; 4° une fille, morte
; - 3° une fille, morte de convulsions à treize mois; 4° une fille,
morte
de convulsions à un mois; 5° une fille, âgée de
e la même névrose; on l'avait constatée aussi chez une autre soeur,
morte
à treize mois; celte malformation consiste en u
d'excès alcooliques, ni d'affections nerveuses. Mère : asthmatique,
morte
à soixante ans d'une fièvre typhoïde; impressio
cinquante-trois ans, après avoir eu le choléra; aucun excès. Mère :
morte
à soixante-deux ans d'un cancer utérin. Un frèr
sorte. Deux tantes du côté paternel n'ont jamais marché; l'une est
morte
à six ans. - Une cousine germaine du côté mater
oit donc qu'à part certains cas exceptionnels, le me- rycole vit et
meurt
avec son affection. En meurt-il ? non. Le prono
exceptionnels, le me- rycole vit et meurt avec son affection. En
meurt
-il ? non. Le pronostic du mérycisme est, au con-
aient, se promener dans sa chambre. Il pouvait écrire très bien. Il
mourut
de marasme et de bronchite. , Autopsie. - Sur
s héréditaires. - Père, mort tuberculeux à vingt- neuf ans. Mère,
morte
à quarante-deux ans d'un érysipèle de la face.
re, morte à quarante-deux ans d'un érysipèle de la face. Une soeur,
morte
folle. Pas d'autres maladies nerveuses dans la
la Salpêtrière le 3 août 1870. Née d'un père bu- veur et d une mere
morte
a cinquante et un ans d'une .tu- meur du vent
. L'oncle est mort d'une cirrhose du foie. Une tante paternelle est
morte
d'une « maladie noire » ; elle était mélancoliq
otif. La grand'mère paternelle du malade tombait du haut mal et est
morte
dans une de ses attaques. - Plusieurs des membr
n- contrer dans la paralysie générale et dans certains cas de tu-
meurs
du mésocéphale en particulier. Certains malades,
nt ingt-trois mois. Il s'agit d'une femme, âgée de trente-cinq ans,
morte
après trois ans de maladie. Pendant la vie, ell
milles : arrivé au terme du voyage il tombe sans con- naissance et
meurt
dans le collapsus en six heures. De même dans l
vacillante; le goitre était plus gros et plus résistant. La malade
meurt
subitement cette nuit même en quelques minutes
n'avait plus de sang, que tout son corps était pourri, qu'il allait
mourir
, qu'il était mort. Le même délire hypocondriaqu
lara, suivie d'une prostration des forces; et le 26 mars, la malade
mourut
dans un état de collapsus. L' \UTOPSOE, ne se b
qui se terminent spontanément par la guérison, le mérycole vit et
meurt
avec son affection. En meurt-il ? non. Le prono
par la guérison, le mérycole vit et meurt avec son affection. En
meurt
-il ? non. Le pronostic du mérycisme est, au con-
hes Arch. f. Kliii. Med., 1883. p. 360.) Femme de vingt-cinq ans.
morte
plithisique, avait, à la suite d'une paralysie
actuelle, la médecine mentale était, pour ainsi dire, « une branche
morte
de la médecine générale ». 11 n'en est pas de m
injustes dont elle a été l'objet seraient sans doute restées lettre
morte
si le décret de décentralisation de 1852, en am
L'infirmière respirait encore, mais deux heures après elle était
morte
. (La Paix.) Asile DE PRËMONTRË. M. le Dr BELLAT
tait un homme de constitution robuste, sans nervosisme. Sa mère est
morte
à trente ans d'une infection puerpérale. Sa s
de trouver sa fille malade, la vue de cette enfant qu'elle croit
morte
,.le retour de son mari blessé, etc. A ce sujet, o
devient manifeste pendant l'hyp- nose. La crainte que sa fille est
morte
détermine au bout de quelques minutes une crise
e. A vingt-neuf ans, elle perd le seul enfant qu'elle ait eu et qui
meurt
âgé de quatre ans et demi, de méningite. Elle e
as, il y a chronicité irrépa- rable. Quelques-uns de ces malades en
meurent
dans un état d'agitation permanent, c'est pourq
use ni mentale, pas de déformations congénitales ; tous ses parents
meurent
vieux, valides jusqu'aux derniers jours. Mari
est atteint de tic. Un autre oncle est mort fou. Enfin une soeur,
morte
actuellement, aurait éprouvé à la suite de contra
la malade apprit qu'une de ses soeurs qu'elle voyait rarement était
morte
en la déshéritant. Trois à quatre heures après,
RVEUSE. Dans l'observation V, il s'agit d'une jeune fille qui vit
mourir
son père phtisique, le veilla après sa mort et en
sive. Tous les symptômes allèrent rapidement en s'aggravant et elle
mourut
dans l'espace de deux ans. L'aspect clinique ét
s ayant plus ou moins subi la dégénéresence graisseuse. Le malade
mourut
dans la nuit en plein collapsus. On trouva à l'au
demie. Quand il revint en France, M. le Dr Archambault venait de
mourir
(1863); son gendre, M. le Dr Mesnet, proposa à M.
eux reprises, dans le cou, la lame d'un petit canif. La pauvre bête
mourut
. Hier enfin, il s'emparait de petits oiseaux dans
t s'abîmer sur le pavé de la rue. Transportée à l'hôpital, elle est
morte
sans avoir pu prononcer une parole. Quand les
nêtre, mais elle ne s'est peut-être pas tuée. Elle ne doit pas être
morte
, elle n'était pas assez hardie pour se jeter pa
Il avait un tempérament très nerveux. La graud'mère paternelle est
morte
à vingt-sept ans de tuber- 1 Lire pour les rapp
est mort à quarante-six ans de la rupture d'un anévrisme. Sa mère
mourut
à cinquante-trois ans d'une affection du foie q
lmonaire. Il était vif, emporté, pleurant facilement. Une soeur est
morte
tuberculeuse. Elle était irascible, était sujette
e camarade mou- rut. On l'obligea à embrasser le corps de la petite
morte
. Elle éprouva une impression intense de dégoût,
alade. Quand elle se réveillait dans la nuit, l'idée qu'elle allait
mourir
sous peu venait la surprendre. Elle se levait a
jour, allant faire son marché, elle est prise de l'idée qu'elle va
mourir
dans quelques instants et rentre chez elle précip
quelques instants et rentre chez elle précipitam- ment pour ne pas
mourir
dans la rue. Dans ces circonstances, quand elle
e était alors effrayée de la voir s'amaigrir à vue d'oeil. Sa soeur
mourut
le 16 avril, elle l'ap- prit le soir même et vi
lle l'ap- prit le soir même et vint le lendemain. Elle alla voir la
morte
qu'elle eut de la peine à reconnaître. Elle pas
le souvenir du pensionnat lui revenait, elle se rappelait la petite
morte
qu'elle avait dû embrasser. L'en- terrement eut
la nuit elle ne dormit pas, eut devant les yeux l'image de sa soeur
morte
. Le lendemain 19 avril, vers 11 heures du matin
n, la malade était dans son lit, en proie à son idée, ayant peur de
mourir
, quand elle ressentit les premières douleurs qu
est évi- dente. A neuf ans, l'enfant embrasse une petite camarade
morte
, éprouve une émotion des plus vives, et garde d
e sa soeur, après avoir passé la nuit dans une chambre à côté de la
morte
, qu'étant au lit en proie à l'idée de la mort e
toute leur vie, à la condi- tion que le médecin qui les observe ne
meure
pas lui-même, tant pour établir la notion de la
s- paraît emportant l'état dépressif et l'angoisse, le délire de-
meure
et s'organise. Les formes mixtes sont représent
Journal, 1745.) Statistique de 33 cas de craniectomie : 14 malades
moururent
, de 1 à 6 ans, peu de jours après l'opération,
e- ment ou peu de temps après suivi de délire fébrile vrai. Il ne
mourut
que 6 malades sur les 17 ; la fièvre typhoïde a p
e se renversait en arrière, etc. C'est dans un de ces accès qu'elle
mourut
. Puisqu'il n'y a pas de lésions, il s'agit, en pa
et du rectum. ' < Il fut impossible de poser un diagnostic. Il
mourut
le 19 dé- cembre 1892 dans le même état; pendan
ions terrifiantes de la vue, s'est arrachée les deux yeux. Elle est
morte
deux jours après, soit d'hémorrhapie céré- bral
épilepsie. Antécédents héréditaires. Père alcoolique, emporté. Mère
morte
tuberculeuse. Soeur de la malade a des secousse
e d'histologie pathologique sur une femme âgée de trente- neuf ans,
morte
à Charing Cross Hospital. " ' ' 388 .REVUE DE P
aissance de leurs enfants, et surtout au grand nombre d'enfants qui
meurent
en bas âge à la suite de con- vulsions. Dans ce
aires. Père alcoolique mort à soixante-cinq ans, mère bien portante
morte
à soixante-trois ans. Frère mort de méningite.
. Frère mort de méningite. Soeur a eu des fugues inconscientes, est
morte
à l'asile des aliénés de Vaucluse. Antécédent
i une grande épreuve. En 1882, son fils aîné, William- Samuel Tuke,
mourut
à Bournemoutb. Cela porta un terrible coup au D
ordinaire. Le Dr Tuke était président de cette association quand.il
mourut
. ASILES D'ALIÉNÉS. XII. Nouveau formulaire DE
iarrhée a continué ; F eschare s'est un peu agrandie et la malade est
morte
après avoir eu du délire pendant les deux dernier
ccombé, à 45 ans, au moment de la ménopause. De deux sœurs, l'une est
morte
« de la poitrine » à l'hôpital Necker; l'autre, p
par éclat d'obus : pris de convulsions tétaniques le sixième jour, il
mourut
le neu-vième, malgré le traitement, qui consista
toutes les deux heures ; son état sembla s'améliorer un peu, mais il
mourut
cependant le quatrième jour, sans que les convul-
es symptômes n'ont pas changé. Il en est de même le soir. — La malade
meurt
le 24 octobre à six heures. Autopsie le 25 octo
de Verheyen, publié en 1856, n'est qu'un abrégé par trop sommaire.
mourir
en deux jours. A l'autopsie, on observa une perfo
lswood, rapporte le fait d'un idiot, employé chez un matelassier, qui
mourut
d'une obstruc-tion et d'une péritonite, et dans l
nt, ayant nécessité l'amputation de la cuisse, fut pris de tétanos et
mourut
au bout de six jours2. Après être restée pendan
ouleurs intolérables ; des phénomènes typhoïdes surviennent; l'enfant
meurt
au 3e jour. (Boeckel.) Un garçon de 16 ans tombe
et de constater des signes avancés de tuberculisation pulmo-naire. Il
meurt
dans la nuit. Autopsie. On trouve les poumons,
matières fécales. 11 se produisit du décubitus au sacrum et la malade
mourut
d'une pneu-monie. — Pas d'autopsie2. —L'arthrop
M. Hardy), présentait des symptômes indubitables de péritonite. Elle
mourut
sans accoucher douze jours après le début d* s ac
es urines, exlraites par la sonde, contiennent de l'albumine). — Elle
meurt
, sans avoir accouché, à onze heures du soir. Au
ssement de 0,05, l'opération césa-rienne a été pratiquée; la mère est
morte
et l'enfant a vécu. Si nous additionnons les ré
gluti-tion difficile. P.80, très-petit; R. 16 ; T. 36°,8. — La malade
meurt
dans la matinée du 21 novembre. Autopsie. — Tou
pus cessent tout à fait de le nourrir, et le tissu osseux, abandonné
meurt
. On voit de suite la relation intime qui existe e
gère exfoliation ; si la moelle centrale a suppuré, toute la diaphyse
meurt
. Entre les deux se rencontrent tous les degrés.
n'y a pas de consanguinité. —Ils ont eu quatre enfants : l'aînée est
morte
en bas-âge, étant en nourrice ; la seconde est ce
nde est celle qui fait l'objet de notre observation; la troisième est
morte
à dix-huit ans, d'une fièvre typhoïde (?); elle é
avec la même intensité; il s'y joignit même de la diarrhée. Le malade
mourut
le 7 mars sans avoir eu ni somno-lence, ni tendan
té, si l'on en juge par le peu d'étendue de l'endroit mouillé. R...
meurt
à midi 45 minutes. La température prise cinq mi-n
20; T. R. 51°,8 à peine. 24 février ; une heure. Le malade vient de
mourir
. A la main, les membres sont un peu moins froids
lammé trouvé accidentellement par Scanzoni sur le cadavre d'une femme
morte
de pneumonie. Quant au quatrième degré, on ne le
e, d'une santé robuste, est mort par suite d'un accident; sa mère est
morte
du choléra. Quant à lui, il a eu, dans son enfanc
nombre de cas, la marche est surai-guë. Un enfant observé par Bœckel
meurt
au troisième jour. Dans le cas de Coîson, où la p
put se rendre maître assez rapidement. Une des malades ne tarda pas à
mourir
et la seconde succomba peu de jours après par inf
70 dans la quatrième division de médecine de l'hôpital de Hambourg et
meurt
deux jours après, le 26 à midi. Renseignements
ions avait débuté après qu'elle eût Uni de donner ses soins à sa mère
morte
d'un anthrax ; chez l'homme les symptômes se sont
e et autant de fois du pied droit. S'il ne le faisait pas. son père
mourrait
. Si des occupations le retenaient le jour, il fai
ptômes d'une diathèse hémorrhagique et hémophilique. Une de ses sœurs
mourut
en I88U, à l'âge de onze ans, de la même maladie.
de soixante-douze ans et se porte bien. Sa grand'mère maternelle est
morte
à cent deux ans, après avoir eu dix-neuf enfants.
d Jo la vis, elle avait perdu toute pudeur; son unique désir éiail de
mourir
Immédiatement. Je lui procurai un logement, la pl
tait en proie au désespoir et buvait sans cesse, dans le but avoué de
meure
fin le plus tôt possible à sa misérable existence
l avaithéritéde cette tendance de son père, et une de ses sœurs était
morte
d'alcoolisme. Il était susceptible jusqu'au trois
été faite. Sans doute on a dit à l'enfant qu'il deviendrait malade et
mourrait
jeune, s'il persévérait dans cette pratique ; on
e dans le service des maladies du nez et dû larynx du Dr Johnson, qui
mourut
fort peu de temps après que celte malade fut sort
malade revint; elle sortit guérie, et quelques jours après le Dr Pond
mourut
subitement. Dix-huit mois se passèrent. Mercredi
e «e montra encore à la * Métropolitain Médical Society »; il alla se
meure
au lit en annonçant qu'il ne se trouait pas bien.
il alla se meure au lit en annonçant qu'il ne se trouait pas bien. Il
mourut
dans la nuit d'accidents cardiaques, à l'Age de t
lade sans ta moindre crainte. Mais ?? '.minislraiion de l'hôpital rit
meure
sur les registre-, à côté du nom de celle-ci, la
Le musée anato-mique de Milan possède un spécimen d'une petite fille
morte
à l'âge de trois mois. La peau de cette enfant es
lorsqu'on vint me prendre à la hâte parce que, me dit-on, elle allait
mourir
. Elle avait tout simplement une belle crise d'hys
89, dont il avait été un des adhérent». M. Matbia» Roth, qni vient de
mourir
à un âge avancé, avait conservé pendant toute sa
ensuite pour une idée obsédante (elle était persuadée qu'elle devait
mourir
tel jour déterminé). Aussi u'ai-je pas bésité s
tel-Dieu). • M»* F..., 22 ans. Pas d'antécédents héréditaires. Mère
morte
d'une piqûre de serpent il y a douze ans. Père, 4
lui avaient fait embrasser le cadavre de sa grand'mère qui venait de
mourir
. Elle avait alors quinze ans et demi. Elle avait
ontinent se trouva affligée de maladie incogneue et demeurait parfois
morte
». La pauvre femme, au debut d'une grossesse, ava
ersonne, en entendit la parole en français (car elle était Française,
morte
il y a vingt ans». La môme chose fut observée p
visage du sujet, sa tête était tombée de côté. Un instant je la crus
morte
; celte pensée venait de traverser mon esprit comm
se de palpitations fréquentes qui lui causaient une grande frayeur de
mourir
. Ces palpitations étaient dues à sa profession, à
après l'avoir acheptée et soupçonnant que ledit Pierre ne l'eust fait
mourir
, il battit fermement ladite chèvre morte avec des
ledit Pierre ne l'eust fait mourir, il battit fermement ladite chèvre
morte
avec des bistons de coudre, et depuis a sçeu par
Dr A. de Fleury (de Bordeaux). M. le DF A. de Fleury, qui vient de
mourir
après avoir été pendant trente-deux ans médecin d
le Dr Prosper Despine (de Marseille). Prosper Despine. qoi Tient de
mourir
plus qu'octogénaire à Marseille, avait publié un
: On loi fait croire que l'on est le mari. De là l'air souriant de la
morte
. Chambige est peut-être sincère quand il affirme
sorciers : « Honorable Jean Painbis croyl que ledit greffier a fait
mourir
sa femme soit environ huit ans, comme aussi une s
ois ans et devint touto seiche et sadito fille aveugle, et finalement
moururent
; de quoy, luy qui dépose, se complaignant à ses v
le démon la tourmente? R. Qu'ouy, et qu'aujourd'huy à midy elle fusl
morte
sans le secours d'elle. /. Qui luy a appris qu'
R. Qu'estant assise seule près du feu, il le luy dit et qu'elle tomba
morte
(attaque syocopale hystérique). 'Comment il parla
uy a dit. Si elle en apperceust rien ? R. Qu'ouy et qu'elle demeura
morte
après qu'il luy cust pris un vomiscmcnt. Qu'ell
e mêle pas de deviner? R. Qu'elle ne devine pas. Si elle est tombée
morte
d'autres fois ? R. Qu'ouy. Si d'autres Tout int
si souvent. Que c'est qu'ils luy disent lors ? R. Qu'elle tomberoit
morte
et qu'ils l'estran-gleroyent parce qu'elle se fio
Ne luy avoir jamais rien deviné d'autre. Si elle demeura longtemps
morte
? R. Une heure, et que les autres fois elle ne de
es fois elle ne devinait pas. Comment elle scavoit qu'eue tomberoit
morte
? JÍ. Qu'il le luy dit lors, et qu'il perla à ell
s ? /t. Qu'ouy, et que lors le démon luy fait mal, et qu'elle demeure
morte
. La dessus a récité l'oraison de Nostre Père. E
déclamatoire, comme pathé- thique; elle répète toujours qu'elle est
morte
, qu'elle n'est plus elle. Les membres restent p
çue à droite ; rien à la face. ' Elle répète toujours qu'elle est
morte
, qu'elle n'a plus de corps. Il lui resle une ja
Antécédents héréditaires. La grand'mère du père de la ma- lade est
morte
démente, ainsi que son fils, grand-père paternel
ncolique; elle a peur de devenir malade, elle a le choléra, elle va
mourir
, demande pardon de ses fautes à tout le monde,
lière. Le 22 du même mois elle écrit : a Il est question de me voir
mourir
d'un moment à l'autre, on veut me tuer par rapp
xpier ses fautes. Dieu lui disait de ne rien manger, qu'elle derait
mourir
, car elle n'était pas digne de vivre. Quand elle
ières. Telle est la situation jusqu'en 1885, époque à la- quelle il
meurt
de tuberculose pulmonaire. Anatomie patholo- gi
subit sans succès l'élongation des deux nerfs sciatiques, lorsqu'il
mourut
deux ans après, on trouva les deux sciatiques,
congédiés, deux au bout d'un an étaient repris de la maladie et en
mouraient
; deux succombaient, l'un à une attaque d'apoplex
terminé des accidents psychiques. Le malade congédié comme amélioré
mourait
subitement au bout de quatre ' Voy. Arch. de Ne
, elle était atteinte de sur- dité suivie de mutisme. Elle vient de
mourir
de tuberculose, ce qui permet de pratiquer l'au
u tous les deux, se paralysent, la dyspnée s'aggrave et le plongeur
meurt
. Enfin, le qua- trième et plus grand degré « co
e des muscles. Plusieurs années peuvent s'é- couler, le malade peut
mourir
sans avoir présenté la totalité ou la plupart d
'un an ; nombreux excès de boisson. Mère, pas de détails ; elle est
morte
de la poitrine, dit-on, peu de temps après la nai
n ne sait de quoi ; 3° fille, mort-née ; 4° notre malade; 5° fille,
morte
à cinq mois, de la variole; 6° et 7° deux fille
éristiques d'une intoxica- tion arsenicale aiguë. Le 16 décembre il
meurt
. Nous repro- duisons ci-dessous le protocole de
leur façon. Sans aller jusqu'à penser comme M. Briand que ceux qui
meurent
sim- plement persécutés seraient peut-être deve
- tion détaillée en faveur de l'admission; mais, si le malade de-
meure
dans l'établissement, il faut que l'observation j
int continuellement, exclusivement de-ses battements de coeur) ; il
meurt
dans un accès (respiration difficile, stridente,
statuerait d'après l'avis conforme du médecin inspecteur... (Ru-
meurs
à gauche.) Permettez, je ne parle que de l'argume
e pendent dans leur écu- rie. D'eux d'entre eux, privés de secours,
meurent
; le troisième, secouru par sa femme, a pu racon
tal, pour régler des affaires d'intérêt, et on apprend, qu'elle est
morte
par pendaison. Cette mort semble inexplicable.
ju- rieux, des camouflets à son adresse. Il y a six ans, son père
meurt
aussi de mort violente. Après une longue maladi
isse deviner l'énigme. Elle a entendu son propriétaire dire : on ne
meurt
qu'une fois ! Enfin, à deux reprises, elle a eu d
r de son mari et de son enfant égal au sien, elle caresse l'idée de
mourir
en leur compagnie. Pendant un mois, elle harcèl
le son mari pour l'engager dans cette voie; celui-ci ne voulait pas
mourir
et résistait. Enfin elle triomphe de toutes les
de lui, après avoir été chercher sa fille qui, elle, ne voulant pas
mourir
. s'était tenue à l'écart et s'était couchée. El
nt typiques : « Je me suis gendarmée, je ne voulais pas que ma mère
meure
, mais elle le voulait absolument. Elle voulait
ma mère meure, mais elle le voulait absolument. Elle voulait qne je
meure
avec elle ; elle ne voulait pas que je reste su
rir pour faire plaisir à ma mère; ça lui faisait quelque chose de
mourir
; il ne voulait pas. Je disais à ma mère : Au moin
disais à ma mère : Au moins vis pour moi. » Elle répondait : - Nous
mourrons
tous les trois; tous trois dans le même cimetiè
nt difficile, l'intelligence s'altéra de plus en plus, et la malade
mourut
huit ans après le début de son affection. L'aut
et à l'assemblée des préparations d'écorce céré- Loale d'une malade
morte
de délire aigu. Femme mariée, sans enfants, âgé
pendant ces huit jours, on lui passe la sonde oesophagienne. Elle
meurt
néanmoins à 1 heure et demie après-midi. Autopsie
deux chiens et une chienne, le premier animal est chétif, le second
meurt
après quelques jours d'athrepsie le troisième m
étif, le second meurt après quelques jours d'athrepsie le troisième
meurt
le lendemain de la mise bas; il a des anomalies
nt manifestement près d'un gramme de moins que le droit. Le dernier
meurt
de péritonite probablement tuberculeuse. L'hémi
rale, par Zacher, 9. Délire aigu (écoroe cérébrale d'nne malade
morte
de), par Snell, 450. Délire chronique, par Ségl
t été transféré en province, au moment de la guerre. Mère, lingère,
morte
il y a quatre ans d'une affection chronique de la
ne boîte : « Ote-moi ces serpents!... Mon Dieu!... Oh! oh!... Je veux
mourir
... Ah! c'est fort... » Tantôt elle se débat, tant
maternelle épileptique et alcoolique. — Pas de consanguinité. — Sœur
morte
de convulsions. — Une autre mise en correction ju
2° fille, âgée de 22 ans, bien portante;— 3° notre malade; — 4° fille
morte
du croup à 17 ans, — 5° fille, 13 ans et demi; ch
se n'ont remarqué rien de particulier. Le matin on a trouvé Marcil...
morte
dans son lit. Autopsie. — L'examen des différen
ogne : il boit le lendemain ce qu'il a gagné la veille. — Sa mère est
morte
en couches. — D... a eu 4 frères ou sœurs, deux s
, D... n'entendait rien, glissait parfois de sa chaise, était « comme
morte
». On la couchait et, à son réveil, elle était tou
duré environ 15 minutes : elle était pâle, immobile, semblable à une
morte
. Consécutivement congestion de la face. Enjuin,
. Aujourd'hui, elle est triste, verse des larmes : « Je voudrais être
morte
. » Bientôt, elle rit. 1878. 15 avril. — Depuis
frappoit deffus à grands coups de verge, pour fçauoir fi elle eftoit
morte
, on lui fift mettre le feu aux parties les plus f
la maiftreiïe la laifferent eftendue en la place, penfant quelle fuft
morte
. Au matin elle fe trouue en fon lit couchée. De q
pour des maladies terribles. La femme même de Teste prédit qu'elle va
mourir
tel jour. Quelle anxiété pour le malheureux obser
r arrive, tous les adeptes se réunissent, l'heure passe, Mme Teste ne
meurt
pas. Croyez-vous que l'auteur est démonté ? Nulle
Croyez-vous que l'auteur est démonté ? Nullement : si elle n'est pas
morte
, c'est qu'elle avait pris une léthargie pour la m
, magnétiseur célèbre, qui montrait ses somnan-bules en spectacle, et
mourut
avec la plus belle réputation 21 de charlatan
gore, autres breuuages narcotiques, en forte que la perfonne (emblera
morte
, et neantmoins il y en a qu'on endort fi bien, qu
solide qui avait fait des excès de boisson dans sa jeunesse. — Mère,
morte
à 75 ans, d'une attaque d'apoplexie ; auparavant
s la dernière aflemblee, et ceux là font les mieux venus qui ont fait
mourir
le plus de perfonnes de beftes, qui ont baillé le
pourront, de nuire à leurs voi-fins, de les rendre malades, de faire
mourir
leur besftail, de fe venger de leurs ennemis, ufa
t sujette à des palpitations cardiaques, à des étouffements. Elle est
morte
presque subitement. R... n'a ni frères, ni sœurs,
convulsions à un seul côté du corps. Quand les enfants résistent et
meurent
deux, trois jours ou davantage après la fin des c
n'y a pas de consanguinité. — Us ont eu quatre enfants : l'aînée est
morte
en bas âge, étant en nourrice ; la seconde est ce
de est celle qui fait l'objet de notre observation ; la troisième est
morte
à 18 ans, d'une fièvre typhoïde (?) : elle était
le ; pas d'alcoolisme , etc. [Père , pas de renseigne -ments. — Mère,
morte
à 75 ans, d'un érysipèle. Aucun parent de ce côté
on mort à 6 semaines, on ne sait de quoi ; 3° notre malade ; 4° fille
morte
à 10 ans (hôpital Sainte-Eugénie), elle avait la
, mort d'une fièvre typhoïde à 42 ans ; il n'était pas nerveux. Mère,
morte
à 68 ans, on ne sait de quoi ; elle était très-ne
— Aucun parent n'aurait offert d'affections nerveuses, etc.] Mère,
morte
à 36 ans, d'une pneumonie. Jamais de phénomènes n
st mort hydropique en 1861. — Sa mère, sujette à des hémoptysies, est
morte
à la Salpètrière, en 1875, d'une « bronchite chro
ée par sa mère qui, alors, l'a abandonnée, ainsi que sa sœur jumelle,
morte
quelques semaines plus tard. Elle a été recueilli
i vu tout... Oh! là! là! » (Elle se débat). « Va-t-en !... Faites-moi
mourir
... Maintenant vous ferez... Qu'avez-vous à me dir
pour... Jamais on ne saura cela... Colonel X... Votre dame n'est pas
morte
... Votre fils... Maxime !... Je vois bien que tu
stomach me crève le cœur ! Je vous prie, priez » Dieu pour moi. Je me
meurs
! » Ce qui me fut incon-» tinent récité, dit Desp
Elle me dit : « Je dis adieu à mon-» sieur l'évêque et à vous, je me
meurs
. Priez Dieu » pour moi, je m'en vais mourir. » Pu
l'évêque et à vous, je me meurs. Priez Dieu » pour moi, je m'en vais
mourir
. » Puis inclina la tête » et ne parla plus. Ce qu
arla plus. Ce qui nous donna grande tristesse, » car elle était comme
morte
, n'ayant ni pouls ni sen-» timent... » Le mardi
es reprirent la malade. Comme on la portait sur son lit, « elle tombe
morte
, sans pouls, ni sentiment... Il semblait qu'elle
mie du matin. « Je croyais, dit la sous-surveillante , qu'elle allait
mourir
. » La compression faite par plusieurs personnes a
, à demander au commissaire de police de lui confier sa nièce. [Mère,
morte
asthmatique à 68 ans. — Père mort aux Invalides
ajoute que M. X... lui a promis de l'épouser dès que sa femme serait
morte
. Sur les dénégations ironiques de M. X..., elle s
i manquent, c’est-à-dire un extrait de toutes les forces de la nature
morte
et vivante, l’agent enfin qu’on appelle magnétism
nt le privilège le laissent paisiblement dormir et l’aideraieu même à
mourir
. a Néanmoins on y a publié de bons livres sur
isme serait accusé, non d’avoir tué le malade, mais de l’avoir laissé
mourir
, ce qu’on aurait évité par l’administration du su
i les mouvements du cœur ne rétablissent pas la circulation, le sujet
mourra
infailliblement. Il faut donc tâcher de réveiller
-il? C’est que le somnambule , en évoquant le souvenir d’une personne
morte
, parvient à la voir comme si elle était encore vi
. De ce qu’on imaginera et se représentera comme vivante une personne
morte
, il ne s’ensuit aucunement que celle-ci continue
ne dame, la comtesse de L..., demande que l’esprit de telle personne,
morte
depuis longtemps, vienne lui effleurer la main.
les mains des dames et des hommes ; — 2° que l’esprit d’une personne
morte
depuis longtemps a été évoqué à la demande d’une
Un homme dont l’horoscope montre qu’il est né pour une longue vie ne
meurt
pas dans l’enfance, et celui dont la naissance ma
eurs mœurs, les habitudes -qu'ils eurent, les maladies qui les firent
mourir
, etc., et ces phénomènes, parfaitement constatés,
e voiture, il leur communiqua une fièvre putride si grave que deux en
moururent
. Mais quelque ingénieuse que soit cette théorie
êve un homme qui, plaçant une main sur sa joue, lui annonça qu’il
mourrait
bientôt. Il jouissait alors d’une parfaite santé;
e Paolo, âgé de quatorze ans, était à l’agonie ; l’enfant, se sentant
mourir
, demanda qu’on envoyât chercher Philippe de Néri,
a couche funèbre au grand saisissement de l’assistance. « Voulez-vous
mourir
ou vivre ? lui demanda le saint. — J’ai entrevu a
nda le saint. — J’ai entrevu au ciel ma mère et mi sœur, j’aime mieux
mourir
, répondit l’enfant. » Et il retomba inanimé dans
e c’était la maladie régnante du pays, et qu’il fallait que le cheval
mourût
. A la vérité , c’était une maladie du sang produi
m’avait accompagné. La réponse fut que c’était ma sœur Anne qui était
morte
depuis vingt-deux ans. Je lui demandai s’il y ava
randes affaires l’étincelle sacrée que vous m’avez transmise, loin de
mourir
en moi, est digne encore de votre perpétuelle jeu
ne delà maladie qui gît dans l’intérieur du corps, sans cela l’enfant
mourrait
; il faut lui faire prendre d’abord intérieuremen
’arrache l’estomac, on me déchire les boyaux, disait-elle, je me sens
mourir
. Sa figure était livide et décomposée ; elle vomi
e; Aimons, adorons son auteur : En paix, le sage les contemple Et
meurt
sans douter... du bonheur. Dieu seul est Maître
e. Tel un charbon s’enflamme, s’il est approché d’un foyer ardent, et
meurt
dès qu’on l’en éloigne... u Tout est en mouveme
e animé par le mouvement universel de l’âtne du monde, mais destiné à
mourir
lentement, absorbé par les puissances astrales qu
r ce qu’elle vous redisait... bien avant d’être malade. — « Qu’elle
mourrait
jeune 1 — « Madame ajoute que (comme vous devez
rait de son vivant), bien que le sang vous tourmente parfois, vous ne
mourrez
pas de cela. Cependant elle vous engage à vous so
ne fille. Elle ne tarda pas, en effet, à nous apprendre qu’elle était
morte
à quinze ans et neuf mois ; qu’elle était née à N
hyogènes (2) de l’île de Chypre, les faisaient de même s’engourdir et
mourir
. D’où ce vers de Lucain : « Humnnoque cadit ser
Humnnoque cadit serpens aCIlata veneno. » (Phars.,1. 6.) Le serpent
meurt
au souffle empoisonné de l'homme (3). Un autre
nt le corps de son grand'père, de la mort prochaine de ce parent, qui
mourut
dans la semaine. La voyante disait qu'une envel
en Turquie, en Perse et aux Indes, 1G79. Tavernier était de Paris; il
mourut
en Russie, en 1G89. « Ces Voyages sont regardés «
à son art. Combien de médecins, et même des plus savants, ont laissé
mourir
leurs malades faute d’avoir eu recours aux pratiq
onner par derrière et tout près de l’anus, le coup de couteau dont il
mourut
après s’être débattu un court instant. Tremblant
étaient animés que du désir de sauver une pauvre créature condamnée à
mourir
jeune ; ce n’était pas même la pensée de s’éclair
les plus violents, et elle en fixa la dose : il y avait de quoi faire
mourir
un grand nombre de personnes. Cette substance à f
chaise après pour lui faire lâcher sa proie, et la pauvre bête tomber
morte
du coup. Le cafetier et sa femme, désolés, se dem
us alors appelé : qu’avait-on à craindre? la malade était condamnée à
mourir
de par la Faculté de médecine. O11 me mit donc en
les bras dans d'afireuses convulsions , sa mère qu'elle venait devoir
mourir
, disait-elle, devant ses yeux. « Après avoir de
dimanche à lundi, entre deux et trois heures du matin, sa mère était
morte
des suites d’une chute qu’elle avait faite en tom
Cet officieux personnage se retira en débitant la tirade d’habitude,
morte
d’une fièvre cérébrale amenée par un appauvrissem
ue celui de l’intelligence, mais il parait que ce dernier ne fait pas
mourir
aussi vite. Voilà , mon cher maître, le récit s
chaient à percer d’impénétrables mystères. « Le premier de « nous qui
mourra
, se dirent-ils maintes fois, reviendra don-« ner
ette célébré tragédienne avait repoussé les hommages d’un M. S"‘, qui
mourut
de désespoir amoureux, et qui, en mourant, déclar
proprement dite, mais les paroles qu'il entend sont pour lui lettre
morte
, il n'en comprend pas le sens. Il est atteint de
rapport avec l'idée correspondante et le mot prononcé reste lettre
morte
, on ne le comprend pas ; la branche qui irrigue
Après 10 mois de mariage, il est né, à terme; une fillette qui est
morte
à l'âge de 17 mois d'une hroncho-pneumonie. `
it pas ; vers le 3 mois elle avait eu sa première dent. Lorsqu'elle
mourut
, elle en avait 17, toutes en bon état. , Sa s
nt qui est atteint manifestement de ma- ladie de Little. Cet enfant
meurt
de broncho-pneumonie. Deux ans plus tard, naiss
testable d'association de tabes et de paralysie générale. Le malade
meurt
les circonstances me permettent de faire l'autops
st mort subitement à 53 ans. Sa mère d'inlelli- gence ordinaire est
morte
encore jeune d'une tumeur ( ? ). Son grand-père
constata les signes d'une vive congestion pulmonaire et le ma- lade
mourut
le 28 janvier 1894. Autopsie. Les méninges sont
héréditaires ne présentent rien d'intéressant à noter. Sa mère est
morte
de suites de couches. Son père est bien portant.
s, elle fit une grossesse, accoucha à terme d'un enfant vivant, qui
mourut
quelques heures après la naissance. Jamais de fau
ir par cette opération, elle étoit bien aise de la lui épargner, et
mourir
pour mourir, il falloit autant qu'elle ne souff
opération, elle étoit bien aise de la lui épargner, et mourir pour
mourir
, il falloit autant qu'elle ne souffrît pas. »
ns, ne présente aucun antécédent héréditaire important. Sa mère est
morte
, il un âge assez avancé, de tuberculose pulmona
xer dans sa ville natale où il ouvrit un atelier très fréquenté, et
mourut
prévôt de la Monnaie. Il peignait dans tous les
ifique, applicable l'affection décrite par M. P. Maire. Le malade
mourut
d'asystolie ainsi qu'il arrive si souvent en pare
connaît pas la date de début de ses attaques. Une de ses soeurs est
morte
aliénée. Les attaques d'épilepsie ne sont pas
e avoir vécu la plus grande partie de sa vie dans cette ville où il
mourut
en 1G1G (1). Jérôme Bosch a été le créateur d'u
e son premier maître, Marie Coecke, beaucoup plus jeune que lui. Il
mourut
six ans après, en 1569, laissant deux fils, Pierr
médicale de ce curieux document a été magistralement faite. Il de-
meure
avéré que Pierre Bruegel a rendu avec une vérité
année où l'ar- tiste vivait à Bruxelles et à la fin de laquelle il
mourut
. Une procession du même genre a lieu de temps i
nviron 3/4 d'heure pendant lesquels on croirait que l'intéressée va
mourir
. Elle sort de sa crise courbaturée pendant 2 à
jours, d'une fluxion de poitrine. , La grand'mère maternelle est
morte
à 60 ans de fatigues et de sénilité précoce.
terme normalement, d'une fille qui ne, fut pas allaitée au sein et
mourut
à 6 mois de convulsions, en nourrice. Les crise
sent avec ceux de van der IIelst. Sa première femme Anneke Iiarmens
mourut
en 16-16. L'année suivante, il épousa Lijs- bet
nt de lui quelques bons tableaux de genre et des natures mortes. Il
mourut
1 IIaarleln en 1659. .. Frans liais le Jeune
zip4.0 se fixer dans sa ville natale, à Utrecht. Il y fil école, et
mourut
en 1652. Ses Paysages italiens sont répandus dans
répandus dans presque tous les musées de l'Europe. - Andries Both
mourut
d'une façon tragique; à Venise, en 1650. A la sui
ndes et fonda- l'académie des Beaux-Arts d'Anvers. Teniers le Jeune
mourut
à Bruxelles en 1690, âgé de 80 ans. Ce grand ar
rie de Délit; il séjourna quelque temps à Leyde, puis à Ilaarlem où
mourut
sa femme. ' , Jan Steen revint à Leyde vers 167
épousa en secondes noces, Maria van Egmond, veuve d'un libraire. Il
mourut
dans sa ville natale, le 3 février 1679. r On
emps malade.'Sa mère est bien portante. Elle a eu une soeur qui est
morte
de la poitrine. On ne trouve aucune lare névropat
ec de grandes oscil- lations,la malade tombe dans le subdélirium et
meurt
le -1 er décembre 1892, emportée par des compli
grande frayeur. Ou lui a annoncé subitement que sa fille venait de
mourir
. Il n'en était rien. Celle-ci, vrai- semblablem
erveilles ; tout nous l’indique. Mais que de travaux, et que d’hommes
mourront
à la peine! Le ciel ne s’escalade point, on ne pa
té enseigne le secret d’une eau minérale qui fait reverdir une plante
morte
qui a sa racine, et qui la met en même état que s
onclut en ces termes : Ce secret nous apprend qu’encor que le corps
meure
, Les formes font pourtant aux cendres leur deme
té de la Philos, nat. longtemps prolongée de la main d’une personne
morte
de maladie lente, pour la cure des engorgements c
atique pouvait être irréligieuse, il éloigna ces jeunes personnes, et
mourut
dans un état de consomption trois mois après leur
e intimité, et à plusieurs années d’intervalle , avec deux femmes qui
moururent
des suites d’une affection tuberculeuse; pendant
vaux mesniéricns n’ont plus d’écho dans notre ville. Notre Société se
meurt
d’inanition. La curiosité du merveilleux est le p
et le chaud, les irritants et les émollients, guérissent et laissent
mourir
tour à tour, sans qu’aucune cause, aucun phénomèn
e décompose ; tout le corps prend l’aspect d’un cadavre, et le malade
meurt
au bout de quelques heures. D’autres fois la ma
t; ces symptômes se succèdent plus 011 moins rapidement, et le malade
meurt
presque toujours en parfaite connaissance, parfoi
un état nerveux qui lui donne presque des moments de fureur, puis il
meurt
habituellement après un mouvement brusque, des fo
. Enfin la malade aussi est guérie de tous ses maux, dont elle serait
morte
en août prochain, s’il faut ajouter foi à sa préd
a mémoire, et regretteront d’avoir été ingrats : cela lui suffit ; il
meurt
s’en rapportant au temps et à l’histoire, qui pla
û Mesmer ! d’âge en âge, Je vois grandir ton image : La vérité no
meurt
pas I Un tout jeune homme, avenir du magnétisme
— Le docteur Lcdure, qui s’occupait un peu du magnétisme, vient de
mourir
du choléra. Il a été traité par l’homéopathie , à
in on chercha vainement à l’endormir; c’était d’un mauvais augure: il
mourut
, en effet, le jour suivant. (La suite prochaine
: « Ce n’est pas une chose, c’est une « pensée (2). — L’âme peut-elle
mourir
, lui défi) Les paroles de ce jeune homme sont cit
ouchait à sa fin lorsqu’il fut soudainement atteint du choléra, il en
mourut
le i3 novembre. Vingt-sixième observation. Hu
nulle puissance ne peut mettre en défaut....... » Court de Gébelin
mourut
au moment même où il affirmait sa guérison ; cl c
léance qu’elle adressait à une de ses parentes dont le mari venait de
mourir
. Quand je m’élève assez pour contempler su gloi
s les accidents propres à cette maladie. On a même vu des personnes
mourir
à la suite d’une perturbation morale? « Je ne t
peut la séparer Complètement du fluide nerveux ; et c’est ainsi qu’on
meurt
de doiileur oii de plaisir. La sytteope proltingé
deux infortunés, donna des larmes à leur fin tragique, et crut qu’ils
mouraient
innocents. 11 fut encore confirmé dans cette nouv
s d’une petite chienne qui était à Théobon : cette petite ohieqne est
morte
enragée; de sorte que Ludre, Coëtlogon et Rouvroi
e Dentu, éditeur des ouvrages de MM. de Puységur et Deleuze, vient de
mourir
subitement. Le magnétisme perd en lui un ardent p
t, sans lui témoigner quelque reconnaissance de ses beaux travaux. Il
mourut
sans être encouragé par ceux dont il préparait l’
t si courageusement notre art, et dont la mémoire sera impérissable ,
mourut
sans qu’on daignât faire quelque chose pour lui.
avait faitjouer, selivrèrentauplus profond désespoir ; plusieurs même
moururent
de chagrin. D' Alvïid PERRIER. (La suite proc
Ammien Marccllin (3) nous fait connaître que l’empereur Valens fit
mourir
une vieille femme qui avait la réputation de guér
dans le silence, guérissent les êtres que la fausse science laissait
mourir
. Attendant cette heure, qui viendra pour nous-mêm
i forment le faisceau de la science officielle représentent la nature
morte
; l’autre, au contraire , connue seulement encore
Constance , à lage de 81 ans. Un « somnambule lui avait dit qu’il ne
mourrait
qu’à « l’âge de 84 ans. • {Journal de l'Empire
fuis vile ! c’est ici que le mensonge a des autels ! c’est ici qu’on
meurt
en l’adorant, et qu’on lui tresse des couronnes!
s seront aussi habiles qu’ils l’ont été lors de ses deux invasions.
Mourez
, pauvres humains ! La science est impuissante; ma
es mes expériences , j’entonnerai le cantique d’actions de grâces, je
mourrai
le cœur content. » L’attention du ministère pub
écédents héréditaires. -- Père, âgé de 74 ans, bien portant. - Mère
morte
aphasique et hémiplégique droite à l'âge de 64 an
dit Guinon (p. î 1), peur de tout et de rien en même temps, peur de
mourir
, de devenir fous, de perdre connaissance. En ré
ns : on lui vole son bien, on le trompe, etc. Ainsi, sa femme étant
morte
depuis qu'il est à l'asile, il n'a pas voulu le
our lui prendre son bien. 11 ne veut pas croire que sa femme soit
morte
, parce qu'on n'aurait pas pu faire les affaires s
et, il fut repris plus tard et amélioré de la même façon. 11 vint à
mourir
de la phtisie pulmonaire dont il était atteint.
dont il s'agitest une femme âgée de cinquante-six ans, épileptique,
morte
le 18 septembre 1884 à l'asile de Rainhill d'une
relatée dans tous ses détails : 1. Excentricité du père ; la mère
meurt
avec abaissement pro- gressif physique et menta
très prononcé. Jamais de paralysie ni d'autres accidents physiques.
Meurt
à soixante-quatorze ans, en juin 1886, de maras
des accès de lièvre, si bien qu'en onze mois au plus, les patients
moururent
. On put pratiquer quatre autopsies; on trouva l
rt dans la prochaine séance. 11. Brie montre le cerveau d'une femme
morte
de paralysie géné- rale syphilitique ( ? ) Le s
n grand- père est mort d'une attaque d'apoplexie, sa grand'mère est
morte
, très vieille avec une paraplégie de nature in
c une paraplégie de nature inconnue, de durée courte. Une tante est
morte
poitrinaire. - Dans la ligne mater- nelle : le
ière, est âgée de quarante ans. Antécédents héréditaires. -- Mère
morte
à soixante-trois ans d'une tumeur fibreuse. Gra
- Mère morte à soixante-trois ans d'une tumeur fibreuse. Grand'mère
morte
hydropique. Une tante est morte à soixante-quin
d'une tumeur fibreuse. Grand'mère morte hydropique. Une tante est
morte
à soixante-quinze ans. Elle avait été atteinte pe
B..., âgée de 57 ans, couturière. Antécédents héréditaires. - Mère
morte
à cinquante-huit ans d'une hernie étranglée opé
hemin de fer, est mort d'un accident, et deux soeurs dont l'une est
morte
à trente-sept ans, d'une affection du rectum ( ?
des renseignements incomplets. Une soeur, la seule d'ailleurs, est
morte
d'une affection chronique ( ? ) qui a duré un a
tous les tubes nerveux. - Autre observation. Un ma- lade d'Alberti
mourut
de pyohémie après avoir pré- senté une paralysi
travers la plaie, il s'y produisit de nouveaux foyers, et le malade
mourut
. Excellentes descriptions, parfaite dis- cussio
hagie; bientôt impossibilité de mouvoir la tête, elle étouffe, elle
meurt
. La maladie a duré 3 jours. On trouve un cysticer
n degré d'intelligence. Accès d'épilepsie, intervalles irréguliers.
Meurt
dans un accès le 15 mai 1886. Autopsie. Fracture
hésitante, peu intelligente, mais sans lacunes mentales grossières,
meurt
d'urémie (néphrite parenchymateuse chronique bi
urs accès d'épilepsie partielle. Au commencement de 1890, le malade
mourut
de phtisie pul- monaire. Au point de vue intell
; le malade est déprimé, hypochondriaque, il a une peur horrible de
mourir
, la fréquence et l'intensité de ce syndrome sur
éjà fait anté- rieurement deux tentatives de suicide. - La mère est
morte
à l'Hôtel-Dieu d'une attaque de paralysie. '
lade, qui eut lieu le 24 août 1889 et d'une façon normale. L'enfant
mourut
au bout de quinze jours. Quant t à la malade, q
iait les personnes qui le faisaient d'attendre au moins qu'elle fût
morte
. Elle les traitait de voyous et disait qu'elles
sseur. Elle s'inquiétait beaucoup de ce qu'é- tait devenue sa mère,
morte
depuis longtemps. Elle demandait où elle était,
p demandait toujours à rentrer chez elle, prétendait qu'elle allait
mourir
. Au bout de six semaines elle rentra chez elle.
u'est-ce que j'ai donc fait pour souffrir ainsi ; faites-moi plutôt
mourir
. » Elle disait voir un grand trou, dans lequel
de jeter son fils et sa mère. Quand on lui disait que sa mère était
morte
, elle répondait qu'elle venait de la voir, qu'e
rdu la faculté de satisfaire ses besoins physiques au point qu'elle
meurt
au milieu de l'abondance. Cepen- dant les expér
s- faisante, parce que contrairement aux vertébrés inférieurs ils
meurent
rapidement après l'opération. Cependant les centr
quinze jours, la soeur de Bellet, une petite fille de cinq ans, est
morte
à la suite d'un mal inexpliqué, et que l'enquêt
étendue sur le seuil, toute mouillée, froide et inanimée. On la crut
morte
... Plus tard, interrogée par le médecin, toujou
uissant génie, qui, après avoir un moment rempli le monde de son nom,
mourut
pauvre et ignoré sur les bords de ce même Rhin, o
ande porte d’entrée dans la vie spirituelle; mais on peut commencer à
mourir
dès ici-bas ; tout le monde subit même cette tran
ernel ; c'est, là probablement qu’habitent les justes. Mais cc soleil
mourra
et s'éteindra. 11 est ce que saint Pierre appelle
r à l’écarté, et au dernier restant, quel serait celui des troisi qui‘
mourrait
île premier. Le plus jeune s’opposait vivement à
une, celui qui avait d’a-bOfd1 refusé'dë jbuer, perdit la seconde, et
mourut
dix jours après son frère, c’est -à -dire le 26 f
, un médecin arrive et celui-ci constate que la pauvre femme est bien
morte
, mais qu elle vient à l’instant même de rendre le
foi vive et simple qui s’est perdue au fur et à mesure que la science
morte
l’a remplacée et vouée au ridicule, à défaut de p
ui'demandai-je. « — Du docteur M. « — Mais le docteur M. vient de
mourir
. « — C’est précisément parce qu'il est moit qu’
et son conseiller intime jusqu'au jour où elle l’oublia et le laissa
mourir
de misère. » Notre dernière citation est extrai
Par pitié, Monsieur, dites-moi ce qu’il faut faire à mon mari qui se
meurt
de la poitrine? — Donnez-lui de l’eau de riz !
esprit est dans l’espace, et si vous voulez évoquer quelque personne
morte
, vous la verrez. A l’instant même, elle joignit
mencé, tombe à genoux, et, fondant en larmes, s éciie . « Ma mère est
morte
il y a six mois ! » Sa douleur était tellement pr
ays pour qu’elle fût déposée sur le tombeau de sa mère, effectivement
morte
, comme nous l’apprîmes ensuite, à peu près àl’épo
aire accroire, mais bien pour votre enfant que la médecine va laisser
mourir
, parce qu’elle n’a pas su remonter à la source du
au huitième mois de votre grossesse? N’avez-vous pas alors manqué de
mourir
et n’avez-vous pas été obligée d'avoir recours à
put continuer son voyage , comprit, non sans désespoir, qu’il allait
mourir
, et témoigna un désir ardent de voir le roi de Pr
travers la forêt. Au point du jour, mon cheval s’abattit sous moi et
mourut
. Je tombai moi-même sans connaissance; mes gens,
ent au pied d’un arbre, sous mon cheval et la tête brisée. Je faillis
mourir
, et ce ne fut qu’après trois semaines de fièvre c
uit sonnait. Le feld-maréchal Gerhart Lebrecht de Blücher venait de
mourir
. « Sam. MAGNÉTISATION DES OISEAUX. Nous t
s mois, que M. Louis d’Assas, l’auteur de la Vénus de Milo, venait de
mourir
subitement. On sait peut-être que M. L. d’Assas
s voies de la Providence » en retenant ici bas des gens qui autrement
mourraient
en paix et d’une manière respectable. Au nombre
NS d’OUTRE-TOMBE. Une tante de Mm* ***, se trouvant sur le point de
mourir
, était fort affligée de laisser sur la terre une
le reviendrait la chercher. Trois mois après, la jeune personne était
morte
. En rapportant ce fait d’une de ses parentes, M
ave maladie chronique et qui sentait sa position, ajouta que, si elle
mourait
, elle reviendrait chercher un de ses enfants quel
endrai le chercher. » Quelque temps après cette conversation, M“' ***
mourut
un mercredi et ne put être enterrée que le vendre
cessive rapidité et en dépit de tous les soins possibles. L’enfant
mourut
uu mercredi et ne put être enterré que le vendred
ing, à neuf milles de sa demeure, dans la maison de son père, où elle
mourut
le 4 juin 1691. La veille de sa mort, elle ressen
on mari de louer un cheval, pour qu’elle puisse aller à Rochester, et
mourir
près de ses enfants. On lui fait observer qu'elle
ncore vers dix heures du soir. Elle se montre parfaitement résignée à
mourir
et pleine de confiance dans la miséricorde divine
ut donc que la malade était évanouie, et ne savait trop si elle était
morte
ou vivante. Lorsqu'elle revint à elle, elle racon
res; ces songes m’affligeaient au delà de toute expression ; ma femme
mourut
un an après sa couche, et le fils ne vécut que tr
ts, je leur dis: notre cousin l’officier viefit chercher son père. Il
mourut
trois jours après, à Fontenville, (Belgique), à c
puis plusieurs semaines, ne donnant plus signe de vie, fut tenue pour
morte
par ses parents et amis, qui s’empressèrent de l’
ce qui s’était fait autour d’elle depuis l’instant où on l’avait crue
morte
. Elle nomma la personne qui lui avait couvert les
un lama bokte fera éclater sa puissance ; il se tuera, sans pourtant
mourir
... » Je cite maintenant les propres paroles du
lé, elle m’a dit: «Tu tardes bien I prends garde ! quelquefois on
meurt
de la guerre sans aller à la guerre ! » J'ai voul
Le jeune officier 11e douta pas un seul instant que sa fiancée ne fût
morte
; il étendit la main, prit un de ses pistolets et
out à coup à sa femme : e Va me chercher ma fille, car je suis sûr de
mourir
cette nuit, je l'ai rêvé la nuit dernière. » En v
d'une personne de New-York parfaitement digne de foi. Un homme âgé
mourut
dernièrement après avoir passé huit ans dans un é
achant, alla quérir un médecin, qui, après avoir rassuré la mère plus
morte
que vive, fit subir à l'enfant un traitement appr
nsacrait tous ses instants à ses malades. 11 n a jamais été marié; il
mourut
en 1771, et longtemps après sa mort, beaucoup de
rits, comme on m’appelait : mais elle répondit qu’elle aimerait mieux
mourir
que d'être guérie par le diable. Elle appartenait
ux. Quelque temps après, il se persuada que Dieu lui ordonnait de
mourir
sur la croix ; il réfléchit pendant deux ans sur
l'hospice des insensés; il s'y épuisa par des jeûnes volontaires et
mourut
phtisique le 8 avril 1806. ' Bibliothèque méd
apparurent à l'oeil droit et la cécité devint complète. La malade
mourut
dans le coma, dix-huit mois environ après le débu
ntisyphilitique énergique auquel il fut sou- mis, il ne tarda pas à
mourir
, après avoir présenté une agitation violente bi
temps, le malade dépérit, devient déprimé, peureux, croit qu'il va
mourir
, se sent abattu, tour- menté d'angoisse cardiaq
présenté à plusieurs reprises des manifestations rhumatismales. Il
mourut
d'hémorragie céré- brale à soixante et un ans.
e à soixante et un ans. Sa mère était parfaitement équili- brée, et
mourut
de pneumonie. Elle a trois frères et une soeur :
s jours auparavant, alors qu'il était encore à Paris. Le soir, elle
mourait
ayant auprès d'elle sa famille qui s'était empa
Ses persécuteurs ne lui épargnent aucune souffrance ; on « le fait
mourir
à petit feu ». Les hallucinations de l'ouïe ont
. Georges L : ..., vingt-huit ans. bijoutier. Père alcoolique, mère
morte
de diabète. Le malade se disait toujours bien p
s symptômes de la para- SOCIÉTÉS SAVANTES. ibis lysie générale et
meurt
trois mois après et cependant les lésions histo
un enfant ayant subi une infection grave eut des convulsions, puis
mourut
. On trouva, à l'autopsie, des lésions manifestes
illante fut renversée et, le pauvre petit fut tellement brûlé qu'il
mourut
peu de temps après. Devant le tribunal, Martin
lsl20. Bientôt survient du stertor. Le malade entre dans le coma et
meurt
vers 4 heures de l'après-midi avec 40°,5. Aut
cters. Le soir, température 40°,8 il à gauche, 40°,0 à droite. Elle
meurt
à 7 heures, sans convulsions. Autopsie. Bras dr
on est plus forte au réveil ; enfin le malade tombe dans le coma et
meurt
, avec ou sans convulsions, La mort est, en effe
ant ses clients, elle s'écria brusquement : « Oh ! ma tête, je vais
mourir
! » et elle tomba. Après sa chute, elle ne put
de lui porter secours; mais il était trop tard. La malheureuse est
morte
dans d'atroces souf- frances. (Le Journal, l8 j
ure détermine une paralysie des extrémités postérieures et l'animal
meurt
quelques heures plus tard de lésions intestinal
es grands créateurs sont souvent, non des insensés, mais des dor-
meurs
éveillés perdus dans leur abstraction subconscien
ment chirurgical du pied bot paralytique. Ballard (Julien). Comment
meurent
les épi- leptiques. Ballet (Victor). De la para
i aux poumons, si ce n'est quelques signes d'emphysème. La malade
meurt
subitement le lendemain, à 7 heures du matin. V
adapter aux nouvelles conditions de la vie et que certains éléments
meurent
tandis que d'autres survivent et continuent à p
'observation se rapporte aune enfant entrée à l'Asile à onze ans et
morte
à dix-sept et présentant tousles symptômes de la
t continue de s'aggraver, la température monte à 40°,0 et le malade
meurt
dans la nuit. Autopsie, le 10 avril. Cerveau. -
une polynévrite antérieure plus ou moins accusée et que le malade
meurt
avec des lésions étendues à tout son neurone mo
0 CLINIQUE MENTALE. Père alcoolique, mort; s'enivrait souvent. Mère
morte
; pas de renseignements. Deux frères et trois so
enseignements. Deux frères et trois soeurs bien portants. Une soeur
morte
tuberculeuse. Antécédents personnels. Aucune ma
ans. - Grand-père paternel mort aliéné à Bicêtre. Tante paternelle
morte
à Sainte- Anne. Père presque en démence, alcool
e en démence, alcoolique, boit du rhum tous les matins à jeun. Mère
morte
d'une affection cérébrale, encépha- lite ( ? )
ires. Père alcoolique fieffé, mort en prison; arrêté pour vol. Mère
morte
également, pas de renseignements sur la cause d
s plusieurs années dans un asile d'aliénés en pro- vince. Une soeur
morte
, nous ne savons de quelle maladie. Antécédents
as de renseignements sur la famille ¡Jutemelle. -1llèl'e, nerveuse,
morte
ci trente-deux ans d'une affection cardiaque. -
sans cependant avoir des attaques de nerfs. Caractère peu commode.
Morte
onze jours après son mari d'une affection cardi
elle n'étant ni enserrée ni modifiée dans sa consistance. Le malade
mourut
de septicémie. Autopsie. Ramollissement de la m
matin seulement, à mon réveil, que je me suis aperçu qu'elle était
morte
. M. Kien a ouvert immédiatement une enquête, et
côté (chute de la paupière supérieure). En octobre 1893, la malade
meurt
dans une attaque apoplectiforme. L'aulolJsie
uvoir, sa sortie qui est décidée. Au moment de quitter l'asile elle
meurt
subitement par rupture du coeur, six semaines a
HO-MOTRICES. 471 qu'il attribuait à « du monde dans l'estomac ». Il
mourut
de cancer de l'estomac et ses méninges présenta
idiotie avec cécité. Le malade eut dix frères et soeurs. La plupart
moururent
en bas Age, sauf un frère paraissant jouir actu
ram- mes ; petit, flasque, libres musculaires de coloration feuille
morte
; surcharge graisseuse du ventricule droit, les
ons électriques (signe d'Erb), réalisait le tableau classique. Elle
mourut
au bout de vingt-cinq jours. A l'autopsie, l'exam
tive. ' X. NÉCROLOGIE. Le D'CALES. Le D1' J.-G. Calés vient de
mourir
à l'âge de soixante et onze ans à l'asile des a
âge, à en manger, mais il eut de l'insomnie, une fièvre cérébrale et
mourut
(Journal de médecine, août 1760). Un accusé cri
e de rhumatisme déformant avec ankyloses multiples. Un frère vient de
mourir
de phtisie galopante à l'âge de dix-sept ans. Une
s plus intéressantes. Il y a quelques mois une dame, veuve Guindrand,
mourait
laissant par testament une somme de 300,000 franc
sans peine, la transportèrent à Azpeitia, tremblant qu'elle ne vint à
mourir
en route. Quand ils arrivèrent, le saint prêchait
vice le 24 novembre. Bien constitué, lymphatico-nerveux, d'une mère
morte
tuberculeuse, il a fait 5 ans de service militair
ainsi sur la trace des autres. Ils marchaient à peine; un d'entre eux
mourut
le même jour. Tous étaient excessivement maigres
yait jamais; elle était nerveuse et probablement hystérique, elle est
morte
à 27 ans, de pyoémie, dit-on. Son père, remarié
sser s'emparer de lui complètement, parce que, disait-il encore, il «
mourrait
sûrement s'il avait peur jusqu'au bout ». Cet hom
de corps » et qu'elle ressentait en même temps « une peur affreuse de
mourir
subitement si elle se laissait aller à y penser »
l'appropriation, l'orientation motrice, etc., de crainte do les voir
mourir
sans baptème. Et cette autre fonction qui fait
échargé de son péché. « Ou bien, il doit boire, jusqu'à ce qu'il en
meure
, de l'urine de vache, de l'eau, du lait, du beurr
deviennent terrifiants, l'idée de la mort la poursuit. Elle a peur de
mourir
toute seule dans sa chambre ou dans la rue avant
e éprouve un chagrin de famille et aussitôt l'état empire. La peur de
mourir
la pousse à se précipiter par la fenêtre ou dans
tement qu'elle ne pouvait faire autrement que de dormir. On la trouva
morte
subitement dans son lit un matin. Elle avait succ
se présente à celui qui rêve sous la forme d'un animai ou d'une chose
morte
qui a quelque analogie avec le membre. Ce cinquiè
s. Pourquoi, je n'en sais rien ; je vous assure que je ne pense pas à
mourir
, et je commence môme à avoir peur, mais j'ai beau
ant cette malade en état d'hypnotisme, on apprend que sa mère qui est
morte
lui apparaît pendant ses rêves, lui fait des repr
me lever encore ; mais plus moyen de me tenir debout. La jambe était
morte
. On fit mander en toute hâte le docteur Lambrecht
Une femme, émotive et d'une affectivité exagérée, dont la sœur est
morte
paralytique et dont le mari, également mort depui
isme chronique; la mère, après des accidents de manie hystérique, est
morte
dans un asile d'aliénés. L'aîné s'est suicidé à
nts sont peu intenses, l'organisme s'étiole, s'affaiblit et finit par
mourir
; quand la vitalité est puissante, c'est que ces
eur de Ramier, si la cellule constituante de la fibre qui est blessée
meurt
). Si la section a lieu sur une racine postérieure
ou non du roi des enfers. Dans un conte annamite, une femme de Sadec
meurt
. Après une nuit de catalepsie, elle revient à ell
Je venais de commencer à pratiquer l'hypnotisme à Lausanne quand elle
mourut
, et c'est alors que j'appris son secret. « Lors
sait-elle pas: « Si un bœuf frappe un homme ou une femme et qu'ils en
meurent
, lé bœuf sera lapidé et sa chair ne sera pas mang
ue; sa vie ne nous donne rien d'important à signaler. La mère est
morte
de phthisic pulmonaire ; sa maladie a duré fort l
aussettes, avec des vêtements déguenillés, et, de plus, il paraissait
mourir
de faim. Une nuit, il alla dormir dans une écurie
au donné par un chirurgien fera revenir à la vie un malade condamné à
mourir
sans cela. Je ferai cependant l'observation que,
ps attablé chez ses amis ou dans les cabarets de l'endroit. Cet homme
mourut
après une courte maladie. A partir de ce moment,
rriture. Peu à peu, ce chien s'amaigrît. Au bout de quelques mois, il
mourut
dans le marasme. L'action de la peur chez les a
lètement. A vingt ans, elle se marie, elle a un enfant, mais celui-ci
meurt
il y a dix-huit mois et elle en éprouve un chagri
esse d'injurier la Providence, il arrivera des malheurs, que son mari
mourra
, etc. De sorte qu'elle est sans cesse balancée en
rté. Mère un peu nerveuse, sans attaques. Grand'mère mater- nelle
morte
après deux attaques d'apoplexie. Père alcoolique
ue ce soit sous l'influence directe de la tuberculose dont elle est
morte
. Quant à l'observation de Gubler, citée par Wei
ement de la face à gauche et dans la moitié de la langue; la malade
mourut
subitement ou du moins très rapidement, l'autop
es lèvres en particulier), la peau desséchée et terreuse, le malade
meurt
dans le marasme le 21 mars, à 6 heures du soir.
'a jamais été totalement abolie, la parole n'est jamais revenue. Il
meurt
le 19 mai, à six heures du soir. Autopsie (prat
ut, nous trouvons : Du côté paternel : une cousine germaine du père
morte
folle dans un asile. La l'orme d'aliénation men
enues. La grand'- mère du grand-père maternel a été folle. Elle est
morte
dans une maison de santé. Parmi les collatéraux
un voyage de douze milles, de somnolence bientôt suivie de coma, et
mourut
en six heures. II. Intoxication et coma acéto
rébral; par M. MAYET. (Lyon méd., 1884, t. XLV.) Chez une femme qui
mourut
après trente-six heures de coma, on trouva l'ar
même temps elle s'affaiblit d'une façon rapidement progres- sive et
meurt
le 18 février. Les constatations faites à l'aut
mes ; sept semaines après son admission, il se calme tout à coup et
meurt
une demi-heure après. A l'autopsie, on trouve l
irer. Après dix jours d'une agitation violente et conti- nuelle, il
meurt
rapidement. A l'autopsie, on ne trouve aucune t
atrophie partielle du nerf lui-même. Le ganglion ventral postérieur
meurt
après le faisceau de Vicq d'Azyr correspondant;
, en arrière du grand entrecroisement de la calotte ; en même temps
meurt
le faisceau de la calotte. L'ablation d'un hé-
inconnue, mais ne se rattachant pas au système nerveux ; grand'mère
morte
à soixante-dix ans d'Une maladie inconnue, étai
5°, âgé de cinquante-huit ans, se porte bien. Côté maternel. Mère
morte
de consomption, à l'âge de cinquante-quatre ans
le système nerveux. Collatéraux. Six frères ou soeurs : il,, soeur,
morte
à cinq ans du croup ; 2° soeur morte à dix-huit
frères ou soeurs : il,, soeur, morte à cinq ans du croup ; 2° soeur
morte
à dix-huit ans d'athrepsie ; 3°, mort-né ; 4°,
avail. 23 septembre 1885, M. G..., âgé de quarante-neuf ans. Mère
morte
d'une attaque d'apoplexie; père rhumatisant, es
sements ; il n'est pas très obèse. Grand mère maternelle génoise,
morte
à soixante-dix ans, à la suite d'une paralysie
e, eut des convulsions épileptiformes par hémorrhagie cérébrale, et
meurt
paralysée longtemps après. Grand-père paterne
oyaux de l'écorce. Quant à la pneumonie dite alimentaire, la malade
mourait
dans la nuit du samedi au dimanche; or, dès le
ses compagnons, devientsitiophobe, parce que « ses pauvres enfants
meurent
de faim », prend une physionomie déprimée, gémi
paralysie générale n'évolua pas du tout rapidement, la malade n'est
morte
qu'après quatre ans de séjour à l'établissement
l'intégrité psychique était assurée. Quelques années plus tard, il
mourait
de son affection thoracique et de l'abus des in
e, un accès de délire pendant lequel elle s'écriait qu'elle voulait
mourir
. Pendant son séjour à l'Antiquaille jusqu'à son
che, tantôt à droite. L'examen des urines est impossible. La malade
meurt
dans l'as- phyxie le 30 décembre à 3 heures du
succombé à une affection pulmonaire à un âgé in- déterminé. Mère
morte
de chagrin de la perte de sa petite fille. Pas de
L DE FAITS. à ce qu'on la place dans le décubitus latéral gauche et
meurt
sans présenter de convulsions. t.. Autopsie
nt dilatées. On n'observe pas de relâche- ment des sphincters. Il
meurt
le soir sans présenter de convulsions. L'autops
it. Père mort à soixante ans d'une pneumonie. Mère rhuma- tisante
morte
à quatre-vingts ans. Il a sept enfants bien porta
à son entrée à l'asile est celui de démence paralytique. Le malade
mourut
dix mois après son entrée : à l'autopsie on not
héréditaires, est assurément un fait rare. La mère à la vérité est
morte
d'une affection cérébrale, mais qui parait avoi
Fournier, médecin de l'Institut national des sourds-muets, vient de
mourir
à l'àge de cinquante-deux ans. Parmi ses nombre
es. Le droit d'y assister étant personnel, restait presque une lettre
morte
pour nos abonnés des départements et de l’étrange
l’instrument de la Providence pour accomplir une tâche difficile; il
meurt
en dirigeant son regard vers le Ciel, pensant que
cadémiciens occupent un nid commun; et lorsqu’un de ces rares oiseaux
meurt
, la place qu’il quitte est aussitôt prise, et gar
es plus épris des doctrines Swedenborgiennes, M. A. Doisnel, \ient de
mourir
à Briquebec (Manche), dans un âge peu avancé. Tou
smer, qui se résigna à quitter Paris, fit place à Cagliostro, et alla
mourir
à peu près oublié dans son village germanique, au
iez-vous y faire?— R. Tâcher d’y gagner nia vie. D. Voire femme est
morte
dans un hôpital ? — R. Oui, monsieur; mais je lui
— Et puis des prêtres..... des cierges..... un cercueil..... 11 va
mourir
quelqu’un dans cette maison. — Peux-tu désigner
Le magnétiseur tremblait que ce ne fût lui. — C’est moi qui vais
mourir
, éclata tout à coup la somnambule. — Dans comb
ion seule des bonnets de ces deux enfants, répondit : « L’une d’elles
mourra
dans deux jours, l’autre sera sauvée si on la mag
la magnétise. En effet, on la magnétisa et elle fut sauvée; l'autre
mourut
, ainsi que l’avait dit la somnambule. Le témoin n
peut-être le premier exemple offert au monde d’un malade qui, près de
mourir
, refuse le remède qui pourrait le sauver. Cet ave
d qui tombe à côté de lui, la feuille que le vent emporte, la branche
morte
précipitée sur le sol, il a vu tout cela; mais il
oment où il va s’épanouir au jour, il abâtardit les races, et puis il
meurt
lui-méme, comme meurent les bêtes, avec leur stup
uir au jour, il abâtardit les races, et puis il meurt lui-méme, comme
meurent
les bêtes, avec leur stupide indifférence. Un bon
ngé, ou, poursuivre l’analogie d'une manière frappante à l’esprit, il
meurt
à sa forme originelle et à son mode d’existence.
t, 011 lit dans cet ouvrage que J. Davis cul un ami nommé Wilson, qui
mourut
en 18/17; qu’avant son décès il promit de revenir
je me rappelais la doctrine de la résurrection de l’âme des bons qui
meurent
pour vivre à jamais dans un séjour céleste et bea
amis et leur raconter les maladies de mon âme. Je supposais que je ne
mourrais
pas el que j’avais seulement passé par une métamo
que j’ava~,enl moi-même porté. J’essayai de leur dire que cette dvin’
meure
déserte n’était rien; que je possédais un corj601
e... « Tu vois maintenant quel noble et simple progrès ;’est que de
mourir
; tu vois qu’il n’y a aucune « val-ée des ombres »
nts de la terre verront maintenant, quoiqu ils ne le croient pas, que
mourir
c’est naître de nouveau.....» Cette révélation
le dans votre chambre, vous vous dites en pleurant : J’aimerais mieux
mourir
que de perdre la vue. » Tout cela était exact.
sept ans j’étais toujours malade, les médecins m’avaient laissée pour
morte
. Mme Rose m’a guérie en quelques jours. igo Mme
sera pas permis d’en profiter ! Nous serons condamnés à souffrir et à
mourir
, par respect pour la sainte routine ! le malade a
ur la sainte routine ! le malade aura, ¡1 est vrai, la consolation de
mourir
dans les régies. Mais on sc demande alors si l’hu
nt mortes; car on ne prétend pas avoir trouvé le secret d'empêcher de
mourir
. Puis qu’on nous apporte un relevé semblable de l
nt la destruction des membres el des sens du corps ; t’être, l’âme ne
meurt
point. » « La terre n’est que corruption et gén
d’heure, et une dame de ses amies , en arrivant, m’a dit ; « Elle est
morte
. » Après avoir donné quelques paroles d’espoir, j
nnemis mortels du magnétisme ils l’auraient tué si une vérité pouvait
mourir
. Les hommes de bien pourront sans inquiétude se l
es poitrinaires, dont le cerveau s’exalte à mesure que la poitrine se
meurt
, comprendront le plaisir que je lui fis en la vis
ci que je ne vois plus... Je n’entends plus rien.... Soutenez-moi; je
meurs
... » Et la malade s'affaissait dans mes bras. E
es qu’on a pu mobiliser pour l’é- thérée.....La souche est toujours
morte
, quand elle est stérile..... « Vous, aimez-mo
aime la harpe, parce qu’il chanta nos amours sur ses cordes; avant de
mourir
, tout à l’heure, je vous donnerai la preuve matér
n tapage, en le menaçant de le faire poursuivre si le malade venait à
mourir
. La nuit suivante le charron dormait paisiblement
u doigt, et dont la pierre ovale, souvenir d’une personne aujourd’hui
morte
, est un lapis-lazuli. Alexis examina attentivemen
, et qu’enfin Mme ***, de qui mon ami Collia tenait ce présent, était
morte
... Tout cela était vrai. « Une autre personne,
nt, on démolit les temples où elle apparaissait, souvent aussi on fil
mourir
de mort cruelle les hommes qui osèrent la révéler
ts liquides, et même avec la plus grande difficulté ; il craignait de
mourir
de faim. « Un cas très-remarquable est celui d’
l faut qu’il lue lui-mème cette couleuvre ; il l’écor-chera, une fois
morte
.... Il la coupera en dix morceaux, après l’avoir
ant des signes d'insuffisance aortique. 11 décembre 1905. La malade
meurt
à la suite d'une pleuro-pneumonie gauche. Aut
hénomènes de parésie, d'ataxie et des convulsions, tous les animaux
meurent
, la souris plus rapidement que les autres (l'aute
4, p. 9, no 3. ; ' xxii 8 110 ALQUIER ET FAURIi-BEAULIEU Toutes
meurent
au bout de 3 à 4 jours. A l'autopsie, les unes et
ont commencé à faire des préparatifs comme pour une personne qui va
mourir
. La malade se rappelle seulement avoir fait dan
s ne semble pouvoir être invoquée, et nous pouvons particulièrement
meure
de côté l'influence de la syphilis soit hérédit
en des dénégations de la part des métaphysiciens qui géné- ralement
meurent
impénitents, victimes de l'autorité aveuglante et
ur l'existence. Hé- las nous n'en sommes pas là encore et les idées
meurent
en même temps que les hommes qui les défendent
cellente santé, elle eu 12 enfants parmi lesquels 10 vivants ; elle
mourut
à l'âge de 60 ans à la suite d'une maladie intest
nts héréditaires.- Père mort à 73 ans d'une maladie de coeur ; mère
morte
à 52 ans de la variole. Une tante paternelle est
coeur ; mère morte à 52 ans de la variole. Une tante paternelle est
morte
d'une maladie de foie ; une tante maternelle es
ternelle est morte d'une maladie de foie ; une tante maternelle est
morte
d'une fluxion de poitrine. Un frère, plus âgé q
ue instant ce que deviendraient ses en- fants et sa famille si elle
mourait
. Des voix lui disaient qu'elle était damnée ; q
leurs rhumatismales ; son frère est en excellent état, sa soeur est
morte
d'une affection qu'elle ne peut pré- ciser. H
escarre au membre inférieur droit ; au bout de deux mois la malade
meurt
, sans que l'atrophie musculaire n'ait rétrocédé
sent exposer. - t1. - Examen macroscopique : Myocarde : Feuille
morte
. Mou et friable. 1 NOUVELLE Iconographie DE la
n aussi nette. Malgré une fièvre médiocre (entre 38° et 39°2), elle
meurt
au bout de 4 jours. Observation XX. J. L..., él
exemple, parésie que d'un seul membre ; mais alors les malades n'en
meurent
pas. Mais, pour tous les cas où nous - avons un
es abdominaux était cette fois encore complète (la malade est alors
morte
d'une pneumo- nie lobaire). Dans tous les aut
te sur l'état des muscles du dos. Dans le cas XIX, où la malade est
morte
d'une pneumonie lohaire, nous n'avons jamais eu
ort à l'âge de 57 ans. Sa mère était de taille moyenne ; elle est
morte
à 55 ans. Ils habitaient la Suisse, aux environ
ns, de Florence, sans profession. Antécédents héréditaires. Le père
mourut
à 52 ans à la suite d'une cys- tite ; depuis 20
it un homme intelligent et artiste d'une certaine renommée. La mère
mourut
à 70 ans d'une cardiopathie. Notre géant a été
e n'eutjamais de fausse couche. Les aïeuls paternels et maternels
moururent
à un âge très avancé de mala- dies non précisée
embre, atteint l'avant-bras dont il longe le bord interne, il vient
mourir
au ni- veau de la paume de la main entre son ax
is un garçon bien portant qui vit encore; puis uu second garçon qui
mourut
à 23 mois, de convulsions, et un dernier, il y
marié dePisa. Il entre à la clinique le 27 janvier 1909. Son père
mourut
à l'âge de 73 ans d'une maladie de coeur ; la mèr
Son père mourut à l'âge de 73 ans d'une maladie de coeur ; la mère
mourut
après une opération subie pour l'extirpation d'
pération subie pour l'extirpation d'un kyste de l'ovaire ; un frère
mourut
à 14 mois de la rougeole ; une soeur utérine mour
aire ; un frère mourut à 14 mois de la rougeole ; une soeur utérine
mourut
à 45 ans de cancer ovarieu, semble-t-il. Le m
Un fils est marié et a, lui aussi, des enfants sains. Sa femme est
morte
il y a 18 mois, à l'âge de 51 ans, à la suite d'u
ent, mais il n'y eut ja- mais de fièvre. Le malade ne voulant pas
mourir
dans la clinique nous quitta aux premiers jours
é prononcée à parler, qui est due à la respiration insuffisante. Il
meurt
à 3 heures de l'après-midi, évidemment par suff
a conscience troublée, le malade a la sensation très nette qu'il va
mourir
d'une suffocation causée par la paralysie des mou
ralysie des mou- vements respiratoires et il déclare lui-même qu'il
mourra
« dans 5 minutes ». Dans cette situation tragiq
S SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 551 pouls devient plus mauvais. Puis il
meurt
, d'une paralysie du coeur, semble- t-il, entre
escendante. Wickman remarque que la paralysie, chez les malades qui
meurent
de la maladie, peut être soit ascen- dante, soi
ord avec no- tre observation XXXII que le malade était tout près de
mourir
d'une pure suffocation sans aucun trouble de la
vec un résultat heureux pour plusieurs mois. Cependant l'enfant est
morte
plus tard d'une tumeur solide du cervelet, comme
me semble à peu près sûr que cette malade était alors très près de
mourir
par un arrêt de la respiration. Ces observation
ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYELITE AIGUË z) XIX, où la malade est
morte
au bout de 5 mois d'une pneumonie lobaire, car
publics. Son père est mort alors qu'il avait six ans ; sa mère est
morte
à Hanoï où, après le décès de son mari, elle av
m- mes. On lit enfin une inscription sur la poitrine : « Vaincre ou
mourir
. » Le « Tigre » a des habitudes pédérastiques,
cette malade n'était pas atteinte de sclérose en plaques. La malade
mourut
en septembre 1907. Examen anatomique. (PI. LXII
parents paternels : vivants, bien portants. Grand'mère maternelle :
morte
d'affection inconnue. Grand-père maternel : bie
Nous avons vu le volume considérable que peuvent atteindre ces tu-
meurs
et la tolérance extraordinairementprolongée d'un
es deux derniers jours la température s'est maintenue à 39° 8 et il
meurt
avec 39° 9 le matin du 21 février 1908. A l'a
des médecins de Vienne les résultats de 5 cas opérés, pour des tu-
meurs
de l'hypophyse dont 4 ont guéri et un est mort. U
ulpteur. Son père a bonne santé, mais grand buveur de vin. Sa mère,
morte
à 48 ans, peut-être d'une mé- ningite cérébro-s
ient de taille assez élevée, jouissaient d'une santé florissante et
moururent
à un âge très avancé. On ne peut découvrir dans
lui imposent la nature de ses idées comme elles le font maigrir ou
mourir
. Il faut voir par la pensée les équivalents méc
omme le véritable substratum de la vie et qui diffère de l'albumine
morte
en ce que sa molécule possède une constitution
production ont survécu à tous les changements, parce que la matière
meurt
par inanition ou par stérilité, lorsque les excit
que. Antécédents héréditaires. - Père mort de fièvre typhoïde, mère
morte
aveugle. Antécédents personnels. A t'age de 1
elu. FI ... de plus en plus cachectique s'éteint progressivement et
meurt
le 16 mars 1899. Autopsie. Le cadavre a été
n autre point assez mal connu de la question est l'existence de tu-
meurs
fibreuses dans les viscères et en particulier sur
pas constaté d'une façon indiscutable l'origine nerveuse de ces tu-
meurs
intestinales, mais il fonde sa croyance en cette
licat de la question. Quel est le point de départ de toutes ces tu-
meurs
fibreuses ? Nous ne parlons pas bien entendu de f
rd, Delore etc. en France, ont publié des cas dans lesquels les tu-
meurs
cutanées ne semblent pas avoir pour point de dépa
nouveau sur la gravité qu'il pré- sente lorsqu'il est méconnu : on
meurt
d'anorexie hystérique. Le cas que nous publions
la maintenir, elle crie et se débat et « toujours veut voir sa mère
morte
». La crise dura de 6 heures à minuit, elle dor
te et peut-être un peu neurasthénique.-La grand'mère maternelle est
morte
à 83 ans. S... ne sait rien de son grand-père mat
'intervention à main armée. Cependant, dans le cas actuel, elle de-
meure
sans effet, et le fumeur s'en étonne : Puisque
c intitulée Misocapnos. Il menaça même de faire pendre tous les fu-
meurs
, et Raweigh, qui, dit-on, avait introduit la pipe
ar le Dr Jaboulay. La malade quitte le service, améliorée. Revenue,
meurt
dans le coma le 18 février. Autopsie. Cicatrice d
hie de la papille. La malade rentre de plus en plus dans le coma et
meurt
. L'autopsie a montré une tumeur de l'hypophyse
aux une deuxième colonne vertébrale, ayant appsrk-M a un3 tabétique
morte
à l'âge de soixante-six ans et atteinte elle auss
morts plus que septuagénaires. Il a eu deux soeurs, dont l'une est
morte
à 60 ans, tandis que l'autre jouit d'une bonne sa
98, la ma- lade eut un ictus, tomba dans le coma le plus profond et
mourut
deux jours après. L'autopsie, pratiquée vingt
1889. A l'âge de 38 ans, elle se marie, elle eut deux enfants; l'un
meurt
en naissant, l'autre né en 1880 est en excellente
fs. Sa mère aurait souffert de varices aux membres inférieurs, elle
meurt
à 82 ans. La malade aurait eu dix frères on soe
ue dont il ne sortait que pour se livrer à un travail opiniâtre. Il
mourut
à Leyde à peine âgé de trente- neuf ans. L'Ar
ération des réflexes rotuliens et de la trépidation épileptoïde. Il
meurt
à l'Infirmerie de la maison de Nanterre d'une pne
lume d'une grosse orange, mollasses, assez mobiles. Deux autres tu-
meurs
, symétriques, un peu étalées, paraissant sous-mus
lle duquel il y avait eu des grossesses doubles et même triples est
morte
à 35 ans de suites de couches ; elle avait eu s
s, nouvel accouchement gémellaire avec même résultat : le gar- çon "
mourut
à 15 jours, la jumelle à peu près au même âge.
halalgie. Son second mari était bien portant et très vigoureux ; il
mourut
encore jeune d'un accident de travail. Veuve un
à l'âge de soixante-dix ans d'une affection pulmonaire. Sa mère est
morte
de vieillesse à quatre-vingt-deux ans. Il a une s
es facultés intellectuelles avaient passablement baissé. Elle est
morte
brusquement le 11 avril 1898. AUTOPSIE. - Exame
st mort à 46 ans, mais il ignore de quelle maladie ; sa mère serait
morte
à 70 ans subitement d'une attaque d'apoplexie :
bitement d'une attaque d'apoplexie : il n'a eu qu'une soeur qui est
morte
jeune et il ne sait de quelle affection. In- te
les suivants : la mère hystérique à grandes crises devint folle et
mourut
dans un asile ; un cousin germain est aliéné depu
temps ils présentaient des signes de paralysie, ils s'alitèrent, et
moururent
. A l'autopsie on trouva chez chacun d'eux une f
tes, la langue est chargée et large..... le malade amené le 8 janvier
meurt
le 14 Température 40°8. Autopsie. Adhérence c
an plus tard environ il était pris de violentes douleurs de tète et
mourait
d'un abcès cérébral ; Geschwind et Koeler, cité
engea en lui tirant un coup de revol- ver. Le magistrat guérit mais
mourut
un an plus tard d'un abcès cérébral ayant le pr
elles doivent cependant exister. Une de nos tabétiques obs. IX) est
morte
de congestion pulmonaire rapidement emportée en
crure costo-iliaque et très pro- fonds à leur origine, ils viennent
mourir
autour de l'ombilic en avant; i, ils se perdent
de ses extrémités, on devine que ce dentiste-là n'y va pas de main
morte
et que, coûte que coûte, il emportera le morceau.
t le malade abandonné par eux tomba dans un épuisement com- plet et
mourut
. Le cadavre fut ouvert et montra la cause du mal
n'essaiera pas d'éclaircir et de purger son cerveau ? A la veille de
mourir
, les malades en voudront encore. N'a-t-on pas v
grand désir. . Si bien aux femmes que filles elle plaît fort, Je
meure
si je ne suis de leur accord. Et notre auteur.s
TRE LE TABAC 469 que le livre de .1. H. Cohausen, maintenant oeuvre
morte
, mais il ce mo- ment en pleine actualité, a dû
re, mort à 60 ans, faisait de grands excès alcooliques, que sa mère
morte
à 75 ans à la Salpê- trière, d'accidents cérébr
fance, la plupart de convulsions. Elle survit seule : une soeur est
morte
à 25 ans d'une affection aiguë de poitrine et u
nts héréditaires : sa mère, atteinte d'une affection cardiaque, est
morte
à 55 ans, d'une hémiplégie par embolie. Son grand
nze jours après l'acci- dent on le ramena de nouveau paralysé et il
mourut
rapidement.A l'examen post- mortem on'trouva un
onne santé également, deux soeurs, une de 37 ans bien portante et une
morte
à 33 ans. Antécédents personnels. - 43 ans, a
guste, peintre en bâtiments, 76 ans. Antécédents héréditaires. Mère
morte
paralytique à 95 ans(serait restée longtemps da
n et demi après, elle eut une petite fille, assez petite et chétive,
morte
l'an passé de broncho-pneumonie rubéolique. Pas d
e ouvre les dents joinctes et fort serrées à fin que le ma- lade ne
meure
de faim. « La deuxiesme oste la vilainie et pua
r embolies pulmonaires, nous apprend que le malade de M. Bris- saud
mourut
5 à 6 mois après l'opération, avec une méningite
nt, par le procédé de Calot. A la suite de ce traitement, le malade
mourut
d'un méningite. Voici le résumé de trois cas pe
la clinique, l'étude de la spondylose n'a guère pro- gressé. On ne
meurt
pas de cette affection et les autopsies en sont r
gie antérieure, une tuberculose pulmonaire actuelle, dont le malade
mourut
, pouvaient dans ce cas être invoquées comme cau
lle était assez développée, et qu'elle marchait à l'époque normale.
Morte
à l'âge de S ans. Tante : Née ,d'une même cou
e travers et il était nécessaire de lui choisir la nourriture. Elle
mourut
à 44 ans. Oncle : A été toujours déséquilibré ;
rs la fin de sa vie, elle avait des hallucinations visuelles et est
morte
en démence. Père : Le père du malade était un m
issant, monte des deux côtés, encadre et arrondit la face, et vient
mourir
au niveau de l'arête du maxillaire, qu'elle eff
aînés sont atteints de surdité, ainsi que le frère du père. La mère
mourut
en 1898 à l'âge de 48 ans, de tuberculose, le gra
ne apoplexie. Le grand-père maternel était toujours bien portant et
mourut
très âgé; la grand' mère est morte de tuberculo
était toujours bien portant et mourut très âgé; la grand' mère est
morte
de tuberculose ; un neveu est actuellement en tra
nces de l'extirpation de la glande eomme telle. Du reste, les animaux
meurent
presque tous peu de temps après l'opération. Le
n ne peut les parcourir sans émotion en songeant que le grand homme
mourut
presque aveugle : Io parto a mano a mano Cres
la tuberculose pulmonaire du père, infirmier, et de la mère qui est
morte
de cette affection. Ni frères, ni soeurs. La jeun
ouillaud no 11, à l'hôpital Tenon. Antécédents héréditaires. Mère
morte
à 43 ans d'hyperthophie du foie ; fut très nerv
à ce qu'il semble, et deux soeurs cadettes jumelles dont l'une est
morte
dans les premiers mois après sa naissance tandis
ort à 96 ans, grand- père maternel à 82 ans ; grand'mère maternelle
morte
subitement à 47 ans. R... a trois frères et une
ent et non pas dans le coma, mais l'état s'aggrave rapidement et il
meurt
au bout de deux jours. A l'examen anatomique
conservées. Cas. II. Tabes amyottophique, chez une femme de 38 ans,
morte
dans le service de 111. Babinski. Ce cas est id
s. V. Névrite radiculaire à polynucléaires chez une femme de 63 ans
morte
d'un cancer du rectum. Parmi les pièces de compar
s, de la bronchoplégie, une hypothermie de quelques 1/10, le malade
meurt
le 4 octobre, un mois après le début des phénom
café. Entré le 19 février 1904. Décédé le 16 mai 1904. Une soeur
morte
poitrinaire ; pas d'hérédité nerveuse. B... est g
de particulier. Le malade est dans un état de torpeur profonde et
meurt
au bout de 36 heures environ, sans en être jama
ons se traduisent macroscopiquement par une couleur « pâle, feuille
morte
» (Vulpian). Dans tous les cas exa- minés, Vulp
vons pas de rensei- gnements précis sur sa famille ; sa mère serait
morte
il y a un an seulement. Lui-même a eu la rougeo
sait pas de quoi. Sa femme n'a pas fait de fausses cou- ches ; est
morte
à l'âge de 22 ans, d'une embolie, dit-il ; elle n
n'avait pas de phlébite, elle n'a pas craché de sang, mais « elle est
morte
vivement » ; c'est tout ce que le malade donne
osseuse et profite de l'intervention pour enlever trois petites tu-
meurs
, sous-cutanées qui s'étaient développées en même
terie, l'appétit cependant conservé et même exagéré ; il maigrit et
meurt
le 12 octobre 1904, à 5 heures du soir. Autop
. - Section des 10°, 1 la et zu racines thoraciques postérieures. -
Meurt
le 10e jour. Chat de 4 k. 500, opéré le 4 mai 1
l'animal une paraplégie du train postérieur. . Il ne mange pas et
meurt
le 14 mai, après une survie de 10 jours. Observ
dent aux 2 premières racines sacrées postérieures gauches. L'animal
meurt
le 27 décembre de méningite suppurée, après une s
01. Antécédents. Père mort à 71 ans des suites d'un accident ; mère
morte
à 54 ans de tuberculose pulmonaire. Il a un frè
n 1889 très âgé : il avait été un grand buveur de vin ; la mère est
morte
en 1884 d'une cachexie qu'on ne peut pas préciser
il y est ramené en pleine urémie,à forme pulmonaire surtout, et il
meurt
le soir même de son arrivée. Autopsie. Elle a é
es de broncho-pneumonie à la base gauche. Pendant la nuit, l'enfant
meurt
brusquement de syncope. AUTOPSIE.- La moelle et
e cyphoscoliose et un état hypertrophique des nerfs. La soeur étant
morte
dans le courant de l'année 1892, l'autopsie futpr
ulmonaire. Il entre à la Pitié dans le service de M. Babinski où il
meurt
en janvier 1901. M. Babinski eut la grande amab
hypertrophie des nerfs. Au contraire; en effet chez cette femme qui
mourut
à l'âge de cinquante ans, après trente années d
NFANCE 50j dans le cas de Dejerine et Armand-Delille, la malade est
morte
trente ans après le début de l'atrophie muscula
jour; le malade se cachectise, une escarre fes- sière apparaît ; il
meurt
de broncho-pneumonie 7 mois après le début. Aucun
lombaire et sacré, avec signes d'une névralgie sciatique double. Il
mourut
au bout de 6 mois de tuberculose pulmonaire, avec
s autres Arabes aliénés de ce pays; Que deviennent-ils ? Une partie
meurent
dans les quartiers de gâteux, comme le font les
aux villages d'origine, et s'éteignent au loin. Quant à ceux qui
meurent
à l'asile, et dont l'autopsie est presque tou-
let 1885, à Paris, entrée le 17 juillet 1899 à la fondation Vallée,
morte
le 21 août 1899. Antécédents. (Renseignements f
re pas; point de migraines. [Père mort on ne sait de quoi. - Mère
morte
à 63 ans, de la rupture d'un anévrysme ( ? ).-N'a
ût. L'enfant, qui était très abattue cette nuit et causait peu, est
morte
à 11 heures du matin, sans spasme, sans crises,
tantes paternelles myopes. Mère migraines. G1'and'1Íure maternelle,
morte
d'une tumeur abdominale. - Pas de consanguinité
ses grands-parents, pas de renseignements. Une tante paternelle est
morte
aveugle; sa cécité ne datait pas de l'enfancc.
neux de ces accidents. Son père a 73 ans, bien portant. Sa mère est
morte
il 70 ans d'une tumeur dans le ventre.-Grands p
faiblit de plus en plus, les escarres se creusent et s'étendent. Il
meurt
le 30 mars 1905. Nous avons transcrit plus haut
uffrances inutiles - sans compter les dépenses on l'aurait laissé
mourir
tranquillement à l'hôpital. VII. Les symptômes
estion, car l'Hindou est éminemment sugges- tionnable. Si le malade
meurt
, on explique la mort par un arrêt du destin ou,
e, minée par une lièvre hectique il S ! 1'alllles oscillations, est
morte
des progrès de la cachexie, sans aucun accident
ue difficilement, à ses occupations. Quatre ans après, elle vient
mourir
à l'hôpital d'une infection partie de nouvel- l
tation n'a d'ailleurs qu'un in- térêt relatif, puisqu'il finira par
mourir
des progrès de laméningo -myélite, d'une escarr
ux de Nancy. Les observations d'imbécillité consécutive à des tu-
meurs
endocraniennes en général sont assez rares. C'est
ts : un fils, le malade en question, et trois filles dont l'une est
morte
à ! 'age de cinq ans elles deuxautresse portent
yphilitique depuis l'âge de 28 ans idécédé à 42 ans). Sa mère était
morte
d'affection du coeur. Il avait 4 enfants bien p
Antécédents héréditaires. - Père mort de pleurésie. Mère goitreuse,
morte
quelques années après ? Fils unique, marié ; de
les avantages que l'humanité devait retirer de sa découve .'te ; il
mourut
sans avoir pu se faire compiendre ; après sa mo
vivre malgré lui à la sonde pen- dant des mois, il se serait laissé
mourir
et qu'il ne serait pas en train du souffrir à (
ré- ditaires presque nuls : père asthmalique, mort à G7 ans. Mère
morte
de pneumonie il 45 ans ; trois soeurs en bonne sa
généralisée. Trépidation plantaire. L'aspect est celui de la rage.
Morte
le 2G mai avec température de 42°. Granulie pul
. Ponction de Quincke au 26e jour sans résultai. Injection d'air.
Morte
au 28c jour. Adénopathie trachéo-bronchirlue casé
médecin en chef du l'asile Saint-Pierre à Marseille où il vient du
mourir
. C'était un médecin habile ut très dévoué à sus
ce des crises, sans empê- cher la démence commençante, et le malade
mourut
dans le coma qui suivit une série de crises ave
ait, mais avait conservé la teinte mégalomaniaque de son délire, il
meurt
galeux, paralysé, avec une escharre. L'autopsie
ransféré à Tournai, avec le certificat : Pseudo-P.G. alcoolique. 11
meurt
dans cet asile peu de temps après son entrée, 2
e de l'humérus une amputation au tiers supérieur du bras gauche. Il
meurt
4 mois après de tuber- culose pulmonaire. Les
berg, signe de Babinski, réflexes patellaires exa- gérés. La malade
meurt
de bronchite chronique en juillet 1903. A l'aut
fureur ; sa grand'mère était anormale ; une sieur de celle dernière
mourut
dans une maison d'aliénés ; une autre se jeta à
erie; car le lézard était effroyablement gourmand. Elle craignit de
mourir
de faim : elle vint à Paris où les grands mé- d
elle vint à Paris où les grands mé- decins sauraient bien le faire
mourir
. Un de ses parents, crémier, la conduisit à l'h
malade les renseignements sui- vants : Père mort épileptique. Mère
morte
à 74 ans d'une affec- tion indéterminée Jusqu'à
, il a eu trois enfants ; un garçon vivant, bien portant, une fille
morte
subitement à 11 ans, une autre morte de méningi
ant, bien portant, une fille morte subitement à 11 ans, une autre
morte
de méningite à 11 mois. Sa femme est morte il y a
ment à 11 ans, une autre morte de méningite à 11 mois. Sa femme est
morte
il y a une douzaine d'années, probablement de t
nt jusqu'à douze litres de vin par jour sans compter l'alcool. Mère
morte
à 64 ans, d'une tumeur. Un frère, idiot, mort d
té. Des deux dont la cause de la mort a pu être déterminée, l'une
mourut
d'une affection pulmonaire, probablement d'une
l'enfance, pas de convulsions, dentition facile. Mère migraineuse,
morte
a 56 ans, d'apoplexie. Père mort à 10 ans environ
te, facilement vaincue par les impulsions, leur sensibilité affective
morte
on étroite, on pourrait croire que, me rangeant à
séjour d'un mois qu'il fit à l'hôpital pour cause de fièvre, sa fille
mourut
, et cette mort devint le point de départ d: ces c
r un médecin arriver pris de boisson auprès d'une mère de famille qui
mourait
d'hémorrhagie intestinale, survenue au cours d'un
ses pa- trons, auquel Mlle V.... témoignait beaucoup d'affection,
mourut
subitement. Elle eut à ce moment une attaque de n
r certaines maladies, et aussi celui de les produire et même de faire
mourir
, par des pratiques surnaturelles, bêtes et gens.
cellerie plus ou moins diaboliques, il se retire. Le soir, la succude
meurt
de péritonite foudroyante. C'était un cas malheur
t jeté un sort sur son adversaire et sa famille leur annonçant qu'ils
mourraient
dans l'année. Pour réaliser ce maléfice, il prit
ersonnes, présenta des accidents typhoïdes : le père et les deux fils
moururent
; la mère et la servante s'en tirèrent à grand pei
à cinquante-six ans des suites dune hémiplégie avec aphasie. La mère,
morte
à cinquante-cinq, ans était également hémiplégiqu
ut récemment elle s'est pendue sans bruit, sans éclat; on l'? trouvée
morte
un malin dans . son lit. L'occasion me parait f
xie avec ses deux sœurs ; une se précipite d'un troisième étage et en
meurt
le lendemain ; une se noie. Celles-là au moins ne
un flacon de laudanum. Elle dormit pendant deux jours entiers, maisne
mourut
pas. Enfin, il y a un an, elle se maria avec un
ouchement. En réalité elle voulait le voir une dernière fois avant de
mourir
. Il arriva et, après les effusions du premier mom
irement elle ne sont pas préméditées. Les mélancoliques qui veulent
mourir
choisissent longtemps à l'avance le moment et tes
udoyée par son amant achète un revolver et des balles pour le tuer et
mourir
après lui. Mais en rentrant le coupable lui dit q
e sembait q'un espace vide existait dans le cerveau et que j'allais
mourir
. Quand je marche et que les mauvaises idées me pr
ies, a été réglée à 13 ans et dès lors très régulièrement. S mère est
morte
d'un dépérissement à 44 ans. Le père peu d'années
toutes mortes. La malade se souvient très bien qu'une de ses tantes (
morte
à 60 ans) était bizarre. Elle ne sortait jamais,
'est le tour des idées sur la mort et l'immortalité. Quand quel-qu'un
meurt
pourquoi ne voit-on pas son âme? Quand l'âme sort
rps, pourquoi ne la voit-on pas? Ya-t-il une âme? Pourquoi le corps
meurt
-il? etc.Peut-être ne ne meurt-on que pour un cert
s? Ya-t-il une âme? Pourquoi le corps meurt-il? etc.Peut-être ne ne
meurt
-on que pour un certain temps?I Y a-t-il une aut
aladie au Ci ire), fut débarrassé de son habitude en quinze jours. Il
mourût
plus tard d'une pneumonie. Mon expérience m'a ens
victime, que ce misérable vient de m'empoisonner, » Effectivement il
mourut
quelques minutes plus tard, avec tous les symptôm
e dose exagérée d'alcool. Son enfant lui avant dit qu'il aimait mieux
mourir
que de vivre avec son père, elle accepte'cette ré
ents qui auraient dù lui venir en aide. Son fils lui aurait demandé à
mourir
avec elle et rien ne s'oppose, étant données l'ex
uand elle retombait en condition seconde. Une de ses parentes étant
morte
pendant une de ses crises, elle-assista à ses fun
oit par celle de Nancy. Petelin naquit à Lons-le-Saunier en 1744 et
mourut
à Lyon en 1808. D fit ses étude* à Lyon, les cont
ute per un certain nombre de lecteurs de la feuille viennoise. Pour
meure
tin à leur incertitude, le rédacteur adressa au s
aladie qui s'est accompagnée de délire. La fille d'un autre oncle est
morte
d'une « maladie nerveuse ». Une tante paternelle
é trois ou quatre mois, pendant laquelle elle gâtait et dont elle est
morte
. La mère, encore vivante, migraineuse, âgée de qu
causer toute seule. D y a quatorze ans, son fis, âgé de quinze ans,
meurt
; cette mort la plonge dans un désespoir profond ;
n en émoi, ou des exclamations de désespoir: « Mon Dieu! j'aime mieux
mourir
! Quel malheur! » tout en éprouvant des sensations
le demande qu'on l'en débarrasse, elle en souffre au point de vouloir
mourir
. Les troubles génésiques de notre malade se produ
nlevé par une pneumonie. Sa mère, d'une bonne santé habituelle, est
morte
accidentellement à l'âge de 61 ans ; elle a été t
tout lorsque le plus grand nombre des enfants issus de tels parents
mouraient
jeunes. Elle-même présente des signes précis de
cédents héréditaires. Père mort des suites d'un traumatisme. Mère :
morte
il y a un an de cardiopathie, ayant eu de son mar
t a toujours été bien portante. Notre malade est veuf, sa femme est
morte
il y a un an de granulie. Ils avaient eu un enf
Naples, et non loin de Pompéi se trou- vaitson tombeau. Le poète
mourut
en l'an 19 avant notre ère, ayant composé ]'ElIéÙ
a 8e cervicale, c'est-à-dire en deçà et au delà des limites des tu-
meurs
, ont été colorées par les différentes méthodes cl
faisceaux postérieurs sont les moins atteints; dans l'étage des tu-
meurs
, ils ne présentent, sur les coupes colorées par l
en respectant scrupuleusement la topographie et le siège de nos tu-
meurs
, tels que nous les ont révélés les examens histol
icu- lier, il n'existait pas de troubles de la motilité. L'enfant
mourut
de diphtérie. Outre des lésions osseuses attribua
tableau, Egide van Moysene (mort en 1510) et Catherine van Nethene (
morte
en 1566), représentés à genoux dans l'attitude de
ndéterminée ; marié depuis peu de temps, pas d'enfants. Une soeur
morte
il 26 ans d'une maladie indéterminée ; elle avait
il 26 ans d'une maladie indéterminée ; elle avait eu 2 enfants qui
moururent
, l'un à 5 ans, l'autre à 8 ans : son mari était a
" 112 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE 1 ches : 1° Pille
morte
de méningite à 1 an 1/2 ; 2° garçon mort en nourr
ition. Le 3 avril 1883, elle est frappée d'un ictus apoplectique et
meurt
le 18 avril sans avoir repris connaissance, apr
n° 28. " A. II. Père mort il 61 ans d'un cancer de l'estomac. Mère
morte
il 79 ans avec de l'ascite et un oedème général
que nous avons vu et dont nous di- rons quelques mots. 1 Un frère
mourut
du choléra a 38 ans, en 1891 ; un autre tubercule
ts héréditaires. Père mort il 75 ans, de congestion cérébrale. Mère
morte
à 42 ans de la variole qu'elle contracta en soign
tions parfaites de l'espèce humaine », la naine de Mlle d'Orléans,
morte
en 1653, et un nain, Babet Schl'eier, né à Pieg
voix d'un enfant d'un an. Louis Crâne, nain de 78 centimètres, qui
mourut
à IIayneville, en Nor- mandie, à l'àe de 21 ans
ntation, qui'est liquide, doit être forcée. Le 3 octobre, la malade
meurt
d'une paralysie du coeur, malgré les excitants
r des Invalides, puis devint profes- seur d'anatomie, etc., etc. Il
mourut
à Paris, àgé de 16 ans, en 1773. 228 NOUVELLE I
Louise- Adéfaïde-Justine de Marine, fille d'un agent de change. Il
mourut
à Paris, le 13 août 1784. LA MALADIE DE LA FI
on. 16 à 18 mois après, elle est frappée d'un ictus apoplectique et
meurt
sans avoir repris connaissance, après avoir pré
ésions qu'il dé- crit chez la petite malade qu'il a observée et qui
mourut
à l'âge de 12 ans après avoir pendant huit ans
27 octobre 1895 (Cochin). Foetus de 5 mois. Mère non-syphilitique,
morte
de granulie (autopsie). Le foetus extrait imméd
hin). Deux foetus jumeaux de 5 mois environ. Mère non syphilitique,
morte
d'asys- tolie. Nulle trace de macération. C
Broca). 1 Foetus à-terme, né vivant, de mère spécifique. L'enfant
meurt
deux jours après la naissance de convulsions. O
e oblique à droite qui coupant le col de la corne postérieure vient
mourir
dans la substance blanche de ce côté. Il n'y a
'enfant présente des phénomènes convulsifs dès les premiers jours, il
meurt
le 8° jour après sa naissance. Organes viscér
XXII, juin 1896 (Cochin). Foetus de 7 mois 1/2. Mère non spécifique
morte
en asystolie. Opération césarienne, l'enfant es
garçons morts en bas-âge. 2 garçons bien portants. » en cuivre. f.
morte
à 4 ans d'un mal N. m., idiot, épileptique. de
e purulente. Père excès de misions. 1 g. détraqué. boisson, fille
morte
on ne sait de 1 g. très faible de constitu-quoi.
isson; syphilis. te. Mère syphilis. RedI............. Peintre » 5
morte
a 3 ans 1/2 de 2 g. bien portants. Père excès de
ES. DÉCÉDÉS. VIVANTS. ~ I Bru............. Polisseur » 11 1 Fille
morte
à H mois de 1 Garçon et 1 Fille bien Père alcooli
coolique sur métaux. ]a coqueluche. portants. invétéré. : 1 Fille
morte
,,à.J8 mois de N. m-;-,-Epilepsie. la rougeole,
. » en bâtiments. d'entérite. Harp............ Fondeur » 1 (Fille
morte
à 2 ans de! Fille bien portante. » en caractère
et 1 f. bien portants. » cho-pneumonie. N. m., épileptique. 1 f.
morte
à 5 jours de ca-ohexie. Languill......... «. Ma
mort de tuberculose pulmonaire. Davi............ Tourneur » 5 1 f.
morte
de péritonite. 2 g. et 1 f. bien portants. » su
tellec- Mère syphilitique en caractères tuelle, perversion des ins-
morte
de paralysie tincts, onanisme. générale. Eai.
ROSSESSES. DÉCÉDÉS. VIVANTS. Noe............. » Gaînière. 4 1 Fille
morte
à 4 mois, tuber-1 Garçon bien portant. « ouleus
ber-1 Garçon bien portant. « ouleuse. N. m., Imbécillité. 1 Fille
morte
à 3 mois, on ne sait de quoi. Fria............
imbécillité. » sur cuivre Lanf............ Polisseur » 2 1 fille
morte
à 6 mois du N. m., idiotie. Père alcoolique sur
coolique sur métaux. croup. Madel.........., Teinturier. » 7 1 f.
morte
à 28 jours. 1 g. et 1 f. bien portants. Père alco
nts. Père alcoolique 1 g. mort d'entérite. N. m., épilepsie. 1 f.
morte
à 12 jours (?) 1 g. mort de la rougeole. Gœur..
ausse couche à 4 mois. 1 garçon bien portant. » sur cuivre. 1 fille
morte
de méningite. N. m.. idiotie mongolienne. Man .
m., imbécile. » en bâtiments. Roug........... Peintre » 5 1 fille
morte
du choléra. 1 fille bien portante. Père alcooliqu
g. mort de conuulsions à •15 mois. 2 jumeaux morts à 3 mois.' 1 f.
morte
dc convulsions à 8 jours. N. m., mort dc tuberc
portants. Père alcoolique. sur cuivre. mois. N. ni., idiot. 1 f.
morte
de coqueluche à 5 ans. Mardi.......... Plombier
diarrhée. i g. et 1 f. bien portants. Père alooolique. --.-..---1 f.
morte
de méningite. N- m- "nbécilc.__ Bourne ville, B
é Médico-psycholo-gique de Paris.) 1898. Ballard. (J.). — Comment
meurent
les épileptiques. Thèse de Paris. Rellay (P.).
s êtres dont la réputation est loin d’égaler le mérite et qui souvent
meurent
avant d’avoir occupé la renommée. Est-ce le savoi
u du poison. J’ai vu par milliers des martyrs de la fausse science,
mourir
sans proférer une parole de malédiction contre l’
l’excentricité d’un écrit censé dicté par l’àme de la terre, vient de
mourir
. Il avait précédemment adhéré à la doctrine magné
es plus sombres; de terribles catastrophes les attendent. La duchesse
mourra
empoisonnée ; Maria, si douce, si bonne, si aiman
réflexon très-importante. Maria Fauveau, à laquelle on prédit qu’elle
mourra
sur l’échafaud, commence par rire de cette prédic
st l’objet, elle perd la tète; elle déclare qu’elle sait bien qu’elle
mourra
sur l’échafaud, que c’eut sa destinée, que rien n
pui de cette thèse, il cite l’exemple d’une dame de Chambéry, qui est
morte
à la suite d’abus de cette nature. « Elle se li
ertitude ! Vous vîtes la mort s’enfuir des parties envahies, la chair
morte
revivre au seul jet de ma pensée, à l’injonction
avait soignée affectueusement dans sa dernière maladie, et qui était
morte
un mois auparavant d’une congestion cérébrale. Em
rises : Viens ! viens avec moi ! 11 lui semblait en même temps que la
morte
l’entraînait vers elle. La violence de l’émotio
, et que sans le secours de la magnétisation de son mari, elle serait
morte
. Elle demanda qu’on la laissât dans cet état jusq
romis dans les troubles de la Croix-Rousse et gracié depuis, vient de
mourir
à Essequebo, ancienne colonie hollandaise, appart
èrement celui d’une de mes malades, Maria de la Crux Marquez, qui est
morte
il y a plus de quinze ans. Quand il se présente d
la fin de ses Éléments de la science de l'homme : «Lorsque l’homme
meurt
, son corps est rendu aux éléments matériels, son
eusement de son tombeau, comme le Christ, et ressusciter pour ne plus
mourir
. S’il ne lui fut pas donné d’assister à ce triomp
re les eaux de Vichy, ce champ de repos où ils envoient hénignement
mourir
loin d’eux ceux qu’ils savent ne pouvoir guérir.
fait à l’Académie par le Dr Husson en 1831, ce sont également lettre
morte
pour M. Segond, auquel nous ne pouvons nous refus
n anatomie. » Les termes sont durs, et M. Segond n’y va pas de main
morte
, 011 le voit ; mais à qui s’appliquent-ils? C’est
quant à l’argent en question, il l’avait donné au P. Mario, avant de
mourir
, pour être distribué aux pauvres et que, pour me
cljcz lui, annonce qu’il va être pris de la rage, et le lendemain il
meurt
dans (l’affreux accès d’hydrophobie. Oh ! je vous
se manifestant parfois par des exclamations et exprimant le désir de
mourir
; enfin, dans des cas excessivement rares, auditio
ur la ressusciter. IX, 2 t. « Eloignez-vous, car l'enfant n’est pas
morte
, mais elle dort ! » 25. « Et dès que la foule s
au lieu d’être empruntées à la nature ellc-mèine, elles restent littn
morte
, parce qu’elles n’ont point de sanction ; tandis
ta à sa mère ; et elle, l’ayant tenu sur ses genoux jusqu'il midi, il
mourut
. f 21. « Elle monta ensuite(à la chambre de l'h
Ses amis, ses parents et tous les médecins, avaient pronostiqué qu’il
mourrait
bientôt comme son frère aîné qui, trois ans plus
tandis qu’ici nous avons l’action d’un organisme vivant sur la nature
morte
. Il doit nécessairement exister une différence es
rsule, ton amie de Condoni. » — Ursule M...? — « Oui !... Je suis
morte
hier à quatre heures de l’après-midi. Dans quel é
ondateurs de tous tes cultes de la RELIGION DIVINE. Non! l’homme-ne
meurt
pas; il ne peut, il ne doit mourir !!! Et s’il co
RELIGION DIVINE. Non! l’homme-ne meurt pas; il ne peut, il ne doit
mourir
!!! Et s’il continue à vivre (dans des phases dif
ouché dans la pièce voisine); mais non, le pauvre garçon aimera mieux
mourir
que d’avoir recours à lui. Je me disposai néanmoi
doute l’ignorance leur plaît ; ils vivent dans un épais brouillard et
meurent
comme la bête ou le savant d’école, sans rien sav
nuyer d’occuper de lui le public. 11 retourna en Hollande en 16(37 et
mourut
oublié en 1680. Le siècle suivant vit naître un
ait croissant pour sa personne. Gassner se retira à Bondorff, où il
mourut
le 4 avril 1779. Depuis son départ de Ratisbonne,
ut consoler la famille, qu’on aille le chercher, mais c’est une femme
morte
. Après un temps un peu long, le magicien arriva e
c’était dans un comté «appelé Pike, dans l’État de l’Illinois ; qu’il
mourut
étant en route pour Washington. Il invita son fds
gauche la branche d’amandier fleuri, voit Dieu face à face, et, sans
mourir
, converse familièrement avec les sept génies qui
n certaine, cher-« cher le bonheur dans un autre monde. « Adieu, je
meurs
heu»eux. » Un lien mystérieux unit, sur la terr
Entre autres renseignements, voici ceux que j’obtins. Sa mère était
morte
folle à la Salpêtrière ; elle-même était sujette
e jeune personne au cimetière de Montmartre où repose sa tante Marie,
morte
depuis quatre ans. Dès qu’elle approcha de sa tom
nel suisse, il naquit à Bordeaux, proteste-t-il. Ayant perdu sa mère,
morte
très-jeune, ii partit pour Venise, sous la tutell
terme de sa vie, et l’enfant ne fut reconnu qu'à sa dixième année. 11
mourut
à Paris, sous Louis XV, à l'âge de dix-huit ans.
fatiguée de souffrir, et, désespérant de guérir jamais, elle voulait
mourir
. Nous voulûmes savoir si la vision s’exerçait p
. » Ces trois joyaux sont mieux venus que la dernière produc- (1)
Mourir
, pour nous, c’est la métamorphose do l'insecte s’
t à partir sans délai pour Nancy : le secoud de mes frères venait d’y
mourir
le jour même. (i) Chardel, ouvrage cité. (S)
e suivante : « Une jeune personne, tendrement aimée de ses parents,
mourait
à quatorze ans, après avoir épuisé tous les secou
s plus faible. Dans cet état, elle a toute l’apparence d’une personne
morte
, et 011 peut la placer dans telle position que l’
s partagée par bon nombre de ses visiteurs, qu’elle est littéralement
morte
pendant vingt-quatre heures, au bout desquelles e
pendant vingt-quatre heures, au bout desquelles elle ressuscite pour
mourir
de nouveau. « Aussi la mort réelle n’est pour e
, en cas de mort, la critique du voisinage de dire que j’avais laissé
mourir
mon enfant, j’appelai à 111011 secours l’honorabl
ercurielles sur la tête, au point que le 1 h juin, cette chère enfant
mourut
, plutôt victime de la violence d’un traitement in
on seulement pour nos insuccès, mais encore pour tous les malades qui
meurent
, soit parce que le médecin n’a pas connu la malad
les louanges de Dieu. Il ajouta que pendant son extase, il avait vu
mourir
trois hommes, et il rapporta les diverses circons
t. Il répondit affirmativement, et il ajouta qu’il avait vu son nègre
mourir
pendant qu’il était en transe. Elle demanda où ce
aucoup de somnambules, elle ne veut pas employer le mot de mort ou de
mourir
). C’était du choléra. Après quelques instants, el
vision. Quatrième fait. — Un jour, à Rome, elle vit une demoiselle
morte
à Edimbourg. Elle ne pouvait dire le nom de cette
vision. A l’époque de la vision de la mort, elle venait justement de
mourir
subitement, quoiqu’elle eût été longtemps souffra
e textuellement : * « II est bien difficile de dire aux gens qu’ils
mourront
dans « l’année ; en leur disant : Vous vous mar
une danscinqmois cl demi, et l’autre un an après, si la première doit
mourir
dans quatre mois et la seconde dans cinq?... Pour
s action sur l’économie animale, votre sujet homœopathiquement traité
mourra
bel et bien. On ne manquerait pas de faire des
de « donner aucun signe de vie. Merveille ! 011 croyait la relever «
morte
, et on la releva guérie : la tumeur avait totalem
lusieurs évolutions de sa maladie, elle annonça à M. Cervello qu’elle
mourrait
le 31 octobre, et elle décrivit minutieusement to
es fonctions vitales suspendues, elle est saisie d’horreur et se voit
morte
: on peut juger, par cet exemple et d’autres semb
us le marché, les accusant dans un libelle de le lui avoir dérobé. Il
mourut
ignoré dans sa ville natale en 1815. » Pauvre m
, monsieur, je vais arracher ce chanve ; à quoi bon garder une plante
morte
? — Non, madame, de grâce, interrompit M. G...,
e lui avait dressée un seigneur du voisinage, Isaac de Berlaimont, et
mourut
percé de coups. On rapporte qu’Ade de Roue y, son
ours. On eut le talent de ne pas l’y laisser respirer longtemps. Elle
mourut
quelques mois après, emportant toutes ses révélat
immortalité. —Rien n’intéresse autant l’homme que de savoir s’il doit
mourir
à la dissolution de son corps terrestre. Les preu
ntis également quelque chose qui ressemblait à la main d’une personne
morte
: c'était froid et pâteux. Je sentis distinctemen
ndation de guérir par l’imposition des mains n’est plus qu’une lettre
morte
ou comme le souvenir de merveilles exceptionnelle
s, ma pensée n’ait été aucunement dirigée vers le souvenir de ma mère
morte
depuis près de douze ans, ni sur mon frère éloign
le 30 mai avec la même fermeté que sur les remparts d’Orléans. Ainsi
mourut
, à dix-neuf ans, cette fille sublime que nul n’ég
tte fille sublime que nul n’égala dans les fastes de l’humanité. Elle
mourut
martyre, mais son sang, plus que ses exploits enc
alphabet fut Capitana. C’était celui d’une dame de Ka-naka, qui était
morte
quelques années auparavant, dans un fige fort ava
e à se débarrasser entièrement. On m’a raconté qu’une pauvre dame est
morte
en couches, sui- vant la prédiction d’un guérid
et lui cloua son casque sur la tête. Comme on croyait qu'il allait
mourir
sur l'heure, on envoya chercher un prêtre qui l
ans. Violent coup de sabre sur la tête en 1870. Paralysie générale.
Meurt
à Charenton en septembre 1883, après un séjour de
artage cette opinion, car il rapporte l'exemple d'une vieille femme
morte
quelques mois après reçu un violent coup de bât
orté couvert de brûlures, à la clinique du professeur Ehrmann. Il y
mourut
de tétanos. A l'autopsie on trouva une esquille
Ce qui, joint au défaut de respiration, pouvait contribuer à faire
mourir
les animaux dans le vide de la machine pneuma-
LE. '111 cancer de la face. - Cousine, idiote épileptique, gâteuse,
morte
en 1880, âgée de 36 ans, à l'Asile de Dôle. - P
), mort à deux jours après avoir eu quelques convulsions-; 2° fille
morte
à trois ans de convulsions; - 3° notre malade ;
cédcnts héré- ditaires : père, quatre-vingt ans, bien portant. Mère
morte
à cin- quante-cinq ans d'une affection du coeur
port médico- légal invalides et pensionnés comme tels. Le troisième
mourut
pendant son instance. M. Wernicke. De l'assis
sentait des convulsions allant jusqu'à un véritable état de mal. Il
mourut
dans un de ces états de mal; de broncho-pneumon
61) cite un homme qui, après une chute sur la tète, resta sourd. Il
mourut
après 6 ans de souffrances. Dans le numéro du
erdit le sens du goût et de l'odorat 2. Observation XXIV. - J'ai vu
mourir
à Charenton un persécuté, âgé de cinquante-quat
un tintement d'oreilles. Six ans après, il devint épi- leptique, et
mourut
en peu de temps. A l'autopsie, dure-mère gangre
ser- vice, mais souffrant beaucoup de céphalalgies : en 1880, il
mourait
de paralysie générale. L'autopsie ne me révéla
atteint de paralysie générale, dut être placé dant un asile, où il
mourut
subitement en 1874, de la rup- ture d'un anévri
ès, il perd son fils unique, tombe dans une profonde mélancolie, et
meurt
para- 200 PATHOLOGIE MENTALE. lytique général
cience, avril 1886). Cetle observation est relative à un malade qui
mourut
à la suite de vomissements rebelles et d'indige
m ». L'incurie est telle dans cet établissement que les malades qui
meurent
dans la nuit sont trouvés mangés des rats le le
aires. Grands parents : paternels. Grand- père inconnu; grand'mère,
morte
à quatre-vingt-seize ans; grand' tante épilepti
Au bout de la première année, elle accouche à terme d'un enfant qui
meurt
au bout de trois semaines (sans éruptions). La
seconde année, elle accouche à terme' d'un enfant bien portant, qui
meurt
d'étranglement herniaire au bout de quinze mois.
ier, sobre, mort vers soixante-dix ans, on ne sait de quoi. - Mère,
morte
vers soixante-cinq ans, domestique dans un chât
ître, le père, en avait cinquante-cinq. On ne sait de quoi elle est
morte
. - Ni frères, ni soeurs. - Deux oncles militaires
ès de boisson, mais surtout après la naissance de sa fille. - Mère,
morte
de phthisie galopante à ciuquante-sept ans ; ne
ternel, mort très âgé, on ne sait de quoi. - Grand'mère paternelle,
morte
très âgée, pas de détails. - Grands parents mat
soixante- dix et soixante-dix-sept ans, on ne sait de quoi. - Soeur
morte
du croup, à dix-huit mois. - Pas de frère. Pas
dans la chambre. Il n'avait pas bu, il ne boit jamais ; - 5° Fille,
morte
d'une angine couenneuse( ? ), à quatre mois. Pa
s d'attaques de nerfs ni de migraines ; intelligente; - - 10 Fille,
morte
à vingt et un mois, aux Enfants assistés ; - 8°
demi ; pas de convulsions, bien portant, intelligent; - '12° Fille,
morte
d'une variolenoireon 1880, à un an. Notre malad
ffrirent aucune modification; quarante-neuf furent améliorés ; cinq
moururent
à la clinique; vingt-quatre guérirent. Et cepen-
e), qui, sans avoir jamais présenté d'affection somatique sérieuse,
moururent
brus- Archives, t. XVIII. 30 ` 466 BIBLIOGRAP
des chiens et des chats. Dans le cas le plus favorable les animaux
mouraient
au bout de 10-46 jours sous des phénomènes d'apat
es frictions de mercure, mais il était probablement trop tard et il
mourut
. A l'autopsie l'on vit, près des laminae septi pe
els de deux sortes : des monades formants qui forment de la matière
morte
certains organes, et des monades dirigeants, qui
la prostration de l'animal. reste dans cet état 3-24 heures, et il
meurt
sans avoir repris connaissance. Chez des animau
s. Il vivait ainsi encore à jours, sans avoir repris conscience; il
mourut
dans la nuit du ae au 6° jour. La section du
ouvait constater chez lui une perte complète de la conscience et il
mourut
aussi dans cet état inconscient. En terminant m
de Genève le 31 janvier 1902, en état rl'asystolie et de délire, et
morte
le lendemain sans avoir pu être interrogée. Ell
8 frères et soeurs : 7 sont vivants et bien portants, une soeur est
morte
à 54 ans d'un cancer de l'estomac. Marié, il
n cupule, l'épider- me est très épaissi, blanchâtre, la peau semble
morte
, la sensibilité tactile est émoussée, l'ongle e
l'enfance, ses trois soeurs se marièrent, n'eurent pas d'enfant et
moururent
à un âge avancé (80 ans, 72 ans, 73 ans). Quant
e, siégeant à la partie moyenne. Il ne fut pas alcoolique. Sa femme
mourut
de tumeur abdominale il y a vingt ans; il eut de
riage deux enfants, nés a terme, tous deux : le premier, une fille,
mourut
à trois mois ; le second, un garçon, bien const
et ne prend presque plus de nour- riture. 1" septembre. La malade
meurt
sans de nouveaux symptômes. Autopsie. Tuberculo
mbes très enflées ; mais nous n'avons pas pu savoir davantage. , Il
mourut
en 1854 à un âge avancé. Enfants de William Tuc
était atteint des « jambes enflées » et il eut des « attaques ». Il
mourut
en 1870. Hannah aussi eut les « jambes enflées »
. Hannah aussi eut les « jambes enflées » et des « attaques ». Elle
mourut
en 1864 à l'âge de 70 ans. Elle avait épousé un
ttaques ». Elle se maria, mais elle n'eut pas d'enfant, et elle est
morte
en 1860 de la fièvre scarlatine. Alfred est enc
attaques aiguës » (V. ci-dessous). William n'eut pas d'oedème ; il
mourut
phtisique, sans enfant. Harriet eut dès sa jeun
a jeunesse les~ « jambes enflées » et les « attaques aiguës ». Elle
mourut
à sa première couche et l'enfant était mort-né.
enseignements sur aucune d'elles. Elle se maria, se mit à boire, et
mourut
en 1901, laissant cinq enfants dont l'un, une f
r,tachycardie émotive, transpirations faciles, angoisse, crainte de
mourir
pouvant aller jusqu'à l'anxiété paroxystique de
lades, il est vrai, traînent la jambe paralysée comme si elle était
morte
et n'accomplissent pas le pas antérieur; d'autr
est âgé de 16 ans environ. Son père est bien portant ; sa mère est
morte
, il y a une dizaine d'années. Il a une soeur et
bre 1905. Père, scieur de bois, serait souvent malade ( ? ). Mère
morte
à 37 ans après 8 jours de maladie. , Trois enfa
dans un mémoire récent (1), les autopsies en sont rares, car on ne
meurt
pas de cette affection. (1) PIERRE Marie et L
ait normalement et jouissent d'une excellente santé. Un petit frère
mourut
d'une entérite peu après sa naissance ; un autr
peu après sa naissance ; un autre fit de l'hémiplégie infantile et
mourut
âgé de 7 mois. La-mère n'eut jamais de fausses
n bâtiments, de Galluzzo.. " ' Antécédents héréditaires . Sa mère
mourut
de cardiopathie à de 40 ans ; son père est viva
e aussi jouit d'une bonne santé ; des cinq enfants qu'il en eut, un
mourut
dans les premiers mois de sa vie, un autre à l'âg
entaux à des produits toxiques sécrétés en quelque sorte en ces tu-
meurs
. C'est à la même conclusion que m'avaient conduit
ons. Séparé de tou mi- lieu, isolé dans la nature, l'élément de vie
mourrait
aussitôt, parce qu'il cesserait de recevoir les
situation nou- velle, la matière vivante s'y habitue, s'y adapte ou
meurt
. Cette proposi- tion mille fois démontrée, cont
it la raison, il expliqua qu'il était malade et qu'il avait peur de
mourir
. Dès ce moment il se confina dans sa chambre et
nés, était un alcoolique. Il aurait actuellement 62 ans. Sa mère,
morte
de péritonite il y a 22 ans, aurait actuellement
le;, ;, en 1906, la paralysie générale vint compliquer le tabes. Il
mourut
cette même année. Syphilisée également en 189
t à la suite de crises plus violentes que les précédentes, l'enfant
mourut
le 31 août. A l'autopsie, on constata des lésio
chirurgicale ; les forces baissent rapidement peu 1 : peu, la malade
meurt
à dix heures du soir. La jeune fille étant mo
: peu, la malade meurt à dix heures du soir. La jeune fille étant
morte
chez elle, il nous a été impossible de pratiquer
père avait soixante-deux ans, la mère quarante-six. Cette dernière
mourut
à quarante-neuf ans ; la cause de son décès est
il hypnotique. L'expérience n'a pu être poursuivie, la malade étant
morte
trois semaines après. 3° Observation VI. Femm
avait fait le diagnostic de syringomyélie et d'hydrocéphalie et qui
mourut
à l'âge de trente-six ans. Les points les plus in
ans reçoit dans l'abdomen un coup de couteau. Amené à l'hôpital, il
meurt
au bout de trois jours. L'autopsie dénota une b
atre générations. Première génération. La grand'mère paternelle est
morte
choréique, après bien des années de maladie. Il
ie dans sa famille. Deuxième génération. - Le père était paysan. Il
mourut
cho- réique et paralysé à cinquante-deux ans, a
tante a été, m'a-t-on dit, choréique pendant trente ans, elle est
morte
octogénaire. Quant à la mère de notre malade, e
est morte octogénaire. Quant à la mère de notre malade, elle est
morte
à quatre-vingt- deux ans d'un catarrhe bronchiq
ge d'affections cérébrales (méningites ? ) ; une fille (bye enfant)
morte
subitement à vingt-trois ans dans un accès d'ép
s, sa femme l'a trouvé un cou- teau à la main, disant qu'il voulait
mourir
et se couper la gorge, mais sans faire mine de
e suicide. Une emme de trente-huit ans (Obs. IV) voulait se laisser
mourir
de faim et refusait pendant quelques jours les
aration de leur pro- longement périphérique ; elles s'atrophient ou
meurent
; d'autres font preuve d'énergie-et survivent à
de vingt-huit ans, atteint d'épilepsie depuis dix-huit moi,. Il en
meurt
et l'on constate une calcification très étendue
goureux coups de pied dans l'abdomen de son père, qui s'affaissa et
mourut
presque sur-le-champ. (L'Indicateur de Cognac, 23
e 68 ans, de Saint-Germain-de-la-Coudre, qui est épileptique, est
morte
au cours d'une crise de cette terrible maladie. (
elle a manifesté un peu d'excitation, s'est imaginée qu'elle allait
mourir
, a réclamé de l'eau bénite, faisait des génu- f
père, âgé de soixante-dix ans, est un ivrogne invétéré. Sa mère est
morte
à trente ans de fièvre puerpé- rale. Rien à not
dées de damna- tion : le malin esprit s'est emparé d'elle, elle est
morte
, le diable va l'emmener en enfer ; elle entre d
gérer, que le sang l'étouffera, que le médecin lui a prédit qu'elle
mourrait
par le sang. La langue demeure légère- ment sab
eter sous un train : « Je suis damnée, je suis perdue, j'aime mieux
mourir
que d'appartenir au démon. » 2 janvier 1900. Ve
apoplexie, après deux ictus qui l'avaient laissé hémiplé- gié. Mère
morte
ci soixante-quinze ans de phtisie galopante; deux
e généralisée avec titubation, diffi- culté de la parole, etc. Elle
mourut
dans le coma et à l'autopsie on trouva à la fac
l'on devine ; un de ses parents qu'elle chérissait beaucoup vint à
mourir
, et elle en éprouva un grand chagrin. Au mois d
oie à une idée fixe; on la poursuit, on veut la frapper et la faire
mourir
! Elle entend des menaces ; elle connaît les ge
dement déroulés devant ses yeux, il a pu se dire à juste titre : Je
meurs
, sans laisser d'ennemis. Si heureusement doué d
ent payé votre dette à la Patrie, Mais vous avez eu la tristesse de
mourir
sans avoir vu, se réaliser « les réparations co
réditaires. - Père mort, d'hémorrhagie cérébrale, très buveur. Mère
morte
d'une maladie de poitrine ' ? Une soeur bien po
inistratif de l'asile départemental de Cadillac (Gironde), vient de
mourir
. Il avait été précédemment conseiller de préfec
ns après le début et il dut entrer à l'hôpi- tal d'Hazebroucq, il y
mourut
cinq ans après y être entré; il était resté au
moins sensibles. Le 3 novembre, à 10 heures 15 du matin, le malade
meurt
, les membres en résolution. Autopsie. Examen
erie du Dépôt. Sorti le 27 juin. . Antécédents héréditaires. Mère
morte
d'une maladie de coeur. Père, jardinier, buveur
urs de vin. Père, marchand de vin, mort d'une maladie de foie. Mère
morte
d'une attaque de paralysie. Un frère et une soe
tuel, d'une susceptibilité irraisonnée, émotif et irritable. - Mère
morte
, avait des attaques très fréquemment, surtout des
tions multiples ; misan- thrope, ne causant jamais à personne. Mère
morte
d'un cancer, était d'humeur égale. - Un frère,
et finalement d'hémianopsie du quart inférieur gauche ; elle est
morte
dans ce dernier état. L'observation a duré du 9 j
écissement. Le cinquième jour de son arrivée à l'hôpital, le malade
meurt
dans les convulsions cloniques et une perte de
ourna alors dans son pays, comptant y exercer son art, y vivre et y
mourir
. Mais la destinée en avait disposé autrement. P
la pensée que sa femme, éloignée et dangereusement malade, pouvait
mourir
sans qu'il lui fut donné de la revoir. Enfin da
sans se modifier sensiblement jusqu'au mois de septembre. Le malade
meurt
-le 28 de ce mois au cours d'une petite épidémie
ges escarres au-dessus des articulations coxo-fémorales. L'enfant
mourut
peu après à l'âge de huit ans,etlafigure (don-
nté, gémissait. Une heure plus tard, le beau-père trouvait sa fille
morte
sur le lit près du mur ; à côté d'elle gisait s
ois de maladie caractérisée par de la céphalée et de la somnolence,
meurt
subitement. A l'autopsie on trouve la périphé-
ue. Lorsque sans nouveau coma la parole s'embarrassa et le malade
mourut
dans une invasion graduelle de coma incomplet. A
dents héréditaires. - N'a pas connu ses grands parents. Sa mère est
morte
à trente-quatre ans, de suite de couches. Le pè
squement la résistance du système nerveux disparaît et les neurones
meurent
. simon. III. Fonctions de l'écorce et psychol
oixante-neuf ans est apporté il l'hôpital dans un état comateux, il
meurt
douze heures après sans avoir repris con- naiss
errogée, la femme G... répondit en riant que sa victime n'était pas
morte
et qu'avec un peu d'eau sucrée on la ramènerait
e) [troubles gastriques, migraines]. Ma grand'- mère maternelle est
morte
d'une maladie de foie ( ? ). Ma grand'- mère ma
ents + Où je suis, où je suis ? M. P.... tu vois, encore un peu, je
mourais
. Eh ! i parle français. Ici, nous sommes Arabes
uinze ans. Père syphilitique. Soeur paralytique générale à dix ans,
morte
à dix-sept. Mort à dix-neul ans de tuberculose
tale. Père alcoo- lique ; mère ayant eu plusieurs fausses couclies.
Morte
à vingt- deux ans après des convulsions. Lésion
tc. La ma- 232 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. lade croit qu'elle va
mourir
Un tremblement à petites oscillations accompagn
t depuis quatre ans déjà, je demande à Dieu avec ardeur de me faire
mourir
; j'ai même tenté un suicide raffiné; je 284 -i
284 -il CLINIQUE MENTALE. . voulais me rendre malade, me ruiner et
mourir
ainsi, mais cela n'a pas réussi. Ce désir intim
uiner et mourir ainsi, mais cela n'a pas réussi. Ce désir intime de
mourir
, s'est souvent représenté à moi, je redoutais d
ains, mais repoussait tout secours et il me supplia « de le laisser
mourir
tranquille car il n'avait plus à compter sur au
connaissance, entra en délire, eut quelques convulsions rapides et
mourut
six heures après, des blessures mortelles qu'il
re et grand' - tante paternels suicidés. Tante paternelle nerveuse,
morte
phtisique. Mère, convulsions de l'enfance, mo
rnelle nerveuse, morte phtisique. Mère, convulsions de l'enfance,
morte
phtisique. Grand-oncle maternel mort de morphin
la suite de chagrins intimes. -'l'ante pater- nelle très nerveuse,
morte
phtisique à trente-neuf ans, ses enfants ' sont
'est développé un état cachectique assez accusé, au cours duquel il
mourut
, à la suite de deux attaques congestives accomp
d'une démence sénile très accusée et remontant à dix-huit mois. Il
mourut
de pneumonie. A l'autopsie, on trouva. une tume
ie cérébrale infantile avec maximum à gauche, idiotie et épilepsie,
morte
en état de mal. Il y a agénésie complète de l'hé-
nglée.Malgré un traitement énergique mercuriel et ioduré, le malade
mourut
au bout de cinq jours de son entrée à l'hôpital
une fille de treize ans, un garçon de deux ans et demi. Sa femme
meurt
le 30 mai 1888 ; à partir de cette époque, ses
ent, l'affaiblissement physique fit de rapides progrès et le malade
mourut
le 20 jan- vier 1889 dans le marasme paralytiqu
teinte de paralysie générale après l'internement de son mari, était
morte
au mois de janvier de la même année. 372 RECUEI
fut pris brusquement d'une dyspnée intense avec cornage et faillit
mourir
. Actuellement la corde vocale gauche est parési
able (près d'un litre et demi, et peut-être davantage) : la blessée
mourut
deux heures . . après. Elle était consciente et
s). Pronostic très grave. La maladie évolua rapidement et le malade
mourut
dans le gâtisme le 27 septembre 1896. Sa femm
malade constamment agitée, déchirant ses effets, criant sans cesse,
meurt
le 31 décembre 1899 de cachexie paralytique. Ob
e atteint de démence paralytique avancée. Il se cachectise, gâte et
meurt
le 22 mars 1897. Sa femme, âgée de quarante-neu
, de forme mélancolique. L'affection évolue rapidement et la malade
meurt
le 1er mai 1897. Observation IV. Homme de trent
est mort le premier dans les observations I, III, IV. La femme est
morte
la première dans l'observation V. Rappelons enf
t Parisien du 11 novembre 1901). . VARIA. 531 ' Une femme trouvée
morte
. Ces jours, derniers M. Brunet, cul- tivateur à
fois après cinq ou six jours d'absence. Il est probable qu'elle est
morte
de froid et d'inanition. (Progrès de l'Eure, du
técédents héréditaires, je relève ce fait important que sa mère est
morte
de bacillose pulmonaire. Elle-même a eu une cox
piquer à la machine. Mariée à vingt ans, notre malade a vu son mari
mourir
de tuberculose au bout de quelques mois; après
te malade, triple soupçon de tuberculose : héréditaire, sa mère est
morte
de bacillose pulmonaire ; per- sonnelle, elle a
ire qui accompagne la compression cérébrale. 1 La malade vient de
mourir
; l'examen macroscopique montre bien bien qu'il
egardant les muscles contractés : « Pourquoi faites-vous de moi une
morte
? » Une hyperhémie par slase appa- rait très fa
sujet, une femme de cinquante ans, après trente ans de maladie est
morte
d'une crise d'asystolie due à une sthénose aort
es qu'elle a manifestés lors de son réveil, quelques jours avant de
mourir
, après un som- meil ininterrompu de vingt ans.
facultés intellectuelles, quelquesjours ou quelques heures avant de
mourir
. LEGRA : vD du Saule a signalé des cas de cette
urs mois de suite, s'est aussi réveillée quelques instants avant de
mourir
. J'ai vu jadis moi aussi, la dormeuse de Thénel
asphyxier et de se pendre (Progrès de l'Eure, 12 septembre 1903).
Morte
de faim. Une femme Com, âgée de trente-trois ans,
oups, mais l'examen de l'estomrc a établi que la pauvre femme était
morte
de faim. Depuis qu'elle était tombée dans une m
Mort d'Auberlin. L'attentat contre Jules Ferry. - Aubertin vient de
mourir
dans un modeste logement de la rue de Valois. C
de période. Ses antécédents héréditaires sont assez vagues : mère
morte
d'anémie à la suite de métrorrhagie; un oncle alc
ournal of Insanity, juillet 1902, p. 83-89). Les mélancoliques ne
meurent
pas tant de leur affection men- tale, que souve
onstances analogues, sa tante transpercée par un morceau de bois et
mourir
en quelques instants. Mais il n'en va pas toujo
é pour qu'il puisse sortir, il lèsent se gonfler de plus en plus il
meurt
. - papal, quarante-deux ans..... Un monstre se
l enfonce dans la poitrine du malheureux et le fait ainsi tomber il
meurt
. Il est probable, comme l'indiquent MM. Vaschid
onvulsifs, dont beau- coup, près des deux tiers d'après Echeverria,
meurent
en bas âge de convulsions, l'autre tiers restan
fini : sur trois chiens, l'un ne présenta aucune modification, deux
moururent
très éma- ciés, l'un d'eux après' avoir présent
re, elle reste presque toujours dans la pratique à l'état de lettre
morte
; et ces enfants, simplement faibles d'esprit, d
ux jambes et ouvert le crâne. Transportée à fHbtel-Dieu, elle y est
morte
quatre heures après. (Le Bonhomme Normand, 12-1
de la vue, et finalement, au début du mois de juin dernier, Busche
mourait
après de grandes souffrances. Peu de temps avan
Busche mourait après de grandes souffrances. Peu de temps avant de
mourir
, il avait raconté à son père l'odieux traite- m
L'autopsie ne tarda pas d'ailleurs à nous donner raison. Le malade
mourut
subitement. On trouva un cancer de l'es- tomac
oujours on la trouva absente. La malade se cachectisa rapidement et
mourut
. A l'autopsie, on trouva un athérome très prono
alité le 10 octobre ayant déjà de l'incontinence urinaire. Elle est
morte
le 14 février 1902 à la clinique infantile. M.
omènes de rappel, étudiés par Pierret, fit du délire d'inanition et
mourut
d'urémie. L'auteur, se basant sur ces différent
ment, est sujette à des hallucinations de l'ouïe et de la vue. Elle
meurt
au bout d'un mois, en pleine déchéance, et l'au
ellule corticale se développe, se charge d'énergie, se détériore et
meurt
conformément il la loi de vitalité qui lui est
rocureur de la répu- blique de ses amis dans laquelle il dit : « Je
meurs
assassiné. ),Il II demande à être conduit chez
ans un de ses aliments. Il a alors des idées noires, croit qu'il va
mourir
: en proie à ses idées, il entre à l'hôpital Du
nourriture, prétendant qu'il n'a pas besoin de manger puisqu'il va
mourir
, il se rétablit un peu, sort de l'hôpital et re
a mordit à plusieurs reprises au poignet'. La pau- ire femme en est
morte
. » Voici ce qu'il éclit après quelques recherch
ce qu'il éclit après quelques recherches : « Lapuuvre femme en est
morte
. 1't ¡liqnée au poignet par une vipère. mouil
ère mort à l'âge de cinquante-cinq ans (d'un refroidissement). Mère
morte
emphysémateuse à l'àge de soixante ans. Une soeur
est intéressée, il peut y avoir des troubles de la parole. Les tu-
meurs
cérébrales doivent être différenciées de la démen
mtewention instrumentale. Deux semaines après les couches la malade
mourut
, et à l'autopsie on constata une myélite luétiq
aroles des autres. Il pouvait écrire lui-même et sous la dictée. Il
mourut
d'une cause accidentelle. A l'autopsie a été co
ni démence; ne voyait presque plus; sobre. Grand' mère maternelle,
morte
à 64 ans, de fluxion de poitrine; Oncles et tan
ille. - Père, mort à 3G ans, noyé accidentellement : sobre. - Mère,
morte
usée à 63 ans, on prétendait que c'était une ga
a périphérie parles voies qui h'y rendent. Ces cellules naissent et
meurent
continuellement. Ces deux facteurs échappent co
ront au système nerveux central, les cellules nerveuses naîtront et
mourront
. Les processus ly- chiques sont tous des propri
es de saisissement pl d'anxiété panuphobique avec la peur unique de
mourir
. Trouble- nhropa- ibiques protéiformes, surtout
c mieux ? « Un peu ». « Vous n'avez donc plus peur qu'on vous fasse
mourir
' ! » « Oh ! si : encore parfois o. - « EL voir
agitations motrices continuelles. Puis -elle se lamente, a peur de
mourir
ou de voir mourir son mari. L'agitation el l'an
es continuelles. Puis -elle se lamente, a peur de mourir ou de voir
mourir
son mari. L'agitation el l'angoisse deviennent
ieux des plus violents : « Il faut lui couper le cou ; sa mère est.
morte
; il est perdu ; il faut l'immoler, le crucifie
peut aller a la selle. Un \eut le perdre, on l'accuse pour le faire
mourir
. Par- lois, il parle du paradis, gémit, voudrai
oséole (sic), de sorte que la vérole nlail Uut à l'ail certaine. Il
mourut
8 jours après son hospilali-alion, par suile d'
ans un fau- teuil, et elfe vécut de la sorte moins d'un mois, étant
morte
le 1 juiu, par suite de connestion cérébrale. L
dans l'évolution morbide des acci- dents cérébraux, puisque le mari
mourut
paralytique un peu plus de deux ans avant que s
ut-il tenir compte, pour.l'interprétalion de ces faits qu'elle-même
mourut
assez jeune de tuberculose pul- monaire. Le m
obe frontal. Il .'a;;iL, en l'espèce, .d'une jeune fille de 25 ans,
morte
brusquement dans un accès. L'écorce du cerveau,
gion calcarine ; Par le professeur \\'1;13rR (1). Mme G. F. est
morte
en juillet 1902, âgée de 7G ans. Nous ne pos- s
ranse erse cle la moelle, au niveau du premier segment dor- sal. Il
meurt
2 mois 1/2 après d'infection urinaire et de décub
l's uhi(el1lenl d'attaques eonvulsives. La plupart des épilepliques
meurent
de celle façon. » A 131cêtl'e nous n'avons qu'a
le nom de C.. ; c'est qu'en effet, elle se figurait qu'elle était
morte
, qu'elle était devenue sa propre cousine, et se
g- ments auparavant. Ils sont ainsi désagrégés. Ceux qui sont de-
meures
massifs restent sur le tamis : on les secoue viol
is et demi, et présente les symptômes combinés en question. Elle en
meurt
. Autopsie impossible. L'au- leur, en raison de
de tuberculose à partir de 7 ans, âge qu'elle avait quand son frère
mourut
de bacillose : elle a été depuis envoyée quatre
de bonheur, un peu plus de la joie de vivre et de l'insouciance de
mourir
, nous livrons encore les jeunes générations aux
le malade, qui avait avalé pendant la nuit des dents artificielles,
mourut
quelques jours après d'une hématémèse foudroyan
dical du 29 juin 1 ',)0 1. Ce malade, atteint d'i- diotie complète,
mourut
en moins de quarante-huit heu- res après avoir
ttincN-ille, le pre- mier concerne un malade dément épilcptiquc qui
mourut
dans de semblables conditions. A l'autopsie, on
que est- prise de grippe avec pleurésie séro-libri- neuse droite et
meurt
après trois jours de maladie pendant les- quels
s sur le sol; peu à peu, il devient impotent, est confiné au lit et
meurt
cachectique ; signes généraux des contractures
cters, ni nystag- mus. Le facies est ahuri et pleurard. Une soeur
morte
était atteinte du même syndrome qui est intermé
référable, dit-il, pour ces deux dernières ma- lades de les laisser
mourir
à l'hôpital plutôt que de les interner à l'Asil
is de no- tre excellent maître, et l'image du docteur Garnier de-
meure
empreinte d'innombrables regrets dans le sou- v
tion à Berlin et en Ecosse, et les Plans d'un asile moderne. . Il
meurt
sans avoireu la satisfaction d'inaugurer l'asile-
reuse a eu les maxillaires détachés et la langue arrachée. Elle est
morte
après d'horribles souffrances. Pierre Momies a
to- logie des altérations par com-. pression de la dans les tu-
meurs
vertébrales, par Biels- chow-sky, 42. Contribut
ble après quelques bouchées ; la parole, après quelques mots : elle
mourut
dans le coma quelques jours après son entrée à l'
liments, et entrecoupé de périodes d'exci- tation et de dépression;
morte
au bout de six semaines. L'exa- men histologiqu
on chronique, au cours duquel survint une hémiplégie gauche, et qui
mourut
après dix-huit ans d'inter- nement d'un ictus a
progres- sent, mais le malade conserve la vue presque intacte. Il
meurt
avant d'être aveugle (1). Tel est le tableau (1
amollissements rapidement mortels. Les artério- scléreux lacunaires
meurent
plus souvent par le cerveau que par les reins o
Il avait, de temps à autre, des accès de démence et prédisait qu'il
mourrait
en se brûlant. Les individus qui ont reçus des
ours d'une confession, d'où terreurs religieuses, peur obsédante de
mourir
en état de péché mortel, et d'èti'e assassiné au
i. » .le suis convaincu que 181 ' CLINIQUE MENTALE. ma mère est
morte
et. que mon absence à Paris en est la cause. (D
n'est guère possible car la très grande majorité des mon- goliens
meurt
avant 25 ans, tandis que des myxoedémateux dépa
lésions inflammatoires chroniques et quelquefois présente des tu-
meurs
tuberculeuses. La puberté est plutôt précoce ch
voir les photographies d'un nouveau cas de mon- golisme (Cotto ? )
morte
récemment, dans son service, de tuberculose gén
nt latente comme la tuberculose, d'autant plus que les épileptiques
meurent
le plus souvent au cours d un état de mal et qu
ur nos conseils, a pris pour sujet de sa thèse inaugurale : Comment
meurent
les épileptiques ? Elle comprend : de 1880 à 18
r il fut à 23 ans le dernier interne d'Esquirol à Charenton, devait
mourir
de la mort glorieuse du sol- dat sur le champ d
table, sujet à de fréquentes colères, vite passées du reste. Mère
morte
à 74 ans, non alcoolique, pas nerveuse. Pas d'ant
ernel que maternel. D ? avait 2 frères et 3 soeurs. Une soeur est
morte
à 27 ans, elle toussait, n'était pas nerveuse.
s, se marie. Il fut heu- reux en ménage, eut 5 enfants ; le premier
mourut
du croup ; les quatre autres sont bien portants
nd 11 et demi, le troisième 8 ans, le dernier 3 ans. Sa femme est
morte
il y a environ 2 ans, d'une pleurésie. D ? n'eu
quo le mé- decin avait déclaré que la femme Chény était réellement
morte
des coups qui lui avait portés Richard. Le juge
quelques excès de boisson.- Grand-oncle maternel, aliéné.- Tante,
morte
de méningite. Soeur, morte de tuberculose. Pas
.- Grand-oncle maternel, aliéné.- Tante, morte de méningite. Soeur,
morte
de tuberculose. Pas de consanguinité. -- Inégal
73 ans de vieillesse, s'était toujours très bien porté. Sa mère est
morte
lorsqu'il avait 7, ans, après une courte maladi
paternels et le grand-père maternel ; la grand-mère maternelle est
morte
« d'usure », à 87 ans. Un oncle pa- ternel aura
cles et tantes mater- nels, si ce n'est qu'une tante maternelle est
morte
à 13 ans « on ne sait de quoi ». Trois frères :
ions dans l'enfance mais est cependant très nerveuse ; la troisième
morte
à 7 ans de méningite, n'avait pas eu de convuls
fille de 8 ans, bien portante, pas de con- vulsions ; la cinquième
morte
d'une pneumonie tubercu- leuse à l'âge de 4 ans
1 désirer. Signalons un grand oncle maternel mort fou, une tante
morte
de méningite, une soeur de tuberculose. 4 :
ion d'une jeune malade de 15 ans atteinte de maladie de Friedreich,
morte
de congestion pulmonaire el qui présentait en o
e de 23 ans atteinte depuis quelques mois du syndrome rl'Erh et qui
mourut
brusquement au cours de l'affection dans un acc
, une ponction lombaire donna issue à un liquide louche et l'enfant
mourut
de méningite. 462 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUS
in. L'arthritisme ou mieux le neuro-artliritisme n'est pas une idée
morte
; pour M..1. Lépine, il se retrouve dans les dive
es continuent la vie de leurs parents, de sorte que l'in- dividu ne
meurt
pas en entier, il continue à vivre dans ses desce
la Ville naquit à Bordeaux en 1680 : son père était avocat ; sa mère
mourut
peu de temps après sa naissance ; elle eût une en
formule expressément. C'est, par exemple, un parent, un ami qui se
meurt
, et qui, pendant son agonie, nous implore, ou nou
, il y a quelques années, payé une forte somme qu'il devait. Quand il
meurt
, on la réclame de nouveau à son fils. Celui-ci sa
ie de guéri-son, tantôt guéri, tantôt encore moribond. Avant qu'il ne
meure
réellement, nous avons rêvé de sa mort un très gr
C'était le dernier et le plus chétif de ses frères et sœurs. Son père
mourut
en 1580, alors qu'il n'avait que trois ans. Il fi
elques expectorations. Mais la fièvre persistait, etc. » Il guérit et
mourut
quelques années plus tard d'une maladie qui début
it jouer un si grand rôle aux ferments. Il eut deux autres fils qui
moururent
de la peste et une fille atteinte de la lèpre (?)
il écrit assis devant sa table. Un malade veut, pour sauver le monde,
mourir
sur la croix comme Jésus-Christ, mais les portes
a Ville naquit à Bordeaux vers la fin de l'année 1680, d'une mère qui
mourut
jeune et d'un père auquel ses occupations d'avoca
on de Ménélas, son oncle : « Que ressens-tu ? Quel est le mal dont tu
meurs
? » Il répond : « La conscience, la conscience qu
ons, a remarqué que sur le côté malade, la peau restait pâle et comme
morte
, tandis que les mêmes frictions sur le côté sain
e hypocondriaque, l'irascibilité, l'émotivité, l'angoisse, la peur de
mourir
, différentes phobies, l'excitation ou la froideur
ne veux point d'autre but à mes coups que ton cœur, je veux le faire
mourir
». Il lança en même temps trois flèches dans ce c
portée ainsi au cher petit! Ont-ils pensé qu'il valait mieux pour lui
mourir
que rester prisonnier? C'est une morale bien haut
érosynerotème familial suivant : Michelle de Vitry), vivante en 1386,
morte
le 12 juin 1456, « fut enterrée dans une chapelle
lièrement immodéré pour le petit verre et surtout pour le grand. Elle
mourut
en 1827, à l'âge de cinquante et un ans. Sa des
de leur mal est très inégale. L'un court un danger réel et l'autre ne
meurt
jamais. Les sentiments affectifs se sont éteints,
ide, n'a pas le temps de changer le caractère du sujet. Ces jours-ci,
mourait
dans le service de M. Widal, à l'hôpital Cochin,
re éclairait ses lèvres. Un matin, peu de mois après son entrée, elle
mourut
subitement. Depuis longtemps, elle avait préparé
demi-inconscience, n'avait plus qu'un pouls filiforme. « Laissez-moi
mourir
en paix, » murmura-t-il à M. Huchard qui le voula
sait signe. Il désirait aller dans son cabinet de travail : « Je veux
mourir
debout et au milieu de mes livres », avait-il déc
is l'idée - fixe de la mort l'obsède perpétuellement. — « Si j'allais
mourir
, se dit-elle, que deviendrait mon enfant? » Ou bi
'un Monsieur qui devient son amant. Elle l'aime avec passion. Mais il
meurt
, il y a cinq ans, et elle en éprouve une désolati
ipathie, de l'animosité, de la répulsion. Il y a deux ans, son père
meurt
. Ce gros chagrin la démonte encore plus. Dès lors
ières. Peu de temps après, il perd sa place ; puis sa femme vient à
mourir
. Il en est bouleversé; il se demande ce qu'il va
de ce qu'il va devenir et cherche à savoir de quelle maladie elle est
morte
. II se met alors à écrire involontairement et, da
dit-il, sont en chair et en os, comme nous ; les mauvais ont la peau
morte
. Ceux-ci lui jouent de méchants tours : ils l'emp
Je ne sais pas lire ». Alors Gabriel l'étreignit si fort qu'il pensa
mourir
. Trois fois l'ange répéta son ordre, trois fois i
à ces malades ; ils n'existent plus, n'ont plus d'organes ; ils ne
mourront
plus jamais , ces délires apparaissant tardivem
est une pécheresse, une malheureuse, qu'elle regrette de n'être pas
morte
lorsqu'elle s'est coupé le cou, qu'elle ne doit
cou, qu'elle ne doit pas manger, pour plusieurs rai- sons : 1° pour
mourir
; 21 parce que son estomac est trop plein d'alim
eux. Mère, quarante-cinq ans, rien ci signaler. Tante paternelle,
morte
d'apoplexie. - Autre tante paternelle, morte des
ler. Tante paternelle, morte d'apoplexie. - Autre tante paternelle,
morte
des convulsions de l'enfance- Frère mort ci dix
s, d'une entérite, sobre, jamais malade. - Grand'mère paternelle,
morte
à soixante-seize ans, d'une affection chronique d
e diabète. Oncle paternel, mort d'une cholérine ? Tante paternelle,
morte
asthmatique. Autre tante paternelle, morte d'un
ne ? Tante paternelle, morte asthmatique. Autre tante paternelle,
morte
d'une attaque d'apoplexie en un jour. Autre tante
orte d'une attaque d'apoplexie en un jour. Autre tante pater- nelle
morte
des convulsions de l'enfance. Pas d'aliénés ni de
erveuse : le corps s'est raidi, puis l'enfant s'est écrié : tjevais
mourir
» ; il ouvraitles yeux démesurément, se penchait
, surtout dans la lignée maternelle. Du côté du père,~une tante est
morte
d'une attaque d'apoplexie. Un frère aurait eu.
iverses familles, 38 furent atteintes à un âge moyen de 33,3 ans et
moururent
à un âge moyen de 41,2 ans. Les hommes sont plus
elle a 42 accès et 30 vertiges, se cachectise progressi- vement et
meure
. A l'autopsie, on trouve un épaississement cons
t aux yeux. Sur le plancher, la femme Mondane était étendue raide
morte
, une bouteille de rhum à la main. Elle avait succ
le forte, à la glu, que tous ses organes sont malades, qu'elle veut
mourir
parce qu'elle a commis un péché devant Dieu, avec
fert et souffre encore beaucoup à cause de ce péché et qu'elle veut
mourir
à cause de cela. Elle nous dit encore que le pl
ne maladie con- tagieuse, qu'elle doit être désinfectée, qu'elle va
mourir
, qu'elle est perdue. L'expression de sa figur
t au moment de l'auto-accusation : quand elle nous dit qu'elle doit
mourir
pour son nom, quoiqu'elle ne sait pas ce qu'ell
: Où aller ? Quoi faire pour échapper, quoiqu'elle sache qu'elle va
mourir
. Elle sait et sent qu'elle va périr; elle sent qu
ne pénétrant dans la chambre où dormait Henriette Faldein la trouva
morte
, baignant dans une mare de sang. Elle alla auss
t d'une bouteille de rhum. Les deux garçons en burent une partie et
moururent
peu de temps après, malgré les soins qui leur f
sanguin d'épilep- tique, est injecté à une souris de 12 gr. Souris
morte
. Expérience V. 25 avril, 1 ce. de sérum sanguin
ons (a 5 h. 1/2), elle est toujours dans la même position. Elle est
morte
dans la nuit du 11 au 12 avril. L'autopsie ne
trois observations personnelles de délire aigu. Deux de ses malades
moururent
: l'une au bout de deux semaines, l'autre au bo
à la base de la troisième phalange du gros orteil gauche. La malade
meurt
de pyémie. m 0 A l'autopsie on trouve à l'int
nt. La mère de notre malade, qui était également très nerveuse, est
morte
de tuberculose pulmonaire. Une tante mater- nel
rte de tuberculose pulmonaire. Une tante mater- nelle est également
morte
tuberculeuse. Antécédents personnels. Mmc H...
ulièrement douloureuses, il eut le malheur de voir successive- ment
mourir
ses deux filles, ce dont il demeura inconsolable.
parait aujourd'hui sous le nom de confusion mentale. Le D'' Sauze
mourait
prématurément en 1884, à l'âge de cin- quante-s
dant son séjour à l'hôpital le malade contracte la dysenterie et en
meurt
. A l'examen microscopiqne on trouve une dégénér
laissez sortir, je tuerai ma femme et je me tuerai ensuite, je veux
mourir
. » Envoyé à l'infirmerie spéciale de la préfect
extrême, subdélire, elle essaye de manger ses excré- mentis ; elle
meurt
le 23. Autopsie. Caverne au sommet du poumon ga
it pas l'opération par crainte d'une nouvelle hémorragie. Le malade
meurt
dans la soirée et, à l'autopsie, on trouve un c
sques, glacés. Elle ne perd pas connaissance, assiste à son agonie,
meurt
à 2 heures du matin. Autopsie.- Coeur sain, c
instants. Je suis un secrétaire général in extremis, mais avant de
mourir
, je tiens à vous remercier d'avoir répondu si n
s de supporter ces peines et. si je ne me rétablis pas, je devrai
mourir
. La maladie a commencé l'été passé ; mais au co
forte décision d'attendre les premières gelées pour me refroidir et
mourir
. Avant tout je devrais fuir le milieu qui m'ent
rieurs), il était très éthylique, très nerveux el rhumatisant. Mère
morte
à 58 ans, cardiaque. Deux frères morts à 3.1 et
morts à 3.1 et 38 ans de laryngite ulcéreuse chronique ; une soeur
morte
en couches. Antécédents personnels. Pas d'autre
rouve les signes d'une broncho-pneumonie au poumon droit. Le malade
meurt
le 9 mars 1903. Autopsie : Les deux poumons, su
nerf optique (en particulier à la base), tandis que les petites tu-
meurs
de même structure qui occupent la fosse postérieu
re et du Morbihan, cette circu- laire est restée à l'état de lettre
morte
. Tout cela et bien d'autres choses dans le même
; la marche de- vient incertaine : amaigrissement rapide. Le malade
meurt
en janvier 1905. Al'autopsie : Dilatationdes
té de même pour les travaux d'intérieur ou de la culture. Le malade
meurt
à 19 ans. On constata à l'autopsie : une méning
t superposable : il s'agit encore d'une jeune idiote aveu- gle-née,
morte
dans le service de la clinique du professeur Pi
ions qui tuent l'homme, il serait sujet aux lois de la nature et ne
mourrait
que de mort naturelle. La vieillesse et la mo
a guerre, les vieux rois de France « sont morts, tous les gens vont
mourir
de faim par ma faute». En mars même état de con
daptés aux impulsions vitales en puissance dans leur organisme. Ils
meurent
au moment où l'ordre intervient chez les êtres
0 sept,, p. 594), ils guérissent, sortent, s'évadent, se suicident,
meurent
comme les autres malades de Bretagne, du Langue
. Inégalité d'âge d'un an (Père plus ;îjé). 10 enfants : 1° Fille
morte
d'entérite à 33,jours ;- 2° gar- çon né à 6 moi
e sans convulsions ; (j° fille (17 ans eu 1905), normale ; 7° fille
morte
il 7 mois d'entérite ainsi que deux autres fill
, Cholémie. (Résumée). L. Clémenline, 38 ans, journalière. Mère
morte
hydropique (ascite). Père mort cardiaque il 59 an
ique). In frère atteint d'affection hépatique. Une tante maternelle
morte
aliénée. .Maria a eu deux lièvres typhoïdes, l'
(l{ésumée). Louise IL. 3fi ans. Père mort de 11 re typhoïde ; mère
morte
à la suite de couches. Grand'mère maternelle ôp
vide dans la tète, avec angoisses ; il lui semblait qu'elle allait
mourir
; elle voyait tout le monde en noir, « les gens
mais il n'y a pas eu nécessité d'internement. Mère se portait bien,
morte
subitement. Un frère, d'un autre lit, mort do flu
. manche S..., u4 ans. Père mort d'une affection cardiaque ; mère
morte
aliénée dans un asile. Planche S..., a eu la lièv
olémie. Louis F..., 3 ? ans. Père mort à 44 ans d'apoplexie. Mère
morte
également d'apoplexie il 66 ans ; elle était vive
, une voisine lui annonce brusquement que sa femme et son enfant se
meurent
. A partir de cette époque, il eut de violents m
ade ne sait pas la mort de son père) ; il était un peu buveur. Mère
morte
il y a 18 mois : plusieurs mois avant sa mort,
deptimee. mélancolique et avait dcb idées de persécution. Elle est
morte
dans cet état il la suite d'une congestion céré
oupable, sera arrêté. Elle empoisonne tout le monde, aussi eut-elle
mourir
. Elle a essayé de se frapper la tête contre les
lui, je trouvai l'enfant souffrant d'une, llroncltu-ltneunutnie. Il
mourut
enfin d'épuisement (rois mois après mon premier
ic de l'affection doit toujours être réservé, les mala- des pouvant
mourir
de paralysie des nerfs crâniens dans les atta-
é qu'étant venues au inonde en même temps, elles avaient à coeur de
mourir
ensemble. (Petite Gironde, 27 sept.) ' Un liPfL
n au cours du mal de l'ott, mais même celle provoquée par des tu-
meurs
ou d'autres causes mécaniques est de i-iatureinll
ar Kahler sont trouvés par K1JDRI- : \VTSKI (1) dans 3 cas de tu-
meurs
de la colonne vertébrale (myélome, myxome, sar-
développement de la parole est la plupart du temps défectueux. Ils
meurent
d'habitude de bonne heure, de maladies intercur-
me sujet atteint de cancer mélaniquc du crewsus-claviculaire gauche
mourut
en asystolie avec des lé- ,ions du poumon et du
du syndrome d'hypertension céphalo-rachidienne causé par les tu-
meurs
cérébrales, mais on peut hésiter quand il n'exist
Angleterre, Cobbold prétend que chaque année plus de 400 personnes
meurent
d'hydatide. La maladie serait moins fréquente e
année précédente elle avait été gravement malade, elle avait failli
mourir
, mais ne peut fournir d'autre renseignement à c
e est prise d'un vomissement s'accompagnant d'effort. Le 16, elle
meurt
subitement pendant la visite. L'autopsie révèle
e de tissu fibreux qui empêche le futur toenia de se développer. Il
mourra
sur place, laissant la capsule rétractée avec u
Son père est mort à 78 aus, après 10 ans de paralysie ; sa mère est
morte
à 34 ans, probablement de tuberculose pulmo- na
t des exemples. Citons, d'après Cohausen les noms suivants : Attila
mourut
à 124 ans ( ? ). Prastus, roi de Pologne à 128.
ns obtenues en soufflant dans la bouche d'individus qui venaient de
mourir
. Il est fréquent de voir les sages-femmes ranim
l'image de Jésus-Christ. C'est seulement à la fin du 1VI siècle que
mourut
une religieuse milanaise, célèbre par ses austéri
ais, se pencha si fort qu'elle en tomba. De cette chute elle allait
mourir
et les meilleurs méde- cins du pays désespéraie
tiques. Cet auteur insiste sur la différence qui les sépare des tu-
meurs
cancéreuses : leurs caractères histologiques, et
anatomique, fait un rapport très détaillé sur celle variété de tu-
meurs
. A l'encontre de Lebert, Bouchard n'aclmet pas qu
cellule constitutive à propos de l'observation de Bouchard. Ces tu-
meurs
n'ont pas de vaisseaux proprement dits, mais des
guérir, il y a du gonflement, si au contraire elles sont destinées à
mourir
, la phase de chromatolyse poursuit son évolutio
couchement fut difficile, nécessita l'em- ploi des fers et l'enfant
mourut
au bout de 3 heures. S'il faut en croire la mère
bligé de la faire accompagner par un enfant partout où elle allait.
Morte
subitement au milieu de son travail, à 59 ans env
suite d'un accident (chute dans un escalier). 3o S'ceur du père. -
Morte
à 30 ans. Elle était, au dire du malade, livide
lle de notre malade semble avoir eu des attaques d'épilepsie et est
morte
de mort subite. (1) Le champ visuel étant le ch
'une attaque d'apoplexie à 69 ans. Il était alcoolique. La mère est
morte
tuberculeuse à 32 ans. Un frère et deux soeurs
bondante qu'elle avait considérée comme une fausse couche. Son mari
mourut
de phtisie galopante à 29 ans, sept mois après
trique de cause incertaine. Au commencement de mars 1901, la malade
meurt
des progrès de la phti- sie pulmonaire dont ell
a cyanose. ' Antécédents héréditaires . Sa mère, très nerveuse, est
morte
, à 68 ans, d'une maladie du coeur qui était de
qui vient on ne sait pas comment, tu peux y rester » et il a peur de
mourir
dans un de ces soubresauts. Il n'a « d'idées
ion du liquide céphalo-rachidien tel qu'on le constate dans les tu-
meurs
cérébrales par exemple. Il y aurait donc lieu de
ession cérébrale, et l'évolution clinique des symptômes dus aux tu-
meurs
cérébrales, et attribués par hypothèse à la compr
ance, capable d'expliquer beaucoup des éléments du syndrome des tu-
meurs
cérébrales ; ce facteur pathogénique est l'intoxi
t d'une bonne santé pendant plusieurs années, au bout desquelles il
meurt
d'une fièvre mali- gne. N'ayant jamais oublié l
été brisé en plusieurs pièces. Obs. II. Un homme de soixante ans
mourut
d'une fluxion de poitrine ; dix ans auparavant,
robablement, contractures ; forte flexion des doigts dans la paume.
Morte
à 50 ans, 13 ans après le début. Mort précédée d'
t mort à 69 ans de l'influenza : il était très nerveux. Sa mère est
morte
à 53 ans d'une entérite et était également très'
analyse avec soin un mémoire de Fowler portant sur sept cas de tu-
meurs
du sein pour lesquelles des chirurgiens connus av
s les urines prélevées à la sonde. Le lendemain, 7 avril, la malade
meurt
à 11 heures du matin. Autopsie. L'autopsie a ét
e fut atteinte de la petite vérole, en même temps qu'une sceur qui en
mourut
. Réglée à 14 ans, elle s'aperçut à cette époque
te. N'oublions pas que l'administration de la thyroïdine desséchée,
morte
, provenant de la race ovine est un procédé prim
a retraite aux environs de Rome. Il lui fut ordonné de s'apprêter à
mourir
. Pauline voulut partager le sort de son époux.
se plonger dans l'eau chaude. Stagt2tnt calidæ aquæ introiit. Il
mourut
peu de temps après. Quant à Pauline, sa femme,
nt, est mort de vieillesse àquatre- vingt-dix-sept ans. Sa mère est
morte
en couches à quarante-six ans. Il était très je
jeunesse, par un maladroit, que les femmes atteintes de sa maladie
mouraient
à la ménopause. Vingt ans plus tard, au moment
t des premières manifestations de l'âge critique, elle se prépare à
mourir
, étouffe, et serait peut-être morte si nous n'a
ge critique, elle se prépare à mourir, étouffe, et serait peut-être
morte
si nous n'avions fini par découvrir son secret
ent de se séparer de leur enfant. Celle-ci continue à dépérir et va
mourir
1. Leçons sur les mal. du sus. nerveux, (luu. c
SUR LES ECCHYMOSES SPONTANÉES. 65 d'inanition, car les hystériques
meurent
parfaitement d'anorexie quoi qu'on en ait dit;
ement eut lieu. Du côté maternel : grand'mère « nerveuse » ; serait
morte
d'hémorrhagie cérébrale. Le grand-père n'a pas
iste dramatique; elle abu- sait des boissons alcooliques : elle est
morte
, à l'âge de 57 ans, à l'hôpital Saint-Antoine.
e-huit ans, rhumatisante, aurait eu des attaques étant jeune. Soeur
morte
il dix-neuf ans de la fièvre typhoïde. Elle a eu
de métier où il pût être soumis à aucune intoxication. Sa mère est
morte
à l'âge de cinquante-cinq ans, à la suite d'un
euse, sujette à des colères violentes. La grand'mère maternelle est
morte
paralysée; mais on ne peut avoir de renseigneme
en la matière. OBs. I (Rissler'). Résumé. Femme de vingt et un ans,
morte
huit jours après le début de la maladie. A la s
, salle Duchenne, de Boulogne, dans le service de M. Charcot, y est
morte
six mois après, en novembre. A son entrée, Ha
90) de délire des persécutions; il a dû être interné. Une tante est
morte
d'apoplexie à quarante ans. La grand'mère mater
hémianesthésie droite sensitivo-sensorielle et hémiplégie droite,
mourut
incidemment de bronchite, et que l'autopsie resté
s ses mains maigrissaient. Le 5 octobre 987, ayant vu deux ouvriers
mourir
, elle se décida à entrer à Saint-Louis. L'un de
pisie probablement cardiaque, avec crachements de sang. Sa mère est
morte
d'une peur survenue pendant le sac de Bazeilles
utre n'avaient eu de maladies nerveuses. Une soeur de la malade est
morte
de la poitrine à vingt-sept ans; une petite fil
de la poitrine à vingt-sept ans; une petite fille de cette soeur est
morte
quelque temps avant sa mère d'une méningite. Po
notre malade ne présentent rien d'inté- ressantà noter. Sa mère est
morte
cette année même, à l'âge de quatre- vingts ans
affirme. La malade ne peut bientôt plus parler ni avaler et finit par
mourir
d'une syncope en février 1880. On ne put faire
se des jambes. La malade quitte la clinique. (.(Evidemment, elleest
morte
de paralysie bul- baire progressive peu de temp
i. Dieu a donc « béni mes œuvres, et je les rapporte toutes à lui. Je
meurs
» en remerciant mou divin maître ; je n’ai rien t
menacé d’excommunication, assista nombreux à son enterrement. Ainsi
mourut
notre vieil ami. Chacun de ses jours fut marqué p
tre fiers de posséder dans leurs rangs des hommes qui savent vivre et
mourir
ainsi, car ils préparent le triomphe de leur caus
ourds, et Herminie continue ses plaintes. Vafrin lui dit : « Il ne se
meurt
pas ; secourons-le donc avant de «pleurer. » Il l
e Presse. Par charité, plaignez-les ; mais, par raison, laissez-les
mourir
! Mesmer n’a été que le premier rationaliste et
in niais la somnambule qu’on faisait appeler. Le malade guérissait ou
mourait
en dehors des règles légales. Les tribunaux, soll
ion cérébrale, qui a irait laissé des traces d’aliénation mentale. 11
mourut
à q mtre-vingt cinq ans, des suites d’une attaque
; la lumière ne fut point faite pour leurs \ eux, la nature doit être
morte
pour leur entendement. La faveur du ciel est pour
n Laforgue, tu nous appelais tes frères. Puissions-nous tous vivre et
mourir
dans ta foi douce et sincère ! « Ollivier, cœur
lambeau, et toute vérité a par elle-même l’immortalité. « Celui qui
meurt
en laissant un champ couvert d’épis est l’homme s
esclave, tu doviens maitro, Ta volonté rompt ses carcans I Le tyran
meurt
sous tes effluves, Comme Alexandre vers les cuves
aux procédés ordinaires pour plaire à sa femme; mais Gemma, décidée à
mourir
plutôt que de céder, court à une fenêtre, l’ouvre
et revint, assurant qu’il avait blessé l’esprit malfaisant. La malade
mourut
quelques jours après : le bruit et la frayeur l’a
calorique maternel ou artificiel qui fomentait l'embryon, et celui-ci
meurt
encore trompé par l’analogie. Quand nous recevo
ilité complète de la peau et quelque peu le mouvement; mais le malade
mourut
, six mois après, d’une pneumonie. L’autopsie prou
; car elle serait de l’électricité volontaire et non de l’électricité
morte
. Si l’on consulte Dioscoride, on trouve, à l’ar
di ; j’ai été condamné à mort un lundi ; et vous « verrez tous que je
mourrai
un lundi, à la même heure où « j’ai tué le pauvre
heure où, délaissé, abandonné des médecins impuissants, il se voyait
mourir
? Et comment ne pas être surpris en voyant la volo
était suggérée son opinion ; ils refusèrent de l’admettre. Le malade
mourut
quelque temps après; on ouvrit son corps, et, au
dans un puits à charbon. Je vais le faire. Je la vois; elle n'est pas
morte
; elle est dans un cottage avec des gens qui sont
ration nulle. Le3 parents, réunis à l’entour de son lit, la croyaient
morte
. Cette fille, âgée de vingt-deux ans, d’une const
spoir d’une survivance de soi-même a cessé d’exister. La religion est
morte
, l’homme n'est plus qu’un animal mû par une sorte
i les consultants n’accomplissaient pas ses prescriptions , le malade
mourait
infailliblement. Il en arrivait autant, disait-on
il vous plaira de m’imposer, docteur; je consens à tout plutôt que de
mourir
à chaque heure. — Tu n’as donc pas été effrayé
e te donne deviendra une partie de toi-même ; elle croîtra, mûrira et
mourra
avec toi. Y consens-tu ? — Comment donc I sans
à fait inconnue, et finit par s’endormir de telle façon qu’on la crut
morte
. La langue inconnue était apparemment celle d’un
ures du soir, elle se sentit magnétiser par l’esprit de sa grand’mère
morte
; elle l’aperçut seule; mais, au su et vu de plus
e que sa mère était venue y suppléer. Ce furent ses seuls mots, et il
mourut
. Un autre enfant, raconte Horst dans sa Bibliothè
et lui-même rêvèrent plusieurs fois de suite qu’il était noyé, et il
mourut
de cette manière, non sans avoir parlé à ses amis
828, jour de la mort de son père, à quatre lieues d’elle, elle le vit
mourir
et s’écria : «ü Dieu ! » et dans le môme instant,
re qui n’est peut-être point impénétrable. Qui vivra verra. Non ; qui
mourra
verni, cela est plus certain. J'arrive, moi, sa
e avec certitude : Celui-ci est malade ou bien portant ; cet autre va
mourir
ou est déjà mort, en raison de l’éclat extérieur
ces particularités de sa famille. Peu de temps après, ce particulier
mourut
. » Le correspondant qui transmet ces faits au T
onde, car tu n’y resteras pas longtemps. « Vis en juste si tu désires
mourir
en paix, et ne méprise pas « le remords, c’est le
nseigneur, pour-« suivit le prince de Ligne? « — Elle prouve que je
mourrai
jeune, monsieur..... «.........................
importe lequel il prît, elle lui disait toujours la même chose, qu’il
mourrait
jeune et de mort violente.......................
Dieu, madame, me dit-il après, très-sim-« plement, ma mère en serait
morte
de chagrin, et vous * voyez ! » «11 nous racont
s-mnêine d’ici à bien peu de mois? « — D’ici à bien peu de mois! Je
mourrai
d’ici à peu de • mois? Je ne verrai donc pas tout
u « déshonneur, ii la perte de la France. J’en remercie le ciel. « Je
mourrai
dans mon lit? n— Oui, répliqua-t-elle d’une voi
me ou une femme aura l’esprit de Py-• thon et sera devin, on les fera
mourir
de mort, on les as-t sommera de pierres ; leur sa
re heures à la suite d'une atta- que d'apoplexie. - Soeur du malade
morte
à la suite de con- vulsions à l'àge de quatre a
maladies progressives, très difficilement curables et desquelles on
meurt
. Mais en combien de temps mourra le sujet ? Il
ilement curables et desquelles on meurt. Mais en combien de temps
mourra
le sujet ? Il y a des temps d'arrêt, même des r
rée, il com- mence à avoir des séries d'attaques épileptiformes, et
meurt
vers le sixième mois. A l'autopsie, on constate
'un nouvel érysipèle accompagné de glos- site et de stomatite. Elle
mourut
dans le marasme six mois après le début de la m
lle tomba ma- lade quelque temps après, refusa toute nourriture, et
mourut
dans les convulsions le 7 décembre 1849. Auto
st mort d'une fluxion de poitrine; sa mère, de taille ordinaire est
morte
à soixante-quinze ans « de vieillesse ». Une bO
1' qui nous donne les renseignements est intelligente; une deuxième
morte
pmtri- naire. Pas de nerveux ni de difformes, e
nerveux ni de difformes, etc., dans la famille.] Mère, née à Lille,
morte
en ! 877, a trente-neuf ans, de tuberculose pul
orts âgés. Père, mort à cinquante ans, d'une maladie aiguë. Mère,
morte
à quarante-six ans; pas nerveuse. Un frère de la
tteints de la syphilis. Le père est mort paralytique et la mère est
morte
par suite de l'impossibilité de déglutition (st
se complète ; le pneumo-gastrique cesse de fonctionner, le patient
meurt
le 11 novembre. L'examen anatomo-pathologiquc d
abinone l'air lui manque complètement, elle se sent sur le point de
mourir
; ces plaintes persistent tout le lendemain : il
re, mort vers soixante-treize, ans d'une attaque d'apoplexie. Mère,
morte
jeune du choléra. Un frère bien portant, pas d'
quatre- vingts ans, d'une chute; il n'était pas en enfance. 111ère,
morte
d'une bronchite à soixante-douze ans ; intellig
produisent aucune évacuation. Mort à 10 heures 35 du soir. Avant de
mourir
, le Pacha a ouvert les yeux tout grands et a po
e consli- tution robuste et sa taille est de 1 m. 70. - La mère est
morte
à l'âge de 40 ans, dix-huit mois après être acc
arti de faire admettre son enfant à la Salpêtrière. La malade est
morte
un mois après la publication de cette observati
taient en pleine santé au moment de sa naissance. Le père cependant
mourut
douze ans et la mère seize ans plus tard de pht
essus de la moyenne; pas de maladies nerveuses, ni de goitre. Mère,
morte
à quatre-vingt-sept ans, on ne sait de quoi; el
depuis vingt-sept ans, charpentier, sobre. - Grand'mère maternelle,
morte
paralysée à soixante-dix-huit ans, ménagère, so
ère, sobie. - Un frère mort à l'âge de six ans, du croup. Une soeur
morte
a quarante-trois ans, on ne sait de quoi, a eu
t n'a jamais présenté d'accidents nerveux. - Hère, ménagère, sobre,
morte
à quatre-vingt-huit ans sans paralysie, ni déme
e convulsions; 2° fille, née à terme, bien conformée, intelligente,
morte
à trois ans de convulsions; 3° fille mort-née à
t-née à terme (présentation des pieds), bien conformée; - 40 fille,
morte
à treize ans d'un abcès du foie; elle était née
, - Crétinisme (ralret). En novembre 1872, le malade s'affaiblit et
mourut
en janvier 1873, d'une congestion pulmonaire.
res; rien d'important à noter, à l'exception d'une tante paternelle
morte
phthisique. Antécédents personnels. Il a eu plu
ntéressèrent, mais elle n'assista jamais à aucune séance, son oncle
mourut
et elle ne revint pas de longtemps sur ce sujet
certains détails, il reconnut formellement celle de sa mère à lui,
morte
depuis quelques années. Ce fut un nou- veau tra
n allait; qu'elle s'éteignait complètement dans un immense désir de
mourir
, mais Rarahu lui ordonna de vivre, il lui décla
eprochait d'être indifférent, impuissant même. Elle se plaignait de
mourir
d'amour inassouvi. Sa femme de chambre la surprit
e divine dans « chaque âme; elle prit par erreur l'âme d'une étoile
morte
, « nommée depuis Siloë, fille de la beauté et d
hôpital le 1. or mars de 1901 en état d'excitation très marquée, et
mourut
quelques heures après son entrée à l'hô- pital.
que le lapin, , BIBLIOGRAPHIE. 89 comme le chien, le chat, etc.,
meurt
après'avoir présenté des accidents analogues.
hé à nou- veau. 11 se porta un second coup.de rasoir puis tomba. Il
mourut
peu après. (L'Aurore, 7 juin 1904.) , Hospice
crâniens sont en ordre. Douze heures après son entrée, la malade
mourut
. A l'autopsie on constata : une hématomyélie et u
urs enfants ; au bout de peu de temps, les petits s'étio- laient et
mouraient
d'épuisement. Ceux qui en sortaient, portaient
e, en pleine salle d'étude, au milieu de deux cents élèves. Je crus
mourir
de honte. Que n'avais-je lu alors le « Rouge et l
pes de l'encéphale et des viscères d'une femme de vingt-trois ans
morte
tuberculeuse chronique à l'asile des aliénés d'Ev
lésions plus graves de l'oeil gauche et des voies optiques gauches,
morte
de tuberculose dans le service du Dr Viallon.
les abcès des régions ganglionnaires se multiplient, et la malade
meurt
de cachexie septicémique. ° Autopsie : Tubercul
rophique ou sensitif faisant penser à la syringo- myélie. Le malade
mourut
subitement quelques jours après son entrée. Les
her de la normale. L'évolution est souvent grave, le malade pouvant
mourir
, en deux années environ, d'une sorte de tabes a
de cet état mental et la douloureuse réalité des choses. Le malade
meurt
dans un coma asphyxique graduel et rapide. Nécr
88, des Sociétés de Chirurgie, médico-psychologique, etc., vient de
mourir
au Mans. M. le Dur Mordret avait été reçu docte
nt qui avait fini par nécessiter une opération dont il avait failli
mourir
. Y... ne put s'empêcher de penser que ses quatr
réveilla en sursaut, inondé de sueurs, au moment même où il allait
mourir
; sans y attacher d'importance il se ren- dormi
vue ; celle-ci disparue elle perd toute notion et croit qu'elle va
mourir
parce que « je n'y vois plus, je ne saispas où
s où je suis, je ne sens plus rien, je tombe, je m'étouffe, je vais
mourir
». Lés yeux fermés elle est incapable d'une pen
tion IL Elle concerne une petite malade entrée à l'asile en 1893 et
morte
l'année dernière de tuberculose pulmo- naire. C
a rage expérimentale doivent être attribuées au fait que l'animal
meurt
sidéré avant que ces alternatives aient eu le tem
e atteinte d'un neurone du poignet qui avait subi cinq ans avant de
mourir
une résection du nerf médian depuis la paume de
ant elle môme. Le drame a dû être terrible. L'idiote ne voulait pas
mourir
et voulait s'échapper de l'étreinte de sa mère;
, directeur de l'asile départemental d'alié- nés du Hhône, vient de
mourir
à l'âge de soixante-deux ans. M. ltaoul fut suc
tier, mort il soixante-sept ans de pneumonie, était sobre. Sa mère,
morte
à soixante-dix-sept ans de vieillesse, ni démen
mère à soixante-huit; pas de détails sur eux. Une tante paternelle,
morte
on ne sait de quoi, aurait eu deux enfants bien
ccès. Dans le reste de la famille, rien autre à signa- ler. MÈRE,
morte
à quarante-cinq ans. il y,a un an, de « chlorose
ont bien portants. Quatre sce7crs : l'une mariée, sans enfants, est
morte
usée par la bois- son ; les trois autres sont b
nique restreint, montre la grande difficulté dû diagnostic des tu-
meurs
intramédullaires qui, surtout lorsqu'il survient
présente les signes classiques de laparaly- sie générale. Le malade
mourut
après avoir présenté les symptômes du délire ai
d'applaudir o,u de hurler contre quelqu'un. Qu'il vive ! et qu'il
meure
! sont les mots qu'ils aiment à jeter. Si l'un
e nje retirai, et cinq ou sixjours après j’appris que la malade était
morte
. Je borne ici ces citations qu’il me serait fac
ayant cessé de magnétiser cettedame, j’appris plus tard qu’elle était
morte
de dyssenterie dans le mois d'août suivant. ACC
de toute action coupable. Ici n’en est-ce pas une quand un infortuné
meurt
par impuissance du médecin qui a voulu rester imp
chassé le froid de la mort et donné de la vie à l’être qui se voyait
mourir
; n’est-ce point pourtant un chef-d’œuvre capable
es de Paris-, lui a prédit que son père, qu’il a laissé bien porlanl,
mourrait
avant quinze jours. Quand ce monsieur arriva chez
e. Hôtel-Dieu , asile de l’infortune, où le malheureux va souffrir et
mourir
, c’est là que mon âme expansive a pour la premièr
fle du Créateur, tous les hommes le possèdent, ils vivent par toi, et
meurent
quand tu leur échappes! allons justifier de ton e
squ’ici, a été funeste, l’ablation d’un sein cancéreux; la malade est
morte
, non pendant l’opération, mais quelques jours apr
mes épouvanté. (I) Il n'eslpas rare, à l'armée, de voir des soldais
mourir
subitement au moment d'une bataille, sans qu’on p
ux qui en font usage sont lourds, hébétés, stupides, et finissent par
mourir
dans un état d'idiotisme complet. Pour les Malais
des charges, et tu reviendras ensuite gouverner cette province, ou lu
mourras
. Tout arriva comme elle l’avait prédit; on conte
connaissez peu les hommes! Tenez : une princesse souffre, languit, se
meurt
; vous croyez qu’on va essayer de la soulager; vou
t trop tard. Malgré tous les soins dont elle a été entourée, elle est
morte
après deux jours d’horribles souffrances. » En
qui est en lui. Suivant reci, alors, l’âme d’un tout petit enfant qui
meurt
pourrait bien n’être qu'à la fin d’une punition c
appuyer celte pensée. Ne dit-oo pas tous les jours d'un enfant qui
meurt
au berceau : C’est an ange de pim au ciel! Phrase
permis, après les cérémonies (le la religion, de venir jcler quelques
Meurs
sur la lon.be «l’un ami. Il était auss:, lui, i
ure; les uns devront avancer en se traînant jusqu’à un certain âge et
mourir
jeunes encore; d’autres, tout en vivant, éprouver
ez-vous d’où vient la lumière. Il est des hommes qui veulent vivre et
mourir
dans les ténèbres, ne soyez point comme eux; ils
t cc qui s’en dit, ils se promirent l’un à l’autre que le premier qui
mourrait
en viendrait apporter des nouvelles a son compagn
eur Condorcet, vous «expirerez étendu sur le pavé d’un cachot; vous «
mourrez
du poison que vous aurez pris pour vous « dérober
rez les veines do vingt-deux coups de rusoir, et « pourtant vous n’en
mourrez
que quelques mois « après. » On sc regarde et on
u d’un accès « de goutte, pour être plus sûr de votre fait, et vous «
mourrez
dans la nuit. Vous, Monsieur Nicolaï, vous ■ mour
fait, et vous « mourrez dans la nuit. Vous, Monsieur Nicolaï, vous ■
mourrez
sur F échafaud ; vous, Monsieur Railly, sur «l'éc
re une terrible exécution ; el moi, grâces « au ciel !... —Vous? vous
mourrez
aussi sur l’écha-« faud. — Oh! c'est une gageure,
2° Comme vous l’avez dit, le maréchal Bugeaud ne rc-« viendra pas; il
mourra
hors du combat. « 3° La cause libérale triomphe
portant. Son pore, d'une bonne sa'nté, est mort à 97 ans. Sa mère est
morte
en couches à 46 ans. Il était très jeune (9 ans)
nt fort intéressants à signaler. Sa mère était épileptique : elle est
morte
en état de mal. Il a un frère atteint également d
, 35 ans, brocheuse. Antécédents héréditaires, côté maternel : Mère
morte
à 71 ans d'une maladie du foie. Grand-père mort d
ns d'une maladie du foie. Grand-père mort devieillesse. Une tante est
morte
d'une maladie du foie; e^e a été prise de trouble
son grand-père est mort d'une attaque d'apoplexie, sa grand'mère est
morte
très vieille avec une paraplégie de nature inconn
vec une paraplégie de nature inconnue, de durée courte. Une tante est
morte
poitrinaire. — Dans la ligne maternelle : le gran
turière, est âgée de quarante ans. Antécédents héréditaires. — Mère
morte
à soixante-trois ans d'une tumeur fibreuse. Grand
. — Mère morte à soixante-trois ans d'une tumeur fibreuse. Grand'mère
morte
hydropique. Une tante est morte à soixante-quinze
ans d'une tumeur fibreuse. Grand'mère morte hydropique. Une tante est
morte
à soixante-quinze ans. Elle avait été at teinte
B..., âgée de 57 ans, couturière. Antécédents héréditaires. — Mère
morte
à cinquante-huit ans d'une hernie étranglée opéré
e chemin de fer, est mort d'un accident, et deux sœurs dont l'une est
morte
à trente-sept ans d'une affection du rectum (?) e
thal-moplégie, de gêne de la parole, de paralysie glosso- laryngée,
morte
par syncope), de Rosenheim (femme de 41 ans attei
on ne retrouve absolument'rien dans les antécédents. La mère, qui est
morte
d'une"pleurésie à trente sept-ans, avait toujours
15 avril 1890, salle Prus, n° 10. Antécédents héréditaires. — Mère
morte
ictérique à soixante-deux ans. Père en bonne sant
ais incapable de tout labeur régulier, ne se voie réduit, pour ne pas
mourir
de faim, à exercer quelque métier interlope, et à
beaucoup et quand il avait bu, il était sujet à des crampes. — Mère,
morte
hydropique, pas nerveuse. — 5 frères et sœurs, do
certains cas très exceptionnels où la cécité peut s'installer à de-
meure
et devenir permanente. La raison de cet état amau
ropisie probablement cardiaque, avec crachements de sang. Sa mère est
morte
d'une peur survenue pendant le sac de Bazeilles p
l'autre n'avaient eu de maladies nerveuses. Une sœur de la malade est
morte
de la poitrine à vingt-sept ans ; une petite fill
de la poitrine à vingt-sept ans ; une petite fille de cette sœur est
morte
quelque temps avant sa mère d'une méningite. Poin
ante-huit ans, rhumatisante, aurait eu des attaques étant jeune. Sœur
morte
à dix-neuf ans de la fièvre typhoïde. Elle a eu d
é de métier où il piît être soumis à aucune intoxication. Sa mère est
morte
à l'âge de cinquante-cinq ans, à la suite d'un ac
rveuse, sujette à des colères violentes. La grand'mère maternelle est
morte
paralysée ; mais on ne peut avoir de renseignemen
lle était véritablement réduite à la seule contemplation de la lésion
morte
. Dans la situation 1 Laënnec. — Dictionnaire de
du souffle caverneux. On pense à l'existence d'une vomique, la malade
meurt
dans le marasme, A l'autopsie, tout le poumon g
urbe ther-mique. Le premier est celui d'une malade nommée Coudraux,
morte
à l'âge de 76 ans. Elle entra pour la première fo
tion d'après un cas observé par M. Olivier, chez une femme de 20 ans,
morte
en couches, un an après le début des accidents pu
stiques n'ont pas les poumons noirs, ce qui tient à deux causes : ils
meurent
jeunes, et ils vivent en plein air. A plus forte
e l'élémentpneumonique, dans la phtisie et que les phtisiques peuvent
mourir
par le fait de la pneumonie, M. Charcot est d'avi
respiration stertoreuse, et bien-tôt râle laryngo-lrachéal. Le malade
meurt
une heure environ après la chute. Autoi'Sie fai
, Anat. pat/iol., 28° livr.) Obs. VII. — Chez une femme de 45 ans.,
morte
avec une hyper-trophie du cœur, on rencontre dans
heures, la malade descend de son lit; elle tombe aussitôt à terre et
meurt
subitement. Autopsie faite le (î avril, à 9 h.
e l'on avait d'abord formulé avec une assez grande réserve. Le malade
meurt
treize jours après le début. A l'autopsie, on c
me tomba par terre, et avant qu'on pût appeler du se-cours elle était
morte
. L'autopsie n'a pas été faite ; mais d'après les
de dix-sept ans, qui n'était ni grosse ni récemment accouchée, et qui
mourut
subitement après avoir éprouvé des syncopes répét
tiré de la veine est couenneux. Le lendemain de son entrée, le malade
meurt
subitement. Autopsie. Les artères pulmonaires s
is envi-ron. Le 25 août, dyspnée et orlhopnée ; le 27 août, la malade
meurt
subitement. Les artères pulmonaires des deux côté
ulsifs du bras, fait quelques inspirations bruyantes et profondes, et
meurt
au bout de quelques minutes. Autopsie. Ulcérati
, prononça quelques mots d'une voix faible, se renversa sur le dos et
mourut
. Tout cela dura à peine quelques secondes. A l'ex
situa-tion horizontale, elle pâlit tout à coup et s'écria: « Oh ! je
meurs
! » Un médecin du voisinage fut immédiatement appe
que complètement isolé dans la science : il s'agissait d'un homme qui
mourut
subitement et chez lequel on trouva, pour toute l
e, à l'origine de l'artère ; il s'ouvrit à l'inté-rieur, et le malade
mourut
d'infection purulente.— La qua-trième est .person
et laisser vivre le malade pendant un assez long espace de temps. Il
mourut
à la suite d'une hémoptysie foudroyante, occasion
e du sujet fut prolongée pendant cinquante et un jours ; et lorsqu'il
mourut
, on put constater que sur deux points, dans une é
prouva, quelques mois après sa guérison, des douleurs à ce niveau. Il
mourut
quelques années plus tard, et l'on trouva, au-dev
tion de ce genre fut observée par Nicholls chez le roi George II, qui
mourut
d'une rupture du cœur en 1760 ; et Maunoir (de Ge
e, peu après le début des accidents. Sur les deux autres, le pre-mier
mourut
assez rapidement, par rupture de l'oreillette dro
d'une affection du cœur. — Des 20 cas, rassemblés par Rokitansky, 15
moururent
presque subitement ; 1 au bout de 5 à 6 heures ;
lobules graisseux, nageant dans un liquide séreux. Chez une femme qui
mourut
à la Salpêtrière, des suites d'un ramollissement
vorise le détachement. L'un de nous (M. Charcot) a vu chez une femme,
morte
de phlhisie pulmonaire, une concrétion fibrineuse
ent, elles aussi, subir ce travail régressif. Chez une femme âgée qui
mourut
à la Salpêtrière avec des symp-tômes typhoïdes tr
omènes que nous avons recon-nus et discutés chez le cheval. Le malade
meurt
tout à coup d'hémorragie gastro-intestinale. A l'
lle avait des syncopes, et c'est pen-dant une de ces syncopes qu'elle
mourut
. A Y autopsie, le foie paraît, à la coupe, semé
ns, après quelques jours de maladie; homme doux, tran- quille. Mère
morte
à soixante-quatre ans, hémiplégique; ni migrai-
inq ans; l'autre, en bonne santé, a perdu une fille, enfant unique,
morte
à trente ans hydropique. Antécédents personnels
en secondes noces, il a épousé deux soeurs; sa pre- mière femme est
morte
de tuberculose pulmonaire à vingt-deux ans, ne
ce de M. le professeur Charcot). Antécédents DE famille. Son père
mourut
à l'âge de cin- quante-huit ans à la suite d'un
ngt-trois ans, Bo... se maria, il n'eut pas d'enfants. Sa femme est
morte
il y a deux ans à la suite d'une opération qu'on
aussitôt qu'ils sont soulevés, retombent lourdement comme une chose
morte
. La résistance que le malade peut opposer au mouv
tière ! Pourquoi cela ? Et s'il était démontré encore que ces tu-
meurs
et ces ulcères autour desquels on mène tant de br
ir par cette opération, elle étoit bien aise de la lui épargner, et
mourir
pour mourir, il falloit autant qu'elle ne souff
opération, elle étoit bien aise de la lui épargner, et mourir pour
mourir
, il falloit autant qu'elle ne souffrit pas. JI
avaient presque complète- ment disparu depuis huit mois, lorsqu'il
mourut
presque subite- ment à la suite de crises épile
l'introduisit dans le nez et l'avala dans un but de suicide : elle
meurt
dix-huit jours plus tard : perforation stomacal
lpêtrière en 1884, y séjourna jusqu'en 1891, époque à laquelle elle
mourut
de phtisie pul- monaire, et elle fut pendant ce
de convulsions. Soell1', con- vulsions de l'enfance. - Autre saur,
morte
de convulsions . Conception durant l'ivresse. N
e qu'on exécutait sur lui pour la seconde fois. Mère, non nerveuse,
morte
à vingt-quatre ans, d'une affection pul- monair
tude bien portant, est mort à soixante-dix ans de pneumonie. Mère
morte
à cinquante-neuf ans avec de l'ictère, aurait con
». Cette maladie aurait duré deux jours. La grand'- mère maternelle
morte
assez âgée à la suite d'une fracture de jambe a
ale1'1lel paraît avoir été diabétique. La grand'mère maternelle est
morte
« asthmatique z Dans le reste de la famille de
emporté elle est mariée et a eu 2 filles, une de ces dernières est
morte
en ayant des convulsions, l'autre a toujours jo
s),sobre et intelligent, n'a jamais eu de convulsions; 4° une fille
morte
à onze mois de méningite avec de nombreuses cri
d mal liées qu'elle finit ensuite par formuler, en se donnant comme
morte
depuis plusieurs années. Aujourd'hui, elle s'ét
e. La chose la plus heureuse du monde serait que le petit malade ne
mourût
pas. M. le Dr BREMER expliqua que le Dr Tuholsk
de sept ans, et on lui enleva un grand morceau d'os; mais l'enfant
mourut
de pyrexie, que M. Horsley croit être due à la
ent qu'elle a cherché à parer les coups. Mo- reau, croyant sa femme
morte
, se pendit. (Radical, : 1. or juillet 1891.) UN
a toujours eu une santé très forte; mais une de ses soeurs vient de
mourir
, présentant depuis quelques années des arthrite
ille qui a dû sup- porter les atteintes de la maladie. Il a déjà vu
mourir
un de ses frères d'atrophie musculaire. Celle-c
ique chronique qui cessa de délirer dès le début de l'at- taque, et
mourut
avec une grande frayeur de la mort. 5° Idiotie,
ose générale aboutit géné- ralement àla démence vraie, et le malade
meurt
, le plus souvent, d'une affection intercurrente
la Clinique des maladies mentales; Erythème symptomatique des tu-
meurs
cérébrales (Encéphale, 1881); - Mal perforant du
l'ataxie locomotrice (Congrès de Londres, 1881; en anglais); - Tu-
meurs
et abcès du cerveau, en collaboration avec le Dr
nale un cas de superstition rare : c Dans la commune de Spatla, est
morte
ces jours-ci une vieille paysanne qui avait une
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